Status post-interruption volontaire de grossesse chirurgicales en juillet et décembre 2014 par curetage. Status post-chlamydiose cervicale en avril 2013. Status post-tentamen médicamenteux en septembre 2012. Status post-correction exostose main gauche non datée. Status post-tympanoplastie bilatérale non datée. Status post-fracture de cheville droite non datée. Anémie normocytaire hyperchrome à 86 g/l le 14.02.2019. Anémie normocytaire hyperchrome chronique • actuellement Hb 106 g/l. Anémie normocytaire hyperégénérative probablement d'origine mixte spoliative, post opératoire (Hb 74 g/l le 11.12.2018) • s/p transfusion 2 CE le 11.12.2018, 2 CE 17.12.2018 • Hb réticulocyte: 38 pg, réticulocyte absolu: 118 g/l le 19.12.2018. Anémie normocytaire hyperrégénérative d'origine mixte spoliative, post opératoire Hb 74 g/l le 11.12.2018. Insuffisance rénale chronique Stade G2 • status post insuffisance rénale aiguë post opératoire le 12.12.2018 • eGFR après CKE-EPI 49 mL/min le 18.12.2018. Collagen colitis • diarrhées récidivantes depuis une année • Calprotectine le 09.01: positive • Colonoscopie le 18.01.2019: Diverticulose sigmoïdienne, hémorroïdes Grad II • Biopsie le 18.01.2019 (Promed P2019.720): collagen colitis • Consilium gastroentérologie HFR Tafers : Budesonide 9 mg pendant 6 semaines, après diminution à 3 mg chaque semaine. Anémie normocytaire hypochrome. Anémie normocytaire hypochrome à Hb 117 g/l. Anémie normocytaire hypochrome à 110 g/l. Anémie normocytaire hypochrome à 113 g/l. Anémie normocytaire hypochrome à 68 g/l le 07.02.2019 DD : tumoral, sur hémorragie digestive haute à bas bruit. Anémie normocytaire hypochrome arégénérative • DD : hémocultures, macrohématurie, origine rénale • 73 g/l le 08.02.2019. Anémie normocytaire hypochrome avec : • B12 à 547 nmol/L le 22.01 • Ferritine à 514 le 22.01 • Acide folique à 8.7 le 22.01. Anémie normocytaire hypochrome avec Hb à 81 g/l le 24.01.2019 puis à 82 g/l le 07.02.2019. Anémie normocytaire hypochrome avec Hb 82 g/l sur saignement d'une métastase hépatique le 28.02.2019. Anémie normocytaire hypochrome avec un nadir à 97 g/l le 23.01.2019 avec : • carence en B12 à 144 pg/ml. Anémie normocytaire hypochrome chronique • Contexte d'hématurie microscopique • Contexte d'IRC (Consilium néphrologique le 26.01.2018 substitution en EPO impossible actuellement car non remboursée en raison du saignement urologique intermittent). Anémie normocytaire hypochrome chronique d'origine rénale (insuffisance rénale chronique de stade III) • avec composante inflammatoire dans le contexte de la pneumonie. Anémie normocytaire hypochrome d'origine ferriprive et inflammatoire. Anémie normocytaire hypochrome ferriprive spoliative avec hémoglobine 48 g/l le 28.07.2017 : • probablement dans le contexte de l'adénocarcinome du caecum. • transfusion de 5 culots érythrocytaires au total. Hémorragie digestive basse avec anémie de grade 4 en août 2017. Infection de port-à-cath nécessitant une réimplantation en juillet 2017. Crises de goutte au niveau du genou et de la cheville. Abcès chaud d'environ 4 x 2 cm au niveau supéro-externe de la fosse poplitée gauche. Arthroscopie du coude gauche avec résection de souris articulaire sur ostéochondrite disséquante du capitellum. Appendicectomie en 1965. Anémie normocytaire hypochrome ferriprive symptomatique sur probable perte digestive (ulcère gastrique, tumeur colique) traitée par 2 injections de ferrinject (Hb à 84 g/l). Coloscopie le 07.02.2016 : résection de 4 polypes infracentimétriques dont 2 adénomes tubuleux (contrôle aux 3 ans). Colonoscopie le 21.01.2014 + le 28.08.2014 + polypectomie : excision de 5 polypes du côlon dont un carcinome in situ du côlon ascendant. Résection sigmoïdienne par laparoscopie pour adénome tubulo-villeux. Décompensation cardiaque droite • DD : tachyarythmie sur FA, SAOS non appareillé (appareillage à discuter). PTH D en juin 2018. PTH gauche en 2006. Méatotomie moyenne droite pour rhinosinusite chronique en juin 2016. Traumatisme facial le 15.04.15 avec plaie transfixiante, partiellement délabrée, de la lèvre inférieure, instabilité dent 11. Colique néphrétique gauche en 2007. Cholécystectomie. Opération de kyste rénal gauche en 1973. Mucite digestive post-chimiothérapie par 5-FU le 01.12.18 : • dans le cadre de son adénocarcinome moyennement différencié de la jonction iléo-caecale stade IV. • suivi par HFR. Troubles électrolytiques multiples le 05.12.18 • Hyponatrémie hypo-osmolaire sur pertes extra-rénales à 126 mmol/L • Hypophosphatémie à 0.69 mmol/L. Perturbation des tests hépatiques le 05.12.18 • hyperbilirubinémie à 22.9 umol/L sans cytolyse, pas de choléstase DD : anémie hémolytique post-chimiothérapie. Traumatisme crânien simple sans perte de connaissance le 20.12.18 • sur inadvertance • INR infra-thérapeutique sous Sintrom avec INR 1. Anémie normocytaire hypochrome hyporégénératif sur macrohématurie (+/- composante inflammatoire) avec nadir à 63 g/L. Anémie normocytaire hypochrome hyporégénérative probablement sur inflammation chronique. Anémie normocytaire hypochrome, le 22.02.2019. Anémie normocytaire hypochrome post-opératoire le 23.01.2019, probablement dans un contexte d'hématome massif per-opératoire • Transfusion 2 CE le 23.01.2019 • Transfusion 1 CE le 24.01.2019 • Transfusion 1 CE le 06.02.2019. Anémie normocytaire hypochrome post-opératoire modérée le 19.02.2019. Anémie normocytaire hypochrome régénérative avec une Hb à 110 g/l le 20.09.2018 • Secondaire à une insuffisance rénale chronique • Composante ferriprive. Abcès à hauteur de l'os zygomatique à droite le 12.06.2013. Arrachement du trapèze droit le 09.08.2012. Fermeture d'un foramen ovale perméable en mai 2009. Accident vasculaire cérébral ischémique le 09.11.2008. Thrombose veineuse profonde poplitée du membre inférieur gauche non datée. Anémie normocytaire microchrome avec Hb à 115 g/l le 04.02.2019. Anémie normocytaire microchrome avec hémoglobine à 101 g/l. Anémie normocytaire normochrome hyporégénérative avec nadir à 134 g/l le 28.01.2019 DD : spoliatif, carentiel, OH. Anémie normocytaire normochrome à 108 g/l. Anémie normocytaire normochrome à 114 g/l Hb. Anémie normocytaire normochrome à 134 g/l le 25.02.2019. Anémie normocytaire normochrome aiguë d'origine ferriprive le 30.01.2019 DD : saignement occulte sur double anti-agrégation, sur prise d'AINS (de manière intermittente). Anémie normocytaire normochrome arégénérative d'origine hémorragique/inflammatoire. Anémie normocytaire normochrome avec Hb à 134 g/l le 07.01.2019. • hypovitaminose B12 • déficit en folate Anémie normocytaire normochrome avec Hb à 95 g/l d'origine indéterminée le 15.02.2019 Anémie normocytaire normochrome avec hémoglobine à 108 g/l Anémie normocytaire normochrome avec hémoglobine à 122 g/l le 15.01.2019. Anémie normocytaire normochrome avec hémoglobine à 79 g/l le 13.01.2019. Anémie normocytaire normochrome avec nadir à 97 g/l et thrombocytose post-inflammatoire le 31.01.2019 Anémie normocytaire normochrome avec nadir à 97 g/l et thrombocytose post-inflammatoire le 31.01.2019 Anémie normocytaire, normochrome chronique Anémie normocytaire normochrome et thrombocytopénie le 10.02.2019 Anémie normocytaire normochrome et thrombocytose post-inflammatoire le 31.01.2019 Anémie normocytaire normochrome et thrombopénie modérée post-opératoires le 11.02.2019 Anémie normocytaire normochrome et thrombopénie modérée post-opératoire le 11.02.2019 Anémie normocytaire normochrome. Hypertension artérielle sous Enalapril. Syndrome de dépendance à l'alcool. Epilepsie (sous Valproate, 3x500 mg/jour). Goutte (multiples crises de goutte et tophi). Anémie normocytaire normochrome hyporégénérative avec nadir à 127 g/l Anémie normocytaire normochrome hyporégénérative: Hb 94 g/l (le 24.02.2019) • DD: spoliation digestive sur Eliquis / autres causes • sous substitution de folate (acide folique 3.4 ng/ml le 10.01.2019) Anémie normocytaire normochrome le 08.02.2019, accentuée en triple anticoagulation Anémie normocytaire normochrome le 08.02.2019, d'étiologie indéterminée Anémie normocytaire normochrome plurifactorielle, spoliative, inflammatoire, depuis le 19.12.2018 : • Transfusion de 1 CE le 17.12.2018 Anémie normocytaire normochrome régénérative à 96 g/l le 11.12.2018 sur carence en acide folique Globe urinaire le 18.12.2018 sur statut post-anesthésie générale pour pose de PEG Infection urinaire le 29.05.2018 Implantation d'une prothèse inversée à l'épaule D suite à une omarthrose avancée (OP le 24.05.2018) Hystérectomie Embolie pulmonaire périphérique (segment pulmonaire droit 9) le 21.09.2014 sur thrombose veineuse superficielle para-géniculaire gauche État confusionnel aigu le 18.10.2016 (sur Valdoxan et globe vésical) Anémie normocytaire normochrome sur hémodilution le 12.02.2019 Anémie normocytaire normocytaire, DD saignement post-opératoire Anémie physiologique et thrombocytose réactionnelle Anémie post-opératoire (Hb 101 g/l le 16.01.2019) Anémie post-opératoire Anémie post-opératoire à J2 à 70 g/l. Anémie post-opératoire à 91 g/l. Anémie post-opératoire à 97 g/l Anémie postopératoire avec Hb à 72 g/l le 05.02.2019 • Transfusion de 2 CE le 05.02.2019 Anémie postopératoire avec Hb à 76 g/l le 09.02.2019 Anémie postopératoire avec Hb à 77 g/l le 26.01.2019 Anémie postopératoire avec Hb à 80 g/l le 29.01.2019 Anémie postopératoire avec Hb à 88 g/l le 01.02.2018 Anémie postopératoire avec Hb à 94 g/l chez une patiente asymptomatique Anémie postopératoire avec Hb 77 g/l le 18.01.2019, asymptomatique Anémie post-opératoire le 08.02.2019 Anémie post-opératoire le 08.02.2019 Anémie postopératoire le 23.01.2019 • Transfusion 2 CE le 23.01.2019 et 1 CE le 24.01.2019 Anémie postopératoire sur pertes sanguines en peropératoire avec Hb à 72 g/l le 08.02.2019 Anémie postopératoire symptomatique avec Hb à 82 g/l le 26.01.2019 Anémie post-partum Anémie post-traumatique à 85 g/l d'hémoglobine le 20.02.2019. Anémie spoliative Anémie spoliative Anémie spoliative Anémie spoliative Anémie spoliative Anémie spoliative Anémie spoliative Anémie spoliative Anémie spoliative Anémie spoliative Anémie spoliative avec hémoglobine à 78 g/l, • méléna. Anémie spoliative avec une Hb à 91 g/l Anémie spoliative avec une Hb à 98 g/l Anémie spoliative du post-partum Anémie spoliative du post-partum Anémie spoliative du post-partum. Anémie spoliative du post-partum. Anémie spoliative du post-partum asymptomatique Anémie spoliative du post-partum asymptomatique. Anémie spoliative hypochrome microcytaire ferriprive avec hémoglobine à 85 g/l en janvier 2018. Sevrage alcoolique en janvier 2018. Hyponatrémie légère à 131 mmol/l en janvier 2018. Hémorroïdopexie le 03.06.2016. Turbinectomie et ethmoïdectomie partielle. Prostatite aiguë en janvier 2010. Insuffisance rénale aiguë pré-rénale sur déshydratation en janvier 2010. Cholécystectomie. Péritonite sur appendicectomie perforée à l'âge de 25 ans. Anémie spoliative hypochrome microcytaire ferriprive avec hémoglobine à 85 g/l en janvier 2018. Sevrage alcoolique en janvier 2018. Hyponatrémie légère à 131 mmol/l en janvier 2018. Hémorroïdopexie le 03.06.2016. Turbinectomie et ethmoïdectomie partielle. Prostatite aiguë en janvier 2010. Insuffisance rénale aiguë pré-rénale sur déshydratation en janvier 2010. Cholécystectomie. Péritonite sur appendicectomie perforée à l'âge de 25 ans. Insuffisance rénale AKIN 1 sur origine pré-rénale sur déshydratation. Hyponatrémie à 128 ml/min normo-osmolaire à 283 mmol/l sur déshydratation le 19.02.2019. Anémie spoliative post-partum Anémie spoliative post-opératoire. Anémie spoliative post-partum Anémie spoliative symptomatique Anémie sur hématome et carence d'acide folique à 77 G/l le 29.01.2019 Anémie symptomatique Anémie 14 g/l macrocytaire normochrome d'origine mixte Anémie 97 g/l normochrome normocytaire Anémie 97 g/l normochrome normocytaire le 23.02.2019 Anémie. Asthme. Anémie normochrome normocytaire Anesthésie avec GelLet, désinfection avec hibidil, 3 points de suture avec prolène 5.0. Anesthésie locale avec Jellet, désinfection avec hibidil, suture avec Prolène 4.0 3 points. Anesthésie locale avec Lidocaïne bicarbonate. Champage stérile. Incision, drainage, rinçage. Méchage. Retour à domicile avec AINS et Dafalgan. Contrôle et ablation de mèche à 24 heures à la filière des urgences ambulatoires le 25.02.2019 à 14h45. Anesthésie locale (Rapidocaïne et bicarbonate), désinfection (Bétadine) champage, incision, exploration et rinçage. Mise en place d'une mèche "compresse+EMLA". Avis et passage du Dr. X, chirurgien. Ablation de la mèche demain en policlinique de chirurgie. Anesthésie locale Désinfection 2 points de suture simples 4-0 résorbables (5-0 indisponible) Anesthésie par Gel-Let Désinfection à l'Hybidil Suture avec Méopa, au total 2 pts détachés Prolène 6.0, Stéristrip, ablation des points dans 5 jours Consignes habituelles plaie Anévrisme aorte abdominale avec thrombose partielle dans la portion sous-ombilicale Anévrisme aorto-bi-iliaque de 52 mm de diamètre, asymptomatique. Cure d'anévrisme infra-rénal par prothèse bifurquée sur la bifurcation iliaque droite et l'artère iliaque externe à gauche, ligature de l'artère iliaque interne gauche le 27.02.2012. Adhésiolyse. Hypokaliémie. Substitution intra-veineuse et per-os. Globe vésical. Sondage vésical. Anévrisme aorto-bi-iliaque de 52 mm de diamètre, asymptomatique Cure d'anévrisme infra-rénal par prothèse bifurquée sur la bifurcation iliaque droite et l'artère iliaque externe à gauche, ligature de l'artère iliaque interne gauche le 27.02.2012 Adhésiolyse non datée Anévrisme de la terminaison carotidienne gauche, de 12.5 mm. Anévrisme de l'aorte abdominale de 4.7 cm de diamètre s'étendant jusqu'à l'artère fémorale commune droite, en partie thrombosé Anévrisme de l'aorte abdominale de 4.7 cm de diamètre s'étendant jusqu'à l'artère fémorale commune droite, en partie thrombosée Anévrisme de l'aorte abdominale de 53 mm de diamètre et des iliaques communes, particulièrement à droite, de 50 mm de diamètre, stenté en 2014: • CT-scan 18.12.18: Anévrisme de l'artère iliaque droite stentée inchangée. • St/p embolisation de l'artère iliaque interne droite inchangée. • Anévrisme fusiforme de l'artère iliaque commune gauche de 2,6 cm inchangée Anévrisme de l'aorte abdominale de 64 mm de diamètre asymptomatique, en position sous-rénale Anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale de 41 mm • sans signe de complication Anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale (40 mm de grand axe) partiellement thrombosé le 24.01.2019: • avec infiltration péri-aortique d'origine inflammatoire vs. infectieuse Anévrisme de l'aorte abdominale juxta-rénale mesurant 7.4 cm de diamètre avec un thrombus pariétal et une lumière résiduelle de 2.3 cm avec anévrismes iliaques stables de 2.4 cm à droite et 2 cm à gauche, malrotation partielle du côlon ascendant et du grêle médian : 27.12.2018 : laparotomie et adhésiolyse et échec de pontage aorto-bi-iliaque le 27.12.2018 à l'HFR 27.12.2018 : prothèse aorto-bi-iliaque à l'Inselspital 29.12.2018 : laparotomie exploratrice sans signe d'ischémie avec pose d'un filet devant des douleurs abdominales aiguës avec suspicion d'ischémie intestinale aiguë 01.2019: sepsis à Morganella sur translocation abdominale, traité par Tazobac du 03. au 14.01.2019 et pneumopathie acquise sous ventilation mécanique, traitée par Co-Amoxicilline. Anévrisme de l'aorte thoracique proximale à 46 mm au niveau des sinus de Valsalva. Anévrisme de l'aorte thoracique stable à 45 mm Encéphalite et polyradiculonévrite sur immunothérapie (Ipilimumab et Nivolumab) avec : • Trouble de l'initiative • Ralentissement idéomoteur • Parésie MID > MIG • Parésie proximale MSG • Troubles sphinctériens Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Evaluation neuropsychologique et suivi Anévrisme de l'aorte thoracique stable à 45 mm HTA traitée Anévrisme de l'aorte thoraco-abdominal de type IV, traité chirurgicalement en août 2018 à l'Inselspital Berne AVC frontal gauche : • mise en évidence d'une lésion ischémique séquellaire cérébrale frontale gauche le 01.10.2018 Néphrectomie gauche en 1979 • sur malformation congénitale (atrophie rénale) Crises de goutte à répétition (genou droit en mars 2011, coude droit) Angioedème probablement sur IEC le 18.03.2011 Cure de varice jambe droite Insuffisance respiratoire partielle aiguë avec pneumonie sur broncho-aspiration le 01.10.2018 Anévrisme de 2 mm de l'artère cérébrale postérieure gauche (P1) • objectivé au CT du 27.02.2019 Anévrisme de 4 mm à la bifurcation sylvienne droite: • surveillance à 1 an, par IRM cérébrale. Foramen ovale perméable grade 3: • score de Rope à 3 pts. Anévrisme de 5 mm de l'artère carotide droite. Anévrisme infra-rénal de l'aorte abdominale de > 6 cm de diamètre, partiellement thrombosé, diagnostiqué en mai 2018 Anévrisme poplité droit de 15 mm de diamètre, thrombosé et ré-ouvert par voie endovasculaire en novembre 2018 • Ischémie aiguë du membre inférieur droit le 03.11.2018 • Thrombectomie endovasculaire par Dr. X le 03.11.2018 • Anticoagulation par Xarelto stoppée le 21.01.2019 Anévrisme poplité droit de 22 mm de diamètre symptomatique avec ligature de l'anévrisme poplité droit et pontage fémoro-poplité à droite avec la veine saphène ipsi-latérale le 12.03.2018 (Dr. X) et application d'un pansement PICO le 15.03.2018. État confusionnel nocturne probablement dans le contexte de l'hospitalisation le 13.03.2018. Triple pontage pour cardiopathie ischémique en 2001 (Morges). Intertrigo plis inguinaux. Hypovitaminose D le 28.0.2018. Anévrisme/pseudo-anévrisme d'une artère intercostale postérieure droite Anévrisme de l'aorte infra-rénale découvert par coronarographie le 07.02.2019 Anévrisme de la crosse aortique (juste en aval des troncs supra-aortiques) de 45 mm Angine Angine à SBHGA. Angine à Strepto vs virale Angine à Streptocoque. Angine à streptocoque. Angine à streptocoque. Angine à streptocoque. Angine à streptocoque A. Angine à streptocoque A. Angine à streptocoque A. Angine à Streptocoque A le 13.01.2013. Plaie de la lèvre inférieure gauche. Angine à streptocoque avec scarlatine. Angine à streptocoque chez un patient connu et traité pour un syndrome néphrotique. Angine à streptocoque depuis le 24.02.19. Angine à streptocoque depuis le 24.02.2019 en cours de résolution. Angine à streptocoque du groupe A. Angine à Streptocoque en 2014. Angine à streptocoque le 05.02.2019. Angine à streptocoque le 09.03.2018. Accouchement par voie basse en mai 2015, compliqué d'une endométrite post-partum. Angine à streptocoque le 09.09.2017. Angine à streptocoque le 16.02.2019 Score de Centor 3 pts. Angine à streptocoque le 19.02.2019. Angine à streptocoques. Angine à streptocoques : • Streptotest rapide auprès de la Dresse X positif le 12.02.2019. • Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour pendant 7 jours prescrit par Dr. X le 12.02.2019. Angine à Streptocoques avec torticolis sur probable adénite rétropharyngée. Angine à streptocoques depuis le 24.02.2019. Angine à streptocoques et otite moyenne aiguë bilatérale le 06.02.2019. Angine à streptocoques le 19.02.2019 : score de Centor 4/4. Angine à streptocoques le 21.02.2019. Angine à streptocoques le 23.02.2019 avec : • possible otite à droite. • sinusite frontale. Angine aphagiante (traitée par hospitalisation, Solumedrol 160 mg + Co-Amoxi-Mepha 2,2 g + antalgie). Angine au décours Angine au streptocoque le 14.12.2018 • sous co-amoxicilline depuis le 14.12.2018 Angine avec adénopathie satellite. Angine avec faux-croup. Angine avec suspicion d'abcès débutant. Angine bactérienne. Angine bactérienne à streptocoque positif avec otite externe droite. Angine bactérienne acquise en communauté : • score de Centor 3/5. Angine bactérienne avec possible phlegmon en formation à droite avec une sinusite surajoutée le 29.01.2019. Angine bactérienne débutante • Centor 3/4 Angine bactérienne débutante le 06.02.2019. • Centor 3/4 Angine bactérienne le 08.02.2019. Angine dans le cadre d'une virose. Angine DD virale DD Mononucléose DD Streptocoque A. Angine de poitrine d'origine X • Coronarographie du 09.07.2018: FE 80 %, coronarographie normale. • Ergométrie du 27.06.2018: test sera maximal pour la fréquence cardiaque atteinte (99 %), il est supra maximal pour l'effort fourni (141 %), subjectivement négatif mais objectivement positif avec l'apparition d'un sous-décalage ST atteignant 1.5 mm (horizontal).Angine de poitrine le 08.02.19 • douleurs thoraciques typiques à l'effort, durée <20min Angine de poitrine le 08.02.2019 • dyspnée aigue, douleur en point/serrement épigastrique non reproductible, vétourdissement Angine de poitrine nouvelle • dans un contexte d'HTA mal contrôlée avec pic hypertensif à 202 mmHg de systolique le 25.05.2019 Angine d'origine bactérienne le plus probable avec otite moyenne aiguë droite le 06.02.2019. Angine d'origine probablement virale. DD: mononucléose débutante. Angine d'origine probablement virale le 10.02.2019. Angine d'origine virale Angine d'origine virale Angine d'origine virale Angine d'origine virale. Angine érythémato-pulsée virale Angine probablement virale Angine probablement virale. Angine probablement virale avec infection des voies respiratoires supérieures le 21.02.2019. Angine streptococcique Angine streptococcique le 15.02.2019. Angine streptocoque. Angine tonsillaire, le 15.02.2019. Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale Angine virale. Angine virale. Angine virale. Angine virale. Angine virale. Angine virale au décours. Angine virale avec : • diminution de la prise alimentaire / hydrique sans signes de déshydratation Angine virale avec asymétrie des amygdales G>D (DD: adénophlegmon débutant) Angine virale avec laryngite légère Angine virale dans le contexte d'un syndrome grippal le 31.01.19. Angine virale le 16.02.2019. Angine virale le 21.02.2019, DD grippe. Angine virale le 25.02.2019. Angine virale probable Angine virale probable Angine virale vésiculeuse Angines à répétition. Angines à streptocoques positives. Angio CT cérébral : pas de saignement, pas de fracture, pas d'occlusion vasculaire ; séquelle d'AVC sylvien D connu, pas d'autres lésions Motilium 10mg, Betaserc 16mg aux urgences, Zofran 4mg orodisp Avis ORL (Dr. X) Att: Hospitalisation en ORL pour la suite de la prise en charge Angio-CT aortique le 19.02.2019 Suivi ultrasonographique AngioCT aortique (01.02.19): 2 endofuites sur probable origine lombaire et mésentérique inférieure Laboratoire: cf. annexes Angio-CT avec phase veineuse tardive : pas de thrombose des sinus veineux, hypoplasie des sinus sigmoïde et transverse à droite. Retour à domicile avec antalgie. Symptômes d'alarme expliqués. Discuter consultation neurologique en ambulatoire si récidive. Angio-CT avec produit de contraste : l'aorte abdominale supra-rénale est perméable, sans lésion athéromateuse significative avec un départ des artères rénales perméables. Le départ du tronc coeliaque et l'artère mésentérique supérieure est perméable. En infra-rénal, on trouve des plaques athéromateuses molles, irrégulières, occupant moins de 50% de la lumière de l'aorte. À droite, l'artère iliaque commune est le siège d'une lésion athéromateuse pariétale de moins de 50%. L'artère iliaque externe et l'artère fémorale superficielle sur tout son parcours se présentent normalement, sans lésion athéromateuse significative. Quelques calcifications de l'artère poplitée. Les artères jambières sont perméables proximalement, avec des lésions athéromateuses. En distalité, l'artère tibiale postérieure est le siège de multiples calcifications sans vascularisation certaine en son sein à hauteur de la cheville. Les artères fibulaire et tibiale antérieure sont bien perméables avec l'artère tibiale antérieure qui vascularise principalement le pied. À gauche, l'artère iliaque commune, l'artère iliaque externe ainsi que l'artère fémorale superficielle, l'artère poplitée sont perméables, sans lésion significative. Les artères du trépied jambier sont également perméables dans leur partie proximale avec une artère tibiale antérieure qui vascularise principalement le pied. Sous réserve d'un temps d'acquisition relativement précoce, les portions examinées du foie se présentent normalement. La rate, le pancréas, les glandes surrénales ainsi que les reins se présentent normalement sans lésion suspecte. Pas d'adénopathie rétropéritonéale. L'estomac, l'intestin et le côlon ne démontrent pas de lésion suspecte sous réserve d'un temps d'acquisition précoce et de l'absence de préparation. Maladie diverticulaire d'allure calme du côlon sigmoïde. Pas de liquide libre. St/p PTH bilatérale. Remaniement de l'épine tibiale interne du genou gauche DD ancien arrachement. Sinon, pas d'arthrose significative des articulations du genou. Lésions ostéophytaires de la partie postérieure du plateau tibial interne du genou gauche. La hauteur des corps vertébraux est conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Discopathies protrusives L2-L3 avec calcifications de la protrusion discale occasionnant une sténose d'environ 50% du diamètre du canal spinal à ce niveau. Discopathie L5-S1 se présentant sous la forme d'un phénomène d'un vide discal. Rétrécissement neuroforaminal modéré un peu plus marqué en L5-S1 d'origine multifactorielle dont une arthrose facettaire. CONCLUSION : quelques lésions athéromateuses sur plaques plutôt molles et discrètement irrégulières de l'aorte abdominale infra-rénale sans sténose significative. Lésion athéromateuse régulière du départ de l'artère iliaque commune droite, occasionnant un rétrécissement de la lumière de moins de 50%. Aucune sténose significative de l'axe fémoro-poplité d'origine. Le trépied jambier est perméable proximalement avec l'artère tibiale antérieure étant le vaisseau irriguant principalement le pied d'origine. Discopathies protrusives notamment en L2-L3 avec une calcification d'un bombement discal à large rayon de courbure occasionnant un rétrécissement d'environ 50% du canal spinal. À confronter à une IRM. (Dr. X). Angio-CT cérébral à 3 mois (le patient sera convoqué) Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Double antiagrégation par Aspirine cardio et Plavix pendant 1 mois, suivi par Plavix seul Consultation neurovasculaire de contrôle le 27.06.2019 à 14h30 (HFR Fribourg) Angio-CT cérébral avec vaisseaux précérébraux le 17.01.2019 Duplex des vaisseaux pré-cérébraux et transcrânien le 20.01.2019 • Aspirine cardio 100 mg/j dès 6 semaines post-hémorragie (dès le 01.03.2019) • Atorvastatine 20 mg Angio-CT cérébral avec vaisseaux précérébraux le 26.01.2019 IRM cérébral le 31.02.2019 : AVC ischémiques récents touchant le pons, le lobe occipital et le lobe frontal gauche. Pas de transformation hémorragique. Polygone de Willis perméable et notamment l'artère basilaire. Atrophie cérébrale en lien avec l'âge de la patiente et leucoaraïose. Pannus synovial C1-C2 (arthrite rhumatoïde ?). Radio de thorax 26.01.2019 : cardiomégalie. Présence de petits infiltrats nodulaires des deux plages pulmonaires. Absence d'épanchement pleural. PAC correctement positionné. Omarthrose bilatérale avec arthrose AC bilatérale. Troubles dégénératifs pluri-étagés du rachis. Radio de thorax 30.01.2019 : absence de franche opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux, sous réserve d'une visualisation limitée de la base pulmonaire gauche en raison de la surprojection de la silhouette cardiaque. Le reste de l'examen est inchangé. Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 01.02.2019 : absence d'argument scannographique en faveur d'un accident vasculaire ischémique ou hémorragique. Bilan à compléter par une IRM cérébrale. Les axes artériels vasculaires précérébraux et le polygone de Willis sont perméables. À noter une légère infiltration athéromateuse de l'artère basilaire avec petite plaque calcifiée. CT cérébral natif à 15h le 01.02.2019 : apparition d'une hémorragie intraparenchymateuse insulaire droite à hauteur de la jonction M2-M3 de l'artère cérébrale moyenne droite. Possible petite hémorragie sous-arachnoïdienne en région frontale gauche. Absence d'imprégnation hématique du système ventriculaire ou des citernes de la base. Pas d'hydrocéphalie. Pas d'effet de masse ou d'œdème au pourtour de l'hématome insulaire droit. Pas d'engagement cérébral. Apparition d'un hématome extracrânien dans les tissus mous d'une épaisseur d'environ 1 cm, en regard du muscle temporal droit. CT cérébral natif à 21h le 01.02.2019 : par rapport au comparatif, aspect inchangé de l'hémorragie sous-arachnoïdienne frontale gauche et perte de densité de l'hémorragie intra-parenchymateuse insulaire droite. Pas de nouveau saignement intracrânien décelé. IRM cérébrale le 06.02.2019 : lésion punctiforme en regard du ventricule latéral gauche en rapport avec un AVC ischémique aigu. Deux autres lésions punctiformes dans le centre semi-ovale gauche et le cortex frontal précentral gauche correspondant à un AVC subaigu. Leucopathie microvasculaire Fazekas 2. Absence de stigmate hémorragique sur les séquences T2*. Perméabilité des réseaux vasculaires artériel et veineux. Echographie cardiaque transthoracique le 04.02.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale préservée. FEVG à 55-60 % (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Les feuillets mitraux sont fins. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 28 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Conclusion : examen grossièrement superposable à celui de 2017 Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 02.02.2019 : absence d'argument en faveur d'une lésion ischémique ou hémorragique. Perméabilité préservée des vaisseaux précérébraux et intracrâniens. IRM cérébrale le 04.02.2019 : pas de lésion ischémique aiguë. Hyper signaux Flair punctiformes de la substance blanche sous-corticale ddc non spécifiques. Perméabilité des réseaux vasculaires artériel et veineux. Echographie cardiaque transthoracique le 04.02.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Oreillette gauche non dilatée. Sous réserve d'un examen de mauvaise qualité, la fonction systolique de VG est normale et il n'y a pas de valvulopathies significatives. Absence d'un passage des microbulles en repos et après Valsalva, mais qualité des images limitée. Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 18.02.2019 : pas d'argument scanographique en faveur d'un AVC ischémique aigu ou subaigu. Pas d'hémorragie intracrânienne. L'angio-CT des vaisseaux pré-cérébraux et du polygone de Willis ne montre pas de lésion significative. CT cérébral natif le 19.02.2019 : examen superposable au comparatif de la veille, sans apparition d'infarctus cérébral constitué et sans hémorragie intracrânienne. IRM cérébrale le 21.02.2019 : AVC ischémique sub-aigu prenant la partie postérieure du striatum et de la capsule interne (territoire de l'artère choroïdienne antérieure). Pas de transformation hémorragique. Aspect perméable des vaisseaux du cercle de Willis. Echographie cardiaque transthoracique le 20.02.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Bilan neuropsychologique le 25.02.2019 : cet examen neuropsychologique réalisé auprès de ce patient de 81 ans, collaborant durant notre évaluation et peu fatigable, met en évidence de légères difficultés attentionnelles (mémoire immédiate faible, nécessité de réitérer certaines consignes) ; de très légères difficultés exécutives sur les plans comportemental (agitation motrice observée cliniquement) et cognitif (persévérations à un test d'auto-activation, léger défaut de maintien et de mise à jour de l'information relevé cliniquement). Ces légers troubles sont séquellaires du récent AVC sylvien D profond. Par ailleurs, le reste des fonctions cognitives évaluées (expression orale et écrite, calcul, praxie constructive, mémoire antérograde verbale, flexibilité mentale, attention sélective) est dans les limites de la norme. D'un point de vue neuropsychologique, il n'y a pas de contre-indication pour un retour à domicile. Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 23.02.2019 : pas d'argument radiologique pour un accident vasculaire cérébral ischémique ou hémorragique. Athéromatose mixte des artères carotides communes, notamment au niveau de leurs bifurcations, associée à une sténose estimée à 40 % au départ de l'artère carotide interne droite. Calcification des artères carotides internes dans leurs portions clinoïdiennes, sans sténose significative. Athéromatose mixte aux départs des artères vertébrales, sans sténose significative. Athéromatose mixte des artères sous-clavières, sans sténose significative. Perméabilité du polygone de Willis. Présence d'une lésion centimétrique para-ventriculaire latérale gauche (DD : hétérotopie de la matière grise ?). IRM cérébrale le 27.02.2019 : pas de signe d'AVC aigu ou subaigu, notamment de la fosse postérieure. Le nodule subépendymaire du ventricule latéral gauche est compatible avec une hétérotopie de la substance grise de type subépendymaire unilatérale focale. Atrophie cérébrale modérée diffuse avec leucoencéphalopathie Fazekas II. Doute sur la présence d'un signe du colibri sur les coupes sagittales.Echographie cardiaque transthoracique le 25.02.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60% (évaluation visuelle). Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Bilan neuropsychologique le 27.02.2019 : rapport en cours. • Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 31.01.2019 : absence d'argument scannographique en faveur d'un accident vasculaire ischémique ou hémorragique. Bonne perméabilité des axes artériels précérébraux et du polygone de Willis. A noter une plaque d'athérome mixte au départ de l'artère carotide interne droite, sans sténose significative, et des calcifications de l'IVA. • IRM cerveau 31.01.2019 : restriction de la diffusion touchant le bras postérieur de la capsule interne à droite. Sur les coupes FLAIR, il s'agit d'un discret hypersignal. Du côté gauche, en avant du thalamus, il y a également une petite anomalie de signal sur la diffusion, mais il est difficile de dire s'il s'agit d'une vraie lésion ou d'un petit artéfact. • Echocardiographie 01.02.2018 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG estimée à 75% (mode TM). Hypertrophie concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Valve mitrale normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Cardiopathie hypertensive : introduire traitement. Absence de communication inter-atriale. Bilan neuropsychologique le 04.02.2019 : rapport provisoire : MOCA 29/30. Bilan dans la norme pour l'âge du patient. Consultation ophtalmologique le 05.02.2019 : acuité visuelle 1.0 cc ddc ; tension oculaire 16/16 mm Hg ; segment ant calme. Fond d'œil dilaté : papilles nettes vitales, macula en ordre ddc, rétine à plat ddc, minime artériosclérose, pas de signes de tortuosité, pas de cotton wool spots. • Angio-CT cérébral le 09.02.2019. • Duplex des vaisseaux précérébraux le 12.02.2019. Double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine cardio et Plavix dès le 14.02.2019 pendant 1 mois, suivi par du Plavix seul. Traitement hypolipémiant haute dose. Pas de sanction chirurgicale en vue de l'état général du patient. • Angio-CT cérébral le 27.01.2019 : pas d'occlusion du polygone de Willis, bonne perméabilité des vaisseaux pré-cérébraux avec une dominance de l'artère vertébrale droite. Discrète asymétrie du MTT et du Blood Flow en défaveur de la droite sans origine claire sur la séquence injectée. • IRM cérébrale le 28.01.2019 : apparition d'une restriction de diffusion dans le thalamus droit, mesurée à 11 x 10 mm dans le plan axial, qu'on retrouve en hypersignal T2 FLAIR, compatible avec une lésion ischémique aiguë. Pas d'autre restriction de diffusion. Hypersignal T1 giriforme associée à d'autres petits hypersignaux punctiformes adjacents intéressant également le cortex, en région pariétale droite, qu'on retrouve discrètement en hypersignal FLAIR, et associé à une prise de contraste, compatible avec une lésion ischémique subaiguë (> 1 semaine). • ETT le 28.01.2019 : l'examen de ce jour est limité en raison de mauvaises conditions techniques et montre une fonction systolique normale du VG à 65% avec une cinétique segmentaire non évaluable. Absence de dysfonction diastolique de haut grade, pas de valvulopathies significatives. Pas d'argument pour une origine cardiaque structurelle à l'AVC sur cet examen. Bilan neuropsychologique le 31.01.2018 : bilan provisoire. Bilan stable par rapport au dernier bilan neuropsychologique de juin 2018, avec fluctuations pendant l'examen. Troubles de l'élaboration, apathie, amimie, anosognosie, impulsivité. Aspect visuo-perceptif avec des signes d'héminégligence gauche minime et héminégligence de représentation corporelle (P/ex confusion droite et gauche). • Angio-CT des membres inférieurs du 05.02.2019 : occlusion du pontage aorto-iliaque externe droit dès son départ avec reprise d'une opacification continue à partir des artères jambières. • Angio-CT des membres inférieurs le 09.02.2019 : thrombus de l'artère fémorale au niveau poplité avec quelques collatérales et occlusion de l'artère tibiale antérieure en distalité. • Angiographie le 09.02.2019. • Avis hématologie le 11.02.2019. • ETT le 11.02.2019. • CT-Scan thoraco-abdominal le 12.02.2019. • IRM du MID le 14.02.2019. Anticoagulation thérapeutique dès le 09.02.2019. • Angio-CT du 13.02.2019 : absence de saignement intracrânien ou de lésion focale nouvelle. Séquelles d'AVC ischémique sylvien superficiel droit. Bonne perméabilité vasculaire des vaisseaux précérébraux et intracrâniens.VHIT: déficit vestibulaire gauche avec atteinte des nerfs supérieurs et inférieurs. Traitement symptomatique par Tanganil et anti-émétique. Angio-CT du 13.02.2019: absence de saignement intracrânien ou de lésion focale nouvelle. Séquelles d'AVC ischémique sylvien superficiel droit. Bonne perméabilité vasculaire des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens. VHIT: déficit vestibulaire gauche. Angio-CT la semaine prochaine. Angio-CT le 28.01.19 Angiographie le 28.01.2019. Héparine intraveineuse en continu 15 000 UI/24h du 28.01.2019 au 29.01.2019. Reprise du Xarelto dès le 29.01.2019. Angio-CT le 28.01.2019: au niveau du membre inférieur droit, on retrouve une obstruction de l'artère poplitée. Au niveau du MIG, on retrouve une occlusion de l'artère fémorale superficielle, déjà proximalement, et de l'artère poplitée. Reprise distalement ddc, uniquement au niveau des artères péronières ddc. Angiographie le 29.01.2019: l'artère fémorale superficielle est occluse dès son départ. Les branches fémorales profondes sont développées autour du pli inguinal mais donnent très peu de branches qui passent à mi-cuisse. Au niveau du genou et de la jambe, il n'y a aucun flux en dehors d'un tout petit remplissage très tardif de l'artère fibulaire sur une dizaine de centimètres. Aucun flux dans le reste des axes natifs jambiers et dans la cheville. On tente une recanalisation endoluminale de la longue occlusion fémorale superficielle. Celle-ci s'avère d'emblée sous-endothéliale. Manœuvre de réentrée au niveau de la fibulaire distale par un guide 0.014 puis multiples angioplasties de toute l'occlusion depuis la fibulaire jusqu'à la fémorale commune par divers ballons. On obtient un certain remplissage de cette lumière, mais sans avancée de contraste. 2 stents fémoraux superficiels sont posés pour maintenir ouvert les 25 premiers centimètres de l'artère fémorale superficielle. La poplitée semble rester ouverte sans nécessiter de stent. Multiples angioplasties poplitées fibulaires avec réapparition d'une lumière partielle. Le flux reste quasi statique en raison d'une sub-occlusion de la fibulaire. Celle-ci est traitée par 2 stents de type Magmaris et 1 stent de type Xayens avec un résultat assez satisfaisant sur la moitié proximale de la fibulaire. Celle-ci reste occluse en distal avec un aspect d'embole. Aspiration de cette artère jusqu'à la cheville par un cathéter d'aspiration Eliminat 7 FRGC. Angioplastie de la fibulaire jusqu'à la cheville par un ballon 2.5X180. En fin d'intervention, on constate un accès direct jusqu'en poplité et fibulaire puis celle-ci reste occluse à mi-trajet mais alimente de nombreuses collatérales vers le mollet et vers la cheville. Angiographie le 04.02.2019: complément de revascularisation du MIG, par une artério du bassin et du MIG (cross-over) et contrôle des différents axes récemment recanalisés. Angiographie le 08.02.2019: nouvelle occlusion du TTP avec péjoration clinique. Revascularisation jusqu'à l'a. péronière. Angiographie le 11.02.2019: impossibilité de revascularisation à droite. Laboratoire: cf. annexes. Angio-CT le 28.01.2019. Angiographie le 29.01.2019. Angiographie le 08.02.2019. Angiographie le 11.02.2019. Anticoagulation thérapeutique dès le 29.01.2019. Angio-CT 09.12.2018: athérome aorto-iliaque calcifié. Une artère polaire rénale supérieure droite. Bonne perméabilité du tronc cœliaque et de ses branches ainsi que de l'artère mésentérique supérieure et inférieure. Athéromatose des artères iliaques communes, internes et externes sans sténose significative. Concernant le membre inférieur droit. Sous réserve des artéfacts de durcissement du faisceau lié à la PTH droite, perméabilité de l'artère fémorale commune, profonde et superficielle ainsi que de l'artère poplitée avec cependant des sténoses étagées sur athéromatose calcifiée. Artères jambières : • Artère tibiale antérieure : athérome calcifié marqué avec calcifications en plaques circonférentielles, le contraste n'est plus visible dès le tiers moyen de l'artère jusqu'en distal. Artère pédieuse non opacifiée. • Artère fibulaire : athéromatose calcifiée. Il est difficile d'évaluer la présence de contraste dans cet axe, cependant, il semblerait y en avoir dans sa partie toute distale. • Artère tibiale postérieure : athéromatose calcifiée marquée en plaques circonférentielles avec absence de contraste visible à partir de la jonction tiers moyen - tiers distal. Infiltration des tissus mous de la jambe, de la cheville et du pied. Concernant le membre inférieur gauche. Sous réserve des artéfacts de durcissement du faisceau lié à la PTH gauche, l'artère fémorale commune présente une sténose à environ 50 % sur calcifications athéromateuses. Perméabilité de l'artère fémorale profonde et superficielle ainsi que de l'artère poplitée avec cependant des sténoses étagées sur athéromatose calcifiée notamment de l'artère poplitée. Angiographie 10.12.2018: Angioedème. Angioedème d'origine probablement alimentaire. Angioedème et urticaire chronique idiopathique sous cétirizine et prednisone en R. Hypothyroïdie substituée. Angio-IRM neurocrâne avec artères précérébrales: décrit ci-dessous. Angiome cérébrale avec hémi-paralysie, sensitivo-moteur avec pied tombant depuis l'âge de 15 ans. Épilepsie sous forme d'absence traitée par Lamotrigine. Angio-oedème hémi-langue gauche le 12.02.2019. Angio-oedème neurotique le 10.01.2019 avec angio-oedème hémi-langue droite. Vertiges rotatoires avec possible atteinte vestibulaire gauche 11.2016. • DD: VPPB, Ménière. AVC en 11/2016 avec hémisyndrome droit. Réaction allergique stade III le 20.02.2018 avec angioedème localisé et dyspnée. Fracture ouverte du phalange distale du doigt I: • avec l'aiguille d'épipène dans le doigt. Angioplastie coronaire le 21.02.2019 : pose d'un stent actif percutané au niveau du corps du pont veineux. Lisinopril dès le 21.02.2019. Reprise Nebivolol dès le 22.02.2019. Poursuite Statine. Angioplastie coronaire le 21.02.2019: pose d'un stent actif percutané au niveau du corps du pont veineux. Lisinopril dès le 21.02.2019. Nebivolol dès le 22.02.2019. Statine. Angioplastie qui sera réalisée le 06.02.2019 à 10h à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Angoisse. Angoisse. Angoisse. Angoisse. Angoisse. Angoisse dans contexte fin de vie. Angoisse fluctuante avec idées suicidaires intermittentes, dans le contexte de la maladie oncologique. • pas de risque suicidaire immédiat. Angoisses / Mise à l'abri. Angoisses péjorées dans le contexte de l'hospitalisation, des complications face à une maladie oncologique avancée. Angor de poitrine typique. Angor d'effort dans le cadre du diagnostic 1 avec : • disparition de la symptomatologie angineuse à l'effort (marche > 250m, 2 étages d'escalier AR) post transfusion des 3 CE. Angor instable dans le cadre d'une cardiopathie ischémique monotronculaire, s/p stent dans la coronaire droite en 2008 et autre infarctus en 1995. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée en cours d'investigation. Angor instable. DD: sur FA rapide probable. Angor instable le 11.02.2019 avec 22 trop. Angor instable le 15.02.19. Angor instable le 18/02/19. Angor instable le 27.02.2019. Angor instable sur cardiopathie ischémie monotronculaire avec : • sténose significative de l'IVA moyenne : PTCA/1xDES (bon) • sténose significative de la 1ère diagonale : PTCA/1xDES (bon) • fraction d'éjection 60%. Angor instable sur maladie coronarienne tri-tronculaire : • bon résultat PCI IVA proximale le 01.06.2018 pour NSTEMI/IC aiguë. • bon résultat après PCI IVA moyenne à distale, RCx proximale et distale le 23.07.2018 • lésion intermédiaire de la première diagonale • sténose significative de l'ostium de la première marginale. Lésion intermédiaire de l'artère bissectrice • lésion intermédiaire de l'artère coronaire droite moyenne. Sténose significative de l'artère rétroventriculaire postérieure. Occlusion aiguë de l'ostium de la première rétroventriculaire gauche. • sténose significative de l'artère interventriculaire postérieure : angioplastie sans stent Angor instable sur maladie coronarienne tritronculaire sévère • FEVG conservée 75% Angor instable sur maladie coronarienne tritronculaire sévère • FEVG conservée 75% Angor instable sur sténose significative de l'IVA moyenne le 18.02.2019 Angor stable le 07.02.19 Angor stable le 15.02.2019 Angor stable le 7.02.2019 • sur maladie coronarienne tritronculaire Angor stable possible. Trouble dépressif traité par Lamotrigine. Dyslipidémie traitée. Angor stable secondaire à une fibrillation auriculaire rapide le 07.02.2019 • avec insuffisance cardiaque mal compensée (FEVG 20%) • sp cardiopathie ischémique avec NSTEMI en 2013 • ASA stoppé en ambulatoire sur épistaxis • FRCV : ancien tabagisme, dyslipidémie, HTA, diabète insulino-requérant Angor typique sur probable sténose aortique serrée le 22.04.2018 Cardiopathie valvulaire avec sténose aortique sévère avec surface estimée à 0.8 cm2 • FEVG conservée • fibrillation auriculaire chronique • 23.04.2018 : coronarographie : sclérose coronarienne minime • 12.11.2018 : implantation d'une prothèse valvulaire aortique TAVI de type CoreValve Evolut Pro 26 mm par voie percutanée fémorale droite en position aortique. Cardiopathie rythmique et hypertensive avec : • fibrillation auriculaire rapide intermittente en 2009 traitée par Cordarone de 2009 à 2013 avec arrêt sur apparition d'une hyperthyroïdie sur Cordarone • pose de pacemaker Biotronik Edora 8 SR-T avec ablation du noeud auriculo-ventriculaire. Mode stimulation : VVIR le 16.08.2018 (Dr. X) Angor typique sur probable sténose aortique serrée le 22.04.2018 Cardiopathie valvulaire avec sténose aortique sévère avec surface estimée à 0.8 cm2 • FEVG conservée • fibrillation auriculaire chronique • 23.04.2018 : coronarographie : sclérose coronarienne minime • 12.11.2018 : implantation d'une prothèse valvulaire aortique TAVI de type CoreValve Evolut Pro 26 mm par voie percutanée fémorale droite en position aortique. Cardiopathie rythmique et hypertensive avec : • fibrillation auriculaire rapide intermittente en 2009 traitée par Cordarone de 2009 à 2013 avec arrêt sur apparition d'une hyperthyroïdie sur Cordarone • pose de pacemaker Biotronik Edora 8 SR-T avec ablation du noeud auriculo-ventriculaire. Mode stimulation : VVIR le 16.08.2018 (Dr. X) Angor. Diverticulose colique. Décompensation cardiaque d'origine infectieuse. Dyspepsie sur antibiotiques. Anhédonie et tristesse, mise en danger Anisocorie • Aktenanamnestisch risikoreicher Alkoholkonsum, aktuell eigenanamnestisch kein Alkohol seit einigen Jahren • Behandelte arterielle Hypertonie unter Sevikar Anite. Ankylose de l'épaule gauche dans le contexte d'une déchirure du tendon supra-épineux. Analyses d'urine : cf. annexes. Culture d'urine (résultats à envoyer chez médecin traitant, ci-joint). Anneau gastrique de 2000 à 2003 Syndrome d'Ogilvie Entorse de cheville droite le 19.06.2015 Omalgie gauche post traumatique 14.09.2018 AVC d'origine indéterminée, sans traitement spécifique actuellement Anneau pelvien, attelle Lörrach. Prochain contrôle clinique avec ultrason dans 5 semaines. annexe : rapport de coronarographie Annexectomie et retrait de la matrice pour ménorragie il y a 20 ans Ablation kyste mammaire bénin le 08.2018 annexectomie gauche le 08.02.2019 Annonce AI Annonce AI (A FAIRE) Annonce AI pour poids < 2000gr Annoncé au SEJ par sage-femme Juge de paix informée et décision le 19.12.2018 : retour à domicile avec support par Mme. Y, curatrice SEJ. Annonce de fugue. Annonce de morsure faite Désinfection Reconsulter en cas de signes d'infection Annulation du contrôle clinico-radiologique du 23.01.2019 Consultation en ORL le 23.01.2019 • avis chirurgie maxillo-faciale (Dr. X) : ad consultation ambulatoire en chirurgie maxillo-faciale pour OPG ; dans l'attente, poursuite des bains de bouche Anomalie congénitale valve mitrale ? (sténose ?) Anomalie veineuse de développement cérébelleuse G de découverte fortuite Anopsie droite sur thrombose aiguë de l'artère rétinienne droite le 17.01.2019 • NIHSS : 0 points à l'arrivée (cécité unilatérale de l'œil droit), 3 points 6 heures après lyse (hémianopsie homonyme latérale gauche, minime chute de la commissure labiale gauche), 17 points, 8 heures après lyse (idem + aphasie modérée, dysarthrie sévère, plégie de l'hémicorps gauche) • Traitement complexe en unité Stroke Monitorée le 17.01.2019 Anopsie droite sur thrombose aiguë de l'artère rétinienne droite le 17.01.2019 • symptomatologie initiale : cécité unilatérale de l'œil droit • NIHSS initial : 0 point • Lyse intraveineuse par r-tPA 100 mg le 17.01.2019 (jusqu'au 14h30) Anopsie droite sur thrombose aiguë de l'artère rétinienne droite le 17.01.2019 • Traitement complexe en unité Stroke Monitorée le 17.01.2019 Anorexie Anorexie et dénutrition probablement dans le contexte d'une récidive tumorale (adénocarcinome du tiers inférieur de l'œsophage traité par radio-chimiothérapie il y a 5 - 6 ans). Anorexie mentale atypique • Malnutrition protéino-énergétique grave. Poids de forme : 68 kg, poids à l'entrée : 46.350 kg. • Sonde nasogastrique avec alimentation entérale 26.07.2018 - 16.09.2018 (sonde naso-jéjunale du 05.09.2018 au 09.09.2018). Syndrome d'un ligament arqué médian le 26.07.2018. • section du ligament arqué par laparoscopie avec suture des piliers diaphragmatiques le 10.08.2018. Tachycardie sinusale depuis mi-juillet probablement sur dénutrition. Anorexie mentale atypique • Malnutrition protéino-énergétique grave Poids de forme : 68 kg, poids à l'entrée : 46.350 kg • Sonde nasogastrique avec alimentation entérale 26.07.2018 - 16.09.2018 (sonde naso-jéjunale du 05.09.2018 au 09.09.2018) Syndrome d'un ligament arqué médian le 26.07.2018 • section du ligament arqué par laparoscopie avec suture des piliers diaphragmatiques le 10.08.2018 Tachycardie sinusale depuis mi-juillet probablement sur dénutrition Anorexie mentale atypique. • Malnutrition protéino-énergétique grave. Poids de forme : 68 kg, poids à l'entrée : 46.350 kg. • Sonde nasogastrique avec alimentation entérale 26.07.2018 - 16.09.2018 (sonde naso-jéjunale du 05.09.2018 au 09.09.2018). Syndrome d'un ligament arqué médian le 26.07.2018. • section du ligament arqué par laparoscopie avec suture des piliers diaphragmatiques le 10.08.2018. Tachycardie sinusale depuis mi-juillet probablement sur dénutrition. Anorexie mentale avec : • malnutrition protéino-énergétique • cachexie (BMI 15 kg/m2) le 01.07.2015 • abus de diurétiques et laxatifs de longue date Complications associées : • Ostéopathie complexe avec ostéoporose et ostéomalacie, status-post fracture spontanée des genoux des deux côtés, hanche et radius droit Anorexie mentale • DD : boulimie • cachexie (BMI 15 kg/m2) le 01.07.2015 • abus de diurétiques et laxatifs de longue date • ostéoporose, ostéomalacie avec status-post fracture spontanée des genoux des deux côtés, hanche et radius droitInsuffisance hypophysaire antérieure partielle avec: • hypothyroïdie centrale • taux ACTH abaissé • LH/FSH abaissés Clubbing idiopathique familial avec: • doigts en baguette de tambour • ongles en verre de montre Prolapsus rectal récidivant avec réductions multiples: • le 23.02.2013 et 04.11.2013 • le 29.04.2015 avec 2ème épisode 4h après la première réduction • le 28.06.2015 et 29.06.2015 • le 01.07.2015 • le 05.07.2015 Ostéopathie complexe avec ostéoporose et ostéomalacie Arthrose des chevilles et des pieds Anorexie-boulimie entre 15 et 17 ans. Anorexie. Panaris majeur gauche le 17.01.2016 avec: Antalgie Adalat 20 mg. Suivi chez le médecin traitant pour contrôle de la tension artérielle. Antalgie + AINS + myorelaxant. Conseil de réévaluer avec médecin de famille si persistance des symptômes malgré traitement symptomatique. Conseil de se représenter aux urgences si péjoration des symptômes. Antalgie à l'entrée : Brufen, Lyrica, Duloxetine Celebrex dès le 5.2.2019 Consilium rhumatologique le 5.2.2019 (Dr. X) Physiothérapie ATT: • adaptation de l'antalgie • risque de chute important • Suivi rhumato, rapatriement image de Payerne Antalgie à l'entrée : Brufen, Oxycontin, Oxynorm, Lyrica, Duloxetine Celebrex au lieu du Brufen dès le 5.2.2019 Consilium rhumatologique le 5.2.2019 (Dr. X) RAD le 8.2.2019 Sera convoquée pour suivi en rhumatologie, au centre d'antalgie, et en neurologie Une majoration progressive du traitement de Lyrica pour les douleurs neuropathiques envisageable Antalgie, application de glace, arrêt de sport, coussin ergonomique Antalgie, arrêt de sport Contrôle ortho-urgence dans une semaine avec radiographie (appel famille si changement d'attitude) Antalgie au besoin Antalgie au besoin. Contrôle de la plaie à 48 h chez le médecin traitant puis réfection régulière du pansement jusqu'à l'ablation des Stéristrips à J10-14. Mr. Y sera contacté par le team genou pour un rendez-vous de contrôle. Antalgie au besoin Médecine anthroposophique Antalgie au besoin Normolytoral si vomissements Reconsulter en cas de brûlures mictionnelles, fièvre ou diminution de l'état général Antalgie au besoin. Patient informé de reconsulter en cas de fièvre, et de consulter le dentiste si non amélioration franche lundi. Antalgie aux urgences avec Morphine, Voltarène 75 mg iv, Pantozol 40 mg iv, Dafalgan 1 gr. RAD au vu de la régression de la symptomatologie algique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter. Antalgie avec Brufen 600 mg 3x/J pour 3-4 jours, Dafalgan Mydocalm 150 mg 1-2x/J (pas conduire sous ce médicament) Antalgie avec Dafalgan, Voltarène et Tramal. Consulter le médecin traitant ou les urgences en cas de progression de la diminution de sensibilité, ou perte de force. Antalgie avec paracétamol, patch de diclofénac et morphine Antalgie avec protection gastrique. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine: conseil au patient de trouver un médecin traitant. Antalgie avec retour à domicile après réassurance. Examens avec explication donnée par le médecin : laboratoire, sédiment, test de grossesse. Antalgie, Co-Amoxicilline 1 gr. 3x/jour pour 5 jours. Contrôle clinique aux ambulatoires des urgences à 48 heures. Le patient a été invité de reconsulter en cas de persistance d'état fébrile, frissons ou péjoration des symptômes de la sphère ORL, apparition d'une nouvelle dyspnée ou dysphonie. Streptotest : positif Antalgie, crème localement Antalgie de premier palier Retour à domicile avec conseils d'hydratation et de surveillance Antalgie de premier palier Retour à domicile avec conseils d'hydratation et de surveillance Antalgie de premier pallier Retour à domicile avec consignes de surveillance Antalgie de premier pallier Retour à domicile avec consignes de surveillance Antalgie de premier pallier Retour à domicile avec consignes de surveillance Antalgie de premier pallier Retour à domicile avec consignes de surveillance Antalgie de premier pallier Retour à domicile avec consignes de surveillance Antalgie, décharge avec cannes, glace, arrêt sport, contrôle pédiatre selon nécessité Antalgie en réserve Antalgie en réserve Favoriser hydratation et alimentation riche en fibres Reconsulter si récidive des douleurs Antalgie en systématique durant 24 heures puis si douleur Reconsulte si réapparition Antalgie en systématique durant 48h puis selon douleur Reconsulte si douleur d'apparition en coup de tonnerre ou ne cédant pas à l'antalgie simple ou symptômes neurologiques associés Repos, Motilium en réserve Antalgie en systématique durant 48h, Sirdalud en réserve Contrôle chez pédiatre lundi 04.03 si persistance douleur Arrêt de sport 10 jours Antalgie et anti-inflammatoire, contrôle dans 24h chez le pédiatre pour décider si nécessite des antibiotiques pour otite, ou si amélioration. Antalgie et anti-inflammatoires, glace et repos. Arrêt de travail pour une semaine. Physiothérapie ambulatoire. Suite chez le médecin traitant à une semaine en cas de persistance des douleurs. Antalgie et anti-pyrétique. Conseils d'hydratation donnés au patient. Arrêt de travail. Patient informé de consulter le médecin traitant le 18.02.19 en cas de mauvaise évolution de la symptomatologie. Antalgie et arrêt de travail. Physiothérapie. Mydocalm en réserve. Consultation chez le médecin traitant si persistance des symptômes. Antalgie et fébrifuges Antalgie et myorelaxant pour 5 jours. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle dans une semaine. Antalgie et suivi clinique Antalgie et suivi clinique Rapidement résolutives sous antalgie Antalgie, fébrifuge, médecine complémentaire Antalgie, fébrifuges Antalgie, fébrifuges Antalgie, fébrifuges Antalgie, fébrifuges Antalgie, fébrifuges Antalgie, fébrifuges, hydratation Antalgie iv par Morphine aux urgences le 03.02.2019. Conseil de prendre la totalité des antalgiques prescrits sur l'ordonnance. Contrôle chez médecin traitant au besoin. IRM lombaire déjà prévue le 05.02.2019. Consultation avec le team Spine déjà prévue le 19.02.2019. Antalgie, médecine complémentaire Antalgie, médecine complémentaire Antalgie, médecine complémentaire Antalgie, médecine complémentaire Antalgie, médecine complémentaire Antalgie, médecine complémentaire Antalgie, médecine complémentaire Antalgie, médecine complémentaire Antalgie, médecine complémentaire, hydratation à stimuler Antalgie, membre supérieur droit en élévation, contrôle à la policlinique le 05.02.2019. Surveillance après traumatisme crânien, fait par la fille du patient. Antalgie, Nopil 25/5 mg/kg/dose aux 12h Antalgie par Kalinox 20 unités de Syntocinon pour multiparité Suites de couches Antalgie par AINS et tramadol Test d'épreuve de lit strict du 11.02 au 14.02.2019 sans effet Antalgie par Aulin. Antalgie par Chamillosan si nécessaire Antalgie par Co-Dafalgan, Celebrex, Tramal. Physiothérapie avec école du dos.Arrêt de travail refusé par le patient. Consultation chez le médecin traitant à 2 jours. Antalgie par Dafalgan et Irfen. Réassurance du patient, retour à domicile. Antalgie par Dafalgan et Temgesic. CT thoracique le 07.02.2019. Antalgie par Dafalgan et Tramal. Morphine en réserve. Attitude : • antalgie de premier palier à sa sortie. Antalgie par Dafalgan, Irfen. Antalgie par Dafalgan, Irfen et Sirdalud. Arrêt de travail. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Antalgie par Dafalgan, Irfen, Sirdalud et Tramadol en réserve. Suite de prise en charge chez le médecin traitant avec réévaluation de physiothérapie. Antalgie par Fentanyl 50mcg aux urgences. Laboratoire. Radiographies jambe D face-profil, pied D face-profil-oblique, bassin face, hanche D face-profil. CT jambe D. Avis orthopédie (Dr. X) : indication chirurgicale, ad hospitalisation en orthopédie. Antalgie par Irfen, Tramadol. Vitamine C. Physiothérapie par massages et ultrasons. Cannes anglaises pour décharge complète. Rendez-vous de suivi chez son médecin traitant. Empreinte plantaire à distance de l'événement aigu +/- semelles. Antalgie par Kalinox (cathéter de péridurale posé, non injecté). Suites de couches. Placenta envoyé en pathologie vu la prématurité. Antalgie par Kalinox. Suites de couches. Antalgie par morphine fixe dès le 25.02.2019. Antalgie par morphine iv 10mg au total, paracétamol 1g iv, voltaren 75mg iv. Hydratation 500ml NaCl 0.9%, puis 1500ml/24h. Laboratoire. Avis oncologie (Dr. X) : favorable à une hospitalisation pour hydratation et antalgie, rediscuter dans un 2ème temps SNG +/- OGD. Att : hospitalisation en médecine. Antalgie par Oxycontin et Oxynorm. Aspirine et Atorvastatine dès le 23.02.2019. US du 25.01.2019 (demandé par Dr. X) : pas de TVP. IRM cheville G 15.2.2019 (demandé par Dr. X). Angio-CT du membre inférieur gauche du 23.02.2019. Avis angio le 25.02.2019 : artériopathie oblitérante des MI de stade II par occlusion poplitée D et fémorale et TTP à G. Pas d'ischémie critique. Indication à un traitement optimal des facteurs de risque cardiovasculaires avec cible LDL<1.8 mM, TA cible<140/90 mmHg, associé à un antiagrégant plaquettaire. En cas d'évolution défavorable, nous restons à disposition pour réévaluer la situation. Pas de TVP du MIG. A adresser à la consultation d'antalgie en cas de persistance des douleurs de type algoneurodystrophie. Antalgie par Paracétamol et morphine. Antalgie par Péridurale et Protoxyde d'azote. Travail soutenu par Syntocinon. Suites de couches. Antalgie par péridurale. Pertes sanguines estimées à 300 ml. Suites de couches. Antalgie par péridurale. Césarienne isthmique transverse basse sous anesthésie générale. Test au bleu de l'étanchéité vésicale négatif. Thromboprophylaxie par Clexane selon schéma. Antibioprophylaxie par Clamoxyl durant le travail, puis par co-amoxicilline 1.2gr 3x/j pour 48h (main vaginale à la césarienne). Suites de couches. Antalgie par péridurale. Extraction par ventouse Kiwi. Suites de couches. Antalgie par péridurale. Instrumentation par ventouse Kiwi à épines +2. Suites de couches. Antalgie par péridurale. Naissance en 2 tractions. Suites de couches. Antalgie par péridurale. Pertes sanguines 200ml. Suites de couches. Antalgie par péridurale. Rupture artificielle des membranes avec liquide amniotique teinté par du méconium. Instrumentation par ventouse Kiwi pour CTG intermédiaire et NPP à épines +1. Suites de couches. Antalgie par péridurale. Suites de couches. Antalgie par péridurale. Suites de couches. Antalgie par péridurale. Suites de couches. Antalgie par péridurale. Suites de couches. Antalgie par péridurale. Suites de couches. Antalgie par protoxyde d'azote. Suites de couches. Antalgie par Tramal à sevrer en ambulatoire. Poursuite antibiothérapie per os jusqu'au 10.02.2019. Antalgie par Tramal per os, Morphine per os, Ponstan. Retour à domicile avec une ordonnance pour antalgie. Suite de la prise en charge chez le dentiste. Antalgie paracétamol 1gr, Brufen 600 mg. Avis chirurgie (Dr. X) : arrêt du Daflon et du Laxoberon, poursuite de la pommade Sulgan et antalgie, introduction Metamucil et Rectogesic pommade, rendez-vous de suivi en proctologie. Attitude : retour à domicile avec antalgie, Metamucil et Rectogesic, rendez-vous organisé en proctologie. Antalgie paracétamol/Ibuprofen pendant 48h. Antalgie, physiothérapie. Antalgie, recontrôle chez le médecin traitant ou aux urgences si absence d'amélioration dans les prochaines 72 heures. Antalgie reçu aux urgences : Paracétamol, Voltaren, Morphine par oral. Examen clinique sans déficit neurologique. Avis team Spine (Dr. X) : IRM à prévoir dans 7-10 jours, consultation en team Spine suite à l'IRM. Antalgie standard. Antalgie, rinçage du nez. Antalgie, rinçage du nez. Certificat médical pour l'école pour 5 jours. La patiente est invitée à reconsulter en cas de persistance d'un état fébrile ou symptômes respiratoires. Explications données à la patiente par le médecin. Antalgie, rinçages du nez, Nasivine. Antalgie selon douleur. Instruction pour traumatisme crânien. Début de traitement antihypertenseur par Amlodipin. Contrôle en filière 34 à 6 jours pour ablation des fils. Antalgie selon douleur. Attelle Jeans en 20° de flexion. Décharge avec des cannes. Contrôle chez son orthopédiste. Antalgie selon douleur. Recontrôle à la consultation du neurocrâne à 3 semaines pour évaluation clinique. Discuter IRM du crâne en ambulatoire si persistance des gênes. Au vu de l'hypertension importante, nous proposons à la patiente un contrôle chez le médecin traitant pour discuter d'un contrôle de la pression pendant 24 h. Antalgie selon douleurs. Immobilisation dans un gilet orthopédique. Recontrôle de la fonction rénale secteur ambulatoire des urgences le 20.02.2019. Le patient sera convoqué pour la prise en charge opératoire. Antalgie selon procédure RICE. Contrôle chez le médecin traitant. Antalgie selon protocole RICE. Cannes avec charge selon douleurs. Prescription de béquilles avec instructions à la marche données au patient. Contrôle chez le médecin traitant. Antalgie si douleurs. Antalgie si inconfort. Antalgie simple. Antalgie simple. Antalgie simple. Contrôle chez le médecin traitant et discussion de prise en charge par physiothérapie et relaxation. Antalgie simple. Cytotec. Groupe sanguin B pos. Antalgie simple en R si inconfort. Contrôle de plaie dimanche ou lundi par les parents (signe d'infection expliqués). Ablation des points dans 5 jours chez le pédiatre (20.02.19). Antalgie simple par Algifor et Dafalgan en réserve. Contrôle clinique +/- avis ortho le 01.03.19. Antalgie simple. Antibiothérapie prophylactique par Co-Amoxicilline 1g 2x/jour pendant 5 jours. Pas de mouchage. Antalgie simple. Anticorps anti-CCP dans la norme. Antalgie simple. Ciproxine gouttes auriculaires pendant 7 jours. Rendez-vous ORL le 25.02.2019 à 14h00 pour contrôle clinique et évaluation de l'hypoacousie. Antalgie simple. Contrôle dans 24-48h chez pédiatre. Antalgie simple. Physiothérapie. Antalgie simple. Physiothérapie à but d'assouplissement du trapèze et de renforcement progressif des stabilisateurs de la scapula. Pas de contrôle orthopédique d'emblée, nous restons à disposition en cas de nécessité. Antalgie simple. Prochain contrôle dans votre cabinet pour discussion éventuellement reprise de la pilule. Antalgie simple. Radiographie de clavicule gauche face tangentielle : pas de déplacement secondaire, pas de signe de fracture. Contrôle chez le médecin traitant. Réassurance. Antalgie simple. Reconsultera son médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Antalgie simple.Repos pendant quelques jours. Pas de sport jusqu'à disparition des symptômes. Patiente instruite sur signes inquiétants post-commotion (feuille d'informations). • Antalgie simple • Rx colonne dorsale le 08.02.2019 • Antalgie, Sirdalud. • Antalgie. • Sirdalud 2 mg pour 48h. • Physiothérapie avec école du dos. • Arrêt de travail pour 7 jours. • Antalgie standard. • Antalgie. • Ablation des fils chez le médecin traitant dans 5-7 jours. • Surveillance post-traumatisme crânien faite par l'épouse du patient. • Antalgie/AINS (à domicile), physiothérapie. • Suite chez médecin traitant, au vu des douleurs chroniques de la hanche droite de longue date, réévaluer l'indication à imagerie (IRM) et/ou consultation spécialisée. • Antalgie. • Arrêt de travail. • Consultation orthopédique le 13.02.2019. • Suivi chez le médecin traitant. • Recommandation de reconsulter aux urgences si péjoration des symptômes malgré le traitement. • Antalgie. • Arrêt de travail. • Suivi chez le médecin traitant. • Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. • Antalgie • Attelle Aircast. • Antalgie • Attelle 3-4 semaines • Charge selon douleurs • Arrêt de sport • Physiothérapie • Antalgie • Avis ORL • Reconsulter dans 5 jours si persistance de l'œdème ou déformation. • Antalgie. • Avis orthopédique (Dr. X) : pas d'indication à décompression en urgence ni à hospitalisation en orthopédie, prendront contact avec collègues de neurochirurgie le 20.02 qui rappelleront le patient ensuite. • Convenu d'un retour à domicile avec poursuite de corticoïdes, myorelaxant, intensification des antalgiques, donné cannes pour marche en charge selon douleurs, répété des signes d'alarme devant pousser à consulter en urgence. • Antalgie • Bandes élastiques • Dispense de sport • Antalgie • Bas de compression • Introduction de Prégabaline • Majoration de Torasémide • Antalgie • Conseils hydratation et Normolytoral • Analyse des selles en cours (Rota/Adéno, Bactériologie, Parasites, Calprotectine, sang occulte) • Contrôle chez pédiatre • Consilium gastroentérologique pédiatrique à organiser par pédiatre • Antalgie • Contrôle aux urgences pédiatriques dans 48h avec bilan sanguin • Antalgie • Contrôle chez les ORL le 01.03.2019 • Antalgie. • Contrôle chez médecin traitant. • Antalgie • Contrôle dans 24h aux urgences pédiatriques • Antalgie • CT bassin le 24.01.2019 • Antalgie • CT (19.11.2018) : suspicion • Rx hanches (30.11.2018) : pas d'argument pour ostéonécrose • Antalgie • Décongestionnant nasal • Bain de bouche désinfectant • Feuille d'information patient post-TCC • Patient refuse un constat de coup et blessure, il est invité à consulter les urgences dans les 24h-48h s'il change d'avis. • Antalgie. • Echographie ciblée : aorte de calibre normal, pas de dilatation des CPC, pas d'épanchement péritonéal. • Consigne de surveillance. • Suivi ultérieur chez médecin traitant. • Antalgie. • Explication préalable pour les différents examens : • Radiographie de la colonne lombaire face/profil. • Retour à domicile avec conseils de reconsulter en urgence si signes de gravité ; a une IRM prévue par le médecin traitant demain, qu'elle revoit le 19.02. • Antalgie • Glaçage, repos • Antalgie. • Hydratation. • Laboratoire. • ECG. • Sonographie abdominale le 02.02.2019 (Dr. X) : lithiase dans la vésicule biliaire, pas d'épaississement de la paroi, pas de dilatation des voies biliaires intrahépatique, voies biliaires extra-hépatique pas visibles en raison de gaz. • Avis chirurgical (Dr. X) : sonographie dès que possible, recontrôle au secteur ambulatoire des urgences le 03.02.2019 avec laboratoire et contrôle clinique + avis chirurgical. • Attitude au secteur ambulatoire des urgences pour le 03.02.2019 : contrôle laboratoire, refaire la sonographie si augmentation de la perturbation des tests hépatiques. • Antalgie. • IRM cérébrale en ambulatoire. • Antalgie • Mise en place de soin à domicile • Antalgie. • Mobilisation avec les cannes, charge selon tolérance. • Physiothérapie pour la charge de la chaîne postérieure. • Contrôle clinique dans 10 jours team genou pour réévaluation et éventuelles investigations à compléter avec IRM. • Antalgie. • Mobilisation libre. • Antalgie. • Myorelaxant. • Status physique. • Laboratoire et sédiment urinaire : cfr annexes. • Arrêt de travail. • Antalgie • Physio- et ergothérapies • RDV de contrôle Team Spine HFR Fribourg 07.02.2019 15h40 • La convocation pour la consultation en rhumatologie pour l'ostéoporose lui parviendra par téléphone. • Antalgie • Physiothérapie • Charge selon douleur • Mise en place de soin à domicile • Contrôle clinique orthopédique le 22.02.19 • Antalgie • Poursuite d'Adénuric • Antalgie. • Radio cervicale : pas de fracture. • Avis orthopédique (Dr. X). • Traitement symptomatique. • Retour à domicile avec contrôle chez le médecin traitant si persistance, avec discussion indication IRM. • Antalgie. • Réassurance. • Arrêt de travail. • Retour à domicile. • Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs malgré l'antalgie. Proposition d'effectuer une éventuelle infiltration en cas de non amélioration (à discuter avec rhumatologue). • Antalgie. • Recommandation de consulter chez le médecin traitant si persistance des symptômes avec IRM si nécessaire. • Antalgie • Reconsulter si persistance des douleurs dans 4-5 jours ou si péjoration des douleurs. • Antalgie • Rinçages nasaux et Nasivine 0.1% • Médecine anthroposophique • Hydratation à stimuler • Antalgie • Rx hanches 07.01.2019 : arthrose sévère hanche gauche • Physiothérapie et ergothérapie • Antalgies • Physio- et ergothérapies • Si persistance des symptômes dans 2-3 mois ; prendre contact avec chirurgien pour discuter d'une prise en charge opératoire. • Si apparition de symptômes neurologiques (perte de force, trouble sphinctérien), ad consultation en urgence. • Antalgie. • Symptômes d'alarmes expliqués. • Proposition de chercher un médecin traitant. • Antalgie • Tamsulosine • Filtration des urines • Uro-CT 20.02.2019 • Cystoscopie et pose de sonde JJ le 21.02.2019 (Dr. X) • Antalgie • Tamsulosine • Filtration des urines • Uro-CT 25.02.2019 • Cystoscopie avec pose de double J 25.02.2019 • Antalgie • Tamsulosine • Hydratation • Filtration des urines • CT abdominal 23.02.2019 • US abdominal 25.02.2019 • Antalgie • Tamsulosine • Uricult : E. Coli (sensible à ceftriaxone et ciprofloxacine) • Echographie ciblée aux urgences • Filtration des urines • Rocéphine 22.02 - 23.02 • Ciprofloxacine 23.02 - 25.02 • Cystoscopie et pose de double J le 22.02.2019 (Dr. X) • Antalgie • Traitement de la pathologie psychiatrique (voir diagnostic dédié) • Antalgie. • Traitement de la pathologie psychiatrique (voir diagnostic dédié). • Antalgie • Uricult : négatif • Echographie ciblée aux urgences • Filtration des urines • Tamsulosine • Rocéphine du 22.02 - 25.02 • Cystoscopie et pose de double J le 22.02.2019 (Dr. X) • Antalgie. • 3 agrafes. • Ablation des agrafes dans 6 jours. • Arrêt de travail. • Education sur les signes devant amener à reconsulter • Feuille de surveillance quant aux traumatismes crâniens remise. • Antalgiques • Arrêt des sports • Cannes • Aircast • Avis orthopédique téléphonique : Dr. X • Antalgiques • Arrêt des sports • Contrôle chez le pédiatre ou aux urgences dans une semaine • Cannes avec charge selon douleurs • Antalgiques • Arrêt des sports pendant 10 jours • Contrôle urgences ortho dans 10 jours • Si clinique pathologique de ménisque interne à prévoir IRM et contrôle team genou • Antalgiques • Arrêt des sports pendant 10 jours • Sportusal gel • Contrôle chez le pédiatre dans 10 jours si douleurs persistantes • Rx poignet gauche • Antalgiques • Consignes de réhydratation • Antalgiques • Consignes de réhydratation • Antalgiques • Consignes de réhydratation • Antalgiques • Consignes de réhydratation • Antalgiques • Consignes de réhydratation • Antalgiques en réserve Antalgiques en réserve Arrêt de sport pendant 1 semaine Antalgiques en réserve Arrêt des sports, éviction scolaire pendant 24 heures, éviction écrans Consignes de surveillance à domicile Explication des signes de gravité en détails Coordonnées CPP données Appel à la mère: la patiente a toujours des cervicalgies, convoquée pour CT cervical le 13.02 puis en consultation d'orthopédie Antalgiques en réserve Arrêt des sports pendant une semaine Avis orthopédique: Dr. X Antalgiques en réserve Arrêt des sports pendant une semaine Cannes avec décharge Avis orthopédique: Dr. X Antalgiques en réserve Arrêt des sports pendant 1 semaine Avis orthopédique: Dr. X Antalgiques en réserve Arrêt sport Genouillère pendant 2 semaines Séances de physiothérapie Contrôle urgences ortho dans 10 jours Avis orthopédique: Dr. X Antalgiques en réserve Bandage élastique Arrêt des sports Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine si douleurs persistantes Antalgiques en réserve Collunosol-N Strep test Consignes de réhydratation et explication de signes de gravité Antalgiques en réserve Consignes alimentaires et réhydratation Contrôle chez le pédiatre dans 72 heures si EF persistant Antalgiques en réserve Consignes de gravité expliquées Antalgiques en réserve Consignes de réhydratation Antalgiques en réserve Consignes de réhydratation Antalgiques en réserve Consignes de réhydratation Antalgiques en réserve Consignes de réhydratation et alimentaires Antalgiques en réserve Consignes de réhydratation Strep test Antalgiques en réserve Consignes de réhydratation Explication des signes de gravité Consultation ORL dans 48 heures prévue Antalgiques en réserve Consignes de surveillance à domicile Antalgiques en réserve Consignes de surveillance à domicile Consignes de réhydratation et alimentaires Explication de signes de gravité: douleurs importantes, vomissements en répétition, refus réhydratation orale, altération de l'état général Antalgiques en réserve Consignes de surveillance à domicile Signes de gravité expliqués Antalgiques en réserve Consignes données pour surveillance à domicile Antalgiques en réserve Consilium ORL Antalgiques en réserve Explication des signes de gravité Consultation ORL si douleurs persistantes sans explication Antalgiques en réserve Gazométrie Antalgiques en réserve Prélèvement grippe négatif le 21.02.2019 Contrôle aux urgences pédiatriques dans 24 heures Antalgiques en réserve Rx lombaire et coccyx Avis orthopédique: Dr. X IRM lombaire Antalgiques et Fébrifuges en réserve Repos Consignes de réhydratation Gazométrie capillaire Antalgiques Repos Bilan biologique Antalgiques Sportusal Arrêt des sports pendant 10 jours Antalgiques Strep test Antalgiques Toilettes nasales Antalgiques Arrêt des sports Bandage élastique Avis orthopédique: Dr. X Antalgiques Arrêt des sports Contrôle chez le pédiatre dans 10 jours si douleurs persistantes Explication de signes de gravité: dyspnée, fièvre, douleurs importantes Antalgiques Consignes de réhydratation Explication des signes de gravité Strep test Antalgiques Sous A/B depuis <24 heures Antalgiques en réserve Antécédent de dépression et instabilité émotionnelle 2002 Accouchement par voie basse. 2012 Accouchement par voie basse. 2003 Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse. 2007 Interruption volontaire de grossesse chirurgicale. 2009 Interruption volontaire de grossesse chirurgicale. 2010 Interruption volontaire de grossesse tardive à 16 2/7 semaines d'aménorrhée. 2010 Fausse couche spontanée sans curetage. Antécédent d'opération d'hernie abdominale Antécédent d'ulcère gastrique il y a 20 ans. Lithiases dans le tractus urinaire en 2007. Antécédents de pneumonies: Décompensation sur broncho-pneumonie basale droite en avril 2011, décembre 2011, février 2017 Pneumonie nosocomiale associée au ventilateur à Pseudomonas aeruginosa le 28.12.2017 Pneumonie nosocomiale à Serratia marcescens 08.02.2018 Colonisation bronchique par Pseudomonas, Serratia marcescens et Klebsiella oxytoca. ACR sur bradycardie extrême le 20.12.2017 IOT du 21.12.2017 au 15.01.2018 Trachéotomie du 15.01 au 05.02.2018 OAP sur pic hypertensif le 31.12.2017 Hémorragie digestive basse sur probable colite ischémique Polyneuropathie des soins intensifs Ancien tabagisme 50 UPA interrompu en 1980 Nodules pulmonaires excavés du lobe supérieur droit stable depuis 1998 avec adénopathies médiastinales Anémie spoliative Hémorragie digestive haute d'origine indéterminée en octobre 2017 Rhabdomyolyse sur chute dans le contexte de faiblesse des membres inférieures en février 2017 Cure chirurgicale de cataracte à droite en 2003 et à gauche en 2005 PTH gauche non cimentée de type Müller en 1989 avec suspicion de descellement septique en 1995 Cure de canal carpien gauche en 1994 Antécédents thrombo-embolique en 2016 Antélisthésis C2-C5, le 15.02.2019 avec Lésion ligamentaire inter-épineux sur chute de 2m avec TC et réception cervicale Anti D Y-globulines positif en papaïne le 15.01.2019 Antibioprophylaxie par Clamoxyl IV Antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole Antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole Antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole Antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole Antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole Provocation Antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole Provocation par Syntocinon Antibioprophylaxie par Clamoxyl selon schéma Antibioprophylaxie par Clamoxyl selon schéma Provocation par Propess. Antalgie par Kalinox. Suites de couches. Antibioprophylaxie par clamoxyl 2g IV selon protocole Antibioprophylaxie par Clamoxyl Déclenchement du travail. Antibioprophylaxie par Clindamycine Provocation Antibioprophylaxie prophylactique par Clamoxyl selon protocole Provocation par Propess Antibiothérapie : Bactrim forte 800/160 mg du 08.12 au 10.12.2018 Traitement incomplet de Nitrofurantoïne du 27.12. au 29.12.2018 Procalcitonine le 11.01.2019 : 0.13 mcg/l Avis infectiologie. Urotube du 02.01.2019 : E. faecalis (Vancomycine S), Pseudomonas (Ciproxine S) Urotube le 08.12. et 24.12.2018 : Pseudomonas aeruginosa et Citrobacter freundii. Antibiothérapie : Rocéphine 2 g IV/jour et Flagyl 3 x 500 mg IV/jour du 30.01 au 01.02.2019 Co-Amoxicilline 3 x 2.2 g IV/jour du 01 au 02.02.2019 Cubicine 500 mg IV/jour du 02 au 04.02.2019 Tavanic 2 x 500 mg/jour jusqu'au 08.02.2019 inclus. Consultation pneumologique le 08.02.2019 puis chirurgicale le 14.02.2019 à 10h30 chez le Dr. X. Antibiothérapie avec Furadantin 2x/jour pendant 5 jours Antibiothérapie empirique per os avec co-amoxicilline 80mg/kg/j pour une durée totale de 14 jours, ensuite prophylaxie par Nopil jusqu'à la cysto-urétrographie mictionnelle (bon écrit fait) Antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine et Métronidazole du 01.02.2019 au 06.02.2019 ERCP le 04.02.2019: Pose d'un stent au niveau d'une sténose du bas cholédoque de 5 cm de longueur, d'allure tumorale. Cytologie brossage.Tumorboard du 06.02.2019 Antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour et Metronidazole 3 x 500 mg/jour du 02 au 04.2019, puis relais per-os par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour du 05 au 11.02.2019 inclus. US abdominal le 18.02.19, 09h00, à jeun. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 28.02.2019 à 09h00 pour discussion du résultat de l'ultrason. Antibiothérapie I.V. Antibiothérapie par : • Co-Amoxicilline 1.2 g intraveineux 3 x/jour et Gentamycine 160 mg intraveineux 3 x/jour du 05.01.2019 au 06.01.2019 • Relai par voie orale par Invanz du 06.01.2019 au 09.01.2019 • Puis Ciproxine 500 mg 2 x/jour jusqu'au 08.02.2919 inclus Antibiothérapie par Amoxicilline 10 jours Consignes usuelles otite perforée Contrôle en fin d'antibiothérapie par pédiatre Antibiothérapie par Amoxicilline 500 mg 3 x/jour pendant 10 jours. Poursuite du traitement symptomatique. Antibiothérapie par Augmentin dès le 13.02.2019 Antibiothérapie par Ceftriaxone et Metronidazole en intraveineux du 06.02. au 10.02.2019 Antibiothérapie par Ciproxine et Flagyl par voie orale dès le 11.02.2019 ERCP le 07.02.2019 : Extraction d'un concrément. Pose d'un stent plastique 8,5 French, 10 cm. Antibiothérapie par Ceftriaxone et Métronidazole Hydratation massive IV par NaCl 0.9 % Prise en charge antalgique et anxiolytique complexe Soins de confort Antibiothérapie par Cefuroxime 10 mg/kg 2 x/jour durant 10 jours Contrôle dans 24 h chez pédiatre Consignes usuelles devant motiver à reconsulter (fièvre, douleur oculomotricité, hyperglycémie non contrôlable) Antibiothérapie par Cefuroxime 20 mg/kg/jour en 2 doses pour 10 jours et analgésie si besoin Contrôle chez le pédiatre dans 24 h Revenir si fièvre ou douleurs à l'oculomotricité Antibiothérapie par Céfuroxime 500 mg per-os/jour du 20.02 au 01.03.2019 inclus. Retour à domicile avec sonde vésicale en place, organisation de soins à domicile 1 x/jour. Ablation du drain le 23.02.2019. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 01.03.2019 à 10h30. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour ablation des agrafes à 14 jours post-opératoires. Antibiothérapie par Céfuroxime 500 mg 2 x/jour pendant 5 jours. Antalgie simple. Recommandation de reconsulter en cas d'état fébrile, frissons, écoulement. Suite de prise en charge chez le médecin traitant si nécessaire. Antibiothérapie par Clamoxyl iv selon protocole Antibiothérapie par Co-Amoxi 625 mg per os 3 x/j du 18 au 27.01.2019. Antibiothérapie par co-amoxicilline du 15.01 au 30.01.2019 Pose d'un pansement VAC avec changements itératifs depuis le 15.01.2018 Antibiothérapie par co-Amoxicilline durant 5 jours. Traitement symptomatique. Patient informé de reconsulter en cas d'état fébrile/frisson après 48 heures sous antibiothérapie. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline intraveineux du 18.02.2019 au 24.02.2019 avec relais per os jusqu'au 03.03.2019 Antibiothérapie par Co-Amoxicilline per os 1 g 3 x/j. pendant 7 jours. Consultation chez le médecin traitant à 48 à 72 heures pour contrôle et rediscussion d'une éventuelle incision-drainage en cas d'apparition d'abcès. Antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2 x/j p.o. pour 5 jours. Réfection du pansement dès J3 chez le médecin traitant ; ablation des fils à J14 en ergothérapie. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines avec ablation de la broche. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2 x/jour pendant 5 jours. Traitement symptomatique. Recommandation de reconsulter si état fébrile, frissons et/ou persistance de la symptomatologie. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3 x/j p.o. jusqu'à 10 jours postopératoires. Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg 1 x/j jusqu'à la charge complète. Suivi régulier de la plaie, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3 x/j p.o. jusqu'à 7 jours postopératoires. Suivi régulier des plaies, désinfection régulière des orifices des broches et des plaies, ablation des fils à J14. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X le 04.02.2019 puis contrôle rx-clinique à 6 semaines avec ablation des 2 broches Dig IV G. Antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3 x/j p.o. pour 5 jours. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J8 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Antibiothérapie par Monuril 3 g par voie orale le 30.12.2018 Antibiothérapie par Rocephin et Metronidazole intraveineuse du 09.02.2019 au 17.02.2019 ERCP le 13.02.2019 Cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie peropératoire le 15.02.2019 Antibiothérapie par Rocephin 2 g en intraveineux 1 x/j et Flagyl 500 mg en intraveineux 3 x/j le 21.02.2019 Appendicectomie laparoscopique le 21.02.2019 Antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole en intraveineux du 17.02.2019 au 19.02.2019 Antibiothérapie par Ciproxine et Flagyl par voie orale dès le 22.02.2019 ERCP le 18.02.2019 : Passage de sludge depuis la vésicule dans le cholédoque avec obstruction derrière la papille. Papillotomie et extraction du contenu du cholédoque. Antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole le 19.02.2019 Cholécystectomie laparoscopique le 19.02.2019 Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv/jour et Metronidazole 3 x 500 mg iv/jour du 01 au 03.02.2019, puis relais per-os par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour à poursuivre jusqu'au 08.02.2019 inclus. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 21.03.2019 à 14h30. Antibiothérapie par Tazobac 4.5 g 3 x/j du 08.02.2019 au 12.02.2019 Relai antibiotique par Ciproxine 500 mg 2 x/j et Flagyl 500 mg 3 x/j le 13.02.2019 Colonoscopie à distance Antibiothérapie par Tienam en intraveineux du 19.02.2019 au 21.02.2019 Antibiothérapie par Uvamine durant 5 jours. Antibiothérapie pendant minimum 10 jours Bilan angiologique des membres inférieurs Adaptation du traitement antihypertenseur selon fonction rénale Ajustement de l'insulinothérapie avec avis diabétologique Antibiothérapie pendant 7 jours. Traitement symptomatique. Antibiothérapie pour 5 jours. Contrôle chez le médecin traitant en fin de traitement. Antibiothérapie pour 8 jours. Traitement symptomatique. Antibiothérapie prophylactique de PBS indiquée par Ciproxine 500 mg 1 x/jour au long cours Suivi quotidien du poids ainsi que des apports liquidiens/diurèses par le patient et consultation du médecin traitant pour réadaptation des traitements diurétiques si prise ou perte de poids trop importante Suivi organisé par le service d'hépatologie du CHUV pour suite de la prise en charge Antibiothérapie prophylactique par Clamoxyl selon protocole. Antibiothérapie selon dernier antibiogramme. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 03.02.2019 avec contrôle du laboratoire et des urines. Antibiothérapie. Traitement symptomatique. Certificat médical. Consultation de contrôle dans 48 h au secteur ambulatoire des urgences (médecin de famille difficilement atteignable). Antibiotique Antalgie Invitation à consulter un dentiste dès que possible. Anticoagulation par Eliquis 2.5 mg 2 x/jour dès le 18.02.2019 avec arrêt du traitement anti-agrégant de Plavix 75 mg Pister les résultats du R-Test sur 7 jours (du 13.02.2019 au 20.02.2019), prévoir un nouveau R-Test si négatif Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Evaluer l'indication à une coronarographie à distanceConsultation neurovasculaire de contrôle le 13.06.2019 à 14h30 (HFR Fribourg) • Anticoagulation à discuter • CHA2DS2-VASc score 5 pts (7.2% risque de stroke) • HAS-BLED score 4 pts (haut risque de saignement majeur) • Echocardiographie à prévoir • Anticoagulation à rediscuter à distance • Colonoscopie à organiser en ambulatoire • Contrôle tests thyroïdiens début mars 2019 • Contrôle radiologique cheville droite à 6 semaines à organiser (environ 18.03.2019) • Rendez-vous à la consultation du Dr. X à Meyriez le 18.03.2019 à 13h15 pour suite de prise en charge urologique • Anticoagulation à rediscuter, plutôt non indiquée au vu des chutes à répétition et du contexte global • Anticoagulation à reprendre, à viser un anti-Xa à 0.3. • Anticoagulation infrathérapeutique avec un INR à 2.1. • Anticoagulation par Clexane thérapeutique puis Eliquis pour 3 mois • Dépistage néoplasie testiculaire, hématologique, pas de coloscopie vu l'anamnèse familiale négative • ETT le 1.2.19: léger HTAP, VD dans la norme sup, fonction systolique VG normale Contrôle en angiologie prévu à 3 mois US testiculaire à organiser et FSC à réaliser à distance de l'épisode infectieux chez le médecin traitant • Anticoagulation par Eliquis 10 mg 2x/j du 06.02. au 12.02.2019 puis Eliquis 5 mg 2x/j dès le 13.02.2019, pour une durée totale de 3 mois. Une compression élastique des MI de classe II, initialement par bandes puis par bas, serait également favorable pour la régression des oedèmes. • Ablation des fils à J14. • Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. • Contrôle à la consultation d'angiologie à 3 mois (déjà planifiée). • Anticoagulation par héparine dès le 26.01.2019 • Relais par clexane dès le 04.02.19 • Anticoagulation par Lixiana pour AVC embolique 12/2018 • Anticoagulation par Xarelto 20 mg 1x/j débuté selon randomisation de l'étude ELAN • Anticoagulation prophylactique • Anticoagulation prophylactique par clexane jusqu'à 6 semaines post-partum • Anticoagulation prophylactique par Héparine • Anticoagulation prophylactique pour 6 semaines avec Clexane 40 mg puis Rivaroxaban 10 mg 1x/jour • Premier changement de pansement à J7 • Physiothérapie et Kinetec pendant 8 semaines • Plaie propre, agrafes enlevées le 12.02.2019 • Contrôle clinique et radiologique à 8 semaines, Dr. X Antalgie Charge selon douleur sous protection de deux cannes anglaises pour 4-6 semaines. • Anticoagulation supra-thérapeutique le 23.11.2014 • AVC punctiforme cortico-frontal gauche le 02.05.2014 d'origine probablement cardio-embolique (fibrillation auriculaire paroxystique) avec symptomatologie régressive sur quelques minutes (dysesthésies main droite et chute commissure labiale droite) • Mastectomie gauche en 1992 • Anticoagulation supra-thérapeutique le 30.05.2017. • Douleurs rétrosternales le 30.06.2017 dans le contexte de FA rapide. • Ablation endoscopique d'un carcinome vésical et mise en place d'une sonde à demeure le 03.04.15. • Hyperuricémie avec crise de goutte en 02/2015, arthrite goutteuse polyarticulaire active. • Pneumonie en 01/2015. • Fracture du bassin début 2015. • Bursite olécranienne post-traumatique en 2014. • Hernie inguinale opérée en 1989. • Anticoagulation thérapeutique par Clexane dès le 23.02 puis par Xarelto dès le 25.02, puis par Liquémine dès le 27.02.2019 • Anticoagulation thérapeutique dès le 21.01.2019 pour une durée de 6 semaines • Port d'une compression élastique des membres inférieurs à la mobilisation • Anticoagulation thérapeutique dès le 26.01.2019 • Anticoagulation thérapeutique par Eliquis 5 mg 2x/j dès le 15.01.2019 • Anticoagulation thérapeutique par Eliquis 5 mg 2x/j dès le 15.01.2019 • ECG le 16.01.2019 • Anticoagulation thérapeutique par Xarelto 15 mg 2x/j pour 3 semaines puis passage au Xarelto 20 mg 1x/j pour 3 mois. • Contrôle à la consultation d'angiologie, Dr. X, le 15.04.2019 à 09h15. • Contrôle clinique à la consultation du Dr. X dans 2 semaines. • Suivi biologique des enzymes hépatiques chez le médecin traitant. • Anticoagulée par Clexane 80 x/j • Relais par Liquemine dès le 30.01.2019 sous monitoring de l'anti Xa avec cible 0.3 à 0.7 • Anti-douleur en réserve • Anti-douleur par Dafalgan et Tramal. • Conseil de consulter son médecin traitant si persistance des douleurs. • Anti-émétiques • Adaptation antalgie • Antiémétiques • Anxiolyse par Temesta • Sédation palliative d'urgence le 26.02.2019 par Midazolam (épisodes récidivants, résistance aux antiémétiques). • Antigènes urinaires à pister • Radiothorax : foyer en base droite • Rocéphine 2gr i.v. • Antigènes urinaires (légionelle, pneumocoque) le 04.02.2019 : négatifs • Frottis du nasopharynx le 04.02.2019 : Influenza A positif, B et RSV négatifs • Culture d'expectorations : négative après 3 jours • ECG le 04.02.2019 : rythme sinusal, PR <200ms, QRS fins dévié à gauche avec transition RS en V4, pas de trouble de la repolarisation, QTc 426ms • Isolement gouttelettes du 04.02 au 06.02.2019 • Atrovent et Ventolin • Ceftriaxone 2 g iv 1x/j • Tamiflu 75 mg 2x/jour du 04.02 au 09.02.2019 • Prednisone 50 mg du 05.02 au 07.02.2019 • Poursuite des traitements inhalatoires habituels • Oxygénothérapie (cible 92%) • Physiothérapie respiratoire • Antigènes urinaires positifs pour pneumocoque • Frottis grippe positif pour Influenza A • Ceftriaxone du 14.02.2019 au 20.02.2019 • VNI intermittente du 14.02 au 18.02.2019 • Physiothérapie respiratoire • Antigènes urinaires 11.02.19 : négatif • Hémoculture 11.02.19 : négatif à 4 jours • Radio thorax 11.02.19 • Isolement gouttelette du 12.02.18 au 14.02.19 • Oxygénothérapie du 11.02.19 au 12.09.19 • Rocéphine du 11 au 12.02.19 • Traitement symptomatique • Anti-histaminique • Bilan allergologique • Antihistaminiques 5 jours. Recommandations de ne pas conduire. • Rinçage de nez. • Contrôle chez le médecin traitant si non amélioration. • Anti-inflammatoire. Antalgie selon douleurs. Pradif. Contrôle chez le Dr. X en ambulatoire. Filtration des urines. • Anti-inflammatoires non stéroïdiens. • Infiltration +/- ponction évacuatrice organisée le 25.02.2019 à 15 heures à la consultation du Dr. X. • Signes d'alarme de l'arthrite septique expliqués avec consigne de consulter en urgences en cas d'apparition de ceux-ci. Explication préalable pour les différents examens : Laboratoire : cf annexes. Radiographie du genou gauche face/profil : chondrocalcinose interne et externe. • Anti-nauséeux • Mini-Schellong test le 13.02.2019 : négatif • Anti-pyrétique • Fenêtre antibiotique de 48h du 27.01 au 29.01.2019 • Avis infectiologique à demander • Antipyrétiques au besoin • Antipyrétiques au besoin • Normolytoral si vomissements/diarrhées • Antipyrétiques en réserve • Antipyrétiques en réserve • Consignes de réhydratation • Anti-pyrétiques en réserve • Consignes de réhydratation • Repos • Antipyrétiques • Consignes de réhydratation • Contrôle chez le pédiatre dans 72 heures si EF persiste • Anurie • Anurie. • Anurie. • Anurie dans un contexte de sonde urinaire. • Anurie depuis le 02.02.2019, pas de globe, 1 caillot sanguin dans la sonde. • Anurie le 30.01.2019 • Anurie néphrostome • Anurie, rétention urinaire. • Anurie, rétention urinaire. • Anurie, rétention urinaire. • Anurie, rétention urinaire. • Anurie, rétention urinaire. • Anuscopie, incision à 9 h PG, contre-incision à 7 h PG, drainage, prélèvement bactériologique et histologique, mise en place de penrose 2x péri-anal et para-rectal en urgence le 23.02.2019 • Penrose para-rectal du 23.02 au 26.02.2019 • Frottis bactériologique : E. coli et flore intestinale mixte • Co-Amoxicilline intraveineuse 1,2 g 3x/24h du 23.02 au 26.02.2019 • Relais per os Augmentin 1000 mg 2x/24h dès le 27.02.2019 • Histologie (Promed P2019.2314) : Image histomorphologique compatible avec la bordure d'un abcès. A la coloration de Gram, présence de quelques micro-organismes coccoides Gram + et Gram labile. Pas de suspicion de malignité.Anuscopie le 07.02.2019: pas d'hémorroïdes, pas de saignement actif bas OGD le 07.02.2019 (Dr. X) OGD de contrôle le 15.02.2019 2 CE le 07.02.2019, 1 CE le 08.02.2019. Cathéter artériel radial droit du 07.02 au 09.02.2019 Pantozol IV 80 mg en bolus puis 8 mg/h du 07.02 au 10.02.2019, 40 mg 2x/j depuis le 10.02.2019 Mise en suspens de l'Aspirine et Clopidogrel Anuscopie le 10.02.2019: lésion plus en amont non visualisée à l'anuscopie mais saignement frais Suivi hémoglobine Colonoscopie le 13.02.2019: Proctite radique expliquant les saignements CT abdominal le 14.02.2019: Absence de fistule aorto-duodénale OGD prévue en ambulatoire le 21.02.2019 Stop Plavix, poursuite d'Aspirine à vie Anuscopie le 26.01.2019 Contrôles hémoglobine Colonoscopie le 30.01.2019 Anxiété. Anxiété. Anxiété. Anxiété. Anxiété. Anxiété. Anxiété. Anxiété. Anxiété. Anxiété. Anxiété. Anxiété. Anxiété. Anxiété. Anxiété autour de sa maladie de Sjögren le 21.02.2019. Anxiété dans le contexte de la maladie oncologique • face à un parcours avec multiples hospitalisations • isolement social avec maintien à domicile compliqué • crainte face à des changements médicamenteux vs EI Anxiété dans le contexte d'une maladie invalidante et un pronostic vital menacé à court terme et contexte social suivant • maintien à domicile devenu impossible • patiente de 44 ans avec deux jeunes enfants scolarisés Anxiété dans un contexte d'écoulement postérieur sur rhinopharyngite simple. Anxiété, dépression. Anxiété, dépression. Anxiété, dépression. Anxiété, dépression. Anxiété et angoisse de mort à prédominance matinale dans le contexte d'une maladie en progression • ras-le-bol face à des douleurs invalidantes, absence de plaisir de vivre Anxiété et dépression. Anxiété le 16.02.2019 • avec crise d'angoisse à domicile • contexte de surmenage post-partum Anxiété, nervosité. Anxiété secondaire à la dyspnée, dans le contexte d'une maladie pulmonaire terminale Anxiété type attaque de panique jusqu'en 2011 Anxiolyse avec Dormicum 0,5 mg iv. Psycho-éducation de Mme. Y et des parents. Retour à domicile accompagné des parents. Médiation dans un premier temps par les parents (si persistance, avec un professionnel). AOMI bilatérale avec: • pontage aorto-fémoral G et pontage aorto-iliaque droit en mai 2013 (CHUV) • TEA ilio-fémorale droite avec plastie d'élargissement en juillet 2012 • pose de kissing stent iliaque, en 2009 • actuellement: claudication stade IIB du MID, occlusion de l'artère fémorale superficielle D • syndrome des loges MID AOMI stade II A du membre inférieur gauche avec: • status post recanalisation d'une sténose fémorale superficielle proximale par angioplastie et d'une sténose iliaque externe en mai 2015. Anxiété croissante avec attaques de panique dans un contexte de: • diagnostic oncologique nouveau • état anxio-dépressif chronique sévère avec état de stress post-traumatique (abus sexuel dans l'enfance) • plusieurs épisodes dépressifs avec tentamen par défenestration. Malnutrition protéino-énergétique grave (refus de sonde nasogastrique 06.2016). Hypovitaminose D. AOMI stade II A du membre inférieur gauche avec: • status post recanalisation d'une sténose fémorale superficielle proximale par angioplastie et d'une sténose iliaque externe en mai 2015. Anxiété croissante avec attaques de panique dans un contexte de: • diagnostic oncologique nouveau. • état anxio-dépressif chronique sévère avec état de stress post-traumatique (abus sexuel dans l'enfance). • plusieurs épisodes dépressifs avec tentamen par défenestration. Malnutrition protéino-énergétique grave (refus de sonde nasogastrique 06.2016). Hypovitaminose D. AOMI stade IIa avec sténose à 60% au niveau du canal de Hunter des deux côtés. Hernie hiatale avec épigastralgies occasionnelles. Lésions carotidiennes bilatérales non significatives (évaluation en 2012, Prof. X). Status post accident ischémique transitoire en 2012 (anamnestique). Lombosciatalgies droites non déficitaires et nucalgies dans un contexte dégénératif multi-étagé, avec discopathies L3-L4 et L5-S1. Canal lombaire étroit avec status post spondylodèse L5-S1 en 2009 avec déscellement chronique des vis pédiculaires S1 des deux côtés (CT du 03.07.2013). Quadruple pontage aorto-coronarien (pontage veineux sur la 1ère marginale, le PL de la circonflexe et l'IVP de la Cx et AMIG sur IVA) le 22.07.2014 par le Dr. X à la Clinique Beau-Site de Berne, sur une maladie tritronculaire diffuse. AOMI stade II-III Cardiopathie hypertensive BPCO stade III selon Gold Déficit sensitivo-moteur isolé du pied G d'origine mixte (polyneuropathie alcoolique et atteinte radiculaire L5 surajoutée sur canal lombaire étroit) Syndrome parkinsonien Restless legs syndrome Ostéoporose Diverticulose sigmoïdienne Gastrite antrale Syndrome thoraco et lombo-vertébral chronique avec fracture-tassement L1-L2, non datée. AOMI stade IV à gauche: • actuellement: occlusion AFS et poplité avec ulcération du 1er orteil G, perfusion à la limite de l'ischémie critique • échec de recanalisation d'une occlusion de l'artère fémorale superficielle distale et artère poplitée proximale à G extrêmement calcifiée le 02.10.2018 • status post angioplastie périphérique de l'artère fémorale superficielle gauche avec mise en place d'un stent le 17.07.2008 • recanalisation fémorale par athérectomie endovasculaire en juillet 2015 • status post-recanalisation de lésions massivement calcifiées de l'artère fémorale superficielles et de l'artère poplitée gauche par athérectomie endovasculaire, angioplastie sous-endothéliale et pose de 2 stents le 24.05.2016 AOMI stade IV du membre inférieur sur atteinte jambière diffuse avec: • mal perforant plantaire au 1er rayon du pied gauche récidivant (initialement 01.18/10.18/11.18/12.18/01.19) • s/p recanalisation de l'artère fémorale superficielle par ballon médicamenteux et pose de stent le 25.01.2018 • s/p angioplastie de l'artère poplitée distale, du tronc tibio-péronier et de l'artère fibulaire le 04.10.2018 (Dr. X) • s/p Angioplastie du MIG le 17.12.2018 (Dr. X) : levée des sténoses fémoro-poplitées Apathie évoluant depuis 2015 d'origine neurologique probable: • sur séquelle neurologique post-AVC ischémique et hémorragique frontal droit en 2015 • probable pseudo-dépression sur absence du lobe frontal droit (post-AVC 2015) Appendicectomie Aphagie et iléus sur infiltration de l'oesophage et carcinomatose péritonéale • achalasie oesophagienne • Régurgitations des liquides et solides depuis 03.10.2018 • vomissements dès le 05.11.2018 Aphasie Aphasie Aphasie Aphasie Aphasie Aphasie Aphasie Aphasie Aphasie Aphasie. Aphasie Aphasie, dysphasie, amnésie, diplopie, paralysie, parésie, paresthésie, trouble de l'équilibre, vertiges. Aphasie, dysphasie, amnésie, diplopie, paralysie, parésie, paresthésie, trouble de l'équilibre, vertiges. Aphasie/mutisme Aphonie. Aphtes buccales Aphtose buccale le 18.01.2019. Aphtose récidivante massive buccale le 14.04.2014 d'origine indéterminée avec : • anorexie • déshydratation. Aphtoses buccales multiples récidivantes. Apnée du sommeil, CPAP. Fibromyalgie Apnée et désaturation suite à l'administration de Morphine : Apnées Apnées centrales sévères nouvellement diagnostiquées le 22.02.2019 avec • respiration périodique d'origine cardiaque Apnées de la prématurité Apnées du sommeil (non appareillées). Obésité BMI 35. APP dans l'enfance Appareillage d'une prothèse tibiale articulée dès que la plaie sera cicatrisée appel au médecin traitant indisponible ce jour Appel du Tox Zentrum aux urgences : Danger avec le Sequase retard pic plasmatique peut être retardé entre 4h et 10h jusqu'à 22h. Les symptômes peuvent être, dépression respiratoire, coma, hypotension, augmentation du QT, tremblement. Dosage du charbon activé 1gr/kilo puis en entretien 12.5 g toutes les 4-5h. La patiente nécessite un contrôle et monitoring aux soins intensifs. Il faudra également suivre la fonction thyroïdienne les prochains jours au vu des comprimés de lévothyroxine pris par la patiente. ECG Labo surveillance rythmique ATT • hospitalisation aux soins pour surveillance Appel gynécologique, la patiente préfère partir vu le temps d'attente. Appel téléphonique à la mère pour lui expliquer les résultats. Contrôle clinique chez le pédiatre si péjoration des signes Appeler médecin traitant pour valeur de base Clarifier traitement de base et stop traitement néphrotoxique Spot urinaire _____ suivi clinique et biologique Appendagite épiploïque le 13.02.2019 Appendagite (torsion d'appendice épiploïque) le 27.02.2019. Appendagite (torsion de frange épiploïque) avec douleurs abdominales de l'hypochondre G régressif Appendicectomie. Appendicectomie à l'âge de 12 ans. Appendicectomie à l'âge de 14 ans Parésie labiale G connue Appendicectomie à l'âge de 14 ans Parésie labiale G connue Herpès labial le 18.11.2018 Valtrex PO du 03.12.2018 au 08.12.2018 Frottis le 28.11.2018 : positif pour HSV-1, HSV-2 négatif. VZV négatif. Pneumonie basale droite à Pseudomonas aeruginosa multisensible le 06.01.2019 Cefepime 2g 3x/j du 06 au 08.01.2019, 2g 2x/j du 08.01 au 09.01, switch pour Ciproxine 500mg 2x/j pour une durée totale de 10 jours Dysphonie 05.01.2019 Avis ORL le 11.01.2019 : laryngite et possible maladie de reflux. Continuer Mycostatin, augmenter Pantozol 40mg 2x/j. Reprendre contact avec ORL si pas d'amélioration dans 1 semaine Mucite orale associée à de la candidose buccale le 06.01.2019 : • lésions ulcéreuses du palais dur et molle Bain de bouche Bichsel 4x/jour Mycostatine Appendicectomie à l'âge de 16 ans. Appendicectomie à l'âge de 7 ans Chirurgie du pied en 1995 Accident de la voie publique en 2016 Appendicectomie à l'âge de 7 ans Prothèse de hanche gauche pour arthrose Appendicectomie à 18 ans. Cure de hernie inguinale bilatérale en 2011. Déchirure partielle du LCA gauche en 2012. Boursite prépatellaire inflammatoire genou gauche le 11.09.2015. Appendicectomie. Contusion basithoracique postérieure gauche le 05.10.2015. Appendicectomie dans l'enfance Appendicectomie dans l'enfance. Arthrodèse cheville droite non datée. Hépatite aiguë d'origine probablement mixte, à HEV et médicamenteuse (Topamax, Zomig) le 06.07.2017. Appendicectomie dans l'enfance Hématome du muscle gastrocnémien médial droit avec saignement actif sur une branche musculaire de l'artère tibiale postérieure le 02.07.2016 : fasciotomie superficielle et profonde avec drainage de l'hématome et ligature artérielle Choc hémorragique post ponction-biopsie hépatique transmurale le 04.03.2016, sur fistule porto-hépatique (artère hépatique gauche) Hématome de la fesse gauche post PBM le 22.03.2016 avec saignement actif du moyen fessier gauche le 24.03.2016 Embolie pulmonaire segmentaire gauche découverte fortuite le 04.03.2016 Embolie pulmonaire segmentaire pyramide basale G chronique Saignement sur atrophie de la muqueuse vaginale due à la ménopause le 15.03.2016 Pseudo-anévrismes artériels fémoraux droit et gauche post cathétérisme artériel le 04.03.2016 • US-Doppler art des 2 plis inguinaux le 31.03.16 (Dr. X) : les pseudo-anévrismes sont occlus, pas de fuite Péritonite bactérienne spontanée post-hémorragique le 13.03.2016 Parésie et douleurs aiguës des membres supérieurs (droit > gauche) le 25.03.2016 DD : probable ischémie médullaire aiguë sur embolie paradoxale / micro-bleed non exclu, syndrome des plexus brachiaux (= neuronite amyotrophique = syndrome de Parsonage-Turner) : dans contexte cirrhose, infection, interventions Appendicectomie en 1958 Appendicectomie en 1960 Cholécystectomie en 1985 Cure de hernie inguinale bilatérale en 1995 Opération des deux épaules en 2006 Arthroscopie des deux genoux en 2007 Prothèse totale du genou bilatérale en 2010 Arthroplastie du genou droit en 2011 (Dr. X, Dr. X) Abcès sous cutané de la paroi abdominale, fistulisé le 10.12.2017 Appendicectomie en 1974. Arthroplastie totale de la hanche gauche non cimentée par voie minimalement invasive, le 17.07.2012. Nécrose aseptique de la tête fémorale gauche. 2 infarctus. Appendicectomie en 1975 Opération du ménisque en 1982 Appendicectomie en 2004. Appendicectomie et résection tumeur bénigne de l'intestin grêle en 2015 (Hôpital Daler Dr. X) Clonus intermittent de la jambe D d'origine organique (2014) Suspicion de lésion de ménisque interne genou D, avec lésion du LCA non exclue le 22.06.2018 Surinfection d'un granulome sur fil restant en regard de la TTA jambe D sur statut post • plastie d'une rupture du LCA genou D en juillet 2017 Ponction genou D, débridement cicatrice antérieure du tibia D, prélèvements et rinçage (OP le 03.01.2018) Second look avec rinçage, débridement cicatrice antérieure du tibia D (OP le 05.01.2018) Abcès cutanés récidivants avec : • 2 abcès sacro-coccygiens incisés au bloc opératoire sous AG • 1 abcès cicatrice genou D • 1 abcès cutané cuisse G incisé aux urgences • 1 abcès cutané récidivant face interne cuisse G le 14.11.2018 Appendicectomie et résection tumeur bénigne de l'intestin grêle en 2015 (Hôpital Daler Dr. X). Clonus intermittent de la jambe D d'origine organique (2014). Suspicion de lésion de ménisque interne genou droit, avec lésion du LCA non exclue le 22.06.2018. Surinfection d'un granulome sur fil restant en regard de la TTA jambe droite sur statut post-plastie d'une rupture du LCA genou droit en juillet 2017. Ponction genou droit, débridement cicatrice antérieure du tibia D, prélèvements et rinçage (OP le 03.01.2018). Second look avec rinçage, débridement cicatrice antérieure du tibia D (OP le 05.01.2018). Abcès cutanés récidivants avec : • 2 abcès sacro-coccygiens incisés au bloc opératoire sous anesthésie générale. • 1 abcès cicatrice genou droit. • 1 abcès cutané cuisse gauche incisé aux urgences. • 1 abcès cutané récidivant face interne cuisse gauche le 14.11.2018. Appendicectomie il y a 20 ans. Appendicectomie il y a 40 ans Hystérectomie Diverticulite traitée conservativement en avril 2012 Fracture ancienne de D11 Céphalées temporales en casque, intenses le 07.04.2016 : • Probablement sur pics hypertensifs dans le cadre d'une labilité tensionnelle connue Cyphoplastie avec ballon Kyphon (Medtronic) et cimentage par XPede avec 6 cc au total de chaque côté (opération le 20.07.2016) sur statut post fracture ostéoporotique de D12Infection des voies respiratoires inférieures le 02.01.2017 : • Diagnostic différentiel : bronchite virale Appendicectomie laparoscopique en urgence le 18.02.2019 Antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole intraveineux du 17.02.2019 au 19.02.2019 Antibiothérapie par Ciproxine et Flagyl per os dès le 20.02.2019 Appendicectomie laparoscopique le 04.02.2019 Appendicectomie laparoscopique le 05.10.2012 sur appendicite aiguë Syncope convulsivante sur malaise d'origine multifactorielle sur : • hypotension artérielle sur déshydratation. • épuisement. • hypoglycémie légère. • contexte postopératoire. Appendicectomie laparoscopique le 05.10.2012. Syncope convulsivante sur malaise d'origine multifactorielle sur : • hypotension artérielle sur déshydratation. • épuisement. • hypoglycémie légère. • contexte post-opératoire. DD : • manifestation épileptique : pas d'argument franc à l'EEG. Hydratation aux urgences. IRM à organiser en ambulatoire. EEG à organiser à 6 mois avec consultation chez le Dr. X. Avis Neurologue (Dr. X). Appendicectomie laparoscopique le 17.03.2015. Appendicectomie laparoscopique le 25.02.2019 Appendicectomie laparoscopique le 30.01.2019 Appendicectomie laparoscopique (OP le 02.02.2019) Appendicectomie laparoscopique (Opération le 05.02.2019) Appendicectomie le 03.08.1940. Ovariectomie (kystes) le 03.01.1986. Hystérectomie (fibromes) 03.01.1986. Accouchement par voie basse. Fracture tubercule majeur de l'humérus gauche le 14.12.2015. Status post pose de prothèse inversée, le 31.10.2016 sur fracture de l'humérus proximal gauche en 4 parties. Hyperlactatémie probablement sur prise de Metformine le 11.03.2016. Crise hypertensive à 230 mmHg de tension artérielle systolique le 30.03.2016 dans un contexte d'hypertension artérielle mal contrôlée. Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 16.01.2018. Diagnostic différentiel : diurétique. Appendicectomie le 05.11.2017 Infection urinaire non compliquée à Enterobacter complexe cloacae, le 18.07.2016 Syncope hypotensive sans TC sur un hématome quadricipital gauche dans un contexte d'INR supra-thérapeutique le 13.07.2016, avec status post-ostéosynthèse pour fracture pertrochantérienne gauche le 09.06.2016 Pyélonéphrite droite le 09.09.2013 Décompensation cardiaque inaugurale NYHA III, le 12.05.2013 Bactériémie à streptocoque agalactiae beta-hémolytique du groupe B le 11.09.2013 sur cellulite du sein droit et lymphoedème préexistant Fracture radius distal gauche, le 24.12.2012 Contusion de l'épaule droite avec rupture partielle de la coiffe des rotateurs, le 24.12.2012 Carcinome canalaire invasif moyennement différencié du sein droit de stade T1b N1 bIII M0 GII en 2000, avec : • Tumorectomie et curage axillaire droit. • Radiothérapie externe sur le sein droit et la région axillaire et sus-claviculaire droite. • Hormonothérapie par Nolvadex, de 2000 à 2005 Carcinome canalaire invasif du QSI du sein gauche de stade pT1c pN0 cM0 et de grade II en 1998, avec : • Tumorectomie et curage axillaire gauche • Radiothérapie externe sur le lit tumoral gauche Douleurs de l'épaule droite sur rupture chronique du tendon sus-épineux et omarthrose décompensée le 11.07.2018 Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 13.07.2018 Appendicectomie (Mc Burney), Iran. Abcès ovaire droit (Mc Burney), Iran. 2 accouchements voie basse (2008 : garçon et 2011 : fille). Rétention de matériel trophoblastique après fausse couche spontanée et échec du traitement médicamenteux, chez une patiente de 28 ans 4G 2P. Curetage évacuateur sous anesthésie générale le 03.10.2016. Appendicectomie non datée. Néphrolithiase opérée. Troubles dépressifs récurrents. Contusion costale droite le 17.12.2016. Plaie verticale de 7 cm x 1 cm de profondeur sur la joue gauche non transfixiante le 26.04.2018. Dermabrasion du coude gauche le 26.04.2018. Appendicectomie par laparoscopie en 2014. Hystérectomie en 2008. Césarienne en 2005. Douleur thoracique atypique secondaire à un état anxiogène le 20.03.2018. Appendicectomie par laparoscopie le 07.02.2019 Histologie (Promed P2019.1607) : image histomorphologique compatible avec la manifestation d'une appendicopathie neurogène Appendicectomie par laparoscopie le 18.04.2016 (Dr. X) en raison d'une appendicite aiguë. Appendicectomie 1987. Pyélonéphrites à répétition. Cure de hernie ombilicale. Hémorragie digestive haute le 11.03.2016. Traumatisme crânien et maxillo-facial sur malaise orthostatique le 09.10.2016 avec hématome conjonctival D D • Suspicion d'un petit anévrisme de l'artère communicante antérieure dans sa partie G Descellement aseptique de la PTG G implantée le 19.07.2016 sur gonarthrose post-traumatique du compartiment externe post : • Fracture-enfoncement plateau tibial externe, chronique à G avec déchirure-désinsertion proximale du LLI, arthrose fémoro-tibial externe, déchirure LCA, fracture-enfoncement plateau tibial externe G en octobre 2008 et AS avec débridement genou G en janvier 2010 (Dr. X) • Changement PTG G, implantation d'une PT de révision type BalanSys REV avec : Hématurie macroscopique sur infection urinaire à Enterobacter aerogenes le 28.04.2018, traité par Bactrim Fracture de la base du 2ème métatarsien et luxation du Lisfranc Avis Dr. X Appendicectomie Adenoidectomie Cataracte bilatérale Appendicectomie. Amygdalectomie. Appendicectomie. Amygdalectomie. Appendicectomie. Amygdalectomie. Appendicectomie. Amygdalectomie. Opération épaule gauche. Opération genoux pour ménisques bilatérales. Cervicalgies persistantes depuis 2 semaines le 26.05.2016. Appendicectomie Cure de hernie inguinale gauche Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique d'origine plurifactorielle broncho-pneumonie communautaire sévère avec ARDS primaire et probable BPCO décompensée le 22.01.2013 ARDS primaire sur pneumonie bi-basale à germe inconnu le 22.01.2013 Oedème aigu du poumon probablement sur dysfonction diastolique le 30.01.2013 Syncope hypovolémique sur probable vasoplégie intra-infectieuse avec trauma crânien simple et plaie frontale D le 22.01.2013 Insuffisance rénale aiguë pré-rénale sur déshydratation le 03.08.2018 avec : • FE de l'urée à 13.5 % (pré-rénal) Anémie normochrome normocytaire le 03.08.2018 Suspicion de dénutrition protéino-energitique légère le 06.08.2018 • perte d'appétit en péjoration selon hétéro-anamnèse de la fille • perte pondérale d'environ 10 kg en 6 mois Appendicectomie. Douleurs pariétales le 21.12.2018. Appendicectomie. Fracture des deux chevilles dans un contexte de traumatisme avec opération il y a plus de 20 ans. Appendicectomie Fracture du poignet Status post colonoscopie en octobre 2018 : absence de CCR, prochain contrôle dans 10 ans. Pneumonie bi-basale compliquée par une sérosite avec épanchement pleuro-péricardique : • Epanchement pleural gauche probablement para-pneumonique drainé à 3 reprises (21.08.2018 et 21.09.2018) suite à la récidive de l'épanchement, montrant d'abord un transsudat puis un exsudat. Bactériologie et cellules tumorales négatives. • DD avec une origine rhumatologique (consultation ambulatoire du 16.10 : pas d'argument pour une origine rhumatismale, contrôle à faire suite à des FAN élevés toutefois sans éléments pour une myosite ou une sclérodermie). Péricardite constrictive • ETT du 22.08.2018 : péricardite constrictive, FEVG normale à 64 %, pas de pathologies valvulaires, épaississement feuillets péricardiques et minime épanchement péricardique de 0.2 cm sans retentissement hémodynamique. • Cathétérisme droite-gauche le 26.09.2018 (Dr. X) : pas de sténose significative, absence d'HTAP. ECG avec troubles de la repolarisation sous forme d'inversion d'ondes T en DII, DIII, aVF, V2 à V6. • Consilium de chirurgie thoracique le 05.10.2018: radiographie à la sortie de l'hôpital ne montre pas de résidu d'épanchement pleural, pas besoin de continuer le suivi. Insuffisance rénale aiguë AKIN III anurique d'origine pré-rénale le 09.01.2019 avec/sur: • Hydrochlorothiazide, déshydratation, diarrhées • Alcalose métabolique de contraction Troubles électrolytiques mixtes sur prise de thiazidique/OH • Hyperlactatémie sur association de prise de Metformine + éthylisme actif pendant l'hospitalisation + IRA + index de choc agrémenté le 08.01.2019 • Possiblement aggravée d'une composante de néphropathie au produit de contraste (CT injecté le 09.01.2019) • Pose d'une sonde urinaire du 09-15.01.2019 Appendicectomie. Hernie ombilicale. Appendicectomie. Infection de la hanche dans l'enfance. Appendicectomie Lombalgies Résection antérieure basse pour une perforation de la jonction recto-sigmoïdienne d'origine diverticulaire et péritonite avec réalisation d'une colostomie terminale provisoire le 22.05.2014: • Rétablissement de continuité avec anastomose descendo-rectale mécanique et Iléostomie de protection le 14.08.2014 • Fermeture d'iléostomie le 26.11.2014 • Colite de l'angle colique hépatique le 27.11.2014 Appendicectomie Pancréatite aiguë il y a 50 ans Adénoïdectomie Cataracte bilatérale Thrombose veineuse profonde Appendicectomie 2 AVB Hernie inguinale gauche Bypass en 1999 Hystérectomie totale vaginale TVT en 2011 -> incontinence persistante Fistule vaginale avec érosion de la bandelette TOT chez une patiente 2P de 52 ans Appendicite Appendicite aiguë Appendicite aiguë Appendicite aiguë Appendicite aiguë, appendicectomie par laparoscopie le 01.01.2014. Infection par oxyures : vers vus à la section de l'appendice, confirmé à l'examen microscopique. Traitement : Mébendazole 2 doses uniques à 2 semaines d'intervalle. Fratrie à traiter. Appendicectomie par laparoscopie le 01.01.2014. Appendicite aiguë avec péritonite purulente localisée le 22.02.2019 Appendicite aiguë gangréneuse. Antibiothérapie du 01.07.2014 au 05.07.2014. Appendicectomie par scopie le 01.07.2014. Appendicite aiguë le 03.02.2019 Appendicite aiguë le 03.02.2019 Appendicite aiguë, le 05.02.2019 Appendicite aiguë le 06.02.2019 Appendicite aiguë le 06.02.2019: Appendicite aiguë le 29.01.2019 Appendicite aiguë nécrotique le 17.02.2019 Appendicite aiguë non perforée le 11.02.2019 Appendicite aiguë perforée Appendicite aiguë simple le 13.02.2019 Appendicite aiguë ulcéro-phlegmoneuse. Appendicite aiguë ulcéro-phlegmoneuse, focalement abcédante • histologie : tumeur neuroendocrine bien différenciée bénigne (0.6 cm de grand axe, carcinoïde) de la pointe de l'appendice vermiforme avec infiltration de toutes les couches. Laparoscopie exploratrice et appendicectomie en urgence le 09.06.2010. Appendicite aiguë. Entorse genou droit. Début d'otite droite. Appendicite. Hernie ombilicale. Appendicite le 04.02.2019 Appendicite, le 05.02.2019 Appendicite le 09.02.2019 Appendicite le 14.02.2019 Appendicite le 22.02.2019 • Transfert du CHUV • Rocéphine/flagyl au CHUV Appendicite neurogène Appendicite non compliquée. Contusion de l'épaule droite le 24.06.2017. Appendicite non perforée, le 17.02.2019 Appendicite perforée le 08.02.2019 • CT abdominal à Tavers: APP retrocécale perforée avec abcès Appendicite phlegmoneuse aiguë le 31.01.2019 Appendicite retro-caecale aiguë non compliquée Appendicite retrocaecale aiguë non compliquée Appendicite sans signe de complication Appendicite simple Application accidentelle de merfen dans le nez Application de patchs Pas de sport demain Attente avis Dr. X pour possible prise en charge chirurgicale Application de sac de sable Application de Tobrex et pommade vitamine A. Retour à domicile. Réassurance. Prescription d'une antibiothérapie par Tobrex pour 5 jours. Prescription d'une vitamino-thérapie pour vitamine A pendant 5 jours. Larmes artificielles en réserve. Conseils de se présenter aux urgences ophtalmiques si péjoration des symptômes et/ou baisse de l'acuité visuelle. Application de Tobrex et vitamine A pommade ophtalmique. Retour à domicile. Réassurance. Conseil de réévaluer avec un ophtalmologue si persistance des symptômes malgré l'antibiothérapie par Tobrex et vitamino-thérapie par vitamine A. Application nasale accidentelle de merfen Apport d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 14 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur infection de plaie du tendon d'Achille droit à type de granulome superficiel le 11.01.2019 sur plastie d'augmentation du tendon d'Achille avec tendon plantaire grêle le 21.12.2018 suite à une rupture du tendon lors d'une chute le 11.12.2018 et par réduction/perte des capacités fonctionnelles sur le plan de la mobilité et l'autonomie. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 20 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 22/28 avec rollator - 13/28 avec deux cannes Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 74/29 MMS/CLOCK 28/30 - 5/6 GDS 0/15 Evaluation sociale (5 domaines) 04.01.2019 Colloque interdisciplinaire 1 15.01.2019 Colloque interdisciplinaire 2 22.01.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 20/28 avec cannes Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 77/33 Apport d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 14 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur lombosciatalgies gauches non déficitaires atraumatiques le 04.02.2019 et diabète de type 2 décompensé et par réduction/perte des capacités fonctionnelles sur le plan de la mobilisation, de l'autonomie et de l'état général. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 26 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires.Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 16/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 68/24 MMS/CLOCK 24/30 6/7 le 05.02.2019 GDS 2/15 le 05.02.2019 Évaluation sociale (5 domaines) 05.02.2019 Colloque interdisciplinaire 1 12.02.2019 Colloque interdisciplinaire 2 19.02.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 18/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 82/29 MMS 24/30, test de l'horloge 6/7 et GDS 2/15 le 05.02.2019 dans un contexte de retard mental léger. Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 14 jours, indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur syndrome cholestatique secondaire à une masse de la tête pancréatique comprimant le canal cholédoque, malnutrition et chutes à répétition et par réduction/perte des capacités fonctionnelles sur le plan nutritif, de la locomotion et de l'état général. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 27 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 11/27 avec le rollator Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 28/13 MMS/CLOCK 24/30 - 6/7 GDS 8/15 Évaluation sociale (5 domaines) 09.01.2019 Colloque interdisciplinaire 1 15.01.2019 Colloque interdisciplinaire 2 22.01.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 13/27 avec le rollator Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 51/18 MMS 24/30, Clock 6/7, GDS 8/15 points le 08.01.2019. Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 21 jours, indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur crise d'épilepsie le 17.01.2019, troubles électrolytiques d'origine mixte, malnutrition grave, pyélonéphrite le 20.01.2019 et par réduction/perte des capacités fonctionnelles sur le plan nutritif, de la locomotion, de l'autonomie et de l'état général. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 47 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 13/28 avec rollator Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 62/27 MMS/CLOCK 30/30 - 6/6 GDS 3/15 Évaluation sociale (5 domaines) 14.01.2019 Colloque interdisciplinaire 1 15.01.2019 Colloque interdisciplinaire 2 22.01.2019 Colloque interdisciplinaire 3 29.01.2019 Colloque interdisciplinaire 4 05.02.2019 Colloque interdisciplinaire 5 12.02.2019 Colloque interdisciplinaire 6 19.02.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 13/28 avec rollator Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 54/23. Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 21 jours, indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur fracture pertrochantérienne gauche le 04.01.2019 avec clou gamma le 06.01.2019 et bactériémie à E. coli (4/4) d'origine indéterminée le 24.01.2019 et par réduction/perte des capacités fonctionnelles sur le plan cognitif, de la locomotion, de l'autonomie et de l'état général.Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 30 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 13/28 avec Böckli Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 51/29 MMS/CLOCK 22/30 - 0/6 GDS 3/15 Evaluation sociale (5 domaines) 16.01.2019 Colloque interdisciplinaire 1 22.01.2019 Colloque interdisciplinaire 2 29.01.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 15/28 avec rollateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 60/29 Apport d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 21 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur probable démence débutante d'étiologie mixte le 13.02.2019, ECA le 05.02.2019 et malnutrition et par réduction/perte des capacités fonctionnelles sur le plan cognitif, nutritif, de l'autonomie et de l'état général. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 30 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 20/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 67/22 MMS/CLOCK 12/30 - 4/15 GDS 4/15 Evaluation sociale (5 domaines) 08.02.2019 Colloque interdisciplinaire 1 12.02.2019 Colloque interdisciplinaire 2 19.02.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 20/18 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 81/30 Apport d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 7 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur hypotension orthostatique asympatico-tonique symptomatique le 05.02.2019 et insuffisance cardiaque chronique avec FEVG diminuée à 20% sur cardiopathie ischémique, hypertensive et rythmique et par réduction/perte des capacités fonctionnelles sur le plan de la mobilité et de l'état général. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 15 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 14/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 71/18 MMS/CLOCK 30/30 - 7/7 le 06.02.2019 GDS 2/15 le 06.02.2019 Evaluation sociale (5 domaines) 06.02.2019 Colloque interdisciplinaire 1 12.02.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 20/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 83/29 MMS 30/30, test de l'horloge 7/7, GDS 2/15 le 06.02.2019 Apport d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 7 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur pneumonie d'acquisition nosocomiale à germe indéterminé le 23.12.2018 et flutter atrial paroxystique à conduction ventriculaire normale inaugural le 26.12.2018 et par réduction/perte des capacités fonctionnelles sur le plan cognitif, de la locomotion, de l'autonomie et de l'état général.Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 13 thérapies de 30 min chacune par unité de thérapie (max. 10 % en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 17/27 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 69/28 MMS/CLOCK 19/30 2/6 GDS 8/15 Évaluation sociale (5 domaines) 28.12.2018 Colloque interdisciplinaire 1 03.01.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 17/27 avec cannes Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 78/30 Apprentissage alimentaire Approche multidisciplinaire Lorazépam en réserve (réticence à le prendre, en raison d'une somnolence subjectivement accrue) Entretien de famille le 06.02.2019 Après ablation de la mèche, nous rinçons la cavité avec l'aide de l'aiguille boutonnée. Pas de pus exprimé. Pansement sec. Nous recommandons d'enlever le pansement dans 24h et de rincer le visage avec du savon médicinal antiseptique. Nous conseillons au patient de revenir en cas de péjoration de la symptomatologie. Contrôle prévu le 06.03.2019 chez l'ORL. Après administration de zofran et prise de 200ml de Normolytoral. En raison de lèvres un peu sèches, poursuite de l'hydratation avec 200ml supplémentaire, déclenchant un nouvel épisode de vomissement. En l'absence de signes de gravité, retour à domicile avec un zofran en réserve (à prendre au plus tôt à 10h du matin) et un sachet de Normolytoral. Contrôle au Fast-track le 02.02. Après anamnèse médicamenteuse détaillée, nous retenons les diagnostics différentiels sus-mentionnés. La patiente présente une réaction uniquement cutanée, et du Tavegyl iv permet une amélioration du cadre. La patiente rentre à domicile avec des anti-histaminiques pendant 5 jours, des consignes d'arrêter le nouveau traitement et de ne plus prendre de Co-Amoxicilline avant une évaluation allergologique que nous proposons au médecin traitant d'organiser en ambulatoire. Après anesthésie locale par Gel-let, désinfection, exploration de la plaie et rinçage au NaCl, suture par 2 points d'Ethilon 5-0, pansement. Changement du pansement toutes les 48h par les parents, consultation en cas d'apparition de signes inflammatoires locaux. Ablation des fils de suture chez le pédiatre à 5 jours. Consignes de surveillance post-traumatisme crânien données aux parents. Après avis du Dr. X, nous adressons le patient chez un ORL dans 2 jours pour évaluation après la disparition de l'œdème. Par rapport au traumatisme crânien, le patient est, selon sa mère, comme d'habitude et nous n'avons pas de critère d'alarme au statut clinique. La mère reçoit la feuille de surveillance. Par rapport aux dermabrasions, nous effectuons une désinfection et mettons un pansement. Le patient rentre à domicile avec une antalgie et un spray Rhinomer et verra le Dr. X, ORL, dans 2-3 jours. Entretemps, nous lui expliquons de ne pas se moucher et lui donnons un arrêt de sport. Après avis du Dr. X, nous effectuons une réduction sous radioscopie sous sédation avec MEOPA et nous mettons un plâtre antébrachial. Le patient reçoit au total 2 mg de Midazolam, 50 µg de Fentanyl et 500 mg de Dafalgan. La radiographie post-plâtre ne montre pas de déplacement. Nous mettons en place une bretelle et le patient rentre à la maison avec une antalgie simple. Un rendez-vous en policlinique d'orthopédie sera pris à 7 jours. Après avis du Dr. X, orthopédiste, nous effectuons un CT-scanner puis nous mettons en place un gilet orthopédique. Le patient sera recontacté le matin du 27.02 en cas de prise en charge chirurgicale. Autrement, il prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans une semaine. En ce qui concerne la plaie au niveau de la muqueuse buccale, après avis du Dr. X, chirurgien, nous effectuons 1 point de suture avec du Vicryl. Le patient fera des lavages de bouche avec Hextril. Nous effectuons un rappel du tétanos. Le patient rentre à domicile avec un arrêt de travail et une antalgie. Après avoir été vu par Dr. X, nous réalisons un laboratoire qui montre une CRP à 8 mg/l sans leucocytose et une thrombocytose à 380. Nous demandons un US abdominal qui montre une collection de 32 mm de long par 13x10 mm de diamètre dans le plan axial des tissus mous sous-cutanés, faisant penser à un hématome en cours de liquéfaction versus un abcès. Dans ce contexte, nous réalisons un frottis bactériologique de la plaie, nous rinçons la plaie avec de l'eau oxygénée à l'aide d'une aiguille boutonnée. Au vu du bon état clinique du patient, il rentre à domicile avec un contrôle clinique en filière des urgences ambulatoires le 03.02 et le 04.02 et une antibiothérapie par Augmentin 1g 2x/jour pendant 7 jours. Après avoir reçu de l'Ecofénac IV, le patient est soulagé, il s'endort dans le box des urgences. Il rentre donc à domicile en taxi avec des antidouleurs et anti-inflammatoires de réserve. Consultation aux urgences en cas d'apparition de fièvre ou de nouveaux symptômes. Le CT abdominal réalisé le 01.02 mettant en évidence une lésion nodulaire de la glande surrénale gauche et des ganglions rétropéritonéaux, nous prenons contact avec le service d'oncologie de l'HFR le 15.02, et Dresse X. Celle-ci prendra contact avec Dr. X, médecin traitant du patient, afin de réaliser les investigations paracliniques nécessaires. Après avoir visionné les images radiologiques apportées par la patiente, nous mettons en évidence une coxarthrose droite qui reste cependant peu symptomatique. En absence de douleurs nocturnes et d'un périmètre de marche bien conservé, nous ne posons pas d'indication opératoire pour le moment. Nous expliquons à la patiente de se représenter à la consultation si les douleurs devenaient intenables pour discuter de la mise en place d'une prothèse totale de hanche. Prescription de la physiothérapie pour le syndrome pyramidal à droite. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle à notre consultation, mais restons à disposition en cas de besoin. Après changement de sonde, nous sortons 600 ml d'urine claire avec quelques caillots sanguins. Après une récidive de douleurs et un Bladder avec une vessie de 0 ml de contenant, nous recontactons le Dr. X qui demande de prescrire du Vesicare 5 mg/jour.Après prise de ce médicament, le patient est soulagé et peut sortir des urgences. Nous avons pris contact avec le service de soins à domicile pour faire des rinçages journaliers. Prochaine consultation chez le Dr. X début avril 2019. Après désinfection, anesthésie locale à la Rapidocaïne, exploration de la plaie ne mettant pas en évidence d'atteinte de la veine saphène, rinçage abondant au NaCl 0.9%, suture par 4 points d'Ethilon 4.0, pansement Adaptic. Réfection du pansement à 48h chez le médecin traitant, ablation des fils de suture à 14 jours chez le médecin traitant. Antalgies et anti-inflammatoires. Consultation aux urgences en cas d'apparition de douleurs ou de signes inflammatoires locaux. Après désinfection bétadinée, rinçage abondant NaCl, suture par 2 points simples Prolène 4.0. Contrôle de plaie et ablation des points dès J10 par le patient lui-même, qui a une formation de secouriste et du matériel à domicile; expliqué signes infectieux qui devraient pousser à reconsulter. Après désinfection, on procède à l'ablation de tous les fils. Pas de déhiscence, pas d'écoulement. Application de bandage et compresse après nouvelle désinfection. Nous décidons de l'arrêt de toute immobilisation et le patient va pouvoir commencer une rééducation plus agressive centrée sur la récupération des amplitudes. Il a déjà RDV en ergothérapie la semaine prochaine. Le pansement effectué ce jour pourrait être fait par les soins à domicile demain. On invite le patient à nous contacter immédiatement en cas de survenue d'écoulement, de déhiscence ou de récidive de tuméfaction. Nous le reverrons le 25.02.2019. D'ici là, il reste à l'arrêt de travail à 100%. Après diminution de la température, le tirage intercostal est moins important mais il reste tachypnéique. Les contrôles de saturations restent bons (97%). Après discussion avec le Dr. X, pas d'argument pour atteinte cardio-pulmonaire ou ostéo-articulaire localisée. En l'absence de quelconque déficit neurologique ou musculaire, proposition de ne pas faire d'investigations supplémentaires et d'arrêter l'antalgie inefficace par paracétamol et tramal. Traitement symptomatique par frictions de solum uliginosum sur le thorax, bains chauds et arrêt de sport sans limitation de la mobilisation dans les activités quotidiennes. Contrôle clinique le 25.02 aux urgences, mais sur demande de la fille, contrôle agendé au 26.02. Après discussion avec le Dr. X, au vu du bon état général de la patiente avec 48h de fièvre et cela malgré la CRP à 160 mg/l, proposition de la faire rentrer à domicile avec contrôle dans <24h aux urgences. Consignes de déshydratation données. Après départ de la patiente, mise en évidence en relisant dossier du 20.02 que la première crise convulsive et la deuxième se sont réalisées en l'espace de 24 heures, posant ainsi le diagnostic de crise fébrile complexe. Appel à la mère pour donner les consignes de reconsulter en cas de récidive, sans réponse. Au vu du bon état général, l'enfant n'est pas rappelée et sera revue comme prévu dans 12-24h aux urgences. Après discussion avec le Dr. X (infectiologie), proposition de relais antibiotique par Co-amoxicilline 50 mg/kg/jour pour 10 jours au total avec contrôle chez le pédiatre à la fin du traitement. Rendez-vous à la consultation d'infectiologie chez le Dr. X le 14.03 (mail envoyé à la secrétaire Mme. X). Appel à l'ORL de garde, au courant du cas: proposition d'adresser le patient en ORL si non guérison de cet épisode ou nouvel épisode, afin de discuter d'une paracentèse. Après discussion avec le cadre de pédiatrie, le patient peut rentrer à domicile avec le suivi susmentionné. Après discussion avec le chirurgien et un deuxième ultrason abdominal complet, sans signe d'épaississement de la paroi du colon et sans signes de gravité, un syndrome invagination-désinvagination peut a priori être exclu. Une analyse des selles est prévue pour la recherche virale. Devant le bon état général rassurant, le patient peut rentrer à domicile. Nous recommandons de reconsulter aux urgences pédiatriques si nouvelle crise douloureuse qui ne répond pas aux antalgiques ou altération de l'état général. Si pas de douleurs, nous proposons un contrôle chez le pédiatre dans 48h. Consignes de réhydratation bien expliquées. Après discussion avec le chirurgien, vu le bon état général et pas d'invagination vu au moment de l'ultrason, elle peut rentrer à domicile. Un syndrome d'invagination-désinvagination ne peut pas être exclu DD constipation DD gastro-entérite. Nous recommandons de reconsulter aux urgences pédiatriques si nouvelle crise douloureuse pour refaire l'ultrason. Si pas de douleurs, nous proposons un contrôle chez le médecin traitant dans 48h. Après discussion avec le Dr. X, nous retenons le diagnostic de contusion de l'épaule gauche. Nous donnons au patient une bretelle, un arrêt de travail et lui prescrivons antalgie et AINS. Le patient préfère être suivi par son orthopédiste, le Dr. X. Il prendra donc rendez-vous pour un contrôle dans une semaine chez le Dr. X. Après discussion avec le Dr. X, nous laissons le patient regagner son domicile avec 2 comprimés de Dafalgan et 2 comprimés d'Irfen. Il sera recontacté demain pour suite de la prise en charge. Après discussion avec le Dr. X, poursuite du traitement conservateur par attelle thermo-formée, comme initialement mis en place par le Dr. X. Nous la reverrons le 13.02.2019 pour un contrôle radio-clinique. Si lors du prochain contrôle il devait y avoir un déplacement secondaire, nous discuterons de la suite de la prise en charge. Après discussion avec le Dr. X, au vu de l'absence de défaut de rotation et le fait de revoir le patient à 11 jours de l'accident, nous décidons de poursuivre le traitement conservateur, et refaire un contrôle radioclinique dans 10 jours pour voir l'évolution de la fracture. Après discussion avec le Dr. X, radiologue et le Dr. X, orthopédiste, nous posons le diagnostic de déchirure du jumeau interne à droite et préconisons une bande élastique, de stopper la Clexane un patient avec mise en appui possible. Consultation chez son médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 2 semaines. Après discussion avec le Dr. X, nous conseillons au patient de bien continuer à masser la cicatrice et de continuer de mobiliser l'IPP en flexion-extension. Nous restons à disposition en cas de besoin. Après discussion avec le patient, je réalise une infiltration sous-acromiale sous conditions stériles et contrôle scopique avec Dépo-Médrol Ropivacaïne. Petit malaise vagal sans perte de connaissance, résolu spontanément en quelques minutes. Je remets au patient une ordonnance pour la physiothérapie. Incapacité de travail et prochain contrôle dans 6 semaines. Après discussion avec le patient, nous confirmons l'indication opératoire, sans prolongation du traitement conservateur. Mr. Y est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Il est également au courant que l'intervention ne garantit pas une récupération complète mais qu'il faudra surtout compter sur des séances de physiothérapie en post-opératoire pour regagner cette motricité. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Une date opératoire est fixée pour le 25.02.2019. Après discussion avec le patient qui ne souhaite strictement aucune intervention, qui ne souhaite également pas de gilet orthopédique, nous maintenons le traitement conservateur avec une bretelle antalgique. Nous le reverrons le 20.03.2019 pour un contrôle radioclinique. Le patient est prévenu des risques de complication à savoir les risques d'impingement, ainsi que des risques de nécrose avasculaire de la tête nécessitant par la suite une prothèse totale de l'épaule.Après discussion avec les parents, il nous semble que Mr. Y va vers le mieux, son état général s'est nettement amélioré. Il n'est plus du tout apathique et mis à part quelques courts épisodes de gêne abdominale, il se porte bien. Nous ne voyons pas d'indication dans l'état actuel pour faire des investigations supplémentaires ou prévoir une hospitalisation. Nous décidons d'un commun accord que Mr. Y peut rentrer à la maison et qu'en cas d'hydratation insuffisante, les parents reconsulteront. Après discussion avec nos collègues orthopédistes, la patiente désire dans un premier temps tenter un traitement conservateur. Nous organisons un passage d'infirmière à domicile dès le 09.02.19, même si la patiente est plutôt réticente. Elle rentre à domicile avec son conjoint. Après discussion du cas avec le Dr. X, nous proposons au patient de continuer avec le traitement conservateur par semelle rigide. Une prise en charge chirurgicale n'est actuellement pas indiquée, car il serait difficile d'obtenir une amélioration de l'alignement articulaire actuellement. Si dans le futur, le patient venait à présenter un défaut de guérison, une arthrodèse pourrait être envisagée à ce niveau-là. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. Après discussion du cas avec le Dr. X, spécialiste de la main, poursuite du traitement conservateur avec l'ergothérapie. Nous informons la patiente que la persistance de douleurs peut durer jusqu'à 8 mois après ce type de lésion. À 6 mois de la lésion susmentionnée, nous arrivons à la position définitive du doigt et si la patiente n'est pas satisfaite, une indication chirurgicale pourra toujours être proposée pour corriger l'axe du doigt. Nous reverrons donc la patiente dans 3 mois pour un prochain contrôle radio-clinique. Reprise de l'activité professionnelle à 100% dès la semaine prochaine avec une limitation de la charge. Après discussion, nous avons accepté les arguments de la patiente et considérons le traitement comme fermé. Il reste toutefois des éventuelles gênes à cause du matériel dans les années à venir qui pourront nécessiter une AMO. Après entretien pédo-psychiatrique : Nous proposons un suivi d'urgence dans le cadre du CPP. Un rendez-vous est organisé jeudi le 28.02 avec Mme. Y, psychologue. Arrêt maladie pour une semaine. Nous avons donné le tél d'urgence en cas de besoin. Après évaluation clinique, nous décidons de faire une radio en charge qui ne montre pas d'ouverture du Lisfranc, motif pour lequel nous mettons en place un traitement conservateur avec des anti-inflammatoires locaux. Nous la reverrons dans une semaine pour un contrôle clinique. Après examen clinique, nous appliquons de la pommade Ialugen. La patiente rentre à domicile, elle consultera de nouveau en cas de péjoration des douleurs ou d'apparition de nouveaux symptômes. Elle ne souhaite pas recevoir d'antalgie per os. Après hydratation, Glc 9mmol/l; pas de correction au vu du patient à jeûn. Après la discussion avec la patiente ainsi que Dr. X, nous posons l'indication opératoire à l'implantation de PTH droite. Nous discutons des modalités opératoires avec la patiente, notamment les risques ainsi que les bénéfices de celle-ci et elle nous donne son accord en signant le formulaire de consentement éclairé. Auparavant, la patiente se rendra à une consultation en anesthésie pour un bilan pré-opératoire le 18.02.2019. Nous allons réserver la date opératoire au mois de mai (désir de la patiente) en accord avec le Dr. X qui viendra à l'HFR Fribourg pour opérer la patiente. Après l'hospitalisation, la patiente bénéficiera de 2 semaines de rééducation musculo-squelettique à l'Hôpital de Billens. Après la réévaluation du scanner de novembre 2018 au niveau cervical, nous confirmons à la patiente la présence d'une arthrose multi-étagée pour laquelle nous ne pouvons pas proposer de prise en charge chirurgicale. Nous conseillons la poursuite de la physiothérapie et de bénéficier de massages avec de l'huile de genièvre, prescription d'une ordonnance dans ce sens pour une application 3x/semaine avec le CNS. Vu la bonne évolution clinique au niveau des sacro-iliaques, nous proposons à la patiente un prochain contrôle clinique dans 2 mois. Après l'administration de 12 pushs de Ventolin, amélioration de l'auscultation pulmonaire avec murmure vésiculaire audible sur toutes les plages, patient se sentant moins dyspnéique. Après le changement du plâtre ainsi que des radiographies en charge et un CT, nous ne voyons pas de déplacement secondaire des fractures. Nous mettons donc en place une immobilisation avec une charge touch down de 5-10 kg pour 8 semaines au total. Poursuite de la Clexane. Arrêt de travail prolongé jusqu'à fin avril. Nous la reverrons dans 7 semaines pour un contrôle radioclinique hors plâtre. Nous pourrons mettre en place, à 8 semaines, une semelle en carbone. Après le passage des Dr. X et Dr. X, chirurgiens, nous posons les diagnostics et suivis suscités. À noter qu'après la mise en place de compresses oxygénées, une partie du caillot sanguin n'a pas été évacuée. Au vu de l'absence de douleur et de la brèche existante dans l'hématome, et après avis du Dr. X, nous ne décidons pas de l'inciser. En cas d'apparition de douleur, la patiente reconsultera son médecin traitant ou les urgences. Après réassurance évolution favorable, sans signe d'appel pour un problème somatique. La patiente rentre à domicile accompagnée par son fils et veut reconsulter chez son médecin traitant. Après relecture des images, nous mettons donc en évidence la fracture de fatigue en regard du 2ème métatarses. Après discussion du cas avec le Dr. X, nous proposons qu'il bénéficie dans un premier temps d'une attelle en carbone puis, dans un second temps, d'une semelle adaptée confectionnée par l'ortho team à Berne. Il sera convoqué par l'ortho team pour prendre les mesures du pied et adapter une semelle. Nous proposons que la suite du contrôle se fasse auprès du Dr. X et, en cas de péjoration ou de non guérison, il pourra l'adresser à la consultation du Dr. X à Meyriez. Après un bilan biologique et un scanner ne mettant pas en évidence de lésion intra-abdominale, le patient est autorisé à rentrer à domicile avec un traitement symptomatique par antalgique et anti-inflammatoire de réserve. Il consultera les urgences en cas d'apparition de nouveaux symptômes. Après un bilan biologique et un sédiment urinaire dans les normes ainsi qu'un bilan radiographique ne retrouvant pas de fracture, la patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique par antalgiques, anti-inflammatoires et myorelaxant. Elle consultera aux urgences en cas d'apparition de nouveaux symptômes. Après un bilan biologique ne mettant pas en évidence de syndrome inflammatoire, nous réalisons une réfection de pansement avec application de Telfa sur les 2 dermabrasions suintantes en regard de l'épicondyle et de l'épitrochlée. Le patient sera revu le 16.02.2019 à 14h pour réfection du pansement et avis auprès du Dr. X. Après un bilan biologique retrouvant une crase dans les normes et un examen clinique rassurant, le patient rentre à domicile. Il consultera en cas de persistance des symptômes à 5 jours. Après un bilan clinique et biologique rassurant, nous laissons le patient rentrer à domicile accompagné de son père, après lui avoir donné les consignes de surveillance neurologique, un TC n'étant pas formellement exclus du fait de l'absence de témoins de l'accident.Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve. Après un bilan radiographique mettant en évidence le diagnostic sus-mentionné, nous immobilisons le patient dans une attelle jambière postérieure, avec décharge stricte et consignes de repos au lit strict avec surélévation du membre inférieur droit, jusqu'à diminution de la tuméfaction permettant une prise en charge chirurgicale. Le patient est confortable dans l'attelle, la radiographie de contrôle est satisfaisante. Il recevra une anticoagulation prophylactique par Clexane durant la durée de l'immobilisation. Il sera convoqué par le secrétariat du Dr X pour la suite de la prise en charge. Concernant le coude droit, le bilan radiographique ne met pas en évidence de lésion osseuse traumatique mais une arthrose diffuse. Nous proposons un traitement symptomatique et une mobilisation selon douleurs. Après un bilan radiographique mettant en évidence une fracture déplacée du radius distal avec composante intra-articulaire et bascule dorsale, nous réalisons une réduction par manœuvres externes après anesthésie IV par Fentanyl. La patiente est ensuite immobilisée dans un plâtre antébrachial fendu sur le bord ulnaire, elle est confortable dans le plâtre. La patiente, refusant la prise en charge chirurgicale, nous l'informons des risques d'un traitement conservateur. Elle sera revue par le Dr X en consultation orthopédique. Consignes de surveillance sous plâtre données à la patiente, antalgiques et anti-inflammatoires de réserve. Après un bilan radiographique ne mettant pas en évidence de fracture et un bilan biologique, la patiente est autorisée à rentrer à domicile avec un traitement symptomatique, où elle vit avec son mari. Concernant l'hématurie microscopique, la patiente consultera son médecin traitant durant la semaine prochaine pour un contrôle de sédiment urinaire. Nous lui donnons les consignes de surveillance neurologique post-traumatisme crânien. Après un bilan radiographique ne mettant pas en évidence de fracture, le patient est autorisé à rentrer à domicile avec un traitement antalgique et anti-inflammatoire de réserve, consignes de surélévation et glace. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 1 semaine. Après un bilan radiographique ne mettant pas en évidence de fracture mais un examen clinique suspect pour une lésion méniscale externe, nous immobilisons le membre inférieur gauche dans une attelle Jeans en extension, avec charge selon douleurs et anticoagulation prophylactique. Conseils de glaçage, repos et surélévation du membre inférieur gauche. Réévaluation clinique à 1 semaine à la consultation du Dr X, orthopédiste, après réalisation d'une IRM. Antalgiques et anti-inflammatoires. Après un bilan radiographique ne mettant pas en évidence de lésion osseuse et un bilan biologique et sédimentaires urinaires sans particularité, le patient est autorisé à rentrer à domicile avec un traitement symptomatique par Dafalgan, Irfen et myorelaxants, conseils de repos, glace puis mobilisation selon douleurs. Nous lui donnons les consignes de surveillance neurologique post-traumatisme crânien. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 1 semaine. Après un bilan radiographique ne mettant pas en évidence de lésion osseuse, la patiente rentre à domicile avec un traitement antalgique et anti-inflammatoire de réserve. Conseils de marche avec des chaussures à semelles rigides, surélévation du membre inférieur droit, glace. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 1 semaine. Après un bilan radiographique ne mettant pas en évidence de lésion osseuse, le patient est autorisé à rentrer à domicile avec un traitement symptomatique par antalgiques et anti-inflammatoires, conseils de repos, glace, surélévation du membre inférieur droit et marche en charge selon douleurs. Consultation avec le Dr X, orthopédiste, en cas de persistance des douleurs à 1 semaine. Arrêt de sport 1 semaine. Après un bilan radiographique ne retrouvant pas de lésion osseuse et une distance coraco-claviculaire symétrique, nous laissons le patient rentrer à domicile avec une immobilisation dans un gilet orthopédique, des antalgiques et des anti-inflammatoires. Il reviendra le 22.02 en contrôle clinique à la consultation du Dr X. Le patient ne souhaite pas d'arrêt de travail. Après un bilan radiographique n'objectivant pas de fracture et un bilan biologique dans les normes, la patiente est autorisée à domicile avec un traitement symptomatique par antalgiques, anti-inflammatoires et myorelaxants. La patiente consultera en cas d'apparition de péjoration des douleurs. Après un bilan radiographique retrouvant une perte de hauteur de L4 et L5 visualisée sur les radiographies de face, nous réalisons un CT-scan ne mettant pas en évidence de fracture. Concernant les plaintes thoraciques, la radiographie ne met pas en évidence de fracture de côte. Le patient reçoit l'enseignement pour physiothérapie respiratoire à réaliser à domicile ainsi qu'une prescription pour des antalgiques et anti-inflammatoires. Il consultera de nouveau en cas de péjoration des symptômes à 10 jours. Après un examen clinique rassurant, nous majorons l'antalgie avec du Tramal puis de la morphine per os, ne soulageant que partiellement les douleurs. Nous réassurons la patiente et la laissons rentrer à domicile avec un traitement par Dafalgan, Tramal en réserve et Flector patch, qui n'est pas contre-indiqué dans l'hypoplasie. Après un streptotest négatif, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Consultation en cas de péjoration des symptômes ou de persistance à 1 semaine. Après une anesthésie en bague du 4ème doigt, nous explorons la plaie, qui a une profondeur de 0.3 mm et ne mettons pas en évidence de lésion des structures nobles. Nous procédons au nettoyage des plaies au NaCl, effectuons 1 point de suture sur la plaie du 4ème doigt et un autre point sur la plaie du 3ème doigt. Un pansement est mis en place ainsi qu'une antalgie simple. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours pour l'ablation des fils. Après une anesthésie locale, nous explorons la plaie qui a une profondeur de 0.4 mm et touche seulement le tissu sous-cutané. Pas de lésion de structure noble notée. Mise en place de 3 points de suture. Pansement. Antalgie simple. Ablation des fils dans 7 jours chez le médecin traitant. Après une antalgie (morphine), nous réévaluons la patiente sur le plan clinique avec un statut digestif dans la norme et un abdomen souple et dépressible sans défense ni détente avec un Murphy négatif. Sur le plan biologique, la patiente ne présente pas de perturbation des tests hépatiques (en dehors d'une gamma GT à 52 UI/l) ni de syndrome inflammatoire. Nous indiquons à la patiente une prise de Dafalgan 4 x 1 g et du Voltaren 2 x 50 mg durant 3 jours. Nous proposons que Mme. Y soit convoquée pour discuter d'une cholécystectomie tout en sachant que son fils, qu'elle n'a pas vu depuis 5 ans, vient du Mexique du 18.02.19 au 09.03.19. Face au bilan biologique rassurant et à la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile. Après une antalgie par Voltaren et Morphine IV, le patient est soulagé. Il est donc autorisé à rentrer à domicile avec un traitement antalgique et anti-inflammatoire de réserve. Il sera revu le 15.02.2019 à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique +/- uro-CT en cas de persistance des douleurs. Consultation aux urgences en cas de péjoration des douleurs, d'apparition de fièvre, d'anurie ou de vomissement empêchant la prise des traitements per os. Après une excellente évolution depuis 5 mois, il y a de nouveau des douleurs qui sont apparues. Les symptômes apparaissent être liés au nerf ulnaire au vu des paresthésies et une irradiation dans le Dig IV et V. On va organiser un ENMG et on reverra la patiente après cet examen.Après une longue discussion avec le patient qui souhaite avoir un 2ème avis à Berne, nous envisageons la réalisation d'une nouvelle myélographie afin de dépister une éventuelle nouvelle compression au niveau de la racine L5 droite ainsi qu'un nouveau bilan neurologique pour dépister une éventuelle altération périphérique qui pourrait justifier les douleurs. Le patient est d'accord avec cette thérapie. Nous prévoyons un prochain contrôle au mois de mars pour discuter des résultats. Concernant une activité professionnelle à 10-20%, nous soulignons l'importance de reprendre avec ce pourcentage qui actuellement n'est pas capable de travailler à 60% mais a beaucoup de potentiels pour reprendre une activité professionnelle et peut être augmenter progressivement le pourcentage de travail. Après une oxygénothérapie aux lunettes, la patiente est soulagée et sature à 93%. Elle reçoit également des aérosols d'Atrovent et Ventolin. Après discussion avec la patiente et son mari, avec qui elle vit à domicile, nous la laissons rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Elle consultera aux urgences en cas de péjoration des symptômes malgré un traitement symptomatique bien conduit. Nous lui conseillons également de consulter un médecin traitant pour bénéficier d'un suivi dans la région. Après visualisation du scanner et de l'IRM, nous retenons un traitement conservateur en raison de faible déplacement intra-articulaire de la fracture. Le patient est autorisé à marcher avec une charge partielle de 5-10 kg max. sous couvert de béquille. Prescription de physiothérapie pour maintien de l'amplitude jusqu'à 90° et renforcement musculaire. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Après 1h de surveillance: Douleur légère à la palpation de la FID avec un excellent état général. Devant la notion de cas similaires au camp et la clinique, une gastroentérite virale reste probable. Mr. Y rentre à domicile avec sa mère, les consignes de surveillance étant données à la mère. Après 6 pushs de Ventolin, disparition de l'expirium prolongé, pas de tirage. Vu l'état clinique léger à l'entrée, elle peut rentrer à domicile avec Ventolin en réserve. Reconsultera en cas de péjoration des difficultés respiratoires. arc aortique droite, suivi Dr. X. otite traitée par antibio il y a 1 mois. ARDS léger sur Influenza A avec pneumonie communautaire basale droite le 26.01.2019 : • oxygéno-requérante • Hypoxémie avec pO2 7.02 kPa. ARDS modéré sur pneumonie communautaire d'origine indéterminée le 17.02.2019. ARDS sur pneumonie à Haemophilus influenzae le 08.02.2019 • abcès du lobe supérieur gauche le 16.02.2019. ARDS sur pneumonie acquise en communauté le 03.02.2019 avec : ARDS sur pneumonie bilatérale d'aspiration le 01.02.2019 • s/p lobéctomie supérieur gauche • Infection secondaire à Serratia marcescens et Pseudomonas aeruginosa le 11.02.2019. Mr. Y est admis dans le service de Néonatologie le 08.02 pour surveillance respiratoire et alimentaire dans le cadre d'une bronchiolite RSV positive. Au niveau respiratoire, Mr. Y nécessite une oxygénothérapie du 08.02 au 11.02. Nous ne notons pas d'épisodes d'apnées. Des rinçages de nez réguliers sont réalisés et un protocole de médecine anthroposophique est mis en place. Au niveau alimentaire, Mr. Y nécessite la pose de sonde nasogastrique du 08.02 au 12.02, date à laquelle il prend tous ses apports per os. Au niveau infectieux, un traitement de Mycostatine pour le muguet buccal est poursuivi jusqu'au 11.02, date de la disparition des placards blanchâtres. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 13.02 avec un contrôle chez le pédiatre en cas de péjoration des symptômes. Mr. Y présente une gastro-entérite avec déshydratation modérée et une IVRS, pour laquelle nous effectuons une réhydratation sur 4 heures par du Normolytoral. L'évolution est favorable. Mr. Y a été vu par notre neuropédiatre Dr. X qui propose d'augmenter la lamotrigine à 2x50mg. Au vu de l'important rhume de Mr. Y, nous avertissons les anesthésistes en raison d'une IRM sous sédation prévue le 01.03. Et ces derniers trouvent Mr. Y inapte à supporter cette intervention. Devant les convulsions fébriles et après discussion avec le papa, nous convenons de traiter l'otite moyenne débutante par Amoxicilline. Un contrôle clinique doit être fait après la fin de l'antibiothérapie. Arnica 5 granules 3x/j Dafalgan suppo 300mg en R. Arrachement de la branche ischio-pubienne gauche. Arrachement de la plaque palmaire de l'interphalangienne proximale du 3ème doigt gauche. Arrachement de la plaque palmaire D4 main D. Arrachement distal du LCA gauche. Arrachement distal du LCA genou G; accident de ski datant de début janvier 2019. Arrachement du ligament collatéral radial du pouce droit le 17.02.2019. Arrachement du naviculaire sur la face interne du pied D le 09.02.2019. Arrachement du triquetrum. Arrachement osseux de la plaque palmaire IPP D4 main droite du 25.02.2019. Arrachement osseux du sous-scapulaire de l'épaule droite. Arrachement osseux P1 D1 sur l'insertion du ligament collatéral ulnaire et lésion du ligament collatéral ulnaire sur l'IP pouce D. Arrachement plaque palmaire doigt III côté droit. Hémorragie pétéchiale de 3 mm au niveau frontal gauche dans le cadre d'un traumatisme crânio-cérébral sur accident de la voie publique le 17.06.2017. Rythme jonctionnel normocarde dans le contexte traumatique le 17.06.2017 • rythme sinusal normocarde dès le 19.06.2017. Douleurs de l'épaule droite avec dermabrasions 26.06.2017 • DD : entorse acromio-claviculaire. Contusion du genou droit avec dermabrasions 26.06.2017. Épididymite. Arrachement partiel du frenulum preputii. Arrêt AINS. Pantozol cpr 40 mg 1x/jour pendant une semaine. Contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours. Arrêt Approvel le 05.02.2019 Add Amplodipine à 10 mg/j. Arrêt cardio-respiratoire sur AESP / asystolie d'étiologie probablement cardiaque. Arrêt cardio-respiratoire. Arrêt cardio-respiratoire. Arrêt cardio-respiratoire, coma et broncho-aspiration sur tentamen médicamenteux à domicile le 16.12.2018 dans contexte oncologique (massage cardiaque pré-hospitalier, séjour aux soins intensifs et ventilation invasive jusqu'au 19.12.2018). Prothèse totale de la hanche droite en 1994. Résection iléo-caecale en 2017 pour perforation caecale post-colonoscopie avec cure d'éviscération de la cicatrice de laparotomie. Iléus mécanique sur status adhérentiel le 09.01.2018. Arrêt cardio-respiratoire dans le cadre d'une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique d'origine multifactorielle le 06.02.2019 avec : • œdème pulmonaire aigu récidivant sur sténose aortique sévère et insuffisance mitrale sévère • pneumonie récidivante. Arrêt cardio-respiratoire sur bradycardie extrême sur bloc atrio-ventriculaire du 3ème degré le 14.02.2019 • Syncope le 14 février au matin • 3 épisodes d'asystolie sous Isoprénaline (MCE à 2 reprises sans no flow, low flow < 2 min).Asystolie de 10 secondes durant la ventriculographie. Arrêt cardio-respiratoire sur fibrillation ventriculaire (phénomène R sur T) d'origine ischémique le 13.02.2019. • ROSC à 2 minutes après massage cardiaque externe et 1 choc. Arrêt cardio-respiratoire sur tachycardies ventriculaires le 27.02.2019. • ROSC 3 min • 2e épisode ROSC après 15 min • 3e épisode sur asystolie, ROSC 4 min • arythmies multiples (TV). Arrêt de croissance staturale. Arrêt de la Metformine du 21.01 au 26.01.2019. Arrêt de l'alimentation orale et mise en place d'une sonde nasogastrique depuis son hospitalisation le 26.12.2018. Prochain contrôle en ORL le 01.02.2019 pour test de déglutition. Arrêt de l'Esidrex et du NaCl le 19.01.2019. Surveillance clinique et biologique. Réévaluer la nécessité de reprendre l'Esidrex à distance. Arrêt de l'Euthyrox. Contrôle des tests thyroïdiens en post-partum. Arrêt de l'Oxycontin. Arrêt de sport de 2 semaines pour mise au repos. Glaçage. Algifor en réserve si douleur. Reconsulte pédiatre si douleurs à la reprise du sport, ortho si persistance des douleurs à 6-8 semaines. Arrêt de sport pendant une semaine. Antalgiques. Contrôle chez le pédiatre dans une semaine. Cannes avec charge selon douleurs. Arrêt de sport 10 jours. Arrêt d'école 48h. Arrêt de sport 10j. Contrôle des plaies à 48h aux urgences et évaluation de la cheville. Avis ortho si appareil ligamentaire incompétent ou mal évaluable. Arrêt de sport 2 semaines. Consulte si douleurs persistantes à la reprise du sport. Arrêt de tous les sports durant 4 semaines, arrêt des sports de contact durant 6 semaines. La patiente sera revue à votre consultation pour contrôle et nous vous laissons le soin d'organiser un ultrason abdominal de contrôle dans 6 semaines. Arrêt de travail à 100% pendant 5 jours. Traitement anti-pyrétique et antitussif. Protection gastrique par Pantozol 20 mg 1x le matin pendant 5 jours. Conseils d'hydratation. Contrôle chez son médecin traitant si persistance des symptômes dans 4-5 jours. Le patient est informé des symptômes qui doivent le faire reconsulter en urgence. Arrêt de travail du 27.02.2019. Antalgie simple par Dafalgan en réserve. Arrêt de travail 2 semaines en raison du syndrome d'épuisement. Sirdalud 2mg le soir pendant 5 jours pour contracture et sommeil. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Arrêt d'école 48h. Arrêt de sport 10 jours. Dafalgan / Irfen en réserve. Arrêt des benzodiazépines. Arrêt des diurétiques. Hydratation iv. Arrêt des neuroleptiques (haldol, dipiperon) puis réintroduction progressive. Laboratoire. Arrêt des sports pendant une semaine. Antalgiques. Arrêt des traitements laxatifs. Hydromorphone dès le 21.02.2019. Arrêt des traitements per os. Haldol s.c. Arrêt du Bactrim. Arrêt du lisinopril le 25.02.2019. Réhydratation. Arrêt du Sintrom. Arrêt de l'Aspirine. Bridging par Clexane. Reprise d'anticoagulation post-OP par Eliquis 5 mg 2x/j. Arrêt du Sintrom. Arrêt de l'Aspirine. Bridging par Clexane. Reprise d'anticoagulation post-OP par Eliquis 5 mg 2x/j à partir du 22.02.2019. Arrêt du traitement habituel d'hydrochlorothiazide (composant de l'Irbesartan-HCT) et de Cordyceps sinensis (effet diurétique). Arrêt du traitement néphrotoxique. Traitement diurétique. Arrêt du Tramal. Arrêt du Tresiba le 5.12.2018 sur hypoglycémie au domicile. Schéma de correction allégé maintenu. Reprise du Tresiba le 11.02.2019 pour cause d'hyperglycémies trop importantes. Arrêt scolaire jusqu'au 06.02.2019 avec repos. Arrêt de sport pour 2 semaines. Contrôle à votre consultation le 06.02.2019. Arrêt Sintrom. Transfusion d'un plasma frais congelé. Substitution Konakion. Arrêt Sintrom. 1 PFC. Substitution Konakion. Arrêt sport, antalgie. Syndactylie D3+D4. Attelle Edimbourg. Consultation en ergothérapie pour attelle intrinsèque thermoformée. Contrôle ortho urgence avec contrôle clinique et radiologique dans une semaine. Arrêt Tramal et Paracétamol. Frictions de solution de solum uliginosum sur le thorax et bains chauds. Contrôle aux urgences le 26.02. Arrêt Algifor. Contrôle chez le pédiatre si surinfection des boutons, symptômes neurologiques. Arrivée aux urgences en raison d'un abcès de la loge masticatrice droite le 07.02.2019 après statut post-extraction de la dent 48 le 31.01.2019. Mr. Y a été hospitalisé en pédiatrie pour surveillance neurologique et antalgie dans un contexte d'une commotion cérébrale et fracture de la lame papyracée. Sur le plan neurologique, Mr. Y est resté stable durant tout son séjour. On remarque une disparition de l'œdème palpébral visualisé aux urgences et une diminution de la douleur qui persiste encore lors de la sortie. Pas d'apparition de trouble visuel ni de nouveau symptôme ou signe clinique. La fracture ne nécessite pas de traitement particulier mais un contrôle à 4 jours. Au vu de la bonne évolution clinique, nous décidons d'un retour à domicile avec contrôle ophtalmique le 11.02 au centre d'ophtalmologie du HFR à 9h30. Mr. Y. Hypertonie. VHF. Adipositas. Dyslipidémie. Douleurs à la hanche. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. • Erhöhung von Meto Zerok 50mg auf 100mg 24.01.2017 bei anamnestisch leicht erhöhtem systolischen Blutdruck in der Selbstmessung. • Beginn zusätzlich mit Amlodipin 5mg 2/19 wegen leicht erhöhten systolischen Blutdruckwerten. • 2/19: Co-Candesartan 32/25, MetoZero, 100, Amlodipin 5. Hypertension artérielle. • Exforge HCT. Hypertension artérielle. • sous Co-Lisinopril. Hypertension artérielle. Gonarthrose droite. Hypertension artérielle. Hiatus hernie. Bilatérale pneumonie, ED am 7.1.18. Ostéoporose. • Compresse de fracture BWK12, RöThorax vom 07.01.2018. • Calcimagon Forte umgestellt. • Fortführung der Therapie mit Ibandronat. Artériopathie avec : • cardiopathie ischémique avec triple pontage aorto-coronarien en 2004. • anévrisme de l'aorte ascendante à 45 mm. • artériopathie des membres inférieurs Fontaine 2a, status post-intervention en 2005. Maladie de Parkinson diagnostiquée en octobre 2017 avec bonne réponse au Madopar. Gonarthrose tricompartimentale modérée gauche. Bicuspidie aortique. Hypertension artérielle. Tabagisme actif avec suspicion de broncho-pneumopathie chronique obstructive. Consommation d'alcool à risque. Artériopathie des membres inférieurs avec : • à droite : -- angioplastie de l'artère fémorale superficielle droite le 05.12.2016, réocclusion précoce sur volumineuse plaque calcifiée. -- recanalisation de longue réocclusion fémorale superficielle droite par angioplastie, en partie sous-endothéliale, pose d'un Graf-stent Viabahn fémoral commun droit le 28.09.2017 pour plaies multiples de l'avant-pied et de la cheville du côté droit. -- recanalisation d'une longue occlusion calcifiée de l'artère fémorale superficielle avec mise en place de 3 stents, recanalisation de l'occlusion du tronc tibio-péronier et du départ de l'artère tibiale postérieure avec mise en place d'un stent actif à droite le 28.11.2018. • à gauche : -- échec de recanalisation endovasculaire d'une longue occlusion fortement calcifiée de l'artère fémorale superficielle et poplitée le 28.02.2018. -- TEA fémorale, pontage fémoro-poplité gauche, crossectomie et ligature de veines perforantes du membre inférieur gauche le 31.01.2019 (Dr. X) pour ischémie persistante du membre inférieur gauche avec ulcères d'origine mixte, artériels et veineux, ainsi que plaie du bord de l'ongle de l'hallux depuis janvier 2019. • sous Xarelto. Artériopathie des membres inférieurs. • importante infiltration de l'artère iliaque externe distale et du carrefour fémoral droit avec sténose d'environ 80% sans modification des flux au repos. Plaques pleurales calcifiées des deux côtés suspectes. • ponction pleurale gauche le 17.05.2018 : exsudat à prédominance lymphocytaire, pas de cellules malignes.tumorboard thoracique le 30.05.2018 : possible réaction inflammatoire à l'amiante, pas d'investigations supplémentaires Insuffisance veineuse chronique • s/p cure de la grande veine saphène du côté gauche par crossectomie et stripping long il y a une trentaine d'années (Dr. X) • s/p cure chirurgicale des varices des 2 côtés le 08.02.2017 (Dr. X) avec thrombose de la grande veine saphène droite et de quelques fragments de veines sur des sites de phlébectomies des 2 côtés mis en évidence en mars 2017 Syndrome des apnées du sommeil • appareillé jusqu'en 03.2018, puis arrêté à l'initiative du patient Hypertrophie bénigne de la prostate Douleurs chroniques sur sciatalgies droites non déficitaires • Discarthrose lombaire avec un rétrécissement foraminal prédominant au niveau L4-L5 et L5-S1 (angio-CT 06.2018) • corticothérapie par Prednisone dès le 17.07.2018, MST Continus et Morphine gouttes Artériopathie mixte des membres inférieurs des deux côtés le 15.01.2019 • ischémie aiguë sur occlusion longue de l'axe poplité-jambier à gauche et occlusion poplitée courte avec trépied jambier ouvert à droite • ischémie chronique avec athéromatose diffuse modérée DD occlusion aiguë sur FEVG diminuée, syndrome de Trousseau Artériopathie oblitérante chronique de stade IV selon Fontaine du membre inférieur droit avec : • Status post amputation infra-géniculée selon Burgess du membre inférieur droit le 15.12.2016 • Status post greffe de Thiersch du moignon du membre inférieur droit le 27.03.2017 avec pansement VAC jusqu'au 31.03.2017 Reflux gastro-oesophagien avec toux chronique à prédominance nocturne (OGD du 17.03.2017, oesophagite de reflux de stade 4 selon Savary) Sclérodermie systémique (vs CREST) depuis plus de 20 ans avec : • Phénomène de Raynaud • Dysmotilité oesophagienne (OGD de 2013 - Dr. X : multiples dilatations de sténose peptique) • Suspicion de polyradiculite d'étiologie indéterminée en juillet 2012 • Consilium rhumatologique 09/2018 : Sclérodermie systémique limitée avec syndrome de CREST et trouble de la microcirculation vasculaire. Rhizarthrose réactivée gauche. Tendinite de Quervain à gauche • OGD du 17.09.2018 : sténose à la jonction oesogastrique dilatée, pas de déchirures ni de saignement significatifs, proposition de poursuivre IPP 40 mg 2x/j au long cours et de procéder à une 2ème dilatation si récidive. Cécité congénitale de l'œil droit Sténose à 50 % de l'artère mésentérique supérieure sur une plaque molle Arthrose acromio-claviculaire et conflit sous-acromial droit Lombalgies chroniques avec arthrose inter-facettaire étagée, hernie discale et canal lombaire étroit modéré • Infiltration L5-S1 sous CT le 11.06.2018 • Avis neurochirurgical par Dr. X le 08.06.2018 Artériopathie oblitérante des membres inférieurs bilatérale • pontage aorto-fémoral G et pontage aorto-iliaque droit en mai 2013 (CHUV) • TEA ilio-fémorale droite avec plastie d'élargissement en juillet 2012 • pose de kissing stent iliaque, en 2009 • Au 04.02.2019 : claudication stade IIB du MID, occlusion de l'artère fémorale superficielle D • Dissection de l'artère fémorale profonde per-opératoire le 05.02.2019 Artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade IV du membre inférieur gauche avec : • Ulcère hallux • Ulcère 2e doigt • 4 lésions noires malléole externe • Occlusions stents fémoraux et 3 axes jambiers Artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade IV du membre inférieur gauche avec nécrose du 2ème orteil : • Pontage fémoro-poplité veineux inversé gauche en 2002, actuellement occlus • Angioplastie et stenting d'une sténose serrée de l'artère iliaque commune • Ischémie critique du membre inférieur gauche sur sub-occlusion de l'artère fémorale commune distale 08.2018 Cardiopathie ischémique avec : • Pose de stent coronaire droite en 2008 • Pontage aorto-coronarien le 22.07.2014 (Bern) Diabète type 2 (actuellement non traité) Hypertension artérielle Coxarthrose Gonarthrose gauche, kyste synovial Hyperplasie bénigne de la prostate Sévère oesophagite de reflux Artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade IV du membre inférieur gauche avec nécrose du 2ème orteil : • Pontage fémoro-poplité veineux inversé gauche en 2002, actuellement occlus • Angioplastie et stenting d'une sténose serrée de l'artère iliaque commune • Ischémie critique du membre inférieur gauche sur sub-occlusion de l'artère fémorale commune distale 08.2018 Cardiopathie ischémique avec : • Pose de stent coronaire droite en 2008 • Pontage aorto-coronarien le 22.07.2014 (Bern) Diabète type 2 (actuellement non traité) Hypertension artérielle Coxarthrose Gonarthrose gauche, kyste synovial Hyperplasie bénigne de la prostate Sévère oesophagite de reflux Artériopathie oblitérante des membres inférieurs traitée de manière endovasculaire en 2010 (Dr. X). Exacerbation d'un syndrome d'emphysème et de fibrose pulmonaires combinés (CPFE) le 27.09.2017 sur infection des voies respiratoires supérieures. Douleurs des membres inférieurs sur/avec : • traitement endovasculaire d'une artériopathie oblitérante des membres inférieurs en 2010 • bas de contention portés tous les jours. Exacerbation respiratoire au décours chez une patiente connue pour un syndrome d'emphysème et de fibrose pulmonaires combinés modéré (CPFE) : • sous antibiothérapie par co-amoxicilline depuis 9 jours • suivie par Dr. X • maintien impossible à domicile. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Hypercholestérolémie SAOS d'entité modérée, selon la polygraphie de décembre 2014, pratiquée sous O2 continue • Index d'apnée hypopnées à 28/h • Introduction CPAP le 09.02.2015 Diverticulose sigmoïdienne Hernie inguinale bilatérale avec hydrocèle à gauche Suspicion de reflux gastro-oesophagien • notion d'ulcère duodénal il y a des années, avec dernier bilan OGD non retrouvé Micro-carcinome de la prostate T1, G1, TURP mai 2015 (Dr. X) Nodules/adénomes surrénaliens bilatéraux (non-sécrétant mais syndrome de Cushing non exclu) Cholestase intra-hépatique sur hépatopathie d'origine indéterminée le 28.08.2018 Artériopathie oblitérante des MI de stade III, avec : • angioplastie et stenting d'une subocclusion poplitée et angioplastie d'une sténose serrée du tronc tibio-péronier droit, le 22.05.2013 • amputation du 5ème orteil droit, le 11.06.2013 • angioplastie d'une occlusion complète de l'artère poplitée et du départ des 3 axes jambiers du membre inférieur gauche, le 02.10.2013 • status post recanalisation de sténoses fémorales superficielles et poplitées par angioplastie au ballon actif et recanalisation de 2 sub-occlusions proximales et distales du tronc tibio-péronier par angioplastie, puis pose de stents et recanalisation de lésions sévères de l'artère péronière au ballon actif à gauche, le 07.01.2014 • status post essai de recanalisation de l'artère fémorale commune gauche par voie Crossover le 30.10.2018, sans succès Artériopathie périphérique des membres inférieurs. Cf bilan angio. Artériopathie précérébrale • avec plaque athéromateuse sténosante calcifiée de la carotide interne gauche estimée à 85 % Artériopathie précérébrale sévère le 01.02.2019 avec : • subocclusion du tronc brachiocéphalique D • sténose sévère carotide commune G • sténose modérée des artères vertébrales Artériopathie stade IV du MID HTA Hypercholestérolémie Diabète type 2 Artérite gigantocellulaire avec aortite. Biopsie de l'artère temporale positive • actuellement en rémission • sous hydro-cortisone 20 mg/j depuis août 2018 et méthotrexate 25 mg/sem Insuffisance cardiaque avec FEVG à 45 % (décembre 2018) : ETT décembre 2018 : Discrète dilatation du ventricule gauche avec une hypokinésie sévère du septum apical et de la paroi latéro-apicale, une hypokinésie modérée du septum moyen et une hypokinésie minime de la paroi latérale moyenne, de la paroi antéro-apicale, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne. FEVG à 45 % (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Ballonisation du feuillet mitral postérieur. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Absence d'HTAP (PAPs à 29 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Foramen ovale perméable avec un shunt minime. Anévrysme du septum interauriculaire. Ostéopénie au niveau de tous les sites selon l'OMS Hypothyroïdie substituée Glaucome simple, cataracte secondaire à droite • Arthropathies DD : Leponex • Arthralgie. • Arthralgie. • Arthralgie. • Arthralgie. • Arthralgie des genoux et des épaules non investiguées. • Arthralgie diffuse d'origine indéterminée le 13.06.2016. DD : pathologie rhumatologique - endocrinienne. Douleurs thoraciques d'origine probablement mixte le 13.06.2016 - pariétales - anxiété. • Arthralgie diffuse d'origine indéterminée le 13.06.2016 DD : pathologie rhumatologique - endocrinienne. Douleurs thoraciques d'origine probablement mixte le 13.06.2016 - pariétales - anxiété • Arthralgie et myalgie diffuse. • Arthralgie, myalgie, névralgie. • Arthralgie, myalgie, névralgie. • Arthralgie, myalgie, névralgie. • Arthralgie, myalgie, névralgie. • Arthralgie, myalgie, névralgie. • Arthralgie, myalgie, névralgie. • Arthralgie, myalgie, névralgie. • Arthralgie, myalgie, névralgie. • Arthralgie, névralgie au niveau de la main et du poignet droit. • Arthralgie, névralgie au niveau de la main et du poignet droit. • Arthralgies. • Arthralgies au niveau cervical et poignet droit : - Diagnostics différentiels : goutte, pseudo-goutte • Arthralgies bilatérales de la base des 1ers et 5èmes métatarsiens • Arthralgies diffuses, diagnostics différentiels : - Lombalgies non déficitaires - Coxalgie gauche - Épaule gauche - Gonarthrose bilatérale • Arthralgies, myalgies et symptômes digestifs décrits comme effets secondaires fréquents des injections de Lucrin, explication au père, antalgie en réserve. DD : courbatures. NOUVELLE CONSULTATION LE 17.02 (DR. X) Présente ce soir en rentrant du ski une crampe de la langue, avec des douleurs au niveau des masseters. Le papa décrit des douleurs fréquentes depuis les injections, et les parents ont rendez-vous avec le pédiatre à ce propos. Status : superposable au 15.02. Résolution spontanée de la crampe en salle d'attente. Dans le contexte de crampes à répétition, bilan sanguin ne montrant pas de troubles électrolytiques, notamment pas de trouble calcium, magnésium, phosphate, K, Na. Contrôle déjà prévu chez le pédiatre à ce sujet, conseils de massage, étirement et chaleur si récidive des crampes. • Arthralgies, myalgies, névralgies. • Arthralgies, myalgies, névralgies. • Arthralgies, myalgies, névralgies. • Arthralgies, myalgies, névralgies. • Arthrite à borréliose bilatérale des genoux • Arthrite de la métacarpo-phalangienne de l'hallux droit. DD : goutte, septique, autres. • Arthrite déformante du 2ème orteil du pied G. Polyarthrite d'origine indéterminée. Hypothyroïdie. • Arthrite du MTP de l'hallux droit. • Arthrite goutteuse du genou droit. • Arthrite juvénile idiopathique. • Arthrite microcristalline (chondrocalcinose, hydroxyapatite). • Arthrite microcristalline (chondrocalcinose, hydroxyapatite). • Arthrite microcristalline (tophus goutteux urique) de l'IPD D3-D4 de la main droite avec : - suspicion de probable surinfection suite à une plaie que le patient se fait lui-même pour soulager la douleur à la face dorsale de l'IPD de D3 datant du 09.02.2019 - status post-incision et drainage de la plaie le 11.02.2019 à la FUA. • Arthrite psoriasique • Arthrite psoriasique • Arthrite psoriasique traitée par Humira • Arthrite rhumatoïde (anamnestique) suivi par Dr. X. Diabète de type 2 NIR. Hypertension artérielle. Probable trouble psychotique (sous Sequase et Cymbalta). • Arthrite rhumatoïde non érosive, facteur rhumatoïde négatif (10.2007) avec phénomène de Raynaud secondaire. Maladie de Crohn avec cholangite sclérosante primitive (05.2017) : - Sous Prednisone, MTX, Leflunomid, Remsima toutes les 4-6 semaines, Salazopyrin Hémochromatose Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Ostéopénie Dépression AOMI stade 2a gauche en raison d'une consommation de nicotine Tabagisme actif • Arthrite septique à Enterococcus faecalis hanche G avec collection en regard du grand trochanter de 6x1.5x9.5 cm le 05.02.2019 sur status post - Implantation prothèse céphalique hanche G le 03.01.2019 pour une fracture du col du fémur le 02.01.2019 - Patient avec vessie iléale • Arthrite septique du poignet (janvier 2011 et septembre 2012). Opération de la cloison nasale pour trauma (2007). Hernie inguinale des deux côtés (1999). Hernie discale L3-L4, avec opération (1998). Pancréatite chronique sur éthylisme chronique. Hémoptysie d'origine mixte (infectieuse et post-radique) le 15.05.2013. Fracture de la diaphyse de la phalange proximale et de la phalange moyenne du 5ème doigt à D le 31.10.2018. • Arthrite septique IPD index gauche avec lésion partielle bandelette centrale tendon extenseur et phlegmon fléchisseur profond P2-3 2ème doigt gauche le 02.09.2018 sur : - morsure de rat face dorsale et palmaire IPD le 31.08.2018. Thrombose v. basilique s'étendant à la veine sous-clavière droite en septembre 2018 sur piccline. • Arthrite sous Inflamac • Arthro-CT : lésion partielle transfixiante des parties antérieures du sus-épineux. La glène postérieure est guérie en position quasi anatomique. Légère omarthrose. • Arthro-CT : Visualisation d'une lésion compatible avec une anse de seau luxée dans l'échancrure au détriment de la corne moyenne et postérieure du ménisque interne. Stabilité du ménisque externe. Intégrité du pivot central et des collatéraux. • Arthrodèse IPP D5 et ténolyse des fléchisseurs main G le 25.03.2013 sur - ankylose en flexum D5 main G, post-traumatique ; accident datant du 07.02.2011 Fracture 3 parts non déplacée de l'humérus proximal G, traitée conservativement en février 2012. Fracture phalange intermédiaire Dig V main le 15.09.2014, traitée conservativement. • Arthrodèse vertébrale. Opération d'une hernie discale. Appendicectomie. Opération des amygdales. Oppression thoracique d'origine indéterminée. • Arthro-IRM : Anse de seau luxée ménisque interne. • Arthro-IRM : coiffe des rotateurs intacte, long chef du biceps à sa place sans signe d'instabilité de celui-ci. • Arthro-IRM : Lésion étendue du sus-épineux avec une rétraction du 2ème degré mais avec une bonne qualité musculaire. Atteinte des parties hautes du sous-épineux avec tendinopathie volumineuse du LCB. Arthrose AC. • Arthro-IRM : montre une lésion intra-tendineuse de petite taille dans le tendon du sus-épineux avec une bursite sous-acromiale assez étendue. • Arthro-IRM : omarthrose concentrique débutante avec une tendinopathie du sus-épineux, mais pas d'autre lésion de la coiffe des rotateurs. Lésion SLAP type II. • Arthro-IRM : Pas de fuite du liquide de contraste lors de l'arthrographie. Lésion dégénérative du TFCC dans le sens d'une lésion horizontale. • Arthro-IRM : Pas de lésion de la coiffe des rotateurs. Légère tendinopathie du sus-épineux. Arthrose AC assez marquée. • Arthro-IRM : Pas de lésion de la coiffe des rotateurs. Légère tendinopathie du sus-épineux, arthrose AC. Biceps dans sa position anatomique sans signe de subluxation.Arthro-IRM : Petite fuite du liquide de contraste dans l'espace luno-triquétral. Arthro-IRM : rupture spontanée du long chef du biceps D, arthrose AC. Tendinopathie du sus-épineux. Arthro-IRM : Sous-épineux et sous-scapulaire ainsi que sus-épineux intact. Tendinopathie du sus-épineux. Signe d'une lésion SLAP qui pourrait par contre représenter un récessus sous-labral. Arthro-IRM : Tendinopathie du sus et sous-épineux avec une arthrose AC. Arthro-IRM : Voir diagnostic susmentionné. Arthro-IRM de l'épaule D du 24.01.2019 : lésion transfixiante sans rupture complète du sus-épineux. Arthrose acromio-claviculaire. Lésion dégénérative du labrum en antéro-supérieur. Arthro-IRM du 16.1.2019 : Lésion trans-fixiante de petite taille du tendon du sus-épineux avec une fuite du liquide de contraste tardive. La plupart du tendon reste attaché sur la tête humérale montrant par contre une fuite du liquide de contraste en antérieur. Arthro-IRM poignet : Visualisation de kyste en regard du grand os. Probable ouverture de la scapholunaire avec passage de liquide de contraste. Arthropathie AC à gauche, status post-infiltration le 26.06.2018. Arthropathie AC symptomatique à gauche Status post infiltration sous-acromiale gauche. Arthropathie acromio-claviculaire D avec status post infiltrations. Boursite sous-acromiale épaule D. Discopathie C4-C5 C5-C6 sans radiculopathie. Légère récidive de tunnel carpien après 2 interventions. Epicondylite latérale à droite. Arthropathie dégénérative. Arthropathie dégénérative connue. Arthropathie destructive de localisations multiples, possiblement à hydroxyapatite avec arthrose secondaire et carpite droite (anticorps négatifs pour une polyarthrite rhumatoïde). Ostéoporose fracturaire (clavicule G, bassin), sous Aclasta 1x/an (dernière dose en 06.2017). Scoliose sinistro-convexe. Sciatalgies gauches non déficitaires. HTA. Arthropathie microcristalline genou D. Arthroplastie de la coiffe des rotateurs G en 2004 et 2008. Pneumothorax gauche minime post-drainage pleural du 17.12.2018. Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique plurifactorielle le 20.12.2018. • épanchements pleuraux bilatéraux le 17.12.2018 et 24.12.2018. • début d'un ARDS para-infectieux versus infiltrats bilatéraux. Arthroplastie de l'ATM gauche et ostéotomie 22.02.2012. Antécédents gynéco-obstétriques : • 6 ICSI (injection intra-cytoplasmique de spermatozoïde) avec ET. • laparoscopie pour endométriose en 2007. • 3 fausses-couches avec curetage et une fausse couche spontanée entre 2008 et 2010 et 2014. • Curetage pour polype. • 2 Césariennes. • Grossesse non évolutive avec stagnation des BHCG. • Laparoscopie exploratrice le 17.10.2014 (pour suspicion de GEU). Canal carpien bilatéral. • IRM cervical 2016 : montre une discopathie C5-C6 ddc, sans myélopathie. Arthroplastie totale de genou G avec implantation d'une PTG Mathys BalanSys PS avec : • fémur PS C cimenté. • plateau tibial PS 75 cimenté. • rotule 34 cimentée. • inlay 75/9. (OP le 30.01.2019). Arthroplastie totale de hanche ddc en 2004. Cure d'hernie inguinale ddc en 1960 environ. Amygdalectomie en 1960 environ. Ligature des trompes en 1983. Arthroplastie totale genou D, Mathys BalaSys avec : • fémur taille C, cimenté, PS. • plateau tibial 75, cimenté. • polyéthylène PS 75/8, fixe. • rotule 34, cimentée. (OP le 22.01.2019). Arthroscopie du genou gauche. Implant capillaire. Palpitations sur probable crise d'angoisse. Arthroscopie genou D avec débridement d'une hypercicatrisation post-plastie LCA avec méniscectomie interne partielle le 12.11.2014. Arthroscopie genou D et plastie du LCA avec tendon rotulien le 14.10.2009. Arthroscopie genou D avec adhésiolyse le 25.01.2009. Arthroscopie genou droit avec : • reconstruction LCA par tendon quadricipital. • reconstruction collatéral médial superficiel et profond par demi-tendineux. • reconstruction POL par demi-tendineux. (OP le 12.12.2018). Arthroscopie genou gauche. Arthroscopie le 02.08.2007 sur status après plastie du ligament croisé antérieur et refixation arthroscopie ouverte du ménisque interne avec des douleurs résiduelles et irritation du genou avec formation d'un kyste de Baker et formation d'un kyste méniscal récidivant. Status post-suture du ménisque interne du genou droit le 26.08.2003. Status post-libération du nerf saphène et plastie du ligament croisé antérieur utilisant le tiers moyen du ligament rotulien ipsilatéral le 10.09.2003. AMO vis + cerclage genou D (OP le 11.12.2018). Arthroscopie pour déchirure du ménisque gauche le 23.08.2016. Ulcère duodénal. Traumatisme crânio-cérébral avec entorse cervicale (2005). Hystérectomie. Lombosciatalgie gauche aiguë non-déficitaire avec : • syndrome radiculaire irritatif S1 et syndrome lombovertébral sur ostéophytose postérieure avec extension foraminale L4-L5 et L5-S1 et hernie discale L5-S1 paramédian gauche venant au contact de la racine S1 gauche. • lombalgies chroniques récidivantes. • status post cure d'hernie discale L3-L4 (L4-L5?) en 1993 avec hyperesthésie séquellaire de la cuisse latérale. Hémorragie digestive haute sur ulcère Forest III d'environ 2 cm le 27.08.2016 dans un contexte de prise d'anti-inflammatoire et Xarelto prophylactique. DD : status post syndrome de Mallory-Weiss. OGD avec biopsie duodénale (Promed P 9219.16) le 01.09.2016. OGD de contrôle à 8-9 semaines. Déficit en vitamine B12 à 175 pg/ml le 29.08.2016. Injection de 1000 ug 1x/jour du 30.08 au 01.09.2016, puis 1x/sem chez son médecin traitant. Hypothyroïdie subclinique le 29.08.2016 : • TSH à 5.28 mU/l, T4 libre à 17 pmol/l. A recontrôler à distance chez médecin traitant. Douleurs du mollet droite probablement d'origine musculaire le 31.08.2016. Consilium angiologique : pas de thrombose veineuse profonde. Bottes anti-thrombotiques du 27 au 31.08.2016. Clexane prophylactique le 31.08.2016. Suspicion de gastrite érosive le 01.09.2016. OGD le 01.09.2016. Hernie hiatale. Arthrose. Arthrose AC bilatérale. Conflit sous-acromial à droite. Omalgies ddc. • Protrusion discale L2-L3. • Status post-AMO L3-S1 type Pangea le 07.04.2017. • Status post fixation de la sacro-iliaque G avec IFuse le 23.11.2012 pour un syndrome sacro-iliaque G sur status post décompression par laminectomie L5 ainsi que spondylodèse L3-S1 avec Pangea et N'Flex + NovaBone et os postéro-latéral et PLIF L4-L5 avec Pliviopore le 05.10.09 pour spondylarthrose avec discopathie invalidante et instabilité L3 à S1. • Suspicion de descellement du matériel de spondylodèse au niveau S1 ddc avec douleurs persistantes lombo-sacrées (DD : arthrose évolutive sacro-iliaques bilatérale). Arthrose AC droite symptomatique. Tendinopathie sus-épineux, sous-épineux oligo-symptomatique. Arthrose AC gauche symptomatique. Arthrose AC symptomatique à droite. Tendinite du LCB à droite et conflit sous-acromial avec boursite sous-acromiale. Tendinite des extenseurs communs poignet G. Status post lésion de Chopard en août 2016. Arthrose (articulations interphalangiennes des deux côtés). Ostéoporose fracturaire. Arthrose au niveau de la cheville gauche. Endométriose. Asthme allergique stable. Myomes utérins intra-muraux résiduels. Arthrose avancée post-traumatique cheville gauche avec kystes dans la partie distale du tibia sur : • Status post ostéosynthèse du pilon tibial en 1992 en Italie. • Ablation du matériel d'ostéosynthèse en 1993. Arthrose cervicale. Arthrose coxo-fémorale G. Arthrose de la cheville G avec varus flexible de l'arrière-pied.Pied plano valgus partiellement réductible. Status post infiltration au niveau des espaces intermétatarsiens 3 et 4 du pied D en octobre 2016 pour une suspicion de névrome de Morton. Arthrose débutante fémoro-patellaire à gauche. Arthrose des épaules des deux côtés Hernies inguinales bilatérales Athéromatose aortique BPCO non stadée • s/p tabagisme 30 UPA (arrêté il y a 40 ans) Arthrose destructive IPP Dig III à D dominant dans le cadre d'une polyarthrose digitale bilatérale. Status post mise en place d'une prothèse IPP à G à la clinique Longerais. Arthrose destructive sévère des mains sur chondrocalcinose DD neuropathie diabétique Arthrose du coude post-traumatique droite avec pseudarthrose de l'olécrâne suite à une chirurgie en 1985. Arthrose du genou droit (suivi Dr. X). Arthrose du genou gauche. Calcium osseux au niveau de l'oeil gauche suivi Dr. X. Arthrose facettaire modérée L5-S1 Dépression traitée, sous Saroten Arthrose fémoro-patellaire D débutante. Status post arthroscopie genou G. Arthrose fémoro-patellaire et gêne du matériel d'ostéosynthèse après status post réduction ouverte et ostéosynthèse de la rotule D par 2 vis pour une fracture transverse ouverte de la rotule Gustillo 1 en 2012. Arthrose fémoro-patellaire genou D. Arthrose fémoro-patellaire stade IV (facette centrale et latérale de la rotule), genou D Arthrose fémoro-patellaire sur patella alta du genou droit. Arthrose fémoro-tibiale externe genou D Arthrose importante de la colonne vertébrale avec: • Myélopathie cervicale sur canal cervical étroit d'origine arthrosique avec paraspasticité douloureuse prédominant à gauche • Probable atteinte L4/L5 motrice légère (M4+) chronique gauche • St/p décompression chirurgicale par abord postérieur L4/L5 gauche le 10.08.2018 Arthrose poignet en novembre 2016 Carcinome urothélial papillaire récidivant de la vessie pTa G2 à G3 et pTis : • le 05.02.2015, Dr. X : résection transurétrale de la vessie Méatotomie et résection transurétrale de la vessie le 17.04.2013 pour grosse tumeur papillaire et solide du trigone de la vessie pT1,G3 et pTis et de la paroi latérale gauche prenant l'orifice urétéral gauche allant jusqu'au col vésical Résection transurétrale secondaire de la vessie, le 15.05.2013, pour récidive d'un carcinome urothélial papillaire pT1 G3 et pTis associé : • Traitement par instillations intra-vésicales de BCG Thrombose de la veine centrale de l'oeil droit avec perte de la vue en mai 2013 Urosepsis sévère à E. Coli non-ESBL le 14.07.2013 Suspicion de poussée aiguë de chondrocalcinose du genou droit le 12.05.2017 : • Diagnostics différentiels : arthrite septique, microcristalline, inflammatoire Pneumonie droite le 23.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 avec créatinine à 126µmol/l d'origine probablement prérénale : • Fraction d'excrétion de l'urée : 22.86% Bicytopénie en janvier 2019 Arthrose poignet en novembre 2016 Carcinome urothélial papillaire récidivant de la vessie pTa G2 à G3 et pTis : • Le 05.02.2015, Dr. X : résection transurétrale de la vessie Résection transurétrale secondaire de la vessie, le 15.05.2013, pour récidive d'un carcinome urothélial papillaire pT1 G3 et pTis associé : • Traitement par instillations intra-vésicales de BCG Méatotomie et résection transurétrale de la vessie le 17.04.2013 pour grosse tumeur papillaire et solide du trigone de la vessie pT1,G3 et pTis et de la paroi latérale gauche prenant l'orifice urétéral gauche allant jusqu'au col vésical Thrombose de la veine centrale de l'oeil droit avec perte de la vue en mai 2013 Urosepsis sévère à E. Coli non-ESBL le 14.07.2013 Suspicion de poussée aiguë de chondrocalcinose du genou droit le 12.05.2017 : • Diagnostics différentiels : arthrite septique, microcristalline, inflammatoire Arthrose post-traumatique du coude droit suite à la fracture de la tête radiale traitée de manière conservateur en juin 2011. Status post arthroscopie avec débridement et résection souris articulaire fossette olécrânienne D en février 2012. Status post plastie de Kashiwagi en 2014 Neuropathie résiduelle du nerf cubital au décours sur status post-transposition sous-cutanée du nerf cubital droit et ablation d'une ostéophytose de la pointe de l'olécrâne coude droit le 01.12.2014. Névrome du nerf cutané brachial médial. Arthrose sévère de l'articulation acromio-claviculaire gauche. Tendinopathie du tendon du sus-épineux gauche. Discopathie sévère C5-C6, C6-C7 avec hypotrophie du ligament jaune et canal cervical étroit. Arthrose sévère et invalidante de la cheville gauche • Scintigraphie osseuse du 18.01.19 Arthrose sous-talienne avancée, symptomatique à D Status post infiltration de l'articulation sous-talienne le 15.06.2018, le 09.11.2018 Status post décompression du nerf tibial, débridement et suture du tendon du tibialis postérieur à D en octobre 2016 par le Dr. X Arthrose sur : Status post AMO vis de positionnement le 30.01.2018. Fracture-luxation ouverte Gustilo 3 A, bimalléolaire, type AO C2 cheville D; le 17.10.2017 avec: • Réduction fermée cheville D aux urgences le 17.10.2017 • Mise en place d'un fixateur externe tibio-calcanéen, rinçage articulaire avec 3 L de NaCl et exploration de la plaie malléolaire interne cheville D le 17.10.2017 • Ablation fixateur externe, OS par plaque tiers tube 9 trous face externe, vis de positionnement et cerclage/haubanage face interne, cheville D le 07.11.2017 • Status post allodynie Arthrose symptomatique de la cheville droite sur status post ligamentoplastie de stabilisation il y a plus de 30 ans. Status post suture tendon quadricipital droit le 01.12.2017. Arthrose tibio-fémorale du compartiment interne avec signe d'inflammation aiguë au niveau du tibia interne sur dégénérescence du ménisque interne. Arthrose tibio-talaire à D avec des ostéophytes au niveau du tibia distal antérieur postérieur et au niveau du talus Ancienne lésion du LFTA Status post multiples entorses de la cheville D dans le passé Status post correction pied bot à G Arthrose BPCO OH chronique Arthrose BPCO OH chronique Arthrotomie hanche gauche. Hystérectomie. Arthrotomie traumatique de l'interphalangienne du pouce gauche avec section complète du tendon de l'EPL suturé en mars 2016. Lyse isthmique bilatérale de la colonne lombaire (déficience de la structure osseuse) en 2003. Status après appendicectomie. Syndrome post-commotionnel le 08.07.2015. Contusion du poignet gauche le 08.07.2015. Arthrotomie traumatique de l'IPD Dig V main D avec lésion complète du tendon extenseur, le 01.02.2019 Arthrotomie traumatique genou G. Débridement de l'arthrotomie traumatique genou G avec rinçage articulaire (OP le 09.01.2014). Arthrotomie traumatique radiale MCP D1 G avec section ligament collatéral radial, muscle abductor pollicis brevis, aponévrose dorso-radiale et section d'une branche du nerf radial superficiel Arythmie. Arythmie cardiaque anamnestique inconnue traitée par Bilol Arythmies malignes (dont TV et torsades de pointe) à 4 reprises, sur cicatrice d'infarctus, le 27.02.2019 AS de l'épaule G avec synovectomie partielle, bursectomie sous-acromiale, acromioplastie et réparation de la coiffe pour rupture du sous-scapulaire, sus et sous-épineux (Dr. X en juin 2018) Fracture tête radiale D type Mason III sur chute le 03.07.2018 AS diagnostique, décompression sous-acromiale ouverte et réinsertion du sus-épineux, ténotomie et ténodèse du chef LCB, réinsertion AC, le 15.12.2014 pour lésion transfixiante du sus-épineux, conflit sous-acromial, ténopathie du LCB, arthrose AC épaule D.Hémi-thyroïdectomie G en septembre 2014. Contusion du genou gauche le 19.05.2017. AS diagnostique épaule D avec • Refixation lésion HAGL • Refixation du muscle sous-scapulaire • Ténotomie/ténodèse du long chef du biceps • Réinsertion du sous-scapulaire et de la capsule inférieure • Réduction et ostéosuture du tubercule majeur (OP le 04.02.2019) AS diagnostique épaule G avec ténotomie du LCB Ténodèse du LCA Suture du sus-épineux en mini open (OP le 07.02.2019) AS épaule D • Tentative de réduction et OS par v. arthroscopique, ténotomie/ténodèse du long chef du biceps • Réduction sanglante, OS de la glène par Bioraptor et OS de la coracoïde par 2 vis HCS 2.4 sur fracture, luxation de l'épaule avec fracture multifragmentaire de la glène et de la coracoïde. • Actuellement : capsulite rétractile débutante épaule D. AS épaule D, ténotomie par v. arthroscopique, ténodèse du LCB, suture du sus-épineux en mini-open par 2 ancres HELICOIL et 2 Footprint (OP le 14.02.2019) AS épaule D, ténotomie puis ténodèse du long chef du biceps, réinsertion mini open du sus-épineux par 2x Helicoïl 4.5 et 2x Footprint (OP le 28.01.2019) AS épaule D, ténotomie/ténodèse du LCB, réinsertion du bord supérieur du sous-scapulaire, acromioplastie arthroscopique le 04.05.2015 sur rupture du bord supérieur du sous-scapulaire avec tendinopathie du long chef du biceps, épaule D (accident de 2012) OS fracture fémur D en 1989 AS épaule G, ténotomie, arthroscopique du long chef du biceps, ténodèse, réinsertion bord supérieur du sous-scapulaire, sus-épineux et sous-épineux par abord mini-open, acromioplastie à minima le 25.07.2016 sur : • Rupture massive de la coiffe des rotateurs épaule G (sous-scapulaire partiel, sus-épineux complet, sous-épineux complet), luxation du long chef du biceps. AVP à moto en mars 1994 avec : • Parésie du nerf circonflexe D. • Luxation articulation AC G : stabilisation AC G avec ligament coraco-acromial selon Weaver-Dunn, vissage coraco-claviculaire selon Bosworth le 09.08.1994; AMO AC en octobre 1994. • TCC. • Fracture des côtes 8 à 10 D. • Contusion myocardique, rénale, hépatique et plaies multiples. Arthroscopie épaule D, réinsertion du sus-épineux et du sous-épineux partielle le 09.01.2017. AS épaule G, ténotomie puis ténodèse du long chef du biceps, suture mini open du tendon du sous-scapulaire (OP le 18.02.2019) AS genou D. AS genou D avec suture inside out de la jonction antérieure et moyenne du ménisque externe (OP le 16.01.2019) AS genou D, reconstruction d'une rupture du LCA par DIDT le 02.02.2016 ; accident de football le 29.07.2015 AS, résection-régularisation corne postérieure et moyenne ménisque interne genou D le 14.02.2017 pour lésion en anse de seau cornes moyenne et postérieure du ménisque interne ; accident de football le 02.02.2017 AS genou D, suture corne postérieure ménisque interne (OP le 14.02.2019) AS genou G avec plastie de construction du LCA par DIDT (OP le 05.02.2019) AS genou G avec plastie de reconstruction du LCA par le tendon quadricipital (OP le 05.02.2019) AS genou G, plastie du LCA par le tendon quadricipital (OP le 15.01.2019) AS genou G, plastie du LCA par le tendon quadricipital, suture ménisque interne par 2 ancres FastFix (OP le 13.02.2019) AS genou G, refixation du LCA par un fil Ticron 5 (OP le 06.02.2019) ASAT 52, ALAT 45 ASP le 04.02.2019 : pas de fécalome Traitement laxatif en réserve ASP le 05.02.2019 : fécalome et présence de selles dans colon descendant Traitements laxatifs avec Laxoberon, Movicol, Lecicarbon et Télébrix Adaptation du traitement pour le retour à domicile, avec conseils d'utilisation (hydratation) ASP 27.01.2019 : anse digestive dilatée jusqu'à 4cm de diamètre, coprostase diffuse encore modérée, prédominant au niveau des colons transverse et descendant. CT abdominal du 27.01.2019 : Iléus grêle mécanique avec plusieurs sauts de calibre (Status adhérentiel ? Sténoses inflammatoires ? Hernie interne). Fine lame de liquide libre entre les anses grêles dilatées. Absence d'autre signe de souffrance des anses grêles. Estomac rempli (indication de pose de sonde naso-gastrique). Laboratoire : cf. annexes Aspergersyndrom Aspergillose bronchopulmonaire allergique Asphyxie néonatale avec apgar 0-4-6 et pH 6.78/ 7.21, premier gasp à 6 min, lactate max. 13 mmoll/l massage cardiaque pendant 2 min ventilation pendant 10 min puis aide inspiratoire pendant 5 min (PEEP+5 au masque, FiO2 max. 1.0) gazométries à 20 et 80 min. hypothermie passive commencée à 35 min de vie (T° min. 35.3) Glucose 10% 5 ml/hre (55 ml/kg/j) Suspicion de convulsions néonatales sur diagnostic 1 avec machonnements dès 90 min. de vie Prématuré 34 3/7 né par césarienne en urgence, PN 2200 g, TN 43cm, PCN 31.5cm - sérologie sp Konakion iv 0.5 mg Suspicion d'infection néonatale Amoxicilline/ Amikacin donnés 1x (après arrivée de l'équipe de Berne) FSC et CRP, Hémoculture Hypotension artérielle (TAM min. 32 mmHg) NaCl 0.9% 2 Bolus (10 ml/kg) Erythroblastose fétale (6.5%) Suivi laboratoire Asphyxie périnatale sévère avec : • encéphalopathie hypoxique-ischémique • insuffisance respiratoire Aspiration curetage pour grossesse non évolutive à 11 2/7 semaines d'aménorrhée (2018) Portage de MRSA en 2018 (frottis 01.02.2019 : négatif) Aspirine à rediscuter après imagerie de contrôle Atorvastatine 20 mg Aspirine à rediscuter après imagerie de contrôle Atorvastatine 20 mg Aspirine à vie, dès le 5.2.2019 Efient pour 6 mois dès le 5.2.2019 Lisinopril dès le 7.9.2019 Echocardiographie transthoracique le 06.02.19 Coronarographie (Dr. X) le 06.02.2019 Avis cardiologique le 7.2.2019 RAD le 11.2.2019 Contrôle à 1 mois chez Dr. X, Médecin traitant Physiothérapie pour réadaptation cardio-vasculaire à Billens Ergométrie agendée pour août 2019 Aspirine à vie Reprise du Plavix le 18.01.2019 après contrôle par CT-cérébral rassurant, pour 6 mois Aspirine cardio à vie, Plavix jusqu'au 04.06.2019 ECG le 17.01.2019 : rythme sinusal R-test prévu le 06.02.2019 pour vérifier l'absence de récidive de la FA non souhaité par la patiente Pas d'autres investigations ni de suivi cardiologique souhaités par la patiente Aspirine Cardio à vie Efient pour 12 mois (jusqu'au 16.11.2019) Réadaptation cardiovasculaire avec physiothérapie et ergothérapie Suivi nutritionnel Ajustement des traitements Aspirine Cardio du 12.02 au 13.02.2019 Beloc Zok dès le 11.02.2019 ECG (11.02.2019) : flutter atrial ECG (12.02.2019) : rythme sinusal régulier à 80 bpm Coronarographie (13.02.2019) : coronaires saines ETT (13.02.2019) : FeVG 70%, cardiomyopathie hypertrophique asymétrique, atrium gauche modérément dilaté sans HTAP Avis cardio le 12.02.2019 (Dr. X, cardiologue de garde) : administration de Beloc, ad bilan des coronaires Ablation du flutter atrial au CHUV prochainement (la patiente sera convoquée) Rendez-vous auprès du Prof. X le 14.03.2019 à 11h00 Aspirine cardio et Xarelto 20 mg Rendez-vous en Angiologie le 25.02.2019 à 9h45 Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 26.02.2019 à 9h30 Aspirine en cours. Stop Plavix et anticoagulation thérapeutique Aspirine Pas d'autre investigations Aspirine 100mg 1-0-0 à vie, Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois, atorvastatine 20mg. Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie dans 6 mois. Aspirine 100mg 1-0-0 à vie, Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie dans 1 année. Aspirine 250 mg per os et héparine 5000 IU en i.v. aux urgences Bilan cardiaque à organiser Aspirine 500 mg iv, Efient 60 mg, Héparine 5000 UI Coronarographie le 16.02.2019 : dilatation avec mise en place d'un stent actif sur l'IVA moyenne Aspirine 500 mg iv, Efient 60 mg, Héparine 5000 UI Coronarographie le 16.02.2019 : dilatation avec mise en place d'un stent actif sur l'IVA moyenne Aspirine à vie Efient le 15.02 puis en suspend, repris du 20.02 au 22.02.2019 Plavix dès le 23.02.2019 ASS 100 mg Atrovastatin 40 mg Bilan ophtalmologique : demande effectuée Assez bonne évolution vu la situation globale difficile. Poursuite de l'ergothérapie. Contrôle chez moi dans 2 mois le 24.4.2019. Asthénie Asthénie Asthénie Asthénie. Asthénie. Asthénie. Asthénie. Asthénie. Asthénie. Asthénie dans un contexte d'état grippal Asthénie d'origine indéterminée le 19.02.2019. DD : • post virale Asthénie d'origine indéterminée le 22.07.2018 • DD : effet indésirable médicamenteux, poussée de SEP. Examen neurologique normal. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, tests hépatiques normaux. Arrêt de travail. Avis neurologique (Dr. X) : pas d'indication à une imagerie en urgence, retour à domicile avec prise de rendez-vous rapproché au Neurozentrum, patient doit se représenter aux urgences en cas de péjoration des plaintes. Prochain rendez-vous chez Dr. X le 14.08.2018. Asthénie d'origine indéterminée le 22.07.2018 : • DD : effet indésirable médicamenteux, poussée de SEP. Asthénie et anorexie chez une patiente actuellement sous chimiothérapie pour un carcinome du sein droit. Asthénie et céphalées Asthénie et maintien impossible à domicile dans le contexte oncologique suivant : Liposarcome para-testiculaire gauche avec découverte de métastases abdominales • date du diagnostic : 11.11.2009 • histologie : liposarcome de sous-type pléomorphe mixte, grade 3 selon FNCLCC. MIB 1 - 50 % (taux de capsule très fin à la surface tumorale) • bilan d'extension en décembre 2009 par CT thoracique et IRM abdomino-pelvienne sans évidence de métastase à distance • status post-résection (Dr. X) le 11.11.2009 • scintigraphie osseuse du 26.01.2010 : pas d'évidence de métastase osseuse • status post-reprise chirurgicale pour récidive le 26.08.2013 • histologie : liposarcome en grande partie de type pléomorphe grade 3 d'après FNCLCC (le tissu tumoral touche par endroits la surface de coupe tissulaire) • status post-reprise chirurgicale le 22.09.2014 pour 2ème récidive tumorale • histologie : liposarcome en grande partie de type pléomorphe grade 3 d'après FNCLCC (résection R1) • pas de chimiothérapie adjuvante en raison d'un risque de toxicité important (lié à son HIV, une hyperbilirubinémie et son status post-néphrectomie) • hémicastration le 07.12.2015 pour 5ème récidive avec radiothérapie néo-adjuvante en octobre-novembre 2015 • excision d'une récidive le 21.08.2017 décembre 2017 : récidive du nombre des métastases multiples • PET-CT du 18.12.2017 : métastases au niveau intercostal droit, médiastinal, latéro-thoracique droit, psoas droit et fessier gauche et cuisses • status post-biopsie des lésions sous-cutanées au niveau du flanc droit (histologie) : métastases du sarcome de haut grade en partie fusiforme, en partie pléomorphe connu (liposarcome dédifférencié) • status post-3 cures d'une chimiothérapie palliative par Adriblastine du 30.01.2018 au 23.03.2018 combinée à un traitement par Olaratumab dès la 3ème cure de chimiothérapie (23.03.2018) • CT scan thoraco-abdominal du 04.01.2019 : Augmentation en taille de l'implant dans le médiastin antérieur, des nodules pulmonaires, principalement dans le lobe inférieur droit, des multiples implants notamment sous la coupole diaphragmatique gauche, au contact des muscles psoas ddc, dans le bassin et dans la fosse ischio-rectale gauche, des multiples implants principalement dans le muscle piriforme du côté gauche ; masse hétérogène paratesticulaire gauche en rapport avec la récidive du liposarcome du côté gauche ; pas de foyer infectieux visible Actuellement : progression tumorale sous traitements oncologiques. Décision arrêt des traitements oncologiques avec traitements symptomatiques uniquement. Suivi oncologique assuré par Dr. X et suivi palliatif ambulatoire assuré par Dr. X Asthénie et somnolence dans contexte oncologique en progression Asthénie et somnolence invalidante d'origine multifactorielle • progression oncologique • iatrogène sur haute dose d'opioïdes • état anxio-dépressif sous-jacent Asthénie et vertiges Asthénie et vertiges d'origine fonctionnelle probable le 20.10.2017 Tentamen médicamenteux le 03.08.2011 avec hospitalisation au RFSM du 04.08 au 06.08.2011 Parésie faciale périphérique gauche suite au tentamen, traitée par Prednisone et Valtrex en 2011 Suspicion de poussée de SEP le 09.04.2018 : Composante fonctionnelle très probable Suspicion de poussée de SEP le 29.08.2018 Asthénie avec péjoration de la parésie des membres inférieurs dans le cadre d'une suspicion de poussée de SEP le 09.11.2018 Labo : aligné Avis neurologique (Dr. X) : • Patiente connue pour plusieurs consultations avec la même symptomatologie sans que des poussées n'aient été objectivées • Origine fonctionnelle probable au vu du status, pas de signes de gravité • Hospitalisation en vue de l'incapacité de marche et du contexte psycho-social difficile • Amélioration clinique spontanée lors du séjour IRM cérébro-cervicale le 12.11.2018 IRM thoraco-lombaire le 15.11.2018 Sclérose en plaques de type poussée-rémission : • diagnostiquée en 2014, suivie par Dr. X puis par Dr. X • asthénie avec aggravation d'un hémisyndrome sensitivo-moteur gauche dans le cadre de sclérose en plaques de type poussée-rémission le 02.06.2016 • Parésies des membres inférieurs et du membre supérieur gauche le 07.06.2017 Sous Gilenya Crise psycho-sociale • relation conflictuelle avec sa fille institutionnalisée • isolement social, épuisement • évaluation par psychiatre de garde les 12 et 13.11.2018 : pas de critères de sévérité, anxiolytique en réserve • suivi psychiatrique ambulatoire fortement recommandé • évaluation par psychiatre de garde les 12 et 13.11.2018 : pas de critères de sévérité, anxiolytique en réserve • suivi psychiatrique ambulatoire fortement recommandé • Asthénie générale avec : • épisode de dépression modérée et trouble dépressif récurrent (tentative de suicide le 25.09.2016) • pseudo démence (MMS 28/30, Horloge 5/7 le 10.10.2016), (MMS 26/30, Horloge des 2/7 heures le 14.10.2016), (MMS 30/30, horloge du 5/6 le 19.12.2016) s/p Empyème pleural à droite en 09.2016 • Asthénie généralisée le 19.02.2019. DD : • virose au décours, maladie auto-immune, pathologie oncologique. • Asthénie marquée et invalidante dans un contexte oncologique en progression avec cachexie marquée (cf. infra) • Asthénie sur anémie possiblement ferriprive. • Asthénie sur maladie oncologique en progression • Asthénie/fatigue. • Asthénie Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 7 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d’une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. • Asthme • Asthme • Asthme • Asthme • Asthme • Asthme • Asthme • Asthme • Asthme • Asthme • Asthme • Asthme. • Asthme. • Asthme. • Asthme. • Asthme. • Asthme. • Asthme. • Asthme. • Asthme. • Asthme. • Asthme. • Asthme. • Asthme. • Asthme. • Asthme à l'effort • Asthme à l'effort. Troubles de l'humeur type dépressif. • Asthme aigu modéré le 06.02.2019. Peak Flow 50 %. • Asthme aigu modéré le 21.06.2017. • Asthme aigu modéré le 26.02.2019. • Asthme aigu modéré sur possible début de pneumonie. • Asthme allergique • Asthme allergique • Asthme allergique. • Asthme allergique avec : • décompensation asthmatique d'origine infectieuse (virale vs bactérienne) • Peak flow à 65 % du prédit à 1 heure post aérosols (310 l/min, prédit à 480 l/min). Asthme sans critère de crise d'asthme aigu le 03.02.2018 : • PF à 80 % du prédit (350 l/min). • Asthme allergique avec crise modérée (PRAM : 7) • Asthme allergique avec status post traitement de désensibilisation. Douleurs rétrosternales d'origine pariétale. Gastrite virale avec nausées et vomissements. DD : gastroentérite débutante. • Asthme allergique avec Vannair en R. Prolapsus mitral. • Asthme allergique contrôlé selon les critères GINA. BPCO stade III selon Gold. Emphysème pulmonaire. • Asthme allergique depuis l'enfance • Asthme allergique et polyallergie : poil de chien, chat et cheval, acariens, pollen. • Asthme allergique ou à l'effort • Asthme allergique sous Axotid et Atrovent Fibromyalgie Carcinome sein D en rémission après status post tumorectomie en août 2018 à l'Hôpital Daler • 25 séances de radiothérapies Tabagisme actif Nodules thyroïdiens régulièrement contrôlés BPCO • Asthme allergique Dermite atopique ? Hypertension artérielle Syndrome d'apnée du sommeil appareillé • Asthme allergique Eczéma Diverticulose sigmoidienne et colique avec : • St/p diverticulite à répétition (dernier épisode en 2017) • Coloscopie en 2017 (Diverticule calme) • Asthme allergique. Gastrite. • Asthme allergique. Status post-2 accouchements par voie basse, en 2010 et 2013. Cervicalgies sur contracture musculaire du muscle trapèze gauche le 07.12.2015. Douleurs abdominales sur probable adénite mésentérique. • Asthme anamnestique • Asthme bronchique • Asthme bronchique. • Asthme bronchique avec possible composante de syndrome de Vidal Hypertension artérielle traitée Tabagisme à 70 UPA Hépatite B (diagnostiquée il y a 30 ans, au Portugal), suivie par le médecin traitant tous les 6 mois • Asthme bronchique de degré léger à modéré • fonctions pulmonaires du 23.04.2015 : pas de syndrome obstructif. Abaissement léger et harmonieux du VEMS, de la CVF et des débits moyens • tabagisme actif • broncho-ectasies discrètes du lobe moyen et des lobes inférieurs Suspicion de maladie de Ménière en 2013 Cure du tunnel carpien à droite en 2004 Ischémie distale des doigts I, II, III D avec : • nécrose punctiforme au niveau des doigts II et III d'origine indéterminée • Asthme bronchique. Burn-out avec troubles anxieux, sous traitement médicamenteux. • Asthme chronique sévère. • Asthme chronique sévère Hypertrophie de la prostate Extrasystolie ventriculaire multiple • Asthme chronique sous traitement de Vannair 1x/j et Lukair le soir 1x/j depuis 2 mois. • asthme connu (Tx par ventolin et Laxotidine ?) • Asthme connu, traité par ventolin et Laxotidine ? • Asthme dans l'enfance • Asthme dans l'enfance • Asthme dans l'enfance. • Asthme dans l'enfance. Migraine avec aura. Crise d'angoisse. • Asthme dans l'enfance. Migraine avec aura. Crise d'angoisse. • Asthme d'effort • Asthme d'effort. • Asthme d'effort et allergique. Reflux gastro-oesophagien. • Asthme d'effort probable Insuffisance veineuse chronique de stade III avec : • s/p crossectomie-stripping saphène interne bilatéral 1975 ; s/p op 1994 • s/p thromboses veineuses profondes récidivantes anticoagulés de 1980 à 2003 • s/p thrombose veineuse profonde de la veine péronière droite 08/2010 • discrète insuffisance saphène externe droite • insuffisance post-thrombotique veine fémorale et poplitée bilatérale, veine péronière droite et tibiale postérieure gauche (US du 31.03.2011), responsable d'ulcères récidivants à gauche • Asthme d'effort Migraine avec aura atypique (suivie dans le service de neurologie HFR) • Asthme d'étiologie inconnue Tabagisme actif le 30.01.2018 Consommation de cannabis fumé et cocaïne sniffée. Gêne inspiratoire dans le contexte d'angoisse le 30.01.2018 • Geneva score modified : probabilité basse • PERC score : embolie pulmonaire exclue • Asthme Diabète non insulino-requérant Angine de poitrine • Asthme Hypertension artérielle sous Cosaar Plus. • Asthme infantile Entorse du genou gauche. • Asthme léger • Asthme modéré persistant avec sensibilisation aux acariens, aux graminés et au seigle. Hypertension artérielle. Tabagisme ancien. SAOS appareillé. Gastrite aiguë. • Asthme non décompensé. Angine à Strepto le 22.06.2018. • Asthme non décompensé. Angine à Streptocoque le 22.06.2018. • Asthme probablement allergique chronique le 19.01.2017 avec : • toux sèche chronique • Asthme sans traitement de fond. • Asthme sévère sous traitement Médecine anthroposophique, Ventolin et Atrovent pendant les crises d'asthme. Bronchite et OMA à répétition. Reflux gastro-oesophagien traité. Allergie aux protéines bovines. Intolérance au gluten. Affection dentaire X. • Asthme sous Sérétide. • Asthme sous Symbicort. • Asthme sous traitement avec Axotide 125 x2 • Asthme sous Vanair et Montelukast • Asthme sous Vanair et Montelukast, Ventolin • Asthme sous ventolin et Symbicort en réserve. • Asthme traité avec Ventolin 2 pushs le soir, des fois il se réveille la nuit avec dyspnée, après 2 pushs de Ventolin amélioration. Relvar le soir Asthme traité par Ventolin au besoin. Asthme traité par Ventolin en R. Asthme traitée par Dirpophos sc 1x/mois et Seretide 500 1x/jour. Maladie de reflux. Fibromyalgie. Asthme, Ventolin en réserve. Asthme, vs bronchite asthmatiforme. Diabète gestationnel insulino-requérant, rdv en diabétologie du Cantonal en août. Asthme. Contexte psychosocial difficile: • enfant connu pour troubles du comportement et hyperactivité, probable syndrome de stress post-traumatique (abus) • contexte familial difficile, enfant placé au foyer Nid Clairval. Actuellement suivie par le centre psychosocial de Fribourg, ne prend plus de traitement. Asthme. Polypose naso-sinusienne. Asthme. Surdité bilatérale. Asthme traitée par Ventolin au besoin. Asthme. Trouble dépressif depuis l'adolescence avec: • Citalopram jusqu'au début de la grossesse. • Suivi psychologique au Centre Bertigny. Asymétrie de taille des reins. Suivi en néphrologie à l'Hôpital de l'Ile. Asymétrie faciale en défaveur de la gauche nouvelle. DD: AVC sous-cortical sylvien profond gauche. Asymétrie faciale péri-oculaire D d'origine indéterminée le 15.02.2019. DD: origine centrale. Asymétrie constitutionnelle (liée à la perte de poids). Ataxie axiale neuro-dégénérative d'origine inconnue avec troubles de la marche et de l'équilibre. Ataxie, hypoesthésie et parésie MSG le 27.02.2019. DD symptomatologie ancienne exacerbée dans le contexte d'un état infectieux (CRP 47). DD nouvelle lésion ischémique. DD état post-critique sur crise d'épilepsie non objectivée. Atelle Edenbourg syndactylie 4ème et 5ème doigt, antalgie. Atelle velcro poignet D. Antalgiques. Arrêt des sports pendant 10 jours. Sportusal gel. Contrôle chez le pédiatre dans 10 jours si douleurs persistantes. Rx poignet droit. Atemnot. Atenolol mis en suspens. Athéromatose des vaisseaux pré-cérébraux: • à droite, sténose de l'artère carotide interne droite à 90%, asymptomatique, angio-CT-scan du 18.12.2018 • à gauche, sténose moyenne du départ de l'artère carotide interne gauche, asymptomatique • absence d'occlusion des vaisseaux intra-cérébraux. Atonie utérine non hémorragique. Atorvastatine. Atorvastatine dès le 05.02.2019. Lipanthyl dès le 05.02.2019. Suivi endocrinologique. Atorvastatine dès le 15.02.2019. Atorvastatine dès le 21.02.2019. Atorvastatine 40 mg dès le 21.01.2019. LDL cible < 1.8 mmol/l. Atorvastatine 40 mg 1x/j dès le 12.01.2019: • taux de LDL cible < 1.8 mmol/L et/ou une baisse de > 50% de la valeur de base. Atrésie pulmonaire, traité avec Propranolol 7 mg 3x/jour. Atrophie cérébrale. Atrophie congénitale du cervelet, avec épilepsie : Timonil 5ml 3x/24h. RGO - Nexium 10mg 1x/jour. Atrophie pôle inférieur rénal gauche le 14.02.2019: • sur occlusion artère polaire rénale inférieure gauche d'allure subaiguë. Att: • Pevaryl poudre. Att: • Suivi biologique. Att: • Traitement symptomatique si patient devient symptomatique. Att: Avis psychiatrique pour possible changement de traitement. Att: Collunosol spray, réévaluation ORL si pas d'amélioration dans 48h. Att: Radiographie poignet gauche. Réduction fermée, plâtre ouvert. Radiographie de contrôle. Nous expliquons à la patiente qu'une opération chirurgicale est indiquée pour sa situation ainsi que les risques et les bénéfices de cette intervention. La patiente souhaite réfléchir et nous la recontacterons demain pour prendre connaissance de sa décision. Antalgie. Arrêt de travail à 100% pendant 2 semaines. Att: • Sintrom en pause • Contrôle INR le 08.02.2019, évtl reprise du Sintrom selon valeurs. Att: • suivi biologique. Attaque de panique avec malaise et perte de connaissance d'une durée indéterminée sans traumatisme crânien, sans amnésie circonstancielle dans un contexte de dépression mineure. Attaque de panique le 12.02.2019. • tr. anxio-dépressifs récurrents avec attaque de panique récidivante. Attaques de panique avec crises hypertensives sur état dépressif. Atteinte cutanée membre inférieur gauche. Atteinte de la coiffe des rotateurs de l'épaule gauche (Opération par le Dr. X le jeudi 21.02.2019). Atteinte des cordes vocales suite aux intubations dans le passé (grande prématurée). Atteinte du muscle sus-épineux bilatérale le 26.01.2019: • dans contexte de chute mécanique. Atteinte du nerf hypoglosse et du nerf grand auriculaire droits iatrogènes. Atteinte du noyau du 5ème nerf crânien droit le 28.02.2019. • DD: ischémique, sur démyélinisation. Atteinte inflammatoire du genou gauche avec bursite médiale et inflammation du ménisque interne, discrète altération du cartilage rotulien. Attelle AB fendue. Attelle de doigt pour 4 semaines, spedifen 200 mg 2-3x/jour pour 5 jours, dispense de sport du 21.02.2019 - 21.03.2019, contrôle à un mois à la permanence avec radiologie. Attelle du poignet pour une semaine, puis contrôle chez le pédiatre. Attelle jambière postérieure fendue à but antalgique. Cannes, antalgie, arrêt sport une semaine. Contrôle ortho urgence pour contrôle clinique et ablation attelle dans une semaine. Consignes de surveillance de douleur dans le plâtre. Attelle jeans à 20° pour 4-5 jours. Glace. Protocole RICE. Antalgie. Charges selon douleurs. Contrôle chez le médecin traitant. Attelle jeans. Antalgie selon procédure RICE. IRM en ambulatoire. Contrôle au team genou dans les 14 jours. Attelle plâtrée pour une semaine, contrôle en ortho par la suite. Attelle poignet. Antalgie, repos, arrêt de sport 2 semaines. Suivi par pédiatre dans une semaine si persistance douleurs. Attelle velcro pendant 1 semaine. Antalgiques en réserve. Contrôle clinique dans 10 jours si persistance des douleurs. Attente de placement en EMS. Attente trop longue, parti sans consultation médicale. Attente de placement en EMS. Attitude: • Crème hydratante au besoin. Attitude: • IRM de contrôle à 3 mois à organiser. • Le patient a été instruit des risques et symptômes liés à la pratique de sports à risque et le risque relatif à ne pas en pratiquer. Attitude: • mise en pause temporaire du Sintrom, contrôle biologique. Attitude: • Suivi biologique. • Seuil à 80 g/L. Attitude: • traitement insuffisance cardiaque. Attitude: ad Co Amoxicilline 1000 mg 2x/j pour 72h à réévaluer si prolonger de 48h selon évolution clinique + antalgie. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences dans 48h. Attitude: • Bilan anémie, évtl. substituer. Attitude: • Bilan anémique à prévoir. Attitude: • Contacter le MT pour savoir les dernières valeurs de virémie et de CD4. Attitude: • Contrôle clinico-biologique au secteur ambulatoire des urgences. Attitude: • contrôle laboratoire 16.02. Attitude: • discuter investigations. Attitude: • hydratation. • Titration Beloc avec fréquence cardiaque aux alentours de 100 à la sortie.Retour à domicile et Beloc 25 mg à 16 h à prendre à la maison puis reprise du traitement habituel. Attitude: • Infiltration prévue le 25.02.2019 Attitude: • Retour à domicile. • Antalgie + myorelaxant. • Conseil de réévaluer avec le médecin de famille si persistance des symptômes +/- IRM rachis lombaire en ambulatoire à la recherche d'un conflit radio-discal. Attitude: • Retour à domicile avec traitement symptomatique, conseil de ne pas continuer la prise d'AINS et introduction IPP. Attitude: • Retour à domicile. • Conseil d'usage. • Arrêt de travail. • Antipyrétique. • Antitussif. Attitude: • Seresta, Seretide et Becozyme. Attitude: • Sintrom mis en suspens. • Contrôle labo le 6.02 puis reprise du Sintrom en fonction. Attitude: • Soins locaux, 3 points de suture, plaie non inflammatoire. Avis Urologie (Patient suivi par Dr. X): Attitude: • Traitement épreuve Pantoprazol 10 jours. • Conseils d'hygiène de vie. Attitude: • Acyclovir topique. Attitude: • Hydratation avec G5 % 500 mL rapide aux urgences (erreur) et par la suite 2500 mL sur 24 heures. • Suivi biologique. • Prévoir suite de prise en charge aux soins palliatifs vu la rapide dégradation de l'état général, déjà discuté avec la fille aux urgences cf discussion ci-dessous. Attitude: • Investigation avec électrophorèse des protéines en cours. Attitude: retour à domicile avec traitement symptomatique. Attitude: Retour à domicile avec traitement symptomatique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Signes de gravité devant amener à une nouvelle consultation aux urgences expliqués. Attitude: suivi biologique. Attitude vicieuse en supination à la marche sur status post entorse de la cheville G en supination le 29.10.2018. Attitude: Retour à domicile avec traitement de Xyzal pendant 5 jours. Signes de gravité devant amener à une nouvelle consultation aux urgences expliqués. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Au bilan biologique, présence de léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 18 mg/l, sans leucocytose. Reste du laboratoire sans particularité. Une radiographie du thorax ne montre pas d'infiltrat, pas d'épanchement. Au vu des résultats rassurants de l'examen clinique, du bilan biologique et radiologique, le patient peut retourner à domicile et poursuivre le traitement prescrit par son médecin traitant. En cas de persistance ou de péjoration des symptômes, nous lui conseillons de reconsulter son médecin traitant. Au bilan sanguin et radiographie du thorax, pas d'argument pour une surinfection bactérienne. Vu la composante bronchite spastique, nous débutons un traitement avec Betnesol pendant 3 jours. Traitement symptomatique pour l'angine. Contrôle chez le pédiatre en cas de persistance des difficultés respiratoires dans 48-72 h. Au CHUV: ECG. CT scan cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux. Transfert urgences - HFR Fribourg. Avis neurologique - Dr. X. Poursuite Xarelto. Pas d'indication de réaliser une IRM neurocrâne. Au contrôle à la filière des urgences ambulatoires ce jour, diminution des douleurs et contrôle biologique qui ne met en évidence aucun syndrome inflammatoire, diminution des leucocytes par rapport à la veille. Nous dosons également l'acide urique qui montre une valeur dans les normes. Au vu du bilan clinico-biologique rassurant, le patient peut rentrer à domicile avec un traitement anti-inflammatoire et une antalgie simple. En cas de persistance des douleurs, nous lui conseillons de consulter son médecin traitant, qui l'adressera si nécessaire chez un rhumatologue. Au contrôle clinico-biologique de ce jour, nous effectuons un nouveau bilan biologique qui objective une CRP à 5 mg/l, des leucocytes à 10.1 G/l, des thrombocytes à 311 G/l. Sur avis du Dr. X, de médecine interne, nous effectuons un score de Wells qui revient à 1, raison pour laquelle nous dosons les D-dimères qui sont de 1259 ng/mL. Dans ce contexte, nous demandons un ultrason angiologique pour le 20.02.2019 à 11 h avec un contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires par la suite. Nous mettons le patient sous Clexane thérapeutique avec 80 mg 2x/jour en sous-cutané et poursuivons la prise en charge prévue le 18.02.2019 dans le contexte de la DHD (antibiotique, immobilisation par attelle SplintPod), avec réévaluation le 20.02.2019 après le bilan angiologique. Au vu d'un patient rassurant cliniquement, il rentre à domicile avec une consultation le 20.02.2019 à 11 h. Au contrôle clinique, le patient ne présente pas de TNV avec une bonne mobilité et pas de douleur. Vu le jeune âge du patient, ses activités professionnelles et sportives, nous prévoyons un examen approfondi par IRM pour mieux visualiser les potentielles lésions. Nous reverrons le patient par la suite pour les résultats. Poursuite de l'arrêt de travail. Traitement par physiothérapie selon schéma San Antonio, antalgie selon besoin. Au contrôle radiologique, la fracture est stable. Cliniquement, la patiente est toujours symptomatique au niveau de la zone fracturaire. Poursuite du traitement conservateur avec l'attelle Metacarpal Brace. Nous autorisons la patiente à effectuer des auto-exercices des doigts, sans contrainte, afin d'éviter un enraidissement. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. Au laboratoire, pas de CRP ni de leucocytose, tests hépato-pancréatiques dans la norme. Le sédiment urinaire est propre. Nous demandons l'avis de Dr. X, chirurgien, qui est passé voir la patiente et qui a demandé un CT scan abdominal qui montre un discret épaississement pariétal circonférentiel du sigmoïde mais nettement moins marqué par rapport au comparatif de décembre 2018, sans abcès ou collection visible. Le Dr. X a proposé donc de continuer la thérapie antibiotique avec Ciproxine et Flagyl pour 12 jours au total et d'augmenter l'antalgie à domicile. Rendez-vous chez le Dr. X confirmé pour le 04.03.2019. Au laboratoire, pas de syndrome inflammatoire, D-Dimères négatifs. Sortie sous traitement symptomatique (Voltarène + Sirdalud). Au moment de son arrivée, Mme. Y présente des signes de déshydratation modérée avec pâleur cutanée, tachycardie et une apathie. Sur le plan métabolique, à l'arrivée, la gazométrie montre un équilibre acido-basique (pH 7.38, pCO2 4.8 mmHg, bicarbonates 20 mmol/l) avec une hyponatrémie à 133 mmol/L. Mme. Y est hospitalisée pour une réhydratation intraveineuse. Pendant l'hospitalisation, les vomissements et la diarrhée sont arrêtés. Mme. Y montre une reprise hydrique et alimentation et la quantité perfusée est continuellement réduite. Sur le plan respiratoire, elle présente une toux sans difficulté respiratoire accompagnée de sibilances expiratoires qui cèdent sous une dose de ventolin 100 microgrammes par dose, 4 puffs. Elle reste stable pour le reste de son hospitalisation. Au vu de la bonne évolution clinique, nous décidons d'un retour à domicile le 08.02.2019. Au niveau biologique, on retrouve une légère hypokaliémie que nous attribuons au manque de nutrition ces derniers jours et un syndrome inflammatoire important avec des leucos à 16.7 G/l et une CRP à 188 mmol/l. Les tests hépatico-pancréatiques sont alignés. Les urines sont à la limite de la norme. Et au niveau radiologique, on ne retrouve pas de foyer de pneumonie. Au vu du syndrome inflammatoire élevé, nous administrons une dose de Rocephine iv 2g avec le Dr. X afin de la couvrir au cas où elle ferait une surinfection. Par la suite, nous réévaluons le cas avec Dr. X et nous concluons à un syndrome grippal sans signe de surinfection actuellement. Cependant, au vu du syndrome inflammatoire élevé, nous préconisons un contrôle clinico-biologique (FS, CRP) à la filière des urgences ambulatoires le lendemain. Nous lui fournissons un arrêt de travail jusqu'au 19.02.2019 avec contrôle chez le médecin traitant le jour même ainsi qu'une prescription de Dafalgan comprimé 1 g 4x/j pour 5 jours puis selon l'évolution et Irfen comprimé 400 mg 3x/jour pour 5 jours ainsi que du Motilium en réserve avec du Buscopan 20 mg en réserve.Au niveau clinique, le flanc droit et le pied droit sont rassurants mais étant donné la boiterie de décharge, nous décidons d'effectuer une radiographie du talon droit. Celle-ci ne montre pas de fracture et nous concluons à une contusion simple pour laquelle nous prescrivons du Dafalgan 1g 3x/jour et Irfen 400 mg 3x/jour pour 3 jours ainsi que 2 frictions/jour avec du Sportusal Emgel et port d'une bande élastique. Au niveau clinique, nous retrouvons un majeur tuméfié avec des douleurs maximales lors de la flexion de l'interphalangienne proximale et de la palpation de la 2ème phalange. Sur le plan radiologique, nous confirmons la présence d'une fracture de la 2ème phalange du majeur droit, peu déplacée, pour laquelle nous réalisons une syndactylie sur avis du Dr. X, orthopédiste. Nous prescrivons une antalgie d'office pour les 3 premiers jours par Dafalgan sirop enfant adapté selon le poids, puis en réserve selon les douleurs. Un contrôle sera prévu à la consultation du Dr. X le 25.02.2019 et nous lui prescrivons une dispense de sport jusqu'à cette date. Au niveau de cette fracture fraîche, poursuite du traitement conservateur. Prescription de bas de contention pour limiter l'œdème. Reprise de l'activité professionnelle à 50% pour 1 semaine dès le 18.01.2019 jusqu'au 25.02.2019 puis reprise à 100% dès le 25.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique à 6 mois postopératoires. Au niveau de la hanche, nous n'avons pas d'argument pour une coxarthrose. Nous discutons également avec le Dr. X sur la situation postopératoire au niveau de la colonne lombaire. Le patient présente surtout une faiblesse au niveau des abducteurs à gauche et une inflammation du tractus ilio-tibial. Nous prescrivons de la physiothérapie pour le renforcement musculaire au niveau des abducteurs et de la musculature des membres inférieurs et également des mesures antalgiques. Nous lui prescrivons également une semelle pour égaliser une asymétrie de longueur des jambes. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle en ce qui concerne la hanche. Le patient sera revu chez le Dr. X dans 4 mois. Au niveau de l'épaule droite, l'image radiologique est tout à fait satisfaisante et en l'absence de nécrose de la tête à 2 ans postopératoire, l'apparition d'une telle nécrose reste peu vraisemblable. Par la suite, on peut donc espérer que la fonction de l'épaule reste aussi bonne que ce qu'elle est actuellement. On peut toujours espérer gagner des amplitudes articulaires et de la force avec de la physiothérapie et ainsi arriver à une diminution de la gêne. J'appuie tout à fait la décision du patient de changer d'activité professionnelle pour éviter les activités au-delà de l'horizontale. Concernant sa demande par rapport au taux d'atteinte à l'intégrité reconnue par la SUVA à 10%, celui-ci me semble raisonnable. Je réponds également au courrier à son avocat dans ce sens. Au niveau de l'épaule, nous constatons une évolution très favorable avec un patient qui est quasiment asymptomatique et pas limité dans sa vie quotidienne. Mobilisation et charge libre. Au niveau de la hanche gauche, nous interprétons les douleurs plutôt dans le cadre d'un déconditionnement musculaire et une faiblesse au niveau des abducteurs, raison pour laquelle nous lui conseillons d'effectuer de la physiothérapie pour un renforcement musculaire et un traitement des points musculaires douloureux. Prochain contrôle clinique (probablement final) dans 3 mois. Au niveau de l'hallux, l'évolution est tout à fait satisfaisante. On diagnostique ce jour une déformation en griffe du 3ème rayon qui est actuellement flexible. La patiente ne souhaite pas d'intervention chirurgicale pour le moment. Nous allons donc mettre en place un traitement conservateur par mise en place d'un coussin sous-diaphysaire. Nous la reverrons à 1 an postopératoire et pour discuter de l'évolution de cette problématique du 3ème rayon. Au niveau de sa discopathie dégénérative avec pincement foraminal de la racine de L4 droite, l'infiltration ayant eu bon effet dans les heures qui ont suivi, l'origine de ses douleurs est désormais clarifiée. Il rapporte ne pas avoir eu de physiothérapie pour son rachis, ce pourquoi nous débutons des séances d'hygiène posturale afin de soulager sa racine en corrigeant sa posture. Si le traitement conservateur venait à être insuffisant, une décompression serait à discuter. Au niveau de son ostéosynthèse sacrale, celle-ci est d'évolution radiologique favorable. Le patient rapporte toujours avoir des douleurs en position assise mais a en même temps des attitudes vicieuses qui surchargent son sacrum. Nous l'informons donc que corriger sa posture pourra lui permettre d'avoir une meilleure assise et moins de douleur par la suite. Arrêt de travail à 100% jusqu'à la fin février. Reprise du travail à 50% dès le mois de mars jusqu'à la fin du mois de mai puis à 100% dès le mois de juin. Prochain contrôle radiologique en juillet. Au niveau de son épaule gauche, l'évolution est tout à fait favorable à 6 mois postopératoire. Nous proposons une poursuite de la physiothérapie pour gagner encore quelques degrés en amplitudes articulaires et nous reverrons la patiente à un an de l'intervention pour contrôle radiologique. Concernant son coude gauche, ces douleurs étaient déjà présentes en post-traumatisme et sont en claire amélioration selon la patiente. Nous ne proposons pas de traitement spécifique pour ce symptôme étant spontanément en amélioration. Au niveau de son syndrome de tunnel carpien bilatéral, découvert par l'ENMG, la patiente étant peu importunée au quotidien par ces fourmillements qui sont d'ailleurs en diminution, nous ne proposons, pour l'instant, aucun traitement notamment immobilisation et antalgique. Nous profiterons du contrôle à un an postopératoire de sa ROOS pour refaire le point. Dans l'intervalle, en cas de péjoration de sa symptomatologie carpienne, nous restons à disposition. Au niveau des plaies, nous procédons à un avivement doux à la curette de la fibrine en fond de plaie et au niveau des berges, nous enlevons l'hyperkératose à l'aide de la curette de Stiefel. Rinçage et désinfection puis réfection du pansement avec Plurogel au niveau de la plaie ulcéreuse de la jambe et au niveau du talon et nous mettons en place de la tulle bétadinée au niveau de l'hallux. Mise en place d'une bande compressive. Au niveau du côté droit, le patient est satisfait avec le résultat. Nous constatons que la contracture est surtout liée à la cicatrice mais nous ne palpons pas de nouvelles cordes de Dupuytren. Au niveau du côté gauche, le patient a une atteinte de Dupuytren importante, il s'agit d'une 3ème récidive. Nous lui proposons donc d'effectuer une infiltration par Xiapex (Dr. X) et une consultation post-infiltration pour la mobilisation, après deux jours en consultation du Dr. X. Le but de l'infiltration par Xiapex est de diminuer la contracture persistante. Par la suite, nous reverrons le patient 6 semaines post-infiltration pour planifier l'intervention définitive. Le formulaire d'information et de consentement sera à faire lors de ce contrôle chez le Dr. X. Au niveau du coude, l'évolution est tout à fait satisfaisante. Au niveau de la cheville, la symptomatologie de la patiente ne peut toujours pas s'expliquer au niveau de l'examen clinique. La patiente souhaite effectuer tous les bilans chez son médecin traitant et elle verra avec lui pour la suite de la prise en charge. Nous informons la patiente que nous sommes à sa disposition pour suivre cette problématique au besoin, pour le reste plus de nécessité de poursuivre un suivi à notre consultation.Au niveau du poignet, la patiente présente une évolution tout à fait favorable avec une bonne régression tant au niveau des douleurs que de la mobilité du poignet. Les séances de dry needling dont elle avait bénéficié ont eu bon effet. Concernant sa contracture musculaire, nous prescrivons une nouvelle série de séances de physiothérapie à viser d'antalgique, relaxation, plus ou moins dry needling selon le physiothérapeute. Si la symptomatologie venait à se péjorer, une IRM de la colonne cervicale sera organisée. Dans l'intervalle pas de nouveau contrôle mais restons à disposition au besoin. Au niveau du 5ème rayon du pied G, poursuite du traitement conservateur avec syndactylie et semelle rigide. Au niveau de la cheville D, nous diagnostiquons une entorse ligament talo-fibulaire antérieur sans instabilité de la cheville. Mise en place de physiothérapie selon le protocole entorse. Nous la reverrons pour un contrôle clinique le 14.03.2019. Au niveau radio-clinique, l'évolution est optimale. La mobilisation n'est pas accompagnée de douleurs au niveau de l'aine, mais plutôt localisées au niveau postéro-inférieur du trochanter à droite. Les douleurs sont reproductibles à la palpation. Nous pensons à un snapping du tractus ilio-tibial avec possible irritation secondaire des rotateurs externes ou une éventuelle bursite. Afin d'exclure une LOW GRADE INFECT, nous planifions une ponction et infiltration par cortisone solution aqueuse sur loco-Dolenti de la hanche D sous scopie. Nous reverrons la patiente après quelques semaines pour évaluer la situation. Elle est informée de la procédure, ainsi que des risques et nous donne son accord. Au niveau respiratoire, Mme. Y a montré une bonne évolution. Au retrait du Rucksack, Mr. Y décrit un soulagement immédiat de la symptomatologie. Au vu de la fracture non déplacée, nous proposons à ce dernier le port d'un gilet orthopédique avec prescription d'un Rucksack adapté à sa taille dans un centre spécialisé. La suite de la prise en charge sera effectuée par son pédiatre. Au service des urgences : aspegic 150 mg iv. Au status, il n'y a pas d'argument pour une fracture ni de traumatisme du genou droit. Nous retenons le diagnostic de contusion du tibia droit. Nous prescrivons un traitement antalgique symptomatique. Au status, Mr. Y est en bon état général, hypertendu à 161/100 mmHg, tachycarde à 88/min, saturant à 95% à l'air ambiant, afébrile à 36.7°C, orienté dans le temps et l'espace. Le reste de l'examen clinique est dans la norme. Nous prenons un avis téléphonique du psychiatre de garde qui confirme l'indication à une hospitalisation en mode volontaire. Le bilan biologique montre une hypokaliémie que nous substituons per os aux urgences. L'ECG montre des extrasystoles ventriculaires connues pour lesquelles nous proposons au médecin traitant la réalisation d'un holter en ambulatoire. Mr. Y rejoint Marsens en taxi. Au travail, ce jeune patient reçoit un container sur son pied droit et, malgré le port de chaussures de protection, il présente le diagnostic susmentionné. Il est amené aux urgences où le bilan radio-clinique montre une fracture ouverte de P2 O1. Le patient reçoit une dose d'antibiotique et un rappel antitétanique. L'indication opératoire est retenue et Mr. Y est opéré le même jour. Les suites opératoires sont simples, avec douleurs bien gérées par l'antalgie standard et une plaie sans signe de surinfection. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et le patient se mobilise sous la protection d'une chaussure Barouk, en charge selon douleurs. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera poursuivie jusqu'au 06.03.2019. Face à la bonne évolution, Mr. Y quitte notre service le 23.02.2019. Nous avons organisé les soins à domicile pour la réfection du pansement. Au triage, l'infirmière donne du Tramal à la patiente qui présente des vomissements, pour lesquels nous suspectons une intolérance au Tramal avec une bonne rémission des nausées par Primperan. Nous notons également une bonne évolution sur les douleurs à la gorge par la prise de Novalgin 1 g. Le score de Centor est 1, il n'y a pas d'indication à faire le streptotest et la patiente peut continuer avec le traitement symptomatique. Si le nombre d'évacuations de diarrhées augmente et si la patiente développe des douleurs persistantes à l'abdomen pendant la journée, elle devra consulter les urgences et ne pas prendre l'Imodium. Aux urgences, Mr. Y bénéficie dans un premier temps d'une ablation d'un caillot sanguin remplissant le conduit auditif de l'oreille gauche. Une otoscopie de contrôle ne montre pas d'atteinte tympanique mais une dermabrasion de la peau du canal auditif proximal. Nous prenons un avis chez l'ORL de garde, Dr. X qui, au vu de la clinique rassurante, verra le patient en consultation demain dans la journée. Nous nettoyons l'extérieur de l'oreille à l'aide d'eau stérile et de tampon stérile. Nous informons le patient de ne pas mettre d'eau dans son oreille d'ici qu'il voit l'ORL. Au niveau de l'INR infra-thérapeutique, nous informons le patient et adaptons le traitement de Marcoumar 1x 3g/jour pour deux jours chez un patient prenant régulièrement 3/4 de la dose. Nous lui proposons un contrôle chez le médecin traitant en fin de semaine. Nous laissons rentrer le patient à domicile en bon état général. Aux urgences, nous ne mettons en évidence aucun déficit neurologique. Nous administrons une antalgie simple avec un très bon effet car la patiente ne présente quasiment plus de douleur au coccyx. La patiente peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie standard. Elle sera vue en début de semaine prochaine à la consultation de son médecin traitant pour un contrôle clinique. Au vu de cette bonne évolution clinique, nous décidons de l'arrêt du traitement. Contrôle chez le médecin traitant au besoin. Au vu de cette image de rotation entre C1-C2, le Spine team suivra la patiente par la suite. Nous prenons rendez-vous à la consultation de le Team Spine pour un contrôle le 12.03.2019 à 14h15. La patiente est invitée à reconsulter les urgences de l'HFR Fribourg en cas de péjoration clinique avant son rendez-vous du 12.03. Au vu de cette situation, il faut revoir les différentes options thérapeutiques. Je vais discuter du cas avec mes collègues de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Il me semble un peu tard d'envisager une scaphoïdectomie avec four corner arthrodèse. Je reprendrai contact avec le patient dès que j'aurai discuté de son cas avec mes collègues de Fribourg. Au vu de douleurs importantes en regard de la malléole externe lors de la pose de l'R-cast, une attelle jambière postérieure est réalisée avec contrôle à la policlinique d'orthopédie à 7 jours. Au vu de la bilirubine à la baisse par rapport à ce matin, en dessous du seuil de photothérapie, à 7 jours de vie, chez un nouveau-né ayant repris du poids ce jour et à l'alimentation conservée, pas de Coombs/hémoglobine et pas d'hospitalisation. Consignes usuelles d'ictère données aux parents, contrôle de la bilirubine demain matin par sage-femme à domicile. Au vu de la bilirubine à la limite du seuil, une formule sanguine en ordre, et un Coombs négatif, nous proposons un retour à domicile avec poursuite du suivi par la sage-femme et un contrôle aux urgences le 14.02 avec une mesure de la bilirubine totale. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, avec baisse du syndrome inflammatoire, nous proposons la poursuite du traitement par Céfuroxime durant 14 jours, et d'organiser un contrôle clinico-biologique chez le médecin traitant en fin de semaine.Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, nous proposons un contrôle chez le médecin traitant en fin de semaine pour s'assurer de la bonne évolution. Mr. Y a été invité à nous reconsulter en cas de récidive des symptômes douloureux. Au vu de la bonne évolution clinique et de la normalisation de l'INR, nous préconisons un bilan clinico-radiologique de contrôle le 14.02.2019 pour suivi de l'évolution clinique. Au vu de la bonne évolution clinique et l'absence de plaintes, d'une diminution des paramètres des cholestases sur le plan biologique, nous proposons à la patiente de continuer la prise en charge avec nos collègues chirurgiens. Elle est invitée à nous reconsulter en cas de récidive des symptômes abdominales. Au vu de la bonne évolution clinique, il n'est plus nécessaire de poursuivre la réfection du pansement. Toutefois, il doit poursuivre l'antibiothérapie jusqu'au 26.02.2019. Nous le reverrons dans 3 semaines. Au vu de la bonne évolution clinique, l'ablation des fils est effectuée ce jour. La patiente n'est plus astreinte à un suivi clinique. Au vu de la bonne évolution clinique, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle. Nous conseillons à la patiente de suivre des séances de physiothérapie. Au vu de la bonne évolution clinique, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, nous ne retenons pas l'indication à la réalisation d'examen complémentaire et proposons la réalisation d'un bilan clinico-biologique chez le médecin traitant à 48h. Nous invitons le patient à se représenter aux urgences en cas d'exacerbation de la symptomatologie ou en cas d'apparition d'un état fébrile. Contrôle chez le médecin traitant à 48h avec prise de sang (FSS, transaminases, CRP). Au vu de la bonne évolution clinique, nous préconisons la poursuite de son traitement de colchicine 0.5mg 2x/j jusqu'au 09.02.2019 avec suite de la prise en charge en début de semaine prochaine par le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution clinique, nous préconisons une fin de traitement dans notre service. La patiente s'adressera à son médecin traitant en cas de besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, nous procédons à l'ablation des fils ce jour. La patiente peut rentrer à domicile. Nous préconisons un contrôle des plaies dans une semaine chez le médecin traitant pour suite de prise en charge. Au vu de la bonne évolution de l'infection urinaire compliquée, avec une diminution du syndrome inflammatoire au bilan biologique, une diminution des douleurs abdominales et pas de péjoration de l'état général, le traitement antibiotique peut être poursuivi en ambulatoire per os pour un total de 10 jours avec un contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Le résultat de l'uro-culture montre une flore mixte, sans antibiogramme, raison pour laquelle nous ne modifions pas l'antibiothérapie. Au vu de la bonne évolution, le patient peut rentrer à domicile avec des douches de la lésion 3x/jour. Nous préconisons un contrôle le 15.02.2019 à la policlinique de chirurgie. Ce dernier prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X, chirurgien, pour suite de prise en charge. Au vu de la bonne évolution mais de la persistance de douleurs résiduelles dues à la mobilisation, nous prescrivons encore 9 séances de physiothérapie pour stretching de la musculature et assouplissement. Reprise du travail progressive. Pas de nouveau contrôle prévu, nous restons à disposition au besoin. Au vu de la bonne évolution, nous lui proposons de continuer les ondes de choc ainsi que le stretching régulier. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Au vu de la bonne évolution radio-clinique, nous encourageons la patiente à commencer une mobilisation pendulaire et de continuer à porter le gilet orthopédique pour les 2 prochaines semaines. Prochain contrôle radio-clinique dans 2 semaines. Au vu de la bonne évolution radio-clinique, nous expliquons au patient ainsi qu'à son fils qui l'accompagne qu'un nouveau contrôle n'est pas prévu. Nous restons par contre à disposition en cas de nouvelle aggravation de la symptomatologie, pour un bilan radiologique. Au vu de la clinique actuelle, nous suspectons plutôt une composante musculaire dominante due à une surcharge lors de la position allongée prolongée durant la nuit. Nous lui proposons donc l'application de patchs de Perskindol chaque 2 nuits ainsi que des massages par huile de Genièvre durant l'après-midi. Poursuite de la physiothérapie 2x/semaine. A noter que Mme. Y ne souhaite pas de prise en charge plus invasive pour l'instant. Nous la reverrons fin mars pour refaire le point. Au vu de la clinique chez ce patient, nous effectuons une radiographie du poignet et demandons un avis orthopédique. L'imagerie ne montre pas de nouvelle fracture et nous retenons ainsi une contusion du poignet gauche. Nous réalisons une attelle plâtrée type RhizoLoc, prescrivons une antalgie par Dafalgan et Irfen ainsi qu'un arrêt de travail jusqu'au 11.02.2019. Au vu de la clinique de brûlure vaginale et vulvaire, avis gynécologique demandé. Consultation gynécologique: perte abondante, introduction du speculum difficile, diagnostic de vaginite avec mise en place d'un traitement de Diflucan po en ordre unique, Fluomizin et Gynoflor en ovule. Au vu de la clinique et de la radiographie effectuée par la pédiatre, nous posons le diagnostic de fracture peu déplacée du tiers moyen de la clavicule gauche. Nous préconisons donc un traitement conservateur avec une antalgie par Algifor et le port d'un Rucksack. Le patient peut rentrer à domicile. Une consultation en policlinique d'orthopédie le 22.02 sera à organiser pour la suite de la prise en charge. Au vu de la clinique et de l'absence de traumatisme, nous posons le diagnostic susmentionné. Le patient a rendez-vous la semaine prochaine auprès du Dr. X à Lausanne. Nous préconisons ainsi que ce dernier puisse investiguer une probable cause rhumatologique et le cas échéant fasse une consultation chez un rhumatologue. Le patient rentre ce jour à domicile avec antalgie simple. Au vu de la clinique et de son antécédent de fracture du radius distal, nous effectuons une radiographie qui ne met pas en évidence de fracture. Nous posons le diagnostic de contusion thénarienne droite et la patiente peut rentrer à domicile le jour même avec bandage élastique, repos, glace et antalgie par Algifor. Au vu de la clinique et des examens radiologiques, nous posons le diagnostic de fracture non déplacée du 1/3 latéral de la clavicule droite et suggérons à la patiente le port d'un gilet orthopédique pour une durée de 6 semaines. Antalgie simple au domicile. La patiente sera revue à une semaine à la policlinique d'orthopédie avec un contrôle radiologique. Au vu de la clinique et des examens radiologiques, nous posons le diagnostic de luxation antérieure gléno-humérale bilatérale sans signe de fracture des deux épaules et tentons de réduire les deux luxations aux urgences sous MEOPA et Dormicum, en vain. Sur avis de Dr. X, orthopédiste de garde, nous décidons, en raison de la difficulté de réalisation du geste sans sédation, de transférer le patient à l'HFR Fribourg pour réduction sous anesthésie générale. Au vu de la clinique et des examens radiologiques, nous posons le diagnostic d'entorse du compartiment médial du genou droit et laissons la patiente prendre rendez-vous à la consultation du Dr. X dans la semaine pour la suite de la prise en charge. Nous décidons de laisser la patiente rentrer à domicile avec une antalgie simple, une attelle jeans 20° et une thrombo-prophylaxie par Clexane 40 mg. Elle gardera le membre inférieur droit en décharge jusqu'à la consultation chez le Dr. X.Au vu de la clinique et des examens radiologiques, nous posons le diagnostic d'une fracture métaphysaire non déplacée du radius distal gauche. Nous décidons de mettre en place un plâtre AB fendu aux urgences avec une antalgie simple et la radiographie post-plâtre revient rassurante. Nous invitons Mr. Y à prendre rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans une semaine. Au vu de la clinique et des images de radiologies pacsées, nous posons le diagnostic susmentionné. Un plâtre de Paris antébrachial fendu est mis en place jusqu'au 15.02.2019, date de son contrôle à la policlinique d'orthopédie. Mme. Y rentre à domicile le jour même avec antalgie simple et dispense de sport. Au vu de la clinique et des résultats radiologiques et sur avis de l'équipe d'orthopédie, nous décidons d'amener Mme. Y au bloc opératoire pour une prise en charge chirurgicale de son affection. Un laboratoire sanguin avec crase est demandé aux urgences ainsi qu'une radiographie du thorax pour compléter le bilan préopératoire. Au vu de la clinique et du résultat du CT-scan, nous appelons le Dr. X, ORL de garde, pour la suite de la prise en charge. Ce dernier préconise une IRM ainsi qu'une cytoponction sous ultrason le jour même, organisé pour le 25.02.2019 à 9h30 et un contrôle avec les résultats des examens suscités le 06.03.2019 à sa consultation. Mr. Y rentre à domicile ce jour avec antalgie simple. Ce dernier sera averti le 21.02.2019 pour la date et l'heure des différents examens. Au vu de la clinique, Mme. Y ne présente pas de drapeaux rouges nécessitant un bilan plus approfondi de ses céphalées. Ainsi, nous posons le diagnostic suscité. Cette dernière peut rentrer à domicile avec traitement antalgique par Dafalgan, Irfen et Primpéran. Un contrôle est préconisé en début de semaine prochaine chez son ORL à Genève en vue de proposer des modalités thérapeutiques quant à sa problématique de la mâchoire. Nous lui prescrivons également un traitement symptomatique d'une infection des voies respiratoires supérieures au décours. Au vu de la clinique, le Dr. X, chirurgien, voit Mr. Y. Au vu de la bonne évolution clinique, ce dernier préconise une désinfection de la plaie et une suite de prise le 06.02.2019 à sa consultation. Au vu de la clinique, nous confirmons la persistance d'une brûlure de 1er degré des différentes lésions susmentionnées. Nous préconisons la poursuite du traitement antalgique et de crème par Bépanthène 3x/jour et un contrôle à la policlinique de chirurgie le 22.02.2019 pour suite de prise en charge. Au vu de la clinique, nous décidons de fendre le plâtre, ce qui soulage immédiatement Mme. Y. Cette dernière peut rentrer à domicile. Elle prendra rendez-vous le 06.02.2019 à la policlinique d'orthopédie pour le jour même afin de contrôler le plâtre et la suite de prise en charge. Au vu de la clinique, nous décidons d'effectuer une radiographie de la colonne cervico-thoraco-lombaire aux urgences ainsi qu'une radiographie du bassin. Un stix urinaire est demandé et revient rassurant ainsi qu'un laboratoire sanguin qui se montre sans particularité. Nous suspectons un tassement au niveau de D4 sur la Rx, suite à quoi nous décidons d'organiser un CT de la colonne dorsale sur avis du Dr. X, orthopédiste de garde. Le CT nous confirme un tassement au niveau de T4 et nous décidons de contacter la team spine de l'hôpital cantonal. Face à la présence d'un hématome en regard de T4, une IRM médullaire thoracique est indiquée sur le WE, raison pour laquelle nous prenons contact avec la garde de neurochirurgie de l'Inselspital de Bern, puis la garde de chirurgie orthopédique, puis la garde de chirurgie pédiatrique. Étant donné l'absence de place disponible dans le service de chirurgie orthopédique, nous prenons contact avec le CHUV, qui propose un retour à domicile avec consignes de repos maximum, avec une consultation aux urgences du CHUV le 16.02.2019 dans la matinée pour l'organisation d'une IRM thoracique et une suite de prise en charge. Au vu de la clinique, nous effectuons les radiographies des membres ci-dessus qui ne mettent pas en évidence de fracture. Nous posons ainsi les diagnostics susmentionnés avec mise en place d'une attelle Edimbourg au niveau du poignet gauche. Mr. Y peut rentrer à domicile le jour même avec antalgie simple, repos, glace et contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie le 08.02.2019. Au vu de la clinique, nous effectuons un bilan biologique qui ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. Une radiographie du thorax est effectuée et revient sans particularité. Le strepto test revient négatif. Au vu de tous ces éléments, nous posons le diagnostic de sinusite maxillaire bilatérale accompagnée d'une myringite bulleuse. Mme. Y peut rentrer à domicile avec l'indication de poursuivre l'antibiothérapie par Cefpodoxime et Nasonex prescrite par son médecin traitant. Nous préconisons un contrôle clinique chez son médecin traitant le 11.02.2019. Au vu de la clinique, nous effectuons un bilan biologique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Un stix et sédiment urinaire reviennent positifs pour une microhématurie, raison pour laquelle nous effectuons un ultrason des voies urinaires qui revient sans particularité. Nous demandons l'avis de la Dr. X, gynécologue, qui propose un contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 19.02 avec un examen gynécologique et un ultrason des organes génitaux internes. Ainsi, Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie simple en vue de son contrôle le 19.02. Au vu de la clinique, nous effectuons un CT abdominal injecté qui met en évidence une hernie transmésentérique sans signe de souffrance intestinale ni signe radiologique d'ileus. Ainsi, nous posons le diagnostic suscité. Ce dernier est transféré en chirurgie à Fribourg pour suite de prise en charge. Au vu de la clinique, nous effectuons un ECG ainsi qu'une radiographie du thorax qui reviennent sans particularité. Les trains de troponines sont négatifs et nous ne retrouvons pas de syndrome inflammatoire au laboratoire. Ainsi, nous posons le diagnostic suscité. Mr. Y peut rentrer à domicile avec une prescription de Nexium 40 mg. Nous préconisons chez ce dernier un contrôle durant la semaine du 25.02.2019 chez son cardiologue pour étayer le bilan cardiologique et de reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie. Au vu de la clinique, nous effectuons un ECG qui met en évidence des QRS larges avec une morphologie de bloc de branche ainsi qu'un laboratoire avec une NT-pro BNP à 1400 et des trains de troponines qui reviennent négatifs. Au vu des résultats, nous effectuons une radiographie du thorax ainsi qu'une échocardiographie transthoracique en urgence qui mettent en évidence les résultats susmentionnés. Nous posons donc le diagnostic de décompensation cardiaque gauche d'origine indéterminée. Mr. Y peut rentrer à domicile avec un traitement de 5 mg de Torem 1x/jour. Mr. Y prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle le 11.02 ainsi qu'un suivi rapproché auprès de son cardiologue. Au vu de la clinique, nous effectuons un ECG qui ne montre pas de signe de souffrance cardiaque. Les trains de troponines reviennent négatifs et nous permettent d'exclure une composante cardiaque de ses douleurs. Une radiographie du thorax revient sans particularité. Au vu de l'examen clinique, nous retenons le diagnostic suscité. Une intervention brève sur le tabac lui est fournie aux urgences. Mr. Y peut rentrer à domicile ce jour avec antalgie simple.Nous lui disons à sa sortie de reconsulter si des symptômes similaires se reproduisent. Au vu de la clinique, nous effectuons un ECG qui revient sans particularité. Le bilan biologique effectué revient également aligné avec des D-Dimères dans la norme pour un score de Genève modifié à faible probabilité. Nous rassurons la patiente quant à ses symptômes et posons le diagnostic de malaise vaso-vagal sur probable composante anxieuse. Elle peut rentrer à domicile. Au vu de la clinique, nous effectuons un laboratoire et une radiographie du genou qui mettent en évidence les éléments susmentionnés. Un avis est demandé au Dr. X, chef de clinique d'orthopédie, qui pose l'indication à une ponction du genou concerné. Ce dernier met en évidence un liquide trouble, citrin avec 1000 éléments et des PMN 84% ainsi que des cristaux positifs. Ainsi, nous posons le diagnostic suscité et préconisons un retour à domicile avec AINS et colchicine et contrôle clinique chez son médecin traitant le 25.02.2019 pour suite de prise en charge et résultats bactériologiques. Au vu de la clinique, nous effectuons un laboratoire qui met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 16 mg/l et des leucocytes dans la norme. Une radiographie de thorax ne met pas en évidence de foyer pulmonaire infectieux. Ainsi, nous posons le diagnostic susmentionné. La patiente peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique et un enseignement à bien s'hydrater. Nous préconisons une reconsultation en cas de non-amélioration ou de péjoration de la symptomatologie. Au vu de la clinique, nous effectuons un laboratoire qui ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. Nous notons une amélioration de la symptomatologie par la prescription de Buscopan aux urgences. Ainsi, nous posons le diagnostic susmentionné. Ce dernier peut rentrer à domicile le jour même avec traitement symptomatique par Primperan et Buscopan. Nous lui conseillons de reconsulter chez son médecin traitant dans 48 heures si non-amélioration ou péjoration de la symptomatologie. Au vu de la clinique, nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Au vu de l'histoire typique, nous posons le diagnostic susmentionné. Après bonne évolution par hydratation, la patiente peut rentrer à domicile. Nous lui conseillons de consulter son médecin traitant si non-amélioration de la symptomatologie dans 48 heures. Au vu de la clinique, nous effectuons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire et une hémoglobine dans la norme. Un sédiment urinaire revient également sans particularité. Une radiographie du thorax est effectuée et ne montre pas d'hémo ni de pneumothorax. Un trait de fracture au niveau de la 10ème côte sur le versant latéro-antérieur est visible. Ainsi, nous posons le diagnostic suscité. Le patient rentre à domicile le jour même. Nous l'informons de consulter en cas de péjoration de sa clinique. Au vu de la clinique, nous effectuons un laboratoire qui revient parfaitement aligné. Les trains de troponines reviennent également dans la norme. Nous posons donc le diagnostic de douleurs thoraciques d'origine indéterminée. Nous préconisons un retour à domicile avec une antalgie simple et un contrôle chez le médecin traitant le 11.02 pour pister les valeurs thyroïdiennes et l'introduction d'un enregistrement Holter de 24 heures. Au vu de la clinique, nous effectuons un Streptotest qui revient négatif. Ainsi, nous posons le diagnostic susmentionné. Le patient peut rentrer à domicile le jour même avec un traitement conservateur. Nous préconisons un contrôle chez le médecin traitant en cas de non-amélioration de la clinique le 25.02.2019. Au vu de la clinique, nous effectuons une exploration de la plaie qui ne montre pas d'atteinte des structures nobles. Ainsi, nous suturons la plaie par du fil d'Ethilon 4.0. Un rappel tétanique est effectué ce jour aux urgences. Nous administrons également une dose unique du Zinacef 1.5 g. Le patient peut rentrer à domicile le jour même avec contrôle de la plaie le 11.02.2019 chez son médecin traitant et ablation des fils à J12. Au vu de la clinique, nous effectuons une incision de la lésion sous anesthésie locale et désinfection par Hibidil. Nous préconisons un contrôle le lendemain, le 21.02.2019 à la filière des urgences ambulatoires pour contrôle clinique. Au vu de la clinique, nous effectuons un nouveau rinçage au NaCl et mise en place d'un pansement compressif avec retour à domicile par la suite. Il sera suivi le 22.02.2019 à la policlinique d'orthopédie. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie de la cheville droite qui ne met pas en évidence de fracture. Ainsi, nous retenons le diagnostic susmentionné. Une attelle jambière postérieure est mise en place. Le patient peut rentrer à domicile ce jour avec antalgie simple, cannes anglaises, arrêt de travail et Clexane 40 mg prophylactique. Un contrôle à la policlinique d'orthopédie est préconisé dans une semaine pour suite de prise en charge. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie de la cheville gauche qui ne met pas en évidence de fracture. Ainsi, nous posons le diagnostic suscité. Nous préconisons le port d'une attelle jambière postérieure. La patiente peut rentrer à domicile le jour même avec antalgie simple et Clexane 40 mg prophylactique. Nous préconisons un contrôle dans une semaine à la policlinique d'orthopédie pour suite de prise en charge. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie de la colonne dorsale et lombaire qui ne met pas en évidence de fractures. Nous posons ainsi le diagnostic suscité. Le patient peut rentrer à domicile ce jour avec antalgie simple. Nous lui proposons de reconsulter dans une semaine si persistance de la symptomatologie avec une IRM pour complément du bilan si reconsultation. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie de la colonne lombaire et de la hanche qui ne met pas en évidence de fracture. Un avis est demandé au Dr. X, orthopédiste de garde, qui pose le diagnostic de contusion de la fesse droite (DD: syndrome sacro-iliaque droit, hernie discale L1-L2). Le patient peut rentrer à domicile le jour même avec une antalgie simple et un arrêt de travail pour 3 jours. Nous préconisons un contrôle auprès de la team Spine de l'HFR Fribourg dans 2 semaines pour la suite de la prise en charge. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie de la colonne lombaire et du bassin, qui ne montrent pas de fracture. Nous lui administrons du Tramal 50 mg et Sirdalud 2 mg aux urgences avec amélioration de la symptomatologie. Ainsi, nous posons le diagnostic suscité. Le patient peut rentrer à domicile le jour même avec antalgie par Dafalgan, Irfen, Tramal et Sirdalud. Nous avertissons le patient de ne pas conduire lors de l'utilisation du Tramal et Sirdalud. Nous préconisons un contrôle dans une semaine chez son nouveau médecin traitant pour suite de prise en charge. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie de la colonne lombaire et sacrale, qui ne met pas en évidence de fracture. De ce fait, nous posons le diagnostic de lombosciatalgies et préconisons un retour à domicile avec antalgie simple et prise de rendez-vous dans la semaine avec le Team Rachis à l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie de la colonne lombaire qui ne montre pas de fracture. Ainsi, nous posons le diagnostic susmentionné de contusion de la colonne lombaire. Le patient peut rentrer à domicile ce jour avec antalgie simple et repos.Nous lui proposons de reconsulter si persistance/péjoration des symptômes. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie de la hanche et du bassin qui ne mettent pas en évidence de fracture ni de descellement de la prothèse. Ainsi, nous posons le diagnostic suscité. Mme. Y peut rentrer à domicile ce jour avec antalgie simple. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie de l'avant-bras gauche qui met en évidence une fracture déplacée du radius et ulna gauche. Ainsi, nous posons le diagnostic de fracture diaphysaire déplacée du radius et de l'ulna gauche. Dr. X, orthopédiste, voit le patient et préconise la mise en place d'une attelle de coude postérieure. Mr. Y est transféré en ambulance à l'Hôpital de l'Enfance de Lausanne en vue d'une éventuelle opération en urgence. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie de l'épaule avec suspicion d'une fracture de l'acromion sur l'incidence Neer. Ainsi, nous posons le diagnostic susmentionné. Nous ordonnons la mise en place d'un gilet orthopédique pendant 1 semaine avec contrôle à la consultation de Dr. X, orthopédiste, le 15.02.2019. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie de l'épaule gauche qui ne met pas en évidence de fracture. Ainsi, nous posons le diagnostic suscité. Mr. Y rentre le jour même à domicile avec antalgie simple, gilet orthopédique, prescription de physiothérapie et contrôle dans 1 semaine à la consultation de Dr. X. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie de l'épaule qui ne met pas en évidence de lésions osseuses. Nous posons donc le diagnostic susmentionné. Mr. Y peut rentrer à domicile le jour même avec antalgie simple, gilet orthopédique et arrêt de travail jusqu'à la consultation de contrôle chez Dr. X le 13.02.2019 à 8h30. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie des orteils du pied droit qui ne met pas en évidence de fracture. Ainsi, nous posons le diagnostic de contusion de la 1ère articulation métatarsophalangienne du pied droit. Mme. Y peut rentrer à domicile avec une antalgie simple, des conseils de repos et de glace. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du bras gauche, un CT-scanner cérébral ainsi qu'un CT-scanner de la colonne cervicale qui reviennent sans particularité. Nous posons ainsi les diagnostics suscités. Mme. Y peut rentrer à domicile avec une antalgie simple et un arrêt de travail pour une semaine. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas de péjoration ou d'une nouvelle symptomatologie neurologique. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du coude droit et de la clavicule droite qui ne mettent pas en évidence de fracture. Nous avons toutefois une suspicion de fracture de la glène à droite. Nous préconisons le port d'un gilet orthopédique avec retour à domicile le jour même. Mr. Y est attendu le 12.02.2019 à 13h30 pour un CT-scan de l'épaule et sera vu le lendemain à 9h15 à la consultation de Dr. X, orthopédiste. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du coude qui montre une fracture de la tête radiale. Dr. X, orthopédiste de garde, passe voir le patient et pose le diagnostic susmentionné. Nous préconisons la mise en place d'une attelle coude postérieure pour 2 semaines avec contrôle dans 2 semaines à la consultation de Dr. X. Mr. Y peut rentrer à domicile le jour même avec antalgie simple. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du doigt qui ne met pas en évidence de fracture. Ainsi, nous préconisons un traitement conservateur par syndactylie et antalgie simple et contrôle chez son médecin traitant le 25.02.2019. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du genou droit qui ne met pas en évidence de fracture, mais présence d'une gonarthrose. Ainsi, nous posons le diagnostic suscité. Mr. Y rentre à domicile le jour même avec une attelle jeans 0°, Clexane 40 mg et antalgie simple. Ce dernier prendra rendez-vous dans une semaine à la consultation de Dr. X. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du genou droit qui ne met pas en évidence de fracture ni d'épanchement intra-articulaire. Ainsi, nous posons le diagnostic susmentionné. Ce dernier peut rentrer à domicile avec pommade antalgique et une prescription de physiothérapie avec contrôle à la consultation orthopédique de Dr. X dans 2 mois. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du genou droit qui ne montre pas de fracture. Nous posons donc le diagnostic susmentionné. Mr. Y peut rentrer à domicile le jour même avec attelle Jeans 0° et contrôle le 15.02.2019 à la consultation de Dr. X, orthopédiste. Au vu de l'absence de poils pubiens, Mr. Y est non pubère et nous ne préconisons pas d'anticoagulation prophylactique. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du genou droit qui ne montre pas de fracture. Nous prescrivons à Mme. Y le port d'une attelle jeans 0° jour et nuit avec une prophylaxie thrombotique par Clexane 40 mg pendant 6 semaines accompagnées de séances de physiothérapie. Un contrôle à la consultation de Dr. X est à organiser dans 2 mois. Mme. Y peut rentrer à domicile avec une antalgie simple. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du genou gauche qui ne met pas en évidence de fracture. Ainsi, nous posons le diagnostic susmentionné. Mr. Y peut rentrer à domicile avec une attelle Jeans 0°, Clexane prophylactique 40 mg, antalgie simple et arrêt de travail jusqu'à la consultation du 04.03.2019 chez Dr. X, orthopédiste. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du genou gauche qui ne met pas en évidence de fracture. Le vaccin de tétanos est à jour. Mr. Y est vu par Dr. X, cheffe de clinique de garde d'orthopédie, qui pose le diagnostic ci-dessus et préconise un traitement conservateur par bandage élastique, antalgie simple et repos avec un arrêt de travail d'une semaine avec désinfection et pansement de la dermabrasion 1x/jour pendant 1 semaine. Mr. Y peut rentrer à domicile ce jour. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du genou gauche qui ne met pas en évidence de fracture. Ainsi, nous posons le diagnostic suscité. Mr. Y peut donc rentrer à domicile le jour même avec antalgie simple, attelle jeans 0° et Clexane 40 mg. Mme. Y organisera la suite de la prise en charge à son retour la semaine prochaine en Irlande. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du genou qui ne met pas en évidence de fracture. Nous posons donc le diagnostic suscité. Mr. Y peut rentrer à domicile avec bandage élastique, repos glace et suite de prise en charge dans une semaine à la consultation de Dr. X. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du genou qui ne met pas en évidence de fracture. Dr. X, orthopédiste, est mise au courant et vient voir Mme. Y. Elle pose le diagnostic d'entorse du compartiment externe de stade II. Mme. Y peut rentrer à domicile le jour même avec une attelle Jeans 0° avec charge, antalgie et arrêt de travail pour une semaine. Au vu de la charge possible suite au port de l'attelle, nous ne prescrivons pas de thromboprophylaxie. Cette dernière sera vue à la consultation de Dr. X le 13.02.2019 pour contrôle clinique et suite de prise en charge. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du pied droit qui ne met pas en évidence de fracture. Nous préconisons un avis de Dr. X, orthopédiste, qui vient voir le patient. Cette dernière préconise un retour à domicile avec antalgie simple, glace et bande élastique avec arrêt de sport pour une semaine.Nous lui proposons de reconsulter si persistance de la symptomatologie dans 1 semaine à la policlinique d'orthopédie. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du pied gauche qui ne met pas en évidence de fracture. Ainsi, nous posons le diagnostic de contusion du calcanéum gauche. Le patient peut rentrer à domicile avec une antalgie simple, les consignes d'application de glace et un arrêt de travail pour la semaine. Nous proposons au patient de reconsulter les urgences en fin de semaine en cas de non amélioration ou de péjoration de la symptomatologie. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du poignet qui montre une éventuelle fracture du scaphoïde. La patiente est vue par le Dr. X, Cheffe-de-Clinique d'orthopédie, qui pose le diagnostic susmentionné. Mise en place d'un plâtre de Paris antébrachial prenant le pouce et retour à domicile avec antalgie simple. La patiente sera vue à la consultation du Dr. X le 13.02.2019 pour suite de prise en charge. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du poignet qui montre une fracture du radius distal et de la styloïde ulnaire peu déplacée. Le Dr. X, chef de clinique d'orthopédie, est mise au courant et vient voir la patiente. Cette dernière préconise initialement le port d'un plâtre brachio-antébrachial fendu. La patiente ne souhaitant pas être prise en charge à l'hôpital de Riaz, cette dernière prendra contact le 20.02.2019 auprès du secrétariat du Dr. X, orthopédiste, pour organiser la suite de prise en charge. Cette dernière rentre le jour même à domicile avec antalgie simple et vitamine C. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du thorax qui ne met pas en évidence de foyer ni de signe de stase cardiaque. Ainsi, nous posons le diagnostic ci-dessus. Nous préconisons un traitement symptomatique par Dafalgan, Nasobol et Bexin et contrôle chez son médecin traitant le 11.02.2019. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du thorax qui ne met pas en évidence de pneumothorax, d'hémothorax ni de fractures costales. Ainsi, nous posons le diagnostic de fracture clinique des 3ème, 4ème et 5ème arcs costaux antérieurs droits non compliquée. Le patient peut donc rentrer à domicile le jour même avec une antalgie simple et un arrêt de travail pour 1 semaine. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du 4ème doigt, qui met en évidence une fracture de la huppe. Le patient ne souhaite pas attendre la prise en charge orthopédique et signe une décharge de responsabilité afin de se rendre à l'Hôpital de Vevey, plus près de son lieu de domicile. Nous l'informons des risques d'ostéonécroses encourus en l'absence d'une antibiothérapie et d'une prise en charge adaptée, qu'il accepte. Tétanos déjà à jour et les images radiologiques ont été pacsées à Vevey. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du 5ème doigt de la main droite qui ne met pas en évidence de fracture. Ainsi, nous posons le diagnostic suscité. Le patient rentre le jour même avec une attelle dorsale en flexion de 20°, une antalgie simple par Algifor et un contrôle dans une semaine à la policlinique d'orthopédie. Au vu de la clinique, nous entamons des investigations biologiques à la recherche d'une éventuelle infection par VIH, gonorrhée et chlamydia, ce dernier sera vu à la filière des urgences ambulatoires le 09.02.2019 en vue d'un contrôle des résultats et afin de pister les résultats ci-dessus. Ce dernier ayant refusé le toucher rectal, nous le traitons entre temps comme une prostatite aiguë par Ciproxine 500mg 2x/jour pendant 14 jours. Au vu de la clinique, nous lui prescrivons une dose unique de Sirdalud 2mg qui soulage la patiente. Nous posons donc les deux diagnostics susmentionnés. Cette dernière peut rentrer à domicile le jour même avec une prescription de Dafalgan, Irfen 400mg, et Nasobol par inhalations pour sa symptomatologie grippale accompagné d'un traitement par Sirdalud et Tramal pour ses lombalgies simples. Nous préconisons un contrôle chez le médecin traitant le 07.02.2019 pour suivi clinique et suite de prise en charge. Au vu de la clinique, nous n'effectuons pas d'examen complémentaire et posons le diagnostic d'intoxication alimentaire. Le patient peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique par Buscopan et Primpéran et un arrêt de travail pour le 05.02. Nous lui proposons de consulter son médecin traitant en cas de persistance de la symptomatologie ainsi que pour investiguer cette fatigue persistante. Au vu de la clinique, nous posons le diagnostic d'infection des voies respiratoires supérieures. Le patient peut rentrer à domicile le jour même avec une prescription de Dafalgan, Irfen et inhalation par Nasobol. Nous préconisons un contrôle à 48h chez le médecin traitant en cas de persistance ou de péjoration de la symptomatologie. Au vu de la clinique, nous posons le diagnostic susmentionné d'infection des voies respiratoires supérieures. Ce dernier peut rentrer à domicile le jour même avec un traitement symptomatique par Dafalgan, Irfen, Nasobol et Rhinosedin. Nous préconisons un contrôle chez le médecin traitant si persistance de la symptomatologie. Au vu de la clinique, nous posons le diagnostic susmentionné d'infection des voies respiratoires supérieures. La patiente peut rentrer à domicile le jour même avec un traitement symptomatique par Dafalgan, Irfen 400mg, et Nasobol en inhalations et Rhinosedin. Nous lui conseillons de consulter son médecin traitant si persistance de la symptomatologie. Au vu de la clinique, nous posons le diagnostic susmentionné. Nous préconisons un traitement par toilette oculaire, compresses froides de thé noir et l'instauration d'un traitement de Désomédine 1 goutte 3-4x/j pendant 10 jours. En cas de péjoration de la symptomatologie, nous proposons au patient de consulter un ophtalmologue. Au vu de la clinique, nous prenons contact avec l'ORL de garde le Dr. X qui préconise une prise de sang ce jour à la filière des urgences ambulatoires avec copie pour ce dernier et un contrôle à sa consultation le 21.02.2019 pour suite de prise en charge. Le patient rentre donc à domicile en vue de son rendez-vous du lendemain avec l'ORL. Au vu de la clinique, nous procédons à une extraction manuelle des bouchons de cérumen nous permettant une meilleure visualisation des conduits auditifs. Nous posons donc le diagnostic susmentionné. Une antibiothérapie topique par Ciproxine HC 3 gouttes 2x/jour est entamée et ce pour une durée totale de 7 jours. Nous préconisons un contrôle clinique le 11.02.2019 chez le médecin traitant. Au vu de la clinique, nous renonçons à des examens complémentaires et posons le diagnostic susmentionné. Le patient peut rentrer à domicile avec antalgie simple repos et arrêt de travail avec contrôle à la consultation du médecin traitant le 25.02.2019. Nous préconisons de reconsulter entre deux si péjoration de la symptomatologie. Au vu de la clinique, nous souhaitons effectuer un laboratoire à la recherche de troponines que le patient refuse. Ce dernier souhaite rentrer à domicile et signe la décharge de responsabilité de l'hôpital fribourgeois. Au vu de la clinique, nous suturons la plaie par Ethilon 5-0. Un rappel antitétanique est effectué ce jour aux urgences. Nous préconisons un rendez-vous chez le pédiatre dans 5 jours pour ablation des fils et suite de prise en charge. Au vu de la clinique rassurante, d'un laboratoire et d'un ECG normal, avec une radiographie du thorax sans particularité, Mme. Y peut rentrer à domicile avec une antalgie en réserve. Nous retenons une origine pariétale aux douleurs ou potentiellement une tension élevée non contrôlée. Nous lui proposons au vu des tensions élevées de mesurer et de relever la tension artérielle 3x/j, puis de prendre rendez-vous à votre consultation afin de discuter du profil tensionnel, avec discussion du traitement.Au vu de la clinique rassurante, nous effectuons un léger élargissement prophylactique du plâtre au niveau de son extrémité distale. Mme. Y peut rentrer à domicile ce jour. Au vu de ses antécédents de polyarthrite rhumatoïde, cette dernière va contacter son rhumatologue le 21.02.2019 en vue de l'adaptation de son antalgie. Nous préconisons une reconsultation en urgences si présence de paresthésies, tuméfaction ou déficit moteur nouveau des extrémités du membre supérieur droit. Au vu de la clinique spontanément régressive, sans drapeaux rouges, sans signes inflammatoires locaux, nous concluons à une probable thrombophlébite superficielle locale. Nous donnons un tube d'Hemeran crème à Mr. Y à administrer localement 2 à 3 fois par jour. Mr. Y est averti de consulter son médecin ou les urgences en cas d'aggravation des symptômes. Au vu de la clinique susmentionnée, une radiographie du thorax est effectuée et ne met pas en évidence de foyer ni d'épanchement pleural. Nous retenons donc le diagnostic susmentionné avec prescription de Nasobol et Codéine Knoll. Mme. Y est attendue chez son médecin traitant le 07.02.2019 pour contrôle clinique et suite de prise en charge. Au vu de la clinique typique, nous posons le diagnostic susmentionné. Avec amélioration de la symptomatologie par Morphine 2 mg, Mme. Y peut rentrer à domicile avec traitement antalgique. Nous organisons une IRM lombaire le 21.02.2019 à 14h45 pour compléter le bilan. Nous préconisons un contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 22.02.2019 pour contrôle clinique et annonce des résultats de l'IRM lombaire et de ce que préconise le Team Rachis de l'HFR Fribourg. Au vu de la clinique typique, nous posons le diagnostic susmentionné. Ce dernier rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Nous préconisons un contrôle à 48 heures chez son médecin traitant si non amélioration de la clinique. Au vu de la clinique, un avis est demandé au Dr. X, orthopédiste, qui explore la plaie profonde de l'index, en ne mettant pas en évidence de lésion des structures nobles. Les autres plaies sont également explorées et ne mettent pas en évidence de lésion tendineuse ou vasculaire. Une suture par fil d'Ethilon 4.0 est effectuée accompagnée d'un single shot de Zinacef 1.5 g et d'un rappel tétanique. Ce dernier peut rentrer à domicile le jour même avec contrôle clinique à 24h à la policlinique d'orthopédie. Au vu de la clinique, un laboratoire est effectué et revient sans particularité. Nous posons donc le diagnostic susmentionné. Ce dernier peut rentrer à domicile le jour même avec un traitement par Esomeprazol 40 mg et Ulcar 1 g en réserve avec suite de prise en charge lors de son retour en Allemagne. Au vu de la clinique, une radiographie de la cheville est effectuée et met en évidence les résultats susmentionnés. Dr. X, orthopédiste de garde, a vu Mme. Y et préconise la mise en place d'une attelle jambière postérieure puis retour à domicile avec Algifor et cannes anglaises. Un arrêt de sport est remis pour une durée d'au moins 1 mois. Cette dernière est attendue le 13.02.2019 pour compléter le bilan par un CT-scan de la cheville droite à 9h30 puis elle sera vue par la suite le jour même à 10h à la consultation de Dr. X pour suite de prise en charge. Au vu de la clinique, une radiographie des doigts de la main gauche est effectuée et ne montre pas de fracture. Ainsi, nous posons le diagnostic susmentionné. Un arrêt de travail ainsi que le port d'une attelle Edimbourg est préconisé avec antalgie simple. Un contrôle à la policlinique d'orthopédie est prévu le 11.02.2019 pour suite de prise en charge. Au vu de la clinique, une radiographie digitale de la main gauche est effectuée et montre un arrachement de la plaque palmaire de l'interphalangienne proximale du 3ème doigt à gauche. Nous préconisons le port d'une attelle Alu angulée à 20° de flexion pour 2 semaines avec retour à domicile avec antalgie simple. Mr. Y prendra rendez-vous à la consultation d'orthopédie dans 2 semaines pour contrôle clinique et suite de prise en charge par attelle syndactylie pour 4 semaines. Nous demandons à Mr. Y de ne pas porter son alliance le temps de sa guérison. Au vu de la clinique, une radiographie du genou est effectuée et ne montre pas de fracture. Nous posons donc le diagnostic de contusion du genou gauche. Mme. Y peut rentrer à domicile le jour même avec antalgie simple, repos, glace et bande élastique. Nous préconisons un arrêt de travail de 2 jours pour optimiser la guérison au vu de la profession de cette dernière. Au vu de la clinique, une radiographie du pied est effectuée et ne met pas en évidence de fracture. Nous posons ainsi le diagnostic susmentionné. Mr. Y peut rentrer à domicile le jour même avec antalgie simple, glace, repos, bande élastique et charge selon douleurs. Un arrêt de sport de 1 semaine est préconisé. Au vu de la complète disparition des douleurs, nous ne préconisons plus de suivi quant à cette problématique. Nous lui conseillons toutefois de reconsulter en cas de réapparition des douleurs. Au vu de la complexité du cas, d'une patiente déjà opérée sur 2 niveaux au niveau cervical avec aggravation radiologique d'une décompensation des segments sus-jacents et sous-jacents et d'une symptomatologie douloureuse avec irradiation non claire dans le MS G, nous proposons dans un premier temps un bilan neurologique. Nous reverrons ensuite Mme. Y pour discuter des résultats et de la possibilité d'une éventuelle nouvelle intervention chirurgicale. Concernant les douleurs sacro-iliaques G, nous instaurons un traitement physiothérapeutique et organisons une infiltration sacro-iliaque G sous scopie. Elle nous rappellera pour confirmer cette infiltration ou l'annuler si la physiothérapie l'a assez soulagée. Au vu de la diminution radiologique de l'épanchement pleural droit ainsi que de l'amélioration clinique, sans signe de surinfection, la prise en charge conservatrice est poursuivie. Le schéma de Sintrom est adapté au vu d'une anticoagulation supra-thérapeutique avec contrôle chez le médecin traitant le 18.02. Au vu de la disparition complète des symptômes et l'absence de douleur corrélée à une IRM qui ne montre rien d'inquiétant, nous prescrivons à Mme. Y des séances de physiothérapie pour proprioception. Nous autorisons Mme. Y à reprendre le sport dès la 3ème semaine de physiothérapie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Au vu de la disparition des symptômes ce jour et de l'échographie testiculaire rassurante, Mr. Y peut rentrer à domicile sans suite de prise en charge spécifique. Nous avertissons Mr. Y de reconsulter en cas de résurgence des symptômes. Au vu de la douleur importante en FID avec défense, un CT abdominal à la recherche d'une appendicite ou d'une colite est effectué aux urgences qui ne retrouve pas de pathologie. Avec ce syndrome inflammatoire important, nous retenons l'indication à une hospitalisation de Mme. Y pour suivi clinique et biologique en gynécologie. Au vu de la durée des symptômes et de l'invalidation journalière pour Mr. Y, une prise en charge chirurgicale est indiquée. Une cure de pouce à ressaut en anesthésie locale est donc organisée. Pas de consultation pré-anesthésique nécessaire. Mr. Y sera reconvoqué pour traitement. Au vu de la fièvre depuis 24h à peine, nous proposons à la maman de reconsulter en cas de péjoration des symptômes ou de Au vu de la haute cinétique et du jeune âge de Mme. Y avec hématome occipito-pariétal douloureux, CT-scan: lames d'hémorragies sous-arachnoïdiennes bilatérales frontales, hématome sous-galéal occipito-pariétal droit, pas de fracture.Au vu de la nature bénigne du traumatisme ainsi qu'en l'absence de troubles neurologiques tant cliniques qu'anamnestiques, il est décidé de ne pas réaliser de surveillance neurologique. La plaie est suturée avec contrôle clinique à 5 jours chez le médecin traitant. Au vu de la négativité de l'IRM et de la symptomatologie, nous suspectons un syndrome du SPE D débutant. Nous l'adressons donc au Neurocentre pour ENMG et bilan neurologique afin d'exclure une éventuelle autre pathologie. Au vu de la péjoration de la clinique, le Dr. X, chirurgien, passe voir la patiente. Ce dernier préconise la mise en place d'un bandage par Ialugel plus et contrôle le 22.02.2019 à la policlinique de chirurgie. Au vu de la persistance de douleurs lors de certaines activités malgré un traitement conservateur de 3 semaines, nous proposons une infiltration péri-radiculaire C6 D. Prochain contrôle suite à cette infiltration. Au vu de la persistance de la symptomatologie, même sans clair signe clinique de radiculopathie et au vu du traumatisme récent, nous organisons une IRM cervicale pour dépister d'éventuelle compression radiculaire. Nous soulignons l'importance d'arrêter le traitement physiothérapeutique et/ou ostéopathique ainsi que de limiter l'activité physique sans surcharger les MS ni la musculature cervicale. Au vu de la persistance de la symptomatologie, un Uro-CT est effectué et met en évidence un calcul de 6x5x5 cm à la jonction urétéro vésicale gauche avec dilatation pyélocalicielle modérée en amont. Ainsi, nous posons le diagnostic de colique néphrétique gauche. Un avis est demandé auprès de l'urologue de garde, le Dr. X, au vu de la taille du calcul. Ce dernier organise un rendez-vous à sa consultation le jour-même à 15h afin de discuter des différentes modalités thérapeutiques. Le patient rentre donc à domicile avec la consigne de poursuite de son antalgie par Dafalgan, Voltarène et Tramal en réserve accompagné d'un traitement par Pradif 400 ug et de la poursuite du filtrage des urines, en attente de sa consultation de l'après-midi. Au vu de la persistance des douleurs et de l'examen clinique, nous réalisons une radiographie de l'épaule qui ne montre pas de fracture. Sur avis du Dr. X, orthopédiste, nous complétons l'imagerie par une incidence acromio-claviculaire qui ne montre pas de déplacement et nous retenons le diagnostic susmentionné. Nous fournissons au patient une bretelle de décharge avec une prescription d'antalgie simple et anti-inflammatoire, ainsi qu'un arrêt de travail jusqu'au 11.03.2019 avec contrôle à la consultation du Dr. X le même jour. Au vu de la persistance des douleurs, une échographie cardiaque est réalisée par Dr. X qui met en évidence la péjoration de la lame de liquide péricardique. Au vu de l'inefficacité du traitement d'AINS, un traitement de prednisone est débuté, avec un contrôle chez Dr. X dans 1 semaine. Au vu de la persistance des plaintes, nous demandons avis auprès de notre infectiologue pédiatre, Dr. X qui suspecte une réaction à un staphylocoque pouvant faire un tableau initial de scarlatine et peu couvert par l'Amoxicilline. Dans ce contexte, nous introduisons un traitement par Co-Amoxicilline à poursuivre au minimum jusqu'au contrôle chez la dermatologue pédiatre le 12.02. En cas de péjoration, nous conseillons un contrôle aux urgences. Au vu de la persistance des symptômes, nous organisons un prochain contrôle avec un scanner de contrôle dans 3 semaines. Arrêt de travail à 100%. Nous ne pouvons pas encore nous prononcer sur le regain de la fonction gustative et olfactive. Au vu de la perte de hauteur et des douleurs persistantes, nous organisons une IRM de la colonne lombaire afin de vérifier la présence d'oedème dans le corps vertébral de L5. Au vu de la présence à l'inspection d'une déformation de l'épaule droite en coup de hache et de l'impossibilité de réaliser une abduction et rotation externe, nous réalisons une radiographie montrant une luxation antérieure sans signe de fracture. Le testing du nerf axillaire est dans la norme. Le patient ne présente pas de déficit de force et présente un pouls radial bien perçu. Nous demandons un consilium orthopédique avec une réduction de la luxation et mise en place d'un gilet orthopédique en plus d'une antalgie avec contrôle à une semaine auprès de Dr. X le 22.02.2019. Le patient rentre à domicile accompagné de son épouse. Au vu de la prise de sang rassurante et du bolus administré, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile. Au vu de la radiographie qui pourrait parler pour une fracture ancienne, nous décidons avec Dr. X de réaliser un CT-scan du poignet droit qui confirme son aspect récent. Il est ainsi décidé d'immobiliser le poignet de la patiente par un plâtre scaphoïde haut, prenant l'olécrâne, avec une incision en biseau antérieur et une incision ulnaire afin d'empêcher la pronation/supination mais de permettre la flexion/extension de l'avant-bras. La radiographie de contrôle du poignet et de l'avant-bras ne montre pas de point d'appui ni de déplacement secondaire. La patiente ne souhaite pas avoir d'antalgie médicamenteuse. Elle sera suivie à la consultation du Dr. X, orthopédiste, le 25.02.2019. Au vu de la réapparition de la symptomatologie et de l'ancienneté de la dernière IRM (janvier 2017), nous organisons avant tout une nouvelle imagerie pour compléter le bilan, suspectant une récidive de la hernie discale déjà connue. Si cela est confirmé, au vu de la clinique actuelle, une infiltration péri-radiculaire pourra être envisagée. Pas d'indication chirurgicale pour l'instant. Au vu de la recherche d'H. pylori qui revient positive dans les selles, nous prenons contact avec Dr. X. Ce dernier préconise une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour et Klacid 250 mg 2x/jour pendant 1 semaine ainsi qu'un traitement par Nexium 40 mg pendant 1 mois. La patiente reviendra en consultation à la filière des urgences ambulatoires le 05.04.2019 pour pister un nouvel examen des selles (fournies quelques jours auparavant pour analyse) afin de certifier l'éradication de la bactérie. Au vu de la résolution complète des symptômes aux urgences et de l'exclusion d'une origine grave, nous laissons rentrer la patiente à domicile. Au vu de la saison et de l'absence d'autre symptôme, nous ne pensons pas en première ligne à la borreliose, malgré une sérologie positive. Une cause centrale de la paralysie faciale peut raisonnablement être exclue. Cependant, la régression des symptômes sous corticoïdes puis leur réapparition à l'arrêt du traitement malgré une bonne compliance et un schéma dégressif est atypique raison pour laquelle nous prenons l'avis de Dr. X qui prend un avis au Dr. X, neurologue, qui propose la reprise du traitement par corticoïdes. La patiente sera vue pour un ENMG et un consilium neurologique le 14.02. En cas de mauvaise évolution, il est proposé de réaliser une IRM à la recherche d'une autre cause. La patiente rentre donc à domicile avec de la prednisone 60 mg/j pour 7 jours, un onguent ophtalmique à la vitamine A et une antalgie. Elle poursuivra le collyre oculaire et la doxycycline comme initialement prévu. Au vu de la sévérité de l'insuffisance respiratoire chez une patiente avec des troubles cognitifs, institutionnalisée et dépendante, avec des directives anticipées claires, nous renonçons à l'intubation et débutons des soins de confort. Après discussion avec le fils et le Dr. X, médecin responsable du Home, nous convenons d'un transfert à la Providence pour la poursuite des soins de confort.Au vu de la situation actuelle, nous instaurons un traitement de physiothérapie pendant au moins 2 mois et prions le médecin traitant de faire une ordonnance pour la suite du traitement au mois de mars. Nous conseillons un traitement de renforcement musculaire ainsi que de soulagement de la douleur. Nous soulignons l'importance d'avoir une bonne hygiène posturale et de vie avec des activités sportives pour muscler la musculature antérieure et postérieure (Mr. Y travaille comme maçon et a une bonne musculature de tous les groupes musculaires pectoraux et des bras). Nous reverrons Mr. Y dans 2 mois pour juger de l'évolution. Au vu de la situation actuelle qui est également caractérisée par une démence initiale avec un MMS de 22/30, nous prions son médecin de famille d'organiser un bilan gériatrique afin d'évaluer une éventuelle hypovitaminose liée à la polyneuropathie, surtout pour évaluer le risque de chute et pour donner certaines indications de prévention. En ce qui concerne la douleur nucale qui est encore présente, Mme. Y nous informe avoir débuté des séances de physiothérapie pour lesquelles nous n'y voyons aucune contre-indication. Pas de prochain contrôle prévu à notre consultation. Au vu de la situation dépassée et décompensée au niveau respiratoire et la VNI impossible ainsi que le statut REA non, la compagne est appelée pour clarifier l'attitude, qui insiste sur l'importance de l'antalgie et des soins de confort et confirme le statut REA non. Au vu de ces informations et sur avis médical, nous initions des soins de confort. Au vu de la situation, je lui propose de lui prescrire des appuis rétro-capital, qu'elle va porter durant 2 mois. Nous la reverrons par la suite pour un contrôle clinique. Je lui dis bien qu'elle doit porter ses semelles progressivement. Au vu de la situation, nous allons refaire une révision avec débridement de ce 2ème orteil sous anesthésie locale. J'explique l'intervention, les risques et les bénéfices. Il signe le consentement. L'intervention aura lieu dans 1 semaine. Je prolonge l'arrêt de travail jusqu'au 15.03.2019. Au vu de la situation, nous proposons la confection d'un plâtre amovible que Mme. Y devrait porter le plus souvent possible, y compris la nuit pour vraiment calmer la situation. Prescription également de Flector patch. Elle sera revue dans 3-4 semaines pour réévaluer la situation. À ce moment-là, nous envisagerons une infiltration. Au vu de la situation, nous retenons un traitement conservateur à base de physiothérapie pour mobilisation du genou et étirement des chaînes postérieures. Prochain contrôle clinique en juillet 2019. Au vu de la situation, nous suspectons un syndrome du tunnel carpien à G pour lequel nous demandons un bilan neurologique. Nous reverrons Mme. Y à la suite de cet examen. Dans l'intervalle, elle bénéficie d'une attelle Velcro pour poignet G. Au vu de la stabilité de la symptomatologie et de l'absence de myélopathie aiguë, nous organisons l'étude des potentiels évoqués au Neurocentre. En effet, nous aimerions définir le plus précisément possible l'origine et le niveau de ces troubles proprioceptifs. Selon le résultat de cet examen, une prise en charge chirurgicale pourrait être discutée au niveau le plus atteint. Nous avons également discuté avec Mme. Y qu'une probable prise en charge chirurgicale ne pourrait pas améliorer cette situation mais éventuellement, dans le meilleur des cas, ralentir la progression de son mal. Au vu de la stabilité de la symptomatologie, nous proposons une poursuite du suivi des céphalées par le médecin traitant. En cas de péjoration de celles-ci avec notamment recrudescence des nausées, vomissements ou trouble de l'un des 5 sens, elle nous reconsultera. Concernant la contusion lombo-sacrée, celle-ci est complètement résolue. Pas de nouveau contrôle prévu d'office, nous restons à disposition au besoin. Au vu de la suspicion de rupture du ligament croisé antérieur, une consultation orthopédique est indiquée à une semaine à la consultation du Dr. X. Dans l'intervalle, nous proposons une antalgie avec marche selon douleurs et attelle Jeans à 0°. Au vu de la suspicion d'une ostéomyélite au niveau de la 3ème tête métatarsienne, nous lui proposons une prise en charge chirurgicale par arthroplastie de résection. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Au vu de la symptomatologie de brûlures rétro-sternales, nous décidons de réaliser un ECG qui se montre sans particularité. En raison de la symptomatologie typique pour un reflux gastro-oesophagien, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile avec une ordonnance pour du Nexium 40 mg 1x/jour pour une durée de 14 jours. Mr. Y sera revu par son médecin traitant à la fin de sa thérapie par IPP, et nous lui laissons le soin de décider de la suite de la prise en charge. Une OGD sera à prévoir à distance en cas de persistance des symptômes malgré le traitement par IPP. Au vu de la symptomatologie dont se plaint Mr. Y, nous organisons un complément de bilan avec IRM et produit de contraste afin de dépister un éventuel trouble anatomique qui pourrait justifier les douleurs. La typologie des douleurs dont Mr. Y se plaint est assez bien justifiée suite à l'abord latéral transmusculaire au niveau du psoas qui peut être la cause d'une irradiation algique au niveau des MI. Nous instaurons un traitement par Neurontin pour réguler les douleurs de type brûlure neuropathique. Prochain contrôle après l'IRM. Au vu de la symptomatologie douloureuse exacerbée en position assise, nous lui conseillons d'utiliser un coussin pour le coccyx durant la journée pour soulager les douleurs. Nous organisons une IRM lombaire afin de dépister une éventuelle aggravation de la discopathie connue et également au niveau sacro-coccygien pour identifier d'éventuelles altérations qui pourraient être liées au traumatisme. Prochain contrôle après l'IRM. Au vu de la symptomatologie et de l'imagerie qui explique très clairement une myélopathie débutante, du risque d'une évolution progressive avec aggravation de la situation, nous posons l'indication à une prise en charge chirurgicale de discectomie C5-C6, décompression et mise en place d'une cage et d'une plaque sous neuromonitoring. Mme. Y est clairement informée des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Une date opératoire est fixée au 06.03.2019. À noter également des douleurs lombaires non spécifiques depuis plusieurs mois. Étant donné qu'elle ne présente pas de red flag pour l'instant et qu'il n'y a pas de signe radiologique majeur, nous convenons de rediscuter de la situation une fois l'intervention cervicale réalisée. Au vu de la symptomatologie et des résultats de laboratoire, Mme. Y est adressée aux angiologues de l'hôpital de Fribourg. Un US est prévu le 23.02.2019, à 11h au HFR. Elle reçoit une dose de Clexane 80 mg à la Permanence de Meyriez. Au vu de la symptomatologie importante et persistante, nous proposons une IRM lombaire avec séquences STIR afin d'écarter une nouvelle fracture. Nous reverrons ensuite Mme. Y le jour même, en semi-urgence. Nous expliquons la situation à sa famille et prions le médecin traitant de bien vouloir organiser un examen angiologique des MI en raison d'une progression des œdèmes à ce niveau avec des douleurs concomitantes. Au vu de la symptomatologie, nous écartons une composante centrale de son vertige. La manœuvre de Hallpike en testant le canal semi-circulaire postérieur droit reproduit la symptomatologie avec la présence d'un nystagmus géotrope épuisable. Nous effectuons la manœuvre libératrice de Semont qui soulage instantanément Mme. Y. Cette dernière peut rentrer à domicile le jour même. Nous lui proposons de reconsulter directement son ORL en cas de réapparition des symptômes.Au vu de la symptomatologie, nous effectuons un laboratoire qui ne révèle pas d'anémie, pas de carence en fer ou vitaminique. La fonction thyroïdienne et rénale sont normales. Un score d'Epworth à 7 rend une apnée du sommeil peu probable. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente de poursuivre les investigations chez son médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Au vu de la symptomatologie, nous posons le diagnostic susmentionné. Nous prescrivons un traitement par Amoxicilline sirop 25mg/kg/12h (550mg 2x/jour corrigé au poids). Nous préconisons un contrôle dans 3 jours chez son pédiatre pour suite de prise en charge. Au vu de la symptomatologie persistante et de l'examen clinique, nous avons comme suspicion une lésion ou irritation d'un nerf intercostal à droite sur traumatisme chez une patiente connue pour une arthrose pluri-étagée vs pathologie intra ou rétro-péritonéale subclinique. A noter que la patiente rapporte avoir eu durant les radiographies une acutisation de ses douleurs dorsales à l'antéflexion des épaules. Elle ne rapporte pas de trouble gastro-intestinal type nausée ou vomissement. Par ailleurs, à la palpation abdominale, aucune douleur n'a été rapportée. Nous souhaitons donc pour notre suspicion d'irritation du nerf intercostal adresser la patiente chez le Dr. X pour bloc intercostal droit. En parallèle, nous adressons également la patiente chez son médecin traitant pour recherche d'une pathologie abdominale via imagerie (US ou CT abdominal selon votre appréciation) et +/- tests hépatiques selon votre appréciation également. Si le traitement intercostal ou les examens complémentaires revenaient à être positifs ou efficaces, nous ne prévoyons pas de revoir la patiente. Elle est informée que nous restons à disposition au besoin. Au vu de la symptomatologie présentée par la patiente, nous effectuons une ponction lombaire dans le but d'exclure une méningite. Le LCR étant dans la norme, nous retenons une otite externe. Au vu de la symptomatologie présentée ainsi que de l'examen clinique, nous suspectons fortement une grippe et nous laissons rentrer la patiente à domicile avec un traitement symptomatique par anti-inflammatoire et antipyrétique. Travaillant en cuisine, la patiente bénéficie d'un arrêt de travail jusqu'au 17.02.2019. Au vu de la symptomatologie qui reste inchangée par rapport au dernier contrôle et des résultats des examens complémentaires, nous proposons un traitement de physiothérapie pour renforcement musculaire du MI G, proprioception et rebalancement postural. Pas d'indication chirurgicale pour l'instant. Nous conseillons une reprise du travail à 50% en évitant toutefois le port de charge et les mouvements répétitifs de flexion/extension de la colonne lombaire. Prochain contrôle fin juillet avec un CT de contrôle afin de confirmer la progression de l'ossification inter-vertébral L5-S1. Au vu de la taille de la plaie et de l'absence d'autre déficit, nous réalisons un pansement compressif et laissons le patient rentrer à domicile. Au vu de la très bonne évolution clinique et radiologique, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si nécessaire. Au vu de la volumineuse hernie, de la progression des symptômes et du risque de syndrome de la queue de cheval en cas de thérapie conservatrice, nous confirmons la prise en charge chirurgicale semi-urgente prévue pour demain. Il a déjà consulté les anesthésistes ce jour. Nous lui remettons le formulaire de consentement éclairé pour réflexion et signature. Il est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Au vu de l'absence d'amélioration malgré les infiltrations, nous organisons un nouveau CT lombaire jusqu'à S1 à la recherche d'une éventuelle lyse osseuse ou fragment osseux. En parallèle, nous adressons Mr. Y au Neurocentre à la recherche d'un trouble de la conduction sensitivo-motrice étant donné les fasciculations en légère péjoration. Prescription également de physiothérapie pour fango à visée antalgique. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% pour 3 semaines au vu de l'insécurité à la marche. Au vu de l'absence de critère de gravité, nous posons le diagnostic de lombalgies non déficitaires et le suivi susmentionné, soit traitement antalgique, consultation chez un médecin traitant si persistance des douleurs (en recherche) et consultation aux urgences en cas de péjoration clinique. Au vu de l'absence de défaut de dérotation, un traitement conservateur par immobilisation par attelle Edimbourg est préconisé. Cependant, au vu du léger déplacement de la fracture avec défaut de rotation et raccourcissement du 4ème métacarpe, le patient sera contacté le 15.02 afin de le renseigner si une prise en charge chirurgicale est toutefois nécessaire. Au vu de l'absence de déplacement de la fracture, un traitement conservateur est proposé avec suivi clinique par Dr. X à une semaine. En ce qui concerne le traumatisme crânien, au vu de l'absence de perte de connaissance et d'amnésie circonstancielle, un examen neurologique est comparable à d'habitude selon le père et le patient, pourtant pas normal dans le contexte de l'hémiparésie droite congénitale et l'épilepsie. La patiente rentre à domicile avec surveillance neurologique durant 24 heures à domicile. Il leur est expliqué de reconsulter à la moindre altération de la normale. Au vu de l'absence de déplacement de la fracture, un traitement conservateur par attelle Buratto avec marche en charge selon les douleurs est préconisé. Un contrôle clinique est prévu à la consultation du Dr. X le 20.02 à 19h00. Au vu de l'absence de facteur de gravité ainsi que de la diminution des symptômes, nous laissons rentrer le patient à domicile en l'absence d'examens complémentaires. Il lui est expliqué de reconsulter les urgences en cas de péjoration des douleurs ou de symptômes nouveaux tels que saignement macroscopique. Contrôle sinon chez le médecin traitant. Au vu de l'absence de foyer clair identifié à la radiographie de thorax ainsi que de syndrome inflammatoire, une surinfection bactérienne est écartée. Au vu de symptômes obstructifs, la patiente bénéficie d'un traitement bronchodilatateur aux urgences en aérosol, avec traitement d'aérosol à domicile durant 7 jours et antitussif. Un contrôle clinique à la consultation du médecin traitant est proposé la semaine prochaine. Au vu de l'absence de fracture visible au CT-scan de la colonne lombaire et status neurologique dans la norme, nous retenons le diagnostic de contusion de T11 avec acutisation de douleurs arthrosiques. La patiente regagne le domicile accompagnée de son mari avec antalgie et arrêt de travail. Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Au vu de l'absence de lésion sur l'IRM et d'aucune symptomatologie, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle. Nous soulignons que la maman de Mr. Y a dû s'absenter de son travail en date du 14.02.2019 pour l'accompagner aux urgences et peut donc bénéficier d'un arrêt de travail. Au vu de l'absence de signe clinique lié à la pathologie lombaire, nous confirmons la suspicion initiale d'un syndrome sacro-iliaque gauche. Nous retrouvons ce jour une douleur très marquée à la compression de l'articulation sacro-iliaque gauche plutôt que la droite. Au vu du changement et de la fluctuation de la symptomatologie, nous organisons une infiltration sacro-iliaque gauche au vu de la prédominance de la symptomatologie de ce côté-là. Nous gardons en réserve la possibilité d'infiltrer l'articulation sacro-iliaque droite où la douleur était dominante lors de la dernière consultation.Au vu de l'absence de signe intra-crânien, nous pouvons considérer le traitement comme terminé. Les symptômes dont se plaint Mr. Y peuvent être liés au contexte post-traumatique, de ce fait, nous prions nos collègues du service de neuropsychologie d'organiser un bilan. De plus, nous envisageons une prise en charge ORL pour les acouphènes ainsi que pour les vertiges occasionnels dont se plaint Mr. Y. Concernant son activité professionnelle, arrêt de travail à 80% jusqu'au mois de mars. Au vu de l'absence de signe systémique et local et de l'absence de visualisation du clou sur la radiographie, nous introduisons un traitement de chlorhexidine à faire en bain antiseptique 2x/jour et de paracétamol avec contrôle clinique dans 2 jours car Mme. Y n'a pas de médecin traitant. Au vu de l'absence de signes d'abdomen aigu mais avec une palpation douloureuse épigastrique, nous retenons un diagnostic de gastrite aiguë pour laquelle nous prescrivons un traitement de pantoprazole 40 mg 1x7j pendant 7 jours, primpéran 10 mg et Dafalgan en réserve. Nous recommandons à Mme. Y de reconsulter les urgences en cas d'évolution clinique défavorable, de forte douleur, fièvre ou sang dans les selles. Une recherche de H Pylori dans les selles à distance est indiquée. Contrôle chez le médecin traitant. Au vu de l'absence de symptomatologie, Mme. Y rentre à domicile. Nous discuterons avec les collègues du Team Spine de la nécessité d'un contrôle orthopédique en ambulatoire. Au vu de l'absence de traumatisme direct ainsi qu'une douleur localisée en regard du muscle sous-épineux gauche, avec examen neurologique dans la norme, une antalgie seule est préconisée avec réassurance de Mme. Y. Au vu de l'absence de troubles neurologiques, l'absence d'irradiation radiculaire et de drapeaux rouges, un traitement conservateur seul est préconisé. Au vu des conditions de travail et s'agissant d'un 2ème épisode, des séances de physiothérapie sont prescrites pour enseignement de l'hygiène du dos. Un suivi par le médecin traitant est indiqué. Au vu de l'absence des images, nous ne pouvons pas vraiment instaurer un traitement pour le moment. Nous prions donc Mme. Y de contacter Affidea et nous amener un CD lors de la prochaine consultation. L'antéro-listhésis éventuel C2-C3 avec surcharge des articulaires à gauche pourraient justifier les douleurs cervicales ainsi que l'irradiation. S'il devait y avoir confirmation sur les images, une éventuelle infiltration diagnostique et thérapeutique au niveau articulaire C2-C3 à gauche pourra être envisagée. Nous nous réservons de changer le traitement déjà discuté lorsque nous aurons vu les différentes images. Au vu de l'absence d'image sur la zone d'intérêt, nous appelons le radiologue de Givision à Givisiez et lui demandons de réitérer l'examen, qu'il confirme être incomplet. Cet examen sera fait à leur frais. Nous reverrons Mme. Y suite à cet examen. Nous restons à disposition en cas d'aggravation de la symptomatologie. Au niveau socio-professionnel, Mme. Y est à 50%, ce qui est son taux habituel, poursuite de celui-ci. Au vu de l'absence d'IRM, nous organisons à nouveau cet examen et le reverrons au plus vite pour discuter des résultats. Dans l'intervalle, nous prions Mr. Y de reprendre une immobilisation par minerve mousse 24h/24 7j/7 jusqu'au prochain contrôle, celui-ci ne semblant pas être très ouvert à l'idée d'en porter une rigide. Mr. Y part en vacances de ski la semaine prochaine et souhaite avoir l'IRM en avance, alors que la première date disponible dans notre établissement est le 07.03.2019. Nous lui expliquons bien qu'avoir une IRM sans consultation jointe à cet examen, ne change rien à la prise en charge. Pas de prescription d'IRM en externe, car doute sur la compliance du patient. Prochain contrôle à la suite de l'IRM de la colonne cervicale prévue le 06.03.2019. Interdiction de tout sport à risque type ski, unihockey ou sport à vitesse avec risque de contact entre temps. Note du 28.02.2019: Appel de Mr. Y qui a annulé son rendez-vous d'IRM prévu le 06.03.2019 à l'HFR Fribourg, l'ayant changé lui-même pour le 01.03.2019 à l'externe (CIMED). Il souhaite ainsi nous revoir plus rapidement. Nous lui proposons un rendez-vous le 05.03.2019, date de la prochaine consultation. Au vu de l'absence totale de symptôme, nous pouvons considérer qu'il s'agit uniquement d'une contusion musculaire cervicale. Nous restons à disposition au besoin mais ne prévoyons pas de nouveau contrôle. Au vu de l'âge de Mr. Y, une radiographie de la colonne est réalisée, montrant un discret enfoncement du plateau supérieur, devant correspondre, pour L2, à une probable herniation de Schmorl, mais suspecte d'être un tassement en D12 et L1. Mr. Y ne présente pas de drapeaux rouges avec un examen neurologique dans la norme. Nous retenons le diagnostic de douleurs lombaires droites non déficitaires. Une antalgie adaptée est proposée avec physiothérapie de mobilisation pour hygiène du dos, s'agissant du 2ème épisode. Un contrôle clinique chez le médecin traitant est proposé. Un arrêt maladie est prescrit au vu du travail de force, cependant il est expliqué à Mr. Y qu'un repos absolu n'est pas à préconiser. Concernant le doute sur un tassement en D12 et L1, nous préconisons d'effectuer un CT-scan de la colonne lombaire. Au vu de l'âge et du foyer infectieux léger (légère IVRS), nous réalisons des examens complémentaires permettant d'exclure un syndrome inflammatoire et une infection des voies urinaires. Dans ce contexte, un traitement symptomatique de l'IVRS est proposé avec contrôle à 24 heures chez le pédiatre. Au vu de l'âge, une colonoscopie de dépistage est indiquée en ambulatoire. Au vu de l'aggravation progressive des douleurs et de la péjoration radiologique, surtout avec la progression de la cyphotisation et le risque d'un recul du mur postérieur de la vertèbre D12 vers le canal, bien qu'il s'agisse d'une patiente polymorbide, nous proposons une intervention de cyphoplastie D12. Mme. Y et sa fille sont clairement informées sur les risques, les bénéfices et le déroulement de cette intervention. Elles souhaitent encore un temps de réflexion et nous rappellerons pour nous communiquer leur décision. En cas d'opération, un consilium anesthésologique devra être organisé au préalable. Si par contre Mme. Y refusait cette intervention, un nouveau contrôle radio-clinique sera réalisé dans 4 semaines afin d'exclure une nouvelle aggravation. Au vu de l'amélioration actuelle de la symptomatologie, sans réel trouble neurologique, nous ne proposons pas de traitement chirurgical ni de nouvelle infiltration. Nous le reverrons dans 4 semaines, après prise en charge physiothérapeutique et arrêt de travail à 50%. Au vu de l'amélioration clinique et de la stabilité biologique et au vu de l'ultrason, nous posons le diagnostic et suivi susmentionné. Mr. Y aurait eu le choix d'une cholécystectomie demain mais a préféré attendre pour des raisons organisationnelles. Au vu de l'amélioration spontanée des symptômes, Mme. Y rentre au foyer, avec des consignes de surveillance. Suite à la discussion avec Dr. X, son rendez-vous est également avancé au 14.02 à 6h. Au vu de l'amélioration transitoire des douleurs durant 72 heures après l'infiltration sous scopie, nous proposons une nouvelle infiltration facettaire L3-L4 bilatérale, cette fois-ci sous CT afin de confirmer la source de la douleur. Si cette dernière se révèle positive, une dénervation facettaire pourra être envisagée. Prochain contrôle suite à l'infiltration.Au vu de l'anamnèse et de la clinique rapportée, nous concluons à une crise d'hyperventilation dans un contexte de crise d'angoisse. Mr. Y ne souhaite pas rencontrer notre psychiatre, ni avoir un contact avec le centre psychosocial pour le moment. Un arrêt de travail lui est fourni jusqu'à la fin de la semaine et nous l'invitons à consulter son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. Il est invité à reconsulter les urgences si apparition de nouveaux symptômes. Au vu de l'anamnèse et de l'examen clinique, nous réalisons une radiographie qui n'objective pas de fracture. Aux urgences, il reçoit 1g de Dafalgan avec résolution presque complète de la symptomatologie. Nous retenons un diagnostic de contusion au niveau sacro-coccygien sur traumatisme le 04.02.2019. Dans ce contexte et au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile avec une antalgie simple et un contrôle chez le médecin traitant si besoin. Au vu de l'anamnèse, nous préconisons à Mme. Y de choisir un médecin traitant pour un suivi sur le plus long terme. Au vu des symptômes, nous donnons des traitements préventifs pour les nausées. Au vu d'une absence d'élément clinique en faveur d'une incapacité à se présenter à ses examens ce jour, nous ne réalisons pas d'arrêt de travail pour ce jour. Au vu d'une patiente cliniquement bien, elle rentre à domicile avec un traitement pour les nausées au besoin et le conseil de se trouver un médecin traitant dans la région pour la suite. Au vu de l'anamnèse, nous préconisons l'avis de la Dr. X, psychiatre de liaison. Cette dernière décrit et pose le diagnostic susmentionné. Cette dernière note également un épuisement tant chez Mme. Y que chez son fils, les deux disposant de très peu de ressources pour gérer entre eux la situation, raison pour laquelle elle propose une hospitalisation pour traiter la crise à l'hôpital de Marsens, que la patiente accepte. Ainsi, nous prenons contact avec l'hôpital de Marsens en vue d'une hospitalisation en urgence, acceptée par ces derniers. La patiente part donc, selon l'avis de la Dr. X, accompagnée par son fils à l'hôpital de Marsens, munie d'une copie de ce document pour les soignants de ce site. Au vu de l'anamnèse peu fiable et en absence d'hétéro-anamnèse, nous réalisons après avis chirurgical un CT cérébral natif pour écarter un saignement suite à la chute. Les radiographies montrent une fracture métaphysaire déplacée du premier métacarpe du pouce gauche avec une bascule palmaire à 50° et une facture P1O4 gauche. Nous réalisons un plâtre AB fendu pour la fracture métaphysaire du premier métacarpe. Nous réalisons un contrôle clinico-radiologique après le plâtre qui est sans particularités. Concernant la facture P1O4 gauche, nous réalisons une syndactylie O3-O4. Nous mettons en place une antalgie et transmettons à Mr. Y le numéro de la polyclinique pour prendre RDV le 27.02.2019 à la consultation de la Dr. X. N.B : numéro du patient (0792934132) à rappeler la veille. Au vu de l'anamnèse peu fiable et en absence d'hétéro-anamnèse, nous réalisons après avis chirurgical un CT-scan cérébral natif pour écarter un saignement suite à la chute. Les radiographies montrent une fracture métaphysaire déplacée du premier métacarpe du pouce gauche avec une bascule palmaire à 50° et une facture de la première phalange du 4ème orteil gauche. Nous réalisons un plâtre antébrachial fendu pour la fracture métaphysaire du premier métacarpe. Nous réalisons un contrôle clinico-radiologique après le plâtre qui est sans particularité. Concernant la facture de la première phalange du 4ème orteil gauche, nous réalisons une syndactylie des 3ème et 4ème orteils. Nous mettons en place une antalgie et transmettons à Mr. Y le numéro de la policlinique pour prendre rendez-vous le 27.02.2019 à la consultation de la Dr. X. NB : numéro du patient (079/293.41.32) à rappeler la veille. Au vu de l'atteinte isolée d'un sinus maxillaire avec œdème et rougeur en regard avec état fébrile, une antibiothérapie est prescrite pour une durée totale de 10 jours avec contrôle clinique chez le médecin traitant. Au vu de l'attitude réa négative et du refus de soins intensifs et de mesures diagnostiques et thérapeutiques lourdes, nous vous transférons Mr. Y pour suite de prise en charge avec un suivi étroit de l'hémoglobine. Au vu de l'échec du traitement conservateur et de l'aggravation progressive des douleurs et surtout de la parésie du MI G, une éventuelle infiltration ne semble pas raisonnable. Nous envisageons plutôt une herniectomie L4-L5 G avec décompression de la racine L5 G. Nous expliquons à Mr. Y qu'au vu du fait que le déficit moteur est en aggravation depuis déjà 6 jours, une intervention chirurgicale en urgence ne changerait pas l'évolution post-opératoire. Nous préférons donc le revoir comme prévu le 26.02.2019 afin de remplir le consentement opératoire et planifions d'ores et déjà une date opératoire au 01.03.2019. Dans l'intervalle, nous optimisons une dernière fois le traitement médicamenteux pour soulager les douleurs. Au vu de l'échec du traitement conservateur, nous proposons une prise en charge chirurgicale avec une correction par ostéotomie et mise en place d'une broche pour traiter le varus. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Au vu de l'épanchement intra-articulaire et de plusieurs épisodes de blocage au niveau genou D, nous complétons le bilan par IRM afin d'exclure une nouvelle lésion méniscale. Prochain contrôle clinique après l'IRM. Au vu de l'état clinique de Mr. Y avec GCS à 3/15 et ce, sans sédation, avec un état de décérébration, et suite à une discussion avec le neurochirurgien de garde de l'Inselspital, un retrait thérapeutique est décidé d'un point de vue médical tout en avertissant les personnes les plus proches de Mr. Y, ce dernier n'ayant plus de famille à proximité. Effectivement, l'état clinique et l'imagerie cérébrale étant telles qu'une intervention chirurgicale n'apporterait aucun bénéfice. Nous prenons le temps d'expliquer la situation aux proches de Mr. Y, qui comprennent et un ami souhaiterait rester présent lors du décès de Mr. Y. Une antalgie par Morphine et Midazolam est alors mise en place, et une extubation est réalisée. A noter qu'une discussion concernant le don d'organes a été réalisée avec le chef de garde des soins intensifs et que ce dernier ne retient pas d'indication à un don d'organes compte tenu du fait que Mr. Y avait un cancer vésical récemment traité. Contact ami proche si décès : Mr. Y = 026 466 48 74 Au vu de l'état général de Mme. Y, après un entretien téléphonique avec le Toxzentrum (dose toxique à 300mg de Zolpidem pour les adultes, quelques rares cas à 100mg, effets dépression du SNC ou réactions paradoxales, attention en cas d'apparition de douleur dans les membres à penser à une rhabdomyolyse au vu d'une possibilité de position d'appui prolongée dans la baignoire) et l'évaluation pédopsychiatrique, nous optons pour hospitalisation volontaire à Marsens pour Mme. Y. Au vu de l'état général de Mr. Y, de sa polymorbidité et de sa décision d'avoir arrêté tous ses médicaments, nous ne pouvons pas planifier d'intervention pour le moment qui, d'un point de vue radiologique et technique, serait nécessaire pour le soulager de ses douleurs. Cette intervention consisterait en une cimentoplastie D10, D11 et L2. Nous instaurons pour l'instant un traitement conservateur par physiothérapie à domicile. Au vu de l'éventuelle indication à effectuer une intervention de fixation par abord postérieur et spondylodèse L2-L3, nous souhaiterions d'abord avoir le bilan de la densitométrie osseuse concernant l'ostéoporose que nous suspectons. S'il devait y avoir une confirmation de cette pathologie, un traitement contre l'ostéoporose devra être débuté avant l'éventuelle intervention.Nous prions nos collègues de la rhumatologie de convoquer la patiente afin de réaliser l'ostéodensitométrie. La patiente reprendra contact avec nous une fois les résultats disponibles. Au vu du bon résultat de l'infiltration facettaire L2-L3, pour l'instant, nous organisons un rdv chez nos collègues du CIMF pour discuter d'une dénervation facettaire par radio-fréquence. Au vu de l'évolution clinique favorable, de la reprise du travail ainsi que de toutes les activités quotidiennes et du résultat radiologique, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle à notre consultation mais restons à disposition si nécessaire. Nous soulignons qu'il y a toujours un risque de présenter une décompensation du segment adjacent à la fixation et que si elle devait ressentir des douleurs dorsales, la patiente doit nous recontacter. Au vu de l'évolution clinique favorable et du résultat de l'imagerie, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Au vu de l'évolution clinique très favorable, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle d'office ni IRM cervicale. Nous restons à disposition au besoin. Au vu de l'évolution favorable à 4 semaines de la dernière consultation, nous ne prévoyons pas nouveau contrôle mais restons à disposition au besoin. Au vu de l'évolution favorable nous mettons fin au contrôle dans notre service. La patiente sera revue le 08.02.2019 pour l'ablation des fils à la consultation du Dr. X. Au vu de l'évolution favorable, nous organisons un nouveau contrôle dans 5 semaines pour refaire le point. En cas de mauvaise évolution avec nouvelle péjoration des douleurs, nous pourrons envisager une série d'infiltrations par Curavisc. Au vu de l'évolution favorable, nous refaisons le pansement au niveau de D5 et préconisons une fin de traitement dans notre service. Le patient s'adressera à son médecin traitant pour le suivi. Au vu de l'évolution qui ne montre pas une résolution complète des douleurs mais qui n'empêche pas non plus au patient de travailler à 50%, nous envisageons la poursuite du traitement physiothérapeutique associé au TENS avec application de patchs chauffants Perskindol en réserve. Nous expliquons au patient qu'actuellement nous pouvons considérer une consolidation de la spondylodèse mais nous ne sommes pas encore à la fin du processus. Nous reverrons le patient dans 4 mois avec un scanner réalisé au préalable afin de juger de la fusion. Au vu de l'évolution radioclinique favorable, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Au vu de l'évolution radio-clinique satisfaisante actuellement malgré les comorbidités importantes, nous prévoyons un nouveau contrôle dans 3 mois. Pas de physiothérapie en raison de la mauvaise qualité osseuse et du risque augmenté de chute. Au vu de l'examen clinique de la cheville à l'arrivée, nous appelons le chirurgien orthopédique de garde et une réduction est faite en urgence. Le statut post-réduction ne retrouve pas de trouble neuro-vasculaire. Une attelle plâtrée est mise en place et la radiographie de contrôle montre une fracture Weber B pour laquelle une indication opératoire est posée. Le patient est autorisé à rentrer à domicile avec consignes de repos au lit strict, surélévation du membre inférieur droit. Il sera vu en consultation par le Dr. X, orthopédiste, le 13.02.2019 pour contrôle de l'état cutané, avec une prise en charge chirurgicale le lendemain si la tuméfaction a diminué. Prophylaxie antithrombotique durant l'immobilisation. Antalgiques et anti-inflammatoires, consignes de surveillances sous le plâtre données au patient. Au vu de l'examen clinique, de l'anamnèse et suite à une discussion du cas avec le Dr. X, nous retenons un diagnostic de probable kératite du soudeur. Nous administrons au patient de la pommade vitamine A à appliquer 3x/jour, du gel ophtalmique Lacrinorm à appliquer minimum 4-6x/jour et des pansements obstructifs pour la nuit. Nous lui recommandons de consulter un ophtalmologue le 05.02.2019 et le patient s'y engage. Dans ce contexte, le patient rentre à domicile avec une ordonnance pour le traitement. Au vu de l'examen clinique du patient, nous suspectons des lombalgies droites d'origine musculaire et instaurons un traitement antalgique, anti-inflammatoire et myorelaxant pendant 5 jours. Nous préconisons aussi du repos avec un arrêt de travail pour 3 jours, le patient consultera chez son médecin traitant au cas où les douleurs venaient à persister après 5 jours de traitement. Au vu de l'examen clinique et biologique rassurant, nous concluons une crise hypertensive légère. Suite à la stabilisation des valeurs tensionnelles, nous recommandons au patient de noter régulièrement ses valeurs lors des deux prochaines semaines. Nous laissons le soin au médecin traitant d'adapter le traitement antihypertenseur (par Amlodipine 5 mg le soir par exemple) en vue de cette symptomatologie à prédominance matinale, probablement exacerbée par un pic de cortisolémie. Au vu de l'examen clinique et de la radiographie, nous concluons à une entorse bénigne du poignet gauche et instaurons un traitement par antalgie au besoin et une attelle velcro pour le confort. La patiente est dispensée de sport pour une durée de 15 jours et consultera son médecin traitant en cas de persistance de la symptomatologie. Au vu de l'examen clinique et de l'anamnèse, nous réalisons une radiographie de la cheville qui ne montre pas de fracture. Dans ce contexte, nous retenons un diagnostic d'entorse de la cheville gauche avec atteinte du faisceau antérieur du ligament latéro-externe sur traumatisme en inversion le 18.02.2019. Après discussion du cas au colloque d'orthopédie du 19.02.2019, la patiente rentre à domicile avec une antalgie simple qu'elle a déjà à domicile, une immobilisation à but antalgique par attelle Aircast et un contrôle en policlinique d'orthopédie avec un assistant à 1 semaine, en raison d'une tuméfaction importante de la malléole externe avec un aspect en œuf de pigeon, pour s'assurer de la bonne évolution clinique. Au vu de l'examen clinique et le bilan biologique rassurant de la patiente, nous décidons d'instaurer un traitement symptomatique de la toux avec du sirop Demotussol. La patiente discutera avec le Dr. X lors de son rendez-vous prévu le 19.02.2019 du traitement immunosuppresseur instauré le mois dernier pour voir si les symptômes de la patiente pourraient être compatibles avec ce traitement. Au vu de l'examen clinique et l'imagerie tout à fait rassurante nous laissons rentrer le patient à domicile avec une antalgie simple, il pourra consulter chez son médecin traitant si la symptomatologie venait à persister. Au vu de l'examen clinique neurologique rassurant, sans déficit, nous concluons à un traumatisme crânien de grade léger. Au niveau de la plaie, elle est superficielle et ne nécessite pas de point de suture. Nous effectuons une désinfection par Hibidil et posons un stéristrip dessus. Le vaccin antitétanique est à jour selon le patient. Nous le laissons rentrer à domicile avec la feuille d'information concernant les traumatismes crâniens et lui conseillons de reconsulter aux urgences en cas d'apparition de nouveaux symptômes dans les 24h suivant le traumatisme. Au vu de l'examen clinique rassurant ainsi que d'une radiographie ne révélant pas de fracture, nous laissons rentrer la patiente à domicile avec un traitement antalgique par Algifor 10 mg 3x/jour jusqu'à disparition des douleurs. Elle reconsultera chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs.Au vu de l'examen clinique rassurant de Mme. Y ainsi qu'un bilan biologique et une radiographie normales, nous décidons de laisser rentrer Mme. Y à domicile avec un traitement par Ulcar au besoin. Si les douleurs persistent, nous conseillons à Mme. Y de contacter le médecin gastro-entérologue. Mme. Y contrôlera l'éradication d'Helicobacter Pylori le 25.02.2019 et consultera chez le gastro-entérologue par la suite. Au vu de l'examen clinique rassurant de Mme. Y, nous décidons de ne pas prescrire de bilan biologique ce jour et nous concluons une bronchite très probablement virale. Etant fortement dérangée par sa toux, nous proposons à Mme. Y un traitement symptomatique par Codéine Knoll 50 mg 3x/jour pendant 5 jours. Mme. Y reconsultera chez son médecin traitant en cas de persistance des symptômes à 5 jours. Au vu de l'examen clinique rassurant et de la radiographie, nous pouvons conclure à une contusion sacrale simple. Mme. Y peut donc rentrer à domicile avec un traitement antalgique et anti-inflammatoire, elle pourra consulter chez son médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Au vu de l'examen clinique rassurant et de la symptomatologie rapportée par Mme. Y, nous décidons de ne pas faire de bilan sanguin ce jour et laissons rentrer Mme. Y à domicile avec un traitement symptomatique pour un état grippal. Au cas où la symptomatologie persisterait à 5 jours, Mme. Y consultera chez son médecin traitant. Au vu de l'examen clinique rassurant et du frottis avec test rapide à streptocoques négatif, nous laissons Mme. Y rentrer à domicile avec un traitement anti-inflammatoire et une antalgie simple. En cas de péjoration des symptômes, nous lui conseillons de consulter son médecin traitant pour un suivi clinique. Au vu de l'examen clinique rassurant, Mr. Y peut rentrer à domicile avec un gel anti-inflammatoire à appliquer topiquement sur la lésion sous forme de croûte. Nous lui conseillons de consulter son médecin traitant la semaine prochaine pour un suivi clinique. En cas de péjoration des douleurs ou de l'apparition d'un érythème étendu, nous lui conseillons de consulter le plus rapidement possible soit chez son médecin, soit aux urgences. Au vu de l'examen clinique rassurant, nous décidons de désinfecter la plaie, de poser un Jelonet complété par un pansement simple et laissons Mr. Y rentrer à domicile avec une antalgie simple à la demande. Nous lui avons donné une feuille de surveillance neurologique à domicile. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle de plaie la semaine prochaine. Au vu de l'examen clinique rassurant, nous laissons rentrer Mme. Y à domicile avec un comprimé de Temesta 1 mg pour pouvoir bien dormir (Mme. Y souhaitait quelque chose pour passer une bonne nuit). La suite de ces douleurs atypiques au bras droit sera prise en charge par le médecin traitant. Au vu de l'examen clinique rassurant nous ne réalisons pas d'examen paraclinique. Nous complétons l'anamnèse par un statut psychique avec présence d'une thymie légèrement basse, d'angoisses, de troubles du sommeil, de troubles de l'appétit raison pour laquelle nous invitons le médecin traitant à réévaluer l'indication d'un traitement anxiolytique/antidépresseur lors de son rendez-vous avec Mr. Y le 26.02.2019. Au vu de l'examen clinique tout à fait rassurant et de l'absence de lésion au CT, nous autorisons Mme. Y à charger selon douleurs sans plâtre ni attelle. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Au vu de l'examen neurologique normal et de l'absence de bradycardie associée et de drapeaux rouges à l'anamnèse (pas de céphalées ou vomissements typiquement matinaux, céphalées répondant au antalgique, pas de début brutal), nous gardons le diagnostic de céphalées tensionnelles, probablement dans le contexte hypertensif. En cas de péjoration des céphalées ou d'apparition de nouveaux symptômes neurologiques, nous conseillons un contrôle aux urgences avec réévaluation d'une imagerie cérébrale. Dans le contexte de l'HTA, nous vous laissons continuer la prise en charge débutée. Au vu de l'excellente évolution, nous autorisons Mr. Y à reprendre les matchs. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Au vu de l'excellente évolution, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition au besoin. Au vu de l'histoire clinique peu claire avec une probable perte de connaissance et amnésie circonstancielle, selon avis du Dr. X, chirurgien, nous réalisons une imagerie cérébro-cervicale, nous permettant d'exclure une hémorragie intracrânienne et fracture. Quant à la problématique orthopédique connue, en l'absence de traumatisme direct nouveau, nous décidons de ne pas réaliser de complément d'imagerie. Au vu des demandes répétées de Mme. Y, une consultation est prévue à la policlinique d'orthopédie avec le Dr. X afin de discuter de la suite de la prise en charge, le 20.02.2019. Au vu de l'histoire de Mme. Y ainsi que la symptomatologie présentée par celle-ci, nous suspectons fortement une infection du virus varicelle zona dans le territoire du nerf ulnaire. Puisque l'apparition des symptômes est apparue au-delà de 72 h nous n'instaurons pas de traitement antiviral, elle rentre donc à domicile avec une bonne antalgie ce soir. Nous l'informons aussi du risque de douleurs post-zostériennes et elle consultera chez son médecin traitant si celles-ci devaient apparaître. Au vu de l'hyperalgie et de l'hyperesthésie cutanée du genou, nous ne sommes pas en mesure de proposer un traitement chirurgical pour le moment. Nous prions nos collègues du service d'antalgie de convoquer Mme. Y à leur consultation pour un contrôle clinique. Prochain contrôle clinique dans 6 mois. Au vu de l'image particulière en S4, un avis est demandé au Dr. X, chirurgien, qui n'objective aucune conséquence clinique. Cette image était déjà présente en 2017. Nous prescrivons à Mme. Y un traitement antalgique. Elle consultera son médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 1-2 semaines. Au vu de l'imagerie, afin de mettre en évidence une composante cicatricielle et osseuse pouvant être à l'origine de l'inflammation chronique et des douleurs, nous organisons un CT sacro-coccygien puis reverrons Mme. Y pour discuter des résultats. Au vu de l'imagerie et de la clinique, nous ne pensons pas qu'un traitement invasif est la solution pour la symptomatologie actuelle. A notre avis, il faudrait plutôt envisager un traitement par physiothérapie pour hygiène posturale, stretching abdominal et dorso-lombaire, sans renforcement musculaire pour l'instant. Ceci devrait être suffisant pour améliorer les douleurs de Mme. Y qui sont plutôt liées à des problèmes posturaux. Concernant l'imagerie, nous ne voyons pas d'altération dégénérative pathologique mais plutôt dans la norme pour son âge. Mme. Y va réfléchir à notre proposition et nous recontactera si elle souhaite poursuivre le suivi dans notre service. Nous organisons d'ores et déjà un contrôle dans 6 mois. Au vu de l'imagerie et de la symptomatologie, nous organisons une infiltration C8 gauche sous scanner. Nous avons déjà discuté avec Mr. Y que s'il ne devait pas y avoir d'amélioration, une éventuelle intervention de fusion antérieure cervicale devra être discutée. Au vu de l'imagerie et de l'examen clinique, nous proposons à Mr. Y une discectomie C5-C6 avec mise en place d'une cage et foraminotomie C5-6 G par abord antérieur. Nous lui expliquons que les douleurs chroniques mettront du temps à diminuer, voire ne disparaîtront peut-être jamais. En présence de sa fille, qui assure la traduction, Mr. Y est clairement informé des risques (y compris tétraplégie et décès), des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Sa fille le signera également. Une date opératoire est fixée au 11.03.2019.Au vu de l'imagerie, nous proposons un complément de bilan par scintigraphie osseuse (XBone) afin d'exclure un éventuel processus infectieux comme une discite ou une spondylodiscite au niveau opéré. De plus, nous organisons un bilan sanguin. Prochain contrôle pour discuter des résultats. Au vu de l'impossibilité de faire une IRM sur notre site, Mr. Y est transféré à l'Inselspital pour une IRM au plus vite possible. Au vu de l'impossibilité d'effectuer des radiographies en raison de la grossesse de Mme. Y, nous organisons une IRM du genou gauche (plus haute suspicion de lésion ligamentaire vs fracture). Immobilisation par attelle Jeans, avec décharge complète, marche avec cannes, Clexane prophylactique prescrite sur indication du gynécologue. Contrôle clinique en gynécologie. Antalgie par Dafalgan. Contrôle au Team genou après l'IRM. Au vu de l'insuffisance cardiaque et de la prise de poids récente, nous optons pour une réhydratation orale et une réduction du traitement diurétique au vu de l'insuffisance rénale aiguë. Au vu de nos constatations cliniques, nous suspectons une irritation du nerf radial probablement sur sa déchirure musculaire post-traumatique. À cela s'est accompagnée une décompensation de son Madelung. Nous proposons donc des séances de physiothérapie pour stabilisation de son poignet et antalgie. Pour les douleurs en regard du territoire radial, nous demandons que Mme. Y soit vue en antalgie pour une infiltration sur le trajet du nerf radial. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Au vu de son insuffisance rénale aiguë, un CT abdominal natif est réalisé et décrit les éléments susmentionnés. Nous effectuons une culture PCR des selles qui revient positive pour une Shigella et posons donc le diagnostic d'entérite à Shigella. Nous préconisons l'introduction d'un traitement antibiotique par Ciproxine 500 mg 2x/j avec une dose initiale donnée aux urgences ce jour. Un ECG de contrôle est effectué par la suite et ne met pas en évidence d'allongement du QT avec toutefois une inversion des QT aspécifique. Ce dernier ne souhaitant pas être hospitalisé, nous préconisons un contrôle clinico-biologique le 22.02.2019 à la FUA pour suite de prise en charge. Au vu de son jeune âge et de la nécessité de traitement corticoïde à vie, Mme. Y est à haut risque de fracture ou de nouvelle fracture-tassement. Nous proposons donc une cyphoplastie avec système SpineJack. Mme. Y ayant pris un délai de réflexion, elle est d'accord pour une prise en charge chirurgicale. Les avantages et risques opératoires, notamment paraplégie ou décès, lui sont expliqués. Mme. Y signe le consentement éclairé. L'intervention est agendée pour le 22.02.2019. Dans l'intervalle, un scanner de la colonne lombaire au niveau L3, L4, L5 sera effectué pour évaluer la largeur des pédicules. Consultation pré-anesthésique au préalable. Au vu des antécédents et comorbidités sus-mentionnés, malgré l'absence de globe urinaire, nous procédons à une nouvelle pose de sonde urinaire avec suivi comme prévu chez le Dr. X, urologue. Au vu des bilans biologiques et radiologiques rassurants, Mme. Y peut rentrer à domicile avec une antalgie simple et un bullo pour des exercices respiratoires qu'elle fera à domicile. Elle sera revue par son médecin traitant pour un contrôle clinique la semaine prochaine. Au vu des comorbidités du patient, ainsi que du tableau clinique lors de son arrivée aux urgences, il est discuté avec le représentant thérapeutique du patient et, en accord avec l'équipe médico-soignante, d'un retrait thérapeutique avec des soins de confort. Mr. Y décède le 12.02.2019 à 18h00. Au vu des comorbidités importantes du patient et du tableau clinique lors de sa présentation, il est discuté avec le représentant thérapeutique du patient et, en accord avec l'équipe médico-soignante, d'un retrait thérapeutique avec des soins de confort. Mr. Y décède le 12.02.2019. Au vu des douleurs à la percussion et à la palpation de L4-5, nous complétons le bilan radiologique avec une radiographie de la colonne lombaire qui ne montre pas de fracture. Nous notons des ostéocondensations au niveau supéro-antérieur de L2 et sacral au niveau de l'articulation sacro-iliaque. Nous demandons un avis orthopédique qui préconise la réalisation d'un CT-scanner, qui confirme l'absence de fracture et met les ostéocondensations dans un contexte dégénératif non lié au traumatisme. De plus, une discopathie L4-5 est notée. Les orthopédistes nous demandent de contacter la team spine qui préconise de faire une IRM en ambulatoire et une consultation chez eux ensuite. Nous organisons la suite de la prise en charge et le patient peut rentrer à domicile avec une adaptation de l'antalgie et une prescription de physiothérapie ambulatoire. Il reviendra le 05.02 pour une IRM et a un rendez-vous le 19.02 à la consultation de la team spine à l'HFR Fribourg. Au vu des douleurs importantes et de l'enfoncement du plateau supérieur de L1, nous posons une indication relative à une cyphoplastie par SpineJack par abord uni-latéral G. Nous lui expliquons qu'un traitement conservateur resterait également envisageable, sachant que ce type de fracture peut provoquer de fortes douleurs jusqu'à 4 semaines, puis des douleurs moindres jusqu'à 3 mois post-traumatisme. Mme. Y est clairement informée des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Une date opératoire est d'ores et déjà réservée pour le 04.03.2019 en ambulatoire. Elle nous confirmera son choix dans les 48 heures. Au vu des douleurs neuropathiques, probablement en raison des multiples interventions chirurgicales, nous ne proposons pas de nouvelle opération pour l'instant. Les examens électrophysiologiques s'étant révélés anormaux, nous prions le Dr. X de bien vouloir convoquer Mme. Y pour avis sur la prise en charge et éventuelle indication à la pose d'un neurostimulateur. Dans l'intervalle, prescription de physiothérapie à visée antalgique dont TENS. Pour notre part, nous la reverrons fin août pour refaire le point. Concernant sa situation socio-professionnelle, Mme. Y est fortement limitée lors de la position assise ou debout prolongée. Nous proposons donc une reconversion professionnelle à 50 % dès le 01.04.2019 et attestons une diminution du rendement à 40 % dans tous les domaines professionnels. Au vu des douleurs postprandiales et au niveau épigastrique, nous prescrivons un Ulcar en réserve. Vu la constipation importante, Movicol en schéma de désimpactation. Au vu des douleurs très localisées et en augmentation, nous réalisons une radiographie qui ne démontre pas de fracture, lyse osseuse ou spondylolyse/spondylolisthésis. Nous proposons un bilan plus élargi dans le contexte de douleurs osseuses pour exclure une cause infectieuse (spondylodiscite ou ostéomyélite), néoplasique (tumeur osseuse ou leucémie) ou inflammatoire (spondyloarthrite) par FSC, CRP et VS. Les parents préférant rentrer à domicile et au vu de l'examen clinique rassurant pour une atteinte neurologique, infectieuse ou inflammatoire ce jour, nous concluons avec eux de prendre contact avec votre cabinet pour organiser ce bilan. Dans l'attente, nous proposons de l'Irfen pour 48 heures. En cas de persistance de plaintes, une IRM sera également à réévaluer au vu du diagnostic différentiel cité plus haut.Au vu des examens cliniques et paracliniques, nous concluons à une urticaire sur consommation de graines de sésame. Nous lui donnons du Tavegyl 2 mg IV et la surveillons aux urgences. L'évolution est rapidement favorable avec la disparition complète des symptômes. Au vu de la bonne évolution clinique, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec une prescription de Cétirizine pendant 5 jours (OK pendant la grossesse). Nous demandons à la patiente de reconsulter son médecin traitant dans les 2-3 jours pour un contrôle clinique. Elle doit prendre rendez-vous chez un allergologue à distance (4-6 semaines) au vu d'un premier épisode en octobre 2018. Au vu des examens de laboratoire qui mettent en évidence un syndrome inflammatoire avec sédiment urinaire propre, nous excluons une possible pyélonéphrite et traitons le patient pour une possible urétrite. Une dose de Ceftriaxone 2000 mg IV (et non 500 mg IM) est administrée en raison de l'accès veineux et du doute initial pour une pyélonéphrite, complétée par la suite d'une dose d'Azithromycine 1 g. En raison d'un tableau clinique peu clair avec plusieurs foyers possibles (pharyngite, gastro-entérite, lésion pénienne), nous convoquons le patient à 48 h pour un contrôle clinico-biologique avec résultat des PCR Chlamydia et Gonorrhée afin de pouvoir traiter sa partenaire. Au vu des facteurs de risque de la patiente et d'un léger péritonisme dans l'épigastre, nous effectuons un CT de l'abdomen à la recherche d'une perforation gastrique qui est sans particularité. Nous retenons donc une gastrite. Nous proposons à la patiente de revoir son médecin traitant pour évaluer si une gastroscopie serait nécessaire. Au vu des imageries inexploitables du patient, nous organisons une nouvelle IRM de la colonne cervicale et lombaire avec coupe transverse à la recherche de signes de compression médulaire ou radiculaire. En parallèle, nous prescrivons des séances de physiothérapie, le patient ayant une attitude vicieuse de son rachis. Ses séances sont prescrites pour renforcer son hygiène posturale, ses érecteurs du rachis, reconditionnement et stretching de la musculature abdominale. Nous reverrons le patient suite à ces examens. Au vu des images radiologiques, nous informons le patient de la possibilité d'une évolution défavorable avec le développement d'altérations neurologiques comme déficit de force ou signes de la queue de cheval. S'il devait y avoir une apparition de ces symptômes, le patient est informé qu'il doit nous contacter en urgence. Au vu de l'évolution favorable de la symptomatologie sous traitement conservateur et puisque le patient n'est pas limité dans ses activités de la vie quotidienne, nous ne posons pas d'indication pour un traitement chirurgical de décompression ni pour une infiltration. Prescription de physiothérapie pour soulager les douleurs dorso-lombaires qui est actuellement le symptôme le plus gênant pour le patient. Prochain contrôle au début du mois de mars pour juger de l'évolution. Au vu des lombalgies invalidantes chez ce patient limitant sa mobilité, nous proposons une cyphoplastie pour soulager ses douleurs et éventuellement diminuer le risque de tassement supplémentaire. Une feuille d'information sur les risques et bénéfices d'une cyphoplastie lui est transmise. Le patient signera ce document après réflexion. Cette intervention se fera en ambulatoire. Le patient étant actuellement hospitalisé à Riaz, cette intervention peut tout à fait se faire, le patient partant et revenant à Riaz le jour même. Un consilium anesthésique est organisé, et si selon les anesthésistes une anesthésie avec masque laryngé est possible, ceci serait compatible avec notre intervention. À savoir qu'au niveau social, le patient avant d'arriver à Riaz vivait seul à domicile avec aide pour la lessive par ses filles, semainier organisé par la dialyse, le patient était tout à fait autonome pour le reste des activités de la vie quotidienne. Information sur la prise en charge transmise à l'infirmière du service de Riaz prenant en charge le patient ce jour même. Au vu des résultats de l'IRM qui montrent un hypersignal au niveau de la lyse isthmique bilatérale, nous envisageons une infiltration de lyse isthmique de L5 dans un but thérapeutique et diagnostique. Pas d'infiltration péri-radiculaire pour le moment au vu de l'absence de symptôme douloureux avec irradiation dans les MI. Nous soulignons que la douleur au niveau du genou gauche ne semble pas être liée à des altérations au niveau du dos puisque les racines L3 ddc sont libres. De plus, nous mettons en évidence des anciennes fractures au niveau L3 ou L4 avec tassement du plateau supérieur sans hypersignal sur les séquences STIR qui pourrait justifier une fracture récente. Au vu des résultats, nous ne retrouvons pas de raison mécanique qui pourrait justifier les douleurs. La discopathie dégénérative visualisée est déjà avancée par rapport à l'âge de la patiente. Nous organisons une nouvelle IRM lombaire avec séquences vasculaires discales. Nous suspectons une éventuelle insuffisance discale au niveau L5-S1 qui peut limiter la fonctionnalité de la colonne et être la source des douleurs que présente la patiente. Nous discutons avec la patiente concernant le traitement à suivre qui sera sans doute conservateur. S'il devait y avoir la confirmation du diagnostic que nous suspectons, une éventuelle intervention de fusion intervertébrale pourra être considérée. Arrêt de travail à 50 %. Au vu des résultats, nous serions donc tentés de conclure que le canal lombaire étroit joue un rôle moindre dans la problématique du patient. Nous organisons donc une IRM cervicale en urgence à la recherche d'une myélopathie cervicale. Nous organisons également un CT cervical en urgence à la recherche d'un OPLL, suspecté sur les images de l'IRM cervicale réalisée il y a 1 an. Nous pré-réservons d'ores et déjà une date opératoire pour le 01.03.2019. Prochain contrôle mardi prochain. Au vu des signes cliniques d'otite moyenne aiguë non compliquée, une antibiothérapie est prescrite durant 7 jours avec un traitement vasoconstricteur nasal afin d'augmenter la perméabilité de la trompe d'Eustache. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique à 5 jours. Au vu des symptômes cliniques relatés, un récent facteur de crise psychologique, deux consultations rapprochées pour des symptômes similaires ainsi qu'un électrocardiogramme dans la norme pour l'âge et le sexe, une crise d'angoisse est évoquée de prime abord. Dans ce contexte, l'avis psychiatrique de Dr. X, psychiatre de liaison, est demandé, elle propose un suivi rapproché par le médecin traitant avec soutien psychologique et éventuelle prolongation de l'arrêt de travail. Le patient est disposé à contacter un éventuel suivi psychiatrique s'il devait le souhaiter. Au vu des symptômes cliniques ainsi que du contexte oncologique, un scanner thoracique est réalisé, ce dernier excluant une embolie pulmonaire, montrant cependant un épanchement pleural en base gauche, en progression par rapport au comparatif de janvier 2019. Au vu d'un syndrome inflammatoire avec leucocytes à 11 G/L (neutrophilie 10,7 G/L) et CRP 35 mg/l, malgré l'absence de fièvre et toux, une probable surinfection d'épanchement est traitée par antibiothérapie. L'électrocardiogramme est superposable au comparatif et les troponines ne montrent pas de cinétique, permettant d'exclure une origine coronarienne. Après partage de la décision avec le patient, au vu de la diminution des symptômes et sevrage de l'oxygène, il est décidé pour un retour à domicile avec antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour per os et Klacid 500 mg 2x/jour, après une 1ère dose de Rocéphine 2 g IV. Les hémocultures et Ag urinaires sont en cours.Le patient se charge de reconsulter préalablement en cas de péjoration des symptômes. Le patient contactera le Dr. X le mercredi 13.01.2019 pour un suivi clinique. Au vu des symptômes cliniques évoqués ainsi qu'une dysmétrie à l'épreuve doigt nez droite et de douleurs paracervicales gauches, nous réalisons un scanner cérébral natif, ce dernier ne montrant pas de fracture ni d'hémorragie. Une minerve en mousse avec antalgie et traitement myorelaxant au coucher est proposée à titre de confort. Après réassurance, le patient rentre à domicile avec contrôle clinique dans la semaine chez son médecin traitant. Au vu des symptômes neurologiques avec un G-FAST à 3 et NYHSS à 7, l'avis neurologique de garde est demandé. Au vu des antécédents d'épilepsie en 2017, actuellement non traitée, le tableau clinique semble être compatible avec une crise d'épilepsie avec paralysie de Todd. Cependant, au vu de l'absence de mouvement tonico-clonique objectivé, perte d'urine et céphalées importantes avec déficit neurologique, il est décidé de transférer la patiente à l'HFR Fribourg pour réalisation d'une imagerie en urgence selon le protocole Time is Brain avec diagnostic différentiel d'accident vasculaire cérébral ischémique et hémorragique. Départ en ambulance. Au vu du bilan biologique et du statut clinique rassurants, ainsi que la régression totale des douleurs, nous pouvons laisser la patiente rentrer à domicile sans prescription médicale. En cas de nouvelle apparition des douleurs, ou de nouveaux symptômes comme des nausées, des vomissements ou des troubles du transit, nous lui conseillons de consulter son médecin traitant ou les urgences les plus proches. Au vu du bilan clinico-biologique rassurant, et selon discussion avec la psychiatre responsable de l'unité Vénus où est hospitalisée la patiente dans le cadre de ses troubles psychiatriques, nous procédons à son transfert en ambulance au RFSM de Marsens. Au vu du bilan clinique qui montre un léger trouble de la sensibilité du membre inférieur gauche, surtout des dermatomes L1 à L3, sans déficit moteur ni trouble sphinctérien, nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement par anti-inflammatoires, une antalgie simple et des myorelaxants ainsi que de la physiothérapie et un arrêt de travail d'une semaine. En cas de péjoration des symptômes ou de l'apparition d'un déficit moteur, nous lui conseillons de reconsulter les urgences. Si les douleurs persistent après 1 semaine, nous lui proposons de consulter son médecin traitant pour un contrôle clinique. Au vu du bilan clinique rassurant, la patiente peut rentrer à domicile avec une antalgie simple, et un traitement par AINS et myorelaxants pendant 5 jours. Nous prescrivons également une physiothérapie pour 9 séances à but anti-inflammatoire ainsi qu'un arrêt de travail d'une semaine. En cas de péjoration des symptômes, nous proposons à la patiente de reconsulter les urgences. Au vu du bilan clinique rassurant, notamment l'absence de douleur, et de l'absence de symptômes aigus, nous pouvons rassurer la patiente qui peut rentrer à domicile avec un traitement anti-nauséeux simple. Si les symptômes persistent, elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle biologique. Au vu du bilan radiologique et clinique rassurant, le patient peut rentrer à domicile avec une immobilisation du genou en flexum à 0° et un traitement anti-inflammatoire. Il prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X, orthopédiste, pour un contrôle clinique mercredi 13.02.2019. Au vu du bilan radiologique qui ne montre pas de lésion osseuse et du statut clinique rassurant, la patiente peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique par AINS, antalgie simple et physiothérapie. Elle consultera son médecin traitant pour un contrôle clinique la semaine prochaine. Au vu du bon état général, absence de signes de déshydratation avec diminution du syndrome inflammatoire, retour à domicile avec consignes usuelles de déshydratation et contrôle dans 72h chez pédiatre, avant si récidive de crise convulsive ou impossibilité d'hydratation. Au vu du bon état général chez ce nouveau-né avec prise de poids ce jour et bilan sanguin aligné, proposition de retour à domicile avec calendrier des prises hydriques, contrôle dans 72h aux urgences. Au vu du bon état général lors de la consultation et le fait qu'elle a bien mangé à midi, nous avons discuté avec la mère une stratégie de prise en charge en ambulatoire. Des vomissements sur probable cétose (faim) nécessitent une alimentation régulière avec fractionnements alimentaires et des pauses/phases à jeun limitées (surtout le matin). • Consignes de réhydratation et alimentation fractionnement alimentaires • Contrôle urgences pédiatriques dans 48 heures Au vu du bon état général, nous faisons une prise en charge ambulatoire avec un traitement par Rocephine iv et un contrôle à 24 heures. Les lésions sont délimitées et les hémocultures sont à pister. Nous proposons une antibiothérapie pour 7 jours au total avec un relais par Co-Amoxicilline 80mg/kg/jour per os. Au vu du bon résultat suite à l'infiltration, nous conseillons la poursuite du traitement conservateur par physiothérapie. Nous expliquons à la patiente que la dégénérescence pluri-étagée discopathique et uncarthrosique pourrait être la raison d'une éventuelle intervention sur les trois niveaux mais seulement en cas d'échec complet du traitement conservateur. Prochain contrôle dans 2 mois. Nous prions nos collègues du team MS de bien vouloir convoquer la patiente pour évaluation de son syndrome de tunnel carpien droit documenté par ENMG. Au vu du contexte, nous hospitalisons le patient pour réaliser une IRM et dépister une éventuelle collection de LCR. Au vu du contexte, nous réalisons un bilan biologique qui objective un syndrome inflammatoire avec une CRP à 24mg/l, des leucocytes à 18G/l et une thrombocytose à 328G/l. L'acide urique est à 475 et la créatinine est de 89µmol/l. Une radiographie est réalisée et ne montre pas de signe inflammatoire ni de dépôt intra-articulaire. Après discussion du cas avec le Dr. X, de médecine interne, nous retenons un diagnostic de probable goutte localisée au niveau de l'hallux gauche au niveau de l'articulation métatarso-phalangienne. Dans ce contexte, le patient rentre à domicile avec un traitement de Colchicine 1 mg 2x/jour pendant 1 semaine à réévaluer lors du prochain contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires à 48h et une antalgie simple. Par ailleurs, nous lui expliquons la nécessité d'adapter son régime alimentaire avec un régime pauvre en purines. Au vu du domicile de la patiente, elle se rendra demain chez son médecin traitant afin d'organiser un suivi spécialisé. En effet, une intervention chirurgicale est indiquée. Au vu du doute quant à la vaccination pour l'hépatite A et B chez le patient, nous laissons le soin au médecin traitant de discuter d'une éventuelle vaccination des hépatites ainsi que d'un dépistage HIV, syphilis dans 2-3 mois. Au vu du fait que la lésion reste inchangée au contrôle à 3 mois et l'absence de symptomatologie, nous organisons un nouveau contrôle dans 1 an avec une nouvelle IRM. Nous restons à disposition dans l'intervalle en cas de changement de la clinique. Au vu du fait que le patient travaille comme agriculteur et présente actuellement une symptomatologie contre-indiquant une reprise du travail, nous proposons la réalisation d'une IRM cérébrale afin d'exclure une éventuelle lésion intra-parenchymateuse post-traumatique. En cas d'absence de lésion, nous adresserons le patient au service ORL pour prise en charge spécifique des vertiges et des acouphènes.Au vu du net bénéfice après infiltration par Corticoïdes et Naropin en octobre et vu l'importante arthrose objectivée sur les imageries, nous proposons à la patiente la réalisation d'une série de 3 infiltrations par CURAVISC sous CT, chaque 2 semaines. Le produit sera directement fourni à la patiente par nos soins. Nous la reverrons ensuite à 3 semaines de la dernière infiltration. Au vu du pic fébrile unique, avec régression spontanée, nous renonçons à effectuer un examen d'urines et un examen sanguin (malgré le fait qu'elle ne soit pas vaccinée) mais proposons un contrôle si persistance ou si baisse de l'état général. Au vu du profil du patient ainsi qu'en l'absence de dérotation majeure des doigts, un traitement conservateur est mis en place après avis orthopédique du Dr. X. Nous immobilisons la main dans une attelle Edimbourg. Un contrôle à la consultation du Dr. X est prévu le 20.02 à 18h30. Au vu du recul insuffisant pour se faire une idée de la bonne efficacité du support plantaire, nous convenons avec la patiente d'un RDV dans 3 mois pour réévaluer la situation. Concernant les hallux valgus, ceux-ci sont totalement asymptomatiques et ne dérangent pas la patiente. Au vu du résultat clinique, nous considérons les douleurs cervicales encore dans l'évolution physiologique après l'intervention susmentionnée. Pour cela, nous soulignons au patient l'importance de faire des exercices posturaux. Pas de limitation pour une activité professionnelle. Au niveau lombaire même que la symptomatologie actuelle ne résulte pas à une limitation fonctionnelle, nous organisons une nouvelle IRM afin de dépister une éventuelle aggravation de la discopathie déjà connue. Nous laissons le soin au médecin de famille de juger d'un éventuel arrêt de travail comme le patient est au chômage et à la recherche d'un travail qui pourrait être limité en pourcentage. Au vu du sédiment urinaire propre, du bilan biologique qui ne met en évidence aucun syndrome inflammatoire et des douleurs qui ont disparu spontanément après 45 minutes, nous n'effectuons pas d'imagerie aux urgences. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec un filtre pour les urines à utiliser pendant 24h et une antalgie de réserve. Nous lui proposons d'organiser un contrôle clinique chez son médecin traitant. En cas de récidive, nous lui conseillons de reconsulter les urgences. Au vu du status clinique et après discussion avec le Dr. X, orthopédiste, nous suspectons une atteinte de la musculature ischio-jambière gauche. Nous organisons donc un ultrason pour le 19.02 afin de rechercher une déchirure de la musculature. Le patient sera ensuite revu pour un contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires. Au vu du status clinique et de l'ECG rassurants, et de la concordance des douleurs avec la prise du médicament Euthyrox, nous laissons la patiente rentrer à domicile. Nous lui conseillons de ne pas reprendre ce médicament et de prendre rendez-vous chez son médecin traitant la semaine prochaine pour un contrôle clinique et réévaluer la substitution thyroïdienne. Si nécessaire, une consultation chez un endocrinologue sera demandée. Au vu du status clinique et du bilan radiologique, nous retenons une entorse du ligament latéro-interne du genou gauche probablement de grade I et nous laissons la patiente rentrer à domicile avec une antalgie simple et des anti-inflammatoires pendant 5 jours et lui conseillons d'appliquer le protocole RICE. Elle appellera le lendemain pour prendre rendez-vous à la policlinique d'orthopédie pour un contrôle clinique. Au vu du status clinique et du bilan radiologique qui ne montre pas de lésion osseuse, nous retenons comme diagnostic une contusion de l'épaule gauche. Le patient peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Il consultera un médecin traitant la semaine prochaine pour un contrôle clinique. Au vu du status clinique ne mettant en évidence aucune lésion de l'appareil ligamentaire ou osseux, nous retenons le diagnostic de contusion musculaire dans le contexte d'un œdème important au niveau du membre inférieur gauche dans le status post-déchirure musculaire du triceps sural et laissons le patient rentrer à domicile avec une prescription d'anti-inflammatoires et une antalgie simple. Il a un contrôle prévu chez son médecin traitant la semaine prochaine pour le suivi de la déchirure musculaire. En cas de péjoration des douleurs, nous lui conseillons d'avancer ce rendez-vous ou de reconsulter aux urgences. Discussion au colloque le 18.02.2019 au matin : une thrombose veineuse profonde reste à exclure, le patient est reconvoqué le 18.02.2019 pour dosage des D-dimères +/- ultrason si D-dimères élevés. Au vu du status clinique, nous retenons comme diagnostic une fracture du nez. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec une prescription d'anti-inflammatoires et une prophylaxie antibiotique par Co-Amoxicilline 625mg 3x/jour pendant 5 jours. Nous lui conseillons de consulter son médecin traitant la semaine prochaine, une fois que l'hématome présent au niveau du nez aura régressé, avec si nécessaire une consultation par la suite chez un ORL pour un repositionnement du nez. Au vu du status clinique, nous retenons uniquement le diagnostic de syndrome viral sur probable infection des voies aériennes supérieures ou grippe. Nous continuons le traitement symptomatique prescrit le 16.02 en stoppant l'antibiothérapie. Au vu du syndrome inflammatoire et de l'état général légèrement diminué de la patiente, nous lui proposons un contrôle clinico-biologique en filière des urgences ambulatoires dans 2 jours, également pour recevoir les résultats de la culture urinaire effectuée le 16.02. Au vu du status clinique rassurant, et du bon état général, la patiente peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatologique. En cas de persistance des symptômes, nous lui conseillons de consulter son médecin traitant dans le courant de la semaine. Au vu du status clinique rassurant et d'un saignement non actif à la consultation aux urgences, le patient peut rentrer à domicile et poursuivra le traitement par Dafflon prescrit au CHUV. En cas de persistance du saignement après le traitement de 2 semaines, nous lui conseillons de consulter son médecin traitant qui l'adressera si nécessaire chez un chirurgien. Si le saignement se péjore avec des pertes de sang importantes, nous lui conseillons de consulter immédiatement un service d'urgence. Au vu du status clinique rassurant, nous retenons comme diagnostic des lombalgies non déficitaires et proposons un traitement symptomatique ainsi que de la physiothérapie. Le patient peut rentrer à domicile. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas de déficit sensitif ou moteur. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique la semaine prochaine. Au vu du status clinique rassurant qui ne montre aucun déficit neurologique, nous retenons comme diagnostic des lombalgies non déficitaires et laissons le patient rentrer à domicile avec des anti-inflammatoires, une antalgie simple et un myorelaxant. Nous proposons au médecin traitant d'évaluer ensuite la nécessité de suivre un traitement par physiothérapie pour prévenir une récidive. Au niveau de l'infection des voies aériennes supérieures, au vu du status clinique et du bon état général du patient, nous prescrivons un traitement symptomatique. Nous proposons au patient de consulter son médecin traitant ou le médecin militaire en cas de persistance des symptômes. Au vu du status clinique rassurant, sans atteinte neurologique, nous concluons à des lombalgies non déficitaires et le patient peut rentrer à domicile avec une antalgie simple. Il ne souhaite pas d'arrêt de travail car il a un métier non physique (employé de banque) et mobilisation limitée. En cas de persistance des douleurs, il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique. Si un déficit sensitivo-moteur apparaît, il reconsultera aux urgences.Au vu du status clinique très rassurant chez cette patiente, nous ne prévoyons pas d'intervention chirurgicale. Poursuite de la prise en charge de l'ostéoporose par le médecin traitant. Nous proposons la poursuite du traitement conservateur avec physiothérapie pour hygiène posturale et encourageons la patiente à faire des activités sportives. Pas de nouveau contrôle prévu d'office, nous restons à disposition au besoin. Au vu du status et de l'âge de la patiente, nous l'adressons à l'HFR Fribourg, à nos confrères pédiatres et orthopédistes, pour prise en charge chirurgicale en urgence. Départ avec sa maman. Au vu du status neurologique complet qui est dans les normes, et les bilans biologiques qui ont été effectués précédemment, nous suggérons une étiologie des syndromes d'origine anxieuse et contactons la psychiatre de garde, le Dr. X, qui évalue le patient. Elle pose le diagnostic d'attaques de panique (anxiété épisodique paroxystique) dans un contexte de probable personnalité anxieuse et propose au patient un suivi psychiatrique ambulatoire en lui communiquant les contacts de plusieurs médecins qu'il peut contacter. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec 2 comprimés de Temesta 1 mg à prendre en cas d'attaques de panique. Au vu du status rassurant et de la superficialité de la plaie, nous effectuons une prise en charge simple avec désinfection de la plaie et application de Stéristrips. Le patient peut rentrer à domicile. Au vu du status rassurant et de l'absence de red flags, nous retenons le diagnostic susmentionné et prescrivons au patient un traitement de Sirdalud 2 mg 0-0-0-1, Ecofénac Lipogel 2-4 frictions/jour, Dafalgan 1 g en réserve ainsi qu'un arrêt de travail jusqu'au 01.03.2019. Nous laissons le soin au médecin traitant d'évaluer l'évolution à 5 jours à sa consultation. Au vu du traumatisme crânien simple avec plusieurs épisodes de vomissements, Mme. Y bénéficie d'une surveillance neurologique et hémodynamique sur la nuit qui s'avère sans particularité. Pas de nouvel épisode de vomissement. Au vu d'un examen clinique tout à fait rassurant, d'un ECG et d'une radiographie de thorax normaux, nous décidons de ne pas faire de train de troponines pour cette patiente et concluons à des douleurs très probablement d'origine musculo-squelettique. La patiente rentre à domicile avec une bonne antalgie et pourra consulter chez son médecin traitant en cas de persistance de la symptomatologie. Au vu d'un examen neurologique pathologique, ainsi qu'un possible traumatisme crânien chez une patiente sous Aspirine, un scanner cérébral natif est réalisé, ne montrant pas de lésion ischémique ou hémorragique nouvelle. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec leucocytose à 13.9 G/l et CRP à 126 mg/l. La radiographie de thorax écarte un foyer infectieux. Au vu d'une leucocyturie avec nitrites à l'examen urinaire, nous retenons le diagnostic d'infection urinaire basse, malgré absence de symptômes chez une patiente démente. Le tableau clinique expliquerait la faiblesse globale et les chutes récentes. Nous débutons une antibiothérapie IV par Rocéphine 2 g. En raison d'une faiblesse généralisée et de douleurs fessières, un retour en institution paraît difficile. La patiente est transférée pour hospitalisation en Gériatrie à Meyriez en raison de manque de place à l'hôpital de Riaz. Départ en ambulance. Au vu d'un manque de places absolu à l'HFR Fribourg et l'absence de critères pour transférer le patient à l'Inselspital, nous transférons le patient à Tavel pour suite de la prise en charge en médecine interne. Au vu d'un soulagement des douleurs après réception de 10 mg de Morphine, nous proposons au patient de rentrer à domicile et de traiter les douleurs par Tramadol gouttes si elles réapparaissent. Nous proposons aussi un suivi chez le gastro-entérologue. Au vu d'un status pulmonaire normal et de l'absence de dyspnée et de toux, nous décidons de ne pas faire de radiographie. Traitement anti-inflammatoire pendant 3 jours et anti-douleur en réserve. Nous informons le patient de la symptomatologie qui doit le faire reconsulter aux urgences. Nous suggérons au patient de prendre rendez-vous chez son médecin traitant si les douleurs venaient à persister d'ici 1 semaine. Au vu d'un traumatisme crânien sans perte de connaissance, en l'absence de troubles du comportement par la suite ou de vomissements, l'enfant bénéficie d'une surveillance neurologique aux urgences de 6 heures, sans imagerie cérébrale. La permanence se révèle sans particularité, permettant à l'enfant de regagner le domicile. Une feuille de surveillance neurologique est expliquée et remise à la mère. Au vu d'une amélioration clinique et d'un bilan biologique dans la norme, nous posons le diagnostic de douleurs abdominales d'origine indéterminée. Consultation cet après-midi avec le team thérapie sensitive de l'HFR Fribourg (trouble somatoforme). Consultation chez son médecin traitant en cas de persistance à une semaine. Au vu d'une augmentation isolée de CRP avec diminution des leucocytes et amélioration de l'état général et de la symptomatologie de la patiente, la patiente rentre à domicile après discussion avec le Dr. X avec un contrôle chez son médecin traitant prévu le 19.02.2019. Elle va continuer avec le traitement prescrit le 15.02.2019 et sait quand reconsulter aux urgences. Concernant les hémocultures, la patiente va appeler pour les résultats. Au vu d'une clinique peu parlante pour une dissection aortique avec TA symétrique, actuellement pas de dyspnée et plus de douleur thoracique, douleurs peu typiques pour un angor mais recommandation d'un contrôle cardiologique en ambulatoire. Au vu d'une clinique rassurante avec des douleurs reproductibles à la palpation sans signe d'appel de red flags ni argument pour une embolie pulmonaire, nous proposons à la patiente un traitement symptomatique avec réévaluation par le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Au vu d'une clinique rassurante et d'un CT cérébral ne montrant pas de saignement, ni de fracture, Mr. Y peut rentrer au home de la Sarine pour suite de prise en charge. Au vu d'une constatation clinique et radiologique, une prise en charge chirurgicale par révision du complexe ligamentaire collatéral latéral à l'aide d'ancre serait indiquée. Il n'y a pour l'heure pas d'urgence à cette prise en charge. En accord avec le patient, ce dernier nous reconsultera en juillet pour planifier une intervention en automne 2019. Dans l'intervalle, nous lui prescrivons des séances de physiothérapie à visée antalgique. Aucune activité sportive ne lui est contre-indiquée, il n'y a pas de risque d'aggravation de ses lésions, en accord avec le Dr. X. Le principe de l'intervention avec schéma ont d'ores et déjà été expliqués au patient (feuille d'information dans le dossier). Prochain contrôle clinique dans 6 mois environ. Au vu d'une découverte radiologique d'une fracture mais de la stabilité clinique du patient, nous optons pour un traitement conservateur avec port de minerve 24 h/24 durant 2 mois. Le sport est contre-indiqué durant 3 mois (patient lutteur d'élite). Arrêt de travail pour encore 2 mois à 100 %. Physiothérapie pour massage antalgique uniquement. Contrôle clinique dans 3 semaines pour suivre l'évolution et la symptomatologie du MSG. Au vu d'une évolution favorable, le patient peut rentrer à domicile. Il sera revu par son médecin traitant demain pour contrôle et changement du pansement. Un rendez-vous en ortho-urgence a été pris et le patient sera convoqué pour contrôle de la luxation.Au vu d'une fièvre depuis 5 jours en péjoration, d'un inconfort et de tympans érythémateux bilatéralement avec doute sur un bombement du tympan droit, malgré l'impossibilité de bien visualiser en entier les tympans, décision de traiter chez cette fille connue déjà pour avoir eu dans le passé des otites. 10 jours de traitement car moins de 2 ans. Au vu d'une fracture intra-articulaire déplacée, la patiente bénéficie d'une réduction ouverte et ostéosynthèse du radius distal par plaque. Un suivi clinique est prévu à la consultation du Dr. X, orthopédiste. Au vu d'une plaie superficielle, quasiment refermée, avec absence de douleurs à la palpation et lors de la mobilisation, nous décidons de ne pas réaliser de bilan radiologique. Nous réalisons une désinfection bétadinée puis réfection de pansement. Nous invitons Mr. Y à consulter chez le médecin traitant ou un service d'urgence en cas de douleur aiguë nouvelle, fièvre ou signes de surinfection. Au vu d'une relation ouverte entre lui et son partenaire, avec plusieurs rapports sexuels, certains pour la plupart protégés, avec cependant un éventuel risque de rupture du préservatif chez le partenaire il y a moins de 3 mois, nous vous laissons le soin d'effectuer un test de dépistage des autres maladies sexuellement transmissibles (HIV, syphilis) d'ici 2-3 mois. Au vu d'une suspicion de déviation de la cloison nasale lors de la consultation du 02.02, malgré une absence de fracture visualisée à la radiographie du nez, Mr. Y revient pour contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires. Vu la notion que la déviation de cloison est ancienne et l'absence de problème respiratoire, et la diminution de territoire de l'hypoesthésie, Mr. Y rentre à domicile après l'avis du Dr. X, sans traitement antibiotique. Mr. Y va consulter pour le suivi chez un médecin traitant, qu'il va chercher. Nous réalisons l'ablation des fils avec mise d'un Stéristrip en haut de la cicatrice frontale droite. Au vu d'une suspicion de maladie de Verneuil dans un contexte d'abcès à répétition, nous prenons, en accord avec la patiente, un rendez-vous chez le dermatologue pour parler d'une maladie de Verneuil et pour suite de prise en charge. Au vu d'une symptomatologie urinaire et un bilan biologique en amélioration, ainsi qu'un urotube et antibiogramme révélant une sensibilité aux deux souches bactériennes retrouvées, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile avec une continuation de l'antibiothérapie par Ciproxine 2x500mg/jour, jusqu'au 05.03.2019 comme cela était prévu. Mr. Y est libre de rentrer à domicile. Au vu probable de chronicité, troubles cognitifs, pas d'investigations en urgence. Suivi et bilan anémie à prévoir. Au vu que l'anamnèse avec les proches de la patiente décrit une constipation plus importante ces derniers jours et que malheureusement la patiente n'accepte pas de lui prélever les urines et elle démontre un comportement d'hétéro-agressivité. Au vu de la réalisation d'un bilan le 13.02.2019 avec ECG et laboratoire qui étaient en ordre, on décide de ne pas refaire d'examens complémentaires ce jour mais de proposer à Mr. Y de stopper tous les antibiotiques et de reconsulter son médecin traitant au retour de ses vacances pour reprendre éventuellement le traitement d'éradication, non urgent, sous surveillance régulière. Au vu de la bonne évolution clinique de la fracture, nous proposons à la patiente de continuer avec la mobilisation en physiothérapie et le drainage lymphatique du membre supérieur et conseillons d'utiliser son bras dans la vie quotidienne. Vu cette lyse en distale, nous prévoyons encore un contrôle radioclinique dans 3 mois soit le 23.05.2019 afin d'évaluer l'évolution radiologique de la fracture. Nous restons à disposition en cas de besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, nous reverrons Mr. Y dans 1 semaine pour un contrôle radioclinique et de garer le Rucksack jusqu'à la prochaine consultation. Nous expliquons à Mr. Y que la boule de consolidation de la fracture pourra rester, mais que ce n'est qu'un problème de type esthétique. Au vu de la bonne évolution, nous conseillons à la patiente de garder le Vaco Talus pour encore 4 semaines pour permettre une bonne guérison des ligaments avec une marche en charge. Arrêt de la Clexane. Elle peut reprendre le travail à 50% à partir du 14.02.2019 jusqu'au prochain contrôle soit le 14.03.2019. Nous restons à disposition en cas de besoin si la reprise du travail ne convient pas. Au vu de la bonne évolution radioclinique, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Au vu de la persistance des douleurs, nous proposons à la patiente de remettre un plâtre fendu et de poursuivre la Clexane. Nous la reverrons dans 1 semaine pour un contrôle radioclinique et voir s'il y a un déplacement de la fracture. S'il n y a pas de déplacement secondaire, nous pourrons mettre en place un traitement conservateur par une attelle Aircast pour une durée de 4 semaines. Au vu de la possibilité de charger, nous effectuons un bandage élastique avec un Flector patch. Mr. Y peut changer son Flector une fois par jour jusqu'à disparition des douleurs. Antalgie simple avec Brufen 600 mg 3x/jour à prendre pour 5 jours puis en réserve selon douleurs. Contrôle chez le médecin traitant en cas de non-amélioration de la symptomatologie. Au vu de l'absence de déplacement secondaire de la fracture, nous fixons un nouveau contrôle radioclinique dans 1 semaine. Mr. Y sera au bénéfice de l'immobilisation pour une durée de 6 semaines. Au vu de l'absence de fracture, nous prescrivons une antalgie simple. Mr. Y peut charger selon douleur. Contrôle chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Au vu de l'examen clinique, nous ne suspectons pas d'hernie inguinale. La patiente présente des douleurs légères sous forme de tiraillement à la rotation externe de la hanche, des douleurs para-vertébrales à gauche avec une contracture musculaire au niveau de la fesse gauche, raison pour laquelle nous retenons un diagnostic de lombocruralgies gauches aigües non déficitaires. Au vu de la bonne évolution clinique et d'une patiente rassurante, elle rentre à domicile avec une antalgie simple et le conseil de reconsulter en cas de persistance de la symptomatologie à 1 semaine chez son médecin traitant, avec proposition de réévaluer l'indication à réaliser une radiographie de la hanche à la recherche de signes radiologiques en faveur d'arthrose. Au vu des douleurs diffuses de la patiente et de ses comorbidités, nous réalisons une radiographie de la cheville gauche et du pied gauche à la recherche d'une fracture. Nous n'objectivons pas de fracture aux lieux de suspicion clinique, soit au niveau des 2ème, 3ème et 4ème orteils et du calcanéus ainsi que de l'os naviculaire. Au vu de la complexité, nous demandons un avis à la Dr. X, orthopédiste de garde, en raison de troubles de la marche connus depuis longtemps mais péjorés depuis le traumatisme, sans signe de fracture aux endroits algiques, qui propose d'effectuer des bandes élastiques, l'utilisation de semelles rigides au domicile et de réévaluer l'indication à une consultation spécialisée en orthopédie à la consultation du Dr. X ou un suivi chez le médecin traitant. La patiente refuse les bandes élastiques qui lui provoqueraient des spasticités plus douloureuses que les douleurs en lien avec le traumatisme et préfère effectuer un suivi sur le long terme chez un médecin traitant. Dans ce contexte, la patiente rentre à domicile avec une antalgie et le conseil de reconsulter les urgences en cas de péjoration des symptômes.Au vue des examens cliniques et radiologiques rassurants, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile avec une antalgie simple. Nous lui donnons des conseils d'éviter les ports de charge et de consulter son médecin traitant en cas de persistance des douleurs. En cas d'apparition de dyspnée, d'état fébrile ou de douleurs non contrôlées avec l'antalgie mise en place, nous lui conseillons de venir consulter aux urgences. Au vue d'une douleur d'origine plutôt musculaire, on prescrit une antalgie simple avec Brufen, Dafalgan, Flector patch et Tramal en réserve. Arrêt de travail à réévaluer avec le médecin traitant. Au vue la norme résultat de l'examen biologique et clinique, nous retenons la possibilité d'attaque de panique dans le cadre de probable syndrome de Burn out. Pas d'argument pour une cardiopathie chimique (labor et ECG normal) factures de risque cardiovasculaire faible. Nous débutons un traitement par Temesta et proposons un contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Au vus du status et du bilan sanguin rassurant, et avec l'antécédent d'appendicectomie, nous retenons le diagnostic de gastro-entérite et Mr. Y peut rentrer à domicile avec un traitement par IPP et une antalgie simple. Nous mettons l'élévation des érythrocytes sur le compte d'une hémoconcentration dans un contexte de diminution des apports hydriques. Nous conseillons donc à Mr. Y de bien s'hydrater avec au minimum 2000 ml d'eau par jour. Un arrêt de travail jusqu'au 07.02 lui est donné et nous lui conseillons de consulter son médecin traitant si les douleurs et les nausées persistent. Aucun Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune Aucune. Aucune. Aucune. Aucune. Aucune. Aucune. Aucune. Aucune. Aucune. Aucune. Aucune. Aucune. Aucune. Aucune. Aucune. Aucune. aucune aucune aucune Aucune antalgie Suite de couches Aucune condition préexistante Aucune condition préexistante, vacciné selon le calendrier prévu Aucune condition préexistante, vacciné selon le calendrier prévu Aucune condition préexistante, vacciné selon le plan. Aucune condition préexistante, vaccinée selon le calendrier prévu Aucune condition préexistante, vaccinée selon le calendrier prévu. Aucune connue Aucune prise en charge nécessaire, disparition spontanée avant 3 mois Réassurance Audiométrie tonale le 22.02.2019 : surdité légère de transmission à droite VHIT 22.02.2019 : atteinte des canaux semi-circulaires latéral et postérieur droits Primperan 10mg 3x/jr + Tanganil 500mg 2x/jr + Prednisone 1mg/kg = 70mg pendant 7 jours + physiothérapie vestibulaire. AUDIT : négatif. Proposition au médecin traitant de suivi de l'arrêt OH, demandé par Mr. Y.• Auf Grund der clinique et radiologique Untersuchung interpretieren wir die Beschwerden des Mr. Y am ehesten im cadre einer Subkapitale Humerusfraktur rechts. Wir kontaktieren die Orthopäden in Kantonsspital Fribourg. Sie werden die Patientin einberufen für eine chirurgicale Übernahme. Bis zum Chirurgie, sie soll einen Orthogilet tragen. Eventuell, wir beraten auch einen osteoporotischen Bilan. Die Patientin kann nach Hause gehen in stabil Allgemeinzustand mit Analgesie. • Auf Grund der klinischen Untersuchung interpretieren wir die Beschwerden des Mr. Y am ehesten im cadre einer Anaphylaxie Typ 1 Grad II. Sie bekommt Methylprednisolone 125 mg und IV Tavegyl 2 mg IV. Die 3 Stunde Überwachung ist ruhig. Sie kann nach Hause mit Antihistaminicum und Cortison während 5 Tagen. Wiedervorstellung bei hohem Exanthema, Übelkeiten, Bauchschmerzen, Dyspnoe. • Auf Grund der klinischen Untersuchung interpretieren wir die Beschwerden des Mr. Y am ehesten im cadre einer Commotio cerebri ohne Komplikationen. Die Überwachung während 4 Stunden war unauffällig. Der Patient kann in stabilen Konditionen zu Hause zurückgehen. Wiedervorstellung bei Übelkeiten, Gleichgewichtstörung, höheren Kopfschmerzen, doppelter Vision, Paresthesie oder Verwirrung. • Auf Grund der klinischen Untersuchung interpretieren wir die Beschwerden des Mr. Y am ehesten im cadre einer inguinalen Muskelzerrung rechts. Wir verordnen eine symptomatische Therapie für die Schmerzen und eine Verordnung für Physiotherapie, wenn es nicht besser geht in 4 Tagen. Wiedervorstellung bei hohem Fieber, Verschlechterung des AZs. • Auf Grund der klinischen Untersuchung interpretieren wir die Beschwerden des Mr. Y am ehesten im cadre einer Lumbago. Wir verordnen eine symptomatische Therapie und Myorelaxant vor Schlafen. Wiedervorstellung bei Fieber, Verschlechterung des AZs und Kraft oder Sensibilitätverlust. • Auf Grund der klinischen Untersuchung interpretieren wir die Beschwerden des Mr. Y am ehesten im cadre einer Otitis Externa links. Wir verordnen eine Antibiotika Therapie mit topischem Ciprofloxacin und Analgesie mit Paracetamol. Wiedervorstellung bei hohem Fieber, Verschlechterung des AZs. • Auf Grund der klinischen Untersuchung interpretieren wir die Beschwerden des Mr. Y am ehesten im Verlauf einer asthmoiden Bronchitis. Wir verordnen die aktuelle Therapie zu verfolgen (Schema mit Ventolin, Montelukast und Axotide). Im Falle eines Allgemeinzustand-Zuschlags, wir sagen der Mutter, schnell in eine pädiatrische Notfallaufnahme zu gehen. • Augmentation des Troponin am 17.02.2019 d'origine plurifactorielle (insuffisance rénale, infectieux, OAP). • Augmentation de la capacité de travail à 100%, uniquement pour le travail au dépôt et au bureau. Prochain contrôle clinique dans 2 mois pour décider d'une reprise à 100% y compris sur les chantiers. Prescription également de physiothérapie pour renforcement musculaire et travail de la proprioception. • Augmentation de la Metformine à 1000 mg 2 x/j. Suivi des glycémies. • Augmentation de la posologie et ajout de Clexane thérapeutique 80 mg - 2 x/jour jusqu'à INR thérapeutique. • Augmentation de l'héparine à dose thérapeutique dès 17°° h avec contrôle de l'anti-XA 6 heures plus tard. Retrait des drains thoraciques et de la VVC dès que possible. • Augmentation des paramètres de cholestases le 19.02.2019 sur progression tumoral. DD : suspicion de déplacement du train biliaire. • Augmentation des tests hépatiques et cholestatiques dans le contexte tumoral le 23.01.2019. • Augmentation Dexaméthasone à 16 mg/J lors de l'hospitalisation. Suivi chez Dr. X le 22.02.2019. • Augmentation du Torasémide 15 mg 1x/j. Suivi du poids quotidien, électrolytes et créatinine. • Augmentation du Torem, bandage des jambes. Scanner abdominal le 28.1.2019: pas d'obstruction visible des voies veineuses ou lymphatiques. • Augmentation du traitement diurétique. Bandage des jambes. • Augmentation temporaire de Prednisone de 15 mg à 30 mg dès le 11.02.2019, mise en suspens de MTX et Leflunomid. • Augmentin du 14.01 au 16.01.2019. Rocéphine du 18.01 au 20.01.2019. Résolution le 20.01.2019. • Augmentin IV 2.2 g 3 x/j jusqu'à 48h d'afébrilité, relais par co-amoxicilline 1 g 2 x/j pour un total de 10 jours d'antibiothérapie. 07.02.19 Ponction par Dr. X (absence de liquide). 08.02.2018 Echographie du sein gauche: Œdème du QSE avec dilatations des galactophores. • Augmentin le 08.02.2019. Clarithromycine le 08.02.2019. Pipéracilline/Tazobactam du 08.02.2019 au 12.02.2019. Noradrénaline du 08.02.2019 au 09.02.2019. Cathéter artériel radial droit du 08.02.2019 au 09.02.2019. • Augmentin 1.2 g 3 x/jr en intraveineux du 01.02.2019 au 07.02.2019. Doppler des membres inférieurs le 04.02.2019. Angiographie le 06.02.2019. Débridement de plaies le 05.02.2019. • Augmentin 1.2 g 3 x/j du 22.02.2019 au 24.02.2019 avec passage du traitement per os par Augmentin 1 g 2 x/j pour 7 jours au total. Stix le 22.02.2019 : sang +++, leuco ++, nitrites -. Frottis vaginal le 22.02.2019 : chlamydia négatif. Uricult le 22.02.2019 : négatif. Hémocultures le 22.02.2019 en cours. PCR Influenza le 23.02.2019 : négatif. • Aujourd'hui je remplis le consentement éclairé pour l'AMO de l'annulaire gauche. J'informe la patiente du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 5.3.2019. • Aura une consultation chez son médecin dans 48 h. • Aura visuelle. • Aura visuelle dans un contexte de migraine acéphalgique le 27.11.2018, chez un patient connu pour des migraines. Hypodermite abcédante et granulomateuse des membres inférieurs diagnostiquée le 01.04.2016 (Pathologie Voilier 2.HS16.5049, biopsie MIG face latérale). Dermohypodermite du membre supérieur droit sur lymphoedème chronique du membre supérieur droit. Fracture Gustilo II P3 D3 pied droit. Cure de sténose pylorique en 1973. • Autisme léger avec retard de langage. • Autisme. Infirmité motrice cérébrale. Épilepsie tonico-clonique idiopathique traitée. • Automne 2018: Hospitalisation Marsens suite à Tentamen médicamenteux. • Aux urgences : Dafalgan 2 x 1 g, Voltarène 50 mg, Morphine 10 mg p.o., Sirdalud 2 mg, titrage de morphine. Attitude : Transfert à Tavel pour gestion de la douleur. Antalgie par AINS, paracétamol, morphine s.c. 6 x 5 mg/jour. Sirdalud 3 x 2 mg/jour. Eventuellement réorganiser une IRM de la colonne lombaire. • Aux urgences : délimitation de l'érythème. Antibiothérapie. Retour à domicile avec antibiotique et rendez-vous à la consultation ambulatoire des urgences pour les sérologies. • Aux urgences : Freka Clyss, le patient va à selle et est soulagé. Retour à domicile avec traitement symptomatique. • Aux urgences : Lasix 40 mg, Lasix 40 mg iv. Aux urgences : VNI. RX du thorax : pas de foyer, semblable à la dernière radiographie. Labo. ECG. Frottis de grippe à pister : délimitation de l'érythème au niveau du membre inférieur gauche. • Aux urgences : Adrénaline IM 300 ug. Tavegyl 2 mg iv. Surveillance monitorée. Cortisone 50 mg et Xyzal 5 mg pendant 5 jours. Patienten a reçu les explications et l'ordonnance pour le kit d'urgence. Proposé à la patiente de prendre rendez-vous chez un allergologue pour suite de prise en charge. • Aux urgences amélioration des symptômes par Irfen 400 mg et Sirdalud 4 mg avec diminution des fourmillements. Nous retenons un torticolis gauche, que nous mettons sous traitement symptomatique, arrêt de travail avec un contrôle chez son médecin traitant la semaine prochaine si absence d'amélioration.Nous constatons un profil tensionnel haut aux urgences qui se normalise après administration d'antalgie. • Aux urgences: aspegic 150 mg iv • Aux urgences, boit 60 ml de lait, 125 ml de sirop et 125 ml d'eau. 4 diarrhées de moindre intensité aux urgences. Appel de la pédiatre le 15.02.2019 (Dr. X): Clostridium difficile positif dans les selles. Discussion avec infectiologue pédiatrique Dr. X. Pas de nécessité d'un traitement spécifique. Appel aux parents le 15.02. Mr. Y va bien, il ne présente plus de diarrhées. • Aux urgences, boit 600 ml de sirop en environ 1 h. Pas de récidive de vomissements. • Aux urgences, elle reçoit du Dafalgan et de l'Irfen avec amélioration. Nous retenons des probables céphalées de tension et la patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. La patiente sait quand reconsulter aux urgences. • Aux urgences, elle reçoit du Dafalgan et du Brufen. Nous retenons une contusion cervicale, nous mettons la patiente sous colorette mousse pendant 3 jours, antalgie, AINS et contrôle chez son médecin traitant après discussion avec le Dr. X. La mère de la patiente est informée dans quels cas il faut reconsulter les urgences. Concernant l'angine, la patiente va consulter le 23.02.2019 aux urgences de l'HFR Fribourg. Le cas est présenté au colloque d'orthopédie, une radiographie transbuccale n'est pas faite. Au vu de la clinique, il n'y a pas besoin de la convoquer pour faire l'incidence transbuccale selon les orthopédistes (Dr. X et Dr. X). • Aux urgences, elle reçoit du Dafalgan. Nous retenons une probable bronchite virale et mettons la patiente sous traitement symptomatique. Nous lui indiquons quand reconsulter les urgences. • Aux urgences, Mr. Y reçoit du Betnesol et Ventolin 6 pushs 3x dans 1 h avec bonne amélioration des respirations. 2.5 minutes après le dernier push, il présente un murmure vésiculaire symétrique, pas de sibilances, pas de signes de détresse respiratoire. • Aux urgences: Hydratation NaCl 0.9% 1000 ml, Beloc iv 15 mg au total, Dilzem 20 mg iv. Laboratoire. Urines. ECG. Radiographie du thorax. US bedside: pas d'épanchement péricardique, pas de collapsus de la veine cave, pas de troubles de la cinétique segmentaire, FEVG visuelle conservée. Retour à domicile avec contrôle chez le médecin traitant en fin de semaine prochaine. • Aux urgences, il reçoit 3x 6 push de Ventolin dans 1 h et Betnesol 0.25 mg/kg soit 3.5 mg. Après les 3 push, bonne amélioration de la respiration, pas de sibilances, pas de tirages. Pas de réapparition des tirages après 1 h. Il peut donc rentrer à domicile avec Ventolin en dosage diminuant, Betnesol et un contrôle chez le pédiatre dans 3 jours. Reconsulter avant en cas de difficultés respiratoires. • Aux urgences: KCl retard 2x30 mmol p.o. KCl retard 30 mmol fourni au patient à prendre le 28.02.2019. Contrôle biologique dans 2-3 jours chez le MT. • Aux urgences: KCl retard 30 mmol p.o. • Aux urgences: Konakion 10 mg iv et Beriplex 3000 UI iv. Contrôle de l'INR 1.4. • Aux urgences, la patiente bénéficie d'un statut ciblé et d'un laboratoire. Le bilan biologique ne montre pas de particularité. Au vu de l'anamnèse d'épigastralgies, la patiente bénéficie dans un premier temps d'un sachet d'Ulcar et d'un Nexium 40 mg iv. Elle rapporte une légère amélioration clinique. Nous lui prescrivons à nouveau deux sachets d'Ulcar avec cette fois-ci, une nette amélioration de la symptomatique. Elle souhaite rentrer à domicile. Nous prescrivons à la patiente un traitement de 40 mg de Nexium 2x/jour pendant 3 jours, suivi de deux semaines à 40 mg/jour à prendre à domicile. La suite du traitement sera faite par le médecin traitant. La patiente peut rentrer à domicile en bon état général. • Aux urgences, la patiente a bu 4 verres d'eau avec bonne tolérance, donc n'a plus vomi. Nous retenons une probable gastrite avec un diagnostic différentiel de migration d'anneau gastrique. La patiente peut regagner son domicile le jour même avec un traitement symptomatique par antiémétique. Elle sera vue demain à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique. Si persistance de symptômes, il faudra prévoir un transit baryté. • Aux urgences, la patiente bénéficie d'un examen clinique ciblé. En raison de la symptomatique, nous effectuons un sédiment urinaire qui revient dans la norme. Un ultrason abdominal effectué aux urgences montre une vessie remplie à environ 300 ml avec un bon flux urétéro-vésicale chez cette patiente avec une sensation de vessie pleine. Le laboratoire fait aux urgences revient dans la norme et ne montre pas de souffrance rénale ou de syndrome inflammatoire. En raison d'une symptomatique persistante, nous effectuons un sondage pour vidanger la vessie. Nous récoltons 300 ml d'urines claires. Nous stimulons la patiente à boire et attendons une miction. La patiente ne note pas d'amélioration significative. Parallèlement, nous débutons un traitement de Spasmo-Urgénine aux urgences. Nous donnons à la patiente la carte du Dr. X, urologue, afin de débuter un suivi urologique. Nous lui conseillons également de bien s'hydrater. Elle est libre de rentrer à domicile. • Aux urgences, la patiente bénéficie d'un examen clinique ciblé et d'une anamnèse médicale. Le bilan biologique montre un laboratoire aligné. Au vu de la symptomatique cardiaque, nous effectuons un ECG. La radiographie du thorax ne montre pas de pneumothorax ou de foyer infectieux. Nous effectuons un dosage des troponines à T0 qui montre 8 ng/L, un second contrôle T1 à 8 ng/L. Nous pouvons raisonnablement écarter un NSTEMI. Au vu des résultats rassurants, nous proposons à la patiente d'effectuer un bilan cardiologique à distance. Elle est libre de rentrer à domicile. • Aux urgences, la patiente bénéficie d'un examen clinique ciblé qui montre une adénopathie sous-mandibulaire gauche douloureuse à la palpation. Nous calculons un score de Centor à 2/4. Pour cette raison, nous effectuons un test rapide à la recherche d'un streptocoque qui revient positif. Pour cette raison, nous débutons un traitement de Co-Amoxicilline 625 mg 3x/jour pour 10 jours. Parallèlement, nous prescrivons un traitement symptomatique de courte durée pour soulager les symptômes actuels de la patiente à l'aide d'AINS et de Dafalgan. La patiente est invitée à reconsulter son médecin traitant si absence d'amélioration de la symptomatique sous traitement antibiotique. La patiente est libre de rentrer à domicile. • Aux urgences, la patiente bénéficie d'un examen clinique ciblé qui ne montre pas de signe de pathologie. Un bilan biologique montre une leucocytose isolée à 15.8 G/L sans syndrome inflammatoire. Un sédiment urinaire revient propre, un test de grossesse revient négatif. Nous instaurons une hydratation de NaCl 0.9% 500 ml et donnons un Primpéran 10 mg iv avec bonne réponse clinique. Nous retenons le diagnostic de gastroentérite virale et conseillons à la patiente une bonne hydratation. Nous lui prescrivons une médication de réserve par Dafalgan et Primpéran. La patiente est libre de rentrer à domicile. • Aux urgences, la patiente bénéficie d'un examen clinique ciblé qui se montre dans la norme. En raison d'un traumatisme crânien chez une patiente sous Aspirine cardio 100 mg, nous prenons un avis chirurgical auprès du Dr. X, qui préconise d'effectuer un CT-scan natif. Si l'examen est dans la norme, la patiente est libre de rentrer à domicile. Il nous préconise également de suturer la plaie. Le CT-scan ne montre pas de fracture ou de saignement intra-crânien. Au niveau de la plaie, nous effectuons une exploration de plaie qui ne montre pas d'atteinte des structures sous-cutanées. Nous effectuons un rinçage à l'aide d'une aiguille boutonnée et d'eau stérile, désinfection par Hibidil, 5 points simples avec Ethilon 5-0, pansement Adaptic touch, compresse stérile. Nous conseillons un contrôle de plaie dans 2 jours chez le médecin traitant et l'ablation des fils dans 5 jours chez le médecin traitant.Nous avons répété le vaccin anti-tétanos chez la patiente qui ne pouvait nous donner la date du dernier rappel. Nous donnons également une feuille de surveillance neurologique post-traumatisme crânien simple. La patiente doit reconsulter les urgences en cas de signe inflammatoire local, d'écoulement purulent ou de fièvre. Aux urgences, la patiente bénéficie d'un examen clinique ciblé. Un bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas de leucocytose, pas de perturbation des tests hépatiques et est parfaitement dans la norme. Aux urgences, nous effectuons un test de grossesse qui revient négatif. Un sédiment urinaire revient parfaitement propre. La patiente étant militaire, nous informons le médecin de la caserne de Drognens sur les examens effectués et la suite de la prise en charge. La patiente est attendue demain matin pour une US abdominal de contrôle avec un contrôle biologique et clinique en filière ambulatoire. Elle est libre de rentrer à la caserne. Aux urgences, la patiente bénéficie d'un statut clinique ciblé. En raison d'une anamnèse évocatrice, nous effectuons un contrôle radiologique du pied droit. Une radiographie du pied droit ne montre pas de fracture ou d'arrachement postérieur. Nous retenons le diagnostic d'entorse de Chopart. Pour cette raison, la patiente bénéficie d'une attelle plâtrée postérieure avec décharge. Cannes anglaises pour 7 jours. Elle prendra rendez-vous dans une semaine en policlinique d'orthopédie. Une radiographie post-plâtre ne montre pas de déplacement ou de point de pression. La patiente est libre de rentrer à domicile. Aux urgences, la patiente bénéficie d'une anamnèse et d'un examen clinique ciblé. Un bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Nous notons une leucocytose isolée à 12.6 G/L. Le reste du bilan biologique est dans la norme. Aux urgences, la patiente bénéficie de Primpéran 10 mg avec diminution de ses nausées. En raison d'un état de nervosité assez important de la patiente, nous lui administrons 1 mg de Temesta sans effet clinique. Au niveau des vertiges, la patiente a déjà présenté un épisode similaire en 2015. Elle a été traitée plusieurs années par Betaserc sans réponse clinique. Nous effectuons une manœuvre de Hallpike qui provoque des vertiges lors de la rotation gauche de la tête. Nous effectuons une manœuvre de correction de Epley avec légère amélioration subjective de la situation. Les vertiges et les nausées de la patiente se stabilisent durant son séjour. Nous laissons rentrer la patiente à domicile avec 1 mg de Temesta supplémentaire à prendre en arrivant. Elle part également avec une réserve de Zofran 4 mg pour la nuit si nausées. Nous lui conseillons de consulter son médecin généraliste et, au besoin, un ORL pour la suite de la prise en charge. À savoir que la patiente bénéficie d'un suivi ORL par le Dr X. La patiente est libre de rentrer à domicile. Aux urgences, la patiente reçoit du Dafalgan, de l'Irfen et du Tramal avec légère amélioration, raison pour laquelle nous complétons par un CT-scan cérébral qui est dans la norme. Nous retenons une migraine (DD : céphalées de tension, névralgie d'Arnould) déjà investiguée. Nous laissons l'antalgie qu'elle avait déjà adaptée le 19.02.2019 au centre de la douleur par le Dr X. La patiente rentre à domicile avec contrôle chez son médecin traitant. Aux urgences, la patiente reçoit du Dafalgan 1 g et un AINS avec amélioration légère des douleurs. Au vu de l'anamnèse et de l'examen clinique, nous réalisons une radiographie du sacrum et du coccyx qui objective une fracture peu déplacée du coccyx. Sur avis du Dr X, orthopédiste de garde, nous tentons d'effectuer une réduction sous Fentanyl 50 µg avec un échec de la tentative, avec une absence de fausse-mobilité du coccyx. Le Dr X préconise donc une antalgie adaptée et un contrôle chez le médecin traitant à 2 semaines. Un sédiment urinaire est réalisé qui revient pathologique avec présence d'érythrocytes. L'anamnèse ne parle pas en faveur d'un traumatisme au niveau rénal en raison d'une chute sur les fesses avec absence de traumatisme direct au niveau des reins, une absence de plainte urinaire et des loges rénales indolores à la palpation et à la percussion. Dans ce contexte et sur avis du Dr X, nous proposons d'effectuer un contrôle chez le médecin traitant à 1-2 semaines avec notamment un sédiment urinaire. Dans ce contexte, la patiente rentre à domicile avec une antalgie par Dafalgan, Brufen et Tramal, avec proposition d'effectuer un contrôle chez le médecin traitant à 1-2 semaines et des conseils antalgiques pour le positionnement. Nous lui expliquons la nécessité de reconsulter les urgences avant en cas d'apparition de troubles neurologiques ou de sang dans les selles. Aux urgences, la patiente reçoit 1 g de paracétamol IV ainsi que 5 mg de Zomig en spray nasal, permettant d'améliorer sa symptomatologie. Nous effectuons également un laboratoire sanguin ne montrant pas de syndrome inflammatoire. Au vu de la clinique et de l'amélioration des symptômes sous Zomig, nous suspectons une récidive de crise migraineuse et décidons de laisser la patiente rentrer à domicile. En cas de récidive, nous suggérons à la patiente de prendre un comprimé de Dafalgan accompagné d'un AINS et en cas de non-résolution des douleurs, nous lui suggérons de passer à la Novalgine ou au Zomig intra-nasal, que nous lui prescrivons en réserve. En cas de persistance de la symptomatologie malgré ces différentes lignes thérapeutiques, nous invitons la patiente à se représenter aux urgences. Aux urgences, la patiente reçoit 25 mg de Tramal gouttes avec évolution favorable. Nous réalisons un bilan biologique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Nous réalisons également une radiographie de la hanche droite et du bassin qui ne montre pas de signe d'épanchement, pas de déscellement de la prothèse et pas de fracture nouvelle. Nous discutons avec la patiente et sa fille afin de décider de la suite de la prise en charge. La patiente souhaiterait autant que possible retourner à domicile, chose que la fille et la patiente imaginent comme possible actuellement. Nous demandons un avis au Dr X, de médecine interne, qui dans ce contexte ne voit pas de contre-indication à ce que la patiente rentre à domicile. Dans ce contexte et au vu de la bonne évolution clinique, elle rentre avec une antalgie par Dafalgan à domicile et du Tramal en réserve. Nous lui conseillons d'arrêter le Zaldiar qu'elle prenait d'office le matin et de le remplacer par une prise de Tramal 25 mg. Nous proposons à la patiente d'effectuer un rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Nous restons à disposition en cas de mauvaise gestion de l'antalgie à domicile pour rediscuter d'une prise en charge hospitalière. Aux urgences, l'antalgie est majorée et le patient se sent soulagé. Il rentre à domicile avec des réserves supplémentaires pour les douleurs et sera suivi par son médecin traitant comme prévu. Aux urgences, le bilan biologique montre une augmentation de la CRP à 37 mg/l, sans leucocytose. Le sédiment urinaire est propre. Le streptotest est négatif. Nous retenons un diagnostic d'état grippal avec une angine d'origine virale associée. Aux urgences, le bilan biologique montre une leucocytose à 18 G/L avec neutrophilie à 15.8 G/L, CRP dans la norme. Les troponines sont mesurées à 326-318 ng/L et les D-Dimères à 1200 ng/mL. L'ECG est superposable au comparatif. La gazométrie montre une insuffisance respiratoire globale avec pH à 7.22, pCO2 à 8 et pO2 à 10.9 puis à pCO2 6 et pO2 à 12 après traitement bronchodilatateur par Atrovent et VNI à 12 litres d'O2.Au vu d'une clinique et radiographie de thorax de surcharge cardiaque, la patiente reçoit du Lasix 20 mg en bolus, suivi par une hypotension artérielle à 70/38 mmHg, motivant un remplissage rapide par Glucosalin 500 ml sur 30 min puis NaCl 1000 ml, avec bonne réponse hémodynamique. Un scanner thoracique à la recherche d'une embolie pulmonaire ou d'un processus infectieux (pneumonie, broncho-aspiration) est ainsi demandé. Ce dernier n'est pas réalisable sur symptôme d'orthopnée. Une ETT montre une hypokinésie basale antéro-septale compatible avec une atteinte coronarienne de l'IVA déjà connue pour lésion intermédiaire en 2017. Une embolie pulmonaire semble peu probable en l'absence de dilatation de VD. Au vu des résultats, un choc cardiogène sur maladie coronarienne semble le plus probable ou secondaire à une atteinte infectieuse pulmonaire progressant depuis 3 jours (pas de modification à l'ECG, troponines sans cinétique). Le traitement par Lasix 20 mg en bolus IV est repris. Au vu de troubles de l'état de conscience avec Glasgow score à 10/15, nous procédons à une intubation oro-trachéale vidéo-guidée avec Midazolam 3 mg en ordre unique. À 12h34, la patiente présente une bradycardie sévère avec début de massage cardiaque externe à 12h34 et Épinéphrine 5 mg en IV avec pouls palpable à 12h36 pour une TA à 121/63 mmHg, 130/min, 65% saturation remontant rapidement à 93%. Dans les suites, la patiente développe une hypotension sévère avec tachycardie à 140/min et début d'un nouveau massage cardiaque externe à 12h44, Noradrénaline 20 µg puis Adrénaline 1 mg IV, avec pouls palpable à 12h48 pour reprise d'une TA à 74/55 mmHg, 141/min. De la NA IV en continu est administrée temporairement, suspendue en raison des constantes vitales correctes. La patiente est transférée aux Soins Intensifs de l'HFR Fribourg pour suite de la prise en charge, départ en ambulance. Aux urgences, le bilan biologique révèle une hypokaliémie à 2.9 mmol/L chez une patiente consommatrice régulière de laxatifs. Après substitution par 40 méq de Potassium IV sur 8 heures et Kcl effervescent de 30 mmol/L, nous mesurons une kaliémie à 3.5 mmol/L. Sur le plan tensionnel, la patiente bénéficie d'une dose unique d'Adalat retard avec correction du profil tensionnel vers les 120 mmHg de systolique. La patiente bénéficie d'une surveillance clinique de plus de 12 heures aux urgences. Dans les suites, au vu du traitement antihypertenseur administré, la patiente décrit des symptômes d'orthostatisme avec Shellong positif. Un suivi clinique seul est proposé avec stimulation à une hydratation orale. Pour la suite, un suivi tensionnel sur la journée est proposé avec adaptation du traitement antihypertenseur et éventuelle administration d'une demi-dose de Lisinopril à 2 intervalles de la journée. Une consultation cardiologique serait d'ailleurs déjà prévue le 30.01.2019 à 13h00 avec Dr. X à Billens. Sur le plan abdominal, en raison de bruits augmentés ainsi qu'inconfort abdominal, un abdomen sans préparation est réalisé montrant une image en "pile d'assiettes", sans coprostase. Un traitement d'essai par Spasmocanulase est proposé durant 1 semaine avec reprise régulière du traitement habituel par Movicol. En l'absence d'abdomen aigu dans un contexte de pathologie chronique, nous proposons au médecin traitant la suite de la prise en charge. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente regagne son domicile le 29.01.2019 avec contrôle clinique les prochains jours à la consultation du médecin traitant. Aux urgences, le patient bénéficie d'un examen clinique ciblé et d'une anamnèse. Au vu de la clinique, nous effectuons une radiographie du pied gauche qui montre une fracture de la phalange distale du 3ème orteil à gauche. Nous prescrivons à la patiente une antalgie à base d'AINS et de paracétamol. Nous prescrivons également une chaussure Barouk à une patiente qui peine à charger l'avant du pied. Elle est capable de marcher et par conséquent, une prophylaxie anti-thrombotique n'est pas indiquée. Elle peut rentrer à domicile avec suivi du traitement chez le médecin traitant. Aux urgences, le patient bénéficie d'un examen clinique ciblé qui ne montre pas de particularité. Après son installation dans un box d'urgence, il montre une rapide amélioration et se sent subjectivement mieux. Un ECG montre un rythme sinusal régulier, normocarde à 62 bpm, axe gauche à 54°, QRS fins à 96 ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R en V4, QTc à 380 ms. Nous profitons de son passage aux urgences pour discuter avec le patient, qui se sent déjà mieux. Nous apprenons que le père du patient s'est suicidé. Le fait que son ami fasse également une tentative l'a choqué. Nous lui conseillons un suivi ambulatoire chez son médecin traitant. Nous prescrivons au patient un Temesta 1 mg pour la nuit ainsi qu'un arrêt de travail pour le 06.02. La suite de la prise en charge sera faite par le médecin traitant. Le patient est libre de rentrer à domicile. La femme du patient est présente durant la nuit en cas de péjoration de la situation actuelle. Aux urgences, le patient bénéficie d'un examen clinique ciblé. Un laboratoire montre une leucocytose isolée à 11.2 G/L. Nous notons également une augmentation des tests hépatiques avec ASAT à 65 U/L, ALAT à 141 U/L, LDH à 504 U/L, gamma-GT à 164 U/L, bilirubine directe à 3.6 umol/L chez un patient connu pour une hépatite C sans comparatif. Un sédiment urinaire revient dans la norme. Une radiographie du thorax ne montre pas de signe de pneumothorax ou de foyer infectieux. Un ECG aux urgences montre un rythme sinusal régulier, normocarde à 54 bpm, axe normal à 49°, QRS fins à 80 ms, segment ST isoélectrique. Onde T1 négative en V1 concordant. Transition de l'onde R en V3. QTc à 398 ms. Au vu d'examens rassurants, nous proposons au patient de revenir effectuer un ultrason de contrôle le 27.02 à 08h00, suivi d'un contrôle clinico-biologique en filière des urgences ambulatoires. Au niveau des douleurs, le patient bénéficie de 4 mg de Morphine en intraveineuse aux urgences donnée en deux prises. Les douleurs se stabilisent par la suite. Il bénéficie également d'un traitement anti-inflammatoire aux urgences. Nous lui donnons également du Tramal 50 mg au vu de son retour à domicile. Aux urgences, le patient bénéficie d'un statut ciblé qui montre de fortes douleurs à la palpation des structures osseuses occipitales. De plus, nous notons une très légère asymétrie pupillaire avec gauche > droite. Le bilan biologique revient dans la norme et montre un INR à 1.2. Au vu de l'anamnèse et des symptômes évocateurs, nous demandons un avis chirurgical au Dr. X qui préconise d'effectuer un CT-scanner cérébral natif avec reconstruction osseuse. Le CT-scanner ne montre pas de fracture ou de saignement. Nous mettons au courant le Dr. X qui nous explique qu'en raison d'un traumatisme relativement ancien, une surveillance aux urgences n'est pas nécessaire. Le patient peut rentrer à domicile avec du Primpéran en réserve et une antalgie. Il reçoit également une feuille de surveillance neurologique pour traumatisme crânien simple. Il doit consulter son médecin traitant dans 2 jours. Nous lui prescrivons du repos avec abstention de sport ou des stimulus sonores. Le patient est libre de rentrer à domicile. Il doit reconsulter les urgences en cas de péjoration de l'état général. Aux urgences, le patient bénéficie d'une anamnèse et d'un examen clinique ciblé qui montre des douleurs à la palpation diffuse de l'abdomen. Le patient présente également des douleurs à la percussion de la loge rénale droite. Un sédiment urinaire montre la présence de 6 à 10 leucocytes et érythrocytes par champ.Un bilan biologique montre un syndrome inflammatoire à 103 mg/L et une leucocytose à 12.1 G/L. Pour cette raison, nous effectuons un CT-scanner abdominal natif qui ne montre pas d'urolithiase, pas de pyélonéphrite visualisée, nodule surrénalien droit, pas de pathologie des voies urinaires. Pas de lithiase dans la vessie. Au niveau du nodule surrénalien visualisé, en raison de l'absence de produit de contraste, un diagnostic plus précis n'est pas possible. Nous laissons le soin au médecin traitant de discuter d'une éventuelle poursuite des investigations. Le patient présente un état fébrile aux urgences avec un pic fébrile à 39°C pour lequel il reçoit du paracétamol 1g avec bonne réponse et diminution de la température. Au vu des résultats cliniques et biologiques, nous administrons 2g de Rocéphine au patient en ordre unique aux urgences et prescrivons un traitement de Ciproxine 500 mg 2x/jour pour 5 jours. Le patient sera revu à la filière ambulatoire par nos soins le 28.02.2019 avec un contrôle clinique et biologique. Un syndrome grippal n'est pas complètement exclu chez ce patient. Le patient est libre de rentrer à domicile. Aux urgences, le patient bénéficie d'une antalgie à l'aide de Dafalgan, Tramal et Morphine. Nous effectuons un statut qui ne montre pas de perte de fonction mais une hypoesthésie sans anesthésie. Une radiographie du 3ème doigt droit montre une fracture ouverte de la phalange distale du majeur. Le rappel anti-tétanos est à jour chez ce patient. Nous prenons contact avec l'orthopédiste, Dr. X, qui effectue une exploration sous anesthésie en bague, pas d'atteinte des structures nobles, rinçage abondant du site, fermeture par 5 points simples au fil d'Ethilon 4.0. Au niveau de la fracture, nous posons une attelle aluminium palmaire, l'attelle Stax ne pouvant être mise en place en raison du pansement de plaie. Le patient bénéficie d'un arrêt de travail et d'une antalgie pour le domicile. Il sera revu en contrôle dans deux jours à la policlinique d'orthopédie. Un pansement stérile est posé sur la plaie suturée. Il est libre de rentrer à domicile en bon état général. Aux urgences, le patient est passablement inquiet et bénéficie d'un examen ciblé. Nous rassurons également le patient au vu de l'examen clinique sur la nature probablement bénigne de son mal. Nous lui prescrivons un traitement AINS et Dafalgan de courte durée. Il est invité à consulter son médecin traitant ou son chirurgien de l'époque si persistance ou péjoration des symptômes. Le patient est libre de rentrer à domicile. Aux urgences, le patient est vu par le chef de clinique des urgences, Dr. X. Nous réalisons un examen clinique et une anamnèse qui ne montrent pas de trouble de la vision et nous faisons suspecter un hyposphagma. Nous demandons un avis à Dr. X, ophtalmologue de garde, qui préconise un contrôle à sa consultation le jour même à 16h00. Dans ce contexte, le patient rentre à domicile avec un rendez-vous de contrôle en ophtalmologie à 16h00 à l'HFR Fribourg. Aux urgences, le patient reçoit du Paracétamol et de Voltaren, avec une amélioration des douleurs. Le laboratoire est dans la norme et le sédiment urinaire met en évidence une micro-hématurie. Nous prenons l'avis de Dr. X, chirurgien, et effectuons un uro-CT qui montre un syndrome obstructif urétéropyélocaliciel droit sur un calcul peu dense de 4 mm au niveau de l'uretère pelvien (DD: composante hématique, des débris, polype). Nous discutons des résultats avec Dr. X qui nous demande d'effectuer un CT-scanner abdominal injecté qui montre un épaississement tissulaire au niveau de l'uretère pelvien droit (DD: inflammatoire, néoplasique), mais pas de calcul. Le patient sera donc revu à la consultation de Dr. X le 27.02.2019 à 9h45 pour faire une cystoscopie. Sur demande de Dr. X, le Xarelto ne sera pas à prendre le 27.02.2019. Le patient quitte les urgences asymptomatique. De l'antalgie pour le domicile a été donnée. Le patient doit reconsulter les urgences en cas de réapparition des douleurs malgré l'antalgie. Aux urgences, le patient reçoit Efient 60 mg, liquémine 5000, Aspegic 500 mg IV. Nous le transférons en ambulance à l'HFR Fribourg pour une coronarographie. Aux urgences, le patient reçoit une antalgie par Dafalgan, Brufen et Tramal. Nous réalisons une radiographie de thorax qui ne montre pas de fracture de côte ni de signe de complication. Le bilan biologique est rassurant avec des paramètres hépatiques dans la norme et un sédiment urinaire propre. Dans ce contexte, nous retenons un diagnostic de contusion thoracique droite sur traumatisme par compression et le patient rentre à domicile avec un arrêt de travail de 2 jours et une ordonnance pour une antalgie simple. Aux urgences, le statut est rassurant et met en évidence seulement un pharynx enflammé. Nous mettons en place un traitement symptomatique pour 5 jours, avec suivi chez le médecin traitant. En plus, nous conseillons à la patiente une bonne hydratation. Aux urgences, l'évolution est considérée comme bonne. Le patient a été vu par le chirurgien, Dr. X, qui a posé le diagnostic de kyste dermoïde et il a conseillé un suivi jeudi 28.02.2019 en policlinique de chirurgie. Un suivi régulier sera ensuite à faire. Le seul traitement à faire pour l'instant sont des douches régulières à domicile. Dès que le kyste sera de nouveau "froid", une ablation chirurgicale sera considérée. Aux urgences, le patient est collaborant. Il a faim et reçoit quelque chose à manger. Après discussion avec Granges-Paccot, nous administrons 1 comprimé d'Aripiprazole sous surveillance de l'infirmier. L'éducateur du foyer vient le chercher pour rentrer au foyer. Aux urgences: Mg 2g i.v. Aux urgences, Mira reçoit 2 mg de Ondansetron, depuis elle a bu 400 ml de sirop et d'eau. Elle avait très soif et prend du sirop aux urgences. Elle ne présente plus de vomissements depuis l'arrivée aux urgences. Elle peut donc rentrer à domicile avec conseils d'hydratation et un traitement symptomatique. Reconsulter en cas de signes de déshydratation. Aux urgences, nous arrivons à calmer le patient en lui parlant et en lui administrant un Temesta, suite à quoi il arrive à dormir et se reposer. Lors de son état intoxiqué et durant son angoisse, il verbalise des phrases dont il ne se rappelle plus au réveil. De plus, il nous communique son désir de parler avec un psychiatre ou un psychologue. Nous prenons alors un avis du psychiatre de garde qui conseille une hospitalisation au RFSM de Marsens. Le patient, une fois réveillé de son état d'intoxication et lucide à nouveau, ne se rappelle plus de cet événement. Nous rediscutons avec lui et notons bien que le patient regrette d'avoir abusé d'alcool et n'a pas de plan pour agir sur ses idées noires qu'il a verbalisées auparavant. Il nous communique ses aspirations et ses projets futurs, notamment qu'il est intéressé par la musique et d'être formé comme ambulancier. Nous ne retrouvons pas d'idéation suicidaire ni de plan d'action. Le patient ne veut pas être hospitalisé au RFSM de Marsens mais préfère un suivi ambulatoire avec son psychologue qui le suivait pour abus scolaire. Nous le laissons alors rentrer accompagné de son amie chez lui à la maison où il habite avec ses parents. Nous lui donnons le numéro de la permanence de psychiatrie de garde joignable 24/24h, 7/7J. Aux urgences, nous avons pris l'avis de Dr. X, orthopédiste, et une suite chirurgicale sera à organiser. Dans l'attente de l'opération, un plâtre est à mettre en place. Nous avons donc mis un plâtre antébrachial fendu avec le doigtier japonais. La radiographie de contrôle ne montre pas de point de compression. La patiente sera recontactée pour programmer l'opération. Le consentement éclairé est déjà signé et mis dans le dossier de la patiente.Aux urgences, nous désinfectons à la Bétadine, anesthésions en bague par Rapidocaïne bicarbonatée, mettons un champ stérile, explorons la plaie, retirons les corps étrangers superficiels (débris de verre blanc), drainons l'hématome sous-unguéal et mettons en place un pansement compressif. Le statut anti-tétanique est en ordre chez ce patient. Nous décidons de laisser le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple et lui suggérons de désinfecter sa plaie 2x/jour à la Bétadine et NaCl avec réfection du pansement compressif à domicile 2x/jour. Le patient sera revu à la consultation de son médecin traitant dans 3 jours pour un contrôle de plaie. Aux urgences, nous désinfectons la plaie, anesthésions localement à la Rapidocaïne 1% bicarbonatée et suturons la plaie par 2 points simples à l'Ethilon 5-0, complétés par des stéri strips. Le patient sera revu à J5 à la consultation de son pédiatre traitant pour le retrait des fils. Aux urgences, nous désinfectons, mettons un champ stérile, anesthésions localement par Rapidocaïne 1% bicarbonatée et fermons la plaie par 6 points simples à l'Ethilon 4-0 complétés par Opsite spray. Aux urgences, nous faisons un rappel anti-tétanique fait par TD-Pur. La patiente sera revue à la filière des urgences ambulatoires le 12.02 pour le retrait des fils à J10 car, selon elle, son médecin traitant ne désire pas retirer les fils (elle aurait déjà été adressée à la filière des urgences ambulatoires la fois précédente). Aux urgences, nous effectuons un rinçage à la Chlorhexidine 100 qui rend 1500 ml d'urines claires sans macro-hématurie. Les douleurs abdominales sont soulagées immédiatement. A l'examen clinique abdominal post-rinçage, le ventre est souple et indolore sans défense ni détente avec des bruits hydro-aériques normaux en tonalité et en fréquence et des loges rénales souples et indolores à la percussion. Nous demandons un avis au Dr X, urologue de la patiente, qui souhaite voir la patiente à sa consultation pour effectuer un changement de sonde ce jour. Dans ce contexte, nous référons la patiente au Dr X pour suite de prise en charge. Aux urgences, nous effectuons une prise de sang qui est sans particularité. L'ECG montre un RSR sans signe d'ischémie. Les troponines effectuées dans un contexte de douleurs thoraciques chez un patient chez lequel nous avons la notion de prise de cocaïne reviennent négatives. La radiographie cervicale est sans particularité. Lors de son séjour aux urgences, le patient devient plaintif, avec disparition de toutes les douleurs. Nous prenons contact avec l'amie du patient, qui vient chercher le patient à l'hôpital. Le patient quitte les urgences asymptomatique. Aux urgences, nous effectuons une prise de sang qui montre une hypokaliémie à 2.2 mmol/l. Le reste du laboratoire est sans particularité. Nous mettons donc en place une substitution par KCl 40 mmol/l dans NaCl 1000 ml que nous passons pendant 2 heures. Pour la sortie, nous arrêtons le Torem 10 mg et nous le remplaçons par de l'Aldactone 100 mg. De plus, 1 comprimé de potassium effervescent par jour a été prescrit. Le patient a un rendez-vous chez son médecin traitant pour effectuer un contrôle biologique le 01.03.2019. Concernant la suspicion d'hernie inguinale, le patient a été vu aux urgences par le Dr X, chirurgien, et aucun signe d'hernie n'a été mis en évidence, ni au repos ni à la manœuvre de Valsalva. De plus, nous avons vu les images du CT-scanner abdominal du 09.01.2019, qui avaient mis en évidence des petites hernies inguinales à contenu graisseux des deux côtés. Le Dr X conseille un suivi en ambulatoire à sa consultation dans les prochaines semaines en cas de réapparition des douleurs au niveau inguinal à droite. Aux urgences, nous effectuons une radiographie de la main gauche qui ne montre pas de fracture. Vu que la main gauche est gonflée et chaude, nous effectuons une prise de sang qui ne montre pas de leucocytose, mais une CRP à 55 mg/l. L'acide urique est négatif. Nous mettons cette CRP dans le contexte d'une réaction inflammatoire post-traumatique, à différencier d'une poussée d'arthrose déformante. Nous mettons en place un bandage avec Dermaplast et Coolfix. Nous donnons de l'antalgie simple et conseillons de mettre de la glace. Le suivi se fera chez le médecin traitant au milieu de cette semaine. Aux urgences, nous effectuons une radiographie nez-menton plaque et demandons conseil au radiologue de garde qui ne voit pas de signes indirects de fracture. Au vu du bilan clinique et radiologique rassurant, la patiente peut rentrer à domicile avec une prescription pour des AINS, une antalgie simple et une antibiothérapie prophylactique par Co-Amoxicilline 1g 2x/jour pendant 5 jours. Nous lui conseillons de prendre rendez-vous chez un ORL dans 5 jours pour un contrôle clinique avec, si nécessaire, un repositionnement correct du nez. En cas d'apparition de nouveaux symptômes comme des troubles de la sensibilité ou une perte de force, nous lui conseillons de reconsulter aux urgences. Aux urgences, nous mettons la patiente sous aérosols d'Atrovent-Ventolin permettant de soulager ses symptômes et lui donnons 2 litres d'O2. Une gazométrie artérielle réalisée à son arrivée montre une hypoxémie avec hypocapnie et une radiographie de thorax nous permet d'exclure la présence d'un foyer. Au vu de la clinique et de l'amélioration de la symptomatologie, nous posons le diagnostic d'une bronchite asthmatiforme et décidons de laisser la patiente rentrer à domicile avec une ordonnance d'Atrovent, de Ventolin et de Prednisone 50 mg 1x/jour pour une durée de 3 jours. Nous suggérons à la patiente de se présenter à la consultation de son médecin traitant pour la suite de la prise en charge et l'invitons à se présenter aux urgences en cas de péjoration de sa symptomatologie. Aux urgences, nous ne retenons pas d'indication à faire une gastroscopie d'urgence. Le patient reste complètement stable pendant la surveillance. Les contrôles de l'hémoglobine restent stables. L'hypokaliémie retrouvée est interprétée dans un contexte d'insuffisance rénale. Nous installons un traitement par Resonium. Aux urgences, nous notons la disparition des douleurs suite à la prise de Dafalgan. Aux urgences, la patiente se plaint d'un déficit sensitivomoteur gauche lui rappelant des épisodes similaires sans trouble visuel ou de langage avec, à l'examen, une sensibilité diminuée au niveau de l'hémicorps gauche, avec un déficit à M3 mais des réflexes ostéotendineux vifs et symétriques des deux côtés. La patiente récupère spontanément après environ 30 minutes de début de symptomatologie en parlant avec elle et en la rassurant. Nous retenons des douleurs psychosomatiques. La patiente rentre à domicile et prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle le 19.02.2019. Nous conseillons à la patiente de revenir aux urgences en cas de récidive. Aux urgences, nous procédons à la prise en charge de la plaie avec une désinfection puis une suture par points simples sous anesthésie par Gel Let pour rapprocher les bords cutanés. La plaie sera contrôlée chez le pédiatre la semaine prochaine avec une ablation des fils à 5 jours. Au niveau du traumatisme crânien, Mr. Y ne présente pas de signe de saignement au niveau ORL et pas de déficit neurologique. Nous le laissons donc rentrer à domicile et donnons à la mère une feuille explicative avec les précautions concernant les signes cliniques à observer et nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas de signe de léthargie, d'épisodes de vomissements répétés ou de plaintes de céphalées de la part de l'enfant.Aux urgences, nous procédons à la prise en charge de la plaie avec une suture par points simples sous anesthésie locale. Un rappel antitétanique est effectué car plus à jour. Les fils seront enlevés chez le médecin traitant à 8 jours. Un bilan radiologique est effectué et ne met en évidence aucune lésion osseuse, ni de présence de corps étranger. Mr. Y peut rentrer à domicile avec un certificat médical pour 2 jours. En cas de péjoration des douleurs, il se rendra chez son médecin traitant pour un contrôle clinique. Aux urgences, nous procédons à la suture de la plaie sous anesthésie locale. Le vaccin antitétanique est à jour. Un arrêt de travail pour 2 jours est prescrit et Mr. Y prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique de la plaie à 48h. Une ablation des fils sera effectuée à la filière des urgences ambulatoires car Mr. Y travaille en Suisse et que son médecin traitant est en France. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique de base qui est aligné. Sur avis de Dr. X et du Dr. X, nous réalisons un bilan plus complet. Les troponines sont à 5 µg/l à H1 et à 4 µg/l à H2. Les CK sont à 68 U/l et la VS est à 4 mm/h. Une TSH est également réalisée mais qui suivra par la suite. L'ECG réalisé est dans la norme. Aux urgences, elle reçoit du paracétamol iv, du Voltaren iv, et du Temesta per os. Suite à cela, les douleurs ne sont pas résolues, raison pour laquelle, sur avis de Dr. X, nous administrons du Dormicum iv 0.5 mg, qui permet de soulager la symptomatologie avec une résolution des douleurs du bras. Suite à cela, elle présente un épisode de vomissement qui est soulagé par l'administration de Primpéran iv et de Nexium iv. Nous gardons Mme. Y en surveillance qui nous décrit se sentir soulagée après avoir pu dormir. Après discussion avec Mme. Y, la maman, et Dr. X, et au vu d'une évolution favorable, Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie simple, un arrêt de travail du 21.02 au 22.02, le numéro des urgences psychiatriques si besoin, et le conseil de rediscuter de ces épisodes avec la psychologue de Mme. Y, que la maman voit le 22.02.2019, afin de discuter d'une adaptation de la prise en charge. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Une radiographie est réalisée et n'objective pas de fracture ou de signe inflammatoire. Mr. Y est vu par Dr. X, qui propose une incision superficielle des deux morsures avec un rinçage et une désinfection, l'administration d'une antibiothérapie en intraveineuse par 2.2 g de Co-Amoxicilline puis un relais per os par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 5 jours, une immobilisation par attelle alu, un arrêt de travail pour 1 semaine à réévaluer et un contrôle clinico-biologique en filière des urgences ambulatoires. Aux urgences, nous réalisons une anesthésie locale avec injection de 4 cc de Rapidocaïne au niveau de la tête du 3ème métacarpien avec incision superficielle d'environ 2 mm aux endroits des deux morsures, désinfection et rinçage par aiguille boutonnée. Nous désinfectons également abondamment les lésions de griffures. Au vu de la stabilité clinique, Mr. Y rentre à domicile avec une ordonnance pour l'antibiothérapie et une antalgie simple, un arrêt de travail. Il reviendra le 24.02 en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinico-biologique. Aux urgences, nous réalisons un examen clinique neurologique qui revient dans la norme. La plaie est suturée à l'Ethilon 5-0 sous anesthésie locale, avec la réalisation d'une désinfection et d'un rinçage de la plaie. Nous mettons un pansement simple. Nous proposons à Mme. Y de consulter son médecin traitant à J2 pour un contrôle de plaie et à J5 pour l'ablation des fils. Dans ce contexte, Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie simple qu'elle a à domicile. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle à J2 et l'ablation des fils à J5. Aux urgences, nous réalisons un rinçage de la sonde vésicale de Mr. Y avec 40 cc mais sans retour. Nous décidons d'enlever la sonde vésicale de Mr. Y et de la remplacer par une sonde vésicale double voie. Lorsque nous retirons la première sonde, nous mettons en évidence la présence d'un caillot de sang mais présence d'urines de couleur claire sans macrohématurie. Après mise en place de la sonde vésicale double voie et réalisation de rinçage, nous obtenons un total de 250 cc d'urines de couleur normale sur environ 2h. Nous proposons de suivre l'évolution de la diurèse de ce patient. Nous réalisons un bilan biologique qui objective une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 261, une osmolalité à 316 et une urée à 24, raison pour laquelle Mr. Y bénéficie d'une perfusion de Ringer Lactate 1000 ml sur 3h avec hospitalisation en médecine à Meyriez en raison d'un manque de place pour poursuite d'une hydratation iv de 1500 ml sur 24h avec surveillance de l'évolution clinico-biologique de la fonction rénale. Un sport urinaire et un sédiment urinaire sont à pister. Le bilan biologique met en évidence une hypercalcémie chronique avec une calcémie à 2,94. Dans l'éventualité où Mr. Y serait toujours hospitalisé aux alentours du 07.02.2019, nous proposons à nos confrères de prendre contact avec les endocrinologues de l'HFR Fribourg pour rediscuter de cette suspicion d'hyperparathyroïdisme primaire et du traitement de Mimpara. Dans ce contexte, Mr. Y est transféré à Meyriez en médecine pour suite de prise en charge. Départ en ambulance. Aux urgences, nous réalisons un rinçage et une désinfection de la plaie. Nous réalisons une exploration sous anesthésie locale qui ne montre pas d'atteinte des structures profondes, avec une plaie propre et superficielle. Nous réalisons deux points de suture avec de l'Ethilon 5.0. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile avec une antalgie simple et la réalisation de 2 points de suture. Nous lui proposons de revoir son médecin traitant lundi 04.02 pour un contrôle et à J7 selon la possibilité du médecin traitant. Nous expliquons à Mr. Y l'importance de reconsulter en cas d'apparition de symptômes nouveaux. Aux urgences, nous réalisons une anamnèse et un examen clinique qui objectivent des troubles neurologiques non systématisés. Mme. Y est vue par Dr. X, de médecine interne. Après une discussion avec les parents et Dr. X, nous suspectons un syndrome dissociatif dans un contexte de choc émotionnel important, raison pour laquelle nous décidons d'administrer 0.5 mg de Dormicum iv avec réévaluation neurologique à 45 minutes. En cas de persistance de la symptomatologie, nous rediscuterons d'un CT-scan. En cas d'amélioration légère, nous réévaluerons l'indication à augmenter la dose d'anxiolytiques et la nécessité d'un avis psychiatrique versus CT-scan. En cas de résolution totale de la symptomatologie, avis psychiatrique. Au vu de la résolution complète de la symptomatologie après Dormicum 0.5mg, nous nous abstenons de demander un CT-scan cérébral ou un avis psychiatrique. Les idées suicidaires sont réfutées, les parents ont pris contact avec le compagnon de Mme. Y qui nous assure que la problématique est résolue. Au vu de l'état clinique rassurant sans déficit persistant, nous décidons de laisser Mme. Y rentrer à domicile accompagnée de ses parents. Nous avons proposé une aide psychologique qui pour le moment n'est pas souhaitée. Les parents se portent garants de discuter avec Mme. Y afin qu'elle puisse exprimer ses craintes.Aux urgences, nous réalisons une radiographie de contrôle qui ne montre pas de fracture. La patiente est examinée par l'orthopédiste de garde, le Dr. X, qui retient un diagnostic de contusion des doigts 2, 3 et 4 à droite, sur contusion des métacarpophalangiennes 2 et 3 face dorsale, de la main gauche, sur un traumatisme le 22.02.2019. Il propose une immobilisation par attelle Edimbourg, un contrôle chez le médecin traitant, du repos, de la glace et une antalgie simple, chose que nous faisons. La patiente rentre après avoir eu son attelle Edimbourg mais sans être revue par l'assistante. Aux urgences, nous réalisons une radiographie de la hanche droite au vu du contexte traumatique de la chute. La radiographie ne met pas de fracture en évidence. Nous retenons un diagnostic de contusion de la hanche droite avec élongation du groupe des muscles adducteurs de la jambe. Au vu d'une évolution clinique favorable, le patient rentre à domicile avec une antalgie simple et le conseil de reconsulter son médecin traitant si besoin. Aux urgences, nous réalisons une radiographie de la main droite qui ne montre pas de signe de fracture. Au vu d'un examen clinique qui montre des douleurs à la palpation de la face palmaire de la base du pouce, des douleurs en hyperextension du pouce sans laxité ligamentaire des ligaments collatéraux ulnaires et radiaux du pouce et après discussion du cas avec la Dr. X, le patient rentre à domicile avec une ordonnance pour une antalgie simple, une attelle alu pendant 2 semaines avec un contrôle en policlinique à 1 semaine et un arrêt de sport pour 2 semaines. Aux urgences, nous réalisons une radiographie du genou droit qui ne montre pas de fracture, raison pour laquelle nous retenons un diagnostic de contusion du genou droit. L'anamnèse et l'examen clinique du coude à droite ne nous faisant pas suspecter de fracture, nous ne réalisons pas de radiographie. La radiographie du 5ème doigt de la main droite objective une fracture intra-articulaire de l'interphalangienne proximale au niveau de la première phalange. Dans ce contexte, Dr. X propose de voir la patiente pour discuter d'une prise en charge conservatrice versus opératoire en raison du risque d'arthrose augmenté dans un contexte de fracture intra-articulaire. La patiente décide d'y réfléchir et prendra un rendez-vous à la consultation de Dr. X le 13.02.2019 pour en rediscuter. Dans ce contexte, la patiente rentre à domicile avec une syndactylie D4-D5, une antalgie et un rendez-vous de contrôle à la consultation de Dr. X le 13.02.2019 qu'elle fixera lundi 04.02.2019. Aux urgences, nous réalisons une radiographie du 5ème doigt droit qui ne montre pas de fracture. L'examen clinique objective un ongle stable et un hématome sous-unguéal minime en distalité de l'ongle pouvant se drainer spontanément. Dans ce contexte, nous réalisons un pansement simple avec une désinfection de l'ongle et mettons en place une syndactylie des 4ème et 5ème doigts droits à but antalgique. Le patient rentre à domicile avec une antalgie simple et un arrêt de sport pour une semaine. Un contrôle chez le pédiatre à une semaine pour s'assurer de la bonne évolution clinique sera à organiser. Aux urgences, nous réalisons 3 x 6 pushs de ventolin et la première dose de Betnesol, avec amélioration du statut clinique (diminution de la tachypnée et du tirage, meilleure entrée d'air aux bases et moins de sibilants) et de l'état général. Il reste tout au long de la surveillance avec une saturation au-dessus de 90%, même au cours du sommeil. Au vu de l'évolution clinique favorable, il rentre à domicile avec poursuite du ventolin aux 4 heures (4 pushs) et du Betnesol avec un contrôle clinique le 02.02 aux urgences. Contrôle le 02.02.19 (Dr. X): Anamnèse : selon les parents, ça va un peu mieux par rapport à la respiration et il est davantage agité. Difficultés à faire le Ventolin (dernière fois 2 pushs à 8h, 3h avant la consultation). Il a reçu son Betnesol. Status : Respiratoire : fréquence respiratoire 40/min, saturation 100% à air ambiant, battement des ailes du nez en cas d'agitation, tirage sus-sternal et intercostal, expirium forcé, sibilances expiratoires à la bouche, murmure vésiculaire symétriques avec sibilances expiratoires bilatérales. Attitude : Ventolin 3 x 6 pushs aux urgences, puis poursuite 2 pushs aux 4 heures jusqu'au contrôle clinique à votre consultation le 04.02.19. Poursuite Betnesol 0.25 mg/kg jusqu'au 03.02.19. Consultation avec Dr. X demandée par les parents -> expliqué que vous pouvez l'organiser. Aux urgences, nous retrouvons une patiente stable hémodynamiquement et asymptomatique. Elle bénéficie d'un examen clinique et d'une anamnèse ciblée. La patiente bénéficie d'une hydratation d'entretien par Ringer Lactat 500 ml. Un bilan biologique ne montre pas de leucocytose, pas de syndrome inflammatoire. Un ECG aux urgences montre un rythme sinusal régulier à 61/min. PR 168 msec. QRS 102 msec, axe -34°, transition de l'onde R en V2. Segment ST iso-électrique. Pas d'onde T négative en III concordante. QTc à 420 msec. Durant son séjour, elle présente un nouvel épisode douloureux très bref et de résolution spontanée. Un ECG fait à ce moment montre un rythme sinusal régulier à 58/min. PR 174 msec. QRS 100 msec, axe -31°, transition de l'onde R en V2. Segment ST iso-électrique. Onde T négative en III concordante. QTc à 420 msec. Nous effectuons un dosage des troponines qui montre des troponines à 11 ng/L lors du premier train. Nous dosons une deuxième fois les troponines après 1 heure et obtenons un résultat de 11 ng/L et donc une cinétique nulle. Par conséquent, suite à ces examens, un événement ischémique aigu semble peu probable. Une radiographie du thorax ne montre pas de surcharge hydrique, pas de foyer infectieux, pas de diminution de la transparence nouvelle, superposable au comparatif. Au vu de la situation stable de la patiente, nous la laissons rentrer à domicile. Nous lui transmettons les coordonnées du Dr. X, cardiologue, pour un suivi cardiologique dans les plus brefs délais. Aux urgences : rocéphine 1g iv, Klacid 500mg per os. Laboratoire : Hémocultures Gazométrie ECG Radiographie du thorax Frottis nasopharyngé avec PCR influenza négatif Antigènes urinaires Légionnelle et pneumocoque en cours. Aux urgences, un bilan biologique met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec une CRP élevée à 13mg/l, sans leucocytose. La gazométrie effectuée sous 1 litre/min d'O2 montre une légère hypoxie avec pO2 à 9.9kPa, sans hypercapnie, et une saturation à 96%. Par la suite, un sevrage de l'oxygène est possible, sans péjoration sévère de la saturation. Une radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux. Au vu du statut clinique et du bilan biologique et radiologique rassurant, nous suspectons une bronchite d'origine probablement virale et la patiente peut rentrer à domicile avec un traitement bronchodilatateur et un corticostéroïde à inhaler. Nous conseillons d'effectuer un contrôle clinique chez son médecin traitant dans le courant de la semaine prochaine, avec la réévaluation de la médication selon l'état clinique et biologique. Aux urgences, un bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP élevée à 40mg/l, sans leucocytose. Pas d'augmentation des bâtonnets, pas de déviation gauche. Un prélèvement urinaire montre des urines non infectées, sans leucocyturie, sans bactériurie et sans hématurie. Ce bilan est complété par une radiographie du thorax qui ne montre pas d'infiltrat. Un prélèvement naso-pharyngé pour dépister une grippe par Influenza est effectué mais suite à un contact avec le laboratoire de bactériologie de Fribourg, il nous est communiqué que selon les directives, il n'y a pas de dépistage en urgences de la grippe le weekend. Le frottis sera donc envoyé le lendemain pour analyse, et la patiente a rendez-vous aux urgences à la filière des urgences ambulatoires pour le résultat du prélèvement et pour un contrôle clinique.En cas de péjoration des symptômes, nous conseillons à la patiente de se représenter aux urgences. Aux urgences, un bilan biologique ne montre aucune particularité. Un traitement anti-histaminique intraveineux par Tavegyl 2 mg permet une amélioration des symptômes avec notamment la diminution de l'œdème au niveau du visage. Au vu de la concordance des symptômes avec le déménagement, nous suspectons une origine liée au nouveau domicile. Nous conseillons à la patiente de résider pendant 3 jours dans un autre logement (chez ses parents) avec ensuite un contrôle clinique chez son médecin traitant qui la présentera si nécessaire à un allergologue pour une prise en charge spécialisée. Au vu de l'amélioration des symptômes et d'un examen clinique et un bilan biologique rassurant, la patiente peut rentrer à domicile avec un traitement anti-histaminique per os pendant 10 jours. En cas de péjoration des symptômes ou de l'apparition d'une gêne respiratoire, nous conseillons à la patiente de se représenter aux urgences. Aux urgences, un bilan biologique sanguin et un sédiment urinaire ne montrent aucune particularité. La gazométrie à l'air ambiant montre une alcalose avec une hypocapnie, que nous mettons sur le compte de l'hyperventilation. Nous effectuons un scanner abdominal qui montre la présence de coprostase. Un lavement est effectué (200 ml) avec une sortie de selles molles et une diminution des douleurs. Au vu de l'ensemble des examens effectués qui sont rassurants, nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement contre la constipation par paraffine. En cas de réapparition des douleurs, nous lui conseillons de consulter à nouveau. Aux urgences, une antalgie par 100 µg de Fentanyl et 75 mg de Voltarène en iv permet une rapide amélioration des douleurs. Un bilan biologique ne montre pas de particularité et le sédiment urinaire met en évidence une hématurie. Nous effectuons un Uro-CT-scan qui montre un calcul de 0,3 cm enclavé à la jonction urétéro-vésicale, avec dilatation pyélo-calicielle droite à 1,9 cm. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec une antalgie d'office et de réserve, des AINS, du Tamsulosine 0,4 mg et un filtre à urines. Il prendra rendez-vous soit chez son médecin traitant soit directement chez un urologue avec le caillot s'il le récupère pour l'analyser. Aux urgences, une mesure du Peak Flow est estimée à 59 % de la valeur prédite. La patiente bénéficie d'aérosols (Ventolin et Atrovent) avec administration de Prednisone 50 mg. Nous réalisons un bilan biologique qui montre une CRP à 8 mg/l, des leucocytes à 2,9 G/l. Nous réalisons une radiographie du thorax qui ne montre pas de foyer suspect ni d'épanchement. Dans ce contexte, nous retenons un diagnostic de bronchite asthmatiforme. Nous gardons la patiente en observation pendant 2 h avec une évolution favorable. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile avec son traitement habituel de Seretide 500 mg à prendre d'office 2 fois/jour pendant 5 jours et de Ventolin à prendre 3 fois/jour d'office pendant 5 jours et du Dafalgan 1 g. Avamys spray nasal Avant que l'on fasse quoi que ce soit comme traitement et vu que la patiente a mal toléré son traitement physiothérapeutique, je préconise une IRM native de l'épaule le 25.02.2019 pour faire la part des choses. Je reverrai la patiente suite à cet examen le 07.03.2019. AVB à 37 3/7, Apgar 9/10/10, PN 2450 g, TN 42 cm, PC 31 cm. Conjonctivite bactérienne gauche à 1 semaine de vie AVB provoqué à T+4, PN 2950 g, TN 48 cm. Faux croup sévère AVC AVC AVC AVC AVC AVC AVC avec hémisyndrome gauche facio-brachio-crural moteur le 13.05.2008. Suspicion de candidose buccale dans un contexte d'antibiothérapie. Suspicion d'endocardite avec bactériémie à Entérococcus faecalis (4p/4, 8b/8) les 28.04 et 30.04.2018, avec : • nucalgies et limitation fonctionnelle importantes. Opération de la cataracte bilatérale en janvier 2018. AVC capsule interne à droite le 31.01.2019 AVC corne postérieure du ventricule latéral gauche le 24.01.2019 AIT réseau carotidien gauche fin 2013 AVC hémorragique sylvien profond gauche (probablement à départ thalamique gauche) dans un contexte d'angiopathie amyloïde avec hémisyndrome sensitivomoteur droit et état confusionnel en régression en septembre 2015 • NIHSS 3 (abaissement MSD, abaissement MID, désorientation) Vertiges positionnels paroxystiques bénins AVC DD AIT avec : • paresthésies de la joue gauche • amputation du champ périphérique droit avec résolution complète AVC du pons antérieur droite le 31.03.17 • aphasie motrice, paralysie faciale G mineure, spontanément résolutives DD : cardioembolique vs artério-artérielle Infection des voies respiratoires inférieures à S. Pneumoniae le 13.01.2015 TC sans PC 01/14 Extraction de néphrolithiase gauche en 1970 TVP gauche en 2006 Coprostase Dermabrasion face dorsale de l'avant-bras D de 20 cm de long / 4 cm de largeur le 15.06.2017 AVC du territoire sylvien inférieur gauche le 11.02.2019 AVC en 1974. PTH gauche le 17.05.2006. PTH droite le 12.07.2006. Suspicion d'un cancer de la prostate en juillet 2013. AVC en 2000 Syndrome de Guillain-Barré (2011) Ancien tabagisme à 70 UPA AVC en 2000 Syndrome de Guillain-Barré (2011) Ancien tabagisme à 70 UPA AVC en 2011. AVC frontal G le 04.10.2013 avec : • lésion frontale sous-corticale dans le cortex moteur vue à l'IRM cérébrale du 04.10.2013 • troubles sensitivo-moteur de la main droite dégressifs et sensitifs de la jambe droite • troubles sensitivo-moteur du quadrant inférieur droit de la face avec dysgueusie et hyposalivation dégressifs • voile en rideau transitoire à l'œil droit le 04.10.2013 DD : athéro-embolique, cardio-embolique Cure Hernie Discales L5-S1 D en 2002 Appendicectomie Probable insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale le 20.10.2017 • FE urée 31 % • avec hyperkaliémie AVC hémorragique gauche temporo-insulaire et thalamique avec hémo-ventriculie le 11.02.2019, d'origine hypertensive probable (DD : occlusion de la carotide interne gauche d'allure chronique et athéromateuse) • Clinique à Thonon-les-Bains : hémi-syndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crural D, hémi-négligence D, aphasie, agraphie, désorientation temporelle et troubles mnésiques. NIHSS à l'entrée : 11. • accompagné par des céphalées À la sortie : NIHSS à 8, force de l'hémi-corps à M4, transferts et alimentation autonomes, marche avec aide, hémi-négligence D et troubles neuro-psychologiques avec précipitation et troubles mnésiques. Monitoring effectué : Pas de mise en évidence d'arythmie Écho cardiaque : pas de thrombus visualisé FDRCV : HTA traitée, hypercholestérolémie traitée, consommation quotidienne d'alcool AVC hémorragique post-lyse avec craniotomie AVC hémorragique post-lyse avec craniotomie AVC hémorragique post-lyse avec craniotomie AVC ischémie sylvienne gauche le 09.02.2019 • sur probable embole de plaque athéromateuse sur sténose sévère de la carotide interne gauche • NIHSS 6 points DD : état confusionnel aigu dans un contexte infectieux AVC ischémique aigu dans le territoire de l'artère choroïdienne antérieure D d'origine indéterminée le 03.02.2019 • symptomatologie : dysarthrie, désorientation, hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crural gauche • NIHSS initial : 10 points, NIHSS à 24 h : 2 points, NIHSS de sortie : 1 pointAVC ischémique aigu de la partie postérieure de la capsule interne droite, d'origine microangiopathique le 15.06.2015. Facteurs de risque cardiovasculaire : hypertension artérielle traitée, hypercholestérolémie sans traitement au préalable, anamnèse familiale fortement positive avec père décédé à l'âge de 35 ans d'un IDM. Cardiopathie ischémique: • maladie coronarienne bitronculaire avec occlusion de la Cx moyenne, sténose subtotale de l'IVA proximale et FEVG à 60% • STEMI inféro-postérieur sur occlusion de la circonflexe moyenne traitée avec PTCA et pose d'un stent actif le 08.03.2015 et suite de revascularisation avec stent sur l'IVA proximale le 17.03.2015. AVC ischémique aigu du gyrus pré-central et post-central gauche d'origine indéterminée (DD: cardio-embolique) le 11.02.2019 • symptomatologie: aphasie non fluente, dysarthrie, parésie faciale droite • NIHSS initial: 9 points, NIHSS à 24h: 3 points, NIHSS de sortie: 3 points • MIF 41 points AVC ischémique aigu du striatum et de la capsule interne droite dans le territoire de l'artère choroïdienne antérieure d'origine cardio-embolique sur FA intermittente non anti-coagulée le 18.02.2019 • Symptomatologie : Hémisyndrome sensitivo-moteur proportionnel G à prédominance motrice, dysarthrie, désorientation • Thrombolyse intraveineuse par Alteplase à dose standard le 18.02.2019 à 13h34 • NIHSS à l'admission à 12, NIHSS à 24h à 3 points, NIHSS à la sortie à 0 point • MIF à 64 points AVC ischémique aigu frontal et pariétal droit d'origine probablement artério-embolique le 08.02.2019 • symptomatologie: parésie et extinction sensitive du MSG • NIHSS à l'entrée : 2 points, NIHSS de sortie: 0 point AVC ischémique aigu latéro-bulbaire et cérébelleux droit d'âge différent dans le territoire de la PICA d'origine indéterminée le 08.02.2019 • symptomatologie: nystagmus multidirectionnel, syndrome de Horner à droite, ataxie du MID, hémiparésie brachio-crurale gauche, atteinte sensitive spino-thalamique droit • NIHSS initial: 1 point, NIHSS de sortie: 1 point • MIF 56 points AVC ischémique aigu mineur fronto-pariétale gauche dans le territoire sylvien superficiel G le 31.01.2019 d'origine artério-embolique probable • Symptomatologie : Parésie et hypoesthésie du MSD récidivant, spontanément résolutif • NIHSS à 0 point à l'admission, NIHSS de sortie à 0 point • MIF à 84 points AVC ischémique aigu multifocal fronto-pariétal bilatéral et occipital gauche d'origine indéterminée (DD: cardioembolique, aortoembolique) le 11.02.2019 • symptomatologie: désorientation temporelle, dysarthrie, hémiparésie brachio-crurale droite • Thrombolyse IV par Altepase 72 mg à 11h17 le 11.02.2019 • NIHSS initial: 3 points, NIHSS post thrombolyse : 8 points, NIHSS à 24h: 3 points, NIHSS de sortie: 2 points • MIF 12 points AVC ischémique aigu occipital droit, thalamique postérieur D et cérébelleux bilatéralement sur occlusions de l'a. cérébelleuse supérieure G et de l'a. cérébrale postérieure D, d'origine artério-artérielle probable sur sténose serrée (>50%) de l'artère vertébrale G en V4. • Lyse intraveineuse par Actilyse le 18.01.2019 • Symptomatologie : dysarthrie, nystagmus multidirectionnel, parésie faciale droite mineure, héminégligence gauche • NIHSS à l'entrée : 6 points, NIHSS à 24h à 3, NIHSS de sortie à 2. • MIF à 71/84. AVC ischémique aigu para-ventriculaire gauche d'origine micro-angiopathique probable le 22.03.2015 avec : • hémisyndrome sensitivomoteur brachio-crural droit. Hernie fémorale droite incarcérée le 05.12.2014. Fracture oblique de la diaphyse distale du 5ème métacarpien D en mars 2015, traitée conservativement. Exacerbation de BPCO stade III D sur infection virale des voies aériennes supérieures le 12.10.2018. AVC ischémique aigu sylvien antérieur droit d'origine indéterminée le 09.02.2019 • Symptomatologie : dysarthrie, hémiparésie facio-brachiale à gauche • NIHSS initial : 4 points, NIHSS à 24h : 2 points, NIHSS de sortie : 2 points • MIF 31 points AVC ischémique aigu sylvien antérieur droit lysé le 09.02.2019 • Symptomatologie: dysarthrie, ptose labiale gauche et trouble de la motricité fine gauche • NIHSS h0: 4 points, h24: 1 point AVC ischémique aigu sylvien antérieur gauche le 28.06.2016 sur occlusion M3-M4, d'origine artério-artérielle probable sur plaques molles de la bifurcation carotidienne gauche, sans sténose hémodynamiquement significative • hémiparésie facio-brachiale droite et dysarthrie (NIHSS 4 points à l'admission et 0 point à la sortie) • thrombolyse iv le 28.06.2016. AVC ischémique aigu sylvien gauche d'origine artério-artérielle le 09.02.2019 • Symptomatologie: aphasie de Wernicke, dysarthrie, désorientation spatio-temporelle • NIHSS 6 points à l'entrée, NIHSS 8 points à la sortie • Plaque athéromateuse calcifiée de la carotide interne gauche avec sténose à 85% • Dyslipidémie AVC ischémique aigu sylvien gauche le 13.09.2018 avec transformation hémorragique secondaire le 18.09.2018 • d'origine probablement thrombotique-artério-artérielle sur sténose de l'artère carotide interne gauche et occlusion M1 ACM gauche • thrombectomie intravasculaire (Inselspital) le 13.09.2018 avec persistance d'occlusion à 70 % post-opération • FDCV: HTA, diabète typ. II • nutrition par la PEG (26.09.18) et PEJ (16.10.19) • St/p trachéotomie du 28.09.2018 au 07.11.2018 • Clinique à l'entrée en neuro-réhabilitation: ralentissement psychomoteur, légère désorientation (temps et espace), aphasie mixte, hémisyndrome facio-brachio-crural droite à prédominance de MSD, dysphagie sévère aux liquides et modérée aux solides, atteinte dysexécutive et attentionnelle probable avec anosognosie partielle des atteintes neurologiques. AVC ischémique aigu sylvien mineur G de caractère embolique le 01.02.2019 d'origine indéterminée • Symptomatologie : désorientation, dysarthrie, hémisyndrome moteur pur facio-brachio-crural droit. • Thrombolyse intraveineuse le 01.02.2019 à 13h48. Interruption à 57.3 mg sur un total prévu de 63 mg. • Transformation hémorragique secondaire. • NIHSS à l'admission à 12. NIHSS post CT à 4. NIHSS durant la lyse à 11. NIHSS de sortie à 0 point • MIF à 74 points AVC ischémique aigu sylvien superficiel postérieur gauche d'origine artério-artérielle le 09.02.2019 • dans un contexte de sténose calcifiante de la carotide interne gauche de l'ordre de 85% • Symptomatologie : aphasie de Wernicke, dysarthrie, désorientation spatio-temporelle • NIHSS initial : 6 points, NIHSS à 24h : 8 points, NIHSS de sortie: 13 points • MIF 11 AVC ischémique aigu temporal gauche le 28.01.2019 • En premier lieu d'origine cardio-embolique (compliance médicamenteuse) • DD sur artériopathie précérébrale d'origine athéromateuse (occlusion de l'artère vertébrale droite portion V3-V4, sténose de l'artère carotide interne gauche) AVC ischémique aigu temporal gauche le 28.01.2019 • en premier lieu d'origine cardio-embolique (malcompliance médicamenteuse) • DD sur artériopathie précérébrale d'origine athéromateuse (occlusion de l'artère vertébrale droite portion V3-V4, sténose de l'artère carotide interne gauche) • CT cérébral Time is brain le 25.01.2019: occlusion de A.vertébrale droite dans ses segments V3 V4 avec reprise du flux en aval pouvant correspondre à une occlusion versus dissection chronique comme aiguë. Asymétrie de perfusion avec hypoperfusion sur le TMax de la région fronto-pariétale gauche (status post-épilepticus?). Sténose de l'artère carotide interne gauche sur plaque calcifiée juste après son départ de la bifurcation, estimée à 60%. IRM du neurocrâne et des vaisseaux du cou le 28.01.2019: Petite lésion ischémique récente corticale pariétale gauche. IRM du neurocrâne et des vaisseaux du cou le 29.01.2019: En l'absence d'hématome de paroi, la dissection décrite précédemment est compatible en premier lieu avec une origine chronique. AVC ischémique aigu thalamique et subaigu pariétal droit dans les territoires de l'artère cérébrale postérieure D et de l'artère cérébrale moyenne D le 27.01.2019 d'origine cardio-embolique probable. • Symptomatologie initiale: diplopie, hémisyndrome moteur gauche • NIHSS à l'entrée: 4 points, NIHSS à 24h: 3 points, NIHSS de sortie à 1 pt (désorientation) • MIF à 67 points AVC ischémique aigu thalamique et subaigu pariétal droit dans les territoires de l'artère cérébrale postérieure D et de l'artère cérébrale moyenne D le 27.01.2019 d'origine cardio-embolique probable. • Symptomatologie initiale: diplopie, hémisyndrome moteur gauche • NIHSS à l'entrée: 4 points, NIHSS à 24h: 3 points, NIHSS de sortie à 1 pt (désorientation) • MIF à 67 points AVC ischémique aigu sylvien gauche le 13.09.2018 avec transformations hémorragiques secondaires le 18.09.2018. • d'origine probablement thrombotique-artério-artérielle sous sténose de l'artère carotide interne gauche avec occlusion M1 ACM gauche • thrombectomie intravasculaire (Inselspital) le 13.09.2018 avec persistance d'occlusion à 70 % post-opération. Arrêt cardio-respiratoire d'origine hypoxémique sur broncho-aspiration de sang (épistaxis) le 23.09.2018. Insuffisance respiratoire globale sur pneumonies de broncho-aspiration le 15.09.2018, le 20.09.2018, le 01.10.2018, le 22.10.2018. Gastroparésie avec régurgitation alimentaire (sous PEG) depuis le 10.10.2018. Hypernatrémie à 150 mmol/l le 20.09.2018. Réaction allergique sur IEC le 12.10.2018. • éosinophilie urinaire et sérique Dermatose membre inférieur le 26.10.2018. Rétention urinaire le 01.12.2018. Troubles du sommeil avec suspicion de trouble de la personnalité le 10.12.2019. AVC ischémique au niveau du cortex occipital gauche avec hémianopsie droite transitoire le 30.10.2012. Appendicectomie dans l'enfance. Cancer du sein en 2005, traité par chirurgie, chimiothérapie et radiothérapie. Probable méningiome au niveau du golfe jugulaire droit 2012. Oppression thoracique. DD : cardiaque, somatisation état anxio-dépressif, reflux gastro-oesophagien. Suspicion de constipation DD douleurs abdominales d'autre origine le 11.10.2016. Foramen ovale persistant et anévrysme du septum interauriculaire 2012. Malaise d'origine vaso-vagale probable le 16.10.2012. Douleurs abdominales d'origine indéterminée avec constipation. AVC ischémique avec hémisyndrome moteur facio-brachial droit régressif sur occlusion de l'artère carotidienne gauche. Status post crise de goutte - malléole externe droite en mai 2015. Lombo-sciatalgies G aiguës non déficitaires sur fractures tassement ostéoporotique nouvelles de L4 et L5 le 14.09.2018. • IRM 14.09.2018 : fracture tassement L4-L5 récentes avec possible conflit L4 G sur protrusion discale postérieure, pas de recul mur postérieur, pas de lésion focale suspecte. Myoclonie de MSD et mâchoire d'origine indéterminée le 22.05.2015 : • diagnostic probable : dystonie segmentaire secondaire (Toplexil) AVC ischémique capsulaire interne D dans le territoire de l'artère choroïdienne antérieure le 31.01.2019 d'origine microangiopathique probable. • Symptomatologie : Dysarthrie, hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachial G • NIHSS à l'admission à 3 points, NIHSS à 24h: 0 point • MIF à 84 points AVC ischémique cérébelleux G sur occlusion de l'artère cérébelleuse supérieure G le 20.11.2018 sur thrombose partielle d'un anévrisme du tronc basilaire. • Symptomatologie : vertiges, ataxie du MSD et des membres inférieurs • NIHSS à l'admission (CHUV) 3 points, NIHSS à l'admission à l'HFR Fribourg 2 points, NIHSS de sortie 2 points • Lyse par Alteplase 70.2 mg est débutée le 20.11.2018 (CHUV) Rupture d'anévrisme du départ de l'artère cérébelleuse supérieure droite en 1997 avec : • hémorragies sous-arachnoïdiennes avec inondation tétra-ventriculaire (Fisher IV) • multiples AVC ischémiques sur vasospasmes diffus secondaire • traitement par clipping anévrismal • hydrocéphalie secondaire traitée par dérivation ventriculo-péritonéal à demeure • séquelles : syndrome frontal et syndrome de Gerstmann AVC ischémique cérébelleux gauche sur occlusion de l'artère cérébelleuse supérieure gauche le 20.11.2018 sur thrombose partielle d'un anévrisme du tronc basilaire. • Symptomatologie : vertiges, ataxie du MSD et des membres inférieurs • NIHSS à l'admission (CHUV) 3 points, NIHSS à l'admission à l'HFR Fribourg 2 points, NIHSS de sortie 2 points • Lyse par Alteplase 70.2 mg est débutée le 20.11.2018 à 17h30 (CHUV) Rupture d'anévrisme du départ de l'artère cérébelleuse supérieure droite en 1997, avec : • hémorragies sous-arachnoïdiennes avec inondation tétra-ventriculaire (Fisher IV) • multiples AVC ischémiques sur vasospasmes diffus secondaire • traitement par clipping anévrismal • hydrocéphalie secondaire traitée par dérivation ventriculo-péritonéal à demeure • séquelles : syndrome frontal et syndrome de Gerstmann AVC ischémique cérébelleux pré-central gauche avec hémi-syndrome sensitivomoteur droit. Ataxie des membres inférieurs et supérieur droit. Difficultés visuo-motrices et troubles exécutifs avril 2006. AVC sylvien après exérèse d'un myxome de l'oreillette G en 1988. AVC ischémique D le 26.07.2013 sur occlusion de l'artère carotidienne interne D et pseudo occlusion de l'artère carotidienne interne G. • Hémisyndrome moteur faciobrachial G, dysarthrie, héminégligence G, NIHSS 6 • PTCA et stenting de l'artère carotidienne gauche le 05.08.13 • FA découverte lors de l'hospitalisation à Berne le 09.08.13 Status post infection urinaire à K. pneumoniae le 13.08.13. Incontinence urinaire de type urgence le 23.08.13. Prostatisme. AVC ischémique D le 26.07.2013 sur occlusion de l'artère carotidienne interne D et pseudoocclusion de l'artère carotidienne interne G. • Hémisyndrome moteur faciobrachial G, dysarthrie, héminégligence G, NIHSS 6 • PTCA et stenting de l'artère carotidienne gauche le 05.08.13 • FA découverte lors de l'hospitalisation à Berne le 09.08.13 Status post infection urinaire à K. pneumoniae le 13.08.13. Incontinence urinaire de type urgence le 23.08.13. • contexte AVC • prostatisme AVC ischémique D (noyaux lenticulaires centre semi-ovale) le 17.09.2018. Status post ostéosynthèse du poignet D et coude G il y a environ 10 ans. Epistaxis antérieure droite récidivante. AVC ischémique de la medulla oblongata à droite nouvelle et cérébelleux D (ancien ?) • NIHSS à 1 aux urgences (ataxie talon-genou D). AVC ischémique de l'artère cérébrale moyenne droite le 15.02.2019. • NIHSS initial à 2 points, 2 points à l'entrée Stroke unit monitorée, 2 points à la sortie Stroke Unit monitorée. • clinique initiale: hypoesthésie du MSG et du MIG. AVC ischémique droit à 48 ans avec séquelles mineures au membre supérieur droit. Remplacement valvulaire aortique par une prothèse biologique Carpentier-Edwards Magna-Ease 27mm, associé à une plastie de réduction de l'aorte ascendante le 03.07.2013 en raison d'une sténose aortique sévère et d'une dilatation de l'aorte ascendante.Appendicectomie par laparoscopie le 17.05.2016 sur appendicite aiguë perforée. Anémie post-opératoire à 82g/l le 12.10.2016 avec : • thrombocytose à 650 G/l • recherche de sang occulte positive Bilan anémie : B12, folate, ferritine : dans les limites de la norme Ferinject 500 mg le 12.10.2016 Ad Ferro-Granumet dès le 19.10.2016 Majoration du Pantoprazole à 40 mg 2x/jour Surveillance clinique et biologique Douleur de la face postérieure de l'épaule et de l'avant-bras droit Surveillance clinique et bonne évolution par la suite AVC ischémique du pont le 01.02.2019 AVC ischémique frontal D le 11.02.2019 avec NIHSS aux urgences à 10 pts avec comme symptômes : parésie oculo motrice, hémianopsie, parésie faciale partielle, aphasie, dysarthrie, héminégligence AVC ischémique frontal et insulaire droit le 31.05.2011 sur occlusion de l'artère carotidienne interne à droite et d'une branche M2 de l'artère cérébrale moyenne à droite : • hémisyndrome brachio-facial gauche • s/p lyse intraveineuse par Urokinase le 31.05.2011 (Inselspital Berne) • avec suspicion de ré-infarctus le 14.02.2012 • avec douleurs neuropathiques avec limitation de la motricité du bras gauche (suspicion d'un syndrome de Morbus Südeck). Multiples opérations de la main gauche AVC ischémique pariétal D subaigu avec hémisyndrome (hypoesthésie et hémiparésie) à gauche (31.12.2009) Infarctus de la rate sur thrombose de la veine splénique (18.10.2008) Poussée aiguë d'une pancréatite chronique avec pseudo-kyste du pancréas sur alcoolisation : • pancréatectomie céphalique partielle selon Berger et pancréatectomie corporéale, double anastomose pancréatico-jéjunale en Roux-Y, anastomose jéjuno-jéjunale et cholécystectomie (03.06.2004) Appendicectomie et circoncision dans l'enfance Opérations hernie discale L4/L5 en 1986, 1987, 1988 AVC ischémique pariétal droit avec parésie du membre supérieur gauche partiellement régressive d'origine cardiaque sur une valve mécanique et anticoagulation infra-thérapeutique en 2009. Intervention du 06.01.2011 (Dr. X) : amygdalectomie et uvulo-palato-pharyngoplastie. Intervention du 06.01.2011 (Dr. X) : contrôle d'hémostase pour un saignement post-opératoire. Intervention du 16.01.2011 (Dr. X) : reprise pour contrôle d'hémostase suite à une hémorragie tardive. Entorse LCL de la cheville droite sans fracture associée. AVC ischémique pariéto-occipital droit, d'origine probablement cardio-embolique postopératoire, le 10.09.2015, avec hémisyndrome moteur G à prédominance brachiale Probable épilepsie au décours de la phase aiguë de l'AVC Probable état dépressif réactionnel Troubles neuropsychologiques compatibles avec l'AVC ischémique du 10.09.2015 • MMSE 26/30 Zona thoracique D2-D3-D4 droit en 2009 PTG droite en 10.2012 Opération de Weil 2ème et 3ème rayons pied D en 2011 PTH G en 1993 avec descellement visualisé sur scintigraphie en 2010 PTH D en 2007, avec changement du cotyle pour usure en 2014 Cure de cataracte D en 2013 et gauche en 2015 et 2016 AVC ischémique punctiforme du gyrus pré-central droit le 12.10.2016 d'origine indéterminée : • parésie MSG à prédominance distale • NIHSS à 2 pts à l'entrée, NIHSS à 0 pt à la sortie Trouble de l'état de conscience transitoire le 15.12.2018, DD absence, arythmie cardiaque, avec : • NIHSS 0 • facteurs de risque cardio-vasculaires : ancien tabagisme à 30 UPA, s/p AVC ischémique en 2016, suspicion d'hypertension artérielle, hypercholestérolémie, pas de diabète, surpoids pondéral. AVC ischémique sub-aigu du centre semi-ovale et du gyrus post-central à gauche le 01.02.2019 d'origine indéterminée • Symptomatologie : Parésie ataxique de l'hémicorps D • NIHSS initial à 2 points, NIHSS de sortie à 0 point • MIF à 54 points AVC ischémique subaigu sylvien droit d'origine cardio-embolique probable sur FA nouvellement diagnostiquée le 16.01.2019 • symptomatologie initiale : état confusionnel, héminégligence multimodale (spatiale, visuelle et sensorielle fluctuante) et parésie faciale gauche mineure • NIHSS à l'entrée 4 pts • ECG : FA rapide • Angio-CT cérébral le 16.01.2019 : AVC constitué subaigu dans la région sylvienne droite / temporo-pariétal droit. Occlusion d'une branche M2 droite. Pas de saignement intra- ou extra-axial, pas d'hématome sous-dural, pas de thrombose du sinus veineux intra-crânien. • IRM cérébrale 18.01.2019 : AVC ischémique aigu sur le territoire de l'ACM droite. Pas de transformation hémorragique. Remaniements athéromateux des artères cérébrales moyennes dans leur partie proximale, sans sténose visible. • Avis neurologique (Dr. X, Dr. X) • Aspirine dose de charge 250 mg aux urgences puis 100 mg/j jusqu'au 21.01.2019 (relais par Xarelto) • Sonde vésicale du 16.01.2019 au 17.01.2019 (enlevée à la demande de la patiente) it strict 48h, 1er lever le 18.01.2019 • Test de déglutition ok • Cible tensionnelle < 180 mmHg, TAM 70-130 • ETT du 17.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté, FEVG 70%, pas d'anomalie de la contractilité segmentaire. Oreillette gauche dilatée, aspect de cardiopathie hypertensive • HbA1c à 5.5 % • Bilan lipidique : LDL à 3.61 mmol/L, introduction Atorvastatine • Bilan neuropsychologique : trouble neurocognitif modéré d’étiologie mixte probable (neurodégénérative et vasculaire), compatible avec l’imagerie cérébrale • Réhabilitation gériatrique à Meyrier à partir du 30.1.2019 AVC ischémique sylvien D avec occlusion du segment M1 d'origine indéterminée le 20.01.2019 AVC ischémique sylvien droit en 2014 (port de bas de contention). AVC en mai 2017, sans précision. Ablation de la vésicule biliaire Appendicectomie Hernie Ablation de la matrice Opération du rectum pour incontinence. Malaise d'origine indéterminée le 12.01.2019 Coagulation supra-thérapeutique avec un INR à 5 le 12.01.2018 AVC ischémique sylvien droit le 08.02.2019 • lyse AVC ischémique sylvien droit profond lysé d'origine cardio-émolique probable le 18.02.2019 • Symptomatologie : Hémisyndrome sensitivo-moteur G facio-brachio-crural à prédominance motrice, dysarthrie, désorientation • NIHSS à l'admission à 12 AVC ischémique sylvien droit profond lysé d'origine cardio-émolique probable le 18.02.2019 : • Symptomatologie : Hémisyndrome sensitivo-moteur G facio-brachio-crural à prédominance motrice, dysarthrie, désorientation • NIHSS à l'admission à 12 AVC ischémique sylvien G profond le 21.12.2018 d'origine indéterminée AVC ischémique sylvien G profond le 28.02.2019 d'origine indéterminée DD : Microangiopathique, Cardio-embolique. • Symptomatologie : Trouble de la motricité fine de la main D. • NIHSS initial à 0. AVC ischémique sylvien gauche du territoire superficiel le 09.02.2019 : • début des symptômes inconnu • dernière preuve de bonne santé 14:00 ; après hétéroanamnèse avec la famille dernière preuve de bonne santé 17:15 AVC ischémique sylvien gauche le 26.10.2018, sur occlusion en T de l'artère carotide interne gauche, avec recanalisation par thrombectomie mécanique le 26.10.2018 • transformation hémorragique secondaire • Exclusion jusqu'à présent de l'étiologie cardio-embolique sur la base d'un holter de 72 heures et d'une échographie trans-thoracique, tous 2 négatifs. FDRCV : HTA traitée, hypercholestérolémie traitée, pré-diabète, SAOS appareillé • Clinique à l'entrée en neuro-réhabilitation : hémisyndrome pyramidal facio-brachio-crural D, aphasie mixte sévère à prédominance motrice, hémi-négligence droite visuo-motrice, dysarthrie potentielle, dysphagie. AVC ischémique sylvien gauche sous-cortical d'origine probablement artéro-artérielle • NIHSS est à 3 (motricité MSD, MID et orientation)AVC ischémique sylvien gauche superficiel le 12.02.2019 AVC ischémique sylvien superficiel gauche aigu le 12.02.2019 d'origine indéterminée (DD : cardio-embolique, artério-artérielle) • Symptomatologie : aphasie non fluente, dysarthrie, hémiparésie facio-brachiale droite, héminégligence sensitive droite. • NIHSS initial : 7 points, NIHSS à 24h : 1 point, NIHSS de sortie : 0 AVC ischémique sylvien superficiel gauche sur occlusion M3 de l'ACM G d'origine indéterminée (DD : cardioembolique) le 09.02.2019 • Symptomatologie : aphasie type de Wernicke, dysarthrie • NIHSS initial : 7 points, NIHSS à 24h : 2 points, NIHSS de sortie : 2 points • MIF 75 points AVC ischémique temporo-occipital gauche le 15.02.2019 • NIHSS initial à 3 points, 4 points à l'entrée Stroke Unit monitorée, 3 points à la sortie Stroke Unit monitorée • Clinique initiale : désorientation temporelle, parésie faciale droite mineure, hémianopsie droite • Anticoagulation par Rivaroxaban pour une fibrillation auriculaire AVC ischémiques aigus cérébelleux gauche punctiformes d'origine artério-artérielle probable dans le contexte d'une plaque mixte non sténosante de l'artère vertébrale gauche le 01.11.2018 • Ralentissement psycho-moteur sur origine mixte dans le contexte de l'AVC cérébelleux Cardiopathie valvulaire et hypertensive • ETT le 05.11.2018 (Dr. X) : IA et IM au moins modérées avec dilatation du VG et dysfonction systolique modérée (FE 38%) Diabète de type II non insulino-requérant diagnostiqué en 10.2018 avec : • Hb1Ac 8.2% • Traité par Dapagliflozine (inhibiteur de SGLT-2) depuis le 24.10.2018 Hernie hiatale traitée par Oméprazole 40 mg, Ulcar et Iberogast AVC ischémiques aigus multifocaux (Sylvien D superficiel avec transformation hémorragique secondaire et sur le territoire de l'artère cérébrale antérieure G le 25.11.2018 d'origine indéterminée. DD : • Cardio-embolique sur anévrisme du septum versus sur FOP avec shunt modéré au Valsalva (ETO le 28.11.2018 : Anévrysme du septum interauriculaire massif avec invagination du septum dans l'OD d'une profondeur de 2.7 cm. Foramen ovale perméable après Valsalva avec un shunt modéré.) • Artério-artérielle (remaniements athéromateux des troncs supra-aortiques) • Holter de 72h posé le 30.11.2018 : Pas de passage en FA constaté Antécédents : AVC ischémiques bi-hémisphériques sylviens et antérieurs d'origine artério-artérielle probable sur embole calcifiant de source proximale (crosse aortique) le 23.09.2016. • Clinique à l'entrée en neuro-réhabilitation : Hémi-syndrome sensitivo-moteur G, héminégligence motrice, sensitive et visuelle G, troubles attentionnels, troubles mnésiques légers, aphasie de conduction modérée, dysarthrie AVC ischémiques multiples dans plusieurs territoires vasculaires (antérieurs et postérieurs bilatéraux) le 08.10.2014 : • Discrète parésie faciale gauche spontanément régressive • Quadranopsie partielle inférieure droite persistante • Origine artério-embolique (thrombus flottant dans l'aorte ascendante, sténose modérée de l'a. carotidienne interne droite, sténose serrée de l'a. sous-clavière gauche) • Anticoagulation par Sintrom à vie Thrombus flottant dans l'aorte ascendante le 08.10.2014 avec embolisations multiples (AVC, infarctus splénique du pôle inférieur, ischémie critique main G) Ischémie critique de la main gauche sur occlusion embolique de l'a. cubitale et radiale à départ de l'aorte ascendante le 09.10.2014 Sténose sous-clavière gauche à >90 % avec thrombus accolé le 08.10.2014 Masse pulmonaire partie antéro-basale du poumon droit avec adénopathies médiastinales et hilaires bilatérales multiples d'origine indéterminée le 08.10.2014, régression quasi complète en février 2015 : • Status post-tuberculose pulmonaire traitée lege artis à l'âge de 20 ans Pneumonies à répétition avec 3 épisodes en une année (2016-2017) Coiffe apicale sur probable status post exposition à la tuberculose Diabète cortico-induit AVC ischémiques récidivants avec thrombose de l'artère basilaire le 26.01.2019 dans un contexte oncologique • AVC ischémique pariétal gauche subaigu sur le territoire de l'artère sylvienne gauche superficielle, d'origine microangiopathique suspectée le 08.11.2018 • AVC ischémique thromboembolique avec lésion du gyrus pré-centre G, partie corticale du lobe occipital G et mésencéphale le 31.01.2019 • Actuellement : état de vigilance fluctuant, parésie faciale gauche, dysarthrie, ophtalmoplégie G, barré et mingazzini non tenus AVC ischémiques récidivants dans un contexte d'une maladie oncologique et fibrillation auriculaire • AVC ischémique pariétal gauche subaigu sur le territoire de l'artère sylvienne gauche superficielle le 08.11.2018 • Anticoagulation par Apixaban jusqu'en décembre 2018, arrêtée pour des épisodes d'hématochésie, méléna et anémie à 74 g/l • AVC ischémique de l'artère basilaire le 26.01.2019 • Test de déglutition le 27.01.2019 : dysphagie modérée • AVC ischémique avec lésion du gyrus pré-central gauche, partie corticale du lobe occipital gauche et mésencéphale le 31.01.2019 • Antiagrégation avec Aspirine stoppée le 07.02.2019 AVC ischémiques récidivants multiples d'origine thrombotique artério-artérielle : • AVC temporo-pariétal gauche aigu le 30.06.2018 sur sténose serrée du siphon carotidien gauche avec stenting de l'artère carotide interne gauche (siphon) le 06.07.2018 (Inselspital) • AVC de la corona radiata et de l'insula à gauche le 04.07.2018 sur occlusion carotidienne interne distale gauche • Symptomatologie actuelle : AVC lacunaire des noyaux gris centraux et de la corona radiata à droite le 20.12.2018 avec hémisyndrome ataxique G à prédominance crurale, trouble de l'équilibre et dysphagie • Status post AVC ischémique D (noyaux lenticulaires centre semi-ovale) le 17.09.2018 avec parésie faciale distale séquellaire AVC mineur dans le territoire de l'artère cérébrale moyenne droite, d'origine indéterminée le 15.02.2019 • NIHSS initial à 2 points ; 0 points le 17.02.2019 • Clinique initiale : hypoesthésie du membre supérieur gauche et du membre inférieur gauche FRCV : HTA, hypercholestérolémie, tabagisme ancien 70 UPA AVC multiples : • AIT 1994 • AVC pariétal droit avec découverte d'un FOP fermé en 1998 • AVC mineur 2015 • AVC ischémique aigu sylvien superficiel gauche le 10.09.2017 Notion de dissection non traumatique de l'artère carotide interne droite en 1993 NSTEMI inférolatéral sur maladie bitronculaire le 20.07.2008 AVC non séquellaire en 2016. Pneumonie en 2001. Pneumonie basale droite à S. Anginosus le 11.10.2014 avec : • épanchement pleural cloisonné : emphysème. OAP le 15.05.2018 sur crise hypertensive et sténose aortique. Remplacement de valve aortique par bioprothèse Perceval sur sténose sévère le 24.08.2018 (Dr. X, CHUV). BAV 3° degré et BBG post-opératoires avec : 30.08.2018 : pose de pacemaker bicaméral Médtronic DDD (CHUV). Contrôle du Pacemaker à organiser chez le cardiologue traitant ou à la PMU. Trouble de l'adaptation avec perturbation des émotions et du sommeil. Suspicion de SAOS. Anémie normochrome normocytaire post-opératoire. Etat confusionnel nocturne le 06.09.2018 probablement sur les effets tardifs de l'anesthésie, spontanément résolutif. AVC occipital droit sub-aigu à chronique avec hyperdensité de la partie distale du tronc basilaire le 04.02.2019. AVC occipital et capsule interne gauche le 26.02.2019 d'origine indéterminée. AVC occipital gauche le 26.02.2019 avec : • NIHSS à l'entrée à 3 pts. AVC occlusif gauche constitué, le 25.02.2019 • Sténose de l'artère carotidienne interne sur 16 mm. AVC sur lésion ischémique ancienne de la capsule interne gauche de découverte fortuite le 22.06.2017. Tumeur intestinale opérée en 1980, avec récidive en 1996. Etat de mal épileptique avec crise focale partielle motrice initiale secondairement généralisée le 01.01.18. Dermohypodermite du membre inférieur droit sur ulcère veineux surinfecté. AVC sur occlusion de M1 et M2 gauche le 27.02.2019. AVC sylvien droit avec hémisyndrome moteur gauche résiduel d'origine indéterminée (DD cardioembolique) le 08.06.2017. Thrombose veineuse profonde en mars 2014. Ligature des trompes, sans précision. AVC sylvien droit avec hémisyndrome moteur gauche résiduel le 08.06.2017. • suspicion cardioembolique, Holter le 13.10.2017 : négatif, sans arythmie. Epilepsie secondaire à la cicatrice d'AVC avec parésie de Todd post ictale le 11.10.2017. Insuffisance rénale chronique KDIGO 2 • eGFR CKD-EPI : 49.9 ml/min, Créatinine : 95 umol/l, Urée : 8.7 mmol/l (31.07.2017). • eGFR CKD-EPI : 55 ml/min, Créatinine : 88 umol/l, Urée : 7.9 mmol/l (20.12.2017). Insuffisance cardiaque sur cardiopathie toxique. • toxicité chimiothérapie R-CHOP. • FEVG à 35-40 % en juin 2017. Lymphome à grosses cellules B, diagnostiqué en 2008. • Chimiothérapie par R-CHOP en 2014. • actuellement en rémission radiologique complète (2019). • Suivi par Dr. X. Syndrome métabolique. • Diabète de type II. • Adiposité de stade I BMI : 30 Kg/m2. • HTA. • Dyslipidémie. Nodule thyroïdien droit avec TSH normale en mai 2017. Cervicalgies chroniques. Troubles de la marche d'origine multifactorielle. AVC sylvien droit le 21.02.2019. Hémisyndrome moteur gauche, dysarthrie, paralysie faciale gauche. NIHSS : 11 avant lyse. NIHSS : 1 post lyse. AVC sylvien gauche d'étiologie indéterminée : • DD : embolie paradoxale chez Mr. Y avec foramen ovale persistant degré III et fibrillation auriculaire paroxystique. • facteurs de risques cardiovasculaires : dyslipidémie discrète. Angine de poitrine sur vasospasme : • diagnostiquée en 2007. • coronarographie en 2007 : hypokinésie antéro-latérale. • FEVG le 5.11.2013 : 70 %. Bloc de branche gauche incomplet intermittent connu. AVC sylvien gauche d'origine artério-artérielle avec discret hémisyndrome sensitivomoteur facio-brachio-crural droit et troubles phasiques résiduels le 09.06.2010. Choc cardiogène le 21.11.2014 avec défaillance multi-organique (insuffisance rénale aiguë, foie de choc et troubles de la crase) et 2 ACR per-coronarographie de 30 secondes chacun, le 23.11.2014, nécessitant : • Contrepulsion intra-aortique fémorale gauche du 23.11 au 03.12.2014. • ECMO veino-artérielle du 23.11 au 02.12.2014. • CVVHDF du 22.11 au 17.12.2015. • Trachéotomie chirurgicale du 11.12.2014 au 27.01.2015. FA paroxystique cardioversée par Amiodarone en 2014, avec bradycardie jonctionnelle post-Amiodarone le 26.01.2015 avec récidive FA. Probable surcharge volémique dès le 29.01.2018 avec/sur : • Dans le contexte d'un arrêt des diurétiques à l'HFR Fribourg. AVC temporo-occipital gauche le 15.02.2019. • NIHSS initial à 3. AVC territoire postérieur de l'artère cérébrale moyenne droite le 15.02.2019. • zone constituée < 30 % de la région. • occlusion vasculaire branche distale M3. Avis anesthésiologie le 19.02.2019 (Dr. X) pour douleurs articulaires : Pas d'infiltration facettaires ou nerveuses car symptomatologie trop étendue. Considérer avis / bilan rhumatologique (problématique immune ?). Pour la part neuropathique : considérer majoration des doses de gabapentines, ou introduction de Saroten retard 25 mg au coucher (faire ECG pour QT avant !), même si symptomatologie peu claire la nuit (semble peu handicapante), patient peu motivé. Perfusion de lidocaïne contre-indiquée dans le cadre de maladie démyélinisante (souvent effet contraire, neurotoxicité). Considérer traitement d'ergothérapie. Pour la part mécanique : physiothérapie. Considérer diminution des opiacés VS rotation d'opiacés avec diminution de 20-30 % de la dose (CAVE voir tables de doses équipotentes), considérer molécules avec effet favorable sur douleurs neuropathiques (Palexia, mais agoniste mu faible ! ; méthadone). Avis rhumatologie le 19.02.2019 (Dr. X) : omarthrose bilatérale avancée (grade IV), symptomatique à gauche (droite calme post infiltration). Douleurs neuropathiques sur CIDP, sans argument pour une autre atteinte rhumatologique. Poursuite de la prise en charge de l'omarthrose par Dr. X, prise en charge des douleurs neuropathiques chroniques selon avis anesthésiste. Pas de suivi rhumatologique nécessaire. Avis anesthésiologie le 19.02.2019 (Dr. X) Avis rhumatologie le 19.02.2019 (Dr. X) Proposition : • majoration des doses de Gabapentine • rotation d'opiacés avec diminution de 20-30% des doses • physio- et d'ergothérapie au besoin • consultation du Dr. X pour une intervention chirurgicale (omarthrose) Avis Angiologique (Dr. X) : thrombose veineuse superficielle visualisée. Laboratoire. Xarelto 10 mg 1x mois. Suite de PEC spécialisée organisée. Avis angiologique (Dr. X) : US-Doppler artériel et veineux du pli inguinal droit : pas de fuite active, pas de pseudo-anévrysme, pas de fistule artério-veineuse. Pas de dissection artérielle, pas d'hématome collecté. Hématome diffus, sans complication supplémentaire. Avis angiologique (Dr. X) : Changement de la Clexane pour la Fragmine. Contrôle dans un mois, dans l'intervalle suite du bilan par le médecin traitant (recherche de néoplasie) Avis angiologique le 01.02.2019 CT-Scan des vaisseaux précérébraux le 01.2019 Colloque vasculaire multidisciplinaire le 04.02.2019 : prise en charge chirurgicale ou endovasculaire au vu de la sévérité et de la localisation des lésions Double anti-aggrégation par Aspirine et Plavix, Atorvastatine • consultation en soins palliatifs (Dr. X) le 04.03.2019 Avis cardiologique : poursuite Dilzem per os et surveillance rythmique. Si nouveaux épisodes, poursuivre bilan électrophysiologique ETT du 16.01.2019 : FEVG à 70%, sans signe d'insuffisance droite ECG quotidien de contrôle sans particularité Suivi chez le médecin traitant avec ECG de contrôle, si nouvelle arythmie consultation cardiologique à organiser Avis cardiologique (Dr. X) : avis en vue d'une coronarographie la semaine du 18.02.2019 (Dr. X passe voir Mr. Y lundi, possible de faire la coro lundi) À jeun dès minuit le 18.02.19 à 00:0 Coronarographie probable le 18.02.19 (selon Dr. X) Avis cardiologique (Prof. X) : proposition d'une cardioversion électrique à l'HFR Riaz pour le 22.01.2019, alternative : overdrive en salle de cathéter à l'HFR hôpital cantonal. Mr. Y insiste pour que le Prof. X procède personnellement à la cardioversion électrique. Rediscussion du cas avec le Prof. X : transfert à la Clinique Cecil le 23.01.2019 matin à jeun pour échographie transoesophagienne et cardioversion électrique par le Prof. X. Reprise du Sintrom le soir du 22.01.2019. Discuter la reprise du traitement antiplaquettaire par Aspirine le 23.01.2019, à évaluer par Prof. X. Avis cardiologique (Dr. X) : poursuivre l'anticoagulation et tenter une cardioversion électrique ou médicamenteuse à 4 semaines post-anticoagulation Avis cardiologique Echographie cardiaque transthoracique le 11.02.2019 Coronarographie le 14.02.2019 (Dr. X) Double anti-aggrégation par Aspirine cardio et Plavix pendant 6 mois, suivi par Plavix seul Contrôle à 1 mois chez Dr. X Avis cardiologique le 28.01.2019 : traitement symptomatique Avis cardiologique HIV à tester Hémochromatose peu probable (ST 46%), TSH N, B12 N Avis chirurgical de Dr. X US des testicules le 25.01.2019 Avis chirurgical (Dr. X) : visualisation de la plaie. Rinçage de plaie au NaCl, désinfection par Bétadine, évaluation de la plaie, un point donati et introduction d'un drain penrose, Adaptic et pansement compressif. Attitude : • Contrôle à 48h au secteur ambulatoire des urgences pour ablation du penrose et évaluation de la cicatrisation de la plaie +/- avis chirurgical. • Critères de reconsultation expliqués à Mme. Y ainsi qu'à son fils. Avis chirurgical (Dr. X). Drainage du kyste sacro-coccygien (Dr. X). Désinfection par Bétadine et champage stérile. Anesthésie locale par Rapidocaïne. Incision avec lame sur une longueur d'environ 2,5 cm. Rinçage par NaCl avec aiguille boutonnée. Incision laissée ouverte et hémostase assurée par compresses. Désinfection. Pansement. Retour à domicile avec traitement symptomatique et antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g pendant 5 jours. Contrôle secteur ambulatoire des urgences le 20.02.2019. Mr. Y informé des conditions amenant à reconsulter les urgences dans l'intervalle. Avis chirurgical (Dr. X) : pas d'argument pour APP vu absence de syndrome inflammatoire. Avis chirurgical (Dr. X). Antalgie avec Morphine 10 mg per os, MEOPA, désinfection avec Bétadine, anesthésie locale avec 10 ml de Rapidocaïne, incision, drainage de l'abcès, rinçage à l'aiguille boutonnée avec mélange NaCl-Bétadine, pansement local, mise en place de mèche dans l'orifice. Antalgie simple. Contrôle chez le médecin traitant ou dans le secteur ambulatoire des urgences à 48h. Avis chirurgical : Dr. X, Dr. X Avis téléphonique urologique : Dr. X Avis chirurgical (Dr. X) : incision en box, méchage, douches, suite en proctologie. Après désinfection par Bétadine, anesthésie intradermique et incision sur 2 cm, écoulement purulent, rinçage abondant à l'aiguille boutonnée, mèche bétadinée, pansement simple. Avis chirurgical (Dr. X) : traitement conservateur. Retour à domicile avec poursuite de l'antibiothérapie pendant 7 jours. Téléphone de contrôle le 03.02.2019 par Dr. X. Suivi par le chef de la proctologie le 04.02.2019 à Neuchâtel. Avis chirurgical (Dr. X) : antalgie simple, expliqué signes d'alarme. Consultera comme prévu dans son canton le 25.02.2019 avec réalisation d'une échographie en ambulatoire puis discussion d'une prise en charge chirurgicale élective. Avis chirurgical (Dr. X) : suite de prise en charge chirurgicale avec convocation à la consultation de chirurgie viscérale le 14.02.2019 à 10h30. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mr. Y. Avis chirurgical du Dr. X : traumatisme crânien simple, feuille de surveillance neurologique à transmettre à Mme. Y. Avis chirurgical le 22.02.2019 (Dr. X) : Rectogesic 2x/j (protocole : s'accroupir, appliquer pommade sur son doigt et se redresser pour faire pénétrer crème dans canal anal) + pommade avec anesthésiant local (procto-glyvenol) Avis chirurgical : Avis chirurgical FSC, CRP Ultrason abdominal Frekaclyss Movicol ou Gatinar selon schéma usuel pour constipation Contrôle chez le pédiatre dans environ 1 semaine Avis chirurgical Pansement brûlure Contrôle dans 48h pour changement du pansement et contrôle clinique Avis chirurgie (Dr. X) : désinfection Bétadine, incision sur 2 cm, abcès d'1 cm de profondeur, écoulement purulent, rinçage NaCl, méchage avec un coin de compresse et pansement. Pas d'indication à une antibiothérapie. Attitude : retour à domicile avec contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 24h pour rinçage et contrôle clinique, puis douches plusieurs fois par jour. Avis Chirurgie HFR-Fribourg : adresser Mme. Y aux urgences de Fribourg. Analgesie mit Morphin 2 mg Bolus IV Buscopan IV RingerLactate 1000 ml/24h Avis chirurgie vasculaire (Dr. X) : ad CT troncs supra-aortiques afin d'exclure un anévrisme ou pseudo-anévrisme ; si hématome, position tête à 30-40° et suivi clinique. CT cou injecté le 27.12.2018. Avis de cardiologie (Dr. X) : Troponines 5 ng/l le 23.01. et 7 ng/l le 24.01.2019. Ad ergométrie en cardiologie en ambulatoire, Mr. Y sera convoqué Avis de Dr. X, orthopédiste de garde. Radiographie de la colonne dorsale : décrite ci-dessous. CT-scanner de la colonne thoracique : décrit ci-dessous. Antalgie et AINS. Avis de la Spine Team. Arrêt d'école et de sport. Mobilisation selon les douleurs. Rendez-vous en Spine Team le 21.02.2019. Avis de la Team Spine. Préconise un arrêt de sport pour 4 semaines. Contrôle à la consultation de la Team Spine dans 4 semaines. Antalgie. Contacter le secrétariat de la Team Spine en cas de nouveau symptôme neurologique ou de péjoration de la clinique actuelle. Avis de médecine interne : ad Pantozol en dose thérapeutique. Suivi diététicienne. Avis dermato pédiatre : lumière à la lampe de Wood négative, examen microscopique des prélèvements négatif, il s'agit d'une lésion en rapport avec une sécheresse cutanée. Traitement • Squa med 1 appl/jour *15 jours • Application d'huile • Contrôle dans 15 jours Avis dermatologique (Dr X) : probable érythrodermie probablement post laser. Rendez-vous le 07.02 pour suivi, Dermovat 2x/j d'ici là. Avis dermatologique (Dr X) Traitement : • Sevrage Keppra, substitution par Prégabaline • Ad Xyzal et Dermovat crème en schéma dégressif Résolution le 07.02.2019. A pister : biopsie cutanée effectuée le 30.01.2019. Avis diabétologie Introduction soins de pieds. Introduction insuline rapide d'office aux repas et Jardiance. Attitude : • Rendez-vous en podologie à l'HFR Fribourg le 21.02.2019 à 15h. • Suivi ophtalmologique chez le Dr X : vendredi 22.02.2019 à 10h30. • Suivi néphrologique à l'HFR Fribourg : le patient sera convoqué dans 1 mois environ. Avis diabétologique : • Ad Lantus 12 UI le soir • Ad correction à l'insuline rapide. Avis diabétologique (Dr X) le 14.2 : majoration d'Humalog du matin à 8 U, reste traitement inchangé. Diminution du traitement d'Humalog de 30% soit 6-4-4-0 et suivi glycémique à domicile. Suivi biologique le 1.3.2019. Contrôle prévu en diabétologie le 8.4.2019 à 11h. Avis diét à discuter. Avis diététicienne le 25.01.2019. Avis diététique à demander. Salive artificielle. Avis diététique Alimentation entérale par sonde nasogastrique du 04.02 au 20.02.2019. Reprise d'un régime mixé-lisse dès le 15.02.2019. Substitution électrolytique. Avis diététique Alimentation entérale par sonde nasogastrique du 04.02.2019 au 20.02.2019. Reprise d'un régime mixé-lisse dès le 15.02.19. Substitution électrolytique. Avis Dr X : • Morphine en pompe 0.5mg/h plus réserves 1mg toutes les 15 minutes • Traitement laxatif d'office. Avis Dr X suite à la visualisation de photos : œdème post-opératoire normal. Bains de Kamillosan. Surveillance de la rougeur, si absence d'amélioration appel secrétariat Dr X ou consultation aux urgences. Pas d'antibiothérapie. Avis Dr X 07.02.19 : continuer rinçages jusqu'à urines plus claires. Ensuite sevrage de la sonde. Pas de cystoscopie sauf en cas de saignement incontrôlable par rinçages. Mise en suspens Aspirine, à rediscuter selon évolution. Changement de néphrostomie le 08.02.19 (Dr X). Transfusion 1x culot érythrocytaire le 08.02.19. Discussion avec la famille concernant la situation à domicile et le maintien (allers-retours à l'hôpital) le 13.02.2019. Avis Dr X. Introduction Distraneurin. Introduction Cymbalta 30 mg le 07.02.2019 à augmenter par palier tous les 7 jours. Introduction de Prégabaline 25 mg dès le 06.02.2019 à augmenter selon tolérance tous les 3 jours. Avis Dr X, chirurgien. Consultation en stomathérapie le 22.02.2019 à 15h00 à l'HFR Riaz. Avis Dr X : traiter comme contusion et suivi par médecin traitant dans 7-10 jours. Avis Dr X : ENMG puis consultation ambulatoire en chirurgie de la main à Fribourg. RDV 05.03.2019 à 10h30 pour ENMG HFR Fribourg. Avis Dr X : hospitalisation avec inspection de la plaie pour inspection des nerfs et des tendons, et révision de l'articulation inter-phalangienne du deuxième doigt de la main droite. Aux urgences : rappel tétanos, augmentin 2. 2g iv. Dr X : désinfection de la plaie avec Bétadine, pose de champs stériles, anesthésie en bague, 2 points de rapprochement avec fil XX. ATT Suite de prise en charge en orthopédie. Avis Dr X : • Traitement avec Quétiapine 12.5mg et Distraneurin. Avis Dr X : transfert en psychogériatrie. Avis Dr X : transfert aux Urgences de l'HFR hôpital cantonal pour un ultrason de type FAST, puis rappeler le Dr X pour discuter d'une échocardiographie à faire par la cardiologue. Avis Dr X : Orchidopexie jeudi 28.02 en ambulatoire. Avis Dr X : Orchidopexie jeudi 28.02 en ambulatoire. Avis Dr X, infectiologue. Urotube (négatif). Hémocultures au niveau de la fistule et en périphérie les 05 et 07.02.2019. Avis Dr X, oncologue. Xyzal 5 mg durant l'hospitalisation. Avis Dr X Bilan neuropsychologique. Avis du Dr X, chirurgien. Désinfection. Champage stérile. Anesthésie par Lidocaïne et Bicarbonate. Incision avec drainage. Lavage abondant. Mèche. Contrôle le 08.02 à la filière des urgences ambulatoires pour ablation de la mèche et contrôle clinique. Vaccin tétanos à vérifier (le patient apportera son carnet de vaccins). AINS et antalgie au besoin. Avis du Dr X, chirurgien. Ultrason abdominal : décrit ci-dessous. Consultation chez un médecin traitant ou aux urgences si péjoration clinique. Avis du Dr X, orthopédiste : ad CT-scan. CT-scan : décrit ci-dessous. Réduction au box, mise en place d'un plâtre antébrachial fendu. Radiographie de contrôle : décrite ci-dessous. Contrôle à la consultation de Dr X dans 1 semaine. Antalgie à la demande. Avis du Dr X, orthopédiste. Bande élastique. Arrêt de sport. Antalgie par Dafalgan 3x/jour. Consultation chez le médecin traitant dans 7 jours. Avis endocrinologie Attitude : • Prévoir bilan thyroïdien (TSH) à 1 mois. Avis endocrinologique : ad Insulatard durant traitement par Prednisone. Attitude : • Suivi glycémique. Avis endocrinologique à prévoir. Avis endocrinologique (Dr X) : schéma avec 30-20-10-0 mg d'hydrocortisone per os/jour pendant 5 jours, puis reprise de schéma 15 mg/jour. Suite de prise en charge chez l'endocrinologue traitant le 22.02.2019. Recommandation de reconsulter si état fébrile, frissons. Avis endocrinologique le 18.02.2019 : ad Janumet XR (forme retard de la metformine généralement mieux tolérée). Avis endocrinologue CHUV : regarder comment le patient mange au repas. Vu l'absence de corps cétoniques et le bon état général, la bonne prise alimentaire aux urgences (ration de glucides 40, et 4 UI d'insuline) avec une glycémie 15 min après le repas à 25 mmol/l et 30 min après le repas à 23 mmol/l, il peut rentrer à domicile avec un contrôle de la glycémie à 22:00. Si hyperglycémie à > 15 mmol/l, administrer 0.7 UI. Contrôle de la glycémie le matin, si hyperglycémie, prendre contact avec l'infirmier diabétologue de piquet du CHUV pour adapter le schéma. Avis et passage du Dr X, de médecine interne. Avis du médecin cadre de pédiatrie de Fribourg : retour à domicile avec un contrôle chez le pédiatre en fin de semaine. Nous proposons fortement d'adresser ce patient en neuro-pédiatrie pour bilan. Traitement de crise de > 5 minutes déjà en place. Avis et passage du Dr X, chirurgien. Compresse avec eau oxygénée. Compresses sèches. Consultation chez un médecin traitant ou aux urgences si péjoration clinique. Avis et suivi stomatothérapie. Protocole Bétadine Tulle à changer toutes les 48h. Consilium angiologie 12.02.2019 (Dr X) : artériopathie avec média-calcinose, persistance flux jusqu'au niveau des art. jambières en péri-malléolaire et au dos du pied ddc ainsi que bonnes valeurs de pléthysmographies aux gros orteils ddc. Mise en place de contention élastique. Avis gastroentérologique Dr X : le patient est renvoyé au home au vu du caractère non urgent de la situation et du manque de disponibilité anesthésique ; il sera convoqué demain pour une OGD.Laboratoire. Avis gérontopsychiatrique Dr. X Appel à son psychiatre traitant, Dr. X Modification du traitement avec suivi Avis gérontopsychiatrique du Dr. X Appel de son psychiatre traitant, Dr. X Modification des traitements avec suivi Avis gérontopsychiatrique le 24.01.2019, Dr. X : • Stop Lexotanil • Introduction Brintellix le matin et Quétiapine le soir d'office ainsi que Distraneurin en réserve Avis Gynécologie Laboratoire : Hémoglobine stable Pas introduit de prophylaxie anti thrombotique pour l'instant Avis gynécologique à prendre à distance du problème respiratoire Avis gynécologique. Patient adressé en pharmacie. Avis gynécologique : 1er fœtus OK, avec grossesse évolutive, 2ème fœtus sans activité cardiaque. Réassurance. Patient adressé en gynécologie. Elle part avec une ordonnance de traitement symptomatique d'une IVRS livrée par la gynécologue de garde. Avis gynécologue de garde : Ad Ceftriaxone 500 IM, Doxycycline, Augmentin et antalgie simple. Pister FV et uricult. Prise en charge en gynécologie dans 72 h ou en urgence si péjoration. Avis hématologique Avis hématologique, Dr. X, Dr. X : pas d'indication à transfusion itérative CP ou PFC Avis infectiologique Avis infectiologique (Dr. X et Dr. X). Antibiothérapie : • Bactrim forte per os 9 cp par jour du 26 au 28.01.2019 • Tavanic 750 mg/j du 26 au 29.01.2019 • Primaquine 30 mg/j du 29.01.2019 au 15.02.2019 (allergie au Bactrim) • Clindamycine 3 x 450 mg du 29.01.2019 au 15.02.2019 • Prophylaxie : Pentamidine 300 mg aérosols 1x/mois pour 3 mois dès le 14.02.2019 (HFR Fribourg). Prednisone : • 80 mg du 26.01.2019 au 30.01.2019 • 40 mg du 31.01.2019 au 04.02.2019 • 20 mg du 05.02.2019 au 15.02.2019. Rendez-vous à la consultation de Dr. X le 14.02.2019 (HFR Fribourg). Avis infectiologue pédiatre, Dr. X Co-Amoxicilline 75 mg/kg/j en 2 doses jusqu'au 12.02 au minimum Dexeryl local et arrêt des autres traitements Contrôle dermatologique le 12.02 Reconsultation si péjoration Avis internistique, Dr. X : Hydratation iv, restriction hydrique, surveillance du poids, bilan entrée-sortie. Contrôles de digoxinémie. Stop aldactone. Anticoagulation prophylactique par Liquemine 2 x 5000 UI/jour. Lasix 40 mg per os. Avis médecine interne Suivi biologique Avis néphropédiatrique Dr. X Contrôle chez la pédiatre dans 1 semaine avec discussion avec Dr. X Avis neurochirurgical à demander par la suite le 28.01.2019 Avis neuro-chirurgical (CHUV, Dr. X) : lames de sous-arachnoïdien sans grande gravité. Surveillance neurologique toutes les 4 heures. Pas de CT-scan de contrôle nécessaire. Suivi clinique en neurochirurgie au CHUV dans 1 mois. Avis neurochirurgical (Dr. X). IRM neuro-crânien et cervicales le 05.02.2019 (transmission orale Dr. X) : processus ostéophytaire C7-D1 gauche et hernie discale latéro-postérieure avec conflit radiculaire gauche de C8. Pas d'hématome. Pas de compression médullaire. Kyste arachnoïdien sous-tentoriel. Attitude : • Retour à domicile avec minerve mousse. • Repos strict. • Fortecortin 4 mg pendant 7 jours avec schéma dégressif 3x/j pendant 3j, 2x/j pendant 2j, 1x/j pendant 2 jours. • Antalgie et myorelaxants. • Contrôle clinique en neuro-chirurgie à J7, rendez-vous organisé par Dr. X avec IRM de la colonne dorsale pour compléter le bilan. Avis Neurochirurgie à prendre durant l'hospitalisation Avis neurologique : céphalées avec symptômes neurologiques atypiques pas typiques d'une migraine (aura atypique) ni d'un AIT. Au vu de l'âge du patient, propose un CT. CT cérébral et vaisseaux précérébraux injecté (Dr. X) : sans particularité. IRM à organiser en électif selon avis du médecin traitant, et dans tous les cas si récidives de symptômes. Antalgie simple. Consultation avec traduction de ses filles. Avis neurologique (Dr. X) : traitement conservateur, sans nécessité d'investigations supplémentaires. Contacter les ergothérapeutes de l'hôpital afin de poser une attelle de protection de la face latérale de la jambe D. En cas de douleurs persistantes Lyrica 25 mg 1x/j le soir, à monter jusqu'à 25 mg 2x/j. Physiothérapie en ambulatoire. En cas de péjoration clinique ou persistance des troubles sensitivo-moteurs, un ENMG à 3 semaines. Avis neurologique (Dr. X) : absence de red flags, non déficitaire, allure fonctionnelle Antalgie par Dafalgan/Ponstan/Tramal Attitude : • CT abdominal à la recherche d'une atteinte viscérale comme cause alternative de douleurs refusée par le patient en hospitalier, à envisager en ambulatoire • physiothérapie ambulatoire • pilate à l'HFR Avis Neurologique (Dr. X) CT cérébrale natif et injecté le 29.01.2019 Intubation (Cormack 2) et ventilation mécanique du 29.01.2019 au 30.01.2019 SNG le 30.01.2019 EEG le 30.01.2019 (Dr. X) Keppra dès le 29.01.2019 Dosage du taux plasmatique de Keppra le 05.02.2019 : en cours Interdiction de conduire signifiée au patient Avis neurologique (Dr. X) : probablement pas d'origine vasculaire, possiblement oculaire, proposition de réaliser une consultation ophtalmologique et, si pas d'explication oculaire, faire un CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux en raison de l'aspect nouveau à 58 ans d'une aura visuelle sans céphalée. Consilium ophtalmologique (Dr. X) : pas d'explication oculaire, champ visuel par confrontation normale, fond d'œil sans particularité, probable aura visuelle. CT cérébral et vaisseaux pré-cérébraux : pas de lésion ischémique, pas d'occlusion des vaisseaux. Bonne hydratation, repos. Avis neurologique le 16.02.2019 (Dr. X) Adaptation du traitement antiparkinsonien, majoration Stalevo le 16.02.2019 Madopar liquide 125 mg /12h dès le 20.02.2019 Avis neurologique (Dr. X) Bilan biologique de démence (selon protocole de neurologie) PL le 13.02.2019 IRM cérébrale le 15.02.2019 : résultats à pister RAD le 15.02.2019 PET-CT cérébral prévu le 19.02.2019 en ambulatoire Avis neurologique Dr. X Reprise du Rilutek dès le 18.02.2019 (stoppé précédemment en raison des nausées) Physiothérapie Avis neurologue (Dr. X et Dr. X) : • Laboratoire. • Prednisone 90 mg jusqu'au 05.03.2019. • Majoration traitement par Azarek 150 mg/jour jusqu'au 05.03.2019. • Protection gastrique par Pantozol 20 mg 1x/jour. • Stilnox en réserve si insomnies, le patient est informé qu'il ne doit pas conduire après avoir pris ce médicament. • Calcimagon D3-Forte. • Rendez-vous de contrôle avec Dr. X prévu le 05.03.2019. • Le patient est informé des symptômes qui doivent le faire reconsulter en urgence. Avis neuropédiatrique : en attente de résultats génétiques, antalgie d'office Avis génétique Dr. X : en cours, Exome avec bilan génétique 16.01.19 Physiothérapie 31.01.19 Ergothérapie 04.02.19 AI pour OIC 395 Avis nutrition Alimentation entérale du 24.01 au 29.01.2019 Substitution vitaminique Avis nutrition clinique le 25.01.2019 Consultation médecin-nutritionniste le 05.03.2019 à 9h30 Avis nutritionnel : inappétence physiologique vu l'infection, patient couvre ses besoins, pas de nécessité de suivi Avis nutritionnel Évaluation physiothérapeutique Sonde nasogastrique du 13.01 au 25.01.2019 Régime mixé-lisse du 26.01 au 28.01.2019 Régime hâché-fin du 28.01 au 01.02.2019 Régime normal dès le 01.02.2019 Avis nutritionniste Avis oncologique (Dr. X) Traitement palliatif par Darzlex toutes les 2 semaines, dernière dose 25.01.2019, prochaine dose reportée au 15.02.2019 Avis oncologique (Dr. X, CHUV) Suivi oncologique par Dr. X ETT le 14.01.2019 (Dr. X, CHUV) : FEVG à 61% CT thoraco-abdomino-pelvien le 17.01.2019 : masse abdominale hétérogène de taille croissante mesurant environ 173 x 113 x 152 mm, à centre hypodense nécrotique semblant infiltré le muscle psoas gauche, refoulant l'estomac et les anses digestives, dilatation pyélo-calicielle persistante des deux côtés sur compression des uretères, compression veineuse iliaques et de la veine cave inférieure, lame d'ascite, épanchements pleuraux des deux côtés.Chimiothérapie selon protocole DoDa dès le 22.01.2019 (cycle chaque 3 semaines) • 1er cycle : Doxorubicine et Dacarbazine (50%) le 22.01.2019 (J1) • 2ème cycle : Doxorubicine et Dacarbazine (75%) le 12.02.2019 (J1) • prochain cycle prévu le 04.03.2019 Adaptation diurétiques par Torasémide PO, Lasix IV, Aldactone PO Isolement de contact pour VRE suite au transfert du CHUV du 16.01 au 25.01.2019 (frottis 3x négatif) Bilan biologique régulier en oncologie (Mr. Y recevra une convocation) Prochain cycle de chimiothérapie prévu le 04.03.2019 (Mr. Y recevra une convocation) Avis oncologique le 05.02.2019 (Dr. X) : poursuite Keytruda, progression 7 jours après traitement Avis ophtalmo (Dr. X) : pas d'urgence à faire examen ophtalmologique, gouttes tobradex ou pommade et pansement occlusif et reconsulter demain matin le 13.02 en ophtalmologie. Après discussion avec Dr. X, arrêt de l'antibiothérapie en attendant le rendez-vous en ophtalmo. Avis ophtalmologique (Dr. X) : stop Floxal, remplacement avec Tobrex gtte 4x/J, probablement pas de réaction sur les gouttes Lacrycon, au cas où remplacement par Optaval gtte (bien rincer l'œil pour diluer le Floxal). Ad Xyzal 5 mg et AINS p.o. Consultation chez Dr. X demain matin à 09h15 déjà prévu. Avis ophtalmologue (Dr. X) : pommade Floxal et pansement compressif et consultation en ophtalmologie le lendemain 06.02 matin. Avis ORL : nasofibroscopie : fosses nasales libres, cavum sp, pas de lésions paroi pharyngée, épiglotte fine, vallécules libres avec petite stase salivaire Régime mixé Mébucaïne Morphine per os Alucol Fluconazol 100 mg 1x/jour du 30.01 au 03.02.2019 Fluconazol 100 mg 1x/jour du 10.02 au 18.02.2019 Avis ORL à demander. Avis ORL à prendre à distance Avis ORL : Ad antibiotique et dentiste Avis ORL avec US parotide droite le 28.01.2019 Hémocultures à froid du 28.01 au 01.02.2019 : 3 bouteilles/10 positives pour Staphylocoque doré Frottis plaie sur orifice de Stenon de glande salivaire parotide droite positive pour Staphylococcus aureus ++, Citrobacter koseri ++ et Streptocoque groupe mitis ++ Avis infectiologique Clindamycine 600 mg 3x/j i.v. du 28.01 au 29.01.2019 Vancomycine du 29 au 30.01.2019 Floxapen du 30.01.2019 au 13.02.2019 Dentohexine 3x/j dès le 28.01.2019 Avis ORL de garde par tél : ad sécrétagogues (jus de citron, ...), hydratation, Augmentin et Prednisone ; consultation en ambulatoire en ORL à froid pour US et suite de prise en charge. Mr. Y averti de reconsulter en urgence si fièvre, frissons, trismus, douleurs intenses. Avis ORL de garde : prophylaxie antibiotique Co-Amoxicilline du 07.02.2019 Avis ORL (Dr. X) : présence de vertige avec nystagmus géotrope rotatoire lors de la manoeuvre de Semont à gauche. Libération avec 2 manoeuvres de Semont de chaque côté. Retour à domicile avec traitement de réserve pour les nausées, consultation en ORL si pas d'amélioration des symptômes. Avis ORL (Dr. X) : Suture avec 1 point simple Avis ORL (Dr. X) Suture avec 1 point simple avec Prolène 6-0 sous anesthésie locale (Xylocaïne spray) Désinfection antalgie au besoin Ablation du fil dans 5 jours chez le pédiatre Avis ORL (Dr. X) : pas de critère de gravité, pas de nécessité de voir ORL actuellement. Antibiothérapie nécessaire en cas de développement d'adénophlegmon avec fièvre. Traitement symptomatique avec anti-inflammatoire. Si fièvre ou persistance de douleurs, développement d'un érythème cutané, reconsultation. Avis ORL (Dr. X) : pas de critère d'urgence. Prise de rendez-vous par Mr. Y en consultation ORL. Avis ORL (Dr. X) : Pas d'argument pour un déficit vestibulaire ou VPPB. Pas d'origine infectieuse. Surdité de perception droite > gauche connu, possiblement génétique, séquellaire ou congénitale. IRM 08.02 : Pas d'hémorragie intra ni extra-axiale. Pas d'effet de masse ni de déviation de la ligne médiane. Système ventriculaire fin et symétrique. Les citernes de la base sont libres. Pas de signe d'hypertension intracrânienne. L'hypophyse mesure 9 mm de hauteur, dans les limites de la norme pour l'âge. Pas de prise de contraste infra ou supra-tentorielle suspecte. Les sinus veineux sont perméables. Les angles ponto-cérébelleux sont libres. Pas de prise de contraste suspecte au niveau des conduits auditifs internes. Asymétrie de pneumatisation des apex pétreux des deux côtés comme variante de la norme. Les cellules pétro-mastoïdiennes sont bien pneumatisées. Cavités orbitaires sans particularité. Pas de prise de contraste suspecte du nerf optique des deux côtés. Avis ORL (Dr. X) : pas de nécessité à une antibiothérapie, possibilité de RDV de suivi à 10 jours. Mr. Y averti de consulter en cas de déviation du nez ou gène respiratoire. Nasivine. Avis ORL Dr. X/Dr. X Antalgie Antibiothérapie prophylactique pour 5 jours Recontrôle le 01.03 avec avis ORL Avis ORL (Dr. X) Diflucan IV 400 mg dose unique le 15.02.2019 Rinçages buccaux mycostatine + Drossadin Attitude : • Rendez-vous de contrôle chez Dr. X le 26.02.2019 à 10h15 Avis ORL (Dr. X) : possibilité de visualiser uniquement jusqu'aux cordes vocales. Avis gastroentérologue (Dr. X) : pas d'indication à organiser une gastroscopie, les symptômes d'irritation peuvent persister. Retour à domicile avec sirop contre la toux sèche, et consigne de reconsulter si péjoration de la symptomatologie. Avis ORL Inselspital, Bern : traitement conservateur Co-Amoxicilline du 04.01 au 08.01.2019 Avis ORL le 11.01.2019 : laryngite et possible maladie de reflux. Continuer Mycostatin, augmenter Pantozol 40 mg 2x/j. Reprendre contact avec ORL si pas d'amélioration dans 1 semaine Avis ORL (médecin garde) : il tamponne au niveau du cornet inférieur, pas de saignement actif visible, mais l'épistaxis a plutôt une origine antérieure. Retour à domicile avec crème hémostatique, pas de lésion suspecte, conseil et précaution standards en cas d'épistaxis. Retour à domicile avec conseil de poursuivre le traitement anti-hypertenseur, contrôle chez le médecin traitant pour la tension. Avis ORL : Mr. Y transféré chez les collègues en ORL pour suite de prise en charge spécialisée. Avis ORL. Attitude : • retour à domicile suite au bon résultat des manoeuvres de libération aux urgences, Mr. Y n'a pas voulu attendre la consultation ORL • Mr. Y informé des raisons qui doivent l'amener à reconsulter aux urgences. Avis ORL Co-Amoxicilline 50 mg/kg, soit 800 mg aux 12h pendant 5 jours Antalgie au besoin Contrôle chez le dentiste le plus vite possible Avis ortho (Dr. X) : Atelle genou gauche antalgie IRM genou gauche Consultation en ortho team genou après IRM Avis ortho : (Dr. X) Il va essayer d'organiser un RDV en chirurgie de la main Avis ortho (Dr. X) : Chaussure rigide Antalgie Avis ortho (Dr. X) : Bandage élastique Antalgie Avis ortho (Dr. X) : Antalgie Bandage et béquilles IRM du genou gauche le 15.02.19 Contrôle en team genou après IRM Avis ortho (Dr. X), le 23.02.2019 : débridement, hospitalisation en ortho Avis infectiologique 23.02.2019 (Dr. X) : débridement, rinçage, Co-amox 2.2 g 4x/j i.v., durée prolongée (21 jours min, à adapter selon la clinique, svp réévaluation par infectiologue), continuer anti-TNF-alpha et immunomodulateur comme prescrit Attitude : • Hospitalisation en orthopédie pour débridement, puis antibiothérapie i.v. • A jeûn Avis Ortho (Dr. X): • Antalgie + Sirdalud 2 mg PO cpr pour 48 h • AT pour 72 h Avis ortho, Dr. X • Maintien plâtres, reconsulte si inconfort • Sera revue au team-pied le 04.02.2019 Avis ortho, Dr. X • RX colonne lombosacrée • Antalgie Avis ortho: probable épicondylite. Retour à domicile avec décharge du membre supérieur droit. Traitement symptomatique par Dafalgan 1000 mg 4x/j. Retour aux urgences en cas de péjoration des symptômes. Avis ortho: suspicion de fracture glène droite. • Gilet orthopédique, antalgie, arrêt sport 6 semaines 03.02, 10h: contrôle urgences de pédiatrie avec CT d'office (CT pas encore prévu) et avis ortho d'office Contrôle le 03.02: CT épaule droite: noyau d'ossification, DD avulsion de la glène avec fragment de 5 mm x 1 mm Avis ortho (Dr. X): suspicion de luxation acromio-claviculaire Suivi par team épaule Avis orthopédie (Dr. X): traitement symptomatique, contrôle en orthopédie. • Antalgie, contrôle en orthopédie dans une semaine. Avis orthopédie (Dr. X): douleur compatible avec lésion du ménisque interne. Proposition de faire une IRM de contrôle puis suivi par orthopédie. Avis orthopédie en raison du tiroir antérieur (Dr. X): tiroir antérieur confirmé. Proposition de botte plâtrée fendue pour 4 semaines, avec contrôle et réévaluation en orthopédie-urgences dans 10 jours. Avis orthopédique: attelle genou 0°, consultation dans 1 semaine en ortho team genou Avis orthopédique (Dr. X) • Rx genou face/profil: pas de fracture • IRM pour clarifier l'étiologie des douleurs • Antalgiques selon douleurs, bandage élastique Avis orthopédique (Dr. X): pas d'infection, ablation des fils le 1er mars, changer le pansement avec Adaptic digit. Retour à domicile avec contrôle pour ablation des fils le 01.03.2019. Avis orthopédique (Dr. X): ad cannes, charge selon douleurs et contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours. Avis orthopédique (Dr. X): pas de radiographie, pansement occlusif et contrôle chez le médecin traitant. Trampage dans du NaCl pendant 15 minutes. Rappel tétanos aux urgences. Avis orthopédique (Dr. X): • plâtre gantelet • contrôle clinique et radiologique à la consultation orthopédique des urgences à 10 jours. • Antalgie. • Arrêt de travail. Avis orthopédique (Dr. X): plaie également explorée par l'orthopédiste. Anesthésie locale, désinfection bétadinée, rinçage abondant NaCl, suture par 4 pts simples avec Prolène 4.0. Contrôle à 72h chez le médecin traitant et ablation des fils à J14. Avis orthopédique (Dr. X): signe d'entorse acromio-claviculaire avec douleur à la palpation acromio-claviculaire et mise sous tension avec bras en adduction/écharpe positif. Arrêt sport 2 semaines, bretelle, suivi par pédiatre. Avis orthopédique (Dr. X). Désinfection à la Bétadine, champage, anesthésie en bague, rinçage du lit de l'ongle et pose d'un ongle artificiel en PVC avec 2 points simples péri-unguéal avec du Prolène 3.0. Adaptic digit et attelle. Attitude: • Retour à domicile avec ablation des fils chez le médecin traitant. • Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 09.02.2019 (10 jours au total). • Recommandation de reconsulter en cas de signe de gravité. Avis orthopédique (Dr. X). Réfection du pansement occlusif. Contrôle clinique le 14.02.2019 au Secteur Ambulatoire des urgences. Avis orthopédique (Dr. X): possible lésion partielle à l'insertion du tendon bicipital. Proposition de faire une IRM dans 2-3 jours puis consultation en orthopédie team membre supérieur. Avis orthopédique (Dr. X) • Incision sous anesthésie locale (GelLet) et Meopa • Bétadine bain • Antalgie • Contrôle chez pédiatre dans une semaine Avis orthopédique (Dr. X). Prolongation de l'arrêt de travail pour 2 semaines. Poursuite de la physiothérapie. Contrôle en ortho-urgences dans 10 jours (le patient sera convoqué). Avis orthopédique (Dr. X): ad physiothérapie, école du dos. Contrôle à la consultation du Dr. X dans 3-4 semaines (selon patient). Réassurance. Explications des red flags. Avis orthopédique (Dr. X): au vu des antécédents, proposition d'antalgie et myorelaxant, prévoir IRM dans 2 semaines et par la suite consultation au Team du Professeur X pour suite de prise en charge. Avis orthopédique (Dr. X): probable atteinte du tendon extenseur du doigt et lésion du périoste, Rx du doigt pour exclure une fracture, Dalacin 600 mg, prise en charge chirurgicale au bloc opératoire. Désinfection avec Bétadine diluée, anesthésie avec rapidocaïne 4 ml, exploration de la plaie, fermeture provisoire avec 4 points Prolène 5-0. Rx 5ème doigt: pas de fracture Dalacin 600 mg aux urgences Td Pur Frottis VRE: à pister À jeun, prise en charge chirurgicale dès que possible Avis orthopédique (Dr. X): si pas de trouble rotatoire, attelle Edimbourg et contrôle en orthopédie-urgences dans une semaine Avis orthopédique (Dr. X): traitement conservateur par cruro-pédieux (30° et 100-110°) avec contrôle clinique et radiologique dans 1 semaine en orthopédie-urgences. Avis orthopédique (Dr. X). • Antalgie par Ibuprofène et Paracétamol. • Physiothérapie avec schéma fin X et école du dos. • Si pas d'amélioration après 4 semaines, prendre rendez-vous directement en orthopédie. Avis orthopédique (Dr. X) Contrôle ortho urgences dans 10 jours. Physiothérapie. Avis orthopédique (Dr. X) US hanche droite le 13.02.2019 CT hanche droite injecté le 15.02.2019 Adaptation antalgie par oxycontin Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines post-opératoire le 01.03.2019 à 10h Transfert à Billens pour réadaptation musculo-squelettique Avis orthopédique (Dr. X): probable pulpite, faire US et radiographie pour exclure collection et corps étranger, suivi à 48h, ancienne fracture. Laboratoire: Lc 6.9 G/l, CRP 16 mg/l. US pouce droit: pas de collection, infiltration sous-cutanée, pas de corps étranger. Radiographie pouce droit: pas de corps étranger, fracture de P2 probablement ancienne. Co-amoxicilline 1 g 2x/j pendant 7 jours. Contrôle clinique et biologique à 48h en F34 pour suivi clinique et biologique. Marquage de la rougeur. Explication à la patiente des symptômes nécessitant une consultation en urgence. Avis orthopédique (Dr. X): application de miel à visée cicatrisante et antiseptique, pansement Adaptic Digit, consultation de contrôle à 48h au secteur ambulatoire des urgences avec avis orthopédique pour vérifier l'absence de signe de surinfection. Rendez-vous en team membre supérieur pour évaluer indication d'un lambeau. Consignes de reconsultation en urgence expliquées. Avis orthopédique (Dr. X): au vu de la gêne importante, ablation de l'ongle après anesthésie commissurale par Lidocaïne et désinfection par Bétadine, rinçage par NaCl, pansement épais avec Adaptic et contrôle secteur ambulatoire des urgences à 48h. Remis à la patiente la liste des podologues, prendra rendez-vous dès que possible pour suite de prise en charge. Envoyé ongle en analyse avec copie chez Dr. X. Avis orthopédique (Dr. X): indication à ultrason afin d'évaluer l'intégrité du ligament collatéral ulnaire (lésion de Stener). Avis orthopédique (Dr. X): prise en charge conservatrice, suivi à la consultation orthopédique des urgences. Plâtre AB fendu sans le pouce (Dr. X). Rendez-vous à 7 jours en orthopédie. Avis orthopédique (Dr. X). Attitude: • Retour à domicile. • Patient sera convoqué par le Team membre supérieur pour suite de prise en charge. Avis orthopédique (Dr. X). Désinfection à la Bétadine, champage habituel, anesthésie en bague. Ablation de l'ongle avec extériorisation d'une grande quantité de pus. Débridement, rinçage abondant au NaCl et à l'eau bétadinée. Pansement Adaptic Digit avec attelle Stack à des fins de protection. Antalgie, anti-inflammatoire. Poursuite des antibiotiques pour encore 5 jours. Contrôle à la consultation ambulatoire des urgences à 48h pour réfection du pansement. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Avis orthopédique (Dr. X): indication à effectuer un CT du pied à la recherche d'une fracture/entorse du Lisfranc. Immobilisation par plâtre jambier postérieur fendu en attendant le CT qui aura lieu le 10.02 pour des raisons organisationnelles. CT-scan rediscuté avec orthopédiste de garde le 10.02 (Dr. X): contrôle dans 1 semaine Avis orthopédique (Dr. X): tentative de traitement par AINS locaux et oraux, repos et contrôle clinique le 23.02.2019. En cas de persistance de la rougeur, introduire antibiothérapie par Co-Amoxi 1g 3x/jour Avis orthopédique (Dr. X) Avis infectiologique (Dr. X) Avis anesthésique Rx cheville face/profil le 15.02.2019 Rx cheville face/profil le 19.01.2019 (J1 post opératoire) Ablation de matériel d'ostéosynthèse de la malléole externe, fistulectomie, prise de prélèvement et rinçage, mise en place d'éponges de Gentamycine le 18.02.2019 (Dr. X, Dr. X) • microbiologie: négatif à 2 j. (sous antibiothérapie par Rocéphine) Co-Amoxi 2.2 g 3x/j IV du 18.02.2019 au 21.02.2019, puis Co-Amoxi 1 g 3x/j PO dès le 21.02.2019 pour une durée totale de 3 mois Prophylaxie antithrombotique par Arixtra pour 6 semaines Botte de décharge fendue, charge maximale 15 kg Réfection du pansement à 48h - contrôle clinique par Dr. X les 20.02.2019 et 21.02.2019 Mobilisation douce physiothérapie, passive et active assistée dès que plaie sèche Ablation des fils à J15 le 04.03.2019 Contrôle radio-clinique à 6 semaines auprès de Dr. X prévu le 05.04.2019 à 9h30 Si intolérance à l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline au long cours, avis infectiologique préconisé Avis orthopédique (Dr. X). Poursuite de l'antibiothérapie pour un total de 7 jours. Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Avis orthopédique (Dr. X). US de débrouillage aux urgences (Dr. X): corps étranger écho dense de 17x11 mm situé à 3 mm de la surface sans collection. Retour à domicile avec recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Avis orthopédique (Dr. X): anti-inflammatoire. Glaçage. Élévation du membre. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des symptômes, avec proposition d'un éventuel bilan complémentaire en ambulatoire (EMG, bilan vitaminique). Avis orthopédique (Dr. X): pas d'US ni de radiographie de contrôle. Désinfection et réfection du pansement. Information sur la désinfection de la plaie et prescription de matériel de désinfection. Suite de prise en charge chez le médecin traitant avec ablation des fils à 7 jours. Recommandation de consulter en cas de péjoration clinique, douleurs intenses, état fébrile, frissons. Avis orthopédique, Dr. X: Poursuite du traitement symptomatique avec AINS et glace, ainsi que l'immobilisation par attelle Jeans 20° et la Clexane. Rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant dans 48 à 72 heures. Nous recommandons au patient de reconsulter en cas de fièvre ou péjoration des douleurs. Avis orthopédique du Dr. X. CT-scan : décrite ci-dessous. Retour à domicile, elle sera appelée pour fixer une date opératoire. Consentement éclairé déjà signé. Avis orthopédique: indication à prise en charge au bloc opératoire. Immobilisation par splint, pose de VVP, 1 dose de co-amoxicilline 50 mg/kg soit 625 mg d'Amoxicilline. Avis orthopédique par téléphone (Dr. X): prescription d'ergothérapie et contrôle à 6 semaines chez le médecin traitant ou en filière si persistance des douleurs. Avis orthopédique par téléphone (Dr. X) en raison de la suspicion de lésion méniscale externe: indication à organiser IRM puis rendez-vous au team-genou après l'imagerie. Avis orthopédique par téléphone (Dr. X) IRM en ambulatoire à organiser (bon envoyé par fax) Consultation en team genou après IRM (mail envoyé) Arrêt de sport minimum 2 semaines Avis orthopédique (téléphone) Ergothérapie pour séance de réafférentiation du nerf sural, si persistance des douleurs dans 48-72 heures Suivi par pédiatre Avis orthopédique Botte plâtrée fendue Consignes usuelles plâtre Cannes (personnelles) et antalgies Contrôle en orthopédie urgences dans 10 jours (mail envoyé) Avis orthopédiste = indication à une prise en charge chirurgicale. Hospitalisation. Sondage vésical. Avis orthopédiste = Pas d'indication chirurgicale en urgence, RAD possible dans ce contexte avec consultation en ambulatoire avec Dr. X pour suite de prise en charge. Immobilisation par attelle postérieure. Au vue de l'antalgie non contrôlable à la maison ainsi que les difficultés de retour à domicile, hospitalisation en médecine pour antalgie avant retour à domicile. Laboratoire. Immobilisation par attelle jeans 20° du fait de la douleur. CAT: • Hospitalisation en médecine • Contrôle antalgie • Anticoagulation • Avis orthopédiste à prendre pour suite de prise en charge durant l'hospitalisation Avis orthopédiste (Dr. X): • CT poignet droit : fracture du triquetrum non déplacée. • Plâtre AB fermé. • Antalgie simple. • Redoxon 500 mg 1x/j pendant 4-6 semaines. • Arrêt de travail à 50% jusqu'au 10.04.2019. • Contrôle à la consultation du Dr. X le 10.04.2019. Avis orthopédiste (Dr. X). Désinfection par Bétadine, champagne, anesthésie par Rapidocain 1%, lavage à l'aiguille boutonnée, exploration de la plaie, suture par Prolène 4-0 de 5 points simples. Antalgie simple. Arrêt de travail à 100% pour 1 semaine. Contrôle à 48h chez le médecin traitant, le patient va prendre contact avec un médecin qu'il connaît. Ablation des fils à 15 jours. Avis orthopédiste (Dr. X) Radiographie cuisse et genou droit. Bandage. Cannes sans appui podal. Prophylaxie thrombose veineuse profonde par Clexane 40mg 1x/j jusqu'à charge complète. Antalgie simple. Arrêt de travail à 100% pendant 5 jours. Le patient ne souhaitant pas attendre plus longtemps, nous le laissons rentrer à domicile et nous le recontacterons en cas de changement de la prise en charge. Avis orthopédiste (Dr. X/Dr. X) Avis diabétologique (Dr. X) Avis angiologique (Dr. X) Artériographie du membre inférieur gauche le 30.01.2019 (Dr. X): bonne vascularisation jusqu'en distalité, pas de geste effectué. Intervention: • Amputation 1er métatarse pied gauche le 08.02.2019 (Dr. X) > Culture de prélèvement osseux du 08.02.2019: négatives. Attitude: • Semelles de décharge • Suivi diabétologique pour soins de plaie Avis orthopédiste (Dr. X). Avis chirurgien de la main. Traitement conservateur par syndactylie. Contrôle radio-clinique dans 1 semaine à la consultation du membre supérieur. Antalgie. Avis pédopsy: Faire un contrat écrit avec l'adolescente. Reconsultation si idées suicidaires. Soit consultation CCP demain soit demander à sa thérapeute de la voir plus rapidement. Avis pédopsychiatrique: hospitalisation à Marsens à 13h00 en mode volontaire. Transfert Marsens en mode volontaire. Avis pédopsychiatrique 18-19-20.02.: Dr. X Déclaration au SEJ et juge de paix faite par la Dr. X Avis pédo-psychiatrique Hospitalisation à Marsens Avis Dr. X (merci de visualiser les images et de nous donner un avis) Prochain contrôle le 29.08.2019 Avis psychiatre de garde: proposition d'une hospitalisation à RFSM de Marsens, le patient ne veut pas d'une hospitalisation, il appellera son psychologue qui le suivait pour d'autres raisons et le verra pour faire un suivi ambulatoire. Avis psychiatre de garde, Dr. X.Transfert en taxi depuis l'hôpital fribourgeois jusqu'à l'hôpital psychiatrique de Marsens, en volontaire. Avis psychiatre de liaison Attitude : • patiente refusant prise en charge ambulatoire psychiatrique Avis psychiatre : Hospitalisation à Marsens, la patiente est volontaire ; à noter qu'elle refuse de contacter une personne de son entourage pour le transport, qui se fait donc en ambulance. Avis psychiatrie de liaison : indication à une hospitalisation à Marsens pour un sevrage, mais situation instable du point de vue somatique. Patient en accord avec hospitalisation volontaire à Marsens avec entrée le 11.02.2019. Avis psychiatrie de liaison (Dr. X) : ok pour transfert à Marsens. Transfert à Marsens unité Atlas en taxi. Avis psychiatrie de liaison : indication à une hospitalisation à Marsens pour un sevrage, mais situation instable du point de vue somatique. Avis psychiatrique : quelques composantes dépressives, pas d'idée suicidaire, proposition de mise en place d'un suivi ambulatoire. Attitude : • suivi ambulatoire psychiatrique • Zolpidem transitoire Avis psychiatrique à demander. Substitution en Becozyme et Benerva. Seresta en fixe et en réserve. Discussion d'un sevrage d'alcool en milieu stationnaire ou ambulatoire. Avis psychiatrique avec le Dr. X le 11.12.2018 : pas d'hospitalisation en psycho-gériatrie nécessaire, adaptation du traitement (regarder le TIP). Quetiapin (fix) 12.5 mg le matin et 25 mg le soir dès 04.12.2018 jusqu'au 12.12.2018. Quetiapin changée par Trittico 25 mg le 12.12.2018, augmentée à 50 mg le 13.12.2018, arrêtée le 28.12.2018. Escitalopram remplacé par Brintellix 5 mg le 12.12.2018 (possibilité d'augmentation jusqu'à 20 mg par jour). Trittico 100 mg en substitution de la Quetiapin dès 28.01.2018. Avis psychiatrique (cf consilium). Hospitalisation sous PAFA à Marsens. Adaptation de la thérapie. Assistance sociale à prévoir. Avis psychiatrique (demande faite pour le 20.02.2019) : • Pas de risque de suicidalité actuellement pour les psychiatres. • La patiente peut rentrer à domicile et sera revue par son médecin traitant demain pour un contrôle avec discussion d'un suivi psychiatrique ambulatoire au vu de la consommation OH à risque. Avis psychiatrique Dr. X : Nous proposons initialement l'introduction en ordre unique de 4 mg d'Halopéridol et de 2.5 mg de Temesta puis une reprise par la suite du traitement par Tranxilium que la patiente avait à la sortie du CSH de Marsens au mois de juillet de l'année 2018 à savoir 10 mg 0-1-0-1 et 5 mg 0-0-1-0. Si il s'avère que la patiente est stable sur le plan somatique et qu'une sortie est envisageable, nous proposons alors un transfert au CSH de Marsens en mode PAFA médical. Avis psychiatrique (Dr. X) : présence d'un faible risque de mise en danger. Nous proposons cependant que la patiente reprenne dès le 18.02.19 contact avec sa psychiatre, avec qui elle avait un bon lien et communiquait en portugais. Mme. Y bénéficiera d'une présence permanente à domicile jusqu'au 18.02.19, jour où la patiente et sa fille prendront un rendez-vous avec son ancienne thérapeute. Le numéro des urgences psychiatriques a été fourni à la patiente ainsi qu'à la famille, avec les instructions nécessaires. En absence d'un danger manifeste dans l'immédiat, nous estimons que la patiente peut retourner à domicile dès ce soir. Aux urgences : • Temesta 1 mg. Avis psychiatrique (Dr. X) Hospitalisation élective à Marsens pour un sevrage OH en milieu hospitalier. Lorazépam en réserve si signe de sevrage. Avis psychiatrique (Dr. X). Avis psychiatrique du Dr. X : pas d'hospitalisation en psychiatrie nécessaire, probable trouble dépressif, adaptation du traitement (Cymbalta proposé en plus du Remeron), le psychiatre va contacter le médecin traitant (Dr. X). Cymbalta 60 mg 1x/jour avec poursuite du Remeron. Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Avis psychiatrique : Hospitalisation à Marsens par PAFA. Avis psychiatrique le 04.02.2019 : indication à un traitement anxiolytique et thymo-régulateur : proposition quétiapine 3 x 25 mg par jour per os que le patient refuse de prendre. Indication impérative à un suivi psychiatrique en ambulatoire ! Avis endocrinologique le 05.02.2019 (Dr. X). Avis psychiatrique le 15.02.2019. Temesta mis en réserve. Avis psychiatrique le 25.01.2019 : ajout Temesta, introduction Saroten après baisse progressive du Brintellix. Suivi en ambulatoire. Rendez-vous chez le Dr. X le 20.02.2019 à 14h30. Avis psychiatrique (Dr. X) : Hospitalisation à Marsens par PAFA. PAFA, le 03.02.2019. Hospitalisation à Marsens. Mise à l'abri avec hospitalisation en PAFA à la Chrysalide, parents d'accord et informés de la mesure. Avis psychiatrique. RAD chez les parents accompagnée du père. Reprise de contact le 10.02.2019 pour suivi avec le psychiatre traitant. Avis psychiatriques multiples (Dr. X / Dr. X / Dr. X) : réafférentation, Haldol et Distraneurine en fixe et en réserve. Seresta au besoin selon symptômes de sevrage. PAFA mis en place depuis le 19.02.2019 (Dr. X) et levée le 26.02.2019. Médication habituelle par Escitalopram et Seroquel reprise (adaptée) à la sortie. Avis psychiatrique Seroquel 12.5 mg au coucher. Avis psychiatrique Seroquel 6.25 mg au coucher. Avis psychogériatrique le 06.02.2019, Dr. X. Dosage Venlafaxine 07.02.2019 (94 ng/ml). Tests de la cognition du 06.02.2019 : MMS 28/29, test de la montre 6/7. Échelle de dépression gériatrique le 06.02.2019 : 9/15. Transfert au réseau fribourgeois de la santé mentale de Marsens le 15.02.2019. Avis rhumatologique (Dr. X) : prise de rendez-vous le jour même à 13h30 pour discuter d'une éventuelle infiltration. Avis rhumatologique : suite de prise en charge + US. Avis stomathérapie (protocole) : medihoney crème sur mepilex. Avis team spine (Dr. X) : IRM lombaire jusqu'à la charnière dorso-lombaire, pas de lien avec la sténose, probable lombalgie aiguë avec résolution des symptômes avec antalgie. Prise en charge ambulatoire possible, consulte en cas de perte de force, apparition de troubles sphinctériens. IRM lombaire : hernie discale L3-L4 gauche qui vient au contact de L4 gauche, sténose L4-L5 importante d'origine multifactorielle comprimant toutes les racines, ancienne fracture de D11. Avis Dr. X : ad IRM. Avis téléphonique de Dr. X. Élastographie du foie au centre d'imagerie St-Thérèse le 22.01.2019. Contrôle infectiologique à la consultation de Dr. X le 08.02.2019. Avis téléphonique Dr. X : comme il n'a pas mis de patch aujourd'hui, nous proposons de reprendre le traitement demain et après-demain avec un contrôle clinique à la consultation de Dr. X à 48h, afin de mieux définir l'effet du traitement. Une amélioration sous traitement de Neurodol irait dans le sens de notre suspicion diagnostique d'inflammation du nerf génito-urinaire. Avis téléphonique ORL Dr. X : consultation en ORL prévue le 18.02.2019. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Patiente informée de reconsulter en cas d'état fébrile/frisson. Avis téléphonique par gynécologue : pas d'explication pouvant expliquer un taux de D-dimères à 3000 devant la présence d'une patiente pauci-symptomatique sur le plan gynécologique. Embolie pulmonaire exclue. Avis téléphonique psychiatre : pas d'indication à une hospitalisation en urgence, suivie en ambulatoire par CPS avec thérapie anxiolytique par Atarax 12.5 mg. Retour à domicile. Conseil d'usage. Conseil de suivi en ambulatoire par CPS. Thérapie par Atarax 12.5 mg. Avis tox centrum Consilium pédopsychiatrie. Avis Tox-zentrum Pantozol IV continu du 17 au 18.02.2019 puis relais per os jusqu'à la consultation du 25.04.2019. Sutures aux urgences. Vaccin et immunoglobulines anti-tétanique le 18.02.2019.Avis Urologie du 11.01.2019: prévention parafimose, Kamillex Avis urologique Dr. X du 02.01.2019 : surveillance clinique sans prise en charge en urologie nécessaire. Suivi urologique en ambulatoire à prévoir. Avis urologique Dr. X : pas de nécessité de recoudre à moins d'un saignement important, ad Bepanthen plus et consultation si non amélioration de la symptomatologie. Désinfection par Hibidil. Bepanthen Plus. Mr. Y informé de consulter un urologue en cas de guérison gênante (court, déformation). Consulter au préalable en cas de persistance du saignement. Avis urologique le 6.2.2019 : Changement cystofix à prévoir début mars chez Dr. X (pas le matériel habituel ici) Aviser l'anesthésiste de garde le dimanche 17/02 pour la consultation pré-anesthésique AVP. AVP. AVP. AVP. AVP à haut cinétique sans traumatisme majeur le 13.01.2019 • prise en charge initiale à l'hôpital d'Yverdon AVP à haute vitesse avec • contusion thoracique • contusion au poignet G Laboratoire : dans la norme Stix/sédiment urinaire : négatif pour hématurie ECG : dans la norme Rx thoracique : pas de fracture, pas de pneumothorax Rx poignet/main G f/p : pas de fracture Avis Dr. X RAD avec bandage élastique, antalgie, et contrôle chez le MT HTA mal contrôlée Nifédipine 10 mg Lisinopril 10 mg Contrôle chez le MT la semaine prochaine AVP à haute vitesse en 2013 environ avec • contusion thoracique • contusion au poignet G S/P op. hernie inguinale avec surinfection de plaie AVP avec contusion musculaire du trapèze à droite, le 07.02.19. AVP avec traumatisme crânien le 10.10.2015 avec : Fracture tête radiale droite type Mason II le 10.10.2015. Angine Streptocoque A le 27.11.2015. AVP en 1986 avec : OS fracture fémur G ; AMO en 1988 OS fracture tibia G ; AMO en 1988 OS fracture col fémur D ; AMO et OST inter-trochantérienne de valgisation en 1987 AVP par écrasement le 30.01.2019 avec : 1) Fracture L1 type A3 avec déchirure du ligament longitudinal postérieur 2) Fracture omoplate D 3) Fracture péroné proximal G AVP sous imprégnation éthylique avec hématome surrénalien à D en 2010 TC avec PC dans le contexte de consommation d'alcool en 2009 Status post cure de hernie inguinale bilatérale en 2001 Premier épisode d'épistaxis spontané : possiblement sur hypertension artérielle inaugurale. Décompensation ascitique inaugurale le 25.10.16 (04.11.2016) • ponction d'ascite le 26.10.2016 (retrait de 7.6L) : gradient d'albumine 23 g/l, analyses : 332 éléments, protéine 8,9 g/l, cytologie : pas de cellules suspectes • US abdominal du 26.10.2016 : foie d'aspect cirrhotique, liquide libre dans petit bassin et péri-hépatique • OGD le 07.11.2016 (Dr. X) : absence de varice œsophagienne • Bilan de cirrhose en 2016 : A1-anti trypsine, coefficient de saturation de la transferrine dans la norme. Céruloplasmine limite inférieure, cuivre N, cuprurie en cours. Ac anti-muscle lisse négatifs, FAN à la limite supérieure. Sérologies HBV et HCV négatives. Alpha-foetoprotéine normale. AVP (04.2017) : • Fracture cervicale C2, multiples fractures costales, pneumothorax D Prothèse cheville G Ostéosynthèse clavicule D Ulcère estomac, traité par chirurgie (pas de date) AVP (04.2017) : • fracture cervicale C2, multiples fractures costales, pneumothorax droit. Prothèse de la cheville gauche. Ostéosynthèse de la clavicule droite. Status post-opération d'un ulcère de l'estomac. Globe vésical traité par sonde vésicale en décembre 2018. Fractures costales droite multiples sur chute à faible cinétique le 06.11.2018. Tunnel carpien gauche le 20.12.2018. Sacro-iléite bilatérale le 28.12.2018. AVP 2000 : Tassement vertébral D ? S/p Cure de varices aux jambes 2008 Contusion omoplate Gauche, le 10.10.2018 sur trauma direct Rx épaule G et Thorax le 10.10.18 : Pas de lésions osseuses visualisées AVP 30 km/h le 27.02.2019 avec : • TC sans PC • Fracture non déplacée du sinus frontal gauche Axe de la jambe inférieure en genu valgus ddc sur pieds plats ddc avec un arrière-pied en valgus, flexible. Bactériémie à Campylobacter fetus (2 flacons positifs, après sortie du patient). Bactériémie à E. coli (1 bouteille/4) sur prostatite chronique probable le 04.10.2017 Prostatite aiguë le 19.09.2013 Opération du genou gauche pour déchirure ligamentaire en 1990 Excision de la glande sub-mandibulaire droite pour inflammation Bactériémie à E. coli (4/4) d'origine indéterminée le 24.01.2019, DD pneumonie nosocomiale basale droite, pyélonéphrite, colite/diverticulite Bactériémie à E.coli sur urosepsis le 17.02.2019 Bactériémie à Klebsiella oxytoca sur sonde urinaire, le 30.01.2019 • Hémocultures positives pour K. oxytoca • Urines E.coli multi S + Klebsiella oxytoca ou ornithinolytica Bactériémie à Staphylococcus aureus (MSSA) à point de départ une infection de VVP du MSG avec thrombose veineuse superficielle de la veine céphalique associée Bactériémie à Staphylococcus epidermidis le 25.02.2017 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle en mars 2017 Insuffisance respiratoire aiguë globale le 22.02.2017 sur pneumonie lobaire supérieure droite nosocomiale traitée par Piperacillin/Tazobactam puis Vancomycin Accident vasculaire cérébral ischémique dans le territoire sylvien postérieur droit et occipital gauche en 1998 Hémorragie digestive haute sur gastrite érosive en 2013 Endocardite à S. aureus de la valve native aortique avec : • Reconstruction de l'anneau aortique par deux patchs en péricarde associés à un remplacement valvulaire aortique par une bioprothèse en péricarde sur armature St-Jude Trifecta 23 sous CEC le 04.11.2016 • Antibiothérapie par flucloxacilline du 27.10.2016 au 30.10.2016 puis depuis le 31.10.2016 • ETT du 02.11.2016 (Dr. X) : suspicion d'abcès para-valvulaire en regard des cuspides acoronaires et coronaire gauche, éléments flottants sur la cuspe acoronaires suspects pour des végétations Insuffisance respiratoire sur pneumonie basale droite avec séjour aux soins intensifs au CHUV 10.2016 Pneumothorax droit sous tension en novembre 2016 Hématome iliaque gauche le 20.11.2016 : • Contexte d'anticoagulation thérapeutique Globe urinaire le 09.12.2016 Anticorps positifs aux tests de compatibilité de transfusion Déconditionnement sur choc hypovolémique sur hémorragie digestive d'origine probable basse le 01.05.2017 chez un patient connu pour : thrombopénie légère d'origine indéterminée le 01.05.2017 : • Diagnostics différentiels : transfusion, médicamenteux, syndrome myélodysplasique • Suivi clinique : normalisation des valeurs sur le séjour Hypovitaminose D Diarrhées afébriles sous antibiothérapie Bactériémie à Staphylocoque aureus MSSA le 15.05.2016 Bactériémie à Staphylococcus epidermidis le 25.02.2017. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle en mars 2017. Insuffisance respiratoire aiguë globale le 22.02.2017 sur pneumonie lobaire supérieure droite nosocomiale traitée par Piperacillin/Tazobactam puis Vancomycin. Déconditionnement sur choc hypovolémique sur hémorragie digestive d'origine probable basse le 01.05.2017. Thrombopénie légère d'origine indéterminée le 01.05.2017. Endocardite à S. aureus de la valve native aortique avec reconstruction de l'anneau aortique par deux patchs en péricarde associés à un remplacement valvulaire aortique par une bioprothèse en péricarde sur armature St-Jude Trifecta 23 sous CEC le 04.11.2016.Insuffisance respiratoire sur pneumonie basale droite avec séjour aux soins intensifs au CHUV 10.2016. Pneumothorax droit sous tension en novembre 2016. Hématome iliaque gauche le 20.11.2016, contexte d'anticoagulation thérapeutique. Globe urinaire le 09.12.2016. Bactériémie à Staphylocoque aureus MSSA le 15.05.2016. Hémorragie digestive haute sur gastrite érosive en 2013. Accident vasculaire cérébral ischémique dans le territoire sylvien postérieur droit et occipital gauche en 1998. Anticorps positifs aux tests de compatibilité de transfusion. Hypovitaminose D. Bactériémie à Staphylocoque epidermidis avec infection de cathéter veineux central et probable thrombose septique jugulaire interne gauche le 18.01.2019 : • Retrait du cathéter veineux central jugulaire interne gauche le 18.01.2019 • Cubicine dès le 19.01.2019 pour 2 semaines (sans picc-line) • Avis infectiologues : anticoagulation thérapeutique dès le 21.01.2019 (pour une durée de 6 semaines) • Bilan angiologique le 21.01.2019 (Dr. X) : thrombose d'au moins 5 cm (rapport oral) Bactériémie à Staphylocoques Aureus 08.02.2019 • sur surinfection de voie veineuse périphérique Bactériémie à streptocoques pneumoniae d'origine indéterminée le 18.02.2019. Bactériémie (1 bouteille/4) à Pseudomonas aeruginosa le 07.02.2019 : • DD : infection endovasculaire au niveau de la fistule ; sur introduction fortuite dans le système lors de la dialyse. Bactériémie (2/4) à Staphylocoque Epidermidis le 21.01.2019 sur probable contamination du site de prélèvement : • DD : endocardite sur germe endovasculaire / syndrome grippal avec : • souffle systolique au foyer d'Erb 3/6 potentiellement nouveau • atteinte valvulaire dégénérative étendue, ne pouvant pas exclure une endocardite (échocardiographie transthoracique du 24.01.2019) • hypotension artérielle sévère à 60/40 mmHg le 22.01.2019 • status post-zona ilio-sacré traité par Brivudine le 23.10.2018 • status post-érysipèle traité par co-amoxicilline en décembre 2018 • status post-pose de pacemaker mono-caméral le 04.12.2014 • status post-PTH et PTG droites Bactériologie des selles : négative Traitement par Perenterol. Bactériurie asymptomatique à E. Coli (résistant au Bactrim) le 01.02.2019 : • Pesanteur sus-pubienne, pas de dysurie, pas de pollakiurie, pas d'hématurie macroscopique • Sous traitement de Bactrim prophylactique au long cours pour infections urinaires récidivantes Bactériurie asymptomatique à E. faecalis sur : • Infection du tractus urinaire asymptomatique le 30.01.2019 Bactériurie asymptomatique chronique. Bactériurie asymptomatique le 21.02.2019. Bactériurie asymptomatique le 30.08.2018. PTH droite en 2011. Dysélectrolytémie d'origine mixte, hypovolémique sur diarrhées chroniques et médicamenteuse (Esidrex). Bactérurie chronique asymptomatique. Bactrim Forte trois fois par semaine. Dialyse sur la fistule dès le 05.02.2019. Bactrim prophylactique. Neupogene. 1 Culot erythrocytaire le 27.01.2019. Isolement protecteur jusqu'au 28.01.2019. 1 Culot erythrocytaire le 31.01.2019. Bactroban 1 application locale 1x2/jour. Désinfection. Bain antiseptique à la Chlorexidine, Paracétamol en réserve si douleur. Contrôle clinique dans 2 jours. Bain Dakin. Suite par traitement local avec bains de savon. Contrôle lundi chez pédiatre. Reconsultation aux urgences si signes d'infection. bain d'amukina. controle dans 48h chez le pédiatre. Bain de bouche Bichsel 4x/j. Mycostatine. Bain de Kamillosan. Si absence de régression de l'érythème consultation urologie ou urgences pédiatriques. Contrôle post-opératoire dans une semaine comme prévu. Bains de kamilosan 2-3x/j 10-15 min. Bactroban crème en R si péjoration ou pas d'amélioration. Bains de Kamilosan. Dafalgan. Algifor. Motifs de reconsultation expliqués à la mère. Bains Kamillosan. Antalgiques. Fucidine crème. Bains. Poursuivre octenicept. Baisse appétit d'origine indéterminée : • NRS : 2. Baisse d'appétit, vomissement dans le contexte d'une bronchite fébrile. baisse d'audition secondaire à IVRS vs insuffisance tubaire vs autre. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général au décours d'une grippe avec : • asthénie et inappétence depuis deux semaines • déshydratation • déconditionnement • leucocytose d'origine indéterminée le 15.02.2019. Baisse de l'état général avec chute sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. Baisse de l'état général avec douleur dorsale métastatique. Baisse de l'état général avec douleurs dorsales et costales sur métastases osseuses avancées le 14.01.2019, dans le contexte du carcinome canalaire invasif du sein gauche pT1c pN0 G2. Baisse de l'état général avec dyspnée.Baisse de l'état général avec état fébrile le 21.01.2019. Baisse de l'état général avec instabilité posturale. Baisse de l'état général avec malaise. Baisse de l'état général avec négligence hygiénique et hétéroagressivité le 20.02.2019 • dans le contexte d'un éthylisme chronique. Baisse de l'état général avec vomissements et diarrhées. Baisse de l'état général chez un patient oncologique, connu pour un : • carcinome épidermoïde NSCLC du lobe inférieur droit pT4 pN2 pM0 (stade IIIb) diagnostiqué le 06.11.2018, lobectomie le 10.12.2019, chimiothérapie prévue dès le 23.01.2019, suivi par Dr. X. DD bronchite, pneumonie droite, épanchement. Baisse de l'état général chez un patient connu pour maladie de Parkinson, diagnostiquée en 2004. Baisse de l'état général dans le contexte de grippe à Influenza A le 16.02.2019. Baisse de l'état général dans le contexte d'un syndrome myéloprolifératif. Baisse de l'état général dans un contexte de status post-partum (accouchement le 11.02.2019) et insomnie. Baisse de l'état général dans un contexte oncologique. Baisse de l'état général dans un contexte oncologique • avec cholestase et cytolyse sur métastases hépatiques nouvelles. Baisse de l'état général depuis quelques jours avec majoration de la dyspnée et chutes à répétition. Baisse de l'état général d'origine indéterminée. Baisse de l'état général d'origine indéterminée avec désorientation temporelle sur probable démence débutante. Traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 19.04.2018 au 27.04.2018 avec : • physiothérapie • ergothérapie • tests cognitifs du 20.04.2018 : MMS à 18/30, test de la montre à 0/7, GDS à 3/15. Anémie macrocytaire à 105 g/l d'origine mixte : sur probable alcoolisme chronique et carentielle. Consommation d'alcool à risque avec perturbation des tests hépatiques et hémochromatose secondaire. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Baisse de l'état général d'origine indéterminée le 24.04.2018 avec : • désorientation temporelle sur probable démence débutante • tests cognitifs du 20.04.2018 : MMS à 18/30, test de la montre à 0/7, GDS à 3/15 Anémie macrocytaire à 105 g/l d'origine mixte sur probable alcoolisme chronique et carentielle. Consommation d'alcool à risque avec : • perturbation des tests hépatiques • hémochromatose secondaire. Baisse de l'état général d'origine multifactorielle : • hypoglycémie • crise hypertensive • déficit en vitamine D • malnutrition. Baisse de l'état général d'origine multifactorielle avec des chutes récidivantes depuis quelques jours, DD dans le cadre du diagnostic principal, avec : • s/p chute avec TC le 05.01.2019 • CT cérébral le 05.01.2019 : pas de fracture, pas d'hémorragie intracérébrale • dénutrition dans un contexte de délires de persécution (pense qu'on veut l'empoisonner) • probable intoxication à l'Haldol le 07.01.2019 • avis psychiatrique par Dr. X le 07.01.2019 : pas d'indication à une hospitalisation en psychiatrie, division de dose d'Haldol en 2 prises, fixation sur la nourriture. Baisse de l'état général d'origine multifactorielle : • s/p chute 12.11.2018 de cause mécanique/équilibre avec contusion épaule D et hanche G • hématome sous-dural para-falcoriel droit 13.11.2018 • infection des voies urinaires basses sous Nitrofurantoine du 21.11.2018 au 26.11.2018 • bronchite virale afébrile 13.11.2018 sous Atrovent, Symbicort et sous 2L d'oxygène selon les besoins • s/p crise épileptique partielle complexe avec paralysie de Todd avec séquelle au niveau du MIG 14.11.2018. Baisse de l'état général et altération de l'état de conscience. Baisse de l'état général et chutes. Baisse de l'état général et état fébrile. Baisse de l'état général et instabilité à la marche. Baisse de l'état général et troubles de la marche le 05.02.2019, avec : • douleurs importantes de la hanche gauche • gastroentérite probablement virale. Baisse de l'état général et troubles de la marche le 05.02.2019 dans le contexte de • gastroentérite probablement virale • s/p PTH gauche en 2017. Baisse de l'état général et vomissements. Baisse de l'état général, inappétence et faiblesse généralisée, d'origine multifactorielle : • déconditionnement consécutif à de multiples hospitalisations depuis juillet 2018 • possible composante anxio-dépressive. Baisse de l'état général le 04/02/19. Baisse de l'état général le 04.02.2019 dans un contexte oncologique avec : • dysphonie et dysphagie en progression sur candidose oropharyngée diffuse et lésion polypoïde de la fausse corde vocale G d'allure bénigne • troubles électrolytiques avec : -- hypokaliémie à 2.8 mmol avec retentissement, allongement du QT à l'ECG -- hyponatrémie hypoosmolaire à 127 mmol. Baisse de l'état général le 26.02.2019 • chute mécanique • soins impossibles à domicile. Baisse de l'état général (nausées, vomissements, inappétence) d'origine mixte le 01.02.2019 • médicamenteuse (morphiniques, Bactrim, Revlimide) • constipation sous opiacés. Baisse de l'état général, œdèmes des membres inférieurs et douleurs au niveau du membre inférieur droit. Baisse de l'état général sur hyponatrémie et contexte oncologique le 25.02.2019 avec : • nausées, vomissements, diarrhées sans EF. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général d'origine indéterminée, le 25.02.19 avec : • 1 épisode de nausée/vomissement et nucalgie spontanément résolutive • trouble mnésique connu en progression. Baisse de l'état général post-accouchement par voie basse. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. Baisse de l'état général. baisse de l'état général. baisse de l'état général. Baisse de l'état général avec asthénie le 31.01.2019 d'origine mixte : • carcinome épidermoïde de la jonction gastro-oesophagienne métastatique d'évolution défavorable • radiothérapie • déconditionnement physique • malnutrition protéino-énergétique modérée. Baisse de l'état général avec état fébrile. Baisse de l'état général avec trouble de la marche • Épisode de gastroentérite du 24.01 au 26.01.2019 • composante thymie abaissée • pas de symptômes B • douleur post-arthrodèse articulaire Lisfranc droite en 2016. Baisse de l'état général avec troubles de la marche d'origine indéterminée le 14.02.2019, DD infectieux • chute de sa hauteur le 12.02.2019. Baisse de l'état général dans le contexte oncologique avec : • asthénie, inappétence et dénutrition • trouble dépressif probable. Baisse de l'état général d'origine multifactorielle : • malnutrition • maladie de Parkinson. Baisse de l'état général et douleurs hanche gauche. Baisse de l'état général et macrohématurie. Baisse d'état général le 09.02.2019 • dans un contexte de cancer neuro-endocrine à petites cellules le 10.01.2019 Baisse d'état général le 09.02.2019 d'origine mixte : • contexte de carcinome métastatique neuro-endocrine à petites cellules le 10.01.2019 • douleur paralombaire sur métastase osseuse Baisse d'état général sur masse abdominale non déterminée • probablement masse ovarienne Baisse état général Baisse état général Baisse état général Baisse état général Baisse état général. Baisse état général. Baisse état général. Baisse état général, fièvre Balanite Balanite Balanite Balanite Balanite. Balanite. Probable infection urinaire. Rétention urinaire aiguë. Contusion du coude gauche le 11.06.2015. Balanitis circinata à C. trachomatis avec : • uréthrite débutante. Balanitis circinata à C. trachomatis le 01.02.2019 avec : • uréthrite débutante. Balanoposthite Balanoposthite Balanoposthittis • Balanite avec affectation du prépuce. Balano-postite Ballonnement abdominal. Ballonnement abdominal avec prise de poids d'origine indéterminée le 28.01.2019 DD constipation Bâloise Assurances, à l'attention du médecin-conseil Cher Mr. Y, Suite à votre courrier, je me permets de vous répondre comme suit : J'ai vu cette patiente en date du 05 et 07.02.2019. Elle s'est présentée à ma consultation suite à une chute à ski le 31.01.19 avec torsion du genou G. Elle présentait des douleurs résiduelles au niveau du compartiment interne de son genou G. À l'examen clinique, elle présentait un genou douloureux avec une limitation en flexion à environ 120-5-0. On ne retrouvait pas de signe du Flot, pas de laxité frontale. Lors de la mise sous tension du compartiment interne, vives douleurs. Un bilan radiologique et IRM n'a pas permis de mettre en évidence de lésion ménisco-ligamentaire. Pour cette patiente, j'ai proposé un traitement symptomatique par anti-inflammatoires. La reprise de travail a été signifiée pour le 26.2.19. Bandage antalgique en syndactilie pour les orteils 4 et 5 Bandage coude G Traitement symptomatique Bandage élastique Antalgiques en réserve Sportusal gel Cannes avec décharge Arrêt des sports Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine si douleurs persistantes Bandage/sportusol Bande alu pour immobilisation pour 1 semaine Contrôle chez le pédiatre dans une semaine Antalgie simple Arrêt de sport pour 3 semaines Bande élastique Arrêt des sports Bande élastique Algifor Dafalgan Charge selon douleurs Bandelette urinaire : leucocytes, traces de sang, pas de nitrite. Sédiment Attitude : retour à domicile avec traitement symptomatique, pas de traitement en l'absence de symptomatologie urinaire, mais consigne de consulter si latéralisation de la douleur dorsale ou apparition d'un état fébrile. Bandelette urinaire : propre. Formule sanguine, CRP, électrolytes : à pister. Sédiment urinaire : à pister. Culture d'urine : à pister. PCR urinaire chlamydia/gonorrhée : à pister. Dépistage VIH, syphilis : à pister. Ceftriaxone 500 mg im + Azithromycine 1 g per os en dose unique. Contrôle à la consultation ambulatoire des urgences à 48h pour résultats. Symptômes d'alarme expliqués. Recommandations de safe sex expliquées. Bandelette urinaire-normale Bandes de contention Traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 25.01.2019 au 01.02.2019, avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 26.01.2019 : MMSE à 29/30, test de la montre à 3/7 ; GDS à 1/15 • Évaluation neuropsychologique le 31.01.2019 avec : • Suivi en neuropsychologie en ambulatoire le 25.04.2019 à 13h30 Bas de contention Torem 5 mg du 15.01 au 18.01.2019 Bassin face, hanche gauche axiale calibrée : Coxarthrose avancée à gauche. Bassin face, hanches axiales : coxarthrose bilatérale à prédominance gauche, avec une perte quasiment complète du cartilage au centre de l'articulation. BAV degré II haut grade, le 18.02.2019 • Douleur thoracique et bradycardie associée DD : MOBITZ II ; MOBITZ I BAV du deuxième degré mobitz type I le 06.02.2019 BAV I degré avec PR à 300 ms Bébé à terme Becozym, Benerva, Konakion Becozyme dès le 15.02.2019 Benerva du 15 au 18.02.2019 Score CIWA Becozyme et Benerva CIWA 4x/jour Seresta en R Bedarfsanalgesie Fadenentfernung am 21. postoperativen Tag beim Hausarzt Termin in der onkologischen Sprechstunde von Dr. X am 06.03.2019 um 13:30 Uhr Nachkontrolle in der Sprechstunde von Dr. X am 01.04.2019 um 10:00 Uhr BEG BEG BEG BEG BEG BEG BEG Beloc 25 mg 1 x/jour dès le 15.01.2019. Beloc 25 mg 1 x/jour dès le 15.01.2019 puis augmentation à 50 mg dès le 18.01.2019 Benerva du 5 au 8.02.2019 Seresta en R Alcoolémie 1.7 pour mille à l'entrée Benerva et Becozyme du 29.12.2018 au 01.02.2019 Lactulose Drainage du liquide d'ascite (vide diagnostic principal) Benerva et Becozyme CIWA et Séresta en R Benerva i.v 300 mg 3x/Tag Becozym Forte Seresta en R Benerva 300 mg iv aux urgences et Becozyme Sevrage avec Seresta à prévoir aux soins Benerva Seresta en R Rendez-vous pris au Tory pour le 14.02.2019 à 14h Benjamin d'une soeur Benjamine d'une soeur d'11 ans. Benuron 125 mg 4x/j Méfénacid 125 mg 3x/j Contrôle clinique le 17.02 si mauvais état général (+/- bilan) Contrôle d'office le 18.02 à votre consultation (déjà prévu) Benzodiazépines Benzodiazépines et Clonidine le 07.02.2019 Benzodiazépines Clonidine CT cérébro-thoraco-abdominal le 04.02.2019 Intubation oro-trachéale avec ventilation mécanique du 04.02 au 08.02.2019 VNI en alternance avec oxygénothérapie du 08.02 au 12.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 04.02 au 09.02.2019 Voie veineuse centrale jugulaire droite du 04.02 au 10.02.2019 Beobachtung. Bepanthen crème 3x/jour pendant 5-7 jours. Bepanthen plus Bépanthène crème 2x/j Bépanthène onguent Bepanthène plus 5% Ibuprofène et Paracétamol Reconsulter en cas de signes d'infection Berges fermées, sans écoulement purulent séreux ni purulent, calme. Bonne évolution clinique. Ablation des fils ce jour. Contrôle dans 1 semaine chez le médecin traitant pour suite de prise en charge. Beriplex 1500 mg IV le 05.02.2019 Mise en suspens du Marcoumar Beriplex 1500 mg IV le 05.02.2019 Mise en suspens du Marcoumar Contrôle INR 11.02 au matin, suprathérapeutique, contrôle le 12.02.2019 : 2.5 Contrôle chez MT avec ajustement schéma si nécessaire. Beriplex 1500 mg i.v. Bêtabloquants, Cordarone Betnesol. Antipyrétiques Betnesol : 0.25 mg/kg/jr Dafalgan si fièvre Consignes de surveillance données aux parents Betnesol au besoin Ventolin prescrit si sibilances. Betnesol en réserve au besoin Betnesol, hydratation Betnesol reçu aux urgences : 5 cp (0,25 mg/kg/dose) Algifor 4,5 ml 3x/j en réserve pendant 3 jours Betnesol 0.2 mg/kg Consignes usuelles faux-croup Betnesol 0.25 mg/kg Betnesol 0.25 mg/kg en ordre unique Consignes de surveillance données Betnesol 0,25 mg/kg po Consignes de surveillance données Betnesol 0.25 mg/kg soit 3 mg Conseils pour faux-croup Mefenacide et Paracétamol Rinçage du nez Wala Apis/Belladonna/Mercurius Contrôle chez pédiatre dans 48h si persistance de la fièvre Betnesol 0.25 mg/kg, soit 3.5 mg pendant 3 jours Ventolin 6 pushs 3x aux 20 min, puis 4 push aux 4h pendant 24h, puis 4 push aux 6h, puis 2 pushs aux 6h Contrôle chez le pédiatre dans 72 heures Betnesol 0.25 mg/kg, soit 5 mg/jour si faux croup Umckalabo Wala Apis/Belladonna/Mercurius Ibuprofène et Paracétamol en réserve Reconsulter si besoin de donner Betnesol Betnesol 0.25 mg/kg soit 7 cp = 3.5 mg. En raison d'une péjoration de son stridor inspiro-expiratoire, reçoit une 3ème dose d'Adrénaline 4 mg en aérosols avec amélioration de la symptomatologie. Persistance d'un stridor expiratoire motivant une radiographie du thorax afin d'exclure corps étranger intra-thoracique : pas de corps étranger visualisable ni de signes indirects. Appel au CHUV qui est prévenu de la possibilité d'un transfert en cas d'absence de réponse. Betnesol 0,25 mg/kg x 1 et en réserve Consignes de surveillance à domicile Betnesol 0,25 mg/kg x 1 Consignes de surveillance données à domicile Betnesol 0,25 mg/kg x 1 pendant 3 jours Consignes de surveillance données à domicile Betnesol 0,25 mg/kg x 1 po Consignes de surveillance Betnesol 0,25 mg/kg x 1 Ventolin 6 pushs x 1 Ventolin aérosol 0,5 ml x 2 Betnesol 0.25 mg/kg Consignes usuelles faux-croup Betnesol 0.25 mg/kg/dose per os = 7 mg (reçus environ 2 mg au domicile, dose complétée aux urgences avec 5 mg) Adrénaline 4 mg en aérosol Réévaluation 2 heures après Consignes habituelles faux croup Betnesol 0.25 mg/kg/dose per os, ordre unique Réévaluation 20 minutes après Consignes habituelles faux croup Prescription d'antipyrétiques en réserve Betnesol 0.25 mg/kg/dose Consignes usuelles faux-croup, détresse respiratoire et déshydratation Fébrifuges en réserve Betnesol 0.25 mg/kg/dose Ventolin 4 pushs : disparition du SDR et des sibilances mais persistance de crépitants en base gauche antérieure motivant un bilan inflammatoire dans le contexte de 8 jours de fièvre (recherche signes indirects de pneumonie bactérienne). Pas de syndrome inflammatoire mais importante anémie microcytaire hypochrome (DD : inflammatoire, carence martiale, hémoglobinopathie). Appel du laboratoire expliquant des signes de la lignée rouge compatibles avec carence martiale et possiblement hémoglobinopathie, répartition dans la journée. Proposition aux parents d'effectuer un suivi chez pédiatre avec notamment bilan de carence en fer et hémoglobinopathie. Betnesol 0.25 mg/kg/j, soit 3 mg en réserve Antalgie au besoin Reconsulter en cas de signes pour détresse respiratoire ou signes d'alarmes Betnesol 0.25 mg/kg Betnesol 0.25 mg/kg (demi-dose redonnée après vomissement 45 min après la première administration) Consignes habituelles Betnesol 0.25 mg/kg 1x po Adrénaline 5 mg aérosol 1x Surveillance sous monitoring Dafalgan / Algifor en réserve Betnesol 0.25 mg/kg/dose aux urgences, puis Algifor 4.5 ml 3x/j à domicile Betnesol 0.25 mg/kg/dose 1x/j durant 3 jours, première dose aux urgences Ventolin train 3x6 pushs avec profit, poursuite au domicile. Betnesol 0.25 mg/kg Feniallerg 10 gouttes Ventolin 2 push Betnesol 0.25 mg/kg Surveillance 1h30 Consignes habituelles Betnesol 1x Dafalgan / Algifor en réserve Betnesol 12 cp à 0.5 mg - va mieux Retour à domicile Betnesol 2.5 mg aux urgences, ordre unique Conseils habituels aux parents Betnesol 5 cp aux urgences, à poursuivre 2 jours Ventolin aux 4 heures Surveillance respiratoire et alimentaire Rinçage du nez au besoin Contrôle chez pédiatre à 24 heures Betnesol 6 cp x 1 pendant 3 jours Ventolin en réserve Betnesol 7 cp 1x/j x 3 jours Dafalgan / Algifor en réserve Ventolin 6 pushs aux 20 min x 3 Contrôle chez le pédiatre Betnesol 7 cp 1x/j x 3 jours Poursuivre Ventolin 2 pushs q 4h Dafalgan / Algifor en réserve Bexine sirop. Dafalgan et Irfen. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. BGA : pH 7.41, N 135 mmol/l, K 3.7 mmol/l, Cl 104 mmol/l, Bic 21 mmol/l, BE -4 mmol/l, Glucose 3.9 mmol/l, Lactat 1.2 mmol/l Biberon de Normolytoral proposé (mais n'aime pas le goût d'après parents) : en l'absence de signes de déshydratation, après discussion avec les parents, ceux-ci préfèrent rentrer plutôt que d'essayer réhydratation aux urgences avec autre boisson. Bicytopénie • Anémie normocytaire, normochrome • Thrombopénie légère Bicytopénie (anémie et thrombocytopénie) connue Bicytopénie avec : • Anémie normocytaire normochrome avec une hémoglobine à 89 g/l • Thrombocytopénie à 103 G/l le 23.01.2019. Bicytopénie avec anémie normocytaire normochrome à 78 g/l et thrombopénie à 46 g/l le 27.01.2019 Bicytopénie avec • Anémie normocytaire normochrome d'origine mixte avec nadir à 83 g/L : spoliative sur hémorragie digestive haute avec carence en fer (cf Dx principal) carentiel : carence en acide folique • Thrombopénie secondaire à la splénomégalie Bicytopénie avec thrombopénie à 23 G/l et anémie arégénérative à 95 g/l d'origine indéterminée le 21.02.2019 • DD : leucémie, médicamenteux (Irfen) Bicytopénie avec thrombopénie persistante et leucopénie aiguë le 05.05.2017 avec : • Agranulocytose à 0.41 G/l le 08.05.2017 probablement sur infection au décours • Sortie d'agranulocytose le 09.05.2017. État fébrile récidivant sur probable bronchopneumonie le 05.05.2017 • Avec passage en agranulocytose transitoire le 08.05.2017 (1 jour). Status après hépatite A. Status après vaccination contre l'hépatite B avec anticorps HBs 281.6 UI/l le 18.07.2013. Cure d'hernie discale L5-S1 (1992) en Italie. Abcès péri-anal à 6h le 19.05.2017 • Intervention le 23.05.2017 : • Incision et drainage abcès péri-anal à 6h en PG avec contre-incision (fecit Dr. X et Dr. X) • Culture du liquide d'abcès : mise en évidence de 2 souches ESBL sensibles au Meronème. Constipation d'origine médicamenteuse sévère le 18.05.2017 • 5 jours sans selle sur consommation d'opiacés (jusqu'à 60 mg d'oxycontin) • Avec globe vésical. Bicytopénie connue avec : • Anémie normochrome normocytaire, hémoglobine à 98 g/l • Thrombocytopénie à 59 G/l Bicytopénie • Thrombocyte à 30 G/l • Anémie normocytaire normochrome Bicytopénie • Thrombopénie à 30 G/l • Anémie normocytaire normochrome hyporégénérative Bien que la patiente présente une amélioration des douleurs, nous retrouvons à l'examen clinique une importante douleur à la palpation des vertèbres L4-L5 + sacrés ainsi que des articulations sacro-iliaques, raison pour laquelle nous décidons de réaliser un CT. Bien que la symptomatologie soit très diffuse allant de la lombaire jusqu'aux orteils à gauche, la patiente présente un syndrome sacro-iliaque qui s'est chronicisé provoquant l'ensemble de la symptomatologie. Nous proposons donc dans un premier temps une antalgie per os avec Mydocalm et Co-Dafalgan. A cela, s'ajoutent des séances de physiothérapie à but antalgique centrées sur sa sacro-iliaque gauche. Nous organisons également une infiltration sacro-iliaque gauche ainsi qu'une ENMG au Neurocentre. Nous reverrons la patiente après ce geste et suite à l'examen.Bigéminisme d'origine indéterminée le 17/02/19. Bilan à discuter Bilan à organiser pour l'hématurie microscopique. Prise en charge ambulatoire. Bilan à prévoir Bilan à prévoir à distance de l'événement infectieux Bilan à réaliser en ambulatoire si pas déjà réalisé Bilan allergologique Bilan anémie Bilan anémie : vitamine B12, acide folique, ferritine et TSH dans la norme 1 CE le 07.02.2019 2 CE le 08.02.2019 en dialyse Bilan anémie : acide folique 2.9mmol/l, ferritine et B12 dans les normes Bilan anémie le 11.02.2019 : pas de carence en acide folique ou B12, pas de carence martiale. Suivi biologique en ambulatoire (Hb 109 g/l le 11.02.2019) Bilan anémie le 15.02.2019 : carence en acide folique et vitamine B12 Substitution acide folique po 1x/j pour 1 mois Substitution vitamine B12 im 1000 mcg/semaine pour 4 doses Suivi biologique Bilan anémie : vitamine B12 à la limite inférieure Surveillance biologique. Bilan anémique complet effectué lors de l'hospitalisation en décembre 2018 (bilan vitaminique dans la norme, coloscopie sans particularité) Transfusion d'un culot érythrocytaire le 7.2.19 Bilan angiologique à faire. Bilan angiologique des vaisseaux précérébraux Suivi par le Dr. X Bilan angiologique du 15.02.2019 : excellente vascularisation jusqu'en distalité au niveau de l'artère péronière et de l'artère tibiale postérieure ce qui va permettre une guérison de l'ulcère. Rx pied D f/p/o du jour : pas de signe d'ostéomyélite ni de réaction d'ostéite. IRM pied D du 19.02.2019 : pas d'ostéomyélite ni de collection en profondeur au niveau de l'ulcère. Bilan angiologique le 20.02.2019 : artères carotides commune, interne, externe sont perméables, parcourues par un flux physiologique. Athérome diffus, prédominant à la bifurcation, sans sténose. Artères vertébrales parcourues par un flux antérograde physiologique. Artères subclavières perméables ddc, parcourues par un flux triphasique symétrique. A. mammaires perméables, flux physiologique, mesurées à 3.3mm à D et 3.4mm à G. Repérage veineux des MI : GVS compressibles ddc, mesures selon schéma entre 1.1 et 4.5 mm à D et 1.1 et 4.5 à G. CT Triple rule out 20.02.2019 : Pas d'argument pour une dissection des vaisseaux pré-cérébraux ou de l'aorte. Pas d'embolie pulmonaire. Présence de quelques athéromes calcifiés à la bifurcation de l'artère coronarienne gauche (possible sténose à 50%) ainsi que sur le départ de l'IVA, sans occlusion clairement visible en distalité. L'examen cérébral ne montre pas de signe franc d'atteinte ischémique aiguë ou subaiguë, et pas d'importante hémorragie, sous réserve d'un examen réalisé uniquement après injection de contraste. Présence de quelques petits athéromes calcifiés des bulbes et des siphons carotidiens avec sténose d'environ 70% sur le segment clinoïdien de l'artère carotide interne gauche. Petit nodule de 3.5 mm dans le segment antérieur du lobe supérieur droit (suivi à 12 mois nécessaire seulement en présence de facteurs de risque pour une néoplasie pulmonaire d'après les recommandations de la Fleischner Society). Stéatose hépatique. Coronarographie le 20.02.2019 : Le tronc commun est de longueur normale, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure est de taille normale. L'artère interventriculaire antérieure proximale présente une lésion critique à 90-99 %, englobant l'origine de la première diagonale. L'artère interventriculaire antérieure moyenne présente une lésion sévère à 70-90 %, englobant l'origine de la seconde diagonale. L'ostium de la première diagonale présente une lésion sévère à 70-90 %. La première diagonale présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. L'artère circonflexe est une artère coronaire de taille normale. L'artère circonflexe proximale présente une lésion critique à 90-99 %, englobant l'origine de la seconde marginale. L'artère coronaire droite est de taille normale et dominante. L'artère coronaire droite moyenne présente une lésion sévère à 70-90 %. La ventriculographie gauche montre une normocinésie postéro-basale, diaphragmatique, apicale, antéro-latérale et antéro-basale. Les autres segments du ventricule gauche se contractent normalement. La fraction d'éjection du ventricule gauche a été calculée à 75% (en OAD). IRM 21.02.2019 : rapport en cours Bilan angiologique 15.02.19 : pas de TVP Co-amoxicilline du 15.02.19 au 19.02.19 Bilan atteinte d'organe : • Avis néphrologique (Dr. X) : Pas de corticothérapie tant qu'il n'y a pas d'insuffisance rénale ou corticothérapie selon indication dermatologique. Pas d'indication à biopsie rénale d'emblée en vue de fonction rénale non perturbée. • foie : labo s.p. • yeux : fond d'œil en ambulatoire • ORL : pas de saignement • digestif : calprotectine fécale le 1.02.2019 : 374 (positif) - à surveiller • cutané : biopsie cutanée (voir ci-dessus) suite : • fond d'œil le 13.02.2019 à 11h (Dr. X) • contrôle rhumatologique le 21.02.2019 Bilan au Neurocentre (merci de convoquer Mr. Y) Bilan biologique Bilan biologique. Bilan biologique : acidose métabolique avec bicarbonate à 15 mmol/l et lactates à 2.7 mmol/l avec compensation respiratoire (pCO2 3.7kPa), urée élevée à 13 mmol/l avec créatinine dans la norme, hyponatrémie et hypokaliémie légères Rota-Adénovirus dans les selles : Rotavirus positif Bilan biologique : annexé. CT abdominal du 02.02.2019 : examen compatible avec une cholécystite aiguë, sans lithiase radio-opaque décelée. Pas de dilatation des voies biliaires. Bilan biologique : annexé. CT abdominal du 29.01.2019 : examen compatible avec une pancréatite aiguë, présentant un score de Balthazar de 5-6. Pas d'évidence de complication des vaisseaux spléniques (thrombose/pseudo-anévrisme). Forte suspicion de stéatose hépatique. Bilan biologique : annexé. CT thoracique et RX thoracique du 01.02.2019 : plusieurs lésions bulleuses des deux apex pulmonaires, pouvant expliquer l'origine des pneumothorax spontanés du côté gauche. Pneumothorax résiduel actuellement drainé, sans signe de complication (pas d'hémothorax, pas de déviation du médiastin). RX thorax face 04.02.2019 : comblement minime du cul-de-sac costo-diaphragmatique de façon bilatérale en rapport avec les composantes d'épanchement pleural de faible abondance. On trouve une composante de pneumothorax résiduel apical gauche. Silhouette cardio-médiastinale en place. Bilan biologique : annexé. Sédiment urinaire : annexé. Uroculture du 19.02.2019 : 10E4. Staph. haemolyticus : quelques ; Staphylococcus epidermidis : quelques. Pas d'antibiogramme. Hémocultures du 19.02.2019 : négatives. Sérologies hépatites A/B/C : négatives. ECG : tachycardie sinusale et régulière à 125/minute, axe QRS à 80*, PR 140 ms, QRS 80 ms, QTc 472 ms, segment ST isoélectrique, onde T physiologique. Rx thorax du 19.02.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. CT abdominal du 19.02.2019 : examen mettant en évidence un aspect infiltré des espaces porte du dôme hépatique avec un parenchyme avoisinant hétérogène, compatible avec une cholangite. On visualise également une dilatation du canal cholédoque mesurée jusqu'à 13 mm, toutefois sans obstacle visualisé. Lésion hépatique d'environ 15 mm au niveau du segment IV dont les caractéristiques ne correspondent pas à un kyste, mais qui reste d'origine indéterminée.Cholangio-IRM native et injectée du 20.02.2019 : plages de signal hétérogène au niveau des segments VII et VIII, avec zone liquidienne centrale pouvant évoquer un foyer de présuppuration. Pas de signe d'angiocolite. Pas de signe de cholécystite. Kystes biliaires simples. CT-abdominal le 25.02.2019 : zone hypodense dans le segment 8 sous la coupole diaphragmatique, probable phlegmon. A suivre sur IRM le 11.03.2019. Bilan biologique: • A1-antitrypsine dans la norme • Sérologies HAV - infection ancienne, HBV négatif, HCV négatif, HEV négatif, HIV négatif, CMV négatif, EBV - infection ancienne • Sérologies auto-immunes (anticorps antinucléaires, anticorps anti-muscles lisses, anticorps anti-mitochondries): FAN limite • Electrophorèse des protéines: anomalie dans la zone IgG kappa et lambda • Bilan thyroïdien: TSH 0.201 mU/l, T3 basse et T4 libre normale US abdominal le 23.01.2019 Rx thorax le 23.01.2019 Biopsie transjugulaire hépatique le 29.01.2019 • Promed (P2019.1196): cirrhose hépatique micronodulaire, légèrement active avec stéatose macrovésiculaire modérée; image compatible avec une origine éthylique Solumedrol 32 mg IV le 23.01.2019, puis Prednisone 40 mg PO le 24.01.2019, stoppé le 25.01.2019 (fugue du patient) Konakion du 23.01.2019 au 25.02.2019 Avis gastro-entérologique (Dr. X) Proposition de vaccination contre l'hépatite B Contrôle TSH à 6 semaines (début mars) Contrôle électrophorèse des protéines à distance Suivi biologique 1x/mois auprès du médecin traitant (suivi fonction hépato-cellulaire et fonction rénale) US abdominal et AFP chaque 6 mois en hépatologie Bilan biologique : cf. annexes. Spot urinaire (suit). Hydratation. Bilan biologique : cf copies annexées. Hémocultures : positives pour E. coli. Urotube : négatif. ECG du 02.01.2019 à 21h20 : rythme sinusal régulier à 82/min, PQ à 162 msec. QRS à 80 msec, axe à 11°. Transition de l'onde R en V3. Ondes T négatives de V1-V3 avec sus-décalage isolé en V2 de 2 mm. QTc mesuré à 377 msec selon Bazett. ECG du 02.01.2019 à 22h20 : superposable au précédent avec diminution de l'amplitude des ondes T. ECG du 03.01.2019 : rythme sinusal régulier à 77/min, PQ à 166 ms, QRS à 80 msec, axe à 0°. Transition de l'onde R en V3. Onde T négatives de V1-V2 avec sus-décalage isolé en V2 de 1mm. QTc mesuré à 413 msec selon Bazett. RX thorax du 02.01.2019 : par rapport au 23 juillet 2018, apparition d'une opacité alvéolaire avec bronchogramme aérien dans la région rétrocardiaque, suspecte d'être un foyer de pneumonie. A droite, pas de foyer pneumonique visible. Cœur dans la limite supérieure de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Attitude scoliotique dextro-convexe de la colonne dorsale, connue et inchangée. Pas d'épanchement pleural. Rupture chronique de la coiffe des rotateurs à droite. RX thorax du 08.01.2019 : par rapport au comparatif du 02.01.2019, on constate un status post-mise en place d'une voie veineuse centrale sous-clavière droite avec extrémité dans l'oreillette droite. Cardiomégalie modérée en tenant compte de la position assise avec des troubles ventilatoires aux bases. Scoliose dorsale dextro-convexe. CT scan abdominal natif le 02.01.2019 : absence de comparatif. Hydrops vésiculaire sans épaississement de paroi à corréler à un ultrason. Cholédoque mesuré à 10 mm. Pas de calcul radio-dense visible le long des voies biliaires. Atrophie rénale droite avec dilatation des cavités pyélocalicielles et un pyélon mesuré à 16 mm sans calcul obstructif. Probable hypertrophie rénale compensatrice gauche associée à une discrète infiltration de la graisse péri- et para-rénale. Pas d'abcès profond intra-abdominal visible. Sur les quelques coupes passant par les bases pulmonaires, on note une fine lame d'épanchement pleural gauche associé à un infiltrat en verre dépoli aux deux bases devant faire suspecter une origine infectieuse (broncho-aspiration?) DD troubles ventilatoires. US abdominal du 07.01.2019 : cholécystite aiguë lithiasique, sans obstruction des voies biliaires intra-hépatiques. Bilan biologique : cf annexes. Hydratation aux urgences : 500 ml NaCl 0.9% iv. Traitement symptomatique. Suivi par un ORL pour investigation au vu des récidives. Bilan biologique : CRP 24 mg/l, leucocytes 11.3 G/l. Bilan biologique : CRP <5 mg/l, leucocytes 4.5 G/l, NT-proBNP 326 ng/l, Hb 119 g/l, créatininémie 124 µmol/l. Gazométrie : alcalose respiratoire avec PO2 élevée et PCO2 abaissée. RX de thorax : cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée. Épanchement pleural gauche avec atélectasie associée. Quelques épaississements bronchiques. Pas de signe net d'insuffisance cardiaque (Dr. X). Bilan biologique : Hb 147, Leuco 11.9 CRP<5, Créat 103 électrolytes dans les normes. Sédiment urinaire : hématurie ++++, leucocyturie +, pas de nitriturie/protéinurie. Bilan biologique : Hb 159 Leuco 7.4 CRP 6, créat 78 urée 5, Na 131 K 3.9, tests hépato-biliaires dans les normes, D-Dimères 446. Radiographie de thorax F/P : Cœur de taille à la limite supérieure de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Surélévation de l'hémicoupole diaphragmatique gauche dans sa partie latérale, mais pas d'évidence d'épanchement pleural sur le cliché de profil. Augmentation de la trame bronchovasculaire sous-hilaire droite avec des épaississements bronchiques, mais pas d'image typique de foyer pulmonaire. Hémocultures : en cours. Bilan biologique - sp Hémoculture - en cours Sondage urinaire - sp Prélèvement Grippe, RSV négatifs Bilan biologique. Test de la déglutition le 09.01.2019. Fluconazole 200 mg 1x/j du 10 au 13.01.2019. Bilan biologique AINS Co-Amoxicilline 80 mg/kg/j en 3 doses po Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures Bilan biologique. Antibiothérapie par Nitrofurantoïne 100 mg per os 2x/j du 22 au 30.01.2019. Bilan biologique. Arrêt hydratation parentérale par NaCl 0.9% le 16.01.2019. Hydratation parentérale par G5% 1500 ml/24h du 16 au 18.01.2019. Bilan biologique avec NTproBNP. Atrovent 0,25 mg. Pulmicort 0,5 mg. Temesta 1 mg. Seretide 250 2 bouffées aux urgences sous supervision. Instruction par rapport à la procédure correcte de l'inhalation des aérosols Seretide et Ventolin. Majoration du traitement de Seretide 250 à 2-0-0-2 pendant 1 semaine. Contrôle chez le médecin traitant fin de semaine prochaine avec adaptation de la posologie du Seretide, si nécessaire. Bilan biologique avec tests hépato-pancréatiques complets Deux paires d'hémocultures : à pister NaCl 0,9% 1000ml/24h Recherche de foyer : • Sondage aller-retour avec sédiment urinaire Bilan biologique: Cf Annexe (CRP 325, PCT 13,7) Echographie abdominale: (fait à l'extérieur): Cf annexe (appendice inflammé de 8mm avec du liquide libre, sans abcès) Bilan biologique. Cf. annexes. Rx thorax face/profil. Cf. annexes. Ibuprofène 400 mg 3x/jour pour 5 jours. Dafalgan 1 g 3x/jour en R pour 5 jours. Nexium 20 mg 1x/jour pendant 5 jours. Fluimucil 200 mg 2x/jour. Bexine sirop 1x/jour la nuit. Suites chez le médecin traitant. Bilan biologique. Cf. annexes. US doppler membre inférieur droit : thrombose superficielle. Arixtra 2,5 mg s.c. 1x/jour pour 45 jours. Hemeran crème 1% 2x/jour jusqu'à disparition de la thrombose. Arrêt de travail. Bilan biologique chez le médecin traitant. Colonoscopie sous anesthésie générale le 24.01.2019 - Dr. X. Surveillance post-polypectomie caecale.Bilan biologique: cholestase anictérique avec GGT à 78 UI/l et PAL 115 UI/l. Bilan biologique Contrôle clinique Echo cardiaque contrôle le 13.02.19 à 13:30 Bilan biologique: CRP 180, Leucocytose à 11.3 G/l Gazométrie: Hypoxémie 8.5 kPa ECG: Rythme électroentraîné, régulier tachycarde avec BBG Rx Thorax: pas de foyer infectieux, réorganisation importante de la trame bronchovasculaire Oxygénothérapie Aérosols: Atrovent Ventolin 3x/j Co-amoxicilline 2.2 g 3x/j Prednisone 30 mg dès le 15.02.19 Physiothérapie Respiratoire Bilan biologique. ECG. Oxygénothérapie 2 l/min. CT scan thoracique injecté. Eliquis 10 mg 2x/j débuté. Bilan biologique. ECG. Consilium neurologique le 16.01.2019 (Dr. X/Dr. X) : Hallpike positif à gauche parlant pour une origine périphérique vestibulaire gauche. Consilium ORL le 16.01.2019 (Dr. X) : pas de nystagmus lors du status. Le patient sera reconvoqué pour une vidéo head impulse test. Physiothérapie de mobilisation. Bilan biologique. ECG. Rx thorax le 31.12.2018. Hydratation par Ringer lactate 1000 ml/24h du 31.12.2018 au 01.01.2019. Beloc Zok 5 mg iv en ordre unique et Beloc Zok 50 mg per os en ordre unique le 31.12.2018. Beloc Zok 25 mg per os 1x/j dès le 02.01.2019. Bilan biologique: en annexe Bilan biologique et bilan anémique Transfusion d'un culot érythrocytaire le 12.01.2019 Hémofecatest : positif Pantozol 40 mg 2x/j pour 1 mois Colonoscopie et OGD à organiser par le médecin traitant si baisse de l'hémoglobine Bilan biologique et CT. Antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl pour 10 jours. Régime sans fibre strict. Contrôle à votre consultation le 04.03.2019. Coloscopie à 6 semaines. Bilan biologique et CT. Le 24.02.2019, Dr. X : incision, rinçage et drainage de l'abcès péri-anal situé à 12h00 en position gynécologique. Rinçage 2 x/jour par la lame ondulée. Retour à domicile avec la lame en place. Douches 4 x/jour. Rendez-vous pour contrôle à la consultation du Dr. X à l'HFR Billens le 01.03.2019 à 16h30. Bilan biologique et CT. Mise à jeun et hydratation intraveineuse. Contrôle clinique en fin de semaine à votre consultation. Bilan biologique et radiologique. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g iv/jour. Immobilisation par Splint-Ped. Thromboprophylaxie par Clexane 40 mg sc/jour. AINS. Bilan biologique et radiologique Prise en charge palliative complexe dès le 15.01.2019 Poursuite Letrozol 1x/jour et Zoladex (dernière administration le 11.02.2019) Bilan biologique et sédiment urinaire : cfr annexes. ECG : fréquence 56 bpm, rythme sinusal régulier, QRS fins, pas de trouble de la conduction, pas de trouble de la repolarisation. Bilan biologique et urinaire : annexé. Uro-CT : calcul de 6 mm à la sortie de l'uretère avec dilatation en amont à 1.3 cm du pyélon. Bilan biologique. Fluconazole 200 mg 1x/j du 17 au 19.01.2019. Bilan biologique. Frottis d'ulcère de la tête du 5ème métatarse droit du 07.01.2019 : Acinetobacter sp, résistant à la Ciprofloxacine RX avant-pied droit du 07.01.2019 : absence de signes d'ostéomyélite. Consilium angiologique - Dr. X - du 07.01.2019 : traitement des facteurs de risque cardio-vasculaire avec bonne antalgie pour éviter spasmes et évaluation de possibilité de traitement antiagrégant plaquettaire. Evaluer possibilité de greffe locale chirurgicale en absence d'amélioration Avis chirurgical - Dr. X : - le 11.01.2019 : nouvelle évaluation le 15.01.2019 pour éventuelle greffe hétérologue. Pansements chaque 2 jours. - le 15.01.2019 : ajout protocole par Plurogel pommade, nouvelle évaluation à 7 jours. Co-Amoxicilline 1,2 g iv le 04.01.2019 (dose de charge), puis 600 mg iv 2x/jour du 04 au 07.01.2019. Antalgie par Morphine 3 mg sous-cutané max 3x/j (selon fonction hépatique) puis Oxynorm 5 mg en réserve avant soins de plaie et mobilisation. Suivi en stomathérapie. Bilan biologique: FSC+ CRP: pas de syndrome inflammatoire, thrombocytose à 511, Lc normaux, pas de déviation gauche Bilan biologique: FSC=Lc à 4,7, Plq:124, sans déviation gauche+CRP<0+Fonction rénale alignée + CK= 3.454, ASAT, ALAT: alignées Gazométrie: pas d'acidose métabolique, pas de signes de déshydratation, électrolytes en ordre Bilan biologique, gazométrie Hémoculture en cours Sondage urinaire eo Prélèvement Grippe, RSV nég Bilan biologique. Glycémie au doigt: 13 mmol/l. Correction de l'hypocalcémie et de l'hyponatrémie. Traitement causal du syndrome inflammatoire. Suivi clinique. Bilan biologique: Hb 140, Tc 243, LC 6.6, CRP négatif. USTV: utérus AVF dde avec aspect d'adénomyose et endomètre fin et régulier de 3.5 mm, pas de liquide libre au douglas ni péri-annexiel, ovaire D de 28x17 mm et ovaire G de 21x17x28 avec aspect SOPK. Stix urinaire: sang++ (contamination à cause des règles) TG: négatif Frottis bactériologie vaginale: en cours Bilan biologique. Hémocultures. Urotube. ECG. RX thorax. CT scan abdominal. US abdominal. Avis chirurgical - Dr. X : - le 02.01.2019 : tableau clinique compatible avec une gastroentérite bactérienne en décours. Ad CT abdominal afin d'exclure toute indication chirurgicale. Antibiothérapie par Flagyl et Rocéphine - le 08.01.2019: au vu du tableau de cholécystite aiguë, reprise double couverture antibiotique par Flagyl et Rocéphine durant 10-12 jours. Pas d'indication opératoire à moins que complications et absence de réponse à l'antibiothérapie car le patient refuse toute chirurgie à l'heure actuelle. Hydratation parentérale le 02.01.2018 par NaCl 0.9% 2 l/30 min, NaCl 0.9% 1 l/2h puis NaCl 0.9% 1 l/24h jusqu'au 11.01.2019. Antibiothérapie par : - Rocéphine 1 g iv 1x/j du 02 au 06.01.2019 - Metronidazole 500 mg iv 3x/j du 02 au 03.01.2019 - Ciprofloxacine 500 mg per os en ordre unique le 07.01.2019 puis 250 mg per os en ordre unique le 08.01.2019 (absence d'accès veineux) - Métronidazole 500 mg per os 3x/j du 07 au 08.01.2019, puis iv du 08 au 18.01.2019 - Rocéphine 2 g iv 1x/j du 08 au 18.01.2019. Pose de voie veineuse périphérique du 08.01 au 19.01.2019. Suivi en nutrition clinique. Physiothérapie. Consultation ambulatoire chirurgicale avec Dr. X le lundi 18.02.2019 à 14h30. Bilan biologique Hémocultures 2 paires Gazométrie en AA ECG Rx thorax CT thoracique injecté Hydratation aux urgences 1000 ml/4h puis 1000 ml/24h Oxygénothérapie 2 l/min aux urgences Antalgie Hospitalisation en lit d'observation aux urgences Avis oncologique Dr. X: hospitalisation en médecine interne HFR hôpital cantonal pour investigations et suivi oncologique rapproché Biopsie ganglionnaire et corticothérapie à discuter avec Dr. X Bilan biologique. Hémocultures. Avis chirurgical du Dr. X le 31.12.2018. CT abdominal le 31.12.2018 (US non disponible) US abdominal haut le 07.01.2018. Antibiothérapie par : - Rocéphine 2 g iv 1x/j du 31.12.2018 au 06.01.2019 - Flagyl 500 mg 3x/j du 31.12.2018 au 04.01.2019 - Co-amoxicilline 1 g per os 3x/j du 08 au 10.01.2019. Régime pauvre en graisse. Consultation ambulatoire chirurgicale avec Dr. X à prévoir pour cholecystectomie élective. Bilan biologique. Hémofecatest. IPP 40 mg. Acide folique 1 cp pendant 1 mois. Ferinject 1000 mg le vendredi 25 et le lundi 28.01.2019. Bilan biologique. Hydratation NaCl 0.9% 1000 ml le 04.01.2019. Resonium 15 g le 04 et le 14.01.2019. Reprise traitement par Spironolactone 50 mg 1x/j dès le 09.01.2019. Bilan biologique IRM cérébral et de la moelle le 16.01.2019 Avis radio-oncologique (Dr. X) et oncologique (Dr. X) - Radiothérapie 12 x 2.5 Gy du 18.01.2019 au 04.02.2019 au niveau D10 / queue de cheval Adaptation de la Dexaméthasone - majoration de 8 mg à 12 mg dans un premier temps - puis sevrage progressif en l'absence de bénéficeBilan biologique: Lc 10.4 G/l, CRP 60 mg/l Rx thorax (couché/comparatif debout): pas de foyer, pas de signes de surcharge, cardiomégalie Gazométrie 1er sous 4 L O2 lunettes: pH 7.11, pCO2 12.7 kPa, pO2 11.4 kPa, Bic 29 mmol/l Gazométrie après VNI à 7h00: pH 7.30, pCO2 7.8, pO2 9.6, lactates 2.6 Gazométrie à 13: pH 7.26, pCO2 2.81, pO2 7.7, lactates 1.6 Échec de VNI à 13h00 et de toute ventilation au masque VNI Oxygénothérapie (5 L aux lunettes) Solumedrol 125 mg dès le 17.02.19 Pantoprazol 40 mg iv NaCl 0.9 % 500 ml/24 h Transfert aux SI de Payerne, pour manque de place à Fribourg pour soutien respiratoire Bilan biologique (Lc 15.6 G/l, sans élévation de CRP). Buscopan. Bilan biologique: Lc 21.8 G/L avec déviation G, CRP 199. ASAT 20, ALAT 12, LDH 443, PA 45, GGT 35, Bili tot 16.2, Bili dir 6.6, Amylase 37, Lipase 15. Cr 218, Na 128, K 3.9, osmolalité 283 Sédiment urinaire: cylindres granuleux/hyalins +++, Lc 6-10/champ, GR 6-10/champs, Prot quelque CT abdominal natif: épaississement pariétal du côlon ascendant, avec infiltration de la graisse au contact, compatible avec une colite au vu du contexte clinique. Pas de signe de complication décelé, sous réserve de l'absence d'injection de produit de contraste. Bilan biologique le 01.02.18: cf annexes. ASP le 05.02.2019: Répartition normale des clartés digestives, sans signe d'iléus ni de coprostase. Pas d'opacité anormale. Ostéocondensation diffuse de l'ensemble des vertèbres, de l'hémi-sacrum gauche et de l'aile iliaque gauche correspondant vraisemblablement à des métastases ostéocondensantes avec atteinte également de l'extrémité proximale du fémur. Bilan biologique le 25.01.2019 Taux de Lévétiracétam et phénobarbital: largement infrathérapeutique pour le Lévétiracétam <0.4 ug/ml (norme 20-40); Phénobarbital 23.2 umo/l (norme 43.1-172.4 équivalente à posologie double) CT cérébral "Time is Brain" le 25.01.2019 IRM neurocrâne le 28.01.2019 EEG le 28.01.2019 Séjour aux soins intensifs du 25.01-26.01.2019 • Intubation oro-trachéale du 25.01.2019 au 26.01.2019 • Cathéter artériel radial droit du 25.01.2019 au 26.01.2019 • Sonde vésicale du 25.01.19 au 26.01.2019 Consilium neurologique le 26.01.2019 Poursuite du traitement antiépileptique habituel Reclassement en attente d'une réadaptation gériatrique à l'HFR Tavel/Tafers le 01.02.2019 Bilan biologique. Nexium 40 mg iv, Ulcar 2 sachets, Novalgine 1 g iv, Primperan 10 mg iv, Voltarène 75 mg iv, Morphine 2 mg iv. US abdominal. IRM hépatique. Antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl. ERCP le 18.02.2019: tentative d'extraction de deux concréments du canal hépatique commun qui échoue à cause d'un cholédoque trop étroit. Papillotomie. Mise en place d'un stent de polyéthylène. Cholécystolithiase multiples. ERCP prévue le 04.03.2019, avec consultation pré-anesthésique le 01.03.2019 à 09h40, HFR Riaz. Contrôle clinico-biologique à la policlinique de chirurgie le jeudi 28.02.2019. Bilan biologique. OGD le 10.01.2019. Brufen en suspens dès le 09.01.2019. Pantozol 40 mg 2x/j. Bilan biologique: pas d'argument pour infection bactérienne Sédiment urinaire: pas d'IU Bilan biologique pour suivi de la natrémie la semaine prochaine. Bilan biologique prévu le 18.02.2019 selon consilium neurologique Bilan biologique. Recherche de sang occulte dans les selles le 10.01.2019. Transfusion d'un culot érythrocytaire le 15.01.2019. Transfusion de fer en ambulatoire. Bilan biologique régulier en oncologie (la patiente recevra une convocation). Prochain cycle de chimiothérapie prévu le 04.03.2019 (la patiente recevra une convocation). Consultation auprès de Dr. X, nutritionniste et la diététicienne prévue le 04.03.2019 (lors de la chimiothérapie). OGD à rediscuter selon évolution de l'anémie. Bilan biologique RX colonne thoraco-lombaire le 23.01.2019. Bilan biologique. Rx thorax le 31.12.2018. IRM du neurocrâne le 04 et le 08.01.2019. Angio scanner thoraco-abdominal le 15.01.2019. Bilan ophtalmologique - Dr. X - le 09.01.2019. Biopsie de l'artère temporale gauche - Dr. X - le 11.01.2019. Antalgie par Oxycontin/Oxynorm puis par Dafalgan en réserve. Prednisone 40 mg dès le 11.01.2019 avec protection gastrique par Pantozol 40 mg 2x/j. Prophylaxie par Bactrim 3x/semaine. Calcimagon 1x/j. Suivi immunologique par Dr. X le 01.02.2019 à 08h15. Densitométrie osseuse le 06.02.2019 à 13h30 (La Tour de Trême). Bilan biologique. RX thorax. US abdominal. Sondage urinaire dès le 04.01.2019. Hydratation parentérale par NaCl 0.9 % puis Glucosalin 1000 ml/24 h jusqu'au 15.01.2019. Poursuite traitement habituel par Duphalac 20 ml 3x/j avec majoration à 30 ml 3x/j. Reprise traitement habituel par Spironolactone 50 mg 1x/j dès le 09.01.2019. Reprise traitement par Torasemide 10 mg dès le 16.01.2019 à dose progressive majorée jusqu'à 40 mg. Albumine 20 g 2x/j dès le 17.01.2019 Konakion 2 mg le 04, le 18 et le 20.01.2019. Bilan biologique. Substitution en potassium per os. Bilan biologique. Uricult - E. Coli 10E6 R Gentamycine et Ciprofloxacine Hémocultures - positives pour E. coli. Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv. Bilan biologique, urinaire et CT. Traitement conservateur, physiothérapie de mobilisation. Thromboprophylaxie. Antalgie. Bilan biologique, urinaire, ultrasonographique et CT. Hémoculture: E. coli sensible. Le 23.02.2019, Dr. X: mise en place d'une sonde double J. Antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour du 23 au 25.02.2019, puis relais per os par Ciproxine 2 x 500 mg/jour du 26.02 au 06.03.2019, puis 1 x 500 mg/jour jusqu'au 11.03.2019 inclus. Ablation de la sonde vésicale le 25.02.2019. Rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X le 11.03.2019, avec réévaluation de l'antibiothérapie prophylactique. Bilan biologique. US thyroïde le 15.01.2019. Euthyrox 0.025 mg 1x/j dès le 16.01.2019. Bilan biologique 16.02.2019: Hb 156, tests hépato-pancréatiques dans les normes, Créat 35 Sédiment urinaire 16.02.2019: absence d'hématurie Radiographies jambe D F/P: pas de lésion osseuse traumatique visualisée Bilan biologique Acidum Folicum 5 mg 1x/jour Vitamine B12 1000 mg 3x/semaine pendant 2 semaines Bilan biologique Antigènes urinaires: absents Radiographie du thorax en position couchée Atrovent 0.25 mg, Ventolin 2.5 mg, Pulmicort 0.5 mg aux urgences Traitement par Ceftriaxone Hospitalisation en gériatrie aiguë HFR Riaz Rocéphine 1 g en intraveineux dès le 31.01.2019 (au vu du poids) Atrovent 0.25 mg 4x/jour en fixe et 4x/jour en réserve Ventolin 2.5 mg 2x/jour en fixe et 4x/jour en réserve Pulmicort 0.5 mg 2x/jour en fixe Fluimucil 200 mg 3x/jour Physiothérapie respiratoire Oxygénothérapie limitée à 2 l/min aux lunettes Prednisone 50 mg/jour durant 5 jours dès le 01.02.2019 NT-proBNP le 01.02.2019: 17'451 ng/l Spiriva dès retour à domicile Évaluation par Dr. X pneumologue en ambulatoire Bilan biologique. Avis Dr. X, chirurgien, le 17.01.2019: • pas d'indication chirurgicale au vu de l'absence de douleur ou d'écoulement purulent • un changement de PEG pourrait être envisagé par la suite, mais si pas de blocage de sonde, la laisser en place sans geste • Ad éventuellement un transit pour évaluer la perméabilité de l'œsophage afin d'anticiper un changement de PEG. Soins de PEG selon protocole du patient Bilan biologique Colchicine pendant 5 jours Bilan biologique. Contrôle à votre consultation en fin de semaine. Nous vous laissons le soin d'instaurer un traitement hypolipémiant. Bilan biologique. Contrôle biologique 6 mois. Bilan biologique. CT scan abdominal natif le 02.01.2019. Hydratation parentérale par NaCl 0.9 % jusqu'au 11.01.2019. Sondage urinaire du 02 au 10.01.2019. Bilan biologique CT scan cérébral sédiment urinaire Culture urinaire prélevée le 24.02.2019 : à pister Bilan biologique. Culture de selles. Recherche de C. difficile. Dosage calprotectine. Avis Dr. X. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 06 au 10.02.2019 • Flagyl 500 mg 3x/j iv du 06 au 10.02.2019 Poursuite traitement habituel par Pentasa 3 g, Entocort 6 mg. Stop Entocort le 07.02.2019 et introduction de Solumedrol 62.5 1x/j avec Nexium 40 mg iv jusqu'au 11.02.2019 et Periolimel 500 ml/24h jusqu'au 10.02.2019. Hydratation par 1500 ml/24h jusqu'au 10.02.2019. Culture de selles et recherche Clostridium difficile. Reprise Entocort 9 mg 1x/j dès le 12.02.2019. Première dose de Remicade le 20.02.2019 à 09h30 à l'Hôpital de Jour. Bilan biologique. Culture d'expectorations. ECG. RX thorax. Oxygénothérapie. VNI refusée par le patient le 14.01.2019. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin d'office et en réserve durant le séjour. Prednisone 40 mg 1x/j du 14 au 18.01.2019. Antibiothérapie par : • Céfépime 2 g iv 2x/j du 14 au 15.01.2019 • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 16 au 22.01.2019. Physiothérapie respiratoire. Poursuite physiothérapie respiratoire habituelle à l'HFR Billens 1x/semaine. Bilan biologique. ECG. Hémocultures. Culture d'expectorations. Traitement bronchodilatateur par : • Atrovent, Ventolin, Pulmicort aux urgences. Surveillance en lit d'observation aux urgences. VNI personnelle pour la nuit. Atrovent 0.25 4x/j en fixe et 4x/j en réserve. Ventolin 0.125 mg 4x/j en fixe et 0,25 mg 4x/j en réserve. Pulmicort 0,5 mg 2x/jour Prednisone 50 mg 1x/jour du 04 au 05.02.2019. Bi-PAP le jour aussi : iPAP 21 cmH2O et ePAP modifiée de 7 à 8 cmH2O Tazobac 4.5 g iv Suivi par Dr. X, pneumologue (la patiente serait candidate pour un traitement par valves pulmonaires). Bilan biologique ECG Echocardiographie le 15.02.2019 (Dr. X) Proposition d'effectuer un test d'effort à distance Bilan biologique. Ergothérapie. Suivi nutritionnel. Physiothérapie. MMS : pas réalisable pour l'instant. GDS : pas réalisable pour l'instant. Bilan biologique. Expansion volémique. Bilan biologique Gazometrie art. le 15.02.2019 : paO2 et PaCO2 diminués légèrement, pH normal Culture d'expectoration le 12.02.2019 : pas de germe pathogène Recherche antigène Pneumocoque et Legionelle dans les urines le 12.02.2019 : négative CT thorax le 11.02.2019 : consolidation base pulmonaire droite compatible avec pneumonie ou infarctus pulmonaire sur embolie pulmonaire ancien Bilan biologique. Gazométrie. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Legionelle et pneumocoque. RX thorax couché. Oxygénothérapie. Atrovent 0,25 mg 2x et Pulmicort aux urgences CT scan thoraco-abdominal injecté. Bilan biologique Hémocultures Radiographie du thorax de face Antigènes urinaires : positifs pour pneumocoque Atrovent, Ventolin et Pulmicort Oxygénothérapie Expansion volémique NaCl 0.9% Rocéphine 2 g intraveineux du 02.02.2019 au 09.02.2019, puis reprise de l'antibiothérapie le 11.02.2019 jusqu'au 17.02.2019 Klacid 500 mg 2x/jour les 03.02.2019 et 04.02.2019 Bilan biologique. Hydratation. Insuline. Hospitalisation en lit d'observation aux urgences. Bilan biologique. Hydratation iv. Transfert à Marsens unité Hermes. Bilan biologique. Hydratation par Glucosalin 1500/24h. NaCl 0.9% 1000 ml/24h. Bilan biologique. Isoket spray 1 push. Nifedipine 20 mg retard 1 comprimé. Amlodipine 5 mg 1 comprimé. Radiographie thorax face. Cf. Annexes. Augmenter Amlodipine à 10 mg 1x/jour au traitement habituel. Contrôle chez son médecin traitant. Bilan biologique Majoration du traitement de 112.5 mcg à 125 mcg/j Contrôle à 6 semaines par le médecin traitant Bilan biologique. NaCl 0.9% 500 ml aux urgences puis 1500 ml/24h. Mise en suspens de la Metformine. Suivi biologique. Bilan biologique Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Tests de la cognition du 10.02.2019 : MMSE à 28/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 1/15 Bilan biologique Radiographie du thorax couché Torasémide en suspens Lasix 20 mg intraveineux (administré à la clinique de jour) à l'admission Sonde vésicale avec bilan entrée-sortie Lasix 20 mg intraveineux 4x/jour jusqu'au 14.01.2019 Relais par 40 mg de Torem et 2.5 mg de Métolazone À partir du 25.01.2019 : 40 mg de Torem et 50 mg de spironolactone Bilan biologique Radiographies bassin et hanche gauche Radiographie genou gauche US parties molles membre inférieur gauche Xarelto en suspens, Héparine 5000 U 2x/jour jusqu'au 16.01.2019, puis reprise Xarelto le 17.01.2019 Suivi biologique et clinique avec mobilisation en charge selon douleurs Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 15.01.2019 au 22.01.2019, avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 15.01.2019 : MMSE à 20/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 7/30 Bilan biologique Recherche sang occulte dans les selles : positif à 3 reprises Substitution en fer et acide folique p.o. pour 2 mois Pantozol 20 mg/j poursuivi Suivi biologique : Hb de sortie à 107 g/l le 28.01.2019 Bilan biologique Resonium Bilan biologique Restriction hydrique à 1.5 l/j Capsule NaCl 500 mg 3x/j TSH dans la norme Bilan biologique. Restriction hydrique. NaCl 0.9% 1000/24h le 31.01.2019. 40 mEq K iv le 31.01.2019. KCl 30 mmol 3x/j dès le 01.02.2019 (incapable d'avaler aux urgences). Mg iv 8 mmol le 31.01.2019 puis Magnesiocard 1x/j. Gluconate de calcium 5 mmol/1 heure puis stop et re-mesurer Ca2+. Aldactone 50 mg per os dès le 01.02.2019 si éveillée. Bilan biologique. RX du nez : suspicion d'une fracture non déplacée de l'OPN. Appareillage dentaire (Dr. X). Bilan biologique. RX pied droit le 16.01.2019. Avis orthopédique, Dr. X : • Colchicine 1 mg 1x/j du 16 au 17.01.2019, puis 0.5 mg 2x/j du 17 au 24.01.2019 • immobilisation par attelle Spleenpod • suivi biologique et orthopédique à 48h avec suivi de l'évolution • pas de ponction articulaire nécessaire. Antalgie par Oxycontin et Oxynorm. Physiothérapie de mobilisation. Bilan biologique Sédiment urinaire : cylindres granuleux/hyalins +++ Hydratation parentérale par NaCl 0.9% 4L/8h puis 1000/12h aux urgences Bilan biologique Sédiment ECG Pas d'hémocultures si état fébrile (selon avis Dr. X) Bilan biologique Sédiment RX thorax Bilan biologique. Soins de confort. Bilan biologique Stix-sédiment-spot urinaire Bilan biologique. Substitution orale en potassium. Bilan biologique. Suivi biologique. Bilan biologique. Suivi biologique de la fonction thyroïdienne à 4 - 6 mois. Bilan biologique Suivi chez le médecin traitant Bilan biologique. Suivi en nutrition clinique. Adaptation des repas et enrichissement par suppléments nutritifs oraux. Bilan biologique. Suivi en nutrition clinique. Enrichissement et adaptation des repas. Albumine 20 g 2x/j dès le 17.01.2019. Konakion 2 mg le 04, le 18 et le 20.01.2019. Bilan biologique. Uricult : en cours PCR urine (Chlamydia, Gonocoque) : en cours. US testiculaire : le testicule gauche mesure 43 x 28 x 26 mm. Le testicule droit mesure 42 x 26 x 17 mm. Le parenchyme testiculaire est homogène, symétrique. Pas de lésion focale parenchymateuse testiculaire. Lame d'hydrocèle à gauche. Net agrandissement de la tête de l'épididyme à gauche qui mesure environ 15 mm de diamètre. La tête de l'épididyme droite mesure 4,7 mm. Le cordon spermatique gauche est nettement agrandi, hyperéchogène, douloureux au passage de la sonde. Le diamètre maximal du cordon spermatique gauche est d'environ 21 x 32 mm. Pas d'image d'enroulement ou de torsion de ce cordon spermatique. L'écho-Doppler couleur est symétrique pour les deux testicules. Le Doppler pulsé est symétrique, avec des vitesses faibles, <10 cm/seconde (faible qualité du Doppler pulsé des deux côtés). CONCLUSION : les deux testicules sont symétriques, avec un parenchyme homogène.Aspect nettement épaissi de l'épididyme et en particulier de la tête de l'épididyme gauche ainsi que du cordon spermatique faisant évoquer en premier lieu une épididymite avec funiculite à gauche. Lame d'hydrocèle gauche dans ce contexte. A droite, testicule, cordon spermatique et épididyme sans particularité (Dr. X). Bilan biologique US hépatique Contrôle biologique le 11.02.2019 : diminution progressive des paramètres hépatiques Bilan biologique. 40 mEq K iv/24h. Kcl retard 30 mmol en ordre unique aux urgences puis 30 mmol 3x/j. K effervette 3x/j dès le 08.02.2019. Bilan cardiaque en électif. Bilan cardiologique à prévoir : échocardiographie Bilan carentiel (fer, B12, folates) dans la norme, TSH normale Suivi biologique Bilan carentiel (vitamine B12, folates, ferritine) dans la norme Recherche de sang dans les selles : le 11.02.2019, 2/3 négatives Transfusions • seuil transfusionnel Hb < 80 g/l 1 CE le 02.01.2019 1 CE le 07.02.2019 Att : • avis Dr. X : pas de nécessité d'effectuer bilan endoscopique d'emblée. Seuil Hb avant RAD = 90-100 g/L • suivi FSS en ambulatoire Bilan clinique, radiologique et CT. IRM lombaire. Antalgie. Contrôle clinique à la consultation Team Spine de l'HFR Fribourg à 14 jours du traumatisme. Bilan complémentaire à discuter Bilan d'allongement TP à réaliser. Bilan d'anémie Bilan d'anémie : déficit en fer de 1300ml Hémofécatest : positif Pantozol 40mg 2x/j Transfusion d'un culot érythrocytaire les 12.01.2019 et 22.01.2019 Ferinject 500mg le 15.01.2019, puis suivi chez le médecin traitant Bilan d'anémie : pas de déficit en fer, ni en acide folique et en vitamine B12 Hémofécatest : positif Stop Aspirine Cardio Pantozol 40mg 2x/j Suivi chez le médecin traitant Bilan d'anémie à prévoir Bilan d'anémie le 30.01.2019 : ferritine 257 ug/l ; vit. B12 645 pg/ml ; acide folique 2.5 ng/ml) Substitution acide folique Bilan de chute Bilan de chutes à effectuer en gériatrie. Bilan de gestose aligné Profil tensionnel avec hypertension post-partale Introduction de Trandate 200 mg 2x/j Bilan de gestose lors de l'hospitalisation : ci-joint US endovaginal 01.02.2019 : utérus sp, endomètre 10 mm, doppler négatif. Bilan de la crase CT thoracique le 25.01.2019 Héparine thérapeutique le 25.01.2019 Relais pour clexane thérapeutique le 26.01.2019 Relais pour Xarelto le 30.01.2019 (sur avis neurologique) Bilan de PE aligné Trandate 200mg 2/j Bilan de troubles mnésiques Bilan de troubles neuropsychologiques suite à l'ACR probable le 06.02.2019 Bilan déglutition Adaptation du régime à haché-fin Bilan déglutition Conseil et traitement diététique Bilan d'extension : • CT thoraco-abdominal le 07.02.2019 • Scintigraphie osseuse le 07.02.2019 • Biopsie foie sain et nodule suspect de CHC le 06.02.2019 (Dr. X) Nouvelle présentation au tumor board des pathologies digestives Rendez-vous chez Dr. X à l'HFR Riaz, le 14.02.2019 à 14h30 Bilan diabète : ad HbA1c Suivi des glycémies. Bilan diététique à prévoir Bilan diététique. Adaptation des repas. Maintenir 1 supplément nutritif oral par jour. Bilan diététique. Adaptation texture et enrichissement alimentaire. Bilan diététique. Bilan ORL pour dysphagie le 18.02.2019 chez le Dr. X. Bilan diététique Suivi par nutrition clinique Bilan diététique Suivi par service de nutrition Bilan diurèse. Bilan diurèse Lasix en bolus le 13.02.19 Réévaluer indication à anticoagulation Contrôle du pacemaker le 18.02.2019 à l'étage Bilan effectué chez le médecin traitant le 08.02.2019. Réassurance. Majoration de l'antalgie avec Tramadol gouttes. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs dans 3 jours. Critères de gravité menant à une reconsultation aux urgences communiqués à la patiente. Bilan endocrinien et vitaminique. Ferinject 500 mg le 01.02.2019. Bilan entrée sortie Bilan et suivi biologique. Bilan et suivi biologique. Bilan et suivi biologique. Hydratation parentérale le 15.01.2019 par NaCl 0.9% 500 ml sur 3h, puis 1500 ml/24h et 1000 ml/24h jusqu'au 16.01.2019. Bilan et suivi biologique. Transfusion de 4 culots érythrocytaires durant le séjour. Euthyrox 0.025 mg 1x/j dès le 16.01.2019. Bilan et suivi biologique. Hydratation parentérale par NaCl 0.9% jusqu'au 16.01.2019. Torasémide en suspens du 04 au 15.01.2019. Bilan et suivi biologiques. Hémocultures (négatives). Antigène urinaire (négatif). Culture d'expectorations (négative) RX thorax. Antibiothérapie : • Co-Amoxicilline adaptée à la fonction rénale du 19 au 21.02.2019 • Rocéphine adaptée à la fonction rénale du 21 au 22.02.2019 • Piperacilline Tazobactam adaptée à la fonction rénale du 22 au 24.02.2019. Bilan et suivi biologique. Stimulation hydratation per os. Diminution de la posologie de la Colchicine dès le 22.01.2019 avec arrêt le 24.01.2019. Bilan ferrique Bilan Vitamine B12 et acide folique Sang occulte dans les selles Transfusion de 2 CE le 08.02.2019 Bilan ferritin + Hb le 05.02 Bilan gazométrie/électrolytes/fonction rénale Hospitalisation à Marsens Bilan glycémique Metformine 500mg 1x/j depuis le 05.02.2019 Schéma Insuline Humalog en réserve Bilan gynécologique en urgence. Bilan hématologique Avis Dr. X Contrôle chez le pédiatre si persistance de symptômes Bilan hépatique Bilan hépatique Bilan hépatique, rénal, pancréatique eo. Bilan urinaire eo. US abdominal eo, pas de liquide libre. Bilan hépatique une semaine après la sortie de l'hôpital. Vu un traitement de secours par Co-Amoxicilline depuis longue date avec des germes du tract digestif (résistant au Co-Amoxicilline), nous proposons de répéter la culture des expectorations dans le cas d'une nouvelle infection respiratoire. Bilan hépatique Consilium psychiatrique Bilan neuropsychologique Bilan hydrique Bilan hydrique Sonde naso-gastrique du 06.02 au 08.02 20cc/kg sur 1h de Normolytoral Bilan hydrique Surveillance des tétées : double pesée Bilan infectieux Bilan inflammatoire : dans la norme US abdo : appendice de 6mm (limite supérieure) au niveau de la pointe, pas de ggl Bilan inflammatoire : stabilisation du léger syndrome inflammatoire depuis les dernières 48 heures avec CRP =6 sans leucocytose (CRP à 9 le 22.02 avec légère Lc) Pour rappel : echo abdominale faite le 24.02 avec appendice à 6 mm sans liquide libre Bilan inflammatoire Avis chirurgical : Dr. X Bilan laboratoire le 28.01.2019 : Hb 132 g/l, Lc 8.4 G/l, CRP <5 mg/l US mammaire le 28.01.2019 : • masse polylobée, bien délimitée à contenu mixte en partie solide et en partie kystique, mesurant en totalité 28 mm, située dans le pli sous-mammaire gauche à la jonction entre les quadrants interne et externe, avec une composante tissulaire à l'intérieur de la masse qui est hypoéchogène et mesure 16x10 mm • petit nodule externe, d'échogénéité tissulaire (hypo-échogène) mesurant 6x6 mm • pas d'autre masse ou adénopathie suspecte mise en évidence Mammographie le 31.01.2019 : masse du pli sous-mammaire gauche visible que partiellement à considérer comme maligne avec biopsie, multiples kystes bilatéraux, possible mastite plasmocytaire RX thorax le 28.01.2019 : pas de masse tumorale, pas d'épanchement pleural CT abdomen et bassin le 28.01.2019 : masse polylobée du pli sous-mammaire gauche dont les composantes tissulaires démontrent une prise de contraste intense et homogène, pas d'autres lésions suspectes.Pathologie le 31.01.2019 (Argot Lab 19H1625) : prolifération papillaire encapsulée évoquant en premier lieu un carcinome papillaire Analgesie Physio- et ergothérapie Bilan laboratoire le 28.01.2019 : NT-proBNP <60 ng/l, Prot. 60.8 g/l, Alb. 42.2 g/l, valeurs hépatiques et rénales dans la norme CT abdomen et bassin le 28.01.2019 : pas de collection liquidienne, pas de masse intraabdominale Adaptation des laxatifs Bilan laboratoire ECG le 07.01.2019 : RSR 80/min, axe normal, PR 130 ms, QRS avec BBD incomplet, ST isoélectrique, QTC 473 ms Schellong le 08.01.2019 : négatif Haldol diminué à 6 mg/j le 07.01.2019, et à 4 mg/j le 21.01.2019 Bilan le 06.02.2019 avec : • vitamine B12 à > 2000 pg/ml • acide folique à 5.9 ng/ml • TSH à 2.170 mU/l Substitution en acide folique Transfusion d'un culot érythrocytaire le 05.02.2019 Suivi clinique et biologique Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Consultation neurovasculaire de contrôle le 14.05.2019 à 9h Bilan lipidique et Hb glyquée le 23.02.2019 (HIB Payerne) : en cours Atrovastatine, Lisinopril et bêta-bloquant dès le 23.02.2019 Titration à effectuer par le médecin traitant Bilan lipidique perturbé • cholestérol 6,2 mmol/l, LDL-C 4,45 mmol/l, HDL-C 1,89 mmol/l, TG 0,85 mmol/l Bilan métabolique sanguin et urinaire Avis Dr. X (métabolicien Inselspital Bern) Bilan neurologique au Neurocentre (merci de convoquer la patiente) Prochain contrôle pour discuter des résultats Bilan neuropsy en ambulatoire le 21.02.19 à 13h30 à Riaz, puis aptitude à la conduite à réévaluer chez le MT Bilan biologique chez le MT avec contrôle de l'Hb et de la créatinine. Adaptation du dosage du Torem chez le MT en fonction de l'évolution biologique et clinique Bilan neuropsychologique Bilan neuropsychologique : afin d'affiner le diagnostic, il serait indiqué de réaliser une IRM cérébrale et de revoir le patient pour un bilan d'évolution à distance en cas de sevrage pour rendre compte de l'évolution des troubles Attitude : • projet double : inscription EMS + UATO, rediscuter réévaluation neuropsychologique après quelques semaines de sevrage pour évolution des troubles • IRM cérébrale à rediscuter Bilan neuropsychologique à effectuer en ambulatoire. Bilan neuropsychologique de suivi le 30.01.2019 Colloque de famille le 31.01.2019 Transfert en Frailty Care le 05.02.2019 Bilan neuropsychologique de suivi le 30.01.2019 Dosage homocystéinémie le 07.02.19 Vitamine B12 1000 mg 2x/semaine dès le 08.02.19 Prévoir dosage homocystéinémie en ambulatoire fin mars - début avril et adaptation du traitement par vitamine B12 Bilan neuropsychologique en ambulatoire le 20.02.2019 à 13h 00 à Billens. Contrôle clinique auprès du médecin traitant dans une semaine. Bilan neuropsychologique en ambulatoire le 21.02.19 à 13h30 à l'HFR Riaz Aptitude à la conduite à réévaluer chez le médecin traitant Bilan neuropsychologique le 06.02.2019 Bilan neuropsychologique le 21.01.19 et le 14.02.19 MOCA 22/30 21.01.19 Ergothérapie Interdiction à la conduite automobile, à réévaluer à la sortie de Meyriez Neuroréhabilitation intensive à Meyriez le 15.02.19 Bilan neuropsychologique non effectué en raison de la courte durée de séjour Bilan neuropsychologique 22.01.13. • MMS : score de 24/30 < centile 5 (seuil = 24.7, normes GRECOGVASC) avec perte de 3 points en orientation temporelle, d'1 point au rappel des 3 mots, à l'ordre complexe et à la copie de la figure. • capacité de discernement quant à la prise en charge médicale semble compromise. Demande de curatelle par la fille de la patiente RDV avec juge justice de Paix le 29.01.19 Bilan nutrition Suivi et adaptation avec suppléments nutritifs Bilan nutritionnel Bilan nutritionnel Adaptation de l'alimentation par sonde nasogastrique Bilan nutritionnel. Observation. Bilan nutritionnel. RX thorax. US abdominal. Suivi nutrition clinique. Bilan nutritionnel. Suppléments nutritifs. Bilan ORL à la consultation du Dr. X le 01.02.2019 à 07h 45. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 13.02.2019 à 15h15 Oesogastroduodénoscopie agendée le 14.02.2019 à 11h30. Consultation pré-anesthésique agendée le 07.02.2019 à 15h00. Bilan osseux en ambulatoire. Prochaines séances de brachythérapie les 22.02 à 9h00 et 27.02.2019 à 9h30, transports à organiser. Bilan par CT. Bilan par CT : pas d'hématome ni lésion post-traumatique. Surveillance neurologique aux 4 heures. Bilan par CT. Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv/jour et Metronidazole 3 x 500 mg per-os/jour du 04 au 06.02.2019, puis relais par Ciprofloxacine 2 x 500 mg/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour per-os à poursuivre jusqu'au 13.02.2019 inclus. Nous vous laissons le soin d'organiser une coloscopie dans 6 semaines. Bilan par CT. Avis ORL et chirurgien maxillo-facial : • pas de mouchage • antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour jusqu'au 25.02.2019 inclus. • rendez-vous à la consultation du Dr. X à 1 semaine du traumatisme • contrôle ophtalmologique à 1 semaine du traumatisme (le patient prendra rendez-vous) à l'HFR Fribourg. Bilan par CT. Surveillance neurologique. Bilan par CT. Surveillance neurologique aux 4 heures. Bilan par CT. Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv/jour et Metronidazole 3 x 500 mg iv/jour du 12 au 15.02.2019, puis relais per-os par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour et Klacid 2 x 500 mg/jour jusqu'au 03.03.2019 inclus. Nexium 2 x 40 mg/jour jusqu'au 30.03.2019 inclus. Sonde nasogastrique du 12 au 13.02.2019. Nutrition entérale dès le 14.02.2019. Contrôle clinico-biologique à la policlinique de chirurgie le 21.02.2019 à 14h30. OGD de contrôle organisée pour le 04.04.2019 avec consultation pré-anesthésique le 26.03.2019 à 13h30. Bilan par CT. Suivi biologique. Traitement conservateur par mise à jeun et hydratation intraveineuse. Contrôle clinique et biologique à votre consultation la semaine de la sortie. Bilan par CT. Surveillance clinique. Bilan par CT. Surveillance clinique. Antalgie. Bilan par CT. Surveillance neurologique. Bilan pour douleurs thoraciques y compris ECG, Radio thorax, Bilan cardiologique, Avis Dr. X (cardio pédiatre) Antalgique avec Paracétamol. Bilan radio-clinique et biologique. Pansement écossais. Bilan radiologique : Bassin face, hanche droite axiale : Coxarthrose bilatérale. En regard de la zone de charge, il y a encore du cartilage avec l'espace intra-articulaire encore bien visible. Genou droit : Présence d'une chondrocalcinose avec calcification des 2 ménisques et plusieurs ostéophytes parlant pour une arthrose débutante. Néanmoins l'interligne articulaire est encore bien ouverte. Bilan radiologique : Bassin face, hanche droite axiale : La fracture est guérie. Le clou est en place. Pas de descellement. Bilan radiologique : Bassin face, hanche gauche axiale : Composante prothétique en place. Il s'agit d'une prothèse type ASR métal-métal. Potentielle zone de lyse dans la zone de charge de la prothèse en regard du cotyle. Bilan radiologique : Bassin face, hanche gauche axiale et Lauenstein : Comparés aux clichés du 15.1.2018, on note une progression importante de l'arthrose. Maintenant la tête du fémur touche directement le cotyle. Il n'y a plus de couche cartilagineuse dans la zone de charge. Bilan radiologique + CT. Le 11.02.2019, Dr. X : ponction de la hanche droite et test SynovaSure : bactério nég à 2 jours, hématies +++, débris +, éléments 4400/mm3, polynucl 79%, mono/macroph 9%, lymphoc 13%, cristaux 0. SynovaSure test négatif. Transfert à l'HFR Fribourg, département d'orthopédie, opération prévue pour le 15.02.2019 par Dr. X.Bilan radiologique : Epaule gauche face neer : La fracture est guérie. Le matériel d'ostéosynthèse est en place. Bilan radiologique : genou D face/profil : matériel en place. Fracture guérie, pas de déplacement secondaire. Bilan radiologique : Genou gauche face profil et axial : Signe de gonarthrose mais pas de lésion osseuse visualisée. L'espace intra-articulaire reste encore bien ouvert, un peu plus usé du côté interne. Bilan radiologique : Longs axes et genou gauche face et profil : La fracture est guérie. Les MI sont normo-axés. Pas de signe d'arthrose. En regard de l'ostéosynthèse, les vis distales dépassent la corticale du côté interne pouvant être la raison des douleurs présentes chez Mme. Y. Bilan radiologique : pas de fracture. Après anesthésie locale, désinfection et champage classique : exploration de plaie sans retrouver d'atteinte de structure noble, pas de capsulotomie, rinçage abondant et suture de plaie par Ethibond 5.0. Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5 g iv en ordre unique aux urgences. Status antitétanique à jour. Immobilisation par attelle Edimbourd jusqu'à cicatrisation. Bilan radiologique. Antalgie. Physiothérapie musculo-squelettique. Bilan radiologique. Antalgie simple. Bilan radiologique bassin face hanche G axiale : bonne ostéointégration de la prothèse, pas de signe de descellement. Bilan radiologique bassin face, hanche G axiale : pas de descellement prothétique. Composante en place. Bilan radiologique cheville D face/profil de ce jour : la fracture est guérie, pas de déplacement secondaire, le matériel est en place. Bilan radiologique. Cytoponction. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g iv/jour pendant 5 jours. Bilan radiologique de ce jour : Métacarpe I face profil : Le matériel d'ostéosynthèse est en place. La fracture est guérie. Pas de déplacement secondaire. Bilan radiologique de l'épaule D et du coude D du 04.02.2019 : pas de lésion osseuse visualisée. IRM native de l'épaule D du 14.02.2019 : tendinopathie du tendon du muscle sus-épineux sans rupture complète. Hypersignal parlant en faveur d'une inflammation en regard de l'intervalle des rotateurs avec une lame de liquide autour du tendon du long chef du biceps qui est bien situé dans sa gouttière. Probable bursite sous-acromio-deltoïdienne. Bilan radiologique et CT. Antalgie. Bilan radiologique et CT. Physiothérapie. Contrôle radiologique le 25.02.2019. Avis Team Spine, HFR Fribourg : consultation à 2 semaines. Bilan radiologique genou D face/profil de ce jour : pas de descellement prothétique, bonne position des composantes prothétiques. Bilan radiologique genou G face/profil, rotule axiale : pas de lésion osseuse visualisée. Bilan radiologique, genou G face/profil, rotule axiale : pas de lésion osseuse visualisée hormis une exostose débutante dans la partie proximale du péroné d'allure bénigne. Bilan radiologique le 25.01.2019 avec avis Dr. X, Orthopédie, HFR Fribourg. Physiothérapie de mobilisation. Charge totale avec moyens auxiliaires dès le 29.01.2019. Un bilan à 3 mois est organisé pour le 12.03.2019 à 09h15, HFR Fribourg. Bilan radiologique main D face/profil oblique : fracture guérie, matériel en place. Pas de déplacement secondaire. Bilan radiologique poignet G face faux profil : la fracture est guérie, matériel en place. Pas de déplacement secondaire. Bilan radiologique. Rücksack. Contrôle radiologique de l'épaule droite à 1, 2 et 6 semaines de la fracture. Bilan radiologique, ultrasonographique et CT. Antalgie. Bilan radiologique. Physiothérapie de mobilisation et à but antalgique (9 séances). Si persistance des douleurs, la patiente prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X, chirurgien orthopédique. Bilan radiologique. Physiothérapie de rééducation à la marche en charge selon douleurs. Antalgie. Bilan RX de ce jour : déplacement secondaire de l'ostéosynthèse. La styloïde radiale s'est déplacée vers radial et dorsal. Ct scan de ce jour - bilan préopératoire : déplacement secondaire de l'ostéosynthèse du radius distal gauche. Bilan RX du genou gauche de 2012 : on voit déjà une usure du compartiment fémoro-tibial interne et de moindre degré, rétro-patellaire. Bilan RX du 09.02.2019 : genou droit : patella alta, arthrose fémoro-patellaire avancée. Le reste du bilan radiologique est normal. Bilan RX genou droit face/profil, rotule axiale : status post implantation de prothèse totale de genou. Présence d'un petit notching en regard de la composante fémorale postérieure, la prothèse montre un petit overhang. La composante du plateau tibial a une taille correcte. La rotule n'a pas été resurfaçée. Ct scan, longs axes, schéma lyonnais : différence de longueur de jambres + 1,5 cm du côté opéré. Pas de défaut de rotation. Bilan sang 10.02.2019 : Na, urée et créatinine normales. Gazométrie 09.02.2019 : alcalose respiratoire compensée : pH 7.50 (N : 7.35-7.43), pCO2 3.6 kPa (N : 4.9-7.7) pO2 7.9 kPa (N : 4.6-6.6 kPa) BIC 21 mmol/l (N : 23-27), EB -2.6 mmol/l (N : -2-3), Glucose 7.2 mmol/l (3.33-5.55). Bilan sanguin Bilan sanguin : Absence de syndrome inflammatoire avec CRP < 5, leucocytes 20.1 g/L Hémoculture à pister Traitement par amoxicilline 100mg/kg/j en 3 doses IV et gentamicine 4mg/kg/dose 1x/j IV du 19.02.2019 au 20.02.2019 Surveillance clinique Bilan sanguin : Absence de syndrome inflammatoire Radiographie de thorax : Absence de foyer. Rapport définitif à pister Bilan sanguin Antibiothérapie du 2.02 au 24.02.19 Rx thorax 22.02 : Foyer supérieur droit Amoxicilline 80mg/kg/j po du 21.02 au 23.02 Amoxicilline 150 mg/kg/j iv du 23.02 au 24.02 Bilan sanguin : bilan hématologique, hépatique, rénal aligné, gazométrie : alignés EEG dans les limites des normes (effectué lors de la consultation neuropédiatrique programmée) Bilan sanguin : bilan hépatique et rénal aligné, CK 1289 U/L, Gazométrie sans acidose métabolique, pas de Lc ni déviation gauche, CRP < 0 Bilan sanguin : Bilan rénal, hépatique et pancréatique aligné. Formule sanguine complète alignée hormis leucocytes 11.2 G/l, lymphopénie à 18 %. CRP 8mg/l. Bilan sanguin : bili totale à 280, bili directe à 6.4, FSC en ordre, groupe sanguin B+, test de Coombs négatif Bilan sanguin capillaire : Pas de syndrome inflammatoire, hyperéosinophilie, CRP < 5 mg/l, pas de leucocytose (11.6 G/l), pas de déviation gauche, eosinophilie à 1.45 G/l (12.5%), ALAT à 47 U/l, ASAT hémolysé. Bilan sanguin : cf annexe Bilan sanguin : cf annexe ECG : Rythme électro-entrainé, régulier tachycarde avec BBG Rx Thorax : cf annexe Rx thorax : cf annexe Bilan sanguin : cf annexe, hémoculture en attente Bilan sanguin : cf annexe Babygramme du 19.02 : Silhouette cardio-médiastinale dans la norme avec augmentation de la bandelette para-trachéale droite en rapport avec le thymus. Pas de foyer pulmonaire constitué et pas d'épanchement pleural. Importante distension gastrique mais avec aération physiologique des intestins grêles. Discrète coprostase intéressante notamment le côlon descendant. Pas de pneumopéritoine. Bilan sanguin : cf annexe Bilan urinaire : cf annexe Bilan sanguin : cf annexe Bilan urinaire : cf annexe Radiographie du thorax du 26.02 : infiltrats broncho-alvéolaires diffus, pas de pneumothorax ou de collection liquidienne Bilan sanguin : cf annexe Bilan urinaire : cf annexe Ultrason des voies urinaires : Examen dans les limites de la norme Bilan sanguin : cf annexe Echographie cervicale du 14.02 : Mise en évidence d'une masse sous-mandibulaire droite, d'aspect échogène et hétérogène mesurant 27 x 13 x 21 mm, avec mise en évidence d'un signal doppler témoignant d'une vascularisation. IRM cervico-thoraco-abdominale du 15.02 : Épaississement fusiforme du muscle sterno-cléido-mastoïdien droit, d'une épaisseur maximale de 21 mm, de signal hétérogène en pondération T2 (principalement hyper-T2, iso-T1, avec un rehaussement homogène de tout le muscle après injection de gadolinium) et compatible avec un fibromatosis colli.Absence d'adénopathie cervicale. La séquence T2 passant par le thorax et l'abdomen supérieur ne met pas en évidence de lésion suspecte, notamment aucunes lésions surrénales. Bilan sanguin: cf annexe Radiographie du thorax: en ordre Bilan sanguin: cf annexe Radiographie du thorax: épaississement broncho-alvéolaire Bilan sanguin: cf annexe Radiographie du 16.01.2019 : non-interprétable Radiographie du 17.01.2019 : Comparatif du 16 février 2019. Amélioration de la ventilation pulmonaire des deux plages, prédominante à gauche, avec disparition de l'opacité mise en évidence le 16 février 2019. Pas de pneumothorax, ni d'épanchement pleural. Silhouette cardio-médiastinale de morphologie normale. S/p en place d'une sonde nasogastrique, de position correcte, se terminant en sur-projection de l'estomac. Le cadre osseux et les tissus mous se présentent normalement. Bilan sanguin Consultation chez Dr. X EEG Poursuite suivi pédopsychiatrique Bilan sanguin: CRP < 5 mg/l, pas de leucocytose, pas de déviation gauche, thrombocytose à 477 G/l US abdominal: appendice avec taille dans la norme. Pas de signes indirects pour une appendicite Bilan sanguin: CRP < 5 mg/l, pas de leucocytose (12 G/l), pas de déviation gauche, thrombocytose à 437 G/l Bilan sanguin: CRP < 5 mg/l, pas de leucocytose (8.2 G/l), pas de déviation gauche, thrombocytose à 430 G/l, vitesse de sédimentation 28 mm/h. US hanche gauche: absence d'épanchement intra-articulaire des deux hanches. Pas d'anomalie des parties molles péri-articulaires. Pas d'anomalie de la région inguinale gauche. Pas d'anomalie de la hanche droite. Radiographie bassin + hanche gauche f/p: pas d'anomalie visible. Bilan sanguin: CRP < 5, pas de leucocytose, anémie microcytaire hypochrome, hémoglobine à 104 g/l Ultrason abdominal: pas de signes pour une invagination, appendice visualisé de taille normale, pas de liquide libre Bilan sanguin: CRP < 5, pas de leucocytose, CK à 71 U/I, thrombocytose à 372 G/l US de l'hanche (aux urgences pédiatriques). pas d'épanchement visible, symétrique Bilan sanguin: CRP < 5, pas de leucocytose. Gazométrie: alignée, glucose 5.6 mmol/l, lactate 1.1 mmol/l. Bilan sanguin: CRP à 41 mg/l, leucocytose à 21.9 G/l, pas de déviation gauche, lymphocytose 55% (12.15 G/l), monocytose à 9.5% (2.08 G/l) Avis ORL: cf consilium US cervicale par ORL: pas d'abcès, pas de signes pour phlegmon Bilan sanguin: CRP à 54 mg/l, pas de leucocytose 10.9 G/l, neutrophilie à 9.09 G/l, pas de déviation gauche. Bilan sanguin: CRP à 74, leucocytose à 20, pH à 7.24 avec acidose métabolique. Bilan sanguin: CRP négative, pas de leucocytose, thrombocytose à 495 G/l Radiographie du thorax: épaississement péri-bronchique diffus (rapport définitif à pister) Bilan sanguin: CRP 11 mg/l, leucocytose à 17.1 G/l, neutrophilie à 12.23 G/l, thrombocytose 393 G/l (cf annexes) IRM le 26.02.2019: examen nettement incomplet de qualité sous-optimale car la patiente est très algique, agitée et n'a pas voulu continuer après seulement 2 acquisitions (axiale T1FS et sagittale T2) qui présentent multiples artefacts de mouvement. Dans ce contexte, on visualise un probable petit abcès péri-anal localisé entre 8 et 11H et mesurant environ 17 x 8 mm sur le plan axial, en hyposignal T1 et en hypersignal T2. Il y a un petit trajet fistuleux à 8H passant médialement et caudalement à travers la graisse de la fosse ischio-anale et s'extériorisant à droite du pli interfessier, sans qu'un passage inter- ou transphinctérien ne puisse être identifié. Sous réserve des conditions de l'examen, il n'y a pas d'autre collection visible, notamment dans le pelvis. Bilan sanguin: CRP 16 mg/dl. Pas de rétention de CO2. Bicarbonates abaissés à 20 mmol/l. Le bilan sanguin ne parle pas en faveur d'une infection bactérienne Bilan sanguin: CRP 28 mg/l, leucocytes et thrombocytes dans la norme pour diagnostic différentiel de pneumonie Bilan sanguin: CRP < 5 mg/l, pas de leucocytose (5.6 G/l), pas de déviation gauche, lymphopénie à 7.5% (0.42 G/l) Radiographie thorax f: bronchite, pas de foyer. Bilan sanguin: CRP < 5 mg/l, pas de leucocytose Radiographie jambe gauche f/p: fracture motte de beurre tibia et péronée distale gauche Radiographie hanche gauche: pas de lésion osseuse visible Bilan sanguin: CRP < 5, pas de leucocytose, thrombocytose à 362 G/l, CK dans la norme Bilan sanguin: CRP 7 mg/l, pas de leucocytose, CK dans la norme Bilan sanguin: CRP 8 mg/l Bilan sanguin: diminution du syndrome inflammatoire avec CRP à 11 et VS à 19 avec leucocytose à 16.3 et thrombocytose à 568 G/l Bilan sanguin effectué en raison de l'asymétrie à l'auscultation et avant introduction d'antibiothérapie pour l'otite moyenne aigue pour valeur de comparaison en cas de péjoration. CRP basse à 8 mg/l Bilan sanguin: en annexe Bilan sanguin: équilibre acido-basique avec pH 7.36, PCO2 4.8 kPa, lactates 3.4 mmol/L et bicarbonates 20 mmol/L Bilan sanguin et urinaire VVP glucosalin 2:1 1500 ml/24h du 04.02. au 05.02.2019 Avis cardiologique: Dr. X, échocardiographie normale Bilan sanguin Gazométrie capillaire Bilan urinaire Bilan sanguin (gazométrie, CRP, FSC) Stix urinaire Ponction lombaire le 19.02 Hémoculture le 19.02 Frottis RSV Amoxicilline et Gentamicine 4 mg/kg 1x/j du 19.02 au 20.02 Bilan sanguin journalier: avec amélioration de tous les paramètres. Bilan sanguin: Lc 4.2, Plq: 61 G/l (contrôlé sur frottis), Rétic: 104 g/l PCR EBV: en cours (prélevée le 26.02) Bilan sanguin le 30.01. (chez le pédiatre): CRP 2.86 mg/l, leucocytose à 17.3 G/l, granulocytose à 85.2% Bilan sanguin le 31.01. (chez le pédiatre): CRP à 27.95 mg/L, leucocytose à 13.9 G/l, granulocytose à 88.5% Ultrason du 31.01.19: (Affidea): aspect échographique d'appendicite (taille 5.5-6.7 mm) avec petite réaction d'adénite satellites, sans image de collection adjacente Histologie: cf. annexes Bilan sanguin: lipase /amylase Pas de prise de paracétamol Contrôle clinique chez le pédiatre demain Bilan sanguin: pas de leucocytose, CRP et PCT négatives. Discrète thrombocytose Bilan sanguin: pas de leucocytose, CRP et PCT négatives. Discrète thrombocytose Bilan sanguin: pas de leucocytose, CRP 53 Bilan sanguin: pas de leucocytose ni syndrome inflammatoire important avec gazométrie alignée Analyse des selles: Rota, Adeno en cours US abdominal complet (25.02) : ganglions augmentés en taille et nombre dans le mésentère et en fosse iliaque droite, épaississement léger de la paroi du côlon. Sans autres anomalies. US abdominal complet (26.02): examen centré en fosse iliaque droite, avec mise en évidence de l'appendice d'aspect normal, mesuré à 3 mm d'épaisseur, sans liquide libre au contact. L'étude du côlon ne montre pas d'épaississement de la paroi. Celui-ci est distendu avec des matières fécales. Pas de liquide libre. On retrouve des ganglions augmentés en taille et en nombre, superposables à l'examen de la veille. Bilan sanguin: pas de syndrome inflammatoire, pas d'hémolyse, insuffisance rénale avec créatinine à 180 umol/l (Schwarz à 59 ml/min), hyperkaliémie à 5.2 mmol/l, reste des électrolytes en ordre, complément C3 /C4 normal, protéinémie et albuminémie dans la norme. IgA élevées à 5.3 g/l, PTH: 78 ng/L, FAN, ANCA, ASLO: négatif. Sérologie: analyse parvovirus IgM négatif, IgG positif. Urines: hématurie glomérulaire, protéinurie principalement à albumine (>80%), rapport sédiment, natriurèse, kaliurèse, protéine/créatinine, protéine, albumine. Electrophorèse des protéines, Béta N acétyl glucosaminidase : albumine 0.8 g/L, Alpha 1 0 g/L (1%), Alpha 2 0.1 g/l (5%), beta 0.2 g/LImagerie US rénal 01.02 : hyperéchogénicité corticale rénale plus marquée à droite, pas d'abcès, pas de caillot vésical ni de dilatation des voies urinaires. Echographie doppler rénal 01.02 : pas d'argument direct ou indirect pour une sténose ou occlusion artérielle ou veineuse rénale. • Bilan sanguin : présence de thrombopénie à 30 G/L passant à 16 G/L, reste de l'analyse sans particularité • Bilan sanguin. • Spot urinaire • Restriction hydrique 1000 ml/24h • Hydratation avec 1000 ml Nacl/24h • Suivi biologique • RAD avec restriction hydrique à 1500 ml par jour • Bilan sanguin. • Substitution per os • Suivi biologique. • Bilan sanguin. • Suivi biologique. • Bilan sanguin. • Suivi biologique. • Bilan sanguin : syndrome inflammatoire avec CRP 101, leucocytose. Bilan hépatique et pancréatique aligné. • Stix urinaire sans signe pour infection urinaire. • US abdominal : pas d'argument pour une cholécystite, appendice non visualisé. • CT : adénite mésentérique. • Antalgie par dafalgan et algifor. • Ulcar 1g • Bilan sanguin : syndrome inflammatoire modéré avec CRP à 46 mg/l, pas de leucocytose. • Gazométrie : pH 7.44, Bicarbonates 21 mmol/l. Lactates 0.8. Trou anionique 10. • Bilan sanguin : 3 lignées correctes avec réticulocytes en ordre. • Bilan d'hémostase en cours. • Bilan sanguin. • Avis onco-hématologie au CHUV Dr. X, contact 079 556 72 54. • Bilan sanguin. • Avis ORL (Dr. X) • US cervicale (par ORL) • Co-Amoxicilline 50 mg/kg, soit 550 mg aux 8h p.o. • Floxal 0.3% gouttes. • Triofan bébé et rinçage du nez. • Paracétamol et Ibuprofène. • Médecine anthroposophique. • Contrôle chez ORL (veulent aller au CHUV) dans 48h. • Bilan sanguin. • Bilan urinaire. • Bladder Scan : 84ml. • Uro CT - Calcul de 3mm de la jonction urétéral-vésical avec dilatation pyélo-calicielle en amont (pyélon 19mm) et infiltration de la graisse périrénale en amont. • Bilan sanguin. • Bilan urinaire. • Strepto A Test. • Traitement symptomatique. • Reconsulter chez pédiatre si persistance de la fièvre dans 48h. • Bilan sanguin. • Freka clyss. • Movicol 1-2 sachets jusqu'à des selles molles. • Contrôle chez le pédiatre dans 1-1.5 semaines pour suite de prise en charge. • Bilan sanguin. • Olfen Patch. • Contrôle chez pédiatre dans 2-3 jours. • Bilan sanguin. • Radiographie thorax. • Ventolin 2 pushs 2-4x/jour. • Betnesol 0.25 mg/kg/j, soit 3.5 mg pendant 3 jours. • Ibuprofène et Paracétamol au besoin. • Contrôle chez le pédiatre si persistance des difficultés respiratoires dans 48h-72h. • Bilan sanguin. • Rx tibia f/p. • Avis orthopédique (Dr. X). • Arnica gel. • Antalgie. • Contrôle clinique + FSC, CRP dans 48h aux urgences pédiatriques. • Bilan sanguin. • Sédiment urinaire. • Urotube en cours. • Ultrason abdominal. • Consilium gynécologique. • Antalgie en réserve. • Reconsulter en cas d'état fébrile ou de fortes douleurs. • Bilan sanguin. • Strepto A test négatif. • Traitement symptomatique. • Médecine anthroposophique. • Reconsulter si péjoration de l'état général. • Bilan sanguin. • Substitution par voie orale déjà en place. • Suivi biologique. • Bilan sanguin. • Substitution par voie orale. • Suivi biologique. • Bilan sanguin. • Substitution. • Suivi biologique. • Bilan sanguin. • Traitement symptomatique. • Arrêt de sport pendant 1 semaine. • Contrôle chez pédiatre si persistance des douleurs dans 1 semaine. • Bilan sanguin. • US abdominal. • Avis chirurgical (Dr. X). • Antalgie au besoin. • Contrôle clinique + FSC + CRP dans 24h. • Bilan sanguin. • US hanche. • Radiographie hanche gauche. • Avis infectiologue pédiatrique (Dr. X). • Antalgie. • Contrôle aux urgences pédiatriques dans 48h avec bilan sanguin. • Bilan somatique en vue d'une hospitalisation psychiatrique. • Bilan urinaire : leucocyturie, hématurie, flore microbienne. • Bilan urinaire : Lc 21-40/champs, Ec 3-5, flore bactérienne ++. • Bilan sanguin : CRP < 5 mg/l, pas de leucocytose, bilan rénal sp. • Ultrason abdominal : pas de dilatation pyélocalicielle, vessie vide, appendice pas visualisé, ovaires pas visualisés, pas de liquide libre. • Consilium gynécologique : pas d'argument gynécologique. • Bilan urinaire (mi-jet) : pas d'argument pour infection urinaire. • Bilan sanguin : CRP 59 mg/ml, pas de leucocytose (9.6 G/l), Thrombocytose à 384 G/l. • Ultrason abdominal : appendice dans la norme, pas de liquide libre, beaucoup de gaz, pas de ganglions mésentériques visualisés. • Bilan urinaire (mi-jet). • Urotube en cours. • Bilan sanguin. • Ultrason abdominal. • Cefpodomexef 8 mg/kg/dose 2x/jour pendant 5 jours. • Antalgie au besoin. • Contrôle dans 48h aux urgences pédiatriques si persistance des symptômes. • Bilan urinaire négatif. • Bilan sanguin négatif. • Bilan urinaire : pas d'argument pour infection urinaire. • Bilan sanguin : CRP < 5 mg/l, pas de leucocytose, pas de déviation gauche, Lymphopénie 22.3 % (2.14 G/l), Thrombocytose 363 G/l avec micro-coagulation. • Strepto A test négatif. • Bilan urinaire : pas d'argument pour infection urinaire. • Hémato-chimique : CRP 11 mg/ml, pas de leucocytose (10.3 g/l), Lymphopénie 15.6 %, Neutrophilie à 73.5 %. • Bilan urinaire : pas de glucosurie, corps cétoniques urinaires, pas de signes infectieux. • Bilan sanguin : pas de signes infectieux, hormis une légère thrombocytose, fonction rénale/hépatique/pancréatique sans signes pathologiques. • Gazométrie : alignée, pas de signes de déshydratation. • Bilan urinaire : pas de signes pour infection. • Ultrason testiculaire : dans la norme, pas de signes pour torsion testiculaire, pas de signes pour épididymite, pas de signes pour torsion des hydatides. • Avis chirurgical : après discussion avec Dr. X, Antalgie et contrôle dans 24h. • Bilan urinaire : pas d'hématurie. • Bilan urinaire (sachet) : Leucocytes incomptables, nitrites positifs, EC < 3/champ, flore bactérienne +, corps cétoniques +++. • Bilan sanguin : CRP 124 mg/l, pas de leucocytose (9.9 G/l), Thrombocytose à 423 G/l. • Gazométrie : légère alcalose respiratoire, pH 7.47, pCO2 4.5 kPa, Bicarbonates 25 mmol/l, excès de base 0.8 mmol/l, Lactate à 0.9 mmol/l, électrolytes sp, glucose 4.4 mmol/l. • Bilan urinaire (sachet) : pas d'argument pour une infection urinaire. • Bilan urinaire (sondage) : infection urinaire (c/f laboratoire). • Urotube en cours (sondage). • Bilan urinaire (sondage) : pas d'argument pour une infection urinaire. • Bilan urinaire. • Ultrason testiculaire. • Avis chirurgical. • Antalgie. • Contrôle dans 24h aux urgences pédiatriques. • Bilan urinaire. • Uriculte en cours. • FSC, CRP, gazo. • Podomexef 8 mg/kg aux 12h pendant. • Paracétamol et Ibuprofène au besoin. • Contrôle chez le pédiatre dans 48h. • Bilan urinaire. • Urotube en cours. • Nopil (TMP-SMX) 5 mg/25mg/kg, soit 52mg/260mg aux 12h pendant 5 jours. • Antalgie au besoin. • Contrôle chez pédiatre dans 48h. • Bilan VIH et syphilis négatif. • MMS : 27 pts, test de l'horloge : 7/7. • Mise en place de soins à domicile. • Bilan vitaminique. • Bilan vitaminique. • Bilan vitaminique. • Bilan vitaminique : B12 et folate dans la norme le 26.02.2019. • Pseudohypothyroïdisme TSH 6.48 mU/ml, T4 normal. • Bilan vitaminique : B12 et folate dans la norme. • Electrophorèse des protéines dans la norme. • TSH 5.46, T4 : 13. • Proposition : Pister Sérologie syphilis. • Bilan vitaminique à réaliser. • Bilan vitaminique dans la norme. • A recontrôler en ambulatoire. • Bilan vitaminique et thyroïdien le 15.02.2019. • Electrophorèse des protéines le 15.02.2019. • Bilan vitaminique (folates, B12) et TSH demandés pour le 15.02. • Bilan vitaminique s.p. • Ferritine élevée. • Bilan vitaminique. • Physiothérapie et réhabilitation à la marche. • Ergothérapie. • Bilan nutritionnel. • Bilans sanguins : syndrome inflammatoire modéré avec CRP à 72 mg/l et Procalcitonine 0.91 ug/l, sans leucocytose avec déviation gauche à 38.5% (3.04 G/l), vitesse de sédimentation 57mm/h. Cf Annexe. • Gazométrie : légère alcalose respiratoire (pH 7.45, pCO2 4.6 mmol/l, Bicarbonates 24 mmol/l, Excès de base 0.3 mmol/l, Lactate 0.8 mmol/l, Glucose 6.8 mmol/l. • Hémoculture : négative à J5. • Bilan urinaire : pas d'argument pour infection urinaire. • Radio thorax 19.02.2019 : Silhouette cardio-médiastinale de morphologie normale. • Status post-mise en place d'une sonde nasogastrique, de position correcte, se terminant en surprojection de l'estomac. • Épaississements bronchiques diffus bilatéraux. • Le parenchyme pulmonaire se présente normalement, sans signe de foyer infectieux. • Pas d'épanchement pleural. • Structures osseuses sans particularité.Frottis influenza: positif pour A Bilans sanguins en annexe Bilans sanguins en annexe Bilans sanguins: en annexe • US 14.02: GENOU DROIT: Important épanchement intra-articulaire, avec par endroit un œdème de cloisonnement avec un épaississement de la synovite. US GENOU GAUCHE: Épanchement articulaire de moindre abondance associé également à un épaississement synovial. Genoux inflammatoires d'origine indéterminée, à corréler à un bilan biologique. Au besoin nous restons à disposition pour une ponction diagnostique. • US 18.02 genou: Épanchement intra-articulaire du genou gauche en quantité modérée associé à des septations en son sein probablement avec un contenu hématique. Résorption quasi complète de l'épanchement intra-articulaire du genou droit. • Avis orthopédique Dr. X: ponction genou droit effectuée, liquide trouble, 30 ml prélevé. • Avis orthopédique Dr. X: ponction genou gauche effectuée, 33 ml prélevé, liquide trouble. • Liquide de ponction 14.02: PCR Lyme négative (par probable manque de liquide). • Liquide de ponction 18.02: PCR Lyme positive, Kingéla kinge négatif, eubactérie en cours. Bili totale en diminution à 267 Contrôle clinique par la sage-femme à domicile à 24-48 h avec contrôle sanguin au besoin. Bili totale 267 mcmol/l Bili directe 6.3 Bilirubine: 326 uM FS: hémoglobine à 177 g/l avec hématocrite à 51% Groupe: B+ Coombs: négatif Bilirubine: 344 uM (limite de photothérapie à 350 uM) Bilirubine: 349 uM FSC: pas d'anémie, hématocrite en ordre, pas de thrombopénie Coombs: négatif Bilirubine Consignes usuelles (favoriser hydratation, reconsulter si hypotonie ou apathie) Bioflorin biologie radiologie hémocultures et frottis grippe réaugmentation prednisone à 7 mg pas de couverture antibiotique actuellement à revoir selon évolution pas d'introduction Tamiflu car vacciné mais pister résultat grippe le 10.02 Biopsie de D9 Cyphoplastie de D9 par VBS 22 mm et cimentage par Vertecem 7 cc (OP le 25.01.2019) Diagnostic anatomopathologique (biopsie D9) - Rapport Promed du 30.01.2019 (réception après départ du patient), en annexe: l'image histomorphologique suggère en premier lieu une zone de fracture dans le cadre d'une manifestation d'une tumeur chondromateuse (enchondrome). Pas de composante inflammatoire notoire en particulier aiguë, pas d'abcès, pas de suspicion de malignité. (le contenu de ce rapport a été discuté avec le Dr. X l'après-midi du 29.01.2019) Biopsie hépatique sous US Biopsies et débridement du radius distal D par rapport au dorsal. Ponction de l'articulation radio-carpienne D (OP le 17.01.2019) Microbiologie du 17.01.2019: les différentes biopsies réalisées en peropératoire reviennent négatives à J5. Consilium d'infectiologie 22.01.2019 (en annexe) Antibiothérapie: • Co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. du 17.01. au 28.01.2019 • Co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. dès le 28.01.2018, pour 2 semaines Diagnostic anatomopathologique (prélèvements osseux peropératoires) - Rapport Promed du 01.02.2018 (reçu après départ du patient), en annexe. Biopsies per-opératoires Suite de prise en charge selon les résultats anatomopathologiques Bithérapie de Gentamicine et Amoxicilline iv du 13.02 au 16.02 Relai per os par co-amoxicilline le 17.02 US des voies urinaires le 14.02 Culture urinaire: suspicion de E. coli sans possibilité d'effectuer un antibiogramme Bladder scan. Bladder scan: 780 ml environ Bladder scan. Pose de sonde urinaire dès le 24.01.2019. Bladder scan Sonde urinaire le 03.01.2019. Bladder scan 30.01.2019: 124 ml Blépharite / conjonctivite chronique bilatérale D>G avec: • ectropion de la paupière inférieure droite • glaucome oeil G • blépharospasme bilatéral à prédominance droite Blépharite des deux côtés. Blépharite sur chalazion, avec vidange lors de l'examen clinique. Blistering distal dactylitis Blistering distal dactylitis à streptocoque pyogène Bloc atrioventriculaire du Ier degré Bloc atrio-ventriculaire du premier degré le 02.07.2011. Bloc atrio-ventriculaire du 2ème degré (Mobitz II), le 18.02.2019: • Bradycardie symptomatique Bloc atrio-ventriculaire du 3ème degré sur intoxication à la Digoxine, résolu par la suite. INR supra-thérapeutique à 3.2 chez un patient sous Sintrom avec INR à 1.9 le 27.09.2018. Infection urinaire basse simple à Klebsiella pneumoniae (10E6) multisensible le 31.08.2018. État confusionnel aigu sur: • déshydratation avec insuffisance rénale aiguë • hypercalcémie (2.9 mmol/l) • intoxication à la Digoxine (4.7) • hypothyroïdie (TSH 29.99 mUl/l et T4l à 9 pmol/l). Hypercalcémie à 2.9 mmol/l le 27.08.2018 (antécédent d'hypoparathyroïdie avec hypocalcémie chronique substituée par Calcium Acetat et Rocaltrol. Pyélonéphrite gauche à E. coli en juin 2018. Douleurs thoraciques probablement d'origine musculo-squelettique le 07.06.2018. Décompensation cardiaque globale NYHA III le 09.05.2018. Suspicion de rupture du long chef du biceps le 16.10.2017. Prothèse totale du genou droit en 2013-2014. Cholangite obstructive avec sepsis à E. coli en 2014. Décompensation diabète de type II en 2004. Thyroïdectomie subtotale avec conservation des parathyroïdes et du pôle supérieur externe des deux lobes thyroïdiens pour goitre diffus euthyroïdien en 1998 avec hypoparathyroïdie post-opératoire. Status après fracture de l'os maxillaire supérieur avec opération pour décompression V2 en 1998. Abcès fessier droit. Bloc a.v. du 2ème degré type Mobitz II, Bloc a.v. du 3ème degré, Bloc AV 2ème degré type Wenckebach, Étiologie inconnue • S/p pacemaker Remplacement de la valve aortique il y a 25 ans • Sous Sintrom Anévrysme de la crosse de l'aorte (5 cm) Bloc AV 3ème degré le 04.02.2019 Pose de PM Bloc AV 3ème degré le 04.02.2019 Pose de PM le 04.02.2019 Bloc de branche droit nouveau avec sous décalage en V3, V4 et V5, dans le contexte du choc septique le 04.02.2019. Bloc de branche gauche asymptomatique Bloc de branche gauche le 25.01.2019. Cardiopathie valvulaire et rythmique: • fibrillation auriculaire sous Sintrom • status post-mise en place d'un anneau de Carpentier sur prolapsus en 1993 • status post-mise en place d'une prothèse mitrale mécanique en 2009. Hypertension artérielle. Insuffisance rénale chronique stade 3. Hernie hiatale. Diverticulose sigmoïdienne. Douleurs neuropathiques importantes aux deux pieds avec implantation d'un neurostimulateur en 2009. Bloc de branche gauche nouveau le 10.02.2019 Bloc de branche gauche Hernie hiatale Diverticulose colique Bloc de branche gauche Hernie hiatale Diverticulose colique Blocage costo-vértébral D5-D6 gauche avec spasme musculaire irradiant vers occiput gauche Boit un peu en salle d'attente Boit 120 ml en salle d'attente sans nouvel épisode de vomissement ou de diarrhée Boit 150 ml de Normolytoral aux urgences sans vomissement. Aucun signe de déshydratation au moment de la consultation. Rinçage du nez: pas d'amélioration de la détresse respiratoire/auscultation. Boit 200 ml de jus de pomme sans récidive de vomissement ni diarrhées aux urgences. Boit 200 ml de Normolytoral sans vomissement. Bolus de morphineDormicum • Bolus de NaCl 0.9% 20cc/kg/1h - avec bonne amélioration de son état général. Pendant le bolus il boit encore env 200ml de Normolytoral • Bolus NaCl 0.9% iv. • Hydratation NaCl 0.9% iv 1000 ml/ 24 heures. • Bon de physiothérapie pour stretching et relâchage de la chaîne postérieure du genou. • Bon pour la piscine. • Rendez-vous chez le Dr. X dans 1 mois. • Bon profil tensionnel. • Bon résultat radio-clinique à 6 semaines post-opératoires. Le patient doit encore récupérer plus de sa mobilité. Il continue la physiothérapie. Je le revois dans 6 semaines le 22.3.2019 pour un contrôle clinique à 3 mois post-opératoires. Il a déjà repris le travail à 100% depuis le 13.1.2019. • Bonne évolution avec schéma de désimpaction au Movicol Poursuite avec 1 sachet par jour, Suite de prise en charge chez le médecin traitant. • Bonne évolution à 1 année postopératoire. Le patient peut pratiquer toutes les activités de la vie quotidienne sans limitation. Prochain contrôle radio-clinique à 5 ans postopératoires. • Bonne évolution à 3 mois postopératoires. Le patient peut continuer la mobilisation libre. Il est informé qu'en cas de problème, il peut nous recontacter et nous le reverrons. • Bonne évolution à 8 mois postopératoires. Il ne doit pas encore commencer les sports de contact. En principe, on dit qu'il faut attendre 12 mois. Nous le reverrons à 1 an postopératoire. • Bonne évolution clinique à six semaines post-ostéosynthèse de la malléole externe. Le patient va bien. Il recommencera le travail à 100% dans une semaine soit le 11.02.2019. Je reverrai le patient à une année post-opératoire pour discuter de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. • Bonne évolution clinique à 2 mois postopératoires. Le patient doit continuer la physiothérapie à but antalgique et pour tonifier la musculature. Je le reverrai dans 2 mois pour une réévaluation clinique. En cas de persistance de douleurs, on pourrait effectuer une infiltration par cortisone. Le patient a pu reprendre le travail à 100% le 11.02.2019. Prochain rendez-vous le 24.04.2019. • Bonne évolution clinique à 3 mois post-opératoires. Malgré le fait que la patiente n'a pas été chez le physiothérapeute, elle a récupéré une très bonne fonction de son poignet. La patiente est contente du résultat. Je la reverrai le 11.10.2019 pour prévoir l'ablation du matériel d'ostéosynthèse en novembre 2019. • Bonne évolution clinique à 5 semaines depuis son accident. La patiente continue la physiothérapie à but antalgique et pour regagner la mobilité. Je la revois dans 6 semaines pour une réévaluation clinique le 3.4.2019. Jusque-là, elle reste en arrêt. Incapacité de travail de 80% attestée du 18.2.2019 au 3.4.2019 ceci permettra à la patiente de faire du home office. • Bonne évolution clinique après la bursectomie olécrânienne à gauche. Ablation des fils. Le patient peut bouger librement. Pour ce qui concerne le coude, fin du traitement. Le patient présente un kyste de Baker au niveau du genou gauche, usure du compartiment fémoro-tibial interne, avec probablement une lésion dégénérative du ménisque interne associée. Je vais bilanter le genou par IRM. Je reverrai le patient après cet examen pour discuter des résultats et du traitement : 26.02.2019. • Bonne évolution clinique au niveau du genou gauche suite à l'infiltration par cortisone. On pourrait théoriquement effectuer une infiltration au niveau du genou droit, mais pas tout de suite. Nous programmons cette infiltration pour la fin du mois de mars. Jusque-là, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie pour tonifier la musculature des membres inférieurs et rééducation à la marche. L'infiltration au niveau du genou droit est programmée pour le 27.03.2019. • Bonne évolution clinique avec le traitement conservateur pour la distorsion du ligament collatéral interne du genou gauche. Je pense que la physiothérapie peut être arrêtée. Le patient peut reprendre toutes activités sportives. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Le patient reprendra contact en cas de besoin. Fin du traitement. Pas d'arrêt de travail. • Bonne évolution clinique de l'entorse du ligament talofibulaire antérieur de la cheville G. La patiente continue à porter l'attelle Air-Cast Sport pour encore deux semaines. La patiente poursuit le traitement physiothérapeutique pour la rééducation de sa cheville. En ce qui concerne l'instabilité du genou G, j'ai longuement discuté avec la patiente des avantages et des inconvénients d'un geste chirurgical. On s'est finalement mis d'accord pour une intervention. Il est prévu une plastie ligamentaire du ligament croisé antérieur par greffe du tendon quadriceps. La patiente est informée du déroulement de l'intervention, ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci, elle nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est prévue le 25.03.2019. La patiente sera encore vue par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Elle peut reprendre le travail à 50% à partir de demain, ceci jusqu'au 25.03.2019. • Bonne évolution clinique. Elle est satisfaite de l'évolution de l'AMO. Poursuite du suivi de la plaie chez le médecin traitant. Prochain contrôle le 18.02.2019. Ablation des fils comme prévu en postopératoire à 2 semaines. Nous reverrons la patiente pour un nouveau bilan clinique de cette cheville et de l'évolution du syndrome du tunnel tarsien. • Bonne évolution clinique. Je réexplique à la patiente l'importance de marcher en charge partielle de 15 à 20 kg, à l'aide de cannes anglaises. Je lui donne une nouvelle ordonnance pour la rééducation à la marche contrôlée par le physiothérapeute, afin de lui donner des instructions pour respecter la décharge partielle. Nous continuons la marche en charge partielle de 15 à 20 kg à l'aide de cannes anglaises pour encore 1 mois. Je reverrai la patiente dans 6 semaines pour une réévaluation clinique. Prochain rendez-vous le 02.04.2019. • Bonne évolution clinique. La physiothérapie peut être stoppée. Le patient a repris le travail à 100% depuis le 28.01.2019. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Le patient me recontactera si nécessaire. Fin de traitement. • Bonne évolution clinique. Néanmoins, je propose à la patiente de poursuivre l'ergothérapie pour améliorer encore les derniers symptômes. Je lui en prescris encore 9 séances. En ce qui concerne la main gauche, actuellement, la patiente est peu symptomatique et elle me recontactera en cas de péjoration des douleurs. • Bonne évolution clinique post-séjour à l'Inselspital de Bern. • Bonne évolution clinique sous physiothérapie. Étant donné l'atrophie musculaire du quadriceps, je propose au patient de poursuivre le traitement de physiothérapie pour encore 9 séances. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu, il me recontacte en cas de besoin. • Bonne évolution clinique suite au traitement reçu • Bonne évolution clinique. Rinçage avec NaCl 0.9% puis Prontosan, pose d'une mèche avec Prontosan gel. Contrôle au Secteur Ambulatoire des Urgences le 21.02.2019 avec rinçage et, selon profondeur, méchage (>1 cm) Douches 4-8 x/j. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter au préalable. • Bonne évolution de la plaie. Comme la patiente reprend ses études dans le canton de Lucerne, elle fera le suivi de cette plaie chez un médecin traitant de son choix dans ce canton. Pour le reste, procédé selon le rapport chirurgical.Bonne évolution de la plaie. Rendez-vous en dermatologie le 8.2. chez Dr. X au vu d'une suspicion de maladie de Verneuil. Dalacin T 2x/j en attente du rendez-vous chez le dermatologue. Bonne évolution du genou D suite à l'infiltration. Malheureusement, au niveau de l'épaule, on retrouve toujours les mêmes douleurs. Je propose à Mme. Y de poursuivre un traitement par physiothérapie à but antalgique ainsi que pour garder la souplesse articulaire. Mme. Y est d'accord avec cette attitude. Une indication opératoire n'est pas donnée. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Mme. Y me recontactera en cas de péjoration des douleurs. On pourrait éventuellement répéter une infiltration par cortisone en regard de l'épaule G, mais je préfère qu'elle fasse d'abord une série de physiothérapie afin de voir l'évolution clinique. Bonne évolution. J'ai prévu un rendez-vous au mois de juin, afin de programmer l'AMO pour le mois d'août 2019. Prochain rendez-vous le 24.06.2019. Bonne évolution. Je préconise maintenant une mobilisation active et passive de l'épaule pour récupérer les amplitudes articulaires. Prochain contrôle chez moi dans six semaines. Jusque-là, poursuite de l'arrêt de travail à 100%. Bonne évolution locale. Désinfection et pansement Adaptic Touch. Poursuite Co-Amoxicilline 1 g. Ablation des fils chez le médecin traitant le 08.02.2019. Bonne évolution locale. Désinfection, pansement Adaptic Touch. Retrait des fils chez le médecin traitant le 04.02.2019. Bonne évolution, mais il n'a pas récupéré complètement la mobilité. Je préconise un traitement ergothérapeutique afin d'améliorer les amplitudes articulaires. Un prochain contrôle est prévu chez moi dans deux mois. Bonne évolution. Mobilisation du patient en charge selon douleurs dans le plâtre. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Le patient a son père qui est au Portugal à l'hôpital après une lourde opération. Je lui donne mon accord pour qu'il puisse aller le trouver. Bonne évolution. On poursuit donc le protocole. Nous la reverrons dans 3 semaines. Bonne évolution. Poursuite du traitement fonctionnel. Contrôle chez moi dans 1 mois le 14.3.2019 pour refaire le point. Bonne évolution. Poursuite du traitement physiothérapeutique pour récupérer les amplitudes articulaires. J'ai programmé un prochain contrôle à ma consultation dans quatre mois. Bonne évolution. Prochain contrôle à 1 an pour un contrôle clinique. Bonne évolution radioclinique à six semaines de l'introduction d'un traitement conservateur pour la fracture du tubercule majeur. Mme. Y peut commencer la physiothérapie, mobilisation libre de l'épaule et charge libre. Je la revois dans deux mois pour une réévaluation clinique. Le gilet orthopédique peut être enlevé ce jour. Bonne évolution radioclinique à six semaines de son accident. Ablation du plâtre ce jour. Le patient peut reprendre toute activité sportive dès aujourd'hui. Physiothérapie pour récupérer la fonction articulaire. Prochain contrôle dans six semaines à ma consultation. Reprise du travail à 100% le 14.02.2019. Bonne évolution radioclinique à six semaines de son accident. Mme. Y peut changer l'attelle jeans en extension pour une genouillère articulée qui permet une mobilisation dans le plan sagittal libre. Mme. Y ira faire de la physiothérapie avec charge progressive. Dès qu'elle chargera complètement, la thromboprophylaxie pourra être arrêtée. Prochain contrôle radioclinique dans six semaines. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Bonne évolution radioclinique à une année post implantation de PTG G. Mme. Y est très satisfaite du résultat. En ce qui concerne les douleurs du membre inférieur D, celles-ci sont associées à sa coxarthrose D. Je propose dans un premier temps une infiltration par cortisone de la hanche D, ceci nous servira également comme infiltration test pour distinguer les douleurs qui proviennent des lombosciatalgies chroniques ou de la hanche D. L'infiltration est prévue au bloc opératoire le 21.02.2019. Je reverrai Mme. Y trois semaines après l'infiltration pour discuter des résultats et des différentes options thérapeutiques. Bonne évolution radioclinique à 3 mois post-introduction de traitement conservateur pour la fracture spiroïde du tibia droit. Le patient continue la physiothérapie qui entraînera la proprioception de la cheville droite et également pour tonifier la musculature du MID. Je reverrai le patient encore une fois le 12.3.2019 pour un nouveau contrôle radioclinique. Jusque-là, il reste à 100% en arrêt de travail en tant que bûcheron. Il continuera à se déplacer pour les 2 prochaines semaines encore à l'aide de cannes anglaises pour des raisons de sécurité puis les cannes peuvent être abandonnées. Bonne évolution radioclinique à 3 mois post-opératoires. Le patient continue la physiothérapie pour la rééducation à la marche et pour tonifier la musculature. Prochain contrôle dans 2 mois à ma consultation le 5.4.2019. Bonne évolution radioclinique à 4 semaines post-opératoires. Le patient continue à porter le plâtre BAB pour encore 2 semaines. Prochain contrôle radioclinique le 27.2.2019 à ma consultation. Bonne évolution radioclinique à 5 mois postopératoire. Le patient travaille le renforcement musculaire de la jambe et continue l'entraînement de foot. On planifie l'ablation du matériel d'ostéosynthèse pour début mai. Le patient et son père sont informés du déroulement opératoire à l'aide d'un consentement éclairé et signent le consentement éclairé. Bonne évolution radioclinique à 5 semaines post-opératoires. La fracture est guérie. Nous prévoyons l'ablation du matériel d'ostéosynthèse le 14.03.2019. La grand-mère de Mme. Y est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord, le consentement est signé par sa grand-mère. Bonne évolution radioclinique à 5 semaines 1/2 post-accident. Le patient va poursuivre le traitement de physiothérapie avec une mobilisation active assistée, avec amplitude libre et charge progressive. Je le revois le 09.04.2019 pour une réévaluation radioclinique. Reprise du travail à 80% dès le 28.02.2019. Bonne évolution radioclinique à 6 semaines depuis l'introduction du traitement conservateur pour la fracture de l'acétabulum à G. Le patient va commencer progressivement à charger son MIG, sous protection de 2 cannes anglaises. Poursuite de la physiothérapie afin de regagner la force et la mobilité. Un contrôle est prévu d'ici 6 semaines (22.3.18) pour un contrôle radioclinique à ma consultation. Bonne évolution radioclinique à 6 semaines post-opératoires. Mme. Y peut enlever la bonne de décharge et peut reprendre la marche en charge progressive. Un traitement de physiothérapie de mobilisation est instauré. Un contrôle clinique est prévu d'ici 6 semaines (20.3.19). Bonne évolution radioclinique à 6 semaines post-opératoires. Mme. Y peut enlever l'attelle jeans en extension. Elle commencera à marcher en charge progressive sous protection de 2 cannes anglaises et elle ira faire de la physiothérapie pour la rééducation de son genou. Je la revois le 27.2.2019 pour redéfinir l'arrêt de travail qui est attesté à 100% jusqu'au prochain rendez-vous du 27.2.2019. Bonne évolution radioclinique à 6 semaines post-opératoires. Mme. Y va continuer la physiothérapie. Le plâtre peut être enlevé aujourd'hui. Mobilisation progressive, amplitude libre, charge libre. Prochain contrôle clinique à ma consultation le 19.3.2019. Jusque là, la patiente reste en arrêt de travail à 100%. • Bonne évolution radioclinique à 6 semaines postopératoires. Le patient continue la physiothérapie à sec et en piscine pour son épaule droite. Je le reverrai dans 6 semaines pour une réévaluation radioclinique. Il reste en arrêt de travail à 100% jusqu'au 10.03.2019 puis reprise du travail à 100% à titre d'essai. Prochain rendez-vous le 27.03.2019. • Bonne évolution radioclinique. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. • Bonne évolution radioclinique pour ce qui concerne l'ostéosynthèse de la malléole externe gauche. Les douleurs situées en regard des têtes métatarsiennes II à IV du pied gauche sont très probablement dues à une configuration de pes transverso planus bilatéral qui est devenu symptomatique avec une surcharge des têtes métatarsiennes. Je propose un traitement avec une semelle orthopédique avec appui rétrocapital pour reconstruire la voûte horizontale et décharger les têtes métatarsiennes II à IV. La patiente continuera la physiothérapie pour la mobilisation de la cheville. Je la reverrai comme prévu pour le contrôle radioclinique à 6 semaines postopératoires. Prochain rendez-vous : 12.03.2019. • Bonne évolution radiologique à 6 semaines postopératoires. La fracture est guérie. Malheureusement, présence d'un granulome à fil sur lequel s'évacue dessus lorsque j'ai appuyé sur la cicatrice. L'indication pour une exploration de plaie et curetage ainsi que suture est donnée (cf protocole opératoire). Nous décidons d'opérer le patient tout de suite pour ce granulome à fil. Prochain contrôle à J2 post-opératoire en policlinique d'orthopédie. Antibiothérapie par une dose de Co-Amoxicilline 2.2 gr IV suivi de 3x1 gr de Co-Amoxicilline pour une durée totale de 10 jours. Ablation des fils à 2 semaines post-opératoires à ma consultation le 26.2.2019. • Bonne évolution radiologique à 6 semaines postopératoires. Malheureusement la patiente présente un problème de guérison de plaie avec une couche de fibrine encore présente à 6 semaines postopératoires. Je propose que la patiente soit suivie pour cette plaie en stomathérapie. Elle peut continuer la physiothérapie pour regagner la mobilité. L'Aircast sport peut être enlevé. Rendez-vous chez la stomathérapeute le 22.02.2019. Contrôle clinique à ma consultation dans 6 semaines : le 05.04.2019. Reprise de travail à 100% dès le 21.02.2019. • Bonne évolution suite à l'infiltration de son genou D. Je propose pour l'instant une attitude expectative. En cas de réapparition des douleurs dans un bref délai, se posera la question d'envisager une éventuelle ostéotomie de correction. Dans un 1er temps, l'égalisation de longueur des deux MI (2 cm à droite) pourrait être envisagée par l'adaptation d'un soulier compensé. Le patient va me recontacter au besoin. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas agendé. • Bonne évolution suite à l'infiltration. Pas d'attitude active de ma part actuellement. La patiente va me recontacter en cas de recrudescence des douleurs pour discuter de la nécessité d'une réinsertion de cette lésion partielle du sus-épineux. • Bonne évolution suite au traitement par physiothérapie en ce qui concerne le lumbago. Mme. Y présente par contre une subluxation de l'articulation temporo-mandibulaire bilatérale, très gênante. Je propose à la patiente une consultation spécialisée de la chirurgie maxillo-faciale (Dr. X à Fribourg). En ce qui concerne son dos, pour ma part fin du traitement. Je reste toutefois bien entendu à disposition. • Bonne évolution. Fin du traitement chez moi. • Bonne hydratation en salle d'attente. • Bonne hydratation et alimentation. Changement de position lente. • Bonne hydratation. Suivi de la créatinine plasmatique chez son médecin traitant la semaine prochaine. • Bonne prise pondérale. • Bonne réponse à majoration Lorazépam et introduction Lévomépromazine. • Bonne réponse à Oxycodone. • Bonne réponse avec Adalat retard 20 mg. Suite chez le médecin traitant pour réévaluer l'introduction à un traitement. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel.• Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel, pas d'opération. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel avec 4 ans amygdalectomie, végétation, drains au tympan. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel Faux croup. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituelle. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituelle stagnation pondérale dernièrement (suivi par pédiatre). • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel naissance à 37 2/7 SA par voie basse. • Bonne santé habituelle, pas de traitement habituel s/p Bronchiolites. • Bonne santé habituelle. Prématurée de 26 SA. • Bonne santé habituelle, traitement habituel Bronchovaxom Bronchite spastique. • Bonne santé habituelle, traitement habituelle: Pilule Elyfem depuis 2 mois. • Bonne santé habituelle. Vaccins à jour. • Bonne santé habituelle, Vit. D. • Bonne santé habituelle, Vit. D. • Bonne santé habituelle, Vit. D. • Bonne santé habituelle, Vit. D. • Bonne santé habituelle, Vit. D3. • Bonne santé habituelle, Vit. D3. • Bonne santé habituelle, Vit. D3. • Bonne santé habituelle, Vit. D3. • Bonne santé habituelle, vit. D3. • Bonne santé habituelle, vit. D3. • Bonne santé habituelle Chute d'escarre post-adénoïdectomie. • Bonne santé habituelle. Douleurs à la face postérieure du genou droit et du talon droit, d'origine inflammatoire. Trouvaille fortuite au CT du 09.05.2017: lésion d'aspect séquellaire du lobe pariétal gauche (post-traumatique? ancien accident vasculaire cérébral? hémorragie anténatale?). • Bosse et hématome tibia droit. • Botte plâtrée fendue. Antalgiques en réserve. Cannes. Arrêt des sports pendant 1 semaine. Contrôle urgences ortho dans 1 semaine. • Botte de décharge fendue. Cannes, arrêt de sport 4 semaines ou selon contrôle semaine prochaine. Contrôle team pied dans 7-12 jours. • Botte de décharge 3 semaines, et clexane. Botte de charge 3 semaines. Vacoped 3 semaines. • Botte plâtrée en place, ouverte. Cannes pour marcher. Antalgie en R. • Botte plâtrée ouverte pour une semaine, contrôle en orthopédie dans une semaine. • Botte plâtrée. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 21.02.2019. • Bouche sèche. • Bouchon de cérumen à droite. • Bouchon de cérumen et otite externe débutante le 20.02.2019. • Bouchon de cérumen oreille D depuis environ 2 semaines. Status post paracentèse 3x ddc. • Bouchon de cérumen oreille externe D. • Bouchon de cérumen oreille gauche le 16.02.2019 dans contexte d'infection des voies respiratoires supérieures. • Bouchon de cérumen oreille gauche le 26.05.2016. • Bouchons de cérumen des deux oreilles. • Bourgeon mammaire. • Boursite chronique du genou G. • Boursite du coude gauche dans le contexte d'une contusion le 09.02.2019. • Boursite du coude gauche en 2016. • Boursite MTP I à D. • Boursite pré-patellaire à droite le 06.10.2014. Luxation de l'épaule droite avec fracture du tubercule majeur le 06.10.2014. • Trouble de l'état de conscience le 02.10.2013, d'origine mixte. • Probable encéphalopathie de Gayet-Wernicke. • Déshydratation sévère. • Septique. • Pneumonie multifocale sur broncho-aspiration le 05.10.2013. Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale (AKIN3) le 02.10.2013. Pancréatite biologique dans contexte de OH chronique 2013. Nutrition entérale par sonde naso-gastrique du 11.10 au 10.11.2013. Pose PEG le 14.11.2013 sous narcose avec réintroduction nutrition entérale. • Boursite pré-patellaire droite avec corps libre douloureux. • Boursite septique du genou gauche le 17.02.2019, DD arthrite septique. • Boursite sous-acromiale G. Douleurs dorsales. • Bouton sur le visage. • BPCO anamnestique non-stadée, pas de prise en charge. • Troubles de la marche multi-factoriels: • S/p Ostéosynthèse suite à une fracture du fémur péri-prothétique droite, avec remplacement de prothèse et multiples cerclages le 10.10.2016. • Forte carence en vitamine D (15 nmol/l le 26.10.2016). • Décompensation cardiaque, avec surcharge droite: oedèmes des membres inférieurs jusqu'au scrotum. • Hypothyroïdie traitée. • Euthyrox 25ug/jour dès le 02.11.2016. • BPCO. • ATCD de tabagisme à 90 UPA (stoppé depuis 5 ans). • BPCO avec tabagisme chronique à 100 PA. Diabète de type 2 non insulino-requérant. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Hyperplasie de la prostate stade 2. • BPCO de stade II selon GOLD avec: • Tabagisme ancien stoppé en 06.2015 (40 UPA). • Syndrome obstructif de degré moyennement sévère et trouble moyen de la diffusion du CO. • Composante asthmatique associée à une réversibilité significative du VEMS post-bronchodilatation. • Traitement par Incruse, Relvar, Ventolin. Syndrome démentiel avec dysfonction exécutive massive et troubles mnésiques d'origine mixte encéphalopathie vasculaire. Hypertension artérielle. Syndrome de dépendance à l'alcool entre 40 et 60 ans (actuellement contrôlé en milieu protégé). • BPCO de stade II sur tabagisme actif, 2015: • Emphysème pulmonaire, remaniement parenchymateux du lobe inférieur droit avec bronchiectasies. Nodule spiculé du segment apical du lobe inférieur gauche au CT-scan thoracique du 20.04.2015. • Absence d'hypercaptation pathologique au niveau du nodule spiculé pulmonaire inférieur gauche. Absence d'hypercaptation correspondant au nodule surrénalien gauche (PET CT FDG du 01.06.2015).• trouble ventilatoire obstructif de degré modéré à sévère, sans réversibilité aiguë significative après inhalation de B2-mimétique de courte durée d'action • tabagisme chronique à 100 UPA. • Consommation d'alcool à risque. • Projet social chez Mr. Y isolé: • Vit seul en Suisse dans une chambre à Givisiez (repas pris en extérieur), quelques connaissances • Permis B valable jusqu'au 28.02.2018 • Divorcé, une fille en France avec qui il a très peu de contact • Contact avec sa mère en France 2x/an • Pas de médecin traitant. • Demande volontaire de curatelle de portée générale faite le 08.11.2016. • Evaluation par le juge de paix le 17.11.2016. • Projet social en cours d'évaluation. • RV avec le curateur le 28.11.2016. • Lésions spiculées du lobe supérieur droit et lobe inférieur gauche. • CT thoracique du 21.10.2016 : lésions inchangées par rapport au CT du 08.09.2016, sans changement par rapport au CT de 2015. • Suivi scannographique 1x par année. • BPCO décompensée avec insuffisance respiratoire globale, • DD sur virose, sur pneumonie. • BPCO Gold III. • Etat de mal épileptique le 21.11.2018 dans le contexte de sous-dosage de Valproate de sodium. • Décompensation de troubles schizo-affectifs avec hétéro-agressivité verbale. • Hypokaliémie et hypomagnésiémie. • Tabagisme actif. • Hypertension artérielle traitée. • BPCO • HBP • BPCO mal compensée dans le cadre infectieux • BPCO modérée à composante asthmatique, suivie par Dr. X. • Insuffisance aortique modérée de degré II à l'échocardiographie transthoracique du 11.03.2010. • Insuffisance mitrale discrète de degré I et tricuspidienne modérée de degré II le 11.03.2010. • Hyperplasie bénigne de la prostate, suivi par Dr. X. • BPCO modérée • sans traitement • BPCO non stadée • BPCO non stadée • Tabagisme actif (60-80 UPA) • BPCO non stadée avec dyspnée de stade II NYHA sur : • Tabagisme à 60 UPA • Maladie hypertensive et coronarienne tritronculaire avec : • Sténose 50-70 % de l'artère interventriculaire antérieure proximale • Sténose 80-90 % de l'ostium de l'artère circonflexe proximale : PCI (1 DES) : bon • Sténose 80 % MA1 distale : PTCA : bon • Sténose 80 % MA1 ostiale : PCI (1 DES) : bon • Subocclusion de l'artère coronaire droite proximale (petite, dominance G) • Hypertension artérielle • Anévrisme de 7.5 mm de l'artère carotide interne droite dans son segment intra-caverneux le 01.07.2016 • Malnutrition protéino-énergétique légère • BPCO non stadée sur tabagisme arrêté en 2016. • Carcinome lobulaire invasif du quadrant inféro-externe du sein gauche associé à un lymphome à cellules B de type lymphocytaire : • traité par hormonothérapie (Dr. X, oncologue) • refus de traitement chirurgical de la part de Mme. Y • lésions nodulaires pulmonaires du lobe supérieur droit, stables (origine indéterminée) • pas de traitement du lymphome. • Bloc de branche droit incomplet. • Baisse de l'autonomie dans un contexte de : • hospitalisation en janvier 2017 pour décompensation BPCO sur grippe à Influenza de type A le 02.01.2017 avec VNI du 02 au 03.01.2017 et intubation et ventilation mécanique du 03 au 09.01.2017. • dénutrition protéino-énergétique et déconditionnement global avec alimentation et hydratation libre par sonde nasogastrique lors du séjour en janvier 2017. • carcinome lobulaire invasif du quadrant inféro-externe du sein gauche associé à un lymphome à cellules B de type lymphocytaire : traité par hormonothérapie (Dr. X, oncologue) ; lésions nodulaires pulmonaires du lobe supérieur droit, stables (origine indéterminée) • BPCO non stadée • Hyperplasie de la prostate (Dr. X) • Kyste cortical rénal gauche de 6 x 8 cm • Kyste pancréatique • Ulcère chronique sous Nexium • BPCO non stadée • Hyperplasie de la prostate (Dr. X) • Kyste cortical rénal gauche de 6 x 8 cm • Kyste pancréatique • Ulcère chronique sous Nexium • BPCO non stadée • Hyperplasie de la prostate (Dr. X) • Kyste cortical rénal gauche de 6 x 8 cm • Kyste pancréatique • Ulcère chronique sous Nexium • BPCO non stadée • Hyperplasie de la prostate (Dr. X) • Kyste cortical rénal gauche de 6 x 8 cm • Kyste pancréatique • Ulcère chronique sous Nexium • BPCO post-tabagique à vraisemblable composante emphysémateuse de stade II selon GOLD, catégorie C > bilan 09/2016 : syndrome obstructif et troubles diffusionnels de sévérité moyenne > NO exhalé normal > bilan 01/2019 : syndrome obstructif et troubles diffusionnels de sévérité moyenne avec VEMS à 1.77 L (62% du prédit) • Tabagisme ancien 50 UPA sevré en 2015 • Arthrose cervicale traitée par Ecofenac • BPCO post-tabagique (actuellement 10 cigarettes par jour, avant 2 paquets/jour). • Ancienne dépendance à l'héroïne et au cannabis, cocaïne et à l'ecstasy. • BPCO sévère de stade IV D • Suivi par Dr. X (pneumologue) • Oxygénothérapie à domicile 1-2 L • Lobectomie supérieure droite en 2002 pour un carcinome épidermoïde • Dernière exacerbation le 05.02.2019 • CT thoracique 08.11.2018 : nodules pulmonaires à contrôler à 3-6 mois • BPCO sévère de stade IV • Oxygénothérapie à domicile • Traitement habituel : Spiriva, Symbicort • Lobectomie supérieure droite en 2002 pour un carcinome épidermoïde • dernière exacerbation le 30.10.2018 • CT thoracique 08.11.2018 : nodules pulmonaires à contrôler à 3-6 mois • suivi par Dr. X (pneumologue) • BPCO sévère de stade IV • Oxygénothérapie à domicile 1-2 L • Traitement habituel : Spiriva, Symbicort • Lobectomie supérieure droite en 2002 pour un carcinome épidermoïde • dernière exacerbation le 30.10.2018 • CT thoracique 08.11.2018 : nodules pulmonaires à contrôler à 3-6 mois • suivi par Dr. X (pneumologue) • BPCO sous Spiriva • HTA • BPCO stade II • BPCO stade II D selon GOLD avec/sur : • Insuffisance respiratoire partielle sous oxygénothérapie en continu, CPAP nocturne, concentrateur portable • Composante asthmatique (chute significative du VEMS depuis l'interruption des CSI) • Ancien tabagisme sevré en janvier 2019 (122 UPA) • Phénotype non exacerbateur (> 2x/an) - dernière exacerbation de BPCO le 04.01.2019 • Emphysème pulmonaire avec troubles de la diffusion de degré moyen (DLCO à 56% du prédit) • Désaturation nocturne sous CPAP • Cachexie • Déconditionnement sévère à l'effort • CAT score : 19 à l'admission • BPCO stade II D selon GOLD avec/sur : • Insuffisance respiratoire partielle • Ancien tabagisme sevré (50 UPA) • Phénotype exacerbateur • Status post pneumonie basale droite nosocomiale post-opératoire, le 18.01.2019 • Status post exacerbation de BPCO sur probable infection d'origine virale le 21.11.2018 • Emphysème pulmonaire avec troubles de la diffusion de degré moyen • Déconditionnement sévère à l'effort • CAT score à l'admission : 17/40 • BPCO stade II selon GOLD • emphysème pulmonaire centro-lobulaire (dosage alpha-antitrypsine à 0.8 g/l) • tabagisme actif à 30 UPA • status post résection Wedge du lobe inférieur gauche, le 19.03.2015, pour une pneumonie organisée en mars 2015 (Dr. X) • SAOS de degré léger appareillé. • Hypertension artérielle non traitée. • Céphalées en grappe. • Consommation d'alcool à risque. • 1 litre de bière/jour parfois demi-bouteille d'alcool fort ou bouteille entière de Porto (binge drinking). • BPCO stade II selon GOLD (VEMS 44% en octobre 2015), traitée par Vannair et Spiriva, oxygénothérapie pendant la nuit • Probable ostéoporose fracturaire • Malnutrition protéino-énergétique modérée • BPCO stade II selon GOLD à composante asthmatique avec/sur : • Fonctions pulmonaires du 28.01.2014 : syndrome obstructif sévère avec hyperinflation et air trapping statique sans changement après B2 stimulant. Diffusion de CO rapportée au volume alvéolaire dans les normes. VEMS à 1.30 • Fonctions pulmonaires du 11.03.2014 : syndrome obstructif sévère avec VEMS à 1.61 • 2 exacerbations en 2018 • Ancien tabagisme à 25 UPA Syndrome des apnées du sommeil discret non appareillé : • 09.04.2014 : saturation moyenne 93%, minimale de 80% avec un indice de désaturation 47/heure Syndrome de Widal diagnostiqué en novembre 2015 Obésité avec BMI à 31.9 kg/m2. Hypercholestérolémie BPCO stade II selon Gold avec/sur : • Status post septicémie à Haemophilus Influenzae et Moraxella Catarrhalis d'origine pulmonaire • Pneumonie basale gauche communautaire à H. Influenzae et Moraxella Catarrhalis • Status post pneumonectomie D • Agranulocytose fébrile profonde post chimiothérapie • Fibrillation auriculaire rapide • Décompensation cardiaque à prédominance gauche suite à FA • Polyneuropathie de soins intensifs • Ancien tabagisme BPCO stade II selon Gold : • emphysème pulmonaire centro-lobulaire (dosage alpha-antitrypsine à 0.8 g/l). • tabagisme actif à 30 UPA. • status post résection Wedge du lobe inférieur gauche, le 19.03.2015, pour une pneumonie organisée en mars 2015 (Dr. X). • SAOS de degré léger appareillé. • troubles diffusionnels modérés (DLCO 57%). Apnée du sommeil appareillée. Hypertension artérielle non traitée. Céphalées en grappe. Consommation d'alcool à risque : • 1 litre de bière/jour parfois demi-bouteille d'alcool fort ou bouteille entière de Porto - binge drinking. BPCO stade II selon GOLD • Vannair et Spiriva • Oxygénothérapie nocturne à 1.5 lt/min BPCO stade II (suivie par Dr. X) • status après exacerbations de BPCO en 2008 et 2011 • status après plusieurs exacerbations asthmatiques en 2003, 2005, 2006, 2007 • status après séjour de réhabilitation pulmonaire à Châtel-St-Denis • tabagisme actif à 65 UPA • Fonctions pulmonaires du 11.09.2008 : syndrome obstructif modéré à sévère non-réversible, VEMS 1,58 l = 49%, Tiffeneau 50% Syndrome d'apnées obstructives du sommeil de degré sévère • polygraphie en 2008 • appareillé par CPAP Hypertriglycéridémie Syndrome de Cushing • sur corticostéroïdes au long cours • obésité sévère stade II BMI 37 kg/m2 • diabète sucré Probable trouble de la personnalité, de type état limite Diabète de type 2 cortico-induit mal contrôlé le 19.02.2016 • HbA1c 10.7% • ratio albuminurie/créatininurie 0.9 mg/mmol, pas de microalbuminurie • polyneuropathie périphérique associée BPCO stade II traitée BPCO stade II Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie BPCO stade II. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie. BPCO stade III D (CVF 66%, VEMS 41%, score CAT 26) : • tabagisme actif à 40 UPA (actuellement tabac chauffé) • consommation de cannabis • oxygénothérapie à domicile (0.75 l/min, 16h/24, 2 l/min si actif) • réhabilitation pulmonaire ambulatoire 2x/semaine à l'HFR Billens • hospitalisation le 15.01.2019 et le 07.02.2019 au 14.02.2019 Cardiopathie ischémique monotronculaire avec : • ACR sur probable trouble du rythme malin d'origine ischémique avec découverte d'une longue sténose de la coronaire droite moyenne-distale le 18.09.2016 • coronarographie (septembre 2016) : dilatation et implantation de 3 stents au niveau de la coronaire droite moyenne-distale le 18.09.2016 • coronarographie (avril 2017) : resténose focale 50-70% intrastent actif dans la coronaire droite distale, traitée par : PTCA au ballon à élution. Fonction systolique globale et régionale du ventricule gauche conservée (FE : 63%). Incontinence urinaire de stress grade II et de type urgence avec TOT le 21.01.2015 (Dr. X) avec actuellement une dysurie Douleurs abdominales et alternance diarrhée/constipation État anxio-dépressif chronique (DD : trouble bipolaire) Fibromyalgie Lombalgies chroniques avec irradiations spondylogènes dans le membre inférieur droit avec discopathies L4-L5 et L5-S1 Orteil en marteau flexible 2-3 pied gauche Migraine BPCO stade III D selon GOLD avec/sur : • status post exacerbation d'origine infectieuse à Branhamella Catarrhalis le 31.12.2018 (Critère d'Anthonisen à 2/3) : • Ultibro et Pulmicort • BiPAP nocturne • oxygénothérapie à 2 lt/min • multiples exacerbations BPCO : 31.07.2018, 14.09.2018, 25.09.2018, 10.12.2018 • ancien tabagisme évalué à 100 UPA BPCO stade III, de type emphysémateux (VEMS 36% le 24.09.2018) traité par Anoro, avec : • hypertension artérielle pulmonaire probablement secondaire à celle-ci avec une PAS mesurée à 63 mmHg (03.02.2017) • ETT au CHUV (01/2019) : PAPs mesurée à 54 mmHg Hypertension artérielle traitée BPCO stade III, de type emphysémateux (VEMS 36% le 24.09.2018) traité par Anoro, avec : • hypertension artérielle pulmonaire probablement secondaire (PAS mesurée à 63 mmHg le 03.02.2017) • dysfonction ventriculaire droite modérée avec PAPs mesurée à 54 mmHg au CHUV HTA BPCO stade III selon GOLD avec composante emphysémateuse, depuis 2012. Diabète de type 2 non insulino-requérant. BPCO stade III selon GOLD (19.06.2012) avec composante emphysémateuse Diabète type 2 non insulino-requérant Fissure anale à 6h le 21.01.2019 BPCO stade III (suivie par Dr. X) • status après exacerbations de BPCO en 2008 et 2011 • status après plusieurs exacerbations asthmatiques en 2003, 2005, 2006, 2007 • status après séjour de réhabilitation pulmonaire à Châtel-St-Denis • tabagisme actif à 65 UPA • fonctions pulmonaires du 11.09.2008 : syndrome obstructif modéré à sévère non-réversible, VEMS 1,58 l = 49%, Tiffeneau 50% Syndrome d'apnées du sommeil • polygraphie en 2008 • appareillé par CPAP Hypertriglycéridémie Syndrome de Cushing • sur corticostéroïdes au long cours • obésité sévère stade II BMI 37 kg/m2 • diabète sucré Probable trouble de la personnalité, de type état limite Diabète de type 2 cortico-induit mal contrôlé le 19.02.2016 • HbA1c 10.7% • ratio albuminurie/créatininurie 0.9 mg/mmol, pas de microalbuminurie • polyneuropathie périphérique associée BPCO stade IV BPCO stade IV (classe D) selon GOLD, suivie par Dr. X • exacerbations BPCO en 12.2014, 03.2015, 10.2016, 02.2017, 08.2017, 15.01.2019 • ancien tabagisme à 40 UPA, stoppé en 2014 • oxygénothérapie à domicile (1.5 L le jour et 2 L la nuit) et VNI nocturne (IPAP 15, EPAP 5, FR 10) • Fonctions pulmonaires du 10.10.2018 : VEMS = 23% du prédit, absence de trouble ventilatoire restrictif. Capacité de diffusion du CO sévèrement diminuée (12% du prédit) BPCO stade IV D selon Gold avec/sur : • composante asthmatique allergique traitée par injection de Xolair 1x/mois, Vannair, Spiriva • insuffisance respiratoire partielle modérée sous oxygénothérapie continue au débit de 1 l/min depuis novembre 2017 • ancien tabagisme sevré en 1995 (5 UPA) et fumée passive importante • emphysème pulmonaire avec troubles de la diffusion de degré sévère • déficit alpha-1-antitrypsine (phénotype non testé mais probablement homozygote ZZ, alpha antitrypsine le 29.01.2019 : 0.23 g/l) • Malnutrition protéino-énergétique modérée avec NRS à 4/7 • Déconditionnement sévère à l'effort • CAT score : 16/40 • BPCO stade IV D selon GOLD avec/sur : • Exacerbations récidivantes avec hospitalisations à l'HFR Meyriez en février, mai, octobre et décembre 2018 • Emphysème centro-lobulaire • Tabagisme sevré le 04.01.2017 (50 UPA) • Score de CAT à l'entrée: 20 • BPCO stade IV D selon Gold avec/sur : • Insuffisance respiratoire sévère • Ancien tabagisme (80 UPA) • Phénotype exacerbateur (>2x/an) • Décompensation sur probable bronchite virale le 18.01.2018 • Décompensation sur pneumonie multifocale communautaire à germe indéterminé en décembre 2018 • Status post bullectomie apicale D en 1998 • Cachexie • CAT score à l'admission : 14/40 • BPCO stade IV D selon GOLD avec/sur : • Insuffisance respiratoire aiguë globale sur exacerbation BPCO sur bronchite virale le 15.01.2019 • Multiples exacerbations BPCO entre 2014 et 2017 • Ancien tabagisme à 40 UPA, stoppé en 2014 • Oxygénothérapie à domicile (1.5 lt/min le jour et 2 lt/min la nuit) et VNI nocturne (IPAP 15, EPAP 5, FR 10) • Fonctions pulmonaires du 10.10.2018 : VEMS = 23% du prédit, absence de trouble ventilatoire restrictif. Capacité de diffusion du CO sévèrement diminuée (12% du prédit) • BPCO stade IV D selon GOLD sur déficit homozygote en alpha-1-antitrypsine • Insuffisance respiratoire sévère globale avec trouble de la diffusion et HTAP • Oxygénothérapie à domicile avec O2 liquide • Sous VNI nocturne depuis mars 2018 • Traitements par Daxas, Unifyl, substitution de Prolastin depuis 2014, Seebri • BPCO stade IV D selon GOLD sur tabagisme ancien à 60 UPA + inhalation professionnelle avec/sur : • Insuffisance respiratoire partielle sévère sous oxygénothérapie à domicile (6 lt/min) • Troubles sévères de la diffusion • Portage de P. aeruginosa et exacerbations itératives (sous Azithromycine) • Déficit en alpha-1-anti-trypsine • Status post réduction de volume pulmonaire LIG et résection wedge de 2 bulles du LSG (Dr. X, le 12.03.2015) • Projet de transplantation pulmonaire, patient sur liste depuis 21 mois • Consultation du 20.06.2018 - Dresse Yersin, pneumologue CHUV : le patient est sur liste d'attente pour transplantation pulmonaire, proposition de réitérer des fonctions pulmonaires complètes et le scanner thoracique ; vu la perte pondérale de 2 kg en 6 mois et discuter la possibilité d'une SNG et soutien nutritionnel plus agressif. • Coeur pulmonaire chronique avec PAP à 46 mmHg à l'US cardiaque • Score CAT : 28 • BPCO stade IV groupe D selon Gold avec/sur : • Exacerbation de BPCO stade IV le 07.09.2018 • Hypoxémie avec indication à une oxygénothérapie à 0.75 l/min, 16h/24 • Tabagisme actif + consommation de cannabis • Phénotype exacerbateur (>2x/an) • Syndrome obstructif sévère avec VEMS à 41% du prédit et CVF à 66% du prédit • Emphysème pulmonaire • Polyglobulie secondaire • Score CAT : 26 • BPCO stade IV selon GOLD, stade D • Fonctions pulmonaires complètes le 17.12.2018 : syndrome obstructif très sévère avec VEMS à 0.4 l (12% du prédit), capacité vitale forcée à 1.35 l (32% du prédit), atteinte sévère de la diffusion de CO à 27% du prédit et rapporté au volume alvéolaire à 42 % du prédit. • Hypertension pulmonaire • Multiples exacerbations sur pneumonies en mai 2015, janvier et septembre 2017, mars, mai et juin 2018, septembre 2018 et janvier 2019 • Suivi pneumologique par Dr. X Tabagisme actif (6 cigarettes par jour actuellement, 40 UPA ultérieurement) Hypertrophie bénigne de la prostate avec status post-TURP en 2007 Prostatite chronique État dépressif Douleurs types neurogènes avec hyperréflexie et ataxie cérébelleuse du membre inférieur gauche et membre supérieur gauche avec troubles de l'équilibre séquellaires à l'accident vasculaire cérébral ischémique de 2008 Insuffisance rénale chronique stade 2 le 20.09.2018 • BPCO stade IV selon GOLD, stade D • Fonctions pulmonaires complètes le 17.12.2018 : syndrome obstructif très sévère avec VEMS à 0.4 l (12% du prédit), capacité vitale forcée à 1.35 l (32% du prédit), atteinte sévère de la diffusion de CO à 27% du prédit et rapporté au volume alvéolaire à 42 % du prédit. • Hypertension pulmonaire • Multiples exacerbations sur pneumonies en mai 2015, janvier et septembre 2017, mars, mai et juin 2018, septembre 2018 et janvier 2019 • Suivi pneumologique par Dr. X Tabagisme actif (6 cigarettes par jour actuellement, 40 UPA ultérieurement) Suspicion de néoplasie pulmonaire de stade cT4 cN2 cM0 stade IIIB TNM (édition 8) • CT-scan thoracique du 17.01.2019 : masse tumorale polylobée du segment basal latéral du lobe inférieur droit suspecte de néoplasie primaire avec nodule métastatique satellite au lobe supérieur droit. Présence de quelques nodules pulmonaires gauches non spécifiques. Adénopathies médiastinales et hilaires droites • PET-CT du 21.01.2019 : l'étude PET met en évidence une légère hypercaptation pulmonaire basale droite correspondant à la lésion tumorale connue avec SUWmax à 3,6 ouvrant le diagnostic différentiel avec une origine maligne ou inflammatoire. Pas de lésion hyperactive pathologique nette en regard pulmonaire contro-latéral, médiastinal, surrénalien, hépatique ou en regard du cadre osseux • Fonctions respiratoires du 24.01.2019 : présence d'un trouble ventilatoire obstructif de degré très sévère, stable selon les dernières valeurs disponibles avec VEMS à 17 % du prédit, soit 0,61 litre, capacité vitale forcée à 30 % à 1,43 litre et Tiffeneau à 56 % du prédit. Pour comparaison fonctions respiratoires du 12.12.2018 chez Dr. X : VEMS à 12 % du prédit et DLCO à 27 % du prédit • Tumorboard du 30.01.2019 : proposition d'une surveillance. Biopsie par voie transcutanée ou par bronchoscopie trop risquée au vu des fonctions respiratoires Hypertrophie bénigne de la prostate avec status post-TURP en 2007 Prostatite chronique État dépressif Douleurs types neurogènes avec hyperréflexie et ataxie cérébelleuse du membre inférieur gauche et membre supérieur gauche avec troubles de l'équilibre séquellaires à l'accident vasculaire cérébral ischémique de 2008 Insuffisance rénale chronique stade 2 le 20.09.2018 • Clearance : 53,4 selon MDRD Anémie normocytaire hypochrome régénérative avec une Hb à 110 g/l le 20.09.2018 • Secondaire à une insuffisance rénale chronique • Composante ferriprive • BPCO stade 4 probablement surinfectée le 16.01.2019 avec : • Leucocytose à 21 G/l et CRP à 19 mg/l. • BPCO sur tabagisme actif Paresthésie de tout le corps avec dorso-lombalgies chroniques • Suivi par Dr. X à la Providence (NE) • Discopathie L2-L3, L3-L4 et L4-L5 • S/p spondylodèse L2-L4 • Bilan neurologique en avril 2018 (Dr. X) : polyneuropathie sensitivomotrice marquée, IRM cervico-dorsale dans la norme sans syringomyélie État dépressif sévère Migraines avec aura • BPCO sur tabagisme ancien à 90 UPA • BPCO sur tabagisme HTA Hyperlipidémie • BPCO traitée Diabète de type 2 non traité Gonarthrose bilatérale • BPCO. Consommation d'alcool à risque. Tabagisme actif. • BPCO. Diabète de type 2. Cardiopathie hypertensive et valvulaire. Souffle systolique connu. Diverticulose sigmoïdienne. • BPCO. Diabète de type 2. Cardiopathie hypertensive et valvulaire. Souffle systolique connu. Diverticulose sigmoïdienne. • Brachialgie en regard du territoire C5-C6 du membre supérieur droit. Décompensation arthrose acromio-claviculaire versus radiculopathie cervicale C5-C6 à droite. Fissure styloïde radial à droite sur chute début novembre 2018. Arthrose AC décompensée à gauche sur status post fracture sous-capitale de l'humérus gauche. Cervicobrachialgie ddc. Syndrome de tunnel carpien modéré ddc. Status post trapézectomie et plastie de suspension à D. Status post ostéosynthèse du radius distal G en 2004. Bradycardie à 45/mn le 26.02.2019. • sur probable surdosage de bétabloquant dans le contexte d'une insuffisance rénale aiguë. Bradycardie à 58/min le 17.01.2019 : • porteur pace-défibrillateur calibré à 70 bpm DD dysfonctionnement pace-défi DD sur hyperkaliémie Bradycardie asymptomatique à 50 bpm Bradycardie médicamenteuse sur traitement de bêta-bloquant. Bradycardie sévère à 12H34. Bradycardie sinusale. Bradycardie sinusale à 50 bpm sans bloc AV connue asymptomatique Bradycardie sinusale asymptomatique. Bradycardie sinusale le 15.02.2019 • asymptomatique • fréquence cardiaque à 40-58 battements par minute. Bradycardie sinusale le 25.02.19 Bradycardie sur Cordarone avec décompensation cardiaque droite et gauche en juillet 2013 Décompensation cardiaque globale probablement dans un contexte para-infectieux le 13.01.2019 Erysipèle du membre inférieur droit dans un contexte d'insuffisance veineuse chronique le 13.05.2012 Récidive de dermo-hypodermite inflammatoire du membre inférieur gauche : • Status après cure de varices par laser endo-veineux de la grande veine saphène gauche (Dr. X) le 09.10.2015 • Diagnostic différentiel : réaction inflammatoire sur traitement endo-veineux Zona ophtalmique Diverticulite sigmoïdienne 2ème épisode (X) le 24.10.2013 Ablation de polypes nasaux (1943) Hernie discale opérée (1974) suite à laquelle des séquelles neurologiques sont apparues, avec : • Perte de sensibilité et de force surtout à gauche épargnant la face et le thorax • Récupération après une année. Hernie lombaire discale L4-5 à droite opérée (2001) Varicectomie des deux membres inférieurs (1980) Opération pour prolapsus utérin (1980) Cataracte des deux côtés (2010) Hyperthyroïdie (maladie de Basedow) lors de ses grossesses Hypoesthésie de la main gauche Astigmatisme, myopie et presbytie Gonarthrose bilatérale Bradycardie sur fibrillation auriculaire lente le 05.08.2018 • Pose d'un PM le 16.08.2018 (Dr. X) Surrénalectomie gauche par laparoscopie pour un phéochromocytome de 3.6 x 3.7 cm en mai 2014 Pneumonie nosocomiale du lobe inférieur droit en février 2014 Insuffisance respiratoire partielle sur pneumonie en février 2013 NSTEMI possiblement secondaire dans un contexte infectieux et arythmique en février 2013 Hernie de la ligne blanche Bradycardie sinusale avec extrasystole supraventriculaire, asymptomatique Phlébite du membre supérieur droit sur cathéter veineux périphérique 07/2018 Co-Amoxicilline 1,2 g 3x/j le 03.07.2018 puis relais 1 g 2x/j po pour 10 jours Echographie du MSD (Dr. X) le 06.07.2018 : pas de thrombose Hyperkaliémie sévère (9.3 mmol/l) secondaire à une insuffisance rénale aiguë avec 07/2018 • Hémodiafiltration du 27.06 au 28.06.2018 Acutisation AKIN II d'une insuffisance rénale chronique stade G3, d'origine pré-rénale (déshydratation et IEC) le 26.06.2018 avec : • FeUrée : 14% • acidose métabolique • hyperkaliémie sévère Probable hémorragie digestive haute sur bulbite érosive 07/2018 • OGD le 04.07.2018 : oedème hypopharyngé, légère bulbite érosive qui aurait pu saigner chez ce patient anticoagulé • Colonoscopie en ambulatoire en cours d'organisation Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale sur chronique G3b le 05.08.2018 • avec hyperkaliémie sévère à 7 mmol/l • Fe Urée 23% • Sur insuffisance cardiaque chronotrope • Sur probable déshydratation US des voies urinaires le 07.08.2018 : pas d'obstruction, pas de dilatation, reins de taille normale sans lésions visibles, prostate agrandie Fond d'œil pour exclusion d'emboles de cholestérol le 10.08.2018 : normal Recherche d'eosinophiles dans les urines : non significative Infection urinaire basse le 09.08.2018 Brèche de la dure-mère asymptomatique. Brèche de la dure-mère sur péridurale traitée par Blood patch le 21.06.2013. Céphalées et dorsalgies chroniques. DD : syndrome post PL, épidurite. Reflux gastro-oesophagien. Aménorrhée secondaire. Test de grossesse négatif. Perturbation des tests hépatiques - ALAT 71. Tests hépatiques à contrôler dans 4 semaines. Bretelle antalgique. Traitement antalgique. Bretelle clavicule Arrêt sport Antalgie Contrôle ortho urgence dans une semaine avec contrôle clinique et radiologique Bronchiectasies du lobe moyen D • suivi chez le Dr. X • dernier bilan par CT en novembre 2018 avec maladie stable • sous Ventolin/Atrovent en réserve • suivi chez le Dr. X • dernier bilan par CT en novembre 2018 avec maladie stable • sous Ventolin/Atrovent en réserve Bronchiolite virale légère Bronchiolite Bronchiolite Bronchiolite Bronchiolite Bronchiolite à germe indéterminé oxygénodépendante (12.2016) NN à 36 5/7 SA avec bonne adaptation néonatale Bronchiolite à l'âge de 4 mois. Bronchiolite à l'âge de 4 mois, puis des bronchites en répétition, autrement en BSH. Bronchiolite à RSV Bronchiolite à RSV avec apnées Bronchiolite à RSV avec: • insuffisance respiratoire • apnées stimulées transitoires • difficultés alimentaires Bronchiolite à RSV avec surinfection pulmonaire et difficultés alimentaires 01.2014 Bronchiolite à RSV Difficultés alimentaires dans le cadre de bronchiolite Angine virale Bronchites traitées avec Ventolin Bronchiolite aiguë Bronchiolite asthmatique. Asthme traité par Atrovent et Seretide en réserve. Contusion genou gauche. Bronchiolite au décours Bronchiolite avec composante spastique Bronchiolite avec désaturation Bronchiolite avec insuffisance respiratoire Bronchiolite avec oxygénodépendance Bronchiolite avec une insuffisance respiratoire Bronchiolite débutante Bronchiolite légère Bronchiolite légère Bronchiolite légère Bronchiolite légère Bronchiolite légère Bronchiolite légère Bronchiolite légère Bronchiolite légère Bronchiolite légère Bronchiolite légère Bronchiolite légère Bronchiolite légère Bronchiolite légère Bronchiolite légère Bronchiolite légère à modérée Bronchiolite légère avec difficultés alimentaires Bronchiolite légère avec possible varicelle débutante Bronchiolite légère, DD coqueluche Bronchiolite légère débutante Bronchiolite modérée Bronchiolite modérée Bronchiolite modérée Bronchiolite modérée Bronchiolite modérée Bronchiolite modérée Bronchiolite modérée Bronchiolite modérée Bronchiolite modérée Bronchiolite modérée avec composante spastique Bronchiolite modérée débutante Bronchiolite modérée non oxygéno-dépendante Bronchiolite modérée oxygénodépendante Bronchiolite RSV + Bronchiolite RSV positif Bronchiolite sévère oxygénodépendante, RSV positif Bronchiolite spastique Bronchiolite spastique légère Bronchiolite/bronchite obstructive légère Bronchiolites à répétition, hospitalisé en février 2018 Bronchite Bronchite aiguë chez une patiente avec tabagisme actif, sans investigation pulmonaire précédemment (BPCO ?). Bronchite aiguë le 06.02.2019 Bronchite aiguë le 11.01.2016 DD: BPCO décompensé (emphysème au CT), ACOS (Asthma COPD overlap syndrome) Dermohypodermite Bronchite aiguë le 17.02.2019. DD : syndrome grippal débutant. Bronchite aiguë probablement virale avec: Bronchite aiguë probablement virale dans un contexte de contusion costale G le 26.11.2014 Fracture 1er métacarpe D en 2012 Fracture instable C2 en 2004 Fracture spiroïde diaphyse 4ème métacarpien G en 2004 Malaise isolé et d'origine indéterminée le 19.07.2018 DD : flutter paroxystique, arythmie autre, malaise vaso-vagal Décompensation cardiaque globale le 19.07.2018 DD: rythmique, valvulaire (peu d'argument), ischémique (exclu), infectieux (exclu) Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec une créatinine à 114 umol/l le 20.07.2018 secondaire au traitement diurétique • Clearance selon Cockroft Gault à 56.4 ml/min Bronchite asthmatiforme. Bronchite asthmatiforme en février 2017. Prothèse totale de hanche gauche le 29.07.2016 pour coxarthrose. Bronchite en juillet 2015. Zona en rémission le 04.02.2013. Prothèse totale du genou droit. Opération du genou droit en 2012 pour kyste ? Cure d'hernie discale au CHUV en 1996. Cholécystectomie en 1990. Hystérectomie en 1988. Appendicectomie en 1968. Cure d'hernie inguinale droite en 1981. Amygdalectomie en 1951. Bronchite asthmatiforme et pneumonie. Bronchite asthmatiforme le 04.02.2019. Bronchite asthmatiforme le 07.02.2019. Bronchite asthmatiforme le 08.01.2018 : • Diagnostic différentiel : bronchopneumonie débutante Bronchite asthmatiforme le 23.02.2019. Bronchite asthmatique. Arthropathie psoriasique, suivie en rhumatologie. Anxiété sous Temesta en réserve. Bronchite avec: • toux et expectorations jaunâtres • CRP 6 mg/l, Lc 4 G/l • CURB-65 : 2 pts Bronchite avec composante spastique Bronchite débutante Bronchite d'étiologie virale probable Bronchite d'origine probablement bactérienne. Bronchite d'origine probablement virale le 01.02.2019 avec: • probable broncho-pneumopathie chronique obstructive non stadée Bronchite d'origine probablement virale le 02.02.2019. Bronchite d'origine virale le 07.02.2019. Bronchite fébrile : RSV ? grippe (N'a pas fait le vaccin cette année) ? Bronchite le 02.02.2019. Bronchite le 05.02.19. DD : pneumonie. Bronchite, le 09.02.2019. Bronchite le 12.02.2019. Bronchite légère Bronchite légère Bronchite légère Bronchite légère Bronchite légère Bronchite modérée Bronchite modérée Bronchite modérée Bronchite modérée Bronchite modérée Bronchite modérée Bronchite modérée Bronchite modérée Bronchite modérée oxygénodépendante Bronchite non spastique bronchite obstructive Bronchite obstructive à RSV positif Bronchite obstructive à RSV, PRAM 7 Bronchite obstructive adressée par pédiatre Bronchite obstructive dans un contexte péri-infectieux Bronchite obstructive légère Bronchite obstructive légère à modérée Bronchite obstructive légère à modérée (Pram 4) Bronchite obstructive légère DD: pneumonie atypique Bronchite obstructive modérée (Pram 5) Bronchite obstructive modérée (Pram 6) Bronchite obstructive modérée (Pram 7) à RSV chez nourrisson avec facteurs de risque, avec impossibilité d'espacement du Ventolin Bronchite obstructive non oxygéno-dépendante Bronchite obstructive oxygéno-dépendante Bronchite obstructive péri-infectieuse Bronchite obstructive PRAM 5 Bronchite obstructive, RSV-, oxygénodépendante et avec échec d'espacement de Ventolin Bronchite obstructive sévère Bronchite obstructive sévère péri-infectieuse Bronchite obstructive sévère (Pram 8) Bronchite obstructive (1 épisode, hiver 2015-2016) Stomato-gingivite (DD primo-infection à herpès simplex Bronchite obstructive (1 épisode, hiver 2015-2016) Stomato-gingivite (DD primo-infection à herpès simplex) avec • deshydratation légère de 3-5% • difficultés alimentaires OMA D débutante Bronchite post-état grippal. DD: suspicion de foyer basal gauche. Bronchite probablement d'allure virale, le 16.01.2019. Bronchite probablement d'origine virale le 09.01.2019. Cholécystectomie en 2015. Bronchite probablement surinfectée le 19.10.2013. Probable BPCO sur tabagisme ancien à 60 UPA. Bronchite probablement virale le 02.02.2019. Bronchite probablement virale le 11.02.2019. Bronchite probablement virale le 13.02.2019 • patiente connue pour BPCO Bronchite probablement virale le 29.01.2019 Bronchite, rhinopharyngite, sd grippal Bronchite spastique Bronchite spastique (à RSV probablement) et OMA bilatérale en 2010 Traitement dentaire en 2012 Bronchite spastique au décours Bronchite spastique avec trouble respiratoire, RSV +, oxygénodépendante Bronchite spastique débutante dans un contexte virale Bronchite spastique le 13.08.2012 traitée par Ventolin et Betnesol. Bronchite spastique légère Bronchite spastique légère à modérée Bronchite spastique légère débutante Bronchite spastique légère, péri-infectieuse Bronchite spastique modérée Bronchite spastique péri-infectieuse légère Bronchite spastique péri-infectieuse modérée Bronchite traitée par Levofloxacine du 14 au 21.01.2019. Fracture de Pouteau-Colles du poignet gauche en 2014. Hypokaliémie à 3.0 mmol/l secondaire à l'Indapamide le 06.03.2018. Bronchite très probablement virale. Bronchite virale le 29.01.19 Bronchite virale Bronchite virale. Bronchite virale asthmatiforme. Bronchite virale au décours • probable COPD sous-jacente (60 UPA) Bronchite virale avec composante spastique Bronchite virale avec douleurs thoraciques de probable origine irritative le 22.02.2019 Bronchite virale avec état fébrile à 39°C, chez une patiente asthmatique. Bronchite virale avec probable surinfection le 05.02.2019 Bronchite virale chez un patient connu pour syndrome d'hypoventilation et restrictif sur obésité le 21.01.2019 Pneumonie moyenne gauche avec insuffisance respiratoire. le 19.05.2018. MRSA positif en 2014, négatif en mai et octobre 2016 et mars 2017. Amputation à mi-cuisse du membre inférieur droit le 27.01.2017. Décompensation cardiaque globale le 05.03.2017. Décompensation cardiaque à prédominance droite en octobre 2016. Décompensation cardiaque globale avec dyspnée en novembre 2016. Désarticulation du genou droit selon Gritti le 28.12.2016. Etat confusionnel aigu hyperactif le 19.11.2016 d'origine mixte. Insuffisance respiratoire hypoxémique et hypercapnique le 26.10.2016. Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique post-opératoire le 11.10.2016. Intubation orotrachéale (Cormack 3) et ventilation mécanique le 11.10.2016. Perturbation des tests hépatiques avec cytolyse aiguë d'origine indéterminée le 27.10.2016. Décompensation d'un diabète de type II sur non-compliance avec hyperglycémie à 21.3 mmol/l le 10.10.2016. Embolie pulmonaire en juin 2016 sous Xarelto. Probable péricardite avec épanchement péricardique le 13.01.2015. Idées suicidaires et anxiétés réactionnelles dues à un trouble de l'adaptation le 26.01.2015. Polysérosite idiopathique le 28.01.2015. Insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine multifactorielle le 28.01.2015 et le 21.12.2014. Embolie pulmonaire centrale bilatérale le 02.09.2012. Traumatisme thoracique avec dissociation chondrocostale sur enfoncement de la paroi thoracique antérieure en 2011. Cure du tunnel carpien en 2011. Bronchite virale dans un contexte d'état grippal. Bronchite virale. DD : grippe. Bronchite virale DD BPCO Bronchite virale. DD: grippe Bronchite virale en décembre 2018 Bronchite virale et douleurs thoraciques musculo-squelettiques (sur toux). Bronchite virale le 03.02.2019. Bronchite virale le 16.02.2019 • avec dyspnée et douleurs rétrosternales. Bronchite virale le 20.02.2019 • DD : pneumonie bactérienne, IVRS. Bronchite virale le 21.01.2019, chez un patient connu pour un syndrome d'hypoventilation et restrictif sur obésité. Bronchite virale le 23.02.2019. Bronchite virale le 23.02.2019. • avec douleur pariétale effort toux. Bronchite virale le 26.02.2019. Bronchite virale le 09.02.2019. Bronchite vs bronchiolite virale (RSV négatif) en décembre 2012. Fracture en motte de beurre radius distal gauche. Bronchite. DD : foyer débutant. Bronchite. DD : foyer débutant base droite. Bronchite Pas d'argument pour une pneumonie Bronchites à répétition Bronchites à répétitions, dernière il y a un mois et demi Bronchites en répétition Bronchites spastiques à répétition jusqu'à l'âge de 5 ans Bronchites x2 Gastroenterite virale à répétition Diminution apports alimentaires Bronchites Status après faux croup Status post-ostéosynthèse des deux os de l'avant-bras gauche le 02.08.2016 AMO de deux broches intra-médullaires avant-bras gauche. Bronchoaspiration le 04.02.2019 avec état fébrile à 39°C • sur vomissement spontané en PLS, contexte d'angoisse péjorée au moment de l'emesis • probablement bronchoaspirations au décours favorisées par alimentation entérale par SNG, protection des voies aériennes absente Bronchodilatateurs Pas de traitement par Prednisone ni Antibiotique au vu de l'évolution clinique favorable Physiothérapie respiratoire Broncho-dysplasie pulmonaire légère Hypoplasie maxillaire/choane dans le contexte de sa prématurité Bronchopneumonie Broncho-pneumonie à RSV oxygéno-dépendante Bronchopneumonie à RSV oxygénodépendante Broncho-pneumonie à RSV oxygéno-dépendante avec difficulté alimentaire Bronchopneumonie acquise à domicile : CURB 65: 1 PSI. Bronchopneumonie acquise à domicile : CURB 65: 1 PSI: 88. Broncho-pneumonie basale droite chez une patiente sous traitement de Prednisone 10 mg 1x/j pour une myasthénie gravis. Bronchopneumonie basale droite d'aspiration le 19.01.2019 Bronchopneumonie basale droite d'aspiration le 19.01.2019 : Co-Amoxicilline du 19.01.2019 au 21.01.2019, Pipéracilline-Tazobactam du 21.01.2019 au 27.01.2019 Perturbation des tests hépatiques le 29.01.2019 - possiblement sur stase veineuse vs médicamenteux sur traitement de Tazobac US abdominal le 29.01.2019 Etat fébrile récidivant sur crise de goutte (cheville droite, coude droit, hallux droit) depuis le 19.01.2019DD: origine centrale secondaire à l'hématome intra-cérébral, Co-Amoxicilline du 19.01.2019 au 21.01.2019, Pipéracilline-Tazobactam du 21.01.2019 au 27.01.2019, Pipéracilline-Tazobactam du 31.01.2019 au 01.02.2019, Avis rhumatologique (Dr. X), Avis infectiologique, Colchicine dès le 03.02.2019, acide urique le 14.02.2019 à 278 uM Tachycardie ventriculaire non soutenue de découverte fortuite sur Holter du 23.01.2019, Echocardiographie transthoracique du 28.01.2019, Avis cardiologique avec Ergométrie à distance Bronchopneumonie basale droite le 26.01.2019. Bronchopneumonie basale droite le 31.01.2019 Broncho-pneumonie basale gauche le 04.04.2018 : Troubles de la marche et de l'équilibre avec fractures de côtes à gauche des arcs latéraux 10 et 11 après chute le 03.04.2018 Broncho-pneumonie communautaire à S. Pneumoniae • DD exacerbation BPCO avec 1/3 critères Anthonisen • Infection concomitante à Influenza A, symptômes depuis le 12.02.2019, anamnèse familiale positive (fils) • Mr. Y, BPCO, 90 UPA Bronchopneumonie communautaire bilatérale à germe indéterminé le 28.01.2019 avec : • insuffisance respiratoire type 1 • sur grippe Influenza A • PSI 102 points (Risk Class IV) Bronchopneumonie d'aspiration le 23.02.2019 • secondaire à l'iléus Bronchopneumonie d'inhalation à Pseudomonas aeruginosa le 05.02.2019 avec : • colonisation bronchique par Staphylocoque doré méthicilline-résistant • bronchoscopie avec LBA le 05.02.2019 (Dr. X) Bronchopneumonie d'inhalation à Pseudomonas aeruginosa le 05.02.2019 avec : • Colonisation bronchique par Staphylocoque doré méthicilline-résistant • Bronchoscopie avec LBA le 05.02.2019 (Dr. X) Bronchopneumonie d'inhalation avec Pseudomonas aeruginosa le 05.02.2019 Bronchopneumonie du lobe supérieur droit à Haemophilus influenzae le 10.01.2019 Bronchopneumonie du lobe supérieur droit à Haemophilus influenzae le 10.01.2019 (CHUV) Bronchopneumonie gauche sur probable aspiration le 06.02.2019 Bronchopneumonie le 16.02.2019 Bronchopneumonie lobaire bilatérale. Rx thorax : foyer de pneumonie du lobe inférieur droit et doute sur un foyer rétrocardiaque gauche. Bronchopneumonie nosocomiale lobe inférieur gauche le 25.02.2019 Bronchopneumonie récidivante à Haemophilus influenzae (avec Streptococcus oralis, Neisseria saprophyte) le 29.01.2019 Bronchopneumonie récidivante acquise sous ventilation à Haemophilus influenzae (avec Streptococcus oralis, Neisseria saprophyte) le 29.01.2019 Broncho-pneumonie virale Bronchopneumonie virale avec insuffisance respiratoire Bronchopneumonie virale probable Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) GOLD A, DD Syndrome Asthme-BPCO • sous Spiriva, Ventolin Hernie hiatiale axiale avec un oesophage de Barrett (Gastroscopie/Histologie 23.02.2018) sous Pantozol Dépression modérée sous Remeron Hyperplasie prostatique : st. post TURP 2000, rétention urinaire 08.2015 Diverticulose colique gauche Diastasis des grands droits Broncho-pneumopathie chronique obstructive II stade GOLD sur tabagisme actif (80 unités/paquets par année). Suspicion d'encéphalopathie cérébelleuse toxique polyétiologique (dépendance à l'alcool et consommation d'alcool sous Antabus). Consommation d'alcool à risque. Chutes à répétition d'origine multifactorielle. Épilepsie traitée depuis 2002 (crise type grand mal en 2002) par Valproate jusqu'en 2014 puis par Lévétiracétam. Maladie coronarienne bitronculaire : • occlusion très calcifiée de l'IVA ostiale, moyenne, proximale et distale (rétro-perfusée par la coronaire droite) • sténose très serrée de la RCX ostiale • fonction systolique du ventricule gauche sévèrement abaissée (30%) • coronarographie 27.07.2017 et échographie cardiaque le 26.07.2017. Démence à prédominance sous-corticale d'origine mixte (séquelle neuropsychologique d'accident vasculo-cérébral, consommation d'alcool) avec des troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de sédatifs ou d'hypnotiques, syndrome de dépendance, suivi par le Dr. X. Bronchopneumopathie chronique obstructive non stadée sur tabagisme actif à 30 unités paquets par an Bronchopneumopathie chronique obstructive stade II. Bronchoscopie (Dr. X) le 12.02.2019 Bronchoscopie (Dr. X) le 14.02.2019 Bronchoscopie et LBA le 30.01.2019 (Dr. X) Imipenem du 30.01 au 01.02.2019 Ceftriaxone du 01.02 au 05.02.2019 Bronchoscopie le 08.02.2019 Céfépime du 09.02 au 11.02.2019 puis du 16.02 au 18.02.2019 Piperacillin-Tazobactam du 18.02 au 23.02.2019 puis relais per os par Ciprofloxacine du 23.02 au 01.03.2019 Suivi clinique et biologique Bronchospasme post bronchoscopie le 01.02.2019 Broncopneumonie à RSV il y a une année. Brufen Bruits respiratoires Brûlé gravement à l'âge de 4 ans. Abcès cutané dorsal. Sciatalgies. Tabagisme 100 UPA. SAOS non-appareillé très probable, non-investigué. OH occasionnel. Status post-AMA bilatérale pour esquinancie. Status post-opération hallux valgus. Brûlure Brûlure Brûlure. Brûlure. Brûlure. Brûlure au niveau du dorsal 2a de 1% Crossectomie et stripping de la V. saphena magna G Opération au niveau de la colonne lombaire à 3 reprises avec paresthésie neurogène des pieds Parésie du MID DD radiculaire DD AIT 2009 Brûlure au 2ème degré fesse D en peropératoire le 24.01.2019 Brûlure de degré II A au niveau de la face dorsale du pouce droit le 29.01.2019. Brûlure de la bouche. Brûlure de premier degré < 10% frontale droite, lobe de l'oreille D et au niveau de l'homoplate à D Brûlure de stade 1 de < 1% sur pied droit le 25.02.2019 Brûlure de stade 2a de 1% sur cuisse gauche le 25.02.2019 Brûlure de 1er degré péri-buccale bilatérale, intra-buccale, linguale, sous-mentonnière, parasternale gauche et le 19.02.2019, thermique par eau bouillante. Brûlure de 2ème degré, superficielle, d'environ 1% sur le visage, sans atteinte des muqueuses buccales ni nasales et sans atteinte des yeux le 03.10.2016 Brûlure du second degré atteignant environ 6% de la surface corporelle incluant les organes génitaux Brûlure du second degré atteignant environ 6% de la surface corporelle inclus les organes génitaux Brûlure du 2ème degré A Brûlure du 2ème degré A, main gauche, < 1% Brûlure épigastrique Brûlure épigastrique le 09.02.2019 Brûlure main droite face palmaire Brûlure main gauche Brûlure mictionnelle. Brûlure mictionnelle. Brûlure mictionnelle. Brûlure mictionnelle. Brûlure mictionnelle. Brûlure mictionnelle. Brûlure mictionnelle. Brûlure thermique au 2ème degré de 1 x 0.5 cm sur la face palmaire de la phalange distale du majeur droit le 05.02.2019. Brûlure 2ème degré superficiel main G (1,5%) Sp Adénoïdectomie. Brûlures à l'eau bouillante évaluées à 4% de la surface corporelle selon échelle de Wallace le 28.01 : • 2ème ° superficiel de la majorité de la face antérieure du scrotum + base de la verge • 1er ° sur la face antérieure de la cuisse avec phlyctènes non rompus • 1er ° sur le doigt 5 gauche non circulaire Brûlures de 2ème degré du bras droit, le 28.09.2013. Brûlures des doigts à droite. Brûlures épigastriques occasionnelles soulagées par Rennie.Brûlures frontales et péri-orbitaires de premier degré le 16.02.2019. Brûlures gastriques Syndrome métabolique, avec: • Obésité • Hypertension artérielle • Dyslipidémie Brûlures génitales. Brûlures mictionnelles. Brûlures mictionnelles et hématurie. Brûlures mictionnelles, pollakiurie. Brûlures mictionnelles et hématurie. Brûlures mictionnelles. Dyspnée. Brûlures oeil droit sur contact avec liquide acide le 25.02.2019. Brûlures superficielles (2ème degré) au niveau du muscle grand glutéal ddc, plus prononcées à gauche (probablement provoquées par le lit chauffant pendant la CEC). Brûlures sur accident. Parésie nerf crânien VI droite le 12.10.2013 Status post-cure d hernie inguinale gauche selon la technique de Lichtenstein le 04.05.2018 Status post-cure d hernie inguinale droite selon la technique de Lichtenstein le 10.06.2016. Brûlures urinaires. BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSH BSh BSh, AVB, à terme. BSh, fait 2-3 bronchites. BSH, naissance AVB, à terme, sp. BSH, né à terme. BSH, née à terme. BSH, NNT. BSH, op à l'âge de 3 mois pour une hernie ovarienne. BSH, pas de médicament. BSH, prend Seretide au besoin pour la toux pendant 2 semaines. Pas pris depuis novembre. BSH, retard de croissance, suivi par un médecin en Espagne. Bulboid aux urgences avec petite évacuation de selles; à compléter avec Microlax au domicile Réévaluation du traitement de base par le pédiatre le 06.02.2019 au contrôle prévu (augmentation Laxipeg?). Bulboid en réserve. Bulboïd en réserve max 1x/j. Bulboid enfant provoquant une très petite quantité de selles. Pas d'épisode douloureux durant l'attente aux urgences hormis lors de l'administration de bulboid, rapidement résolutif. Bulboïd. Freka Clyss. Evacuation manuelle. Burn out. DD: dépression, crise d'angoisse. Burn out en 2013. Burn out (2018) S/p opération du poignet gauche (1999) S/p arthroscopie du genou (2001). Bursectomie olécrânienne coude D, biopsies (OP le 12.02.2019) Antibiothérapie : co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 12.02. au 14.02.2019, co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. du 15.02. au 25.02.2019. Microbiologie du 12.02.2019 : nég. Diagnostic anatomopathologique (bourse olécrânienne D) - Rapport Promed du 14.02.2019 : à la coloration de Gram qq rares microorganismes coccoïdes Gram positif. Pas d'abcès au sens strict, pas de dépôt cristallin, pas de suspicion de malignité. Bursectomie totale, prélèvements et biopsies, rinçage genou D (OP le 28.01.2019) Microbiologie : • Biopsie bourse prépatellaire D 28.01.2019 : Streptocoque dysgalactiae +++ • Liquide bourse prépatellaire D 28.01.2019 : Streptocoque dysgalactiae ++ • Biopsie bourse prépatellaire profonde D 28.01.2019 : Streptocoque dysgalactiae ++ multiS Consilium infectiologie 31.01.2018 (en annexe) Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 29.01. au 31.01.2019 puis co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. dès le 01.02.2019 pour une durée totale de 10 jours. Bursectomie traumatique au genou gauche. Bursite du coude droit. Bursite du coude gauche le 13/02/19 • Rx coude gauche : épaississement des tissus mous en regard de la bourse olécrânienne pouvant correspondre à une bursite. Pas d'épanchement articulaire ni de lésion osseuse/articulaire suspecte. • Labo : CRP 53, leuco 10.4 Bursite épaule gauche en cours de programmation d'opération, suivie par le Dr. X avec: • ambivalence sur la décision de mettre une prothèse. Bursite fémoro-patellaire. Bursite infectieuse olécrânienne D, post-contusion coude D le 06.02.2019. Bursite infectieuse post-contusion olécranienne droite, le 07.02.2019. Bursite inflammatoire du coude gauche le 04.02.2019. Bursite olécrânienne G sur épine olécrânienne. Bursite olécranienne septique, coude gauche à Staphylococcus aureus.Bursite post-traumatique inflammatoire olécrâne G, traumatisme datant du 07 ou du 08.02.2019, selon Mr. Y • CRP 61 mg/l, leucocytes 9,9 G/l le 13.02.2019 Bursite post-traumatique inflammatoire olécranienne gauche. Bursite prépatellaire aseptique genou G suite à une contusion le 08.02.2019. Bursite pré-patellaire droite DD inflammatoire DD infectieuse • Labo du 21.02.2019 : CRP < 5, leucocytes dans la norme • Rx genou D : pas de calcifications au niveau de la bourse, pas d'épanchement intra-articulaire • US aux urgences : liquide important dans la bourse Bursite prépatellaire gauche traumatique le 02.02.2019. Bursite septique du coude gauche à Staphylococcus aureus. Bursite septique du coude gauche le 13.02.2019. Bursite septique du genou D sur statut post plaie par débris de verre une semaine auparavant • Germe en cause (28.01.2019) : Streptocoque dysgalactiae Bursite septique du genou droit à staphylocoques aureus, avec cellulite nécrosante d'accompagnement • Le 23.09.2013 (Dr. X, Dr. X) : bursectomie du genou droit, lavage • Le 25.09.2013 (Dr. X, Dr. X) : second look, lavage de la plaie opératoire du genou droit • Le 27.09.2013 (Dr. X, Dr. X) : parage, lavage de la plaie opératoire du genou droit ; adaptation du décollement sous-cutané et mise en place d'un pansement aspiratif de type Renasys • 14.10.2013 (Dr. X, Dr. X) : greffe de Thiersch en regard de la tubérosité tibiale antérieure du genou droit Opération de la cataracte droite en 2004 Possible polymyalgie rhumatica le 03.07.2017 : • État fébrile avec syndrome inflammatoire d'origine indéterminée avec une CRP 354 mg/l • Antibiothérapie par Rocéphine 2 g du 04.07.2017 au 09.07.2017, relais par Méropenem 500 mg 3x/jour du 09.07.2017 au 10.07.2017, puis relais par Ciprofloxacine 2x 500 mg du 10.07.2017 au 17.07.2017 • Avis infectiologique Dr. X le 10.07.2017 : arrêt Méropenem, introduction Ciprofloxacine ; recherche fièvre Q et Bartonella • Avis Dr. X 13.07.2017 : poursuite des investigations par ponction lombaire, et si cellules, réaliser PCR Bartonella et Cryptocoque • Ponction lombaire le 14.07.2017 • Scanner thoracique et abdominal Dyspnée NYHA stade IV d'origine indéterminée le 03.07.2017 sur probable pneumopathie obstructive : • Patient connu pour des dyspnées NYHA stade II avec échocardiographie transthoracique en 2012 montrant une fonction biventriculaire préservée sans valvulopathie hémodynamiquement significative Céphalées légères occipitales, puis en casque Ulcères veineux du membre inférieur droit Anémie normocytaire normochrome d'origine inflammatoire Éruption cutanée au membre inférieur droit et à l'ombilic le 17.07.2017 sur sécheresse cutanée Bursite sous-acromiale étendue avec lésion intra-tendineuse de petite taille du tendon du sus-épineux épaule D. Bursite sous-acromio-deltoïdienne sur conflit sous-acromial de l'épaule gauche. Arthrose acromio-claviculaire traumatisée à gauche. Status post contusion du carpe de la main gauche. Status post contusion du condyle fémoral externe du genou gauche. Status post infiltration de l'articulation acromio-claviculaire et de l'espace sous-acromial à gauche le 16.1.2019 Bursite traumatique coude G sans fracture associée, dermabrasion cutanée en regard de l'olécrane Bursite traumatique du genou gauche le 08.02.2019. Bursite traumatique olécrânienne droite sur contusion du coude droit le 06.02.2019. Bursite trochantérienne D sur statut post mise en place d'une prothèse totale de la hanche droite pour une fracture du col du fémur Garden IV le 11.02.2016. Bursite trochantérienne, tendinite du moyen-grand fessier, hanche gauche. • Hernies discales C5-C6 et C6-C7 • Légère discopathie L5-S1 avec minime listhésis. Bursotomie post-traumatique genou gauche Bursotomie traumatique du coude droit. Bursotomie traumatique le 31.01.2019. Buscopan PO Lavement par stomie infructueux Reprise du transit par stomie le 21.2.2019 Bypass en septembre 2018 Deux césariennes Bypass gastrique (Hôpital X) en avril 2017. Bypass gastrique laparoscopique le 08.02.19 Bypass gastrique laparoscopique le 11.02.2019 Bypass gastrique laparoscopique le 22.02.19 (Dr. X) Bypass gastrique par laparoscopie le 25.02.2019 Bypass gastrique par voie laparoscopique, avec cholécystectomie en électif le 20.08.2012 pour obésité de stade III Compression radiculaire L3-L4 droite Myopathie inflammatoire multifocale associée à un rash cutané diffus maculaire en 01/18 : • myosite paracervicale et des cuisses démontrée à l'IRM • multiples collections au sein des adducteurs avec rehaussement périphérique • positivité anti-PL-12 à 1+ Bypass gastrique proximal laparoscopique le 04.02.2019 Bypass gastrique Y-Roux sur adipositas permagna en 2015 (perte de 65 kg) Bypass gastrique Thyroïdectomie partielle non substituée Bypass-gastrique en 2014. • BMI 47.8 kg/m2 (143 kg, 173 cm). • actuellement: BMI 31.7 kg/m2 (95 kg, 173 cm). Appendicectomie en 1964. Abcès sous-cutané à Staphylococcus aureus au niveau du genou droit le 25.01.2019. Evacuation abcès para-patellaire le 25.01.2019. Co-Amoxicilline 2.2 g 4x/24h du 26.01.2019 au 29.01.2019. B12, ferritine dans la norme, acide folique diminué B12, acide folique dans la norme 2 CE (01.02.2019, 11.02.2019) Sang occulte dans les selles 2/3 nég. à suivre C. difficile : négatif C. difficile le 26.02.2019 : absence C. Difficile nég Stop Novasource, substitué par IsoSource ; le 28.11.2018 Ca mammaire G en 2001 Probable fracture costale et contusion vertébrale sur chute le 22.02.2015 Fracture extra-articulaire radius distal D avec bascule postérieure de 25°, le 18.08.2017 • Status post traitement conservateur fracture radius distal D avec bascule postérieure de 10° le 08.06.2017 • Réduction ouverte, OS radius distal D par plaque Aptus (OP le 18.08.2017) Fracture du tubercule majeur épaule G ; le 18.08.2017 Traitement conservateur, selon le désir de Mme. Y • gilet orthopédique pour 6 semaines • contrôle rx-clinique à une semaine puis à 6 semaines. Ostéoporose fracturaire • Consilium de médecine interne le 21.08.2017 (en annexe) • Ad ostéodensitométrie en ambulatoire (demande faite auprès du secrétariat de rhumatologie) Traumatisme crânien mineur le 26.07.2018 Sur chute mécanique CT cérébral + massif facial : hématome frontal superficiel Attitude : • antalgie • surveillance par entourage. Contusion sacrale et lombaire bas le 26.07.2018 Contexte de chute mécanique. RX lombaire, bassin : pas de fracture. Antalgie par Paracétamol : patiente refusant tramadol. Essaie antalgie à domicile avec encadrement au couvent. En cas de situation hyperalgique : discuter hospitalisation pour antalgie et CT sacrum en cas de doute clinique sur une possible fracture non visualisée sur la radiographie conventionnelle. Insuffisance respiratoire sur asthme mal contrôlé le 26.07.2018 DD : • décompensation cardiaque : pas d'argument biologique (NT-Pro-BNP normal), RX thorax peu en faveur. • pneumopathie infectieuse : pas d'arguments : pas de fièvre, pas de toux, pas d'expectoration. • reprise traitement de symbicort 2x/jour. • contrôle chez le médecin traitant. Cachexie dans un contexte de malnutrition protéino-énergétique sévère • inappétence chronique Cachexie multifactorielle sur cirrhose dénutrition et plissement • Traitement en médecine palliative et de support • Facteur de performance : ECOG 4 • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : douleurs, transfert en EMS • Orientation planifiée (Lieu) : Les Epinettes, EMS de Giffers ; Alternative : fin de vie à l'HFR Fribourg Cal vicieux du radius distal D avec ulna + et instabilité de la DRUJ sur statut post fracture du radius distal D le 12.08.2018, traitée conservativement. Cal vicieux fémur proximal D sur statut post enclouage par PFNA d'une fracture pertrochantérienne le 31.08.2017 au Portugal Cal vicieux P2 D5 main G avec déviation d'axe d'environ 15° vers cubital. Cal vicieux sur statut post fracture intra-articulaire du radius distal droit le 28.08.2018 avec lésion sub-aiguë du scapho-lunaire. Instabilité de la radio-cubitale distale droite chronique. Calcification dans le ligament collatéral externe de la partie proximale genou D. Calcification hépatique. DD : échinococcose alvéolaire, métastase hépatique. Calcifications pulmonaires apicales bilatérales Diverticulose colique étendue Coxarthrose bilatérale modérée Hernie discale L4-5 et L5-S1 Calcifications pulmonaires apicales bilatérales Gastrite peptique Thrombus intraventriculaire gauche anticoagulé par Xarelto 15 mg Cardiopathie ischémique (IVA et CD), rythmique et hypertensive • FEVG 20% • Pacemaker AAIR-DDDR Insuffisance rénale chronique stade III avec atrophie rénale gauche Diverticulose colique étendue Pyrosis chronique Coxarthrose bilatérale modérée Hernie discale L4-L5 et L5-S1 Calcifications vasculaires distales de la jambe droite, compatibles avec une médiacalcose Calcimagon D3. Réévaluation à votre consultation. Calcimagon D3 2x/jour dès le 08.02.2019 Contrôle biologique à distance Calcium Pyélonéphrite gauche le 13.12.2018 Calcul dans l'uretère gauche jonction urétéro-vésicale. Calcul de 4 mm au niveau de la jonction urétéro-vésicale de 4 mm à gauche avec une légère dilatation du pyélon de 1.4 cm. Calcul fraction excrétion de l'urée du 12.01.2019 : 64.68% (soit supérieur à 50% donc insuffisance rénale intra rénale) Calcul rénal gauche de 4 à 5 mm. Calcul urétéral gauche dans le tiers distal d'une grandeur de 5,5 mm avec dilatation pyélo-calicielle de 16 mm le 26.01.2019 Epaississement irrégulier focal du sigmoïde (DD : diverticulite, oncologique) • Antibiothérapie par Ceftriaxone intraveineuse dès le 26.01.19, Flagyl, relais antibiothérapie per os le 28.01.2019 • Organiser Colonoscopie à 2-3 semaines Insuffisance rénale aiguë le 26.01.2019 d'origine pré et post-rénale probable Calculs rénaux Hernie discale L5-S1 PTG en 2012 Poliomyélite à 3 ans avec amyotrophie du mollet droit sigmoïdectomie s/ diverticulite en 1999 Calculs rénaux récurrents depuis ses 30 ans environ. Dernier épisode il y a 3 ans avec extraction chirurgicale. • sous traitement par Zyloric Cure de varices à gauche il y a environ 35 ans Tuberculose ganglionnaire en 1952 environ (traitement : chirurgie, irradiation, sanatorium) Arthrose fémoro-tibiale médiale débutante Thrombocytopénie sévère d'origine septique (CIVD) du 09 au 15.01.2019 Douleurs rétro-sternales le 15.01.2019 DD : NSTEMI secondaire Dysélectrolytémie récurrente avec : • hyponatriémie normo-osmolaire modérée, sans atteinte neurologique, depuis le 09.01.2019 avec amélioration depuis le 19.01.2019 • hypokaliémie et hypomagnésiémie le 09.01.2019 Oedème aigu pulmonaire 28.01.2019 Mycoses buccales OAP sur NSTEMI le 08.02.2019 • VNI du 08.02.2019 au 09.02.19 Insuffisance rénale aiguë AKIN III oligo-anurique récidivante, d'origine multifactorielle le 09.01.2019, avec récidive dès le 16.01.2019 • initialement sur déshydratation et sepsis le 09.01.2019 • nouvelle aggravation depuis le 16.01.2019 (DD néphrite interstitielle médicamenteuse sur Cefuroxime +/- para-infectieuse) • Épuration extra-rénale continue du 28.01 au 02.02.2019 • Reprise d'une hémodialyse intermittente dès le 04.02.2019 (lu-me-ve) Diarrhées en dialyse le 15.02.2019 • 1 épisode de vomissement post-prandial Calculs rénaux. Ulcère d'estomac. Lombo-sciatalgie gauche de type S1, non déficitaire. Calculs urinaires en acide urique Calendula baby crème Calme, GCS 14, Néglet gauche, hémisyndrome gauche M 1-2, hémodynamiquement stable, normoxémie sans oxygène. calme, Glasgow 14, M1-2 membres gauche, M0 membres droite, TAM 70, FC 80/min, sinusale, SaO2 96% avec lunettes avec 2 litres oxygène Calprotectine : 486µg/g le 21.01.2019 Calprotectine fécale le 08.02.19 : 92 ug/g Tryptase 5.7 ug/l le 31.01.19 (normale) Calprotectine le 21.01.2019 : 486µg/g Entocort à 9mg le 21.01.2019 Camomille local Antalgiques en réserve Canal carpien gauche Exérèse de kyste pilonidal. Canal lombaire étroit constitutionnel avec hypertrophie du compartiment graisseux épidural en L5-S1. Discopathie L3-L4, L4-L5 et L5-S1. Hernie discale postérieure médiane sous ligamentaire L5-S1. Canal lombaire étroit et multiples hernies discales lombaires Carcinome du sein invasif ductal avec DCIS, pT1c pN0 M0 • Diagnostic en septembre 2004 • Histologie (Argot Lab Lausanne 306403) : carcinome du sein invasif ductal Typ Komedo-carcinome, pT1c G2 pN0 (0/2) (sn)(i-) Récepteur hormone ER et PGR >90 % positif, HER-2 + (Herceptest), MIB 1 25 % • S/p tumorectomie du sein droit avec ganglion sentinelle-biopsie le 05.10.2004 • S/p radiothérapie adjuvante du sein droit du 08.11 au 17.12.2004 • S/p thérapie antihormonale avec Tamoxifen de décembre 2004 à octobre 2005, suivi par Arimidex de novembre 2005 à décembre 2009 • Actuellement : pas d'indication pour une récidive Coxarthrose bilatérale Canal lombaire étroit L2-L3, L3-L4 et dans une moindre mesure L4-L5 avec également hernie discale L5-S1 G, asymptomatiques Canal lombaire étroit L3/L4 et L4/L5, modéré L5/S1 et L2/L3 bilatérale traité par stabilisation L1-S1 avec vertébroplastie L1, L2 et S1 et hémilaminectomie L4 à droite le 10.01.2019 Canal lombaire étroit L4-L5. Canal lombaire étroit L5-S1 sur ostéolisthesis • Ostéopénie des vertèbres lombaires • Suivi à l'Inselspital jusqu'en 2015 • Refus d'investigations complémentaires et prise en charge chirurgicale • Actuellement : troubles de la marche depuis 6 mois et en augmentation depuis 1-2 semaines, globe urinaire récent Canal lombaire étroit Suspicion de dépendance à l'alcool à l'hétéroanamnèse Canal lombaire L4-L5 modéré Canal spinal étroit et hernie discale L4-L5 gauche luxée vers le bas avec statut post cure d'hernie discale lombaire en 2010. Prothèse totale de la hanche gauche en 2011. Coxarthrose varisante droite. Cancer bronchique non à petites cellules de type adénocarcinome du lobe moyen droit en stade pT2a pN2 (1/4) cM0 R0 soit IIIA • date du diagnostic : 16.05.2017 • statut post-lobectomie moyenne droite avec lymphadénectomie médiastinale le 16.05.2017 (Dr. X) • histologie (Pathologie Université Berne B2017.31461-31462) : adénocarcinome non mucineux, G2, pT2a pN2 (1/4) L1-L2, V1 pN0 G2 R0 • CT du 02.02. et 15.03.2017 : tumeur pulmonaire du lobe moyen droit • PET-CT du 27.03.2017 : pas d'hypercaptation en faveur de métastases à distance • chimiothérapie adjuvante par Cisplatine 1 cycle, puis Carboplatine en raison d'acouphènes et Navelbine du 26.06 au 04.09.2017 • rémission complète sur le scanner du 20.09.2017 • récidive au niveau pulmonaire et ganglionnaire sur le scanner du 04.04.2018 • PET-CT du 11.04.2018 : suspicion de récidive au niveau pleural, médiastinal et pulmonaire • tumorboard du 11.04.2018 : biopsie sous ultrason d'un ganglion mammaire droit puis traitement systémique palliatif • biopsie sous CT nodule du lobe moyen droit du 25.04.2018 (Promed P2018.4729) : adénocarcinome pulmonaire • immunothérapie par Keytruda (pembrolizumab) dès le 07.05.2018 • CT thoraco-abdominal du 10.09.2018 : augmentation des adénopathies médiastinales, pseudo-progression versus progression, métastases osseuses D7 et D12 • poursuite de l'immunothérapie par Keytruda • statut post radiothérapie palliative à visée antalgique de D7 à D12 du 02.10 au 17.10.2018 • apparition de métastases cérébrales, évaluation d'une radiothérapie stéréotaxique ??? • actuellement : nette progression systémique selon CT du 11.01.2019, douleurs réfractaires au Pallexia • oncologue traitant : Dr. X Cancer de la prostate. Cancer de la prostate en stade métastatique (osseux) • progression tumorale, poursuite du traitement par analogue LHRH, XGEVA, introduction d'une corticothérapie Cancer de la prostate en 2011 (opéré au Daler, suivi 1x/an) Opération X de la thyroïde (sans substitution hormonale) Antécédent d'AVC temporal droit Insuffisance rénale aiguë le 08.06.2016, d'origine pré-rénale sur déshydratation • GFR calculée à 54 ml/min/1.73 m2 selon CKD-EPI Sepsis sur pneumonie communautaire à pneumocoque le 08.03.2016 Troubles électrolytiques le 08.03.2016 : • hypokaliémie • hypomagnésiémie • hypophosphatémie Diverticulite sigmoïdienne de Hansen-Stock IIa, le 04.04.2018 Anémie normochrome normocytaire le 12.10.2018 avec hémoglobine à 118 g/L Thrombopénie à 124 G/l le 12.10.2018, dans un contexte infectieux Plaie superficielle du scalp d'environ 6 cm au niveau occipital en janvier 2019 : • sur chute sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle • sur troubles de l'équilibre liés à une neuropathie diabétique Cancer de la prostate en 2011 (opéré au Daler, suivi 1x/an) Opération X de la thyroïde (sans substitution hormonale) Antécédent d'AVC temporal droit Insuffisance rénale aiguë le 08.06.2016, d'origine pré-rénale sur déshydratation • GFR calculée à 54 ml/min/1.73 m2 selon CKD-EPI Sepsis sur pneumonie communautaire à pneumocoque le 08.03.2016 Troubles électrolytiques le 08.03.2016 : • hypokaliémie • hypomagnésiémie • hypophosphatémie Diverticulite sigmoïdienne Hansen Stock IIa, 04.04.2018 Anémie normochrome normocytaire le 12.10.2018 • hémoglobine à 118 g/L Thrombopénie à 124 G/l le 12.10.2018 • dans un contexte infectieux Plaie superficielle du scalp d'environ 6 cm au niveau occipital en janvier 2019 • sur chute sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle • sur troubles de l'équilibre liés à une neuropathie diabétique Cancer du côlon avec colectomie en 2004 Diarrhée persistante probablement postopératoire (16.11.2017) DD iatrogène (antibiotique, Metformin) DD sur substitution des hormones thyroïdiennes DD syndrome de short bowel Infection des voies urinaires à E. Coli et Enterococcus faecalis multisensible en 11.2017 Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique Grade II probablement prérénale (èGFR selon CKD-EPI : 71.5 ml/min le 26.12.2017) Rupture du matériel d'ostéosynthèse sur statut post fracture-luxation équivalente bimalléolaire de la cheville D du 15.11.2017, traitée par arthrodèse calcanéo-talo-tibiale le 16.11.2017. Ablation partielle du matériel d'ostéosynthèse de la cheville D (opération le 20.06.2018) Cancer du sein D opéré avec reconstruction mammaire PTH D en 2008 • Réduction luxation PTH D en 2010, 2012 et 2018 Altération de la crase sur embolie pulmonaire en mars 2017, anticoagulée par Xarelto Sténose canalaire lombaire multi-étagée avec rétrécissement sévère L2-L3, sténose L3-L4, L4-L5, listhésis L2-L3 et L3-L4 grade I • Spondylodèse L2-L5 par système Viper (vis 6.0/50, tiges 80 mm), laminectomie L2-L5 avec décompression du canal lombaire étroit le 03.09.2018 Ischémie cardiaque sur anémie postopératoire avec Hb à 77 g/l le 05.09.2018 • Troponines le 05.09.2018 : 32 et 29 ng/l • ECG du 05.09.2018 : RSR 75/min, QRS 0.08 s, ST iso-électrique, onde T aplatie en V3 et V6 (nouveau par rapport au comparatif 2017). Transfusion de 2 CE le 06.09.2018 (onde T améliorée après transfusion du 1er CE) Cancer du sein D traité par radiothérapie et Tamoxifen (il y a 30 ans) Cancer du sein diagnostiqué il y a 2 ans avec suivi dans la norme. Cancer du sein droit opéré avec cure ganglionnaire et radiothérapie en 2014. Cancer du sein G. Hystérectomie AGT s/p. Cancer du sein multicentrique gauche diagnostiqué en novembre 2016 : • biopsie mammaire le 18 novembre 2016 : DAP, carcinome invasif NST, récepteurs œstrogènes et progestérone positif, Mib 20-30 %, HER2 négatif • atteinte osseuse synchrone avec vertébroplastie le L1 et biopsie confirmant la présence d'une métastase d'un cancer du sein le 29 novembre 2016 • hormono-modulation par Létrozole depuis décembre 2016 ; Denosumab mensuel • interruption de Létrozole en août 2017 en raison d'une progression des marqueurs tumoraux ; passage à un traitement de Faslodex et Ibrance • Faslodex et Ibrance d'août à novembre 2017, interrompu en raison d'une progression biologique et radiologique (ganglionnaire) • sous Aromasin et Afinitor depuis décembre 2017 • statut post 12 séances de radiothérapie à but antalgique (dorsal) en octobre 2018 • mesure des marqueurs pour évaluer réponse au traitement (valeur 11.12.2018 CEA à 43 ng/ml et CA15-3 à 532 U/ml = relative stabilité sous Afinitor/Aromasin) • status post 12 séances de RT à but antalgique (dorsal) en décembre 2018 • suivi ambulatoire par le Dr. X • Cancer du sein 2011 • Cancer épidermoïde de l'œsophage du tiers supérieur uT4 uN1 cM0 • Diagnostic le 04.04.2013 • Histologie (Promed P2801.13) : carcinome épidermoïde moyennement différencié invasif focalement kératinisant avec par endroits une réaction desmoplasique (biopsie de l'œsophage) • Transit oeso-gastroduodénal du 19.02.2013 : lésion sténosante s'étendant sur 6 cm dans le tiers proximal de l'œsophage. Reflux gastro-œsophagien associé à une hernie hiatale. • Oesophagoscopie du 04.04.2013 : tumeur bourgeonnante du tiers proximal œsophagien débutant à 20 cm de l'arcade dentaire et se prolongeant sur 3 cm • CT crânio-cervico-thoraco-abdominal du 08.04.2013 : lésion tumorale bourgeonnante sténosante du tiers supérieur de l'œsophage avec doute sur la présence d'une petite plage nécrotique antérieurement à cette sténose. Pas d'autre lésion suspecte • PET du 11.04.2013 : hypercaptation de la masse œsophagienne tumorale connue sans autre lésion suspecte de métastase • Endosonographie œsophagienne du 16.04.2013 : carcinome épidermoïde du tiers cervical de l'œsophage débutant à 20 cm de l'arcade dentaire supérieur, soit à 2 cm du sphincter supérieur hémi-circonférenciel de stade uT4 uN1 Mx (infiltration paratrachéale postérieure) (examen proximal incomplet) • Status post-radio- et chimiothérapie combinée par Platinol et 5-FU de mai à août 2013 avec bonne rémission partielle • Status post-impaction alimentaire le 30.11.2014 • Status post-pharyngo- et laryngoscopie directe plus œsophagoscopie rigide plus extraction du corps étranger et dilatation jusqu'à charrière 14. Muqueuses sans particularité mais présence d'une sténose mucosale à 20 cm des arcades dentaires qui est dilatée. Actuellement : surveillance radiologique dans le contexte du cancer gastrique • Cancer mammaire droit en 2016 : • Sous Tamoxifen. • Status après mastectomie. • Thrombose veineuse profonde en février 2016, anticoagulée par Xarelto pendant 3 mois. Implantation de prothèse totale de hanche droite en novembre 2015. Implantation de prothèse totale de hanche gauche en 2014 Vertiges orthostatiques en 2014. Anémie normochrome normocytaire en 2014. Épisode dépressif (sans précision). Épuisement de la personne âgée avec : • Troubles de la marche et de l'équilibre de type dissociatif. • Personnalité histrionique. • Humeur dépressive et ruminations. • Troubles du sommeil. Infection urinaire basse à E. Coli multisensible le 16.05.2018 : • Stix pathologique. • Urotube. • Monuril 3 g le 16.05.2018. • Uvamine retard du 18.05 au 23.05.2018. Exacerbation de BPCO avec détresse respiratoire (diagnostic différentiel : crise asthmatiforme) le 12.05.2018, avec : • 1/3 critères d'Anthonisen. Oxygénothérapie. Probable syndrome de chevauchement asthme-BPCO (ACOS) avec : • Asthme allergique et à l'effort depuis l'enfance. • Tabagisme ancien, sevré en automne 2017, à 55 UPA. • CT-thoracique natif et injecté du 19.08.2016 : bulles d'emphysème diffuses sur les deux lobes. Présence d'un petit comblement probablement mucoïdes au sein des bronches sous-segmentaires des deux lobes inférieurs, associées à un discret épaississement des parois bronchiques. Absence d'embolie pulmonaire visualisée jusqu'en sous-segmentaire. Nodule pleural du segment médio-basal du lobe inférieur gauche mesurant 8 mm. Absence d'adénopathie ou de masse. Pas d'épanchement pleural. • Fonctions pulmonaires complètes du 19.12.2017 : trouble ventilatoire obstructif de degré sévère (Tiffeneau 64%, FEV1 57% du prédit), avec réversibilité significative après inhalation de bêta-2-mimétiques. Air trapping statique ainsi qu'hyperinflation. Diminution modérée de la capacité de diffusion du CO (DLCOcor à 49% du prédit). • Proposition d'une réhabilitation pulmonaire à Billens, refusée par la patiente. Fibrillation auriculaire paroxystique le 12.05.2018 : • Notion de fibrillation auriculaire inaugurale en octobre 2017, actuellement non-anticoagulée. • HAS-BLED score : 2 (risque intermédiaire). • CHA2DS2-VASc score : 6 (haut risque). • ETT le 23.05.2018 : ventricule gauche non dilaté. FEVG à 66 %. Oreillette gauche non dilatée, cavités droites non dilatées. Xarelto 20 mg 1x/jour dès le 24.05.2018. Arrêt de l'Aspirine cardio. Trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Dissociative. • Status post implantation de prothèse totale de hanche gauche en 2014 et prothèse totale de hanche droite en novembre 2015. • Orthostatisme. • Artériopathie des membres inférieurs. • Physiothérapie de mobilisation. Trouble anxieux : • Lexotanil depuis le 17.05.2018. Crise d'asthme dans le contexte d'un probable syndrome de chevauchement asthme-BPCO décompensé le 10.11.2018. • asthme dans la jeunesse Brûlure du second degré superficiel de la face postérieure du bras gauche de 3%. • Cancer prostatique suivi par le Dr. X. • Cancer pulmonaire non à petites cellules de type adénocarcinome du lobe supérieur droit en stade cT4 pN0 cN0 soit IIIA • date du diagnostic : février 2016 • histologie (Promed P1611.16) : (masse lobe supérieur droit) carcinome non à petites cellules type adénocarcinome pulmonaire (composante neuro-endocrine pas exclue) • CT thoracique du 11.01.2016 : masse du lobe supérieur droit • bronchoscopie avec EBUS du 12.02.2016 : pas d'atteinte ganglionnaire médiastinale, station 4R et 7 négative • PET-CT du 10.02.2016 : hypercaptation pulmonaire droite + foyer médiastinal infra-carinaire • CT du 07.03.2016 : masse du lobe supérieur droit en contact avec la paroi osseuse, suspicion d'infiltration de l'œsophage • endosonographie du 18.03.2016 : impression de la tumeur sur l'œsophage • Médiastinoscopie (Inselspital) du 15.04.2016 : pathologie Universität Bern B2016.23946-23949 : pas de cellule maligne en station 4L, 2R, 4R, 7 • endosonographie du 03.05.2016 (Inselspital Bern) : infiltration de l'œsophage à 20-21 cm ab ore • Tumorboard de chirurgie thoracique de l'Inselspital du 03.05.2016 : pas de chirurgie au vu de l'infiltration de l'œsophage, radio-chimiothérapie définitive • chimiothérapie par Platinol et Alimta (2 cycles) du 24.05.2016 au 28.06.2016 • CT thoraco-abdominal du 12.07.2016 : progression tumorale • colloque de radio-oncologie du 18.07.2016 : radio-chimiothérapie à visée curative • status post-radiothérapie (60 Gy) associée à une chimiothérapie par Navelbine hebdomadaire du 02.08. au 13.09.2016 • CT thoraco-abdominal du 31.10.2016 : bonne réponse à la radio-chimiothérapie • progression tumorale sur le scanner du 07.12.2016 • IRM de la colonne dorsale du 14.12.2016 : envahissement foraminal droit D3-D4 et D4-D5 sans myélopathie directe • Immunothérapie de 2ème ligne par Nivolumab dès le 10.01.2017 • CT thoraco-abdominal du 24.03.2017 : réponse partielle au niveau de la masse lobaire supérieure droite, stabilité des autres nodules pulmonaires • IRM de la colonne cervico-dorsale du 29.03.2017 (CIF) : envahissement foraminal droit D3-D4 et D4-D5 avec épidurite latérale droite, discopathies C4-C5 et C5-C6 avec rétrécissement foraminal droit • CT thoraco-abdominal du 18.09.2017 : situation tumorale stable, condensation dans le segment apical du lobe inférieur droit parlant pour un processus infectieux • Immunothérapie par Opdivo (Nivolumab du 10.01 au 25.09.2017) • situation tumorale stable sur le CT du 05.04.2018, infiltrats en verre dépoli bilatéraux • situation tumorale stable sur le CT du 18.06.2018, diminution des infiltrats en verre dépoli • corticothérapie dégressive pour la pneumonie organisante • CT thoraco-abdominal du 10.10.2018 : progression tumorale au niveau pulmonaire et hépatique • chimiothérapie de 3ème ligne par Taxotere du 24.10 au 05.12.2018 (3 cycles effectués) • CT thoraco-abdominal du 26.12.2018 : progression tumorale au niveau thoracique et abdominal • IRM cérébrale du 03.01.2019 (vertiges) : pas d'évidence de métastase • chimiothérapie de 4ème ligne par Carboplatine dès le 09.01.2019 • tumorboard moléculaire du Réseau Romand d'oncologie du 01.02.2019 : re-challenge par immunothérapie par ipilumumab et Nivolumab • actuellement : traitement par double immunothérapie par ipilumumab et Nivolumab initié le 20.02.2019 Cancer urothélial de la vessie au stade cT2 à 3 cN2 cM1 (médiastinal, foie). • date du diagnostic : 22.10.2018. • histologie (Promed P2018.11862) : carcinome urothélial invasif de haut grade. • status post cystoscopie, RTUV et RTUP le 16.10.2018 (Dr. X). • status post néphrostomie gauche le 18.10.2018. • PET-CT du 29.10.2018 : hypercaptation invoquant des lésions secondaires au niveau médiastinal, hépatique et adénopathies iliaques gauches. • Tumorboard d'urologie du 08.11.2018 : traitement systémique adapté à l'âge, radiothérapie hémostatique à discuter selon l'évolution. • immunothérapie par Keytruda dès le 06.12.2018 (4 cycles). • CT thoraco-abdominal du 30.01.2019 : bonne réponse partielle avec diminution de toutes les lésions précédemment décrites. • actuellement : bonne réponse partielle, poursuite de l'immunothérapie par Keytruda (1x/mois, dernier le 07.02.2019). Cancer urothélial de la vessie ypT0, ypN0 (0/51), cM0, initialement au moins pT1 G3 cN1 (iliacal D) • cystoprostatovésiculectomie avec lymphadénectomie pelvienne bilatérale avec sauvetage du nerf à gauche et partiellement à droite et réparation de hernie inguinale bilatérale et pose d'une vessie de substitution iléale en 2010 sur récidive tumorale (Dr. X). • 4 cycles de chimiothérapie néo-adjuvante avec Platinol et Gemzar en 2010. • actuellement pas de thérapie, plus de récidive, plus de sonde. Troubles mnésiques depuis 1 an et demi, DD démence débutante, dans un contexte d'AVC en 2011. • MMS au cabinet du médecin traitant non pathologique (en 2017). • soins à domicile pour l'aide à l'habillage, soins de sonde et aide aux soins corporels avec passages 2x/j. Carence en acide folique. • supplémentation par Acidum Folicum 5mg 1x/j. Candidémie d'origine indéterminée le 14.01.2019. DD : sur infection de PAC • avec suspicion initiale de translocation bactérienne d'origine digestive. Candidose buccale. Candidose buccale avec stomatite aphteuse sur antibiothérapie en avril 2015. Accident vasculaire cérébral avec hémisyndrome droit en 2010. Varicectomie en 2005. Cataracte bilatérale opérée en 2007. Gastroentérite virale en janvier 2018. Carcinome basocellulaire sclérodermiforme de la tempe gauche, opéré en 2005, 2014 et 2017. Décompensation asthmatique sur probable virose le 10.02.2019. Candidose buccale le 01.02.2019. Candidose buccale le 20.02.2019. Candidose buccale le 25.01.2019. DD : sur Seretide. Candidose du siège. Candidose et mucite tractus digestif haut le 09.02.2019. Candidose floride bucco-pharyngo-laryngée le 12.02.2019. Candidose oesophagienne le 05.02.2019. Candidose orale. Candidose orale le 20.02.2019. Candidose orale le 21.01.2019. Candidose oro-pharyngée. Candidose oro-pharyngée, début en 05, 06 et 07/2013 (après 1ère chimiothérapie). Thyroïdite auto-immune (Basedow) en 2007. Cancer du sein bilatéral. • Diagnostic en 1982 et 1990. • Status post-mastectomie bilatérale, radiothérapie, hormonothérapie adjuvante. • Actuellement (02/2019) : surveillance. Candidose oropharyngée le 07.02.2019. Candidose oro-pharyngo-oesophagienne et pharyngite à herpès simplex de type 1 le 13.01.2019. • Fluconazole 12-17.01.2019, Mycostatine 12-28.01.2019, Valtrex 16-24.01.2019. Appendicectomie laparoscopique 09/2017. Pneumothorax droit spontané. Arthrite microcristalline du poignet droit le 09.12.2013. Cannes, arrêt du sport, anti-inflammatoires. Consultation en urgence si rougeur ou état fébrile. Contrôle urgence pédiatriques prévu le 22.02 à 11h30. Cannes avec charge selon douleur. Antalgiques en réserve. Arrêt des sports pendant 10 jours. Contrôle chez le pédiatre dans 10 jours si douleurs persistantes. Avis orthopédique : Dr. X. Cannes. Sportusal. Antalgiques. Arrêt des sports pendant 1 semaine. Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine si douleurs persistantes. Capacité et reprise du travail à réévaluer à Meyriez. Réévaluer pour reprise de la conduite. Suivi hépatologique aux HUG à prévoir à la sortie. Capsule de sodium. Suivi biologique. Spot urinaire : FeNa 1.4%. Capsulite MTP II dorsale à gauche et surcharge du bord externe à droite. Status post opération de la colonne lombaire. Tendinite au niveau du tendon d'Achille à droite. Dysmétrie de 2 cm à défaveur du membre inférieur gauche. Status post cure d'hallux valgus du pied gauche. Capsulite rétractile épaule droite (Frozen shoulder). Captopril 3.5mg 3x/j depuis le 02.02.2019. Furosemide du 30.01 au 07.02.2019. Spironolactone du 03.02.2019 au 07.02.2019. Carbonarcose sur BPCO décompensée avec : • altération de l'état de conscience. • insuffisance respiratoire globale. Carbonarcose sur surdosage opiacé le 16.02.2019. Carcinome à petites cellules d'origine probablement pulmonaire avec masse médiastino-hilaire droite, lésions multiples hépatiques et cérébrales : • Date de diagnostic : 11.12.2018. • CT thoracique le 26.9.2016, 15.1.2018, 22.5.2018 et 11.12.2018. • Chimiothérapie par Paraplatine (11.01.2019). • Complications : parésie hémicorps droit sur métastases cérébrales (15.12.2019), insuffisance respiratoire sur atélectasie LSD sur compression hile (01.01.2019), syndrome de la veine cave supérieur (14.01.2019). • Radiothérapie pour métastases cérébrales symptomatiques (12 séances 21.12 au 09.01.2019) • Radiothérapie pour SCVS (radiothérapie du médiastin 12 séances du 15.01 au 30.1.2019 (Dr. X) et corticothérapie par Dexaméthasone. • Carcinome adénoïde kystique du larynx (région rétrocricoïdienne) pT4a pN0 (0/71) L0 V0 Pn1 R0 cM0, grade I-II (WHO) • Carcinome bronchique à petites cellules dans le lobe moyen droit cT1c cN2 Cm1a • Diagnostic: 12.10.2017 • Histologie (Promed P2017.12133): Biopsie de la muqueuse dans le lobe moyen, EBUS TBNA sous carinaire hauteur 7, 4L et 4R. Carcinome à petites cellules bronchique, TTF1-positif, CD56-positif et Synaptophysin-positif, index de prolifération Ki67 à 80% • Radiothérapie (jusqu'en 04/18) • Chimiothérapie avec Carboplatine/Etoposide, la dernière le 12.12.2018 (HFR Tafers), sous Dexaméthasone avec nouvelles métastases cérébrales et rénales (Diagnostic: 05.12.2018). Régression complète de la neuropathie sensitive du visage G dans le contexte des métastases cérébrales (04.12.2018) • Prophylaxie PCP avec Bactrim 3x/Woche depuis 28.12.2018 • Dernière chimiothérapie le 08.01.2019 refusée • Transfert par Dr. X en raison d'agressivité et de confusion • CT cérébral 11.01.2018: pas d'indice d'oedème cérébral, pas d'indice d'hypertension intracrânienne, les métastases sont en régression • CT cérébral 11.01.2018: montre une régression des métastases. Il n'y a pas de cause actuellement expliquant le changement du comportement. Une encéphalite post-radiothérapie se présenterait des mois-années après la radiothérapie. Réduction lentement du Dexaméthasone à 2mg. • CT thoraco-abdomino-pelvien 28.01.2019: Par rapport aux examens comparatifs, on constate une majoration de la plage de consolidation périhilaire droite avec sténose majorée de la bronche lobaire moyenne et apparition d'une zone de nécrose du segment médial du lobe moyen. Ces altérations restent aspécifiques, sans qu'une composante tumorale associée ne soit exclue. Pour le reste, pas de changement de la plage de consolidation de l'apex pulmonaire gauche. Pour le reste, nette diminution de la masse probablement métastatique du pôle inférieur du rein gauche. Coprostase modérée du côlon transverse et du côlon descendant. Le reste de l'examen est superposable. • Carcinome canalaire invasif HER2 du sein droit : • IRM mammaire, ponction sous US du sein droit le 15.11.2018 : sein droit : lésion suspecte en inféro-interne correspondant à la zone captante au PET-scan. D'autres lésions en supéro-externe et à 12h prennent le contraste de la même façon mais sans anomalie au PET-CT. Ponction réalisée à la formation inféro-interne. Ganglions suspects axillaires droit. • Biopsie mammaire droite le 15.11.2018 : carcinome canalaire invasif de grade histo-pronostique 2 (3+*+1), associé à une composante de carcinome canalaire in situ de haut grade avec nécrose, négatif pour les récepteurs hormonaux, avec emboles carcinomateux. ER : absence de positivité nucléaire, PGR : positivité nucléaire faible dans 5% des cellules tumorales. Amplification du gène HER2 • Chimiothérapie néo-adjuvante par Herceptin, Perjeta. • Carcinome canalaire invasif du QII du sein gauche, diagnostiqué en 12.10 avec : • Tumorectomie avec recherche du ganglion sentinelle le 14.12.10 • Radiothérapie adjuvante centrée sur le sein gauche de janvier à mars 2011 • Hormono-modulation par Tamoxifène d'avril 2011 à juin 2015 • Carcinome canalaire invasif du sein droit de grade II traité actuellement conservativement par Aromasin depuis avril 2014 • Sténose aortique • Artériopathie oblitérante des membres inférieurs avec : • Ischémie critique du membre inférieur gauche avec occlusion de l'artère fémorale superficielle sur toute sa longueur et atteinte jambière sur probable artériopathie au long cours • Artériopathie du membre inférieur droit avec occlusion de l'artère fémorale superficielle • Suivi par Dr. X, dernier contrôle le 23.07.2014, superposable au contrôle du 03.06.2014 • Broncho-pneumopathie chronique obstructive non stadée • Hypertension artérielle traitée • Insuffisance rénale chronique de stade IV (clairance de la créatinine à 29ml/min selon Cockroft) • Hypothyroïdie subclinique induite par l'Amiodarone le 19.08.2014, sous Euthyrox • Cholécystolithiase • Kystes rénaux corticaux bilatéraux • Carcinome canalaire invasif du sein gauche, classé initialement pT2 pN1 (4/12, rupture capsulaire) cM0 : • Date du diagnostic : 09.01.2001 • Histologie (laboratoire GAMBA-SMCF) : carcinome canalaire invasif du sein, diamètre maximal 28 mm, G3, métastases carcinomateuses dans 4 sur 12 ganglions axillaires avec croissance extranodale dans deux d'entre eux • Examens de biologie moléculaire : ER 90%, PR 90%, HER2 positif, MIB1 10% • Mastectomie gauche selon Patey le 09.01.2001 • 6 cycles de chimiothérapie adjuvante de type CMF du 13.02.2001 au 09.07.2001 • Thérapie antihormonale adjuvante par tamoxifène du 16.07.2001 au 01.01.2010 • Récidive pulmonaire parenchymateuse et pleurale droite le 30.03.2010 • Histologie (Promed P2917.10) : métastases pleurales du carcinome canalaire du sein, ER+, PR-, HER2 indéterminé (biopsie plèvre droite) • Thoracoscopie droite, biopsies multiples et talquage le 22.04.2010 • Thérapie antihormonale palliative par exemestane puis létrozole d'avril 2010 à août 2015 • Progression tumorale pleurale droite le 30.07.2015 • Histologie (Promed C5521.15) : cellules de carcinome mammaire ER+, PR+, HER2 négatif • Thérapie antihormonale palliative de 2ème ligne par fulvestrant (Faslodex) dès août 2015 avec progression au niveau hépatique, de l'épanchement pleural et de la carcinose pleurale au CT-Scan thoraco-abdominal du 13.03.2018 • Biopsie hépatique sous ultrason du 18.04.2018, pathologie ARGOT Lab (P6076.18) : adénocarcinome bien différencié dont la morphologie et le profil immunohistochimique sont compatibles avec une métastase d'origine mammaire. ER 100%, PR 80% • Poursuite du Faslodex avec introduction d'Ibrance 125 mg, 21 jours sur 28 dès le 11.05.2018 avec poursuite de la réponse partielle au niveau hépatique et maladie stable au niveau pleuro-parenchymateux mais péjoration de l'épanchement pleural gauche au CT-scan thoraco-abdominal du 22.01.2019. Stabilité du marqueur CA 15-3 à 150 U/ml • Actuellement : poursuite du traitement de Faslodex et d'Ibrance, prochaine imagerie dans 2 mois au vu de la péjoration de l'épanchement pleural. • Embolie pulmonaire du lobe supérieur droit, lobe moyen et segmentaire du lobe inférieur droit le 04.09.2018 sous traitement de Xarelto. • Suspicion d'allergie au produit de contraste sous forme de prurit et d'érythème : • Réaction cutanée au Iomeron 400 mg, malgré une préparation par Prednisone et Tavegyl le 04.09.2018 • Avis de Dr. X : pas de critère de sévérité lors de la réaction. Utilisation d'un produit de contraste non ionique (Xenetix) avec prémédication par Prednisone et Cétirizine par prudence • Diabète de type 2 non insulino-requérant, sous Metformine. • Obésité. • Hypertension artérielle traitée. • Hypothyroïdie substituée. • Carcinome canalaire invasif du sein gauche pT1c pN0 G2 : • Diagnostic initial en 04/2012 • Tumorectomie en 03/2012 • Radiothérapie adjuvante de 05/2012 à 07/2012 • Hormonothérapie par Létrozole 07/2012 à 09/2012 • Actuellement : tissu tumoral médiastinal et hilaire bilatéral avec engainement partiel des artères pulmonaires et des orifices veineux individuels. Tissu tumoral axillaire gauche. Métastase dans le corps vertébral BWK 6 avec ostéolyse du pédicule gauche et portions de tumeur épidurale partielle avec sténose modérée du canal rachidien thoracique à ce niveau, DD. Métastases du cancer mammaire connu (CT du 03.01.2019). Biopsie de punch réalisée le 09.01.2019 : adénocarcinome mucineux modérément différencié (G2), 95 % de récepteurs aux oestrogènes positifs, 60 % de récepteurs de progestérone positifs, score de Her2 / neu 1+ supérieur, fraction de prolifération Ki-67 10-15 %. Carcinome canalaire invasif multicentrique du quadrant inféro-interne du sein droit pT1c pN0 (0/3) (sn) (i-) R0 cM0 stade Ia avec carcinome intra-canalaire étendu sur 4.3 cm G3 du même sein. • date du diagnostic : 24.04.2013 • pathologie : carcinome invasif de grade 3 de 1.2 cm. Absence d'invasion lymphovasculaire péritumorale. Composante de carcinome canalaire in situ péri-tumorale de haut grade nucléaire, extensive, étendue sur 4.5 cm exprimant la protéine p53. Ganglion sentinelle droit sans cellules tumorales (0/1) • biologie moléculaire et immunohistochimie : ER 0 %, PR 0 %, Mib-1 80 %, Her-2 en immunohistochimie • bilan d'extension par ultrason abdominal le 03.05.2013, IRM des seins le 06.05.2013, scintigraphie osseuse le 13.05.2013 : négatif • s/p quadrantectomie du quadrant inféro-interne et excision du ganglion sentinelle le 16.05.2013 • s/p chimiothérapie adjuvante par 4 cycles d'adriamycine-cyclophosphamide dose dense et 4 cycles de taxotère dose dense du 01.07.2013 au 07.10.2013 • bilan de fin de traitement par CT thoraco-abdominal le 14.10.2013 : absence de lésions métastatiques • s/p radiothérapie adjuvante du sein droit à une dose totale de 50 Gy en 25 fractions avec complément de dose de 16 Gy en 8 fractions sur le lit tumoral du 28.10.2013 au 11.12.2013 • BRCA 1 positif • s/p mastectomie prophylactique bilatérale le 18.06.2014. • pathologie : tissu mammaire avec microfoyers de modifications cylindriques et de métaplasie apocrine ; absence d'hyperplasie atypique et de carcinome. Tissu cutané sans lésion • PET-CT du 28.07.2016 (avant essai grossesse) : absence de lésion métastatique • absence de récidive à l'IRM de la paroi thoracique du 28.06.2018 • actuellement : poursuite de la surveillance avec contrôle clinique et échographique des creux axillaires semestriels ainsi que du CA 125. Poursuite des contrôles gynécologiques biannuels. Carcinome canalaire invasif multicentrique du sein gauche pT2 (m) G2 pN3a (20/22 avec 3 ECE) cM0, V0, L1, Pn1, stade IIIC ; ER 95 %, PR 25 % et HER-2 négatif avec métastases osseuses au niveau du bassin G et métastases cérébrales multiples : Métastase osseuse au niveau du bassin G et métastases cérébrales multiples d'un carcinome canalaire invasif multicentrique du sein gauche pT2 (m) G2 pN3a (20/22 avec 3 ECE) cM0, V0, L1, Pn1, stade IIIC ; ER 95 %, PR 25 % et HER-2 négatif : • 31.08.2011 : mammographie, échographie mammaire bilatérale et ponction-biopsie du sein gauche • 09.09.2011 : mastectomie avec curage axillaire gauche • 27.09.2011 au 10.01.2012 : chimiothérapie adjuvante par 3 cycles de FEC-100, suivi de 3 cycles de Taxotère • 16.02 au 29.03.2012 : irradiation de la paroi thoracique gauche avec 60 Gy et des aires ganglionnaires axillo-sus-claviculaires gauches avec 46 Gy et chaîne mammaire interne gauche avec 50 Gy • 19.04.2012 - 05/2017 : hormonothérapie adjuvante par Tamoxifen • 25.04.2018 : ultrason cervical et scanner thoraco-abdominal (apparition des adénopathies suspectes jugulo-carotidiennes et sus-claviculaires droites, rétro-sternales et médiastinales) • 27.04.2018 : cytoponction de l'adénopathie sus-claviculaire droite (cellules malignes de type métastase de carcinome mammaire connu) • Dès mai 2018 : début de traitement par Faslodex et Ibrance • 05.10.2018 : scanner thoraco-abdominal de réévaluation (diminution des adénopathies cervicales médiastinales) • 28.12.2018 : IRM du bassin (multiples lésions osseuses pelviennes) • 09.01.2019 : IRM cérébral (24 lésions secondaires, supra et infra-tentorielles) • Radiothérapie osseuse et cérébrales en janvier-février 2019 • Chimiothérapie avec Navelbine le 15.02.2019 et Navelbine-Xgeva, 2ème séance prévue avec Navelbine-Xeloda • Corticothérapie : Dexaméthasone 8 mg/J depuis 12/2018 puis 4 mg/J depuis le 15.02.2019 Carcinome de la jonction recto-sigmoïdienne en stade pT3 N1a (1/54) G2, V1, R0 • date du diagnostic : 04.08.2011 • histologie : adénocarcinome moyennement différencié du haut rectum, en partie ulcéré, avec infiltration de la paroi rectale jusqu'au tissu adipeux péri-rectal, angiose carcinomateuse, un ganglion lymphatique métastatique, 2 nodules satellites dans la graisse péri-rectale • CT thoraco-abdomino-pelvien du 12.07.2011 : tumeur de la jonction recto-sigmoïdienne, s'étendant sur environ 6 cm, avec présence de petits ganglions aux alentours. Pas d'adénopathie pelvienne ni rétropéritonéale. Pas de lésion suspecte hépatique. Présence de deux nodules pulmonaires aspécifiques. • IRM pelvienne du 19.07.2011 : lésion tumorale sigmoïdienne distale avec épaississement tissulaire de la paroi avec un aspect infiltrat de la séreuse. Graisse péri-lésionnelle infiltrée. Nombreux petits ganglions locorégionaux. • colonoscopie du 29.06.2011 : 12 à 15 cm de la marge anale, probablement juste au-dessus de la jonction recto-sigmoïdienne, tumeur légèrement sténosante, occupant les ¾ de la circonférence du sigmoïde inférieur, s'étendant sur 5 à 6 cm de hauteur. Aucune autre lésion sur le reste du côlon jusqu'au cæcum qui est visualisé complètement. • status post-laparotomie exploratrice avec résection antérieure basse et anastomose colorectale le 28.07.2011. • radio- et chimiothérapie adjuvante par pompe 5-FU du 20.10 au 01.12.2011 • status post-8 cures de chimiothérapie par FOLFOX de janvier à avril 2012 • récidive tumorale sous forme d'une métastase hépatique unique en février 2017 • s/p hémohépatectomie droite et cholécystéectomie le 30.03.2017 • nouvelle progression tumorale (métastase pulmonaire, hépatiques, probable carcinose péritonéale, métastase sous-cutanée) en juillet 2017 • status post trois cures de chimiothérapie par FOLFIRI seul du 14.09 au 19.10.2018 suivies de 8 cures de chimiothérapie de type FOLFIRI associé à l'anticorps Erbitux du 07.11.2017 au 27.03.2018 avec rémission radiologique complète • s/p traitement de chimiothérapie par 5FU/Locovorin associé à l'anticorps Vectibis du 08.05 au 22.05.2018, stoppé pour atteinte tégumentaire • pause thérapeutique dès juin 2018 • actuellement : stabilité tumorale, poursuite de la surveillance avec contrôle clinique toutes les 6 semaines, prochain contrôle par CT scanner dans 3 mois Carcinome de la peau (basocellulaire ou spinocellulaire) sur l'aile du nez à droite. Carcinome de la prostate, T2-3 Nx Mx G1, Gleason score 4 en 2001, avec : • PSA initiale 6.8 ng/ml • s/p TURP et circoncision en 2012 • s/p traitement avec anti-androgènes • s/p thérapie avec analogues LHRH jusqu'en 2017 • PSA <0,04 ng/ml, reins sans dilatation pyélocalicielle et résidu urinaire d'environ 30 ml en 09/2017 Carcinome de l'ovaire droit stade III C chez une patiente de 69 ans. • Histologie : adénocarcinome tubulaire compatible avec un adénocarcinome séreux de l'ovaire. • Chimiothérapie néo-adjuvante du 02.08 à mi-décembre 2018. Carcinome de l'utérus stade FIGO 3C avec : • date du diagnostic 2004 • status post hystérectomie et annexectomie bilatérale avec appendicectomie • status post radiothérapie en 2004 • hydronéphrose et atrophie rénale droite en 2006 • status post mise en place d'une sonde double J à droite en 2005 • hypertension artérielle • varices des membres inférieurs • incontinence urinaire Carcinome des canaux collecteurs du rein droit, stade II. • date du diagnostic : 03.12.2018 • CT-scan thoraco-abdomino-pelvien du 28.09.2018 : rein droit volumineux et remanié en relation avec une masse tumorale envahissant les cavités pyélocalicielles qui sont désorganisées, engainant l'uretère au niveau lombaire. Formations ganglionnaires supra-centimétriques au niveau du pédicule rénal droit, péri-aortico-caves, petite structure tissulaire inféro-hilaire droite de 17 x 13 x 10 mm.• scintigraphie osseuse du 19.10.2018 : absence de métastase dans le cadre osseux • status post néphro-urétérectomie droite + curage ganglionnaire le 28.11.2018 • histologie (Promed P2018.13953 du 28.12.2018) : carcinome des canaux collecteurs avec nécrose en partie ischémique, mesurant 8 cm de grand axe, ganglions réactionnels sans néoplasie. Stade TNM 2017 : pT2a, pN0 (0/6), L0, V0, Pn0, R0 • actuellement : bilan scannographique post-thérapeutique Carcinome du sein droit métastatique au niveau osseux et opéré en 2003 : • Sous Aromasin Carcinome du sein métastatique avec : • métastases cérébrale et osseuses au niveau de la hanche D • Radiothérapie cérébrale et hanche D • Corticothérapie : Dexamethasone 4 mg 1-0-1 (depuis le 12.2018) • actuellement 4 mg/J depuis le 15.02.2019 • suivi par Dr. X. Carcinome épidermoïde amygdalien gauche invasif développé dans un terrain de dysplasie épithéliale de haut grade, classé cT2 cN0 cMx • date du diagnostic : 04.01.2019 par panendoscopie et biopsie • pathologie (Promed P2019.102) : carcinome épidermoïde invasif moyennement à peu différencié focalement kératinisant, développé dans un terrain de dysplasie épithéliale de haut grade et invasion vasculaire tumorale • panendoscopie et biopsie + dilatation du 04.01.2019 : induration de la région amygdalienne gauche et de la région valléculaire • PET-scanner du 26.11.2018 : apparition d'une intense hypercaptation oropharyngée gauche, discrète augmentation du nodule pulmonaire apical droit déjà connu sans captation parlant d'une origine maligne, absence d'autres lésions hypermétaboliques suspectes • proposition actuelle : selon discussion au tumorboard ORL du 16.01.2019 : au vu de l'impossibilité d'excision chirurgicale ainsi que d'une radiothérapie locale, proposition d'une chimiothérapie palliative de première ligne par 5-FU, Platinol et Erbitux selon schéma EXTREME Carcinome épidermoïde bien différencié de la loge amydalienne droite cT2cN0cMx en 2000, traité par radiothérapie Ostéoradionécrose mandibulaire droite Carcinome épidermoïde de l'oropharynx prenant la région amygdalienne et la voile du palais à droite avec : • Status post chimio- et radiothérapie en 2000 • Lombalgies non déficitaires de probable origine musculaire le 18.10.2015, chez : • tabagique actif à 100 UPA Paracétamol 1 g, Tramal 50 mg, Voltarène 50 mg Laboratoire : pas d'hypercalcémie, pas d'insuffisance rénale RX colonne lombaire face/profil CT bassin, colonne lombaire Antalgie, traitement anti-inflammatoire Physiothérapie Carcinome épidermoïde bord langue gauche traité par glossectomie partielle gauche, évidement cervicale II-IV et radio-chimiothérapie en 2004 (Dr. X) Pneumonie à pneumocoque en juin 2018, avec s/p pose drain thoracique pour empyème Leuco-encéphalopathie dégénérative vasculaire de type FAZEKAS III Lombarthrose multi-étagée avec status post infiltration Décompensation d'une myasthénie grave le 27.11.2018 Carcinome épidermoïde de la jonction ano-rectale T2N1MoG2 diagnostiqué en 2011 avec : • iléostomie latérale de protection en mai 2011 • chimio-radiothérapie jusqu'en septembre 2011 • fistulectomie anale avec flap muqueux en février 2012 • fermeture d'iléostomie le 08.10.2012 compliquée par lâchage d'anastomose nécessitant la confection d'une nouvelle iléostomie latérale de protection en urgence le 16.10.2012 • fermeture d'iléostomie le 28.01.2013 • laparotomie exploratrice et adhésiolyse étendue le 03.02.2013 en urgence pour un lâchage avec résection du grêle (10 cm à 30 et 80 cm de la valvule de Bauhin) et mise en place d'une iléostomie latérale de protection en fosse iliaque gauche (2.5 cm de l'angle de Treitz) et d'une iléostomie terminale en fosse iliaque droite (à 80 cm de la précédente) • fermeture d'iléostomie en fosse iliaque droite le 17.05.2013 • nutrition parentérale par PAC dès le 22.02.2013 • supplémentation orale par Optifibre et Créon : régime pauvre en lactose • rétablissement de continuité le 12.11.2013 au Daler fecit Dr. X mais avec lâchages systématiques => stomie définitive • actuellement : colostomie en double canal en fosse iliaque gauche. Bactériémie à S. epidermidis MR sur infection de PAC le 30.08.2013 avec : • spondylodiscite D11-D12 avec abcès épidural • possibles emboles septiques pulmonaires bilatéraux. Choc septique sur thrombose septique de la veine jugulaire interne droite sur VVC à C. albicans le 07.10.2013 avec : • Diflucan du 03.10.2013 au 06.10.2013 • Cancidas du 07.10.2013 au 25.10.2013. Hypercholestérolémie. Perturbation des tests hépatiques d'origine mixte (médicamenteux, infectieux). Lésion fond d'œil compatible avec atteinte embolique ou fongique le 10.10.2013. Carcinome urothélial de type papillaire, non invasif, de la vessie pTa G1-G2 en 2009 (TURV) avec récidive en 2011, actuellement stable. Ulcère gastrique perforé en 1999. Hystérectomie pour cancer utérin en 1993. Adénocarcinome pulmonaire du lobe inférieur gauche stade IIIB (T1b N3 M0) avec : • CT thoracique du 30.05.2016 : lésion de 22 mm de diamètre sur les segments apical et postéro-basal du lobe inférieur gauche. Adénopathies médiastinales. Absence de métastase à distance objectivée aux étages thoracique et abdominal • PET-CT du 07.06.2016 : apparition d'une hypercaptation pulmonaire gauche et de multiples hyperactivités ganglionnaires hilaires pulmonaires ipsilatérales, médiastinales, rétro-claviculaires gauches et supra-claviculaires droites. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte d'être des métastases • Bronchoscopie avec EBUS du 10.06.2016 : status endobronchique dans les limites de la norme, sans lésion endobronchique suspecte de tumeur. Présence de ganglions para-trachéaux gauches et droits ainsi qu'hilaires gauches d'aspect suspect de métastases • Résultat histopathologique (Promed P6021.16) : adénocarcinome solide dans le tissu lymphoréticulaire (EBUS TBNA para-trachéal inférieur droit 4R, infra-carinaire station 7, para-trachéal inférieur gauche 4L). Diminution en taille des lésions métastatiques intéressant la partie gauche du vermis cérébelleux ainsi que de la partie latérale du lobe temporal gauche. Carcinome épidermoïde de la région glotto-sous-glottique gauche classé cT2 cN0 cM0. • date du diagnostic : 12.09.2017. • pathologie : biopsie sous-glottique, corde vocale gauche, sous-glotte antérieure gauche : carcinome épidermoïde bien à moyennement différencié et kératinisant. Pas de signe d'infection virale et d'élément fongique à la coloration de PAS. Bilan d'extension par CT thoraco-abdominal du 15.09.2017 : petit nodule scissural pulmonaire de chaque côté, d'allure banale. Discret emphysème sous pleura. Athérosclérose significative étagée.CT thoraco-abdominal du 25.10.2018 : suspicion de récidive tumorale sur le site opératoire de cordectomie gauche avec extension sous-glottique semblant se prolonger antérieurement vers le côté droit. Majoration d'un épaississement irrégulier muqueux de la vallécule droite. Le reste des structures thoraco-abdominales ne présente pas de lésions tumorales à distance. IRM du cou du 29.10.2018 : récidive tumorale centrée sur la néo-corde vocale gauche avec extension sous-glottique allant jusqu'à antérieurement au niveau de la commissure antérieure avec prolongation vers le côté droit sans infiltration du cartilage thyroïdien. Absence d'adénopathie cervicale. progression tumorale au niveau glotto-sous-glottique en octobre 2018. actuellement (11.18) : traitement combiné de radio et chimiothérapie. Artériopathie avec : • Thrombose complète A. iliaque primitive G 15.09.2017. • Sténose significative étagée de l'artère vertébrale G 15.09.2017. • Sous Aspirine. Hypertension non traitée. Tabagisme sévère à 50 UPA. Suspicion SAOS. Cautérisation du voile du palais pour ronchopathie. Carcinome épidermoïde glotto-sous-glottique, classé cT2 cN0 cM0. CHOP : 31.42 / 30.2277 Évidement ganglionnaire fonctionnel des secteurs II à V et exérèse glotto-sous-glottique gauche au laser CO2 avec cordectomie de type V sous jet ventilation. (OP le 17.10.2017) Carcinome épidermoïde de la sphère ORL sans porte d'entrée en stade cTx pN3 M0 diagnostiqué en 2005 et traité par radio-chimiothérapie en 2005. Dupuytren débutant de stade 2 à 5 à droite. BPCO. Tabagisme actif (10 cigarettes/jour). AOMI stade IIA, athéromatose carotidienne droite supérieure gauche sans sténose significative. Bronchiectasies et micronodules en base pulmonaire connus depuis 2017. Arthrose acromio-claviculaire gauche. Carcinome épidermoïde de l'œsophage moyen stade cT2 à 3 N0 M0 • date du diagnostic : 19.10.2017 • Histologie : carcinome épidermoïde de la muqueuse oesophagienne du tiers moyen • Status post chimiothérapie par Carboplatine et Taxol combinée à une radiothérapie à titre néo-adjuvant du 23.11.2017 au 03.01.2018 (chimiothérapie arrêtée précocement pour une pneumonie basale droite fin décembre 2017) : très bonne réponse partielle au PET-CT • Échec de pose de PEG, pose de GPR le 16.04.2018. Dénutrition sur trouble de la déglutition sur carcinome de l'œsophage. Ostéoporose et hypovitaminose D substituée. Troubles de la marche depuis 24.12.2017 • DD : dénutrition, contexte infectieux, métastases cérébrales (infirmées), (poly)neuropathie sur chimiothérapie. Hémochromatose. AOMI jamais investiguée. Hypercholestérolémie. Sténose importante de l'artère rénale droite, légère sténose de l'artère rénale gauche (objectivée au CT du 19.10.2018). Carcinome épidermoïde du col de l'utérus peu différencié opéré aux HUG : • Résection Wertheim hystérectomie et annexectomie unilatérale gauche en 1991. • Radiothérapie pelvienne adjuvante de 54 Gy. Lymphoedème chronique de la jambe gauche depuis 1991 suite au curage ganglionnaire avec drainage lymphatique hebdomadaire. • Status post vulvectomie partielle pour lymphangiome en mars 2012. • suivi régulièrement aux HUG par le Dr. X. Dermohypodermite sus-pubiennes et membre inférieur gauche à répétition, favorisée dans un contexte de lymphoedème chronique. • sous prophylaxie de Stabicilline. • 03.2011 : choc septique sur dermohypodermite du membre inférieur gauche à staph hominis. • 09.2011 : dermohypodermite du membre inférieur gauche. • 11.2011 : choc septique sur dermohypodermite du membre inférieur gauche à strepto mitis. • 12.2011 : dermohypodermite pubis et face interne cuisse droite à germe indéterminé. • 05.2013 : choc septique avec bactériémie à strepto agalactiae du groupe B sur porte d'entrée cutanée. • 18.08.2017 : dermohypodermite. • 02.09.2017 : dermohypodermite. • 14.02.2018 : dermohypodermite sus-pubiennes et membre inférieur gauche. • 11.09.2018 : dermohypodermite sus-pubienne. • 14.11.2018 : dermohypodermite sus-pubienne. • Récidive de dermohypodermite sus-pubienne et membre inférieur gauche, le 02.12.2018. • DHD récidivante dans un contexte de lymphoedème chronique. • Prophylaxie par Benzatyl-Pénicilline depuis septembre 2018, et Dalacin 600 mg depuis le 22.12.2018. Consommation OH à risque. Tabagisme actif. Probable colon irritable. Carcinome épidermoïde du plancher buccal antérieur classé T2 N0 M0 en 1993 traité par tumorectomie du plancher buccal antérieur et reconstruction par lambeau myocutané du muscle peaucier à droite et évidement supra-hyoïdien sous-mandibulaire bilatéral et radiothérapie cervicale. Poursuite évolutive ganglionnaire à gauche, classé T2 N0 M0 en 1994, traité par complément d'évidement cervical gauche et radiothérapie cervicale. Carcinome épidermoïde glottique bilatéral, classé T4 N0 M0 en 2006 traité par laryngectomie totale. Carcinome épidermoïde de la base de la langue à gauche, classé T2 N0 M0 en 2009, traité par radio-chimiothérapie. Carcinome épidermoïde du plancher buccal antérieur gauche, classé pT4a cN0 cM0 G2-1 en 2015, traité par exérèse tumorale, fistule cervicale post radiothérapie traitée par lambeau pédiculé du muscle grand pectoral. Récidive carcinome épidermoïde de la crête alvéolaire du tiers médian de la mandibule inférieure, classé rpT4 a (Pn0, L/V0, G 1-2 R0) cN0 cMx et carcinome in situ rpTis du bord de la résection muqueuse de la crête alvéolaire gauche, côté lingual, traité par exérèse tumorale transorale avec reconstruction par lambeau avec des marges à la limite (0,1 mm) le 30.06.2017. Carcinome épidermoïde du plancher buccal, classé cT4 cN2b cM1 • date du diagnostic : 31.10.2016 • histologie : carcinome épidermoïde invasif moyennement différencié kératinisant et ulcéré • CT cou du 31.10.2016 : masse du plancher buccal antérieur, pas clairement identifiable, adénopathie sous-mandibulaire droite, adénopathie suspecte sous-mandibulaire gauche • CT thoraco-abdominal du 22.11.2016 : pas de manifestation tumorale • radio/chimiothérapie du 16.01 au 06.02.2017 avec Erbitux (2 cycles administrés, arrêt sur réaction cutanée) puis Platinol • récidive tumorale au niveau du plancher buccal avec apparition de probables métastases pulmonaires en décembre 2017 • immunothérapie palliative par Nivolumab (Opdivo) du 12.02 au 18.04.2018, arrêtée sur progression tumorale • chimiothérapie palliative par Paraplatine et 5-FU débutée le 28.05.2018, arrêtée sur progression tumorale • chimiothérapie par Méthotrexate, débutée le 15.10, stoppée le 12.11.2018 sur mauvaise tolérance hématologique CT du 06.12.2018 : progression locorégionale et des métastases pulmonaires, notamment basales gauches CT-scan (Dr. X) : progression de la métastase sous-mentonnière augmentée en taille ; globalement évolution de la maladie oncologique. Carcinome épidermoïde du plancher buccal latéral gauche, classé pT1 G1-2 LV0 Pn0 R1 uN0/cN2a cM0 • 11.12.2018 : panendoscopie + biopsies : pas de lésion synchrone ni de récidive du carcinome épidermoïde du sillon amygdaloglosse droit. • 19.11.2018 : tumorectomie du plancher buccal latéral gauche avec recoupes (Dr. X). • résultats histologiques : recoupes en tissu sain. • 19.12.2018 : tumorectomie (ORL) + pose de PEG (Dr. X). • Abcès de la paroi abdominale sur point de passage de la PEG le 21.12.2018. • pneumopéritoine.Gastroparésie post-opératoire le 23.12.2018. Carcinome épidermoïde du plancher buccal latéral gauche, classé pT1 G1-2 LV0 Pn0 R1 uN0/cN2a cM0 • 11.12.2018 : panendoscopie + biopsies : pas de lésion synchrone ni de récidive du carcinome épidermoïde du sillon amygdaloglosse droit. • 19.11.2018 : tumorectomie du plancher buccal latéral gauche avec recoupes (Dr. X). • résultats histologiques : recoupes en tissu sain. • 19.12.2018 : tumorectomie (ORL) + pose de PEG (Dr. X). • Abcès de la paroi abdominale sur point de passage de la PEG le 21.12.2018. • pneumopéritoine. • Gastroparésie post-opératoire le 23.12.2018. Carcinome épidermoïde du sillon amygdaloglosse et de la base de langue droite, classé pT2 pN0 cM0 en 2002, traité par : • évidement des secteurs I-IV droits, extractions dentaires multiples, buccopharyngectomie transmandibulaire et tumorectomie emportant les trois-quarts de la base de langue et l'hypoglosse à droite, reconstruction par un lambeau chinois de l'avant-bras gauche, sous couvert d'une trachéotomie, le 20.08.2002. • radio/chimiothérapie adjuvante du 02.10 au 13.11.2002. Ancienne PEG retirée. Sinusite chronique avec FESS bilatérale en 2006. Hypertension artérielle mal contrôlée le 23.12.2018 avec céphalées. IRA AKIN II d'origine rénale sur probable nécrose tubulaire aiguë (dans le cadre d'une hypotension artérielle sur traitement anti-hypertenseur agressif), possible composante pré-rénale. Abcès de la paroi abdominale sur point de passage de la PEG le 21.12.2018. • pneumopéritoine. Carcinome épidermoïde du trigone rétromolaire gauche avec extension vers la joue gauche et le voile du palais gauche, classé pT3 pN0 cM0 : • bucco-pharyngo-mandibulectomie, évidement ganglionnaire fonctionnel gauche de zones I-V et reconstruction par lambeau grand pectoral gauche pédiculé le 05.10.2016 (Dr. X). • suivi en ORL (Dr. X). Cardiopathie ischémique (coronarienne tritronculaire) : • double pontage aorto-coronarien (artère coronaire droite et IVA) après échec de lyse en 1992 • PTCA et stent d'une sténose de 75 % de l'IVP en 1996 • infarctus inféro-latéral thrombolysé et PTCA de l'IVP en janvier 1998 • PTCA et pose de 4 stents (1ère marginale, tronc commun distal, artère circonflexe, IVA proximale) en janvier 1998 • infarctus inféro-postéro-latéral lysé et stent direct du PAC sur l'artère coronaire droite en octobre 2001 • PTCA en mai 2004 • dysfonction ventriculaire gauche modérée sur akinésie postéro-basale et diaphragmatique (FE 45 %) le 02.11.2012. Fibrillation auriculaire, anticoagulée par Xarelto. Syndrome de dépendance à l'alcool avec : • syndrome de sevrage, hospitalisé au Torry en octobre 2005 • consommation intermittente depuis avril 2016. Hernie hiatale. Lésion kystique aspécifique dans la queue du pancréas de découverte fortuite au CT scan du 26.10.2012. Trouble dépressif récurrent. Carcinome épidermoïde gauche peu différencié • diagnostique en 2003 • S/p lobectomie supérieure gauche en 2003 et inférieur gauche en 2006 • aucune chimio ou radiothérapie faite • CT thoracique de contrôle nov 2018 (transmission orale par Dr. X) : masse 47 mm latéro basale lobe inf. droit, nodule de 19 mm du lobe sup. droit, adp droite hilaire et médiastinale. Carcinome épidermoïde hypopharyngé cT4a cN3 cMx. Carcinome épidermoïde invasif développé dans un terrain de dysplasie épithéliale de haut grade, classé cT2 cN0 cMx : • date du diagnostic : 04.01.2019 par panendoscopie et biopsie • pathologie (Promed P2019.102) : carcinome épidermoïde invasif moyennement à peu différencié focalement kératinisant, développé dans un terrain de dysplasie épithéliale de haut grade et invasion vasculaire tumorale • panendoscopie et biopsie + dilatation du 04.01.2019 : induration de la région amygdalienne gauche et de la région valléculaire • PET-scanner du 26.11.2018 : apparition d'une intense hypercaptation oropharyngée gauche, discrète augmentation du nodule pulmonaire apical droit déjà connu sans captation parlant d'une origine maligne, absence d'autres lésions hypermétaboliques suspectes • proposition actuelle : selon discussion au tumorboard ORL du 16.01.2019 : au vu de l'impossibilité d'excision chirurgicale ainsi que d'une radiothérapie locale, proposition d'une chimiothérapie palliative de première ligne par 5-FU, Platinol et Erbitux selon schéma EXTREME. Carcinome épidermoïde invasif du bord de langue droit, classé cT2 cN1 cM0. HPV en cours. Carcinome épidermoïde lobaire inférieur droit pT4 pN2 M0 R0 stade IIIb : • date du diagnostic : 08.11.2018 • cytologie (Promed C2018.1413) : cellules d'un carcinome épidermoïde au niveau du brossage du lobe inférieur droit en transbronchique périphérique et pour l'aspiration bronchique • PET-CT du 13.11.2018 : volumineuse masse tumorale du hile droit infiltrant le lobe inférieur droit avec adénopathie para-trachéale droite de nature incertaine. Absence d'autre lésion hypermétabolique en faveur d'éventuelles métastases • IRM cérébrale du 26.11.2018 : pas de lésion suspecte intra ou extra-axiale mise en évidence • bronchoscopie avec ultrasono-endobronchique le 16.11.2018 : status endo-bronchique mettant en évidence une compression extrinsèque partielle du segment paracardiaque D sans lésion endo-bronchique suspecte de tumeur. Présence d'adénopathies paratrachéales D et infracarinaires. Prélèvement des stations 4R et 7 • pathologie (Promed 2018.13186) : carcinome épidermoïde au niveau LID, silico-anthracose au niveau ganglion des stations 7 et 4R • TB chirurgie thoracique du 21/11/2018 : IRM cérébrale et si négative, ad chirurgie première • status post-lobectomie inférieure droite et lymphadénectomie médiastinale radicale le 10.12.2018 par les Dr. X, Dr. X et Dr. X • pathologie (Universität Bern B2018.43256) : carcinome épidermoïde de grade 2 de 6 cm classé pT4 pN2 (3/28) L1 V0 pN2 G2 R0 • tumor board de chirurgie thoracique du 19.12.2018 : chimiothérapie adjuvante • actuellement : chimiothérapie adjuvante par Platinol-Navelbine après pose d'un PAC et échographie cardiaque.• pathologie : carcinome épidermoïde au niveau LID, silico-anthracose au niveau ganglion des stations 7 et 4R • TB chirurgie thoracique du 21/11/2018 : IRM cérébrale et si négative, ad chirurgie première • status post-lobectomie inférieure droite et lymphadénectomie médiastinale radicale le 10.12.2018 par les Dr. X, Dr. X et Prof. X • pathologie : carcinome épidermoïde de grade 2 de 6 cm classé pT4 pN2 (3/28) L1 V0 pN2 G2 R0 • tumor board de chirurgie thoracique du 19.12.2018 : chimiothérapie adjuvante • actuellement : chimiothérapie adjuvante par Platinol-Navelbine après pose d'un PAC et échographie cardiaque Ancien tabagisme à 55 UPA. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie sous Pravastatine. Kératose cutanée au niveau du scalp traitée par Aldara crème. Nstemi PTCA sans stent en 2000. Carcinome épidermoïde lobaire inférieur droit pT4 pN2 M0 R0 stade IIIb : • date du diagnostic : 08.11.2018 • cytologie : cellules d'un carcinome épidermoïde au niveau du brossage du lobe inférieur droit en transbronchique périphérique et pour l'aspiration bronchique • PET-CT du 13.11.2018 : volumineuse masse tumorale du hile droit infiltrant le lobe inférieur droit avec adénopathie para-trachéale droite de nature incertaine. Absence d'autre lésion hypermétabolique en faveur d'éventuelles métastases • IRM cérébrale du 26.11.2018 : pas de lésion suspecte intra ou extra-axiale mise en évidence • bronchoscopie avec ultrasono-endobronchique le 16.11.2018 : status endo-bronchique mettant en évidence une compression extrinsèque partielle du segment para-cardiaque D sans lésion endo-bronchique suspecte de tumeur. Présence d'adénopathies paratrachéales D et infracarinaires. Prélèvement des stations 4R et 7 • pathologie : carcinome épidermoïde au niveau LID, silico-anthracose au niveau ganglion des stations 7 et 4R • TB chirurgie thoracique du 21/11/2018 : IRM cérébrale et si négative, ad chirurgie première • status post-lobectomie inférieure droite et lymphadénectomie médiastinale radicale le 10.12.2018 par les Dr. X, Dr. X et Prof. X • pathologie : carcinome épidermoïde de grade 2 de 6 cm classé pT4 pN2 (3/28) L1 V0 pN2 G2 R0 • tumor board de chirurgie thoracique du 19.12.2018 : chimiothérapie adjuvante. Carcinome épidermoïde moyennement à peu différencié lobaire inférieur droit pT3 (7.6 cm), pNo, cM0, R0 de stade II B diagnostiqué en janvier 2016 : • bronchoscopie le 20.01.2016 • IRM cérébrale le 17.02.2016 : pas de métastases • lobectomie inférieure droite avec curage ganglionnaire médi le 25.02.2016 • chimiothérapie adjuvante refusée par la patiente au CHUV (Dr. X) Syndrome d'apnées/hypopnées du sommeil de degré léger avec tendance à l'hypoxémie nocturne Syndrome métabolique avec : • intolérance au glucose (hémoglobine glyquée à 6,1% le 14.12.2012) • hypertension artérielle • excès pondéral (BMI à 28 kg/m2) • hypercholestérolémie Maladie de reflux avec cure d'hernie hiatale en 2009. Carcinome épidermoïde moyennement différencié, de la jonction gastro-œsophagienne, stade métastatique : • date du diagnostic : 16.03.2018 • histologie : carcinome épidermoïde moyennement différencié, dans la muqueuse de la jonction gastro-œsophagienne • US abdominal du 08.03.2018 : volumineuse masse centrée dans le rétropéritoine avec lésion au niveau hépatique • PET-CT du 12.03.2018 : adénopathie jugulo-carotidienne à l'intérieur gauche, multiples micronodules d'allure suspecte dans les deux champs pulmonaires. Adénopathies au niveau médiastinal et au tronc cœliaque ainsi qu'au niveau de la petite courbure gastrique et du corps du pancréas. Adénopathie rétropéritonéale et métastases hépatiques • status post oeso-gastro-duodénoscopie avec EUS le 16.03.2018 • status post 4 cures d'une chimiothérapie palliative par cisplatine et 5-FU du 21.03.2018 au 05.08.2018 (rémission partielle après 3 cures) • status post chimiothérapie palliative de 2ème ligne par Paraplatine et Taxol du 09.08 au 18.10.2018 au vu d'une progression tumorale au niveau oesophagien, pulmonaire • status post 3 cures d'une chimiothérapie de 3ème ligne par FOLFIRI (Campto), du 29.10.2018 au 24.11.2018 en raison d'une progression tumorale • actuellement : progression tumorale sous chimiothérapie par FOLFIRI, radiothérapie palliative au vu d'une dysphagie progressive, immunothérapie par Pembrolizumab (demande pour la prise en charge). Carcinome épidermoïde moyennement différencié de la jonction gastro-œsophagienne, stade métastatique : • date du diagnostic : 16.03.2018 • histologie : carcinome épidermoïde moyennement différencié, dans la muqueuse de la jonction gastro-œsophagienne • US abdominal du 08.03.2018 : volumineuse masse centrée dans le rétropéritoine avec lésion au niveau hépatique • PET-CT du 12.03.2018 : adénopathie jugulo-carotidienne à l'intérieur gauche, multiples micronodules d'allure suspecte dans les deux champs pulmonaires. Adénopathies au niveau médiastinal et au tronc cœliaque ainsi qu'au niveau de la petite courbure gastrique et du corps du pancréas. Adénopathie rétropéritonéale et métastases hépatiques • status post oeso-gastro-duodénoscopie avec EUS le 16.03.2018 • status post 4 cures d'une chimiothérapie palliative par cisplatine et 5-FU du 21.03.2018 au 05.08.2018 (rémission partielle après 3 cures) • status post chimiothérapie palliative de 2ème ligne par Paraplatine et Taxol du 09.08 au 18.10.2018 au vu d'une progression tumorale au niveau oesophagien, pulmonaire • status post 3 cures d'une chimiothérapie de 3ème ligne par FOLFIRI (Campto), du 29.10.2018 au 24.11.2018 en raison d'une progression tumorale • actuellement (janvier 2019) : progression tumorale sous chimiothérapie par FOLFIRI, radiothérapie palliative au vu d'une dysphagie progressive, immunothérapie par Pembrolizumab (demande pour la prise en charge) à rediscuter dans la suite. • Radiothérapie quotidienne (14 séances) depuis le 29.01.2019 (Dr. X) jusqu'au 15.02.2019 Suivi oncologique Dr. X Radio-oncologue Dr. X Carcinome épidermoïde moyennement différencié de la paroi hypopharyngée postérieure en stade cT3 cN0 M0 : • date du diagnostic : 07.07.2017 • histologie : carcinome épidermoïde invasif moyennement différencié dans la biopsie de l'hypopharynx • CT cervico-thoraco-abdominal du 26.06.2017 : épaississement circonférentiel des parois de l'œsophage après la bouche œsophagienne proximale. Pas de métastase ganglionnaire ni à distance • OGD du 05.07.2017 : très probable compression œsophagienne supérieure par un processus extrinsèque situé probablement dans l'hypopharynx • panendoscopie du 06.07.2017 : masse hypopharyngée de la paroi postérieure • Tumorboard ORL du 19.05.2017 : radio-chimiothérapie combinée • status post-pose de sonde de PEG d'un port-à-cath • facteurs de risques : tabagisme actif • status post-chimiothérapie par Platinol du 22.08 au 03.10.2017 combinée à une radiothérapie à titre définitif du 22.08 au 10.10.2017 • actuellement : pas d'évidence de récidive tumorale, surveillance dans le service ORL Carcinome épidermoïde moyennement différencié de la vallécule G, de stade pT4 pN0 : • 11.06.2002 : trachéotomie percutanée, évidement triangulaire supra-hyoïdien D, évidement fonctionnel II, III, IV G, tumorectomie par laryngectomie sus-glottique (Dr. X, Dr. X) • 15.07 au 28.08.2002 : radiothérapie associée à une chimiothérapie de Platinol (2 cures) • 28.05.2014 : absence de récidiveFausses routes à répétition sur hypertrophie du muscle crico-pharyngien • excision chirurgicale par voie endoscopique le 16.06.2014 (Dr. X) Rétention urinaire postopératoire en 2014 Dépression après le décès du mari en 2014 Carcinome épidermoïde moyennement différencié sus-glottique gauche stade pT1pN2M0 en 2006 (Dr. X): • Histologie: carcinome épidermoïde moyennement différencié, ulcéré, avec composante de carcinome épidermoïde in situ • Évidement latéro-cervical radical avec conservation du muscle sterno-cléido-mastoïdien et pharyngo-laryngectomie partielle gauche et reconstruction par lambeau cervical du muscle peaucier le 21.02.2006 • Radio-chimiothérapie (66 Gy, 2 cures de Platinol) adjuvante (fin du traitement en 2006) • Troubles sévères de la déglutition chroniques avec broncho-aspirations et dénutrition • Pose de PEG, le 29.04.2015 • Laryngectomie totale le 07.03.2017 • Vidéofluoroscopie le 14.03.2017: fistule hypopharyngo-trachéale antérieure. • Reprise de laryngectomie avec reconstruction par lambeau musculo-cutané pectoral gauche (Dr. X), le 15.03.2017 • Ablation du by-pass laryngé (Dr. X), le 30.03.2017 Broncho-pneumopathie obstructive sévère GOLD III : • Tabagisme actif. • FEV1 45 % du prédit en septembre 2014. Cardiopathie ischémique: • Coronarographie élective en 2013: status post PTCA avec 2 stents de la coronaire droite, lésion non significative de l'IV. • FEVG 25 % à l'US transthoracique en mai 2015, avec hypokinésie globale sévère. • FEVG 55 % à l'électrocardiographie transthoracique en janvier 2016 (hypokinésie minime paroi inférieure, hypertrophie concentrique avec dysfonction diastolique minime, oreillettes non dilatées, pas de valvulopathie). NSTEMI sur maladie coronarienne bitronculaire le 24.05.2017: • longue sténose significative de l'IVA proximale et moyenne. • stenting de l'IVA, fonction systolique gauche normale (60%) Hypertension artérielle Hypothyroïdie initialement substituée avec refus de prise de traitement de l'hospitalisation en 2017 Claudication intermittente des membres inférieurs avec insuffisance artérielle des membres inférieurs stade IIb: • Angioplastie de l'artère iliaque commune et de l'artère iliaque externe (stent) à droite (Dr. X), en mars 2014. • Contrôle angiologique, en juin 2014: stent perméable. Lombalgies chroniques non-déficitaires. Carcinome épidermoïde oropharyngé gauche en stade cT4a cNx cM0 • date du diagnostic : 29.08.2014 • CT-scan du cou et thoracique du 23.05.2014 : ostéochondrose sévère de la colonne cervicale. Pas de masse tumorale visible. • panendoscopie du 12.05.2014 : voie aérodigestive supérieure normale • IRM cervicale de juillet 2014 : tuméfaction des parties molles au niveau de l’amygdale gauche • CT du cou du 15.09.2014 : masse dans le récessus pharyngé gauche s’étendant de l’oropharynx à l’hypopharynx. Croissance d’une adénopathie sus-claviculaire rétro-jugulaire droite à 15 mm. Nodule lobaire thyroïdien droit de 23mm stable. • panendoscopie du 29.08.2014 : aucune lésion muqueuse mise en évidence. Biopsie en profondeur en arrière du pilier postérieur ou sur une zone d’induration • histologie du 03.09.2014 : plages de carcinome épidermoïde invasif peu kératinisant, infiltrant les tissus fibro-adipeux avec rares images d’infiltration périneurale. • tumorboard du 10.09.2014 : proposition d’une radio-chimiothérapie à but définitif. • status post radiothérapie et chimiothérapie combinée par Platinol du 29.09.2014 au 14.11.2014 • actuellement : surveillance ; rendez-vous en oncologie ORL avec Dr. X le 22.01.2018 Tumeur folliculaire à cellules de Hürthle de la thyroïde dans le lobe droit • CT-scan du 15.09.2014 : nodule lobaire thyroïdien droit de 23mm avec adénopathie rétro-jugulaire droite de 15mm. • ponction thyroïdienne du 01.09.2014 : tumeur thyroïdienne du lobe droit de type folliculaire oxyphile • tumorboard du 07.09.2014 : bilan de suivi, prise en charge initialement de tumeur ORL • Thyroidectomie bilatérale totale le 01.07.2016 • actuellement : surveillance Carcinomes épidermoïdes pulmonaires du lobe supérieur gauche cT4 cN2 cM0 et lobe supérieur droit cT1b cN1 cM0 synchrones • date du diagnostic : 16.10.2018 • histologie (biopsie pulmonaire lobe supérieur gauche) : carcinome épidermoïde. PD-L1 en cours • PET-CT du 10.09.2018 : masse lobaire supérieure gauche 30 x 40 x 40 mm, masse lobaire supérieure droite 23 x 19 x 21 mm. Métastases ganglionnaires hilaire droite et hilaire gauche. Bronchoscopie EBUS en janvier 2018 et septembre 2018 non fructueuse • tumorboard d’oncologie thoracique du 24.10.2018 : deux tumeurs pulmonaires synchrones selon la morphologie, traitement concomitant de radio-chimiothérapie • radio-chimiothérapie combinée à visée curative actuellement terminée (01.2019) Suivi par Dr. X CT scan de contrôle à 2 mois du traitement avec +/- immunothérapie adjuvante en fonction des résultats Carcinome épidermoïde plancher buccal antérieur, cT4 cN0 cM0 spontanément fistulisé à la peau - exérèse par cervicotomie et reconstruction par lambeau de muscle grand pectoral gauche et Thiersch. Radio-chimiothérapie exclusive pour un carcinome épidermoïde de la base de la langue gauche cT2 cN0 M0 en 2009 Laryngectomie totale pour un carcinome épidermoïde glottique pT4 N0 M0 en 2007 Complément d'évidement sous-mandibulaire gauche suivi d'une radiothérapie adjuvante pour une poursuite évolutive ganglionnaire cervicale gauche en 1994 Tumorectomie avec reconstruction par lambeau myocutané du muscle peaucier associé à un évidement fonctionnel bilatéral pour un carcinome épidermoïde du plancher buccal antérieur droit pT2 pN0 M0 en 1993. Buccostome cervical gauche secondaire. Carcinome épidermoïde pulmonaire du lobe inférieur gauche, cT3 cN0 cM0, stade IIB : • date du diagnostic : 01.12.2016 • histologie : carcinome épidermoïde moyennement différencié. Ganglions : dépôt silico-anthracosique macrophagocytaire du tissu lymphoréticulaire. Expression du marqueur PD-L1 : cellules tumorales 30%, cellules immunologiques associées à la tumeur <1% • CT thoraco-abdomino-pelvien du 18.10.2016 : masse cavitaire du segment apical du lobe inférieur gauche, de 48 x 66 mm, adossée à la plèvre focalement, sans adénopathie • PET-CT du 29.11.2016 : lésion tumorale hypermétabolique à centre nécrotique para-hilaire gauche en contact de la plèvre. Pas de métastase locorégionale ou à distance. • bronchoscopie avec EBUS du 29.11.2016 : sténose tumorale intrinsèque complète du segment apical du lobe inférieur gauche, présence de ganglions médiastinaux et interlobaires gauches • fonctions pulmonaires du 25.11.2016 : BPCO de stade GOLD III, VEMS à 41% du prédit, Tiffeneau à 63% du prédit, DLCO 61% du prédit • tumorboard du 07.12 et du 14.12.2016 : au vu d’une maladie coronarienne tritronculaire nécessitant un pontage aorto-coronarien et une BPCO de stade III, proposition d’une prise en charge par radio-chimiothérapie à visée définitive • status post chimiothérapie par carboplatine et Navelbine du 09.01.2017 au 20.03.2017 et radiothérapie concomitante au niveau de la tumeur primaire (60 Gy) et sur les aires ganglionnaires médiastinales de drainage (48 Gy) du 30.01.2017 au 10.03.2017 • CT thoraco-abdominal du 21.11.2017 : augmentation en taille du nodule apical lobaire supérieur droit mesurant actuellement 10 mm. Stabilité de la lésion tissulaire nécrotique lobaire inférieure gauche et de l’adénopathie hilaire droite • PET-CT du 30.11.2017 : intense hypercaptation pulmonaire inférieure gauche avec un SUV max à 9,5. Faible hypercaptation du nodule pulmonaire apical droit avec un SUV max à 2. Absence d’autres foyers hyperactifs pathologiques • biopsie de la masse pulmonaire primaire du lobe inférieur gauche sous CT le 22.12.2017 histologie : carcinome épidermoïde moyennement à peu différencié (2 biopsies de la masse du lobe inférieure gauche). La différenciation du carcinome épidermoïde est tout à fait compatible avec le carcinome épidermoïde décrit dans le rapport. Expression du marqueur PDL1 à 3% sur les cellules tumorales à 5% sur les cellules immunologiques associées à la tumeur • sous immunothérapie par pembrolizumab depuis le 12.01.2018, actuellement traitement toujours en cours Carcinome épidermoïde pulmonaire hilaire droit cT4 cN2 cM0 de stade IIIB, diagnostiqué en juin 2018 : • diagnostic par bronchoscopie le 05.07.2018 et pose de stent trachéal avec actuellement : • paralysie laryngée avec médialisation des cordes vocales le 23.01.2019 • bronchoscopie avec fenestration du stent trachéale le 23.01.2019 • progression des lésions métastatiques au niveau du myocarde (VD) et du médiastin antérieur • suspicion d'une lymphangite carcinomateuse pulmonaire • situation de soins palliatifs avec soins de confort. Carcinome épidermoïde pulmonaire hilaire droit cT4 cN2 cM0 de stade IIIB, diagnostiqué en juin 2018, avec : • 1 cycle de Vinorelbine et Cisplatine en juin 2018, traité par Sleeve bilobectomie du LSD et LMD avec confection d'une néo-carène le 30.07.2018 avec stabilisation par un stent siliconé, compliqué par : lâchage d'anastomose le 01.08.2018 • reprise de l'anastomose trachée/carène et révision du lambeau de muscle grand droit le 01.08.2018 • déhiscence de la cicatrice de thoracotomie droite le 10.08.2018 • médiastinite polymicrobienne à C. albicans, staphylocoque epidermidis, staphylocoque lugdunensis et streptocoque anginus le 16.08.2018 : traitement par Ceftriaxone, Métronidazole, Vancomycine, Fluconazole (jusqu'au 08.10.2018) et par Augmentin (jusqu'au 02.10.2018) • cultures d'aspiration bronchique : Acinetobacter Baumanii et Serratia Marcsescens, colonisants, pas de traitement introduit • choc hémorragique per-opératoire le 16.08.2018 • bronchoscopie interventionnelle (Dr. X) le 29.08.2018 : pose de stent droit de 4cm sur la trachée distale • ablation du stent trachéal par bronchoscopie le 03.09.2018 • fistule broncho-médiastino-pleurale avec un épanchement pleural droit multi-cloisonné, abcédation du segment apical du LID et collection au niveau du muscle grand dorsal droit. • reprise au bloc le 05.09.2018 : thoraco-myoplastie droite, révision et nettoyage de la cavité, résection des côtes 3 et 4 droites, résection partielle de l'omoplate droite, et pose de VAC thoracique • fermeture du VAC thoracique le 20.09.2018 • pose de stent trachéo-bronchique le 18.09.2018 : migration secondaire, remplacement au bloc opératoire par stent en silicone le 20.09.2018. • séjour aux soins intensifs du 27.07 au 12.08.2018, puis du 17.08 au 31.08.2018 • ventilation invasive jusqu'au 06.09.2018 • bronchoscopie le 25.10.2018 (CHUV) avec stent trachéo-bronchique en place • 27.07.2018 : bronchoscopie interventionnelle : tumeur de la bronche souche droite, remontant 2cm en-dessus de la carène et infiltrant également la bronche souche gauche, paroi médiane d'environ 1cm. Défaut de toute la paroi latérale du tronc intermédiaire avec poumon visible. Interventions : 1) décaillotage, 2) pose de stent sur la bronche souche droite, 3) laser sur les bourgeons tumoraux (Dr. X) • 28.07.2018 : bronchoscopie rigide : bronchoscopie de nettoyage, stent bronchique en place, lobaire inférieur perméable, sécrétions purulentes (Dr. X) • 29.07.2018 : bronchoscopie rigide : migration du stent et obstruction de la bronche souche droite par le stent et des caillots. Intubation sélective à gauche. Alcoolisme chronique avec stéatose hépatique. Tabagisme à 70 UPA, stoppé en juin 2018. Hypertension artérielle. BPCO stade III avec rapport de Tiffeneau à 65.4% et VEMS à 47% du prédit le 30.10.2018. Carcinome épidermoïde pulmonaire multifocal du lobe inférieur gauche classé pT3 (m) pN1 M0 • date du diagnostic : 21.08.2018 • histologie (Inselspital Bern) : carcinome épidermoïde multifocal pT3 (m) pN1 (1/28) L1 V2 Pn0 G2 R0 • status post-lobectomie inférieure gauche avec curage ganglionnaire par thoracotomie le 21.09.2018 • tumorboard du 03.10.2018 : chimiothérapie adjuvante • actuellement : chimiothérapie par Platinol et Navelbine à titre adjuvant (dernier cycle le 18.01.2019) Carcinome épidermoïde vésical avec collection pelvienne communicante, probable urinome (date du diagnostic 15.02.2019) DD : infiltration d'un carcinome épidermoïde d'origine gynécologique • CT-abdominal natif le 17.01.2019 : masse d'aspect hypodense de la partie droite de la paroi vésicale d'origine indéterminée, mal délimitée, d'environ 7 x 5 cm. Suspicion de tumeur de la vessie, ceci sous réserve d'un examen non injecté, à l'origine de l'obstruction des voies urinaires des deux côtés. Pas d'autres causes visibles de l'obstruction urinaire bilatérale, en particulier absence de calcul. Par ailleurs, présence d'une collection entre le fond de l'utérus et la vessie, fortement soupçonnée d'un abcès (DD : rupture de diverticule de vessie neurogène, nécrose tumorale perforée). • CT-abdominal injecté le 18.01.2019 : mise en évidence d'une infiltration d'allure tumorale diffuse de la paroi vésicale et communication avec la collection pelvienne précédemment décrite. L'hypothèse principale est alors une rupture de la paroi sur nécrose avec urinome probablement surinfecté. • Tumorboard d'urologie le 24.01.2019 : ponction par cystoscopie chez Dr. X le 30.01.2019 et suite de prise en charge selon résultats • TURV diagnostique avec biopsies le 11.02.2019 • Histologie : carcinome diffus avec différenciation épidermoïde présentant une infiltration focale de faisceaux de musculature lisse • suivie par Dr. X Carcinome folliculaire de la thyroïde minimalement invasif ; pT3a R0 • volumineux nodule thyroïdien du lobe droit 5.1 x 3.1 x 3.2 cm, classé Bethesda IV • Cytologie : population pure de cellules folliculaires en transformation oncocytaire, suspecte de néoplasie folliculaire oncocytaire. Carcinome hépatocellulaire bien différencié : • date du diagnostic : 06.04.2017 • pathologie (CHUV H1705344) : biopsie au niveau du segment VIII : carcinome hépatocellulaire bien différencié • status post-radiofréquence de la lésion du segment VIII le 06.04.2017 • actuellement : surveillance par IRM Carcinome hépatocellulaire de grade III de 15 cm de diamètre au niveau du foie droit Carcinome hépatocellulaire de grade III de 15 cm de diamètre dans le foie droit avec des adénopathies dans la graisse cardiophrenique : • sérologie HBV, HCV négatif • alpha-foetoprotéine augmentée à 12 ng/ml, CEA normal et CA-19-9 augmenté à 92 U/ml • Child-Pugh B • US abdominal le 3.1.2019 : volumineuse masse hépatique de 15 cm de diamètre maximal occupant l'ensemble du foie droit ouvrant le DD d'un cholangiocarcinome. Au moins 4 lésions hétérogènes suspectes d'atteinte métastatique. • CT thoraco-abdo le 4.1.2019 : grosse masse hépatique dans le lobe droit avec plusieurs lésions satellites dans les autres lobes faisant penser à un CHC multifocal. Adénopathies dans la graisse cardio-phrénique droite. • IRM cérébrale le 14.1.2019 : pas de métastases • biopsie hépatique le 11.1.2019 (Dr. X) : CHC de grade III partiellement nécrosé • embolisation de la masse principale par embosphères et Spongostan le 28.1.19 (Dr. X) Carcinome hépatocellulaire : • diagnostic le 18.01.2019 • CT thoraco-abdominal le 18.01.2019 : cirrhose avec volumineuse masse intra-hépatique et plusieurs lésions hypodenses intraparenchymateuses, thrombose de la veine porte, épanchement intra-abdominal • insuffisance hépatocellulaire avec Child-Pugh C à 10 pts• facteurs de risque : sérologies hépatites négatives, ferritine normale • AFP à 2'545 ng/ml • avis du tumor board du 23.01.2019 : prise en charge symptomatique Carcinome hépatocellulaire moyennement différencié multifocal • date du diagnostic : sur biopsie hépatique le 11.07.2018 • pathologie (Promed P2018.7962) : hépatocarcinome moyennement différencié selon la classification 2010 de l'OMS. Au niveau du tissu hépatique sain, remaniement cirrhotique diffus et au minimum focalement complet et micronodulaire • CT thoraco-abdomino-pelvien du 02.07.2018 : multiples lésions hépatiques suspectes de CHC multifocal avec adénopathies du hile hépatique et cœliaque. Signes d'hypertension portale. Pas d'atteinte à distance • IRM de l'abdomen supérieur du 30.05.2018 : foie de cirrhose avec nodules suspects de carcinome hépatocellulaire de 7 mm du segment II, 13 mm du segment IV, 17 mm à la jonction des segments V et IV, 4,4 cm du segment V • Alfa-foetoprotéine du 11.06.2018 : 88 ng/ml • facteur de risque : intoxication alcoolique sevrée depuis 2 ans • tumorboard de chirurgie viscérale de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal du 08.07.2018 : chimiothérapie-embolisation en deux temps • Chimio-embolisation du foie droit le 27.08.2018 (Dr. X) Carcinome hépato-cellulaire pT1 G2 R0 • date du diagnostic : décembre 2012 • histologie : carcinome hépato-cellulaire, moyennement à bien différencié (biopsie hépatique du 20.11.2015, Promed P10289.15 ; biopsie pulmonaire du 12.01.2016 Promed P374.16) • status post-résection du segment VI et bi-segmentectomie du segment VI et VII le 26.12.2012 (chirurgie CHUV) • récidive au niveau hépatique et basi-pulmonaire droit, décembre 2015 • biopsie hépatique et basi-pulmonaire avec carcinome hépato-cellulaire • status post-thérapie par Nexavar du 21.01 au 15.02.2016, mal tolérée avec important exanthème cutané • status post-essai de chimio-embolisation du nodule hépatique le 08.07.2016, échec en raison de la difficulté d'accès anatomique • progression des métastases pulmonaires et hépatiques, fin octobre 2016 • status post-thérapie par Nexavar à demi-dose, accompagnée de Prednisone (5 mg/jour) de début décembre à début janvier 2017, bien tolérée • actuellement : fenêtre thérapeutique suite au problème cardiaque • suivi Prof. X. Carcinome de la prostate pT2 pN0 M0 avec : • date du diagnostic : mars 2000 • histologie : adénocarcinome, Gleason score 5 • status post-prostato-vésiculectomie totale et lymphadénectomie pelvienne le 01.04.2000 • récidive locale en 2007 (Gleason score 4) • status post hormonothérapie et radiothérapie (suivi annuel) • actuellement : PSA < 0.01 ng/ml, rémission complète. Cardiopathie ischémique avec maladie tri-tronculaire • coronarographie (08.03.2017, Dr. X) : maladie coronarienne de 3 vaisseaux, très calcifiée, avec un ancien infarctus inférieur, responsable d'une discrète diminution de la fonction systolique globale du ventricule gauche (FE : 50 %) ; discrète sténose aortique calcifiée, sans répercussion hémodynamique ; poursuite du traitement actuel. • Apnées du sommeil de degré moyen, appareillé. • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie. • Hyperuricémie. • Anévrisme de l'aorte abdominale (34 x 41 mm) associé à un anévrisme des artères iliaques communes. • Dégénérescence maculaire liée à l'âge (3ème et dernière injection intra-oculaire le 18.09.2012). • Souffle fémoral droit 08.07.2016. DD : préexistant, fistule artério-veineuse. Carcinome invasif mammaire de type non spécifique multicentrique stade pT2 pN2a (5/9 au total) G1 pL1 pVx PnX R0 MO luminal A • date du diagnostic : 14.08.2015 • histologie (ARGOT Lab P14854.15) : mastectomie gauche : carcinome invasif de type NST multicentrique G1, images d'invasion vasculaire lymphatique, foyer de DCIS de bas grade de malignité. ER 90 %. PR 60 %. Ki-67 5 %. HER-2 nég. Limites chirurgicales : certains foyers de carcinome invasif se situent au plus près à 3 mm de la tranche de section inférieure et à 2 mm de la tranche de section profonde. Curage axillaire gauche • PET CT du 28.07.2015 : hypercaptation mammaire gauche correspondant à la tumeur primaire connue, sans lésion hypermétabolique pathologique loco-régionale ou à distance. • status post-mastectomie gauche, excision des ganglions sentinelles et curage axillaire gauche le 14.08.2015. • status post chimiothérapie adjuvante par 3 cycles de FEC100 du 15.09.2015 au 27.10.2015 • actuellement : sous chimiothérapie par Taxotere 3 cycles depuis le 17.11.2015 Suivi oncologique par Dr. X. Carcinome invasif NST à l'union des quadrants externes du sein droit cT3 (6,3 cm) cN1 cM0 stade IIIA triple négatif • date du diagnostic : 19.07.2018 • pathologie CHUV H1811127 et H1812174 (biopsie masse sein droit, ganglions intra-mammaires droits et ganglion axillaire droit) : carcinome invasif NST de grade 3 (3+3+3) avec infiltrat lymphoïde stromal modéré. Absence de composante de carcinome canalaire in situ. Idem dans le ganglion intra-mammaire et dans le ganglion axillaire droit • biologie moléculaire et immunohistochimie : ER négatif, PR négatif, Mib1 60 %, absence d'amplification du gène HER2 • mammographie, échographie mammaire et biopsie du 29.06.2018 : masse BIRADS 5 de 3,2 cm de diamètre maximal à l'union des quadrants externes du sein droit, associée à un ganglion intra-mammaire à cortex épaissi • PET-CT du 25.07.2018 : lésion mammaire droite avec adénopathies intra-mammaires et ganglion axillaire droit suspects. Pas d'autre lésion hypermétabolique suspecte à distance • IRM mammaire du 26.07.2018 : lésion tumorale du quadrant supéro-externe du sein droit avec deux nodules satellites, le tout mesurant 63 mm de plus grand axe • status post-biopsie de l'adénopathie axillaire droite le 10.08.2018 • Tumor board de sénologie du CHUV : chimiothérapie néo-adjuvante puis éventuellement tumorectomie et recherche de ganglion sentinelle. Recherche de mutation BRCA • status post-4 cycles d'épichubicine-cyclophosphamide du 30.08 au 31.10.2018 au CHUV avec réponse partielle à l'IRM mammaire intermédiaire du 31.10.2018 • actuellement : poursuite de chimiothérapie néo-adjuvante par Taxol hebdomadaire et carboplatine aux 3 semaines pour 4 cycles complémentaires. Consultation en oncogénétique à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal dès que possible • suivi oncologique à la consultation de Dr. X avec un prochain RV le 14.02.2019 à 7h45, avec IRM. Etat dépressif sévère. Hernie hiatale. Carcinome invasif NST de grade I à II du sein gauche, multifocal, chez une patiente de 5 gestes 5 pares de 87 ans. Cliniquement cT4b, pN0, M0 ER 100 %, PR 100 %, HER 2 : non amplifié, Ki 67 à 5-10 % Carcinome invasif NST du quadrant supéro-externe du sein gauche pT2a, pN1a (1/7), L1, V0, Pn0, G3, R0, cM0 stade IIA triple négatif : • date du diagnostic : 19.09.2018 • refus de biopsie par la patiente. • tumorectomie avec curage ganglionnaire axillaire gauche le 23.10.2018. • Tumor board de sénologie du 30.10.2018 : avis onco-génétique, chimio- et radiothérapie adjuvante. • actuellement : chimiothérapie adjuvante par 4 cycles d'Epirubicine-cyclophosphamide aux 3 semaines suivies de Taxol hebdomadaire avec Carboplatine AUC=5 à 6 aux 3 semaines pour 4 cycles puis radiothérapie. Carcinome laryngé Carcinome lobulaire invasif du quadrant inféro-externe du sein gauche • Traité par hormonothérapie, Letrozol 1x/jour (Dr. X, oncologue Clinique Générale) • Refus de traitement chirurgical de la patiente • Lésions nodulaires pulmonaires du lobe supérieur droit, stable (origine indéterminée) Lymphome à cellules B de type lymphocytique ou Leucémie lymphoïde chronique : • Pas de traitement indiqué pour le moment • Suivi tous les 3 mois par Dr. X (Oncologue, Clinique Générale) Bloc de branche droit incomplet Hypothyroïdie substituée Carcinome lobulaire invasif du sein gauche en stade initial pT1b G2 pN1m (sn) (i+) M0 • date du diagnostic : 10.10.2006 • status post-tumorectomie élargie avec ganglion sentinelle et ganglions lymphatiques accessoires le 10.10.2006 • histologie (Argot Lab SA, Lausanne) P107305.06 : carcinome lobulaire invasif du quadrant supéro-externe du sein gauche en stade pT1b G2, petit foyer de carcinome lobulaire in situ avec une métastase de 2,2 mm dans le ganglion sentinelle et une micro-métastase (1,1 mm) dans 1/4 ganglions lymphatiques accessoires • récepteurs hormonaux ER 90 %, PR 10 % ; HER-2 score 1 à 2+ ; FISH négatif • status post-4 cures d'une chimiothérapie adjuvante par d'Adriblastine et d'Endoxan du 07.11.2006 au 09.01.2007 • status post-radiothérapie du sein gauche en février 2007 (58 Gy) et de la région sous-claviculaire (48 Gy) du 31.01 au 09.03.2007 • status post-traitement antihormonal par Tamoxifen de mars 2007 à mars 2009 • status post-traitement antihormonal par Femara de mars 2009 à septembre 2009 (arrêt en raison d'une mauvaise tolérance sous forme de myalgies importantes) • status post-traitement antihormonal par Tamoxifen de septembre 2009 à avril 2010 • status post-traitement intermittent par Arimidex d'avril à août 2010 (stoppé en raison des myalgies et arthralgies importantes) • traitement par Tamoxifen depuis novembre 2010 • actuellement : arrêt du traitement après 5 ans en mars 2012, poursuite de la surveillance par mammographie et ultrason des seins Carcinome intra-canalaire in situ du sein droit • date du diagnostic : octobre 2007 • status post-tumorectomie élargie du sein droit, avec recoupe rétro-aréolaire et excision du ganglion sentinelle axillaire droit le 09.10.2007 • histologie (pathologie Argot Lab SA P9592.07) : carcinome intra-canalaire de bas grade avec nécrose selon Van Nuys de la glande mammaire droite pTis. Recoupe sans tumeur et 2 ganglions sentinelles sans tumeur • récepteurs hormonaux ER et PR négatifs, HER-2 30 % des cellules positives (score 3+) • status post-radiothérapie du sein droit (48 Gy) du 12.11 au 18.12.2007 • actuellement : pas d'évidence de récidive tumorale Carcinome mammaire droit pT2 (4,5 cm) pN1a (SM 2/2) Mx G3 pL1 pVx pN0 R0 avec composante DCIS associée pTis • Date du diagnostic : 17.07.2018, biopsie du sein droit sous ultrasons avec aiguille histocore • IRM du 26.06.2018 : lésion rétro-mamelonnaire droite envahissant la PAM avec extension dans le QIE droit • Histologie (ArgotLab P14503.18) : carcinome invasif de type NST occupant le mamelon et l'auréole du sein droit, 4,5 x 3 x 2 cm G3 avec image d'invasion vasculaire lymphatique et composante de DCIS de haut grade, infiltration tumorale du mamelon et de l'auréole avec maladie de Paget et ulcération cutanée de 1 mm • Examen immuno-histo-chimique : HR 100 %, PR 75 à 80 %, Ki-67 à 25 %, absence d'amplification du gène HER2 selon examen FISH • Status post-pamectomie droite et recherche du ganglion sentinelle le 26.09.2018 • Bilan d'extension avec scintigraphie osseuse et CT cérébro-thoraco-abdominal en cours • Facteur de risque : anamnèse familiale positive pour la mère et la sœur à respectivement 60 et 62 ans pour cancer du sein, notion de traitement hormonal dans les actes • Chimiothérapie adjuvante par Adriblastine et Endoxan du 05.11.2018 au 09.01.2019 (4 cycles effectués) • CT thoracique du 21.01.2019 : nodule pulmonaire du lobe inférieur gauche inchangé, pas d'autres lésions suspectes visibles Actuellement : poursuite de la chimiothérapie adjuvante par Taxol hebdomadaire pour 12 cycles dès le 29.01.2019 Carcinome mammaire droit pT2 (4,5 cm) pN1a (SM 2/2) Mx G3 pL1 pVx pN0 R0 avec une composante DCIS associée pTis • date du diagnostic : 17.07.2018, biopsie du sein droit sous ultrasons avec aiguille histocore • IRM du 26.06.2018 : lésion rétro-mamelonnaire droite envahissant la PAM avec extension dans le QIE droit • histologie (ArgotLab P14503.18) : carcinome invasif de type NST occupant le mamelon et l’ auréole du sein droit, 4,5 x 3 x 2 cm G3 avec image d’invasion vasculaire lymphatique et composante de DCIS de haut grade, infiltration tumorale du mamelon et de l’ auréole avec maladie de Paget et ulcération cutanée de 1 mm • examen immuno-histo-chimique : HR 100 %, PR 75 à 80 %, Ki-67 à 25 %, absence d’amplification du gène HER2 selon examen FISH • status post pamectomie droite et recherche du ganglion sentinelle le 26.09.2018 • bilan d’ extension avec scintigraphie osseuse et CT cérébro-thoraco-abdominal en cours • facteur de risque : anamnèse familiale positive pour la mère et la sœur à respectivement 60 et 62 ans pour cancer du sein, notion de traitement hormonal dans les actes • chimiothérapie adjuvante par Adriblastine et Endoxan du 05.11.2018 au 09.01.2019 (4 cycles effectués) • CT thoracique du 21.01.2019 : nodule pulmonaire du lobe inférieur gauche inchangé, pas d'autres lésions suspectes visibles Carcinome mammaire droit, sous chimiothérapie néo-adjuvante, diagnostiqué en octobre 2017. Sténose mitrale modérée avec sclérose des feuillets de l'anneau mitral et de l'appareil sous-valvulaire. Diabète mellitus de type non insulino-dépendant. Hypertension artérielle. Troubles cognitifs sur démence légère. Troubles anxieux. Xérostomie d'origine peu claire (Dr. X et Dr. X). Cystocèle. Prolapsus rectal stade III avec status après rectopexie postérieure. Gastrite chronique. Carcinome mammaire du quadrant supéro-externe du sein droit cT2 cN2 cM0 stade IIIA • date du diagnostic : 27.04.2017 • histologie (ARGOT Lab P6565.17) du 27.04.2017 : biopsie : carcinome invasif non classé G3 avec lymphangiose carcinomateuse, biopsie d'une adénopathie axillaire droite : métastase ganglionnaire du carcinome mammaire décrit • examen immuno-histochimique/biologie moléculaire : ER 60 %, PR 5 %, Mib-1 80 %, HER2 non amplifié • mammographie et ultrason mammaire le 24.04.2017 : masse hypoéchogène de 2 cm avec adénopathies axillaires, Bi-RADS IV • PET CT du 03.05.2017 : intense hypercaptation mammaire droite (SUV max 18,1), avec multiples foyers ganglionnaires axillaires ipsilatéraux (SUV max 17,7) • tumorboard du 02.05.2017 : si PET négatif pour lésion à distance, ad chimiothérapie néoadjuvante • status post-4 cures de chimiothérapie par Adriblastine et cyclophosphamide suivies de 12 cures de paclitaxel du 29.05.2017 au 09.10.2017 • IRM mammaire du 10.07.2017 : bonne réponse à la chimiothérapie de la lésion tumorale du quadrant supéro-externe droit avec diminution en taille de manière centripète (14 x 14 mm contre 20 x 23 mm), et diminution en taille des multiples adénopathies axillaires droites • rapport d’analyse d’oncologie moléculaire le 20.07.2017 : aucune mutation pathogène dans les gènes BRCA1 et BRCA2 • présentation au TB du 17.10.2017 : proposition d’une tumorectomie et curage ganglionnaire axillaire • status post-tumorectomie et curage ganglionnaire axillaire droite le 31.10.2017 • histologie (ARGOT Lab P16561.17 le 09.11.2017) reliquat tumoral de 3 foyers de carcinome lobulaire invasif mesurant chacun jusqu’à 0,2 cm de grand axe dans un stroma fibroélastique jusqu’à 1,2 cm de grand axe, curage axillaire droite avec métastases dans 8 des 9 ganglions lymphatiques en partie associées à des foyers de fibrose et à des macrophages spumeux, ypT1a (0,2 cm x 3) ypN2a (8/9) ypL0 ypV0 ypPn0 R0 • status post-radiothérapie adjuvante de 50 Gy au niveau du sein droit et 16 Gy sur le lit tumoral du quadrant supéro-externe ainsi que 46 Gy au niveau des aires ganglionnaires axilo-susclaviculaires du 20.12.2017 au 02.02.2018 • sous traitement antihormonal par Zoladex mensuel et Létrozole 2,5 mg/jour dès le 05.03.2018 dans le cadre de l’étude PALLAS (bras sans palbociclib) • absence de récidive à l’IRM des seins du 02.10.2018 • récidive sous forme d’une carcinose leptoméningée de la partie supérieure du vermis et lésion nodulaire intra-parenchymateuse temporale gauche de 11 mm de diamètre à l’IRM du neurocrâne et de la colonne cervicale du 08.11.2018 • absence d’une atteinte carcinomateuse méningée au niveau dorso-lombaire à l’IRM de la colonne du 16.11.2018 et absence d’autre manifestation tumorale exceptée la lésion cérébrale du lobe temporal gauche au PET-CT du 14.11.2018 • ponction lombaire du 16.11.2018 (cytologie ARGOT Lab CS2993.18) : présence de cellules malignes dans le LCR de type carcinome (matériel quantitativement insuffisant pour réaliser des examens complémentaires) • introduction de Dexaméthasone 20 mg dose de charge puis 12 mg/jour dès le 16.11.2018 et rendez-vous en radio-oncologie le 22.11.2018 pour évaluation d’une radiothérapie de l’encéphale in toto plus ou moins radiothérapie stéréotaxique de la lésion du lobe temporal gauche, traitement fait en 12 fractions Actuellement : progression clinique avec parésie au niveau des membres inférieurs. Selon IRM du 16.01.2019 : infiltration leptoméningée au niveau du rachis, plus marqué au niveau lombaire. Suivi oncologique assuré par Dr. X Carcinome mammaire en 2016, traité par tumorectomie, radiothérapie adjuvante et hormonothérapie (en cours) Opération du ménisque gauche dans sa jeunesse. Carcinome mammaire gauche, pT2 pN1a (1/34) cM0 • Date diagnostic : 2007 • Histologie : Adénocarcinome, massivement différencié, G2, radical réséqué (Pathologie Länggasse B07.11323) • Immunohistochimie, Biologie moléculaire : ER 60 %, PR 100 %, HER-2 négatif • Status post ablation mammaire gauche, tumorectomie et axillaire lymphadénectomie gauche • Status post chimiothérapie adjuvante avec Cyclophosphamid et Adriblastin de mai à août 2007 • Status post hormonothérapie adjuvante avec Tamoxifen dès 2007 • Locorégional récidive en février 2014 • Histologie : peu différencié invasif carcinome mammaire ER 80 %, PR 100 %, Taux prolifération 20 %, HER-2 négatif (Viollier HS14.4886iF) • PET-CT du 25.03.2014 : locorégional récidive sans métastase éloignée • Status post néo-adjuvante thérapie avec Taxotere en juin 2014, changement par Taxol suite à réaction cutanée de juin à juillet 2014 • Status tumorectomie mammaire gauche (histologie R1 résection, ER 90 %, PR 100 %, HER-2 négatif), septembre 2014 • Status post radiothérapie de la paroi thoracique gauche et axillaire 50 Gy, du 15.10. au 28.11.2014 • Status post hormonothérapie adjuvante avec Letrozole d'avril 2015 à juillet 2016, changé par Arimidex à cause d'intolérance, puis pause thérapeutique dès août 2016 • Essai avec traitement anti-hormonal avec Exemestan dès novembre 2016, prise intermittente • Récidive en août 2017 avec métastase apicale gauche, effusion pleurale maligne gauche (cytologie Viollier CY17.3117) • Status post Fulvestrant Palbociclib thérapie dès octobre 2017 • Status post récidivante effusion pleurale - ponction d'octobre à janvier 2018 • Status post Navelbine thérapie dès fin décembre 2017 (per os) • CT thorax, abdomen et colonne du 28.02.2018 : quasi complète rémission (post drainage de l'effusion pleurale) avec persistance de métastase de la vertèbre D6 • Status post Navelbine thérapie dès fin décembre 2017 jusque fin mars 2018 • Progression de l'effusion pleurale et pneumonie, mars 2018 • Actuel : augmentation de l'effusion pleurale gauche, ponction évacuatrice régulière, hospitalisation le 02.05.2018 en médecine interne pour drainage pleural, poursuite de la thérapie par Taxol dès le 07.05.2018• Status post thoracoscopie gauche, pleurodèse (6g) et pause de drain le 03.05.2018, retiré le 1.06.2018. Therapie avec Taxol le 06.06.2018, stoppé suite à fièvre et élévation de la CRP • Carcinome mammaire gauche QSE pT1c pN2a (8/15) M0 L1 R0, G3 • date du diagnostic : 30.01.2017 • histologie : carcinome invasif de type apocrine G3, résection radicale après recoupage (Argot Lab P2570.17) • examen immuno-histochimique et biologie moléculaire : ER 0%, PR 5%, HER-2 négatif, MIB-1 30 à 40% • status post-mammographie et échographie des seins le 30.01.2017 avec tumeur suspecte dans le quadrant supéro-externe gauche, biopsiée • status post-tumorectomie large et curage axillaire gauche le 14.02.2017 • bilan d’extension : PET-CT du 06.02.2017 sans évidence de métastase à distance • anamnèse familiale : mère avec carcinome mammaire à l’âge de 48 ans, grand-mère avec néoplasie hématologique • facteurs de risque : pas de tabagisme, pas de prise d’estrogènes • status post-chimiothérapie par 5-Fluorouracil, Farmorubicine et Endoxan du 30.03 au 11.05.2017, bonne tolérance • status post-chimiothérapie par Taxol administrée en hebdomadaire du 11.05 au 27.07.2017 • status sous radiothérapie adjuvante mammaire gauche de la région axillo-sus-claviculaire gauche avec respectivement 66 Gy et 46 Gy du 25.09 au 09.11.2017 • rechute tumorale avec multiples métastases cérébrales et cérébelleuses, février 2018 • status post-radiothérapie de l’encéphale du 23.02 au 12.03.2018, 30 Gy • CT de mai 2018 : pas d’évidence de métastase à distance • progression des multiples métastases cérébrales et cérébelleuses dont 2 avec une taille de 2.4 x 2.3 et 1.9 x 2.1 cm, août 2018 • status post-radiothérapie cérébrale du 04.09 au 17.09.2018, 20 Gy en 10 fractions de 2 Gy sur la métastase cérébelleuse gauche pariétale droite et frontale droite • IRM colonne lombaire le 05.10.2018 : images compatibles avec une méningite carcinomateuse multifocale touchant le sac dural de manière prédominante à hauteur de D10 à D12 et de L3 à S2 ainsi que les racines nerveuses. Possible atteinte leptoméningée à hauteur du cône médullaire. Lésion du corps vertébral de D11 pouvant correspondre à une métastase. • status post-radiothérapie du canal de D10 à D12 et de la vertèbre D11 et du canal de L4 à S2 avec 20 Gy en 5 fractions, octobre à novembre 2018 • baisse d'état général, diplopie et dysphagie nouvelle sur progression cérébrale selon IRM du 11.01.2019 (atteinte des nerfs crâniens) • actuellement : prise en charge symptomatique, pas d'indication à une radiothérapie selon avis radio-oncologique • oncologue traitant : Prof. X • Carcinome neuroendocrine à petites cellules (>95%) de la vessie pT2a pTis, V1 multi métastatique (ganglionnaires, péritonéales, pancréatiques, surrénale D, intra-urétérale D) • Diagnostic le 07.01.2019 • CT abdomen natif et injecté le 20.09.2018 : vessie avec parois nettement épaissies et prise de contraste de la muqueuse pouvant faire évoquer une cystite. Adénopathies rétropéritonéales inter-aortico-caves et para-aortiques, mesurées jusqu'à 14 mm et iliaques bilatérales, mesurées jusqu'à 11 mm en externe droite. Hypertrophie prostatique, à corréler au PSA du patient. Lésion hypodense mal délimitée dans la queue pancréatique de 16 x 17 mm, avec discrète infiltration de la graisse en regard, non caractérisable, à corréler à une IRM pancréatique (tumeur ? cystadénome mucineux ?). • CT abdominal natif et injecté le 05.12.2018 : épaississement de la paroi postéro-latérale gauche de la vessie d'allure tumorale. Innombrables adénopathies nécrotiques rétropéritonéales et iliaques bilatérales remontant à l'étage sus-diaphragmatique, en majoration en taille et en nombre. Implants de carcinomatose en majoration en taille et en nombre. Lésions pancréatiques en majoration en nombre et en taille suspectes de métastases. • Tumor board d'urologie le 06.12.2018 : ad TUR-V pour biopsies • Cytologie urinaire le 07.12.2018 (Promed C2018.1582) : carcinome urothélial de haut grade • TUR-V le 07.01.2019 (Dr. X) • Promed P2019.140 (1 tumeur, 2 biopsie musculaire, 3 petite tumeur) : 1-2 carcinome neuroendocrine à petites cellules (>95%) infiltrant le chorion et la tunique musculeuse de la paroi vésicale, avec composante minoritaire de carcinome urothélial papillaire focalement invasif de haut grade (<5%) ainsi que in situ; présence d'une image d'invasion veineuse tumorale (tumeur de la vessie et tunique musculeuse). 3 carcinome urothélial in situ. • CT adominal natif et injecté le 19.01.2019 : par rapport au comparatif du 05.12.2018, on constate une nette progression de taille de la tumeur vésicale primaire ainsi qu'une progression en taille et en nombre des multiples métastases pancréatiques, ganglionnaires et péritonéales. Apparition d'une métastase de la glande surrénale droite de 15 mm. Apparition d'une dilatation des voies urinaires à droite en rapport avec une prise de contraste endoluminale de l'uretère droit, dont l'aspect est compatible avec une métastase intra-urétérale. Le rein droit présente un retard de perfusion parlant pour une néphropathie d'obstruction. • Tumor board d'urologie le 24.01.2019 : ad chimiothérapie palliative • CT thoraco-abdominal injecté 28.01.2019 : apparition d'une dilatation des voies biliaires intra et extrahépatiques en amont des métastases pancréatiques connues. Par ailleurs, globale stabilité de l'atteinte tumorale primaire et métastatique à l'étage sous-diaphragmatique par rapport à l'examen réalisé le 19 janvier. Deux micronodules dans le LSD et une adénomégalie hilaire droite. • s/p 2 cures de chimiothérapie palliative par Paraplatine J1 + Etopophos J1-3 le 28.1 et 19.2 • Carcinome neuroendocrine d'origine mammaire métastatique au niveau osseux • date du diagnostic : 17.01.2019 • histologie (Promed P2019.418) - (métastases humérus droit) : carcinome neuroendocrine, fraction de prolifération modérée à 50 % • CT thoraco-abdominal du 18.01.2019 : métastases osseuses iliaque gauche et costale droite. Suspicion de néoplasie mammaire droite • Ultrason et mammographie du 21.01.2019 avec biopsie de lésion BIRADS 4 quadrant supérieur du sein droit • histologie (ArgotLab 19H912) : carcinome invasif peu différencié, ER positif à 95 %, PR positif à 90 %, Mib-1 jusqu’à 25 %, HER2 négatif, marqueur neuroendocrine en cours • scintigraphie du 31.01.2019 : mise en évidence d'une intense hypercaptation humérale droite et de plusieurs captations costales postérieures droites, évoquant plutôt une origine traumatique. Les deux lésions ostéolytiques visualisées au CT-scan ne captent pas le radiotraceur de manière pathologique. Absence d'autre lésion suspecte au niveau du squelette. • actuellement : scintigraphie osseuse, traitement antihormonal par Létrozole, protection osseuse par XGEVA et réévaluation • Suivi Dr. X • Sténose aortique serrée calcifiée, d'origine dégénérative le 11.01.2019 • planimétrie : 0.7 cm², Gradient moyen VG-Ao 49 mmHg • asymptomatique • ECG (10.01.2019) : bloc de branche droit • ETT (11.01.2019) : FEVG 65% • Coronarographie (16.01.2019) : pas de sténose coronarienne • Suivi aux 6 mois, réévaluation TAVI selon évolution clinique • Hypertension artérielle • Glaucome • Carcinome neuroendocrine d'origine mammaire métastatique au niveau osseux • date du diagnostic : 17.01.2019 • histologie (Promed P2019.418) - (métastases humérus droit) : carcinome neuroendocrine, fraction de prolifération modérée à 50 % • CT thoraco-abdominal du 18.01.2019 : métastases osseuses iliaque gauche et costale droite. Suspicion de néoplasie mammaire droite • Ultrason et mammographie du 21.01.2019 avec biopsie de lésion BIRADS 4 quadrant supérieur du sein droit • Histologie (ArgotLab 19H912) : carcinome invasif peu différencié, ER positif à 95 %, PR positif à 90 %, Mib-1 jusqu'à 25 %, HER2 négatif, marqueur neuroendocrine en cours • Scintigraphie du 31.01.2019 : mise en évidence d'une intense hypercaptation humérale droite et de plusieurs captations costales postérieures droites, évoquant plutôt une origine traumatique. Les deux lésions ostéolytiques visualisées au CT-scan ne captent pas le radiotraceur de manière pathologique. Absence d'autre lésion suspecte au niveau du squelette. • actuellement : scintigraphie osseuse, traitement antihormonal par Létrozole, protection osseuse par XGEVA et réévaluation • Suivi Dr. X Sténose aortique serrée calcifiée, d'origine dégénérative le 11.01.2019 • planimétrie : 0.7 cm2, Gradient moyen VG-Ao 49 mmHg • asymptomatique • ECG (10.01.2019) : bloc de branche droit • ETT (11.01.2019) : FEVG 65% • Coronarographie (16.01.2019) : pas de sténose coronarienne • Suivi aux 6 mois, réévaluation TAVI selon évolution clinique Hypertension artérielle Glaucome Carcinome neuroendocrine d'origine mammaire métastatique au niveau osseux : • date du diagnostic : 17.01.2019 • histologie (Promed P2019.418) - (métastases humérus droit) : carcinome neuroendocrine, fraction de prolifération modérée à 50% • CT thoraco-abdominal du 18.01.2019 : métastases osseuses iliaque gauche et costale droite. Suspicion de néoplasie mammaire droite. • Ultrason et mammographie du 21.01.2019 avec biopsie de lésion BIRADS 4 quadrant supérieur du sein droit • Histologie (ArgotLab 19H912) : carcinome invasif peu différencié, ER positif à 95 %, PR positif à 90 %, Mib-1 jusqu'à 25 %, HER2 négatif, marqueur neuroendocrine en cours • Scintigraphie du 31.01.2019 : mise en évidence d'une intense hypercaptation humérale droite et de plusieurs captations costales postérieures droites, évoquant plutôt une origine traumatique. Les deux lésions iliaques ostéolytiques visualisées au CT-scan ne captent pas le radiotraceur de manière pathologique. Absence d'autre lésion suspecte au niveau du squelette. • actuellement : traitement antihormonal par Létrozole, protection osseuse par XGEVA et réévaluation • Suivi Dr. X Carcinome non à petites cellules de type adénocarcinome du lobe moyen pT1b N0 (0/23), L0 V0 Pn0 G2 R0, stade IA • Date du diagnostic : 20.09.2018 • Status post résection du lobe moyen et lymphadénectomie médiastinale radicale droite, le 14.01.2019 • Probable NSCLC primairement médiastinal type carcinome épidermoïde cTx pN2, cM0 stade IIIA • Histologie (Promed P 2018.10609 bronchoscopie EBUS, stations 4R et 7) : carcinome épidermoïde moyennement à peu différencié d'origine pulmonaire • CT thoracique du 12.07.2018 : nodule subsolide du lobe moyen • PET-CT du 11.09.2018 : légère hypercaptation de la lésion du lobe moyen, hypercaptation ganglionnaire médiastinale station 7 • Bronchoscopie avec EBUS le 18.09.2018 • Tumorboard d'oncologie thoracique du 26.09.2018 : stade IIIA, chimiothérapie néo-adjuvante puis lobectomie et curage ganglionnaire médiastinal • Pose de Port-à-Cath et chimiothérapie néo-adjuvante par Platinol et Gemzar Carcinome non à petites cellules de type épidermoïde du lobe moyen droit cT1b pN2 cM0 soit stade IIIA • date du diagnostic : 20.09.2018 • histologie (Promed P 2018.10609 bronchoscopie EBUS, stations 4R et 7) : carcinome épidermoïde moyennement à peu différencié d'origine pulmonaire • CT thoracique du 12.07.2018 : nodule sub-solide du lobe moyen • PET-CT du 11.09.2018 : légère hypercaptation de la lésion du lobe moyen, hypercaptation ganglionnaire médiastinale station 7 • bronchoscopie avec EBUS le 18.09.2018 • tumorboard d'oncologie thoracique du 26.09.2018 : stade IIIA, chimiothérapie néo-adjuvante puis lobectomie et curage ganglionnaire médiastinal • actuellement : complément du bilan avec IRM cérébrale, pose de port-à-cath et chimiothérapie néo-adjuvante par Platinol et Gemzar. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • sténose 50-70 % de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale : PCI (1DES) : bon • sténose 70 % de l'artère coronaire droite moyenne : PCI (1DES) : bon • fraction d'éjection VG 50 %. BPCO sur tabagisme actuellement sevré (50 UPA) sous Spiriva et Seretide 250. Hypothyroïdie post-chirurgie de la thyroïde, sous Euthyrox. Dyslipidémie. Carcinome papillaire - thyroïde T2M1a avec résection et curetage ganglionnaire le 23.01.2019 (Dr. X, Hôpital Daler). Carcinome papillaire classique de la thyroïde • pT1 pN0 (0/12) R0-résection, uni-focal • thyroïdectomie droite 10.12.2008 • curage ganglionnaire compartiment central et totalisation le 18.12.2008 • hypothyroïdie substituée • paralysie récurrentielle • status post-curiethérapie Perte de vue transitoire de l'œil G le 25.02.2015 - suivi sur Genève => anévrysme artère vertébrale Carcinome papillaire de la thyroïde avec multiples métastases au niveau pulmonaire Carcinome papillaire du sein gauche le plus probable le 14.2.2019 • FR : anamnèse familiale positive (frère cancer des os, sœur cancer du foie), âge avancé, obésité, menstruation ? Carcinome pulmonaire à petites cellules • date du diagnostic : 01.02.2019 Carcinome pulmonaire à petites cellules en stade limited disease • date du diagnostic : 27.11.2018 • histologie (Promed P2018.13617) : carcinome à petites cellules dans la biopsie par EBUS du ganglion paratrachéal inférieur droit station 4R • CT thoraco-abdominal du 21.11.2018 : masse bien délimitée au sein de la loge de Barety de 27 x 35 x 40 mm, infiltration de la graisse au contact de la deuxième portion du duodénum et de la tête du pancréas (pancréatite connue) • PET-CT du 04.12.2018 : hypercaptation médiastinale correspondant à la tumeur primitive connue et au niveau de la tête du pancréas (DD : inflammatoire dans le cadre de la pancréatite connue, lésion tumorale maligne) • status post-bronchoscopie avec EBUS le 27.11.2018 • TB chirurgie thoracique du 05.12.2018 : ad biopsie par US de la lésion pancréatique (DD : inflammatoire, lésion tumorale), chimiothérapie et radiothérapie combinée en cas de limited disease. • oeso-gastro-duodénoscopie et endosonographie du 14.12.2018 : image compatible avec une pancréatite chronique sans lésion tumorale suspecte, biopsie négative • actuellement : chimiothérapie à titre curatif par Platinol et Etopophos associée à une radiothérapie concomitante, dernière cure du 26.01 au 28.01.2019, prochaine cure le 18.02.2019 • Début radiothérapie le 18.02.2019 en concomitance avec la chimiothérapie Carcinome pulmonaire anaplasique lobaire inférieur droit T1 N1 M1 (hépatique) diagnostiqué en 2015 : • status post résection segmentaire du segment apical du lobe inférieur droit et lymphadénectomie médiastinale le 02.03.2015• status post chimiothérapie palliative (Platinol-Ethopophos) en 2015 compte tenu des métastases hépatiques avec rémission complète • status post radiothérapie cérébrale • suivi CT tous les 4 mois (Dr. X) sans signes de récidive en juillet 2017 Cancer mammaire lobulaire invasif D (pT1b pNO MO G2) diagnostiqué en janvier 2005 : • ER et PR positif • status post mastectomie D en février 2015 et hormonothérapie adjuvante (Arimidex) pendant 5 ans Cancer folliculaire de la thyroïde D (pT2a pN1a Mx) diagnostiqué en 2000 : • status post thyroïdectomie (suivi Dr. X) • hypothyroïdie substituée Syndrome obstructif modéré avec réversibilité aux bronchodilatateurs et hypoxémie légère • Tabagisme actif • désaturation au repos et à l'effort à 86-88% à l'air ambiant • spirométrie (25.10.2016, Dr. X) : Tiffeneau 69%, VEMS 71% et CVF 113% • Gazométrie (29.11.2016) : pH 7.45, pO2 10.5 kPa, pCO2 4.8 kPa, HCO3 25.7, sat 96% AA, carboxyHb 2.5 • Radiographie du 23.11.2017 : opacité apicale D en progression, invisible sur le CT réalisé le 14.11.2016. • Spirométrie (06.12.2016) : Tiffeneau 44.7%, VEMS 61% et CVF 109% post-BD (réversibilité du VEMS à 14%) • DD : asthme mal compensé, asthma copd overlap syndrome, pneumonie sur bronchoaspiration Monoarthrite du poignet D sur probable chrondrocalcinose avec : • FR 12 U/l, anti-CCP négatif • US (09.16) : arthrite de grade III avec ténosynovites des fléchisseurs et extenseurs • infiltration par Triamcort 20 mg et Rapidocaïne le 06.09.2016 et 18.10.2016 Syndrome de Raynaud avec FAN 1/160. Ostéoporose. Carcinome pulmonaire anaplasique lobaire inférieur droit T1 N1 M1 (hépatique) diagnostiqué en 2015 : • status post résection segmentaire du segment apical du lobe inférieur droit et lymphadénectomie médiastinale le 02.03.2015 • status post chimiothérapie palliative (Platinol-Ethopophos) en 2015 compte tenu des métastases hépatiques avec rémission complète • status post radiothérapie cérébrale • suivi CT tous les 4 mois (Dr. X) sans signes de récidive en juillet 2017 Méningiome frontal postérieur gauche (16x14mm) de découverte fortuite le 08.11.2017 Carcinome pulmonaire composite (petites cellules, épidermoïde) du lobe supérieur gauche, classé pT2a pN1 cM0 R1 (date du diagnostic : 07/2017) • pathologie (CHUV H1713240) : carcinome à petites cellules composites (90% de cellules) associé à un carcinome épidermoïde moyennement différencié mesurant 2.5 cm de grand axe, infiltrant la plèvre, avec invasion vasculaire mais sans invasion péri-neurale, métastases ganglionnaires péri-bronchiques avec infiltration du carcinome à petites cellules avec effraction capsulaire et extension à la tranche de section vasculaire et bronchique. Stade TNM : pT2a cN1 (1/11) • Wedge apical du lobe supérieur gauche complété par culminectomie SI, SII, SIII du lobe supérieur gauche et curage ganglionnaire le 06.09.2017 • CT et IRM cérébrale / CT thoracique le 25.10.2017 : pas de métastases ou autre lésion visible • traitement aditif par chimio-radiothérapie pulmonaire terminé en décembre 2017, suivi d'une radiothérapie prophylactique de l'encéphale • 4-6 cycles : tous les 21 jours : Paraplatine J1 + Etopophos J 1, 2, 3/ Fin du traitement le 05.01.2018 • CT thoraco-abdominal le 01.10. / PET-CT 18.10.2018 : nouvel épaississement pleural gauche avec hypercaptation de 18F-FDG d'origine pas claire (DD : inflammation tardive post-radique, récidive tumorale) • biopsie du 30.10.2018 : Carcinome à petites cellules de la muqueuse respiratoire. MiB à 60% • chimiothérapie par Tecentric, Paraplatine, Etopophos débutée le 03.12.2018 • PET-CT du 14.01.2019 : persistance d'une légère captation correspondant à la récidive tumorale connue. Absence de nouvelle lésion hypermétabolique. Carcinome pulmonaire lobe inférieur droit stade IIIA, cT2 pN2 M0 • date du diagnostic : 28.09.2018 • histologie : carcinome épidermoïde moyennement à peu différencié lobe inférieur droit station 7, 11R (Promed P2018.11054) • examen de biologie moléculaire : en attente • fonction pulmonaire du 26.09.2018 : FVC 95% du prédit, DLCO 70% du prédit • PET-CT du 26.09.2018 : néoplasie bronchique et métastases ganglionnaires médiastinales et hilaires sans autre foyer à distance (taille tumorale 3.5 cm) • IRM du neurocrâne du 25.09.2018 : absence de métastase • facteur de risque : tabagisme chronique (stoppé en juin 2018, 48 UPA) • anamnèse familiale : point • status post-chimiothérapie néoadjuvante par Taxotere et Platinol dans le cadre du protocole SAKK 16/14 du 22.10 au 04.12.2018, rémission partielle • status post-immunothérapie par Durvalumab, deux perfusions le 24.12.2018 et 07.01.2019 • Thoracotomie pour bi-lobectomie avec couverture de la bronche avec patch péricardique et lymphadénectomie médiastinale radicale le 30.01.2019 avec drainage thoracique : 2 drains post-thoracotomie droit (basithoracique et apical postérieur) en Y en aspiration à 5 à 10 cmH2O dès le 30.01.2019 • Alimentation parentérale totale dès le 01.02.2019 • Reprise chirurgicale par thoracoscopie avec conversion en thoracotomie le 11.02.2019 pour clipping ligature du canal lymphatique supra-diaphragmatique et para-cardiale droit Carcinome rectosigmoïde, cT2-3, cNx, M0 • Date du diagnostic : 12.05.2014. Carcinome rénal à cellules claires du rein droit pT3a (8.5 cm) pN0 (0/1) cM0 R0 stade III • date du diagnostic : 10.04.2017 • histologie (Promed P3858.17) : carcinome rénal à cellules claires de 8.5 cm de grand axe, de grade nucléaire 2 avec image d'infiltration d'une veine à paroi épaisse (probablement dans le sinus rénal) et modifications régressives. Un ganglion lymphatique sans évidence de tissu carcinomateux (0/1) • scintigraphie osseuse du 24.03.2017 : absence de métastase • status post-néphrectomie radicale droite + curage ganglionnaire le 03.04.2017 (Dr. X) • actuellement : en rémission, surveillance. Carcinome testiculaire non séminomateux gauche en stade III, poor risk • date du diagnostic : 04.04.2007 • histologie (Unilabs Bern H2007.4517-4522) : chorio-carcinome du testicule positif pour les marqueurs Bêta-HCG, pancytokératine, légèrement positif pour AFP, marqueur de prolifération de MBI nettement élevé • status post-hémicastration le 05.04.2007 avec élément d'une masse tumorale de 9 cm • marqueurs tumoraux initiaux Bêta-HCG 270.052 U/l, AFP dans la norme, LDH 1'757 U/l • IRM cérébrale du 10.04.2007 : métastase au niveau du lobe cérébelleux gauche de la région occipitale gauche et de la région occipitale droite. Lésion métastatique centrée sur la rétine du lobe oculaire gauche. Métastases osseuses au niveau des anses (scintigraphie osseuse et IRM) • CT thoraco-abdomino-pelvien du 20.06.2007 : métastases pulmonaires multiples, métastase hépatique et métastase au niveau du rein gauche • status post-4 cures d'une chimiothérapie par Platinol, Etopophos et Bléomycine du 06.04. au 20.06.2007 • marqueurs tumoraux du 25.07.2007 : Bêta-HCG > 8,6 mg/l, AFP et LDH dans la norme • bilan radiologique post-chimiothérapie : métastases pulmonaires résiduelles. Rémission complète de la métastase hépatique et rémission partielle de la métastase au niveau du rein gauche. Très bonne rémission partielle au niveau cérébral avec une lésion résiduelle au niveau occipital droit, rémission presque complète de la lésion au niveau de la rétine gauche • status post-irradiation de l'encéphale (30,80 Gy), de la colonne dorsale D9 à D12 (30 Gy) du 16.08 au 04.09.2007 • actuellement : rémission partielle avec lésion résiduelle au niveau pulmonaire, osseux et rénal, marqueurs tumoraux (ß-HCG) normalisés, proposition pour la suite des contrôles Carcinome thyroïdien à cellules de Hürthle pT2 Nx Mx. Carcinome thyroïdien nodulaire multifocal bilatéral pT3 Nx Mx avec : • thyroïdectomie totale et curage ganglionnaire bilatéral le 12.07.2005 • status post-1ère curiethérapie métabolique à l'iode 131 le 05.09.2005 • 2ème curiethérapie métabolique à l'iode 131 le 13.02.2006. Cure de hernie inguinale droite incarcérée en 2012 selon Lichtenstein. Carcinome triple négatif à croissance rapide du sein gauche • dépistage BRCA1/2 en 20.07.2015 aux HUG en raison d'une anamnèse familiale positive (décès maternel à 40 ans d'un cancer du sein apparu à l'âge de 30 ans) • US mammaire et ganglionnaire du 13.11.2018 : • biopsie mammaire gauche le 08.11.2018 DAP : carcinome invasif G3 triple négatif, M1B1 80 % avec adénopathie suspecte à l'US et au PET-CT • PET-CT du 13.11.2019 : Néoplasie mammaire mesurant 3,7 x 2,2 cm atteignant en profondeur le muscle pectoral sans probablement l'infiltrer avec métastases axillaires et rétro-pectorales ganglionnaires gauches. Ganglions agrandis au niveau axillaire droit ainsi qu'au niveau inguinal ddc, possiblement réactifs. • mise en place d'un PAC (en position pectorale droite le 16.11.2018 par Dr. X • chimiothérapie néo-adjuvante par 3-FEC 100 puis Taxotere 100 dose dense (3 cycles). Carcinome urothélial de haut grade diagnostiqué le 23.05.2017 • status post-RTUV pour tumeur pTa de l'épididyme en avril 2012 • status post-RTUV pour pTis en juin 2013, suivie de 6 installations de BCG • état post-RTUV biopsique négative en 2014 • IRM du 11.01.2017 : anomalie postérieure droite et gauche dans la région moyenne PIRADS 4, anomalie transitionnelle droite et gauche PIRADS 4, pas d'atteinte extra-capsulaire, pas d'atteinte des vésicules séminales. Adénopathies rétro-péritonéales + iliaques ddc. Pas d'atteinte osseuse. • PET-CT du 08.05.2017 : hypercaptation ganglionnaire iliaque droite. Pas d'hypercaptation mise en évidence sur les adénopathies rétro-péritonéales et iliaques gauches connues. • histologie (Promed P5701.17) : métastases ganglionnaires d'un carcinome peu différencié compatibles avec des métastases d'un carcinome urothélial invasif de haut grade dans 3 des 4 ganglions lymphatiques identifiés dans la localisation ilio-obturateur droit et dans 2 des 4 ganglions localisés en ilio-obturateur gauche. Vessie avec légère inflammation chronique focale mais pas de néoplasie retrouvée • status post-4 cures de chimiothérapie par Platinol et Gemzar du 14.06 au 31.08.2017 avec très bonne tolérance et rémission partielle • progression tumorale sous forme d'adénopathies rétropéritonéales et médiastinales au CT du 15.05.2018 • status post 6 cycles de chimiothérapie par Platinol et Gemzar, du 05.06 au 24.09.2018 (Carboplatine à la place du Cisplatine à partir du 4ème cycle, 6ème cycle sans Gemzar au vu d'une thrombopénie grade IV) • scanner du 08.10.2018 : réponse dissociée des adénopathies médiastinales, diminution des adénopathies rétro-péritonéales et stabilité de l'épaississement de la paroi vésicale sans lésion visible • progression tumorale (selon scanner du 10.01.2019) au niveau des adénopathies médiastinales, hilaires, rétro-péritonéales • immunothérapie par Keytruda (pembrolizumab) comme 2ème ligne de traitement palliatif (1ère administration le 30.01.2019, cycles de 21 jours) Carcinome urothélial de la vessie classé pT1 G3 • date du diagnostic : 01.2017 • 2 résections transurétérales de la vessie janvier et mars 2017 • actuellement : pas de signe de récidive, suivi par Dr. X Cancer de la prostate Gleason 7 • diagnostic en 01.2014 • RT 74Gy 02-03.2014 Cirrhose CHILD I (13.02.2015) Hépatocarcinome des segments IV et VII • diagnostiqué le 28.01.2015, suivi par Dr. X • résection hépatique droite postérieure et ablation aux micro-ondes de la lésion du segment IV le 11.03.2015 (stade post-opératoire T2NXL0) • récidive tumorale locale et carcinose péritonéale en mars 2018 • traitement palliatif par Nexavar (Sorafénib) du 25.06.2018 au 24.10.2018 stoppé pour progression tumorale et éruption cutanée • depuis le 16.12.2018 traitement palliatif par Stivarga 80 mg/j majoré à 120 mg dès le 31.12.2018 CT du 21.12.2018 : • légère augmentation en taille de la lésion nodulaire dans le segment II hépatique. • implants tumoraux dans la graisse cardio-phrénique, la région cœliaque, péri-gastrique et péri-splénique sans changement significatif en taille. Pas de nouveaux implants tumoraux visualisables. Attitude : • Bonne tolérance clinique et biologique au traitement de Stivarga, motivant l'annulation du rendez-vous oncologique de suivi prévu initialement le 28.12.2018 • Rendez-vous de suivi à la consultation de Dr. X le 04.01.2019 à 10h30 pour discuter des résultats du CT et de la suite du traitement oncologique Carcinome urothélial de la vessie pT1 G2 et G3 en 2014 avec status post deux RTUV, suivi par Dr. X Athérosclérose sévère avec hyperlipidémie Diabète de type 2, traité par de la diététique uniquement Tabagisme actif à plus de 40 unités paquets par an Éthylisme chronique Paralysie de l'hémi-larynx gauche sur probable lésion du nerf laryngé récurrent gauche per-opératoire le 03.10.2018 Carcinome urothélial métastatique avec adénopathies diffuses le 27.01.2019 • Prise de sang avec TSH prévue le vendredi 09.02.2019, dans le service d'oncologie ambulatoire DD Lymphome non Hodgkinien Carcinome urothélial non invasif de bas grade (GG1) pTa : • diagnostiqué le 12.11.2018 par excision RTUV (Dr. X) • pathologie (Promed P2018.12919) : carcinome urothélial papillaire non invasif de bas grade • CT scan du 28.09.2018 : mise en évidence d'une lésion polypoïde dans le mur postérieur gauche de la vessie • CT scan du 09.01.2019 : absence de lésion récidivante dans le mur postérieur gauche de la vessie (status post-résection) Carcinome urothélial papillaire de haut grade (G3), pT1 et pTis. Carcinome urothélial papillaire non invasif de haut grade (G2), pTa.Carcinome urothélial pT3a pN1, G3 • date du diagnostic : mai 2005 • histologie : carcinome de l'épithélium de transition, peu différencié, infiltrant les couches musculaires de la vessie pT2, G3 (Frimorfo H2005.51972) • status post-3 RTU de la vessie accompagnées chaque fois de récidive • récidive diagnostiquée en novembre 2005 • status cysto-post-prostato-cystectomie totale avec curage ganglionnaire obturateur bilatéral et confection d'une vessie iléale le 02.11.2005 • histologie : carcinome urothélial de la vessie pT3a pN1 (1/11) G3, marges de résection postérieure pas libres de tumeur • status post-4 cures de chimiothérapie adjuvante par Platinol et Gemzar du 30.01. au 24.04.2006 (rémission complète) • actuellement : pas d'évidence d'une récidive tumorale • suivi oncologique par Dr. X, suivi urologique par Dr. X Facteurs de risque cardiovasculaire • Hypertension artérielle • Hypercholestérolémie Carcinome utérin traité par cryothérapie puis chirurgie il y a env. 20 ans Appendicectomie Zona Etat anxio-dépressif Carcinome vésical (>95% neuroendocrine à petites cellules, <5% urothélial papillaire de haut grade), avec métastases (ganglionnaires, péritonéales, pancréatiques, surrénale D, intra-urétérale D) • primodiagnostic le 10.01.2019 • CT abdomen natif et injecté le 20.09.2018 : Vessie avec parois nettement épaissies et prise de contraste de la muqueuse pouvant faire évoquer une cystite. Adénopathies rétropéritonéales inter-aortico-caves et para-aortiques, mesurées jusqu'à 14 mm et iliaques bilatérales, mesurées jusqu'à 11 mm en externe droite. Hypertrophie prostatique, à corréler au PSA du patient. Lésion hypodense mal délimitée dans la queue pancréatique de 16 x 17 mm, avec discrète infiltration de la graisse en regard, non caractérisable, à corréler à une IRM pancréatique (tumeur ? cystadénome mucineux ?). • CT abdominal natif et injecté le 05.12.2018 : Épaississement de la paroi postéro-latérale gauche de la vessie d'allure tumorale. Innombrables adénopathies nécrotiques rétropéritonéales et iliaques bilatérales remontant à l'étage sus-diaphragmatique, en majoration en taille et en nombre. Implants de carcinomatose en majoration en taille et en nombre. Lésions pancréatiques en majoration en nombre et en taille suspectes de métastases. • présentation au tumor board d'urologie le 06.12.2018 : ad TUR-V pour biopsies • cytologie urinaire le 07.12.2018 (Promed C2018.1582) : carcinome urothélial de haut grade • TUR-V le 07.01.2019 (Dr. X, Dr. X) • Promed P2019.140 (1 tumeur, 2 biopsies musculaires, 3 petite tumeur) : 1-2 Carcinome neuroendocrine à petites cellules (>95%) infiltrant le chorion et la tunique musculeuse de la paroi vésicale, avec composante minoritaire de carcinome urothélial papillaire focalement invasif de haut grade (<5%) ainsi que in situ ; présence d'une image d'invasion veineuse tumorale (tumeur de la vessie et tunique musculeuse). 3 Carcinome urothélial in situ. • CT abdominal natif et injecté le 19.01.2019 : Par rapport au comparatif du 05.12.2018, on constate une nette progression de taille de la tumeur vésicale primaire ainsi qu'une progression en taille et en nombre des multiples métastases pancréatiques, ganglionnaires et péritonéales. Apparition d'une métastase de la glande surrénale droite de 15 mm. Apparition d'une dilatation des voies urinaires à droite en rapport avec une prise de contraste endoluminale de l'uretère droit, dont l'aspect est compatible avec une métastase intra-urétérale. Le rein droit présente un retard de perfusion parlant pour une néphropathie d'obstruction. • présentation au tumor board d'urologie le 24.01.2019 : ad chimiothérapie palliative Cardiomégalie Cardiomyopathie de stress (Takotsubo) avec obstruction dynamique le 12.01.2019 • Coronarographie le 12.01.2019 : Sclérose coronarienne non significative, ballonisation apicale, FEVG 35%, HTAP post-capillaire • ETT le 14.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une akinésie de la paroi apicale, du septum moyen, de la paroi latérale moyenne, de la paroi septale antérieure moyenne et de la paroi postérieure moyenne. FEVG à 35 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Hypertension pulmonaire avec PAPs estimée à 49 mmHg. • sous Eliquis 2x 5 mg depuis le 14.01.2019 • Lisinopril et Carvedilol 2x 12.5mg à introduire selon avis cardiologique Cardiomyopathie dilatée d'étiologie indéterminée • Bilan négatif : TSH, Sérologie Lyme, VIH, Ferritine • FEVG 20% Cardiomyopathie dilatée d'origine indéterminée (toxique sur alcool ?) : • actuellement : FEVG à 20% • score de Genève à 3 • D-Dimères à 756 ng/ml. Cardiomyopathie dilatée d'origine primaire probable avec : • Pacemaker-Défibrillateur le 29.03.2018 • Dysfonction ventriculaire gauche sévère avec fraction d'éjection estimée à 25% • Insuffisance mitrale modérée • Artère coronaire droite le 24.02.2012 Suspicion de pathologie pulmonaire type sarcoïdose le 29.03.2018 • maladie déjà connue et multi-investiguée Masse du rein droit suspecte de néoplasie • date du diagnostic : juin 2018 • histologie : aucune • PET-CT du 14.06.2018 : masse du rein droit de 33 x 32 x 64 mm, hypercaptante • TB urologie du 21.06.2018 : pas de néphrectomie au vu de l'insuffisance cardiaque, discuter radiofréquence +/- biopsie • biopsie rein droit en janvier 2019 : histologie ne montrant pas de cellules malignes. Doute si le bon endroit a été ponctionné. Multiples nodules pulmonaires sur les deux plages pulmonaires d'origine indéterminée, DD : sarcoïdose, néoplasie • date du diagnostic : juin 2018 • histologie : aucune • CT thoracique du 05.06.2018 : multiples adénopathies médiastinales, hilaires, calcifiées, multiples nodules sur les deux plages pulmonaires • fonctions pulmonaires complètes du 30.05.2018 : absence de trouble ventilatoire obstructif et restrictif, DLCO dans la norme • PET-CT du 14.06.2018 : captation modérée d'un nodule pulmonaire, segment apical lobe inférieur droit, absence d'autre lésion hypermétabolique • refus du patient d'investigations plus poussées par bronchoscopie/EBUS • TB chirurgie thoracique du 20.06.2018 : pas de ponction transthoracique (risque de pneumothorax), si pas de bronchoscopie, surveillance • actuellement : pas de bronchoscopie selon le souhait du patient Thrombose veine rénale droite dans le contexte tumoral le 25.01.2019 Anticoagulation par héparine dès le 26.01.2019 Relais par clexane dès le 04.02.19 Cardiomyopathie dilatée d'origine toxique OH chronique Tabagisme actif (100 UPA au moins) Cardiomyopathie dilatée idiopathique sur coronaires saines avec une FEVG à 20%. TV soutenue choquée par défibrillateur (21.05.2018). Pose de défibrillateur de resynchronisation type Medtronic Viva XT CRT 2012 Facteurs de risque cardiovasculaire : HTA, Hypercholestérolémie, anamnèse familiale positive (frère avec un pacemaker), tabac 50 UPA (arrêt il y a 30 ans) Coronarographie le 07.01.2019 : artères coronaires athéromateuses sans lésion significative. PET-CT du 07.01.2019 : absence d'argument pour une atteinte inflammatoire cardiaque. Cœur : absence de captation myocardique dans un cœur globalement augmenté de taille. Corps entier : pas de lésion hypermétabolique pathologique. Etude électrophysiologique avec thermo-ablation du 08.01.2019 : ablation du substrat endocardique péri-mitral surtout inférieur et postérieur. Echocardiographie trans-thoracique du 09.01.2019 : ventricule gauche fortement dilaté, pas de masse augmentée, FEVG 20% sur hypokinésie globale prédominant aux segments basaux. Pression de remplissage élevée. Dysfonction diastolique degré II. Oreillette gauche dilatée (39 cc/m2). Pas de valvulopathie significative. Ventricule droit légèrement dilaté de fonction globale conservée. Veine cave inférieure non dilatée. PAPs 38mmHg. Pas d'épanchement péricardique. Hypertension artérielle traitée. Artériopathie oblitérante du membre inférieur droit stade 2 stentée en 2016. Insuffisance rénale chronique stade 3A. Hypothyroïdie sous Eltroxin-LF 0.1 ug. Ancien tabagisme à 40 UPA sevré il y a 30 ans. Cardiomyopathie dilatée modérée d'origine indéterminée avec : • FEVG à 20 % (coronarographie 03.07.2018). • Plusieurs épisodes d'insuffisance cardiaque en 2012-14. • Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). • Fuite au niveau de la fistule entre l'anévrisme du sinus de Valsalva et l'oreillette droite. Fibrillation auriculaire anticoagulée. Syndrome métabolique : • Hypertension artérielle. • Diabète de type 2 insulino-requérant. • Dyslipidémie traitée. • Obésité. Syndrome pulmonaire restrictif sévère avec probable composante obstructive associée : • Dernier contrôle en août 2017 (Dr. X) : VEMS à 37% du prédit et CVF à 41% du prédit. • Pas de bénéfice avec les bronchodilatateurs. SAOS léger diagnostiqué en 2014. Coxarthrose droite. Kyste compliqué de grade II au niveau du pôle supérieur du rein droit. Cardiomyopathie dilatée modérée d'origine indéterminée avec : • FEVG à 30 % (ETT 30.08.2018). • Plusieurs épisodes d'insuffisance cardiaque en 2012-14. • Dilatation importante du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. Aorte modérément dilatée. Fonction systolique du ventricule droit très altérée. Dilatation importante de l'oreillette droite avec une dilatation modérée du ventricule droit. • Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). • Fuite au niveau de la fistule entre l'anévrisme du sinus de Valsalva et l'oreillette droite. • Fibrillation auriculaire anticoagulée. Syndrome métabolique : • Hypertension artérielle. • Diabète de type 2 insulino-requérant. • Dyslipidémie traitée. • Obésité. • SAOS léger diagnostiqué en 2014. Syndrome pulmonaire restrictif sévère avec probable composante obstructive associée : • HTAP sévère sur pneumopathie restrictive et obstructive (BPCO). • Dernier contrôle en août 2017 (Dr. X) : VEMS à 37% du prédit et CVF à 41% du prédit. • Pas de bénéfice avec les bronchodilatateurs. • Oxygénothérapie à domicile. • Appareillage par CPAP à domicile, mais utilisation le soir car intolérance au masque. Coxarthrose droite. Kyste compliqué de grade II au niveau du pôle supérieur du rein droit. Hypothyroïdie subclinique en juillet 2018. Cardiomyopathie dilatée sur tachycardiomyopathie probable avec : • FEVG 20%. • Sclérose coronarienne sans sténose significative. > coronarographie du 08.02.2019. > CHA2DS2-VASC : 6 points. > HASBLED : 4 points. Cardiomyopathie hypertensive, valvulaire et rythmique : • Rétrécissement aortique modéré calcifié, d'origine dégénérative. • Facteurs de risques cardiovasculaires : hypertension artérielle, diabète mellitus de type 2. • Fraction d'éjection ventriculaire gauche à 75%. • Fibrillation auriculaire paroxystique le 13.08.2017 anticoagulée par Eliquis. Insuffisance rénale chronique stade IV. • Diagnostics différentiels : néphropathie diabétique, néphropathie hypertensive. • GFR CKD-EPI à 28ml/min/1.73m2 (le 26.09.2016), 31 ml/min (le 25.01.2019). Syndrome métabolique avec : • Diabète mellitus de type 2 insulino-requérant. • Obésité de stade II avec indice de masse corporelle à 36kg/m2. • Hypertension artérielle primaire. • Dyslipidémie. Insuffisance rénale chronique stade IV. • Diagnostics différentiels : néphropathie diabétique, néphropathie hypertensive. • eGFR à 28ml/min/1.73m2 (CKD-EPI) le 26.09.2016. Anémie normocytaire hyporégénérative hypochrome. • Diagnostics différentiels : insuffisance rénale chronique, inflammatoire. • Ferriprive en juin 2016 avec traitement de Ferinject. • Actuellement : Darbopoïetine 1x/semaine. Difficultés importantes à la mobilisation dans le contexte de douleurs chroniques multifactorielles avec : • Radiculopathie L4-L5 chronique avec ischialgie du membre inférieur droit. • Douleurs du membre supérieur gauche. • Accident vasculaire cérébral ischémique lacunaire capsulo-thalamique gauche le 25.02.2016. Dénutrition protéinique dans un contexte de dysphagie : • Nutrition nasogastrique du 09.03.2017 au 17.04.2016. Ostéoporose avec fracture pathologique pertrochantérienne du fémur gauche avec ostéosynthèse (22.11.2012). Allodynie et hypersensibilité des territoires T3, T4 traitées par Lyrica. Hypoacousie gauche avec prothèse auditive. Multiples granulomes hépatiques calcifiés (CT 04.06.2016). • Diagnostics différentiels : transfusion sanguine, thérapie d'Amiodarone, hémochromatose. Incontinence urinaire d'étiologie mixte avec prédominance d'incontinence de stress. Anémie ferriprive. Syndrome d'obésité-hypoventilation avec : • Syndrome modéré des apnées nocturnes du sommeil. Début d'Alzheimer de par l'anamnèse médicamenteuse. • Sous Reminyl. Cardiomyopathie hypertrophique (DD : hypertensive, idiopathique) : • FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique d'origine hypertensive et valvulaire avec : • Sténose aortique à 1.7cm2 en 2013 avec souffle mésosystolique connu. AVC ischémique multi-focal du territoire sylvien gauche sur sténose carotidienne gauche symptomatique (angio-CT cérébral au CHUV le 20.03.2017) avec céphalées chroniques et crises d'épilepsie : • NIHSS 1 à l'admission SIC (légère parésie persistante du MSD). • Séquelles cérébelleuses anciennes. • Epilepsie à départ focal secondairement généralisée le 20.03.2017 mise sous Gabapentine 300mg 2x/j. • Héminégligence droite avec hémisyndrome brachio-crural droit post-opératoire d'une TEA A. carotidienne gauche le 23.03.2017 d'origine probablement hémodynamique. • Bilan neuropsychologique en mars 2017. • Récidive de crise épileptique focale avec phénomène de Todd le 31.07.2017 avec absence de nouvelle lésion au CT cérébral, traitement de Gabapentine modifié par Keppra 250-0-500mg. • Récidive le 02.08.2017 avec : crise d'épilepsie focale avec phénomène de Todd le 02.08.2017.• Angio-CT cérébral : pas d'hémorragie ; multiples séquelles ischémiques cérébelleuses bilatérales et une occipitale droite ; pas de nouvelle lésion ou de masse visualisées • Récidive le 24.06.2018 avec : crise d'épilepsie avec phénomène de Todd • CT cérébral le 24.06.2018 (CHUV) : pas de saignement, séquelle d'AVC sylvien gauche • Avis neurologique (Dr. X) • Majoration du Keppra à 2 x 500mg du 24.06.2018 au 25.06.2018 puis switch pour Depakine 1000mg intraveineux dose de charge le 25.06.2018 puis 2 x 500mg par voie orale en entretien dès le 26.06.2018 • Electroencéphalographie le 27.06.2018 à 48h du début de traitement par Depakine : sans particularité Syndrome métabolique : • Hypertension artérielle traitée • Hypercholestérolémie traitée • Obésité de stade I selon les critères de l'OMS (30.9 kg/m2) en février 2017 • Diabète de type 2 non traité Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs Prolapsus utérin total grade III le 04.04.2017 : • Dernier contrôle en mai 2017 avec échec de pose d'un pessaire puis contrôles annuels proposés • Sonde urinaire à demeure Hypoacousie Trouble de l'adaptation de type anxio-dépressif dans le contexte de l'accident vasculaire cérébral et perte d'autonomie Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec risque de chute dans un contexte de : • Phénomène de Todd chez une patiente connue pour un accident vasculaire cérébral occipital droit ancien séquellaire le 15.09.2018 • AVC ischémique multi-focal du territoire sylvien gauche sur sténose carotidienne gauche symptomatique en 2017 • Troubles cognitifs modérés après accident vasculaire cérébral sur probable démence d'origine mixte dégénérative et vasculaire • Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs • Déficit vitaminique • Anémie chronique • Hypotension orthostatique Cardiomyopathie hypertrophique non obstructive, connue depuis 1998 • avec dysfonction diastolique de grade 2 le 30.04.2018 Hypertension artérielle Ostéoporose Diabète insulino-requérant Cardiomyopathie ischémique et valvulaire : • maladie valvulaire aortique à sténose sévère prédominante avec insuffisance aortique de degré II. • status après remplacement de la valve aortique par une valve biologique de type Carpentier Edward Perimount en février 2005 (CHUV). • hypertrophie du VG avec FE 73%, coronaires saines (coronarographie en août 2012, Prof. X). Obésité. Hypertension artérielle traitée. Lymphome cutané B de bas grade stable (status post-biopsie du coude droit en 2005). État anxio-dépressif non objectivable lors de l'hospitalisation en octobre 2011, traité. Diverticulose sigmoïdienne sévère (colonoscopie en 2005). Gonalgies droite sur troubles dégénératifs. Fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire normocarde, non datée. Cardiomyopathie ischémique terminale sur maladie coronarienne tritronculaire. Coronarographie le 19.08.2014 : • IVA : occlusion proximale et moyenne, PTCA (2 stents) le 19.08.2014. • Cx : sténoses significatives moyenne, PTCA (2 stents) le 21.08.2014. • Tronc commun distal, PTCA (1 stent) le 21.08.2014. • CD : atrésie proximale. Insuffisance cardiaque systole-diastolique terminale : • Choc cardiogène et œdème aigu du poumon sur STEMI et bref ACR le 19.08.2014. • Récidive d'œdème aigu du poumon le 21.08.2014. • Épanchements pleuraux récidivants. • FEVG 35%, insuffisance mitrale (2/4), dysfonction diastolique grade 3 (écho du 04.09.2014). • Anévrisme de la paroi apicale, akinésie antéro-latéro-septale, hypokinésie des autres segments. • Ballon de contrepulsion 19.08.2014 au 22.08.2014. • IOT (Cormack 1) et ventilation mécanique 19.08.2014 au 20.08.2014. • VNI du 21.08 au 22.08.2014. • ETT Nov 2014 Inselspital : dysfonction biventriculaire, sans valvulopathie FEVG 20% • Implantation d'un LVAD (Heartware) le 04.11.2014 à l'Inselspital • Décompensation cardiaque en Décembre 2014, NYHA IV (ponction pleurale le 10.12.2014) • Status post douleur thoracique d'origine probable irritation pleuro-précordiale due à LVAD Nov/Dec 2014 • Anticoagulation par Marcoumar Fibrillation auriculaire permanente Apnée centrale du sommeil avec respiration de Cheyne-Stokes sur insuffisance cardiaque terminale : • Polygraphie 2014 (Inselspital) • Oxygénothérapie nocturne 1l depuis octobre 2018 Épilepsie tardive, sur lésion séquellaire frontale droite suite à un AVC hémorragique et ischémique (mars 2015) Pré-diabète Asthme non traité Hypothyroïdie substituée Insuffisance rénale chronique KDIGO-CKD Stade G3b le 03.03.2016 Cardiomyopathie rythmique Fibrillation auriculaire chronique depuis 11/2016, sous Xarelto FEVG à 60%, IM modérée, dilatation sévère OG HTAP à 45 mmHg le 21.11.2018, suivi par le Dr. X Insuffisance rénale. Cardiopathie congénitale anamnestique. Cardiopathie congénitale anamnestique. Cardiopathie congénitale avec anomalie d'Ebstein : • fermeture d'une communication inter-auriculaire, réduction de l'oreillette gauche et plastie tricuspidienne, en 2007 • remplacement de la valve mitrale (valve mécanique type ATS compatible avec IRM), en 2007, pour insuffisance mitrale • hypertension artérielle pulmonaire sévère • BBD, hémibloc antérieur gauche • fibrillation auriculaire chronique • introduction de Sildenafil le 13.03.2017 • US cardiaque le 06.06.2017 : VG non dilaté, non hypertrophié. FEVG à 70 %. Prothèse mécanique (St JUDE médical). Dilatation importante de l'oreillette droite avec une discrète dilatation du ventricule droit. HTAP modérée (PAPs à 61 mmHg). Insuffisance tricuspide moyenne (grade 3/4) Actuellement : ascite récidivante dans un contexte de cirrhose secondaire à une insuffisance cardiaque droite Ponction d'ascite évacuatrice le 17.01.2018 : 4.750 litres Surveillance post-drainage durant une nuit en raison de vertiges et malaise lors des précédentes ponctions ambulatoires Contrôle clinique chez médecin traitant prévu le 24.01.2019 Douleur nociceptive en fosse iliaque gauche, en regard des anciens points de ponction, probablement péritonéale Poursuite antalgie par Oxynorm Cardiopathie congénitale avec anomalie d'Ebstein : • fermeture d'une communication inter-auriculaire, réduction de l'oreillette gauche et plastie tricuspidienne, en 2007 • remplacement de la valve mitrale (valve mécanique type ATS compatible avec IRM), en 2007, pour insuffisance mitrale • hypertension artérielle pulmonaire sévère • BBD, hémibloc antérieur gauche • fibrillation auriculaire chronique • introduction de Sildenafil le 13.03.2017 • US cardiaque le 06.06.2017 : VG non dilaté, non hypertrophié. FEVG à 70 %. Prothèse mécanique (St JUDE médical). Dilatation importante de l'oreillette droite avec une discrète dilatation du ventricule droit. HTAP modérée (PAPs à 61 mmHg). Insuffisance tricuspide moyenne (grade 3/4) Cirrhose hépatique de stade Child-Pugh A sur cardiopathie congénitale d'Ebstein Actuellement : ascite récidivante dans un contexte de cirrhose secondaire à une insuffisance cardiaque droite. Ponctions d'ascite itératives à la VSF, dernière en janvier 2019 Hyperplasie réactive du mésopéritoine diagnostiquée en septembre 2014 • cytologie PROMED C5386.14 : hyperplasie réactive mésothéliale péritonéale probablement suite à ascite répétitive • PET CT 03.09.2014 : hypercaptation péritonéale gauche • CT thoraco-abdominal (31.08.2014) : infiltrats dans le mésentère, importante dilatation auriculaire • IRM pelvis 04.04.2014 : ascite, pas de masse au niveau uro-génital • conclusion tumor board gynécologie du 16.09.2014 : approche conservatrice • CA-125 normal en 07/2016 Ostéoporose Cardiopathie congénitale avec CIA type Ostium secundum avec dilatation sévère des cavités D et shunt gauche/droite, thoracotomie D et fermeture de la CIA, CHUV en septembre 2014 Accouchement par césarienne élective à 38 2/7 semaines • Anémie ferriprive post-partale asymptomatique à 100 g/l • Fracture de la clavicule droite traitée conservativement • Douleur pariétale d'origine musculo-squelettique Rx thorax : pas de pneumothorax, pas de lésion osseuse, cœur de taille normale, pas de signes de surcharge, pas d'épanchements. Intoxication volontaire au paracétamol 8 g le 01/01/18 Cardiopathie congénitale avec : • hypoplasie de vaisseaux pulmonaires droits et s/p dilatation d'une sténose pulmonaire gauche périphérique en 2010 • dextroposition cardiaque avec AMIG diaphragmatique droite • tachycardie supraventriculaire récidivante d'étiologie indéterminée • hypertension pulmonaire Hypoplasie pulmonaire droite sur hernie diaphragmatique droite congénitale et opérée à la naissance. Cardiopathie coronarienne monotronculaire : 20.12.2018 : STEMI (Macédoine) sur occlusion de l'IVA • Laboratoire (Macédoine) : pic CK > 1000 & CK-Mb > 4000 • 20.12.2018 : coronarographie : occlusion artère coronaire G avec dissection spiralée, 4 stents • 3 épisodes de fibrillation ventriculaire per-procédure • 20.12 - 25.12.2018 : soins intensifs : besoin en analeptiques cardiaques iv (Dopamine, Adrénaline) - ETT (Macédoine) : FEVG à 35% Cardiopathie dilatée avec : • dysfonction VG systolique sévère, EF 25% • insuffisance mitrale modérément sévère à sévère, FR > 50% • hypertension artérielle secondaire • sclérose coronarienne non significative Artériopathie des membres inférieurs avec : • recanalisation d'une subocclusion de l'artère fémorale commune droite par athérectomie endovasculaire (HawkOne) et angioplastie au ballon actif le 19.06.2018 Cardiopathie dilatée d'origine indéterminée avec FEVG 28% • avec décompensation cardiaque globale le 24.01.2019 DD : alcoolique, ischémique Cardiopathie dilatée d'origine indéterminée (Dx 11.09.2019) • DD hypertensive • ECG : BBG, BAV 1er degré • ETT 11.09.2018 : FEVG 30% • Coronarographie 14.09.2018 (Pr. Cook) : sclérose coronarienne minime, non significative. • IRM cardiaque 18.10.2018 : hypokinésie diffuse, pas d'élément en faveur d'une sarcoïdose cardiaque ou d'une autre maladie infiltrative ou inflammatoire, pas de réhaussement. IA légère, aorte ascendante 38 mm • ETT 29.01.2019 : FEVG 30%, trouble de relaxation de grade I. Insuffisance aortique légère. Régurgitation mitrale légère. Dimensions et fonction du VD normales. Absence d'HTP. Aorte ascendante dilatée (4 cm, 1.66 cm/m2) Cardiopathie dilatée ischémique et valvulaire • pontage aorto-coronarien triple (Vx-IVP et MG II, AMIG - IVA) et remplacement de la valve aortique biologique en CEC le 16.05.2017 (Clinique Cecil) pour sténose aortique serrée et maladie tri-tronculaire • pose d'un stimulateur cardiaque double chambre DDD le 22.05.2017 pour une FA lente et silence sinusal en post-opératoire • révision du site chirurgical et refixation du sternum selon Robicsek pour une fracture et une déhiscence de l'hémi-sternum gauche le 06.06.2017. Hyperplasie prostatique bénigne stade I à II. Psoriasis. Insuffisance artérielle des membres inférieurs stade II A sur maladie pluri-étagée aorto-iliaque et fémorale superficielle bilatérale avec fatigabilité dans les jambes. Hyperuricémie d'origine mixte. Canal lombaire étroit et status après fracture D7-D8, ostéoporose avec tassements. Sténose carotidienne bilatérale. Cardiopathie dilatée sur ischémie et cardiopathie rythmique avec : • Echocardiographie du 16.07.2015 : ventricule gauche sévèrement dilaté, aorte discrètement dilatée avec un diamètre de 4 cm au niveau du sinus, sclérose aortique, sclérose mitrale et insuffisance mitrale de grade I-II/IV, HTAP avec PAPs à 45-50 mmHg, dilatation modérée des cavités droites, FEVG à 25-30%. STEMI inférieur sur occlusion de l'artère coronaire droite distale-IVP le 12.11.2012. • IVP traitée par la mise en place d'un stent actif au niveau de la CD moyenne (lésion à 50-70 %) et échec de revascularisation de l'IVP. • Lésion à < 30 % de l'IVA proximale. • Lésion à < 30 % de la Cx proximale. • FA permanente à réponse ventriculaire rapide. Status post décompensation cardiaque sur mauvais contrôle de la fréquence cardiaque après arrêt de la Digoxine. Polymyalgie rhumatrique traitée par Prednisone. Cardiopathie d'origine ischémique, rythmique et valvulaire • lésion tritronculaire • sténose aortique serrée Insuffisance rénale chronique stade G5 d'origine mixte sur : • probablement syndrome cardio-rénal • origine réno-vasculaire et néphropathie diabétique • atrophie rénale droite • hyalinose segmentaire et focale secondaire sur diminution de la masse néphronique et obésité non exclue • Clairance de la créatinine à 14 ml/min selon CKD-EPI le 04.01.2018 Hypokaliémie dans un contexte de maladie de Conn Diabète mellitus de type 2 insulino-traité Syndrome d'apnée du sommeil appareillé Fibromyalgie, polymyalgia rhumatica sous corticostéroïdes Ancienne consommation d'alcool à risque stoppée en 2013 Hyperparathyroïdie secondaire à l'insuffisance rénale avec : • hyperphosphatémie Obésité de classe III selon l'OMS avec : • BMI à 40.7 kg/m2 Sténose de l'artère sous-clavière droite distale peu symptomatique Cardiopathie d'origine ischémique, rythmique et valvulaire. • lésion tritronculaire • sténose aortique serrée. Insuffisance rénale chronique stade G5 d'origine mixte sur : • probablement syndrome cardio-rénal • origine réno-vasculaire et néphropathie diabétique • atrophie rénale droite • hyalinose segmentaire et focale secondaire sur diminution de la masse néphronique et obésité non exclue • Clairance de la créatinine à 14 ml/min selon CKD-EPI le 04.01.2018. Hypokaliémie dans un contexte de maladie de Conn. Diabète mellitus de type 2 insulino-traité. Syndrome d'apnée du sommeil appareillé. Fibromyalgie. Ancienne consommation d'alcool à risque stoppée en 2013. Hyperparathyroïdie secondaire à l'insuffisance rénale avec hyperphosphatémie. Obésité de classe III selon l'OMS avec BMI à 40.7 kg/m2. Sténose de l'artère sous-clavière droite distale peu symptomatique. Polymyalgia rhumatica sous corticostéroïdes. Cardiopathie d'origine X avec : • sclérose coronarienne débutante • dysfonction ventriculaire gauche systolique modérée, FEVG à 40 % • insuffisance mitrale modérément sévère • discrète hypertension artérielle pulmonaire • ETT le 21.01.2019 : FEVG à 49%. Insuffisance mitrale modérée à sévère (grade 2/3), d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,26 cm². Oreillette gauche très dilatée. HTAP (PAPs à 48 mmHg). Ad : traitement de l'insuffisance cardiaque : diurétique, IEC. • ETO le 23.01.2019 : épaississement des 2 feuillets mitraux (plutôt du FMA). Rétraction légère de mouvement du feuillet mitral antérieur. Insuffisance mitrale modérée à sévère (grade 3/4), d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,13 cm². Coronarographie avec cathétérisme G/D le 25.01.2019 : dysfonction ventriculaire gauche systolique avec FEVG à 40 %. Insuffisance mitrale modérément sévère (grade III sur IV) avec discrète hypertension artérielle pulmonaire. Cardiopathie dysrythmique avec : • fibrillation auriculaire bradycarde • BAV de 1er degré et BBD complet • dernière ETT en janvier 2019 : hypokinésie sévère avec FEVG à 35 %, rétrécissement aortique lâche, insuffisance mitrale modérée (2/4), dysfonction diastolique modérée (grade II), oreillettes gauche et droite très dilatées, insuffisance tricuspide moyenne (3/4) • antécédent de communication inter-auriculaire en 1967 Cardiopathie dysrythmique • BAV I° avec nombreux passages en BAV II°, type Mobitz 2, parfois dans un couplage 2:1 Cardiopathie dysrythmique et cardiomyopathie obstructive avec : • fibrillo-flutter intermittent à 160/min. • status post-pose de pacemaker double sonde en mode AAI/DDDD à 60/min. le 18.09.2007 Dr. X, dernier contrôle en octobre 2012 • status post-alcoolisation du septum en 2004 • bloc de branche droit connu BPCO sur tabagisme (2 paquets/jour) et syndrome restrictif, de degré modéré • VEMS à 1,54 l (octobre 2006) augmenté à 1,77 l sous Ventolin. Diabète de type II sous Metformine. Schizophrénie. Insuffisance rénale d'origine rénale sur probable néphropathie diabétique et hypertensive le 04.02.2013. Cardiopathie dysrythmique (FA sous Sintrom) avec insuffisance cardiaque avec dysfonction diastolique de grade I. Diabète de type II. Hypertension artérielle. Obésité. Cardiopathie dysrythmique, ischémique et hypertensive • S/p infarctus du myocarde en 2003 avec 2 stents • Holter le 28.06.2017 : arythmie sinusale avec extrasystoles ventriculaires et supraventriculaires, sans pauses. • sous Aspirine cardio (en pause dès le 02.01.2019), Lisinopril, Beloc Zok Cardiopathie dysrythmique sous Flamon. Polymyalgia rheumatica sous Prednisone. Cardiopathie hypertensive • avec FEVG à 79 % en mai 2011 et dysfonction diastolique de grade II Diabète non-insulino-dépendant Hypercholestérolémie sous traitement Asthme allergique Carence en vitamine D Substitution orale dès le 15.11.2019 Cardiopathie hypertensive • 08.2017 TTE : hypertrophie relative du VG, fonction systolique normale, dysfonction diastolique Oesophagite de reflux Grade C • 09.2016 Gastroscopie : oesophagite de reflux • 07.2017 gastroscopie : grade C selon Los Angeles, hernie hiatale axiale • 10.2017 gastroscopie : amélioration sous IPP Esomeprazole Artériopathie des membres inférieurs stade 1 bilatérals • 12.2016 : recanalisation et stent en raison d'une ischémie aigue de l'artère poplité gauche sur AOMI • 09.2017 : US : bien perméable Hypothyroïdie subclinique Embolie pulmonaire centrale, paracentrale et sous-segmentale D (08.2017) • Sous xarelto initialement, puis clopidogrel 75 mg Colonoscopie 09.2017 adénome sessile et tubulaire avec dysplasie épithéliale de bas grade Lombalgie sans ischialgie • 12.2018 : status neuro sans particularité • 08.2015 status post cyphoplastie L2 et pédiculoplastie droite et décompression par laminectomie L2 droite en raison d'une fracture L2 • 08.2015 densitométrie : ostéopénie légère Cardiopathie hypertensive avancée avec dilatation sévère de l'oreillette gauche Hypertension artérielle pulmonaire modérée à sévère d'origine indéterminée Insuffisance rénale chronique de stade III (50 ml/min en 2017, 60 ml/min en 2016) Notion d'asthme bronchique traité par seretide Hypoacousie Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition sur : • hypothyroïdie • carence vitaminique • troubles cognitifs • troubles visuels • hypotension orthostatique • malnutrition • déconditionnement à l'effort • polymédication Notion de consommation d'alcool à risque • antécédent de Delirium tremens non daté État confusionnel hypoactif d'origine multifactorielle • toujours le cas lors des précédentes hospitalisations selon le fils (24.07.2018) Sténose de 90 % du tronc coeliaque asymptomatique • visible sur CT du 31.07.2018 Pas de reprise de l'aspirine vu anticoagulation par Xarelto Cardiopathie hypertensive avec : • échocardiographie du 18.03.2014 (Dr. X) : FEVG 30 % • cardiologue traitant : Prof. X • pose d'un pacemaker/défibrillateur bicaméral 30.03.2014 • coronarographie en mars 2014 : hypokinésie sévère, pas de sténose Angiopathie amyloïde avec : • anémie macrocytaire normochrome d'origine carentielle en mars 2014 • bilan vitaminique dans la norme : ferritine 591 ug/l, acide folique 6.3 ng/ml, vitamine B12 195 pg/ml Diabète de type 2 non insulino-requérant Maladie thrombo-embolique avec : • thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit, au niveau de la veine fémorale commune, avec extension au niveau de la veine iliaque externe dans sa partie distale • thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit en 2014 non provoquée, subaiguë, distale, non anticoagulée • hémorragie frontale bilatérale sur HTA, antiagrégant et angiopathie amyloïde probable le 05.03.2000 • AVC hémorragique frontal droit avec crise d'épilepsie en 1995 Anémie macrocytaire normochrome hyporégénérative avec Hb à 121 g/L le 20.09.2016 Cardiopathie hypertensive avec : • échocardiographie du 18.03.2014 (Dr. X) : FEVG 30 % • cardiologue traitant : Prof. X • pose d'un pacemaker/défibrillateur bicaméral 30.03.2014 • coronarographie en mars 2014 : hypokinésie sévère, pas de sténose Angiopathie amyloïde avec : • anémie macrocytaire normochrome d'origine carentielle en mars 2014 • bilan vitaminique dans la norme : ferritine 591 ug/l, acide folique 6.3 ng/ml, vitamine B12 195 pg/ml Diabète de type 2 non insulino-requérant Maladie thrombo-embolique avec : • thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit, au niveau de la veine fémorale commune, avec extension au niveau de la veine iliaque externe dans sa partie distale • thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit en 2014 non provoquée, subaiguë, distale, non anticoagulée • hémorragie frontale bilatérale sur HTA, antiagrégant et angiopathie amyloïde probable le 05.03.2000 • AVC hémorragique frontal droit avec crise d'épilepsie en 1995 Anémie macrocytaire normochrome hyporégénérative avec Hb à 121 g/L le 20.09.2016 Cardiopathie hypertensive avec discrète HVG Syndrome métabolique avec : • excès pondéral • HTA • dyslipidémie mixte • diabète de type 2 Spina bifida (pas eu de traitement) Cardiopathie hypertensive avec dysfonction diastolique et dilatation de l'OG avec : • FEVG conservée à 60 % octobre 2017 Maladie thrombo-embolique (thromboses veineuses récidivantes) sous Sintrom Diabète de type 2 non insulino-requérant Foyer d'adénocarcinome au minimum intra-muqueux dans un polype pédiculé situé à 18 cm de la marge anale • rectoscopie le 17.07.2016 • colonoscopie le 22.07.2016 • histopathologie (Promed P7859.16) : foyer d'adénocarcinome au minimum intra-muqueux dans un adénome tubulovilleux du gros intestin avec dysplasie épithéliale/néoplasie intra-épithéliale de haut grade AOMI stade IV du membre inférieur droit avec nécroses humides des orteils 1 et 4 à droite le 06.10.2017 Hernie hiatale de 3 cm Hémorroïdes de stade II Hernie de la ligne blanche supra-ombilicale Diverticulose sigmoïdienne Insuffisance rénale d'allure chronique Dépression Cardiopathie hypertensive avec dysfonction diastolique et dilatation de l'OG avec : • FEVG conservée à 60 % octobre 2017 Maladie thrombo-embolique (thromboses veineuses récidivantes) sous Sintrom Diabète de type 2 non insulino-requérant Foyer d'adénocarcinome au minimum intra-muqueux dans un polype pédiculé situé à 18 cm de la marge anale AOMI stade IV du membre inférieur droit avec amputation sous-géniculaire en 2017 s/p Infection du moignon d'amputation trans-métatarsien du membre inférieur droit le 23.10.2017 Hernie de la ligne blanche supra-ombilicale Diverticulose sigmoïdienne Insuffisance rénale d'allure chronique non stadée Cardiopathie hypertensive, dysrythmique et ischémique le 26.04.2016 • Echocardiographie trans-thoracique le 25.04.2016 : hypokinésie modérée de la paroi latéro-apicale du VG, FEVG à 42 %. Oreillette gauche discrètement dilatée. Coeur droit normal, pas de valvulopathie significative. • ECG itératives 05/2016 : Wandering pacemaker intermittent Artériopathie oblitérante des MI de grade 3 diagnostiquée le 24.04.2016 : • ischémie critique D avec pléthysmographie 22 mmHg GO D, limite 33 mmHg au GO G • sténose de 50 % de l'artère fémorale commune et sténose de 50 % de l'artère fémorale supérieure à D • plaque de l'artère fémorale commune à G • athéromatose diffuse des MI Troubles de la marche Suspicion de démence sénile : • MMS score le 29.04.2016 : score 19/30 • Test de l'horloge le 29.04.2016 : score 3/7 • MMS 21/30, test de l'horloge 3/5, le 19.03.2018 • GDS 3 • Consilium neuropsychologique 03.2018 : Vision réduite (lunettes à adapter). Orientation temporelle non sûre. Ne se rappelle pas de la chute. Difficulté à trouver les mots, compréhension du langage parfois réduite, trouble de la production d'idées sémantiques et flexibilité cognitive. Parfois cliniquement ralenti. Onychomycose des pieds • suivi en podologie Baisse de l'acuité visuelle secondaire à DMLA atrophique sévère +++ Cataracte légère ddc • Pas de traitement disponible. Dégénérescence maculaire G anamnestique. Suivi en ophtalmologie Cardiopathie hypertensive (échocardiographie du 18.12.2018) : • dysfonction diastolique grade II et pressions de remplissage du ventricule gauche augmentées • dilatation modérée de l'oreillette gauche • fonction systolique globale et régionale du ventricule gauche normales le 18.12.2018 Facteurs de risque cardiovasculaire : • diabète de type 2 insulino-dépendant • hypercholestérolémie • hypertension artérielle. Maladie thrombo-embolique avec : • status post-embolie pulmonaire en 1967 et 1984, sous Sintrom jusqu'en 2011. • status post-embolie pulmonaire lobaire bilatérale idiopathique (non high risk) le 24.10.2014, sous Xarelto 20 mg. • pressions systoliques pulmonaires estimées à la limite supérieure de la normale (échocardiographie du 18.12.2018). • dimensions et fonction systolique longitudinale du ventricule droit normales. Hépatopathie de type autoimmune, diagnostiquée le 09.11.2011 (DD : hépatopathie cholestatique primaire (cholangite sclérosante, cirrhose biliaire primitive, lupus érythémateux systémique). Hypothyroïdie subclinique. Ostéoporose fracturaire. Boursite chronique de l'épaule droite : • status après 2 infiltrations intra-articulaires de corticoïdes en avril 2011. Cardiopathie hypertensive et coronarienne tritronculaire avec : • excellent résultat après PCI IVA (10/2013 et 07/2014) • excellent résultat après PCI RCx (01/2005) • sténose 80 % MA ostiale : PCI (1DES) : bon • bon résultat après PCI ACD proximale (04/2015). • Mise en place d'un DES sur la première marginale ostiale le 01.01.2016 (changement Clopidogrel pour Efient). • Coronarographie le 19.06.2017 (Dr. X) : arbre coronarien inchangé, FEVG à 65%. • Facteurs de risques cardiovasculaires : hypertension artérielle traitée, hypercholestérolémie, ancien tabagisme à 40 UPA environ (stop en 10/2015). Hernie hiatale avec reflux gastro-oesophagien (bisphosphonate oral à éviter). Artérite giganto-cellulaire (maladie de Horton) confirmée en 07/2015 sur la base d'une biopsie temporale • Histologie : prolifération intimale importante, présence de cellules géantes multinuclées et infiltrat inflammatoire. • S/p traitement par Prednisone 60 mg/jour avec schéma dégressif (- 5mg/2 semaines) et Actemra (Tocilizumab) (2 perfusions) à visée cortico-épargnante. Psoriasis en goutte et inversé actif, diagnostiqué à l'âge de 13 ans • Prednisone 6 mg • S/p PUVA-thérapie • Arthrite psoriasique avec s/p traitement de Methotrexate, Humira (2010-2013), Enbrel et Simponi (essai en 2013 et 2014 : mal toléré - vertiges), Arava 20 mg/j (2014-2015) ; Actimbra ; Telara • Décompensation lors de l'introduction d'Actemra (Tocilizumab) (2 doses au total en 11-12/2015). • Décompensation en 06/2016 en raison de l'arrêt de la corticothérapie (pour la réalisation d'un FDG-PET CT) • actuellement : traitement par Prednison 6 mg/jour, Ortezla du 13.06 au 29.06.2018, stoppé par patient en vue de douleur articulaire contre avis médical. Exacerbation au niveau cutané avec des douleurs au niveau de la peau. Avis rhumatologie (Dr. X) : car pas d'atteinte articulaire, prise en charge dermatologie Décision de transfert par propre moyen au service des urgences de l'Inselspital car pas de service dermatologie sur place. Dermatologue et urgentiste de garde de l'Inselspital avertis. Cardiopathie hypertensive et dysrythmique : • Fibrillation auriculaire intermittente • CHA2DS2-VASc Score 6 pts, HAS-BLED 4 pts • ECG 03.12.2018 : rythme sinusal régulier • ETT (03.12.2018) : FEVG 55 %, oreillette gauche modérément dilatée, insuffisance mitrale minime, insuffisance tricuspide minime, hypertrophie ventriculaire concentrique • anticoagulé par Sintrom jusqu'au 04.01.2019 Cardiopathie hypertensive et ischémique : • US cardiaque le 28.09.2010 : FEVG 65 %, hypertrophie concentrique, oreillette gauche modérément dilatée, HTAP modérée à 40 mmHg. • pose d'un stent en 04/2018 BPCO stade II avec VEMS 55 % du prédit en octobre 2010. Dyslipidémie. Diabète de type 2, insulino-requérant Retard mental léger (QI 57). Hyperplasie bénigne de la prostate. Notion de consommation éthylique à risque. Cardiopathie hypertensive et ischémique avec : • maladie coronarienne bitronculaire • sténose subtotale de la seconde diagonale traitée par PTCA, sténose significative à 50 % de l'ostium de la première diagonale et lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale (25.01.2013), absence de sténose des artères rénales, bonne fonction systolique du ventricule droit (FEVG à 70 % en mars 2013) • sténose à 50-70 % de l'IVA traitée par PTCA et stent actif (02.10.2015) • dysfonction diastolique stade II Hypertension artérielle traitée depuis 2012 Diabète de type 2 non insulino-requérant traité (PD : 2002, suivi ophtalmique) Tabagisme actif à 65 UPA Goutte Trouble mnésiques légers BPCO traitée (suivi par Dr. X) Incontinence urinaire (suivie par Dr. X) Cardiopathie hypertensive et ischémique avec : • PTCA de la coronaire droite à 3 reprises • HTA traitée Hyperplasie de la prostate traitée avec Prostagutt capsule Diabète type II insulino-requérant Hypertension artérielle traitée Ancien tabagisme avec arrêt vers 1990 Eczéma sur xérose cutanée Pseudophakie et sécheresse oculaire Suspicion de démence débutante • MMS 22/30, test de l'horloge 2/6, GDS 1/15 • Bilan neuropsychologique (01.02.2018) : troubles modérés à sévères de l'attention, troubles légers de la mémoire verbale et légers à modérés de la mémoire antérograde non verbale, troubles légers à modérés des fonctions exécutives (en particulier flexibilité). Contre-indication à la conduite automobile Cardiopathie hypertensive et ischémique avec NSTEMI et occlusion chronique de l'artère coronaire droite. Cardiopathie hypertensive et maladie coronarienne bitronculaire :• sténose significative de l'ostium de l'artère coronaire D proximale : PTCA/stent actif (octobre 2011) • PTCA des branches diagonales (2007) • lésion non significative de l'ostium de l'artère bissectrice • lésion non significative de l'artère rétro-ventriculaire postérieure • FEVG 70% (09.09.2015) • 13.12.2018 : NSTEMI sur sténose subtotale de l'IVA proximale, englobant l'origine de la 1ère diagonale (lésion de bifurcation), traitées par PTCA/1 x DES pour l'IVA, PTCA pour la diagonale • absence de resténose significative de l'ostium de l'ACD proximale • FEVG normale (70%) Cardiopathie hypertensive et rythmique : • Echocardiographie transthoracique du 23.01.2018 (Dr. X) : fraction d'éjection ventriculaire gauche dans la norme, insuffisance tricuspidienne modérée, pas d'hypertension artérielle pulmonaire • Fibrillation auriculaire paroxystique sur urosepsis en juillet 2016 • Fibrillation auriculaire paroxystique non datée asymptomatique en mars 2017 (CHADS-Vasc 3 points, HAS-BLED 4 pts) en janvier et mars 2018 • Anticoagulation stoppée en octobre 2017 (Xarelto) au vu d'hémorragie digestive • Fermeture percutanée de l'auricule gauche par mise en place d'un Amulet Amplatzer Occluder 16mm le 29.03.2018 Hypertension artérielle traitée Cancer de la prostate avec statut après radio-chimiothérapie, récidivant en 2017 : • Dernier traitement hormonal en mars 2017 suivi par Dr. X Insuffisance rénale chronique de stade 3 B Cardiopathie hypertensive et rythmique : • Echocardiographie transthoracique le 23.01.2018 (Dr. X) : FEVG dans la norme, insuffisance tricuspidienne modérée, pas d'hypertension artérielle pulmonaire • Fibrillation auriculaire paroxystique sur urosepsis en juillet 2016 • Fibrillation auriculaire paroxystique non datée asymptomatique en mars 2017 (CHADS-Vasc 3 pts, HAS-BLED 4 pts) en janvier et mars 2018 • Anticoagulation stoppée en octobre 2017 (Xarelto) au vu d'hémorragie digestive • Fermeture percutanée de l'auricule gauche par mise en place d'un Amulet Amplatzer Occluder 16mm le 29.03.2018 Hypertension artérielle traitée Cancer de la prostate avec statut après radio-chimiothérapie, récidivant en 2017 : • Dernier traitement hormonal en mars 2017 suivi par Dr. X Insuffisance rénale chronique de stade 3 B Cardiopathie hypertensive et rythmique : • Pacemaker VVIR 60-130/Min. le 25/5/2011 (Syndrome tachy-Brady) • FA normocarde permanente (2003) • Elektroconversion en 2003 • CHADS VASC score 4 • Anticoagulation avec Marcoumar jusqu'au 08.2018 puis Eliquis • ETT 11.05.16 : FEVG 65%, pas de valvulopathie, OG très dilatée, OD normale Cardiopathie hypertensive et valvulaire : • insuffisance cardiaque stade III (NYHA) • insuffisance mitrale modérée stade 2/3 • FEVG 60% (ETT 2016) • statut post-multiples décompensations cardiaques (janvier 2018, 2017, 2016) BPCO tabagique, stade IV, groupe D : • hypertension pulmonaire sévère estimée à 70-80 mmHg (2016) • oxygénothérapie à domicile 2 l/min • ex-tabagisme (96 UPA) stoppé en 2005 • statut post-multiples exacerbations sur infection (dernière en novembre 2017) Troubles de la marche d'origine mixte : • lymphoedèmes chroniques des membres inférieurs • polyneuropathie diabétique des membres inférieurs. Fibrillation auriculaire sous Xarelto (CHADs-VASc 6 pts). Diabète de type 2 sous Metformine. Hypertension artérielle. Obésité. Cardiopathie hypertensive et valvulaire avec : • Echocardiographie du 02.07.2018 : fraction d'éjection supranormale (physiologie hyperdynamique) (EF 80%) ; dysfonction diastolique de grade II ; pression de l'oreillette gauche augmentée. Sténose aortique légère à modérée ; insuffisance aortique légère ; sténose mitrale modérée ; l'oreillette gauche est sévèrement dilatée (51.6ml/m2). ETO le 22.08.2018 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70 % (évaluation visuelle) ; rétrécissement aortique lâche calcifié, d'origine dégénératif ; surface aortique par planimétrie à 1.3 cm² (0.7cm²/m²) ; insuffisance aortique modérée (grade 2/4), d'origine dégénérative avec un jet central ; rétrécissement mitral serré, dégénératif calcifié ; gradient moyen OG-VG à 9mmHg ; surface mitrale estimée par PHT à 1,1cm² ; planimétrie à 1.5cm2 sous réserve de la qualité d'images compliquées par un bloc de calcium sur le feuillet mitral antérieur ; rétrécissement mitral non accessible à un geste de valvuloplastie percutanée. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4) ; oreillette gauche très dilatée • Holter le 01.02.2018 : normal Hypertension artérielle traitée Spondylolisthésis L4-L5 et L5-S1 Anémie macrocytaire, normochrome avec hémoglobine 119g/l le 30.01.2018 : • Laboratoire : pas de carence en fer, acide folique ou B12, TSH dans la norme Occlusion artère carotide droite déjà connue : • US vaisseaux pré-cérébraux le 01.02.2018 Troubles cognitifs légers Troubles de la marche et de l'équilibre avec risque de chute d'origine multifactorielle : • Sarcopénie • Hypotension orthostatique • Troubles cognitifs légers • Polymédication • Cardiopathie hypertensive et valvulaire Malaises en répétition suite à une cardiopathie hypertensive et valvulaire : • Diagnostic différentiel : passage en fibrillation auriculaire • Avis de Dr. X : intervention chirurgicale impossible vu l'âge et les comorbidités de la patiente Cardiopathie hypertensive et valvulaire connue depuis 2014 • ETT 11.06.2018 : sténose aortique modérée surface de 1,2 cm2, vitesse maximale 2,7 m/sec, gradient moyen de 17mmHg, FEVG 65%, discrète HTAP avec PAPs de 45 mmHg. Prise en charge de l'affection valvulaire pour le moment conservatrice. • ECG du 11.06.2018 : RSR à 65 bpm, PQ 180ms, QRS 144ms, QTc 443 ms, axe 0°, BBD complet. Cardiopathie hypertensive • ETT le 16.01.2018 : FEVG 65%, oreillette gauche modérément dilatée Insuffisance rénale chronique stade KDIGO stade G4 A1 (Cl selon Cockroft 21) • d'origine hypertensive probable avec composante diabétique et sur maladie kystique du rein • FeNa 4.53%, FeUrée 47.65% (rénal) le 27.09.2018 • créat 286 le 22.08.2018, 204 en avril 2018, 197 en mai 2017, 250 en déc 2016 • absence d'acidose métabolique, ni hyperparathyroïdie secondaire, ni hyperkaliémie • suivi par Dr. X, prochain contrôle le 30.10.2018 Diabète de type II insulino-requérant • ED en 1987, insulinorequérant dès 2002 BPCO stade II • exacerbation le 15.12.2017 SAOS appareillé (CPAP depuis 2004, suivi Dr. X) Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs FRCV : • Obésité • Dyslipidémie non traitée • Hypertension traitée • Tabagisme ancien à 40 UPA Goitre nodulaire avec hypothyroïdie substituée Diverticulose colique Gonarthrose prédominante à gauche Lombalgie chronique Omarthrose et arthrose de l'articulation acromio-claviculaire gauche • infiltration le 04.01.2018, Dr. X Troubles cognitifs non bilantés Cardiopathie hypertensive et coronarienne avec : • Sténose 50% IVA proximale • Occlusion chronique RCx proximale : PCI (1DES) : Bon • Subocclusion RCx moyenne (dominance gauche) : PCI (1DES) : Bon • Sténose 75% RCx distale : PCI (1DES) : Bon Cardiopathie hypertensive, ischémique, dysrythmique et valvulaire • coronarographie le 19.05.2017 (Dr. X) : 2 stents actifs (ACD proximale, ACS proximale), FEVG 45% • ETT le 13.11.2017 (Dr. X) : FEVG 56%, hypertrophie concentrique, sténose aortique modérée à sévère (0.92 cm2) • fibrillo-flutter (connu) asymptomatique, hémodynamiquement stable, à conduction lente le 24.01.2019. Mise en suspens du bisoprolol.Cardiopathie hypertensive, ischémique et dysrythmique • FA paroxystique anamnestique • Maladie coronarienne bitronculaire avec stent au niveau de l'ostium de la première marginale de la IVA le 04.01.2016 • Holter le 24.08.2018 : Pas de FA • IRM cardiaque le 17.10.2018 : ventricule droite et gauche normal, Sous adénosine il n'y a pas de zone d'hypoperfusion significative démontrée, Pas de fibrose myocardique ou de séquelle d'infarctus myocardique Diabètes Mellitus 2 insulino requérant • HbA1c le 11.12.2018 : 6.8 % • Mesure glycémie avec Freestyle Libre • Complication diabétiques : macroangiopathies, polyneuropathie • néphropathie diabétique de stade V avec/sur : • syndrome néphrotique • insuffisance rénale chronique de stade G3b à G4 avec composante aigue de néphropathie sur injection de produit de contraste répétées Artériopathie oblitérante des membres inférieurs à prédominance distale • status post-angioplastie de l'artère tibiale postérieure jusqu'à l'arcade plantaire le 04.07.2016 Obésité Dyslipidémie Hirsutisme et virilisation Strabisme œil gauche Lésions dégénératives en C2 et C4 Retard mental léger Trouble de la personnalité type Borderline Apnée du sommeil sous CPAP BPCO de stade indéterminé Cardiopathie hypertensive, ischémique et rythmique avec : • Maladie coronarienne bitronculaire • Sténose subtotale de la seconde diagonale traitée par PTCA, sténose significative à 50 % de l'ostium de la première diagonale et lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale (25.01.2013), absence de sténose des artères rénales, bonne fonction systolique du ventricule droit (FEVG à 70 % en mars 2013) • Sténose à 50-70 % de l'IVA traitée par PTCA et stent actif (02.10.2015) • Dysfonction diastolique stade II • Fibrillation auriculaire anticoagulée par Apixaban • BAV du 2ème degré type Mobitz II • Bradycardie avec pause de 2.5 secondes Actuellement : pose élective d'un pacemaker AAI-DDD le 18.02.2019 (Dr. X) Cardiopathie hypertensive, ischémique et rythmique avec : • sténose à 70 % de la RIVA proximale avec pose de stent (DES) le 17.07.2013 • pas de sténose des artères rénales • ectasie de l'aorte ascendante (40-41 mm) • FEVG 65 % le 23.10.2017 • fibrillation auriculaire anticoagulé par Xarelto • pose de Pacemaker le 29.01.18 : Bradycardie, étiologie inconnue, Maladie du sinus Carcinome du sein gauche traité par chirurgie et radiothérapie SOAS appareillé MGUS suivie par Dr. X Cardiopathie hypertensive, ischémique (maladie tritronculaire. PCI de l'IVA moyenne 09.12.16. PCI de l'ACD proximal) et valvulaire (insuffisance mitrale grade IV) : 09.01.2019 : sepsis avec bactériémie à Staphylococcus aureus (MSSA) sur infection de sonde de pacemaker-défibrillateur 25.01.2019 : ablation des sondes de pacemaker et défibrillateur (Primo-implantation en 03.2014 par Dr. X) 08.02.2019 NSTEMI 08.02.2019 : Coronarographie (Dr. X) : resténose intrastent 90 % de la Cx moyenne revascularisée par ballon éluant, FEVG 25 %, LVEDP 30 mmHg Complications : OAP le 08.02.2019 FRCV : pas de tabac mais exposition au tabagisme passif, hypertension artérielle, hypercholestérolémie, diabète, ... Cardiopathie hypertensive, ischémique, rythmique et valvulaire : • Sténose 80 % IVA moyenne : PCI (1DES), Lésion 40 % TC/IVA ostiale, Sténoses 50-70 % RCx et MA • Coronarographie le 02.09.2016 (Dr. X) : angioplastie de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec 1 stent actif • Pacemaker 04/2017 pour Bloc AV du 2ème degré type Mobitz II, Bradycardie, Étiologie inconnue, Bloc de branche gauche complet • Echocardiographie octobre 2017 : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie globale minime. FEVG à 50 % Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4). Dysfonction diastolique modérée (grade II) • Contrôle pacemaker le 21.12.2017 (Dr. X) Insuffisance rénale chronique KDIGO stade G3bA2 sur néphropathie ischémique et hypertensive Hypertension artérielle mal contrôlée avec pics hypertensifs récurrents (sous hexathérapie) avec : • dilatation et stenting d'une sténose de l'artère ostiale G le 05.12.2017 (Dr. X) • US doppler des artères rénales le 22.12.2017 (Dr. X) : bonne perfusion du rein gauche, pas d'argument pour une occlusion du stent Cholécystolithiase Canal lombaire étroit SAOS non appareillé Diabète type II non insulino-requérant connu Cardiopathie hypertensive le 21.10.2014, Echocardiographie du 21.10.2014 : FEVG à 65 %, dysfonction diastolique ventriculaire gauche minime (grade I). Oreillette gauche discrètement dilatée. Petit anévrisme au sommet de l'artère basilaire mesurant 3 mm Syndrome de Barlow (prolapsus de la valve mitrale). Polymyalgie Cardiopathie hypertensive, maladie coronarienne • investigations antérieures à Berne (Beau-Site, Dr. X) pour intolérance à l'effort et multiples épisodes de syncope à l'emporte-pièce en 12.2017 suite à un voyage au Maroc • ETT 01.2018 : hypertrophie VG, FEVG légèrement diminuée (47-50 %), hypokinésie postéro-latérale, pas de valvulopathie • ergométrie 02.2018 : négative, seuil performance abaissé à 62 % IRM cardiaque 02.2018 : FEVG 58 %, hypo-akinésie inféro-latéro-basale avec cicatrice transmurale, petit défaut de perfusion antéroseptal et apical • coronarographie 02.2018 : sténose IVA proximale 20-50 %, D2 70-90 %, CD proximale 20-50, CPL 50 % Stéatose hépatique Hernie hiatale Hyperplasie de la prostate Polyneuropathie périphérique Diabète insulino-requérant Hypercholestérolémie Obésité de stade II FRCV : diabète type 2, HTA, obésité (BMI 37 kg/m2), dyslipidémie Cardiopathie hypertensive, rythmique et ischémique sur coronaropathie tri-tronculaire (1ère coronarographie 11.11.2013) : • Sténose significative de l'IVA proximale et artères circonflexes moyenne et distale : pose 1DES Cx proximale et 1DES Cx distale • Lésions intermédiaires de l'IVA moyenne et circonflexe proximale • Occlusion chronique de la coronaire droite proximale • Pontage mammaire G-IVA perméable • Pontages de saphène CD et saphène-marginale gauche occlus • Coronarographie du 03.08.2015 : pose 1DES Cx moyenne • Coronarographie du 16.01.2017 avec status inchangé, FEVG 78 % • Coronarographie du 09.10.2017 : • IVA occluse au niveau de son ostium : AMIG sur IVA perméable • Bon résultat à long terme après stenting de la circonflexe : pontage veineux sur RCX occlus • Occlusion chronique de la coronaire droite ; pontage sur CD occlus • Fonction systolique du ventricule gauche normale Fibrillation auriculaire (juin 2016) : • Score CHADS-VASC 7, HAS-BLED 4 • Echocardiographie transthoracique en mars 2018 : fraction d'éjection ventriculaire gauche à 59 %, fuite mitrale modérée Diabète de type 2 non insulino-requérant : • Polyneuropathie périphérique des membres inférieurs • Contrôle ophtalmique en 2011 : pas de rétinopathie Hypercholestérolémie Chutes à répétition : • Hypotension orthostatique, polyneuropathie périphérique diabétique, troubles cognitifs • Test de Schellong positif, test de Tinetti à 23/28 (risque de chute élevé) Troubles cognitifs débutants (tomodensitométrie en 2017 : discrète atrophie frontale) Incontinence urinaire avec pose de bandelette vésicale Syndrome du canal carpien bilatéral Epigastralgies avec reflux gastro-oesophagien Cardiopathie hypertensive sur hypertension artérielle mal contrôlée : • Dysfonction diastolique (grade II) • Cardiopathie hypertrophique importante DD hypertensive, cardiomyopathie hypertrophique Cardiopathie hypertensive, valvulaire et coronarienne : • double pontage aorto-coronarien (LIMA-IVA, Vx-Cx) pour maladie bitronculaire et remplacement de la valve aortique par une prothèse biologique Magna Ease de 23 mm pour sténose aortique sévère • bloc de branche D Dyslipidémie mixte non traitée Obésité Psoriasis avec arthrite psoriasique Gonarthrose G tri-compartimentale Insuffisance veineuse des membres inférieurs Tuberculose latente Lithiase vésiculaire asymptomatique Lombalgies chroniques sur troubles statiques et dégénératifs : • scoliose, arthrose postérieure, phénomène de Baastrup • status après fracture L4 et L5 en 1995 • status après cure de hernie discale lombaire anamnestiquement en 1985 au niveau L4 Cataracte débutante en février 2012 Cardiopathie hypertensive, valvulaire et rythmique : • Fraction d'éjection ventriculaire à 45 % (2017) • Pose de pacemaker VVIR le 05.02.2015 pour fibrillo-flutter lent (35/min) • Insuffisance tricuspide sur défaut de coaptation non opérable avec dilatation importante des cavités droites et de la veine cave • Hypertension artérielle pulmonaire, estimée à 70 mmHg (03.02.2015) • Hypertension artérielle traitée Hypothyroïdie substituée Syndrome du tunnel carpien de la main droite Gonarthrose bilatérale Insuffisance veineuse du membre inférieur gauche de stade I Malnutrition protéino-énergétique modérée Status compatible avec un AVC gauche ancien avec : • Asymétrie de la bouche en défaveur de la gauche • Ataxie du membre supérieur droit Troubles de l'adaptation (F.43.2) avec insomnies Cardiopathie hypertensive, valvulaire et rythmique avec fibrillation auriculaire (dilatation sévère de l'oreillette gauche) : • Sténose aortique sévère (surface 0.9 cm2 en planimétrie, indexée à 0.66 cm2/m2) le 31.01.2017 • FEVG à 50 %, sténose aortique légère, dysfonction systolique du ventricule droit à l'échocardiographie du 31.03.2015 Hyperlipidémie Hyperplasie de la prostate avec protrusion de la partie centrale au sein de la vessie Vessie avec épaississement irrégulier des parois, DD vessie de lutte Notion d'asthme Cardiopathie hypertensive, valvulaire et rythmique, avec : • fibrillation auriculaire paroxystique, diagnostiquée en 02/2018, non anticoagulée (CHADS-VASc 3 points, HAS-BELD 5 points) • s/p décompensation cardiaque globale légère le 31.10.2018 Cardiopathie hypertensive, valvulaire et rythmique : • Sténose aortique modérée à sévère • Insuffisance tricuspide sévère • Fibrillation auriculaire non anticoagulée (CHADS-VASc Score : 3 Points, HAS-BELD-Score : 5 Points) • FEVG 60 % Cardiopathie hypertensive, valvulaire, ischémique et rythmique anti-coagulée avec : • TAVI en février 2009 pour sténose aortique • Coronarographie du 25.01.2015 : IVA proximale 50 %, CX proximale 50 %, CX moyenne <50 %, CD proximale <30 %, CD moyenne <50 % • Echocardiographie du 29.01.2015 : FEVG 70 %, hypertrophie concentrique homogène. Insuffisance aortique modérée avec fuite intra-prothétique. Insuffisance mitrale physiologique. OG modérément dilatée. OD et VD normaux. Insuffisance tricuspide minime. Cardiopathie hypertensive, valvulaire, ischémique et rythmique anti-coagulée avec : • TAVI en 02.2009 pour sténose aortique • Coronarographie le 25.01.2015 : IVA proximale 50 %, CX proximale 50 %, CX moyenne <50 %, CD proximale <30 %, CD moyenne <50 % • Echocardiographie le 16.01.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique avec dysfonction diastolique Grade II. Présence d'une bioprothèse aortique à armature (Edwards Lifesciences N°23) en position aortique discrètement sténosante et fuyante. Oreillette gauche très dilatée. HTP importante (PAPs à 66 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3). Cardiopathie hypertensive. Maladie thrombo-embolique avec : • thrombose veineuse profonde du mollet droit en 1970 et 2001. • embolie pulmonaire en 2003. Syndrome restrictif secondaire. Obésité stade II. Troubles du sommeil. Vertiges paroxystiques bénins. Ostéoporose. Décompensation asthmatique dans un contexte de probable asthme à début tardif. Insuffisance rénale chronique G3a selon KDIGO. Cardiopathie hypertensive. Syndrome anxio-dépressif. Obésité. Hémorroïdes internes. Hernie hiatale. Diverticulose colique. Cardiopathie hypertensive Syndrome d'apnée du sommeil appareillé BPCO stade I selon Gold Diabète mellitus de type 2 non traité • HbA1c : 7.6 % : 10.11.2017 Arthrite rhumatoïde : • sous Prednisone (Leflunomide, Methotrexate auparavant) Dyspepsie Incontinence de stress Ostéoarthrite du pouce D Cardiopathie hypertrophique d'origine indéterminée : • Hypertension artérielle mal contrôlée • Dysfonction diastolique (grade II) - FEVG à 50 % avec akinésie / dyskinésie apicale, le 15.02.2019 DD cardiomyopathie hypertrophique Cardiopathie ischémique • ECG Holter 7 jours dès 14.09.2018 : pas de trouble de rythme Cardiopathie ischémique • infarctus du myocarde sur angor de Prinzmetal avec coronarographie et PTCA à Paris (1996) • Cardiomyopathie hypertrophique homogène. • FEVG à 55 % en 04/2018 • sténose aortique légère Diabète de type II insulino-dépendant (ED 2005) • HbA1c le 11.10.2018 : 5.7 % • complications macro-vasculaires : claudication intermittente stade Leriche IIb) • complications micro-vasculaires : insuffisance rénale chronique, polyneuropathie périphérique • décompensation diabétique hyper-osmolaire sur non-compliance médicamenteuse en 2014 • Syndrome métabolique avec : HTA sous quadrithérapie, dyslipidémie, obésité, ancien tabagisme d'environ 80 UPA (stoppé 1996), diabète insulino-requérant • Insuffisance rénale chronique de stade G4 • Maladie de Ménière • Vessie irritable et insuffisance sphinctérienne • Troubles du sommeil multifactoriels • Consommation d'alcool à risque • Crise de gouttes récidivantes • facteur favorisant : myélofibrose primaire • sous Allopurinol et Kineret • HTA sous quadrithérapie • Stop Deponit Patch et Trandate dès le 19.12.2018 dans le cadre d'hypotensions • Intro Physiotens dès le 03.01.2019 • Surveillance du profil tensionnel • Cardiopathie ischémique • infarctus du myocarde sur angor de Prinzmetal avec coronarographie et PTCA à Paris (1996) • cardiomyopathie hypertrophique homogène. • FEVG à 55% en 04/2018 • sténose aortique légère • Torem en pause dès le 19.12.2018, reprise à 20 mg dès le 31.12.2018 • Suivi poids • Cardiopathie ischémique : lésion monotronculaire de la CD traitée par PTCA et pose de stent actif en juin 2014 (découverte fortuite dans le cadre d'un bilan pré-greffe pulmonaire au CHUV). • Hypertension artérielle traitée. • Hypercholestérolémie traitée. • Obésité stade I selon l'OMS. • Hernie hiatale connue depuis 2005 avec très probable pathologie de reflux traitée par IPP depuis septembre 2010. • Paresthésies D3 à D5 main gauche sans notion de tunnel carpien. • Oedèmes des membres inférieurs en progression depuis juin 2018. • Cardiopathie ischémique • STEMI environ 1995 : Stent • Hypertension artérielle traitée • Obésité morbide • Hernie discale L4 L5 avec déficit moteur MID (suite à chute il y a 1 an, se déplace par rollator). • Varices aux membres inférieurs • Cardiopathie ischémique avec : • cicatrice inféro-postéro-septale. • pose de 2 stents en 2005, stenting en 2015 (FEVG 55%). • Insuffisance cardiaque gauche modérée. • Hypercholestérolémie. • Obésité. • Psoriasis. • Sténose de la carotide droite à 75 % : thrombendartériectomie avec plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne à droite sous utilisation d'un shunt octobre 2015. • Sténose de la carotide gauche à 50%. • Diverticulite compliquée classée Hinchey II le 03.03.2017 avec : • abcès péri-colique de 3 cm. • dilatation pyélocalicielle gauche modérée sur compression. • Asymétrie tensionnelle asymptomatique avec hypertension artérielle du membre supérieur droit, DD : athérosclérose. • Cardiopathie ischémique avec : • STEMI inférieur sur subocclusion de l'artère coronaire D distale le 07.02.2014 • angioplastie coronaire D distale avec thrombectomie et implantation d'un stent nu, dilatation CD proximale • FEVG à 48% • Hypothyroïdie substituée • Hernie hiatale • Troubles cognitifs et mnésiques connus • Troubles de l'adaptation • Accident vasculaire cérébral ischémique périventriculaire G (proche de la corona radiata) le 11.04.2014 d'origine indéterminée avec : • parésie du MID et troubles de la marche régressifs • état confusionnel • Efient stoppé, ad Plavix • Introduction SSRI • Insuffisance rénale chronique stade 4 avec : • albuminurie • anémie rénale • bilan phosphocalcique normal • Cardiopathie ischémique avec : • Triple pontage aorto-coronarien en 2002 • en 2007 : Maladie coronarienne de 2 vaisseaux (CD et IVA). • Fonctions systolique globale et régionale du VG conservées (FE :82%). • Bon résultat au long terme d'une triple revascularisation coronarienne chirurgicale (mammaire gauche-IVA, PAC-1ère diagonale, PAC-IVP). • Atteinte pulmonaire secondaire à une mycobactérie atypique de type Kansaii DD : sur sarcoïdose sous-jacente • inhalations NaCl (suivi Dr. X) • Hypertension artérielle • Hypercholestérolémie • Reflux gastrique • Ostéoporose • Cardiopathie ischémique avec : • Triple pontage aorto-coronarien en 2002 • en 2007 : Maladie coronarienne de 2 vaisseaux (CD et IVA). • Fonctions systolique globale et régionale du VG conservées (FE :82%). • Bon résultat au long terme d'une triple revascularisation coronarienne chirurgicale (mammaire gauche-IVA, PAC-1ère diagonale, PAC-IVP). • Atteinte pulmonaire secondaire à une mycobactérie atypique de type Kansaii DD : sur sarcoïdose sous-jacente • inhalations NaCl (suivi Dr. X) • Hypertension artérielle • Hypercholestérolémie • Reflux gastrique • Ostéoporose • Cardiopathie ischémique avec : • Triple pontage aorto-coronarien en 2002. • en 2007 : maladie coronarienne de 2 vaisseaux (CD et IVA). • Fonctions systoliques globales et régionales du ventricule gauche conservées (FE :82%). • Bon résultat au long terme d'une triple revascularisation coronarienne chirurgicale (mammaire gauche-IVA, PAC-1ère diagonale, PAC-IVP). • Atteinte pulmonaire secondaire à une mycobactérie atypique de type Kansaii. DD : sur sarcoïdose sous-jacente. • inhalations NaCl (suivi Dr. X). • Hypertension artérielle. • Hypercholestérolémie. • Reflux gastrique. • Hypovitaminose D à 34 le 24.09.2018. • Vitamine D3 24000 unités par semaine pendant 4 semaines. • Calcimagon D3 forte. • Cardiopathie ischémique avec : • Choc cardiogène sur infarctus (STEMI antéro-septal) le 19.10.2008 • Recanalisation/Stent IVA proximale le 19.10.2008 • Stenting de la coronaire droite proximale le 23.10.2008 • Dysfonction ventriculaire gauche avec fraction d'éjection à 45% • Ostéoporose sévère avec : • Alendronat 70 mg/semaine 2005-2010 • Densitométrie osseuse 2007 (Prof Krieg) • Fractures vertébrales L2 et L3 sur chute de sa hauteur en 2007 • Fracture-tassement des vertèbres L3 et L4 le 06.02.2015 • Bêta-Crosslaps à 0.48 µg/l le 08.02.2015 • Cardiopathie ischémique avec : • infarctus du myocarde traité par 2 stents actifs en 2016 à l'Inselspital • FE à 45 % actuellement • Cardiopathie ischémique avec : • Insuffisance mitrale en 1997 et coronarographie avec pose de stents (infarctus 1996). • Contexte d'adénocarcinome de la prostate cT4 cN1 cM1 (métastases osseuses), Gleason score 10 (5 + 5), iPSA à 12,09 ng/ml avec : • Date du diagnostic : 13.09.2017. • Histologie : adénocarcinome acinaire de la prostate de groupe V, Gleason score 10 (5 + 5) et (5 + 4 = 9) des deux côtés. • iPSA du 10.08.2017 : 12.09 ng/ml. • IRM de la prostate du 25.09.2017 : infiltration tumorale de l’ensemble de la prostate avec extension extra-capsulaire bilatérale et envahissement des vésicules séminales, de la vessie, du rectum, des bandelettes neuro-vasculaires. Adénopathies loco-régionales et lombo-aortiques. Métastases osseuses diffuses sur les parties osseuses visualisées (rachis lombaire, bassin et fémur proximal). • Scintigraphie osseuse du 26.09.2017 : plusieurs hypercaptations costales et au niveau du bassin, très suspectes d'être des métastases. • Tumorboard d'urologie du 05.09.2017 : proposition d'un traitement par LHRH et Docétaxel ou éventuellement abiratérone. • Introduction d'un traitement par analogues LHRH le 10.10.2017 (Dr. X). • 6 cycles de chimiothérapie par Docétaxel du 20.10.2017 au 02.02.2018, avec réponse partielle. • Diabète insulino-requérant type II. • Hypertension. • Hypercholestérolémie. • Obésité. • Diverticulose sigmoïdienne. • Insuffisance veineuse chronique de stade II.Scintigraphie osseuse du 26.09.2017: plusieurs hypercaptations costales et au niveau du bassin, très suspectes d'être des métastases. Tumorboard d'urologie du 05.09.2017: proposition d'un traitement par LHRH et Docétaxel ou éventuellement abiratérone. Introduction d'un traitement par analogues LHRH le 10.10.2017 (Dr. X). 6 cycles de chimiothérapie par Docétaxel du 20.10.2017 au 02.02.2018, avec réponse partielle. Diabète insulino-requérant de type II. Hypertension. Hypercholestérolémie. Obésité. Diverticulose sigmoïdienne. Insuffisance veineuse chronique de stade II. Cardiopathie ischémique avec : • Maladie coronarienne tritronculaire • Status après infarctus myocardique inférieur en 2000 • Status après angioplastie et pose de stent coronarien droit en 2001 • Anticoagulation par Aspirine Diabète de type 2 non insulino-requérant État anxio-dépressif, avec hospitalisation à l'Hôpital psychiatrique de Marsens de mars à juin 2013 Céphalées tensionnelles intenses sur névralgie d'Arnold : • Suivi par Dr. X, anesthésiste • Infiltration à EHC à Morges Troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition d'origine multifactorielle : • État confusionnel intermittent • Sarcopénie • Probable abus de Tramadol • Processus démentiel Cardiopathie ischémique avec : • NSTEMI compliqué d'une insuffisance mitrale sévère sur rupture de pilier avec choc cardiogène, réanimation cardio-vasculaire et constatation d'une occlusion de la branche circonflexe proximale (03.12.2017) • Remplacement valvulaire mitral par prothèse mécanique et mono pontage veineux sur la marginale gauche avec mise en place d'un système ECMO (08.12.2017) • Fibrillation auriculaire post-opératoire. • Échocardiographie du 17.01.2018 : dilatation modérée du ventricule gauche, sans hypertrophie avec une akinésie de la paroi postérieure et de la paroi inférieure et une hypokinésie minime du septum moyen, de la paroi latérale moyenne et de la paroi antéro-apicale. FEVG à 35%. Prothèse mécanique à ailettes en position mitrale (Medtronic N°31) avec cinétique normale. Gradient moyen OG-VG à 5 mmHg. Dysfonction diastolique importante grade III. Cardiopathie ischémique avec : • PTCA de l'IVA en 1992 • Quadruple pontage coronarien en 1993 • PTCA et pose de 2 stents (non précisé) en 2000 • PTCA et pose de 2 stents actifs sur le pontage veineux de la coronaire droite en 2006 • Occlusion de la circonflexe et de son pontage veineux sur la coronaire en octobre 2012 • Suspicion NSTEMI le 08.02.2013 • Facteurs de risque : HTA traitée, obésité, ancien tabagisme à 40 UPA stoppé en 1993, diabète sucré de type 2 insulino-requérant Adénocarcinome pulmonaire à prédominance lépidique du lobe supérieur droit classé pT1b pN1 (1/10) cM0, stade IIA, avec mutation du gène EGFR (délétion exon 19), avec suivi au CHUV : • Diagnostic par biopsie transbronchique le 19.03.2013 • Histologie (CHUV H1304584) : adénocarcinome à prédominance lépidique (40 % ; acinaire 30 % ; papillaire 30 %), 2.4 cm de grand axe, sans infiltration de plèvre viscérale, classification TNM 7ème édition 2009 : pT1b pN1 (1/10), R0 (lobectomie supérieure droite et curage ganglionnaire médiastinal formel) • Lobectomie supérieure droite et curage ganglionnaire médiastinal formel par thoracoscopie le 09.04.2013 • 1 cycle de chimiothérapie adjuvante de type carboplatine et vinorelbine le 08.05.2013, stoppé en raison de toxicité hématologique importante • 3 cycles de chimiothérapie adjuvante de type carboplatine et pémétrexed du 19.06.2013 au 31.07.2013 • Progression métastatique pulmonaire en mai 2015 • Histologie (CHUV H1507919) : adénocarcinome pulmonaire à prédominance acinaire (95 %) et papillaire (5 %) (résection wedge d'un nodule lobaire inférieur droit par thoracoscopie) • Examens de biologie moléculaire : délétion dans l'exon 19 du gène EGFR • Thérapie ciblée de première ligne par erlotinib du 24 au 29.06.2015, stoppée pour intolérance muco-cutanée de grade III • Thérapie ciblée palliative de 2ème ligne par géfitinib dès le 20.07.2015 à 250 mg 1 jour sur 3 pour intolérance digestive et muco-cutanée de grade IV • CT-thoraco-abdomino-pelvien du 25.09.2018 (Clinique La Prairie) : nodule pulmonaire de 8 mm de diamètre du lobe pulmonaire inférieur droit en progression • PET-CT du 09.10.2018 : faible captation du nodule du lobe inférieur droit • Biopsie liquide du mois de novembre 2018 : absence d'acquisition de mutation de résistance et d'ADN tumoral circulant. • Tumor board des pathologies thoraciques du 10.10.2018 : biopsie trans-thoracique pour histologie et NGS proposée, finalement pas effectuée • Actuellement : sous thérapie ciblée palliative par Osimertinib 40 mg/j (Tagrisso), suivi par Dr. X, oncologue au CHUV. Cardiopathie ischémique avec : • PTCA de l'IVA en 1992 • Quadruple pontage coronarien en 1993 • PTCA et pose de 2 stents (non précisé) en 2000 • PTCA et pose de 2 stents actifs sur le pontage veineux de la coronaire droite en 2006 • Occlusion de la circonflexe et de son pontage veineux sur la coronaire en octobre 2012 • Suspicion NSTEMI le 08.02.2013 Facteurs de risque cardiovasculaire : hypertension artérielle traitée, obésité, ancien tabagisme à 40 UPA stoppé en 1993, diabète sucré de type 2 insulino-requérant. Anémie normochrome normocytaire à 94 g/l d'origine multifactorielle • Contexte inflammatoire, hématurie, contexte oncologique. Cardiopathie ischémique avec : • Status après 2 infarctus (1995, 2002) et stenting CD • Coronarographie (03.12.2018) : lésions peu sévères de l'a. circonflexe et de l'IVA, occlusion chronique CD prox. • Arythmie ventriculaire complexe asymptomatique • FeVG 40 % (12/2018) Cardiopathie ischémique avec : • Status post NSTEMI compliqué d'une insuffisance mitrale sévère sur rupture de pilier avec choc cardiogène, réanimation cardio-vasculaire et constatation d'une occlusion de la branche circonflexe proximale (03.12.2017). • remplacement valvulaire mitral par prothèse mécanique et monopus sur la marginale gauche avec mise en place d'un système ECMO. Status post révision thoracique. Status post fermeture secondaire du thorax (08.12.2017). • status post fibrillation auriculaire post-opératoire. Tabagisme actif à 20 UPA. Diarrhées chroniques. Cardiopathie ischémique, avec : • Status post triple pontage coronarien (1997, CHUV) • Hypertension artérielle • Hypercholestérolémie • Diabète de type 2 non insulino-requérant • Ancien tabagisme Cardiopathie ischémique avec : • sténoses significatives de l'artère interventriculaire antérieure proximale, moyenne et distale FFR 0.76 : PTCA/DES x 4 • sténose subtotale de l'artère circonflexe, sténose intermédiaire de la bissectrice • occlusion chronique de la coronaire droite (col latéralisée par la coronaire gauche) Cardiopathie ischémique avec : • Bon résultat après stenting TC • Bon résultat après PCI IVA proximale en 2006 et 2014 • Resténose intrastent (ISR) 80 % IVA moyenne : PCI (1DES) : Bon • Occlusion chronique ACD Cardiopathie ischémique avec coronarographie sans revascularisation en 2009. Paresthésies et ataxie des membres supérieurs prédominant à droite d'origine probablement mixte avec : • récidive d'un syndrome du tunnel carpien à droite. • séquelles des AVC du 19.04 et du 21.04.2018. Métastase pulmonaire d'un adénocarcinome du rectum au niveau du lobe inférieur droit avec atteinte ganglionnaire médiastinale antérieure et station 4. • PET-CT du 05.11.2018 : lésion hypermétabolique au niveau du lobe inférieur droit et hypercaptation au niveau d'un ganglion hilaire et médiastinal antérieur ipsilatéral. • Status post-bronchoscopie EBUS le 23.11.2018 : médiastinale positive en 11R. Thoracotomie, résection extra-anatomique du lobe inférieur droit, curage ganglionnaire médiastinal radical, suture nerf phrénique droit le 27.12.2018. Adénocarcinome des tiers moyen et inférieur du rectum classé cT3 cN+ cM0 : • Date du diagnostic : 04.11.2015 Cardiopathie ischémique avec infarctus en 2003 • Pose de stent nu dans l'IVA proximale et stent actif dans l'artère circonflexe moyenne • Pas de resténose du stent nu au niveau de l'IVA proximale, occlusion chronique de l'artère circonflexe moyenne, au niveau du site d'implantation du stent actif (dernière coronarographie le 04.12.2017) Cirrhose hépatique probable, stade CHILD A le 19.03.2018 US abdominal le 19.03.2018 Sérologie hépatite B et C négative le 20.03.2018 Sérologie hépatite A et E faite le 28.03.2018 : en cours Sérologie CMV et EBV : infections anciennes, le 20.03.2018 Céruloplasmine et alpha foetoprotéine : dans la norme Mise en suspens Janumet/Metfin et Simcora du 17.03.2018 au 21.03.2018 Thrombopénie à 76 G/l le 17.03.2018 • chronique (en 2016 : 121 G/l.) • probablement dans le contexte d'un hypersplénisme Bilan de la ferritine, vit B12 et acide folique dans la norme, en février 2018 chez le médecin traitant Cardiopathie ischémique avec infarctus en 2003 • pose de stent nu dans l'IVA proximale et stent actif dans l'artère circonflexe moyenne • pas de resténose du stent nu au niveau de l'IVA proximale, occlusion chronique de l'artère circonflexe moyenne, au niveau du site d'implantation du stent actif (dernière coronarographie le 04.12.2017) Cirrhose hépatique probable, stade CHILD A le 19.03.2018 US abdominal le 19.03.2018 Sérologie hépatite B et C négative le 20.03.2018 Sérologie hépatite A et E faite le 28.03.2018 : en cours Sérologie CMV et EBV : infections anciennes, le 20.03.2018 Céruloplasmine et alpha foetoprotéine : dans la norme Mise en suspens Janumet/Metfin et Simcora du 17.03 au 21.03.2018 Thrombopénie à 76 G/l le 17.03.2018 • chronique (en 2016 : 121 G/l.) • probablement dans le contexte d'un hypersplénisme Bilan de la ferritine, vit B12 et acide folique dans la norme, en février 2018 chez le médecin traitant Cardiopathie ischémique avec : • Insuffisance mitrale en 1997 et coronarographie avec pose de stents (infarctus 1996). Contexte d'adénocarcinome de la prostate cT4 cN1 cM1 (métastases osseuses), Gleason score 10 (5 + 5), iPSA à 12,09 ng/ml avec : • Date du diagnostic : 13.09.2017. • Histologie : adénocarcinome acinaire de la prostate de groupe V, Gleason score 10 (5 + 5) et (5 + 4 = 9) des deux côtés. • iPSA du 10.08.2017 : 12.09 ng/ml. • IRM de la prostate du 25.09.2017 : infiltration tumorale de l'ensemble de la prostate avec extension extra-capsulaire bilatérale et envahissement des vésicules séminales, de la vessie, du rectum, des bandelettes neuro-vasculaires. Adénopathies loco-régionales et lombo-aortiques. Métastases osseuses diffuses sur les parties osseuses visualisées (rachis lombaire, bassin et fémur proximal). • Scintigraphie osseuse du 26.09.2017 : plusieurs hypercaptations costales et au niveau du bassin, très suspectes d'être des métastases. • Tumorboard d'urologie du 05.09.2017 : proposition d'un traitement par LHRH et Docétaxel ou éventuellement abiratérone. • Introduction d'un traitement par analogues LHRH le 10.10.2017. • 6 cycles de chimiothérapie par Docétaxel du 20.10.2017 au 02.02.2018, avec réponse partielle. Diabète insulino-requérant type II. Hypertension. Hypercholestérolémie. Obésité. Diverticulose sigmoïdienne. Insuffisance veineuse chronique de stade II. Cardiopathie ischémique avec : • Insuffisance mitrale en 1997 et coronarographie avec pose de stents (infarctus 1996). Contexte d'adénocarcinome de la prostate cT4 cN1 cM1 (métastases osseuses), Gleason score 10 (5 + 5), iPSA à 12,09 ng/ml avec : • Date du diagnostic : 13.09.2017. • Histologie : adénocarcinome acinaire de la prostate de groupe V, Gleason score 10 (5 + 5) et (5 + 4 = 9) des deux côtés. • iPSA du 10.08.2017 : 12.09 ng/ml. • IRM de la prostate du 25.09.2017 : infiltration tumorale de l'ensemble de la prostate avec extension extra-capsulaire bilatérale et envahissement des vésicules séminales, de la vessie, du rectum, des bandelettes neuro-vasculaires. Adénopathies loco-régionales et lombo-aortiques. Métastases osseuses diffuses sur les parties osseuses visualisées (rachis lombaire, bassin et fémur proximal). • Scintigraphie osseuse du 26.09.2017 : plusieurs hypercaptations costales et au niveau du bassin, très suspectes d'être des métastases. • Tumorboard d'urologie du 05.09.2017 : proposition d'un traitement par LHRH et Docétaxel ou éventuellement abiratérone. • Introduction d'un traitement par analogues LHRH le 10.10.2017. • 6 cycles de chimiothérapie par Docétaxel du 20.10.2017 au 02.02.2018, avec réponse partielle. Diabète insulino-requérant type II. Hypertension. Hypercholestérolémie. Obésité. Diverticulose sigmoïdienne. Insuffisance veineuse chronique de stade II. Cardiopathie ischémique avec maladie coronarienne bitronculaire : • sténose significative de l'IVA moyenne, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) • sténose significative de l'ostium de la première diagonale • sténose significative de la partie distale de la première branche septale • sténose significative de l'artère coronaire droite proximale • occlusion de l'artère rétro-ventriculaire postérieure • fraction d'éjection à 40 % (à la ventriculographie). Cardiopathie ischémique avec maladie coronarienne bitronculaire : • sténose significative de l'IVA moyenne, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) • sténose significative de l'ostium de la première diagonale • sténose significative de la partie distale de la première branche septale • sténose significative de l'artère coronaire droite proximale • occlusion de l'artère rétro-ventriculaire postérieure • fraction d'éjection à 40 % (à la ventriculographie).Cardiopathie ischémique, avec: • maladie coronarienne de 3 vaisseaux • status post-infarctus antérolatéral le 07.08.2001 • status post-quadruple revascularisation chirurgicale le 14.08.2001 • dysfonction systolique ventriculaire gauche modérée avec FEVG à 40-45% sur hypokinésie étendue antéro-latérale (en 2014) Fibrillation auriculaire normocarde nouvelle le 21.06.2017 • CHADS-VASC 2 • HAS BLED 1 • anticoagulé par Xarelto Apnée du sommeil non appareillée avec pics HTA nocturnes Dyslipidémie Cardiopathie ischémique avec maladie coronarienne monotronculaire avec: • sténose ostiale de la première branche diagonale 2008 et septembre 2015 • Echographie cardiaque 10.07.2017 : FEVG à 70% HTA Hyperlipidémie Cardiopathie ischémique avec mise en place d'un stent Diabète de type 2 insulinoréquérant Cardiopathie ischémique avec notion anamnestique de pose de 1 DES en 2014. Hypoacousie bilatérale appareillée. Cardiopathie ischémique avec: • NSTEMI compliqué d'une insuffisance mitrale sévère sur rupture de pilier avec choc cardiogène, réanimation cardio-vasculaire et constatation d'une occlusion de la branche circonflexe proximale (03.12.2017) • remplacement valvulaire mitral par prothèse mécanique et mono pontage veineux sur la marginale gauche avec mise en place d'un système ECMO (08.12.2017) • fibrillation auriculaire post-opératoire. • échocardiographie du 17.01.2018: dilatation modérée du ventricule gauche, sans hypertrophie avec une akinésie de la paroi postérieure et de la paroi inférieure et une hypokinésie minime du septum moyen, de la paroi latérale moyenne et de la paroi antéro-apicale. FEVG à 35%. Prothèse mécanique à ailettes en position mitrale (Medtronic N°31) avec cinétique normale. Gradient moyen OG-VG à 5 mmHg. Dysfonction diastolique importante grade III. Cardiopathie ischémique avec s/p triple pontage aorto-coronarien en 2003 Diabète de type 2 traité Hypertension artérielle traitée Hyperlipidémie traitée Surdité appareillée Coxarthrose bilatérale Troubles cognitifs discrets avec MMS 28/30 en 2017 Cardiopathie ischémique avec status après 3 pontages Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Cardiopathie ischémique avec status post-triple pontage aorto-coronarien en 2003. Diabète de type 2. Hypertension artérielle traitée. Hyperlipidémie traitée. Surdité appareillée. Coxarthrose bilatérale. Troubles cognitifs avec MMSE 28/30 le 30.01.2017. Cardiopathie ischémique avec status post-dilatation coronarienne et angioplastie en 2000 Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle Rein unique gauche (néphrectomie droite en 2014) BPCO stade II Troubles anxiodépressifs chroniques Cardiopathie ischémique avec status post-dilatation coronarienne et angioplastie en 2000. Hypercholestérolémie traitée. Hypertension artérielle. Rein unique gauche (néphrectomie droite en 2014). BPCO stade II. Troubles anxiodépressifs chroniques. Cardiopathie ischémique, avec status post-infarctus myocardique sur sténose de la CX proximale traitée par stent en 2012. Hypercholestérolémie. Ancien tabagisme actif à 30 UPA, stoppé en 2010. Intolérance à l'Atorvastatine (perturbation du bilan hépatique, myalgies). Cardiopathie ischémique avec status post-mise en place d'un stent en 2000 Diabète mellitus de type 2 sous antidiabétiques oraux Stéatose hépatique le 01.10.2013 - DD : secondaire à l'Atorvastatine Cardiopathie ischémique bitronculaire avec: • status post-STEMI inférieur en 2008 • mise en place d'un stent actif dans une sténose subtotale de la RCX distale • occlusion de l'artère circonflexe distale avec mise en place de 2 stents le 23.08.2013 • FEVG à 60% • lésion non significative de < 50% de l'artère interventriculaire antérieure moyenne et de < 30% de l'artère circonflexe moyenne Cardiopathie ischémique bitronculaire (IVA et CX) • Sténose en chapelet de l'IVA (traitement médicamenteux) • occlusion de l'artère circonflexe proximale, PTCA le 24.02.2019 • FEVG 57%, hypokinésie inférieur Cardiopathie ischémique bitronculaire le 06.02.2019 • PCI/1 DES de l'IVA diagonale, PCI IVA proximal-moyenne (06.02.2019) • s/p angioplastie et stent IVA moyenne (08.2016) Cardiopathie ischémique bitronculaire, rythmique et valvulaire • infarctus transmural antérieur subaigu Killip III avec œdème aigu du poumon le 18.04.2015 coronarographie du 22.04.2015 (Dr. X): • occlusion thrombotique de l'IVA moyenne et distale : PTCA/1 DES= 1 stent actif le 22.04.2015 • subocclusion de l'artère coronaire droite distale : PTCA/2 DES = 2 stents actifs le 23.04.2015 • fibrillation auriculaire paroxystique, sous anticoagulation depuis 2001 • QTc long à 500 ms • Bloc tri-fasciculaire avec bloc AV 1er degré, bloc de branche droit complet et hémibloc antérieur gauche. • Pose de défibrillateur le 11.06.2018, Compatibilité IRM : oui à 3 T corps entier, CRT-P, pacing à 50 bpm. • rétrécissement aortique modéré calcifié Maladie de Conn sur hyperplasie surrénalienne droite avec status post-surrénalectomie droite en 1994. Insuffisance rénale chronique stade III (clairance 38 mL/min en 2017) avec micro-albuminurie à 50. Diabète de type 2 insulino-requérant. Cardiopathie ischémique dès le 22.02.2019 • FEVG 20-25 % Cardiopathie ischémique, dysrythmique et hypertensive • quadruple pontage et double dilatation et stent du rameau intermédiaire (proximal + moyen) pour maladie tritronculaire, et sténose subtotale et anévrisme IVA en 1994 • Anévrisme apical, fraction d'éjection 70% le 29.12.2003 • Coronarographie du 29.12.2013 : occlusion totale de l'IVA et de la CD, occlusion de tous les greffons veineux, greffon mammaire perméable • Fibrillation auriculaire intermittente anticoagulée par Sintrom • ETT le 15.06.2015 : FEVG 40%, sténose aortique avec indication à remplacement valvulaire • NSTEMI 06/2015 : coronarographie le 13.06.2015 (Dr. X) : lésions tritronculaires : occlusion chronique de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Sténose significative de la première diagonale. Sténose sub-totale avec TIMI 2 de l'artère circonflexe moyenne, englobant l'origine de la seconde marginale (lésion de bifurcation). Resténose significative de l'artère bissectrice au niveau du site d'implantation du stent. Occlusion chronique de l'artère coronaire droite moyenne. Occlusion chronique de l'anastomose proximale pontage saphène côté droit II. Perméabilité de pontage mammaire gauche pédiculée IVA II. Occlusion chronique de l'anastomose proximale pontage saphène Cx II. Succès d'angioplastie de l'artère circonflexe moyenne avec implantation d'un stent actif • Sténose aortique sévère avec échec de TAVI le 08.02.2016 (instabilité hémodynamique lors de l'induction) • Pose de défibrillateur/pacemaker et ablation du nœud AV pour fibrillation auriculaire rapide mal tolérée au décours de l'induction pour une TAVI le 08.02.2016 Électrocardiogramme 10.05.2016 : bloc de branche gauche, électro-entrainé 70/min. Sténoses significatives des deux bifurcations carotidiennes, 80% à droite et 70% à gauche • Thrombo-endartérectomie et plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne gauche le 06.10.2015 Tabagisme actif à > 50 UPA Hypercholestérolémie non traitée Surpoids IMC à 27 kg/m², Diabète sucré de type II non insulino-requérant Anévrisme aorto-iliaque gauche (aortique 40 mm, iliaque 22 mm) et athéromatose sténosante des deux axes iliaques externes Insuffisance artérielle des membres inférieurs avec : • pontage fémoro-poplité gauche (prothèse IMPRA) • oblitération complète de l'artère fémorale superficielle gauche • dilatation et stent de l'artère iliaque externe droite Cardiopathie ischémique, dysrythmique et hypertensive • quadruple pontage et double dilatation et stent du rameau intermédiaire (proximal + moyen) pour maladie tritronculaire, et sténose subtotale et anévrisme IVA en 1994 • Anévrisme apical, fraction d'éjection 70% le 29.12.2003 • Coronarographie du 29.12.2013 : Occlusion totale de l'IVA et de la CD, occlusion de tous les greffons veineux, greffon mammaire perméable • Fibrillation auriculaire intermittente anticoagulée par Sintrom • ETT le 15.06.2015 : FEVG 40%, sténose aortique avec indication à remplacement valvulaire • NSTEMI 06.2015 : Coronarographie le 13.06.2015 (Dr. X) : Lésions tritronculaires : Occlusion chronique de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Sténose significative de la première diagonale. Sténose subtotale avec TIMI 2 de l'artère circonflexe moyenne, englobant l'origine de la seconde marginale (lésion de bifurcation). Resténose significative de l'artère bissectrice au niveau du site d'implantation du stent. Occlusion chronique de l'artère coronaire droite moyenne. Occlusion chronique de l'anastomose proximale pontage saphène côté droit II. Perméabilité de pontage mammaire gauche pédiculée IVA II. Occlusion chronique de l'anastomose proximale pontage saphène Cx II. Succès d'angioplastie de l'artère circonflexe moyenne avec implantation d'un stent actif • Sténose aortique sévère avec échec de TAVI le 08.02.2016 (instabilité hémodynamique lors de l'induction) • Pose de défibrillateur/pacemaker et ablation du noeud AV pour fibrillation auriculaire rapide mal tolérée au décours de l'induction pour une TAVI le 8.02.2016 • Électrocardiogramme 10.05.2016 : bloc de branche gauche, électro-entrainé 70/min Status post thrombo-endartérectomie et plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne gauche le 6.10.2015 pour sténoses significatives des deux bifurcations carotidiennes, 80% à droite et 70% à gauche Tabagisme actif à > 50 UPA Hypercholestérolémie non traitée Diabète sucré de type II non insulino-requérant Anévrisme aorto-iliaque gauche (aortique 40 mm, iliaque 22 mm) et athéromatose sténosante des deux axes iliaques externes Insuffisance artérielle des membres inférieurs avec : • pontage fémoro-poplité gauche (prothèse IMPRA) • oblitération complète de l'artère fémorale superficielle gauche • dilatation et stent de l'artère iliaque externe droite Cardiopathie ischémique, dysrythmique et valvulaire avec : • stent IVA décembre 2018 • sténose subtotale de l'IVA moyenne avec angioplastie par stent actif le 05.11.2015 • sténose de l'IVA proximale avec angioplastie par stent actif le 05.03.2016 • sténose aortique modérément sévère d'origine dégénérative • fibrillation auriculaire paroxystique sous Sintrom (stoppée en 2015) • fraction d'éjection du ventricule gauche à 65 % • bradycardie sinusale itérative et bloc atrio-ventriculaire du premier degré le 05.03.2016 • fibrillation auriculaire lente à 45/min • Pose de Micra le 02.03.2017 (Dr. X, Prof. X) • cardioversée électriquement le 30.01.2012 • douleur thoracique post-pose de Micra probablement d'origine musculo-squelettique le 02.03.2017 Hypertension artérielle sous traitement Cupulolithiase avec vertiges bénins de position Syndrome d'apnées du sommeil appareillé Cardiopathie ischémique en 2016 avec sténose de IVA. Cardiopathie ischémique et dysrythmique avec : • Maladie coronarienne monotronculaire avec sténose significative de l'IVA antérieure proximale et stenting en 2012 • Syndrome coronarien aigu type NSTEMI le 04.12.2014 (coronarographie : pas de sténose significative) • Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom (arrêtée le 20.12.2016) Hypotension hypostatique neurogène avec syncopes à répétition : • Diagnostics différentiels : • Syndrome dysautonomique dans le contexte d'une conséquence de status après accident vasculaire cérébral du tronc • Atrophies multisystématisées Hémisyndrome brachio-crural sensitivo-moteur gauche de longue date : • Diagnostics différentiels : lésions ischémiques anciennes, fonctionnelles • Consilium neurologique (Dr. X) : troubles sensitivo-moteurs dans le contexte de dégénérescences cérébrales avec notamment des lésions ischémiques au niveau du tronc cérébral Troubles cognitifs modérés : • Diagnostics différentiels : démence vasculaire, neurodégénératifs (MMS à 27/30, test de la montre à 3/7) • Bilan neuropsychologique (le 03.12.2014, Mme. X) : en comparaison au bilan neuropsychologique réalisé en 2010, nous notons une aggravation du tableau cognitif, avec des difficultés au niveau de la mémoire plus marquées et plus légères pour les autres fonctions cognitives (fonctions exécutives, praxies et gnosies) Cervicalgies chroniques Polyarthrite rhumatoïde Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Polyneuropathie des membres inférieurs à prédominance sensitive, d'origine incertaine : • Diagnostic différentiel : idiopathique • Pallesthésie : membre inférieur droit à 5/8 au genou, 4-5/8 à la malléole et 1° IPP ; membre inférieur gauche à 4/8 au genou, 3-4/8 à la malléole et 1° IPP • Electroneuromyogramme du 02.12.2014 : polyneuropathie à prédominance sensitive, de faible importance. Cardiopathie ischémique et dysrythmique avec • Stent du tronc commun en 2009 • Fibrillation auriculaire paroxystique sous Xarelto Cardiopathie ischémique et dysrythmique NYHA II avec : • Status post-STEMI inférieur en 1981 • Status post-PTCA et stenting de l'IVA distale et de la coronaire circonflexe moyenne et distale en 2004 • Status post-implantation d'un pacemaker-défibrillateur automatique implantable pour tachycardie ventriculaire monomorphe en 2004 : IRM NON COMPATIBLE (dernier contrôle le 11.01.2019) • Status post-PTCA et stenting de la branche intermédiaire en 2007 • Status post-PTCA en 2010, 2011 et 2015 • Coronarographie le 24.03.2017 (Prof. X) : État coronarien stable. FEVG 30%. Subocclusion de l'ostium de la RCx. PTCA et stenting de la Cx proximale. Bon résultat final. • ETT le 11.10.2018 dans un contexte de décompensation cardiaque : FEVG 30%. Hypokinésie sévère. Hypertrophie excentrique. Sclérose aortique. Dysfonction diastolique modérée. • Status post-décompensation cardiaque gauche probablement sur progression de la cardiopathie ischémique le 10.10.2018. Hypercholestérolémie Hypertension artérielle traitée Syndrome des apnées du sommeil Presbyacousie appareillée Quadranopsie supérieure droite dès le 21.10.2018, DD effet secondaire du Lyrica • Contrôle ophtalmologique à distance • Interdiction de conduire jusqu'au contrôle (patient informé le 23.10.2018) Incidentalome surrénalien droit asymptomatique Troubles de la marche et déconditionnement d'origine multifactorielle avec réhabilitation • Douleurs inguinales gauches dans un contexte de multiples métastases osseuses depuis le 12.11.2018 • Coxarthrose gauche • Pose de prothèse de la hanche droite en 2008 (Prof. X)• Status post-probable crise de goutte cheville gauche le 28.11.2018, Prednisone 28.11.-16.12.2018 • Adénocarcinome prostatique • Cardiopathie ischémique et dysrythmique • Anémie chronique Douleurs au niveau de la colonne thoracique dans un contexte de métastases osseuses le 20.12.2018 • Douleur importante de Th5 • Fracture pathologique Th3 • CT thoracique le 27.12.2018 • Avis Team Spine le 28.12.2018: Pas d'instabilité de Th3, Pas de flexion au-delà de 45° • Avis Radio oncologique: CT de planification le 08.01.2019, Mr. Y sera reconvoqué pour une séance de radiothérapie Anémie chronique dans le cadre tumoral et saignements urétraux récidivants avec Hb à 83 g/L le 18.01.2019 Cardiopathie ischémique et hypertensive avec : • triple pontage aortocoronarien le 21.12.2018 • NSTEMI sur maladie tritronculaire avec la pose de 3 stents actifs le 04.04.2018. Diabète de type 2 insulino-requérant. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Mal perforant plantaire de l'AMP du premier orteil droit. Insuffisance rénale chronique dans le contexte d'une néphropathie diabétique. Obésité morbide • Cerclage gastrique avec retrait pour infection chronique en 2001 • Gastroplastie verticale selon Mason en 2002 • Bypass gastrique par laparotomie en 2005, avec cholecystectomie, appendicectomie • Mise à plat de multiples abcès abdominaux en 2005 • Révision de cicatrice sous-costale à but esthétique le 11.01.2017 avec hospitalisation jusqu'au 13.01.2017 • Collection abdominale sous-cutanée le 18.01.2017 (sérome post-révision cicatrice) Dyslipidémie traitée Troubles schizo-affectifs et trouble de l'humeur dépressive Dépendance à l'alcool S/p splénectomie Thymie triste dans un contexte d'état dépressif connu • traité et suivi en ambulatoire par Dr. X Cardiopathie ischémique et hypertensive avec : • triple pontage aorto-coronarien en août 2015 • NSTEMI avec OAP en août 2015. • coronarographie le 25.07.2017 : Maladie tritronculaire, stenting de l'artère circonflexe proximale, FEVG 60% le 25.07.2017. • ETT Insel spital 6.2.2019: FEVG 75-80% Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Pancréatite chronique radiologique. AOMI bilatérale. • endartériectomie fémorale bilatérale avec plastie d'élargissement le 15.11.2016. Sténose à 50-60 % de la carotide interne droite Hémochromatose hétérozygote H63D Psoriasis avec : • arthrite psoriasique. Plaques pleurales calcifiées évocatrices d'une ancienne exposition à l'amiante. Cirrhose CHILD B d'origine éthylique : • suivie par Dr. X. • ascite réfractaire (ponctions aux 2 semaines). • multiples décompensations ascitiques (03.2018, 08.2018, 12.2018, 2.2019). • US abdominal le 06.08.2018 : cirrhose hépatique avec hépatomégalie, sans thrombose. • OGD en 11.2017 : pas de varices œsophagiennes. • TIPS en cours d'organisation à l'Inselspital. Bilan étiologique : • consommation OH chronique connue et active. • pas d'argument pour un NASH (HTA bien contrôlée, HbA1c 4.7%, pas de dyslipidémie). • sérologies hépatites : HAV : infection guérie ou statut post-vaccination; HBV : infection guérie; HCV : nég. • autres sérologies: HIV : nég. • hémochromatose hétérozygote H63D. • céruloplasmine et cuivre dans la norme. • TSH 3.1 mU/l. Pas d'argument pour un NASH. Consultation chez Dr. X prévue le 14.03.2019 à 13h15 pour des soins de support Cardiopathie ischémique et hypertensive avec : • triple pontage aorto-coronarien en août 2015 • NSTEMI avec OAP en août 2015 • coronarographie le 25.07.2017 : Maladie tritronculaire, stenting de l'artère circonflexe proximale, FEVG 60% le 25.07.2017 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Pancréatite chronique radiologique AOMI bilatérale • endartériectomie fémorale bilatérale avec plastie d'élargissement le 15.11.2016 Sténose à 50-60 % de la carotide interne droite Hémochromatose hétérozygote H63D Psoriasis avec : • arthrite psoriasique Plaques pleurales calcifiées évocatrices d'une ancienne exposition à l'amiante Cardiopathie ischémique et hypertensive avec : • Dilatation et pose de stent IVA (Bern environ en 2000) • Coronarographie en 2009: pas de lésion coronarienne nouvelle, fonction du VG conservée (FEVG 68%) Cardiopathie ischémique et hypertensive • PTCA maladie coronarienne monotronculaire en 1999 • ergométrie de contrôle en 2015 BPCO léger • Ancien tabagisme 125 UPA +/- sevré en 2009 Possibles antécédents de goutte PTH G le 5.3 2012 Insuffisance rénale chronique (classe 2) Cardiopathie ischémique et rythmique : • échocardiographie transthoracique : FEVG 60% • coronarographie (mai 2015) : sténose à 50% de la circonflexe. • Fibrillation auriculaire paroxystique depuis 2003 avec status post-thermoablation curative (2016). Hypertension artérielle traitée. Cardiopathie ischémique et rythmique : • échocardiographie transthoracique : FEVG 60% • coronarographie (mai 2015) : sténose à 50% de la circonflexe. • Fibrillation auriculaire paroxystique depuis 2003 avec status post-thermoablation curative (2016). Hypertension artérielle traitée. Cardiopathie ischémique et rythmique : • échocardiographie transthoracique : FEVG 60% • coronarographie (mai 2015) : sténose à 50% de la circonflexe. • Fibrillation auriculaire paroxystique depuis 2003 avec status post-thermoablation curative (2016). Hypertension artérielle traitée. Cardiopathie ischémique et rythmique • status post-infarctus et stenting non daté, non détaillé • fibrillation auriculaire intermittente anticoagulée par Xarelto Ostéoporose substituée Cardiopathie ischémique et rythmique avec : • fibrillation auriculaire • pacemaker implanté 17.09.2015 pour bradycardie d'étiologie inconnue avec syncopes • STEMI le 09.02.2015, avec pose de stent actif sur coronaire droite distale et moyenne • dernier ETT du 04.02.2016 : FEVG à 60 %, hypertrophie excentrique du ventricule gauche, dilatation importante des oreillettes droites et gauches, insuffisance mitrale 3/4 dégénérative • CHA2DS2-VASc : 4 • HAS-BLED : 3 • Introduction d’Eliquis 5 mg 2x/jour avec suivi d’hémoglobine chez le médecin traitant en août 2016 HTA Hypercholestérolémie Hernie hiatale Cardiopathie ischémique et rythmique avec : • fibrillation auriculaire • pacemaker implanté 17.09.2015 pour bradycardie d'étiologie inconnue avec syncopes • STEMI le 09.02.2015, avec pose de stent actif sur coronaire droite distale et moyenne • dernier ETT du 04.02.2016 : FEVG à 60 %, hypertrophie excentrique du ventricule gauche, dilatation importante des oreillettes droites et gauches, insuffisance mitrale 3/4 dégénérative • CHA2DS2-VASc : 4 • HAS-BLED : 3 • Introduction d’Eliquis 5 mg 2x/jour avec suivi d’hémoglobine chez le médecin traitant en août 2016 Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Hernie hiatale Cardiopathie ischémique et rythmique avec : • Fibrillo-flutter paroxystique (score CHADS-VAS : 5, HASBLED : 3) anticoagulé par Acénocoumarol • Occlusion chronique de l'IVA moyenne associée à une akinésie antéro-latérale et inféro-septale (coronarographie le 16.07.2007) • ETT 06/2018 : FEVG à 33 %, dysfonction du ventricule droit sur surcharge en pression (PAPs à 77 mmHg) • Décompensation cardiaque globale le 28.12.2018 Cardiopathie ischémique et rythmique avec : • syndrome coronarien aigu en décembre 2005 sur maladie coronarienne mono-tronculaire avec PTCA et mise en place d’un stent sur l’IVA • angioplastie et mise en place de 3 stents pour la persistance d’un thrombus intra-stent et dissection coronarienne le 26.04.2007 • syndrome coronarien aigu sur thrombus intra-stent en mai 2007 • PTCA et mise en place de 3 stents le 25.04.2007 • fibrillation auriculaire rapide, cardioversée par Amiodarone en 2007. Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle • hypercholestérolémie • obésité de classe I selon l’OMS (BMI à 31,1 kg/m2) • syndrome d'apnées du sommeil non appareillé • hyperuricémie Insuffisance rénale chronique stade III d’origine multi-factorielle : • avec multi-polykystose rénale • protéinurie infra-néphrotique • status post-multiples applications de produit de contraste • abus AINS intermittent. Goitre multinodulaire euthyroïdien avec micro carcinome papillaire thyroïdien gauche (pT1a, pNx, R0) avec : • thyroïdectomie totale gauche avec neurostimulation le 12.07.2017 • thyroïdectomie de totalisation à droite le 20.12.2017 Kystes rénaux. Hernie discale L2-L3. Cardiopathie ischémique et rythmique avec maladie tritronculaire : • status post-angioplastie de l'artère circonflexe en 1996 • status post-pontage aorto-coronarien de trois artères coronaires en 2002 • fibrillation auriculaire permanente • échocardiographie du 08.08.2014 : fraction d'éjection estimée à 65-75 % Syndrome métabolique avec : • HTA • diabète de type 2 insulino-requérant • obésité Insuffisance rénale chronique Carcinome prostatique avec radiothérapie en 1996 avec sonde vésicale à demeure : • notion de proctite radique Polyneuropathie périphérique Notion de BPCO jamais bilantée Maladie de Parkinson Cardiopathie ischémique et rythmique avec : S/p STEMI antéro-apical sur thrombus de l'IVA proximale le 03.06.2013 avec embolie paradoxale (FOP). • Coronarographie le 03.06.2013 (Dr. X) : thrombus de l'IVA proximale en partie aspiré, mise en place d'un stent actif, FEVG 69 %, hypokinésie antérieure • Echocardiographie transoesophagienne du 06.06.2013 + fermeture FOP le 06.06.2013 lors nouvelle coronarographie (Dr. X) • Maladie coronarienne monotronculaire (IVA proximale) • Tachycardie ventriculaire brève (10 sec) le 04.06.2013 • Fibrillation auriculaire intermittente avec résolution spontanée le 18.07.2013. Foramen ovale perméable Tabagisme actif 1 paq/jour Gastrite chronique Douleurs thoraciques gauches probablement d'origine psychosomatique Cardiopathie ischémique et rythmique avec : • Status post triple pontage en 2001 • Fibrillation auriculaire anticoagulée par Pradaxa. Ectasie du départ de l’iliaque commune droite ainsi que du carrefour fémoral droit à 2 cm. Anémie d'origine post-opératoire avec : • Déficit léger en fer le 28.03.2018 traité par Maltofer. Hématome intra-musculaire du membre inférieur droit le 21.03.2018 dans un contexte de : • Cure d'anévrisme poplité droit de 22 mm avec ligature de l'anévrisme poplité droit et pontage fémoro-poplité avec la veine saphène ipsi-latérale le 12.03.2018 (Dr. X) et application d'un pansement PICO le 15.03.2018. Frottis plaie le 21.03.2018. Frottis per-opératoire le 22.03.2018. Angio-CT membre inférieur le 21.03.2018. Evacuation d'un hématome sous-cutané et intra-musculaire au niveau du muscle soleus avec application de pansement VAC le 22.03.2018. Consilium infectiologie : • Tazobac du 21.03 au 03.04.2018. Cardiopathie ischémique et rythmique • infarctus du myocarde en 1989 • fibrillation auriculaire diagnostiquée en 2017 • coronarographie en 01/2017 (Prof. X) : FEVG 45 % avec occlusion chronique de la CD avec cependant une bonne collatéralisation par l'IVA. • Avis chirurgie cardiaque CHUV 2017 • Angor stable de longue date (sous Corvaton et Isoket) Cardiopathie ischémique et rythmique • NSTEMI 03/2014 • Stent en 2004/2011/2014 • Pacemaker depuis 2011, DDD/AAI 03/2014 Insuffisance rénale terminale dans le contexte de reins polycystiques (mutation autosomale dominante) (Diagnostic posé en 2006) • Fistule artério-veineuse bras G (07/2006) • Néphrectomie gauche 10/2007 • Tx rénale (Allograft) 02/2012 (CHUV, Drs X) • Hypertension artérielle secondaire, anémie rénale et hyperparathyroïdie traitée • Pyélonéphrites répétitives, actuellement pas de traitement prophylactique antibiotique, dans le passé Bactrim comme prophylaxie • Biopsie du transplantat 02/2014 ; signe de rejet chronique avec vasculopathie Prednison Thérapie • actuellement oligo-anurique, Dialyse 3x/semaine à l'HFR Fribourg depuis 10 ans. Angiodysplasie avec télangiectasie de l'antre avec thérapie au laser 2010/2011 Varices de l'œsophage et gastropathie hypertensive dans le cadre de l'hypertension portale Diverticulose sigmoidale sévère Gastrite chronique avec saignements récidivants gastro-intestinaux Hb 87 g/l le 18.07.2018 Hémorragie intestinale 02/2017 Épistaxis récidivants Douleur épaule G chronique Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Stade IV 06/2018 • Angiographie avec des angioplasties multiples de la jambe D 06/2018 Saignement dans le gyrus frontal inférieur gauche dans le lobe postérieur de 11 mm: • Chute avec TC de cause non claire le 21.08.2018 • écorchure le bras G • RQW sur le front • cliniquement asymptomatique Lésion des orteils 3 D et G, lésion métatarse 1 G et D • Artériopathie obstructive Grade 4 • Statut post multiple angioplasties de la jambe D le 28.06.2018 avec bonne revascularisation Trouble neurocognitif sévère (DD démence vasculaire, trouble de la personnalité paranoïde) Cardiopathie ischémique et valvulaire : • Angor à l'effort prolongé • STEMI non daté avec CD occluse • PTCA IVA (3 stents) en 2006 avec NSTEMI • Bon résultat après stenting TC et IVA en 2006 • occlusion chronique ACD • FEVG 55 % avec akinésie-dyskinésie inférieure en 2001, 48 % en mai 2013 • Sténose aortique avec régurgitation discrète (échocardiographie du 23.11.2011) • FRCV : surpoids, HTA, ATCD, Hypercholestérolémie Légère stéatose hépatique le 29.12.2012 Troubles cognitifs Tabagisme et abus d'alcool ancien Hernie hiatale avec RGO Bradycardie asymptomatique avec bloc trifasciculaire (BAV 1er degré, HBAG et BBD complet) et trigéminisme monomorphe le 28.12.2012 Cardiopathie ischémique et valvulaire. • Maladie coronarienne mono-tronculaire IVA avec, PCI et pose de stent sur l'IVA en 2006. • Resténose 40-50 % dans Cypher IVA distale 2014. • TAVI à la Clinique Cecil dans un contexte de sténose aortique serrée (0.46 cm²) en 2014. • Pose d'un pacemaker AAI/DDDR pour trouble conductif trifasciculaire nouveau en 2014. • Ectasie discrète de l'aorte ascendante. • Échographie du 20.07.2015 : Cardiomyopathie hypertrophique homogène avec FEVG à 51 %. Présence d'une valve percutanée, sténosante, sans dysfonction. • Statut post-OAP cardiogène mars 2014. • Anticoagulé par Sintrom. Obésité morbide (121 kg). Sténose de l'artère sous-clavière gauche sans effet vol. en 2009. Psoriasis. Bronchiectasies petites cylindriques et distales (CT le 24.03.2014). Diabète de type II. Cardiopathie ischémique et valvulaire avec : • statut post STEMI inféro-septale secondaire à une dissection spontanée de la coronaire droite en 2002. • lésion bitronculaire avec occlusion du pontage saphène coronaire droite et de la circonflexe proximale (coronarographie du 04.12.2017). • statut post remplacement valvulaire mitral et plastie tricuspidienne associé à un pontage aorto-coronarien (05.03.2010). fermeture d'un foramen ovale perméable Fibrillation auriculaire persistante avec : statut post-cardioversion électrique en septembre 2016 avec bradycardie résiduelle • fraction d'éjection 30 %, CHADS-VASC 4. HAS BLED 2, HERA I • statut post cardioversion à l'aide du défibrillateur implantable le 06.04.2017. Diverticulose. Cardiopathie ischémique et valvulaire avec : • sténose intermédiaire (40-50 %) IVA moyenne • excellent résultat à long terme après stenting de la coronaire droite distale 2017 • sténose aortique légère (gradient moyen 19 mm Hg ; Surface 1.3 cm² à l'écho-TT) • Fraction d'éjection VG 55 % Hypercholestérolémie traitée Polyarthrite rhumatoïde Cardiopathie ischémique et valvulaire avec : • sténose intermédiaire (40-50 %) IVA moyenne • excellent résultat à long terme après stenting de la coronaire droite distale 2017 • sténose aortique légère (gradient moyen 19 mm Hg ; surface 1.3 cm² à l'écho-TT) • fraction d'éjection VG 55 % Cardiopathie ischémique, hypertensive et rythmique avec : • statut après infarctus de type STEMI en 2002. • fibrillation auriculaire permanente depuis 2008 sous Sintrom • syncope le 01.12.2014 dans le contexte d'une fibrillation auriculaire lente et bloc atrio-ventriculaire complet avec implantation d'un pacemaker VVIR (Medtronic, Modèle Advisa SR MRI A3SR01) pour BAV complet le 04.12.2014 • hypertension artérielle. Anévrisme de l'aorte abdominale sous-rénale de 3 cm. Diabète de type 2 non insulino-dépendant. Dyslipidémie. Troubles cognitifs d'origine indéterminée avec MMSE à 24/30 le 07.04.2015. Dyslipidémie. Chutes à répétition avec : • fracture du col du fémur avec prothèse céphalique à droite en 2016. • traumatisme crânien sans perte de connaissance le 15.09.2015 avec INR supra-thérapeutique à 5. • traumatisme crânien simple le 01.12.2014 • fracture du tiers supérieur du sternum le 08.03.2014. Cardiopathie ischémique, hypertensive et rythmique • Bloc de branche droit complet en 2014 • Pose de pacemaker pour bloc AV 2ème degré et bloc du 3ème degré intermittent en 2011 • Pontage et changement de valve aortique pour infarctus en 2001 Syndrome métabolique avec : • diabète de type II insulino-requérant • obésité • HTA • Hypercholestérolémie Insuffisance rénale de stade III Anémie normocytaire normochrome Cardiopathie ischémique, hypertensive et rythmique. • Bloc de branche droit complet en 2014. • Pose de pacemaker pour bloc AV 2ème degré et bloc du 3ème degré intermittent en 2011. • Pontage et changement de valve aortique pour infarctus en 2001. Syndrome métabolique avec : • diabète de type II insulino-requérant. • obésité. • HTA. • Hypercholestérolémie. Insuffisance rénale de stade III. Anémie normocytaire normochrome. Cardiopathie ischémique, hypertensive et rythmique • NSTEMI 03.2014 • Maladie tritronculaire • FEVG 50 % 04.2016 • Coronarographie refusée par le patient en 2016 • BBG connu Bradycardie sur BAV complet en 2011 avec choc cardiogène et syncope • Pose de pacemaker type DDDR bicaméral Anémie normochrome normocytaire d'origine multifactorielle • Spoliative sur télangiectasies antrales en 2009, 2010, 2011, 2017 • Traitement par Laser Argon en 2010 et 2011 • OGD 2016 : érosions œsophagiennes • Coloscopie 2017 : angiodysplasie sans saignement Insuffisance rénale terminale dans le contexte de reins polykystiques (mutation autosomique dominante) • Diagnostiqué en 2006 • Fistule artério-veineuse bras G (07/2006) • Dialyse 3x/semaine • Néphrectomie gauche 10/2007 • Transplantation rénale (Allogreffe) 02/2012 • Hypertension artérielle secondaire, anémie rénale et Hyperparathyroïdie traitée • Pyélonéphrites répétitives, actuellement pas de traitement prophylactique antibiotique • Biopsie du transplantat 02/2014 ; signe de rejet chronique avec vasculopathie • Thérapie de Prednisone • Dialyse 3x/semaine à l'HFR Fribourg depuis 10 ans Artériopathie oblitérante du membre inférieur droit • Ischémie critique du MID en 2015 sur sténose poplitée • Recanalisation endovasculaire au ballon en 2015 • Ischémie MID en 2017 avec ulcères • Recanalisation en 2017 • Suivi par Dr. X Diabète insulino-requérant sur corticothérapie Occlusion urètre bulbaire sur traumatisme (auto-sondage) en 2016 • Pose de sonde sus-pubienne en 2016 Varices œsophagiennes légères Gastropathie hypertensive portale Diverticulose sigmoïdienne sévère Épistaxis récidivant Pancytopénie sur traitement myélotoxique Omalgies gauches chroniques Personnalité paranoïaque Cardiopathie ischémique, hypertensive et rythmique sur : • fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom • maladie coronarienne tritronculaire avec : • sténose significative du tronc commun. Occlusion de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec bon résultat après AMIG-IVA • sténose significative de la première diagonale et sténose significative de l'artère circonflexe moyenne avec PAC saphène • subocclusion de l'artère coronaire droite moyenne avec occlusion du PAC-IVP : PCI (1DES) : sténose résiduelle 50% • occlusion de l'ACD distale • hypertension artérielle traitée • FEVG 50% et ectasie de l'aorte ascendante en 2012 • QT long connu avec arrêt de l'Amiodarone en septembre 2010. Insuffisance artérielle membre inférieur droit, stade IV, selon Fontaine avec : • angioplasties multiples et recanalisation de l'artère tibiale postérieure et de l'artère péronière à droite, le 09.07.2009 • angioplastie d'une re-sténose avec occlusion courte de l'artère tibiale postérieure droite au-dessus de la cheville, le 04.03.2010. Maladie variqueuse chronique, stade III, avec : • plusieurs cures chirurgicales de varices de la grande saphène à gauche, il y a plusieurs décennies • récidive d'ulcères variqueux au bord latéral du mollet gauche, œdème, dermite de stase • incontinence de la petite saphène à gauche. Polymyalgia rheumatica sous Prednisone low-dosé. Diabète de type 2 non insulino-requérant avec neuropathie diabétique Cardiopathie ischémique, hypertensive et valvulaire avec : • multiples épisodes de décompensations cardiaques (2014, 2016, 2017, 2018) • NSTEMI 2015 et 2016 • coronarographie en 2015 : subocclusion de la RCx moyenne. Angioplastie de l'artère Cx moyenne par stent actif • échocardiographie 28/05/2018 (Dr. X) : FEVG 40%. Dilatation importante du ventricule gauche avec une akinésie de la paroi latéro-basale et de la paroi postéro-basale, hypokinésie sévère de la paroi latérale moyenne, de la paroi antéro-basale et de la paroi postérieure moyenne, hypokinésie modérée de la paroi inférieure, de la paroi latéro-apicale, de la paroi antéro-apicale et de la paroi antérieure moyenne et hypokinésie minime du septum et de la paroi latérale étendue. Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche très dilatée. Dorso-lombalgies chroniques : • altérations dégénératives étagées du rachis dorsal avec tassements des vertèbres D9, D11, D12, L1, L2 sur ostéoporose, anamnestiquement traitée par Fosamax et Calcimagon, arrêté plusieurs fois spontanément par la patiente • spondylarthrose L3-S1, maladie de Baastrup L2-S1, Discopathie • coxarthrose bilatérale, D > G Artériosclérose avancée de l'aorte et des vaisseaux sortants. Surdité de l'oreille interne après plusieurs otites compliquées dans l'enfance. Constipation chronique. Insuffisance rénale chronique Stade G2. Cardiopathie ischémique, hypertensive et valvulaire avec : • multiples épisodes de décompensations cardiaques (2014, 2016, 2017, 2018) • NSTEMI 2015 et 2016 • coronarographie en 2015 : subocclusion de la RCx moyenne. Angioplastie de l'artère Cx moyenne par stent actif • échocardiographie 28/05/2018 (Dr. X) : FEVG 40%. Dilatation importante du ventricule gauche avec une akinésie de la paroi latéro-basale et de la paroi postéro-basale, hypokinésie sévère de la paroi latérale moyenne, de la paroi antéro-basale et de la paroi postérieure moyenne, hypokinésie modérée de la paroi inférieure, de la paroi latéro-apicale, de la paroi antéro-apicale et de la paroi antérieure moyenne et hypokinésie minime du septum et de la paroi latérale étendue. Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche très dilatée. Dorso-lombalgies chroniques : • altérations dégénératives étagées du rachis dorsal avec tassements des vertèbres D9, D11, D12, L1, L2 sur ostéoporose, anamnestiquement traitée par Fosamax et Calcimagon, arrêté plusieurs fois spontanément par la patiente • spondylarthrose L3-S1, maladie de Baastrup L2-S1, Discopathie • coxarthrose bilatérale, D > G Artériosclérose avancée de l'aorte et des vaisseaux sortants. Surdité de l'oreille interne après plusieurs otites compliquées dans l'enfance. Constipation chronique. Insuffisance rénale chronique Stade G2. Cardiopathie ischémique, hypertrophique, rythmique et valvulaire : • fibrillation auriculaire anticoagulée par Xarelto • insuffisance cardiaque NYHA 3-4 • épaississement du feuillet mitral antérieur avec un élément mobile vraisemblablement dégénératif déjà présent en 2015. • FEVG à 45 % (01.2017) • PTCA et stenting de l'artère inter-ventriculaire antérieure proximale, le 26.03.2009. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IV : • amputation mi-cuisse du membre inférieur gauche pour une ischémie critique, le 16.01.2016 • amputation épibasale P1 du 3ème orteil du pied droit, le 25.03.2014 • pontage fémoro-péronier du membre inférieur droit avec une veine inversée, le 17.10.2013 • amputation épibasale du 2ème rayon du pied droit sur nécrose humide, le 02.08.2013 • angioplastie et stenting du membre inférieur droit avec pose de 3 stents dans l'artère fémorale superficielle et l'artère poplitée. Syndrome métabolique avec : • diabète type 2 insulino-dépendant • hypertension artérielle traitée • syndrome des apnées obstructives du sommeil appareillé par CPAP • obésité de stade I (BMI 32 kg/m2). Lombosciatalgie à gauche sur hernie discale foraminale L4-L5 gauche. Troubles cognitifs probablement d'origine mixte. Consommation d'alcool à risque (7 dl/j de vin). Anémie microcytaire hypochrome arégénérative en janvier 2017. Cardiopathie ischémique (maladie coronarienne d'un vaisseau) : • status post-infarctus antérieur 25.01.2003 • status post-PTCA RIVA proximale le 28.01.2003 • status post-ETT 03.07.2009 : normale syst. LV- fonction (LVEF 70%). Cardiopathie ischémique monotronculaire avec : • dysfonction systolique sévère (FEVG à 33% le 03.01.2019) • S/p STEMI sur occlusion de la CD ostiale avec tachycardie ventriculaire en 2011 • S/p occlusion thrombotique proximale de la coronaire droite avec thrombectomie sous traitement antithrombotique complet en 2011. Syndrome métabolique avec : • diabète type 2 insulino-requérant • hypertension artérielle • SAOS appareillé, suivi par Dr. X. Insuffisance rénale sévère 3B (Creat Clearance 32 ml/min) (suivi par le Dr. X, néphrologue). État de mal épileptique inaugural sur lésion ischémique frontale gauche chronique le 30.09.2018 : • EEG de contrôle puis consultation neurologique avec le Dr. X en 04.2019 - patient sera convoqué • interdiction de conduire jusqu'au prochain contrôle en 04.2019. Anévrisme fusiforme de la portion M1 de l'ACM gauche de 5.8 x 7.5 mm et sacculaire du tronc basilaire de 4 x 2 mm : • IRM de contrôle à 6 mois en neurochirurgie chez le Dr. X - le 10.04.2019. Polyglobulie d'origine indéterminée, diagnostic différentiel sur BPCO. Neutrophilie avec monocytose : • PBM : cytométrie de flux : expression de CD56 sur les monocytes • avis hématologues (Dr. X) le 09.10.2018 : stabilité de l'hémogramme depuis 2018, pas d'apparition de cytopénie ni de blaste périphérique, pas d'indication à une nouvelle ponction de biopsie de moelle en l'absence de nouvelle constellation hématologique. Nodule pulmonaire spiculé infra-centimétrique en base gauche : • contrôles CT rapprochés. Restless leg syndrome. Hypertrophie prostatique. Nodule rénal droit de nature non précisée. Cardiopathie ischémique monotronculaire avec : • status post ACR sur probable trouble du rythme malin d'origine ischémique avec découverte d'une longue sténose de la coronaire D moyenne-distale le 18.09.2016 • coronarographie (septembre 2016) : dilatation et implantation de 3 stents au niveau de la coronaire droite moyenne-distale le 18.09.2016.coronarographie (avril 2017) : resténose focale 50-70 % intrastent actif dans la coronaire D distale, traitée par : PTCA au ballon à élution. Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule G conservées (FE : 63 %) Incontinence urinaire de stress grade II et de type urgence avec TOT le 21.01.2015 (Dr. X) avec actuellement une dysurie Douleurs abdominales et alternance diarrhées/constipation Etat anxio-dépressif chronique (DD : trouble bipolaire) Fibromyalgie Lombalgies chroniques avec irradiations spondylogènes dans le MID avec discopathies L4-L5 et L5-S1 Orteil en marteau flexible 2-3 pied G Migraines Cardiopathie ischémique monotronculaire avec : • Status post ACR sur probable trouble du rythme malin d'origine ischémique avec découverte d'une longue sténose de la coronaire D moyenne-distale le 18.09.2016 • Coronarographie (septembre 2016) : Dilatation et implantation de 3 stents au niveau de la coronaire droite moyenne-distale le 18.09.2016 • Coronarographie (avril 2017) : Resténose focale 50-70 % intrastent actif dans la coronaire D distale, traitée par : PTCA au ballon à élution. Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule G conservées (FE : 63 %). Incontinence urinaire de stress grade II et de type urgence avec TOT le 21.01.2015 (Dr. X) avec actuellement une dysurie Douleurs abdominales et alternance diarrhées/constipation Etat anxio-dépressif chronique (DD : trouble bipolaire) Fibromyalgie Lombalgies chroniques avec irradiations spondylogènes dans le MID avec discopathies L4-L5 et L5-S1 Orteil en marteau flexible 2-3 pied G Migraines Cardiopathie ischémique monotronculaire avec : • status post ACR sur probable trouble du rythme malin d'origine ischémique le 18.09.2016 avec découverte d'une maladie coronarienne monotronculaire (longue sténose de la coronaire D moyenne-distale) avec dilatation et implantation de 3 stents le 18.09.2016 • coronarographie (avril 2017) : resténose focale 50-70 % intrastent actif dans la coronaire D distale : PTCA au ballon à élution : bon résultat. Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule G conservées (FE : 63 %) Incontinence urinaire de stress grade II et de type urgence avec TOT le 21.01.2015 (Dr. X) avec actuellement une dysurie Douleurs abdominales et alternance diarrhées/constipation Etat anxio-dépressif chronique (DD : trouble bipolaire) Fibromyalgie Lombalgies chroniques avec irradiations spondylogènes dans le MID avec discopathies L4-L5 et L5-S1 Orteil en marteau flexible 2-3 pied G Migraines Cardiopathie ischémique monotronculaire : • FEVG conservée : 60 %, akinésie apicale Cardiopathie ischémique monotronculaire sur IVA : • double ostium de la coronaire gauche • FEVG 50 % Cardiopathie ischémique monotronculaire sur occlusion de l'IVA : • dysfonction VG systolique modérément-sévère, EF 35 % Cardiopathie ischémique multi-stentée (5 stents actifs sur la coronaire droite, plusieurs stents sur l'IVA, sténose significative de la coronaire droite et l'artère interventriculaire postérieure), dernière FEVG en 2015 à 65 % DM II HTA Cardiopathie ischémique, rythmique avec : • status après infarctus transmural antérieur subaigu Killip III avec œdème aigu du poumon le 18.04.2015 • maladie coronarienne bitronculaire à la coronarographie du 22.04.2015 (Dr. X) : • occlusion thrombotique de l'IVA moyenne et distale : PTCA/1 DES = 1 stent actif le 22.04.2015 • subocclusion de l'artère coronaire droite distale : PTCA/2 DES = 2 stents actifs le 23.04.2015 • fibrillation auriculaire paroxystique, sous anticoagulation depuis 2001 • QTc long à 500 ms • rétrécissement aortique modéré calcifié • FEVG à 40 % à l'échographie du 18.04.2016 • triple association Aspirine + Plavix + Sintrom jusqu'au 30.05.2016 • double association Plavix + Sintrom du 01.06. au 30.10.2016, puis Aspirine + Sintrom pour encore 6 mois, puis Sintrom seul (rectorragies) • Holter du 16.01.2017 : BAV du 1er degré avec un PQ maximal à 230 msec. Rythme de base sinusal avec une fréquence cardiaque moyenne à 74 bpm, maximale à 111 bpm, minimale à 56 bpm. Une extrasystole ventriculaire simple, de faible incidence. RR maximal à 1125 msec. Pas d'analyse possible du segment ST compte tenu du trouble de la conduction. Le patient s'est plaint de "tête qui tourne", sans modification apparente du tracé • échocardiographie du 05.2018 (Dr. X) : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie sévère de la paroi postérieure, de la paroi latérale moyenne et de la paroi latéro-basale et une hypokinésie modérée des segments restants. FEVG à 40 % (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Rétrécissement aortique non serré calcifié, d'origine dégénératif. Surface aortique à 1.3 cm² Gradient moyen VG-Ao à 22 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Oreillette gauche modérément dilatée. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4) • Bloc tri-fasciculaire avec bloc AV 1er degré, bloc de branche droit complet et hémibloc antérieur gauche. Pose de défibrillateur le 11.06.2018, compatibilité IRM : oui à 3 T corps entier, CRT-P, pacing à 50 bpm. Maladie de Conn sur hyperplasie surrénalienne droite avec status post-surrénalectomie droite en 1994. Insuffisance rénale chronique stade III (clairance 38 mL/min en 2017) avec micro-albuminurie à 50. Diabète de type 2 insulino-requérant. Cardiopathie ischémique, rythmique et hypertensive à FEVG conservée : • Maladie coronarienne tritronculaire avec quadruple pontage aorto-coronarien (mammaire interne gauche-interventriculaire antérieure, pont veineux-interventriculaire postérieure, pont veineux séquentiel-première diagonale-première marginale) le 23.01.2008 • NSTEMI possiblement secondaire dans contexte infectieux et arythmique en février 2013, avec ponts mammaires et veineux alors perméables • Fibrillation auriculaire chronique anticoagulée, bradycarde en 08/2018 avec implantation d'un pacemaker VVI le 16.08.2018 (Dr. X) • Hypertension artérielle mal contrôlée sous trithérapie Insuffisance rénale chronique stade G3b selon KDIGO, d'origine hypertensive probable, avec : • hyperparathyroïdie secondaire et hypovitaminose D avec substitution vitaminique • anémie normocytaire normochrome hyporégénérative • acidose métabolique traitée par Nephrotrans • 2 épisodes d'insuffisances rénales aigu (KDIGO 1 et 2) en été 2018 avec hyperkaliémies sévères, ayant nécessité hémodiafiltration pendant 48 h • hyperkaliémies nécessitant chélateurs potassiques Syndrome pulmonaire restrictif léger d'origine plurifactorielle • cyphose • atélectasie lobaire inférieur gauche • surélévation de la coupole diaphragmatique gauche Diabète de type II, actuellement plus traité (avec HbA1c le 21.02.2019 à 5.8 %) Hernie de la ligne blanche Cardiopathie ischémique, rythmique et valvulaire avec : • remplacement de la valve aortique par une valve biologique sur sténose aortique serrée en 2013 à Berne • maladie coronarienne bitronculaire : stent actif en 2013 sur l'artère interventriculaire antérieure • pacemaker implanté en 2013 (Medtronic ADAPTA ADSR01) sur BAV du 3ème degré avec FA postopératoire après remplacement de la valve aortique • FEVG à 55-60 % selon ETT de mars 2018 Insuffisance artérielle des membres inférieurs • multiples interventions angiologiques (2009, 2010, 2011, 2014) Trachéotomie et canule de conversation sur œdème du larynx post-opératoire au moment de l'extubation en 2013 Cardiopathie ischémique, rythmique et valvulaire sans dysfonction systolique (FEVG 65 % 11.2016)• Status post remplacement de la valve aortique par prothèse biologique Corevalve Evolute de 29 mm sans valvuloplastie par implantation valvulaire trans-aortique (TAVI) par voie fémorale droite (Dr. X) pour sténose aortique sévère (0.7 cm²) le 14.07.2016 • Implantation d'un pacemaker DDD-R pour bradycardie sinusale et bloc bifasciculaire post implantation de la valve le 15.07.2016 • Maladie bitronculaire avec s/p STEMI sur sténose de l'IVA proximale et lésion de la CD traitée par PCI / 1 DES (Dr. X) en 2010 • FA paroxystique cardioversée par Amiodarone et anticoagulée par Sintrom Artériopathie périphérique avec status post PTA/stent iliaque commune ddc en 2005 Insuffisance rénale chronique sur possible néphropathie hypertensive Syndrome métabolique avec: • Diabète de type 2 NIR • Obésité de stade I (BMI 31.8 kg/m²) • HTA traitée Goutte Incontinence urinaire État anxio-dépressif Leucoencéphalopathie vasculaire Déconditionnement important et troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute le 22.12.2017: • Fractures multiples: de la paroi antérieure du cotyle droit, de la crête pubienne droite, de la branche ischio-pubienne droite déplacée de 1,6 cm, de l'aileron sacré droit non déplacée avec hématome de l'iliopsoas droit de 6 x 2 cm. • Obésité, incontinence urinaire, troubles cognitifs, traitement • Status post pneumonie sur broncho-aspiration le 23.12.2017 Troubles cognitifs légers avec MMS à 23/30 et TH à 4/7 le 04.01.2018 Diabète de type 2 NIR AVC ischémique aigu du tronc cérébral le 11.06.2018 • Importants troubles de la déglutition DD: origine thrombo-embolique, embolie graisseuse Cardiopathie ischémique, rythmique (FA), valvulaire et hypertensive avec une maladie coronarienne tritronculaire avec : • Occlusion chronique de l'IVA proximale, sténoses significatives de la première diagonale, de l'ostium de la circonflexe proximale, de la première marginale et de la coronaire droite moyenne (Dr. X) • Double pontage aorto-coronarien (AMIG sur IVA et veines sur interventriculaire postérieure) (Dr. X) • Occlusion du pontage veineux sur l'interventriculaire postérieure le 23.11.2014 : PTCA et pose de 1 stent actif sur la coronaire droite moyenne : sténose subocclusive sur la coronaire droite moyenne, pontage AMIG sur l'artère interventriculaire antérieure avec un lit d'aval infiltré et une sténose à 50 % • Hypertrophie ventriculaire gauche modérée avec akinésie apicale et hypokinésie antérieure, FEVG à 35 %, le 05.02.2015 • Sténose aortique modérée (1.8 cm², gradient max/moyen 19/11 mmHg) sur bicuspidie fonctionnelle de type 1 (fusion des cusps coronaires droites et gauches) • Fermeture auriculaire en juin 2017 • ETT du 01.06.2017 : Device Watchman LAA Occluder 21 mm non visualisé en ETT. Absence d'épanchement péricardique. Ventricule gauche non dilaté avec une altération légère de la fonction systolique. FEVG 45-50 % en analyse visuelle. Sténose aortique serrée • NSTEMI type 2 lié à l'anémie sévère (08.2017) • ETT le 22.03.2018. Dispositif de fermeture du LAA type Watchman en place avec bonne fermeture. Pas de thrombus visualisé. FEVG 45 %. Sténose aortique modérée Facteurs de risque cardio-vasculaire avec : • Diabète de type 2 insulino-requérant avec rétinopathie diabétique et acuité visuelle à droite à 0.1 et à gauche à 0.5 • Obésité de classe I avec BMI à 31.7 kg/m², le 14.03.2017 • Hypertension artérielle • Hypercholestérolémie • Ancien tabagisme à 40 UPA, arrêté en 1999 • Insuffisance rénale chronique de stade III Artériopathie de stade IV du membre inférieur gauche avec : • Amputation sus-condylienne pour ischémie aiguë du membre inférieur droit le 09.01.2015 avec : • Choc hémorragique sur saignement du moignon et ACR intra-opératoires à 2 reprises • Nécrose cutanée infectée à Staphylococcus Aureus, Morganella morganii et ostéite de l'hallux gauche • Sténoses sub-occlusives des artères jambières gauches • Status post cure chirurgicale de l'ongle incarné du gros orteil gauche par Dr. X, le 27.03.2015 • Amputation de l'hallux gauche, le 17.07.2015 • Nécrosectomie et débridement, le 02.09.2015 • Amputation de l'avant-pied gauche le 27.11.2015 avec pose de VAC le 30.11.2015 Syndrome des apnées obstructives du sommeil, appareillé Troubles de l'adaptation, réaction mixte, anxieuse et dépressive avec Escitalopram dès le 18.02.2015 Tumeur des tissus mous de la face antérieure du coude gauche Cataracte à droite Hypoacousie à droite, non appareillée Hématurie macroscopique chronique d'origine indéterminée et multi-investiguée • Suivi Dr. X Cardiopathie ischémique, rythmique (FA), valvulaire et hypertensive avec une maladie coronarienne tritronculaire avec : • Occlusion chronique de l'IVA proximale, sténoses significatives de la première diagonale, de l'ostium de la circonflexe proximale, de la première marginale et de la coronaire droite moyenne (Dr. X) • Double pontage aorto-coronarien (AMIG sur IVA et veines sur interventriculaire postérieure) (Dr. X) • Occlusion du pontage veineux sur l'interventriculaire postérieure le 23.11.2014 : PTCA et pose de 1 stent actif sur la coronaire droite moyenne : sténose subocclusive sur la coronaire droite moyenne, pontage AMIG sur l'artère interventriculaire antérieure avec un lit d'aval infiltré et une sténose à 50 % • Hypertrophie ventriculaire gauche modérée avec akinésie apicale et hypokinésie antérieure, FEVG à 35 %, le 05.02.2015 • Sténose aortique modérée (1.8 cm², gradient max/moyen 19/11 mmHg) sur bicuspidie fonctionnelle de type 1 (fusion des cusps coronaires droites et gauches) • Fermeture auriculaire en juin 2017 • NSTEMI type 2 lié à l'anémie sévère (08.2017) • ETT le 18.02.2019 : progression de la sténose aortique, FEVG 45 % Cardiopathie ischémique s/p infarctus du myocarde en 2005 avec pontage coronarien (inscription de l'hôpital) • Ergométrie 28.05.2015 (Dr. X) : normale HTA traitée Cardiopathie ischémique : • Status post quadruple pontage aorto-coronarien il y a 15 ans Hypertension artérielle Hypercholestérolémie BPCO de stade II (VEMS/CVF à 72 % du prédit, VEMS à 63 % du prédit le 02.03.2017) NSCLC de type adénocarcinome du lobe supérieur droit, cT3 cN0 cM0, stade IIB : • Date du diagnostic : 10.03.2017 • Histopathologie PROMED P2839.17 : foyer d'adénocarcinome in situ dans du tissu alvéolaire dans le tissu péri-bronchique • CT thoracique du 30.01.2017 : lésion spiculée de 6 cm, segment postérieur du LSD, emphysème centro-lobulaire • PET du 01.03.2017 : hypercaptation du lobe supérieur droit, captation ganglionnaire hilaire droite et gauche • Bronchoscopie avec EBUS le 20.03.2017 : biopsie de la masse tumorale et des stations 11R et 4R (cellules néoplasiques, matériel étant insuffisant pour confirmer la présence d'une éventuelle métastase ganglionnaire). • IRM cérébrale du 21.03.2017 : absence de lésion suspecte de métastase • Fonctions pulmonaires du 02.03.2017 : FEV1 1.57 (67 %), DLCO corrigée 55 % • Médiastinoscopie le 22.03.2017 • Status post-lobectomie supérieure droite avec curage ganglionnaire par thoracotomie le 04.05.2017Parésie de la corde vocale droite probablement sur atteinte du nerf récurrent droit, diagnostiquée le 08.05.2017. Cardiopathie ischémique: • status post quadruple pontage aorto-coronarien il y a 15 ans • Hypertension artérielle • Hypercholestérolémie • BPCO stade II NSCLC de type adénocarcinome du lobe supérieur droit, cT3 cN0 cM0, stade IIB: • date du diagnostic: 10.03.2017 • histopathologie PROMED P2839.17: foyer d'adénocarcinome in situ dans du tissu alvéolaire dans le tissu péri-bronchique • CT thoracique du 30.01.2017 : lésion spiculée de 6 cm, segment postérieur du LSD, emphysème centro-lobulaire • PET du 01.03.2017 : hypercaptation du lobe supérieur droit, captation ganglionnaire hilaire droite et gauche • bronchoscopie avec EBUS le 20.03.2017 : biopsie de la masse tumorale et des stations 11R et 4R (cellules néoplasiques, matériel étant insuffisant pour confirmer la présence d'une éventuelle métastase ganglionnaire). • IRM cérébrale du 21.03.2017 : absence de lésion suspecte de métastase • fonctions pulmonaires du 02.03.2017 : FEV1 1.57 (67%), DLCO corrigée 55% • médiastinoscopie le 22.03.2017 • Status post-lobectomie supérieure droite avec curage ganglionnaire par thoracotomie le 04.05.2017. Cardiopathie ischémique sur maladie bitronculaire avec : • Coronarographie de 11.2018: PTA et stenting actif de la circonflexe. FEVG 65%. • NSTEMI le 08.09.2008 sur sténose significative de l'IVA proximale (associée à une dissection) et sténose significative de la CD • coronarographie 08.09.2008 : PTCA d'une sténose significative de l'IVA, 3 stents actifs sur l'IVA moyenne • coronarographie 09.09.2008 : angioplastie et mise en place de 3 stents sur l'artère coronaire droite • resténose de l'artère coronaire droite aux niveaux proximal, moyen et distal • coronarographie 23.01.2009 : mise en place de 2 stents actifs au niveau de la CD au niveau proximal et moyenne, PTCA de l'artère interventriculaire postérieure. FEVG estimée à 60 %. • coronarographie 2011 (suspicion angor instable) : bon résultat après stenting IVA • mise en place Reveal le 07.07.2015: dernier contrôle le 27.06.2018 (avec 18,1% épisodes de fibrillation auriculaire en 3 mois) Macro-adénome hypophysaire non sécrétant de 10 x 11 x 12 mm avec : • insuffisance somatotrope partielle • absence d'altération de la fonction des autres axes ante-hypophysaire • probable insuffisance corticotrope partielle • Hydrocortisone 10 mg 1x/j dès le 12.12.2017 arrêté au vu d'intolérance • absence d'insuffisance surrénalienne le 05.07.2018 (Test au Synacthen) Artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IIb à droit avec : suivi par Dr. X (PC prévu le 29.10.2018 à 14h) A droite : • angioplastie périphérique de l'artère fémorale superficielle droite avec mise en place d'un stent le 06.12.2007 • angioplastie et pose de stent fémoral superficiel et poplité en 2013 • angioplastie et pose de stent iliaque commun en juillet 2015 • status post-recanalisation de multiples sténoses à l'entrée et à la sortie des stents et intra-stent dans le tiers distal de la cuisse par des angioplasties au ballon nu et au ballon actif et une recanalisation d'une courte occlusion tibiale antérieure par angioplastie le 10.05.16 Suspicion de mésothéliome : • CT thoracique le 12.11.2015 : péjoration de l'épaississement de la plèvre diaphragmatique gauche touchant actuellement l'ensemble de celle-ci • Avis pneumologique (Dr. X) : probable mésothéliome compte tenu d'une possible exposition professionnelle et des images radiologiques Hypertension artérielle (traitée) Dyslipidémie (traitée) Dégénérescence maculaire liée à l'âge • Suivi ophtalmologique à la Clinique de l'Oeil Hernie hiatale (OGD 2006). Cardiopathie ischémique sur maladie bitronculaire avec : • Coronarographie de 11.2018: PTA et stenting actif de la circonflexe. FEVG 65%. • NSTEMI le 08.09.2008 sur sténose significative de l'IVA proximale (associée à une dissection) et sténose significative de la CD • coronarographie 08.09.2008 : PTCA d'une sténose significative de l'IVA, 3 stents actifs sur l'IVA moyenne • coronarographie 09.09.2008 : angioplastie et mise en place de 3 stents sur l'artère coronaire droite • resténose de l'artère coronaire droite aux niveaux proximal, moyen et distal • coronarographie 23.01.2009 : mise en place de 2 stents actifs au niveau de la CD au niveau proximal et moyenne, PTCA de l'artère interventriculaire postérieure. FEVG estimée à 60 %. • coronarographie 2011 (suspicion angor instable) : bon résultat après stenting IVA • mise en place Reveal le 07.07.2015: dernier contrôle le 27.06.2018 (avec 18,1% épisodes de fibrillation auriculaire en 3 mois) Macro-adénome hypophysaire non sécrétant de 10 x 11 x 12 mm avec : • insuffisance somatotrope partielle • absence d'altération de la fonction des autres axes ante-hypophysaire • probable insuffisance corticotrope partielle • Hydrocortisone 10 mg 1x/j dès le 12.12.2017 arrêté au vu d'intolérance • absence d'insuffisance surrénalienne le 05.07.2018 (Test au Synacthen) Artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IIb à droit avec : suivi par Dr. X (PC prévu le 29.10.2018 à 14h) A droite : • angioplastie périphérique de l'artère fémorale superficielle droite avec mise en place d'un stent le 06.12.2007 • angioplastie et pose de stent fémoral superficiel et poplité en 2013 • angioplastie et pose de stent iliaque commun en juillet 2015 • status post-recanalisation de multiples sténoses à l'entrée et à la sortie des stents et intra-stent dans le tiers distal de la cuisse par des angioplasties au ballon nu et au ballon actif et une recanalisation d'une courte occlusion tibiale antérieure par angioplastie le 10.05.16 Suspicion de mésothéliome : • CT thoracique le 12.11.2015 : péjoration de l'épaississement de la plèvre diaphragmatique gauche touchant actuellement l'ensemble de celle-ci • Avis pneumologique (Dr. X) : probable mésothéliome compte tenu d'une possible exposition professionnelle et des images radiologiques Hypertension artérielle (traitée) Dyslipidémie (traitée) Dégénérescence maculaire liée à l'âge • Suivi ophtalmologique à la Clinique de l'Oeil Hernie hiatale (OGD 2006). Cardiopathie ischémique sur maladie coronarienne bitronculaire, 11/18 • status post-STEMI inférieur le 09.11.2018 sur occlusion thrombotique ACD proximale : traitée par PCI (avec 1 DES) • status post-NSTEMI le 27.11.2018 : 1 DES dans l'artère circonflexe proximale Hyperplasie de la prostate avec adénopathies pelvienne au CT du 11.01.19. Cardiopathie ischémique sur maladie coronarienne tritronculaire avec pose de deux stents actifs en 2015. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Hypertrophie bénigne de la prostate. Lithiase vésicale de 6cm et lithiase urétérale gauche 12mm x 9mm à proximité de la jonction vésico-urétérale : • Le 28.11.2018, Dr. X : laparotomie médiane pré-péritonéale, pose d'une sonde double J gauche et excision de la lithiase vésicale Reflux vésico-urétéral : cystographie le 12.12.2018, par Dr. X. Cardiopathie ischémique sur maladie coronarienne tritronculaire avec pose de deux stents actifs en 2015. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Hypertrophie bénigne de la prostate. Reflux vésico-urétéral : cystographie Dr. X 12.12.2018. Cardiopathie ischémique tritronculaire. Cardiopathie ischémique tritronculaire : • 21.12.2018 : décompensation cardiaque avec : • dyspnée stade III-IV depuis la veille (auparavant seulement à l'effort II selon NYHA) • NT-proBNP 1'337 • traitement : Torasémide et Lasix • Status post NSTEMI antéro-latéral avec subocclusion de l'IVA (12.03.2018) et pose de 2 stents actifs (Dr. X, HFR Fribourg-Hôpital cantonal).• FEVG 48% sur hypokinésie modérée antéro-latérale • status post infarctus du myocarde en 2002 avec implantation de 3 stents • status post infarctus du myocarde en 1987 • 12.03.2018 : ETT : FEVG 50-55%, cinétique non visualisable, IM stade 1/4, IT stade 1/4 Actuel : • 23.11.2018 : double revascularisation myocardique par pontage de l'AMIG en séquentiel sur l'IVA et la diagonale • 11.12.2018 : ETT : fonction globale légèrement diminuée avec une hypokinésie du septum basal (DD en post-opératoire), fonction systolique VD discrètement altérée (DD post-opératoire). Minime épanchement péricardique sans répercussion hémodynamique. Cardiopathie ischémique tri-tronculaire et hypertensive : • sténose significative de l'IVA proximale et de la CD moyenne et distale • FEVG à 60% • triple pontage aorto-coronarien le 23.09.2014, veine saphène sur la CDIII et pontage mammaire gauche sur l'IVA II • suivi par Dr. X Tachycardie supra-ventriculaire avec angor fonctionnel le 03.01.2018. Infarctus type 2 le 21.07.2018 sur probable déshydratation. BPCO stade IV D selon GOLD : • ancien tabagisme à 50-60 UPA • HTP avec PAPS 80 mmHg • obstruction complète de la bronche lobaire moyenne d'origine indéterminée, de découverte fortuite le 19.03.2015 (DD atélectasie sur obstruction DD infiltration maligne DD pneumonie basale droite) • emphysème à prédominance droite • spirométrie du 03.04.2018 : CVF 2.13 lt (67% du prédit), VEMS 0.74 lt (30% du prédit), Tiffeneau 34.7% • oxymétrie nocturne du 06.04.2018, sous O2 2 lt/min : SpO2 moyenne 95.2%, index des événements de désaturation 0.2/heure. Insuffisance rénale chronique stade IIIB • sonde vésicale pour globe à répétition depuis 2014 • dialyse durant 1 an terminée en janvier 2016 suite à la chirurgie abdominale. Troubles anxio-dépressifs Syndrome des apnées du sommeil modéré Probables séquelles ischémiques médullaires associées à des séquelles musculaires avec polyneuropathie axonale sensitivomotrice prédominant du côté gauche. Neuropathie sensitive et neuropathie péronière gauche probablement séquellaire au syndrome des loges et de la neuro-myopathie des soins liée à l'hospitalisation prolongée en 2014-2015. Cardiopathie ischémique, valvulaire et dysrythmique avec : • Fibrillation auriculaire permanente anticoagulée • ETT du 20.06.2016 : fonction ventriculaire gauche conservée avec une akinésie apicale, FEVG à 58% ; dilatation sévère de l'oreillette gauche ; bon fonctionnement de la valve aortique biologique ; insuffisance mitrale de grade 2 avec calcification de l'anneau postérieur ; hypertension pulmonaire calculée à 48 mmHg, dilatation des veines sus-hépatiques • Status après remplacement de valve aortique par bioprothèse 21 mm en 2004 en raison d'une syncope en octobre 2004 sur thrombose de la valve aortique prothétique (mauvaise compliance au traitement) • Status après infarctus apical en 2000 sur probable embolie sur défaut d'anticoagulation • Status après remplacement de valve aortique pour sténose aortique par valve mécanique en 1992 Hypercholestérolémie Côlon irritable Hypoacousie bilatérale appareillée Ostéoporose Épilepsie en 2004 puis nouvel épisode lors de l'opération de la cataracte en 2010 Pneumopathie à Cordarone le 24.06.2018 Accident vasculaire cérébral il y a 10 ans Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Gonarthrose bilatérale • Lombalgies chroniques • Troubles visuels sur cataracte • Troubles cognitifs • Hypoacousie bilatérale appareillée • Ostéoporose Syndrome de Cushing sur consommation chronique (depuis fin juin 2018) de Prednisone Cardiopathie ischémique, valvulaire et dysrythmique avec : • Maladie coronarienne tri-tronculaire et status après stent de l'artère circonflexe moyenne (décembre 2005) • Maladie aortique à prédominance de sténose lâche et insuffisance mitrale modérée (connue depuis 2005) • Fibrillation auriculaire paroxystique depuis juin 2003 • Status post-ablation d'une fibrillation auriculaire au HUG en 2006 HTA. Hypercholestérolémie. Cardiopathie ischémique, valvulaire et dysrythmique • NSTEMI secondaire dans le contexte septique le 11.02.2019 • Coronaropathie avec hypokinésie inféro-basale • Angiographie coronaire 05.2017 : EF 70%, insertion d'un stent avec une sténose à 50% dans l'artère interventriculaire antérieure • fibrillation auriculaire paroxystique (2012) • bloc atrio-ventriculaire 1ère année • Prolapsus de la valve mitrale sans insuffisance Cardiopathie ischémique. Hypertension artérielle. Cardiopathie ischémique IAMI (suivi Dr. X) Diabète inaugural le 31.07.2018 Cardiopathie mixte à fonction conservée (FEVG à 65% le 05.12.2018) sur : • origine rythmique (FA anticoagulée par Eliquis) • origine valvulaire (SA sévère à 0.72 cm², IT modérée à sévère grade 3/4 en 12.2018) • origine hypertensive HTAP chronique modérée (PAPS 63 mmHg le 05.12.18) d'origine mixte sur : • origine post-capillaire sur insuffisance cardiaque G • hypoxémie chronique secondaire à une SAOS • sans éléments en faveur de maladie thromboembolique (CT du 05.06.17 et scintigraphie du 06.06.17) Insuffisance rénale chronique stade III (DFG à 47 mL/min selon Cockcroft-Gault) Syndrome myélo-prolifératif de type myélofibrose chronique idiopathique depuis 2007 avec : • anémie normochrome normocytaire arégénérative Diverticulose sigmoïdienne Tassement de L1 Goutte Hernie ombilicale Syndrome d'apnée du sommeil appareillé Cardiopathie mixte ischémique et valvulaire avec status post-infarctus inférieur en 2007 stenté • ETT 17.09.18 : FEVG 54%. Insuffisance mitrale modérée voir sévère (grade 2-3/3) secondaire, insuffisance aortique minime (grade 1/3), dysfonction diastolique modérée (grade II). Autres FRCV : • Hypertension artérielle • Tabagisme actif (20 UPA) Traitement complexe en médecine palliative dès le 25.09.2018 • Facteur de performance : ECOG 3 PPS : 50% • MIF (motrice) : 75 • Malnutrition protéino-énergétique grave (NRS 5/7) • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : Mobilité, Fatigue Cardiopathie mixte ischémique et valvulaire avec status post-infarctus inférieur en 2007 stenté • ETT 17.09.2018 (Dr. X) : FEVG 54%. Insuffisance mitrale modérée voir sévère (grade 2-3/3) secondaire, insuffisance aortique minime (grade 1/3), dysfonction diastolique modérée (grade II). Autres FRCV : • Hypertension artérielle • Tabagisme actif (20 UPA) Traitement complexe en médecine palliative dès le 25.09.2018 • Facteur de performance : ECOG 3 PPS : 50% • MIF (motrice) : 75 • Malnutrition protéino-énergétique grave (NRS 5/7) • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : mobilité, fatigue • Orientation planifiée (lieu) : retour à domicile avec aide ; alternative : Hôpital aigu Cardiopathie restrictive sur sclérodermie et HTAP (groupe 1) avec : • FEVG à 55% selon ETT de février 2017 • IRM cardiaque du 23.02.2017 sans argument pour une pathologie infiltrative • FA permanente anticoagulée • status post 2 cardioversions électriques sans succès Suspicion de cirrhose biliaire primitive depuis 2017 • ANA positifs, anti-mitochondrie M2 positifs et anti-centromères positifs, CRP et VS élevées (27.03.2017) • paramètres de cholestase élevés, bonne évolution sous Ursochol • foie de taille, configuration et densité normales selon CT de l'abdomen du 27.02.2017 • prurit en 2016, actuellement résolu Insuffisance rénale chronique Syndrome des apnées obstructives du sommeil • appareillé pendant 18 mois par CPAP • oxymétrie nocturne en juillet 2017 : index des événements de désaturations à 1/heure, pas de reprise de la CPAP Glaucome Polyneuropathie possiblement d'origine éthylique Hypoacousie bilatérale appareillée Cardiopathie rythmique • Fibrillation auriculaire paroxystique dans le contexte septique le 12.06.2018 -- CHADS2VASC : 3 points -- Anticoagulation thérapeutique par Edoxaban • FEVG à 70 % • Sténose aortique lâche • Cavités droites discrètement dilatées avec HTAP minime (PAPs à 41 mmHg) • Calcifications coronariennes au CT-scanner du 10.06.2018 Cardiopathie rythmique : • Holter du 22.10.2018 : extrasystolie ventriculaire complexe avec un rythme idioventriculaire accéléré (RIVA) de 5 bpm • Cardiopathie ischémique monotronculaire avec dysfonction systolique sévère (FEVG à 33% le 03.01.2019) Actuellement : pose élective d'un défibrillateur - pacemaker DDD le 07.02.2019 (Dr. X) Cardiopathie rythmique anticoagulée sous Sintrom le 10.02.2019 • avec anticoagulation supra-thérapeutique CHADVASC 4pts Cardiopathie rythmique avec : • s/p défibrillateur mis en place en 2017 pour une tachycardie ventriculaire soutenue le 18.02.2019 • ETT du 30.01.2019 : hypokinésie sévère du septum moyen et de la paroi latérale moyenne, FEVG à 30%, diminution du débit cardiaque calculé à 3.46 l/min avec un index cardiaque à 1.73 l/min/m2 Actuellement : rajout d'une sonde gauche pour une resynchronisation au défibrillateur Cardiopathie rythmique avec : • Status post-thermoablation cardiaque en octobre 2011 pour tachycardie atriale • Récupération complète de la fonction systolique ventriculaire G avec FE 70% 11.2011 • Hypotension sévère et bradycardie sévère à l'induction de l'anesthésie générale le 06.02.2017 • Echocardiographie 19.11.18 : FEVG 70-80%, cavités cardiaques de taille normale. Tabagisme actif 50 UPA BPCO (Relvar Ellipta et Ventolin en R) Syndrome d'apnées du sommeil Syndrome métabolique avec : • Obésité classe III selon OMS (BMI à 40 kg/m2) • Dyslipidémie traitée • Hypertension artérielle État dépressif Cardiopathie rythmique avec BAV 3ème degré • pose de pacemaker DDD le 04.02.2019 Cardiopathie : • rythmique avec FA paroxystique depuis 2011 jusqu'à présent anticoagulée par Marcoumar • valvulaire : Remplacement valvulaire aortique par prothèse biologique (19 mm Edwards Lifesciences Perimount Magna Ease) par Dr. X et anuloplastie mitrale le 08.09.2015 pour sténose aortique sévère et insuffisance mitrale modérée avec coronaires saines et FEVG 55-60%. (fermeture auricule gauche dans le même temps opératoire) • hypertensive Dernière ETT en janvier 2018 (Dr. X) : Hypokinésie globale modérée avec FEVG à 40%, importante dilatation oreillette G, HTAP minime Hyperthyroïdie sur goitre multinodulaire toxique Rosacée Diverticulose Orteils en griffe avec hyperkératose pointe plantaire P3 D4 droite douloureuse, affaissement voute plantaire droite et arthrose du pied. Affaissement de la voûte plantaire D et arthrose du pied Ostéopénie Lombalgies sur troubles dégénératifs multi-étagés avec discopathies sévères L2-S1 sans hernie, arthrose post étagée (liquide L4-L5), contact L4 gauche avec spondylophyte extra-foraminal, pas de CLE Cardiopathie rythmique avec pacemaker (juillet 2015) et traitée par Amiodarone Hyperuricémie sous Allopurinol (mais mal compliance) Cardiopathie rythmique avec pacemaker mis en place il y a 19 ans : • dernier contrôle en 02/2018 par Dr. X, normal (prochain contrôle à 6 mois) Hypertension artérielle Insuffisance rénale probablement chronique sur néphropathie hypertensive le 27.05.2015 : • avec clairance de la créatinine selon MDRD à 45 ml/min, FEU de 51.7% Status post cure de cancer prostate en 2008 • pas de prise en charge chirurgicale • suivi par Dr. X Vertiges associés à une hypoacousie traités par corticothérapie pour une suspicion de maladie de Ménière en 2005 Vertiges d'origine orthostatiques depuis 2015 • DD : sur sténose de l'artère vertébrale (V4) gauche Cardiopathie rythmique • chez un patient avec rythme électro-entrainé (pose de pacemaker en 2015) Cardiopathie rythmique et coronarienne et valvulaire aortique (Pmoyen 56mmHg ; SOF 1 cm2) Valvulopathie aortique avec sténose sévère : 07.01.2019 : mise en place d'un TAVI et d'un pace-maker double chambre DDD le 07.01.2019 Cardiopathie rythmique et hypertensive avec : • coronarographie en septembre 2017 : sclérose coronarienne • BBG nouveau septembre 2017 • Fonction systolique du ventricule gauche normale (EF 65%) en septembre 2017 • Fibrillation auriculaire sous Sintrom Asthme traité Hyperuricémie Hypercholestérolémie traitée Canal lombaire étroit multi-étagé avec sténose L3/L4 et L4/L5 de grade C avec kyste arthrosique L4/L5 médian avec : • Décompression par laminectomie L3/L4 et L4/L5 bilatérales en crossover par la droite le 08.11.2017 Trouble de l'équilibre DD : sur polyneuropathie • Hypopallesthésie aux MI ddc 2/8 • Bilan biologique polyneuropathie dans la norme Cardiopathie rythmique et hypertensive avec : • écho du 30.05.2017 : FEVG à 45% ; hypertrophie concentrique homogène avec aspect hyperéchogène du myocarde, ventricules de petite taille et importante dilatation biatriale • coro du 02.06.2017 : sclérose coronarienne non obstructive. Forte suspicion de maladie infiltrative cardiaque (pas d'investigations supplémentaires vu l'âge du patient et de ses comorbidités). Hyperplasie bénigne de la prostate. Dyslipidémie. Kystes rénaux. Insuffisance rénale chronique. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs. Anémie hypochrome et normocytaire. Nonamnestic mild cognitive multidomain impairment. Malnutrition protéino-énergétique. Récidive d'un carcinome épidermoïde pré-auriculaire droit, classé initialement cT4 cN0 cMx avec • status post-excision à 2 reprises d'un carcinome épidermoïde du pavillon auriculaire droit en 2006 • status post-excision d'un carcinome épidermoïde pré-auriculaire droit en 2011 et en 2013 • radiothérapie à visée curative de la région péri-auriculaire droite du 28.09 au 23.10.2015 • amputation du pavillon de l'oreille droite avec fraisage de l'os tympanal et reconstruction par lambeaux locaux et mise en place d'un implant d'épithèse 05.07.2016 • PICO vac depuis juin 2017. • Insuffisance rénale chronique. • Hydratation. • Labo : créat 115 umol/L; urée 19.6. • Cardiopathie rythmique et hypertensive avec > coronarographie en septembre 2017 : Sclérose coronarienne > BBG nouveau septembre 2017 > Fonction systolique du ventricule gauche normale (EF 65%) en septembre 2017 > Fibrillation auriculaire sous Sintrom • Asthme traité • Hyperuricémie • Hypercholestérolémie traitée • Canal lombaire étroit multi-étagé avec sténose L3/L4 et L4/L5 de grade C avec kyste arthrosique L4/L5 médian avec : > Décompression par laminectomie L3/L4 et L4/L5 bilatérales en crossover par la droite le 08.11.2017 • Trouble de l'équilibre DD : sur polyneuropathie > Hypopallesthésie aux MI ddc 2/8 > Bilan biologique polyneuropathie dans la norme • Cardiopathie rythmique et hypertensive > FA, avec Pacemaker en 2018 • Cardiopathie rythmique et hypertensive > Pose de pacemaker le 21.12.2017 pour bradycardie instable sur bloc atrio-ventriculaire du 2° Mobitz II et du 3° (boitier non IRM compatible) > FEVG à 65% • BPCO de stade II selon Gold > VEMS à 58% du prédit en 2011 • Insuffisance rénale chronique de stade KDIGO G3b d'origine hypertensive probable : > GFR selon MDRD à 40 ml/min le 09.02.2019 • Hyperplasie bénigne de la prostate avec prostatisme modéré • Suspicion d'artériopathie oblitérante des membres inférieurs prédominants à droite • Cardiopathie rythmique et hypertensive > Pose de pacemaker le 21.12.2017 pour bradycardie instable sur bloc atrio-ventriculaire du 2° Mobitz II et du 3° > FEVG à 65% • BPCO de stade II selon Gold > VEMS à 58% du prédit en 2011 • Hyperplasie bénigne de la prostate avec prostatisme modéré • Dénutrition protéino-énergétique • Suspicion d'artériopathie oblitérante des membres inférieurs prédominants à droite • Cardiopathie rythmique et valvulaire avec : > fibrillation auriculaire persistante sur status après cardioversion médicamenteuse en 2007, anticoagulée par Xarelto > sténose aortique FEVG 65%. • Hypercholestérolémie. • Diabète type 2. • Hypertension artérielle. • Cardiopathie rythmique (FA), valvulaire (sténose aortique serrée), ischémique (maladie coronarienne monotronculaire) et hypertensive sur maladie coronarienne monotronculaire avec : > sténose serrée aortique à 0.63cm2 > insuffisances aortique, mitrale et tricuspidienne minimes (1/3) > PTCA/DES CD moyenne le 30.10.2018 > fermeture auriculaire élective le 26.11.2018 compliquée d'une tamponnade cardiaque le 27.11.2018 nécessitant un drainage péricardique > Dernière ETT (07.12.2018) : FEVG à 60% • Absence de sténose au niveau des vaisseaux iliaques. • Cardiopathie rythmique, valvulaire et coronarienne • Hypothyroïdie substituée • Sd de détresse respiratoire aigüe sur sepsis nosocomiale et pneumonie atypique le 05.11.2018 • Prothèse totale de hanche droite pour coxarthrose avancée le 01.11.2018 • Cholangite avec nausées récidivantes le 15.11.2018 • Polyneuropathie • Dénutrition protéino-calorique moyenne (NRS 4/7, BMI 20.4) • Insuffisance rénale chronique stade G3a KDIGO • Anémie normochrome normocytaire post-opératoire • Suspicion de troubles cognitifs débutants (29.11.2018 MMS 26/30, GDS 5/15, Uhrtest 6/7) • Troubles de l'acuité visuelle peu claire avec notion de diplopie en cours d'exploration • Cardiopathie rythmique • HTA • FA permanente anticoagulée par Sintrom • Ostéoporose • Cardiopathie septique le 07.01.2019 > ETT le 08.01.2019, le 10.01 et le 14.01.2018 : FEVG 35% initialement avec amélioration à 60%. > Traitement par Lasix puis Torem • Cardiopathie septique le 07.01.2019 > ETT le 08.01.2019, le 10.01 et le 14.01.2018 : FEVG 35% initialement avec amélioration à 60%. > traitement par Lasix puis Torem • Cardiopathie tumorale et bitronculaire avec excision d'un fibrome élastome du feuillet gauche de la valve pulmonaire et plastie valvulaire par patch en péricarde autologue en août 2018. • Dyspnée NYHA III chronique sur emphysème centro-lobulaire et paraseptal avec bronchectasie AOMI stade IIa. • Cardiopathie ischémique : > statut post infarctus cardiaque en 1973, 1997. • Psoriasis cutané sévère. • Hyperplasie de la prostate. • Gonarthrose bilatérale. • Douleurs inguinales droites chroniques sur probable syndrome de Maigne avec infiltration point de crête postérieur droit par Rapidocaine 0.5% le 24.05.2018 avec bon effet. • Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multi-factorielle. • Cardiopathie valvulaire > ETT (07.11.2017) : FEVG normale, sténose aortique de grade moyen, valve mitrale sclérosée sans sténose avec faible insuffisance. > Poids cible en cas de décompensation cardiaque : 89 Kg > Aspirine cardio actuellement en pause puis reprise le 17.01.2019 > Facteurs de risque cardio-vasculaire : obésité, hypercholestérolémie, hypertension artérielle • Insuffisance veineuse chronique > s/p trois opérations de varices • Reflux gastro-oesophagien • Sigmoïdite diverticuleuse • Pneumopathie obstructive • Rhinites conjonctivites et asthme bronchitique saisonnier • Cardiopathie valvulaire : > prolapsus de la valve mitrale • Ostéopénie • Polyarthrose • Cluster headache • Hémisyndrome sensitif facio-brachio-crural gauche et parésie faciale gauche fonctionnels connus depuis l'âge de 20 ans • Hernie hiatale • Cardiopathie valvulaire : > prolapsus de la valve mitrale • Ostéopénie • Polyarthrose • Cluster headache • Hémisyndrome sensitif facio-brachio-crural gauche et parésie faciale gauche fonctionnels connus depuis l'âge de 20 ans • Hernie hiatale • Cardiopathie valvulaire avec insuffisance aortique 1/4 et insuffisance tricuspidienne 1/4. • Hypertension artérielle. • Syndrome anxiodépressif. • Kyste bien délimité au niveau de la queue du pancréas DD IPMN side-branch. • Cardiopathie valvulaire et dysrythmique : > fibrillation auriculaire chronique anticoagulée > statut post-commissurotomie pour sténose mitrale en 1981 > statut post-remplacement valvulaire mitral (2005) par une prothèse St-Jude pour sténose sévère associée à une insuffisance modérée d'origine rhumatismale > coronarographie en 2005 : coronaires saines > échocardiographie du 14.05.2009 : FEVG estimée à 49%. Hypokinésie latéro-septale. Présence d'une prothèse mécanique à ailettes en position mitrale non-sténosante mais fuyante avec une cinétique normale, sans dysfonction. Oreillette gauche très dilatée. • Cardiopathie valvulaire et ischémie avec : a) Maladie coronarienne bitronculaire : > sténose significative de l'IVA proximale-moyenne : PTCA / 2 x DES (bon résultat) > sténose significative de l'ACD distale > FEVG 35% > statut post PCI de l'IVA le 13.11.2018 et de l'ACD le 28.11.2018 b) Sténose aortique sévère : > surface mesurée à 0.56 cm2 > gradient moyen 41 mmHg > HTA pulmonaire (sPAP 52 mmHg) > 20.12.2018 : implantation d'une prothèse valvulaire par voie trans-carotidienne (TAVI) + pose de pacemaker (Medtronic, monochambre) • Cardiopathie valvulaire et ischémique bitronculaire : > sténose significative de M1 : PCI avec 1 x DES in RCX en 07.2017 > sténose IVA moyenne, non significative (50% à la coronarographie du 07.2016) > test d'effort du 20.09.2018 : significatif, cliniquement négatif, électriquement positif (déjà décrit par le passé). Capacité à l'effort supra-maximale : 130% (170% en 2017). > sténose aortique medium-sévère : surface aortique par planimétrie à 1.06 cm2 (0.53 cm2/m2), dPmeam/max 26/44 mmHg). > légère insuffisance mitralique > échocardiographie du 20.09.2018 : FEVG 65% • Procédure : > 16.01.2019 : prothèse biologique de l'aorte (Inspiris Resilia, 25mm) • Cardiopathie valvulaire et ischémique bitronculaire avec une FEVG à 35% le 21.02.2019 > ETO en juin 2018 : dilatation modérée du ventricule gauche, sans hypertrophie avec une akinésie de la paroi inférieure, une hypokinésie sévère du septum moyen, du septum basal et de la paroi postérieure moyenne et une hypokinésie modérée des segments restants. FEVG à 35% (méthode de Simpson). Géométrie normale du ventricule gauche. S/p infarctus inféropostérieur en novembre 2016 • Insuffisance mitrale sévère d'origine ischémique avec Mitraclip en juin 2017 Cardiopathie valvulaire et ischémique monotronculaire • Remplacement de la valve aortique par bioprothèse SPV-Torontoklappe (Stentless-Bioprothese) dans un contexte d'insuffisance aortique sévère d'étiologie peu claire 02/2001 (Dr. X) • Revascularisation de la branche marginale par pontage veineux dans le contexte d'une cardiopathie mono-tronculaire 02/2001 (Dr. X) • Coronarographie 18/12/2018 : pontage marginal ouvert, sténose intermédiaire circonflèxe proximale, FEVG 65% • ECG 11/2015 : rythme sinusal normocarde, QRS élargis, axe hypergauche dans le cadre d'un bloc de branche gauche complet Cardiopathie valvulaire et rythmique : • Remplacement de valve mitrale et aortique (St-Jude) en 1989 • Gradient de pression transaortique élevé (27 mmHg) avec insuffisance modérée • Gradient de pression transmitral modéré (8 mmHg) • FEVG 45 % • Fibrillation auriculaire chronique sur dilatation de l'OG (sténose de la prothèse mitrale) sous Sintrom Hypertension artérielle traitée Syndrome de dépendance à l'alcool : • Delirium tremens en 2008 • Consommation d'environ 50 unités/semaine Polyneuropathie des membres inférieurs probablement d'origine alcoolique Douleurs chroniques genou et tibia des deux côtés sur accident de la voie publique Anémie normocytaire hypochrome régénérative à 83 g/l le 18.01.2018 multifactorielle sur : • hémolyse sur valves cardiaques mécaniques • état inflammatoire • carentiel (fer et acide folique) Epilepsie traitée par Keppra (indépendant de la consommation d'alcool/sevrage) Lésions ischémiques possiblement subaiguës constituées cérébelleuses droites dans le territoire de la PICA (connu depuis 10.2016) Lésion polypoïde de l'antre de l'estomac le 03.04.2018 Malnutrition protéino-énergétique modérée avec dysphagie Baisse de l'acuité visuelle sur dégénérescence maculaire et presbytie Plaies chroniques des pieds (protocole de pansements en place par Spitex (1x/jour)) Cardiopathie valvulaire et rythmique : • remplacement de valve mitrale et aortique (St-Jude) en 1989 • gradient de pression transaortique élevé (27 mmHg) avec insuffisance modérée • gradient de pression transmitral modéré (8 mmHg) • FEVG 45 % • fibrillation auriculaire chronique sur dilatation de l'OG (sténose de la prothèse mitrale) sous Sintrom Hypertension artérielle traitée Syndrome de dépendance à l'alcool : • delirium tremens en 2008 • consommation d'environ 50 unités/semaine Polyneuropathie des membres inférieurs probablement d'origine alcoolique Douleurs chroniques genou et tibia des deux côtés sur accident de la voie publique Anémie normocytaire hypochrome régénérative à 83 g/l le 18.01.2018 multifactorielle sur : • hémolyse sur valves cardiaques mécaniques • état inflammatoire • carentiel (fer et acide folique) Epilepsie traitée par Keppra (indépendant de la consommation d'alcool/sevrage) Dyskinésies tardives sur traitement de neuroleptiques traitée par Akineton et Sirdalud Lésion polypoïde de l'antre de l'estomac le 03.04.2018 Malnutrition protéino-énergétique modérée avec dysphagie Baisse de l'acuité visuelle sur dégénérescence maculaire et presbytie Plaies chroniques des pieds • Protocole de pansements en place par Spitex (1x/j) Cardiopathie valvulaire et rythmique : • remplacement de valve mitrale et aortique (St-Jude) en 1989. • gradient de pression transaortique élevé (27 mmHg) avec insuffisance modérée. • gradient de pression transmitral modéré (8 mmHg). • FEVG 45 %. • fibrillation auriculaire chronique sur dilatation de l'OG (sténose de la prothèse mitrale) sous Sintrom. Hypertension artérielle traitée. Syndrome de dépendance à l'alcool. • delirium tremens en 2008. • consommation d'environ 50 unités/semaine. Polyneuropathie des membres inférieurs probablement d'origine alcoolique. Douleurs chroniques genou et tibia des deux côtés sur accident de la voie publique. Anémie normocytaire hypochrome régénérative à 83 g/l le 18.01.2018 multifactorielle sur : • hémolyse sur valves cardiaques mécaniques. • état inflammatoire. • carentiel (fer et acide folique). Epilepsie traitée par Keppra (indépendant de la consommation d'alcool/sevrage). Dyskinésies tardives sur traitement de neuroleptiques traitée par Akineton et Sirdalud. Lésion polypoïde de l'antre de l'estomac le 03.04.2018. Malnutrition protéino-énergétique modérée avec dysphagie. Baisse de l'acuité visuelle sur dégénérescence maculaire et presbytie. Plaies chroniques des pieds. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielles avec mise en danger (anticoagulation), soins impossibles à domicile et multiples consultations hospitalières pour des TCC (4 en 5 mois) : • Alcoolisme chronique. • Polyneuropathie des membres inférieurs. • Lésion parenchymateuse séquellaire cérébelleuse droite. • Inégalité de longueur des membres inférieurs. • Malvoyance. Cardiopathie valvulaire et rythmique avec : • fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom • remplacement de la valve aortique par prothèse Corevalve 29 mm par voie percutanée (TAVI) le 12.10.2012 sur sténose aortique (surface à 0.99 cm2, 0.72 cm2/m2) entre septembre et novembre 2012 • pacemaker monocaméral implanté le 13.10.2012 suite à bradycardie avec arrêt cardiorespiratoire • fraction d'éjection du ventricule gauche à 60 % en 2012. Côlon irritable. Insuffisance rénale chronique. Anémie hypochrome normocytaire chronique. Broncho-pneumopathie chronique obstructive. Glaucome. Cardiopathie valvulaire et rythmique avec : • valvuloplastie mitrale 2004 (CHUV) • suivi par le Dr. X • échographie en 09.2018 avec FEVG à 40 % Hypothyroïdie Goutte Insuffisance rénale chronique Prostatisme sous Pradif Déviation de la commissure labiale G à début indéterminé • IRM cérébrale 20.07.2018 : pas de signe pour un événement ischémique, pas de saignement, pas de masse cérébrale. Bicytopénie avec : • anémie macrocytaire et normochrome à 111 g/l • thrombopénie chronique depuis 2015 entre 131 et 145 g/l DD : syndrome myélodysplasique Bilan vitaminique, ferritine et TSH : sans particularités Suivi biologique Hypovitaminose D Cardiopathie valvulaire (insuffisance tricuspidienne). Artériopathie asymptomatique des membres inférieurs avec athéromatose aorto-iliaque et fémoro-poplitée bilatérale. Fibrillation auriculaire permanente avec : • CHADS VASAC à 4 • HAS BLED à 4. Cardiopathie valvulaire, ischémique et rythmique : • s/p PCI de l'IVA le 13.11.2018 et de l'ACD le 28.11.2018, FEVG 35 % • implantation d'une prothèse valvulaire par voie trans-carotidienne CoreValve Evolut Pro 26 mm (TAVI) et mise en place d'un pacemaker (Clinique Cécile, X/X/X) • maladie du sinus avec s/p FA rapide en novembre 2018 sous Cordarone, non anticoagulée • échocardiographie du 27.02.2019 (Dr. X) : FEVG sévèrement diminuée à 25 %, débit cardiaque diminué. Dysfonction diastolique de grade II. Pression de l'oreillette gauche augmentée. Fonction acceptable de la prothèse aortique avec minime fuite paravalvulaire. Régurgitation mitrale légère. Régurgitation tricuspidienne hémodynamiquement non significative. Dilatation biatriale sévère. Dimensions et fonction du ventricule droit normales. Probable hypertension (PAPs 37 mmHg), le plus probablement postcapillaire. Epanchements pleuraux bilatéraux estimés à 600 ml de chaque côté.Cardiopathie valvulaire ischémique monotronculaire • remplacement de la valve aortique par bioprothèse SPV-Torontoklappe (Stentless-Bioprothese) dans un contexte d'insuffisance aortique sévère d'étiologie peu claire 02/2001 (Dr. X) • revascularisation de la branche marginale par pontage veineux dans le contexte d'une cardiopathie mono-tronculaire 02/2001 (Dr. X) • coronarographie 18/12/2018 : pontage marginale ouvert, sténose intermédiaire circonflèxe proximale, FEVG 65% • ECG 11/2015 : rythme sinusal normocarde, QRS élargis, axe hypergauche dans le cadre d'un bloc de branche gauche complet Cardiopathie valvulaire rhumatismale avec remplacement valvulaire aortique mécanique et annuloplastie mitrale Cardiopathie valvulaire, rythmique et hypertensive avec : • FA et passages en bradycardie • Insuffisance aortique grade 2/3 • Anévrisme de l'aorte ascendante (58 mm, non daté) avec refus d'une intervention chirurgicale • Hypertrophie homogène du ventricule gauche, FEVG à 65% • Hypertension artérielle pulmonaire (PAPs 49 mmHg, PAPm 31 mmHg) • Salves de tachycardie supraventriculaire à QRS fins, extrasystoles ventriculaires et supraventriculaires Cardiopathie valvulaire, rythmique et hypertensive sur hypertension pulmonaire artérielle Cardiopathie valvulaire, rythmique et ischémique sur : • Maladie coronarienne mono-tronculaire le 02.11.2016 (sténose 70-90% de la marginale de la circonflexe, de petit calibre sans indication chirurgicale) • Remplacement de la valve aortique biologique (St. Jude 23) le 04.11.2016 en raison d'une endocardite à Staph. aureus (MSSA) (CHUV, Dr. X) • Bloc atrioventriculaire complet postopératoire avec implantation d'un stimulateur cardiaque le 07.11.2016 (dernier contrôle le 13.12.2016) • Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée par Sintrom Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie non-traitée Tabagisme actif (60 unités/paquets année) avec probable bronchopneumopathie chronique obstructive non investiguée Artériopathie des vaisseaux supra-aortiques Malnutrition protéino-énergétique grave Troubles cognitifs : • Avec épisode d'hallucination visuelle et auditive • Test de la cognition du 16.03.2017 : MMS à 23/30 (limite : baisse de l'acuité visuelle ne permettant pas les tests écrits), test de l'horloge non réalisable (baisse de l'acuité visuelle), GDS à 5/15 • Tests de la cognition du 09.05.2017 : MMS à 27/30 et test de la montre à 2/7 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale dans le cadre de l'hypovolémie le 01.05.2017 Cardiopathie valvulaire, rythmique et ischémique sur : • maladie coronarienne mono-tronculaire le 02.11.2016 (sténose 70-90% de la marginale de la circonflexe, de petit calibre sans indication chirurgicale) • remplacement de la valve aortique biologique (St. Jude 23) le 04.11.2016 en raison d'une endocardite à Staph. aureus (MSSA) (CHUV, Dr. X) • Bloc atrioventriculaire complet postopératoire avec implantation d'un stimulateur cardiaque le 07.11.2016 (dernier contrôle le 13.12.2016) • fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée par Sintrom Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie non-traitée Tabagisme actif (60 UPA) avec probable broncho-pneumopathie chronique obstructive non investiguée Artériopathie des vaisseaux supra-aortiques Malnutrition protéino-énergétique grave Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale dans le cadre de l'hypovolémie le 01.05.2017 Troubles cognitifs : • avec épisode d'hallucinations visuelles et auditives • test de la cognition du 16.03.2017 : MMS à 23/30 (limite : baisse de l'acuité visuelle ne permettant pas les tests écrits), test de l'horloge non réalisable (baisse de l'acuité visuelle), GDS à 5/15 • tests de la cognition du 09.05.2017 : MMS à 27/30 et test de la montre à 2/7. Cardiopathie valvulaire, rythmique et ischémique sur : • maladie coronarienne mono-tronculaire le 02.11.2016 (sténose 70-90% de la marginale de la circonflexe, de petit calibre sans indication chirurgicale) • remplacement de la valve aortique biologique (St. Jude 23) le 04.11.2016 en raison d'une endocardite à Staph. aureus (MSSA) (CHUV, Dr. X) • bloc atrioventriculaire complet postopératoire avec implantation d'un stimulateur cardiaque le 07.11.2016 (dernier contrôle le 13.12.2016) • fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée par Sintrom Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie non-traitée Tabagisme actif (60 UPA) avec probable broncho-pneumopathie chronique obstructive non investiguée Artériopathie des vaisseaux supra-aortiques Troubles cognitifs : • avec épisode d'hallucination visuelle et auditive • test de la cognition du 16.03.2017 : MMS à 23/30 (limite : baisse de l'acuité visuelle ne permettant pas les tests écrits), test de l'horloge non réalisable (baisse de l'acuité visuelle), GDS à 5/15 • tests de la cognition du 09.05.2017 : MMS à 27/30 et test de la montre à 2/7. Cardiopathie valvulaire stable sur sténose aortique et insuffisance mitrale BOOP (Bronchiolitis Organizing Pneumonia) Hypothyroïdisme traité Prolapse de la valve mitrale Xérophtalmie droite traitée Troubles anxio-dépressifs Hypertension artérielle Constipation avec épisodes de saignements hémorroïdaires Lombo-sciatalgies droites non déficitaires sur antéro-listhésis dégénératif L4-L5 (IRM en mars 2014) Hémicranie Syndrome de Sjögren Cardioplégie septique avec dysfonction gauche aiguë le 06.02.2019 DD : ischémique Cardioversé par Cordarone IV. Cardioversion électrique en septembre 2016 pour une fibrillation auriculaire avec bradycardie résiduelle asymptomatique depuis (40-50 bpm) Status post carcinome canalaire invasif du sein gauche : en rémission après chirurgie partielle et radiothérapie (suivi oncologique annuel), bilan sp en mars 2015 Dissection coronarienne il y a 17 ans Atteinte ligament croisé antérieur opérée Hallux valgus bilatéraux opérés Status post ovariectomie Status post hystérectomie Décompensation cardiaque gauche dans un contexte de syndrome grippal le 15.01.2017 Suspicion de pneumonie basale gauche le 16.01.2017 Hémorragie gingivale gauche le 09.02.2018 Status post tachycardie ventriculaire de longue durée jusqu'à 170/mn (25.11.2017) Plaie occipitale après chute accidentelle le 29.05.2018 Cardioversion par Cordarone. Cardioversion par un choc à 150 J en synchrone Cordarone le 24.01.2019 Carence en acide folique Carence en acide folique à 3.3 ng/l le 12.01.2019 Carence en acide folique DD sur malnutrition dans contexte OH Carence en acide folique le 01.02.2019 Carence en acide folique le 09.02.2019 Carence en acide folique le 13.02.2019 • Folate à 3.4 ng/mL Carence en vitamine D Carence ferriprive Carence en vitamine D Carence en vitamine D Carence en vitamine D Carence en vitamine D le 09.01.2019 Carence en vitamine D: 15 nmol/l (le 11.02.2019) Carence en vitamine D: 22 nmol/l (le 25.01.2019) Carence en vitamine D (22 nmol/l le 25.01.2019), substituée Insuffisance veineuse chronique stade IV Maladie thrombo-embolique • embolies pulmonaires bilatérales segmentaires et sous-segmentaires à prédominance gauche en 2011 • thrombo-phlébites multiples en 2007 Trouble ventilatoire obstructif de degré léger (VEMS 80% du prédit) • sur ancien tabagisme (80 UPA) Insuffisance rénale chronique légère Stade G2 • eGFR selon CKD-EPI: 64 mL/min/1.73m² (le 22.01.2019) • S/p insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine mixte le 08.01.2019 Carence en vitamine D3 le 10.02.2015 Hypothyroïdie primaire probable le 10.02.2015 avec TSH à 9.2 mU/l, T4 libre à 9 pmol/l Infection urinaire basse à E. Coli le 06.02.2015 Infection urinaire compliquée à E. coli multisensible Hémorragie digestive basse sur ulcère rectal Suspicion d'insuffisance pancréatique Diverticulose (CT scan abdominal du 11.08.2014) S/p Hystérectomie Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multi-factorielle : • Dénutrition protéino-énergétique légère • Sarcopénie Carence en vitamine D3 le 22.01.2019 Carence martiale avec s/p Ferinject durant la grossesse (2ème trimestre) Hb du post-partum à 96 g/l Ferinject 1000g en ambulatoire. Carence martiale durant la grossesse Carence martiale substituée. Traumatisme crânien mineur. Carence modérée en vitamine D: 39 nmol/l (le 18.01.2018) Carence sévère en acide folique le 31.01.2019 Carence sévère en Vit. D, substituée. Atteinte multi radiculaire L4-L5-S1 D vs plexulaire lombaire connue et investiguée lors de la dernière hospitalisation • paresthésie et parésie M4 du MID • status neurologique à la sortie le 26.04.2018 : RCP indifférencié au MID et hypo-réflexie achilléenne à D, sensibilité symétrique et conservée, force M4 à D, M5 à G. Carence sévère en vitamine D le 31.01.2019 Carence sévère en vitamine D: 23 nmol/l (le 06.02.2019) Carence sévère en vitamine D3 le 25.01.2019 Carences vitaminiques • avec carence en folate, vitamine B12 et carence sévère en vitamine D • avec érythrocytes macrocytaires Carences nutritionnelles avec : • Hypomagnésémie à 0.74mmol/l avec multiples extra-systoles ventriculaires • Hypovitaminose D Carences vitaminiques multiples: • discrète insuffisance en vitamine D à 54 nmol/L • acide folique limite inférieur à 5 ng/ml • carence en vitamine B12 à 115 pg/ml Carences vitaminiques multiples le 20.02.2019 • Vitamine B12 <50 pg/ml • Folates à 1.2 ng/ml • Vitamine D à 9 nmol/l Carences vitaminiques multiples le 25.01.2019: • déficit en vitamine D: 25OH Vit D2-3 à 42 nmol/l • acide folique limite inférieure à 5.8 ng/ml Carie profonde sous-radiculaire de la dent 17 Carie surinfectée de la dent n°24 carte d'intubation difficile Carte d'intubation difficile : • Intubation difficile le 16.01.2019 • Cormack 4 laryngoscopie standard • vidéo-laryngoscopie lame courbe ok Hypertension artérielle traitée SAOS appareillé Lombalgie sur hernie discale extra-foraminale L3-L4 à G • infiltration le 12.11.2018 Cas vu avec Ortho Dr. X et discuté avec radiologue de garde. Mise en place d'une attelle plâtrée ouverte Catapresan du 07.02 au 08.02.2019 Haldol depuis le 08.02.2019 Dormicum le 08.02 et 09.02.2019 Cataracte à gauche • récemment péjorée par radiothérapie cérébrale Cataracte bilatérale avec s/p intervention à droite en 2017 Cataracte bilatérale Tabagisme chronique (pipe depuis 70 ans) Fibrillation auriculaire lente non anticoagulée Cécité de l'œil droit sur neuropathie optique ischémique antérieure ou postérieure le 28.12.2012 Hypovitaminose D sévère à 14nmol/l Cataracte des 2 côtés. Cataracte sénile bilatérale Cataracte Hyponatrémie hypoosmolaire le 06.02.2018 à 131mmol/l • 13.02.2018: Na 131mmol/l • 08.02.2018: Na 128mmol/l • en premier lieu chronique sur traitement d'hydrochlorothiazide, DD SIADH Suivi biologique Arrêt du traitement d'hydrochlorothiazide le 09.02.2018 Chute avec traumatisme crânien et perte de connaissance incertaine • CT cérébral natif le 06.02.2018 : Absence d'hémorragie intra- ou extra-axiale. Hématome sous-galéal pariétal droit à proximité du vertex. • ECG le 08.02.2018: sans particularité • Test de Schellong le 08.02.2018: négatif • Déficit en Vitamine D le 08.02.2018 Réhabilitation gériatrique précoce avec prise en charge complexe Suivi biologique ECG le 08.02.2018 Test de Schellong le 08.02.2018 Substitution en vitamine D Suspicion de démence débutante, DD: troubles cognitifs dans le cadre du TCC • troubles de la mémoire à court terme anamnestiquement, anxiété croissante depuis 1,5 an selon hétéroanamnèse (fille) • persévérations • 07.02.2018: MMS 17/30, horloge 2/6, GDS 3/15 • IRM le 12.02.2018 au CIMF: atrophie cortico-sous-corticale globale relativement marquée pour l'âge et quelques rares infarctus lacunaires. • 19.02.2018: MMS 21/30, horloge 5/6, GDS 4/15 • évaluation neuropsychologique (rapport provisoire): apprentissage verbal difficile, mémoire diminuée. Fonctions exécutives perturbées. Ralentissement psycho-moteur. Difficultés au niveau du calcul. (Patiente n'est pas de langue maternelle française) MMS, test de l'horloge et GDS le 07.02.2018 et 19.02.2018 IRM cérébrale au CIMF le 12.02.2018 Bilan neuropsychologique Contrôle neuropsychologique conseillé dans 3 mois Hypertension artérielle traitée Suivi clinique Arrêt du traitement d'hydrochlorothiazide le 09.02.2018 introduction Amlodipine 5 mg le 17.02.2018 Douleur de la hanche gauche • Radio du bassin le 06.02.2018: ni fractures, ni signes de déscellement (s/p PTH ddc) Antalgie Réduction des doses de paracétamol lors du séjour Malnutrition avec apport oral insuffisant • en lien avec appétit diminué démontré par apport oral 75 - 77% de ses besoins • résolu lors de l'évaluation du 20.01.18 Bilan et conseil diététique Cathéter à chambre implantable (PAC) bouché le 09.02.2019 DD Positionel Cathéter artériel radial droit du 08.02.2019 au 13.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 13.02 au 19.02.2019 VNI du 13.02 au 18.02.2019 CT-scan thoracique le 14.02.2019 Echocardiographie transthoracique le 15.02.2019 Ponction pleurale droite le 14.02.2019 : transsudat selon critères de light (rapport protéines pleural/protéines sang = 27%, rapport LDH pleural/LDH sang = 33%) Analyse ProMed (cytologie du liquide pleural C2019.227) : pas de cellules atypiques ou tumorales. Uniquement cellules lymphoïdes. Avis pneumologique (Dr. X) le 13.02.2019 Torasémide dès le 15.02.2019 Hydrochlorothiazide du 16.02 au 18.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 17.02 au 19.02.2019 Ventilation non-invasive du 17.02 au 18.02.2019 Ceftriaxone du 15.02 au 21.02.2019 Clarithromycine du 15.02 au 18.02.2019 Oseltamivir du 15.02 au 19.02.2019 Isolement gouttelettes du 15.02 au 19.02.2019Isolement gouttelettes du 15.02 au 19.02.2019 Oxygénothérapie du 15.02 au 22.02.19 Atrovent et Ventolin du 15.02 au 22.02.2019 Pulmicort du 15.02 au 22.02.2019 Ultibro du 22.02 au 26.02.2019 Rendez-vous de consultation pneumologique avec fonction pulmonaire à distance, Mr. Y sera convoqué. Cathéter artériel radial droit du 20.02. au 21.02.2019 Ventilation non invasive le 20.02.2019 Labétalol le 20.02.2019 Furosemide le 20.02.2019. Cathéter artériel radial gauche du 08.02 au 22.02.2019 Voie veineuse centrale jugulaire droite du 08.02 au 19.02.2019 VVC jugulaire gauche du 19.02.2019 au 22.02.2019 CT thoraco-abdominal le 08.02.2019 Clarithromycine du 08.02 au 09.02.2019 Ceftriaxone du 08.02 au 19.02.2019 Imipénème du 19.02.2019 au 28.02.2019 Vancomycine le 19.02.2019 Noradrénaline du 08.02 au 14.02.2019 Methylprednisolone du 16.02 au 18.02.2019. Cathéter artériel radial gauche du 20.02.2019 au 26.02.2019 Voie veineuse centrale jugulaire droite du 20.02.2019 au 26.02.2019 Noradrénaline du 20.02.2019 au 26.02.2019. Cathéter de dialyse jugulaire droit à partir du 12.02.2019 Hémofiltration continue du 12.02. au 19.02.2019 Dialyse intermittente à partir du 22.02.2019 Expansion volémique Furosemide IV continu du 02.02.2018 au 21.02.2019 Torem PO dès le 22.02.2019. Cathéter de dialyse jugulaire interne droit dès le 20.01.2019 Épuration extra-rénale continue du 28.01 au 02.02.2019 Reprise d'une hémodialyse intermittente dès le 04.02.2019. Changement de cathéter le 14.02.2019 après obstruction Rx thorax 14.02.2019. Cathéter sous cutané à retirer en accord avec l'équipe d'antalgie Radiographie de contrôle à effectuer Zinacef pour 48h Ablation des agrafes à 10 jours Contrôle radio-clinique à 6 semaines Ablation Redon selon avis orthopédique. Cathétérisme Gauche-Droit le 11.02.2019. CCK par tomie. Intervention chirurgicale abdominale (ablation d'un ulcère ?) CCK par tomie. Intervention chirurgicale abdominale (ablation d'un ulcère ?) S/p réaction anaphylactique. CCK 1976 Mastectomie gauche 1983 Surdité subite G 1985 Hystérectomie 2008 Syndrome du tunnel carpien gauche 2018 • section complète du ligament carpi-transverse et neurolyse du nerf médian à gauche. Ce jeune patient anglais de 23 ans, en vacances dans la région, est amené aux urgences de l'HFR Riaz par l'hélicoptère de la REGA suite à une chute à snowboard le 18.02.2019. Le bilan radio-clinique met en évidence une fracture métaphysaire proximale déplacée de l'humérus droit pour laquelle l'indication opératoire est retenue. L'intervention se déroule sans complication le 19.02.2019, sous antibioprophylaxie par Zinacef durant 24 heures, et les suites post-opératoires sont simples, avec des douleurs répondant bien à l'antalgie standard. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre. Le membre supérieur droit est immobilisé dans un gilet orthopédique, dont le port est prévu durant 6 semaines pendant la nuit, une bretelle antalgique sera en place durant la journée. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation active et active assistée, sans limitation. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme, l'examen clinique ne montre aucun trouble neuro-vasculaire. Durant son séjour, le patient bénéficie d'une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour, traitement qui est stoppé à la sortie. Face à la bonne évolution, Mr. Y quitte notre service le 21.02.2019. Il retournera en Angleterre le 24.02.2019 et sera suivi par un médecin orthopédiste de son choix. Ce jour en contrôle, évolution très favorable sous l'antibiothérapie avec régression des rougeurs. Pas d'état fébrile. Pas de douleur à la palpation, pas de chaleur du membre inférieur droit, pas de traînée lymphangitique. Pas de limitation de la mobilisation. Le consilium angiologique effectué le 15.02.2019 montre un bilan veineux du membre inférieur droit normal. Une proposition de séances de drainages lymphatiques après l'épisode infectieux a été préconisée et une prescription pour des bas de contention à porter après l'épisode aigu a été donnée. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 40 mg/l, sans leucocytose. Au vu de l'évolution clinique favorable, nous préconisons la poursuite de l'antibiothérapie en ambulatoire. Le syndrome inflammatoire est mis sur le compte de l'élévation tardive de la CRP. Nous proposons au médecin traitant d'effectuer un nouveau bilan biologique pour vérifier la cinétique. Au vu des épisodes récidivants d'érysipèle, nous proposons également de doser le taux d'hémoglobine glyquée pour écarter un diabète. Ce jour, je signe le consentement éclairé en présence du patient. Je l'informe du déroulement intra et post opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue le 26.02.2019. Ce jour, Mme. Y décrit des douleurs en diminution depuis la veille. Elle a une nouvelle lésion sous forme de dermabrasion sur la face dorsale du 5ème doigt. Pas d'autre symptôme, pas d'état fébrile objectivé. Le contrôle biologique montre une situation stable avec un syndrome inflammatoire avec une CRP à 10 mg sans leucocytose et un statut clinique superposable à celui de la veille. Au niveau de la plaie, nous effectuons une désinfection et un pansement sec. Nous laissons Mme. Y rentrer à domicile où elle continuera avec l'antibiothérapie prescrite la veille. Elle reviendra aux urgences à 48h pour un nouveau contrôle clinico-biologique. Ce jour, Mme. Y se plaint essentiellement de douleurs au membre inférieur droit avec troubles de la marche, sans aggravation de sa symptomatologie grippale qui a en partie disparu. Aux urgences, nous demandons un laboratoire sanguin qui met en évidence une CRP à 104 mg/l sans leucocytose. Au vu de la clinique et de la biologie sanguine, nous suspectons une tendinopathie réactionnelle des membres inférieurs sur prise d'Avalox dans un contexte de surinfection d'état grippal. Nous mettons la valeur élevée de la CRP sur le compte d'une tendinite achiléenne débutante. Nous préconisons un arrêt des antibiotiques en raison de la disparition de la symptomatologie grippale et prescrivons à Mme. Y une contention de sa cheville droite par bande élastique avec antalgie simple, AINS, glace, cannes et marche en charge au seuil de la douleur. Mme. Y sera revue à la consultation de son médecin traitant dans une semaine pour suite de la prise en charge. Ce jour, Mr. Y est encore fortement symptomatique à l'examen clinique au niveau de la malléole externe. D'un point de vue radiologique, nous avons une image compatible avec une fracture type Salter Harris II avec toutefois une fracture qui est stable. Dans ce contexte, nous poursuivons l'immobilisation plâtrée pour encore 2 semaines avec une botte de marche. Nous reverrons Mr. Y le 27.02.2019 pour un contrôle clinique. Ce jour, nous proposons d'enlever une partie du matériel d'ostéosynthèse, notamment la plaque radio-dorsale par l'abord dorsal. Par rapport au CT-scanner, nous déconseillons actuellement d'enlever le matériel complet. Mme. Y veut attendre et souhaite enlever le matériel au total dès que possible. Prochain contrôle radio-clinique au mois juin pour une planification de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse complet à la mi-août 2019. Ce patient de 23 ans, en bonne santé habituelle, chute à ski le 01.02.2019 et ressent d'emblée des douleurs diffuses de la jambe droite. Mr. Y est amené par ambulance aux urgences de l'HFR Riaz où le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. Au vu d'un état cutané correct, le patient est opéré le jour même. Les suites post-opératoires sont simples, le contrôle radiologique est en ordre et la réfection des pansements montre des cicatrices calmes et propres. Les douleurs sont bien contrôlées et Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en charge de 5 à 10 kg sur le membre inférieur gauche, ce qui est prévu pour les 6 premières semaines, avant une augmentation de la charge à 15-30 kg durant les 6 semaines suivantes. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera à poursuivre jusqu'au 17.03.2019 inclus. Face à la bonne évolution, Mr. Y est rapatrié en France le 04.02.2019. Ce patient de 27 ans est sous antibiothérapie par Ciprofloxacine et Metronidazole depuis deux jours pour une diverticulite non compliquée diagnostiquée par vos soins suite à un scanner le 29.01.2019. Mr. Y se présente aux urgences le 01.02.2019 en raison d'une augmentation brusque des douleurs en fosse iliaque gauche. A noter un épisode de fièvre le 29.01.2019, que vous avez objectivé, sans récidive jusqu'à la consultation aux urgences. L'anamnèse ne révèle pas de frissons, ni de sudation nocturne. Dernières selles le matin de l'admission, diarrhéiques, sans sang. Pour rappel, le patient avait été hospitalisé en février 2018 pour une diverticulite aiguë compliquée, avec signes de micro-perforation, dont la prise en charge avait été conservatrice. A l'examen clinique, l'abdomen est souple, dépressible, sensible en fosse iliaque gauche, en région sus-pubienne, avec une défense. Pas d'organomégalie palpable, orifices herniaires libres. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 125 mg/l et des leucocytes à 9 G/l. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie où il bénéficie d'une antibiothérapie intraveineuse et gestion de l'antalgie. L'évolution tant clinique (douleurs) que biologique est favorable, avec une CRP à 40 mg/l le jour de la sortie. Mr. Y peut retourner à domicile le 04.02.2019. Il poursuivra l'antibiothérapie par voie orale à raison de Co-Amoxi Mepha 2 x 1 g/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour jusqu'au 08.02.2019 inclus. Le patient ayant eu une coloscopie dans le courant 2018, il n'est pas nécessaire de procéder à nouveau à cet examen prochainement. Ce patient de 34 ans, en bonne santé habituelle, consulte le 19.02.2019 pour une récidive de douleurs en loge rénale gauche, irradiant en fosse iliaque gauche, l'ayant réveillé durant la nuit. En effet, Mr. Y a présenté un premier épisode le 09.01.2019, avec un uro-CT montrant un calcul urétéral moyen gauche, sans obstruction des voies urinaires en amont, ayant fait l'objet d'un traitement conservateur avec filtrage des urines et antalgie simple. Par la suite, le 29.01.2019, le patient reconsulte pour un nouvel épisode de douleurs, sans passage de calcul objectivé jusque-là. Un deuxième uro-CT du 29.01.2019 montre une migration du calcul et plusieurs calculs visibles collés ensemble au niveau de l'uretère distal, sans dilatation pyélo-calicielle en amont. Il y a deux semaines, le Dr. X a réalisé un ultrason n'ayant pas montré de calcul à ce moment, l'amenant à la conclusion d'un passage de calcul non objectivé par le patient. A l'examen clinique du 19.02.2019, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité, l'abdomen est souple, dépressible, indolore à la palpation superficielle et profonde, sans défense, ni détente. Loges rénales indolores à la percussion. Le reste du statut est sans particularité. Le bilan biologique ne met pas de syndrome inflammatoire en évidence, ni de souffrance rénale. Le sédiment urinaire montre une microhématurie. L'ultrason abdominal révèle une dilatation pyélo-caliclielle gauche, sans visualisation de calcul. Le patient est hospitalisé dans le service de chirurgie et le Dr. X réalise, le 20.02.2019, une urétéroscopie. L'intervention se déroule sans complication, les suites opératoires sont simples, avec disparition de la symptomatologie douloureuse en loge rénale gauche. Le patient présente des mictions spontanées d'urines claires à la suite de l'ablation de la sonde. Il a reçu une antibioprophylaxie par Cefuroxime 500 mg/jour le 21.02.2019. Vu la bonne évolution, Mr. Y peut regagner son domicile le 21.02.2019. Ce patient de 36 ans, en bonne santé habituelle, se présente aux urgences le 02.02.2019 en raison de douleurs abdominales localisées en hypochondre droit, irradiant dans le flanc droit et la loge rénale droite, d'apparition progressive depuis 48 heures. Il décrit également un ballonnement associé, avec une constipation récente (dernières selles le 01.02.2019). A noter également des douleurs lombaires droites depuis une semaine, atténuées spontanément durant la semaine. A l'examen clinique aux urgences, les bruits intestinaux sont normaux en fréquence et en tonalité, l'abdomen est souple mais sensible à la palpation profonde en hypochondre droit, sans défense, ni détente. Signe de Murphy négatif. Loge rénale droite sensible à la percussion. Status cardio-pulmonaire sans particularité. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 92 mg/l et une leucocytose à 11.5 G/l. Les valeurs hépato-pancréatiques sont sans particularité, ainsi que les valeurs rénales. Sédiment urinaire sans particularité. Un CT abdominal s'avère compatible avec une cholécystite aiguë, sans lithiase radio-opaque décelée. Nous retenons le diagnostic d'une cholécystite aiguë alithiasique et le patient est hospitalisé dans le service de chirurgie pour antibiothérapie intraveineuse. L'évolution est favorable, tant au niveau clinique avec disparition des douleurs, que biologique avec une CRP à 32 mg/l à la sortie. Le 05.02.2019, le patient rentre à domicile où il poursuivra l'antibiothérapie par voie orale jusqu'au 11.02.2019 inclus. Un ultrason abdominal est prévu à l'HFR Riaz le 18.02.2019 à 09h00, patient à jeun, afin de visualiser une potentielle maladie lithiasique à distance. Un rendez-vous est prévu à la consultation du Dr. X le 28.02.2019 à 09h00 pour discussion des résultats de l'ultrason. Ce patient de 39 ans, connu pour schizophrénie paranoïde, est amené aux urgences de l'HFR Riaz le 13.02.2019 suite à un polytraumatisme sur coups multiples dans un contexte d'hétéro-agressivité le 12.02.2019. Le patient vit au foyer La Tuile où il aurait vraisemblablement mis le feu le 12.02.2019 pour la seconde fois. A l'arrivée des policiers sur place, le patient a fait preuve d'hétéro-agressivité et, au cours de la confrontation, il a reçu des coups aux quatre membres, au thorax, à l'abdomen et au massif facial. Il a été amené aux urgences de l'HFR Fribourg pour prise en charge de ses blessures. Un CT cérébral natif est réalisé, excluant une hémorragie intra-crânienne et la présence de fracture. Un avis psychiatrique a été demandé à Fribourg et le patient a été transféré au RFSM CSH Marsens sous PAFA. A son arrivée à Marsens, un pneumothorax a été objectivé sur la radiographie du thorax effectuée à Fribourg, raison pour laquelle le patient est amené aux urgences de l'HFR Riaz pour prise en charge de son pneumothorax. Après un examen clinique complet, nous effectuons un laboratoire sanguin aux urgences qui met en évidence une créatininémie à 230 umol/l et une hématurie microscopique. Un US des voies urinaires est effectuée, complétée, en raison de la présence de liquide péri-rénal à l'ultrason, par un CT thoraco-abdominal montrant le résultat suscité.Sur avis du Dr. X, l'indication au drainage thoracique est écartée et nous décidons d'hospitaliser le patient dans le service de chirurgie, seule en chambre, sous la forme d'un contrat thérapeutique avec le patient, pour prise en charge de ses lésions. Mr. Y reçoit 1 mg de Risperdal en ordre unique le 13.02.2019, puis 2 mg/jour dès le 14.02.2019, avec Temesta 4 mg en réserve en cas de crise d'hétéro-agressivité. Nous décidons de ne pas le placer sous surveillance. Nous informons également la Dresse Vég, psychiatre de liaison, qui confirme le traitement psychiatrique suscité après avoir vu Mr. Y. A l'entrée, nous objectivons une insuffisance rénale aiguë KDIGO 3 pré-rénale. Nous demandons un avis au Dr. X, néphrologue, et instaurons une hydratation intraveineuse. L'évolution est favorable avec une créatinine à 106 umol/l à la sortie. Un contrôle biologique (Na, K, créatinine, urée) et spot urinaire (Na, K, créatinine, urée, protéine, albumine) sera à effectuer en fin de semaine. En cas de persistance de valeurs anormales, un consilium néphrologique est indiqué. Sur le plan du pneumothorax gauche, nous objectivons une péjoration radiologique au cours de l'hospitalisation, sans symptômes associés. Le patient refuse tout drainage. Le 18.02.2019, le patient est transféré au RFSM CSH Marsens en ambulance pour suite de la prise en charge psychiatrique. Ce patient de 44 ans, en bonne santé habituelle, consulte aux urgences le 02.02.2019 en raison de douleurs de l'épaule gauche suite à une chute à ski le jour même, avec réception directe sur l'épaule gauche. Pas de traumatisme crânien, ni perte de connaissance. Le bilan radiologique, complété par un CT, met en évidence la fracture susmentionnée pour laquelle l'indication opératoire est retenue. Le jour même, Mr. Y bénéficie d'une réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos 3 trous de l'humérus proximal gauche. Les suites opératoires sont favorables, avec bon contrôle de l'antalgie. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la réfection des pansements à 48 heures met en évidence une cicatrice calme et sèche, sans signe inflammatoire. Durant son séjour, le patient bénéficie d'une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour, traitement qui est stoppé à la sortie. Une physiothérapie de mobilisation active et active assistée libre est instaurée durant le séjour et sera poursuivie en ambulatoire après le retour à domicile. En dehors des séances de physiothérapie, Mr. Y portera un gilet orthopédique durant 6 semaines. Au vu de la bonne évolution, le patient étant autonome, il peut regagner son domicile le 05.02.2019. Etant donné que le patient vit seul, il recevra une aide à domicile. Ce patient de 49 ans en bonne santé habituelle est amené aux urgences par ambulance le 06.02.2019 suite à une glissade sur le verglas suivie d'une chute avec un mouvement de rotation de la jambe gauche. D'emblée, vives douleurs et impotence fonctionnelle totale du membre inférieur gauche. Le bilan radiologique réalisé aux urgences met en évidence une fracture-luxation Maisonneuve-like. Une réduction fermée est effectuée et une immobilisation par attelle jambière postérieure est mise en place. L'indication opératoire est retenue et le patient est pris au bloc opératoire le même jour. L'intervention se déroule sans complication, sous antibioprophylaxie par Zinacef. Les suites opératoires sont simples, le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie simple. La réfection du pansement à 2 jours post-opératoire montre une cicatrice calme et sèche. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en décharge du membre inférieur gauche pour une durée de 6 semaines. Une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera poursuivie durant 6 semaines post-opératoires. Le patient étant autonome dans ses déplacements avec les cannes, il peut regagner son domicile le 09.02.2019. Ce patient de 52 ans, en bonne santé habituelle, consulte une première fois aux urgences le 09.02.2019 en raison de douleurs abdominales au niveau épigastrique depuis trois jours. Il revient le 10.02.2019, les douleurs irradient alors dans le dos, d'intensité en augmentation. Mr. Y décrit avoir très mal dormi en raison de céphalées légères depuis le matin. Pas d'autre plainte comme fièvre, nausées, changement du transit. Pas de contexte éthylique particulier. Le patient rapporte une alimentation grasse depuis quelque temps. Au status le 10.02.2019, l'abdomen est diffusément sensible, avec une défense en hypochondre droit et en épigastre, signe de Murphy négatif. Loges rénales indolores à la percussion. Status cardio-pulmonaire sans particularité. Le bilan biologique met en évidence une lipase augmentée à 75 U/l et un syndrome inflammatoire avec une CRP 91 mg/l et une leucocytose à 14,3 G/l. Le bilan est complété par un CT qui montre une discrète infiltration en regard de la tête du processus uciné du pancréas suggérant une pancréatite débutante. Il n'y a pas d'autre anomalie décrite. Nous retenons le diagnostic d'une pancréatite au décours et le patient est hospitalisé dans le service de chirurgie pour traitement conservateur mise à jeun et hydratation intraveineuse. Durant le séjour, un ultrason abdominal est effectué à la recherche d'une maladie lithiasique, celle-ci étant infirmée par l'examen. L'évolution est favorable avec quasi disparition des douleurs abdominales, ainsi qu'une baisse du syndrome inflammatoire et normalisation de la lipase. Dès lors, Mr. Y peut rentrer à domicile le 11.02.2019. Lors du contrôle biologique le 11.02.2019, mise en évidence d'une hypercholestérolémie à 7,8 mmol/l. Nous vous laissons le soin de recontrôler cette valeur et d'instaurer, au besoin, un traitement hypolipémiant lors du prochain passage de Mr. Y à votre cabinet. Ce patient de 53 ans consulte aux urgences le 22.02.2019 en raison de douleurs abdominales en fosse iliaque gauche, apparues dans le courant de l'après-midi, accompagnées d'un épisode de diarrhées, sans sang. Pas de notion de fièvre, ni de frisson. Pas d'antécédent d'opération abdominale. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Mr. Y regagne son domicile avec un traitement symptomatique, avec un contrôle clinique et biologique prévu à la FUA le 23.02.2019. Au moment du contrôle à la FUA, les douleurs sont toujours présentes en fosse iliaque gauche, avec apparition de pics paroxystiques à EVA 10/10. Un nouveau bilan biologique est réalisé, montrant une augmentation de la CRP à 10 mg/l, sans leucocytose associée. Le bilan est complété par un CT Scan afin d'exclure une diverticulite. Cet examen objective un épaississement de la paroi colique du sigmoïde compatible avec une colite et une appendicite. Un ECG est également effectué afin d'exclure une fibrillation auriculaire qui pourrait expliquer une éventuelle colite ischémique. Le tracé s'avère dans la norme. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie où il bénéficie d'un traitement antalgique et d'une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine et Flagyl. Mr. Y est gardé à jeun jusqu'au 23.02.2019 au soir puis il bénéficie d'un enseignement diététique pour un régime pauvre en fibres qu'il devra observer durant environ un mois. L'évolution clinique et biologique est favorable et, le 26.02.2019, le patient peut retourner à domicile avec une antibiothérapie orale par Co-Amoxicilline 3 x 1 g/jour à poursuivre jusqu'au 04.03.2019 inclus.Ce patient de 53 ans, en bonne santé habituelle, a consulté le Dr. X le 20.11.2018 pour le diagnostic suscité. Ce dernier pose l'indication au geste susmentionné, agendé le 30.01.2019. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables, avec une bonne gestion de la douleur et sans signe de complication au niveau de la plaie chirurgicale. Au vu de ces éléments, Mr. Y regagne son domicile le 31.01.2019, avec poursuite de l'antibiothérapie per os. Il se présentera à la consultation du Dr. X dans deux semaines. Ce patient de 54 ans, aux co-morbidités et antécédents suscités, est amené aux urgences par ambulance le 02.02.2019 suite à un traumatisme crânien dans un contexte d'alcoolisation aiguë. En effet, Mr. Y aurait passé sa journée au loto en consommant des quantités importantes d'alcool puis aurait chuté dans les escaliers du loto. Il est retrouvé au sol conscient, avec un important épistaxis et une dermabrasion au niveau du nez. A l'arrivée aux urgences, le patient est conscient mais présente une désorientation spatio-temporelle, avec une amnésie circonstancielle relative à sa chute. L'anamnèse est donc peu contributive chez ce patient qui semble pré-somnolent. Au status, Glasgow 14/15, pupilles isocores et isoréactives, force et sensibilité symétriques aux quatre membres, réflexes ostéo-tendineux conservés aux quatre membres. Nerfs crâniens sans particularité. Sur le plan cutané, dermabrasion sur l'aile du nez avec des signes d'épistaxis antérieur, colmaté aux urgences. Le CT cérébral permet d'exclure une hémorragie intra-crânienne et/ou une lésion osseuse. Le bilan biologique met en évidence une alcoolémie à 3,46 pour mille. Au vu de ce traumatisme crânien avec amnésie circonstancielle et de l'éthylisation aiguë, le patient est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique. L'évolution est favorable, le status neurologique répété est dans la norme. Le 03.02.2019, Mr. Y peut rentrer à domicile. Ce patient de 56 ans consulte aux urgences le 14.02.2019 en raison de douleurs abdominales, avec une image faisant suspecter une sténose pylorique. Le patient retourne à domicile et reconsulte le 17.02.2019 pour une péjoration de ces mêmes douleurs. Au vu de la forte symptomatologie, Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie pour mise en place d'un traitement antalgique et poursuite du bilan. Le 18.02.2019, une opacification digestive met en évidence une ouverture partielle du pylore, ouvrant le diagnostic différentiel d'un ulcère gastrique, vs tumeur. Au vu de l'excellente amélioration clinique et d'une reprise normale et bien tolérée de l'alimentation, Mr. Y peut rentrer à domicile le 19.02.2019 avec une antalgie simple et une prescription de Pantozol 40 mg/jour pendant 1 semaine. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle. Face à cette ouverture partielle du pylore, nous vous remercions de bien vouloir organiser une OGD d'ici 4 à 6 semaines. Ce patient de 56 ans, en bonne santé habituelle, présente des douleurs abdominales apparues le soir du 21.02.2019, motivant une consultation aux urgences de l'HFR Fribourg le 22.02.2019. Au status, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en intensité, l'abdomen est souple à la palpation, sensible en hypochondre droit. Pas de signe de péritonisme. Signe de Murphy négatif. Un ultrason est réalisé, montrant une cholécystite lithiasique, sans signe de complication. Mr. Y est transféré à l'HFR Riaz pour prise en charge chirurgicale de sa cholécystite aiguë. L'intervention se déroule donc le 22.02.2019 et les suites post-opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie. En l'absence d'un retour sanguin important dans le Jackson, le drain est retiré le 26.02.2019 et Mr. Y est autorisé à retourner à domicile. Durant son séjour, le patient bénéficie d'une thromboprophylaxie par Clexane 40 mg sc/jour, avec reprise du Xarelto 10 mg/jour dès 27.02.2019. Ce patient de 60 ans, connu pour un alcoolisme chronique, est amené aux urgences par ambulance le 20.02.2019 suite à une chute de sa hauteur en sortant du bus. Traumatisme crânien avec amnésie circonstancielle et probable perte de connaissance dans un contexte d'éthylisation aiguë. A l'arrivée aux urgences, paramètres hémodynamiques dans la norme. Sur le plan neurologique, Glasgow 15/15, patient conscient, orienté et collaborant. Force, sensibilité et tonus conservés aux quatre membres. Pupilles isocores et isoréactives. Réflexes ostéo-tendineux sans particularité. L'examen ORL met en évidence une déviation de la cloison nasale, déjà connue selon le patient, remontant à une fracture il y a 6 mois. Présence d'un hématome péri-orbitaire avec présence d'un raccoon's eye sign droit. Cavité buccale sans particularité. Foetor alcoolique présent. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique montre une hyponatrémie 125 mmol/l et une alcoolémie à 2,1 pour mille. Le CT cérébral permet d'exclure une hémorragie intra-crânienne et révèle la présence d'une fracture de l'os malaire droit avec pneumorbite associée. Sur ce scanner, nous objectivons également une fracture de l'os propre du nez, déjà connue selon le patient. En outre, défect occipital droit corticalisé en arrière de la mastoïde. Nous prenons un avis ORL et maxillo-facial est demandé, une antibiothérapie prophylactique par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour est instaurée, à poursuivre jusqu'au 25.02.2019 inclus. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie où il bénéficie d'une surveillance neurologique au 4 heures, hydratation et mise à jeun. L'évolution est favorable, la reprise alimentaire normale est bien tolérée, le patient ne se plaint pas de douleur et le status neurologique répété est sans particularité. Le 21.02.2019, Mr. Y peut retourner à domicile. Ce patient de 61 ans, aux antécédents et co-morbidités suscités, est hospitalisé au sein du service de chirurgie le 27.02.2019 par le Dr. X pour prise en charge chirurgicale d'une tumeur papillaire de la vessie dans un contexte de macrohématurie avec visualisation d'une petite tumeur exophytive de la paroi postérieure à la cystoscopie. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples, sous antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour, à poursuivre jusqu'au 01.03.2019. Une sonde vésicale est en place et l'évolution clinique est favorable, chez un patient non algique. Le 28.02.2019, avec l'accord du Dr. X, le patient retourne à domicile avec la sonde vésicale en place jusqu'au 01.03.2019. Ce patient de 68 ans chute de sa hauteur et se réceptionne sur le membre supérieur droit. Le bilan radio-clinique effectué aux urgences objective la fracture suscitée pour laquelle l'indication opératoire est retenue. L'intervention se déroule sans complication le 18.02.2019, les suites post-opératoires sont simples, avec bon contrôle des douleurs, initialement par cathéter interscalénique, puis par l'antalgie standard. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la cicatrice, vérifiée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive et active libre, sans charge. Il porte un gilet orthopédique durant la nuit et une écharpe durant la journée. Devant la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 22.02.2019. Ce patient de 70 ans, connu pour les comorbidités et antécédents suscités, a consulté le Dr. X le 31.01.2019 dans un contexte de cystites récidivantes. Ce dernier objective un résidu post-mictionnel à l'US et pose l'indication à une urétrotomie interne, agendée le 20.02.2019.L'intervention se déroule sans complication, l'évolution est favorable, le patient est asymptomatique. Les urines se normalisent et, à l'ablation de la sonde vésicale, reprise spontanée des mictions. Mr. Y bénéficie d'une antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour qui sera à poursuivre jusqu'au 02.03.2019 inclus. Face à la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile. Mr. Y, 75 ans, se présente aux urgences le 27.02.2019 en raison de douleurs localisées en loge rénale droite, apparues brusquement au milieu de la nuit, irradiant en fosse iliaque droite, EVA 9/10, accompagnées d'un épisode de vomissements. Il s'agit d'un premier épisode de la sorte décrit par Mr. Y. Pas de trouble fonctionnel urinaire, ni trouble du transit. Un comprimé de Brufen et de Tramal à domicile n'améliorent que légèrement la symptomatologie douloureuse. A l'examen clinique, le patient est hypertendu à 160/104 mmHg, en état général légèrement diminué, toutefois normocarde et afébrile. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité, l'abdomen est souple, dépressible, douloureux lors de la palpation en fosse iliaque droite, sans défense, ni détente. Loges rénales indolores à la percussion. Le toucher rectal est indolore, il n'y a pas de sang sur le doigtier. Le bilan biologique effectué aux urgences ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. Un uro-CT montre la présence d'un calcul de 6 mm à la sortie de l'uretère avec dilatation en amont à 1.3 cm du pyélon. L'indication à une urétéroscopie est retenue par le Dr. X, urologue de garde, qui procède à ce geste le 27.02.2019. Le calcul est extrait et envoyé pour analyse. Les suites opératoires sont simples, le patient n'est pas algique et peut regagner son domicile le 28.02.2019 avec une antalgie simple à la demande. Mr. Y, 76 ans, connu pour les co-morbidités et antécédents suscités, est suivi par le Dr. X qui, au vu de multiples tumeurs de la vessie, retient l'indication à une résection transurétrale de la vessie, intervention qui se déroule le 06.02.2019. Les suites opératoires sont simples, le patient est asymptomatique et les urines se normalisent progressivement. Au vu d'une RTUV conséquente, le Dr. X propose que le patient garde sa sonde vésicale jusqu'au prochain rendez-vous qu'a Mr. Y à sa consultation le 15.02.2019. L'antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour sera poursuivie jusqu'au retrait de la sonde. L'Aspirine Cardio a été mise en suspens et sa reprise sera évaluée lors du contrôle à la consultation du Dr. X. Mr. Y, 79 ans, connu pour les comorbidités et antécédents suscités, a consulté le Dr. X le 28.01.2019 pour le suivi de son incontinence urinaire. Au vu d'une sclérose du col vésical, le Dr. X retient l'indication à une résection transurétrale du col de la vessie. L'intervention se déroule sans complication le 13.02.2019. L'évolution est favorable, le patient est asymptomatique et retrouve des mictions normales, d'urines rosées, après ablation de la sonde vésicale. Le 15.02.2019, le patient peut retourner à domicile. Mr. Y, 87 ans, connu pour un antécédent de cancer prostatique traité par radiothérapie, suivi par vos soins, présente depuis le 12.02.2019 une macrohématurie pour laquelle il vous a consulté la semaine passée. Depuis le soir du 16.02.2019, Mr. Y se plaint de douleurs en loge rénale droite irradiant vers le pli inguinal droit, avec persistance de la macrohématurie. Pas d'autre symptôme (fièvre, frissons). A l'examen clinique d'entrée aux urgences, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. L'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. La loge rénale droite est douloureuse à la percussion, la loge rénale gauche est indolore. Signe du Psoas négatif des deux côtés. Le toucher rectal est indolore, sans sang au doigtier. Le status cardio-pulmonaire est sans particularité hormis une hypoventilation bilatérale, sans bruit surajouté. Le bilan biologique met en évidence un léger syndrome inflammatoire, avec une CRP à 22 mg/l et une leucocytose à 11.4 G/l, ainsi qu'une créatinine à 127 umol/l. Au vu des symptômes, un CT abdominal est effectué, qui montre un effet de masse de l'uretère distal droit avec une protrusion dans la lumière de la vessie ouvrant le diagnostic différentiel de carcinome urothélial, versus vésical. Au vu de la forte symptomatologie, le patient est hospitalisé en chirurgie pour mise en place d'un traitement antalgique. Vous proposez une RTUV, plus ou moins une pose de sonde double J le 21.02.2019 à la Clinique Daler, avec une admission la veille vers 16h. Dans notre service, l'évolution est favorable, avec disparition de la symptomatologie douloureuse mais persistance d'une macrohématurie. Un ultrason des voies urinaires est effectué le jour de la sortie afin d'exclure toute tamponnade de la vessie ou caillot de sang. Mr. Y regagne son domicile le 18.02.2019, avant son admission à la Clinique Daler le 20.02.2019. A noter qu'au CT abdominal un épanchement bilatéral est visualisé, qui sera pris en charge par vos soins. Mr. Y, 93 ans, institutionnalisé au Foyer St-Germain de Gruyères, est sous Aspirine Cardio et connu pour une démence vasculaire. Mr. Y est amené aux urgences le 03.02.2019 suite à une chute de sa hauteur la veille, avec probable réception sur le côté droit. Le bilan radiologique réalisé aux urgences met en évidence le diagnostic suscité pour lequel l'indication opératoire est retenue. L'intervention se déroule sans complication le 05.02.2019, sous antibioprophylaxie par Cefuroxine 3 x 1.5 g iv/jour durant 24 heures, les douleurs post-opératoires sont bien contrôlées par une antalgie simple. Le contrôle biologique post-opératoire met en évidence une anémie aiguë asymptomatique, avec une hémoglobine à 96 g/l, motivant la transfusion d'un culot érythrocytaire. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Le patient bénéficie d'une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour pour une durée de 3 mois. La mobilisation se fait en mode lit-fauteuil durant 3 mois post-opératoires. Le 08.02.2019, Mr. Y peut retourner au Foyer St-Germain de Gruyères. Mr. Y est symptomatique depuis 12 mois environ, avec une atteinte musculaire et motrice au niveau du nerf médian, raison pour laquelle on lui propose une cure de tunnel carpien en ambulatoire. Le patient est informé des risques et bénéfices de l'intervention et signe le consentement éclairé. Mr. Y présente des douleurs et des symptômes liés à son accident et la durée de l'immobilisation. Par contre, ses douleurs ne seraient plus en lien avec la fracture du scaphoïde, raison pour laquelle nous réorganisons un CT-scan du scaphoïde afin de visualiser l'état de la consolidation. Nous posons le diagnostic de tendinite de Quervain et organisons une infiltration au niveau du poignet afin de permettre de soulager la symptomatologie. En ce qui concerne le nerf cubital, nous organiserons un ENMG afin de confirmer ou d'infirmer le diagnostic. Nous débutons un traitement par Stretching neuro-méningial du nerf cubital. Prochain contrôle clinique lors de l'infiltration prévue le 26.02.2019. Mr. Y présente une douleur d'origine musculaire au niveau de l'insertion de la Patte d'Oie. Nous proposons de continuer la physiothérapie avec un traitement local. Nous ne prévoyons pas de la revoir à la consultation mais restons à disposition. Mr. Y présente une lésion quasiment totale du sus-scapulaire. En regard du bon état général et du taux d'activité, nous proposons au patient une refixation chirurgicale avec une arthroscopie de l'épaule, ténotomie/ténodèse du LCB et suture sous-scapulaire en mini-open. Le but de cette intervention est de lui restaurer une bonne fonction de l'épaule et d'éviter une arthrose. Le patient est informé des risques et bénéfices de l'intervention et signe le consentement éclairé. L'opération est agendée sous condition hospitalisée (2 à 3 nuits).CEA et CA 19-9 négatifs Antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole en intraveineux du 20.02.2019 au 02.03.2019 Antibiothérapie par Ciproxine et Flagyl par voie orale dès le 23.02.2019 au 02.03.2019 Cefepime du 28.01 au 01.02.2019 Cefepime IV 17-01.2019 Prednison 40 mg 1x/T 17-21.01.2019 Cefepime 2 g 3x/j du 06 au 08.01.2019, 2 g 2x/j du 08.01 au 09.01, switch pour Ciproxine 500 mg 2x/j pour une durée totale de 10 jours Ceftriaxone dès le 31.01.2019 (durée dépendant des hémocultures) Ceftriaxone du 04.02 au 10.02.2019 Vancomycine du 04.02 au 08.02.2019 Clarithromycine du 04.02 au 05.02.2019 Noradrénaline du 04.02 au 05.02.2019 Ceftriaxone du 22.02 au .... Tamiflu du 22.02 au (5j) Clarithromycine le 22.02.2019 Ceftriaxone du 26.01 au 28.01.2019 Clarithromycine du 26.01 au 28.01.2019 Prednisone du 30.01 au 03.02.2019 Piperacilline-Tazobactam du 30.01 au 06.02.2019 Atrovent, Ventolin, Spiriva VNI du 26.01 au 04.02.2019 Cathéter artériel droit du 26.01 au 28.01.2019 Sonde vésicale depuis du 26.01 au 28.01.2019 Fonction pulmonaire à prévoir à distance de l'épisode infectieux Ceftriaxone du 29.01.2019 au 03.02.2019 Sédiment urinaire le 01.02.2019 Suivi clinique et biologique Ceftriaxone du 29.01.2019 au 12.02.2019 Changement des sondes double J le 30.01.2019 Ceftriaxone et Flagyl du 28.01.2019 au 01.02.2019 CT thoraco-abdominal injecté le 28.01.2019 Adaptation de la chimiothérapie originalement prévue avec retrait de l'Etopophos Suivi biologique Ceftriaxone et Metronidazole du 14.02-18.02.2019 Ciprofloxacin 18.02-22.02.2019 Avis Infectiologue (Dr. X) 18.02.2019: Pseudomonas dans l'urotube, changement AB pour de la ciproxine PET-CT 21.02.2019 Ceftriaxone intraveineux du 16.02.2019 au 22.02.2019, relais par Co-Amoxicilline per os jusqu'au 24.02.2019 Ceftriaxone intraveineux 09.02.2019 au 11.02.2019 Pose de sonde JJ le 10.02.2019 Ceftriaxone le 17.02.2019 Co-Amoxicilline du 17.02 au 21.02.2019 Ceftriaxone 2 g aux urgences. Résultats hémocultures: E. Coli résistant à la ciprofloxacine, sensible à la Rocéphine, au Bactrim et à la Co-Amoxicilline. Avis urologique (Dr. X): Poursuite de l'antibiothérapie per os par Co-Amoxicilline 1 g 2 fois par jour pendant 14 jours au total. Consultation de contrôle à son cabinet prévue le 05.02. Consignes de reconsultation expliquées au patient. Céfuroxime per-opératoire le 11.02.2019 Contrôle du sédiment urinaire à prévoir Céfuroxime 250 mg 2x/j, 5 jours Surveillance et contrôle pédiatre si nécessaire Céfuroxime 30 mg/kg/jour en 2 doses durant 7 jours Consignes usuelles détresse respiratoire Contrôle chez pédiatre en fin de traitement Céfuroxime 500 mg 2x/jour (allergie à la Furantoïne et Ciprofloxacine). M. Y est admis dans le service le 14.02.2019 pour une surveillance alimentaire et respiratoire dans le cadre d'une bronchiolite RSV positif. Au niveau respiratoire, il nécessite une oxygénothérapie au cours du sommeil du 13.02 au 16.02. Des rinçages de nez réguliers sont réalisés et un protocole de médecine anthroposophique est débuté. Au niveau alimentaire, M. Y ne nécessite pas de pose de sonde naso-gastrique au cours de son séjour. Il ne présente plus d'état fébrile à partir du 15.02 et reste stable hémodynamiquement au cours de son séjour. Au vu de l'évolution clinique favorable, M. Y rentre à domicile le 17.02 avec un contrôle chez le pédiatre dans 48 heures. Cellulite de la main droite sur piqûre d'insecte/d'araignée le 09.07.2012. Ancienne toxicomanie à l'héroïne jusqu'à l'âge de 30 ans. Opérations aux niveaux C2, C3, C4 vers 2006 et 2008. Prothèse au niveau du coude gauche, non datée. Fracture de la cheville droite opérée, non datée. Pneumonie bilatérale le 24.11.2014. Sepsis sur pneumonie du lobe moyen droit le 04.03.2016. Dyspnée d'origine indéterminée le 14.11.2016. Pneumonie gauche à Pneumocoque le 16.12.2016. Cellulite du membre inférieur droit avec ulcère et abcès sous-cutané de 1 cm au niveau de la malléole interne droite le 25.11.2011 dans le cadre d'une insuffisance veineuse chronique et comme porte d'entrée un ongle incarné Macrohématurie transitoire sur anticoagulation suprathérapeutique Colique néphrétique G 1995 Insuffisance rénale aiguë sur AINS vers 1995 Trauma récidivant des ongles des pieds (marathon) Appendicectomie Cellulite hémi-face sous-orbitaire droite et début de cellulite du coin de l'œil à gauche fin 2018. Cellulite paupière supérieure gauche (pas d'arguments pour une ethmoïdite) Cellulite péri-orbitaire gauche Cellulite pré-septale (péri-orbitaire) gauche Cellulite temporale droite. Centor score 1, pas de frottis pour SBEGA Traitement symptomatique (sirop contre la toux, Dafalgan et Algifor) Céphalée Céphalée. Céphalée. Céphalée. Céphalée. Céphalée. Céphalée. Céphalée. Céphalée. Céphalée. Céphalée. Céphalée. Céphalée avec malaise. Céphalée d'étiologie X Céphalée dans un contexte d'hypertension intracranienne • HSA • Sd vasoconstriction cérébrale réversible • Méningo-encéphalite • Vasculite systémique Céphalée de tension. Céphalée d'origine indéterminée le 21.02.2019. Céphalée d'origine indéterminée le 23.02.2019. • pas de Red Flags pour un Ct-cérébral. Céphalée post ponction lombaire, le 22.02.2019: • sur virose probable • CT cérébral (Dr. X): pas d'oedème, pas de saignement • Ponction lombaire (Dr. X): pression d'ouverture à 18,5 mmHg, 1 élément, citrin • Rocéphine 2 g IV 1 dose aux urgences • Avis infectiologique téléphonique (Dr. X): pas d'argument pour une méningite, pas de poursuite de l'antibiothérapie, consultation si nouvel élément, contrôle clinique à 24-48h. Céphalée post-ponction lombaire le 03.02.2019. Céphalée suite à un traumatisme crânien simple le 15.05.2018. Sevrage alcoolique le 30.03.2018. Pancréatite en avril 2017 avec pose successive de deux dérivations entre pancréas et intestins. Pneumonie en avril 2017. Pancréatite aiguë d'origine alcoolique Pneumothorax spontané en 1999. Céphalée sur pic hypertensif (205/110) le 03.02.2015. Colique néphrétique. Status post hystérectomie. Status post appendicectomie dans l'enfance. Status post 4 césariennes. Céphalée type migraine le 11.02.19. Céphalées Céphalées Céphalées Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées. Céphalées avec parésie du membre supérieur droit d'origine possiblement fonctionnelle le 26.08.2018. Crise d'hyperventilation sur anxiété le 04.09.2018. Migraine le 01.09.2018. Hémisyndrome droit sensitivo-moteur récidivant depuis le 26.08.2018 d'origine actuellement indéterminée (DD: migraine hémiplégique, trouble fonctionnel) Ponction lombaire le 05.09.2018. EEG le 07.08.2018. Céphalées, cervicalgies, lombalgies. Céphalées chroniques Céphalées chroniques depuis 10 ans. Céphalées chroniques d'origine indéterminée. Diabète de type 2 non insulino-requérant. Hypertension artérielle. Hypertrophie du lobe médian prostatique. Lombalgies chroniques non déficitaires. Céphalées dans le cadre d'une hydrocéphalie Céphalées dans le contexte de stress au travail. Céphalées dans le contexte de stress au travail le 09.02.2019. Céphalées dans un contexte d'état grippal le 24.02.19. Céphalées dans un contexte d'hypertension artérielle. Céphalées de tension Céphalées de tension. Céphalées de tension. Céphalées de tension. Céphalées de tension DD: migraine sans aura Céphalées de tension le 17.02.2019. Céphalées de tension le 23.02.19. Céphalées de tension le 24.02.2019. Céphalées de tension Obésité avec un BMI supérieur à 30. Céphalées de tension sous Imigran Obésité (BMI supérieur à 30 kg/m2) Céphalées depuis longtemps, sans état fébrile, holocrâniennes compressives continue 5/10 avec pics 10/10, diurnes et parfois nocturnes. Consultation ORL pour audition réduite en octobre 2017 où l'on remarque une surdité de perception bilatérale (droite > gauche), prescription d'appareillage auditif qui n'a jamais pu être acheté en raison du prix. Plusieurs bronchites à l'âge de 5-10 ans, traitement avec inhalations, résolu maintenant. Ménarche à 12 ans. Menstruations régulières mais très douloureuses (9-10/10 de douleur pendant le premier jour). Anamnèse socio-familiale: Mr. Y est né en Syrie. La famille fuit Damas en 2014, passe 2 ans au Liban et arrive en Suisse en 2016. Actuellement Mr. Y est en deuxième année de cycle à Düdingen, où il dit s'être bien intégré. Il parle bien allemand et comprend le français. Pas de voyage hors Europe les 3 dernières années. Céphalées d'étiologie indéterminée DD Migraine Céphalées d'origine indéterminée avec : • hypoesthésie de l'hémiface gauche et du dos de la main gauche. Céphalées d'origine indéterminée (DD: céphalées hypertensives). Céphalées en coup de tonnerre récidivantes dès le 11.2.2019 sur probable encéphalite virale avec : • troubles visuels, nausées et vomissements d'origine indéterminée DD : méningo-encéphalite, syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible (RCVS), HSA avec céphalées sentinelles, méningite virale, vasculite primitive du SNC, migraine Céphalées en grappe le 10.02.2019. Céphalées, épistaxis Céphalées et cervicalgies. Céphalées et cervicalgies non déficitaires, post-traumatisme crânien simple, le 09.02.2019. Céphalées et DRS Céphalées et état fébrile. Céphalées et état fébrile. Céphalées et état fébrile. Céphalées et état fébrile. Céphalées et insomnie Céphalées et palpitations. Céphalées et vertige sur probable crise hypertensive, le 06.02.2019. Céphalées et vertiges. Céphalées et vertiges d'origine indéterminée le 26.02.2019 • Migraine vestibulaire DD atteinte du nerf vestibulaire inf. droit • Effet secondaire d'hydroxychloroquine • Tachycardie posturale Céphalées et vertiges d'origine indéterminée Pas d'argument pour une origine ni centrale ni périphérique Céphalées et vomissements. Céphalées, état fébrile. Céphalées fébriles avec examen clinique rassurant sans signes de gravité urgents. Prélèvement de la grippe effectué sans possibilité d'avoir les résultats dans la nuit. Après discussion avec Dr. X, contrôle clinique avec résultats de la grippe demain et en fonction, décision pour poursuite d'un bilan biologique +/- imagerie. Céphalées fébriles (DD: état grippal, migraine déclenchée sur virose, encéphalite virale, maladie Lyme, processus malin, autres ?) Céphalées fébriles d'origine indéterminée (DD: virose, processus tumoral) Céphalées frontales avec paresthésies bilatérales le 20.04.2019. Céphalées frontales bilatérales pulsatiles d'origine indéterminée, probablement multifactorielle DD : • Secondaire au retrait de liquide céphalo-rachidien (ponction lombaire le 06.02.2019) • Syndrome post-ponction lombaire peu probable au vu de la symptomatologie non orthostatique • Secondaire à la diplopie • Médicamenteuse (paracétamol, corticothérapie) Céphalées holocrâniennes persistantes à J2 post-traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Céphalées inhabituelles Céphalées inhabituelles DD effet secondaire Remicad, crise migraineuse Céphalées inhabituelles occipito-temporales droites probablement dans le cadre de douleurs dentaires le 17.02.2019. Céphalées inhabituelles sans aura. Traumatisme crânien le 19.12.16. Tuméfaction occipitale. Diagnostic différentiel : kyste sébacé, sérome, adénopathie. Contusion au niveau lombaire et coccyx sur chute dans les escaliers le 19.11.18. Céphalées intermittentes sur hypertension intracrânienne avec possible composante liée au stress Céphalées invalidantes d'origine mixte avec : • Céphalées tensionnelles et sur abus d'antalgique. • Restriction strictement de Dafalgan. Douleur cervico-dorsale et lombaire chronique sur : • Bloc cervical C5-C6 congénital avec discopathie sus-jacente. • Status post-accident en 1993 avec fracture du mur antérieur de L1 et discopathie D12-L1 sus-jacente. Dépression légère à moyenne avec : • Status post-état dépressif en 2008. Probable bronchite asthmatiforme le 27.06.2015. Rhinite chronique possiblement allergique le 27.06.2015. Céphalées légères d'origine indéterminée. Céphalées légères ou chroniques. Céphalées migraineuses Arthrose d'une néo-articulation lombosacrée G Dégénérescence (rupture partielle) du sus-épineux G Déconditionnement physique avec : • perte de poids (-4.1 kg en 2 ans) • douleurs musculo-squelettiques chroniques sur polyarthrose • tendomyogéloses étendues Perte de poids d'origine indéterminée (-4.1 kg en 2 ans) • RX thorax et US abdominal dans la norme • Trouble mixte de la personnalité + trouble dépressif • Rendez-vous avec le Dr. X le 05.03.2019 à 10h (CSSM). • Céphalées migraineuses. • Tabagisme ancien. • Arthrose d'une néo-articulation lombosacrée gauche. • Dégénérescence (rupture partielle) du sus-épineux gauche. • Céphalées occipitales nouvelles le 17.02.2019 dans un contexte oncologique: > adénocarcinome pulmonaire avec récidive actuelle au niveau hilaire médiastinal > radio-chimiothérapie à visée curative en cours > importante asthénie associée • Céphalées occipitales sur cervicalgies et contracture de la musculature cervicale postérieure le 13.02.2019. > Status post traumatisme occipital le 26.12.2018. • Céphalées post-PL persistantes sur probable brèche durale > status post Blood patch par anesthésiste > sous Arcoxia Attitude: > anesthésiste au courant du patient, il sera pris en salle de réanimation pour un nouveau blood patch le 22.12.2018 : selon anesthésiste : patient algique avec dysesthésie dans les membres inférieurs au moment de l'anesthésie locale puis arrêt du geste de PL en raison de dysesthésie persistante. Dans ce contexte : arrêt du geste. > CT lombaire permettant d'écarter un hématome/abcès > laboratoire : sans particularité > proposition de surveillance en chambre d'observation. Réévaluer nouveau geste avec anesthésiste pour blood patch > le patient ne souhaite pas de nouveau geste de PL. Retour à domicile avec traitement antalgique. • Céphalées post-ponction lombaire le 17.02.2019 • Céphalées post-traumatiques. • Céphalées primaires. • Céphalées probablement tensionnelles. • Céphalées sans critère de gravité d'origine indéterminée le 19.11.2016. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. CT cérébral: pas d'hémorragie sous-arachnoïdienne, pas de thrombose veineuse, pas de sinusite. Antalgie. • Céphalées simples le 10.02.2019. > absence de red flag. • Céphalées sur crise hypertensive le 28.01.2019. • Céphalées sur virose DD: décompensation d'hydrocéphalie. • Céphalées temporales pulsatiles dans un contexte de contusions hémorragiques corticales frontales des gyrus droits post-traumatiques > status post traumatisme crânien complexe avec arrêt cardiaque et probable perte de connaissance le 01.02.2019. • Céphalées tensionnelles > étirement musculaire. • Céphalées tensionnelles avec sensation vertigineuse le 24 novembre 2013 avec CT cérébral le 24 novembre 2013: sans particularité. Polypectomie sigmoïde en 15 juillet 2013: pas de néoplasie. Polypectomie subtotale vers l'angle hépatique le 27 février 2012: adénome tubuleux avec néoplasie intra-épithéliale/dysplasie épithéliale de bas grade (2 biopsies). Appendicectomie 1988. Cholécystectomie en 1992 environ. Présence d'immunité à EBV (EBNA à 9.84 et VCA/EA à 1.7): 15 mars 2013 Douleur thoracique d'origine pariétale août 2012. Troubles neurologiques sensitifs du membre supérieur droit d'origine indéterminée 30 décembre 2013: > dosage vitamine B12, TSH normaux, sérologies de Lyme négatif. > IRM colonne cervico-dorsale du 3 janvier 2013 montre discrète protrusion sous-ligamentaire du rachis médiodorsal avec petite prédominance récessale gauche en C4-C5. > consultation du Dr. X le 30 décembre 2012: retient le diagnostic de nucalgies chroniques sans atteinte neurologique concomitante, traite par Sirdalud + physiothérapie, propose l'instauration d'un traitement par antidépresseurs. Intervention ligamentaire au niveau du genou gauche en avril 2012. Piqûre de tique en axillaire D le 09.06.2015. Contusion du coccyx le 24.02.2016. Plaie index gauche face médicale au niveau de la phalange II le 27.05.2016. • Céphalées tensionnelles, DD sur HTA. • Céphalées, vertiges. • Céphalées violentes avec photophobies et agitation psychomotrice majeure sur méningite carcinomateuse. • Céphalées violentes avec symptômes neurologiques atypiques le 11.02.2019. • Céphalées. DD: tensionnelles, sinusite. • Cerclage par laparoscopie le 02.08.2018. • Certificat à la demande de la partie intéressée. • Certificat intermédiaire LAA pour Visana. • Cerumen und Trommelfellperforation. • Cerumenol le 6.02.2019. • cerumenol 3-4j contrôle pédiatre pour faire le point. • Cerumenol Dafalgan, Algifor Hydratation fractionnée. • Cerumen-öl Extraction. Klinische Kontrolle beim Hausarzt. • Cervicalgie. • Cervicalgie d'origine musculaire le 03.02.2019. • Cervicalgie d'origine musculo-squelettique prédominant à gauche. • Cervicalgie, dorsalgie et douleur au membre inférieur gauche suite à un accident de la voie publique. • Cervicalgie, dorsalgie, lombalgie. • Cervicalgie droite. • Cervicalgie, lombalgie, dorsalgie. • Cervicalgie non déficitaire le 04.02.2019. • Cervicalgie post-accident de la voie publique et multiples contusions costales le 11.02.2019: • Cervicalgie probablement chronique, acutisée sur le traumatisme du 04.02.2019. • Cervicalgies. • Cervicalgies. • Cervicalgies. • Cervicalgies. • Cervicalgies. • Cervicalgies. • Cervicalgies. • Cervicalgies. • Cervicalgies. • Cervicalgies. • Cervicalgies atraumatiques non déficitaires avec contracture paravertébrale cervicale. • Cervicalgies chroniques dans le contexte des atteintes musculaires > status post infiltration des facettes en 2018. • Cervicalgies d'origine musculo-squelettique, le 19.02.2019. • Cervicalgies d'origine musculo-squelettique le 19.02.2019. • Cervicalgies et lombalgies: > dans cadre de traumatisme par AVP. • Cervicalgies gauches. • Cervicalgies le 05.02.2019. • Cervicalgies post-traumatiques le 18.03.2015. Lombo-cruralgies diffuses non déficitaires le 18.07.2015. Abcès pli de l'aine gauche sur rasage le 20.10.2015. • Cervicalgies suite à une chute de sa hauteur le 17.03.2018. • Cervico-brachialgie probablement d'origine musculaire le 19.02.2019. DD: canal cervical étroit. • Cervico-brachialgies avec hypoesthésie du membre supérieur gauche. • Cervicobrachialgies C7 D chroniques avec myélopathie radiologique sur sténose canalaire sévère dégénérative multi-étagée prédominante en C5 et C7. • Cervicobrachialgies C7 G sur: > Discopathie C6-C7 avec protrusion paramédiane G en possible conflit avec la racine C7 G > Status post-cervicotomie antérieure paramédiane G, discectomie C4-C5 et mise en place d'une cage Scarlet hauteur 6, pré-remplie par Cerasorb et fixée par 2 vis (3.0/14) et discectomie C5-C6 et mise en place d'une cage Scarlet hauteur 6, pré-remplie par Cerasorb et fixée par 2 vis (3.0/16) le 06.06.2018 pour des cervicobrachialgies à G sur protrusion ostéophytaire C3-C6. Fusion spontanée de C2-C3. • Cervico-brachialgies gauches. • Cervico-brachialgies gauches non déficitaires, le 01.02.2019. • Cervicobrachialgies gauches sur: > sténose dégénérative C4-C5 et C5-C6 gauche sur uncarthrose. • Cervicobrachialgies mixtes C5 et C7 G sur: > Discopathie C6-C7 avec protrusion paramédiane G en conflit avec la racine C7 G dans son foramen > Résidu d'uncarthrose C4-C5 G avec sténose foraminale C5 G > Status post-cervicotomie antérieure paramédiane G, discectomie C4-C5 et mise en place d'une cage Scarlet hauteur 6, pré-remplie par Cerasorb et fixée par 2 vis (3.0/14) et discectomie C5-C6 et mise en place d'une cage Scarlet hauteur 6, pré-remplie par Cerasorb et fixée par 2 vis (3.0/16) le 06.06.2018 pour des cervicobrachialgies à G sur protrusion ostéophytaire C3-C6. Fusion spontanée de C2-C3. • Césarienne élective. • Césarienne élective. • Césarienne élective. Césarienne élective itérative chez une patiente de 28 ans, 2-gestes devenue 2-pares à 41 3/7 semaines d'aménorrhée le 15.02.2019 Césarienne élective pour présentation en siège et utérus myomateux à 38 4/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 4-gestes devenue 3-pares le 21.02.2019. Césarienne élective pour utérus bi-cicatriciel chez une patiente de 40 ans, 4-gestes devenue 4-pares à 39 2/7 semaines d'aménorrhée le 22.02.2019 Césarienne en urgence partage de streptocoques du groupe B et CTG suspect après provocation pour rupture prématurée des membranes sur utérus cicatriciel à 36 6/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 2-gestes devenue 2-pares de 28 ans le 29.01.2019 Césarienne en urgence pour défaut d'engagement et disproportion fœto-pelvienne chez une patiente de 29 ans deux gestes devenue deux pares à 39 5/7 semaines d'aménorrhée le 25.12.2018. Césarienne en urgence pour désir maternel après provocation pour terme dépassé à 41 4/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente primigeste devenue primipare de 28 ans le 19.02.2019 Césarienne en urgence pour non-progression de la dilatation à 5 cm à 41 1/7 semaines d'aménorrhée compliquée par hémorragie du post-partum et abcès de la cicatrice drainé à J10. Naissance d'une fille de 3850g (2017) Rhinoplastie (2002) Opération du genou droit pour boursite (2007) Césarienne en urgence 1 pour pré-éclampsie débutante chez une patiente de 28 ans, 6-gestes devenue 4-pares à 36 semaines d'aménorrhée le 17.02.2019. Césarienne en urgence 1 pour stagnation de la dilatation à 3 cm chez une patiente 1G devenue 1P de 21 ans à 41 2/7 SA, le 03.09.2013 Phlegmon latéro-thoracique gauche, chez une patiente enceinte de 33SA (07.07.2013) Douleur abdominale aiguë en FID le 25.04.2018 • DD constipation, foyer infectieux débutant, irritation du muscle psoas droit Césarienne en 1992 Césarienne en 2010. Opération fibrome osseux fémur droit 1985 (anamnestique). Bronchite aiguë probablement virale compliquée d'une crise d'asthme modérée le 05.10.15 avec: • PF à 240 mL (56 % du prédit) à l'arrivée • PF à 290 mL (60 % du prédit) après ventoline Crise d'angoisse, sous Déroxat. Césarienne itérative en urgence 30 min pour suspicion de pré-rupture utérine, chez une patiente de 30 ans, 2-gestes devenue 3-pares, à 40 semaines d'aménorrhée le 21.02.2019 Césarienne pour échec de provocation à terme dépassé (2005) Césarienne pour siège à 38 SA, poids de naissance 3.455 kg Césarienne programmée Césarienne programmée. C'est une patiente de 58 ans connue pour un carcinome mammaire gauche pT2 pN1a cM0, ED 2007, avec récidive en 2014 puis en 2017. Elle est également connue pour un diabète de type II insulinorequérant déséquilibré avec un ulcère diabétique du talon droit chronique depuis un an, une BPCO, une HTA, une FA, et une polyneuropathie périphérique. Pour rappel, le dernier CT de contrôle du 24.10.2018 avait montré une stabilisation du cancer avec un petit épanchement pleural droit et des métastases ostéocondensantes au niveau des vertèbres thoraciques. A l'anamnèse systématique, la patiente se plaint de douleurs d'allure nociceptive au niveau du talon et de douleurs neuropathiques au niveau de toute la jambe droite. Elle mentionne une grande fatigue, des nausées, une constipation et une perte d'appétit, ainsi qu'une anxiété. Il n'y a pas d'autres symptômes à l'anamnèse systématique. A l'examen physique, nous retrouvons une patiente à l'état général et nutritionnel diminué, se mobilisant encore mais lentement, pâle mais normohydratée, collaborante, calme, eupnéique à l'AA. Il existe une obésité morbide avec un poids de 108 kgs à l'entrée. Au status cardio-vasculaire, des bruits B1 et B2 bien frappés, réguliers, sans souffle. Il existe des œdèmes aux deux jambes. L'examen abdominal montre un abdomen souple, dépressible, indolore, avec des bruits normaux en fréquence et en tonalité. Les loges rénales sont indolores. Le talon droit montre une plaie d'environ 10 cms de diamètre, quelques cms de profondeur, macérante, avec des zones de nécrose. Le reste du status, y compris neurologique, est sans particularités. Concernant le diabète de Mme Y, nous réalisons des contrôles glycémiques 4x par jour qui montrent des valeurs toujours élevées, raison pour laquelle nous réintroduisons un traitement d'insuline basale par Tresiba (traitement qui avait été arrêté lors de sa dernière hospitalisation pour cause d'hypoglycémies à répétition) avec un effet discret et des valeurs toujours au-dessus des normes. Nous recommandons de poursuivre les contrôles réguliers du diabète chez le médecin traitant. L'ulcère diabétique du talon droit a été pris en charge par des soins de plaie quotidiens. Un avis chirurgical a été pris auprès du Dr X qui a posé une indication de débridement chirurgical, planifié pour le 15.02.2019 à l'HFR Tafers. Concernant le diagnostic oncologique de Mme Y, un entretien familial a été organisé, la patiente semble bien informée de la maladie et de son pronostic, et poursuit ses contrôles réguliers chez son oncologue Dr X à Fribourg. Les diurétiques de Mme Y ont été augmentés de 20 à 30 mg par jour en raison d'œdèmes importants des membres inférieurs, sans autre signe de surcharge cardiovasculaire. Nous suspectons une dépendance aux benzodiazépines, raison pour laquelle nous entamons un sevrage de Temesta (descendu de 3 à 1.5 mg par jour lors de l'hospitalisation dans notre service) que nous vous encourageons à poursuivre. Le 14.02.2019, la patiente est transférée à Tafers en bon état général. Cétirizine 10 mg 1x/jour le matin et Tavegyl 1 mg le soir. Suite de prise en charge chez le médecin traitant, avec consultation chez l'allergologue. Cétirizine 5 mg à poursuivre pour une durée de 3 jours au total Cétirizine 5 mg à poursuivre pour une durée de 3 jours au total Cétirizine 7 mg sans amélioration Stix urinaire sans protéinurie Avis ophtalmologique: suspicion de cellulite préseptale Co-amoxicilline 1 gr 2x/j, 1 jour Contrôle demain Cette jeune patiente présente une voussure au niveau du creux poplité à D, d'évolution stagnante et la gênant lors des mouvements d'extension du genou. Nous lui proposons de compléter le bilan par une IRM du genou D et reverrons la patiente par la suite pour discuter de la prise en charge. Cette lésion des ligaments gléno-huméraux, très probablement moyen et inférieur, n'a pas de conséquence thérapeutique vu la bonne force et la bonne stabilité de l'épaule. Il faut envisager un traitement de rééducation. Je préconise une infiltration sous-acromiale. J'informe le patient qu'il faudra du temps pour calmer les douleurs vu qu'il a une contusion osseuse. Par contre, je suis optimiste qu'il ne faudra pas de procédure chirurgicale en ce moment. J'ai programmé l'infiltration pour le 22.2.2019. Le patient reprendra son travail à 50 % administratif dès le 25.2.2019. Cette patiente de 14 ans est amenée aux urgences par la REGA le 15.02.2019 suite à une chute accidentelle en luge. En effet, la patiente entre en collision avec un arbre et se réceptionne sur le dos, se relève à l'aide de sa maîtresse d'école, parcourt quelques mètres puis présente un épisode de vomissements. La patiente présente également un traumatisme crânien avec amnésie circonstancielle, sans perte de connaissance. Elle ne portait pas de casque. L'anamnèse systématique révèle également une douleur de la colonne dorsale et du coccyx. Pas de troubles neurologiques comme vertiges, nausées, céphalées. A l'entrée, l'examen neurologique montre des pupilles isocores et isoréactives, sans atteinte des nerfs crâniens, ptosis à gauche, pas de nystagmus. Réflexes ostéo-tendineux conservés, force et sensibilité symétriques aux quatre membres, pas de trouble sphinctérien.Sur le plan ostéo-articulaire, douleur élective à la palpation de la colonne dorsale, essentiellement au niveau de T5, T6 et T7. Colonne cervicale, lombaire, bassin, quatre membres indolores. Pas de trouble sensitivomoteur des quatre membres, pouls périphériques palpés. Lasègue négatif. Testing des nerfs axillaires sans particularité. L'abdomen est souple, dépressible, sensible dans les deux hypochondres et en région péri-ombilicale, sans défense, ni détente. Pas de masse palpable, orifices herniaires libres. Loges rénales indolores. Une radiographie de la colonne dorsale fait suspecter un tassement de D7, motivant la réalisation d'un CT de la colonne dorsale, confirmant ce tassement. Le bilan biologique montre une perturbation hépatique et une microhématurie au stix urinaire. Un CT abdominal met alors en évidence la lésion hépatique suscitée. Par ailleurs, en raison d'une bradypsychie objectivée aux urgences et d'un ralentissement rapporté à l'hétéro-anamnèse du père, nous décidons de compléter le bilan par un CT cérébral. Celui-ci permet d'exclure toute lésion. La patiente est hospitalisée dans le service de chirurgie pour surveillance clinique. L'évolution est favorable tant sur le plan clinique, avec diminution de la symptomatologie douloureuse, que biologique avec une quasi normalisation des valeurs hépatiques. Un ultrason abdominal de contrôle ne met pas en évidence de complication de la lésion hépatique. Vu la bonne évolution, la patiente peut retourner à domicile le 18.02.2019. Cette patiente de 28 ans est victime d'un traumatisme en torsion de la cheville gauche suite à une chute à snowboard le 03.02.2019. Elle est vue aux urgences de l'HFR Fribourg où le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire une fois la situation locale favorable. L'intervention se déroule le 08.02.2019 à l'HFR Riaz et les suites opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et une immobilisation par botte plâtrée fendue est en place. La patiente bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en charge maximale de 5 kg. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est calme et propre. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera poursuivie durant 6 semaines post-opératoires. Vu la bonne évolution, la patiente peut retourner à domicile le 11.02.2019. Cette patiente de 30 ans, en bonne santé habituelle, décrit l'apparition de douleurs abdominales le 20.02.2019 vers 17h00, localisées au niveau de l'hémi-abdomen inférieur, irradiant au niveau lombaire, soulagées lorsque la patiente se penche en avant. Ces douleurs surviennent sans effort particulier, la prise d'AINS n'a qu'un effet partiel, motivant une consultation à l'HFR Fribourg. Un ASP est alors effectué, montrant une coprostase avec dilatation significative du cadre colique. La patiente nous est adressée pour suite de la prise en charge. Il s'agit du premier épisode de ces douleurs. Selles et urines sans particularité le jour de l'admission. Pas de nausée, ni vomissement ou état fébrile récent. Pas de voyage ou notion de contage. Le reste de l'anamnèse est sans particularité, dernières règles sans particularité il y a 7 jours. Aux urgences, les douleurs sont en diminution progressive, de localisation diffuse mais prédominant en fosse iliaque droite. Pas d'anamnèse familiale positive pour une maladie inflammatoire chronique de l'intestin. Contraception par stérilet. Au status, les bruits abdominaux sont augmentés en fréquence et en tonalité aux quatre quadrants, maximaux en fosse iliaque droite. L'abdomen est souple et indolore dans trois quadrants, mais sensible en fosse iliaque droite, sans défense, ni détente associées. Signe de Murphy négatif. Toucher rectal indolore, ampoule rectale vide, traces de selles sur le doigtier, pas de sang. Loges rénales indolores à la percussion. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique est sans particularité, notamment pas de syndrome inflammatoire. Au vu de la symptomatologie et de la dilatation du côlon visible à l'ASP, la patiente est hospitalisée dans le service de chirurgie pour surveillance clinique et poursuite du bilan. Un CT abdominal injecté avec lavement à la Gastrografin est effectué le 21.02.2019. L'évolution est favorable, avec disparition complète de la symptomatologie douloureuse, sans apparition de nouveaux symptômes. Le diagnostic suscité est retenu et la patiente peut retourner à domicile le 21.02.2019. Elle sera revue à votre consultation en début de semaine suivant l'hospitalisation pour un contrôle clinique. Nous vous laissons le soin d'organiser une coloscopie d'ici 4 à 6 semaines. Cette patiente de 41 ans, en bonne santé habituelle, chute à ski le 16.02.2019. Aux urgences, le bilan radio-clinique met en évidence la fracture susmentionnée et, vu l'affaissement antéro-latéral du plateau tibial, le Dr. X retient l'indication opératoire. L'intervention se déroule le 19.02.2019 et les suites post-opératoires sont simples, avec des douleurs bien gérées par l'antalgie standard habituelle. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la cicatrice, visualisée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et est à poursuivre jusqu'au 02.04.2019. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en décharge complète du membre inférieur gauche, sous protection d'une attelle jeans en extension et de cannes anglaises, ceci étant prévu pour une durée de 6 semaines. Par ailleurs, une physiothérapie de mobilisation passive du genou en flexion-extension libre, avec relâchement de la chaîne postérieure et renforcement isométrique du quadriceps est entreprise. Devant la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 22.02.2019. Cette patiente de 41 ans est connue pour un trouble de l'humeur type dépressif et pour un alcoolisme chronique. Dès le 27.01.2019, la patiente ressent des douleurs épigastriques type constrictif avec irradiation dans tout le ventre, continues, EVA à 8/10, associées à des vomissements et à des selles molles claires. La patiente décrit que ces douleurs sont similaires à des épisodes précédents de pancréatite. La prise d'antalgie simple (Dafalgan et Irfen) est sans effet majeur. Mme. Y est d'origine espagnole et visite actuellement son compagnon qui habite en Suisse. La semaine précédant les douleurs, elle dit avoir bu 1 litre de rhum par jour. De plus, depuis le 26.01.2019, elle décrit les symptômes suivants : malaise général, tremblements, trémor, soif. Elle est suivie par un psychiatre et un gastro-entérologue en Espagne. Au status à l'admission, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité, l'abdomen est souple mais sensible au niveau supérieur, avec une défense surtout en épigastre. Status cardio-pulmonaire sans particularité. Le bilan biologique met en évidence une lipase à 1558 U/l, ASAT 66 U/l, gamma GT 75 U/l, bilirubine directe 8,9 umol/l. Le reste des valeurs hépatiques est dans la norme. À noter également un léger syndrome inflammatoire avec CRP à 43 mg/l, sans leucocytose. Un CT abdominal montre des images compatibles avec une pancréatite aiguë présentant un score de Balthazar de 5-6, sans signe de complication. La patiente est hospitalisée dans le service de chirurgie pour un traitement conservateur sous forme d'hydratation intraveineuse, mise à jeun. L'évolution est favorable, tant au niveau clinique avec baisse des douleurs, qu'au niveau biologique avec une lipase à 197 U/l à la sortie.Le 02.02.2019, Mme. Y retourne à domicile. Elle rentrera en Espagne le 03.02.2019 et se rendra à la consultation de son médecin traitant dans le courant de la semaine suivante. Cette patiente de 44 ans, en bonne santé habituelle, est amenée aux urgences par ambulance suite à une chute avec traumatisme crânien. En effet, Mme. Y rapporte avoir été réveillée vers 01h00 du matin par son fils qui est tombé d'un lit superposé. Elle se lève rapidement et, alors qu'elle est à côté de son enfant, elle ressent les symptômes suivants : • bouffée de chaleur • voile noir • paresthésies des quatre membres. Elle perd connaissance et se retrouve au sol. Suite à sa chute, elle présente une plaie frontale droite et une douleur de l'épaule droite. À noter une perte de connaissance de quelques secondes avant l'arrivée du mari de la patiente. À l'entrée, le statut cardio-pulmonaire est dans la norme. Sur le plan cutané, présence d'une plaie horizontale de l'arcade sourcilière droite de 4.5 cm de longueur, sans atteinte des structures nobles. L'examen ostéo-articulaire révèle une colonne vertébrale indolore à la palpation et à la percussion. Pas de déformation articulaire de l'épaule droite mais œdème en regard du tubercule majeur de la tête humérale, sans touche de piano, sans douleur de l'articulation acromio-claviculaire. Palpation du tubercule majeur et de l'acromion douloureuse. Adduction plus de 50°, antépulsion plus de 90°, douloureuses, antépulsion limitée à 100° en actif, normale en passif mais très douloureuse, rotation externe indolore, rotation interne très limitée en raison de la douleur. Testing de la coiffe impossible en raison de la douleur, testing du nerf axillaire normal, ainsi que du nerf médian et du nerf radial. Force et sensibilité normales. Sur le plan neurologique, pupilles isocores et isoréactives, nerfs crâniens sans particularité, force M5 et sensibilité conservée aux quatre membres. Réflexes ostéo-articulaires vifs et symétriques. Marche sans particularité. Mingazzini et Barré tenus. Tests cérébelleux normaux. Au niveau ORL, la palpation de l'os zygomatique droit est douloureuse, avec un léger œdème en regard, sans instabilité. Pas d'emphysème sous-cutané palpé, ni hématome visible. Oroscopie et otoscopie sans particularité. Le bilan biologique est sans particularité, de même que l'ECG. Le bilan radiologique de l'épaule est sans particularité. Mme. Y est admise dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique de 12 heures. L'évolution est favorable, avec une diminution de la symptomatologie douloureuse et sans péjoration du statut neurologique. Le 21.02.2019 dans l'après-midi, la patiente peut retourner à domicile. Cette patiente de 44 ans, en bonne santé habituelle, est connue pour un statut post-abdominoplastie et mise en place de prothèses mammaires bilatérales en Turquie au début de janvier 2019. Depuis quelques jours, la patiente présente une induration de sa cicatrice abdominale avec un écoulement purulent. Pas d'état fébrile, ni douleurs associées. Le bilan biologique montre une CRP à 44 mg/l, sans leucocytose. Le CT abdominal effectué aux urgences met en évidence une importante infiltration liquidienne des tissus mous, en voie de collection. Cette dernière se situe au niveau de l'hémiabdomen inférieur, en regard du muscle droit. Mme. Y est hospitalisée dans le service de chirurgie et, le 29.01.2019, une biopsie de la collection est effectuée sous ultrasons, mettant en évidence un liquide citrin rosé non purulent, dont la culture revient négative à 2 jours. Le 30.01.2019, le Dr. X effectue un rinçage de cette collection et met en place un drainage actif. Ce drain peut être retiré le 04.02.2019. L'évolution est favorable, la plaie est calme, pas d'apparition de nouveaux symptômes comme douleurs ou nausées. Dès lors, Mme. Y peut retourner à domicile le 04.02.2019. Le changement des pansements sera effectué par les infirmières des soins à domicile et la patiente sera revue en policlinique de chirurgie le 08.02.2019. Cette patiente de 48 ans chute de sa hauteur sur le verglas avec réception le pied gauche en inversion le 17.02.2019. D'emblée, elle présente des douleurs, un œdème local et une impotence fonctionnelle, raison de sa consultation aux urgences où le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. Mme. Y est hospitalisée dans le service d'orthopédie dans l'attente que l'état cutané permette une approche chirurgicale. L'intervention et ses suites se déroulent sans complications, les douleurs étant bien gérées par l'antalgie standard. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme, sans signe inflammatoire. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la patiente bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en décharge du membre inférieur gauche, à l'aide de cannes anglaises, sous protection d'une botte de décharge à la sortie. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera poursuivie durant 6 semaines. Devant la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 23.02.2019. Cette patiente de 48 ans, en bonne santé habituelle, est amenée aux urgences le 06.02.2019 suite à une chute à ski avec mouvement de torsion du genou droit, de mécanisme exact imprécis. Pas de traumatisme crânien, ni perte de connaissance. D'emblée, la patiente présente de vives douleurs du genou droit avec impotence fonctionnelle. Le bilan radiologique, complété par un CT, met en évidence la fracture suscitée pour laquelle l'indication chirurgicale est retenue. L'intervention se déroule le 07.02.2019, sous antibioprophylaxie de Zinacef. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre, les douleurs sont contrôlées par l'antalgie standard. Le bilan biologique à 24 heures post-opératoires met en évidence une anémie aiguë à 101 g/l d'hémoglobine contre 121 g/l en pré-opératoire. Mme. Y étant asymptomatique, nous décidons d'un simple suivi clinique et biologique. La réfection du pansement met en évidence une cicatrice calme et sèche, sans signes inflammatoires locaux. La patiente bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, avec touch down du membre inférieur pour une durée de 6 semaines. Par ailleurs, elle est porteuse d'une attelle jeans à 0° pour une durée totale de 6 semaines également. Mme. Y est autonome avec ses cannes et peut regagner son domicile le 09.02.2019. L'anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour sera poursuivie pour un total de 6 semaines post-opératoires. La patiente se présentera à votre consultation pour la réfection des pansements, puis à la consultation du Dr. X à 15 jours post-opératoires pour ablation des agrafes. Cette patiente de 58 ans est adressée à la consultation du Dr. X pour des douleurs en regard du tendon d'Achille du pied droit, présentes de manière chronique depuis plusieurs mois et la gênant lors de la marche. L'examen clinique et radiologique met en évidence une maladie de Haglund pour laquelle le Dr. X retient l'indication à une cure chirurgicale. L'intervention se déroule sans complication le 04.02.2019. Les suites opératoires sont simples, les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie standard et la réfection du pansement à J1 retrouve une cicatrice calme, sans signe inflammatoire, avec persistance d'un léger écoulement hémorragique. Une immobilisation par Vacoped en équin est en place et la marche se fait en décharge du membre inférieur droit sous la supervision des physiothérapeutes. Une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée pour la durée de l'immobilisation. Mme. Y est capable de se déplacer de manière autonome et, vu la bonne évolution, peut regagner son domicile le 05.02.2019.Cette patiente de 61 ans, connue pour les comorbidités et antécédents suscités, nous est adressée de Billens pour les éléments suivants: • nausée • vomissements • baisse d'état général sur le week-end. La patiente décrit également les symptômes suivants: • céphalées de type serrement, diffuse, d'apparition progressive il y a 1-2 jours. • Des douleurs similaires à des épisodes du passé. • Vertiges de type tangage sans chute. • Algiurie dans un contexte d'incontinence urinaire. • Diarrhées depuis 1-2 jours sans sang. Elle était hospitalisée à Billens depuis le 11.02.2019 pour une neuro-rééducation sur suspicion de syndrome de Guillain-Barré le 04.08.2017. Status: Gén: état général moyen, calme, non algique au repos. Resp: crépitements grossiers aux 2 plages pulmonaires en inspirium. Cardio: B1B2 bien frappés, régulier, sans souffle audible. Abdo: bruits abdominaux normaux en fréquence et tonalité, abdomen souple mais sensible en sus-pubien, sans défense ni détente. Loges rénales indolores à la percussion. TR indolore, selles molles palpables, pas de masse, pas de sang. Neuro: bonne orientation dans le temps et l'espace, pas de dysarthrie, reconnaît les objets, obéit; nerfs crâniens 2 à 12 dans la norme (champs visuel, vision proche, oculomotricité, réflexe pupillaire, convergence, sensibilité visage, mimique, chuchotement, voile du palais, langue, voix, élévation épaules); tonus, force, sensibilité et réflexes ostéo-cutanés conservés aux 4 membres, bras tendus dans la norme, test doigt-nez sans particularité. Romberg et marche non testés. Un scanner thoracique met en évidence une bronchopneumie du lobe inférieur gauche, raison pour laquelle nous débutons une antibiothérapie par Rocephine 2g/24h i.v. avec une première dose donnée aux urgences. Pour l'hyponatrémie, nous soupçonnons un SIADH d'origine médicamenteuse, raison pour laquelle nous mettons sous pause le torasémide et l'escitalopram, et introduisons une restriction hydrique à 500 ml/24h et mettons une perfusion de 1000 ml de NaCl 0.9%. Nous hospitalisons le patient à Fribourg en raison d'un manque de place à Riaz, pour continuer l'antibiothérapie, surveiller l'hyponatrémie avec des contrôles biologiques réguliers. Cette patiente de 66 ans, en bonne santé habituelle, est amenée aux urgences par ambulance le 18.02.2019 suite à un traumatisme crânien avec perte de connaissance de quelques secondes et amnésie circonstancielle. En effet, alors qu'elle montait les escaliers à vive allure, elle a ressenti un début de malaise (tangage) et a perdu connaissance. Elle chute alors dans les escaliers en faisant des roulades sur une vingtaine de marches. Mme. Y est retrouvée par une passante allongée sur le ventre. Par ailleurs, la patiente décrit une douleur lombaire basse. Pas de trouble visuel, ni nausées, mais vertiges à type de tangage aux urgences. À l'examen clinique d'entrée, la patiente est collaborante, orientée dans les trois modes, les pupilles sont isocores et isoréactives. Nerfs crâniens sans latéralisation nette. Force, tonus et sensibilité conservés aux quatre membres. Épreuves cérébelleuses: doigt-nez avec dysmétrie à droite. L'abdomen et les loges rénales sont souples et indolores, il n'y a pas de défense, ni de détente. Status cardio-pulmonaire sans particularité. Sur le plan ostéo-articulaire, rachis indolore à la percussion, de même que le bassin et les hanches. Pas de douleur à la palpation du massif facial. Présence d'un hématome frontal gauche avec une plaie de 2 cm et, au niveau frontal droit, deux plaies de chacune 3 cm de longueur. Le bilan biologique met en évidence une hypocalcémie à 2,09 mmol/l, sinon le reste est aligné. Un traitement par Calcimagon D3 est instauré, que nous vous laissons le soin de réévaluer. Un CT cérébral permet d'exclure une hémorragie intra-crânienne et/ou toute lésion osseuse. Afin d'investiguer cette perte de connaissance, un test de Schellong est effectué, s'avérant positif. Les trois plaies frontales sont suturées aux urgences et la patiente reçoit un rappel antitétanique. Elle est ensuite hospitalisée dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique. Celle-ci se déroule sans aucune complication et, le 19.02.2019, Mme. Y peut retourner à domicile, porteuse de bas de contention en raison de l'hypotension orthostatique. Cette patiente de 71 ans a bénéficié de l'ostéosynthèse susmentionnée en décembre 2017. Mme. Y est revue à un an post-opératoire et le bilan radiologique, complété par un scanner, montre une consolidation osseuse satisfaisante. Étant donné la gêne ressentie par la patiente, notamment du côté interne, ainsi qu'un léger déplacement secondaire de la broche, l'indication à une ablation du matériel d'ostéosynthèse est retenue. L'intervention se déroule sans complication, les suites opératoires sont simples et, le 08.02.2019, la réfection du pansement met en évidence des cicatrices calmes et sèches, sans signe inflammatoire local. Les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie standard et la patiente bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs. Une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour est indiquée mais la patiente refuse les piqûres, raison pour laquelle nous lui prescrivons du Xarelto 10 mg/jour pour 10 jours. Le 08.02.2019, Mme. Y peut retourner à domicile où elle bénéficiera d'une aide. Cette patiente de 74 ans, connue pour le contexte oncologique suscité, nous est transférée de l'HFR Fribourg où elle aurait dû bénéficier d'une décortication pleurale. Malheureusement, cette intervention ne peut pas être réalisée complètement au vu du contexte clinique général de Mme. Y. Elle est donc transférée à l'HFR Riaz suite à la pose de deux PleurX, un de chaque côté, pour suite de la prise en charge. Au cours de l'hospitalisation, l'état général de Mme. Y se détériore, celle-ci étant difficilement réveillable. Après discussion avec la famille de la patiente, nous optons pour des soins de confort. Mme. Y s'endort le 01.02.2019 à 00h15, entourée de sa famille. Cette patiente de 75 ans est amenée par ambulance aux urgences le 04.02.2019 suite à une chute accidentelle à domicile avec réception sur le côté droit et traumatisme crânien. La patiente étant sous Aspirine Cardio, un CT cérébral est effectué, permettant d'exclure un saignement intra-crânien. Le bilan radiologique met en évidence la fracture susmentionnée, pour laquelle l'indication opératoire est retenue, prise en charge acceptée par l'époux de Mme. Y. L'intervention se déroule le 04.02.2019, le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et les douleurs sont contrôlées par l'antalgie standard habituelle. La réfection régulière des pansements retrouve des cicatrices calmes et sèches. Les agrafes devront être enlevées à 15 jours post-opératoires à Billens. Une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée pour une durée de 6 semaines. Une physiothérapie de rééducation à la marche en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises, est entreprise durant le séjour et sera poursuivie à l'HFR Billens où Mme. Y est transférée le 08.02.2019. Sur le plan biologique, une anémie post-opératoire aiguë à 72 g/l, motivant la transfusion de deux culots érythrocytaires. Le 08.02.2019, l'hémoglobine est à 108 g/l. Par ailleurs, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 avec une créatinine à 148 umol/l le 07.02.2019 répondant bien à une hydratation intraveineuse par NaCl 1500 ml/24 heures. Ceci sera à poursuivre lors du séjour à Billens. Sur le plan électrolytique, la patiente présente une hyponatrémie hyperosmolaire à 127 mmol/l, ainsi qu'une hypokaliémie à 3,1 mmol/l à son arrivée aux urgences. Nous débutons une hydratation intraveineuse par NaCl et une substitution potassique iv puis per os, avec correction quasi complète de la natrémie à 133 mmol/l et de la kaliémie à 3,9 mmol/l le 08.02.2019.Par ailleurs, la patiente présente un épisode de sevrage à 48 heures post-opératoires, raison pour laquelle un traitement par Seresta d'office et en réserve est mis en place. Cette patiente de 75 ans présente un status post-cure de varices des deux membres inférieurs en janvier 2019, sous Xarelto 20 mg/jour. Mme. Y se présente aux urgences le 18.02.2019 en raison de douleurs du genou droit, sans notion de traumatisme. À noter qu'elle est connue pour une gonarthrose bilatérale traitée par Condrosulf. Aux urgences, le bilan radio-clinique ne met pas de fracture en évidence mais révèle une gonarthrose. Un dosage des D-dimères est effectué, se montant à 1285. Face à cette trouvaille, un ultrason du membre inférieur droit est réalisé, permettant d'exclure une thrombose. Nous retenons donc le diagnostic d'une décompensation de gonarthrose et Mme. Y est hospitalisée dans le service d'orthopédie pour gestion de l'antalgie. En cours de séjour, l'évolution est favorable, les douleurs répondent progressivement bien à l'antalgie prescrite. Devant la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 20.02.2019, elle est autonome pour ses déplacements, y compris dans les escaliers. Cette patiente de 76 ans, en bonne santé habituelle, chute de sa hauteur à domicile et présente d'emblée des douleurs, avec impotence fonctionnelle du membre inférieur gauche. Le bilan radio-clinique effectué aux urgences permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. Pas de notion de traumatisme crânien lors de la chute. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication. Mme. Y est confortable sous l'antalgie prescrite et peut bénéficier d'une physiothérapie de rééducation à la marche en charge selon douleurs, sous protection de deux cannes anglaises pour 6 semaines. Le contrôle radiologique est en ordre et la cicatrice, vérifiée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. La patiente bénéficie d'une prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg per-os/jour pour une durée de 6 semaines. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y, autonome dans ses déplacements, peut retourner à domicile le 22.02.2019. Cette patiente en bonne santé habituelle est amenée par la REGA suite à une chute à ski le 23.02.2019, avec traumatisme crânien, perte de connaissance et amnésie circonstancielle. Lorsque la patiente reprend conscience, elle est mutique durant 2 à 3 minutes, puis les fonctions neurologiques sont normales. À l'arrivée de l'hélicoptère, elle se plaint de douleurs frontales. À l'examen clinique, constantes hémodynamiques stables. Sur le plan neurologique, pupilles isocores et isoréactives, force et sensibilité conservées, réflexes ostéo-tendineux vifs et symétriques, Babinski négatif des deux côtés, marche sans particularité. Palpation et mobilisation du rachis indolores. Le reste du status est strictement dans la norme. Au vu de la perte de connaissance, la patiente est hospitalisée dans le service de chirurgie pour une surveillance neurologique. Celle-ci se déroule sans complication et le 24.02.2019, la patiente peut regagner son domicile, munie d'un formulaire de surveillance neurologique. Cette prise de contraste est peu claire. L'examen clinique laisse supposer une atteinte du ligament collatéral radial, l'anamnèse n'est néanmoins pas concluante pour un traumatisme qu'elle aurait subi ni pour des traumatismes légers répétitifs. Après discussion avec la patiente, nous avons proposé à la patiente une infiltration à la cortisone à but thérapeutique, ce qu'elle refuse, la plainte n'est pas assez importante. Nous n'avons pas prévu de revoir la patiente mais restons à disposition. Cette tentative de mise en pause de son épaule droite n'a pas eu les effets escomptés. En effet, la patiente a une perte des amplitudes articulaires de son épaule droite. Nous reprenons donc les séances de physiothérapie pour regain des amplitudes articulaires et renforcement de sa coiffe. La patiente nous rapporte par ailleurs être suivie à Berne depuis quelques mois pour une tumeur cérébrale actuellement uniquement sous traitement anti-épileptique (Vimpat®). Une chimiothérapie ou radiothérapie sera prochainement organisée, la patiente n'a pas encore été recontactée. Dans l'intervalle nous ne prescrivons que des séances de physiothérapie, une infiltration sera réévaluée selon le traitement de la patiente pour sa tumeur cérébrale. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. cf. annexe cf annexes FSC : leuco 25, prédominance neutrophiles CRP : 31 stix sédiment urinaire : pas de proteinurie, pas albuminurie Creat 50, urée 6 cf annexes Gazométrie : acidose métabolique non compensée pH 7.28, bicarbonates 13mmol/l, PCO2 3.8 kPa, BE -13 Examens des selles : rotavirus positif Cf diagnostic ci-dessus. Cf diagnostic principal. cf. diagnostic principal Cf diagnostic 1. Cf. Laboratoires en annexe Cf. Laboratoires en annexe CT du 2.2.2019 : Au niveau thoracique, stabilité des trois nodules pulmonaires connus. Au niveau abdominal, majoration en taille de la masse tumorale pelvienne droite en rapport avec un saignement récent en son sein, sans signe de saignement actif, associé au développement d'une hydronéphrose droite. Cf. laboratoires en annexe CT thoraco-abdominal natif et injecté du 05.02.2019 : progression globale des implants tumoraux à l'étage abdominal, avec stabilité des adénopathies rétro-péritonéales, sans qu'une invasion dans la veine cave puisse être exclue. Nous nous tenons à disposition pour réaliser un complément d'examen par écho-doppler et organiser la mise en place d'un stent cave inférieur si besoin. Stabilité des adénopathies aux étages thoracique et pelvien. Pas de signe scannographique expliquant les symptômes respiratoires du patient. cf. liste des problèmes Cf. TIP d'embolie C.f. TIP diagnostic principal C.f. TIP diagnostic principal cf. TIP du diagnostic principal Chads-Score : 2/9. Chalazion paupière inférieur gauche le 01.02.2019 Chamomilla et paracétamol en réserve Proposition Changement de boîtier de pacemaker Changement de boîtier de pacemaker en électif le 14.02.2019 par le Dr. X Changement de la sonde vésicale le 02.02.2019 Remplissage vasculaire Changement de la sonde vésicale le 02.02.2019 Remplissage vasculaire Changement de pansement et attelle protocole plaque palmaire en ergothérapie. Suite chez le médecin traitant. Changement de pansement. Rendez-vous chez le médecin traitant le 25.02.19 pour ablation des fils. Patient informé des symptômes nécessitant une reconsultation en urgence. Changement de prothèse totale de genou droit le 04.05.2015 à la Clinique Générale de Fribourg pour mal position composante fémorale et tibiale de la prothèse totale de genou Hémorragie digestive basse sur diverticule sigmoïdien le 30.04.2014 avec anémie ferriprive Gastrite érosive sur prise d'AINS le 30.04.2014 Dénutrition sévère en lien avec des prises alimentaires inférieures aux habitudes avec perte de poids involontaire de 7% en 5 semaines Arthroplastie totale du genou droit en novembre 2013 Insuffisance rénale aiguë AKIN I en mai 2018 avec :Créatinine à 97µmol/l, clairance de la créatinine à 36ml/min selon Cockroft & Gault le 07.05.2018 Insuffisance cardiaque globale sur cardiopathie valvulaire en mai 2018 avec : • Sténose aortique modérément serrée à 1cm avec fraction d'éjection ventriculaire gauche préservée, dernier bilan en 2016 • Prolapsus mitral avec insuffisance grade 2 à 3 Avis cardiologique, Dr. X : mise en place d'un traitement pour décompensation cardiaque, pas d'indication à faire des investigations si la patiente refuse une prise en charge chirurgicale Changement de prothèse totale de genou droit pour mauvaise position à composante fémorale et tibiale de la prothèse totale, le 04.05.2015 Hémorragie digestive basse sur diverticule sigmoïdien le 30.04.2014 avec anémie ferriprive Gastrite érosive sur prise d'AINS le 30.04.2014 Dénutrition sévère en lien avec des prises alimentaires inférieures aux habitudes avec perte de poids involontaire de 7% en 5 semaines Arthroplastie totale du genou droit en novembre 2013 Insuffisance rénale aiguë AKIN I en mai 2018 avec : • Créatinine à 97µmol/l, clairance de la créatinine à 36ml/min selon Cockroft & Gault le 07.05.2018 Insuffisance cardiaque globale sur cardiopathie valvulaire en mai 2018 avec : • Sténose aortique modérément serrée à 1cm avec fraction d'éjection ventriculaire gauche préservée, et dernier bilan en 2016 • Prolapsus mitral avec insuffisance de grade 2 à 3 • Avis cardiologique, Dr. X : mise en place d'un traitement pour décompensation cardiaque, pas d'indication à faire des investigations si la patiente refuse une prise en charge chirurgicale Changement de sonde (20, bleue) et rinçage. Avis et passage du Dr. X, urologue. Vesicar 5 mg, cp. Pas d'antibiothérapie ni sédiment urinaire pour le Dr. X. Consultation début avril chez le Dr. X. Contact pris avec les soins à domicile pour le rinçage. Consultation aux urgences en cas de péjoration clinique. Changement du plâtre provisoire pour une botte de décharge définitive à 1 semaine post-opératoire en policlinique d'orthopédie. Contrôle radiologique post-opératoire après le changement de plâtre, puis à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Ablation des fils et des Comfeel à 2 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. Changement du Zolpidem le 18.01.2019 pour de la Distraneurine, puis retour au Zolpidem le 21.02.2019. Suivi clinique. Changement électif de sondes JJ Changement Klacid pour co-amoxicilline. Changement régulier du pansement VAC tous les 4 jours et suivi de plaie par le team pied au besoin, à raison de 1 à 2x/semaine. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Liquémine 2x5000UI pendant l'hospitalisation. Changement sans problème. Charge Aspirine Anticoagulation prophylactique Echocardiographie le 01.02.2019 : Pas de troubles de la cinétique régionale. Pas d'arguments pour une ischémie nouvelle. Sténose aortique minime à contrôler à distance. Pas d'indication à une coronarographie. Charge de Depakine le 23.01.2019 puis posologie habituelle dès le 24.01.2019 Taux de Depakine le 27.01.2019 Crises d'épilepsie répétées 29.01.2019 Charge de Depakine le 29.01.2019 Charge de Keppra le 29.01.2019 puis 3 g par jour, puis 2 g, puis 1 g/j Taux de Depakine/Keppra 01.02.2019 Traitement à la sortie : Urbanyl 20 mg (2 fois/j), Keppra (sirop) 500 mg (2 fois/j), Depakine (sirop) 800 mg (2 fois/j) Charge partielle max 15 kg durant 8 semaines Pas d'abduction active au-delà de la position neutre Flexion maximale 70° Pas de thérapie en piscine Pas de travail en force Clexane jusqu'à la charge complète Contrôle radiologique à 8 semaine chez le Dr. X le 02.04.2019 à 9h30 (HFR Fribourg) Charge virale : résultats encore en cours à la sortie du patient Chaussure Darko, cannes RICE Suivi dans 1 semaine par pédiatre Chaussure semelle rigide Marche en charge selon douleurs Contrôle radiologique à J7 (Avis Dresse Valisena) : poursuite traitement conservateur Contrôle radioclinique à J14 : rendez-vous en policlinique orthopédie le mardi 05.02.2019 à 13h45 au HFR Riaz Contrôle radioclinique à J42 à organiser J'ai donc revu en consultation ce jour le patient susnommé. Pour rappel, ce patient présentait un hallux rigidus symptomatique à D avec volumineuse exostose, le limitant dans le chaussage. Il s'agit d'un patient qui a une activité de conciergerie et a l'habitude de porter des chaussures de sécurité. Dans ce contexte, il est demandeur pour une prise en charge chirurgicale. J'ai à disposition le rapport de Mme. Y, médecin associée au CHUV, qui le suit dans ce contexte de myélome multiple. Elle ne propose pas de mesure particulière en ce qui concerne son risque infectieux et de ce fait, il aura l'antibiothérapie prophylactique habituelle. Nous avons donc confirmé la prise en charge chirurgicale par chéilectomie le 08.03.2019. Il s'agit d'une intervention qui peut être effectuée en ambulatoire avec la réfection de pansement dans les 2-3 jours qui suivent l'intervention et l'ablation des fils à 15 jours. En protection, on lui proposera une chaussure Barouk, décharge avant-pied, pour des questions de confort, et qu'il pourra porter une quinzaine de jours. Il aura bien entendu la prophylaxie antithrombotique classique par Clexane 40mg sous-cut./jour. J'ai demandé à ce patient de bien vouloir reprendre contact à votre consultation afin qu'on puisse avoir une formule sanguine complète avec TP, PTT avant l'intervention. Il serait souhaitable que l'on puisse avoir les résultats lors de la consultation d'anesthésie. En te remerciant de ta bonne collaboration, je te prie d'agréer, mes meilleures salutations. J'ai donc revu en consultation le 5.2.19 et 19.2.19 le patient susnommé. Je te l'avais adressé dans un contexte de lésion traumatique au niveau de son avant-pied G. Le bilan scannographique de juillet 2017 mettait en évidence des lésions au niveau de ses cunéiformes ainsi qu'à la base de ses métatarsiens du pied G. Il persistait dans une symptomatologie algique, raison pour laquelle tu avais pu le prendre en charge d'un point de vue symptomatique. En raison de la gêne persistante, raison pour laquelle après contact téléphonique, un nouveau rendez-vous a été organisé à ma consultation. Pour ma part, lorsque je le revois, il a une symptomatologie algique diffuse au niveau de son coup de pied, localisée plutôt en externe. Il ne présentait pas de signe inflammatoire d'importance. La mobilisation du Lisfranc ne réveillait que peu de symptômes ainsi que la mobilisation de son Chopart. L'appui au sol était satisfaisant avec une arche interne qui restait bien creusée. Pour ce patient, j'ai effectué un nouveau bilan radiologique et scannographique. Ce dernier met en évidence des troubles dégénératifs plutôt au niveau de sa cunéo-naviculaire. Actuellement, le patient ne localise pas du tout sa symptomatologie algique à ce niveau. Dans ce contexte, j'ai donc renoncé à une infiltration qui de toute évidence ne permettrait pas de l'améliorer. À échec du port de lits plantaires, puisque la mise en place de ces orthèses dans les chaussures empirait plutôt la situation qu'il ne l'améliorait, je pense donc qu'actuellement, il n'y a pas d'autre proposition de traitement, mis à part des anti-inflammatoires au coup par coup, en fonction de la présentation symptomatique. Je n'ai pas proposé d'office de nouveau contrôle, mais reste à disposition de Mr. Y. Je te prie d'agréer, mes meilleures salutations. Je te remercie de m'avoir adressé la patiente susnommée. Comme tu le mentionnes dans ton courrier, d'excellente facture, il s'agit d'une patiente présentant de multiples pathologies. En particulier, elle présente un syndrome d'Ehlers-Danlos, un syndrome radiculaire L5-S1 droit, un diabète insulino-résistant sous pompe depuis maintenant 25 ans.Dans le cadre de sa maladie du collagène, elle présente des luxations itératives, mais en particulier au niveau de ses poignets et de ses genoux. Le motif de la consultation est des gonalgies gauches. Elle a une symptomatologie de repos avec des réveils nocturnes fréquents. Elle marche avec 2 cannes sur un périmètre estimé à environ 20 minutes. Elle constate des blocages à répétition. Elle ne décrit pas réellement de tuméfaction importante en fin de journée. Les douleurs sont plutôt antéro-internes et poplitée. Elle a une liste de médicaments assez importante avec comme antalgiques du Voltarène, du Flector, du Dafalgan. Au niveau de ses antécédents orthopédiques, ils sont bien résumés dans ton courrier dont je te remercie. En ce qui concerne ce genou, elle a eu en tout cas 3 interventions pour des toilettes articulaires et une plastie du LCA depuis 1999 et la dernière en 2000. À l'examen clinique, cette patiente se présente en chaise roulante. Elle a une possibilité de verticalisation et de marche sur quelques mètres sans aide. Au niveau de ses hanches, à droite, la mobilité reste difficile puisqu'actuellement elle présente une lombo-sciatalgie droite algique. La hanche gauche par contre ne présente pas réellement de limitation, mais plutôt une hypermobilité. En ce qui concerne son genou gauche, on retrouve une cicatrice externe et médiane calme. Elle a un signe du flot à +. Il existe effectivement une hypermobilité rotulienne. La flexion-extension est estimée à au moins 120/15/0. La laxité dans le plan frontal est assez difficile à évaluer. En effet, il existe une défense avec une contracture des ischio-jambiers qui est d'une part due à la crainte d'un problème douloureux et d'autre part d'un phénomène de luxation dans son contexte d'hyperlaxité. L'axe de ce genou est satisfaisant. Le rabot rotulien est tout à fait caricatural. Les 2 chevilles sont calmes. Pour cette patiente, j'ai effectué une radiographie de son genou gauche. On met en évidence une gonarthrose tri-compartimentale avérée. Pour ma part, je pense que l'on peut discuter de gagner un petit peu de temps en pratiquant un programme d'infiltration avec corticoïdes. Néanmoins, cette patiente est candidate à une arthroplastie sur le moyen terme. Elle a rendez-vous auprès d'un neurochirurgien dans son contexte de syndrome radiculaire L5-S1 droit afin de discuter d'une éventuelle libération chirurgicale. Elle me rappellera après cette consultation et, s'il n'existe pas d'indication chirurgicale, nous conviendrons donc d'une date pour débuter les infiltrations au niveau de son genou gauche. Bien évidemment, nous avons abordé les risques infectieux. En espérant avoir répondu à tes questions et en restant à disposition, je te prie d'agréer, Cher Ami, mes meilleures salutations. Cher Ami, Je vous remercie de m'avoir adressé ce patient que j'ai vu en date du 7.2.2019. Il s'agit d'un patient en bonne santé habituelle, représentant dans la construction, qui présente depuis en tout cas 2 ans, des podalgies droites. Cette symptomatologie est effective et s'exacerbe à la marche. Il est soulagé par le retrait de ses chaussures. Il a eu la mise en place de semelles qui ne l'ont que peu aidé. Après bilan IRM, vous me l'adressez. Il s'agit d'un patient pour lequel l'anamnèse de ses antécédents ne révèle rien de particulier. Il n'a pas de prise médicamenteuse ou d'allergie connue. Il n'a pas de consommation de tabac. À l'examen clinique, il a une démarche relativement fluide. Il a un appui plantigrade au sol de ses 2 pieds qui sont conservés. Il a une tendance aux orteils en griffe du 2 au 5ème rayon, mais un peu plus à gauche qu'à droite. On ne retrouve pas d'hypercalosité plantaire. La compression trans-métatarsienne ne réveille pas réellement de symptomatologie algique. Par contre, la palpation plantaire de sa 3ème commissure droite réveille une symptomatologie qui est gênante. Pas d'évidence de trouble neuro-vasculaire périphérique. J'ai à disposition un bilan IRM du 21.1.2019 qui montre effectivement un élément de névrome, mais qui est petit avec une bursite d'accompagnement de son 3ème rayon. Je pense que pour ce patient, on peut proposer dans un premier temps une infiltration. Cette dernière permettra de faire un test diagnostique. Nous avons programmé ce geste pour le 25.2.2019 après avoir discuté des risques essentiellement infectieux. Je ne manquerai pas de vous tenir au courant des suites. En vous remerciant de votre collaboration, je vous prie d'agréer, Cher Monsieur, mes meilleures salutations. Cher Monsieur, J'ai donc vu en date du 17.01.19 la patiente susnommée. Il s'agit d'une patiente d'origine turque en Suisse depuis une trentaine d'années. Elle ne s'exprime peu en français. Elle vit, semble-t-il, seule dans un appartement. Elle est divorcée, sans enfant d'après ce que je comprends. Elle a effectué un travail en tant que vendeuse en boulangerie qu'elle aurait arrêté en juin 2018. La communication reste difficile. On comprend qu'elle présente des gonalgies bilatérales depuis de nombreuses années, prédominantes actuellement du côté G. Cette symptomatologie s'est exacerbée ces derniers temps malgré une prise médicamenteuse et de la physiothérapie. Elle n'a des réveils nocturnes qu'occasionnels, mais ne dort que très peu. Elle a un périmètre de marche qu'elle estime à environ 15 min. Elle n'a pas, semble-t-il, d'épisode de blocage que j'essaie de mimer lors de la consultation. Elle me présente aussi des douleurs de ses épaules, prédominantes à G. Les douleurs sont présentes lorsqu'elle porte des charges. Elle n'a que peu de limitations fonctionnelles, mais est tout le temps gênée. Elle a une prise de Dafalgan et Condrosulf en fixe. En 2006 aurait eu lieu une arthroscopie au niveau de son genou D. À l'examen clinique, cette patiente a une taille de 142 cm pour un poids de 75 kg. Elle a des épaules et un bassin équilibrés. Au niveau de ses épaules, elle a une mobilité passive et active qui est complète. L'examen fluctue passablement dans le temps, néanmoins, on arrive à obtenir des tests de coiffe qui sont maintenus. Au niveau de ses MI, on ne retrouve pas d'inégalité de longueur. Les hanches sont libres et souples. Elle a plutôt un morphotype en valgus avec une distance inter-malléolaire de 10 cm. Les genoux ont une mobilité symétrique d'environ 115-0-0. Elle grimace un peu lorsqu'on effectue la palpation de son interligne interne. On ne retrouve pas réellement de signes méniscaux. Pas de laxité. Absence de signes inflammatoires ou de signe du flot. J'ai à disposition un bilan radiologique de juin 2018 pour le genou G et de septembre 2018 pour le genou D. Sur ces images, on retrouve une gonarthrose interne au décours. Pour cette patiente, on retient donc le diagnostic de tendinopathie des épaules, sans évidence de lésion transfixiante à l'examen clinique. En ce qui concerne ses genoux, une gonarthrose interne au décours. Au vu du profil de la patiente, dans un 1er temps, j'ai essayé de discuter un programme d'infiltrations. Je lui ai remis une photographie que j'ai trouvée sur le net et lui ai inscrit le numéro du cabinet si elle désire ce type de prise en charge. Actuellement, elle est plutôt réfractaire quant à cette attitude. Je reste à disposition pour la réévaluer. Si l'infiltration l'intéresse, il serait souhaitable que l'on puisse avoir un traducteur turc pour que l'on puisse bien discuter des avantages et des risques d'un tel geste. Cher Monsieur, J'ai donc vu ce jour le patient susnommé. Il s'agit d'un patient que j'avais suivi dans un contexte de tendinopathie de la coiffe de son épaule D sur rupture massive en 2015. Il a été du ressort du traitement conservateur avec un programme d'infiltrations, qui ont permis d'aider ce patient.Mr. Y a été victime d'un infarctus le 21.01.19 ayant nécessité la mise en place d'un stent au niveau de la CX et de la 1ère marginale. Des suites, il présente une péjoration de la symptomatologie algique au niveau de son épaule G. Les douleurs sont plutôt localisées au niveau de la face antéro-latérale du galbe de son épaule, avec irradiation en direction du coude. La symptomatologie est ressentie comme très algique, en particulier la nuit, et il a des réveils nocturnes très fréquents. Actuellement dans son activité d'agriculteur, il a eu une reprise à 50% des suites des antécédents susmentionnés. A l'examen clinique, ce patient est encore en BEG. Il a plutôt une attitude cyphotique. On ne retrouve pas d'amyotrophie asymétrique entre le côté G et le côté D de ses épaules. On recrée une symptomatologie algique avec un passage douloureux à peu près à 110° d'élévation pour 70° d'abduction. La rotation externe est conservée ddc. L'amplitude en passif reste symétrique aussi ddc. On arrive tout de même à avoir des tests de coiffe, qu'il arrive à maintenir. Le Palm up déclenche une symptomatologie inconfortable. Pas d'évidence de trouble neurovasculaire périphérique. Pour ce patient, au vu de son protocole d'anticoagulation après ses stents cardiaques, je ne peux bien évidemment pas lui proposer d'infiltration dans l'immédiat. L'essentiel est donc des antalgiques à la demande. Dans un premier temps, je pense que l'on peut essayer avec des Flector EP tissugel à mettre le soir au coucher, qui devraient certainement l'améliorer. Si malgré ce traitement, il persiste dans une symptomatologie algique insomniante, on peut toujours discuter de changer cette médication pour des patchs par ex. de Fentanyl. Les anti-inflammatoires oraux peuvent être aussi reconsidérés, mais actuellement j'ai préféré ne pas les lui prescrire dans ce contexte. En ce qui concerne la physiothérapie, chez un patient agriculteur, actuellement, on ne voit pas réellement l'intérêt, néanmoins je lui ai demandé de décoapter son épaule le plus fréquemment possible. En vous remerciant de votre bonne collaboration, je vous prie d'agréer, cher Monsieur, mes meilleures salutations. J'ai donc vu en consultation ce jour la patiente susnommée. Je l'ai suivie dans un contexte de fracture déplacée type Weber B de sa cheville D. Une ostéosynthèse avait été effectuée en date du 17.12.17. L'évolution avait été progressivement favorable, permettant à cette patiente la reprise de son activité professionnelle en mai 2018. Actuellement, cette patiente présente une gêne externe en regard du matériel d'ostéosynthèse. En effet, à l'examen clinique, elle présente un matériel affleurant. La cicatrice est fine, néanmoins la palpation profonde réveille une symptomatologie algique. La mobilité de sa cheville est complète. Pas de trouble neurovasculaire périphérique. Le contrôle radiologique de ce jour est satisfaisant avec consolidation. Dans ce contexte, j'ai donc proposé une ablation du matériel d'ostéosynthèse et nous avons planifié la date opératoire du 13.3.19. Nous avons bien évidemment discuté des principaux risques. Pour les suites, elle devrait pouvoir effectuer la réfection de pansement puis l'ablation des fils au 15ème jour à votre consultation. Elle aura une incapacité de travail d'environ 1 mois avec les restrictions sportives habituelles. L'anticoagulation prophylactique sera à réévaluer en post-opératoire. En vous remerciant de votre bonne collaboration, je vous prie d'agréer, cher Monsieur, mes meilleures salutations. J'ai donc vu en consultation d'orthopédie ce jour le patient susnommé. Il s'agit d'un patient qui, comme vous le mentionnez dans votre courrier dont je vous remercie, présente une gonarthrose caricaturale de son genou D. Cette gonarthrose occasionne des crises douloureuses. A noter que ce patient est connu pour une hyperuricémie traitée. Actuellement, il a encore un périmètre de marche estimé à environ 1h. Il a toujours une activité demandante en tant que chef de cuisine. La symptomatologie est essentiellement mécanique actuellement. Dans ses antécédents, il a eu donc en 1989 une plastie du LCA effectuée à Lausanne. A l'examen clinique, ce patient fait 98 kg pour 181 cm. Il a deux MI qui sont bien axés. Il a une discrète boiterie antalgique D au passage du pas. Les deux hanches sont libres. Au niveau de son genou D, on retrouve une cicatrice interne avec une dépression sus-rotulienne. Lors de la flexion-extension, il existe des craquements avec une amplitude estimée à environ 120-0-0. Il n'existe pas de laxité dans le plan frontal. Les deux interlignes sont sensibles à la palpation. Le rabot rotulien est présent mais pas ressenti comme douloureux ce jour. Pas d'évidence de trouble neurovasculaire périphérique. Le bilan radiologique que vous avez effectué en date du 11.02.2019 montre une gonarthrose tri-compartimentale déjà importante et tout à fait caricaturale. Il existe une vis condylienne externe et tibiale correspondant aux encrages de la plastie. Pour ma part, il s'agit effectivement d'un candidat à une arthroplastie totale du genou sur le court à moyen terme. J'ai bien discuté avec Mr. Y en lui expliquant que l'alternative chirurgicale doit être pondérée en fonction de sa présentation symptomatique. Je n'ai pas fixé de rendez-vous mais reste néanmoins à disposition. En vous remerciant de votre bonne collaboration, je vous prie d'agréer, cher Monsieur, mes meilleures salutations. J'ai donc vu en consultation d'orthopédie ce jour le patient susnommé. Il s'agit d'un patient qui travaille dans l'inspection de lignes aux CFF. Il a été victime au travail d'une chute sur la face antérieure de son genou G en octobre 2018. Il avait présenté des douleurs sur la face antérieure de ce genou. Il n'avait pas réellement constaté de tuméfaction. Actuellement, il ne présente pas de symptomatologie algique invalidante mais est gêné par une sensation de craquement, en particulier lorsqu'il est en appui sur la face antérieure de son genou. Il n'a pas constaté de tuméfaction itérative. Dans les antécédents de ce patient, on note une plastie du ligament postérieur de son genou D au HUG en 2012. Ce patient n'a pas de prise médicamenteuse régulière. Il n'a pas d'allergie connue. A l'examen clinique, il est athlétique, bien musclé. Il a deux MI qui sont tout à fait bien axés. Au niveau de son genou G, on ne retrouve pas de signe du flot. La distance talon-fesse est de 3 travers de doigts. On ne retrouve pas de laxité dans le plan frontal ni dans le plan latéral. Absence de signes méniscaux. On retrouve une discrète tuméfaction en regard de sa bourse pré-rotulienne mais sans signe inflammatoire associé. Pas d'évidence de trouble neurovasculaire périphérique. J'ai à disposition un bilan radiologique genou face/profil + rotule axiale du 24.01.2019 qui, pour moi, reste dans les limites de la norme. En conclusion, je pense que ce patient a présenté une bursite post-traumatique et qu'il est actuellement au décours d'un processus inflammatoire. Je n'ai pas proposé d'investigation complémentaire, en particulier pas d'IRM au vu de l'examen clinique ne mettant pas en évidence de lésion ménisco-ligamentaire ou cartilagineuse. Après discussion avec Mr. Y, je pense qu'il a bien compris la problématique. Si la symptomatologie devait s'exacerber, je reste bien entendu à disposition. En vous remerciant de votre bonne collaboration, je vous prie d'agréer, cher Monsieur, mes meilleures salutations.Cher Monsieur, J'ai donc vu en consultation du pied à risque le 18.02.19 la patiente susnommée. Pour rappel, il s'agit d'une patiente qui vit actuellement à domicile, qui présente des troubles de la marche et de l'équilibre multifactoriels. Elle présente une déformation en hallux valgus et 2ème orteil en marteau, mais caricatural du côté D. De ce côté, elle a développé une lésion ulcérante au niveau de la face dorsale de l'inter-phalangienne proximale de son 2ème orteil. Elle a eu différents examens et une prise en charge dans votre service où elle a bénéficié d'une angioplastie le 06.2.19. A l'examen clinique, cette patiente ne présente pas réellement de platypodie. La déformation en hallux valgus à G est estimée à environ 40° et à D de plus de 80°. Le 2ème orteil en marteau à G n'est pas réductible mais en place. Du côté D, il est par contre erectus. On retrouve une ulcération superficielle en regard de son inter-phalangienne proximale. Pas d'écoulement suspect ou de signe inflammatoire important. Les artères pédieuses et tibiales postérieures ne sont pas obtenues. On retrouve un oedème qui remonte jusqu'à mi-mollet, mais prédominant à D et prenant le godet. Elle a un nouveau rendez-vous à votre consultation début mars. En fonction de l'évolution, l'on rediscutera de la prise en charge d'un point de vue orthopédique. Il est certain que si l'insuffisance artérielle reste marquée, je pense alors qu'il ne lui faut proposer qu'un chaussage adéquat. Si par contre l'état vasculaire le permet, on peut discuter de faire une correction de son hallux valgus, selon Keller/Brandes ainsi qu'une résection arthrodèse de son 2ème orteil D. Il s'agit d'une intervention qui est relativement demandante en ce qui concerne la qualité vasculaire pour obtenir une cicatrisation. Je me réjouis de vous lire suite à votre contrôle de mars afin de rediscuter la prise en charge de cette patiente. En vous remerciant de votre bonne collaboration, je vous prie d'agréer, Cher Monsieur, mes meilleures salutations. Cher Monsieur, J'ai donc vu en consultation du pied à risque le 21.1.19 et 18.2.19 le patient susnommé. La 2ème consultation a eu lieu en présence de sa nièce. Il s'agit d'un patient qui est institutionnalisé au Foyer St-Vincent à Vuadens depuis le début de cette année. Le motif de la consultation est une ostéoarthrite chronique de l'inter-phalangienne distale de son 1er orteil. A droite, actuellement, il présente une symptomatologie algique douloureuse avec des pansements plus difficiles à effectuer. Je le revois donc ce jour en présence de sa nièce afin de discuter de la suite de la prise en charge. L'essentiel du discours a été de présenter la situation comme telle : à savoir une ostéoarthrite chronique de ses 2 premiers orteils, mais actuellement décompensée à D, dans un contexte de MRSA. Au vu du statut local avec écoulement et rougeur importante de son pied D, nous lui avons donc proposé une hospitalisation. Après une antibiothérapie dirigée, après frottis, on prévoit d'effectuer une amputation du 1er rayon à D le 6.3.19. L'antibiothérapie devrait permettre l'amélioration locale afin de préparer la meilleure des cicatrisations, raison pour laquelle ce patient sera hospitalisé le 25.2.19. Lors de son hospitalisation, on poursuivra le bilan avec une radiographie de ses deux pieds ainsi qu'un bilan sanguin habituel. En vous remerciant de votre bonne collaboration, je vous prie d'agréer, Cher Monsieur, mes meilleures salutations. Cher Monsieur, Je vous remercie de m'avoir adressé le patient susnommé que j'ai vu en consultation d'orthopédie ce jour. Il s'agit d'un patient actuellement retraité, très actif, aimant bien les promenades en montagne. Vous le suivez depuis de nombreuses années dans un contexte de coxarthrose D. La symptomatologie algique s'exacerbe de façon progressive. Il a des douleurs au niveau de son pli inguinal, pouvant irradier dans la région trochantérienne et la fesse, ainsi qu'en direction du genou. Sans prise de Voltarène, il a un périmètre de marche estimé à environ 15 min. Actuellement, il ne porte pas de cannes. Il a une limitation fonctionnelle quant à sa hanche avec des difficultés d'habillage. Dans ses antécédents, ce patient est connu pour une cure de hernie inguinale D en 1986, sinon il est en BSH. Il ne se connaît pas d'allergie médicamenteuse. A l'examen clinique, ce patient a une boiterie avec un Duchenne positif. On retrouve une inégalité de longueur d'environ 1 cm en défaveur de la droite. La mobilité de la hanche D est bien limitée par rapport à la G avec une flexion-extension de 110-5-0, une rotation externe/interne de 30-10-0. A gauche flexion-extension de 130-0-0 et rotation externe/interne de 40-0-10. Les deux genoux sont calmes. Les deux pieds sont sans particularité. On retrouve une bonne tibiale postérieure et une pédieuse palpable. Il existe une insuffisance veineuse chronique de stade II avec des varicosités intra-dermiques péri-malléolaires. Lors de la consultation, j'ai effectué une radiographie de son bassin de face qui confirme une coxarthrose excentrée avec une réaction kystique et polaire supérieure, avec disparition quasi complète de l'interligne articulaire. J'ai répété le bilan étant donné que celui que vous aviez effectué début février, il y avait inscrit G et D, indifféremment en fonction des incidences. Pour ce patient, je lui ai donc proposé une arthroplastie totale de hanche par voie antérieure minimal invasive. Nous avons bien évidemment discuté des risques (infection, luxation, trouble neurovasculaire). Il sera mis au bénéfice d'une thromboprophylaxie par Xarelto pour une période de 6 semaines. J'ai demandé à Mr. Y de prendre contact pour un rendez-vous à votre consultation afin d'effectuer les examens pré-opératoires nécessaires (ECG, examen sanguin, RX thorax). En vous remerciant de votre bonne collaboration, je vous prie d'agréer, Cher Monsieur, mes meilleures salutations. Cher Monsieur, Comme convenu, j'ai donc revu à 3 mois la patiente susnommée. Il s'agit d'une patiente qui avait un travail comme vendeuse et était beaucoup debout. Des métatarsalgies au niveau de son pied droit centrées sur son 3ème rayon avaient motivé un large bilan dont une IRM. Ce dernier montrait des images qui pourraient correspondre à un début d'ostéo-nécrose de la tête de son 3ème métatarsien. Je lui ai donc redonné un contrôle à 3 mois avec un bilan radiologique. Actuellement, cette patiente a tout de même une amélioration de sa symptomatologie algique. Elle a poursuivi son activité professionnelle. Elle a fait une réfection de ses semelles et est plus attentive à son hygiène de chaussage. A l'examen clinique, ce dernier reste superposable à celui effectué le 17.12.2018, à savoir un hallux valgus bilatéral avec une angulation moyenne. A ce jour, la compression trans-métatarsienne ne recrée pas réellement de symptomatologie algique. L'appui au sol est satisfait ainsi que la marche. Le contrôle radiologique effectué lors de la consultation ne montre pas d'altération morphologique osseuse en particulier au niveau de la tête de son 3ème métatarsien, ce qui permet donc de ne pas considérer le diagnostic d'ostéite ou d'ostéo-nécrose. Pour ma part, je ne lui ai pas proposé de rendez-vous d'office. Il est certain qu'il s'agit d'une patiente qui est susceptible d'avoir une correction chirurgicale de ses hallux valgus à moyen terme. J'ai discuté en ce sens avec Mme. Y, qui est actuellement non demandeuse. En vous remerciant de votre collaboration, je vous prie d'agréer, Cher Monsieur, mes meilleures salutations. Cher Monsieur,J'ai donc revu cette patiente en date du 18 février 2019. Mme. Y était peu encline à une infiltration, raison pour laquelle ce geste n'a pour finir pas été effectué. Quant au bilan IRM, il n'a pu être effectué après la consultation du Dr. X cardiologue, en raison de son type de pacemaker. Cette patiente reste néanmoins demandeuse et je crois est acquise à une correction chirurgicale. En effet, actuellement la plainte essentielle est un 2ème orteil en marteau à gauche. Elle est suivie dans un contexte de maladie de Lyme et traitée par antibiothérapie qui devrait être poursuivie jusqu'à la mi-mars. Je lui ai donc proposé un nouveau contrôle le 25.03.2019. Si l'état local est satisfaisant avec un pied non inflammatoire, on rediscutera de la prise en charge. Il est certain que cette patiente doit pouvoir bénéficier d'une correction sous la forme d'une Girdelstone-arthrodèse de ce 2ème orteil. Nous avons déjà abordé les risques, essentiellement infectieux. Pour les suites, elle aura une broche en place pour une période de 3 à 4 semaines avec une chaussure décharge avant-pied de type Barouk ainsi qu'une prophylaxie anti-thrombotique pour 15 jours. Je la reverrai donc le 25 mars et ne manquerai pas de vous tenir au courant. Je vous prie de recevoir, Cher Monsieur, mes meilleures salutations. Cher Monsieur, J'ai donc suivi cette jeune patiente suite à un accident de ski. En effet, elle a été victime d'une torsion de son genou gauche le 3.2.2019. L'anamnèse et l'examen clinique avaient permis de mettre en évidence une entorse du compartiment interne avec une lésion du ligament latéral. Mme. Y a donc eu une prise en charge conservatrice avec la mise en place d'une attelle. Au dernier contrôle du 28.2.2019, elle avait retrouvé une très bonne amplitude articulaire. En effet, la distance talon-fesse était estimée à 2 TD à gauche pour 1 TD à droite. Lors des différents contrôles, on avait toujours été attentif au fait qu'elle présente un morpho-type en genua-valga. La mobilité de ses hanches ne recrée pas de symptomatologie et l'absence de limitation fonctionnelle. Néanmoins, ces genoux, d'un point de vue orthopédique, sont susceptibles de pouvoir bénéficier d'une surveillance. En effet, j'ai proposé un contrôle annuel avec un examen clinique en septembre de cette année. Nous avons donc déjà fixé un rendez-vous pour ce contrôle. Il est certain que si le valgus progresse, on aura à proposer un geste chirurgical qui d'habitude s'effectue lors de la préadolescence. En vous remerciant de votre collaboration et en restant à disposition, je vous prie d'agréer, Cher Monsieur, mes meilleures salutations. Cher Monsieur, J'ai donc vu en consultation en date du 19 février 2019 le patient susnommé. Il s'agit d'un patient charpentier qui a été victime d'un traumatisme au football en octobre 2018 avec torsion du genou. Il a constaté une tuméfaction immédiate. Actuellement, lors de la reprise de ses activités sportives, il présente des douleurs antéro-internes. Il a des craquements résiduels. Il a des impressions de lâchage, y compris dans son activité de tous les jours. Il se sent limité dans son activité professionnelle. Je l'ai connu en 2015 dans un contexte de fracture de la cheville droite ayant nécessité une ostéosynthèse puis une ablation de son matériel. Ce patient est en bonne santé habituelle. Il n'a pas de prise médicamenteuse régulière ou d'allergie connue. À l'examen clinique, ce patient est fin. Il a des membres inférieurs bien axés. Il a plutôt un morphotype en varus avec une distance intercondylienne à 2 travers de doigts. Il existe une amyotrophie de son quadriceps gauche estimée à environ 2,5 cm. On ne retrouve pas de signe du flot au niveau du genou gauche. La distance talon-fesse est de 5 travers de doigts à gauche pour 4 travers de doigts à droite. Le Lachmann et le tiroir antérieur sont présents. On retrouve aussi un pivot shift. La palpation de l'interligne interne ne recrée pas réellement de symptomatologie algique. Ce patient est plutôt hyperlax avec un récurvatum ddc estimé entre 5 et 10°. Pas d'évidence de troubles neurovasculaires périphériques. J'ai à disposition un bilan radiologique et IRM mettant en évidence une rupture du ligament croisé antérieur. Chez un jeune patient présentant l'anamnèse et l'examen clinique et paraclinique compatibles avec une rupture du ligament croisé antérieur, nous avons donc discuté chez un patient désirant reprendre le football et ayant une activité de force d'une plastie du ligament croisé antérieur. Je lui ai proposé une plastie avec le tiers central du tendon rotulien par arthroscopie. Nous avons bien évidemment discuté des risques, infection, thrombose, re-rupture et planifié la date opératoire du 3 avril 2019. Pour ma part, il n'y a pas nécessité d'investigations complémentaires. Il peut être mis au bénéfice d'un programme de type Cantado. En vous remerciant et en restant à disposition, je vous présente, Cher Monsieur, mes meilleures salutations. Cher Monsieur, J'ai donc vu en date du 6 février 2019 la patiente susnommée. Il s'agit d'une patiente retraitée, en bonne santé habituelle, aimant beaucoup la marche en montagne. Elle a été victime d'une chute de sa hauteur à son domicile, avec réception sur la face antérieure de son genou gauche le 31 janvier 2019. Elle a constaté une tuméfaction et une douleur immédiates. La persistance de cette symptomatologie a motivé une consultation à votre cabinet et après bilan radiologique vous me l'adressez pour avis. Cette patiente est en bonne santé habituelle. Elle a un anti-cholestérolémique dont elle ne se souvient plus du nom. Elle n'a pas d'autre médication. Elle ne se connaît pas d'allergie. À l'examen clinique, cette patiente est fine. Elle marche avec un flessum antalgique au niveau de son genou gauche. Ce dernier montre une tuméfaction antérieure avec un signe du flot positif. On arrive à mobiliser son genou et à obtenir une flexion/extension d'environ 80-10-0. Absence de laxité. Les interlignes à la palpation ne recréent pas de symptomatologie algique. Les téguments sont sans particularité, hormis quelques petites dermabrasions très superficielles au niveau de la face antérieure de son genou. Pas d'évidence de troubles neurovasculaires périphériques. Lors de la consultation, j'ai complété votre bilan radiologique avec une radiographie axiale qui confirme une fracture longitudinale de sa rotule à gauche. Il n'existe pas d'incongruence articulaire et de ce fait je ne lui donc pas proposé de prise en charge chirurgicale. L'essentiel du traitement est une orthèse que je lui ai prescrite et qu'elle pourra obtenir auprès de Riedo orthopédie. Je lui ai proposé un nouveau contrôle radiologique à 1 mois de son traumatisme. En vous remerciant, je vous présente, Cher Monsieur, mes meilleures salutations. Cher Monsieur, J'ai donc vu en date du 7 février 2019 le patient susnommé. Il s'agit d'un patient actif, enseignant à l'École professionnelle qui a été victime d'une chute à ski le 1er janvier dernier. Dans une compression, il a développé un mouvement de torsion et d'hyper-pression de son genou. Il a eu une symptomatologie qui s'exacerbe progressivement au cours du temps au niveau de ce genou droit, malgré une prise d'anti-inflammatoires régulière. Actuellement, il n'a pas de contention ou de traitement de physiothérapie. Après bilan radiologique et IRM, vous me l'adressez pour avis. Ce patient est en bonne santé habituelle. Il n'a pas de prise médicamenteuse ou d'allergie connue. À l'examen clinique, il est athlétique, bien musclé, mais reste fin. Les hanches sont libres et souples. En ce qui concerne les genoux, il reste bien axé. À droite, on ne retrouve pas de signe du flot. La mobilité reste complète, avec une distance talon/fesse estimée à environ 4 travers de doigts ddc. Il a une relative appréhension à la palpation et une mobilisation de son interligne interne. Les signes méniscaux ne sont pas réellement patents; en particulier, en hyperflexion, on ne recrée pas de symptomatologie algique. La rotule est libre. Elle a un rabot rotulien, mais qui n'est pas ressenti comme douloureux par le patient. On ne retrouve pas de laxité du pivot central ou de ses latéraux. Pas d'évidence de troubles neurovasculaires périphériques.J'ai à disposition un bilan radiologique et IRM qui mettent en évidence des troubles dégénératifs débutants au niveau de son interligne interne avec la constitution d'un kyste, mais qui ne semblent pas prendre de collet au niveau intra-articulaire. Dans ce contexte, je pense donc qu'il faut entamer une rééducation, en pensant que la symptomatologie découle des suites directes d'une entorse moyenne de son compartiment interne et que l'élément kystique reste une découverte fortuite. J'ai donc ordonné cette physiothérapie et je reverrai le patient d'ici un mois. On rediscutera de la suite de la prise en charge en fonction de l'évolution. J'ai demandé au patient d'abandonner les cannes, puisqu'il est important qu'il utilise son articulation sur l'entièreté de son amplitude. En vous remerciant et en restant à disposition, je vous présente, Cher Monsieur, mes meilleures salutations. Cher Monsieur, Je vous remercie de m'avoir adressé la patiente susnommée que j'ai vue en date du 21.2.2019. Comme vous le mentionnez dans votre courrier, d'excellente facture, qui m'a permis de bien cerner la problématique, Mme. Y souffre depuis décembre 2018 de douleurs de son épaule droite. Elles sont localisées sur la face antérieure avec irradiation en direction du coude. Elle n'a pas noté de notion de traumatisme particulier. Elle a des difficultés au port de charge, en particulier dans son travail de factrice lorsqu'elle est obligée de faire des mouvements au-dessus de l'horizontal. Actuellement, elle persiste dans des réveils nocturnes fréquents. Elle a eu des anti-inflammatoires qui ne l'ont que peu aidée. Il en va de même en ce qui concerne la physiothérapie. Cette patiente est en bonne santé habituelle. D'un point de vue orthopédique, elle a eu une régularisation de ses 2 ménisques internes par arthroscopie dans les années 2010-2016. À l'examen clinique, cette patiente est fine. Elle a plutôt une attitude cyphotique. On arrive bien à décoller l'omoplate du plan thoracique. La mobilité passive de son épaule droite est complète. En actif, elle a un arc douloureux à partir de 90° d'élévation. Elle a une adduction douloureuse à partir de 60°. La rotation externe est symétrique. Les tests de coiffe sont douloureux mais maintenus. Pas d'évidence de trouble neuro-vasculaire périphérique. En conclusion, cette patiente présente donc une tendinopathie chronique de la coiffe en particulier du sus-épineux sans évidence clinique de rupture. Étant donné que l'on est à échec du traitement conservateur par anti-inflammatoires et physiothérapie, je lui ai donc proposé une infiltration sous scopie. Nous avons bien évidemment discuté des risques essentiellement infectieux. Après cette infiltration, elle devra reprendre la physiothérapie et je la réévaluerai à distance et je ne manquerai pas de vous tenir au courant. En vous remerciant de votre collaboration et en restant à disposition, je vous prie d'agréer, Cher Monsieur, mes meilleures salutations. Cher Monsieur, Je vous remercie de m'avoir adressé le patient susnommé. Il s'agit d'un patient inspecteur pour le matériel d'aéronautique. Il a reçu un banc d'environ 12 kg sur son 1er orteil gauche le 23 février 2019. Il a constaté une tuméfaction, un hématome et des douleurs immédiates. Après consultation à votre cabinet, un bilan radiologique a été effectué. Vous lui avez proposé une chaussure Barouk et vous me l'adressez pour avis. Ce patient est en bonne santé habituelle. Il n'a pas d'allergie connue. À l'examen clinique, il présente une tuméfaction et un hématome au niveau de la partie distale de son 1er orteil gauche ainsi qu'au niveau de sa 1ère commissure. La palpation recrée une symptomatologie algique. Pas d'insuffisance des extenseurs ou des fléchisseurs. L'appui au sol est satisfaisant. Pas d'évidence de troubles neurovasculaires périphériques. Sur le bilan radiologique que vous avez effectué, on met en évidence une fracture parcellaire latérale avec une petite incongruence articulaire au niveau de P2 O1. Pour ma part, ce patient ne nécessite pas de prise en charge chirurgicale en vue d'une réduction/ostéosynthèse. Je l'ai rendu attentif aux risques infectieux et lui ai conseillé de laver tous les jours son pied et de bien le sécher par la suite. Je pense que l'évolution sera marquée par la chute unguéale dans les semaines à venir. Pour ma part, avec un chaussage large et semelles rigides, on peut se passer de la chaussure Darco. Je lui ai proposé une reprise de son activité professionnelle à 100 % le 09.03.2019. Je n'ai pas proposé de contrôle systématique mais reste néanmoins à disposition en cas de problème. Je vous présente, Monsieur, mes meilleures salutations. Cher Monsieur, Je vous remercie de m'avoir adressé le patient susnommé que j'ai vu en date du 28 février 2019. Il s'agit d'un patient actuellement pré-retraité, ancien brocanteur. Il présente une symptomatologie mixte de lombocruralgies ainsi que des gonalgies bilatérales, prédominantes à droite. Cette symptomatologie s'exacerbe de façon progressive. Il présente des douleurs de ses genoux à la montée et à la descente des escaliers. Il a des difficultés d'habillage ainsi qu'un dérouillage matinal. Il a des réveils nocturnes fréquents, une nuit sur deux environ. Il a une impression de tuméfaction vespérale. Actuellement, il ne porte pas de canne et a un périmètre de marche estimé à environ 15 à 20 minutes. En association, une raideur lombaire avec une limitation surtout antérieure dans ses bendings. Il s'agit d'un patient dont vous m'avez bien résumé les antécédents, ce dont je vous remercie. En résumé, ce patient présente un diabète de type II insulino-dépendant, une hypertension artérielle, une hypercholestérolémie et une hypothyroïdie ainsi qu'une cardiopathie ischémique et hypertensive avec dernier contrôle en avril 2018 qui reste satisfaisant. À l'examen clinique, ce patient est de grande taille. Il mesure 187 cm pour un poids estimé de 105 kg. Il marche buste penché en avant avec un discret élargissement de trigone de sustentation. Il a une raideur du segment lombaire avec un bending antérieur douloureux. On ne retrouve pas réellement de point de Valleix. On a un pseudo-Lasègue bilatéral à environ 40°. Au niveau de sa hanche gauche, on arrive à avoir une mobilisation libre, sans réelle limitation. À droite, la mobilisation de la hanche recrée une symptomatologie algique de type lombocruralgie. Les genoux sont calmes, sans signe inflammatoire. À droite, on ne met pas en évidence de signe du flot. La flexion/extension est estimée à environ 130-0-0. On ne retrouve pas de laxité. Il y a une gêne à la palpation de son interligne interne droit, alors que le gauche est relativement libre. Absence de laxité. Le rabot rotulien est présent. Enfin, la mise sur les pointes déclenche une symptomatologie algique. Il existe plutôt une hyporéflexie achilléenne et rotulienne, mais symétrique. Pour ce patient, j'ai effectué une radiographie lombaire qui montre un foramen étroit L4-L5 en tout cas avec une discopathie au décours. En ce qui concerne son genou droit, puisque je n'ai pas fait de radiographie du genou gauche, on retrouve une arthrose interne débutante avec un pincement débutant et une ostéophytose tout à fait modérée.En conclusion, ce patient présente un syndrome lombaire dans un contexte de spondylarthrose L4-L5, L5-S1. En association, une gonarthrose interne modérée. Actuellement, je n'ai pas proposé à ce patient de prise en charge chirurgicale. Je lui ai donc remis un bon de physiothérapie pour ce qui concerne son syndrome lombaire. Il profitera des séances de physiothérapie pour travailler son genou, en particulier avec la bicyclette ergométrique et les exercices de presse. Pour ma part, au vu d'une symptomatologie inflammatoire et de réveils nocturnes, il s'agit d'un candidat à un programme d'infiltrations. Il est bien attentif au fait qu'il a un risque infectieux et d'hématome un peu plus important que la norme, néanmoins je pense que ce geste peut être réalisé et devrait pouvoir améliorer ce patient. Mr. Y me demande un temps de réflexion, ce que je lui accorde volontiers. S'il désire le programme d'infiltrations, il reprendra contact avec mon secrétariat. Je vous remercie de m'avoir adressé la patiente susnommée que j'ai vue en consultation ce jour. Il s'agit d'une patiente aide-soignante travaillant à 60%. Elle présente des douleurs au niveau de l'arche interne de son pied D depuis presque maintenant une année. Les douleurs sont essentiellement mécaniques, survenant lors de la marche ou lors de ses différentes activités. Le chaussage serré la dérange. Au repos, il s'agit plutôt d'une gêne occasionnelle. On ne retrouve pas de réveils nocturnes. Après bilan radiologique, vous me l'adressez pour avis. À noter dans ses antécédents, une HTA traitée par Meto Zeroc. Sinon, elle est suivie par Dr. X avec des traitements corticoïdes au coup par coup dans un contexte d'érythème polymorphe. À l'examen clinique, cette patiente a une démarche tout à fait fluide. Elle a un appui au sol qui est satisfaisant avec une arche interne bien creusée. On retrouve une tuméfaction en regard de l'insertion de son jambier antérieur sur le scaphoïde. Cette insertion ne présente pas d'importants signes inflammatoires. À la palpation, on déclenche une symptomatologie algique. La contraction contrariée du jambier antérieur est gênante tout au plus. Pas de trouble neurovasculaire périphérique. En conclusion, cette patiente présente une insertionite de son jambier antérieur à D. Pour ma part, dans un premier temps, je lui ai proposé, hormis les antiphlogistiques locaux, une physiothérapie de désensibilisation et tonification de son jambier antérieur. En association, une paire de lits plantaires intégrés avec soutien de l'arche interne, qui va pouvoir épargner un petit peu ce jambier antérieur. Si, malgré le port de lits plantaires adéquats et une physiothérapie bien ordonnée, elle persiste dans une symptomatologie algique, on peut toujours rediscuter d'un programme d'infiltration. J'ai discuté en ce sens avec la patiente et elle reprendra donc contact au cabinet si elle le désire. Je vous remercie de m'avoir réadressé cette patiente que j'ai vue ce jour en consultation. Comme vous le mentionnez dans votre courrier dont je vous remercie, je connais cette patiente depuis 2011. Elle est suivie dans un contexte de coxarthrose bilatérale et d'omarthrose D. Actuellement, elle vit seule dans une maison. Elle est indépendante pour ses différentes activités quotidiennes. Elle n'a pas de symptomatologie algique limitant son habillage ou de réveils nocturnes. Elle a un périmètre de marche qui reste conservé à en tout cas 30 minutes. Actuellement, elle reste peu demandeuse quant à une sanction chirurgicale puisqu'elle se trouve compensée dans sa vie actuellement. À l'examen clinique, cette patiente est fine, a une taille d'environ 165 cm pour un poids de 50 kg. Elle a un rachis qui reste bien axé. On ne retrouve pas réellement d'inégalité de longueur. Sur le plan du lit, la mobilisation des hanches ne recrée pas de symptomatologie algique. La mobilité est effectivement limitée avec une flexion-extension estimée à environ 100-5-0. Les rotations externes et internes sont un peu plus limitées à D d'environ 30-5-0, par contre à G 40-0-10. Les genoux ont plutôt un morphotype en valgus avec différents craquements lors de la mobilisation rotulienne, qui n'est pas ressentie comme douloureuse. Les téguments sont calmes, hormis une hyperkératose sur une sécheresse au décours. On retrouve une artère pédieuse ainsi qu'une insuffisance veineuse stade II à III. J'ai à disposition un bilan radiologique que vous avez effectué en date du 28.1.19 et ce dernier est à peu près superposable au dernier contrôle de 2015. Il existe effectivement une coxarthrose bilatérale. Elle est plutôt engainante du côté D et plutôt incongruente à G. Pour ma part, il est certain qu'il s'agit d'une patiente pour laquelle on peut proposer une arthroplastie.Actuellement, étant donné qu'elle est bien compensée et peu symptomatique, je ne lui ai pas proposé ce type de prise en charge. Je pense que Mme. Y a bien compris la problématique avec les différents tenants, aboutissants et les risques de ce type d'intervention. Si elle devait présenter une résurgence algique, je lui ai demandé de bien vouloir prendre contact au cabinet. Pour ma part, je ne referai pas d'emblée de bilan radiologique de routine. En vous remerciant de votre bonne collaboration, je vous prie d'agréer, Chère Amie, mes meilleures salutations. Chère Amie, Je vous remercie de m'avoir adressé cette jeune patiente que j'ai vue en date du 26 février 2019. Cette jeune patiente présente des douleurs du bord externe de son pied droit. Cette symptomatologie s'exacerbe à l'effort et en particulier à la réception des sauts. Au réveil, elle a aussi une symptomatologie algique qui occasionne une boiterie, mais cela se résout de façon progressive dans le courant de la journée. Elle a eu un traitement d'ostéopathie qui n'a pas permis de régler la problématique. Un bilan radiologique avait été fait en 2016 qui restait dans les limites de la norme. Vous me l'adressez pour avis. D'un point de vue familial, il s'agit d'un 1er enfant d'une fratrie de 2. Elle a un frère de 2 ans en bonne santé habituelle. Actuellement, elle a une scolarité satisfaisante. Elle est en 5H. Elle n'a pas été hospitalisée et reste en bonne santé habituelle. À l'examen clinique, elle est fine, grande, avec une taille de 138 cm. Elle a un rachis qui est bien axé et tout à fait souple, avec des épaules et un bassin équilibrés. Pas d'inégalité de longueur des membres inférieurs. Les hanches, les genoux et les chevilles sont calmes. On recrée une douleur à la palpation de la base du 5ème métatarsien du pied droit et une gêne à la contraction contrariée du court péronier. On ne met pas en évidence de signe inflammatoire local. L'appui au sol est satisfaisant. La marche sur les pointes et les talons est possible. Pas d'évidence de troubles neurovasculaires périphériques. Chez cette jeune patiente pratiquant régulièrement du sport, en particulier la gymnastique aux agrès une fois par semaine, je pense que l'on peut conclure à une tendinite chronique du court péronier de son pied droit. Pour ma part, dans un 1er temps, je lui ai proposé une physiothérapie de désensibilisation et tonification. Si la symptomatologie persiste, on pourrait discuter de poursuivre les investigations sous la forme d'un bilan radiologique et IRM, avec éventuellement une infiltration locale en fonction des résultats du bilan radiologique. J'ai discuté en ce sens avec la maman présente à la consultation. Mme. Y fera donc la physiothérapie et la maman reprendra contact au cabinet si nécessaire. Avec mes meilleures salutations. Chère Consoeur, Je te remercie de m'avoir envoyé le patient susmentionné à ma consultation. J'ai vu Mr. Y le 14.01.2019 à la suite d'une opération effectuée en décembre 2018 avec ablation de la plaque radius à droite et du tunnel carpien. Ce patient avait un statut qui montrait une hypoesthésie sur le territoire du nerf médian avec absence de trouble moteur. La radiographie ne montre pas de lésion osseuse récente. Je lui ai organisé un ENMG pour le 31.01.2019 à Fribourg, mais le patient refuse le rendez-vous car la date est trop éloignée et on n'a pas pu obtenir de rendez-vous plus proche. Le patient préfère consulter en Allemagne. J'espère que ces informations vous seront utiles. Recevez, chère Consoeur, mes meilleures salutations. Chère Madame, J'ai donc revu ce jour la patiente susnommée. Pour rappel, elle s'était présentée à ma consultation le 20 décembre dans un contexte de coxarthrose bilatérale symptomatique surtout à droite. Nous avions eu toute une discussion quant aux avantages et aux risques d'une arthroplastie de hanche, en sachant que le côté gauche présente aussi une arthrose avancée. Actuellement, cette patiente active, secrétaire, présente des douleurs invalidantes et elle est donc demandeuse pour une prise en charge chirurgicale. Elle reste donc en BSH. On peut mentionner une allergie au Célécoxib qu'elle n'a pas supporté. À l'examen clinique, les téguments sont toujours fins, les cotations articulaires restent limitées, en particulier à droite avec une flexion-extension d'au maximum 110-5-0. Les rotations externes/internes 20-5-0. Les deux genoux sont calmes, secs. Pour cette patiente demandeuse, nous avons donc planifié une arthroplastie totale de la hanche par voie antérieure minimal invasive et réservé la date opératoire du 8 mai 2019, à convenance de la patiente. Nous avons bien évidemment rediscuté des risques (infection, luxation, trouble neurovasculaire). Cette patiente se présentera à votre consultation afin d'effectuer les examens pré-opératoires en vue de la consultation d'anesthésiologie. En vous remerciant de votre confiance, je vous prie d'agréer, Chère Madame, mes meilleures salutations. Chère Madame, J'ai donc vu en consultation ce jour cette jeune patiente. Mme. Y est une 2ème enfant d'une fratrie de 3, sans antécédent médico-chirurgical d'importance. Elle présente depuis quelques mois des dorsalgies hautes. Elle a eu un traitement d'ostéopathie qui n'a pas permis d'améliorer la problématique. Cette symptomatologie peut s'exacerber lorsqu'elle porte son sac d'école. Elle ne présente pas de symptomatologie inflammatoire et, en particulier, pas de réveil nocturne. Vous me l'adressez pour avis. Cette jeune patiente n'a pas de prise médicamenteuse. Elle n'a pas d'allergie connue. Elle pratique le hip-hop 1 fois/semaine. À l'examen clinique, elle a une taille de 133 cm. Elle a une excellente musculature, tant au niveau de son dos qu'au niveau de ses membres inférieurs. Elle a des épaules et un bassin qui sont équilibrés. Le rachis est bien axé. Lorsqu'elle se détend, elle arrive à avoir des bendings chez une jeune fille ayant plutôt tendance à se raidir. Ses bendings sont souples, non limitants. La percussion de toutes ses épineuses ne déclenche pas de symptomatologie algique. Les deux hanches sont tout à fait libres et souples. Les deux genoux sont calmes et les deux pieds avec un bon appui au sol. Ses deux chevilles ne présentent pas d'asymétrie dans la mobilité avec un complexe ligamentaire externe tout à fait compétent. Pour ma part, je pense qu'il s'agit plutôt d'une symptomatologie de type fonctionnel. L'examen clinique ne met pas en évidence d'anomalie particulière et, en tout cas, pas de scoliose ou de cyphose. Dans ce contexte de dorsalgies fonctionnelles, je n'ai pas l'habitude de surmédicaliser. Je pense que l'essentiel est plutôt des anti-inflammatoires topiques locaux que la maman peut utiliser au coup par coup. Il est certain que si la symptomatologie devait évoluer ou prendre une tournure différente, je reste à disposition pour toute réévaluation. En effet, lors de la consultation, je n'ai pas effectué d'autre bilan que l'examen clinique. En vous remerciant de votre bonne collaboration, je vous prie d'agréer, Chère Madame, mes meilleures salutations. Chère Madame, J'ai donc vu en consultation ce jour la patiente susnommée. Il s'agit d'une patiente mère au foyer qui est connue pour une phocomélie avec absence de main droite. Elle présente depuis de nombreuses années une symptomatologie dépressive traitée par Citalopram. En association, une symptomatologie algique de ses deux épaules, en particulier à droite. Au niveau de son épaule droite, la symptomatologie s'est exacerbée ces derniers mois. Elle a essentiellement des douleurs lors de la mobilisation. Elle a aussi des douleurs avec réveils nocturnes survenant par crises pendant 10 à 15 jours puis pouvant disparaître dans les semaines suivantes. Cette symptomatologie reste très irrégulière.Actuellement elle a une prise d'Irfen 600 mg qui l'améliore en partie. A l'examen clinique, cette patiente présente une amyotrophie globale et symétrique du moignon de son épaule D. On arrive au niveau de cette épaule à avoir une mobilité complète, tant en actif qu'en passif. Les tests de coiffe sont maintenus. On retrouve une discrète algie plutôt postérieure et externe. Absence de contracture au niveau de sa musculature cervicale. Pas d'évidence de trouble neurovasculaire périphérique. J'ai à disposition un bilan IRM du 22.01.19 qui montre une inflammation aspécifique mais sans signe de rupture. D'un point de vue médical, pour ma part, je n'ai pas de proposition chirurgicale. Si cette symptomatologie est ressentie comme invalidante par cette patiente, l'on peut discuter d'effectuer un programme d'infiltrations. J'en ai discuté avec Mme. Y en lui expliquant que le risque essentiel est le risque infectieux. Ce type de prise en charge permet d'améliorer la symptomatologie de repos essentiellement. L'autre problématique est sa reconnaissance en vue d'une rente AI. Elle a déjà effectué une demande semblerait-il en 2012 dont je n'ai pas copie. Pour ma part, je pense que si l'on veut obtenir une rente chez une patiente avec un CFC de commerce mais qui n'a jamais réellement exercé d'activité sur le long terme, il faut évaluer les 3 tableaux. Le 1er tableau est le problème de dépression au décours, traité par Citalopram, le 2ème est l'invalidité entraînée par son problème de phocomélie, enfin le 3ème tableau est une tendinopathie de ses deux épaules, prédominante à D, laissant présager une évolution vers une fibromyalgie. Je reste bien entendu à disposition pour toute aide. Néanmoins, la demande, dans un premier temps, doit être effectuée selon les canaux classiques. En vous remerciant de votre bonne collaboration, je vous prie d'agréer, Chère Madame, mes meilleures salutations. Chère Madame, Je vous remercie de m'avoir adressé la patiente susnommée que j'ai vue en consultation ce jour. Un tout grand merci pour votre courrier de très bonne facture qui m'a permis de bien centrer la problématique de cette patiente. En résumé, elle a eu 2 plasties de son LCP du genou D en 1992 et 2002. Des suites de cette prise en charge chirurgicale, elle persistait dans une instabilité, avec des blocages mais qui restaient tout à fait relatifs. Elle a pu reprendre une activité avec des marches en moyenne montagne. D'un point de vue professionnel, elle est conductrice de trains. Elle a eu un nouvel élément traumatique le 15.02.19 avec une torsion et une chute au niveau de ce genou D. Vous avez mis en place un traitement conservateur avec anti-inflammatoires. Après bilan IRM, vous me l'adressez pour avis. A l'examen clinique, cette patiente est plutôt dynamique et athlétique. Elle a 2 MI qui restent bien axés. Pour ma part, l'amyotrophie au niveau de son quadriceps à D est de moins de 1,5 cm par rapport au côté G. Actuellement, elle a retrouvé une amplitude articulaire qui reste pour moi relativement de bonne qualité avec une distance talon-fesse à 4 travers de doigts à G pour environ 20 cm à D. Elle a un rabot rotulien qui est présent mais qui ne déclenche pas de symptomatologie algique, y compris lors de la contraction contrariée de son appareil extenseur en extension. On retrouve par contre une laxité postéro-interne. En effet, on retrouve, genoux fléchis, un avalement de la TTA avec un plateau tibial qui se laisse mobiliser à environ +, avec un arrêt qui est plus ou moins dur. Je ne retrouve pas réellement de laxité antérieure. Lors de la mobilisation de ses deux interlignes, on déclenche des craquements mais qui là aussi ne sont pas ressentis comme douloureux par la patiente. En interne, en extension, on a aussi une laxité à +. On ne retrouve pas de signe du Flot et les cicatrices sont calmes au niveau de ce genou D. Le bilan IRM montre un état cicatriciel important au niveau de son LCP avec une réaction fibrotique assez importante en postérieur. Le LCA est fin mais visualisable sur son entièreté. Il existe aussi des troubles dégénératifs de ses deux interlignes articulaires, peut-être un peu plus importants en externe. Les ménisques ne montrent pas réellement de séquestration mais un remaniement. Pour ma part, je n'ai pas proposé à cette patiente une reprise en ce qui concerne son LCP. Je pense qu'actuellement il n'existe pas d'indication à ce type de chirurgie qui ne résoudrait certainement pas la problématique de cette patiente. En effet, on peut penser que son genou deviendrait beaucoup plus raide et fibreux que ce qu'il n'est à l'heure actuelle. Je lui ai donc demandé de stopper son orthèse élastique. Je lui ai prescrit une physiothérapie de tonification et proprioception. Une reprise de travail à 50% depuis le 11.3.19, que j'ai prolongée jusqu'à fin mars. J'ai également demandé à Mme. Y de revenir à votre consultation afin de discuter sa reprise d'ici courant, voire fin avril. En restant à disposition et en vous remerciant, je vous prie d'agréer, Chère Madame, mes meilleures salutations. Chère Madame, J'ai donc vu en consultation, en date du 21.2.2019, le patient susnommé. Mr. Y est en 6ème primaire, avec une scolarité satisfaisante. Il est né au Portugal à la 38ème semaine par voie basse. Il a un frère de 2 ans. Vous me l'adressez dans un contexte de troubles de la posture avec dos rond. Il ne présente pas de symptomatologie algique associée. Au vu de l'inquiétude parentale, vous me l'adressez pour avis. Mr. Y est en bonne santé habituelle. Il n'a pas de prise médicamenteuse et pas d'allergie. A l'examen clinique, il est plutôt athlétique. Il a une taille de 149 cm. Il a des épaules et un bassin équilibré. Il a effectivement une attitude cyphotique mais que l'on arrive tout à fait bien à corriger y compris dans les bending antérieurs. La mobilité de ces différents segments rachidiens est calme, sans particularité notable. On ne retrouve pas d'inégalité de longueur des MI. Il a une excellente musculature au niveau de ses 2 MI. Les 2 chevilles et les 2 pieds sont bien positionnés avec un appui au sol tout à fait satisfaisant. Pour ma part, dans ce contexte d'attitude cyphotique, mon discours est plutôt rassurant. J'ai été dans ce sens avec la maman présente à la consultation en lui expliquant bien qu'il s'agissait d'un problème postural et non d'une anomalie osseuse sous-jacente. Je ne lui ai pas proposé de suite d'investigation ou de physiothérapie. J'ai proposé un nouveau contrôle clinique d'ici une année. En vous remerciant de votre collaboration et en restant à disposition, je vous prie d'agréer, Chère Madame, mes meilleures salutations. Cheville droite : entorse stade II LFTA. Cheville G : instabilité du LFTA avec entorse à répétition le 21.12.2018. Cheville D : entorse à répétition. Cheville gauche et pied gauche face/profil/oblique : matériel d'ostéosynthèse en place. La fracture est guérie. Pas de déplacement secondaire. Pas de signe de fracture ni de signe de fracture de fatigue en regard des métatarsiens. Chez ce jeune enfant, nous mettons en évidence l'apparition d'un Osgood Schlatter chez un enfant qui est très actif. Nous expliquons à la maman actuellement l'importance de faire un stretching musculaire, notamment chez cet enfant qui présente une bonne masse musculaire. Nous ne voyons aucune indication à effectuer ce jour des radiographies, mais si le patient venait à présenter une péjoration des douleurs, alors nous le reverrions avec des clichés radiologiques. Pas de contrôle prévu d'emblée, hormis si péjoration de la symptomatique. Chez ce patient, nous mettons donc en évidence l'indication pour une implantation d'une prothèse totale de hanche. Nous proposons qu'il bénéficie d'un consilium anesthésiologique et nous agendons d'ores et déjà l'intervention pour mi-avril. Le patient signe le consentement après avoir été informé des risques et bénéfices de l'intervention.L'intervention est planifiée pour 17.04.2019. Chez ce patient, au vu de la persistance de la symptomatologie et la présence d'une languette méniscale au détriment de la corne postérieure du ménisque interne, une arthroscopie est proposée. Le patient sera convoqué pour ce geste à sa convenance. Chez ce patient, il est trop tôt pour parler de chirurgie de ce genou D. Je propose néanmoins de le voir d'ici 6 mois pour juger de l'évolution clinique. En effet, une péjoration clinique pourrait se révéler dans les prochains mois sinon la situation pourrait se stabiliser de la sorte pour les prochaines années, dans ce cas, un suivi serait suffisant. Chez ce patient, il n'y a pas d'élément en faveur d'un processus herniaire ni d'atteinte des adducteurs. Au contraire, il s'agit de traiter une insertionite en regard de la musculature du droit antérieur de l'abdomen. Un US sera réalisé à la recherche de cette lésion. Il sera revu une fois l'examen réalisé. Chez ce patient, il s'agit de poursuivre au maximum le traitement conservateur et symptomatique. En ce sens, une décoaptation de la hanche, un travail de gainage et un tonus postural peuvent être proposés au long cours. Contrôle à la demande. Sera revu en juin par mon collègue. Chez ce patient, il s'agit de procéder à une pause au vu de l'hématome visualisé. Une prise en charge physiothérapeutique avec reprise progressive de la glace sera effectuée. Arrêt de travail à 100% du 23.01.2019 au 25.01.2019, à réévaluer. Chez ce patient, il s'agit de procéder à une reconstruction du LCP avec le tendon quadricipital. Dans le même temps chirurgical, une plastie du LLI avec le gracilis ou demi-tendineux sera réalisée (plutôt prendre le demi-tendineux) pour la chaîne des ischio-jambiers. Une attelle Jack sera commandée pour le post-opératoire immédiat et elle sera facturée durant le séjour hospitalier. Chez ce patient, il s'agit de procéder à une rééducation en physiothérapie pour reconditionner le genou. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% jusqu'à fin février avec reprise à 100% dès le 01.03.2019. Prochain contrôle dans 4 mois. Chez ce patient, il s'agit de procéder à une reposition chirurgicale du fragment méniscal luxé et de procéder, dans la mesure du possible, à sa suture. Intervention prévue pour la semaine prochaine. Patient informé. Chez ce patient, il s'agit de surseoir à l'infiltration de ce jour. Il nous contactera toutefois en cas de péjoration de la situation à nouveau. Poursuite de la prise en charge de physiothérapie et de mobilisation. Charge selon tolérance. Contrôle selon nécessité. Chez ce patient, il s'agit donc de traiter conservativement une atteinte du collatéral médial pour laquelle un traitement par attelle articulée avec charnière est proposé pour les 2 prochains mois en tout cas. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 10.03 à réévaluer. Il sera revu d'ici 6 semaines. Chez ce patient, il s'agit d'une irritation sur le sus-épineux qu'il faut traiter de façon symptomatique par une prescription d'anti-inflammatoires sur 5 jours avec physiothérapie de mobilisation. Contrôle à 1 semaine. Chez ce patient, il y a, au niveau orthopédique, une usure du genou à G pour laquelle le patient est finalement peu symptomatique et pour laquelle il a bien répondu à l'infiltration. Il a, en revanche, une symptomatologie douloureuse sur le mollet G qui peut entrer dans le cadre d'un syndrome post-thrombose veineuse profonde fin 2017. En ce sens, je souhaiterais qu'il soit convoqué par nos collègues de l'angiologie pour un bilan veineux. Je ne rattache pas la symptomatologie douloureuse commentée à une atteinte arthrosique. Chez ce patient, il y a donc bien une irritation en regard de l'insertion des tendons de la presse abdominale sur la symphyse. Il s'agit donc de renforcer les obliques de l'abdomen et de travailler la posture du bassin pour détendre les droits antérieurs. Il souffre également de varicocèle mais ceci n'est pas en lien formel avec la symptomatologie. Pas d'élément visualisé en faveur d'une atteinte des adducteurs. Chez ce patient, il y a donc confirmation de l'intégrité du tendon qui a été ré-inséré lors de la chirurgie récente. Il y a plutôt une déchirure qui s'est produite lors de l'impact en regard de la masse musculaire tricipitale. Traitement conservateur et symptomatique ces 10 prochains jours. À réévaluer en fonction de la clinique. Arrêt des activités sportives pour 2 semaines, à réévaluer. Chez ce patient, il y a donc une AMO du matériel qui est prévue. Dans le même temps opératoire et malgré une laxité latérale de la rotule, je ne propose pas de reconstruction du MPFL étant donné que les valeurs morphométriques ne parlent pas en cette direction. L'instabilité est surtout liée à un tendon rotulien plutôt long mais il ne s'agit en aucun cas de le redescendre pour éviter une surpression patellaire. Je propose de faire une arthroscopie diagnostique, un bilan clinique complet avec testing de la tenue du LLI une fois que le patient sera endormi. Il souhaite garder son matériel. Chez ce patient, il y a donc une évolution qui reste favorable même si la symptomatologie est toujours présente, prédominante à gauche. L'IRM d'octobre avait toujours montré la persistance d'une déchirure partielle avec cette lame liquidienne présente au pôle proximal du tendon rotulien. Il est décidé avec le patient de le laisser reprendre progressivement ses activités pour stimuler un maximum sa rééducation en insistant sur le fait qu'il n'y a pas de risque de rupture augmenter à ce stade. Si lors du prochain contrôle en mai, une symptomatologie devait être toujours présente, une IRM serait réalisée à la recherche d'une présence de lame liquidienne et de chercher la continuité qui serait ensuite envisageable d'infiltrer par RPR. Pas d'arrêt de travail. Chez ce patient, il y a donc une intégrité de la plastie qui a résisté au choc et peut-être que le patient a été victime d'une déchirure du ménisque interne, notamment dans sa portion postérieure. Pour l'instant, il n'y a pas d'indication chirurgicale retenue mais, en fonction de l'évolution et s'il devait toujours avoir des douleurs d'ici au prochain contrôle, alors une arthroscopie pourrait être envisagée car l'image IRM peut parler en faveur d'un petit fragment méniscal luxé au détriment de la corne postérieure. Chez ce patient, il y a d'une part une rétraction des chaînes postérieures à traiter à G et une mobilisation après contusion musculaire en regard du segment jambier à D. Pas d'arrêt de travail. Pas de contrôle mais une prise en charge régulière par le patient lui-même, notamment en ce qui concerne la détente musculaire. Ceci est surtout important dans le cadre de son activité de karaté. Chez ce patient, il y a effectivement l'indication à effectuer une PTG D. Il sera hospitalisé la veille. Chez ce patient, il y a plutôt un diagnostic qui se dirige vers un conflit fémoro-acétabulaire mais dans un premier temps, un travail de relâchement et de décoaptation va être effectué associé à une détente du psoas et des rotateurs internes. Contrôle à 72 heures après prise d'anti-inflammatoire sur 3 jours. Chez ce patient, il y a un contact téléphonique à faire dans les 24h pour le point de fonction. À revoir en fonction du besoin. Chez ce patient, il y a un remaniement en regard de la tubérosité tibiale antérieure qui évoque parfaitement un Osgood Schlatter. Comme il n'y a pas d'ossicule dans le tendon, une chirurgie n'amènerait aucune amélioration et dans ce sens-là, il s'agit simplement de poursuivre le traitement conservateur par physiothérapie dans le but de relâcher les chaînes musculaires antérieures. Il doit aussi être suivi par la diététique en raison de l'excès de poids.Chez ce patient, il y a un retard de mobilisation et de renforcement de la masse musculaire dans le cadre de la luxation de la rotule G. J'informe clairement le patient qu'il doit faire davantage pour se rééduquer. Arrêt de travail à 50% donné du 11.02.2019 au 17.02.2019, reprise par la suite à 100%. Contrôle dans 3 mois. Chez ce patient, il y a une amélioration de la situation sur le plan clinique mais il y a encore un flexum bien présent ainsi qu'un épanchement intra-articulaire ceci dans un contexte encore de gonarthrose interne en voie d'exacerbation. Je lui propose de poursuivre la rééducation, d'effectuer les exercices dans l'axe et de reprendre progressivement les activités également à pivot tel que le ski de façon à juger de la capacité d'instabilité de son genou. En effet, il est possible que malgré son âge une plastie du ligament soit indiquée pour stabiliser ce genou dans les mouvements de pivot pour le ski ou d'autres activités. Je le reverrai fin mai pour juger de l'évolution. Pas d'arrêt de travail. Chez ce patient, il y a une atteinte du ligament collatéral médial qui est chirurgicale et au vu du délai depuis l'accident, une reconstruction sera probablement hâtivée. En ce qui concerne le LCA, il n'y a pas d'indication formelle à procéder à une chirurgie. Lors du prochain contrôle, seront visualisés encore les longs axes pour évaluer la position et éventuellement discuter d'une ostéotomie de varisation en cas de déformation majeure en valgus pour éviter le lâchage d'une reconstruction du LLI. Le patient n'est, à mon sens, pas encore tout à fait conscient de toute cette problématique et il s'agira de bien discuter avec lui de la prise en charge. Pas de chirurgie prévue pour l'instant. Chez ce patient, il y a une déchirure en anse de seau au détriment de la corne postérieure moyenne du ménisque interne pour laquelle une opération est proposée. Étant donné que ce diagnostic n'est pas corroboré par nos radiologues, le patient sera revu à 48h après discussion avec nos radiologues pour bien confirmer le diagnostic. Chez ce patient, il y a une entorse du genou générant une irritation en regard du tendon quadricipital, notamment sur le site de prélèvement. Travail proprioceptif de gainage, renforcement et relâchement de la structure musculaire antérieure puis renforcement excentrique. Pas de contrôle prévu, je reste à disposition. Chez ce patient, il y a une entorse sévère du collatéral médial mais qui montre encore une stabilité conservée. Un traitement conservateur est indiqué. Physiothérapie prescrite et anti-inflammatoire. Il sera revu dans 2 mois. Chez ce patient, l'évolution reste favorable. Je propose de le revoir dans 2 ans. Activité libre. Chez ce patient, l'évolution reste défavorable avec une péjoration de la situation sur le plan de la douleur et certainement aussi dans le cadre de la décompensation arthrosique. Pour l'instant, une date opératoire pour une PTG est prévue d'ici 2 mois. Le patient va encore discuter avec la SUVA si elle prend en charge cette situation. Il sera revu avant l'opération pour le consentement. Chez ce patient, l'évolution reste favorable et le bilan scanographique permet d'exclure un refend articulaire. Pas besoin de poursuivre la rééducation. Ablation de l'attelle. Contrôle dans 6 semaines. Chez ce patient, l'évolution reste tout à fait favorable avec une AC qui est parfaitement bien stabilisée après la chirurgie. Poursuite de la physiothérapie et mobilisation libre de l'épaule selon tolérance. Arrêt de travail à 50% jusqu'au 14.04.2019 puis reprise à 100% dès le 15.04.2019. Chez ce patient, nous mettons donc en évidence une petite lésion du ligament collatéral radial qui reste peu symptomatique avec un patient qui décrit surtout un manque de force suite à une immobilisation de longue durée. Nous proposons tout d'abord d'effectuer une rééducation avec un patient qui peut être mobilisé librement et porter de la charge. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 1 mois afin de voir s'il présente encore une gêne. Chez ce patient, nous mettons en évidence la présence d'une métallose accompagnée d'une suspicion d'infection. La ponction en effet montre un synovasure positif avec 125'000 éléments parlant plutôt en faveur d'une infection malgré un résultat négatif revenu au niveau des cultures. De ce fait, une indication pour un changement de prothèse reste posée. Actuellement, la question ouverte reste si un changement de prothèse en 2 temps ou en un temps peut être effectué. Nous proposons tout d'abord de compléter le bilan avec un consilium anesthésiologique préopératoire afin de juger de l'état de santé du patient qui est déjà connu et suivi par le Dr. X pour une insuffisance rénale préterminale. Le patient va également bénéficier d'un nouveau rendez-vous auprès du Dr. X afin d'avoir son opinion quant à un éventuel changement de prothèse. Entre-temps, nous allons prendre contact avec la Dresse Y, infectiologue de l'HFR afin de discuter de la modalité du changement de prothèse. Nous reverrons à la suite de tous ces consilium afin de discuter de la suite de la prise en charge.Chez ce patient nous mettons en évidence surtout une lésion du LCA. Au vu de l'âge nous proposons un traitement conservateur qui consistera en une bonne rééducation. Le patient peut enlever l'attelle et reprendre la marche et la physiothérapie avec un renforcement musculaire et relâchement des chaînes postérieures. Nous le reverrons pour un prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Arrêt de travail prolongé jusqu'à la prochaine consultation. Chez ce patient, nous mettons en évidence une dysbalance musculaire à l'origine des douleurs et des contractures musculaires. Nous proposons au patient un traitement conservateur avec physiothérapie pour améliorer la sciatique, massage et relâchement musculaire. Arrêt de sport (hockey) pour les 2 prochaines semaines. Le patient reprendra contact avec notre service en cas de péjoration de la symptomatologie. Chez ce patient, nous mettons en évidence une entorse de la cheville. Reprise de la marche ce jour. Nous prescrivons au patient des séances de physiothérapie à but d'améliorer la proprioception. Mise en place d'une attelle Vaco Ankle pour les 3 prochaines semaines. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 03.03.2019 avec reprise à 50% du 04.03.2019 au 10.03.2019 puis à 100% dès le 11.03.2019. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Chez ce patient, nous mettons en évidence une fracture en motte de beurre. Poursuite du traitement conservateur avec attelle aircast. Dispense de sport pour 1 mois. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. Chez ce patient, nous mettons en évidence une fracture qui se guérit lentement. Cependant, au vu de la longue immobilisation, le patient commence à développer des signes d'une éventuelle épaule gelée, raison pour laquelle nous lui prescrivons des séances de physiothérapie pour mobilisation, sans charge. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. Chez ce patient, nous mettons en évidence 3 problèmes: • Le premier concerne la hanche en CAM symptomatique qui nécessiterait une luxation chirurgicale et une correction de l'offset. • En outre, le patient souffre de discopathie L5-S1, accompagnée de syndrome sacro-iliaque ddc. Avant de proposer un traitement chirurgical de cette hanche, nous proposons tout d'abord une prise en charge pour le bas du dos. Nous allons commencer par organiser une infiltration sous CT-scan de la racine L5-S1 à droite ainsi qu'une infiltration de la sacro-iliaque gauche. Par la suite, le patient sera revu au team spinal pour discuter de l'effet de ces infiltrations. Si le patient devait présenter une amélioration de sa symptomatologie au niveau du dos suite à ces infiltrations, il sera à nouveau ré-adressé à la consultation du Dr. X pour discuter de la luxation chirurgicale de la hanche avec correction de l'offset. Dans le cas contraire, on pourra discuter d'une ALIF avec discectomie L5-S1. L'ordre des opérations se ferait en fonction de la symptomatologie. Chez ce patient, nous pouvons exclure une origine de douleurs de la hanche avec une prothèse bien en place et une absence de douleur lors de la mobilité de la hanche. Les douleurs décrites par le patient de type Valsalva ou alors lors de la toux sont plutôt des douleurs dans le cadre d'une hernie Lichtenstein qu'on pourrait expliquer peut-être par un problème vasculaire. Afin que le patient bénéficie d'un bilan sur le plan chirurgie générale et vasculaire, nous prions le Dr. X de bien vouloir le convoquer à sa consultation afin de voir s'il est possible d'expliquer la symptomatologie du patient. Nous ne prévoyons pas de le revoir à notre consultation, mais restons à disposition en cas de besoin. Chez ce patient, nous proposons de continuer l'immobilisation par attelle aircast pour les 3 prochaines semaines. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 03.03.2019 avec reprise à 50% du 04.03.2019 au 10.03.2019 puis reprise à 100% dès le 11.03.2019. Le patient est physiothérapeute et va faire lui-même les exercices nécessaires. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Chez ce patient, nous retenons des douleurs para-patellaires internes en lien avec la présence d'une plica, raison pour laquelle nous encourageons le patient à suivre les séances de physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. En cas de péjoration de la situation, nous envisagerons une infiltration. Chez ce patient, nous sommes dans un premier épisode de luxation et proposons un traitement conservateur avec de la physiothérapie pour un renforcement musculaire. Nous le reverrons dans 2 mois. Arrêt de sport jusqu'à la fin de l'année scolaire. Si le patient venait à présenter un nouvel épisode de luxation, nous lui expliquons une manœuvre pour la réduction et d'avancer le RDV. Chez ce patient, une indication pour une AMO est posée. Nous proposons cependant d'attendre une année postopératoire avant de proposer cette intervention. Nous reverrons le patient en septembre après l'été pour discuter des modalités opératoires concernant une ablation du matériel d'ostéosynthèse. Chez ce patient, visualisation d'une atteinte complète ligamentaire du genou avec 3 ligaments sur 4 qui sont déchirés. Au vu de l'aspect du collatéral médial totalement déchiré, une prise en charge chirurgicale spécifique sera décidée. Traitement conservateur par la suite par attelle Jack pour le LCP sera introduit une fois le patient hospitalisé. Patient convoqué pour ce geste. Chez cet enfant, ablation de l'attelle à partir de ce jour et mobilisation comme il le souhaite. Maintien des cannes en fonction de la tolérance. Prochain contrôle radio-clinique dans 2 semaines. Chez cette patiente, au vu du manque de symptomatologie, nous ne posons aucune indication pour une chirurgie. Nous ne prévoyons pas de revoir Mme. Y à notre consultation, mais restons à disposition en cas de péjoration de la symptomatologie. Chez cette patiente, en ce qui concerne le genou, la situation est plutôt stabilisée. Il s'agit d'être plutôt dans l'attente avec, en cas de besoin, physiothérapie de mobilisation douce. Reprise du Condrosulf dès que l'allaitement sera terminé. Une consultation spécialisée chez le chirurgien de la main est demandée étant donné la présence de ce traitement étonnant par plâtre englobant le pouce depuis quelques semaines sur un traumatisme initial datant de septembre 2017 et donc l'évolution est défavorable. Il s'agit surtout de déterminer la présence d'une atteinte scapho-lunaire, les atteintes kystiques étant certainement des découvertes fortuites. Chez cette patiente et dans un contexte de pied creux, il y a une surcharge en regard de la tête de M1, qu'il s'agit de traiter par une semelle gel. Je lui prescris de la physiothérapie à but de relâchement du fléchisseur long de l'hallux. Prochain contrôle dans 3 mois. En cas de persistance de la symptomatologie, j'organiserai une IRM afin de rechercher une fracture occulte. Chez cette patiente, il a eu une rupture d'un kyste poplité associée à une languette méniscale qui certainement a généré une douleur dans le compartiment interne. Pour l'instant, pas de prise en charge chirurgicale. Poursuite de la rééducation étant donné l'amélioration de la situation sur le plan symptomatique. Elle sera revue dans 6 semaines. Si le phénomène de blocage persiste, alors une chirurgie pourrait être proposée.Chez cette patiente, il n'y a aucune indication à effectuer une chirurgie dans un but esthétique. La patiente souhaite par ailleurs une prise en charge esthétique que je lui déconseille formellement. Chez cette patiente, il n'y a aucune indication chirurgicale de ce genou qui ne ferait que décompenser la symptomatologie. En effet, un geste chirurgical au niveau de la lésion dégénérative n'amènerait aucune amélioration significative par rapport à un traitement conservateur. Dès lors, il s'agit de travailler sur une perte de poids et un maintien de la mobilité sous forme de rééducation dans l'axe. En ce qui concerne le dos, il y aura également un bénéfice aux mouvements. La patiente souhaiterait une position de travail plutôt assise et je l'encourage, tout d'abord, à discuter ce fait avec son employeur puis je pourrai écrire un certificat en cas de besoin. Chez cette patiente, il n'y a pas d'indication formelle en terme de morphométrie du genou pour une stabilisation de la rotule. Néanmoins, au vu du risque de luxation et des épisodes de luxation latérale, une plastie du MPFL pourrait être proposée. Dans le même temps, une visualisation du cartilage de la trochlée serait effectuée avec une AMIC le cas échéant. Pour l'instant, il s'agit d'utiliser le jeune âge de la patiente (13 ans) pour lui permettre de tenter encore de gagner en croissance et récupération de l'appareil locomoteur. Prochain contrôle en automne. Chez cette patiente, il pourrait s'agir d'effectuer une infiltration intra-articulaire pour soulager la symptomatologie avant une activité sportive soutenue. La patiente sera convoquée pour ceci. Chez cette patiente, il s'agit de poursuivre le renforcement musculaire dans l'axe, travail proprioceptif ainsi que la posture. Arrêt de travail à 50% depuis le 17.02.2019 jusqu'au 17.03.2019, à réévaluer. Chez cette patiente, il s'agit de simplement faire un traitement conservateur dans le cadre d'une inflammation en regard de la tubérosité tibiale antérieure. Pas de physiothérapie prescrite. Uniquement, anti-inflammatoires pour 3 jours et application topique de pommade. Rendez-vous dans 4 mois. Arrêt de travail à 100% du 08 au 17.02.2019. Chez cette patiente, il s'agit surtout de travailler la mobilité pour récupérer les fonctions articulaires. Ceci peut se faire en piscine et est ordonné sur une prescription de physiothérapie. Contrôle à la demande. Chez cette patiente, il y a certainement une arthrose fémoro-patellaire exacerbée qu'il s'agit de visualiser par une IRM. La patiente sera revue une fois cet examen réalisé. Dans l'intervalle, prescription de Chondrosulf pour tenter une dynamisation cartilagineuse. Pas d'anti-inflammatoire prescrit pour l'instant, à réévaluer lors du prochain contrôle. Chez cette patiente, il y a confirmation d'une atteinte LCA à G avec fracture in situ de l'épicondyle médial. Il s'agit de faire un traitement conservateur avec mobilisation à 60-0-0° pour 3 semaines, puis 90-0-0° pour 3 semaines supplémentaires, puis libre. Marche avec cannes pour 6 semaines. Prochain contrôle à 6 semaines ; une IRM du genou controlatéral sera effectuée auparavant afin d'exclure une déchirure LCA. Chez cette patiente, il y a donc une atteinte du ligament croisé antérieur associé à une atteinte du LLI. Pas de nécessité de prise en charge chirurgicale. La lésion se situe plutôt en regard de l'origine fémorale en regard du passage sur l'interligne fémoro-tibiale interne. Dès lors, maintien de l'attelle articulée à 30-0-0° pour 2 semaines, puis 60-0-0° pendant 2 semaines, puis libre. Chez cette patiente, il y a encore une fonction articulaire tout à fait acceptable et le patient n'a que peu de symptomatologie douloureuse par rapport au descellement. Il décrit ce phénomène de lâchage qui est lié à une subluxation du plateau tibial, une usure de ce dernier. Un changement prothétique sera proposé. Elle sera revue d'office dans une année ou avant si nécessaire. Chez cette patiente, il y a encore une gêne liée à la présence de 2 vis 3.5 au niveau de la TTA. Nous proposons de les enlever en ambulatoire. Chez cette patiente, il y a le diagnostic susmentionné lié à la chute à ski. Pour l'instant, rééducation dans l'axe. Pas de chirurgie prévue au vu de l'intégrité des structures ligamentaires. Abandon de l'attelle à partir de ce jour et déambulation avec décharge partielle. À réévaluer dans 2 mois. Chez cette patiente, il y a plutôt eu une entorse en regard du collatéral médial de grade 1 qu'il s'agit de traiter conservativement par physiothérapie et rééducation dans l'axe. Pas de prochain contrôle prévu. Chez cette patiente, il y a toujours l'Osgood Schlatter actif avec ce petit fragment osseux avulsé depuis la TTA. Le reste de la TTA est intègre. Il s'agit donc de poursuivre une attitude conservatrice. Il lui est expliqué que le fragment avulsé de la TTA pourrait devenir une séquelle osseuse dans le tendon rotulien ; il s'agira alors, à l'âge adulte, de le réséquer. Contrôle à 6 semaines. Chez cette patiente, il y a un diagnostic connu qu'il s'agit de traiter par un changement de prothèse en un temps. Le renforcement médial sera à récupérer par une cal de compensation. Il faudra prendre garde à ne pas casser le fémur lors de l'alésage. Chez cette patiente, il y a un morphotype en léger valgus des MI (1 travers de doigt inter-malléolaire) pour lequel un traitement de stabilisation va être proposé. Il n'y a pas d'indication formelle à une prise en charge d'investigations complémentaires ce jour. Lors du prochain contrôle, elle sera réexaminée avec un bilan radiologique en regard de la hanche afin d'exclure un problème de dysplasie de cette articulation. Chez cette patiente, il y a un nouveau traumatisme de ce genou. Une IRM est proposée. Elle sera revue une fois l'examen réalisé. Chez cette patiente, il y a une contusion ayant généré une bursite traumatique en regard du genou G. Toutefois, je ne préconise pas d'opérer sachant que je n'ai pas l'impression que cela va pouvoir aider de façon significative la patiente qui décrit une symptomatologie douloureuse pluri-géniculée bilatérale. En ce sens, je l'engage à perdre du poids par un programme de fitness qu'il s'agira de poursuivre pendant plus d'une année, à raison d'au minimum 1h 4x/semaine. Je la reverrai en cas de besoin. Chez cette patiente, il y a une déchirure de la corne postérieure du ménisque interne qui est in situ pour l'instant. La situation peut parfaitement se résoudre par elle-même ces prochains mois. Je lui propose de travailler en rééducation avec relâchement des chaînes postérieures. Je la reverrai dans 3 mois. Si dans cette intervalle, il n'y a pas d'amélioration notable, une prise en charge chirurgicale par arthroscopie sera proposée. Chez cette patiente, il y a une déchirure du ligament croisé antérieur qu'il s'agit de traiter de façon conservatrice pour le moment. Prochain contrôle dans 6 semaines. Arrêt de travail jusqu'au 31.03.2019 à réévaluer. Chez cette patiente, il y a une déchirure du ligament croisé antérieur qu'il s'agit pour l'instant de traiter de façon conservatrice. Elle sera réévaluée dans 2 mois pour juger de l'indication à une plastie. À partir de ce jour, ablation de l'attelle et rééducation dans l'axe. La lésion de la corne postérieure est en zone rouge, potentiellement cicatrisable, et en ce sens, éviter tout mouvement d'hyperflexion. Chez cette patiente, il y a une décompensation de l'arthrose fémoro-tibiale interne avec varisation du MI. Toutefois, la patiente est devenue asymptomatique après traitement conservateur et, en aucun cas, il ne s'agit de proposer une chirurgie prothétique ce jour. Elle sera revue à sa demande pour discuter d'un geste en cas de besoin.Chez cette patiente, il y a une entorse de grade 1 du tendon postéro-externe et du collatéral latéral. Aucune indication chirurgicale mais un traitement de mobilisation dans l'axe pour les prochaines 2-3 semaines. Reprise progressive des activités à pivot selon la clinique. Pas de rendez-vous prévu. Pas d'arrêt de travail. Chez cette patiente, il y a une entorse grade I du tendon postéro-externe qu'il s'agit de traiter de façon conservatrice en évitant les sports à pivot mais en travaillant la posture, les gainages, le renforcement du vaste interne ainsi que le relâchement des chaînes postérieures. Contrôle prévu dans 3 mois, à annuler si la patiente va mieux. Chez cette patiente, il y a une entorse sévère englobant la tibio-astragalienne pour laquelle un traitement par contention plâtrée est préconisé pour 2 semaines. Contrôle à 2 semaines puis évaluation d'une rééducation à la marche sous le couvert de 2 cannes. Chez cette patiente, il y a une grosse appréhension sur une instabilité fémoro-patellaire connue. Pour l'instant, je l'encourage à effectuer du fitness médical sur 5 mois afin de renforcer au maximum la structure neuro-musculaire du MI afin d'éviter une chirurgie. Prochain contrôle en automne. Chez cette patiente, il y a une instabilité fémoro-patellaire avec multiples épisodes de luxation de la rotule. J'ai une patiente extrêmement anxieuse et qui présente beaucoup d'appréhension. À terme, une chirurgie sera proposée mais, pour l'instant, cela n'est pas du tout possible au vu de l'amyotrophie présente. Elle sera revue dans 6 semaines pour juger de l'évolution. Renforcement par physiothérapie. Abandon de l'attelle ce jour, maintien des cannes et charge selon tolérance. Abandon des cannes d'ici 2 semaines. Chez cette patiente, il y a une instabilité fonctionnelle sur fracture d'une plastie du LCA qu'il s'agit de traiter par une nouvelle chirurgie. Le bilan complémentaire par IRM, réalisé récemment, ne montre pas de ballonisation des tunnels et, pour cette raison, une prise en charge en per primum peut être proposée avec le tendon quadricipital. Une date opératoire est réservée pour le 12.03.2019 ; la patiente sera revue 2 semaines avant pour discuter des modalités chirurgicales. Chez cette patiente, il y a une lésion cartilagineuse connue ayant généré un petit lambeau cartilagineux et qui peut faire effet essuie-glace dans la fémoro-patellaire. Je la reverrai en avril pour juger de l'évolution en lui demandant de chercher à bien définir ce ressenti. Si cela devait s'avérer correct alors une arthroscopie pour résection uniquement du flop serait proposé. Pas d'AMIC au vu de l'absence d'atteinte de l'os sous-chondral. Chez cette patiente, il y a une persistance d'une symptomatologie douloureuse face latérale et postéro-latérale du genou qu'il s'agit d'investiguer avec un CT-scanner pour éliminer un conflit mécanique de la prothèse sur les tissus mous avoisinants. Elle sera revue une fois l'examen réalisé. Chez cette patiente, il y a une subluxation latérale de la rotule qu'il s'agit de traiter par renforcement musculaire, stabilisation monopodale et travail proprioceptif. Ablation de l'attelle dès que possible. Dispense d'activités sportives jusqu'à fin mars. Prochain rendez-vous dans 2 mois. Chez cette patiente, il y a une symptomatologie douloureuse au niveau des genoux se manifestant dans le cadre d'une laxité ligamentaire. Je propose qu'elle débute une rééducation de ses genoux en fitness médical pour renforcer la musculature périgéniculé et le tonus postural. Pas de rendez-vous prévu sauf si complication et il est clair que la recommandation sportive devrait impliquer une activité avec transpiration sur 45 minutes 3x/jour. Dans un premier temps, cette activité risque d'augmenter un peu la symptomatologie puis de la diminuer. Je reste à disposition pour un nouveau contrôle d'ici 5-6 mois au besoin. Chez cette patiente, il y a une symptomatologie s'orientant vers des douleurs antérieures du genou accompagnées d'une raideur et rétraction des chaînes postérieures dans le cadre de sa pratique sportive qui est le football. Je lui propose d'effectuer d'abord du relâchement des chaînes postérieures par la physiothérapeute qui la suit et envisager ensuite un bilan isocinétique en cas de persistance de la symptomatologie. Prise d'anti-inflammatoires pour 4 jours en fonction du besoin. Prochain contrôle dans 2 mois. Chez cette patiente, il y a une volonté de poursuivre la rééducation et de gagner en efficacité mais celle-ci doit passer par une diminution de la symptomatologie. Dans un premier temps, application de Neurodol patch durant la nuit avec des patchs de Flectoparin durant la journée pourrait pallier à cette situation. Dans le cadre de non-évolution, une infiltration serait à effectuer 30 minutes avant une entrée sur le terrain pour pouvoir juger de l'efficacité de l'antalgie à cet endroit. Contrôle à 10 jours. Chez cette patiente, il y a une atteinte du ligament croisé antérieur qu'il s'agit de traiter de façon conservatrice. Arrêt de travail maintenu à 100% jusqu'au 17.03.2019, à réévaluer. Elle sera revue en contrôle à 6 semaines. Chez cette patiente, je ne propose pas de geste chirurgical car il ne pourrait pas du tout améliorer la symptomatologie de la patiente. Poursuite de la rééducation par elle-même et par physiothérapie. Pas d'arrêt de travail délivré. Prochain contrôle dans 3 mois. Chez cette patiente, la rééducation suit son cours. Il s'agit de poursuivre le renforcement musculaire et le relâchement des chaînes postérieures. Prochain contrôle dans 6 semaines. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 31.03.2019. Chez cette patiente, le bilan IRM ne met pas en évidence d'altération marquée en regard du compartiment fémoro-tibial interne et la légère laxité retrouvée à l'examen clinique ne parle pas pour une prise en charge chirurgicale. Au vu de la situation présentée par la patiente, je suis opposé à une prise en charge chirurgicale de reconstruction du LLI associée au POL. Une rééducation me semble indispensable pour parvenir à gagner en force et trophicité de la masse quadricipitale mais pour cela une physiothérapie à raison de 2x/semaine est totalement insuffisante, c'est pourquoi j'encourage la patiente à se rendre tous les jours dans un centre de fitness ou à effectuer au moins 4x/semaine une activité qui l'a fait transpirer d'au minimum 45 minutes. Contrôle à la demande. Chez cette patiente, les bilans complémentaires ont tous permis d'exclure une problématique infectieuse ou de malposition d'implants. En ce sens, une piste encore à explorer resterait une allergie aux métaux, c'est pourquoi je téléphonerai à l'entreprise Mathys pour qu'il me fasse parvenir des petites pastilles métalliques à poser sur la peau. Je reverrai la patiente 48h après cette pause pour juger l'apparition de réactions cutanées. Dans l'intervalle, je reste dans l'optique de rassurer la patiente par rapport à son implant et l'engage à maintenir sa mobilité pour éviter un enraidissement. Chez cette patiente, l'évolution après une PUC est tout à fait favorable. Il s'agit de poursuivre la marche et de travailler la proprioception, la coordination et l'activité musculaire. Prochain contrôle dans une année. Chez cette patiente, l'évolution est favorable après une ostéosynthèse par clou PFNA d'une fracture pertrochantérienne. Pas de contrôle prévu. Marche sans restriction. Chez cette patiente, l'évolution est favorable en ce qui concerne le LLI. Je propose d'enlever l'attelle et de mettre en charge progressivement sous le couvert éventuel de deux cannes. F/E libre et poursuite de la rééducation dans l'axe en mettant une charge totale et en abandonnant les cannes. Prochain contrôle dans 6 semaines.Chez cette patiente, l'évolution est favorable. Je propose de la revoir à mi-avril. Arrêt de travail à 50% jusqu'au 10.03.2019 ; à 20% du 11.03.2019 au 14.04.2019. Chez cette patiente, l'évolution est favorable. Je propose de la revoir en août avec un CT pour objectiver la cicatrisation du tunnel tibial. Une intervention est également réservée pour mi-septembre pour une nouvelle plastie LCA par TQ. Chez cette patiente, l'évolution est favorable. Je propose qu'elle poursuive sa rééducation en ce qui concerne le genou. Poursuite de l'arrêt de travail à 50% jusqu'au 28.02.2019 à réévaluer. Prochain contrôle à mi-mars. Chez cette patiente, l'évolution est globalement identique même si la patiente retrouve petit à petit une autonomie après un passage à vide lié à une bronchopneumonie. Je lui prescris un fortifiant ainsi que de la physiothérapie en piscine. Recommandation également d'utiliser des bâtons de marche pour ses déplacements. Chez cette patiente, l'évolution est tout à fait bonne après mise à plat d'un cyclope au pied de la plastie LCA. Elle est libre d'effectuer tous les mouvements qu'elle souhaite. Pas de contrôle prévu, je reste à disposition. Chez cette patiente, l'évolution est tout à fait favorable. Je propose de la revoir dans 4 mois. Poursuite de la physiothérapie à sec et en piscine. Chez cette patiente, l'IRM met en évidence un canal lombaire étroit très sévère, mais qui reste asymptomatique pour le moment. Au vu de l'amélioration de la symptomatologie, nous ne prévoyons actuellement aucune thérapie supplémentaire. Nous proposons de revoir la patiente pour un contrôle clinique dans 3 à 4 mois. Si elle présente une nouvelle symptomatologie de douleurs dans le bas du dos, nous la reverrons alors pour discuter avec le Dr. X de l'indication de l'infiltration des sacro-iliaques. Chez cette patiente, l'origine des douleurs est probablement due à une décompensation musculaire. Nous proposons de faire de la physiothérapie pour améliorer le gainage, la posture et travailler sur le genou avec un relâchement de la chaîne postérieure et de la proprioception. Nous ne prévoyons pas de la revoir d'emblée à la consultation mais restons à disposition en cas de péjoration de la symptomatologie. Chez cette patiente, nous mettons donc en évidence une arthrose symptomatique avec une indication chirurgicale par l'implantation d'une prothèse totale de hanche. Nous expliquons les détails de l'intervention et la patiente signe le consentement éclairé. Nous prenons un rendez-vous en anesthésie en pré-opératoire et l'intervention est agendée pour le 07.03.2019. Chez cette patiente, nous mettons donc en évidence une coxarthrose symptomatique avec une indication à l'implantation d'une PTH. Au vu de l'agenda chargé pour le mois de février, l'intervention pourra se faire en mars et nous proposons que la patiente soit revue par le Dr. X au début mars pour discuter des détails de l'intervention. Nous organisons d'ores et déjà un rendez-vous pré-opératoire en anesthésie. Prochain contrôle le 05.03.2019. Chez cette patiente, nous mettons donc en évidence une re-rupture du LCA avec une lésion du collatéral interne. Nous proposons dans un premier temps un traitement conservateur de la lésion au niveau du collatéral interne avec une attelle articulée. La patiente devra garder le genou en extension pour 2 semaines, soit encore 1 semaine puis mobilisation à 30-0-0° pour deux semaines puis 60-0-0° pour deux nouvelles semaines puis 90-0-0° pour deux semaines et enfin, libre. Après la période de guérison du ligament collatéral interne, nous rediscuterons si une nouvelle chirurgie est indiquée concernant le LCA. Prochain contrôle dans 1 mois. Chez cette patiente, nous mettons en évidence un flexum qui reste cependant réductible. La patiente se dit très algique et évite tout mouvement avec son doigt et ne l'utilise pratiquement plus en le gardant en extension maximale. Nous lui proposons dans un premier temps de retrouver une mobilité complète du doigt en ergothérapie. Concernant le flexum, nous prescrivons à la patiente une attelle en pleine extension de l'IPD à porter jour et nuit pendant 1 mois. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. Chez cette patiente, nous mettons en évidence un hémangiome qui n'est pas à l'origine des douleurs décrites par la patiente. Celles-ci sont plutôt dues à la présence d'un syndrome de la sacro-iliaque à droite. Nous ne voyons donc aucune indication chirurgicale pour l'instant à l'ablation de l'hémangiome et proposons un traitement conservateur de la sacro-iliaque avec de la physiothérapie. Si la patiente présentait une péjoration ou une stagnation des douleurs d'ici 2 à 3 mois, elle reprendra contact avec notre service afin d'introduire la chiropraxie voire une infiltration de la sacro-iliaque. Concernant l'hémangiome, nous proposons de revoir la patiente dans 1 année avec une nouvelle IRM afin de voir la progression de l'hémangiome. Chez cette patiente, nous mettons en évidence un 2ème épisode d'entorse du poignet avec cette fois-ci persistance de la symptomatologie. Au vu de la durée des douleurs, nous organisons une IRM du poignet G à la recherche d'une éventuelle lésion ligamentaire. Prochain contrôle après l'IRM. En cas de lésion, le cas sera discuté avec le Dr. X. Chez cette patiente, nous mettons en évidence une coxa saltans bilatérale sans symptomatologie douloureuse. Nous expliquons à la maman présente qu'avec la croissance, les craquements vont disparaître. Nous ne posons aucune indication chirurgicale, ni traitement conservateur et la petite peut faire toutes les activités sans restriction aucune. Pas de prochain contrôle prévu, mais nous restons à disposition en cas de besoin. Chez cette patiente, nous mettons en évidence une entorse bénigne du LLI, raison pour laquelle nous proposons de la physiothérapie avec reconditionnement du genou. Nous ne prévoyons pas de la revoir à la consultation, mais restons à disposition. Chez cette patiente, nous mettons en évidence une évolution favorable avec une absence de déplacement secondaire de la fracture. Poursuite de la physiothérapie pour mobilisation libre, sans charge. Poursuite de l'arrêt de travail à 90% jusqu'au prochain contrôle. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. Chez cette patiente, nous mettons en évidence une évolution tout à fait favorable avec une absence de symptomatologie. Concernant la sacro-iliaque, nous proposons, si elle présente un nouvel épisode aigu, d'effectuer de la chiropraxie pour mobilisation des sacro-iliaques. La patiente prendra contact avec notre service pour un contrôle dans 2 ans, soit à 5 ans du changement de prothèse à droite et à 10 ans du changement de prothèse à gauche ou avant s'il présentait une symptomatologie. Chez cette patiente, nous mettons en évidence une gonarthrose du compartiment interne bilatéral. Nous proposons au patient des séances de physiothérapie à but de renforcement musculaire. Nous prescrivons au patient du Chondrosulf à prendre jusqu'au prochain contrôle clinique dans 3 mois. Chez cette patiente, nous mettons en évidence une lésion du LCA avec une distorsion du LLI. Nous lui proposons un traitement conservateur avec une rééducation du genou dans l'axe et physiothérapie. Reprise du travail à 100% dès le 04.02.2019. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Chez cette patiente, nous mettons en évidence une persistance des douleurs au niveau du pli inguinal droit. Nous lui proposons dans un premier temps de reprendre les activités sportives après avoir obtenu l'accord du chirurgien ayant effectué la liposuccion. Nous proposons de commencer tout d'abord par le vélo d'appartement et de la natation (seulement le crawl). Prochain contrôle clinique à notre consultation le 14.05.2019. Si la patiente présente toujours les mêmes douleurs à ce moment-là, alors une injection unique de corticostéroïde pourrait être envisagée.Chez cette patiente, nous mettons en évidence une rupture complète du LCA. Nous proposons un traitement conservateur avec une rééducation du genou dans l'axe. Arrêt de travail pour 6 semaines, puis reprise progressive. Nous reverrons la patiente pour refaire le point dans 4 mois. Chez cette patiente, nous mettons en évidence une symptomatologie persistante en regard des rotateurs externes. Afin d'exclure une origine lombaire, nous organisons une IRM à la recherche d'un éventuel canal lombaire étroit. Entre-temps, nous represcrivons des patchs de Flectoparin et du crochetage. Si l'IRM ne montrait aucune pathologie et que la patiente reste symptomatique, nous pourrions également discuter de la chiropraxie pour une mobilisation des sacro-iliaques. Nous reverrons la patiente après l'IRM pour discuter des résultats et de la suite de prise en charge en parallèle avec le Dr. X. IRM le 14.02.2019. Prochain contrôle le 19.02.2019. Chez cette patiente, nous mettons en évidence 2 types de symptomatologie, la 1ère étant un syndrome sacro-iliaque, l'autre une coxarthrose centrale très symptomatique. Après la discussion avec la patiente, nous lui proposons tout d'abord la prise en charge de la coxarthrose avec implantation d'une prothèse totale de hanche. La patiente accepte l'intervention et après avoir reçu les explications (déroulement de l'intervention, risques et les bénéfices), elle signe le formulaire de consentement éclairé. L'intervention est agendée pour le 27.02.2019 avec un contrôle pré-opératoire en anesthésie au préalable. Si la patiente venait à changer de décision, elle appellera notre service pour annuler l'intervention. Chez cette patiente, pas d'indication opératoire formelle pour un genou. Pour le genou, elle souhaite avoir encore un avis de mon collègue du team pied par rapport au sentiment d'insécurité décrit par la patiente. En ce qui concerne son médio-pied, elle a une problématique qui vient d'un manque de tonus des péroniers, et je ne retrouve pas d'atteinte tendineuse pouvant expliquer un manque de force à cet endroit. Dans ce sens, un renforcement serait sûrement utile. Également, il s'agira de déterminer la nécessité d'une stabilisation chirurgicale de la mortaise et tibio-astragalienne, et cela sera décidé lors de la consultation du team pied. Chez cette patiente, un ménisque externe discoïde doit d'abord être exclu, et pour ceci une IRM sera réalisée et la patiente sera revue après cet examen. Chez cette patiente, une dysplasie n'expliquerait pas la symptomatologie de la patiente, mais plutôt une tendinopathie d'insertion. Nous proposons un traitement conservateur anti-inflammatoire en physiothérapie avec ultrason. Si la symptomatologie douloureuse devait persister au-delà de 3 mois, la patiente reprendra contact avec notre service. Chez de jeunes patients, nous acceptons une déviation de recurvatum allant jusqu'à 10°. Le patient présente un recurvatum de 15°. Nous discutons avec le patient et son père de faire une réduction fermée et un embrochage du tibia distal per-cutanée. L'intervention est prévue le 01.03.2019. En cas d'échec d'une réduction fermée, nous procéderons à une réduction ouverte. Le patient sera au bénéfice d'une immobilisation après l'intervention pour une durée de 4 semaines. Nous expliquons au père et au patient le déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices, que le père accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. Chez le pédiatre dans une semaine si persistance d'EF Chez le pédiatre dans 48h si persistance des douleurs afin de proposer éventuellement une antibiothérapie Chez le pédiatre si EF Chez le pédiatre si péjoration Chez les enfants, ce genre de kyste est souvent lié aux ischio-jambiers. Normalement, le kyste va disparaître lorsque l'enfant aura terminé sa croissance. Un traitement chirurgical est rarement indiqué chez un enfant si jeune en raison d'un déplacement du nerf ou des vaisseaux. Prochain contrôle clinique avec ultrason dans 6 mois. Chez Mr. Y, nous avons une bonne évolution avec une guérison complète de la fracture. Il ressent encore une légère gêne au niveau de la cheville, probablement due à une dysbalance musculaire, ainsi qu'un conflit tibio-talaire. Nous proposons de poursuivre les séances de physiothérapie pour renforcer la musculature et améliorer la stabilité de l'articulation. Au mois de juin, le patient a un cours de répétition à l'armée. On le reverra pour un contrôle clinique au début mai pour juger si le patient peut pratiquer son cours de répétition. Chez Mme. Y, nous suspectons une inflammation de la bandelette ilio-tibiale en raison de la présence de la lame du clou ou du cerclage. En plus, le CT-scan de novembre 2018 ne confirme pas clairement une consolidation de l'os, par conséquent, nous suspectons une pseudarthrose, même si la patiente ne présente pas de douleur lors de la charge axiale de la jambe gauche. Dans cette situation, nous ne pouvons pas enlever le clou car l'os ne va pas tenir. Nous nous décidons donc pour la poursuite du traitement conservateur avec des anti-douleurs au besoin, un CT-scan à 1 an de l'opération avec un contrôle clinique consécutif. En cas de persistance de douleurs et de manque de consolidation à ce moment-là, il faudra discuter d'une éventuelle opération par ostéotomie valgisante, afin d'essayer d'obtenir une consolidation osseuse adéquate. Dans le cas contraire, on pourrait également envisager une infiltration ciblée au niveau de la lame du clou. Prochain contrôle avec un CT-scan le 16.04.2019. Chez Mme. Y, nous avons une forte suspicion d'un arrachement partiel de l'abducteur (moyen et petit fessier) avec une diminution de force à M4, ce qui nous laisse penser que cet arrachement n'est pas complet. Par contre, il n'est pas possible de définir si cet arrachement est chronique ou aigu. Afin de compléter le bilan et confirmer notre suspicion quant à cet arrachement, nous organisons une IRM prévue le 22.02.2019. Dans le cas d'un arrachement partiel de l'abducteur, la patiente va commencer un traitement conservateur par la physiothérapie de renforcement de la musculature avec une option opératoire ultérieure éventuelle en cas d'échec de ce traitement. En outre, nous pourrons envisager une infiltration qui peut cependant affaiblir les tendons. Prochain contrôle pour discuter du résultat de l'IRM et du procédé ultérieur le 05.03.2019. Chiara est admise dans le service le 19.02.2019 pour une suspicion de sepsis néonatal précoce. Au niveau infectieux, les bilans sanguins réalisés (gazométrie et CRP) restent en ordre au cours du séjour. L'hémoculture est stérile à 5 jours de culture. Au vu de l'hyperthermie maternelle et néonatale, une antibiothérapie d'Amoxicilline 100mg/kg/j et de Gentamycine 4mg/kg/j est mise en place le 19.02.2019. Les antibiotiques sont stoppés le 20.02.2019 au vu des laboratoires et de la clinique rassurante. Elle est afébrile depuis le 19.02.2019 et ne présente pas d'autres symptômes. Au cours de son séjour, elle reste stable hémodynamiquement. Au vu de l'évolution clinique favorable, Chiara retourne à la maternité le 21.02.2019, après la suite de prise en charge habituelle. Chimiothérapie Chimiothérapie Chimiothérapie Chimiothérapie ambulatoire: dernière séance le 23.01.2019. Séance du 29.01.2019 annulée. Stop chimiothérapie discuté avec le Dr. X. Chimiothérapie du 23.10.2018 annulée (le patient sera recontacté par le Dr. X).Fibrose pulmonaire (suivi par le Dr X) Diabète non insulino-requérant Goutte sous Allopurinol Hypertension artérielle traitée Malnutrition protéino-énergétique grave Chimiothérapie élective Chimiothérapie par Venetoclax dès la sortie de l'épisode infectieux aigu chir =0 BSH contrôle ORL sp Chirurgicaux non-gynécologiques : Début des années 2000 : ostéosynthèse cheville gauche sur fracture du péroné et tarse-métatarse Adolescence : ablation 4 dents de sagesse Familiaux : Grand-maman maternelle : DCD CA généralisé Tante maternelle de Mme Y : CA sein Oncle maternel de Mr Y : DCD CA poumons Obstétricaux : voie d'accouchement : Accouchement par voie basse, instrumentation : ventouse, lésion génitale : EMLD, délivrance : Nle complète, Date : le 19.11.2015, anesthésie : Péri, lieu : HFR Fribourg, sexe : F, Prénom : Leyla, SA : 39.3, poids (g) : 2270, allaitement (mois) : 3, particularités : Provoc pour RCIU Chirurgie de la varicose du bas de la jambe gauche 1976. Thrombose de la jambe droite 1991. Embolie pulmonaire multisegmentaire 1994. Cholécystectomie. Dilatation endoscopique d'une sténose œsophagienne 1982. Prostatectomie 1995. AVC frontale et pariétale droite, très probablement cardio-embolique le 04.10.2017. Cardiopathie dysrythmique et valvulaire • Fibrillation auriculaire bradycardique le 05.10.2017 • Légère insuffisance aortique et insuffisance mitrale • EF 48% au 05.10.2017 • Stabilité clinique le jour de la sortie (24.11.2017) : pas d'œdème, pas de râles pendant l'auscultation, pas de dyspnée. Blépharoconjonctivite droite 10/2017. Enorales Soor 10/2017. Suspicion d'infection grave des voies urinaires Anémie normochromique normocytaire Troubles de la démarche et de l'équilibre de causes multifactorielles : • Situation après une atteinte cérébrovasculaire ischémique (IVC) frontale et pariétale droite, très probablement cardio-embolique le 04.10.2017 • Déconditionnement après décompensation cardiaque, pneumonie d'aspiration et insuffisance rénale chronique aiguë. • MMS 23/30, Horloge 5/7, GDS 6/15 le 23.11.2017 : un examen détaillé par exemple dans une clinique de mémoire est • Sous anticoagulation avec Acenocoumarol, conversion en Apixaban le 09.10.2017 En traitement par Atorvastatine et Apixaban. Aggravation aiguë temporaire de la fonction rénale AKIN I en cas d'insuffisance rénale chronique. Statut après aspiration pneumonie basale droite. Dysphagie modérée au 06.10.2017. Dyselectrolyse temporaire. Chirurgie du genou (1988). Conisation (2005). Cataracte bilatérale (2012). Fracture ouverte phalange distale doigt III main droite le 19.03.2013. Plaie transverse face dorsale phalange distale doigt III. Induration douloureuse au membre inférieur gauche post-varicectomie. DD : caillot de sang sur le trajet de la varicectomie, thrombose, infection, douleurs post-opératoires normales. Chirurgie du ménisque droit à deux reprises. Entorse stade 1 de la cheville droite. Agitation psycho-motrice le 18.06.16. • Avis neurologie le 18.08.16 (Dr X) : ne ressemble pas à une crise d'épilepsie. • CT cérébral le 18.08.16 : pas de méningisme, pas de saignement, comblement du sinus maxillaire gauche d'allure chronique. Visualisation des anciens CT et IRM cérébrale : pas de lésion. Conclusion : CT-scan normal. • Avis psychiatrie le 18.06.16 (Dr X) : dépersonnalisation aiguë non en lien avec un état psychotique. Pas de cause psychiatrique sous-jacente a priori. Revoir avec son neurologue traitant si cause de multiples micro-épilepsies possibles. Status post Ralentissement psychomoteur le 22.01.2018. DD : Trouble psychiatrique, crise d'angoisse, médicamenteux. Fatigue post-crise épileptique du 18.03.2018. DD : troubles anxio-dépressifs. Chirurgie élective Chirurgie élective Chirurgie élective Chirurgie élective Chirurgie élective Chirurgie élective Chirurgie élective Chirurgie élective. Chirurgie élective chirurgie élective Chirurgie plastique du visage avec greffe (1984). Laparotomie médiane sus-ombilicale pour hernie Chirurgie pour lithiase rénale droite en 2009. Hystérectomie en 1998, probablement sur fibrome avec hémorragies. Bradycardie à 50/min asymptomatique le 01.11.2012. BAV du 1° degré. Chirurgie : suivi de plaie par stomatologie avec rendez-vous mardi prochain 26.02.2019 ; changement de pansement par soins à domicile. Surveillance de la perméabilité des axes fémoro-poplités des deux côtés avec écho Doppler artériel tous les 3 mois, suivi en angiologie et en chirurgie vasculaire (avec les résultats) Endocrinien : Bilan thyroïdien à 1 mois Insuffisance cardiaque : IRM cardiaque ambulatoire, suivi par Synecard Anémie : colonoscopie à envisager en ambulatoire, seuil 80 g/l, en cas de nette suspicion de saignement digestif -> passage à un ACOD autre que Xarelto (par exemple Eliquis), si persistance avec Xarelto, augmenter la dose à 20 mg dès le 2.02.2019, refaire électrophorèse des protéines à distance Infectieux : antibiothérapie par voie orale par Co-Amoxicilline à poursuivre pendant 1 semaine Chlamydia positif le 13.02.2019 Choc anaphylactique avec étiologie inconnue le 26.01.2019. Choc anaphylactique sur Actilyse. Choc cardiogène dans un contexte d'insuffisance cardiaque terminale avec une fibrillation auriculaire rapide le 18.02.2019 compliqué d'une défaillance multiviscérale : • Acidose métabolique lactique sévère • Insuffisance hépato-cellulaire • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale (AKIN II) • Encéphalopathie modérée • Insuffisance circulatoire Choc cardiogène sur origine ischémique. DD : Takotsubo, choc cardiogène dans le contexte septique avec : • Troponines : 326-318, BNP 1111, lésion intermédiaire IVA moyenne en 2017. Choc cardiogène sur sidération myocardique après défibrillations multiples le 28.02.2019. Choc émotionnel avec crise hystérique avec une alcoolémie à 2.37 dans le contexte du potentiel décès de sa mère. Choc hémorragique intra-opératoire 25.01.2019 Choc hémorragique sur probable rupture de varices œsophagiennes le 21.01.2019 avec : • hémoglobine à 50 g/l le 21.01.2019 • hyperammoniémie secondaire à 589 umol/l. Choc hémorragique sur rupture d'anévrisme infra-rénal, le 05.08.2010 • cure d'anévrisme par prothèse de type tube D, le 06.08.2010 • reprise chirurgicale pour saignement diffus, le 06.08.2010 • encéphalopathie d'étiologie mixte avec délirium prolongé • insuffisance rénale aiguë sur choc hémorragique, le 05.08.2010 • fistule cutanée ombilicale dans la cicatrice de l'ancienne laparotomie, le 21.01.2011 OP cataracte G et D en 2013 État confusionnel aigu d'origine indéterminée le 15.10.2019 Choc hypovolémique sur hémorragie rétropéritonéale après ponction artérielle fémorale droite le 30.12.2018 Adénopathie sous-hilaire droite • CT Thorax du 08.01.2019 Perturbation des tests hépatiques sans hyperbilirubinémie le 30.12.2018 Douleurs pleuritiques avec irradiation dans l'épaule droite le 08.01.2019 Tachycardie sinusale le 30.12.2018 Suspicion de structure flottante au niveau de la chambre de chasse et masse sur la sigmoïde coronaire d'origine indéterminée le 07.01.2018 : • DD : fibroélastome, endocardite lente à hémocultures négatives • Hémocultures 2 paires le 30.12.2019 et 1 paire le 31.12.2018 : négatives Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 sur hypovolémie le 30.12.2018 STEMI inférieur sur thrombose de la coronaire droite moyenne le 30.12.2018 • Avec décompensation cardiaque biventriculaire • Aspirine à vie et Efient pendant 6 mois • Coronarographie (Dr X) le 30.12.2018 Décompensation diabétique acido-cétosique sévère et hyperosmolaire sur mauvaise compliance le 30.12.2018 • Contexte de diabète type 1 avec HbA1c > 15 % Choc mixte le 06.02.2019 • hypovolémique sur iléostomie • d'origine septique et médicamenteuse Choc probablement septique le 25.02.2019 d'origine indéterminée DD péritonite bactérienne spontanée, pneumonie, pyélonéphrite • Frisson, état fébrile • Sans piste clinique de l'origine Choc sepsis. Choc septique à E. coli d'origine urinaire sur néphrolithiase obstructive le 07.01.2019 • défaillance multi-organique avec insuffisance rénale aiguë, vasoplégie, cardiopathie septique • CT abdominal natif et injecté le 08.01.2019: calcul enclavé à la jonction urétéro-vésicale gauche. Dilatation pyélocalicielle et urétérale à gauche ainsi qu'infiltration de la graisse péri-rénale. • Expansion volémique, Noradrénaline 08.-10.01.2019, Corticoïdes 08.-10.01.2019, Imipénème 08.-09.01.2019, Ceftriaxone 09.-18.01.2019 • VVC jugulaire gauche 08.-17.01.2019, Sonde vésicale 08.-17.01.2019, Cathéter artériel radial 08.-13.01.2019 • Mise en place d'une double-J (Dr. X) le 08.01.2019 Choc septique à E. coli d'origine urinaire sur néphrolithiase obstructive le 07.01.2019 • défaillance multi-organique avec insuffisance rénale aiguë, vasoplégie, cardiopathie septique • CT abdominal natif et injecté le 08.01.2019: calcul enclavé à la jonction urétéro-vésicale gauche. Dilatation pyélocalicielle et urétérale à gauche ainsi qu'infiltration de la graisse péri-rénale. • Expansion volémique, Noradrénaline 08.-10.01.2019, Corticoïdes 08.-10.01.2019, Imipénème 08.-09.01.2019, Ceftriaxone 09.-18.01.2019 • VVC jugulaire gauche 08.-17.01.2019, Sonde vésicale 08.-17.01.2019, Cathéter artériel radial 08.-13.01.2019 • Mise en place d'une sonde double-J (Dr. X) le 08.01.2019 • Lithotripsie et le retrait de la sonde double-J le 31.01.2019 à l'hôpital Daler (Dr. X, urologie). Choc septique à E. coli le 02.01.2019 sur cholécystite aiguë lithiasique avec: • 2 paires d'hémocultures positives (4/4) • état de souffrance myocardique avec ondes T inversées en V2 et V3. Choc septique à Entérocoque faecium per-lithotripsie urinaire le 01.02.2019 • Colonisation urinaire par Candida krusei • SOFA 7 pts • Pyélonéphrite obstructive gauche aiguë le 03.01.2019 • s/p pyélonéphrite obstructive sur néphrolithiase gauche de 6 mm le 09.12.2018 avec pose de sonde double-J le 11.12.2018 (Dr. X), culture d'urine du 09.12.2018 et le 14.12.2018: Candida krusei Choc septique à Entérocoque faecium per-lithotripsie urinaire le 01.02.2019 • colonisation urinaire par Candida krusei • SOFA 7 pts • pyélonéphrite obstructive gauche aiguë le 03.01.2019 • status post pyélonéphrite obstructive sur néphrolithiase gauche de 6 mm le 09.12.2018 avec pose de sonde double-J le 11.12.2018 (Dr. X), culture d'urine du 09.12.2018 et le 14.12.2018: Candida krusei. Status post épisode dépressif majeur. Annexectomie bilatérale pour cystadénofibrome séreux multiloculaire bilatéral des ovaires en 2012. Acromioplastie droite en 2006. Anneau gastrique en 1997. AVC ischémique multifocal (pariétal gauche, insulaire gauche et frontal droit) d'origine indéterminée le 09.12.2018: • DD: état hyper-coagulant dans contexte tumoral, cardio-embolique • symptomatologie: hémisyndrome sensitivo-moteur droit facio-brachial, dysarthrie • lyse intraveineuse par Alteplase 78.3 mg, débutée à 12h50 le 09.12.2018. • NIHSS à l'admission à 5 points, NIHSS post-lyse à 3 points, NIHSS à 24h 1 point, NIHSS à la sortie à 0 point. Infection virale des voies aériennes supérieures le 04.01.2019 • contexte d'asthme DD: BPCO. Hématochézie en petite quantité le 07.01.2019 sur hémorroïde interne. Pré-OAP dans un contexte de surcharge post-réanimation liquidienne le 05.02.2019. Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN 2 le 15.02.2019: • FE Urée 28.9% Hypomagnésémie. Choc septique à Haemophilus influenzae avec défaillance multiorganique le 08.02.2019 (Inselspital) • Score de SOFA à 12 points (défaillance resp, hémodynamique, neurologique) Choc septique d'origine multiple, le 12.02.2019 • Péritonite bactérienne spontanée • Pneumonie de broncho-aspiration Choc septique d'origine probablement pulmonaire • diagnostic différentiel: urinaire. Choc septique d'origine pulmonaire (germe indéterminé) le 04.02.2019 Choc septique d'origine pulmonaire le 04.02.2019 Choc septique d'origine pulmonaire le 20.02.2019 • Défaillance respiratoire, hémodynamique, rénale AKIN 1 Choc septique d'origine urinaire à Entérocoque faecium le 01.02.2019 • au décours d'une pyélonéphrite obstructive • Colonisation urinaire par Candida krusei Choc septique d'origine urinaire le 09.07.2018: • épisode similaire 05 et 06/2018 • colonisations urinaires auparavant par germes multiples (Candida, E. coli, Klebsiella dont des ESBL), E. coli (S au Bactrim, R à la Ciproxine) et Enterococcus faecalis (S à l'Amoxicilline) • dans le contexte d'une vessie neurogène • Pose de sonde sus-pubienne le 20.07.2018 (Dr. X) • Changement de sonde le 27.07.2018, mise en place d'une sonde sus-pubienne à ballonet (Dr. X) • Ertapenem le 08.07.2018 • Meropenem 1 g/8h du 08.07 au 21.07.2018 • Fortecortin du 09.07 au 10.07.2018 • Fluconazole 400 mg/j du 20.07 au 21.07.2018 Bactériémie à Staphylocoques epidermidis le 08.07.2018 • DD: infection sonde de pacemaker • Hémocultures 2 p le 08.07.2018: 2/2 p positives pour un Staphylococcus epidermidis résistant aux bêta-lactames • Hémocultures 2 p du 12.07.2018: négatives à 5 jours • Culture du cathéter artériel radial gauche le 12.07.2018: négative à 2 jours • Culture de VVC jugulaire gauche le 13.07.2018: négative à 2 jours • Hémocultures (2 p) du 27.07.2018: négatives • Echocardiographie le 13.07.2018 (Dr. X): pas d'argument en faveur d'une endocardite sur la base de cet examen ETT (4 valves bien visualisées de même que les 2 sondes de pacemaker) • Daptomycine du 12.07 au 25.07.2018 Insuffisance rénale aiguë oligo-anurique AKIN I sur sepsis le 09.07.2018 Hypoglycémie réfractaire à 2.1 mmol/l le 08.07.2018 • dans le contexte d'une insuffisance hépato-cellulaire • insuffisance surrénalienne probable • accumulation de l'insuline sans alimentation per os • G 40% le 09.07, G 20% le 09.07.2018 • Hydrocortisone du 08.07 au 11.07.2018 État confusionnel hypoactif d'origine mixte le 08.07.2018 • contexte septique • hypoglycémie réfractaire Crise de goutte au niveau de la malléole interne G le 16.07.2018 Prednisone 20 mg/j du 16.07 au 20.07.2018 puis 10 mg/j du 21.07 au 25.07.2018, puis 5 mg/j du 26.07 au 30.07.2018, puis 2.5 mg/j du 31.07 au 05.08.2018 État d'anasarque iatrogène le 16.07.2018 Colite à Clostridium difficile le 11.05.2018 Suspicion d'une infection du PAC à Staph. epidermidis le 11.02.2018 Sepsis urinaire à K. pneumoniae en avril 2017 État confusionnel aigu sur décompensation diabétique hyperosmolaire le 03.04.2018 Fracture non déplacée du corps de l'omoplate droite le 29.06.2015 Fracture radius distal en 2014 Rupture chronique du tendon d'Achille à gauche probablement sur traitement de cortisone en 2007 Colonisation à Klebsiella et E. coli à l'urotube du 04.04.2018: ESBL Cholécystectomie Appendicectomie Hystérectomie Mastoïdectomie droite Urosepsis sévère à germe indéterminé le 09.08.2018: • avec bactériémie de contamination à Staph. epidermidis • isolement de contact pour Klebsiella ESBL (04.2018) Hypoglycémie à 1.8 mmol/l le 07.08.2018 • DD sur arrêt corticothérapie DD contexte septique Hypovitaminose B9 le 22.08.2018 Plaie de décubitus multiples: • talons • sacrum Hyponatrémie hypoosmolaire euvolémique à 129 mmol le 03.09.2018 DD SIADH dans contexte infectieux Probable syndrome cardio-rénal type IV dans contexte de péjoration fonction rénaleEtat confusionnel mixte le 28.08.2018 DD accumulation médicamenteuse dans contexte insuffisance rénale DD sevrage Pregabaline DD nouvel AVC ? Bactériémie à Staph. epidermidis le 03.09.18 DD sur cathéter de VVC Fièvre d'origine indéterminée le 10.09.2018 DD inflammatoire DD infectieuse Choc septique ou vasoplégique d'origine indéterminée avec défaillance multi-organique le 31.01.19: • Atteinte: hépatique, hémodynamique, rénale, cardiaque • DD: ischémie mésentérique, pneumonie, sepsis digestif, endocardite Choc septique réfractaire secondaire à une arthrite septique du médio-pied gauche dès le 04.02.2019, avec: • bactériémie à Staphylocoques dorés MSSA • syndrome de défaillance multi-organique (atteinte cérébrale, hémodynamique, hépatique) • possible endocardite concomitante Choc septique sur: • probable cholangite par translocation 20.02.2019 Choc septique sur abcès rénal droit post-biopsie rénale le 25.01.2019 avec MOF (atteinte rénale, hémodynamique et perturbation de la crase) Choc septique sur duodénite aigüe Choc septique sur gangrène de Fournier débutante (débridement initial le 25.01.2019) • Status post-abcès pénien sur auto-injection intra-pénienne de NaCl en décembre 2018 Choc septique sur injection de substance non stérile le 12.04.2018. • chez patient polytoxicomane. • status post-endocardite mitrale à Entérococcus faecalis en septembre 2016. Cathéter artériel radial gauche du 12.04.2018 au 13.04.2018. Erysipèle des membres inférieurs 02-04.2018. Hématome splénique abcédé le 29.12.2016 avec: • status post-endocardite à entérocoque faecalis, traitée par Amoxicilline et Gentamycine du 16.09 au 27.10.2016 (6 semaines). • status post-infarctus splénique d'origine infectieuse. • Splénectomie le 29.12.2016. Epanchement pleural gauche d'origine indéterminée le 29.12.2016. • Drainage pleural gauche par un drain de Monaldi 20 french du 29 au 30.12.2016. Sepsis sévère sur endocardite mitrale à Entérococcus faecalis, traitée par Amoxicilline et Gentamycine du 16.09.2016 au 27.10.2016 (6 semaines). Anémie normocytaire hypochrome chronique arégénérative sur probable carence en folates. Pneumonie communautaire basale gauche à germe indéterminé décembre 2016. Ancienne mononucléose. Erysipèle récidivant du membre inférieur gauche sur polytoxicomanie et onychomycose bilatérale. Choc septique sur mégacôlon toxique avec perforation sigmoïdienne, perforation grêle d'origine ischémique et éventration ombilicale le 09.01.2015: • laparotomie, adhésiolyse étendue, colectomie gauche élargie et fermeture du moignon rectal, colostomie terminale définitive et résection segmentaire de l'iléon avec anastomose latéro-latérale. Sepsis sur collection purulente intra-abdominale récidivante le 19.03.2015: • laparotomie exploratrice, exploration du trajet fistuleux, excision de celui-ci, nettoyage de la cavité, adhésiolyse étendue, drainage le 19.03.2015. Cure d'un anévrisme infra-rénal de l'aorte abdominale le 04.12.2014: • occlusion de la prothèse avec reprise chirurgicale le 04.12.2014. Douleurs thoraciques probablement d'origine musculo-squelettiques le 08.10.2018. Toxidermie sur Imipénème 20.01.19. Choc septique sur péritonite stercorale des 4 quadrants secondaire à une perforation sigmoïdienne le 28.01.2019 • Défaillance multi-organique: hémodynamique, rénale, thrombopénie Choc septique sur pneumonie à pneumocoque le 06.02.2019 avec défaillance multiviscérale: • Cardioplégie septique • Défaillance hémodynamique • Insuffisance respiratoire • Insuffisance rénale Choc septique sur pneumonie basale droite avec insuffisance respiratoire partielle le 29.05.2017 Choc septique sur pneumonie bilobaire (LMD et LID) le 08.02.2019 • broncho-aspiration probable • insuffisance respiratoire hypoxémique Choc septique sur pneumonie le 12.02.2019 avec • Insuffisance respiratoire globale • Défaillance hémodynamique • Insuffisance rénale aiguë Choc septique sur probable translocation bactérienne suite à un iléus mécanique sur bride le 22.02.2019 • Défaillance secondaire: respiratoire (léger), hémodynamique (vasoplégie sévère), rénale (IRA oligurique AKIN 2) Choc vasoplégique et hypovolémique sur défaut de remplissage le 30.01.2019 Chocs électriques externes Cordarone iv, Magnesium iv le 27.02.2019 Beloc Lidocaïne IV continu dès le 27.02 Choix de l'antibiotique: Cefuroxime en raison de la réaction à la co-amoxicilline Cholangio-carcinome intra-hépatique à la jonction des segments V et VIII de 2 cm de diamètre, cT1 cN0 cM0, diagnostiqué le 21.07.2008: • Status post radiofréquence le 21.07.2008 • IRM de mars 2013: présence de lésions suspectes du segment II, V et IV B • Récidive intra-hépatique dès août 2014 • IRM d'août 2014: lésions intra-hépatiques à la jonction des segments V et VIII • Pathologie: infiltration du parenchyme hépatique par un adénocarcinome moyennement différencié dont l'aspect morphologique et le profil immuno-histochimique cadre avec un cholangio-carcinome • Status post ablation par radiofréquence de la lésion du segment V le 18.12.2014 • Récidive en avril 2016 • IRM d'avril 2016: deux lésions suspectes du segment VIII avec cette fois-ci alpha-foeto-protéine à 322 UI/l • Status post ablation par radiofréquence de la lésion du dôme hépatique par voie transthoracique le 24.05.2016 • IRM de février 2017: lésion de 13 mm du segment VIII, plusieurs prises de contraste au niveau des segments IV, V 2 et 3 suspectes à ce niveau-là de carcinome hépato-cellulaire. Thrombose veineuse splénique au CT thoraco-abdominal du 28.02.2017 • Pathologie: biopsie au niveau du foie VIII, carcinome hépato-cellulaire bien différencié, biopsie au niveau des segments II et IV, adénocarcinome compatible avec une origine bilio-pancréatique • Status post radiofréquence des segments VIII le 06.04.2017 • Status post traitement par micro-ondes de la lésion du cholangio-carcinome au niveau des segments II et IV le 15.06.2017Récidive hépatique segment VIII dès septembre 2018 • IRM du 20.09.2018 : la lésion ronde du segment VIII est moins visible. Apparition en phase artérielle d'une lésion de 7 mm sous-capsulaire du segment VI suspecte. • Status post biopsie hépatique du 21.11.2018 • Tumorboard de chirurgie viscérale de l'HFR Fribourg le 19.12.2018 : biopsie et radiofréquence dans le même temps de la lésion suspecte Actuellement : hospitalisation élective pour une thermoablation par radiofréquence et biopsie de la lésion VIII (Dr. X) Cholangite Cholangite acutisée obstructive chronique d'origine lithiasique avec : • Bactériémie à Enterococcus faecium ampicilline R le 01.02.2019 • Cholangite localisée aux segments VII et VIII hépatiques. • Cholangite post-ERCP le 19.02.2019 • Cholangite sur cholédocholithiase le 05.02.2019 • Cholangite sur cholédocholithiase le 06.02.2019 • Status post ERCP le 08.07.2018 avec extraction de 2 calculs cholédociens • Status post cholangite sur cholédocholithiase en 07/2018 • Status post cholécystectomie en 2008 • Status post ERCP le 19.01.2019 : extraction d'un concrément du cholédoque • Cholangite sur récidive de cholédocholithiase le 24.06.2014. Cure d'hémorroïdes en 2007. Cholédocholithiase symptomatique sur status post-cholécystectomie en 2002. Leucopénie d'origine indéterminée (probable origine médicamenteuse : Novalgine). Appendicectomie. Vésicopexie. Vertiges de type tangage connus avec céphalées frontales et occipitales en casque apparues de manière soudaine le 12.08.2015. Abcès de la paroi abdominale le 04.06.2016 - status post-laparoscopie le 24.05.2016 pour hernie interne. Oppression thoracique le 30.08.2017 Laboratoire : sp Troponines négatives (3 à plus de 3h des symptômes) Rx thorax : sp ECG : RSR à 65 bpm, normoaxé, PR à 200 ms, QRS fins, segments ST isoélectriques, pas d'ondes T négatives, QTc 417 ms Réassurance, pas de modification d'antalgie, proposition de rediscuter avec le MT avec qui elle a une bonne relation de confiance, dans un contexte de douleurs chroniques mal systématisées et de consultations fréquentes aux urgences, consultation de la douleur ? Leucopénie à 2.4 sans agranulocytose Suivi ambulatoire +/- consultation hématologique selon évolution et bilan déjà effectué Cholécystectomie. Cholécystectomie avec cholangiographie per opératoire par laparotomie le 07.05.2012 pour une vésicule scléro-atrophique lithiasique ERCP avec élargissement de papillotomie et extraction des concréments cholédociens le 18.05.2012 Vasoplégie sur péridurale et SIRS post-opératoire Pontage aorto-iliaque externe gauche Récidive d'adénocarcinome prostatique Gleason 4 + 3 = 7, mis en évidence en mai 2011 : • Status post-radiothérapie curative d'un cancer de prostate en 1995/1996 • Status post-première injection d'agoniste LHRH en juillet 2011 • Absence de récidive biochimique Pneumonie bilatérale communautaire avec critères de sévérité le 24.07.2018 avec : • Épanchement parapneumonique non compliqué le 02.08.2018 ATCD d'hypothyroïdie franche avec TSH à 60 mU/l et T4 libre 4 pmol/l le 22.06.2017 • Substitution par Euthyrox 50 mcg 1x/jour dès le 04.07.2017 IRA AKIN 1 d'origine prérénale le 26.07.2018 • GFR : 42 ml/min Cholécystectomie en 1989 Opérations d'une hernie discale en mai 2011 et d'un tunnel carpien Cystite avec macro-hématurie en novembre 2011 Douleurs abdominales chroniques dans le cadre d'une maladie diverticulaire chronique multifocale (Hansen-Stock III) Laparoscopie et mobilisation de l'angle colique gauche Résection segmentaire grêle et anastomose latéro-latérale manuelle en deux plans le 30.09.2013 Iléus post-opératoire avec augmentation du syndrome inflammatoire le 04.10.2013 Sigmoïdectomie par laparoscopie pour maladie diverticulaire compliquée en septembre 2014 Iléus du grêle sur bride le 16.10.2018 avec laparotomie exploratrice avec 2h30 d'adhésiolyse le 17.10.2018 Cholécystectomie en 2000 Pancréatite aiguë et ERCP avec dilatation des voies biliaires extra-hépatiques, papillotomie et révision de la voie biliaire en 2008 Pancréatite aiguë d'origine indéterminée en 08/2011 Sigmoïdectomie non datée Hématome post-coronarographie, sans pseudo-anévrisme, le 05.06.2013 Syndrome de Tako-tsubo le 01.03.2015 • Coronarographie le 01.03.2015 (Dr. X) : dans les limites de la normale. Absence de resténose de l'ostium de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent nu. FEVG 28 % • Échocardiographie (Dr. X) : syndrome de Tako-Tsubo avec VG non dilaté, non hypertrophié avec une dyskinésie de la paroi apicale, de la paroi latérale moyenne et de la paroi inférieure moyenne et une hypokinésie minime de la paroi septale antérieure moyenne et de la paroi postérieure moyenne. FEVG à 35 %. Discrète amélioration par rapport au 01.03.2015 • Contrôle cardiologique le 24.03.2015 chez Dr. X Décompensation cardiaque gauche le 11.03.2015 • Chez une patiente ayant présenté un syndrome de Tako-tsubo le 01.03.2015 • Avec FEVG à 35 % à l'US du 02.03.2015 • Origine probable : diminution de la fonction ventriculaire transitoire sur cardiomyopathie de Tako-tsubo et bradyarythmie sur l'introduction de Bêtabloquant Cholécystectomie en 2004. Cholécystectomie, en 2008. Iléus colique post-pancréatite avec volvulus cæcal, en 2008. Hystérectomie pour myome, en 1993. Fracture tibiale gauche avec ostéosynthèse, en 1997. Syndrome d'Ogilvie Sténose anale importante (canule rectale) Tentamen médicamenteux avec poly-intoxication le 03.11.2017. Troubles électrolytiques le 03.11.2017. Insuffisance rénale aiguë AKIN I oligurique pré-rénale le 03.11.2017. Troubles électrolytiques chroniques : • Hypokaliémie à 2,2 mmol/l le 26.04.2018 avec modification ECG (RSR, QTc 530 ms avec probable onde U) • Hyponatrémie à 126 mmol/l le 26.04.2018. Hyponatrémie hypoosmolaire d'origine indéterminée (probablement mixte, SIADH et manque d'apport) à 123 mmol/l le 6.12.2018. Cholécystectomie en 2009 3 OP sur fistule anale depuis 2012 Névrite vestibulaire D le 07.03.2018 Cholécystectomie en 2009. 3 opérations sur fistule anale depuis 2012. Névrite vestibulaire droite le 07.03.2018. Nécrose vertébrale L3 et L4 évolutive sur tuberculose avec abcès récidivant du psoas du côté droit, juin 2018. Anémie ferriprive non traitée. Constipation sévère. Cholécystectomie en 2013. Embolie pulmonaire en 2005 et 2011 (durant sa grossesse) sous Xarelto 20 mg. Salpingite bilatérale sur stérilet en 2009. Syndrome grippal évoluant depuis 1 semaine le 12.12.2015 avec : • Syndrome fébrile • Toux sèche • Point sinusal frontal et maxillaire droit douloureux • Auscultation pulmonaire spastique Hyperémésie gravidique et douleurs abdominales. Gastrite virale 2016 Hypokaliémie à 2.8 mmol/l sur vomissement sans répercussion à l'ECG 2016 Suspicion gastrite inflammatoire DD : psychogène ? Cholécystectomie en 2013. Embolie pulmonaire en 2005 et 2011 (durant sa grossesse) sous Xarelto 20 mg. Salpingite bilatérale sur stérilet en 2009. Syndrome grippal évoluant depuis 1 semaine le 12.12.2015 avec : • Syndrome fébrile • Toux sèche • Point sinusal frontal et maxillaire droit douloureux • Auscultation pulmonaire spastique Hyperémésie gravidique et douleurs abdominales. Gastrite virale 2016. Hypokaliémie à 2.8 mmol/l sur vomissement sans répercussion à l'ECG 2016 Suspicion gastrite inflammatoire DD : psychogène ? Chelécystectomie, hémicolectomie gauche élargie avec CME planifiée le 22.03.2019 Cholécystectomie il y a 20 ans Hystérectomie il y a 15 ans Epistaxis anémiant de la narine gauche sur sonde nasogastrique le 22.04.2018 Transfusion d'un concentré érythrocytaire le 22.04.2018 Syndrome malin des neuroleptiques le 07.04.2018 (DD avec syndrome sérotoninergique) • Avec hyperthermie fluctuante du 07.04.2018 au 18.04.2018 • avec rhabdomyolyse sévère depuis le 11.04.2018 • sur métoclopramide et Zyprexa avec Fluoxétine (qui inhibe le métabolisme des autres médicaments) Syndrome d'Ogilvie le 18.04.2018 • probable décharge septique sur translocation abdominale Maladie critique des soins intensifs avec • Neuromyopathie des 4 membres • Non thyroidal critical sickness syndrome • Déconditionnement secondaire Cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie le 08.02.2019 Cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie peropératoire le 01.02.2019 Cholécystectomie laparoscopique en 2006 Cure de hernie inguinale bilatérale en 2007 Diverticulite sigmoïdienne Hansen Stock IIa, 1er épisode traité par antibiothérapie Suspicion de lésion de la coiffe des rotateurs de l'épaule D dans un contexte de status post plastie tendineuse indéterminée de la coiffe des rotateurs de l'épaule D en 2018 Cholécystectomie laparoscopique le 01.02.2019 Cholécystectomie laparoscopique le 02.02.2019 ERCP le 03.02.2019 Cholécystectomie laparoscopique le 12.02.2019 Cholécystectomie laparoscopique pour cholécystite aiguë lithiasique en octobre 2013. Accident ischémique transitoire en 2012. Prothèse totale de hanche droite en 2000. Fasciite plantaire à droite. Prothèses totales des genoux en 2000 et 2004. Cure d'éventration de McBurney en juillet 1998 avec prothèse pré-péritonéale. Appendicectomie par McBurney en 1994. Cure de tunnel carpien à droite en 1981. Troubles électrolytiques avec : • hyponatrémie 134 mmol/l. • hypokaliémie 3.4 mmol/l. Dyspnée à l'effort sur probable syndrome obésité-hypoventilation avec hypertension pulmonaire (PAPs à 45-50 mmHg le 12.12.2018). Cholécystectomie ouverte le 21.01.2019 Cholécystectomie par laparoscopie avec cholangiographie peropératoire le 15.02.2016 sur • lithiase vésiculaire compliquée d'une migration lithiasique en mai 2013 et janvier 2016 Gastrectomie totale avec reconstruction pour cancer gastrique en 2001 (suivi par le médecin traitant, pas d'imagerie ni de gastroscopie depuis). APP en 2008 Tonsillectomie AS épaule D, ténotomie par v. arthroscopique du LCB, ténodèse, réinsertion sus-épineux et sous-scapulaire le 10.10.2013 OS fracture calcanéum G le 19.09.2017 • névrome du nerf sural. Cholécystectomie par le Dr. X le 14.03.2019. Cholécystectomie pour lithiase en 2013. Cholécystectomie pour lithiase en 2014. Crossectomie à droite en 2012. Pharyngite d'origine probablement virale avec toux rare. Douleurs thoraciques droites respiro-dépendantes d'origine pariétale. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 17.06.2017. Ablation d'un kyste ténosynovial du 4ème doigt de la main droite et section de la poulie A1. Cholécystectomie sur cholélithiase 2013 Amygdalectomie enfance Cholécystectomie 1976 Pneumonie basale droite d'acquisition communautaire le 21.04.2018 État hyperglycémique hyperosmolaire sur état septique 21.01.2018 Cholécystectomie Appendicectomie Hystérectomie Fracture vertébrale avec : • fracture corps vertébral T12 type A2.3 • cyphoplastie T12 par ciment et SpinJack-System Cholécystectomie Cure de varices à plusieurs reprises Hyperkaliémie à 7.2 mmol/l d'origine indéterminée probablement dans le contexte de l'insuffisance rénale, le 09.10.2018 Fracture proximale de l'humérus le 09.10.2018 sur chute mécanique avec impactation en valgus DD : chute sur faiblesse des MI dans le contexte de l'hyperkaliémie • Avis orthopédique (Dr. X), le 09.10.2018 : traitement conservateur avec gilet orthopédique pour 6 semaines État confusionnel aigu hypoactif le 19.12.2018 sur foyer infectieux d'origine non-claire DD pyélonéphrite gauche vs. foyer pulmonaire basal gauche Laboratoires Stix du 19.12.2018 : leucocytes +++ Hémocultures du 19.12.2018 : négatives Hémocultures du 22.12.2018 : négatives Radiographie du thorax du 19.12.2018 US abdominal ciblé 19.12.2018 : pas de globe Urotube : négatif Flagyl 500 mg iv & Cefepime 1500 mg iv le 19.12.2018 au service des urgences Rocéphine 1000 mg iv du 20.12 au 27.12.2018 Suivi diététique avec régime haché fin de courte durée Physiothérapie Majoration des soins à domicile à 2x/jour pour la sortie Péjoration pré-rénale AKIN I d'une insuffisance rénale chronique de stade 4 • avec GFR à 17 ml/min selon CKD-EPI • dans le cadre d'une déshydratation sous EF FeUr 21.12.2018 : 27.8% suggestif de pré-rénal Mise en pause du Torem dès le 19.12.2018, reprise 10 mg dès le 30.12.2018, puis majoré à 20 mg le 31.12.2018 Suivi biologique Stimulation hydrique Anémie sur pancytopénie dans un contexte de myélofibrose primaire • 19.12.2018 : Lc 1.4 G/l, Tc 58 G/l, Hb 51 g/l • 1 CE le 23.10.2018 Suivi biologique par laboratoires 2 CE au service des urgences le 19.12.2018 2 CE le 21.12.2018 avec Lasix 20 mg après chaque transfusion 1 CE le 25.12.2018 1 CE le 31.12.2018 2 CE le 06.01.2019 Avis Dr. X : réduction de la dose hebdomadaire d'Aranesp à 300 mg, cible transfusion à 80 g/l vu cardiopathie, réduction momentanée du Jakavi pour thrombocytopénie dans le contexte infectieux, reprise en fin de séjour. Suivi en ambulatoire chez Dr. X et prise de sang le 16.01.2019 Douleurs coude gauche nouvelles le 28.12.2018 • sans signes d'inflammation, pas de chute récente • s/p crises de goutte récidivantes RX coude gauche Surveillance Hyperkaliémie asymptomatique à 5.5 mmol/l le 01.01.2019 Resonium 2x 10 mg le 01.01.2019 Suivi biologique Petites plaies talon D et orteil PG le 20.12.2018 • sur minimes éclats de verres (accident intrahospitalier) • chez patient diabétique Désinfection, ablation des éclats de manière stérile et pansements Surveillance clinique Cholécystectomie Cure hernie crurale Cure hernie inguinale Cholécystectomie. État confusionnel aigu Insuffisance rénale aiguë. Crise hypertensive avec céphalées. Cholécystite Cholécystite aiguë. Cholécystite aiguë alithiasique. Cholécystite aiguë avec cholestase sur suspicion de passage de lithiase le 17.02.2019 Cholécystite aiguë avec cholestase sur suspicion de passage de lithiase le 17.02.2019 Cholécystite aiguë avec passage de calcul le 22.12.2018 Cholécystite aiguë avec sepsis le 03.02.2019 Cholécystite aiguë avec sepsis le 03.02.2019 Cholécystite aiguë débutante le 01.02.2019 Cholécystite aiguë le 14.02.2019 Cholécystite aiguë le 20.02.2019 Cholécystite aiguë lithiasique. Cholécystite aiguë lithiasique avec cholangite le 05.02.2019 Cholécystite aiguë lithiasique le 31.01.2019 Cholécystite aiguë lithiasique le 30.01.2019 Cholécystite aiguë sur cholécytolithiase Cholécystite aiguë 17.10.2014 Cholécystectomie laparoscopique et cholangiographie intra-opératoire le 04.02.2015 Douleurs épigastriques d'origine indéterminée le 17.01.2019 Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 17.01.2019 Cholécystite avec cholédocholithiase. Cholécystite cholécystolithiase le 21.02.19 Cholécystite débutante le 01.02.2019 Cholécystite débutante le 22.02.19. Cholécystite et cholangite sur cholélithiase en juillet 2013 • Consultation chirurgicale à l'HFR-Fribourg en septembre 2013 (Dr. X) : attitude conservatrice sans cholécystectomie Prostatectomie Vis dynamiques bilatérales (dynamic hip screw) ; D suite à une fracture pertrochantérienne en 2009, inconnu pour le côté G Ostéosynthèse et transplantation cutanée post-fracture du pilon tibial gauche en 1995 Cholécystite le 05.02.2019 • avec suspicion de cholangite concomitante. Cholécystite le 07.02.2019 Cholécystite lithiasique avec drainage trans-hépatique le 17.11.18 au décours • Rocéphine Flagyl du 17 au 19.01.19 • Co-amoxicilline 2.2 g intraveineux du 22 au 28.01.19 Cholécystite lithiasique le 24.01.2019 Cholécystite obstructive le 20.02.2019 : • US des voies biliaires le 20.02.2019 (Daler) : vésicule fine, remplie de calculs et de sludge, sans dilatation des voies biliaires Hospitalisation au Daler du 20.02 au 21.02.2019 avec antibiothérapie par Ceftriaxone IV Cholangio-IRM le 21.02.2019 (Affidéa Fribourg) : deux calculs dans le bas cholédoque, avec une dilatation des voies biliaires Cholécystite radiologique avec distension de la vésicule biliaire avec lithiase et calcification en son sein et lithiase calcifiée au sein du cholédoque proximal, le 30.01.2019 Cholécystolithiase asymptomatique, octobre 2018. Cholécystolithiase avec : • status post-cholangite sur cholédocholithiase et cholécystite en mars 2016 • ERCP le 18.05.2016 : papillotomie et extraction des calculs cholédociens • Pose d'un drain sous CT de la vésicule biliaire le 28.07.2016 pour drainage d'abcès vésiculaire • Cholécystectomie avec retrait du drain le 28.09.2016 Globe urinaire le 05.02.2019 sur hyperplasie de la prostate • pose de sonde à demeure Pneumonie basale gauche le 15.02.19 • Augmentin 1gr pendant 7 jours Possible pneumonie basale gauche le 15.02.19, antibiothérapie par augmentin 1g du 15.02 au 18.02.2019. Infirmé par la Rx du 19.02.2019 Cholécystolithiase non compliquée le 31.12.2018. Cholécystolithiase symptomatique Cholécystolithiase symptomatique avec : • Status post-choc septique sur cholangite avec bactériémie à K. pneumoniae le 30.10.2018 • Status post-ERCP 31.10.18 : obstacle non-franchissable en regard de la papille • Status post-drainage percutané transhépatique des voies biliaires le 31.10.2018 • Status post-ERCP 14.11.18 : extraction de plusieurs concréments cholédociens et papillotomie Cholécystolithiase symptomatique avec : • status post-pancréatite aigüe Balthazar B le 9.11.2018 sur probable migration lithiasique Cholécystolithiase symptomatique avec cholécystite aiguë en mai 2018 Cholécystolithiase symptomatique avec possible passage de calcul le 30.01.2019 • Status post-ERCP en 2014 Cholécystolithiase symptomatique • Cholécystectomie laparoscopique le 26.10.2017 Cholécystolithiases récidivantes, avec : • cholangite lithiasique en septembre 2018 • ERCP le 19.09.2018 : échec • ERCP le 25.09.2018 : pose de stent biliaire • remplacement du stent cholédocien par ERCP lors du séjour du 16.12. au 8.1.19 • CEA 4.3 ng/ml, CA 19-9 57 U/ml, AFP 1.7 ng/ml • US abdominal le 18.12.2018 : cholécystite lithiasique, pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques Hystérectomie totale Amygdalectomie dans l'enfance Appendicectomie dans l'enfance Epistaxis majeure 06/18 sous aspirine et xarelto Insuffisance hépato-cellulaire sur probable foie de stase le 21.12.2018 • facteur V : 46% • US abdominal le 19.12.2018 : foie de morphologie et d'échostructure normale, sans lésions focale visible, tronc porte perméable Cholédocholithiase. Cholédocholithiase avec cholangite débutante Cholédocholithiase le 09.02.2019 Cholédocholithiase le 11.02.2019 Cholélithiase avec status post-pancréatite aiguë et calcul cholédocien. Status après très probable ancienne péritonite (chlamydiae ?). Cholelithiase le 09/02/19 Cholélithiase symptomatique. Cholélithiase symptomatique le 09.02.2015. Cholélithiase symptomatique. Le 20.04.2015, Dr. X : cholécystectomie laparoscopique. DAP : cholécystite chronique avec légère fibrose et quelques sinus de Rokitansky-Aschoff. Cholestérolose focale discrète. Cholélithiase symptomatique le 24.02.2019. DD : cholédocolithiases, cholécystite. Cholélithiase symptomatique. Le 02.11.2015, Dr. X : cholécystectomie laparoscopique. Cholestase chronique avec aggravation aiguë le 01.02.2019 Cholestase chronique avec aggravation aiguë le 01.02.2019 DD : sur Tagrisso Cholestase d'origine indéterminée le 07.02.2019 (GGT 132 U/l, bilirubine directe 5.7 umol/l, PA 514 U/l) Cholestase ictérique le 01.02.2019 • IRM abdominale le 01.02.2019 : obstruction des voies biliaires Cholestase nouvelle le 07.02.2019 Cholestase para-infectieuse. Chondropathie condyle externe genou G. Lésion corne postérieure ménisque externe. Déconditionnement jambe G. Chondropathie condylienne interne du genou G. Chondropathie fémoro-patellaire débutante à D. Chondrosarcome mésenchymateux diagnostiqué le 03.12.2018 • Biopsie le 19.10.2018 du pilier pharyngo-amygdalien droit : Pas de cellules tumorales • Biopsie le 24.10.2018 : prélèvement tissu hémorragique para-pharyngé : métastase d'un mélanome amélanotique considéré comme étant une métastase • Pet-CT du 30.10.2018 : masse parapharyngée droite hypermétabolique avec ganglion sous-mandibulaire droit. Pas d'arguments pour une des métastases loco-régionales ou à distance. • Panendoscopie et biopsie le 31.10.2018 : ulcération de la région inter-maxillaire droite correspondant à l'incision d'un hématome. Pas de signe de malignité. Cytologie bronchique matériel non inflammatoire sans cellule tumorale • Bilan dermatologique le 31.10.2018 : pas de localisation primaire cutanée • Le 03.12.2018 : trachéotomie, pharyngectomie latérale droite par voie transmandibulaire, cervicotomie droite et évidemment fonctionnel des niveaux I, IIa et III à droite. Reconstruction par lambeau facio-cutané antébrachial prélevé à gauche. Marge de résection non saines. Bilan d'extension négatifIRM cervico-facial le 20.10.2018 : pas de résidu de la masse primaire, mais présence d'une adénopathie centimétrique nécrotique postérieure au muscle sterno-cléido-mastoïdien à droite dans le secteur Va. Petit ganglion rétropharyngé droit non suspect Le 16.01.2019 : cervicotomie droite, évidement sélectif du niveau IIb droit. Trois ganglions lymphatiques sans métastase. Tissu fibrino-adipeux avec un micro-foyer suspect de tissu tumoral Le 23.01.2019 : consultation CHUV pour une radiothérapie adjuvante CT-Scan cervical le 29.01.2019 : tableau suspect d'une récidive oncologique possiblement infectée avec plusieurs masses latérales au pharynx à proximité de la loge de résection cervicale droite prenant le contraste, à bord irrégulier avec probable infiltration de la carotide interne droite CT-scan thoraco-abdomino-pelvien du 31.01.2019 : bilan d'extension négatif. Image en verre dépoli multifocale postérieure lobaire supérieure droite d'origine inflammatoire/infectieuse Chimiothérapie du 01.02 au 04.02.2019 avec Etoposide, Vincristine, Ifosfamide, Doxorubicine, Uromitexan, Aloxi, Ivemend Chorion vésical. Chromopertubation et drilling ovarien pour stérilité en 2011. AVB par ventouse (garçon, 3240 grammes) en 2009. Polyarthrite séropositive en 2006. Appendicectomie en 2006. Cure de varices en 2005. Chromosomopathie 18-10 Chronische Depression mit Angststörung Arterielle Hypertonie Multifaktorielle, progrediente kognitive Einschränkung Z.n. Subarachnoidalblutng DD langjährigem Benzodiazepingebrauch DD chronische depressive Entwicklung DD Alkoholabusus Chronische Niereninsuffizienz G2 mit : • Clearance Kreatinin nach Cockroft and Gault : 86 mL/min (Kreat von 83 umol/L am 26.02.2016) Chronische Wunddehiszenz linkes Olecranon, • Status nach Bursektomie am 19.08.2015 Offene Ellenbogenplatzwunde links avec einsehbaren Weichteil- und Knochenstrukturen • Wunde seit Mitte juillet, 1 cm im Olecranium links mit Schwellung und Rötung • Vorgeschichte von Bursitis im Olecranium links in 2011, Verkalkung der Trizepssehne, Fibrostose (Rx 18.8.15) • Bursitis Olecranii links, Spülungen, Abstriche zur Bakteriologie, Bursektomie, sekundärer Wundschluss linker Ellenbogen (OP am 19.08.2015) Immobilisation des Ellenbogens 19.8.- 8.9.15 Wundrevision mit Débridement, bakterielle Wundabstriche, Spülung und primärer Wundverschluss (OP 01.01.2016) • Bakteriologie neg. Kontamination vom Enterococcus faecalis. • Antibiotische Therapie mit Co-Amoxicillin 2.2 g iv 3x/Tag vom 31.12.15 bis 08.01.2016 dann mit Co-Amoxicillin 1g po 3x/Tag vom 09.01.16 bis 03.02.16 • Wundrevision mit Débridement Ellbogen links (OP am 29.02.2016) • Plaie Ellbogen links 29.02.2016 : negativ Chronische Nackenschmerzen Chronische Niereninsuffizienz • benigne Nierenzysten beidseits Chronische Niereninsuffizienz Stadium G3a mit kardiorenaler Komponente • eGFR nach CKD-EPI am 20.12.2018: 51 ml/min/1.73 m² • St. n. Akutisierung AKIN I am 26.11.2018 Chronische normozytäre hypochrome Anämie, DD am ehesten im Rahmen des Tumorleidens • Hb-Tiefstwert 77 g/l am 06.04.2018 Chronische Verstopfung • unter Macrogol Chronischer übermässiger Alkoholkonsum • Unter Benerva 100mg/Tag Langzeitsubstitution • Abdomensonographie 31.01.2017: Diffuse Vermehrung der Leberechogenität sans focales Leberläsionen, sans Hypertrophie des Lobus caudatus et des linken Leberlappens/sans Hypotrophie des rechten Leberlappens. Keine Hepatosplenomegalie. Regelrechte Flusssignale am Pfortadersystem, mit einer Geschwindigkeit von >20 cm/Sek. Keine Arterialisation der Blutflüsse an der portalen Trias. Flussverhältnisse der V. lienalis und mesenterica superior unauffällig wie auch der Lebervenen. Minimale Lamelle Aszites perihepatisch. Sonographisch kein fassbarer Umgehungskreislauf. An üblicher Lokalisation periportal zentral am Leberhilus ca. 3 cm grosse Zone der fokalen Nichtsteatose. • Beginn einer Betreuung par Dr. X seit 1/19 Chronisch-obstruktive Pneumopathie (COPD) Gold III C avec asthmatischer Komponente und diffusem Lungenemphysem • Legionellen- und Pneumokokken-Antigen, Influenza und andere respiratorische Viren negativ (Inselspital) • St.n. Tabakkonsum 15 py, berufliche Staubexposition (Landwirt), Heustaub-Unverträglichkeit • Initiale Lungenfunktion 02/2012 (Tiefenau): schwere, fixierte Obstruktion FEV1 890 ml (30% Soll) mit statischer Überblähung • Lungenfunktion vom 21.05.2014: mittlere Obstruktion, FEV1 1.5 l (55%), Hyperinflation, Air trapping, TLC 127% Soll, DLCO 43% Soll • CT-Thorax vom 30.11.2015: Keine AP für ein tumoröses Geschehen. 2 regrediente Konsolidationszonen im linken Ober- und Unterlappen nach Antibiotikatherapie. Bekanntes zentroazinäres Lungenemphysem, Bronchitis und Bronchiektasen in beiden Unterlappen. • Rezidivierende Infektexazerbationen/Pneumonien (03/2014, 06/2015, 11/2015, 12/2016, 05/2017, 08/2017, 11/2017) • Letzte pneumologische Kontrolle (Dr. X) am 16.08.2017 • Unter Therapie mit Salmeterol, Fluticason und Montelukast sowie Heimsauerstofftherapie • St. n. Exazerbation am 23.11.2018, Co-Amoxicillin nierenadaptiert 1g 2x/T 23.11.-03.12.2018 Chronisch-venöse Insuffizienz • Klinik: multiple Ulcera Digitis, Malleolus lateralis rechts • 02/2019 Arterielle Ausmessung der unteren Extremitäten: normale Makroperfusion • 02/2019 Duplexsonographie der Arterien der unteren Extremitäten: keine Stenosen iliakofemoropopliteal beidseits Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute Chute à cheval Chute à cheval. Chute à cheval et douleurs sacrum. Chute à domicile. Chute à domicile. Chute à domicile dans un contexte d'asthénie. Chute à domicile le 01.02.2019 avec amnésie circonstancielle et probable traumatisme crânien Chute à moto. Chute à moto. Chute à répétition Chute à répétition et baisse de l'état général dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Démence de type Alzheimer • Maladie de Parkinson • Déficit en acide folique • Status après crise d'épilepsie • Polymédication • Status après accident vasculaire cérébral • Consommation éthylique à risque Chute à répétition les 19, 20 et 23 janvier, dans le cadre de la baisse de l'état général sur maladie oncologique.Chute à ski le 16.02.2019 avec traumatisme crânien simple et contusion lombaire avec contracture paravertébrale lombaire. Chute à ski le 17.02.2019 avec traumatisme crânien simple, réacutisation d'une cervicalgie connue, contusion de la hanche gauche. Chute à ski le 21.02.2019 avec : • contusion du bassin. • contusion de la colonne lombaire. • traumatisme crânien simple. Chute à ski le 29.01.2019 avec : • Déchirure du ligament croisé antérieur G. • Entorse collatérale médiale G. • Lésion de la corne postérieure du ménisque interne G. Chute accidentelle dans un contexte de fatigue sur état grippal le 10.02.19 Chute accidentelle sur l'épaule droite. Chute avec amnésie circonstancielle. Chute avec douleurs de la cheville droite. Chute avec fracture de la main gauche et pied gauche. Chute avec immobilisation de plus de 12h • dans contexte infectieux pneumonie, +/- infection urinaire • rhabdomyolyse légère Chute avec lésion discale D8-D11. Lombalgies gauches non déficitaires le 11.02.2014. Chute avec PC sans TC le 25.03.2017 : fracture de côtes (au niveau de la 8ème côte postérieurement). Chute avec réception dorsale le 08.02.2019 • sans traumatisme crânien, perte de connaissance ou amnésie circonstancielle. Chute avec réception sur la rotule gauche. Chute avec réception sur la tête et doigts gauches CT : pas d'hémorragie, pas de traumatisme crânien. Rx : Fracture ouverte du 4e doigt gauche Chute avec réception sur poignet D Chute avec TC. Chute avec traumatisme crânien sous anticoagulation par Eliquis le 02.02.2019 Chute avec traumatisme costal base gauche le 20.07.2014. • contexte de consommation d'alcool chronique (~1l/j de vin). Status post exérèse kyste para-cervical droit à l'âge de 8 ans. Status post fracture et opération épaule droite en 2000. Status post appendicectomie. Chute avec traumatisme crânien avec PC, avec douleurs latéro-thoraciques gauches à la mobilisation 2014 Décompensation diabète de type 2 insulino-requérant sur angine à Streptocoques Chute avec traumatisme crânien, perte de connaissance brève et amnésie circonstancielle le 12.02.2019. Chute avec traumatisme crânien sans perte de connaissance le 16.02.2019 Chute avec traumatisme crânien simple le 22.10.2015 dans un contexte de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • médicamenteux : Somnium, Deanxit et Nozinan • troubles visuels sur status après cure de cataracte • hypovitaminose D • anémie sur carence en vitamine B12 et folates. Plaie frontale horizontale de 7 cm de longueur, profonde à 0.5cm aux bords nets, 23.10.2015. Chute avec traumatisme crânien simple et hématome péri-orbitaire, le 22.07.2014. Hémi-arthroplastie de l'épaule gauche, le 22.07.2014, suite à une fracture-luxation type Neer IV avec : • atteinte sévère du plexus brachial et parésie quasi-complète du membre supérieur gauche. Anémie normocytaire normochrome (hémoglobine à 113 g/l) sur carence en vitamine B12 et folates le 26.10.2015 • substitution en vitamine B12 et folates. Hypovitaminose D légère à 71 nmol/l le 26.10.2015. Arthroplastie totale de la hanche droite par voie antérieure, le 11.01.2012. Prothèse totale de hanche gauche en 2000. Laminectomie pour hernie discale L4 en 2010. Cure de varices. Cure de cataracte des deux côtés il y a environ 6 ans. Césarienne. Chute avec traumatisme crânien simple, sans perte de connaissance dans un contexte de : • Déconditionnement global le 26.01.2019 • Suspicion de polyneuropathie diabétique Chute avec traumatisme en inversion du pied gauche le 01.02.2018 sur status après arthrodèse de l'hallux avec : • Fracture de la diaphyse distale du 3ème et 4ème métatarse du pied gauche • Fracture pseudo-Jones non déplacée de la base du 5ème métatarse du pied gauche Chute avec traumatisme facial. Chute avec traumatisme genou droit Chute avec traumatisme thoracique. Chute dans contexte d'alcoolisation. Chute dans un contexte d'alcoolisation. Chute dans un contexte d'éthylisation aiguë avec traumatisme crânien et perte de connaissance brève, ainsi qu'une plaie de l'arcade sourcilière gauche le 03.02.2019. Agitation et hétéro-agressivité. Chute de fauteuil roulant le 20.02.2019 Chute de Mr. Y le 17.02.2019 avec torsion du pied D. Hyperkératose douloureuse sur status d'une plaie chronique de la face plantaire de la 1ère métatarso-phalangienne du pied droit. Status post amputation de P1 hallux droit, ablation du cartilage de la tête métatarsienne I à droite et prise de biopsies le 01.07.16 pour ostéomyélite de la base restante de P1 hallux droit et de la tête du 1er métatarse sur une plaie chronique. Status post amputation O1 D sur nécrose humide sur syndrome des loges tardif du pied sur probable reperfusion après immobilisation prolongée dans un contexte d'OH aigu le 29.07.15. Chute de sa chaise roulante le 27.09.2017 avec entre autres : • fracture cheville Weber B, traitée conservativement • fracture tête 2ème métacarpien D avec plaie unguéale de Dig 2, traitée conservativement Crise d'épilepsie tonico-clonique le 30.11.2017 Embolie pulmonaire en 2015 Tachycardie supraventriculaire instable avec cardioversion spontanée le 14.08.2014, avec récidive le 19.08.2014 Chute de sa hauteur avec traumatisme crânien frontal droit sans perte de connaissance le 18.02.2019. Chute de sa hauteur d'origine indéterminée, le 06.02.2019 • DD : crise épileptique. Chute de sa hauteur d'origine indéterminée le 28.01.2019 Chute de sa hauteur - douleurs épaule Chute de sa hauteur le 12.04.2018 Fracture fémorale pertrochantérienne droite non déplacée sur chute mécanique le 15.02.2018 Status post réduction sanglante et ostéosynthèse par clou Gamma long pour une fracture spiroïde sous-trochantérienne du fémur gauche (02/2012). Status post fracture radius distal des deux côtés (traitement conservateur). Fracture intra-articulaire non déplacée du processus styloïde, radius distal droit, AO 23-B1. Abcès péri-amygdalien droit Chute de sa hauteur avec réception sur la main droite. Chute d'origine indéterminée avec probable TC, sans PC, avec amnésie circonstancielle. • chez une patiente connue pour une démence avec des chutes à répétitions (DD : hydrocéphalie à pression normale). • avec situation difficile au domicile. Chute d'un vélo pour enfants avec traumatisme au niveau du menton et plaie de 1 cm de longueur, horizontale, sans atteinte des structures nobles. Chute d'une estrade le 30.11.2018 avec : • Fracture du tiers latéral de la clavicule à G. • Fracture costale 3 à 10 à G et 6ème côte D. Chute d'une hauteur de 1m avec réception du genou droit dans l'œil homolatéral.CT cérébral: Fracture associée à un hémosinus ethmoïdal et frontal homolatéral, sans incarcération de la graisse extra-conique, ni des muscles de l'orbite. Consilium ORL 07.02.2019: pas de besoin d'une intervention ou des contrôles. Consilium ophtalmologique 07.02.2019: pas de besoin d'une intervention, contrôle prévu le 11.02.2019. Chute en ski. Chute et baisse de l'état général. Chute et douleurs à l'épaule droite. Chute et douleurs hanche gauche. Chute et plaie. Chute hier, suivi par des douleurs pied droit. Chute le 12.01.2019 avec entorse au niveau de l'épaule D et lombalgies. Chute le 15.02.2019 (selon le patient). Chute le 24.04.18 avec: • traumatisme crânien sévère. • fracture complexe de la suture fronto-temporale droite avec extension à la base du crâne. • hématome épidural frontal bilatéral. • hémorragie subarachnoïdienne temporale bilatérale. • hémorragie intra-parenchymateuses temporales bilatérales. • fracture cervicale type Teardrop au niveau C6, instable. • fracture de la 12ème côte droite. • status post cervicotomie antérieure para-médiane gauche, discectomie C5-C6, C6-C7 et mise en place de 2 cages Tryptik taille small, hauteur 5 + une plaque antérieure CSLP 34 mm le 30.04.2018. Chute le 31.01.2019 dans un contexte d'état confusionnel mixte. Chute mécanique. Chute mécanique : Fracture bassin, fracture intra-articulaire peu déplacée radius distal G. Chute mécanique avec douleurs de l'hémithorax droit et du bassin droit. Chute mécanique dans un contexte d'alcoolisation, le 04.02.2019. Chute mécanique dans le cadre d'une baisse de l'état général et de trouble de la marche et de l'équilibre connu d'origine multifactorielle: • s/p AVC ischémique D le 26.07.2013. • s/p implantation PTG G, OST TTA (OP le 11.02.2015). DD: hydrocéphalie à pression normale. Chute mécanique dans un contexte de faiblesse des membres inférieurs avec traumatisme crânien occipital chez patient sous ASA avec dermabrasion superficielle occipitale. Chute mécanique de sa hauteur avec +/- traumatisme crânien le 04.02.2019 et 06.02.2019. Chute mécanique de sa hauteur avec multiples contusions: • colonne dorsale, épaules, hanches et genoux des deux côtés plus cheville droite. Chute mécanique de sa hauteur le 21.01.2019 avec hématome de la jonction dorso-lombaire avec: • LDH à 733 U/l. Chute mécanique les 23.01 et 26.01.2019 • dermabrasion coude. • multifactorielle : polyneuropathie sévère, déconditionnement, s/p clostridium, dermohypodermite MIG. Chute mécanique sans perte de connaissance ni traumatisme crânien, avec contusion de l'épaule gauche et lombalgie gauche avec contracture musculaire. Chute mécanique avec traumatisme crânio-cérébral le 19.02.2019. Chute nocturne au lever le 23.02.2019. • Petite plaie coude gauche sans signe clinique de trauma. Chute probablement mécanique dans le cadre de trouble de la marche et de l'équilibre connu d'origine multifactorielle le 31.01.19. • s/p AVC ischémique D le 26.07.2013. Chute probablement mécanique le 06.01.2019. Hémorragie digestive haute sur angiodysplasie duodénale le 10.08.2018. • oeso-gastro-duodénoscopie le 13.08.2018 (Dr. X) : bulbe duodénal montrant une minuscule angiodysplasie de 2 mm sans cicatrice ni ulcère. Aucune trace de sang dans le tube digestif supérieur. Pancréatite biologique le 26.03.2018. Hépatite d'origine alcoolique probable. • Score de Maddrey à 16 points. Hémorragie digestive haute le 13.09.2016 : • OGD du 13.09.2016 (Dr. X) : ulcère floride de 1.5 cm à la jonction 1/2 duodénale avec vaisseau visible stade Forrest IIa sans saignement actif traité par injection d'Adrenaline et pose de 2 clips. 3 ulcères florides de moins de 1 cm dans l'antre sans saignement actif. • biopsies : pas d'Helicobacter Pylori à la coloration Giemsa modifiée. Pas d'atrophie glandulaire ni métaplasie intestinale. Pas de dysplasie épithéliale, pas de tissu néoplasique malin. Fractures des processus épineux de C4 et C5, fracture de D4 le 19.07.2016 sur chute dans un contexte de sevrage éthylique. Traumatisme craniocérébral (TCC) dans un contexte de probable alcoolisation aiguë sur chronique le 18.05.2016. Fracture intra-articulaire radius distal et fracture processus styloïde ulnaire à gauche le 03.07.2018. • traitée par Réduction ouverte, OS radius distal G par plaque Aptus 2.5 palmaire; OS styloïde ulnaire G par vis 2,5 mm (OP le 05.07.2018). • infection de plaie opératoire le 19.07.2018. Traumatisme du bras gauche le 14.08.2018. Rhabdomyolyse dans un contexte post-traumatique mars 2018. Surdosage aux opiacés le 14.03.2018 (Naloxone). Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur oedème aigu du poumon avec échec extubation le 22.03.2018 (ventilation mécanique du 22.03 au 28.03.2018). Chute sans gravité avec dermabrasion frontale légère. Chute sans TC/PC. Chute secondaire à des troubles de la marche et de l'équilibre le 28.01.2019 avec : • Contusion/étirement de la coiffe des rotateurs épaule droite. • Douleurs à la hanche droite. Chute sur côté droit. Chute sur état confusionnel aigu avec traumatisme du membre inférieur droit. Chute sur la face, secondaire à l'ACR, le 27.02.2019. Chute sur la glace. Chute sur la main gauche. Chute sur le genou droit sur la glace avec gonalgies droites. Chute sur le poignet. Chute sur le verglas. Chute sur l'épaule droite. Chute sur malaise d'origine orthostatique avec fracture pathologique de la branche ischio-pubienne gauche. Chute sur malaise probablement orthostatique. Chute sur malaise vagal dans un contexte infectieux avec traumatisme crânien fronto-pariétal droit avec perte de connaissance (durée indéterminée) sans amnésie circonstancielle. Chutes à répétition. Chutes à répétition avec hospitalisation à Riaz en octobre 2017. • Hypotension orthostatique. • Status parkinsonien. S/p fracture du plateau inférieur de L3 en 2014. S/p résection adénomes tubuleux avec dysplasie de bas grade en 2008, 2013. Prochaine colonoscopie à organiser en 2019. S/p appendicectomie. S/p fracture non déplacée de l'extrémité distale du radius gauche. Chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, avec: • s/p fracture L1 type B (reverse chance) le 03.01.2019 avec spondylodèse D12-L2 le 07.01.2019. • ostéoporose fractuaire. • déconditionnement physique et sarcopénie. • hypotension orthostatique connue. • vitamine D 84 nmol/l le 17.01.2019. Chutes à répétition, documentées depuis 2016. Traumatisme crânien sans perte de connaissance le 24.03.18 avec: • Plaie temporo-pariétale gauche. • hématomes multiples (maxillaire gauche, flanc gauche, costale droite). • Mise en évidence d'hygrome en péjoration au CT cérébral. • Fracture de la dent 25. • Placement en EMS. Chutes à répétition d'origine indéterminée avec: • Pas de vertiges. • CT Scan cérébral (Fribourg) : pas de saignement. • Labo : CK 240 U/l, CK-MB 29 U/l, Magnesium 0,71mmol/l, Leu 12 G/l. • ECG: normal (superposable à janvier 2018). • Radio Thorax (Fribourg) : normale. • Test de Schellong (Fribourg) dans la norme • Holter ECG : résultats à venir après la sortie de la patiente (le 7.12.2018) • Chutes récidivantes avec douleurs hanches • CHUV : • ECG : rythme sinusal régulier à 73/min, PR < 200 ms, QRS fins, segment ST isoélectrique. • CT scan cérébral : pas d'hémorragie intra- ou extra-axiale, pas d'argument pour un accident vasculaire cérébral ischémique aigu. Pas d'occlusion vasculaire intracrânienne ni des vaisseaux précérébraux significatif. Laboratoire : cf copies annexées. RX thorax du 24.10.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Hypoventilation basale gauche. Turgescence hilaire bilatérale. RX épaule gauche du 24.01.2019 : omarthrose centrée. Aspect ostéopénique de la trame osseuse. Acromion agressif avec probable signe de conflit sous-acromial. • Chyle latéro-cervical droit sur probable lésion du canal thoracique droit, secondairement surinfecté à S. Aureus • Chylothorax • Chylothorax post-opératoire avec épanchement pleural et douleur latéro-thoracique le 31.01.2019 dans le contexte de la prise en charge chirurgicale du carcinome pulmonaire non à petite cellule épidermoïde moyennement à peu différencié lobe inférieur droit (cfr diagnostic 1). • CIA de naissance avec : • opération de fermeture, 1961 • foramen ovale, ouvert avec shunt modéré, BAV complet intermittent alternant avec BAV 1 er 2° BAV nodal se corrigeant sous Atropine. Pas de conduction rétrograde, 1987. • Cible de 700 ml/j + compensation des pertes 20-50cc/vomissement, 50-10cc/ diarrhée Reconsulte si apports hydriques insuffisants Explication que la durée peut aller jusqu'à 7-10 jours • Cicatrice du col fistulisée et fibrosée • Cicatrice post-opératoire calme, mobile par rapport au plan profond. Elévation antérieure à 80°, abduction 45°. Rotation interne jusqu'à L5. Rotation externe passive jusqu'au 30°, active qu'à 20° tenue contre résistance. Sensibilité grossièrement conservée. Body cross et Hawkins positifs. • Cimentoplastie de la vertèbre L1 dans le cadre de fracture il y a 20 ans. • Cimentoplastie L2-L3 le 01.02.2019 Antalgie par le patch de Fentanyl et Efentora en R • CIN3/HSIL sur 3h et LSIL sur 11h, HPV positif chez une patiente de 3 gestes 2 pares de 28 ans. • Ciprofloxacine du 11.02 au 17.02.2019 Sevrage ventilatoire prolongé sur réintubation le 04.02.2019 et extubation le 08.02.2019 Morphine en réserve pour dyspnée Isolement de contact depuis le 08.02.2019 • Ciproxin gouttes pour 7 jours. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant en cas de péjoration des symptômes. • Ciproxin 500 mg 2x/j jusqu'au 01.02.2019 • Ciproxine HC en gouttes pendant 7 jours dans l'oreille gauche. Antalgie. Consultation en ORL si péjoration ou persistance des symptômes > 48h. • Ciproxine HC pour une semaine. Traitement symptomatique. • Ciproxine 500 mg 2x/j du 22.01 au 27.01.2019 • Ciproxine 500 mg 2x/jour du 03 au 04.02.2019, puis Nitrofurantoïne 100 mg 2x/jour jusqu'au 09.02.2019 inclus. • Ciproxine 500 mg 2x/jour et Flagyl 500 mg 3x/jour du 12.02.2019 au 18.02.2019 Pantozol 40mg 2x/jour pendant 1 mois, puis 1x/jour pendant 1 mois, puis 1x tous les 2 jours pendant 1 mois OGD de contrôle dans 4 à 6 semaines (la patiente sera convoquée directement) • Ciproxine 500 mg 2x/jour et Flagyl 500 mg 3x/jour jusqu'au 16.02.2019 Rendez-vous à la consultation des chefs de clinique le 28.02.2019 à 8h30 Cholécystectomie prévue le 29.03.2019 ERCP pour ablation de stent le 25.03.2019 à 11h30 • Circularisation du plâtre AB ce jour pour une durée totale de 8 semaines. Nous reverrons le patient dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique et ablation du plâtre. Suite à l'immobilisation, nous prescrirons de la physiothérapie pour regagner les amplitudes du poignet. • Circularisation du plâtre BAB à J7 avec rx puis contrôle rx-clinique à 5 semaines à la consultation du Dr. X / Dr. X. Prévoir l'ablation des clous de Prévôt à 3-4 mois postopératoires. • Circularisation du plâtre BAB à une semaine. Contrôle rx à 1, 2, 3 semaines puis rx-clinique à 6 semaines postop à la consultation du Dr. X / Dr. X • Circularisation du plâtre ce jour avec une immobilisation pour une durée de 3 semaines. Nous le reverrons le 05.03.2019 pour un contrôle radioclinique et ablation du plâtre. • Circularisation du plâtre ce jour, qui sera à porter pour les 5 prochaines semaines. Prochain contrôle clinique hors plâtre dans 5 semaines. • Circularisation du plâtre ce jour qu'il gardera pour une durée de 6 semaines. Nous reverrons le patient pour un contrôle intermédiaire avec radio. Arrêt de sport pour 6 semaines. • Circularisation du plâtre ce jour toujours dans une position d'hyper correction pour une durée d'encore 5 semaines. Nous le reverrons le 21.02.2019 pour un contrôle radioclinique pour s'assurer qu'il n'a toujours pas de bascule. • Circularisation du plâtre cruro-jambier ce jour pour une durée de 3 semaines. Nous la reverrons pour un contrôle radioclinique le 07.03.2019. • Circularisation du plâtre cruro-pédieux ce jour et qui sera à porter pour les 3 prochaines semaines. Poursuite de la déambulation avec la chaise roulante pour 1 semaine supplémentaire puis mobilisation en charge partielle sur protection de béquilles. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 3 semaines. Selon l'évolution, immobilisation de la jambe G par une botte plâtrée de marche pour 2 semaines supplémentaires. • Cirrhose alcoolique CHILD B d'origine éthylique avec TIPS en 2012 pour ascite réfractaire, thrombopénie, TP à 50% Thrombopénie Troubles de la crase Anémie normochrome normocytaire Consommation d'alcool active Hypertension artérielle Etat dépressif Ancien tabagisme à environ 65UPA • Cirrhose Child B d'origine alcoolique avec : • thrombopénie. • troubles de la crase. • US abdominal du 28.09.2017 : pas de cholélithiase, pas d'ascite, présence de nodules hépatiques (nodule de régénération) connus depuis février ainsi que d'une thrombose des branches portes intra-hépatiques connue également. Comparable à l'IRM de 02.2017. • Hypertension portale : varices (stade I 2007, clip en 2005 sur varice non érodée et en 2011 sur 2 varices en 2011). • Syphilis VDRL et TPPA négatif, Lyme IgM und IgG négatif (10.2016), HBV und HCV séronégatifs en 2012. Probable pancréatite chronique d'origine éthylique. Lombalgie chronique. Syndrome de dépendance à l'alcool. Trouble de la personnalité borderline avec : • Ethylisme chronique. • Multiples traitements de sevrage en hospitalier et en ambulatoire chez le Dr. X (CCA). • Suivi à domicile 1x/semaine par Mme. Y (infirmière indépendante en psychiatrie) : 079/707.34.84. • Actuellement suivi auprès du Dr. X. • Situation psychosociale précaire. Anémie normocytaire normochrome régénérative d'origine inflammatoire et carentielle. Constipation sévère sous Duphalac. • Cirrhose CHILD B d'origine éthylique : • suivie par le Dr. X • ascite réfractaire (ponctions aux 2 semaines) • multiples décompensations ascitiques (03.2018, 08.2018, 12.2018) • US abdominal le 06.08.2018 : cirrhose hépatique avec hépatomégalie, sans thrombose • OGD en 11.2017 : pas de varices oesophagiennes • TIPS en cours d'organisation à l'Inselspital Bilan étiologique : • consommation OH chronique connue et active • pas d'argument pour un NASH (HTA bien contrôlée, HbA1c 4.7%, pas de dyslipidémie) • sérologies hépatites : HAV : infection guérie (cicatrice sérologique) ou statut post-vaccination ; HBV : infection guérie ; HCV : nég• autres sérologies: HIV : nég • hémochromatose hétérozygote H63D • céruloplasmine et cuivre dans la norme • TSH 3.1 mU/l. Pas d'argument pour un NASH Cirrhose CHILD B (9 points) sur hépatite C chronique: • Pas de signe d'hypertension portale, pas d'ascite. Hépatite C chronique, génotype 4. Cirrhose Child C d'origine mixte (alcoolique et hémochromatose) diagnostiquée par une biopsie hépatique le 16.12.2009 (suivi par Dr. X au HUG) avec : • choc hémorragique sur saignement rétro-péritonéal sur hématome pelvien spontané nécessitant un transfert au CHUV en avril 2013. • encéphalopathie hépatique sur hyperammoniémie le 02.09.2013 sur réduction/arrêt du traitement laxatif. • décompensation oedémato-ascitique nécessitant une hospitalisation en novembre 2013. • ligature de varice oesophagienne stade II le 31.01.2014. • bilan de pré-greffe au HUG en janvier 2014. • évaluation par l'hépatologue (bonne fonction hépatique hépato-cellulaire, absence de CHC et d'encéphalopathie, pas d'indication à la transplantation mais contrôle par US abdominal et laboratoire chaque 6 mois). • hydrothorax ponctionné le 13.02.2018. • shunt intra-hépatique VSH droit par voie trans-jugulaire posé le 08.03.2018. Gastrite chronique (OGD janvier 2014). Atteinte sévère du nerf péronier sur une lésion du plexus sacré à droite. Plusieurs nodules infra-centimétriques pulmonaires bilatéraux visualisés au CT thoracique du 06.04.2013. Psoriasis pustuleux. Omalgie droite. Anémie macrocytaire hyperchrome dans le contexte de l'alcoolisme. Pancytopénie sur cirrhose. Lipome sous-claviculaire droit. Cirrhose CHILD C d'origine mixte (éthylique et NASH) • Diagnostic posé en mai 2016 suite à hépatite alcoolique aiguë • Biopsie hépatique en août 2017 : cirrhose avec stéatose sans signe hépatite auto-immune • Alpha-foetoprotéine à 5.2 ng/ml en mai 2018 • IRM et US hépatique le 04.05.2018 : pas de lésion suspecte de CHC • OGD en août 2017 (Prof. X) : pas de varices oesophagiennes visualisées • Suivi à la consultation d'hépatologie du CHUV (dernière consultation le 24.05.2018, Dr. X) Ulcères duodénaux, pangastrite érosive, gastropathie hypertensive, petite hernie hiatale, oesophagite de reflux stade II (OGD du 28.08.2017, Prof. X) Tabagisme ancien à 20 UPA (stoppé en 2003) Syndrome des apnées du sommeil (traitement de CPAP interrompu en 2015 pour observance insuffisante) Syndrome des jambes sans repos Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool, syndrome de dépendance : • État dépressif avec idéations suicidaires • Suivi addictologique à la Fondation du Torry (patient sera contacté par Mme. X) • Suivi addictologique en parallèle au CTA (Fribourg) à rediscuter avec Mme. X de la Fondation du Torry Cirrhose Child C OH (bilan 05.2018) avec insuffisance hépato-cellulaire aiguë (Score de Maddrey: 69.4) • Trouble de la crase • Thrombocytopénie • Hyperbilirubinémie • Encéphalopathie hépatique stade I Cirrhose hépatique évolutive secondaire à un probable NASH : • Thrombopénie le 25.02.2016 sur insuffisance hépatique avec PBM le 21.03.2016 (Dr. X) • Varices oesophagiennes de stade II avec gastropathie (OGD réalisée aux HUG) • Macrolipasémie • Bilan effectué: Hyperferritinémie avec mutation hétérozygotes C282Y/-, CEA = 18.8 ng/ml, CA 19-9 = 96.1 U/ml, Alpha-FP = 7.3 ng/ml, Hépatites A, C et B négatives (A=vaccinée ou immune), Anticorps anti-mitochondries (IF): négatifs, électrophorèse des protéines, Ac anti-SSA/SSB, anti-SMA, anti-LMK et SLA, Anti-GAD et anti-IA2, p- et c-ANCA, FAN: négatif, cuivre plasmatique et céruloplasmine dans la norme, A-anti-trypsine dans les normes • Tentative de PBF transjugulaire le 18.01.2016 (CHUV, Dr. X): impossible en raison de l'anatomie vasculaire. • Ponction biopsie de foie transmurale le 03.03.2016 (Promed P2360): remaniement cirrhotique diffus et focalement complet et micronodulaire, infiltrat inflammatoire lymphocytaire dans les espaces portes Tabagisme actif État anxio-dépressif avec crises de panique Foramen ovale perméable grade III avec possible embolie paradoxale le 25.03.2016 Cirrhose hépatique alcoolique modérée CHILD B (score 8) avec : • hypoalbuminémie à 21.6 g/l le 24.04.2015 • Quick à 49% le 24.04.2015. Tabagisme actif (3 cigarettes/jour). Cirrhose hépatique CHILD A sur OH • Suivi à Berne (Inselspital, Dr. X) • Hypertension portale • Plusieurs épisodes de décompensation d'une encéphalopathie hépatique • Pas de varices connues (2017) • S/p fermeture par coils des shunts mésentérico-cave le 06.04.2016 Cirrhose hépatique Child-Pugh A5, probablement d'origine éthylique, avec : • Syndrome de dépendance à l'alcool, abstinent depuis 2008 • Hypertension portale avec varices oesophagiennes Cirrhose hépatique Child-Pugh stade B avec 7/15 points : • foie dysmorphique. • ascite de grande abondance occupant différents récessus péritonéaux (2 points). • tronc porte à vitesse relativement diminuée avec une maximale à 15 cm/sec. • hypoalbuminémie à 34.8 g/l (2 points). • bilirubine < 35 µmol/l (1 point). • INR spontané < 1.7 (1 point). • suspicion d'encéphalopathie hépatique débutante (2 points) DD troubles cognitifs légers autres. Cirrhose hépatique de stade Child-Pugh A sur cardiopathie congénitale d'Ebstein Hyperplasie réactive du mésopéritoine diagnostiquée en septembre 2014 • cytologie PROMED C5386.14: hyperplasie réactive mésothéliale péritonéale probablement suite à ascite répétitive • PET CT 03.09.2014: hypercaptation péritonéale gauche • CT thoraco-abdominal (31.08.2014): infiltrats dans le mésentère, importante dilatation auriculaire • IRM pelvis 04.04.2014: ascite, pas de masse au niveau uro-génital • conclusion tumor board gynécologie du 16.09.2014: approche conservatrice • CA-125 normal en 07/2016 Ostéoporose Cirrhose hépatique d'origine alcoolique. Pancréatite chronique. Obésité avec BMI à 37.7 kg/m2. Lombosciatalgie chronique sur probable hernie discale L5-S1, DD : canal lombaire étroit. Cirrhose hépatique sur éthylisme chronique, Child A le 11.07.2018 : • Signes d'hypertension portale avec reperméabilisation de la veine para-ombilicale sans splénomégalie • Coagulopathie • Thrombopénie chronique • Sérologies HBV / HCV 19.09.2016 : négatives • Suivi échographique tous les 3 mois • Substitution en vitamine K Insuffisance rénale chronique stade III KDIGO le 11.07.2018 (CrCl Cockroft-Gault 53 ml/min) Hypertension artérielle traitée Diabète de type 2 non insulino-requérant Gynécomastie dendritique bilatérale Trouble de la crase dans le contexte d'une cirrhose hépatique sur éthylisme chronique Citalopram, Nexium et Torem en pause Restriction hydrique Substitution par NaCl NaCl capsule du 27.02.2019 au 28.02.2019 Citalopram 10 mg depuis le 11.02.2019 CIWA Ciwa et seresta en R CKD-EPI le 3.2.2019 : 40 ml/min/1,73 cm2 Surveillance biologique Clamoxyl IV selon protocole Claquage musculaire au niveau des adducteurs de la cuisse droite. Claquage musculaire du groupe ischio-jambiers le 03.02.2019. Clarithromycine 15 mg/kg/j en 2 doses Antalgiques en réserve Claudication intermittente de stade IIB du membre inférieur gauche sur occlusion du pontage gauche, sous Plavix : • Status après pontage aorto-bi-fémoral sur syndrome de Leriche en mai 2010. • Status après endartériectomie fémorale avec plastie d'élargissement de la bifurcation fémorale à gauche, le 06.08.2012. Polyarthrite rhumatoïde (pas de traitement de fond actuellement). Hypertension artérielle asymptomatique non traitée. Troubles du sommeil. Ancien tabagisme. Épisode de troubles dépressifs. Echocardiographie du 29.04.2010 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale ; FEVG normale (65 %) ; géométrie normale du ventricule gauche ; aorte non dilatée ; absence de valvulopathie aortique ; absence de rétrécissement mitral ; insuffisance mitrale minime (grade 1/4) ; pressions de remplissage ventriculaire gauche normales ; oreillette gauche normale, non dilatée ; fonction systolique du ventricule droit normale ; absence de dilatation des cavités droites ; absence d'HTAP (PAPs à 28 mmHg) ; insuffisance tricuspide minime (grade 1/4) ; absence d'épanchement péricardique. Claudication intermittente stade IIB du membre inférieur gauche sur occlusion du pontage gauche, sous Plavix : • Status après pontage aorto-bi-fémoral sur syndrome de Leriche en mai 2010. • Status après endartériectomie fémorale avec plastie d'élargissement de la bifurcation fémorale à gauche, le 06.08.2012. Polyarthrite rhumatoïde (pas de traitement de fond actuellement). Hypertension artérielle asymptomatique non traitée. Troubles du sommeil. Ancien tabagisme. Épisode de troubles dépressifs. Claudication intermittente stade IIB en péjoration avec douleur pied gauche et gradient thermique le 18.12.2018 • Stent artère iliaque commune droite en 2011 • Occlusion stent iliaque droit et occlusion artère fémorale commune gauche en 2018. • Pontage fémoro-fémoral cross-over le 06.12.2018 • Ischémie aigue sur occlusion poplitée et jambière tri-tronculaire, le 06.12.2018 • Thrombectomie par Rotarex en Urgences le 06.12.2018 (Dr. X) • Dissection axe ilio-fémoral gauche avec stenting le 10.12.2018 (Dr. X) • Angio-CT membres inférieurs le 12.12.2018 : • Infection de plaie inguinale droite le 18.12 avec co-amoxicile du 18 au 21.12 Claudication neurogène à prédominance G sur sténose dégénérative prédominant en L3-L4 et L4-L5 dans le contexte d'une scoliose dégénérative. Claudication neurogène L4 voire L5 dans le contexte d'une sténose L3-L4 pluri-factorielle sur : • status post fracture-tassement traumatique de L4 type A1 avec cyphoplastie L4 et cimentage préventif de L3 (Clinique Bois-Cerf en mai 2018). • discret listhésis et rétrécissement sur hypertrophie facettaire et hypertrophie du ligament jaune. • lipomatose épidurale. Claustrophobie. Clexane 40 mg 2x/j du 26.01 au 07.02.2019 Eliquis 2.5 mg 2x/ dès le 08.02.2019 Stop Aspirine cardio Clindamycine Clindamycine Clindamycine Clindamycine IV Clindamycine jusqu'au 12.01.2019. Clindamycine 6 ml/12H x 10 jours Algifort en réserve. Dispense d'école 3 jours (11.02. - 14.02.) Clinique : tremblement du MSD transitoire, amélioré après Temesta 1 mg ou lors de distraction CT cérébral injecté, le 13.02.2019 IRM cérébrale, le 18.02.2019 Concilium neurologique, le 14.02.2019 (Dr. X / Dr. X) EEG le 14.02.2019 Charge de Keppra 1000 mg IV et Rivortril 0.5 mg IV en thérapie d'épreuve le 14.02.2019 Nouvelle dose de Keppra 1600 mg IV le 15.02.2019 Traitement par Akineton 2 mg po dès le 15.02.2019 avec bon effet clinique. À poursuivre jusqu'au 22.02.2019 (durée totale de 7 jours). Si récidive du tremblement, prise empirique d'Akineton et consultation ambulatoire chez le Dr. X. Clinique : Symptômes urinaires, symptômes oculaires au décours Labor : pas de signes inflammatoires Screening Test : HIV et Syphilis sérologie, PCR Gonorrea et Chlamydia urines et liquide oculaire Rendez-vous communication des résultats le 03.03.2019 à 15h00 Cliniquement, ça parle plutôt pour un status post subluxation de la rotule. Je propose qu'elle porte encore cette attelle en extension durant 2 semaines. Dans l'intervalle, elle peut commencer la physiothérapie avec mobilisation, durant les 2 premières semaines jusqu'à 30° de flexion, puis 2 semaines à 60° et ensuite 90°. Nous la reverrons dans 6 semaines. Cliniquement et à la relecture des images radiologiques de la cheville F/P effectuées en décembre, on retient un possible conflit fibulo-talaire latéral. Dans ce contexte, nous allons faire une extension du bilan par CT de la cheville et reverrons le patient pour discuter des résultats sur la base de cette imagerie. Cliniquement et anamnestiquement, la patiente présente une symptomatologie typique de névrome de Morton au niveau du 3ème rayon du pied G. Dans ce contexte, nous allons effectuer un bilan par IRM afin de poser ce diagnostic de façon claire. Selon discussion avec la patiente, nous nous orientons vers une intervention chirurgicale. Pour des raisons organisationnelles, l'intervention pourra s'effectuer dans le courant du mois d'octobre. Nous la reverrons pour rediscuter des images mais également pour discuter de l'opération. Cliniquement et neurographiquement, il y a une récupération au niveau du nerf cubital. Il y a en plus une pathologie cervicale. Je propose un traitement chirurgical pour une cure de tunnel carpien. Je remplis avec le patient le formulaire d'information et de consentement éclairé, qu'il signe par la suite. Une date opératoire en ambulatoire est agendée pour le 25.02.2019. Cliniquement, évolution satisfaisante. Dans ce contexte, sevrage progressif de l'attelle lors de la déambulation. Le patient reçoit un terra-bande et nous l'instruisons pour des exercices de renforcement des péroniers et du tibialis postérieur et également des autres exercices de stretching. Poursuite de la prescription d'anti-inflammatoire per os en réserve. Reprise de l'activité professionnelle à 100 % le 04.03.2019 jusqu'au prochain contrôle le 01.04.2019 où nous évaluerons à nouveau l'évolution clinique. Cliniquement, il n'y a pas de déficit de flexion/extension, pas de trouble neurovasculaire, pas de laxité de l'interphalangienne distale. Nous réalisons une désinfection bétadinée, un champage stérile, une anesthésie en bague par Rapidocaïne 10 mg/ml avec garrot digital et un rinçage à l'eau bétadinée. L'exploration ne montre pas d'atteinte des structures nobles ou de corps étranger, nous effectuons 2 points de sutures simples puis un pansement protecteur avec Dermaplast. Nous lui prescrivons une antalgie simple, un rappel anti-tétanique et une prophylaxie par Zinacef 1,5 g IV avec un arrêt de travail jusqu'au 26.02.2019. Un contrôle sera effectué chez le médecin traitant le 25.02.2019 avec ablation des points à 14 jours. Cliniquement, je suspecte chez Mr. Y une Onhappytriad (lésion du ligament croisé antérieur associée à une lésion du ligament interne et du ménisque interne). Je propose de bilanter le genou par IRM. Je le reverrai après cet examen. Jusque-là, il reste immobilisé dans l'attelle jeans en extension sous prophylaxie par Clexane 40 mg sous-cutané 1x/j. Arrêt de travail à 100 % prolongé jusqu'au 17.02.2019 Prochain rendez-vous : le 12.02.2019. Cliniquement, la cuisse gauche n'est pas tuméfiée et elle est seulement douloureuse à la palpation du tiers supérieur du long-chef du quadriceps ainsi que lors de la flexion et de l'adduction contrariée. Comme la hanche et le genou gauche sont sans particularité, nous renonçons à effectuer des examens complémentaires et concluons à une contusion musculaire simple versus un claquage musculaire. Nous prescrivons un traitement du Sportusal Emgel 3-4x/jour, Algifor sirop junior 12,5 ml/dose 3x/jour pendant 3 jours et du Dafalgan 500 mg cp en réserve selon douleurs, max 4x/jour. Nous précisons à sa maman qu'il faudra consulter chez son pédiatre dans 5 jours s'il n'y a pas d'amélioration.Cliniquement, la palpation du tiers de la première phalange est douloureuse et il y a une impotence fonctionnelle. Nous renonçons au rappel anti-tétanique étant donné l'allergie et l'absence de signe de surinfection. Puis, nous réalisons une radiographie du pouce gauche qui ne montre pas de fracture. Sur avis du Dr. X, orthopédiste, nous retenons le diagnostic d'entorse de la 1ère métacarpophalangienne, que nous immobilisons par gantelet (fendu sur la face ulnaire). La radiographie de contrôle ne montre pas de point d'appui et nous laissons le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple et un arrêt de travail jusqu'au 01.03.2019, date de son contrôle à la policlinique d'orthopédie. Cliniquement, la patiente fléchit spontanément le doigt. La radiographie du doigt ne met pas en évidence de lésion osseuse. Le Dr. X retient une contusion simple pour laquelle il conseille de l'antalgie ainsi qu'un contrôle chez le médecin traitant si nécessaire. Cliniquement, la patiente présente un syndrome piriforme de la hanche G sur une probable augmentation de son activité physique. Dans ce contexte, nous proposons de la physiothérapie avec renforcement et stretching ciblé au niveau de la musculature stabilisatrice du bassin. Les images radiologiques montrent une antélisthésis de grade I et une sacralisation partielle de la vertèbre L5 à D mais la patiente est asymptomatique au niveau lombaire et n'a pas de neurologie. Nous la reverrons à distance du traitement conservateur. Cliniquement, la patiente présente une cheville gauche tuméfiée en regard de la malléole externe avec une impotence fonctionnelle. La radiographie montre une fracture non déplacée de type Weber A. Selon l'avis du Dr. X, orthopédiste, nous réalisons une botte plâtrée avec incision tibiale. La radiographie de contrôle, uniquement effectuée au niveau de la cheville selon la décision du TRM concerné, ne montre pas de déplacement secondaire ni de point d'appui. Nous prescrivons une anticoagulation prophylactique de Clexane 40 mg 1x/jour avec du Dafalgan 1g 3x/jour et de l'Irfen 400 mg 3x/jour. La patiente sera revue à la consultation orthopédique du Dr. X dans 2 semaines, le 28.02.2019 à 10H00. Cliniquement, la patiente présente une tendinopathie des tendons péroniers. Ceci peut être consécutif à une physiothérapie excessive de renforcement. Dans ce contexte, nous allons initialement effectuer un traitement conservateur antalgique par anti-inflammatoire en réserve et physiothérapie antalgique. Mise en pause des exercices de mise en contrainte sur les péroniers. Nous la reverrons à distance de ce traitement conservateur. Si la symptomatologie devait être persistante, il s'agira d'étendre le bilan par une nouvelle IRM. Pour le reste, on peut considérer comme guéri son appareil ligamentaire qui est compétent au testing. Cliniquement, l'appareil extenseur et fléchisseur est préservé à M5 et il n'y a pas de trouble neurovasculaire. Nous réalisons une désinfection bétadinée, un champagne stérile, une anesthésie locale par Rapidocaïne 1% 2 ml, une exploration qui ne montre pas de structure noble, un rinçage puis 3 points simples avec un pansement Adaptic. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle à 48h avec une ablation des points dans 7 à 10 jours. Nous prescrivons au patient une antalgie simple en réserve avec un arrêt de travail jusqu'au 01.03.2019, à réévaluer par son médecin traitant. Cliniquement, Mme. Y présente en premier lieu une gonarthrose bilatérale à prédominance G. Je propose dans un premier temps un traitement antalgique par physiothérapie. Un contrôle est prévu d'ici 6 semaines pour une réévaluation clinique. À cette date, un bilan radiologique des deux genoux va être organisé. En cas de persistance des douleurs malgré la physiothérapie, une infiltration pourrait éventuellement être proposée. Cliniquement, nous notons une amélioration de l'état général et la patiente ne se plaint plus de vertige. Pour le syndrome inflammatoire, nous retenons toujours une infection virale des voies respiratoires et recommandons un traitement symptomatique simple. La baisse de l'hémoglobine au dernier contrôle biologique est reliée au contexte infectieux et sur dilution après perfusion de plusieurs litres de NaCl pendant les derniers 2 jours. Pour les troubles de la marche et les tremblements des membres supérieurs, que la fille note et qui ne sont pas objectivés pendant le passage de courte durée aux urgences, nous laissons le médecin traitant organiser des investigations supplémentaires si jugées nécessaires. Retour au RFSM de Marsens, départ avec sa famille. Cliniquement, nous retrouvons des signes de myringite à droite et de rhino-pharyngite pour laquelle nous effectuons un strepto-test qui s'avère négatif. Au vu des symptômes existants depuis 3 jours, nous traitons le patient par Dafalgan 1g 4x/jour pendant 5 jours, Irfen 400 mg 3x/jour pendant 3 jours, Triofan spray nasal 2 jours supplémentaires, rinçages nasaux par Emser et Nasobol au besoin. Nous rassurons le patient et retenons une origine anxieuse à sa dyspnée en plus de la rhinocongestion. Nous ne lui prescrivons pas d'anxiolytique étant donné qu'il s'agit d'un premier épisode mais nous lui recommandons de venir contrôler chez son médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Nous invitons également le patient à reconsulter les urgences en cas d'évolution clinique défavorable. Cliniquement, nous retrouvons un genou gauche avec un épanchement articulaire et une chaleur à la palpation maximale en infra-patellaire. L'interligne antérieur et la patella sont douloureuses. La mobilisation est limitée à 135-0-0°, c'était déjà le cas en décembre 2018. Nous réalisons une radiographie qui montre un important remaniement patellaire. Sur avis du Dr. X, orthopédiste, nous prescrivons un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire mis à part une CRP à 16 mg/l et une urémie dans la norme ainsi qu'un CT-scan du genou gauche qui ne montre pas de fracture patellaire surajoutée mais un épanchement intra-articulaire. Nous adaptons l'antalgie de cette patiente qui ne supporte pas le Tramal (vertiges) et lui prescrivons un traitement d'Oxycontin 10 mg 2x/jour avec de l'Oxynorm en réserve 2 mg maximum 4x/24h ainsi que du Movicol en réserve. Nous prévenons la patiente de ne pas conduire ces prochains jours jusqu'à réévaluation de sa tolérance au traitement par son médecin traitant dans 5 jours et lui expliquons que la suite du traitement pour son genou devra se faire par le Dr. X. Nous invitons la patiente à reconsulter les urgences en cas d'évolution clinique défavorable, de nouvelles douleurs aiguës ou de fièvre. Cliniquement, nous retrouvons un genou sec avec des douleurs majorées par l'extension complète et la rotation externe. La radiographie ne montre pas de fracture. Sur avis du Dr. X, orthopédiste, une atteinte du ménisque ne peut pas être exclue donc nous prescrivons une attelle Velcro avec 20° de flexion, de la Clexane prophylactique 40 mg/jour, du Dafalgan 1g 4x/jour et de l'Irfen 400 mg 3x/jour ainsi qu'un arrêt de travail jusqu'au 15.02.2019. Un examen complémentaire sera discuté à la consultation du 15.02.2019 selon l'évolution.Cliniquement, nous retrouvons un hématome en regard de la base du 5ème métatarse du pied gauche avec des douleurs à la palpation. Nous réalisons une radiographie qui ne montre pas de fracture et nous concluons à une contusion simple. Nous recommandons un protocole RICE à la patiente avec une bande élastique et une prescription d'Irfen 400 mg 3x/jour d'office pendant 5 jours, Dafalgan 1g cp en réserve max 4x/jour ainsi qu'une dispense de sport jusqu'au 21.02.2019. Cliniquement, nous retrouvons une importante congestion avec hyperémie des cavités nasales et du fond de gorge ainsi que des douleurs au niveau des cintres malaires et des sinus frontaux. Dans ce contexte, nous réalisons un stix urinaire à la limite de la norme raison pour laquelle nous effectuons un sédiment qui s'avère non pathologique. Nous lui prescrivons donc un traitement symptomatique, pour son état grippal, de Dafalgan 1g 4x/jour et Irfen 400 mg 3x/jour pour 3 jours ainsi que du Fluimucil sachet 3x/jour et du Triofan 3x/jour maximum 5 jours. Cliniquement on est en face d'une re-rupture du tendon du sus-épineux, par contre le patient présente une bonne fonction de l'épaule et une bonne qualité de vie. Pas de mesure particulière de ma part, sachant qu'à l'âge du patient une guérison tendineuse n'est pas toujours garantie. Prochain contrôle : 24.06.2019. Cliniquement, on retrouve un tympan gauche montrant une myringite avec une lame basale de liquide purulent. Nous retenons une otite moyenne aiguë avec myringite que nous traitons par Co-Amoxicilline cpr 1g 2x/j jusqu'au 20.02.2019, Triofan spray nasal 3x/j et antalgie. Un contrôle à votre consultation à 7 jours est indiqué. Clonazépam du 11.02 au 12.02.2019 Électroencéphalogramme le 12.02.2019 Angio-CT cérébral le 11.02.2018 CT cérébral natif le 11.02.2019 CT cérébral natif le 12.02.2019 Lévétiracétam 750 mg 2x/jour dès le 11.02.2019, diminution à 500 mg 2x/j dès le 15.02.2019. Clonidine du 08.02 au 11.02.2019 Clozapine du 08.02 au 12.02.2019 Seroquel, Mélatonine. Clopidogrel pour 3 mois, Aspirine à vie Anticoagulation par héparine ivc puis AVK dès que stable Adaptation médicaments cardiaques selon hémodynamique Poursuite dialyse itérative CPAP personnel pour la nuit Reprise diurétiques hautes doses dès le 13.02.2019. Clostridium difficile : négatif 3x (31.01, 04.02 et 13.02.2019) Recherche parasites : négatif DOT vasculites ANCA : négatif FAN négatifs CT abdominal du 10.02.2019 Colonoscopie le 10.02.2019 (Dr. X) Biopsies coliques le 10.02.2019 Angio-CT abdominal le 14.02.2019 Avis chirurgical le 10.02.2019 (Dr. X) Avis gastro-entérologique le 10.02.2019 (Dr. X) Avis infectiologique le 10.02.2019 Robinul 1 ml i.v. Métronidazole 500 mg 3x/jour i.v. du 10.02 au 14.02.2019 Naloxone 2 mg per os 3x/jour du 10.02 au 13.02.2019 Adaptation des dérivés morphiniques. Colonoscopie de contrôle le 21.03.2019 (Dr. X). Clostridium difficile 9.2.2019 : négatif. Cluster Headache. CMV urinaire. Cô à 24h aux urgences Avant si les lésions empirent et baisse de l'état général. Co-amoxicilline 50 mg/kg/j en deux doses Antalgie de premier pallier Soin de la plaie au Dakin Contrôle chez le pédiatre au cours de la semaine prochaine. Co-amoxicilline 50 mg/kg/j en deux doses Soin de la plaie au Dakin Antalgie de premier pallier Contrôle chez le pédiatre au cours de la semaine prochaine. co-amoxicilline (vu traitement récent par amoxicilline et récidive) 7 jours. cô aux urgences ortho. Cô chez Dr. X dans une semaine. Cô chez le dermatologue dans 1 semaine Continuer Clarythromicine pour 2 jours encore Reconsulter si péjoration, EF ou apparition d'éruption sur la muquese. Cô chez le pédiatre à la fin de traitement antibactérien ou si persistance d'EF. Cô chez le pédiatre à 1 mois de vie. Cô chez le pédiatre dans env 24h. Cô chez le pédiatre dans une semaine. Cô chez le pédiatre dans 1 semaine si persistance d'EF. Cô chez le pédiatre dans 48 heures Ablations des fils à 5 jours. Cô chez le pédiatre la semaine prochaine. Cô chez le pédiatre, si EF ou persistance de douleurs. Co chez le pédiatre si EF, péjoration. Cô chez le pédiatre si épistaxis à la distance de la rhume ou si les saignements sont très importants et fréquents. Cô chez le pédiatre si mauvais apports. Cô chez le pédiatre si n'a pas d'amélioration avec l'adaptation des médicaments. Cô chez le pédiatre si péjoration au niveau respiratoire. Cô chez le pédiatre si persistance d'EF dans 3-4 jours. Cô chez le pédiatre suite au schéma de désimpactation, expliqué aux parents. cô dans une semaine chez le pédiatre. Cô dans une semaine par Team pied. Cô dans 2 jours chez le pédiatre si persistance d'EF Reconsulter si difficultés respiratoires. cô en orthopédie dans une semaine. Cô glycémie dans la norme, alimentation précoce. Cô glycémie dans la norme, alimentation précoce. Cô le 19.02.2019 aux urgences à 10h. Cô par la sage-femme demain afin de donner les conseils concernant l'alimentation. cô pour une érythème. Cô pyélonéphrite. Cô pyélonéphrite. Cô sanguin le 23.02.2019 : Leucocytes à 3.9 G/L. Cô si mal aux yeux. Cô si mauvaise hydratation, EF plus que 5 jours. cô si persistance d'EF. Coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) sur LMA le 22.02.2019. Coagulopathie : mutation génétique type II (anamnestique). Lombosciatalgie D. Coagulopathie : mutation génétique type II (?). Coalition calcanéo-astragalienne cheville G. Co-Amoxi 1 g - 2 x/jour durant 7 jours. Co-Amoxi 2x1 g/jour pendant 5 jours. Contrôle ORL dans 7-10 jours. co-amoxi 457 70mg/kg/j 7,5mlx3/j 7j algifor 12,5ml x3>/j 48h dafalgan dose 25kg x3/j en réserve dispense de piscine contrôle pédiatre à la fin du ttt. Co-amoxicillie 1gr 2x/j, 10 jours Contrôle pédiatre dans 3 jours. Co-Amoxicillin 1g 2x/tag für 6 Tage Triofan spray Fluimucil. Co-amoxicilline. Co-amoxicilline à raison de 80mg/kg/j en 2 doses jusqu'au 21.02, contrôle chez vous dans 48 heures pour couper les peaux. Co-amoxicilline adaptée à la fonction rénale du 24.02.2019 au 05.02.2019 (10 jours) au minimum CT membre inférieur gauche (25.02.2019) : pas de collection, infiltrations circonférentielles. Avis chirurgie orthopédique (25.02.2019) : pas d'indication à un traitement chirurgical. Bilan angiologique. Co-Amoxicilline dès le 14.02.2019. Oxygénothérapie. Co-Amoxicilline du 05.02 au 06.02.2019 Résolution le 09.02.2019. Co-Amoxicilline du 05.02 au 11.02.2019. Co-Amoxicilline du 05.02 au 11.02.2019 Klacid du 01.02 au 06.02.2019 Hydratation NaCl le 05.02.2019 Oxygénothérapie le 05.02.2019 Bronchodilatateurs d'office et en réserve. ECG : FA normocarde RX thorax : foyer pulmonaire gauche Antigènes urinaires Légionelles : négatifs Frottis grippe : négatif. Co-Amoxicilline du 05.02.19 au 11.02.19 Klacid du 01.02.19 au 06.02.19 Hydratation NaCl le 05.02.19 Oxygénothérapie le 05.02.19 Bronchodilatateurs d'office et en réserve. ECG : FA normocarde RX thorax : foyer pulmonaire gauche Antigènes urinaires Légionelles : négatifs Frottis grippe : négatif. Co-Amoxicilline du 05.02.2019 au 06.02.2019. Co-Amoxicilline du 10.01 au 17.01.2019. Co-Amoxicilline du 10.01.2019 au 17.01.2019. Co-Amoxicilline du 12.02 au 19.2.2019 Klacid du 12.02 au 13.02.2019 VNI et masque facial à réserve du 12.02 au 15.02.2019 Refus de VNI dès le 15.02.2019. Frottis de grippe : négatif Antigènes urinaires légionelle et pneumocoque : négatif CT thoracique le 14.02.2019 Gazométrie artérielle le 19.2.2019. Transfert en soins palliatifs à Meyrier le 21.2.2019. Co-amoxicilline du 14.02 au 22.02.2019 Klacid du 16.02.2019 au 22.02.2019 Cathéter artériel radial gauche du 20.02.2019 au 24.02.2019.• VNI du 20.02.2019 au 24.02.2019 • Co-Amoxicilline du 19.01.2019 au 21.01.2019 • Pipéracilline-Tazobactam du 21.01.2019 au 27.01.2019 • Co-Amoxicilline du 19.01.2019 au 21.01.2019 • Pipéracilline-Tazobactam du 21.01.2019 au 27.01.2019 • Co-Amoxicilline du 19.01.2019 au 21.01.2019 • Pipéracilline-Tazobactam du 21.01.2019 au 27.01.2019, puis du 31.01.19 au 01.02.2019 Colchicine dès le 03.02.2019 • Avis rhumatologique • Avis infectiologique • Co-Amoxicilline du 19.01.2019 au 21.01.2019 • Pipéracilline-Tazobactam du 21.01.2019 au 27.01.2019 • Pipéracilline-Tazobactam du 31.01.19 au 01.02.2019 • Avis rhumatologique (Dr. X) • Avis infectiologique Colchicine dès le 03.02.2019 • Co-Amoxicilline du 27.02.2019 au • Ablation des Merocel le 28.02.2019 • Co-amoxicilline IV du 2 au 8.2.2019 • Prednisone 50 mg du 2 au 6.2.2019 • Poursuite Ventolin et Atrovent d'office et en R Gazométrie artérielle le 2.2.2019 ECG le 2.2.2019 Radiographie de thorax le 2.2.2019 Echographie ciblée cœur-thoracique (Dr. X) : Pas de signe d'insuffisance cardiaque, épanchement pleural droit. Culture d'expectoration en cours : mauvaise qualité (salive uniquement) Frottis de grippe : négatif Physiothérapie respiratoire Demande faite pour réadaptation pulmonaire à Billens Reclassement le 8.2.2019 Transfert à Billens le 14.2.2019 • Co-Amoxicilline jusqu'au 07.02. • Contrôle clinique chez le médecin traitant le 05.02. • Co-amoxicilline 1 g 2x/j durant 7 jours. • Dafalgan et AINS en R. • Contrôle chez le médecin traitant (a déjà RDV le 28.02.19). • Patiente informée des signes qui devraient la pousser à reconsulter en urgence. • Co-Amoxicilline 1 g 2x/j durant 7 jours. • Suivi chez le médecin traitant. • Co-amoxicilline 1 g 3x/j pendant 5 jours. • Antalgie • Réévaluation clinique chez le médecin traitant le 06.02 à 13h. • Vu le contexte d'antécédent de splénectomie post-traumatique et les infections ORL récidivantes, nous préconisons une vaccination contre S. pneumoniae et méningocoque ainsi qu'une vaccination annuelle contre la grippe. • Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour pendant 10 jours avec désinfection locale par Hibidil • Contrôle à 48 heures chez le médecin traitant ou la gynécologue avec suite de prise en charge chez sa gynécologue. • Co-amoxicilline 1 g 3x/j pour 7 jours • Co-Amoxicilline 1,1 g IV 3x/j • Co-Amoxicilline 1,2 g aux 8h dès 18.11.2018, durée envisagée 5 à 7 jours Hémocultures à pister Radiographie du thorax le 18.11.2018 : pas de foyer visualisé Traitement introduit d'entente avec le patient et sa famille en l'absence d'autres pistes infectieuses cliniques • Co-Amoxicilline 1,2 g 4x/j IV du 27.01.2019 au 4.02.2019 • Co-Amoxicilline 1 g 2x/j PO du 4 au 16.02.2019 • Klacid 500 mg 2x/jour p.o. du 27.01.2019 au 28.01.2019 • Oxygenothérapie du 27.1.2018 au 4.02.2019 Gazométries artérielles le 27.01.2019, 31.01.2019, 4.02.2019 Hémoculture le 27.01.2019 (post-antibiothérapie) Antigènes urinaires le 27.01.2019 (légionelle) : négatifs Dépistage VIH : négatif Frottis grippal le 28.01.2019 : Influenza A positif. Culture d'expectorations le 28.01.19 : flore bucco-pharyngée Physiothérapie respiratoire RAD le 4.2.2019 avec physiothérapie respiratoire à poursuivre en ambulatoire • Co-amoxicilline 2 g IV aux urgences avec hydratation 1000 NaCl 0.9%. • Co-amoxicilline 1 g 2x/j durant 7 jours. • Antalgie par Dafalgan, Brufen, Collunosol. • Consilium ORL. • Co-Amoxicilline 2.2 g en ordre unique, rappel anti-tétanos, désinfection large, 2 points de rapprochement. Radiographie du bras gauche : décrite ci-dessous. Appel des confrères orthopédistes de l'HFR Fribourg, qui acceptent le transfert. Départ de la patiente en ambulance. • Co-amoxicilline 2.2 g 3x/j du 08.02 au 10.02.19 Relais par : Clindamycine 900 mg 3x/j PO, Flagyl 500 mg 3x/j, Cefepime 2 g 2x/j (du 10.02.2019 au 12.02.2019) Relais au Cefepime par : Rocéphine 2 g IV 1x/j (du 12.02.2019 au 17.02.2019) Cytotec 200 mcg 3x/j pendant 5 jours Clexane prophylactique 40 mg 1x/j durant l'hospitalisation • Co-Amoxicilline 2200 mg 3x/j (Dr. X) le 21.01.2019 Changement de sonde avant Urocult, après un premier examen contaminé Du 22.01.2019 au 29.01.2019 : traitement empirique par Tazobac 4.5 mg 3x/j CRP à 168 mg/l le 28.01.2019 motivant un • Scanner thoraco-abdominal du 29.01.2019 Attitude à discuter avec la famille : colloque à organiser Tests de la cognition : MMSE, test de la montre, GDS • Co-amoxicilline 24.02 - 2.03.2019 Consilium infectiologique le 22.02.2019 • Co-Amoxicilline 3 x 1.2 g IV/jour du 08 au 09.02.2019, puis relais per-os à raison de 2 x 1 g/jour jusqu'au 12.02.2019 inclus. Contrôle à la consultation du Dr. X, ORL, le 13.02.2019. • Co-Amoxicilline 40 mg/kg, soit 1 g aux 12h pendant 5 jours Ibuprofène et paracétamol Nasivine spray 0.25% et rinçage du nez Médecine anthroposophique Contrôle chez le pédiatre dans 48h • Co-Amoxicilline 50 mg/kg/j en 2 doses pour 10 jours au total (débuté le 10.02) • Co-amoxicilline 50 mg/kg/j 5 jours Contrôle pédiatre dans 2 jours Consultation urgences si péjoration • Co-amoxicilline 500 mg 3x/jour, 10 jours Contrôle pédiatre dans une semaine Arrêt sport une semaine, pas d'immobilisation Consultation aux urgences si signe d'infection Cas revu au colloque de radio-orthopédie le 28.02 : pas de fracture • Co-Amoxicilline 80 mg/kg/j Antalgiques en réserve Contrôle chez le pédiatre à la fin de l'antibiothérapie • Co-Amoxicilline 80 mg/kg/j en 2 doses Antalgiques en réserve Consignes de réhydratation Contrôle urgences pédiatriques dans 48 heures pour réévaluation clinique • Co-Amoxicilline 80 mg/kg/j en 3 doses pendant 7 jours • AINS • Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures • Explication des signes de gravité qui peuvent amener l'enfant à consulter aux urgences (état fébrile, douleurs oculaires, tuméfaction importante, signes neurologiques) • Co-amoxicilline 80 mg/kg/jour en 3 doses durant 10 jours Contrôle dans 48h chez pédiatre Consignes usuelles cellulite (reconsulter si fièvre ou péjoration œdème/érythème ou douleur oculomotricité) • Co-amoxicilline 80 mg/kg/j en 2 doses pour 14 jours Contrôle pédiatre dans 3 jours Consultation urgence en l'absence d'amélioration pour traitement intraveineux ou intramusculaire US des voies urinaires en ambulatoire • Coeliakie (dès 2010, Inselspital), sous diète • Coeliakie (dès 2010, Inselspital), sous diète. • Coelioscopie avec ablation d'un kyste à droite en 2010 • Coelioscopie pour douleurs sur corps jaune hémorragique droit en 2010 • Coelioscopie pour bilan d'infertilité en 2011 • Deux interruptions volontaires de grossesse en 2010 • Grossesse extra-utérine, salpingectomie gauche sous coelioscopie, en 2011 • Fausse couche spontanée en 2011 • Grossesse extra-utérine, salpingectomie gauche sous coelioscopie, en 2013 • Fausse couche spontanée, après transfert embryonnaire en 2017 • Fausse couche spontanée en 2018 • Fausse couche à 6 semaines d'aménorrhée avec curetage hémostatique avec choc hémorragique. • Malaria dans l'enfance le 08.06.2018 • Infection à chlamydia traitée en avril 2018 • Coeur pulmonaire • ETT 11/2014 : FEVG 60%, PAP estimée à 49 mmHg, dilatation discrète du VD • HTA • SAOS appareillé • BPCO de stade IV B selon Gold, avec/sur : • Syndrome obstructif très sévère • Insuffisance respiratoire sévère sous VNI (20/10) et oxygénothérapie 1.5 lt/min au repos, 2 lt/min à l'effort et 2 lt/min la nuit • Emphysème diffus avec troubles diffusionnels sévères • Tabagisme actif > 60 UPA, stade d'indétermination selon Prochaska pour le changement • CAT score : 24 Douleurs chroniques sur arthrose de l'épaule D (entorse traumatique le 29.10.2015, arthroscopie puis OP le 11.05.2016) Douleurs lombaires sur tassements vertébraux de L2 et L4 et rachis dégénératif • CT scan colonne lombaire natif le 02.08.2018 • Coeur pulmonaire aigu avec dysfonction cardiaque droite sévère le 25.01.2019 Cognitive Impairment am 12.02.19 • MMS 26/30, Uhrentest 3/7 Colchicine 0.5 mg 2x/24h du 05.02. au 10.02.2019 Colectomie anamnestique en 2015, sur polype malin. Contrôles sp. ATCD de 2 césariennes Colectomie partielle ouverte sur cancer du colon dans les années 1970 Hypoglycémie symptomatique le 26.01.2019 avec convulsion aux urgences • sur auto-administration d'Insuline • HbA1c à 7.7% IRA Akin III d'origine rénal sur néphropathie à tazobac versus nécrose tubulaire aiguë sur dépôts de cristaux du tazobac DD: favorisé par une déshydratation le 05.02.19 • FeUrée: 69% • GFR à 18 mL/min (Cockroft-Gault) Colectomie partielle ouverte sur cancer du colon dans les années '70 Colique biliaire sans perturbation des tests hépatiques. Colique néphrétique. Colique néphrétique à gauche le 03.02.2019 sans signes de complications radiologiques. Colique néphrétique à gauche le 18.02.2019. • Calcul de 3x3 mm au niveau de la jonction vésico-urétérale à gauche. • Calcul de 3 mm au niveau du pyélon à gauche. Colique néphrétique D le 28.04.2017 (Dr. X) • pose de JJ le 04.05.17, Dr. Y, Daler • antibiothérapie par céfuroxime Status après amputations DIG IV et V pied droit en 1998 Status après cure de hernie inguinale D en 1991 Status après appendicectomie en 1964 Etat confusionnel aigu d'origine indéterminée le 10.05.2017 avec : • troubles de la marche et de l'équilibre • médicamenteux (céfuroxime depuis 04.05.17) • amélioration spontanée des symptômes après arrêt de céfuroxime et correction de l'IRA • infection urinaire • fécalome et globe urinaire exclus aux urgences Bilan angiologique, déc. 2016 : • athéromatose débutante des bulbes carotidiens, sans sténose significative • médiacalcose et infiltration diffuse au niveau jambier, ddc, mais bonne perfusion ddc Colique néphrétique D le 28.04.2017 (Dr. X) Status après amputations DIG IV et V pied droit en 1998 Status après cure de hernie inguinale D en 1991 Status après appendicectomie en 1964 Etat confusionnel aigu d'origine indéterminée le 10.05.2017 avec : • médicamenteux (céfuroxime depuis 04.05.17) • amélioration spontanée des symptômes après arrêt de céfuroxime et correction de l'IRA Colique néphrétique dans le contexte d'une lithiase urinaire éliminée spontanément le 28.02.2019. Colique néphrétique droite. Colique néphrétique droite avec : • calcul de 4x6 mm au niveau de la jonction vésico-urétérale à droite. • dilatation pyélocalicielle à 10 mm au niveau du rein droit. Colique néphrétique droite en 2008. Dysfonction tubaire bilatérale en février 2011. Plaie complexe de la main droite en octobre 2013 avec : • plaie superficielle P3 DII et V, plaie profonde P3 DIII, amputation partielle P3 DIV • amputation sous-capitale P2 D4 et confection moignon, débridement et suture plaie D2, D3, D5 (opération le 2 octobre 2013). Cure d'hydrocèle droite selon Lord le 06.01.2014. Lombalgies déficitaires le 16.02.2017. Perturbation des tests hépatiques le 16.02.2017. Probable néphrolithiase le 16.06.2017. Elévation des enzymes pancréatiques le 16.06.2017. Hématurie macroscopique dans contexte de : • Maladie de reflux avec pose de sonde vésicale par Dr. Y le 14.12.2018. • Diagnostic différentiel : néphrolithiase récidivante sur vessie de stase. Colique néphrétique droite en 2008. Dysfonction tubaire bilatérale en février 2011. Plaie complexe de la main droite en octobre 2013 avec : • plaie superficielle P3 DII et V, plaie profonde P3 DIII, amputation partielle P3 DIV. • amputation sous-capitale P2 D4 et confection moignon, débridement et suture plaie D2, D3, D5 (opération le 2 octobre 2013). Cure d'hydrocèle droite selon Lord le 06.01.2014. Lombalgies déficitaires le 16.02.2017. Perturbation des tests hépatiques le 16.02.2017. Probable néphrolithiase le 16.06.2017. Elévation des enzymes pancréatiques le 16.06.2017. Hématurie macroscopique dans contexte de : • Maladie de reflux avec pose de sonde vésicale par Dr. Y le 14.12.2018. • Diagnostic différentiel : néphrolithiase récidivante sur vessie de stase. Colique néphrétique droite en 2008. Dysfonction tubaire bilatérale en février 2011. Plaie complexe de la main droite en octobre 2013 avec : • plaie superficielle P3 DII et V, plaie profonde P3 DIII, amputation partielle P3 DIV. • amputation sous-capitale P2 D4 et confection moignon, débridement et suture plaie D2, D3, D5 (opération le 2 octobre 2013). Cure d'hydrocèle droite selon Lord le 06.01.2014. Lombalgies déficitaires le 16.02.2017. Perturbation des tests hépatiques le 16.02.2017. Probable néphrolithiase le 16.06.2017. Elévation des enzymes pancréatiques le 16.06.2017. Hématurie macroscopique dans contexte de : • Maladie de reflux avec pose de sonde vésicale par Dr. Y le 14.12.2018. • Diagnostic différentiel : néphrolithiase récidivante sur vessie de stase. Colique néphrétique droite le 17.08.2016, suivi par le Dr. X. Colique néphrétique droite le 20.02.19. Colique néphrétique droite le 24.02.2019. Colique néphrétique droite le 25.09.2012. Colique néphrétique droite (récidive). Colique néphrétique droite sur calcul de 5 mm de la jonction urétéro-vésicale le 19.03.2015, 2ème épisode. Colique néphrétique droite sur calcul de 7 x 4 mm en 2012. Dépression, versus burn out. Colique néphrétique droite sur calcul urétéral proximal de 8 x 9 mm radio-opaque dans l'uretère moyen droit avec dilatation du pyélon à 2,1 cm, sans liquide libre. Mise en place d'une sonde double J à droite le 14.05.2012. Colique néphrétique droite sur calculs. Colique néphrétique droite. Appendicectomie. Colique néphrétique en 2011. Paresthésie de l'hémicorps gauche d'étiologie inconnue en 2014. Céphalées de tension, versus migraines. Curetage sur fausse couche en 2008. Accouchement par voie basse en 2010 et en 2017. Colique néphrétique en 2014. Corps étranger dans l'œil droit. Gastroentérite virale le 20.02.2017. Colique néphrétique G le 23.02.2019. Colique néphrétique gauche. Colique néphrétique gauche à plusieurs reprises. AVC non daté. Intervention pour le strabisme D. Hémorroïdes Colique néphrétique gauche et droite. • lithiases calicielles des deux côtés dont la plus grande atteint 3 mm et lithiase de la jonction urétéro-vésicale droite de 3 mm. Colique néphrétique gauche le 01.02.2019 avec : excrétion du calcul aux urgences Colique néphrétique gauche le 02/02/19. Colique néphrétique gauche, le 06.02.2019 avec : • lithiase rénale gauche de 5x4x8 mm Colique néphrétique gauche le 11.02.2019. Colique néphrétique gauche, le 12.02.2019. Colique néphrétique gauche le 14.02.2019. Colique néphrétique gauche le 17.02.2019 avec : • persistance des douleurs à la consultation du 18.02.2019. Colique néphrétique gauche le 25.02.2019 avec : • insuffisance rénale aiguë, probablement d'origine post-rénale, sur calcul au niveau de l'uretère proximal gauche. Colique néphrétique gauche (premier épisode de colique néphrétique droite en 2012). Colique néphrétique le 25.10.2017 sur lithiase urétérale de 8x6x5 mm à 4 cm de la jonction pyélo-calicielle. Colique néphrétique récidivante : • status post-colique néphrétique droite en février 2018 avec calcul de 2 mm de diamètre au méat urétéro-vésical droit, en voie d'expulsion, et un calcul de 3 mm, caliciel du rein gauche, sans obstruction des voies urinaires. Colique néphrétique sur calcul urétéral droit. Colique néphrétique sur lithiase urétérale gauche le 06.02.2019. Colique néphrétique sur urétérolithiase gauche le 24.02.2019 • calcul de 3x3x4 mm au niveau de l'uretère distal • calcul résiduel dans le pyélon droit. Colique néphrétique sur urolithiase le 21.02.2019 • calcul de 3 mm au niveau du tiers moyen de l'uretère droit, sans dilatation. Colique néphrétique sur urolithiase le 21.02.2019 • calcul de 3 mm au niveau du tiers moyen de l'uretère droit, sans dilatation Stix et sédiment urinaire CT-scanner abdominal (Dr. X) : lithiase urinaire Choc septique à Entérocoque Faecium per-lithotripsie urinaire le 01.02.2019 • Colonisation urinaire par Candida Krusei • SOFA 7 pts • Pyélonéphrite obstructive gauche aiguë le 03.01.2019 • s/p pyélonéphrite obstructive sur néphrolithiase gauche de 6 mm le 09.12.2018 avec pose de sonde double J le 11.12.2018 (Dr. X), culture d'urine du 09.12.2018 et le 14.12.2018 : Candida krusei S/p Episode dépressif majeur Annexectomie bilatérale pour cystadénofibrome séreux multiloculaire bilatéral des ovaires en 2012 Acromioplastie droite en 2006 Anneau gastrique en 1997 AVC ischémique multifocal (pariétal G, insulaire G et frontal D) d'origine indéterminée le 09.12.2018 : • DD : état hyper-coagulant dans contexte tumoral, cardio-embolique • Symptomatologie : hémisyndrome sensitivo-moteur droit facio-brachial, dysarthrie • Lyse intraveineuse par Alteplase 78.3 mg, débutée à 12h50 le 09.12.2018. • NIHSS à l'admission à 5 points, NIHSS post-lyse à 3 points, NIHSS à 24 h 1 point, NIHSS à la sortie à 0 point. Infection virale des voies aériennes supérieures le 04.01.2019 • contexte d'asthme DD BPCO Hématochézie en petite quantité le 07.01.2019 sur hémorroïde interne Pré-OAP dans un contexte de surcharge post-réanimation liquidienne le 05.02.2019 Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN 2 le 15.02.2019 : • FE Urée 28.9 % Hypomagnésémie Colite. Colite à C. difficile Colite à C. Difficile sans signe de gravité. Colite à Campylobacter spp, DD : diverticulite sigmoïdienne. Colite à Clostridium difficile avec toxine A/B positive le 24.01.2019. Colite à Clostridium difficile le 09.10.2017 Pneumonie du lobe inférieur droit et lobe supérieur droit sur le CT du 18.09.2017 Nausées et hoquet post-chimiothérapie (docétaxel) le 27.10.2018 Vertiges non systématisés d'origine indéterminée Colite à Clostridium Difficile le 15.02.2019 Colite à Clostridium difficile le 25.01.2019 Colite à Clostridium difficile le 25.01.2019. Colite à Clostridium difficile le 31.01.2019 Colite à collagène Hypertension artérielle traitée Diabète non-insulino-requérant type 2 traité Hypercholestérolémie Insuffisance rénale chronique modérée Cardiopathie ischémique mono-tronculaire avec : • Status après mise en place d'un stent sur la coronaire droite pour infarctus (2000) • Test d'effort avec fraction d'éjection ventriculaire gauche à 65 % (2004) Adénocarcinome de la prostate cT1b Nx Mx de découverte fortuite lors d'une résection transurétrale de la prostate pour hyperplasie de la prostate grade II (2004) Consommation d'alcool à risque Goutte intermittente Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Colite collagène • diarrhées récidivantes depuis une année Colite de l'angle du sigmoïde à l'angle spléno-rénale le 28.01.2019 avec : • hypotension orthostatique • insuffisance rénale aiguë Colite inflammatoire, DD : ischémique. Colite inflammatoire traitée par Salofalk. Colite microscopique Colite segmentaire du côlon ascendant au niveau de l'angle hépatique en 2009. Colite infectieuse par Campylobacter en 08.2008. Adhésiolyse et appendicectomie pour iléus le 14.01.2001 à Pristina. Laparotomie exploratrice et résection de 10 cm d'iléon le 17.01.2001. Hydronéphrose bilatérale d'origine indéterminée en 2001. Cellulite naso-labiale droite avec œdème infra-orbitaire droit : antibiothérapie et corticothérapie intraveineuse le 12.03.2010. Gastro-entérite d'origine virale le 30.08.2014. Troubles électrolytiques le 30.08.2014 • hypokaliémie à 3,1 mmol/l • hyponatrémie à 135 mmol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine probablement pré-rénale sur déshydratation le 30.08.2014. Colite ulcéreuse Colloque familial le 31.01.2019 : inscription en EMS Colloque radio-orthopédique du 27.02 : Rx : Fracture Salter II de la base de la phalange proximale du 5ème orteil. Att : Semelle rigide et arrêt de sport 4 semaines, contrôle chez le pédiatre. M. Y Collunosol Spray, Otrivin, Triofan, Brufen 600 mg 3x/J, Dafalgan 1 g 4x/J, Si pas d'amélioration, nous proposons une consultation chez le médecin traitant Collyre gouttes antibiotiques. Consignes de surveillance. Côlon irritable, diagnostiqué en été 2013 Ovaires polykystiques Episode dépressif sévère sans symptômes psychotiques Trouble de la personnalité (Borderline) Difficultés liées à l'entourage immédiat y compris la situation familiale Colonisation bronchique par Staphylocoque doré méthicilline-résistant le 05.02.2019 Colonisation de la néovessie avec Pseudomonas sp. le 12.07.2017 Urosepsis en 2010 sur infection du Port-à-Cath avec explantation de ce dernier Urosepsis avec IRA en 2012 Dilatation à la bougie de l'urètre pénien distal en 2012 Spondylodiscite septique avec spondylodèse lombaire en 2011 AVC ischémique et embolique subaigu gauche avec hémisyndrome D régressif en 2011 Extirpation d'un méningiome frontal en 1990 Insuffisance rénale aiguë de type mixte stade AKIN I le 31.07.2017 • Insuffisance rénale chronique G3 selon KDIGO (eGFR le 12.07.2017 à 50 ml/min selon CKD-EPI) • Probable déshydratation et composante obstructive sur rétention urinaire chronique estimée à 700 ml • Incontinence urinaire nouvelle de regorgement Cystoscopie avec urétrotomie d'une sténose avec pose de sonde urinaire à demeure le 04.08.2017 (Dr. X) Colonisation par MRSA Colonisation par MRSA le 11.02.19 Colonisation positive par les streptocoques du groupe B Colonoscopie Colonoscopie à envisager Physiothérapie ambulatoire/Pilates HFR Aide pour les commissions à l'aide du réseau Gibloux Solidaire CT abdominal à la recherche d'atteinte viscérale comme cause alternative de douleurs refusée par la patiente en hospitalier, à envisager en ambulatoire si nécessaire Colonoscopie à organiser en ambulatoire Contrôle chez le Dr. X : réévaluer indication à Ultibro/modification de l'appareillage Colonoscopie à rediscuter en ambulatoire Colonoscopie agendée le 07.03.2019, la patiente sera convoquée. Consultation pré-anesthésique faite le 27.02.2019 Colonoscopie avec biopsie le 20.02.2019 (Dr. X) Surveillance post-colonoscopie du 20.02 au 21.02.2019 Colonoscopie de contrôle pour une maladie diverticulaire • status post résection iléo-caecale en 2003 • hypoglycémie post colonoscopie en 2003 • épilepsie sur hypokaliémie (probablement sur prise de laxatif) avant une colonoscopie le 28.11.2017 Annexectomie et retrait de la matrice pour ménorragie il y a 20 ans S/p diverticulite opérée Hypokaliémie à 2,6 mmol/L le 28.11.2017 probablement sur laxatifs KCl retard 10 mg dès 30.11.2017 Ablation de kyste mammaire bénin le 08.2018 Colonoscopie de dépistage à prévoir Recherche de complications diabétiques : • Rétinopathie : suivi 1x/an chez l'ophtalmologue (1er rendez-vous pris le 04.03.2019 à 14h30 à l'HFR) • Contrôles podologiques réguliers • Dépistage de néphropathie diabétique avec un rapport micro-albuminurie/créatininurie à distance de l'épisode aigu • Cardiovasculaire : bilan lipidique avec cible LDL cholestérol <1.8 mmol/l et TA <130/80 mmHg Contrôle CT ou IRM abdominal à 1 mois ECG Holter de 48h, posé le 16.04.2019 à 8h Ergométrie et consultation cardiologique le 30.04.2019 à 9h Consultation en endocrinologie le 10.05.2019 à 16h Colonoscopie demandée en ambulatoire (le patient sera convoqué directement) Colonoscopie du 25.02.2019 OGD du 25.02.2019 Surveillance clinique et biologique du 25.02.2019 au 27.02.2019 Colonoscopie élective. Colonoscopie élective avec polypectomie du caecum le 24.01.2019. Colonoscopie élective le 31.01.2019 dans un contexte de suspicion d'hémorragie digestive basse, constipation chronique : • polype colique de 4 mm au niveau sigmoïde (réséqué) • diverticulose colique • hémorroïdes de stade 2 Colonoscopie en ambulatoire le 28.02.2019 : • Le patient sera reconvoqué avec un courrier à domicile et sera hospitalisé la veille pour faire la préparation. Colonoscopie et status post-résection de polype en juin 2014. Cholécystectomie en 2012 pour sepsis sur cholécystite aiguë au CHUV, le 26.11.2012, par Dr. X. Opération d'une diverticulose sigmoïdienne. Erysipèle du membre inférieur droit en 2002. Ulcère gastrique traité conservativement. Thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit en 1998 -> cure des varices. Opération kyste sacro-coccygien 1967. Embolie cérébrale. Néphrolithiase droite. Tuméfaction du scrotum le 09.03.2017 • induration derme scrotal et suintement incolore • status post rasage scrotal pré-coronarographie le 08.03.2017 Laboratoire : pas de sd inflammatoire US : infiltration diffuse oedémateuse, pas d'abcès. RAS au niveau du site de ponction de la coronarographie Avis chirurgical : pas de traitement particulier Consigne de revenir si pas d'amélioration des symptômes Colonoscopie le 31.01.2019 : compliquée par une perforation sigmoïdienne Laparotomie avec résection segmentaire sigmoïde, anastomose descendo-sigmoïdienne manuelle, hémicolectomie droite avec CME, Split stomie colo-iléale, mise en place d'un pansement à pression négative sous-cutané le 31.01.2019 Promed (P2019.1318) : Adénocarcinome du gros intestin, peu différencié Antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl i.v. jusqu'au 11.02.2019 Tumorboard 06.02.2019 : Adénocarcinome peu différencié non métastatique, au vu de l'âge de la patiente surveillance clinique, pas de chimiothérapie VVC jugulaire droite du 31.01.2019 au 11.02.2019 Nutrition parentérale du 03.02. au 10.02.2019 Colonoscopie le 6 mars avec hospitalisation la veille pour préparation colique optimale (la patiente va recevoir la convocation directement). Contrôle clinique et biologique (hémoglobine de sortie à 98 g/L) dans l'intervalle à votre consultation. Comme discuté, pas de reprise de l'anticoagulation selon les recommandations cardiologiques (discuté avec le Dr. X). Coloscopie à distance de 6 semaines à programmer Coloscopie du 01.10.2012 pour LSIL au PAP (HPV HR positif). Status post curetage interrupteur à 8 2/7 SA le 06.03.2013, à 14 SA en 2015. Bronchite asthmatiforme le 08.10.2016. Accident de la voie publique à haute cinétique le 10.10.2016 avec contusion thoracique antérieure gauche et traumatisme crânien simple. Douleur épigastrique le 03.02.2018. Vomissements et diarrhées le 03.02.2018. Abcès pubien gauche de 1.5 cm sur poil incarné le 23.11.2018. Colporraphie antérieure et postérieure le 13.02.2019 Colposcopie programmée pour le 05.03.2019 Coma Coma Coma. coma Coma acido-cétosique sur diabète inaugural • glasgow à 3 aux urgences Coma d'origine x Coma et agitation. Coma hypoglycémique à 1.9 mmol/l le 31.06.2017 : • DD : sur absence d'alimentation, mauvais dosage administré Insuffisance rénale aiguë d'origine probablement mixte en mai 2018 Epistaxis récidivant de la narine gauche le 30.05.2018, le 31.05.2018 et le 05.06.2018 : • Arrêt définitif de Plavix Hémorragie urinaire sur saignement artériel actif dans la vessie le 31.05.2018 : • Polyurie depuis introduction du traitement de Jardiance • Hématurie macroscopique dès le 31.05.2018 avec présence de caillot dès le 01.06.2018 • Notion d'HBP et status post TURP Status post surinfection de plaie du pontage poplité-pédieux gauche le 05.01.2018 : • Prise en charge chirurgicale avec débridements successifs (05.01.2018-16.01.2018) • Biopsie de plaie le 05.01.2018 : Pseudomonas aeruginosa avec antibiothérapie par Ciproxine et Clindamycin du 06.01.2018 au 15.01.2018 • CT le 08.01.2018 : occlusion de l'artère poplitée et du trépied jambier droit. Importante infiltration des parties molles en rapport avec une dermo-hypodermite intéressant le moignon sous-géniculé droit. Sténose subocclusive de la poplitée gauche et défaut d'opacification en aval. Présence d'une petite collection au sein du tissu graisseux sous-cutané de la face médiale de la jambe gauche, mesurant 2 cm étendue sur 5 cm. Infiltration de tissu graisseux sous-cutané sans abcès.Status post eczéma du moignon sur allergie à la Vaseline traité par Sicorten Plus Crème avec schéma dégressif Rétention urinaire le 31.05.2017 Nécrose humide du 3ème et 4ème orteil du pied droit le 10.05.2017 Amputation sous capitale MT5 D, débridement, rinçage le 07.06.2016 Amputation épibasale du 5ème orteil à droite, prise de biopsies le 17.05.2016 Débridement de la plaie du 5ème orteil droit, rinçage et prise de biopsies le 27.05.2016 Bloc périphérique poplitée (Dr. X) pour sympathicolyse périphérique et augmenter le flux sanguin du 25.05.2016 Angioplastie artère tibiale postérieure + artère fibulaire droite (Dr. X) Prurit généralisé sur Xarelto le 25.02.2018 Insuffisance rénale aiguë, AKI I, de type mixte Coma sur décompensation acido-cétosique et hyperosmolaire d'un diabète inaugural le 12.02.2019 • Choc hypovolémique sévère • Acidémie sévère • Oedème cérébral Coma sur décompensation acido-cétosique et hyperosmolaire d'un diabète inaugural le 12.02.2019 • Glasgow à 3 aux urgences • Choc hypovolémique sévère • Acidémie sévère Coma sur probable encéphalopathie septique • réveil prolongé c/o patiente connue pour un s/p HSA Comblement bronchique bilatéral le 13.02.2019 Comilorid mis en suspens Comme déjà discuté lors du dernier contrôle, nous confirmons l'indication à une infiltration facettaire C2-C3 sous CT, à but diagnostique et thérapeutique. Nous avons expliqué à la patiente que ce geste serait réalisé par le Dr. X. Cette dernière souhaite toutefois le rencontrer avant d'accepter notre proposition. Nous avons donc organisé une consultation à cet effet et leur avons d'ores et déjà adressé le bon pour l'infiltration cervicale. Prochain contrôle 3 semaines après l'infiltration. Comme discuté avec le pédiatre et vu l'absence de signes d'appendicite dans l'ultrason et le bilan sanguin rassurant, il peut rentrer à domicile avec des antalgiques et un contrôle aux urgences pédiatriques demain. La mère ne veut pas attendre l'avis du chirurgien. Contrôle du 16.02.2019 (Dr. X, Dr. Y): Les douleurs abdominales sont en amélioration et répondent bien à l'antalgie, il présentait un état fébrile pendant la nuit (la mère n'a pas pris la température) et 2 diarrhées non sanglantes, pas de vomissements. Il a reçu un Algifor hier soir et un Dafalgan à 6:00. Status: afébrile à 36.3°C, bon état général, Cardiologique: B1B2 bien frappé, pas de bruits surajoutés, bien perfusé, temps de recoloration < 2 sec Respiratoire: murmures vésiculaires symétriques, pas de signe de détresse respiratoire Abdomen: bruits abdominaux normaux en fréquence et tonalité, ventre souple, percussion sp, légères douleurs à la palpation de la fosse iliaque droite et gauche et épigastrique, pas de défense ni détente, Rovsing négatif, Psoas négatif, saute indolore L'évolution des douleurs parle en faveur d'une adénite mésentérique. Une appendicite est peu probable. Poursuite du traitement symptomatique, reconsulter en cas de péjoration des douleurs. Comme il a encore une tendance à des pieds adductus à G, on laisse les semelles dures à 3 points dans les chaussures normales. À la maison, il doit marcher pieds nus afin de stimuler le travail du muscle tibialis postérieur. Prochain contrôle dans 4 mois. Comme il n'y a pas de douleur ni de gêne, nous convenons d'une attitude expectative. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Comme je l'ai déjà exposé lors de la dernière consultation, la mise en place d'une prothèse inversée risque d'être mise en danger par le port de 2 cannes anglaises. Le mari de la patiente est plutôt demandeur d'une attitude chirurgicale. De ma part, je reste réticent à proposer un tel geste. Je vais donc d'abord demander un avis auprès de mes collègues, le Dr. X à la clinique générale. Par la suite, on discutera des options thérapeutiques. Je recontacterai la patiente suite au retour du Dr. X. Comme la patiente est encore suivie par nos collègues de Meyriez et qu'elle bénéficie de séances de physiothérapie, nous soulignons la nécessité de faire un traitement de reconditionnement physique d'au moins 2-3 mois suite auquel nous reverrons la patiente. Nous lui expliquons que les douleurs dorso-lombaires sont plutôt liées à la faiblesse musculaire plutôt qu'à des raisons dynamiques de la colonne. Il n'y a donc pas d'inquiétude à avoir. Comme le bilan clinique n'est pas concluant avec une patiente déjà connue à notre service pour une instabilité rotulienne. Nous proposons à la patiente une IRM afin d'exclure une lésion. Décharge avec canne et charge selon douleurs. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 19.02.2019. Prochain contrôle clinique après l'IRM dans 1 semaine. Comme le patient présente toujours une persistance d'impotence de contrôle de la rotation externe même avec le traitement de physiothérapie. L'ENMG confirme les lésions du plexus cervico-brachial de la partie supérieure qui peuvent expliquer l'handicap du patient. Il présente une activation minimum au contrôle clinique du sous-épineux. Au bilan IRM, le patient démontre une trophicité musculaire au niveau du sous-épineux de bonne qualité et de moyenne qualité au niveau du teres mineur. Déjà discuté à plusieurs reprises, l'option serait une transposition du grand dorsal qui amènera à une altération de la mécanique naturelle. D'autre part, il est également possible de faire une raphie des rotateurs externes en les soulevant et en les transposant avec le but de faire une dérotation de l'arc actif des rotateurs externes. Le patient est d'accord avec notre alternative pour une élévation. L'intervention est expliquée avec l'aide d'un consentement éclairé qui est signé par la suite. L'intervention est agendée pour le 28.02.2019. Comme nous remarquons un début d'ossification du ligament longitudinal postérieur confirmé sur l'IRM, nous proposons à la patiente un contrôle en rhumatologie afin d'approfondir la nature de cette pathologie. Nous conseillons à la patiente de prévoir un prochain contrôle dans 2 ans avec une IRM et un scanner de contrôle réalisés au préalable afin d'évaluer la progression de cette pathologie qui ne provoque pas de symptômes spécifiques et ne montre pas de sténose significative. En cas de développement de symptômes neurologiques, nous conseillons à la patiente de prendre contact avec nous plus rapidement. Comme proposé en juillet 2018, nous reproposons au patient de faire un ENMG en regard de ses nerfs médian, radial et ulnaire. Nous rendons attentif le patient au fait qu'un suivi tant médical que chirurgical, pour rester le plus cohérent possible, doit se faire dans l'idéal par le même médecin. Le patient ne souhaitant pas être suivi par le Dr. X, nous reverrons le patient suite à l'ENMG. L'incapacité de travail sera faite par le médecin traitant. Commotion cérébrale Commotion cérébrale. Commotion cérébrale. Commotion cérébrale en 2010. Commotion cérébrale en 2015. Commotion cérébrale sans atteinte neurologique • cervicalgies post-traumatiques • trace de griffures érythémateuses sur le scalp Commotion cérébrale suite à un accident de la voie publique le 10.02.2019 Commotion cérébrale sur accident de la voie publique avec coup de lapin le 10.02.2019. Commotion cérébrale sur chute à cheval le 23.06.2013. Commotion cérébrale sur chute de sa hauteur le 04.02.2019 • Canadian CT head rule : 0 point. Commotion cérébrale. Contusion de l'épaule gauche. Contusion cervicale. Communication interauriculaire de naissance avec : • opération de fermeture, 1961 • foramen ovale, ouvert avec shunt modéré, BAV complet intermittent alternant avec BAV 1er 2° BAV nodal se corrigeant sous Atropine. Pas de conduction rétrograde, 1987 Communication interauriculaire mise en évidence fortuitement en 2012. Cancer du sein gauche avec: • status post mastectomie gauche et reconstruction le 19.11.2016 • chimiothérapie par Farmorubicin / Endoxan (1ère cure du 07 au 19.12.2016, 2ème cure débutée le 27.12.2016) • suivi par Dr. X. Communication interventriculaire (CIV) péri-membraneuse, fermeture par patch de xénopéricarde le 29.01 au CHUV avec Annuloplastie valve tricuspide et fermeture directe d'un foramen ovale perméable (FOP) Communication interventriculaire opérée il y a 20 ans. Communication interventriculaire péri-membraneuse de petite taille le 22.01.2019 • de probable origine congénitale (localisation sous-aortique) Communication interventriculaire péri-membraneuse de petite taille le 22.01.2019, de probable origine congénitale (localisation sous-aortique) Hypercholestérolémie Communication résultats le 03.03.2019 à 15h00 Community-Acquired Pneumonia, CRP minus 65, minus Score: 1 von 4 Punkten. Compensation des pertes d'urines par la sonde à compenser per os (expliqué au patient). Culture d'urine : à pister. Rendez-vous chez son médecin traitant le 04.02.2019 avec contrôle laboratoire de la fonction rénale et kaliémie. Rendez-vous chez un urologue dans les meilleurs délais, le patient ne souhaite plus être suivi par Dr. X. Complément bilan avec TSH et folates/B12 Complément d'anamnèse: pas de selles décolorées ni d'urines foncées. Suivi en place pour ictère chez pédiatre (DD: sur lait maternel) Nouvelle crise de pleurs en consultation, mise au sein avec tétée vigoureuse Compléments Compléter le bilan oncologique par un CT abdominal Complication de colique néphrétique le 09.02.2019 • calcul 4x3x5 mm dans l'uretère lombaire gauche à la hauteur L3-L5 Complication transfusionnelle après le 2ème culot érythrocytaire le 31.01.2019 avec état sub-fébrile à 38.2°C. Compresses, bas de compression, Xyzal. Compresses pour maintenir l'hémorragie. Régime riche en fibres. Consultation chez le médecin traitant ou aux urgences en cas de non-amélioration ou de péjoration du saignement. Compression bande élastique, antalgie, glace, arrêt sport une semaine Compression élastique classe II Avis angiologique (19.02.2019) : varices à traiter par sclérothérapie ; si la plaie persiste, discuter d'un TTT par LASER endoveineux Rendez-vous en angiologie le 11.03.2019 pour sclérothérapie échoguidée Compression manuelle. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. Pansement simple et recommandations d'usage. Compression médullaire niveau T4 dans le contexte du diagnostic principal avec : • dorsalgie et signe de Lhermitte • globe urinaire sans hypoesthésie en selle le 18.11 et 04.12.2018 • déficit moteur du membre inférieur droit et hyper-réflexie des membres inférieurs du 04.12. au 21.12.2018, actuellement résolus Avis orthopédique Team-Spine : radiographie de la colonne dorsale le 18.01.2019 Avis orthopédique Team-Spine (Dr. X) : pas de kyphoplastie aiguë. Refaire une radiographie colonne dorsale à un mois (semaine du 28.02.2019), avec un avis orthopédique du team-Spine. Sonde urinaire du 18.11 au 27.11.2018. Sonde urinaire du 04.12 au 20.12.2018. Compression médullaire niveau T4 sur invasion de la vertèbre par un lymphome B avec : • dorsalgie et signe de Lhermitte • globe urinaire sans hypoesthésie en selle le 18.11 et 04.12.2018 • déficit moteur du membre inférieur droit et hyper-réflexie des membres inférieurs du 04.12. au 21.12.2018, actuellement résolus Compression méniscale interne G Compression nerveuse au niveau du bras gauche avec paresthésies de l'avant-bras par la suite. Compression post-traumatique du nerf interosseux postérieur à G. Compression veineuse du membre supérieur droit : • sur port d'un Rucksack sur fracture non déplacée du tiers moyen de la clavicule. Comprimé de Cefuroxime réduit en poudre pour 200 mg et donné dans compote, prise sans problème. Compte tenu de la clinique d'instabilité et de la lésion mise en évidence par l'IRM du 14.12.2019, nous lui expliquons les options chirurgicales soit une plastie d'augmentation du ligament talo-fibulaire antérieur par flap périosté fibulaire. Il est informé des risques et des bénéfices de l'intervention à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Compte tenu de la lésion de Chopart, nous l'immobilisons dans un Vacoped avec une décharge. Arrêt de travail pour 7 semaines. Prescription de Clexane. Nous la reverrons dans 7 semaines pour un contrôle clinique. Compte tenu de la morphologie de la fracture et de son déplacement, on retient effectivement l'indication opératoire. Le patient est clairement informé sur cette indication, sur le déroulement, sur les bénéfices et les risques. Il signe le consentement éclairé. L'intervention est prévue le 15.02.2019. Compte tenu de la persistance des douleurs et de l'échec du traitement par syndactylie entrepris par la patiente elle-même, comme les symptômes durent depuis 1 année, on retient l'indication opératoire susmentionnée. La patiente est clairement informée sur les bénéfices et les risques liés à l'intervention. Elle signe le formulaire de consentement. L'intervention est prévue pour le 05.03.2019. Compte tenu de la récidive des douleurs, nous lui proposons une nouvelle infiltration. Elle est inquiète concernant les éventuels effets secondaires de cette seconde infiltration et reçoit les informations nécessaires. Nous la reverrons 2 semaines après ce geste pour un contrôle clinique. Compte tenu de la stabilité à l'examen clinique, on effectue un test de marche sous protection d'une bande élastique. La patiente continue à avoir des difficultés à charger et une forte appréhension, raison pour laquelle on remet le plâtre. On la reverra dans 3 semaines pour un contrôle clinique hors plâtre. Compte tenu de l'âge et de la nature des douleurs, nous excluons une origine cardiaque ischémique. Le laboratoire revient dans la norme, tout comme l'ECG. La patiente est traitée par antalgiques et peut rentrer à domicile. Compte tenu des examens susmentionnés, nous retenons comme diagnostics un état grippal d'origine virale et une infection urinaire haute. La patiente est traitée pour cette dernière par Ceftriaxone en ordre unique, relayée par Ciprofloxacine per os, et une culture urinaire est prélevée. Elle reviendra à la filière des urgences ambulatoires d'ici 3 jours pour contrôle clinique et adaptation de l'antibiothérapie selon antibiogramme. Compte tenu des symptômes qui durent depuis plusieurs mois, nous lui proposons une cure d'ongle incarné selon Kocher. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Compte tenu du caractère articulaire, du raccourcissement et du déplacement, on a retenu l'indication pour une réduction ouverte et ostéosynthèse. On envisage d'effectuer cette intervention le 15.02.2019 en ambulatoire. La patiente est clairement informée sur l'indication, le déroulement de l'intervention, les bénéfices et les risques. Elle nous donne son accord par écrit. Compte tenu d'une situation stagnante chez une patiente qui est inquiète quant à sa capacité de travail future, compte tenu de l'échec du traitement conservateur, on propose à la patiente une cure chirurgicale par arthrodèse et implantation de Pip tree assortie d'une plastie d'allongement du tendon du long extenseur. La patiente est clairement informée sur les bénéfices et les risques de cette intervention, en particulier du risque infectieux, compte tenu des antécédents. Elle accepte cette prise de risque et signe le consentement éclairé. L'intervention est prévue pour le 02.04.2019. L'arrêt de travail à 67% est prolongé pour une durée d'un mois.Concentré érythrocytaire Suivi clinique et biologique Concernant la fracture, Mr. Y présente une guérison de celle-ci avec une application axiale et mouvement rotatoire sans douleur. Il a une épaule rigide nécessitant de la physiothérapie. D'autre part, concernant le nerf ulnaire, nous proposons un bilan approfondi fait par nos collègues de la neurologie avec un consilium additionnel concernant sa péjoration au niveau des troubles neuropathiques des 2 membres inférieurs. Après bilan ENMG et neurologie, nous prions nos collègues du team rachis de convoquer Mr. Y vu qu'il souhaite un suivi à l'HFR concernant ses douleurs persistantes et légèrement progressives. Nous reverrons Mr. Y après toutes les consultations pour un contrôle clinique. Continuation de physiothérapie et d'ergothérapie pour le nerf ulnaire. Concernant la main droite, nous proposons de poursuivre encore une dernière session de séances d'ergothérapie et Mme. Y doit faire les exercices elle-même. Au niveau de la main gauche, elle présente un doigt à ressaut au niveau du 3ème rayon qu'on propose pour l'instant de traiter par une infiltration avec de la cortisone. Pour la symptomatologie du tunnel carpien à gauche, nous referons un ENMG pour confirmer le diagnostic. Nous reverrons Mme. Y dans 3 mois pour discuter les résultats et planifier la suite de la prise en charge. Elle souhaite faire un cure Dig III et le tunnel carpien à gauche car elle doit chercher un nouveau poste de travail fin octobre de cette année et aimerait être prête pour ça. Concernant la névralgie, il rapporte une évolution lentement favorable par le biais de l'ergothérapie et de la physiothérapie. Il a d'ailleurs refusé l'infiltration proposée par Dr. X lors de la consultation en antalgie le 13.02.2019. Nous lui donnons une nouvelle ordonnance pour l'ergothérapie et la physiothérapie. Concernant l'arthropathie de la coiffe débutante et au vu des douleurs, nous l'adressons au team membre supérieur pour la suite de la prise en charge. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au 11.03.2019. Concernant la PTH D, contrôles réguliers de la plaie opératoire au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14; fils résorbables. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. puis, à la sortie relais p.o. par Xarelto 10 mg 1x/j jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôle rx-clinique à la consultation de Dr. X à 6 semaines. Concernant le pied D pour le syndrome de Morton, nous proposons la confection d'une semelle avec appui rétro-capital avec bandelettes et pour la fasciite plantaire G, poursuite du stretching et port d'une talonnette en silicone. Elle sera revue d'ici 2 mois. Concernant le poignet G, l'évolution est tout à fait favorable. Mr. Y est asymptotique. Il présente déjà une mobilité quasi-complète. Concernant la hanche G, le contrôle radiologique du jour montre une vis céphalique qui semble être légèrement sortie par rapport au cliché précédent. Toutefois, Mr. Y n'est pas symptomatique. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Concernant le pouce, poursuite du traitement conservateur comme instauré avec un contrôle le 20.03.2019. Concernant le Dig V de la main G, persistance d'un flexum résiduel. L'US effectué dans l'intervalle permet de confirmer des tissus au niveau des tendons extenseurs sur toute la longueur. On peut tenter d'espérer une guérison complète, éventuellement avec flexum résiduel. Pour limiter celui-ci, je propose de garder l'attelle pendant 6 semaines encore. Mme. Y est d'accord avec ce procédé. Concernant le surf (aquatic), Mme. Y est autorisée à en pratiquer. Étant également pratiquante de kitesurf, nous lui conseillons pour cette dernière activité de ne reprendre qu'à partir de 9 mois postopératoires. Mme. Y partant voyager durant plusieurs mois, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Concernant le tendon d'Achille, l'évolution est très favorable. Il va continuer la physiothérapie avec du renforcement musculaire. Concernant le pied G, poursuite de la physiothérapie avec US pour traiter la fasciite plantaire. Les douleurs qu'il décrit comme des piqûres d'aiguille sont probablement liées à un syndrome du tunnel tarsien. Cliniquement, nous n'arrivons pas à provoquer ces douleurs. Nous lui prescrivons un Achillotrain Pro afin de voir si nous pouvons améliorer la situation. Il va tester le soir, au niveau du tunnel tarsien, afin de voir s'il arrive à provoquer un Tinel positif. Nous le reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Concernant l'épaule, poursuite du traitement conservateur avec physiothérapie. Concernant la rhizarthrose D, j'organise une infiltration. Sur les clichés standards du jour, l'articulation est assez plate. Une perte de hauteur cartilagineuse et ostéophytose avec légère subluxation. Il faudra suivre l'évolution après infiltration. Concernant les douleurs costales D avec irradiation para-dorsale D qui ont été atténuées par une infiltration, nous ne trouvons pas d'explication à l'imagerie. Nous suspectons plutôt une irritation d'un nerf intercostal. À noter également une posture scoliotique, ce pourquoi des séances de physiothérapie pour correction posturale sont prescrites. Nous ne proposons pas d'autre traitement pour le moment. Concernant la colonne cervicale, nous organisons une IRM à la recherche d'une compression voire sténose pouvant expliquer la symptomatologie. Nous complétons également les investigations par un examen neurologique à la recherche de signe pour une maladie rhumatismale. Prochain contrôle à la suite de ces examens. Concernant les fourmillements dans le mollet D, nous remarquons que l'attelle que porte Mme. Y semble très serrée. Nous lui proposons donc de la faire régler voire élargir chez son orthopédiste. Nous lui proposons également de la physiothérapie avec TENS pour le trajet du SPE à D. Pour les douleurs lombaires nouvelles, nous organisons un CT scan à la recherche d'une instabilité secondaire, les facettes articulaires demeurant les derniers éléments osseux de la stabilité de sa colonne lombaire. Dans l'intervalle, prescription de nouvelles séances de physiothérapie pour renforcement de la musculature du rachis. Prescription également de Lyrica 25 mg 3x/jour pour les fourmillements mal systématisés. Contrôle clinique à la suite du CT dans 3 à 4 semaines. Concernant les vertiges, l'examen clinique ne nous permet pas de suspecter une atteinte vestibulaire de type cupulolithiase ou névrite et nous n'envisageons pas d'investigation supplémentaire ce jour. Nous proposons à Mme. Y un rendez-vous ORL en ambulatoire pour investiguer cette hypoacousie décrite ce jour, nous proposons aussi un bilan biologique plus approfondi chez le médecin traitant comprenant un bilan vitaminique complet ainsi qu'une TSH. Concernant l'insuffisance rénale, Mr. Y qui est lui-même médecin pense que c'est dans un contexte prérénal puisqu'il s'hydrate mal et aurait perdu beaucoup de liquide. Mr. Y serait connu pour une anémie chronique asymptomatique. Mr. Y qui est connu pour un prostatisme n'arrive pas à uriner lors de son séjour aux urgences, ce qui ne nous permet pas de dire si l'insuffisance rénale est prérénale ou postrénale. Concernant l'opération, l'évolution est favorable et nous procédons à l'ablation des fils. Concernant l'arthrose de la cheville D, l'évolution est plutôt favorable. Nous lui expliquons les options en cas de péjoration des douleurs à savoir arthrodèse vs prothèse totale. Nous lui expliquons toutefois que la prothèse est à éviter chez lui en raison des antécédents infectieux. Nous le reverrons dans 6 mois pour un contrôle radioclinique en charge. Reprise du travail à 100%.Concilium hematologique (Dr. X) Konakion Suivi biologique Concilium psychiatrique Ecitalopram 5 mg 1x/j du 07.02 au 13.02.2019 puis 10 mg 1x/j Condensation pleurale droite non répondant au CO AMOXICILLINE le 25/02/19 DD Néoplasie pulmonaire DD Pneumonie nosocomiale non sévère Confection ce jour d'un plâtre AB circulaire. Vue que la fracture a présenté un déplacement secondaire, nous referons un bilan radioclinique dans 1 semaine pour s'assurer qu'il n'y a pas d'accentuation de la bascule. Confection de plâtres redressant ce jour. Nous la reverrons dans 1 semaine pour de nouveaux plâtres. Confection de plâtres redressant. L'intervention est prévue pour le 01.03.2019. Confection d'un nouveau plâtre AB fendu pour une durée totale de 1 mois. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique et ablation du plâtre à 1 mois de l'accident soit le 20.03.2019. Confection d'un nouveau plâtre circulaire avec surélévation du bord externe de 1 cm. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines avec ablation du plâtre. Dans l'intervalle, arrêt de travail à 100%. Confection d'un pansement avec désinfection à la Bétadine, Bétadine tulle, compresse et bandage. Ce pansement est à changer tous les jours. Prochain contrôle clinique dans 1 semaine. Confection d'une semelle adaptée par les techniciens orthopédistes qu'elle devra porter de plus en plus. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 1 mois. On prolonge l'arrêt de travail jusqu'à fin mars 2019. Elle doit continuer la physiothérapie. La patiente pourra reprendre son travail à temps partiel en avril. Conflit au niveau dorsal de la MTP I à droite avec une flexion dorsale de l'ostéotomie de 17° sur • Status post cure d'hallux valgus en mini invasif ddc le 7.11.2017. Conflit fémoro-acétabulaire de type cam, hanche D. Lombalgies sur discopathie L5-S1. Syndrome sacro-iliaque ddc. Conflit fémoro-acétabulaire hanche D Conflit fémoro-acétabulaire type piston grip ddc Conflit sous-acromial à droite. DD : tendinose chronique de la coiffe. Conflit sous-acromial droit DD ostéoïde ostéome à droite Conflit sous-acromial, épaule D sur arthrose AC hypertrophique avancée et symptomatique, avec lésion partielle non transfixiante du sus-épineux. Éventuelle lésion SLAP type V. Status après infiltration sous-acromiale le 18.5.2018. Status après infiltration articulation AC D le 15.6.2018. Status après infiltration de l'articulation AC droite le 14.12.2018. Conflit sous-acromial épaule gauche d'origine inconnue. Conflit sous-acromial épaule gauche sur status post fracture 3 parts de l'humérus proximal gauche le 29.01.2017. Gonalgies gauches post-traumatiques. Status post infiltration sous-acromiale de l'épaule gauche le 25.01.2019. Conflit sous-acromial et lésion partielle de l'intervalle des rotateurs à l'épaule droite le 31.01.2013 traité par AS épaule droite, acromioplastie par v. arthroscopique et bursectomie sous-acromiale, suture de l'intervalle des rotateurs par v. arthroscopique (OP le 31.01.2013). Entorse genou gauche en 2009. Distorsion cervicale grade II avec suspicion d'une lésion disco-ligamentaire et protrusion discale postérieure au niveau C4-C5, C6-C7, en 2004. Opération orteils en marteau il y a plusieurs années. Salpingite. Appendicectomie. Conflit sous-acromial gauche avec rupture partielle du sus-épineux de l'épaule gauche Status post 2 infiltrations sous-acromial gauche, la dernière le 04.12.2018. Arthropathie AC gauche. Confusion. Confusion aigüe DD OH chronique dd Délirium des SI Conisation au laser leep et curetage endocervical le 20.02.2019 Conisation LEEP avec curetage endo-cavitaire le 13.02.2019 Examen anatomo-pathologique des pièces opératoires Conjonctivite Conjonctivite aigue Conjonctivite aux deux yeux le 30.01.2019 Conjonctivite bactérienne gauche. Conjonctivite bactérienne, œil gauche. Conjonctivite bilatérale Conjonctivite bilatérale virale Conjonctivite bulbaire et palpébrale à gauche le 10.02.2019 avec: • anamnèse de retrait impossible de la lentille de contact souple. • pas de visualisation de lentille de contact à l'examen clinique. Conjonctivite bulbaire œil gauche sur sève d'Euphorbia le 10.02.2019. Conjonctivite de l'œil gauche et de l'œil droit. Conjonctivite de l'œil gauche le 24.02.2019. Conjonctivite débutante Conjonctivite droite Cellulite orbitaire gauche débutante (15.02.13) Conjonctivite gauche Conjonctivite infectieuse Conjonctivite infectieuse probable Conjonctivite irritative gauche Conjonctivite non compliquée de l'œil gauche (DD : bactérienne, virale). Conjonctivite œil gauche. Conjonctivite probablement bactérienne Conjonctivite probablement bactérienne de l'œil droit. Conjonctivite probablement virale Conjonctivite purulente bilatérale, DD : bactérien, DD : viral Conjonctivite réactionnelle post-traumatisme gauche Conjonctivite surinfectée bilatérale Conjonctivite virale Conjonctivite virale bilatérale Connectivite mixte Connectivite mixte avec • Bilan auto-immun: Anticorps anti SS-A, anti SS-B, anti dsDNA, anti-C1q positifs • Anciens traitements : Plaquenil® stoppé en raison d'intolérance, MabThera® en 2013 insuffisant pour les arthralgies, Imurek® stoppé en raison de cytolyse hépatique, Actemra® de 2014 à 2018 stoppé car inefficace Atteinte d'organes: • Phénomène de Raynaud secondaire • Capillaroscopie en 2012 • Syndrome de Sjögren Biopsie glandes salivaires en 2013: score IV d'après Chisholm-Mason • Cryoglobulinémie Polyarthrite • Cutanée: Atteinte sclérodermiforme Biopsie cutanée en 2013: ulcère prétibial gauche compatible avec une sclérodermie systémique • Rénale: Néphrite lupique stade II en mars 2013 non évolutive en 2016 Biopsie en 2016: sclérose glomérulaire 9%, fibrose interstitielle 10% • Pulmonaire: Fonctions pulmonaires complètes en 03.2017 normales. Capacité du CO et hémoglobine légèrement abaissée à 67%, stable par rapport aux fonctions pulmonaires de 2015. Légère hypoxémie avec PaO2 à 9,4 kPa. • Hépatique: perturbation chronique des tests hépatiques Biopsie 10.2017: stéatose hépatique 10% sans signe de fibrose • Cardiologique: Contrôle en 04.2017: évolution stable, ventricule gauche hypertrophié avec dysfonction diastolique nouvelle sur probable hypertension artérielle incomplètement traitée. Poursuite du traitement actuel: Prednisone 20 mg. Connectivite mixte sous Plaquenil Diabète de type 1 Connu pour épilepsie au Portugal avec arrêt de traitement il y a 13 ans. Connu pour une communication intra-atriale et anévrisme de la valve du foramen ovale Status post flutter atrial (traité par pacing) Connue pour asthme, antécédents de bronchite spastique sévère. Connue pour bronchite obstructive à répétition (plusieurs par année) sans traitement de fond et sans jamais nécessiter d'hospitalisation. Pas de prise médicamenteuse. Pas d'animaux à domicile, tabagisme passif maternel. Connue pour bronchites spastiques. Connue pour constipation traitée par Transipeg. Connue pour le reflux, épaississant depuis 3 semaines. Acc : provocation à 36 5/7 SA, poids 2450 g, AVB, bonne adaptation. Connue pour multiples épisodes de bronchites obstructives avec s/p 3 hospitalisations pour bronchite obstructive O2-dépendante. Pas de traitement de fond, médecine anthroposophique si symptômes pour bronchite. Pas d'allergies, pas d'anamnèse familiale d'asthme, chat présent depuis ses 1 an, pas de tabagisme passif. • Conseil, attestation, ordonnance. • Conseil aux parents d'augmenter les visites de l'infirmière à domicile. • Conseil de reconsulter si difficultés respiratoires. • Conseil de trouver le pédiatre en Suisse rapidement. Contact de Dr. X transmis aux parents pour suivi pédiatrique. • Conseil d'hydratation. • Conseil d'hydratation fractionnée et de la cible de 350 ml/j plus compensation des pertes. Reconsulte si hydratation insuffisante. • Conseil diététique et perte pondérale. • Conseil diététique. Alimentation entérale par sonde nasogastrique dès le 04.02.2019. Substitution électrolytique. • Conseil diététique. Attitude : • mise en place suivi diététique en même temps que suivi en diabétologie. • Conseil diététique. Nutrition entérale initiale puis suppléments nutritifs oraux. • Conseil diététique. Nutrition entérale puis supplément nutritifs oraux. • Conseil diététique. Nutrition parentérale depuis le 31.01.2019. Réalimentation progressive par voie orale dès le 11.02.2019. Substitution électrolytique. • Conseil diététique. Nutrition parentérale depuis le 31.01.2019. Substitution électrolytique. • Conseil diététique. Nutrition parentérale et sonde naso-jéjunale durant hospitalisation. Substitution électrolytique i.v, par SNJ et p.o. Séjour aux soins intensifs pour correction électrolytique du 22.01.2019 au 23.01.2019. • Conseil d'usage. Prescription de Sulgan dans le contexte d'hémorroïde interne. Conseil de réévaluer avec médecin de famille si recrudescence des symptômes. • Conseil et adaptation diététique. Suppléments nutritifs oraux. • Conseil et traitement diététique, au moins 2 unités de traitement. • Conseil et traitement diététique. Nutrition entérale par SNG (c.f. Diagnostic 2). • Conseil et traitement diététique. Suppléments nutritifs oraux. • Conseil et traitement diététiques. • Conseil et traitement diététiques. • Conseil et traitement diététiques. • Conseil et traitement diététique. Suivi glycémies. Pose PICC Line le 28.01.2019. Transit intestinal le 28.01.2019. Nutrition entérale par sonde naso-jéjunale du 12.01 au 05.02.2019. Nutrition parentérale par PICC Line dès le 28.01.2019. Duspatalin (poursuivi à la demande de Mme. Y). Ulcar du 23.01 au 28.01.2019. Alucol du 28.01 au 09.02.2019. Majoration Pantoprazole du 25.01 au 10.02.2019. Buscopan du 01.02 au 05.02.2019. Consultation auprès de Dr. X, nutritionniste et la diététicienne prévue le 04.03.2019 (lors de la chimiothérapie). • Conseil phytothérapie pour la maman si même symptôme à la demande du papa. • Conseil pour arrêter le saignement. • Conseils au patient en cas de récidive de se moucher avec tête penchée en avant avec compression supérieure de 5-10 minutes, puis compresses d'eau froide dans la nuque. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des symptômes avec contrôle des tensions artérielles et discussion d'un suivi des tensions à domicile. • Conseils d'alimentation. • Conseils de déshydratation. • Conseils de réglages alimentaires (horaires fixes) pour tenter de réguler l'inconfort. Contrôle clinique vendredi 22.02.19, avant si péjoration (augmentation de la quantité de sang, diminution de la prise alimentaire ou de l'état général). • Conseils de soins dermatologiques au niveau du cuir chevelu. • Conseils de surveillance et consignes de reconsultation données. • Conseils de surveillance et consignes de reconsultation données à la sortie. • Conseils d'hydratation. • Conseils d'hydratation. • Conseils d'hydratation. • Conseils d'hydratation. • Conseils d'hydratation et alimentation. Movicol à revoir avec le pédiatre à la fin du schéma. • Conseils d'hydratation. Algifor pour 2 jours. • Conseils d'hydratation. Cô si péjoration. • Conseils d'hydratation. Reconsulter si : • péjoration de l'état général. • diminution de la miction, absence de larmes, fontanelle creuse. • plus de pertes que d'apports. • Conseils d'hygiène de vie (pas de café, pas d'alcool) donnés. En cas de péjoration clinique, reconsulter. • Conseils diététiques. • Conseils donnés à la maman concernant les signes d'alerte à la maison. Suivi par le pédiatre. • Conseils d'usage. • Conseils d'usage en cas de récidive (mouchage, compression, application de glace). • Conseils d'usage. Pas de contrôle nécessaire si évolution favorable. • Conseils et informations sur les douleurs neurogènes post-opératoires. Antalgie simple. Recommandation de reconsulter si état fébrile, frissons et/ou troubles digestifs. Suite de prise en charge à la consultation de douleurs neurogènes à la Clinique Générale. • Conseils et traitement diététique. • Conseils et traitement diététique. • Conseils et traitement diététique. • Conseils et traitement diététique. • Conseils et traitement diététique. Avis Dr. X (service de neurologie HFR) : • Mestinon 15 mg 6x/jour, non toléré par Mme. Y. • majoration de la Prednisone, refusée par Mme. Y. Avis Dr. X (Service de neurologie CHUV). Avis/proposition des neurologues de garde de l'HFR Fribourg le 21.01.2019 en l'absence de signe de décompensation de myasthénie gravis : • majoration de la Prednisone de 5 mg/semaine jusqu'à 20 mg/semaine au total avec protection gastrique et protection de l'ostéoporose, refusée par Mme. Y. • instauration d'un traitement de Methotrexate, en réflexion. • instaurer un suivi psychologique en ambulatoire, refusé par Mme. Y. • une demande pour un traitement par immunoglobuline a été faxée à l'assurance ce jour. • maintenir la consultation au CHUV en neurologie le 27.02.2019. Dr. X se tient à disposition si besoin dans l'intervalle pour un avis neurologique. Bilan dysphagie chez l'ORL (Dr. X) le 18.02.2019 à 16h30. Tests des fonctions pulmonaires chez le pneumologue (Dr. X) le 18.02.2019 à 08h00. • Conseils et traitement diététiques. • Conseils et traitement diététiques. • Conseils et traitement diététiques. • Conseils et traitement diététiques. • Conseils et traitement diurétique. • Conseils hydratation, augmenter la fréquence. Traitement symptomatique. Médecine anthroposophique. Contrôle chez le pédiatre dans 48h si persistance des symptômes. Reconsulter avant en cas de difficultés respiratoires ou si diminution de l'alimentation < 500 ml/j. • Conseils pour arrêter l'épistaxis si récidive. Retour à domicile. • Consentement pour une réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos. • Consigne de bien s'hydrater. Contrôle créatinine 11.02.19. • Consigne de s'hydrater, contrôle chez médecin traitant. • Consignes à discuter lors du contrôle prévu le 22.02 (mère rappelée le 21.02 pour donner les consignes mais numéro non attribué). • Consignes alimentaires. Antalgiques. • Consignes de surveillance plâtre. Ortho-urgence dans 7-10 jours pour circularisation. Arrêt sport. • Consignes de déshydratation/détresse respiratoire répétées. Contrôle dans 24h aux urgences. Frottis coqueluche en cours depuis la veille. • Consignes de fractionnement alimentaire. Diminution des quantités alimentaires. Consignes de reconsulter si sang dans les selles ou douleurs thoraciques/abdominales ou vomissements Consignes de réhydratation à domicile Consignes de réhydratation Consignes alimentaires • Consignes de réhydratation en détails • Altération de l'état général ou refus de réhydratation: consultation aux urgences • Contrôle chez le pédiatre dans 72 heures si diarrhées persistantes Consignes de réhydratation Gazométrie Bilan urinaire Contrôle urgences pédiatriques dans 24 heures Consignes de surveillance Consignes de surveillance Consignes de surveillance Consignes de surveillance à domicile Consignes de surveillance à domicile Consignes de surveillance à domicile Antalgiques en réserve Consignes de surveillance à domicile Antalgiques en réserve Arrêt des sports/écrans pendant 1 semaine Arrêt école pendant 24 heures Consignes de surveillance à domicile Consignes pour soutien pédopsychologique si besoin Consignes de surveillance bien expliquées Consignes de surveillance des signes de détresse respiratoire, contrôle si péjoration Consignes de surveillance données aux parents Consignes de surveillance données aux parents Contrôle clinique chez le pédiatre si persistance de douleurs Consignes de surveillance données aux parents Consignes de surveillance données aux parents Consignes de surveillance données aux parents Consignes de surveillance données aux parents Consignes de surveillance données aux parents Consignes de surveillance données aux parents en rapport avec une éventuelle inhalation de corps étranger Contrôle clinique chez le pédiatre si péjoration Consignes de surveillance neurologique post-traumatisme crânien transmises (feuille donnée). Antalgie déjà à domicile. Consignes de surveillance TC expliquées Consignes de surveillance Toilettes nasales Nasivine goutte Consignes de surveillance Ablation des fils chez le pédiatre dans 5-7 jours Consignes de surveillance Conseil d'appliquer lavande si nécessaire, air froid si nécessaire Consignes de surveillance Contrôle dans 72 heures Consignes de surveillance Suivi chez le pédiatre Consignes de surveillance Suivi chez le pédiatre si besoin Consultation urgences si péjoration sur le plan respiratoire Consignes de trier les selles pendant 7 jours Reconsulter si vomissements verts, douleurs abdominales, méléna, sang dans les selles Consignes d'épistaxis Consignes des mesures à prendre en cas d'épistaxis Consignes d'hydratation données Consignes d'hydratation fractionnée Consignes de surveillance de son état d'hydratation et consultation si besoin Consignes données pour surveillance à domicile Consignes d'usage avec contre-indication des rapports sexuels sur 3 semaines, pas de tampons, pas de bains pendant 1 mois. Contrôle à la consultation du Dr. X le 20.02.2019. Consignes et feuille TC données Consignes et feuille TC données Consignes et feuille TC données Consignes et feuille traumatisme crânien données Consignes et feuille traumatisme crânien données Paracétamol en réserve Contrôle dans 48 heures chez le pédiatre Consignes habituelles Consignes habituelles Consignes habituelles Consignes habituelles, contrôle chez le pédiatre dans la journée qui est déjà prévu Consignes habituelles, contrôle chez le pédiatre lundi ou consultation aux urgences sur le weekend si nécessaire Consignes habituelles de surveillance Consignes habituelles de surveillance post-traumatisme crânien Consignes habituelles de surveillance respiratoire et alimentaire Contrôle pédiatre dans 48h-72 heures Consignes habituelles pour le faux croup Consignes habituelles Consultation si péjoration clinique Consignes habituelles Contrôle chez le pédiatre dans 1-2 jours Consultation aux urgences si péjoration clinique Consignes habituelles Huile de lavande au besoin Consignes pour soutien pédopsychologique si besoin Consignes de réhydratation Antalgiques en réserve Consignes de réhydratation Consignes alimentaires Antalgiques en réserve Consignes de réhydratation et alimentaires Antalgiques en réserve Consignes usuelles (couper ongles, éviter gratter, pas d'AINS, contagiosité notamment envers adultes n'ayant pas fait la maladie) Septivon, Badigeon blanc, féniallerg en réserve Consignes usuelles crise convulsive Diazépam 5 mg en réserve Consignes usuelles de surveillance Consignes usuelles déshydratation Consignes usuelles déshydratation Consignes usuelles déshydratation Consignes usuelles déshydratation Consignes usuelles déshydratation Consignes usuelles déshydratation Consignes usuelles déshydratation et aphtes Mundisal gel et antalgiques Consignes usuelles déshydratation et détresse respiratoire Consignes usuelles déshydratation et détresse respiratoire Fébrifuges Consignes usuelles déshydratation Rinçage nez et Nasivine Contrôle dans 48h chez le pédiatre Consignes usuelles déshydratation/angine Fébrifuges Poursuite Betnesol 3 jours comme prévu par médecin Consignes usuelles déshydratation Contrôle dans 24-48 heures chez le pédiatre Consignes usuelles déshydratation Contrôle dans 24-48h chez le pédiatre Consignes usuelles déshydratation Contrôle dans 48h chez le pédiatre si persistance des symptômes +/- analyse de selles Si récidive selles noires, les garder et montrer au pédiatre Consignes usuelles déshydratation/détresse respiratoire et varicelle Contrôle dans le courant de la semaine chez le pédiatre Consignes usuelles déshydratation/détresse respiratoire Antalgie/fébrifuges aux bons dosages Consignes usuelles déshydratation/détresse respiratoire Contrôle dans 48h chez le pédiatre, avant si péjoration clinique Consignes usuelles déshydratation/détresse respiratoire/varicelle Consignes usuelles déshydratation Fébrifuges Consignes usuelles déshydratation Fébrifuges Consignes usuelles déshydratation Fébrifuges Consignes usuelles déshydratation Fébrifuges Consignes usuelles déshydratation Fébrifuges Consignes usuelles déshydratation Fébrifuges aux dosages adaptés Mundisal gel Consignes usuelles déshydratation Fébrifuges en réserve Contrôle dans 48-72h chez le pédiatre Consignes usuelles déshydratation Fébrifuges et sirop pour la toux Weleda Consignes usuelles déshydratation Fébrifuges, rinçage nez Contrôle chez le pédiatre dans 48-72 heures si persistance des symptômes, avant si impossibilité d'hydratation Consignes usuelles déshydratation Fébrifuges Contrôle chez le pédiatre dans 4 jours si persistance de fièvre Consignes usuelles déshydratation Normolytoral Consignes usuelles déshydratation Normolytoral en réserve Consignes usuelles déshydratation Normolytoral en réserve Consignes usuelles déshydratation Normolytoral et Paracétamol en réserve Consignes usuelles déshydratation Normolytoral, paracétamol et itinerol B6 en réserve Liste des pédiatres donnée Consignes usuelles déshydratation Pansement gastrique en réserve Consignes usuelles déshydratation Paracétamol et Normolytoral Contrôle chez le pédiatre si persistance dans 5 jours Consignes usuelles déshydratation Reconsulte si signes compatibles avec traumatisme crânien Consignes usuelles déshydratation Reconsulter en cas de récidive des douleurs afin d'effectuer un ultrason Consignes usuelles déshydratation Reconsulter si persistance de symptômes dans 72 heures pour +/- coprocultures/viro selles. Consignes usuelles déshydratation Rinçage nez et fébrifuges Consignes usuelles déshydratation Rinçage nez, Nasivine, fébrifuge Médecine anthroposophique Contrôle chez le pédiatre dans le courant de la semaine prochaine Consignes usuelles déshydratation Rinçage nez, Nasivine, fébrifuges, sirop pour la toux Weleda• Contrôle chez pédiatre dans le courant de la semaine prochaine pour faire le point niveau digestif/poids (inquiétude maternelle ++) • Consignes usuelles détresse respiratoire • Consignes usuelles détresse respiratoire et déshydratation Antalgie et rinçage de nez Contrôle dans 48 heures chez pédiatre • Consignes usuelles détresse respiratoire et déshydratation Fébrifuges • Consignes usuelles détresse respiratoire/déshydratation Contrôle dans 24 heures aux urgences • Consignes usuelles détresse respiratoire/déshydratation Contrôle dans 24h aux urgences • Consignes usuelles détresse respiratoire/déshydratation Contrôle dans 24-48 heures chez pédiatre • Consignes usuelles détresse respiratoire/déshydratation Contrôle dans 48h aux urgences (pédiatre non disponible) • Consignes usuelles détresse respiratoire/déshydratation Fébrifuges, rinçage nez et Nasivine Contrôle dans 24 heures chez pédiatre • Consignes usuelles détresse respiratoire/déshydratation Poursuite avec ttt donné Contrôle dans 48h aux urgences • Consignes usuelles et feuille TC données • Consignes usuelles et feuille trauma crânien données Paracetamol en réserve • Consignes usuelles et feuille traumatisme crânien donnée • Consignes usuelles fièvre/déshydratation Fébrifuges et rinçage nez Contrôle dans 48-72 heures chez pédiatre si pas d'amélioration • Consignes usuelles muguet Traitement par Daktarin gel 10 jours avec suivi par pédiatre en fin de traitement • Consiignes habituelles Rinçage nasal • Consilium anesthésique le 01.03.2019 Intervention chirurgicale le 08.03.2019 • Consilium anesthésique le 24.04.2019 Prochain contrôle le 03.05.2019 OP le 14.05.2019 • Consilium angiologie: interdiction de poser un cathéter artériel au niveau de l'artère radiale droite • Consilium angiologie 11.01.2019 (en annexe) Absence d'artériopathie des MI. Une intervention chirurgicale orthopédique est réalisable au pied G Amputation transmétatarsienne du 5ème rayon pied G (OP le 15.01.2019) Microbiologie : • Biopsie tête 5ème métatarse G du 15.01.2019 : Staph. aureus + • Biopsie moignon proximal 5ème métatarse G du 15.01.2019 : Staph. aureus quelques • Consilium infectiologie 21.01.2019 (en annexe) Antibiothérapie par: • Co-amoxicilline 2.2 g 3x/j i.v. du 15.01. au 26.01.2019 • Clindamycine 600 mg 3x/j p.o. à partir du 26.01. et jusqu'au 26.02.2019 • Diagnostic anatomopathologique (tête métatarse V G) - Rapport Promed du 22.01.2019 (en annexe) • Consilium angiologie 29.01.2019 (en annexe) Avis médecine interne • Héparine thérapeutique pendant l'hospitalisation puis Xarelto pour 3 mois • Consilium angiologie 29.01.2019 (en annexe) Héparine thérapeutique pendant l'hospitalisation Xarelto pour 3 mois après la sortie puis réévaluation • Consilium angiologique : échographie Doppler veineux et artériel dans la norme, expliqué à la patiente possibilité de consulter durant la symptomatologie pour objectiver un éventuel spasme vasculaire. Suite chez médecin traitant, avec éventuellement imagerie cervicale en cas de persistance de la symptomatologie. • Consilium d'anesthésiologie-réanimation le 30.01.2019 : intervention chirurgicale annulée • Transfert aux soins palliatifs à la Villa St-François le 01.02.2019, selon désir du patient. • Consilium d'angiologie le 06.02.2019 (en annexe) Anticoagulation par Eliquis selon schéma jusqu'à 3 mois puis contrôle à la consultation d'angiologie à cette échéance. • Consilium de diabétologie 19.12.2018 (en annexe) Glycémies correctes sous le traitement actuel. • Consilium de gynécologie le 29.01.2019 (en annexe) • Fluomizin ovules vaginales 1x/j pendant 6 jours • Econazole crème vulvaire 2 appl./jour • Consilium de médecin interne du 01.02.2019 par Dr. X (c.f. en annexe): • RX thorax le 01.02.2019 • Bronchodilatateur en réserve. • Consilium de médecine interne : adaptation continuelle du traitement diurétique et de l'hydratation • Consilium de médecine interne : adaptation continuelle du traitement diurétique et de l'hydratation. Substitution de la Clexane par Liquémine 2x/j, stop Arcoxia Ultrason système uro-génital le 08.01.2019 : examen dans les limites de la norme Suivi régulier créatinine, sodium, potassium • Consilium de médecine interne du 01.02.2019 par Dr. X (c.f. en annexe) : • spot urinaire, hydratation i.v, surveillance biologique. • Crea 91µmol/l le 04.02.2019. • Consilium de médecine interne du 15.12.2018 par Dr. X (c.f. en annexe): • faire un bilan cardiologique avec le médecin traitant. • surveillance du dosage TSH chez le médecin traitant. • Consilium de médecine interne le 04.02.2019 (en annexe) Hydratation Sondage vésical Suivi biologique • Consilium de médecine interne le 12.02.2019 Au laboratoire, syndrome inflammatoire stable. Rx thorax : pas de foyer, pas de signe de décompensation cardiaque CT thoracique injecté 15.02.2019 : pas d'embolie pulmonaire • Consilium de médecine interne 22.01.2019 (en annexe) en raison de douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique + anémie macrocytaire hypochrome Transfusion de 2 CE le 22.01.2019 Transfusion de 3 CE le 23.01.2019 Cordarone 150 mg dose unique le 23.01.2019 Sulfate de Magnésium 2 g le 23.01.2019 Reprise des bêta-bloquants le 24.01.2019 • Consilium de médecine interne 23.01.2019 : patient asymptomatique au moment de l'examen ECG : pas de modification ni cinétique enzymatique significative Pas de perturbation des tests hépatiques et pancréatiques Pas d'autres mesures. • Consilium de psychiatrie le 24.01.2019 (en annexe) Proposition d'introduire la Distraneurine 300 mg en R en cas d'anxiété et troubles du sommeil. Proposition d'effectuer un dosage de la Paroxétine via le formulaire du CHUV afin de déterminer son efficacité clinique • Consilium de psychiatrie 28.01.2019 (en annexe) • Consilium de psychiatrie 30.01.2019 (en annexe) Temesta 1 mg 1x/j Brintelix 5 mg 1x/j • Consilium de psychiatrie Proposition de prescrire de la Distraneurine par rapport à une anxiété à raison de 2x300 mg (midi et soir). • Consilium de rhumatologie Prednisone à faible dose (10 m) • Consilium dentiste 07.01.2019 (en annexe) Ad extraction de la dent 17 en anesthésie locale, suture et mise en place de Spongostan le 07.01.2019 • Consilium diabétologie le 19.02.2019 Protocole : Bétadine gaze + Mepilex, Dakin. Jambe plâtrée dans gouttière • Consilium diabétologie le 21.01.2019 • Consilium diabétologie Adaptation du traitement d'insuline Rendez-vous chez le Dr. X (la patiente prendra RDV) • Consilium diabétique : diabète avec un déficit sécrétoire, qui se comporte comme un type 1. Proposition d'arrêter la Metformine, de diminuer la Lantus afin d'éviter les hypoglycémies matinales, et d'introduire une correction d'insuline rapide à chaque repas afin de couvrir les pics glycémiques post prandiaux • Consilium diabétologique le 04.02.2019 suite : • surveillances glycémies à domicile. • contrôle avec infirmière en diabétologie dans 2 semaines. • Consilium diabétologique : Arrêt définitif du Gliclazide Réadaptation du traitement par Insuline • Consilium diététique à prévoir • Consilium d'ophtalmologie Consultation en neuropédiatrie • Consilium d'ORL le 29.01.2019 (en annexe) Évaluation chez un audioprothésiste en ambulatoire pour appareillage si hypoacousie handicapante socialement • Consilium et suivi psychiatrique (Dr. X) • Consilium gynécologique avec US : US dans la norme, pas de torsion ovarienne, pas de kystes, pas de douleurs à l'examen Bilan urinaire : pas d'argument pour infection urinaire • Consilium gynécologique Dr. X : suivi de grossesse sans particularité. Suivi chez gynécologue traitant.Consilium gynécologique le 30.01.2019 (Dr. X) : Betaméthasone 0.1% jusqu'à disparition des lésions (1-2 mois) Ovestin crème 25-30.01.2019 Betnovate dès le 30.01.2019 Consilium gynécologique pour un suivi. Consilium gynécologique Journal des selles Antalgie au besoin Contrôle chez la pédiatre dans 1 semaine Consilium hématologique en ambulatoire. Consilium infectiologie 28.01.2019 (en annexe) Avis de chirurgie générale. Drainage sous US de l'hémi-abdomen G le 29.01.2019, ablation drain le 01.02.2019 Bactériologie : négative. Laboratoire : amylase, bilirubine, créatinine + cytologie : lymphocèle. Consilium infectiologique (Dr. X) Consilium néphrologique : Surveillance de la diurèse avec un sondage vésicale pendant 24 heures le 20.02.2019 Surveillance biologique de la fonction rénale stable Surveillance de la tension artérielle favorable Adaptation du traitement de anti-hypertenseur per os Arrêt du traitement par Triatec et Esidrex Consilium neurologique (Dr. X) Ponction lombaire L4-L5 du 06.02.2019 : LCR teinté, puis eau de roche, pression d'ouverture à 13 cm d'eau. Cytologie : présence d'1 seul élément (polynucléaire), pas d'érythrocyte, pas de plasmocyte Glycorachie dans la norme et discrète hyperprotéinorachie Absence de bandes oligoclonales IgG. Bilan sanguin : • TSH dans la norme • Hypovitaminose D • Vitamine B12 et acide folique dans la norme • ECA abaissé à 13.3 U/L Bilan microbiologique : • ancienne infection EBV • sérologie VIH, HBV, HCV et Syphilis négatifs • varicelle immunisée • présence d'IgG et absence d'IgM pour le Lyme au screening, confirmation au Western blot pour IgG témoignant d'un contact ancien avec la borréliose • 20.02.2019 : synthèse intrathécale négative (VPN élevée 98%, permettant d'exclure une borréliose au stade tardif (ADMED, la Chaux-de-Fonds, Dr. X) Bilan immunologique : • VS à 8 mm/h, CRP dans la norme, absence de leucocytose, B2-microglobuline dans la norme • Electrophorèse des protéines : albumine 54%, alfa1globulines : 3%, alpha2globulines à 15%*, béta globulines à 16%*, gammaglobulines à 12% • ANA, ANCA négatifs • FAN à 80, FR < 10 • Test au Quantiféron négatif • Absence de lupus anticoagulant, anti-cardiolipine, anti-béta2-glycoprotéine • Anti-MOG et Anti-NMO négatifs Bilan radiologique : • IRM neurocrâne du 06.02.2019 : multiples plages d'hypersignal intéressant la substance blanche sous-corticale et profonde des deux hémisphères cérébraux, y compris les lobes temporaux. Certaines lésions présentent une distribution péri-ventriculaire d'orientation parallèle par rapport à l'axe des ventricules latéraux • IRM colonne totale du 07.01.2019 : pas de lésions médullaires • Radiographie puis CT du thorax du 06.02 et 13.02.2019 : pas de signe pour une sarcoïdose Bilan ophtalmologique : • Consultation le 08.02.2019 : examen ophtalmologique normal, AV 120%, pas de RAPD (déficit pupillaire afférent) • Consultation orthoptiste le 11.02.2019 : diplopie monoculaire bilatérale • OCT le 11.02.2019 : sp. Fond d'œil sp. Pas d'argument pour un kératocône. Pas de dislocation du cristallin. Potentiels évoqués visuels le 12.02.2019 : dans les limites de la norme Traitement empirique d'une possible SEP par solumedrol 1 g IV du 09.02 au 11.02.2019 Attitude : • Les résultats de la synthèse intra-thécale d'anticorps contre le Lyme suivront • Rendez-vous de suivi chez Dr. X le 26.03.2019 à 14h • IRM cérébrale de suivi des lésions démyélinisantes 1 semaine avant le rendez-vous le 18.03.2019 à 12h15 • Le patient sera convoqué pour un bilan neuro-psychologique en ambulatoire fin février/début mars. Consilium neurologique, Dr. X le 04.02.2019. Introduction Madopar 62,5 mg 3x/j dès le 05.02.2019 pendant 7 jours, puis à augmenter si toléré à 125 mg 3x/j. CT scan cérébral le 06.02.2019. Consilium neurologique : pas de syndrome de Claude-Bernard-Horner à D. Proposition d'effectuer une IRM cérébral afin d'exclure un AVC du tronc cérébral au vu du contexte de parésie des cordes vocales bilatérales IRM neurocrâne 21.02.2019 : Absence d'argument en faveur d'un AVC aigu ou subaigu Consilium neurologique (Dr. X) Attitude : • Remplacement par du Neupro 2x4mg durant le jeûne Consilium neurologique EEG Consilium neuropsychologique du 01.02.2019 Consilium neuropsychologique du 31.01.2019 Consilium nutritionnel Adaptation du régime et introduction de suppléments nutritifs oraux Indication médicale à une sonde nasogastrique, non posée au vu du contexte général Suivi ambulatoire prévu le 12.03.2019 à 8h30 Consilium ophtalmologique (Dr. X) Antibiothérapie locale Contrôle chez ophtalmologue dans 10 jours Consilium ophtalmologique demandé : examen sans particularités y compris FO Contrôle aux urgences dans 24 heures TIP du 14.02.2019 Avis neurologique (Dr. X) : au vu de la persistance de la symptomatologie, ad IRM cérébrale à Villars-sur-Glane à demander le 15.02 matin Consilium ophtalmologique (Dr. X) : pas de diplopie, pas de troubles de l'oculomotricité, Fond d'œil sp Consilium ophtalmologique (Dr. X) Surveillance clinique pendant 6h post événement Repos, éviction des écrans pendant 1 semaine Arrêt de sport pendant 1 semaine Antalgie Surveillance à domicile pendant 24-72h Reconsulter en cas de signes d'alarme (Brochure donnée et expliquée à la mère) Consilium ophtalmologique le 07.02.2019 à 9h15 à l'HFR Fribourg : sans particularité Consilium neuro-ophtalmologique le 18.02.2019 à l'HFR Fribourg Consilium ORL Consilium ORL Consilium ORL Consilium ORL : Weber latéralisé à droite, pas d'autres éléments pour une étiologie ORL. Consilium neurologique : pas d'argument pour une cause centrale, anamnèse en faveur d'une étiologie orthostatique. Test de Schellong : positif. Laboratoire (examen avec explication donnée par le médecin). Prescription de chaussette de contention classe II Conseil de réévaluer avec le médecin de famille pour adaptation de la thérapie anti-hypertensive. Consilium ORL (Dr. X) : pas de trouble des cordes vocales Consilium ORL (Dr. X) Antalgie en réserve Contrôle chez les ORL le 01.03.2019 Consilium ORL (Dr. X) : otite moyenne bilatérale, nécessité de bloc opératoire en raison des douleurs, paracentèse et drain des 2 côtés. Suite de prise en charge en ORL pour suivi. Consilium ORL infructueux. Sera répété le lendemain avec un chef d'ORL. Pas de traitement antibiotique pour l'instant. Antalgie par novalgin et dafalgan. Consilium ORL le 05.02.2019 : pas de lésion de la corde vocale G visualisée à la nasofibroscopie Consilium ORL le 15.02.2019 : kyste en face linguale de l'épiglotte médiale et gauche & fermeture de la corde vocale en phonation incomplète, d'origine indéterminée. RDV chez Dr. X le 28.02.19 à 10:45 pour évaluation et probablement mise en place d'un traitement logopédique Consilium ORL le 18.02.2019 Contrôle audiogramme et changement de mèche le 18.02.2019 Consilium ORL le 24.01.2019 Co-amoxicilline iv du 24.01 au 31.01.2019 Prednisone 50 mg/jour du 24.01 au 28.01.2019 Hydratation iv 1000 ml/j du 24.01 au 28.01.2019 Stimulation hydrique 1l/j (eau citronnée) dès le 24.01.2019 Consilium ORL le 25.01.2019 (en annexe) Nettoyage des oreilles, ablation bouchon de cérumen ddc. Pommade Diprogenta dans le conduit auditif externe à D. Ordonnance pour Audispray pour le nettoyage des oreilles 1 à 2x/mois. Consilium ORL le 25.01.2019 (en annexe) Antalgie, glace, rinçage du nez Triofan spray nasal 3x/j Consilium ORL le 28.01.2019 (en annexe) Antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j pour 7 jours. Algifor 400 mg 3x/j pour 7 jours. Bains de bouche par Drossadin 0.1% 1 à 3x/j Bonbon acidulé Contrôle chez Dr. X en ORL le 06.02.2019 à 08h30. Consilium ORL: paquet ganglionnaire et présence d'adénopathie Prise de sang: Leuco 17, CRP 170 Consilium ORL pour ablation du corps étranger Consilium ORL pour ablation du corps étranger sous anesthésie locale Consilium ORL 21.12.2018 (en annexe) Ciproxine 3 gttes 2x/j dans l'oreille D pendant 7 jours Antalgie Consilium ORL (23.01.2019) : légère diminution de la mobilité de la membrane tympanique gauche à la pneumo-tympanoscopie Consilium ORL (25.01.2019) : VPPB- manoeuvre libératrice efficace Consilium ORL Changement de canule le 22.02.2019 Contrôle ORL le 25.02.2019: absence de saignement, irritation trachéale, changement de canule pour une Rush fenestré. Consilium ORL Co-amoxicilline Mèche de diprogenta mise en place par l'ORL Contrôle en ORL dans 3 jours Revient avant si péjoration Consilium ORL Possibilité de mettre des appareils auditifs Consilium ORL Réévaluation quotidienne des cordes vocales par ORL (ORL de garde à contacter) Pas de nutrition per os; physiothérapie ++++ pour mobiliser sécrétion Trachéotomie 10.02.2019 Consilium orthopédie (Dr. X) Suite chez le Dr. X. Consilium orthopédique (Dr. X) : poursuite comme prévu, contrôle clinique en fin de semaine. Poursuite antibiothérapie + attelle comme prévu. Contrôle clinique en fin de semaine. Pansement sec à changer tous les 2-3 jours par le patient. Ablation des fils dans 14 jours chez le médecin traitant. Symptômes d'alarme expliqués. Consilium orthopédique (Dr. X): • Anesthésie locale, exploration de la cavité, rinçage à l'eau oxygénée, désinfection par Bétadine, pose d'une mèche bétadinée. • Frottis de plaie: à pister. • Attelle Edimbourg. • Poursuite de l'antibiothérapie par Co-amoxicilline pour une durée de 10-14 jours selon l'évolution. • Contrôle à 24h au secteur ambulatoire des urgences. Consilium orthopédique (Dr. X): • Désinfection de la plaie, rinçage au NaCl, pansement avec Adaptic. • Attelle Edimbourg. • Arrêt de travail. • Poursuite de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline jusqu'au 5 mars y compris (= 10 jours), +/- 4 jours en fonction de l'évolution sur les prochains contrôles. • Contrôle à 24h au secteur ambulatoire des urgences. Si bonne évolution, recontrôler le patient à 48h. Consilium orthopédique (Dr. X). Explication préalable pour les différents examens: Radiographie. CT main/poignet gauche natif. Plâtre. Opération en ambulatoire. Consilium pédo-psychiatrique Appel du toxzentrum Consilium pédopsychiatrique Dr. X: situation familiale compliquée avec conflit maternel aigu. Retour à domicile chez le père. Suivi pédopsychiatrique mis en place avec suivi à domicile. Consilium psychiatrie (Dr. X) : • Temesta 1 mg en R • sera recontactée par service de psychiatrie pour un suivi ambulatoire dès demain (Dr. X). Consilium psychiatrique le 21.02.2019 Consilium psychiatrique. Consilium psychiatrique (Dr. X) : • pas de décompensation maniaque Retour au foyer avec majoration de l'antalgie Suivi psychiatrique ambulatoire le 04.02.2019 Consilium psychiatrique (Dr. X) : • Majoration de la Sertraline à 100 mg/j • Distraneurine en réserve Attitude : • rediscuter un changement de molécule pour du Brintelix 5 mg si mauvaise évolution de la thymie (pour ce faire, diminuer la sertraline de 50 mg, après deux jours : stop) Consilium psychiatrique, Dr. X. Bernerva 100 mg - 1 x/jour. Consilium psychiatrique Dr. X Rdv avec Dr. X le 05.03.2019 à 10h00 (CSSM) Consilium psychiatrique: le patient ne présente pas de danger, il est très bien connu avec 27 hospitalisations, il effectue un tourisme médical avec plutôt une demande sociale. Patient avec trouble de la personnalité type simulateur et manipulateur. RAD avec conseil de poursuivre son traitement chez son psychiatre. Consilium psychiatrique le 11.02.2019: Temesta en réserve Consilium psychiatrique le 12.02.2019 (en annexe) Prise en charge psychiatrique au RFSM pour sevrage; le patient donne son accord Consilium psychiatrique le 23.01.2019 : pas de risque suicidaire. Temesta en réserve Consilium psychiatrique le 27.02.2019 Escitalopram 5 mg 1x/j dès le 27.02.2019 à augmenter à 10 mg dès le 6.03.2019 Consilium psychiatrique Bilan neuropsychologique Consilium psychiatrique. Réévaluation psychiatrique pendant hospitalisation à l'HFR. Consilium neuro-psychologique. Consilium psychiatrique. Suivi psychiatrique à domicile. Consilium psycho-oncologique (Dr. X) Consilium radiologue: remise en place d'une nouvelle sonde de gastrostomie sans complication notable. Retour au Home Consilium radio-oncologie du 24.10.2018 (Dr. X) suite au Tumor Board du 17.10: Radiothérapie à 45-50.4 Gy en 25-28 séances, faisable en ambulatoire. Sensibilisation par chimiothérapie de Carboplatine dès le 06.11.2018 (J1) PET/CT du 29.10.2018 CT-scan injecté du 29.10.2018 Radiothérapie du 08.11.2018 au 14.11.2018 Chimiothérapie du 06.11.2018 au 15.11.2018 Vu l'évolution clinique et d'entente avec le patient et sa famille décision prise de passer à des soins de confort Transfert à la villa Saint-François le 19.11.2018 d'entente avec le patient, sa famille et les différents médecins impliqués dans la prise en charge Consilium rhumatologie (Dr. X) et pneumologie (Dr. X) pendant l'hospitalisation demandé Consilium urologique Consommation chronique de benzodiazépines Consommation d'alcool à risque Consommation d'alcool à risque avec probable syndrome de dépendance Consommation d'alcool à risque avec risque de sevrage Consommation d'alcool à risque • consommation de 5-7 unités/jour Consommation d'alcool à risque • d'après le patient, abstinent depuis 3 mois • consommation quotidienne d'env. 1 bouteille de whisky par jour pendant env. 6 ans Consommation d'alcool à risque • probablement à l'origine de l'insuffisance cardiaque. Consommation d'alcool à risque (2-3 verres/jour avoués) avec perturbation des tests hépatiques Consommation d'alcool à risque (4 verres à 1 bouteille de rosé par jour). • actuellement : pas de critère de dépendance selon le CIM-10. • 2 semaines de prise en charge pour un sevrage à Marsens 01/2014. Vessie hyperactive. Consommation d'alcool à risque • 5-7 unités/jour Consommation d'alcool à risque. Dyslipidémie. Extrasystolie ventriculaire pauci-symptomatique, connue depuis 2002. Trouble dépressif récurrents et troubles du comportement liés à l'utilisation d'alcool avec : • tentamen par veinosection • alcoolisation aiguë et plusieurs séjours à RFSM-Marsens. Épisode aigu dépressif avec suspicion d'intoxication médicamenteuse le 26.04.2018 • adressée par psychiatre Dr. X. Consommation d'alcool à risque, le 04.02.2019 Consommation d'alcool chronique, le 11.02.2019 Consommation d'alcool excessive Consommation d'alcool excessive. Consommation d'alcool excessive (8-10 U/jour) avec : • stéatose hépatique • Rhinophyma. Consommation de Cannabis Consommation de cocaïne le 08.02.2019. Consommation de THC. Consommation de THC régulière et tabagisme actif Arthropathie carpo-MC 1 gauche avancée Psoriasis au niveau du coude droit Suspicion de lipome au bras droit Adénocarcinome des voies biliaires extra-hépatiques proximales ou de la vésicule biliaire localement avancé pT3 cN2 cM0, R2 diagnostiqué le 12.06.2017 • cholangio-IRM du 12.06.2017 : tumeur du cholédoque proximal avec dilatation des voies biliaires intra-hépatiques et hydrops vésiculaire • CT-scan thoraco-abdominal du 16.06.2017 : obstacle tumoral du canal hépatique commun au-dessus du cystique et du cholédoque avec hydrops vésiculaire. Pas d'infiltration du tronc porte. Multiples adénopathies du hile hépatique, coeliaques et inter-aorto-cave. Pas d'infiltration évidente du hile hépatique. Pas de métastases à distance.• PET-CT au FDG du 22.06.2017 : hypercaptation de la lésion tumorale et des adénopathies susmentionnées, pas de lésion suspecte de métastases • ERCP du 14.06.2017 : interruption du cholédoque à 6 cm de la papille par une sténose filiforme, échec de stenting • drainage percutané transhépatique le 19.06.2017 • laparotomie transverse, cholécystectomie, résection des voies biliaires extra-hépatiques, reconstruction de la veine porte par prothèse GelSoft, hépatico-jéjunostomie et jéjuno-jéjunostomie (reconstruction Roux-en-Y) le 28.06.2017 • histologie (Pathologie Bern B2017.41514-41517) : adénocarcinome d'origine bilio-pancréatique de grade G3, point de départ des voies biliaires extra-hépatiques ou de l'infundibulum de la vésicule biliaire, résection R2 • chimiothérapie à visée palliative de type GEMOX amorcée le 16.08.2017 • suivi par Dr. X, oncologue traitant Adénocarcinome des voies biliaires extra-hépatiques proximales ou de la vésicule biliaire localement avancé pT3 cN2 cM0, R2 diagnostiqué le 12.06.2017 Thrombose de la veine porte • objectivée sur le CT du 24.07.2017 avec thrombose partielle de la branche droite porte Bactériémie à Enterococcus faecium et Enterococcus faecalis les 24, 25, 26 & 28.07.2017 • sur infection endovasculaire (prothèse de reconstruction de la veine porte) et thrombus surinfecté suite à cholangite sur adénocarcinome bilio-pancréatique métastisé récemment réséqué Consommation d'OH à risque Consommation d'OH à risque Consommation d'OH à risque Consommation d'OH à risque. Chute de sa hauteur avec TC et des signes de rhabdomyolyse sur station prolongée au sol le 07.06.2018 (CK 1400). Colique néphrétique gauche sur calcul vésical de 3 mm compliquée d'une pyélonéphrite gauche le 05.04.2015. • pose d'une sonde JJ le 06.04.2015 avec retrait le 06.05.2015. Ergométrie et test d'effort le 02.05.2016 (Dr. X). • Ergométrie sous maximale, négative cliniquement et électriquement pour une ischémie myocardique. • ETT : discrète dilatation OG, discrète hypertrophie VG concentrique, FEVG 70% Status post cure de hernie inguinale droite, gauche et ombilicale en 1997 et 2000. TVP du membre inférieur gauche il y a 20 ans. Hématome sous-dural fronto-pariétal droit compressif avec engagement sous-falcoriel. • Craniotomie pariétale droite et évacuation de l'hématome sous-dural subaigu + drainage sous-dural droit non aspiratif le 07.06.2018. Consommation éthylique à risque Consommation éthylique à risque Consommation excessive d'alcool (1.5 litre de vin par jour) avec macrocytose. Ancien tabagisme à 75 UPA (sevré en août 2018) État dépressif sous traitement Syndrome des apnées du sommeil de type mixte, très sévère avec ID de 142/heure et index d'apnée/hypopnée à 82/h, appareillé BPCO stade II B selon GOLD • Ancien tabagisme sevré en août 2018 (75 UPA) • Syndrome obstructif moyen avec VEMS 68% et Tiffeneau à 71.9% • Trouble de la diffusion de degré moyen avec DLCO à 64% • Oxygénothérapie 15h/24 à 3 lt/min durant la nuit sous CPAP, 1.5 lt/min aux lunettes la journée HTA pulmonaire avec PAPs estimée à 65 mmHg Déconditionnement physique avec lombosciatalgies D chroniques Syndrome métabolique avec : • Obésité morbide (IMC 43) • Hypercholestérolémie • HTA traitée • Syndrome obésité/hypoventilation traité par BiPAP (19/10) depuis 6 ans Hernie hiatale Diverticulose sévère du côlon descendant Consommation excessive de protéines (fitness) le 10.02.2019. • environ 5000 kcal/j. • connu pour des troubles obsessionnels compulsifs. Consommation OH à risque Consommation OH à risque Consommation OH à risque Consommation OH à risque Consommation OH à risque Consommation OH à risque Consommation OH à risque Consommation OH à risque. Consommation OH à risque. Consommation OH à risque (entre 6 dl jusqu'à 3 litres/jour) Malnutrition protéino-énergétique modérée le 11.01.2019 avec : • hypoalbuminémie • hypokaliémie, hyponatrémie, hypomagnésiémie, hypophosphatémie Anémie normocytaire normochrome chronique Problématique médico-sociale chronique Organisation d'un suivi chez Dr. X dès le 24.01.2019 Avis collègues du Torry (discussion et documentation) Consommation OH à risque. Tabagisme actif. Consommation OH chronique Consommation OH chronique avec : • insuffisance hépatique légère avec TP 50% Constantes : TA 152/72, Température 37°C, FC 92 bpm, Saturation O2 99%. Cardiovasculaire : B1B2 bien frappés pas de souffle audible, rythme régulier. Pulmonaire : murmure vésiculaire symétrique sans bruit surajouté. Digestif : abdomen souple et indolore, pas de défense ni de détente, bruits normaux en fréquence et en tonalité. ORL : fond de gorge sans œdème ni rougeur. Cutané : rougeur des oreilles, du décolleté et des mains, pas de lésion vésiculaire ou papulaire, pas d'angioedème. Constat de coup. Constat de coup. Constat de coup. Constat de coup. Constat de coup. Constat de coup. Constat de coup. Constat de coup le 26.02.2019. Constat de coups Constat de coups Constat de coups. Constat de coups. Constat de coups. Constat de coups. Constat de coups fait et donné à la mère du patient. Après accord verbal de la mère pour levée du secret médical, garde SEJ contacté afin d'organiser le retour à domicile. Le SEJ donne son accord pour un retour à domicile avec la mère et prendra contact avec la famille pour la suite de prise en charge. Constat de coups Appel SEJ Retour à domicile chez la mère Constellation Rhésus Constellation Rhésus Constellation Rhésus Constellation Rhésus Constellation Rhésus Constellation Rhésus Constellation rhésus Constellation Rhésus Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation Constipation. Constipation. Constipation. Constipation. Constipation. Constipation. Constipation. Constipation. Constipation aiguë Constipation aiguë Constipation aiguë Constipation aiguë Constipation aiguë Constipation asymptomatique après rétablissement de continuité le 04.02.2019. • status-post Hartmann en 2018 pour diverticulite perforée. Constipation, avec dernières selles il y a 3 jours Constipation avec diarrhées paradoxales le 01.02.2019 • dans contexte traitement opiacé Constipation avec douleur abdominale sans signes de gravité. Constipation avec épigastralgies Constipation avec épigastralgies Constipation avec fécalome. Constipation avec fécalome • 2 grands lavements aux urgences le 18.02 avec évolution favorable. Constipation avec fécalome probablement d'origine iatrogène sur haute dose d'opioïdes Constipation avec sang dans les selles, suivi par gastroentérologue pédiatrique Dr. X, traité avec Laxipeg, régime sans lactose Vit. D3, Bronchovaxom Constipation chronique Constipation chronique Constipation chronique Constipation chronique Constipation chronique. Constipation chronique. Asthme bronchique. Constipation chronique Crise convulsive tonico-clonique inaugurale le 28.11.2017 sur hypokaliémie Constipation chronique. Lupus. Constipation colonoscopie en 2015. Constipation DD Diverticulose Labo Radio-Abdomen debout Constipation fonctionnelle Constipation le 01.02.19. Constipation le 05.02.2019. Constipation le 12.2.2019 avec : • paraplégie incomplète sur syndrome de la queue de cheval (cf. plus haut) • colostomie de décharge Constipation le 14.2.2019 Constipation le 27.01.2019 Constipation légèrement symptomatique. Constipation Movicol Bronchite obstructive récidivante Ventolin en réserve Eczéma Constipation probable Constipation sur opiacés. Constipation sur origine iatrogène sur prise de Tramadol le 02.02.2019 avec : • Diaphorèse nouvelle. Constipation sur prise d'opiacé Constipation symptomatique. Constipation symptomatique probablement sur traitement par Fentanyl en augmentation le 08.02.2019. Constipation traitée avec Movicol 1 sachet/jour Constipation traitée de façon efficace Consilium pédopsychiatrique le 14.02. Dr. X et 15.02.2019 Dr. X Suite de prise en charge psychiatrique par CPP Constipation traitée par Movicol et Optifibres Constipation DD : appendicite ectopique débutante Consultation à la consultation ambulatoire des urgences pour résultats MST le 06.02.2019 (Hépatite B, C, HIV, syphilis, gonocoque, chlamydia). Test HIV chez le médecin traitant à 3 mois. Consultation à 10 jours chez son médecin traitant pour réévaluer la médication (Halcion). Consultation ambulatoire à J10 à la consultation de Dr. X. Consignes d'usage. Consultation ambulatoire à J10 pour ablation des fils. Contrôle post-opératoire chez Dr. X le 05.02.2019. Consultation ambulatoire au cabinet de Dr. X le 01.02.2019 Poursuite du traitement de Betmiga Consultation ambulatoire dans une semaine pour contrôle post-opératoire avec ablation des fils et contrôle des BHCG. Consultation au Neurocentre (merci de convoquer le patient) Prochain contrôle le 21.03.2019 avec CT lombaire Consultation auprès de Dr. X le 20.02.2019 (à la demande de la patiente) Éventuelle infiltration facettaire C2-C3 sous CT (CIMF) Prochain contrôle par la suite Consultation auprès du Dr. X (merci de convoquer le patient rapidement) Consultation aux urgences le 08.02.2019 CT abdominal injecté 10.02.2019 Frottis de plaie le 10.02.2019 Avis chirurgical le 08.02.2019 et 10.02.2019 (Dr. X) Avis infectiologique le 13.02.2019 (Dr. X/Dr. X) Antibiothérapie : Rocéphine 2 g i.v. du 10.02.2019 au 13.02.2019 Metronidazole 500 mg 3x/jour i.v. du 10.02.2019 au 13.02.2019 Co-amoxicilline 625 mg le 14.02.2019 Suivi stomathérapie Consultation aux urgences pour céphalées en 2014. Consultation aux urgences si nouvel épisode de douleur, si pas de douleur contrôle chez le pédiatre dans deux jours. Consultation avec Dr. X le 05.03.2019 à 10h00 (CSSM) Consultation avec Dr. X le 15.02.2019 Consultation avec psychologue programmée le 25.02 et DIVG le 26.02 (contrôle de la kaliémie à prévoir). RAD avec primpéran, oméprazole, Itinérol. Consultation chez Dr. X la semaine prochaine. Ajout Quétiapine 25 mg en réserve en cas d'angoisse (max 2 fois par jour, en plus du traitement de fond) Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Consultation chez Dr. X prévue le 29.02.2019. Proposition de suivi psychologique en ambulatoire. Suivi cardiologique en ambulatoire en cas de persistance des douleurs. Consultation chez Dr. X le 06.03.2019 pour une discussion pré-cholécystectomie. Consultation avant aux urgences en cas de péjoration clinique. Consultation chez Dr. X à une semaine pour discuter d'une éventuelle prise en charge chirurgicale. Consultation chez Dr. X en cas de persistance des douleurs à 10 jours. Consultation chez le gynécologue traitant Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Consultation chez le médecin traitant prévue dans 24 heures. Consultation chez le médecin traitant si persistance des symptômes dans 48 heures. Consultation chez médecin traitant avec suivi de la fonction rénale Consultation chez son médecin traitant en fin de semaine pour un contrôle clinique. Consultation avant aux urgences en cas de péjoration clinique. Consultation chez son médecin traitant la semaine prochaine pour mise en place d'un suivi, physiothérapie et changement des habitudes de vie. Consultations aux urgences si péjoration clinique. Consultation chez son médecin traitant la semaine prochaine pour mise en place d'un suivi, physiothérapie et changement des habitudes de vie. Consultations aux urgences si péjoration clinique. Arrêt de travail donné. Consultation chez son médecin traitant la semaine prochaine. Consultation avant aux urgences si péjoration clinique. Consultation chez son médecin traitant pour l'organisation d'un suivi spécialisé dans le but d'une intervention chirurgicale. Consultation aux urgences avant si péjoration clinique (syndrome des loges expliqué). Consultation chirurgien en cas de majoration des symptômes. Consultation dans 2 semaines chez Dr. X afin, puis au retour des règles effectuer une hystéroscopie diagnostique de contrôle à l'HFR. Consultation dans 24 heures pour contrôle clinique et biologique. Consultation de contrôle auprès de Dr. X en hématologie le lundi 25.02.2019 à 9h • avec prise de sang à 8h (onco-hématologie, C4). Proposition d'effectuer un test d'effort à distance dans le cadre des douleurs thoraciques si persistance. Consultation de contrôle le 17.02.2019. • Probable dermohypodermite le 15.02.19 sur plaie ulcéreuse chronique dans un contexte de diabète type 2. Consultation de contrôle pour angine bactérienne. Consultation de médecine du sport Consultation de neurochirurgie Consultation de neurochirurgie Consultation de neurochirurgie Consultation de neurochirurgie Consultation de neurochirurgie Consultation de neurochirurgie Consultation de neurochirurgie Consultation de neurochirurgie Consultation de neurochirurgie Consultation de neurochirurgie Consultation de neurochirurgie Consultation de neurochirurgie Consultation de neurochirurgie Consultation de neurochirurgie Consultation de suivi pour plaie de l'avant-bras avec pose de 4 points dans un contexte de plaie sale. Consultation début avril chez Dr. X. Contact pris avec les soins à domicile pour le rinçage. Consultation aux urgences en cas de péjoration clinique. Consultation dentaire à FriSanté vivement recommandée, en raison d'absence de moyens financiers et de permis de séjour suisse. Consultation dentaire dans les 24h Consultation dentaire dans 48 heures Consultation dentaire en ambulatoire Consultation diététique Consultation en angiologie pour suivi ambulatoire le 30.01.2019 à 11h30 Consultation en cas d'apparition de douleurs au niveau de l'œil droit, augmentation des lésions vésiculaires. Consultation en cas de péjoration des symptômes grippaux, récidive de fièvre. Consultation en cas de péjoration clinique. Consultation en diabétologie le 04.02.2019. La patiente a été convoquée.Poursuite de la prise en charge habituelle par vos soins • Consultation en gynécologie. • Consultation en ophtalmologie en ambulatoire. • Consultation gérontopsychiatrique du 30.01.2019, Dr. X Adaptation traitement Arrêt Escitalopram Ajout Duloxetine 30 mg 1x le matin • Consultation gynécologie. • Consultation gynécologique : Mme. Y refuse l'examen gynécologique pour l'instant; elle est informée de reconsulter à tout moment pour qu'il soit effectué. Sérologies : en cours. Avis psychiatrique Dr. X : indication pour une hospitalisation volontaire à l'hôpital psychiatrique de Marsens en cellule de crise. Constat médical (Mme. Y viendra le chercher). Transfert par ses propres moyens à l'hôpital psychiatrique de Marsens en volontaire. • Consultation infirmière. • Consultation interdisciplinaire avec Dr. X, physiothérapeute et diététicienne le 20.03.2019 à 13h00 à l'HFR Billens • Consultation interdisciplinaire avec Dr. X, neuropsychologue, physiothérapeute et ergothérapeute le 01.04.2019 à 08h30 à l'HFR Billens Conduite automobile contre-indiquée • Consultation le 04.02.19 : Anamnèse : La mère reconsulte ce jour pour apparition de vomissements (1 épisode alimentaire) et des diarrhées : 3 selles liquides ce matin. Pas de fièvre. Pas de douleurs abdominales. Examen : Poids : 14.7 Kg Bon état général, apyrétique Bon état d'hydratation : pas de pli cutané, pas de cernes oculaires, muqueuses humides Cardiovasculaire : Fc à 93 bpm, TA : 82/62 mmHg, TRC immédiat, pas de marbrures, extrémités chaudes, pas de souffle cardiaque Respiratoire : eupnéique, auscultation pulmonaire libre Ostéoarticulaire : articulations libres Abdominal : abdomen souple indolore, pas d'hépatosplénomégalie, bruits hydroaériques présents, pas de défense ni contracture Neurologique : très active, souriante, pas de raideur méningée, marche stable ORL : gorge propre Cutané : pas d'anomalies Evolution : Elle a bu une bonne quantité de Normolytoral sans vomissements Attitude : Perentérol/Normolytoral Consignes de surveillance données aux parents • Consultation le 05.02.19 : Anamnèse : Notion de fièvre ce matin à 4h. Il n'a pas toussé. Pas de diarrhée ni vomissements. Bonne prise des biberons. Miction conservée. Examen : Poids : 7.53 Kg Bon état général, apyrétique Bon état d'hydratation Cardiovasculaire : Fc à 130 bpm, TRC immédiat, pas de marbrures, extrémités chaudes, pas de souffle cardiaque Respiratoire : eupnéique, auscultation pulmonaire libre, saturation à 96% en air ambiant Ostéoarticulaire : articulations libres Abdominal : abdomen souple indolore, pas d'hépatosplénomégalie, bruits hydroaériques présents, pas de défense ni contracture Neurologique : grincheux mais consolable, pas d'hypotonie, fontanelle antérieure normotendue ORL : tympans non parfaitement visualisés, sécrétions collantes Cutané : pas d'anomalies Attitude : Sédiment urinaire négatif Synthèse : Devant la notion de fièvre survenant une semaine après IVRS et l'examen des tympans, après avoir éliminé une infection urinaire, on évoque le diagnostic d'otite moyenne aiguë. Traitement : Amoxicilline 50 mg/kg * 8 jours Contrôle clinique chez le pédiatre • Consultation le 12.02.2018 à 12h30 chez le médecin traitant (Dr. X). • Consultation le 12.02. déjà prévue avec CT et IRM avec contrôle en orthopédie. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire sanguin et urinaire : pas de syndrome inflammatoire. • Consultation le 22.03.2019 à 16h00 en diabétologie pour le suivi Contrôles ambulatoires : • Rétinopathie : suivi 1x/an chez l'ophtalmologue • Contrôles podologiques réguliers • Dépistage de néphropathie diabétique avec un rapport micro-albuminurie/créatininurie à distance de l'épisode aigu • Cardiovasculaire : bilan lipidique avec cible LDL cholestérol < 1.8 mmol/l et TA < 130/80 mmHg • Consultation médecin traitant dans 48 heures. • Consultation neurovasculaire de contrôle le 04.04.2019 à 14h30 • Consultation neurologique de contrôle chez Dr. X le 18.07.2019 à 15h • En attente de la communication de la décision prise lors du colloque interdisciplinaire neuro-cardiologique d'évaluation de la nécessité de fermeture du FOP • Mr. Y sera convoqué pour pose de holter 72h après la sortie • Mr. Y sera convoqué pour réévaluation de l'attitude à la conduite automobile • Consultation oncologique de contrôle le 06.03.2019 chez Dr. X • Consultation chirurgicale le 21.03.2019 pour discuter d'un rétablissement de continuité • Consultation onco-psychologique le 13.02.2019 CT cervico-thoracique le 13.02.2019 IRM cervico-cérébrale le 15.02.2019 Suivi oncologique au CHUV (Dr. X ; Dr. X) Prochaine chimiothérapie 22.02.2019 en hospitalier • Consultation ophtalmologique. • Consultation ophtalmologique de contrôle chez Dr. X. Mme. Y sera convoquée. Consultation et échocardiographie auprès de Dr. X, prévu le 13.02.2019 Consultation en soins palliatifs chez Dr. X, service de médecine, HFR Fribourg, le 04.03.2019 • Consultation ophtalmologique en cas de persistance des symptômes. • Consultation ophtalmologique, HFR Fribourg, le 05.02.2019. Oculac gouttes 3x/j. • Consultation ORL • Consultation ORL le 15.02.19 • Consultation pédiatre demain. Consultation urgences si nouvel état fébrile • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X • Consultation personnelle Dr. X Suivi • Consultation personnelle Dr. X Suivi • Consultation personnelle du Dr. X • Consultation personnelle du Dr. X • Consultation personnelle du Dr. XConsultation personnelle du Dr. X. Nouveau cas Consultation personnelle du Dr. X. Suite Team Pied Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Contrôle post-opératoire Consultation personnelle du Dr. X Contrôle post-opératoire Consultation personnelle du Dr. X Contrôle post-opératoire Consultation personnelle du Dr. X Contrôle post-opératoire Consultation personnelle du Dr. X Contrôle post-opératoire Consultation personnelle du Dr. X Nouveau cas Consultation personnelle du Dr. X Nouveau cas Consultation personnelle du Dr. X Nouveau cas Consultation personnelle du Dr. X Nouveau cas Consultation personnelle du Dr. X Suite ortho-urgences Consultation personnelle du Dr. X Suite ortho-urgences Consultation personnelle du Dr. X Suite UT Consultation personnelle du Dr. X Suite UTSuite UT Consultation personnelle du Dr. X Suivi Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. X Consultation personnelle du PD Dr. XConsultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X. Consultation personnelle du Dr. X.Consultation personnelle Dr. X. Consultation pneumologique dans une semaine. Consultation pneumologique avec examens fonctionnels dans 2 mois. Consultation pneumologique le 08.02.2019. Rendez-vous à la consultation de chirurgie de l'HFR Fribourg, Dr. X, le 14.02.2019 à 10h30. Rendez-vous le 08.02.2019 à votre consultation pour contrôle et adaptation du Sintrom (infra-thérapeutique à la sortie => Clexane 40 1x/jour pour les 06 et 07.02.2019). Consultation pour ablation des fils à J7 d'une suture à la main droite. Consultation pour contrôle clinique et biologique en filière à 48h. Consultation pré-anesthésie à l'HFR Fribourg le 20.02.2019 en vue d'une nouvelle TURV. Suite de prise en charge par Dr. X. Consultation pré-hosp le 26.02.2019. OP le 07.05.2019. Contrôle post-opératoire le 21.06.2019. Consultation Dr. X : projet de gastrectomie partielle, selon le retour du patient, une chirurgie serait difficilement envisageable dans son état général actuel. Sera reconvoqué en oncologie pour suite de prise en charge. Consultation programmée. Consultation programmée pour suspicion de sclérose en plaque le 04.02.2019. Consultation psychiatre dans la semaine. Consultation psychiatrique (Dr. X) : pas d'idées suicidaires actuellement, suite de prise en charge par un psychiatre germanophone dès le lendemain, logement chez un de ses fils durant 2 semaines pour mise à distance de sa compagne, introduction d'un traitement par Trittico 50mg 1x/j. Retour à domicile avec introduction de Trittico 50mg 1x/j et suivi psychiatrique ambulatoire. Consultation psychologique (Mr. Y). Consultation psychologique par Mme. Y le 26.02.2019. Suivi par le centre psycho-social avec un prochain rendez-vous le 28.02.2019. Consultation si péjoration. Consultation si péjoration de la toux. Consultation si signes d'alarme. Consultation si signes de détresse respiratoire. Consultation si refus alimentaire ou si absence de diurèse. Consultation si état fébrile pour exclure infection urinaire. Parents rassurés par la prise de biberon sans vomissement et préfèrent un retour à domicile au lieu d'une hospitalisation. Consultation si signes de gravité qui sont expliqués aux parents. Consultation sur la nuit si péjoration de son état général, la fièvre et la rougeur peuvent être tolérées si elle maintient un bon état général. Contrôle aux urgences pédiatriques dans 24 heures. Consultation urologique auprès de Dr. X prévue le 19.02.2019 à 9h. Consultation pneumologique auprès de Dr. X prévue le 02.04.2019 à 9h. Consultations ORL. Consulte à nouveau en cas de non-amélioration à 48h, en cas de trajet lymphangitique ou de fièvre. Consulte aux urgences après un épisode convulsif généralisé unique d'une durée indéterminée mais probablement < 15min. Le statut aux urgences est normal mise à part un EF à 39.6 avec une bonne réponse aux fébrifuges. Le statut neurologique est dans la norme pour l'âge, l'anamnèse développementale est impossible. Étant donné le contexte social et les difficultés de compréhension, nous effectuons une surveillance aux urgences jusqu'à 6h post convulsion sans anomalies. Étant donné les antécédents de microcéphalie et de possible retard psychomoteur qui ne permettent en l'état pas d'exclure une convulsion complexe, nous vous proposons de réadresser Mr. Y à la consultation de neuropédiatrie avec un interprète pour une meilleure anamnèse de l'événement et du développement +/- EEG. Nous renonçons pour l'instant à prescrire un traitement de Stesolide en R étant donné les difficultés de compréhension. Consulte en cas d'apparition de fièvre, péjoration des douleurs. Consulte en cas d'apparition de symptômes neurologiques, saignement ne se tarissant pas. Consulte en cas de péjoration de la toux, baisse de l'état général, récidive d'algurie. Consulte en cas de récidive avec nouveaux symptômes, persistance des symptômes. Consulte en cas de récidive des symptômes. Proposition de reprise du suivi psychiatrique en ambulatoire, la patiente s'engage à prendre rendez-vous. Consulter chez le pédiatre si EF persistant, difficultés respiratoires. Consulter en cas d'apparition de rougeur, chaleur, fièvre, péjoration des symptômes. Rendez-vous de suivi chez son médecin traitant dans 5-7 jours. Consulter en cas d'apparition de symptômes décrits sur la feuille de surveillance post TC. Consulter en cas d'apparition de symptômes neurologiques ou signes infectieux au niveau de la plaie. Consulter en cas de péjoration de l'état général, toux malgré résolution de la rhinite, récidive d'état fébrile. Consulter en cas de persistance des symptômes. Consulter le médecin traitant en cas de persistance des douleurs malgré physiothérapie et anti-inflammatoires. AUF 12.02. - 14.02.2019. Consulter pédiatre si dysurie. Si douleur en fosse iliaque droite à la marche, consultation aux urgences. Consulter si mauvaise hydratation, fièvre. Consulter en cas de récidive ou apparition d'hématémèse. Consultera son médecin traitant la semaine prochaine, retrait de la sonde urinaire à 10 jours (chez médecin traitant ou urologue). Contact avec les collègues du CHUV qui n'ont pas pu faxer le PAFA. Discussion avec la mère de la patiente qui est maintenant au courant de la suite de prise en charge ; elle passera demain voir la patiente et va apporter une copie du PAFA. Transfert à l'hôpital de Monthey pour suite de prise en charge. Contact médecin traitant. Contacter Dr. X, urologue : cabinet fermé jusqu'au 18.02.2019, rendez-vous à prendre une fois le patient rentré à domicile pour discuter l'ablation de la sonde. Nous vous proposons de suivre les valeurs d'acide urique et de réévaluer un possible traitement par Colchicine. Contacter Dr. X pour discuter une adaptation de la dose de Madopar. Contamination par MRSA le 10.01.2019. Contention par Drap Zewi, Temesta iv en dose unique aux urgences. Haldol per os et en sous-cutané. Contention physique (ceinture abdominale, attaches aux poignets) dès le 31.01.2019. Distraneurine et seresta en réserve. Réafférentation. Contexte de décompensation cardiaque nouvelle. Contexte d'échinococcose traitée chirurgicalement en mars 2017. Contexte : patiente aurait eu un traitement de fer dans le passé pour anémie ferriprive. Pas d'extériorisation sanguine à l'anamnèse. Attitude : • Poursuite des investigations chez le médecin traitant. Contexte: Mr. Y consommant 2 bouteilles de vin/jour, Hb 175 au laboratoire. Attitude: • Hydratation per os. Contexte social difficile Continuation de l'ergothérapie et de la physiothérapie pour améliorer les amplitudes et la force. Continuation des exercices de façon autonome. Arrêt de travail continué pour encore 2 mois à 100%. Prescription d'anti-inflammatoire. Nous reverrons Mr. Y pour un contrôle radioclinique dans 2 mois. Continuation de l'alimentation par la sonde nasogastrique et discuter pendant la réhabilitation la pose d'une PEG / GPR. Actuellement, Mr. Y souhaite rester avec le SNG. Soins du trachéostome continuent. Soins complémentaires continuent par le conseil nutritionnel et la physio-/ergothérapie pour la réadaptation de la déglutition et de l'alimentation. Mr. Y doit rester à jeun oreaux jusque à la réhabilitation complète. Il est nécessaire de prendre rendez-vous à la consultation de Dr. X suite à sa réhabilitation afin d'organiser la suite de la prise en charge. Un CT scan de contrôle sera agendé dans 2 mois afin d'évaluer la réponse au traitement oncologique et l'instauration d'un possible traitement d'immunothérapie. Nous suivons Mr. Y toutes les 2 semaines pour tous les traitements ORL. Contrôle chez Dr. X et changement de la canule dans 3 mois à la distance discussion d'une chordotomie postérieure. Continuer algifor 200 mg x 3/j 4 j (a commencé hier 3x/j) dafalgan 500 mg/1 g en alternance si douleur ou fièvre fluimucil 100 mg x 3/j 2 à 5 j pas d'école pendant 72 h, puis selon état clinique Continuer amoxicilline per os. Continuer le port du manchon de compression. Poursuite du Xarelto au même dosage. Explications données à Mr. Y par le médecin. Continuer pérentéral prescrit par sa pédiatre. Continuer substitution à même dose. Continuer Ventolin au besoin. Cô si difficultés respiratoires. Contractions Contractions utérines. Contractions utérines. Contractions utérines. Contractions utérines sans effet sur le col. Contractions utérines sans modification du col chez Mme. Y à 33 1/7 semaines d'aménorrhée. Contracture aiguë atraumatique du muscle grand pectoral gauche le 14.02.2019. Contracture aiguë atraumatique du muscle sous-épineux gauche le 14.02.2019. Contracture bilatérale tendon d'Achille. Contracture ceinture scapulaire post-traumatique avec hernie discale foraminale de petite taille non déficitaire C5-C6 G. Status post étirement du plexus brachial G non déficitaire. Status post schéma Dexaméthasone dégressif à partir du 26.11.2018. Contracture de l'élévateur de la scapula à G plus ou moins trapèze. Lésion partielle du FCU à l'insertion du pisiforme à G. Contracture du grand rond gauche. Contracture du muscle sternocleidomastoïdien gauche. Contracture du trapèze droit le 10.02.2019. Contracture musculaire des faisceaux supérieurs gauches du trapèze gauche et du sternocléidomastoïdien gauche. Contracture musculaire des M. trapèze à gauche et à droite le 13.02.2019. Contracture musculaire du dentelé postérieur droit avec irradiation dans le membre supérieur le 17.02.2019. Contracture musculaire du muscle trapèze droit. Contracture musculaire du muscle trapèze à gauche. Contracture musculaire en paravertébral niveau T5-T6. Contracture musculaire le 19.02.2019. Contracture musculaire, le 25.02.2019. Contracture musculaire lombo-sacrale gauche : • sur chute d'une échelle de 2 mètres le 04.02. Contracture musculaire paravertébrale droite le 08.02.2019. Contracture musculaire thoracique droite sur faux-mouvement le 21.02.2019. Contracture musculaire tibiale antérieure le 16.02.2019. Contracture musculaire trapèze/grand dorsal et musculature du bras gauche le 29.09.2016. Contracture musculaire sous-scapulaire gauche le 20.02.2019. Contracture para-vertébrale cervicale, le 13.07.2012. Céphalées, le 28.11.2014 DD: • Céphalées de tension. • Migraine sans aura. Masse occipitale de 5 mm, le 28.11.2014. DD: • Kyste séborrhéique. Consilium dermatologique le 02.12.2014. Contracture paracervicale gauche. Contracture para-musculaire du dos post-traumatique. Contracture quadriceps gauche. Contracture utérine résolue par Gynipral. Travail soutenu par Syntocinon. Antalgie par péridurale. Suites de couches. Contractures dorsales paravertébrales gauche le 13.02.2019. Contractures paravertébrales thoraciques le 23.02.2019. Contrat thérapeutique avec Dr. X. Risperdal 1 mg en ordre unique le 13.02.2019 puis 2 mg/jour à partir du 14.02.2019. Consilium psychiatrique (Dr. X). Retour au RFSM CSH Marsens le 18.02.2019. Contrôle clinique et laboratoire à votre consultation dans 3 à 4 jours. Contrôle de la plaie à 48 h chez le médecin traitant, fils à enlever dans 15 jours. Contrôle Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle. Contrôle à distance. contrôle a distance de la leucocytose trouvée le 28.01.19 chez médecin traitant Contrôle à distance en cardiologie Contrôle à J1 d'un périonyxis en face dorsale du bord médio-radial du majeur. Contrôle à J1 d'une brûlure de 2ème degré profonde des premières phalanges faces dorsales des doigts 2-3-4-5 à droite, de 0.2%. DD : brûlure du 3ème degré, initialement stadée à IIa le 20.02.2019. Persistance d'une brûlure de 1er degré en regard du métacarpophalangien face dorsale de tous les doigts. Contrôle à J1 d'une incision d'un sinus pilonidal. Contrôle à J2. Contrôle à J2. Contrôle à J3. Contrôle à J3. Contrôle à J3. Contrôle à la consultation ambulatoire des urgences. Contrôle à la consultation ambulatoire du Dr. X le mardi 29.01.2019 à 9h. Contrôle à votre consultation le mois suivant la sortie de l'hôpital. Contrôle à la consultation ambulatoire du Dr. X le 21.01.2019 pour réévaluation de la situation et discussion des résultats génétiques BRCA. Contrôle à la consultation de chirurgie générale à l'HFR Fribourg le 21.02.2019 Contrôle en orthopédie (la patiente prendra rendez-vous) Contrôle à la consultation de chirurgie générale le 25.04.2019. Rendez-vous deux fois par semaine en ergothérapie à l'HFR Fribourg, premier rendez-vous le 21.02.2019 à 10h30 Contrôle à la consultation du Dr. X en orthopédie le 01.04.2019 à 10h. Retrait des fils de sutures à J 12 au niveau de l'abdomen, soit le 01.03.2019 Changement des pansements tous les 48h. Contrôle à la consultation du Dr. X le 31.01.2019 à 11h15 Contrôle à la consultation du Dr. X le 26.02.2019 Contrôle à la consultation de Dr. X à 14h le 22.01.2019 Poursuite du traitement symptomatique de la fatigue par ritaline. Contrôle à la consultation du Dr. X le 04.03.2019 à 10h30 à l'HFR Riaz Contrôle à la consultation du Dr. X le 14.02.2019. Contrôle à la consultation du Dr. X le 12.02.2019. Contrôle à la consultation du Dr. X, orthopédiste, le 13.02.2019. Contrôle à la consultation du Dr. X, neurologue, durant la semaine du 18.02.2019 CT scan le 20.02.2019 à 08h00 Contrôle à la consultation du Dr. X, chirurgie vasculaire, le 20.02.2019 à 10h00 Bilan d'évolution à la consultation de la mémoire à évaluer Contrôle à la consultation du Dr. X le 04.03.2019 à 10h30 à l'HFR Riaz Consultation interdisciplinaire avec le Dr. X, physiothérapeute et ergothérapeute le 08.05.2019 à 13h30 à l'HFR Billens Contrôle à la consultation du Dr. X en début de semaine (email envoyé). +/- contrôle PM chez Dr. X selon avis Dr. X. Contrôle à la consultation du Dr. X, si possible en début de semaine. Si dyspnée, et/ou majoration des symptômes cardiaques au cours du week-end, nouvelle consultation aux Urgences. Contrôle à la consultation de la Team Spine le 05.02.2019 à 09h15. Poursuite de l'antalgie jusqu'au contrôle si présence de douleurs. Dexaméthasone 4 mg 3x/j à stopper le 20.01.2019. Contrôle à la consultation dermatologique le 19.03.2019 Contrôle à la consultation du Dr. X le 13.03.2019 à 14h30 Reprise du suivi psychiatrique chez la Dr. X Contrôle à la consultation du Dr. X le 20.02.2019 à 15h15. Contrôle à la consultation du Dr. X le 18.02.2019 à 15h00 Contrôle à la consultation du Dr. X le 28.02.2019. Contrôle à la consultation du Dr. X le 22.02.2019. Contrôle à la consultation du Dr. X, orthopédiste, le 20.02.2019 à 17H30. Contrôle à la consultation du Dr. X dans 48h Contrôle à la consultation du Dr. X le 11.03.2019. Contrôle à la consultation du Dr. X, dermatologue, maintenue au 11.02.2019, avec possibilité de l'avancer en cas de péjoration de l'état clinique. Contrôle clinique et biologique à votre consultation à une semaine, avec notamment contrôle de la fonction rénale. Proposition de réévaluer la présence de troubles cognitifs. Contrôle à la consultation du Dr. X le 05.06.2019 à 15h15 en neurologie. Contrôle à la consultation du Dr. X dans une semaine. Contrôle à la consultation du Dr. X le 18.03.2019 à 11h00 Suivi des TA et FC en ambulatoire et discuter de réintroduire le bétabloquant dans un second temps si nécessaire. Suivi biologique de l'anémie Contrôle à la consultation du médecin traitant dans une semaine. Contrôle à la consultation du Team Spine de l'HFR Fribourg à 14 jours du traumatisme (le patient sera contacté par le secrétariat). Contrôle à la filière des urgences à J5 pour ablation des fils. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires avec ultrason des membres inférieurs le 09.02.2019 à 09h00. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 09.02.2019. Contrôle à la policlinique d'ophtalmologie HFR-Fribourg cet après-midi. Contrôle à la policlinique d'orthopédie le 01.03.2019. Contrôle à une année postopératoire. Reprise progressive des activités sportives et poursuite de la physiothérapie pour gagner les degrés manquants. Contrôle à votre consultation dans une semaine. Enregistrement de Holter à organiser en ambulatoire Adaptation du traitement antidiabétique par insuline. Contrôle à votre consultation dans 24-48 heures. Contrôle à votre consultation en début de semaine du 25.02.2019. Nous vous proposons d'organiser une colonoscopie dans 4-6 semaines.Contrôle à votre consultation et organisation d'une OGD dans 4 à 6 semaines. Contrôle à votre consultation la semaine prochaine, réévaluation des traitements antidiabétiques et antihypertenseurs. Proposition d'organiser une évaluation neuropsychologique. Organisation d'une consultation en pneumologie pour une évaluation des fonctions pulmonaires. Prochain rendez-vous en podologie le 19.02.2019 à 17h. Contrôle à votre consultation la semaine suivant la sortie. Contrôle à votre consultation selon évolution. Contrôle à 1 semaine à la consultation du médecin traitant pour réévaluer la capacité de travail. Suite chez le Dr X, orthopédiste, à l'HFR Fribourg le 20.03.2019, pour prise en charge opératoire du scaphoïde. Contrôle à 13h45 le 08.02.2019 à la consultation d'ophtalmologie de l'Hôpital Cantonal. Contrôle à 2-3 mois post-partum. Contrôle à 24 heures à votre consultation. Conseils de surveillance et consignes de reconsultation données à la sortie (respiratoire et alimentaire). Contrôle à 24 heures chez le pédiatre en cas de persistance de la fièvre. Reconsultation aux urgences si péjoration de l'état général. Contrôle à 24h chez le médecin traitant ou urgences pédiatriques selon disponibilités. Contrôle à 24h de vertiges orthostatiques à la verticalisation le 08.02.2019 avec: • hypotension à 93/48 mmHg en radiothérapie le 07.02.2019. Contrôle à 24h d'un hématome au niveau du flanc gauche post résection cutanée en dermatologie à Givisiez le 08.02.2019. Contrôle à 24h d'une pneumonie communautaire basale gauche. Contrôle à 48h au secteur ambulatoire des urgences pour ablation du Penrose et évaluation de la cicatrisation de la plaie +/- avis chirurgical. Contrôle à 48h chez le médecin traitant, réfection du pansement. Contrôle à 48h de plaie avec perte de substance extrémité de l'index gauche le 26.02.19. Contrôle à 48h de plaie distale de la face dorso-médiale de la 3ème phalange de la main gauche, avec faible perte de substance le 14.02.2019 avec: • fissure longitudinale sur le tiers supérieur de l'ongle sans atteinte de la base unguéale. • hématome de 2/3 de l'ongle en distalité. Contrôle à 48h d'une infection cutanée du pouce droit. Contrôle à 48h le 09.02.2019 en ambulatoire aux urgences. Contrôle à 48h pour évolution clinique à J4 d'antibiothérapie. Mme. Y informée de consulter plus rapidement si apparition d'un état fébrile ou péjoration de la symptomatologie. Contrôle à 5j chez le médecin traitant si pas d'amélioration. Contrôle à 6 mois post-partum pour exclure une allo-immunisation. Contrôle à 6 semaines. Contrôle à 6 semaines. Contrôle à 6 semaines. Contrôle à 6 semaines. Contrôle à 6 semaines. Contrôle à 6 semaines. Contrôle à 6 semaines. Contrôle à 6 semaines. Contrôle à 6 semaines. Contrôle à 6 semaines. Contrôle à 6 semaines poste partum chez le gynécologue traitant. Contrôle à 72h d'un hématome au niveau du flanc gauche post résection cutanée en dermatologie à Givisiez le 07.02.2019. Contrôle adénite cervicale. Contrôle allergologique. Anti-histaminique en réserve. Contrôle ambulatoire demain. Contrôle analgésique. Contrôle anémie semaine de la sortie. Contrôle après accident de la voie publique avec coup de lapin le 10.02.2019. Contrôle après commotion cérébrale sur accident de la voie publique avec coup du lapin le 10.02.2019. Contrôle après CT. Contrôle après CT. Contrôle après CT. Contrôle après CT. Contrôle après CT. Contrôle après CT et IRM. Contrôle après incision d'un abcès glutéal à droite le 11.02.2019. Contrôle après infiltration. Contrôle après infiltration. Contrôle après infiltration du 06.02.2019. Contrôle après infiltration du 07.02.2019. Contrôle après infiltration du 17.01.2019. Contrôle après infiltration du 24.01.2019. Contrôle après infiltration du 31.01.2019. Contrôle après IRM. Contrôle après IRM. Contrôle après IRM. Contrôle après IRM. Contrôle après IRM du 15.02.2019. Contrôle après IRM du 29.01.2019. Contrôle après pose d'ongle artificiel. Contrôle après urétrite. Contrôle au besoin. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48h. Retrait des fils dans 7-10 jours. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences dans 48 h. Ablation des fils dans 3 semaines. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 08.02.2019 avec laboratoire pour exclure un syndrome inflammatoire. Contrôle en cardiologie dès le 11.02.2019. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 13.02.2019 avec laboratoire de contrôle + avis chirurgical. Si péjoration des gênes abdominales, opération sans refaire une sonographie. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 20.02.2019 pour l'ablation des fils. Contrôle au TCB le lendemain du retour à domicile. Contrôle au Team Spine dans 10 jours (DDS faxé au secrétariat de Team Spine pour la convocation). Arrêt accident 1 mois. Absence de sport, repos à domicile. Pas de conduite automobile au-dessus d'une heure. Contrôle auprès du médecin du centre de requérant d'asile en fin de semaine, médecin déjà contacté. Contrôle auprès du médecin traitant dans une semaine. Contrôle aux ambulatoires des urgences dans 48 heures. Contrôle aux ambulatoires des urgences le 07.02.2019. Contrôle aux urgences à 8h30: Pas de récidive de fuite urinaire. Pas de plainte fonctionnelle. Contrôle biologique: Gazométrie en ordre, Glycémie à jeun à 5.3 mmol/l, stix urinaire en ordre. Attitude: Consignes de surveillance données à la mère. Contrôle aux urgences le 25.02. dans l'après-midi. Contrôle aux urgences si la fièvre persiste pendant plus que 2-3 jours. Si jamais, on explique à la mère qu'elle peut rappeler pour demander s'il faut reconsulter. Contrôle avec résultat pour maladie sexuellement transmissible. Contrôle biologie aux ambulatoires des urgences à 48 heures. Contrôle biologique. Contrôle biologique. Contrôle biologique. Contrôle biologique à distance. Contrôle biologique à prévoir chez le médecin traitant dans la semaine. Contrôle biologique à 1 semaine chez le médecin traitant (suivi de l'anémie +/- investigations). Contrôle biologique à 48 heures de l'INR, plus ou moins adaptation du traitement de Sintrom et créatinine chez le médecin traitant. Mr. Y reconsultara immédiatement aux urgences s'il présente une péjoration de la dyspnée ou apparition d'autres nouveaux symptômes (Mr. Y ne désirant aucune investigation complémentaire durant la consultation et préférant voir son médecin traitant à 48 heures). Contrôle biologique chez le médecin de famille. Consulter les urgences si apparition de fièvre ou autres symptômes. Rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr X le 05.03.2019 à 11h30.Angio-CT de contrôle le 05.03.2019 à 14h30 à l'HFR (à jeûn 4h avant l'heure de rendez-vous) • Contrôle biologique chez le médecin traitant dans la semaine. • Contrôle biologique chez le médecin traitant dans une semaine avec suivi de l'hémoglobine dans 7-10 jours. • CT thoraco-abdominal injecté pour un bilan d'extension. • Colonoscopie et oesogastroduodénoscopie. • Contrôle biologique des CK et du potassium le 25.02.2019. • Contrôle biologique d'ici 4 à 6 mois chez son médecin traitant. • Contrôle biologique d'un INR supra-thérapeutique à 6.8 le 01.02.19. • Contrôle biologique et clinique la semaine prochaine chez son médecin traitant. • Contrôle biologique et évaluer nécessité d'un bilan d'anémie. • Contrôle biologique (formule sanguine et potassium) à prévoir chez le médecin traitant à 4-5 jours. • Contrôle biologique (paramètres hépatiques et de cholestase) et clinique à 48h en filière 34. • Consultation des chefs de clinique de chirurgie (Dr. X) afin de discuter de l'indication à une cholecystectomie et contrôle biologique des paramètres des cholestase. • Contrôle biologique thyroïdien à 6 semaines chez le médecin traitant. • Contrôle biologique (TSH 8.22 mU/l, T3 1.2 nmol/l, T4 3.35 pmol/l). • Contrôle biologique (valeur de la natrémie en particulier) chez le médecin traitant dans une semaine. • Contrôle biologique ad spot urinaire à faire en division. • Contrôle biologique restriction hydrique à 1200ml/24h. • Contrôle bronchiolite. • Contrôle bronchiolite à RSV. • Contrôle bronchiolite légère avec difficultés alimentaires. • Contrôle B12 et acide folique. • Contrôle cardiologique à la consultation du Dr. X agendé une semaine après la fin du séjour. • Résultats du Holter et Remler à pister. • Ferritine à doser à distance par médecin traitant. • Contrôle cardiologique avec échographie transthoracique le 15.3.2019 chez Dr. X. • Bilan allergologique à organiser par le médecin traitant en ambulatoire afin d'exclure une allergie au produit de contraste. • Suivi habituel auprès du médecin et psychiatre traitant. • Contrôle ce jour 319 (à la baisse). • Suivi clinique par sage-femme à domicile. • Contrôle chez Dr. X le 12.02.2019 à 11h30. • Laboratoire chez son médecin traitant dans 7 jours. • Contrôle chez Dr. X le 19.03.2019. • Contrôle chez Dr. X (pédopsychiatre) le 27.02 à 14h. • Suivi ordinaire par vos soins. • Contrôle en policlinique gynécologique à Bienne dans 2 semaines avec discussion de la contraception future. • Conseils d'usage: contre-indication à la patiente des rapports sexuels pendant 4 semaines, pas de tampon, pas de bain pendant 2 semaines. • Contrôle chez Dr. X après l'intervention chirurgicale. • Consultation du service des urgences si douleurs abdominales fortes, signes d'infection (rougeur, chaleur, écoulement) autour du point de ponction. • Contrôle chez Dr. X le 15.03. • Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine. • Continuation du workup du problème de croissance par le pédiatre. • Contrôle chez le pédiatre dans 48-72 heures. • Poursuit antibiothérapie pour otite selon prescriptions de la pédiatre. • Contrôle chez le cardiologue le 6.02. • Suivi par la sage-femme à domicile. • Visite chez le pédiatre à 2-4 semaines de vie pour suivi du borderline SGA. • Contrôle chez le dentiste le 15.02.19. • Gargarismes après chaque repas. • Crème cicatrisante. • Antalgie simple. • Contrôle chez Dr. X à 10 jours. • Consultation avant si péjoration clinique. • Attelle pouce et contrôle en polyclinique d'orthopédie à une semaine. • Revérifier la base ulnaire du pouce à une semaine. • Contrôle chez Dr. X pour réévaluation de la reprise du Méthotrexate dans une semaine. • Poursuite de l'antibiothérapie par Ciprofloxacine pour 14 jours in toto. • Contrôle chez Dr. X dans 3 mois. • Reconsulte en cas de péjoration des douleurs. • Contrôle chez le médecin traitant. • Contrôle chez le médecin traitant à 10 jours. • Contrôle chez le médecin traitant au besoin. • Contrôle chez le médecin traitant avec ECG de contrôle la semaine prochaine. • Contrôle chez le médecin traitant dans les 10 jours. • Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. • Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine pour discuter de l'oxymétrie et le reste des résultats d'examen biologique (les vitamines). • Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. • Reconsultation si apparition de troubles neurologiques selon la feuille de surveillance. • Contrôle chez le médecin traitant dans 2 jours, fils à enlever dans 10 jours. • Contrôle chez le médecin traitant dans 48h, ad substitution PO. • Contrôle chez le médecin traitant du profil tensionnel, de la fonction rénale et du magnésium. • Contrôle chez le médecin traitant en fin de semaine si persistance des douleurs. • Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine pour la formule sanguine. • Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. • Consultation cardiologique auprès de Dr. X dès que possible. • Contrôle chez le médecin traitant le mercredi 13.02.2019. • Suivi diabétologique en ambulatoire, rendez-vous prévu 18.03.2019 à 9h00. • Bon pour podologie. • Contrôle chez le médecin traitant le 04.02.2019. • Repos, bonne hydratation, légère alimentation. • Reconsultation en cas d'aggravation (signe d'appel expliqué). • Contrôle chez le médecin traitant ou urgences si persistance de la symptomatologie. • Contrôle chez le médecin traitant pour réévaluation de la structure d'accompagnement + suivi de la mycose. • Contrôle chez le médecin traitant si pas d'amélioration dans 1 semaine. • Contrôle chez le médecin traitant à 5 jours si persistance des symptômes. Contrôle chez le pédiatre. • Contrôle chez le pédiatre à la fin du traitement. • Contrôle chez le pédiatre à 1 mois de vie. • Contrôle chez le pédiatre au cours de la semaine prochaine. • Suivi par la sage-femme dès la sortie. • Contrôle chez le pédiatre au début de la semaine prochaine pour l'évolution. • Contrôle chez le pédiatre au début de la semaine prochaine si persistance d'EF. • Algifor pdt 2 jours. • Rinçage nasal régulier. • Hydratation++++. • Contrôle chez le pédiatre au suivi habituel. • Contrôle chez le pédiatre dans les 48h. • Contrôle chez le pédiatre dans une semaine. • Contrôle chez le pédiatre dans 1 à 2 semaines, avec une mesure de l'hémoglobine. • Contrôle chez le pédiatre dans 2 jours. • Contrôle chez le pédiatre dans 2 jours pour un suivi. • Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. • Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. • Contrôle chez le pédiatre dans 2 jours, si persistance d'EF. • Contrôle chez le pédiatre dans 2-3 jours selon l'évolution. • Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures pour évaluation clinique. • Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. • Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures En cas de nouveau pic fébrile, un bilan sanguin et une antibiothérapie sont à envisager Contrôle chez le pédiatre dans 48h si persistance d'EF Contrôle chez le pédiatre dans 48h. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par Co-amoxicilline ainsi que dexéryl crème. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Contrôle chez le pédiatre dans 7 jours Contrôle régulier par la sage-femme à domicile Alimentation actuelle 30ml 8x/j Contrôle chez le pédiatre dans 72 heures si EF persistant Consultation urgences pédiatriques si péjoration alimentaire Consignes alimentaires et réhydratation données Contrôle chez le pédiatre dans 72 heures si odynophagie persiste Contrôle aux urgences si signes de gravité (refus réhydratation, torticolis, trismus, enflement du cou) Contrôle chez le pédiatre demain à 15 heures Reconsulter si plusieurs vomissements sur la nuit. Contrôle chez le pédiatre demain pour évaluation de l'hydratation Contrôle chez le pédiatre en cas de péjoration des symptômes. Contrôle chez le pédiatre en fin de semaine. Nous proposons au médecin traitant fortement d'adresser ce patient en neuro-pédiatrie pour bilan. Contrôle chez le pédiatre la semaine prochaine en cas de persistance ou péjoration des symptômes Contrôle chez le pédiatre le 15.02 Dépistage de la drépanocytose à distance Contrôle chez le pédiatre le 18.01. Contrôle chez le pédiatre mardi le 12.02. Contrôle chez le pédiatre pour enlever le point mercredi. Contrôle chez le pédiatre prévu pour la semaine prochaine. Contrôle chez le pédiatre si douleurs persistent plus qu'1 semaine. Contrôle chez le pédiatre si EF Contrôle chez le pédiatre si EF ou mauvais état général Contrôle chez le pédiatre si EF persistant, écoulement de l'oreille. Contrôle chez le pédiatre si état fébrile Consultation ORL à organiser si persistance de ronflements Contrôle chez le pédiatre si fièvre persiste Contrôle chez le pédiatre si pas d'amélioration. Contrôle chez le pédiatre si pas d'amélioration dans 72h ou si péjoration. Contrôle chez le pédiatre si persistance de l'EF après 48h d'Amoxicilline Contrôle chez le pédiatre si persistance de la fièvre plus de 5 jours Contrôle chez le pédiatre si persistance de la fièvre 72h Contrôle chez le pédiatre si persistance d'EF Contrôle chez le pédiatre si persistance des douleurs dans 1 semaine Reconsulter si péjoration Contrôle chez le pédiatre suite au schéma dégressif pour réévaluer la prescription de laxatif. Contrôle chez le pédiatre traitant s'il y a des douleurs à la miction, pus ou fièvre. Ils ont déjà un rendez-vous Vendredi 15.02.2019 Contrôle chez l'ophtalmologue dans 1 semaine. Contrôle chez l'ORL à 7-10 jours du traumatisme Contrôle chez l'ORL, comme prévu le 15.03.2019. Suivi chez le médecin traitant. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Contrôle chez le pédiatre pour évaluer le traitement pour épilepsie Contrôle chez son gynécologue la semaine prochaine Contrôle chez son médecin. Contrôle chez son médecin. Contrôle chez son médecin. Contrôle chez son médecin - bilan d'hypertension nouvelle. Contrôle chez son médecin dans le début de la semaine prochaine. Contrôle chez son médecin dans 1 semaine Contrôle chez son médecin dans 5 jours. Eventuellement physiothérapie en ambulatoire. Contrôle chez son médecin dans 5 jours. Retour aux urgences si pas d'amélioration dans 24-48 h. Contrôle chez son médecin si pas d'amélioration. Contrôle chez son médecin traitant. Contrôle chez son médecin traitant à 48h et pour retrait des fils à 10 jours. Contrôle chez son médecin traitant dans 1 semaine ou avant si péjoration. Contrôle chez son médecin traitant déjà agendé le 15.02.2019. Contrôle chez son médecin traitant le 21 ou 22.02.2019. Contrôle chez son médecin traitant pour suivi des sérologies. Contrôle chez son pédiatre si péjoration Dafalgan suppo si fièvre Contrôle chez vous dans le courant de la semaine prochaine pour suivi de l'évolution. Contrôle prévu chez un infectiologue pédiatre le 14.03. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par Amoxicilline 60mg/kg/j en 3 doses jusqu'au 14.03 inclus. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Contrôle chez vous dans les 7 jours. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Contrôle chez vous dans les 7 jours. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par SNG de co-amoxicilline 80mg/kg/j en 3 doses. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Contrôle chez vous dans un mois et selon possibilité contrôle de la dilatation pyélocalicielle. Les résultats seront transmis et selon besoin l'enfant sera convoqué par ses soins. Surveillance à domicile, bonne hydratation. Si apparition de symptômes, se présenter chez vous ou aux urgences pour évaluation. Contrôle chez vous dans une semaine ou plus en fonction des désirs parentaux pour évaluation et possible arrêt du Nexium souhaité par les parents. Contrôle chez vous dans 24-48h selon disponibilités. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez vous ou aux urgences pour évaluation. Contrôle clinico-biologique à la filière 34 dans 2 jours (à annuler si disparition des vertiges et tachycardie). Contrôle de la tension artérielle par le patient les prochaines semaines et consultation chez le médecin traitant si persistance de l'hypertension. Ordonnance de Metronidazole donnée au patient: en cas de claire relation entre prise de l'antibiothérapie et nausées, échanger Amoxicilline pour Métronidazole pour compléter la thérapie. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires à 48h pour une dermo-hypodermite. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 03.03.2019, pister l'uricult.Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 24.02.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Continuer l'antibiothérapie. Contrôle clinico-biologique à 48h. Contrôle clinico-biologique à la fin de l'antibiothérapie. Contrôle clinico-biologique à votre consultation la semaine suivant la sortie. Discussion d'effectuer un test VIH. Contrôle clinico-biologique à votre consultation le vendredi le 25.01.2019. Eradication du H. Pylori. Nous conseillons de ne pas prendre d'AINS. Contrôle clinico-biologique à votre consultation le 25.01.2019. Contrôle clinico-biologique à 24h. Frottis naso-pharyngé pour dépistage Influenza A + B : PCR positive pour Influenza A. Atrovent + Pulmicort inhalateur aux urgences. Avis de Dr. X : Tamiflu 75 mg 2x/jour. Traitement par Ventolin + Symbicort + Tamiflu. Contrôle clinico-biologique ce jour. Anamnèse et examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Continuer avec l'antibiothérapie prévue. Contrôle clinico-biologique chez le médecin traitant après 4 jours. Contrôle clinico-biologique chez le médecin traitant dans 7-10 jours Poids cible : 74 kg Contrôle clinico-biologique en début de semaine prochaine avec son médecin traitant. Contrôle clinico-biologique le 19.02.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis de Dr. X, de médecine interne : ad ultrason angiologique le 20.02 et Clexane thérapeutique. Clexane thérapeutique par Clexane 80 mg 2x/jour à réévaluer le 20.02.2019. Poursuite de Co-Amoxicilline 1g 2x/jour pendant 14 jours à réévaluer après ultrason angiologique le 20.02.2019. Poursuite de l'immobilisation du membre inférieur droit dans une attelle SplintPod avec décharge à réévaluer le 20.02.2019 avec ultrason angiologique. Consultation aux urgences en cas de péjoration des symptômes ou d'apparition de fièvre dans l'intervalle. Contrôle clinico-biologique post-plaie de morsure de chat. Contrôle clinico-biologique ECG RX thorax Contrôle en cardiologie à prévoir dans 4 semaines à l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal Contrôle clinico-radiologique à la filière des urgences ambulatoires. Contrôle clinique Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique. Contrôle clinique + pister urotube à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Contrôle clinique : s.p. Arrêt cymbalta le 6.02.2019 Contrôle clinique à J1 de douleurs abdominales en hypochondre droit d'origine indéterminée. DD : adénite mésentérique, appendicite débutante. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires et ablation de mèche le 02.02.2019 à 9h00. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 13.02.2019. Contrôle clinique à notre consultation dans 1 semaine selon le désir de Mme. Y. Contrôle clinique à notre consultation le 02.02.2019 à 13h30 pour ablation de la mèche bêta-dinée. Prochains contrôles à prévoir selon l'évolution. Contrôle clinique à votre consultation. Contrôle clinique à votre consultation à une semaine. Contrôle à la consultation de Dr. X le 31.01.2018 à 11h. Contrôle clinique à votre consultation dans 2-3 jours. Contrôle clinique à votre consultation la semaine du 28.01.2019 Echocardiographie transthoracique à prévoir en ambulatoire à 4 semaines Suivi angiologique à 3 mois, soit le 17.04.2019 à 09h00 (HFR Riaz) Contrôle clinique à votre consultation la semaine suivant la sortie. Contrôle clinique à votre consultation la semaine suivant la sortie. Contrôle clinique à votre consultation la semaine suivant la sortie. Contrôle clinique à votre consultation la semaine suivant la sortie. Contrôle clinique à votre consultation la semaine suivant la sortie. Consultation en pneumologie - Dr. X - HFR Fribourg, dans 3 mois. Contrôle clinique à votre consultation la semaine suivant la sortie. Le patient sera reconvoqué pour un test vidéo head impulse. Contrôle clinique à 1 semaine en pédiatrie. Pas d'antibioprophylaxie pour l'instant. Rinçages de bouches avec Drossadine après chaque repas. Au contrôle du 05.03.2019 (Dr. X) : • Anamnèse : bonne évolution, pas de tuméfaction ni saignement, pas d'état fébrile, alimentation normale. Bonne compliance Drossadine après chaque repas. • Status clinique : bonne évolution, berges de la plaie rapprochées, mobilité de la langue intacte. • Attitude : Poursuite de la Drossadine après chaque repas pour 2 semaines totales. Pas de nouveau contrôle envisagé. Contrôle clinique à 10 jours d'une contusion de D5 à droite. Contrôle clinique à 2 semaines. Contrôle clinique à 3 semaines chez le médecin traitant. Contrôle clinique à 48 heures. Contrôle clinique à 48h d'une bursite traumatique olécrânienne droite sur contusion du coude droit. Contrôle clinique à 48h pour douleurs abdominales. Contrôle clinique à 48h. Avis orthopédie (Dr. X) : Continuer suivi chez le médecin traitant dans 7 jours, Prednisone max 5 jours. Cannes anglaises. Étant donné la chimiothérapie, on ne fait pas la ponction du genou sous risque d'infection iatrogène et on choisit la Prednisone et non un AINS comme anti-inflammatoire à cause de la pathologie hépatique du patient. Contrôle clinique à 48h. Continuer AB jusqu'au 8.02.19. Contrôle clinique après réhydratation par SNG Pérentérol sachet Stimuler hydratation. Contrôle clinique auprès du médecin traitant à distance : surveillance de la vitamine D et l'orthostatisme en particulier. Contrôle clinique auprès du médecin traitant en fin de semaine. Contrôle clinique aux urgences le 14.02 car le pédiatre est indisponible (Poids et état respiratoire). Contrôle clinique avec IRM. Contrôle clinique, biologique et suivi du poids chez le médecin traitant. Contrôle clinique chez le médecin traitant à une semaine ainsi que de la suite de la prise en charge. Contrôle clinique chez le médecin traitant, avec diminution progressive de l'oxycontin en ambulatoire. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans la semaine. Suivi cardiologique en ambulatoire chez le cardiologue traitant à la recherche d'une maladie coronarienne. Contrôle clinique chez le médecin traitant et organisation d'un suivi psychiatrie. Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Proposition d'organiser une OGD en cas de persistance des symptômes à la recherche d'hernie hiatale. Majoration de la posologie de Remeron selon tolérance. Proposition de suivi psychologique en ambulatoire. Contrôle clinique chez le pédiatre. Contrôle clinique chez le pédiatre , prévoir échographie cardiaque si récidive des douleurs. • Contrôle clinique chez le pédiatre dans 24 heures • Antalgiques en réserve • A/B à poursuivre • Consignes de réhydratation données en détails et explication de signes de gravité. Contrôle clinique chez le pédiatre demain. Contrôle clinique chez le pédiatre en fin de traitement. Contrôle clinique chez le pédiatre si péjoration. Contrôle clinique chez le pédiatre si persistance des symptômes. Contrôle clinique chez le pédiatre. Contrôle clinique chez médecin traitant la semaine prochaine. Contrôle clinique dans 10 jours à la consultation du team spine. Contrôle clinique de la plaie. Pansement, contrôle chez le médecin traitant à 5 jours à la demande du patient. Arrêt de travail. Contrôle clinique de la plaie. Pansement, contrôle chez le médecin traitant à 5 jours à la demande du patient. Arrêt de travail. Contrôle clinique de microhématurie. Contrôle clinique du coude D chez le médecin traitant dans 1 semaine. Contrôle radio-clinique dans 2 semaines à la consultation de la team spine. Contrôle clinique du traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle (le 19.02.2019 à 16H00) avec dysarthrie par la suite (dès 20H20) : chez Mme. Y avec thalassémie mineure. Contrôle clinique du 04.02.2019 sur suspicion de surinfection d'une plaie post-opératoire au niveau ombilical, status post-cure d'hernie ombilicale par le Dr. X le 18.01.2019. Contrôle clinique du 06.02.2019, d'une microhématurie post-contusion thoracique droite le 04.02.2019. Contrôle clinique du 08.12.2018. Amélioration de la sensibilité. Pas de Tinel. Toucher piquer sp. Discrimination 2 points 1 cm de distance bord ulnaire P2D1, 4 mm dans les autres parties de D1. Avis Dr. X. Contrôle à la policlinique d'orthopédie le mercredi 12.12.2018. Contrôle clinique d'un status post-passage alimentaire difficile chez Mme. Y connue pour un anneau gastrique le 05.02.2019. Contrôle clinique d'une convulsion fébrile sur angine virale. État général excellent. Poursuite de traitement symptomatique à domicile et contrôle chez le pédiatre dans 48 heures si EF persistant ou otalgies présentes. Consignes de réhydratation et alimentation données. Contrôle clinique d'une infection urinaire compliquée le 25.02.2019. DD : pyélonéphrite débutante. Contrôle clinique d'une plaie prétibiale à droite. Contrôle clinique en filière des urgences ambulatoires. Contrôle clinique en Orthopédie dans 10 jours. Contrôle clinique et ablation des fils de suture • sur plaies du visage multiples. Contrôle clinique et annonce de résultat d'IRM. Contrôle clinique et béta HCG avec ablation des fils à J10. Re-consulte si péjoration des douleurs ou état fébrile. Pas de grossesse pendant 6 mois. Contrôle clinique et biologique. Contrôle clinique et biologique. Contrôle clinique et biologique à votre consultation dès la fin de l'antibiothérapie. Contrôle clinique et biologique à votre consultation la semaine prochaine. Réévaluation de la reprise du diurétique à distance. Poursuite de la physiothérapie respiratoire en ambulatoire. Contrôle clinique et biologique à votre consultation la semaine suivant la sortie. Contrôle clinique et biologique à 24h au secteur ambulatoire des urgences. Contrôle clinique et biologique à 48h en filière 34. Contrôle clinique et biologique à 48h-72h chez le médecin traitant. Suite oncologique avancée en raison de la progression de l'épanchement pleural droit. Contrôle clinique et biologique auprès du médecin traitant à 1 semaine. Contrôle clinique et biologique ce jour. Contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant le 04.03.2019. IRM abdominale le 12.03.2019 à 13h45 (à jeûn 4h avant). Rendez-vous en consultation du Dr. X le 18.03.2019 à 14h30. Contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant le 25.02.2019. Réévaluer substitution potassium. Contrôle clinique et biologique d'épigastralgies. Contrôle clinique et biologique en ambulatoire à 48h. Contrôle clinique et biologique en fin de semaine à votre consultation. Consultation ambulatoire chirurgicale avec le Dr. X le lundi 18.02.19 à 14h30. Contrôle clinique et biologique (fonction rénale et électrolytes, notamment le potassium légèrement abaissé à la sortie) et adaptation du traitement diurétique en fonction. J'ai demandé à Mme. Y de s'acheter une balance et de surveiller son poids ainsi que de la substitution en potassium. Prochain rendez-vous déjà prévu le 28.02.2019 à 12h00. À noter l'injection d'Aranesp prévue le 28.02.2019 (à poursuivre 1x/semaine). Contrôle pneumologique à la consultation du Dr. X agendée le 27.02.2019 à 11h45. Suivi néphrologique en ambulatoire dans 1 mois (Mme. Y sera convoquée). Contrôle clinique et biologique (hémoglobine) à votre consultation à 1 semaine. Pister les résultats du Holter de 72 heures (026 306 20 82). Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Pas de conduite pendant 2 semaines. Consultation neurovasculaire de contrôle le 22.05.2019 à 15h30. Contrôle clinique et biologique la semaine suivant la sortie. Injection de Ferinject vu le taux bas de ferritine. Consultation gynécologique HFR Fribourg le 23.02.2019 à 09h45. Colonoscopie et oesogastroduodénoscopie à l'HFR Fribourg le 28.02.2019. Contrôle clinique et biologique pour des douleurs abdominales persistantes. Contrôle clinique et contrôle Malaria demain. Contrôle clinique et discussion des résultats des examens le 12.02.2019 à la consultation du team spine. Contrôle clinique et échographie dans 7 à 10 jours. Contrôle clinique et échographique à 10 jours à votre consultation. Contrôle clinique et échographique à 4 semaines post-opératoires. Contrôle clinique et échographique dans 4 à 6 semaines à la consultation de la Dr. X. Contrôle clinique et laboratoire. Contrôle clinique et laboratoire. Contrôle clinique et laboratoire au secteur ambulatoire des urgences dans 48h. • Contrôle clinique et laboratoire (CRP, FSS, Creat) chez le médecin traitant le 14.02.2019 • Représentation en cas de nouvelle symptomatologie • Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 20.02.2019. Contrôle clinique et plaie. Avis orthopédique (Dr. X). Pansement sec et remise en place de la botte fendue. • Cannes anglaises • Arrêt de sport pendant 1 semaine • Contrôle de la plaie chez le pédiatre dans 48h • Contrôle en ortho urgences dans 1 semaine Contrôle clinique et plaie • Avis orthopédique (Dr. X) • Pansement sec et remise en place de la botte fendue. • Cannes anglaises • Arrêt de sport pendant 1 semaine • Contrôle de la plaie chez le pédiatre dans 48h • Contrôle en ortho urgences dans 1 semaine Contrôle clinique et plaquettaire Contrôle clinique et radiologique de cervicalgies. Contrôle clinique et radiologique du 21.02.2019 • d'une contracture musculaire des faisceaux supérieurs gauches du trapèze et du SCM gauche, diagnostiquée le 20.02.2019. Contrôle clinique et radiologique en ortho urgence à 1 semaine Contrôle clinique et ultrason à la filière des urgences ambulatoires le 19.02.2019. Contrôle clinique et US le 11.03.2019 à la consultation du Dr. X Contrôle clinique étroit : si réapparition des déficits neurologiques, faire CT et demander un avis Team-Spine. Corticothérapie par Dexaméthasone dès le 18.11.2018 avec schéma dégressif à poursuivre. Densitométrie osseuse dans l'année avec évaluation de l'indication à des biphosphonates (iv car ulcère digestif) Contrôle clinique le 08.02. à 14h aux urgences avec contrôle sanguin (FSC + CRP + VS + ASAT et ALAT). Si moindre soupçon de Kawasaki, prendre RDV chez Dr. X dans la semaine pour contrôle cardiaque. Si apparition d'un pic fébrile, se présenter aux urgences avant le contrôle. Nous recommandons un contrôle des urines dans une intervalle sans infection (hématurie) Contrôle clinique le 11.02.19 : Dr. X Anamnèse : Pas de fièvre. Pas de cervicalgies. Bonne prise alimentaire. Apparition hier soit le dernier jour de traitement d'éruption cutanée étendue à tout le corps. Pas d'allergie connue. Examen : Poids : 19.3 Kg Bon état général, apyrétique Bon état d'hydratation Cardiovasculaire : Fc à 102 bpm, pas de marbrures, extrémités chaudes, pas de souffle cardiaque Respiratoire : eupnéique, auscultation pulmonaire libre Ostéoarticulaire : articulations libres Abdominal : abdomen souple indolore, pas d'hépatosplénomégalie, bruits hydroaériques présents, pas de défense ni contracture Neurologique : très actif, enfant difficile à examiner, pas de raideur méningée, Cutané : éruption cutanée maculopapuleuse épargnant les paumes et les plantes étendue à tout le corps, peu prurigineuse ORL : ganglion de 1 cm de grand axe sous-mandibulaire gauche, pas de trismus, pas de torticolis Attitude : Bonne évolution sous traitement antibiotique Xyzal si prurit Pas de contrôle prévu, le père dit qu'ils partent en vacances ce jour Prévoir test d'allergie à la pénicilline Contrôle clinique le 20.02.2019 chez son médecin traitant Contrôle clinique, notamment pour l'adaptation de l'antalgie, et biologique (CRP, FSS) à votre consultation le 25.01.2019 à 13h30. Bilan neuropsychologique en ambulatoire ; le patient sera convoqué. Contrôle clinique pour une plaie simple de la face dorsale de la première phalange de l'index droit le 25.02.2019. Contrôle clinique prévu avec Dr. X le 19.02.19 Contrôle clinique suite à gastroentérite virale vs bactérienne le 24.02.2019. Contrôle clinique suite à incision d'abcès le 24.02.2019. Contrôle clinique suite à une suspicion d'urétrite le 25.02.2019. Contrôle clinique. • Ablation de la mèche. • Rinçage avec NaCl et Bétadine. • Pansement. Patient vu par Dr. X, chirurgien : • suivi jeudi 28.02.2019 en policlinique de chirurgie. • éventuelle prise en charge chirurgicale à distance. Contrôle clinique. Laboratoire : cf. annexes. AINS et antalgie simple. Avis du chef de clinique de médecine interne. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs. Arrêt de travail. Contrôle clinique • Poursuivre antibiothérapie ad J7 comme prévu Contrôle clinique • Poursuivre hydratation Contrôle clinico-biologique (FS, CRP) à la FUA à 24h. Contrôle chez le médecin traitant le 19.02.2019 pour réévaluation clinique et de l'arrêt de travail. Contrôle comme prévu le 01.03.2019 chez pédiatre pour les 1 mois, pas d'autre investigation nécessaire Contrôle CT dans 3 mois Contrôle d'abcès. Contrôle dans le cadre d'une épidémie VRE à l'Inselspital Contrôle dans un contexte de douleurs épigastriques le 23.02.2019. Contrôle dans une semaine à la consultation du Dr. X. Contrôle dans 1 année. Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie dans 6 mois Contrôle dans 1 mois chez le médecin traitant Ergométrie dans 6 mois Contrôle dans 1 mois chez Dr. X Ergométrie dans 1 année Physiothérapie en ambulatoire Suivi du poids 2x/semaine Contrôle dans 1 mois en cardiologie chez Dr. X. Si l'angor persiste, recoronarographie pour PCI de la petite branche marginale. Ergométrie dans 1 année. Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie dans 1 année. Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie/ECHO dans 1 année. Contrôle dans 10 jours à la consultation Dr. X. Contrôle dans 10 jours à la consultation du Dr. X. Contrôle dans 10 jours à la consultation du Dr. X. Contrôle dans 10 jours à la consultation du Dr. X. Contrôle dans 10 jours à la consultation du Dr. X avec ablation des fils. Contrôle post-opératoire dans 4 semaines chez le gynécologue traitant. Contrôle dans 10 jours à la consultation du Dr. X. Contrôle dans 10 jours à la consultation du Dr. X. Contrôle dans 10 jours à la consultation du Dr. X. Contrôle dans 10 jours chez le médecin traitant avec réadaptation du traitement et suite de prise en charge. Contrôle dans 10 jours en consultation ambulatoire pour contrôle clinique, ablation des fils et communication des résultats. Contrôle dans 10 jours en consultation ambulatoire pour contrôle post-opératoire. Contrôle dans 12 heures Contrôle dans 2 jours chez le pédiatre. Contrôle dans 2 semaines chez Dr. X pour échographie et discussion des résultats de l'examen anatomo-pathologique. Contrôle dans 24h, sauf si bonne évolution. Contrôle dans 24h, sauf si bonne évolution. Contrôle dans 24/48h si persistance de la fièvre chez le pédiatre Contrôle dans 3 mois Contrôle dans 48h. Contrôle dans 48 heures au secteur ambulatoire des urgences. Contrôle dans 48h au secteur ambulatoire des urgences. Contrôle dans 48h si absence d'amélioration Consignes d'hydratation fractionnée Contrôle en cas de fièvre aux urgences Contrôle dans 48-72 heures chez le pédiatre ou aux urgences pédiatriques Consignes de surveillance Contrôle dans 8 jours pour ablation des fils de fixation de l'ongle. Contrôle de bronchiolite Contrôle de contusion de C7 le 06.02.2019. Contrôle de dermohypodermite du dos de la main gauche suite à une morsure de chat le 08.02.2019. Contrôle de déshydratation dans contexte de gastro-entérite Contrôle de douleurs loge rénale droite le 12.02.2019. Contrôle de gastrite aiguë avec recherche H. pylori positive dans les selles. Contrôle de la cicatrice à travers le pansement Comfeel et ablation de celui-ci des steristrips à 14 jours post-opératoires à la consultation de Dr. X. En cas de perte d'étanchéité du Comfeel, il devra être remplacé par un pansement standard. En outre, étant donné l'utilisation de matériel résorbable, une ablation de fils ne sera pas nécessaire. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie, à 6 semaines post-opératoires. Contrôle de la crase à votre consultation en fin de semaine, et contrôle clinique au début de la semaine prochaine. Contrôle clinique auprès du Dr. X, neurologue, à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal en fonction de l'évolution clinique. Contrôle de la crase suite à l'administration du Sintrom selon carnet. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Evaluation appareillage si hypoacousie handicapante socialement en ambulatoire. Contrôle de la fonction rénale à 10 jours. Contrôle de la formule sanguine chez le médecin traitant dans 5 jours. Présentation si péjoration de l'encéphalopathie. Viser 3 passages de selles par jour et adapter la dose de Duphalac selon besoin. • évaluation de Xifaxan péjoration et incapacité de gérer l'amoniémie par Lactulose. Consultation nutritionniste supplémentaire si nécessaire. Contrôle de la kaliémie et substitution si nécessaire. Evaluation et réhabilitation gériatrique à envisager. Poursuite du suivi habituel auprès du médecin traitant. Contrôle de la plaie à travers le pansement Comfeel. En cas de perte d'étanchéité de celui-ci, le remplacer par un pansement standard. Ablation du Comfeel à 14 jours post-opératoires à votre consultation. Étant donné l'utilisation de matériel résorbable, une ablation de fils ne sera pas nécessaire. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie, à 6 semaines post-opératoires. Contrôle de la plaie à 10 jours chez son médecin traitant. Contrôle du pacemaker à 2 mois en cardiologie. Contrôle de la plaie à 10 jours. Rendez-vous de contrôle en cardiologie à distance. Contrôle de la plaie chez le pédiatre dans 48h. Contrôle en ortho urgences dans 1 semaine. Contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant. Le patient sera convoqué dans 4-6 semaines pour un contrôle du pacemaker. Contrôle de la plaie est à organiser par la patiente à J10 chez le médecin traitant. Le contrôle du pacemaker aura lieu dans 4-6 semaines. Mme. Y sera convoquée par le service de cardiologie. Contrôle de la pression artérielle aux 4 heures jusqu'au 20.02.2019 (cible : TAS environ 120 mmHg). Antalgie. Contrôle neurologique 2x par jour. Contrôle de la TSH d'ici 4 à 6 mois chez le médecin traitant. Prescription faite de physiothérapie et d'ergothérapie en ambulatoire. Contrôle de l'évolution de l'infection et de la kaliémie chez le médecin traitant dans les 48 heures. La patiente doit voir son oncologue, Dr. X, pour sa prochaine cure de chimiothérapie le 12.02.2019. Elle est informée de la situation et évaluera la faisabilité de celle-ci en fonction de l'évolution. Contrôle de l'INR à prévoir la semaine prochaine à l'EMS. Contrôle clinico-biologique à prévoir la semaine prochaine à l'EMS. Contrôle de l'INR à votre consultation le lundi 28.01.2019. Contrôle de l'INR chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Contrôle de l'INR et adaptation du Sintrom. Contrôle de la crase auprès du médecin traitant en fin de la semaine. Contrôle de l'INR et réglage du Sintrom à votre consultation le 22.02.2019. Contrôle radio-clinique de la cheville le 25.02.2019 en policlinique d'orthopédie. Contrôle de l'INR le 25.01.2019. Contrôle de lombosciatalgies gauches aiguës non déficitaires. Contrôle de pacemaker à l'HFR Fribourg à 4-6 semaines en cardiologie : le patient sera convoqué. Organiser un suivi cardiologique en ambulatoire. Continuer suivi podologique habituel du patient en ambulatoire. Contrôle de pacemaker le 20.02.2019 : Les tests de détections, stimulations et impédances sont dans les normes. Echocardiographie transthoracique le 20.02.2019. Électroencéphalogramme : à rediscuter avec les neurologues (bon fait). IRM cérébrale le 25.02.2019 : prévue (bon fait). Thiamine du 20.02 au 22.02.2019. Oxazépam du 20.02 au 23.02.2019. •Contrôle de pacemaker. •Coloscopie le 4.02.19 : diverticulose colique. Anse afférente et efférente de la stomie sans lésion ischémique. •Radiographie Thorax du 15.02.2019 : On retrouve des infiltrats alvéolo-interstitiels bilatéraux de façon moins marquée par rapport au comparatif, en probable lien avec un œdème pulmonaire/ARDS, mais sans qu'une surinfection ne soit exclue. Le reste de l'examen est superposable. Laboratoire : cf. annexes. Contrôle de plaie. Contrôle de réaction cutanée avec dermabrasion en regard de l'épicondyle et de l'épitrochlée du coude gauche sur attelle brachio-antébrachiale, sur status post-réduction fermée et ostéosynthèse de l'humérus gauche par embrochage percutané le 24.01.2019. Contrôle de suivi d'erysipèle doigt II droite le 19.02.19. • Désinfection avec Bétadine et drainage de 4 pustules, pansement sec le 19.02.2019. Contrôle de suspicion de pyélonéphrite gauche. Contrôlé de syndrome grippal sans signe de surinfection. Contrôle demain au secteur ambulatoire des urgences pour réévaluation de la sensibilité au niveau palmaire gauche. Si persistance de l'hyposensibilité, contacter l'orthopédiste de garde. Ablation des fils à 10 jours chez le médecin traitant. Contrôle demain aux urgences pédiatriques. Contrôle des électrolytes, INR et adaptation du Sintrom le 01.03.2019.Contrôle des glycémies, schéma de correction d'insuline Contrôle des ß-CrossLaps à 3 mois à prévoir pour évaluer la réponse à l'Aclasta. Prochaine injection d'Aclasta à prévoir le 18.02.2020. Contrôle des tests hépatiques/bilirubines le 12.02.2019 à la consultation du Dr. X Conseils de sécurité : reconsulter en cas de péjoration clinique (fièvre, frissons, douleurs abdominales) Contrôle déshydratation Contrôle d'incision d'abcès. Contrôle d'otite Contrôle douleur testiculaire Contrôle douleurs abdominales fosse iliaque gauche et état fébrile Contrôle du Dr. X/Dr. X le 27.02.2019 à Morat entre 11h-14h. Radio de contrôle à prévoir pour le 27.02.2019 Contrôle du Marcoumar chez le médecin traitant à organiser le 28.02.19. Suivi cardiologique à l'Inselspital pour contrôle du LVAD le 12.02.19 Contrôle du pacemaker le 21.02.2019 : Les tests de détections, stimulations et impédances sont dans les normes. Fonctionnement normal. Coronarographie le 21.02.2019 : Le tronc commun est de longueur et de taille normale, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure est de taille normale, discrètement irrégulière. L'artère interventriculaire antérieure moyenne est le siège d'une lésion non significative inférieure à 30% de type B1, englobant l'origine de la seconde diagonale du site d'implantation du stent actif. Cette lésion s'étend jusqu'à l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Le lit d'aval est normal, non infiltré. L'artère interventriculaire antérieure moyenne est indemne de resténose du site d'implantation du stent actif. Cette lésion s'étend jusqu'à l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Le diamètre de référence est de 3 mm à ce niveau. Le lit d'aval est normal, non infiltré. Le flux coronaire est normal (TIMI 3). L'artère interventriculaire antérieure moyenne est le siège d'une lésion non significative inférieure à 30% de type B1, englobant l'origine de la seconde diagonale. L'artère circonflexe est une artère coronaire de taille normale et discrètement irrégulière. L'ostium de la première marginale est le siège d'une lésion non significative inférieure à 50% de type B1. L'artère coronaire droite est de petite taille, discrètement irrégulière et dominée. L'artère coronaire droite moyenne est le siège d'une lésion non significative inférieure à 30%. Contrôle du pH urinaire chez le médecin traitant 1x/semaine. Contrôle du poids Arrêt du traitement néphrotoxique (aurait pris du Ponstan en réserve pour douleurs costales) Adaptation du traitement antalgique, pas d'anti-inflammatoire non-stéroïdien Glucosalin 1000ml/24h Thromboprophylaxie avec Héparine 5000UI 2x/jours sous-cutané Contrôle du post-partum à 6 semaines. Contrôle du post-partum dans 6 à 8 semaines à votre consultation. Contrôle du post-partum dans 4 à 6 semaines. Contrôle du post-partum dans 4 à 6 semaines à notre consultation. HGPO à 3 mois Contrôle du profil tensionnel : • Discuter de l'introduction d'Amlodipine 5mg 1x/jour Contrôle du taux de plaquettes Contrôle du 06.02.2019 sur probable goutte de l'articulation métatarso-phalangienne de l'hallux du pied droit, diagnostiquée le 02.02.2019. Contrôle du 07.02 : présente une amélioration de l'état général, eupnéique, avec fonctions respiratoires en ordre (léger tirage sous-sternal). Alimentation plutôt liquide, mange biscuit lors de la consultation. Examen clinique : persistance de l'hypoventilation basale, très légère sibilance pour le reste de l'auscultation Retour à domicile avec consignes de surveillance Contrôle du 15.02. Aurait dû consulter chez le pédiatre pour contrôle de l'oreille, vu qu'elle n'est pas disponible ils consultent aux urgences. Depuis hier soir, il a présenté un pic de fièvre jusqu'à 39.8°C, il a encore la toux et des douleurs à la gorge, de temps en temps il s'est touché l'oreille. Alimentation légèrement diminuée et hydratation conservée. Traitement reçu : Paracétamol et Ibuprofène, Nasivine spray, sérum physiologique Status Garçon de 10 mois, bon état général, bien hydraté Cardiologique : B1B2 bien frappé, pas de bruits surajoutés, bien perfusé, pas de souffles, temps de recoloration < 2 sec Respiratoire : murmure vésiculaires symétriques, pas de signe de détresse respiratoire ORL : tympan visualisé des deux côtés, tympan droit légère injection au bord et mate sans liquide rétro-tympanique à la gauche, tympan gauche mate, pas érythémateux sans liquide rétro-tympanique, fond de gorge érythémateux, présence d'exsudat sur les 2 amygdales, hypertrophiées Vu l'amélioration de l'otite nous renonçons à donner des antibiotiques, poursuite du traitement avec Paracétamol, Ibuprofène, Nasivine, rinçages du nez. Nous débutons un traitement avec OSA gel dentaire pour les douleurs à la gorge. Contrôle chez le pédiatre le 18.01 si persistance des symptômes. Contrôle du 20.02.2019 (J1) avec persistance d'une brûlure de 1er degré péri-buccale bilatérale parasternale gauche et de la pointe de la langue. Contrôle d'un panaris de l'index gauche. Contrôle d'un panaris du 2ème doigt de la main gauche. Contrôle d'une contusion testiculaire droite du 05.02.2019. Contrôle d'une dermo-hypodermite du membre inférieur droit, exclusion d'une thrombose veineuse profonde et thrombose veineuse superficielle à la consultation angiologique du 20.02.2019. Contrôle d'une infection du pouce à droite. Contrôle d'une plaie superficielle avec perte de substance DIII à gauche le 07.02.19. Contrôle d'une urétrite le 05.02.19. Contrôle durant l'hospitalisation et évaluation avis néphrologique Contrôle dyspnée résiduelle post pneumonie • nov 2018 : La capacité de diffusion du CO corrigée à l'hémoglobine est modérément diminuée (DLCOcor 57 % du prédit), mais améliorée lorsque rapportée au volume alvéolaire avec une diminution légère (DLCOc/VA 71% du prédit). Contrôle échographie chez le gynécologue traitant au contrôle à 6 semaines post-partum Contrôle échographique à organiser dans 6 semaines Contrôle échographique dans 1 semaine, le 22.02.2019 chez le Dr. X. Contrôle échographique dans 10 jours en ambulatoire Contrôle échographique dans 4 semaines à la consultation du Dr. X Contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire Contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire avec contrôle de la position du stérilet. Conseils d'usage transmis concernant la nécessité de contraception par préservatif jusqu'au prochain contrôle. Contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire avec contrôle sérologique de chlamydia. Contrôle échographique dans 6 semaines en ambulatoire. Conseils d'usages avec consignes sur la nécessité d'une contraception par préservatif. Contrôle du stérilet dans 4 semaines en ambulatoire avec contrôle du stérilet. Contrôle électif d'une infection. Contrôle électrolytique à 1 semaine. Contrôle en consultation de proctologie le 20.02.2019 à 12.45h. Contrôle en consultation des Chefs de clinique le 21.03.2019 à 08h15 pour planifier la cholécystectomie après l'accouchement. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 21.02.2019. Contrôle en filière des urgences ambulatoires le 02.02 pour doute sur fracture du 5ème métatarse gauche. Contrôle en filière des urgences ambulatoires le 02.02.2019. Contrôle en neuropédiatrie le 19.02 à 13h et un contrôle en ORL le 12.02 et le 19.02 à 9h. RDV en ophtalmologie à prévoir. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Contrôle en oncologie le 22.01.2019 à 09h00. Contrôle en ophtalmologie d'urgence demain à 15h30. Contrôle en ophtalmologie (HFR Fribourg) le 07.02.2019: ne retrouve pas de déchirure au fond d'œil dilaté. Corps flottants dans le vitré ne nécessitant pas de suivi. Contrôle en ophtalmologie le 07.02.2019 à la consultation de Dr. X. Contrôle en ortho à 1 semaine, le patient sera convoqué. Contrôle en policlinique dans 2 jours. Contrôle en policlinique de chirurgie le 08.02.2019 et changement de pansement à domicile les 06 et 10.02.2019. Contrôle en Policlinique le 11.02.2019 et régulièrement jusqu'à résolution. Contrôle en policlinique orthopédique dans une semaine. Contrôle en rhumatologie le 05.03.2019 à 13h30. Contrôle chez le médecin traitant le mercredi 20.02.2019 à 9h40. Contrôle à l'HFR de Fribourg en gynécologie le lundi 18.02.2019 à 13h30. Rendez-vous pour évaluation psychiatrique au centre les Toises à Givisiez le vendredi 15.02.2019. Suivi à domicile par le CMS 3x/semaine. Aide au ménage 1x/semaine. Curatelle à portée générale demandée le 13.02.2019, en cours. Contrôle en urgence. Contrôle en urologie dès que la lithiase est récupérée dans les urines. Contrôle et éventuelle transfusion avant OP selon ordre chirurgical. Contrôle et fin de suivi en policlinique d'orthopédie le 13.02.2019. Contrôle et remise de résultats. Contrôle et résultat de la sérologie du LCR et HIV le 11.02.19. Contexte de suspicion de sclérose en plaques. Zona du trijumeau le 21.01.2019, traité par Nervinex pendant 7 jours. IRM cérébral du 04.02.2019 : quatre foyers cérébraux sans restriction de diffusion mais avec prise de contraste pathologique de la substance blanche et au niveau de la moelle allongée. Il s'agit en premier lieu de foyers inflammatoires. Contrôle et résultats le 07.02.2019 aux ambulatoires des urgences. Contrôle et retrait des fils à la consultation de Dr. X le 27.02.2019. Contrôle et suite de prise en charge en orthopédie. Contrôle et suivi de l'hémoglobine à votre consultation. Adaptation du traitement antidiabétique. Gastroscopie et colonoscopie le 21.02.2019 à l'HFR Riaz (consultation avec l'anesthésiste à prévoir avant). Contrôle et ultrason gynécologique et contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 19.02.2019. Contrôle étroit de la pression artérielle. Contrôle glycémique. Actrapid 8 U sc. Dernière glycémie à 9 mmol/L. Contrôle gynécologique le 15.02.2019. Contrôle habituel chez le pédiatre. Soins locaux au niveau du torticolis. Contrôle Hb. Héparine thérapeutique. En cas de saignement nouveau -> discussion filtre de cave. Contrôle hématologique. Contrôle hématologique. Contrôle hématologique. Contrôle hématologique. Contrôle hématologique. Contrôle hématologique. Contrôle hématologique. Contrôle hématologique à la baisse. Contrôle hématologique (thrombocytes et formule sanguine complète) le 13.02. Si apparition de lésions ou saignement actif, se présenter plus tôt aux urgences pour un bilan. Contacter le service d'hémato-oncologie du CHUV par le bip de garde au numéro 079/556.72.54 si thrombopénie de moins de 10 G/L et indication de traitement par IVIG ou si présence d'éléments cliniques malgré thrombopénie de plus de 10 G/L. Contrôle hématologique. Bilan à discuter : anamnèse à compléter, dosage IgE, recherche parasites dans les selles. Contrôle hémoglobine à J2. Contrôle post-partum à 6 semaines. HGPO à 3 mois. Recherche anticorps anti D Y-globulines à 6 mois. Contrôle inconfort. Contrôle INR avec adaptation du Sintrom. Suivi du profil tensionnel avec adaptation du traitement antihypertenseur. Contrôle INR le premier mars 2019. Contrôle IVRS. Contrôle kaliémie dans 7-10 jours chez le médecin traitant. Contrôler la TSH dans 6-8 semaines chez le médecin traitant. Contrôle laboratoire. Contrôle laboratoire. Contrôle laboratoire. Contrôle laboratoire : ASAT 314 U/l, ALAT 352 U/l, AP 583 U/l, gGT 630 U/l, Bili dir. 105 mcmol/l, Bili tot. 116 mcmol/l, Lipase 41 U/l, Amylase 47 U/l le 11.01.2019. ASAT 177 U/l, ALAT 180 U/l, AP 593 U/l, gGT 610 U/l, Bili dir. 190 mcmol/l, Bili tot. 203 mcmol/l le 22.01.2019. CA 19-9 255 U/ml le 21.01.2019. Sonographie et CT abdomen le 17.01.2019 : volumineuse masse nécrotique de la tête du pancréas mesurant 45x36x57 mm et provoquant une importante dilatation des voies biliaires intra- et extrahépatiques ainsi que du canal de Wirsung, pancréas atrophique, vésicule de Courvoisier, 2 ADP nécotiques à proximité de la masse pancréatique, métastase nécrotique du segment VI hépatique, pas d'autres manifestations tumorales. CT thorax le 17.01.2019 : pas d'autres lésions tumorales. CT cérébral le 17.01.2019 : pas de métastases. ERCP le 21.01.2019 : grosse masse de la tête du pancréas avec double sténose mesurant 5 cm au moins, cytologie de la sténose cholédocienne, placement stent de polyéthylène dans la sténose cholédocienne après papillotomie. Cytologie brossage cholédoque de la masse pancréatique le 21.01.2019 : absence de cellules suspectes de malignité, sur fond riche en particules lithiasiques biliaires (pas de biopsie, uniquement brossage). Avis oncologique par Dr. X : bilan d'extension, convocation pour rendez-vous en ambulatoire. Adaptation du traitement hépatotoxique. Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie. Contrôle laboratoire de la CRP lors du rendez-vous du 20.03.2019 en rhumatologie. Contrôle laboratoire : eGFR selon CKD-EPI 40 ml/min le 03.02.2019. US abdominale le 29.01.2019 : néphropathie aspécifique avec discrète atrophie rénale bilatérale et dédifférenciation cortico-médullaire.Contrôle laboratoire • 22.02.2019 Creat 182 uM, GFR EPI 30 mL7min Stage G3b Contrôle le 03.02.2019 au secteur ambulatoire des urgences avec laboratoire de contrôle. Contrôle le 13.02.2019 à la consultation du Dr. X, orthopédiste. Contrôle le 14.02.2019 en ambulatoire aux urgences. Contrôle le 15.02 chez le pédiatre. Contrôle le 15.02 chez le pédiatre +/- poursuite du Betnesol 0.25mg/kg pour encore 48h. Ben-U-Ron en réserve si état fébrile. Rinçages de nez 4-6x/jour selon besoin. CONTROLE LE 17.02 (Dr. X) Toujours fébrile, max à 39 hier et 38.7 ce matin. Etat général stable, pas d'amélioration. Alimentation diminuée, se plaint de douleurs de bouche/langue depuis la veille et la maman note l'apparition d'une lésion sur la langue. Urines sans particularité, persistance de légères douleurs abdominales mais en amélioration selon la maman. Status Bon état général, larmes présentes, bien hydratée. ORL : angine avec lésions blanchâtres ponctiformes sur les deux amygdales et une lésion vésiculeuse sur la langue. Pas d'atteinte jugale ni lèvres. Reste du status superposable. Frottis grippe RSV neg. Bilan sanguin ce jour : FSC leuco en baisse 12 CRP en baisse 64. MNI test rapide neg. Sérologie CMV et EBV (CMV vu maman enceinte de 1 mois) en cours à pister et recontacter la maman en fonction des résultats. Attitude : impression d'épisode viral avec angine en cours, pas de strepta test refait car pas d'âge et amélioration biologique. Traitement symptomatique, poursuite de l'hydratation, médecine anthroposophique et contrôle dans 72h si absence d'amélioration. Si péjoration, reconsulter aux urgences. Contrôle le 25.02.2019 après IRM du 18.02.2019. Contrôle le 27.02.2019 en consultation PMA. Contrôle le 27.02.2019 pour consilium oncologique. Contrôle le lundi 04.02 ici aux urgences pour évaluer l'évolution vers une possible otite. Diazepam donné aux parents et consignes données. Reconsultent si nouvelle crise. EEG déjà prévu pour 05.02. Contrôle neurologique à la consultation du Dr. X. Contrôle oncologique à la consultation du Dr. X le 21.01.2019. Contrôle oncologique à la consultation du Dr. X le 06.02.2019 à 11h00. Contrôle oncologique à la consultation du Dr. X le 06.02.2019. Contrôle infectiologique à la consultation du Dr. X le 08.02.2019 à 09h30. Contrôle ophtalmologique en ambulatoire le 22.02.2019 à 9h30 à l'HFR Fribourg. Contrôle de suivi neurologique à 3 mois à la consultation du Dr. X début juin 2019. Arrêt de travail pour la durée de l'hospitalisation et jusqu'au 22.02.2019 compris. Suivi tensionnel chez médecin traitant. Contrôle ORL prévu le 24.01.2019 à 14h, déplacé au 05.02.2019 à 10h. Contrôle ortho urgences dans 7 jours plus radiographies. Contrôle orthopédie urgence dans 15 jours. Contrôle orthopédique (Dr. X) le 27.02.2019. Contrôle orthopédique le 27.02.2019 (Dr. X) à la polyclinique. Contrôle ortho-urgences dans 10 jours et mise en place d'une attelle thermoformée en ergothérapie. Contrôle pacemaker effectué par Dr. X. Contrôle pacemaker effectué par Dr. X. Réglage du pacemaker le 22.02.2019. Contrôle pansement status post-ostéosynthèse de la clavicule sur fracture du tiers latéral de la clavicule droite 2B selon Neer le 01.02.2019 par Dr. X. Contrôle par vos soins dans 48h. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique pour la bronchite et traitement par Amoxicilline 50mg/kg/j en 2 doses pour une durée de 10 jours à partir du 19.02. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez vous ou aux urgences pour évaluation. Contrôle pédiatre. Contrôle pédiatre dans la journée. Contrôle pédiatre demain. Contrôle pédiatre demain qui est déjà prévu. Contrôle phlegmon. Contrôle post opératoire dans une semaine. Contrôle post opératoire dans 10 jours avec ablation des fils. Contrôle post opératoire dans 2 semaines avec Dr. X. Contrôle ambulatoire dans 6 semaines pour contrôle de la cicatrisation du col. Colposcopie de contrôle dans 6 mois. Contrôle post otite. Contrôle post partum à 6 semaines à votre consultation. Contrôle post partum à 6 semaines à votre consultation. Contrôle post partum à 6 semaines à votre consultation avec contrôle des thrombocytes. Contrôle post partum à 6 semaines à votre consultation avec mise en place d'un stérilet Mirena. Prévoir rappel ROR. Contrôle hémoglobine et ferritine dans 3 mois. Contrôle post partum dans 4 à 6 semaines à votre consultation. Un contrôle à la consultation spécialisée du Dr. X est agendé pour le 27.02.2019 à 13h00. HGPO à 3 mois. Contrôle post partum dans 6 à 8 semaines. Contrôle post partum dans 6 à 8 semaines. Contrôle post partum dans 6 à 8 semaines. Contrôle post-IRM du jour. Contrôle post-IRM du jour sur fracture tassement de T6 type A1 sur traumatisme le 07.02.2019. Contrôle post-IRM du 18.02.2019. Contrôle post-OP chez ORL le 19.02. Contrôle post-opératoire. Contrôle post-opératoire à la consultation des chefs de clinique le 14.03.2019 à 09h00. La patiente sera convoquée par le service de néphrologie pour un bilan en ambulatoire, à distance de l'épisode infectieux aigu. Contrôle postopératoire à la consultation du Dr. X le 05.02.2019. Contrôle post-opératoire à la consultation du Dr. X le 25.03.2019 à 10h00. Rendez-vous en endocrinologie le 09.04.2019 à 16h00. Contrôle post-opératoire chez Dr. X le 12.02.2019 à 9h45. Contrôle post-opératoire dans 10 jours à la consultation du Dr. X. Contrôle post-opératoire dans 15 jours pour discussion des résultats chez Dr. X. Contrôle post de la cicatrice dans 6 semaines en consultation ambulatoire. Contrôle de colposcopie de contrôle dans 6 mois avec Dr. X. Contrôle post-opératoire en consultation de chirurgie le 04.04.2019 à 09.30h. Suivi par le service de diététique organisé. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 19.03.2019. Contrôle postopératoire. Nous reverrons la patiente pour un nouveau contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires avec ablation de la broche. Contrôle post-partum à votre consultation dans 4-6 semaines avec physiothérapie périnéale à prévoir. Contrôle des paramètres thyroïdiens à 3 mois. Contrôle post-partum à 6 semaines à votre consultation. Contrôle post-partum à 6 semaines à votre consultation. Contrôle tensionnel à 1 mois chez son médecin traitant. Profil glycémique à J3 à domicile, transmis au service d'endocrinologie. HGPO à 3 mois. Contrôle post-partum à 6 semaines. Suivi des tensions artérielles en ambulatoire. Contrôle post-partum à 6-8 semaines, à votre consultation. Contrôle post-partum dans 4 à 6 semaines à votre consultation avec contrôle de FSC. Contrôle post-partum dans 4 à 6 semaines à votre consultation avec PAP test. Contrôle tensionnel chez médecin traitant dans 2 semaines. HGPO à 3 mois. TSH dans 2-3 mois. Contrôle post-partum dans 4 à 6 semaines, à votre consultation. Ablation des agrafes à J10. Contrôle post-partum dans 6 semaines. Contrôle post-partum dans 6 semaines, à votre consultation. Contrôle post-partum dans 6 semaines, à votre consultation. Contrôle post-partum dans 6 semaines, à votre consultation. Contrôle post-partum dans 6 semaines, à votre consultation avec évaluation de la nécessité de prescription de physiothérapie pour diastasis ainsi que suivi des paramètres hépatiques ASAT/ALAT. Contrôle post-partum dans 6 semaines, à votre consultation. Proposer le Varilrix dans le post-partum. Contrôle post-traumatisme facial sur choc direct le 02.02.2019 avec : • diminution de l'hypoesthésie du territoire V2. • Contrôle pour ablation des fils. • Contrôle pour constipation • Contrôle pour douleurs abdominales persistantes. • Contrôle pour entorse cervicale le 06.02.2019. • Contrôle prise pondérale • Contrôle PTT/INR avec adaptation de l'anticoagulation par sintrom Contrôle radioclinique à la consultation de Dr. X le 20.02.2019 • Contrôle radioclinique à la consultation de Dr. X le 01.03.2019 à 08h00 • Contrôle radioclinique à la consultation de Dr. X le 13.02.2019 à 14h15 • Contrôle radioclinique à la consultation de Dr. X à 6 semaines postopératoires • Contrôle radioclinique à la consultation de Dr. X le 18.03.2019 à 14h00 • Contrôle radioclinique à la consultation de Dr. X le 04.03.2019 à 11h30 Suivi biologique (K+) chez le médecin traitant • Contrôle radioclinique à la consultation de Dr. X le 12.02.2019 à 10:00 Suivi biologique de l'anémie et discuter en ambulatoire avec Mme. Y de l'indication à effectuer une colonoscopie +/- OGD +/- majoration de l'IPP selon évolution Discuter de l'introduction d'un traitement hypolipémiant si jugé nécessaire • Contrôle radioclinique à la consultation de Dr. X le 12.03.2019 à 09h00 • Contrôle radioclinique à la consultation de Dr. X le 22.02.2019. • Contrôle radioclinique à la consultation de Dr. X le 15.03.2019 à 14h40 • Contrôle à 3 mois en angiologie à l'HFR Fribourg • Contrôle radioclinique à la consultation de Dr. X le 08.03.2019 à 08h15 • Contrôle radioclinique à la consultation de Dr. X à 6 semaines post-opératoire le 01.03.2019 à 10h. • Contrôle radioclinique à la consultation de Dr. X le 26.02.2019 à 08h15 • Contrôle radio-clinique à 6 semaines (le patient sera convoqué) Physiothérapie • Contrôle radioclinique dans 2 mois. Marche selon douleurs, avec des cannes pour l'équilibre et le tintébin à la maison. Il faudra réévaluer si un rotateur serait utile à Mme. Y à long terme. On a discuté de cette option avec Mr. Y qui aimerait réfléchir et va en parler avec le médecin traitant. On conseille de poursuivre la physiothérapie et mettre en place des bas de contention pour la jambe G. • Contrôle radiologique. • Contrôle radiologique et clinique chez un orthopédiste en France dans une semaine après leur retour à domicile • Contrôle rx-clinique à la consultation de Dr. X à 6 semaines. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Héparine 5000 UI 2x/j pour 6 semaines postopératoires. Le 08.02.2019, après discussion, Mr. Y est retransféré de l'HFR Tafers pour prise en charge en chirurgie générale avec discussion d'une résection endoscopique de la vessie à l'Hôpital Daler au début de la semaine du 11.02.2019 • Contrôle secteur ambulatoire des urgences le 19.02.2019 à 18h. Rocéphine 2 g i.v. le 19.02.2019 aux urgences. Arrêt de travail. • Contrôle si besoin chez le médecin traitant. • Contrôle si céphalées, vomissements, changement du comportement • Contrôle si céphalées, vomissements Ablation des fils dans 7 jours • Contrôle si mauvaise hydratation ou péjoration de l'état général • Contrôle si péjoration. • Contrôle si présence de pétéchies sur le corps • Contrôle suite à urétrite à Gonorrhée et Chlamydia. • Contrôle suite ortho UT. • Contrôle suite permanence Meyriez. • Contrôle suite Riaz. • Contrôle suite UT. • Contrôle suite UT. • Contrôle suite UT. • Contrôle suite UT. • Contrôle suite UT et CT. • Contrôle TA 2x/j et poids 3x/sem dans carnet à domicile Rendez-vous de contrôle à prendre dans une semaine chez le médecin traitant Réadaptation prévue en ambulatoire à Billens Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois ECG et écho de contrôle chez Dr. X dans 1 mois, recoronarographie de contrôle à 3 mois • contrôle team pied dans une semaine • Contrôle Tension artérielle. • Contrôle tensionnel Deponit 10 mg et Adalat 30 mg ECG le 08.02.2019: tachycardie sinusale avec extrasystole ventriculaire, pas de bloc de branche pas de surélévation ST • Contrôle tuméfaction cheville gauche • Contrôle tympans à 24h • Contrôle ulcère membre inférieur droit et soin de plaie au 48h Suivi diabétologique • Contrôle urologique le 19.02.19 Contrôle TSH à 6 semaines chez le médecin traitant (semaine du 4 mars), à prévoir. Contrôle vitamine B12 à 3 mois à prévoir chez le médecin traitant • Contrôle US dans 1 semaine pour évaluation d'évolutivité. Si saignement important, Mme. Y vous contactera en urgence. • Contrôle 03.02.2019: Anamnèse : poursuite de la fièvre à 39.4°C cédant aux fébrifuges, sans récidive sur la nuit. Toux grasse plutôt la nuit, avec rhinorrhée jaunâtre. Pas de vomissement ni de diarrhée. Bonne hydratation. Status : température 37.6°C, saturation 98%, fréquence respiratoire 38/min, fréquence cardiaque 130/min Général : bon état général, bien hydratée et perfusée, afébrile ORL : fond de gorge érythémateux, tympans calmes, pas d'adénopathie Cardio-vasculaire : B1 B2 bien frappés, réguliers, pas de souffle audible Respiratoire : FR 38/min, léger tirage sus-sternal et intercostal, râles crépitants plage pulmonaire droite complète et en base gauche Attitude: RX thorax: lame d'épanchement pleural gauche Labo: CRP 17, pas de leucocytose -> pneumonie virale -> contrôle clinique à votre consultation à 24-48 h • Contrôler chez le pédiatre si mauvaise hydratation • Contrôler la TSH après l'exposition au produit de contraste • Contrôle/résultats de laboratoire. • Contrôles biologiques Substitution vitaminique • Contrôles chez le médecin traitant dans une semaine • Contrôles glycémiques Schéma correctif par Insulin Humalog • Contrôles intermédiaires de la cicatrice et ablation des agrafes à J10 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation de Dr. X à 6 semaines. • Contrôles labo • Contrôles réguliers de la cicatrice à travers le pansement Comfeel. En cas de perte d'étanchéité de celui-ci, le remplacer par un pansement standard. Ablation du Comfeel et des fils à 14 jours post-opératoires à la consultation de Dr. X, policlinique d'orthopédie. Contrôle radio-clinique à la consultation de Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. • Contrôles réguliers de la plaie à travers le Comfeel à votre consultation. En cas de perte d'étanchéité de celui-ci, il devra être remplacé par un pansement standard. Ablation du Comfeel et des fils à 14 jours post-opératoires à la consultation de Dr. X. Contrôle à la consultation de Dr. X à 6 semaines post-opératoires. • Contrôles réguliers de la plaie à travers le pansement Comfeel avec ablation de celui-ci à J14 ou avant en cas de perte d'étanchéité. Pas d'ablation de fils nécessaire ; fils résorbables. Suivi biologique (Crea, Hb) par médecin traitant. Contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du team membre supérieur. • Contrôles réguliers de la plaie à travers le pansement Comfeel. En cas de perte d'étanchéité de celui-ci, il sera remplacé par un pansement standard. Ablation du Comfeel et des fils à 14 jours post-opératoires à la consultation de Dr. X. Contrôle radio-clinique à 6 semaines à la consultation de Dr. X. • Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J10 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation de Dr. X à 6 semaines. • Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique chez un chirurgien orthopédiste proche de son domicile à Viseu au Portugal à 6 semaines. • Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant.Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j jusqu'à la consultation d'hématologie; le rdv sera pris directement par la patiente. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) ainsi qu'ablation des fils sur les abords des vis chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant avec ablation des fils. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant; fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant; fils résorbables; contrôles réguliers des orifices du fixateur externe, ablation des fils à J14. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant; fils résorbables (pas d'ablation). Contrôle à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant; fils résorbables. Contrôle à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant; fils résorbables. Contrôle à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant; fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant; fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Ergométrie en cardiologie ambulatoire, la patiente sera convoquée. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité); fils résorbables. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie avec ablation des agrafes à J10. CT-scan de contrôle à refaire à 3 semaines afin d'exclure la présence d'hématomes chroniques sous-durales. Réévaluation de l'anticoagulation par Eliquis après CT-scan. Réadaptation de la thérapie anti-hypertensive avec suivi biologique pour l'hyponatrémie. Réévaluation de l'œdème pénien. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du team spine. Contrôles réguliers de la plaie avec ablation des agrafes à J14. Poursuite de l'antibiothérapie par Bactrim forte 160 mg 2x/j du 15.02.2019 au 20.02.2019. Contrôle biologique et clinique à la consultation du team spine le 18.02.2019 (contrôle CRP et Fss). En cas de péjoration des symptômes avec état fébrile/frissons/écoulement, le patient est averti qu'il doit immédiatement consulter les urgences. Contrôle radio-clinique à 8 semaines postopératoires à la consultation du team spine. Contrôles réguliers de la plaie avec ablation des agrafes à 14J chez le médecin traitant. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du team spine. Contrôles réguliers de la plaie avec ablation des Stéristrips à 7 jours postopératoires chez le médecin traitant. Pas d'ablation de fils nécessaire; fils résorbables. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du team spine. Contrôles réguliers de la plaie avec changement du pansement 1-2x/semaine et ablation des Stéristrips à J10 chez le médecin traitant. Pas d'ablation de fil nécessaire; fils résorbables. Contrôle clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du team spine. Contrôles réguliers de la plaie chez le médecin traitant, fils résorbables (pas d'ablation). Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie chirurgicale jusqu'à l'ablation des fils dès J14. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j jusqu'au contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X le 08.02.2019. Contrôles réguliers de la plaie et ablation des agrafes à J10 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X/Dr. X Contrôles réguliers de la plaie et ablation des agrafes à J14 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du team spine. Contrôles réguliers de la plaie et ablation des fils à J10 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Contact sera pris avec le patient pour discussion du diagnostic anatomopathologique Promed. Contrôles réguliers de la plaie et ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie et ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie et ablation des fils à J14. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie et ablation fils dès J14 chez le médecin traitant. Antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 03.02.2019. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 4 semaines. Contrôle biologique chez le médecin traitant au début de la semaine prochaine. Contrôles réguliers de la plaie et réfection des pansements à votre consultation. Ablation des agrafes à 15 jours post-opératoires à la consultation du Dr. X. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie main D au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité); fils résorbables. Circularisation du plâtre AB à G chez notre plâtrier à une semaine. Contrôle rx-clinique main D et poignet G à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie opératoire, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie opératoire au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant; fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Concernant la fracture ORL, contrôle à la consultation du Dr. X afin d'évaluer si une reposition est nécessaire. • Contrôles réguliers de la plaie opératoire au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant; fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. • Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 chez le médecin traitant (ou avant si perte d'étanchéité); fils résorbables. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation puis Xarelto 10 mg 1x/j à la sortie et jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. • Contrôles réguliers des plaies, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. • Contrôles réguliers des plaies, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 10 jours postopératoires. Contrôle à la consultation du Dr. X à 6 semaines. • Contrôles réguliers des plaies, ablation des fils à J14. Prophylaxie thrombo-embolique par Héparine 5000 UI 2x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. • Liste de médicaments à rediscuter avec le médecin traitant, car anamnestiquement Mr. Y prend des médicaments qui ne figurent pas sur la liste reçue de son médecin traitant le 29.01.2019 par e-mail (liste attachée au dossier). • Contrôles réguliers des plaies au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité); fils résorbables. Confection d'un plâtre BAB fenestré chez notre plâtrier le 04.02.2019. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Prévoir l'ablation des clous de Prévôt dès 3 mois postopératoires. • Contrôles réguliers des plaies avec ablation des fils à J10 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du team spine. • Contrôles réguliers des plaies avec réfection du pansement et ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du team pied. • Contrôles réguliers des plaies avec réfection du pansement 1-2x/semaine et ablation des agrafes à J10 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du team spine. • Contrôles réguliers des plaies chez le pédiatre; fils résorbables (pas d'ablation). Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 4 semaines. Prévoir l'ablation des clous de Prévôt à 4-6 mois postopératoires. • Contrôles réguliers des plaies chirurgicales, ablation des fils à J14. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. • Contrôles réguliers des plaies chirurgicales au travers des pansements Comfeel qui sont à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) avec ablation des fils chez le médecin traitant. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. • Contrôles réguliers des plaies opératoires, ablation des fils à J14. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Nous remercions le médecin traitant de bien vouloir organiser un bilan d'ostéoporose. • Contrôles réguliers des plaies, plus particulièrement de la plaie distale, ablation des fils à J14. Adaptation du traitement diurétique selon les oedèmes des MI, suivi biologique de la créatinine et de l'hémoglobine. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour au minimum 6 semaines ou charge totale. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines (dans 4 semaines à la consultation du Dr. X/Dr. X (le 01.03.2019). • Contrôles réguliers du pansement à raison de 2 à 3x/semaine, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. • Contrôles réguliers du pansement et ablation des fils à J14. Contrôle radio-clinique à 6 et 12 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X, en policlinique. • Contrôles réguliers en policlinique d'orthopédie, chaque lundi et jeudi. Contusio capitis Contusio capitis Contusion. Contusion / élongation de la coiffe des rotateurs de l'épaule G. Contusion main droite le 13.02.19 Contusion à la face antérieure du genou G. Bursite traumatique G. Contusion à la fesse gauche avec contracture musculaire. Contusion abdominale bénigne le 08.02.2019 sur traumatisme à > 24h. Contusion abdominale sur accident de la voie publique du 16.02.2019. Contusion au niveau de l'omoplate G Contusion au niveau de poignet G Contusion au niveau de 5e côte gauche le 28.12.2019 • Radiographie: pas de fracture Contusion au niveau du coccyx. Contusion au niveau du doigt 4 D Contusion avant-bras droit Contusion avant-bras droit. Cupulolithiase droite. Contusion avant-bras gauche. Entorse cheville gauche. Suspicion de kyste de Baker. Intervention sur les oreilles. Contusion base P1D5 Contusion basithoracique gauche dans un contexte de bagarre le 21.02.2019. • avec notion de strangulation. Contusion basi-thoracique gauche sur traumatisme du 17.02.2019. Contusion bassin Contusion bassin gauche Contusion bassin gauche Contusion bicipitale gauche. Contusion bilatérale des genoux sur chute mécanique le 14.01.2019 Contusion bilatérale des genoux sur chute mécanique le 14.01.2019 • s/p PTG droite • Gonarthrose gauche • Rx genoux gauche et droit le 14.01.2019: pas de fracture ni d'épanchement Contusion bilatérales des genoux (D>G) Contusion capitis Contusion cérébrale Contusion cérébrale + Entorse 4ème doigt. Réaction inflammatoire piquer par guêpes. Gastro-entérite au décours avec gastrite associée. Contusion cervical et lombaire Contusion cervicale Contusion cervicale Contusion cervicale Contusion cervicale. Contusion cervicale. Contusion cervicale. Contusion cervicale. Contusion cervicale avec TC le 15.02.2019. Contusion cervicale et thoracique sur AVP, le 04.02.2019. Contusion cervicale le 05.02.19 Contusion cervicale le 05.02.19. Contusion cervicale le 18.02.2019 avec: • Traumatisme crânien simple le 26.12.2018. Contusion cervicale, occiput - C3 Contusion cervico-dorso-lombaire Contusion cheville droite Contusion cheville gauche sans signes de gravité Contusion clavicule gauche status post ostéosynthèse août 2017. Contusion coccygienne sur accident de la voie publique du 16.02.2019. Contusion coccyx & lombaire Contusion colonne cervicale 14.05.2017 avec: • probable TC sans PC CT colonne cervicale: pas de signe de fracture visualisé, listel marginal antérieur C6 Contusion colonne cervicale 14.05.2017 avec: • probable TC sans PC CT colonne cervicale: pas de signe de fracture visualisé, listel marginal antérieur C6 Contusion colonne cervicale 14.05.2017 avec: • probable TC sans PC CT colonne cervicale: pas de signe de fracture visualisé, listel marginal antérieur C6. Contusion colonne lombaire L2-L3 et coccyx le 27.11.2016. Status post-fractures au bras droit (1x) et bras gauche (2x) en 2009. Entorse bénigne du poignet gauche le 04.01.2019. Crise clastique à domicile. Situation sociale complexe. Contusion costale des côtes 8 à 12 le 06.02.2019. Contusion costale droite (côtes 7-9). Contusion costale droite le 14/02/19. Contusion costale droite le 16.09.2013. Contusion costale droite. Trauma crânien avec perte de connaissance, sans amnésie circonstancielle. Pneumopathie varicelleuse. Éruption péri-oculaire le 08.10.2017. Opération oreille G post infection en 2006. Contusion costale gauche des côtes 8 à 12 sur origine traumatique le 06.02.2019. Contusion costale gauche, le 14.02.2019. DD: fracture costale. Contusion costale gauche le 16.02.2019. DD: fracture costale. Contusion costale sur traumatisme le 9.2.2019. Contusion côtes 2-5. Contusion coude D le 14.01.2019 avec entorse du ligament collatéral radial. Contusion coude D le 15.02.2019. Contusion coude droit. Contusion coude droite, le 15.02.2019. Contusion coude gauche. Contusion coude gauche le 23.02.2019. Contusion crânienne. Contusion cuisse droite. Contusion de C7 sur origine traumatique le 06.02.2019. Contusion de la base du nez, sans complications, sur chute le 21.01.2019. Contusion de la base du 5ème métatarse droit. Contusion de la cheville droite. Contusion de la cheville droite sur traumatisme le 21.02.2019. Contusion de la cheville/calcanéum droit. Contusion de la colonne cervicale, le 21.02.2019. Contusion de la colonne dorsale. Contusion de la colonne lombaire. Contusion de la colonne thoracique au niveau T4-T5-T6 sur chute sur status post-opération pour scoliose en novembre 2018. Contusion de la cuisse gauche. Status post arthrodèse de la hanche gauche pour une dysplasie congénitale de hanche à l'Inselspital. Contusion de la face antérieure du genou droit sur traumatisme du 16.02.2019. Contusion de la face dorsale du pouce gauche. Contusion de la face interne de la cuisse droite le 29.01.2019. Contusion de la face latérale droite du cou le 24.02.2019. Contusion de la face latérale du pied droit en regard de la tête du 5ème métatarse. Contusion de la face latérale du tiers distal du mollet gauche sur traumatisme le 07.02.2019. Contusion de la face le 22.02.2019 avec: - épistaxis spontanément résolutive. Contusion de la fesse droite avec élongations des muscles adducteurs le 22.02.2019. Contusion de la fesse droite (DD: syndrome sacro-iliaque droit, hernie discale L1-L2). Contusion de la fesse gauche. Contusion de la hanche D suite à une chute de sa hauteur, le 11.02.2019. Contusion de la hanche D suite à une chute mécanique sans TC ni PC le 11.02.2019. Contusion de la hanche droite. Contusion de la hanche droite avec status post-traumatisme le 26.01.2019 avec probable élongation des muscles adducteurs. Contusion de la hanche droite en 2017. Distorsion du genou gauche en 2016. Fracture du radius et de l'ulna distale à droite en 2012. Fracture du poignet gauche non datée. Fracture métaphysaire non déplacée du radius en 2014. Entorse de la cheville gauche grade I, suspicion d'une entorse de Chopart gauche et arrachement au niveau talo-naviculaire. Contusion de la hanche droite sur status post-prothèse totale de hanche droite sur traumatisme à ski de randonnée à basse vitesse. Contusion de la hanche gauche et du bassin suite à la chute le 05.02.2019. Contusion de la jambe droite le 17.06.2017. Contusion de la loge thénarienne droite. Contusion de la mâchoire gauche. Contusion de la main droite. Contusion de la main droite (diagnostic différentiel: suspicion de fracture du scaphoïde). Contusion de la main droite et du poignet gauche. Contusion de la main droite le 06.08.2018. Contusion de la main droite le 23.02.2019. Contusion de la main droite le 24.02.2019. Contusion de la main et du poignet à droite. Contusion de la main et du poignet droits à 2 semaines. Contusion de la main gauche. Contusion de la main gauche avec multiples griffures sur la face dorsale de la main. Contusion de la main gauche le 02.02.2017. Contusion de la main gauche le 11.02.2019. Contusion de la malléole externe le 22.06.2013. Traumatisme crânien simple le 29.12.2016: - pas de PC mais vomissements en jet (>10x). - IRM cérébrale: pas de lésion visualisée. Douleur thoracique d'origine pariétale probable le 06.09.2018. Contusion de la malléole interne cheville gauche sur traumatisme du 18.02.2019. Contusion de la musculature dorsolombaire. Contusion de la musculature paracervicale dans un contexte d'accident de la voie publique le 25.02.2019. Sans traumatisme crânien ni trouble neurologique. Contusion de la phalange distale de l'index gauche le 30.03.2016 avec: - hématome sous-unguéal, - fissure longitudinale de l'ongle sur le tiers supérieur avec plaie très superficielle de la racine de l'ongle. Contusion de la première phalange du 3ème doigt droit le 15.02.2019. Contusion de la région para-lombaire gauche. Contusion de la rotule gauche avec légère dermabrasion en regard de la rotule. Contusion de la scapula droite, le 21.02.2019. Contusion de la tête de la 1ère métatarse à droite le 10.02.2019. Contusion de la tête radiale avec hémarthrose suite à une chute le 23.02.2019. Contusion de la tubérosité tibiale antérieure du genou droit le 21.02.2019. Contusion de l'annulaire à D. Contusion de l'articulation MCP, 3ème rayon main gauche. Contusion de l'articulation métacarpophalangienne Vème rayon de la main droite, le 21.06.2014. Status post-opération du cœur au CHUV en 2002. Douleurs abdominales d'origine indéterminée, le 05.12.2014. Contusion de l'articulation sacro-iliaque à D le 07.02.2019. Contusion de l'articulation sacro-iliaque gauche le 18.02.2019 avec: - Chute le 08.02.2019. Contusion de l'auriculaire droit avec hématome sous-unguéal distal. Contusion de l'auriculaire gauche. Contusion de l'avant-bras droit le 24.02.2019. Contusion de l'avant-bras droit. Traumatisme crânien avec doute de perte de connaissance le 19.11.2016, chute à vélo à une vitesse de 25 km/h avec port de casque. Douleur de la phalange proximale du premier rayon du pied droit.Contusion de l'épaule gauche avec mobilité conservée, légère douleur à la palpation. Contusion du genou droit. Contusion de l'avant-bras gauche dans son tiers distal. Contusion de l'avant-bras gauche le 06.07.2017. Contusion de l'avant-bras gauche sur fracture Salter II du radius distal gauche le 20.01. Contusion de l'avant-pied droit le 03.02.2019. Contusion de l'éminence hypothénar à droite. Contusion de l'épaule D le 16.02.2019. Contusion de l'épaule droite. Contusion de l'épaule droite : • avec suspicion de lésion de la coiffe des rotateurs (subscapulaire). Contusion de l'épaule droite et de la colonne lombaire post-AVP en 2012. Contusion de l'épaule droite et région trochantérienne droite avec rupture chronique de la coiffe des rotateurs et omarthrose droite. Contusion de l'épaule droite, le 13.02.2019. Contusion de l'épaule droite le 18.02.2019. Contusion de l'épaule droite sur lésion de la coiffe débutante (sous épineux). Contusion de l'épaule et coude droit. Contusion de l'épaule gauche. Contusion de l'épaule gauche du 29.01.2019. Contusion de l'épaule gauche et contusion de la cheville gauche. Contusion de l'épaule gauche le 12.02.19. Contusion de l'épaule gauche le 17.02.2019. Contusion de l'épaule gauche le 18.02.2019. Contusion de l'épaule gauche le 24.02.2019. Contusion de l'épaule gauche le 26.02.2019. Contusion de l'hallux droit sur traumatisme du 14.02.2019. Contusion de l'hallux gauche DD : fracture Salter-Harris type I de l'épiphyse distale de la phalange proximale. Contusion de l'hémithorax droit. Contusion de l'hémithorax gauche, le 04.02.2019. Contusion de l'incisive latérale du quadrant inférieur gauche le 18.02.2019 avec : • Traumatisme le 16.02.2019. Contusion de l'IPP D4 de la main droite le 27.02.2019. Contusion de l'omoplate et de la clavicule droite le 18.02.2019. Contusion de l'oreille et de l'articulation temporo-mandibulaire droite. Contusion de l'ulna distal gauche sur traumatisme du 11.08.2018. Contusion de poignet droit. Contusion deltoïde épaule gauche le 20.02.2019. Contusion des articulations temporo-mandibulaires le 13.02.2019. Contusion des côtes gauches DD fracture. Contusion des côtes 4-6 face antérieure des deux côtés. Contusion des Dig 3 et 4 main droite. Contusion des genoux des deux côtés. Contusion des jambes sur traumatisme le 28.02.2019. Contusion des métacarpiens II-IV. Contusion des muscles rhomboïdes suite à un traumatisme le 03.02.2019. Contusion des tissus mous du pied droit le 12.02.2019. Contusion des 1-2 et 3ème rayon de l'avant-pied gauche le 13.02.2019. Contusion doigt II main droite. Contusion dorsale. Contusion dorsale avec douleurs musculo-squelettiques associées. Contusion dorsale gauche. Contusion dorso-lombaire. Contusion dorso-lombaire sans signe de gravité. Contusion dos du pied droit et orteil I à droite 12/10/2015 Contusion lombaire dans le contexte d'un choc de basse cinétique dos contre dos au football le 29.07.2016. Suivi psychologie en 2017 dans le contexte de conflits familiaux. Contusion du bassin. Contusion du bassin droite le 22.02.2019. Contusion du bassin le 08.02.2019. Contusion du bras droit. Contusion du calcanéum dans le contexte d'un traumatisme le 14.02.2019. Contusion du coccyx. Contusion du coccyx le 03.02.2019. Contusion du coccyx, le 06.02.2019. Contusion du coccyx sans fracture. Contusion du condyle externe genou G. Status post luxation interne de la rotule genou G. Contusion du cou. Contusion du coude droit. Contusion du coude droit et hanche droite le 15.01.2019 sur chute récente lors du séjour précédent • suspicion 2ème chute à domicile. Contusion du coude droit le 20.03.2015. Fracture de la base du 5ème métatarse gauche. Contusion du coude droit récemment opérée d'une fracture métaphysaire proximale humérus D type III selon Neer-Horowitz. Contusion du coude et épaule G. Contusion du coude gauche sur chute à ski. Contusion du coude gauche sur chute, le 07.02.2019. Contusion du coude gauche. Mécanisme de chute sur le poignet en extension. Status post-fracture de la palette humérale gauche en 2013. Contusion du DIII et du DIV de la main gauche. Contusion du dos. Contusion du flanc droit. Contusion du genou à gauche sur traumatisme, le 04.02.2019. Contusion du genou D. Entorse de l'épaule D le 06.02.2019. Contusion du genou droit. Contusion du genou droit avec hématome rétro-patellaire. Contusion du genou droit. Contusion du genou droit et du genou gauche. Contusion du genou droit et gauche sur traumatisme le 02.02.2019. Contusion du genou droit le 05.02.2019 avec : • Chute. • Choc direct sur le genou. Contusion du genou droit 08.08.2013. Contusion du genou G. • Status post plastie du ligament croisé antérieur G à partir du tendon ischio-jambier et suture de la corne postérieure du ménisque externe en 2016. Contusion du genou gauche. Contusion du genou gauche avec acutisation d'une lésion méniscale interne préalable : • sur traumatisme au sport. Contusion du genou gauche avec épanchement. Contusion du genou gauche. • avec suspicion de lésion du ménisque externe gauche. Contusion du genou gauche (DD : lésion du ménisque externe gauche). Contusion du genou gauche le 01.11.2013. Contusion du genou gauche le 04.02.2019. Contusion du genou gauche le 12.02.2019. Contusion du genou gauche le 17.02.2019. Contusion du genou gauche le 24.09.2016. Contusion du genou gauche sur chute, le 07.02.2019. Contusion du genou gauche vs fracture du fémur distal. Contusion du genou sans fracture. Contusion du gros orteil gauche, le 29.03.2012. Appendicectomie. Cystite compliquée le 29.09.2013. Hémorragie méningée à l'âge de 16 ans. Contusion du majeur droit le 14.02.2019. Contusion du membre inférieur D DD : fracture. Contusion du membre inférieur droit le 04.02.2019 avec : • traumatisme sur compression. Contusion du menton. Contusion du mollet droit. Contusion du nez avec épistaxis le 22.06.2017. Contusion du nez avec plaie superficielle du sommet du nez. Contusion du nez sans hématome septal associé. Contusion du pénis. Contusion du pied droit. Contusion du pied droit le 19.02.19. Contusion du pied droit le 24.02.2019. Contusion du pied G (5ème métatarsien). Contusion du pied gauche. Contusion du pied gauche le 17.02.2019 (DD : entorse de Chopard). Contusion du poignet à droite sur traumatisme le 03.02.2019. Contusion du poignet D le 15.02.2019. Contusion du poignet droit. Contusion du poignet droit. Contusion du poignet droit, côté radial, le 13.01.2019. Contusion du poignet droit (diagnostic différentiel: entorse). Contusion du poignet droit. Contusion du genou droit. Contusion du poignet et de la main gauche. Contusion du poignet G. Contusion du poignet G datant de début février. Contusion du poignet G le 21.01.2019. Contusion du poignet gauche. Contusion du poignet gauche. Contusion du poignet gauche le 02.02.2019. Contusion du poignet gauche le 10.02.2019. Contusion du poignet gauche le 24.02.2019. Contusion du poignet gauche le 28.11.2016. Céphalées de tension en juin 2017. Anémie microcytaire hypochrome. Contusion du poignet gauche sur pseudarthrose du scaphoïde déjà connue. Contusion du poignet gauche sur traumatisme le 05.02.2019. Contusion du pouce avec hématome sous-unguéal 25% de la surface, pas de brèche de l'ongle. Fractures costales antérieures gauches (6 et 7). Contusion du pouce distal à G avec hématome sous-unguéal le 31.01.2019. Contusion du pouce droit. Contusion du pouce droit le 13.02.2019. Contusion du pouce gauche. Contusion du pouce gauche suite à un accident de la voie publique à haute vélocité. Contusion du rachis cervical le 18.02.2019. DD : entorse cervicale. Contusion du rachis cervical sur traumatisme le 03.02.2019. DD : lésion ligamentaire. Contusion du rachis dorso-lombaire sur traumatisme du 17.02.2019. Contusion du sacrum. Contusion du sacrum avec exacerbation des douleurs le 03.02.2019. Contusion du sus-épineux épaule D avec calcification. Status post ostéosynthèse par 2 vis HCS 1.5 tête radiale D et G, le 13.09.2018. Contusion du talon, DD Fasciite plantaire. Contusion du talon droit. Contusion du thénar D. Contusion du tibia droit. Contusion du tiers distal de jambe droite sur traumatisme du 14.02.2019. Contusion du tiers moyen de la clavicule droite. Contusion du tiers proximal de la jambe droite sur accident de la voie publique du 16.02.2019. Contusion du triceps sural de la jambe gauche. Contusion du vaste latéral quadricipital le 05.07.2018. Contusion du vaste médial du quadriceps gauche le 17.02.2019, status post-déchirure du triceps sural. Contusion du versant ulnaire de la main droite. Contusion du 1er métacarpe du pouce D le 29.01.2019. Contusion du 1er orteil du pied droit. Contusion du 2ème doigt à droite. Contusion du 2ème orteil du pied gauche. Contusion du 3ème métacarpophalangien gauche. Contusion du 5ème orteil droit. Contusion du 5ème orteil du pied gauche. Contusion du 5ème orteil G. Contusion D2 main gauche. Contusion D2-D3 droit. Contusion D5 à droite le 16.02.2019. Contusion éminence thénar de la main D et contusion du genou à D. Contusion en regard de la fibula gauche, face latérale externe à 10 cm au-dessus de la cheville. Contusion épaule droite. Contusion épaule droite avec omarthrose. Contusion épaule droite le 06.12.19. Contusion épaule droite le 16.02.2019. DD : coiffe traumatique. Contusion épaule droite le 26.02.2019. - avec possible atteinte articulation acromio-claviculaire Contusion épaule et cuisse gauche le 30.09.2015. Fracture non déplacée de la styloïde radiale droite le 30.09.2015, traitée conservativement. Prostatectomie en avril 2015. PTH gauche en 2011. Arthrite septique à Staph. aureus le 10.08.2011 sur PTH gauche implantée le 11.03.2011 avec : - débridement, biopsies, changement noyau et tête, plombage par Ostéoset avec Vancomycine hanche gauche le 12.08.2011, second-look 13.08.2011 - parésie résiduelle plexus lombo-sacré gauche sur hématome spontané du psoas sur anticoagulation orale datant du 31.08.2011. PTH droite en 2001. Appendicectomie et amygdalectomie dans l'enfance. Contusion épaule gauche. Contusion épaule gauche le 25.02.2019. Contusion épaule gauche TC simple sans PC ni AC, avec dermabrasion frontale gauche le 01.12.2018. Contusion et compression radiculaire C8 avec déficit sensitivo-moteur le 05.02.2019. Contusion et dermabrasion du 3ème doigt, 3ème phalange distale de la main droite, le 13.02.2019. Contusion et hématome du genou droit. Contusion face antérieure du tiers proximal de la jambe droite sur traumatisme du 15.02.2019. Contusion fronto-occipitale le 13.02.2019. Contusion genou. Contusion genou droit. Contusion genou droit. Contusion genou droit. Contusion genou droit. Contusion genou droit. Contusion genou droit avec Osgood Schlatter. Contusion genou droit dans le contexte d'une chute de 2 m de hauteur le 15.02.2019. Contusion genou droit le 18.02.19. Contusion genou droite, le 24.02.19 : - dermabrasion d'environ 20 cm carré sur le genou. Contusion genou et prétibial gauche post-traumatique en 04.2016 sans lésion osseuse à la radiographie standard. Multiples otites, dont dernier épisode d'otite moyenne de l'oreille gauche le 02.08.2018. Aggrandissement du conduit auditif externe de l'oreille gauche le 21.04.2016 pour exostose. Appendicectomie. Contusion genou gauche. Contusion genou gauche. Contusion genou gauche. Contusion genou gauche. Coxalgie post-traumatique. Traumatisme du bras droit en hyperextension. Contusion genou gauche, le 05.02.2019. Contusion genou gauche, le 06.02.2019. Contusion genou gauche le 23.02.2019. Contusion genou gauche le 26.02.2019. Contusion genou gauche sur traumatisme le 02.02.2019. Contusion hallux droit sur origine traumatique le 22.03.2018. Contusion hanche D, le 22.01.2019. Contusion hanche droite. Contusion hanche droite. Contusion hanche droite sans signes de gravité. Contusion hanche droite sur chute accidentelle avec TCC sans PC en 2012. Bronchite compliquée par un abcès pulmonaire, traitement conservateur en 2012. Excision mélanome en regard du sternum en 2013. Polyneuropathie sensitivo-motrice le 08.05.2014. Contusion hanche gauche le 05.02.2019. Contusion humérus proximal gauche. Contusion index droit au niveau de l'interphalangienne proximale. Contusion infra-patellaire du genou droit. Contusion jambe droite. Contusion jambe gauche. Contusion latéro-thoracique à droite sur traumatisme le 02.02.2019. DD : fracture de côtes non déplacées. Contusion latéro-thoracique gauche sur traumatisme le 01.02.2019. DD : fracture de côte. Contusion légère au niveau abdominal. Contusion légère du genou gauche. Contusion lit de l'IPP du doigt 3 sur traumatisme le 08.02.2019. Contusion lombaire. Contusion lombaire. Contusion lombaire. Contusion lombaire. DD : fracture tassement S1. Contusion lombaire et contusion du calcanéum gauche. Contusion lombaire et de l'épaule gauche. Contusion lombaire haute sur traumatisme du 15.02.2019. DD : fracture tassement du plateau supérieur de T11. Contusion lombaire, le 14.02.2019. Contusion lombaire le 25.02.2019. Contusion lombaire, lombalgie non déficitaire. Contusion lombaire simple. Contusion lombaire traumatique lors d'une chute à vélo à haute vélocité le 19.02.2019. Contusion lombo-sacrée. Contusion main droite. Contusion main droite. Contusion main droite. Contusion main droite et poignet gauche. Contusion main droite le 10.02.2019. Contusion main droite le 15.02.2019. Contusion main gauche. DD : décompensation rhizarthrose dans contexte traumatique. Contusion mandibulaire droite. Contusion MCP 2 main droite. Contusion médio-diaphysaire du radius droit. Contusion médio-diaphysaire du radius droit. Contusion métacarpes II-III main droite. Probable tendinite du long chef du Biceps droit. Contusion minime au niveau de la cheville G. Contusion mollet G. Contusion MTP 2 pied D le 03.10.2012. Contusion du poignet G le 19.03.2011. Contusion multiple au niveau de la jambe gauche le 28.02.2019. Contusion muscle oblique interne. Contusion musculaire au niveau para-vertébral T6 à T12. Contusion musculaire de la cuisse gauche. DD : claquage. Contusion musculaire de l'épaule droite. Contusion musculaire des muscles trapèzes des deux côtés • suite à chute sur rachis. Contusion musculaire paravertébrale droite au niveau lombaire le 13.02.19. Contusion musculaire thoracique paravertébrale droite le 11.02.19. Contusion musculature para vertébrale lombaire gauche. Contusion myocardique, le 18.08.2019 • Dans contexte d'AVP à haute cinétique. Contusion nasale. Contusion nasale, contusion frontale droite. Contusion nasale le 03.02.2019. DD : fracture nasale simple. Contusion nasale le 24.02.2019. Contusion naviculaire pied gauche le 23.02.2019. Contusion occipital le 12.02.2019. Contusion occipitale. Contusion olécranienne droit avec bursite traumatique olécranienne. Contusion olécranienne droit avec bursite traumatique olécranienne. Contusion osseuse du médio-tibia gauche. Contusion osseuse du plateau tibial externe droit avec lésion de la corne postérieure du ménisque interne le 22.02.2019 • IRM genou droit en ambulatoire le 18.02.2019 sur le PACS. Contusion osseuse supra-malléolaire interne cheville droite. Contusion para-cervicale gauche. Contusion para-lombaire gauche et tibiale gauche. Contusion paravertébrale le 15.11.2016 • sur traumatisme (chute de sa hauteur) le 11.11.2016 s/p cholécystectomie par laparotomie médiane (Brésil 1996) s/p abdominoplastie (Brésil). Contusion para-vertébrale lombaire droite. Contusion phalange D2 main droite le 17.02.2019. Contusion pied droit. Contusion pied droit le 12.02.2019. Contusion pied G. Contusion pied G sur chute le 08.02.2019. Contusion pied gauche. Contusion poignet droit. Contusion poignet droit. Contusion poignet droit, le 19.02.2019. Contusion poignet droit le 19.02.2019. Contusion poignet droit, le 25.02.2019. Contusion poignet droite. Contusion poignet droit. Panaris de l'index droit le 23.01.2019. Contusion poignet gauche. Contusion poignet gauche le 15.02.2019. Contusion post-traumatique du Vème rayon de la main droite, le 14.02.2019 • status post-arthrotomie traumatique de l'IPD Dig V main D le 01.02.19. Contusion post-traumatique le 01/02/19. Contusion post-traumatique le 12/02/19. Contusion post-traumatique le 13.02.2019. Contusion post-traumatique le 23.02.2019. Contusion pouce droit. Contusion pouce et éminence thénar. Contusion pouce gauche. DD : pouce du skieur. Contusion prétibiale droite le 15.04.2016. Zona du nerf 5-1 le 27.04.2018 chez patient immuno-supprimé. Contusion P2 D2 main gauche. Blessures anamnestiques pas claires D1-D2. Suspicion de fracture Salter I du radius distal gauche. Suspicion fracture Salter I base phalange distale du pouce de la main droite 09.2014. Entorse légère cheville droite le 16.06.2016. Dermabrasion jambe gauche. Contusion P3 D4 gauche. Contusion rachis le 08.02.2019. Contusion rachis lombaire/dorso-lombaire vs aggravation tassements préexistants. Contusion rotule G. Hallux rigidus, pied G. Contusion rotule gauche. Contusion sacrale. Contusion sacrale le 13.02.2019. Contusion sacrée/coccyx. Contusion sacro-coccygienne sur traumatisme le 04.02.2019. Contusion scapulaire gauche le 21.02.2019. Contusion sévère de l'olécrâne gauche. Contusion simple basithoracique antérieure droite sur chute à ski. Contusion simple de la jambe gauche. Contusion simple du pied gauche. Contusion sous-scapulaire droite le 18.02.2019. Contusion sternale sur accident de la voie publique. Contusion temporale gauche le 02.08.2018 (constat de coup fait le 03.08.2018). Contusion testiculaire droite. Contusion thoracique. Contusion thoracique avec possible fracture de la 12ème côte à droite. Contusion thoracique droite. Contusion thoracique droite le 03.02.2019. Diagnostic différentiel : fissure de côtes, côtes 10 à 12. Contusion thoracique droite sur traumatisme le 31.01.2019. Contusion thoracique droite sur traumatisme par compression du 29.01.2019. Contusion thoracique droite. Petit arrachement semi-lunaire versus pyramidale main droite. Contusion thoracique et contusion de la colonne cervicale et dorsale suite à un accident de la voie publique à 40 km/h. Contusion thoracique et dorsale. Contusion thoracique gauche. Contusion thoracique gauche au niveau des côtes 4-5-6 antérieures. Contusion thoracique gauche le 20.02.2019. • Avec suspicion de fracture costale. Contusion thoracique gauche le 22.02.2019. Contusion thoracique gauche sur chute, probablement mécanique, le 07.02.2019. Contusion thoracique latérale gauche, le 27.02.2019. Contusion thoracique le 13.02.2019. Contusion thoracique le 22.02.2019. Contusion thoracique le 23.02.2019. • avec suspicion de fracture costale. Contusion thoracique le 23.03.2018 sur accident de la voie publique. Contusion thoracique le 24.02.19. Contusion thoracique post-chute, le 24.02.2019. Contusion thoracique postérieure gauche. Contusion thoracique. Contusion épaule gauche. Contusion tibia droit. Contusion tibia droit (tiers moyen). Contusion tibia-péroné G. Contusion traumatique du poignet droit le 14.02.2019. Contusion trochantérienne à droite • sur chute il y a 10 jours. Contusion trochantérienne à droite le 22.02.2019. Contusion trochantérienne droite. Contusion tubercule majeur en décembre 2016 avec : • Impingement et tendinopathie du sus-épineux. • tendinopathie du long chef du biceps. Status post-stabilisation arthroscopique de l'épaule droite en 2002 en Italie. Actuellement : bursite sous-acromiale résiduelle. Contusion T11 d'origine traumatique avec acutisation d'une arthrose au niveau de cette articulation le 08.02.2019. Contusion vaste médial quadriceps gauche le 17.02.2019 : • Status post-déchirure triceps sural. Contusion vs fracture du nez. Contusion 2ème orteil droit. Contusion 5e métatarse. Contusion 5ème orteil pied droit. Contusion 5ème orteil pied droit le 21.02.2019. Contusion/entorse/fracture de l'avant-pied droit. Contusions de l'épaule et du coude gauches le 08.02.2019 • contracture du faisceau supérieur du trapèze à gauche avec discrète dyskinésie scapulo-thoracique. Contusions des coudes avec hématomes le 03.01.2019. Contusions des deux genoux après glissade sur le verglas. Contusions des doigts 2, 3 et 4 gauches sur traumatisme le 22.02.2019.Contusions des 2ème, 3ème et 4ème orteils gauche sur traumatisme le 25.01.2019. Contusions du coude avec dermo-abrasions de l'avant-bras droit sur traumatisme le 02.02.2019. Contusions du genou à droite sur traumatisme le 02.02.2019. Contusions du talon droit le 23.02.2019. Contusions épaule et coude droits. Contusions multiples cou, colonne, thorax après une bagarre. Contusions multiples dans un contexte de chute le 13.02.19 • contusion et hématome du genou droit • contusion de l'avant-bras droit • contusion de la main éminence thénar à gauche avec petite plaie au niveau du pouce. Contusions musculaires de l'épaule gauche sans lésion de la coiffe. • M terres major, M pectoralis. Contusions post-traumatiques dans un contexte de violences familiales. Contusions simples sur coups en avril 2011. Contusion/traumatisme thoracique. • Convocation en oncologie à la consultation du Dr. X le 12.02.2019 à 14h00 (rendez-vous donné au Mr. Y et à la famille) • Pet Scan pour bilan d'extension avec prise de sang et Tumorboard le 20.02.2019 • Rendez-vous pour discuter des résultats avec le Mr. Y le 25.02.2019 • Contrôle ophtalmologique en ambulatoire : rendez-vous le 18.02.2019 à 10h00 chez orthoptiste • Contrôle 4 semaines post-reprise double anti-agrégation : RDV le 21.02.2019 à 8h30 pour le CT cérébral puis à 09h30 pour la consultation en neurochirurgie (rendez-vous donnés au Mr. Y et à la famille) Convocation le 24.02.19 en F34 pour prise en charge. Convulsion. Convulsion DD dans le cadre d'épilepsie DD fébriles. Convulsion du membre supérieur gauche puis du membre inférieur gauche de quelques secondes d'origine probablement dissociative le 08.02.2019. Convulsion fébrile. Convulsion fébrile le 30.11.14. OMA gauche le 30.11.14. Convulsion fébrile simple. Convulsion fébrile simple, foyer indéterminé, probablement infection virale des voies respiratoires supérieures. Convulsion fébrile simple sur une probable virose débutante. Convulsion fébrile simple sur une probable virose débutante le 06.02.2016. Convulsion fébrile simple (1er épisode) Spasmes du sanglot (plusieurs épisodes). Convulsion fébrile (2 épisodes le même jour). Convulsions. Convulsions dans l'enfance. Infection urinaire simple le 13.12.2018. Convulsions dans un contexte d'état fébrile chez un Mr. Y connu pour épilepsie. Convulsions fébriles. Convulsions fébriles complexes (>2 en 24h). Convulsions fébriles dans un contexte d'infection virale des voies respiratoires supérieures. Convulsions généralisées d'environ 30 minutes d'origine probablement dissociative le 09.02.2019 : • 5 crises fluctuantes durant le séjour aux urgences. COPD Gold Stadium 2. • 1969 tabagisme (7 PY). • Bodyplethysmographie : -- Pré-Bronchodilatation : FVC 3.76L (95%), FEV1 1.74L (60%), TLC 7.84L, DLCOcSB 3.24 -- Post-Bronchodilatation : pas de changement significatif. • sous Spiriva. Coprostase. Coprostase avec douleurs abdominales le 07.02.2019 • Défense et détente au niveau abdominal gauche • Mr. Y connu pour une constipation chronique, réfractaire aux laxatifs depuis 3 jours • Auscultation abdominale : pas de zone de silence, pas de timbre métallique, suspicion d'une défense et détente G • Clinique et bilan biologique : paramètres vitaux dans la norme, pas de douleurs au niveau abdominal droit, pas de syndrome inflammatoire. Coprostase dans le contexte d'une carcinose péritonéale avec consommation accrue de morphiniques le 19.01.2019. Coprostase post-traumatisme, le 01.02.2019. Cordarone du 19.01.2019. Xarelto du 21.01.2019. ECG du 25.01.2019 : RSR. Cordarone 300 mg iv 2x (dose totale 600 mg iv aux urgences). ECG nouveau avec retour en rythme sinusal. Cordarone 200 mg per os. Attitude : Cordarone 200 mg 3x/jour pendant 7 jours puis stop. Retour à Marsens en chaise, avec le transporteur. Mr. Y est un jeune patient de 11 ans, qui nous est adressé par son pédiatre aux urgences pédiatriques pour une suspicion clinique d'appendicite confirmée par un ultrason abdominal effectué à Affidea. Il bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 01.02.2019. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 02.02.2019. Coronarographie diagnostique le 22.01.2019. Prise en charge chirurgicale (pontage et résection de l'anévrisme coronarien D) à organiser à distance de l'intervention de l'anévrisme de l'aorte abdominale. Coronarographie du 05.02.2019 : Occlusion de l'IVA distale. Atteinte coronarienne très diffuse et très calcifiée. Dysfonction VG systolique modérément-sévère. Recanalisation de l'IVA et angioplastie des 3 segments de l'IVA avec 3 stents et utilisation de ballons à haute pression (jusqu'à 48 ATM !), permettant de faire céder la sténose calcifiée proximale. Subocclusion de la RCx (très infiltrée) et une occlusion chronique de l'ACD. Re-coro de contrôle dans 1 mois pour PCI RCX (puis ACD) versus chirurgie. Coronarographie du 12.01.2019 : 2 stents actifs dans la 1ère marginale (lésion coupable) et deux stents actifs dans l'IVA I et la 1ère diagonale. FEVG à 60%. Laboratoire : pic de CK à 1'189 U/L 15h00 après l'admission. Aspirine à vie dès le 12.01.2019, Brilique 90 mg 2x/j pour 12 mois. Introduction d'un IEC et d'un bêtabloquant dès le 12.01.2019. Mobilisation progressive sur 5 jours. Physiothérapie. Séjour de réhabilitation cardiovasculaire à l'HFR Billens. Contrôle à un mois à prévoir chez le Dr. X. Ergométrie dans 1 an. Coronarographie du 18.01.2019 : L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne monotronculaire et comme raison pour le STEMI inférieur une occlusion aiguë de la grande artère coronaire droite distale. L'intervention par l'accès radiale est difficile techniquement à cause d'une excessive tortuosité. Après recanalisation, dilatation et implantation de trois stents actifs, le résultat est favorable, mais il reste une occlusion thrombotique très distale. ETT le 18.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une akinésie de la paroi postérieure, de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale. FEVG à 45 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Valve mitrale normale. Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit normal. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Ultrason abdominal le 19.01.2019 : Sous réserve d'un morphotype limitant fortement l'examen, pas d'argument en faveur d'une cholécystite. Pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Stéatose hépatique. Cholangio-IRM le 21.02.2019. Coronarographie du 21.11.2018 : L'examen invasif du jour démontre un bon résultat après stenting de l'ACD ostiale à distale et RIVP. La fonction systolique ventriculaire gauche s'est améliorée à 50 %. Comme prévu, nous avons procédé à une angioplastie de l'IVA proximale avec implantation de 2 stents actifs et bon résultat final.Coronarographie du 24.02.2019 : Cet examen montre une maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et CX), avec comme culprit lesion une occlusion de l'artère circonflexe proximale, qui a pu être désoblitérée avec mise en place de 3 stents actifs. En raison d'une embolisation de matériel thrombotique en périphérie, Reopro bolus donné durant l'intervention, à suivre avec Reopro perfusion sur 12h (désilet laissé en place). Aspirine 100mg 1-0-0 à vie, Brilique 2x90 mg 1-0-0 pour 12 mois, BB. Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie dans 6 mois. ECG : rythme sinusal régulier pas de trouble de la repolarisation Coronarographie du 24.02.2019 : PTCA de l'artère circonflexe proximale (3 stents actifs) ReoPro bolus puis perfusion sur 12h Ablation du désilet artériel fémoral droit, compression par Femostop le 25.02.2019 Aspirine à vie, Brilique pour 12 mois Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie dans 6 mois Coronarographie du 8.02.2019 : Le tronc commun est de longueur normale, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure est de taille normale. L'artère interventriculaire antérieure proximale présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. L'artère interventriculaire antérieure moyenne présente une lésion intermédiaire <50 %. L'artère circonflexe est une artère coronaire de gros calibre. L'artère circonflexe est indemne de lésion coronaire significative. L'artère coronaire droite est de taille normale et équilibrée. L'artère coronaire droite proximale présente une lésion peu sévère <30 % discrètement irrégulière. Coronarographie élective Coronarographie élective Coronarographie élective Coronarographie élective Coronarographie élective Coronarographie élective Coronarographie élective Coronarographie élective Coronarographie élective Coronarographie élective Coronarographie élective Coronarographie élective Coronarographie élective Coronarographie élective Coronarographie le 08.01.2019 Suivi habituel par Dr. X (cardiologue traitant Billens) Coronarographie en ambulatoire demandée (bilan PACs et évaluation TAVI), le patient sera convoqué. Adapter traitement par bêta-bloquant et anti-hypertenseurs selon symptomatologie. Suivi et entretien motivationnel pour diminuer consommation OH. Anticoagulation pour FA à réévaluer selon insuffisance hépatique. Evaluer nécessité de soins à domicile (patient indépendant durant le séjour hospitalier) Coronarographie et angioplastie coronaire (21.02.2019) : cf annexe Echocardiographie (21.02.2019) : cf annexe Rx thorax les 21.02 et 22.02.2019 : cf annexe Laboratoire : cf annexe Urotube : cf annexe Hémocultures : cf annexe Coronarographie et angioplastie coronaire (21.02.2019) Echocardiographie (21.02.2019) : FEVG à 40% avec hypokinésie inféro-latérale, insuffisance modérée de la valve mitrale Rx les 21.02 et 22.02.2019 Coronarographie le 02.02.2019 (Dr. X) : Longue subocclusion ACD proximale à distale, 2 stents Coronarographie le 03.02.2019 : maladie coronarienne monotronculaire avec occlusion fonctionnelle, thrombotique ACD proximale : PCI (1DES) : Bon. Fraction d'éjection VG 38%. ETT le 05.02.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale. FEVG à 50% (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Epaississement léger des 2 feuillets mitraux. Insuffisance mitrale minime. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Absence d'épanchement péricardique. Pas de thrombus apical. Commentaire : l'examen du jour montre une fonction systolique légèrement diminuée avec une hypokinésie de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale. Coronarographie le 03.02.2019 (Dr. X) : PCI (1DES) : bon résultat final Aspirine cardio à vie Prasugrel durant 12 mois Réadaptation cardiovasculaire en ambulatoire à Billens Coronarographie le 04.02.2019 : implantation de 3 stents actifs sur l'IVA Aspirine à vie, Efient pour 12 mois Lisinopril, Métoprolol Contrôle chez le médecin traitant à 1 mois et ergométrie à 6 mois chez la cardiologue traitante Coronarographie le 05.02.2019 (Dr. X) : Aspirine Prasugrel pour une année Coronarographie le 08.02.2019 Coronarographie le 11.02.2019 : Coronarographie le 11.02.2019 à l'HFR Fribourg : normale, avec fraction d'éjection ventriculaire gauche à 45% Retour à domicile le 14.02.2019 avec : • Augmentation du passage des soins à domicile 2x/jour et livraison des repas 1x/jour • Physiothérapie et ergothérapie à domicile Coronarographie le 11.02.2019 avec cathétérisme droit et gauche Reprise de dialyse itérative le 12.02.2019 VNI du 10.02.2019 au 11.02.2019 Adaptation appareillage de la CPAP Coronarographie le 11.02.2019 (Dr. X) Coronarographie le 11.02.2019 : 3 stents actifs sur l'IVA Clopidogrel pour 3 mois Aspirine à vie Statine Coronarographie le 13.02.2019 (Dr. X) : PCI/2 DES IVA moyenne : bon résultat immédiat. Aspirine à vie Clopidogrel pour 6 mois. Atorvastatine Coronarographie le 13.02.2019 : Le tronc commun est long, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure est de taille normale. Cette artère ne présente pas de sténose significative sur l'ensemble de ses segments proximal, moyen et distal. L'artère circonflexe est une artère coronaire de taille normale. L'artère circonflexe moyenne présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. L'artère coronaire droite est de gros calibre et dominante. L'artère coronaire droite moyenne présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. La ventriculographie gauche montre une normocinésie postéro-basale, diaphragmatique, apicale, antéro-latérale et antéro-basale. Les autres segments du ventricule gauche se contractent normalement. La fraction d'éjection du ventricule gauche est estimée à 70% (en OAD). Coronarographie le 14.02.2019 : Le tronc commun est normal, sans sténose. L'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. Tomographie endocoronaire. L'artère circonflexe est indemne de lésion coronaire significative. L'artère coronaire droite proximale présente une lésion intermédiaire <50 %. Pas de ventriculographie effectuée. Coronarographie le 15.02.2019 : Le tronc commun est normal, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure proximale présente une lésion critique à 90-99 %. L'artère interventriculaire antérieure moyenne présente une lésion sévère à 70-90 %, englobant l'origine de la première diagonale. L'artère interventriculaire antérieure moyenne présente une lésion critique à 90-99 %. La première diagonale présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. Il existe une artère bissectrice visible. L'ostium de l'artère circonflexe proximale présente une lésion sévère à 70-90 %. La première marginale présente une lésion sévère à 70-90 %. L'artère bissectrice présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. L'artère coronaire droite proximale est occluse. La ventriculographie gauche montre une hypokinésie sévère et diffuse. La fraction d'éjection du ventricule gauche est estimée à 28% (en OAD). Coronarographie le 15.02.2019 (Dr. X) : recanalisation IVA et mise en place de 2 stents actifs Aspirine à vie Ticagrelor pour 12 mois Anticoagulation thérapeutique par Héparine pour 3 jours au total Coronarographie le 15.02.2019 (Dr. X) avec : • Recanalisation de l'IVA et mise en place de 2 stents actifs Aspirine à vie Ticagrelor pour 12 mois Anticoagulation thérapeutique par Héparine jusqu'au 18.02.2019 Contrôle à la consultation du Dr. X à 1 mois Arrêt de travail à minima jusqu'au prochain contrôle cardiologique Implantation d'un ICD indiquée : à rediscuter selon résultat IRM cardiaque et Holter ECG Coronarographie le 15.02.2019 : Le tronc commun est normal, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure ne présente pas de sténose significative sur l'ensemble de ses segments proximal, moyen et distal. L'artère circonflexe est indemne de lésion coronaire significative. L'artère coronaire droite est indemne de sténose sur l'ensemble de ses segments. La ventriculographie gauche a été réalisée. Coronarographie le 16.02.2019 : L'examen invasif en urgence démontre comme corrélat pour le NSTEMI une sténose serrée de l'IVA moyenne. La fonction systolique du VG est légèrement diminuée à une hypokinésie apicale. Je procède, après discussion avec Mme. Y, à une dilatation avec mise en place d'un stent actif. Extravasation de contraste. Raison pour laquelle surveillance et réinjection après 30 min qui écarte la présence d'extravasation. Épanchement péricardique. Surveillance aux soins intensifs. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. ETT le 18.02.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. HTAP minime (PAPs à 47 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Les feuillets péricardiques sont normaux, non épaissis. Minime épanchement péricardique circonférentiel. Indication à une surveillance régulière de l'épanchement. Pas de comparatif pour juger de l'évolution de l'épanchement. Étant donné une perforation Ellis III, je propose un contrôle échographique demain matin avec reprise de l'Efient si stabilité. Coronarographie le 18.02.2019 à 07h00 à l'HFR Fribourg Rendez-vous à votre consultation le 19.02.2019. Coronarographie le 18.02.2019 (Dr. X) : subocclusion de la CD, traitée par la pose de 3 stents actifs. Aspirine à vie Prasugrel pour 12 mois Coronarographie le 18.02.2019 (Dr. X) Aspirine cardio à vie Plavix pour 6 mois Coronarographie le 20.02.2019 : Le tronc commun est de longueur normale, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure est de taille normale. L'artère interventriculaire antérieure proximale présente une lésion critique à 90-99 %, englobant l'origine de la première diagonale. L'artère interventriculaire antérieure moyenne présente une lésion sévère à 70-90 %, englobant l'origine de la seconde diagonale. L'ostium de la première diagonale présente une lésion sévère à 70-90 %. La première diagonale présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. L'artère circonflexe est une artère coronaire de taille normale. L'artère circonflexe proximale présente une lésion critique à 90-99 %, englobant l'origine de la seconde marginale. L'artère coronaire droite est de taille normale et dominante. L'artère coronaire droite moyenne présente une lésion sévère à 70-90 %. La ventriculographie gauche montre une normocinésie postéro-basale, diaphragmatique, apicale, antéro-latérale et antéro-basale. Les autres segments du ventricule gauche se contractent normalement. La fraction d'éjection du ventricule gauche a été calculée à 75 % (en OAD). Coronarographie le 20.02.2019 : Le tronc commun est de longueur normale, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure est de taille normale. L'artère interventriculaire antérieure proximale présente une lésion sévère à 70-90 %, englobant l'origine de la première diagonale. L'artère interventriculaire antérieure moyenne présente une lésion sévère à 70-90 %. L'artère interventriculaire antérieure distale présente une lésion intermédiaire à 50 %. L'artère circonflexe est une artère coronaire de taille normale. L'artère circonflexe moyenne présente une lésion peu sévère <30 %, englobant l'origine de la seconde marginale. L'artère coronaire droite est de taille normale et équilibrée. L'artère coronaire droite moyenne présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. La ventriculographie gauche montre une normokinésie postéro-basale, diaphragmatique, apicale, antéro-latérale et antéro-basale. Les autres segments du ventricule gauche se contractent normalement. La fraction d'éjection du ventricule gauche a été calculée à 75 % (en OAD). Coronarographie le 20.11.2018 (Dr. X) : Angioplastie de l'IVA proximale avec implantation de 2 stents actifs. FEVG 50 %. Aspirine à vie, Prasugrel durant 12 mois Réadaptation cardio-vasculaire demandée à Billens Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie dans 1 année. Coronarographie le 22.02.2019 Coronarographie le 22.02.2019 : L'examen invasif du jour démontre une subocclusion de l'IVA proximale et une atteinte significative de la bifurcation IVA/DA comme corrélat à l'infarctus NSTEMI. Il y a une dysfonction VG systolique modérément sévère, EF 35 %. Après discussion avec Mme. Y, nous effectuons une angioplastie des deux sténoses de l'IVA et de la branche diagonale avec 3 stents actifs et un excellent résultat immédiat. Coronarographie le 23.02.2019 : Cet examen montre un excellent résultat à court terme de la double PCI / 2 DES de l'IVA proximale et moyenne et de la PCI / 1 DES de la 2ème diagonale. L'angor résiduel est probablement à mettre en relation avec la sténose du tronc commun distal, traitée par PCI / 1 DES se prolongeant dans l'IVA proximale, fenestration des mailles du stent dans l'artère circonflexe, PCI / 1 DES de l'artère circonflexe proximale, avec un bon résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. ECG et écho de contrôle chez le Dr. X dans 1 mois, recoronarographie de contrôle à 3 mois. Coronarographie le 22.02.2019 : L'examen invasif du jour démontre une subocclusion de l'IVA proximale et une atteinte significative de la bifurcation IVA/DA comme corrélat à l'infarctus NSTEMI. Il y a une dysfonction VG systolique modérément sévère, EF 35 %. Après discussion avec Mme. Y, nous effectuons une angioplastie des deux sténoses de l'IVA et de la branche diagonale avec 3 stents actifs et un excellent résultat immédiat. Coronarographie le 23.02.2019 : L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne avec une sténose significative du tronc commun, englobant l'origine de l'artère circonflexe proximale (lésion de bifurcation). Absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif, englobant l'origine de la seconde diagonale (lésion de bifurcation). Absence de resténose de l'ostium de la seconde diagonale au niveau du site d'implantation du stent actif. Lésion non significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à indéterminée. Après discussion avec Mme. Y, j'ai procédé à une réussite d'angioplastie du tronc commun. Implantation de 1 stent actif. Réussite d'angioplastie de l'ostium de l'artère circonflexe proximale. Implantation de 1 stent actif, avec bon résultat final.Coronarographie le 22.02.2019: coronaires saines Cathétérisme cardiaque droit/gauche: LVEDP 18 mmHg, hypertension pulmonaire légère (PAPs 46 mmHg) Lisinopril et Spironolactone dès le 22.02.2019 Torem dès le 22.02.2019 Coronarographie le 22.02.2019: impossibilité de franchir le thrombus proximal. Thrombus intraventriculaire ETT le 25.02.2019 Coronarographie le 22.02.2019 ETT sonoview à organiser dès le 25.02.2019 Aldactone dès le 22.02.2019 Lisinopril dès le 23.02.2019 Héparine thérapeutique le 22.02.2019 Clexane thérapeutique dès le 23.02.2019. Relai par Xarelto à faire Contrôle à la consultation du Dr. X dans 3-4 semaines pour discuter d'une revascularisation Coronarographie le 23.02.2019: Cet examen montre une maladie coronarienne de 1 vaisseau sous forme d'une sténose subtotale de l'IVA moyenne, traitée par PCI/ 2 DES avec un bon résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, atorvastatine 40 mg, Beloc Zok 25-50 mg. Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie dans 6 mois. Coronarographie le 29.01.2019 2ème Coronarographie le 29.01.2019 Coronarographie le 31.01.2019: pas de lésion aiguë ETT le 31.01.2019: FEVG 45% Coronarographie le 31.01.2019 (Dr. X): lésions tritronculaires. Lésion non significative du tronc commun. Absence de resténose de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. Absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif, englobant l'origine de la seconde diagonale (lésion de bifurcation). Lésion intermédiaire de la première diagonale. Absence de resténose de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation). Absence de resténose de l'ostium de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. Sténose significative de l'ostium de la première marginale. Lésion intermédiaire de l'artère bissectrice. Lésion intermédiaire de l'artère coronaire droite moyenne. Sténose significative de l'artère interventriculaire postérieure. Sténose significative de l'artère rétroventriculaire postérieure. Occlusion aiguë de l'ostium de la première rétroventriculaire gauche. Succès d'angioplastie de l'artère interventriculaire postérieure sans stent au niveau proximal, lésion subtotale résiduelle en périphérie, mais lésion chronique. Patient initialement considéré comme STEMI (BBG nouveau et DRS depuis 10 h de temps) ; on constate que les stents sont tous perméables, pas de nouvelle lésion par rapport à la coronographie de juin 2018, à l'exception d'une branche de la RV qui est sub-totale. On tente de recanaliser cette branche avec succès intermédiaire, l'occlusion est probablement chronique. On renonce en raison de la charge de contraste à poursuivre une recanalisation d'un vaisseau « non culprit ». ETT du 01.02.2019: dilatation modérée du ventricule gauche, en progression par rapport à l'examen du 24.10.2018 avec une akinésie du septum, de la paroi septale antérieure et de la paroi latéro-apicale, une hypokinésie modérée de la paroi inférieure, de la paroi latérale moyenne, de la paroi antéro-apicale, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi postérieure moyenne et une hypokinésie minime de la paroi postéro-basale. FEVG à 35% (méthode de Simpson), global strain à -4.3%. Hypertrophie excentrique. Fraction d'éjection stable par rapport au dernier examen du 24.10.2018. Dysfonction diastolique modérée (grade II). Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3) fonctionnelle sur dilatation de l'anneau. Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. HTP importante avec PAPs estimée à 62-67 mmHg (Gradient VD-OD à 57 mmHg + POD à 5-10 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Communication interauriculaire type ostium secundum associée à un shunt minime gauche-droite. Absence d'épanchement péricardique. Progression de la dilatation du VG, FEVG stable à 35% par rapport au dernier examen échographique du 24.10.2018. Majorer le traitement diurétique et poursuivre le traitement d'insuffisance cardiaque. US du MIG le 01.02.2019: pas de TVP Coronarographie le 31.10.2018 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 31.10.2018 au 1.11.2018 Aspirine cardio à vie Plavix pour 1 mois Coronarographie le 5.02.2018: Le tronc commun est normal, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure proximale indemne de resténose intrastent actif de 10 à 20 mm de long, englobant l'origine de la première diagonale au niveau du site d'implantation du stent actif. Diamètre de référence à 3 mm. Lit d'aval normal, non infiltré. Flux TIMI 3. L'artère interventriculaire antérieure moyenne indemne de resténose intrastent nu de 10 à 20 mm de long, englobant l'origine de la seconde diagonale au niveau du site d'implantation du stent nu. Lit d'aval normal, non infiltré. Flux TIMI 3. L'artère interventriculaire antérieure moyenne présente une lésion intermédiaire <50%. Il existe une artère bissectrice visible. L'artère circonflexe moyenne indemne de resténose intrastent actif de 10 à 20 mm de long, englobant l'origine de la seconde marginale au niveau du site d'implantation du stent actif. Diamètre de référence à 2.5 mm. Lit d'aval normal, non infiltré. Flux TIMI 3. L'ostium de la seconde marginale présente une lésion intermédiaire à 50%. L'artère coronaire droite proximale présente une lésion peu sévère <30%. L'artère coronaire droite moyenne présente une lésion intermédiaire à 50-70%. L'artère coronaire droite distale présente une lésion intermédiaire <50%. Coronarographie le 5.02.2019: Coronarographie le 6.02.2019: Le tronc commun est de longueur normale, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure est de taille normale. L'artère interventriculaire antérieure moyenne indemne de resténose intrastent actif de plus de 20 mm de long au niveau du site d'implantation du stent actif. La première diagonale présente une lésion sévère à 70-90%, avec une autre sténose de 70-90% au départ d'une branche secondaire de cette même branche diagonale. L'artère circonflexe est une artère coronaire de taille normale. L'artère circonflexe est indemne de lésion coronaire significative. L'artère coronaire droite est de taille normale et dominante. L'artère coronaire droite distale présente une lésion <50%. La ventriculographie gauche montre une hypokinésie modérée apicale et une normocinésie postéro-basale, diaphragmatique, antéro-latérale et antéro-basale. Les autres segments du ventricule gauche se contractent normalement. La fraction d'éjection du ventricule gauche a été calculée à 70% (en OAD).Coronarographie le 7.02.2018: Le tronc commun est de longueur et de taille normale, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure est de taille normale, discrètement irrégulière. L'artère interventriculaire antérieure proximale est le siège d'une lésion non significative inférieure à 30% du site d'implantation du stent actif : Taxus 3x16. L'artère circonflexe est une artère coronaire de taille normale et discrètement irrégulière. L'ostium de la première marginale est le siège d'une lésion non significative inférieure à 50% de type B1. L'artère coronaire droite est de taille normale, discrètement irrégulière et dominante. L'artère coronaire droite moyenne présente une sténose significative (50-70%). L'artère coronaire droite distale présente une sténose très serrée (70-90%). Cette lésion s'étend jusqu'à l'artère coronaire droite distale. La fonction systolique du ventricule gauche est normale. La fraction d'éjection du ventricule gauche a été calculée à 79% (en OAD). Coronarographie le 8.02.2019: Le tronc commun est normal, sans sténose. La première diagonale présente une lésion sévère à 70-90%. L'ostium de la première marginale est indemne de resténose intrastent actif au niveau du site d'implantation du stent actif. L'ostium de la seconde marginale présente une lésion intermédiaire <50%. L'artère coronaire droite moyenne est indemne de resténose intrastent actif au niveau du site d'implantation du stent actif. Lit d'aval normal, non infiltré. Flux TIMI 3. La ventriculographie gauche a été réalisée. La fraction d'éjection du ventricule gauche est estimée à 65% (en OAD). Coronarographie mi-décembre pour l'IVA non souhaitée par la patiente. Aspirine à vie, Plavix pour 6 mois. Coronarographie prévue en ambulatoire le 31.01.2019, déplacée au 07.02.2019 à 7h à jeûn (à réévaluer). Atorvastatine le 25.01.2019. Coronarographie 20.11.2018 : sténoses significatives de l'artère interventriculaire antérieure proximale, moyenne et distale FFR 0.76: PTCA/DES x 4. Aspirine cardio 100 mg 1x/jour à vie; Plavix 75 mg 1x/jour pendant 1 mois, Reprise du sintrom dès le 21.11.2018. Surveillance S.C. de cardiologie du 20.11 au 21.11.2018. Coronaropathie, avec : • Échocardiographie (ETT) du 26.09.2018 : FE normale (70%), sans trouble de la cinétique segmentaire. • Coronarographie dans le cadre d'un angor instable le 15.10.2018 : occlusion sub-totale med. RCX: PTCA / + xDES / post-dilatation avec ballonnet NC de 3,0 mm, FEVG 65%. • Désensibilisation à l'aspirine le 15.10.2018 (allergie avec œdème de Quincke). • Sous Brilique, Aspirine, Meto Zerok. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie traitée. Hernie diaphragmatique sous IPP. Déficit en vitamines D (41 nmol/l le 05.12.2018). Coronaropathie monotronculaire avec dominance gauche : • sténose de la circonflexe proximale/moyenne : primary stenting DES x2 le 23.01.2018. • FEVG 50%. • Bloc de branche droit et hémibloc antérieur gauche connu depuis 2016. Anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale de 54 mm de diamètre avec : • Sténose iliaque commune gauche. Facteurs de risque cardiovasculaires : • Diabète de type 2 non insulino-requérant. • Tabagisme actif (>100 UPA). Insuffisance veineuse chronique du membre inférieur droit et récidive des varices paratronculaires (C5, EP, AS, PR) : • Thrombose externe de la grande saphène droite en 2012. • Phlébectomie du membre inférieur droit en 2004. • Cure de varice par radiofréquence (partie proximale de la GVS) avec phlébectomie droite le 10.02.2014. • Lipo-lymphoedème épifascial du membre inférieur droit après thrombose veineuse profonde et opération du tendon d'Achille en 1990. Séquelles de maladie de Scheuermann dans l'adolescence : • Troubles dégénératifs multiples du rachis. • C4-C7 avec uncodiscarthrose et arthrose facettaire en C3-C4. • Discrète discopathie multi-étagée à l'étage dorsal. • Arthrose postérieure L4-5, L5-S1. • Lombalgies et cervicobrachialgies droites chroniques non compliquées dans le contexte de troubles dégénératifs modérés. • Gonarthrose débutante des deux côtés le 09.11.2016. Lichen scléreux du prépuce le 16.11.2015. Coronaropathie monotronculaire stentée, fonction cardiaque FEVG 45%. Coronaropathie x-tronculaire. • multiples stents à la clinique St. Anne (Lucerne). SAOS appareillé. Reflux gastro-oesophagien sous Nexium. OH à risque. Corps étranger. Corps étranger à l'œil droit. Corps étranger (aiguille de machine à coudre) P3 D2 main gauche, traversant la pulpe en passant par l'ongle. Corps étranger au niveau de la cornée droite. Corps étranger cornéen. Oxybuprocaïne 1 gtte. Échec de l'ablation du corps étranger. Pansement occlusif vitamine A. Consultation en ophtalmologie demain. Corps étranger cutané. Corps étranger dans la bouche. Corps étranger dans la narine droite. Corps étranger dans l'œil droit non objectivé. Corps étranger dans l'œil gauche. Corps étranger dans l'œil gauche avec probable lésion cornéenne. Corps étranger dans l'œil gauche le 11.02.2019. Corps étranger. DD : voies aériennes, voies digestives. Corps étranger de l'œil gauche avec érosion de la cornée. Corps étranger de l'œil gauche non visualisé avec une légère amélioration clinique suite au rinçage abondant. Nous constatons une prise de contraste avec le test à la fluorescéine motivant un avis et contrôle ophtalmologique. Corps étranger éminence hypothénar main droite. Corps étranger lobule oreille gauche. Corps étranger métallique cornéen œil gauche. Corps étranger métallique inguinal gauche d'environ 8 mm le 02.04.2016. Fracture phalange distale du 3ème doigt de la main gauche le 18.01.2017. Hématome sous-unguéal majeur et annulaire main droite le 21.11.2017. Corps étranger obstruant dans la narine droite. Corps étranger oculaire. Corps étranger oculaire. Corps étranger oculaire.Corps étranger oculaire. Corps étranger oeil gauche. Corps étranger pied gauche face plantaire, au niveau de la tête des métatarses I/II. Corps étranger pouce. Corps étranger punctiforme 0.2 x 0.2 mm circulaire au niveau de la conjonctive droite le 23.06.2015. Entorse du ligament latéral externe de stade 2 à droite le 18.07.2018. Sinusite maxillaire avec oedème et rougeur réactionnels en regard le 14.02.2019. Corps étranger P3 D2 main gauche, le 14.02.2019. Corps étranger superficiel dans pulpe du pouce droit. Corps étrangers métalliques D2 main droite, phalange intermédiaire. Corps jaune hémorragique à droite avec lame de liquide libre para-ovarien et lame de liquide dans le Douglas. Correction. Correction après sondage vésical. Correction avec le col. Correction cible : 0.3 mmol/l à l'heure. Gazométrie : légère hypoxémie sans rétention de CO2, pH dans la norme. Stix/Sédiment : glucose et corps cétoniques positifs. Spot urinaire : osmolalité à 355 mosm/kg, Na à 64 mmol/L. IRM cérébrale injectée le 13.02.2019 : absence de lésion focale suspecte. CT cervico-thoraco-abdominale 14.02.2019 : présence d'une prise de contraste focale, en avant de la vallécule épiglottique droite, suspecte au vu du contexte oncologique, pas de suspicion de processus néoplasique. Suivi biologique rapproché avec correction lente. Suivi natrémie en ambulatoire avec restriction hydrique à domicile (natrémie de sortie à 127 mmol/L). Correction de la glycémie. Correction glycémie (schéma d'insuline en R). Suivi par laboratoire. Correction prudente par restriction hydrique + apport de bouillon. Correction volémique. Corrections par Insuline Humalog. Corticostéroïdes si arguments contre foie de stase. Introduire traitement de l'insuffisance cardiaque dès pose de la SNG. Bilan ORL avec pose de SNG. Coronarographie dès que stable. ETT à distance. Anticoagulation thérapeutique dès correction de la crase. Corticothérapie par Dexaméthasone du 18.01-02.02.2019. Physiothérapie. Corticothérapie par dexaméthasone 16 mg du 26-27.01.2019 puis schéma dégressif à partir du 28.01.2019. Prise en charge palliative complexe dès le 04.02.2019. Décision d'arrêter immunothérapie le 13.02.2019 sur progression oncologique. Cortisol matinal élevé à 827 nmol/l, Aldostérone à 104 ng/l et Renin à 29 ng/l dans la norme le 13.02.2019. Aldostérone urinaire abaissé <1.6 mcg/24h le 27.01.2019. Costochondrite au niveau des côtes 6 et 7 droites. Coude droit : status post bursectomie partielle et débridement le 31.12.2018 sur boursite septique sur status post cure d'hygrome le 12.12.2018. Coude G : fracture de la tête radiale classification Regan et Morrey type I le 06.11.2018. Cheville G : entorse stade II. Coude G : syndrome du tunnel cubital. Coude gauche : fracture bois de vert ulna-proximale avec subluxation tête radiale type Bado 3. Status post réduction fermée et ostéosynthèse par clou Prévot. Coup de lapin dans le cadre d'un AVP le 16.02.2019. Coupé frein de langue (il y a 5 jours). Pleure DD Troubles de régulation, Infection néonatale. Courrier détaillé des angiologues suivra. Nous laissons le soin au médecin traitant de pister les résultats de la coloscopie et de réaliser le cas échéant un scanner thoracique à la recherche d'une néoplasie si celle-ci est négative. Court-séjour organisé pour le 11.02.19 au Home de Jeuss. Couteau dans l'œil gauche. Coxa antetorta ddc. Pied plat bilatéral flexible. Coxa saltans bilatérale. Coxalgie. Coxalgie D sur faux-mouvement le 16.07.2018. Coxalgies droites dans le cadre d'une possible polyarthrite rhumatoïde. Coxalgies droites sur : • status post-ostéosynthèse des deux hanches il y a 4 ans pour épiphysiolyse. • Status post-herniectomie L4-L5 D le 16.11.2018 pour une hernie discale L4-L5 luxée vers le bas, conflictuelle avec la racine L5 D et hyperalgique, sans douleur actuellement. Coxarthrose avancée à droite et débutante à gauche. Coxarthrose avancée des deux côtés, à prédominance droite. Coxarthrose bilatérale avec conflit fémoro-acétabulaire en pincer ddc. Rachitisme hypophosphatémique congénital avec status post multiples épisodes de fractures pathologiques des fémurs proximaux et status post fracture pathologique du 2ème métatarsien gauche. Coxarthrose bilatérale avec nécrose de la tête. Status post cardiopathie ischémique avec insuffisance aortique (coronarographie le 14.06.2018). Status post transplantation rénale G le 01.10.2006 avec immunosuppression active avec 6Ya, mmf, Prednison. Canal lombaire étroit L4-L5. Coxarthrose bilatérale débutante avec une configuration de CAM Impingement G plus qu'à D. Double infarctus en juin et juillet 2018 pour lesquels le patient a bénéficié de stents cardiaques et est actuellement sous Aspirine Cardio, suivi par le Prof. X et le Dr. X. Coxarthrose bilatérale modérée, prédominante à droite. Status post accident de moto en 1993 avec triple fracture du bassin, atteinte du nerf sciatique et pied tombant résiduel. Coxarthrose bilatérale plus symptomatique à droite. Lombosciatalgies chroniques bilatérales à prédominance droite. Coxarthrose bilatérale, plus symptomatique et plus avancée à gauche. Coxarthrose bilatérale, prédominante à gauche avec formation kystique. Lombosciatalgies D non déficitaires sur hernie discale L4-L5 foraminale D. Coxarthrose bilatérale sur impingement en pincer, prédominant à gauche avec coxa profunda. Coxarthrose bilatérale symptomatique à D. Status post implantation de PTG G le 28.02.2018. Lombosciatalgies chroniques sur spondylarthrose multi-étagée avec scoliose lombaire dextro convexe. Coxarthrose bilatérale. Chondrocalcinose genou droit. Coxarthrose centrale G avec composantes Pincer et cam (symptomatique depuis novembre 2018). Syndrome sacro-iliaque G. Coxarthrose D. Coxarthrose D invalidante. Coxarthrose D invalidante. • pose de PTH droite élective le 30.01.2019 (Dr. X). Coxarthrose D sur impingement type cam. Status post cure d'épiphysiolyse hanche D dans l'enfance. Status post mise en place d'une prothèse totale de la hanche gauche le 01.09.2010 sur status post cure d'épiphysiolyse dans l'enfance. Coxarthrose débutante bilatérale. Ostéochondrose L5/S1 avec rétrolisthésis de grade I. Coxarthrose destructrice avec probable ostéonécrose de la tête fémorale droite. Coxarthrose D. Lombo-sciatalgies droites chroniques sur spondylarthrose multi-étagée et rétrécissement neuro-foraminal L1-L2, L2-L3 à droite ainsi que L4-L5 bilatérale à prédominance gauche. Status post infiltration neuro-foraminale L1-L2, L2-L3 à droite. Coxarthrose droite. Coxarthrose droite. Coxarthrose droite avec status post PTH droite (OP le 13.07.2016). Insuffisance rénale chronique Grade MRC 3. • Clearance Créatinine selon Cockroft-Gault à 47 ml/min, selon CKD EPI 69 ml/min (25.07.2016). Anémie hyporégénérative normocytaire normochrome postopératoire. Hémorroïdes de stade 2. Diverticulose sigmoïdienne importante, sigmoïde spastique. Hémorroïdes de stade 2 Diverticulose sigmoïdienne importante, sigmoïde spastique. Coxarthrose droite peu symptomatique. Coxarthrose G. Coxarthrose G • Implantation PTH G (cupule Fitmore 58, noyau Durasul 58/36, tige MS 30/10, centralizer 10/12, bouchon Weber 3.5, tête Protasul 20/36, col L, Palacos R+G). • Ostéophytectomie le long du bord antérieur, postéro-inférieure, fond du cotyle. • Bursectomie. • (OP le 08.08.2013) Anémie postopératoire à 117 g/l le 09.08.2013, 101 g/l le 14.08.2013 Suivi clinique Hypokaliémie modérée à 3,7 mmol/l Suivi laboratoire Manque de fer modéré suivi clinique, bilan substitution Carence en vit. D, modérée Substitution orale. Coxarthrose G Arthrose C5-C7 Pouce à ressaut G et D Hypertension artérielle Cardiopathie ischémique avec : • Angioplastie et stenting de l'ACD en 2013 (Dr. X, HFR) • FEVG normale (50 %) à l'ETT du 14.02.2018 • Insuffisance aortique modérée (grade 2/4) avec maladie annulo-ectasiante. • Dysfonction diastolique minime (grade I). Insuffisance rénale chronique stade II avec : • double système pyélo-caliciel à D avec un système supérieur fin, bassinet ampullaire du système inférieur avec sténose probablement frustre à la jonction (2015) Granulomes millimétriques du poumon sur probable primo-infection tuberculeuse à D Surdité mixte bilatérale avec acouphène chronique à G SAOS non appareillé. Coxarthrose gauche. Coxarthrose gauche. Coxarthrose gauche avancée sur conflit fémoro-acétabulaire type CAM. Coxarthrose gauche symptomatique Coxarthrose droite asymptomatique Gonarthrose tricompartimentale genou droit prédominante au compartiment interne asymptomatique. Coxarthrose gauche symptomatique. Fibrome utérin. Hernie hiatale. Coxarthrose G Fracture ouverte de la phalange distale avec plaie profonde sur la face palmaire de P1 D3 de la main D le 15.11.2017. Coxarthrose G Fracture ouverte de la phalange distale avec plaie profonde sur la face palmaire de P1 D3 de la main D le 15.11.2017. Coxarthrose G. Lombosciatalgies chroniques G sur : • spondylarthrose multi-étagée de la colonne lombaire. Gonalgies G sur chondropathie stade II à III sur status post ménisectomie partielle bilatérale. Ulcère pré-tibial de la peau à G. Coxarthrose invalidante à D Coxarthrose invalidante à droite Coxarthrose invalidante D. Coxarthrose invalidante G. Coxarthrose secondaire sur dysplasie résiduelle à gauche. Status post ostéotomie du bassin selon Salter hanche G en 1967, suspicion de status post ostéotomie de rotation du fémur G. Status post ostéotomie du fémur D en 1973 et 1982. Status post PTH D le 28.08.2012 sur importante dysplasie résiduelle. Status post PTH G par voie latérale le 31.01.2018. Coxarthrose sévère D sur dysplasie post OST de Schanz avec arthrite septique hanche D dans l'enfance • Arthrographie et ténotomie des adducteurs sur séquelles d'arthrite septique de la hanche D le 10.06.1999. • Exploration articulaire et OST d'hypervalgisation le 01.07.1999. • Allongement du fémur D par callotasis via fixateur externe le 22.05.2008. Coxarthrose sévère G. Coxarthrose sévère hanche droite Dermite ocre des membres inférieurs Discopathie avec petite hernie médiane L5/S1. Coxarthrose symptomatique à droite. Status post implantation PTH G sur coxarthrose symptomatique en 2013 à Tavel. Coxarthrose symptomatique à gauche. Hernie discale L5-S1. Psychose maniaco-dépressive contrôlée par Risperdal et Lithiofor. Coxarthrose symptomatique bilatérale à prédominance D • Configuration anatomique sur impingement type CAM des hanches. Coxarthrose symptomatique D. Coxarthrose symptomatique D. Syndrome de la sacro-iliaque dans le cadre d'une scoliose. Coxarthrose varisante droite. CPAP avec FiO2 30 % du 14.02 au 14.02 Pose de SNG Pose de VVP avec perfusion de G10 % Gazométrie Radiographie du thorax FSC, CRP, gazométrie Hémoculture stérile Antibiothérapie par Amoxicilline 150 mg/kg/j et Gentamycine 4 mg/kg/j jusqu'au 15.02. CPAP 50 minutes à la naissance High flow du 16.02.2019 au 18.02.2019 Bilan inflammatoire avec CRP passant de <5 à 84 mg/l Hémoculture avec présence d'entérocoque faecalis et un d'un staphylocoque epidermidis Traitement par Gentamicine du 17.02.2019 au 20.02.2019 et amoxicilline iv du 17.02.2019 - 24.02.2019. Crachats hémoptoïques. Crachats hémoptoïques d'origine indéterminée le 10.02.2019. Crampes abdominales d'origine indéterminée. DD gastroentérite virale le 25.07.2018. Craniectomie droite sur gliome cérébral avec épilepsie secondaire traitée par Tégrétol en 1991. Crâniectomie occipitale et laminectomie C1 le 22.02.2019. Crâniectomie occipitale et laminectomie C1 le 22.02.2019 Anticoagulation prophylactique Enoxaparine 20 mg SC à partir du 23.02.2019. Craniectomie sur méningiome cérébral opéré en 1991. Craniotomie para-sagittale bilatérale et résection du méningiome para-sagittal central le 25.01.2019 Histologie (Promed P2019.1098) : Tumeur méningée atypique. Craniotomie pour infection à Salmonella dans la petite enfance. Extraction chirurgicale des 4 dents de sagesse le 24.11.2011. Embolie pulmonaire lobaire inférieure droite le 21.09.2013, anticoagulée 3 mois par Xarelto. Acute chest syndrome le 22.05.2018 sur crise vaso-occlusive le 13.05.2018 avec : • hépatite aiguë (DD passage de calcul biliaire, médicamenteux sur ceftriaxone) avec choléstase chronique et cholecystolithiase asymptomatique. Cholécystectomie par laparoscopie le 24.08.2018 Lithiase vésiculaire sur drépanocytose homozygote. Crise vaso-occlusive le 30.08.2018 avec : • douleurs thoraciques et lombaires. Ulcères de la malléole externe à droite sur drépanocytose et médicamenteuse (Litalir). • Suivi en dermatologie à l'Inselspital. • Suivi organisé en ambulatoire à la consultation de stomatologie de l'HFR. Craniotomie temporale gauche, exérèse cavernome temporale gauche (OP le 25.08.2017). • Pathologie Promed : probable malformation artério-veineuse. • Épilepsie inaugurale. Craquement au niveau des articulations (hanche, poignet et coude). Crase perturbée avec INR > 5.5 le 28.02.2019. Crase Avis gastro-entérologique (Dr. X) : indication pour exsuflation Avis chirurgical (Dr. X) : chirurgie refusée par la famille (2 filles) Attitude : • Transfert en salle d'endoscopie Crème antifongique personnelle. Crème corticoïde, contrôle chez une dermatologue dans 1 semaine. Crème Hirudoid. • Crème Purelan locale pour des crevasses maternelles probables • Contrôle chez le pédiatre si du sang est présent de nouveau dans le pampers pour analyse locale • Signes de gravité expliqués en détails : EF , quantité de sang importante dans les selles ou dans le pampers, saignement systématique ou altération de l'état général ou signes digestifs. Crème Vitamine A Pansement protecteur Envoi pour consultation ophtalmologie HFR-Fribourg. Créon 25'000 1x/jour. CRIF par clou prévôt radio-cubital G, le 03.12.2018 sur fracture radio-cubitale tier distale diaphysaire. Crise clastique. Crises clastiques. Crise convulsive. Crise convulsive. Crise convulsive. Crise convulsive fébrile simple. Crise convulsive fébrile simple probable. Crise convulsive généralisée tonique le 10.02.2019. Crise convulsive tonico-clonique généralisée le 20.03.2016. Crises d'épilepsie généralisées en mai 2015. Plusieurs hospitalisations au RFSM pour des troubles schizo-affectifs. Suspicion de crise d'épilepsie tonico-clonique le 10.11.2012. État confusionnel dans le contexte de troubles schizo-affectifs le 23.03.2017. • sur modification du traitement. Crise convulsive tonico-clonique inaugurale le 28.11.2017 sur hypokaliémie. Hypokaliémie à 2,6 mmol/L le 28.11.2017 probablement sur laxatifs.Colonoscopie de contrôle pour une maladie diverticulaire. • status post résection iléo-caecale en 2003. • hypoglycémie post colonoscopie en 2003. • épilepsie sur hypokaliémie (probablement sur prise de laxatif) avant une colonoscopie le 28.11.2017. Annexectomie et retrait de la matrice pour ménorragie il y a 20 ans. Ablation kyste mammaire bénin en août 2018. Status post diverticulite opérée. Crise d'angoisse le 02.08.18. Interruption volontaire de grossesse à 8 3/7 SA chez Mme. Y de 20 ans, 1G0P, Rhésus positif le 22.06.2016. Crise d'angoisse après la consommation de THC le 05.12.2016. Probable personnalité Borderline • Conflit familial avec fugue. Agitation psychomotrice d'origine indéterminée. Crise d'angoisse avec hyperventilation et idées noires dans un contexte d'abus d'OH. Crise d'angoisse avec hyperventilation et fourmillements périphériques le 15.02.2019. • notion de frissons et sensation de froid. • notion de céphalée frontale transitoire. Crise d'angoisse avec hyperventilation le 13.12.2012. PTH droite en 1998. Appendicectomie à l'âge de 8 ans. Lipothymie vaso-vagale et orthostatique le 14.07.2015. Insuffisance rénale chronique acutisée (clearance 42 ml/min selon Cockroft, MDRD à 50 ml/min/1.73m2) le 14.07.2015. Hyperkaliémie à 5.5 mmol/l le 14.07.2015 sur: • insuffisance rénale acutisée • d'origine médicamenteuse (Xenalon). Malnutrition protéino-énergétique légère sur inappétence. Fracture du col fémoral gauche Garden IV gauche le 24.12.2018 avec: • Pose de prothèse céphalique hanche gauche le 27.12.2018 (Dr. X) • Xarelto 10 mg 4 semaines Fracture de la styloïde radiale gauche le 24.12.2018. Traumatisme crânien avec amnésie circonstancielle sans perte de connaissance chez Mme. Y sous aspirine le 24.12.2019. CT cérébral le 24.12.2018 : Absence de saignement intracrânien. Pas de fracture. ECA hyperactif d'origine mixte le 31.12.18 Crise d'angoisse avec scarifications le 11.02.2019 • idéations suicidaires scénarisées. Crise d'angoisse dans le contexte de la TSV. Crise d'angoisse dans un contexte d'état anxieux le 15.02.2019. Crise d'angoisse dans un probable trouble mixte de la personnalité et autre trouble de la personnalité. • Borderline. • Anxieux. Crise d'angoisse, idéation suicidaire, mutisme. Crise d'angoisse le 07.02.2019. Crise d'angoisse le 11.02.2019. Crise d'angoisse le 22.02.2019 chez un Mr. Y avec suspicion de personnalité anxieuse. Crise d'angoisse le 23.04.2010. Crise d'angoisse le 29.11.2018. Ulcère peptique ancien, sous Ranitidine. Cure de hernie inguinale bilatérale selon Lichtenstein, avec filets ProGrip (Dr. X) le 08.11.2016. Myotomie du muscle crico-pharyngé au laser CO2 (Dr. X) pour dysphagie sur hypertrophie du muscle crico-pharyngé le 21.10.2016. Opération pour cataracte et glaucome en mars et mai 2014. Polyneuropathie d'origine indéterminée en 2013. Contusion thoracique et de la fesse droite en 2005 (accident de vélo). Résection transurétrale de la prostate en 2000 pour hyperplasie bénigne. Prothèse totale de la hanche droite, opérée à 3 reprises, la dernière fois en 1997. Prothèse totale de la hanche gauche en 1997. Hématome sus-dural chronique, acutisé en post-opératoire de prothèse totale de hanche gauche (sous Sintrom) drainé en 1997. Crise d'angoisse réactionnelle. Crise dans le cadre d'un trouble du comportement. Crise d'anxiété. Crise d'asthme aiguë sévère avec: • Peak Flow avant aérosol: 170 ml/min (43 % du prédit) • gradient alvéolo-artériel 7 kPa • score de Genève: 2 (hémoptysies) Crise d'asthme, autrement en bonne santé habituelle. Crise d'asthme d'origine allergique modérée. Crise d'asthme en juin 2016. Opération cataracte œil gauche en 2014. Décompensation BPCO dans un contexte de grippe à Influenza de type A le 02.01.2017 avec : VNI du 02 au 03.01.2017 / Intubation et ventilation mécanique du 03 au 09.01.2017. Dénutrition protéino-énergétique et déconditionnement global. Troubles de la déglutition post-extubation. Tachycardie supraventriculaire non soutenue le 07.01.2017 : Substitution Magnésium et Potassium. Suspicion d'un état anxieux à type de trouble panique le 06.03.2017. Vertiges sur hypotension orthostatique • dans un contexte d'état anxieux Examen clinique Test de Schellong: négatif. Laboratoire Suivi chez le MT. Crise d'asthme le 17.02.2019. Crise d'asthme légère. Crise d'asthme légère le 26.05.2016. Crise d'asthme légère sur syndrome grippal. Crise d'asthme péri-infectieuse légère DD: pneumonie atypique (mais réponse au Ventolin). Crise d'asthme péri-infectieuse probable légère. Crise d'asthme sévère en décembre 2014. Ulcère gastrique en 2012. Otite moyenne aiguë gauche perforée le 01.02.2015. Gastro-entérite d'origine alimentaire (toxine) le plus probable le 11.04.2015. Lésion kystique pharyngée droite. DD : papillomatose. Ligature des trompes. Crise d'asthme sévère le 21.07.2013. Crise de bronchite asthmatiforme sur état infectieux viral. Crise de goutte. Crise de goutte au niveau du poignet droit le 04.02.2019. Crise de goutte de l'articulation métacarpo-phalangienne 1 à droite le 25.06.2013. Accident vasculaire cérébral ischémique sylvien gauche thrombolysé le 17.06.2013 : • hémisyndrome brachio-crural droit avec récupération quasi-totale post-lyse • aphasie globale avec récupération complète post-lyse • hémianopsie avec récupération totale post-lyse. Hémothorax droit sur fractures des côtes 5 à 8 à droite en août 2011 avec pose d'un drain thoracique. Iléus d'origine paralytique en septembre 2011. Globe vésical sur probable hyperplasie de la prostate et infection urinaire basse à E. coli en septembre 2011. Cholestase d'origine indéterminée en septembre 2011. Otites à répétition (dernier épisode en 2011). Cure d'hémorroïdes en 2003. Oedème pulmonaire aigu sur pic hypertensif 2018. Fracture de l'arc postérieur de la 5ème côte droite sur chute de sa hauteur le 14.11.2018. Crise de goutte inaugurale de l'articulation MTP du 1er orteil droit le 16.01.2019 avec : • acide urique à 490 micromol/l. Crise de goutte inaugurale du gros orteil pied G le 05.02.2019.CRP à 249 mg/l, sans leucocytose, T à 38°C Crise de goutte le 12.02.2019 • douleurs et enflément à la cheville gauche Crise de goutte non datée. Zona ophtalmique droite le 17.11.2012. Insuffisance artérielle aiguë du membre supérieur droit d'origine probablement embolique avec revascularisation du membre supérieur droit le 17.11.16. Crise de goutte, probable 3ème épisode le 28.02.2019. Crise de goutte tophacée • Monoarthrite IPP O3 G depuis 14 jours, rougeur, chaleur et douleur à la mobilisation et à la mise en charge. • Labo du 12.02.2019: CRP à 74 mg/l, Leuco à 13.3 G/l, urémie dans la norme • Persistance de la clinique inflammatoire, malgré traitement par Co-amoxicilline, Colchicine et Prednisone • Rx du pied du 12.02.2019: Tuméfaction des parties molles dans la région des interphalangiennes 3, sans évidence d'atteinte osseuse. • Ponction articulaire en rhumatologie le 22.02.2019: --- aspiration de liquide crayeux --- amas de cristaux d'acide urique à l'examen direct Crise de gouttes hallux bilatéral Crise de migraine récidivante. Crise de panique. Crise de panique le 12.02.2019. Crise de tachycardie chez une patiente Wolff-Parkinson-White connue. Crise d'épilepsie Crise d'épilepsie Crise d'épilepsie Crise d'épilepsie. Crise d'épilepsie. Crise d'épilepsie. Crise d'épilepsie. Crise d'épilepsie. crise d'épilepsie crise d'épilepsie Crise d'épilepsie de type absence le 17.01.2019 DD troubles électrolytiques, contexte infectieux, avec: • s/p probable crise d'épilepsie sur sevrage de benzodiazépines en 11/2018 • CT cérébral le 17.01.2019: pas de signes d'AVC, pas de masse Crise d'épilepsie d'origine indéterminée (EEG et IRM normale) en 2007 Fracture du plateau du corps vertébral de L1 (IRM du 02.04.2014) AVC sylvien gauche (lésion récente frontale G et subaiguë gyrus post-central G) thrombolysé le 13.06.2017 : • d'origine cardio-embolique sur fibrillation auriculaire (FA) paroxystique non anticoagulée Crise d'épilepsie en Espagne en 2011 Malaise d'origine indéterminée le 08.03.2018 -DD: crise d'épilepsie, syndrome de conversion Crise d'épilepsie en Espagne en 2011 Malaise d'origine indéterminée le 08.03.2018 -DD: crise d'épilepsie, syndrome de conversion Pyélonéphrite droite le 22.02.2019 Crise d'épilepsie focale avec mouvements cloniques de l'hémicorps gauche et aggravation de l'hémisyndrome moteur gauche connu sur œdèmes lésionnels le 23.01 et 27.01.2019. • Étiologie : radionécrose au niveau de la métastase frontale droite avec un œdème péri-lésionnel sans effet de masse sur la ligne médiane (DD : récidive tumorale) • Dexaméthasone avec diminution progressive et re-majoration en cas de résurgence de céphalées, crise d'épilepsie ou autre signe neurologique Crise d'épilepsie généralisée le 14.02.2019 • DD hypoglycémie, intoxication au Pipéracilline-Tazobactam Crise d'épilepsie le 25.02.2019. • chez un patient connu pour une épilepsie d'origine indéterminée sous Keppra 1.5 g/jour. Crise d'épilepsie partielle avec des mouvements tonico-cloniques du membre inférieur gauche et du membre supérieur gauche le 06.02.2019: • dans un contexte d'hémorragie intraparenchymateuse pariétale droite le 21.08.2018 d'origine indéterminée. Crise d'épilepsie partielle complexe à départ frontal gauche le 04.10.2016 avec : • lésion frontal gauche connue (IRM cérébrale 2005 : dysgénésie fronto-temporale gauche) Asthme d'effort. Mastopathie micro- et macro-kystique bilatérale sévère (sans lésions suspectes de malignité à l'US de juin 2015). Multiples naevi pigmentaires cutanés. Anémie hypochrome microcytaire ferriprive sur hyperménorrhée (nécessitant plusieurs transfusions chez médecin traitant). Retard mental, sans précision (d'origine malformative). Crise d'épilepsie partielle complexe secondairement généralisée dans le contexte ischémique aigu le 11.02.2019 • Troubles phasiques et dysarthrie, absence, raideur, convulsions avec morsure de langue et perte d'urines Crise d'épilepsie partielle secondairement généralisée dans le contexte ischémique aigu le 11.02.2019 Crise d'épilepsie partielle simple (DD : complexe) avec phénomène de Todd secondaire le 21.02.2019 : • 2ème épisode (épisode similaire en octobre 2018) • NIHSS à l'entrée à 13, NIHSS de contrôle à 4 DD : diminution posologie du traitement de Keppra, lésion kystique fronto-temporale Crise d'épilepsie (récidive) Crise d'épilepsie sur sevrage alcoolique le 16.10.2018. Crise d'épilepsie sur sevrage alcoolique le 18.02.2019 Crise d'épilepsie tonico-clonique généralisée le 21.02.2019 sans facteur déclenchant. Crise d'épilepsie tonico-clonique le 06.12.2018 • Examen neurologique le 07.12.2018: Pas de nouvelles séquelles neurologiques au niveau clinique Crise d'épilepsie (type absence) partielle complexe Crise d'hypertension aux urgences. Crise d'hyperventilation Crise d'hyperventilation. Crise d'hyperventilation avec contexte socio-familial difficile. Crise d'hyperventilation dans le contexte d'un stress émotionnel Crise d'hyperventilation sur anxiété le 04.09.18. Migraine le 01.09.18. Hémisyndrome droit sensitivo-moteur récidivant depuis le 26.08.18 d'origine actuellement indéterminée. Crise hémorroïdaire aiguë de stade III. Crise hémorroïdaire sur hémorroïdes de stade 4 non réductibles à 7h et 2h en position gynécologique chez une patiente enceinte de 27 semaines. Crise hypertensive Crise hypertensive. Crise hypertensive. Crise hypertensive. crise hypertensive Crise hypertensive à 170/110 mmHg symptomatique avec céphalées occipitales et vertiges. Crise hypertensive à 187/77 mmHg. Crise hypertensive à 200/80 mmHg. Crise hypertensive à 215/80 mmHg symptomatique avec gêne thoracique gauche irradiant dans le bras gauche. Crise hypertensive à 240 mmHg systolique réactive à la douleur. Crise hypertensive aux urgences avec: • pression systolique 190 mmHg. Crise hypertensive avec céphalées et vertiges le 11.02.2019. Crise hypertensive avec symptômes neurologiques de type paresthésies (hémisyndrome gauche sensitif)chez un patient ayant présenté des symptômes neurologiques comparables sur pic hypertensif en 2017. Crise hypertensive, avec vertiges associés, le 06.02.2019. Crise hypertensive d'origine indéterminée, le 15.02.2019 • DD: essentiel, émotionnel, autres. Crise hypertensive le 08.02.2019 avec: • TA: >250/140, Tachycardie sinusale 107/min • nausée, vomissement clair, pouls périphérique palpable, thermie conservée des quatre membres, pas de souffle thoracique ni abdominal/inguinal Crise hypertensive le 15.02.2019 récidivante d'origine indéterminée sans corrélation neurologique: • à 235/125 mmHg dans l'ambulance le 15.02.2019 selon le patient, • status post-crise hypertensive à 230 mmHg systolique le 06.02.2019 investigué à l'Hôpital Neuchâtelois, • acouphènes de type bourdonnement bilatéral, • notion de stress professionnel depuis environ 2-3 semaines sur conflit de travail avec un collègue. Crise hypertensive le 08.02.2019 avec • TA: >250/140, Tachycardie sinusale 107/min Crise hypertensive le 08.02.2019 avec • TA: >250/140, Tachycardie sinusale 107/min • Deponit 10 mg et Adalat 30 mg Crise hypertensive sans atteinte organe cible. Crise hypertensive supérieure à 185 mmHg de systole. Crise hypertensive symptomatique. Crise hypertensive symptomatique à 180/100 mmHg avec douleurs thoraciques dans le contexte infectieux • Amlodipine 5 mg en ordre unique au home • NSTEMI exclu. Crise hypertensive symptomatique en 2014 Hypertension artérielle Maladie de Parkinson, depuis 2012 Lombalgies chroniques opérées et traitée par infiltration cortisone Crise hypertensive symptomatique le 07.05.2018 : • augmentation de l'Irbesartan à 300 mg Hystérectomie et annexectomie unilatérale (droite) en 2010. Céphalée et troubles de l'équilibre indéterminés le 25.05.2018. Diagnostic différentiel : sur crise d'hypertension artérielle, céphalée autre. Crise migraineuse le 24 novembre 2013. Douleurs abdominales d'origine indéterminée, le 20.01.2015 (DD: constipation, colon irritable, gastro-entérite débutante) Perturbation des tests hépatiques, le 20.01.2015 avec stéatose hépatique et légère hépatomégalie d'origine médicamenteuse (Dépakine) Suspicion d'une tendinite épaule droite sur surcharge le 10.03.2017 Probable céphalées de tension Crise migraineuse sans déficit neurologique. Crise tonico-clonique. Crise tonico-clonique généralisée dans un contexte de non-observance de son traitement le 16.02.2019. Crise tonico-clonique généralisée dans un contexte d'épilepsie connue. Crise vaso-occlusive aiguë, le 04.02.2019 • dans le cadre de drépanocytose Crise vaso-occlusive aiguë, le 04.02.2019 • dans le cadre de drépanocytose (alpha-thalassémie, diagnostiquée en 2000) • antécédent de crise avec prise en charge hospitalière en 2012, 2010, 2008, 2004, 2000 Crises convulsives. Crises convulsives tonico-cloniques généralisées probablement sur séquelles d'AVC, le 11.02.2019. Crises d'angoisse à domicile évoluant depuis le 20.07.2018 avec : • arrêt brusque de consommation de Cannabis Crises d'angoisse à domicile évoluant depuis le 20.07.2018 avec : • arrêt brusque de consommation de Cannabis. DD : trouble panique (F41.0) ou trouble de l'adaptation (F43.2). Crises d'angoisse. Otite externe droite et bouchon de cérumen. Fracture du cuboïde à droite. Infection urinaire compliquée à germe indéterminé avec : • prostatite chez un patient connu pour un rétrécissement urétral opéré en 2014 • traitée par Nopil forte du 29.11 au 01.12.2018. Crises d'angoisses fréquentes. Crises de parésie ou de paralysie transitoire récidivantes d'origine indéterminée : • touchant les membres inférieurs et/ou supérieurs : myographie avec atteinte musculaire de faible importance au niveau de la musculature des jambes retrouvée lors de cette hospitalisation. • épisodes d'hypokaliémie associés. • épisodes de dysphagie (fausses routes) et de paresthésies associés : non retrouvés lors de cette hospitalisation. • myalgies, arthralgies, contractures musculaires associées. • provoquées anamnestiquement par corticostéroïdes, régime riche en protéines et en hydrates de carbone, hypo- et hyperthermie, stress, exercice physique intense : possiblement provoquées par glucose lors de cette hospitalisation. DD : paralysie périodique hypo- ou normokaliémique (maladie de Westphal) : investigations (tests d'effort de longue durée) contradictoires, tests génétiques négatifs (CHUV); trouble psychosomatique, trouble dissociatif. Suivi neurologique par Dr. X, a été investigué au CHUV par Dr. X. • Gazométrie lors d'une crise le 08.03.2016 : légère hypokaliémie et tentative d'amplification de la crise 08-09.03.2016 par administration de 20 mg de Prednisone et exercice physique (vélo), sans effet. • Neurographie 09.03.2016 (Dr. X) : dans les limites de la norme; effectuée alors que le patient est paucisymptomatique (fin de crise). • Provocation de crise 10.03.2016 par administration de 75 g de glucose. • ENMG 10.03.2016 (Dr. X) : atteinte musculaire subclinique au niveau des membres inférieurs, sans particularité au niveau des membres supérieurs; effectué alors que le patient est symptomatique. • Gazométries et prises de sang multiples lors de la crise du 10-11.03.2016 : hypokaliémie, minimes hypophosphatémie, hyponatrémie et hypomagnésémie, légère hypoxémie. Notion d'hypertension artérielle débutante, actuellement contrôlée sans traitement. Notion de dyslipidémie, non traitée actuellement. Surcharge pondérale. Déficit en pyruvate kinase. Crises respiratoires rapprochées dès le 19.12.2018 Critère d'Ottawa: aucun critère présent. Retour à domicile avec traitement antalgique. Protocole RICE avec instructions données. Bande élastique. Prescription de béquilles avec instructions à la marche données. Physiothérapie. Suite de prise en charge chez le médecin traitant avec contrôle à 7 jours. Signes de gravité devant amener à une nouvelle consultation aux urgences expliqués. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Croissance unguéale aberrante, bord médial de l'hallux G avec : • status post excision selon Kocher d'un ongle incarné le 03.07.2015 • status post excision de récidive et croissance unguéale aberrante le 22.08.2017 Crossectomie poplité, phlébectomie, ligature perforante saphène externe au niveau du membre inférieur droit le 18.02.2019 CRP à 202 mg/l avec leucocytose, déviation gauche de la formule Transfert aux urgences de l'HFR Riaz CRP à 328 mg/l sans leucocytose Transfert aux urgences de l'HFR Fribourg pour investigations et prise en charge CRP 132 mg/l Ciprofloxacine 500 mg 2x/j Pantozol 20 mg PO CRP 22, PCT 0.23 leuco 5.9, Hb 113, plac 615 Urines au sachet: sédiment sp CRPS de la branche dorsale du nerf ulnaire gauche avec allodynie mécanique (stade V de lésion axonale) suite à un traumatisme par écrasement de la main gauche le 19.12.2016. Vraisemblable syndrome épaule-main consécutif au CRPS de la main gauche. CRPS type 1 débutant. Status post cure de tunnel carpien le 20.12.2018. Status post contusion du poignet D le 19.01.2019. CRPS 1 de faible importance. Status post cure de pseudarthrose atrophique le 20.07.2018 sur : Retard de consolidation du tibia. Réduction ouverte et ostéosynthèse péroné distal par plaque tiers tube 2 vis libre au niveau du bloc articulaire et ostéosynthèse tibia distal par plaque 10 trous face interne jambe D le 25.11.2016 sur status post mise en place d'un fixateur externe jambe distale D le 19.11.2016 suite à une fracture tibia distal D type AO 43-C1 avec fracture Weber B malléole externe D le 19.11.2016.Cruralgies G non déficitaires le 02.11.2016. Cryptorchidie droite. CT : Pas de visualisation de trait de refend nouveau dans P1. CT Abdomen le 03.02.2019 : Distension de l'estomac ainsi que de manière pluri-focale d'anses grêles jusqu'à 33 mm de diamètre, contenant de multiples niveaux liquidiens, mais sans franc saut de calibre, parlant en faveur d'un sub-iléus paralytique. Fines lames de liquide libre péri-hépatique ainsi que dans le pelvis. Laboratoire : cf. annexes. CT abdomen le 03.02.2019. Pose de SNG du 03.02.2019 au 07.02.2019. Réalimentation, antalgie. OGD en ambulatoire. CT ABDOMEN NATIF ET INJECTE DU 22.02.2019 CHOP-Code : 88.01.10. INDICATION Douleur à 10/10 ce matin qui l'a réveillé, avec nausée, 4 épisodes de vomissement. Dernières selles la veille, sp. Palpation douloureuse en FIG avec défense. Leucocytes à 12.2, CRP < 5. Volvulus du sigmoïde ? DESCRIPTION Examen effectué avant puis après injection de 100 ml de Iomeron 400 bien tolérée par le patient. Opacification du colon par un lavement au produit de contraste iodé. Pas d'examen comparatif. Le foie est de taille et de morphologie normales sans lésion focale visible. Perméabilité préservée des veines portes et hépatiques. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extrahépatiques. Pas de calcul radio-opaque dans la vésicule biliaire. Les surrénales, la rate et le pancréas se présentent normalement. Les reins sont de taille et de morphologie normales et symétriques sans dilatation des systèmes excréteurs. Vessie à parois fines. Prostate de taille normale. Opacification normale du colon, sans épaississement de paroi. Pas d'argument pour un volvulus du sigmoïde. Pas de dilatation des anses grêles ou coliques. Toutefois, on note la présence anormale d'un cluster de boucles intestinales grêles se trouvant à cheval de la région périombilicale, du flanc et de l'hypochondre gauche avec présence d'un feces sign. L'angle de Treitz est en place. Il n'y a pas de clair whirpool sign du mésentère, cependant, la veine mésentérique inférieure semble se diriger vers ce cluster de boucles grêles jéjunales (au vu de la localisation) et on note la présence de plusieurs ganglions agrandis. En raison de l'absence d'opacification des anses grêles, une masse sous-jacente ne peut pas être exclue. Présence d'un peu de liquide libre dans le pelvis. Pas d'air libre intra-abdominal. Pas de masse ou d'adénopathie rétropéritonéale ou mésentérique. Structures vasculaires : perméabilité des réseaux vasculaires artériel et veineux sans sténose significative. Sur les quelques coupes passant par les bases pulmonaires, on ne note pas de lésion suspecte. Structures osseuses : sans particularité. CONCLUSION Cluster de boucles intestinales jéjunales avec feces sign se trouvant à cheval de la région périombilicale, du flanc et de l'hypochondre gauche faisant suspecte une hernie paraduodénale antérieure gauche avec sac herniaire à travers la fossa de Landzert. Un peu de liquide libre dans le pelvis. CT abdomen 27.01.2019 : épaississement circonférentiel d'allure tumorale dd lymphome des parois du caecum, de la valvule de Bauhin et du côlon ascendant avec iléus grêle mécanique modéré en amont. Liquide libre en faible quantité. Absence d'air libre. Adénopathies loco-régionales. Absence de lésion métastatique hépatique visualisée. CT thoracique 28.01.2019 : petit nodule du lobe supérieur gauche aspécifique (petit granulome ?). Pas d'autre nodule pulmonaire visible. Plaque athéromateuse en partie calcifiée, peu après le départ de l'artère sous-clavière gauche. Altérations dégénératives du rachis cervical bas, du rachis dorsal. CT abdomen 31.01.2019 : perforation du côlon avec extension de l'air dans le rétro-péritoine. Pour le reste, cf description du CT du 27.01.2019. Colonoscopie le 31.01.2019 : compliquée par une perforation sigmoïdienne. Cytologie : Promed C2019.154 : pas de cellules malignes dans le liquide péritonéal. Laboratoire : cf. annexes. Histologie : cf. annexes. CT abdomen. Surveillance. Arrêt de tout sport pour 4 semaines et des sports de contact pour 6 semaines. Nous vous proposons d'organiser un US abdominal dans 6 semaines pour suivre l'évolution de cette lésion hépatique. CT Abdominal. CT abdominal (CHUV) Antibiothérapie intraveineuse par Ceftriaxone et Metronidazole du 22.02.2019 au 25.02.2019 avec relais par voie orale par Ciproxin/Flagyl jusqu'au 06.03.2019. Appendicectomie laparoscopique le 22.02.2019. CT abdominal CHUV : Appendicite aigue. Labo CHUV : CRP 16, Reste aligné. Consilium chirurgical (Dr. X) : • Hospitalisation en chirurgie en attente intervention ce jour. • Patient consenté marqué. Attitude : • Pister labo. • Poursuite rocéphine 2 g IV + Flagyl 500 mg po (introduits au CHUV à 5 h du matin) jusqu'à l'intervention. • À jeun. • Perf NaCl 1000 sur 24 h à poursuivre. CT abdominal de contrôle le 20.02.2019 : lésions stables. CT abdominal du 05.02.2019. ERCP 10.02.19 : extraction de 2 concréments, papillotomie. Ceftriaxone du 05.02 au 16.02.2019. Metronidazole du 05.02 au 16.02.2019. Du-Ursil du 05.02 au _. CT abdominal du 15.02.2019 : Iléus grêle d'allure paralytique prédominant dans l'hémi-abdomen inférieur avec infiltration mésentérique et liquide libre sans franche origine inflammatoire visualisée à l'exception de quelques diverticules sigmoïdiens. Laboratoire : cf. annexes. CT abdominal du 20.12.2019. Antalgie. Attitude : • Le patient sera convoqué en radiologie (Dr. X) pour communiquer les résultats de la biopsie et organiser la suite de prise en charge. CT abdominal du 21.02.2019 : Iléus grêle mécanique avec saut de calibre dans le flanc droit, vraisemblablement sur bride. Distension des anses grêles atteignant 5,3 cm. Pas de signe de souffrance. Dilatation du canal de Wirsung, sans cause obstructive décelée. Un complément d'imagerie par IRM est recommandé. Ostéonécrose des têtes fémorales prédominant du côté gauche, où l'on met en évidence une perte de sphéricité de la tête fémorale. RT du 22.02.2019 : Status post mise en place d'une VVC sous-clavière gauche se terminant en projection de la veine cave supérieure. PAC en place en position inchangée. Status post mise en place d'une sonde nasogastrique en position correcte. Pas de pneumothorax ou de pneumo-médiastin. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardio-médiastinale inchangée. Pas d'image pathologique en projection des plages pulmonaires. CT abdominal du 3.10.2018 : Séquelles de chirurgie avec oesophagectomie sans récidive locale visible. Nouvelle apparition de liquide libre intra-abdominal en particulier au niveau péri-hépatique, mésentérique et dans le petit bassin sans implant visible devant faire suspecter en premier lieu une récidive tumorale. Une hernie interne ne peut pas être exclue. CT abdominal le 29.10.2018 : Comparé au 3 octobre 2018, majoration de l'ascite péri-hépatique et dans le petit bassin. Le reste de l'examen est inchangé. CT abdominal du 08.11.2018 : Hormis une stase liquidienne en amont de l'anastomose oesophago-jéjunale, l'examen est superposable au PET/CT du 29.10.2018. Doute quant à la présence d'un épaississement pariétal du jéjunum juste en amont de l'anastomose. On retrouve quelques anses jéjunales proximales discrètement dilatées en regard de l'hypochondre gauche, sans saut de calibre visible et d'aspect inchangé par rapport au comparatif. Pas de changement significatif de l'importante ascite intéressant les 4 quadrants. À noter qu'elle peut être aisément ponctionnée sous échographie.CT abdominal: foyer basal gauche dans les séquences pulmonaires. Radiographie du thorax. Stop Klacid, changement pour co-amoxicilline 1 g 3x/j pour un total de 7 jours. CT abdominal injecté avec lavement à la Gastrografin. Contrôle à votre consultation en début de semaine du 25.02.2019. Nous vous proposons d'organiser une colonoscopie dans 4-6 semaines. CT abdominal injecté le 21.02.2019 : le foie est de taille, de configuration et de densité normales. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Les reins sont de taille et de configuration normales, sans dilatation du système excréteur. Pas d'adénopathie, pas d'ascite. Pas de signe d'iléus grêle. Coprostase prédominant au niveau du sigmoïde et de l'ampoule rectale ainsi que diverticulose d'aspect calme de tout le cadre colique, y compris du côlon droit. Pas de lésion notable du rachis lombaire. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. CONCLUSION : diverticulose d'aspect calme de tout le cadre colique ainsi que coprostase prédominant au niveau du sigmoïde et de l'ampoule rectale, mais pas de signe d'iléus grêle ni de liquide libre intrapéritonéal (Dr. X). CT abdominal le 05.02.2019: foie agrandi dysmorphique d'aspect cirrhotique, athéromatose aortique marquée, athéromatose de l'artère mésentérique supérieure importante proche de l'occlusion, masse de 2.5 cm du rein gauche. US abdominal le 05.02.2019: structure ronde de 1,5 et 2,5 cm de diamètre au niveau cortical du rein G qui évoque soit une formation kystique surinfectée soit un probable abcès. Foie de configuration cirrhotique sans lésion focale. CT scan cérébral le 07.02.2019: pas de rehaussement suspect d'atteinte infectieuse. Atrophie cérébrale et leucoaraïose. Exophtalmie bilatérale de grade II, sans anomalie visible des muscles oculomoteurs. OGD le 08.02.2019: pas de varices oesophagiennes, polypes dans l'estomac. ETT le 07.02.2019: ETO le 08.02.2019: suspicion de végétation valvulaire aortique. CT cérébro-thoraco-abdominal et membres inférieurs le 10.02.2019: • Cerveau: après injection, en phase artérielle, pas d'anévrisme mycotique visualisé, sinus duraux et veines cérébrales internes perméables. • Thorax: atélectasie passive bilatérale prédominant à gauche en regard des épanchements. • Abdomen: calculs radio-opaques en position déclive dans la vésicule biliaire sans signe de cholécystite, probable iléus paralytique. • Membres inférieurs: athéromatose calcifiée bilatérale avec probables sténoses calcifiées significatives de l'artère fémorale superficielle droite. Arthrite septique et ostéomyélite du pied gauche à hauteur de l'interligne de Lisfranc avec collection abcédée plantaire. CT abdominal le 06.02.2019: rupture du pyélon du rein gauche avec liquide tout autour jusqu'au muscle psoas avec prise de contraste en périphérie, signe d'abcès et de surinfection, épaississement de la vessie. Rein droit sans particularité. Pas de lésion au niveau du pancréas. Suivi laboratoire. CT abdominal le 11.02.2019: calculs de 4 mm dans la vésicule biliaire sans argument pour une cholécystite. CT abdominal le 13.02.2019: pneumopéritoine post-opératoire. Pas de collection visible. Lame de liquide libre autour de la pointe du foie, à corréler également à la chirurgie récente. Oedème péri-portal. Discrète infiltration liquidienne du lit de cholécystectomie. Lame d'épanchement pleural des deux côtés avec troubles ventilatoires en regard. Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf. annexes CT abdominal le 11.02.2019. Appendicectomie laparoscopique le 12.02.2019. CT abdominal le 11.02.2019. CT abdominal le 13.02.2019. Cholecystectomie laparoscopique le 12.02.2019. CT abdominal le 12.02.2019. CT abdominal le 15.02.2019. Sonde naso-gastrique dès le 11.02.2019. Transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg pour suite de la prise en charge. CT abdominal le 12.02.2019. CT abdominal le 15.02.2019. Sonde naso-gastrique dès le 11.02.2019. Cathéter artériel radial gauche du 16.02 au 17.02.2019. Noradrénaline du 16.02 au 17.02.2019. Ceftriaxone dès le 16.02.2019. Metronidazole dès le 16.02.2019. Laparotomie exploratrice, adhésiolyse, résection segmentaire du grêle à 200 cm du Treitz (120 cm de la valve iléo-caecale), anastomose grêle latéro-latérale, PICO cutané le 16.02.2019. CT abdominal le 12.02.19. RTU-V 18.02.19 (Dr. X): drainage de l'hématome, biopsie de la lésion d'aspect tumorale. Pathologie: carcinome urothélial invasif de haut grade (G3) avec différenciation épidermoïde focale, et en partie nécrosé, infiltrant le tissu conjonctif sous-épithélial (pT1 G3). CT abdominal le 14.02.2019: pas d'obstruction intestinale. SNG de décharge du 14.02 au 15.02.2019 (retirée sur demande du patient). CT abdominal le 14.02.2019: suspicion d'abcès sur escarre sacré. Avis chirurgical (Dr. X) à suivre. CT abdominal le 14.02.2019: suspicion d'abcès sur escarre sacré. Avis chirurgical le 19.02.2019 : pas d'indication à drainage ou autre procédure chirurgicale actuellement, poursuite prise en charge en stomathérapie. AG non envisageable vu état respiratoire du patient. Poursuite soins et pansement par stomathérapeute. CT abdominal le 16.02.2019: pneumopéritoine sur probable perforation gastrique. Pas d'hémorragie active. Pas de pseudo-anévrisme. CT abdominal le 18.02.2019: iléus grêle obstructif sur invagination iléo-iléale contenant du mésentère et des possibles adénopathies, sans qu'une masse associée ne soit exclue. Signes d'inflammation des anses concernées mais sans souffrance. Pas de perforation intestinale ou gastrique. Par ailleurs, hépatomégalie avec stéatose hépatique. Laboratoire: cf. annexes. CT abdominal le 18.02.2019. Marqueurs tumoraux (Chromogranin A, NSE, b-HCG): négatifs. Laparotomie exploratrice, prélèvement cytologique, entérectomie segmentaire (70 cm) à 15 cm de la valve iléo-caecale avec anastomose latéro-latérale manuelle en urgence le 19.02.2019. Cytologie Promed P2019.2092: polype inflammatoire (6 cm de grand axe) largement ulcéré, en partie nécrosé. Pas de dysplasie épithéliale, ni de tissu néoplasique malin, notamment carcinomateux ou lymphomateux. CT abdominal le 19.01.2019. US système uro-génital le 06.02.19. Avis urologique : pas d'indication à une levée d'obstacle en urgence, discussion si chimiothérapie par la suite. Ceftriaxone du 19.01 au 20.01.2019. CT abdominal le 21.02.2019 : multiples collections intra-abdominales. Laparotomie exploratrice, adhésiolyse, lavage abdominal, résection segmentaire du grêle, jéjunostomie terminale, application d'un pansement VAC sur des ulcères propres/des plaies abdominales (le 21.02.2019). Alimentation parentérale du 17.02 au 22.01.2019. Pipéracilline/Tazobactam dès le 17.02.2019. Fluconazole dès le 21.02.2019. CT abdominal le 21.02.2019: iléus avec saut de calibre jéjunal probablement sur bride. Laparotomie avec adhésiolyse le 22.02.2019 (OP Dr. X). Remplissage de 9 L en périopératoire. Noradrénaline du 22.02.2019 au 24.02.2019. Ceftriaxone du 22.02.2019 au 01.03.2019. SNG de décharge du 22.02.2019 au 24.02.2019, arrachée par le patient. Cathéter artériel radial du 22.02.2019 au 24.02.2019. VVC sous-clavière gauche à partir du 22.02.2019. CT abdominal le 29.01.2019. US Doppler hépatique le 30.01.2019. Ponction de 1500 ml d'ascite le 29.01.2019. Suivi clinique et biologique. Dès la récupération de l'IRA : restriction hydrique / régime pauvre en sel / introduction Aldactone et Torasémide.Consultation en alcoologie par la fondation Le Torry le 05.02.2019 • Antibiothérapie prophylactique de PBS indiquée par Ciproxine 500 mg 1x/jour au long cours • Suivi organisé par le service d'hépatologie du CHUV pour suite de la prise en charge CT abdominal le 31.01.2019: Le foie est de taille, de configuration et de densité normales. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. Pas de lésion focale hépatique. Atrophie rénale ddc. Présence d'une importante quantité d'air rétro-péritonéal, entourant l'aorte abdominale. Présence d'air libre autour du côlon sigmoïde. Multiples diverticules sigmoïdiens. PTH ddc. Présence d'une volumineuse masse tumorale dans le caecum, connue. CONCLUSION Perforation du côlon avec extension de l'air dans le rétro-péritoine. CT abdominal le 31.01.2019 Prélèvements biliaires le 31.01.2019: E. faecalis, Raoultella • Rocéphine 2g intraveineux 1x/jour et Métronidazole 500 mg intraveineux 3x/jour du 31.01.2019 au 05.02.2019 • Ciproxine 500 mg 2x/jour per os et Flagyl 500 mg 3x/jour per os du 05.02.2019 au 14.02.2019 Drainage sous guidage CT le 31.01.2019 CT abdominal natif le 20.01.2019: volumineux hématome sous-capsulaire du rein droit avec hématome associé à un hématome rétropéritonéal para-rénal droit. Un saignement actif ne peut pas être exclu (injection de produit de contraste renoncée après discussion avec le Dr. X). On retrouve une maladie rénale polykystique acquise dans le contexte de dialyse, avec certains kystes spontanément denses d'origine hémorragique/protéique. CT abdomino-pelvien du 23.01.2019: Examen réalisé sans injection de contraste en raison d'une insuffisance rénale. Comparatifs du 20.01.2019. Stabilité de l'hématome sous capsulaire péri-rénal droit et de l'hématome rétro-péritonéal le long du fascia para-rénal postérieur. Pas de nouveau saignement à distance. Pas de dilatation des cavités pyélo-calicielles. Lithiase vésiculaire sans signe de complication. Diverticulose sigmoïdienne sans signe de diverticulite. Le reste de l'examen est superposable aux comparatifs. Sur les coupes passant par les bases thoraciques : Epanchement pleural droit de petite abondance et foyer de condensation pulmonaire basale droite en augmentation en rapport avec un foyer infectieux. Emphysème pulmonaire aux 2 bases. CT-thoracique natif du 25.01.2019: Dilatation du tronc pulmonaire, compatible avec une hypertension artérielle pulmonaire. Important emphysème pulmonaire pan-lobaire et épaississements bronchiques diffus, compatible avec une bronchopneumopathie obstructive chronique. Légère majoration de la lame d'épanchement pleural à droite. Stabilité en taille des adénomégalies médiastinales et hilaires depuis 2016. On retrouve un hématome rétro-péritonéal le long du fascia para-rénal postérieur droit. Laboratoire: cf. annexes CT abdominal natif le 20.01.2019 CT abdominal injecté le 21.01.2019 Pipéracilline-Tazobactam du 21.01 au 27.01.2019 CT abdominal natif le 20.01.2019. CT abdominal natif de contrôle le 23.01.2019. Co-Amoxi du 22.01 au 30.01.2019. Mise en suspens de l'Aspirine cardio du 20.01 au 27.01.2019. 1 culot érythrocytaire le 22.01.2019. Avis Dr. X, urologue. Contrôle à sa consultation le 20.02.2019 (RDV chez Dr. X du 06.02.2019 annulé au vu de l'hospitalisation). CT abdominal natif: pas d'anévrisme de l'aorte, diverticulose calme du sigmoïde CT abdominal natif 29.01.2019 : absence d'argument en faveur d'une diverticulite ou inflammation intra-abdominale. Apparition d'une lésion hypodense de la prostate du lobe moyen à droite de la prostate, mesurant environ 25 x 20 mm dans le plan axial, suspecte de néoplasie. Dans le cadre d'un syndrome inflammatoire, une prostatite avec abcédation débutante ne peut être exclue. Lésion ostéo-condensante de l'aile iliaque droite dd énostose dd de métastase. Augmentation de taille de la splénomégalie (2 l à l'examen du jour, contre 1.5 l en 2017), dans le cadre du syndrome myélodysplasique connu. RX thorax 29.01.2019 : cardiomégalie. Absence de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Absence d'épanchement pleural. Ventilation des plages pulmonaires symétrique, sans foyer constitué. Cadre osseux et tissus mous sans particularité. Fracture sous-capitale de l'humérus proximal gauche sans déplacement depuis le comparatif. CT abdominal non injectée (Dr. X) : 5x4 mm au niveau de l'uretère proximal gauche, rein gauche tuméfié, infiltration de la graisse autour, dilatation pyélocalicielle de 14 mm Laboratoire: cf. annexes CT abdominal 10.02.2019 Pipéracilline Tazobactam 4.5 g 4x/j du 10.02 au__ Drainage de FIG radiologique le __ CT abdominal 14.02.2019: Absence de fistule grêlo-artérielle, susceptible d'expliquer les épisodes d'hématochézies de Mr. Y. Pas d'argument radiologique pour une progression de la maladie oncologique au niveau abdominal. Laboratoire: cf. annexes CT abdominal 14.02.2019 : Ischémie chronique du pôle inférieur du rein gauche, alimenté par une artère polaire filiforme et athéromateuse. Status post-néphrectomie partielle du rein gauche au pôle inférieur. Suspicion d'adénomyomatose dans le fundus de la vésicule biliaire. Adénome surrénalien bénin du côté droit. Status post surrénalectomie gauche. Coronarographie 15.02.2019 : L'examen invasif en urgence démontre comme corrélat pour le STEMI une occlusion de l'IVA moyenne avec une akinésie étendue de la paroi apicale et latérale, FEVG 35%. Recanalisation de l'IVA avec mise en place de deux stents avec bon résultat final. Echocardiographie transthoracique le 15.02.2019 : Aspect de cardiopathie hypertensive et ischémique : ventricule gauche non dilaté, très hypertrophié avec une akinésie de la paroi apicale. FEVG à 50%. Cardiomyopathie hypertrophique homogène DD hypertensive. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 12 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. VCI se collape en inspiration en faveur d'une hypovolémie. Absence d'insuffisance tricuspide. Minime épanchement péricardique localisé en regard des cavités droites, en partie organisé, infra-centimétrique hémodynamiquement non significatif. ECG Holter, le 18.02.2019 : Résultats à pister. CT abdominal 14.02.2019 Ischémie chronique du pôle inférieur du rein gauche, alimenté par une artère polaire filiforme et athéromateuse. Status post-néphrectomie partielle du rein gauche au pôle inférieur. Suspicion d'adénomyomatose dans le fundus de la vésicule biliaire. Adénome surrénalien bénin du côté droit. Status post surrénalectomie gauche. Coronarographie 15.02.2019 : L'examen invasif en urgence démontre comme corrélat pour le STEMI une occlusion de l'IVA moyenne avec une akinésie étendue de la paroi apicale et latérale, FEVG 35%. Recanalisation de l'IVA avec mise en place de deux stents avec bon résultat final. Echocardiographie transthoracique le 15.02.2019 : Aspect de cardiopathie hypertensive et ischémique : ventricule gauche non dilaté, très hypertrophié avec une akinésie de la paroi apicale. FEVG à 50%. Cardiomyopathie hypertrophique homogène DD hypertensive. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 12 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. VCI se collape en inspiration en faveur d'une hypovolémie. Absence d'insuffisance tricuspide. Minime épanchement péricardique localisé en regard des cavités droites, en partie organisé, infra-centimétrique hémodynamiquement non significatif.CT abdominal 26.01.2019 Avis chirurgie (Dr. X) le 28.01.2019 : abdomen rassurant, recommencer avec traitements pour ralentir le transit. Tenter sevrage de SNG dès le 29.01.2019 Pose de sonde naso-gastrique du 26.01 au 01.02.2019, puis du 02.02 au 06.02.2019 CT abdominal 27.01.2019 (Dr. X) : Masse caecale d'allure tumorale touchant la valve de Bauhin et le colon ascendant, iléus mécanique en amont à 30 mm, pas d'air libre, quelques adénopathies loco-régionales, pas d'indice pour métastases à distance. CT Thoracique 28.01.2019 : Colonoscopie le 31.01.2019 : compliquée par une perforation sigmoïdienne CT abdominale 29.01.19 Laxatif CT abdomino-pelvien le 07.02.2019 Rectoscopie le 07.02.2019 et le 11.02.2019 Rocéphine 2g et Métronidazole 500 mg 3x/jr i.v. du 07.02.2019 au 11.02.2019 Ciproxine 500 mg 2x/jr et Flagyl 500 mg 3x/jr p.o du 12.02.2019 au 17.02.2019 CT ambulatoire à distance à évaluer avec pneumologue traitant CT bassin le 24.01.2019 (Dr. X) Avis orthopédique (Dr. X) Hospitalisation en gériatrie aiguë HFR Riaz pour prise en charge de la douleur ECG du 25.01.2019 Antalgie par anti-inflammatoires et Oxycontin et Oxynorm Pantozol 20mg/jour Mobilisation en charge selon douleurs avec des cannes Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Tests de la cognition du 02.02.2019 Rendez-vous à la Team Spine le 14.02.2019 à 15h15 (Dr. X) CT cérébral : absence d'hémorragie intracrânienne. Absence de lésion focale du parenchyme cérébral parlant pour un AVC constitué CT cérébral + vaisseaux pré-cérébraux Avis neurologue Avis ophtalmologue IRM cérébrale + cervicale Bilan neuropsychologique CT cérébral + vaisseaux pré-cérébraux : pas d'argument pour une lésion osseuse, pas d'argument pour une hémorragie, pas d'argument pour une dissection (examen avec explication donnée par le médecin). Retour à domicile. Réassurance. Corticothérapie 1mg/kg pendant 7 jours. Pommade ophtalmique vitamine A + larmes artificielles. Conseil de réévaluer cliniquement avec le médecin de famille à J7. CT cérébral avec cartes de perfusion le 04.02.2019 EEG les 04., 05. et 08.02.2019 Taux phénytoïne 16.02.19 : 1.9mg/l Taux Levetiracetam 16.02.19 Phénytoïne dès le 04.02.2019 Lévétiracétam dès le 04.02.2019 Avis Dr. X : réitérer taux Levetiracetam + Phénytoïne, ainsi que tests hépatiques/fonction rénale et albumine. Patient sera revu en consultation le 10.04.2019 après un EEG de suivi à 10h Séjour aux soins intensifs du 04.02.19 au 12.02.19 avec intubation Ventilation non-invasive intermittente dès le 08.02.2019 Sonde naso-gastrique dès le 04.02.2019 CT cérébral avec injection = Pas d'événement hémorragique aigu, pas de lésion ischémique Discussion avec la famille par rapport au projet réanimation non et l'intérêt de faire des soins de confort. CAT : • Transfert médecine pour soins de confort. CT cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux 11.01.2019 : dans la norme Consilium neurologique : • Suspicion de démence dégénérative avec état confusionnel sur infection d'origine indéterminée ; demande d'électro-encéphalogramme et de compléter le laboratoire Electro-encéphalographie du 15.01.2019 (rapport oral, Dr. X) : • Pas de foyer épileptogène, ralentissement général compatible avec état confusionnel aigu/troubles cognitifs sous-jacents Évaluation neuropsychologique le 14.02.2019 : cf rapport annexé : • Conduite automobile interdite jusqu'à résolution de l'état confusionnel et pour un minimum de 2 mois CT cérébral, cervical et coude droit Surveillance neurologique aux 4 heures CT cérébral de contrôle à 12h30 le 19.02.2019 en radiologie à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Suivi en neurochirurgie le 21.02.2019 à 10h00 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. CT cérébral du jour (PACS) : Atrophie cortico-sous-corticale diffuse avec impression d'hypo-densité sous-corticale à prédominance D ainsi qu'élargissement des ventricules, probablement ex-vacuo. CT cérébral du jour (PACS) : Évolution chronique de l'hématome frontal G avec collection de 7mm de diamètre maximal, sans compression. L'extension de l'hématome au niveau pariétal est infra-millimétrique. CT cérébral du jour (PACS) : Stabilité de la petite collection résiduelle pariétale D, sans effet de masse ni nouveau saignement. CT cérébral du jour (PACS) : Stabilité d'une petite collection bi-frontale d'environ 4mm, sans effet compressif sur le parenchyme avec petite composante subaiguë par rapport aux comparatifs. Régression au niveau pariétal ddc. Réabsorption des différentes contusions cérébelleuses G et bi-fronto-basales. Stabilité de la fracture occipitale G non déplacée. Pas d'hydrocéphalie. CT cérébral du 18.02.2019 : dissection de l'artère vertébrale droite dans son segment V2 (à hauteur de C2-C4) s'étendant sur une hauteur d'environ 3,5 cm, avec perméabilité préservée du vrai et du faux chenal, sans lésion ischémique décelée dans le parenchyme cérébral. IRM cérébrale le 20.02.2019 : dissection de l'artère vertébrale droite dans son segment V2, inchangée par rapport au comparatif. Absence de lésion ischémique aiguë - subaiguë ou hémorragique. Quelques petites hyperintensités de signal T2 Flair dans la substance blanche supra-tentorielle devant être d'origine dégénérative vasculaire. CT cérébral du 20.02.2019 : À l'étage cérébral, les hyperdensités spontanées précédemment décrites ne sont plus retrouvées, probablement d'origine artéfactuelle. Pas de saignement intracrânien décelé. Pas de fracture du rachis cervical. Lésion nodulaire de 26 x 19 x 26 mm dans le lobe thyroïdien gauche, à corréler à un ultrason. Contrôle de pacemaker le 20.02.2019 : Les tests de détection, stimulations et impédances sont dans les normes. Fonctionnement normal. Echocardiographie transthoracique le 20.02.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale hyper-dynamique. FEVG à 70 %. Remodelage concentrique. Absence de valvulopathie. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. VCI se collapsant en inspiration en faveur d'une hypovolémie. CT cérébral du 22.02.2019 : Pas d'argument pour un AVC ischémique aigu ou subaigu. Pas d'hémorragie intracrânienne. L'examen du polygone de Willis et des vaisseaux pré-cérébraux ne montre pas de lésion significative. Le reste du volume exploré est sans particularité.ETT le 22.02.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Débit cardiaque dans les limites de la normale, calculé à 5,23 l/min avec un index cardiaque à 2,65 l/min/m² (105 % de la théorique). Aorte non dilatée. Rétrécissement aortique non serré calcifié, d'origine dégénératif. Cuspidie non évaluable. Surface aortique à 1,42-1,70 cm² (0,72-0,85 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 11 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Rétrécissement aortique léger à modéré avec surface d'ouverture à 1,42-1,70 cm² par équation de continuité, gradient moyen 11 mmHg. Suivi annuel de la valvulopathie aortique ou plus tôt si symptômes. CT cérébral du 25.02.2019 : Foyers d'hémorragie dans le cervelet gauche (9 mm de diamètre) et dans le lobe occipital droit (13x9 mm), ainsi qu'une hémorragie sous-arachnoïdienne frontale d'origine douteuse (angiopathie amyloïde cérébrale ? métastases hémorragiques d'un éventuel mélanome ?), sans anévrisme mis en évidence. Perméabilité conservée des troncs supra-aortiques et du polygone de Willis. On note une ectasie de la partie toute distale de l'artère basilaire à 4 mm. Quelques nodules infracentimétriques hypervasculaires de la thyroïde, à corréler à un avis endocrinologique spécialisé selon nécessité. CT cérébral du 30.01.2019 : Atrophie cortico-sous-corticale en lien avec l'âge de la patiente et leucopathie micro-vasculaire. Séquelles ischémiques cérébelleuses connues. Pas de prise de contraste pathologique de l'encéphale. Absence de signe en faveur d'une hypertension intracrânienne. CT cérébral et cervical le 19.01.2019 : Avis Dr. X, équipe de neurologie, après IRM le 21.01.2019 : traitement conservateur avec immobilisation par une minerve mousse. CT cérébral et thoraco-abdominal injecté le 25.02.2019 : Pas de dissection aortique ni hématome de paroi. Pas d'AVC hémorragique ou AVC ischémique constitué. Athéromatose calcifiée sans sténose des bifurcations carotidiennes des deux côtés. Cardiomégalie avec dilatation des deux oreillettes. Adénopathies hilaires bilatérales. ETT le 26.02.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Absence d'épanchement péricardique. CT cérébral et vaisseaux précérébraux le 20.02.2019. CT cérébral : hématome sous-dural fronto-pariétal aigu à droite avec fracture de l'os temporal droit. Avis neuro-chirurgical (Dr. X) : petit hématome sous-dural, contrôle neurologique pendant 24h, si aucune péjoration : pas de contrôle radiologique nécessaire. Surveillance neurologique du 24.02.2019 au 25.02.2019. CT cérébral injecté : pas de lésion ischémique/hémorragique. Attitude : • clinique sans argument pour HSA, surveillance hospitalière, rediscuter nouvelle imagerie/ponction lombaire selon évolution clinique, surveillance hospitalière. CT cérébral injecté du 25.02.2019 : CT cérébral et des vaisseaux précérébraux dans les limites de la norme. IRM cérébrale du 26.02.2019 : Les sillons cérébraux et les cavités ventriculaires se présentent normalement. Les structures de la ligne médiane sont en place. Pas de collection sous- ou extra-durale. Pas d'hémorragie sous-arachnoïdienne ou intraparenchymateuse. Les coupes FLAIR ne montrent pas d'altération de signal significative de la substance blanche. Les séquences de diffusion ne montrent pas de zone de restriction, notamment en regard de la fosse postérieure. Après injection iv de gadolinium, pas de rehaussement pathologique aux étages supra- et infra-tentoriels. Les sinus veineux intracrâniens sont perméables. L'angio-IRM TOF ne montre pas de lésion sur le trajet des artères du polygone de Willis. CT cérébral injecté le 15.02.2019 : pas de thrombose, pas de sinusite, pas de masse au niveau interne de la face postérieure. Antalgie simple. Recommandation de reconsulter si persistance des symptômes et/ou autres troubles neurologiques. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. CT cérébral injecté le 23.02.2019, IRM cérébral le 25.02.2019, ponction lombaire pour exclure une vasculite : à discuter avec les neurologues. Traitement complexe en unité stroke, monitorée du 23.02.2019 au 25.02.2019. Cible tensionnelle : TA systolique < 140 mmHg. Amlodipine 10 mg le 23.02.2019, Trandate 10 mg le 24.02.2019, Lisinopril à partir du 24.02.2019. CT cérébral le 02.02.2019 : pas de saignement, pas de fracture. Eliquis en suspens dès le 02.02.2019. Prophylaxie par Héparine. Reprise de l'Eliquis le 11.02.2019. CT cérébral le 04.01.2019 : Hématome intra-parenchymateux thalamique droit, avec saignement actif. Bilan neuropsychologique du 14.01.2019 : anosognosie, héminégligence visuelle gauche, des difficultés exécutives, accompagnées d'un ralentissement. CT cérébral du 29.01.2019 : Bonne évolution par rapport au comparatif, avec quasi disparition de la composante hyperdense qui passe de 2,5 à 1 cm de grand diamètre sur le plan axial. Discret œdème péri-lésionnel mais avec diminution de l'effet de masse sur la ligne médiane, avec une déviation droite-gauche qui passe de 5 à 3 mm. Arrêt de l'anticoagulation orale pour 8 semaines avec réévaluation CT crâne pour reprise de Eliquis (selon Dr. X). Traitement anti-hypertenseur. CT de contrôle le 04.03.2019 au centre d'imagerie médicale. Consultation neurovasculaire de contrôle le 10.04.2019 à 14h30. CT cérébral le 04.02.2019. ETT le 07.02.2019 : Selon évolution, rediscuter avec la famille si bilan étiologique indiqué. Pas d'IRM, d'US des vaisseaux précérébraux ni de Holter d'emblée. CT cérébral le 05.02 et le 08.02.2019. EEG le 06.02.2019. ENMG le 10.02.2019. Test 2 mg Tensilon le 11.02.2019 : négatif. Dosage des anticorps anti-RACh, anti-MuSK (négatif) et anti-GQ1B à pister. CT cérébral le 12.02 et le 13.02.2019 : IRM à effectuer. Bilan neuropsychologique avant la sortie. CT cérébral le 13.02.2019 : Ponction lombaire le 13.02.2019 : pression d'ouverture à 44 mmHg, pléiocytose lymphocytaire, protéinorachie, xantochromie négative et spectrométrie du LCR négative.Acyclovir depuis le 12.02.2019 au (en attente des PCR virales) IRM cérébrale demandée Avis neurologue (Dr. X): compléter le bilan par sérologie EBV, CMV, VZV, Lyme, PCR Multiplex, ANCA, FAN, FR, demander une angio-IRM cérébrale avec séquence vasculitique. Demander avis à Berne pour intérêt d'une angiographie cérébrale. Avis neurochirurgie: indication à une IRM cérébrale avec séquence Flair + T2 étoile + Angio-IRM à la recherche d'une masse ou d'un microsaignement CT cérébral le 19.01.2019 Avis chirurgical Dr. X : • Surveillance neurologique • CT cérébral le 21.01.2019 Avis Dr. X (neurochirurgie de garde) : • CT cérébral de contrôle dans 1 mois chez le médecin traitant • Stop Aspirine Cardio CT cérébral le 20.02.2019: Pas de signes d'ischémie Avis neurologique le 20.02.2019: IRM cérébrale à faire avant le pontage. IRM cérébrale le :____ CT cérébral le 20.02.2019: Pas de signes d'ischémie IRM cérébrale le 21.02.19: (prov) pas de signes d'événement ischémique aiguë Avis neurologique le 20.02.2019: IRM cérébrale à faire avant le pontage. CT cérébral le 21.02.2019: pas d'argument pour un AVC, pas de dissection IRM cérébrale le 22.02.2019 : suspicion myélite transverse au niveau moelle allongée, latéralisé côté droit (DD ischémie médullaire cervicale) - selon rapport oral Clopidogrel 21.-22.02.2019 (arrêté en absence d'argument d'événement cérébro-vasculaire) Avis neurologie (Dr. X) : PL à rediscuter après l'arrêt du plavix avec les analyses suivantes : Dans le LCR : numérotation et différenciation cellulaire (recherche des plasmocytes également en cas de < 5 cellules !), glucose, protéine, lactate, électrophorèse de protéines, PCR pour VZV, HSV, mycoplasme, anticorps anti-NMO, sérothèques (2 tubes) Dans le sang : Vit. B12, Vit. D, sérologie Lyme, Syphilis (VDRL, TPPA), HIV, FAN, électrophorèse des protéines Aciclovir à partir du 22.02.2019 CT cérébral le 22.01.2019 CT cérébral le 23.01.2019 Avis neurologique Dr. X: Mise en suspens de l'Aspirine pour 4 semaines CT cérébral de contrôle à 12h30 le 19.02.2019 Suivi en Neurochirurgie le 21.02.2019 à 10h CT cérébral le 22.01.2019 CT cérébral le 23.01.2019 Tests de la cognition du 31.01.2019 : MMSE à 12/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 4/15 Évaluation neuropsychologique du 07.02.2019 Avis neurologique du Dr. X : mise en suspens de l'aspirine pour 4 semaines CT cérébral de contrôle à 12h30 le 19.02.2019 Suivi en neurochirurgie le 21.02.2019 à 10h CT cérébral le 22.02.2019 : Pas d'argument radiologique pour un accident vasculaire cérébral ischémique ou hémorragique. Athéromatose mixte des vaisseaux précérébraux, sans sténose significative. Perméabilité du polygone de Willis. Présence d'une lésion centimétrique para-ventriculaire latérale gauche (dd : Hétérotopie de la matière grise ?). CT cérébral le 25.01.2019 IRM du neurocrâne le 28.01.2019 • Séquences natives centrées sur artère basilaire complétées le 29.01.2019 Consilium neurologique le 28.01.2019 CT cérébral le 25.02.2019 à 9h45 Contrôle à la consultation de neurochirurgie le 12.03.2019 à 14h15 CT cérébral le 26.01.2019: Pas de lésion traumatique Colonoscopie le 30.01.2019: importante diverticulose colique sans aucun signe d'un saignement récent Pas de lésion claire susceptible d'avoir saigné dans le côlon Laboratoire: cf annexes CT cérébral le 28.01.2019 Consilium ORL le 21.02.2019 CT cérébral le 28.03.2019 Entretien téléphonique pour discussion des résultats CT cérébral le 30.01.2019 Pas de saignement, ni de processus expansif intracrânien CT cérébral le 31.01.2019 CT cérébral natif : atrophie cérébrale importante surtout au niveau pariétal bilatéral, pas de saignement CT cérébral natif : atrophie cérébrale importante surtout au niveau pariétal bilatéral, pas de saignement. CT cérébral natif : pas de lésion osseuse, pas d'hémorragie, examen avec explication donnée par le médecin. Retour à domicile. Antalgie. Conseil de repos intellectuel ce jour. Conseil de réévaluer avec le médecin de famille si douleur malgré l'antalgie. CT cérébral natif : pas de saignement ECG le 31.01.2019 Physiothérapie pour réhabilitation à la marche et proprioception CT cérébral natif : pas d'hémorragie intra-crânienne. CT cérébral natif 22.01.2019 Surveillance neurologique Physiothérapie + bilan chute : • Tinetti à 15/28 (principalement trouble de l'équilibre de statistique) Poursuite physiothérapie en ambulatoire CT cérébral natif (Dr. X) : pas de saignement. Attitude : • Retour à domicile avec antalgie, explications au sujet des symptômes à surveiller et des motifs de reconsultation, remise d'un document explicatif au sujet du TCC, conseil de rester au repos, arrêt de travail. CT cérébral natif (Dr. X, rapport téléphonique) : suspicion d'hématome sous-dural frontal gauche de 2.5 mm, au niveau frontal présence d'une hyperdensité spontanée qui peut parler pour des très fines hémorragies sous-arachnoïdiennes Avis neurochirurgie (Dr. X): contrôle imagerie à 6h et 24h puis 4 semaines. CT cérébral et cervical à 19h: pas de fractures cervicales, pas de visualisation de saignement intracranien sur cet examen-là. Hospitalisation en soins continus CT cérébral natif (Dr. X): pas de saignement Surveillance neurologique Xarelto en suspens CT CÉRBRAL NATIF ET INJECTÉ & DES VAISSEAUX DU COU DU 27.02.2019 Lésions parenchymateuses séquellaires frontales bilatérales, d'extension discrètement plus marquée que sur le comparatif du côté droit. Pas de franche nouvelle lésion focale suspecte d'atteinte ischémique. Perméabilité préservée des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens. Probable ancienne thrombose partielle au sein du sinus sagittal supérieur, du sinus transverse et sigmoïde droits. Échocardiographie le 28.02.2019 Dilatation modérée du ventricule gauche, sans hypertrophie avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 30 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Rétrécissement aortique lâche calcifié, d'origine dégénératif. Surface aortique à 1,31 cm² (0,62 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Valve mitrale normale. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale modérée Insuffisance mitrale stable par rapport à l'examen précédent. Oreillette gauche très dilatée. Discrète dilatation du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Oreillette droite non dilatée avec une discrète dilatation du ventricule droit. HTAP importante (PAPs à 52 mmHg). Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. FA chronique connue de longue date, FE stable CT CÉRBRAL NATIF ET INJECTÉ DU 14.02.2019 CT THORACIQUE NATIF ET INJECTÉ DU 14.02.2019 CT ABDOMEN NATIF ET INJECTÉ DU 14.02.2019 CHOP-Code : 87.03; 87.41.99; 88.01.10 INDICATION Bilan oncologique d'un patient connu pour un adénocarcinome de la prostate stade IV, avec métastases osseuses (colonne et bassin), qui présente un iléus clinique. Progression de la maladie oncologique ? Iléus ? Obstruction des voies urinaires ? DESCRIPTION Comparatif: CT abdominal du 7 mars 2018 et CT thoracique du 1er décembre 2017. Examen réalisé avant et après injection de 160 ml de Xenetix 350 i.v. Cérébral: Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Citernes basales et mésencéphaliques et système ventriculaire de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas d'altération des sillons cérébraux. Pas de prise de contraste pathologique aux étages supra et infra-tentoriels. Calcifications conservées des sinus veineux intracrâniens, sans thrombose. S/p mise en place d'une sonde nasogastrique passant par la cavité nasale droite et se terminant dans l'estomac. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres.Thorax : Structures cardio-vasculaires : dilatation des quatre cavités cardiaques, ainsi que du tronc pulmonaire mesurant 35 mm de diamètre, sans autre argument radiologique pour une hypertension artérielle pulmonaire. Pas d'embolie pulmonaire visualisée jusqu'en sous-segmentaire. Thyroïde : sp. Médiastin : majoration en taille et des multiples adénopathies médiastinales et hilaires bilatérales. À titre d'exemple, les plus grandes infra-carinaire (image 123) et hilaire droite (image 112) mesurent respectivement 21 et 15 mm de petits axes. Œsophage : sp. Plèvre : sp. Creux axillaires, creux sus-claviculaires et paroi thoracique : pas d'adénopathie. Parenchyme pulmonaire : pas suspect individualisé. Mise en évidence d'une consolidation partielle des deux lobes inférieurs avec bronchogramme aérique (dd : foyers de broncho-aspiration ?). Épaississement des septas interlobulaires, prédominants aux bases pulmonaires. Apparition d'un infiltrat interstitiel réticulaire dans le segment postérieur du lobe supérieur droit, compatible avec une fibrose débutante. Abdomen : Foie : homogène sans lésion suspecte visible. Voies biliaires et vésicule biliaire : sp. Veine porte et veines sus-hépatiques : perméables. Pancréas : sp. Rate : sp. Glandes surrénales : sp. Reins, uretères et vessie : pas de dilatation des systèmes pyélocaliciels. S/p mise en place d'un cystofix, de position correcte. Épaississement diffus des parois vésicales. Péritoine : sp. Vaisseaux abdominaux : perméables avec athéromatose mixte de l'aorte abdominale. Stabilité en taille de l'ectasie focale de l'aorte abdominale infra-rénale mesurant 31 mm de diamètre. Mésentère et région cœliaque : pas d'adénopathie. Rétropéritoine : diminution en taille des multiples adénopathies. À titre d'exemple, la plus grande inter-aorto-cave (image 725) passe de 19 à 7 mm de petit axe. Structures digestives : coprostase colique. S/p colostomie descendante, non compliquée. Paroi abdominale : mise en évidence d'une collection post-sacrée (image 298) mesurant 64 x 25 mm (sur le plan axial) avec bulles de gaz en son sein, compatible avec un abcès. Pelvis : sp. Aires ganglionnaires iliaques : majoration en taille de l'adénopathie de la chaîne iliaque externe droite (image 825) passant de 13 à 16 mm de petit axe. Plis inguinaux : stabilité en taille de l'adénomégalie à gauche mesurant 7 mm de petit axe. Vaisseaux pelviens : perméables avec athéromatose mixte, sans sténose significative. Rachis et os : Diminution en taille des multiples métastases ostéocondensantes de la colonne vertébrale, du manubrium sternal, des os du bassin, des côtes, des fémurs ainsi que des humérus. S/p spondylodèse par abord postérieur et à L5-S1. CT cérébral natif et injecté des tissus mous le 30.01.2019 - Cérébral : pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Absence d'hyperdensité spontanée des artères cérébrales, ni de dédifférenciation substance grise - substance blanche. On retrouve des hypodensités (14 HU) à hauteur du Claustrum des deux côtés, prédominantes à gauche, compatible avec des dilatations d'espaces de Virchow-Robin. Ectasie des citernes basales et mésencéphaliques ainsi que du système ventriculaire. Élargissement des sillons cérébraux et cérébelleux. Élargissement de la fossa sylvi des deux côtés. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas de prise de contraste pathologique aux étages supra et infra-tentoriels. Polygone de Willis et artères cérébrales perméables jusqu'en distalité, sans sténose, ni occlusion ou anévrisme. On retrouve une variante anatomique vasculaire avec une origine fœtale de l'artère cérébrale postérieure droite. Opacification conservée des sinus veineux intracrâniens, sans thrombose. Les sinus para-nasaux et les oreilles moyennes sont libres. Hypoplasie des cellules mastoïdiennes des deux côtés. - Sur les cartes de perfusion : pas d'asymétrie notable. - Cervicale : athéromatose mixte des artères carotides communes, à hauteur de leurs bifurcations, sans sténose significative. Athéromatose mixte au départ de l'artère vertébrale droite, sans sténose significative. Athéromatose mixte de la crosse aortique, ainsi que du tronc brachio-céphalique et de l'artère sous-clavière gauche, sans sténose significative. Pour le reste, pas de lésion suspecte dans la filière pharyngolaryngée. Pas d'adénopathie cervicale de taille et radiologiquement significative. Les glandes salivaires et la thyroïde sont de morphologie normale. Pas de fracture, ni de luxation du rachis cervical. Troubles dégénératifs du rachis cervical avec unco-discarthrose et arthrose zygapophysaire pluri-étagées. Le parenchyme pulmonaire exploré se présente normalement. Conclusion : Pas d'argument radiologique pour un accident vasculaire cérébral ischémique constitué ou hémorragique. Pas de fracture des os du crâne, ni du rachis cervical. CT cérébral natif et injecté 18.02.2019 Thiamine du 19.02 au 21.02.2019 Oxazépam du 19.02 au 20.02.2019 Diazepam dès le 20.02.2019 Substitution vitaminique Réhydratation CT cérébral natif le 06.02.2019 : pas de saignement intracrânien, pas de signe d'ischémie, pas de fracture. Laboratoire le 06.02.2019 : pas d'anémie, pas de trouble électrolytique. CT cérébral natif le 07.02.2019 : volumineux hématome sous-galéal pariétal, sans fracture ni saignement intracrânien mis en évidence. EEG le 08.02.2019 : pas de franc foyer irritatif. CT cérébral natif le 07.02.2019 ECG le 07.02.2019 EEG le 08.02.2019 : pas de franc foyer irritatif Avis neurologique le 07.02.2019 (Dr. X) - Vimpat 50 mg 2x/J pendant 3 ans minimum - Contrôle au Neurocentre Fribourg. Il est convenu que Mme. Y sera convoquée en ambulatoire pour un EEG et consultation en août 2019 CT cérébral natif le 20.02.2019 CT cérébral et cervical natif de contrôle le 20.02.2019 CT cérébral à 4 semaines : à prévoir (selon avis neurochirurgie Dr. X) CT cérébral natif le 30.01.2019 On retrouve l'hématome parenchymateux temporal droit avec aspect discrètement moins dense, ainsi que l'hypodensité adjacente du parenchyme cérébral en lien avec un œdème péri-lésionnel, de taille globalement superposable. Il n'y a pas de majoration de l'effet de masse sur le ventricule latéral droit. Persistance d'une déviation de la ligne médiane de 3 mm vers la gauche, stable. Par ailleurs, on retrouve les deux bulles de pneumo-encéphale, de taille légèrement diminuée. Persistance d'une collection aérique d'épaisseur superposable, en regard de la crâniotomie. Aspect globalement stable des hémorragies sous-arachnoïdiennes occipitales bilatérales et de l'hémorragie intra-ventriculaire au sein des cornes occipitales. Pas de collection hématique liquidienne péri-cérébrale. Le reste de l'examen est superposable au comparatif. Echocardiographie le 28.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale d'ouverture conservée. Insuffisance mitrale légère. Oreillette gauche discrètement dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Insuffisance tricuspide minime. Absence d'épanchement péricardique.CT cérébral natif le 30.01.2019 IRM cérébrale le 05.02.2019 EEG le 04.02.2019 CT cérébral natif: pas de fracture, pas de saignement, plaie frontale D Désinfection Chlorexidine 2%, anesthésie locale rapidocaine, suture par 6 points avec Prolene 6-0 Rappel du vaccin DiTe CT cérébral natif: pas de saignement, pas de lésion osseuse. Retour à domicile. Antalgie. Conseil de réévaluer avec médecin de famille si persistance des symptômes malgré traitement symptomatique. CT cérébral natif: pas d'hémorragie contact Berne pour décision CT cérébral natif 14.02.19 Rx conventionnelle hanche et bassin le 18.02.19 Physiothérapie Madopar 62.5 mg 2x/j dès le 19.02.19 CT cérébral natif (26.01.2019): atrophie cérébrale modérée, sans saignement visible. Radiographie thorax (26.01.2019): examen réalisé en position assise. Cardiomégalie avec redistribution de la perfusion pulmonaire aux apex. Absence d'épanchement pleural clairement visible. Absence de foyer de pneumonie. Déviation de la trachée vers la droite. Probable fracture costale des arcs antérieurs des côtes 5 et 6 à droite. Radiographie genou (26.01.2019): gonarthrose tri-comparatimentale avancée. Absence de fracture ou de luxation. Absence d'épanchement intra-articulaire. Multiples calcifications vasculaires. CT cérébral natif. RX thorax. Antalgie par morphine 2 mg. CT cérébral non injecté le 01.02.2019: absence de saignement intracrânien. Comblement complet du sinus maxillaire gauche (DD: clinique compatible avec une sinusite ?). CT cérébral: pas de saignement, pas de fracture. ECG: pas de signes ischémiques. Antalgie. Instructions au patient post TCC. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter. CT cérébral: Pas de signes d'ischémie. CT cérébral. Surveillance neurologique. CT cérébral (transmission tél par Dr. X): pas de saignement, pas de fracture du crâne CT cérébral 06.12.2018: Diminution d'épaisseur de l'hématome sous-dural para-falcoriel droit passant de 1.4 à 0.9 cm. Consilium neurochirurgie Fribourg le 11.12.2018: régression de l'hématome et amélioration de la symptomatologie, pas d'indication de traitement chirurgical CT du 25.01.2019: Pas de nouveau saignement, consolidation de l'hématome sous-dural sans modification de la taille. RDV 13.02.2019 à 7h30 Neurologie au HFR Fribourg pour EEG et consultation clinique avec Dr. X CT cérébral 11.02.19 Suivi des CK CT cérébral 17.12.2018: hématome sous-dural 11 mm droite Avis du neurochirurgien de garde le 17.12.2018 (HFR Fribourg): hématome n'explique pas les troubles cognitifs nouveaux, traitement conservatif, CT de contrôle dans 3 semaines, pas d'anticoagulation thérapeutique, prophylactique possible. Attitude confirmée par deuxième avis neurochirurgical le 21.12.2018 CT cérébral (18.02.2019) IRM cérébrale (20.02.2019) CT cérébral (18.02.2019) IRM cérébrale (20.02.2019) Echographie cardiaque transthoracique (18.02.2019) Laboratoire: cholestérol total 3.9 mmol/l, LDL cholestérol 2.49 mmol/l, HbA1c 5.6% Test de déglutition (19.02.2019): pas de trouble Avis neurologique: majoration du traitement anticoagulant Avis cardiologues: garder la même médication par b-B et dilzem Consultation neurovasculaire de contrôle le 12.06.2019 à 13h00 Pas de conduite pendant deux semaines CT cérébral Avis neurologique par Dr. X: Keppra 500 mg 2x/j, Rivotril 0.5 mg en R si crise, contrôle neurologique avec EEG dans 4 mois Pas d'autres investigations ni de suivi neurologique souhaités par la patiente CT cérébral-cervical: pas de lésion aiguë CT cérébral/colonne cervicale le 19.01.2019 Rx jambe G le 19.01.2019 IRM colonne cervicale le 21.01.2019 Rx jambe G post-op le 21.01.2019 CT cérébrale et massif facial, le 13.02.2019 Radiographie de l'épaule gauche, thorax, et colonne thoracique, le 13.02.2019 7 points de suture frontale, 1 point de suture labiale avec Prolène 3.0 Ablation des sutures le 20.02.2019 Contrôle ORL le 22.02.2019 CT cérébrale natif le 30.01.2019 Surveillance neurologique aux soins intensifs du 29.01.2019 au 30.01.2019 CT cérébrale: pas de saignement CT cérébrale: pas d'hémorragie, pas de trauma crânien. CT cérébral. Surveillance neurologique. CT cérébral. Surveillance neurologique aux 4 heures. CT cérébro-cervical natif du 11.02.2019 (rapport oral Dr. X): pas de fracture, pas d'hémorragie, légère atrophie cérébrale. CT cérébro-thoraco-abdominal du 04.02.2019: • Cerveau: Système ventriculaire ectasiques en lien avec une atrophie cortico-sous-corticale liée à l'âge du patient. Craniotomie fronto-pariéto-temporale avec repositionnement du volet osseux. Plusieurs zones lytiques autour des racines dentaires des maxillaires. • Thorax: Calcifications coronariennes et lame d'épanchement péricardique non circonférentiel. Absence d'embolie pulmonaire visualisée jusqu'en sous-segmentaire. Quelques calcifications pleurales ddc dans les lobes inférieurs (exposition à l'amiante ?). Petit épanchement pleural ddc avec atélectasies passives partielles des lobes inférieurs. Plages en verre dépoli dans le LSD avec quelques minuscules zones de condensation. Deux nodules supracentimétriques sous-cutanés à hauteur du processus épineux de D2, bien délimités, sans prise de contraste, devant correspondre à des kystes sébacés. • Abdomen: Le foie est de taille, de configuration et de densité normale. Hypodensités hépatiques dans le segment IVa et b le long du ligament falciforme et dans le segment VI, aspécifiques. Lésion hypodense bien délimitée de 45x40 mm dans le segment VII et de 3 mm dans le segment VI, devant correspondre à des kystes biliaires simples. Structure hypodense de 7x4 mm au sein de la rate, devant correspondre à un kyste. Volumineuse adénopathie en iliaque interne gauche mesurant 38x27 mm. Importante hypertrophie de la prostate d'environ 52x49x53 mm qui est hétérogène avec quelques calcifications en son sein. • Osseux: Fracture déplacée de l'extrémité distale de la clavicule OGD du 05.02.2019 (Dr. X): ulcère œsophagien circonférentiel s'étendant sur une distance d'environ 10 cm avec aspect par endroit noirâtre suggérant une origine ischémique; pas de saignement actif. RX thorax du 09.02.2019: Comparatif du 06.02.2019. Majoration des opacités alvéolaires, en sur-projection des deux plages pulmonaires, prédominantes à gauche, compatible avec des foyers. Le reste de l'examen est superposable au comparatif, avec signe de surcharge, flou péri-hilaire et épanchements pleuraux de petites quantités des deux côtés. OGD le 12.02.2019 (Dr. X): ulcère œsophagien sur 1/3 de la circonférence dans le bas œsophage, diminution de l'inflammation, bonne évolution. RX clavicule le 13.02.2019: Fracture transverse du tiers distal de la clavicule, extra-articulaire déplacée antérieurement avec marche d'escalier estimée à 11 mm. Pas de luxation acromio-claviculaire. CT cérébro-thoraco-abdominal le 14.02.2019: infiltrats pulmonaires basaux bilatéraux, pas de nouvelles métastases, pas d'iléus obstructif, suspicion d'abcès sur escarre sacré Suivi par Dr. X à l'HFR CT cérébro-thoraco-abdominal le 14.02.2019 Majoration en taille de multiples adénopathies médiastinales et hilaires bilatérales. À titre d'exemple, les plus grandes infra-carinaire et hilaire droite mesurent respectivement 21 et 15 mm de petits axes. Parenchyme pulmonaire: pas suspect individualisé. Mise en évidence d'une consolidation partielle des deux lobes inférieurs avec bronchogramme aérique (dd: foyers de broncho-aspiration ?). Épaississement des septas inter-lobulaires, prédominants aux bases pulmonaires. Apparition d'un infiltrat interstitiel réticulaire dans le segment postérieur du lobe supérieur droit, compatible avec une fibrose débutante. Paroi abdominale: mise en évidence d'une collection post-sacrée mesurant 64 x 25 mm avec bulles de gaz en son sein, compatible avec un abcès. Aires ganglionnaires iliaques: majoration en taille de l'adénopathie de la chaîne iliaque externe droite passant de 13 à 16 mm de petit axe. Plis inguinaux: stabilité en taille de l'adénomégalie à gauche mesurant 7 mm de petit axe.Diminution en taille des multiples métastases ostéocondensantes de la colonne vertébrale, du manubrium sternal, des os du bassin, costales, des fémurs ainsi que des humérus. CT cérébro-thoraco-abdominal le 14.02.2019 Soins de support avec entretien avec le Dr. X le 19.02.2019 Décision de suspendre le traitement de Zoladex en vue du contexte palliatif, reprise éventuelle à discuter en fonction de l'évolution. CT cervical du jour (PACS): Arthrose facettaire cervicale pluri-étagée, plus marquée en C5-C6 et C6-C7 ainsi qu' une arthrose sévère C6-C7. CT cervical du 04.02.2019 (PACS): Suspicion de fracture tear-drop C5-C6. CT cervical du 25.02.2019 (PACS): OPLL surtout C5-C6 et également en C6-C7. IRM colonne cervicale du 25.02.2019 (PACS): Sténose canalaire majeure en C4-C5, C5-C6 surtout et également C6-C7 dans une moindre mesure. CT cervical le 28.02 Avis ORL (Dr. X) Mise sous co-amoxicilline 1g 2x/j x 7 jours Avis chirurgie générale (Dr. X): pas de CI à une chirurgie du poignet, pas de contrôle scannographique nécessaire. CT cervical. Suivi clinique. CT cervico-thoracique le 13.02.2019 : transformation nécrotique de la récidive tumorale au niveau du site de résection pharyngo-cervical droit et submandibulaire droit avec persistance de quelques zones tissulaires, notamment au niveau du muscle ptérygoïdien médial avec infiltration osseuse en regard, stable. Pour l'exploration de la dysarthrie, indication de compléter par une IRM cérébrale. IRM cervico-cérébrale le 15.02.2019 : IRM cérébrale dans les limites de la norme. À l'étage cervical, on retrouve les lésions tumorales en partie à centre nécrotique, avec discrète restriction de diffusion au sein de la lésion à centre nécrotique située en région sous-mandibulaire droite, posant le diagnostic différentiel entre une composante tumorale tissulaire mélangée à la nécrose et une éventuelle surinfection. Consilium ORL CT cervico-thoracique Suivi chez le médecin traitant. CT cheville D du jour: arthrose péronéo-astragalienne. Destruction de l'articulation tibio-astragalienne avec de multiples géodes et une largeur de l'interligne irrégulière avec un contact osseux à la jonction entre le plafond tibial et le versant malléolaire interne. Arthrose sous-astragalienne avec sclérose sous-chondrale et multiples géodes. CT cheville D du 15.02.2019: comparé aux derniers clichés, l'arthrodèse est consolidée au niveau tibio-talaire sans signe de descellement. Le matériel est en place. CT cheville G le 04.02.2019 Bilan maladie inflammatoire et rhumatismal : négatif Suivi ambulatoire à la consultation du Dr. X CT colonne dorsale. Traitement antalgique. CT colonne lombaire : fracture de tassement L1, avec une perte de hauteur du mur antérieur de 40%, sans atteinte du mur postérieur, sans hématome épidural, sans atteinte des parties molles para-vertébrales. RX colonne lombaire de contrôle 25.02.2019 : pas de majoration du tassement. CT colonne lombaire le 08.02.2019 IRM colonne lombaire le 13.02.2019 CT colonne vertébrale du 29.01.2019 : instabilité de C2, processus infiltratif au niveau de D1. Fracture antérieure à G pathologique, probablement progression de la masse. CT colonne vertébrale lombaire 28.01.2019: Par rapport aux comparatifs, on visualise l'apparition d'une fracture transverse non déplacée à la jonction S4-S5 du sacrum difficilement datable en raison de l'ostéopénie marquée. Néanmoins, on visualise une discrète sclérose des berges fracturaires parlant pour une origine semi-récente. Antélisthésis d'aspect ancien de S5 sur Co1. Par ailleurs, on visualise un status post-cimentoplastie de L4 sans complication visible. Pas de changement de la cimentoplastie de L5. Pas de déplacement secondaire de la fracture de la lame de l'arc vertébral droit de L5. CT cou: pas de masse Consilium ORL à prévoir. CT crâniocervical externe du 07.02.2019 : abcès de la loge masticatrice / ptérygoïdienne droite. CT cranio-cervico-thoraco-abdo du 11.02.2019 Crâne : absence de métastase. Cou : status post laryngectomie totale avec reconstruction par lambeau musculo-graisseux. Par rapport au comparatif de septembre 2018, augmentation de la prise de contraste hétérogène aux contours flous, difficilement mesurable, en regard du sillon amygdalo-glosse gauche. Thorax : apparition d'embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires du lobe inférieur gauche et sous-segmentaires de la lingula sans signe de retentissement sur les cavités cardiaques ni d'infarctus parenchymateux pulmonaire. Abdomen : majoration de l'hydronéphrose bilatérale, sans lésion obstructive visible et sans rupture de fornix. Os : Aspect superposable de la lésion épidurale antérieure en regard de l'espace intersomatique D7-D8 (hernie discale luxée vers le haut? Métastase peu probable car non captante au PET-CT). CT crânio-cervico-thoraco-abdominal le 01.02.2019: Intubation orotrachéale sélective. Embolie pulmonaire segmentaire latéral du lobe moyen. Hémocultures le 01.02.2019: négatif à 5 jours Co-Amoxicilline du 01.02.2019 au 05.02.2019 CT crânio-cervico-thoraco-abdominal le 01.02.2019: Intubation orotrachéale sélective. Embolie pulmonaire segmentaire latéral du lobe moyen. Intubation oro-trachéale par vidéo-laryngoscopie et ventilation mécanique du 01.02.2019 au 03.02.2019 Trachéotomie (Dr. X) dès le 03.02.2019 avec ventilation mécanique transitoire le 03.02.2019 Methylprednisolone du 01.02 au 04.02.2019 Suivi ORL Consilium neurologique Fermeture de trachéotomie le 19.02.2019 CT crânio-cervico-thoraco-abdominal le 01.02.2019 Ventilation non invasive avec Héliox le 01.02.2019 Intubation oro-trachéale par vidéo-laryngoscopie et ventilation mécanique du 01.02 au 03.02.2019 Trachéotomie (Dr. X) dès le 03.02 avec ventilation mécanique transitoire le 03.02.2019 Cathéter artériel radial gauche du 01.02 au 04.02.2019 Inhalation d'adrénaline le 01.02.2019 Methylprednisolone du 01.02 au 04.02.2019 CT de contrôle en ambulatoire. CT de l'épaule/bras gauche le 02.02.2019 : fracture de l'humérus proximal passant par le col chirurgical ainsi que par le col anatomique à hauteur du tubercule majeur qui est désolidarisé. Discrète impaction de la diaphyse humérale au sein de la tête avec translation latérale mesurée à 3 mm. Congruence gléno-humérale préservée. CT des chevilles droite et gauche du 25.02.2019: À droite: arrachement osseux d'allure récente au niveau antéro-dorsal du talus et de la partie supéro-latérale du naviculaire (en regard des insertions du ligament talo-naviculaire), de la partie antéro-latérale du calcanéum en regard de l'articulation calcanéo-cuboïdienne (semblant néanmoins extra-articulaire). Pas de fracture des malléoles externes et internes. Troubles dégénératifs MTP1. À gauche: arrachement osseux d'allure récente au niveau de la partie antéro-latérale du calcanéum, au niveau antéro-dorsal du talus, au niveau latéral du cuboïde (intra-articulaire calcanéo-cuboïdienne) et au niveau de la partie postéro-supérieure du cunéiforme latéral. Hallux valgus avec importants troubles dégénératifs des articulations MTP 1 et MTP 2 et cunéo-MT3. CT des rochers du 10.12.2018: Status post stapedectomie droite avec position correcte du piston dans la fenêtre ovale qui protrue de 1 mm au sein du vestibule. Stabilité de l'hypodensité de la capsule otique droite au niveau de la fissula ante fenestram. A gauche : persistance de l'hypodensité de la fissula ante fenestram suspecte de foyer d'otospongiose. CT du jour : cf diagnostic. CT du jour : cf diagnostic. Pas d'incongruence. CT du massif facial. Antibiothérapie prophylactique par Co-Amoxi Mepha 2 x 635 mg/jour du 14 au 18.02.2019. Interdiction faite au patient de se moucher. CT du pelvis natif 10.02.2019 : acquisition tomodensitométrique hélicoïdale centrée sur le bassin en phase native. Fracture comminutive du cotyle droit au pourtour de la cupule acétabulaire avec déplacement postéro-supérieur de la cupule et de la tête fémorale. Aspect excentré et ascensionné de la tête prothétique dans la cupule en faveur d'une usure du polyéthylène. Pas d'autre trait de fracture visualisé. À noter des zones de lyse osseuse péri-acétabulaire ainsi qu'au niveau du fémur proximal à l'entrée de la prothèse dans la diaphyse fémorale en faveur d'une maladie des particules ou métallose. Sur le reste du volume exploré, on note une diverticulose sigmoïdienne sans signe de diverticulite. Pas d'autre lésion. RX coude gauche 13.02.2019 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Tuméfaction des parties molles péri-olécrâniennes avec discrète irrégularité de l'olécrâne. Pas d'épanchement intra-articulaire. CE à la peau devant correspondre à un Venflon. CT du rocher gauche injecté du 29.01.2019 : otomastoïdite gauche avec quelques érosions osseuses au sein de la mastoïde gauche. Pas de thrombose veineuse ni de collection. Audiogramme externe du 29.01.2019 : surdité de transmission sur une surdité de perception connue à gauche. Presbyacousie droite. Tympanométrie externe du 29.01.2019 : plate des deux côtés, prédominante à droite. Audiogramme du 30.01.2019 : stable, pas d'amélioration. Audiogramme du 01.02.2019 : stable, pas d'amélioration. CT du 05.02.2019 : pas de pneumothorax. Quelques impactions bronchiques dans la pyramide basale gauche et légère augmentation des condensations dans le LIG et la lingula avec apparition de nouveaux petits infiltrats lingulaires, évoquant des foyers pulmonaires. Stabilité des nodules pulmonaires droits et de l'emphysème connu. Laboratoires : cf annexe. CT du 05.11.2018 : ostéonécrose des têtes fémorales avec début d'effondrement osseux et perte de sphéricité de la tête du côté gauche. Consilium Orthopédie (Dr. X) : rendez-vous chez le team de la hanche le 15.01.2019 à 09:00. Bilan ostéoporotique à compléter avec une densitométrie le 19.12.2018 à 13:30. CT du 09.02.2019 : leuco-araïose très marquée. Sous réserve des artéfacts de mouvement, très probable pénombre ischémique dans la région temporale gauche avec embole calcifié d'une branche artérielle M3 de la sylvienne gauche. Plaque athéromateuse calcifiée très irrégulière à risque emboligène au niveau du bulbe carotidien gauche avec sténose significative à 85%. Multiples autres calcifications endovasculaires des artères distales en frontal et pariétal ddc. CT du 10.02.2019 : constitution d'un AVC ischémique sylvien superficiel temporo-pariétal gauche. Pas de transformation hémorragique. CT du 11.11.2018. Dépistage hépatites le 3.12.2018 (HAV, HBV, HCV) : négatif. CT du 28.12.2018 : lésion pharyngée gauche suspecte de récidive locale. Ultrason du 17.01.2019 : adénopathie suspecte du secteur Vb à droite. PET-CT du 09.01.2019 : pas d'hypercaptation de la lésion pharyngée précédemment citée ; en revanche hyperactivité ganglionnaire basicervicale droite (SUV 4.3). CT et IRM cheville G : cf diagnostic. Minime œdème de part et d'autre de la coalition. CT et prochain contrôle le 30.08.2019. OP pré-réservée pour le 10.09.2019. CT fait le 12.02 au CHUV : suspicion de sténose pylorique. RAD avec Normolytoral. Avis Dr. X : si persistance des symptômes, transit à prévoir par le MT. CT genou droit/jambe droite natif : fractures multifragmentaires des plateaux tibiaux interne et externe avec atteinte du massif des épines tibiales. CT hanche/cuisse G le 13.02.2019. ECG le 13.02.2019. RX bassin et hanches le 15.02.2019. CT jambe gauche. Laboratoire. Avis Ortho (Dr. X) : hospitalisation en orthopédie pour une prise en charge chirurgicale. Pas d'ATB si patient stable avant l'intervention. CT le 15.02.2019. Prochain contrôle le 18.02.2019. CT lombaire du jour (PACS) : superposable au myélo-CT du mois d'août 2018. Nets signes de discopathie avec air intra-discal au niveau L2-L3, L3-L4 et L4-L5 ainsi que signes de surcharge articulaire, sans antérolisthesis ni déplacement majeur. CT membre inférieur gauche le 22.12.2018. Pontage fémoro-poplité prothétique gauche le 20.12.2018. Drainage hématome et pose de pansement VAC le 24.12 avec changements itératifs jusqu'au 14.01.2019. Frottis plaies proximales et distales : staphylocoque epidermidis. Cubicine du 16.01 au 30.01.2019. CT pied G du jour : début de consolidation, partiellement. CT poignet/main droite. Avis orthopédique (Dr. X) : prise en charge conservatrice. Attitude : • retour à domicile avec immobilisation par plâtre AB fendu, antalgie • contrôle clinique et radiologique à J7 en ortho-urgences. CT pulmonaire le 18.02.2019. Gazométrie artérielle le 18.02.2019 à 11h. Consilium pneumologique le 18.02.2019 : vu amélioration clinique, scanographique et biologique, pas d'indication à de nouvelles fonctions pulmonaires, pas de contrôle nécessaire actuellement. (restent à disposition selon évolution de la pathologie inflammatoire). CT pulmonaire low dose organisé pour le 14.03.2019 à 13h45. Contrôle en pneumologie le 18.03.2019 à 13h. Colonoscopie de contrôle le 21.03.2019 (Dr. X). CT sacrum + coccyx du jour (PACS) : pas de ligne de fracture ni de lésion aiguë mais angle de 94° du coccyx par rapport au sacrum, donc bien plus incliné que dans une position physiologique. CT scan : mortèse en place, pas de signe pour une atteinte de type Maison neuve. Visualisation d'un arrachement osseux en regard du talus versant médial. Intégrité de la colonne latérale du talus. Intégrité de la cheville au niveau malléolaire externe et interne. CT scan à l'HFR Riaz. Suivi biologique. CT scan à pister. Voir médication avec Prof. X (ass. onco averti du cas). CT scan abdominal (Dr. X). CT scan abdominal du 05.02.2019. Avis hématologie du 05.02.2019 (Dr. X) : bilan de thrombophilie avant introduction de Clexane à dosage thérapeutique. Bilan de thrombophilie en attente (CHUV et Genève). Énoxaparine du 05.02 au 15.02.2019. Héparine prophylactique du 16.02 au _. Héparine thérapeutique à rediscuter. CT scan abdominal du 10.02.2019. Hydratation. CT scan cérébral du 05.02.2019 : atrophie cérébrale en lien avec l'âge du patient et leuco-araïose péri-ventriculaire. Absence de lésion traumatique, pas de saignement intracrânien ou de fracture.CT scan cérébral le 25.01.2019: métastases cérébrales en multiples Dexaméthasone 16 mg du 26.01 au 27.01 puis 12 mg dès le 28.01.2019 Avis radio-oncologique le 29.01.2019 Colloque famille le 28.01.2019: information médicale Prise en charge onco-psychologique dès le 28.01.2019 Adresse de suite de prise en charge à la Villa Saint-François Suivi par Dr. X CT scan cérébral le 27.02.2019 EEG le 28.02.2019 Lévétiracétam dès le 28.02.2019 Urbanyl le 28.02.2019 CT scan cérébral. Minerve. Avis Dr. X : prendre contact avec la Team Rachis. Team Rachis : • probablement sur instabilité chronique • minerve rigide • IRM le 23.01.2019 • rappel Team Spine : subluxation chronique C1-C2, retrait minerve, mobilisation selon douleur, si apparition de nouvelles douleurs, consultation ambulatoire avec la team Spine HFR Fribourg. CT scan cérébral natif Radiographie colonne dorsale et lombaire Surveillance clinique CT scan cérébral. Surveillance neurologique. CT scan cheville D du 27.02.2019 : pincement marqué de l'interligne talo-fibulaire au niveau de sa portion distale avec la présence d'un petit fragment dans cette interligne. Sur les coupes coronales, on note un pincement marqué de l'interligne en distalité. CT scan cheville G externe du 04.01.2019 : montre une fracture arrachement au niveau du bord postéro-latéral de la malléole externe DD ancien arrachement. Pas de lésion du Volkmann. Pas de lésion de la malléole interne. CT scan du coude : qualité relativement mauvaise, épanchement intra-articulaire, on a un certain flou sur la tête radiale qui ne permet d'exclure une fracture mais celle-ci serait non déplacée. On voit par contre une fissure à la pointe de l'olécrâne, hors de l'insertion tendineuse. Aucun déplacement à ce niveau. Au niveau du poignet : fracture d'une petite partie de la styloïde radiale, floue au niveau du scaphoïde, ne permettant pas d'exclure à 100% une fracture. CT scan du 04.02.2019 : fracture hamatum et triquetrum. Status post spondylodèse avec matériel en place. CT scan et prochain contrôle à notre consultation. CT scan jambe G : il persiste une pseudarthrose au niveau du tibia proximal sur le côté médial avec une hypertrophie du calus. CT scan le 13.02.2019 Prochain contrôle le 13.02.2019 CT scan le 15.02.2019 Prochain contrôle le 20.02.2019 CT scan le 27.02.2019 Prochain contrôle le 27.02.2019 CT scan pied D du jour : montre le matériel d'arthrodèse en place, sans déplacement. Les arthrodèses montrent des bons signes de consolidation. CT scan rochers et sinus le 01.02.2019. IRM neurocrâne avec coupes vasculite le 11.02.2019. Avis Dr. X, ORL. Rendez-vous en rhumatologie - HFR Fribourg (Mme. Y sera convoquée). CT scan sacrum+coccyx du jour (PACS) : pas de signe de luxation ni d'ostéite. Déformation de Cx1 en triangle. Coccyx en crochet. IRM sacrum+coccyx du jour (PACS) : dégénérescence graisseuse de S5 et Cx1 sans signe de surinfection ou d'inflammation environnante. CT scan thoracique le 08.02.2019 IOT (Cormack 1) du 03.02 au 06.02, réintubée du 06.02 au 08.02, réintubée 09.02 au 10.02.2019 Trachéotomie le 10.02.2019 Cathéter de Swan-Ganz gauche du 03.02 au 05.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 03.02 au 06.02.2019 Cathéter artériel radial gauche du 06.02 au 14.02.2019 Drain thoracique droit du 03.02 au 06.02.2019 Drain thoracique droit 07.02 au 12.02.2019 Co-Amoxicilline IV du 03.02 au 11.02.2019 Tamiflu du 03.02 au 07.02.2019 Clarithromycine du 03.02 au 04.02.2019 CT scan thoracique le 14.02.2019 : pas d'embolie pulmonary, pas de dissection aortique ETT le 14.02.2019 : suspicion de cardiomyopathie hypertrophique, FeVG conservée Coronarographie le 14.02.2019. IRM cardiaque le 15.02.2019 : légère hypertrophie concentrique. Pas d'argument IRM franc en faveur d'une atteinte cardiaque dans le cadre de la sarcoïdose connue. Pose de défibrillateur automatique implantable le 18.02.2019 (Dr. X) Attitude : • bilan neuropsychologique à organiser en ambulatoire à 3 semaines de l'ACR • rendez-vous pour contrôle du pacemaker donnés à la patiente, contrôle pansement à 10 jours chez le médecin traitant CT scan thoracique le 14.02.2019 : pas d'EP ETT le 14.02.2019 : suspicion de cardiomyopathie hypertrophique Coronarographie le 14.02.2019 : sténose subocclusive de la RVP : stentée IRM cardiaque le 15.02.2019 : pas de cardiomyopathie infiltrative, pas de CMH, petit œdème dans le territoire de la RVP (pister rapport final) DAI prévu le 18.02.2019 (Dr. X) CT scan thoraco-abdominal du 30.01.2019 Isolement contact Avis infectiologique Ad Flagyl 500 mg 3x/j du 31.01 au 10.02.2019 CT scan thoraco-abdominal injecté. Lit strict. Prévoir Avis Spine team. CT scan thoraco-abdominale 13.02.2019 : masse de 2,6 cm bien délimitée du quadrant supéro-externe du sein droit ATT : • Contrôle à l'HFR de Fribourg en gynécologie le lundi 18.02.2019 à 13h30 CT scan le 06.02.2019 : pas d'hémorragie visible dans l'ensemble du volume exploré. Status post-split-stomie pararectale droite, sans signe de complication. Sécrétions endobronchiales à gauche avec majoration d'une consolidation de la pyramide pulmonaire basale gauche évoquant une bronchopneumonie sur aspiration. On visualise également une majoration des discrètes consolidations de la base pulmonaire droite ainsi qu'apparition de petites plages de verre dépoli du lobe supérieur droit, le tout évoquant également une origine infectieuse. A noter l'apparition d'une quantité modérée de gaz dans la vessie, sans franche image de fistule avec les organes intestinaux (sondage vésical récent ?). RX thoracique 13.02.2019 : rapport en cours. CT scan 24.02.2019 • Embolies pulmonaires lobaires DDC avec extension segmentaire, associées à un retentissement sur la fonction cardiaque droite. • Lame d'épanchement pleural à droite et consolidation dans le LID devant correspondre au foyer pulmonaire connu avec possible infarctus pulmonaire surajouté, sans argument pour un empyème. • Petite consolidation du segment antérieur du LSG devant correspondre à un infarctus pulmonaire. • Atelectasie partielle et passive du LM. • Dysmorphie hépatique droite avec hypertrophie du lobe gauche et impression de contours légèrement irréguliers évoquant un foie de configuration cirrhotique. Impression d'une splénomégalie sous réserve d'une rate non complètement visualisée. ETT 25.02.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Pas de dysfonction VD et VD de taille normale. Holter pour bradycardie sinusale. CT scanner abdominal 27.01.2019 CT scanner thoracique injecté 28.01.2019 US MI 28.01.2019 US abdominal 29.01., 01.02., 04.02., 07.02.2019 CT scanner bassin du 27.01.2019 montrant un épaississement segmentaire du côlon sigmoïde compatible avec la pathologie de base. Patiente suivie par le Dr. X au centre de gastro-entérologie, Fribourg (prochain rdv le 20.02.2019 pour sa perfusion d'Entyvio). CT scanner schéma Lyonnais: tilt patellaire inférieur à 10, TAGT 14. Excroissance osseuse en regard du rebord médial de la rotule. Diastasis fémoro-patellaire II. CT scanner thoraco-abdominal le 11.01.2018: voir lettre n°1. CT sinus + orbitaire le 4.02.2019 bilan pré-biologique le 5.04.2019: ROR-V immunisée, HBC, HCV, HIV négatif, TB négatif Solu-médrol 1 g i.v. aux urgences le 02.02.19 à 6h Solumédrol 500 mg iv le 02.02 Solumédrol 500 mg iv 2x/j du 03.02 au 04.02 Prednisone 60mg dès le 5.02.2019 Cyclopentolate 0.5% 2x/j dans les 2 yeux dès le 4.02.2019, pour 1 mois Rituximab 1000mg le 6.02.2019 (Consensus Ophtalmologues Lausanne et Rhumatologue HFR et immunologue CHUV) prophylaxie: • Calcimagon D3 • Alendronate 70mg 1x/sem • Bactrim frote 3x/sem • vaccin Prevenar-13 le 05.02.2019 contrôle ophtalmologie les 2, 3, 4, 6.02.2019: • amélioration clinique; acuité visuelle et diminution de l'inflammation. • cyclopentolate goutte pour synéchies • évaluation de patch sclérique par la suite. suite: • Rituximab 1000mg dans 2 semaines, le 20.02.2019 (puis tous les 6 mois) - demande de prise en charge en cours • Suivi par le Dr. X sur le plan ophtalmologique - évaluation de la réalisation d'un patch scléral. • Suivi rhumatologie (Dr. X) le 26.02.19 (mettre en place schéma dégressif de Prednisone, suivi des ANCA à 6 mois, sera convoquée pour DEXA) CT thoracique CT thoracique: épanchements pleuraux abondants prédominants à droite avec atélectasie subtotale des lobes inférieurs des deux côtés. Thérapie diurétique (Lasix i/v) 30.01.2019: ponction pleurale diagnostique: transsudat stérile. CT thoracique: tassement de D4, suspicion lésion osseuse du sternum sous l'angle manubrio-sternal sans répercussion pleurale. Laboratoire: Hb 136, troponines T 5, Créat 44. Sédiment urinaire: pas d'hématurie. Rx Colonne cervicale: Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas d'épaississement des tissus mous prévertébraux. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Rx Colonne dorsale: Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Rx Colonne lombaire, bassin: Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. CT thoracique à organiser à distance de l'épisode infectieux. CT thoracique de contrôle à 6 semaines. CT thoracique du 14.01.2019 Avis angiologique Radiothérapie (c.f. diagnostic 1) Dexaméthasone (8 mg du 12.01-15.01, 4 mg du 16.01-28.01, 3 mg du 29.01-04.02, 2 mg du 05.02-12.02.2019) CT thoracique du 28.01.19: épanchements pleuraux abondants prédominants à droite avec atélectasie subtotale des lobes inférieurs des deux côtés. Une surinfection ne peut être exclue. Pas d'embolie pulmonaire visualisée. Cardiomégalie avec dilatation des oreillettes. Épaississement des septas interlobulaires et bronchiques traduisant une surcharge hydrique. ECG du 28.01.19: fibrillation auriculaire connue. Rx thoracique du 29.01.2019: pas de parésie du nerf phrénique visible. Épanchement bilatéral. Ponction pleurale du 30.01.2019: transsudat sans surinfection, pas de caractère unique d'un chylothorax. Transit œsophagogastroduodénal du 31.01.2019: petite fuite périprothétique (Provox). CT cervico-thoracique du 06.02.2019: volumineuse collection cervicale droite probablement abcédée avec thrombose de la veine jugulaire interne droite. Ultrason-Doppler veineux du cou du 07.02.2019: veine jugulaire interne perméable, mais de calibre fin. Flux lent. Pas de thrombose veineuse profonde. CT thoracique fait le 13.3.2018 Investigations ambulatoires: à prévoir. CT thoracique injecté du 09.02.2019. CT thoracique injecté et abdominal natif et injecté le 25.01.2019: Foyer de condensations de la lingula, évoquant un foyer infectieux. Forte suspicion de récidive loco-régionale du lobe supérieur droit pulmonaire avec adénopathie nécrotique médiastinale supérieure en augmentation. Augmentation en taille d'une lésion surrénalienne droite, évoquant une métastase. Métastases osseuses inchangées. Absence de foyer infectieux intra-abdominal, néanmoins on note une distension du grêle avec coprostase colique et de la dernière anse iléale. CT thoracique injecté: ETT le 24.1.19 ETT le 31.1.19 ETT le 7.2.2018 CT thoracique injecté, le 11.02.2019 Anticoagulation par héparine thérapeutique. CT thoracique injecté le 25.02.2019: Bronchite avec pneumonie lobaire inférieure gauche. Troubles de la perfusion en mosaïque des lobes supérieurs dd, dd condensations en verre dépoli en rapport avec une bronchiolo-alvéolite. Absence d'embolie pulmonaire visible. Échocardiographie le 26.02.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. CT thoracique injecté le 25.02.2019 Rocéphine le 25.02.2019 Tazobac le 26.02.2019 Co-Amoxicilline dès le 26.02.2019 CT thoracique injecté le 26.02.2019: Pas d'embolie pulmonaire. Épaississement péri-bronchique diffus avec foyers de pneumonies basales et atélectasie partielle du lobe moyen. CT thoracique injecté le 26.02.2019 Prednisone le 26.02.2019 Aérosol Ventolin et Atrovent Pulmicort du 27.02.2019 au Magnésium le 27.02.2019 Ceftriaxone dès le 26.02.2019 Clarithromycine du 26.02.2019 au 27.02.2019 Frottis grippe négatif et Pister test VIH Avis pneumologique le 27.02.2019 CT thoracique injecté le 27.02.2019: pas de dissection et autres modifications de l'aorte abdominale ou des vaisseaux iliaques. Coronarographie le 27.02.2019: maladie coronarienne de 2 vaisseaux (occlusion subaiguë de 2 branches diagonales et de la CX moyenne, vaisseaux de petit calibre), avec à la ventriculographie une hypokinésie antéro-latérale, la fonction systolique globale du ventricule gauche est conservée (FE: 60 %).Echocardiographie transthoracique le 28.02.2019: rapport en cours. CT thoracique injecté le 29.01.2019 Examen compatible avec une décompensation BPCO, sans foyer de pneumonie lobaire visible. Absence d'abcès ou de nouveau nodule suspect du parenchyme pulmonaire. Stabilité d'un emphysème pulmonaire des deux côtés. Reste de l'examen superposable à l'examen précédent. CT thoracique injecté Prévoir une échocardiographie transthoracique. CT thoracique injecté 28.01.2019 Echocardiographie transthoracique 31.01.2019 Échanges plasmatiques avec cathéter de dialyse le 01.02.2019 (séance 1/4) Surveillance respiratoire. CT thoracique le 01.02.2019 Hémocultures le 01.02.19 Co-Amoxicilline du 01.02.2019 au 05.02.2019. CT thoracique le 07.01.2019 CT thoracique le 17.01.2019 : pas d'évolution significative du nodule, contrôle à 3 mois préconisé. Avis infectiologique (Dr. X) : • exclure une origine fongique, CT de contrôle dans 10-15 jours ; si EF, ad avis infectio pour antibiothérapie +/- imagerie • au vu de la stabilité du nodule, origine fongique peu probable, pas d'indication à un LBA. Dosage b-D-glucane et galactomannane • le 10.01.2019 : négatif • le 17.01.2019 : négatif. Proposition : CT thoracique de contrôle à 3 mois ou si péjoration clinique. CT thoracique le 09.02.2019 Drainage pleural : pas effectué en raison d'héparine thérapeutique (mise en suspens au transfert). CT thoracique le 16.02.2019 IOT et ventilation mécanique du 08.02 au 22.02.2019 (transtubation le 19.02.2019 Cormack I). Bronchoscopie (Dr. X) le 19.02.2019 : LBA. CT thoracique le 17.01.2019 PET-CT le 21.01.2019. Cytologie expectorations : absence de cellules suspectes de malignité. Avis pneumologie (Dr. X). Avis oncologique (Dr. X, Dr. X). Fonctions pulmonaires le 24.01.2019 : trouble ventilatoire obstructif très sévère avec VEMS à 17% (0.6L), Tiffeneau à 56%, CVF 30% (1.4L). Présentation au Tumorboard le 30.01.2019. CT thoracique le 17.02.2019. Cathéter artériel radial droit du 17.02 au 19.02.2019. VNI du 17.02 au 23.02.2019. Oxygène à haut débit du 17.02 au 23.02.2019. Ceftriaxone du 15.02 au 22.02.2019. Clarithromycine du 15.02 au 18.02.2019. Solumédrol 125 mg iv du 20.02.2019 au 23.02.2019. Prednisone 80 mg du 24.02 au 28.02.2018. Sevrage progressif dès le 01.03., stop le 20.03.2019. CT thoracique le 19.03.2019. Fonctions pulmonaires et rendez-vous en pneumologie le 19.03.2019. CT thoracique le 22.02.2019. Intubation oro-trachéale (Cormack 1) et ventilation mécanique du 20.02.2019 au 26.02.2019. Échec d'extubation et de VNI avec réintubation le 24.02.2019. Tamiflu du 20.02 au 24.02.2019. Meropenem du 20.02 au 21.02.2019. Clarithromycine du 20.02 au 21.02.2019. Co-Amoxicilline du 21.02 au 26.02.2019. CT thoracique le 24.02.2019. Héparine thérapeutique dès le 25.02.2019. Cathéter artériel radial gauche du 25.02.19 au 26.02.2019. CT thoracique le 25.01.2019. VNI du 27.01 au 03.02.2019. Drain thoracique gauche du 25.01 au 29.01.2019. Traitement diurétique du 25.01 au 30.01.2019. Soins de confort dès le 03.02.2019. CT thoracique le 26.01.2019. IOT vigile et nettoyage bronchique au bloc opératoire le 26.01.2019. Ventilation mécanique du 26.01 au 28.01.2019. VNI du 28.01.2019 au 29.01.2019. Tazobactam du 26.01.2019 au 27.01.2019. Co-Amoxicilline du 25.01.2019 au 02.02.2019. Contrôle Rx thorax le 04.02.2019 : pas d'opacification pulmonaire majeure. CT thoracique les 21.08 et 13.11.2018. PET-CT le 28.08.2018. Scintigraphie pulmonaire ventilée-perfusée organisée le 13.09.2018. Avis pneumologue de CHUV. Inscription liste transplantation pulmonaire renouvelée. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/j du 24.09 au 22.10.2018. Corticothérapie avec Prednisone 25 mg du 24.09 au 31.10.2018, puis schéma dégressif. CT thoracique natif et injecté du 15.02.2019. CT abdomen natif et injecté du 15.02.2019. Thorax : image de bronchite avec comblements alvéolaires multiples pouvant correspondre à des foyers infectieux de pneumonie ou de broncho-aspiration. Abdomen : image de cirrhose avec hypertension portale. Liquide péri-vésiculaire avec discret épaississement des parois de la vésicule biliaire sans calcul radio-opaque visible ; cette image n'est pas spécifique dans le contexte de l'ascite, de faible quantité. Dr. X. Thorax F du 21.02.2019. Silhouette cardio-médiastinale de taille et de morphologie normales sous réserve de l'incidence et de la position. Infiltrats éparses des deux plages pulmonaires correspondant à ceux visualisés et décrits sur le CT du 15 février. Emoussement du sinus costodiaphragmatique gauche. Cadre osseux et tissus mous sans particularités. CT thoracique : pas de dissection aortique, examen dans la norme. Correction de l'hypotension après hydratation. CT thoracique : pas d'embolie pulmonaire, importante adénopathie axillaire ddc, signe de décompensation cardiaque. CT thoracique : progression de l'épanchement pleural à droite. Attitude : • critères de reconsultation expliqués à la patiente • proposition d'avancer le rendez-vous au CHUV, initialement prévu le 07.03.2019. CT thoracique (rapport oral Dr. X) : masse pulmonaire gauche comprime le nerf récurrent gauche (connue et stable), pas de compression du nerf récurrent à droite pouvant expliquer la parésie de la corde vocale droite nouvelle. 01.01.2019 : trachéotomie chirurgicale en urgence, mise en place d'une Shiley 6.0 fenestrée. CT thoracique 20.02.2019 : mise en évidence de deux structures à contenu aérique situées entre la paroi latérale droite de l'œsophage proximal et la trachée, en avant du corps vertébral de T2 (DD : perforation ? diverticule œsophagien ou trachéal ?). Granulome calcifié postéro-basal gauche et adénopathies médiastinales et hilaires en partie calcifiées (DD : Tuberculose ? Sarcoïdose ? Hémoptysie à point de départ ganglionnaire ?). OGD (Dr. X) 21.02.2019 : une discrète hématémèse sur les lésions érosives de l'antre ne peut pas être écartée. Pister les biopsies et éradication H. Pylori si positif. Ad IPP 40 mg/jour pour au moins 1 mois. En revanche, l'examen n'a pas mis en évidence de lésion au niveau du tract digestif haut expliquant un pneumomédiastin, notamment pas de tumeur ou d'orifice fistuleux. Bronchoscopie (Dr. X) 21.02.2019 : status endo-bronchique mettant en évidence une muqueuse fortement atrophique avec quelques impactions purulentes, sans lésion endobronchique. Pas de signes de saignement ancien ou frais. Aspiration des sécrétions bronchiques et mise en culture. Les adénopathies visualisées au CT ne sont pas visibles en endobronchiques et n'occasionnent aucune compression extrinsèque. Les ganglions calcifiés ne sont pas en lien avec la présentation clinique actuelle et n'ont pas été ponctionnés lors de l'intervention actuelle. Nous vous prions de vous référer à l'OGD ayant précédé notre endoscopie, qui met en évidence 2 ulcères gastriques frais compatibles avec les crachats hémoptoïques. Nasopharyngolaryngoscopie (Dr. X) 21.02.2019 : dans les limites de la norme, ad transit baryé pour exclure diverticule de Zenker. CT thoracique 31.01.2019 : enfoncement plateau supérieur, sans recul du mur postérieur. Ancien ? Rx lombaire F/P : cunéiformisation du corps vertébral de L1 en rapport avec un tassement du plateau supérieur avec un angle de cyphose locale mesuré à 8°. Bombement du mur antérieur en rapport. Alignement satisfaisant des murs postérieurs. Pas d'autre tassement vertébral décelé. Antalgie par Oxycontin, Dafalgan et Brufen. Sirdalud. Bilan osseux en ambulatoire. CT thoraco-abdominal le 24.02.2019 : pas de dissection aortique, légère ectasie de l'aorte thoracique à 40 mm. Coronarographie le 24.02.2019. Charge en Aspirine, Efient et Héparine. Efient pour 6 mois.CT thoraco-abdo le 15.02.2019 OGD demandée Pantozol 2x40 mg iv du 16.02.2019 au ### CT thoraco-abdo 27.12.2018: Comparatif du 21.12.2010 (CT-scan thoracique). Examen réalisé avant et après injection de 110 ml de Xenetix 350. Calculs cholestéroliques dans la vésicule biliaire. Splénomégalie (pouvant être en rapport avec un status infectieux). Mise en évidence de multiples kystes corticaux bilatéraux et un kyste parapyélique à gauche. Mise en évidence de trois volumineux calculs cholestéroliques dans la vésicule biliaire. Au sein du segment VI, on retrouve de façon inchangée le foyer de calcifications. Splénomégalie (13 cm). Coprostase du cadre colique. Utérus rétroversé (avec probable myome du mur postérieur). Ganglions calcifiés mésentériques dans la région du caecum. Athéromatose aorto-bi-iliaque. Hernie ombilicale à contenu graisseux et à collet large, sans signe d'incarcération. Sur les quelques coupes passant par les bases pulmonaires, on observe des comblements mucoïdes des bronches sous-segmentaires à destination des lobes inférieurs. Remaniements dégénératifs pluri-étagés du rachis. Coxarthrose bilatérale. CT thoraco-abdomen-pelvien le 03.01.2019. Avis Dr. X le 03.01.2019 : • réaliser la biopsie, prévue pour le 08.01.2019 (recto-sigmoïdoscopie par Dr. X) • investigations anémie B12, folates • proposer la radiothérapie antalgique • +/- IRM colonne vertébrale • demander l'avis urologue - sonde double J • port-à-cath si la patiente accepte chimiothérapie. La fille de la patiente et la patiente sont informées le 04.01.2019. Refus de la patiente d'une chimiothérapie palliative avec biopsie et mise en place d'un port-à-cath. Pas d'indication à un séjour à la villa Saint-François. Soins de confort avec morphine sous-cutanée et iv dès le 20.01.2019. CT thoraco-abdominal injecté le 31.01.2019 US abdominal le 01.02.2019 Rocéphine et Métronidazole du 31.01.2019 au 02.02.2019 CT thoraco-abdominal injecté: pas de dissection aortique, pas d'EP. Épaississement bronchique diffus et adénopathies cervicales. CT thoraco-abdominal le 01.02.2019, le 03.02.2019, le 10.02.2019: Ventilation non-invasive du 01.02 au 03.02.2019 Intubation oro-trachéale avec ventilation mécanique du 03.02 au 15.02.2019 Ventilation non-invasive du 15.02 au 20.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 01.02 au 02.02.2019 Cathéter artériel radial gauche du 05.02 au 19.02.2019 Cathéter artériel fémoral droit (PICCO) du 02.02 au 05.02.2019 VVC jugulaire gauche du 03.02 au 19.02.2019 Bronchoscopie le 03.02.2018 (Dr. X) Bronchoscopie le 10.02.2019 (Dr. X): toilettage bronchique, LBA lobe moyen Bronchoscopie le 12.02.19 (Dr. X): cf rapport Bronchoscopie le 14.02.19 (Dr. X): cf rapport Pipéracilline/Tazobactam du 01.02.2019 au 10.02.2019 Imipenem du 11.02.2019 au 13.02.2019 Méropénème du 13.02 au 21.02.2019 CT thoraco-abdominal le 02.02.2019 Rocéphine et Flagyl depuis le 03.02.2019 Cholecystectomie indiquée à distance CT thoraco-abdominal le 02.02.2019 Rocéphine et Flagyl dès le 03.02.2019 (durée à évaluer à l'HFR Tafers) Avis chirurgical (Dr. X, le 08.02.2019) : cholecystectomie indiquée à distance (à froid), à réévaluer à l'HFR Tavel CT thoraco-abdominal le 02.02.2019 Vésicule biliaire d'aspect distendu, contenant de multiples calculs dont un à l'entrée du canal cystique, associé à une discrète infiltration de la graisse péri-vésiculaire, faisant suspecter une cholécystite débutante. Pas de dilatation des voies biliaires extrahépatiques. CT thoraco-abdominal le 04.02.2019 Bilan oncologique à planifier CT thoraco-abdominal le 07.02.2019 : léger épaississement du cardia aspécifique, paroi du côlon transverse épaissie sans infiltration de la graisse (spasme?), pas d'adénopathie CT thoraco-abdominal le 12.02.2019 CT thoraco-abdominal le 13.02.2019 CT thoraco-abdominal le 15.02.2019 Labétalol intra-veineux continu du 12.02.2019 au 14.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 12.02.2019 au 14.02.2019 CT thoraco-abdominal le 12.02.2019 CT thoraco-abdominal le 13.02.2019 Labétalol intra-veineux continu du 12.02.2019 au 13.02.2019 Cible tensionnelle systolique < 120 mmHg Cathéter artériel radial droit du 12.02.2019 au 14.02.2019 CT thoraco-abdominal le 13.02.2019 Traitement antalgique CT thoraco-abdominal le 14.02.2019 CT thoraco-abdominal le 15.02.2019 CT thoraco-abdominal le 21.02.2019 CT thoraco-abdominal le 14.02.2019 Labétalol iv le 14.02.2019 Métozérok per os dès le 15.02.2019 CT thoraco-abdominal le 22.01.2019 : Discrète majoration des petites adénopathies rétropéritonéales et iliaques bilatérales qui restent néanmoins aspécifiques (DD : lymphome/leucémie indolente ? réactionnelles ?). PET-CT le 06.02.2019: pas de lésion hypermétabolique suspecte de néoplasie Contrôle des immunoglobulines le 14.02.2019 Prochain contrôle à 3 mois (en mai) à organiser par le médecin traitant, puis à 6 mois si stabilité démontrée CT thoraco-abdominal le 24.02.2019 : pas de dissection aortique, légère ectasie de l'aorte thoracique à 40 mm Coronarographie le 24.02.2019 IEC, bêtabloquants Aspirine Cardio à vie, Efient pour 6 mois Nitrés en cas d'angor Contrôle dans 1 mois chez médecin traitant et ergométrie à 1 an CT thoraco-abdominal le 24.02.2019 : pas de dissection aortique visualisée. Calcifications coronariennes tritronculaires. Stéatose hépatique diffuse. Coprostase du cadre colique. Coronarographie le 24.02.2019 : cet examen montre une maladie coronarienne de 3 vaisseaux avec comme lésion coupable une sténose de 99% de l'artère circonflexe distale, traitée par PCI/1 DES avec un bon résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, BB, éventuellement dérivés nitrés ou Dancor si angor résiduel. Contrôle dans 1 mois chez Dr. X et ergométrie à 1 an. CT thoraco-abdominal le 27.01.2019 Cathéter artériel fémoral droit du 24.01.2019 au 04.02.2019 Cathéter artériel radial gauche du 30.01.2019 au 04.02.2019 IOT et ventilation mécanique du 24.01.2019 au 04.02.2019 VVC jugulaire droite du 24.01.2019 au 02.02.2019 VVC jugulaire gauche du 02.02.2019 au 04.02.2019 Aérosols Corticostéroïdes du 24.01.2019 au 26.01.2019 Kétamine du 30.01.2019 au 01.02.2019 Klacid du 24.01.2019 au 25.01.2019 Céfépime du 24.01.2019 au 29.01.2019 Oseltamivir du 25.01.2019 au 30.01.2019 CT thoraco-abdominal le 28.01.2019 Pipéracilline-Tazobactam du 28.01.2019 au 07.02.2019 Noradrénaline du 28.01.2019 au 31.02.2019 Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 29.01 au 31.01.2019, du 01.02 au 02.02.2019 et le 05.02.2019 Laparotomie exploratrice, sigmoïdectomie selon Hartmann, lavage abdominal avec 60 L, laparostome avec pression négative (VAC) le 29.01.2019 (Dr. X) Laparotomie de second look, laparostome avec pression négative (VAC) le 30.01.2019 (Dr. X) Laparotomie de révision, lavage, mise en place d'un filet PROLENE péri-fasciale, VAC laparostome avec pression négative (VAC) le 01.02.2019 (Dr. X) Laparotomie de révision, lavage, mise en place d'un filet PROLENE péri-fasciale, VAC laparostome le 03.02.2019 (Dr. X) Laparotomie de révision, lavage abdominal, fermeture partielle de la paroi abdominale et mise en place d'un laparostome avec pression négative (VAC) le 05.02.2018 (Dr. X) Cathéter artériel radial droit du 29.01 au 06.02.2019 Voie veineuse centrale jugulaire interne gauche dès le 29.01.2019 Sonde vésicale depuis le 29.01.2019 Sonde nasogastrique du 29.01.2019 au 06.02.2019 CT thoraco-abdominal le 28.01.2019 Pipéracilline-Tazobactam du 28.01.2019 au 10.02.2019 Ciprofloxacine/Metronidazole du 11.02.2019 au 13.02.2019 Noradrénaline du 28.01.2019 au 31.02.2019 Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 29.01 au 31.01.2019, du 01.02 au 02.02.2019 et le 05.02.2019 Ponction d'ascite le 29.01.2019 Laparotomie exploratrice, sigmoïdectomie selon Hartmann, lavage abdominal avec 60 L, laparostome avec pression négative (VAC) le 29.01.2019 (Dr. X) Laparotomie de second look, laparostome avec pression négative (VAC) le 30.01.2019 (Dr. X) Laparotomie de révision, lavage, mise en place d'un filet PROLENE péri fasciale, VAC laparostome avec pression négative (VAC) le 01.02.2019 (Dr. X) Laparotomie de révision, lavage, mise en place d'un filet PROLENE péri fasciale, VAC laparostome le 03.02.2019 (Dr. X) Laparotomie de révision, lavage abdominale, fermeture partielle de la paroi abdominale et mise en place d'un laparostome avec pression négative (VAC) le 05.02.2018 (Dr. X) Fermeture de l'aponévrose, mise en place d'un VAC sous-cutané le 08.02.2019 (Dr. X) Fermeture sous-cutanée le 12.02.2019 (Dr. X) Avis infectiologique le 12.02.2019 (Dr. X). CT thoraco-abdominal natif et injecté du 15.02.2019 avec lymphographie diagnostique par ponction percutanée des ganglions inguinaux et traitement malformation veineuse/lymphatique (Dr. X, Dr. X) Mise en évidence d'une importante collection de l'apex pulmonaire droit. Présence de 2 drains thoraciques en place mais ne rentrant pas en contact de cette collection. On visualise correctement la fuite de produit de contraste sur les 2 CT réalisés à 1 h de différence émanant probablement du ganglion supra-hilaire droit. Le reste des structures lymphatiques se présente normalement. La cisterna chyli n'est pas clairement visible mais semble se situer dans la région inter-aortico-cave dans la région L3. Présence d'une petite extravasation de produit de contraste au niveau des plis inguinaux, mais prédominant du côté droit. Au vu de cette présentation de cette collection, nous proposons de réaliser un drainage percutané. Repérage scanographique, le Dr. X met d'emblée un drain Safe-T Centesis 8 French dans cette collection en position correcte. Suture du drain à la peau et mise en place d'un pansement stérile. Procedure : Radiographie du thorax du 19.02.2019 (Dr. X) Comparatif du 15.02.2019. Par rapport au comparatif, nette diminution du chylothorax droit, notamment de la composante apicale droite précédemment décrite. Drain thoracique droit en place. Quelques petites atélectasies lamellaires à la base pulmonaire droite, sans foyer clairement visible. Pas de pneumothorax. Le poumon gauche se présente normalement. Le reste de l'examen est superposable. CT-Scan thoracique natif et injecté du 20.02.2019 (Dr. X) Par rapport au comparatif du 15.02.2019, mise en place d'un drain dans le chylothorax apical droit avec mise à plat de ce dernier. Pas d'embolie pulmonaire décelable. On retrouve un infiltrat micronodulaire et en verre dépoli diffus mais moins marqué du lobe supérieur droit résiduel, avec diminution de l'épaississement des septas interlobulaires (lymphœdème ?). Pas d'arguments pour un foyer infectieux. CT thoraco-abdominal 02.02.2019 Avis oncologique (Dr. X) CT thoraco-abdominal 14.02.2019 : Présence d'une hyperdensité spontanée circonférentielle (mesurant 10 mm au maximum) de l'aorte thoracique, s'étendant dès l'artère sous-clavière gauche (y compris) jusqu'à la bifurcation iliaque. Pas de rehaussement après injection de produit de contraste. Prise de contraste serpigineuse intra-murale dans la partie postérieure de l'aorte abdominale à hauteur du départ du tronc cœliaque. Thorax : le reste des structures cardiovasculaires est sans particularité mise à part quelques calcifications coronaires. Le tronc brachio-céphalique et les artères carotides communes sont sans particularité. Pas d'adénopathie médiastinale ou hilaire. Discrète lame d'épanchement pleural à gauche. Pas d'épanchement péricardique. Condensation basale dans le lobe inférieur gauche en probable rapport avec une atélectasie, sans qu'une surinfection ne soit exclue. Quelques comblements bronchiques dans la pyramide basale gauche. Hernie hiatale. Abdomen : le foie est de taille et de morphologie normale. Quelques lésions hypodenses correspondant probablement à des kystes biliaires simples notamment dans les segments II et III. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. Perméabilité des veines portes et hépatiques. Status post de cholécystectomie. Les surrénales et la rate se présentent normalement. Petite lésion kystique de 10 mm du corps du pancréas, sans franche communication visible avec le canal de Wirsung (DD : IPMN side branch ?). Les reins sont de taille et de morphologie normale. Volumineux kyste cortical d'aspect banal du rein droit mesurant 57 x 55 mm. Pas de dilatation pyélocalicielle. Vessie à parois fines. Pas de dilatation des anses grêles ou coliques. Pas d'anomalie de l'anastomose iléo-colique. Status post-hystérectomie et annexectomie bilatérale. Pas de liquide ou d'air libre intra-abdominal. Structures vasculaires : les artères digestives se présentent normalement et sont perméables. Petit anévrisme sacculaire de 7 mm de l'artère splénique en partie calcifié. Les artères rénales et les troncs iliaques sont sans particularité. Perméabilité du réseau vasculaire veineux. Structures osseuses : troubles dégénératifs du rachis dorso-lombaire prédominant aux deux derniers étages. Cunéiformisation de certaines vertèbres dorsales pouvant parler pour des anciens tassements. Hémangiome dans le corps vertébral de L3. CONCLUSION Par rapport aux examens comparatifs, on constate une majoration de la plage de consolidation périhilaire droite avec sténose majorée de la bronche lobaire moyenne et apparition d'une zone de nécrose du segment médial du lobe moyen. Ces altérations restent aspécifiques, sans qu'une composante tumorale associée ne soit exclue. Pour le reste, pas de changement de la plage de consolidation de l'apex pulmonaire gauche. Pour le reste, nette diminution de la masse probablement métastatique du pôle inférieur du rein gauche. Coprostase modérée du colon transverse et du colon descendant. Le reste de l'examen est superposable. CT thoraco-abdominal 15.02.2019 : Absence de progression ou d'augmentation de taille de l'hématome intramural de l'aorte descendante et abdominale. Absence d'argument en faveur d'une dissection ou d'une extravasation. Légère augmentation d'une sténose ostiale du tronc coeliaque, mesurée à 40%. Augmentation de l'atélectase du LIG, un foyer infectieux surajouté n'est pas exclu. CT thoraco-abdominal 21.02.2019 : Stabilité de l'hématome intra-mural disséquant de l'aorte descendante, sans signes de rupture ou d'ischémie des organes thoraco-abdominaux. On visualise de façon plus claire, la présence d'un petit anévrisme/pseudo-anévrisme d'une artère intercostale postérieure droite (série 3, image 79/515). Doute sur la présence d'un second petit anévrisme/pseudo-anévrisme sur une autre artère intercostale postérieure droite (série 3, image 109/515). Diminution de l'épanchement pleural gauche. Diminution également des atélectasies du lobe inférieur droit. Le reste de l'examen est superposable. Laboratoire : cf. annexes. CT thoraco-abdominal 14.02.2019 : présence d'une hyperdensité spontanée circonférentielle (mesurant 10mm au maximum) de l'aorte thoracique, s'étendant dès l'artère sous-clavière gauche (y compris) jusqu'à la bifurcation iliaque. Pas de rehaussement après injection de produit de contraste. Prise de contraste serpigineuse intramurale dans la partie postérieure de l'aorte abdominale à hauteur du départ du tronc coeliaque. Thorax : le reste des structures cardio-vasculaires est sans particularité mis à part quelques calcifications coronaires. Le tronc brachio-céphalique et les artères carotides communes sont sans particularité. Pas d'adénopathie médiastinale ou hilaire. Discrète lame d'épanchement pleural à gauche. Pas d'épanchement péricardique. Condensation basale dans le lobe inférieur gauche en probable rapport avec une atélectasie, sans qu'une surinfection ne soit exclue. Quelques comblements bronchiques dans la pyramide basale gauche. Hernie hiatale. Abdomen : le foie est de taille et de morphologie normale. Quelques lésions hypodenses correspondant probablement à des kystes biliaires simples notamment dans les segments II et III. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extrahépatiques. Perméabilité des veines portes et hépatiques. Status post de cholécystectomie. Les surrénales et la rate se présentent normalement. Petite lésion kystique de 10mm du corps du pancréas, sans franche communication visible avec le canal de Wirsung (DD : IPMN side branch ?). Les reins sont de taille et de morphologie normale. Volumineux kyste cortical d'aspect banal du rein droit mesurant 57 x 55 mm. Pas de dilatation pyélocalicielle. Vessie à parois fines. Pas de dilatation des anses grêles ou coliques. Pas d'anomalie de l'anastomose iléo-colique. Status post-hystérectomie et annexectomie bilatérale. Pas de liquide ou d'air libre intra-abdominal. Structures vasculaires : les artères digestives se présentent normalement et sont perméables. Petit anévrisme sacculaire de 7 mm de l'artère splénique en partie calcifié (image 85). Les artères rénales et les troncs iliaques sont sans particularité. Perméabilité du réseau vasculaire veineux. Structures osseuses : troubles dégénératifs du rachis dorso-lombaire prédominant aux deux derniers étages. Cunéiformisation de certaines vertèbres dorsales pouvant parler pour des anciens tassements. Hémangiome dans le corps vertébral de L3. CT thoraco-abdominal 28.01.2019 : quantité modérée, avec des épanchements suspendus prenant le contraste, associés à des épaississements pleuraux, notamment dans la partie antérieure du poumon droit et dans la région sus-diaphragmatique droite, faisant une empreinte sur le foie. Calcifications pleurales ddc. Infiltrat pulmonaire siégeant au niveau des deux lobes inférieurs. PET CT 07.02.2019 : absence d'hypercaptation au niveau pulmonaire. Avis pneumologique (Dr. X) le 28.01.2019 : plaques pleurales parlant pour exposition à l'amiante, d'allure bénigne. En absence de répercussion clinique, pas de nécessité de ponction. Attitude : • suivi clinique CT thoraco-abdominal 30.01.19 : Liquemine 4000 UI en bolus le 30.01.19 puis thérapeutique. Hospitalisation aux soins intensifs du 30.01.2019 au 01.02.2019. CT thoraco-abdomino-pelvien du 22.01.2019 : Par rapport au comparatif du 08.02.2016, apparition d'un épanchement péricardique relativement important ainsi que des épanchements pleuraux bilatéraux de quantité moyenne à gauche et de faible quantité à droite, associés à des atélectasies partielles des lobes inférieurs. Compte tenu du contexte d'insuffisance rénale chronique, un diagnostic de péricardique/pleurite urémique est possible (DD : péricardite infectieuse ? inflammatoire ?). Déposition de matériel d'haute atténuation au sein des atélectasies, aspécifique (DD : ossifications/calcifications idiopathiques ? aspiration de matériel dense ? médicamenteux ?). Discrète majoration des petites adénopathies rétropéritonéales et iliaques bilatérales qui restent néanmoins aspécifiques (DD : lymphome/leucémie indolente ?). Radiographies du thorax les 25.01.2019 et 29.01.2019. Echocardiographie les 22.01.2019, 25.01.2019, 29.01.2019, 01.02.2019, 04.02.2019. PET-CT le 06.02.2019 : Etage thoracique : diminution en taille de l'épanchement péricardique, stabilité des multiples adénopathies du médiastin. Stabilité de l'épanchement pleural gauche et des atélectases du lobe inférieur gauche au contact. Matériel spontanément hyperdense dans les lobes inférieurs ddc (matériel de broncho-aspiration ?). Etage abdominal : multiples adénopathies non captantes dans le rétropéritoine, en para-aortique gauche, avec une extension le long de l'axe iliaque commun gauche, d'aspect superposable. Dans les parties molles, ganglions de taille augmentée dans le pli inguinal ddc. Mise en évidence d'hypercaptations thyroïdiennes bilatérales suspectes, à investiguer. Mise en évidence d'une hypercaptation colique à proximité de la valve iléo-caecale, suspecte, à contrôler éventuellement au moyen d'une colonoscopie. Mise en évidence d'une légère hypercaptation surrénalienne gauche, en relation probablement avec le syndrome inflammatoire. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte d'éventuelle néoplasie.CT thoraco-abdomino-pelvien le 03.01.2019. Suivi clinico-biologique. CT thorax injecté le 29.01.2019 : Pas de foyer constitué, pas d'abcès ou nodule, emphysème important. VNI intermittente du 29.01.2019 au 31.01.2019 Oxygénothérapie à haut débit du 29.01.2019 au 31.01.2019 Meropenem du 29.01.2019 au 01.02.2019 Tamiflu du 29.01.2019 au 01.02.2019 Corticoïdes du 29.01.2019 au 31.01.2019 IOT dès le 31.01.2019 Cathéter artériel radial droit du 30.01.2019 au 01.02.2019 CT Time is Brain : plaque athéromateuse carotide int G, sans sténose ; pas d'asymétrie de perfusion, pas d'occlusion vasculaire Avis Dr. X, qui voit la patiente : pas d'indication à une lyse ni un transfert, pas de dose de charge, suspension Xarelto jusqu'à demain et réévaluation ; protocole AVC, avec lit strict 0-30°, IRM dès que possible (bon fait), échographie cardiaque, bilan lipidique et Hb glyquée CT Time is brain : En phase native, pas d'hémorragie intra ni extra-axiale. Doute sur une petite hypodensité cortico-sous-corticale post-centrale gauche au niveau du vertex (image 114), sans rupture de la barrière hémato-encéphalique sur la série injectée. Présence d'hypodensités sous-corticales et péri-ventriculaires compatibles avec de la leuco-araïose. Pas de signe d'hypertension intracrânienne. Élargissement des sillons corticaux et du système ventriculaire en lien avec une atrophie cortico-sous-corticale en rapport avec l'âge. En post i.v., pas de prise de contraste pathologique. Les sinus veineux sont perméables. La séquence angiographique met en évidence une athéromatose à prédominance calcifiée au niveau de la crosse aortique, des bifurcations carotidiennes et des siphons, sans sténose significative. Pas d'occlusion vasculaire intracrânienne. Aspect grêle du segment P2 de l'artère cérébrale postérieure gauche. Pas de lésion suspecte de la voûte crânienne de la base du crâne. Sinus paranasaux et cellules pétro-mastoïdiennes bien pneumatisés. CT Time Is Brain le 04.02.2019 : pas d'AVC hémorragique ou ischémique aigu. Multiples lésions séquellaires des deux hémisphères cérébraux. Keppra iv, Rivotril iv et Phénytoïne iv le 04.02.2019 Persistance de trouble de l'état de conscience avec Glasgow 3 Discussion avec la famille : soins de confort instaurés Dormicum et Morphine IV en continu dès le 04.02.2019 CT time is brain le 08.02.2019 IRM le 10.02.2019 ETT à prévoir Avis Neuro (Dr. X) : Ad lyse selon protocole + transfert aux SI pour surveillance neuro. Lit strict 0° CT time is brain le 09.02.2019 CT de contrôle à 24h le 10.02.2019 IRM prévue le 10.02.2019 Actilyse iv le 09.02.2019 Clopidogrel introduit le 10.02.2019 Clexane prophylactique depuis le 10.02.2019 Statine depuis le 10.02.2019 ETT, US doppler carotidien et Holter prévu pendant l'hospitalisation CT Time is brain le 23.02.2019 : Aspect diffusément ostéopénique de la calotte crânienne avec mise en évidence de multiples traits de fracture, le plus grand s'étendant de l'os frontal droit à l'os pariétal gauche au sein duquel on visualise de multiples autres traits de fracture certains s'étendant jusqu'à l'os occipital homo et controlatéral. Fracture longiligne de l'os temporal gauche sans extension à la mastoïde clairement visualisée. Hématome sous-dural fronto-pariéto-temporal gauche dont le diamètre maximal est estimé à 24 mm, provoquant un effet de masse sur le lobe frontal et pariétal homolatéral avec effacement des gyrus et de la fossa sylvii gauche, ainsi que déviation de la ligne médiane de 10 mm à droite. Cet hématome sous-dural provoque également un effet de masse sur le carrefour du ventricule latéral gauche avec effacement de la corne occipitale et temporale ipsilatérale. Effacement également de la citerne ambiante à gauche. Hémorragie sous-durale de la faux du cerveau s'étendant jusqu'au niveau de la tente du cervelet. Hémorragie sous-arachnoïdienne pariéto-occipito-temporale gauche et frontale droite. Foyers hémorragiques intraparenchymateux infracentimétriques siégeant dans le lobe pariétal gauche et dans la tête du noyau caudé à droite. Comblement hémorragique de la corne occipitale et temporale du ventricule latéral gauche, ainsi que de la citerne pontocérébelleuse associée à un effacement de la partie inférieure du quatrième ventricule. CT Time is brain le 23.02.2019 : Pas d'AVC constitué mis en évidence. Pas d'occlusion vasculaire artérielle. Pas d'hémorragie cérébrale. Atrophie cérébrale et leuco-araïose péri-ventriculaire. CT time is brain : Séquelles d'ancien AVC à droite. Occlusion artère cérébrale droite antérieure en distalité compatible avec un AVC ischémique constitué en frontal droit. Lésion non datable mais au vu de la constitution au moins 7-8 heures de temporalité non datable sur la base du CT. Carte de perfusion avec diminution globale du flux à droite compatible avec un phénomène épileptique. Rivotril 1 mg iv Keppra 1500 mg iv Avis téléphonique Dr. X : Appeler Bern pour évaluer l'indication à une thrombectomie ou une IRM en urgence. Planifier un EEG demain Avis téléphonique neurologue de garde à Bern : Après consultation du neuroradiologue de Bern et du neuro-interventionnel, l'obstruction de l'artère cérébrale antérieure a une allure chronique, il n'y a pas de signe direct ou indirect d'infarctus cérébral. L'asymétrie de perfusion à droite est due aux séquelles du précédent AVC en 2018. Att : Transfert aux soins intensifs pour la suite de la prise en charge CT time is brain : sténose carotide commune et interne gauche, sténose artère sous-clavière, anciennes lésions séquellaires Laboratoire ECG Avis neurologie (Dr. X/Dr. X) : actilyse bolus puis iv continu pendant 1h, débuté à 11h17, contrôle CT ou IRM demain, contrôle tensionnel CT TIME IS BRAIN 31.01.2019 : pas de lésion ischémique ni hémorragique, pas d'occlusion vasculaire, pas d'asymétrie de perfusion ; pas de lésion pré-cérébrale IRM cerveau 31.01.2019 présence d'une restriction de la diffusion touchant le bras postérieur de la capsule interne à droite. Sur les coupes FLAIR, il s'agit d'un discret hypersignal. Du côté gauche, en avant du thalamus, il y a également une petite anomalie de signal sur la diffusion mais il est difficile de dire s'il s'agit d'une vraie lésion ou d'un petit artefact Échocardiographie transthoracique 01.02.2019 Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG estimée à 75% (mode TM). Hypertrophie concentrique, Aorte normale. Valve aortique normale. Valve mitrale normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Cardiopathie hypertensive : introduire traitement, absence de communication inter-atriale, dans le doute ETO CT total body : minime pneumomédiastin infracarinaire (résultat après relecture CDC de radiologie). Avis chirurgical thoracique Dr. X : Co-Amoxi 2x 1g po/jour pendant 5 jours, radiographie du thorax le 28.02.2019. Vérifier les signes d'appel de médiastinite (état fébrile, syndrome inflammatoire). Recontacter les urgences HFR en cas de doute. CT Total Body le 11.02.2019 : pas de fractures (rapport oral) CT total body le 13.01.2019 à Yverdon : au niveau cérébral, pas d'hémorragie, sillon pariétal droit légèrement œdématié. Au niveau du thorax, épanchement D > G, pas de lésion traumatique. Au niveau de l'abdomen, effet de masse sous-diaphragmatique droit avec collection hématique, pas de lésion organique, pas de lésion traumatique. Au niveau des os, important remaniement dégénératif de la colonne et du bassin. Attitude : • suivi clinique CT total body le 17.02.2019 : Cou : Pas de lésion traumatique décelée. Thorax : Comblements bronchiques distaux et infiltrats micronodulaires au sein du segment antérieur du lobe supérieur droit et des segments postéro-basal et latéro-basal du lobe inférieur gauche. Abdomen : Pas de lésion traumatique des organes abdominaux. Emphysème sous-cutané paramédian gauche à la face antérieure du muscle droit de l'abdomen, avec infiltration des tissus graisseux sans hématome notable. Cuisse : Infiltration des tissus graisseux sous-cutanés à la face antérieure des deux cuisses sans hématome notable ni signe de saignement actif. CT de contrôle le 19.02.2019 : pas de nouvelle lésion visualisée. Pneumopéritoine en lien avec la laparoscopie récente. CT total-body 06.02.2019 Pipéracilline/Tazobactam du 06.02 au 12.02.19 CT total-body 06.02.2019 RX thorax 06.02.2019 RX thorax 12.02.2019 Mise en pause des anti-hypertenseurs de base (Metoprolol, Nifedipine) Remplissage Noradrénaline du 06.02 au 07.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 06.02 au 08.02.2019 Cathéter veineux central sous-clavier D du 06.02 au 08.02.2019 Pipéracilline/Tazobactam du 06.02 au 12.02.2019 Introduction Lisinopril 5 mg dès le 12.02.2019 Reprise Beloc Zok dès le 12.02.2019 CT-abdominal. Ciproxine 500 mg per os - 2 x/jour dès le 17.02.2019, à réévaluer le 21.02.2019 par vos soins. Avis Dr. X : RTUV, +/- pose de sonde double J le 21.02.2019. Aspirine 100 mg/jour en pause jusqu'à l'intervention. CT-angio le 28.01.2019 membre inférieur gauche : sténose du segment T3 de l'artère poplitée avec prolongation dans l'artère péronière, reprise des collatérales au niveau de l'artère tibiale post, pas d'opacification dans l'artère tibiale antérieure et péronière. Au niveau abdominal : image d'embolisation du parenchyme splénique, atrophie du rein gauche (chronique), thrombus dans le ventricule gauche moins visible comparé au dernier scanner. Angiographie le 28.01.2019 : recanalisation de l'artère poplitée distale, du tronc tibio-péronier et du départ de l'artère tibiale postérieure avec Rotarex 6 French. Angioplastie et stenting (Pulsar 6 x 30) de la partie distale de l'artère poplitée et du tronc tibio-péronier. Angioplastie de la partie proximale de l'artère tibiale postérieure. CT-cérébral avec contraste : multiples métastases avec œdème péri-lésionnel, dont une grosse métastase frontale D provoquant un effet de masse sur le système ventriculaire à D et des signes d'engagement de 9 mm avec déviation médiane sous falcienne. Thérapie : • Dexaméthasone 12 mg po Attitude : • Hospitalisation en médecine interne pour suivi clinique • Attitude : REA non, intubation non. CT-cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux (Dr. X) : sans particularité. Avis neurologique Dr. X : suivi clinique par le médecin traitant. Si persistance, à consulter en neurologie à l'HFR Laboratoire. Bécozyme, Bénerva 300 mg iv. CT-cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux : hémorragie pariéto-occipitale gauche, pas d'occlusion des vaisseaux pré-cérébraux, a. vertébrale G finissant en PICA, lésions séquellaires frontales et temporales G connues en comparaison avec CT et IRM de 2017. Pas d'anévrisme visualisé. Avis neurologique (Dr. X) : pas de carte de perfusion à faire. Avis neuro-chirurgien (Dr. X) : pas d'indication à une chirurgie de décompression, surveillance neurologique aux 4h, CT cérébral de contrôle le 06.02.2019 à 7h, Rivotril si crise d'épilepsie Avis soins intensifs (Dr. X) : pas d'indication à une hospitalisation en soins intensifs car pas de réanimation cardiaque, ni d'intubation (à l'exception pour don d'organe), donner PFC pour reverser la crise, stop Marcoumar Thérapie : • 1x PFC • Essai de transfert à Tavel échoué le 05.02 : refusé par Dr. X (chef de clinique). Surveillance neurologique aux 4h, puis aux 12h : dysarthrie légère persistante à la sortie CT-cérébral de contrôle le 06.02 : superposable au CT-Scan du 05.02 Retour en institution avec stabilité neurologique : • Rivotril 1 mg i.v. en cas de crise d'épilepsie • En cas de péjoration ou d'apparition de symptômes neurologiques nouveaux : reconsultation aux urgences. • Contrôle clinique à 1 mois par le médecin de l'institution. CT-cérébral et thoracique le 25.01.2019 Bronchoscopie le 26.01.2019 Bronchoscopie le 28.01.2019 (Dr. X) : bronches distales hyperhémiées, sécrétions non purulentes d'aspect blanchâtre et spumeux ETT le 28.01.2019 Cathéter artériel fémoral gauche du 25.01.2019 au 29.01.2019 Cathéter artériel radial droit du 29.01.2019 au 01.02.2019 IOT et ventilation mécanique du 25.01.2019 au 01.02.2019 VVC jugulaire interne gauche du 25.01.2019 au 01.02.2019 Atracurium du 26.01 au 28.01.2019 Ketalar du 29.01.2019 au 01.02.2019 Co-Amoxicilline du 25.01.2019 au 26.01.2019 Pipéracilline-tazobactam du 26.01.2019 au 27.01.2019 Lévofloxacine du 27.01.2019 au 02.02.2019 Métronidazole du 27.01.2019 au 02.02.2019 CT-cérébral injecté le 18.02.2019 : absence de saignement intracrânien. Multiples métastases aux étages supra- et infra-tentoriels avec majoration de l'œdème péri-lésionnel prédominant au pourtour de la plus volumineuse lésion frontale droite, provoquant un effet de masse sur les structures adjacentes avec déviation de la ligne médiane vers la gauche de 7 mm Majoration Dexaméthasone à 16 mg/jour Amélioration des symptômes CT-cérébral le 25.02.2019 Électroencéphalogramme le 25.02.2019 Clonidine du 22.02 au 23.02.2019 Dexmedetomidin 24.02.2019 Quetiapin 24.02.2019 Levetiracetam du 25.02.2019 au 26.02.2019 CT-cérébral natif : pas de saignement intra-crânien. Feuille de surveillance donnée au patient et aux agents de police. CT-cérébral natif. Avis téléphonique ORL (Dr. X) : rendez-vous en consilium ORL avec suivi dans 7 à 10 jours. Critères de reconsultation (hématome du septum) ont été expliqués à la patiente avec consignes de reconsulter immédiatement le cas échéant. CT-cérébral natif. Surveillance neurologique. CT-cérébral : pas de saignement. Laboratoire : CK 172 CKMB 59. RAD avec surveillance post-traumatisme crânien. CT-cérébral : pas d'hémorragie. Constat de coups et blessures au secteur ambulatoire des urgences aujourd'hui. Attitude : • Feuille neurologique donnée au patient avec informations. CT-cérébrale/colonne cervicale le 09.02.19 : Pas de lésion post-traumatique cranio-cervicale. Discarthrose et arthrose facettaire cervicale. CT-cérébrale/colonne cervicale le 09.02.19 : Pas de lésion post-traumatique cranio-cervicale. Discarthrose et arthrose facettaire cervicale. Radiographie colonne dorsale et lombaire du 09.02.19 : Fracture-tassement de D11 et L1 d'allure ancienne, stable par rapport au comparatif du 18.05.2017. Scoliose en S de la colonne vertébrale. Sclérose trachéo-bronchique. Radiographie du bassin le 09.02.19 : Pas de fracture mise en évidence. Coxarthrose bilatérale. Osteitis pubis. Phlébolithes. CT-Lymphographie le 15.02.2019 Sous CT le 15.02.2019, mise en place de drain thoracique antéro-médiastinal droit avec poche en déclive Adaptation de l'antalgie Poursuite du drainage aspiratif Suivi clinique, biologique et quantification du drain Reprise chirurgicale pour ligature du canal thoracique le 22.02.2019 (Dr. X) CT-massif facial. Antibiothérapie prophylactique par co-Amoxi 1 gr 2x/jour pendant 5 jours. Traitement anti-inflammatoire systémique et vaso-constricteur topique. Contrôle ORL dans 7-10 jours. Interdiction faite au patient de se moucher. Patient transféré en ambulance à l'Hôpital de Marsens, accompagné de la Police. CT-Scan : pas de mise en évidence de lésion ischémique ou hémorragique Avis Dr. X : • Cible tensionnelle avec max 180 de systole • Aspirine 250 mg i.v. • Surveillance aux soins • IRM à organiser • Bilan de l'hypertension à effectuer : ETT, fond d'œil • Début traitement anti-hypertensif CT-scan abdominal de contrôle avec consultation pour résultat du CT-scan. CT-scan abdominal du 05.02.2019 : Examen compatible avec une cholécystite associé à un réhaussement des voies biliaires extra-hépatiques, suspect de cholangite. Pas de lithiase radio-opaque décelée. Pas de dilatation des voies biliaires. Thrombose d'une branche de la veine porte dans le segment VIII. CT scan abdominal du 10.02.2019 : Diminution de la dilatation de la vésicule biliaire mais persistance de signes de cholécystite ainsi que de signes de cholangite. Apparition d'un léger œdème pancréatique et d'une légère infiltration de la graisse péri-pancréatique en faveur d'une pancréatite mais sans plage de nécrose ni coulée de nécrose (Balthazar C). La thrombose porte segmentaire droite est inchangée. Le reste est inchangé. CT scan abdominal du 15.02.2019 : Saignement actif digestif intra-luminal au départ du duodénum, au site de papillotomie. Le reste de l'examen est superposable au précédent. CT-scan abdominal du 29.01.2019 : Épaississement pariétal circonférentiel sténotique au départ du côlon ascendant. Stase stercorale du caecum associée à des signes de souffrance notamment dans sa partie postérieure avec absence de rehaussement pariétal, forte suspicion de pneumatose pariétale ainsi que quelques bulles d'air extra-digestives témoignant du caractère perforé de la souffrance caecale. Une origine vasculaire doit être retenue, en raison d'une maladie athéromateuse marquée des axes vasculaires viscéraux et notamment de l'artère mésentérique supérieure. ETO le 31.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Gradient moyen OG-VG à 9 mmHg. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3), d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,1 cm². Oreillette gauche discrètement dilatée, sans thrombus visible. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Ventricule droit non dilaté. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. CT-scan abdominal du 31.01.2019 : VVC jugulaire droite du 31.01.2019 au __. Cathéter artériel radial du 31.01.-01.02.2019. Opération en urgence le 31.01.2019 : Laparotomie avec résection segmentaire sigmoïde, anastomose descendo-sigmoïdienne manuelle, hémicolectomie droite avec CME, Split stomie colo-iléale, mise en place d'un pansement à pression négative sous-cutané le 31.01.2019. CT-scan abdominal le 21.01.2019. Prélèvements de prothèse per-opératoires le 24.01.2019 : Propionibactérium acnes. Laparotomie, explantation de la prothèse d'EVAR et pontage aorto-bi-iliaque le 24.01.2019. Pose de Picc-line le 31.01.2019. Céfuroxime 1.5 g le 24.01.2019. Ceftriaxone 2 g 1x/j du 24.01.2019 au 21.02.2019. CT-scan abdominal le 29.01.2019 : Épaississement pariétal circonférentiel sténotique au départ du côlon ascendant. Stase stercorale du caecum associée à des signes de souffrance notamment dans sa partie postérieure avec absence de rehaussement pariétal, forte suspicion de pneumatose pariétale ainsi que quelques bulles d'air extra-digestives témoignant du caractère perforé de la souffrance caecale. Une origine vasculaire doit être retenue, en raison d'une maladie athéromateuse marquée des axes vasculaires viscéraux et notamment de l'artère mésentérique supérieure. ETO 31.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Gradient moyen OG-VG à 9 mmHg. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3), d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,1 cm². Oreillette gauche discrètement dilatée, sans thrombus visible. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Ventricule droit non dilaté. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. CT-scan abdominal le 06.02.2019 : Volumineuse collection de densité hétérogène, partiellement spontanément hyperdense située en pré-péritonéal paramédian droit au contact de la splitstomie, d'extension sous-costale droite jusqu'à l'espace extra-péritonéal paravésical droit, mesurant approximativement 10 x 7 x 33 cm. Pas de saignement actif décelé. Lame de liquide libre dans la gouttière droite. Infiltration de la graisse intra-abdominale dans le flanc droit et le pelvis. CT-scan cérébral le 14.02.2019 : Absence d'argument franc pour un AVC ischémique ou hémorragique aigu. Présence d'une lésion sténosante significative du départ de l'artère carotide interne droite sur une plaque d'athéromatose calcifiée. Insuffisance cardiaque bilatérale avec épanchements pleuraux bilatéraux en augmentation par rapport au comparatif du 06.02.2019. Taille superposable de l'hématome de la paroi abdominale à droite avec cependant augmentation de son rehaussement périphérique (surinfection ?). Status post-éventration par mise en place d'un VAC. CT-scan abdominal natif : Compte tenu de l'absence d'injection de produit de contraste, le foie, le pancréas et la rate sont sp. Les 2 reins sont en place, de taille et d'épaisseur corticale, conservés, sans dilatation pyélocalicielle. Au niveau du groupe caliciel moyen du rein G, on retrouve un calcul non obstructif d'environ 3 mm de diamètre. La prostate est de taille dans les limites de la norme et l'on retrouve une petite calcification prostatique antéro-latérale D. Pas d'adénopathie, pas d'ascite. On retrouve des lésions dégénératives prédominant dans la partie inférieure du rachis dorsal avec des irrégularités des plateaux vertébraux (séquelles de maladie de Scheuermann ?). CONCLUSION : On retrouve un calcul intra-rénal G non obstructif, mais pas de calcul obstructif, notamment intra-urétéral visualisé. CT-scan abdominal natif et injecté : Le présent examen est comparé au CT-scanner abdominal du 09.02.2019. Par rapport au comparatif, on retrouve le nodule hypervasculaire, homogène, mesurant environ 15 x 11 mm dans le plan axial, situé juste en avant et en dedans des vaisseaux iliaques externes du côté droit, déjà hypervascularisé en phase artérielle, de taille et d'aspect inchangés. Pour le reste, l'examen est également superposable avec notamment une coprostase diffuse. CONCLUSION : Pas de changement significatif du nodule hypervasculaire en regard de l'artère iliaque externe droite. CT-scan abdominal 30.01.2019. Changement des sondes double J le 30.01.2019. Rendez-vous à la consultation de Dr. X à Meyriez le 18.03.2019 à 13h15 pour suite de prise en charge urologique (discuter des changements de double J tous les 3 à 6 mois versus intervention chirurgicale). CT-scan aux urgences. Conservation du gilet orthopédique. Physiothérapie avec mouvements pendulaires pour les 6 prochaines semaines. Mobilisation du coude libre selon douleurs. Consultation chez Dr. X dans 3-4 semaines pour discuter d'une prothèse inversée. CT-scan avec schéma lyonnais : TAGT à D à 11 mm et à 13 mm à G. CT-scan (bassin, reconstruction 3D) de ce jour : Montre une articulation de hanches qui est normale et congruente. En regard de la pointe du grand trochanter, nous sommes face à un corps étranger. Il s'agit certainement de l'une des ancres mises en place par Dr. X. Au niveau osseux du grand trochanter dans sa partie antérieure, on ne trouve aucune trace d'un trou dans l'os, où cette ancre pourrait avoir eu siéger préalablement. Par conséquent, nous ne sommes pas sûrs si cette ancre avait été mise dans l'os et si oui, où exactement elle s'est déplacée secondairement. Je ne trouve aucune trace d'une 2ème ancre selon le protocole opératoire de Dr. X.CT-scan cérébral et pulmonaire du 25.01.2019 : • Embolies pulmonaires lobaires, segmentaires et sous-segmentaires droites. • Bronchopathie chronique avec signe de bronchiolite et comblement au sein de la trachée et des bronches postéro-basales des deux côtés (décompensation BPCO, broncho-aspiration). • Condensation postéro-basale bilatérale, probablement en rapport avec des foyers infectieux (DD : broncho-aspiration). • Volumineux anévrisme de la terminaison carotidienne gauche, de 12.5 mm. • Absence d'hémorragie intra-cérébrale visible, sous réserve d'un examen réalisé précocement. ETT le 28.01.2019 : • Images compatibles avec un cœur pulmonaire acutisé probablement dans le contexte d'une embolie pulmonaire aiguë. • Dilatation importante VD, dysfonction sévère VD, septum paradoxal, D-shaping VG, signe de Mc Connel). • ECG dynamique avec signes de péricardite aiguë. CT-scan cérébral le 14.02.2019 EEG le 15.02.2019 : pas de foyer épileptique Avis neurologique (Dr. X) : début traitement par Lévétiracétam Lévétiracétam depuis le 15.02.2019, dose diminuée à cause de somnolence Discuter de la durée avec Dr. X CT-scan cérébral le 16.02.2019 : pas de saignement, pas de lésion ischémique récente, cartes de perfusion symétriques, pas de fracture, nodule de l'apex droit, épaississement circonférentiel de l'œsophage supérieur. Radiographie du 17.02.2019 : apparition de quelques opacités alvéolaires en projection de la plage pulmonaire inférieure gauche pouvant évoquer une origine infectieuse. Aspect élargi du médiastin en rapport avec la position couchée. Pas d'épanchement pleural clairement visible. EEG AVEC VIDEOGRAPHIE le 18.02.2019 : Description : activité de base de faible amplitude, d'environ 12 c/s. Survenue intermittente d'ondes thêta-delta dans les régions antérieures. Nombreux artéfacts de mouvements. CT-scan cérébral natif : absence de comparatif. Pas de fracture ni d'anomalie des tissus mous. Le parenchyme cérébral se présente normalement, sans lésion focale visible. Pas d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous- ou épidurale. Morphologie normale du système ventriculaire et des sillons cérébraux. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Les sinus de la face et les cellules mastoïdiennes sont libres. Déviation sinistroconvexe de la partie moyenne de la cloison nasale avec éperon voméroseptal. Les orbites sont sp. Selle partiellement vide. Les tissus mous sous-cutanés sont sp. CONCLUSION : pas de fracture ou de saignement intracrânien. (Dr. X). CT-scan cérébral natif : comparatif IRM du 29 décembre 2016. Pas de fracture ni d'anomalie des tissus mous. Le parenchyme cérébral se présente normalement, sans lésion focale visible. Pas d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous- ou épidurale. Morphologie normale du système ventriculaire et des sillons cérébraux. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Les sinus de la face et les cellules mastoïdiennes sont libres. CONCLUSION : CT scanner cérébral natif dans les limites de la norme. L'examen a été réalisé à l'hôpital de Riaz, et interprété en téléradiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg, avec transmission des résultats par téléphone au médecin en charge de la patiente. (Dr. X). CT-scan cérébral natif : les structures médianes sont en place. Le système ventriculaire est modérément dilaté. Les sillons corticaux modérément élargis. Pas de collection hématique juxta-osseuse ou intraparenchymateuse. Pas d'hémorragie méningée. Pas d'image de fracture de la boîte crânienne. Fracture déplacée des os propres du nez. Minime épaississement polypoïde ancien des sinus maxillaires. CONCLUSION : pas d'image de saignement cérébral. Atrophie cérébrale. Fracture déplacée des os propres du nez. (Dr. X). CT-scan cérébral natif et injecté : atrophie cortico-sous-corticale déjà avancée. Pas de signe d'AVC récent, notamment pas de dédifférenciation cortico-sous-corticale, ni d'effacement des sillons corticaux. Minime hypodensité de la substance blanche péri-ventriculaire compatible avec une leucoaraïose. Pas d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne, ni d'hématome sous-dural ou épidural. Pas de prise de contraste pathologique, notamment pour des métastases. Les sinus de la face sont bien pneumatisés, bien ventilés. CONCLUSION : atrophie cortico-sous-corticale déjà avancée, mais pas de signe d'AVC récent, ni de métastase cérébrale. (Dr. X). CT-scan cérébral 10.01.2019 : pas de signes d'hypertension intracrânienne. Difficile d'évaluer le cervelet sans comparatif. rééducation neuro pour le 23.01.2019 CT-scan cérébro-cervical natif et CT-scan de la colonne cervicale natif : examen réalisé sans injection de produit de contraste. Absence d'examen comparatif à disposition. • Crâne : pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Système ventriculaire et citernes de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas d'altération des sillons cérébraux. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. • Cervical : alignement antérieur et postérieur conservé. Absence de tassement/fracture des corps vertébraux. Tissus mous pré-vertébraux sans particularité. Apex pulmonaires sans particularité des deux côtés. CONCLUSION : absence de fracture du crâne ou de la colonne cervicale. Absence de saignement intracrânien. Examen dans les normes au vu de l'âge du patient. (X). CT-scan cérébro-cervico-thoracique le 27.02.2019 : pas d'hémorragie ni de lésion post-RCP. CT-scan cérébro-thoracique le 26.01.2019 Bronchoscopie et toilettage bronchique le 27.01.2019 Intubation oro-trachéale avec ventilation mécanique du 27.01 au 28.02.2019 Ventilation non-invasive du 28.01 au 04.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 27.01 au 31.09.2019 • Aérosols Atrovent et Ventolin • Prednisone 40 mg dès le 23.01.2019 (pour 5 jours) • Co-Amoxicilline du 27.01 au 31.01.2019 CT-scan cérébro-thoracique le 26.01.2019 Séjour aux soins du 26.01 au 31.01.2019 avec intubation • Prednisone 40 mg du 23.01 au 27.01.2019 • Co-Amoxicilline du 27.01 au 31.01.2019 • Aérosols Atrovent et Ventolin CT-scan cervico-thoraco-abdominal du 01.02.2019 : Intubation oro-trachéale sélective, se terminant dans la bronche souche droite. Embolie pulmonaire segmentaire latérale du lobe moyen, avec dilatation des cavités cardiaques droites. Épanchement pleural bilatéral de quantité modérée avec atélectasies passives et partielles des lobes inférieurs. Défaut de rehaussement du parenchyme splénique supérieur et inférieur, compatible avec des infarctus ; S/p gastrectomie totale, avec anastomose œsophago-jéjunale et jéjuno-jéjunale, sans complication. Lame d'épanchement dans le cul de sac de Douglas de densité à 66 UH pouvant être séro-hématique sans signe de saignement actif. Pas de lésion radiologiquement visible pouvant expliquer le stridor aigu avec détresse respiratoire. CT-Scan cervico-thoraco-abdomino-pelvien, le 04.02.2019 à 14h30. IRM neurocrâne le 07.02.2019 à 09h45. Rendez-vous de consultation oncologique chez Dr. X le 08.02.2019 à 13h00. CT-scan de contrôle déjà prévu le 27.02.2019 à 08H00. Rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires à 09h pour résultat de CT-scan. CT-scan de la colonne cervicale natif : alignement conservé des murs vertébraux. Pas d'image de tassement vertébral. Pas de signe de luxation vertébrale. Pas de signe de disjonction atloïdo-axoïdienne. Pas d'image de fragment osseux détaché en intra-canalaire. CONCLUSION : pas de lésion traumatique de la colonne cervicale. (Dr. X). CT-scan de la main et du poignet droit natif : absence de comparatif. Fracture intra-articulaire, plurifragmentaire, peu déplacée de l'extrémité distale du radius droit. Fracture intra-articulaire, non déplacée de l'extrémité distale de l'ulna droit, associée à une fracture de la styloïde. Importante chondrocalcinose carpienne et métacarpo-phalangienne. Ostéopénie diffuse. Tuméfaction des parties molles. (Dr. X). CT-scan des rochers du 05.11.2018 : conduit auditif externe libre. Membrane tympanique fine. Chaîne ossiculaire intègre. Cochlée complète. Pas d'anomalie des canaux semi-circulaires. Pas d'érosion osseuse. Pas de comblement des espaces épi-/méso-/hypotympaniques. Bonne couverture du nerf facial. Audiogramme tonal : surdité mixte avec composante de transmission. CT-scan des tissus mous du cou natif et injecté : lésion circulaire d'environ 17 mm de diamètre dans les tissus mous sous-cutanés du cou à droite, en regard de l'angle de la mandibule droite, superficielle au muscle platysma qui présente un aspect discrètement épaissi. La partie centrale de cette lésion présente une densité spontanée d'environ 12 UH avec un passage à 28 UH après injection i.v. de produit de contraste. Rehaussement de la périphérie de cette lésion. La graisse adjacente est infiltrée, avec un épaississement cutané également en regard. Pas d'infiltration notable du muscle masséter qui se trouve juste en dessous. Pas d'infiltrat la glande parotide dans le pôle inférieur est encore relativement à distance de cette lésion. Pas d'adénopathie jugulo-carotidienne de taille radiologiquement significative à droite ni à gauche. Filière aéro-digestive symétrique, sans lésion focale suspecte ni prise de contraste pathologique. Les cavités sinusiennes de la face et les cellules mastoïdiennes sont normalement pneumatisées. Les quelques coupes passant par la base du cerveau se présentent normalement. Les veines jugulaires internes, ainsi que les artères carotides des deux côtés sont perméables, sans anomalie notable. La colonne cervicale se présente normalement, sans lésion dégénérative significative. Sur les quelques coupes passant par les apex pulmonaires, pas de lésion focale suspecte. CONCLUSION : masse de 17 mm de diamètre, de localisation sous-cutanée, superficielle au muscle platysma, située dans le cou à droite en regard de l'angle de la mandibule, avec infiltration de la graisse adjacente, aspécifique. Dans le diagnostic différentiel, on pourrait évoquer une lésion cutanée tumorale (à centre nécrotique) ou abcédée. (Dr. X). CT-Scan dig III D : bonne congruence articulaire. Pont osseux partiel de la fracture. CT-Scan Dig V du 22.01.2019 : fracture consolidée. Matériel d'ostéosynthèse en place. CT-scan du genou et de la jambe gauche natif : examen comparatif du 16.02.2019. Examen réalisé sans injection de produit de contraste. Présence d'une fracture-impaction du plateau tibial latéral avec marche d'escalier de maximum 2,5 mm et déplacement minime des fragments. Pas d'autre trait de fracture visible. Lipohémarthrose. Reste des tissus mous sans particularité, sous réserve d'un examen réalisé en natif. (Dr. X). CT-scan du genou G : présence d'un kyste sur le condyle fémoral interne d'environ 1,5 cm x 2,5 cm. Présence d'autres kystes au niveau fémoro-rotulien et tibial. CT-scan du poignet droit natif : irrégularité de corticale polaire moyenne du scaphoïde avec solution de continuité évoquant une fracture récente non déplacée. Rapports articulaires du carpe, radio-ulno-carpien, carpo-carpien conservés. Pas d'autre lésion traumatique osseuse visible. (Dr. X). Radiographie du poignet droit : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé. Par rapport au comparatif du même jour, on ne visualise pas de déplacement primaire ou secondaire de la fracture du scaphoïde. (Dr. X). CT-scan du 11.02 : examen de qualité sous-optimale en raison d'artéfacts cinétiques dus aux mouvements de la patiente. Il a été décidé en accord avec les cliniciens de ne pas répéter l'examen et de garder l'enfant sous étroite surveillance. Pour le peu de structures analysables, on ne visualise pas de fracture du crâne. Pas d'hémorragie intracrânienne flagrante visible. Pas d'effet de masse sur le système ventriculaire qui est par ailleurs fin et symétrique. Pas de signe d'engagement. CT-Scan du 6.1.19 : thrombose paracentral amurée à l'artère pulmonaire gauche. Traitement par Eliquis. CT-scan et contrôle le 15.02.2019. CT-scan (hanche + cuisse G, mesures des longs axes des MI) du 29.01.2019 : St/p remplacement prothétique total des hanches des deux côtés. À gauche, la prothèse est bien en place sans déscellement. À noter un aspect excentré de la tête au sein de la cupule acétabulaire, discrètement ascensionnée, en faveur d'une usure du polyéthylène. Arthrose des compartiments fémoro-tibial externes et fémoro-patellaires au niveau des articulations des genoux des deux côtés. Longueur du fémur D : 386 mm Longueur du fémur G : 375 mm Longueur du tibia D : 358 mm Longueur du tibia G : 355 mm Antétorsion fémorale D : 7° Antétorsion fémorale G : 48° Torsion tibiale D : 48° Torsion tibiale G : 30° Angle condylo-malléolaire D : 41° Angle condylo-malléolaire G : 39° Rotation du genou D : 5° Rotation du genou G : 11° TAGT D : 12 mm TAGT G : 11 mm CT-scan (hanche droite) du 05.02.2019 : coxarthrose modérée bilatérale, avec rétrécissement de l'espace articulaire, des kystes en géode sous-chondrales et apposition osseuses ostéophytaires acétabulaires, plus marqué du côté droit, associé à un pincement fémoro-acétabulaire. Arthrose sacro-iliaque ddc, avec phénomène de vide discal. Chondrocalcinose de la symphyse pubienne. Enthésopathie calcifiante des insertions tendineuses sur la tubérosité sciatique ddc. Pas de fracture sur le volume exploré. CT-scan hanche G de ce jour : consolidation osseuse acquise. Mise en évidence d'un petit débord de cal osseux en antérieur et en postérieur. Petit kyste au niveau du cotyle postérieur. Pas d'autres lésions mises en évidence avec aucun signe de déscellement du matériel d'ostéosynthèse. CT-scan le 12.02.2019. Co-amoxicilline du 12.02.2019 au 18.02.2019. CT-scan le 15.02.2019. Consultation d'anesthésie le 15.02.2019. OP prévue le 19.02.2019. CT-scan natif du 10.02.2019 : pas de saignement intra-parenchymateux, fracture au niveau des sinus frontal des deux côtés et de la lamina papirazzia, doute sur atteinte du muscle droit de l'œil gauche médialement, pas de fractures des cervicales visualisées. Désinfection, anesthésie locale par Lidocaïne, rinçage abondant, exploration, champage, 6 points de suture Donati au 5-0. Rappel anti-tétanique. Co-amoxicilline 2.2g iv. Attitude • Co-amoxicilline 1g 3x/j p.o. • Triofan • Rinçages à l'eau salée • Surveillance neurologique aux 4h pendant 24h CT-scan natif Avis neuro-chirurgical (CHUV, Dr. X). Surveillance neurologique aux 4 heures. PC 2 x/jour. CT-scan : pas de signe de fracture ou d'hémorragie. Surveillance neurologique aux 2 heures. Feuille de surveillance donnée aux parents. CT-Scan thoracique (Dr. X) : embolie pulmonaire centrale avec inversion du rapport VD / VG et élargissement du tronc pulmonaire à 31 mm.POCUS cardiaque aux soins 24.02.2019 : dilatation ventricule droit, bonne fonction cardiaque ETT de contrôle 25.02.19 : Pas de dysfonction VD et VD de taille normale. Héparine 5000 UI, dose de charge, puis 32000 UI/24h Relai au Xarelto dès le 26.02.19 pour 3 mois avec contrôle des d-dimères chez le médecin traitant Reprise Béta-bloquant à demi-dose, à augmenter selon clinique Réévaluer reprise IEC CT-scan thoracique injecté du 26.02.2019 : décompensation cardiaque au stade de l'œdème alvéolaire associée à une cardiomégalie avec signe de surcharge cardiaque gauche (dilatation atriale gauche) et d'hypertension pulmonaire (tronc pulmonaire à 3.8 cm). Adénopathies médiastinales et hilaires à corréler à la décompensation cardiaque. Image d'anévrisme de l'aorte descendante proximale juste en aval de l'isthme aortique mesurant 49 mm avec une image d'encoche pariétale faisant suspecter une coarctation de l'aorte, dd une séquelle de dissection focale. Angio-CT aortique du 27.02.2019 : probable pseudo-anévrisme de la crosse de l'aorte directement en aval du départ de l'artère sous-clavière gauche avec distension focale jusqu'à 47 mm (DD : séquelles de rupture isthmique en rapport avec un ancien traumatisme au vu des anciennes fractures de côtes à droite ? Maladie du collagène ? Autre ?). Quelques ganglions agrandis dans le médiastin et hilaire droit, aspécifiques. Pas de sténose des artères rénales. Echocardiographie transthoracique du 26.02.2019 : dilatation du ventricule gauche avec une hypokinésie globale modérée, FEVG à 40 % (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valvulopathie mitrale : insuffisance mitrale sévère (grade 4/4), d'origine dégénérative, sur un flail leaflet (P2) et prolapsus du feuillet mitral postérieur (au moins P2). Oreillette gauche très dilatée. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Dilatation importante de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Valve pulmonaire normale. Minime épanchement péricardique. Echocardiographie trans-oesophagienne : VG légèrement dilaté avec dysfonction systolique modérée sur hypokinésie globale, FEVG à 45 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique homogène. Aorte ascendante normale. Aorte thoracique descendante modérément dilatée. Membrane de dissection localisée au niveau de l'aorte descendante avec anévrisme associé localisé de 41 mm, DD faux anévrysme. Le faux chenal est perméable, non thrombosé. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Il existe une insuffisance mitrale sévère (grade 3/3) sur flail P2 avec flail sur rupture de cordage. Absence de rétrécissement mitral. Oreillette gauche très dilatée, sans thrombus visible. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Ventricule droit non dilaté. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. IM sévère sur flail P2 sur rupture de cordage, expliquant l'OAP. Membrane de dissection localisée au niveau de l'aorte descendante thoracique avec anévrisme associé (DD pseudo-anévrisme). Aorte ascendante et valve aortique normales. Succès de cardioversion électrique à 1x150 J synchrone après exclusion de thrombus auriculaire. Propositions : • Référer Mr. Y au milieu universitaire en chirurgie cardiaque pour plastie de la valve mitrale et correction d'anévrisme et de la dissection type B de l'aorte descendante. • Ad coronarographie auparavant. • Chercher maladie systémique / vasculite. CT-scan thoracique le 14.02.2019 A recontrôler dans 6 à 12 mois CT-scan thoracique le 14.02.2019 CT-scan thoracique le 14.02.2019 Echocardiographie transthoracique le 15.02.2019 Ponction pleurale droite le 14.02.2019 : transsudat Analyse ProMed (cytologie du liquide pleural du 14.02.2019) : pas de cellules atypiques ou tumorales. Uniquement cellules lymphoïdes (rapport par téléphone => à pister rapport écrit) Cathéter artériel radial droit du 13.02.2019 au 19.02.2019 VNI du 13.02.2019 au 18.02.2019 Avis pneumologique (Dr. X) CT-scan thoracique le 15.01.2019 Ventilation non invasive du 15.01 au 16.01.2019 Surveillance aux soins intensifs du 15 au 16.01.2019 CT-Scan thoracique le 24.02.2019 : embolie pulmonaire centrale avec inversion du rapport VD / VG et élargissement du tronc pulmonaire à 31 ETT 24.02.2019 : dilatation ventricule droit avec bonnes fonctions ventriculaires ETT de contrôle le 25.02.2019 Héparine 5000 UI, dose de charge, puis 32000 UI / 24h CT-scan thoracique le 29.01.2019 Augmentation des troponines sans anomalies ECG Echocardiographie transthoracique le 29.01.2019 Echocardiographie transthoracique le 07.02.2019 Héparine i.v. continue le 29.01.2019 puis Clexane thérapeutique du 29.01.2019 au 18.02.2019 Eliquis 5 mg 2x/jour dès le 19.02.2019 (EP idiopathique, idéalement ACO à long terme, à rediscuter au vu du risque de chute et de saignement) CT-Scan Time is Brain : pas d'ischémie, pas d'hémorragie, vaisseaux perméables En ambulance : 2 mg Midazolam i.v. Aux urgences : • Keppra 1 g à 16h • Depakine 600 mg à 20h • Benerva 300 mg i.v. Avis neurologique (Dre X) : • Keppra 1 g à 16h • Depakine 600 mg à 20h puis Depakine 500 mg 3x/jour Bilan à prévoir : • IRM cérébrale • EEG • PL à réévaluer en cas de péjoration de la symptomatologie CT-Scan Time is Brain : pénombre temporo-occipitale avec zone d'infarcissement temporale d'environ 30 %. Occlusion nette à la jonction P2-P3 de l'artère cérébrale postérieure gauche. CT-Scan Time is Brain 11.02.2019 : pas d'ischémie, pas d'hémorragie, vaisseaux perméables Sérologie VIH et syphilis : négative Avis neurologique (Dr. X) : • Dose de charge de Keppra et de Depakine • Depakine 500 mg 3x/jour • Benerva IV • EEG 12.02.2019 : peu altéré, pas de foyer irritatif, bradyrythmie diffuse aspécifique • IRM cérébrale injectée le 13.02.2019 : absence de lésion focale suspecte de métastase. • Ponction lombaire 13.02.2019 : 1 élément, pas de protéinorachie ou de glycorachie Consultation épilepsie à la consultation de la Dr. X avec EEG le 14.05.2019 à 09h00 Poursuite du traitement de Dépakine 500 mg 3X/J avec schéma dégressif suivant : Si absence de crises et Na > 132 mmol/L depuis 2 semaines • Baisser à 2 X 500 mg/J pour 2 semaines • Si stable, baisser à 2 X 250 mg 2X/J pour les 2 semaines suivantes • Puis arrêt complet si absence de crises Mr. Y averti qu'il ne peut pas conduire pendant au minimum 3 mois et prochaine consultation le 14.05.2019. CT-scann cervicale du 22.02.2019 : pas de fracture visible. Arthro-CT du jour : pas de lésion osseuse évidente, ni ligamentaire (rapport radiologique pas disponible). CT-scann du 06.02.2019 : pas de signe de déscellement avec une prothèse qui est bien intégrée. Pas d'autre lésion mise en évidence. Un laboratoire qui montre un taux d'interleukine encore dans la norme et un taux de chrome cobalt également encore dans la norme. CT-scann du 11.02.2019 : fracture du scaphoïde consolidée. CT-scanner abdominal natif : compte tenu de l'absence d'injection de produit de contraste, le foie, le pancréas, la rate et les surrénales sont sp. Aucun calcul radio-opaque n'est objectivé dans la vésicule. Les deux reins sont en place, de taille et d'épaisseur corticale conservée et l'on visualise une dilatation pyélocalicielle du rein G, encore modérée avec un groupe caliciel moyen mesuré à environ 9 mm de diamètre, sur calcul pré-méatal de 6 x 5 x 5 mm. Pas d'ADP, pas d'ascite. Discrète irrégularité des plateaux des corps vertébraux dorsaux inférieurs, mais pas de lésion significative du rachis lombaire. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. CONCLUSION : dilatation pyélocalicielle encore modérée du rein G sur calcul pré-méatal d'environ 6 x 5 x 5 mm. (Dr. X) CT-scanner abdominal natif du 23.02.2019 : absence de comparatif. Examen réalisé sans injection de produit de contraste, en procubitus. Abdomen : mise en évidence d'un calcul radio-opaque (228 HU), mesurant 2 mm de diamètre, accolé à la paroi antérieure de la vessie, associé à une ectasie pyélocalicielle droite mesurée à 10 mm, ainsi que de l'uretère homolatéral, mesurant jusqu'à 7 mm de diamètre, compatible avec un passage de calcul. Pas d'argument radiologique pour une rupture de fornix. À noter la présence d'une irrégularité du parenchyme rénal de la lèvre postérieure à droite (dd : Séquelle de pyélonéphrite ?). Mise en évidence de deux autres calculs radio-opaques (347 HU), mesurant 3 mm de diamètre dans le groupe caliciel supérieur du rein gauche et 2 mm de diamètre dans le groupe caliciel inférieur du rein gauche, non obstructifs. Le rein gauche est de taille et de configuration normales, sans dilatation du système excréteur. Les structures uro-génitales ont une morphologie normale. Pour le reste, sous réserve d'un examen réalisé sans injection de produit de contraste, les morphologies des parenchymes hépatiques, spléniques, pancréatiques et surrénaliens se présentent normalement. Aucun calcul radio-opaque n'est objectivé dans la vésicule. Veine rénale gauche rétro-aortique. Présence de quelques calcifications de l'aorte abdominale, ainsi que de l'artère iliaque commune droite. Pas d'adénopathie, ni de liquide libre intra-abdominal. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique : absence de lésion nodulaire suspecte. Pas d'épanchement pleural. Osseux : absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. Rectitude du rachis thoraco-lombaire. CONCLUSION : présence d'une lithiase accolée à la paroi antérieure de la vessie, associée à une ectasie pyélocalicielle et urétérale droite, compatible avec un passage de calcul. Mise en évidence de deux autres calculs radio-opaques dans les groupes caliciels supérieur et inférieur du rein gauche, non obstructifs. Examen réalisé par télé-radiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg avec résultats transmis à 22h00 au Dr. X. CT-scanner cérébral natif (Dr. X) avis hématologique (Dr. X) : Ad Cyklokapron 1 g et Fibrinogène 2 g avis neuro-chirurgical (CHUV) : petite HSA droite postérieure de la vallée sylvienne, pas d'hémorragie parenchymateuse. Ad contrôle scannographique à 21 heures, cible tensionnelle > 160 mmHg TAS CT cérébral le 01.02.2019 : bonne évolution de la situation hémorragique CT-scanner cérébral natif (Dr. X) avis hématologique (Dr. X) : pas de guidelines pour les saignements post-lyse. Ad Cyklokapron 1 g et Fibrinogène 2 g avis neuro-chirurgical (CHUV) : petite HSA droite postérieure de la vallée sylvienne, pas d'hémorragie parenchymateuse. Ad contrôle scannographique à 21 heures, cible tensionnelle > 160 mmHg TAS Attitude aux urgences : • Trandate 5 mg i.v bolus • Cyklokapron 1 g i.v, Fibrinogène 2 g hémocompétent • Pantozol 80 mg i.v et par la suite 8 mg/h CT-scanner cérébral natif du 01.02.2019 : le système ventriculaire est de taille et de morphologie normales. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous-durale ou extra-durale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Pas d'hémorragie mise en évidence. Comblement des cellules ethmoïdales, épaississement muqueux modéré du sinus maxillaire ddc. Discret épaississement du sinus frontal. Le sinus sphénoïdal est normalement pneumatisé ainsi que les cellules mastoïdiennes. Pas de pneumorbite, pas de fracture des orbites. Orbites sans particularité. Pas de fracture du crâne. Tuméfaction des parties molles. CONCLUSION : scanner cérébral dans les limites de la norme, sans lésion hémorragique mise en évidence. Pas de fracture du massif facial et en particulier des orbites. (Dr. X) CT-scanner cérébral natif le 01.02.2019 à 14 heures puis à 21 heures Avis neuro-chirurgical (CHUV) le 01.02.2019 Avis hématologique (Dr. X) le 01.02.2019 : Ad Cyklokapron 1 g et Fibrinogène 2 g CT-scanner de la cheville/pied gauche du 02.02.2019 : fracture intra-articulaire de la base du 5ème métatarse, avec un fragment principal déplacé de 1 cm et des fragments millimétriques entre deux, associée à une infiltration des tissus mous en regard. Fracture avulsion de la base du 4ème métatarse sur le versant dorsal ainsi que de l'os cuboïde en regard, témoignant d'une atteinte de l'articulation de Lisfranc. Calcification à l'insertion du tendon achilléen. (Dr. X) CT-scanner de l'épaule D et G le 06.02.2019 à 08h00 puis IRM épaule D le 15.02.2019 à 14h45 et épaule D le 18.02.2019 à 10h15. Contrôle à la consultation du Dr. X le 20.02.2019 à 08h00 pour discussion des résultats des investigations rx et suite de prise en charge. CT-scanner des hanches ddc : ostéolyse dans la partie postérieure du cotyle à gauche en augmentation en comparaison aux images de 2011. Probable fracture de la vis dans le cotyle à gauche. Ostéolyse autour de la tige proximale. RX genou G face, profil et rotule axiale du 11.12.2018 : absence de fracture. IRM genou G : hématome important extra-articulaire localisé à la face interne de la cuisse d'une taille d'environ 15 x 3 cm. Absence d'épanchement intra-articulaire. Pas de lésion méniscale visualisée. Ligaments croisés antérieur et postérieur intacts. CT-scanner du 06.02.19 : signe de fasciite nécrosante touchant le périnée et la cuisse gauche. Hémocultures du 06.02.18 : en cours. Consilium Infectiologique (Dr. X) Meropenem 1 g le 06.02.19 puis 500 mg 2x/jour du 07.02.19 au 10.02.19 Protocole de soins palliatifs avec pompe de Fentanyl et Dormicum en réserve. CT-scanner et prochaine consultation le 01.03.2019. CT-scanner genou D : 2 vis : vis proximale extra-osseuse. 2ème vis intra-osseuse. Excroissance proéminente avec pseudarthrose rotule externe. Arthrose tricompartimentale débutante. CT-scanner poignet D : consolidation partielle de la fracture. Marche d'escalier articulaire du fragment central d'environ 1 mm. Diastase SL. Matériel en place. CT-thoracique du 22.02.2019 : absence d'embolie pulmonaire visualisée jusqu'en sous-segmentaire. Présence d'un infiltrat micronodulaire pan-lobaire avec quelques consolidations dans le lobe supérieur droit, le lobe moyen et la lingula, correspondant à des foyers infectieux, associées à des adénopathies médiastinales et hilaires. Signes de surcharge pulmonaire. Atélectasies passives et partielles des lobes inférieurs, possiblement surinfectées. Présence de fractures costales bilatérales, sans pneumothorax. CT-cérébral du 25.02.2019 : hypodensité étendue au sein de la substance blanche périventriculaire, profonde et sous-corticale compatible avec une leucoaraïose de stade Fazekas III. Pas de lésion focale corticale décelée. Absence de saignement intracrânien. Électroencéphalogramme du 25.02.2018 : probable encéphalopathie post-anoxique avec état de mal non convulsivant. CT-thoracique injecté le 11.02.2019 Anticoagulation par héparine thérapeutique dès le 11.02.2019 avec relais le 13.02.2019 par Xarelto 15 mg 2X/J pour 3 semaines, puis 20 mg par jour à vie. CT-thoracique le 26.02.2019 : pas d'embolie pulmonaire. Énoxaparine thérapeutique dès le 26.02.2019. Ponction pleurale droite le 26.02.2019 : transsudat, cytologie en cours. ETT le 26.02.2019 : FEVG 40 %, hypertrophie ventriculaire gauche, oreillette gauche très dilatée. Coronarographie à prévoir. CT-thoracique le 26.02.2019 Angio-CT-aortique le 27.02.2019. • CT thoraco-abdominal : prise de contraste de la paroi du pyélon et, sous réserve de la présence d'une sonde vésicale, épaississement pariétal de la vessie, devant correspondre à une cystite associée à une pyélite. Par ailleurs, collection rétro-péritonéale péri-rénale gauche fusant le long du muscle psoas gauche, évoquant un urinome qui peut être surinfecté au vu de la prise de contraste périphérique. • Pose de sonde vésicale : Avis urologique (Dr. X) : antibiothérapie par Rocéphine, contrôle par US dans 3-4 jours. Pas d'indication à drainage étant donné levé d'obstacle. • Urotube : Klebsiella pneumoniae, sensible à Ceftriaxone. • 2 paires d'hémocultures à froid : négatives. • US de contrôle le 09.02 : Pas de dilatation des voies urinaires des deux côtés. La collection péri-rénale gauche est difficilement évaluable sur cette modalité d'examen. CT thoraco-abdominal du 11.12.2018 : À l'étage thoracique : volumineux épanchement pleural droit. Zones de consolidation et de verre dépoli dans le LSD, le LID et le LSG, d'allure infectieuse en premier lieu, à suivre. À l'étage abdominal : lésion d'allure tumorale de l'angle colique gauche sur un segment de 7 cm. Multiples adénopathies, certaines nécrotiques, coeliaques, rétropéritonéales, péri-pancréatiques et mésentériques. Ascite dans les quatre quadrants. Hépatomégalie stéatosique avec un parenchyme hépatique très hétérogène. On retrouve des séquelles de thrombose porte gauche, celles-ci ayant un aspect filiforme. Signes de pancréatite chronique. • Cubicine Soins locaux jusqu'à cicatrisation complète acquise. • Culture de selles : Clostridium douteux, Toxine A/B -, toxine gênée ADN -. PCR Shigella/EIEC + Culture Shigella négative. Retour à domicile (a déjà pris 6x750 mg de Ciprofloxacine sur 3 jours). Conseil d'hygiène des mains expliqués. Symptômes d'alarme expliqués. • Culture de selles et recherche de Clostridium : négatifs • Compensation des pertes de l'iléostomie et hydratation i.v et per os Lopéramide dès le 21.01.2019 Optifibre dès le 22.01.2019 Sandostatine s.c. dès le 22.01.2019 Pantozol dès le 24.01.2019 Normolytoral • Culture de selles et recherche de rota / adénovirus Buscopan 1x/ en réserve Normolytoral Pérentérol sachets • Culture des drains Radiographie thoracique le 19.02.2019 CT-Scan thoracique le 20.02.2019 Ad oxygénothérapie Ad Sandostatine refusée par le patient Poursuite de la physiothérapie respiratoire • Culture des expectorations prélevées le 05.06.2019 : Staphylococcus aureus multisensible Ad Co-amoxicilline 2.2 g 3x/j du 06.01.2019 au 13.01.2018 Physio respiratoire Bronchoscopie et lavage broncho-alvéolaire le 10.01.2018. • Culture d'expectorations : flore mixte Hémocultures 22.02.19 : négatives Antigènes urinaires : négatifs Ceftriaxone du 22.02 au 25.02.19, relais au Co-Amoxi jusqu'au 01.03.2019 Tamiflu du 22.02 au 26.02.2019 Clarithromycine le 22.02.2019 Isolement gouttelette du 22.02.2019 au 26.02.2019 Physiothérapie respiratoire et de désencombrement CT ambulatoire à distance à évaluer avec pneumologue traitant • Culture d'expectorations Hémocultures Antigènes urinaires : négatifs Aux urgences : • Rocéphine 2 gr i.v. • Klacid 500 mg p.o. • Culture d'expectorations le 28.01.2019 : Flore bucco-pharyngée Dépistage VIH le 28.01.2019 Gazométries artérielles le 27.01.2019, 31.01.2019 et 4.02.2018 Radio Thorax ap lat le 1.2.19 : ETT le 1.2.19 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Légère épaississement des 2 feuillets mitraux. Insuffisance mitrale minime. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche modérément dilatée. Les cavités droites sont de taille à la limite supérieure de la norme. Fonction systolique du ventricule droit normale. Cavités droites discrètement dilatées. Insuffisance tricuspide minime. Discrète hypertension pulmonaire avec PAPs estimée à 37 mmHg. Absence d'épanchement péricardique. Pas de passage de microbulles au repos ni à la manœuvre de Valsalva. En résumé : La fonction systolique globale et segmentaire du VG est normale. Les cavités droites sont de taille à la limite supérieure de la norme. Discrète hypertension pulmonaire avec PAPs estimée à 37 mmHg. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Pas de passage de microbulles au repos ni à la manœuvre de Valsalva. Gazométrie artérielle le 4.02.19 : à faire • Culture d'expectorats le 21.01.2019 : positive au Moraxella Catarrhalis sensible au Co-Amoxicilline • Culture du 8.02 positive pour E.Coli sensible à la nitrofurantoïne. Poursuite de l'antibiothérapie par nitrofurantoïne. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Symptômes d'alarme expliqués. • Culture d'urine du 30.1.19 : 10^6 bactéries, E.coli et Pseudomonas aeruginosa (avec sensibilité partielle à la levofloxacine) Réévaluer une désescalade de l'ATB sur du Ciprofloxacine. • Culture d'urine le 08.02.2019 : 10E6 flore mixte (probable contamination) Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j du 08.02 au 12.02.2019 • Culture en cours • Culture urinaire en cours • Culture urinaire positive à Providencia stuartii Ceftriaxone du 27.01 au 29.01.2019 puis Ciproxine du 29.01 au 04.02.2019 sur avis infectiologique et après résultats de culture urinaire. • Cultures de selles et recherche toxines Clostridium difficile négatives le 20.02.2019. • Cultures expectorations le 11.02.2019 : Haemophilus influenzae et Pseudomonas aeruginosa. Pipéracilline/Tazobactam du 12.02 au 17.02.2019. • Cupulolithiase du canal semi-circulaire postérieur droit. • Cupulolithiase le 16.07.2017. Trouble abdominal d'origine indéterminée, diagnostic différentiel : constipation, changement de traitement psychiatrique. Syndrome de nerf cubital coude droit. Cure du nerf cubital et transposition intramusculaire coude D (OP le 06.07.2017). Gastrite et oesophagite, le 11.11.2017. Neuropathie nerf cubital gauche. • statut post neurolyse et transposition sous musculaire nerf cubital gauche le 16.01.2017 • Cure anévrisme de l'aorte abdominale il y a 4-5 ans (hôpital Daler, Dr. X) Résection transuréthrale de la prostate Fixation colonne cervicale pour fracture Multiples hernies discales Fracture ouverte phalange distale D1 avec luxation de l'ongle pied droit Fracture ouverte D2 avec luxation de l'ongle pied droit Multiples exacerbations BPCO • soins intensifs du 03.05 au 05.05.2017 Tachyarythmie supraventriculaire sur flutter auriculaire le 08.10.2013 avec : • score CHADS-VASc : 2 Lobectomie supérieure droite en 2002 pour un carcinome épidermoïde • au CT thoracique du 02/2013, pas d'argument pour une récidive • dernière exacerbation de BPCO le 03.05.2017 • oxygénothérapie à domicile prescrite, mais non prise par le patient depuis plus de 4 ans • sous Spiriva, Symbicort • suivi par Dr. X (pneumologue) Poursuite de la médication habituelle Exacerbation BPCO sur bronchite sur BPCO sévère stade IV selon GOLD le 30.10.2018 : • épanchement cloisonné apical D • critères d'Anthonisen : 3/3 • Ceftriaxone 2 g i.v. du 31.10 au 04.11.2018 • Clarithromycine 500 mg p.o. du 31.10 au 02.11.2018 • Co-amoxi 1 g 2x/j, du 04.11 au 07.11.2018 • Levofloxacine 2x 500 mg le 07.11.2018 • Co-amox le 08.11 au 12.11.2018 • Céfépime du 12.11 au 13.11.2018 • Bactrim forte 2x/j du 13.11 au 20.11.2018 • Prednisone 50 mg du 31.10 au 04.11.2018 et du 08.11 au 12.11.2018 • Inhalation bronchodilatateurs en réserve • Physiothérapie respiratoire • Laboratoire • Gazométrie artérielle le 30.10.2018 : insuffisance respiratoire globale • 2 paires d'hémocultures le 30.10.2018 : négatives à 5 jours • Antigènes urinaires Légionelle + pneumocoques : négatifs • Radiographie de thorax le 30.10.2018 • Rx thorax le 07.11.2018 • CT scanner le 08.11.2018 : pas de foyer infectieux • Culture expectorée le 09.11.2018 : Achromobacter sp, ABgramme : S au Bactrim forte 2x/j pdt 7j pour éradication • Avis infectiologie : Bactrim forte 2x/j pdt 7j pour éradication • Cure d'anévrisme de l'aorte abdominale il y a 4-5 ans (hôpital Daler, Dr. X) • Résection transurétrale de la prostate • Fixation colonne cervicale pour fracture • Multiples hernies discales • Fracture ouverte phalange distale D1 avec luxation de l'ongle pied droit • Fracture ouverte D2 avec luxation de l'ongle pied droit • Multiples exacerbations BPCO • soins intensifs du 03.05 au 05.05.2017 • dernière exacerbation le 30.10.2018 • Cure d'anévrisme de l'aorte abdominale il y a 4-5 ans (hôpital Daler, Dr. X) • Résection transurétrale de la prostate • Fixation colonne cervicale pour fracture • Multiples hernies discales • Fracture ouverte phalange distale D1 avec luxation de l'ongle pied droit • Fracture ouverte D2 avec luxation de l'ongle pied droit • Multiples exacerbations BPCO • soins intensifs du 03.05 au 05.05.2017 • dernière exacerbation le 30.10.2018 • Cure d'anévrisme de l'aorte abdominale il y a 4-5 ans (hôpital Daler, Dr. X) • Résection transurétrale de la prostate • Fixation colonne cervicale pour fracture • Multiples hernies discales • Fracture ouverte phalange distale D1 avec luxation de l'ongle pied droit • Fracture ouverte D2 avec luxation de l'ongle pied droit • Multiples exacerbations BPCO • soins intensifs du 03.05 au 05.05.2017 • dernières exacerbations en octobre 2018 et février 2019 • INR supra-thérapeutique à >5.5 le 05.02.19 et à 4.7 le 06.02.19 • Cure d'anévrisme infra-rénal par une prothèse de type tube droit le 21.01.2019 • Angio-CT de contrôle le 31.01.2019 • Cure de canal carpien • Excision d'un kyste ovarien • Appendicectomie en 1981 • Syndrome néphrotique le 20.2.2018 sur probable néphropathie diabétique • Cure de canal carpien • Excision d'un kyste ovarien • Appendicectomie en 1981 • Syndrome néphrotique le 20.2.2018 sur probable néphropathie diabétique • Cure de canal carpien • Excision d'un kyste ovarien • Appendicectomie en 1981 • Syndrome néphrotique le 20.2.2018 sur probable néphropathie diabétique • Cure de cataracte bilatérale. • Cure de chimiothérapie • Cure de cryptorchidie gauche comme enfant • Hémangiome au niveau du foie • Globe vésical avec anurie le 09.12.18 • Cure de cryptorchidie gauche durant l'enfance. • Hémangiome au niveau du foie. • Globe vésical avec anurie le 09.12.18. • Cure de hernie cicatricielle médiane sous et sus-ombilicale avec filet rétro-musculaire le 09.02.2016. • Iléus grêle le 13.03.2017 avec status post-iléus sur bride en 2013 et 2015. • Iléus grêle sans signe de souffrance sur status adhérentiel dans la région infra-ombilicale en regard de la paroi antérieure en novembre 2015. • Laparotomie médiane avec adhésiolyse extensive du grêle le 22.06.2013 pour iléus sur adhérences/bride. • Appendicectomie. • Candidose orale le 12.07.2012. • Infection urinaire basse à E. Coli ESBL résistant à la ciproxine. • Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec clairance de la créatinine à 30 ml/min d'origine prérénale. • Cure de hernie discale lombaire L3-L4 en 1991. • Douleur thoracique avec dyspnée. • Douleur thoracique musculo-squelettale le 31.01.2017. • Douleur thoracique musculo-squelettique le 15.04.2017. • Cure de hernie discale L4-5 G par foraminotomie large avec microdiscectomie L4-5 le 05.05.2010 • Pose d'un U interépineux L4-5 le 09.06.2010 • Infiltration épidurale 2013 • Cystopexie 1980 et hystérectomie • Cure de varices MID 1980 • Cure de hernie discale (1999) • Colectomie gauche sur diverticulite • Appendicectomie • Amygdalectomie • Cure de hernie hiatale en 2012 • Méningite en 1992 • Cure de hernie inguinale. • Cure de hernie inguinale bilatérale selon Lichtenstein le 22.02.2019 • Cure de hernie inguinale bilatérale selon Lichtenstein par filet ProGrip le 28.08.2014 (Dr. X). • Cure de hernie ombilicale par fermeture en paletot le 28.08.2014 (Dr. X). • Infection urinaire, versus prostatite/pyélonéphrite en 2012. • Troubles de la déglutition dans le contexte de la maladie de base. • Cure de hernie inguinale bilatérale. • Status post-cure d'éventration. • Cure de hernie inguinale droite • Opération pour fracture de la clavicule et de l'épaule gauche • Fractures costales • Neuropathie périphérique axonomyélinique et sensitivo-motrice d'origine indéterminée sur pied tombant droit en 09/2015 • Probable neuropathie péronière d'origine compressive au passage du col fibulaire droit surajoutée avec : • IRM cérébrale et angio-IRM pré-cérébrale du 17.09.2015 (Clinique X) : lésion millimétrique pariétale postérieure G correspondant à un petit accident ischémique récent embolique • Pneumonie basale droite nosocomiale précoce le 25.08.2016 • Décompensation cardiaque gauche sur insuffisance mitrale modérée le 29.01.2018 • Cure de hernie inguinale droite • Opération pour fracture de la clavicule et de l'épaule gauche • Fractures costales • Neuropathie périphérique axonomyélinique et sensitivo-motrice d'origine indéterminée sur pied tombant droit en 09/2015 • Probable neuropathie péronière d'origine compressive au passage du col fibulaire droit surajoutée avec : • IRM cérébrale et angio-IRM pré-cérébrale le 17.09.2015 (Clinique X) : lésion millimétrique pariétale postérieure G correspondant à un petit accident ischémique récent embolique • Pneumonie basale droite nosocomiale précoce le 25.08.2016 • Décompensation cardiaque gauche sur insuffisance mitrale modérée le 29.01.2018 • Cure de hernie inguinale • 2 opérations au niveau de l'œil D il y a quelques années. • Excision testicule G il y a quelques années. • Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole externe cheville G par plaque antiglide le 29.12.2016 pour une fracture type Weber B de la malléole externe G. • Cure de hernie inguino-scrotale droite selon Lichtenstein • Cure de hernie inguino-scrotale gauche selon Lichtenstein en 2012 • Résection transurétrale de la prostate • Varices aux deux membres inférieurs sur incontinences de la grande veine saphène des deux côtés : • le 19.01.2015, Dr. X, Dr. X : crossectomie et stripping de la grande veine saphène gauche jusqu'au niveau du genou. Crossectomie et stripping de la grande veine saphène droite jusqu'à 37 cm du sol. Phlébectomies aux deux membres inférieurs, sous anesthésie générale • Hémorragie d'une varice malléolaire interne gauche suturée le 15.09.2015 • Cure de hernie lombaire à deux reprises. • Phakectomie bilatérale. • Hystérectomie pour un carcinome de l'utérus. • Chute le 28.10.2018 dans un contexte de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. • Status post-ostéosynthèse par clou Gamma long pour fracture complexe du fémur proximal droit, avec composante du col fémoral latéral et inter-trochantérienne le 31.10.2018. • Oedèmes des membres inférieurs dans un contexte de remplissage pour rhabdomyolyse et de multiples transfusions sanguines. • Éruption cutanée dorsale d'origine indéterminée (probable réaction allergique cutanée) le 07.11.2018. • Cystite simple à E. Coli le 15.11.2018. • Cure de pouce à ressaut, main droite. • Cure de pseudarthrose pilon tibial D, biopsies, greffe autologue prélevée à la crête iliaque D et OS pilon tibial par plaque LCP 4.5 (OP le 25.01.2019) • Traitement par pansement VAC Renasys dès le 25.01.2019, changement les 28.01. puis le 01.02.2019, ablation le 04.02.2019. • Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 25.01. au 04.02.2019 • Co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. dès le 04.02.2019, jusqu'au 11.02.2019 • Microbiologie peropératoire du 25.01.2019 : nég. à J5 • Analgésie par cathéter périnerveux périphérique du 24.01. au 28.01.2019, gérée par les anesthésistes Cure de récidive de hernie inguinale bilatérale par laparoscopie avec pose de filet ddc le 13.07.2018 Cure hernie inguinale D + vasectomie en 2013 Palpitation Dissection traumatique de l'artère vertébrale D (V2-V3) avec lésion ischémique cérébelleuse homolatérale en 0§/2012 Sinusite maxillaire aiguë D en 01/2012 Syncope avec contusion du crâne 1/2011 Cure hernie inguinale G en 2003 Cure de récidive de varices des membres inférieurs le 01.04.2016. Lésion oesophagienne, candidose oesophagienne, oesophagite de reflux. Lithiase vésiculaire avec status post-cholécystectomie laparoscopique et adhésiolyse le 07.09.2016, Dr. X. Trois accouchements par voie basse. PTH droite en 2009. PTG droite en 2007. Cure bilatérale de varices des membres inférieurs en 1995. Cure de tunnel carpien D (2008) Décompression nerveuse - épaule D (2008) Cure de tunnel carpien droit en 2010. Cure d'hallux valgus droit en 2009. Strumectomie en 2003. Epaule droite : lésion du tendon sus-épineux. Le 10.11.2011, Dr. X : suture de la coiffe, acromioplastie, bursectomie sous-acromiale, ténolyse et ténodèse du long chef du biceps. Cure de varicocèle il y a 6 à 7 ans. Entorse du ligament collatéral interne du genou gauche. Cure d'éventration selon Rives le 01.02.2019 avec adhésiolyse de 120min Cure d'éventration selon Rives le 13.02.2019 Antalgie péridurale depuis le 13.02.2019 Céfuroxime depuis le 13.02.2019 jusqu'à l'ablation des redons Anticoagulation prophylactique Cure d'éventration selon Rives le 13.02.2019 Péridurale du 13.02 au 17.02.2019 Céfuroxime intraveineux 1.5 g du 13.02.2019 au 19.02.2019 (ablation des redons) Cure d'hallux valgus et excroissance osseuse de la malléole interne D. Episode maniaque dans un contexte de trouble bipolaire : • Hospitalisée à Marsens depuis le 05.06.2018 en PLAFA. Cure d'hallux valgus gauche le 21.01.2019. Appendicectomie dans l'enfance. Cure d'hémorroïde en 1998 Cure d'un schwannome thoracique en 1967 Cure d'hémorroïde en 1998. Cure d'un schwannome thoracique en 1967. Cure d'hernie abdominale selon Rives le 06.02.2019 Cure d'hernie inguinale bilatérale selon Lichtenstein en décembre 2015 Gastrectomie sur anse en Y selon Roux en 2003 Résection gastrique partielle Billroth-II pour ulcère en 1997. Cure d'hernie inguinale D en 1996. Douleurs thoraciques G reproductibles à la palpation le 01.05.2013. Otite moyenne perforée en 2014. Cure d'hernie inguinale droite. Cure d'hernie inguino-scrotale droite selon Lichtenstein Cure d'hernie inguino-scrotale gauche selon Lichtenstein Résection transurétrale de la prostate Varices aux deux membres inférieurs sur incontinence de la grande veine saphène des deux côtés : • Le 19.01.2015, Dr. X, Dr. X : crossectomie et stripping de la grande veine saphène gauche jusqu'au niveau du genou ; crossectomie et stripping de la grande veine saphène droite jusqu'à 37cm du sol ; phlébectomies aux deux membres inférieurs, sous anesthésie générale ; hémorragie d'une varice malléolaire interne gauche suturée le 15.09.2015 Cure d'hernie ombilicale avec filet le 22.02.2019 Cure d'hernie ombilicale par laparoscopie le 04.02.2019. Cure d'ongle incarné selon Kocher, face latérale de l'hallux droit. AVP avec coups du lapin en janvier 2019. Cure du tunnel carpien droit en octobre 2012 Prothèse totale de genou gauche le 06.03.2012 Cholécystectomie par laparoscopie le 14.02.2008 Cure d'une hernie inguinale droite Résection gastrique pour ulcère perforé non daté Cure d'hydrocèle Anémie hyporégénérative ferriprive avec Hb à 85 g/l sur spoliation digestive le 15.11.2017 Pneumonie basale droite le 28.05.2018 sur broncho-aspiration probable avec : • crachats hémoptoïques chez un patient sous sintrom • CURB-65 à 2 pts (âge et urée) Plaie superficielle tibiale gauche le 28.05.2018 Cure d'une hernie inguinale droite Résection gastrique pour ulcère perforé non daté Cure d'hydrocèle Anémie hyporégénérative ferriprive avec Hb à 85 g/l sur spoliation digestive le 15.11.2017 Pneumonie basale droite le 28.05.2018 sur broncho-aspiration probable avec : • crachats hémoptoïques chez un patient sous sintrom • CURB-65 à 2 pts (âge et urée) Plaie superficielle tibiale gauche le 28.05.2018 Cure hallux valgus en mini-invasif à D et à G (OP le 25.01.2019) Cure hernie inguinale dans l'enfance Appendicectomie Cholécystectomie Tendinoplastie pour talalgie 2x Thrombose de la veine fémorale commune et superficielle droite au point de ponction de la coronarographie 2006 Status post-bypass gastrique en 2015 Trouble sensitivo-moteur des membres supérieurs sur possible décompensation peropératoire d'un canal cervical étroit le 14.12.2015 • IRM cervicale à Cimed en 2008 Hernie interne sur bride unique au niveau de l'anastomose pied de l'anse avec laparoscopie exploratrice, résection bride et révision grêle en urgence le 26.01.2018 (Dr. X) Douleur thoracique probablement d'origine pariétale le 03.05.2018 Cure hernie inguinale droite dans l'enfance APP et amygdalectomie Pancréatite aiguë : • sur calcul enclavé post-cholécystectomie le 21.05.2015 • sur pancréas divisum Lithiase vésiculaire symptomatique le 12.04.2015 avec cholécystectomie laparoscopique le 12.04.2015 Cure hernie inguinale droite dans l'enfance APP et amygdalectomie Pancréatite aiguë : • sur calcul enclavé post-cholécystectomie le 21.05.2015 • sur pancréas divisum Lithiase vésiculaire symptomatique le 12.04.2015 avec cholécystectomie laparoscopique le 12.04.2015 Cure hernie inguinale en 2013. APP. Probable néphrolithiase droite, le 14.05.2014. Cure hernie inguinale gauche selon Lichtenstein le 10.08.2018. Bronchopneumonie communautaire para-cardiaque inférieure droite le 05.05.2016. Broncho-aspiration le 17.03.2016 lors de l'ERCP. Zona thoracique le 16.03.2016. Atélectasie base poumon droit possiblement surinfectée le 14.01.2016. Thrombose de la veine porte en janvier 2016, anticoagulée jusqu'en avril 2016. Tuberculose traitée en 2001. Status post-excision d'un kyste au niveau rétro-péritonéal à gauche non daté. Cure Intratect 0.4 g/kg/j pour une durée de 2 jours (du 19.02 au 20.02.2019) Adaptation des doses de Prednisone (Prednisone 20 mg/j jusqu'au 01.03.2019, puis 1 jour sur 2 à 15 mg) Poursuite du Bactrim 3x/semaine Prochaine cure prévue les 18.03 et 19.03.2019 à l'hôpital de jour de l'HFR Meyriez en ambulatoire Cure syndrome tunnel carpien D en août 2017 Curetage et hystéroscopie en 2017 • Ablation d'un polype utérin Curetage évacuateur le 26.02.2019 Analyse anatomopathologique du matériel de curetage (ArgotLab) Analyse génétique (caryotype) du matériel de curetage (Chuv) Syntocinon 10 UI sur 4 heures en post opératoire Curetage évacuateur sous anesthésie générale le 14.02.2019 Envoi du matériel en analyse anatomopathologique Groupe sanguin : O Rhésus positif Curetage interrupteur sous AG le 23.10.2018 CVVHDF du 04.02.2019 au 05.02.2019 : sans problème Cathétérisme cardiaque gauche - droit à planifier dès que possible au décours du syndrome inflammatoire ! Cyanose, perte de contact Cyklokapron 1gr Cymbalata dès le 20.02.2019 RX hanche et fémur D le 14.02.2019 PET-CT du 5.12.18 (relu par radiologue le 20.02.2019) : hernie discale au niveau L4-L5, canal lombaire étroitPhysiothérapie Sera convoqué au centre d'antalgie pour éventuelle infiltration • Cyphoplastie L1 en 2015. Status post-fractures des deux poignets, de la clavicule et de l'épaule. • Cyphoplastie L2 par SpineJack 5.0 bipédiculaire avec ciment Cohésion 2,5 cc (OP le 21.01.2019) Diagnostic anatomopathologique (biopsie L2 du 21.01.2019) - Rapport Promed du 24.01.2019 (en annexe) : pas de composante inflammatoire aiguë, pas d'abcès, pas de tissu néoplasique malin, pas de métastase • Cyphose et scoliose dextro-convexe. • Cystite • Cystite à Escherichia coli (ESBL) sensible à la Nitrofurantoïne le 03.02.2019. • Cystite aiguë non compliquée le 17.11.2013. Probable aura migraineuse. Douleur basithoracique gauche de probable allure musculo-squelettique. BBD le 09.12.2016 de nouvelle apparition. Douleurs en FID d'origine X. • Cystite aiguë simple le 17.02.2019 • Cystite aiguë simple, le 24.02.2019. • Cystite compliquée à C. albicans le 20.01.2019. • Cystite compliquée chez patient porteur d'une sonde vésicale avec leucocytose asymptomatique le 15.02.2019 à 19,6 G/L, subfébrile • Cystite (DD : microbiurie aseptique) • Cystite E.coli résistant à Gentamycine et Bactrim. Vulvite d'origine mycotique Virose respiratoire supérieure • Cystite hémorragique le 06.02.2019. • Cystite hémorragique non compliquée le 13.02.2019. • Cystite hémorragique simple. • Cystite le 08.02.2019. • Cystite le 15.02.2019. • Cystite non compliquée le 08.02.2019. • Cystite non compliquée traité par MONURIL le 24.02.2019. • Cystite probable • Cystite récidivante le 03.02.2019. • Cystite simple • Cystite simple à germe indéterminé, premier épisode d'infection urinaire. • Cystite simple le 07.02.2019. • Cystite simple le 20.02.2019. • Cystite simple le 23.02.2019 Cystites à répétition. Deux accouchements par voie basse. Appendicectomie dans l'enfance. Tumeur papillaire de la vessie de bas grade de malignité (G2) non invasif (pTa G2 selon TNM) le 29.10.2014 traitée par TURP Cystites à répétition • Infection urinaire basse à E. coli ESBL en janvier 2015 Status post-COP (cryptogenic organizing pneumonia), en 2001 Anaphylaxie au Mabthera Carcinome épidermoïde in situ du membre inférieur gauche excisé en totalité le 24.09.2009 Cystites itératives • Ostéosynthèse du fémur proximal PFNA sur fracture pertrochantérienne D, le 03.10.2015 • Cystite nosocomiale simple à E. Coli multisensible Embolie pulmonaire sub-lobaire (lobe inférieur droit) dans le contexte thromboembolique post chirurgie de la hanche droite Anticoagulation par Clexane puis passage au Xarelto 20 mg pendant 3 mois au total. Cysto prostatite en 2006 Fracture du col fémoral PTH G par voie antérieure mini-invasive le 12.10.2016 sur coxarthrose invalidante Amygdalectomie Chute mécanique de sa hauteur avec trauma crânien et rhabdomyolyse le 06.01.2019 avec : • Fracture du processus transverse de D8 à droite • Fracture-tassement d'allure pathologique du corps vertébral de D9 • Fracture pathologique de l'arc postéro-latéral de la 6ème côte à gauche Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine mixte sur déshydratation et rhabdomyolyse le 10.01.2019 avec FE Na : 0.4% Hypothyroïdie subclinique le 10.01.2019 Broncho aspiration sur fausse route le 17.01.2019 avec : • Test de la déglutition dans la norme • Adaptation du régime par épaississement des liquides • Co-Amoxicilline 2.2g iv 4x/j du 17.01.2019 au 18.01.2019 • Rocéphine 2g du 18.01.2019 au 25.01.2019 Urticaire à la Co-Amoxicilline le 18.01.2019 ECA le 22.01.2018 sur origine mixte (hypocalcémie sur biphosphonate 4mg le 17.01.2019 et néoplasique) • Haldol 0.5mg 3x/j en R dès le 24.01.2019 Cystocèle et rectocèle en 2012 Possible psoriasis en 2015 Cure de hernie inguinale gauche en 1994 Cystofix en place pour globe vésical à répétition Cystoscopie avec TURP et TURV le 04.01.2019 Relais par Liquémine thérapeutique en post-opératoire Cystoscopie (équipe de gynécologie) Antibioprophylaxie par Zinacef 1.5g du 13.02.2019 au 15.02.2019 Cytolise hépatique. Cytologie Cytologie urinaire le 1.02.2019 Consilium néphrologique le 31.02.2019 suite : cystoscopie chez Dr. X le 13.02.2019 à 14h Cytolyse et cholestase nouvelles secondaires à obstruction des voies biliaires par métastases pancréatiques le 28.01.2019 Cytolyse hépatique d'origine indéterminée • DD prise de stéroïdes Cytolyse hépatique d'origine médicamenteuse (stéroïdes) Cytolyse hépatique et cholestase le 08.02.2019 avec hyperammoniémie le 11.02.2019 Cytolyse hépatique sur foie de stase au décours le 16.01.2019 Cytoponction : liquide citrin trouble, 68248 éléments, PNM 88%, cristaux positifs. Colonne lombaire : lésions dégénératives multi-étagées du rachis lombaire en relation avec l'âge du patient avec notamment de petites réactions ostéophytaires. Petite scoliose dextro-convexe. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Calcifications artérielles encore modérées et coprostase diffuse. Genou gauche : gonarthrose tri-compartimentale en relation avec l'âge du patient, prédominant au niveau fémoro-patellaire. On retrouve des calcifications méniscales correspondant à un signe de chondrocalcinose. Calcifications artérielles. Genou droit : gonarthrose tri-compartimentale en relation avec l'âge du patient. Lésion contenant des calcifications qui paraît en contact avec le condyle fémoral et le ménisque externe avec également des calcifications de ce dernier, pouvant entrer dans le cadre de la chondrocalcinose. Pas d'épanchement articulaire. Calcifications artérielles. CT genou/jambe gauche natif 23.02.2019 : ostéopénie diffuse. Aspect sclérosé et remanié du plateau tibial externe, sans clair trait de fracture visualisé. Arthrose tricompartimentale prédominante nettement au niveau des compartiments fémorotibiaux avec gros kystes souschondraux. Calcifications méniscales bilatérales prédominant au sein du ménisque externe. Épanchement intra-articulaire modéré. Pas d'infiltration des tissus mous. Exostose située sur le versant du condyle tibial latéral. Calcifications vasculaires du réseau jambier. C3J1 le 26.02.2019 Xeloda per os du J1 au J15 Pas d'Avastin lors du C3 Hospitalisation aux SI pour surveillance lors du C4 et C5 Prévoir contrôle chez Dr. X avant sortie C4 dans la norme pister anticorps anti-péroxydase Proposition : Contrôle chez rhumatologue traitant Pister FAN D'accord avec le patient, nous allons voir l'évolution durant les 3 prochains mois puis, nous déciderons si une éventuelle arthrodèse entrerait en considération. Prochain contrôle dans 3 mois. Dactylite IV orteil gauche le 17.02.2019 dans le contexte de syndrome SAPHO. DD : • ostéite, arthrite psoriasique. Dafalgan / Algifor en réserve Dafalgan / Algifor en réserve Normolytoral si diarrhées ou vomissements Dafalgan / algifor en réserve Sédiment urinaire : sp Culture en cours Dafalgan / Algifor Avis téléphonique Dr. X IRM en externe selon convocation Revient aux urgences si réveils nocturnes, vomissements ou augmentation des céphalées Dafalgan. Serim physiologique dans les fosses nasales. Dafalgan, adaptation de la dose en sirop dose 16kg x 3/j en réserve pas de crèche cette semaine (y va 1 j seulement le mercredi) amoxicilline 60 mg/kg/J : 4 ml/200 mg : 6 ml x 3/j 7 j contrôle tympan gauche à la fin du traitement continuer lavage de nez sérum phy et triofan lavage yeux compresses eau bouillie + tobrex collyre 4 x/J dans chaque œil 5 j algifor 7,5 ml x 3/j 4 j • Dafalgan, Algifor • Dafalgan, Algifor • Dafalgan, Algifor • Dafalgan, Algifor • Dafalgan, Algifor • Dafalgan, Algifor • Dafalgan, Algifor • Dafalgan, Algifor • Dafalgan, Algifor, application de glace Contrôle pédiatre si absence d'amélioration • Dafalgan, Algifor, Contrôle chez le pédiatre • Dafalgan, Algifor Contrôle chez le pédiatre si absence d'amélioration • Dafalgan, Algifor Consultation si péjoration clinique • Dafalgan, Algifor Contrôle pédiatre à 7 jours de fièvre ou avant si péjoration clinique • Dafalgan, Algifor Contrôle pédiatre si écoulement nasal purulent • Dafalgan, Algifor Contrôle pédiatre si persistance • Dafalgan, Algifor Huile de lavande sur le thorax • Dafalgan, Algifor Hydratation fractionnée • Dafalgan, Algifor lavement avec 1/2 Freka-Clyss • Dafalgan, Algifor Suivi chez le pédiatre • Dafalgan au besoin • Dafalgan au besoin • Dafalgan en réserve Contrôle si baisse état général ou persistance état fébrile à 48 h Fractionner l'alimentation • Dafalgan et Algifor en R • Dafalgan et augmenter la dose : passer à du sirop, pour ce soir mettre 2 suppo de 150 mg si fièvre algifor 8 ml x 3/j si fièvre - douleur stix urinaire : neg, urocult en cours vu les antécédents • Dafalgan et mefenacid en réserve Nasivin 3 x/jours Contrôle chez vous le lundi, 04.02.2018 • Dafalgan, Irfen, Sirdalud. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. • Dafalgan, Irfen, Algifor. • Dafalgan, médecine complémentaire • Dafalgan, Nasivin Récurrence d'une détérioration de l'état général, de signes d'essoufflement, de fièvre persistante ou de nouveaux symptômes. • Dafalgan (posologie adaptée) Algifor • Dafalgan pour confort (max toutes les 6 heures) Préférer aliments tièdes de consistance souple Signes de déshydratation devant motiver une nouvelle consultation bien expliqués • Dafalgan si fièvre Consignes de surveillance données aux parents • Dafalgan si fièvre Consignes de surveillance données aux parents • Dafalgan si fièvre Consignes de surveillance données aux parents • Dafalgan suppo 150 mg 4 x/j en R Algifor sirop 10 mg/kg/dose 3 x/j en R Reconsulter si péjoration ou EF plus de 72 h Surveiller hydratation • Dafalgan suppo 300 mg 4 x/j en R Algifor sirop 10 mg/kg/dose 3 x/j en R Surveiller hydratation Reconsulter si péjoration de l'état général ou EF > 72 h • Dafalgan susp. Perenterol 250 sachet. Normolytoral Contrôle si péjoration. • Dafalgan 1 g aux urgences Surveillance neurologique CT-scan cérébral le 03.02.2019 (normal) Arrêt scolaire jusqu'au 06.02.2019 avec repos Arrêt de sport pour 2 semaines Contrôle à votre consultation le 06.02.2019 • Dafalgan 1 g max 3 x/jour si douleurs, Novalgine 500 mg, max 4 x/jour si douleurs Rx bassin à la permanence avec contrôle médical le 08.02.2019 à 11 h • Dafalgan 1 g max 4 x/j Xyzal 5 mg 1 x/j • Dafalgan 15 mg/kg Algifor 10 mg/kg • Dafalgan 15 mg/kg Algifor 10 mg/kg • Dafalgan 15 mg/kg Algifor 10 mg/kg Santasapina sirop 5 ml • Dafalgan 15 mg/kg/dose 4 x/j en R et Algifor 10 mg/kg/dose 3 x/j en R Contrôle à 48 h si persistance état fébrile ou avant si péjoration état général. Pas de stix urinaire réalisé vu clinique d'angine virale, mais à réaliser si persistance état fébrile. • Dafalgan 270 mg 4 x jour si fièvre Algifor 180 mg 4 x jour si fièvre • Dafalgan 4 x/j AINS 3 x/j • Dafalgan 4 x/j AINS 3 x/j Triofan 2 x/j • Dafalgan 4 x/j Algifor 3 x/j Reconsulte à 48 h si persistance des douleurs • Dafalgan 4 x/j Algifor 3 x/j Reconsulte si pas d'amélioration à 48 h • Dafalgan 500 mg 4 x/j Algifor 10 mg/kg 3 x/j Amoxicilline 80 mg/kg/j en 3 doses pendant 7-10 jours • Dafalgan 500 mg (2 sachets à 250, ne prend pas les cp) donné ici et 2 pour la maison algifor augmentant la dose 17 ml ce soir avant de dormir si douleur surveillance : revient ou cs pédiatre si vomissements répétés, fièvre, douleur majorée • Dafalgan 80 mg en réserve Contrôle chez vous dans deux jours Plus tôt en cas d'une détérioration de l'état général, de signes d'essoufflement, d'une mauvaise hydratation ou de nouveaux symptômes. • Dafalgan 80 mg iR qu'une fois, s'il a besoin de plus, il faut revenir Retour en cas de détérioration de l'état général, d'essoufflement, de mauvais comportement de consommation ou de fièvre supérieure à 38,5 °C Contrôle des urines quand il est plus malade • Dafalgan 80 mg suppositoire max toutes les 6 heures Contrôle chez le pédiatre dans 36 heures (le 08.02) si persistance de la fièvre • Dafalgan AINS • Dafalgan Algifor • Dafalgan Algifor • Dafalgan Algifor • Dafalgan Algifor • Dafalgan Algifor • Dafalgan/algifor si état fébrile • Dafalgan Algifor Bande élastique Arrêt de sport 7 jours • Dafalgan Algifor Consultation pédiatre si otalgie • Dafalgan Algifor Contrôle clinique à 24 h 03.02.19 FSC, CRP RX thorax Contrôle clinique à 24-48 h • Dafalgan Algifor Reconsulte à 48 heures si persistance • Dafalgan Algifor Reconsulte si pas d'amélioration à 48 heures • Dafalgan Contrôle chez le pédiatre • Dafalgan. Ponstan. Sirop antitussif. • Dafalgan, Algifor Amoxicilline 25 mg/kg 2 x/j, 10 jours • Dafalgan, Algifor Amoxicilline 25 mg/kg 2 x/j, 10 jours • Dafalgan, Algifor Contrôle chez le pédiatre dans 48 h si persistance de la fièvre à plus de 40 °C • Dafalgan, Algifor • Daflon 500 mg. Procto-Glyvenol 3 x/j. • Daktarin • Daktarin gel durant 10 jours Consignes usuelles muguet • Daktarin gel oral. Dafalgan et Algifor si nécessaire. • Daktarin gel 10 jours Consignes usuelles muguet (traiter seins mère et stériliser tétines/biberons) • Daktarin gel 10 jours Consignes usuelles muguet Contrôle dans 48 h chez pédiatre pour évaluer l'évolution Consignes usuelles déshydratation • Daktarin gel 3 x/j jusqu'au 24.02 • Daktarin gel 4 x/jour 10 jours Multilind 4 x/jour 10 jours Consignes usuelles muguet • Dafalgan Algifor systématique durant 24 h. Consultation pédiatre si persistance des douleurs • Mr. Y est un patient de 15 ans qui se présente aux urgences pédiatriques le 23.02.2019, en raison de douleurs localisées dans le testicule droit. Les douleurs ont débuté de façon lancinante 5 h avant l'arrivée à l'hôpital. Le patient explique avoir reçu un coup dans les testicules quelques heures auparavant alors qu'il jouait avec un camarade. L'examen clinique met en évidence un testicule droit douloureux et œdémacié en position de surélévation en comparaison contra-latérale. Le diagnostic de torsion testiculaire est avancé et l'indication opératoire est posée. Le patient bénéficie d'une réduction de torsion testiculaire droite et d'une orchidopexie bilatérale. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples. L'évolution étant favorable, Mr. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 25.02.2019. • Mr. Y, en bonne santé habituelle, est hospitalisé en Pédiatrie pour réhydratation intraveineuse dans un contexte d'une gastro-entérite à rotavirus. Il présente des diarrhées abondantes en grosses quantités, raison pour laquelle, nous mettons en place une perfusion intraveineuse à son arrivée avec des besoins d'entretiens et compensation des pertes digestives iv et po. La diminution des pertes digestives nous permet la diminution des apports intraveineux avec la stimulation de la réhydratation orale. Il présente une diurèse conservée tout au long de son séjour. Sur le plan métabolique, Mr. Y a présenté à l'entrée une acidose métabolique sévère sans troubles électrolytiques avec amélioration et normalisation de ses troubles métaboliques au cours de son hospitalisation. Il présente également un syndrome inflammatoire accompagné d'une leucocytose et d'une déviation gauche (leucocytes 20.6 G/L). Sur le plan infectieux, Mr. Y présente un état fébrile persistant lors de sa sortie. Une analyse de selles met en évidence le Rotavirus. Au vu de l'amélioration des prises orales et la normalisation des signes cliniques, nous décidons d'un retour à domicile le 25.02.2019 avec contrôle si reprise des diarrhées abondantes et impossibilité de compensations des pertes. Dans ce contexte, je préconise une infiltration de nouveau au niveau de l'articulation AC. En cas de bons résultats suite à cette infiltration, je vais rediscuter de l'option thérapeutique d'une résection AC. Je propose que nous revoyons la situation dans 6 mois afin de décider si nous lui mettrons des semelles à 3 points. Dans cette situation, au niveau distal où il y a eu la suture, la situation se passe très bien. C'est la partie proximale qui a probablement subi une surcharge avec la course à pied. On lui conseille de reprendre ses activités sportives progressivement avec une pause pour récupération entre deux. D'autre part, je lui fais une ordonnance pour la physiothérapie, US local. Prochain contrôle dans 3 mois. Il faut clairement calmer le jeu en arrêtant le traitement de physiothérapie. Prescription d'une crème Traumaplant pour massage local. Mr. Y va faire une auto-mobilisation de son épaule. Je préconise un contrôle dans 2 semaines, sans traitement de physiothérapie jusque-là. Prolongation de l'arrêt de travail pour 2 semaines. Je pense qu'il faut vraiment limiter l'épaisseur de l'hyperkératose afin d'améliorer la situation de Mme. Y qui devrait également marcher afin de ne pas trop perdre la musculature. Prochainement, il est prévu qu'elle soit hospitalisée en rhumatologie. Vu qu'il s'agit d'une lésion de Stener, l'indication opératoire est donnée. J'informe Mme. Y du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 26.2.2019. Dans la situation actuelle et sur conseil de Mr. Z, nous proposons à Mr. Y d'effectuer une infiltration au niveau du nerf superficiel du radial par le Dr. X. Poursuite de l'ergothérapie et arrêt de travail jusqu'au 31.01.2019. Prochain contrôle dans 3 mois. Dans la situation actuelle, je peux formellement proposer une neurolyse du nerf médian. J'explique à Mr. Y le déroulement intra et post-opératoire. Il va réfléchir à cette proposition. J'ai programmé un prochain contrôle chez moi le 18.03.2019. J'ai pré-réservé une plage opératoire pour le 16 avril 2019. Je préconise une IRM le 19.2.2019 pour faire la part des choses. Il n'y a pas de laxité franche qui me motiverait à lui proposer déjà une chirurgie. J'aimerais faire la part des choses par IRM puis revoir Mme. Y le 22.2.2019 pour discuter des options thérapeutiques. Je préconise une révision du site opératoire. Il s'agira d'enlever les fils de l'arthrodèse qui semblent gêner sur la face antérieure de l'épaule. J'informe Mr. Y du déroulement intra et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 11.06.2019. Je suis obligée de rebilanter l'épaule droite de Mr. Y par une nouvelle arthro-IRM le 19.2.2019 pour faire la part des choses et pour discuter des options thérapeutiques. Je reverrai Mr. Y suite à l'arthro-IRM le 22.2.2019. Dans la situation actuelle, la solution idéale est difficile à trouver, du fait que Mme. Y présente une certaine fonction résiduelle qui n'est à mes yeux pas si catastrophique, malgré une IRM assez impressionnante. Je déconseille une attitude trop agressive. La physiothérapie dont Mme. Y a bénéficié n'a évidemment pas calmé toute la gêne. Dans cette situation, je propose une infiltration intra-articulaire de l'épaule droite. Celle-ci est agendée pour le 01.03.2019. Par la suite, nous pourrons discuter des options thérapeutiques. Le traitement final proposé dans ces conditions est la mise en place d'une prothèse inversée de l'épaule. Par contre, je reste réticente à proposer un tel geste à une patiente qui montre encore une assez bonne fonction de l'épaule. Nous allons donc plutôt aller sur la voie conservatrice. Dans la soirée du 11.02.2019, Mr. Y tape fortement son coude gauche contre un mur, ce qui provoque une petite lésion cutanée, suivie de douleurs avec apparition de signes inflammatoires. Le coude devient rouge, chaud, douloureux et très œdématié. Le soir, il consulte aux urgences où, après examen clinique, un bilan biologique est effectué, mettant en évidence une leucocytose et une CRP augmentées. Mr. Y retourne à domicile avec une immobilisation par bandage écossais et revient le 12.02.2019 pour la prise en charge chirurgicale. Les suites opératoires sont favorables, avec un bon contrôle de l'antalgie. Le suivi biologique montre un syndrome inflammatoire à la baisse, la CRP passant de 69 mg et les leucocytes à 15,9 G/l le 12.02.2019 à respectivement 36 mg/l et 6,5 G/l. Mr. Y est sous antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 1,2 g/jour durant son séjour. Les prélèvements bactériologiques reviennent positifs pour un Staphylococcus aureus sensible à la Co-Amoxicilline. Les cultures anaérobes sont négatives à deux jours. La réfection du pansement montre une plaie calme et sèche. Une immobilisation par pansement écossais est en place jusqu'à cicatrisation. Le 15.02.2019, devant la bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y peut retourner à domicile. Dans l'ambulance : 200 mcg de fentanyl sur 20 min, 20 mg de buscopan iv, voltaren 75 mg iv. Aux urgences : dafalgan 1 g, morphine 10 mg iv, 1 g de Novalgin iv, Tamsulosin 0.4 mg, 1000 ml de NaCl 0.9 %. Sédiment : GR dans le sédiment. Uro CT : calcul de 6 x 3 x 5 mm à droite presque dans la vessie, dilatation uretère, dilatation calicielle. Avis uro Dr. X : 2 possibilités, consultation en ambulatoire en urologie demain ou hospitalisation pour gestion de l'antalgie et réévaluation demain. Dans le doute d'une fracture du tiers distal du radius, nous immobilisons l'avant-bras dans une attelle plâtrée côté radial, et laissons Mme. Y regagner son domicile. Nous lui conseillons de reconsulter en policlinique d'orthopédie de Riaz pour la suite de la prise en charge, mais la maîtresse de Mme. Y souhaite que Mme. Y rentre sur Payerne, donc nous laissons le médecin traitant s'en occuper par la suite. Dans le doute d'une fracture et d'une blessure allant jusqu'à l'os, introduction d'une antibiothérapie co-amox 500 mg 3 x/j, 10 jours et surveillance des signes d'infection. Rappel tétanos effectué. Dans le doute, malgré absence de perforation visible et tympan calme, traité comme otite perforée par Amoxicilline et consignes usuelles d'otite perforée. Proposition d'évaluation dans 48 h chez pédiatre, avant si récidive otorrhée ou autres signes de diathèse hémorragique. Dans un premier temps, les douleurs évoquent une colique néphrétique, au vu de la dilatation pyélocalicielle à gauche, qui pourrait également être physiologique. Par la suite, les douleurs migrent en loge rénale droite, très intenses, parlant plutôt contre le diagnostic évoqué précédemment. À noter que Mme. Y présente également une hypotension sur le traitement de morphine administré pour soulager les douleurs.Dans ce contexte, nous décidons de ne pas réaliser d'emblée d'ultrason par le radiologue mais de l'adresser en gynécologie pour exclure des contractions. Dans 10 jours à la consultation du Dr. X. Dans 1-2 jours chez le pédiatre. DAP : tumeur à cellules gérantes excisée en toto. Daptomycine dès le 25.01.2019 jusqu'au 08.02.2019 avec dose supplémentaire le 13.02.19. Dr. X : Arrêt des antibiotiques après 4 semaines d'antibiothérapie efficace. En ce qui concerne la réimplantation d'un pacemaker-défibrillateur : attendre 1 semaine après arrêt ATB. Repose d'un pacemaker le 21.02.2019 par le Dr. X sans complications. Rx thorax 21.02.2019 : sondes en place. Daptomycine du 20.01.2019 au 05.02.2019. Rifampicine du 17.01.2019 au 05.02.2019. Ablation de la VVC jugulaire gauche le 05.02.2019. Ablation KT artériel fémoral le 05.02.2019. DD • probablement sur activation plaquettaire lié au sepsis. Investigations • thrombocytes 121 G/l. Attitude • contrôle labo. DD : effet secondaire de la chimiothérapie, céphalées de tension, hypoxémie. • Absence de Red Flags, évolution favorable en 48h sous traitement symptomatique. Bilan d'exclusion de métastase par IRM cérébrale le 04.03.2019 (à Riaz). CT-cérébral en urgence si apparition de trouble neurologique ou autre red flag. DD infection urinaire. • Stix urinaire négatif. Pollakiurie fébrile mais sédiment négatif. Urotube à pister. Contacter les parents si urotube positif. DD infection urinaire. • Stix urinaire négatif. Pollakiurie fébrile mais sédiment négatif. Urotube à pister. Contacter les parents si urotube positif. DD : • médicamenteux (néomercazole). • foie de stase. Suivi des tests hépatiques si pas d'amélioration organiser un US abdominal. DD • prérénale : probablement fonctionnelle sur sepsis et déshydratation. • rénale : pas d'arguments. • postrénale : pas d'arguments. Investigations • Créatinine 150umol/l (dernière valeur 77 en 11.2017). • SpotU : Na 20 mmol/l, créat à pister. Attitude • Hydratation 1500ml/24h à réévaluer. • Contrôle labo. • CAVE néphrotoxiques. DD syndrome grippal, intolérance alimentaire. D-Dimères augmentés 2251 ng/ml. CT thoracique du 01.02.2019 : embolie pulmonaire segmentaire lobaire inférieure gauche avec début de répercussions sur le cœur droit. Avis gastro-entérologique Dr. X 01.02.2019 : endoscopie à maintenir comme prévu pour lundi 04.02.19, à avancer pour le weekend si urgence hémorragique sur anticoagulation thérapeutique pour EP. Pas d'indication à avancer endoscopie actuellement. Liquémine IV continu dès le 01.02 au 08.02.2019. Clexane thérapeutique dès le 08.02.2019. Début anticoagulation par Sintrom le 05.02.2019. Attitude : • anticoagulation thérapeutique, cible anti-Xa : 0.3-0.7. • stop Clexane quand INR thérapeutique. D-dimères positifs. US 4 points aux urgences : veines poplitées et fémorales bien visibles, symétriquement compressibles. Bilan angiologique demandé pour le 04.02.2019, dans l'intervalle, pas d'anticoagulation au vu d'une suspicion clinique modérée et antécédent d'hématochézie. Antalgie simple par Dafalgan. D-Dimères 897 ng/ml. Consilium angiologique du 01.02.2019 : en cours. D-Dimères 897 ng/ml. Consilium angiologique. US du MIG le 01.02.2019 : pas de TVP. De commun accord nous avons décidé de ne pas procéder à l'ablation du matériel d'OS en tout cas pour l'instant. Elle continue une vie normale. Pour nous, le traitement prend fin le 06.02.2019, mais nous restons à disposition en cas de besoin. Dr. X en suspens. Mme. Y à son arrivée présente une déshydratation estimée à 5% raison pour laquelle elle reçoit une perfusion de Glucosalin 2:1 avec une correction du déficit par 660 ml en 4h suivi d'entretien par 1160 ml / 24h que l'on peut sevrer le 26.02 au vu de la reprise orale suffisante de l'enfant. Elle présente durant son hospitalisation une prise d'aliment solide en augmentation progressive. Sur le plan infectieux, elle présente un état fébrile jusqu'au 26.02 avec un maximum à 39.1°C. Au vu de la persistance de l'état fébrile en post-opératoire, nous suspectons une surinfection post-opératoire, et mettons en place un traitement par Co-amoxicilline 50mg/kg/j en 2 doses qui persistera jusqu'au 05.03 per os. Un bilan sanguin met en évidence un léger syndrome inflammatoire (CRP 38mg/L) sans leucocytose associée avec une gazométrie normale. Elle présente également une légère difficulté respiratoire pour laquelle une radiographie de thorax est effectuée qui montre des opacités broncho-alvéolaires bilatérales compatibles avec une bronchite précédemment diagnostiquée. La difficulté diminue au fur et à mesure de son séjour avec l'aide de la physiothérapie. Au vu de la clinique en amélioration et des examens complémentaires rassurants, nous décidons d'un retour à domicile le 27.02 avec contrôle par vos soins dans les 24-48h selon possibilités et la prise de traitement par Co-Amoxicilline 50mg/kg/j en 2 doses jusqu'au 05.03. Mme. Y nécessite une oxygénothérapie à 4L aux lunettes environ 2h après sa sortie du bloc opératoire en raison d'un tirage sous-costal et d'une désaturation à 85%. Une diminution progressive de l'oxygénothérapie supplémentaire est possible au cours de son hospitalisation pour un sevrage complet le 19.02. Elle présente une tachycardie à maximum 190/minute le 19.02 sur un pic fébrile, sinon elle reste stable hémodynamiquement durant tout son séjour. Sur le plan infectieux, elle présente un état fébrile jusqu'au 19.02. Aucun examen biologique n'est demandé au vu de la clinique parlante pour une infection virale. Sur le plan alimentaire, elle ne bénéficie pas d'aide particulière. Au vu de la bonne évolution de Mme. Y, nous décidons d'un retour à domicile le 20.02 avec contrôle chez vous dans les 7 jours. Mme. Y est une patiente de 17 ans, en bonne santé habituelle, qui vient en contrôle pour un panaris présent depuis 1 semaine, incisé et traité par Co-Amoxicilline 625mg 3x/jour depuis 3 jours. Cliniquement, le panaris évolue bien, les douleurs, l'érythème et la tuméfaction sont en diminution. Nous notons la persistance d'un point de drainage purulent en regard de l'incision. Nous n'effectuons pas de nouvelle incision mais drainons le pus par le point pré-existant. Puis nous réalisons une désinfection locale et appliquons un nouveau pansement Adaptic. Nous recommandons à la patiente de terminer son antibiothérapie avec de l'Irfen 400 mg max 3x/jour en réserve et de consulter son médecin traitant à 48h pour réévaluer le statut local et refaire le pansement. Il n'y a pas de contre-indication au travail. Débridement. Débridement de la fibrine sur la plaie avec une petite curette. Rinçage avec du Prontosan. Pansement stérile. Poursuite de traitement de la plaie par le médecin traitant. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines. Débridement de la gaine des fléchisseurs par fenestration de la MCP III, IPP et IPD Dig III main G. Biopsies. Rinçage Dig III G par 2 L de Lavasept et Ringer. (OP le 15.01.2019). Second look avec débridement de l'IPP, IPD Dig III G, rinçage avec 2 L de Lavasept et 2 L de Ringer. Biopsies synoviales (tunnel carpien, MCP III, IPP Dig III G). Cure tunnel carpien G. (OP le 16.01.2019). Third look avec débridement de la gaine des fléchisseurs par incision sur le Brunner en regard de l'IPP, IPD Dig III G (OP le 19.01.2019). Fourth look avec débridement de la gaine des fléchisseurs Dig III G, ponction de l'articulation IPP, rinçage avec 2 L de Lavasept (OP le 22.01.2019). Antalgie par PCA de morphine gérée par les anesthésistes. Microbiologie : Biopsies 3/3 du 15.01.2019 : pos. pour Pasteurella multcida, bacilles Gram nég.Biopsies 4/4 du 16.01.2019 : nég. à J14 Hémocultures 2x2 du 17.01.2019 : nég. à J5 Biopsies 1/2 du 19.01.2019 : Filifactor villosus Hémocultures 2x2 du 23.01.2018 : nég. à J5 Consilium infectiologie 16.01.2019 (en annexe) Antibiothérapie : co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 14.01. au 25.01.2019 puis co-amoxicilline 1 g 2x/j p.o. jusqu'au contrôle du 04.02.2018 puis à réévaluer. Diagnostic anatomopathologique (gaine fléchisseurs Dig III du 15.01. et synoviale poignet) - Rapports Promed du 18.01.2019 (en annexe) Débridement de l'abcès le 29.01.2019 Changements de pansement de manière itérative au bloc opératoire jusqu'au 14.02.2019 puis changement q2j en chambre Cure d'hydrocèle bilatérale le 05.02.19 (Dr. X) Antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam et Flagyl 25.01.19 au 04.02.19. Co-amoxicilline i.v. du 05.02.19 au 14.02.2019 Cancidas du 08.02.19 au 10.02.19 Fluconazole du 10.02 au 24.02.19 Adaptation du traitement antibiotique et antifongique selon avis infectiologique Débridement de multiples collections, prélèvements microbiologiques, rinçage au Lavasept plaie face plantaire pied G (OP le 20.11.2018) Pansement aspiratif VAC dès le 20.11.2018, changement tous les 4 jours. Consilium infectiologie 22.11.2018 Antibiothérapie : co-amoxicilline 1,2 g 3x/j i.v. dès le 19.11.2018, à poursuivre jusqu'au 03.12.2018 Débridement d'ulcères variqueux et ligatures des veines perforantes du MID le 31.05.2017 • Stripping longue de la veine saphène interne en 2013 • Crossectomie poplitée, stripping de la veine saphène externe et phlébectomie du MID le 02.02.2015 • Débridement et greffe de peau le 11.05.2015 • Débridement des ulcères variqueux du MID le 19.11.2015 • Débridement des ulcères variqueux du MID et greffe cutanée le 10.12.2015 OP prostate Accident de train en 1976 avec multiples fractures des 2 jambes TVP post traumatisme en 1976 Exérèse adénopathie inguinale D en novembre 2013 et crossectomie du MID Lymphadénite chronique avec composante dermatologique et modifications réactionnelles non spécifiques ainsi que lipomatose centrale et légère fibrose capsulaire Débridement et pansement avec Ialugen Plus. Réfection du pansement par la patiente. Suite chez le médecin traitant en cas de mauvaise évolution. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Débridement et soins de plaie Débridement mécanique de la fibrine, réfection du pansement avec Plurogel et Mepilex border et bande compressive. Bonne évolution. On poursuit le suivi à raison de 1x toutes les 2 semaines. Débridement plaie, ablation du reste de la bourse olécrânienne coude D (OP le 23.01.2019) Culture de la biopsie peropératoire du 23.01.2019 : nég. à J2 Débridement superficiel de la kératose afin de laisser la plaie cicatrisée de la profondeur vers la superficie puis désinfection et mise en place d'un pansement. Poursuite du protocole actuel avec Bétadine Tulle et prochain contrôle dans 1 semaine. Prescription également d'une ordonnance pour adaptation des supports plantaires avec confection d'une zone de décharge en regard de la tête du 4ème métatarsien à G. Début d'arthrose fémoro-patellaire bilatérale. Début de grossesse le 05.02.19. DD : infection vaginale. Début d'ongle incarné bord médial hallux D. Status post cure d'ongle incarné selon Kocher du bord latéral hallux D le 28.12.2018. Début d'otite bilatérale Début d'otite droite avec rhume et angine virale. AINS en systématique et contrôle chez le pédiatre dans 48 heures. Consignes de surveillance expliquées en détails. Début d'un traitement de physiothérapie pour mobilisation du genou, renforcement musculaire et travail proprioceptif. Ablation de l'attelle et sevrage progressif des cannes. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Début d'une GEA probable Début d'une kératite de l'œil gauche le 31.01.2019. Début sd grippal Début vulvite Décharge septique sur drainage transhépatique le 13.02.2019 Déchirure anse de seau corne moyenne ménisque interne G. Déchirure au niveau de jumeau interne droit avec un hématome de 3 x 3 cm. Déchirure cervicale (prolongation de l'utérotomie) avec effraction de la séreuse vésicale Déchirure collatérale médiale, grade III Déchirure LCA Déchirure collatérale médiale grade II-III droite. S/p arthroscopie genou D (Dr. X). Déchirure complète du LCA à gauche. Déchirure complète du LCA genou G. Déchirure de la corne postérieure du ménisque externe G. Déchirure complète du ligament croisé antérieur à G le 20.01.2019. Déchirure complète du ligament croisé antérieur le 15.02.2014 Petite fracture sous-chondrale à la surface condylaire au dôme externe du fémur droit le 15.02.2014 Déchirure partielle de grade II de l'aileron interne de la rotule droite le 15.02.2014 Kyste de Baker dans la place très typique avec signe de rupture récente du genou droit le 15.02.2014 Fracture isolée de la malléole postérieure et suspicion d'entorse ligament deltoïde le 13.03.2018 Déchirure corne postérieure du ménisque interne G. Déchirure corne postérieure ménisque interne Déchirure corne postérieure ménisque interne genou D. Déchirure de degré II Déchirure distale collatéral médial droit. Déchirure LCA. Déchirure du jumeau interne à droite. Déchirure du LCA G. Déchirure du LCA genou D. Déchirure du LCA genou G; accident de ski datant de début janvier 2019 Déchirure du LCA genou G datant du 08.08.2018 • Lésion chondrale grade II-III de la zone de charge du plateau tibial externe G Déchirure du ligament croisé à G. Déchirure du ligament croisé antérieur du genou G. Déchirure du long chef du biceps, du sus-épineux et du sous-épineux, épaule droite. Déchirure du 2ème degré Déchirure du 2ème degré Déchirure du 2ème degré Déchirure en anse de seau corne moyenne ménisque interne G. Déchirure fourchette vaginale Déchirure horizontale du ménisque externe avec kyste méniscal. Déchirure complexe de la corne postérieure du ménisque interne associée à un kyste de Baker. Déchirure jonction corne antérieure et moyenne du ménisque externe genou D; entorse au football le 11.11.2018 Déchirure labiale G Déchirure latérale de l'utérotomie droite lors de l'extraction fœtale Déchirure LCA à D. Déchirure grade 2 LLI à D. Déchirure LCA genou G. Déchirure LCA genou gauche. Déchirure corne postérieure ménisque interne. Déchirure LCA genou G. Fracture in situ épicondyle médial G. Probable déchirure LCA D. Déchirure ligament croisé antérieur genou G Entorse LLI grade II, genou G Déchirure ligamentaire de la malléole interne en 1990 (pas opéré). Opération hernie inguinale en 1998. Tendinite du tendon d'Achille droit en 1999. Douleurs aigües sur l'extraction des dents de sagesse droites le 18.02.2017. Syncope vaso-vagale sur la douleur aiguë le 18.02.2017. Déchirure méniscale de la corne postérieure du ménisque interne du genou gauche avec kyste poplité le 11.02.2019 avec:• volumineux kyste intra-osseux sous le massif des épines tibiales avec œdème osseux • volumineux kyste arthrosynovial circonscrivant la jonction myotendineuse poplitée de 4.5 cm • chondropathie fémoro-patellaire externe de grade IV • dégénérescence mucoïde des ligaments croisés Déchirure musculaire des ischio-jambiers gauches au niveau supérieur allant jusqu'à mi-cuisse sur traumatisme du 11.02.2019. Déchirure musculaire profonde au niveau des adducteurs du membre inférieur gauche Déchirure partielle LCA G. Déchirure périnéale de degré I Déchirure périnéale de degré I, déchirure vaginale et de la petite lèvre droite Déchirure périnéale de degré I et éraillures des petites lèvres bilatéralement Déchirure périnéale de degré I et vaginale droite Déchirure périnéale de degré II Déchirure périnéale de degré II Déchirure périnéale de degré II Déchirure périnéale de degré II, déchirure vaginale, éraillure de la petite lèvre droite Déchirure périnéale de degré II et vaginale bilatérale Déchirure périnéale de degré 3b Déchirure périnéale du 1er degré Déchirure périnéale du 1er degré Déchirure périnéale du 1er degré Déchirure périnéale du 1er degré et éraillure de la lèvre droite Déchirure périnéale du 1er degré, vaginale et éraillure de la petite lèvre gauche Déchirure périnéale du 2ème degré Déchirure périnéale du 2ème degré et éraillure para-urétrale gauche Déchirure vaginale Déchirure vaginale et épisiotomie médio-latérale droite Déchirure vaginale et périnéale de degré 2 Déchirure vaginale et périnéale de degré 2 Déchirure vaginale gauche et déchirure de la petite lèvre gauche Déchirure vaginale profonde et déchirure périnéale de degré 2 Déchirures vaginales profondes à droite, vaginales à gauche, du 2ème degré et éraillures para-urétérales bilatérales Deciduose et LSIL, Cintec + et HPV haut risque pendant la grossesse Déclaration AI pour le code 494 ( poids inférieur à 2000 gr ) Déclin cognitif sub-aigu • désorientation sur sa personne et le temps Décollement de l'ongle du doigt 4 de la main droite. Décompensation acido-cétosique d'un diabète de type I le 12.02.2019 avec : • Hb glyquée à 12 % • Hypokaliémie, hypophosphatémie, hypomagnésiémie Décompensation arthrosique compartiment interne genou D. Décompensation arthrosique compartiment interne genou D. Décompensation de chondrocalcinose au genou G. • Status post méniscectomie des deux genoux en 2015 (Dr. X). Décompensation arthrosique du coude droit sur traumatisme du 15.02.2019. Décompensation ascitique le 13.02.2019 : • dans le cadre d'une cirrhose hépatique CHILD B • dernière ponction d'ascite le 30.01.2019 • dernière décompensation ascitique en 12.2018 Décompensation ascitique le 23.01.2019 • dans un contexte de cirrhose CHILD C d'origine alcoolique (11 points) • avec décompensation ascitique inaugurale le 25.10.2016 • OGD du 07.11.2016 (Dr. X) : absence de varice œsophagienne Décompensation ascitique le 24.02.2019 • Cirrhose hépatique de stade Child-Pugh A sur cardiopathie congénitale d'Ebstein • Actuellement : ascite récidivante avec ponctions d'ascite itératives. Décompensation ascitique le 26.02.2019 : • dans le cadre d'une cirrhose hépatique CHILD B • dernière ponction d'ascite le 14.02.2019 • dernière décompensation ascitique le 13.02.2019 Décompensation ascitique le 26.02.2019 : • dans le cadre d'une cirrhose hépatique CHILD B. • dernière ponction d'ascite le 14.02.2019. • dernière décompensation ascitique le 13.02.2019. Décompensation ascitique le 28.12.2018 sur cirrhose hépatique d'origine alcoolique CHILD-PUGH B • Score de Maddrey calculé à 67 le 12.02.2018, Score de MELD à 18 (mortalité à 6 %) • Score CHILD B (9 points : albumine 23.5 g/l, bili totale 27.7 umol/l, INR à 1.2, ascite réfractaire et absence d'encéphalopathie) • Biopsie foie (13.08.2015) : stéatohépatite fortement active avec fibrose réticulée et portale marquée, ainsi que pont fibreux, en présence de nombreux corps de Mallory faisant penser en premier lieu à une étiologie éthylique • SAAG : 18 g/l (hypertension portale probable) • Hypertension portale à 15 mmHg lors de la ponction transjugulaire en 2015 et splénomégalie • Varices œsophagiennes de stade 1 à 2 sans stigmate hémorragique (OGD du 23.02.2018) • Alpha-1 antitrypsine augmentée • Alfa-foetoprotéine le 14.01.2019 : normale • Hémochromatose, hépatite auto-immune exclue, anciennes hépatite A et hépatite B guéries, hépatite C négative, HIV négatif • Suivi : Dr. X Décompensation asthmatique. Décompensation asthmatique le 12.02.2019. • DD : crise d'angoisse. Décompensation asthmatique sur IVRS le 25.02.19 Décompensation asthmatique sur probable virose le 10.02.2019 Décompensation BPCO Décompensation BPCO le 15.02.2019 Décompensation BPCO sur pneumonie bibasale le 15.02.2019, avec : • insuffisance respiratoire globale Décompensation cardiaque Décompensation cardiaque Décompensation cardiaque Décompensation cardiaque Décompensation cardiaque Décompensation cardiaque Décompensation cardiaque Décompensation cardiaque. Décompensation cardiaque. Décompensation cardiaque. Décompensation cardiaque • péjoration de dyspnée avec apparition d'œdème membres inférieurs depuis un mois Décompensation cardiaque à prédominance droite sur flutter auriculaire à conduction 1:2 le 22.04.2014. Arthroplastie totale du genou gauche le 23.05.2014. Arthroplastie du genou droit pour gonarthrose le 12.04.2013, avec déhiscence de plaie. Prothèse totale de la hanche droite avec ostéophytectomie antérieure et supérieure le 21.04.2011. Embolie pulmonaire périphérique bilatérale le 13.06.2014, sous sintrom. Opération abdominale pour adhérences en 1990. Décompensation cardiaque à prédominance gauche avec : • Œdème aigu du poumon (vu à la clinique de jour) • NT-proBNP à 29'263 ng/l • Pacemaker Décompensation cardiaque à prédominance gauche sur sténose aortique sévère le 27.11.2018 avec : • Poids cible : 50 - 51 kg • antécédent en 11/2018, épanchements pleuraux bilatéraux de type transsudat Décompensation cardiaque aiguë, le 13.02.2019 • Dans le contexte d'insuffisance respiratoire sur virose DD : Décompensation BPCO Décompensation cardiaque aiguë sur chronique le 15.02.2019 Décompensation cardiaque avec : • Fraction d'éjection ventriculaire gauche à 65 % Décompensation cardiaque avec épanchements pulmonaires d'étiologie indéterminée le 26.02.19 • DD malformation cardiaque non diagnostiquée • cœur droit sur hypertension pulmonaire dans le contexte de SAOS • hypertension mal contrôlée Décompensation cardiaque bilatérale NYHA III-IV (DD : fibrillation auriculaire avec épisode de tachycardie) : start Torasemide 20 mg Noeud lymphatique induré pectoral gauche DD : Neoplasique • Excision radicale d'un nodule sous-cutané le 7.11.2018 (Dr. X) Erysipèle jambe droite sur ulcère du talon le 5.12.2018 (traité par Clindamycine) Sepsis le 23.08.17 sur abcès axillaire gauche Tachycardie sur FA août 2017 Lymphome T cutané bras G (novembre 2017, excisé) Décompensation cardiaque bilatérale sur : • Grippe Influenza A le 23.02.2019 Décompensation cardiaque D Décompensation cardiaque d'étiologie inconnue le 01.02.2019 • TROP H0 83 ng/l, H1 81 ng/l, H3 • BNP : 3'907 ng/l DD sur IVRS/bronchite Décompensation cardiaque d'étiologie probablement multifactorielle le 01.02.2019 • Troponines H0 84 ng/l, H1 81 ng/l, H3 86 ng/l • BNP : 3'907 ng/l DD : trouble du rythme, IVRS/bronchite, HTA Décompensation cardiaque d'origine indéterminée depuis le 28.01.2019 • HTA traitée mal réglée FA à conduction normocarde sous Marcoumar Décompensation cardiaque d'origine mixte depuis le 28.01.2019 dans un contexte de : • Hypertension artérielle traitée, mal réglée • Fibrillation auriculaire à conduction normocarde Décompensation cardiaque d'origine multifactorielle • contexte para-infectieux avec IVRS au décours. • rétention hydrosodée sur prise récente de prednisone (gonalgie) avec prise pondérale de 2kg. Décompensation cardiaque d'origine rythmique : • FA rapide nouvelle à début inconnu. • proBNP 12'753 ng/L • suspicion maladie ischémique à l'ETT 2017. Décompensation cardiaque droite Décompensation cardiaque droite avec : • Oedèmes aux membres inférieurs Décompensation cardiaque droite avec ascite nouvelle en 2010. Hypokaliémie sur diurétique. Infection à CMV en 2008. Gastrite hémorragique diffuse le 21.07.2018, possiblement dans le contexte d'une gastropathie portale. Cholestase sur probable passage de calcul le 21.07.18, DD : dans le contexte de foie de stase. Pancytopénie le 21.07.2018, connue de longue date, avec leucopénie à 3.7 G/l et lymphopénie à 0.37 G/l, anémie normochrome microcytaire hyporégénérative à 119 g/l, thrombocytopénie à 111 G/l. Ulcères veineux des membres inférieurs. Décompensation cardiaque droite avec insuffisance veineuse chronique, le 07.01.2019 • OMI • Traitement diurétique par Lasix Décompensation cardiaque droite sur fibrillo-flutter rapide et hypertension le 11.01.2017 Episode dépressif sévère avec symptômes psychotiques dans le contexte du deuil de la soeur Malaise d'origine indéterminée le 05.03.2018 : • Diagnostic différentiel : origine vaso-vagale Cholécystectomie laparoscopique le 06.04.2018, sur cholécystolithiase asymptomatique Hystérectomie en 1990 Douleur thoracique d'origine indéterminée le 29.05.2018 : • Contexte de décompensation cardiaque • Introduction de Deponit patch Décompensation cardiaque globale de stade NYHA III d'origine indéterminée le 29.05.2018 : • Diagnostic différentiel : épisodes paroxystiques de fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide ? • ECG : fibrillation auriculaire, pas de signe ischémique à part des ondes T négatives en III et aVR connues • Furosemide intraveineux le 29.05.2018, puis majoration du Torasémide par voie orale • Anticoagulation supra-thérapeutique le 29.05.2018 : • INR à 4.1 le 29.05.2018 • Score CHADS-VASC 7, HAS-BLED 4 Insuffisance rénale chronique : • GFR 40ml/min le 30.05.2018 Décompensation cardiaque et insuffisance rénale le 23.11.2018 Décompensation cardiaque globale le 27.04.2015 Décompensation cardiaque à prédominance droite NYHA III le 09.03.2017 sur progression d'une insuffisance tricuspidienne non opérable connue avec : • Sténose aortique sévère probablement d'origine fonctionnelle (low flow, low gradient) Infection urinaire à E. coli multi-sensible sans critères de gravité, le 10.05.2015 Douleurs épigastriques et nausées d'origine indéterminée le 27.11.2018 : • US abdomen le 30.11.2018 : pas de lésion suspecte ; dilatation de la veine cave et des veines sus-hépatiques traduisant une surcharge cardiaque droite Hypovitaminose • Vitamine D3 à 24ng/ml le 30.11.2018 • Acide folique à 3.7ng/ml le 30.11.2018 • Substitution Pancytopénie le 14.12.2018 Bicytopénie le 23.11.2018 avec : • Anémie hypochrome macrocytaire arégénérative à 84g/l • Thrombopénie de grade I à 76G/l (58G/l le 27.11.2018) • Diagnostics différentiels : syndrome myélodysplasique, syndrome inflammatoire, insuffisance rénale • Laboratoire • Bilan vitaminique • Sérologie CMV et EBV négatifs le 27.11.2018 • Recherche de sang occulte dans les selles : 3 prises négatives • Acide folique dès le 26.11.2018 • Mise en suspens transitoire d'Eliquis du 23.11.2018 au 30.11.2018 • Héparine prophylactique du 23.11 au 29.11.2018. • Support transfusionnel : transfusion d'un culot érythrocytaire le 30.11.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement prérénale le 23.11.2018 Hypokaliémie légère à 3.3 mmol/l le 14.12.2018 Hystérectomie avec annexectomie Cholécystectomie Décompensation cardiaque gauche avec OAP le 04.02.2019 DD : sur insuffisance mitrale modérée, trouble du rythme, hypertension mal contrôlée Décompensation cardiaque gauche avec OAP le 04.02.2019 DD sur insuffisance mitrale sévère Décompensation cardiaque gauche avec OAP sur tachyarythmie avec : • insuffisance respiratoire partielle • tachyarythmie : tachycardie sinusale avec extrasystoles ventriculaires à raison de 50% des complexes Décompensation cardiaque gauche dans un contexte de bronchite le 07.02.2019, • BNP à 2295 ng/l. Décompensation cardiaque gauche de stade NYHA-II sur cardiopathie hypertensive, ischémique et rythmique, le 22.02.2019 probablement dans le cadre de l'infection digestive, avec : • Angioplastie avec mise en place de 2 stents actifs dans l'IVA en 2013 • Fibrillation auriculaire permanente anticoagulée, Décompensation cardiaque gauche d'origine indéterminée. Décompensation cardiaque gauche le 07.02.2010 sur surcharge hydro-sodée. Fasciite du membre inférieur gauche. • fasciotomie et débridement le 04.02.2010 Décompensation cardiaque gauche le 07.02.2019 • sur hypervolémie et fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide à 170/min • dans un contexte de cardiopathie mixte ischémique et valvulaire avec FEVG à 54% le 17.09.2018 Décompensation cardiaque gauche le 13.02.19 • chez une patiente connue pour cardiopathie hypertensive et rythmique sous Eliquis • Pacemaker VVIR 60-130/min le 25.05.2011 • ETT 11.05.16 : FEVG 65%, pas de valvulopathie, OG très dilatée, OD normale Décompensation cardiaque gauche le 21.02.2019 • FEVG 40%, hypokinésie inféro-latérale, insuffisance mitrale modérée Décompensation cardiaque gauche légère le 14.04.2016 Pneumonie le 14.04.2016 S/p Cholécystectomie Décompensation cardiaque gauche sur BAV degré II type 2 Décompensation cardiaque gauche sur bloc atrio-ventriculaire degré II type 2 (Mobitz 2) le 13.01.2019 • pose de pacemaker AAI-DDD le 14.01.2019 • IRM-compatible à 1.5 T corps entier Décompensation cardiaque gauche sur DD iatrogène sur remplissage, para-infectieux Décompensation cardiaque gauche sur insuffisance cardiaque terminale (FEVG 10-15%) sur cardiomyopathie d'origine mixte valvulaire, hypertensive et dilatée (d'origine probablement alcoolique) diagnostiquée en 2008 avec : • Coronarographie 02.2008 : coronaires saines • FA rapide avec cardioversion électrique le 06.08.2012 avec récidive le 27.04.2017 • Tachycardie ventriculaire instable avec ACR le 25.10.2012 • Pose de pacemaker-défibrillateur tricaméral (CRT-D) le 01.11.2012, contrôlé le 06.07.2017 • Choc cardiogénique le 05.05.2017 avec cure de Levosimendan • Décompensation cardiaque probablement sur insuffisance mitrale sévère le 06.07.2017 avec valvuloplastie mitrale avec implantation de 2 Mitra-Clip le 14.07.2017 • Décompensation cardiaque globale 12.2017 • Pas de projet de greffe (récusé car mauvaise compliance), pas d'assistance ventriculaire Décompensation cardiaque gauche sur réduction du traitement diurétique, le 24.01.2019. Décompensation cardiaque globale • Dans le contexte infectieux Décompensation cardiaque globale le 29.01.2019 avec : • dyspnée NYHA IV, évoluant depuis 1 mois, (stade III habituellement) • foie de stase • ascite • Insuffisance cardiaque systole-diastolique terminale • Implantation d'un LVAD (Heartware) le 04.11.2014 Consulte initialement à l'Inselspital le 29.01.2019 qui nous l'adresse pour prise en charge de la situation sociale • laboratoire et Rx thoracique à l'Inselspital Décompensation cardiaque globale Décompensation cardiaque globaleDécompensation cardiaque globale aiguë le 19.10.2018. Décompensation cardiaque en juillet 2017. Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique stade III, d'origine cardio-rénale probable en juillet 2017 : • créatinine à 185 micromol/l, clairance selon MDRD à 33 ml/min. • hyponatrémie normo-osmolaire à 125 mmol/l probablement sur insuffisance rénale aiguë en juillet 2017. Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique de stade III, d'origine cardio-rénale probable avec créatinine à 216 micromol/l, clairance selon Cockroft à 35.7 ml/min. Hyponatrémie normo-osmolaire légère à 132 mmol/l probablement sur insuffisance rénale aiguë. Hyperkaliémie modérée à 5.5 mmol/l probablement sur insuffisance rénale aiguë. Angioplastie des artères poplitées hautes droite et gauche en 2012. Résection colique pour volumineux polype non carcinomateux. Appendicectomie à l'âge de 16 ans. Décompensation cardiaque globale dans contexte infectieux. Décompensation cardiaque globale dans un contexte de FA rapide le 18.02.2019. Décompensation cardiaque globale d'étiologie multifactorielle : • sténose aortique serrée avec fonction systolique conservée • dysfonction ventriculaire droite sévère avec HTAP et insuffisance tricuspidienne modérée-sévère • fibrillation auriculaire chronique, anticoagulée • insuffisance rénale aiguë • anémie. Décompensation cardiaque globale d'origine para-infectieuse le 28.01.2019. Décompensation cardiaque globale G > D dans le contexte para-infectieux avec insuffisance respiratoire partielle d'origine mixte. Décompensation cardiaque globale le 02.02.2019 : • probablement sur hyperhydratation • maladie coronarienne mono-tronculaire avec : > status post mono-pontage IVA sur AMIG le 08.10.2002 > dernière ergométrie le 20.03.2009 négative > FEVG à 74%, dysfonction diastolique du ventricule gauche (sous Aspirine Cardio). Décompensation cardiaque globale, le 05.02.2019. Décompensation cardiaque globale, le 05.02.2019. INR supra-thérapeutique à 3.2 chez une patiente sous Sintrom avec INR à 1.9 le 27.09.2018. Infection urinaire basse simple à Klebsiella pneumoniae (10E6) multisensible le 31.08.2018. État confusionnel aigu sur : • déshydratation avec insuffisance rénale aiguë. • hypercalcémie (2.9 mmol/l). • intoxication à la Digoxine (4.7). • hypothyroïdie (TSH 29.99 mUl/l et T4l à 9 pmol/l). Hypercalcémie à 2.9 mmol/l le 27.08.2018 (antécédent d'hypoparathyroïdie avec hypocalcémie chronique substituée par Calcium Acetat et Rocaltrol. Bloc atrio-ventriculaire du 3ème degré sur intoxication à la Digoxine, résolu par la suite. Pyélonéphrite gauche à E. coli en juin 2018. Douleurs thoraciques probablement d'origine musculo-squelettique le 07.06.2018. Décompensation cardiaque globale NYHA III le 09.05.2018. Suspicion de rupture du long chef du biceps le 16.10.2017. Prothèse totale du genou droit en 2013-2014. Cholangite obstructive avec sepsis à E. Coli en 2014. Décompensation diabète de type II en 2004. Thyroïdectomie subtotale avec conservation des para-thyroïdes et du pôle supérieur externe des deux lobes thyroïdiens pour goitre diffus euthyroïdien en 1998 avec hypoparathyroïdie post-opératoire. Status après fracture de l'os maxillaire supérieur avec opération pour décompression V2 en 1998. Abcès fessier droit. Décompensation cardiaque globale le 07.02.2019 sur insuffisance cardiaque sévère (FEVG 20%) avec : • Cardiopathie valvulaire : > rétrécissement aortique serré > insuffisance mitrale modérée (grade 2/4) > insuffisance tricuspide modérée à moyenne (grade 2 à 3/4) • Cardiopathie rythmique : > flutter auriculaire à conduction variable à réponse ventriculaire rapide (CHAD2DS2VASC 7 points/HASBLED 3 points). DD : rythmique flutter rapide, valvulaire. Décompensation cardiaque globale le 09.02.2019. • avec pacemaker le 12.03.2018 pour. Décompensation cardiaque globale le 14.02.2019. DD : rythmique, pic hypertensif, infectieux, valvulopathies. Décompensation cardiaque globale le 15.12.1932. Décompensation cardiaque globale le 15.12.1932. • sur fibrillation auriculaire et contexte infectieux. Décompensation cardiaque globale le 18.02.2019. • DD : composante rythmique, HTAP sur pneumoconiose, EP. Décompensation cardiaque globale le 21.08.2017 sur pic HTA. Surélévation diaphragmatique droit post-opératoire (double revascularisation coronarienne le 04.04.2017). Status post prostatectomie pour carcinome prostatique en 2015. Status post cholécystectomie pour cholécystolithiase mai 2016. S/p ronchopathie opérée à Lucerne pour HTA en 1998. Notion de goutte. Encéphalopathie urémique (65.8 mmol/l), en 12.2018. Décompensation cardiaque globale le 22.02.2019. • DD : sur pic hypertensif, valvulaire. Décompensation cardiaque globale le 23.02.2019 : • cardiopathie ischémique, rythmique • défibrillateur implanté en juin 2018. Décompensation cardiaque globale sur cardiopathie hypertensive, dysrythmique et valvulaire. • Fibrillation auriculaire -- Anticoagulation par Eliquis, stoppée après AVC hémorragique en 01.2017. • Pose de pacemaker-VVI (Dr. X pour BAV 3°) le 30.10.2014. • Pose de TAVI le 16.03.2015 : implantation bioprothèse aortique (Evolut R 29 mm). Décompensation cardiaque globale sur cardiopathie hypertensive, dysrythmique et valvulaire. • Fibrillation auriculaire (anticoagulation par Eliquis stoppée à Tavel après AVC hémorragique en 01/2017). • Pose de Pacemaker-VVI (Dr. X pour BAV 3°) le 30.10.2014. • Pose de TAVI le 16.03.2015 : implantation bioprothèse aortique (Evolut R 29 mm). Décompensation cardiaque globale sur cardiopathie hypertensive, dysrythmique et valvulaire. • Fibrillation auriculaire (anticoagulation par Eliquis stoppée à Tavel après AVC hémorragique en 01/2017). • Pose de Pacemaker-VVI (Dr. X pour BAV 3°) le 30.10.2014. • Pose de TAVI le 16.03.2015 : implantation bioprothèse aortique (Evolut R 29 mm). Décompensation cardiaque globale sur cardiopathie hypertensive, dysrythmique et valvulaire le 08.01.2015. Fibrillation auriculaire rapide paroxystique aux alentours de 150/min le 08.01.2014, sous Xarelto. Carence en vitamine D à 44 nmol/l 03.06.2013. Oedème aigu du poumon sur flutter auriculaire à 114/min le 13.08.2013. Fracture de l'humérus droit, traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse par cerclage-haubanage le 21.05.2013. Ostéosynthèse par plaque Aptus d'une fracture de Pouteau-Colles gauche en avril 2012. Pyélonéphrite gauche non compliquée en août 2012. Pneumonie droite en juin 2011. Fracture de la rotule gauche. Appendicectomie. Cystopexie. Décompensation cardiaque globale sur fibrillation auriculaire rapide le 15.02.2019. • Connu pour cardiopathie valvulaire rhumatismale avec remplacement valvulaire aortique mécanique et annuloplastie mitrale. • ETT 13.02.2019 : FEVG 25-30 %, hypokinésie diffuse. Décompensation cardiaque globale sur fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide le 10.02.2019. • DD : cardiopathie ischémique avec insuffisance respiratoire hypoxémique. Décompensation cardiaque globale sur fibrillation auriculaire rapide en 2011. Insuffisance rénale aiguë pré-rénale en 2011. Opération d'un phlegmon de la muqueuse gingivale inférieure droite d'origine dentaire en janvier 2011. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée en 2011. Infiltration du genou gauche en 2012 (Dr. X). Contusion du poignet droit en 2014. Décompensation cardiaque globale sur fibrillation auriculaire rapide le 15.02.2019. • Connu pour cardiopathie valvulaire rhumatismale avec remplacement valvulaire aortique mécanique et annuloplastie mitrale. • ETT le 13.02.2019 (effectué à l'extérieur, Dr. X) : FEVG 25-30 %, hypokinésie diffuse. Décompensation cardiaque globale sur flutter auriculaire normocarde : • dyspnée, désaturation. • Oedèmes périphériques. • Décompensation cardiaque globale sur pics hypertensifs et arrêt des diurétiques le 21.12.2017 • Décompensation cardiaque globale le 18.10.2017 • Anémie normocytaire hypochrome à 81 g/l sur carence de Vit B12 et Fer le 21.12.2017 • Troubles de la marche et de l'équilibre le 20.12.2017 • Hyperkaliémie à 6 mmol/l dans un contexte d'acidose métabolique d'origine multifactorielle le 11.12.2017 • Composante lactique sur metformine • Syncope d'origine orthostatique probable le 10.12.2017 • Ulcères malléolaires récidivants • Arthroplastie MIG en juillet 2014 • Lésion face dorsale de l'IPD du 2ème orteil à droite sur une arthrite goutteuse probable dans un contexte de polyneuropathie diabétique débutante et orteil en griffe. • Décompensation cardiaque globale sur syndrome grippal au décours. • Décompensation cardiaque le 04.02.2019 • Cardiopathie hypertensive et rythmique sous Lixiana, Pacemaker DDDR posé le 03.04.2018 • Dernier ETT le 26.02.2018 : FEVG à 60 % • BNP > 9000 • Décompensation cardiaque le 07.02.2019 • Décompensation cardiaque le 09.03.2018. • Exacerbation d'une BPCO sur une probable virose surinfectée le 09.03.2018. • Trouble de l'état de conscience sur hypoxémie le 01.09.2017. • Pneumonie bilatérale en août 2013. • Ligature des trompes. • Epigastralgies chroniques d'origine indéterminée. • Décompensation cardiaque le 27.12.2018. • Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 avec une créatinine à 131 mcmol/l le 26.12.2018. • Décompensation cardiaque le 13.01.2019 dans un contexte para-infectieux (infection urinaire). • Décompensation cardiaque légère globale NYHA 2 en janvier 2019. • Baisse de l'état général d'origine multifactorielle en décembre 2018 : • Immobilité prolongée post-fracture périprothétique hanche droite (OP le 14.12.2018) • Arrachement musculaire (triceps droit) • INR instable chez un patient porteur de valve mitrale mécanique • Trouble dépressif avec idées suicidaires • Infection urinaire à C. freundii le 09.12.2018 • Décompensation cardiaque légère globale. • BPCO décompensée sur bronchite virale le 24.12.2018. • Infection urinaire à C. freundii (10E6) le 09.12.2018 multirésistant, traitée par Ceftriaxone, Ciprofloxacine, Céfépime. • Etat anxio-dépressif modéré : • Idées suicidaires niées le 18.01.2018 • Status post-tentamen à l'arme blanche le 08.12.2018 • Stripping de la veine saphène interne droite, phlébectomies au membre inférieur droit pour varices du membre inférieur droit sur insuffisance de la veine saphène interne droite (2011, Dr. X). • Pontage aorto-coronarien en 2009. • Thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit avant l'âge de 20 ans. • Cholécystectomie en 2008. • Syncope d'origine indéterminée en 2008. • Lithotripsie pour un calcul rénal gauche en 2008. • Cure de canal lombaire étroit en 2006. • Cure d'hernie discale en 1989 et 1979. • Décompensation cardiaque NYHA II-III à FEVG préservée en mai 2018. • Fractures costales gauches de VII-IX le 27.10.2017 avec emphysème cutané et minime pneumothorax. • Pyélonéphrite obstructive droite à E. Coli sur calcul urétéral distal avec IRA post-rénale traitée par pose de sonde double en avril 2011. • Prothèse totale de genou droite en 2010 (Dr. X). • Abcès hépatique en 2005 traité conservativement. • Diverticulites à répétition. • Cure de rectocèle en 1985 (Dr. X, CHUV). • Hystérectomie en 1980. • Cure d'hallux valgus en 1960. • Appendicectomie en 1939. • Ulcère gastrique probablement d'origine post-opératoire. • FA paroxystique dans le contexte hypovolémique le 23.01.2019. • FA paroxystique normocarde, premier épisode en mai 2010 avec cardioversion médicamenteuse, non anticoagulée. • Décompensation cardiaque NYHA IV sur insuffisance cardiaque sévère (FE 30%), le 26.11.2018. • Décompensation cardiaque post-opératoire sur NSTEMI le 06.02.2019 et le 09.02.2019 • FEVG 45%, dysfonction diastolique sévère • Insuffisance respiratoire hypoxémique associée. • Décompensation cardiaque probablement sur HTA. • Décompensation cardiaque sur cardiopathie hypertrophique dilatée le 04.08.2012 (DD : myocardite vs OH chronique). • Syndrome canal carpien et canal de Guyon poignet droit en postopératoire le 23.11.2016. • Rhizarthrose, arthrose STT au pouce droit. • Status post ostéosynthèse fracture intra-articulaire déplacée radius distal poignet droit, le 23.11.2016. • AMO le 01.05.2017 • Status post plastie de Weil par pouce droit. • Fracture L1. • Hyponatrémie à 118 mmol/L hypoosmolaire 260 mOsmol/kg euvolémique sur consommation alcoolique le 15.09.2017. • Insuffisance rénale aiguë AKIN II le 15.09.2017 GFR 45 ml/min (CKD-EPI) d'origine prérénale avec acidose métabolique. • Décompensation cardiaque sur contexte infectieux le 24.01.2019. • Décompensation cardiaque sur FA paroxystique le 30.03.2018 sous Xarelto dès le 04.04.2018. • Épanchement péricardique malin récidivant en janvier 2015 et le 05.10.2015 et status post fenestration péricardique avec ablation de la pointe du xiphoïde (opération le 17.11.2015). • Opération du tunnel carpien bilatéral. • Résection polype rectal cancéreux en 1989. • Fracture cheville droite il y a 30 ans. • Fracture extra-articulaire radius distal droit avec bascule de 25° postérieur avec réduction ouverte et ostéosynthèse du radius distal droit par plaque Aptus. • Epanchement péricardique malin avec fenestration en 2015. • Traumatisme crânien simple sur chute mécanique en 05/2018. • CT cérébral natif + injecté le 01.05.2018 (Dr. X) : pas d'hémorragie cérébrale. Pas de signe de métastase. Hématome sous-cutané pariéto-occipital droit. • Décompensation cardiaque sur fibrillation auriculaire. • Décompensation cardiaque sur fibrillation auriculaire rapide et sténose aortique sévère le 31.01.2017. • Épanchement pleural droit dans un contexte d'insuffisance cardiaque sur fibrillation auriculaire rapide le 30.08.2016 avec récidive d'épanchement pleural droit le 13.09.2016. • Décompensation cardiaque sur fibrillation auriculaire rapide nouvelle le 27.03.2015. • AIT (ictus amnésique) le 26.12.2006. • Tuberculose pleurale (culture pleurale pour Mycobacterium tuberculosis complex) : • Traitée par Rimstar 4 cp/j du 17.12.2016 au 23.01.2017. • Notion de nervosité et irritabilité sous Rimstar. • Changement pour Rifinah depuis le 23.01.2017 pour une durée totale de 6 mois. • Suivi en ambulatoire par Dr. X. • Décompensation cirrhotique, CHILD B7 le 15.02.2019 DD OH, NASH. • 07.2017 Gastroscopie : pas de varice. • Consommation d'alcool chronique. • 20.09.2017 US Abdo : suspicion d'un foie cirrhotique sans lésion suspecte d'un carcinome, mais présence de plusieurs lésions échogènes sans signe d'hypertension portale. • 20.09.2017 Fibroscan : rigidité 42,9 KPa, CAP 303 dB/m. • Pas de signe pour des dépôts de fer, cuivre, cause autoimmune ou cause virale. • IgG HAV positif, pas d'immunité pour HBV. • 10.2018 Sono : pas de lésion suspecte de carcinome. • 10.2018 Fibroscan : 42,4 kPa, CAP 353 dB/m. • 02.2019 Bilirubine 15uM, Albumine 20 g/l, INR 1,36. • 02.2019 US abdo : présence légère de liquide libre. • 02.2019 ETT : pas d'épanchement péricardique, sclérose aortique, sténose aortique possible.18.02.2019 : ascites dans les 4 quadrants avec un foie hyperéchogène associé à une décompensation cirrhotique sans foyer focale. Petite hyperplasie de la prostate. 19.02.2019 ponction d'ascite 3,5L, sans substitution d'albumine. 20.02.2019 spironolactone, duphalac. Décompensation cirrhotique CHILD C (13 points) • chez une patiente connue pour une cirrhose sur OH chronique et HCV guérie en 2015 (Dr. X). Décompensation cirrhotique post-éthylique sur cirrhose Child B connue : • ascite et oedèmes des membres inférieurs • encéphalopathie hépatique • pancréatite d'origine alcoolique. Pancréatite d'origine alcoolique en août 2018. Anémie macrocytaire normochrome avec hémoglobine à 130 g/l d'origine multifactorielle en août 2018 : • carence en acide folique et en vitamine B12 • post-inflammatoire. Fracture tête humérale (2003). Traumatisme crânien avec fracture (1957). Appendicectomie. Décompensation de BPCO avec insuffisance respiratoire partielle le 17.01.2019. Décompensation de BPCO le 30.01.2013 avec : • décompensation respiratoire partielle légère (pO2 10,9 kPa) • sur probable foyer débutant. Thrombose des réseaux veineux, superficiels et profonds de l'avant-bras droit, thrombose de la veine basilique droite et gauche 2007 • bilan thrombophilie négatif • thrombose de l'artère radiale gauche sur cathéter artériel. Etat confusionnel dans un contexte infectieux. Insuffisance rénale aiguë (RIFLE stade I) clearance 45 ml/min d'origine pré-rénale (fraction d'extraction urée 22 %). Cystadénolymphome du pôle inférieur parotide gauche. Décompensation de BPCO non-stadée le 20.02.2019 • avec insuffisance respiratoire globale • critère d'Anthonisen 3/3 • frottis grippe négatif. Décompensation de BPCO sévère le 24.11.2014, avec : • insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique et hypercapnique • probable origine infectieuse (virale). Décompensation de BPCO stade IV le 05.02.2019 avec • insuffisance respiratoire globale • critères d'Anthonisen 1/3 (augmentation de la quantité des expectorations). Décompensation de BPCO stade IV le 21.01.19 avec : • insuffisance respiratoire globale • critères d'Anthonisen 3/3. Décompensation de BPCO sur état grippal avec : • insuffisance respiratoire partielle • syndrome obstructif avec sibilances généralisées résistant à l'administration de deux séances d'aérosols • conjonctivite bilatérale d'allure virale • pas de foyer clinique ni radiologique • tabagisme actif • critères d'Anthonisen 3/3. Décompensation de BPCO sur pneumonie basal droite. Décompensation de BPCO (2 critères d'Anthonisen) le 14.01.2019 avec : • culture d'expectorations le 14.01.2018 : Moraxella catarrhalis • BPCO stade IV oxygénodépendante à domicile. Décompensation de calcification du tendon du muscle sus-épineux à gauche • avec capsulite rétractile débutante. Décompensation de chondrocalcinose du genou gauche. Décompensation de gonarthrose droite. Décompensation de probable BPCO non stadée avec dyspnée de stade NYHA 3 le 16.02.2019 dans un contexte de : • état grippal depuis 2 semaines. • tabagisme actif à 40 UPA. Décompensation des segments adjacents L1-L2 et L3-L4 avec instabilité et sténose mixte sur status post spondylodèse L2-L3 en 2003 par système Ulrich, microdiscectomie et décompression L4-L5 G en 2006 pour hernie discale L4-L5 G avec sténose foraminale • décompression L1-L2 bilatérale par laminectomie, décompression L3-L4 bilatérale par laminectomie, AMO vis Ulrich L2-L3, re-spondylodèse L1-L4 par système Viper (vis 6.0/50, tiges 90mm) avec correction de la cyphose, mise en place d'un Cross-Link Matrix en L1-L2 et greffe postéro-latérale par Ceracell et os autologue le 23.11.2018 • brèche durale le 23.11.2018 avec colmatage peropératoire par tampon neurochirurgical et lit strict 48 h. Spondylodèse L4-L5 à la fin des années 1990. Bursite septique genou D à Staph. aureus S à l'Augmentin • bursectomie, lavage le 08.10.2016 (Dr. X). FA préopératoire le 12.10.2016 cardioversée par Cordarone. Décompensation diabétique. Décompensation diabétique dans un contexte infectieux le 31.01.2019. Décompensation diabétique de type acido-cétose le 12.02.2019. Décompensation diabétique de type acido-cétose le 12.02.2019 • diabète de type 1 • hémoglobine glyquée à 12 % (chez le Dr. X) • hypokaliémie, hypophosphatémie, hypomagnésiémie • probable trouble alimentaire et mauvaise compliance avec anosognosie. Décompensation diabétique en mars 2014 (HbA1c à 7.6 %), en 2015. Gastrite érosive sans ulcère ni saignement actif le 24.11.2015 avec hémorragie digestive haute Forrest III. Thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche non datée. Fermeture d'une fistule entre un anévrisme du sinus de Valsalva et l'oreillette droite en 1973 (CHUV) par thoracotomie. Insuffisance respiratoire aiguë globale d'origine multifactorielle le 25.06.2018 : • décompensation cardiaque globale d'origine probablement rythmique (flutter) dans un contexte de cardiopathie dilatée. • épanchements pleuraux bilatéraux. • HTAP sévère sur pneumopathie restrictive et obstructive (BPCO). VNI intermittente du 25.06 au 10.07.2018. CPAP nocturne dès le 09.07.2018. Cardioversion électrique le 04.07.2018 : 1 choc, 150J, succès. Ponctions pleurales droite et gauche. Réadaptation cardiovasculaire. Optimisation du traitement médicamenteux. Phlébolymphœdème d'origine multifactorielle dans le contexte d'insuffisance cardiaque et d'hypertension pulmonaire sévère, avec : • status post opération des varices il y a >20 ans au niveau de la grande veine saphène ddc. • bilan artério-veineux du 27.04.2018 : absence d'artériopathie significative, insuffisance trans-ostiale des grandes veines saphènes. accessoires antérieures de la cuisse avec des varices massives au niveau de la cuisse et de la jambe ddc. Consilium angiologique (Dr. X) : • poursuite du traitement par drainages lymphatiques et compression multicouche. Idéalement durant l'hospitalisation, drainages lymphatiques tous les jours, puis 2x/j à domicile. • contrôle angiologique prévu à l'HFR Riaz le 05.10.2018. Anémie hypochrome normocytaire avec Hb à 105g/l le 16.07.2018. • bilan sanguin : ferritine 44 ug/l, estimation du déficit en fer : 850 mg. Vitamines dans la norme. TSH : 6'710 mU/l. • Ferinject 500 mg iv le 17.07.2018. Hyperglycémie à 21.1 mmol/l le 25.06.2018, Hypothyroïdie subclinique le 17.07.2018. Décompensation diabétique hyperglycémique hyperosmolaire en avril 2014 d'un diabète pancréatoprive d'origine indéterminée avec : • lactate à 2,9 mmol/l • Hb glyquée à 11,1 %. Fracture non déplacée base P II D I pied droit. Opération pancréatique au Portugal sans autre précision. Décompensation diabétique hyperglycémique normo-osmolaire avec : • glycémie à 28 mmol/l. DD : mauvaise compliance médicamenteuse. Hydratation IV. Consilium diabétologique (Dr. X) : • adaptation du schéma d'insuline. • introduction des soins à domicile. Contrôle en diabétologie le 03.02.17 à 9h. Malnutrition protéino-calorique grave. DD : pancréatite chronique, alcoolisme chronique, diabète décompensé. Conseil diététique. Surveillance des électrolytes. Bilan vitaminique. Douleurs de l'hypocondre droit d'origine indéterminée : • sans syndrome inflammatoire • avec élévation des transaminases (ASAT 100, ALAT 50). DD : hépatite alcoolique, hépatite virale. US abdo le 12.12 : pas de calcul vésiculaire visible. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Stéatose hépatique modérée, sans signes de cirrhose. Sérologie hépatite B et C : à pister. Troubles dépressifs connus • sous Citalopram 10 mg/jour • contexte social difficile.Consommation chronique d'alcool Consilium psychiatrique (Dr. X): suivi psy en ambulatoire accepté. Critères pour un PAFA non remplis. Suivi en ambulatoire pour la consommation d'alcool (CCA) Allodynie et dysesthésie des membres inférieurs en chaussette le 07.12.2016 DD: polyneuropathie diabétique, polyneuropathie alcoolique Introduction de Lyrica 150 mg 2x/j Evolution favorable Décompensation diabétique hyperglycémique le 24.02.2019 HbA1c 8.3% Décompensation diabétique hyperosmolaire avec glycémie à 24 mmol/l et osmolarité à 320 mOsm/kg dans le contexte para-infectieux Décompensation diabétique hyperosmolaire avec glycémie à 30,7 mmol/l le 20.01.2019 • Non compliance médicamenteuse Décompensation diabétique hyperosmolaire, le 04.02.2019, sur non-compliance médicamenteuse avec: • HbA1c >15% le 04.02.2019 • diabète secondaire à une pancréatite chronique • status-post plusieurs hospitalisations pour décompensation diabétique (du 28.03 au 31.03.2014; du 30.04 au 08.05.2014; du 07.12 au 16.12.2016) Décompensation diabétique hyperosmolaire le 08.02.19 avec: • Diabète type 2 connu depuis 10 ans • Glycémie 25 mmol/l, HbA1c 10.1% • Atteinte rénale avec microalbuminurie 23 mg/l, créatinine 62 umol/l Décompensation diabétique hyperosmolaire le 22.02.19 Décompensation diabétique hyperosmolaire sur non prise des traitements • dans le contexte de probable sd de glissement suite au décès de son mari 24.12.18 • HbA1C > 15% 10.01.19 Décompensation diabétique inaugurale (acido-cétose pour l'instant compensée) Décompensation diabétique inaugurale le 12.02.2019 Décompensation diabétique insulino-dépendante, probablement dans le contexte de stéroïdes Décompensation diabétique insulino-dépendante, probablement dans le contexte de stéroïdes • s/p Diabète de type 2 insulino-dépendant décompensé sur maladie critique et stéroïdes le 02.04.2018 Décompensation diabétique, le 04.02.2019 avec • Douleur neuropathique main droite en péjoration Décompensation diabétique sur mal compliance médicamenteuse (05.01.2019), sans critère pour une décompensation hyperosmolaire ou acido-cétosique avec: • diabète insulino-requérant secondaire à une pancréatectomie céphalique partielle selon Berger et pancréatectomie corporéale en 2004 avec: • HbA1c du 07.01.2019: 10.3% • complications macro-vasculaires: cardiopathie ischémique, AVC • complications micro-vasculaires: rétinopathie modérée bilatérale, néphropathie, polyneuropathie • rétinopathie diabétique modérée ddc sans œdème maculaire Décompensation d'un diabète de type 2 connu. Décompensation d'un diabète de type 2 le 25.01.2019. Décompensation d'un diabète type II d'origine multifactorielle (Prednisone, Infection, Alimentation inadéquate) Décompensation d'un trouble schizo-affectif. Décompensation d'une gonarthrose droite. Décompensation d'une gonarthrose fémoro-tibiale interne genou gauche. Début de gonarthrose fémoro-patellaire interne genou droit. Laxité du collatéral interne genou gauche. Décompensation hépatique sur masse non investiguée, le 12.02.2019 • insuffisance hépatocellulaire • avec encéphalopathie hépatique • décompensation ascitique et probable péritonite spontanée Décompensation hyperosmolaire d'un diabète de type 2, non insulino-requérant (juillet 2017) Lactatémie non dysoxique secondaire à la Metformine Insuffisance rénale d'origine pré-rénale sur déshydratation secondaire à la glycosurie (FE urée 11.6%) avec: • macroalbuminurie • acidose métabolique Cure de pseudo-anévrisme iatrogène de l'artère fémorale gauche le 12.02.2010 avec: • Crossectomie fémorale gauche et stripping fémoral de la saphène interne Anémie normochrome normocytaire de probable origine multifactorielle (spoliative sur hématome post pseudo-anévrisme artère fémorale gauche, inflammatoire sur ulcères des membres inférieurs surinfectés) en janvier 2010 Surinfection d'ulcères des membres inférieurs et dermo-hypodermite (01/2010) S/p Arthrodèse cheville droite S/p Chirurgie de l'estomac (duplication) S/p Cure d'éventration et tablier abdominal Lombalgies aiguës non déficitaires sur discopathie L4-L5 et L5-S1 avec antélisthésis de L4 sur L5 de grade 1 selon la classification de Meyerding Insuffisance rénale rapidement progressive AKIN 3 d'origine post-rénale sur prolapsus utero-vaginal avec obstruction urétro-vésicale secondaire octobre 2017 Décompensation maniaque avec symptômes psychotiques le 13.02.2019. Décompensation maniaque dans le cadre d'un: F 31.2 Trouble affectif bipolaire, épisode actuel maniaque avec symptômes psychotiques Décompensation œdémato-ascitique sur probable modification thérapeutique le 24/02/19 Décompensation post-traumatique d'une tendinopathie du tendon rotulien à gauche. Décompensation psychotique aiguë le 23.02.2019. Décompensation psychotique avec hallucinations visuelles le 18.02.2019. Décompensation psychotique dans le cadre d'un trouble bipolaire connu le 27.02.2019. Décompensation psychotique il y a 5 mois sous traitement de Risperidon 2 mg. Plaie prétibiale superficielle du tiers proximal de la jambe gauche. Contusion costale 8-10 antérieure au niveau de la ligne axillaire antérieure. Décompensation psychotique le 16.10.2017. • schizophrénie traitée par Abilify Maintena 1x/mois (prochain dépôt prévu le 18.10.2017). • dernière hospitalisation en août à Marsens. Décompensation psychotique le 19.02.2018, le 21.04.2018. Intoxication médicamenteuse volontaire le 30.06.18. Fracture ouverte P2 Dig I pied D avec arrachement de la base de l'ongle le 11.09.2016. Tentamen médicamenteux le 10.10.2018 • consommation possible: Akineton, Risperdal, Benzodiazépine, Venlafaxine • crises tonico-cloniques • rhabdomyolyse sévère • insuffisance rénale aiguë • QTc long. Crises tonico-cloniques sur intoxication à la Venlafaxine le 10.10.2018. Rhabdomyolyse sévère sur intoxication au Risperdal le 10.10.2018 • syndrome malin aux neuroleptiques • pic de CK: 149'986 U/l. Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale sur rhabdomyolyse le 10.10.2018. Sepsis sévère à Staphylocoque Capitis, Staph hominis, Staph haemolyticus, Staph epidermidis 3 hémocultures positives le 15.10.2018 - infection sur cathéter le plus probable. Etat fébrile sans foyer clair le 10.02.2019. DD: gastro-entérite d'origine bactérienne; virose. Décompensation psychotique le 19.02.2018, le 21.04.2018. Intoxication médicamenteuse volontaire le 30.06.18. Fracture ouverte P2 Dig I pied D avec arrachement de la base de l'ongle le 11.09.2016. Tentamen médicamenteux le 10.10.2018 • consommation possible: Akineton, Risperdal, Benzodiazépine, Venlafaxine • crises tonico-cloniques • rhabdomyolyse sévère • insuffisance rénale aiguë QTc long Crises tonico-cloniques sur intoxication à la Venlafaxine le 10.10.2018. Rhabdomyolyse sévère sur intoxication au Risperdal le 10.10.2018 • syndrome malin aux neuroleptiques • pic de CK: 149'986 U/L Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale sur rhabdomyolyse le 10.10.2018. Sepsis sévère à Staphylocoque Capitis, Staph hominis, Staph haemolyticus, Staph epidermidis 3 hémoculture positives le 15.10.2018 • infection sur cathéter le plus probable Décompensation psychotique, le 25.02.2019 : • dans le cadre d'une rupture de traitement • trouble de la personnalité type antisocial • trouble schizo-affectif Décompensation psychotique probable avec : • agitation intérieure. • angoisses. • hallucinations auditives et visuelles. • idées suicidaires avec plan. Décompensation psychotique sur non compliance médicamenteuse. Trouble de la personnalité schizo-typique. Décompensation respiratoire aiguë post bronchoaspiration le 24/02/19 Décompensation respiratoire hypoxémique probablement sur pneumonite de bronchoaspiration le 08.02.2019 • DD: pneumonie bactérienne Décompensation respiratoire le 15.02.2019 : • diagnostics différentiels : œdème pulmonaire aigu, embolie pulmonaire Décompensation respiratoire partielle sur infection pulmonaire le 18.02.2019 • DD: pneumonie, grippe Décompensation schizo-affective avec idéations suicidaires le 21.02.2019. Décompensation sur probable bronchite virale le 18.01.2018 Décompensation sur pneumonie multifocale communautaire à germe indéterminé en décembre 2018 État dépressif avec hallucinations auditives en 2012 Décompensation traumatique d'une fasciite plantaire gauche le 19.02.2019. Décompensations récidivantes BPCO, dernière décompensation le 15.02.2019, sur un stade IV selon GOLD • 2/3 critères d'Anthonisen remplis • 6ème décompensation en 7 mois • vacciné contre la grippe Décompression couverte L2-S1 sur sténose spinale multi-étagées 12/2016. Opération d'hernies L1-2, L2-3 gauche 1996, 2002. Opération méniscale au genou droit. Chute à domicile dans un contexte de trouble de la marche le 31.12.2018 avec : • contusion thoracique gauche avec fracture de côtes. • syndrome parkinsonien sous Madopar. • status post compression dynamique de la racine L4 à droite avec une parésie grade 3-4 du quadriceps et du tibial antérieur. • stabilisation L3-S1 avec extension L3/4 et décompression des racines L3-5 droites (hémilaminectomie L4) au Salem Spital le 25.10.2018 • radiographie hanche et colonne lombaire le 18.04.2018 : signe d'arthrose modérée au niveau de la hanche, pas d'hernie, pas de sténose spinale • microdécompression L2-S1 sur sténose spinale multi-étagée en 12.2016. • opération de hernies L1/2 et L2/3 gauches en 1996, 2002. Décompression nerf médian Tunnel carpien D OP au niveau du pouce à D Décompression par foraminotomie L5-S1 G. (OP le 08.02.2019) Décompression par hémi-laminectomie L4 G avec décompression L3-L4 et L4-L5 étendue + undercutting vers la D. (OP le 08.02.2019) Décompression par laminectomie L4/L5 ainsi que foraminotomie L3/L4 et L4/L5 ddc sur sténose dégénérative L3/L4 et L4/L5 Spondylodèse L3-S1 avec vis Romeo (Spineart) 6.0x50 en L3, L4 et L5 et 6.0x45 en S1 + mise en place de BGel et os en postéro-latéral sur spondylarthrose évolutive L3-S1, le 15.01.2016 Sérome de LCR supra- et infra-fascial sous pression sur brèche durale médiane sous-laminaire L3 et hématome épidural post intervention chirurgicale le 15.01.2016, se manifestant par un syndrome de la queue de cheval partiel débutant. Complément de décompression par complément de recessotomie L3/L4 et L4/L5 ddc et foraminotomie L4 et L5 ddc, le 17.01.2016 PTG G en 2012 PTE D+G en 2012 Cholécystite aiguë avec status post multiples cholécystites • cholécystectomie par scopie le 23.08.2008 Bypass gastrique en juin 2007 puis reprise 48h plus tard pour laparotomie exploratrice Douleurs à type de sciatalgies atypiques avec irradiation latérale à G sur hernie discale L1-L2 G, évoluant depuis août 2017 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Adaptation de l'antalgie Périarthrite de la hanche D Infiltration de Diprophos et Lidocaïne en regard du grand trochanter le 26.10.2017 avec effet positif modéré Suivi clinique Perte auditive à gauche le 07.11.2018 probablement sur un canal auditif externe bouché. Décompression sélective L3-L4 à G avec undercutting vers la D. (OP le 01.02.2019) Décompression vertébrale prévue par Dr. X pour le 04.02.2019 annulée. Mr. Y sera reconvoqué pour un bilan anesthésiologique et l'opération est replanifiée pour le 22.03.2019. Décompression vertébrale prévue pour le 04.02.2019 annulée. Mr. Y sera reconvoqué (contacter Der Almédia, orthopédie) Déconditionnement global avec soins impossibles à domicile. Déconditionnement Déconditionnement Déconditionnement Déconditionnement Déconditionnement. Déconditionnement avec instabilité à la marche et risque de chute : • hospitalisation depuis le 25.04.2018 dans un contexte de pyélonéphrite • perte pondérale anamnestique de 40 kg depuis 3 ans avec déconditionnement sévère Pyélonéphrite récidivante depuis 2015 : • cystoscopie par Dr. X le 24.02.2017 : cystite chronique, absence de néoplasie • CT abdomen/pelvis 06.02.2017 : parois vésicale fine • cystoscopie par Dr. X le 12.02.2018 : cystite chronique, pus dans le pyélon droit, changement de double J en raison de sténoses multiples. • cultures urinaires du 05.04.2018 (MT) E.coli résistant à l'augmentin, ciprofloxacine, norfloxacine et céfuroxime • Uro-vaxom dès le 25.04.2018 Gammapathie monoclonale de signification indéterminée (MGUS) : • électrophorèse des protéines sériques du 09.02.2017 : IgG Kappa, IgG monoclonaux 9.65 g/l, IgA 4.77 g/L • électrophorèse des protéines urinaires du 28.02.2017 : Ig Kappa, protéines totales 0.75 g/L, fraction Gamma 0.2 g/L • ponction de moelle du 01.03.2017 : plasmocytes dysmorphiques dans la moelle : 5% • critère CRAB : Ca 2.26, CrCl 44 ml/min., Hb 80 g/l ; radiographie crâne du 27.02.2017 : pas d'ostéolyse multifocale • augmentation continue du CEA depuis des mois (CEA 6.5 ng/ml) • biopsie de moelle le 01.03.2017 : parenchyme hématopoïétique normocellulaire, parenchyme avec hématopoïèse des 3 lignées avec preuve de quelques plasmocytes avec expression aberrante de CD56. Hypertension artérielle : • Aprovel arrêté le 03.02.2017 Obésité Hypercholestérolémie (statine en pause 5/2017) Insuffisance diastolique Struma multinodulaire Fibromyalgie Côlon irritable Diverticulose Hypovitaminose D à 12 nmol/l (30.04.2018) Carence en fer avec • perte pondérale anamnestique de 40 kg depuis 3 ans • inappétence DD sur insuffisance rénale chronique, agueusie liée à l'âge • NRS 4/7 • substitution par 2000 UI/jour durant un mois Anémie normochrome normocytaire dans un contexte d'infections récidivantes et dans un contexte d'insuffisance rénale chronique • substitution par EPO depuis le 16.05.2018 • Hb 103 g/l 12.6.2018 Déconditionnement avec troubles de la marche d'origine multifactorielle : • hyponatrémie chronique • malnutrition • troubles de l'équilibre et de la marche avec multiples chutes à domicile • troubles cognitifs légers Déconditionnement avec troubles de la marche et de l'équilibre avec risque de chute : • dans le cadre infectieux Déconditionnement avec troubles de la marche et de l'équilibre avec risque de chute le 14.02.2019 : • dans le cadre infectieux Déconditionnement dans un contexte hématome MIG sur déchirure du gastrocnémien Déconditionnement dans un contexte d'infection virale Déconditionnement dans un contexte probable de grippe au décours Déconditionnement dans un contexte probable grippe au décours Déconditionnement dans un contexte d'infection virale des voies aériennes supérieures Déconditionnement d'origine multifactorielle le 01.02.2019 • Choc septique à E. coli d'origine urinaire sur néphrolithiase obstructive le 07.01.2019 • Chute à domicile avec 24h en décubitus au sol, rhabdomyolyse le 07.01.2019 • Cardiopathie septique le 07.01.2019 Déconditionnement d'origine multifactorielle le 11.02.2019 • Pneumonie trilobaire communautaire le 03.01.2019 • Choc d'origine indéterminée (probable composante hypovolémique et cardiogène, origine septique improbable) avec soutien aminergique aux soins intensifs 14-15.01.2019 • Malnutrition protéino-énergétique modérée • Adénocarcinome de l'œsophage distal • Adénocarcinome moyennement différencié du côlon transverse Déconditionnement d'origine multifactorielle le 23.01.2019 • Choc septique à E. coli d'origine urinaire sur néphrolithiase obstructive le 07.01.2019 • Chute à domicile avec 24h en décubitus au sol, rhabdomyolyse le 07.01.2019 • S/p cardiopathie septique le 07.01.2019 Déconditionnement du genou gauche sur gonarthrose tricompartimentale avec : • lésion de kyste de Baker et lésion du ménisque interne du genou gauche. Coxarthrose symptomatique à droite. Status post-PTH gauche le 07.01.2015 sur coxarthrose (Dr. X). Déconditionnement épaule D avec raideur articulaire post-traumatique et rupture spontanée du long chef du biceps D. Déconditionnement épaule D post-traumatique suite à une compression axiale de l'épaule D le 27.10.2018 avec : • Suspicion de lésion SLAP type V • DD : récessus sous-labral • Tendinopathie du sus-épineux et partie haute du sous-scapulaire Status post infiltration sous-acromiale épaule droite le 25.01.2019. Déconditionnement et risque de chute le 13.02.2019 • dans le cadre infectieux Déconditionnement et trouble aigu de la mobilité le 25.01.2019 post-amputation sous-géniculée du membre inférieur droit le 07.01.2019 (Dr. X, HFR Fribourg) • artériopathie oblitérante des membres inférieurs à prédominance droite sur neuropathie diabétique et insuffisance vasculaire • mise en place d'une stimulation médullaire non définitive en T9-T10 (OP le 27.08.2018) • multiple recanalisations / dilatations des artères péronière, fémorale et tibiale antérieure • douleurs fantômes post-amputation Déconditionnement global. Déconditionnement global • Malnutrition protéino-énergétique grave (NRS 5) • Mycose buccale • Troubles de la marche et de l'équilibre Déconditionnement important d'origine multifactorielle : • alitement prolongé • démence progressive • dénutrition Déconditionnement le 25.01.2019 dans un contexte de collection pariétale sur trajet de l'ancien drainage de l'abcès péri-rénal gauche le 14.01.2019 • Avis urologique (Dr. X) le 14.01.2019 • Consilia infectiologiques les 17.01, 18.01 et 23.01.2019 (Dr. X) • Ponction de collection liquidienne le 18.01.2019 sous guidance ultrason : • peu de liquide séreux ; examen direct : leucocytes +, hématies ++, débris cellulaires + • culture : négative à 14 jours • Ertapénème (Invanz) iv 1 g de charge le 18.01.2019 puis 0.75g/jour dès le 19.01.2019 Déconditionnement majeur sur alitement prolongé (19.11 au 22.12.2018) et corticothérapie avec : • amyotrophie marquée des membres inférieurs Déconditionnement MI. Multiples antécédents médicaux et chirurgicaux. Déconditionnement multifactoriel Déconditionnement multifactoriel avec : • Lymphome diffus à grandes cellules B de stade IV • Malnutrition sévère et inappétence après chimiothérapie avec effets secondaires (dysgueusie, nausées, vomissements) Déconditionnement multifactoriel : • crise tonico-clonique généralisée dans un contexte d'épilepsie connue le 25.01.2019 • embolie pulmonaire dans les segments latéro-basal du lobe inférieur droit et médial du lobe moyen sans répercussion hémodynamique le 26.01.2019 • AVC ischémique aigu temporal gauche le 28.01.2019 Déconditionnement multifactoriel le 04.02.2019 • état confusionnel aigu hyperactif sur infection urinaire basse le 26.01.2019, Monuril dose unique le 26.01.2019 • pseudohyponatrémie à 130 mosm/L iso-osmolaire à 294 mOsm/Kg sur hyperglycémie le 26.01.2019 Déconditionnement musculaire du MID après traumatisme au genou D début 2018. Déconditionnement musculaire sur alitement prolongé le plus probable le 08.02.2019. Déconditionnement physique Déconditionnement physique. Déconditionnement physique avec : • perte de poids (-4.1kg en 2 ans) • douleurs musculo-squelettiques chroniques sur polyarthrose • tendo-myogéloses étendues. Déconditionnement physique d'origine multifactorielle : • Cachexie • Douleurs polyarticulaires chroniques sur polyarthrose • Tendo-myogéloses étendues Déconditionnement physique majeur après chimiothérapie Déconditionnement physique majeur et cachexie dans les suites d'une longue hospitalisation avec : • lymphome à grandes cellules B primitif du médiastin (PMBL selon OMS 2017), Ki67 >90%, en partie positif pour CD30, infiltrant la vertèbre T4 avec recul du mur postérieur le 18.11.2018 et déficit moteur au MID • corticothérapie et chimiothérapie • malnutrition protéino-énergétique Déconditionnement physique sévère dans les suites d'un choc septique sur perforation d'ulcère peptique prépylorique le 17.12.2018 sur prise d'AINS dans un contexte de réparation de la coiffe des rotateurs sous arthroscopie le 13.12.2018 : • Multiples collections intra-abdominales avec signes de péritonite le 24.12.2018 • Suture d'ulcère prépylorique avec patch épiploïque le 18.12.2018 • Laparotomie exploratrice, adhésiolyse 60', lavage abdominal, le 25.12.2018 Déconditionnement physique sévère dans un contexte de : • Douleurs exacerbées • Spondylarthropathie axiale • Syndrome d'Ehler-Danlos hypermobile • Cachexie Déconditionnement physique suite à une coronarographie élective sur maladie coronarienne bitronculaire, avec : • ETT de contrôle le 14.12.2018 : pas d'épanchement • s/p tamponade post-coronarographie le 27.11.2018 sur saignement de la branche postéro-latérale de la CD -- drainage péricardique sous AL le 27.11.2018 avec drain jusqu'au 29.11.2018 -- reprise coronarographie le 27.11.2018 : stent couvert sur la branche postéro-latérale de la CD -- cultures du drain et du liquide péricardique : négatives • coronarographie élective le 27.11.2018 : lésions bitronculaires, dilatation avec l'aide du rotablator avec mise en place de trois stents actifs CD proximale et moyenne. • s/p angor instable le 25.11.2018 Déconditionnement physique sur méningo-encéphalite à tique et état de mal épileptique au mois de septembre-octobre 2018 Déconditionnement sévère après sepsis sévère avec CIVD aiguë le 28.12.2018 sur phlegmon de la jambe gauche (Kantonspital Frauenfeld) traité par : • Héparine en continu (cible PTT 50-80 sec) du 31.12.2018 au 09.01.2019 • Co-Amoxicilline 3 x 2.2 g IV et Clindamycine 3 x 600 mg IV du 28.12.2018 au 07.01.2019 Déconditionnement sévère avec faiblesse progressive avec • Septicémie sévère dans le cadre d'une infection des voies urinaires (P. aeruginosa) le 24.07.18 avec une dermohépidermite à gauche • Pyélonéphrites récidivantes et infections génito-urinaires depuis 2015 avec traitement hospitalier répété • Urotube le 02.08.18 : Pseudomonas aeruginosa 10E3/m • BK le 02.08.18 : négatif Ceftriaxone 2 g du 24.07.2018 au 25.07.2018 • pipéracilline / tazobactam 4,5 g 2x / jour du 25.07.2018 au 03.08.2018 • Cefepime du 03.08.2018 au 13.08.2018 (7 jours après le changement de sonde): encéphalopathie toxique après l'ingestion de Cefepime Déconditionnement suite à une implantation d'une prothèse totale de la hanche gauche le 09.01.2019 • Bursectomie trochantérienne • Ostéophytectomie le long du bord antérieur et postéro-inférieur • dans le contexte d'une coxarthrose gauche invalidante de stade IV Déconditionnement sur : • dénutrition • alitement prolongé • contexte infectieux Déconditionnement sur choc hypovolémique sur hémorragie digestive d'origine probable basse le 01.05.2017 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale dans le cadre de l'hypovolémie le 01.05.2017. Bactériémie à Staphylococcus epidermidis le 25.02.2017 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle en mars 2017. Insuffisance respiratoire aiguë globale le 22.02.2017 sur pneumonie lobaire supérieure droite nosocomiale traitée par pipéracilline/tazobactam puis vancomycine. Thrombopénie légère d'origine indéterminée le 01.05.2017 : • diagnostics différentiels : transfusion, médicamenteux, syndrome myélodysplasique. Endocardite à S. aureus de la valve native aortique avec : • reconstruction de l'anneau aortique par deux patchs en péricarde associés à un remplacement valvulaire aortique par une bioprothèse en péricarde sur armature St-Jude Trifecta 23 sous CEC le 04.11.2016 • antibiothérapie par flucloxacilline du 27.10.2016 au 30.10.2016 puis depuis le 31.10.2016 • échocardiographie transthoracique du 02.11.2016 (Dr. X) : suspicion d'abcès para-valvulaire en regard des cuspides acoronaires et coronaire gauche, éléments flottants sur la cuspide acoronaires suspects pour des végétations. Insuffisance respiratoire sur pneumonie basale droite avec séjour aux soins intensifs au CHUV en octobre 2016. Pneumothorax droit sous tension en novembre 2016. Globe urinaire le 09.12.2016. Hématome iliaque gauche le 20.11.2016 dans le contexte d'anticoagulation thérapeutique. Bactériémie à Staphylocoque aureus MSSA le 15.05.2016 Hémorragie digestive haute sur gastrite érosive en 2013. Accident vasculaire cérébral ischémique dans le territoire sylvien postérieur droit et occipital gauche en 1998. Découverte fortuite à l'uro-CT A faire : • prévoir une ETT de contrôle • Mr. Y devait avoir une scintigraphie myocardique demain Découverte fortuite au CT thoraco-abdominal, les radiologues proposent un contrôle CT dans 3-6 mois, que nous vous laissons le soin d'organiser. Mr. Y est informé. Découverte fortuite de 2 kystes sous-capsulaires hépatiques. Découverte fortuite d'un emphysème pulmonaire essentiellement centro-lobulaire bilatéral et diffus Découverte fortuite d'un fibrome non ossifiant du fémur distal à gauche le 15.09.2016 Découverte fortuite d'une lésion charnue du pôle supérieur rénal gauche et d'hypodensités hépatiques sur CT TAP du CHUV du 09.01.2019 Découverte fortuite d'une probable hernie discale en regard de L2-L3 Découverte fortuite durant la césarienne. Défaut de 5 cm de l'aponévrose supra-ombilical gauche. Découverte fortuitement à l'uro-CT-scan. CT-scan de contrôle à distance de l'épisode infectieux le 27.02.2019 : décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien : rediscussion de la suite de la prise en charge au colloque de radiologie du 28.02.2019. Nous recontacterons Mme. Y pour lui expliquer la suite de la prise en charge. Découverte inaugurale d'une cirrhose hépatique échographique, CHILD B (7p le 18.02.19) avec hypertension portale, splénomégalie, et anamnèse familiale positive DD : • NASH possible (Mr. Y diabétique, hypertendu, mais non sédentaire et non obèse, sans hypercholestérolémie ni hypertriglycéridémie) • Pas d'argument pour une origine éthylique (pas de consommation selon Mr. Y, confirmé par ses proches) • Pas d'argument pour une hépatite virale (sérologies hépatites B, C et E négatives) • Pas d'argument pour une hémochromatose (ferritine à 36 mcg/L et saturation à la transferrine basse) • Pas d'argument pour une maladie auto-immune (anticorps anti-nucléaires, anti-mitochondries et anti-muscles lisses négatifs) • Pas d'argument pour une maladie de Wilson (céruloplasminémie normale à 0.21 g/L) • Pas d'argument pour un déficit en alpha-1-antitrypsine (normal à 1.51 g/L) Découverte sur le scanner de la colonne dorsale et lombaire. Surveillance clinique chez le médecin traitant. Décroûtage le 21.02 à 10h45. Défaut de la fermeture de la paroi abdominale Défect cutané en regard du pacemaker sans signe d'inflammation le 27.02.2019 • PM posé le 20.12.2018 à la Clinique Cécil à Lausanne Défect cutané persistant au niveau du naviculaire médial du pied G sur : Status post lambeau de rotation cheville G le 27.11.2018 pour couvrir un défect cutané au niveau du naviculaire médial. Surinfection à Enterobacter cloacae complexes et acinetobacter baumannii biopsie du 27.11.2018 sous traitement Ciproxine 750 mg 2 fois par jour. Status post débridement des plaies antérieures de la cheville G avec greffe de Thiersch et pansement VAC le 13.02.2018 pour un défect cutané de 12 x 4 cm sur ostéoarthrite septique naviculaire et cunéiforme du pied G sur dermohypodermite à streptococcus dysgalactiae le 24.04.2017 avec 8 débridements entre avril et juin 2017. Déficit en acide folique et vitamine D Déficit en acide folique le 04.01.2019 Déficit en acide folique le 11.01.2019 Déficit en acide folique, le 15.02.2019 Déficit en eau libre à 6.2 l G5 : 2.5 l sur 24 h le 15.01.2019 Esidrex 25 mg le 16.01.2019 Déficit en facteur VII (TP 55%, fact VII 28%) recherché au vu des antécédents maternels Peu de risque hémorragique Déficit en fer. Déficit en G-6-PD Déficit en protéine S. Migraines. Extrasystoles sous Bilol 2.5 mg. Malnutrition protéino-calorique depuis juin 2015. Déficit en vitamine B12 Déficit en vitamine B12, vitamine D et en acide folique Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D Déficit en vitamine D et acide folique Déficit en vitamine D et acide folique Déficit en vitamine D et vitamine B12 Déficit en vitamine D le 08.02.2018 : • 25 OH Vitamine D2-3 46 nmol/l Déficit en vitamine D le 22.02.2019 : • 25 OH Vit D2-3 : 25 nmol/l Déficit en vitamine D le 22.02.2019 • 25 OH Vit D2-3 : 50 nmol/l Déficit en Vitamine D3 le 04.01.2019 Déficit neurologique au niveau du nerf sciatique poplité externe à D avec un statut post-opération X au niveau de ce nerf il y a une dizaine d'années. Déficit sensitivomoteur gauche probablement psychosomatique. (DD: AIT) Déficit sévère en Vitamine D • 25 OH Vit D2-3 : 8 nmol/l Déficit vestibulaire droit sur probable névrite vestibulaire, avec : • Angio-CT cérébral avec vaisseaux précérébraux le 03.11.2018 et IRM cérébrale le 05.11.2018 : pas d'argument en faveur d'une atteinte ischémique ou hémorragique.Bilan ORL le 06.11.2018 en faveur d'un déficit vestibulaire droit • Test de Schellong 21.11.2018: non pathologique, 03.11.2018: pathologique, • sous Betaserc 2x/jour dès le 07.11.2018 Déficits en vitamine D et en acide folique Déformation musculaire. Dégantage du 4ème doigt gauche. Dégénérescence avancée de la colonne vertébrale • scintigraphie osseuse en février 2012 Hypercholestérolémie Dégénérescence de la macula. Cataracte. Dégénérescence de la macula. Cataracte. Dégénérescence de la macula. Cataracte. Dégénérescence maculaire gauche • suivie par Dr. X • Oeil de verre droit Dégénérescence maculaire (humide) œil droit Dégénérescence maculaire (sèche) et cataracte œil gauche Hypertension artérielle Dégénérescence maculaire liée à l'âge. Dégénérescence maculaire, suivie à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal Dégénérescence maculaire Incontinence urinaire Syndrome du canal carpien gauche 11.2014 Diabète mellitus Typ II (depuis 07.2014) actuellement sous Januvia Hypertension artérielle sous trithérapie (Amlodipin, Lisinopril, Metoprolol) Déhiscence de la cicatrice distale sur la face latérale de la jambe D sur status post • AMO plaque LISS + vis libre de la TTA, débridement de plaie et révision de la cicatrice le 13.11.2018 • Révision des plaies antéro-latérale et médiale, prise de biopsies le 18.11.2018 sur suspicion d'infection post OS tibia par plaque LCP 3,5, plaque LISS 11 trous et vis libre 3,5 avec rondelle tibia proximal D d'une fracture périprothétique du tibia D le 10.10.2017; accident du 27.09.2017; germe en cause (18.11.2017): Pseudomonas stutzeri • PTG D implantée en 2014 (Dr. X) Déhiscence de la plaie de mise en place d'un pacemaker. Déhiscence de la plaie surinfectée à Staph. aureus coude D sur status post • Bursectomie partielle, prélèvements, débridement et rinçage le 31.12.2018 sur bursite septique du coude D à Staph. aureus post cure d'hygrome infectée le 12.12.2018 (Dr. X) Déhiscence de plaie au niveau malléolaire externe droit sur ostéomyélite chronique de la fibula distale • status post ostéosynthèse pour fracture du tibia droit en 2015 Déhiscence de plaie chirurgicale coude G avec mise à nu de la plaque sur status post • OS par plaque olécrânienne Synthes d'une fracture intra-articulaire de l'olécrâne G le 31.12.2018; accident du 26.12.2018 Déhiscence de plaie coude gauche: • status post-bursectomie le 13.12.2018 • status post-incision, drainage, prélèvements bactériologiques, lavage, le 16.01.2019 • status post-second look et fermeture cutanée, coude gauche le 18.01.2019 • status post-antibiothérapie par Co-Amoxicilline jusqu'au 01.02.2019. Déhiscence de plaie opératoire genou droit sur légère chute traumatique. Déhiscence superficielle cutanée de l'EMLD sans signe de surinfection Délimitation de la rougeur. Attitude: • Retour à domicile avec rendez-vous chez Dr. X le 26.02.2019, consigne de reconsulter avant si apparition d'un état fébrile, de frissons ou de péjoration des symptômes. Délimitation de la rougeur. Avis orthopédie (Dr. X): pas de signe en faveur d'une arthrite septique. Retour à domicile avec poursuite de l'antibiothérapie par Co-amoxicilline 1 g 2x/jour, contrôle clinique prévu chez le médecin traitant le lundi 25.02.2019. Consigne de reconsulter avant en cas d'apparition d'un état fébrile ou de frissons, ou d'une péjoration de l'érythème. Délire aigu. Délire hyperactif post-opératoire, DD dans le cadre de la maladie d'Alzheimer Délire psychotique. Délires, confusion Delirium post-opératoire le 19.01.2019 TUR-P en 10/2018 pour carcinome de la prostate HTA Dyslipidémie Delirium tremens le 16.02.2019 Délivrance artificielle sous péridurale Zinacef 1.5 Pertes sanguines estimées à 450 cc Demande de certificat. Demande de prolongement de certificat. Demande de sevrage. Demande de sevrage dans un contexte d'alcoolisme chronique. Demande de somnifère. Demande d'hospitalisation à Marsens. Demande d'hospitalisation volontaire. Demande diét à réévaluer Demande d'un deuxième avis par le médecin traitant. Démangeaison. Démangeaison de la verge. Démangeaison vulvaire. Démangeaisons cutanées sévères d'origine indéterminée • Biopsie: dermatite riche en cellules éosinophiliques et plasmocytes • Péjoration des démangeaisons cutanées et du prurit depuis le 30.01.2019 • 4 bulles au niveau de la jambe droite, 1 bulle au niveau du pied gauche depuis le 05.02.2019 • DD Pemphigoïde bulleux Démangeaisons dorsales sur possible réaction allergique aux produits de lessive Démence à corps de Lewy • MMS 25/30, test de l'horloge t 3/6, combinaison 3/9 (07.03.2016) Démence d'Alzheimer > Traitement par Memantin Démence de la maladie d'Alzheimer, forme atypique ou mixte. F25.1 Trouble schizo-affectif type dépressif. F. 02.0 Démence de la maladie de Pick (Mme. Y a été hospitalisée à Marsens). Trouble dépressif récurrent, épisode actuel sévère avec symptômes psychotiques sous Plafa actuellement à Marsens Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool HTA. Obésité stade III Ostéoporose. Démence de la maladie de Pick Atrophie cérébrale circonscrite État dépressif Troubles du comportement Troubles délirants persistants Syndrome de Diogène Démence de type Alzheimer (+-notion de démence à corps de Lewy) Hypercholestérolémie traitée Démence débutante • MMS 05.7.2018: 25/30 Démence débutante • Probable démence d'origine vasculaire (sur HTA) • Troubles de la mémoire selon époux • MMS et test de la montre 03.12.2018: 23/30 et 4/9 Démence débutante. Dyslipidémie avec hypertriglycéridémie. Diabète type II connu depuis 2009. Ostéoporose. Lipo-lymphoedème épifacial secondaire. Insuffisance veine saphène interne. Hypovitaminose B12 sur gastrite atrophique? Démence progressive. Insuffisance rénale chronique avec GFR estimé à 50 ml/min (03/16). Maladie de Dercum-Lipomatose douloureuse étendue. Démence d'origine - neurodégénérative de type maladie d'Alzheimer et vasculaire: • Consultation mémoire de Marsens du 23.10.2017: CDR à 2, MMS à 16/30 et TM à 3/7 • Traitement refusé par Mr. Y et la fille Hypertension artérielle Surdité appareillée gauche Malvoyant Démence d'origine mixte, neurodégénérative de type maladie d'Alzheimer et vasculaire: MMS à 11/30 et TM à 1/7 le 21.06.2018 Démence d'origine multifactorielle, sur: • hydrocéphalie à pression normale. • alcoolisme chronique avec démence de Korsakoff. • hémochromatose. • origine dégénérative (atrophie cérébrale massive). Anémie macrocytaire hyperchrome (Hb: 129 g/l le 28.02.2018). • acide folique le 01.03.2018: 1.6 ng/ml. Insuffisance rénale chronique Grade II. • eGFR selon CKD-EPI: 67.3 ml/min le 12.03.2018. Ataxie à la marche rapidement progressive avec: • IRM cérébrale du 07.10.10 (Givision): atrophie cérébrale importante, signes de gliose substance blanche péri-ventriculaire ddc, signes de poly-sinusite. • exclusion de déficit vitaminique B12, d'acide folique, de trouble thyroïdien, sérologies HIV, syphilis et Lyme négatives, 08/2010. • atteinte polyneuropathique. • atteinte centrale sur DD: Alzheimer, démence fronto-temporale, hydrocéphalie à pression normale, toxicité OH. BAV 1°. Hémochromatose. Hypertension artérielle (non traitée sur non-compliance médicamenteuse). Sténose aortique serrée avec: • surface à 0.46 cm2/m2. • gradient VG-Ao à 26 mmHg. Fracture tassement non déplacée du toit du mur postérieur de L4 le 08.07.2014.Démence d'origine neurodégénérative de type maladie d'Alzheimer et vasculaire : • Consultation mémoire de Marsens du 23.10.2017 : CDR à 2, MMS à 16/30 et TM à 3/7. • Traitement refusé par Mr. Y et sa fille. Hypertension artérielle. Surdité appareillée gauche. Malvoyant. Démence d'origine mixte, neurodégénérative de type maladie d'Alzheimer et vasculaire : MMS à 11/30 et TM à 1/7 le 21.06.2018. Démence d'origine neurodégénérative de type maladie d'Alzheimer et vasculaire. Hypertension artérielle. Surdité appareillée gauche. Malvoyant. Démence légère en lien avec une maladie d'Alzheimer à début tardif, G30.1 /F00.1 (ED Memory Clinic Bern 07.05.18) • Trouble de la mémoire, MMST 20/30 points • Aricept 10 mg Démence mixte vasculaire et dégénérative avec troubles cognitifs modérés • Diagnostiquée en 2014 par bilan radiologique et neuropsychologique • Sous Rivastigmine Fibrillation auriculaire intermittente sous anticoagulation par Sintrom. Hypertension artérielle. Dyslipidémie traitée. Goutte. Hypogonadisme hypogonadotrope (selle turcique vide en 1994). Hyperplasie bénigne de la prostate. Maladie de Ménière. Polyarthrose. Démence mixte vasculaire et dégénérative sévère, connue depuis 2015 environ • Pré-hospitalisation : dépendante pour les AVQ • Avec SAD 1x/j et accueil 3x/semaine à centre de jour Démence mixte Hyperparathyroïdisme primaire • Status post-thyroïdectomie totale, substituée par Euthyrox Ostéoporose Conflit fémoro-acétabulaire G symptomatique sur cal vicieux et nécrose tête fémorale sur status post : • Ostéosynthèse fémur proximal G par DHS 27.06.2012 pour fracture pertrochantérienne AMO DHS fémur proximal G, implantation PTH G (cupule Fitmore 52, noyau Durasul 52/36, tête Protasul 36 col L, tige MS-30/8 standard, centralizer 8/10, bouchon Weber 4, Palacos R+G). (OP le 12.12.2012) Incontinence urinaire Démence (MMS 25/30 le 04.02.2019). Maladie de Dupuytren. Insuffisance veineuse chronique • S/p stripping il y a 40 ans. Dyslipidémie. Hypertension artérielle. Démence progressive d'origine indéterminée, évoluant depuis l'année 2017. Démence progressive d'origine indéterminée, évoluant depuis l'année 2017 : • Acutisation le 11.04.2018 et maintien impossible à domicile temporairement Chute de sa hauteur le 12.04.2018 Fracture fémorale pertrochantérienne droite non déplacée sur chute mécanique le 15.02.2018 Status post réduction sanglante et ostéosynthèse par clou Gamma long pour une fracture spiroïde sous-trochantérienne du fémur gauche (02/2012). Status post fracture radius distal des deux côtés (traitement conservateur). Fracture intra-articulaire non-déplacée du processus styloïde, radius distal droit, AO 23-B1. Abcès péri-amygdalien droite Démence sévère non précisée. Démyélinisation centro-pontique avec : • Atteinte bulbaire avec parésie faciale bilatérale, ataxie, trouble de la déglutition, stase salivaire, dysarthrie et dissociation automatico-volontaire. Transcop du 20.02 au 08.03.2013. Physiothérapie et ergothérapie intensives. Démyélinisation centro-pontique dans un contexte d'hyponatrémie sévère le 21.01.2013 avec : • Clinique : Atteinte bulbaire avec parésie faciale bilatérale, ataxie, trouble de la déglutition, stase salivaire, dysarthrie et dissociation automatico-volontaire. • CT cérébral, 08.02.2019 : lésion hypodense au niveau du pont déjà présente en 2013 mais plus visible parlant pour une myélinolyse centro-pontique, pas de saignement cérébral, atrophie cortico sous corticale surtout au niveau du cervelet • IRM cérébral le 22.01.2013 : plusieurs plages d'hyper intensité de signaux sur les coupes flair dans la substance blanche des noyaux gris centraux et du thalamus, discret hyper signal sur les coupes flair au niveau du cortex frontal et pariétal. Hyper signal sur les coupes flair au niveau du pont et un hyper signal à cet endroit sur l'imagerie-diffusion. Le vermis cérébelleux est discrètement atrophique. Densitométrie osseuse dans l'année avec évaluation de l'indication à des biphosphonates (iv car ulcère digestif) Prochain cycle prévu le 25.02.2019 (C5J1 de R-DA-EPOCH) Prévoir hospitalisation au HFR-Fribourg pour la chimiothérapie. Dent n° 41 cassée transversalement au niveau de sa partie supérieure le 24.02.2019. Dent 52 mobile. Dénutrition, pose de PEG élective. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 8 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Dénutrition probable. Dénutrition protéino-calorique • Poids de forme : 82 kg. Poids actuel 76 kg. Dénutrition protéino-calorique. Dénutrition protéino-calorique • Labo 06.12.2018 : Pré-Albumine 0.24 g/l • Perte de 11 kg (14 % du poids corporel) en environ 2 mois. Dénutrition protéino-énergétique. Dénutrition protéino-énergétique. Dénutrition protéino-énergétique aiguë grave. Dénutrition protéino-énergétique aiguë grave. Dénutrition protéino-énergétique avec anasarque et hypoalbuminémie sévère à 13 g/l le 15.02.2019 • Contexte post-opératoire et chylothorax. Dénutrition protéino-énergétique grave sur insuffisance du pancréas exocrine. Dénutrition protéino-énergétique modérée : • Avec perte de 13 kg en 2 ans • Dans un contexte oncologique. Dénutrition protéino-énergétique modérée avec hypoalbuminémie. Dénutrition protéino-énergétique modérée avec hypoalbuminémie. Dénutrition protéino-énergétique modérée le 11.02.2019. Dénutrition protéino-énergétique • Ostéopénie radiologique. Dénutrition protéino-énergétique sévère. Dénutrition protéino-énergétique sévère. Dénutrition protéino-énergétique sévère sur trouble de la déglutition sévère. Dénutrition sévère dans le cadre d'un carcinome épidermoïde du trigone rétromolaire gauche le 09.03.2017. Anémie normochrome normocytaire arégénérative, le 09.03.2017. Bronchopneumonie communautaire basale droite à germe indéterminé le 28.04.2016. Probable pneumonie basale gauche sur broncho-aspiration le 05.11.2016. Hémorragie diffuse du lambeau pectoral G et de la trachéotomie sous anticoagulation thérapeutique (HBPM) le 07.10.2016 • Cautérisation locale le 07.10.2016 (Dr. X). Pneumonie nosocomiale à germe indéterminé le 17.04.2013. Insuffisance respiratoire globale d'étiologie plurifactorielle le 23.10.2012 sur : • ARDS sur tuberculose miliaire le 28.10.2012 (fin du traitement par Rifampicine + Isoniazid le 09.04.2013) • Surinfection à Hafnia alvei le 28.10.2012 • Embolie pulmonaire bilatérale le 10.11.2012 (sous Xarelto) • Atélectasie bilobaire gauche sur toux inefficace le 27.11.2012 • Suspicion de bronchopneumonie nosocomiale le 19.12.2012. Oesophagite hémorragique probablement sur maladie de reflux, anti-agrégation plaquettaire et anticoagulation le 17.12.2012. Syncope d'étiologie indéterminée avec traumatisme crânio-cérébral simple en 2008. Fracture de la tête humérale gauche (AO 11-A3). Dénutrition sévère sur inappétence, asthénie, nausées et plénitude aux repas • Dans un contexte de sclérose latérale amyotrophique • Avec perte pondérale importante (25 kg en 1 année, soit 30 % de sa masse corporelle) • Absence de dysphagie • Tentative de pose de PEG endoscopique le 31.01.2019 : échec • Suivi nutritionnel par Dr. X Dénutrition sévère sur maladie de Parkinson le 11.12.2018 avec : • Dénutrition sévère avec perte de 20 kg en 1 année (-800 g/semaine depuis 5 mois).• Dysphagie aux liquides depuis novembre 2018 • Pose de PEG le 18.12.2018 à l'HFR Fribourg • Dénutrition sur maladie oncologique • Sonde naso-gastrique préventive dès le 01.02.2019 posée au CHUV • Dépendance aux benzodiazépines • Plusieurs tentatives de sevrage par le passé • Dépendance à l'alcool • Environ 1 bouteille de whisky chaque 2 jours • Dépendance OH. • Dépistage BRCA • Dépistage cervical positif pour le Chlamydia • Déplacement de la lame du PFNA fémur G sur statut post réduction ouverte et ostéosynthèse du fémur à G le 06.12.2018 pour une fracture intertrochantérienne à G comminutive par un clou PFNA long et 2 cerclages Dall-Miles. • Déplacement de matériel d'ostéosynthèse avec déplacement secondaire de la fracture sur un statut post-réduction ouverte, cerclage, ostéosynthèse par clou Gamma long 125°/11mm 380 mm le 31.10.2018 pour fracture complexe du fémur proximal droit, avec composante du col fémoral latéral et inter-trochantérienne. • Déplacement secondaire post-traumatique de l'ostéosynthèse du radius distal gauche du 08.02.2019. • Deponit 10 mg et Adalat 30 mg • Dépression. • Dépression chronique récidivante traitée • Dépression chronique sous Citalopram • Tabagisme actif • Dépression débutante le 11.02.2019. • Dépression en 2010. • Statut post-6 interventions X au pied G. • Statut post-greffe de peau au niveau de l'orteil 1 du pied droit en 2007. • Ulcère malléole médiale droite surinfectée sur insuffisance veineuse. • Kyste synovial de l'articulation radio-ulno-carpienne post-traumatique • Dépression il y a 20 ans. • Dépression juste avant et en début de grossesse (a pris du Relaxane pendant 3 mois) • Accouchement par voie basse avec EMLD à 39 4/7 semaines d'aménorrhée le 14.10.2013 (F 3760 g) • Dépression majeure depuis 2 ans. • Dépression non traitée. • Dépression réactionnelle • Dépression réactionnelle en 2009. • Nodules pleuraux. • Traumatisme périnatal de l'œil droit avec cécité. • Dépression réactionnelle sans idée suicidaire, ni d'idée psychotique. • Dépression sous traitement de Lithium, Cipralex et Imovane. • COPD sévère sur tabagisme. • Dépression sous Tritico/Duloxetine • Hypoacousie • Acouphène • Dépression traitée par Venlafaxine et Trittico • Brûlure 1er/2ème degré superficielle sur le visage (front, joue droite, pommettes gauche et droite, menton) et partie thoracique haute à droite • Dépression traitée • Dépression traitée. • Dépression. • Angoisse. • Dépression. • Decompensation psychotique. • Dépression • Ethylisme chronique • Dépression • Ethylisme chronique • BPCO non stadée • Dépression • Hémorragie digestive haute sur ulcère ventral pré-pylorique secondaire à la prise d'AINS le 01.06.2013 • Résection 40 cm d'intestin pour polypose en 12.2015 • Dépression. • Hypercholestérolémie. • Tabagisme actif. • Excès pondéral. • Ménopause précoce. • Perturbation des tests hépatiques probablement d'origine OH 06.2016. • Dépendance OH 5 unités/j. • Dépression. • Reflux non investigué. • Prothèses auriculaires des deux côtés. • Dépression. • Spasmes oesophagiens diagnostiqués en juillet 2011, sous traitement par inhibiteur de la pompe à protons. • Hépatite B ? • Depuis la chute, elle montre son pied gauche et manifeste un retrait antalgique lors de la palpation. • L'inversion et l'éversion provoquent également un retrait. • Le statut et l'anamnèse sont difficilement réalisables dans ce contexte. • Nous réalisons une radiographie du pied et de la cheville qui montre une fracture en motte de beurre du tibia distal gauche, pour laquelle nous réalisons un plâtre cruro-pédieux (genoux à 20°) sur avis du Dr. X, orthopédiste, qui reverra la patiente à sa consultation le 20.02.2019. • La radiographie de contrôle ne montre pas de déplacement secondaire ni de point d'appui. • Nous lui prescrivons de l'Algifor sirop junior adapté au poids ainsi que des cannes anglaises et un fauteuil roulant au cas où la marche avec les cannes s'avérait impossible. • Depuis quelques semaines, le patient présente un œdème important des 3ème et 4ème doigts de la main droite, avec rougeur et chaleur associées. • Il se présente aux urgences le 09.02.2019 en raison d'une douleur intolérable, douleur qu'il a tentée de soulager par une auto-incision à l'aide d'un couteau au niveau de l'IPD du 3ème doigt droit. • Aux urgences, une incision et drainage de la plaie sont effectués aux urgences le 11.02.2019, avec prélèvements bactériologiques. • Le bilan biologique révèle un syndrome inflammatoire avec CRP à 70 mg/l et leucocytose 5,6 G/l le 12.02.2019. • L'acide urique est 643. • Mr. Y est hospitalisé dans le service d'orthopédie où il bénéficie d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 1,2 g iv/jour. • Il est mis sous traitement de Bufen et colchicine, ainsi qu'antalgique. • L'évolution est favorable, avec diminution du syndrome inflammatoire, CRP à 16 mg/l et leucocytes 6,2 G/l le 16.02.2019. • La culture des prélèvements revient négative à 5 jours. • La réfection du pansement montre une plaie calme et, face à la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 18.02.2019. • Le membre supérieur droit est immobilisé dans une attelle Edimbourg jusqu'à cicatrisation. • Depuis 2015, le patient souffre d'importantes douleurs de la hanche droite, qui se sont aggravées et il est limité dans les activités de la vie quotidienne et durant le travail. • Il arrive à marcher au maximum 15 minutes. • On voit que la solution d'une intervention chirurgicale avec implantation d'une PTH. • Le patient a des vacances prévues durant le mois d'avril. • Nous lui donnons un traitement antalgique et on pré-réserve une date opératoire pour le début du mois de mai. • Nous le reverrons pour un contrôle à la fin mars pour discuter avec le Professeur Tannast du traitement opératoire. • Le patient est déjà informé qu'il sera probablement nécessaire d'allonger légèrement la jambe droite, étant donné l'important raccourcissement, ainsi que la position en varus de la tête fémorale à droite. • Il faudra très probablement prescrire une semelle pour le côté gauche. • Le patient est d'accord avec cette procédure. • Prochain contrôle le 26.03.2019. • Le patient a été évalué ici aux urgences avec Dr. X. • Le patient reçoit une inhalation de Bethnesol 4 mg (0,2 mg/kg). Légère amélioration en cas de toux. • Après discussion avec la cheffe de service et le médecin de garde en pédiatrie d'urgence à l'hôpital, le patient sera transféré à l'hôpital. • Dermabrasion au coude droit, occiput. • Dermabrasion au niveau du coude droit de 1 cm sans saignement actif. • Dermabrasion au niveau pariétal. • Dermabrasion de la base de O4-O5 à gauche. • Dermabrasion de 1 cm au niveau de l'interphalangienne distale. • Dermabrasion de 1 cm au niveau du vertex en regard de la jonction des os pariétaux. • Dermabrasion de 1,5 x 1 cm superficielle en regard de l'articulation carpo-ulnaire main droite, le 24.02.19. • Dermabrasion de 7 mm, transverse au niveau de l'interphalangienne du pouce sur la face radiale à droite. • Dermabrasion du coude droit. • Dermabrasion du coude gauche. • Dermabrasion et hématome en regard de l'os zygomatique. • Dermabrasion genou droit. • Dermabrasion hémorragique de l'aile gauche du nez sur rhinophyma. • Dermabrasion infracentimétrique du nez non suturable suite à un accident de la voie publique à haute vélocité. • Dermabrasion longitudinale de 9 cm de longueur en regard de la loge rénale gauche. • Dermabrasions de 2 cm à la base et sur l'arête du nez. • Dermabrasions infra-centimétriques au niveau frontal. • Dermabrasions au niveau du dos de la main droite et sur la face dorsale des 2ème, 3ème et 4ème doigts. • Dermabrasions au niveau du dos de la main gauche, sur les faces dorsale et ulnaire de l'index et sur la face dorsale du 3ème et du 4ème doigt. • Dermabrasions de 4 cm au niveau du genou droit en regard de la rotule. • Dermabrasions multiples des mains au niveau de la face dorsale et des genoux. • Dermabrasions multiples des mains face dorsale et des genoux. • Dermabrasions multiples des membres et du massif facial. • Dermabrasions multiples sur griffure de chien : • Face dorsale P2D3 main D • Face dorsale 1ère commissure main G • Dermabrasions para-orbitales à gauche. • Dermabrasions superficielles post-agression. • Dermatite atopique. • Dermatite atopique sévère avec lésions surinfectées. • Dermatite atopique (traitée avec crème cortisone, actuellement pas de crème). • Dermatite de contact sur application de crème hydratante ou autre irritant chimique le 22.02.2019. • DD : dermatite photo-allergique. • Dermatite eczémateuse avec lésions secondaires de grattage. • Dermatite séborrhéique. • Dermatite séborrhéique. • Dermatite superficielle spongieuse avec éosinophiles le 11.12.2018. • DD : sur xérose cutanée, eczéma du sujet âgé. • Dermatophyte 3 x 3 cm au niveau mi-plantaire gauche. DD : fongique, virale, sur piqûre d'insecte. • Dermatose péri-génitale surinfectée probablement sur incontinence fécale. • Dermatose péri-orbitaire probablement d'origine allergique. • Dermite de contact au niveau des 2 cuisses. • Dermite de contact sur produit de décoloration capillaire (PPD) le 27.02.2019 avec : • Consultation dermatologique ambulatoire et prise de 80 mg de Prednisone IM + 50 mg PO le 26.02.2019. • Dermite de stase au niveau du mollet gauche le 14.02.2019. • Dermite de stase avec probable surinfection au niveau du pied droit le 22.01.2019. • Dermite de stase dans le contexte d'une décompensation d'insuffisance cardiaque DD insuffisance veineuse • cardiopathie ischémique et dysrythmique. • ETT 07/2018 : Dilatation importante du ventricule gauche avec dyskinésie. FEVG à 27 %. Hypertrophie excentrique. • Insuffisance mitrale importante (grade 4/4) fonctionnelle. SOR de l'IM à 0,3 cm². Dysfonction diastolique importante (grade III). Oreillette gauche ectasique. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. HTAP modérée (PAPs à 57 mmHg). • insuffisance cardiaque HFrEF sur cardiopathie ischémique et dysrythmique avec NYHA 3, le 02.07.2018. • infarctus NSTEMI sur sténoses sub-totales de l'artère circonflexe moyenne, significative de l'artère circonflexe proximale et obstruction du pontage de l'artère circonflexe, avec mise en place de trois stents actifs dans l'artère circonflexe moyenne et proximale ; FEVG 35 % (juin 2011). • pacemaker en 1993 pour BAV 3ème degré, dernier remplacement le 29.10.2018. • triple pontage aorto-coronarien en 1992. • infarctus inférieur et hypokinésie inférieure en mars 1992. • double pontage sur l'artère interventriculaire postérieure et l'artère rétro-ventriculaire postérieure en 1984. • infarctus antérieur et akinésie apicale en 1983. • Dermite du siège irritative. • DD : diarrhées sur gastro-entérite et/ou sur antibiotiques. • Dermite irritative du siège sur diarrhées. • Dermite ocre des 2 MI. • Dermite ocre du MIG. • dd dermo-hypodermite du MIG. • Dermite sous-cutanée de stase du membre inférieur droit le 17.02.2019. • Dermoépidermite du petit orteil à D. • État post-cure d'un cor. • Dermo-épidermite gauche de la jambe avec thrombose veineuse profonde (zone poplitée) le 24.07.2018. • Dermohypodermite du membre inférieur droit le 29.01.2019. • porte d'entrée probable : plaie prétibiale présente depuis 2 mois. • Dermohypodermite bras gauche. • Dermohypodermite cheville et mollet gauche le 14.02.2019. • porte d'entrée cutanée. • Dermohypodermite cuisse gauche, le 22.02.2019. • avec signe de myosite radiologique du quadriceps gauche vaste médiale, le 22.02.2019. • Dermohypodermite cuisse gauche, le 22.02.2019. • avec signe de myosite radiologique du quadriceps gauche vaste médiale. • état post-injection de testostérone le 20.02.2019. • Dermohypodermite de la jambe droite avec deux dermabrasions de 2 cm de diamètre au niveau du tibia antérieur. • Dermo-hypodermite de la face dorsale de la main gauche sur morsure de chien le 12.04.2018. • Cure de hernie inguinale gauche selon Lichtenstein avec pose de filet le 30.01.2018. • Cure de hernie inguinale droite en 1993. • Dermo-hypodermite de la joue droite. • Dermohypodermite de la pulpe de D1 main droite. • DD : paronychie, ongle incarné. • Dermohypodermite de la pulpe de D1 main droite, le 22.02.2019. • DD : paronychie, ongle incarné. • Dermohypodermite débutante au niveau pectoral gauche. • Dermohypodermite des membres inférieurs des deux côtés sur multiples plaies sans. • Dermohypodermite du dos de la main G. • sur morsure de chat le 08.02.2019. • Dermohypodermite du dos de la main gauche. • sur morsure de chat le 08.02. • Dermo-hypodermite du membre inférieur droit. • Dermo-hypodermite du membre inférieur droit. DD : thrombose veineuse profonde. • Dermo-hypodermite du membre inférieur droit en février 2016. • Hernie inguinale droite symptomatique opérée selon Lichtenstein en février 2015. • Arrachement du tendon biceps droit en janvier 2013. • Hémorragie digestive sur ulcère gastrique en 2007. • Hépatite B guérie. • Thrombose hémorroïdaire. • Arthrite goutteuse. • Cholécystite aiguë. • Anémie normocytaire normochrome d'origine inflammatoire probable le 12.04.2018. • Multiples décompensations ascitiques d'une cirrhose CHILD B : • En 03.2018, 08.2018, 12.2018. • Thrombopénie à 83 G/l dans le contexte de la cirrhose le 22.08.2018. • Dermo-hypodermite du membre inférieur droit en février 2016.Hernie inguinale droite symptomatique opérée selon Lichtenstein en février 2015. Arrachement du tendon biceps droit en janvier 2013. Hémorragie digestive sur ulcère gastrique en 2007. Hépatite B guérie. Thrombose hémorroïdaire. Arthrite goutteuse. Cholécystite aiguë. Anémie normocytaire normochrome d'origine inflammatoire probable le 12.04.2018. Multiples décompensations ascitiques d'une cirrhose CHILD B : • En 03.2018, 08.2018, 12.2018. Thrombopénie à 83 G/l dans le contexte de la cirrhose le 22.08.2018. Insuffisance rénale chronique sur probable SHR type II : • Créatine : 124 umol/l. Suivi biologique et clinique. Dermohypodermite du membre inférieur droit le 07.08.2018. Dermohypodermite du membre inférieur droit sur insuffisance veineuse chronique le 03.06.2018. Cholécystectomie en 2011. Bactériurie asymptomatique le 10.10.2018. Globe vésical le 11.10.2018 : • Ultrasonographie ciblée en médecine HFR Fribourg le 11.10.2018 : vessie de 10 x 10 x 9 cm avec aspect de dôme (volume estimé à environ 500 ml). • Pose de sonde vésicale le 11.10.2018, retrait le 15.10.2018. Réadaptation gériatrique suite à un état confusionnel aigu le 10.10.2018 : Troubles de l'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle, avec : • Dernière chute le 24.03.2018 (à répétition selon le dossier) • Facteurs de risque de chute : • douleurs chroniques aux pieds. • troubles de la vue et de l'ouïe. • troubles cognitifs. • déficit vitaminique. Dermohypodermite du membre inférieur gauche (DD : érysipèle, infection sur œdème des membres inférieurs) 10.2014. Œdème des membres inférieurs sur probable insuffisance veineuse chronique 10.2014. Torticolis le 30.06.15. Dermohypodermite du membre inférieur gauche le 11.03.2018. Décompensation diabétique mixte (acidocétosique et hyperosmolaire) le 27.09.2018 dans un contexte d'arrêt du traitement sur consommation d'alcool avec : • Diabète de type 2 insulino-requérant • HbA1c le 29.09.2018 : 11.1% • Mauvaise compliance médicamenteuse dans le contexte d'un syndrome de dépendance à l'alcool Syndrome de Takotsubo le 27.09.2018 avec insuffisance cardiaque globale G > D. • FEVG 55-60 % le 07.12.2017 • FEVG 30 % le 28.09.2018 • FRCV : HTA, DM type 2 IR avec mauvaise compliance médicamenteuse, OH chronique, tabagisme actif 50 UPA, obésité et obésité tronculaire, AF négative, absence de dyslipidémie (selon patient) • Echocardiographie trans-thoracique le 28.09.2018 • Coronarographie le 01.10.2018 : artères coronaires athéromateuses sans lésions significatives. Takotsubo-Cardiopathie. EF du VG 45 % • Avis cardiologique : pas d'indication à des bêta-bloquants actuellement. Dermohypodermite du membre supérieur droit le 03.02.2019. Dermo-hypodermite du membre supérieur droit post-excision d'un mélanome le 30.01.2019. Dermohypodermite du visage le 09.02.19 avec : • porte d'entrée cutanée de la valve nasale antérieure sur micro lésion lors de mouchage • laryngite secondaire. Dermohypodermite en regard d'un lymphoedème chronique abdominal droit le 18/02/19. Dermohypodermite IPP D2 main droite le 18.02.2019. Dermohypodermite membre supérieur droit avec phlegmon de la gaine des extenseurs, le 14.02.2019. Dermo-hypodermite membre supérieur G • status post-dermohypodermite poignet gauche le 06.08.2018. Dermohypodermite péri-unguéale de l'index droit le 16.02.2019. Dermohypodermite suite à injection de stéroïdes. Dermo-hypodermite sur cloque surinfectée en regard de la face médiale interne du talus droit. Dermohypodermite sur morsure de chat le 16.02.2019. Dermo-hypodermite sur plaie malléolaire externe G surinfectée à Citrobacter koseri le 05.10.2014. Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle le 05.10.2014. Hypokaliémie récidivante. • Substitution. • Introduction d'un diurétique à épargne potassique. Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique post-opératoire d'origine multifactorielle le 15.01.2019. • atélectase basale gauche • embolie pulmonaire segmentaire lobe moyen droit CT-scan thoracique le 15.01.2019. Ventilation non invasive du 15.01 au 16.01.2019. Suivi clinique. Dermohypodermite sur plaie superficielle du tibia antérieur distal droit. Dermovat crème 2x/jour jusqu'à disparition de l'érythème. Xyzal 5 mg 1x/jour pendant 3 jours. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Dermovate Salbe 1x/j pour 1 mois (20 g/utilisation), puis tous les 2 jours jusqu'au contrôle. Corticothérapie systémique en sevrage avec schéma dégressif. Dernière chimiothérapie à Tavel le 12.02.2019 par Dr. X. Prochaine chimiothérapie repoussée à distance de l'épisode aigu : recontacter Dr. X. à la sortie du patient. Dernière chimiothérapie vendredi 15.02.2019, prochaine prévue le 08.03.2019 par Pembrolizumab et Carboplatine (arrêt du Taxol au vu des effets secondaires). Rendez-vous prévu en oncologie pour pré-chimiothérapie jeudi 07.03.2019 à 11h (contrôle biologique puis clinique). Dernière dose Fondaparinux le 09.02.19. Reprise Sintrom le 12.02.19. Dernière FEVG à 45 % en 2010, hypertrophie hypertensive. Labo : pas de syndrome inflammatoire, NT-Pro BNP 1274 D-dimère 3'235. Gazométrie. Rx du thorax : signe OAP avec lignes de Kerley, pas de foyer. CT thoracique : OAP, cardiomégalie, pas de EP, dilatation du tronc pulmonaire, dilatation de l'aorte au niveau de l'isthme à 4.9 cm, épanchements pulmonaires ddc aux urgences : 3 mg de belok iv, 40 mg de Furosemide, sonde urinaire.ATT • hospitalisation aux soins pour suite de prise en charge • Dernière injection Xgeva et Zoladex le 18.01.19 • Add CT thoraco-abdo pour nouvelles lésions osseuses dans contexte de Ca? • Consultation avec Dr. X prévue le 15.2.2019 • Dernière réadaptation pulmonaire au HFR Billens du 11.09 au 27.09.2018 • Suivi pneumologique, Dr. X • Poursuite physiothérapie respiratoire 2x/semaine en ambulatoire à Billens • Proposition de Nicorette inhaler • Désaturation à l'air ambiant sur probable IVRS • DD broncho-aspiration sur la nuit • Désaturation à 88% à son arrivée • Oxygénothérapie du 15.02 - 16.02.2019 • Désaturation à 88% au sommeil motivant une hospitalisation pour oxygénothérapie. • Frottis RSV négatif. • Désaturation et somnolence • Désaturations occasionnelles à l'AA • BPCO jamais stadée mais très probable • Descellement aseptique de PTH D avec rupture de la tige sur status post PTH D en 2001 (HIB). • Lombosciatalgies L5-S1 droite en cours d'investigations. • Syndrome sacro-iliaque D sur asymétrie des membres inférieurs en défaveur de la droite. • Descellement et infection chronique PTH D à Staph. epidermidis (ponction du 16.01.2019) • Implantation PTH D le 19.07.2017 (Dr. X, clinique de Moncor) • Descellement PTG gauche avec : • hypercaptation de la PTG découverte fortuitement lors du Pet-CT du 07.03.17. • Status post-changement PTG gauche. • Rétraction chaînes musculaires postérieures à droite. • Descellement PUC (implant tibial) à droite. • Gonalgies droites sur : • status post-PUC par Dr. X en 2008 avec arthrose fémoro-patellaire. • Gonarthrose gauche. • Descellement septique de PTG G implantée en mars 2008 : • Ostéotomie de la tubérosité tibiale antérieure sur luxation latérale de la rotule gauche en octobre 2008 • Ablation de PTG G, débridement des tissus mous et de la capsule articulaire, débridement des ligaments collatéraux et du pivot central, mise en place d'un spacer imprégné de Vancomycine au fémur et au tibia gauches le 08.08.2012 • Antibiothérapie par Daptomycine durant 6 semaines en août 2012 • Ablation du spacer, implantation d'une PTG G type charnière rotatoire Zimmer en octobre 2012 • Réaction allergique cutanée à l'administration sous-cutanée de Morphine le 04.08.2014 • Descente matrice opérée il y a 50 ans • AVC avec hémisyndrome D régressif à l'âge de 51 ans • Cholecystolithiase • Intervention cataracte en 2013 s/p • desempaction manuelle • prescription de laxatif d'office et en R • Déséquilibre du genou D sur adipositas per magna. • Déséquilibre glycémique chez un patient diabétique non insulino-traité • Déséquilibre glycémique sur corticothérapie • HbA1c à 4.6% • Déshydratation. • Déshydratation à 10%, acidose métabolique compensée avec hypernatrémie et hyperchlorémie dans le contexte de la gastro-entérite • Déshydratation à 5-9% dans un contexte d'une gastro-entérite à rotavirus • Déshydratation dans le cadre d'une virose • Déshydratation de 6% • Déshydratation d'env 3% • Déshydratation d'env 8% • Déshydratation depuis le 22.01.2019 • Déshydratation environ 10% • Déshydratation estimée à 5% J6 post tonsillectomie/amygdalectomie/paracentèse • Déshydratation légère dans le cadre de bronchiolite • Déshydratation majeure sur diarrhées et vomissements. • Déshydratation modérée sur gastro-entérite aiguë • Déshydratation sévère en raison d'une gastro-entérite aiguë à Rotavirus • Désinfecté et collé avec Dermabond • Désinfection. • Désinfection. • Désinfection + pose 1 Steri-strip • Désinfection à la Bétadine, anesthésie locale, rinçage abondant au NaCl, suture par 3 points simples de Prolène 4.0 • Contrôle à 48h à la consultation ambulatoire des urgences (médecin traitant en vacances) puis ablation des fils dès J10. • Désinfection à la Bétadine, anesthésie locale avec lidocaïne 5% (5 mL), inspection locale, suture avec fils Prolène 3.0 (2 points simples). • Rappel anti-tétanique. • Attitude : • Fils à retirer 5-7 jours selon clinique. • Désinfection à la Bétadine, anesthésie locale avec Rapidocaïne, 2 points de suture avec Prolène 4.0, pansement local. • Pas de rappel anti-tétanique. • Ablation des fils dans 7 jours chez le médecin traitant. • Critères de reconsultation expliqués (signes d'infection). • Désinfection à la Bétadine. • Drainage de l'hématome. • Pansement compressif. • Désinfection à la Bétadine puis laisser sécher à l'air et appliquer de la Bétadine tulle, compresses, bandage. • Changement de protocole à faire 1 fois par jour. Nous le reverrons dans 2 semaines pour un contrôle clinique. • Désinfection à la Chlorhexidine, Stéristrip. • Attitude : • Antalgie et anti-inflammatoire. • Glace et décongestionnant. • Consultation en ORL à Genève dans 7 à 10 jours au maximum en cas de déformation. • Désinfection à l'Hibidil, anesthésie par Rapidocaïne/adrénaline, environs 5 points de Vicryl 4.0 et environs 15 points de Prolen 5.0. • Stéristrips. • Co-Amoxicilline 1g, 2x/jour pour 10 jours. • Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 02.03.2019. Avertir Dr. X qui doit voir le patient. • Ablation des fils à J10 (tous ou 1/2 selon évolution par un ORL). • Le patient sera au Portugal dans 10 jours mais nous assurons une consultation ORL. Dr. X, ORL, autorise le voyage. • Consultation avant si péjoration clinique. • Désinfection à l'Hibidil effectuée aux urgences. L'exploration sous anesthésie locale par Lidocaïne/Bicarbonate ne montre pas de structure profonde exposée, ni de corps étranger visible. Nous avons suturé avec 2 points d'Ethilon 5.0. • Rappel tétanos fait. Nous proposons un contrôle de la plaie à 48 heures chez le médecin traitant, les fils sont à enlever chez le médecin traitant dans 10 jours. • Un arrêt de travail pour 2 jours a été fait. • Désinfection à l'Hibidil effectuée aux urgences. L'exploration sous anesthésie locale par Lidocaïne/Bicarbonate ne montre pas de structure profonde exposée, ni de corps étranger visible. Nous avons suturé avec 4 points d'Ethilon 5.0. • Rappel tétanos fait. Nous proposons un contrôle de la plaie à 48 heures chez le médecin traitant, les fils sont à enlever chez le médecin traitant dans 10 jours. • Désinfection à l'Hibidil effectuée aux urgences. L'exploration sous anesthésie par Lidocaïne et Bicarbonate ne montre pas de structure profonde exposée, ni de corps étranger visible. Nous avons suturé avec 5 points d'Ethilon 4.0, avec rapprochement complet des berges. • Tétanos à jour. • Nous proposons un contrôle de la plaie à 48 heures chez le médecin traitant, les fils sont à enlever chez le médecin traitant dans 15 jours. • Désinfection à l'Hibidil effectuée aux urgences. • Exploration sous anesthésie locale par Lidocaïne/Bicarbonate ne montrant pas de structure profonde exposée, ni de corps étranger visible. • Rinçage abondant par NaCl. • Suture avec 2 points d'Ethilon 5.0. • Rappel tétanos. • Contrôle de la plaie à 48 heures chez le médecin traitant. • Fils à enlever chez le médecin traitant dans 10 jours. • Antalgie simple à domicile. • Arrêt de travail pour 2 jours. • Désinfection à l'Hibidil effectuée aux urgences. • Exploration sous anesthésie locale par Lidocaïne/Bicarbonate ne montrant pas de structure profonde exposée, ni de corps étranger visible. • Rinçage abondant par NaCl. • Suture avec 4 points d'Ethilon 5.0. • Rappel tétanos. • Contrôle de la plaie à 48 heures chez le médecin traitant. • Fils à enlever chez le médecin traitant dans 10 jours. • Antalgie simple à domicile.Exploration sous anesthésie locale par Lidocaïne/Bicarbonate ne montrant pas de structure profonde exposée, ni de corps étranger visible. Rinçage abondant par NaCl. Suture avec 5 points d'Ethilon 4.0. Tétanos à jour. Contrôle de la plaie à 48 heures chez le médecin traitant. Fils à enlever chez le médecin traitant dans 15 jours. Antalgie simple à domicile. Désinfection à l'hibidil, exploration de plaie. Rinçage (30cc de NaCl 0.9%) à l'aiguille boutonnée. Compression. Fermeture avec Prolène 4.0, 3 points simples. Pansement compressif (adaptic, compresse bande auto-adhésive). Désinfection à l'Octenisept, pansement liquide spray. Désinfection, ablation d'un point supérieur qui est enfoui dans la peau. Les autres fils plus souples sont maintenus en place. Désinfection, anesthésie locale par Lidocaïne, rinçage, exploration, champage et suture par 6 points Donati au Prolène 5.0 de la plaie frontale le 10.02.2019; ablation des fils le 17.02.2019. Rappel AT. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2.2 g i.v. aux urgences puis co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. du 10.02. au 17.02.2019. Surveillance neurologique aux 4h pendant 24h. Consilium ORL 10.02.2019 : Triofan, rinçages du nez au NaCl. Pas de mouchage. Rendez-vous chez le Dr X dans une semaine afin d'évaluer si une reposition est nécessaire. Désinfection, anesthésie en bague. Exploration de la plaie : pas d'atteinte des structures nobles. Rinçage, suture par 4 points de Prolène 4.0. Vaccin DiTe. Contrôle au Secteur Ambulatoire des Urgences à 48 heures. Ablation des fils à J 10. Désinfection, anesthésie locale, drainage avec écoulement purulent, rinçage à l'aiguille boutonnée, méchage bétadiné. Contrôle à 48h à la consultation ambulatoire des urgences. Antalgie par Dafalgan et Irfen. Désinfection, anesthésie locale. Exploration de la plaie : visualisation d'une gêne tendineuse intacte. Rinçage abondant, suture par Prolène 4:0, vaccin anti-T, contrôle de la plaie à 48 heures, ablation des fils à J10-14. Désinfection, anesthésie locale, exploration de la plaie, rinçage abondant, suture par 3 points simples Dermalon 3-0. Désinfection, anesthésie locale, exploration de la plaie, rinçage abondant, suture par 3 points simples Dermalon 3-0. Ablation des fils à 14 jours. Désinfection, anesthésie locale par Rapidocaïne, suture par 1 point de Prolène 4.0. Ablation de fils dans 7 jours chez le médecin traitant. Pas de rappel DiTe. Désinfection, anesthésie locale par Rapidocaïne, Suture avec 2 points de Prolène 3.0. Réfection de pansement. Rappel tétanos ce jour. Ablation des fils dans 8 jours. Désinfection. Anesthésie locale. Suture avec 3 points de Prolène 3/0. Pansement. Tétanos à jour. Radiographie colonne cervicale, examen avec explication donnée par le médecin. Désinfection, anesthésie locale, suture par 3 points simples Dermalon 4-0. Ablation des fils le 28.01.2019. Désinfection, anesthésie locale, suture par 4 points simples. Tétanos à jour. Surveillance de la plaie. Ablation des fils à J7-10. Désinfection. Antalgiques en réserve. Ablation des fils dans 5 jours chez le pédiatre. Désinfection, Aquacel argent, voile de mariée, bandage. Désinfection au Prontosan, pansement simple. Attitude : Réfection du pansement à 48 heures chez le médecin traitant. Désinfection au Prontosan. Ablation de 7 points simples. Désinfection au Prontosan. Ablation des fils à 6 jours chez le médecin traitant. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Désinfection avec Bétadine et drainage de 4 pustules avec lame de bistouri. Application de pansement sec. Augmentin 1 gramme p.o 2x/j durant 5-7 jours. Antalgie. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Contrôle clinique au Secteur Ambulatoire des Urgences dans 48h. Désinfection avec Betadine, pose de champs stériles, anesthésie en bague avec Rapidocaïne, petite incision de l'ongle, retrait de l'écharde, désinfection Bétadinée. Pansement du pouce avec Adaptic. RAD avec matériel pour changement de pansement et antalgie. Contrôle chez le médecin traitant le 18.02.19. Désinfection avec Hibidil, anesthésie en bague avec Rapidocaïne 1% 3 ml, exploration de la plaie, pas d'atteinte des structures profondes, retrait de la partie. Pas de point de suture, pansement occlusif avec IV3000 (pansement pour port-à-cath). Rendez-vous de suivi au secteur ambulatoire des urgences à 48h. Arrêt de travail pour 48h. Patient arrivé en Suisse il y a 3 ans et a vraisemblablement fait tous les vaccins. Désinfection avec Hibidil, 1 point de suture avec Prolène 4:0 et stéristrip. Pansement avec Adaptic. Retour à domicile et ablation du fil à 14 jours chez le médecin traitant. Pas de rappel tétanos (dernière dose il y a 3 ans). Désinfection avec Hibidil, 4 points et suture avec Prolène 5.0, Steristrip. Désinfection avec Prontosan, pansement avec compresses et bande. Contrôle clinique au secteur ambulatoire des urgences à 48h en raison de l'odeur nauséabonde (probable macération). Désinfection avec une débridement minime d'une plaie à 7 mm. Suture avec un point de Prolène 5.0, Steristrip. Désinfection bétadine. Désinfection, bétadiné onguent, compresse et bande. Pas d'antibiothérapie. Retour à domicile avec contrôle clinique à 48h en filière (évaluer si formation d'une collection ou non). Désinfection bétadinée, anesthésie locale par Lidocaïne, rinçage abondant NaCl, suture par 4 points simples Prolène 4.0, pansement simple. AT pour 48h (travailleur manuel) puis contrôle chez le médecin traitant, ablation des fils J10. Désinfection bétadinée et eau oxygénée, pansement occlusif. Antalgie simple. Suite en médecine militaire avec retrait du pansement à 3 semaines. Désinfection, champage, exploration, rinçage, 3 points de suture au Prolène 5:0, sous anesthésie locale. Pansement spray Opsite. Antalgie selon douleurs, repos à domicile, ablation des fils à J5. Désinfection, champage, exploration, suture par 4 points simples de Prolène 5.0 sous anesthésie locale. Application de pansement par Adaptic, compresses. Surveillance aux urgences. Consignes post-TCC données au patient. Contrôle de plaie et ablation des fils à J 5 chez le médecin traitant. Le patient rentre à domicile en taxi. Désinfection, champage, exploration, 2 points de suture Prolène 5.0, rappel antitétanique. Consignes pour traumatisme crânien données à la patiente. Pansement par Adaptic et Mefix. Désinfection, changement de pansement avec syndactylie des 4-5èmes doigts et fixation en flexion de 20°. Rendez-vous chez son médecin traitant demain avec contrôle et nouveau changement de pansement. Rendez-vous également prévu en ortho-urgence à 1 semaine. Désinfection de la plaie, anesthésie par Rapidocaïne 1%, rinçage NaCl à l'aiguille boutonnée, pose de 2 points de suture. Antibiothérapie car plaie souillée et proche d'une articulation. Rappel tétanos. Patient refuse un arrêt de travail. Contrôle clinique à 48h avec changement du pansement. Ablation des fils à J7 chez le médecin traitant. Désinfection de la plaie. Application topique de Bépanthène. Désinfection de plaie avec Octenisept, rinçage de plaie à l'aiguille boutonnée, pas de point de suture, pansement local. Pas de rappel de tétanos. Contrôle chez le médecin traitant en cas de signes d'infection. Désinfection de plaie, changement de bandage avec Adaptic digit. Ablation de fils à J10 chez le médecin traitant. Désinfection et ablation. Consignes usuelles plaies. Reconsultation si persistance de douleur à 48h ou signes de surinfection locale. Désinfection et ablation des fils en totalité. Pansement avec compresses et bandage pour protéger les croûtes au niveau de la face dorsale. Les orifices des broches sont calmes. Il doit continuer de faire attention au niveau des orifices avec désinfection et protection à ne pas enlever avant 6 semaines.Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radio-clinique et ablation des broches. Poursuite de la charge selon douleurs dans un Vacopedes. Désinfection et ablation des fils, la cicatrice est calme. Réfection du pansement 3 fois par semaine avec Bétadine tulle par les soins à domicile. Nous le reverrons dans 2 semaines pour un contrôle clinique. Il peut commencer la physiothérapie pour renforcement musculaire et avec des exercices de stabilité. Il doit abandonner progressivement les cannes. Désinfection et cure d'ongle incarné. Bains de Dakin 3x/j. et crème Fucidine selon protocole HUG. Contrôle à 48 heures au service ambulatoire des urgences, la patiente est informée d'annuler en cas d'amélioration de la symptomatologie. Recommandation de reconsulter en cas d'état fébrile ou frissons. Désinfection et réfection du pansement Adaptic Digit. Retrait des fils à 7 jours chez le médecin traitant : si pas de place, la patiente reconsultera chez nous. Désinfection et rinçage de la plaie avec enlèvement des débris de verre et pansements. Vu l'absence de douleurs abdominales et le bilan urinaire sans hématurie, on n'a pas d'argument pour un saignement intra-abdominal. À part une surveillance aux urgences pédiatriques nous renonçons à faire d'autres examens complémentaires. Après une longue discussion avec Mme. Y sur l'accident et la situation de sa mère qui est hospitalisée au HFR pour un coma suite à une cétoacidose dans le contexte d'un diabète, nous proposons un avis pédopsychiatrique en ambulatoire. Vu le contexte familial, cela a été mal pris par la famille. Le contact du CPP a été donné. Nous recommandons un contrôle chez le pédiatre dans 48h. Désinfection et rinçage. Opsite spray. Rappel anti-tétanos. Désinfection et stéri strip. • Retour à domicile avec conseils d'usage. • Garder au sec. • Désinfection et stéri strip toutes les 24h. Désinfection, exploration après anesthésie locale avec Rapidocaïne 3 cc, 3 points de suture avec Prolène 4.0. Rappel vaccination antitétanique. Consultation de contrôle à 48h chez le médecin traitant, ablation des fils à 10 jours. Consignes de surveillance expliquées. Désinfection, exploration, rinçage avec du NaCl. Anesthésie locale avec Rapidocaïne 1%, suture de 1 point avec Prolène 5.0. Rappel tétanos. Ablation des fils dans 5 à 7 jours chez le médecin traitant. Critères de reconsultation expliqués au patient avec consignes de reconsulter immédiatement le cas échéant. Désinfection, exploration sous anesthésie locale, rinçage et suture par 4 points d'Ethilon 4/0. Rappel antitétanique. Ablation des fils à J10. Désinfection, fucidin, pansement. Désinfection Hibidil. Désinfection (Hibidil), champage, anesthésie locale (Rapidocaïne 1%), rinçage, 1 point simple d'Ethilon 4.0, pansement simple. Ablation du fil à J10 chez son médecin traitant. Consultation avant si signes de surinfection. Désinfection Hibidil, champage, suture par 1 point de Prolène 4.0. Ablation du fil à J5. Désinfection Hibidil, exploration et rinçage de la plaie au NaCl, suture par 2 points simples avec Prolène 5.0 et 2 points simples avec Prolène 6.0. Consilium ophtalmologique fait pour la plaie. Vaccination antitétanique. Ablation des fils dans 5-7 jours. Désinfection Hibidil, exploration et rinçage de la plaie au NaCl, suture par 2 points simples avec Prolène 5.0 et 2 points simples avec Prolène 6.0. Consilium ophtalmologique fait pour la plaie. Ablation des fils dans 5-7 jours. Désinfection Hibidil, 4 points avec Prolène 5-0, Opsite spray. Retour à domicile, contacte son médecin traitant demain pour connaître la date exacte du dernier rappel du tétanos, ablation des fils dans 7-10 jours chez le médecin traitant. Désinfection Hibidil. Rappel vaccin anti-tétanique. Avis ORL (Dr. X) : suture du cartilage avec 1 point Vicryl rapide 6-0, et suture cutanée avec 5 points Vicryl 4-0, pansement compressif en policlinique, contrôle à 24h, co-amoxicilline 1g 2x/jour. Désinfection, incision au bistouri froid, évacuation de pus, mise en place d'une mèche, pansement, gaz et Mefix. Traitement antibiotique pendant 5 jours, reconsultation aux ambulatoires des urgences le 13.02.2019 pour évaluation et contrôle du frottis. Désinfection locale des plaies de l'avant-bras droit. Retrait des Stéri-strips ce 15.02.2019 en fonction de l'évolution des plaies (patient dénutri). Désinfection locale, pansement. Désinfection locale pour éviter surinfection. Désinfection locale. Délimitation de rougeur. Pansement. Ordonnance matériel pour désinfection à 48h. Recommandation de reconsulter si état fébrile, frissons ou augmentation de rougeur. Suite chez le médecin traitant. Désinfection locale. Mise en place de 3 agrafes. Ablation des agrafes dans 5-7 jours chez le médecin traitant. Surveillance à la maison, protocole traumatisme crânien. Désinfection locale. Pansement. Consignes de surveillance à domicile. Ablation des points dans 5 jours chez le pédiatre. Désinfection locale. Pansement. Consignes de surveillance à domicile. Ablation des points dans 5 jours chez le pédiatre. Désinfection locale. Réfection pansement. Maintien du contrôle à votre consultation le 4.2.19. Désinfection, pansement par Adaptic et Cutiplast. Désinfection par Bétadine, champage stérile. Rinçage au NaCl 0.9%. Exploration de la plaie ne montrant pas de corps étranger. Suture par 3 points d'Ethilon 4.0. Antalgie au besoin. Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Désinfection par Bétadine, champage stérile. Rinçage au NaCl 0.9%. Exploration de la plaie. Suture par 2 points d'Ethilon 4.0. AINS et antalgie au besoin. Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Désinfection par Bétadine, champage stérile. Rinçage au NaCl 0.9%. Exploration de la plaie, suture par 3 points d'Ethilon 4.0. AINS et antalgie au besoin. Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Désinfection par Bétadine, incision par scalpel 13, drainage de pus, réfection de pansement. Antalgie. Informations et conseils de chercher un médecin traitant. Désinfection par chlorhexidine aqueuse. Désinfection par chlorhexidine aqueuse et ablation du corps étranger qui se casse au moment de l'ablation. Rinçage et ablation du morceau restant. Nouvelle désinfection à la chlorhexidine aqueuse. Désinfection par chlorhexidine aqueuse 2 x/jour. Consignes de reconsulter si pus/trajet lymphangique. Désinfection par Hibidil, anesthésie en bague, exploration de la plaie, rinçage avec NaCl 0.9%, 2 points avec Prolène 4-0. Adaptic digit et doigtier. Pas de rappel anti-tétanique. Suite de prise en charge par le médecin traitant (rendez-vous demain). Retrait des fils à 14 jours chez le médecin traitant. Consulte en cas d'apparition de symptômes infectieux ou inflammatoires. Désinfection par Hibidil, eau oxygénée, champage, anesthésie locale par Rapidocaïne 15 ml, suture par 22 et 5 points au Prolène 4-0 (avec explications au préalable). Tétanos à jour. Kétamine IV 50 mg au total et Dormicum IV 1 mg. Contrôle clinique à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Ablation des fils à 7-10 jours. Désinfection par Hibidil, eau oxygénée, champage, anesthésie locale par Rapidocaïne 15 ml, suture par 22 et 5 points de suture Prolène 4-0. Kétamine IV 50 mg au total et Dormicum IV 1 mg. Contrôle clinique à 48h à la filière, puis ablation des fils à J7-J10. Désinfection par Hibidil Opsite spray et ablation des fils à J7 de la suture chez le médecin traitant. Concernant l'hypertension artérielle à 200/118 mmHg, nous administrons de la Nifédipine 20 mg aux urgences avec amélioration des valeurs tensionnelles à 150/96 mmHg avec contrôle chez son médecin traitant. Désinfection par Hibidil. Pansement simple. Réfection du pansement à domicile à 24h. Poursuite du traitement antalgique. Désinfection par Hibidil, pose de champ stérile, anesthésie locale par Rapidocaïne, exploration de la plaie et rinçage au NaCl 0.9%, suture de 5 points au Prolene 4.0. Pansement Opsite spray. Ablation des fils dans 5 jours chez médecin traitant. Désinfection par Hibidil, rinçage au NaCl 0.9%. 3 Stéristrips. Feuille de surveillance post-traumatisme crânien donnée à la maman, qui est informée quand reconsulter aux urgences. Désinfection par Hibidil. Anesthésie locale avec Rapidocaïne 1%. Exploration et rinçage de la plaie. Deux points de suture simples avec Prolène 6.0. Rappel tétanos. Ablation des fils dans 5 à 7 jours chez le médecin traitant. Critères de reconsultation expliqués au patient. Désinfection par Hibidil. Incision par lame de bistouri. Drainage manuel du pus. Rinçage à l'Hibidil avec une aiguille boutonnée. Insertion d'une mèche imbibée de Prontosan gel. Consignes de douches données à la patiente. La patiente ne pourra pas se présenter à un rendez-vous de contrôle car elle n'a pas de médecin traitant en Suisse (elle vit au Portugal) et sera en France. Elle s'engage à consulter un médecin en France à 48 heures. Les critères d'infection ont été expliqués à la patiente, avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. Désinfection par Octenisept, anesthésie en bague par Rapidocaïne 1%, incision superficielle le long du lit de l'ongle d'environ 5mm, incision de la peau superficielle d'environ 5mm à 2mm du lit de l'ongle. Rinçage au NaCl et Octenisept et aiguille boutonnée, désinfection. Pansement par Adaptic Touch. Désinfection par Octenisept, champage, anesthésie sur tendon des fléchisseurs par Rapidocaïne, exploration et rinçage de plaie par NaCl, suture de 5 points par Prolène 4.0, désinfection et pansement simple. Retrait des fils dans 10 jours chez le médecin traitant. Contrôle clinique en filière 34 à 48h pour évolution de l'hypoesthésie. Désinfection par Octenisept, exploration et rinçage de la plaie, application de pansement par Adaptic touch. Poursuite Clindamycine 2x/jour. Contrôle au Secteur Ambulatoire des Urgences le 05.02.2019. Désinfection par Octenisept, rinçage au NaCl. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1% avec 2 points de suture simple avec 1 point avec Prolène 4.0 et 2ème point par Vicryl résorbable 4.0. Avis téléphonique ORL (Dr. X): 2 points de suture simple avec contrôle chez le médecin traitant. Retrait des fils à J7 chez le médecin traitant. TD-pur ce jour 11.02.2019. Les critères d'infection ont été expliqués au patient avec consignes de reconsulter. Désinfection, pas de suture nécessaire, laissée à l'air, pas mouiller durant 48-72 heures. Désinfection, perçage et débridement des phlyctènes, aquacel argent, voile de mariée, bandage. Désinfection plaie. Retour à domicile. Désinfection. Rappel tétanos. Avis du Dr. X, chirurgien. 1 point de suture avec Vicryl. Lavage de bouche avec Hextril. Contrôle chez le médecin traitant. Désinfection, réfection de pansement. Retour à domicile avec ablation des fils par le médecin traitant dans 5 jours. Désinfection. Rinçage abondant avec Bétadine. Pansement. Désinfection. Rinçage abondant avec Bétadine. Pansement. Désinfection, rinçage abondant, exploration de la plaie (pas de visualisation de bris de verre. Suture par Prolène 4.0 1 pt simple. Contrôle de plaie par le patient-même (infirmier). Ablation du fil à J 10-14 en fonction de l'évolution. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Désinfection. Stéristrip. Désinfection, stéri-strip. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Désinfection. Suivi clinique. Désinfection, suture en anesthésie locale avec MEOPA avec 2 points de Prolène 6.0. Ablation de fils à 5 jours. Désinfection, suture par 2 points Prolène 4.0. Demande de constat de coup et blessure. Désinfection, 1 pt de suture de Prolène 4.0. Rappel antitétanique. Critères de surinfection expliqués au patient avec consigne de reconsulter. Ablation des fils au secteur ambulatoire des urgences à 7 jours, le patient n'ayant pas de médecin traitant. Désinfection, 3 agrafes. Désinfection. Anesthésie locale par Lidocaïne. Exploration : pas d'atteinte des tissus nobles. 3 points de suture au 3-0. Vaccination tétanos à jour. Immobilisation 48h avec bandage. Arrêt de travail jusqu'au 18.01.2019. Retrait des fils à 10 jours (patiente infirmière, travaille à Bern). Désinfection. Aquacel argent, voile de mariée, bandage. Contrôle dans 48-72 heures chez le pédiatre ou aux urgences pédiatriques. Consignes de surveillance. Désinfection. Champage. Exploration. Rinçage avec 150 ml de NaCl. Fermeture de la plaie par 7 points au Prolène 5.0 en anesthésie locale. Laboratoire. ECG. Schellong: négatif. CT crâne natif et injecté du 02.02.2019 (rapport oral Dr. X): pas de fracture, pas d'hémorragie. Désinfection. Champage. Exploration. Rinçage. Suture 3 points simple au Prolène 5.0. Rappel tétanos. Désinfection. Collé avec Dermabond. Reconsulter en cas de signes d'infection. Désinfection. Dermabond. Désinfection. Dermabond. Consignes de surveillance données. Désinfection. Dermabond. Consignes de surveillance données. Désinfection. Drainage. Adaptic digit. Pansement. Désinfection. Exploration. 1 point de suture au Prolène 4.0 sans anesthésie locale. Pansement compresse et bande de gaze. Désinfection. Nettoyage de la plaie. Pansement. Désinfection. Pansement. Désinfection. Pansement. Désinfection. Pansement avec Adaptic et Compresses. Arrêt de sport pendant 1 semaine. Reconsulter en cas de signes d'infection. Désinfection. Pansement. Tétanos à jour. Désinfection. Pansement tulle gras. Consignes de surveillance et contrôle 48h chez le médecin traitant. Désinfection. Perçage et débridement des phlyctènes. Aquacel argent, voile de mariée, bandage. Contrôle dans 72 heures. Consignes de surveillance. Désinfection. Retour à domicile avec bains d'Amukina 3x/jour pendant 30 minutes pendant 5 jours. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des symptômes ou péjoration avec discussion d'une éventuelle incision si nécessaire. Désinfection. Rinçage abondant. 4 points de suture Prolène 6-0. Discussion du risque de tétanos avec le père. Nous ne disposons pas du vaccin avec le tétanos comme seule composante, raison pour laquelle les parents refusent la vaccination que nous conseillons. Le père comprend les risques et signe une décharge médicale. Désinfection. Rinçage abondant. 4 points de suture Prolène 6-0. Refus du Vaccin tétanos, sera effectué chez le pédiatre. Ablation des fils à 7 jours. Désinfection. Stéristrip. Adaptic digit. Désinfection. StériStrips. Désinfection. Suture avec 2 points simples avec Prolène 6-0 sous anesthésie locale (GelLet) et MEOPA. Antalgie au besoin. Ablation des fils dans 5 jours chez le pédiatre. Reconsulter en cas de signes d'infection. Désinfection. 3 points de suture Prolène 6-0. Désir de sevrage secondaire de l'allaitement. Désireux d'une prise de sang, nous expliquons aux parents pourquoi il n'est pas indiqué d'en faire une ce jour. Nous leur expliquons que la fièvre précède souvent les symptômes et qu'avec une si courte évolution, il est impossible de dire quelle infection est en cours. Afin de les tranquilliser, nous leur proposons un contrôle clinique le 3.2 (aux urgences) ou le 4.2 (à votre consultation). Selon leur choix, nous les reverrons le 3.2.19.Contrôle le 03.02.2019 (Dr. X) Anamnèse: A beaucoup transpiré durant la nuit, a bu 40 ml et a tété quelques fois, persistance de l'état fébrile à 39.2°C. Pas de toux, pas de rhume, une selle normale, pas de vomissements. Il a reçu du Dafalgan et de l'Algifor. Status: Poids 8.49 kg, température 36.4°C. Général : excellent état général, bien hydraté et perfusé. ORL : fond de gorge et tympans calmes, pas d'adénopathie. Cardio-vasculaire : B1B2 bien frappés, réguliers, pas de souffle audible. Respiratoire : eupnéique, murmure vésiculaire symétrique sans bruits surajoutés, pas de détresse respiratoire. Digestif : souple et indolore, bruits hydro-aériques normaux en fréquence et tonalité. Uro-génital : loges rénales souples et indolores. Neurologique : calme, bon contact, bon tonus axial et périphérique, pupilles isocores et isoréactives. Cutané : pas de rash, pas de pétéchies. Attitude: Laboratoire sur insistance des parents (voir annexes). Poursuite du traitement symptomatique. • Désobstruction nasale • Désobstruction nasale au physiol si besoin Consignes de surveillance données aux parents • Désobstruction nasale au physiol si besoin Consignes de surveillance données aux parents • Désobstruction nasale au physiol si besoin Consignes de surveillance données aux parents • Désobstruction nasale au physiol si besoin Consignes de surveillance données aux parents • Désobstruction nasale au physiol si besoin Consignes de surveillance données aux parents • Désobstruction nasale au physiol si besoin Consignes de surveillance données aux parents • Désobstruction nasale au physiol si besoin Consignes de surveillance données aux parents • Désobstruction nasale au physiol si besoin Consignes de surveillance données aux parents Pas d'AINS Paracétamol si fièvre WALA Mundbalsam (liquide) : 3-6 x/jour ½ pipette diluée avec de l'eau Consignes de surveillance données aux parents TIP le 01.02: Contrôle clinique et biologique Avis Dr. X: Consignes données pour consultation si saignement actif & Consultation avec Dr. X le 8.2.19 • Désobstruction nasale Consignes de surveillance données aux parents • Désobstruction nasale Consignes de surveillance données aux parents • Désobstruction nasale Consignes de surveillance données aux parents • Désobstruction nasale Consignes de surveillance données aux parents • Désobstruction nasale Dafalgan si fièvre Consignes de surveillance données aux parents • Désobstruction nasale Dafalgan si fièvre Consignes de surveillance données aux parents Désocclusion par purge de NaCl. Reprise de diurèse sans particularité. Détresse psychologique Détresse psychologique en mars 2015 dans le cadre d'une schizophrénie diagnostiquée il y a 5 ans. Status post-syndrome de queue de cheval sur hernie discale L5-S1 G. • cure de hernie discale L5-S1 G et discectomie (OP le 28.12.2015). Dyspnée aiguë sur crise d'angoisse le 13.12.2016. Schizophrénie décompensée le 30.12.17. Décompensation psychotique avec idéations suicidaires. Transfert à Marsens. Détresse respiratoire Détresse respiratoire à la naissance Détresse respiratoire avec trouble de l'état de conscience le 01.02.2019 avec • surdosage en morphiniques Détresse respiratoire dans le contexte d'une bronchite spastique sévère PRAM 9 Détresse respiratoire et fièvre Détresse respiratoire et refus de prise antibiotique Détresse respiratoire sur l'aspiration de liquide méconial Détresse respiratoire sur pneumonie bilatérale probablement d'origine bactérienne DD : grippe Détresse respiratoire sur probable broncho-aspiration dans un contexte de dysfonction des cordes vocales post-extubation, le 06.02.2019 Détresse respiratoire sur wet lung Suspicion d'infection néonatale (CRP max. 40 mg/l, pro-calcitonine 19 ug/l) Difficultés alimentaires du nouveau-né NNT à 38 3/7e SG avec PN 3335 g, TN 50 cm et PCN 35 cm Deux césariennes. Opération des varices des deux côtés en 1986. Hallux valgus opéré le 24.12.2014 à gauche et le 11.02.2015 à droite (Dr. X). Lombo-cruralgies invalidantes sur hernie discale L4/L5 gauche le 13.10.2015 avec infiltration L4 gauche le 22.10.2015. Douleur 5ème orteil G sur probable arthrose le 18.04.2016. Kyste occipital. Deux furoncles au niveau des cuisses. Deux interventions cardiaques pour ablation d'un Wolff Parkinson White à Naples en Italie. AVP en scooter il y a une dizaine d'année avec de multiples plaies au niveau du bras droit. Deux kystes ovariens gauche d'aspect fonctionnel (DD: torsion non exclue) chez patiente 2G2P de 46 ans. Deux lésions superficielles suspectes de type leucoplasie situées au niveau des tiers moyens des deux cordes vocales. Deux méningiomes résiduels au niveau de la crista galli et au niveau frontal gauche Hypertension artérielle Fibrillation auriculaire anticoagulée par Eliquis Deux paires d'hémocultures Suivi clinique Deux plaies du pouce gauche. Deux plaies superficielles, au membre supérieur droit, sur traumatisme le 15.02.2019 avec: • Suspicion d'hématome. Deux plaies superficielles longitudinales de 3 et 4 cm respectivement dans le cuir chevelu en regard du rebord supérieur de l'os frontal. Deuxième avis du médecin traitant. Devant cette arthro-IRM qui montre une fuite dans l'espace sous-acromial, je suis obligé de proposer une révision du site opératoire et du tendon du sus-épineux. J'informe le patient du déroulement intra et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue le 23.04.2019. Devant cette évolution clinique, nous décidons d'une fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Nous expliquons au patient de consulter de nouveau en cas d'apparition de signes inflammatoires locaux. Concernant le travail, il a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 31.01.2019 au 04.02.2019. Il est autorisé à reprendre le travail à 100% dès le 05.02.2019 (travail comme bûcheron). Devant l'évolution clinique et échographique satisfaisante, nous mettons fin au suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient porte l'attelle Édimbourg en réserve. Nous lui prescrivons également des anti-inflammatoires et lui donnons des conseils de glace et surélévation de la main droite. Le patient reconsultera en cas d'évolution défavorable. Arrêt de travail de 100% du 08.02 au 13.02.2019, reprise du travail à 100% dès le 14.02.2019. Devant l'évolution clinique favorable, nous ne réalisons pas de radiographie de contrôle et décidons d'une fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Devant l'évolution clinique satisfaisante, nous décidons d'une fin de suivi dans notre service.Le patient bénéficie d'un arrêt de travail à 100% du 28.01.2019 au 08.02.2019. Il est autorisé à reprendre le travail à 100% dès le 09.02.2019. (Il travaille comme polymécanicien.) Devant l'évolution clinique satisfaisante, nous décidons d'une fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient bénéficie d'un arrêt de sport jusqu'au 15 février 2019. Il est autorisé à reprendre le sport à 100% dès le 16.02.2019. Devant l'évolution radioclinique satisfaisante, nous décidons de la fin du suivi en policlinique d'orthopédie. Après ablation de l'attelle, nous prescrivons des séances d'ergothérapie pour mobilisation libre en flexion/extension sans charge pour les 6 prochaines semaines. Concernant le travail, le patient a bénéficié d'un arrêt de travail de 100% du 28.12.2018 au 04.02.2019. Il est autorisé à reprendre le travail à 100% dès le 05.02.2019 (le patient travaille à la caisse dans une station de ski.) Devant l'évolution radioclinique satisfaisante, nous décidons d'une fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Mme. Y a également bénéficié de séances de physiothérapie et d'un arrêt de travail à 100% du 19.11.2018 jusqu'au 10.01.2019. Elle a ensuite bénéficié d'un arrêt de travail de 50% du 11.01.2018 au 27.01.2019 puis a repris le travail à 100% dès le 28.01.2019. Devant l'évolution radioclinique satisfaisante, nous décidons d'une fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Mme. Y est autorisée à enlever le gilet orthopédique. Elle bénéficiera de séances de physiothérapie pour mobilisation en actif et en passif de l'épaule D sans limitation. C'est une patiente qui n'a pas bénéficié d'arrêt de travail étant donné qu'elle est à la retraite. Devant l'évolution radio-clinique satisfaisante, nous décidons d'une fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient poursuivra les séances de physiothérapie avec mobilisation libre selon douleurs. Concernant l'arrêt de travail, il a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 04.11.2018 au 13.01.2019 puis d'un arrêt de travail de 50% du 14.01.2019 au 04.02.2019. Il est autorisé à reprendre le travail à 100% dès le 05.02.2019 Devant l'examen clinique rassurant, nous décidons d'une fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 28.12.2018 au 08.02.2019, le patient travaillant comme charpentier. Il est autorisé à reprendre le travail à 100% dès le 09.02.2019. Devant un statut clinique tout à fait normal, nous rassurons Mme. Y et la laissons rentrer à domicile après avoir réalisé une désinfection et réfection de pansement. Elle se rendra comme prévu chez son médecin traitant le 20.02.2019 pour ablation des fils de suture. Devant une suspicion clinique d'appendicite, nous laissons Mme. Y rentrer à domicile avec un traitement symptomatique par antalgique et anti-inflammatoire. Elle se présentera à jeun en filière des urgences ambulatoires le 15.02 au matin pour un contrôle clinico-biologique et un ultrason. Elle reconsultera les urgences en cas de douleurs non contrôlées par l'antalgie prescrite. Développement d'une capsulite rétractile post-traumatique. Évolution lentement favorable du point de vue des amplitudes articulaires. Nous prescrivons, au vu de tout cela, des séances de physiothérapie dont des séances en piscine. Prochain contrôle radioclinique à 6 mois postopératoires. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% pour 3 mois encore. Dexaméthasone le 25.02.2019 Dexaméthasone Relais médicamenteux multiples : Quetiapin, Distraneurin, Dipiperon, Haldol, Nozinan, Rivotril, dormicum, temesta, etc. Consilium psychiatre Dr. X le 27.12.2018 : diminution/arrêt Haldol, augmentation Dipiperon, augmentation Distraneurin, diminution Rivotril Consilium psychiatre Dr. X le 09.01.2019 : mesures non pharmacologiques préconisées. Inscription en psychogérontologie va être demandée Avis psychiatrique Dr. X le 23.01.2018 : pas d'argument pour une maladie psychiatrique (dépression ou manie), le diagnostic reste un état confusionnel d'origine somatique pas claire/multifactorielle. Pas de proposition pour une adaptation du traitement. Pas de transfert à Marsens. Un état dépressif ou maniaque n'explique pas la situation. Pas d'indication pour reprendre le Lithium (aussi au vu de l'effet antipsychotique fort des autres médicaments (Dipiperon)) Avis oncologique Dr. X 23.01.2018 : État confusionnel en raison des métastases cérébrales et st.p. radiothérapie, pas d'investigations ultérieures car manque de conséquences thérapeutiques! Avis neurologique Dr. X 23.01.2018 : Évoque une raison épileptique (peu probable au vu des énormes doses de benzodiazépines) ou tumorales (pas d'investigation supplémentaire car absence de conséquences thérapeutiques) Perfusion continue de Dormicum le 09.01.2019, jusqu'au 02.02.2019 Augmentation progressive des médicaments psychoactifs Dexeryl crème Dexeryl sur parties cutanées sèches. Fucidin au niveau de plis de cou Avis dermatologue pédiatrique (Dr. X) 05.02.19 Diabète Diabète Diabète Diabète Diabète. Diabète actuellement non traité. Diabète connu depuis 2006, au stade de complications dégénératives • sous Lyrica 50mg 1/2 comprimé 3x/jour et hémodialyse Maladie coronarienne HTA SAOS Diabète cortico-induit Diabète cortico-induit Diabète cortico-induit Diabète cortico-induit • HbA1c (le 05.02.2019) : 5.4 % • sous Insulatard Diabète cortico-induit le 06.10.2016. Diabète de type II insulino-requérant • Avec plusieurs épisodes de hypoglycémie le soir et l'après-midi Diabète de type I Diabète de type I Diabète de type I Diabète de type I Diabète de type I diagnostiqué à l'âge de 3 ans. Diabète de type I insulino-requérant. Diabète de type I sous insuline. Diabète de type II Diabète de type II. Diabète de type II. Diabète de type II : • sous Janumet Fibrillation auriculaire • sous Xarelto • Flutter auriculaire depuis le 18.08.2008 avec BAV de conduction 2-4:1 Diabète de type II : • sous Janumet Fibrillation auriculaire • sous Xarelto • Flutter auriculaire depuis le 18.08.2008 avec BAV de conduction 2-4:1 Diabète de type II décompensé le 27.02.2019 Diabète de type II inaugural diagnostiqué le 06.02.2019 • HbA1c à 9.6% Diabète de type II inaugural • HbA1c 7.0% le 13.02.2019 Diabète de type II inaugural sur hyperminéralocorticisme • HbA1c à 7.4% Diabète de type II insulino-dépendant déséquilibré en postopératoire Diabète de type II insulino-requérant Diabète de type II insulino-requérant Diabète de type II insulino-requérant Diabète de type II insulino-requérant Diabète de type II insulino-requérant Diabète de type II insulino-requérant avec : • diagnostic en 2007 • néphropathie diabétique (microalbuminurie en juin 2018) • rétinopathie débutante (ophtalmologue Dr. X, dernier rdv en juillet 2018) • polyneuropathie des membres inférieurs • Intolérance au Metfin, Victoza, Janumet Hypercholestérolémie HTA Obésité Tabagisme actif Probable BPCO non traitée et non bilan Diabète de type II insulino-requérant depuis 2006 traité par Janumet et insuline. Statut post-crise de goutte (actuellement sous Zyloric), pas d'épisode depuis 2000. Hémochromatose diagnostiquée en 2006 (statut post-saignée, actuellement maladie stable). Surcharge pondérale avec un BMI à 33 kg/m2. Diabète de type II insulino-requérant • HbA1c à 9.9% le 12.02.2019 • sous insuline, Jentadueto, Tresiba • suivi par le Dr. X Diabète de type II insulino-requérant le 28.01.2019 Suivi par Dr. X Diabète de type II, insulino-requérant Hernie discale lombaire, traitée par infiltrations dans le passé. Diabète de type II, insulino-requérant. Hernie discale lombaire traitée par infiltrations dans le passé. Diabète de type II, insulino-requérant. Hypercholestérolémie. Diabète de type II insulino-requérant Trouble de l'adaptation Suivi par Mme. Y psycho-oncologue Allodynie face dorsale du pied gauche, ENMG novembre 2018. Diabète de type II insulino-requérant • HbA1c à 9.9% le 12.02.19 • sous insuline, jentadueto, tresiba • suivi par le Dr. X Diabète de type II insulino-traité multi compliqué d'une rétinopathie diabétique, de néphropathie et neuropathie sensitivo-motrice. Hypertension artérielle. Obésité classe III (BMI 46.6 kg/m2) en août 2018. Hypercholestérolémie. Syndrome d’apnée du sommeil non appareillé. IRA sur IRC stade G3A sur néphropathie diabétique avec: • hyperparathyroïdisme secondaire. Douleurs neuropathiques des membres inférieurs et supérieurs dans le contexte d'une polyneuropathie diabétique à prédominance sensitive. • ENMG le 23.01.2018 (Dr. X): PNP sensitivo-motrice mixte myélinique et axonale. Tableau de claudication neurogène des membres inférieurs: • Canal lombaire étroit stade B à C touchant les niveaux L3-L4 et L4-L5. Douleurs mécaniques des pieds sur troubles statiques sévères (pieds plats) avec troubles dégénératifs du médio-tarse +/- fascéïte plantaire avec enthésopathie calcifiante fascia plantaire. Arthropathie microcristalline à CPPD. • antécédent de crise d'arthrite du genou droit en 2016. Atteinte sévère de l'acuité visuelle: • Neuropathie optique ischémique antérieure bilatérale avec suspicion de Horton (biopsie artère temporale 2012 négative) l'œil gauche le 26.09.2012 et de l'œil droit le 04.06.2012. • Rétinopathie diabétique proliférative OD et rétinopathie diabétique non-proliférative sévère de l'œil gauche. • DMLA exsudative bilatérale. Conflit fémoro-patellaire sur arthrose importante du genou droit. Poursuite Prednisone 5 mg/jour au long cours. Trouble dépressif récurrent. Diabète de type II non insulino-dépendant IRC Diabète de type II non insulino-requérant. Diabète de type II non insulino-requérant. Diabète de type II non insulino-requérant traité • HbA1c 7.1 % (18.09.2018), 6.8% (11.10.2018) Diabète de type II non insulino-requérant Asthme d'effort HTA SAOS appareillé FO perméable. Diabète de type II non insulino-requérant Asthme d'effort HTA SAOS appareillé FO perméable Antécédents d'embolie pulmonaire et TVP en 2009 avec anticoagulation par Sintrom. Diabète de type II non insulino-requérant. Hypertension artérielle. Surpoids. Goutte. Démence sans précision, troubles cognitifs depuis 3 ans. Anévrisme aortique connu dès 2013: • en 2016: anneau aortique à 29mm, Sinus de Valsalva 52mm (51mm précédemment). Au niveau du tube 40mm (39mm précédemment). Crosse aortique 35mm (35mm précédemment). Aorte descendante 28mm (27mm précédemment). Hyperparathyroïdisme primaire probable connu avec: • Ca corrigé 2.71 mmol/l, le 09.01.2019 acmé à 3.08 mmol/L le 31.01.2019. • Phosphate: 0.94 mmol/L. • PTH 143 ng/l. • 25OH Vit D2- 59 nmol/l. Diabète de type II non insulino-requérant Hypertension artérielle Surpoids Goutte Démence sans précision • troubles cognitifs depuis 3 ans Anévrisme aortique connu dès 2013 • en 2016: anneau aortique à 29mm, Sinus de Valsalva 52mm (51mm précédemment). Au niveau du tube 40mm (39mm précédemment). Crosse aortique 35mm (35mm précédemment). Aorte descendante 28mm (27mm précédemment). Hyperparathyroïdisme primaire probable connu avec: • Ca corrigé 2.71 mmol/l, le 09.01.2019 acmé à 3.08 mmol/L le 31.01.2019 • Phosphate: 0.94 mmol/L • PTH 143 ng/l • 25OH Vit D2- 59 nmol/l US ambulatoire: lésion mixte occupant en quasi totalité le lobe thyroïdien droit. Patient ayant refusé la ponction à ce moment. Pas de lésion évoquant un adénome parathyroïdien. Avis endocrinologique (Dr. X/Dr. X): réadresser le patient en ambulatoire chez endocrinologue. Introduction Mimpara 30mg. Hypercalcémie chronique. Contrôle de la calcémie le 07.02.2019 et contacter les endocrinologues selon résultats. Attitude: • Contrôle de la calcémie corrigée et ionisée le 07.02.2019, contacter les endocrinologues de l'HFR avec le résultat. Dysthyroïdie avec TSH à 16.97 mU/L le 02.01.2019. Laboratoire: T3: 1.4 nmol/L, T4 14 pmol/L. Diabète de type II non insulino-traité. Diabète de type II non traité. Épigastralgies sur gastrite chronique. Vertiges rotatoires intermittents. Hypertension artérielle. Troubles de l'humeur. Lombalgies/cervicalgies. Endomètre épaissi. Diabète de type II non-insulino-requérant HTA Trouble bipolaire traité. Diabète de type II non insulino-requérant • HbA1c 6.7%. Diabète de type II stable non traité Insuffisance rénale chronique • GFR selon CKD-EPI 42 ml/min HTA. Diabète de type II HTA Crises de gouttes. Diabète de type I. Diabète de type I. Diabète de type II. Diabète de type II avec: • néphropathie diabétique • polyneuropathie. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Syndrome des apnées du sommeil non appareillé depuis 2016 (le patient ne supporte pas le masque). Obésité morbide. Non compliance médicamenteuse. Sonde vésicale à demeure changée au CHUV chaque 2 mois. Coxarthrose bilatérale. Gonarthrose bilatérale. Constipation chronique. Bactériurie à Klebsiella pneumoniae ESBL (connue selon CHUV) chez patient porteur d'une sonde à demeure depuis deux ans. Escarre au niveau du siège. Plaies des orteils. Diabète de type II avec hémoglobine glyquée à 7.6% le 12.01.2019 avec: • antécédent de diabète traité par perte pondérale. Diabète de type II cortico-induit, insulino-traité. Cardiopathie rythmique, hypertensive et ischémique: • fibrillation auriculaire permanente anticoagulée par Sintrom • fraction d'éjection du ventricule gauche à 70 % en 2017 • dysfonction diastolique sur hypertrophie ventriculaire gauche concentrique modérée à sévère • Oreillette gauche très dilatée. • status post-angioplastie et stent de la coronaire droite en 1999 et de l'artère interventriculaire antérieure proximale en 2000. Insuffisance rénale chronique terminale d'étiologie multifactorielle (néphropathie hypertensive et diabétique, rejet chronique) avec: • status post-deuxième greffe rénale en 2008 (donneur: fils) • traitement immunosupresseur par Tacrolimus, Prograf et Prednisone • syndrome néphrotique. • mise en place d'une fistule artério-veineuse (FAV) le 22.03.2017 (Dr. X, Dr. X) • mise en place d'un cathéter de dialyse (38.95) (OP le 24.03.2017) (Dr. X, Fribourg) • révision de la fistule artério-veineuse et évacuation d'un sérome le 05.04.2017 (Dr. X). • ablation des fils de la fistule artério-veineuse à J21 • début des dialyses 3x/semaine le 25.03.2017. Hypertension artérielle. Tabagisme chronique. Artériopathie MID de stade IV, avec: • Ischémie critique du membre inférieur droit avec occlusion de l'artère fémorale superficielle sur toute sa longueur et atteinte sévère jambière. • Nécroses aiguës aux 5 orteils et au bord du pied droit, probablement sur engelure, le 24.11.2017. • Angiographie du membre inférieur droit le 06.12.2017 (Dr. X): échec de recanalisation. • TEA du carrefour fémoral droit + patch péricardique et pontage veineux inversé fémoro-péronier le 04.01.2018 (Dr. X). • Amputation du premier, deuxième et quatrième orteils du pied droit et nécrosectomie et débridement latéral du pied le 11.01.2018. • Amputation transmétatarsienne du pied à droite (84.12) (opération le 22.01.2018). • Révision plaie membre inférieur droit avec fermeture aponévrose le 26.01.2018.Ischémie critique du membre inférieur gauche stade III sur occlusion fémorale superficielle et les 3 axes jambiers • thrombectomie de l'artère fémorale gauche, thrombectomie / lyse sélective intra-artérielle de l'artère poplitée gauche et endartériectomie fémorale avec plastie d'élargissement de la bifurcation fémorale à gauche (Dr. X) le 05.08.2013. • Angioplastie et stenting fémoral superficielle, 17.05-2018 (Dr. X) Artériopathie MIG de stade IV, avec : • Ischémie critique du membre inférieur gauche, traitée par thrombectomie fémorale superficielle et poplitée gauche, lyse intra-artérielle, endartériectomie de la poplitée gauche et de la fémorale commune en août 2013 Insuffisance veineuse Fracture tassement L1 Diabète de type 2 décompensé avec glycémie à 27 mmol/l : • Glasgow d'entrée à 6/15 • Glasgow à 8/15 à H2. Diabète de type 2 décompensé • FRCV: HTA, obésité de classe 2, hypercholestérolémie Diabète de type 2 Hypertension artérielle Surpoids Goutte Insuffisance rénale chronique Démence sans précision • troubles cognitifs depuis 3 ans Anévrisme aortique connu dès 2013 • en 2016 : anneau aortique à 29 mm, Sinus de Valsalva 52 mm (51 mm précédemment). Au niveau du tube 40 mm (39 mm précédemment). Crosse aortique 35 mm (35 mm précédemment). Aorte descendante 28 mm (27 mm précédemment) Hyperparathyroïdisme primaire probable connu avec : • Ca corrigé 2.71 mmol/l, le 09.01.2019 acmé à 3.08 mmol/L le 31.01.2019 • Phosphate : 0.94 mmol/L • PTH 143 ng/l • 25OH Vit D2- 59 nmol/l US ambulatoire : lésion mixte occupant en quasi totalité le lobe thyroïdien droit. Patient ayant refusé la ponction à ce moment. Pas de lésion évoquant un adénome parathyroïdien Dysthyroïdie avec TSH à 16.97 mU/L le 02.01.2019 Diabète de type 2 Hypertension artérielle Surpoids Goutte Insuffisance rénale chronique Démence sans précision • troubles cognitifs depuis 3 ans Anévrisme aortique connu dès 2013 • en 2016 : anneau aortique à 29 mm, Sinus de Valsalva 52 mm (51 mm précédemment). Au niveau du tube 40 mm (39 mm précédemment). Crosse aortique 35 mm (35 mm précédemment). Aorte descendante 28 mm (27 mm précédemment). Hyperparathyroïdisme primaire probable connu avec : • Ca corrigé 2.71 mmol/l, le 09.01.2019 acmé à 3.08 mmol/L le 31.01.2019 • Phosphate : 0.94 mmol/L • PTH 143 ng/l • 25OH Vit D2- 59 nmol/l US ambulatoire : lésion mixte occupant en quasi totalité le lobe thyroïdien droit. Patient ayant refusé la ponction à ce moment. Pas de lésion évoquant un adénome parathyroïdien. Dysthyroïdie avec TSH à 16.97 mU/L le 02.01.2019 Diabète de type 2 insulino-dépendant mal réglé Diabète de type 2 insulino-requérant Diabète de type 2 insulino-requérant Diabète de type 2 insulino-requérant Diabète de type 2 insulino-requérant Diabète de type 2 insulino-requérant. Diabète de type 2 insulino-requérant • Adaptation du traitement: Tresiba 0-0-0-10IE, Apidra selon schéma correctif, Diamicron 60 mg 1-0-0-0, Jentadueto 2.5/850 mg 1-0-1 Diabète de type 2 insulino-requérant avec rétinopathie diabétique avec : • glycémie à l'entrée 19.8 mmol/l Diabète de type 2 insulino-requérant avec rétinopathie diabétique avec : • glycémie à l'entrée 19.8 mmol/l Diabète de type 2 insulino-requérant connu avec : • hémoglobine glyquée 8.5% (06.02.2019) • pallesthésie 3/8 malléole ddc, 3/8 hallux D et 0/8 hallux G. Diabète de type 2 insulinorequérant dans un contexte de traitement sous stéroïde. • HbA1c le 06.12.2018 : 6.7% • Sous Metformin, Victoza (en pause), Insuline Tresiba, Insulatard et NovoRapid • Hypoglycémies à répétition le matin Diabète de type 2 insulino-requérant décompensé Diabète de type 2 insulino-requérant • HbA1c 05.02.2019 : 8.4 % Diabète de type 2 insulino-requérant mal contrôlé avec : • neuropathie périphérique probablement d'origine diabétique • dialyse depuis le 17.09.2018 à raison de 3x/semaine. Cardiopathie ischémique et rythmique avec : • sténose significative 50-70% de l'ostium du tronc commun, et pose de stent actif le 18.03.2011 par le Dr. X • resténose intrastent du tronc commun distal ; angioplastie et implantation d'un stent actif le 18.10.2012 par le Dr. X • FEVG 50% et coronarographie normale en octobre 2017 • Holter 05/2018 : fibrillation auriculaire intermittente à réponse rapide (pas d'autres arythmies) • HAS-BLED 3 points : risque de saignement majeur à 5.8% • CHA2DS2-VASc : 7 points. Hyperlipidémie. Hypertension artérielle. Hyperthyroïdie substituée. Goutte. Hypothyroïdie (TSH 29.99 mUl/l et T4l à 9 pmol/l le 28.08.2018) probablement sur mauvaise compliance médicamenteuse. • T4l à 11 pmol/l le 28.09.2018. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Diabète de type 2 insulino-requérant mal contrôlé avec : • neuropathie périphérique probablement d'origine diabétique. • dialyse depuis le 17.09.2018 à raison de 3x/semaine. Cardiopathie ischémique et rythmique avec : • sténose significative 50-70% de l'ostium du tronc commun, et pose de stent actif le 18.03.2011 par le Dr. X. • resténose intrastent du tronc commun distal ; angioplastie et implantation d'un stent actif le 18.10.2012 par le Dr. X. • FEVG 50% et coronarographie normale en octobre 2017. • Holter 05/2018 : fibrillation auriculaire intermittente à réponse rapide (pas d'autres arythmies). • HAS-BLED 3 points : risque de saignement majeur à 5.8%. • CHA2DS2-VASc : 7 points. Hypothyroïdie (TSH 29.99 mUl/l et T4l à 9 pmol/l le 28.08.2018) probablement sur mauvaise compliance médicamenteuse. • T4l à 11 pmol/l le 28.09.2018. Hyperlipidémie. Hypertension artérielle. Goutte. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Diabète de type 2 insulino-requérant mal équilibré : • Mal perforant plantaire talon gauche • Ulcère neuropathique au 4ème orteil pied droit Diabète de type 2 insulino-requérant mal équilibré • Mal perforant plantaire talon gauche • Ulcère neuropathique au 4ème orteil pied droit Diabète de type 2 insulino-requérant Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Ménopause Diabète de type 2 insulino-requérant. Hypertension artérielle. Insuffisance veineuse et artérielle des membres inférieurs. Hypoesthésie du membre supérieur droit. Scapulalgies bilatérales et lombalgies chroniques : • discrète arthrose et probable lésion de la coiffe des rotateurs à droite. Suspicion de maladie de Parkinson. Diabète de type 2 insulino-traité, suivi par Dr. X Tabagisme actif à 25 UPA Diabète de type 2 insulino-traité : hémoglobine glyquée 8.5% Diabète de type 2 insulino-traité Tabagisme actif à 35 UPA Diabète de type 2 mal contrôlé Diabète de type 2 non équilibré. Diabète de type 2 non insulino-dépendant. Retard mental léger. Tabagisme actif (cigare). Diabète de type 2 non insulino-requérant Diabète de type 2 non insulinorequérant. Diabète de type 2 non insulino-requérant • AOMI sur pied diabétique, s/p amputation sous-capitale P1 gros orteil pied gauche (OP le 28.10.2016) • polyneuropathie • HbA1c 7.4% le 06.02.2019 • sous Diamicron et Janumet Diabète de type 2 non insulino-requérant cortico-révélé le 04.06.2018 Diabète de type 2 non insulinorequérant. Hématurie macroscopique depuis janvier 2013 suivi par Dr. X. • Diverticule de la vessie à D qui descend vers l'hernie inguinale. • Multiples petits kystes au niveau des 2 reins. Au milieu du rein D, un kyste plus dense et atteint jusqu'à 75 UH. • Polykystes du foie le plus grand mesurant environ 3 cm mais la plupart mesurent entre 5 et 7 mm • Scanner de contrôle en novembre 2013 superposable au scanner de janvier, sans évolution des lésions. Hernies inguinales bilatérales. Diverticulose du sigmoïde. Diabète de type 2 non insulinorequérant • 09.2017 : HbA1c 7,1% • 03.2018 : HbA1c 7,6% • 08.2017 scintigraphie de l’estomac : vidange gastrique ralentie, suspicion de gastroparésie diabétique Nephropathie diabétique • 02.2019 pas de polyneuropathie diabétique • Diabète de type 2 non insulino-requérant HTA traitée • Diabète de type 2 non insulino-requérant HTA Dyslipidémie • Diabète de type 2 non insulino-requérant. Hypertension artérielle. Hernie hiatale avec béance du cardia en rétrovision. Troubles de la marche chroniques acutisés. Athéromatose sterno-occlusive avec : • Sténose critique de l'artère artère basilaire proximale avec épisodes de bas débit symptomatiques le 20.06.2018 favorisé par une occlusion complète de l'artère vertébrale D. • Sous Atorvastatine / Plavix. Sténose aortique légère (juin 2018). Démence débutante : MMSE à 18/20. Diminution de la pallesthésie sur territoire L4 G sur probable début de compression radiculaire : • pallesthésie le 21.06.2018 : 7 sauf genou G : 5 et malléole pied interne G : 4 : diminution sur territoire L4. • Diabète de type 2 non insulino-requérant. Hypertension artérielle. Hernie hiatale avec béance du cardia en rétrovision. Troubles de la marche chroniques acutisés. Athéromatose sterno-occlusive avec : • sténose critique de l'artère artère basilaire proximale avec épisodes de bas débit symptomatiques le 20.06.2018 favorisé par une occlusion complète de l'artère vertébrale droite • sous Atorvastatine/Plavix. Sténose aortique légère (juin 2018). Démence débutante : • MMSE à 18/20. Diminution de la pallesthésie sur territoire L4 gauche sur probable début de compression radiculaire • pallesthésie le 21.06.2018 : 7 sauf genou gauche : 5 et malléole pied interne gauche : 4 : diminution sur territoire L4. • Diabète de type 2 non insulino-requérant. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. • Diabète de type 2 non insulino-requérant. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. • Diabète de type 2 non insulino-requérant Obésité Hyperlipidémie sous Sortis Insuffisance rénale chronique, d'étiologie indéterminée Insuffisance veineuse chronique Vessie hyperactive Fibrillation auriculaire, sous Sintrom avec : • Fraction d'éjection ventriculaire gauche supérieure à 50%, et hypokinésie antéro-septale Petit hydro-pneumothorax à la base droite après ponction d'un épanchement pleural droit Insuffisance rénale chronique Anémie microchrome normocytaire chronique à 115 G/l Décompensation cardiaque à prédominance droite : • Avec épanchement pleural droit sur fibrillation auriculaire rapide à 133 battements par minute Petit hydro-pneumothorax à la base droite après ponction d'un épanchement pleural droit • Diabète de type 2 non-insulinorequérant décompensé • Diabète de type 2 non insulino-requérant Hypercholestérolémie non-traitée (arrêté Crestor 10 mg depuis mai 2016 à cause des tests hépatiques perturbés) Tabagisme actif Insuffisance artérielle du membre inférieur droit Mutation hétérozygote pour l'hémochromatose Ostéoporose et dégénérescence du rachis Trouble anxio-dépressif chronique Livedo abdominal Insuffisance rénale chronique non investiguée dans contexte diabétique, hypertensif et de déshydratation chronique • multiples IRA sur déshydratation dans les antécédents. • Diabète de type 2 traité par anti-diabétique oral avec : • Rétinopathie de l'œil gauche Implantation d'un pacemaker en 2017 Hypertension artérielle Cardiopathie ischémique avec : • Quadruple pontage aorto-coronarien en 2005 • Angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure avec pose de stent actif pour angor d'effort le 13.11.2014 Hypoacousie appareillée Lombalgies sur troubles dégénératifs Troubles cognitifs débutants d'origine probablement mixte Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • Trouble de la proprioception • Amyotrophie des membres inférieurs • Prothèse de hanches des deux côtés • Hanche droite douloureuse sur status après descellement de prothèse de la hanche droite • AVC lacunaire sylvien gauche ancien • Troubles cognitifs avec MMSE à 21/30 le 30.07.2018 • Rétinopathie diabétique à gauche • Diabète de type 2 traité par antidiabétiques oraux • hypoglycémies pré-prandiales à 3.9 mmol/L • Diabète de type 2 traité par Metfin et Diamicron. Crises de spasmophilie suivies par le CPS-Bulle et Dresse Vég. Dépression atypique - F32.8 Troubles moteurs dissociatifs - F44.4 Personnalité dépendante - F60.7 • Diabète de type 2 traité. Obésité. Pancréatite aiguë, score de Ranson 2 et cholélithiase de 16 mm. Status post-cholécystectomie en mars 2015. • Diabète de type 2 Col vésical étroit • Diabète de type 2 HTA traitée Insuffisance veineuse chronique Troubles de la marche d'origine multi-factorielle • Polyneuropathie (diabète et éthylisme chronique) • Déconditionnement • S/p hernie discale avec parésie des releveurs du pied D • Syndrome de dépendance à l'alcool Syndrome de dépendance à l'alcool • 11 ème hospitalisation pour problématique liée à l'alcool depuis 01/2017, déclaré à la justice de paix Troubles d'oculomotricité connus depuis la naissance BPCO stade A / Gold I Tabagisme actif 50 UPA • Diabète de type 2. Hypertension artérielle traitée par Losartan. Hypercholestérolémie. Troubles psychiatriques. Hypovitaminose B12 substituée. Asthme traité par Seretide et ventolin. Diverticulose. • Diabète de type 2. Hypertension artérielle traitée par Losartan. Hypercholestérolémie. Troubles psychiatriques Hypovitaminose B12 substituée. Asthme traité. Diverticulose. • Diabète de type 2 Insuffisance veineuse chronique avec : • oedèmes des membres inférieurs • dermite de stase Troubles de la marche d'origine multi-factorielle • Polyneuropathie (diabète et éthylisme chronique) • Déconditionnement • S/p hernie discale avec parésie des releveurs du pied D • Syndrome de dépendance à l'alcool Syndrome de dépendance à l'alcool • 11 ème hospitalisation pour problématique liée à l'alcool depuis 01/2017 • Suivi psychiatrique par le Dr. X - consultation le 27.12.2018 • Lettre à la Justice de Paix le 04.10.2018 - réitérée le 27.12.2018 Stéatose hépatique 07/2017 probablement alcoolique et diabétique • US hépatique 06.07.2017 Hépatite chronique d'origine alcoolique • Sérologies hépatites/HIV négatives en 07/2017 Troubles d'oculomotricité connus depuis la naissance BPCO stade A / Gold I • Tabagisme actif 50 UPA • Fonctions pulmonaires le 27.06.2018 : syndrome obstructif sans réversibilité avec FEV1 à 73 % du prédit et FEV1/FVC à 86 % • Diabète de type 2 Insuffisance veineuse chronique avec : • oedèmes des membres inférieurs • dermite de stase Troubles de la marche d'origine multi-factorielle • Polyneuropathie (diabète et éthylisme chronique) • Déconditionnement • S/p hernie discale avec parésie des releveurs du pied D • Syndrome de dépendance à l'alcool Syndrome de dépendance à l'alcool • 11 ème hospitalisation pour problématique liée à l'alcool depuis 01/2017 • Suivi psychiatrique par le Dr. X - consultation le 27.12.2018 • Lettre à la Justice de Paix le 04.10.2018 - réitérée le 27.12.2018 Stéatose hépatique 07/2017 probablement alcoolique et diabétique • US hépatique 06.07.2017 Hépatite chronique d'origine alcoolique • Sérologies hépatites/HIV négatives en 07/2017 Troubles d'oculomotricité connus depuis la naissance BPCO stade A / Gold I • Tabagisme actif 50 UPA • Fonctions pulmonaires le 27.06.2018 : syndrome obstructif sans réversibilité avec FEV1 à 73 % du prédit et FEV1/FVC à 86 % • Diabète décompensé avec hyperglycémie à 20 mmol/l : • para-infectieux • non administration de l'insuline lente • Diabète gestationnel insulino-requérant • Diabète gestationnel insulino-requérant • Diabète gestationnel insulino-requérant • Diabète gestationnel insulino-requérant • Diabète gestationnel insulino-requérant Diabète gestationnel insulino-requérant Diabète gestationnel insulino-requérant Diabète gestationnel insulino-requérant. Lombalgies chroniques non déficitaires. Pancréatite aiguë sur passage de calcul le 06.12.2018. Diabète gestationnel non insulino-dépendant. Thyroïdite d'Hashimoto. Thrombopénie idiopathique. Diabète gestationnel non insulino-requérant Diabète gestationnel non insulino-requérant Diabète gestationnel non insulino-requérant Diabète gestationnel non insulino-requérant Diabète gestationnel non insulino-requérant Diabète gestationnel non insulino-requérant Diabète gestationnel non-insulino requérant Diabète gestationnel non-suivi durant la grossesse Diabète II insulino-requérant compliqué avec : • multiples épisodes de décompensation hyper-osmolaire. • polyneuropathie des membres inférieurs avec trouble de l'équilibre Diabète inaugurale Diabète insulino-dépendant. Diabète insulino-dépendant Diabète insulino-dépendant. Hypertension artérielle. Diabète insulino-requérant Diabète insulino-requérant Diabète insulino-requérant. Diabète insulino-requérant avec neuropathie diabétique et pied de Charcot. Diabète insulino-requérant • HbA1c __ Diabète insulino-requérant • HbA1c 7.6% Diabète insulino-requérant traité Hypercholestérolémie traitée Insuffisance cardiaque sévère (FEVG 28% le 20.2.13) avec pacemaker avec resynchronisation-défibrillateur Viva XT CRT-D programmé en DDD le 10.10.2013 Fibrillation auriculaire paroxystique Cardiopathie ischémique : • Sténose significative de l'IVA moyenne • S/P Angioplastie et pose de 2 stents actifs sur l'IVA proximal mai 2012 • Maladie coronarienne tritronculaire avec occlusion thrombotique de la 1ère artère marginale stentée (coro 18.02.13) • Akinésie paroi postéro-latérale • Multiples séquelles d'infarctus Insuffisance rénale chronique G3 KDIGO sur probable néphoangiopathie diabétique Diabète insulinoréquérent Hypercholestérolémie Obésité de stade II Diabète mélitus type 2 connu depuis décembre 2018. Diabète Mellitus non insulino-requérant. Hypertension. Hypercholestérolémie. Diabète mellitus type 2 Diabète NIR Hypertension artérielle traitée FA anticoagulée par Sintrom Diabète non insulino-dépendant. Hypercholestérolémie. Discopathie L4-L5 non déficitaire. Diabète non insulino-dépendant. Hypercholestérolémie. Discopathie L4-L5 non déficitaire. Diabète non insulino-récurrent. Diabète non insulino-récurrent. Diabète non insulino-requérant diagnostiqué en janvier 2013. Polypose intestinale dans le cadre d'une anamnèse familiale positive de CA (colonoscopie effectuée en janvier 2013 avec ablation de 4 polypes, résultats inconnus). Diabète non insulino-requérant traité Hypercholestérolémie traitée Tremor essentiel Torticolis spastique idiopathique (sous traitement Botox) Troubles de l'équilibre d'origine indéterminée, investigués par le médecin traitant Carcinome mammaire droit avec : • Status après résection, curetage lymphatique et radiothérapie en 2000 • Status après ablation mammaire et chimiothérapie en 2011 • Status après thérapie anti hormonale avec Arimidex jusqu'en 2005 • Oncologue traitant : Dr. X puis Dr. X Diabète non insulino-requérant. Hernie discale L5-S1. Diabète non insulino-requérant. Hypertension artérielle traitée. Diabète non insulino-requérant Hypertension artérielle Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom Athéromatose débutante des bulbes carotidiens, sans sténose significative (bilan angiologique 12.2016) Diabète non-insulino-dépendant • Polyneuropathie des membres inférieurs bilatérale avec pallesthésie 0/8 aux malléoles • sous Metfin 500mg 2x/j • HbA1c 6.1% (le 11.02.2019) Diabète non-insulino-requérant Diabète non-insulinorequérant Diabète non insulino-requérant en rémission Status post-appendicectomie dans l'enfance Status post-accident de la route en 1981 avec multiples fractures de la main et du poignet à gauche opéré Fracture du péroné gauche en 2016 avec pose de broche, retrait prévu début 2017 Tabagisme actif à 20 UPA Diabète post-gestationnel (sans nécessité de médicament). Hypothyroïdie depuis mai 2010 sous substitution par Euthyrox 50 mg/jour. Etat dépressif suivi par Dr. X à Fribourg. Diabète probablement cortico-induit le 20.02.2019 • Prednisone depuis 01.08.2018 Diabète probablement cortico-induit le 30.01.2019 Diabète probablement cortico-induit le 30.01.2019 • Hyperglycémies 20 mmol/L Diabète probablement de type 1 inaugural. Diabète secondaire insulino-requérant. Hypertension artérielle. Embolies pulmonaires et thromboses veineuses profondes à répétition (7 épisodes), avec mise en place d'un filtre de la veine cave en 1990 et traitement anticoagulant à vie. Polyarthrite rhumatoïde séro-négative. Insuffisance rénale chronique. Oesophagite peptique. Insuffisance veineuse avec varices. Pancréatite chronique (sur OH) après pancréatite aiguë en mars 2001 avec diabète secondaire, intubation plus d'un mois avec multiples complications, sous substitution par Creon. Ancien alcoolisme chronique (arrêté en 2001). Stéatose hépatique. Lombosciatalgies non déficitaires Polyneuropathie d'origine mixte. Goutte. Cataracte (à droite plus qu'à gauche). Hypertension portale sur probable cirrhose non compliquée. Asymétrie de tension entre les 2 bras d'origine indéterminée. Céphalées frontales chroniques. Troubles anxio-dépressifs avec : • tentamen à l'insuline en octobre 2018 • hospitalisation à Marsens en octobre 2018 Polyarthrite rhumatoïde sous traitement de méthotrexate : • stable depuis plusieurs années • antécédents de multiples infections respiratoires. Paresthésie des 2 mains et 2 pieds sur : • anxiété connue avec possible hyperventilation • polyneuropathie diabétique et alcoolique connue • possiblement médicamenteuse sur les injections d'Etanercept. Diabète sucré de type II Diabète sucré de type 2 avec profil glycémique pathologique • Arrêt de l'insulinothérapie en décembre 2018 sur épisode d'hypoglycémie Diabète sucré de type 2 insulino-requérant décompensé Diabète type 2. Diabète type II Diabète type II : • Diamicron • Velmetia Syndrome métabolique RGO Diabète type II actuellement non traité compliqué : • avec polyneuropathie des membres inférieures. • avec plaie chronique des 1 et 2ème rayons des deux pieds, avec suspicion d'ostéite traité par ATB depuis le 21.3.18 Insuffisance rénale aiguë depuis janvier 2018 Anémie macrocytaire : • probablement sur OH Hypothyroïdie substituée : • Bilan auto-anticorps : négatifs TSH : 9.75, T4 dans la norme Carence en vitamine B12 substituée Fibrillation auriculaire à l'ECG d'entrée avec : • CHADS-VASC : 4pts 4% / an • HAS-BLED : 4pts : 8.7% / an Anticoagulation non introduite au vu du risque de chute Diabète type II avec polyneuropathie BPCO Diabète type II insulino-requérant Diabète type II insulino-requérant • HbA1c le 13.01.2019 : 8,1 % Diabète type II insulino-requérant. Sonde urinaire à demeure. Diabète type II NIR. SAOS appareillée. Etat dépressif traité. Diabète type II non insulino-requérant. HTA. Diabète type II, non insulino-dépendant Diabète type II non insulino-dépendant HTA Constipation chronique Syndrome de jambes sans repos Syndrome cervico-spondylogène Diabète type II non insulino-requérant Diabète type II non insulino-requérant Hypertension artérielle Obésité Ethylo-tabagisme chronique (40 UPA) Syndrome de Leriche avec claudication intermittente stade IIB des deux côtés • Status post pontage aorto-bifémoral par prothèse sur l'artère fémorale commune des deux côtés en 2004 Probable dysfonction tubaire bilatérale intermittente (presbyacousie à l'audiogramme tonal) Diverticulose colique étendue calme • Status post iléo-colonoscopie le 11.10.2018 (Dr. X) • Diabète type II non insulinoréquerant • Troubles cognitifs • Hypercholestérolémie • Problèmes prostatiques • Hyperuricémie • Diabète type II non-insulino-dépendant • Hypertrophie de la prostate • Diabète type II • Dyslipidémie traitée • Artériopathie MI • Tabagisme • Diabète type 1 • Diabète type 1 depuis l'âge de 18 ans. • diabète Type 1, Glycémie (pompe depuis 10.2016), Insuline • Diabète type 2 en déséquilibre hyperglycémique le 21.01.2019 • Diabète type 2 insulino-dépendant • HTA • Hypothyroïdie substituée • Diabète type 2 insulino-requérant • Diabète type 2 insulino-requérant • Diabète type 2 insulino-requérant • Diabète type 2 insulino-requérant • cortico-révélé en 2014 (patiente sous 5 mg de cortisone pour une polymyalgie rheumatica) • HbA1c 7.6% 23.01.2019 • hypoglycémies asymptomatiques matinales • Diabète type 2 insulino-requérant avec mal-compliance thérapeutique le 05.02.2019. • Diabète type 2 insulino-requérant avec malcompliance thérapeutique le 05.02.2019 • Diabète type 2 insulino-requérant décompensé dans contexte infectieux 30.01.2019 • Diabète type 2 insulino-requérant déséquilibré dans un contexte infectieux le 28.08.2018 • Implantation d'une PTG D le 27.11.2009 • OST de valgisation du tibia D en 2006 • OST de valgisation du tibia G en 2005 • OS fracture cheville G en 1982, AMO en 1983 • Diabète type 2 insulino-requérant insuffisamment traité le 21.01.2019 • Diabète type 2 insulino-requérante • Dyslipidémie avec hypertriglycéridémie • Goutte • Trouble dépressif sévère dans le cadre des troubles dépressifs récurrents • Abilify en pause dès le 04.10.18, Reprise Cymbalta dès le 09.10.18, Reprise du Lithium le 23.10, arrêt au vu de la péjoration générale • Malnutrition protéino-énergétique grave 10/2018 • NRS 5 • Anémie macrocytaire hypochrome dans contexte oncologique • Acide folique, vitamine B12 et TSH dans la norme 10/2018 • Diabète type 2 insulino-requérant • HTA traitée • Diabète type 2 insulino-requérant • Hypertension artérielle • Hypercholestérolémie • Infarctus myocardique le 06.2018 en Italie avec pontage coronarien • Diabète type 2 non insulino-dépendant • Kyste splénique de découverte fortuite en 2016 • Diabète type 2 non insulino-requérant • Diabète type 2 non insulino-requérant • Artériopathie obstructive des membres inférieurs • Echographie des artères des membres inférieurs le 17.01.2019 (PD Dr. X) : occlusion de l'AIE gauche (stent) sans ischémie critique, sténoses serrées de l'AIC et AIE droite (déjà connues sur les CT abdominaux de décembre 2018) • sous Plavix • Insuffisance rénale chronique stade 3 sur hypertension, diabète et sténose de l'artère rénale gauche (rein atrophique) • eGFR 71 ml/min (selon CKD-EPI) le 28.01.2019 • Acutisation d'une insuffisance rénale chronique, AKIN I, d'origine prérénale le 14.01.2019 • Hyperparathyroïdie de probable origine primaire (suivi ambulatoire par la Dr. X) • Hypercholestérolémie • Hypoacousie oreille gauche • Diabète type 2 non insulino-requérant depuis 10 ans • Diabète type 2 non insulino-requérant • Hypercholestérolémie • Vessie hyperactive • Trouble dépressif • Diabète type 2 • HTA • Obésité stade 2 HCT • Tabagisme actif à 60-70 UPA • Diabète type 2. • Hypertension artérielle. • Diabète 2 insulino-requérant • Diabète. • Hypertension artérielle. • Diabète. • Hypertension artérielle. • Diabète. • Hypertension artérielle. • Hypercholestérolémie. • Diabètes mellitus de type II • HbA1c 6.0% le 09.02.2019 • Diabètes mellitus de type 2. • Hypertension artérielle. • Sténose carotidienne de 60% des deux côtés. • Dyslipidémie. • Troubles cognitifs : 12.01.2018 : MMSE à 29/30, test de la montre à 4/7 et GDS 5/15. • Troubles de la marche. • Diabètes mellitus Type II • sous Metformin • Diabète Mellitus Type II • unter Jardiance met 5/850 mg 1-0-1, Metformin 850 mg 0-1-0, Pioglitazon 45 mg 1-0-0 • Hammerzehe beidseits, aktuell Kleinzeh rechts entzündet • Diabètes mellitus Type II • HTA • Obésité stade 2 HCT • Tabagisme actif à 60-70 UPA • Diabètes mellitus Type II • HTA • Obésité stade 2 HCT • Tabagisme actif à 60-70 UPA • Diabètes mellitus type 2 • Diabète Mellitus Type 2 • sous Galvumet • HbA1c (12.02.2019) 7.3% • Diabetes mellitus type 2 • sous Metformine et Diamicron • Dyslipidémie • sous Atorvastatin • Hypertension artérielle • sous Doxazosin • Tabagisme actif 56UPA • Diabetes mellitus type 2 • oraler therapie • Chronischen Rückenschmerzens • Cough Variant-Asthma • Adipositas WHO-Grad I • Schwere Angst- und Panikstörung • Diabetes mellitus 2 • sous Insulin Tresiba et NovoRapid • Diabetes mellitus 2 • unter Metformin 850 mg/d • Diabète. • Syndrome bipolaire. • Diabétique type 2 non insulino-requérant sous régime hypo-calorique, pas d'antidiabétique oral. • Schizophrénie paranoïde chronique. • Retard mental congénital. • Agénésie congénitale du 5ème doigt des quatre membres. • Trouble de la déglutition : adaptation du régime haché fin, boissons épaissies. • Malnutrition protéino-énergétique grave sur inappétence. • Diagnostic anténatal brain-sparing • Controle US cérébral • Diagnostic non confirmé au post-partum par écho coeur, réévaluation à 1 semaine de vie. • Placenta envoyé en anatomopathologie. • Diagnostic posé en 2001 • Suivi laboratoire • Amélioration par la suite • Diagnostic post-partum : poids 40 mmHg entre les 2 bras, d'apparition aiguë durant le séjour. Difficulté alimentaire Difficulté alimentaire chronique et retard de croissance dans un contexte de syndrome non étiqueté • probable intolérance aux protéines de lait de vache Difficulté alimentaire dans un contexte de bronchite spastique Difficulté alimentaire/hydrique Difficulté de prise alimentaire d'origine indéterminée • DD : virose débutante Difficulté respiratoire Difficulté respiratoire et douleur costale bilatérale Difficultés respiratoires Difficultés alimentaires Difficultés alimentaires Difficultés alimentaires Difficultés alimentaires Difficultés alimentaires Difficultés alimentaires Difficultés alimentaires Difficultés alimentaires Difficultés alimentaires Difficultés alimentaires avec légère déshydratation Difficultés alimentaires avec légère déshydratation sur insuffisance d'apport Difficultés alimentaires avec sang occulte dans les selles, DD : intolérance aux protéines bovines NN à terme 39 1/7 SG, né par césarienne, APGAR 10/10/10, pH 7.36, PN 3470 g (P25-50), TN 49 cm (P10), PCN 34.5 cm (P25) À l'entrée : J11 de vie 40 5/7 SG, poids 3155 g (P10-25) Contusion genou D dans le contexte d'une chute de 2 m de hauteur le 15.02.2019 Difficultés alimentaires avec sang occulté dans les selles, Diagnostic différentiel : intolérance aux protéines bovines. NN à terme 39 1/7 SG, né par césarienne, APGAR 10/10/10, pH 7.36, PN 3470 g (P25-50), TN 49 cm (P10), PCN 34.5 cm (P25) À l'entrée : J11 de vie 40 5/7 SG, poids 3155 g (P10-25). Difficultés alimentaires dans le cadre d'une bronchiolite Difficultés alimentaires dans le cadre d'une bronchiolite à RSV positive Difficultés alimentaires dans le cadre d'une bronchiolite RSV positive Difficultés alimentaires dans le cadre d'une bronchiolite RSV positive Difficultés alimentaires dans le cadre d'une bronchiolite RSV positive Difficultés alimentaires dans le cadre d'une bronchiolite RSV positive Difficultés alimentaires dans le contexte de bronchiolite, perte de 3 % du poids Difficultés alimentaires dans le contexte de bronchiolite RSV positif Difficultés alimentaires dans le contexte d'infection Difficultés alimentaires dans le contexte d'infection à RSV Difficultés alimentaires dans le contexte d'une bronchiolite à RSV Difficultés alimentaires dans le contexte d'une bronchiolite RSV positif Difficultés alimentaires dans un contexte de pneumonie Difficultés alimentaires dans un contexte de sepsis Difficultés alimentaires, DD sur APLV, troubles de la prise orale Difficultés alimentaires sur bronchite obstructive Difficultés respiratoires et refus de prise antibiotique / Bronchopneumonie à RSV O2-dépendante avec difficultés alimentaires Difficultés respiratoires Difficultés respiratoires Difficultés respiratoires Difficultés respiratoires Difficultés respiratoires Difficultés respiratoires Difficultés respiratoires Difficultés respiratoires Difficultés respiratoires Difficultés respiratoires Difficultés respiratoires Difficultés respiratoires avec toux aboyante. Diffusion paraveineuse sur mal-positionnement de la voie veineuse centrale Diflucan du 05.02 au 18.02.2019 Attitude : • surveillance tests hépatiques Dig I à droite (main dominante) : rhizarthrose stade III selon Eaton et Littler. Dig I droit (dominant) : allodynie ramus superficialis nervus radialis status post écrasement phalange distale pouce avec perte de substance, perte lit unguéale, mise à nu de l'os, reconstructions parties molles avec lambeau pédiculé de type cerf-volant, greffe peau fine le 18.07.2017 (HUG Genève). Status post infiltration test ramus superficialis nervus radialis le 04.04.2018 Syndrome tunnel carpien modéré Dig I gauche : fracture P1 sous-condylienne ; le 12.04.2017 traitée par réduction ouverte et embrochage par 1 KD 0,8 mm (OP le 13.04.2017). Morsure de tique le 16.10.17. Dig II D : par rapport aux clichés du 16.08.2018 status quo. On note encore le trait de fracture, néanmoins celui-ci semble être consolidé. Dig III G : pas de récidive de l'exostose. Configuration osseuse normale. Histologie de l'exostose cartilagineuse du 16.11.2018 (USZ) : pas de signe de malignité. Réaction polypoïde de l'os correspondant à l'exostose. Dig III G : status post excision exostose cartilagineuse P1 le 16.11.2018 (Dr. X USZ) Dig III main droite : status post lésion EDC zone 5 il y a 20 de cela avec actuellement légères douleurs à la mobilisation Dig IV G : Mallet Finger osseux le 16.01.2019. Dig IV gauche : déformation en boutonnière sur status post • Réduction ouverte PIP, refixation de la bandelette centrale le 10.02.2017 sur luxation PIP datant d'une semaine avec arrachement de la bandelette centrale • Révision plaie, prélèvement biopsies, refixation bandelette centrale PIP le 24.02.2017 Dig IV gauche : arthrodèse PIP (cerclage 0,8 mm, 1 broche 1 mm) (OP le 22.01.2018) Dig IV gauche (main dominante) : status post traitement conservateur d'une fracture P1 le 02.06.2017 Status post-ostéotomie de raccourcissement au niveau de P3, nécrosectomie et guérison par secundam intentionem (Dr. X / Dr. Y) Status post arthrodèse PIP le 15.10.2018 (Dr. X) Digitus quintus varus ddc avec bugnonette symptomatique plus à D qu'à G. Status post cure d'hallux valgus ddc il y a plus de dix ans. Digoxine dès le 11.02.2019 US cardiaque le 12.02.2019 Digoxine 2x 0,5 mg iv aux urgences Dilatation aortique suivie par le cardiologue traitant. Dilatation des voies biliaires intra-et extra-hépatiques d'origine lithiasique • déjà décrit au CT du 22.03.2018, non investiguée • laboratoire : CRP à 89 mg/l, leucocytes 9.8 G/l Dilatation des voies urinaires gauches dans un contexte de maladie lithiasique. Dilatation du canal pancréatique au CT abdominal du 21.02.2019 Dilatation modérée de l'aorte thoracique depuis 2014 • ETT du 28.12.2016 : aorte modérément dilatée à 44 mm au niveau du sinus aortique (stable) Dilatation pyélocalicielle ddc sous antibioprophylaxie jusqu'à l'âge de 6 semaines • suivi Dr. X • dernier US le 18.01.18 : Examen superposable au comparatif du 2.11.2017. Reins de taille et de morphologie normale. Ectasie de l'uretère distal à 2.5 mm, à droite, identique, sans répercussion notable en amont. Né à 40 4/7 semaines de gestation, poids de naissance 3070 g (P5-10), taille de naissance 48 cm ( 3 litres d'H2O par jour depuis 2 mois) - DD : SIADH d'origine médicamenteuse ou centrale, trouble des apports alimentaires (tea and toast). Traumatisme crânien sur chute de sa hauteur lors de la crise épileptique le 21.06.2016. Rhabdomyolyse massive (pic de CK à 99'000 U/l) d'origine mixte le 23.06.2016 : - hyponatrémie sur polydipsie psychogène avec correction excessivement rapide le 21.06.2016. - effet indésirable de l'olanzapine (Zyprexa) suite à l'augmentation posologique récente. - épilepsie tonico-clonique généralisée le 21.06.2016. - traumatique. - autres troubles électrolytiques (hypokaliémie, hypophosphatémie). Douleur dentaire et du maxillaire d'origine indéterminée. Gastrite sur AINS le 17.02.2018. Nausées d'origine indéterminée le 04.09.2018. Douleur mollet gauche. Douleur musculaire. Douleur musculaire de l'épaule droite le 28.02.2019. DD : radiculopathie, hernie discale cervicale. Douleur musculaire post-intervention de la hanche gauche. Douleur musculo-squelettique. Douleur musculo-squelettique costale latérale gauche post-bronchite. Douleur musculo-squelettique dans un contexte d'utilisation excessive le 08.04.15. Hématochézie le 08.11.2015 avec : - dans un contexte de fissure anale. Pharyngite aiguë probablement virale sans critère de gravité le 09.07.2018. Douleur neurogène avec allodynie de la cuisse droite : probable méralgie. Douleur neurogène dans le territoire du nerf sural post-contusion du genou droit le 15.02.19. Douleur neurogénique droite du côté du dermatome chez le zona de St. N. Déficience cognitive, démence apparente, dépression - apathie, fatigue, perte d'intérêt - Escitalopram rejeté par le patient - Statut Minimental (MMS) non réalisable (presbyacousie, non-conformité) - avec 15 mg de mirtazapine. Trouble de la marche dans le contexte d'une attaque ischémique transitoire (AIT).kinésithérapie stationnaire Embolie pulmonaire bilatérale paracentrale le 06/2017 • Prophylaxie secondaire avec Xarelto • VTE BLEED Score 1.5 Douleur occipital Douleur oeil Douleur oeil droit. Douleur oeil droit le 25.02.2019. Douleur oreille gauche Douleur orteil gauche. Douleur paravertébrale droite suite à une fracture du corps de L1 le 23.10.18. Douleur pariétale et musculaire (contracture m Trapèze) G post pose de pacemaker DD: névralgie cervico-brachiale G sur mauvais positionnement durant l'intervention Douleur pariétale droite le 26.02.19. DD: fissure de côte, contusion musculaire. Douleur pariétale, le 02.02.2019 • pic hypertensif associé Douleur pectorale sur traumatisme le 03.02.2019. • Probable contusion du muscle pectoral. Douleur pelvienne. Douleur pelvienne aigüe Douleur pelvienne sur anxiété probablement. Douleur pénienne. Douleur persistante genou droit Douleur pied droit. Douleur pied droit post-contusion Douleur pied et cheville gauche. Douleur pied gauche Douleur pli inguinal droite. Douleur pli inguinal gauche. Douleur poignet droit. Douleur poignet gauche. Douleur postop après ablation kyste articulaire L5-S1 à gauche et libération racine S1 gauche (04.02.19) Douleur pouce droit. Douleur rétrosternale. Douleur rétrosternale dans un contexte de pic hypertensif à 200/60 mmHg. • La patiente a arrêté son traitement de Lisinopril, car elle ne le supporterait pas. Douleur rétrosternale, le 13.02.2019 Douleur, rougeur et induration post drainage d'abcès péri-anal droit, le 02.02.2019. Douleur sacrale. Douleur scapulaire. Douleur sein G depuis ce jour Douleur sous-axillaire gauche d'origine probablement pariétale. Douleur sous-costale droite Douleur sur l'épididyme gauche d'origine peu claire. Douleur sur métastases osseuses Douleur talon droit. Douleur testiculaire. Douleur testiculaire droite résolue sur probable orchite post-virale Douleur testiculaire gauche d'origine indéterminée le 13.02.2019. Douleur testiculaire persistante depuis 1 an en augmentation avec mouvement scrotal lors de forte crise • sérologies oreillons et EBV négatives • Phlébographie 01.02.2019: diminution des veines péri-testiculaires avec une persistance de veines au niveau scrotal • IRM abdominal et testiculaire 04.02.2019: asymétrie d'intensité de rehaussement des veines du cordon spermatique en défaveur de la gauche • Cystographie 07.02.2019: kyste urétéral • avis chirurgical (Dr. X) 02.02.- 08.02.2019: discussion avec urologue pédiatre du CHUV et urologue adulte du HFR • besoin en paracétamol, Ibuprofen, novalgine, voltaren, tramal, tora-dol, nalbuphine • Neurodol tissugel depuis 07.02.2019 Douleur thoracique Douleur thoracique. Douleur thoracique à l'effort Douleur thoracique à l'inspiration profonde. Douleur thoracique dans un contexte de probable mésotéliome. Douleur thoracique de probable origine pariétale le 22.02.2019 Douleur thoracique d'étiologie indéterminée le 06.02.19 • DD: probable douleur sur globe urinaire. Douleur thoracique d'origine indéterminée Douleur thoracique d'origine indéterminée DD pariétale DD dans le contexte d'anxiété le 15.12.2016. Douleurs thoraciques atypiques d'origine pariétale sur infection des voies aériennes supérieures le 25.11.2015 Sciatalgie non déficitaire au membre inférieur gauche le 19.06.2014 Crise d'angoisse le 19.06.2014 Plaie superficielle de la main gauche avec défect cutané de 1x2cm le 23.05.2011 Status post deux césariennes. Status post hystérectomie. Status post opération d'hémorroïdes. Contracture musculaire cervicale para-vertébrale gauche le 10.06.2016 Sirdalud 2mg 2x/j. pour 5 jours Epigastralgies d'origine indéterminée le 10.06.2016 Poursuite de Pantozol 40mg Primpéran 10mg 1x/j. pour 5 jours Colonoscopie prévue le 14.06.2016 Douleur thoracique d'origine indéterminée, probablement d'origine pariétale le 24.02.2019. Douleur thoracique d'origine musculo-squelettique le 05.02.2019. Douleur thoracique d'origine pariétale le 11.02.2019. Douleur thoracique d'origine pariétale le 16.02.2019. Douleur thoracique d'origine pariétale le 18.02.2019. Douleur thoracique d'origine pariétale probable le 17.05.15. Douleur thoracique probablement d'origine crise d'angoisse s/p cholécystectomie s/p PTH dr en janvier 2014 Syndrome grippal 22.02.2014 Douleur thoracique sur pic hypertensif le 17.02.2019. Douleurs thoraciques atypiques d'origine pariétale probable le 26.02.2019. Douleur 3ème rayon main gauche sur arthrose le 21.02.2019. Douleur 5ème doigt droit. Douleur/oedème d'un membre. Douleurs. Douleurs. Douleurs à la cheville gauche. Douleurs à la cheville gauche suite à une chute. Douleurs à la cuisse gauche DD grippale DD musculaire. Douleurs à la face postérieure du genou droit et du talon droit, d'origine inflammatoire. Trouvaille fortuite au CT du 09.05.2017 : lésion d'aspect séquellaire du lobe pariétal gauche (post traumatique ? ancien accident vasculaire cérébral ? hémorragie anténatale ?). Douleurs à la gorge, diarrhées. Douleurs à la hanche gauche avec légère boiterie d'origine inconnue DD rhume de hanches. Douleurs à la loge rénale gauche. Douleurs à la 3ème phalange de l'auriculaire droit avec plaie de l'ongle. Douleurs à l'aine droite. Douleurs à l'annulaire gauche après traumatisme. Douleurs à l'épaule droite. Douleurs à l'épaule gauche. Douleurs à l'épigastre. Douleurs à l'insertion du pôle supéro-latéral de la rotule genou D. douleurs abdo. Douleurs abdominale. Douleurs abdominale hypocondre D. Douleurs abdominale hypocondre droit. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. Douleurs abdominales. 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Douleurs abdominales avec fièvre DD : Appendicite aiguë : douleur en FID, pas de défense ni contracture, Douleurs abdominales basses crampiformes depuis le 02.02.2019 sur probable coprostase Douleurs abdominales basses d'origine indéterminée. Douleurs abdominales basses d'origine indéterminée. DD : côlon irritable ; intolérance alimentaire. Douleurs abdominales chroniques Douleurs abdominales chroniques. Douleurs abdominales chroniques d'origine indéterminée • DD dysmotilité, ischémie, psychogène Douleurs abdominales chroniques d'origine indéterminée, DD multiples ganglions rétropéritonéaux mis en évidence par CT le 01.02.2019. Douleurs abdominales chroniques d'origine indéterminée DD psychogène Douleurs abdominales chroniques en hypochondre gauche d'origine peu claire • depuis environ 16 mois • perte involontaire de 15 kg en 1 an • OGD du 06.02.2018 (Dr. X) : oesophagite par reflux grade A selon Los Angeles et une gastrite chronique probable. Biopsie duodénale : pas de structure parasitaire, pas de H. Pylori • coloscopie en 02.2018 (Dr. X) : résection de 5 polypes n'expliquant pas les plaintes de la patiente. Coloscopie de contrôle à planifier en 2021 • IRM abdominale le 29.11.2018 : diverticulose sigmoïdienne sans signe de complication. Foie de taille et de morphologie normale. Stéatose hépatique. Lésions nodulaires du segment VIII, présentant les critères d'un angiome capillaire. Aspect normal du pancréas sans lésions focales, sans dilatation du canal de Wirsung. Perméabilité des vaisseaux artériels et veineux mésentériques Douleurs abdominales chroniques • épisode de crampes très importantes dans l'abdomen inférieur IRM abdominal, OGD et coloscopie s.p. en déc 2018 Douleurs abdominales chroniques récidivantes d'origine indéterminée (2013, 2015, 2017, 2018). Status post-idées suicidaires le 29.12.2014 avec hospitalisation à Marsens en mode volontaire. Infection urinaire basse en 2016. Cystite en 2015. Gonalgie droite atraumatique d'origine inflammatoire post-arthroscopie du genou droit le 11.07.2018 pour lésion méniscale interne. Ongle incarné du gros orteil gauche le 03.04.2017. Perforation focale de l'attache radiale de la portion moyenne du TFCC droit le 09.12.2016. Contusion de l'avant-bras et du poignet droits le 02.09.2015. Contusion des doigts 2ème et 3ème rayons droits le 31.07.2014. Opérations au niveau du bras et du genou droits. Syncope sur hypotension orthostatique le 18.08.2018, DD : origine psychogène. Douleurs abdominales chroniques récidivantes d'origine indéterminée (2013, 2015, 2017, 2018). Status post-idées suicidaires le 29.12.2014 avec hospitalisation à Marsens en mode volontaire. Infection urinaire basse en 2016. Cystite en 2015. Gonalgie droite atraumatique d'origine inflammatoire post-arthroscopie du genou droit le 11.07.2018 pour lésion méniscale interne. Ongle incarné du gros orteil gauche le 03.04.2017. Perforation focale de l'attache radiale de la portion moyenne du TFCC droit le 09.12.2016. Contusion de l'avant-bras et du poignet droits le 02.09.2015. Contusion des doigts 2ème et 3ème rayons droits le 31.07.2014. Opérations au niveau du bras et du genou droits. Syncope sur hypotension orthostatique le 18.08.2018, DD : origine psychogène. Etat dépressif aigu avec idéations suicidaires. Chute sur genou droit sur la glace avec gonalgies droites. Douleurs abdominales chroniques récidivantes d'origine indéterminée (2013, 2015, 2017, 2018). Status post-idées suicidaires le 29.12.2014 avec hospitalisation à Marsens en mode volontaire. Infection urinaire basse en 2016. Cystite en 2015. Gonalgie droite atraumatique d'origine inflammatoire post-arthroscopie du genou droit le 11.07.2018 pour lésion méniscale interne. Ongle incarné du gros orteil gauche le 03.04.2017. Perforation focale de l'attache radiale de la portion moyenne du TFCC droit le 09.12.2016. Contusion de l'avant-bras et du poignet droits le 02.09.2015. Contusion des doigts 2ème et 3ème rayons droits le 31.07.2014. Opérations au niveau du bras et du genou droits. Syncope sur hypotension orthostatique le 18.08.2018, DD : origine psychogène. Etat dépressif aigu avec idéations suicidaires. Chute sur genou droit sur la glace avec gonalgies droites. Douleur abdominale basse d'origine indéterminée. Douleurs abdominales chroniques récidivantes d'origine indéterminée (2013, 2015, 2017, 2018). Status post-idées suicidaires le 29.12.2014 avec hospitalisation à Marsens en mode volontaire. Infection urinaire basse en 2016. Cystite en 2015. Gonalgie droite atraumatique d'origine inflammatoire post-arthroscopie du genou droit le 11.07.2018 pour lésion méniscale interne. Ongle incarné du gros orteil gauche le 03.04.2017. Perforation focale de l'attache radiale de la portion moyenne du TFCC droit le 09.12.2016. Contusion de l'avant-bras et du poignet droits le 02.09.2015. Contusion des doigts 2ème et 3ème rayons droits le 31.07.2014. Opérations au niveau du bras et du genou droits. Syncope sur hypotension orthostatique le 18.08.2018, DD : origine psychogène. Douleur abdominale basse d'origine indéterminée.Douleurs abdominales chroniques récidivantes d'origine indéterminée (2013, 2015, 2017, 2018). Status post-idées suicidaires le 29.12.2014 avec hospitalisation à Marsens en mode volontaire. Infection urinaire basse en 2016. Cystite en 2015. Ongle incarné du gros orteil gauche le 03.04.2017. Perforation focale de l'attache radiale de la portion moyenne du TFCC droit le 09.12.2016. Contusion de l'avant-bras et du poignet droits le 02.09.2015. Contusion des doigts 2ème et 3ème rayons droits le 31.07.2014. Opérations au niveau du bras et du genou droits. Syncope sur hypotension orthostatique le 18.08.2018, DD: origine psychogène. Douleurs abdominales crampiformes (DD: gastro-entérite aiguë sans signes de gravité) Douleurs abdominales crampiformes d'origine inconnue DD gastroentérite DD adénite mésentérique DD appendicite Douleurs abdominales d'allure fonctionnelle Douleurs abdominales d'allure fonctionnelle le 25.07.2018. DD: gastrite. Douleurs abdominales dans le cadre d'une suspicion à infection virale à Rotavirus. DD: syndrome d'invagination-désinvagination Douleurs abdominales dans le cadre d'une suspicion de syndrome d'invagination-désinvagination DD: constipation, gastroentérite Douleurs abdominales dans un contexte d'alcoolisation aiguë le 11.06.2017 Douleurs abdominales dans un contexte de cholédocholithiase. Douleurs abdominales dans un contexte de menstruation le 12.02.2019. Douleurs abdominales (DD: adénite mésentérique, appendicite: moins probable, grippe intestinale) Douleurs abdominales DD adénite mésentérique DD gastrite DD constipation Douleurs abdominales (DD: adénite mésentérique, GEA virale) Douleurs abdominales (dd. appendicite, adénopathie mésentérique, angine virale) Douleurs abdominales, DD: appendicite débutante Douleurs abdominales DD constipation DD gastroentérite débutante DD adénite mésentérique Douleurs abdominales depuis 1 jour. Douleurs abdominales d'étiologie indéterminée le 07.02.2019. DD: subiléus, colite radique, diverticulite. Douleurs abdominales d'étiologie indéterminée le 09.02.2019. DD: PID. DD: endométriose. Douleurs abdominales d'étiologie indéterminée le 21.02.2019 avec: • APP exclue. DD: gastroentérite, origine gynécologique. Douleurs abdominales d'étiologie indéterminée sans critère de gravité, le 05.02.2019 avec: DD: composantes de stress, gastrite débutante. Douleurs abdominales d'étiologie non déterminée le 24.02.2019. DD: appendicite débutante. Douleurs abdominales diffuses chez une patiente enceinte de 8 mois. DD: travail, autre cause. Douleurs abdominales diffuses d'origine indéterminée le 01.02.2019 DD gastroentérite Douleurs abdominales diffuses d'origine indéterminée le 16.02.2019. DD: virale. Douleurs abdominales d'origine inconnue • DD: gastroentérite, fonctionnelles. Douleurs abdominales d'origine inconnue DD constipation Douleurs abdominales d'origine inconnue, DD infection urinaire débutante, DD douleurs mi-cycle DD kyste ovarien Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 06.02.2017 dd: colique biliaire, gastrite, intestinale Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 07.02.2019 • status post-cholecystectomie laparoscopique le 23.01.2019 sur cholangite sur migration lithiasique Douleurs abdominales d'origine indéterminée. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. Douleurs abdominales d'origine indéterminée avec diarrhées. DD: MICI, intolérance au gluten, intolérance au lactose. Douleurs abdominales d'origine indéterminée avec métrorragies. Douleurs abdominales d'origine indéterminée avec minime hématochézie le 10.02.2019 • sans critères d'urgence Douleurs abdominales d'origine indéterminée avec perte de connaissance brève probablement sur douleurs le 05.02.2019. Douleurs abdominales d'origine indéterminée avec • perturbation des tests hépatiques • CRP nég, Lc 7.3 G/l, ASAT 43 U/l, ALAT 135 U/l, GGT 197 U/l, billi nég. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD: coprostase. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD: coprostase, gastroentérite, processus néoplasique. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD: somatiques, psychogènes (cf. comorbidités). Douleurs abdominales d'origine indéterminée (DD: colique néphrétique le 26.02.2019). Douleurs abdominales d'origine indéterminée (DD: somatique (diverticulite), psychogène (cf comorbidités)). Douleurs abdominales d'origine indéterminée (DD: virose, diagnostic de gravité écarté, pas d'examen réalisé) • Perturbation des tests hépatiques. • CT dans la norme le 06.02.2019. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 04.02.2019 • DD: appendicite débutante. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 07.02.2019. DD: constipation, gastrite débutante. Douleurs abdominales d'origine indéterminée, le 12.02.2019 probablement dans un contexte de gastro-entérite virale. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 12.12.2018. DD: syndrome de congestion pelvien à droite, constipation. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 17.02.2019. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 20.02.2019. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 20.2.2019. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 27.02.2019. Douleurs abdominales d'origine indéterminée, le 03.02.2019 • status post-cholecystectomie laparoscopique le 23.01.2019 sur cholangite, sur probable migration lithiasique. Douleurs abdominales d'origine indéterminée (parasite, oxyure, constipation) Douleurs abdominales d'origine indéterminée, probablement sur constipation. Douleurs abdominales d'origine indéterminée sans signe de gravité. Douleurs abdominales d'origine indéterminée sans signes de gravité. DD douleurs menstruelles, infection gynécologique, fausse couche/grossesse, entérite virale avec: Douleurs abdominales d'origine indéterminée sans signes de gravité le 21.02.2019. Douleurs abdominales d'origine indéterminée, suspicion de constipation habituelle. Trouble de l'adaptation avec humeur mélancolique • deuil pas élaboré • épuisement psychique +/- physique • risque suicidaire faible. Observation. Prise en charge pédopsychiatrique individuelle et systémique. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD: • appendicite, douleur fonctionnelle. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD: colique néphrétique débutante; colite. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD: constipation, musculaires. Douleurs abdominales d'origine indéterminée DD: gastrite, douleurs dans le décours de la cystite, constipation Pas d'argument pour un abdomen chirurgical Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD: gastroentérite symptomatique. Douleurs abdominales d'origine indéterminée DD lombalgie droite non déficitaire, colique néphrétique Douleurs abdominales d'origine indéterminées le 03.02.2019. • status post cholécystectomie laparoscopique le 23.01.2019 sur cholangite sur probable migration lithiasique Douleurs abdominales d'origine indéterminées le 03.02.2019 • s/p cholecystectomie laparoscopique le 23.01.2019 sur cholangite sur probable migration lithiasique Douleurs abdominales d'origine musculo-squelettiques probables le 10.02.2019. Douleurs abdominales d'origine pariétale le plus probable le 01.02.2019. Douleurs abdominales d'origine pas claire.Torticolis cervical droit. Douleurs abdominales d'origine peu claire DD constipation, appendicite débutante. Douleurs abdominales d'origine peu claire. • DD: infection urinaire basse. Douleurs abdominales d'origine peu claire le 12.02.2019. Douleurs abdominales d'origine X. Douleurs abdominales d'origine X. • DD : dans le contexte d'une grossesse évolutive à 7 semaines d'aménorrhée. Hyperémiés gravidique. Douleurs abdominales d'origine X. • DD : d'origine gynécologique. Douleurs abdominales d'origines indéterminées le 25.02.2019. • Sur probable infection vaginale. Douleurs abdominales du flanc gauche et en fosse iliaque gauche d'origine indéterminée. • DD : douleurs pré-menstruelles, coprostase. Douleurs abdominales du flanc gauche et en fosse iliaque gauche d'origine indéterminée (DD: kyste ovarien gauche). Douleurs abdominales du 05.02.2019. Douleurs abdominales en FIG. Douleurs abdominales en hypochondre droit d'origine indéterminée. Douleurs abdominales épigastralgiques. • DD: troubles somatoformes, gastrite. Douleurs abdominales épigastriques et de l'hypochondre gauche. • Entorse de la cheville droite le 22.12.2011. Douleurs abdominales et céphalée. Douleurs abdominales et constipation. Douleurs abdominales et diarrhées. Douleurs abdominales et diarrhées depuis 4 jours. Douleurs abdominales et dyspnée. Douleurs abdominales et fièvre. Douleurs abdominales et inappétence. Douleurs abdominales et inguinales d'origine X. • DD musculaires. Douleurs abdominales et thoraciques gauche d'origine inconnue. • DD douleurs musculaires. • DD constipation. • DD gastro-entérite débutante. Douleurs abdominales et vomissements. Douleurs abdominales fonctionnelles. Douleurs abdominales (gastro-entérite aiguë, constipation). Douleurs abdominales hautes le 24.01.2019. • Possiblement sur adénopathie inter-aorto-cave (augmentée en taille au CT du 07.01.2019), correspondant à l'endroit douloureux à la palpation. Douleurs abdominales, hyperbilirubinémie. Douleurs abdominales le 20.02.2019. • DD : sur constipation. Douleurs abdominales nociceptives mixtes dans le contexte de métastases abdominales. • Avec suspicion subiléus. Douleurs abdominales nociceptives viscérales sur invasion duodénale, obstruction des voies biliaires et ascite carcinomateuse, dans le cadre de la maladie oncologique terminale. Douleurs abdominales péri-ombilicales dans le cadre d'un état fébrile. Douleurs abdominales persistantes. Douleurs abdominales persistantes d'un contexte de colite traitée. Douleurs abdominales persistantes en fosse iliaque droite d'origine indéterminée le 07.02.2019. • DD: adénite mésentérique, APP. Douleurs abdominales persistantes en fosse iliaque droite d'origine indéterminée. • DD: abcès utérin. • DD: coprostase sur douleurs. Urines : propres. Test de grossesse du 05.02.2019 : négatif. US abdominal 06.02.2019 : Appendice de calibre augmenté, mesuré jusqu'à 6,5 mm de diamètre, toutefois sans image pathognomonique pour une appendicite. Par ailleurs, quelques ganglions mésentériques agrandis en fosse iliaque droite. Douleurs abdominales post prise de Cytotec. Douleurs abdominales post traumatique. Douleurs abdominales post-gastro-entérite. • DD: adénite mésentérique. Douleurs abdominales probables d'origine psychosomatique avec fort absentéisme scolaire. Douleurs abdominales probablement dans un contexte de stéatose hépatique. • S/P angiome hépatique opéré en 1989. Douleurs abdominales probablement sur ballonnements le 22.02.2019. • Douleurs spontanément résolutives avant l'arrivée aux urgences. Douleurs abdominales probablement sur constipation. Douleurs abdominales probablement sur gastrite le 18.02.2019. Douleurs abdominales résolues spontanément. • DD constipation. • DD gastro-entérite débutante. Douleurs abdominales sans critère de gravité le 18.02.2019. • DD: intolérance à la codéine, passage de cholédocholithiase. Douleurs abdominales stables sans péjoration clinique. • Après bilan inflammatoire rassurant en diminution du léger syndrome inflammatoire initial et après discussion avec la cadre de garde de la chirurgie, nous proposons le retour à domicile avec des antalgiques en réserve et en expliquant les signes de gravité en détails. Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures si douleurs stables mais persistantes. Douleurs abdominales sur constipation le 24.01.2019. Douleurs abdominales sur coprostase. Douleurs abdominales sur coprostase le 21.02.2019. Douleurs abdominales sur passage lithiase urinaire gauche. • DD : origine gynécologique. Douleurs abdominales sur PEG lâche, disparu après bonne mise en place du triangle de la PEG 02.02.2019. • CRP 9 mg/l, Lc 5 G/l, Lipase 2'089 U/l, ASAT 25 U/l, ALAT 15 U/l, GGT 51 U/l, bilirubine directe négative. Douleurs abdominales sur probable constipation. Douleurs abdominales sur probable constipation aiguë. • DD: pas d'argument pour abdomen chirurgical type APP/torsion ovarienne dans un contexte d'amélioration sous Movicol, abdomen rassurant et même symptomatologie que le dernier épisode. Douleurs abdominales sur probable début d'entérite. Douleurs abdominales sur probable douleurs d'ovulation. Douleurs abdominales sur probable gastrite d'origine indéterminée le 21.02.2019. Douleurs abdominales sur sténose pylorique. • DD : ulcère gastrique vs tumeur. Douleurs abdominales, suspicion d'une appendicite débutante. • DD adénite mésentérique. Douleurs abdominales. • DD : Cause chirurgicale : douleur évoluant depuis 10 jours, pas de douleur en FID, pas de syndrome occlusif. Hépatite aiguë : (infectieuse, médicamenteuse) : cytolyse hépatique suite à la prise de paracétamol en amélioration. Pancréatite aiguë : lipase/amylase en ordre. Gastroentérite aiguë : pas de diarrhée ni vomissements. Douleurs acutisées de la hanche gauche dans un contexte d'ostéonécrose de la tête fémorale probablement ancienne. Douleurs aiguës en status post réduction et ostéosynthèse de la hanche avec Cerclage et PFNA après une fracture pertrochanterienne fémur gauche Kyle IV le 09.12.2018. Douleurs anales. Douleurs anales depuis plus de 4 semaines, d'origine peu claire. Douleurs anales d'étiologie indéterminée. • Diagnostic différentiel : coprostase, tumeur rectale. Douleurs anales sur fissure anale et abdominale sur fécalome le 18.02.2019. • Dans un contexte de colite grade 1 sur immunothérapie en janvier 2019. Douleurs anales/infection anale. Douleurs antérieures de genoux, plus à droite qu'à gauche. Douleurs antérieures des deux genoux dans le cadre d'un Osgood Schlatter. Douleurs antérieures du genou bilatérales. • Déconditionnement. Douleurs antérieures du genou gauche. • Déchirure horizontale corne postérieure ménisque interne, genou gauche (connue depuis 4 ans).Douleurs antérieures et postérieures sur méniscopathie interne et externe dégénérative avec kystes associés et contracture des chaînes postérieures. Chondrocalcinose D avec douleurs chroniques sur : • Status post chirurgie du genou D en 2003. Neuropathie péronière D d'origine post-traumatique avec faiblesse du pied du muscle péroné Neuropathie du nerf saphène Status post traitement d'une nécrose pré-tibiale D de 7x4 cm métadiaphysaire avec plaie pré-tibiale sur AVP à moto le 02.06.2018 suivi par le team pied. Douleurs antérieures genou D. Gonarthrose fémoro-tibiale interne D. Suspicion de chondrocalcinose ménisque interne genou D. Douleurs antérieures genou, plus symptomatique à G qu'à D. Douleurs antéro-externes du genou D. Présence d'une plica para-patellaire droite. Gonarthrose fémoro-patellaire débutante à droite. Douleurs au genou droit. Douleurs au genou gauche. Douleurs au membre inférieur gauche sans traumatisme. Douleurs au niveau de la colonne thoracique probablement d'origine musculaire Douleurs au niveau de l'épaule gauche. Douleurs au niveau du sinus du tarse à G et de l'insertion du peroneus brevis à gauche sur : • Status post fracture pseudo-Jones et fracture de la malléole externe type Weber A le 02.08.2017 traitée conservativement. Douleurs au niveau du tendon d'Achille et face antérieure de la cheville D probablement sur matériel d'arthrodèse sur status post AMO partielle tibia D, arthrodèse tibio-astragalienne par plaque Ankle Fusion Arthrex, prise de greffe crête iliaque D le 23.08.2016 pour arthrose tibio-astragalienne post-traumatique sur fracture du pilon tibial D le 04.08.2015. Douleurs au niveau d'un kyste pilonidal. Douleurs au niveau rétro-malléolaire du pied G avec suspicion de tendinite tibiale postérieure sur : • AVP à moto le 16.9.2018 avec lésion du Lisfranc pied G, fracture comminutive intra-articulaire de la base du 1er métatarsien gauche, fracture intra-articulaire de la base du 2ème métatarse avec fragment osseux libre entre les 2ème et 3ème MT et fracture intra-articulaire du 4ème métatarse, fracture de la partie postéro-inférieure du cunéiforme intermédiaire et de la partie médio-inférieure du cunéiforme latéral. Douleurs à l'oreille gauche chronique (un mois) d'origine inconnue DD infection virale • St.p. traitement par antibiotique contre suspicion d'otite moyenne (le nom pas retenu) début jan 2019 • St.p. traitement avec Panotile depuis 2 semaines suite à une suspicion d'otite externe • St.p. traitement avec Cerumenol suite à une suspicion de bouchon à l'oreille gauche Douleurs au pied gauche. Douleurs au poignet gauche. Douleurs au site de fracture chez une patiente portant un plâtre brachio-antébrachial sur fracture du radius distal et styloïde ulnaire le 19.02.2019 sur mauvaise antalgie. Douleurs aux membres inférieurs. Douleurs avant-pied G entre l'espace du 2ème et 3ème métatarses avec forte suspicion de névrome de Morton Douleurs axiales diffuses avec irradiation le long du MI G sur : • Lombalgies chroniques sous traitement pluridisciplinaire, sans succès • Troubles dégénératifs pluri-étagés avec minime scoliose dégénérative et rétrécissement canalaire modéré au niveau cervical et lombaire, à notre avis asymptomatique et arthrose facettaire pluri-étagée lombaire Douleurs axiales dorso-lombaires avec irradiation dans la jambe D sur : • fibromyalgie • arthrose facettaire pluri-étagée • déconditionnement musculaire Douleurs bas du dos Douleurs basi thoraciques droites d'origine pariétale le 10.02.2019. Douleurs basi thoraciques gauche d'origine musculo-squelettique. Douleurs basithoraciques. Douleurs basithoraciques de probable origine pariétale, le 13.02.2019. Douleurs basi-thoraciques gauche Douleurs basithoraciques gauches dans un contexte de toux sur pneumonie basale gauche. Douleurs basi-thoraciques gauches sur effort de toux le 17.02.2019. Douleurs basithoraciques musculosquelettiques. Douleurs bassin à droite suite à une chute. Douleurs bilatérales des épaules d'origine rhumatologique. DD : arthrite rhumatoïde débutante. Douleurs cervicales avec paresthésies des membres supérieurs. Douleurs cervicales non déficitaires au niveau de C7 suite à un traumatisme. Douleurs cervicales sur adénopathies Douleurs cheville D Douleurs cheville droite Douleurs cheville droite Douleurs cheville droite. Douleurs cheville droite. Douleurs chroniques Douleurs chroniques dans le contexte de la fibromyalgie non contrôlées par l'antalgie actuelle. Douleurs chroniques du dos : • s/p 5 opérations avec spondylodèse lombaire Douleurs chroniques hanches gauche. DD : métallose DD : sur atrophie musculaire moyen fessier post • Révision de la hanche par voie d'abord trochanter flip avec résection du bourrelet entre 8h et 13h, diminution de la taille du mur antérieur au même endroit, débridement du cartilage dans cette lésion outside-in, reconstruction de l'offset, et légère diminution de taille de l'épine iliaque antéro-inférieure pour un conflit fémoro-acétabulaire en came et pincer le 23.01.2008. • Ablation des deux vis stabilisant ayant stabilisé le grand trochanter G le 1.10.2008. • Mise en place d'une prothèse totale de hanche de resurfaçage type ARS (taille 48 pour le cotyle et 43 pour la tête fémorale) le 26.3.2009. • Résection d'ostéophytes et d'exostoses du grand trochanter G le 30.8.2010. • Probable arthroscopie pour ténotomie d'allongement du psoas (protocole opératoire introuvable) début 2011. Douleurs coccygiennes. Douleurs colonne lombaire Douleurs costale D Douleurs costales. Douleurs costales d'origine probablement pariétale. Douleurs costales droites. Douleurs costales et sous costales droites. Douleurs costales gauches (DD : contusion) Douleurs costales post-contusionnelles droites le 22.02.2019. Douleurs costales traumatiques avec probable fracture de la côte 12 postéro-latérale droite suite à une chute mécanique le 31.01.2019. Douleurs crampiformes hypogastriques le 20.02.2019 probablement sur gastro-entérite débutante. Douleurs d'allure musculaire post-traumatique para-vertébrales gauches (T6-T12) et des muscles de l'omoplate Douleurs dans contexte d'épanchement pleural d'origine indéterminée au décours. Douleurs dans la fesse gauche. Douleurs de cheville droite sans traumatisme. Douleurs de genou droit chroniques Douleurs de hanche droite. Douleurs de la base du pouce droit. Douleurs de la cheville droite. Douleurs de la cheville droite. Douleurs de la cheville droite. Douleurs de la cheville gauche. Douleurs de la cheville gauche sur boiterie antalgique suite au traumatisme des orteils le 02.02.2019. Douleurs de la cuisse droite. Douleurs de la hanche droite atraumatique. Douleurs de la hanche G d'origine peu claire.Douleurs de la loge rénale droite d'origine indéterminée le 24.02.2019. Douleurs de la loge rénale gauche. Douleurs de la main gauche. Douleurs de l'auriculaire droit. Douleurs de l'avant-bras droit. Douleurs de l'épaule droite. Douleurs de l'épaule gauche. Douleurs de l'épaule gauche avec : • suspicion d'atteinte de la coiffe des rotateurs. Douleurs de l'épaule gauche et de la cage thoracique. Douleurs de l'estomac. Douleurs de l'hallux droit. Douleurs de l'hallux gauche. Douleurs de l'hémicorps droit. Douleurs de l'hémithorax à droite. Douleurs de l'hémithorax gauche. Douleurs de l'œil droit. Douleurs de l'œil gauche. Douleurs de type mixte au niveau de la mandibule sur infiltration tumorale. Douleurs du 1er orteil du membre inférieur droit. Douleurs dentaires. Douleurs dentaires dans le quadrant supérieur et inférieur droit le 17.02.2019 • pas de consultation dentaire depuis 3 ans. Douleurs dentaires sur caries des dents 37-38, le 07.02.2019. Douleurs dentaires sur probables caries et maladie parodontale. Douleurs des loges rénales. Douleurs des 2 poignets depuis 1 semaine, atraumatiques. Douleurs des 2ème, 3ème et 4ème orteils gauche. Douleurs difficiles à systématiser mais les examens reviennent normaux. Selon avis orthopédiste de garde, prévoir antalgie et si péjoration, organiser IRM du genou et contrôle au team genou en orthopédie. Douleurs diffuses et baisse de l'état général. Douleurs diffuses nociceptives somatiques, prédominant aux membres inférieurs. Douleurs dorsales. Douleurs dorsales chroniques. Douleurs dorsales chroniques sur scoliose le 01.02.2019. Douleurs dorsales dans un contexte d'état grippal. Douleurs dorsales d'origine musculaire (muscle rhomboïdes droit). Douleurs dorsales d'origine musculo-squelettique suite à un effort physique. Douleurs dorsales et thoraciques. Douleurs dorsales irradiant dans le thorax droit et la mâchoire d'origine indéterminée, le 02.02.2019. DD : musculo-squelettiques. Douleurs dorsales, loges rénales. Douleurs dorsales nouvelles, dans un contexte d'épanchement pleural modéré, le 06.02.2019 : • DD : contact entre plèvre et pneumonie/épanchement, fracture de côte. Douleurs dorsales probablement d'origine musculaire (dysbalance). Douleurs dorsales sur nouveau tassement de D9 chez une patiente connue pour ostéoporose, le 11.11.2018. Douleurs sous-costales G d'origine pariétale probable sur fracture-tassement D12 le 11.06.2018. Fracture tassement de L3 ancienne et fracture tassement de D12 récente (IRM colonne dorso-lombaire du 25.05.2018). Anémie macrocytaire hypochrome régénérative d'origine mixte (médicamenteuse, post-lyse) le 05.06.2018. Œdème de Quincke d'origine indéterminée (dernier épisode le 03.12.2011). Douleurs dorso-lombaires. Douleurs dorso-lombaires en aggravation sur fractures ostéoporotique/pathologique de D12 (patiente connue pour un myélome multiple) avec tassement progressif et augmentation de la cyphotisation (40° actuellement). Douleurs dorso-lombaires en résolution sur : • Fracture ostéoporotique récente D9 (Genant III type bi-concave). • Fractures-tassement D12 et L2. Douleurs du bras droit. Douleurs du bras droit dans un contexte atraumatique. DD : neuropathique, vasculaire. Douleurs du bras gauche. Douleurs du coccyx. Douleurs du coude gauche. Douleurs du dos. Douleurs du dos avec perte de force et sensibilité de la jambe gauche. Douleurs du dos d'origine probablement musculaire. Douleurs du FID/HD d'origine indéterminée le 11.10.2018. DD : constipation, syndrome de Gilbert. Traumatisme crânien sans perte de connaissance avec amnésie circonstancielle le 14.02.2019. CT crânio-cervical natif : hématome sous-galéal occipital droit, pas de fracture, pas de saignement. Éthylisation aiguë le 14.02.2019 avec alcoolémie 2.58 pour 1000 le 14.02.2019. Plaie superficielle occipitale droite 1 cm le 14.02.2019. Désinfection Hibidil, champage, 1 point de suture Prolène 4.0. Douleurs du genou droit. Douleurs du genou gauche. Douleurs du gros orteil du pied droit, sans traumatisme. Douleurs du majeur droit. Douleurs du membre inférieur droit. Douleurs du membre inférieur gauche, le 07.02.2019. Douleurs du membre inférieur gauche sans traumatisme. Douleurs du membre supérieur droit dans un contexte de forte suspicion de spondylarthrite ankylosante. Douleurs du membre supérieur droit post-traumatiques. Douleurs du moignon de Burgess le 08.02.2019. DD : • kyste de Baker, escarre. Douleurs du mollet droit. Douleurs du mollet droit. DD : thrombose veineuse profonde, tendinite, contracture musculaire. Douleurs du pied droit. Douleurs du pied gauche. Douleurs du pli inguinal gauche. Douleurs du poignet droit. Douleurs du poignet droit atraumatique depuis 3 mois. Douleurs du poignet gauche. Douleurs du pouce de la main gauche. Douleurs du rachis thoracique sur contracture du trapèze des deux côtés, dans le contexte d'accès de toux sur état grippal. Douleurs du sacrum/coccyx depuis 1 jour. Douleurs du sciatique. Douleurs du talon droit. Douleurs du 2ème orteil au niveau IPP face plantaire pied D. Douleurs du 4ème doigt droit après une intervention chirurgicale pour doigt en ressaut. Douleurs du 5ème doigt de la main gauche. Douleurs dysesthésiques aux membres inférieurs de probable origine neuropathique. DD : neuropathie des petites fibres, syndrome de sensibilisation aux opiacés, composante de radiculopathie S1 non exclue ; composante fonctionnelle surajoutée probable avec appréhension à la marche. Douleurs en coliques, avec suspicion de passage de calcul le 20.02.2019 • hypochondrales bilatérales, présentes depuis 2 jours ; Murphy négatif. Douleurs en fosse iliaque droite. Douleurs en fosse iliaque droite. DD : adénite mésentérique, appendicite débutante, iléite. Douleurs en fosse iliaque droite d'étiologie indéterminée. Suspicion de sténose pylorique sur probable consommation d'AINS dans un contexte post-opératoire d'hallux valgus. Douleurs en fosse iliaque droite d'origine indéterminée. DD : iléite/entérite au décours. Douleurs en fosse iliaque gauche. Douleurs en loge rénale. Douleurs en loge rénale droite. Douleurs en loge rénale droite d'origine indéterminée. DD : calcul rénal droit, maladie lithiasique symptomatique.Douleurs en loge rénale gauche. Douleurs en loge rénale gauche dans le contexte d'une pyélonéphrite sous antibiotiques depuis ce jour. Douleurs épaule D • Fracture sous-capitale de l'humérus droit le 26.09.2018: traitement conservateur Douleurs épaule droite. Douleurs épaule G sur traumatisme du 02.02.2019 Douleurs épaule gauche. Douleurs épigastriques. Douleurs épigastriques. Douleurs épigastriques. Douleurs épigastriques chroniques d'étiologie inconnue le 05.02.2019 • DD : Leponex, en investigations pour suspicion faible de porphyrie. Douleurs épigastriques d'origine indéterminée le 03.06.2015. • DD : angor. Douleurs épigastriques et rétrosternales basses (DD : gastrite, ulcère, cholangite, pancréatite débutante). Douleurs épigastriques probablement sur gastrite aiguë le 22.09.2015 Douleurs épigastriques probablement sur gastrite aiguë le 22.09.2015: • initialement suspicion de syndrome coronarien aigu avec probable atteinte de paroi inféro-postérieure • troponines à 42 ng/l puis à 38 ng/l (delta < 7 ng/l) Douleurs épigastriques sans signe de gravité le 04.02.2019 • chez Mme. Y connue pour une maladie de Crohn. Douleurs épigastriques sous IPP dans un contexte d'ulcère anastomotique post-bypass gastrique le 08.06.2018. Douleurs épigastriques, sur status post-gastrite à Helicobacter pylori traitée par trithérapie (Amoxicilline, Clarithromycine, IPP, fin du traitement le 10.02.2019). Douleurs et compressions digitales post-pose d'un plâtre Combicast le jour même : • sur fracture de la styloïde radiale gauche. Douleurs et tuméfaction du membre supérieur gauche. Douleurs face latérale du pied D sur légère arthrose calcanéo-cuboïde. Status post lésion structurelle du tendon du muscle tibial postérieur à D en mai 2017. Douleurs face plantaires ddc, DD neuropathie du tunnel tarsien vasculaire, DD d'autres origines. • Fasciite plantaire G traitée conservativement. Status post suture du tendon d'Achille D en mini-invasif le 23.10.2018 sur rupture complète le 12.10.2018. Douleurs FIG Douleurs flanc gauche le 05.02.2019 • DD : urolithiase, saignement sur kyste rénal, cholécystite, coxarthrose à gauche Douleurs fosse iliaque gauche. Douleurs genou D face médial post-traumatique sur DD : Lésion méniscale, LLI Douleurs genou droit. Douleurs genou gauche. Douleurs gorge, vomissements, fièvre. Douleurs hanche D référées au genou. Status post PTH G le 21.05.2015. Douleurs hanche D. Douleurs hanche G sur status post fracture plurifragmentaire diaphyse proximale et massif trochantérien fémur G type AO 32-C3 avec ostéosynthèse le 12.08.2013. Douleurs chroniques paravertébrales colonne dorso-lombaire avec dégénération du segment sous-jacent sur status post spondylodèse D7 à D11 avec système URS et cyphoplastie de D9 avec SpineJack et cimentage avec Cohésion 4 cc le 06.08.2013 pour fracture type B de D9 et fracture processus articulaire à G de D10. Status post ablation vis cassée face médiale pilon tibial D le 29.04.2014. Infection du matériel d'ostéosynthèse sur status post OS pilon tibial par plaque tibio-distale et vis libres de la cheville D. Déplacement secondaire du matériel d'ostéosynthèse cheville D sur status post réduction fermée et mise en place fixateur externe tibio-calcanéen jambe D, le 06.08.2013 et status post ablation fixateur externe et ostéosynthèse pilon tibial par plaque tibio-distale et vis libres, le 23.08.2013. Status post luxation de l'épaule D avec déchirure complète des tendons du sub-scapulaire et du sus-épineux et une lésion SLAP stade V. Status post réduction fermée tête radiale, ostéosynthèse diaphyse ulna G par plaque dorso-médiale avant-bras G d'une lésion Monteggia avant-bras G et luxation antérieure tête radius, le 06.08.2013. Status post réduction à ciel ouvert, ostéosynthèse fémur D par DHS 4 trous, lame cervicale 105, le 06.08.2013 pour fracture pertrochantérienne et AMO DHS le 24.11.2013. Polytraumatisme sur chute de montgolfière le 06.08.2013 : • Etat de choc mixte (hémorragique et vasoplégique sur polytraumatisme). • Contusion rénale G avec hématurie. • Rhabdomyolyse. • Fracture bifocale de la 11 et 12ème côtes sans pneumothorax. Fracture pluri-fragmentaire diaphyse proximale et massif trochantérien fémur G type AO32-C3. Décollement sous-cutané glutéal G type Morel-Lavallee. Fracture pertrochantérienne D 31-A2. Fracture type B de D9 ainsi que du processus articulaire G de D10. Fracture pilon tibial D : • Fracture tête fibula D. Douleurs hémithorax à droite. Douleurs inguinales gauche à l'effort de toux le 06.02.2019. Douleurs inguinales gauches d'origine indéterminée, DD : • possible origine urinaire • lombocruralgies gauches Douleurs intenses dans les deux mollets. • Hypophosphatémie • Hypomagnésémie Douleurs invalidantes des membres inférieurs chroniques acutisées, d'origine probablement neurogène (lombosciatalgies bilatérales) • hypopallesthésie du membre inférieur droit (membre inférieur gauche amputé au genou). Douleurs jambe gauche. Douleurs latérales sur Impingement fibulo-talaire externe de la cheville D. Status post suture tendon quadricipital droit le 01.12.2017. Arthrose symptomatique de la cheville droite post ligamentoplastie de stabilisation il y a plus de 30 ans. Douleurs loge rénale droite d'origine indéterminée. • DD : pyélonéphrite droite, calcul rénal • dilatation pyélo-calicielle droite chronique • léger syndrome inflammatoire. Douleurs loge rénale droite le 12.02.2019 • sur adénocarcinome de la prostate cT4 cN1 cM1 (métastases osseuses) et dilatation pyélocalicielle droite chronique. Douleurs loge rénale droite, probablement colique néphrétique droite le 23.02.2019. Douleurs loges rénales bilatérales d'origine indéterminée, le 02.02.2019 • cystite aux décours sous Nitrofurantoïne Diagnostic différentiel : lombalgie non-déficitaire dans un contexte de grossesse, colique néphrétique. Douleurs lombaires. Douleurs lombaires basses à gauche avec irradiation sur le pli de l'aine du côté gauche sur : • suspicion d'irritation sacro-iliaque gauche • Hernie discale L4-L5 avec contact radiculaire L5 gauche sans compression. Douleurs lombaires chroniques. Contraception par implant sous-cutané (Implanon) - pas de menstruation. Douleurs lombaires dans un contexte de myélome multiple et de lésions dégénératives • DD : sur canal lombaire étroit/hernies discales/pyélonéphrite IRM du 20.12.2018 : canal lombaire étroit péjoré par lésions dégénératives lésions myélome.Douleurs lombaires d'origine indéterminée. Douleurs lombaires et membres inférieurs Douleurs lombaires non déficitaire atraumatique chronique DD arthrose Douleurs lombaires récidivantes, avec irradiation dans le MI D, d'origine pluri-factorielle sur: • Syndrome sacro-iliaque D • Status post-spondylodèse L3-S1 par système Viper (vis 6.0/50 en L3, L4 et L5 et vis 6.45 en S1), décompression L3-S1 D, discectomie L4-L5 et L5-S1 et mise en place de 2 cages Juliet taille 10, greffe autologue + Cerasorb le 07.05.2018 pour une récidive kyste articulaire L4-L5 D, discopathie L3-L4 avec sténose canalaire et discopathie L5-S1 avec listhésis de grade I • Status post ablation du kyste et décompression L4-L5 D le 27.10.2017 sur kyste synovial et du ligament jaune au niveau L4-L5 D Douleurs lombo-sacrées de type mixte, irradiantes dans les membres inférieurs dans le contexte de métastases osseuses connues (sacrum) Douleurs main gauche. Douleurs mandibule. Douleurs maxillaires. Douleurs membre inférieur droit Douleurs membre inférieur gauche. Douleurs membre inférieur gauche, dans le contexte d'une opération d'hernie inguinale. Douleurs membre supérieur droit. Douleurs membres inférieures d'origine peu claire DD : nociceptives, neurogènes, fibromyalgie • IRM lombaire du 11.12.2018 : discopathie dégénérative et arthrose zygapophysaire étagée responsables d'un rétrécissement canalaire prédominant en L1-L2 et L3-L4 Douleurs MID post-coronarographie avec voie d'abord a. fémorale D Douleurs mixtes à composante neuropathique probablement sur métastase osseuse avec myalgies • réfractaires au Pallexia, AINS Douleurs mixtes dorso-lombaires sur lésions osseuses métastatiques diffuses Douleurs mixtes du pied droit (neuropathiques et mécaniques), post-amputation de l'hallux à droite, suite à un syndrome des loges. Atteinte double nerveuse du nerf tibial et péronier droit avec plégie persistante du pied droit post syndrome des loges. Trouble de la personnalité émotionnellement labile de type borderline avec : • tentamen mixte avec OH et prise de benzodiazépines le 12.02.2012. Suspicion de troubles du comportement alimentaire. Tabagisme actif. Constipation chronique : • colonoscopie 11.05.17: dolichocôlon, hémorroïdes stade I à II, résection polype colique dysplasie de bas grade. Syndrome de dépendance à l'alcool. Douleurs mixtes sur fracture sous-trochantérienne gauche le 29.01.2019 • incidentes sur mobilisation Douleurs mollet. Douleurs mollet gauche d'origine indéterminée. DD : sur insuffisance veineuse chronique, origine musculaire, thrombo phlébite. Douleurs mollet gauche et tibia droit le 19.02.2019 • DD: Sur compression intermittente ; sur TVP Douleurs MTP 2 DD surlongueur 2ème rayon sur status post cure d'hallux valgus en mini-invasif à G 1 broche Kirschner 2 mm, plaque F3 5 trous MTP et à D 1 broche Kirschner 1.4 MTP 1 le 30.09.2016. Status post fracture de fatigue au niveau du 2ème métatarsien G. Douleurs musculaires. Douleurs musculaires spastique sur hemiparesie droite Douleurs musculo-articulaires diffuses prédominantes au niveau cervical, de l'épaule gauche ainsi qu'au niveau de la charnière dorso-lombaire sur : • suspicion de maladie auto-immune rhumatismale VS toxicité de la médication anti-HIV • Colonne cervicale : discopathie pluri-étagée avec uncarthrose diffuse sans vraie compression radiculaire ni médulaire • Colonne lombaire : discrète discopathie sans autre altération avec une lordose préservée et sans compression canalaire ni arthrose facettaire majeure Douleurs musculo-squelettiques Douleurs musculosquelettiques au niveau de l'épaule droite, probablement positionnelles. Douleurs musculo-squelettiques d'étiologie indéterminée DD: myosite sur grippe (frottis en cours, pas d'argument au bilan avec CK normaux) ou autre virose, courbatures, rhumatologique (VS légèrement augmentée), oncologique (pas d'argument à la FSC) Douleurs musculo-squelettiques sur l'effort de toux dans le cadre d'une bronchite virale. Douleurs musculo-squelettiques thoraciques antérieures gauches, muscle pectoral et para-sternal gauche. DD : syndrome de Tietze. Douleurs neurogènes post-opératoires inguinales gauche le 15.02.2019 • hernie inguinale opérée en octobre 2018 avec douleurs persistantes depuis • patient suivi à la consultation de douleurs neurogènes à la Clinique Générale. Douleurs neuropathiques au niveau du nerf sural à D suivi par le Dr. X Douleurs rétro-malléolaires externes G sur arthrose débutante tibio-astragalienne Status post traitement conservateur d'une fracture non déplacée du calcanéum G le 10.06.2018 Douleurs neuropathiques chroniques avec état d'anxiété. Douleurs neuropathiques chroniques sur la face latérale de la cheville gauche dans le territoire du nerf péronier superficiel sur : Status post déhiscence de plaie chirurgicale face antérieure de la cheville G sur status post chéilectomie tibia distal G le 26.04.2016 dans le contexte d'une gêne mécanique sur : • status post fracture pilon tibial G avec status post mise en place d'un fixateur externe le 02.09.2013. • status post ablation et fixateur externe et ostéosynthèse du pilon tibial gauche le 19.09.2013. • status post greffe de Thiersch face externe de la cheville gauche le 27.09.2013. • status post révision de la plaie malléole externe cheville gauche le 15.01.2013 sur une infection à staphylocoque aureus. • status post AMO tibia gauche le 19.09.2014. Douleurs neuropathiques des membres inférieures dans un contexte d'une polyneuropathie diabétique Douleurs neuropathiques du nerf sural à G. Status post arthrodèse articulation cuboïdo-métatarsienne 4-5 pied G le 01.07.2016 pour arthrose Lisfranc latéral G symptomatique. Arthrose du Chopard à gauche. Infiltrations le 6.4.2017, 8.6.2017 et 11.1.2018. Douleurs neuropathiques du pied gauche. Douleurs neuropathiques du 3ème rayon de la main G sur status post distorsion de l'IPP dig III main G le 06.12.2017. Etat de stress post traumatique. Douleurs nociceptives mixtes sur cholangite obstructive dans un contexte de progression tumorale d'un adénocarcinome colique métastatique avec : • obstruction du stent biliaire par métastase duodénale le 13.12.2018 • mise en évidence d'une nouvelle masse hépatique le 13.12.2018 • pose de drain biliaire percutané le 14.12.2018 (Dr. X) • Rocéphine et Métroidazole iv du 14.12.2018 au 17.12.2018 Douleurs nociceptives somatiques sur nodules métastatiques sous-cutanés Douleurs nociceptives viscérales dans un contexte d'une maladie tumorale finale Douleurs nociceptives viscérales et de la paroi péritonéale sur infiltration tumorale et iléus Douleurs oculaires. Douleurs oculaires et céphalées à droite• irradiation sur sinusite • conjonctivite infectieuse (mais peu typique d'avoir douleurs à l'occulomotricité) • corps étranger (test à la fluorescéine négatif) • cellulite pré-septale/septale (sans EF, sans véritable oedème/érythème paupière) • zona ophtalmique (âge peu typique) • nevrite optique (RAPD négatif) • cluster headache • migraine ophtalmique (non typique car auras généralement < 1h) Douleurs oeil droit Douleurs ostéo-articulaires et chute à domicile. Douleurs para-lombaires. Douleurs para-lombaires droite d'origine musculaire. Douleurs parasternales gauches atypiques d'origine musculo-squelettique probable. Douleurs para-vertébrale lombaire gauche le 09.02.2019 • sur probable métastase osseuse de carcinome neuro-endocrine à petites cellules découvert le 10.01.2019 Douleurs paravertébrales dorsales gauches sur massage cardiaque Douleurs pariétales d'origine indéterminée. Douleurs pariétales d'origine indéterminée le 09.02.2019. Douleurs pariétales d'origine mécanique de l'épaule gauche. Douleurs pariétales le 12.02.2019. Douleurs pariétales le 17.02.2019. Douleurs pariétales le 22.02.2019. DD: Syndrome de Tietze. Douleurs pariétales le 2.2.2019. Douleurs pariétales para-sternales gauche reproductibles à la palpation. Douleurs pariétales sur infection virale le plus probable le 09.02.2019. Douleurs parotidite. Douleurs persistantes après contusion costale gauche, le 23.01.2019 • DD: fissure ou fracture de côtes. Douleurs persistantes de la cheville droite. Douleurs persistantes de la cheville droite • dans le contexte d'entorse de stade II. Douleurs persistantes de la face antéro-latérale de la cheville gauche. Status post AMO de la malléole externe à gauche le 24.4.2017. Status post ostéosynthèse d'une fracture Weber B de la malléole externe le 24.6.2016. Douleurs persistantes de l'hallux G sur status post contusion le 23.11.2018. Douleurs persistantes et en augmentation depuis une semaine, localisées au niveau du pli de l'aine droite. Douleurs pied gauche. Douleurs poignet droit Douleurs poignet droit d'origine probablement articulaire chez un patient avec : • ostéosynthèse par deux plaques vissées du radius distal et par une vis du scaphoïde • pincement de l'espace radio carpien, les autres articulations sont préservées Douleurs post amygdalectomie Douleurs post-contusion. Douleurs postopératoires résiduelles épaule gauche sur status post réinsertion du sus-épineux et ténotomie et ténodèse du long chef du biceps de l'épaule gauche le 21.12.2017 (Dr. X). Douleurs post-traumatiques de la cheville gauche. Douleurs post-traumatiques de la cuisse gauche. Douleurs post-traumatiques en regard de la base de P2 de l'hallux G. Douleurs punctiformes sur la face latérale de la cuisse gauche à hauteur du grand trochanter sur : • Coxalgie gauche au niveau de la hanche sur une probable nécrose avasculaire de la tête fémorale (radiculopathie résiduelle L4 gauche) • Status post-foraminotomie L3-L4 bilatérale en 2006 • Status post-cure de hernie discale L3-L4 à droite en 2007 • Status post-tassement vertébral probablement en L4 à l'âge de 22 ans Douleurs récidivantes de l'hémicorps droit sans déficit nouveau d'origine X probablement neurologique. DD : psychosomatique. Douleurs réfractaires Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 17 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Douleurs résiduelles antéro-latérales de la cheville gauche, post-traumatique. DD : conflit tibio-astragalien antérieur sur fibrose capsulaire. Status post infiltration de la cheville gauche par le Dr. X le 1.10.2018. Douleurs résiduelles au niveau de la jambe gauche sur status post révision, exploration, rinçage et suture d'une plaie profonde jambe G avec section partielle du muscle tibialis antérieur le 03.04.2017. Douleurs résiduelles au niveau du LFTA à G plus qu'à D, sur status post lésion du Chopart ddc le 07.08.2018. Douleurs résiduelles neuropathiques L3 à gauche sur : • status post-herniectomie extra-foraminale L3-L4 G par abord de Wiltse et décompression de la racine L3 le 27.12.2018 pour radiculopathie hyperalgique et déficitaire L3 G sur hernie discale extra-foraminale L3-L4 G Douleurs rétrobulbaires gauches et céphalées hémi-crâne gauche. Douleurs rétro-malléolaires G d'origine inconnue DD tendons péroniers DD syndesmose postérieure sur status post entorse de la cheville G en mai 2018. Status post infiltration en regard des tendons péroniers G le 22.11.2018 pour des douleurs persistantes en regard des tendons péroniers à gauche. Status post résection de l'exostose le 17.11.2017 pour une lésion de Haglund de la partie dorso-latérale du calcanéum G. Douleurs rétrosternales d'origine indéterminée, le 02.02.2019 Diagnostic différentiel : dyspepsie. Douleurs rétro-sternales Douleurs rétro-sternales Douleurs rétro-sternales Douleurs rétro-sternales Douleurs rétro-sternales Douleurs rétro-sternales. Douleurs rétro-sternales. Douleurs rétrosternales Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales. Douleurs rétrosternales atypiques sur possible reflux gastro-oesophagien chez Mme. Y en surcharge pondérale. Douleurs thoraciques. Douleurs rétro-sternales dans le cadre d'une décompensation de troubles psychiatriques. Douleurs rétrosternales d'origine costo-chondrale 2012 • composante anxieuse. Epigastralgies et nausée dans le contexte d'un syndrome grippal 02/2015 Infection urinaire basse 02/2015 Brûlure accidentelle membre supérieur D le 28.04.2016 • trait de brûlure transversal d'environ 7 cm de long (0.5 cm de large) face antérieure avant-bras D (1er degré) • phlyctène env. 6x1cm, en partie percée, en regard de l'éminence ténar (2ème degré superficiel) Trouble oculaire d'origine périphérique le 01.10.2017 Douleurs rétrosternales d'origine indéterminée. Douleurs rétrosternales d'origine indéterminée. Douleurs rétro-sternales d'origine indéterminée (DD : sur reflux oesophagien, anxiogènes). Douleurs rétrosternales d'origine indéterminée (2015). DD : Angor instable, douleurs pariétales. Douleurs rétro-sternales d'origine probablement musculo-squelettique le 26.02.2019. Douleurs rétro-sternales et dyspnée. Douleurs rétrosternales et dyspnée. Douleurs rétrosternales et dyspnée. Douleurs rétrosternales et dyspnée.Douleurs rétrosternales le 15.02.2019, sur FA rapide probable • Depuis environ 10 jours, nocturnes Douleurs rétrosternales le 23.01.2019 (DD : épigastralgies sur prise de AINS, opiacés) Douleurs rétrosternales non angineuses. Douleurs rétrosternales. DD : sur pic hypertensif, musculosquelettique. Douleurs sacrales. Douleurs sacrales non déficitaires le 25.02.2019 Douleurs sacrées dans un contexte d'ostéoporose traité par médicament X Douleurs sous pansement pour une amputation distale du bord dorsal de la 3ème phalange de l'index gauche traitée et suivie par son médecin traitant depuis le 02.02.2019. Douleurs spondylogènes de bas de dos probablement d'origine musculaire DD Blocage de l'articulation sacro-iliaque gauche légère Douleurs sternales postprandiales d'origine probablement gastrique Douleurs suite à une chute sur le verglas. Douleurs sur coups reçus à la jambe gauche. Douleurs sur la face médiale de la cuisse gauche probablement liées à une contracture des adducteurs sur : • status post-cure de hernie discale L3-L4 G et microdiscectomie le 27.12.2018 pour une hernie discale L3-L4 G luxée vers le bas • status post implantation PTH G par voie latérale le 28.03.2018 sur status après débridement du bourrelet cotyloïdien avec diminution de la taille du mur antérieur et reconstruction de l'offset par luxation chirurgicale de la hanche avec ostéotomie trochanter-flip sur impingement antérieur de la hanche G le 23.10.2002 avec contracture du psoas et des adducteurs • asymétrie du bassin en défaveur de la gauche Douleurs sur status post contusion prétibiale jambe D le 30.06.2016. Douleurs sus-pubiennes probablement sur fibrome utérin. Douleurs talon Douleurs testiculaires d'origine inconnue DD traumatisme Douleurs testiculaires d'origine inconnue, DD virale DD trauma Douleurs testiculaires sur probable inflammation du nerf génito-fémoral, contrôle clinique Douleurs thoracique Douleurs thoracique avec dyspnée d'origine indéterminée le 28.02.2019. • DD : musculo-squelettique, syndrome de Tits. Douleurs thoracique DD NSTEMI Douleurs thoracique d'origine indéterminée le 03.02.2019 Douleurs thoracique d'origine indéterminée le 06.02.2019 : • TROP H0 4 ng/l, D-Dimères 352 ng/ml, CRP 6 mg/l. • DD : bronchite. Douleurs thoracique d'origine peu claire, possiblement d'origine cartilagineuse • Geneva-Score : 10 points. Douleurs thoracique d'origine probablement fonctionnelle. Douleurs thoracique d'origine probablement musculo-squelettique le 30.05.2016 Douleurs thoracique gauche probablement d'origine musculo-squelettique le 03.08.2017 Douleurs thoracique musculo-squelettique le 13.08.2018 et le 24.08.2018 Malaise vagal vs orthostatique avec PC Plaie superficielle occipitale D de 1.5 cm sur TC simple Douleurs thoracique probablement d'origine pariétale le 22.02.2019. Douleurs thoracique probablement d'origine pariétales le 22.01.2018. Douleur thoracique, le 10.03.2018. • DD musculo-pariétal. Douleurs thoracique probablement musculo-squelettique le 08.04.17. s/p Accouchement par voie basse en 2010 à Riaz (révision utérine à 1 semaine). s/p Accouchement par voie basse en 2014 au Daler. Interruption thérapeutique de grossesse pour hypoplasie du coeur droit et de l'artère pulmonaire à 22 4/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 5G2P de 39 ans. Otalgies persistantes post otite le 05.01.2019 : • En cours d'investigation par l'ORL. Douleurs thoracique probablement musculo-squelettique. Accouchement par voie basse en 2010 à Riaz (révision utérine à 1 semaine). Accouchement par voie basse en 2014 au Daler. Hémorragie du post partum à 1500cc sur rétention placentaire complète. Interruption thérapeutique de grossesse pour hypoplasie du coeur droit et de l'artère pulmonaire à 22 4/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 5G2P de 39 ans. Otalgies persistante post otite, 05.01.2019. Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques. Douleurs thoraciques à composante anxiogène suite à la consommation de cannabis. Douleurs thoraciques améliorées après antalgiques (DD douleurs épigastriques avec projection) Douleurs thoraciques aspécifiques, chroniques d'origine indéterminée • patient avec antécédents de précordialgies récidivantes en 2016 avec bilan d'angor réalisé à l'HFR Fribourg par ETT : VG non dilaté avec FEVG 60 %, absence de pathologies valvulaires, oreillettes non dilatées, absence d'épanchement péricardique DD : douleurs musculo-squelettiques, angor atypique Douleurs thoraciques aspécifiques le 09.02.2019, DD angor. Douleurs thoraciques atypiques, le 09.02.2019 • sans arguments pour un SCA, un pneumothorax ou une embolie pulmonaire. Douleurs thoraciques atypiques le 20.02.2019 DD douleurs pariétales, angoisse Douleurs thoraciques basi-thoraciques gauches probablement musculo-squelettiques le 07.02.2019. Douleurs thoraciques chroniques DD : péricardite d'étiologie indéterminée, musculo-squelettique, psycho-somatique Douleurs thoraciques dans le contexte de crises d'angoisse. Douleurs thoraciques dans un contexte de bronchite virale au décours. Douleurs thoraciques de probable origine musculo-squelettique. Douleurs thoraciques de probable origine pariétale. Douleurs thoraciques de probable origine psychogène sur anxiété le 28.02.2019. Douleurs thoraciques depuis 6 jours. Douleurs thoraciques d'origine gastrique le 03.02.2019. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. DD : angor stable, anxiété. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. DD : anxiété, pariétales. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. DD : musculo-squelettiques. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. DD : anxiété, hyperthyroïdie, musculo-squelettique, sur trouble du rythme cardiaque. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. DD : douleurs pariétales, DD : sur pic hypertensif. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. DD : hypertension. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée en septembre 2018. Douleurs thoraciques d'origine probablement musculo-squelettique le 17.10.2014. Ulcère gastrique antral en 1999 (OGD en 2014 : discrète gastrite, pas d'ulcère, ni d'hélicobacter pylori, oesophagite type I). Douleurs abdominales d'origine indéterminée. Poignet droit : arthrose radio-carpienne sur status post : • PRC en 2007 et styloïdectomie partielle en 2010. • Ostéosynthèse fracture scaphoïde en 1995. Poignet droit : arthrodèse poignet complet, prise de greffe au niveau du bassin (Aptus Wrist fusion plate) (OP le 11.12.2017). Céphalées en casque sur hypertension artérielle. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 02.02.2019. DD musculo-squelettique. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 07.02.2019. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 11.10.2018. Thrombose de la veine fémorale commune et superficielle droite au point de ponction de la coronarographie 2006. Cure hernie inguinale dans l'enfance. Appendicectomie. Cholécystectomie. Tendinoplastie pour talalgie 2x. Trouble sensitivo-moteur des membres supérieurs sur possible décompensation peropératoire d'un canal cervical étroit le 14.12.2015. • IRM cervicale à Cimed en 2008. Hernie interne sur bride unique au niveau de l'anastomose pied de l'anse avec laparoscopie exploratrice, résection bride et révision grêle en urgence le 26.01.2018. Status post-bypass gastrique en 2015. Douleur thoracique probablement d'origine pariétale le 03.05.2018. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 14.02.2019. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 20.02.2019. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée, le 20.02.2019, diagnostic différentiel : gastrite. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 25.02.2019. DD : pariétales, composante anxieuse. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 25.06.2018. DD : pariétal. ECG : bloc de branche G. Echocardiographie ETT du 25.06.2018 : FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule G. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 27.02.2019. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 30.01.2019. DD crise d'angoisse. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée, probable origine pariétale. DD : pic hypertensif. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. DD : d'origine musculo-squelettique, sur anxiété. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. DD : crise d'angoisse suspectée. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. DD état anxieux. Douleurs thoraciques d'origine médicamenteuse sur prise d'hormone thyroïdienne le 10.02.2019. Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique. Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique. Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique. Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique après port de charges lourdes le 17.07.2016. Douleurs thoraciques d'origine musculosquelettique, disparaissant immédiatement sous antalgie. Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique le 10.02.2019. Douleurs thoraciques d'origine neuropathique sur irritation d'un nerf costal avec : • douleurs sous-mammaires en arc à gauche. Douleurs thoraciques d'origine pariétale. Douleurs thoraciques d'origine pariétale. Douleurs thoraciques d'origine pariétale. Douleurs thoraciques d'origine pariétale. Douleurs thoraciques d'origine pariétale. Douleurs thoraciques d'origine pariétale. Douleurs thoraciques d'origine pariétale. Douleurs thoraciques d'origine pariétale dans le contexte de probable état anxio-dépressif le 23.05.2018. Troubles anxio-dépressifs avec crises d'angoisse le 27.05.2018. Troubles anxio-dépressifs avec troubles somatoformes probables et péjoration de l'anxiété le 18.07.2018. Douleurs hémithorax gauche d'origine musculo-squelettique le 18.07.2018. Douleurs clairement reproductibles à la palpation para-dorsale gauche et des trapèzes. Douleurs thoraciques d'origine pariétale dans le contexte de probable état anxio-dépressif le 23.05.2018. Troubles anxio-dépressifs avec crises d'angoisse le 27.05.2018. Troubles anxio-dépressifs avec troubles somatoformes probable et péjoration de l'anxiété le 18.07.2018. Douleurs hémithorax gauche d'origine musculo-squelettique le 18.07.2018. Douleurs clairement reproductibles à la palpation para-dorsale gauche et des trapèzes. Douleurs thoraciques d'origine pariétale, le 25.02.2019. Douleurs thoraciques d'origine pariétale. Appendicectomie. Hystérectomie. Douleurs thoraciques d'origine pariétales. DD : crises d'angoisse. Douleurs thoraciques d'origine pariétales le 08.11.2012. Appendicectomie en 2009. Césarienne. Douleurs thoraciques probablement dans un contexte de virose le 21.01.2019. Conjonctivite bactérienne le 21.01.2019. Douleurs thoraciques d'origine pariétale. Syndrome de tunnel tarsien du pied droit. Status post-ORIF (2x vis spongieuses à filetage partiel 4.0) le 30.03.2016 sur fracture isolée de la malléole interne de la cheville droite. Cure de tunnel tarsien pied D (OP le 07.03.2017). Gastrite. DD : gastro-entérite virale. Hypokaliémie à 3.3 mmol/l. Douleurs thoraciques d'origine peu claire le 12.02.2019. DD : musculaires. Douleurs thoraciques d'origine probablement musculaire le 31.01.2019. Douleurs thoraciques d'origine probablement musculo-squelettique. Diagnostic différentiel : angoisse. Douleurs thoraciques d'origine probablement pariétale le 01.02.2019. DD épigastralgies irradiantes. Douleurs thoraciques d'origine X. DD : épigastralgies sur intolérance à la codéine le 22.02.2019. Douleurs thoraciques droite. Douleurs thoraciques droites. Douleurs thoraciques droites d'origine pariétale. Douleurs thoraciques droites d'origine probablement pariétale sur contracture musculaire le 27.02.2019. Douleurs thoraciques droites probablement musculo-squelettiques. Douleurs thoraciques et abdominales rapportées par la patiente d'origine indéterminée. Douleurs thoraciques et dorsales d'origine musculo-squelettique. Douleurs thoraciques et dyspnée. Douleurs thoraciques et paresthésies du membre supérieur gauche. Douleurs thoraciques gauche chronique. Douleurs thoraciques gauches et lombaires. Douleurs thoraciques investiguées en 2009 par test d'effort et US sp. Douleurs thoraciques sur prise de cocaïne le 10.11.2013. Trauma par vache avec lésion de Lis Franc. Douleurs thoraciques le 06.02.2019. DD : musculo-squelettique, péricardite. Douleurs thoraciques le 28.02.2014. Douleurs thoraciques musculo-squelettiques. Douleurs thoraciques non angineuses. Douleurs thoraciques pariétales. Douleurs thoraciques pariétales dans un contexte de toux sur virose. Douleurs thoraciques pariétales. DD : psychogènes. Douleurs thoraciques pariétales et du rachis thoracique sur accès de toux. Douleurs thoraciques pariétales le 15.12.2018 (0/3 critères de Forrester). Douleurs thoraciques persistantes d'allure pariétale le 17.05.2014. Douleur rétro-sternale probablement d'origine pariétale droite le 13 et le 17.10.2013. Colonoscopie avec ablation d'un polype. Opération d'un pectus incavatus à l'âge de 15 ans.Appendicectomie à l'âge de 11 ans Céphalées le 07.09.2016 • patient anticoagulé Récidive de fibrillation auriculaire (FA) à réponse ventriculaire rapide le 26.01.2017 • FA paroxystique depuis 2007 • s/p thermoablation en 11/2014 avec une récidive en 01/2016, cardioversée médicamenteusement Bronchite asthmatiforme dans un contexte de IVRS le 17.12.2017 Fibrillation paroxystique symptomatique le 06.07.2018 Fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide le 20.09.2018 • Patient très symptomatique sur passage en FA rapide avec vertiges/douleurs thoraciques. Laboratoire Troponine : 8 ng/l D-dimère <190 ECG Hydratation Titration morphine 5 mg en bolus IV Beloc zok 5 mg IV aux urgences, beloc zok 100 mg cpr per os aux urgences Attitude : • RAD avec Metoprolol 200 mg • Cordarone 200 mg 3 x j pour 10 jours (charge additionnelle) • antalgie par Tramadol • suite de prise en charge en cardiologie pour discussion de 3 thermo-ablations. • dosage TSH à pister. Prurit probablement sur gale DD eczéma, allergie médicamenteuse sur amiodarone Douleurs thoraciques persistantes d'allure pariétale le 17.05.2014. Douleur rétro-sternale probablement d'origine pariétale droite le 13 et le 17.10.2013. Colonoscopie avec ablation d'un polype. Opération d'un pectus incavatus à l'âge de 15 ans. Céphalées le 07.09.2016 • patient anticoagulé Récidive de fibrillation auriculaire (FA) à réponse ventriculaire rapide le 26.01.2017 • FA paroxystique depuis 2007 • s/p thermoablation en 11/2014 avec une récidive en 01/2016, cardioversée médicamenteusement Bronchite asthmatiforme dans un contexte de IVRS le 17.12.2017. Fibrillation paroxystique symptomatique le 06.07.2018. Fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide le 20.09.2018. Prurit probablement sur gale. Douleurs thoraciques post-chute mécanique de sa hauteur. Douleurs thoraciques postopératoires Douleurs thoraciques probablement dans le contexte d'une angoisse en 10/12. Appendicectomie. Hystérectomie et ovariectomie. Entorse cheville droite stade II le 10.05.2016. Status post opération d'épicondylites bilatérales. Status post opération du tunnel carpien bilatéral. Douleurs musculaires para-vértébrales et sous-omoplate droite en 2016. Douleurs thoraciques probablement d'origine musculo-squelettique. Douleurs thoraciques probablement d'origine musculo-squelettique. Douleurs thoraciques probablement d'origine musculo-squelettique. Douleurs thoraciques probablement d'origine musculo-squelettiques. Douleurs thoraciques, probablement d'origine pariétale le 23.02.2019. Douleurs thoraciques probablement musculaires, pneumonie peu probable Douleurs thoraciques probablement musculo-squelettique le 08.02.2019. Douleurs thoraciques probablement musculo-squelettiques le 08.04.2017. Otalgies persistantes post-otite le 05.01.2019 (en cours d'investigation par l'ORL). Douleurs thoraciques probablement psychosomatiques. (DD : musculo-squelettique) Douleurs thoraciques probablement sur un effort de toux le 23.02.2018. Hématome spontané du genou droit d'origine indéterminée le 15.03.2018. Douleurs thoraciques respiro-dépendantes. Douleurs thoraciques sur un pic hypertensif le 19.02.2019 Douleurs thoraciques DD : musculo-squelettique, péricardite. Douleurs thoraciques: DD : angor sur un pic hypertensif, douleurs musculosquelettiques. Douleurs traumatiques du 3ème doigt de la main gauche. Douleurs de type brûlure cuisse antérieure droite d'origine indéterminée le 09.02.2019. Douleurs ulnaire du poignet sur variante ulna minus marquée Douleurs urétérales. Douleurs vertébrales diffuses mixtes, nociceptives et neurogènes sur métastases osseuses dans le contexte du carcinome prostatique en progression Douleurs 4ème métacarpien main droite. DPC suivie par Dr. X, pas d'ATB prophylaxie. Prochain contrôle la semaine prochaine. Dr. X Dr. X : Mme. Y sera reconvoquée le 05.02 pour prise en charge chirurgicale à Tavel. Dr. X. Dr. X : Mme. Y présente une douleur abdominale, sans signe de gravité clinique ni biologique, parlant en faveur d'une gastrite. Nous proposons un traitement symptomatique avec consignes de surveillance et réévaluation clinique le 21.02.2019. Drain thoracique droit du 03.02.2019 au 06.02.2019 US pleural le 12.02.2019 avant ablation du drain Drain thoracique droit 07.02.2019 au 12.02.2019 Drain thoracique du 30.01.2019 au 02.02.2019 Drain thoracique gauche du 01 au 05.02.2019. CT thoracique. Rendez-vous à la consultation de chirurgie thoracique à l'HFR Fribourg le 08.02.2019 à 08h30. Drainage d'un abcès para-rectal hémicirconférentiel entre 6h et 12h PG Drainage au bloc opératoire et marsupialisation. Biopsie de la capsule du kyste. Frottis bactériologique et chlamydia. Mèche betadinée en place. Drainage avec petite incision et rinçage avec NaCl. Pas de corps étranger visualisé. Peu de pus. Désinfection, Fucidine, Adaptic, bandage. Sous Meopa Drainage du corps caverneux droit par venflon 14G puis installation de solution adrénalinée 1/100000 Drainage du corps caverneux gauche par venflon 22G Avis Dr. X : sonde vésicale, Drainage d'un abcès paranasal gauche il y a 1 mois. Fracture du poignet droit il y a plusieurs années. Bronchite d'origine probablement virale 2017. Drainage et pose de cathéter pleural droite le 25.02.19 Drainage et pose de cathéter pleural gauche le 25.02.19 Drainage lymphatique manuel Discuter bas de contention Drainage pleux 1x/j Drainage sous anesthésie locale. Frottis bactérien : Strepto mitis, Strepto constellatus, Prevotella denticola. Co-Amoxicilline 2,2 g IV dose unique, puis relais per os Co-Amoxicilline 1 g 3x/j pendant 10 jours Extraction dentaire prévue à l'HFR le 13.02.2019. Drainages lymphatiques et physiothérapie Drainages plusieurs fois par jour de la gastrostomie Ablation de la sonde jéjunale le 30.01.2019 vue iléus non réversible après cinq jours Thérapies : Halopéridol et Pantoprazol Draps de contention. Drépanocytose hétérozygote (mutation c.20A>T hétérozygote, Labo Aarau) Diminution d'activité G6PD sur hétérozygotie d'une anomalie (Labo Aarau) Drépanocytose homozygote (Hb S/S), avec : • status après multiples crises de séquestration splénique depuis l'âge de 5 mois jusqu'en 2000 • status après craniotomie pour ostéite frontale compliquée par un abcès épidural à Salmonella en 1996 • status après multiples hospitalisations pour crises vaso-occlusives (le plus souvent déclenchées par des infections) : • 2 fois en 2018 (12.02. et 14.05) • 1 fois en 2016 • 1 fois en 2014 (30.04.2014) • 1 fois en 2013 (19.09) • 2 fois en 2012 (28.02 et 28.11) • 3 fois en 2011 (19.01, 21.02 et 09.11) • 6 fois en 2010 (14.01, 31.03, 21.07, 29.07, 14.10 et 04.11) • status après syndromes thoraciques aigus (« acute chest syndromes ») les 26.10.2009, 19.09.2013 et 28.02.2015. • nécrose aseptique de la tête fémorale gauche de stade IIIb selon Ficat le 30.04.2014, traitée conservativement. • asplénie fonctionnelle post-autosplénectomie (rate plus visible radiologiquement depuis 2007). • absence de rétinopathie drépanocytaire (évaluation ophtalmologique du 04.06.2013). • absence de lésions ischémiques cérébrales (IRM du 07.07.2009), avec vitesse des artères cérébrales dans les limites de la norme au Doppler transcrânien du 07.07.2009. • discrète hypertrophie concentrique du ventricule gauche, FEVG 70%, PAP non mesurable. (échocardiographie du 02.05.2014). • absence de trouble ventilatoire obstructif ou restrictif (fonctions pulmonaires du 14.02.2014). • traitements : • multiples transfusions sanguines jusqu'à l'âge de 18 mois. • supplémentation en acide folique 5 mg/j (au minimum 10 j/mois). • hydroxyurée (Litalir®) depuis février 2001. • situation actuelle : HbF à 5.6% sous Litalir 1.5 g (=16 mg/kg)/jour le 16.04.2014. • immuno-hématologie : • phénotype érythrocytaire : A RhD+, C-c+, E-e+, K-, Fya-, Fyb-, Jka+, Jkb+ S-s+, M+, N+ • RAI : présence d'un allo-anticorps anti-E (03.05.2014) Retard intellectuel sévère. Epilepsie (crises toniques) actuellement traitée par Keppra 500 mg 2x/jour Drépanocytose SS, diagnostiquée en mai 2016. Statut thalassémie non connu, pas de déficit en G6PD. Hb de base 75-80g/L, réticulocytes 400G/L, Hb F 24% mai 2016. Groupe sanguin A+. Drépanocytose SS Drépanocytose, suivi par Dr. X Dresse Vella : entretien motivationnel concernant la consommation d'alcool. Invitation à reconsulter CCA. Patient averti qu'au vu de son taux d'alcoolémie, il ne devrait pas conduire dans les prochaines 12h. Arrêt de travail. Contrôle clinique à 1 semaine chez le MT DRS et dyspnée Du point de vue du rachis l'évolution est tout à fait favorable. L'imagerie montre des disques en très bon état et aucune compression médulaire. Nous ne proposons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si nécessaire. Au niveau de ses douleurs rachidiennes diffuses et dans les jambes, ces dernières ne parlent pas en faveur d'un franc diagnostic spinal. Mme. Y rapporte avoir rdv chez sa rhumatologue le mois prochain pour le suivi de sa polyarthrite rhumatoïde et fibromyalgie. Nous pensons en effet que le nouveau traitement et l'adaptation des anti-douleurs en parallèle pourraient améliorer son mal. Au niveau socio-professionnel, la patiente rapporte être en fin de droit à la fin février et qu'une demande AI est en cours avec un ancien refus et un recours. Nous encourageons la patiente à récupérer tous les dossiers et à clarifier sa situation d'incapacité étant donné que la situation semble en attente et floue pour elle. Du point de vue du rachis, nous ne posons aucune indication à une quelconque incapacité de travail. Prescription de séances de physiothérapie celles-ci ayant un bénéfice partiel sur sa symptomatologie et prescription d'AINS et patchs chauffants également. Du point de vue du rachis, nous ne voyons pas d'anomalie objectivable à l'IRM. Nous ne proposons donc pas de suivi mais prescrivons des séances de physiothérapie d'hygiène posturale et renforcement des érecteurs du rachis pour améliorer sa statique et éventuellement diminuer ses douleurs. Au vu de la caractéristique des symptômes, une maladie inflammatoire rhumatismale n'est pas exclue. Nous prions donc Dr. X de bien vouloir convoquer la patiente pour un bilan. Au niveau socio-professionnel, la patiente rapporte être en reconversion professionnelle néanmoins rapporte aimer son travail mais ne plus supporter porter de lourdes charges notamment les patients âgés dans son ancien lieu de travail. Au vu de tout ce contexte socio-professionnel compliqué, de l'état d'épuisement de la patiente, nous suspectons que la symptomatologie lombaire de cette patiente soit le reflet de cette situation difficile, ceci sans nier la présence de ses symptômes. Nous encourageons donc la patiente à poursuivre son suivi psychiatrique qu'elle a déjà. Par ailleurs, au niveau socio-professionnel, nous l'encourageons à rester pro-active pour trouver une activité d'aide-soignante qu'elle adore mais dans un autre service même pour une période transitoire, sans port de personnes fortement invalidées. Du point de vue ORL, il n'y a pas de suivi indiqué. Au niveau de l'odontoïde, nous proposons un contrôle radio-clinique dans 2 mois. Dans l'intervalle, nous encourageons le patient à mobiliser de lui-même sa nuque dans tous les plans, ce pourquoi il se dit encore limité. Poursuite de la physiothérapie pour antalgie et massages doux. Manipulations contre-indiquées. Sur le plan socio-professionnel, poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 01.04.2019 puis reprise à 50% jusqu'à la mi-mai. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. Du point de vue thérapeutique, je propose une infiltration sous-acromiale. Je n'ai pas de mesure chirurgicale à proposer pour cette lésion intra-tendineuse du sus-épineux. Je préconise donc plutôt un traitement fonctionnel. Par contre, la patiente a des soucis au niveau professionnel. Mme. Y bénéficie d'une incapacité de travail en tant que caissière et, à mi ou long terme éventuellement une reconversion professionnelle. La patiente va discuter avec son employeur si un poste de travail adapté serait possible. Sinon, il faudra discuter d'une reconversion professionnelle avec l'AI. J'ai programmé une infiltration le 22.02.2019. Je reverrai la patiente à trois semaines de celle-ci. D'un point de vue orthopédique, l'évolution est favorable pour cette lésion sévère par écrasement de l'avant-bras. Mr. Y a un bras qu'il peut utiliser mais présente des douleurs neuropathiques. Aussi, je souhaiterais qu'il soit revu en consultation d'antalgie chez Dr. X pour voir si on peut faire plus d'un point de vue antalgique. Je souhaiterais également que Dr. X revoie Mr. Y pour discuter de la nécessité de l'anticoagulation. Le patient a toujours un suivi psychologique. Je prévois de le revoir à distance. Je lui prescris de la physiothérapie pour renforcement musculaire et de l'ergothérapie. D'un point de vue chirurgical, au vu de l'amélioration presque complète des symptômes, de l'absence de douleur mécanique ainsi que l'absence de limitation de marche, nous ne posons pas d'indication ni pour une intervention chirurgicale ni pour un prochain contrôle à notre consultation. Pour les symptômes dont le patient se plaint, nous instaurons un traitement de Neurontin pour 30 jours et nous prions nos collègues de la neurologie de juger des résultats et d'éventuellement adapter le traitement. En ce qui concerne la physiothérapie, nous n'y voyons aucune contre-indication mais laissons le soin au médecin traitant de réaliser l'ordonnance à cet effet puisque le patient ne présente pas d'indication à ce traitement. D'un point de vue de la zone fracturaire, l'évolution est insatisfaisante cliniquement. Il persiste maintenant une tendinopathie des péroniers, probablement consécutive à la reprise de la déambulation après une immobilisation plâtrée. Dans ce contexte, prescription de physiothérapie antalgique et d'un renforcement isométrique. Prescription d'anti-inflammatoire per os pour une durée fixe d'une semaine avec protection gastrique puis ensuite selon réserve. Nous la reverrons dans 6 semaines. D'un point de vue de l'épaule, nous poursuivons les séances de physiothérapie par le protocole San Antonio, idem au niveau du coude où il s'agira de travailler sur une détente musculaire au niveau des fléchisseurs du carpe. Au niveau du poignet, elle n'a pas une clinique typique d'un syndrome du tunnel carpien cependant nous avons un ENMG qui va dans ce sens. Nous allons donc essayer un traitement conservateur initial avec une attelle de positionnement nocturne. Nous la reverrons pour refaire le point en mars 2019.D'un point de vue des métatarsalgies, la situation évolue très favorablement avec des douleurs qui ont quasiment totalement disparu. Au niveau de l'orteil en griffe, nous expliquons qu'une chirurgie est éventuellement possible pour cet orteil en griffe si la situation devait la gêner particulièrement. Pas de prochain contrôle prévu, elle reprendra contact au besoin. D'un point de vue orthopédique, nous le reverrons pour un contrôle radioclinique dans 3 mois. Nous souhaiterions également que le service d'antalgie convoque Mr. Y pour une prise en charge adéquate des douleurs. D'un point de vue radiologique, l'évolution est satisfaisante. D'un point de vue clinique, il persiste une diminution des amplitudes articulaires. Mr. Y refuse de refaire des séances de physiothérapie. Dans ce contexte, vu qu'il n'y a pas de plan de traitement net et que Mr. Y a des stratégies compensatoires, pas de prescription de nouvelle séance de physiothérapie. Nous le reverrons à 1 an postopératoire pour un bilan radio-clinique final. D'un point de vue symptomatique, l'évolution est tout à fait satisfaisante. D'un point de vue radiologique, la situation est stable. Nous reverrons Mr. Y pour un nouveau bilan radio-clinique à 1 an postopératoire. Dans l'intervalle, nous proposons de faire un sevrage progressif des cannes. Duodéno-pancréatectomie céphalique selon Whipple prévue le 05.02.2019, annulée en raison d'instabilité hémodynamique lors de l'induction. Duphalac Surveillance clinique et biologique Fréquence des selles visée 2-3x Consultation ambulatoire nutritionniste Duphalac 2x/j Konakion 10 mg/j du 15.01.19 au 23.01.19 Suivi spécialisé aux HUG à prévoir à la sortie (déjà suivi en 2016 en gastro-entérologie au HUG) Durant la surveillance d'une heure, le rash augmente et touche également les avant-bras. Elle reste en bon état général. Durant le séjour, Mme. Y présente un épisode de crampes épigastriques et de bouffées de chaleur, de résolution spontanée, possiblement sur l'administration de morphine. Elle présente également une difficulté à la miction suite à l'administration de morphine, en raison de quoi nous effectuons un sondage aller-retour dans le but d'effectuer les analyses urinaires. Elle reprend une miction normale par la suite. Durant l'hospitalisation et dans le cadre d'une possible atteinte vasculitique, nous réalisons un bilan d'organe qui ne met pas en évidence d'atteinte ophtalmologique, hépatique, ni rénale. Le bilan étiologique met en évidence des ANCA anti-MPO dans le cadre de la suspicion de vasculite à ANCA. Afin de préciser le diagnostic, nous réalisons une biopsie de muqueuse nasale qui se révèle négative; à noter toutefois que Mr. Y étant sous corticothérapie depuis août, ceci ne peut pas être utilisé comme contre-argument pour une vasculite. Au vu de la forte suspicion de diagnostic, nous effectuons une première dose de Rituximab (Mabthera) le 27.02.2019; une prochaine dose est prévue pour 14 jours plus tard et une demande de prise en charge à l'assurance est en cours. Dans l'attente de la pleine efficacité du rituximab, nous majorons le traitement de Prednisone et effectuerons une diminution progressive en ambulatoire; Mr. Y sera suivi par le Dr. X en ambulatoire de rhumatologie. Les plaintes actuelles étant principalement une toux persistante avec expectoration purulente et un écoulement nasal postérieur; nous réalisons un CT pulmonaire qui montre des lésions aux bases pulmonaires compatibles avec une origine infectieuse, sans pouvoir exclure une cause inflammatoire. Une culture d'expectoration met en évidence une infection à Haemophilus influenzae que nous traitons par co-amoxicilline avec une amélioration de la toux. A noter qu'une vasculite peut typiquement être péjorée par un contexte infectieux. Mr. Y rentre à domicile le 28.02.2019. Durant son séjour aux urgences, Mme. Y présente des valeurs de tension basses, avec des tensions artérielles moyennes fluctuantes entre 50 et 70 maximum. Mme. Y ne présente aucun symptôme d'hypotension. Au vu de la bonne évolution clinique du point de vue des douleurs et de l'absence de symptôme orthostatique sur l'hypotension, nous proposons à Mme. Y de rentrer à domicile avec un accompagnement pour les prochaines 24h. Une consultation chez le médecin traitant est à prévoir dans les 24h avec un contrôle tensionnel. Mme. Y doit reconsulter aux urgences en cas de malaise, de vertiges ou de nouvelle symptomatologie. Dysarthrie Dysarthrie nouvelle. Dysbalance entre la force de l'extenseur hallucis longus et des fléchisseurs hallucis ddc. Dysélectrolémie sévère sur diarrhées : • Hypokaliémie 1.8 mmol/L le 08.02.2019 • Hypophosphatémie à 0.18 mmol/L le 11.02.2019 • Hypomagnésémie 0.45 mmol/L le 11.02.2019 • Hypocalcémie ionisée à 0.93 mmol/L le 11.02.2019 Dysélectrolyémie sévère • Hyperkaliémie 7.1mmol/l • Hypophosphatémie • Hypomagnésémie Dysélectrolytémie • Hyperkaliémie sans répercussion à l'ECG dans le contexte de l'insuffisance rénale • Hyponatrémie légère • Hypomagnésémie, hypophosphatémie Dysélectrolytémie d'origine rénale • Na: 136 mmol/l • K: 3.2 mmol/l Dysélectrolytémie le 15.01.2019 avec : • hypophosphatémie 0.34 mmol/L • hypomagnésiémie 0.52 mmol/L • hypokaliémie à 3.3 mmol/L Dysélectrolytémie le 15.02.2019 • hyponatrémie à 131 mmol/l • hypokaliémie à 3.2 mmol/l Dysélectrolytémie le 16.02.2019 avec : • hypophosphatémie à 0.49 mmol/l, DD malabsorption, manque de vitamine D • hypomagnésémie à 0.64 mmol/l Dysélectrolytémie le 16.02.2019 avec : • hypophosphatémie à 0.49 mmol/l (DD malabsorption, manque de vitamine D) • hypomagnésémie à 0.64 mmol/l • hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 19.02.2019 Dysélectrolytémie le 18.02.2019 avec : • hypomagnésiémie • hypophosphatémie • hypokaliémie Dysélectrolytémie le 30.01.2019 avec : • Hypokaliémie à 3.4 mmol/l • Hypophosphatémie à 0.51 mmol/l Dysélectrolytémies • hyponatriémie et hypokaliémie légères probablement sur traitement diurétique • hypomagnésiémie 0.66 mmol/l le 28.01.2019 Dysesthésie du bord médial de la face dorsale du 4ème orteil du pied D, DD névrome de présentation atypique. Status post infiltration intermétatarsienne 3-4 pied D le 06.02.2019. Status post résection d'un névrome inter-métatarsien I3-4 pied G le 22.08.2017. Dysesthésie faciale gauche temporaire • résolution clinique complète spontanée DD sur produit de contraste Dysesthésie membres inférieurs Dysfonction sinusale symptomatique et vertiges avec : • implantation d'un pacemaker bicaméral de type St. Jude Assurity MRI le 16.06.2017 (Dr. X) • HTA traitée • Dyslipidémie traitée • Lombosciatalgies non déficitaires Dysfonction sinusale symptomatique et vertiges avec : • implantation d'un pacemaker bicaméral de type St. Jude Assurity MRI le 16.06.2017 (Dr. X)HTA traitée Dyslipidémie traitée Lombosciatalgies non déficitaires. Dysfonction tubaire. Dysfonction ventriculaire gauche sévère avec akinésie apicale • FEVG 25% le 19.01.2019 • Thrombus sessile, de petite taille le 23.01.2019 Dysfonction ventriculaire gauche sévère d'origine hypertrophique avec: • ETT 25.06.18: FEVG 25%, absence de sténose des artères rénales, sclérose coronarienne • bloc de branche G complet Dyskinésie de la mâchoire. Dyslipidémie • Statinunverträglichkeit (Rovustatin, Simvastatin 40 mg, Ézétimibe im 2018, Repatha im 2018, Roter Reis-Hefe im 2019) • actuellement aucune thérapie Asymptomatique ca. 70%-ige sténose de l'artère carotide interne droite • St.n. Carotisendarterektomie droite bei asymptomatischer sténose 01/15 • 09/2016: Duplex-Sonographisch plutôt régredienter stenosegrad en comparaison à 03/2016 • Risikofaktoren: nicotine, hypertension artérielle, dyslipidémie PAVK des membres inférieurs au stade I Duplexsonographisch insuffisante Leit- und Stammveines beidseits 4/15 Diskopathie L5/S1 (Rx 2/19) Linkskonvexe scoliose zentriert auf D12 (Crobb-Winkel von 17°) Dyslipidémie Dyslipidémie Dyslipidémie Dyslipidémie. Dyslipidémie. Dyslipidémie • LDL 3.96 mmol/l • Tg 3.2 mmol/l • Cholestérol 5.8 mmol/l Dyslipidémie à LDL • LDL-Cholestérol 1.22 mmol/l 11.10.2018 Dyslipidémie avec : • LDL à 4.07 mmol/l, HDL à 0.83 mmol/l, triglycérides à 1.74 mmol/l et cholestérol total à 5.83 mmol/l. Dyslipidémie mixte le 04.02.18 Dyslipidémie mixte le 13.02.2019 Dyslipidémie mixte le 14.08.2018. Cardiopathie hypertrophique d'origine indéterminée (non bilanée) de découverte fortuite le 14.08.2018. Épilepsie diagnostiquée en 2013. Diabète de type II. Maladie de Parkinson. Consommation d'alcool à risque. Suspicion de SAOS. Probable polyneuropathie périphérique d'origine diabétique. Dyslipidémie • Sous atorvastatine Hypertension artérielle • Sous doxazosine Tabac actif à 60 UPA • Pas de syndrome obstructif (27.02.2019) Dyslipidémie traitée. Goutte. Hernie discale L2-L3. Dyslipidémie traitée HTA traitée Lymphoedèmes chroniques des MI Dyslipidémie traitée HTA traitée Lymphoedèmes chroniques des MI Dyslipidémie traitée. HTA traitée. Lymphoedèmes chroniques des MI. Dyslipidémie traitée Hypertension artérielle Goutte traitée Dyslipidémie traitée Oedème de Reincke bilatéral • Micro-laryngoscopie en suspension avec cordectomie type I droite, le 31.08.2016 (Dr. X) Oedème fluctuant du MSG le 10.11.2016 sans EP au CT d'origine X Tabagisme actif 50 UPA Maladie coronarienne bitronculaire: IVA 30%, IVA moyenne 50%, Cx à 50% FEVG 55% (2016) Hypercholestérolémie et hypertriglycéridémie Cardiopathie hypertensive avec 25.04.2016: VG non dilaté + hypokinésie globale minime. FEVG à 55 %. Hypertrophie excentrique. Insuffisance aortique modérée (grade 2/4), d'origine dégénérative. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Fonction diastolique normale. OG non dilatée. OD normale. VD normal. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Reins polykystiques Cécité œil droit d'origine X avec anisocorie 2009 Dyslipidémie traitée Scoliose Diverticulose opérée Hernie inguinale gauche opérée Fracture bassin et poignets avec opération en 1980 Dyslipidémie traitée. Tabagisme. Dyslipidémie traitée. Tabagisme. Dyslipidémie traitée. Tabagisme ancien à 30 UPA. Polyarthrite rhumatoïde sous cortisone 5 mg 1x chaque 2 jours. Bronchiectasies depuis l'enfance. Dyslipidémie Diabète type 2 HTA Dyslipidémie Insuffisance rénale chronique stade G3a • eGFR selon CDK Epi le 09.02.2019 58 ml/min, créatinine 88 mcmol/l Hypothyroïdie, non substituée Démence Dyslipidémie Lombalgies chroniques avec périarthrite de hanche gauche d'accompagnement avec troubles dégénératifs lombaires pluri-étagés Troubles de l'adaptation avec prédominance de la perturbation d'autres émotions Dyslipidémie Schizophrénie de type paranoïde Status post-décompensation cardiaque gauche précédant le remplacement valvulaire (2005) Status post-dermo-hypodermite du pied droit en 2006 Anémie hémolytique sur valve prothétique mitrale Distorsion architecturale du sein probablement bénigne Lombalgies non-déficitaires chroniques Hypotension orthostatique. dysménorrhée Dysménorrhée le 27.02.2019. dysménorrhée sous probable adénomyose et probable SOPK. Dysmorphophobie depuis l'âge de 15 ans. Crise dépressive récurrente sansidéation suicidaire claire le 19.09.2016. Dyspepsie • DD: reflux gastro-oesophagien, gastrite Dyspepsie le 02.02.2019 DD: douleurs thoraciques pariétales, péricardite. Dysphagie Dysphagie. Dysphagie. Dysphagie. Dysphagie aux solides d'origine indéterminée Dysphagie aux solides • doute sur antrite / ulcère au niveau antral au scanner thoraco-abdomen du 15.02 (transmission orale) Dysphagie avec malnutrition protéino-énergétique modérée • Hypoalbuminémie • Hypokaliémie, hypocalcémie, hypomagnésiémie Dysphagie avec malnutrition protéino-énergétique modérée • hypoalbuminémie • hypokaliémie, hypocalcémie, hypomagnésiémie Dysphagie avec malnutrition protéino-énergétique modérée • hypoalbuminémie • hypokaliémie, hypocalcémie, hypomagnésiémie Dysphagie basse aux liquides et solides 02.2019 et nausées Dysphagie dans un contexte de Maladie de Huntington en aggravation avec : • soins impossibles à domicile en raison de l'épuisement de l'entourage. Dysphagie d'origine indéterminée avec vomissement à répétition, blocage des aliments volumineux et 1 épisode d'hématémèse en pré-hospitalier. • CT thoracique et transit oesophagien du 10.7.18: trouble des ondes tertiaires de l'oesophage, stéatose hépatique, pas d'obstacle au niveau pharyng-oesophagien, possible microlithiase vésiculaire sans signe de cholécystite. Dysphagie d'origine indéterminée • diagnostic différentiel: angio-oedème, réaction allergique. Dysphagie et inconfort abdominal dans le cadre d'un cycle de chimiothérapie pour un cancer mammaire gauche avec: • status post-mastectomie droite sur cancer mammaire droit en 2018. Dysphagie et nausées dans un contexte de chimiothérapie. Dysphagie importante post-opératoire Dysphagie légère à modérée de la phase orale (mastication ralentie) et de la phase pharyngée (fausse-route secondaire), DD dans le cadre de la maladie de Pick Dysphagie modérée, dans le cadre du diagnostic principal • de la phase orale et pharyngée • Nutrition par sonde naso-gastrique, remplacée suite à la pose d'une GPR (gastrostomie percutanée radiologique) à l'HFR Fribourg le 08.11.2018 • Nouvelle pose de sonde GPR à l'HFR-Fribourg le 21.12.2018 Dysphagie modérée prédominant aux liquides • objectivée à Lindenhof Berne Dysphagie sur multiples récidives d'un anneau de Schatzki (dilaté en 2002 et 2005 et février 2013) Sigmoïdectomie et polypectomie pour adénomes tubuleux avec dysplasie de bas degré (biopsie caecum-colon du 23.05.2012) Laminectomie de L3 à L5 bilatérale avec décompression de la lipomatose épidurale en novembre 2011 Multiples cures de Dupuytren bilatérales, avec amputation des 4 - 5èmes doigts à gauche et 3 - 5èmes à droite Trois hospitalisations à Marsens pour sevrage alcoolique Décompensation cardiaque à prédominance droite le 21.01.2014 Intoxication volontaire par 25 cp de Targin 10/5 mg et 0.5 l de cognac, avec alcoolémie à 1,76 o/oo en juillet 2014 Cataracte bilatérale opérée Opération pour malformation de Peyronie Appendicectomie dans l'enfance Dysphagie sur probable candidose oesophagienne le 07.01.2019.• Dysphagie/aphagie. • Dysphasie et asymétrie labiale. • Dysphonie. • Dysphonie avec troubles de la déglutition, probablement dans le cadre d'une acutisation de lésions séquellaires post-thyroïdectomie sur extubation. • Dysphonie depuis 3 semaines selon la famille. • Dysphonie et dyspnée. • Dysphonie sur laryngite et possible maladie de reflux le 05.01.2019. • Dysphonie sur probable compression du nerf récurrent gauche. Carcinome pulmonaire anaplasique péri-hilaire gauche, stade limité. - date du diagnostic : 25.01.2013. - histologie (biopsie par EBUS) : carcinome à petites cellules de type SCLC, masse para-trachéale gauche (Promed P700.13). - status post-bronchoscopie (Dr. X), janvier 2013 : parésie de la corde vocale gauche non visible. - bilan d'extension : CT-scan cervico-thoracique : masse tissulaire médiastinale postérieure englobant le hile pulmonaire gauche, IRM cérébrale dans la norme, PET-scan : sans évidence de métastase à distance. - fonctions pulmonaires : VEMS 94 %, DLCO 97 %. - facteurs de risque : tabagisme chronique, 80 UPA (stoppé fin décembre 2012). - symptômes B : perte pondérale 7 kg en six mois. - status post-chimiothérapie par Platinol et Etopophos du 29.01 au 12.03.2013, trois cycles, bien tolérée. - radiothérapie-chimiothérapie concomitante en mars 2013. • Dysplasie congénitale de hanche opérée à multiples reprises. • Dysplasie des hanches ddc IV selon Graf. • Dysplasie des 2 hanches type 2G selon classification de Graf. • Dysplasie du col de l'utérus de haut grade chez une patiente, 1 geste, 1 paire de 38 ans. • Dysplasie hanche G type IIC, instable selon GRAF. • Dysplasie trochléaire genou D avec 3ème épisode de luxation patellaire le 26.01.2019. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • Dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • dyspnée. • Dyspnée + douleurs basithoraciques. • Dyspnée à l'effort sur métastases pulmonaires, infiltration tissulaire médiastinale et déconditionnement physique. • Dyspnée aiguë. • Dyspnée aiguë. • Dyspnée aiguë. • Dyspnée aiguë sur probable crise d'angoisse le 08.02.2019. • Dyspnée avec composante obstructive et psychogène :• angoisse importante • syndrome obstructif réversible après aérosols (DD bronchite débutante? asthme?) • procédure de la patiente d'administration de Seretide sous-optimale. • Dyspnée avec toux et expectorations. • Dyspnée avec toux, expectorations, pression thoracique, fatigue et baisse d'appétit. • Dyspnée, bradypnée, tachypnée. • Dyspnée chez une patiente connue pour une scoliose avec troubles restrictifs, et décompensation cardiaque le 09.01.2019 probablement sur embolie pulmonaire de découverte fortuite. • Dyspnée chronique en aggravation chez Mr. Y avec GvH pulmonaire Agravation de la GvH dans contexte sevrage prednisone (diminution de prednisone il y a 1 semaine) Infection bactérienne débutante Grippe chez Mr. Y vacciné autre • Dyspnée d'origine multifactorielle • pneumopathie interstitielle (UIP) et BPCO • cancer à petites cellules • déconditionnement • possible lymphangite carcinomateuse Suivi pneumologique : Dr. X • Dyspnée dans le cadre d'une insuffisance respiratoire partielle • Dyspnée dans le contexte de la pneumopathie • à l'entrée 5/10 au repos, crises dyspnéiques invalidantes à l'effort • Dyspnée dans un contexte de pneumonie sous traitement. • Dyspnée dans un contexte de thrombose veineuse profonde. • diagnostic différentiel : embolie pulmonaire, composante d'angoisse. • Dyspnée dans un contexte d'un syndrome de la veine cave inférieur, accentuée par des crises d'angoisse • Dyspnée de repos • Dyspnée de stade NYHA 3 d'origine multifactorielle: • Obésité stade I avec BMI de 33,7 kg/m2 (83 kg pour 156 cm) • Cardiopathie hypertensive et valvulaire avec FEVG 64%, dysfonction diastolique de stade II, sténose valvulaire aortique discrète avec élévation des pressions pulmonaires. • scintigraphie myocardique du 26.11.2018: Absence d'image scintigraphique nette en faveur d'une ischémie de stress. Diabète de type II insulino-dépendant Insuffisance rénale chronique décompensée (créatinine 308 umol/l) Surdité appareillée Traitement habituel: Levemir le matin 38UI, Rhyzodeg® 100 U/ml 20UI soir, Humalog midi repas 12UI, Pravastatin 20mg le matin, Triatec 5mg le matin, Esidrex 25mg 1xj le matin, Gliclazide 30mg 1xj le matin • Dyspnée d'effort. • Dyspnée, désaturation et majoration du drainage thoracique le 19.02.2019 DD Embolie pulmonaire, foyer infectieux • Dyspnée d'origine anxiogène. • Dyspnée d'origine cardiaque : • Diagnostic différentiel : pneumonie débutante Traitement complexe de réadaptation en gériatrie aiguë du 14.01.2019 au 23.01.2019 avec prise en charge en : • Physiothérapie • Ergothérapie • Diététique • Tests de la cognition du 22.01.2019 : MMSE à 25/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 7/15 • Dyspnée d'origine indéterminée le 16.02.2019. DD : • trouble somatoforme, trouble anxieux. • Dyspnée d'origine indéterminée DD pneumonie DD insuffisance cardiaque • Mr. Y se plaint de dyspnée depuis 3 jours, avec toux productive et orthopnée • Possible non-adhérence thérapeutique selon la fille • crépitants basaux droits • Labo : CRP 60 mg/L, nt pro BNP : 1100 • Dyspnée d'origine indéterminée, le 07.02.2019 • Dyspnée d'origine mixte le 23.01.2019 se péjorant pendant les dialyses dans un contexte de : • status post-bronchite virale avec surinfection traitée par Cefepime le 18.01.2019 • syndrome d'hypoventilation sur obésité et restrictif avec BiPAP 2 l d'oxygène • probable HTAP (échocardiographie du 27.04.2018 : ventricule droit dilaté et hypertrophique avec fonction systolique diminuée. IT minime). • Dyspnée en péjoration. • Dyspnée en péjoration progressive avec paroxysme le 03.02.2019 dans le contexte de la maladie • Dyspnée et baisse d'état général • Dyspnée et BEG • Dyspnée et douleurs rétrosternales. • Dyspnée et épigastralgies. • Dyspnée et état fébril • Dyspnée et état fébril. • Dyspnée et toux • Dyspnée et toux • Dyspnée et toux. • Dyspnée et toux. • Dyspnée et toux productive sur pneumonie d'aspiration au décours • Dyspnée fébrile • Dyspnée fébrile. • Dyspnée haute sur paralysie récurrentielle bilatérale le 01/01/19 • Dyspnée, hypotension artérielle et douleurs thoraciques récidivantes pendant les dialyses • DD : Ischémie du myocarde, suspicion de réaction anaphylactique au filtre de dialyse le 04.02.2019 avec • antécédent de réaction au filtre de dialyse en mai 2018 => réaction anaphylactique avec filtres Fx, Polyflux, Revaclear • Filtre Surflux depuis mai 2018 • Dyspnée importante • Dyspnée NYHA II dans un contexte de lésion kystique du poumon droit diagnostiquée le 10.01.2019. • Dyspnée NYHA III le 14.02.2019 : • DD sur décompensation cardiaque, sur sécrétion de mucus augmentée (status post-opération d'un cancer du larynx et nodules lymphatiques du cou gauche environ 1995, sans récidive). • Pro-BNP 519 ng/l. • Rx du thorax du 14.02.2019 : pas de signe de décompensation cardiaque. • Dyspnée NYHA III le 14.02.2019. • DD : sur décompensation cardiaque, sur sécrétion de mucus augmentée (status post-opération d'un cancer du larynx et nodules lymphatiques du cou à gauche ~1995, sans récidive). • Dyspnée progressive • Dyspnée progressive • Dyspnée progressive • Dyspnée progressive • Dyspnée sévère • Dyspnée stade NYHA IV d'origine mixte dans un contexte de sclérodermie avec : • HTAP 1 • Trouble de la diffusion sévère (DLCO à 30% en 2016 et 19% en 2017) • BPCO Gold II avec VEMS à 62% en 2017 et emphysème pulmonaire sur ancien tabagisme à 40 UPA • Cardiopathie restrictive sur sclérodermie : décompensation cardiaque d'origine X le 13.10.2017 • Pneumopathie organisée cryptogénique en 2015 (DD : sur Amiodarone) • Dyspnée sur bronchite chronique aigue • Dyspnée sur fibrose pulmonaire. • Dyspnée sur fibrose pulmonaire en janvier 2019. Choc septique d'origine urinaire sur bactériémie à E. Coli le 14.01.2018 avec : • NSTEMI de type 2 sur le choc • décompensation cardiaque aiguë avec œdème aigu du poumon. Etat confusionnel aigu le 23.01.2018, avec : • status après choc septique d'origine urinaire • status après infarctus NSTEMI de type 2 secondaire à l'état de choc. Troubles de la marche et de l'équilibre avec chute à domicile et traumatisme crânien simple le 02.01.2018. Exérèse d'un polype colique (2008). Probable accident ischémique transitoire (2006). Appendicectomie (1952). • Dyspnée sur grippe le 24.02.2019 DD : composante asthmatiforme, surcharge • Dyspnée sur probable décompensation cardiaque globale dans le contexte suivant : • Mr. Y connu pour insuffisance cardiaque NYHA II sur fibrillation auriculaire • hydratation intensive pour hypernatrémie sur insuffisance rénale • dysphagie modérée avec probable broncho-aspirations à répétition • Dyspnée sur toux glaireuse • Dyspnée, tachypnée, bradypnée. • Dyspnée, tachypnée, bradypnée. • Dyspnée, tachypnée, bradypnée. • Dyspnée, tachypnée, bradypnée, désaturation. • Dyspnée, tachypnée, bradypnée, désaturation. • Dyspnée, toux • Dyspnée, toux • Dyspnée, toux • Dyspnée transitoire d'origine indéterminée le 16.10.2018 • DD : crise d'angoisse • Urticaire, en partie maculaire, d'étiologie inconnue le 02.03.2017 • Dissection de l'artère fémorale droite après angiographie coronarienne en 2015 • Douleurs abdominales hautes d'origine indéterminée, poly-investiguées en 2015 • s/p cure d'hernie inguinale droite 1986 et gauche 1964 • s/p hépatite dans l'adolescence (anamnestique uniquement) • s/p tuberculose dans l'adolescence • Quantiféron positif 10/2009 • Dépression réactive après décès du mari 05/2008. Dyspnée transitoire d'origine indéterminée le 16.10.2018 • DD: crise d'angoisse Urticaire, en partie maculaire, d'étiologie inconnue le 02.03.2017 Dissection de l'artère fémorale droite après angiographie coronarienne en 2015 Douleurs abdominales hautes d'origine indéterminée, poly-investiguées en 2015 s/p cure d'hernie inguinale droit 1986 et gauche 1964 s/p hépatite dans l'adolescence (anamnestique uniquement) s/p tuberculose dans l'adolescence • Quantiféron positif 10/2009 Dépression réactive après décès du mari 05/2008. Dysthymie avec trouble anxieux. • épisodes de crises d'angoisse avec dyspnée. • suivie depuis le 18.02.2019 au CPS par Dr. X. Dysthymie avec trouble anxieux: • épisodes de crises d'angoisse. Dysthymie DD état de choc sur annonce de démence Dysthyroïdie le 08.01.2019 probablement sur Euthyroid sick syndrome • S/p Thyroïdectomie en 1995 • sous Eltroxine 0.05 et 0.1 mg en alternance Dystonie aigüe sur traitement neuroleptique par Risperdal et prise d'Ecstasy et MDMA le 15.08.2017. Arrêt du Risperdal. Akineton iv puis per os durant 48h. Dystrophie musculaire oculo-pharyngée diagnostiquée en 2015. Dystrophie myotonique de Steinert avec insuffisance des muscles respiratoires. Hypotonie globale bucco-linguo-faciale du voile du palais Dystrophie unguéale. Dystrophie unguéale probablement sur mycose hallux pied gauche. Dystrophie unguéale probablement sur mycose le 18.02.2019. Dysurie Dysurie. Dysurie. Dysurie. Dysurie. Dysurie d'origine indéterminée, le 23.02.2019. • DD: cystite. Dysurie et pollakiurie. Stix et sédiment: leucocytes et sang. Nitrofurantoïne 100mg 3x/j pendant 5 jours D2 et D5 ddc à ressaut du 2ème degré chronique. D4 droit à ressaut chronique. Syndrome de tunnel carpien droit débutant. D4 gauche à ressaut du 1er degré. Suspicion de tendinopathie du long chef du biceps de l'épaule droite. ECA le 10.2.2019 • DD: sur Benzodiazépine, sevrage alcoolique, tr. cognitifs neuro-dégénératifs X ECA sur chute à domicile sans TC le 23.01.2019 • DD: surdosage Cefepime • CT cérébral natif: pas de saignement IC, pas de fracture Idées suicidaires et anxiétés réactionnelles dues à un trouble de l'adaptation le 26.01.2015. État confusionnel aigu hyperactif le 19.11.2016 d'origine mixte Dyspnée d'origine mixte le 23.01.2019 se péjorant après les dialyses Multiples épisodes d'insuffisance respiratoire globale 2014, 2015, 2016 • IOT en 2016 (Cormack 3) Multiples épisodes de décompensation cardiaque globale en 2016, 2017 Bronchite virale surinfectée traitée par Céfépime le 21.01.2019 Pneumonie moyenne gauche avec insuffisance respiratoire. le 19.05.2018 MRSA positif en 2014, négatif en mai et octobre 2016 et mars 2017. Perturbation des tests hépatiques avec cytolyse aiguë d'origine indéterminée le 27.10.2016. Décompensation d'un diabète de type II sur non compliance avec hyperglycémie à 21.3 mmol/l le 10.10.2016. Probable péricardite avec épanchement péricardique le 13.01.2015. Polysérosite idiopathique le 28.01.2015. Amputation à mi-cuisse du membre inférieur droit le 27.01.2017. Traumatisme thoracique avec dissociation chondrocostale sur enfoncement de la paroi thoracique antérieure en 2011. Cure du tunnel carpien en 2011. Ecchymose dorsale Ecchymose post chirurgicale de gland. Ecchymoses bilatérales sur ponction inguinale le 12.02.2019. ECG ECG: normal. Cf. annexes. Status. Antalgie aux urgences par paracétamol. Retour à domicile avec antalgiques et réassurance. ECG: axe hypergauche -56°, hémibloc gauche, pas de sus/sous décalage. Cf. annexes. Laboratoire: leucocytes 9.8G/l, Hb 141g/l, CRP 199mg/l, Na 131mmol/l, K 3.7mmol/l, Créat 163µmol/l. Cf. annexes. Gazométrie: pH 7.43, pCO2 4.4kPa, pO2 5.1kPa, Bic 22mmol/l, lact 3.2mmol/l. Cf. annexes. Stix et sédiment urinaire: cf. annexes. Leucocytes, nitrites, sang négatif. Ultrason: 152ml dans la vessie. Radiographie du thorax face: infiltrat interstitiel, par endroit confluent, bilatéral diffus, prédominant du côté D et au niveau péri-hilaire, évoquant une composante d'insuffisance cardiaque avec probable foyer péri-hilaire D surajouté, à confronter avec la clinique. Cœur de taille dans les limites de la norme, en tenant compte de la position couchée. (Dr. X). Spot urinaire et antigènes urinaires: suivront. ECG: Bloc de branche gauche avec fibrillation auriculaire connue. Sous décalage en V6 et T négatif. Cf. annexes. Laboratoire: cf. annexes. CRP 39 mg/l, leucocytes 9.1 G/l, Hb 102 g/l, MCV 100 fl, INR 1.3, Na 132 mmol/l, LDH 1'714 U/l. Gazométrie: cf. annexes. Hypoxémie légère 9,7 kPa sans rétention de C02. Radiographie du thorax face/profil: élargissement global de la silhouette cardio-médiastinale. Absence d'un bon inspirium. Turgescence hilaire bilatérale. Épaississement para-cardiaque bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Emoussement du cul-de-sac costo-diaphragmatique gauche. (Dr. X). ECG: bradycardie sinusale, QRS fin, ST isoélectrique, pas de trouble de la repolarisation (examen avec explication donnée par le médecin). Le patient sera convoqué pour effectuer un holter et un US cardiaque. ECG: cf. annexes. Arrêt de travail. ECG: cf. annexes. Axe gauche, bloc de branche droit avec rSR VI, pas de sus/sous décalage ST. Test de Schellong: négatif. Laboratoire: cf. annexes. Leucocytes 6.9G/l, CRP <5mg/l, thrombocytes 86G/l, Glucose 6.6mmol/l, créatinine 51µmol/l, Na 141mmol/l, K 4.1mmol/l, ASAT 19U/l, ALAT 17U/l, LDH 306U/l, PA 50U/l, GGT 29U/l, Bili tot 19.3 µmol/l, Bili directe 7.4µmol/l, lactates 1.3mmol/l. ECG: cf. annexes. Axe normal, rythme sinusal régulier, PR 155ms, QRS fins, pas de sus ou de sous-décalage. Laboratoire: cf. annexes. Leucocytes 7.3G/l, CRP <5mg/l, créatinine 67µmol/l, Na 139mmol/l, K 3.9mmol/l, glucose 4.9mmol/l, D-dimères 377ng/mL. Radiographie du thorax: silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. (Dr. X). ECG: cf. annexes. Axe normal, sinusal régulier, QRS fins, pas sus/sous décalage ST.Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 6.7 G/l, CRP < 5 mg/l, créatinine 70 µmol/l, Na 138 mmol/l, K 3.7 mmol/l. ECG : cf. annexes. Bloc de branche droit. Radiographie du thorax face/profil : anomalie de la statique rachidienne avec scoliose dextro-convexe de la charnière dorso-lombaire. Pas d'image d'épanchement pleural. Pas de foyer de condensation décelable. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Pas de leucocyte, pas de CRP. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Avis de Dr. X, psychiatre de liaison. Hospitalisation à Marsens en mode volontaire. Départ accompagnée par un proche. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Clearance à 25 ml/min, pas de syndrome inflammatoire. Radiographie du thorax face/profil : aorte déroulée et calcifiée. Distension pulmonaire bilatérale avec hypertransparence pulmonaire. Pas d'épanchement pleural décelable. (Dr. X). ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. CT-scan cérébral : décrit ci-dessous. Aux urgences, la patiente reçoit du Dafalgan 1 g, de l'Irfen 400 mg et du Tramal 50 mg. Traitement symptomatique adapté le 19.02.2019 par Dr. X. Contrôle chez son médecin traitant. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. CT-scan thoracique : décrit ci-dessous. Traitement symptomatique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Gazométrie : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Nexium 80 mg iv en ordre unique. Co-Amoxicilline 2.2 g iv aux urgences. Co-Amoxicilline 1 g 2 x/jour pour 7 jours. Retour au RFSM de Marsens avec le transporteur. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Gazométries 2 x : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Oxygénothérapie. Rocéphine 2 g iv. Atrovent et Ventolin. VNI. Transfert aux soins intensifs à Fribourg, avec le SMUR. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Isoket spray 1 push et Nifédipine 20 mg retard : TA ensuite à 140/90 mmHg. Troponines T hs à H0 14 ng/L, H1 13 ng/L, H3 14 ng/L. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Elle reçoit du paracétamol IV et Ecofénac 75 mg IV aux urgences. Traitement symptomatique. Contrôle chez son médecin traitant. ECG : cf. annexes. PR 200 ms, QRS fins, pas de sus/sous décalage ST. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 12.2 G/l, Hb 146 g/l, CRP < 5 mg/l, Glu 6.9 mmol/l, créat 91 µmol/l, Na 138 mmol/l, K 3.1 mmol/l. ECG : cf. annexes. RSR à 55/min. PR 160 msec, régulier. QRS 100 msec, axe -40°, transition de l'onde R en V6. Pas de sus-sous ST. Onde Q isolée en V1. Pas d'onde T négative en précordiale ni onde inversée en périphérique. QTc à 392 msec. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 10 G/l, CRP < 5 mg/l, troponines H0-H1 : 10-11 ng/L, D-Dimères 1192 ng/mL. Gazométrie : cf. annexes. PH 7.43, pCo2 4.6, pO2 8.9. Radiographie du thorax face/profil : petite désorganisation de la trame broncho-vasculaire avec des épaississements prédominant dans la partie postéro-basale gauche, mais pas d'image typique de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural. Coeur de taille dans les limites de la norme, avec des calcifications de l'aorte. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. (Dr. X). CT-scan du thorax injecté pour recherche d'embolie pulmonaire injecté : examen réalisé avant et après injection IV de 70 ml de Iomeron 400. Dilatation de l'oreillette droite. Athéromatose calcifiée de l'aorte. Calcifications coronariennes. Absence d'embolie pulmonaire. Pas d'adénopathie de taille radiologiquement significative. Lobe thyroïdien gauche plongeant dans le médiastin supérieur avec hypodensité centimétrique en son sein, aspécifique. Oesophage sans particularité. Discrètes bronchectasies en base gauche avec quelques comblements endobronchiques distaux. Réticulations sous-pleurales des deux pyramides basales à hauteur des récessus postérieurs. Dystélectasies en bande basales gauches. Absence d'épanchement pleural. Partie visible du parenchyme mammaire sans particularité ddc. Sur les coupes passant par l'abdomen supérieur, on note une involution lipomateuse de la tête et du corps du pancréas. Au niveau osseux, discopathie pluri-étagée du rachis dorsal prédominant en D9-D10. CONCLUSION : absence d'embolie pulmonaire. Discrets remaniements d'allure fibrotique des deux pyramides basales à hauteur des récessus postérieurs. (Dr. X). ECG : cf. annexes. RSR à 59/min, PR 160 msec, régulier. QRS 100 msec, axe -50°, transition tardive en V6. Pas d'onde Q pathologique. Sus-ST 1.5 mm et 2 mm en V2, non significatif. QTc 360 msec. ECG : cf. annexes. RSR à 70/min, axe dans la norme, onde P et intervalle PR dans la norme, QRS fin avec trouble aspécifique de la conduction, QT dans la norme. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face : absence d'un bon inspirium. Pseudo-élargissement de la silhouette cardiomédiastinale. Pseudo-épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. (Dr. X). ECG : cf. annexes. RSR à 75/min, axe dans la norme, intervalle PR dans les limites de la norme, QRS fin, trouble non spécifique de la repolarisation. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire. ECG : cf. annexes. RSR à 91/min, QRS fins, axe à 36°, pas de troubles de conduction ni de repolarisation. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR à 93 bpm, PR < 200 ms, QRS fins normoaxés. QTc = 453 ms. Transition de l'onde R en V3. Laboratoire : cf. annexes. D-Dimères 343 ng/mL. Leucocytes 2.0 G/l, K 3.4 mmol/l, troponines à H0 6 ng/l, à H1 5 ng/l. Radiographie du thorax face/profil : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. (Dr. X). ECG : cf. annexes. RSR, axe gauche, fréquence 120 bpm, onde P négatives en V1, BBD incomplet, ondes T négatives en D3. Radiographie du thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire, troponines < 3 ng/L. Radiographie du thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. (Dr. X). ECG : cf. annexes. RSR, bloc de branche droite, superposable au comparatif. Laboratoire : cf. annexes. Troponines H0, H1 et H3 sp, pas de syndrome inflammatoire. Radiographie du thorax en chambre : coeur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de signe de surcharge. (Dr. X). ECG : cf. annexes. RSR 118 bpm, PR 120 ms, QRS fins avec retard de repolarisation sans signes de malignité, QTc 425 ms, ST isoélectrique sans signes d'ischémie ni HVG. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 13.5 G/L avec 9 G/l de neutrophiles, CRP 120 mg/l, D-dimères 1600 ng/mL, reste sp. Radiographie du thorax face/profil et CT-scan thoracique pour recherche d'embolie pulmonaire injecté : Examen réalisé avant et après injection intraveineuse de 70 ml de Iomeron 400. Pas d'embolie pulmonaire mise en évidence. Les structures cardio-vasculaires se présentent normalement. Ganglions médiastinaux et hilaires gauches à la limite supérieure de la norme. Épaississements bronchiques et comblements intéressant la pyramide basale gauche, avec condensation des segments médio-postéro- et latéro-basaux, compatible avec un foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Les coupes passant par l'étage abdominal et les structures osseuses sont sans particularité. CONCLUSION : condensation des segments médio-, postéro- et latéro-basaux du lobe inférieur gauche, compatible avec un foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Pas d'embolie pulmonaire mise en évidence. (Dr. X).ECG : cf. annexes. RSR 62 bpm, PR 150 ms, QRS fins normoaxés, QTc 400 ms, ST isoélectrique sans signes d'ischémie active. Pas d'ondes Q pathologiques ni de signes d'HVG. ECG : cf. annexes. RSR 71/min, PR 180 ms, QRS fins normoaxés, QTc 400 ms, pas de trouble de repolarisation. Laboratoire : cf. annexes. Troponines à H0, H1 et H3 à 6 ng/L. Pas de syndrome inflammatoire, amylase 108 U/l, lipase 108 U/l, GOT 133 U/l, GPT 99 U/L, GGT 310 U/l. ECG : cf. annexes. RSR 91 bpm, PR 140 ms, QRS fins normoaxés, QTc 450 ms, ST isoélectrique sans signes d'ischémie active ni HVG. Laboratoire : dans la norme. Cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR 96 bpm, PR 170 ms, QRS fins normoaxés, QTc 450 ms, pas de troubles de repolarisation. Laboratoire : cf. annexes. Minime élévation de la CRP sans leucocytose, reste sp. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, sans signe d'ischémie ni de trouble du rythme, pas de prolongation du QT. Laboratoire : cf. annexes. Pas d'anomalie à l'exception d'une hypokaliémie légère. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 56 bpm, axe normal à 13°, QRS fins à 86 ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde normale en V4, QTc à 476 ms. Radiographie du thorax face/profil : par rapport au 07.06.2018, la silhouette cardiaque est moins grande, mais toujours à la limite supérieure de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural (disparition de l'épanchement pleural basal droit). On retrouve un stent en surprojection de l'hypocondre droit pouvant faire évoquer un status post-TIPS. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, QRS fins, pas de sus/sous décalage ST. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 6.7 G/l, CRP <5 mg/l, Hb 160 g/l, créatinine 81 µmol/l, Na 140 mmol/l, K 4.1 mmol/l, pas de trouble de la crase. Stix/sédiment urinaire : sang négatif. ECG : cf. annexes. Sinusal régulier, PR 150 ms, pas sus/sous décalage ST. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 12.5 G/l, CRP 13 mg/l, Hb 137 g/l, créatinine 65 µmol/l, troponines <4 ng/l, CK 114 U/l, glucose 6.9 mmol/l, Na 137 mmol/l, K 4.4 mmol/l, ASAT 28 U/l, ALAT 13 U/l, LDH 525 U/l, PA 99 U/l, GGT 78 U/l, Bili tot 18.8 µmol/l, direct 5.3 µmol/l. Stix et sédiment urinaire : érythrocytes <3/champ, leucocytes <3/champ. Cf. annexes. Radiographie du thorax face : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. Radiographie de la colonne dorsale face/profil : tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieur et postérieur. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Radiographie de la colonne cervicale face, profil et axiale : tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieur et postérieur. Pas d'épaississement des tissus mous pré-vertébraux. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. ECG : cf. annexes. Sinusal régulier, QRS fins, pas de bloc, pas de sus/sous décalage ST. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 12.6 G/l, CRP <5 mg/l, créatinine 67 µmol/l, Na 135 mmol/l, K 3.9 mmol/l, Trop T0 11 ng/L, T1 12 ng/L et T2 12 ng/L, D-dimères <190 ng/mL. Radiographie du thorax face et couché : comparatif du 25.08.2018. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Hypoventilation basale gauche. ECG : cf. annexes. Stix urinaire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Substitution K+ per os aux urgences. ECG : cf. annexes. Test de Schellong. Adaptation du traitement antalgique. Contrôle chez son médecin traitant prévu le 20.02.2019. Arrêt de travail. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Traitement symptomatique. Rendez-vous chez le médecin traitant pour contrôle. ECG : extrasystoles ventriculaires monomorphes. Cf. annexes. Laboratoires : cf copies annexées. ECG : FA avec bloc de branche droite. Rx thorax : foyer basal gauche. ECG : FA avec conduction ventriculaire moyenne à 50/minute. Mise en pause du Beloc Zok. Suivi clinique. ECG : FA tachycarde avec extrasystoles ventriculaires. Majoration du Beloc Zok. Pas d'anticoagulation au vu de l'insuffisance hépatique (TP 50 %). ECG : foyer atrial ectopique, rythme à 74/min, axe gauche, pas de bloc atrioventriculaire, pas de bloc de branche, pas de troubles de la repolarisation. Attitude : • suivi clinique. ECG // Gazométrie // Laboratoire // Rx du thorax. Microbiologie : frottis naso-pharyngé. Avis pneumologique. Au service des urgences : 1x Solumédrol 125 mg i.v. Prednisone 50 mg 1x/j du 12.02 au 16.02.2019. Rocéphine 2 g i.v., Klacid 500 mg i.v. le 11.02.2019. Co-amoxiciline 2x 1 g po du 12.02 au 18.02.2019. Inhalations avec Ventolin et Atrovent. Spiolto respimat 2.5 mcg 2x le matin dès le 19.02.2019 avec aérosols en réserve. Physiothérapie respiratoire. ATT : • Contrôle chez Dr. X le 27.03.2019 à 15h15. • Réhabilitation pulmonaire à Billens. ECG // laboratoire // gazométrie // Rx thorax. ETT le 18.02.2019. Holter le 19.02.2019. Consultation Cinacarde. Lasix puis Torem. ECG // Laboratoire // Radiographie thoracique. Coronarographie le 31.01.2019 (Dr. X). ETT du 01.02.2019. Aspirine cardio à vie. Efient pour 1 mois. ECG // Laboratoire. ETT le 29.01.2018 (rapport oral) : dans la norme. Ergométrie le 29.01.2019 (rapport oral) : sans particularité. Coro-CT le 30.01.2019 (rapport oral) : dans la norme. ECG : Onde T négative dans les dérivations antérieures et latérales. Coronarographie le 22.02.2019 : angioplastie des deux sténoses de l'IVA et de la branche diagonale avec 3 stents actifs. Coronarographie le 23.02.2019 : angioplastie du tronc commun avec implantation d'un stent actif. Succès d'angioplastie de l'ostium de l'artère circonflexe proximale avec implantation de 1 stent actif. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois. Echographie cardiaque de contrôle dans 1 mois chez Dr. X à Tafers. Nouvelle coronarographie dans 3 mois. ECG : Onde T négative dans les dérivations antérieures et latérales. Coronarographie le 22.02.2019 : angioplastie des deux sténoses de l'IVA et de la branche diagonale avec 3 stents actifs. Coronarographie le 23.02.2019 : angioplastie du tronc commun avec implantation d'un stent actif. Succès d'angioplastie de l'ostium de l'artère circonflexe proximale avec implantation de 1 stent actif. Physiothérapie. RAD le 27.02.2019. Contrôle TA 2x/j et poids 3x/semaine dans carnet à domicile. Réadaptation prévue en ambulatoire à Billens. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois. ECG et écho de contrôle chez Dr. X dans 1 mois, recoronarographie de contrôle à 3 mois. ECG : Onde T négative dans les dérivations antérieures et latérales. Troponine : pic à 103 ng/L le 22.02.2019. CK et CK-MB : absence d'élévation. Coronarographie le 22.02.2019 : angioplastie des deux sténoses de l'IVA (proximale et moyenne) et de la branche diagonale avec 3 stents actifs, EF 35 %. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois. Echographie cardiaque de contrôle dans 1 mois chez Dr. X à Tafers. Re-coro et OCT dans TC d'emblée dans 9-12 mois. ECG : pas de répercussion ECG. Contrôle laboratoire à 24 h chez son médecin traitant. ECG : pas de trouble du rythme associé. Insuline/Glucose le 13.02.2019. VNI intermittente aux soins intensifs. ATT : • SpO2 cible 88-92 %. ECG : QTc calculé à 474 ms selon Formule de Bazett. Mise en suspens de l'Escitalopram. ECG : RSR à 116/minute. PR à 200 msec, régulier. QRS 50 sec, axe 53°. Transition de l'onde R en V2. Onde Q isolée en V1 (présent en 2014). Sous ST 1 mm isolé en V4 (présent en 2014). QTc 428 msec.Rx thorax : aorte déroulée et calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Minime épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Pas de pneumothorax, ni d'hémothorax. Bassin, hanche et fémur gauche : PTH gauche en place. Coxarthrose droite. Aspect fortement ostéopénique de la trame osseuse. Fracture du tiers distal du fémur, sur matériel d'ostéosynthèse. Fracture déplacée. PTH en place. CT cérébral natif : hématome sous-galéal pariétal gauche, pas de lésion traumatique osseuse, pas d'hémorragie intra-crânienne. US abdominal : pas de signes pour cholécystite, paroi fine sans calculs. Découverte d'une masse hépatique solide d'environ 10 cm. ECG : RSR à 49 bpm, QRS fins, pas de sus-sous décalage ST, ondes T inversées aux précordiales superposables à un comparatif. Laboratoire : leucocytes 9.9 G/l, CRP 12 mg/l, Hb 115 g/l, créatinine 56 µmol/l, Na 137 mmol/l, K 3.3 mmol/l. Gazométrie : pH 7.44 kPa, pCO2 7.0 kPa, pO2 7.8 kPa, Bic 35 mmol/l. RX de thorax : comparatif 31.01.2019. On retrouve une surélévation de la coupole diaphragmatique droite connue. Persistance d'une accentuation bronchique diffuse bilatérale avec discrète régression de l'infiltration interstitielle périhilaire évoquant une discrète régression des signes de décompensation cardiaque surajoutés à l'altération du parenchyme dans le contexte de la fibrose connue. Actuellement pas d'épanchement pleural décelable. Cœur de volume dans les limites supérieures de la norme (Dr. X). Stix/sédiment urinaire : leucocytes purée, érythrocytes 3-5/champ, nitrites positifs. Urotube : suit. ECG : RSR à 65 bpm, sans bloc AV, QRS fin d'axe normal à 40°, Bilan biologique : leucocytes 9.2 G/l, CRP <5 mg/l, OH 1.94 o/oo, glucose 6.4 mmol/l, screening benzodiazépine négatif. ECG : RSR à 79 bpm, espace PR de 160 ms, QRS fins normo-axés. Pas de signe d'ischémie aiguë. Laboratoire : aligné avec troponines négatives, VS 4, Ck dans la norme, TSH à suivre. RX : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation de façon bilatérale (Dr. X). Stix propre. Test urinaire de grossesse négatif. ECG : RSR à 82/min, normoaxé, PR 124 ms, QRS fins, aspect rSr' en V1V2, QTc 421 ms, ST isoélectrique. Bloc de branche droit incomplet. Cf. annexes. ECG : RSR, axe hyperdroit, BBD connu, quelques ESV. CT cérébral natif et thoracique (protocole EP) le 31.01.2019 : embolies pulmonaires segmentaires du lobe supérieur droit, sans infarctus pulmonaire, ni de répercussion cardiovasculaire. Présence d'une hyperdensité dans le sinus sagittal supérieur de nature indéterminée dd calcification, méningiome, petit saignement. En cas de nécessité de confirmation du diagnostic, nous restons à disposition pour la réalisation d'une IRM. Apparition d'un tassement du plateau supérieur de L1, sans recul du mur postérieur. Rx lombaire 31.01.2019 : cunéiformisation du corps vertébral de L1 en rapport avec un tassement du plateau supérieur avec un angle de cyphose locale mesuré à 8°. Bombement du mur antérieur en rapport. Alignement satisfaisant des murs postérieurs. Pas d'autre tassement vertébral décelé. ECG : RSR, axe vertical, fréquence 75 bpm, QRS fins, ondes T plates en aVL, pas d'autre trouble de repolarisation. Laboratoire : aligné. Test de Schellong : positif (chute de 30 mmHg de TAS après 2 minutes de station debout). ECG : RSR, axe 0°, intervalle PR dans la norme, QRS fin, pas de sus/sous décalage, onde T dans la norme. RX thorax : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas de foyer de condensation décelable. Pas d'épanchement pleural visible (Dr. X). ECG : RSR sans trouble de la repolarisation ni conduction. Laboratoire : K+ 3.2 compensée aux urgences par Effervet à recontrôler. Retour à domicile avec consignes de surveillance. ECG : rythme irrégulièrement irrégulier à conduction ventriculaire à 50/minute. QRS 120 msec, axe -50°, compatible avec un hémibloc antérieur gauche. Transition de l'onde R en V5. Pas d'onde Q. Onde T inversée en aVF. Pas de sus-sous décalage ST. QTc à 446 msec. ECG : rythme régulier et sinusal avec FC à 90/min ; P normale ; PR non allongé ; QRS fins normoaxés ; pas de décalage du ST ; T négative en V1 sinon pas de troubles de la répolarisation. ECG : rythme sinusal, normoaxé, sans trouble de la repolarisation. Ergométrie organisée le 15.02.19 (Dr. X). ECG : rythme sinusal, QRS fins, pas de sus/sous décalage ST. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 8.8 G/l, CRP <5 mg/l, glucose 4.9 mmol/l, créatinine 60 µmol/l, Na 138 mmol/l, K 4.3 mmol/l. Test de Schellong : négatif. ECG : rythme sinusal régulier à 65/min, axe 70°, pas de bloc atrio-ventriculaire, pas de bloc de branche, pas de sus/sous élévation du segment ST, onde T inversée en V1-V2 connu, Transition onde R en V2. Attitude : • réassurance. ECG : rythme sinusal régulier à 81 bpm, BAV 1°, QRS fin avec un axe -41°, ST isoélectrique, progression de l'onde R avec une transition en V5, QTc 456 ms. Rx-thorax du 06/02/2019 : pas de foyer visible ni d'épanchement pleural. ECG : rythme sinusal régulier bradycarde à 54/min, axe gauche, pas de sus- ou sous-décalages ST, explication donnée par le médecin. Adaptation du traitement antihypertenseur par le médecin traitant. Convocation en cardiologie à l'HFR Fribourg. ECG : rythme sinusal régulier, pas d'arythmie. CT Time is Brain (transmission orale Dr. X) : Absence d'AVC hémorragique ou AVC visualisé. Vaisseaux précérébraux bien perméables. Sténose non significative de la carotide à droite. IRM cérébrale et consultation ORL : à organiser. Charge d'aspirine. ECG : rythme sinusal régulier, pas de troubles de la repolarisation, examen avec explication donnée par le médecin. Consignes de surveillance, repos, discuter d'une consultation auprès d'un cardiologue avec Holter, ECG. ECG : rythme sinusal régulier sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation. Laboratoire. RX thoracique. Hydratation 1000 ml sur 1h. Aérosol Ventolin 5 mg x 2 sur 1h. Aérosol Atrovent 0.5 mg x 2 sur 1h. Retour à domicile. Traitement symptomatique. Conseil d'usage. ECG : rythme sinusal régulier sans trouble de la repolarisation. ETT du 18.02.2019 : sténose aortique modérée, pas de péjoration importante de la fonction cardiaque (rapport définitif à pister). ECG : rythme sinusal régulier à 67/min, axe normal, pas de signe d'ischémie active, pas de signe de HVG, pas d'onde Q pathologique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason hépatique : décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, de médecine interne. ECG : superposable au comparatif. Laboratoire avec train de troponines et D-dimères. CT-thoracique injecté : pas d'EP. Pantozol 40 mg 1x/j. Ulcar 1 g 4x/j. ECG : superposable. Substitution IV et PO. Diminution du Torem de 5 mg à 2.5 mg puis arrêt du Torem le 22.02.2019. ECG : superposable. Supplémentation par KCL oral 3x 20 mmol/j et 40 mEq de K+ par 24h. Suivi biologique quotidien jusqu'à correction. ECG : superposable aux anciens. Laboratoire DDimère = 1238. Stix et sédiment urinaire = négatif. CT abdominal = Ileus mécanique sur probable adhérence avec plusieurs sauts de calibre au niveau périombilical sans signe de complication. Estomac distendu. Pas d'argument pour une dissection au niveau de la prothèse. Pose de sonde nasogastrique en déclive = évacuation de 700 ml d'un liquide noirâtre post sonde. Avis chirurgien = traitement conservateur devant l'absence de souffrance intestinale. À jeun avec boisson confort. Anticoagulation préventive. Réévaluation clinico-biologique le 25/02/19. CAT : • Transfert chirurgie pour suite de prise en charge.ECG : tachycardie sinusale. ECG : 76 bpm RSR, PR 170ms, QRS fins normoaxés, QTc 420ms, pas de trouble de repolarisation ni signe d'ischémie active ni de HVG. Pas d'onde Q pathologique. Cf. annexes. Laboratoire : normal. Cf. annexes. Radiographie du thorax : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution de Mr. Y. (Dr. X). ECG. Avis Dr. X, cardiologique. Anticoagulation par Xarelto 15 mg 2x/j du 28.01. au 18.02.2019 puis 20 mg 1x/j jusqu'à nouvel avis. US cardiaque à distance. ECG. Avis Prof. X : pas de reprise de l'anticoagulation. ECG : axe normal, rythme sinusal régulier, PR 180 ms, QRS fins pas de sus/sous décalage. Laboratoire : leucocytes 6.1 G/l, CRP 10 mg/l, Hb 163 g/l, Créatinine 83 µmol/l, Na 139 mmol/l, K 3.9 mmol/l, Troponines T0 6 ng/L, T1 5 ng/L. Radiographie du thorax face/profil du 18.02.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. (Dr. X) ECG : BBD. Laboratoire. Radiographie du thorax dans les limites de la norme. Urines. Retour à domicile avec contrôle à 7 jours chez le médecin traitant. Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. ECG : BBG connu avec sous-décalage en D2 et D3 +/- AVR. Labo : Trop 14 ng/L, CK et CK-MB dans la norme. Aspirine 500 mg le 20.02.2019. CT triple-rule out le 20.02.2019 : Pas de dissection aortique, pas d'embolie pulmonaire. Coronarographie le 20.02.2019 : Maladie tritronculaire sévère avec indication à un pontage. Doppler carotidien et membre inférieur le 20.02.2019. Transfert au CHUV le 23.02.2019 pour pontage. ECG : BBG connu avec sous-décalage en D2 et D3 +/- AVR. Labo : Trop 14 ng/L, CK et CK-MB dans la norme. CT triple-rule out le 20.02.2019 : Pas de dissection aortique, pas d'embolie pulmonaire. Coronarographie le 20.02.2019 : Maladie tritronculaire sévère avec indication à un pontage. Doppler carotidien et membre inférieur le 20.02.2019. Aspirine 500 mg le 20.02.2019. Atrovastatine 40 mg dès le 21.02.2019. Transfert au CHUV le 22.02.2019 pour pontage prévu le 25.02.2019 par Prof. X. ECG : BBG connu avec sous-décalage en D2 et D3 +/- AVR. Labo : Trop 14 ng/L, CK et CK-MB dans la norme. CT triple-rule out : Pas de DA. Pas d'EP. Coronarographie : Maladie tritronculaire nécessitant un probable pontage. Mr. Y pris au SIC pour suite de prise en charge et discussion du pontage. ECG : BBG incomplet sans comparatif. Laboratoire. Adalat 20 mg. Lisitril cpr 10 mg. Meto Zerok cpr 25 mg. ECG : BBG, superposable. Laboratoire. Rx du thorax. Gazométrie artérielle. Avis cardiologique (Dr. X). Aux urgences : Lasix 40 mg i.v. aux urgences, KCl 20 mmol p.o., Deponit patch 5 mg/24h à 21h45 le 04.02.2019. Attitude : • Hospitalisation pour poursuite diurétiques • Patch à décoller ECG Bilan biologique Sédiment urinaire RX de thorax Mise en place de sonde vésicale CT cérébral natif ECG Bilan biologique Sédiment urinaire Hydratation par NaCl 0.9 % Radiographie du thorax CT cérébral ECG : dans la norme. Labo : aligné. Gazo. CT thoraco-abdominal (rapport oral) : Hématome dissécant de la fin de la cross de l'aorte jusqu'au hiatus diaphragmatique. Circonférentiel, semi-circonférentiel. Avis chir (Dr. X) : Cible tensionnelle systolique < 100 mmHg Labétalol 120 mg /h IV continu Lisinopril 10 mg per os 2x Adalat 20 mg per os ébrantil 5 mg IV Bolus ébrantil 10 mg IV Bolus 3x Fentanyl 100 mg Temesta 1 mg Transfert soins. ECG dans la norme Résonium Hydratation Suivi biologique ECG d'entrée : RSR à 67 bpm, ondes P à 120 ms, espace PR à 178 ms, QRS fin à 80 ms avec un axe horizontal. Ondes T négatives en V2-V3. QTc à 426 ms. ECG de sortie : RSR à 69 bpm, ondes P à 116 ms, espace PR à 184 ms, QRS fin avec un axe normal. Ondes T négatives en II, aVF, V2-V4. QTc à 426 ms. Test de 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 465 m, FC 76-104 bpm, TA repos 121/70 mmHg, TA fin 132/60 mmHg. Test de 6 minutes à la sortie : distance parcourue 540 m, FC repos 63-103-84 bpm, TA repos 130/74 mmHg, TA fin 172/74 mmHg, BORG 2-3/10. ECG d'entrée : RSR à 70 bpm, ondes P de 106 ms, espace PR de 162 ms, QRS fin avec un axe à 43°. Progression de l'onde R avec inversion en V2-V3. Segment ST isoélectrique. QTc de 424 ms. ECG de sortie : RSR à 70 bpm, ondes P de 124 ms, espace PR de 170 ms, QRS fin avec un axe à 43°. Progression de l'onde R avec inversion en V2-V3. Segment ST isoélectrique. QTc de 420 ms. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 195 m, FC repos 71 bpm, FC fin 77 bpm, FC récup 73 bpm, TA repos 110/74 mmHg, TA fin 135/80 mmHg, BORG 5/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 315 m, FC repos 75 bpm, FC fin 88 bpm, FC récup 81 bpm, TA repos 100/63 mmHg, TA fin 101/58 mmHg, BORG 3/10. ECG d'entrée : RSR à 73 bpm, onde P à 82 ms, espace PR à 152 ms, QRS fins normo-axés. QTc à 433 ms. ECG de sortie : RSR à 86 bpm, onde P à 76 ms, espace PR à 136 ms, QRS fins avec un axe à -31°. QTc à 441 ms. Holter du 15.01.2019 : un accès non soutenu de TSV, sinon sans particularité. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 350 m, FC repos 85 bpm, FC fin 102 bpm, FC récup 94 bpm, TA repos 129/75 mmHg, TA fin 139/72 mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 350 m, FC repos 96 bpm, FC fin 113 bpm, FC récup 109 bpm, TA repos 110/71 mmHg, TA fin 128/76 mmHg, BORG 3/10. ECG d'entrée : TSV par rentrée nodale à 144/min, QRS fins normoaxés, pas de trouble de repolarisation. ECG à 07h30 : RSR 78/min, BAV 1° (PR 270ms), QRS fins normoaxés, QTc 380ms, pas de trouble de repolarisation. ECG d'entrée : Rythme sinusal régulier à 59/min, axe 20°, PR à 188ms, QRS fins à 92ms de morphologie normale, transition tardive en V3-V4, ST isoélectrique, pas d'inversion des ondes T, QTc à 392ms. ECG d'entrée Suivi des TA avec adaptation du traitement freinateur et anti-hypertenseur de Tenormin. Diminution du traitement : Tenormin 12.5 mg dès le 16.02.2019. ECG d'entrée (17.01.2019) : RSR à 49/min, PR 162 ms, QRS fins avec axe à -24°, ondes T négatives en D3-VF, QTc 369 ms. ECG de sortie (31.01.2019) : RSR à 76/min, PR 170 ms, QRS fins avec axe à -31°, ondes T négatives en D3-VF, onde T biphasique en D2, QTc 441 ms. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 450 m, FC repos 57 bpm, FC fin 78 bpm, TA repos 126/87 mmHg, TA fin 134/82 mmHg, BORG 2-3. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 510 m, FC repos 60 bpm, FC fin 104 bpm, TA repos 117/74 mmHg, TA fin 130/81 mmHg, BORG 2-3/10. ECG du 01.02.19 : fibrillation auriculaire avec deux extrasystoles ventriculaires. Investigations cardiaques à réévaluer chez le médecin traitant. Physiothérapie. ECG du 01.02.2019 Bilan biologique. Radiographie du thorax. Test de Schellong sans bas des 05.02.2019 et 09.02.2019 : positifs. Bas de contention. Test de Schellong avec bas du 10.02.2019 : positif. Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 02.02.2019 au 17.02.2012, avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 04.02.19 : MMSE à 26/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 2/15. ECG du 04.02.19 : FA avec bloc de branche droite. Radiographie du thorax du 04.02.19 : Signes d'insuffisance cardiaque décompensée avec cardiomégalie, turgescence hilaire bilatérale, redistribution vasculaire baso-apicale et flou péri-hilaire. Pas de franc foyer infectieux pulmonaire surajouté. Pacemaker bicaméral. Tassement vertébral à la charnière thoraco-lombaire. CT-scanner du 06.02.19 : Signe de fasciite nécrosante touchant le périnée et la cuisse gauche. ECG du 04.02.2019 : sp. ECG du 05.02.2019 : sous-décalage en territoire inférieur sans comparatif. Laboratoire du 05.02.2019 : • H0 : 85, H1 : 96, H3 : 96. CT-scan cérébral du 05.02.2019 : pas de saignement visualisé. Avis cardiologique (Dr. X) : pas d'indication à plus d'investigations concernant la cinétique des troponines (dosage troponine en 05.2017 à 78, modification ECG mis sur le compte de séquelle d'embolie pulmonaire basale 2012. • att ad hospitalisation pour bilan de chute ECG du 05.02.2019 CT-scan abdominal du 05.02.2019 : Examen compatible avec une cholécystite associé à un réhaussement des voies biliaires extra-hépatiques, suspect de cholangite. Pas de lithiase radio-opaque décelée. Pas de dilatation des voies biliaires. Thrombose d'une branche de la veine porte dans le segment VIII. CT scan abdominal du 10.02.2019 : Diminution de la dilatation de la vésicule biliaire mais persistance de signes de cholécystite ainsi que de signes de cholangite. Apparition d'un léger œdème pancréatique et d'une légère infiltration de la graisse péri-pancréatique en faveur d'une pancréatite mais sans plage de nécrose ni coulée de nécrose (Balthazar C). La thrombose porte segmentaire droite est inchangée. Le reste est inchangé. CT scan abdominal du 15.02.2019 : Saignement actif digestif intra-luminel au départ du duodénum, au site de papillotomie. Le reste de l'examen est superposable au précédent. Laboratoire : cf. annexes ECG du 07.01.2019 : bradycardie sinusal, axe normal, pas de troubles de la repolarisation. Mise en suspens de l'anticoagulation le 04.01.2019 avec reprise dans 8 semaines une fois réévaluation CT crâne. Discuter d'une fermeture de l'auricule à 6 semaines post AVC. ECG du 09.02.2019 • att Suivi clinique + poids + constantes. Discuté lors d'hospitalisation de janvier 2019 : Suivi aux 6 mois, réévaluation TAVI selon évolution clinique. ECG du 11.02.2019 : rythme sinusal, fréquence 70/min, axe 60°, QRS fin, pas d'élévation du segment ST, bonne progression précordiale, présence d'une extrasystole. Laboratoire : cf annexe ECG du 12.02.2019 Laboratoire du 12.02.2019 Avis cardio le 12.02.2019 (Dr. X, cardiologue de garde) : titrage au Beloc zok 3 x 5mg iv, comprimé à 25mg po ; discuté également avec Dr. X, cardiologue de Mme. Y, qui préconise une coronarographie ; discuté avec Dr. X en cardiologie, hospitalisation en médecine, coronarographie demain ; dose de charge aspirine, Beloc 2x25mg. • att Bolus NaCl 250ml rapide 2 x 5mg iv Beloc Zok 25mg per os à 01h55. Cardioversion suite à ce traitement. CHA2DSVASC2 à 2 ; HASBLED 1 ; discuter anticoagulation si diagnostic de flutter confirmé. ECG du 13.02.2019 : rythme sinusal normocarde avec arythmie respiratoire, pas de sous- ou sus-décalages, QTc à 420 ms. ECG du 15.02.2019 : superposable au dernier ECG. Laboratoire du 15.02.2019 : - H0 à 156 (demande externe) - H1 à 168 Rx thoracique du 15.02.2019. Avis cardio (Dr. X) : coronarographie le 16.02.2019, Aspirine 500 mg iv, Effient 60 mg, Héparine 5000 UI. • att ad hospitalisation aux soins intensifs pour coronarographie le 16.02.2019. Aspirine 500mg, Efient 60mg et héparine 5000 UI reçu aux urgences en OU. ECG du 15.02.2019 Consilium de cardiologie du 15.02.2019 Dr. X : ad anticoagulation par Elliquis 5mg 2x/j et US cardiaque. • att Consilium pour US cardiaque (ETT) effectué. Bilol 7mg iv aux urgences (1 boucle à 5mg, 1 boucle à 2mg) avec bon effet sur FC. ECG du 18.02.2019 : rythme non sinusal tachycarde à 128 bpm, axe 30°, ondes F, QRS fin, pas de signes d'hypertrophie, pas d'élévation du segment ST. ETT du 20.02.2019 : aspect de tachycardiomyopathie sur FA rapide non valvulaire avec : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie globale modérée. FEVG à 30-35 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3), d'origine dégénérative. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Oreillette gauche modérément dilatée. Ventricule droit normal de fonction systolique normale. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. HTP minime (PAPs à 39 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. ECG du 21.02.2019 : rythme sinusal, régulier, normocarde, PR normal, QRS fin, pas de décalage du segment ST --> normal. Radiographie du thorax face/profil du 21.02.2019 : suspicion foyer basal gauche. CT thorax injecté du 21.02.2019 : pas d'embolie pulmonaire, foyers pulmonaires prédominant au niveau de la lingula et petits foyers pulmonaires du LSG portion apicale et LSD. ECG du 23.02.2019 : rythme sinusal régulier tachycarde à 111/min, PQ 150 ms, QRS fins à 90 ms, axe normal à 30°, transition de l'onde R en V4, pas d'onde Q significative, pas de trouble de la repolarisation, QTc 470 ms. Radiographie thorax. ECG du 26.02.2019 (avec explication donnée par le médecin). Traitement symptomatique. Physiothérapie. Patient instruit des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. ECG du 29.01.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde, axe normal, onde P d'aspect normal, PR allongé 280ms, BBG, QTc 460 ms, superposable avec le précédent. CT cérébral natif le 04.02.2019 : Sous réserve d'un examen de mauvaise qualité, pas de lésion hémorragique. Mise en évidence d'une volumineuse plage d'hypodensité parenchymateuse et de dédifférenciation cortico-sous-corticale occipito-temporale droite évoquant un évènement ischémique subaigu à chronique dans le territoire de l'artère cérébrale postérieure droite. Au sein de la partie toute distale du tronc basilaire, hyperdensité spontanée pouvant correspondre à un thrombus, DD : calcification (occlusion du départ de l'artère cérébrale postérieure droite ?). RX cheville droite le 04.01.2019 : Fracture oblique, intra-articulaire de la malléole externe, classée Weber B, légèrement déplacée latéralement. Présence de décrochés corticaux au niveau de la malléole postérieure, ainsi que de la malléole interne, pouvant correspondre à des fractures intra-articulaires, non déplacées. Pas de luxation de l'articulation tibio-fibulo-talaire. Tuméfaction des tissus mous péri-malléolaires. OGD du 07.02.2019 : Plusieurs lésions ulcéreuses au niveau du bulbe duodénal et du duodénum proximal, dont 2 avec un saignement aigu traités par clip et avec sous-injection d'Adrénaline et d'Hémospray. Si Mme. Y reste stable, nous recommandons d'effectuer une gastroscopie de contrôle dans 1 semaine. En cas de signe clinique pour une hémorragie, répéter l'OGD en urgence. ETT le 07.02.2019 : Dilatation modérée du ventricule gauche, sans hypertrophie avec akinésie de la paroi septale antérieure moyenne, hypokinésie sévère du septum moyen, hypokinésie modérée de la paroi latérale moyenne, de la paroi inférieure moyenne et de la paroi postérieure moyenne et hypokinésie minime de la paroi antérieure moyenne. FEVG à 32 % (méthode de Simpson). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4) fonctionnelle. Dysfonction diastolique modérée (grade II). Discrète augmentation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche modérément dilatée. Ventricule droit non dilaté. Fonction systolique du ventricule droit normale. Ventricule droit non dilaté. Absence d'épanchement péricardique. ECG du 29.01.2019 : tachycardie sinusale, déviation de gauche. Rx thorax du 29.01.2019 : Présence d'une surdensité infra hilaire à droite, suspects de foyer. Frottis de grippe du 29.01.2019 : négatif.Legionellen-Antigen im Urin vom 30.1.19: non détectable Culture sanguine du 30.1.19 : suit Oxygénothérapie Physiothérapie respiratoire Symbicort 2x/jour Inhalation avec Atrovent et Ventolin Réhydratation intraveineuse 1l/24 h Klaxid 500 mg le 30.1.19 - 31.1.19 Rocephin 2 gr le 31.1.19 (stoppée pour suspicion de réaction allergique) Tavanic 500 mg/24 Std dès le 31.1.19 ECG du 29.1.2019: tachycardie sinusale, déviation de gauche, pas de trouble de la repolarisation TSH du 30.1.2019: 2.63 mU/l Réhydratation intraveineuse ECG du 6.2.19: rsr, déviation normale, BBD, pas de trouble de la repolarisation Rx thorax du 6.2.19: pas d'infiltrat ni de signe de surcharges cardiaques ECG du 8.2.19: rythme sinusale normocarde, axe normale, pas de trouble de la repolarisation Radiologie thoracique du 9.2.2019: colonne vertébrale ostéoporotique avec deux tassements de Th 11 et Th 12 ECG (examen avec explication donnée par le médecin). Temesta 1 mg. Retour à domicile. Réassurance. Réévaluation par psychologue en ambulatoire prévue le 21.02.2019. ECG, explication donnée par le médecin. Recherche hypotension orthostatique. ECG (FA à réponse ventriculaire normale). Patient déjà sous double anti-agrégation pour artériopathie stade IV. ECG: FA à 96/min, axe à -60°, sus-décalage ST en DII et DIII, AVF en V5-V6, sous-décalage ST en D1, AVL et de V1 à V3, onde T négative en DI AVL, Qtc 433 ms. ECG: FA tachycarde avec extrasystoles ventriculaires Att: • evt. adaptation de la dose Beloc Zok • ECG comparatif à pister chez médecin traitant, FA connue? • discuter introduction anticoagulation ECG: fibrillation auriculaire Troponine à 10h et 15h négative Pro-BNP: 4424 EHRA score: II-III Echocardiographie à organiser ECG// Gazométrie// Laboratoire: NT-ProBNP: 94ng/l , DDimères: 190ng/ml// Rx du thorax Influenza A positif Avis pneumologique Physiothérapie respiratoire Aux urgences: 1x Solumédrol 125 mg i.v., Prednisone 50mg 1x/j du 12.2 au 16.2.2019 Rocéphine 2g i.v., Klacid 500 mg i.v. le 11.2. Co-amoxiciline 2x 1g po du 12.2 au 18.2.2019 Inhalations avec Ventolin et Atrovent Spiolto respimat 2.5mcg 2x le matin dès le 19.02.2019 avec aérosols en réserve ATT: • Contrôle chez le médecin traitant le 22.02 à 10h30 • Contrôle chez Dr. X le 27.03 à 15h15 ECG Holter le 12.02.2019 ECG Labo À Vevey : Arixtra SIC 2.5mg, Brilique PO 180 mg, Aspirine PO 500 mg Aux urgences de Fribourg : Primperan 10 mg iv ATT • hospitalisation avec surveillance aux soins et coronarographie demain ECG Labo cinétique des troponines stables Rx du thorax : élévation du diaphragme à droite d'origine indéterminée Avis cardio (Dr. X) : pas de cinétique des troponines, angor stable, discussion avec Stauffer. Le patient aura une coronarographie demain après-midi ATT • hospitalisation pour surveillance, coronarographie demain après-midi ECG Labo Echo ciblée aux urgences (Dr. X) : pas d'épanchement péricardique, pas d'hypokinésie (sous réserve d'un examen avec mauvais échogénicité) ECG le 05.02.2019 Suivi INR et adaptation du Sintrom ECG le 06.02.2019 : RSR avec FC à 60/min, normoaxé, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie de thorax le 06.02.2019 : la silhouette cardio-médiastinale se présente normalement. Les hiles pulmonaires se présentent normalement. Pas d'opacité anormale en projection du médiastin et des plages pulmonaires. Absence de cardiomégalie. Pas d'épanchement pleural. Les structures osseuses se présentent normalement. CT thoraco-abdominal le 07.02.2019 : discret épaississement gastrique aspécifique juste en aval de la jonction œsogastrique dans le cardia (DD : gastrite ? lésion tumorale ?). A confronter à une OGD. Image de spasme du côlon transverse, sans qu'une colite ne puisse être totalement exclue, malgré l'absence d'une franche infiltration dans la graisse alentour. A confronter à une colonoscopie. Le reste de l'examen abdominal est sans particularité, sans anomalie pouvant expliquer les symptômes de la patiente, sous réserve de l'absence d'injection iv du produit de contraste. Visualisation d'un petit nodule correspondant à un récessus péricardique contenant du liquide au contact de la veine pulmonaire inférieure droite, mesurant 13 x 11 mm. Le reste de l'examen est sans particularité. Pas de suivi nécessaire. Test d'effort le 08.12.2019 : rapport en cours. ECG le 06.02.2019 : rythme sinusal à 89 bpm, PR à 160 ms, QRS fins normoaxés, transition de l'onde R en V4, ST isoélectriques, QTc 415 ms. ECG superposable à comparatif du 16.02.2018. Cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : signe de broncho-pneumopathie bilatérale avec hypertransparence pulmonaire. Foyer de condensation apicale droite. Désorganisation de la trame broncho-vasculaire des deux bases pulmonaires. Aorte déroulée et calcifiée. (Dr. X). CT-scan thoracique natif et injecté : acquisition tomodensitométrique hélicoïdale centrée sur le thorax en phase native puis après injection de 100ml de Ioméron 400 bien toléré. Comparatif du 28 mars 2018. En fenêtre médiastinale, pas d'épanchement pleural ou péricardique. Stabilité d'une adénopathie médiastinale de la loge de Baréty de 1,6 cm. Athéromatose calcifiée de la crosse aortique et de la valve aortique. Élargissement du tronc pulmonaire à 3,1 cm en faveur d'une hypertension pulmonaire. Pas d'anomalie de calibre de l'aorte ascendante. Pas d'anomalie du massif cardiaque. En fenêtre parenchymateuse, apparition d'une masse mal délimitée du segment postérieur du lobe supérieur droit mesurant environ 3,2 x 2,6 x 3,5 cm s'étendant à la plèvre et avec contact avec la grande scissure, ainsi qu'une excavation aérique centrale. On retrouve une petite condensation parenchymateuse adjacente du segment apical du lobe supérieur droit, de taille inchangée. Atélectases en bande bi-basale d'aspect également inchangé. Aspect discrètement en mosaïque du parenchyme pulmonaire traduisant une atteinte des petites voies aériennes ou de la microcirculation, déjà visible sur le comparatif. Arbre trachéo-bronchique sans particularité. En fenêtre osseuse, troubles dégénératifs pluri-étagés prédominant à la charnière dorso-lombaire. Pas de lésion lytique ou condensante suspecte, notamment en regard du contact pleural de la masse parenchymateuse lobaire supérieure droite. Ancienne fracture de l'arc postérieur de la 12ème côte droite. Sur les coupes passant par l'abdomen, pas de lésion suspecte des viscères examinés. Volumineux calcul vésiculaire de 3 cm sans signe de cholécystite. CONCLUSION : apparition d'une masse de 3,5 cm de plus grand axe du segment postérieur du lobe supérieur droit avec une cavitation centrale venant au contact de la plèvre, (DD : carcinome épidermoïde primaire vs métastase). Une lésion tuberculeuse ou un infarctus pulmonaires sont moins probables selon le contexte. ECG le 06.02.2019: ECG superposable aux anciens avec rythme sinusal à 101 bpm, PR à 184 ms, QRS élargis avec aspect de bloc de branche droit complet avec un axe normal à 80°, QTc 455 ms, ondes S profondes en aVL, et segment ST surélevé en dérivation III. ECG le 06.02.2019: rythme sinusal à 75 bpm, PR à 192 ms, QRS fins avec un axe à 38, QTc 420 ms, ST isoélectriques sans signes d'ischémie active. ECG le 06.02.2019: rythme sinusal à 89 bpm, PR à 160 ms, QRS fins normoaxés, transition de l'onde R en V4, ST isoélectriques, QTc 415 ms. ECG superposable à comparatif du 16.02.2018. CT thoracique natif et injecté le 06.02.2019: apparition d'une masse de 3,5 cm de plus grand axe du segment postérieur du lobe supérieur droit avec une cavitation centrale venant au contact de la plèvre, (DD : carcinome épidermoïde primaire vs métastase). Une lésion tuberculeuse ou un infarctus pulmonaires sont moins probables selon le contexte.ECG, le 07.02.2019 : rythme sinusal normocarde régulier (60 bpm), non-pacé, BAV 1er degré, axe QRS dans la norme, QRS fins, segment ST isoélectrique, pas de troubles de la repolarisation. Radiographie du thorax, le 07.02.2019 : pas de pneumothorax. ECG le 08.02.2019 : Fibrillation auriculaire avec tachycardie à 112 bpm, axe -126°, ondes F, QRS fin, pas d'élévation du segment ST, pas de trouble de la repolarisation, bonne progression précordiale. ECG 12.02.2019 : rythme sinusal à 77 bpm. Radiographie du thorax le 08.02.2019 : • Cardiomyégalie, turgescence hilaire bilatérale, redistribution vasculaire baso-apicale et infiltrat interstitiel diffus, parlant plutôt pour une insuffisance cardiaque décompensée. Pas de franc foyer infectieux surajouté. • Absence d'épanchement pleural et de pneumothorax. • Sclérose de l'aorte thoracique. Coronarographie le 08.02.2019 : L'angiographie coronaire actuelle montre une sclérose coronarienne sans sténose significative. En outre, le ventricule gauche dilaté présente une fonction systolique très fortement restreinte et une augmentation de la pression finale diastolique (LVEDP 22 mmHg) dans le ventriculogramme. Il existe donc une cardiomyopathie dilatée avec une altération sévère de la fonction systolique ventriculaire gauche (tachycardiomyopathie DD). Nous recommandons d'effectuer une électrocardioversion en temps opportun avec une anticoagulation orale adéquate et d'étendre le traitement de l'insuffisance cardiaque au cours de/après amélioration de la fonction rénale - par un inhibiteur de l'ECA et éventuellement un antagoniste des minéralocorticoïdes. ETT 11.02.2019 (Dr. X) : Dilatation modérée du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 20 % (évaluation visuelle). Oreillette gauche modérément dilatée avec un contraste spontané important. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Dilatation modérée du ventricule droit. Dilatation modérée des cavités droites. La cardioversion électrique s'est déroulée sans complication avec retour en rythme sinusal après 1 choc électrique synchrone à 150 J. Majorer traitement d'insuffisance cardiaque, ETT d'évolution à 1 mois. Radiographie du thorax le 12.02.2019 : Comparatif du 07.02.2019. Développement d'une opacité pulmonaire basale droite compatible avec un foyer infectieux. ECG le 08.02.2019 : RSR à 50 bpm, pas de bloc AV, QRS fin d'axe normal, segment ST isoélectrique, onde T négative en V1. ECG le 09.02.2019 : rythme sinusal régulier, BAV 1°, BBG. CT cérébral le 09.02.2019 : Pénombre ischémique dans la région fronto-temporale droite sans infarctus constitué et sans occlusion vasculaire. Plaques d'athérome calcifiées au niveau des bulbes carotidiens et à l'origine de la vertébrale gauche sans sténose significative. Plaques d'athérome mixtes molles et calcifiées au niveau de la crosse de l'aorte. Sinusite aiguë sphénoïdale et maxillaire bilatérale. ECG le 10.02.2019 : cf. annexes. Rythme FA normocarde, QRS fins normoaxés, QTc 460 ms, sous décalage ST <1 MV en V3 et V4, reste des segments ST isoélectriques, bonne progression de l'onde R avec transition en V3. Radiographie du bassin de face et de la hanche gauche axiale le 10.02.2019 : • Bassin et hanche D : multiples lésions condensantes diffuses et bilatérales, d'allure secondaire. • Fracture engainée en valgus du col fémoral gauche. • Coxarthrose bilatérale. • Médiacalcose bilatérale des artères fémorales. CT cérébral : les structures médianes sont en place. Le système ventriculaire est dilaté. Élargissement des sillons corticaux en rapport avec une atrophie cérébrale. Pas d'hémorragie méningée. Pas de collection hématique juxta-osseuse ou intraparenchymateuse. CT du pelvis : on retrouve les lésions ostéocondensantes diffuses bilatérales des ailes iliaques, du sacrum, des dernières vertèbres lombaires et au niveau fémoral, de façon bilatérale. Fracture engrainée en valgus du col fémoral à G. Aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. Calcifications athéromateuses des artères iliaques externes et des artères fémorales. Coprostase rectale. Hypertrophie prostatique à confronter aux données de la PSA. CONCLUSION : CT cérébral : pas de lésion traumatique cérébrale. CT du pelvis : aspect de lésions métastatiques condensantes diffuses bilatérales lombaires, iliaques, sacrées et fémorales avec fracture engrainée en valgus du col fémoral à G. (Dr. X). CT-scan cérébral natif : acquisition tomodensitométrique hélicoïdale centrée sur le cerveau en phase native. Pas d'hémorragie intra ou extra-axiale ni effet de masse ni déviation de la ligne médiane. Système ventriculaire symétrique. Citernes de la base libres. Leuco-araïose péri-ventriculaire. Atrophie cortico-sous-corticale en lien avec l'âge. Selle turcique et noyaux gris centraux sans particularité. Athéromatose calcifiée des siphons carotidiens des segments V4 des artères vertébrales des deux côtés. Sinus de la face et cellules pétro-mastoïdiennes bien pneumatisées. St/p phakectomie des deux côtés. Pas de lésion osseuse. CONCLUSION : pas de lésion post-traumatique. Pas de saignement intracrânien. (Dr. X). ECG le 10.02.2019 : cf. annexes. Rythme sinusal, PR 140 ms, QRS fins normoaxés, QTc 460 ms, ST isoélectriques sans signe d'ischémie active, T négatifs isolés en V1 et V3. ECG le 10.02.2019 : cf. annexes. Rythme sinusal, PR 150 ms, QRS fins et normoaxés, QTc non allongés, ST isoélectriques sans signe d'ischémie active. Bonne progression de l'onde R avec transition en V2. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes légèrement augmentés. ECG le 10.02.2019 : rythme sinusal, PR 150 ms, QRS fins normoaxés, QTc 454 ms, ST isoélectriques sans signe d'ischémie active, bonne progression de l'onde R avec transition en V2. Cf. annexes. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, bonne fonction rénale, pas de modification en dynamique des troponines, D-dimères positifs. Radiographie du thorax face/profil et CT-scan thoracique pour recherche d'embolie pulmonaire natif et injecté : examen réalisé avant et après injection i.v. de 70 ml d'Iomeron 400. Absence de comparatif. Thorax : goitre bilatéral, s'étendant jusqu'au médiastin supérieur. Les autres structures médiastinales et cardio-vasculaires ont une morphologie normale. Pas de masse ou d'adénopathies. Multiples ganglions hilaires infra-centimétriques. Aorte thoracique et tronc pulmonaire de calibre normal. Absence d'embolie pulmonaire visualisée jusqu'en sous-segmentaire. Quelques troubles ventilatoires dans les parties déclives des deux lobes inférieurs. Pas de foyer infectieux. Petit nodule péri-bronchovasculaire de 7.5 mm du lobe supérieur droit devant correspondre à un ganglion. Pas d'épanchement pleuropéricardique, pas de pneumothorax. Sur les coupes passant par l'étage abdominal : Sous réserve d'un temps artériel précoce, pas de lésion suspecte. Osseux : absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION : hormis un goitre bilatéral s'étendant jusqu'au médiastin supérieur, le CT thoracique est normal, sans signes d'embolie pulmonaire ni de foyer infectieux. Pas de pneumothorax. (Dr. X). ECG le 11.02.2019. Echographie cardiaque transthoracique le 13.02.2019 : Évaluer l'indication à une coronarographie à distance. ECG le 12 et 13.02.2019. Holter posé le 22.02.2019 pour 24 h : Résultats du Holter à pister par médecin traitant, en cas d'indication à une anticoagulation, tenir compte de la nécrose oesophagienne et du risque de saignement digestif (envisager avis gastro-entérologique). ECG le 14.02.2019. Ultrason abdomino-pelvien le 28.09.2019 : Pas de DPC, mise en évidence d'un syndrome de masse de 5 cm situé à la paroi inférieure de la vessie, compatible en premier lieu avec un hématome organisé.CT abdominal le 12.2.19: Forte suspicion d'une tumeur intra-vésicale de la paroi latérale gauche de la vessie s'étendant sur la jonction urétéro-vésicale, sans dilatation en amont. Caillot sanguin de 7 cm de grand axe autour de cette lésion. Absence d'adénopathie. Absence de lésion prostatique clairement visible sous réserve d'une modalité sous-optimale pour son évaluation. Prise de contraste nodulaire du canal rachidien latéralement à gauche à hauteur de L2-L3 (DD : probable hernie discale ? A compléter par IRM pour une meilleure caractérisation). Fracture avec début de consolidation de la 7ème côte droite. Radiographie thoracique le 12.2.19: Index cardio-thoracique légèrement augmenté à 0.56. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardio-médiastinale dans la norme avec toutefois calcifications du bouton aortique et nette aorte thoracique descendante déroulée inchangées par rapport au comparatif. Discret infiltrat interstitiel basal gauche. Pas de foyer parenchymateux systématisé. Absence d'opacité nodulaire suspecte radiographiquement visible dans les 2 champs pulmonaires. Cadre osseux en relation avec l'âge du patient sans lyse osseuse. Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf. annexes ECG le 18.02.2019 Radiographie du thorax le 18.02.2019 ECG le 19.01.2019 Pour le reste des investigations et traitements: cf. TIP des diagnostics supplémentaires et complications ECG le 22.01.2019: fibrillation auriculaire à 96 bpm Anticoagulation par Eliquis 2.5 mg x 2/jour ECG le 23.02.2019: Bloc de branche gauche incomplet ETT à prévoir Poursuite Lisinopril et Métoprolol Introduction de Nifédipine le 23.02.2019 ECG le 25.01.2019 Suivi clinique ECG le 30.01.2019 : dans la norme Echocardiographie ETT le 31.01.2019 (rapport en annexe) : dans la norme Laboratoire : troponine 3 ng/l le 30.01.2019 ECG le 31.01.2019 Sérologie brucellose le 4.02.2019 : négatif IRM rachis et sacro-iliaques le 6.02.2019 CT coupe fine natif - sacro-iliaque et jonction thoraco-lombaire le 7.02.2019 et colonne cervicale le 11.02.2019 Recherche acide homogentisique urinaire le 8.02.2019 : négatif (exclusion ochronose/Alcaptonurie) - recherche sanguine non possible. Kineret 100 mg/j du 08 au 11.02.19, 200 mg/j du 12 au 13.02.19 Lodine 600 mg/j du 14.02 au 19.02.2019 (prurit, inconfort digestif, mais efficacité partielle sur lombalgies basses) Suite en ambulatoire par le Professeur X : • Avis génétique pour association Ehler-Danlos et calcifications étendues. • Évaluation nouveau traitement par Ilaris ou Remicade ECG le 9.2.19. Radiographie du thorax le 9.2.19: Silhouette cardio-médiastinale normale. Pas de signe d'insuffisance cardiaque majeure. Léger épaississement bronchique en base droite. Pas de foyer infectieux intrapulmonaire, pas de nodule suspect individualisé. Pas d'épanchement pleural. Pacemaker tricaméral en place, avec des sondes en projection de l'oreillette droite, du ventricule droit et du ventricule gauche. Cadre osseux sans particularité. ETT le 11.02.19: Discrète dilatation du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 26 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4) fonctionnelle. Discrète augmentation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche très dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit non dilaté. Fonction systolique du ventricule droit très altérée. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. ECG les 03-04.02.2019 ETT le 07.02.2019 Avis cardiologique le 07.02.2019 (Dr. X): bilan de cardiopathie ischémique actuellement pas nécessaire, à effectuer si le patient devient symptomatique. Poursuite anticoagulation (plutôt Eliquis que Xarelto au vu de l'âge du patient) à vie. Suivi clinique Bandage des jambes Torasémide 5 mg/j dès le 21.02.2019 Relais Xarelto-Eliquis dès le 07.02.2019 ECG les 03-04.02.2019 Poursuite Xarelto, relais Xarelto-Eliquis dès le 07.02.2019 (cf diagnostic supplémentaire 3) ECG. Manoeuvre vagale modifiée avec cardioversion. Rendez-vous de contrôle lundi chez le médecin traitant pour qu'il l'oriente vers un cardiologue pour investigation d'une AVNRT. Manoeuvre vagale expliquée Symptômes d'alarmes expliqués. ECG normal le 09.02.2019 Laboratoire le 09.02.2019 : Agranulocytose à 0.2 G/l ; CRP à 324 mg/L Urines stix et sédiments le 09.02.2019 : propre Urotube le 09.02.2019 : quelques Enterococcus faecalis 10E4 sensibles Hémocultures le 09.02 et le 11.02.2019 : Au total 4 paires négatives à cinq jours Coprocultures le 09.02.2019 : négative Frottis de grippe : négatif le 12.02.2019 Recherche de Clostridium difficile le 09.02.2019 : négative Radio du thorax le 09.02.2019 : pas de foyer Information médicale au service d'oncologie et ORL du CHUV Céfépime i.v. du 09.02 au 14.02.2019 Ciproxine et Co-Amoxi du 14.02 au 18.02.2019 Métronidazole IV le 10.02 au 11.02.2019 Isolement protecteur du 09.02 au 14.02.2019 Suivi clinique et biologique chez le Dr. X (médecin traitant) le 19.02.2019 ECG normal: sans ondes pathologiques, sans signes de péricardite Rx thorax: pas de foyer, pas de cardiomégalie, pas de fracture, pas d'épanchement et pas de pneumothorax. (avis radiologique: Dr. X) ECG: normale Laboratoire: Troponine H0, H1, NT proBNP ECG: normoaxé, rythme sinusal tachycarde 100/min., intervalles respectés, progression de R et repolarisation normales. ECG: QTc calculé à 474 ms selon Bazett Attitude: mise en suspend de l'Escitalopram ECG Radiographie du thorax Radiographie de la cheville gauche CT scan Avis Dr. X : patiente refuse l'opération, mise en place de VacoPed Mobilisation en charge complète avec tintébin Tests de la cognition du 05.02.2019 : MMSE à 25/30, test de la montre à 3/7 ; GDS à 4/15 ECG: RSR à 61 bpm, PR à 160 ms, QRS fins, axe -43°, ST isoélectriques, pas d'onde Q visualisée, QTc à 433 ms CT thoraco-abdominal du 01.02.19: Les axes artériels étudiés se présentent normalement et sont perméables, sans dissection aortique en particulier. Pas d'embolie pulmonaire. Petit infiltrat nodulaire de type tree-in-bud dans le lobe supérieur gauche, associé à un épaississement bronchique diffus, un épaississement des septas inter-lobulaires et des plages en verre dépoli, ainsi que des adénopathies médiastinales et hilaires (signe de surcharge avec éventuelle bronchite associée ?). Pas de foyer pulmonaire. Polykystose rénale bilatérale, d'aspect globalement stable par rapport au comparatif de 2015. CT cérébral injecté du 01.02.19 : pas d'anomalie de l'encéphale et notamment pas d'hémorragie. US cardiaque du 05.02.19 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 50 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Épaississement de moins de 50 % des 2 feuillets mitraux. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. ECG: RSR, axe HG, fréquence 100 bpm, BBD complet connu, sous décalage ST en D2, ondes T négatives en D3, aVR - superposable à l'ancien Labo: cf annexes CT thoracique injecté: EP trilobaire bilatérale, bilobaire gauche sans répercussion pleuro-parenchymateuse actuellement décelable ddc. ECG: RSR, normo-axée, QRS fin, pas de trouble de la repolarisation (ECG comparable).ECG: rythme régulier sinusal à 66 bpm, QTc à 429 ms, pas de troubles de la conduction ni de la repolarisation ECG: rythme régulier sinusal à 88 bpm, pas de trouble de la conduction ni de la repolarisation, QTc à 400 ms ECG: rythme sinusal régulier. Test de Schellong négatif. ECG: rythme sinusal régulier à 83 bpm, axe à 23°, BAV du 1er degré avec PR à 270 ms, QRS 86 ms, transition RS en V3-V4, sus-décalage ST inframillimétrique en DI-DII, pas de trouble de la repolarisation. Laboratoire: Troponines H0 14 ng/l, H1 13 ng/l, D-Dimères 579 ng/ml. Radiographie du thorax face/profil et CT-scanner thoracique injecté: acquisition tomodensitométrique hélicoïdale centrée sur le thorax après injection de 70 ml d'Ioméron 400, bien toléré. Radiographie du thorax de face en incidence postéro-antérieure et profil en position debout. En fenêtre médiastinale, embolie pulmonaire segmentaire postérieure du lobe inférieur droit. Pas de dilatation du tronc pulmonaire ni du ventricule droit. Rapport VD/VG < 0.9. Pas d'épanchement pleural ou péricardique. Pas d'adénopathie des relais axillaires, thoraciques internes, médiastinaux ou hilaires. Athéromatose calcifiée de la crosse aortique. Importantes calcifications de la valve aortique. Thyroïde et œsophage sans particularité. En fenêtre parenchymateuse, troubles ventilatoires bi-basaux prédominant à droite. Nodule sous-pleural de 5 mm à cheval entre les segments latéral et postérieur du lobe inférieur droit. Micronodule du segment latéral du lobe inférieur droit de 4 mm. Pas d'autre lésion suspecte. Arbre trachéo-bronchique sans particularité. En fenêtre osseuse, pas de lésion lytique ou condensante suspecte. DISH du rachis dorsal. Sur les quelques coupes passant par l'abdomen, pas de lésion suspecte. CONCLUSION: embolie pulmonaire segmentaire postérieure du lobe inférieur droit. Pas de signe de surcharge droite. Nodule de 5 mm lobaire inférieur droit à corréler aux facteurs de risque afin de déterminer si un suivi est nécessaire (Fleischner Society recommandations). ECG: rythme sinusal régulier à environ 80/min, axe 60°, pas de microvoltage, PR 120-200 ms, QRS fins, bonne progression de l'onde R, ST isoélectrique, T inversé en V1, QTc 377 ms selon Bazett, 357 ms selon Fridericia. ECG: rythme sinusal régulier à 65/min, axe 23°, PR 156 ms, QRS 88 ms monomorphes, transition en V3, ST isoélectrique, QTc à 400 ms. Laboratoire: cf annexes. ECG: rythme sinusal régulier à 66/min, axe à 29°, PR 154 ms, QRS 96 ms monomorphes, pas de sus-décalage ST, QTc 400 ms. Schellong: négatif. Laboratoire: cf annexes. ECG: rythme sinusal régulier à 72/min, PR 144 ms, QRS 98 ms monomorphe, pas de sus-décalage ST, QTc 396 ms. ECG: rythme sinusal régulier à 75 bpm, axe 16°, PR 142 ms, QRS 80 ms monomorphe, transition RS V2-V3, ST isoélectrique, QTc 461 ms. Laboratoire: Hb 98 g/l. ECG: rythme sinusal régulier à 75/min, normoaxée, intervalle PR dans la norme, QRS fins, alternance à V3, sans trouble de la repolarisation. Laboratoire: aligné avec D-Dimères à 499 ng/ml (<500). ECG: rythme sinusal régulier à 86/min, axe à 86/min, PR 116 ms, QRS 88 ms de morphologie normale, pas de surélévation du segment ST, QRS 427 ms. Laboratoire: CRP 20 mg/l et leucopénie à 2.6 G/L. ECG: rythme sinusal régulier à 96 bpm, PR 140 ms, QRS 78 ms monomorphe, transition RS en V2, ST isoélectrique, QTc 461 ms. Laboratoire: cf annexes. Schellong: négatif. ECG: rythme sinusal régulier, axe HD, fréquence 100 bpm, ondes T négatives en V1, QRS fins, ondes T plates en D3, QTc 459 ms. ECG: rythme sinusal régulier, axe N, fréquence 60 bpm, QRS fins, ondes T plates en D3 et aVL. Radiographie du thorax face/profil: comparatif du 09.02.2019 et du 10.07.2018. Cœur de volume dans la norme, sans signe de décompensation. Élongation et discrète sclérose aortique. Discrète accentuation bronchique péri-hilaire bilatérale sans foyer parenchymateux systématisé visible. Pas d'épanchement pleural. Coupole diaphragmatique droite multi-lobulée. Squelette visible sans particularité. ECG: rythme sinusal régulier, bradycarde à 51 bpm, PR 162 ms, QRS 76 ms monomorphes, pas de sus-décalage ST, QTc 419 ms. Radiographie du thorax face/profil: silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture de côtes, ni de pneumothorax visualisé. ECG: rythme sinusal régulier, hémibloc antérieur gauche, BBD. Laboratoire: Stix et sédiment urinaire. RAD avec traitement symptomatique. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter les urgences. ECG: rythme sinusal régulier, normocarde à 74 bpm, axe gauche 36°, QRS 82 ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R normale en V3. QTc 456 ms. ECG: rythme sinusal régulier, normocarde, intervalles respectés, progression de R normale, pas de troubles de la repolarisation. Schellong négatif. ECG: rythme sinusal régulier sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation. Laboratoire: Gazométrie. Rx de thorax: pas de foyer franc. VNI aux urgences (PEEP à 6, Aide à 7). Lasix 40 mg i.v. aux urgences. Prednisone 40 mg. Aérosols Atrovent/Ventolin. Score de Wells: 0 pt Att: - antibiothérapie iv par Tazobac 4.5 g 3x/j - Atrovent/Ventolin - physiothérapie respiratoire - pister les Ag urinaires. ECG: rythme sinusal régulier sans troubles de la repolarisation. Attitude: - retour à domicile, arrêt de travail. - suite de prise en charge chez le médecin traitant en cas de récidive, avec éventuellement organisation d'un Holter. - expliqué à Mme. Y dans quelles conditions il faudra reconsulter en urgence. ECG: rythme sinusal régulier, tachycarde à 122 bpm, axe dévié à droite avec QRS à -110°, QRS à 84 ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R absente. QTc à 446 ms (qualité limitée). Radiographie du thorax les 03.02.2019 et 06.02.2019. ECG: rythme sinusal régulier, tachycarde à 122 bpm, axe dévié à droite avec QRS à -110°, QRS à 84 ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R absente. QTc à 446 ms (qualité limitée). Rx thorax: pas de foyer pulmonaire ausculté, aspect de thorax en tonneau avec augmentation de l'espace intercostal. ECG: rythme sinusal régulier à 71/min, PR 180 ms, QRS fins normoaxés, QTc 400 ms, pas de trouble de repolarisation. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du thorax face/profil du 23.02.2019: silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de signe de pneumopéritoine. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec ostéophytose intersomatique prédominant du côté D. CT-scanner de l'abdomen natif et injecté du 23.02.2019: absence de comparatif. Examen réalisé avant et après injection de 100 ml d'Iomeron 400. Dysmorphie hépatique avec atrophie de lobe gauche. Status post-cholécystectomie. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extrahépatiques. Le tronc porte et ses branches sont normalement opacifiés. Pour note absence de la branche portale gauche. Le pancréas, la rate et les surrénales se présentent normalement. Agénésie du rein droit et hypertrophie compensatrice du rein gauche, qui se présentent normalement sans dilatation du système excréteur. La vessie est à contenu hypodense sans épaississement pariétal. La prostate et les glandes séminales se présentent normalement. Les anses grêles et coliques sont sans particularité. Syndrome de Chilaïditi. Importante distension gastrique sans perforation visible. Pas d'iléus. Pas d'ascite. L'aorte abdominale et la veine cave inférieure sans particularité. Pas d'infiltration des tissus mous. Petite hernie ombilicale à contenu graisseux, de collet à 18 mm. Sur les quelques coupes passant par les bases pulmonaires, pas de nodule suspect mis en évidence. Le volume osseux exploré, pas de lésion ostéolytique ou ostéocondensante. Aspect irrégulier des plateaux vertébraux et cunéiforme de D9, D10 et D11 évoquant des séquelles de Scheuermann. Hernie intraspongieuse dans le plateau vertébral inférieur de D11.CONCLUSION: pas de pneumopéritoine. Status post-cholécystectomie. Dysmorphie hépatique avec atrophie du lobe gauche et absence de la branche portale gauche et agénésie rénale droite avec hypertrophie rénale gauche compensatrice, d'origine probablement constitutionnelle. ECG: rythme sinusal régulier, normocarde à 62 bpm, axe gauche à 54°, QRS fins à 96 ms, Segment ST isoélectrique, transition de l'onde R en V4, QTc à 380 ms. ECG sans modifications. Labo: • Arixtra 2.5 mg le 20.02.2019 • Brilique 180 mg le 20.02.2019 • Aspirine 500 mg le 20.02.2019 Coronarographie le 21.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits de coronarographie du 20.02.2019 au 21.01.2019 Interrogation du pacemaker le 21.02.2019 : pas de passage en FA rapide. Aspirine cardio à vie. Brilique pour 6 mois. ECG sans particularité, superposable à un ECG du 19.01.19. Labo : pas de troponine. ATT • RAD avec réassurance, contrôle chez le médecin traitant pour adaptation du traitement hypertenseur. ECG: sans particularité. Laboratoire. Radiographie du thorax. Retour à domicile avec antalgie. ECG sinusal, régulier. Normocarde. PR dans la norme. QRS fins. ST isoélectrique. Labo: élévation CK 243, CKMB dans la norme. Transfert à Tavel pour suite de prise en charge. CT cérébral avec massif facial (rapport oral Dr. X): Pas de saignements intracrâniens. Pas de fracture du scalp ou du massif facial. Atrophie cérébrale avec légère dilatation des ventricules à la limite de la norme pouvant faire évoquer une hydrocéphalie ex vacuo ou un début d'hydrocéphalie à pression normale. ATT: • discuter avec la famille pour éventuelle aide à domicile au vu de la situation compliquée et des nombreuses chutes. ECG: sinusal régulier, QRS fins, pas de sus/sous décalage ST, pas de bloc. Laboratoire: leucocytes 6.5 G/l, CRP 6 mg/l, Hb 160 g/l, Créatinine 60 µmol/l, Na 138 mmol/l, K 3.5 mmol/l, ASAT 34 U/l, ALAT 25 U/l, LDH 386 U/l, GGT 43 U/l, Bilirubine totale 3.9 µmol/l, Bilirubine directe 2.1 µmol/l, Troponines T0 à 5 ng/l, Troponines T1 5 ng/l. Radiographie du thorax en chambre du 07.02.2019: aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. ECG: sinusal régulier sans trouble de la conduction, repolarisation précoce du jeune, pas de bloc de branche droit et gauche. Radiographie thoracique: pas de foyer infectieux, pas de pneumothorax. Pantozol 40 mg: bonne réponse thérapeutique aux IPP. Retour à domicile. Prescription d'IPP en systématique. Conseil de réévaluer avec le médecin de famille pour organiser en ambulatoire une OGD dans le cadre d'un bilan de gastrite. ECG: sinusal régulier sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation, QT normal. Laboratoire: Alcoolémie: négatif. Traitement d'épreuve FLUMAZENIL en titration 0.5 mg total: bonne réponse thérapeutique post-antidote. Avis soins intensifs: pas de possibilité d'un transfert aux soins intensifs du fait d'une carence de place. Introduction d'un PSE FLUMAZENIL 0.2 mg/h avec observation aux urgences sur la nuit aux urgences. Avis Psychiatrique (Dr. X): hospitalisation à Marsens en mode volontaire. ECG: superposable au comparatif, avec séquelle de péricardectomie (T inversées en V1-V2), sinon 2 ESV. PR 150 ms, QRS fins normoaxés, QTc 476 ms. Pas de signes d'ischémie active ni de HVG. Laboratoire: hypokaliémie légère, hyponatrémie légère, reste normal. ECG superposable. Début Resonium. Contrôle de la kaliémie le 19.02.2019. ECG: superposable. CT cérébral le 01.02.19. CT thoraco-abdominal le 01.02.19. Test de Schellong: réponse sympatico-tonique, pas de baisse de la TA. Massage du sinus carotidien: réponse bradycarde, pas de pause sinusale. ETT du 05.02.19. Holter du 06.02.19 au 07.02.19. Ampoule (2g) de Magnésium aux urgences. Mise en suspens du Lisinopril, reprise à demi-dose dès le 07.02.19. Mise en suspens du Beloc Zok. ECG: superposable. Laboratoire: cf. annexes. ECG: superposable. Laboratoire. CT cérébral (transmission orale, Dr. X): pas de saignement intracrânien. Test de Schellong: réponse sympatico-tonique, pas de baisse de la TA. Massage du sinus carotidien: réponse bradycarde, pas de pause sinusale. Attitude: • Hospitalisation en médecine. ECG. Temesta 1 mg, Haldol 1 mg. Réassurance. ECG, troponines. Antalgie. ECG 02.02.2019. Rx cheville D 02.02.2019. CT-scanner cheville D 02.02.2019. Rx cheville D 06.02.2019. Rx cheville D post-op 08.02.2019. ECG 03.02.2019. Rx genou D f/p, bassin et hanches le 03.02.2019. Rx cuisse D f/p le 04.02.2019. ECG 06.02.2019. Rx coude, épaule D 05.02.2019. CT-scanner coude D 05.02.2019. Rx coude D post-op 11.02.2019. ECG 06.02.2019. Rx thorax le 06.02.2019. Rx bassin f, hanche G le 07.02.2019. ECG 07.02.2019. Rx bassin f, hanche D ax. post-op 08.02.2019. Rx épaule G 14.02.2019. ECG 08.02.2019. Rx poignet G le 08.02.2019. Rx poignet G post réduction le 08.02.2019. Rx poignet G post-op le 11.02.2019. ECG 09.02.2019. Rx bassin f, hanche D ax. 09.02.2019. Rx bassin f, hanche D ax. post-op 11.02.2019. ECG (1) : tachycardie supraventriculaire à 200 bpm. QRS fins normoaxés. QTc=363 ms. Pas de trouble de la repolarisation. Cf. annexes. ECG(2) : tachycardie sinusale à 107 bpm. PR à 180 ms. QRS fins normoaxés. QTc=387 ms. Pas de trouble de la repolarisation. Cf. annexes. ECG (3) : RSR à 89 bpm. PR à 142 ms. QRS fins normoaxés. QTc=427 ms. Pas de trouble de la repolarisation. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Hypokaliémie à 3.7 mmol/l. Radiographie du thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. ECG 1x/jour. CHADSVASC 4. HASBLED 1. Anticoagulation par Eliquis 2.5 mg 2x/jour, stoppée depuis le 11.01.2019 : diagnostic de dissection aortique. ECG 12.02.2019: rythme sinusal régulier, axe -46°, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation, transition V3-4, QTc 409 ms. Apport d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 7 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur un déconditionnement après choc et pneumonie trilobaire. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 20 thérapies de 30 min chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement.Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 24/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 67/24 MMS/CLOCK 24/30 • 3/6 GDS 1/15 Evaluation sociale (5 domaines) 12.02.2019 Colloque interdisciplinaire 1 13.02.2019 Colloque interdisciplinaire 2 20.02.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 24/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 79/29 ECG 14.01.2019 Rx épaule G le 13.01.2019 CT épaule G le 14.01.2019 CT thoracique le 15.01.2019 Rx épaule G le 17.01.2019 ECG le 14.01. et le 15.01.2019 ECG 15.01.2019 : RSR, normocarde à 88 bpm, hypertrophie auriculaire G, normoaxé, QRS fin, pas de trouble de la repolarisation. Rx pied/cheville D le 15.01.2019 Rx cheville D post réduction fermée le 15.01.2019 Rx cheville D postOP 22.01.2019 ECG 21.01., 22.01., 28.01., 29.01., 31.01.2019 (bradycarde à env 50, RSR, QRS fin, onde Q dans les territoires inférieur et latéral connu, T pointue en latéral connu. Rx thorax 21.01.2019 Rx bassin f, hanche D ax. 21.01.2019 Rx bassin f, hanche D ax. postOP 24.01.2019 ECG 21.01.2019 Rx colonne lombaire postOP 22.01.2019 ECG 23.01.2019 Rx bassin, hanche, fémur G le 23.01.2019 Rx thorax 23.01.2019 CT hanche et fémur G 23.01.2019 US abdomen supérieur 23.01.2019 Rx bassin, hanche, fémur G 25.01.2019 IRM abdominale 28.01.2019 ECG 29.01.2019 US abdomen supérieur 01.02.2019 Cholangio-IRM 11.02.2019 Rx thorax 12.02.2019 Rx thorax 15.02.2019 CT thoracique 15.02.2019 ECG 23.01.2019 Rx épaule D 23.01.2019 CT bras/épaule D 23.01.2019 Rx épaule D postOP 24.01.2019 ECG 24.01.2019 Rx bassin f, hanche D ax. 24.01.2019 Rx thorax 24.01.2019 Rx bassin f, hanche D ax. postOP 25.01.2019 US système uro-génital 06.02.2019 ECG 24.01.2019 Rx bassin f, hanche D ax. 24.01.2019 Rx thorax 24.01.2019 Rx bassin f, hanche D ax. postOP 28.01.2019 ECG 26.01.2019 : fibrillation auriculaire avec rythme irrégulier, normocarde, déviation axiale gauche, hémibloc antérieur gauche avec ondes rS en II, III et aVF, 3 extrasystoles ventriculaires, 2 auriculaires, QRS 110 ms. Pas de sus-décalage ST. Ondes Q. ECG Holter Avis de cardiologie et échocardiographie transthoracique le 04.02.2019 (en annexe) Ad traitement de l'insuffisance cardiaque avec IEC, bêtabloquant, Aldactone Contrôle cardiologique dans 1 mois. Xarelto mis en suspens le 26.01.2019 Héparine 5000 UI 2x/j dès 6 h postop. Reprise Xarelto à J5 ECG 26.01.2019 Rx coude G 26.01.2019 ECG 26.01.2019 Rx genou D, hanche D et bassin 26.01.2019 Rx thorax 26.01.2019 Rx cuisse D f/p 27.01.2019 Rx bassin et hanche D postOP 29.01.2019 Echocardiographie ETT 04.02.2019 Rx cuisse D f/p, bassin et hanche D 05.02.2019 ECG 30.01.19 Shellong 30.01.19 : négatif ECG 30.01.2019 US fast 30.01.2019 CT total body 30.01.2019 Rx genou G 30.01.2019 Rx clavicule D 30.01.2019 Rx cheville G 30.01.2019 IRM colonne lombaire 30.01.2019 Rx abdomen couché 01.02.2019 CT colonne lombaire 04.02.2019 ECG 8.2.19 : BBD incomplet, sous-décalage diffus du segment ST de V2-V6 Radiographie du thorax du 8.2.19 : cliché en position couchée : signes d'insuffisance cardiaque décompensée, pas d'épanchement pleural visible. À noter un infiltrat interstitiel par endroits, semblant micronodulaire, n'excluant pas une atteinte métastatique. Infiltration métastatique du squelette imagée. Fracture du 5ème arc costal antérieur droit, non datable. Traitement symptomatique : nitroglycerine sublinguale, Morphine ECG. Adalat ret 20 mg. ECG Angio-CT cérébral avec vaisseaux précérébraux le 26.01.2019 IRM cérébral le 31.02.2019 Charge en aspirine 250 mg le 26.01.2019 Antiagrégation avec Aspirine. Stoppée le 07.02.2019 Avis neurologie (Dr. X) HAS-BLED : (5 points) 12%/an CHA2DS2-VASc : (8 points) : 6.7%/an Test de déglutition le 27.01.2019 : dysphagie modérée Physiothérapie Ergothérapie Soins palliatifs ECG Au vu du projet global et du risque de chute, pas d'indication à une anticoagulation retenue ECG Avis cardiologue (Dr. X) : adaptation du traitement d'Amiodarone ECG Clexane prophylactique Pas d'anticoagulation d'emblée (épisode unique, contexte infectieux) R-Test et ETT à prévoir en ambulatoire Réévaluer l'indication à une anticoagulation (selon les résultats de l'ETT et du R-Test) ECG Discuter d'un bilan cardiologique ECG Echocardiographie, le 07.02.2019 Bilan sanguin ECG Gazométrie Laboratoire Rx du thorax Aux urgences : Solumédrol 125 mg i.v. Inhalations avec Ventolin et Atrovent Rocéphine 2g i.v., Klacid 500 mg i.v. Attitude : • Hospitalisation pour prise en charge en médecine ECG Hydratation Pendant l'observation aux urgences, patient baisse sa fréquence cardiaque, toujours arythmique Prévoir un avis cardiologique ECG Kcl 40 meq dans la perfusion de NaCl Suivi biologique ECG Labo Analyses urinaires à compléter à l'étage à Riaz Transfert à Riaz en gériatrie en accord avec Dr. X ; fils Jean-Marc Groppo 079 709 04 52 au courant ECG Labo Aux urgences : Potassium 60 meq IV et 2x 30 mmol po + Magnesium IV 5 g Suivi biologique ECG Labo CT-cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux et carte de perfusion : zone de pénombre en territoire sylvien inférieur gauche Avis neurologique (Dr. X/Dr. X) : lyse i.v. Contrôle clinique : • NIHSS à l'entrée • 1er NIHSS de contrôle 6 (parésie faciale 2, aphasie 2, dysarthie 2) • 2e NIHSS de contrôle 4 (parésie faciale 2, aphasie 1, dysarthie 1) Attitude : • Thrombolyse i.v. (65 kg) • Transfert aux soins intensifs ECG Labo Radio (PACS du CHUV) Avis cardio (Dr. X) : surveillance rythmique aux soins intensifs, pas de coronarographie en urgences ECG. Laboratoire : cf. annexes. Hémocultures du 15.02.2019 : négatives à J5 Hémocultures du 16.02.2019 : négatives à J5 Hémocultures du 18.02.2019 : négatives à J5 Recherche de l'antigène urinaire pour légionelle et pneumocoques le 16.02.2019 : négatif. Frottis nasopharyngé pour grippe le 16.02.2019 : Influenza A positif. Radiographie du thorax 16.02.2019 : apparition d'opacités alvéolaires des deux plages pulmonaires, avec bronchogramme aérique, prédominant à gauche, associées à un effacement de la coupole diaphragmatique gauche, pouvant correspondre à des foyers avec épanchement pleural gauche (DD : syndrome de détresse respiratoire aiguë ?). Le reste de l'examen est superposable au comparatif. Radiographie du 22.02.2019 : majoration des infiltrats en base gauche avec émoussement du récessus costo-diaphragmatique ipsilatéral en faveur d'une lame d'épanchement. Globale stabilité des autres infiltrats notamment de la plage pulmonaire droite. Emphysème pulmonaire diffus. Le reste de l'examen est également superposable. CT thoracique injecté le 26.02.2019 (rapport oral) : pas d'embolie pulmonaire, infiltrats interstitiels persistants. ECG. Laboratoire : H0 5, H1 5. A noter qu'une radiographie du thorax n'a pas été effectuée ce jour car déjà faite il y a un mois chez le médecin traitant dans le même contexte, qui a été sans particularité. Proposition d'ergométrie en ambulatoire à organiser par le médecin traitant. ECG. Laboratoire : pas de leucocytes, CRP 7 mg/l, tests hépatiques et lipase sp. Stix urinaire : négatif. ECG. Laboratoire : Trop H0 à 6 ng/l, H1 à 6 ng/l.RX. Score de Genève 3 (FC 79), D-Dimères négatifs. ECG. Laboratoire : tropo H0 = 5, tropo H1 = 6. Radiographie du thorax. US ciblé aux urgences : exclusion d'un pneumothorax. Attitude : • Holter prévu, Mr. Y sera convoqué en cardiologie. • Retour à domicile avec réassurance. ECG. Laboratoire. Antalgie. ECG. Laboratoire avec cycle de troponines négatives, D-dimères négatifs, pas de syndrome inflammatoire. PAFA (patient ayant fugué de Marsens et refusant son retour en mode volontaire). ECG Laboratoire le 27.01.2019 Hémoculture 2 x 2 négatives après 5 jours Radiographie du thorax Sédiment urinaire Culture urinaire positive pour E.Coli multissensible Rocéphine 2 g i.v. du 27.01 au 02.02.2019 ECG. Laboratoire : pas de CRP, Leucocytes 12.7 G/L. • Troponines : H0 6 ng/mL, H1 11h 6 ng/mL. • D-dimères : négatifs. Gazométrie : alcalose respiratoire (pH 7.53, PCO2 3.7, PO2 16.1, bic 23, lactates 2.6 mmol/) Radiographie du thorax face/profil : potentiel foyer gauche. Epanchement minime de l'angle costo-diaphragmatique gauche. Aérosol Atrovent 250 mg et Ventolin 5 mg 1x => Bonne évolution. Retour à domicile avec Klacid 500 mg 1x/j pendant 7 jours et Ventolin/Atrovent. Symbicort. Stop Prednisone. Contrôle clinique et biologique en filière 34 à 48h. ECG Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, Anti-XA dans la cible Gazométrie artérielle : pO2 10.5 kPa, pCO2 dans la norme CT thoracique protocole embolie pulmonaire : pas d'embolie pulmonaire, comblements bronchiques des deux côtés. Examens effectués expliqués à Mr. Y par le médecin. Retour à domicile. ECG Laboratoire Sédiment urinaire + spot Aux urgences : substitution iv au total 80 mmol permettant un K à 2.7 mmol/l + Potassium effervette 30 mmol 6 cpr Att : Hospitalisation Substitution par KCl 40 mEq iv et 180 mEq per os Suivi biologique ECG Laboratoire : • Sérologie syphilis et Lyme négative. Dépistage VIH négatif. • Présence d'IgG pour le VZV (Mr. Y confirme avoir fait varicelle dans l'enfance) • Insuffisance en vitamine D (38nmol/L) et vitamine B12 dans la norme (788pg/ml) Ponction lombaire aux urgences : • Liquide pleural limpide, pression d'ouverture à 21.5 mmHg • Absence d'éléments. Glucose et protéines dans la norme • Electrophorèse des protéines avec recherche de synthèse intrathécale : en cours CT scan cérébral du 25.02.19 dans les limites de la norme. IRM cérébrale du 26.02.19 : normale Consilium neurologique (Dr. X). Consilium ORL (Dr. X) : Otoscopie s/p valsalva +, Rinne +/+, Weber centrée, CB s/p. Bilan des facteurs de risques cardio-vasculaires : • homme, tabagisme ancien à 40 UPA (arrêté il y a 1 an et demi) • diabète de type II non insulino-traitée avec HbA1c à 6% • Bilan lipidique : cholestérol : 5.1 mmol/L, HDL : 0.78 mmol/L, LDL : 3.37 mmol/L, TG à 3.29 mmol/L Attitude : • Poursuite des investigations ORL en ambulatoire (Bilan vestibulaire aux policlinique ORL avec VNG, VHIT, VEMP, Audiogramme tonal et Vocal le 28.02.19 et 01.03.19) • Physiothérapie pour la réadaptation vestibulaire • Devant la suspicion d'un AVC sans correlat radiologique, introduction d'aspirine cardio et statine avec cible LDL < 2.6 mmol/L • Bilan cardiaque en ambulatoire vu la suspicion d'AVC (Mr. Y sera convoqué pour une échocardiographie thoracique et un Holter). • Rendez-vous de suivi à la consultation neuro-vasculaire avec ultrason des vaisseaux pré-cérébraux, chez le Dr. X, le 5 juin 2019 à 11h ECG. Laboratoire : TROP H0 11 ng/l, H1 10 ng/l. • Retour à domicile avec contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. • Bilan cardiaque par ergométrie et ETT prévu à l'HFR. Sera contacté par le secrétariat. ECG. Laboratoire. Aux urgences : Primpéran 10 mg i.v., Alucol gel p.o., Pantozol 40 mg i.v., avec bonne amélioration clinique. Retour à domicile avec traitement par IPP et Alucol gel en réserve. ECG Laboratoire Aux urgences : Pantozol 80 mg i.v. bolus puis 8 mg/h Attitude : • Hospitalisation pour surveillance • A jeun • Laboratoire de contrôle le 11.02.2019 : à suivre • Rapport définitif de gastro-colonoscopie à pister pour notion de 4 ulcères gastriques ECG. Laboratoire. Avis pneumologique (Dr. X). Retour à domicile avec poursuite du traitement par Klacid 500 mg 2x/jour. Vannair 100/6 2x/jour. Rinçage du nez et corticoïdes intranasaux. Fluimicil 1x/jour et Résyl en réserve. Antalgie par Dafalgan et AINS. Rendez-vous en pneumologie, donné à la patiente par le Dr. X. ECG. Laboratoire. Cardioversion par Tambocor 150 mg en iv avec reprise d'un rythme sinusal à 70/mn. Surveillance sur la nuit. Retour à domicile avec traitement ambulatoire par Metoprolol 50 mg, Tambocor 100 mg en réserve. Consultation cardiologique en ambulatoire. ECG Laboratoire Coronarographie le 01.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 01.02.2019 au 02.02.2019 Aspirine cardio à vie Plavix 75 mg/j pour 6 mois Xarelto 20 mg/j pour 2 mois (sera réévalué lors prochaine consultation chez Dr. X) Contrôle dans 1 mois chez Dr. X ECG Laboratoire Coronarographie le 01.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 01.02.2019 au 02.02.2019 Aspirine cardio pour 6 mois Plavix 75 mg/j à vie Contrôle dans 1 mois chez Dr. X Ergométrie dans 1 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 11.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 11.02.2019 au 12.02.2019 Aspirine cardio à vie Efient pour 6 mois IEC Statines Beta-bloquant ECG Laboratoire Coronarographie le 12.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 12.02.2019 au 13.02.2019 Aspirine cardio à vie Efient pour 6 mois IRM cardiaque dans 5 mois (4.07.2019) ECG Laboratoire Coronarographie le 12.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 12.02.2019 au 13.02.2019 Aspirine cardio à vie Plavix pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 12.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 12.02.2019 au 13.02.2019 Aspirine cardio pour 1 mois Plavix pour 12 mois Poursuite Xarelto ECG Laboratoire Coronarographie le 13.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 13.02.2019 au 14.02.2019 Aspirine cardio à vie Efient pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 14.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 14.02.2018 au 15.02.2019 Aspirine cardio à vie Efient 12 mois IEC ECG Laboratoire Coronarographie le 14.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 14.02.2019 au 15.02.2019 Aspirine cardio à vie Plavix pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 15.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 15.02.2018 au 16.02.2019 Aspirine cardio à vie Efient pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 15.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 15.02.2019 au 16.02.2019 Aspirine cardio à vie Plavix pour 12 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 15.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 15.02.2019 au 16.02.2019 Aspirine cardio à vie Plavix pour 3 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 15.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 15.02.2019 au 16.02.2019 Transfert pour PAC le 16.02.2019 ECG Laboratoire Coronarographie le 15.02.2019 (Dr. X) Surveillance du 15.02.2019 au 16.02.2019 ECG Laboratoire Coronarographie le 15.02.2019 (Dr. X) Thérapie: • Aspirine cardio à vie • Plavix pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 18.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 18.02.2019 au 19.02.2019 • Aspirine cardio à vie • Plavix pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 19.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 19.02.2019 au 20.02.2019 • Aspirine cardio à vie • Efient pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 20.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 20.02.2019 au 21.02.2019 • Aspirine cardio à vie • Plavix pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 21.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 21.02.2019 au 22.02.2019 • Aspirine cardio à vie • Plavix pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 22.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 22 au 23.02.2019 • Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie • Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois • Reste du traitement inchangé Contrôle dans 1 mois chez Dr. X Ergométrie dans 1 année ECG Laboratoire Coronarographie le 26.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 26.02.2019 au 27.02.2019 • Aspirine cardio pour 1 mois • Plavix pour 12 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 27.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 27.02.2019 au 28.02.2019 • Aspirine cardio à vie • Plavix pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 5.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 5.02.2019 au 6.02.2019 • Aspirine cardio à vie • Efient pour 12 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 6.02.2019 (Dr. X): Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 6.02.2019 au 7.02.2019 • Aspirine cardio à vie • Efient pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 7.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 7.02.2019 au 8.02.2019 • Aspirine cardio à vie • Efient pour 6 mois ECG Laboratoire Coronarographie le 8.02.2019 (Dr. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 08.02.2019 au 09.02.2019 • Aspirine cardio à vie • Efient pour 6 mois ECG Laboratoire CT abdominal: • Dilatation estomac+++ (gastroparesie), pas d'obstacle, pas d'ulcère perforé, anses intestinales ectasiques dans le pelvis, coprostase, pas de liquide libre, nodule calcifié dans les bases pulmonaires en rapport avec la sarcoïdose Avis chirurgien = ok pour transfert en chirurgie pour surveillance Att: • Transfert chirurgie ECG Laboratoire CT cérébral et carotides injecté: occlusion de l'artère vertébrale gauche dans sa portion cervicale de l'ostium jusqu'à C2, sans signe pour un événement aigu. Avis neurologique: pas d'indication à la lyse Aux urgences: Zofran 4 mg i.v., Aspégic 500 mg i.v. Attitude: • Transfert à Tavel pour hospitalisation en médecine (accepté par Dr. X) • À jeun jusqu'au test de déglutition • Double anti-agrégation avec Aspirine et Plavix pendant un mois, puis poursuite du Plavix • Echo cœur • Holter • Bilan lipidique et diabète • IRM à organiser à distance ECG Laboratoire CT full Body: fracture non déplacée de la 6ème côte à droite. Echographie ciblée aux urgences: pas d'épanchement abdominal/pleural, pas de pneumothorax, pas d'épanchement péricarde. • Retour à domicile avec traitement symptomatique. • Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. ECG Laboratoire Gaz du sang artériel = acidose métabolique à 7.26 de pH CT TAP avec injection: Prise de contraste des pyelons, pas de foyer intestinal, pas de perforation, pas de liquide péritonéal, pas de dissection, pas d'argument pour une ischémie mésentérique, pas de foyer infectieux autre. Sondage vésical Stix et sédiment urinaire = en cours Urotube = en cours Hémoculture à froid = 4 paires à froid à 30 minutes d'intervalle CEFTRIAXONE 2g IVD VANCOMYCINE 1.5g IVD Avis chirurgien = Nécessité d'une exploration au bloc opératoire devant la discordance clinico-biologique et radiologique Avis soins intensifs = Ok pour transfert soins intensifs, si péjoration clinique rajout de GENTAMYCINE full dose. Discussion avec le patient par rapport aux directives anticipées : Patient ok pour soins intensifs, ok pour transfusion, ok pour opération. Refus du patient pour massage cardiaque externe et intubation orotrachéale SI DÉTRESSE RESPIRATOIRE AIGUË malgré un accord d'une intubation per opératoire. CAT: • Transfert bloc opératoire pour suite de prise en charge ECG Laboratoire Gaz du sang artériel = Acidose respiratoire hypercapnique à 7.34 de pH Radiographie thoracique CO AMOXICILLINE 2.2g IVD Contact CH X = ok pour transfert pour surveillance clinico-biologique avant retour au Home CAT: • Transfert à X ECG Laboratoire Groupe sanguin CT scan genou droit:___ Ketalar 60 mg iv Dormicum 3 mg iv Morphine 14 mg iv Avis ortho: • Réduction de la fracture • Prise en charge opératoire Bloc fémoral sous échoguidage avec aiguille mousse et bupivacaïne 0.25% 20 ml à 16h40 Att: • Transfert au bloc opératoire ECG Laboratoire Pantozol 40 mg: bonne réponse thérapeutique. Stix et sédiment urinaire: négatif. Test de grossesse urinaire: négatif. CT abdominal: pas d'hernie, pas de fistule. Pas d'épanchement. Dilatation veine ovarienne gauche. IPP en systématique. Conseil de réévaluer avec chirurgien traitant pour réévaluation d'une gastrite post by-pass. ECG Laboratoire Coronarographie le 31.01.2019 (Dr. X) ETT du 01.02.2019: FEVG 33%, pas de signe indirect d'hypertension pulmonaire Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie. • Aspirine cardio à vie • Efient pour 1 mois • Majoration Torasemide à 20 mg 2x/j Angio-CT des MI (transmission orale, Dr. X): avec thrombus de l'artère fémorale au niveau poplité avec quelques collatérales et occlusion de l'artère tibiale antérieure en distalité Avis chirurgical (Dr. X) Aux urgences: Liquémine 5000 UI i.v. Attitude: • Liquémine 20 000 UI/24h avec contrôle INR à 19h : A PISTER • Angiographie interventionnelle par Dr. X prévue à 18h • A jeun ECG Laboratoire Rx du thorax Attitude: • Transfert à Riaz pour hospitalisation (acceptée par Dr. X) ECG Laboratoire Rx du thorax Avis cardiologique (Dr. X) Aux urgences: Aspégic 500 mg i.v., Prasugrel 60 mg p.o., Liquémine 5000 UI i.v. Attitude: • ad coronarographie ECG Laboratoire Rx du thorax Gazométrie artérielle Urine stix et sédiment Urotube envoyé Coproculture pour bactériologie classique et Clostridium difficile : négatif 2 paires d'hémocultures à 38.5°C Avis infectiologique (Dr. X): ad ATB large par Meronem-Vancomycine Aux urgences: Ciprofloxacine 400 mg i.v., Méropénème 1g i.v., Vancomycine 1g i.v. 1000 ml NaCl en 1h, KCl 40 meq dans 500 ml de Ringer lactate, Seresta 15 mg p.o. Sonde urinaire ECG Laboratoire Rx du thorax US de débrouillage aux urgences (Dr. X): pas de calcul biliaire, pas d'épanchement péricardique, pas de pneumothorax. Fonction ventriculaire gauche environ 30%. Aux urgences: Lasix 20 mg i.v. Attitude: • Avis cardiologique à demander pour évaluer nécessité d'une coronarographie ECG. Laboratoire. RX thorax. CT thoracique (transmission orale, Dr. X): pas d'embolie pulmonaire, pas de dissection aortique. Multiples fractures de côtes d'âges différents avec fracture à gauche sans callus. Nodule de 8 mm en regard de l'apex pulmonaire gauche, possiblement bénin. Nodule surrénalien gauche suspect de 2.5 cm. Retour à domicile avec majoration de l'antalgie. Physiothérapie respiratoire. Suite de prise en charge chez le médecin traitant pour investiguer une possible cause tumorale. ECG. Laboratoire. Shellong : positif. Attitude : • retour à domicile avec bas de contention • contrôle clinico-biologique au secteur ambulatoire des urgences dans 24h pour suivi tensionnel, CRP et Lc. ECG Laboratoire Stix et sédiment urinaire Antigènes urinaires : négatifs pour pneumocoque et légionelle Ponctions pleurales les 25.01 et 01.02.2019 : • exsudat, principalement mono/macrophages • bactériologie : négative • cytologie : absence de cellules suspectes de malignité. Hémocultures le 29.01.2019 : négatives Rx thorax le 29.01.2019 : condensation pulmonaire droite diffuse CT thoracique le 04.02.2019 : épanchements pleuraux bilatéraux, prédominants à droite. Pas de néoplasie visualisée. Co-amoxicilline 2.2 g IV au service des urgences le 25.01.2019, puis stop Prednisone 20 mg du 07.02 au 13.02.2019, puis 10 mg à partir du 14.02.2019 (selon proposition du Dr. X) ECG Laboratoire Test de Schellong : pathologique Bandes élastiques ECG Laboratoire Test de Schellong: hypotension asympathicotonique Avis cardiologique (Dr. X) Réhydratation orale Attitude: • Hospitalisation avec diminution du traitement bêta-bloquant de 75mg à 50mg/j • Mise en suspend des diurétiques • Bas de contention grade I: A METTRE ECG Laboratoire Urines Lasix 40 mg iv chez med traitant Att: • poursuite du diurétique par • bilan cardiaque par Echographie à discuter ECG Laboratoire Urines stix et sédiments Urotube 2x2 hémocultures le 09.02.2019, PAC impiquable Rx du thorax Prise de contact avec l'oncologie de garde du CHUV Aux urgences: 2000 mg Céfépime i.v., Pantozol 80 mg i.v. Attitude: • Isolation protectrice • Antibiothérapie par Céfépime 2000mg 3x/j i.v., Mycostatin • Nutrition par sonde nasogastrique tant que dysphagie, à réévaluer ECG. Laboratoire. Urines. Test de grossesse urinaire négatif. Avis gynécologique (Dr. X): pas de liquide libre, pas de kyste ovarien, endomètre fin, pas de nodule palpé. Attitude : • Retour à domicile avec antalgie. • Contrôle clinique et biologique le 06.02.2019 à l'Hôpital de Monthey (patiente annoncée le 05.02.2019). • Recommandation de reconsulter avant en cas de signes de gravité. ECG Laboratoire 8 mg de métropolol iv ECG Labo Rx thorax Pas d'argument pour une origine épileptique Attitude: • Hospitalisation en médecine interne pour investigations avec bilan cardiaque (Holter, echo-coeur) • Digoxine en suspens, éventuellement réintroduction de la digoxine après amélioration de la fonction rénale • Schellong à prévoir à l'étage ECG: Labo Urines Radio thorax: pas de foyer. Pas de signe de décompensation cardiaque. ECG. Magnésium 5mg IV. L'épouse du patient va contacter son cardiologue traitant (Dr. X) pour organiser une ETT dès que possible. ECG Mail envoyé à Dr. X pour convocation en cardiologie pour échocardiographie Paracétamol et ibuprofène ECG Poursuite du traitement bêta-bloquant et AVQ ECG. Radiographie du thorax: pas de pneumonie, pas de pneumothorax. CT thoracique le 01.02.19: pas de dilatation de l'aorte diamètre de 20 mm, pas de dissection aortique. Retour à domicile avec réassurance. ECG. Radiographie du thorax. Laboratoire : troponine H0 24, H1 23, H3 25 ng/l D-dimères 1575 ng/ml. CT thoracique: pas d'embolie pulmonaire, dystélectasie basale gauche, ectasie aortique ascendant 43 mm. Contrôle clinique chez médecin traitant avec introduction d'un traitement anti-hypertenseur de fond. ECG Radiographie thoracique : épanchement pleural droit Laboratoire : D-Dimères 2'268 ng/ml, NT Pro BNP 2'410 ng/l, CRP 58 mg/l, leuco 12.5 G/l Gazométrie : pH 7.40, PaCO 6.0 kPa, PaO2 12.3 kPa, Sat 97%, 4 l/min d'O2 Diurétiques IV puis per os dès le 08.02 jusqu'au 12.02.2019 CT Thoracique injecté 08.02.2019 ECG Radiographie thoracique Laboratoire : DDimère = 2877 Gaz du sang artériel = pas de retentissement sur la gazométrie Hémoculture 2 paires à froid Stix et sédiment urinaire Spot urinaire en cours Lasix 40 mg IV + 20 mmol de KCL sur 2 heures (compensation d'une hypokaliémie à 3.2 associé à un diurétique) CT Thoracique = Pas d'EP visible, patiente ayant respiré pendant l'examen donc difficulté d'exclusion d'une EP sous-segmentaire gauche, épaississement bronchique base pulmonaire, pas d'épanchement péricardique, augmentation de l'épanchement pulmonaire droit CAT : • Hospitalisation en médecine • TORASEMIDE 20 mg ECG Radiographie Thorax Aspirine 250 mg per os aux urgences Héparine 5000 IU en i.v. aux urgences ECG Règles d'activité physique Consignes de surveillance données aux parents ECG. Retour à domicile avec instructions de surveillance post-traumatique crânien par le mari. ECG Rx du thorax Laboratoire Gazométrie artérielle 2x2 hémocultures piquées aux urgences Aux urgences: Inhalation avec Ventolin 5mg et Atrovent 250 mcg Solumédrol 125 mg i.v. Morphine 2mg i.v. Rocéphin 2g i.v. Klacid 500 mg i.v. Attitude: • Hospitalisation aux SI pour pose de drain et VNI ECG Rx thorax le 07.02.2019 TSH dans la norme Oxygénothérapie Lasix 20 mg 2x IV le 07.02.2019 Torasémide 5 mg dès le 08.02.2019 Belok Zok 25 mg en OU le 07.02.2019 avec bon effet Poursuite Belok Zok 25 mg 1x/j (traitement habituel), majoré à 25 mg 2x/j dès le 11.02.2019 Lixiana en suspens dès le 06.02.2019 au vu de la thrombopénie ECG. Shellong: négatif. Consilium ORL: pas de trouble vestibulaire. • Retour à domicile avec conseils d'usage. • Retour aux urgences en cas d'apparition de Red Flags. • Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. ECG Substitution 40 mEq IV OU sur 2h, contrôle clinique après 2h ECG Suivi biologique Substitution i.v. et p.o. ECG. Surveillance en lit d'observation. Contrôle ECG et de la TSH à distance à votre consultation. ECG. Test de Shellong. En cas de récidive ou d'apparition de nouveaux symptômes, la patiente se présentera à votre consultation. ECGThérapie: • KCL 40meq dans 500mL NaCl 0.9% aux urgences • Magnésium 2g iv Attitude: • Substitution KCl et magnésium iv • Contrôle biologique ECG Thérapie: • KCL 40meq dans 500mL NaCl 0.9% en 6h • Magnésium 2g i.v. Att: • Contrôle du potassium à 23h ce soir, éventuellement adaptation du KCl • Suivi des électrolytes ECG Thérapie: • Resonium 15g p.o. Attitude: • Contrôle biologique ECG Thérapie: • Substitution i.v. 40 meq dans 1000 NaCl 0.9% en 12h Attitude: • Suivi biologique ECG traitement symptomatique Reconsulter en cas de péjoration ou diminution de l'état général ou persistance des symptômes dans 48h ECG Troponine ECG Troponine NT-proBNP le 14.01.2019 : 34'884ng/l Laboratoire Radiographie du thorax Sédiment urinaire Urotube : Streptococcus vestibularis, Enterococcus faecalis ECG. 1 mg de Temesta per os aux urgences avec bon effet anxiolytique. Attitude: • Retour à domicile avec traitement anxiolytique en réserve en cas de récidive de crise de panique • Suite de prise en charge chez sa psychologue traitante • Mr. Y a reçu des informations complémentaires pour pouvoir trouver un médecin traitant dans la région • Mr. Y a reçu le numéro d'urgence pour le service de psychiatrie de garde • Expliquer à Mr. Y à quelles conditions il doit reconsulter les urgences. Écharde dans la pulpe de l'index gauche. Fibrillation auriculaire paroxystique. • en 2011, mai 2017, 22.6.2017. • CHADSVASC 0, HASBLED 1, EHRA. • Échocardiographie : bonne fonction biventriculaire, pas de dilatation cavitaire, FEV 65%, oreillette de taille normale, pas de valvulopathie. • Succès de cardioversion par Tambocor 140 mg le 22.6.2017. Avis cardiologue (Dr. X). • Cardioversion par Tambocor 140 mg en i.v. • Ad réserve par Tambocor 100 mg et Metoprolol 50 mg. • Contrôle en cardiologie prévu. Écharpe pour charge Antalgiques en réserve Arrêt des sports pendant une semaine Rx coude droit Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine si douleurs persistantes Écharpe pour charge Antalgiques en réserve Contrôle chez le pédiatre dans 10 jours si douleurs persistantes Échec de réhydratation p.o. Après bolus de 300ml, état général légèrement meilleur mais ne boit pas. Après bolus supplémentaire de 150ml, urine 200ml puis se met à boire. Tél à maman le 22.2 : a eu 2-3 diarrhées de petite quantité ce matin. Boit bien de l'eau et mangé un peu au petit déjeuner. Uriné 2x. Pas de vomissement. Reste toujours très fatiguée mais n'est pas endormie comme hier. Convenu qu'elle revient si les diarrhées sont plus importantes que ce qu'elle boit ou si l'état général se dégrade à nouveau. Échec matériel RSV Échinococcose hépatique guérie suivie par Dr. X. Échinococcose: • Sous traitement d'entretien à base d'albendazole jusqu'au 06/2017 • Hépat. Lobectomie, vésiculectomie, splénectomie et résection abcès pulmonaire 06/2015 à Échinococcose • Suivi par Dr. X Dépression réactive, ED automne 2015: • Sous Venlafaxin depuis environ l'automne 2015, pas de psychothérapie • Pas de problèmes de santé mentale préexistants Diabète sucré non insulindépendant II, DE ca 2006 • Cadre excellent avec la metformine (HbA1c 12/2016 : 5,4%) • Polyneuropathie débutante Chirurgie de la vessie (élévation du col de la vessie ?) At Descensus vers 1990-2000 Hystérectomie et Aectectomie occasionnelle vers 1982 Écho ciblée abdomen Dr. X motif = douleur fosse lombaire droite Pas d'épanchement péritoneal, dilatation des cavités pyélocalicielles à droite, pas de dilatation des voies urinaires à gauche, pas de globe vésical, aorte abdominale non dilatée Écho ciblée abdomen V-scan 571 : pas d'épanchement péritonéal. Traitement antalgique. Écho ciblée abdomen Motif : douleurs épigastriques, conditions d'examen : Vscan 572 : • Péritoine : pas d'épanchement. • Cavités pyélocalicielles : non dilatées. • Vésicule biliaire : non lithiasique. • Voies biliaires : non dilatées. Conclusion : pas de lithiase vésiculaire. Traitement symptomatique Écho ciblée cardiaque thoracique, motif = dyspnée ; Dr. X Poumons : épanchement pleural gauche, pas de franc syndrome alvéolo-interstitiel Cœur : FEVG visuelle d'allure conservée, pas de dilatation dans cavités droites, pas d'épanchement péricardique, VCI non dilatée compliante, flux transmitral E/A > 1 avec une onde E mesurée à 110cm/sec Conclusion : épanchement pleural gauche, pas de syndrome alvéolo-interstitiel, possible insuffisance cardiaque Écho ciblée cardiaque thoracique, motif = dyspnée ; Dr. X Poumons : épanchement pleural gauche, pas de franc syndrome alvéolo-interstitiel Cœur : FEVG visuelle d'allure conservée, pas de dilatation dans cavités droites, pas d'épanchement péricardique, VCI non dilatée compliante, flux transmitral E/A > 1 avec une onde E mesurée à 110cm/sec Conclusion : épanchement pleural gauche, pas de syndrome alvéolo-interstitiel, possible insuffisance cardiaque CT-cérébral 02.02.2019 : Absence de saignement intracrânien. Pas de fracture. Écho ciblée cœur Radio Thorax Laboratoire Gazo Frottis de grippe Urine pour antigène légionelles et pneumocoques Hydratation 500 ml de Ringer i.v. Co-Amoxi 2,2 g i.v. Klacid 500 mg per os Écho ciblée des urgences Dr. X motif = suspicion colique néphrétique Calcul intra-rénal de 7 mm rein gauche avec lésion kystique pôle sup du rein gauche, pas de dilatation des cavités pyélocalicielles perçue, pas de dilatation des CPC à droite, pas de globe vésical Échocardiographie (aux urgences de Fribourg) le 4.2.19 : dilatation des cavités droites, D-shape de septum interventriculaire, fuite tricuspidale à 2.4 m/s, POD estimée à 20 mmHg, HTAP estimée à 40mmHg, FEVG visuelle altérée Adaptation diurétique Échocardiographie aux urgences de l'HFR Fribourg Échocardiographie cardiaque le 07.02.2019 Coronarographie le 07.02.2019 TNT du 07.02 au 08.02.2019 Aspirine à vie Efient à demi-dose pour 6 mois Échocardiographie du 01.02.2019 Hémocultures du 01.02.2019 Échocardiographie du 06.02.2019 : FEVG estimée à 25-30% avec une akinésie antéro-septo-apicale très étendue et nouvelle comparativement à 2017, pas de signes indirects pour une embolie pulmonaire massive sous réserve de la qualité de l'examen. CT thoraco-abdominal le 06.02.2019 : épanchement pleural bilatéral de moyenne abondance à droite et de faible abondance à gauche avec condensation hétérogène des deux lobes inférieurs correspondant à des atélectasies passives vraisemblablement surinfectées. Voie veineuse centrale sous-clavière gauche dont l'extrémité de la sonde se trouve dans le tronc veineux brachio-céphalique gauche. Signe de surcharge hydrique modérée. Calcifications coronariennes. Hydrops vésiculaire, sans obstacle décelé le long des voies biliaires. Coronarographie le 13.02.2019 : Cet examen montre un bon résultat à long terme de la PCI de l'artère coronaire droite. J'ai complété la revascularisation coronaire avec une PCI/ 2 DES de l'IVA moyenne. Les fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche sont conservées. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois. Échocardiographie du 08.02.19 (Prof. X) : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG estimée à 78% (mode TM). Aorte normale. Valve aortique normale. Valve mitrale normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. CT thoracique du 08.02.2019 : Quelques artéfacts de mouvements en base pulmonaire gauche limitant son interprétation notamment pour éliminer formellement une embolie pulmonaire segmentaire ou sous-segmentaire. Le reste des artères pulmonaires ne présentent pas d'embolie pulmonaire jusqu'en sous-segmentaire. Majoration de l'épanchement pleural cloisonné à l'apex droit et de l'épaississement pleural global/épanchement pleural, une carcinomatose pleurale ne peut pas être exclue (DD : surcharge sur obstruction du retour veineux ?) avec épaississements et comblements bronchiques. Status post-spondylodèse D8-D12 avec laminectomie et cimentoplastie de D10. Présence à ce niveau d'un remaniement tissulaire para-vertébral gauche, ainsi qu'en arrière du canal médullaire, hautement suspect d'une infiltration tumorale. Hydronéphrose gauche.Echocardiographie le 01.02.2019: Pas de troubles de la cinétique régionale. Pas d'arguments pour une ischémie nouvelle. Sténose aortique minime à contrôler à distance. Rapport officiel suit. Echocardiographie le 14.02.2019: • Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. • FEVG à 60 % (évaluation visuelle). • Géométrie normale du ventricule gauche. • Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. • Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. • Pas d'insuffisance aortique. • Valve mitrale normale. • Insuffisance mitrale minime. • Fonction diastolique normale. • Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. • Oreillette gauche non dilatée. • Oreillette droite normale. • Présence d'un anévrysme du septum interauriculaire. • Ventricule droit normal. • Absence de dilatation des cavités droites. • Valve tricuspide normale. • Insuffisance tricuspide minime. • Valve pulmonaire normale. • Absence d'épanchement péricardique. Conclusion: L'examen du jour montre une fonction systolique normale du VG, absence de dysfonction diastolique de haut grade, pas de valvulopathies significatives. Présence d'un anévrysme du septum interauriculaire, autrement aucune preuve de source d'embolie intracardiaque. Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 01.02.2019: Absence d'argument scannographique en faveur d'un accident vasculaire ischémique ou hémorragique. Mise en évidence d'un vaisseau aberrant au sein du parenchyme cérébelleux gauche, associé à une hyperperfusion du parenchyme cérébelleux adjacent (MAV ? shunt ?). Bilan à compléter par une IRM cérébrale avec séquence TRICKS dynamique. Les axes artériels vasculaires précérébraux et le polygone de Willis sont perméables. Niveau hydroaérique du sinus maxillaire gauche (sinusite aiguë ?), à corréler au statut local. IRM cérébrale le 04.02.2019: AVC ischémique subaigu dans le centre semi-ovale et dans le gyrus post central gauche. Pas de transformation hémorragique. Bonne perméabilité du réseau vasculaire artériel. Anomalie veineuse de développement en région cérébelleuse gauche. Bilan neuropsychologique le 05.02.2019: bilan dans la norme pour l'âge de la patiente (rapport définitif en cours). Echocardiographie le 14.02.2019 Conditions techniques très limitées ne permettant que les conclusions suivantes : • Ventricule gauche non dilaté. • FEVG à 55 % (évaluation visuelle). • Cinétique fine segmentaire non évaluable. • Aorte non dilatée. • Absence d'insuffisance mitrale. • Oreillette gauche non dilatée. • Ventricule droit non dilaté. • Absence de dilatation des cavités droites. • Absence d'insuffisance tricuspide. • Absence d'épanchement péricardique. Coronarographie le 14.02.2019: L'examen invasif du jour démontre des artères coronaires discrètement athéromateuses sans sténose. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 60 % sans trouble de la cinétique segmentaire. Examen réalisé sous Isuprel. Planifier mise en place de PM. Echocardiographie le 26.02.2019 Test d'effort à discuter selon évolution. Echocardiographie transthoracique du 08.02.2019: épanchement péricardique de 3 mm en regard des cavités droites, sans répercussions hémodynamiques. FEVG normale. Remplacement valvulaire aortique - bon fonctionnement. Echocardiographie transthoracique du 09.02.2019: FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Absence d'HTP (PAP's à 28 mmHg). Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/3). Épaississement du péricarde avec épanchement péricardique de moyenne abondance, localisé en regard du ventricule droit et apical, de diamètre maximum 14 mm en regard du VD, en partie organisé. Légère augmentation par rapport à l'examen du 08.02.2019 après comparaison directe des images. Tolérance modérée hémodynamique de cet épanchement sans signes échographiques de tamponnade. CT thoracique injecté 09.02.2019: pas de saignement, épanchement péricardique, épanchement pleural gauche avec atélectasie de contact et foyer sous-jacent non exclu, comblements bronchiques, hernie de Bochdalek à gauche. Echocardiographie transthoracique du 11.02.2019 Prévoir une échocardiographie dans 1 année. Echocardiographie transthoracique le 02.02.2019: Dyskinésie du septum basal, akinésie de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale et hypokinésie sévère des segments restants. FEVG à 25 %. Hypertrophie excentrique. Aorte ascendante et thoracique descendante modérément dilatée. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4). Oreillette gauche très dilatée. Echocardiographie transthoracique le 05.02.2019: FEVG en hausse à 50 %. Introduction IEC Introduction Bêta-bloquant Introduction statines. Echocardiographie transthoracique le 06.02.19 et le 07.02.2019. Coronarographie le 06.02.2019: Aspirine à vie. Efient pour 6 mois. Echocardiographie transthoracique le 06.02.2019 et le 08.02.2019. Coronarographie le 13.02.2019. Echocardiographie transthoracique le 07.02.2019: Re-coronarographie pour traitement de la Cx et la CD dans 1 mois ou pontage aorto-coronarien à discuter. Lisinopril, puis Valsartan. Metoprolol. Atorvastatine. Echocardiographie transthoracique le 07.02.2019: Dilatation importante du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 20 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Aorte ascendante modérément dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique par planimétrie à 2.6 cm² (1.39 cm²/m²). Insuffisance aortique modérée (grade 2/3). Absence de rétrécissement mitral. Gradient moyen OG-VG à 2 mmHg. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3). Oreillette gauche discrètement dilatée. Sonde de PM en place. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. => Diminution de la FEVG par rapport à l'examen précédent en 01.2019. Indication à une coronarographie. Évaluation upgrade à traitement de resynchronisation avec implantation de sonde gauche. Coronarographie le 07.02.2019: L'examen invasif du jour démontre une progression de l'atteinte calcifiée de l'IVA proximale avec une sténose actuellement serrée. Dysfonction VG systolique sévère avec élévation franche des pressions de remplissage. Selon discussion avec Mr. Y et le Dr. X, angioplastie de l'IVA avec implantation d'un stent actif et un excellent résultat immédiat. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg ½ -0-0 pour 6 mois, reste du traitement selon Dr. X. Contrôle clinique et écho-TT dans 1 mois chez Dr. X. Echocardiographie transthoracique le 08.02.2019. Coronarographie: à organiser dès le 11.02.2019.Echocardiographie transthoracique le 15.02.2019 Lisinopril dès le 15.02.2019 Metoprolol le 15.02.2019 Atorvastatine le 15.02.2019 Echocardiographie transthoracique le 18.02.2019 Echocardiographie transthoracique d'évolution demandée Lisinopril dès le 20.02.19 Metoprolol dès le 21.02.19 Atorvastatine Réadaptation cardiovasculaire à organiser Echocardiographie transthoracique le 21.02.2019 (Dr. X) : Troubles de la cinétique légers avec sténose aortique modérée connue (rapport oral) Coronarographie le 22.02.2019 (Dr. X) : sclérose coronarienne diffuse Ventilation non-invasive du 21.02 au 22.02.2019 Cathéter artériel radial gauche du 21.02 au 22.02.2019 Furosemide du 21.02 au 22.02.2019 TNT iv continu le 21.02.2019 Poursuite Aspirine Atorvastatine dès le 21.02.2019 Lisinopril dès le 21.02.2019 Metoprolol dès le 22.02.2019 Echocardiographie transthoracique le 22.02.2019 : avec surface d’ouverture à 1.42-1.70 cm2 par équation de continuité, grade moyen 11 mmHg. Suivi annuel de la valvulopathie aortique ou plus tôt si symptômes. Echocardiographie transthoracique le 24.01.2019 Echocardiographie transoesophagienne le 28.01.2019 Apixaban du 19.01.2019 au 26.01.2019 Métolazone du 21.01.2019 au 26.01.2019 Introduction Amlodipine Contrôle du pacemaker chez Dr. X le 26.02.2019 Réévaluer indication à anticoagulation Echocardiographie transthoracique le 25.02.2019 Cordarone du 25.02.2019 au 26.02.2019 Métoprolol dès le 25.02.2019 Cardioversion électrique (1 choc 100 J) le 26.02.2019 Echocardiographie transthoracique le 28.01.2019 (Dr. X). Echocardiographie transthoracique 21.01.2019 Echocardiographie transthoracique du 22.01.2019 Anticoagulation thérapeutique par Liquémine du 22.01 au 25.01.2019 avec relais pour l'Arixtra 7.5 mg dès le 25.01.2019 Echocardiographie transthoracique à distance Echodoppler cervical : pas d'argument pour une dissection. Constat de coups : fait par Dr. X. Retour à domicile. Antalgie. La mère de Mr. Y récupérera le constat de coups le 14.02.2019 Echographie abdominale (transmission orale Dr. X) : 1 calcul visualisé, pas de cholécystite, ectasie des voies biliaires intra-hépatiques évoquant un passage de calcul. Echographie abdominale au Centre d'Imagerie de Fribourg VVP Traitement antalgique Avis chirurgical : Dr. X / Dr. X Transfert pour prise en charge chirurgicale Echographie abdominale le 14.02.2019 : pas de lésion suspecte dans le parenchyme hépatique, en cas de doute, une IRM est recommandée. Rein sp. Echographie cardiaque de contrôle dans 1 mois chez Dr. X à Tafers Echographie cardiaque transthoracique le 01.02.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'HTAP (PAPs à 35 mmHg). Insuffisance tricuspide minime. Absence d'épanchement péricardique. Pas de passage de microbulles au repos ni à la manœuvre de Valsalva. Pas d'argument pour un FOP. Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 31.01.2019 : Absence d'argument en faveur d'une lésion ischémique constituée ou hémorragique. Le polygone de Willis et les axes artériels, vasculaires et pré-cérébraux sont perméables. A gauche, les artères carotides commune et interne sont perméables avec plaque d'athérome mixte, avec sténose évaluée à 40 % à la bifurcation carotidienne et quelques plaques calcifiées à hauteur de la partie intra-caverneuse de l'artère carotide interne, sans sténose significative. IRM cérébrale le 04.02.2019 : Lésions ischémiques aiguës punctiformes fronto-pariétales gauches dans le territoire sylvien superficiel. Pas de transformation hémorragique. Perméabilité des réseaux vasculaires artériel et veineux. Examen neurosonologique le 01.02.2019 : (rapport en cours). Athéromatose carotidienne pré-cérébrale à prédominance G, non sténosante (< 50 %) Echographie cardiaque transthoracique le 11.02.2019 : FEVG à 52 %, ventricule gauche non dilaté avec une dysfonction systolique légère sur hypokinésie modérée de la paroi septale antérieure moyenne. Coronarographie le 14.02.2019 (Dr. X) Avis cardiologique Traitement : Double anti-agrégation par Aspirine cardio et Plavix pendant 6 mois, suivi par Plavix seul Attitude : • Contrôle clinique et biologique le 11.03.2019 à 15h45 chez Dr. X • Double anti-aggrégation jusqu'au 11.08.2019 puis Plavix seul Echographie cardiaque transthoracique le 11.02.2019 Coronarographie le 14.02.2019 (Dr. X) Echographie cardiaque transthoracique le 11.02.2019 Coronarographie le 14.02.2019 (Dr. X) Avis pneumologique Echographie cervicale : Nodules rétro-mandibulaire droit mesurant 2,1 cm de grand axe et 1,2 cm de court axe à périphérie hypo-échogène et à centre hyperéchogène mais hétérogène avec une vascularisation périphérique au Doppler. DD : adénopathie vs kyste branchial (un kyste dermoïde semble moins probable vu la localisation latérale). Les glandes parotides et sous-mandibulaires sont sans particularité des deux côtés. Pas d'autre anomalie Radio thorax / US abdominale : normale Bilan sanguin : FSC : GB : 5.2 G/L, Plq : 594, pas de blastes CRP : < 5 mg/l, VS : 1 mm/1h, gazométrie, fonction rénale en ordre LDH : 605 Acide urique : 150 ASAT/ALAT : 47/30 Hémoculture / sérologie EBV / CMV / Parvovirus / toxoplasmose à pister Echographie ciblée aux urgences (Dr. X) : dilatation pyélocalicielle 1 cm à gauche avec douleur au passage de la sonde au niveau du rein gauche Laboratoire : cf. annexes Echographie ciblée aux urgences (Dr. X) : pas de liquide libre abdominal, pas d'épanchement pleural, bon glissement pleural sur toutes les plages, pas d'épanchement péricardique. Sédiment urinaire : présence d’érythrocytes. Surveillance. Echographie ciblée de l'abdomen Dr. X. Motif, conditions d'examen : douleurs abdominales, recherche lithiase vésiculaire. Péritoine : pas d'épanchement. Aorte abdominale : non dilatée. Cavités pyélocalicielles : pas de dilatation. Vésicule biliaire : pas de lithiase. Voies biliaires : pas de dilatation des voies biliaires perçue. Conclusion : pas de lithiase vésiculaire. Echographie ciblée (Dr. X) : Dilatation pyélocalicielle de 2 cm à droite. Pas d'obstacle visible, pas de calcul, pas d'abcès. Laboratoire 14.02.19 : CRP 74, leuco 11.7 Créat 144. Stix/Sédiment du 14.02.19 : leuco positif. Uriculture du 11.02.19 chez le médecin traitant : stérile d'après le médecin traitant. Avis Dr. X : pas de motif d'hospitalisation, contrôle en ambulatoire dans son cabinet le 15.02.19 à 09h00. • Retour à domicile avec poursuite de Ciprofloxacine 500 mg 2x/j. • Contrôle chez Dr. X le 15.02.19 à 09h00, nous proposons à Mr. Y de reconsulter s'il présente des douleurs, un changement au niveau des urines et/ou de la fièvre et des frissons. Echographie ciblée parties molles (Dr. X). Retour à domicile. Echographie ciblée thorax. Echographie des voies urinaires le 15.02.2019 Hydratation Suivi biologique Echographie doppler de débrouillage (Dr. X à Riaz) : pouls artériels périphériques conservés, thrombose fosse poplitée droite. Proposition Anticoagulation par HNF thérapeutique dès que le problème de priapisme est réglé après accord de l'urologue.Doppler aux urgences: signe affaibli sur l'artère dorsalis pedis, pas de signe sur l'artère tibialis postérieur Angio-CT des membres inférieurs le 09.12.2018 (Dr. X): Calcification importante de toutes les artères des membres inférieurs ddc droite: sténose au niveau poplitée pas significative, A. fibulaire ouverte, pas de contraste en distalité de l'Artère tib. ant et post dès le niveau du moyen tiers du mollet, infiltration du tissu mou du pied à gauche sténose de 50% de A. fem. commune, dans la distalité de l'Artère tib ant. et post. un réhaussement faible visible. Au niveau abdominal la lésion primaire du carcinome en régresse, les métastases de la foi aussi en régresse Angiographie avec thrombolyse le 10.12.2018 (Dr. X) Echographie le 12.02.2019 (Dr. X) Echographie rénale du 8.02: sans pathologie, sans néphrolithiase, sans malformations, ni dilatation Urotube: négatif Sédiment du 11.02: pas d'hématurie, protéinurie: 0,012 g/l Echographie transthoracique le 31.01.19 Torem 10 mg/j dès le 30.01.19 Switch Carvedilol par Beloc (en raison d'hypotension symptomatique < 80 mmHg) Stop Venlafaxine (cardiotoxique) Transfusion 1 CE le 06.02.19 Suivi cardiologique à l'Inselspital pour contrôle du LVAD le 12.02.19 Echographie transthoracique 08.02.2019 (Dr. X): épanchement péricardique de 3 mm, sans répercussion hémodynamique Echographie transthoracique 09.02.2019 (Dr. X): épanchement péricardique de 14 mm avec tolérance hémodynamique modérée, sans argument pour une tamponade Echographie transthoracique 11.02.2019 (Dr. X): régression épanchement péricardique (11 mm), contrôle à 1 mois, Brufen 1 semaine et Colchicine pendant 1 mois CT thoracique injecté du 09.02.2019: pas de saignement, épanchement péricardique Brufen pour une durée de 1 semaine Colchicine pour 1 mois ETT de contrôle dans 1 mois chez le Dr. X le 12.03.2019 à 10h00 Echographie transthoracique 08.02.2019 (Dr. X): épanchement péricardique de 3 mm, sans répercussion hémodynamique Echographie transthoracique 09.02.2019 (Dr. X): épanchement péricardique de 14 mm avec tolérance hémodynamique modérée, sans argument pour une tamponade Brufen et Colchicine du 08.02.2019 au__ Ecofenac bandage Algifort 200mg max 4/j Dispense de sport x 7 jours Econazole topique Ecoulement au niveau de la lésion cystique en regard de l'angle mandibulaire droit. Ecoulement chronique oreille D sur perforation tympan • suivi par le Dr. X (contrôle le 06.12.2018 à 15h15 au HFR) • Ciproxin HC gttes auriculaires au besoin Ecoulement de plaie. Ecoulement par sonde gastrique avec début d'ulcération cutanée le 29.01.2019 • avec sonde gastrique dysfonctionnelle • composante jéjunale non utilisée sur iléus non réversible après cinq jours • inconfort abdominal Ecoulement séreux de la plaie sur status post-décompression canalaire médiane L2-L3 et L3-L4, spinectomie de L3, mise en place de 4 vis au niveau L2 et L3 le 04.02.2019, TLIF L2-L3 avec mise en place de cage pré-remplie avec os autologue le 04.02.2019 et TLIF L3-L4 avec cage de 10mm pré-remplie avec os autologue; connexion des vis L2-L3, L4-L5 avec tige de 100 mm ddc et Cross-Link Matrix au niveau L3-L4 le 04.02.2019 sur pour des lombalgies persistantes avec irradiation dans les MI et claudication sur: • Canal lombaire étroit constitutionnel + dégénératif avec décompensation en scoliose • Strangulation du fourreau durale L1-L2 et L2-L3 avec brèche durale L3 à droite contenue • Status post décompression L2-L3, L3-L4 par abord D et décompression controlatérale par Cross over le 11.12.2017 sur décompensation canal lombaire étroit L2-L3, L3-L4 sur status post décompression L4-L5 bilatérale + spondylodèse L4-L5 par vis transpédiculaire et herniectomie L4-L5 D + discectomie et mise en place d'une cage TLIF taille 10 le 19.06.2017 Ecoulement séreux persistant de la plaie avec augmentation de la CRP 260 mg/l le 15.02.2019. Eczéma Eczéma Eczéma Eczéma Eczéma Eczéma. Eczéma arrière des cuisses Eczéma atopique Eczéma au niveau des bras • probablement sur chimiothérapie. Eczéma au visage Eczéma dans la petite enfance. Eczéma des plis inguinaux Eczéma dysidrosique. Eczéma étendu, DD: astéatotique, DD: eczéma du sujet âgé, DD: maladie auto-immune bulleuse au stade pré-bulleux • Histologie et immunofluorescence directe • Consilium dermatologique avec proposition de traitement mise en place Eczéma irritatif des mains lors de l'emploi de certains produits de nettoyage Eczéma le 19.02.2019. Eczéma mai 2016 CVO juillet 2016 (hanche G, dactyltite) IVRS décembre 2016 Hospitalisation pour GEA non documentée, toux fébrile avec angine : France puis HFR 5-9/02/2017 Boiterie G. non fébrile puis pronation douloureuse, août 2017 Hospitalisation pour adénite mésentérique fébrile, Rocéphine - septembre 2017 Sérologie Parvovirus nég (sept 2016) Pas de lithiase vésiculaire (septembre 2017) DTC n°1 6/12/2016 (HFR Dr. X) : dans la norme DTC n°2 4/12/2017 (HFR Dr. X) : dans la norme Né en Suisse, AI en cours Bronchite obstructive à RSV fev.2018 compliquée d'un syndrome thoracique aigu, transfusion Adénoïdectomie sous optique. (OP le 30.07.2018) Eczéma prurigineux le plus probable le 27.02.2019. Eczéma. RGO traité. Eczéma traité avec Dexeryl Eczéma traité par Diprogenta. Probable reflux gastro-oesophagien traité par Pantozol. Eczéma. AIT territoire ACM supérieure d'origine artério-artérielle sur dissection bilatérale de la carotide interne le 09.02.2019 (suite de soins en neurologie à l'HFR). Eczéma. AVC territoire ACM supérieure droite d'origine artéro-artérielle sur dissection bilatérale de la carotide interne le 09.02.2019 (suite de soins en neurologie à l'HFR). Eczéma Bronchites spastiques récidivantes (traité avec Ventolin au besoin) Eczéma. Suspicion de diabète MODY. Éducation à la santé sur la gestion de la SV. Urotainer; sonde perméable, pas d'hématurie. Mis un bouchon: éducation à la santé sur la gestion du bouchon. Une infirmière des soins à domicile passe ce jour et refera un contrôle. Éducation de la mère Consignes de surveillance données à la mère Éducation sur les signes devant amener à reconsulter. Consultation chez le médecin de famille le 18.02.2019. Bilan angiographique. Certificat médical. Éducatrice (Romy Jaquet) 079 298 89 03 Avis psychiatrique à demander EEG le 14.02.2019: Pas d'argument pour une épilepsie EEG le 20.02.2019: Pas de foyer épileptique CT cérébral le 08.02.2019 Angio-CT cérébral le 16.02.2019 IRM cérébrale le 19.02.2019: artéfact des coils de l'anévrysme basilaire ne permettant de se prononcer sur d'éventuelles lésions du tronc EEG le 14.02.2019Taux Carbamazépine le 15.02.2019 : taux infra-thérapeutique Avis Dr. X Majoration Timonil 200 mg/j cpr retard dès le 15.02.2019 • EEG le 18.02.2019 normal • ETT le 19.02 : échographie cardiaque dans la norme, absence d'évidence pour un FOP ou toute autre source cardio-embolique. • ETO le 20.02.2019 : oreillette gauche discrètement dilatée, sans thrombus visible. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Présence de left atrial poutch au niveau de l’oreillette gauche sans thrombus visible actuellement, très probablement en communication avec l'OG comme visualisé au doppler couleur. Absence de FOP au test aux microbulles après adéquate Valsalva. Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Fonction diastolique normale. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. • Ct cérébrale (Time is brain) le 17.02.2019 : pas de signe significatif d'AVC, pour une meilleure investigation l'IRM est l'examen de choix. Absence d'asymétrie notable des cartographies de perfusion. Bonne perméabilité du polygone de Willis et absence de sténose des vaisseaux pré-cérébraux. • IRM cérébrale : restriction de la diffusion punctiforme dans le gyrus para-hippocampique droit dans un contexte d'amnésie globale transitoire. Les artères du polygone de Willis sont perméables. • Bilan neuropsychologique le 20.02.2019 : cet examen neuropsychologique réalisé auprès de Mr. Y âgé de 56 ans, collaborant et adéquat, met en évidence de légères difficultés en attention divisée et des performances à la limite inférieure de la norme en mémoire épisodique visuelle. Par ailleurs, le reste des fonctions cognitives évaluées est préservé. Ces difficultés sont compatibles avec l'AVC bi territorial. • EEG le 27.12.2018 : pas de crise épileptique mais un foyer d'activité en fronto-temporal G (Dr. X) • IRM du 19.12.2018 • Keppra dès le 27.12.2018 • Radiothérapie (c.f. diagnostic 1) • EEG 09.02.2019. sinusale, FC 64, PR 160ms, QRS 90ms, QTc 407ms, pas de delta, pas de troubles de repolarisation • EF • EF • EF ce matin • EF depuis hier • EF depuis 2 jours • Ef depuis 3 jours • EF, difficultés respiratoires • EF, IVRS • EF, toux • EF, vomissements, rhume Effectué à Meyrier : • Sono : Inkarzerierter Leistenhernie rechts. • CT Becken : Hernie inguinale de Amyand • Behandlung auf der Permanence Novalgin 1g. • laboratoire : CRP, Créatinine normwertig, Leuk 6,4. A Fribourg : • Avis chirurgical Dr. X • hospitalisation en chirurgie pour prise en charge chirurgicale • groupage ABO Effectuer un Holter sur 24h Prévoir une nouvelle ETT dans 1 an (suivi de l'insuffisance de la valve aortique) Double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine cardio et Plavix dès le 14.02.2019 pendant 1 mois, suivi par du Plavix seul Traitement hypolipémiant haute dose Poursuite de l'antibiothérapie (Rocéphine) jusqu'au 16.02.2019 Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Consultation neurovasculaire de contrôle le 26.06.2019 à 14h30 (HFR Fribourg) Effets secondaires Deanxit (Flupentixol 0.5 mg/Mélitracène 10 mg) Efforts respiratoires Chute de sa hauteur avec • traumatisme thoracique • sans PC/TC Alcoolisation aiguë : 3,55 pour mille à l'arrivée aux urgences Consommation éthylique à risque le 30.01.2019 • contexte d'alcoolisation aiguë à 4 pour mille • idéation suicidaire. Ethanolémie à 4 pour mille. Asthme bronchique acutisé. • EKG du 07.01.2019 et 29.01.2019 : bradycardie sinusale, axe normal, pas de trouble de la repolarisation Pas de thérapie • EKG : normal • EKG : normal Symptomatique thérapie • EKG 10.12.2018 Contrôle du défibrillateur chez Dr. X le 20.12.2018 : normal Discussion sur une cathétérisme gauche/droit et un MitraClip ? Électif pour évaluation d'une possible vasculite Électif pour investigation d'une possible vasculite Électrocardiogramme Laboratoire Radiographie du thorax Augmentation du Torem à 10mg le 04.02.2019 et le 05.02.2019, puis reprise du dosage habituel à 5mg/jour Électrophorèse des protéines avec recherche de synthèse intra-thécale dans LCR du 25.02.2019 Électrophorèse des protéines du 06.02.2019 Électrophorèse des protéines (19.02.2019) : pas d'anomalie Électrophorèse et immunofixation des protéines le 11.02.2019 : bande monoclonale IgG lambda Taux IgG 9.6 g/L Absence d'insuffisance rénale, d'hypercalcémie, et d'anamnèse de douleurs osseuses. Avis hématologique (Dr. X) : pas d'investigations supplémentaires nécessaires actuellement. Mme. Y nous est transférée du CHUV pour sevrage de la sonde nasogastrique et trouble de l'oralité. Sur le plan cardiaque, elle a bénéficié d'une fermeture par patch de xénopéricarde le 29.01 au CHUV pour une CIV péri-membraneuse avec annuloplastie de la valve tricuspide et fermeture directe d'un FOP. Elle présente des tensions artérielles légèrement élevées (en moyenne 100/80 mmHg) depuis l'opération gérée par Captopril 3.5 mg 3x par jour. A son arrivée, elle présente des paramètres dans la norme avec une tension légèrement élevée à 103/90 mmHg qui se stabilisent au fur et à mesure de l'hospitalisation pour atteindre les valeurs cibles de 70-90 mmHg de systolique. Elle reste stable tout le long de son hospitalisation. Sur le plan digestif, elle bénéficie d'une SNG par laquelle passent principalement ses apports avec tentatives de reprises orales progressives. Mme. Y bénéficie de soin d'ergothérapie le 11.02.2019 qui permettent une amélioration de la prise orale et un apprentissage des parents quant à la prise en charge de l'alimentation à domicile. La sonde n'est pas sevrée à sa sortie mais ses apports oraux ont progressivement augmenté lors de son séjour. Sur le plan métabolique, nous mettons en évidence une alcalose respiratoire compensée le 09.02.2019 qui ne nécessite pas de contrôle ultérieur au vu de la bonne clinique de la patiente. Au vu de la clinique encourageante du point de vue alimentaire, nous décidons d'un retour à domicile malgré la persistance de la sonde naso-gastrique. Un suivi cardiologique est prévu par Dr. X le 28.02.2019 et le retrait ambulatoire du Dermabond le 18.02.2019 chez le pédiatre traitant. Élévation de la coupole diaphragmatique droite d'origine indéterminée • avec épanchement pleural DD atélectasie Élévation de la coupole diaphragmatique droite probablement d'origine iatrogène post pose de LVAD DD : parésie du nerf phrénique, déhiscence diaphragmatique Élévation de la lipasémie d'origine indéterminée avec : • lipase 2'089 U/l • pas de toxique, pas d'obstruction des voies hépatiques. Élévation de la lipasémie probablement sur la PEG mal positionnée. • lipase 2'089 U/l le 02.02.2019. • pas de toxique, pas d'obstruction des voies hépatiques. Élévation des D-Dimères d'étiologie indéterminée le 17/02/19. Élévation des enzymes hépatiques • probable cause médicamenteuse Élévation des paramètres hépatiques post-partum Eliquis en suspens Suivi biologique Eliquis selon schéma, pour un total de 3 mois Contrôle en angiologie à 3 mois à l'HFR Fribourg Elle bénéficie d'un train de Ventolin avec amélioration globale de l'entrée d'air mais au vu d'une hypoventilation sur toute la plage pulmonaire droite, une radiographie du thorax est effectuée. Un doute sur un foyer à droite du cœur est évoqué. Elle est hospitalisée pour risque d'oxygénodépendance. Sur le plan respiratoire, elle ne nécessite pas de soutien respiratoire ni d'oxygène. L'évolution est tout à fait rassurante même si l'hypoventilation sur toute la plage pulmonaire droite persiste. Sur le plan infectieux, elle ne présente pas de nouveau pic de fièvre. Au vu de la bonne évolution, nous décidons de ne pas introduire de traitement antibiotique mais de suivre son évolution cliniquement. Elle peut regagner son domicile le 16.02.2019. Elle boit 200 ml de Normolytoral dans la salle d'attente sans vomir. Elle doit continuer la physiothérapie avec renforcement musculaire. Elle peut commencer le vélo. Pas de sport à l'école pour encore 6 semaines. Prochain contrôle à 6 mois postopératoires. Elle est prévue pour une hospitalisation à la clinique SUVA à Sion. Nous proposons donc qu'elle continue à porter la semelle en carbone. Nous ne pensons pas qu'une intervention puisse améliorer la situation. Nous lui conseillons de consulter le service d'antalgie à la clinique SUVA. Nous la reverrons suite à cette hospitalisation. Elle est très demandeuse pour une solution radicale. Nous lui proposons donc une amputation de la phalange distale avec la matrice. Les risques et les bénéfices lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Elle nous recontacte à 24 heures pour les points de ponctions. Prochain contrôle à 3 mois. Elle peut reprendre ses activités sportives selon douleurs. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Elle présente surtout des douleurs au niveau de la MTP 2 qui peuvent être liées à une surlongueur du 2ème rayon. Nous ne pensons pas que le matériel puisse la gêner. Dans un premier temps, nous organisons une infiltration de la MTP 2, sous scopie. Nous la reverrons ensuite. Nous l'informons qu'elle doit nous recontacter lorsqu'elle présente une tuméfaction car cela pourrait être un kyste. Elle reconsultera si augmentation des douleurs ou en cas de nouveaux symptômes (autres que ceux d'une gastroentérite). Elle reprendra contact. Elle reviendra demain après-midi pour contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires. Eloane présente un 3e épisode de convulsion fébrile simple, dans un contexte de virose respiratoire. Le status neurologique est dans la norme. Les parents, se sentant rassurés, partent à domicile après 2h de surveillance aux urgences. Nous prescrivons du stesolid en réserve, après démonstration de la méthode d'administration, à donner en cas de crise supérieure à 7-10 minutes. Vu le 3e épisode, nous évoquons la possibilité d'une consultation en neuropédiatrie. Nous adressons ce courrier en copie à Dr. X qui décidera de la nécessité ou non d'une consultation spécialisée et convoquera les parents le cas échéant. Élongation des muscles adducteurs jambe droite. Élongation du biceps fémoral le 11.02.2019. Élongation du gastrocnémien latéral gauche, le 11.02.2019. Élongation du muscle ischio-jambier du genou droit. Élongation de la musculature intercostale au niveau des côtes 8-9 à droite le 23.02.2019. • sur port de charges lourdes. Embolie pulmonaire : • stop Clexane quand INR thérapeutique Troubles cognitifs : • rediscuter réévaluation neuropsychologique après quelques semaines de sevrage pour évolution des troubles • IRM cérébrale à rediscuter Traitement de Diflucan : • surveillance tests hépatiques Dysphagie : • réévaluer indication à transit baryté selon évolution dysphagie post traitement de Diflucan Embolie pulmonaire bilatérale avec : • EP paracentrale droite au niveau du lobe inférieur et moyen • EP segmentaire (lobe supérieur) et subsegmentaire gauche (lingula, lobe inférieur) Embolie pulmonaire bilatérale, le 11.02.2019 • contexte de néoplasie actif Embolie pulmonaire bilatérale le 11.02.2019 • contexte de néoplasie active Embolie pulmonaire centrale avec extension dans les 3 lobes pulmonaires droits le 30.01.2019 Embolie pulmonaire centrale bilatérale le 24.02.2019 • Immobilisation dans contexte d'état grippal Embolie pulmonaire centrale bilatérale le 24.02.2019 • immobilisation dans contexte d'état grippal • infarctus pulmonaire du segment antérieur du LSG • score sPESI à 85 points Embolie pulmonaire centrale droite, le 24.02.2019 Embolie pulmonaire centrale le 24.02.2019 Embolie pulmonaire dans le cadre d'un syndrome paranéoplasique Dysphagie au solides d'origine indéterminée le 05.10.2017 Diabète cortico-induit insulino-requérant ED 10.2017 Pneumonie organisante, fibrose interstitielle modérée du tissu alvéolaire et fibrose modérée de la muqueuse respiratoire du tissu péri-bronchiolaire le 03.10.2017 • Corticothérapie en schéma dégressif par prednisone dès le 18.10.2017, actuellement 5 mg • Co-Trimoxazole (Bactrim) prophylactique 3x/semaine durant la corticothérapie Récidive d'une pneumonie organisante secondaire au traitement de Nivolumab en avril 2018 Céphalées frontales non pulsatiles d'origine indéterminée le 26.09.2018 • associées à des vertiges et un flou visuel • DD migraine vestibulaire Pneumonie organisante et fibrose interstitielle probablement immuno-induite par traitement de Opdivo (Nivolumab) avec : • CT thoracique du 05.10.2017 : foyer de pneumonie lobe supérieur droit, condensation du lobe inférieur droit. Stabilité tumorale • bronchoscopie du 13.10.2017 • biopsie Promed (P2017.12317) : pneumonie organisante et fibrose interstitielle • lavage broncho-alvéolaire du 13.10.2017 Promed (P2017.5313) : augmentation des polynucléaires neutrophiles dans le contexte de pneumonie organisée • actuellement : diminution des infiltrats sur le scanner du 18.06.2018, schéma dégressif de Prednisone comme prévu Hypertension artérielle labile Anévrisme cérébrale de l'artère communicante antérieure de 6x6x3 mm stable sans indication neurochirurgicale Rétrécissement foraminal C4-C5 et C5-C6 sur cervico-discarthrose Tabagisme 60 UPA, stoppé en 2015 Syndrome d'apnées/hypopnées du sommeil de degré sévère, type mixte, obstructif et central à type de Cheyne-Stokes avec mauvaise tolérance du masque (céphalées et vertiges, arrêt de l'ASV en septembre 2018). Embolie pulmonaire dans les segments latéro-basal du lobe inférieur droit et médial du lobe moyen sans répercussion hémodynamique le 26.01.2019 • Sous Xarelto (mauvaise compliance médicamenteuse) Embolie pulmonaire (découverte fortuite à l'imagerie, sur une immobilisation prolongée sans prophylaxie en raison d'une anémie spoliative en mars 2014), sous Sintrom dès le 22.03.2014 Résection d'un polype sessile de 12 mm du côlon droit, 2 petits polypes du sigmoïde laissés en place, diverticulose sigmoïdienne, status hémorroïdaire interne stade I, à la colonoscopie du 11.03.2013 Accident ischémique transitoire hémorragique en 2003 Status après thyroïdite De Quervain Status après cataracte opérée Status après implantation de prothèse totale de hanche droite en 2009 Status après infection urinaire basse à S. agalactiae le 10.03.2014 Status après hystérectomie en 1982 Status après intervention des varices Plaie jambe gauche le 05.09.2018 Embolie pulmonaire droite en 2001, sous anticoagulation orale à long terme. Lobectomie inférieure gauche sur adénocarcinome épidermoïde peu différencié en 1993, sans récidive.Cholécystectomie en 1982. Urosepsis à E.coli poly sensible sur pyélonéphrite gauche le 26.10.2015 : 1/4 hémocultures positives. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine prérénale sur sepsis. RESOLU. Embolie pulmonaire droite en 2001, sous anticoagulation orale à long terme. Lobectomie inférieure gauche sur adénocarcinome épidermoïde peu différencié en 1993, sans récidive. Urosepsis à E.coli polysensible sur pyélonéphrite gauche le 26.10.2015 : • 1/4 hémocultures positives Ceftriaxone 2 g i.v. du 26.10.2015 au 27.10.2015 Ciproxine 500 mg per os du 28.10.2015 au 04.11.2015 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine prérénale sur sepsis. RESOLU. Hydratation i.v. Embolie pulmonaire du lobe moyen le 05.02.2019. Embolie pulmonaire en juillet 2018 sous Xarelto. Récidive d'infection à Clostridium difficile le 21.01.2016 (2ème épisode). Colite à Clostridium le 16.12.2015. Cure de hernie inguino-scrotale droite le 25.11.2014. Accident vasculaire cérébral en 2005. Opération lombaire. Embolie pulmonaire en 1994. Insuffisance rénale aiguë pré-rénale. Pneumonie d'aspiration basale D le 05.05.2013. Thrombose veine sous-clavière D le 04.09.2014. Cyphoplastie bipédiculaire de L2 par système Tektona et système SpineJack, cimentage par Cohésion 7 cc le 29.05.2015 sur fracture-tassement de L2 type AO A1.2. Embolie pulmonaire en 2000. Lipomes. Scarification superficielle le 30.07.2018 dans le contexte d'état dépressif en cours de traitement hospitalier à Marsens. Agressivité et idées suicidaires chez Mr. Y connu pour un trouble schizo-affectif le 11.01.2019. Embolie pulmonaire en 2005. Probable urosepsis avec bactériémie à E. Coli le 08.07.2015. État confusionnel aigu et faiblesse généralisée du 07.07 au 08.07.2015 sur sepsis urinaire à E. Coli. Perturbation des tests hépatiques connue, dans un contexte de chimiothérapie intravésicale. Embolie pulmonaire en 2015 : • anticoagulation par Xarelto. Embolie pulmonaire idiopathique non-high risk le 19.02.2019 avec : • infarctus pulmonaire. Embolie pulmonaire idiopathique non-high risk le 19.02.2019 avec : • chez Mme. Y connue pour une dystrophie musculaire oculo-pharyngée diagnostiquée en 2015 • infarctus pulmonaire avec hémoptysie. Embolie pulmonaire il y a de nombreuses années. Fracture spontanée des côtes 10, 11 et 12 à G le 19.05.2016 • au décours d'une possible pneumonie traitée par Clarithromycine. Sub-iléus sur suspicion de volvulus du grêle le 04.09.2015 • Mme. Y porteuse d'un anneau gastrique depuis 10 ans, a eu dilatation de l'anneau le 01.09.2015. Arthrite septique MTP 1 pied D avec dermohypodermite de l'avant-pied le 11.05.2017 • 10 ans après correction hallux valgus par broche MTP 1. AVC ischémique subaigu sur occlusion partielle de l'artère sylvienne droite d'origine probablement cardio-embolique le 04.01.2018 avec : Anticoagulation par Eliquis 5mg 2x/j. Contrôle neurologique le 16.08.2018 chez Dr. X à 15h. Facteurs de risque cardio-vasculaires : • FA persistante • épisode inaugural en mai 2017 (Holter) dans un contexte infectieux avec CHADS-VASc à 1 point • ETT (09.01.2018) : Ventricule gauche non dilaté. FEVG 60 %. Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette et ventricule droits normaux visuellement. Pas d'anomalie valvulaire significative. • Holter (11.01.2018) : fibrillation auriculaire constante avec une fréquence cardiaque moyenne de 79 bpm, maximale de 149 bpm, minimale de 52 bpm. • Hypertension artérielle traitée par Amlodipine 10mg/jour et Lisinopril 20mg/jour compliquée d'une cardiopathie hypertensive. • Pré-diabète : HbA1c à 6.1% le 11.01.2018. • SAOS avec échec d'appareillage (angoisses) - polygraphie 03/2016. • Tabagisme actif. • Hypercholestérolémie : HDL 0.82 mmol/l, LDL 2.18 mmol/l le 11.01.2018 (cible LDL <1.8 mmol/l), triglycérides 1.71mmol/l • Atorvastatine 40mg dès le 15.01.2018. • Obésité morbide avec BMI 63,7kg/m2 suivi par Dr. X, anneau gastrique en place, projet d'un bypass gastrique. Poursuite Beloc Zok (initié le 05.01.2018) et augmentation à 50mg/jour le 14.02.2018. Poursuite anticoagulation selon protocole de l'étude ELAN (Eliquis 5mg 2x/jour). Suivi TA. Suivi glycémies. Poursuite Atorvastatine. Suivi diététique. Cliniquement : fatigue, faiblesse, frilosité, œdèmes. TSH augmentée (5,090mU/l), T3, T4 dans la norme le 23.02.2018. Surveillance et contrôle à distance dans 3 mois. Bactériurie symptomatique sur sondage urinaire le 31.01.2018 à Escherichia coli résistant au Bactrim et Enterococcus faecalis multi-sensible, compliquée d'une cystite avec dysurie : • sondage urinaire 05.01.2018 au 08.03.2018. Embolie pulmonaire le 06.02.19. Embolie pulmonaire lobaire inférieure droite, segmentaire avec suspicion de début d'infarctus pulmonaire. Embolie pulmonaire lobaire inférieure gauche et dans une moindre mesure segmentaire droite d'origine septique. Embolie pulmonaire paracentrale gauche de suspicion chronique le 6.1.19. Embolie pulmonaire post-opératoire en 1999, sous anticoagulation pendant 6 mois. Prothèse totale du genou gauche. Prothèse totale de la hanche droite. Zona cervical. Embolie pulmonaire sans répercussion hémodynamique le 26.01.2019 : • CT thoracique injecté le 25.01.2019 : Embolie pulmonaire dans les segments latéro-basal du lobe inférieur droit et médial du lobe moyen sans répercussion sur les cavités cardiaques ou le parenchyme pulmonaire. • sous Xarelto (mauvaise compliance médicamenteuse). • héparine thérapeutique le 25.01.2019, relais par Clexane thérapeutique 26.-29.01.2019, puis Xarelto dès le 30.01.2019 (sur avis neurologique). Embolie pulmonaire segmentaire diagnostiquée en juin 2007. Fracture phalange distale ouverte non déplacée en juin 2011. Sinusite frontale et maxillaire bilatérale le 26.09.2014. Suspicion de récidive métastatique au niveau cérébral. CT cérébral le 26.09.2014 : nodule de 8 mm en lobe occipital droit (décrite à l'imagerie précédente), pas d'œdème péri-lésionnel, pas de signes d'engagement. Demande de consultation oncologique ambulatoire. Embolie pulmonaire segmentaire droite le 12.09.2012 avec épanchement pleural droit. Diarrhées chroniques investiguées pendant une hospitalisation au mois d'août 2015 et suivies par Dr. X. Douleurs thoraciques probablement d'origine musculo-squelettique. Idées suicidaires scénarisées, sans passage à l'acte le 10.10.2016. Idées suicidaires avec facteur de risque élevé, urgence moyenne et dangerosité élevée chez Mr. Y avec une notion de schizophrénie paranoïde. Contusion du genou droit. Embolie pulmonaire segmentaire gauche et sous-segmentaire bilatérale en septembre 2018. Embolie pulmonaire segmentaire postérieure lobaire inférieure droite. Embolie pulmonaire segmentaires et sous-segmentaires • Score de Genève à 6 (29% de probabilité) • PESI Score à 51 Embolie pulmonaire sous-segmentaire droite et gauche le 18.08.2018, sous Xarelto. Mise à plat d'anévrisme de l'aorte abdominale infrarénale par un tube droit et un pontage prothétique fémoral gauche le 31.08.2015 (Dr. X). Embolectomie, thrombectomie et lyse sélective intra-artérielle de l'artère fémorale D le 31.08.2015 (Dr. X). Insuffisance respiratoire d'origine multifactorielle le 03.09.2015 : • atélectasie basale D, surcharge, décompensation broncho-pneumopathie chronique obstructive. Etat confusionnel et d'agitation sur sevrage alcoolique le 03.09.2015. Ostéomyélite Czerny II de l'olécrâne droit à germe indéterminé en 2014. PTH gauche en 2011. Ostéosynthèse fracture pertrochantérienne gauche en 2008. Antro-bulbite érosive 2008. Bursectomie coude droit en 1999 et 2005. Hernie hiatale. Colite ischémique. Cure d'hémorroïdes. Embolie pulmonaire sous-segmentaire apicale supérieure et inférieure droite. Embolie pulmonaire sous-segmentaire (lobe supérieur gauche) le 13.02.2017 : • anticoagulée par Xarelto durant 6 mois. • switch à la Fraxiforte 0.8 ml 1x/jour. Douleurs thoraciques pariétales le 24.10.2015. Pneumonie en juillet 2015. Lésion du ligament collatéral radial du MCP V droit en mars 2016 : • reconstruction (long palmaire) le 16.06.2016. Entorse du ligament collatéral radial de l'IPP III droite le 01.12.2014 : • immobilisation par attelle alu et syndactylie doigt 2 et 3. Douleurs musculo-tendineuses membre supérieur droit le 01.12.2014 avec D-Dimères à 530 ng/ml : • traitées par immobilisation par bretelle Ablation de la thyroïde il y a plus de 30 ans. Opération des varices il y a plus de 30 ans. Ablation d'un kyste mammaire droit. Embolie pulmonaire sur thrombose veineuse profonde en 2007 et thrombose veineuse profonde poplitée droite traitée par Sintrom pendant 6 mois. Cancer du rein droit à cellules claires en 1996 avec néphrectomie droite, sans signe de récidive. Accident vasculaire cérébral occipital gauche le 18.05.2014. Insuffisance rénale aiguë le 28.05.2014. Récidive d'infection urinaire à E. Faecalis chez Mme. Y avec rein unique gauche en 2018. Embolie pulmonaire trilobaire droite, bilobaire gauche, périphérique, récidivante dans le contexte d'un adénocarcinome de la prostate • insuffisance respiratoire partielle, score Hestia 1 point (oxygénothérapie) • symptomatique depuis le 12.02.2019 • poids 98 kg selon patient Embolie pulmonaire 08.2017 Urosepsis à E. Coli le 05.08.2017 : • status après biopsie de la prostate, Dr. X le 31.07.2017. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée PTG gauche 2012 Embolie pulmonaire 2012 Embolies pulmonaires bilatérales centrales 02.2018 : CT embolies multiples lobaires, segmentales et sous-segmentales ddc Status post cholecystectomie 09/2015 Status post appendectomie Embolies pulmonaires bilatérales segmentaires et sous-segmentaires le 08.02.2019 • dilatation cavités droites mais préservation fonction droite Embolies pulmonaires centrales, segmentaires et sous-segmentaires bilatérales le 10.02.2019 • avec infarctus du segment latéro-basal du lobe inférieur droit • score PESI à 51 Embolies pulmonaires lobaires, segmentaire et sous-segmentaire droites le 25.01.2019 Embolies pulmonaires multiples bilatérales sans répercussion cardiaque aiguë le 21.01.2019 : • à droite : para-centrales, segmentaires et sous-segmentaires • à gauche : sous-segmentaire • thrombose veineuse profonde proximale du membre inférieur gauche • D dimères le 21.01.19 : 4284 ng/ml • score de Genève : intermédiaire / score de PESI : 53 • immobilisation prolongée sur voyage de plus de 22 heures le 11.01.2019. Embolies pulmonaires multiples, centrales (droite) et périphériques (bilatérales) avec infarctus pulmonaire basal droit le 28.04.2016. Thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche en 2011. Embolies pulmonaires multi-segmentaires le 13.09.2017 • anticoagulation par Xarelto TVP saphène interne droite août 2014 Cure de hernie inguinale G 26.09.2012 Fracture extra-articulaire radius distal G en 2010 Opération de l'oeil droit (cataracte) Hystérectomie APP Fracture tassement L4 début novembre 2018 • fracture-tassement L2 d'allure ancienne • cyphoplastie L4 par système SpineJack et cimentage par Cohésion 5.5 cc Embolies pulmonaires segmentaires droites le 06.02.2019 avec TVP MIG. Embolies pulmonaires segmentaires du lobe supérieur et inférieur droit le 29.01.2019 d'origine idiopathique. Embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires dans le lobe inférieur D le 28.01.2019. Embolies pulmonaires sous-segmentaires le 31.01.2018 avec défects sous-segmentaires périphériques au niveau de la pyramide basale droite, en latéro-postéro basal, en regard de la lingulaire, du segment apical du lobe inférieur gauche et de la région postéro-basale lobaire inférieure gauche. Fractures du bassin le 07.01.2018 : • fracture des branches ilio-pubienne et ischio-pubienne gauches • fracture de l'aile du sacrum • hématome avec épaississement du psoas et de l'obturateur sans engagement de la vessie. Hémorragie sous-arachnoïdienne (sillon central gauche) le 07.01.2018. Pneumonie le 15.01.2016. Pneumonie rétro-cardiaque le 26.03.2013. Carcinome épidermoïde avec apparence de kératoacanthome de la lèvre inférieure, avec résection en octobre et novembre 2011 et récidive en janvier 2012 avec nouvelle exérèse en mars 2012. Implantation de prothèse totale de hanche droite en 2004. Multiples fractures et ostéomyélite du radius gauche et du fémur droit en 1939. Embolies pulmonaires sous-segmentaires le 31.01.2018 avec défects sous-segmentaires périphériques au niveau de la pyramide basale droite, en latéro-postéro basal, en regard de la lingulaire, du segment apical du lobe inférieur gauche et de la région postéro-basale lobaire inférieure gauche. Embout de sonde urinaire de rechange donné. EMG : compression du nerf au coude droit. EMG : confirme un syndrome du tunnel carpien à prédominance G mais également débutant à D. EMG : confirme un syndrome du tunnel carpien D. EMG au Neurocentre (merci de convoquer le patient). EMG du 10.03.2017 : syndrome du tunnel carpien gauche débutant. Mr. Y présente un ventre complètement souple et indolore, sans signes laissant suspecter une appendicite, par contre la maman a administré environ 2 heures avant l'examen médical une antalgie double par Dafalgan et Algifor. Au vu de la localisation des douleurs en fosse iliaque droite et du fait que l'antalgie puisse avoir en partie masqué la clinique abdominale, nous proposons un contrôle d'office chez le pédiatre dans 24 heures. Bien évidemment, si aggravation importante des douleurs, la maman consultera les urgences directement. Mr. Y est admis dans le service le 17.02.2019 pour investigations de baisse de l'état général et surveillance alimentaire.Au niveau de la recherche étiologique, nous effectuons un bilan métabolique avec des tests hépatiques, rénaux, une ammoniémie, une formule sanguine, une CRP, une bilirubinémie et un stix/sédiment dans les limites de la norme. Au niveau alimentaire, il reçoit aux urgences un bolus de NaCl 0.9% de 20cc/kg sur 1h avec une bonne réponse clinique. Les pesées-tétées effectuées par la suite au cours de son séjour montrent une insuffisance de production de lait maternel, objectivée par le tire-lait. Nous alimentons donc Mr. Y pour le reste de son séjour par biberons et lait Hipp, avec une bonne prise alimentaire et amélioration clinique. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 19.02.2019 avec poursuite de la prise alimentaire aux biberons et contrôle dans 7-10 jours chez le pédiatre. Mme. Y est admise dans le service de Néonatologie le 24.02 pour une insuffisance respiratoire et des difficultés alimentaires dans le cadre d'une bronchiolite à RSV. Au niveau respiratoire, elle nécessite une oxygenothérapie au lunettes le 24.02 qui a déjà pu être sevrée au cours de la journée. Elle reste stable au niveau hémodynamique, bénéficie de rinçages de nez et un protocole de médecine anthroposophique est mis en place. Elle reste afébrile à partir du 25.02. Au niveau alimentaire, elle nécessite un soutien alimentaire par sonde naso-gastrique du 24.02 au 26.02, date à laquelle elle prend tous ses apports per os. Au niveau hématologique, à la formule d'entrée, nous notons une anémie à 95 g/l qui reste stable au cours du séjour avec un contrôle stable à 98 g/l et une thrombocytose en augmentation à 817 G/l le 26.02. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mme. Y rentre à domicile le 27.02 avec contrôle chez le pédiatre dans 1 à 2 semaines, avec une mesure de l'hémoglobine. Mme. Y est une enfant de 3 ans qui présente à son arrivée une détresse respiratoire avec tirage et désaturation qui nécessite un traitement par oxygénothérapie supplémentaire du 16.02 au 21.02 avec diminution progressive des quantités. Un traitement par ventolin est débuté le jour de son arrivée et sera arrêté le lendemain pour manque d'effet. Apparition de nombreuses sécrétions au cours de son hospitalisation qui nous pousse à donner de l'Atrovent 4 push 2 à 3x/j en fonction des besoins. On remarque une amélioration de la symptomatologie respiratoire et sevrons l'oxygénothérapie la nuit du 20.02. Sur le plan infectieux, elle présente un état fébrile jusqu'au 20.02 avec des pics maximaux à 39.9°C. Une PCR pour Influenza A revient positive. Elle développe une otite moyenne aiguë le jour avant sa sortie qui sera traitée par Amoxicilline 50 mg/kg/j en 2 doses durant 5 jours (suivi à domicile). Sur le plan biologique, un syndrome inflammatoire est mis en évidence (CRP 71 mg/L) avec une leucocytose associée et une déviation gauche. À son arrivée, elle présente une alcalose respiratoire sur hyperventilation qui se normalise en quelques heures. Au vu de la clinique favorable, nous décidons d'un retour à domicile le 21.02 avec contrôle chez vous le lendemain. Emission d'une selle dure avec douleurs à l'exonération après un microlax. Emma présente une pneumonie à droite, pour laquelle elle reçoit déjà une antibiothérapie que nous ne modifions pas. Étant donné qu'elle est traitée depuis à peine 48 heures, nous n'effectuons pas de bilan complémentaire. Si elle reste fébrile sur le weekend, elle reconsultera. Un contrôle d'office est déjà prévu à votre consultation le 18.02.19. Emphysème pulmonaire bulleux avec discrète fibrose pulmonaire. Hypertension artérielle. Extrasystoles supraventriculaires. Hyperuricémie. Cholécystolithiase asymptomatique. Stéatose hépatique. Carcinome épidermoïde avec apparence de kératoacanthome de la lèvre inférieure, avec résection en octobre et novembre 2011 et récidive en janvier 2012 avec nouvelle exérèse en mars 2012. Insuffisance rénale stade V avec glomérulonéphrite extra-capillaire nécrosante sévère à ANCA diagnostiquée le 19.02.2008. Confection d'une fistule artério-veineuse radio-céphalique droite selon Brescia-Cimino le 17.12.2015. Dialysé les mardis et samedis. Emphysème pulmonaire et parenchyme en "verre dépoli"- CT thoracique du 29.11.2008. Diabète de type 2 non insulino-dépendant (traité par Diamicron 30 mg, traitement pas pris par la patiente). Cardiomyopathie dilatée le 06.03.2013 avec dilatation des cavités gauches et droites (fraction d'éjection 20-25%) diagnostiquée en 2000 avec : • insuffisance mitrale modérée • insuffisance tricuspidienne. DD : alcoolique, post-myocardite, rythmique. Emphysème pulmonaire sur tabagisme actif (tabagisme actif 36 UPA) Consommation d'OH à risque Hypercholestérolémie idiopathique État dépressif Sténose de l'artère sous-clavière G (Prof. X, 16.09.2015) Nodule thyroïdien lobe G Ostéopénie Fibromyalgie Canal lombaire étroit L4-L5 sur hypertrophie facettaire bilatérale importante et protrusion discale circonférentielle avec également sténose foraminale à prédominance G • Décompression inter-laminaire L4-L5, résection des articulations facettaires L4-L5 et foraminotomie L4-L5 des deux côtés • Discectomie et mise en place d'une cage TLIF Juliet taille 10 au niveau L4-L5 par la G • Spondylodèse L4-L5 par système Romeo (4 vis 6.0/50 et 2 barres 45) + BGel en postéro-latéral des barres (OP le 25.01.2016) Emphysème sous-cutané de la face, du cou et du thorax, avec pneumo-médiastin et pneumopéritoine le 05.09.2018 sur perforation sigmoïdienne sur coloscopie datant du 04.09.2018 Notion d'hématochézie le 21.09.2018 Baisse de l'état général dans un contexte de diarrhées chroniques avec perte de poids probablement en raison d'une colite microscopique : • Calprotectine à 357µg/g le 17.09.2018 Fracture non déplacée de l'os propre du nez le 27.10.2012 Cancer mammaire droit avec deux interventions chirurgicales il y a plus de 30 ans (Châtel-Saint-Denis), chimiothérapie et radiothérapie Ligature des trompes il y a plus de 45 ans Empyème parapneumonique stade II à droite sur N. meningitidis le 10.02.2019 • Suspicion d'une pneumonie basale droite le 08.02.2019 • Hémocultures positives pour N. meningitidis • CT thoraco-abdominal du 11.02.2019 : formation d'un important épanchement pleural encapsulé • Ponction pleurale du 11.02.2019 : trouble, pH 7.1, quotient LDH > 0.6, LDH > 200 U/L En accord avec Dr. X : Pas d'investigations supplémentaires Adaptation de l'antalgie En accord avec la Dr. X, demande d'effectuer une échographie afin d'exclure un problème post-anesthésie locale par bloc. L'US ne montre pas d'hématome ou d'abcès. L'échographie permet d'exclure une torsion testiculaire à gauche En accord avec le Dr. X, nous décidons d'un traitement conservateur avec immobilisation par anneau-métacarpien pour une durée de 4 à 6 semaines. Prescription en ergothérapie d'une attelle type anneau-métacarpien pour maintenir un bon alignement des métacarpiens. Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines.En accord avec les parents, consultation ambulatoire demain afin de réévaluer la prise alimentaire et son statut d'hydratation. En l'absence de signe de déshydratation à l'heure actuelle, pas d'hospitalisation. Contrôle le 02.02.2019: Anamnèse : Diarrhées depuis hier (3x hier, 1x ce jour), pas de sang, avec un vomissement isolé hier. Pas de fièvre, légère toux et rhume. Elle a bu environ 400-500 ml ce jour, peu d'appétit. Miction conservée. Pas de notion de contage. Status : Poids 7.48 g (-30 g), température 36.2°C, FR 22/min, FC 132/min, TA 93/52 mmHg Gén : bien hydratée et perfusée Resp : eupnéique, MVS sans bruits surajoutés, pas de SDR Abdo : souple et indolore, BHA physiologiques Attitude : • Passage à de Pregomin AS • Suivi du poids • Contrôle prévu chez vous le 06.02.19 En attente de réadaptation gériatrique à Riaz En attente des résultats de l'examen de R-Test En augmentation par rapport au comparatif d'octobre selon transmission du radiologue par téléphone. Merci au médecin traitant de pister le rapport final de radiologie et de compléter les investigations selon les résultats. En avril 2018 hospitalisation en gériatrie pour : Baisse de l'état général d'origine indéterminée avec le 24.04.2018 avec désorientation temporelle sur probable démence débutante. Traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 19.04.2018 au 27.04.2018 avec physiothérapie, ergothérapie, nutrition, tests cognitifs du 20.04.2018 : MMS à 18/30, test de la montre à 0/7, GDS à 3/15. Anémie macrocytaire à 105g/l d'origine mixte : sur probable alcoolisme chronique et carentielle. Consommation d'alcool à risque avec perturbation des tests hépatiques, hémochromatose secondaire. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Suivi diététique. En bonne santé habituelle. Pas de notions d'allergies. En BSH, sauf anémie ferriprive. En cas de nouvel épisode, consultation et US pour exclure une invagination. En cas de péjoration de l'état général ou sans amélioration à 48h d'antibiotique. En cas de persistance des symptômes >48h d'antalgie. En cas de persistance d'hyposensibilité ou de trouble neurologique, il faudra envisager une IRM. En cas de récidive des phases d'inconfort, nous conseillons un contrôle aux urgences. En cas de signe infectieux. En cas de T° après 48h d'antibiotique. En ce qui concerne la cheville, nous sommes face à une entorse stade II du LFTA, raison pour laquelle une attelle aircast est mise en place. Mme. Y chargera selon douleur au moyen de 2 cannes, elle effectuera des séances de physiothérapie d'ici une dizaine de jours sous recommandation du médecin traitant. En ce qui concerne le genou gauche, reprise de la charge selon douleur avec 2 cannes ainsi qu'application de glace et physiothérapie de réadaptation d'ici une dizaine de jours. Dispense de sport jusqu'au 28.02.19, à réévaluer par la suite. En ce qui concerne le deuxième orteil, je pense que l'évolution est bonne. Il y a une connexion rigide entre les fragments. En ce qui concerne le gros orteil, la situation est enflammée. On lui dit de bien désinfecter localement, on a appliqué de la Fucidin et je lui ai prescrit de l'Augmentin pour 1 semaine. Le traitement, une fois terminé, s'il y a toujours des problèmes, elle se réannoncera chez nous. En ce qui concerne le fémur G, le bilan radiologique de ce jour ne met pas en évidence de formation osseuse suffisante afin de pouvoir accéder à la demande de Mme. Y, pour plus de mobilisation. Je lui propose de répéter un CT SCAN afin d'objectiver au mieux l'état osseux à 2 ans de la dernière intervention chirurgicale. Si cet examen révèle une meilleure qualité osseuse comparée aux derniers clichés, on pourrait rediscuter d'augmenter progressivement les distances de marche. Au niveau des deux jambes, la présence d'érisipèle nécessite à priori un traitement antibiotique. J'ai donc adressé directement la patiente aux Urgences de l'HFR, service de Médecine Interne, pour évaluation. Un prochain contrôle est prévu à ma consultation suite au bilan CT. En ce qui concerne le genou G, il y a un phénomène de blocage pouvant être lié à des conflits mécaniques fémoro-patellaires. En cas de blocage, je conseille à la patiente de garder son genou surélevé en extension et de relâcher le quadriceps pour permettre une décantation de la rotule, ce qui permettrait de nouveau d'optimiser le tracking fémoro-patellaire G. Aucune prise en charge chirurgicale pour ce genou n'est indiquée. En ce qui concerne le genou D, il y a probablement un début de lésion cartilagineuse avec trouble dégénératif, mais pour laquelle il n'y a pas encore d'épanchement, et je ne propose donc pas de prise en charge chirurgicale. Si la symptomatologie devait persister, j'organiserais une IRM de ce genou afin de permettre de mieux bilanter la lésion. En ce qui concerne le genou G, il y a une contusion osseuse résiduelle sur choc direct il y a 1 mois. J'explique au patient que cela peut persister encore plusieurs mois et qu'un traitement en physiothérapie est conseillé. En ce qui concerne le pied, l'articulation reste encore mobile et peu symptomatique par rapport à l'ostéophytose présente. En ce sens, il est possible d'effectuer soit le port de protection en silicone, soit une résection ostéophytaire avec le risque que la symptomatologie douloureuse apparaisse, soit une arthrodèse définitive en regard de la MTP. Le patient sera revu par le team pied cet automne. En ce qui concerne le genou, l'évolution est favorable. En ce qui concerne l'épaule, nous lui proposons de continuer avec la physiothérapie. Suite de la prise en charge à la consultation du Dr. X fin mars 2019. En ce qui concerne le kyste poplité, nous ne prévoyons pas de prise en charge chirurgicale pour le moment. Reprise des activités de la vie quotidienne et des activités sportives. Les sports avec impact conséquent sur le genou sont à éviter. Prochain contrôle clinique dans 4 mois. En cas de persistance de la symptomatologie ou de péjoration des douleurs, nous effectuerons une IRM du genou D. En ce qui concerne les conclusions de l'expertise causale entreprise en décembre, nous nous inscrivons en faux, en particulier en ce qui concerne le caractère définitif supposé par cette expertise du déficit et des symptômes. De notre côté, nous estimons qu'on peut s'attendre à une progression de la mobilité et à une diminution des symptômes au cours des prochains mois. Dans cette perspective, la forte motivation du patient représente assurément un adjuvant majeur. On a déconseillé au patient de chercher à obtenir une contre-expertise, essentiellement en raison du risque financier que cela ferait peser sur lui et sa famille. On ne peut que déplorer cette situation et le positionnement de l'assurance. On ne peut qu'encourager le patient à retrouver un nouvel emploi en tant qu'employé de commerce à 100% et saluer sa forte motivation en dépit des circonstances et de l'absence de soutien, tant de la part de l'assurance que de la part de l'ancien employeur. On le reverra en mars 2019. En descendant du télésiège, cette patiente de 67 ans, sous Aspirine suite à un triple pontage aorto-coronarien, chute et se réceptionne sur le genou gauche. Elle est amenée aux urgences où le bilan radio-clinique, complété par un scanner, permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. L'intervention se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont simples, les douleurs étant bien gérées par l'antalgie standard. La cicatrice, régulièrement contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation active et passive du genou gauche, avec une flexion toutefois limitée à 90°, ainsi que d'un apprentissage de la marche en décharge complète du membre inférieur gauche, sous protection d'une attelle jeans en extension. Une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera à poursuivre durant 3 mois post-opératoires. Devant la bonne évolution, Mme. Y retourne à domicile le 25.02.2019. En l'absence de lésion cutanée, sans fièvre ni syndrome inflammatoire, nous proposons un traitement par repos et AINS. Contrôle clinique le 23.02.2019. La patiente est informée qu'en cas d'augmentation de la rougeur, elle doit reconsulter avant. Si mauvaise évolution, alors un traitement par antibiotique est indiqué. En l'absence de syndrome inflammatoire biologique, de signe échographique d'appendicite, d'une clinique stable, voire en légère amélioration et qui est peu compatible avec une appendicite, le diagnostic d'appendicite est peu vraisemblable. Ceci est discuté avec Mr. Y et des consignes, en cas de péjoration, pour une nouvelle consultation en urgence sont données. En l'absence d'instabilité avec une évolution favorable, je poursuis l'immobilisation pour 3 semaines au total puis port de l'attelle pendant 2 semaines pour les activités à risque. En présence du collègue de neuro-chirurgie, il est discuté avec Mr. Y et sa femme, de la nécessité d'intervenir en semi-urgence et, en accord avec Mr. Y, il est décidé de planifier l'opération dans 2 jours. Mr. Y est informé des risques de renoncer à cette opération. En présence du Dr. X, nous avons l'impression que le cap de la gestion des douleurs n'est pas encore passé. Nous craignons qu'une réintervention ne pourrait que renforcer sa symptomatologie de douleurs chroniques invalidantes. Nous estimons donc qu'il est encore trop tôt pour discuter d'une reprise en charge chirurgicale, ce qui soulage fortement Mr. Y. Nous proposons selon l'appréciation du Dr. X, une poursuite des infiltrations de la base du 3ème rayon, étant donné que c'est ce que Mr. Y trouvait de plus efficace. Nous reverrons Mr. Y dans 2 à 3 mois pour contrôle clinique. En présence du Dr. X et du Dr. X qui fait la traduction, nous expliquons à Mr. Y les lésions susmentionnées. Mr. Y rapporte avoir eu 3 crises en 2018. Au vu de son jeune âge, nous proposons dans un premier temps un traitement conservateur avec physiothérapie d'hygiène posturale. Selon le nombre de crises qu'il aura et l'invalidité que cela provoque, une prise en charge chirurgicale par fusion antérieure à 2 niveaux (L4-L5 et L5-S1) pourrait être discutée. Dans l'intervalle, nous prolongeons l'arrêt de travail pour encore 6 semaines avec reprise à 50 % dès le mois d'avril. Nous reverrons Mr. Y dans 2 à 3 mois pour faire le point. Mr. Y est informé qu'en cas de péjoration de sa symptomatologie avec douleurs constantes (actuellement les douleurs radiculaires sont atténuées), il devra nous recontacter. En raison de douleurs persistantes ainsi que des entorses à répétition, nous planifions une IRM de la cheville G afin de vérifier l'état ligamentaire et nous reverrons Mme. Y à la suite de cet examen. Prescription de physiothérapie dans l'intervalle. En raison de la clinique ainsi que des examens complémentaires réalisés aux urgences, nous décidons de laisser Mme. Y rentrer à domicile et lui prescrivons du Cymbalta 30 mg pour ses douleurs neuropathiques dans un contexte d'anxiété chronique. Nous suggérons à Mme. Y de se rendre chez son médecin traitant pour la suite de la prise en charge et laissons le soin à celui-ci de rediriger Mme. Y vers une consultation neurologique pour effectuer une mise au point de ces douleurs neuropathiques. En raison de la fièvre, bilan sanguin et urinaire Formule sanguine coagulée CRP et PCT négatives Stix propre (sondage) En raison de la forme de la plaie nécessitant de piquer dans des pointes de peau, impliquant un risque de nécrose cutanée, et grâce à des bords nets, nous mettons du Dermabond. 18.02.19: Dr. X Consultation, car la plaie s'est décollée et saigne. Pas de fièvre. Status: déhiscence de plaie sur la branche droite de la branche du Y. ATT: • Avis chirurgical car à 24h de la plaie. Propose un point pour rapprocher les berges, mais néanmoins laisser un écoulement possible en cas d'infection et de mettre des steristrip • Ablation des points à J7 chez le pédiatre • Reconsulte si signes d'infection (expliqués) En raison de la présence d'un fécalome et après une amélioration clinique après 2 lavements, nous proposons un retour à domicile avec néanmoins un contrôle clinique à 48h en raison du contexte oncologique. En raison de l'absence d'amélioration suite à 2x20 gouttes de Feniallerg, une dose iv de Tavégyl est administrée avec bonne évolution. Elle présente, après la pose de la VVP, une pâleur avec vomissements que nous attribuons à un malaise vagal sans arguments pour une anaphylaxie. L'origine de l'urticaire reste indéterminée, des tests allergiques seront à rediscuter en cas de récidive. En raison de l'absence d'autres symptômes digestifs, nous mettons les diarrhées sur le compte de l'Amoxicilline, que nous relayons par du Podomexef. En raison du traumatisme, nous réalisons une radiographie de l'épaule qui ne montre pas de fracture. De plus, en raison des douleurs de la hanche droite avec l'apparition nouvelle d'une boiterie depuis le traumatisme, nous réalisons une radiographie de la hanche. Celle-ci nous fait suspecter une ostéonécrose de la tête fémorale. Dans ce contexte, nous demandons un avis orthopédique au Dr. X qui propose une antalgie simple avec AINS d'office, de la physiothérapie en ambulatoire, un arrêt de travail et un rendez-vous de contrôle à sa consultation le 04.03.2019. Nous retenons un diagnostic de suspicion de lésion de la coiffe des rotateurs sur traumatisme et une ostéonécrose de la tête fémorale le plus probablement ancienne avec des douleurs acutisées sur le traumatisme du 22.02.2019. En raison d'un bilan biologique et radiologique dans la norme, nous retenons le diagnostic de céphalées inhabituelles avec dans le diagnostic différentiel un effet secondaire de Remicade, un syndrome grippal ou une crise migraineuse inhabituelle. Nous prescrivons un traitement symptomatique et expliquons à Mme. Y et son mari de réconsulter rapidement en cas de péjoration des symptômes. En raison d'un état fébrile prolongé, sans foyer très évident, nous effectuons un bilan infectieux qui évoque plutôt une infection virale. Le stix et le sédiment urinaires sont négatifs. En cas de persistance de l'état fébrile à 24-48h, elle reconsultera. En raison d'un retour de voyage, nous effectuons un bilan infectieux qui est négatif. Nous retenons une gastro-entérite virale sans déshydratation, pour laquelle les consignes d'usage sont données. En raison d'un voyage aux États-Unis, nous remettons en place un AB fendu, qui pourra être enlevé au besoin lors d'un contrôle douanier. Il le portera pour une durée minimale d'encore 3 semaines. Nous le reverrons le 11.03.2019 pour un contrôle clinique. En raison d'une anamnèse de saignement actif et d'une légère pâleur de la patiente, nous effectuons un contrôle biologique. Le bilan sanguin montre une hémoglobine à 114 g/L. Les anciens laboratoires montrent des valeurs de comparaison à 140 g/L d'hémoglobine. Le résultat biologique actuel confirme l'anamnèse de saignement. La patiente est stable hémodynamiquement durant son séjour aux urgences et ne présente pas de détresse respiratoire. Le saignement ayant cessé, nous ne prenons pas de mesure supplémentaire. Nous conseillons à la patiente un contrôle biologique de son hémoglobine. Elle souhaite le faire lors de sa prochaine consultation oncologique.Nous faisons également, malgré l'absence de saignement, un pansement au niveau du creux poplité droit à l'aide de Cofix et de compresse. La patiente reçoit la visite des soins à domicile tous les jours et ceux-ci contrôleront le pansement demain matin. Ils seront mis au courant de la situation par la fille au matin. La patiente est libre de rentrer à domicile. En raison d'une impossibilité d'étendre la jambe contre gravité, nous complétons par un ultrason qui permet d'exclure une déchirure du ligament patellaire. Nous retenons une contusion du genou, avec traitement symptomatique. En raison d'une situation difficile au domicile et d'une notion de chute à domicile d'origine indéterminée, nous vous transférons Mme. Y pour suite de prise en charge. La patiente a présenté un épisode bref d'agitation et ne reconnaissant plus son fils avant son transfert. Nous avons alors organisé un CT cérébral afin d'écarter tout saignement. L'examen n'ayant montré ni saignement, ni fracture du massif facial, la patiente est alors transférée en gériatrie à Tavel pour suite de prise en charge. À noter un retour du radiologue après le transfert rapportant une dilatation des ventricules à la limite de la norme, faisant évoquer un début d'une éventuelle hydrocéphalie à pression normale (DD: hydrocéphalie ex vacuo) à corréler avec la clinique. En raison d'une suspicion de Henoch-Schönlein, nous reverrons Mr. Y en contrôle le 18.02 pour suivre l'évolution des lésions, contrôler la tension artérielle et exclure une hématurie ou protéinurie. Le reste du suivi pourra se faire à votre consultation. En raison d'une forte suspicion d'infection sexuellement transmissible, nous effectuons des tests de screening élargis. Nous convoquons le patient pour la communication des résultats et lui expliquons l'importance d'effectuer un test HIV également à 3 mois de distance. En regard de la coiffe des rotateurs, nous constatons une bonne évolution. En ce qui concerne la lésion du nerf axillaire, la situation est stagnante, chez ce patient qui a une forte demande vis-à-vis de sa profession. Vu qu'au début du traitement conservateur on avait remarqué une progression constante et que maintenant la situation est stagnante, nous discutons avec le patient des différentes options. Nous proposons une consultation au service de la chirurgie de la main à l'hôpital de l'Ile pour écarter les possibilités d'une intervention dans le sens d'un remplacement ou transfert nerveux, musculaire. Nous prions donc le service de la chirurgie de la main de convoquer le patient. Poursuite de l'arrêt de travail à 35 % jusqu'à fin avril. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle le 29.05.2019. En regard du bon cal qui s'est formé, nous enlevons ce jour la broche et proposons de continuer le traitement avec un plâtre AB pendant encore 2 semaines. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines. En regard d'une patiente qui reste symptomatique, nous retenons l'indication pour une arthroscopie diagnostic avec une refixation du TFCC assistée en arthroscopie. L'intervention est planifiée pour le 25.03.2019 et consiste en une arthroscopie diagnostic du poignet avec une suture TFCC assistée par arthroscopie sous condition d'hospitalisation (une nuit) et en post-opératoire, la patiente portera une attelle de type Munster pendant 6 semaines. Consentement éclairé fait et signé ce jour à la consultation. En 2003, probable iléus pendant la grossesse, puis également récidive d'iléus après la grossesse. En 2008, curetage pour interruption volontaire de grossesse. Encéphalomyélite disséminée aiguë (ADEM) (léger hémisyndrome gauche le 16.11.2009). Status post-troubles du comportement avec agitation et agressivité : • hospitalisation en milieu spécialisé en octobre 2009. • status post-tentamen avec défenestration. Céphalées de tension le 23.12.2012. Intoxication médicamenteuse volontaire le 14.02.2015 avec transfert à Marsens. Encéphalopathie diffuse post-ACR avec crise généralisée tonico-clonique le 13.01.2019 Encéphalopathie hépatique chronique, en décompensation légère le 18.11.2015 sur cirrhose CHILD-PUGH B MELD 11. Ischémie sous-endocardique sur HTA à l'effort, sans pathologie coronarienne sous-jacente le 25.08.2015. Syndrome néphrotique impur le 30.06.2015. Hématurie macroscopique avec lésion vésicale droite d'environ 1 cm (CT du 18.11.2014) : cystoscopie et TURV le 07.12.2014. Gastrite chronique à H. pylori avec traitement d'éradication par Pantoprazol, Amoxicilline et Clarithromycine en décembre 2014. Déchirure méniscale droite en 2010. Ulcère gastrique en 2000. Hémorragie cérébelleuse en 1999. Appendicectomie. Gastroentérite, en premier lieu d'origine virale, le 07.05.2018. Acutisation (AKIN I) d'une insuffisance rénale chronique de stade 3 (2015) • origine prérénale dans un contexte de diarrhée • néphropathie diabétique et hypertensive. Chute le 05.05 avec contusion du genou D • DD décompensation arthrosique le 07.05.2018 Encéphalopathie hépatique décompensée sur probable déshydratation le 04.01.2019 dans un contexte de cirrhose Child Pugh B post-éthylique avec : • ammoniémie à 85 µmol/l le 04.01.2019 • asterixis le 04.01.2019 • foie dysmorphique sans lésion focale. Ascite de faible abondance avec tronc porte perméable à flux hépatopète et vitesse diminuée à 11 cm/s (US le 15.01.19) • suspicion de varices oesophagiennes. Encéphalopathie hépatique le 24.01.2019. Encéphalopathie hépatique (stade 2) sur cirrhose hépatique diffuse CHILD C le 12.01.19 évolutive, secondaire à un probable NASH : • Score de MELD 26 pts (19.6 % risque mortalité 6 mois) • Troubles spontanés de la crase (vitamine K réfractaire) • Facteur V 35 % le 16.01.19 • Thrombocytopénie • Varices oesophagiennes de stade II avec gastropathie (OGD 2015-2016). Encéphalopathie hépatique sur cirrhose hépatique d'origine alcoolique CHILD-PUGH B le 21.01.2019. Encéphalopathie hypertensive aiguë sur mauvaise compliance médicamenteuse. Encéphalopathie tétra-spastique sur syndrome de Rett avec retard mental sévère (suivi neurologique au CHUV). Syndrome extra-pyramidal (dystonie et scoliose avec tige de Harrington mise en place au CHUV en 2013). Épilepsie traitée avec : Orfiril 300 mg-0-450 mg, Ospolot 50 mg-0-100 mg, Stesolid 10 mg en réserve si >5 min de convulsion. Difficultés alimentaires avec bronchites à répétition et malnutrition chronique dans un contexte de syndrome de Rett. Prolapsus mitral avec insuffisance mitrale de degré II. Escarres. Encéphalopathie vasculaire avec atrophie cérébrale diffuse et status post-multiples accidents vasculaires cérébraux ischémiques lacunaires au niveau des ganglions de la base des deux côtés (y compris le thalamus) et au niveau du tronc cérébral asymptomatiques (IRM cérébrale 07/2014). Enchondrome phalange proximale 3ème orteil à G DD chondrosarcome. Enclouage centromédullaire par clou Gamma long suite à une fracture pertrochantérienne du fémur droit le 04.02.2019, marche en charge selon douleurs pendant 6 semaines postopératoires. Prophylaxie thromboembolique par Clexane jusqu'au 18.03.2019. Traumatisme crânien avec obnubilation sous Aspirine Cardio le 04.02.2019. Cervicalgie probablement chronique acutisée sur traumatisme le 04.02.2019. Anémie aiguë post-opératoire avec Hb à 72 g/L le 05.02.2019, transfusion de 2 culots érythrocytaires le 05.02.2019. Troubles électrolytiques avec : • hyponatrémie hyperosmolaire à 127 mmol/l le 04.02. • Hypokaliémie à 3.1 mmol/l le 04.02.Insuffisance rénale aiguë AKIN 1. Dépendance à l'alcool, environ 1 bouteille de whisky chaque 2 jours. Troubles cognitifs : dépendance alcoolique, dénutrition. Syndrome de sevrage le 06.02.2019. Tabagisme actif à 2-3 paquets/jour depuis plusieurs années. Infarctus du myocarde en 1977 sous Aspirine Cardio. Endartérectomie fémorale droite avec plastie d'élargissement et lombotomie le 04.02.2019. Cathéter artériel huméral droit du 04.02 au 06.02.2019. Labétalol du 04.02 au 05.02.2019. Endartérectomie fémorale droite avec patch de péricarde bovin (OP le 05.02.2019) pour obstruction du pontage sur dissection de la fémorale profonde. Endofuite de type 2 avec probable origine lombaire et mésentérique inférieure, le 01.02. Endométriose. Endométriose opérée par laparoscopie en 2010 et 2017 à Zürich. Rupture de kyste ovarien en 2017 lors de la laparoscopie. Endométriose stade I avec paquets variqueux des ligaments larges, symptomatique, chez une patiente 2 gestes 2 pares, de 28 ans. Endométriose stade II, notamment pulmonaire. Ostéopénie. Endométriose stade I. Mutation MTHFR hétérozygote (avec thromboprophylaxie les 3 premiers mois puis Aspirine jusqu'à 36 SA pour fausses couches à répétition). Dépression. Endométriose traitée par laparoscopie en 2008. Endométrite à J7 d'un accouchement par voie basse le 07.02.2019. Endométrite post-partale à J11 d'une césarienne, chez une patiente 36 ans, 3 gestes 3 pares. Enfant asymptomatique lors de l'examen clinique. Consultation pour des douleurs abdominales et lombaires sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite des antalgiques en réserve et consultation aux urgences si douleurs importantes, hématurie. Consignes de réhydratation à domicile. Enfant pris dans un conflit de loyauté massif exacerbée depuis la reprise du droit de visite du père depuis quelques mois. Avis pédopsychiatrique /Dr. X. Éloignement de la famille et cadre. Réseau le 05.02 (Dre X, pédopsychiatre habituelle, Dre X, liaison, famille, école). Enfant sain. ENMG + consultation chez le Dr. X le 28.02.2019. ENMG à D : au niveau du nerf médian, on retrouve une réponse moteur prolongée avec une vitesse proximale normale et une vitesse sensitive diminuée. ENMG d'ici 10 jours. ENMG du Neurocentre du 28.01.2019 (PACS) : pas d'argument pour une radiculopathie ni signe d'irritation de toutes les racines lombaires du côté droit. Suspicion de coxalgie sur pathologie de la hanche. ENMG du 05.02.2019 effectué par le Dr. X : syndrome de tunnel carpien avec atteinte sensitive et motrice au niveau du nerf médian. ENMG du 06.11.2018 par le Dr. X montre une atteinte sensitive du médian au niveau du poignet sans atteinte motrice avec un cubital au poignet normal. Une myographie de l'extenseur des doigts qui est normale. ENMG du 07.02.2019 chez le Dr. X : atteinte chronique dans les deux courts abducteurs des deux pouces. Le reste de l'ENMG est normal. ENMG du 12.03.2018 montre un syndrome de tunnel carpien net à G sensible et moteur. ENMG du 29.01.2019 (Dr. X) : compatible avec une irritation du cubital dans son segment proximal. Absence de signe de Froment. Absence de signe de Wartenberg. Test de Finkelstein pathologique. ENMG et US le 06.02.19 (Prof. X) Ergothérapie Att : • port d'attelle cubitale D nocturne. En cas de persistance ou trouble moteur important, recommandation de discuter d'une prise en charge chirurgicale. ENMG et US le 06.02.2019 (Dr. X) : syndrome du canal carpien asymptomatique et US avec signe d'inflammatoire du nerf ulnaire au niveau de la gouttière cubitale. ENMG fait par le Dr. X confirme le diagnostic susmentionné du côté gauche de faible importance et en plus un syndrome de tunnel carpien débutant. ENMG le 21.03.2019. Prochain contrôle le 04.04.2019. ENMG montrant la présence d'un syndrome de tunnel carpien modéré. Entérite. Entérite à Salmonella. Entérite à Shigella. Entérite aigüe. Entérite et angine virale. Entérocolite de l'iléon terminal à l'angle colique droit le 19.05.2017 DD : Yersinia, Campylobacter, Crohn, avec : • Présence d'une pneumatose pariétale focale sur le versant postérieur de l'iléon terminal avec une bulle d'air située au sein du mésentère en regard. • Signes d'inflammation modérée de l'appendice par contiguïté. • Rocéphine et Métronidazole du 20.05.2017 au 23.05.2017, puis Ciproxine et Flagyl jusqu'au 03.06.2017. Entérocolite nécrosante sur naissance prématurée à 34 2/7 avec : • Status post-résection iléon terminal et stomie puis fermeture de stomie en 1998. • Status post-laparotomie pour adhésiolyse en 2007 avec deux reprises pour iléus sur bride par la suite. Otites à répétition. Micro-calcifications testiculaires, épididyme droit agrandi. • Ultrason des testicules du 18.12.2017 : testicules de taille et morphologie normales, quelques micro-calcifications (2 des deux côtés), épididyme droit agrandi et hétérogène, contient un kyste, hydrocèle droite. Douleurs abdominales chroniques. • CT abdominal du 20.09.2018 (CIMED) : status post-hépatectomie gauche, stéatose du foie résiduel et pancréatectomie partielle des parties corporelle-caudales. Multiples ganglions mésentériques au niveau de la racine mésentérique mais aussi en fosse iliaque D, connus. Épaississement modéré de la dernière anse iléale pouvant correspondre à une petite iléite. • Iléite traitée par Ciprofloxacine et Flagyl du 20.09 au 26.09.2018. Status post-septoplastie et turbinoplastie inférieure bilatérale avec fermeture de la perforation septale per opératoire et traitement préventif bilatéral des synéchies par mise en place de silastics le 09.05.2018 (Dr. X). Hypothyroïdie subclinique sur thyroïdite de Hashimoto. MODY 5 avec : • diabète (suivi par Dr. X). • atrophie de la queue et du corps du pancréas. • stéatose hépatique avec hémi-foie D. • hypomagnésémie chronique. • test génétique pour MODY 5 (Dr. X) : Sd microdélétion 17q12. Hypomagnésémie chronique.Douleurs abdominales chroniques. Status post-septoplastie et turbinoplastie inférieure bilatérale avec fermeture de la perforation septale per opératoire et traitement préventif bilatéral des synéchies par mise en place de silastics le 09.05.2018 (Dr. X). Hypothyroïdie subclinique sur thyroïdite de Hashimoto. • CT abdominal du 20.09.2018 (CIMED) : status post-hépatectomie gauche, stéatose du foie résiduel et pancréatectomie partielle des parties corporelle-caudales. Multiples ganglions mésentériques au niveau de la racine mésentérique mais aussi en fosse iliaque D, connus. Epaississement modéré de la dernière anse iléale pouvant correspondre à une petite iléite. • iléite traitée par Ciprofloxacine et Flagyl du 20.09 au 26.09.2018. MODY 5 avec : • diabète (suivi par Dr. X). • atrophie de la queue et du corps du pancréas. • stéatose hépatique avec hémi-foie D. • hypomagnésémie chronique. • test génétique pour MODY 5 (Dr. X): Sd microdélétion 17q12. Hypomagnésémie chronique. Entérocoque faecium dans le frottis de bile. Enthésite du tendon quadricipital le 17.02.19. Enthésopathie au niveau de l'épine de T4. Enthésopathie patellaire gauche. Entorse LLE cheville droite stade I le 10.02.2019. Entorse AC grade II gauche. Entorse acromio-claviculaire de stade I. Entorse acromio-claviculaire de stade I sur traumatisme du 14.02.2019. Entorse acromio-claviculaire droite de stade I. Entorse acromio-claviculaire G, non dominant, stade Rockwood III le 04.10.2018. Entorse acromio-claviculaire stade I selon Rockwood. Entorse acromio-claviculaire stade II selon Rockwood épaule droite le 15.02.2019. Entorse acromio-claviculaire Tossy II, épaule gauche. Entorse avant-pied gauche sur chute le 12.02.2019. Entorse avec contusion du pied gauche. Entorse avec hématome cheville droite le 12.05.2015. Entorse bénigne cheville gauche le 26.02.2019. Entorse bénigne de cheville D (2017). Contusion pouce gauche le 28.03.2017. Entorse bénigne de la cheville droite le 12.02.2019. Entorse bénigne de la cheville G. Entorse bénigne de la cheville gauche. Entorse bénigne de la cheville le 18.02.2019. Entorse bénigne du genou D avec déchirure partielle du collatéral interne. Agression le 15.08.2016 avec : • hématome de 7 x 5 cm face médio-postérieure du bras gauche. • douleur à la mobilisation épaule et coude gauche. • multiples rougeurs linéaires transversales en regard de l'omoplate gauche de 10 cm de long. • rougeur de 3 cm de diamètre au niveau de l'implantation des cheveux sur le vertex. Entorse bénigne du ligament collatéral latéral de la cheville G. Entorse bénigne du genou D le 18.11.2018. Entorse bénigne du genou droit. Entorse bénigne du genou droit, le 13.02.2019. Entorse bénigne du genou gauche en 2017. Entorse bénigne du LCU et LCR pouce G. Entorse bénigne du ligament collatéral ulnaire du 5ème doigt de la main gauche sur traumatisme le 19.02.2019. Entorse bénigne du ligament collatéral ulnaire en regard de MCP du pouce D le 27.12.2018. Entorse bénigne du ligament latéro-externe de stade I du genou gauche. Entorse bénigne du ligament latéro-externe du genou droit. Entorse bénigne du ligament latéro-interne du genou droit. Entorse bénigne du poignet gauche. S/P fracture du poignet gauche en 2016 (type de fracture non précisé par la patiente). Entorse bénigne du pouce droit, le 13.02.2019. Entorse bénigne du TFCC du poignet gauche sur traumatisme le 22.02.2019. Entorse bénigne du 4ème doigt de la main gauche. Entorse bénigne en inversion de la cheville D. Entorse cervicale bénigne et contusion lombaire dans le cadre d'un accident de la voie publique le 16.02.2019. Entorse cervicale le 06.02.2019. Entorse cervicale. Entorse du pied droit sans lésion Chopart ou Lisfranc le 11.08.2018. Entorse cervicale. Status post-deux cures d'hernies discales L5-S1 en 2000 et 2010. Status post-appendicectomie. Entorse cervicale. Status post-deux cures d'hernies discales L5-S1 en 2000 et 2010. Status post-appendicectomie. Entorse cheville. Entorse cheville D de stade I en novembre 2016. Entorse cheville droite. Entorse cheville droite de stade I le 10.02.2019. Entorse cheville droite de stade I (2016). Entorse cheville droite le 27.03.2017. Diarrhées récurrentes d'origine inconnue, DD intolérance au lactose, fonctionnel. Entorse cheville droite légère, récidivante. Entorse cheville droite stade II. Entorse cheville droite stade III + entorse du Lisfranc + fracture base premier métatarsien dans le contexte d'un faux mouvement le 15.02.2019. Entorse cheville droite stade II à droite le 23.02.19. Entorse cheville droite 1er degré. Entorse cheville droite. Varicocèle droite le 7.6.2018. Entorse cheville gauche grade I. Entorse cheville gauche le 31.05.2013. S/p Fracture Weber B gauche le 30.06.2013 traité conservativement. Entorse cheville gauche stade I. Entorse cheville gauche stade II. Entorse cheville gauche stade II le 08.02.2019. Entorse cheville grade II le 02.02.2019. Entorse cheville légère droite. Entorse cheville stade II à gauche. Entorse Chopard cheville G le 31.10.2018. Entorse Chopart pied G le 08.02.2019 avec avulsion au niveau du col de l'astragale. Entorse chronique de la cheville D (dernier épisode le 02.12.2018). Entorse chronique de la cheville D (dont elle a eu un dernier épisode le 15.01.2019) avec : • Status post-fracture du péroné distal en septembre 2016. • Status post-fracture du péroné et tibia distal D en mars 2017. Entorse collatérale latérale genou G. Entorse collatérale médiale genou G, grade II. Entorse coude droit. Entorse coude droit. Entorse de cheville droite stade I en 2010. Suspicion lésion ménisque externe à droite en 2011. Syndrome grippal en 2016. Hémorroïde externe, thrombosée, en 2016. Lombalgie non déficitaire en 2017. Thrombose périnéale depuis février 2018. Entorse de cheville droite 1er degré. Entorse de cheville gauche de stade I. Entorse de cheville gauche externe grade II. Entorse de cheville gauche stade I, 24.12.2018. Entorse de cheville gauche stade II. Entorse de cheville gauche. Attelle AirCast pour 6 semaines. Status post-cure de hernie inguinale indirecte bilatérale selon Lichtenstein avec filets Progrip le 18.01.2019 par le Dr. X. Status post-cure de hernie ombilicale avec filet. Entorse de Chopard du pied droit le 23.07.2017. Fracture multifragmentaire de la base du 5ème métacarpien droit le 08.09.2018. Entorse de Chopart à gauche avec arrachement/fracture au niveau de la partie antérieure du calcanéum le 10.6.2017. Fascéite de la voûte plantaire. Entorse de Chopart avec arrachement calcaneo cuboïdien le 18.12.2018. Entorse de Chopart de stade I. Entorse de Chopart du pied droit. Entorse de Chopart pied D le 30.10.2018. Entorse de Chopart pied G le 01.01.2019 avec : • arrachement du processus antérieur du calcanéum. • arrachement talo-naviculaire et du cuboïde. Entorse de Chopart. Contusion de la cheville droite le 10.04.2016. Traumatisme d'accélération crânio-cervicale le 06.10.2017 sur accident de la voie publique. Entorse de degré I du genou gauche. Entorse de degré II de la cheville gauche le 09.02.2019. Entorse de genou droit. Entorse de genou gauche. Entorse de grade I. Entorse de grade I du ligament latéro-interne du genou droit. Entorse de grade I du ligament latéro-interne du genou gauche le 03.02.2019. Entorse de grade II collatéral médial, genou D. Déchirure du ligament croisé antérieur, genou D. Entorse de grade II du ligament latéro-externe de la cheville droite le 03.02.2019. Entorse de grade II du ligament latéro-externe de la cheville droite le 06.02.2019. Entorse de grade 1 de la cheville droite le 08.02.2019. Entorse de grade 1 de la cheville gauche. Entorse de grade 1 du ligament latéral externe de la cheville gauche. Entorse de grade 2 de la cheville gauche. Entorse de grade 3 du ligament latéral interne au genou gauche. Entorse de la cheville à D le 14.02.2019. Entorse de la cheville avec fracture de la base du 5ème métatarses pied G le 02.06.2018. Suspicion de lésion ligamentaire latérale. Status post révision du complexe ligamentaire cheville externe G à 2 reprises. Entorse de la cheville D. Entorse de la cheville D le 12.10.2018 (3ème épisode). Entorse de la cheville D le 20.11.2018 avec fracture in situ de la malléole postérieure D. Entorse de la cheville D, simple, du 04.02.2019. Entorse de la cheville D stade II. Entorse de la cheville D stade II le 01.02.2019. Entorse de la cheville D stade III le 27.01.2019. Entorse de la cheville D stade 1 par rotation interne le 06.04.2016. Entorse de la cheville de stade II. • Ottawa score 3/4. Entorse de la cheville droite. Entorse de la cheville droite. Entorse de la cheville droite avec suspicion de lésion de Chopart. Entorse de la cheville droite de grade I le 15.02.2016. Douleurs post-biopsie hépatique trans-cutanée le 11.05.2016. Chute de sa hauteur avec traumatisme crânien dans un contexte d'éthylisation aiguë le 28.07.2016. Tentamen (consommation d'eau de Javel) et crise clastique le 02.10.2017. Hospitalisation en mode volontaire à Marsens dès le 03.10.2017. Alcoolisation aiguë dans le cadre d'un syndrome de dépendance à l'OH le 08.02.2017 et le 02.10.2017. Entorse de la cheville droite de stade I. Entorse de la cheville droite de stade II. Entorse de la cheville droite de stade II, le 01.02.2019. • Ottawa score 3/4. • Rx de la cheville. Entorse de la cheville droite, de stade II, le 04.02.2019. Entorse de la cheville droite de stade 3. Entorse de la cheville droite du ligament latéro-externe de grade 2 le 10.02.2019. Entorse de la cheville droite en 2016. Plaies déhiscente fibrineuse sur status post implants mammaires bilatérales: • Status post-implants mammaires bilatérales en Tunisie le 03.01.2018. Entorse de la cheville droite grade I. Entorse de la cheville droite, immobilisée avec attelle. Entorse de la cheville droite, probablement en éversion, le 23.02.2019. Entorse de la cheville droite stade I. Entorse de la cheville droite Stade 1 le 31.01.2019. Entorse de la cheville droite 17.04.2012. Entorse de la cheville G grade III le 11.11.2018. Entorse de la cheville gauche de degré modéré à sévère, le 18.10.2013. Entorse de la cheville gauche de stade II le 26.02.2019. Entorse de la cheville gauche grade 1. Entorse de la cheville gauche, le 01.02.2019. Entorse de la cheville gauche stade II. Entorse de la cheville gauche, 1er degré. Contusion du poignet gauche. Entorse de la cheville grade III avec arrachement osseux malléole externe. Appendicectomie. Cholecystectomie. Hystérectomie partielle à l'âge de 34 ans. Opérations multiples pour descente d'organe avec pose de filet pour la vessie. Suspicion de NSTEMI avec BBG intermittent le 01.01.2018. Douleur de la nuque sur contracture du trapèze le 30.12.17. Décompensation cardiaque gauche le 20.01.2019 sur insuffisance mitrale avec : • Douleurs épigastriques et thoraciques postérieures. • Dyspnée et angor atypique. Laboratoire : NT-proBNP 1077 ng/l. CT thoracique protocole embolie pulmonaire le 21.01.2019 : pas de signe d'embolie pulmonaire. Insuffisance cardiaque gauche décompensée. Entorse de la cheville modérée. Entorse de la cheville stade II. Entorse de la cheville stade 2. Entorse de la malléole externe droite de stade II. Entorse de la malléole externe gauche de stade I. Entorse de la métacarpophalangienne du pouce gauche. Entorse de la plaque palmaire au niveau du majeur droit. Entorse de la plaque palmaire de l'IPP du D3 à gauche le 18.12.2018. Entorse de la plaque palmaire de la PIP du 3ème doigt de la main D le 03.01.2019. Entorse de la plaque palmaire de l'annulaire droit. Entorse de la plaque palmaire de l'interphalangienne proximale du majeur droit. Entorse de la plaque palmaire du pouce de la main droite le 02.02.2019. Entorse de la plaque palmaire, interphalangienne proximale de l'auriculaire droit. Entorse de la plaque palmaire IPP D3 D le 12.01.2019. Entorse de la plaque palmaire IPP et IPD à droite le 21.02.2019. Entorse de la plaque palmaire MCP dig I de la main D. Entorse de la plaque palmaire métacarpien pouce gauche. Entorse de la première métacarpophalangienne gauche (LCR). Entorse de l'articulation métacarpo-phalangienne I main droite, le 19.02.2019. Entorse de ligament latéro-interne du genou droit. Entorse de l'interphalangienne du pouce droit. Entorse de l'interphalangienne proximale du 4ème doigt droit. Entorse de stade I de la cheville avec une suspicion de tendinite du long extenseur du gros orteil le 16.04.2014. Entorse de stade I de la métacarpophalangienne du pouce droit et contusion simple du genou gauche dans le contexte de chute mécanique le 08.02.2019. Entorse de stade I du ligament latéro-externe du genou droit le 16.02.2019. Entorse de stade I du ligament latéro-interne du genou droit avec suspicion de lésion méniscale le 03.02.2019. Entorse de stade II du ligament latéral externe de la cheville droite. Entorse de stade II du Lisfranc dans le contexte d'un traumatisme le 11.02.2019. Entorse de stade 1 de la cheville gauche. Entorse de stade 1 de la cheville gauche avec fracture pseudo Jones de la base du 5ème métatarse d'allure ancienne traumatisée. Entorse de stade 2 cheville droite. Entorse de stade 2 de la cheville gauche. Entorse de stade 2 de l'épaule gauche le 31.03.2018. Projection toxique dans l'œil D le 04.07.2017. Exacerbation d'asthme au décours d'une virose 14.01.2015. Malaise avec traumatisme crânien, amnésie circonstancielle, dans un contexte de dyspnée sur asthme. Appendicectomie. Entorse de stade 2 du faisceau antérieur du ligament latéral externe de la cheville gauche sur traumatisme le 22.02.2019. Entorse de stade 3 avec probable atteinte bilatérale (ligament deltoïde) et malléole externe de la cheville droite le 14.01.2018. Probable crise de spasmophilie le 18.08.2018 dans un contexte de virose. Entorse du poignet gauche. Entorse du Chopard D le 19.01.2019. Entorse du Chopard du pied droit en 2017. Fracture multifragmentaire de la base du 5ème métacarpien droit le 08.09.2018, opérée le 18.09.2018 à l'HFR Fribourg.Entorse du Chopard pied D. Entorse du Chopart à droite. Entorse du compartiment externe de stade 2. DD : lésion du ménisque externe. Entorse du compartiment interne du genou. Entorse du compartiment médial du genou droit. Entorse du coude droit avec : • rupture du faisceau antérieur du ligament collatéral ulnaire. Entorse du coude. • sur chute à skis. Entorse du faisceau antérieur du ligament latéro-externe de la cheville gauche sur traumatisme le 18.02.2019. Entorse du genou droit • tendon supra-rotulien. Entorse du genou droit avec déchirure partielle proximale du ligament collatéral interne le 18.01.2019. Entorse du genou droit avec suspicion de déchirure du ménisque interne vs déchirure plastie du LCA sur : • Status post plastie LCA par tendon DIDT avec suture méniscale du ménisque interne le 19.03.2013 • Status post ménisectomie interne de la corne postérieure le 03.09.2013. Entorse du genou droit le 29.01.2019. Entorse du genou droit avec suspicion de lésion du LCA et du LLI le 21.02.2019. Entorse du genou droit DD petit arrachement. Entorse du genou droit de stade 2 et gauche de stade 1, ligament latéro-interne des 2 côtés. Entorse du genou droit, le 02.02.2019. Entorse du genou gauche avec déchirure partielle proximale du collatéral interne. Entorse du genou gauche le 15.01.2019 avec rupture du ligament croisé antérieur et rupture du collatéral interne au niveau de son insertion fémorale. Entorse du genou gauche. Entorse du genou gauche avec suspicion de lésion du ligament croisé antérieur et du ménisque latéral. Entorse du genou gauche avec suspicion de lésion du ligament latéral interne et ménisque interne en 2013. Omalgie antérieure droite dans un contexte de lésion anamnestique labrale, en attente d'une arthroscopie. Traumatisme crânio-cérébral. Fracture de l'arc postérieur de la 10ème côte à droite documentée radiologiquement avec suspicion clinique de fractures costales inférieures. Entorse du genou gauche en valgus forcé sur chute à ski. Entorse du genou gauche, le 12.02.19 • DD : kyste de Baker. Entorse du ligament collatéral radial et plaque palmaire de l'interphalangienne proximale du 4ème doigt droit, stable. Entorse du ligament collatéral radial stade II du coude droit le 15.12.2018. Entorse du ligament collatéral ulnaire de stade I du pouce gauche le 16.02.2019. Entorse du ligament collatéral ulnaire du pouce gauche le 20.03.2016. Entorse du ligament collatéral ulnaire main droite. Entorse du ligament latéral externe de la cheville droite et suspicion de fracture Salter I de la fibula. Entorse du ligament latéral externe de stade II à la cheville droite le 05.02.2019. Entorse du ligament latéral externe du genou droit, grade I, avec suspicion de lésion du ménisque externe. Entorse du ligament latéral externe gauche et suspicion de fracture sous-capitale 4ème MCP. Entorse du ligament latéral interne de la cheville gauche de stade II. Entorse du ligament latéral interne de stade probablement 2 au genou droit le 18.02.2019. Entorse du ligament latéral interne du genou gauche. Entorse du ligament latéral interne du genou gauche et suspicion de lésion du ménisque interne dans le contexte d'un traumatisme en bob le 08.02.2019. Entorse du ligament latéral interne stade I le 20.02.2019. Entorse du ligament latéro-externe de grade II. Entorse du ligament latéro-externe de grade 2 de la cheville droite. Entorse du ligament latéro-externe de la cheville droite de grade 2 le 24.02.2019. Entorse du ligament latéro-externe de la cheville droite de grade 3 le 24.02.2019. Entorse du ligament latéro-externe de la cheville gauche de stade 2. Entorse du ligament latéro-externe de la cheville gauche de stade 3. Entorse du ligament latéro-externe de la cheville gauche stade 3. Entorse du ligament latéro-externe de stade 2 de la cheville gauche le 23.02.2019. Entorse du ligament latéro-externe de stade 2 du genou gauche. Entorse du ligament latéro-externe gauche de grade II le 03.02.2019. Entorse du ligament latéro-externe probablement de grade I du genou gauche le 24.02.2019, status post-lésion du ligament croisé antérieur en avril 2009. Entorse du ligament latéro-interne de la cheville droite de grade 2. Entorse du ligament latéro-interne de stade 2 gauche avec suspicion de lésion du ménisque interne gauche. Entorse du ligament latéro-interne du genou gauche de grade II. Entorse du ligament latéro-interne du genou gauche, le 04.02.2019. Entorse du ligament talo-fibulaire antérieur de grade I à droite le 28.01.2019. Entorse du ligament talo-fibulaire antérieur de la cheville droite le 05.02.2019. Fracture intra-articulaire de la phalange distale de P2 du quintus gauche le 13.02.2019. Entorse du Lisfranc gauche. Entorse du Lisfranc gauche le 13.02.2019. Hallux Valgus (HVA à 25° et IMA à 10°). Entorse du LLE à la cheville droite de grade II, le 03.02.2019. Entorse du LLE cheville gauche stade II. Entorse du LLE de grade I à la cheville droite. Entorse du LLE de grade II à la cheville droite. Entorse du LLE de la cheville droite, stade II. Status post-fracture Weber A de la cheville droite, non datée. Entorse du LLE de la cheville gauche. • status post reconstruction arthroscopique du LLE de la cheville gauche le Dr. X à Genève en 2015. Entorse du LLE stade II cheville droite. Entorse du LLE stade 2 de la cheville droite. Entorse du LLI à gauche, le 15.02.2019. • persistance de la tuméfaction et des douleurs. Entorse du LLI avec suspicion de lésion du LCA au genou gauche le 24.02.2019. Entorse du LLI de grade I. Entorse du LLI du genou droit. Entorse du LLI genou droit, grade I. Entorse du LLI grade I à droite. Entorse du LLI grade I à droite avec possible lésion du ligament croisé antérieur à droite le 02.02.2019. Entorse du LLI grade I à droite avec possible lésion du ligament croisé antérieur à droite le 02.02.2019. Déchirure du LCA. Entorse du PAPI du genou gauche. Entorse du PIP doigt IV gauche le 15.02.19. Entorse du poignet droit. Entorse du poignet droit le 03.02.2019. Entorse du poignet gauche. Entorse du poignet gauche avec distorsion du TFCC sans lésion ligamentaire le 10.02.2019. • décompensation traumatique d'une arthrose MT1 du pied droit. Entorse du poignet gauche en octobre 2015. Contusion tibiale gauche en octobre 2015. Contusion des côtes 8-10 à gauche le 18.03.2017. Entorse du pouce de la main gauche le 20.02.2019. Entorse du pouce droit. Entorse du 2ème degré de la cheville droite le 26.02.2019. Entorse en éversion cheville droite le 09.2016 au foot. Traumatisme crânien sans perte de connaissance le 01.08.2017. Opération de pylore à 3 mois de vie. Entorse de stade I cheville droite. Entorse en inversion de la cheville droite le 30.01.2019. Entorse en inversion de la cheville droite le 30.01.2019. Entorse en inversion de la cheville droite de stade 2. Entorse externe cheville droite. Adénite mésentérique le 20.11.2014 (probablement sur yersiniose) et en 2017. Tendinite des extenseurs du pouce gauche, le 19.02.2015. Syncope le 23.08.2016 : • avec douleurs thoraciques atypiques post-syncope. • de probable origine vaso-vagale (stress orthostatique). Entorse genou avec entorse ligament latéral interne. Entorse genou D. Entorse genou D à ski le 19.01.2019 avec • Rupture proximale du LCA • Déchirure distale du LLI Entorse genou D avec • Rupture proximale du ligament croisé antérieur • Avulsion distale du ligament collatéral interne Entorse genou D avec lésion horizontale de la corne postérieure du ménisque interne. Entorse genou D avec petite lésion horizontale du ménisque interne. Entorse genou droit avec suspicion de lésion collatérale médiale de 2ème degré et lésion ménisque médiale le 10.02.2019. Entorse genou G avec probable atteinte du ligament collatéral interne +/- le ménisque interne (suspicion lésion anse de seau ménisque interne). Entorse genou G en mai 2014 Contusion sous-orbitaire le 01.11.2014 suite à une bagarre Trouble de l'état de conscience dans un contexte d'intoxication éthylique et probable consommation d'une drogue X le 06.12.2014 Status post entorse genou D le 22.12.2017 avec déchirure du LCA • Plastie du LCA par le tendon quadricipital (OP le 23.05.2018) Entorse genou G le 23.09.2018 avec • Rupture du LCA • Lésion du ménisque externe Entorse genou gauche avec lésion du ligament collatéral médial 1er degré. Entorse genou gauche avec status post luxation et réduction spontanée de la rotule gauche le 13.02.2019. Entorse genou gauche avec suspicion de lésion LCA le 05.02.2019. Entorse genou gauche le 05.02.2019. Entorse genou légère Entorse grade I cheville droite le 09.03.2016. Entorse grade I de la MCP I à D (dominant) le 29.01.2019. Entorse grade II cheville gauche Entorse grade II chevilles ddc le 17.02.2019. Entorse grade II de la cheville gauche Entorse grade II extrémité proximale LLI genou G. Entorse grade II collatéral latéral genou G. Fracture-arrachement et déchirure LCA genou G. Fracture impaction postéro-latérale plateau tibial genou G. Entorse grade II malléole externe cheville D le 30.01.2019 Entorse grade II malléole externe cheville D le 30.01.2019. Entorse de la cheville G stade II le 11.12.2018 (3ème épisode d'entorse). Entorse grade I collatéral médial genou G. Entorse grade II PAA cheville D. Entorse grave du Chopart et du Lisfranc avec : • Fracture non déplacée du cunéiforme latéral, avulsion osseuse plantaire du cunéiforme intermédiaire, régule du versant dorsal du cunéiforme médial dorsal et du naviculaire le 19.02.2019. Entorse grave pouce du skieur avec arrachement de l'insertion distale du ligament latéro-interne du pouce droit, suspicion clinique de fracture du scaphoïde droit. Entorse interphalangienne de l'hallux droit. Hématome sous-unguéal de l'hallux droit. Probable décollement de l'ongle de l'hallux gauche. Entorse interphalengienne de l'hallux droit Hématome sous-ungéal de l'hallux droit Probable décollement de l'ongle de l'hallux gauche Entorse IPP D5 à droite avec arrachement de la plaque palmaire. Entorse LEE genoux droit. Entorse légère de la cheville DD contusion Entorse légère de la cheville droite et suspicion d'entorse moyenne de Lisfranc. Entorse légère de la cheville gauche Entorse légère de la cheville gauche le 04.02.2019. Entorse légère du ligament latéral interne du genou G Entorse ligament collatéral radial et plaque palmaire de l'IPD de D4 main D le 05.02.2019. Entorse ligament collatéral ulnaire du pouce gauche Entorse ligament collatéral ulnaire pouce D le 27.01.2019. Entorse ligament deltoïde grade I cheville gauche le 20.07.2017 Entorse ligament latéral médian droite Entorse ligamentaire stade I de la cheville droite Entorse Lisfranc du pied droit le 28.02.2019 Entorse Lisfranc juillet 2018 Entorse LLE cheville gauche stade 2 • Avec arrachement naviculaire associé Entorse LLE de grade 2 Entorse LLI +- atteinte méniscale genou droit. Entorse LLI du genou droit. Contusion musculaire trapèze gauche le 29.01.2019. Entorse LLI grade I et rupture partielle LCA à D le 31.08.2018. Entorse LLI stade II genou gauche. Entorse MCP à D. Entorse MCP pouce droit sans instabilité. Entorse médiale légère de la cheville droite Entorse modérée de la cheville G Entorse modérée de la cheville gauche Entorse moyenne du ligament latéro-interne au niveau du genou gauche avec possibilité d'atteinte du ménisque interne. Entorse poignet bilatéral D Entorse poignet G (non-dominant), à répétition, 1er épisode en octobre 2018 et 2ème en janvier 2019. Entorse point d'angle postéro-interne et entorse LCA genou G. Rétraction chaînes postérieures. Traumatisme loge antérieure jambe D. Entorse pouce droit le 01.07.2016. Otite moyenne aiguë gauche au décours le 26.01.2017 Entorse probablement de grade 1 du ligament latéro-interne du genou gauche le 16.02.2019. Entorse radio-carpienne bénigne. Rétention urinaire aiguë (DD hyperplasie de la prostate). Tendinitis M. supraspinatus. Entorse sévère de la cheville D Entorse sévère de la cheville droite (grade III) Entorse sévère de la cheville G le 27.12.2018 avec fracture avulsion de la malléole externe Weber A DD ancienne fracture avulsion du bord postéro-latéral. Entorse sévère du genou droit le 05.02.2019. • Suspicion de lésion du LCA et du LLI. Entorse sévère genou droit avec : • Déchirure partielle LCA. Status post-point d'angle postéro-externe avec refixation péronéo-tibiale. Entorse simple cheville droite. Entorse simple de la main gauche. Entorse simple du ligament collatéral ulnaire du pouce D le 17.01.2018. Entorse simple IPP de D5 main G le 13.03.2018 Entorse simple du ligament latéro-interne du genou gauche en 12.2018. Entorse stade I LLE genou D. Fracture radius distal G non déplacée. Entorse stade I MCP pouce D le 08.02.2019. Contusion simple genou G dans le contexte d'une chute mécanique le 08.02.2019. Entorse stade II cheville D DD : fracture de Maisonneuve. Entorse stade II de la cheville D le 27.01.2019. Entorse stade II de la cheville droite avec : • Lésion du Chopart (arrachement du ligament calcanéo-cuboïdien). Entorse stade II de la cheville G le 10.02.2019. Entorse stade II de la cheville G le 17.02.2019. Entorse stade II ligament latéral externe cheville D. Entorse stade 2 cheville gauche le 15.02.2019. Entorse stade 3 du ligament talo-fibulaire antérieur gauche Entorse tendon postéro-externe genou G. Entorse versus fracture du genou droit, le 23.01.2015. Entorse vs fracture genou droit le 23.01.2015. Entorse vs SH1 + plaies superficielles Entorse 2ème degré cheville droite. Entorse 2ème degré cheville droite le 05.02.2019. Entorse 2ème degré cheville gauche. Entorse 2ème degré de la cheville droite sur traumatisme le 07.02.2019. Entorse 2ème degré du ligament latéral interne du genou droit. Entorse 3ème degré du ligament collatéral ulnaire de l'IPD Vème doigt gauche, le 06.02.2019. Entrée aux soins intensifs : Mr. Y 67 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour une décompensation BPCO. Le patient, connu pour une BPCO de stade IV selon GOLD avec un VEMS à 13% du prédit, oxygénodépendant à domicile, ainsi que pour une néoplasie pulmonaire nouvellement découverte et suivie par imagerie, présente ce jour une dyspnée aiguë, ainsi qu'une toux grasse, habituelle d'après lui. Une insuffisance respiratoire globale avec acidose respiratoire est mise en évidence, raison pour laquelle il est hospitalisé aux soins intensifs pour la ventilation non-invasive. Le bilan clinique, radiologique et biologique ne parle pas en faveur d'une origine infectieuse. Le frottis de grippe… Status : CV : B1, B2 réguliers, pas de souffle perçu, pas d'OMI Pulmonaire : hypoventilation globale, quelques sibilances, pas d'autre bruit surajouté Abdomen: souple, indolore, pas de défense, pas de détente UG: RAS Neurologique: GCS, pas de latéralisation • Entrée élective • Entrée élective pour biopsie lésion hépatique • Entrée élective pour contrôle VNI • Entrée élective pour ERCP • Entrée élective pour pose de drain biliaire • Entrée élective pour pose de Pacemaker • Entrée élective pour une biopsie et thermo-ablation • Entrée élective pour une thermo-ablation hépatique sous anesthésie générale • Entrée pour provocation Entretien de famille le 12.02.2019 Décision de placement en EMS : transfert à l'EMS des Bonnesfontaines le 25.02.2019, avec poursuite du suivi par Voltigo et des thérapies à l'accueil de jour de la Villa St François. Entretien familial le 07.02.2019 Entretien motivationnel et thérapeutique. Conseil de consulter pour prise en charge TCC. Entretien motivationnel pour arrêt de tabagisme. Nicotinell patchs. Entretien téléphonique avec Mme. Y suite au visionnage des images de l'IRM Entorse cheville LLE droite stade I. Envie suicidaire. Environ 1h30 après avoir reçu le Betnesol, se sent mieux. Stridor n'est plus audible au repos mais après une quinte de toux, réapparition du stridor et de la dyspnée. Ad Adrénaline 5mg aérosol avec nette amélioration subjective de la dyspnée et absence de stridor à l'auscultation. Reste stable pendant 2h30 après l'aérosol Envoi du placenta en analyse anatomopathologique Envoyé par un remplaçant de son médecin traitant pour toux avec expectorations. Mr. Y est transféré en urgence depuis la maison de naissance Petit Prince pour trouble de l'adaptation sévère. A notre arrivée au petit prince à 28 min de vie, sur le plan respiratoire l'enfant présente une respiration irrégulière (gasping) et nécessite une ventilation avec oxygène. La saturation est à 60% malgré l'oxygène. L'auscultation ne met pas en évidence d'asymétrie. Nous transférons le patient en urgences à Fribourg. Devant le tableau clinique évoquant une asphyxie sévère et une désaturation ne répondant pas à l'oxygène, nous suspectons une cardiopathie cyanogène et appelons l'équipe de Bern à 23h (soit à notre arrivée à l'HFR) pour demander un transport en extrême urgence. Sur le plan respiratoire, à notre arrivée dans le service à l'HFR, l'enfant reprend une respiration spontanée, c'est pourquoi un soutien par CPAP (Peep à 6 et FiO2 1.0) est installé, permettant une remontée de la saturation à un maximum de 72%. Après 15 min de CPAP, il présente une péjoration respiratoire avec arrêt des mouvements respiratoires spontanés, désaturation et nécessité de reprendre la ventilation à l'ambu. Devant une difficulté croissante à ventiler au masque, et des besoins de pressions augmentés, appel de l'équipe d'anesthésie à 23h15 pour demander une intubation. Une radiographie du thorax montre un cœur en forme d'œuf et un doute sur un pneumothorax à droite. Nous posons une intraosseuse dans le tibia gauche. Il est intubé sous induction par propofol et recuronium à 23h30. Après intubation, la saturation ne remonte pas au-dessus de 60%, et l'enfant nécessite des pressions de ventilation élevées. Le tube d'intubation sera par la suite changé par l'équipe de néonatologie de Bern. Sur le plan cardiaque, vu la désaturation résistante à l'oxygénothérapie, nous suspectons une cardiopathie cyanogène. Lors du contact à Berne à 23h, nous proposons de débuter les prostaglandines, mais le médecin néonatologue préfère attendre son arrivée pour débuter ce traitement. La fréquence cardiaque reste stable durant toute la prise en charge aux alentours de 120/min. L'enfant présente initialement des pouls centraux et périphériques bien perçus, cependant la tension artérielle reste toujours imprenable, ensuite à 2h de vie présente une diminution des pouls, motivant l'essai de passage d'un bolus. Celui-ci n'est pas réalisable car la voie intra-osseuse présente une diffusion et une fuite. Lors de l'arrivée de l'équipe de Bern à 00h environ, réalisation d'une échographie cardiaque mettant en évidence une forte suspicion de transposition des gros vaisseaux. Échec de pose de voie veineuse périphérique, pose de cathéter veineux ombilical par l'équipe de Bern. Une gazométrie montre une acidose mixte sévère, avec pH 6.6, PCO2 à 13 kPa, lactates 3.6, BE -26. Début de traitement par prostin IV, puis une dose d'esmolol. Devant une péjoration de l'état général, et une diminution des pouls périphériques, une tension imprenable, une dose d'adrénaline est passée. Après ces traitements, nous ne notons pas d'amélioration clinique. Le patient est transféré en urgence à Bern pour prise en charge cardiologique et part à 00h45. Sur le plan neurologique, l'enfant est hypotone et aréactif d'emblée et ne présente pas de réaction durant toute la prise en charge, reste hypotone. Équipements: voie intra-osseuse en tibial gauche, tube intra-trachéal, sonde naso-gastrique, cathéter veineux ombilical. Mr. Y est un garçon de 12 ans, en bonne santé habituelle, qui est adressé aux urgences le 13.02.2019 par son pédiatre traitant en raison d'une suspicion d'appendicite. Il présente depuis 24h des douleurs péri-ombilicale puis en fosse iliaque droite, évalué à 8/10, ainsi que des diarrhées, une inappétence et un état fébrile jusqu'à 38.3°. Au laboratoire fait chez le pédiatre, on note une CRP 11.9 mg/l et à l'ultrason réalisé aux urgences met en évidence une appendicite aiguë. Le patient est donc pris au bloc opératoire pour une appendicectomie laparoscopique, qui se déroule sans complication. L'évolution est par la suite favorable, permettant un retour à domicile le 14.02.2019. Nous laissons le soin aux parents de prendre un rendez-vous chez Dr. X pour l'ablation des fils à J-12 post-opératoire. Enzymes hépatiques perturbées d'origine probablement extrahépatique le 08.02.2019 sur : • status post-enclouage centromédullaire par clou Gamma long suite à une fracture pertrochantérienne du fémur droit le 04.02.2019. • Quotient De Ritis à 8.1 avec ASAT à 1'959 U/l et ALAT à 241 U/l. • CT abdominal (Dr. X) : foie stéatosique, pas de cholécystite ni cholélithiase, pas de dilatation des voies biliaires, sinon sp. • DD probable origine musculaire sur traumatisme et OP récents DD sur myopathie systémique (moins probable). • DD origine éthylique DD hémolyse DD mitochondriopathie DD hépatite autre (moins probable). Eosinophilie d'origine indéterminée le 13.02.2019 DD : immuno-allergique (tatouages, insuline), gastro-entérite à éosinophiles, parasitaire Epaississement de la corde vocale G avec légère asymétrie du larynx, à l'intubation le 03.02.2019 Epaississement des tissus face dorsale articulation radio-carpienne main droite. Status après infiltration face dorsale poignet droit le 25.1.2019. Epaississement tissulaire au niveau de l'uretère pelvien à droite (DD: inflammatoire/neoplastique). Epanchement articulaire du genou gauche sur gonarthrose dégénérative le 31.01.2019.Epanchement articulaire genou droit + chondrocalcinose. Epanchement articulaire genou droit et chondrocalcinose. Epanchement articulaire post-reprise de prothèse totale du genou gauche le 05.12.2018. Epanchement bilatéral prédominant à droite le 28.01.2019. Epanchement genou droit d'origine indéterminée Epanchement intra-articulaire genou G dans contexte infection de PTG chronique le 19.02.2019 Arthrite septique du genou G le 21.02.2019 Epanchement intra-articulaire du genou droit dans un contexte de polyarthrite rhumatoïde. Epanchement intra-articulaire genou gauche dans contexte d'infection de prothèse totale genou chronique le 19.02.2019. Epanchement péricardique : • DD : syndrome de Dressler Epanchement péricardique à prédominance antérieure d'épaisseur maximale de 14 mm le 24.01.2019. Kyste rétro-auriculaire droit avec début de surinfection, 01.01.2019. Intervention arthroscopie ménisques internes en 2010 et 2017. Intervention chirurgicale des deux genoux (première en 2010, deuxième en 2017). Correction de ptose de la paupière droite en 1980. Epanchement péricardique à prédominance antérieure d'épaisseur maximale de 14 mm le 24.1.2019 Epanchement péricardique à prédominance antérieure d'épaisseur maximale de 14 mm Epanchement péricardique circonférentiel faisant maximum 9 mm le 04.09.2019 Epanchement péricardique de découverte fortuite au CT abdominal du 18.01.2019 • origine peu claire DD : tumorale (thrombose, hématurie récidivante), autres causes Epanchement péricardique et épanchement pleural gauche (exsudat aspécifique) d'origine indéterminée • DD : syndrome urémique, néoplasie, infectieux (peu probable), auto-immun, hypothyroïdie médicamenteuse, idiopathique • Péjorations respiratoires depuis le 17.01.2019 • Épisodes multiples de dyspnée/tachypnée jusqu'à 30/min Epanchement péricardique sur perforation coronarienne per coronarographie le 16.02.2019 : Epanchement péricardique sur perforation coronarienne per coronarographie le 16.02.2019 • perforation Ellis III Epanchement pleural bilatéral Epanchement pleural bilatéral à prédominance G sur insuffisance cardiaque Epanchement pleural bilatéral (G > D). • DD : cardiogène, sur métastases. Epanchement pleural chronique • (100-200 ml) sur CT thoracique du 22.10.2018 - considéré alors comme parapneumonique. Epanchement pleural d'origine indéterminée le 19.01.2019. Epanchement pleural droit avec ancienne fracture costale droite, le 15.01.2019. Epanchement pleural droit dans un contexte de métastase pulmonaire sur mélanome. • Status post-lobectomie lobe supérieur droit et lymphadénectomie médiastinale le 15.09.2018. Epanchement pleural droit d'origine indéterminée le 25.01.2019 DD : sérosite prolongée post-infectieuse ; néoplasique Epanchement pleural droit d'origine néoplasique le 31.01.2019 • dans le contexte de carcinome épidermoïde du col utérin Epanchement pleural droit le 15.01.2018 sur arrêt de traitement diurétique pour troubles électrolytiques. Epanchement pleural gauche Epanchement pleural gauche d'origine inflammatoire dans le cadre du diagnostic principal • DD : origine infectieuse Epanchement pleural gauche d'origine néoplasique • PleurX dès le 15.11.2018 Epanchements pleuraux bilatéraux de type transsudat le 25.02.2019, dans un contexte d'embolie pulmonaire et sur décompensation cardiaque sur flutter auriculaire Epanchements pleuraux bilatéraux D > G sur plaques pleurales calcifiées le 28.01.2019 • DD : mésothéliome suspecté • Asymptomatique Epanchements pleuraux bilatéraux (D > G) le 17.03.2018 • Ponction pleurale droite le 18.03.2018 : 1400 cc de transsudat • Ponction pleurale gauche le 19.03.2018 : 700 cc de transsudat Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur OAP cardiogénique et épanchements pleuraux le 17.03.2018 avec trois épisodes de OAP (17.03. et 21.03.2018) Globe vésicale le 18.03.2018 Epanchements pleuraux bilatéraux le 09.02.2019 Epaule D : boursite sous-acromiale sur status post contusion tubercule majeur sur mécanisme d'hyperabduction antéversion le 12.06.2018. Epaule D : Re-rupture de la suture de la coiffe des rotateurs après 2 reprises en février 2015 et novembre 2015. Epaule G : lésion partielle de la coiffe des rotateurs traitée conservativement. Epaule D : Rupture traumatique du sus-épineux avec rétraction jusqu'au sommet de la tête humérale (accident datant du 12.01.2019). Epaule G : status post suture de la coiffe des rotateurs. Status post cholécystectomie par laparoscopie. Epaule D : tendinopathie post-traumatique, coiffe des rotateurs sans lésion transfixiante. Probable syndrome du tunnel carpien G. Suspicion de lésion de la coiffe des rotateurs à D. Suspicion d'un syndrome de tunnel carpien à G. Status post ORIF d'une fracture extra-articulaire et du cubitus distal à G par plaque palmaire et vis libres du cubitus distal le 27.06.2018. Status post ORIF de la tête radiale. Refixation du processus coronoïde et réinsertion du LUCL du coude D le 27.06.2018 pour une triade malheureuse du coude droit. Epaule D : 3ème épisodes de luxation gléno-humérale le 08.11.2018, les 2 derniers datant d'il y a 3 ans et 20 ans respectivement. Lésion traumatique du sus-épineux avec petit arrachement osseux épaule D. Epaule droite : lésion commune du sus-épineux Cervicobrachialgie à droite Epaule droite : tendinopathie de la coiffe des rotateurs surtout dans la région de l'ancrage du biceps intervalle et sous-scapulaire Epaule droite : contusion osseuse du trochiter, tendinite du sus-épineux sans signe de rupture. Epaule droite f/n : pas de déplacement secondaire du tubercule majeur, début de consolidation. Epaule G : AS, ténotomie puis ténodèse du long chef du biceps, suture du sus et du sous-épineux, patch bicipital (OP le 21.01.2019) Epaule G : boursite sous-acromiale deltoïdienne avec hématome post-traumatique du 28.03.2018. Conflit sous-acromiale. Epaule G : rupture traumatique complète du sus-épineux, partielle du sous-épineux, tendinite du long chef du biceps avec instabilité; accident datant de juillet 2018 Epaule G : status post AMO plaque Philos et plaque de clavicule le 18.01.2018, suite à une ostéosynthèse de l'humérus proximal gauche et de la clavicule le 22.06.2016. Cervicobrachialgie à droite avec scapula lata. Dyskinésie. Syndrome de Tietze. Parsonage Turner Epaule gauche gelée, en décours sur Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule gauche le 31.08.2018 Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule gauche le 21.09.2018 Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule gauche le 26.10.2018 Epaule gauche gelée. Status après infiltration sous-acromiale et intra-articulaire de l'épaule gauche le 11.12.2018. Status après infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule G le 11.1.2019. Epaule gauche : Tendinopathie de la coiffe des rotateurs avec des lésions partielles du muscle sus-épineux et sous-scapulaire. Coude gauche : Epicondylite radiale. Epaule gelée au décours. La phase algique est passée, il récupère progressivement les amplitudes articulaires. Poursuite de la physiothérapie jusqu'à une récupération complète. Le bilan après traitement conservateur de la fracture de la clavicule simple bien avec une fracture consolidée avec un raccourcissement minime. Il faudra suivre l'évolution sur le sérome du flanc G qui pourrait éventuellement nécessiter une prise en charge ultérieure. Prochain contrôle dans 2 mois. Epaule gelée au décours sur fracture plurifragmentaire de la clavicule D traitée conservativement depuis le 13.07.18. Multiple fractures de côtes à D.Hématome du flanc et boursite trochantérienne post-traumatique. Epaule gelée G au décours. Epaule gelée gauche. Epaule gelée gauche post-traumatique. Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule gauche le 3.08.2018 et 14.9.2018. Epaule gelée gauche status post AS de l'épaule G, augmentation osseuse de la glène arthroscopique par greffe de la crête iliaque ipsilatérale et suture d'un Bankart avec remplissage d'une lésion de Hill Sachs, le 19.11.2018. Epaule gelée gauche. Status post infiltration intra-articulaire et sous-acromiale épaule gauche le 29.6.2018. Cervicobrachialgies D sur probable dégénérescence cervicale. Epicondylalgie radiale D sur arrachement de l'origine des extenseurs communs des doigts sur accident de moto en 2013 • Cure épicondylite coude D le 11.06.2015. Épicondylite coude droit. Épicondylite gauche le 08.02.2019. Épicondylite latérale à droite le 08.02.2019. Epicondylite radiale avec compression du nerf inter-osseux postérieur à l'arcade de Frohse gauche. Epicondylite radiale gauche subaiguë. Epicondylite radiale chronique, coude D • DD : compression du nerf inter-osseux postérieur à l'arcade de Frohse. Suspicion de conflit sous-acromial, épaule G. Status après infiltration et avivement de l'origine des extenseurs coude droit le 20.5.2016. Epicondylite radiale post-traumatique coude gauche avec signe de tendinopathie du biceps distal sur status post traitement conservateur d'une fracture de la tête radiale Mason I gauche du 17.7.2018. Epididymite du testicule gauche le 02.02.2019. Épididymite traitée par antibiotique en 2014. Epigastralgie. Epigastralgie. Epigastralgie. Epigastralgie • DD : gastrite à H. Pylori, gastrite érosive. Epigastralgie avec vomissements le 08.02.19 DD : • gastrite, réaction de stress. Epigastralgie d'origine indéterminée. Epigastralgie • d'origine médicamenteuse : corticothérapie et AINS au long cours. Epigastralgie le 01.02.19. DD : gastrite, reflux. Epigastralgies. Epigastralgies. Epigastralgies. Epigastralgies. Epigastralgies. Epigastralgies. Epigastralgies. Epigastralgies. Epigastralgies. Epigastralgies. Epigastralgies. Épigastralgies. Épigastralgies. Épigastralgies. Epigastralgies avec résolution spontanée. Epigastralgies, DD : gastrite, DD : appendicite débutante, DD : gastro-entérite débutante. Epigastralgies d'étiologie indéterminée. Epigastralgies d'étiologie indéterminée DD : infectieux, H pylori. Epigastralgies d'origine indéterminée. DD : gastro-entérite, médicamenteuse, 05.01.2019. Epigastralgies d'origine indéterminée (DD : gastro-entérite, médicamenteuse) le 05.01.2019. Epigastralgies d'origine indéterminée le 05.01.2019 (DD : gastro-entérite, médicamenteuse). Epigastralgies et hypertension. Epigastralgies et labilité tensionnelle. Epigastralgies et nausées. Epigastralgies intermittentes persistantes avec nausées et vomissements d'origine somatoforme le 03.07.2018 : • Hospitalisation à Lyon du 03.07 au 04.07.2018 (US et CT abdominal le 03.07.2018). • US ne montrant pas d'appendicite. • CT montrant un aspect oedématié de la pointe appendiculaire. • Hospitalisation aux HUG du 04.07 au 05.07.2018. • Hospitalisation à l'HFR le 05.07 au 14.07.2018. • US abdomen complet le 10.07.2018 : pas d'appendicite, suspicion d'une iléite terminale sans signe de complication. • CT abdominal injecté le 10.07.2018 : pas d'argument pour une appendicite, ni une iléite. À noter la présence de matériel radio-opaque au sein de l'appendice, pouvant correspondre à un stercolithe en voie de formation. • OGD le 13.07.2018 (Dr. X) : macroscopiquement gastrite aiguë focale. -- Histologie : pas de gastrite. H. pylori négatif. Muqueuse duodénale dans la norme. Biopsie : normale, focalement signes d'inflammation inactive et non-spécifiques. • Hospitalisation à l'HFR 18.07 au 28.09.2018. • Urines le 19.07.2018 : dosage porphobilinogène négatif. • Calprotectine fécale le 02.08.2018 : 142 ug/g. • ANA : négatif; immunoglobulines IgA, IgG 1-4 et IgM : dans la norme. • Sérologies : HCV : négatif, HBV : status post-vaccination, HIV : négatif. • Entéro-IRM le 24.07.2018 : pas de sténose duodénale visible. Le reste de l'examen est sans lésion suspecte. • Section du ligament arqué par laparoscopie avec suture des piliers diaphragmatiques le 10.08.2018 pour suspicion de syndrome du ligament arqué médian. • IRM cérébrale natif et injectée le 23.08.2018 : pas d'effet de masse. • Essai diagnostic de 125 mg de Solu-Medrol/jour du 24.08.2018 au 26.08.2018. • Oeso-gastro-duodénoscopie le 04.09.2018 : suspicion de reflux biliaire avec pangastrite. • Transit baryté le 11.09.2018 : pas d'anomalie de la vidange gastrique et pas de franche anomalie de la muqueuse. • Consilium psychiatrique le 23.08.2018 (Dr. X, Dr. X) : trouble à symptomatologie somatique probable. Suivi psychiatrique pendant l'hospitalisation. Epigastralgies intermittentes persistantes avec nausées et vomissements d'origine somatoforme le 03.07.2018 : • Hospitalisation à Lyon du 03.07 au 04.07.2018 (US et CT abdominal le 03.07.2018). • US ne montrant pas d'appendicite. • CT montrant un aspect oedématié de la pointe appendiculaire. • Hospitalisation aux HUG du 04.07 au 05.07.2018. • Hospitalisation à l'HFR le 05.07 au 14.07.2018. • US abdomen complet le 10.07.2018 : pas d'appendicite, suspicion d'une iléite terminale sans signe de complication. • CT abdominal injecté le 10.07.2018 : pas d'argument pour une appendicite, ni une iléite. À noter la présence de matériel radio-opaque au sein de l'appendice, pouvant correspondre à un stercolithe en voie de formation. • OGD le 13.07.2018 (Dr. X) : macroscopiquement gastrite aiguë focale. -- Histologie : pas de gastrite. H. pylori négatif. Muqueuse duodénale dans la norme. Biopsie : normale, focalement signes d'inflammation inactive et non-spécifiques. • Hospitalisation à l'HFR 18.07 au 28.09.2018. • Urines le 19.07.2018 : dosage porphobilinogène négatif. • Calprotectine fécale le 02.08.2018 : 142 ug/g. • ANA : négatif; immunoglobulines IgA, IgG 1-4 et IgM : dans la norme. • Sérologies : HCV : négatif, HBV : status post-vaccination, HIV : négatif. • Entéro-IRM le 24.07.2018 : pas de sténose duodénale visible. Le reste de l'examen est sans lésion suspecte. • Section du ligament arqué par laparoscopie avec suture des piliers diaphragmatiques le 10.08.2018 pour suspicion de syndrome du ligament arqué médian. • IRM cérébrale natif et injectée le 23.08.2018 : pas d'effet de masse. • Essai diagnostic de 125 mg de Solu-Medrol/jour du 24.08.2018 au 26.08.2018. • Oeso-gastro-duodénoscopie le 04.09.2018 : suspicion de reflux biliaire avec pangastrite. • Transit baryté le 11.09.2018 : pas d'anomalie de la vidange gastrique et pas de franche anomalie de la muqueuse. • Consilium psychiatrique le 23.08.2018 (Dr. X, Dr. X) : trouble à symptomatologie somatique (F45) probable. Suivi psychiatrique pendant l'hospitalisation. Epigastralgies le 04.02.2019. Epigastralgies le 10.02.2019. Epigastralgies le 15.01.2019. Epigastralgies le 19.02.2019. Epigastralgies le 25.02.2019. Epigastralgies le 31.01.2019, DD : péjoration pancréatite, gastrite. Epigastralgies (OGD récente sans particularité). Epigastralgies persistantes le 24.02.2019.Epigastralgies spontanément régressives d'origine indéterminée le 01.02.2019 Epigastralgies suite à la prise de morphine le 22.02.19. Epigastralgies sur possible gastrite. Epigastralgies sur prise d'AINS, le 12.02.2019. Epigastralgies traitées par Omeprazole. Epigastralgies. DD : Helicobacter Pylori - gastrite. Epilepsie - sous Keppra et phénobarbital - s/p crise tonico-clonique généralisée dans un contexte d'épilepsie connue le 25.01.2019 DD : précipitée par l'hypoxie liée à l'embolie pulmonaire / mauvaise compliance médicamenteuse - Taux de Lévétiracétam et phénobarbital : largement infrathérapeutique pour le Lévétiracétam <0.4 ug/ml (norme 20-40) ; Phénobarbital 23.2 umo/l (norme 43.1-172.4) - CT cérébral Time is brain le 25.01.2019 : Occlusion de l'artère vertébrale droite dans ses segments V3 V4 avec reprise du flux en aval pouvant correspondre à une occlusion versus dissection chronique comme aiguë. Asymétrie de perfusion avec hypoperfusion sur le TMax de la région fronto-pariétale gauche (status post-épilepticus ?). Sténose de l'artère carotide interne gauche sur plaque calcifiée juste après son départ de la bifurcation, estimée à 60 %. - IRM du neurocrâne et des vaisseaux du cou le 28.01.2019 : Petite lésion ischémique récente corticale pariétale gauche. - IRM du neurocrâne et des vaisseaux du cou le 29.01.2019 : En l'absence d'hématome de paroi, la dissection décrite précédemment est compatible en premier lieu avec une origine chronique. - EEG le 28.01.2019 : Présence de quelques delta et thêta sans foyer. - Séjour aux soins intensifs avec intubation oro-trachéale du 25 au 26.01.2019, cathéter artériel radial droit du 25 au 26.01.2019, sonde vésicale du 25 au 26.01.2019. - Consilium neurologique le 26.01.2019 : Status post-crise d'épilepsie. Discrète hypoperfusion sur sténose carotidienne G. Poursuivre le traitement habituel. Epilepsie actuellement non traitée : - Diagnostic posé en 1993 par Dr. X, neurologue, suite à plusieurs épisodes de malaise avec mouvements cloniques entre 92 et 93 ; foyer irritatif temporal D sur EEG de 1993. - Traitement d'Epanutin (phénytoïne) stoppé en 2008. Epilepsie avec crise de type tonico-clonique connue de longue date. Dernière crise il y a 5 ans (à compter de 2018). Epilepsie de l'enfance. Epilepsie de type absences sous diète cétogène. Épilepsie d'origine indéterminée (connue depuis l'enfance) traitée par Rivotril et Lamotrigine. Insuffisance veineuse membres inférieurs. Diabète mellitus type II NIR. BPCO non stadée (tabagisme sevré à l'âge de 48 ans). Épilepsie en 2015 sous Keppra. Epilepsie focale à foyer fronto-temporal gauche cryptogénique, avec crises partielles à généralisation secondaire, première crise le 09.11.2017. Deuxième crise en février 2018. Crise tonique le 01.06.2018. Notion familiale de valvulopathie congénitale et hypertension artérielle. Schizophrénie indifférenciée F20.3. Trouble de l'utilisation (THC, alcool), utilisation dipsomaniaque (abstinent selon les dires du patient). Epilepsie généralisée primaire suivie par Dr. X. Artériopathie des membres inférieurs de stade II (juillet 2017) avec ulcères des membres inférieurs bilatéraux - S/p angioplastie et recanalisation des artères poplitée et tibiale postérieure gauche (2013) - Lésions artério-veineuses de type phlyctènes aux 2 membres inférieurs Cardiopathie ischémique et hypertensive avec : - S/p quadruple pontage coronarien le 13.03.2013 (Inselspital) - NSTEMI avec œdème aigu du poumon sur coronaropathie tritronculaire et dysfonction ventriculaire sévère, le 11.03.2013 - FEVG 45 % avec discrète hypertrophie VG (ETT du 20.06.2014) - S/p dilatation d'un des pontages coronariens en avril 2014 Hypertension artérielle Dyslipidémie Tabagisme (pipe occasionnellement) Anémie microchrome microcytaire sur déficit en fer Insuffisance rénale chronique. Epilepsie généralisée - sous Keppra 500 mg 2x/j, Topamax 50 mg 1x/j. Epilepsie idiopathique depuis l'adolescence sous Timonil 300 mg 2x/jour (dernière crise tonico-clonique en 2013). Reflux gastro-œsophagien et ulcère gastrique. Epilepsie il y a 20 ans - sous traitement par Urbanyl 7.5 mg, suivi neurologique à Munchen. Probable encéphalite ancienne à 30 ans (anamnestique) ? Epilepsie opérée en 1996. Accident de la voie publique (TCC avec paralysie transitoire et amnésie transitoire) en 1989. Plaie superficielle en regard du tiers latéral de l'arc zygomatique gauche. Epilepsie post-TC (accident de cheval) en 1985. Status post-nodules thyroïdiens. Epilepsie post-traumatique suite à un TCC en 1977 traitée - actuellement : sous Keppra 500 mg 2-2-2 et Valium 0-0-10 mg - Crises d'épilepsie tonico-clonique répétées le 31.10.2014 - Crise d'épilepsie le 22.10.2015 sur sevrage OH - Crise tonico-clonique sans facteur précipitant le 19.06.2018 Ancienne polytoxicomanie substituée par méthadone - 11/2018 dose : L-Polamidon 70 mg 1-0-0 Troubles anxio-dépressifs. Epilepsie primaire (traitée par Dépakine et Lamictal). - Etat post-ictal prolongé en novembre 2010. Psychose infantile. Épilepsie récidivante post-méningo-encéphalite avec crises focales motrices et généralisation secondaire (suivi par Dr. X à l'institution de Lavigny). - Actuellement 1-2 crises par mois à prédominance nocturne. - Traitement par Lamictal, Phénobarbital, Vimpat et Urbanyl. Consommation d'alcool à risque. Sclérose hippocampique. Epilepsie rolandique : - avec crise tonico-clonique (dernière crise en 2013-2014). - Plus de traitement psychotrope, plus de traitement antiépileptique depuis 2014, plus de suivi actuellement. (Actuellement suivi en neurologie au Portugal). Epilepsie secondaire à la cicatrice d'AVC avec parésie de Todd post-ictale le 11.10.2017. Insuffisance rénale chronique KDIGO 2 - eGFR CKD-EPI : 49.9 ml/min, Créatinine : 95 umol/l, Urée : 8.7 mmol/l (31.07.2017) - eGFR CKD-EPI : 55 ml/min, Créatinine : 88 umol/l, Urée : 7.9 mmol/l (20.12.2017) Insuffisance cardiaque sur cardiopathie toxique (toxicité chimiothérapie R-CHOP) - FEVG à 35-40 % en juin 2017 Lymphome à grandes cellules B, diagnostiqué en 2008 - Chimiothérapie par R-CHOP 2014 - actuellement en rémission radiologique complète (2019), suivi par Dr. X Diabète de type II Surpoids (BMI : 30 kg/m2) Hypertension artérielle Dyslipidémie Nodule thyroïdien droit (TSH normale en mai 2017) Cervicalgies chroniques Troubles de la marche d'origine multifactorielle. Epilepsie sévère pharmaco-résistante dans le contexte du syndrome d'Angelman Suivi par Dr. X Epilepsie sous forme de crise partielle complexe et secondairement généralisée (février et juin 2011). • Suivi annuel au CHUV avec prochain rendez-vous prévu le 24.07.2014 Hyperferritinémie avec mutation hétérozygote du gène H63D pour hémochromatose. Maladie de Von Willebrand Burning mouth syndrome Suspicion AIT en 2006 (2 épisodes) • IRM cérébrale normale en mars 2006 Troubles neurologiques d'étiologie indéterminée le 09.09.2011 (DD: équivalent épileptogène, accident vasculaire cérébral : pas d'hémorragie au CT) Epilepsie sous malformation artère veineuse cérébrale. Epilepsie • sous Phenytoïne • suivi par Dr. X, dernier contrôle en 01/2018 avec EEG ; normal Epilepsie • sous Phenytoïne • suivi par Dr. X, dernier contrôle en 01/2018 avec EEG ; normal Epilepsie sous Tegretol. Epilepsie sous traitement jusqu'à l'âge de 18 ans. Épilepsie suivi par Dr. X (avec déjà plusieurs médicaments, actuellement sur Topamax), avec : • double crise tonico-clonique sur épilepsie connue non traitée. • crise épileptique tonico-clonique généralisée le 06.11.2015 sur probable surmenage et dette de sommeil. • crises épileptiques le 22.07.2015 et le 24.12.2015. • crise tonico-clonique généralisée le 14.06.2015 (taux de Lévétiracétam infra-thérapeutique à 1.1). • crise épileptique en 03.2014 dans un contexte de consommation d'alcool. • crises épileptiques les 03, 04 et 12.01.2014 (en manque relatif du sommeil et prise d'alcool). Crise d'épilepsie tonico-clonique généralisée le 04.12 et le 06.12.2015, avec traumatisme crânien simple le 04.12.2015. Crise tonico-clonique épileptique le 31.10.2016. Crise tonico-clonique sur épilepsie connue non traitée le 29.03.2017. Crise d'épilepsie tonico-clinique généralisée le 01.05.2017. • traumatisme crânien simple. • Crise épileptique tonico-clonique généralisée le 19.11.2017 puis le 20.11.2017, le 21.11.2017 et le 15.12.2017 sur arrêt volontaire du traitement antiépileptique sans avis médical. • Crise d'épilepsie probable tonico-clonique généralisée, le 11.01.2018. • Crise tonico-clonique avec traumatisme crânien avec PC et AC le 19.06.2018. Epilepsie sur sevrage. Epilepsie tonico-clonique généralisée MRSA positif le 16.10.2018 Epilepsie traitée. Epilepsie traitée avec Keppra 1000 mg x2/j • suivi par un neurologue en France Hypertension artérielle traitée épilepsie traitée avec Keppra 1000 mg x2/j • suivi par un neurologue en France Hypertension artérielle traitée Epilepsie traitée depuis • dernier EEG en automne 2018 épilepsie, traitée depuis 7 mois. avec Orfiril, Urbanyl et Topiramat normalement 1x/jour, suivi au CHUV Epilepsie traitée. Lésion longitudinale du sus-épineux de l'épaule gauche, avec rupture spontanée du long chef du biceps. Arthroscopie diagnostique, réinsertion du sus-épineux. Catheter interscalénique du 08.05.2018 au 09.05.2018. Épilepsie traitée par Carbamazépine. BPCO stade III D selon Gold avec/sur : • Exacerbation sur bronchopneumonie droite à Moraxella catarrhalis avec insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë le 23.07.2018, traitée par Ceftriaxone pendant 7 jours et Solu-Medrol pendant 5 jours. • Surinfection à Moraxella Catarrhalis sensible à Co-Amoxicilline les 12.03 et 23.07.2018. • Pneumonie basale droite à germe indéterminé le 04.01.2018. • Surinfection à Hemophilus Influenza en 22.08.2017 partiellement résistant (sensible à Ceftriaxone). • Exacerbations sans germe identifié les 25.01.2017, 07.03.2016. • Sepsis d'origine pulmonaire sans germe identifié le 05.12.2014. • CAT score : 24 (en 08.2018). • Emphysème pulmonaire diffus. • Tabagisme actif (>40 UPA) et exposition professionnelle (menuisier). • Phénotype exacerbateur (>2x/an). • Déconditionnement sévère à l'effort. Epilepsie traitée par Keppra 750 mg. Hémiparésie droite congénitale. Épilepsie traitée (suivi par Dr. X) Epilepsie traitée HTA traitée Epilepsie traitée Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémique Epilepsie traitée Hypertension artérielle Bloc de branche D Hypertrophie ventriculaire G Syndrome d'apnées du sommeil appareillé Obésité (BMI 38) Hépatite chronique C en 1989 sur transfusion sanguine • pas de virémie mesurée Insuffisance veineuse chronique Cholécystolithiase asymptomatique Surinfection de l'ulcère par un MRSA et un Pseudomonas • Antibiothérapie par Vancomycine du 20 au 25.11.2015, Dalacin du 26.11 • Antibiothérapie par Ciproxine du 21.12.2015 au 04.01.16 Escarre fessière G Plaie pré-tibiale jambe D avec ostéite sclérosante chronique probablement non infectieuse évoluant depuis 2013 • Status post fracture ouverte des 2 MI en 1976 Epilepsie, 1ère crise en mars 2017, Lévétiracétam stoppé en mars 2018. Céphalées et migraines à répétition (env 2-3 x/semaine) accompagnées de nausées et vomissements habituellement. Tabagisme actif. Epilepsie, 1ère crise en mars 2017, Lévétiracétam stoppé en mars 2018. Céphalées et migraines à répétition (env 2-3 x/semaine). Tabagisme actif. Epilepsie. Hypothyroïdie substituée. Masse exubérante du bord latéral de l'ongle droit (botryomycome chronique). Ex-tabagisme (2010). Epilepsie Infirmité motrice cérébrale. Epilepsie Infirmité motrice cérébrale. Epilepsie il y a 20 ans • sous traitement par Urbanyl 7.5 mg Epilepsie il y a 20 ans • sous traitement par Urbanyl 7.5 mg Epiphysiolyse du radius distal droit. Epiphysiolyse (fracture type Salter I) avec bascule dorsale du radius distal D; accident le 05.05.2016 Episiotomie médio-latérale droite Épisiotomie médio-latérale droite Épisiotomie médio-latérale droite Épisiotomie médio-latérale droite Épisiotomie médio-latérale droite Épisiotomie médio-latérale droite Épisiotomie médio-latérale droite Épisiotomie médio-latérale droite. Épisiotomie médio-latérale droite et déchirure vaginale Épisiotomie médio-latérale droite et éraillure para-urétrale gauche Épisiotomie médio-latérale droite et éraillure vaginale Episode anxieux face à une maladie en progression • besoin de transmission à faire face aux proches • anxiété face à la fin de vie se rapprochant Episode anxieux sévère et troubles anxio-dépressifs chroniques dans le contexte de la maladie oncologique • aggravation dans contexte de dyspnée Episode d'altération de l'état général (DD: épilepsie, absences, troubles pédopsychiatriques) Episode de brady-arythmie brève en juin 2015 Oedème aigu du poumon le 12.06.2015 Dyspnée de stade III d'origine mixte : • décompensation cardiaque à prédominance gauche le 09.07.2018 • pneumonie communautaire lobe inférieur droit débutante le 09.07.2018 Hémorragie digestive haute active Forrest Ib au niveau de l'anastomose gastro-jéjunale le 23.03.2016 • Gastrectomie partielle (Billroth II) pour ulcère en 1963 Hémoptysies dans un contexte d'anticoagulation supra-thérapeutique le 09.07.2018 Diagnostic différentiel : hémorragie alvéolaire non exclue Sigmoïdectomie pour diverticulite en 1991 Hernie inguinale gauche non compliquée, symptomatique Plusieurs laparotomies médianes (gastrectomie pour ulcères, sigmoïdectomie pour diverticulite) Ablation de polypes il y a plusieurs années Pneumonie nosocomiale à Enterobacter spp et Haemophilus influenzae le 27.02.2016 Laminectomie décompressive de L5 en 1988 Escarre sacrée stade II (02/2016) Iléus grêle sur bride le 21.12.2018 avec contamination fécale sur perforation grêle per-opératoire le 24.12.2018 CT abdominal le 22.12.2018 CT thoraco-abdominal le 26.12.2018 Laparotomie le 24.12.2018 : résection segmentaire grêle à 270 cm de Treitz, confection d'une splitstomie, lavage avec 40 L NaCl, drainage en Douglas, fermeture hernie de la ligne blanche et mise en place d'un VAC sous-cutané Changement de VAC sous-cutané le 27.12.2018, fermeture le 04.01.2019 Episode de convulsion à 13 mois, dans le contexte d'une déshydratation, sans récidive. Status post-ostéosynthèse d'une fracture Lisfranc pied G avec fracture comminutive de l'os cunéiforme médial avec stabilisation par arthrodèse temporaire cunéiforme métatarsien I et plastie spongieuse prélevée par le tibia distal le 08.08.2017 Episode de diarrhée Episode de diplopie avec vertige. DD : • AIT fosse postérieure. • Décompensation d'un strabisme sous-jacent. • Atteinte micro-angiopathique des nerfs crâniens. Episode de dyspnée aigue le 31.1.19 DD réaction anaphylactique (urticaires observés sur la partie thoracique) Episode de FA normocarde à 88 bpm, le 28.01.2019 avec : • HAS-BLED à 1, CHADVASC2 à 3 Episode de FA paroxystique objectivé au scope le 04.12.2017 : pas de troubles du rythme objectivé Holter 12.12.2017 Hypertension artérielle Cardiopathie hypertensive avec insuffisance aortique modérée Hypogénésie rénale droite avec sténose de l'artère rénale commune droite, le 27.08.2015 Malnutrition protéino-énergétique Hernie hiatale, avec reflux gastro-oesophagien BPCO stade III selon GOLD, diagnostiquée en 2015 avec exacerbation de BPCO le 24.02.2017, 05.03.2017 et 03.12.2017 • tabagisme ancien stoppé en 2002 et estimé à 60 UPA Consultation avec Dr. X (Pneumologie) le 18.12.2017 : difficulté avec l'inhalation (mauvaise coordination pour la réalisation des manœuvres d'inhalation, mais nous pouvons réessayer avec Relvar Ellipta 92/22 mcg 1 inhalation/j) Episode de fibrillation auriculaire rapide sur déshydratation, le 16.01.2019. Episode de migraine le 28.02.2019. Episode de somatisation dans le cadre d'un décès familial. Episode de Tachycardie ventriculaire non soutenue asymptomatique le 20.02.2019 DD Hypokaliémie Episode de vision trouble d'origine indéterminée le 13.02.2019. DD : effet secondaire de la médication anti-psychotique (Abilify). Episode de vomissement et douleurs abdominales. Episode dépressif avec crises de panique. Episode dépressif avec idées suicidaires en 2015. SIADH d'origine indéterminée en 05.2018, possiblement sur neuroleptiques. Episode dépressif depuis début février 2019 Episode dépressif en 2010 Méniscectomie genou G en 2015 Episode dépressif le 08.02.2019. Episode dépressif majeur, avec : • pleurs fréquents, plainte d'abandon par le fils • GDS 9/15 points le 06.01.2019 • tentamen par strangulation le 13.01.2019 Episode dépressif majeur en 2012. Pneumonie avec épanchement pleural massif en 2008 (anaeroccus prevotii, staph coag nég) : • avec pneumonies à répétition depuis Hyper-réactivité bronchique dans un contexte d'IVRS d'origine probablement virale, diagnostic différentiel : exacerbation d'un asthme bronchique. Tassement vertébral. Episode dépressif majeur Annexectomie bilatérale pour cystadénofibrome séreux multiloculaire bilatéral des ovaires en 2012 Acromioplastie droite en 2006 Anneau gastrique en 1997 AVC ischémique multifocal (pariétal G, insulaire G et frontal D) d'origine indéterminée le 09.12.2018 : • DD : état hyper-coagulant dans contexte tumoral, cardio-embolique • Symptomatologie : hémisyndrome sensitivo-moteur droit facio-brachial, dysarthrie • Lyse intraveineuse par Alteplase 78.3mg, débutée à 12h50 le 09.12.2018. • NIHSS à l'admission à 5 points, NIHSS post lyse à 3 points, NIHSS à 24h 1 point, NIHSS à la sortie à 0 point. Infection virale des voies aériennes supérieures le 04.01.2019 • contexte d'asthme DD BPCO Hématochézie en petite quantité le 07.01.2019 sur hémorroïde interne Episode dépressif moyen Episode dépressif moyen avec syndrome de dépendance OH le 21.02.2019. Episode d'hématémèse sans répercussion hémodynamique le 17.02.2019. Episode isolé de bradycardie asymptomatique. Episode maniaque avec symptômes psychotiques d'un trouble affectif bipolaire. • hospitalisation en psychiatrie à Yverdon-les-Bains du 2 au 19.02.2019. Délirium non surajouté à une démence, ainsi décrit sur benzodiazépines, en 02/2019. Hystérectomie en 2016. Hernie hiatale opérée en 2010. Augmentation mammaire bilatérale non datée. TCC en 1986. Episode maniaque avec symptômes psychotiques (idées délirantes de persécution). Episode unique de crise d'angoisse. Episode unique d'hématurie macroscopique le 13.02.2019. Episodes d'amnésie globale transitoire en 2013 et 2015 Infection aiguë des tissus mous du bras/main droit sur morsure de chat le 02.11.2018 Status post hystérectomie en février 2008. Éventration abdominale en mai 2008. Cure d'éventration et plastie abdominale en septembre 2008 Appendicite aiguë perforée à sa base avec péritonite localisée le 29.08.2010 Status post PTH D par voie antérieure en février 2010 Status post stripping MI ddc pour varices. Episodes d'asthme sur effort. Episodes de mouvements anormaux du MSG sur probable crise épileptique focale le 27.02.2019 • s/p AVC ischémique aigue sylvien gauche le 13.09.2018 avec transformations hémorragiques secondaires le 18.09.2018 • d'origine probablement thrombotique-artério-artérielle sous sténose de l'artère carotide interne gauche avec occlusion M1 ACM gauche • Thrombectomie intravasculaire (Inselspital) le 13.09.2018 avec persistance d'occlusion à 70 % post opératoire • FDCV : HTA, diabète type II • Clinique à l'entrée en neuro-réhabilitation : ralentissement psychomoteur, légère désorientation (temps et espace), légère aphasie mixte, hémisyndrome facio-brachio-crural droit à prédominance de MSD, dysphagie sévère aux liquides et modérée aux solides Episodes de syncope d'origine probablement vasovagale et orthostatique le 04 et 05.02.2019 Episodes de vertige Episodes de vertiges positionnels paroxystiques Traumatisme crânien avec hématome sous-dural sur chute mécanique le 29.01.2018 • Céphalées chroniques depuis lors Pneumonie basale droite en février 2018 (S. pyogenes) Probable kyste de Baker rompu le 15.09.2018 DD : saignement veineux sur anticoagulation suprathérapeutique Hématome sous-cutané lombaire/flanc gauche sur chute mécanique le 14.01.2019 Contusion bilatérale des genoux sur chute mécanique le 14.01.2019 Probable fissure de côte à droite le 14.01.2019 Anémie macrocytaire normochrome à 79g/L le 21.01.2019 consécutive à l'hématome du flanc gauche Episodes isolés de vomissements liquides dès 28.01.2019, résolus • Suspicion d'une nouvelle gastroparésie dans le contexte du diabète sucré • Patient connu pour une gastroparésie avec régurgitation alimentaire (sous PEG seulement) le 10.10.2018 • Contexte de nutrition entérale par PEJ depuis octobre 2018 • Pas de nausée, pas de corrélation temporelle avec la nutrition entérale • Disparition de la symptomatologie avec introduction de traitement par Primperan • Epistaxis • Epistaxis. • Epistaxis à prédominance droite, 2 épisodes résolus le 17.02.2019. • Suite traitement de Nasacort il y a 7 jours. • Epistaxis antérieur droit le 02.02.2019 : • probablement sur oxygénothérapie aux lunettes • Epistaxis antérieure narine droite, actuellement tarie. • Epistaxis antérieure narine gauche sur probable sécheresse muqueuse nasale • DD : hypertension. • Epistaxis atraumatique dans le contexte de trouble de la crase • Epistaxis atraumatique droite dans un contexte de rhinite. • Epistaxis avec hypertension artérielle. • Epistaxis bilatérale à prédominance gauche sous anticoagulation suprathérapeutique par Sintrom : • INR non mesurable. • Epistaxis bilatérale à prédominance gauche sous anticoagulation supra-thérapeutique par Sintrom le 20.01.2019. • Hématochésie le 20.01.2019 avec 150 ml sous anticoagulation supra-thérapeutique par Sintrom. • Décompensation cardiaque globale aiguë le 19.10.2018. • Décompensation cardiaque en juillet 2017. • Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique stade III, d'origine cardio-rénale probable en juillet 2017 : • créatinine à 185 micromol/l, clairance selon MDRD à 33 ml/min. • hyponatrémie normo-osmolaire à 125 mmol/l probablement sur insuffisance rénale aiguë. • Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique de stade III, d'origine cardio-rénale probable avec : • créatinine à 216 micromol/l, clairance selon Cockroft à 35.7 ml/min. • Hyponatrémie normo-osmolaire légère à 132 mmol/l probablement sur insuffisance rénale aiguë. • Hyperkaliémie modérée à 5.5 mmol/l probablement sur insuffisance rénale aiguë. • Angioplastie des artères poplitées hautes droite et gauche en 2012. • Résection colique pour volumineux polype non carcinomateux. • Appendicectomie à l'âge de 16 ans. • Epistaxis dans le cadre de perturbation spontanée de la crase le 20.02.2019. • INR 1.4. • Epistaxis de résolution spontanée • Epistaxis et hématome du nez • Epistaxis gauche. • Epistaxis gauche le 11.02.19. • Epistaxis le 06.02.19. • Epistaxis le 20.01.2019 dans le contexte de thrombopénie chimio-induite • Epistaxis le 24.02.19 : • chez un patient sous antiagrégant par Aspirine et Ticagrelor. • Epistaxis massif avec écoulement postérieur le 08.02.2019 • accumulation de Clexane dans le cadre de l'insuffisance rénale • Epistaxis postérieur droit. • Epistaxis post-traumatique • Epistaxis récidivant. • Epistaxis spontanément résolue le 25.01.2019 • Epistaxis spontanément résolutif le 25.01.2019 • Epistaxis spontanément résolutif le 25.02.2019. • Epistaxis sur anticoagulation supra-thérapeutique. • Epistaxis sur INR supra-thérapeutique et intolérance au Pk-Merz le 10.11.2018. • Insuffisance rénale aiguë de type mixte sur globe urinaire de 2.5 litres et déshydratation le 21.11.2018. • Epistaxis sur insuffisance hépatique et anticoagulation thérapeutique le 20.11.2013. • Thrombose veineuse profonde fémoro-poplitée droite le 18.10.2013. • Candidose orale le 02.09.2013. • Écoulement d'un abcès de 2 cm au niveau de la face latérale de la cuisse droite proximale, fin août 2013. • Entérite à Clostridium difficile le 11.07.2013. • Bactériémie à Staphylocoque MRSA le 06.04.2013. • Décompensation ascitique sur cirrhose Child C d'origine mixte, (alcoolique/ hémochromatose), le 02.06.2018. • Suspicion de lipome sous-claviculaire droit, le 07.06.2018. • Encéphalopathie hépatique de stade I le 09.06.2018 avec ammoniémie à 153 umol/l. • Encéphalopathie hépatique de stade I le 14.09.2018 Cirrhose Child C d'origine mixte (alcoolique et hémochromatose). • Epuisement de la proche aidante principale et maintien impossible à domicile dans le contexte oncologique suivant • Adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur droit pT2a G2 cN0 cM0 stade Ib • date du diagnostic radiologique : 28.04.2010 • CT thoracique du 28.04.2010 : nodule irrégulier de 10 mm dans le segment postérieur du lobe supérieur droit en contact avec la fissure et attraction de celle-ci. Pas d'adénopathie, pas de signe de métastase à distance • PET du 12.05.2010 : absence d'hypercaptation pathologique du radiotraceur au niveau du nodule suspect pulmonaire parlant contre une origine maligne • bronchoscopie du 20.05.2010 : statut endoscopique normal • proposition d'une résection en Wedge en 2010 refusée par la patiente • CT du 22.02.2016 : majoration en taille du nodule connu passant de 10 mm à 22x18 mm. • PET CT du 04.04.2016 : hypercaptation pulmonaire droite légère, SUV max 2,4, pas d'autre hypercaptation • statut post-résection atypique cunéiforme du lobe supérieur droit le 12.05.2016. • histologie Promed P4941.16 : adénocarcinome de diamètre maximal 3,5 cm, G2, pulmonaire sous-pleural avec infiltration de la plèvre viscérale, pT2a G2 R0 • tumor board fin mai 2016 : Wedge à compléter par une lobectomie et curage ganglionnaire. • refus de la patiente de la prise en charge chirurgicale • progression tumorale sous forme d'un épanchement pleural au scanner du 27.06.2018 • ponction-biopsie de l'épanchement pleural droit le 04.04.2018 (Promed C2018.442) : cellules néoplasiques malignes de type adénocarcinome peu différencié, PD-L1 à 40% des cellules tumorales. Présence de mutation BRAF (p.V600E et SMAD4) • refus de la patiente d'introduction d'un traitement oncologique • nette progression tumorale avec signes d'une lymphangite carcinomateuse au CT du 25.10.2018 • stabilité selon CT du 22.11.2018 • dabrafénib et tramétinib débutés le 23.11.2018 pendant 3 semaines • 09.01.2018 : décision avec la patiente de ne plus faire de traitement oncologique • Suivi oncologique par le Dr X • Epuisement des possibilités de traitement oncologique : pas de contrôle prévuÉpuisement du proche aidant • chez un patient déjà connu de la clinique de jour de Jeuss Épuisement du proche aidant dans le cadre d'une sclérodermie sans atteinte cutanée • diagnostiquée en 2017 • phénomène de Raynaud connu depuis 2012 • vidéo-capillaroscopie 18.07.2017 pas de scleroderma pattern • ANA positifs, anti-centromères positifs • comorbidités associées : hypertension artérielle pulmonaire, cardiopathie restrictive et rythmique, troubles de la motilité oesophagienne Épuisement du proche aidant (épouse) face à un patient rapporté comme agressif à domicile et nouvel état confusionnel Épuisement du réseau Épuisement du réseau social Épydidimite probable Équipe de traitement multidisciplinaire : médecin, infirmier, nutrition, physiothérapie Équipe de traitement multidisciplinaire : médecin, infirmier, physiothérapie, nutritionniste (xy séances) Sonde nasogastrique le 20.12.2018 : Novasource 500 ml Isosource 500 ml dès le 28.12 Benerva du 24.12-27.12.2018 Supradyn du 24.12-27.12.2018 Stop Novasource et majoration Isosource à 750 ml dès le 04.01.2019 Équipe médico-infirmière de traitement multidisciplinaire Alimentation entérale du 24.01 au 29.01.2019 avec suivi nutritionnel Screening multidimensionnel en médecine palliative et évaluation a minima (Dr. X et Dr. X) Évaluation par ESAS Éradication d'H. Pylori en 2013. Douleurs rétrosternales de type brûlure depuis deux semaines en péjoration depuis ce matin, sur suspicion de reflux gastro-oesophagien. Fracture du boxeur le 12.09.2017 avec fracture de la tête du 5 ème métacarpe, fracture de la base du 4 ème métacarpe. Éradication H. Pylori en 2005 Méniscectomie partielle du genou D par arthroscopie Cupulolithiase traitée il y a 10 ans par des manipulations Gonalgies D avec gonarthrose et rupture du LCA Tendinopathie de la patte d'oie au genou gauche Éradication H. Pylori en 2005. Méniscectomie partielle genou droit par arthroscopie. Cupulolithiase traitée il y a 10 ans par des manipulations. Gonalgie droite avec gonarthrose et rupture du LCA. Tendinopathie de la patte d'oie genou gauche. Dyspnée à l'effort dans le contexte d'une possible exacerbation de fibrose pulmonaire idiopathique (IPF). Fibrose pulmonaire idiopathique lentement évolutive diagnostiquée en octobre 2010 : • avec insuffisance respiratoire globale sous oxygenothérapie en continu (1-2 l/min sans VNI et 2-4 l/min à l'effort); Bi PAP nocturne • diagnostic radioclinique en octobre 2010 [CT Givision] : pneumopathie fibrosante de distribution asymétrique (G>D) • fonction pulmonaire 06/2018 : syndrome restrictif et trouble de la diffusion sévère • bilan pré-greffe en 2014 effectué au CHUV : indication finale non retenue (découverte fortuite de cardiopathie ischémique, voir comorbidité) • dyspnée en péjoration depuis 06.2018 et apparition d'oedème aux membres inférieurs • Prednisone 50 mg du 22.09-26.09.2018 puis schéma dégressif • Azithromycine 500 mg du 22.09-26.09.2018 puis prophylaxie 3x250 mg/semaine Probable dermatophyte cutané pied droit le 17.10.2018. Éraflure suite à une morsure de chien à la joue gauche Éraillures à la fourchette. Éraillures para-urétrale droite et de l'introitus Éraillures para-urétrales ERCP ERCP le 07.02.2019 : cholangite sur cholédocholithiase. Extraction d'un concrément. Pose d'un stent plastique 8,5 French, 10 cm. Laboratoire : cf. annexes ERCP le 31.01.2019 : papillotomie, pas de cholédocholithiase visualisé. Cholécystectomie laparoscopique + cholangiographie intra-opératoire le 02.02.2019 Ergométrie d'effort en ambulatoire demandé. Ergonométrie et discussion des résultats du holter le 06.03.2019 à 16h RDV à la consultation de Dr. X le 14.03.2019 à 8h Titration progressive du Lisinopril et reprise des béta-bloquants à rediscuter lors de la consultation cardiologique Contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine (le patient prendra rendez-vous) Ergothérapie Physiothérapie Érosion cornéenne centrale de 1 mm œil droit. Érosion cornéenne de l'œil droit sur corps étranger. Érosion cornéenne de l'œil droit traumatique, le 13.02.2019 • sous Floxal et Lacrycon. Érosion cornéenne œil gauche. Érosion cornéenne ponctiforme œil droit probablement sur corps étranger métallique. Érosion cornéenne sur corps étranger le 06.02.2019. Érosion superficielle sur corps étranger dans l'œil droit. Hernie inguinale gauche indirecte. Petite hernie inguinale droite asymptomatique. Cure de hernie inguinale gauche par voie laparoscopique extrapéritonéale avec filet 3D Max Light large. Éruption cutanée Éruption cutanée Éruption cutanée Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée Éruption cutanée Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée. Éruption cutanée, fièvre ce matin Éruption cutanée avec toux probablement d'origine infectieuse virale DD Allergique (Strepsils, Prospanex) Éruption cutanée (DD : réaction allergique à l'amoxicilline, virose) Éruption cutanée (dermatite des langes) Éruption cutanée et difficulté respiratoire après ingestion du repas Éruption cutanée maculo-papuleuse d'origine virale vs rash sur Pénicilline Éruption cutanée maculo-papuleuse prurigineuse DD allergique, parainfectieuse Éruption cutanée paravirale probable Éruption cutanée para-virale Streptotest positif Éruption cutanée rapidement évolutive, touchant le thorax, le visage, le dos, les fesses. DD : infection Parvovirus B19, Gianotti-Crosti Éruption cutanée sur les deux pieds, DD : allergie, DD : puces de lit Éruption cutanée virale (pied main bouche probable) Éruption cutanée virale probable Éruptions cutanées Éruption diffuse et prurit Éruption du cuir chevelu Éruption papulaire (suspicion de varicelle) dans le contexte d'une leucémie (LLA). Fracture du radius distal gauche (côté non dominant) de type Salter Harris II, avec bascule dorsale le 31.12.2018. Réduction fermée sous anesthésie générale. Éruption papulaire virale probable Éruption très transitoire d'origine X disparue rapidement Éruption urticarienne d'origine virale probable : • pas d'éléments pour une allergie Erysipèle. Erysipèle cheville droite depuis le 21.02.2019 avec une consultation. Erysipèle cheville droite le 23.02.2019. • Radiographie de la cheville droite et laboratoire à Givimed. Erysipèle dans la région rétro-auriculaire à droite. Rhino-sinusite aiguë sur une polypose naso-sinusienne. Erysipèle de la cuisse gauche en janvier 2015. Coronarographie en 2008 (préventive) : Sclérose coronarienne sans sténose significative, FEVG 60%. Ischémie aiguë du membre inférieur droit. 2016 Doppler au lit du malade : pas de pouls tibial postérieur au membre inférieur droit, pouls poplité sans particularité. Traitement conservateur. Suivi en Chirurgie vasculaire. Anévrisme de l'aorte abdominale sous-rénale mesurant jusqu'à 38 mm. Erysipèle des deux pieds le 13.05.2018 Tentamen médicamenteux autour de 2005. Erysipèle des membres inférieurs ddc sur lymphoedèmes. Erysipèle doigt II droite, le 20.02.19. Erysipèle du doigt de pied 5. DD : ostéomyélite débutante, insuffisance artérielle des membres inférieurs. Erysipèle du membre inférieur droit le 15.02.2019. Erysipèle du membre inférieur droit sur mycose interdigitale. Hématochézies et épistaxis sur surdosage en AVK. Hématochézies le 02.09.2016. Colonoscopie avec ablation d'un polype le 05.09.2016. 2 Ulcères du gros orteil et petit orteil 15.06.2017. Infection du moignon d'amputation trans-métatarsien du membre inférieur droit le 23.10.2017. Erysipèle du membre inférieur droit. Amnésie globale transitoire le 29.07.2017. Erysipèle du membre inférieur gauche le 02.02.2019. Erysipèle du MIG dans un contexte de dermite de stase connue. • Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour jusqu'au 28.01.2019. Erysipèle membre inférieur gauche le 22.02.2019 • rougeur délimitée. Erysipèle MIG le 02.02.2019. Erysipèle MIG le 22.02.2019 sur lésions de grattage. Erythème. Erythème cutané. Erythème cutané d'origine indéterminée le 22.02.2019. DD : dans le contexte de la virose. Erythème cutané d'origine probablement allergique en novembre 2011. Hypertension artérielle inaugurale le 04.10.2016. Erythème du membre inférieur droit. Erythème du membre inférieur gauche le 01.02.2019. Erythème du membre inférieur gauche le 01.02.2019. • insuffisance veineuse. Erythème du membre supérieur droit. Erythème du siège. Erythème du visage. Erythème fessier. Erythème maculo-prurigineux des membres supérieurs d'étiologie indéterminée. Erythème membre supérieur droit. Erythème membre supérieur droit. Erythème migrant sur borréliose cutanée de stade 1 : Doxycycline pendant 10 jours. Erythème multiforme. • DD : urticaire. Erythème multiforme, le 22.02.2019. DD : urticaire. Erythème multiforme, le 23.02.2019 : • sur virose probable. • CT cérébral (Dr. X) : pas d'oedème, pas de saignement. • Ponction lombaire (Dr. X) : pression d'ouverture à 18,5 mmHg, 1 élément, citrin. • Rocéphine 2g IV 1 dose aux urgences le 22.02.2019. • Avis infectiologique téléphonique (Dr. X) : pas d'argument pour une méningite, pas de poursuite de l'antibiothérapie, consultation si nouvel élément, contrôle clinique à 24-48 h. DD : urticaire. Erythème oropharyngé suite à une ingestion de produit caustique. Erythème paupière supérieure. Erythème polymorphe, le 24.02.2019 : • Sur virose probable. • CT-cérébral (Dr. X) : pas d'oedème, pas de saignement. • Ponction lombaire (Dr. X) : pression d'ouverture à 18,5 mmHg, 1 élément, citrin. • Rocéphine 2g IV 1 dose aux urgences le 22.02.2019. • Avis infectiologique téléphonique (Dr. X) : pas d'argument pour une méningite, pas de poursuite de l'antibiothérapie, consultation si nouvel élément, contrôle clinique à 24-48 h. DD : urticaire. Erythème polymorphe (Cause : Amoxicilline, co-amoxicilline, Mycoplasme). Erythème vésiculaire sur fond érythémateux dans le probable contexte para-infectieux le 18.02.2019. Erythrodermie probablement post laser le 04.02.2019. Escarre de stade 3 au niveau du sacrum. Escarre ilio-sacré de grade 3 le 07.01.2019. Escarre sacral stade 2. Escarre sacré. Escarre sacré abcédé 64 x 25 mm le 14.02.2019. Escarre sacré de stade 2. Escarre sacré grade III le 08.02.2019. Escarre sacré le 14.02.2019. Escarre sacré, le 28.02.2019. Escarre sacré stade 1. Escarre sacré stade 2 le 22.02.2019. Escarre sacrée de stade 2. Escarre sacrée le 16.02.2019. Escarre sous-mammaire ddc degré 2, inguinale ddc. Escarre stade I au niveau lombaire gauche. Escarre stade I lombaire. Escitalopram du 23.11.2018 au 13.12.2018. Pregabaline dès le 13.12.2018. Vortioxétine dès le 14.12.2018. Avis psychiatres (hôpital d'Yverdon-les-bains) : Escitalopram 5 mg id puis ad bid après une semaine (ie le 30.11.2018). Consilium psychiatrique le 29.11.2018. Escitalopram et Trittico. Espacement du Ventolin aux 4 heures. Esquinancie le 18.02.2019. • Sous antibiothérapie par Ospen 1000 UI 3x/j depuis le 16.02.2019. Essai algifor 24h et contrôle chez le pédiatre. Essai d'ablation de la minerve post-radiographies : mobilisation active/passive latérale et antéro-postérieure de la nuque complète et possible mais déclenchant des douleurs au niveau du sterno-cléido-mastoïdien et du trapèze gauches. À la palpation des apophyses épineuses, celles-ci sont très douloureuses, malgré l'absence de douleur à la mobilisation. Durant l'attente, diminution de la douleur aux apophyses épineuses. Dans ce contexte, avis orthopédique (Dr. X) : à l'examen par orthopédiste, pas de douleur aux apophyses épineuses mais surtout au sterno-cléido-mastoïdien. Pas d'argument pour lésion ostéo-ligamenteuse. Ablation minerve. Antalgie, suivi par pédiatre. Essai de relais de l'hydromorphone en SC. Nozinan SC pour anxiolyse. Sédation palliative avec Dormicum IV dès le 04.02.2019 et suivi par SPSS. Essai de Ventolin 4 pushs : amélioration de l'entrée d'air, disparition des sibilances mais persistance des râles crépitants. Essai de Ventolin 6 pushs sans amélioration de la symptomatologie respiratoire. Essai de 4 pushs sans amélioration du SDR et pas de disparition des sibilances. Amoxicilline sirop mélangé dans biberon avec un peu de lait, prise : ______. Essai de 4 pushs Ventolin : disparition du SDR, meilleure entrée d'air notamment en base gauche, disparition des crépitants/sibilances et de l'expirium forcé. Après discussion avec Dr. X, proposition de ressayer 2 jours d'AINS en systématique pour OMA, Ventolin, contrôle dans 48h chez pédiatre, chez enfant en bon état général, ayant <12h de fièvre, répondant au Ventolin. Proposition de réévaluer l'indication à 2ème cure de Betnesol selon évolution dans 48h. Essai d'Haldol infructueux. Adaptation du Nozinan. Morphine introduite sur douleurs aux soins d'hygiène. Essai Venlafaxine sans effet. Introduction et titration de méthadone avec bon effet. Physiothérapie. Ergothérapie. Thérapies complémentaires, notamment hypnose avec bon effet. Essai Ventolin 4 push aux urgences : pas d'amélioration. Rincage de nez. Surveillance signe de détresse respiratoire et hydratation. Essai Ventolin 6 push 3x sur 1 heure sans effet. Rx thorax : probable foyer basale droite correspondant à l'hypoventilation.Fébrifuge Contrôle à 24 heures chez le pédiatre (ou aux urgences si pas de rendez-vous) • Essai 3 pushs de ventolin : disparition de la sensation de dyspnée et amélioration de l'entrée d'air aux bases. • Essai 4 pushs de Ventolin avec disparition du tirage et des sibilances. • Essai 4 pushs de Ventolin : persistance d'une fréquence respiratoire autour de 50 /min, disparition du balancement thoraco-abdominal, diminution des crépitants aux bases. • Essayer d'alterner les médicaments : donner Dafalgan 7,5 ml et Algifor 7,5 ml en alternance. Essentiel Tremor Diabetes mellitus Typ 2 • HbA1c am 05.02.2019 : 6.9% • sous Metformin Coronare 2-Gefäss-Herzkrankheit : • St.n. Myokardinfarkt 2005, 4x Stenteinsatz in A. circumflexa (2) und A. coronaria dextra (2). • Aktiver Stent in RIVA 2015 • Transthorakale Echokardiographie (TTE) 11/07/2018 : linker Ventrikel nicht dilatiert, LVEF bei 65%, exzentrische Hypertrophie. Keine anderen Vitien. • Atorvastatin, Candesartan, Aspirin cardio Knieschmerzen beidseits, DD Gonarthrose • Prednison Hypothyreose • sous Euthyrox Aktenanamnestisch Hyperurikämie • Allopurinol Hypochrome, normozytäre Anämie • Folsäure bas Début Acidum folicum Dépressive Verstimmung ESSV monomorphe. Paresthésies de l'hémicorps gauche et membre inférieur droit sur crise d'hyperventilation dans un contexte d'état anxio-dépressif le 23.10.2018 - Absence de carence vitaminique ou martiale, ni d'hypothyroïdie. • Sérologie de Lyme : négative. Mr. Y bénéficie de l'intervention susmentionnée qui se déroule sans complication. La patiente étant institutionnalisée, elle reste en surveillance pendant 24h avec un retour prévu le 12.02.2019 dans son institution. Établissement du formulaire SUVA (copie à la patiente). Traitement symptomatique avec antalgie simple, myorelaxants, éviction des écrans durant 48h. Suite chez le médecin traitant avec recommandation de prendre rendez-vous pour un contrôle dans 7 jours. Établissement du formulaire SUVA (copie au patient). Traitement symptomatique avec antalgie simple, myorelaxants, éviction des écrans durant 48h, minerve mousse pour max. 3 jours. Suite chez le médecin traitant avec recommandation de prendre rendez-vous pour un contrôle dans 7 jours. Établissement de soins de confort Étant donné la bonne évolution clinique, nous enlevons le Rucksack. Le traitement orthopédique est terminé. Le patient bénéficie d'un arrêt de sport jusqu'au 28.02.2019 et recommencera le sport progressivement. Nous restons à disposition si nécessaire. Étant donné la bonne évolution, poursuite de la physiothérapie. J'ai programmé un contrôle chez moi dans 4 mois. Étant donné la bonne évolution radioclinique, on conseille à la patiente de garder une attelle Rhizo au pouce pour dix jours selon les douleurs. Fin de traitement à la policlinique d'orthopédie. Étant donné la clinique, nous effectuons une radiographie de la cheville droite qui ne montre pas de lésion osseuse. Ainsi, nous lui prescrivons un traitement antalgique et anti-inflammatoire par Dafalgan et Irfen pour 5 jours, un arrêt de travail pour 1 semaine ainsi qu'une immobilisation par attelle Aircast pour 6 semaines avec charge selon douleurs. Contrôle à la consultation du médecin traitant dans 1 semaine pour réévaluer la capacité de travail. Étant donné la constellation fracturaire, je discute des différentes options thérapeutiques avec la patiente et sa maman. Il n'y a pas d'indication opératoire absolue mais plutôt relative vu qu'il s'agit d'une fracture bifocale et d'un raccourcissement d'un centimètre de la clavicule gauche. J'explique à la patiente et sa maman le déroulement intra et post-opératoire qui consisterait en une ostéosynthèse de la clavicule par plaques et ostéosynthèse de l'extrémité latérale de la clavicule par vis. Je leur laisse une phase de réflexion. Je reverrai la patiente le 28.02.2019. Étant donné la gêne présentée par la patiente, je retiens l'indication opératoire. Mme. Y est informée du déroulement intra- et post-opératoire. Elle nous donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 25.03.2019. Étant donné l'absence de symptomatologie du défaut de rotation tibial, nous expliquons à la maman qu'il n'y a probablement aucun geste chirurgical à retenir. Par ailleurs, la patiente a actuellement 11 ans, il est fort possible que la croissance corrige encore ce défaut de rotation. Nous referons le point à la fin de la croissance pour vérifier s'il existe toujours une absence de gêne. Étant donné le contact avec du cyanure, nous contactons le Dr. X qui a lui-même contacté le Tox Zentrum et il s'avère qu'au vu de la faible exposition, il n'y a pas de mesure additionnelle nécessaire à prendre. Ainsi, nous réalisons une désinfection locale à l'Hibidil, apposons des Stéristrips et refermons avec un pansement simple. Nous lui prescrivons également une antalgie simple, avec un arrêt de travail jusqu'au 01.03.2019. Un contrôle de la plaie à 24h chez le médecin traitant serait souhaitable. Étant donné le diagnostic, le Dr. X, orthopédiste, explique la procédure et les conséquences du traitement conservateur et chirurgical. La patiente donne son consentement éclairé pour une intervention chirurgicale et nous organisons l'intervention pour demain le 01.02.2019. Elle sera à jeun depuis minuit, a reçu de l'antalgie selon besoin, immobilisation en gilet jusqu'à l'opération. Elle a rendez-vous à l'Hôpital de jour demain à 07H45. Étant donné le jeune âge de la patiente, nous ne retenons pas de geste chirurgical à faire pour le moment. Nous prescrivons des supports plantaires. La patiente sera revue dans 2 mois pour un contrôle clinique après la mise en place des supports plantaires. Étant donné l'examen clinique compatible avec l'examen neurologique, je retiens l'indication opératoire. Une cure de tunnel carpien à droite est prévue pour le 25.02.2019. Ce jour, elle est informée du déroulement intra- et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé. Étant donné l'inégalité de longueur des membres inférieurs, nous prescrivons une semelle compensatrice de 1 cm pour la jambe gauche avec semelle neutre à droite. Prescription également de séances de physiothérapie pour rebalancement postural et équilibrage du rachis. Étant donné que le patient est encore relativement jeune et que sa pathologie est significative et symptomatique, nous adressons le patient pour un avis spécialisé chez le Professeur X. Le patient a pour consigne de prendre ses clichés radiographiques pour cette consultation. Nous reverrons le patient suite à l'avis du spécialiste de la scoliose. État anxieux État anxieux. État anxieux. État anxieux. État anxieux dépressif, sous traitement Syndrome de stress post-traumatique, sous traitement État anxieux le 25.02.2019. État anxieux réactionnel (cf contexte familial et séquelles neurologiques actuelles) État anxieux sous Escitalopram et Risperdal État anxio-dépressif État anxio-dépressif. État anxio-dépressif avec trouble de la personnalité et du comportement connu de longue date : • Suivi hebdomadaire par le Dr. X • Idéations suicidaires le 25.02.2016 • Tentamen par veino-section le 14.12.2014 État anxio-dépressif avec troubles du comportement alimentaire. État anxio-dépressif chronique : • Aggravation durant l'hospitalisation avec idées suicidaires scénarisées État anxio-dépressif chronique : • Aggravation durant l'hospitalisation avec idées suicidaires scénarisées État anxio-dépressif connu État anxio-dépressif Coronaropathie ischémique monotronculaire avec : • Status post PTCA/stent en 2006 (Inselspital Bern) • Status post 3 DES dans la coronaire droite en juillet 2016Status post stent au niveau de l'artère circonflexe proximale 2017 (HFR Fribourg) HTA non décompensée Sténose de l'aorte abdominale (max 1.7 cm): • Souffle vasculaire à l'auscultation abdominale avec point maximum au niveau de l'artère iliaque D • Ultrason abdominal le 22.02.2017: variations significatives du diamètre de l'aorte abdominale par athérosclérose sévère, diamètre maximal du vaisseau dans la section sous-rénale de 1.7 cm. Insuffisance veineuse bilatérale avec varices multiples des 2 MI, en particulier en région poplitée et chevilles D et G. Troubles du sommeil Carence en vitamine D, substituée Polyarthrose Coxalgies et gonalgies progressives bilatérales depuis mai 2017 (DD arthrose) Etat anxio-dépressif le 15.02.19 • DD: trouble de la personnalité. Etat anxio-dépressif réactionnel le 20.08.2018 avec hospitalisation à Marsens. Etat anxio-dépressif traité Etat anxio-dépressif traité. Suspicion de réaction allergique cutanée à la Rocéphine ou au Métronidazole, le 02.11.2018. Douleurs de l'épaule et douleurs lombaires chroniques. Prolapsus utérin. Etat anxio-dépressif traité. Tabagisme actif. Etat anxiodépressif. Hypercholestérolémie traitée. Hypertension artérielle traitée. Hyperplasie myofibro-glandulaire de la prostate. Antécédent d'épilepsie traitée par Keppra. Etat anxio-dépressif Hypertension artérielle Maladie coronarienne tritronculaire avec: • STEMI antérieur le 26.11.2012 avec sténose IVA moyenne 70-90%, sténose CX moyenne 50-70%, 2 DES sur IVA, 2 DES sur la CX le 13.12.2012 (fecit Dr. X) et 1 DES sur RVP le 11.02.2013 (fecit Dr. X) • Coronarographie du 23.08.2013 (Dr. X): FEVG à 62%, absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. Resténose intermédiaire de la seconde diagonale au niveau du site d'implantation du stent actif. Absence de resténose significative de l'artère circonflexe moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif • Coronarographie du 13.12.2016: maladie coronarienne tritronculaire: excellent résultat à long terme après PCI Stent de l'artère interventriculaire antérieure proximale, moyenne et distale Maladie coronarienne bitronculaire avec composante de Prinzmetal • excellent résultat à long terme après PCI IVA • excellent résultat à long terme après PCI CX/1ère marginale • lésion intermédiaire (50%) et inchangée IVP • composante vaso-spastique prédominante • bonne fonction VG systolique Echocardiographie le 03.01.2018 Etat anxio-dépressif Status après embolie pulmonaire centrale et périphérique, sous anticoagulation par Sintrom depuis mai 2014 SAS appareillé HTA traitée Ectasie aortique + sclérose valvulaire Anémie normochrome normocytaire chronique Etat après fracture intra-articulaire phalange distale D 1 droite, 15.11.2011 Statut post mastectomie 2006 Statut post appendicectomie Statut post chirurgie hernie inguinale droite Fracture tête huméral gauche le 01.04.2018 Possible malaise avec perte de connaissance probablement vagal sur douleur le 08.03.2018 Etat après transplantation rénale au CHUV Status changement de PTH D par voie transfémorale pour une fracture périprothétique multifragmentaire du fémur proximal D le 08.06.2018. Arthrose fémoro-patellaire à G. Status post PTH D en 2009 à la clinique Générale. Etat comateux, le 12.02.2019 • Encéphalopathie hépatique • Contexte septique • Mr. Y amené en trouble de l'état de conscience Glasgow 4 Etat comateux le 22.02.2019 avec: • Glasgow à 6/15, fluctuant • état fébrile à 38,1°C • tremblements de la main droite intermittents. • DD épilepsie, encéphalopathie. Etat confusionnel multifactoriel • Facteur prédisposant: âge, cancer • Facteur précipitant: dyselectrolytique, infectieux, déshydratation Etat confusionnel. Etat confusionnel aigu Etat confusionnel aigu. Etat confusionnel aigu chez un patient déjà connu pour des troubles cognitifs Etat confusionnel aigu à la remontée des soins intensifs, le 15.02.2019 • avec délire de persécution et paranoïa DD: PTSD post IOT pendant 8 jours, sevrage OH et médicamenteux (arrêt prolongé des neuroleptiques) Etat confusionnel aigu avec chute à domicile sans traumatisme crânien, d'origine indéterminée, DD: sur surdosage de Cefepime. Etat confusionnel aigu avec chute simple sur inadvertance sans TC ni PC le 02.02.2019 • dans le contexte infectieux • troubles cognitifs sous-jacents probables Etat confusionnel aigu avec inversion du rythme circadien le 05.02.2019 • probablement sur sevrage OH selon hétéroanamnèse Etat confusionnel aigu avec réveil pathologique le 11.02.2019 DD: encéphalopathie septique, maladie critique, sevrage éthylique Etat confusionnel aigu chez un patient VIH non traité depuis 2015 sur DD encéphalite virale, encéphalite à cryptococcose, encéphalite à HIV, ... DD décompensation psychiatrique, sur utilisation de cannabis Etat confusionnel aigu dans le contexte de: • Décompensation hépatique. • Encéphalopathie hépatique. • Décompensation ascitique. Etat confusionnel aigu dans un contexte infectieux : • Diagnostic différentiel : globe vésical Etat confusionnel aigu, DD foyer infectieux, DD hyponatrémie, DD iatrogène sur Pregabaline et/ou Cymbalta Etat confusionnel aigu de type hypoactif Etat confusionnel aigu d'origine indéterminée, le 17/01/2019 DD: démence débutante. Etat confusionnel aigu d'origine indéterminée le 19.11.2017 sur consommation d'alcool, état post-critique. Probable traumatisme crânien avec deux épisodes de crises convulsives le 07.09.2017. Insuffisance respiratoire aiguë partielle le 22.07.2017: • sur exacerbation broncho-pneumopathie chronique obstructive de stade GOLD II et crise d'angoisse • possible composante d'insuffisance cardiaque. Insuffisance cardiaque avec dysfonction systolique et diastolique sévère du ventricule gauche sur cardiopathie ischémique. Hyponatrémie hypoosmolaire chronique à 120 mmol/l de nature indéterminée avec normalisation le 28.07.2017, probablement sur SIADH connu (alcool ?) ou insuffisance cardiaque. Hyponatrémie hypo-osmolaire chronique à 114 mmol/l connue sur potomanie avec osmolalité à 243 mosmol/kg (date x). Hypokaliémie à 3.4 mmol/l, normalisée le 23.07.2017. Anémie macrocytaire normochrome hyporégénérative le 28.07.2017. Épaississement pariétal circonférentiel de l'œsophage moyen, vu au CT du 24.07.2017. Crises épileptiques tonico-cloniques probablement sur sevrage de benzodiazépines le 12.04.2016. Fausse route avec toux et cyanose le 13.01.2016. Crise épileptique tonico-clonique le 23.10.2015, sur mauvaise compliance médicamenteuse. Crises convulsives tonico-cloniques probablement d'origine épileptique le 21.05.2015. Cholécystectomie laparoscopique et cholangiographie intra-opératoire le 18.02.2015 sur hémopéritoine et cholépéritoine sur rupture vésiculaire. Angioedème le 11.02.2015 sur prise alimentaire (tofu) ou médicamenteux. Hyponatrémie hypoosmolaire chronique à 125µmol/l le 11.02.2015 sur probable SIADH. Syndrome de dépendance à l'alcool jusqu'en mai 2014: • multiples tentatives de sevrage en milieu psychiatrique. Intoxication médicamenteuse aux benzodiazépines (Oxazépam) avec transfert à Marsens en mode de placement à des fins d'assistance. Accident vasculo-cérébral thalamique en 2003 avec légère ataxie séquellaire. Troubles du comportement dans un contexte de démence connue avec : • agressivité verbale • non compliance au traitement médicamenteux • attitude oppositionnelle. Anémie normocytaire normochrome avec hémoglobine à 89 g/l sur carence en acide folique • ferritine 199 U/l • vitamine B12 546 pg/ml • acide folique 1.7 ng/l Etat confusionnel aigu d'origine indéterminée le 23.02.2019 • Hémianopsie droite, désorientation temporelle fluctuante • DD : PRESS dans contexte pic hypertensif, AVC Etat confusionnel aigu d'origine multifactorielle avec : • hypocalcémie sévère, hyponatrémie sévère • syndrome inflammatoire • hypoxémie • Inversion du cycle nycthéméral à domicile avec fatigue diurne et déambulation nocturne. Etat confusionnel aigu d'origine multifactorielle avec : • troubles électrolytiques sévères • syndrome inflammatoire • hypoxémie sévère • bas débit cardiaque Etat confusionnel aigu d'origine peu claire • avec hémianopsie droite Etat confusionnel aigu en août 2017 sur pneumonie au décours d'origine médicamenteuse. Hernie épigastrique opérée en juin 2017. Hématémèse d'origine indéterminée. Etat confusionnel aigu et agitation psychomotrice dans le contexte infectieux. Etat confusionnel aigu et hallucinations visuelles. Etat confusionnel aigu et trouble de l'état de conscience le 04.02.2019 • DD : contexte de sevrage alcoolique, maladie aiguë infectieuse, oncologique, troubles électrolytiques, troubles cognitifs débutants Etat confusionnel aigu fluctuante depuis la veille au soir après la prise de Temesta. Etat confusionnel aigu hyperactif d'origine multifactorielle le 07.02.2019 • Contexte de troubles cognitifs sur démence débutante • DD : fracture, état infectieux récent, AVC sub-aigu Etat confusionnel aigu hyperactif du 31.01 au 07.02.2019 Etat confusionnel aigu hyperactif le 13.02.2019 DD : syndrome de sevrage à la morphine, effet indésirable du Tamiflu Etat confusionnel aigu hyperactif le 27.01.2019 Etat confusionnel aigu hyperactif le 31.01.2019 Etat confusionnel aigu hypoactif : • Diagnostics différentiels : • Déshydratation • Infection : pulmonaire, urinaire • Hypernatrémie Etat confusionnel aigu hypoactif en décembre 2018. Insuffisance hépato-cellulaire sur probable foie de stase le 21.12.2018 • facteur V : 46% • US abdominal le 19.12.2018 : foie de morphologie et d'échostructure normale, sans lésions focale visible. Tronc porte perméable, de flux hépatopète • Ammonium dans la norme le 21.12.2018 : 17 umol/l. Multiples chutes avec TC sans PC dans contexte d'anticoagulation par Xarelto les derniers jours • chute mécanique sur faiblesse des membres inférieurs pendant la nuit • hématome péri-orbital gauche • contusion costales gauche • CT-Scan cérébral natif du 19.12.2018 : pas de saignements, pas d'hématome sous-dural, pas de fractures. Epistaxis majeure en juin 2018 sous aspirine et Xarelto. Hystérectomie totale. Amygdalectomie dans l'enfance. Appendicectomie dans l'enfance. Etat confusionnel aigu intermittent d'origine indéterminée le 21.02.2019 DD : encéphalopathie hépatique, infection, trouble cognitif Etat confusionnel aigu le 05.01.2019 Etat confusionnel aigu le 07.12.2018 • Sur constipation probable Etat confusionnel aigu le 09.02.2019 • DD : AVC, état infectieux Etat confusionnel aigu le 10.02.2019 d'origine mixte, médicamenteuse et progression tumorale Etat confusionnel aigu le 14.01.2019. Etat confusionnel aigu le 18.01.19 • dans contexte de TCC sévère, séjour aux soins intensifs • chez un patient connu pour une démence type Alzheimer Etat confusionnel aigu le 19.01.2019 avec agitation nocturne dans la nuit du 24 au 25.01.2019 • DD : démence débutante, délirium des soins, réaction paradoxale aux benzodiazépines peu probable. Etat confusionnel aigu le 26.02.2019 DD contexte infectieux, démence sous-jacente Etat confusionnel aigu le 27.04.2017, d'origine indéterminée : • Tests cognitifs du 02.05.2017 : MMS à 24/30, test de la montre impossible, GDS à 5/15 • IRM cérébrale le 27.04.2017 : normale pour l'âge • Sérologie EBV, syphilis le 05.05.2017 : négatifs • Anticorps anti-neuronaux et anti-onco neuronaux LCR le 05.05.2017 : négatifs • PCR LCR le 05.05.2017 : HSV 1 et 2, VZV négatifs • Traitement par Solumedrol du 05.05.2017 au 09.05.2017 • Électroencéphalogramme le 08.05.2017 Etat fébrile d'origine peu claire le 04.05.2017 : • Hémoculture et urotube le 04.05.2017 : stériles Suspicion de candidose oropharyngée le 03.04.2017 : • Fluconazole 10 mg du 05.05.2017 ; à noter que la patiente refuse une gastroscopie Epanchement pleural à gauche le 03.05.2017 Insuffisance hypophysaire partielle d'origine médicamenteuse (secondaire à l'immunothérapie) • Insuffisance de l'axe corticotrope • Insuffisance de l'axe gonadotrope • Axe thyréotrope actuellement fonctionnel mais à réévaluer ultérieurement • Axe somatotrope en cours d'investigation ACTH : inférieure à 2 ng/l (N : 9-50) Cortisol basal : 45 nmol/l Oestradiol inférieur à 18 FSH à 32.4 U/l LH à 23.8 U/l TSH 4.250 mU/l Substitution par hydrocortisone Hyponatrémie hypoosmolaire sévère à 116 mmol/l symptomatique, d'installation rapide (sodium à 13 mmol/l le 11.05.2017) sur : • Insuffisance cortico-surrénalienne d'origine centrale (cf diagnostic principal), le 19.05.2017 Traitement anti-émétique Substitution par hydrocortisone Perfusion de NaCl isotonique Hypokaliémie légère (3.3 mmol/l) sur : • Hypomagnésémie (0.53 mmol/l) • Possible effet secondaire du traitement IPP Substitution en potassium et magnésium Bactériurie asymptomatique à Citrobacter koseri 10E6, le 22.05.2017 Pas de traitement spécifique car asymptomatique mais sensible à l'Augmentin administré pour la pneumonie Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec risque de chutes sur : • Polymédication et traitement oncologique récent • Etat confusionnel aigu récent • Hospitalisation prolongée • Hyponatrémie • Anémie • Hypothyroïdie • Contexte infectieux (pneumonie) • Malnutrition Bilan vitaminique Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Adénocarcinome du lobe supérieur gauche du poumon ypT1a(0.2 cm) ypN0 (0/20) cM0 L0 V0 Pn0 R0, de stade initial cT1b cN2 (4 L) cM0, Stade IIIA Etat confusionnel aigu le 28.01.2018 avec : • Délire de persécution mal défini dans un contexte de conflit familial pour héritage • Troubles mnésiques et organisationnels (MOCA, MMS irréalisables) DD : trouble anxio-dépressif, démence vasculaire, atteinte auto-immune Etat confusionnel aigu le 30.01.2019 • DD : encéphalopathie toxique (urémique, hépatique) Etat confusionnel aigu probablement sur déshydratation dans un contexte de diarrhées le 21.01.2018. Insuffisance respiratoire partielle le 02.02.2017. Infection urinaire basse le 24.02.2013. Crise hypertensive le 05.12.2013. Gastrite d'origine indéterminée le 06.12.2013. Constipation et déshydratation en avril 2011. Tuberculose pulmonaire traitée en 1955. Calcifications pleurales sur ancienne tuberculose le 24.02.2013. Etat confusionnel aigu • Réveil pathologique le 08.02.2019 • Délirium le 15.02.2019 Etat confusionnel aigu sévère sur probable épilepsie partielle frontale le 16.02.2019 • DD : composante médicamenteuse sur phénytoïne, AVC non retenu • plusieurs phases de désinhibition et agressivité Etat confusionnel aigu sur : • Etat infectieux • Globe vésical • Dans un contexte de troubles cognitifs sévères Etat confusionnel aigu sur : • Hyponatrémie à 130 mmol/l • Déshydratation clinique Etat confusionnel aigu sur : • Globe urinaire d'un litre • Constipation Etat confusionnel aigu sur décompensation psychotique le 22.02.2019 • dans contexte de schizophrénie paranoïaque sur arrêt de traitement. État confusionnel aigu sur démence connue avec : • refus du CT et des transfusions. État confusionnel aigu sur fécalome et prise de benzodiazépines le 12.02.2019. Urines. Laboratoire. Freka Clyss. Retour à domicile avec Dafalgan et Movicol, conseil de s'hydrater et d'éviter de prendre du Stilnox. Mme. Y sera revue en orthopédie pour le suivi de la fracture du poignet droit. État confusionnel aigu sur grippe à Influenza A avec état fébrile ce jour à 39°C le 12.02.2019. État confusionnel aigu sur infection chez une patiente connue pour des troubles cognitifs. État confusionnel aigu sur pneumonie basale gauche le 22.01.2019. • CURB65=2 État confusionnel aigu sur prise d'Oxycontin. État confusionnel aigu type delirium hypoactif le 03.02.2019. • CAM-ICU positif État confusionnel aigu hyperactif sur infection urinaire basse le 26.01.2019. État confusionnel avec agitation. État confusionnel avec agitation, dans un contexte de trouble cognitif léger en raison de métastases cérébrales DD post-radiothérapie. • CT cérébral 11.01.2018 et avis Dr. X : montre une régression des métastases. Il n'y a pas de cause actuellement expliquant le changement de comportement. Une encéphalite post-radiothérapie se présenterait des mois-années après la radiothérapie. Réduction lentement du Dexamethasone à 2 mg. • Dr. X (Psychiatrie) : DD de l'état confusionnel : post-radiothérapie (dernière radiation 08.01.2019), épilepsie temporale (métastase, nécrose, saignement, ...). Proposition de 3x1 mg Haldol fixe avec une augmentation possible jusqu'à 3x2 mg tant que le QT est OK, en dernier recours ampoule iv haldol. Prophylaxie de crise épileptique avec 3x5 mg Diazepam. Si trouble du comportement non contrôlable (danger d'autrui), éventuellement transfert sur Marsens. • Consilium neurologique du 21.01.2019 : Troubles du comportement dans le contexte post-radiothérapie, d'origine possiblement médicamenteuse surajoutée chez un patient traité par Dexaméthasone pour des métastases cérébrales d'un carcinome pulmonaire à petites cellules. L'EEG effectué ce jour ne montre pas de foyer épileptique. Nous ne proposons pas de traitement antiépileptique dans ce contexte, l'anamnèse n'étant pas évocatrice d'une crise. Cependant nous recommandons un suivi de l'évolution des métastases intracérébrales par une IRM cérébrale. • Consilium psychiatrique Dr. X 22.01.19 : symptomatique de délire passager, régressif sous Haldol et Valium. Trouble cognitif type MILD COGNITIVE IMPAIRMENT (sans atteinte des AVQ) ou en lien avec les métastases ou DD Alzheimer en lien avec les lésions visibles au CT du 18.01.2019 des gyri cinguli et hippocampales des deux côtés. Procédure : causes probables de la confusion sur radiothérapie ou sur métastase. La dose de Dexamethasone est faible et ne peut pas être la cause d'un trouble psychotique. Poursuite de l'Haldol avec diminution à 0.5-0.5-0.5-0 mg, puis par la suite diminution progressive de 0,5 mg sur 10-15 jours. Continuer le Valium puis dans un 2e temps diminuer gentiment. État confusionnel chronique avec désorientation spatio-temporelle et hallucinations visuelles occasionnelles en régression : • dans le cadre du diagnostic principal • possible composante épileptique résiduelle (EEG du 05.03.2018 avec caractère irritatif fronto-central droit) État confusionnel dans le contexte d'une chute probablement d'origine mécanique le 05.03.2018. • MMS 28/30 et GDS 2/15 le 07.03.2018 • CT cérébral sans particularité • Déficit léger en Vitamine B12 Déficit en acide folique léger (3.6 ng/L le 07.03.2018). Déficit en vitamine B12 (185 pg/L le 07.03.2018). Ostéosynthèse malléole externe gauche pour fracture (2005). Appendicectomie dans l'enfance. État confusionnel en péjoration. État confusionnel en péjoration évoluant depuis fin 09/18. • DD progression tumorale avec carcinose méningée probable, post-radiothérapie, paranéplasique, effet secondaire de la chimiothérapie et sur intoxication Lithium (majoré au mois d'août) et épileptique au début des symptômes en 09/18. État confusionnel fluctuant sur démence progressive depuis 3 ans. • accès d'agressivité fluctuante. État confusionnel hypoactif le 18.01.2019. • désorientation temporelle et spatiale fluctuante, somnolence • régression partielle dès le 28.01.2019. État confusionnel hypoactif sur infection pulmonaire le 13.02.2019. • Glasgow à 13/15 le 13.02.2019 • chez une patiente connue pour une démence mixte sévère. État confusionnel intermittent. État confusionnel mixte dès le 24.01.2019 probablement sur métastases cérébrales. État confusionnel mixte le 11.02.2019. État confusionnel mixte manifeste dès le 24.01.2019. • DD péjoration des troubles cognitifs connus, composante de surdosage en opiacés. État confusionnel nocturne. État confusionnel nocturne le 03.01.2019 et le 06.02.2019. • Mélatonine le soir depuis le 13.01.2019. État d'agitation aigu, le 19.02.2019. • contexte de démence à Corps de Lewy. État de choc émotionnel. État de choc vasoplégique d'origine septique (broncho-aspiration à gauche) et médicamenteuse (accumulation d'anti-HTA) le 06.02.2019. • Contexte de CPI avec FEVG 35 %. État de choc vasoplégique d'origine septique et médicamenteuse le 06.02.2019 avec : • bronchopneumonie gauche sur probable broncho-aspiration • probable accumulation d'anti-HTA. État de mal épileptique focal le 21.08.2018. • patiente connue pour une épilepsie structurelle dans le cadre de la neurofibromatose de type 2. • EEG le 13.11.18 : tracé ne montre pas de crise électrique ni d'élément clairement épileptiforme, pas de changement du traitement antiépileptique indiqué. État de mal épileptique focal secondaire au glioblastome le 17.01.2019. • symptomatologie : aphasie, vomissements, vertiges, ataxie droite, diminution force et sensibilité MSD. Opération du tunnel carpien droit en 2000 et 2015. Maladie de Dupuytren à droite. Colonne lombaire étroite et hernie discale L3-L4. État de mal épileptique le 04.02.2019. État de mal épileptique le 04.02.2019. État de mal épileptique le 04.02.2019. État de mal épileptique le 04.02.2019. État de mal épileptique le 04.02.2019. • Glasgow à 3. État de mal épileptique le 13.01.2019 sur probable lésion limbique. • DD : tumeur gliale de bas grade, encéphalite limbique d'origine indéterminée. • Cause infectieuse, auto-immune et paranéoplasique exclue. État de mal épileptique le 29.01.2019, probablement sur cicatrices d'hémorragies cérébrales. • S/p AVC hémorragique avec lésions séquellaires occipitale droite et cérébelleuse gauche en 1999. État de mal épileptique partiel avec des mouvements tonico-cloniques du membre inférieur gauche le 04.10.2018. • dans un contexte d'hémorragie intraparenchymateuse pariétale droite le 21.08.2018 d'origine indéterminée. • NIHSS 1 (ataxie talon-genou gauche). Hémorragie intraparenchymateuse pariétale droite le 21.08.2018 d'origine indéterminée. • Clinique à l'entrée en neuroréhabilitation : hémisyndrome moteur facio-brachio-crural gauche, ataxie cinétique gauche, ataxie proprioceptive gauche. • DD : angiopathie amyloïde, microangiopathie hypertensive, malformation vasculaire, métastase. • Neuroréhabilitation intensive. Crise partielle motrice dans le contexte de l'hémorragie intraparenchymateuse le 21.08.2018, récidive le 01.09.2018. • EEG le 23.08.2018 : activité cérébrale sans particularité. • EEG le 03.09.2018 : tracé discrètement pathologique avec présence d'un foyer lent intermittent hémisphérique droit. • Levetiracetam 1000 mg 2x/jour dès le 21.08.2018, majoré à 1250 mg 2x/jour dès le 01.09.2018 suite à une crise. Tako-tsubo secondaire à l'hémorragie intra-cérébrale le 21.08.2018. • Aspirine et coronarographie contre-indiqués. • Lisinopril remplacé par Amlodipine en raison d'un angioedème de la langue le 01.09.2018. Douleur base du pouce droit à la mobilisation, DD: rhizarthrose, tendinite de Quervain. Nodules tumoraux sein droit, 30 séances de radiothérapie en 2013. Etat de mal épileptique sur séquelle d'un ancien AVC DD: AVC subaigu surajouté. Etat de stress post-traumatique suite à un accident de train le 04.09.2018. Etat dépressif. Etat dépressif aigu avec idéations suicidaires. Etat dépressif avec composante psychotique Alcoolisme chronique Epilepsie généralisée (neurologue traitant Dr. X) HTA traitée. Etat dépressif avec crises d'angoisse le 08.02.2019. Etat dépressif chronique dans un contexte de violence conjugale. Violences conjugales répétées. Etat dépressif chronique et trouble du sommeil. Etat dépressif chronique. Fracture déplacée de l'épiphyse distale du radius droit. Etat dépressif dans le cadre d'un trouble affectif bipolaire avec risque suicidaire et transfert au RFSM de Marsens en octobre 2011. Tentamen médicamenteux en 2012. Intoxication médicamenteuse volontaire, le 23.12.2014. TVP poplitée jambière du MID en 2009. Lithiase rénale en 2006. 7 interventions au niveau de la jambe D. Ablation d'un kyste au cou du côté G. Céphalées sur hypotension licorale (contexte postopératoire le 08.01.2016) • parésie du nerf VI bilatérale. Probable œdème laryngé postopératoire sur décubitus ventral le 08.01.2016. Otite moyenne aiguë G avec suspicion de perforation du tympan le 29.05.2016. Traumatisme crânio-cérébral le 16.12.2017. Instabilité des vis de spondylodèse sur statut post-décompression et adhésiolyse L5-S1 G ainsi que suture de la dure-mère, discectomie et mise en place d'une cage TLIF Juliet 8 mm/4° (Spineart) par la G avec BGel et spondylodèse L5-S1 avec vis Romeo 6.0 x 50/45 (Spineart) ainsi que BGel et os en postéro-latéral le 08.01.2016 pour une discopathie L5-S1 avec ostéochondrose Modic II. • Décompression par hémi-laminectomie L5 G et ablation du fragment herniaire le 06.02.2015 pour une hernie discale L5-S1 avec gros fragment luxé vers le haut déficitaire à M3 au niveau du releveur du pied G. Ablation système de spondylodèse L5-S1 (OP le 22.01.2018). Coprostase d'origine multifactorielle : consommation opioïdes PO, consommation THC chronique. Etat dépressif dans un contexte de séparation conjugale difficile sans idée suicidaire le 30.07.2016. Parésie de la corde vocale gauche dans le contexte d'une thyroïdectomie totale bilatérale le 18.01.2017. Petit goitre nodulaire bilatéral avec: • nodule symptomatique lobe droit. • status post-ponction en mars 2016 (cytologie de type III selon Bethesda). • status post-2 autres ponctions préalables avec pauvreté cellulaire. • présence de douleurs à la déglutition. • status post-douleurs rétro-auriculaires en janvier 2014. Thyroïdectomie totale bilatérale avec neuromonitoring du nerf récurrent ddc le 18.01.2017. Histopathologie P663.17 : Tumeur thyroïdienne vésiculaire non-invasive avec noyaux de type papillaire de lobe droit de la thyroïde, adénome vésiculaire du lobe gauche de la thyroïde, deux petits ganglions lymphatiques sans tissu néoplasique ni lésion histologique significative. Etat dépressif décompensé avec idéations suicidaires, dans un contexte de grossesse à 30 semaines. Etat dépressif depuis octobre 2011. Etat dépressif en traitement. Rotule tripartite droite. Etat dépressif et statut post-burn out traités par Hyperplan (millepertuis), suivi psychiatrique. Etat dépressif. Hypertension artérielle. OH chronique. Hospitalisation à Marsens pour sevrage. Etat dépressif majeur avec idéation suicidaire objectivée le 19.02.2019. Etat dépressif moyen à sévère. Etat dépressif sévère avec idées suicidaires. Etat dépressif sévère le 25.02.2019. Etat dépressif sous traitement. Etat dépressif sous traitement par Cymbalta, actuellement en suspens. Etat dépressif sous traitement par Risperidon et Citalopram Constipation chronique. Etat dépressif traité. Etat dépressif traité par Anafranil. Etat dépressif traité par Prozac, Seroquel, Noctamid. Patiente sous IPP depuis plusieurs années. Bronchite chronique. Côlon irritable. Etat dépressif. Augmentation des tests biliaires d'origine indéterminée. Status post CCK en 2004 et status post pancréatite aiguë idiopathique en 2009. Etat dépressif. Dyspepsie. Etat dépressif. Psoriasis. Etat dépressif. Troubles du sommeil. Patiente polyallergique, cf. allergie. Etat dissociatif avec somatisation et réfoulement mnésique sur choc émotionnel le soir du 03.02.2019 : • réactif à l'annonce de rupture de couple de son partenaire et père de son enfant. • tachypnée à l'arrivée, asthénie généralisée de force M4, voix éteinte, sans dysarthrie. • fourmillements survenant en vague intéressant tout le membre supérieur gauche depuis l'épaule jusqu'aux doigts. • céphalées atypiques non pulsatiles survenant en vague, limitées à la ligne médiane frontale. • trouble de mémoire rétrograde par rapport à l'annonce de rupture de couple (était en pleurs selon les parents). • status post état anxieux avec notion de somatisation prolongée à l'âge de 12 ans. • résolution complète des symptômes après Dormicum 0,5 mg iv avec un statut neurologique et mnésique dans la norme. Etat donné le rdv le 19.02 ac l'AEMO et le 20.02 avec le psychologue scolaire et l'absence de risque suicidaire ou auto-agressif, Mr. Y peut rentrer à la maison. Il s'engage à aller à l'école le lendemain. La maman l'accompagnera à l'école. La maman appellera à nouveau le 19.02 dans le but de trouver un pédopsy qui suive son fils à long terme en dehors de l'école. Etat fébril. Etat fébril. Etat fébril. Etat fébril et hématurie. Etat fébril le 17.02.2019 d'origine indéterminée. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. Etat fébrile. état fébrile. état fébrile. état fébrile. état fébrile. état fébrile.Etat fébrile à point de départ indéterminée, dans le contexte de LMA avec neutropénie le 13.11.18: • DD foyer pulmonaire basal droit, fièvre tumorale • Agranulocytose le 08.11.18 à 0.39G/L Laboratoire: neutrophiles 0.75G/L, CRP 40 ng/L Urines: propres Hémocultures du 13.11 au 16.11.2018 : négatives à jours Culture d'expectorations le 15.11.2018 : flore buccale Antigènes urinaires à Légionnelle et Pneumocoque : négatifs Radiographie du thorax 13.11.18 Agranulocytose du 17.11 au 18.11.18 Neupogen 30mioU 1x/j les: 13-14, 16, 17-19, 21-25.11.2018 Cefepime 2g 1x/j iv du 12.11.18 au 16.11.18 Levofloxacine 500mg 1x/j du 17.11 au 21.11.18 (6j) Noxafil 300mg du 09.11 au 14.11.2018; du 17.11.18 au 22.11.18 Décompensation cardiaque à prédominance gauche le 16.11.18, avec: • Cardiopathie ischémique avec status post-infarctus inférieur en 2007 stenté • ETT 17.09.18 (Dr. X): FEVG 54%. Insuffisance mitrale modérée voire sévère (grade 2-3/3) secondaire, insuffisance aortique minime (grade 1/3), dysfonction diastolique modérée (grade II). Radiographie du thorax 19.11.18: péjoration de la redistribution vasculaire en comparaison avec la radiographie du 13.11.18 Status post-décompensation cardiaque gauche 09/2018 Bilan cognitif MMS 27.09.2018: 28/30 Test de l'horloge 27.09.2018: 8/10 Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë le 12.09.2018 • DD: contexte BPCO non investiguée, décompensation cardiaque gauche légère, infiltration paranéoplasique sur LMA Thrombose distale musculo-péronière gauche le 12.09.2018 sur phénomène de Trousseau • Consilium angiologique avec US (Dr. X) : TVP distale gauche. Ad anticoagulation à dose thérapeutique pendant au moins 3 mois. Chute avec TC non compliquée le 21.09.2018 avec hématome sous-galéal pariéto-occipital droit Traumatisme crânio-cérébral léger sur chute de sa hauteur le 01.11.2018 Fracture rotule gauche sur chute le 01.11.2018 CT genou gauche: fracture comminutive non déplacée Suivie par Dr. X, traitement conservateur, prochain contrôle en janvier 2019 Pneumonie TVP MIG en 2007 Appendicectomie Cholécystectomie Amygdalectomie Pneumonie basale droite le 04.03.2012 Etat fébrile à 37.9 C°, probablement d'origine virale le 07.02.2019 Etat fébrile à 38.2° d'origine indéterminée le 26.02.2019 : • Spontanément résolutif Etat fébrile à 38.2°C le 11.02.2019 Etat fébrile à 38.5°C d'origine indéterminée le 27.01.2018. Etat fébrile à 38.6° d'origine indéterminée le 02.02.2019 • DD : infection urinaire compliquée, péritonite bactérienne spontanée Etat fébrile à 39.4°C avec frissons le 02.02.2019 : • DD : surinfection bactérienne sur status post-extraction de 2 dents de sagesse à droite avec trismus en augmentation • DD : syndrome grippal avec bronchite nouvelle. Etat fébrile à 40.1°C avec désaturation à 74% le 16.02.2019 d'origine indéterminée. Etat fébrile avec diarrhées et vomissements. Etat fébrile avec odynophagie. Etat fébrile avec toux sèche. Etat fébrile avec trismus post-extraction de dents de sagesse. Etat fébrile dans un contexte de gastro-entérite aiguë débutante, sans signes de déshydratation Etat fébrile dans un contexte d'IVRS Etat fébrile de probable origine virale. Etat fébrile depuis ce jour. Etat fébrile depuis jeudi, toux avec hémoptysie. Etat fébrile depuis moins de 12 heures, sans foyer actuellement Etat fébrile depuis 5 semaines d'origine indéterminée DD: physiologique, immunologique, infectieux, hémato-oncologique Etat fébrile dès le 12.02.2019 DD : infectieux, oncologique Etat fébrile d'étiologie indéterminée Etat fébrile d'étiologie indéterminée le 17.02.2019. Etat fébrile d'étiologie indéterminée le 17.02.2019 • contexte de probable virose et symptômes d'insuffisance cortico-surrénalienne. Etat fébrile d'origine indéterminée 02.11.2018. Etat fébrile d'origine indéterminée le 09.11.2018, DD cancéreux sur adénocarcinome du pancréas (mais CT stable) vs virose (avec exanthème). Perturbation des tests hépatiques le 09.11.2018, DD dans le contexte oncologique vs para-infectieux. Cholangites à répétition. Plusieurs épisodes fébriles durant les cycles de chimiothérapie par Gemzar. Hystérectomie en 1988. Etat fébrile d'origine indéterminée Etat fébrile d'origine indéterminée Etat fébrile d'origine indéterminée. Etat fébrile d'origine indéterminée : • Diagnostics différentiels : pneumonie sur broncho-aspiration Etat fébrile d'origine indéterminée avec : • Diagnostics différentiels : fièvre paranéoplasique, pneumonie Etat fébrile d'origine indéterminée chez une patiente immunosupprimée le 10.02.2019. Etat fébrile d'origine indéterminée • DD: origine pulmonaire, gastro-entérite Etat fébrile d'origine indéterminée, DD sur lyse myocardique Etat fébrile d'origine indéterminée, hospitalisée en médecine du 09.01 au 23.01.2019 : • DD : tumoral (LMA), médicamenteux, infectieux Décompensation cardiaque à prédominance gauche le 16.11.2018, avec : • Cardiopathie ischémique avec status post-infarctus inférieur en 2007 stenté • ETT 17.09.2018 (Dr. X) : FEVG 54%. Insuffisance mitrale modérée voire sévère (grade 2-3/3) secondaire, insuffisance aortique minime (grade 1/3), dysfonction diastolique modérée (grade II). Radiographie du thorax 19.11.2018 : péjoration de la redistribution vasculaire en comparaison avec la radiographie du 13.11.2018 Décompensation cardiaque gauche 09/2018 Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë le 12.09.2018 DD : contexte BPCO non investiguée, décompensation cardiaque gauche légère, infiltration paranéoplasique sur LMA Thrombose distale musculo-péronière gauche le 12.09.2018 sur phénomène de Trousseau Chute avec TC non compliquée le 21.09.2018 avec hématome sous-galéal pariéto-occipital droit Traumatisme crânio-cérébral léger sur chute de sa hauteur le 01.11.2018 Fracture rotule gauche sur chute le 01.11.2018 CT genou gauche : fracture comminutive non déplacée Suivie par Dr. X, traitement conservateur, prochain contrôle en janvier 2019 Pneumonie TVP MIG en 2007 Appendicectomie Cholécystectomie Amygdalectomie Pneumonie basale droite le 04.03.2012 Trouble anxieux et de l'adaptation Bilan cognitif MMS 27.09.2018 : 28/30 Test de l'horloge 27.09.2018 : 8/10 Etat fébrile d'origine indéterminée, hospitalisée en médecine du 09.01.2019 au 23.01.2019 : DD : tumoral (LMA), médicamenteux, infectieux Décompensation cardiaque à prédominance gauche le 16.11.18, avec : • Cardiopathie ischémique avec status post-infarctus inférieur en 2007 stenté • ETT 17.09.18 (Dr. X) : FEVG 54 %. Insuffisance mitrale modérée à sévère (grade 2-3/3) secondaire, insuffisance aortique minime (grade 1/3), dysfonction diastolique modérée (grade II). Radiographie du thorax 19.11.18 : péjoration de la redistribution vasculaire en comparaison avec la radiographie du 13.11.18 Décompensation cardiaque gauche 09.2018 Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë le 12.09.2018 DD : contexte BPCO non investiguée, décompensation cardiaque gauche légère, infiltration paranéoplasique sur LMA Thrombose distale musculo-péronière gauche le 12.09.2018 sur phénomène de Trousseau Chute avec TC non compliquée le 21.09.2018 avec hématome sous-galéal pariéto-occipital droit Traumatisme crânio-cérébral léger sur chute de sa hauteur le 01.11.2018 Fracture rotule gauche sur chute le 01.11.2018 CT genou gauche : fracture comminutive non déplacée Suivie par Dr. X, traitement conservateur, prochain contrôle en janvier 2019 Pneumonie TVP MIG en 2007 Appendicectomie Cholécystectomie Amygdalectomie Pneumonie basale droite le 04.03.2012 Trouble anxieux et de l'adaptation Bilan cognitif MMS 27.09.2018 : 28/30 Test de l'horloge 27.09.2018 : 8/10 Etat fébrile d'origine indéterminée le 01.12.2018. • dans un contexte de carcinome épidermoïde de la région glotto-sous-glottique gauche cT2 cN0 cM0. • avec chimiothérapie par Cisplatine 200 mg le 23.11.18. Etat fébrile d'origine indéterminée le 06.02.2018 DD : infectieux, syndrome malin des neuroleptiques (pas d'hyperréflexie ni d'hypertonie ou d'autre dysautonomie que les diarrhées) Etat fébrile d'origine indéterminée le 15.01.2019. Etat fébrile d'origine indéterminée le 15.02.2019 DD : bronchite débutante, infection urinaire débutante Etat fébrile d'origine indéterminée le 22.02.2019 • DD sur lyse myocardique Etat fébrile d'origine indéterminée le 27.01.2019 Etat fébrile d'origine indéterminée sous investigations : DD : Virose au décours, infection EBV, SEP, néoplasie centrale. Etat fébrile d'origine indéterminée. DD : syndrome grippal, pneumonie débutante. Etat fébrile d'origine probablement médicamenteuse le 20.04.2018 sous rifabutine avec : • douleur à la palpation hypochondre droite et gauche, détente • test hépatique dans la norme Tendinite des adducteurs de la hanche Boursite infectieuse post traumatique du coude gauche le 10.05.2014 Sinusite frontale dans le cadre d'un syndrome grippal, le 03.01.2014 Contusion genou - lésion méniscale externe Syndrome grippal le 19.10.2017. • chez un patient déjà sous bithérapie antibiotique (Amoxicilline et Clarithromycine) pour une éradication H. Pylori. Etat fébrile d'origine sur probable origine médicamenteuse le 18.12.2017 • sous Co-amoxicilline du 20.12.2017 au 23.12.17 • sous Rocéphine 2 g du 23.12 au 25.12.17 • avec état fébrile à 39 °C et frissons solennels le 22.12.2017 DD : médicamenteux (Imnovid), infection virale, infection bactérienne décapitée, progression tumorale Candidose oropharyngée le 22.12.2017 Fracture-tassement cervicale C3 et C7 • avec présence d'air au niveau disque intervertébral C3-C4 Status post excision de lésion cutanée (DD : basaliome multicentrique) épaule gauche (Dr. X) Infection de la sphère ORL avec bactériémie à S. pneumoniae avec : • sinusite maxillaire gauche le 27.01.2016 • mastoïdite sub-aiguë gauche le 03.02.2016 Méatotomie moyenne, ethmoïdectomie antérieure et turbinoplastie moyenne à gauche le 28.01.2016 (Dr. X, Dr. X) Paracentèse à gauche, mastoïdectomie à gauche et endoscopie nasale bilatérale, le 05.02.2016 (Prof. X, Dr. X) Biopsies et frottis : négatifs Décompensation cardiaque gauche secondaire à la pneumonie, 05.2016 • NT-proBNP à 1714 ng/ml • Fonction cardiaque normale avec FEVG à 70 % en mars 2016 Pancytopénie le 15.05.2016 avec : • Leucopénie à 2.7 G/l • Lymphopénie 0.38 G/l avec CD4 à 0.128 G/L • Anémie macrocytaire hyporégénérative à 119 g/l (absence de carence en février 2016) • Thrombopénie à 69 G/L DD : septique, médicamenteux (Revlimid, Kyprolis), tumorale Pneumopathie infectieuse trilobaire à Para-influenza 3 le 14.05.2016 avec hypoxémie sévère à 50 mmHg, DD : • Infection à germe typique ou atypique • Surinfection de bronchectasies à pseudomonas • Décompensation BPCO (bronches atrophiques à la bronchoscopie) • Mycobactériose atypique • Pneumonie organisante sur Lenalidomide • Infection opportuniste à PCP (pas retenue car prophylaxie par Bactrim bien conduite) Etat fébrile, douleurs sein gauche Etat fébrile, dyspnée. Etat fébrile en post-partum Etat fébrile et céphalées. Etat fébrile et douleurs abdominales Etat fébrile et toux. Etat fébrile et vomissement Etat fébrile, frissons.Etat fébrile isolé, spontanément résolutif Etat fébrile itératif transitoire avec réponse aléatoire aux différents antibiotiques (Céfépime, Méropénem, Vancomycine) dès le 31.01.2019 d'origine indéterminée DD : infectieux sur cathéter (candida?), origine non infectieuse • Chez Mr. Y porteur d'une sonde trans-urétrale à demeure et d'une sonde double J à droite (changée le 11.01.2019) • Changement de la sonde vésicale au service des urgences de l'HFR Tavel le 29.12 et le 30.12.2018 • Changement de la sonde double J le 11.01.2019 avec complication d'une macrohématurie Etat fébrile jusqu'à 39°C DD sur bronchoaspiration, fièvre centrale Etat fébrile le 15.01.2019. Etat fébrile le 25.07.2018 dans le cadre d'une suspicion d'infection urinaire sur sonde • Cefepime et Vanco 27.07-06.08.2018 Suspicion infection urinaire avec état fébrile 39°C 09.2018, changement de la sonde, CRP augmenté, sans leucocytose, asymptomique, Mr. Y anurique, traitement empirique d'antibiotique avec Cefepim 2x/semaine du 21.01 au 30.09 Choc septique avec infection urinaire, bactériémie à E. Coli 03/2018 Pancytopénie sur thérapie myélotoxique le 03/2014 Hernie ombilicale Hernie inguinale D Lyme-Borreliose 1997 TC à l'âge de 8 ans Syndrome inflammatoire d'origine probable urinaire avec un pic fébril post dialyse le 30.01.2019, porteur d'une sonde urinaire Etat fébrile, maux de gorge Etat fébrile per-partum Laboratoire : Leuco 17.9 G/l CRP <5mg/ml Hémoculture : en cours Frottis placentaires : en cours Placenta envoyé en anatomopathologie Zinacef 1.5g 3x/j pour 48h Etat fébrile post-opératoire Etat fébrile post-opératoire sur probable bronchite virale Etat fébrile probablement dans un contexte virale Etat fébrile prolongé dans un contexte probablement virale Etat fébrile, rash Etat fébrile récidivant d'origine indéterminée sous antibiothérapie • DD : fièvre d'origine centrale, pneumonie d'inhalation, surinfection du site opératoire au niveau de l'hématome • Hémocultures négatives, évolution clinique favorable Etat fébrile récidivant sur crise de goutte (cheville droite, coude droit, hallux droit) depuis le 19.01.2019 DD : origine centrale secondaire à l'hématome intra-cérébral Etat fébrile sans foyer Etat fébrile sans foyer clair • DD : gastro-entérite d'origine bactérienne ; virose. Etat fébrile sans foyer clair évoluant depuis 48h DD : gastro-entérite, infection urinaire (mais stix/sédiment négatif) Etat fébrile sans foyer DD : IVRS Nouveau-né 38 2/7SG, PN 3340gr (P 50-90), TN 49cm (P50-90), PCN 34.5cm (P 50-90) Etat fébrile sans foyer, DD : otite moyenne aiguë droite débutante, DD : infection virale des voies respiratoires débutantes Etat fébrile sans foyer, DD : virose au décours Etat fébrile sans foyer franc (DD herpès labial au décours, syndrome grippal, IVRS) Etat fébrile sans foyer sur probable virose Etat fébrile sans foyer DD : grippe, pneumonie débutante, adénite mésentérique Etat fébrile sur IVRS Etat fébrile sur probable foyer urinaire le 18.02.2019 avec : • Etat confusionnel et hétéro-agressivité Etat fébrile sur probable gastro-entérite débutante Etat fébrile sur probable infection urinaire le 27.02.2019 Etat fébrile sur rhinite obstructive chez un nouveau-né de 11 jours Etat fébrile, toux. Etat fébrile toux Etat fébrile (31.01.-04.02.2019) avec • éruption maculo-papulaire diffus avec exanthème palmo-plantar • chéilite avec langue framboisée • DD : viral, scarlatine Etat fébrile DD : OMA D vs Infection urinaire Etat fébrile Tuméfaction du bras droit Etat fébrile. Tuméfaction du bras droit. Etat ferriprive traité par Tardiféron l'année dernière. Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal. Etat grippal : état grippal • angine • otite moyenne droite état grippal avec angine Etat grippal avec bronchite versus bronchopneumonie virale probable légère état grippal avec pétéchie sur effort de toux Etat grippal avec possible surinfection bronchique droite le 23.02.2019. Etat grippal avec probable gastro-entérite débutante. Etat grippal avec vomissements état grippal DD infection virale des voies respiratoires supérieures Etat grippal en cours de résolution avec malaises vaso-vagaux. Etat grippal il y a deux semaines. Etat grippal le 04.02.2019. Etat grippal le 04.02.2019 • avec céphalées inhabituelles concomitantes • sans argument pour méningite, saignement intra-crânien ou thrombose veineuse sinus. Etat grippal le 07.02.2019 Etat grippal le 09.02.2019. Etat grippal, le 12.02.2019. Etat grippal le 23.02.2019. Etat grippal probable Etat grippal subaigu avec toux irritative et écoulement nasal. État grippal. Fracture de la palette humérale supracondylienne. État grippal. Fracture de la palette humérale supracondylienne. Rx du coude. Avis Dr. X orthopédiste. Traitement au bloc opératoire. Suite du suivi par l'orthopédie. Etat infectieux avec suspicion de pneumonie le 17.01.2019 Etat infectieux avec suspicion de pneumonie le 17.01.2019 avec : • Etat confusionnel aigu Etat inflammatoire d'origine indéterminée avec CRP à 150 mg/l sans leucocytose, • DD : récidive de colite, rhumatologique, néoplasique. Etat inflammatoire léger d'origine encore indéterminée • CRP à 64 mg/l • fièvre le 22.02.2019 Etat psychotique aigu. Etat psychotique aigu dans un contexte de dépression, le 18.02.2019. Etat subfébrile à 37,8°C le 24.02.2019 DD infection urinaire • status post infection urinaire traitée par Ciproxine du 11.02.2019 au 18.02.2019 Etat subfébrile DD : infection virale des voies respiratoires supérieures Etat subfébrile d'origine indéterminée le 12.02.2019 • légère toux, pas d'expectoration Etat subfébrile et asthénie depuis le 20.02.2019 avec pic fébrile le 21.02.2019 Laboratoire (21.02.2019) : leucocytose à 12.3 G/L et CRP à 233 mg/L Radiographie du thorax du 21.02.2019 : majoration des infiltrations alvéolo-interstitielles bilatérales, plus marquées aux bases Hémocultures du 21.02.2019 : en cours • Lévofloxacine 500 mg 2x/j dès le 21.02.2019, pour 14j au total Etats fébriles récidivants dès le 25.01.2019 • en premier lieu d'origine tumorale sur nécrose de métastases hépatiques (origine infectieuse raisonnablement exclue) Ethylisation aiguë Ethylisation aiguë Ethylisation aiguë Ethylisation aiguë. Ethylisation aiguë. Ethylisation aiguë. Ethylisation aigue à 1.98/1000 avec troubles de l'état de conscience et mise en danger de ses voies respiratoires Ethylisation aigue à 1.98/1000 avec troubles de l'état de conscience et non protection des voies respiratoires Ethylisation aiguë à 2.2 pour mille dans un contexte d'alcoolisme chronique le 11.02.2019 avec : • Cirrhose Child B d'origine alcoolique. • pancréatite chronique d'origine éthylique. • trouble de la personnalité borderline. Ethylisation aiguë à 3,46 pour mille. Ethylisation aiguë à 4 le 07.02.2019 : • Chez un patient avec un syndrome de dépendance éthylique chronique. • Status post multiples sevrages éthyliques (à la Klinik Meiringen en 02.2017 et du 30.08 au 24.10.2017, et au HFR Tafers du 18 au 22.12.2017). • Suivi psychologique ambulatoire chez le Dr X. Ethylisation aiguë à 4.73 pour mille dans le contexte d'un éthylisme chronique Ethylisation aiguë à 4.73 pour mille dans le contexte d'un éthylisme chronique le 01.02.2019 Ethylisation aiguë à 4.73 pour milles dans le contexte d'un éthylisme chronique Ethylisation aigue en octobre 2016. La patiente a eu une consultation en cardiologie avec le Dr X, avec ergométrie d'effort, il y a quelques années. Ethylisation aiguë le 14.02.2019 avec alcoolémie 2.58 pour 1000 le 14.02.2019. Ethylisation aiguë le 21.02.2019. Ethylisme chronique Ethylisme chronique • Augmentation ASAT et GGT Ethylisme chronique et à risque le 14.07.2019 Ethylisme chronique le 28.01.2019 Ethylisme chronique stoppé depuis 4 ans Résection transurétrale de la prostate en 2005 Pontage aorto-bifémoral en 2006 Thrombendartériectomie et plastie d'une sténose serrée de la bifurcation de la carotide gauche en août 2012 Antécédent de flutter en 2006 Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine pré-rénale sur sepsis le 15.03.2018 Crise de goutte au niveau de l'articulation métatarso-phalangienne du 1er orteil à droite en mars 2018 Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur pneumonie bilatérale le 05.01.2019 Infarctus du myocarde secondaire sur sepsis le 15.03.2018 NSTEMI atypique le 05.01.2019 • troponines positives avec modification à l'ECG • pic de CK à 300 U/I le 05.01.2019 • FEVG à 60 % avec hypokinésie modérée de la paroi postérieure et de la paroi inféro-basale OAP le 06.01.2019 sur probable pic hypertensif Maladie coronarienne tritronculaire avec : PTCA/2x stent actif tronc commun PTCA/1x stent actif IVA prox. Sténose LCX moyenne 90% Sténose ACD moyenne 100% FE du VG normale Ethylisme chronique Tabagisme actif Ethylisme chronique Tabagisme actif (80 UPA) Ethylo-tabagisme chronique Diabète de type 2 non insulino-requérant Goutte Hyperplasie bénigne de la prostate Bulbite et duodénite (gastroscopie 03.2017) Diverticulose sigmoïdienne Ethylo-tabagisme chronique Goutte Diabète de type 2 non insulino-requérant Hyperplasie bénigne de la prostate Bulbite et duodénite (gastroscopie 03.2017) Diverticulose sigmoïdienne BPCO non stadée • Tabagisme actif (60-80 UPA) Ethylotest 1,6. Discussion (patiente/ Dr. X/ Dr. X) : pas de signe d'hétéro-agressivité, pas d'auto-agressivité, pas d'idée suicidaire, alcoolémie ne nécessitant pas de surveillance aux urgences, proposition d'un entretien pédopsychiatrique refusé par la patiente. Retour au foyer la Traversée avec suivi au Torry et suivi psychiatrique ambulatoire. Étirement du vaste latéral du quadriceps gauche. Étirement musculaire épaule droite. ETO le 04.02.2019 à l'HFR Fribourg Contrôle radioclinique à la consultation du Dr. X à l'HFR Fribourg le 12.02.2019 à 09h00 ETO le 27.02.2019 : FEVG 40 %, IM sévère sur rupture de cordage du feuillet postérieur, pas de thrombus intracardiaque Cardioversion électrique réussie à 150 J Anticoagulation thérapeutique du 25.02.2019 au 27.02.2019 ETO le 31.01.2019 : FEVG à 60 % (évaluation visuelle), oreillette gauche discrètement dilatée, sans thrombus visible, absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Héparine thérapeutique du 31.01.2019 au 06.02.2019 Pas de reprise d'anticoagulation thérapeutique ! Une fermeture de l'oreillette semble exagéré devant l'attitude globale. ETO le 31.01.2019 Reprise héparine thérapeutique depuis le 31.01.2019 Discussion de la fermeture auriculaire en cas de récidive de saignement digestif comme discuté en janvier ETT de contrôle dans 1 mois auprès du Dr. X ETT de contrôle dans 1 mois auprès du Dr. X ETT de contrôle est prévue dans 1 mois chez Dr. X à Tafers et une nouvelle coronarographie dans 3 mois. ETT du 01.02.2019 : FEVG 33% stable, pas de signe indirect d'hypertension pulmonaire Majoration Torasemide à 20 mg 2x/j le 01.02.2019 Lasix 50 mg 2x/j iv du 02.02 au 03.02.2019 Lasix 100 mg 2x/j iv du 04.02 au 05.02.2019 Torem 80 mg 1x/j po à partir du 06.02.2019 ETT du 11.01.2019 : FEVG 65%, rétrécissement aortique à 0.7 cm2 Coronarographie du 16.01.2019 : pas de sténose coronarienne Suivi aux 6 mois, réévaluation TAVI selon évolution clinique ETT du 11.02.2018 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une dyskinésie du septum basal et une hypokinésie minime de la paroi septale antérieure moyenne. FEVG à 50 % (méthode de Simpson). Géométrie normale du ventricule gauche. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Insuffisance tricuspide sévère (grade 3/3). Hypertension pulmonaire avec PAPs estimée à 42 mmHg. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. En résumé : L'examen du jour montre une fonction systolique globale du VG légèrement diminuée. Présence de troubles de la cinétique segmentaire. Pas de répercussion hémodynamique sur les cavités droites (pas de dilatation des cavités droites, fonction systolique du VD conservée, pas d'aplatissement du septum inter-ventriculaire, pas de D-shaping). Réévaluer une coronarographie à distance. ETT du 19.02.2019 : Ventricule gauche non dilaté. FEVG à 70 % (évaluation visuelle). Cinétique fine segmentaire on évaluable. Ventricule droit formellement non dilaté mais aplatissement du septum inter-ventriculaire avec D-shaping systolo-diastolique du VG (surcharge en pression). Fonction systolique du ventricule droit normale. PAPs estimée à 32 mmHg, probablement sous-estimée en raison d'absence de fenêtres apicales.Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3). CT Cérébral/thoracique 16.02.2019. Au niveau cérébral, absence de nouvelle lésion ou de saignement intracrânien pouvant expliquer le réveil pathologique, en particulier absence de thrombose du tronc basilaire. Stabilité des anévrismes intracrâniens. Au niveau pulmonaire, augmentation des infiltrats en verre dépoli dans les deux lobes supérieurs ainsi que dans le lobe moyen et apparition de nouvelles lésions excavées du lobe supérieur gauche. Diminution de certains infiltrats particulièrement dans les lobes inférieurs. IRM cérébrale 18.02.2019. En raison des importants artéfacts de susceptibilité magnétique liés au status post-coiling de la pointe basilaire, cet examen ne permet pas d'exclure une lésion ischémique au niveau du pons. Absence d'argument en faveur d'une lésion ischémique aiguë - subaiguë ou hémorragique du parenchyme cérébral. ETT du 28.01.2019 : PAPs 46/15 mmHg. ETT du 18.02 : PAPs à 53/10 mmHg avec dilatation VD, OD et OG. Fonctions pulmonaires complètes le 21.02.2019. Polygraphie nocturne avec capnographie et gazométrie 21-22.02.19 : pathologique avec IAH à 30 et respiration C. Gazométrie : pH 7.47, pCO2 4.9, Bic 27. Capnographie du 21-22.02.19 : sans particularité. Essai CPAP nocturne du 22.02 au 25.02.19 : intolérance à la CPAP (anxiété). Avis pneumologique (Dr. X) : au vu d'une intolérance à la pression positive, ad oxygénothérapie à raison de 1.5-2 L la nuit. Suivi pneumologique ambulatoire (patient sera convoqué). ETT (Inselspital) le 08.02.2019 : FEVG 40 %. ETT 11.02.2019 : FEVG 50 %. ETT 19.02.2019 : FEVG 70 %. Amélioration de la cinétique sous réserve de mauvaise qualité. ETT à distance de l'événement aigu : à prévoir. ETT le 04.01.2019. ETT le 04.02.2019 : troubles de la cinétique segmentaire, FEVG 45 %, test aux bulles négatif. Coronorographie le 06.02.2019. Attitude : • Aspirine 6 mois, Plavix à vie. • Contrôle ETT à 1 mois et ergométrie à 6 mois chez le Dr. X : patient à convoquer. ETT le 06.02.19 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une akinésie du septum antérieur basal. FEVG à 55 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 30 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Commentaire : La fonction systolique globale est normale avec une akinésie du septum antérieur basal. Absence d'épanchement péricardique. Le tableau clinique et les DRS décrites par le patient ne sont pas typiques pour une myo/pericardite mais surviennent à l'effort. Nous proposons d'effectuer une coronarographie à la recherche d'une origine coronarienne de l'IVA (dissection/embolisation/coronaropathie). Coronarographie le 06.02.19 : maladie coronarienne limite de 1 vaisseau sous forme d'une sténose isolée de < 50 % associée à un thrombus intraluminal, traitée par un stenting direct (1 stent actif) avec un bon résultat final. Recherche d'un FOP pour exclure une possible origine embolique paradoxale de l'événement actuel. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie dans 6 mois. ETT le 07.02.2019 : Absence de FOP au test aux microbulles après adéquate Valsalva. Ventricule gauche non dilaté avec une akinésie de la paroi septale antérieure basale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTP. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. ETT le 07.02.2019 : • Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). • Dysfonction diastolique modérée (grade II). • La veine cave inférieure est non dilatée. • Résumé : L'examen du jour montre une bonne fonction systolique globale et segmentaire, stable par rapport au comparatif. ETT le 07.02.2019 : Diminution de la FEVG par rapport à l'écho de stress pré-opératoire du 08.01.2019 avec troubles de la cinétique segmentaire nouveaux dans le territoire de l'IVA, FEVG 45 %. Prévoir coronarographie à distance. ETT le 07.02.2019 : Diminution de la FEVG par rapport à l'ETT de stress pré-opératoire du 08.01.2019 avec troubles de la cinétique segmentaire nouveaux dans le territoire de l'IVA. Coronarographie le 11.02.2019 : indication chirurgicale. Introducteur artériel fémoral gauche dès le 09.02.2019 (laissé en place). Héparine ivc à dose thérapeutique. Angio-CT cérébro-thoracique le 09.02.2019. Mapping veineux des membres inférieurs le 09.02.2019 : veine saphène gauche perméable. ETT le 07.02.2019. Traitements : • Lisinopril, puis Valsartan. • Metoprolol. • Atorvastatine. Attitude : • Consultation Cinacard. • Discussion à distance d'un éventuel pontage aorto-coronarien versus 3ème coronarographie. • ETT de contrôle dans 2-3 semaines à Billens pour évaluation d'un thrombus apical. ETT le 08.02.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile globale normale. En vue apicale (4 cavités), normokinésie des parois latérale et septale, les autres parois ne sont pas évaluables en raison des mauvaises conditions techniques. FEVG à 55 % (estimation visuelle). Hypertrophie concentrique.Aorte discrètement dilatée, avec un diamètre de 42 mm au niveau de l'aorte ascendante. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique par planimétrie à 2.7 cm² (1.28 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 7 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale légèrement remaniée. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Coronarographie le 11.02.2019 : L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne avec une très longue sténose de l'IVA (70%). Les autres segments ne montrent pas de lésions significatives. Après discussion avec Dr. X, j'ai procédé à une dilatation/revascularisation de l'IVA avec 3 stents actifs. Le résultat final est bon. Le cath droit révèle une hypertension pulmonaire plutôt pos-capillaire (gradient moyen transpulm. 9 mmHg). L'aortographie abdominale ne montre pas de sténoses au niveau des artères rénales. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 60 mg loading, après Clopidogrel 75 mg par jour pour 3 mois. Statines. Aspirine 100 mg par jour pour une année minimale. Reste du traitement inchangé. ETT le 14.02.2019 : FEVG 42 %, présence de troubles de la cinétique segmentaire précédemment décrits à la dernière échocardiographie. Présence d'ondes Q pathologiques dans le territoire inférieur à l'ECG. Coronarographie à distance du choc septique (non indiquée au vu du contexte palliatif). ETT le 18.02, 19.02, 21.02 et 22.02 et le 25.02.2019 Coronarographie le 22.02.2019 Efient en suspens jusqu'au 19.02.2019, reprise du 20.02 au 22.02.2019 Plavix dès le 23.02.2019 ETT le 18.02.19 Avis cardiologiques le 18.02.2018 Contrôle du Pacemaker le 18.02.2018 Discussion avec Dr. X avant la sortie du patient pour une éventuelle coronarographie ETT le 18.02.2019 : FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aspirine à vie, Efient pour 6 mois. ETT le 18.02.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié. FEVG à 66 % (méthode de Simpson). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Rétrécissement aortique lâche. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Valve mitrale normale. Oreillette gauche très dilatée. Dilatation importante du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Dilatation importante des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Contrôle du pacemaker le 18.02.2019 (unicaméral) : Patient connu pour être en FA. Aucune autre arythmie enregistrée. Fréquence cardiaque entre 60 et 90 batt/min dans les 7 derniers jours. Seuil, détection et impédance corrects. Pile encore bonne 11 ans. Programmé en VVI à 60/min avec une fréquence de repos à 50/min. ETT le 22.01.2019 : Présence d'un FOP de grade I après manoeuvre de Valsalva + ASIA. En raison de AVC multifocaux évoquant une origine cardio-embolique, discussion au colloque cardio-neuro de la fermeture du FOP. ETO le 30.01.2019 : Oralement Dr. X : confirme FOP de grade 1 au repos (Valsalva non réalisable) avec ASIA. Pas de thrombus dans l'auricule gauche. A faire : • Pister le rapport Holter • Pister rapport ETO ETT le 25.01.2019 Coronarographie le 28.01.2019 Aspirine cardio 100 mg à vie, Statine, bêta-bloquant. Contrôle cardiaque de routine dans 6 mois. Si le patient développe des DRS typiques, discussion d'un PAC vs. PTCA de l'IVA. ETT le 26.02.2019 Discuter prise en charge chirurgicale à distance. ETT le 28.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec un mouvement paradoxal du septum interventriculaire et une hypokinésie minime de la paroi antérieure moyenne. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Rétrécissement aortique lâche. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Hypertrophie modérée du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. HTAP modérée (PAPs à 49 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. La dyskinésie du septum antérieur pourrait être mise dans le compte du BBG complet. Cependant, une maladie coronarienne sous-jacente ne peut formellement pas être exclue. ETT le 28.01.2019 : FEVG 51 %, fonction systolique globale globalement diminuée avec hypokinésie de la paroi latérale moyenne, de la paroi inféro-basale et de la paroi postérieure moyenne ; suspicion de maladie coronarienne sous-jacente. ETT le 29.11.2018 : FeVG 65 % ; atrium gauche légèrement dilaté. Anticoagulation indiquée à introduire à distance de l'intervention chirurgicale et amélioration de l'anémie. ETT le 06.02.19 : Dilatation importante du ventricule gauche d'origine ischémique avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 20 % (méthode de Simpson). Hypertrophie concentrique. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 3,77 l/min avec un index cardiaque à 1,99 l/min/m² (83 % de la théorique). Aorte normale. Surface aortique à 1,71 cm² (0,9 cm²/m²). Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Pas de prolapsus mitral. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale importante (grade 4/4) ischémique. SOR de l'IM à 0,3 cm². Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit normal. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Absence d'HTAP (PAPs à 26 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Une réimplantation est prévue le 21.2 IM sévère. Mitraclip a été discuté après traitement de resynchronisation. Coronarographie du 08.02.2019 : L'examen invasif du jour démontre un excellent résultat à long terme après PCI de l'IVA moyenne et de l'ACD proximale. Par contre, il y a une resténose intrastent serrée de la RCX moyenne. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 25 %. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de la RCX moyenne avec ballon émettant un médicament et résultat final bon. Au vu du saignement digestif encore actif, nous proposons uniquement de l'aspirine 100 mg 1-0-0. En raison de la fonction systolique sévèrement diminuée, nous proposons d'évaluer une thérapie de resynchronisation. Le patient est en pré-OAP et nous décidons conjointement avec les SICO et les néphrologues d'une surveillance au SICO avec hémofiltration continue. La source de saignement doit être contrôlée et maîtrisée.Rx thorax 14.02.2019 : status post-mise en place d'un cathéter de dialyse par voie jugulaire interne droite se terminant en surprojection de la veine cave supérieure. Régression des épanchements pleuraux bilatéraux. Le reste de l'examen est inchangé. ETT 07.02.2019 ETT 18.02.2019 Suivi en ambulatoire ETT 29.01.2019 Holter 72h Dépistage Syphilis négatif 30.01.2019 Dépistage HIV négatif 30.01.2019 Hb1Ac : 5.1% Bilan lipidique LDL 1.19 mmol/l Début aspirine dès le 29.01.2019 Euthyroid sick syndrome le 25.01.2019 • TSH 8.33, T4 libre 11, T3 1.8 Euthyroïdie sick syndrome le 11.01.2019, probablement dans le contexte du sepsis Euthyrox 50 mcg/j jusqu'au 31.01.2019 Euthyrox 75 mcg/j après l'accouchement. Contrôle endocrinologique dans 3 mois. Mme. Y est gardée en surveillance suite à un choc hypovolémique sur gastro-entérite aiguë. Sur le plan digestif, elle bénéficie de deux remplissages et des besoins d'entretien par perfusion avec rapide amélioration de l'état général et hémodynamique. Dès le 31.01, nous arrêtons la perfusion avec des apports hydriques en augmentation mais en raison de diarrhées encore fréquentes et importantes, une perfusion de compensation est nécessaire la nuit du 31.01 au 01.02.2019. Par la suite, les diarrhées s'amendent et les prises hydriques et alimentaires sont suffisantes. Elle ne présente par ailleurs aucun vomissement durant son séjour. Sur le plan infectieux, elle est afébrile durant sa surveillance et Rotavirus revient positif dans les analyses de selles. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 01.02. Nous donnons les conseils de surveillance et les consignes de reconsultation, un contrôle à votre consultation se fera au besoin. Evacuation de 6300 ml d'ascite le 24.02.19 Evaluation chez audioprothésiste en ambulatoire pour appareillage si hypoacousie handicapante socialement Evaluation de la marche Physiothérapie Evaluation diététique. Suppléments nutritifs oraux. Evaluation du domicile par ergothérapeute Réadaptation logopédique pour troubles de la déglutition Evaluation du risque suicidaire qui est présent avec plan bien défini. Laboratoire : cf annexes. Appel au RFSM Marsens pour organiser un transfert et discussion avec le psychiatre de garde. Hospitalisation à Marsens en mode volontaire dans l'unité Venus, transport en ambulance demandé. Evaluation du status nutritionnel le 29.01.2019 Evaluation en médecine palliative (Dr. X, le 05.02.2019) Evaluation par ESAS Équipe de traitement multidisciplinaire : médecin, infirmier, nutritionniste, physiothérapeute Evaluation et prise en charge nutritionnelle Evaluation et suivi diététique SNG à envisager Evaluation et suivi diététique SNG du 20.07 au 19.09.2019 Adaptation des repas avec SNO Evaluation et suivi neuropsychologique Evaluation et suivi nutritionnel Evaluation et suivi par la pédiatre Evaluation et/ou initiation du schéma dégressif corticothérapeutique Evaluation de la poursuite de l'alimentation entérale Evaluation du retour à domicile possible avec aide Evaluation de l'accompagnement par l'équipe de Voltigo Poursuite de la prise en charge par le médecin traitant Evaluation neuropsychologique et suivi Consilium psychiatrique Evaluation neuropsychologique le 07.02.2019 Évaluation neuropsychologique le 14.02.2019 : cf rapport annexé Tests de la cognition du 20.02.2019 : MMS à 19/28 (écriture pas possible), test de la montre à 1/7 ; GDS à 3/15 Evaluation nutritionnelle Enrichissement des repas SNO 1x/j Evaluation ophtalmologique le 20.02.2019 : gouttes de Pred forte dans l'œil droit, contrôle dans 3 semaines. évaluation pédopsychiatrique (Dr. X) : Actuellement, il n'y a pas de critère d'hospitalisation en psychiatrie, la pédiatrie est pleine et ne peut pas l'accueillir non plus. Les éducateurs du foyer ont peur de la violence qui pourrait se retourner contre eux. La mère d'accueil ne veut pas non plus le prendre pour la nuit. Le responsable du foyer Transit est contacté, il va finalement être accueilli avec un autre groupe et n'aura pas accès à sa chambre. On propose de lui donner l'Aripiprazol de ce soir à l'hôpital pour qu'il soit plus calme. évaluation pédopsychiatrique (Dr. X) Aripiprazol 5 mg aux urgences Retour au Transit Granges-Paccots avec éducateur Suite de prise en charge par pédopsychiatre Evaluation physiothérapeutique avec test de déglutition Régime haché fin et boissons libres Evaluer essais Xeljanz (prise en charge ok par Sympany - 4.02.2017) après réception des résultats de la biopsie • Evaluer reprise d'un traitement antihypertenseur (Lisinopril, Torasemid) • Suivi en cardiologie avec échocardiographie à planifier (dernier le 17.01.2019) • Majorer traitement Citalopram deux semaines après introduction, voir pour un suivi psychiatrique • Suivre ablation du kyste mandibulaire Evaluer l'indication à une radiographie/CT Physiothérapie Antalgie évaluer l'indication à une nouvelle échocardiographie Evaluer nécessité d'un nouvel avis cardiologique Evalution d'une demande de surclassement (régional). EVAR avec prothèse bifurquée le 31.01.2019 Éventration de la ligne médiane post-laparotomie • status post-Hartmann le 20.11.2017 pour une diverticulite sigmoïdienne perforée • status post-rétablissement de continuité avec iléostomie de protection le 02.03.2018 compliquée d'une lésion de l'uretère droit • status post-fermeture de l'iléostomie le 15.06.2018 Éventration sur le site de laparotomie sous-costale gauche le 13.02.2019 • Pancréatectomie caudale pour tumeur bénigne le 08.02.2018 Éviction de l'œuf et des petits pots en question Betnesol pour 3 jours au total Feniallerg pour 5 jours au total Ventolin en R si sibilances Contrôle chez le pédiatre ou l'allergologue pour des tests cutanés Eviscération couverte le 31.01.2019 • Status post-laparotomie exploratrice, adhésiolyse, entérectomie segmentaire (10 cm) à 30 cm de la valve iléo-caecale le 23.12.2018 suite à un iléus du grêle sur bride le 22.12.2018 • Status post-éviscération abdominale le 02.01.2019 avec : • Relaparotomie + laparostome le 02.01.2019 • Changement de VAC laparostome le 04.01.2019, 07.01.2019, 10.01.2019, 14.01.2019, fermeture cutanée abdominale le 21.01.2019 avec VAC épicutané jusqu'au 24.01.2019. éviter la prescription de neuroleptiques. Évaluation tout à fait favorable à 5 semaines du traitement conservateur. Poursuite de l'immobilisation mais par écharpe pour encore 2-3 semaines. Au niveau de la mobilisation, début de mobilisation active assistée avec limitation de la flexion/abduction jusqu'à 90° pour encore 2 semaines, et dès le 28.02.2019/01.03.2019 mobilisation active assistée progressivement avec amplitude libre. Poursuite de l'arrêt de travail pour 6 semaines encore. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Evolution chronique d'un hématome sous-dural frontal G (7.5 mm actuellement)Evolution clinique et radiologique favorable. M. Y est très motivé à progresser rapidement et à reprendre confiance en sa motricité fine et sa force. Nous lui prescrivons donc des séances d'ergothérapie pour neurostimulation et neuro-réhabilitation ainsi qu'un entraînement de la motricité fine. Reprise du travail à 50 % dès le 01.03.2019 et à 100 % dès le 01.04.2019. Prochain contrôle radio-clinique mi-avril. Evolution clinique favorable à 6 semaines du traumatisme avec des ligaments collatéraux qui ont guéri. Mme Y est donc autorisée à enlever son attelle articulée et à marcher en charge selon douleurs avec sevrage progressif des cannes anglaises. Poursuite de la physiothérapie. Nous discutons ce jour avec Mme Y et convenons qu'au vu de son âge et de sa demande fonctionnelle, un traitement conservateur pourrait être envisagé pour le ligament croisé antérieur. La situation sera évidemment à réévaluer si elle devait présenter une instabilité fonctionnelle. L'arrêt de travail est prolongé à 100 % jusqu'au 01.03.2019 et à 50 % jusqu'au 22.03.2019 avec reprise à 100 % dès le 23.03.2019. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Evolution clinique favorable des douleurs sous Péthidine 120 mg IV, Temesta 2 g et Novalgine 1 g IV. Mme Y présente une hyponatrémie à 124 mmol/L légère avec hypokaliémie légère, probablement due à la prise d'Aldactone pour une hypertension réfractaire au traitement. Nous proposons la mise en suspend de l'Aldactone avec poursuite de l'Aprovel et introduction de l'Amlodipine 5 mg. Au vu de l'évolution favorable, Mme Y est d'accord de rentrer à domicile et est ouverte à un séjour de réadaptation psychosomatique à Crans-Montana. Séjour qui avait déjà été proposé, mais que Mme Y avait refusé. Nous vous laissons le soin de réitérer la demande, si vous le jugez nécessaire. Mme Y rentre à domicile avec des injections de Péthidine sous-cutanée 50 mg 4x/j en réserve en cas de douleurs. Evolution clinique favorable. M. Y arrive à marcher en charge totale sans douleur. Ablation définitive du plâtre ce jour. Nous conseillons à M. Y d'éviter les chocs directs pendant encore 1 semaine, puis il pourra reprendre les activités sportives. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution clinique favorable sous physiothérapie mais légère augmentation de la scoliose sur le plan radiologique. Dans ce contexte, nous organisons un nouveau contrôle radio-clinique dans 6 mois. Poursuite de la physiothérapie dans l'intervalle. Evolution clinique lentement favorable. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition au besoin. Sur le plan socio-professionnel, Mme Y a été licenciée du centre équestre où elle travaillait en tant qu'écuyère. Elle ressent encore des douleurs à la position assise et appréhende fortement les chocs axiaux fréquents dans son métier (monte jusqu'à 5 chevaux par jour). Dans ce contexte, elle a fait des démarches pour une reconversion professionnelle. Nous l'informons qu'en aucun cas nous ne sommes dans l'obligation de répondre au conseiller en réinsertion professionnelle sur son état de santé. Nous enverrons néanmoins un formulaire à Mme Y qui atteste de nos constatations et notre avis sur son avenir professionnel. Evolution clinique qui, d'un point de vue infectieux, est totalement satisfaisante. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 13.03.2019. Fin du port de l'attelle et début de la mobilisation en ergothérapie. Poursuite du suivi 1x par semaine à notre consultation. Prolongation de l'arrêt de travail à 100 % en qualité de mécanicien jusqu'au 25.03.2019. Evolution clinique subjective satisfaisante. En accord avec M. Y, nous mettons fin au suivi. Nous sommes à disposition en cas de récidive. Evolution correcte. Auto-mobilisation. Je n'ai pas prévu d'autre infiltration. Prochain contrôle chez moi dans 6 semaines le 01.04.2019. Evolution correcte. Initiation d'un traitement ergothérapeutique pour récupérer la mobilité de D2. Prochain contrôle chez moi dans sept semaines. Reprise du travail à partir du 10.03.2019. Evolution correcte. Initiation d'un traitement physiothérapeutique au début de la semaine prochaine. Ablation du Comfeel et stéri strip après 2 semaines chez le médecin de famille. Contrôle chez moi à 6 semaines post-opératoires le 13.03.2019. Evolution correcte. Mme Y rapporte une absence de fourmillement dont elle souffrait auparavant. Initiation d'un traitement ergothérapeutique pour un travail cicatriciel. Contrôle chez moi dans 6 semaines le 27.03.2019. Evolution correcte. Maintenant mobilisation active et passive de l'épaule en physiothérapie sans aucune limitation. Le suivi pour le tendon d'Achille sera assuré par la policlinique orthopédique. De ma part, rendez-vous le 18.03.2019. Reprise du travail comme mécanicien de vélo dès le 11.03.2019. Evolution correcte malgré cette nouvelle chute. Pas de mesure particulière, je vais assurer un suivi plutôt rapproché. Un prochain contrôle est programmé chez moi dans deux mois. Jusque-là auto-mobilisation, pas de charge. Vu la bonne récupération de la fonction de l'épaule, pas de physiothérapie. Evolution correcte. Pas d'attitude active de ma part. Je me tiens à disposition pour effectuer une nouvelle infiltration. J'informe M. Y de la solution définitive, à savoir une cure-résection AC. J'ai programmé un rendez-vous pour le 02.09.2019 afin de refaire le point. Evolution correcte. Poursuite de la physiothérapie pour récupérer les derniers degrés en rotation interne. Contrôle final chez moi au mois de mai. Prochain rendez-vous le 16.05.2019. Evolution correcte. Poursuite de l'ergothérapie. J'ai prévu un contrôle final à ma consultation dans 3 mois le 22.05.2019. Reprise du travail à 100 % dès le 25.02.2019. Evolution correcte. Poursuite de l'ergothérapie. Poursuite de soins locaux pour la croûte au niveau de la face palmaire du poignet. Prochain contrôle chez moi dans 6 semaines. Evolution correcte. Traitement d'ergothérapie pour une désensibilisation cicatricielle au niveau du coude ainsi que rééducation sensitive et motrice. Introduction d'un traitement de physiothérapie pour récupérer les amplitudes au niveau du coude droit. Poursuite de l'arrêt de travail. Contrôle chez moi le 14.03.2019. Evolution correcte. Vu la fonction, pas de traitement chez moi. Mme Y reprendra contact en fonction de l'évolution. Evolution correcte. Vu que Mme Y présente une neurapraxie de la branche sensible thénarienne, je préconise un traitement ergothérapeutique pour une rééducation sensitive. J'ai programmé un prochain contrôle chez moi dans 6 semaines le 01.04.2019. Pas d'arrêt de travail. Evolution correcte. Rééducation sensitive et motrice en ergothérapie. Reprise du travail comme infirmière anesthésiste prévue dès le 04.03.2019. Evolution correcte. Vu les circonstances particulières de M. Y, rééducation prudente avec notamment mobilisation active et passive en abduction élévation 90°. Rotation libre. Pas de charge axiale. Contrôle radio-clinique chez moi dans 6 semaines le 01.04.2019. Evolution favorable. Evolution favorable à 1 an et demi suite à la fracture et aux opérations susmentionnées. M. Y peut reprendre toutes les activités sans limitation. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 mois (2 ans postopératoire). Evolution favorable à 1 année post-fracture. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution favorable à 1 année postopératoire à droite chez cette patiente qui est quasiment asymptomatique. Dans ce cas, nous proposons d'effectuer le prochain contrôle radio-clinique dans 4 ans pour le côté droit et le côté gauche. Dans l'intervalle, nous restons à disposition en cas de besoin, si Mme Y remarque des changements.Evolution favorable à 1 année post-opératoire. Le patient n'est pas gêné dans ses activités de la vie quotidienne. Nous objectivons néanmoins encore une limitation des amplitudes articulaires en élévation antérieure et abduction, ce pourquoi nous prescrivons une nouvelle série de séances de physiothérapie pour gagner les degrés nécessaires pour lui faciliter ses activités de la vie quotidienne. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique dans 6-8 mois. Evolution favorable à 2 semaines post-opératoires avec amélioration des douleurs et une plaie qui reste calme. Nous le reverrons comme prévu initialement à 6 semaines post-opératoires pour un nouveau contrôle clinique. Evolution favorable à 3 mois post opératoire. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 03.03.2019, par la suite reprise à 50% jusqu'au 14.04.2019 et par la suite à 100%. Prochain contrôle clinique sans radiographie 6 mois post opératoire. On reste à disposition dans l'intervalle. Evolution favorable à 3 mois postopératoire. Reprise progressive des activités sportives autorisées. Port de charge libre, à reprendre progressivement selon douleur. Prochain contrôle radioclinique à un an postopératoire avec éventuelle discussion pour une AMO. A noter que le patient n'est actuellement pas gêné par le matériel d'ostéosynthèse. Evolution favorable à 3 mois postopératoires. Elle doit continuer avec un renforcement musculaire en physiothérapie. Elle peut reprendre le sport, même le ski. Nous la reverrons à 6 mois postopératoires. Evolution favorable à 3 mois postopératoires. La patiente doit continuer la physiothérapie avec mobilisation douce du genou. Elle peut commencer à marcher avec la charge complète avec l'attelle en extension. Prochain contrôle dans 3 mois. Evolution favorable à 3 mois postopératoires. Le patient doit continuer d'entraîner la force de l'extension du pouce. Il travaille au bureau encore pour 4 semaines. Prochain contrôle clinique à 6 mois postopératoires. Evolution favorable à 3 mois postopératoires. Le patient poursuivra la physiothérapie axée sur le renforcement musculaire dans l'axe, proprioception et gainage. Il n'est pour l'instant pas autorisé à reprendre des sports de pivot. Il reprendra son activité professionnelle à 50% dès le 09.03.2019 (demi-journée) puis à 100% dès le 30.03.2019. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Evolution favorable à 5 semaines post-opératoire. Le patient a terminé ses séances d'ergothérapie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution favorable à 6 mois postopératoire. La patiente n'est pas absolument demandeuse d'une ablation du matériel d'ostéosynthèse. Après discussion avec le Dr X, nous ne proposons pas d'ablation du matériel d'ostéosynthèse étant donné l'absence de gêne chez cette patiente. Si ce matériel venait à gêner dans les années à venir, il n'y aurait pas de contre-indication, même 3 ans plus tard, à son ablation. Pas de nouveau contrôle prévu mais nous restons à disposition. Evolution favorable à 6 mois postopératoires avec une patiente qui a repris l'entier de ses activités sans limitation. Dans ce contexte, elle terminera ses séances de physiothérapie en cours. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle. Evolution favorable à 6 semaines postopératoire. Les douleurs résiduelles au niveau du poignet sont très probablement liées au processus de cicatrisation. Nous conseillons au patient d'effectuer des massages de la cicatrice et avec le temps sa symptomatologie devrait disparaître complètement. En regard de la bonne évolution, on ne prévoit pas d'autre rendez-vous mais restons à disposition. Evolution favorable à 6 semaines post-opératoires. Initiation d'un traitement de physiothérapie en actif assisté en abduction/élévation ainsi que rotation libre. Il est prévu un prochain contrôle à ma consultation d'ici 6 semaines (04.04.2019) avec un CT SCAN avant la consultation afin de juger de la consolidation osseuse. Evolution favorable après infiltration acromio-claviculaire. Nous n'organisons pas de nouveau rendez-vous mais si la patiente rappelle, il faudra organiser une infiltration sous-acromiale d'emblée couplée au rendez-vous. Evolution favorable au niveau de la consolidation des arthrodèses avec un matériel en place. On discute avec la patiente de reprendre la charge de plus en plus, encore dans une botte plâtrée fendue durant 4 semaines puis, hors plâtre. Sur la face dorsale du pied, au niveau de la cicatrice, on suspecte un granulome de fils. On discute avec elle de l'excision de celui-ci avec une anesthésie locale. Ceci est prévu pour le 19.02.2019. Elle a signé le consentement éclairé. Nous la reverrons par la suite. Prochain contrôle radio-clinique avec RX en charge dans 6 semaines. Evolution favorable avec l'aide de l'ergothérapie ainsi que de la physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 8 mois. Evolution favorable avec un bon cal osseux visualisé sur la radiographie il y a 2 semaines. Dès ce jour, mobilisation et utilisation du poignet selon douleur. Mr. Y va commencer à bouger tout normalement dans les prochains jours. Prochain contrôle radioclinique une année post opératoire pour contrôler la croissance. Evolution favorable avec une bonne mobilité à 6 semaines postopératoires. On a prescrit encore 9 séances d'ergothérapie pour renforcement musculaire. Nous la reverrons à 3 mois postopératoires. Evolution favorable avec une rotule plutôt bien guidée. Le risque de récidive est plutôt faible. Poursuite de la physiothérapie, renforcement. Activités sportives autorisées avec genouillère élastique. Prochain contrôle fin juin 2019. Evolution favorable chez ce patient après résection d'une portion luxée du ménisque interne. Poursuite de la physiothérapie. Reprise des activités sportives et professionnelles autorisée. Pas de prochain rendez-vous. Evolution favorable clinique et radiologique. Poursuite de la physiothérapie avec mobilisation et renforcement musculaire. Contrôle à une année postopératoire. Evolution favorable. Cliniquement la fracture se présente stable et sur la radiographie, nous visualisons un cal entre les 2 fragments. Dès aujourd'hui ablation de l'attelle Sarmiento et mobilisation et charge selon douleur. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois (uniquement épaule et humérus). Evolution favorable deux semaines postopératoire avec des plaies bien guéries. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines (6 semaines postopératoire). Evolution favorable d'un point de vue ergothérapeutique. Nous proposons à la patiente de continuer le traitement instauré pour la rhizarthrose. Quant à l'articulation IP du Dig II, nous constatons à la radiographie effectuée par les rhumatologues le 07.02.2019, une arthrose modérée au niveau de l'IPD. Poursuite du traitement conservateur vu que chirurgicalement il ne reste que l'arthrodèse en cas d'une qualité de vie fortement diminuée. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution favorable en ce qui concerne la PTG. La patiente sera revue mardi prochain pour une symptomatologie douloureuse lombaire et est suivie par le Dr X. Prochain contrôle chez nous dans 6 mois. Evolution favorable. Il est encore normal que le patient ait des douleurs à la mise sous tension de la coiffe postéro-supérieure. On propose de poursuivre la physiothérapie, d'éviter les activités en charge de pointe sur ses muscles pour les semaines à venir. Je le vois en contrôle d'ici 2 à 3 mois.Evolution favorable. Il poursuivra la rééducation en physiothérapie. Pas de prochain contrôle d'office mais Mr. Y reprendra contact au besoin. Evolution favorable. Je propose qu'il reprenne toutes ses activités sans restriction. Pas de prochain contrôle prévu. Evolution favorable. Mr. Y est autorisé à reprendre ses activités librement. Prochain contrôle en automne 2019. Evolution favorable. Mr. Y peut poursuivre ses séances de physiothérapie. Reprise du travail à 100% comme prévu. Nous le reverrons pour un nouveau bilan clinique final suite à la reprise de son activité professionnelle et ceci dans 1 mois. Evolution favorable. Mr. Y peut reprendre son travail à 100%. Prochain contrôle clinique à 6 mois postopératoire. Evolution favorable mais Mr. Y manque encore de musculature au niveau du quadriceps, je lui propose donc de faire du fitness et des exercices à domicile. Il reprendra progressivement les activités sportives. Prochain contrôle dans 3 à 6 mois pour discussion de l'ablation de la plaque. Evolution favorable. Nous confirmons le traitement conservateur. Immobilisation par BAB pour 4 semaines au total. Nous le reverrons pour un contrôle radioclinique dans le plâtre dans 10 jours, puis un contrôle à 4 semaines post-fracture hors plâtre. Evolution favorable. Prochain contrôle dans 3 mois. Poursuite de la physiothérapie. Evolution favorable. Réfection de pansement: désinfection au Prontosan, Aquacel extra, Mepilex transfert, bande. Poursuite de l'antibiothérapie par Augmentin pour 7 jours au total. Soins à domicile le 18.02, consultation en stomathérapie le 20.02 pour suite de prise en charge. Evolution favorable. Remplacement du cruro-pédieux par une botte de marche pour une durée de 2 semaines. Nous la reverrons le 05.03.2019. Evolution favorable sous traitement physiothérapeutique. En ce sens, il s'agit de poursuivre de la sorte à raison d'une fois par semaine. Travail également de renforcement. Elle sera revue cet automne pour juger de l'évolution. Elle nous recontacte en cas de péjoration entre deux. Evolution favorable spontanée. Evolution favorable suite à l'intervention susmentionnée. Dès aujourd'hui mobilisation libre. Pas de sport de contact ni de gym à l'école durant 4 semaines. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines pour discuter de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Evolution favorable suite aux interventions susmentionnées. Ce jour ablation des fils au niveau de la plaie pré-tibiale. Poursuite des soins des plaies à la maison à l'aide d'une crème et de pansements. Contrôle des plaies chez le médecin traitant 1 fois par semaine. Prochain contrôle radioclinique le 22.02.2019. Evolution favorable sur le plan clinique et radiologique 1 an et 6 mois post-opératoire. Nous n'avons pas d'indication pour enlever la vis. On termine le suivi régulier à notre consultation et restons à disposition au besoin. Evolution favorable sur le plan clinique. Mme. Y peut reprendre le sport dès la fin de la semaine prochaine. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution favorable sur le plan de la récupération de la lésion nerveuse. Poursuite de l'ergothérapie et physiothérapie. Mr. Y souhaite maintenant avoir une cure de sa maladie de Dupuytren qu'on va agender en ambulatoire. Il est consentant pour une cure de maladie de Dupuytren par fasciectomie en regard du 5ème rayon avec plastie en Z +/- greffe de peau entière. Mr. Y signe le consentement éclairé. Consultation en anesthésie prévue. Evolution favorable sur le plan radioclinique. Ablation du plâtre ce jour et charge selon douleurs. Cannes anglaises par sécurité pour les 4 prochaines semaines quand Mme. Y sort. Physiothérapie en ambulatoire. Nous la reverrons pour un contrôle radioclinique dans 6 semaines. Evolution favorable sur le plan radioclinique. Dès ce jour, écharpe durant la journée, gilet orthopédique la nuit. Prescription de physiothérapie pour mouvements pendulaires et dans 3 semaines des mouvements en actif assistés. Nous le reverrons pour un contrôle radioclinique le 15.03.2019. Evolution favorable sur le plan radioclinique. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution favorable. Poursuite du traitement chez son médecin traitant pour changement de pansement avec Aquacel dans 48 heures. Je me tiens à disposition en cas de mauvaise évolution. Evolution lente mais améliorée comparée au dernier contrôle. Nous proposons de continuer du traitement conservateur, et donc nouvelle prescription pour ergo-physiothérapie. Attelle pour renforcer la flexion est possible. Poursuite de l'arrêt de travail à 50% jusqu'à fin mars. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Evolution lentement favorable de cette intervention. Mme. Y rapporte toujours la nécessité d'emploi d'anti-inflammatoire 1 à 3 fois par jour. Nous faisons donc une prescription d'anti-inflammatoire à prendre de manière systématique pendant 2 semaines puis selon réserve pour diminuer l'inflammation ou les douleurs probablement liées aux adhérences sur la plaque. Egalement, nouvelle prescription de série de séances de physiothérapie au sec et une série de séances de physiothérapie en piscine pour gagner des amplitudes articulaires. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. Evolution lentement favorable du point de vue des douleurs. Mme. Y rapporte tirer bénéfice des séances de physiothérapie, ce que nous poursuivons, prescription de séances pour poursuite du gain d'amplitudes articulaires et renforcement, sans limitation. Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois (6 mois postopératoire). Evolution lentement favorable. Poursuite de la physiothérapie et prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. Evolution lentement favorable sous traitement conservateur. En effet, les douleurs restent axiales, sans récidive d'irradiation radiculaire. Prescription de physiothérapie pour massages antalgiques et hygiène posturale. Nous lui conseillons de changer de physiothérapeute s'il n'a pas été satisfait. Mr. Y est constructeur métallique. Reprise du travail à 50% dès le 01.03.2019 puis à 100% dès le 01.04.2019. Prochain contrôle clinique mi-mai. Evolution lentement favorable suite à l'infiltration et aux séances d'ergo-physiothérapie, mais toujours insuffisante. Nous proposons donc dans ce contexte une cure de doigt à ressaut du 2ème et 3ème rayon au niveau de la poulie A1 du 2ème et 3ème rayon. Les risques et bénéfices sont expliqués à Mr. Y qui accepte en signant le consentement éclairé. Une date est agendée. Dans l'intervalle, poursuite de l'ergo-physiothérapie pour encore gagner de l'amplitude articulaire. Evolution naturelle hématome sur contusion jambe droite. Evolution normale à 6 semaines postopératoires. Ablation du gilet orthopédique. Mise en place d'une écharpe, je conseille par contre à Mme. Y d'enlever l'écharpe le plus possible et de mobiliser son bras librement. Physiothérapie à sec et en piscine. Prescription de Midocalm pour le travail de contracture de la ceinture scapulaire. Contrôle chez moi dans 6 semaines : 18.04.2019. Evolution post-opératoire tout à fait satisfaisante. Mr. Y nécessite encore de la physiothérapie ainsi qu'une prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'à 3 mois postopératoires donc jusqu'à la fin mars. Reprise du travail à 50% dès le 01.04.2019. Prescription de physiothérapie pour la poursuite du gain d'amplitudes articulaires de sa colonne. Prochain contrôle radioclinique à la fin mai après la reprise du travail après 1 mois.Evolution quasi exceptionnelle en post-opératoire. Je préconise la poursuite de la physiothérapie maintenant avec une mobilisation active et passive sans limitation. Charge maximale de 2 kg du MSD. J'avertis Mr. Y qu'il faut plutôt aller doucement en rééducation vu sa tendance à trop utiliser son bras. Il faut quand même attendre la guérison complète du tendon réinséré. Prochain contrôle chez moi dans 2 mois le 25.4.2019. Evolution radio-clinique dans la norme. Mme. Y peut dès lors continuer sa physiothérapie maintenant ciblée sur le gain des amplitudes articulaires. Elle présente également une probable tendinite de De Quervain, raison pour laquelle nous mettons en place un anti-inflammatoire topique. Port de l'attelle uniquement durant les activités à risque. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle radio-clinique à 3 mois postopératoires. Evolution radio-clinique favorable à 6 mois postopératoires. Il prendra contact avec le Dr. X pour un contrôle dans 3 mois et discuter de l'ablation éventuelle du matériel d'ostéosynthèse. Evolution radio-clinique favorable à 6 semaines postopératoires. Il est autorisé à lâcher les cannes et se mobiliser librement. Poursuite de la physiothérapie axée sur la lutte contre le flexum, étirement des chaînes postérieures, proprioception et renforcement musculaire dans l'axe. Prochain contrôle dans 1 mois. Evolution radio-clinique favorable à 6 semaines post-opératoires. Mr. Y souhaite reprendre la natation et la conduite de son scooter. Nous lui autorisons et l'encourageons à reprendre la natation dans 2 à 3 semaines (une fois les cicatrices totalement fermées). Pour la conduite du scooter, nous le rendons attentif au fait qu'en cas de chute, le matériel d'ostéosynthèse risque lui-même de briser son ossature, celui-ci étant plus solide que son os. Nous lui conseillons donc de reprendre progressivement une activité sportive durant au minimum 1 mois et demi voire 2 mois avant de reconduire un scooter, afin de maîtriser le mieux possible son véhicule. Prescription de physiothérapie pour entretien de la musculature du rachis et reconditionnement global chez ce patient en très bonne forme pour son âge. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. Evolution radioclinique favorable. Attelle velcro lors des sorties durant 2 semaines. Physiothérapie pour regagner les amplitudes articulaires. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Evolution radioclinique favorable. En raison des douleurs, de l'oedème et des comorbidités de Mr. Y (diabète), nous discutons du cas avec le Dr. X et décidons de continuer le traitement conservateur par une botte plâtrée fendue que nous confectionnons ce jour. Charge selon douleur dans le plâtre à l'aide de cannes anglaises et prophylaxie antithrombotique par Clexane pour une durée de 5 semaines. Nous le reverrons le 20.03.2019 pour un contrôle radioclinique. Mr. Y ira contrôler l'état cutané dans le plâtre chez son médecin traitant la semaine prochaine. Evolution radio-clinique favorable. Le pouce est stable. Début de l'ergothérapie pour regagner la mobilité et poursuite de l'immobilisation pendant 2 semaines quand Mme. Y est dehors. Pas d'immobilisation la nuit et à la maison. Prochain contrôle clinique dans 8 semaines. Evolution radio-clinique favorable par traitement conservateur. Prochain contrôle radio-clinique dans 2 semaines hors plâtre. Evolution radio-clinique favorable. Prochain contrôle clinique à 6 mois postopératoires. Evolution radioclinique favorable. Semelle rigide en réserve en cas de douleurs. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution radio-clinique satisfaisante. Outre une prudence à la reprise des activités de jeux, il n'y a pas nécessité de poursuivre l'immobilisation plâtrée. Au vu de l'évolution favorable, fin du suivi à notre consultation. Evolution radio-clinique tout à fait satisfaisante permettant à Mr. Y de déambuler sans son plâtre. À visée sécuritaire, il reçoit une prescription pour des cannes anglaises jusqu'à ce que la marche soit sécuritaire. Nous le reverrons à 3 mois post-traumatisme pour un bilan clinique. Evolution radio-clinique tout à fait satisfaisante, permettant de mettre fin au suivi de cette patiente. Evolution radio-clinique très favorable à 4 mois postopératoires. Mr. Y peut dès à présent débuter la physiothérapie avec renforcement musculaire, ainsi que drainages lymphatiques. Nous reverrons Mr. Y à la fin mars. À ce moment-là, nous discuterons d'un traitement par substitution prothétique de la hanche droite. Au prochain contrôle, nous réaliserons un CT-scanner du côté droit et un scout qui prend tous les membres inférieurs ddc jusqu'à l'articulation sacro-iliaque pour mesurer la longueur des deux jambes. Il reprendra le travail à 50% dès le 16 avril jusqu'au début avril. CT-scanner et prochain contrôle le 26.03.2019. Evolution satisfaisante à 6 mois post-traumatisme. On prévoit un prochain dernier contrôle radio-clinique à 1 an post-traumatisme. Evolution satisfaisante avec des plaies qui ne présentent plus de saignement. On refait le pansement avec Adaptic au niveau de l'hallux et compresses sèches au niveau du 3ème rayon. Il s'agira de faire ces pansements 3x par semaine jusqu'à l'ablation des fils à J14 postopératoires selon l'évolution de la plaie. Poursuite du protocole Adaptic jusqu'à une épithélisation du lit de l'ongle. Poursuite du port du soulier Barouk de décharge d'avant-pied jusqu'à cicatrisation satisfaisante. On la reverra à 6 semaines postopératoires. Evolution satisfaisante. Début d'un traitement d'ergothérapie pour une rééducation sensitive et motrice. Un prochain contrôle est prévu d'ici 2 semaines (28.2.19). Poursuite d'un arrêt de travail à 100%. Evolution satisfaisante. Je ne veux pas risquer un déplacement, maintenant à distance, donc je préconise la poursuite du port de l'attelle pour encore 2 semaines. Un programme radio-clinique à ma consultation est prévu pour le 13.03.2019. Evolution spontanément favorable du syndrome sacro-iliaque G diagnostiqué lors de la dernière consultation. Mr. Y présentant une légère gibbosité, nous lui prescrivons de nouvelles séances de physiothérapie pour hygiène posturale et stretching de la musculature abdominale. Pas de nouveau contrôle prévu, nous restons à disposition au besoin. Evolution stable de la symptomatologie chez cette patiente, elle n'est pas demandeuse d'une nouvelle infiltration au vu du contexte lourd lié à la gestion de sa maladie et de sa perte progressive d'autonomie. Elle ne rapporte pas de franc bénéfice de la physiothérapie mais celle-ci, selon nous, l'aide à maintenir une certaine mobilité et musculature de son épaule. Nous prescrivons donc une nouvelle série de séances de physiothérapie dans ce but. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution stable depuis la consultation du 01.02.19. Réassurance. Consultation en dermatologie le 07.02.19. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Evolution tout à fait favorable à 5 semaines de l'entorse. Pas de nouveau contrôle prévu. Consigne d'éviter les sports à risque tant pour son pouce que pour son épaule, au vu de la laxité légèrement augmentée de ces articulations objectivée lors de l'examen clinique. Evolution tout à fait favorable à 6 semaines post-opératoire. En raison de la persistance d'une raideur notamment en flexion de la MCP, nous encourageons Mr. Y à bien pousser la mobilisation de son articulation, des RX montrant une consolidation osseuse. Nous prescrivons une nouvelle série de séances d'ergothérapie avec une série de séances de physiothérapie que Mr. Y effectue à l'HFR. Selon l'appréciation de nos collègues ergothérapeute et physiothérapeute, nous reverrons Mr. Y. Pour notre part, pas de contrôle prévu.Evolution tout à fait favorable après application de crème corticoïde. Mr. Y continue désormais à appliquer l'Excipial avec un bon effet sur son prurit et sa xérose cutanée. Mr. Y rapporte avoir une problématique à enfiler des chaussures classiques, raison pour laquelle nous lui faisons une prescription pour des chaussures orthopédiques sur mesure. Prescription également d'une ordonnance d'Excipial. Pas de nouveau contrôle prévu mais restons à disposition. Evolution tout à fait favorable chez un patient qui reviendra dans 6 mois pour un contrôle. Evolution tout à fait favorable. Je propose qu'elle reprenne les activités de course, musculaire et d'impact. Poursuite du travail de relâchement musculaire. Évolution tout à fait favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Evolution tout à fait favorable. Poursuite de l'auto-mobilisation. Pour le moment, pas de contrôle prévu chez moi. Evolution tout à fait normale à 6 semaines post-opératoires. Nous expliquons à Mr. Y que la rééducation prendra du temps et que les muscles doivent s'habituer à une nouvelle position de travail après correction de la cyphose lombaire. Poursuite de la physiothérapie. Arrêt de travail à 100% pour 2 semaines supplémentaires puis reprise à 50% jusqu'au prochain contrôle dans 2 mois. Evolution tout à fait favorable au niveau de son majeur D. Il s'agit d'un pseudo-doigt à ressaut créé par le chiasma des fléchisseurs. L'infiltration est le traitement de choix. Si les symptômes ne passent pas, une résection d'une des deux bandelettes du fléchisseur superficiel pourrait être discutée. Vu la bonne évolution, un tel geste est contre-indiqué. Pour le moment attitude expectative. Je prévois une infiltration de l'annulaire G le 01.03.2019. Je reverrai la patiente par la suite pour discuter des différentes options thérapeutiques à mi ou long terme. Evolution très favorable à quasi 1 année postopératoire. Elle peut encore effectuer de la physiothérapie pour essayer de gagner de la flexion. Nous reverrons la patiente dans 4 ans. Evolution très favorable à 1 an postopératoire. Pas de prochain contrôle nécessaire. Evolution très favorable à 2 ans post opératoire. Prochain contrôle radioclinique dans 2 ans ou avant en cas de problème. Evolution très favorable après arthrite septique. Mr. Y ne rapporte pas de douleurs et la gêne se présente de manière ponctuelle. La mobilité de son poignet lui permet un parfait fonctionnement au quotidien. Pas de contrôle prévu mais nous restons à disposition en cas de besoin. Evolution très favorable avec reprise de toutes ses activités. On discute avec Mr. Y de la fin de traitement. Nous restons à disposition au besoin. Evolution très favorable avec une patiente actuellement asymptomatique qui a repris toutes ses activités avec une bonne tolérance. Fin de traitement. Evolution très favorable de cette fracture tant sur le plan clinique que radiologique. Prochain contrôle radioclinique à 1 an postopératoire. Evolution très favorable. Nous rappelons à Mr. Y qu'une récidive de la symptomatologie voire aggravation de son déficit est toutefois possible et qu'il devra donc nous reconsulter si tel est le cas. Reprise du travail à 50% dès la semaine prochaine puis à 100% en fonction de l'évolution. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition au besoin. Evolution très favorable sous physiothérapie. Mr. Y avait repris ses exercices de fitness sans grande difficulté, néanmoins les mouvements d'abduction rapide lui font encore ressentir une minime instabilité. Tout ceci n'empêche pas la reprise du sport, mais nous l'encourageons à éviter tant qu'il peut les mouvements d'abduction extension. Pas de contrôle prévu mais nous restons à disposition. Evolution très satisfaisante sous traitement conservateur. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition au besoin. Ex clinique Réfection plâtre AB fendu Contrôle en polyclinique d'orthopédie comme prévu le 25.02.2019 (à 10j post chute) Ex clinique Antalgie perfusion 500ml NaCl Bladder Scan Bilan bio + urinaire Uro CT - Calcul de 3mm de la jonction urétéral-vésical avec dilatation pyélo-calicielle en amont (pyélon 19mm) et infiltration de la graisse périrénale en amont. Avis Dr. X Antalgie et antinflammation par : Irfen Dafalgan Pradif, tamissage des urines et contrôle chez l'urologue dès que éliminé Ex clinique. Bilan urinaire : cfr annexes. Appel au pédiatre de garde : débuter une antibiothérapie par Cefpodoxime 8mg/kg/j en 2 prises ou Cotrimoxazole 40-60mg/kg/j en 2 prises. Contrôle chez le pédiatre avec urotube à pister. Ex clinique Hydratation Culture de selles : standard + recherche clostridium à faire si nouvelles épisodes Ex clinique Rx : pas de fracture Attelle Aircast 4 - 6 Semaines, antalgie, anti-inflammatoires Patiente rappelée à la polyclinique d'orthopédie le 11.02.2018 Contrôle à 7 jours chez MT Exacerbation aiguë BPCO stade GOLD stade 3 avec insuffisance respiratoire partielle, le 21.02.2019 • Fonction pulmonaire complète 17.01.2019 : trouble ventilatoire obstructif de degré sévère avec VEMS 1,08 l (42 % du prédit) • S/p exacerbation BPCO avec IOT le 31.03.2018 Exacerbation aiguë BPCO stade III selon Gold avec insuffisance respiratoire partielle, le 21.02.2019 • Fonction pulmonaire 03.05.2017 : syndrome obstructif de degré sévère avec VEMS 1.03 l (43% du prédit), légers troubles diffusionnels et vraisemblable composante emphysémateuse débutante • Fonction pulmonaire 24.05.2018 : syndrome obstructif de degré sévère avec VEMS 1,13 l (51% du prédit) • Sevrage ventilatoire prolongé • S/p insuffisance respiratoire globale aiguë sur exacerbation d'une BPCO tabagique le 31.03.2018 Exacerbation aiguë de BPCO à germe indéterminé le 18.02.2019 • Chez un patient connu pour une BPCO non stadée, traité empiriquement par Seretide Exacerbation aiguë de BPCO le 18.02.2019 à germe indéterminé Exacerbation BPCO (critères Anthonisen : 2/3) le 15.01.2019 • S/p Amoxicilline 1000 mg depuis le 01.02.19 Exacerbation BPCO DD sur IVRS le 05.02.2019 • Critères d'Anthonisen à 3/3 • BPCO stade IV selon GOLD sous oxygénothérapie Exacerbation BPCO sur IVRS le 05.02.2019 • Critères d'Anthonisen à 3/3 • BPCO stade IV selon GOLD sous oxygénothérapie Exacerbation d'asthme Exacerbation de BPCO dans un contexte de virose le 26/02/19 Exacerbation de BPCO GOLD III sur grippe A surinfectée Exacerbation de BPCO GOLD IV sur grippe A surinfectée le 11.02.2019 Exacerbation de BPCO le 18.02.19 sur IVRS probable Exacerbation de BPCO le 18/02/19 DD surinfection bronchique débutante Exacerbation de BPCO modérée. Exacerbation de BPCO non stadée, sur pneumonie basale droite le 27.11.2018. Rétention urinaire aiguë dans un contexte infectieux et médicamenteux (antipsychotiques) en 11.2018. Rétention urinaire, le 27.05.2018 : pose de sonde urinaire avec sevrage sans complication. Exacerbation d'une probable BPCO non stadée à Klebsiella pneumoniae multisensible trouvé dans les expectorations, le 27.05.2018 traitée par Rocéphine 2 g iv du 27 au 29.05.2018, puis co-amoxicilline per os du 30.05 au 02.06.2018. Pneumonie basale gauche à Influenzae B le 29.01.2015 avec : • insuffisance respiratoire aiguë globale et sepsis associés, traité par antibiothérapie iv et VNI.• subiléus paralytique transitoire dans un contexte septique le 29.01.2015. • globe urinaire le 29.01.2015. Exacerbation de BPCO stade III selon Gold : • sous corticostéroïde depuis le 01.02.2019 • ancien tabagisme sevré depuis 10 ans (60 UPA) • phénotype exacerbateur • emphysème pulmonaire diffus sans troubles de la diffusion (DLCO du 20.03.2018 à 78 % du prédit) • tests cutanés négatifs et précipitines pour le poumon du fermier négatifs • possible composante d'asthme intrinsèque surajoutée • déconditionnement sévère à l'effort • oxygénothérapie transitoire à domicile, nocturne (1.5L) • suivi par le Dr. X (Fribourg) Exacerbation de BPCO stade IV D selon GOLD le 31.01.2019 • DD: infectieux, cardiaque Exacerbation de BPCO stade IV le 09.02.2019 • Insuffisance respiratoire globale aiguë Exacerbation de BPCO stade IV/D sur augmentation du tabac le 10.02.2019 • Critères d'Anthonisen : 1/3 (augmentation de la dyspnée) • Multiples exacerbations (mai 2015, janvier et septembre 2017, mars, mai et juin 2018, septembre 2018 et janvier 2019) • Oxygénothérapie à domicile (0.75 -1.5 l/min 24h/24) • Fonctions pulmonaires complètes le 24.01.2019 : présence d'un trouble ventilatoire obstructif de degré très sévère, stable selon les dernières valeurs disponibles avec VEMS à 17 % du prédit, soit 0,61 litre, capacité vitale forcée à 30 % à 1,43 litre et Tiffeneau à 56 % du prédit. Pour comparaison, fonctions respiratoires du 12.12.2018 chez le Dr. X : VEMS à 12 % du prédit et DLCO à 27 % du prédit • Suivi par Dr. X Exacerbation de BPCO sur Influenza A • critères d'Anthonisen 2/3 Exacerbation de BPCO sur pneumonie basale gauche le 02.02.2019 Exacerbation de BPCO sur probable infection d'origine virale le 21.11.2018 Fracture de l'extrémité distale du radius gauche. Maladie diverticulaire avec poussée de diverticulite. Cholécystolithiases multiples sans signe de cholécystite aiguë. Exacerbation de dorso-lombalgies chroniques en 2016 Rupture complète secondaire du muscle semi-tendineux et partielle du muscle biceps femoris post traumatisme profond de la face postérieure de la cuisse D en octobre 2015 Hépatite d'étiologie idiopathique en mars 2015 Pneumonie bilatérale en mars 2015 Colonoscopie normale en 2014 Candidose orale chez une patiente HIV négatif Surinfection type érysipèle d'une brûlure superficielle au 2ème degré, avant-bras D le 19.12.2017 Trouble de l'adaptation avec réaction de deuil le 18.04.2018 Syndrome sérotoninergique sur intoxication médicamenteuse volontaire le 15.08.2018 Exacerbation de douleurs fessières vs sacro-iliaques invalidantes dans contexte de fibromyalgie le 04.02.2019 Exacerbation de lombalgies chroniques. Exacerbation de lombalgies chroniques et de douleurs musculaires des membres inférieurs Exacerbation de lombosciatalgies chroniques non déficitaires le 30.05.2017. Nodule pulmonaire base poumon droit de découverte fortuite en mai 2017, sans suivi nécessaire. Exacerbation de lombosciatalgies chroniques droites non déficitaires le 01.11.2017. Exacerbation de rachialgie inflammatoire le 31.01.2019 avec • spondylarthropathie axiale (sacroiliite radiologique, HLA-B27 négatif) • Ehler Danlos de type hypermobile • calcifications discales et tendineuses multiples Exacerbation douleurs trapèze gauche sur possible mal positionnement durant l'anesthésie le 13.02.2019. Exacerbation d'un pyrosis sur accès de toux et grossesse au 9ème mois. Exacerbation d'une BPCO de stade III / D selon GOLD sur Influenza A, tabagisme chronique actif et mauvaise compliance : • critères d'Anthonisen 2/3 • multiples exacerbations en 2008, 2011 et fin 2018 (refus d'hospitalisation) • VEMS à 2.17 l soit 75 % du prédit et DLCO normale (115 % du prédit) en 11/2018 • composante d'asthme bronchique associée • suivi par Dr. X Exacerbation d'une BPCO de stade IV oxygéno-dépendante avec décompensation respiratoire globale le 09.05.2017 avec : • Péjoration d'une dyspnée, toux avec expectorations jaunâtres • Multiples décompensations de BPCO depuis août 2016, dernière exacerbation le 26.12.2016 • Pneumonie du lobe moyen et du lobe inférieur droits au CT du 18.11.2016 • Pneumonie organisante du lobe supérieur gauche le 23.09.2016 • Ponction-biopsie de la masse pulmonaire gauche sous-guidage CT le 23.09.2016 : bronchiolite respiratoire sévère avec signes d'organisation, métaplasie alvéolaire cuboïde, ainsi qu'inflammation chronique et fibrose modérée interstitielle du tissu alvéolaire • Pneumonie organisante du lobe supérieur gauche le 23.09.2016, avec ponction-biopsie masse pulmonaire sous guidage CT le 23.09.2016 : bronchiolite respiratoire sévère avec signes d'organisation, métaplasie alvéolaire cuboïde, ainsi qu'inflammation chronique et fibrose modérée interstitielle du tissu alvéolaire. • Tabagisme à 45 UPA : stoppé en février 2016, repris en octobre, sevré depuis 23.10.2016 • Suivi par Dr. X (pneumologue) et la ligue pulmonaire (Mme. Y) BPCO stade IV oxygénodépendant (2L) avec : • Suivi pneumologique (Dr. X) • Tabagisme à 45 UPA : sevré depuis 23.10.2016. • Fonctions pulmonaires 30.12.2016 : VEMS 22 % du prédit, Tiffeneau 56 %, capacité pulmonaire totale 152 % du prédit Consommation d'alcool chronique avec : • Sevrage depuis 4 mois • Statut post-hospitalisations récidivantes pour intoxications alcooliques aiguës et tentatives de sevrage • Patient sous curatelle (Mme. Y) • Prise en charge par les soins à domicile psychiatriques (Mme. Y) • Psychiatre traitant : Dr. X (actuellement à la retraite) Trouble dépressif et trouble de la personnalité de type borderline Difficultés mictionnelles chroniques : • probablement sur consommation chronique d'anticholinergiques • hyperplasie prostatique exclue à l'ultrason du 16.07.2015 Thrombopénie modérée chronique le 09.05.2017 DD alcoolisme chronique/traitement médicamenteux avec : • 93 G/l le 09.05.2017 Omarthrose gauche Echo-coeur 24.02.2015 sans particularité Exacerbation d'une BPCO non stadée avec 3/3 critères d'Anthonisen le 14.02.2019. Exacerbation d'une BPCO non stadée le 14.02.19 avec 3/3 critères d'Anthonisen Exacerbation d'une BPCO possiblement surinfectée le 09.02.2019 • Critères d'Anthonisen 2/3 • Pas de foyer radiologique • Frottis grippe négatif Exacerbation d'une BPCO stade II surinfectée le 09.02.2019 • critères d'Anthonisen 2/3 Exacerbation d'une BPCO stade III D (critère d'Anthonisen 2/3) : • insuffisance respiratoire globale aiguë • pneumonie basale droite • grippe Influenza A Exacerbation d'une BPCO stade IV selon Gold connue, probablement sur virose, le 03.02.2019, • VNI nocturne à domicile • insuffisance respiratoire globale. Exacerbation d'une BPCO stade IV selon Gold, le 03.02.2019 avec : • infection au RSV • insuffisance respiratoire globale • VNI nocturne à domicile • alpha-anti-trypsine dans la norme (2014) Exacerbation d'une BPCO stade IV sur infection à RSV le 03.02.2019 • Insuffisance respiratoire globale • VNI nocturne à domicile Exacerbation hypoxémique aiguë d'une BPCO stade III D le 25.02.2019 • Critère Anthonisen 1/3 Exacerbation infectieuse d'une BPCO avec composante asthmatique Exacerbation infectieuse d'une BPCO stade III D (CVF 66 %, VEMS 41 %, score CAT 26) le 07.02.2019 : • Tabagisme actif à 40 UPA • Consommation de cannabis • Oxygénothérapie à domicile (0.75 l/min, 16h/24) et réhabilitation pulmonaire ambulatoire 2x/semaine à Billens • Dernière hospitalisation pour une exacerbation le 15.01.2019 • Critères Anthonisen : 2/3 Exacerbation lombosciatalgie droite. Exacerbation modérée de BPCO le 07.06.2018 sur arrêt de traitement Hyponatrémie hypovolémique hypoosmolaire à 126 mmol/l le 06.03.2018 sur SIADH Pneumonie du lobe supérieur droit le 14.12.2016 Greffe cutanée à la jambe gauche pour plaie Appendicectomie par Mc Burney Hystérectomie Amygdalectomie Syndrome de la veine cave supérieure radiologique 06/2018 Stenting de la VCI le 29.06.2018 (Dr. X) pour thrombus calcifié chronique avec double anti-agrégation Spondylodèse D8-D12 le 14.05.2018 sur fracture pathologique avec infection précoce de matériel d'ostéosynthèse le 25.06.2018 avec révision de plaie Exacerbation modérée de BPCO, stade IV le 05.02.2019 avec : • Insuffisance respiratoire globale • Critères d'Anthonisen 1/3 (augmentation de la quantité des expectorations). Exacerbation sévère de la BPCO le 20.12.13 Cholécystectomie pour une lithiase vésiculaire en 2008 Exérèse d'une tumeur osseuse calotte crânienne en 1980 (hémophile granulome) opérée à Zurich Angor stable dans le cadre d'une maladie coronarienne bitronculaire avec : • STEMI inférieur le 02.12.2012 (PCTA-Stent(DES) de la CD (Prof. X); sténose significative de l'IVA moyenne à 70-90%; FEVG 63% • Coronarographie avec PTCA et stent (DES) de l'IVA moyenne le 04.02.2013 (Dr. X), FEVG 78% • Coronarographie le 12.03.2014 (Dr. X) : dans les limites de la norme, pas de resténose Exacerbation légère sur infection virale d'une BPCO stade II selon GOLD le 08.03.2014 • Fonctions pulmonaires du 05.2013 (Dr. X) : syndrome obstructif modéré et troubles de diffusion légers • Facteurs de risque : tabagisme actif Gastro-entérite au décours 08.03.2014 Exacerbation sur Influenza A d'une BPCO de stade II selon GOLD sur tabagisme chronique actif • Critères d'Anthonisen 2/3 • Status après multiples exacerbations en 2008, 2011, dernière réhabilitation à Billens en février 2011 • VEMS à 2.17 l soit 75% du prédit et DLCO normale (115% du prédit) en novembre 2018 • Composante d'asthme bronchique associée • Traitement : Atrovent solution pour inhalation 250 mcg 6x/j + Ventolin 10-12 gouttes 6x/j (la patiente refuse tout inhalateur de longue durée d'action) • Suivi par Dr. X Exacerbations de myoclonies mâchoire et membres supérieurs Examen au spec Examen gynécologique US Stix Examen au speculum Frottis bactériologique vaginal (en cours) US Examen gynécologique Examen avec collyre oxybuprocaïne et fluorescéine. Oculac SDU à domicile. Contrôle ophtalmologique ambulatoire le 11.02.2019. Examen avec explication donnée par le médecin : • Laboratoire • Sédiment urinaire Retour à domicile avec antalgie simple. Metamucil patch. Conseil de reconsulter en cas de péjoration clinique. Examen avec explication donnée par le médecin : • Laboratoire. Avis neurologique (Dr. X) : pas d'argument pour une origine centrale des vertiges. Avis ORL (Dr. X) : argument pour un diagnostic de neuronite gauche, ad Tanganil 500 mg i.v., puis Betaserc 16 mg 3x/jour, Prednison 50 mg sur 5 jours, consultation en ORL le 25.02.2019 pour suite de prise en charge avec audiogramme et vHIT. Retour à domicile avec Betaserc 16 mg 3x/jour, Prednison 50 mg pendant 5 jours. Consultation demandée en ORL pour le 25.02.2019 avec audiogramme et vHIT. Examen avec explication donnée par le médecin : ECG le 14.02.2019 : bradycardie et BAV de 1er degré. Aprovel 300 mg aux urgences Modification du traitement antihypertenseur avec passage à de l'Olmesartan Plus 40/25 mg. Contrôle journalier de la tension à la pharmacie. Maintien du rendez-vous chez le médecin traitant le 27.02 pour contrôle de la tension et de la tolérance du nouveau traitement. Une investigation cardiologique serait à rediscuter pour la présence d'un souffle systolique 2/6 au foyer aortique mis en évidence à l'examen clinique des urgences, si ce dernier n'était pas déjà connu. La patiente est informée qu'elle doit reconsulter aux urgences si ses tensions ne sont toujours pas contrôlées après 4 jours depuis le début du nouveau traitement. Examen avec Oxybucaïne et Fluorescéine. Antalgie. Floxal pommade oculaire et pansement ophtalmique. Consultation le 12.02.19 en ophtalmologie HFR. Examen clinique Examen clinique Examen clinique. Examen clinique. Examen clinique. Examen clinique. Examen clinique. Examen clinique : appareil dentaire cassé. Ablation de l'appareil dentaire. Suivi chez son orthodentiste le lundi 11.02.2019 déjà prévu. Examen clinique. Avis du Dr. X, chirurgien de garde. Désinfection. Pansement. Antibiothérapie pendant 5 jours et antalgie. Désinfection et réfection des pansements journaliers. Contrôle chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Examen clinique : bonne évolution clinique. Patient vu par Dr. X, chirurgien. Pansement avec Ialugen compresses et bandages au niveau de l'auriculaire et de la cuisse. Pansement avec Ialugen au niveau du scrotum. Arrêt de travail du 27.01.2019 au 05.02.2019. Antalgie simple en réserve (il a déjà une ordonnance). Contrôle à la policlinique avec Dr. X le 05.02.2019. Examen clinique : dans la norme. Antalgie. Consultation chez le médecin traitant si persistance des symptômes ou apparition de déficit neurologique : • IRM à discuter à la recherche d'une évolution d'hernie discale. Examen clinique : desquamation diffuse du coude, de 4 cm proximalement au pli du coude jusqu'à 7 cm distalement, avec 2 dermabrasions suintantes en regard de l'épicondyle et de l'épitrochlée, d'environ 2 cm de diamètre chacune, sans écoulement à la pression ni collection sous-cutanée palpée. Laboratoire. Cf. annexes. Réfection de pansement avec application de Telfa sur les 2 dermabrasions suintantes en regard de l'épicondyle et de l'épitrochlée. Prochain contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 16.02.2019 pour une réfection du pansement et avis auprès du Dr. X. Examen clinique : pas de déficit neurologique. Radiographie de la colonne lombaire face/profil : décrite ci-dessous. Antalgie par Dafalgan/Irfen d'office, Tramal en réserve (conduite non autorisée). Physiothérapie pour hygiène du dos. Suivi clinique chez le médecin traitant. Arrêt de travail donné. Examen clinique : pas de douleur au niveau thoracique Rx lombaire : fracture type tassement T11 sévère. Examens effectués aux urgences expliqués à la patiente par le médecin. Attitude : IRM en ambulatoire Examen clinique : pas de fracture, pas d'hématome de la cloison nasale Traitement symptomatique Examen clinique. • Poursuivre antibiothérapie, désinfection avec Betadine liquide puis bien sécher avec compresses. • Contrôle à la filière 34 le 15.02.2019. Examen clinique : Romberg négatif Physiothérapie Examen clinique : sp. Radiographie de thorax : pas de foyer, pas d'épanchement pleural. Laboratoire : aligné. Cf. annexes. Test de grossesse urinaire négatif. Test HIV à pister. Avis du psychiatre de garde du RFSM de Marsens : ok pour une hospitalisation à Marsens avec un transfert le 27.02.2019. Départ avec le transporteur. Transxilium 5 mg aux urgences. Examen clinique : Status neurologique dans la norme Avis chirurgical (Dr. X) CT natif : pas de fractures ni d'hémorragie intra-crânienne. Examen clinique : status neurologique pathologique mais comparable selon le père et le patient à d'habitude. Avis du Dr. X, chirurgien. Surveillance neurologique à domicile durant 24 heures. Examen clinique à J 5 post-traumatisme. Réassurance. RAD avec antalgie. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Analyse d'urine et culture (résultats à envoyer chez le médecin traitant) : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Uvamin retard 100 mg 2 fois par jour pour 5 jours. Contrôle clinique chez le médecin traitant le 14.02. Examen clinique. Antalgie. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant à J4. Examen clinique. Antalgie et anti-inflammatoire. Retour à domicile. Consultation chez le médecin traitant si persistance des symptômes après 5 jours de traitement. Examen clinique. Antalgie et musculo relaxant. Retour à domicile. Antalgie. Examen clinique. Antalgie et traitement relaxant musculaire. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Antalgie par Dafalgan et Irfen. Examen clinique. Antalgie simple. Feuille de contrôle neurologique donnée au patient. Examen clinique. Antibiotique par Amoxicilline pour 7 jours. Dafalgan et Irfen. Patient reconsultera en cas de péjoration clinique. Examen clinique. Arrêt de travail du 02.02 au 04.02. Antalgie par Dafalgan et Brufen au besoin (pas besoin d'ordonnance). Conseil de bien s'hydrater. Examen clinique, arrêt spontané. Laboratoire : cf. annexes. INR 1.0, PTT 36 sec, tests hépatiques sp, Hb. Contrôle chez l'ORL dans 3-4 jours. Examen clinique. Attitude : • retour à domicile avec Xyzal en réserve et Locoid crème. Examen clinique. Attitude : • Traitement antalgique. • Physiothérapie. • Consultation chez le médecin traitant si persistance des douleurs. Examen clinique. Attitude : • Retour à domicile avec traitement symptomatique, contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique avec toucher rectal. Radiographie du coccyx : décrite ci-dessous. Antalgie avec Voltaren. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Avis du Dr. X. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant pour réaliser un profil tensionnel et adapter le traitement si nécessaire. Examen clinique. Avis du Dr. X et de la Dresse X, orthopédistes. Antalgie. Attelle jeans 20°. Cannes. Clexane. Rendez-vous chez Dr. X la semaine prochaine dès que possible. Examen clinique. Avis Ortho X : hospitalisation pour surveillance, antalgie avec IRM demain à 21 h 00. ATT • hospitalisation Examen clinique. Avis orthopédique (Dr. X) : pas d'atteinte de la coiffe des rotateurs, traitement symptomatique, arrêt de travail, physiothérapie et contrôle si persistance de la symptomatologie à IRM. Examen clinique. Avis orthopédique : pas de red flags, Lasègue positif à 50° à droite, pas de perte de force ou de sensibilité, douleurs à la palpation lombaire paravertébrale droite. Traitement symptomatique, contrôle chez le médecin traitant. Attitude : • Retour à domicile avec traitement antalgique, arrêt de travail et physiothérapie. • Nous proposons au patient de revenir s'il présente une aggravation des symptômes, survenue de perte de force ou de sensibilité, incontinence fécale ou globe vésical. Examen clinique. Bilan biologique. Stop Clexane, stop Aspirine. Avis chirurgical (Dr. X) : pas de sang sur le doigtier donc pas de saignement actif, surveillance clinique, biologique et paraclinique. Transfert en lit d'observation. Hydratation NaCl 0.9 1000ml/24h. Nexium bolus 80mg intraveineux. Nexium 8mg/h sur 24h. Transfert en gériatrie aiguë. Examen clinique. Bilan radiographique : poignet gauche face/profil : légère arthrose radio-carpienne, présence de la bascule postérieure d'env. 10°. Pas de déplacement secondaire par rapport aux radiographies initiales. Mise en place d'un plâtre AB circulaire. Contrôle à la consultation orthopédique des urgences le 20.02.19. Examen clinique. Bilan radiographique : fracture extra-articulaire de l'extrémité distale du radius droit avec déplacement postérieur. Réduction fermée. Immobilisation par un plâtre AB fendu. Radiographie poignet droit face/profil post réduction : rétablissement d'une pente volaire d'env. 10°. Antalgie standard. Contrôle radio-clinique à 7 jours à la consultation orthopédique des urgences. Examen clinique. Bilan sanguin. Avis du Dr. X. CT abdominale injecté. Grand lavement par Practomil. Traitement symptomatique par laxatif. Xprep le 8.02. Movicol et Laxoberon d'office comme traitement de fond. Examen clinique. Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour durant 7 jours. Rhino stop spray nasal durant 3 jours. Antalgie par Irfen. Contrôle clinique chez le médecin traitant à 5 jours. Examen clinique comparable au status du 14.02.2019. Majoration de l'antalgie. Réassurance de la patiente et de sa maman. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 7 jours. Arrêt de sport durant 10 jours. Examen clinique. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 16.02.2019 et retrait des fils chez le médecin traitant à 10 jours. Examen clinique. CT-scanner cérébral : décrit ci-dessous. Antalgie. Arrêt de travail. Examen clinique. CT-scanner cervical en complément du CT cérébral : décrit ci-dessous. Antalgie et repos. Examen clinique, culture de dermatophytes en cours, désinfection et réfection pansement. Attitude : • Retour à domicile. • Prendre rendez-vous chez un podologue près de chez elle. • Rendez-vous chez médecin traitant fin de semaine ou début semaine prochaine pour contrôle clinique et résultat culture. Examen clinique. Dafalgan aux urgences. Streptotest négatif. Examen clinique. Dafalgan 1 g et Brufen 400 mg aux urgences. Traitement antalgique symptomatique par paracétamol, Brufen et glaçage. Examen clinique dans la norme. Réassurance. Bilan biologique à prévoir chez médecin traitant. Critères de gravité communiqués à la patiente qui nécessiterait une reconsultation. Examen clinique dans la norme. Réassurance. Maintien de l'attelle jeans et des béquilles, avec charge complète possible. Majoration de l'antalgie. Examen clinique dans la norme. Conseils d'arrêt du cannabis. Traitement symptomatique. Consignes d'hydratation communiquées. Critères de gravité communiqués qui nécessiterait une consultation. Examen clinique. Désinfection à la Bétadine. Anesthésie en bague par Rapidocain bicarbonatée. Champage stérile. Exploration de la plaie. Retrait de corps étrangers superficiels. Pansement compressif. Désinfection et rinçage à la Bétadine/NaCl 2x/jour avec réfection du pansement à domicile. Contrôle chez le médecin traitant à J3. Examen clinique. Désinfection à la Bétadine. Champage stérile. Anesthésie locale par Rapidocaïne et bicarbonate. Incisions longitudinales d'environ 2 cm de longueur. Rinçage au NaCl abondamment et méchage. Mise en place d'une mèche. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires et ablation de mèche le 02.02.2019 à 9h00. Le patient devra être vu par le Dr. X, chirurgien, le lendemain, post-ablation de mèche le patient devra faire des douches 4x/24h. Voir le 02.02.2019 la suite si le patient doit être suivi en policlinique de chirurgie ou chez son médecin traitant. Examen clinique. Désinfection à l'octenisept, rinçage à l'aiguille boutonnée, anesthésie locale et 3 points de sutures. Pansement stéristrip et Adaptic, compresse à garder durant 48h. Rappel anti-tétanique. Co-Amoxicilline 1g durant 7 jours. Mesures et conseils transmis à la patiente. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48h.Retrait des fils dans 7-10 jours. Examen clinique. Désinfection à l'octenisept, rinçage à l'aiguille boutonnée, anesthésie locale et 3 points de suture. Pansement stéristrip et Adaptic, compresse à garder durant 48h. Rappel anti-tétanique. Co-Amoxicilline 1g durant 7 jours. Mesures et conseils transmis à la patiente. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48h. Retrait des fils dans 7-10 jours. Examen clinique. Désinfection, anesthésie à la Rapidocaïne, investigation à l'aiguille boutonnée, suture avec 7 points, prolène 5. Pansement simple. Contrôle de la plaie au secteur ambulatoire des urgences à 48h. Examen clinique. Désinfection. Champage. Anesthésie locale par Rapidocaïne bicarbonatée. Suture par points simples à l'Ethilon 4-0. Opsite spray. Rappel anti-tétanique aux urgences TD-Pur. Retrait des fils à J10 à la filière des urgences ambulatoires le 12.02 (selon patiente, son médecin traitant ne désire pas retirer les fils). Examen clinique. Désinfection et pansement compressif. Refus du vaccin Tétanos. Examen clinique, désinfection et réfection du pansement. Retour à domicile avec ordonnance pour matériel de réfection de pansement, poursuite de l'antalgie et de l'antibiothérapie. Rendez-vous chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examen clinique. Discussion avec le mari pour des soins de confort. Retour au home avec prise en charge antalgique. Examen clinique douleur élective à la palpation. CT scan thoracique : suspicion d'imagerie de lésion osseuse sans répercussion pleurale. Suite de la prise en charge au CHUV. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Stix/sédiment urinaire : cf. annexes. Retour à domicile. Traitement antalgique. Dafalgan/Irfen/Sirdalud. Contrôle clinique à 48h chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. ECG : cf annexes. RX de thorax : cf ci-dessous. Laboratoire et sédiment urinaire : cf annexes. Urotube : suit. Ad Rocéphine 2g IV pour 7 jours. Examen clinique. ECG : cf annexe. TNI. Laboratoire : cf annexes. Ad Paracétamol, Ulcar, IPP IV. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. CT-scanner abdominal : décrit ci-dessous. Avis du Dr X, chirurgien : une pancréatite débutante ne peut pas être exclue. Retour à domicile avec Pantozol 40 mg pendant 2 semaines. Contrôle à la filière des urgences le 24.02 pour contrôle et tests hépato-pancréatiques. Examen clinique. ECG : cf annexe. Antalgie. Retour à domicile. Examen clinique. ECG : cf annexe. Consultation chez le médecin traitant si un nouvel épisode se présentait. Examen clinique. ECG : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Examen clinique. ECG : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Efient 60 mg, liquémine 5000, Aspegic 500 mg IV. Avis des soins intensifs de l'HFR Fribourg. Transfert à l'HFR Fribourg en ambulance pour coronarographie. Examen clinique. ECG : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Avis du psychiatre de garde. Hospitalisation au RFSM Marsens, unité Jasmin. Examen clinique. ECG : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Ad Pantozol 40 mg IV. Ulcar en réserve. Nitroglycérine en réserve. Examen clinique. ECG : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. 2 paires d'hémocultures : cf annexes. Traitement symptomatique anti-inflammatoire et anti-douleurs. Examen clinique. ECG : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Suivi chez le médecin traitant. Évaluation neurologique à distance. Examen clinique ECG du 27.01.2019 Laboratoire Sédiment urinaire Deux paires d'hémocultures Antigènes urinaires : négatifs Radiographie du thorax Co-Amoxicilline 1.2g en intraveineux 3x/j durant 7 jours Examen clinique et laboratoire. Avis du Dr X, chirurgien. Désinfection cutanée par Bétadine. Anesthésie locale par Lidocaïne 1%. Incision de 1cm. Drainage. Exploration avec aiguille boutonnée avec NaCl 0.9% et Bétadine. Pansement sec. Rendez-vous à la policlinique de chirurgie le 07.02.2019 à 14h15. Rendez-vous à la consultation chirurgicale avec Dr X dans 3 semaines. Arrêt de travail. Examen clinique et radiographie. Attelle Jeans à droite et bandage antalgique à gauche, Clexane, cannes anglaises. Antalgie et contrôle chez l'orthopédiste, Dr X dans 1 semaine. Arrêt de travail. Examen clinique. Explication préalable pour les différents examens : Laboratoire : cf annexes. ECG. CT abdomino-pelvien avec triple contraste : rapport oral : pas d'appendicite, pas de colite, pas de liquide libre dans l'abdomen, pas d'iléus, pas d'hématome du psoas. Examen clinique. Explication préalable pour les différents examens : Laboratoire. Urine. Uro-CT natif et injecté (Dr X) : pas de calcul néphrotique vu sur le natif, pas de masse au niveau des reins ou de la vésiculaire sur le passage injecté. Avis chirurgical (Dr X) : recontrôle des urines à 48 heures en Filière 34, demande l'avis de l'assistant de l'urologie. Le patient consultera son urologue, Dr X, pour un contrôle en ambulatoire. Examen clinique. Explication préalable pour les différents examens : Radiographie bassin face/hanche axiale : pas de fracture visualisée, calcification de la bourse trochantérienne, minime lésion ostéolitique de 0.7 x 0.4 mm en regard de la jonction tiers proximal tiers médial du fémur. Antalgie standard avec glace 4-6x/jour. Charge selon douleur avec cannes. Contrôle chez le médecin traitant le 25.02.2019. Examen clinique. Explication préalable pour les différents examens CT colonne cervicale : rapport oral Dr X : pas de fracture de la colonne cervicale. Minerve souple. Examen clinique. Fiche d'instructions post-traumatisme crânien donnée. Reconsulter si apparition de signe neurologique (patiente infirmière). Examen clinique Hémocultures 2 paires Laboratoire RX thorax - pas de foyer Sédiment urinaire le 19.01 Uricult : positif pour E. Coli Rocéphine 2 g IV dès 20.01 jusqu'au 26.01.2019. Examen clinique : hypoesthésie face ulnaire du 5ème doigt. Force des fléchisseurs profonds conservée. Perte de force fléchisseur superficiel. Pas de trouble vasculaire. Radiographie de la main gauche : décrite ci-dessous. Désinfection Bétadine. Anesthésie locale à Lidocaïne 0.1 % et Bicarbonate. Exploration de la plaie par Dr X : saignement actif pulsatile, plaie autrement non explorable en raison du saignement. Probable section d'une branche de l'artère ulnaire. Point à l'Éthylène 4-0 mis au niveau de la peau. Pansement compressif. Avis orthopédique à l'HFR Fribourg : pas de place, refuse le patient, donc appel au CHUV. Avis du Dr X, chirurgien de la main au CHUV : • Attelle plâtrée poignet à 30° et MCP 70° flexion • Co-Amoxicilline 1g 3x/jour • À jeun dès minuit le 03.02 et rendez-vous aux urgences du CHUV pour opération en chirurgie de la main le 04.02. Vaccin antitétanique à jour (2013). Examen clinique incomplet, Mme. Y décide de partir contre avis médical, décharge signée. Examen clinique. IRM de la jambe gauche : décrite ci-dessous. Avis de Dr X, orthopédiste. Ultrason postérieur de la cuisse organisé pour le 19.02 avec contrôle clinique en filière des urgences ambulatoires ensuite. Examen clinique Labo : leuco 14.9G/l, CRP 40mg/l, Hb 123g/l, Créat 86, PTT 53s, INR 1.2, Na 128mmol/l, Osmolal 276, K 3.3mmol/l Clairance selon Cockroft 39.6 U/S MIG : pas de signe de thrombose Att : Délimitation de l'érythème Ttt AB IV par Co-Amoxicilline 2.2g IV dose de charge puis 1.200mg 3x/j pendant 10 jours, prolongation à évaluer selon évolution RAD EMS médicalisé qui feront les perfusions Médecin passera mercredi 20.02, évaluation clinique + labo. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Aspirine IV 500mg, Efient 60 mg, Morphine IV 4 mg.Transfert à l'HFR Fribourg, départ en ambulance. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis chirurgical du Dr. X. Traitement symptomatique par Brufen. Contrôle chez le médecin traitant en fin de semaine. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, leucocytes à 11G/l, Tc à 232G/l. Avis du Dr. X, chirurgien. • CT-scan pour visionner la profondeur de la lésion et si présence de fistule : décrit ci-dessous. • Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 20.02.2019 avec CT-scan à 13h (le patient ne pouvait pas venir avant). • Le patient sera à jeun 4h avant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CT-scan du neurocrâne : décrit ci-dessous. IRM du neurocrâne organisée pour le 08.02.2019 en ambulatoire avec contrôle à la filière des urgences ambulatoires. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Gazométrie : cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR à 58/min, PR régulier à 160msec. QRS à 80msec, axe à 60°, aspect en BBD. Transition de l'onde R en V4. Onde Q isolée en avR. Absence de troubles de la repolarisation. QTc à 408msec. Test de Schellong : négatif. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Proposition de suivi psychologique. Prévoir des investigations complémentaires rythmologiques en cas de persistance des symptômes. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Primpéran 10 mg. Temesta 1 mg. Manœuvre de Epley. Suivi chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie et CT-scan : décrits ci-dessous. Immobilisation du membre supérieur droit dans un gilet orthopédique. Antalgie par Dafalgan, Ibuprofen, Tramadol. Pas de place à l'hôpital, donc la patiente rentre chez son fils et sera recontactée pendant la matinée du 07.02.2019 pour suite de la prise en charge. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien : CT-scan abdominal : décrit ci-dessous. Antalgie à domicile. Poursuite du traitement antibiotique jusqu'au 02.02.2019. Suivi à la consultation chirurgicale du Dr. X le 04.03.2019. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Hydratation au NaCl 1000 ml. Antiémétique par Primperan. Contrôle clinique auprès du médecin traitant en fin de semaine. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. 1000 ml de NaCl 0.9%. Dafalgan 1g IV. Primperan 10mg IV. Critère de Centor : 0. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Antalgie. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant à J4. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Avis du Dr. X. Contrôle clinico-biologique (FSS, CRP, coagulation) chez le médecin traitant dans 1 semaine. Reconsulter les urgences si hyperpyrexie ou crachats. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Avis du Dr. X et du Dr. X. Avis neurologique du Dr. X : reprise de la Prednisone à raison de 60 mg/j pour 7 jours, ENMG et consilium neurologique le 14.02. Envisager une IRM en cas de mauvaise évolution. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Avis du Dr. X, chirurgien de garde. CT-scanner cérébral : décrit ci-dessous. Désinfection par Hibidil. Exploration de la plaie. 5 points simples avec Ethilon 5-0. Pansement Adaptic touch, compresse stérile. Contrôle de plaie dans 2 jours chez le médecin traitant. Ablation des fils dans 5 jours chez le médecin traitant. Vaccin anti-tétanos. Feuille de surveillance neurologique post-traumatisme crânien simple. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Avis du Dr. X, chirurgien de garde. CT-scanner cérébral : décrit ci-dessous. Feuille de surveillance post-traumatisme crânien donnée au patient. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Avis du Dr. X. Arrêter la désinfection locale avec de l'alcool. Hydratation cutanée par pruri-med lipolotion 1 application par jour. Xyzal en réserve 5 mg max 1x/jour pour la journée. Atarax 25 mg si prurit nocturne max 1x/jour. Contrôle chez le médecin traitant si besoin. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Culture bactérienne de la plaie de la muqueuse. Avis du Dr. X. Avis du Dr. X, ORL de garde. Rendez-vous à la consultation ORL le 18.02. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. ECG : cf annexe. Avis psychiatrique. Transfert en ambulance à Marsens avec PAFA. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. ECG : cf annexe. CT-scanner cérébro-cervical : décrit ci-dessous. Test de Schellong : négatif. Avis du Dr. X, chirurgien de garde : surveillance neurologique pendant la nuit. Bilan supplémentaire à organiser en ambulatoire par le médecin traitant. Arrêt de travail (car interdiction de conduire) jusqu'au rendez-vous avec le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. ECG : cf annexe. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Bilan cardiologique à distance. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. ECG : cf annexe. Retour à domicile avec antalgie simple. Pister résultats des valeurs thyroïdiennes chez le médecin traitant et organiser le Holter avec le médecin traitant pour le 11.02. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. ECG : cf annexe. Stix, sédiment urinaire : cf annexe. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. 1000 ml NaCl 0.9%. Morphine IV 4 mg. Voltaren 75 mg, Buscopan 10 mg. Ultrason abdominal le 27.02.2019. Contrôle clinico-biologique en filière des urgences ambulatoires le 27.02.2019. Examen clinique Laboratoire : cf annexes. IRM de l'abdomen : décrite ci-dessous. Contrôle chez le médecin traitant à la fin de la semaine. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. NaCl 0.9% 1000 ml IV. Primperan 10 mg IV. Nexium 40 mg IV (sans soulagement des douleurs). Voltaren 75 mg IV. Rendez-vous à jeun le 09.02.2019 à 9h45 pour un ultrason abdominal à la recherche de calculs puis résultats à la filière des urgences ambulatoires. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Perfusion 1000 NaCl 0.9%. Recherche Clostridium dans les selles. Dafalgan 1 g et Buscopan 20 mg IV. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Pregabaline 50 mg 2x/jour. Bilan rhumatologique à prévoir par le médecin traitant. Suivi chez le médecin traitant prévu le 04.02.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du poignet gauche : décrite ci-dessous. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Avis orthopédique : transfert au bloc opératoire pour prise en charge chirurgicale. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Poursuite de l'antibiotique par Augmentin prescrite par le médecin traitant pour une semaine. Contrôle clinico-biologique à la consultation du médecin traitant en début de semaine prochaine. Reconsulter les urgences si péjoration de la clinique. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. CT-scanner abdominal : décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien. Contrôle clinico-radiologique à la filière des urgences ambulatoires le 25.02 à 10h. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Radiographies de la colonne cervicale, de l'épaule droite et du genou droit : décrites ci-dessous. CT-scanner cervical : décrit ci-dessous. Feuille de surveillance neurologique post-traumatisme crânien simple. Antalgie. Formulaire traumatisme crânio-cervical rempli. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Antalgie simple et Motilium en R. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. ECG : cf annexe. Radiographies de la colonne cervicale, de la colonne dorsale et de l'épaule droite : décrites ci-dessous. CT-scanner cervico-thoracique : décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste.Avis du Dr. X de la Team Spine: mauvaise reconstruction sur position antalgique vs luxation C1-C2. Minerve mousse. Consultation chez la Team Spine le 12.03.2019 à 14h15. Consultation avant à l'HFR Fribourg si péjoration clinique. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Stick urinaire: normal. Ultrason de la paroi abdominale et des voies urinaires: décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien. Antalgie adaptée. Consultation en bloc de gynéco-urologie pour les métrorragies/hématuries macroscopiques. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Trains de troponines négatifs. Streptotest négatif. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Retour à domicile avec poursuite du traitement par Cefpodoxime et Nasonex prescrit par le médecin traitant. Contrôle chez le médecin traitant le 11.02.2019. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Ultrason abdominal: décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien. Traitement symptomatique par antalgiques et anti-inflammatoires. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Uro-CT: décrit ci-dessous. Avis du Dr. X. Traiter comme une PN décapitée avec Rocephine 2g IV aux urgences. Ciproxine 2 x 500 mg PO. Contrôle clinico-biologique en filière des urgences ambulatoires le 12.02.2019 (pister urotube envoyé). Examen clinique. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Traitement symptomatique. Contrôle clinique auprès du médecin traitant dans une semaine. Examen clinique. Laboratoire du 09.02.2019: sans particularité. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Le patient est instruit des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Examen clinique. Laboratoire. Radiographie du thorax. 2 paires d'hémocultures: négatives. Antigènes urinaires: négatifs. Rocéphine 2g intraveineux du 19.01.2019 au 21.01.2019. Examen clinique. Laboratoire. Physiothérapie de mobilisation. Ergothérapie. Suivi en nutrition. Examen clinique: luxation réduite spontanément. Bon de physiothérapie de musculation quadricipitale (qui avait déjà été prescrite pour l'épaule droite). Retour à domicile. Appel du patient à son chirurgien orthopédique (Dr. X) pour le tenir au courant. Examen clinique. Manoeuvre de Hallpike positive pour le canal semi-circulaire postérieur droit. Soulagement immédiat des symptômes à la manoeuvre libératrice de Semont. Reconsulter son ORL si réapparition de sa symptomatologie. Examen clinique. Monitoring cardio-respiratoire. ToxZentrum appel. Examen clinique. Morphine 2 mg à son arrivée aux urgences. Voltaren 75 mg, Dafalgan 1 g. Sirdalud 2 mg. Tramal 50 mg. Arrêt de travail. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique neurologique dans la norme. Surveillance neurologique durant 24h. Examen clinique neurologique. Surveillance neurologique à domicile par les parents. Retour à domicile avec traitement antalgique simple et suivi chez le médecin traitant. Appel à la mère de la patiente le matin suivant. Examen clinique neurologique. Avis chirurgical du Dr. X, chirurgien. CT-scan cérébral le 06.02.2019: décrit ci-dessous. Feuille de conseils des HUG post-traumatisme crânio-cérébral donnée à la mère du patient. Dispense de sport pendant 1 semaine. Examen clinique non concluant pour une origine bactérienne. Antalgie avec spray nasal et anti-toussif. Consultation chez le médecin traitant dans 5 jours en cas de péjoration des symptômes. Examen clinique. Objet retiré avec une pince à échardes. Retour à domicile. Examen clinique ORL. Retour à domicile avec proposition de rendez-vous chez un ORL en ambulatoire au vu de cette hypoacousie. Examen clinique. Oxygénothérapie. Bilan biologique. Aérosol. Antibiothérapie avec première dose iv aux urgences co-amoxicilline 1200g. Antibiothérapie co-amoxicilline à poursuivre pendant 7j 3x/j. Laboratoire à 48h décision avec médecin traitant si poursuite du traitement antibiotique p.os. Examen clinique: pansement étanche, présence d'hématome sans signe de surinfection. Avis du Dr. X, orthopédiste de garde: laisser le pansement Comfeel et contrôle à deux semaines chez le médecin traitant. Examen clinique: pansement sec qui collait sur la plaie. Réfection du pansement avec tulle gras. Suivi chez le médecin traitant prévu le 11.02 et suite chez lui. Examen clinique: pas de laxité ligamentaire, douleurs en hyperextension du pouce. Radiographie du poignet droit: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste de garde. Attelle de la 1ère phalange de la main droite pendant 2 semaines. Arrêt de sport du 02.02 au 16.02. Antalgie par Algifor junior et Dafalgan sirop. Contrôle en policlinique d'orthopédie à 1 semaine. Examen clinique. Pas de trouble du champ visuel, pas de corps étranger visualisé. Test à la fluorescéine. Vitamine A. Pansement. Examen clinique. Patient vu par le Dr. X. Avis du Dr. X, ophtalmologue: rendez-vous de contrôle le 02.02 à 16h à l'HFR Fribourg. Examen clinique. Patiente vue par le Dr. X, gynécologue. Laboratoire: cf annexes. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Physiothérapie pour apprentissage de l'hygiène du dos. Antalgie par Irfen, Dafalgan et Tramal en réserve. Arrêt de travail. Suivi clinique chez le médecin traitant à 5 jours. Examen clinique: plaie calme, crouteuse avec berges rapprochées sans signe de déhiscence de la plaie. Ablation des fils le 02.02.2019 (5 points). Examen clinique. Poursuite du traitement symptomatique. Contrôle clinique auprès du médecin traitant dans une semaine. Examen clinique. Radiographie: décrite ci-dessous. Attelle Edimbourg. Antalgie (Irfen + Dafalgan donné au patient). Patient à jeun à partir de minuit. Le patient va être reconvoqué demain par l'orthopédiste pour suite de la prise en charge (078/830.06.58). Arrêt de travail donné. Examen clinique. Radiographie: décrite ci-dessous. Immobilisation dans un plâtre gantelet fendu du côté radial. Fiche de surveillance post-plâtre donnée à la patiente. Numéro de la policlinique d'orthopédie donné à la patiente pour prise de rendez-vous dans 7 jours. Arrêt de travail. Antalgie simple. Examen clinique. Radiographie: décrite ci-dessous. Immobilisation dans une attelle plâtrée antébrachiale côté radial. Radiographie de contrôle post-mise en place de plâtre: décrite ci-dessous. Antalgie par Dafalgan 500mg et Ibuprofène 200mg (patiente de 60kg). Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine (la patiente habite à Payerne et ne souhaite pas reconsulter en policlinique d'orthopédie). Examen clinique. Radiographie de la cheville droite: décrite ci-dessous. Attelle Aircast pour 6 semaines. Antalgie par Dafalgan et AINS. Contrôle clinique dans une semaine à la consultation de son médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Traitement conservateur pendant 6 semaines. Attelle postérieure plâtrée pendant 1 semaine. Radiographie post-plâtre de la cheville droite: décrite ci-dessous. Décharge et marche avec cannes anglaises. Prophylaxie antithrombotique 40 mg 1x/jour (première dose reçue aux urgences). AINS et antalgie simple. Contrôle à la consultation du Dr. X dans 1 semaine pour la pose d'un plâtre circulaire. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite: décrite ci-dessous. CT-scanner de la cheville droite: décrit ci-dessous. Attelle Aircast pour 6 semaines. AINS. Contrôle dans 1 semaine en policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Radiographie de la cheville gauche: décrite ci-dessous. Avis au colloque orthopédique du 19.02.2019. Antalgie à domicile (pas besoin d'ordonnance). Attelle Aircast.Contrôle à 1 semaine en policlinique d'orthopédie avec assistant. Examen clinique. Radiographie de la cheville gauche: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Attelle plâtrée jambière postérieure. Antalgie, AINS. Pas de Clexane. Rendez-vous à une semaine en policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Radiographie de la cheville gauche: décrite ci-dessous. Antalgie. Attelle Aircast. Suivi chez le médecin traitant dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie de la cheville gauche et du calcanéus gauche: décrite ci-dessous. Bande élastique. Antalgie. Arrêt de sport pendant une semaine. Contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours. Examen clinique. Radiographie de la cheville gauche: fracture de la base du 5ème métatarse d'allure ancienne. Bande. Anti-inflammatoire. Protocole RICE. Examen clinique. Radiographie de la clavicule gauche: décrite ci-dessous. Rucksack pour 4 semaines. Antalgie. Arrêt de sport. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine et à 4 semaines. Examen clinique. Radiographie de la clavicule gauche faite chez la pédiatre. Rucksack. Antalgie par Algifor. Arrêt de sport. Contrôle à la policlinique d'orthopédie le 22.02 (ce dernier part en camp de ski la semaine prochaine et souhaiterait quand même y aller malgré l'arrêt de sport). Examen clinique. Radiographie de la colonne cervicale: décrite ci-dessous. Antalgie simple par Algifor. Avis du radiologue de garde à l'HFR Fribourg. Avis du Dr. X, orthopédiste. Minerve mousse pendant 5 jours. Les images radiologiques seront vues au colloque du matin puis en fonction la patiente sera reconvoquée pour radiographie fonctionnelle. Patiente reconvoquée à la filière des urgences ambulatoires à 10H45 pour radiographies fonctionnelles cervicales: prendre avis orthopédique et discuter d'un scanner. Examen clinique. Radiographie de la colonne lombaire: décrite ci-dessous. Avis et passage du Dr. X, chirurgien. Traitement antalgique. Consultation chez son médecin traitant si persistance des douleurs à 1-2 semaines. Examen clinique. Radiographie de la hanche droite: décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X et du Dr. X, orthopédiste. CT-scan de la hanche: décrit ci-dessous. Retour à domicile avec cannes anglaises, protocole RICE, arrêt de sport jusqu'à rémission complète. Contrôle chez l'orthopédiste traitant si persistance des symptômes, ou aux urgences si apparition de nouveaux symptômes. Examen clinique. Radiographie de la hanche gauche et du bassin: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Antalgie simple avec AINS d'office. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 04.03.2019. Examen clinique. Radiographie de la jambe gauche: décrite ci-dessous. Attelle Aircast pour 6 semaines. AINS pour 5 jours puis en réserve selon douleurs. Ne désire pas d'arrêt de travail. Contrôle à 2 semaines chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie de la jambe gauche: décrite ci-dessous. Ultrason des parties molles: décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. IRM le 18.02 à 16h00 et contrôle en filière des urgences ambulatoires ensuite. Avis du Dr. X, orthopédiste. Marche en charge au seuil des douleurs avec cannes. Ecofenac crème et Clexane 40 mg pour 10 jours en raison de l'hématome sur la face postérieure de la cuisse. Examen clinique. Radiographie de la main droite: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Attelle Edimbourg. Antalgie. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 28.02 à 13h15 pour discussion d'une intervention chirurgicale. Examen clinique. Radiographie de la main droite (faite par la Dresse X, Bulle): décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Traitement conservateur par attelle Edimbourg. Antalgie. Arrêt de travail. Contrôle chez le Dr. X le 20.02 à 18h30, avec réalisation de radiographies de contrôle de profil strict pour décider de la suite de la prise en charge (prise en charge chirurgicale en cas de bascule >30°). Examen clinique. Radiographie de la main gauche: décrite ci-dessous. Consultation avec le Dr. X le 15.02 pour discussion d'une intervention chirurgicale ou suivi clinique et radiologique ambulatoire. Dans l'intervalle, immobilisation par attelle Edimbourg. Attelle Edimbourg et bretelle de soutien. Arrêt de sport et de travail. Antalgie. Examen clinique. Radiographie de l'avant-bras gauche: décrite ci-dessous. Patient vu par la Dresse X, orthopédiste. Attelle coude postérieure. Transfert en ambulance à l'Hôpital de l'Enfance de Lausanne en vue d'une éventuelle opération en urgence. Examen clinique. Radiographie de l'avant-bras gauche face/profil: décrite ci-dessous. Avis de l'orthopédiste, le Dr. X. Augmentation de l'ouverture du plâtre antébrachial. Incision du Jersey. Contrôle à la policlinique d'orthopédie prévue le 22.02.2019. Examen clinique Radiographie de l'épaule droite: décrite ci-dessous. Examen clinique. Radiographie de l'épaule droite: décrite ci-dessous. Radiographie des articulations acromio-claviculaires des deux côtés: décrite ci-dessous. Antalgiques et anti-inflammatoires. Immobilisation du membre supérieur droit dans un gilet orthopédique. Contrôle clinique le 22.02 à la consultation du Dr. X. Examen clinique. Radiographie de l'épaule droite: décrite ci-dessous. Réduction fermée par la Dresse X sous anesthésie générale (curare, Propofol, Fentanyl) avec contrôle radiologique par scopie. Radiographie post-réduction de l'épaule droite: décrite ci-dessous. CT-scanner de l'épaule droite: décrit ci-dessous. Gilet orthopédique. Antalgie par Dafalgan, Irfen et Tramadol. Suite de la prise en charge orthopédique à l'Hôpital de Payerne sur souhait du patient. Le patient se charge de prendre rendez-vous. Images radiologiques remises au patient. Examen clinique. Radiographie de l'épaule droite: décrite ci-dessous. Réduction fermée sous Fentanyl et Meopa. Contrôle radiographie post-réduction: décrit ci-dessous. Immobilisation dans un gilet orthopédique. Contrôle radio-clinique dans 1 semaine à la policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Radiographie de l'épaule droite face/Neer: décrite ci-dessous. Attelle Rucksack 6 semaines. Contrôle radioclinique à 1 semaine à la consultation du Dr. X, orthopédiste. Antalgie. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie de l'épaule gauche: décrite ci-dessous. Antalgie et AINS. Physiothérapie. Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examen clinique. Radiographie de l'épaule gauche: décrite ci-dessous. Antalgie. Physiothérapie. Arrêt de travail. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie de l'épaule/bras droit: décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X. CT-scanner de l'épaule droite: décrit ci-dessous. Gilet orthopédique pendant 6 semaines. Le patient sera contacté le 27.02 en cas de prise en charge chirurgicale selon discussion au colloque du 26.02.2019. Antalgie par Dafalgan et Brufen. Rendez-vous en policlinique d'orthopédie à 7 jours. Certificat de validation qu'il puisse partir à l'étranger, avec accord du Dr. X à scanner au patient. Examen clinique. Radiographie du bras gauche: décrite ci-dessous. Antalgie simple. Examen clinique. Radiographie du calcanéus gauche: décrite ci-dessous. Retour à domicile avec bande élastique, glace et antalgie. Reconsulter les urgences si persistance des douleurs ou péjoration de la clinique. Examen clinique. Radiographie du coude gauche: décrite ci-dessous. Antalgie Paracétamol, Brufen, Fentanyl (22 kg). Attelle. Avis orthopédique du Dr. X: transfert à l'HFR Fribourg en urgence pour la prise en charge chirurgicale, en accord avec la Dresse X, orthopédiste à l'HFR Fribourg. Départ en ambulance.Examen clinique. Radiographie du coude gauche: décrite ci-dessous. Attelle BAB plâtrée. Radiographie post-plâtre du coude gauche: décrite ci-dessous. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du coude gauche/face profil: décrite ci-dessous. Mme. Y vue avec le Dr. X, orthopédiste. Bretelle antalgique. Poche à glace. Anti-inflammatoires et anti-douleurs. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant à 4-5 jours. Examen clinique. Radiographie du genou droit: Attelle jeans 20°. Antalgie simple. Marche en décharge avec des cannes. Clexane 40 mg. Rendez-vous à la consultation du Dr. X la semaine prochaine. Examen clinique. Radiographie du genou droit: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Immobilisation dans une attelle jeans. Décharge. Thromboprophylaxie. Antalgie. Arrêt de travail. Contrôle à la consultation du Dr. X le 13.02.2019. Examen clinique. Radiographie du genou face/profil/axiale de rotules: décrite ci-dessous. Attelle jeans, Clexane prophylactique 40 mg 1x/jour sous-cutanée, Dafalgan 4x/jour, 1g selon douleurs et Irfen 600 mg 3x/jour pour 5 jours. Contrôle à la consultation du Dr. X, orthopédiste, à 1 semaine (patient déjà suivi par ce dernier). Arrêt de travail donné. Examen clinique. Radiographie du genou gauche: décrite ci-dessous. Attelle jeans 0°. Marche en charge selon douleurs avec aide de deux cannes anglaises. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg sous-cutanée 1x/24 heures. Antalgie standard par Dafalgan et AINS. Contrôle à la consultation du Dr. X, orthopédiste, à une semaine. Examen clinique. Radiographie du genou gauche: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X. Immobilisation dans une attelle jeans à 20°. Marche avec des cannes anglaises. Antalgie simple. Thromboprophylaxie par Clexane. Contrôle dans une semaine chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du genou gauche: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste de garde. Attelle mobile. Cannes anglaises. Charge partielle. Antalgie. Arrêt de travail. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 13.02.2019. Examen clinique. Radiographie du genou gauche: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Décharge partielle en marchant avec des cannes anglaises. Pas d'immobilisation. Antalgie simple. Contrôle à la consultation du Dr. X. Examen clinique. Radiographie du genou gauche: décrite ci-dessous. Immobilisation dans une attelle jeans. Cannes anglaises. Prophylaxie anti-thrombotique. Antalgie simple. Arrêt de travail. Contrôle à la consultation du Dr. X. Examen clinique. Radiographie du genou gauche et des rotules des deux côtés: décrite ci-dessous. Protocole RICE. Voltaren Lipogel 1%. Physiothérapie pour relâchement musculaire de la chaîne postérieure. AINS et antalgie. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du pied droit: décrite ci-dessous. CT-scanner du pied droit: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Attelle postérieure. Radiographie de contrôle post-plâtre de la cheville droite: décrite ci-dessous. Décharge. Antalgie simple et Clexane. Arrêt de travail. Contrôle à la consultation du Dr. X le 15.02. Examen clinique. Radiographie du pied et de la cheville à droite: décrite ci-dessous. Plâtre attelle postérieure. Radiographie post-plâtre de la cheville droite: décrite ci-dessous. Antalgie et Clexane. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du pied gauche: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Immobilisation dans une attelle postérieure plâtrée. Décharge avec cannes. Antalgie simple. Consultation clinique dans une semaine à la policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Radiographie du pied gauche: décrite ci-dessous. Charges selon douleurs et repos. Examen clinique. Radiographie du pied gauche: décrite ci-dessous. Protocole RICE. Syndactylie. Contrôle à distance chez le pédiatre. Examen clinique. Radiographie du poignet droit: décrite ci-dessous. Immobilisation dans un plâtre AB fendu pouce libre pendant 4 à 6 semaines. Radiographie de contrôle post-plâtre: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste de garde. Bretelle de soutien. Antalgie et AINS. Contrôle chez un orthopédiste proche du lieu de domicile dans 1 semaine avec radiographie et fermeture du plâtre. Contrôle à 4 semaines avec radiographie. Examen clinique. Radiographie du poignet droit: décrite ci-dessous. Plâtre AB fendu durant 4 semaines. Radiographie post-plâtre du poignet droit: décrite ci-dessous. Antalgie par Algifor. Arrêt de sport. Contrôle à la policlinique à 7 jours. Examen clinique. Radiographie du poignet gauche: décrite ci-dessous. Antalgie. Examen clinique. Radiographie du poignet gauche: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste de garde. Plâtre AB circulaire fendu. Radiographie post-plâtre du poignet gauche: décrite ci-dessous. Antalgie. Feuille de surveillance de plâtre donnée à Mme. Y. Ordonnance pour aide ménagère. Contrôle à la consultation du Dr. X le 13.02.2019. Examen clinique. Radiographie du poignet gauche: décrite ci-dessous. Plâtre AB en résine. Radiographie post-plâtre du poignet gauche: décrite ci-dessous. Antalgie. Surélévation du bras. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine pour évaluation de l'évolution clinique (pas de réfection de plâtre si en bonnes conditions). Examen clinique. Radiographie du poignet gauche: décrite ci-dessous. Plâtre AB prenant le pouce pour 6 semaines. Suivi en policlinique d'orthopédie à 1 semaine. Echarpe de surélévation. Antalgie. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du poignet gauche: décrite ci-dessous. Protocole RICE. Antalgie. Attelle velcro. Contrôle à 5-7 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du poignet gauche et du scaphoïde gauche: décrite ci-dessous. Plâtre AB et pouce. Radiographie post-plâtre du poignet gauche: décrite ci-dessous. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans une semaine. Examen clinique. Radiographie du poignet/main gauche: décrite ci-dessous. Plâtre AB fendu. Antalgie simple. Radiographie post-plâtre poignet gauche: décrite ci-dessous. Rendez-vous en policlinique d'orthopédie à 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du pouce droit: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Désinfection bétadinée. Rinçage au Nacl 0.9% à travers la plaie avec une aiguille boutonnée. Pansement Adaptic et bandage. Co-Amoxicilline IV 2,2 g en dose de charge puis Co-Amoxicilline cpr 1 g 2x/jour pendant 5 jours. Antalgie par Dafalgan et Irfen. Rappel du tétanos. Arrêt de travail jusqu'au 18.02.2019. Contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours. Reconsulter les urgences en cas de forte douleur, de fièvre, d'érythème ou de tuméfaction nouvelle. Examen clinique. Radiographie du pouce droit: décrite ci-dessous. Immobilisation dans une attelle en gantelet fendu du côté ulnaire. Antalgie simple. Contrôle en policlinique d'orthopédie en fin de semaine prochaine. Examen clinique. Radiographie du pouce gauche: décrite ci-dessous. Antalgie simple. Attelle Softcast. Contrôle dans 10 jours en policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Antalgie. Examen clinique. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. ECG: cf annexe. Retour à domicile avec antalgie simple. Contrôle chez le médecin traitant si nécessaire. Examen clinique. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Retour à domicile avec antalgie. Examen clinique. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Rocéphine 2 g aux urgences. Administration de Rocéphine 1x/jour à l'hôpital de jour, à organiser par le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du 1er orteil droit: décrite ci-dessous. Antalgie simple, repos et glace. Examen clinique. Radiographie du 1er orteil gauche: décrite ci-dessous. Syndactylie des 1er et 2ème orteils gauches. Conseils de marcher avec des chaussures ayant des semelles rigides en fonction des douleurs. Antalgie par Algifor Junior. Arrêt de sport au moins pour 2 semaines. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Examen clinique. Radiographie du 2ème doigt droit: décrite ci-dessous. Rappel anti-tétanos. Désinfection. Anesthésie. Exploration chirurgicale. Rinçage abondant par NaCl et Bétadine. Suture de rapprochement par Ethilon 4-0. Pansement. Antalgie, Co-Amoxicilline pour 3 jours. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 3 jours. Ablation des fils dans 2 semaines chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du 2ème doigt droit: décrite ci-dessous. Tétanos à jour. Désinfection. Anesthésie en bague avec Lidocaïne et Bicarbonate. Excision des berges. Exploration. Rinçage abondant avec Bétadine. Avis du Dr. X, orthopédiste. Co-Amoxicilline 2.2 mg IV aux urgences. Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour per os pendant 10 jours. Immobilisation avec attelle alu. Arrêt de travail. Retour à domicile avec antalgie. Rendez-vous en policlinique d'orthopédie le 27.02. Examen clinique. Radiographie du 3ème doigt droit. Attelle alu du 3ème doigt en semi-flexion de l'interphalangienne proximale à 30°. Antalgie. Prescription ergothérapie pour attelle. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du 3ème doigt gauche: décrite ci-dessous. Désinfection et exploration de la plaie. Pansement par Adaptic et compresses. Tétanos à jour en 2016. Antalgie par Irfen et Dafalgan. Arrêt de travail jusqu'au 16.02, à réévaluer. Contrôle de plaie à la filière des urgences ambulatoires le 16.02 (patient n'ayant pas de médecin traitant). Examen clinique. Radiographie du 4ème doigt droit: décrite ci-dessous. Avis orthopédique. Attelle métallique dorsale à 20° de flexion. Antalgie et anti-inflammatoire. Dispense de sport. Contrôle à 2 semaines à la policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Radiographie du 4ème doigt droit: décrite ci-dessous. Immobilisation par attelle alu pour 1 semaine. Antalgie. Contrôle à une semaine en policlinique d'orthopédie (parents rappelés, ils prendront rendez-vous). Incapacité de sport. Examen clinique. Radiographie jambe droite. Physiothérapie. Ergothérapie. Nutrition clinique. Tests de la cognition du 11.01.2019: MMSE à 27/30; GDS à 3/15. Examen clinique. Radiographies de la colonne dorsale et du thorax: décrites ci-dessous. Antalgie. Ne souhaite pas d'arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographies de la colonne lombaire et du bassin/hanche droite: décrites ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Antalgie simple. Contrôle dans 2 semaines à la consultation de la Team Spine de l'HFR Fribourg. Examen clinique. Radiographies de la main gauche et de la main droite: décrites ci-dessous. Attelle poignet à but antalgique. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant selon besoin. Examen clinique. Radiographies des épaules gauche et droite: décrite ci-dessous. Tentative de réduction aux urgences sous MEOPA et Dormicum. Avis de la Dr. X, orthopédiste de garde. Transfert en ambulance à l'HFR Fribourg pour réduction sous sédation. Examen clinique rassurant. Consignes de surveillance à domicile. Examen clinique rassurant, discrets tremblements du membre supérieur gauche au Barré. Antalgie aux urgences. Hospitalisation volontaire au RFSM de Marsens validée, unité Vénus. Départ avec ses proches. Examen clinique rassurant. Antalgie par Dafalgan et Irfen durant 5 jours. Reconsultera son médecin traitant si péjoration des douleurs ou nouveaux symptômes. Examen clinique rassurant. Antalgie standard. Arrêt de travail. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance de la douleur. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Examen clinique rassurant. Attitude: • Réassurance. • Traitement symptomatique. • Suite chez le médecin traitant. • Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examen clinique rassurant. Attitude: • Réassurance. • Poursuite traitement habituel. • Suite chez le médecin traitant. • Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examen clinique rassurant. Conseil de poursuite du traitement antalgique. Réassurance et retour à domicile. Patient sera revu le lendemain au secteur ambulatoire des urgences pour retrait du pansement. Mise en garde des symptômes qui devraient l'amener à reconsulter. Examen clinique rassurant. ECG. Laboratoire aligné, trop. à 7. Réassurance et RAD avec antalgie simple. Conseil de reconsulter en cas d'aggravation des symptômes et de dyspnée. Examen clinique rassurant. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. ECG: pas de trouble de la repolarisation. Radiographie du thorax. Laboratoire avec cycle de Troponines négatif. Traitement symptomatique. Patient informé des signes qui devraient l'amener à reconsulter. Conseil de consulter le médecin de famille pour contrôle de la tension artérielle et holter tensionnel/+- consultation cardiologique pour test d'effort. Examen clinique rassurant. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: lipase 90 U/l. Réassurance. Retour à domicile. Examen clinique rassurant. Laboratoire. Attitude: • Hospitalisation à Riaz pour antalgie. • Majoration de l'antalgie, Sirdalud. • Evaluer IRM en ambulatoire. Examen clinique rassurant. Majoration d'antalgie. Critères de gravité expliqués à la patiente qui nécessiteraient une reconsultation. Imagerie à discuter en cas de péjoration de la symptomatologie sous antalgie. Examen clinique rassurant. Retour à domicile avec Irfen et Dafalgan. Pantoprazol. Conseil de reconsulter avec avis ORL si symptômes encore présents à 48h. Examen clinique rassurant. Stix urinaire normal. Traitement laxatif par Laxoberon et Movicol. Patient reconsultera son médecin traitant si persistance des symptômes. Examen clinique rassurant. Traitement antalgique par Dafalgan, Irfen, Mydocalm. Pantoprazol. Reconsultera en cas de péjoration des symptômes. Examen clinique. R-Cast durant 6 semaines. Contrôle clinique à 1 semaine chez le médecin traitant. Antalgie par Dafalgan et Irfen. Examen clinique, réassurance. Réfection du pansement. Ablation des fils de suture le 20.02.2019 chez le médecin traitant comme prévu. Examen clinique. Retour à domicile avec antalgie et traitement myorelaxant. Physiothérapie. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Retour à domicile avec antalgie et traitement myorelaxant. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Retour à domicile avec Primpéran et Buscopan en R. Consulter son médecin traitant si persistance de la symptomatologie. Examen clinique. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Fiche de surveillance neurologique post-traumatisme crânien donnée à la mère de la patiente. Conseils de reconsulter les urgences en cas de persistance ou d'aggravation de la symptomatologie. Vu au colloque de chirurgie: mère de la patiente rappelée le 16.02 sur avis du Dr. X. Persistance d'une légère céphalée en amélioration, asymptomatique autrement, notamment aucun symptôme abdominal ni rachidien. Conseils à la mère de reconsulter si apparition de symptômes nouveaux, pas de contrôle clinique aux urgences ni de laboratoire d'emblée. Examen clinique. Retour à domicile selon le guide line de l'HFR. Règles d'hygiène oculaire. Floxapen gouttes 6x/jour pendant 2 semaines. Recontrôler aux urgences ophtalmologiques si apparition d'une baisse de l'acuité visuelle ou de fortes douleurs oculaires. Examen clinique Rx cheville Avis orthopédique (Dr X) hospitalisation en chirurgie pour opération Attelle postérieure avec élévation du MIG Antalgie Clexane Examen clinique. RX de colonne cervicale : cfr ci-dessous. Antalgie. Minerve mousse en réserve pendant 5 jours. Contrôle chez son pédiatre si persistance des douleurs. Examen clinique. Rx du poignet droit et main droite : cfr ci-dessous. Avis orthopédique de Dr X. Bandage élastique avec bretelle et glace. Antalgie. Arrêt de sport durant 10 jours. Contrôle clinique à 10 jours en policlinique d'orthopédie pour complément de bilan radiographique en cas de persistance des douleurs. Reconsulter en cas de persistance des douleurs. Examen clinique sans particularité. Mesurer la tension artérielle en cas de nouvelles céphalées. Adalat en réserve. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf annexe. Antalgie AINS, Dafalgan. Ultrason testiculaire le 06.02 à 11h00. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires à 12h00 et résultats de l'ultrason. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf annexes. Uro-CT : décrit ci-dessous. Avis de Dr X, chirurgien : préconise de demander l'avis de l'urologue de garde au vu de la taille du calcul. Avis de Dr X, urologue de garde : souhaite voir le patient le jour même à 15h à sa consultation pour discuter des modalités thérapeutiques. Antalgie et Pradif. Poursuite du filtrage des urines en attente de la consultation chez l'urologue. Examen clinique. Sirdalud 4 mg per os, Pregabaline 75 mg per os et Voltarène 75 mg retard per os aux urgences. Adaptation du traitement antalgique. Retour à domicile avec suivi la semaine prochaine chez le médecin traitant. Discuter d'une prise en charge au centre de la douleur pour infiltration si besoin et d'un suivi en physiothérapie. Examen clinique Stix-sédiment urinaire : Lc +++, Nitrites nég, Sang +++. Lc incomptables, GR 21-40/champs Uvamine 100mg 2x/j durant 7 jours Reconsulter en cas d'apparition de fièvre, nausée-vomissements, douleur dans les loges rénales. Examen clinique Suivi biologique. Examen clinique Suivi biologique. Examen clinique. Suivi clinique. Examen clinique Suivi de l'hémoglobine Stop Clexane et stop Aspirine Avis chirurgical Dr X : • Surveillance clinique et biologique • Transfert en lit d'observation la nuit entre le 18.01.2019 et le 19.01.2019 Hydratation par Nacl 0.9% 1000ml/24h Nexium bolus 80mg intraveineux, puis Nexium 8mg/h sur 24h jusqu'au 19.01.2019 Nexium 40mg 2x/j du 20.01.2019 CT abdominal le 23.01.2019 Aspirine reprise le 24.01.2019 Rendez-vous pour colonoscopie en ambulatoire le 28.02.2019 : • Le patient sera reconvoqué avec un courrier à domicile avec hospitalisation la veille pour faire la préparation. Examen clinique. Surveillance neurologique aux 4 heures. Examen clinique. Test à la fluorescéine. Vitamine A et Tobradex et pansement protecteur. Rendez-vous avec l'ophtalmologue le 24.02 à l'HFR Fribourg. Examen clinique. Test de grossesse : négatif. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Ultrason des voies urinaires : décrit ci-dessous. Antalgie simple. Arrêt de travail. Examen clinique. Tétanos à jour. Désinfection. Champage. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1 % bicarbonatée. Suture de la plaie par 2 points simples à l'Ethilon 5-0. Retrait des fils à J5 chez le pédiatre traitant. Examen clinique. Tétanos à jour. Avis chirurgical de Dr X. Avis ORL de Dr X et suture par lui. Co-Amoxicilline 1g 2x/jour pour 5 jours. Bain de bouche 1x/jour par Dentohexine. Contrôle chez Dr X à 10 jours. Consultation avant si péjoration clinique. Examen clinique. Tétanos à jour. Désinfection par Bétadine. Champage stérile. Anesthésie locale par Rapidocaïne + Bicarbonate. Exploration et rinçage avec du NaCl. Suture par 2 points simples à l'Ethilon 5.0. Adaptic et pansement standard. Suivi régulier pour réfection du pansement par le médecin traitant tous les 2 jours. Ablation des fils à J14 par le médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Tétanos à jour. Feuille de surveillance post-traumatisme crânien remise. Désinfection. Anesthésie par Gel Let. Exploration sans atteinte des structures nobles. 1 point de suture simple à l'Ethilon 5-0. Stéri-strips et pansement. Ablation des fils à J5 chez le pédiatre. Examen clinique. Traitement antalgique par Dafalgan, Irfen et Tramal. Coussin bouée. Conseil de repos et reconsultera en cas de non-soulagement des symptômes malgré l'antalgie ou apparition de troubles neurologiques. Examen clinique. Traitement symptomatique par antiémétique. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 06.02.2019 à 9h30. Si persistance de symptômes, prévoir un transit baryté à la filière des urgences ambulatoires. Examen clinique. Traitement symptomatique. Antalgie simple pour retour à domicile. Contrôle auprès du médecin traitant en début de semaine prochaine. Arrêt de travail. Examen clinique. Traitement symptomatique. Anti-inflammatoire et antidouleurs. Daflon 500mg per os 2x/jour. Proctoglyvenol. Laxoberon gouttes. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Ultrason abdominal : décrit ci-dessous. Poursuite du traitement symptomatique avec des IPP en plus. Contrôle chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Examen clinique. Ultrason : décrit ci-dessous. Avis de Dr X, chirurgien de garde : contrôle gynécologique. Uricult : cf annexe. Rendez-vous en filière des urgences ambulatoires le 04.02 pour résultat uricult. Examen clinique. Ultrason doppler du membre inférieur gauche : décrit ci-dessous. Examen clinique. Ultrason du membre inférieur droit : décrit ci-dessous. Avis de Dr X : pas de thrombose veineuse profonde, stop anticoagulation, possible DD : myogélose. Traitement par Dafalgan et Sirdalud. Contrôle à la consultation de Dr X pour évaluation du genou. Examen clinique : Ultrason FAST par Dr X : pas de liquide libre intra-abdominal mis en évidence. Laboratoire : cf annexes. Stix et sédiment urinaire : cf annexe. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Avis de Dr X, chirurgien. CT-scanner abdominal : décrit ci-dessous. Arrêt de travail. Antalgie simple. Examen clinique. Vaccin anti-tétanique à jour. Radiographie du 5ème doigt droit : décrite ci-dessous. Désinfection de la plaie. Pansement. Syndactylie des 4ème et 5ème doigts à but antalgique. Arrêt de sport pour 1 semaine. Antalgie simple. Contrôle chez pédiatre à 1 semaine. Examen clinique. Vaccins à jour. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du 3ème doigt droit : décrite ci-dessous. Patient vu par Dr X. Anesthésie de 4 cc à la base de la 3ème métacarpophalangienne avec incision superficielle cutanée pour drainage. Rinçage, désinfection. Immobilisation par attelle alu dorsale. Co-Amoxicilline 2.2 g IV aux urgences puis relai per os par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 5 jours. Arrêt de travail du 23.02 au 03.03.2019. Antalgie simple en réserve. Contrôle clinico-biologique en filière des urgences ambulatoires le 24.02.2019. Examen clinique. Vaccins anti-tétanique à jour. Rinçage. Désinfection. Exploration de la plaie sous anesthésie locale : plaie propre. Suture à l'Ethilon 5-0. Contrôle chez le médecin traitant à J2. Ablation des fils à J5. Antalgie simple que la patiente a à domicile. Examen clinique.Wells modifié à 3. ECG: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X. CT-scanner thoracique: décrit ci-dessous. Retour à domicile avec Xarelto 15 mg 2x/jour pendant 3 semaines puis 20 mg pendant 3 mois. Contrôle chez le médecin traitant à 10 jours avec bilan biologique, envisager un bilan angiologique à distance. Examen clinique • Ablation des points Examen clinique. • Ablation d'un caillot de sang. • Rinné, Weber. Avis ORL Dr. X. Consultation ORL demain. Examen clinique. • Ad poursuite Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour jusqu'à J5 y compris. • Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Examen clinique. • Ad Temesta 1mg pour la maison. • Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique. • Administration de Plavix 600 per os, Aspegic 500mg, HNF 5000 UI. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexes. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, de médecine interne. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. Arrêt de travail le 27.02.2019. Ordonnance pour antalgie simple par Dafalgan en réserve. Examen clinique. • AINS, Dafalgan. • Suivi chez le médecin traitant. • Reconsultation si péjoration, collection. Examen clinique. • AINS et antalgie. • Myorelaxant. • Physiothérapie. • Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. • Reconsulter les urgences si déficit sensitif ou moteur. Examen clinique. • AINS. • Antalgie simple. • Physiothérapie 9 séances 1ère prescription. • Arrêt de travail du 11.02 au 17.02.2019. Examen clinique. • AINS. • Physiothérapie. Examen clinique. • AINS. • Repos. Examen clinique. • AINS. • Suite chez le médecin traitant. Examen clinique. • AINS. • Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. • Amoxicilline 500mg 3x/j du 14.02 au 24.02. • Lavages nasaux. • Antalgie par Irfen/Dafalgan. • Contrôle clinique chez le médecin traitant à 7 jours. Examen clinique. • Analyse d'urine: cf annexes. • Culture d'urine (résultats à envoyer chez le médecin traitant, ci-joint). • Uvamin retard 100 mg 2 fois par jour pour 5 jours. • Suite chez le médecin traitant. Examen clinique. • Anesthésie locale. • Désinfection, champage. • Suture par 3 points de Prolène 5. • Suivi clinique de plaie avec ablation des fils à J5 chez le pédiatre. • Fucidine onguent dès l'ablation des points. Examen clinique. • Anesthésie locale par Gel let. • Désinfection locale, champage. • Suture par 1 point de Prolène 5. • Tétanos à jour. • Ablation du point à 5 jours chez le médecin traitant. • Fucidine onguent dès 48 heures. Examen clinique. • Anesthésie locale par Oxybuprocaïne, gouttes de Fluorescéine. • Examen de l'œil à lumière bleue: pas de lésion visualisée. • Floxal et pansement compressif. • Mme. Y sera convoquée pour consultation ophtalmologique en raison d'une sensation de corps étranger avec baisse de l'acuité visuelle. • Recommandation de consulter en cas de douleurs intenses, troubles visuels importants. Examen clinique • Anesthésie par LetGel • Désinfection par Hibidil • 3 points de suture simple par Ethilon 5-0 • Steristrips • Ablation des fils à 5 jours Examen clinique. • Antalgie, anti-inflammatoires, myorelaxant. • Arrêt de travail 3 jours. • Contrôle chez le médecin traitant à 7 jours en cas de persistance des douleurs. • Arrêt de travail. Examen clinique. • Antalgie avec Dafalgan, Brufen, Novalgine. • Sirdalud. • Contrôle chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs ou péjoration clinique. Examen clinique • Antalgie avec Tramal pendant l'hospitalisation • Évaluer si introduction de la morphine en ambulatoire Examen clinique. • Antalgie iv aux urgences. • Hydratation iv aux urgences. Laboratoire: cf annexes. Avis de médecine interne du Dr. X. Traitement symptomatique en réserve antalgique et Primpéran. Examen clinique. • Antalgie par Dafalgan 500 mg 4x/j. • Arrêt de sport durant 3 jours. Examen clinique. • Antalgie par Dafalgan et Algifor aux urgences. • Pansement gélifié pour brûlures aux urgences. • Bépanthène crème au moins 3x/jour. • Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 20.02.2019 à 14h00. • Antalgie. Examen clinique. • Antalgie par Dafalgan et Irfen. Examen clinique. • Antalgie par Dafalgan, Irfen, Tramadol et Mydocalm aux urgences. • Physiothérapie (prescrite à Fribourg). • Traitement antalgique et anti-inflammatoire par Dafalgan, Irfen et Tramadol à domicile. • Le patient est informé des symptômes motivant une nouvelle consultation aux urgences. • Suivi clinique chez le médecin traitant à 7 jours (liste remise au patient). Examen clinique. • Antalgie par Dafalgan, Irfen, Mydocalm. • Conseils thérapeutiques. Examen clinique. • Antalgie par Dafalgan, Tramal, Morphine. • Radiographie du doigt à droite: décrite ci-dessous. • Avis orthopédique du Dr. X. • Tétanos à jour. • Zinacef 1.5 g iv. • Exploration sous anesthésie en bague, pas d'atteinte des structures nobles, rinçage abondant du site, fermeture par 5 points simples au fil d'Ethilon 4.0, fils pour 12-14 jours. • Immobilisation attelle aluminium palmaire. • Prochain contrôle à J2 en policlinique orthopédique. Examen clinique. • Antalgie par Dafalgan 1g et Ecofenac 75mg iv. • Retour à domicile. • Contrôle chez le médecin traitant si les symptômes persistent. Examen clinique. • Antalgie par Irfen et Tramal aux urgences. • Antalgie par Dafalgan et acide méfénamique d'office durant 3 jours puis lors des crises. • Mesures d'hygiène de vie. • Pratique d'activité sportive. • Suivi clinique chez le médecin traitant en fin de semaine. • Proposition d'introduire un traitement par tricycliques si persistance des symptômes. Examen clinique. • Antalgie par Irfen 600 3x/jour et Dafalgan 1g 4x/jour selon douleurs. • Contrôle clinique dans la semaine chez le médecin traitant. • Reconsultation aux urgences en cas d'apparition de perte de force ou sensibilité nouvelle ou trouble sphinctérien. • Arrêt de travail. Examen clinique. • Antalgie par Morphine. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexes. Radiographie de la hanche droite: décrite ci-dessous. Examen clinique. • Antalgie simple. • Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examen clinique. • Antalgie simple. • Recommandation de reconsulter son médecin traitant avec proposition de consultation en ophtalmologie pour corps étranger oculaire droit en Somalie il y a plusieurs années. • Recommandation de consulter en cas de trouble neurologique visuel. Examen clinique. • Antalgie 2 x 10 mg Morphine per os, Sirdalud 2 mg. Attitude : • Antalgie. • Arrêt de travail. • Conseils hygiène du dos. • Rendez-vous de contrôle chez médecin traitant à 1 semaine si pas d'amélioration des douleurs. Examen clinique. • Antalgie. • Désinfection et pansement. • Transfert à l'HFR Fribourg pour prise en charge chirurgicale en urgence. Départ avec sa maman. Examen clinique. • Antalgie. • Reconsultation en cas de péjoration des douleurs, hématurie nouvelle, sang dans les selles. • Contrôle clinique chez le médecin traitant. Examen clinique. • Antalgiques et anti-inflammatoires (myorelaxants contre-indiqués durant la grossesse). • Collerette mousse à visée antalgique pour 72h maximum. • Conseils de repos puis mobilisation précoce selon douleurs. • Consultation en cas de péjoration des symptômes ou de persistance des douleurs à 72h. • Pas d'arrêt de travail (elle ne travaille pas avant mercredi 20.02.2019). Examen clinique. • Antibiothérapie par Amoxicilline 1g 3x/jour pour 5 jours. • Reconsulter si persistance des symptômes. Examen clinique. • Antibiotique par Co-amoxicilline durant 7 jours. • Antalgie simple. • Conseils et mesures de prévention. • Le patient reconsultera en cas de non-amélioration clinique après 48h. Examen clinique. • Anti-inflammatoires et anti-douleurs. Examen clinique. • Antipyrétique, anti-inflammatoire et sirop antitussif. • Retour à domicile. Examen clinique. • Application de pommade Ialugen, à poursuivre à domicile.Consultation aux urgences en cas d'évolution défavorable (pas de rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires, étant donné le caractère très superficiel de la brûlure). Antalgiques refusés par la patiente. Examen clinique. Attelle Jeans 0°. Clexane 40 mg sous-cutané 1x/le soir. Protocole RICE. Antalgie. Charge selon douleurs. Contrôle à la consultation du Dr. X, orthopédiste dans 5-7 jours. Arrêt de travail. Examen clinique. Attitude : • Mr. Y est instruit des symptômes graves nécessitant une reconsultation aux urgences. • Poursuite de la même antalgie. • Rendez-vous chez son médecin traitant le 22.02.2019. Examen clinique. Attitude : • Retour à domicile avec consigne de reconsulter en cas de signes de gravité. Examen clinique. Attitude : • Retour à domicile avec matériel pour coproculture remis au Mr. Y, consigne de s'hydrater, de prendre rendez-vous chez son médecin traitant qui recevra les résultats bactériologiques en copie et pourra évaluer la nécessité ou non d'introduire une antibiothérapie. Conseil de reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie. Examen clinique. Attitude : • Traitement symptomatique. • Physiothérapie. • Poursuite chez médecin traitant si persistance symptomatologie. Examen clinique. Attitude : • Pantozol 40 mg le matin à jeûn. Examen clinique. Attitude : • Poursuite antibiothérapie Co-amoxicilline 1 g 2x/j pendant 5 jours (15.02.2019 au 19.02.2019 y compris). • Rendez-vous de contrôle chez médecin traitant le 22.02.2019. Examen clinique. Attitude : • Poursuite antibiothérapie mise en place par Dalacin durant 10 jours, poursuite de l'immobilisation. • Suite de prise en charge chez médecin traitant. Examen clinique. Attitude : • Poursuite antibiothérapie. • Traitement symptomatique. • Consultation de contrôle chez médecin traitant si persistance ou aggravation de la symptomatologie. Examen clinique. Attitude : • Poursuite des bains de Dakin et Fucidin. • Contrôle chez médecin traitant si persistance des douleurs ou état fébrile. Examen clinique. Attitude : • Poursuite traitement instauré. • Rendez-vous de contrôle pour résultat biopsie. Examen clinique. Attitude : • Retour à domicile avec poursuite du traitement antibiotique, ad Perenterol pour les symptômes gastro-intestinaux. Examen clinique. Attitude : • Retour à domicile avec traitement en réserve et contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Attitude : • Traitement antalgique. • Arrêt de travail. • Mrs. Y est instruit des symptômes graves nécessitant une consultation aux urgences. Examen clinique. Attitude : • Traitement symptomatique. • Mr. Y est instruit sur les symptômes graves nécessitant une reconsultation aux urgences. Examen clinique. Attitude : • Traitement symptomatique. • Repos. • Suite chez médecin traitant si persistance de la symptomatologie. Examen clinique. Attitude : • Retour à domicile avec arrêt de travail et traitement symptomatique. Examen clinique. Attitude : • Retour à domicile avec arrêt de travail, physiothérapie et antalgie. Examen clinique. Attitude : • Retour à domicile avec traitement symptomatique. Arrêt de travail. Consigne de reconsulter si absence d'amélioration en début de semaine prochaine. Examen clinique. Aux urgences : désinfection, pose du champ stérile, anesthésie avec rapidocaïne, exploration de la plaie, pas de tendon visible, pas de nerf visible, rinçage avec Betadine eau, 3 points avec prolène 4.0. Attitude : • Retour à domicile avec contrôle chez le médecin traitant à 48 h, retrait des fils à 10 jours. Examen clinique. Aux urgences : Paracétamol 1 g po, Voltarène 50 mg po, Morphine 10 mg po avec amélioration clinique. Retour à domicile avec antalgie. Nous proposons un bilan chez un neurologue pour une imagerie cérébrale et une éventuelle instauration de traitement de fond de la migraine. Examen clinique. Aux urgences : Tavegyl 2 mg et Solumédrol 125 mg i.v. Attitude : • Xyzal 5 mg et Prednisone 50 mg 3 jours. • Epipen prescrit avec explications. • Contrôle chez allergologue traitant à 4-6 semaines. • Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Examen clinique. Avis angiologie (Dr. X) : US des membres inférieurs : image de thrombose veineuse au niveau de la veine fémorale commune de 5 cm, pas de compression possible. Mr. Y ne peut pas être hospitalisé, car il a un fils à la maison. Le Dr. X propose une anti-coagulation avec Xarelto 15 mg 2x/j matin et soir. Mr. Y ne prendra pas son traitement le jeudi matin et sera vu en angiologie à 8h30 pour une thrombo-aspiration. Attitude : • Retour à domicile avec anti-coagulation et rendez-vous en angiologie le 14.02.19. Examen clinique. Avis angiologique (Dr. X) le 05.02.2019 : absence de thrombose veineuse superficielle, thrombose veineuse profonde, trajet lymphangitique avec deux adénopathies, proposition de prolonger l'antibiothérapie à 14 jours. Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour per os durant 14 jours. Prolongation antibiothérapie avec nouvelle ordonnance jusqu'au 17.02.2019. Dernier contrôle clinique le 10.02.2019, si bonne évolution confirmée stop suivi et reprise travail. Examen clinique. Avis angiologique (Dre X) : échographie, doppler artériel pli inguinal droit : pas de faux anévrisme, de FAV, le dermatome alimenté visible. Hématome post-coronarographie du 08.02.2019, Mr. Y sous aspirine Efient. Critères de gravité expliqués à Mr. Y avec consignes de reconsulter immédiatement le cas échéant. Examen clinique. Avis chirurgical de Dr. X. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Avis chirurgical (Dr. X). CT-scan natif : décrit ci-dessous. Examen clinique. Avis chirurgical de Dr. X : Pas d'imagerie d'emblée. Surveillance neurologique pendant 4 h puis surveillance neurologique pendant 24 h à domicile avec un parent, feuille de surveillance neurologique donnée au Mr. Y. Contrôle clinique à 48 h chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Avis chirurgical de Dr. X. CT-scan cérébro-cervical (téléradiologie, Fribourg) : pas de fracture, pas d'hémorragie. Antalgie par Dafalgan/Irfen. Myorelaxants au coucher durant 3 jours. Minerve mousse à titre antalgique. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans les 7 jours. Examen clinique. Avis chirurgical de Dr. X. Surveillance neurologique de 6 h aux urgences. Surveillance neurologique de 24 h à domicile par les parents. Examen clinique. Avis chirurgical de Dr. X. Radiographie de la colonne cervicale : décrite ci-dessous. CT-scan avec images sur l'axe et dens : décrit ci-dessous. Examen clinique. Avis chirurgical de Dr. X et pédiatrique du pédiatre de garde de l'HFR Fribourg. Surveillance neurologique en pédiatrie à l'HFR Fribourg, départ avec sa maman. Examen clinique. Avis chirurgical de Dr. X. CT-scan cérébral natif : décrit ci-dessous. Surveillance neurologique de 24 h à domicile. Examen clinique. Avis de Dr. X. Hospitalisation au RFSM Marsens en mode volontaire. Transfert avec le service de transport de l'HFR. Examen clinique. Avis de Dr. X, orthopédiste. Réfection de pansement avec Bépanthène compresse bande watt. Remettre son attelle brachio-antébrachiale. Contrôle chez le Dr. X le 20.02.2019. Examen clinique. Avis de Dr. X, de médecine interne. Antalgie simple par Brufen et Dafalgan. Immobilisation par attelle des deux poignets (Mr. Y a déjà une attelle pour le poignet droit de l'année dernière qui est similaire) à réévaluer à 1 semaine. Arrêt de travail pour 1 semaine. Contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Examen clinique. Avis de Dr. X. Drainage de l'abcès avec méchage. Contrôle clinique et ablation de la mèche à la filière des urgences ambulatoires le 27.02 à 11 h. Suivi le 06.03.2019 chez Dr. X, comme déjà programmé.Examen clinique. Avis du Dr X. Rhinomer 3x/jour. Pas de mouchage. Dafalgan 500 mg en réserve maximum 4x/jour. Arrêt de sport. Rendez-vous chez le Dr X, ORL, à prendre pour la fin de semaine. Examen clinique. Avis du Dr X, chirurgien : chirurgie fortement déconseillée durant la grossesse. Repos strict avec nouveau schéma par Dafflon, Paraffine 20 mL/jour, EMLA, et antalgie (AINS contre-indiqué). Suivi à la consultation du Dr X le 22.02.2019. Examen clinique. Avis du Dr X (chirurgien) : pas d'hernie, douleur en lien avec une origine musculaire. Sportusal Emgel 3x/j jusqu'à résolution des douleurs, Irfen cpr 400 mg 3x/j pendant 5 jours, Dafalgan 1 g en réserve max 4x/jour. Arrêt de travail jusqu'au 18.02.2019. Contrôle chez le médecin traitant à 5 jours si pas d'amélioration. Examen clinique. Avis du Dr X, de médecine interne. Consilium psychiatrique (Dr X). Prise en charge psychiatrique en ambulatoire. 2 cp de Temesta 1 mg donnés à la sortie en cas de nouvelles crises. Examen clinique. Avis du Dr X, de médecine interne. Début d'un traitement par Escitalopram 5 mg. 1 cp de Temesta 1 mg donné à la sortie en cas de nouvelles crises. Prise en charge psychiatrique en ambulatoire à prévoir. Examen clinique. Avis du Dr X, chirurgien. Désinfection bétadinée, champagne, 2 points de suture. Ablation des points à 5 jours chez le pédiatre. Examen clinique. Avis du Dr X, chirurgien. Pas d'incision (patient ne veut pas et pas de tension au niveau cutané). Poursuite des AINS (acide méfénamique 500 mg 3x/jour prescrit par le médecin traitant). Rendez-vous à la consultation de proctologie du Dr X le 05.03 à 14h15. Consultation aux urgences avant en cas de péjoration des douleurs pour incision +/- traitement antibiotique. Examen clinique. Avis du Dr X, chirurgien. Radiographie de la colonne cervicale face/profil : pas de fracture visible sous réserve de l'obésité. Radiographie du bassin face : décrite ci-dessous. CT-scan cervico-cérébral natif : décrit ci-dessous. Examen clinique. Avis du Dr X, orthopédiste : Talonnette trouée, antalgie, physiothérapie. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Avis du Dr X, de médecine interne. • Sirdalud 6 mg MR 2x/jour pour 3 jours. • Voltarene 75 mg retard 2x/jour pour 3 jours. • Arrêt de travail pour 3 jours. • Suite chez le médecin traitant. Examen clinique. Avis neurologique (Dr X) : traitement AINS et organisation IRM en ambulatoire. Retour à domicile avec antalgie et consigne de prendre rendez-vous chez le médecin traitant qui organisera une IRM en ambulatoire. Examen clinique Avis ophtalmologique (Dr X) du 30.01.2019 : Diamox 500 mg po. Azarga 2x ddc et Travatan 2x ddc. Avis ophtalmologique (Dr X) du 31.01.2019 : trusopt 1 ggt ddc 1x/j, azarga 1 ggt ddc 2x/j, diamox 125 mg 3x/j, KCL retard 1x tous les 2 jours. Contrôle ophtalmologique en avril pour parler d'une éventuelle opération. Examen clinique. Avis ortho Dr X : augmentation de l'antalgie, contrôle chez le médecin traitant. Arrêt de travail, physiothérapie. Contrôle chez le médecin traitant début de semaine prochaine. Examen clinique. Avis orthopédique (Dr X). Attitude : • Retour à domicile avec antalgie et traitement contre les douleurs neuropathiques. • Reprendre l'utilisation nocturne de l'attelle pour le poignet droit. • Le patient sera convoqué pour un ENMG et par la suite pour le team membre supérieur pour suite de prise en charge. Examen clinique. Avis orthopédique (Dr X). Explications données par le médecin pour : Radiographie : pas de fracture. Antalgie, repos, glace. Suivi à 10 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Avis orthopédique (Dr X) : • Fin d'antibiotique. • Ergothérapie selon besoin. Patient reconsultera si état fébrile ou douleurs. Examen clinique. Avis orthopédique (Dr X). Attelle jeans 20° sans canne ni anticoagulation (discuté avec Dr X). Antalgie. Suite de prise en charge chez le médecin traitant à 10 jours avec proposition d'IRM si persistance de la sensation d'instabilité et de douleurs. Recommandation de reconsulter en cas de troubles neurologiques. Examen clinique. Avis orthopédique (Dr X) : rinçage abondant, antibiothérapie, suture. Désinfection par Bétadine, rinçage abondant, 1 point de suture simple au 4-0, pansement, attelle Edimbourg. Vaccin tétanos à jour. Attitude : • Contrôle à 48 h chez le médecin traitant (Genève) pour suivi de plaie. • Co-amoxicilline 1 g 3x/j pendant 5 jours. Le patient est instruit des symptômes graves nécessitant une consultation aux urgences. Examen clinique. Avis orthopédique Dr X. Antalgie avec Dafalgan et Irfen. Conseil de repos et application de chaud. Reconsultera son médecin traitant si non amélioration des douleurs. Examen clinique. Avis orthopédique Dr X. Retrait des fils à 10 jours chez le médecin traitant le 22.02.2019. Arrêt de travail jusqu'au 22.02.2019. Patient instruite des signes de gravité nécessitant une reconsultation aux urgences. Examen clinique. Avis orthopédique du Dr X et du Dr X. Test de grossesse urinaire : négatif. Radiographie du poignet droit f/p : décrite ci-dessous. CT-scan du poignet droit : décrit ci-dessous. Plâtre fendu antébrachial. Radiographie du poignet droit face/profil dans le plâtre : décrite ci-dessous. Antalgie aux urgences par Dafalgan 1 g, Voltaren 75 mg et Morphine 2 mg iv. Convocation au centre de la main (CHUV) le 18.02.2019 à 8 h 00 pour réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque (Dr X, chef-de-clinique), pour absence de capacité opératoire à l'HFR Riaz et Fribourg. Consentement opératoire discuté avec la patiente (Dr X), en annexe. Arrêt de travail. Antalgie par Dafalgan/Irfen/Tramadol. Examen clinique. Avis orthopédique du 19.02.2019 : poursuite de la physiothérapie. Attitude : • Physiothérapie. Examen clinique Avis orthopédique le 19.02.2019 (Dr X) : pas d'indication à plus d'investigations. Attitude : • Traitement symptomatique. • Consultation de contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Avis psychiatrique (Dr X) : indication d'hospitalisation pour mise à l'abri et instauration d'un suivi psychologique et psychiatrique. Hospitalisation à Marsens en volontaire. Examen clinique. Avis psychiatrique (Dr X) : hospitalisation à Marsens pour mise à l'abri. Hospitalisation en volontaire à Marsens pour suite de prise en charge. Examen clinique. Avis psychiatrique. Hospitalisation au RFSM de Marsens, départ en ambulance. Examen clinique. Avis soins palliatifs (Dr X) : Discussion avec médecin traitant, angiologue traitant, ICUS d'EMS, représentant thérapeutique et entourage. En accord avec les directives anticipées de la patiente et le représentant thérapeutique, une prise en charge palliative au home est décidée avec : • Morphine S.C 1 mg/h et Bolus de 2 mg au besoin. • Haldol s.c. 2 mg aux 4 h en réserve. • Soins de bouche. • Suite de prise en charge par médecin traitant et home. Le Dr X est disponible si nécessaire. Examen clinique Avis spine team : clinique non corrélée à l'imagerie, pas d'indication à une intervention. Patient sera revue à 4 semaines. Suite de prise en charge par physiothérapie et antalgie. À disposition si péjoration clinique. Avis neurologique Dr X : à disposition, possibilité d'organiser un électromyogramme. Antalgie aux urgences par Dafalgan et Irfen. Transport à Riaz pour suite de prise en charge. Examen clinique. Bandage compressif suivi de pansement simple. Suivi en policlinique lundi puis chez le Dr. X, orthopédiste. Examen clinique. • Berirab 12 ml/u au niveau deltoïde gauche et des deux cuisses antérieures, Rabipur au deltoïde droit. • Surveillance aux urgences pendant 30 minutes. • Retour à domicile avec suite de la prise en charge par le médecin traitant au souhait de la patiente avec injections de Rabipur à J3, J7 et J14, et sérologie antirabique à J21, avec une valeur cible de 0,5 u/ml. • Avis infectiologique téléphonique (Dr. X). • Recommandation de reconsulter en cas de signes neurologiques. Examen clinique. • BHCG urinaires négatifs. • Laboratoire : cf. annexes. bHCG sérique 0, syndrome inflammatoire avec CRP 14mg/l, leucocytes 11.3G/l. • Sédiment urinaire : cf. annexes. Leuco 3-5/champs, pas de globule rouge. • Avis gynécologique de l'HFR Fribourg : consultations aux urgences gynécologiques. Examen clinique. • Bilan biologique : alcoolémie à 1,96 pour mille. • Hydratation parentérale par NaCl 0.9%. • Avis chirurgical de Dr. X. • Surveillance neurologique sur la nuit. • Status approfondi au réveil sans anomalie. • Retour à domicile. Examen clinique. • Bilan biologique : cf. annexes. • Adalat 20 mg retard en ordre unique le 28.01.2019. • Test de Schellong le 28.01.2019 : positif sur probable origine iatrogène. • Suivi tensionnel. • Proposition pour Lisinopril 10/12.5mg 0.5cp 2x/jour. • Contrôle clinique chez le médecin traitant en fin de semaine. Examen clinique. • Bilan biologique : cf. annexes. • ECG : cf annexes. • Test de Schellong : négatif. • Arrêt de travail. Examen clinique • Bilan biologique : cf copies annexées. • CT cérébral : décrit ci-dessous. • Test de Schellong du 18.01.2019 : négatif. Examen clinique. • Bilan biologique : cf annexes. • Antalgie par Dafalgan/Irfen. • Suivi clinique chez le médecin traitant dans les 7 jours. • Arrêt de travail. Examen clinique. • Bilan biologique : cf annexes. • Uricult : en cours. • PCR urine (Chlamydia, Gonocoque) : en cours. • US testiculaire : cf ci-dessous. • Ciprofloxacine 500mg 2x/j durant 14 jours. • Suspension testiculaire. • Antalgie par Dafalgan, Irfen. • Suivi clinique chez le médecin traitant en fin de traitement. Examen clinique • Bilan biologique : CRP à 61mg/l et leucocytes à 13.6G/l. • Radiographie du thorax : pas de foyer décelable. • Sédiment : positif. • Urotube : Escherichia coli, Staphylococcus epidermidis. Examen clinique. • Bilan biologique : Hb 147, Leuco 11.9 CRP<5, Créat 103 électrolytes dans les normes. • Sédiment urinaire : hématurie ++++, leucocyturie +, pas de nitriturie/protéinurie. • Antalgie par Voltarène et Morphine IV soulageant efficacement les douleurs. • Retour à domicile avec un traitement antalgique et anti-inflammatoire de réserve. • Consultation le 15.02.2019 à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique +/- uro-CT en cas de persistance des douleurs (14h30). • Consultation aux urgences en cas d'apparition de fièvre, d'anurie ou de vomissement empêchant la prise des traitements PO. • Arrêt de travail. Examen clinique. • Bilan biologique. • Avis neurologique de garde (Dr. X) : transfert aux urgences de Fribourg. • Paracétamol iv. • CT cérébral injecté (Dr. X) : sans particularité. • Transfert à l'Inselspital à Berne pour IRM en urgence. Examen clinique. • Bilan biologique. Cf. annexes. • Antalgie : Morphine aux urgences. Examen clinique. • Bilan biologique. Cf. annexes. • Radiographie épaule droite. Cf. annexes. • Antalgie. • Consilium orthopédique (Dr. X) : • Gilet orthopédique. • Prise en charge ambulatoire pour réduction le 16.02.2019. Examen clinique. • Bilan biologique : cholestase anictérique avec GGT à 78 UI/l et PAL 115 UI/l. • CT planifié en ambulatoire à Vevey le 18.02.2019 avec suivi des résultats chez le médecin traitant. • Avis Dr. X (chirurgien) : Antalgie et RAD. • Arrêt de travail. Examen clinique • Bilan biologique d'entrée : CK à 21'263U/l. • Hydratation par 1500ml de NaCl/24h du 09.01.2019 au 14.01.2019. • Traitement complexe de réhabilitation en gériatrie aiguë du 11.01.2019 au 18.01.2019 avec : • Physiothérapie. • Ergothérapie. • Diététique. • Tests cognitifs du 15.01.2019 : MMSE à 20/30, test de l'horloge à 0/7 ; GDS à 5/15. Examen clinique. • Bilan biologique et sédiment urinaire : cf annexes. • ECG : cf annexes. • Antalgiques et anti-inflammatoires soulageant efficacement les douleurs. • Consultation chez Dr. X en cas de persistance des symptômes. • Consultation aux urgences en cas d'apparition de fièvre ou de nouveaux symptômes. Examen clinique. • Bilan biologique. • Gazométrie artérielle. • ECG. • RX thorax. • Aérosol Atrovent - Ventolin, Lasix 20 mg IV aux urgences. • Oxygénothérapie, sevrage du 05.02.2019 avec une bonne réponse. • Lasix 20 mg IV 4x/j. • Suivi du poids. • Patient rentre à domicile avec conseil de poursuivre le traitement habituel. • Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examen clinique • Bilan biologique. • Radiographie. • Rocéphine 2g intraveineux du 07.01.2019 au 09.01.2019. • Co-Amoxicilline 1g 2x jour du 10.01.2019 au 16.01.2019. Examen clinique • Bilan biologique. • Antigènes urinaires. • Hémocultures. • Radiographie du thorax. • Traitement par Rocephin 2g du 19.01.2019 au 25.01.2019. Examen clinique • Bilan biologique. • CT cérébral natif. Examen clinique • Bilan biologique. • CT cérébral natif. • Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 08.01.2019 au 22.01.2019 : • Ergothérapie. • Physiothérapie. • Nutrition clinique. • Tests de la cognition du 10.01.2019 : MMSE à 23/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 5/30. Examen clinique • Bilan biologique. • Électrocardiogramme. • Sédiment urinaire et Urotube. • Radiographie du thorax. • Rocéphine 2g en intraveineux du 25.01.2019 au 31.01.2019. Examen clinique • Bilan biologique. • Ergothérapie. • Physiothérapie. • Nutrition clinique. Examen clinique • Bilan biologique. • Radiographie du thorax. Examen clinique • Bilan biologique. • Radiographie hanche droite. • Radiographie épaule droite. • Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 29.01.2019 au 05.02.2019 avec : • Physiothérapie. • Ergothérapie. • Bilan nutritionnel. • Tests de la cognition : MMS à 28/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 1/15. Examen clinique • Bilan biologique. • Radiographie. • Hydratation : par Glucosalin 1000ml/24h. • Dépistage grippe le 09.01.2018 : négatif. • Rocéphine 2g intraveineux du 03.01.2019 au 07.01.2019 y compris. • Céfépime 1g intraveineux bid du le 08.01.2019 au 14.01.2019. • Halopéridol dès le 07.01.2019. Examen clinique • Bilan biologique. • Sondage vésical le 07.01.2019. Examen clinique • Bilan biologique. • Sonde vésicale. • CT cérébral. • Tests de la cognition du 28.01.2019 : MMSE à 14/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 3/15. Examen clinique • Bilan radiographique : pas de fracture olécrânienne. • Immobilisation par attelle postérieure à 90°. • Antalgie et anti-inflammatoire. • Prophylaxie antibiothérapeutique avec Co-Amoxicilline 1 gr 2 x par jour pour 5 jours. • Contrôle clinique à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Examen clinique. • Bilan radiologique. • Exploration de la plaie. • Suture avec 4 points de Prolène 4.0. • Contrôle de la cicatrice et ablation des fils à 10 jours par le médecin traitant. • Rappel tétanos. Examen clinique • Bilan sanguin. • Antalgie par morphine MST 20 mg - 2 x/jour d'office + 10 mg - 6 x/24h en réserve, Pregabaline 75 mg - 2 x/jour, Voltarène 50 mg - 3 x/jour. • Temesta en réserve 1 mg, puis Tranxilium 5 mg - 3 x/jour, inefficace. • Suspension du Betmiga. • IRM colonne lombaire le 21.01.2019. Hypopallesthésie suivie par le Dr. X à la clinique SUVA. Vu l'antalgie inefficace et l'évolution globale difficile, transfert aux urgences de l'Hôpital de l'Ile à Berne, discuté avec le Dr. X.Souhait du médecin traitant, Dr. X, d'un suivi neurologique et anesthésique. Examen clinique Bilan sanguin Sédiment urinaire Urotube : E. Coli Hémocultures : E. Coli Antigènes urinaires : négatifs Radiographie thoracique Ultrasonographie des voies urinaires Pradif 0.4 mg dès le 08.01.2019 Hospitalisation en médecine HFR Riaz du 05.01.2019 au 15.01.2019 Antibiothérapie par Rocéphine 2 g 1x/jour en intraveineux du 05.01.2019 au 14.01.2019 : • Relais en voie orale par Ciproxine 500 mg 2x/24h du 15.01.2019 au 18.01.2019 Physiothérapie de mobilisation Prise en charge en réadaptation gériatrique le 15.01.2019 Examen clinique. Bladder scan : 780 ml environ. Mise en place d'une sonde urinaire : 950 cc de retour d'urine claire. Retour à domicile avec sonde. Prendre contact avec son urologue (Dr. X) le 25.02 pour organiser la suite. Examen clinique. Buscopan, Dafalgan. Colonoscopie ambulatoire à organiser par le médecin traitant. Suivi chez le médecin traitant. Mme. Y informée de reconsulter si péjoration ou persistance des symptômes. Examen clinique. Cérumenol. Consultation ORL lundi 11.02.2019 si persistance. Examen clinique. Co-Amoxicilline per os 1 g 2x/jour pendant 7 jours. Traitement anti-inflammatoire antalgique. Rendez-vous chez l'ORL, Dr. X le 19.02.2019. Examen clinique. Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour. Triofan, AINS. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mr. Y. Examen clinique. Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour durant 7 jours. Explication des règles d'hygiène données à Mr. Y. Contrôle chez le médecin traitant à 4 jours. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mr. Y. Examen clinique. Co-Amoxicilline 1 g per os 2 fois par jour pour 5 jours. AINS. Contrôle chez l'ORL lundi pour évaluation et adaptation de traitement si nécessaire par un autre antibiotique ou par antibiotique par gouttes. Examen clinique. Co-Amoxicilline 1 g 2x/j jusqu'au 20.02.2019. Triofan spray nasal 3x/j. Antalgie par Dafalgan/Irfen. Arrêt de travail. Contrôle clinique chez le médecin traitant à 7 jours. Examen clinique. Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 7 jours, Dafalgan cp 500 mg 4x/7 jours + Irfen cp 400 mg 3x/jour + Otrivin spray nasal 2x/jour pour 3 jours. Rinçage nasal au NaCl 0,9% 2-3x/jour. Contrôle chez le médecin traitant à 7 jours. Examen clinique. Colchicine du 30.01 au 08.02.2019. Examen clinique. Conseil de port de bas de contention. Bilan angiologique à organiser en ambulatoire par le médecin traitant. Examen clinique Conseils de surveillance à domicile Antalgie au besoin Examen clinique. Conseils et informations lors d'exposition à de la fumée. Recommandation de reconsulter en cas d'hémoptisie dyspnée. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique. Consignes de surveillance neurologique post-traumatisme crânien données à Mme. Y. Examen clinique. Consilium ORL (Dr. X). Ciproxin HX gouttes. Stop Q-tips. Examen clinique. Consilium psychiatrique Dr. X • hospitalisation à Marsens en volontaire (accompagnée par son mari). Examen clinique. Constat de coup. Photos. Antalgie en réserve. Examen clinique. Constat de coup. Radiographie : décrite ci-dessous. Antalgie simple du domicile. Examen clinique. Consultation dermatologique le 27.02.2019. Examen clinique. Consultation en proctologie d'urgences, Dr. X. Drainage au bloc opératoire. Surveillance en salle de réveil. Retour à domicile avec antalgie par Dafalgan et Tramal. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant et à la consultation de proctologie au HFR. Examen clinique. Consultation ORL du 11.02.2019 : retrait d'une arête présente à la base de la langue. Retour à domicile après retrait de l'arête. Examen clinique. Consultation orthopédique à la policlinique avec Dr. X le 20.02.2019 à 15H30. Antalgie. Examen clinique. Continuer la Ciproxine 2 x 500 mg per os. Urotube encore en cours. Mme. Y va rappeler pour le résultat d'urotube. Examen clinique. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Contrôle le 25.02.2019 à la policlinique d'orthopédie. Examen clinique Coronarographie le 11.02.2019 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal Examen clinique. CT abdominal : calcul intra-urétéral pré-méatal droit mesurant environ 2,5 x 2 x 2 mm, sans dilatation pyélocalicielle associée. Retour à domicile avec un traitement antalgique et anti-inflammatoire de réserve. Conseil de consulter l'urologue pour des coliques néphrétiques récidivantes. Arrêt de travail. Examen clinique. CT cérébral et cervicales : pas de fracture, pas de saignement. Laboratoire. Retour à domicile avec son conjoint et consigne pour surveillance neurologique. Examen clinique. CT cérébrale et cervical : pas de saignement intracrânien, pas de fracture. Avis neurochirurgie (Dr. X) : recontrôle. Examen clinique. CT du 15.02.2019 (externe). Laboratoire, urines. Sono abdomen : hydronéphrose susmentionnée, pas de signe de Twinkling sur les 7 cm proximal de l'uretère. Avis urologie (Dr. X) : pas d'indication à mettre une sonde double J actuellement, poursuite de l'antalgie, Tamsulosine et contrôle clinique + US à son cabinet le 18.02.2019 à 10h. Examen clinique CT scan Sera pris au bloc électivement le 11.01.2019 par Dr. X Examen clinique. CT-scan cervical : décrit ci-dessous. Avis chirurgical de Dr. X. Minerve cervicale en mousse pendant 5 jours. ajout de Sirdalud au Dafalgan Irfen (pendant 5 jours). Voltarène gel. Contrôle chez le médecin traitant. Reconsulter si péjoration des symptômes entre deux. Examen clinique. CT-scanner cérébral et massif facial : décrit ci-dessous. Retour à domicile avec traitement antalgique. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. CT-scanner de la cheville gauche : décrit ci-dessous. Chaussure Barouk. Arrêt de travail de 50 % dès la semaine prochaine. Rendez-vous à la consultation de Dr. X la semaine prochaine pour savoir si traitement conservateur ou opération. (Mr. Y téléphonera le 04.02). Examen clinique. Dafalgan 1 g, Voltarène 50 mg. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Retour à domicile avec antalgie. Ecofenac 75 mg 2x/jour. Dafalgan 1 g 4x/jour. Tramal 50 mg en réserve. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Examen clinique. Dafalgan 1 g 3x/jour, Brufen 400 mg 3x/jour. Arrêt de travail jusqu'au 17.02.2019. Retour à domicile. Examen clinique. Désinfection à la Bétadine des deux plaies. Anesthésie locale par Rapidocaïne + Bicarbonate. Suture par 1 point d'Ethilon sur plaie face palmaire. Pansement compressif sur le pouce recouvrant les deux plaies. Rappel du vaccin antitétanique. Contrôle de plaie chez le médecin traitant dans 48h à Zermatt, et ablation du point à 14 jours. Examen clinique. Désinfection à l'Hibidil. Anesthésie Bicarbonate et Rapidocaïne. Suture par 3 points à l'Ethilon 3-0. Rappel du vaccin antitétanique. Feuille de surveillance neurologique des traumatismes crâniens remise à Mme. Y. Antalgie. Ablation des points à J10 chez le médecin traitant. Examen clinique. Désinfection à l'Hibidil. Compression. Pansement Hémostop, compresses Cutiplast. Contrôle chez le pédiatre au besoin. Examen clinique. Désinfection à l'Hibidil. Rinçage abondant à l'Nacl 0,9 % à l'aide d'une aiguille boutonnée. Désinfection sous-cutanée à la Lidocaïne. 2 points de suture Ethicon 4.0. Ad rappel DiTe. Contrôle clinique de la plaie à 48h chez le médecin traitant. Ablation des fils à 7-10 jours. Examen clinique. Désinfection. Anesthésie locale en bague par Lidocaïne. Exploration : plaie superficielle sans atteinte des structures nobles. Désinfection par Bétadine, champtage, 4 points de sutures au Prolène 4.0.Pansement par Adaptic. Attitude : • Traitement antalgique. • Arrêt de sport. • Contrôle à la consultation ambulatoire des urgences à 48h. • Retrait des fils à 7-10 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. • Désinfection, anesthésie locale, investigation à l'aiguille boutonnée, suture. • Pansement avec Adaptic. • Contrôle chez son médecin traitant à 48h et pour retrait des fils à 10 jours. Examen clinique. • Désinfection, anesthésie par Lidocaïne 2ml, exploration de la plaie, champage, 2 points de suture par Prolène 3.0. • Pansement. • Suivi et ablation des fils à 10 jours chez le médecin traitant. • Rappel tétanos il y a moins de 20 ans. Examen clinique. • Désinfection avec Bétadine, pose de champ stérile, anesthésie en bague avec Rapidocaïne, inspection de la plaie, pas de tendon visible, plaie superficielle, rinçage avec de l'eau puis 2x avec Bétadine eau, 2 points avec Prolène 4.0. • Retour à domicile avec antibiothérapie Augmentin 1gr 2x/jour pendant 7 jours et Dafalgan en réserve, contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 16.02.2019. • Retrait des fils à 10 jours au secteur ambulatoire des urgences (pas de médecin traitant). • Instructions pour soin de plaie données au patient. Examen clinique. • Désinfection bétadinée. • Champage stérile. • Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. • Exploration (pas de structure noble exposée). • Rinçage. • 3 points simples. • Pansement Adaptic. • Arrêt de travail jusqu'au 01.03.2019, à réévaluer par le médecin traitant. • Tétanos fait en avril 2018. • Contrôle chez le médecin traitant à 48h. • Ablation des points dans 7-10 jours. Examen clinique • Désinfection bétadinée et exploration de plaie. • Pansement Adaptic pour deux jours. • Rappel tétanos. • Consulter le médecin traitant ou un service d'urgence si nouvelle douleur aiguë, fièvre ou surinfection. Examen clinique. • Désinfection, champage, anesthésie locale par Rapidocaïne-Bicarbonate, exploration. • Suture par 5 points de Prolène 4 (frontale) et 3 points (maxillaire). • Opsite topique. • Tétanos à jour en 2015 selon le patient. • Contrôle clinique des plaies et ablation des points à 5 jours à la filière des urgences ambulatoires (pas de médecin traitant). • Fucidine crème onguent dès 48h. Examen clinique. • Désinfection, champage, anesthésie locale par Rapidocaïne-Bicarbonate. • Exploration de plaie, rinçage à l'aiguille boutonnée. • Suture par 3 points de Prolène 5.0. • Ablation des fils à 5 jours chez le médecin traitant. • Rappel du tétanos à jour il y a 5-6 ans. • Fucidine crème onguent dès l'ablation des fils. • Arrêt de travail. Examen clinique. • Désinfection, champage, exploration, 2 points de suture au Prolène 4.0, sous anesthésie locale, pansement par Adaptic, compresse, bande de gaze. Examen clinique. • Désinfection, champage, exploration, 3 points de suture au Prolène 4.0, pansement. • 2.2 g de Co-Amoxicilline aux urgences. • Explication préalable pour les différents examens : • Laboratoire : cf annexes. • Avis cardiologique Dr. X (médecin opérateur) : pansement stérile. Augmentin pour une semaine. Examen clinique. • Désinfection, champage, rinçage, suture sous cutanée au ....... 4.0 à 4 reprises, suture cutanée selon Donati au Prolène 3.0 à 4 reprises, suture en anesthésie locale. Pansement par Adaptic, compresse, Mefix. • Co-Amoxicilline 1 g aux urgences (au vu de l'antécédent d'infection). • Attelle Jeans 0°. • Contrôle ortho (déjà prévu) le 19.02.2019. Examen clinique. • Désinfection et changement pansement. • Irfen 400 mg 3x/j pendant 3 jours puis selon douleurs, ablation des fils à 14j. • Arrêt de travail. Examen clinique • Désinfection et exploration sous anesthésie locale. • Rinçage abondant avec NaCl. • Suture de plaies par 3 points de rapprochement au fil d'Ethibond 5.0. • Céfuroxime 1.5g iv single shot aux urgences. • Tétanos à jour. • Patient à jeun pour demain matin, il sera reconvoqué pour une opération. Examen clinique. • Désinfection et retrait des fils. Examen clinique. • Désinfection, exploration de plaie sous anesthésie locale. • Rinçage abondant. • Suture de plaie avec un point de fil 5.0 d'Ethibond. • Contrôle de plaie à la policlinique d'orthopédie le lundi 11.02.2019. • Tétanos à jour (fait en 2016). • Arrêt de travail. Examen clinique. • Désinfection par Bétadine. • Anesthésie locale par Lidocaïne 1%. • Exploration à l'aiguille boutonnée avec NaCl 0.9%. • Fermeture des berges avec 4 points simples Ethilon 3.0. • Pansement gras. • Ablation des fils à 8 jours chez le médecin traitant. • Rappel antitétanique par Ditanrix effectué aux urgences. • Arrêt de travail. Examen clinique. • Désinfection par Hibidil. • Opsite Spray. • Ablation des fils à J7 de la suture chez le médecin traitant. Examen clinique. • Désinfection par Octenisept et réfection de pansement avec Adaptic et compresse. • Consultation à 48h chez le médecin traitant pour poursuite de prise en charge. • Recommandation de consulter aux urgences en cas d'état fébrile, frissons et écoulement purulent. Examen clinique. • Désinfection. • Bétadine et pansement. • Retour à domicile avec désinfectant et crème antiseptique. • Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. • Désinfection. • Pansement. • Suivi chez le médecin traitant le 04.02.2019. • Prise en charge en stomatothérapie le 06.02.2019. Examen clinique. • Désinfection. • Rappel tétanos. Examen clinique. • Désinfection. • 2 agrafes. • Retour à domicile avec antalgie. • Ablation des agrafes à 10 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. • Discussion du cas avec le Dr. X, de médecine interne. • Antalgie. • Retour à domicile. Examen clinique. • Douleurs diffuses du poignet droit à la palpation du côté cubital et radial, tuméfaction globale pas d'hématome. • Sensibilité du médian conservée. • Limitation fonctionnelle flexion 20°, extension non réalisable. • Radiographie du poignet droit : décrite ci-dessous. • Plâtre brachio-antébrachial prenant les métacarpes en intrinsèque, fendu sur le côté. • Contrôle en policlinique à la consultation du Dr. X à 1 semaine avec plâtre circulaire. • Immobilisation pour 6 semaines. • Arrêt de sport. Examen clinique. • ECG : bloc de branche droit. Cf. annexes. • Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. • Laboratoire : cf. annexes. Pas de leucocyte, pas de CRP. • AINS et suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. • ECG : cf. annexes. • Ad KCL effervescent 30mmol/l. • Retour à domicile. Examen clinique. • ECG : cf. annexes. • Antalgie simple. • Stopper la médication d'Euthyrox. • Suivi clinique par son médecin traitant la semaine prochaine avec réévaluation de la substitution thyroïdienne. Examen clinique. • ECG : cf. annexes. Axe gauche, bloc de branche droit avec rSR VI, pas de sus/sous décalage ST. • Test de Schellong : négatif. Examen clinique. • ECG : cf. annexes. • Bilan biologique : cf. annexes. • Tox Zentrum : bilan rénal, hydratation sur la nuit, bilan de contrôle au matin. • Avis du Dr. X : surveillance sur la nuit, avis psychiatre de garde au matin. • Consilium psychiatrique demandé. Examen clinique. • ECG : cf. annexes. • Laboratoire : cf. annexes. • Antalgie par Tramal retard 50mg 2x/jour, Irfen 600mg, Dafalgan 1g. • Suivi clinique chez le médecin traitant le 06.02.2019. • Arrêt du sport durant 7 jours. • Réintégration de l'école à 50% durant 2 jours. Examen clinique. • ECG : cf. annexes. • Laboratoire : cf. annexes. • Gazométrie : cf. annexes. • Antigènes urinaires pour pneumocoques et Legionella : négatifs. • Frottis nasopharyngé grippe et RSV : négatif. • Rocéphine 2 g iv dès le 12.02.2019. • 1500ml NaCl 0.9%. • Fluimucil 200 mg 3x/jour. • Oxygénothérapie 93 masque sous 15 litres. • qSOFA 2/3. Examen clinique. • ECG : cf. annexes. • Laboratoire : cf. annexes. • Perfusion 1000ml NaCl 0.9%. • Dafalgan 1g iv. • Retour à domicile. • Arrêt de travail. Examen clinique. • ECG : cf. annexes. • Laboratoire : cf. annexes. • Radiographie du thorax : décrit ci-dessous.Pulmicort 0.5 + Atrovent 250µg. Solumedrol 125 mg iv. Peak Flow postérieur 2 séries d'aérosol : DEP à 57%. Auscultation : murmure vésiculaire symétrique sans sibilance, pas de spasticité, eupnéique. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Traitement symptomatique. Arrêt de travail. Rendez-vous chez son médecin traitant pour contrôle. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Repos. Retour à domicile avec rendez-vous le 22.02.2019 chez son médecin traitant pour planifier une polysomnographie en ambulatoire. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Retour à domicile. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Retour à domicile. Temesta 1 mg. Contrôle clinique chez le médecin traitant à 3 jours. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Score de Genève : risque modéré. Dafalgan, Voltaren, Nitroglycérine cp. Temesta 1 mg. Attitude : Retour à domicile avec antalgie, nitroglycérine en réserve. Contrôle chez le médecin traitant avec ETT, +/- Holter à distance. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Stix/sédiment urinaire : sang négatif. Retour à domicile. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason abdominal : décrit ci-dessous. Ulcar et Nexium 40 mg aux urgences. Traitement d'épreuve par Pantozol 40 mg. Suite chez le médecin traitant. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Dafalgan 1 g iv et Voltaren 75 mg iv. Retour à domicile. Antalgie simple en réserve. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Réassurance. Temesta 1 mg à prendre à la maison si persistance et retour à domicile. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Ringer-lactate 500 ml sur 2 h. Départ contre avis médical avant remplissage adéquat et résolution de la tachycardie. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Tachycardie sinusale. Stix urinaire. Avis chirurgical du Dr. X : retour à domicile avec consignes de surveillance neurologiques et reconsultation si apparition de symptômes sur papier. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Alcoolémie à 2.37. Avis du psychiatre de garde. Transfert au RFSM de Marsens en mode volontaire, départ en ambulance. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Stix urinaire. Traitement symptomatique. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. ECG. Bilan sanguin et urinaire. NT-ProBNP à 13'565 ng/l le 30.01.2019. Radiographie du thorax. Oxygénothérapie. Lasix intraveineux 20 mg 3x/j du 30.01.2019 au 04.02.2019, avec mise en suspens du traitement diurétique habituel par voie orale. Torem 20 mg 1x/j depuis le 05.02.2019. Metolazone 2.5 mg 1x/j du 05.02.2019 au 11.02.2019, augmenté à 5 mg 1x/j depuis le 12.02.2019. Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 31.01.19 au 18.02.2019 avec une prise en charge en : • Physiothérapie • Ergothérapie • Diététique • Tests de la cognition du 01.02.2019 : MMSE à 26/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 0/15 Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Antalgie et anti-inflammatoire. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Surveillance aux urgences. Retour à Marsens en ambulance. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Dafalgan. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Examen clinique. ECG : cf. annexes. Temesta 1 mg. Feuille de surveillance neurologique. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. ECG le 25.02.2019. Laboratoire le 25.02.2019. • H0 : trop à 5. • H1 : trop à 5. Radiographie thoracique le 25.02.2019. Attitude : • Traitement par Colchicine et Brufen. • Arrêt de travail. • Rendez-vous de contrôle chez médecin traitant à 48 h. • Mr. Y est instruit des symptômes graves nécessitant une reconsultation aux urgences. Examen clinique. ECG : Onde T négative dans les dérivations antérieures et latérales. Laboratoire. Aspirine 500 mg dans le cabinet du médecin traitant. Héparine 5000 IU en bolus. Héparine 12'000 IU sur 24 h. Contrôle de la crase et de l'anti-X-a à 03h00. Avis cardio (Prof. X) : indication à coronarographie, puis transfert soins intensifs. Examen clinique. ECG : ondes T négatives en V1-3. Evaluer la nécessité d'effectuer un bilan cardiologique chez le médecin traitant. Schellong négatif. Laboratoire : pas de trouble électrolytique. Avis ORL (Dr. X) : pas d'argument pour des vertiges vestibulaires. Avis neurologique (Dr. X) : pas d'argument pour effectuer un CT en urgences, organiser une IRM en ambulatoire. Primperan 10 mg po aux urgences. IRM en ambulatoire avec résultat et contrôle clinique chez le médecin traitant. Conseil de reconsulter en cas de péjoration ou nouveau symptômes. Examen clinique. ECG sans particularité, superposable à un ancien ECG amené par le patient. Retour à domicile avec arrêt de travail de 2 semaines et contrôle chez le médecin traitant à la fin de la semaine. Examen clinique. ECG sans particularité. Retour à domicile avec antalgie en réserve. Examen clinique. ECG superposable. Gazométrie. Laboratoire. • syndrome inflammatoire avec CRP à 64, leuco à 13.4 avec déviation G. • pas de cinétique des trop. sédiment urinaire. Lésionnelles urinaires à pister. hémoculture à chaud 2 paires à pister. Rx thorax : foyer D. Frottis grippe. Hospitalisation en médecine. Aérosols par Ventolin et Atrovent 1x aux urgences. Rocéphine et Klacid débutés aux urgences. Oxygénothérapie. 1500 ml NaCl aux urgences. Examen clinique. ECG : sus-décalage concave haut en II, III, AVF sans image miroir, pas d'anomalie dans les précordiales. Gazométrie : Acidose respiratoire compensée chronique, pas de lactate. Laboratoire. US abdominal ciblé aux urgences Dr. X : lithiase biliaire, aorte normale, pas d'épanchement cavitonéal. US abdominal : vésicule biliaire paroi 5 mm, cholédoque 10 mm, calcul 8 mm visualisé, pas de dilatation intra-hépatique. Rx thorax. Avis cardio Dr. X : STEMI peu probable, suite de prise en charge selon cinétique des troponines. Avis chirurgical Dr. X : Surveillance des paramètres hépatiques et des douleurs, évaluer si nécessité d'intervention. Rocephine 2 g iv. Flagyl 500 iv 3x/j. Examen clinique. ECG transmis par le médecin traitant. Laboratoire : leuco à 16, pas de CRP. CT abdo. Avis chirurgical (Dr. X / Dr. X). Antalgie par Fentanyl 75 mg, Buscopan 20 mg dans l'ambulance. Primperan 10 mg. Hospitalisation en chirurgie. Gastrographine 50 cc. Laboratoire le 16.02.2019. NaCl 1000/12h. Revoir liste de traitement (traitement thyroïdien X). Examen clinique. ECG. Adaptation du traitement pharmacologique : introduction de Beloc ZOK 50 mg le 21.01.2019, arrêt de Sotalol le 22.01.2019. Examen clinique. ECG. Bilan biologique : Lc 21.8 G/L avec déviation G, CRP 199. Sédiment urinaire. Frottis de grippe : négatif. Rx thorax : pas de foyer. Avis Dr. X : scanner natif abdominal. CT abdominal natif : épaississement pariétal du côlon ascendant, avec infiltration de la graisse au contact, compatible avec une colite au vu du contexte clinique. Pas de signe de complication décelé, sous réserve de l'absence d'injection de produit de contraste. Culture des selles : PCR revient positif pour une Shigella. Prescription de Ciproxine 500 mg 2x/j. ECG de contrôle post-administration Ciproxine : pas de QT long, inversion des ondes T aspécifique. Contrôle à la FUA le 22.02.2019, car ce dernier ne souhaite pas être hospitalisé. Examen clinique. ECG. Labo. Antigène légionelles et pneumocoque.Hémoculture Oxygène aux urgences Meropenem 1 g i.v. Klacid 500 mg i.v. Examen clinique. ECG. Laboratoire aligné. Avis psychiatrique. Temesta aux urgences. Hospitalisation en volontaire à Marsens. Transfert en ambulance. Examen clinique ECG laboratoire Avis cardio Dr. X • coronarographie en urgence Examen clinique ECG laboratoire gazométrie Rx thorax : foyer apical D Lasix 20 mg aux urgences Lasix 20 mg le 16.02 • Réévaluer l'introduction de Torem Holter et ETT à organiser Examen clinique ECG Laboratoires Sédiment urinaire Urotube positif à Klebsiella pneumoniae le 23.01.2019 Hémocultures Radiographie du thorax Radiographie du pied droit Hospitalisation en gériatrie aiguë Co-Amoxicilline 2.2 g 3x/j durant 7 jours Avis orthopédique Dr. X : rendez-vous le 04.02.2019 à 9 h 15 avec Dr. X en consultation de pied à risque Consilium en angiologie le 25.01.2019 Rendez-vous pour l'angioplastie : Mme. Y est attendue aux admissions à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal à 10 h le 06.02.2019 Examen clinique ECG Laboratoire Test de Schellong positif Traitement symptomatique avec Dafalgan, Irfen, Angina MCL Retour à domicile avec conseil de reconsulter en cas de péjoration clinique. Examens effectués aux urgences expliqués au patient par le médecin. Examen clinique. ECG. NIHSS 0 à 03 h 30 et 4 h 30. CT time is brain : pas de lésion cérébrale visualisée. Axes vasculaires carotidiens-vertébraux normaux. Avis Neurologique (Dr. X) : Aspirine cardio. Transfert aux soins intensifs avec IRM demain. Le patient part contre avis médical ne souhaitant pas une hospitalisation. Nous lui expliquons en français et en arabe (afin d'être certains de la bonne compréhension du patient) les risques encourus, notamment de récidive avec constitution d'un AVC ainsi que le risque de décès. Nous lui expliquons la nécessité de le garder pour surveillance et afin de réaliser les examens complémentaires. Malgré ces explications, le patient refuse de rester à l'hôpital, nous lui faisons signer une décharge. Dans ce contexte, nous lui recommandons fortement de consulter son médecin traitant dès ce jour et lui laissons le soin d'organiser le bilan AIT avec IRM, échographie du cœur, échographie des axes vasculaires carotidiens-vertébraux. ECG Holter bilan lipidique. Nous vous laissons également le soin de réévaluer l'indication à l'aspirine cardio après le bilan AIT. Examen clinique. Ecoulement liquide clair non sanguin non purulent de l'orifice. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du coude droit : décrite ci-dessous. Tulle bétadinée et pansement compressif. Décharge signée par la patiente qui souhaite un retour à domicile. Rendez-vous chez le médecin traitant à Paris le 04.02 puis consultation chez un orthopédiste à Paris. Examen clinique. Enseignement pour réfection de pansement. Réfection de pansement le 27 nécessitant uniquement une consultation infirmière. Retrait des fils à 15 jours. Examen clinique. Entretien avec le patient. Temesta aux urgences. Observation monitorée aux urgences. Examen clinique. Examen à la fluorescéine. Avis du Dr. X, de médecine interne. Pansement occlusif pour la nuit. Lacrinorm gel à appliquer 4-6x/jour. Vitamine A pommade à appliquer 3x/jour. Contrôle chez un ophtalmologue le 05.02.2019. Examen clinique. Explication préalable pour les différents examens : Laboratoire. Consilium psychiatrique Dr. X : • retour à domicile avec Quétiapine en réserve. • le psychiatre contactera le médecin traitant du patient le 22.02.2019 pour suite de prise en charge. Examen clinique. Explication préalable pour les différents examens : Laboratoire. ECG. Examen clinique. Explication préalable pour les différents examens : Radiographie cervicale. CT de la colonne cervicale. Radiographie colonne lombaire. Antalgie par Morphine titrée aux urgences. Examen clinique. Explication préalable pour les différents examens : Radiographie du bassin. CT du bassin. Avis orthopédique (Dr. X) : charge selon douleur, physiothérapie, contrôle radio-clinique à la consultation du team membres inférieurs dans 3 semaines. Examen clinique. Explication préalable pour les différents examens : Radiographie du pied : pas de fracture. Avis orthopédique Dr. X. Semelle Darco et cannes. Repos et traitement antalgique par Dafalgan et Irfen. Conseil de reconsulter le médecin traitant si persistance des douleurs. Examen clinique. Explication préalable pour les différents examens : Radiographie du thorax : pas de foyer. Traitement symptomatique avec Dafalgan, Aspegic, Angina MCL, Fluimicil. Patient reconsultera en cas de péjoration des symptômes. Examen clinique. Explication préalable pour les différents examens Laboratoire. Traitement symptomatique. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Majoration de l'antalgie après contact avec les éducateurs (ordonnance transmise aux éducateurs). Proposition de contacter son orthopédiste pour discuter des possibilités thérapeutiques. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. Retour à domicile avec conseil de consulter son ORL (Dr. X) en ambulatoire. Mesures expliquées à la patiente en cas de nouveau saignement. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. Sédiment. Avis psychiatrique (Dr. X) : indication à une hospitalisation à Marsens. Attitude : • Transfert à Marsens pour la suite de la prise en charge. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. Stix/Sédiment. Consultation gynécologique + US endovaginal : pas de signe pour une torsion ovarienne. US abdominal (Dr. X) : pas d'appendicite, pas de liquide libre. Avis chirurgie (Dr. X) : retour à domicile avec contrôle clinique et biologique à 24 h à la consultation ambulatoire des urgences. Retour à domicile avec contrôle clinique et biologique le 21.02.2019 à 16 h à la consultation ambulatoire des urgences. Examen clinique Explications données par le médecin pour examen. Radiographie cervicale (Dr. X) : pas de fracture. Retour à domicile avec antalgie par Dafalgan, Irfen et Sirdalud pour 4 jours. Reconsultera son médecin traitant si douleurs persistantes. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie du genou : pas de fracture visualisée. Avis orthopédique (Dr. X). Antalgie simple avec conseil de glaçage. Patient reconsultera son médecin traitant en cas de douleurs persistantes. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie du genou. Avis orthopédique (Dr. X). Retour à domicile avec traitement d'Irfen durant 7 jours. Conseil de glaçage, repos et éviter position à genou. Reconsultera si douleurs à 1 semaine. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie du thorax : pas de foyer visible. Traitement par Azithromycine 5 jours. Fluimucil et Dafalgan. Poursuite du Ventolin 3x/j. Patient reconsultera en cas de péjoration des symptômes. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie du thorax : pas de foyer visualisé. Traitement symptomatique avec Dafalgan et Irfen. Mebucaliquid et Xylomepha. Reconsultera en cas de péjoration des symptômes. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie F/P du pouce gauche : pas de fracture visualisée. Attitude : Immobilisation par attelle pouce du skieur. Antalgie. Arrêt de travail. Contrôle chez médecin traitant à 4-5 jours pour testing instabilité et suite de prise en charge. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examens. ECG. Laboratoire. • TSH dans la norme. CT scan cérébral (oral Dr. X) : pas de lésion ischémique, pas de lésion des vaisseaux. Bilan ORL (Dr. X) : pas d'argument pour une origine ORL. Avis neurologique (Dr. X) : clinique plutôt périphérique selon la description, CT sans lésion, organiser IRM en ambulatoire et rendez-vous en neurologie si anomalie. IRM en ambulatoire (demande radiologique écrite faite, formulaire IRM rempli par Mme. Y). Résultats IRM seront transmis au médecin traitant, +/- consultation neurologique. Retour à domicile avec conseil de reconsulter si péjoration des symptômes. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. CT cérébral (Dr. X) : pas d'oedème, pas de saignement. Ponction lombaire (Dr. X) : pression d'ouverture à 18,5 mmHg, 1 élément, citrin. Gram : à pister. PCR bactérienne et virale à pister. Rocéphine 2g iv débutée aux urgences. Avis infectiologique téléphonique (Dr. X) : pas d'argument pour une méningite, pas de poursuite de l'antibiothérapie, consultation si nouvel élément, contrôle clinique à 24-48h. Contrôle clinique à la consultation ambulatoire des urgences le 23.02.19. Critères de reconsultation expliqués à Mme. Y. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. ECG. Avis cardiologique (Dr. X). Manœuvre vagale sans résultat. Adénosine 6, 12 mg sans résultat. Cardioversion électrique à 100J avec anesthésie par Propofol 60 mg. Cordarone 300 mg iv. Cordarone 600 mg par jour durant 10 j puis 200 mg pas jour. Mme. Y prendra rendez-vous chez son cardiologue pour un contrôle du rythme et clinique et la suite de prise en charge. Elle reconsultera en cas de nouveaux symptômes cliniques. Examen clinique. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • ECG • laboratoire • radiographie lombaire : pas de fracture. • CT cérébral natif : pas de saignement, pas de fracture. Test de Shellong positif. Primperan aux urgences. Retour à domicile avec bas de contention et Primpéran. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique. Explications données par le médecin pour : Radiographie cheville droite : pas de fracture. Aircast, élévation, glace, repos, antalgie. Arrêt de travail. Suivi chez le médecin traitant à 10 jours. Examen clinique. Explications données par le médecin pour : Radiographie cheville droite : pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X). Aircast. Marche avec charge selon douleur. Prescription de béquilles avec instructions à la marche données au patient. Surélévation, glace, compression, antalgie. Arrêt de travail. Contrôle à 10 jours chez son médecin traitant. Physiothérapie dès 10 jours. Examen clinique. Explications données par le médecin pour : Radiographie doigt + radiographie de contrôle. Désinfection, anesthésie de la gaine des fléchisseurs, retrait de l'agrafe. Pansement compressif pour 48h. Attelle Staxx. Avis orthopédique (Dr. X). Vaccination anti-tétanos. Co-Amoxicilline 2 g iv aux urgences + 5 jours 1 g 2x/jour per os. Antalgie simple. Instructions pour soin de plaie données au patient. Contrôle radio-clinique en ortho-urgences à 1 semaine. Examen clinique. Explications données par le médecin pour : Radiographie : sans particularité. Traitement symptomatique. Consultation de contrôle chez le médecin traitant. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mme. Y. Examen clinique. Explications données par le médecin pour : Radiographies cervicales. Avis orthopédique (Dr. X). Physiothérapie 2x/semaine. Antalgie simple. Patient reconsultera en cas de péjoration clinique ou persistance des symptômes à 3 semaines (consultation en team Spine). Examen clinique. Explications données par le médecin pour : Stix et sédiment urinaire : Leucocyte +++, sang +++++. Test de grossesse : négatif. Urotube : en cours. Nitrofurantoïne 100 mg 2x/jour durant 5 jours. Proposition d'une consultation en infectiologie +/- urologie pour prise en charge d'infection urinaire à répétition. Examen clinique. Explications données par le médecin pour : Stix sédiment urinaire. Urotube en cours (résultats seront transmis au Dr. X). Nitrofurantoïne 100 mg 2x/jour durant 5 jours. Suivi chez le médecin traitant/gynécologue. Consignes d'hygiène transmises à Mme. Y. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Examen clinique. Explications données par le médecin pour : US pulmonaire (Dr. X, Dr. X) : pas d'épanchement visualisé, pas de pneumothorax. Radiographie poumon. Traitement symptomatique. Contrôle chez médecin traitant à 48h pour suivi symptomatologie. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Examen clinique. Exploration de la plaie : pas de lésion des structures nobles. Mise en place 1 point de suture sur la plaie du 3ème doigt et un autre sur la plaie du 4ème doigt avec Ethilon 4.0. Antalgie simple. Arrêt de travail. Ablation des points de suture chez le médecin traitant dans 5 jours. Examen clinique. Exploration de la plaie, désinfection. Pose de 4 stéristrips. Suivi clinique et ablation des stéristrips chez le médecin traitant. Proposition de reconsulter si état fébrile, écoulement ou péjoration de la plaie. Examen clinique. Feuille de surveillance neurologique donnée au patient. Examen clinique. Feuille de surveillance post-traumatisme crânien donnée. Examen clinique. Frottis bactériologique du 02.02.2019 : en cours. Avis chirurgical du Dr. X. Rinçage à l'eau oxygénée avec aiguille boutonnée, désinfection. Pansement absorbant. Poursuite Augmentin 1g 2x/jour pendant 7 jours. Arrêt de travail 100% pour lundi 04.02.2019 à réévaluer. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 04.02.2019 pour contrôle clinique par le Dr. X. Examen clinique. Frottis test à streptocoques : négatif. Examen clinique. Gazométrie artérielle : cf. annexes. PH 7.43, PCo2 4.3, PO2 8.9, Bic 21, Lact 1.8. HGT : glycémie dans la norme. CT-scan cérébral natif ce jour : décrit ci-dessous. Examen clinique. Glace 3x/jour. Antalgie standard et vasoconstricteur nasal. Critères de gravité communiqués au patient. Consultation en ORL dans une semaine. Examen clinique. Il prendra rendez-vous chez un dentiste pour la prise en charge. Examen clinique. Itinérol en réserve. Examen clinique. Labo : CRP 170 mg/l Hémoc 2 x 2 par le peak-line, 2 x 2 hémoc veineux (sans EF), 1 paire avec fièvre ECG CT abdominal : abcès de 0,5 x 10 x 10 mm, sinon pas de collection Avis chir (Dr. X) : Indication au drainage Avis infect (Dr. X) : Tazobac 4 x 4,5 g i.v. par jour Avis oncologique : NEUPOGEN Amgen 48 mio par jour Att : drainage de l'abcès au bloc et hospitalisation en médecine Examen clinique. Labo : CRP 99 mg/l, Leuc 19 G/l Urine : leucocyturie ++, Sono abdomen (Dr. X) : pas d'adénopathie mésentéreale, pas de liquide libre dans l'abdomen, calcul dans l'urétére proximale de 5 x 3 mm de taille, légère dilatation pyélocalicielle à droite à 11 mm CT abdomino-pelvien : pas d'argument pour une appendicite Avis chirurgicale (Dr. X) : indication à mise en place d'une sonde double-J Rocéphine 2 g i.v. aux urgences Examen clinique. Labo effectué à Meyriez : Créat à 162, CRP à 263, leuco à 17.9 Urines Avis urologique (Dr. X) : hospitalisation au Daler pour intervention le 12.02.2019 Pose de double J gauche au Daler le 12.2.2019 (Dr. X) Rocéphine 2 g iv aux urgences Antalgie par Morphine titrée iv Examen clinique. Labo : leucocytose avec déviation gauche Urines : pas prélevées aux urgences. À faire à l'étage avec antigène urinaire Gazo : insuffisance respiratoire partielle 2 paires d'hémocultures à froid Frottis grippe en cours Antibiothérapie : Rocéphine 2 g i.v. aux urgences, Klacid 500 mg aux urgences Examen clinique. Laboratoire. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Antalgie : Novalgin 500mg 3x/jour, Dafalgan 1g 4x/jour. Avis du Dr. X, de médecine interne. Retour à domicile, repos et contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Apparition des symptômes > 72h, antalgie et retour à domicile. Mme. Y informée sur la possibilité de douleurs post-zostériennes, elle consultera chez son médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Atrovent, Ventolin. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Aux urgences, elle reçoit du Dafalgan et de l'Irfen. Traitement symptomatique. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis de l'ORL Dr. X : une dose de Co-Amoxicilline 2.2 g iv aux urgences puis relais per os 1g 2 fois par jour. Une dose de Solumédrol 125 mg iv aux urgences. Consultation demain chez l'ORL au cabinet à jeun à 8h. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, de médecine interne. Contrôle chez son médecin traitant le 19.02.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, de médecine interne. CT-scan natif : décrit ci-dessous. Antalgie, surveillance. Retour à domicile. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. Antalgie, AINS et Dafalgan. Contrôle clinique, biologique urinaire et avis chirurgical demain à la filière des urgences ambulatoires. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien de garde. Cholangio-IRM le 26.02.2019 à la recherche d'une lithiase des voies biliaires. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 26.02.2019 avec les résultats de l'IRM. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Avis neurologie de garde (Dr. X) : crise d'épilepsie la plus probable, cependant ad transfert aux urgences de l'HFR Fribourg pour imagerie cérébrale et évaluation-surveillance neurologique. Paracétamol iv en ordre unique aux urgences. Transfert aux urgences de Fribourg selon protocole Time is Brain, départ en ambulance. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Bandelette urinaire : sp. Riopan 800mg 1x/jour. Poursuite du Nexium 40mg 1x/jour pendant 1 mois. Mesures diététiques et d'hygiène de vie. Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Proposition d'organiser une OGD en cas de persistance des symptômes à la recherche d'hernie hiatale. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Bilan urinaire : cf. annexes. Hématurie ++++, leucocyturie +. Avis urologique en ambulatoire. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Bilan urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X, de médecine interne : Rocephin 2g IV, contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires dans 24h + 2ème dose de Rocéphine 2g IV. Selon bilan du 11.02.2019, envisager une hospitalisation pour suite de prise en charge ou traitement ambulatoire par Ciproxine 2x500mg/jour. Contrôle clinico-biologique + deuxième dose de Rocéphine IV le 11.02.2019 à 16h30. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Créatinine à 261µmol/l, urée à 24mmol/l, osmolalité à 316, eGFR à 20. Hydratation avec Ringer Lactat 1000 ml/3 heures iv puis 1500 ml/24h. Changement de la sonde à demeure avec rinçage : ramène des urines claires sans macrohématurie. Hospitalisation en médecine à Meyriez. Sédiment urinaire et spot urinaire à pister. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CRP à 17mg/l, sans leucocytose. Immobilisation par attelle Jeans à 30° avec cannes. Antalgie. Clexane prophylactique. Arrêt de travail. Contrôle à la policlinique orthopédique à la consultation de Dr. X le 22.02.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CRP 10 mg/l, leucocytes 6.5 G/l. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. ECG : cf. annexes. 1 litre d'O2 par lunettes. Retour au foyer avec poursuite du traitement par Co-Amoxicilline 625mg 3 fois par jour per os. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CRP 118 mg/l et leucocytes 11.2 G/l. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, de médecine interne : Co-Amoxicilline 1g cp 3 fois par jour pour 1 semaine et contrôle chez le médecin traitant dans 48 heures. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, leucocytes à 9.7G/l, thrombocytose à 370 G/l. Avis du Dr. X, de médecine interne. 2.2 g iv de Co-Amoxicilline iv puis relais per os pendant 10 jours par Co-Amoxicilline 1g 3x/jour. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Dans la norme. Tavegyl 2mg iv en ordre unique aux urgences. Solumedrol 125mg iv en ordre unique aux urgences. Surveillance aux urgences de > 6h. Cétirizine 10 mg 1x/jour durant 3 jours. Prednisone 40mg 1x/jour durant 3 jours. Éviction de l'allergène ou désensibilisation. Suivi dans les 7 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. D-dimères à <190 ng/ml. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Antalgie par AINS, Dafalgan. Pantozol 40 iv. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. DemoTussol 3x 15ml/jour. Rendez-vous prévu chez Dr. X le 19.02.2019. Effets indésirables du médicament ? Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Désinfection + pansement de la plaie. Feuille de surveillance neurologique aux 24h. Retour à domicile. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Avis de Dr. X, psychiatre de garde. Transfert avec l'ambulance au RFSM de Marsens. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Avis du Dr. X, de médecine interne : contrôle chez le médecin traitant (prévu le 22.02.2019) et envisager une polysomnographie en ambulatoire. Retour à domicile. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Avis du Dr. X, orthopédiste. Radiographie du poignet face/profile : décrite ci-dessous. CT-scan du poignet : décrit ci-dessous. Réduction fermée par doigtier japonais et immobilisation par attelle palmaire. Réduction ouverte et ostéosynthèse du radius distal par plaque Aptus 2.5mm (OP le 08.02.2019). Antalgie. Contrôle orthopédique à la consultation de Dr. X. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Hémofecatest. Suivi chez Dr. X, gastro-entérologue. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Retour à domicile avec traitement antalgique. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Tavegyl 2mg en ordre unique aux urgences. Oxygénothérapie. Surveillance aux urgences durant 4h. Cétirizine 10mg 1x/jour durant 3 jours. Pas de Solumedrol ou Prednisone pour allergie connue aux corticoïdes. Epipen 0.3 mg auto-injecteur en cas de réaction d'anaphylaxie. Éviction de l'allergène. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Temesta 1 mg per os aux urgences. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Traitement symptomatique. Contrôle chez l'ORL. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Ulcar. Nexium 40 mg. Antalgie. Arrêt de travail. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Frottis de grippe demandé par le CHUV, qui revient négatif. Mr. Y part contre avis médical sans attendre les résultats. Contacter Dr. X pour communiquer les résultats de son patient. Informer le patient. Consultation annuelle prévue le 11.02.2019 en pneumologie. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Gazométrie : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie thorax face/profil : décrite ci-dessous. CT-scan du thorax injecté : décrit ci-dessous. Antalgie par Dafalgan 1g iv en ordre unique aux urgences. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans la semaine. Suivi cardiologique en ambulatoire chez le cardiologue traitant à la recherche d'une maladie coronarienne. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Gazométrie : cf. annexes. Peak Flow à l'arrivée : 57. Aérosol Atrovent/Ventolin 1x. Peak Flow post bronchodilatateurs : Peak Flow à 62%. Retour à domicile. Prednisone 40mg 1x/le matin pendant 3 jours. Cetallerg 1x/le soir pendant 3 jours. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Hémocultures en cours. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 24.02.2019. Contrôle chez son médecin traitant si persistance de la symptomatologie. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Hémocultures. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Stix urinaire : cf. annexes. Antipyrétiques, anti-inflammatoires et retour à domicile. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 11G/l avec neutrophilie 10.7G/L, CRP 35mg/l. Hémocultures : cf. annexes. Ag urinaires : cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR à 78min, superposable au comparatif de 2017. CT-scan thoracique injecté (Dr. X) : décrit ci-dessous. Rocéphine 2g iv en ordre unique le 11.02.2019. Co-Amoxicilline 1g 3x/jour du 12.02 au 18.02.2019. Klacid 500mg 2x/jour du 11.02 au 18.02.2019. Antalgie. Suivi clinique le 13.02.2019 par Dr. X. Reconsulter aux urgences en cas de péjoration clinique. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 4.7G/l, CRP <5mg/l. Ultrason abdominal (Dr. X) : décrit ci-dessous. Avis pédiatrique (Dr. X) : au vu de l'exclusion de l'appendicite, une adénite mésentérique semble la plus probable. Antalgie par Dafalgan/Irfen. Suivi clinique chez le médecin traitant avec nouvelle consultation aux urgences en cas de péjoration des symptômes. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 4.9G/l, CRP <5mg/l, Hb 138g/l, créatinine 50µmol/l, Na 140mmol/l, K 3.4mmol/l. Stix et sédiment/urinaire : cf. annexes. Leucocytes 6-10/champ, érythrocytes 6-10/champ. bHCG urinaire : négatifs. Uro-CT-scan : décrit ci-dessous. Antalgie par Dafalgan à 12H45, Voltaren 75mg à 18H00. Contacter la garde de gynécologie de l'HFR Fribourg. Transfert à Fribourg pour évaluation gynécologique (passage par les urgences). Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.4G/l, CRP <5mg/l. Test de grossesse urinaire : négatif. CT-scan cérébral injecté : décrit ci-dessous. Antalgie aux urgences par Dafalgan, Tramal 50mg, Ecofenac 75mg. Antalgie à domicile par Irfen/Dafalgan. Suivi clinique chez le médecin traitant en fin de semaine. Proposition de réaliser une IRM cérébrale en cas de persistance des symptômes. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Pansement. Suivi biologique chez l'oncologue traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Pantozol 80mg iv en ordre unique. Pantozol 40mg 1x/jour durant 2 semaines. Pas de prise d'AINS. Suivi clinique par le médecin traitant le 11.02.2019. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Bilan urinaire 3 érythrocytes/champs (non significatif). Radiographie du pouce gauche : décrite ci-dessous. Antalgie et retour à domicile. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs aux pouces. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie : décrite ci-dessous. Ulcar au besoin. Contrôle chez le gastro-entérologue si persistance des douleurs. Vérification de l'éradication d'H. Pylori le 25.02.2019 et consultation chez le gastro-entérologue par la suite. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie de l'hallux gauche : décrite ci-dessous. Avis de Dr. X, de médecine interne. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires à 48h. Colchicine 1mg 2x/jour pendant 1 semaine à réévaluer. Adaptation du régime alimentaire. Consultation avant si apparition de fièvre. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du coude gauche : décrite ci-dessous. Attelle plâtrée brachio-antébrachiale postérieure. Radiographie du coude gauche post-plâtre : décrite ci-dessous. Antalgie par Dafalgan et AINS. Mr. Y convoqué en policlinique orthopédique dans l'après-midi du 05.02.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Aérosol Atrovent, Ventolin. Rocéphine 2g en ordre unique. Céfuroxime 500 mg 2x/jour pour 7 jours per os. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. CT-scan cérébral : décrit ci-dessous. ECG : cf. annexes. Retour au RFSM en ambulance. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. CT-scan thoracique : décrit ci-dessous. ECG : cf. annexes. Poursuite de l'oxygénothérapie par 1 litre par minute. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. ECG : cf. annexes. Gazométrie : cf. annexes. Critère anthonisien : 1 (augmentation de la dyspnée). Traitement bronchodilatateur. Corticostéroïdes inhalés. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Traitement symptomatique. Suivi clinique chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : décrite ci-dessous. Atrovent/Ventolin/Pulmicort aux urgences. Spiriva 2x/jour durant 7 jours (remis à Mme. Y avec explications d'utilisation). Makatussin 4x/jour. Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : décrite ci-dessous. Nous proposons une hospitalisation sur un autre site de l'HFR (plus de place à l'HFR Riaz) pour gestion de l'antalgie, refusée par Mme. Y. Mme. Y préfère revoir son médecin traitant et demander l'organisation d'une hospitalisation à l'HFR Riaz les jours suivants. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographies du rachis lombaire : décrites ci-dessous. Sédiment urinaire : cf. annexes. Antalgie, anti-inflammatoires, myorelaxants. Consignes de surveillance post-traumatisme crânien données au patient. Consultation en cas de péjoration des douleurs ou d'apparition de nouveaux symptômes. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Retour à domicile après amélioration clinique. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Retour à domicile. Antalgie en réserve. Contrôle chez le médecin traitant le 20.02.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Rinçage de la sonde : ne rend rien. Ablation de la sonde urinaire de Mr. Y le 03.02.2019. Pose de sonde double voie le 03.02.2019. Rinçage avec 200 cc de la sonde. Diurèse totale sur l'après-midi avec sonde double voie : 250 cc. Pas de macro-hématurie. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Antalgie iv permettant un bon contrôle des douleurs. Retour à domicile avec un traitement antalgique, anti-inflammatoire. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 18.02.2019 avec uro-CT en cas de persistance des douleurs. Conseils d'une bonne hydratation per os, consignes de filtration des urines. Consultation aux urgences en cas de péjoration des douleurs, d'apparition de fièvre ou d'anurie. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographies du bassin face et hanche gauche axiale, cervicales face/profil/odontoïde : décrites ci-dessous. Retour à domicile avec un traitement antalgique et anti-inflammatoire. Consultation aux urgences en cas d'apparition de nouveaux symptômes. Consignes de surveillance neurologique données à la patiente. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Traitement symptomatique. Arrêt du travail pour 3 jours. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Analyse d'urine : cf. annexes. Traitement symptomatique. Contrôle clinique et biologique à la filière des urgences ambulatoires demain. Arrêt de travail donné. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Stix urinaire : cf. annexes. Avis gynécologique : retour à domicile avec traitement symptomatique et contrôle chez un gynécologue dans 24h. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Tavegyl 2mg iv en ordre unique aux urgences. Antihistamine 2x/jour pendant 10 jours. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 3 jours. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Troponine t-hs à 3 ng/l. ECG : cf. annexes. Avis du Dr X, de médecine interne. Nexium 40mg 2x/jour pendant 2 jours puis 1x/jour pendant 2 semaines. Contrôle chez le médecin traitant à la fin du traitement, si persistance des douleurs, envisager une recherche de H. Pylori voir OGD en ambulatoire. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Troponine t-hs T0 11 ng/L, T1 11 ng/L. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Ringer Lactat 500 ml. Suivi cardiologique en ambulatoire à la recherche d'une maladie coronarienne. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. TSH : en cours. IRM cérébrale : décrite ci-dessous. Acide folique 5mg 1x/jour durant 1 mois. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason abdominal : décrit ci-dessous. Avis du Dr X, de médecine interne. État général rassurant, évolution spontanément favorable, Movicol 2x/jour pendant 2 jours et contrôle + prise de sang chez le médecin traitant à 48h. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason du membre inférieur gauche : décrit ci-dessous. Avis du Dr X, de médecine interne. Arixtra 2.5 mg/jour pendant 45 jours. Contrôle angiologique dans 45 jours. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Urotube. Antalgie par Buscopan 10mg. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Antalgie aux urgences. Lavement Freka 300 : soulagement immédiat des douleurs. Arrêt de travail le 21.02. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Contrôle chez le médecin traitant en fin de semaine. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Gazométrie artérielle : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : décrite ci-dessous. Oxygénothérapie aux lunettes. Atrovent aérosol 2x et Ventolin aérosol 1x aux urgences. Pulmicort aérosol 1x aux urgences. Prednisone 50mg per os 1x aux urgences puis 1x/jour jusqu'au 18.02.2019. Seretide 250 2x/jour durant 7 jours (avec enseignement d'utilisation). Antitussif par Demotussol. Suivi clinique dans la semaine chez le médecin traitant. Départ du service des urgences contre avis médical, avec invitation à reconsulter en cas de péjoration clinique. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Pantozol 20 mg, Brufen 600 mg. Avis chirurgical au Dr X. Rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires demain à 12h avec contrôle clinique et biologique puis discuter avec le chirurgien de garde pour voir la nécessité d'une imagerie. Brufen en réserve. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du coude droit : décrite ci-dessous. Pansement écossais. Retour à domicile avec une antalgie simple et retour à la filière des urgences ambulatoires le lendemain pour réévaluation. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du poignet droit face/profil : décrite ci-dessous. Antalgie par Irfen/Dafalgan. Suivi clinique par le Dr X début de semaine prochaine. Poursuite de la physiothérapie. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. CT-scan abdominal : décrit ci-dessous. Traitement antalgique et anti-inflammatoire de réserve. Consultation aux urgences en cas d'apparition de nouveaux symptômes. Consultation chez le médecin traitant à 1 semaine pour contrôle de l'hématurie microscopique par sédiment urinaire. Arrêt de travail donné. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Antalgie simple. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Antalgie par Dafalgan, Novalgine et AINS. Contrôle clinique auprès du médecin traitant en fin de semaine. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. 500 cc de NaCl aux urgences. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Patient vu par Dr X. US à la recherche d'une collection le 02.02. Frottis bactériologique à pister. Rinçage à l'eau oxygénée avec aiguille boutonnée, désinfection. Pansement absorbant. Augmentin 1g 2x/jour pendant 7 jours à réévaluer. Arrêt de travail pour lundi 04.02 à réévaluer. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 03.02 et le 04.02 avec demande d'avis chirurgical. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. RX de cheville en charge : cf. annexes. Immobilisation par Splintpod, décharge, Clexane. Déjà sous antibiotique (Co-Amoxicilline 1g 2 fois par jour) depuis le 21 par son médecin traitant pour une semaine. Suivi en policlinique d'orthopédie le 22.02.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. RX de clavicule/épaule droites : cf. annexes. CT de l'épaule droite : cf. annexes. Traitement conservateur avec immobilisation par gilet orthopédique prévue pour 6 semaines. Contrôle radioclinique à 1 semaine en policlinique orthopédique. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : CRP à 33. Avis du gastro-entérologue Dr X : laboratoire et US abdominal à 24h en gastro-entérologie pour contrôle clinico-biologique. Patiente informée de la situation et de l'importance de consulter à 24h, coordonnées de la gastro-entérologie données. Arrêt maladie. Antalgie simple. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique, état fébrile, d'hématochézies ou méléna. Examen clinique. Laboratoire : leucocytes 56.9G/l, CRP<5mg/l. CT-scan du neurocrâne injecté (télé radiologique, HFR-Fribourg) : sténose significative à 95% de l'ACI D avec bonne perméabilité distale artérielle et veineuse. Pas de lésion ischémique ou masse. Pas d'hémorragie, pas de fracture. Suivi chez Dr X en mars 2019. Antalgie par Dafalgan. Examen clinique. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Stix/Sédiment urinaire : sang +++. Urotube en cours. Uro-CT non injecté (Dr X) : pas de lithiase, pas de dilatation des voies urinaires, reins normaux sous réserve d'un examen sans injection de produit de contraste en raison de l'allergie de la patiente. US abdominal (Dr X) : pas de caillot vésical, parenchymes rénaux normaux, paroi vésicale normale. Rocéphine 2g iv. Ciprofloxacine 500mg 2x/j durant 7 jours. Antalgique. Contrôle clinique à 48h au secteur ambulatoire des urgences + pister urotube. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire : aligné. Sédiment urinaire propre. ECG : rythme sinusal régulier, pas de trouble de la repolarisation. Retour à domicile avec traitement symptomatique et conseil d'hydratation. Reconsultera son médecin traitant si persistance des douleurs. Examen clinique. Laboratoire avec diminution de la CRP, leucocytes stables, reste sp. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien : • Abdomen sans préparation couché : décrit ci-dessous. • Lavement avec bonne efficacité. • Retour à domicile avec antalgie en réserve et laxatifs d'office et en réserve. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Radiographie du bassin, de la hanche droite et de la colonne lombaire : décrite ci-dessous. CT-scanner thoraco-lombaire : décrit ci-dessous. Retour à domicile avec un traitement symptomatique par antalgiques et anti-inflammatoires. IRM du rachis dorso-lombaire le 20.02.2019 à 14h30 puis rendez-vous en policlinique d'orthopédie. Consultation aux urgences en cas d'apparition de nouveau symptôme. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Antalgie par Novalgine 500 mg 3x/jour et Dafalgan 1 g 4x/jour. Avis du Dr. X. Retour à domicile et repos. Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Avis du Dr. X, chirurgien de garde. CT-scanner cérébral : décrit ci-dessous. Antalgie, anti-émétique. Feuille de surveillance neurologique pour traumatisme crânien simple. Contrôle chez le médecin traitant dans 2 jours. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Contrôle en filière des urgences ambulatoires le 20.02.2019 : pister uriculte, refaire un bilan biologique et évaluer l'évolution. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Désinfection. Pansement. Continuer l'antibiothérapie pour un total de 10 jours et Dafalgan en réserve en cas de douleurs. Contrôle chez le médecin traitant le 1er mars (l'éducatrice prendra un rendez-vous). Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. ECG : cf annexe. Schellong : négatif. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des symptômes. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. ECG : cf annexe. Schellong. Weber latéralisé à gauche. Rinné positif des deux côtés. Avis ORL. Betaserc 24 mg 2x/jour. Consultation ambulatoire chez l'ORL. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. ECG : cf annexe. Troponines H0 7 ng/L, H1 6 ng/L. Proposition d'une antalgie refusée. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. ECG : cf annexes. NaCl 0,9 % 500 ml aux urgences. Consultation en cardiologie en électrophysiologie au CHUV le 21.02.2019. Reconsulter les urgences en cas de récidive des symptômes. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Antalgie et anti-inflammatoire. Retour à domicile. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant le 11.02.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Traitement symptomatique. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du 5ème orteil gauche : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour. Antalgie. Contrôle clinico-biologique en filière des urgences ambulatoires le 24.02.2019. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Radiographies de la colonne dorsale et lombaire : décrites ci-dessous. Sédiment urinaire : cf annexe. Dafalgan, Irfen, Nexium, Tramal, Sirdalud. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Bladder scan. Ultrason abdominal aux urgences. Spasmo-Urgénine. Carte du Dr. X, urologue, donnée à la patiente. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Feuille de surveillance neurologique donnée. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Nexium 40 mg IV et Ulcar. Buscopan IV. Traitement symptomatique à domicile. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire : cf annexe. Traitement symptomatique par antalgiques et anti-inflammatoires. Consultation à la filière des urgences ambulatoires le 15.02 au matin à jeun pour un contrôle clinico-biologique et un ultrason. Consultation aux urgences en cas de douleur non contrôlée par l'antalgie prescrite. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Sédiment urinaire, urotube, PCR Gonocoque Chlamydia (à pister). Avis du Dr. X, chirurgien. Avis du Dr. X, urologue. Azithromycine 1 g dose unique. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Solumédrol 125 mg IV, Tavegyl 2 mg IV et Adrénaline 0,3 mg. Surveillance clinique de 6h aux urgences. Retour à domicile avec un traitement par Aerius pour 10 jours et Xyzal pour 5 jours, Epipen en réserve. Consultation à distance chez un allergologue. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Stix et sédiment urinaire : cf annexe. Hydratation NaCl 0,9 % 500 ml. Dafalgan 1 g IV. Voltaren 75 mg. Buscopan 10 mg IV. Antalgie simple en réserve. Consignes d'hydratation. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Tavegyl 2 mg IV. Surveillances aux urgences. Aerius 5 mg le matin pour 5 jours. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Traitement symptomatique. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Traitement symptomatique. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires avec CT-scanner le 10.02.2019. Reconsultation si péjoration (et ad imagerie abdomen). Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. Uro-CT : décrit ci-dessous. Filtrage des urines : calcul récupéré aux urgences, envoyé pour analyse. Antalgie. Suivi et prise en charge des restes de calculs chez un urologue. Examen clinique. Laboratoire : cf annexes. 1000 ml NaCl 0,9 %/2h. Zofran 4 mg. Dafalgan IV. Novalgine. Traitement symptomatique. Examen clinique. Laboratoire. Cf. annexes. Avis Dr. X. Co-amoxicilline aux urgences 2,2 IV. Co-amoxicilline 1 g cpr 3x/j pendant 07 j. Consilium angio le 15.02.2019 à 12h. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 17.02.2019. Bilan biologique. Cf. annexes. Avis chirurgical du Dr. X. Poursuite du traitement antibiotique. Contrôle clinico-biologique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examen clinique Laboratoire. Cf. annexes. Radiographie de l'épaule gauche. Cf. annexes. Avis du Dr. X : Retour à domicile avec antalgie, à jeun demain matin. Mr. Y sera recontacté afin de planifier une réduction ouverte. Examen clinique. Laboratoire. Cf. annexes. Avis du Dr. X : malgré les douleurs en fosse iliaque gauche, l'abdomen va bien, chercher source de douleur référée. Rx du thorax. Cf. annexes. Avis Dr. X : syndrome grippal sans signe de surinfection, syndrome inflammatoire compatible, retour à domicile avec traitement symptomatique. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires demain (FS, CRP). Arrêt de travail. Examen clinique Laboratoire CRP à 35 sans leucocytose Hémocultures 2 paires à chaud à pister Sédiment urinaire Culture urinaires à pister Frottis grippe à pister ECG Hospitalisation à Meyriez pour suite de prise en charge Rocephine 1 g iv à 0h aux urgences (adaptée à la fonction rénale) Examen clinique Laboratoire : CRP 110 mg/l, Leuc 18 G/l Avis chirurgie (Dr. X) : au vu du syndrome inflammatoire important CT abdomino-pelvien à la recherche d'une perforation. CT abdomino-pelvien du 14.02.2019 : colite du colon ascendant et de l'iléon terminal, abcès de 5 cm en FID avec suspicion de fistule grêle-colon ascendant, une lame de liquide dans l'abdomen, pas de perforation, aspect d'iléus paralytique débutant. Avis chirurgie suite au scanner (Dr. X) : hospitalisation en chirurgie, Rocephine 1 x 2 g iv et Flagyl 3 x 500 mg iv, demande pour drainage sous guidance CT. Demande de drainage sous guidance CT faite. Avis Dr. X : Avis Dr. X (gastro-entérologue traitant, par téléphone) : Solumedrol iv 125 mg pour trois jours, antibiothérapie et évaluation avec gastro-entérologue de garde le 15.02.2019 (après le drainage), Mr. Y est connu pour une sténose iléale dans le contexte du Crohn, discuter une éventuelle dilatation si Mr. Y développe une clinique d'iléus.Examen clinique Laboratoire CT abdominal du 27.02.2019 (sur demande gastroentérologue traitant à la recherche occlusion/abcès) • transmission orale Dr. X : épaississement du colon transverse sans infiltration de la graisse en pourtour, pas de signe de complication (pas d'abcès, ni occlusion) pouvant évoquer une poussée/colite à minima Aux Urgences; • hydratation 1500 ml/24h attitude: • hospitalisation pour Solu-medrol 40 mg iv première dose aux urgences le 27.02.2019 • pas d'ATB, à réévaluer selon évolution clinique Pour la suite : • rediscuter du ttt par Cimzia (prochaine dose normalement le 11.02.2019) avec Dr. X Examen clinique. Laboratoire du 05.02.19 : culture d'urines négative, PCR C. trachomatis et N. gonorrhoeae négatives. Attitude : • retour à domicile avec conseil de revenir si Mr. Y présente des nouveaux symptômes urinaires • consilium en urologie si Mr. Y présente à nouveau des symptômes. Examen clinique. Laboratoire du 19.02.2019, explication donnée par le médecin. Attitude : • Pantozol 40 mg iv • hydratation NaCl 500 ml iv • augmentation du traitement Nexium 2 x 40 mg Mme. Y est instruite des symptômes graves nécessitant une reconsultation aux urgences. En raison des symptômes récidivants sous Nexium, nous proposons d'organiser une OGD en ambulatoire. Examen clinique. Laboratoire du 22.02.2019 : CRP 230. Laboratoire du 23.02.2019 : CRP 190. Poursuite du traitement mis en place. Rendez-vous de contrôle à 48h pour suivi lésions dermatologiques et de la symptomatologie. Mme. Y est instruite des symptômes graves nécessitant une reconsultation en urgences. Examen clinique Laboratoire du 28.02.2019 : Pas de syndrome inflammatoire (CRP <5 et VS 4). ECG IRM cérébrale sans vaisseaux précérébraux du 28.02.2019 : AVC ischémique sylvien G profond sans transformation hémorragique Avis neurologique (Dr. X / Dr. X) : hospitalisation en médecine interne au vu du manque de place en stroke unit non monitorée avec bilan étiologique avec Holter, ETT, bilan lipidique et diabétologique, ainsi qu’un complément d’imagerie de la crosse aortique et des vaisseaux précérébraux. Majoration de l'antiagrégation par remplacement de l'Aspirine au Clopidogrel 75 mg dès ce jour. Majoration du traitement de statine par Atorvastatine 40 mg. Plavix 75 mg OU Atorvastatine 40 mg OU Hospitalisation en médecine interne pour bilan AVC Mobilisation libre. Cibles tensionnelles pour normotension. CT injecté cérébral avec vaisseaux précérébraux et crosse aortique demandé ETT demandé Holter demandé Laboratoire bilan lipidique le 29.02.2019 Examen clinique Laboratoire ECG Rx hanche et bassin CT scan colonne cervicale et cérébral (Dr. X) : pas de fx, pas de saignement ic Avis orthopédique (Dr. X) : hospitalisation en orthopédie pour opération Antalgie aux urgences par Fentanyl iv Distraneurine aux urgences Pose de sonde urinaire A jeun dès minuit Examen clinique. Laboratoire effectué à Meyriez : Créatinine à 162, CRP à 263, leucocytes à 17.9. Urines. Avis urologique (Dr. X) : hospitalisation au Daler pour intervention le 12.02.2019. Rocéphine 2 g iv aux urgences. Antalgie par Morphine titrée iv. Examen clinique. Laboratoire et sédiment urinaire : cfr annexes. Avis chirurgical de Dr. X. Antalgie avec AINS et Dafalgan. Contrôle chez son médecin traitant si absence d'amélioration début de semaine prochaine. Examen clinique. Laboratoire et sédiment urinaire : cfr annexes. Avis de Dr. X, chef de clinique. Antalgie simple. Arrêt de travail du 21.02 et 22.02. Examen clinique. Laboratoire et sédiment urinaire : cfr annexes. ECG : cfr annexes. Test de grossesse négatif. Traitement symptomatique. Consultation chez son gynécologue demain. Suivi chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire et sédiment urinaire : cfr annexes. Test de grossesse négatif. Primpéran i.v. Traitement supportif, Primpéran, Dafalgan. Conseils d'hydratation. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique Laboratoire et sédiment urinaire : cfr annexes Test de grossesse négatif Antalgie par AINS, Dafalgan et Tramal US abdominal demain matin à jeun à 08h00 Contrôle clinique et biologique à la filière des urgences ambulatoires. Examen clinique. Laboratoire et urinaire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. Uro-CT-scan : pas de lithiase, pas de dilatation pyélocalicielle. Antalgie, arrêt de travail jusqu'au 03.02.2019. Consultation à 48h si persistance/aggravation des douleurs. Examen clinique. Laboratoire et urinaires : cf. annexes. Hémocultures et urotube : cf. annexes. En cours. Avis du Dr. X, de médecine interne. Antibiothérapie empirique : Rocephin 2g iv aux urgences puis Ciproxine 2x500mg/jour per os pendant 7 jours. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires lundi 11.02.2019 à 10h, pister les hémocultures, Urotube et adaptation de l'antibiothérapie. Arrêt de travail. Examen clinique. Laboratoire fait chez le médecin traitant : leucocytose 17.4G/l, CRP 1.0 mg/L. Avis du Dr. X, de médecine interne : antalgie et contrôle à la filière des urgences ambulatoires avec ultrason de prévu le 11.02.2019 à 8h00 afin d'exclure une appendicite débutante. Prévoir un bilan standard + tests hépatopancréatiques à pister. Arrêt de travail donné. Examen clinique laboratoire • Glycémie 5 ECG CT time is brain Avis neuro Prof. X Aspirine 500 mg iv aux urgences Majoration de la statine à 40 mg Présentation aux SI A organiser : IRM et bilan cardiologique Examen clinique. Laboratoire : hémoglobine à 122, pas de trouble de la crase. ECG : normal. Avis ORL (Dr. X) : consultation à 48h pour poursuite de prise en charge. Tampon nasal. Recommandation de consulter en cas de récidive, de saignement ou de douleurs rétrosternales. Examen clinique. Laboratoire le 25.02.2019 : sans particularité. Avis gynécologique du 24.02.2019 (consultation aux urgences gynécologiques le 24.02.2019) : stérilet en place à l'US endovaginale, examen spéculum sans particularité, ad Monuril en dose unique pour stix sale. Avis gynécologique du 25.02.2019 : Fluomizin 6 jours poursuivi par Gynoflor 6 jours. Frottis chlamydia : négatif. Culture bactériologique : ___ Stix/sédiment sans particularité. TG négatif. Attitude : • Traitement symptomatique. • Mme. Y est instruite des symptômes graves nécessitant une reconsultation aux urgences. • Recommandation de reconsulter gynécologie sur demande de rendez-vous si persistance de la symptomatologie. Examen clinique Laboratoire : NT-proBNP 2'095 Radio Gazo Au home : Lasix 40 mg IV par le MT Aux urgences : Lasix 20 mg IV Examen clinique. Laboratoire : pas de perturbation des tests hépatiques. • Paracétamolémie à 29.7 (seuil toxique à 4h à 200) Consilium psychiatrique. Retour à domicile accompagné de son éducatrice. Tests hépatiques à répéter chez le médecin traitant à 1 semaine. Examen clinique. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Récolte de selles : Mme. Y apportera et résultats communiqués au médecin traitant pour mise en place d'antibiotique si nécessaire. Proposition de colonoscopie à organiser. Examen clinique. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Traitement antalgique simple et Valaciclovir 3x/jour pendant 7 jours. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile, frissons. Examen clinique laboratoire : Pro BNP à 2'724 ECG superposable Ttt aux urgences avec TA cibles à >160/100 : • Lasix 20 mg iv • Lisinopril 10 mg Beloc 25 mg • Nitro caps 0.8 mg • Patch nitré 10 mg posé à 19h Hospitalisation en gériatrie aiguë à Meyrier pour adaptation du traitement anti-hypertenseur. Bilan cardiologique avec échocardiographie. Examen clinique. Laboratoire. Radiographie ASP : sans particularité. Stix/sédiment : négatif. Test de grossesse négatif. Attitude : • Traitement symptomatique. • Proposition de reconsultation chez médecin traitant en cas de persistance de la symptomatologie. • Mme. Y est instruite des symptômes graves nécessitant une reconsultation aux urgences. Examen clinique. Laboratoire sanguin : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Examen clinique Laboratoire sanguin ECG du 10.02.2019 Aérosols de Ventolin, d'Atrovent et de Pulmicort Physiothérapie respiratoire Prednisone 50 mg 1x/j du 12.02.2019 au 16.02.2019 Examen clinique Laboratoire Spot urinaire Hydratation Adaptation des médicaments Suivi biologique Examen clinique. Laboratoire. Attitude : • Traitement symptomatique. • Le patient est instruit des symptômes graves nécessitant une reconsultation aux urgences. • Si persistance de la symptomatologie, nous proposons au médecin traitant d'effectuer une colonoscopie à distance. Examen clinique. Laboratoire. Attitude : • Retour à domicile avec contrôle clinico-biologique au secteur ambulatoire des urgences le 11.02.2019. • Poursuite du traitement antalgique. • Colonoscopie en ambulatoire à la recherche de dysplasie colo-rectale demandée. • Retour aux urgences en cas de péjoration des symptômes. Examen clinique Laboratoire: Avis chirurgie (Dr. X) : au vu du syndrome inflammatoire important, CT abdomino-pelvien à la recherche d'une perforation. CT abdomino-pelvien du 14.02.2019 : colite du colon ascendant et de l'iléon terminal, abcès de 5 cm en FID avec suspicion de fistule grêle-colon ascendant, une lame de liquide dans l'abdomen, pas de perforation, aspect d'iléus paralytique débutant. Avis chirurgie suite au scanner (Dr. X) : hospitalisation en chirurgie, Rocephine 1 x 2 g i.v. et Flagyl 3 x 500 mg i.v., demande pour drainage sous guidance CT. Demande de drainage sous guidance CT faite. Avis Dr. X : Avis Dr. X (gastroentérologue traitant, par téléphone) : Solumedrol i.v. 125 mg pour trois jours, antibiothérapie et évaluation avec gastroentérologue de garde le 15.02.2019 (après le drainage), le patient est connu pour une sténose iléale dans le contexte du Crohn, discuter une éventuelle dilatation si le patient développe une clinique d'iléus. Examen clinique. Laboratoire. Avis neurologique (Dr. X) : le plus probablement, troubles fonctionnels; indication à IRM colonne totale pour exclure compression médullaire posée néanmoins. IRM colonne totale du 07.02.2019 : pas de compression, pas de lésion démyélinisante; probable télangiectasie capillaire bénigne au niveau pontique, à préciser avec IRM cérébrale, non liée à la symptomatologie. Explications à la patiente quant à l'étiologie supposée; prise en charge en ambulatoire avec consultation psychiatrique le 11.02 à 14h au centre psycho-social; complément par IRM cérébrale maintenu le 12.02 avec consultation neurologique le 13.02 pour résultats. Examen clinique. Laboratoire. Avis psychiatrique Dr. X : • hospitalisation à Marsens en volontaire (accompagné par son frère). • IRM à planifier. Examen clinique. Laboratoire. CT cérébrale-cervicale (rapport oral Dr. X) : pas de saignement, pas de fracture. Examen clinique Laboratoire ECG du 29.01.2019 RX de thorax Troponine, TSH Nexium intraveineux 40 mg Examen clinique. Laboratoire. ECG : pas de trouble du rythme, pas de bloc AV. CT cérébral : pas de saignement. Massage du sinus carotidien positif avec bradycardie sinusale à 30/minute. Avis cardiologique Dr. X : bilan en ambulatoire avec holter et ETT, contrôle de la tension artérielle chez le médecin traitant. Si nouvel épisode, discuter d'un tilt-test. Contrôle neurologique aux 4h durant 12h. Examen clinique Laboratoire ECG : tachycardie sinusale CT time is brain Avis neurologique Dr. X : hospitalisation en médecine à Meyriez • Charge aspegic aux urgences 250 mg avec ensuite aspegic 100 mg • surveillance 24 h (impossible d'hospitaliser en SI/stroke unit par manque de place) • Prévoir IRM • Prévoir bilan cardiologique avec Holter et US cardiaque • test déglutition • Anti-aggrégant plaquettaire à rediscuter selon IRM Examen clinique Laboratoire ECG Avis chirurgical (Dr. X) : • hospitalisation en chirurgie pour drainage au bloc • poursuite Co-amoxicilline p.o • A jeun Examen clinique Laboratoire ECG CT scan cérébral : stabilité des lésions de son ancien AVC connu sans hémorragie Avis neurologique (Dr. X) : CT cérébral natif, Urbanyl 10 mg aux urgences, EEG à prévoir le 28.02.2019 Aux urgences : • Rivotril 2x 0,5 mg • Depakine 1500 mg iv • Urbanyl 10 mg • traitement habituel Le fils souhaite être contacté le 28.02.2019. Examen clinique. Laboratoire. ECG. Radiographie du thorax. Alucol refusé de la patiente. Retour à domicile avec Motilium 3x/jour et poursuite du Pantozol. Conseil de consulter son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. Examen clinique Laboratoire ECG Radiographie du thorax Stix et sédiment urinaires Urotube : contaminé Traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 14.01.2019 au 23.01.2019, avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 17.01.2019 : MMSE à 29/30, test de la montre à 7/7; GDS à 3/15 Examen clinique Laboratoire ECG Recherche infectieuse : HIV, HBV, BCV, CMV, EBV à pister Test de Coombs direct Avis hématologique Dr. X Transfusion aux urgences : 1 CE Hospitalisation en médecine pour suite des investigations • CT thoraco-abdominal demandé • discuter d'une ponction de moelle Examen clinique Laboratoire ECG Rx bassin et colonne lombaire Avis orthopédique Dr. X : probablement douleur inflammatoire au niveau des articulations sacro-iliaques. Si suspicion de fracture vertébrale, ajouter CT scan, possibilité d'effectuer une cimentoplastie à visée antalgique. Hospitalisation en frailty Réévaluation +/- CT colonne Antalgie Examen clinique Laboratoire ECG Rx jambe D Rx chevilles bilatérales Rx cervicale Avis orthopédique Dr. X : pas d'argument pour un syndrome des loges, bilan à compléter de : • Rx bilatérale des chevilles • CT scan MID Minerve 3h aux urgences Avis spine : pas de fracture à la rx, lysthésis C5C6 d'allure dégénérative, pas de CT au vu de la clinique. Traitement : REGA : 60 mg Keta, 2 mg Dormicum, 100 mcg Fentanyl Aux urgences 150 mcg Fentanyl Prise au bloc Hospitalisation en orthopédie Examen clinique Laboratoire ECG Sédiment urinaire Culture à pister Hémoculture 1 paire à froid et 1 paire lors de frissons à pister Frottis grippe à pister Primperan 10 mg aux urgences Rocéphine 2 g iv débuté le 17.02.2019 Hydratation 2x 500 ml NaCl aux urgences Examen clinique Laboratoire ECG Surveillance clinique Examen clinique Laboratoire ECG Test de Schellong : positif Bas de contention déjà en place Hydratation Sur le plan médicamenteux, pour améliorer le sommeil de la patiente et réduire les épisodes de nycturie : • Nous introduisons de la Quétiapine 12.5 mg le soir et du Betmiga; le QTc est dans la norme à l'ECG effectué à l'étage, et nous vous laissons le soin de le contrôler à distance • De plus, l'Esidrex de la patiente est remplacé par le Torem 5 mg et l'application de bas de contention Examen clinique Laboratoire Échec de mise en place de voie urinaire pour rinçage Voie urinaire normale avec rinçage manuelle Cyklokapron 500 mg i.v. aux urgences Avis urologique (Dr. X) : Sonde 3 voies, rinçage de la voie manuelle toutes les deux heures, pas d'urgence de faire un CT abdomino-pelvien, cystoscopie pendant l'hospitalisation. Avis chirurgie (Dr. X) : indication à l'hospitalisation. Demande pour CT abdomino-pelvien fait pour le 18.02.2019 Contrôle Hb le 17.02 et le 18.02 Examen clinique. Laboratoire. Evacuation manuelle de fécalome. Lavement. Examen clinique. Laboratoire. Freka Clyss avec bon résultat. Movicol 2 sachets / jour Huile de paraffine 10cc 2x/j. Examen clinique Laboratoire Gazométrie: pH 7.4, PCO2 à 2.4, PO2 à 14.5, bic à 11, lactates à 12 US cardiaque aux urgences Dr. X: insuffisance G sévère (FEVG estimée à 10%). cardiopathie G dilatée avec insuffisance mitrale. Dilatation de l'oreillette D Hospitalisation aux SI Examen clinique Laboratoire Gazométrie Sédiment urinaire Rx thorax F CT thoracique Antibiothérapie par Rocéphine i.v. 2g/24h (première dose reçue aux urgences à 22h le 5.02.2019) Hospitalisation à Fribourg Examen clinique Laboratoire gazométrie Urines (néphrostomie G) Hémoculture 1 paire à froid, 2 paires avec frisson Rx thorax Avis Urologie Dr. X/ Dr. X: hospitalisation en médecine pour ttt conservateur • si Pseudomonas ou Staphylocoque -> changer la néphrostomie Avis Infectiologie Dr. X/Dr. X: ttt pour une pyélonéphrite par Rocéphine, à adapter selon cultures Hospitalisation en médecine Hydratation 1500 NaCl aux urgences Rocéphine 2 g première dose aux urgences Examen clinique Laboratoire Hémocultures : négatives Sédiment urinaire Traitement avec Co-Amoxicilline 1.2g 2x/jour du 18.01.2019 au 21.01.2019, puis Co-Amoxicilline 1g du 22.01.2019 au 24.01.2019 Examen clinique Laboratoire Hémocultures : négatives Sédiment urinaire Antigènes urinaires Radiographie du thorax Rocéphine 2g en intra-veineux du 27.01.2019 au 30.01.2019, puis Co-Amoxi 2x/jour jusqu'au 02.02.2019 Examen clinique Laboratoire Hémocultures Hydratation par 1 l de NaCl Co-Amoxicilline dès le 02.02.2018 Examen clinique. Laboratoire Radio bassin et hanche droite. CT colonne lombaire. Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X): IRM colonne lombaire le plus vite possible, au vu qu'IRM pas disponible sur le site de l'HFR Fribourg. Examen clinique Laboratoire Radiographie du thorax CT thoracique ECG Poursuite de l'Oxygénothérapie par 1l par minute Examen clinique. Laboratoire. Radiographie du thorax. CT thorax : pas d'embolie pulmonaire, pas de saignement alvéolaire, découverte fortuite d'air dans le médiastin d'origine peu claire de 10 x 2 x 2 mm de taille (diverticule œsophagien, légère perforation de l'œsophage). Mr. Y sorti contre avis médical, accepte d'être reconvoqué pour poursuite des investigations au secteur ambulatoire des urgences. Examen clinique. Laboratoire. Radiographie thorax. Réassurance. Contrôle chez le médecin traitant si persistances des gênes. Examen clinique. Laboratoire. Radiographie. Réduction de la hanche en analgo-sédation avec ventilation au masque par le standby d'anesthésie (Dr. X). Radiographie de contrôle. Mobilisation et test de marche. ECG. Avis orthopédique (Dr. X): immobilisation du membre inférieur droit dans attelle Jeans avec flexion de 20°, décharge avec cannes, contrôle chez son orthopédiste (Dr. X) dès que possible, antalgie selon douleurs, pas de rotation interne et externe, poursuite de ses séances de physiothérapie déjà prescrite. Examen clinique. Laboratoire. Réassurance. Suite de prise en charge chez médecin traitant + pister résultats TSH. Examen clinique. Laboratoire. Recommandations d'usage de reconsulter en cas de péjoration ou état fébrile. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Examen clinique. Laboratoire. Retour à domicile avec poursuite du traitement de Bexine, Solmucol et reprise du traitement habituel pour les troubles du sommeil. Rendez-vous chez médecin traitant pour contrôle biologique d'ici 2 semaines ou plus tôt si péjoration des symptômes. Examen clinique. Laboratoire. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Examen clinique Laboratoires ECG du 11.01.2019 Adaptation du traitement diurétique Examen clinique Laboratoire Sédiment urinaire Radio thorax Hémocultures Avis Dr. X : • CT abdominal : difficilement interprétable au vu des mouvements • Traitement antibiotique avec Rocephin et Metronidazole du 26.01.2019 au 31.01.2019, puis Co-Amoxi du 31.01.2019 au 03.02.2019 • Suivi biologique des tests hépatiques Examen clinique Laboratoires Radiographies Antalgie Physiothérapie Examen clinique. Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Avis rhumatologique (Dr. X): possibilité de baisser le Salazopyrin, Mme. Y sera convoquée pour un rendez-vous en rhumatologie. Mme. Y recontactera les urgences pour les résultats de la VS et la vitamine B12. Retour à domicile avec traitement symptomatique par Motilium. Examen clinique. Laboratoire. Surveillance aux urgences. CT abdomino-pelvien (rapport oral Dr. X): pas d'iléus chez Mme. Y, pas de saut de calibre. Avis chirurgie (Dr. X): pas d'indication d'hospitaliser Mme. Y, retour à domicile, traitement symptomatique. Examen clinique. Laboratoire. Test de Schellong Examen clinique. Laboratoire. Traitement symptomatique. Consignes de surveillance. Examen clinique Laboratoire Urine Avis chirurgie (Dr. X): recontrôle de Mr. Y en filière 34 à 24h, si péjoration des douleurs ou si augmentation du syndrome inflammatoire dans le bilan sanguin CT scan pour exclure une appendicite. Examen clinique. Laboratoire. Urines. Hémoculture. Rocéphine 2 g i.v. aux urgences. Examen clinique Laboratoire Urines Rx thorax: épanchement pleural D connu depuis 2017 Oxygène lunettes Pas de ponction aux urgences discuté avec Mme. Y et son fils Pas d'ATB car pas de critère d'Anthonisen Hospitalisation en médecine avec prise en charge à visée de confort Examen clinique Laboratoire Urines Urotube Hémoc 2 g de Rocephin i.v. aux urgences Sonographie du 15.02.2019 Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Analyse d'urine : cf. annexes. Corps cétoniques ++. Traitement symptomatique et retour au foyer, avec l'éducateur. Examen clinique. Lavement par Practoclyss. Examen clinique. Mr. Y est rentré à domicile contre avis médical avant la suture de la plaie. Examen clinique. Manœuvre libératrice. Traitement symptomatique. Mme. Y est instruite des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Si persistance de la symptomatologie, proposition de reconsultation avec consilium ORL. Examen clinique. Marche selon douleurs. Antalgie. Examen clinique. Métoclopramide en réserve. Conseil de voir un médecin traitant. Examen clinique. Nasonex. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. OPG : pas de fracture. Avis ORL (Dr. X) : contracture musculaire le plus probable. OPG puis retour à domicile avec myorelaxant si pas de fracture. Sera reconvoquée le 28.02.2019 en ORL ou maxillo-facial pour suite de prise en charge. Retour à domicile avec myorelaxant. Convocation pour reconsultation ORL ou maxillo-facial le 28.02.2019. Examen clinique. Otoscopie. Traitement antalgique. Arrêt de travail. Examen clinique. Oxygénothérapie. Laboratoire : cf. annexes. Aérosol. Antibiothérapie avec première dose iv aux urgences par Co-Amoxicilline 1200g. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline à poursuivre pendant 7 jours, 3x/jour. Laboratoire à 48h décision avec médecin traitant si traitement per os. Examen clinique. Pansement compressif, Dafalgan cp 1g en réserve selon douleurs. Contrôle à 48h chez le médecin traitant. Tétanos à jour. Examen clinique. Pansement simple avec Adaptic. Contrôle chez le médecin traitant dans 48h. Examen clinique. Pantoprazole 40 mg 1x7j durant 7 jours. Primpéran 10 mg en réserve. Dafalgan cpr 1g en réserve. Mesures d'hygiène de vie (éviction de café/cigarettes/tomate/fritures). Recherche de H Pylori dans les selles à distance. Arrêt de travail. Contrôle clinique chez le médecin traitant le 18.02.2019. Reconsulter les urgences en cas d'évolution clinique défavorable, de forte douleur, fièvre ou sang dans les selles. Examen clinique. Pantozol et Alucol en réserve. Examen clinique. Pas de signe de souffrance, de nécrose, d'infection. Réassurance. Retour à domicile avec antalgie et consignes d'observation. Suivi chez le chirurgien comme prévu. Examen clinique. Patient vu par le Dr. X, orthopédiste de garde. Radiographie du bassin : décrite ci-dessous. Antalgie AINS crème. Cannes anglaises pour marche en charge à but antalgique. Arrêt de travail du 01.02 au 16.02. Contrôle à 6 semaines en policlinique chez le Dr. X. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X. Ultrason de l'abdomen. Stix urinaire. Contrôle clinico-biologique à 1-2 semaines chez le médecin traitant. Examen clinique. Patiente déjà sous antibiotique depuis ce jour. Contrôle chez l'ORL le 25.02.2019 à 13h00. Examen clinique. Patiente instruite des symptômes nécessitant une reconsultation en urgences. Examen clinique. Peak Flow à 225 ml/min, 59% de la valeur prédite. Laboratoire : cf. annexes. Prednisone 50 mg, Atrovent et Ventolin aux urgences. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, de médecine interne. Seretide 2x/jour et Ventolin 3x/jour d'office pendant 5 jours puis en réserve. Dafalgan 1g 3x/jour d'office pendant 3 jours puis en réserve. Examen clinique. Pevaryl poudre dès le 12.01.2019. Diflucan 150mg 1x/j durant 2 à 4 semaines selon évolution (QTc à 473). Examen clinique. Pommade d'anesthésie. Suture avec 3 points d'Ethibond 5.0. Vaccination à jour. Opsite spray. Contrôle chez le pédiatre et ablation des fils à J5. Examen clinique. Pose de sonde urinaire n°16 à demeure. Suivi comme planifié chez le Dr. X. Examen clinique. Pouls fémoral et poplité palpables, tibial postérieur et dorsalis pedis sur Doppler. D-Dimères <190 ng/mL. Critère de Wells à 2. Bilan angiologique le 11.02.2019 et contrôle par la suite à la filière des urgences ambulatoires. Examen clinique. Poursuite de la désinfection. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Poursuite de l'antibiothérapie. Examen clinique. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 15.02.2019. Drainage purulent, désinfection locale, réfection du pansement Adaptic. Contrôle à 48h chez le médecin traitant. Examen clinique. Poursuite de l'antibiothérapie pour un total de 5 jours puis fin de prise en charge. Examen clinique. Poursuite du traitement corticostéroïde jusqu'au 07.03.2019 selon schéma donné le 24.02.2019. Contrôle ENMG à Fribourg, demande faite, la patiente sera convoquée par le secrétariat de neurologie. Examen clinique. Poursuite du traitement symptomatique. La patiente reconsultera en cas d'état fébrile, dysphagie ou autres symptômes. Examen clinique. Prednisone 10mg/j du 14.01.2019 au 16.01.2019 inclus. Suivi clinique. Examen clinique. Proposition de désinfecter la plaie du derme. Examen clinique. Radio à Tavel. CT à Tavel. Échec de réposition sous analgosédation par Fentanyl et Dormicum aux urgences. Réposition sous analgosédation avec stand by anesthésie le 13.02.2019 (Dr. X, Dr. X). Radio de contrôle aux urgences. Avis ortho (Dr. X, Dr. X) : Immobilisation du bras dans gilet d'ortho, antalgie selon douleur, continuation de la réhabilitation gériatrique, IRM dès que possible, contrôle au team membre supérieur à 10 j. Examen clinique. Radio bassin + hanche. Hospitalisation en orthopédie pour suite de prise en charge opératoire, probablement le 08.02 au vu sténose aortique. Examen clinique. Radio. Attelle en extension 0 degré. Hospitalisation en orthopédie à jeun. US à faire. OP à planifier. Examen clinique. Radiographie : cf. annexes. Attelle en extension 0 degré. Hospitalisation en orthopédie à jeun. US à faire. Opération à planifier selon résultats. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. AINS et attelle poignet. Suite chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. AINS et physiothérapie et stretching. Rendez-vous chez le Dr. X fin février pour son genou droit. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Algifor 17,5ml en sirop 3x/jour. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Antalgie. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Antalgie AINS. Glace. Arrêt du sport pendant 1 semaine. Contrôle chez son médecin traitant dans une semaine. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Antalgie par Algifor 10mg 3x/jour. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Antalgie simple. Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Arrêt de travail 7 jours. Bretelle, anti-inflammatoires, antalgie. Contrôle en policlinique d'orthopédie à 7 jours. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Attelle Jeans, cannes anglaises, Clexan, antalgie. Contrôle chez le Dr. X, orthopédiste, dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Attelle Jeans 20°, Clexane, cannes anglaises. Antalgie. Rendez-vous chez le Dr. X, orthopédiste, dès que possible. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Attelle poignet Velcro. Antalgie. Contrôle dans 1 semaine si persistance de douleurs en policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste : opération de fixation par plaque et fixation ligamentaire le 01.02.2019, consentement fait (patiente à marquer). Contrôle préopératoire anesthésologique fait aux urgences. À jeun depuis minuit. Antalgie selon besoin, immobilisation en gilet jusqu'à opération. Rendez-vous à l'Hôpital de Jour à 07H45 le 01.02.2019. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste : rendez-vous à sa consultation le mercredi 13.02.2019 en vue d'une potentielle intervention chirurgicale. Attelle Edimbourg, traitement anti-inflammatoire et antalgique en attendant. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Avis orthopédique (Dr. X). Syndactylie des 3ème et 4ème orteils. Antalgie. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X : Attelle Edimbourg pendant 4-6 semaines puis physiothérapie. Syndactylie D2-D3. Rappel vaccin anti-tétanique fait. Arrêt de travail pour 1 semaine. Contrôle en policlinique à 1 semaine (feuille pour rendez-vous donnée). Antalgie par Dafalgan et Brufen. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Bandage, antalgie, arrêt du sport pour 2 semaines, protocole RICE, et contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Bandage élastique pour confort, antalgie, anti-inflammatoires, repos. Contrôle chez le pédiatre à 1 semaine. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Bretelle antalgique. Traitement symptomatique. Arrêt de travail. Contrôle chez son médecin traitant. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Désinfection à la Bétadine. 1 point Ethilon (sans anesthésie locale). Tétanos à jour. Retrait du point à 14 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Désinfection et exploration sous anesthésie locale, avec atteinte partielle du tendon du triceps. Rinçage abondant et débridement des berges nécrotiques, ablation de corps étranger (pull) et curetage de plaie. Suture de plaie avec Ethibond 3.0 à la peau. Pansement écossais. Co-Amoxicilline 2.2 g iv aux urgences.Co-Amoxicilline 1g per os 2 fois par jour à prendre. A jeun pour opération de révision le 12.02.2019, qui se présentera à l'Hôpital de jour à 8h. Laboratoire : cf. annexes. Rappel antitétanos fait aux urgences. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Exploration de plaie sous MEOPA et anesthésie locale. Céfuroxime 1.5 g iv single shot aux urgences. Vaccination tétanos à jour. Attelle Edimbourg Contrôle en policlinique d'orthopédie à 24 heures. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Exploration sous anesthésie locale. Rinçage abondant. Suture de peau avec un point d'Ethilon 5.0. Pansement avec tulle bétadinée. Céfuroxime 1.5 g iv single shot aux urgences. Vaccinations à jour (inclus tétanos). Contrôle de plaie à la policlinique d'orthopédie après 24 heures. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Mise en place d'une attelle plâtrée postérieure, thromboprophylaxie par Clexane, décharge complète. Antalgie simple. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans 7 jours. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Plâtre fendu et radio post-plâtre. Discussion du cas demain matin au colloque d'orthopédie et la patiente sera rappelée le matin pour reste de prise en charge (opération versus traitement conservateur). Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Protocole RICE. Antalgie et AINS. Charge selon douleurs avec paire de cannes anglaises. Elle prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X, orthopédiste, pour réévaluation clinique. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Traitement symptomatique. Contrôle chez son médecin traitant. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Antalgie, anti-inflammatoires, bandage, protocole RICE. Contrôle chez le médecin traitant à J7. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Attelle Aircast, protocole RICE. Clexane 40mg avant départ en avion dimanche (voyage en Inde, + deuxième dose lors du retour). Antalgie, anti-inflammatoire. Contrôle chez le médecin traitant dès le retour de vacances. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Attelle Aircast 4-6 semaines, antalgie, anti-inflammatoires. Contrôle à 7 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Avis orthopédique (Dr. X). Plâtre antébrachial fendu. Antalgie. Contrôle le 27.02.2019 en policlinique d'orthopédie (consultation de Dr. X). Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Exploration de plaie sous anesthésie locale : pas d'atteinte du tendon quadricipital ni de l'articulation. Rinçage abondant avec NaCl et suture de plaie avec Ethilon 3.0. Attelle du genou en extension jusqu'à guérison de la plaie. Clexane et antalgie. Contrôle de plaie à la filière des urgences ambulatoires à 24 heures puis lundi 25.02.2019 à la policlinique d'orthopédie. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie : décrite ci-dessous. Syndactylie, anti-inflammatoire, antalgie. Contrôle à J7 chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie cheville droite. Avis orthopédique (Dr. X) : entorse de 2ème degré de la cheville droite. Aircast, charge selon douleur, cannes, glace, antalgie Clexane prophylactique 1x/jour. Enseignement de l'injection de Clexane. Suivi chez médecin traitant. Examen clinique. Radiographie cheville face/profil : décrite ci-dessous. Radiographie de l'avant-pied face/oblique : décrite ci-dessous. Attelle AirCast durant 6 semaines. Marche en charge selon douleurs. Pas d'anticoagulation prophylactique (charge possible). Antalgie par Dafalgan, Irfen. Contrôle clinique chez le médecin traitant à une semaine ainsi que de la suite de la prise en charge. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie cheville gauche : pas de fracture. Aircast, antalgie, glace, surélévation. Béquille mais charge (patiente informée des risques de TVP si pas de charge). Certificat médical. Suivi à 10 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie de la cheville : pas de fracture visualisée. Avis orthopédique (Dr. X). Aircast et cannes. Antalgie par Dafalgan et Irfen. Reconsultera son médecin traitant pour contrôle à 1 semaine, +/- physiothérapie. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite face/profil : décrite ci-dessous. Attelle AirCast durant 6 semaines. Contrôle clinique à 1 semaine chez le médecin traitant. Antalgie par Dafalgan/Irfen. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite face/profil : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X : attelle jambière plâtrée postérieure avec Clexane prophylactique et contrôle à la policlinique d'orthopédie à 1 semaine. Si charge tolérée, attelle Aircast, si charge impossible faire radiographie en charge. Antalgie et anti-inflammatoire. Dispense de sport pour 6 semaines. Radiographie de contrôle : décrite ci-dessous. Examen clinique. Radiographie de la cheville droite face/profil : décrite ci-dessous. Radiographie de l'avant-pied face/oblique : décrite ci-dessous. Avis de Dr. X, orthopédiste. Attelle AirCast durant 6 semaines. Pas d'anticoagulation prophylactique (charge possible). Contrôle clinique chez le médecin traitant à 1 semaine. Antalgie par Dafalgan et Irfen. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie de la cheville face/profil : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X. Attelle Aircast. Contrôle dans 1 semaine en policlinique d'orthopédie. AINS pendant 3 jours. Examen clinique. Radiographie de la cheville gauche : décrite ci-dessous. Attelle Aircast. Traitement symptomatique. Contrôle dans 7 jours à la policlinique orthopédique. Examen clinique. Radiographie de la cheville gauche : décrite ci-dessous. Radiographie cheville gauche en charge : décrite ci-dessous. Radiographie de contrôle : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste : pas de nécessité d'opérer car la fracture est stable en charge et bien alignée, botte plâtrée avec renforcement postérieur pendant 6 semaines au total, Clexane prophylactique 40 mg 1x/jour, Tramal retard en réserve 50 mg max 4x/jour. Contrôle à sa consultation le 22.02.2019 à 08H30. Examen clinique. Radiographie de la cheville gauche : décrite ci-dessous. Bande élastique. Antalgie et anti-inflammatoire pour 3 jours. Arrêt de travail jusqu'au 10.02.2019. Examen clinique. Radiographie de la cheville gauche face/profil : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Botte plâtrée, Clexane 40mg 1x/jour, Dafalgan 1g 3x/jour, Irfen 400 mg 3x/jour. Rendez-vous à la consultation orthopédique du Dr. X le 28.02.2019. Examen clinique. Radiographie de la cheville gauche face/profil et pied gauche face/oblique : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X : plâtre circulaire cruro-pédieux fendu, décharge complète, Algifor sirop junior 3x 10 ml/jour, suivi à sa consultation le 20.02.2019 à 17h30. Examen clinique. Radiographie de la cheville/pied gauche : décrite ci-dessous. Protocole RICE. Bandage. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant selon évolution. Examen clinique. Radiographie de la colonne cervicale : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste : pas de fracture. Traitement symptomatique avec Dafalgan en réserve. Examen clinique. Radiographie de la colonne cervicale : décrite ci-dessous. Minerve. CT-scan de la colonne cervicale : décrite ci-dessous. Antalgie par Dafalgan/Irfen. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 07.02.2019 à 11h pour tester la mobilité cervicale. Examen clinique.Radiographie de la colonne lombaire : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X. Antalgie, anti-inflammatoire + myorelaxant. Contrôle chez médecin traitant 7-10 jours. Examen clinique. Radiographie de la colonne lombaire : décrite ci-dessous. Avis orthopédique. CT-scanners de la colonne lombaire et du bassin : décrits ci-dessous. Avis de la team spine : IRM lombaire le 05.02 puis consultation à la team spine le 19.02. Antalgie par Dafalgan 1 g, Irfen 400 mg, Sirdalud 2 mg et Tramal en réserve. Physiothérapie ambulatoire. Examen clinique. Radiographie de la colonne lombaire face/profil : décrite ci-dessous. Radiographie du pied gauche face oblique/calcanéum : décrite ci-dessous. Retour à domicile. Traitement anti-inflammatoire/anti-douleurs. Arrêt de travail. Contrôle clinique chez le médecin traitant ( + réévaluation de la reprise de travail). Examen clinique. Radiographie de la colonne thoraco-lombaire face/profil : décrite ci-dessous. Avis orthopédique (Dr. X) : ad CT-scan, si absence de fracture visualisée, nous retenons une arthrose T10-T11. CT-scan de la colonne thoracique : décrit ci-dessous. Antalgie et arrêt de travail. Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examen clinique. Radiographie de la main face/profil : décrite ci-dessous. Immobilisation dans plâtre antébrachial fendu. Avis du chef de clinique des urgences. Antalgie. Consultation à la policlinique d'orthopédie le lendemain pour avis orthopédique. Bilanter avec CT-scanner. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie de l'avant-bras : décrite ci-dessous. Antalgie simple de la pharmacie du domicile. Examen clinique. Radiographie de l'avant-pied gauche face/oblique : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste : syndactylie scotch, contrôle à 48h chez le médecin traitant, Dafalgan 4x/jour pendant 3 jours puis selon douleurs, Sportusal, Emgel 3-4 applications/jour. Examen clinique. Radiographie de l'épaule : décrite ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Ordonnance d'antalgie. Soins à domicile augmenter à 2x/jour. Physiothérapie pour la mobilisation. Examen clinique. Radiographie de l'épaule droite : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste : réduction. Radiographie post-réduction de la tête humérale bien en place. Gilet orthopédique, 4-6 semaines. Antalgie. Contrôle radiologique en policlinique le vendredi 15.02.2019 à 14h30. Examen clinique. Radiographie de l'épaule droite : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X. CT-scan de l'épaule droite : décrit ci-dessous. Gilet orthopédique. Patient à jeun depuis 2h00. Il sera recontacté demain matin pour programmer l'opération. Antalgie à domicile. Consentement éclairé signé. Le patient a été vu par l'anesthésiste aux urgences. Examen clinique. Radiographie de l'épaule droite face/neer : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Réduction fermée sous MEOPA (Dr. X). Radiographie de l'épaule droite face/neer après réduction : décrite ci-dessous. Antalgie. Gilet orthopédique durant 3 semaines. Contrôle à la policlinique à 7 jours. Arrêt de sport durant 6 semaines. Examen clinique. Radiographie de l'épaule et tangentielle clavicule : décrite ci-dessous. Avis de la Dresse X. Attelle Rucksack. Antalgie AINS. Contrôle dans une semaine à la policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Radiographie de l'épaule gauche : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X : CT-scan de l'épaule gauche : décrit ci-dessous. Gilet orthopédique pour 1 semaine. Après discussion au colloque du 26.02.2019, traitement conservateur, contrôle en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie de l'épaule gauche face rotation interne-externe/Neer. Avis de la Dresse X, orthopédiste. Gilet orthopédique durant 4-6 semaines. Antalgie. Arrêt de sport. Contrôle à la consultation de la Dresse X le 13.02.2019. Examen clinique. Radiographie de l'index gauche : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Désinfection bétadinée. Champage stérile. Anesthésie en bague par Rapidocaïne 1% et bicarbonate. Exploration. Rinçage. 3 points de rapprochement pour la plaie de 1.5 cm. 1 point de rapprochement pour la plaie de 7 mm. Pansement compressif Adaptic. Attelle digitale métallique. Rappel anti-tétanique. Zinacef 1,5 g IV aux urgences. Co-Amoxicilline 1 g 1x, stop en policlinique si plaie calme, sinon avis orthopédique pour prise en charge chirurgicale. Antalgie simple. Rendez-vous en policlinique d'orthopédie le 27.02.2019. Ablation des fils dans 7 à 10 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du bassin de face et de la hanche gauche axiale la veille. CT-scan du bassin le 11.02.2019 : décrit ci-dessous. Avis orthopédique (Dr. X). • Prise en charge conservatrice ou chirurgicale par PTH, de préférence conservateur au vu de l'âge et de l'état clinique global du patient. Traitement conservateur. Antalgie par Fentanyl patch 12µg/h et Morphine 2mg sc en réserve. Suppositoire de glycérine et huile de paraffine le matin. Retour au Home où il réside, en ambulance. Examen clinique. Radiographie du calcanéum droit face/profil : décrite ci-dessous. Bande élastique, Dafalgan cp 1g 3x/jour et Irfen cp 400 mg 3x/jour pendant 3 jours, Sportusal Emgel 2x/jour. Examen clinique. Radiographie du coude droit : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste de garde. Désinfection. Anesthésie locale. Exploration de la plaie. Lavage abondant. 2 points de suture à l'Ethilon 2-0. Bandage Écossais. Co-Amoxicilline 2.2 g IV aux urgences puis 1 g 2x/jour pendant 5 jours, antalgie, anti-inflammatoires. Contrôle à la consultation du Dr. X le 11.02.2019. Examen clinique. Radiographie du coude droit : décrite ci-dessous. Bretelle. Antalgie. Contrôle chez le pédiatre dans une semaine. Arrêt du sport. Examen clinique. Radiographie du coude gauche : décrite ci-dessous. Antalgie. Certificat médical : arrêt de sport 5 jours. Examen clinique. Radiographie du coude gauche face/profil : décrite ci-dessous. Avis orthopédique de la Dresse X : pas de fracture, bandage Écossais, arrêt de travail jusqu'au 13.02.2019, antalgie et anti-inflammatoires, il sera revu à sa consultation le 13.02.2019. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du doigt : décrite ci-dessous. Traitement symptomatique avec antalgie et anti-inflammatoires + syndactylie des doigts 3 et 4 pour confort. Contrôle à 5 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du genou : décrite ci-dessous. Attelle Jeans 30°. Clexane. Protocole RICE, antalgie. Retour à domicile à la consultation du Dr. X pour réévaluation clinique, recherche d'anciens clichés du genou gauche +/- organiser une IRM à la recherche d'un ostéochondrome. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du genou droit : décrite ci-dessous. Antalgie. Examen clinique. Radiographie du genou droit : décrite ci-dessous. Attelle Jeans à 20° et Clexane. Cannes anglaises. Antalgie à domicile. Certificat d'arrêt de travail pour 1 semaine. Rendez-vous à la consultation du Dr. X, orthopédiste, dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du genou droit : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X et Dr. X. Attelle Jeans en extension 0°. Marche avec cannes en charge selon douleurs. Anticoagulation prophylactique. Antalgie par Dafalgan-Irfen. Consultation chez le Dr. X à une semaine pour discuter d'une éventuelle prise en charge chirurgicale. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du genou droit : décrite ci-dessous. Protocole RICE, bande élastique, antalgie simple, charge selon douleurs. Examen clinique. Radiographie du genou droit : décrite ci-dessous. Attelle Jeans à 20° seulement si douleurs, il ne doit pas la garder tout le temps. Marche selon douleurs. Pas d'anticoagulation thérapeutique car charge complète possible. Antalgie. Contrôle à 7 jours en policlinique d'orthopédie (Dr. X, patient rappelé, prendra le rendez-vous). Examen clinique. Radiographie du genou droit et des rotules des deux côtés: décrite ci-dessous. Immobilisation dans une attelle Jeans avec flexion à 20°. Prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg avec une première dose aux urgences. Décharge avec des cannes anglaises. AINS et antalgie. Arrêt de travail. Rendez-vous à organiser chez le Dr. X la semaine prochaine. Examen clinique. Radiographie du genou droit face/profil et axial de rotule : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X : atteinte méniscale pas exclue, attelle Jeans 20°, cannes anglaises, Clexane prophylactique 40 mg/jour sous-cutanée, contrôle à sa consultation le 15.02.2019. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du genou droit face/profil/axiale : décrite ci-dessous. Avis de la Dresse X, orthopédiste. Attelle Jeans pédiatrique à 20° avec marche selon douleurs à l'aide de cannes anglaises. Pas d'anticoagulation prophylactique au vu du stade de Tanner. Arrêt du sport. Antalgie par Algifor. Suivi la consultation du Dr. X, orthopédiste, à 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du genou gauche : décrite ci-dessous. Antalgie. Arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant à une semaine. Examen clinique. Radiographie du genou gauche : décrite ci-dessous. Contention élastique. Suivi clinique chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du genou gauche : décrite ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X. Retour à domicile avec attelle Jeans 0°, Déambulateur. Voltarène 50 mg 3x/jour, Dafalgan 1 g 3x/jour, Pantozol 20 mg 1x/jour, Clexane 40 mg 1x/jour. La patiente sera contactée le 13.02.2019 pour une opération. Examen clinique. Radiographie du genou gauche : décrite ci-dessous. AINS. Attelle en extension. Décharge avec cannes. Clexane. Contrôle dans 1 semaine chez le Dr. X. Examen clinique. Radiographie du genou. Avis orthopédique (Dr. X). Dafalgan et Irfen durant 5 jours. Conseil de repos, cannes. Contrôle chez son médecin traitant si douleurs persistantes malgré le traitement anti-inflammatoire. Examen clinique. Radiographie du pied droit : décrite ci-dessous. Antalgie par Algifor. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs. Examen clinique. Radiographie du pied droit : décrite ci-dessous. Avis de la Dresse X, orthopédiste. Attelle plâtrée postérieure 90°. Cannes anglaises. Contrôle en policlinique orthopédique dans une semaine. Examen clinique. Radiographie du pied droit : décrite ci-dessous. Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Attelle plâtrée postérieure. Radiographie post-plâtre : décrite ci-dessous. Clexane 40 mg, antalgie AINS, Dafalgan. Cannes anglaises. Contrôle à 1 semaine en policlinique d'orthopédie. Examen clinique. Radiographie du pied droit (faite à Bulle) : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Chaussure Buratto. Marche avec cannes selon douleurs. Contrôle à la consultation du Dr. X le 20.02 à 19h00. Antalgie par Algifor. Arrêt de sport. Examen clinique. Radiographie du pied gauche face/oblique : décrite ci-dessous. Antalgie. Chaussure Barouk. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du pied gauche face/oblique : décrite ci-dessous. Protocole RICE, Irfen 400 mg 3x/jour d'office pendant 5 jours, Dafalgan 1 g cp en réserve max 4x/jour. Bande élastique et dispense de sport jusqu'au 21.02.2019. Examen clinique. Radiographie du pied gauche. Avis orthopédique (Dr. X). Attelle, charge, pas d'anticoagulation prophylactique, antalgie, glace. Arrêt du sport durant minimum 2 semaines, reprise selon douleur. Suivi chez médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du poignet droit : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste : • plâtre antébrachial fendu. • contrôle en policlinique d'orthopédie dans une semaine. Radiographie de contrôle post-plâtre. Antalgie simple à domicile. Certificat d'arrêt du sport. Examen clinique. Radiographie du poignet droit : décrite ci-dessous. CT-scan : décrit ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X : plâtre scaphoïde haut avec biseau antérieur, contrôle à sa consultation le 25.02.2019. Radiographie de contrôle poignet & avant-bras gauche : décrite ci-dessous. Examen clinique. Radiographie du poignet gauche : décrite ci-dessous. Réduction par manœuvres externes après analgésie iv par Fentanyl, immobilisation dans un plâtre antébrachial fendu sur le bord ulnaire, bretelle. CT-scan du poignet gauche : décrit ci-dessous. Patient refusant la prise en charge chirurgicale malgré les informations sur les conséquences fonctionnelles d'un traitement conservateur. Consultation avec le Dr. X durant la semaine prochaine, en orthopédie. Consignes de surveillances sous plâtre données à la patiente. Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve. Examen clinique. Radiographie du poignet gauche : décrite ci-dessous. Immobilisation par attelle poignet palmaire à but antalgique. AINS. Repos. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans 2 semaines. Ad investigations par IRM en cas de persistance de la symptomatologie à 3 semaines. Examen clinique. Radiographie du poignet gauche : décrite ci-dessous. Réduction. Plâtre AB. Radiographie post-réduction et plâtre : décrite ci-dessous. Antalgie et Redoxon pour 1 mois. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie du pouce droit : décrite ci-dessous. Avis de la Dresse X, orthopédiste. Prescription pour une attelle RhizoLoc avec une immobilisation pendant 6 semaines. Contrôle clinique dans 6 semaines à la consultation de la Dresse X. AINS et antalgie. Arrêt de travail d'une semaine, qui sera prolongé si nécessaire. Examen clinique. Radiographie du pouce gauche : décrite ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, de médecine interne. Doser l'acide urique : négatif. Bandage avec Dermaplast et Coolfix. Antalgie simple, glace. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du sacrum : décrite ci-dessous. Antalgie simple. Contrôle chez le médecin traitant au besoin. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du sacrum-coccyx : décrite ci-dessous. Antalgie, anti-inflammatoire. Consultation chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Antalgie. Suivi chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Aligné. ECG : cf. annexes. RSR à 74 bpm avec présence d'1 extrasystole ventriculaire, bloc AV I°, QRS fins normo-axé. Pas de signe d'ischémie aiguë. Propositions du Dr. X, de médecine interne : pas d'indication à une hospitalisation actuellement en raison d'un patient stable, sans crise hypertensive aux urgences, ni arythmie, ni hypervolémie. Proposition d'introduire un traitement de Sartan au lieu du traitement de Zanidip avec une proposition d'arrêter le Zanidip à terme. Proposition de réessayer l'introduction d'un Bêta-bloquant malgré les antécédents d'hyperkaliémie. Proposition de changer le traitement de Furodrix 40 mg par du Torasémide. Proposition de peser le patient tous les jours avec adaptation du traitement diurétique en fonction et possibilité de doubler la dose de Lasix. Bas de compression. Réassurance. Examen clinique. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Physiothérapie respiratoire. Examen clinique. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Traitement antalgique anti-inflammatoire et anti-douleurs. Physiothérapie respiratoire. Contrôle clinique à 5 jours chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie du thorax face/profil : décrite ci-dessous. Antalgie par Dafalgan/Irfen. Examen clinique. Radiographie du thorax. Laboratoire : cf. annexes. Traitement symptomatique. Examen clinique. Radiographie du 1er doigt gauche : décrite ci-dessous. Désinfection bétadinée. Champage. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1% et Bicarbonate. Exploration. 3 points simples à l'Ethilon 4-0. Attelle alu. Tétanos à jour. Antalgie simple. Arrêt de travail jusqu'au 01.03.2019 à réévaluer. Contrôle en policlinique d'orthopédie le 27.02.2019. Ablation des fils dans 7 à 10 jours. Examen clinique. Radiographie du 18.02.2019 face/profil : pas de fracture visualisée, léger épanchement intra-articulaire. Avis orthopédique (Dr. X) : décharge, IRM en ambulatoire à 10-15 jours, anticoagulation, arrêt de travail, contrôle chez Dr. X post-IRM. Attitude : • Antalgie. • Arrêt de travail. • Attelle jambière postérieure, décharge, anticoagulation. • IRM en ambulatoire. • Prise de rendez-vous de contrôle chez Dr. X. Examen clinique. Radiographie du 3ème doigt de la main gauche : décrite ci-dessous. Rappel tétanos. Désinfection de la plaie par Bétadine. Prophylaxie antibiotique par Céfuroxime 1.5 g IV aux urgences. Immobilisation par attelle digitale pendant 6 semaines. AINS et antalgie. Contrôle à la policlinique d'orthopédie la semaine prochaine (prendra rendez-vous le 19.02). Examen clinique. Radiographie du 4ème doigt gauche : décrite ci-dessous. Désinfection bétadinée. Anesthésie locale par Lidocaïne et Bicarbonate. Champage stérile. Rinçage. Exploration (pas de structure noble visualisée). 3 points simples de suture à l'Ethilon 4-0. Pansement Adaptic. Attelle alu pendant 48h. Rappel anti-tétanique. Contrôle à la policlinique d'orthopédie le 28.02.2019. Ablation des points chez le médecin traitant dans 7 à 10 jours. Examen clinique. Radiographie du 5ème doigt gauche : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, du service d'orthopédie. Syndactylie des doigts 4 et 5 pendant 2 semaines. Contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Antalgie à domicile. Arrêt de travail du 19.02.2019 au 22.02.2019. Examen clinique. Radiographie et CT-scanner du pied et cheville gauches : décrits ci-dessous. Avis de Dr. X, orthopédiste. Attelle jambière post. Antalgie et AINS. Cannes. Clexane pendant 6 semaines. Contrôle dans une semaine à la policlinique d'orthopédie. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie face et Neer épaule gauche du 20.02.2019 : pas de fracture visualisée. Avis orthopédique du 20.02.2019 (Dr. X). Attitude : • Traitement symptomatique par antalgie, repos. • Reconsultation en cas de persistance de la symptomatologie. Examen clinique. Radiographie face/profil : fracture de la 2ème phalange majeur droit, peu déplacée. Avis orthopédique de Dr. X : syndactylie scotch proximal et distal, contrôle à sa consultation le 25.02.2019. Examen clinique. Radiographie face/profil/scaphoïde : décrite ci-dessous. Avis orthopédique de Dr. X : attelle plâtrée type RhizoLoc. Suite chez Dr. X, orthopédiste à l'HFR Fribourg déjà prévue. Examen clinique. Radiographie : fracture intra-articulaire de P1. Avis Dr. X : consultation en policlinique à sa consultation le 13.02 pour suivi de l'évolution clinique et rediscuter d'une opération. Syndactylie D4-D5. Examen clinique : Radiographie : pas de fracture visualisée. Bande élastique. Examen clinique. Radiographie poignet gauche : pas de fracture. Cf. annexes. Attelle Velcro, antalgie. Arrêt de sport 15 jours. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs à 1 semaine. Examen clinique. Radiographie thorax : décrite ci-dessous. Patch Flector, antalgie. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs à 48h. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographie thorax : pas de fracture, pas de foyer. Antalgie simple. Recommandation de consulter en cas de dyspnée, toux, expectorations, état fébrile, frissons. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique. Radiographie. Attelle Aircast pour 6 semaines. Suivi chez son médecin traitant dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographie. Avis orthopédique (Dr. X). Plâtre AB fendu. Antalgie. Contrôle le 27.02.2019 en polyclinique d'orthopédie (Consultation Dr. X). Examen clinique. Radiographie. Avis orthopédique (Dr. X). Syndactylie O3-O4. Antalgie. Examen clinique. Radiographies avant et après plâtre antébrachial fendu : décrites ci-dessous. Mr. Y prévenu sur le risque de déplacement secondaire. Antalgie, membre supérieur droit en élévation en bretelle, contrôle à la policlinique le 05.02.2019. Surveillance après traumatisme crânien, qui sera faite par la fille. Examen clinique. Radiographies avant et post-plâtre : décrites ci-dessous. Cannes anglaises pour décharge. Antalgie, arrêt de sport. Contrôle à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Examen clinique. Radiographies cheville D F/P : fracture Weber B de la malléole externe. Cf. annexes. Radiographies de contrôle post-immobilisation : position satisfaisante. Cf. annexes. Immobilisation dans une attelle jambière postérieure, décharge stricte et repos au lit strict avec surrélévation du membre inférieur droit. Anticoagulation prophylactique par Clexane. Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve. Contrôle clinique de l'état cutané à une semaine à la consultation du Dr. X, avant prise en charge chirurgicale. Consignes de surveillance sous plâtre données à Mr. Y. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographies coude D F/P : remaniements arthrosiques importants, pas de lésion traumatique osseuse ni fatpad visualisé. Cf. annexes. Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve. Mobilisation libre selon douleurs. Consultation en cas de persistance des douleurs à 1 semaine. Examen clinique. Radiographies de la cheville face/profil et pied face/profil/oblique : décrites ci-dessous. Avis orthopédique de Dr. X : bande élastique, charge selon douleurs, antalgie et anti-inflammatoires 7-10 jours. Physiothérapie à but analgésique et anti-inflammatoire, consultation chez Dr. X, orthopédiste, en cas de persistance des douleurs à 10 jours. Examen clinique. Radiographies de la cheville gauche : décrites ci-dessous. Bandage élastique, conseils de surélévation du membre inférieur gauche, glace, marche en charge selon les douleurs. Antalgiques et anti-inflammatoires. Consultation en cas de persistance des symptômes à 7 jours. Examen clinique. Radiographies de la clavicule gauche : décrites ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Traitement conservateur avec immobilisation dans une attelle Rucksack, consignes de repos et glace. Antalgies et anti-inflammatoires. Contrôle radioclinique à 1 semaine en policlinique d'orthopédie, avis de Dr. X, orthopédiste, en cas de déplacement secondaire. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographies de la colonne cervicale, colonne thoracique : décrites ci-dessous. Radiographies du thorax face : décrites ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Traitement antalgique anti-inflammatoire et myorelaxant. Consultation aux urgences en cas de péjoration des symptômes. Fiche documentaire pour première consultation après un traumatisme d'accélération crânio-cervical remplie. Examen clinique. Radiographies de la colonne cervicale face/profil/odontoïde : décrite ci-dessous. Sédiment urinaire : cf. annexes. Hématurie microscopique avec érythrocytes 11-20/champs. Laboratoire : cf. annexes. Retour à domicile avec un traitement symptomatique, myorelaxants. Consignes de surveillance post-traumatisme crânien données à la patiente.Consultation en cas de péjoration des douleurs ou d'apparition de nouveaux symptômes. Contrôle de l'hématurie microscopique avec sédiment urinaire dans la semaine prochaine à la consultation du médecin traitant. Examen clinique. Radiographies de la colonne dorsale et lombaire F/P : décrites ci-dessous. CT-scan de la colonne lombaire : décrit ci-dessous. Sédiment urinaire : cf. annexes. Erythrocyte < 3. Antalgiques et anti-inflammatoires, myorelaxants. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 10 jours. Examen clinique. Radiographies de la jambe droite face/profil : décrites ci-dessous. Traitement antalgique et anti-inflammatoire de réserve. Consultation en cas de persistance des douleurs à 1 semaine. Examen clinique. Radiographies des genoux des deux côtés : décrites ci-dessous. AINS et antalgie et repos. Consultation en orthopédie si persistance de douleurs après 5-7 jours. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographies du bassin + lombaire : décrites ci-dessous. Stix et sédiment urinaire : cf. annexes. Dans la norme. CT-scan de la colonne dorso-lombaire : décrit ci-dessous. Avis de la Dresse X, orthopédiste : consultation avec le Team Rachis à l'HFR Fribourg en ambulatoire pour envisager une IRM de la colonne qui préciserait l'aspect de la vertèbre (le numéro est remis au patient). Antalgie et retour à domicile. Examen clinique. Radiographies du bassin et hanche : décrites ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Ordonnance d'antalgie. Soins à domicile augmenter à 2x/jour. Physiothérapie pour la mobilisation. Examen clinique. Radiographies du genou droit face/profil/axiale : décrite ci-dessous. Traitement symptomatique par antalgiques et anti-inflammatoires. Conseils de repos, glace, surélévation du membre inférieur droit et marche en charge selon douleurs. Réévaluation clinique à la consultation du Dr X, orthopédiste, en cas de persistance des douleurs à 1 semaine. Arrêt de sport 1 semaine. Examen clinique. Radiographies du genou gauche face/profil/axiale : décrites ci-dessous. Immobilisation du membre inférieur gauche dans une attelle Jeans en extension, avec charge selon douleurs et anticoagulation prophylactique. Conseils de glace, repos et surélévation du membre inférieur gauche. Réévaluation clinique à 1 semaine à la consultation du Dr X, orthopédiste, après réalisation d'une IRM. Antalgiques et anti-inflammatoires. Arrêt de travail. Examen clinique. Radiographies du poignet et main droite : décrites ci-dessous. Avis du Dr X, du service d'orthopédie. Attelle poignet palmaire à but antalgique. Antalgie par Algifor. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires à 7 jours. Arrêt du sport. Examen clinique. Radiographies du thorax face : décrites ci-dessous. Physiothérapie par Inspirex. Antalgiques et anti-inflammatoires. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 10 jours. Arrêt de travail. Examen clinique Radio Labo Gazo Atrovent + Ventolin Hémoculture aux urgences à froid Urines pour Antigène Co-Amoxi 2,2 g i.v. aux urgences Klacid 500 mg per os aux urgences Contrôle du laboratoire le 23.02.2019 Physio resp Avis pneumologie (patient est suivi par le Dr X) Examen clinique. Radiologie : décrite ci-dessous. Attelle Jeans 20°, thromboprophylaxie par Clexane 40 mg, anti-inflammatoire. Contrôle prévu chez le Dr X, orthopédiste, le 11.02.2019. Examen clinique. Rappel anti-tétanique. Radiographie : décrite ci-dessous. Avis orthopédique de la Dresse X : suivi rapproché à la policlinique d'orthopédie. Arrêt de travail. Examen clinique. Rappel anti-tétanos. Désinfection, anesthésie, rinçage par 80 ml de NaCl, suture au fil d'Ethilon 4.0, pansement. Antalgie. Ablation des fils chez le médecin traitant dans 5-7 jours. Surveillance post-traumatisme crânien faite par l'épouse. Examen clinique. Rappel vaccination anti-tétanos. Désinfection, anesthésie en bague à la Rapidocaïne, exploration de la plaie ne mettant pas en évidence d'atteinte du tendon du long fléchisseur ni d'arthrotomie, rinçage abondant au NaCl, suture par 2 points d'Ethilon 4.0, pansement immobilisant l'interphalangienne du pouce, réfection du pansement à 48 h en policlinique d'orthopédie. Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve. Ablation des fils de suture à 14 jours chez le médecin traitant. Consultation aux urgences en cas d'apparition de douleurs, de signes inflammatoires locaux ou de fièvre. Examen clinique. Réassurance, retour à domicile avec poursuite du traitement par antalgie et myorelaxant, ordonnance de physiothérapie, arrêt de travail et consigne de prendre rendez-vous chez son médecin traitant la semaine prochaine pour la suite de la prise en charge. Examen clinique. Réassurance. Arrêt de travail. Examen clinique. Réassurance. Consultation chez le dentiste dès que possible. Examen clinique. Réassurance. Contrôle chez médecin traitant dans la semaine. Examen clinique. Réassurance. Proposition d'antalgie lors des douleurs. Suivi chez le médecin traitant ou aux urgences si persistance des douleurs. Examen clinique. Réassurance. Retour à domicile avec conseil de prendre rendez-vous rapidement chez son psychiatre pour la suite du suivi et chez son médecin généraliste, ainsi que de poursuivre le traitement antalgique et anxiolytique qu'elle a déjà à domicile. Examen clinique. Réassurance. 1 mg de Temesta aux urgences. Rendez-vous de contrôle avec psychologue traitant le 13.02.2019. Examen clinique. Réduction par le chef de clinique d'orthopédie (Dr X). Immobilisation du doigt avec une attelle digitale. Radiographie de contrôle après la réduction : décrite ci-dessous. Contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie le 18.02.2019. Examen clinique. Réévaluation de l'indication à un traitement anxiolitique/antidépresseur à voir avec le médecin traitant le 26.02.2019. Examen clinique. Réfection du pansement. Attitude : • Poursuite de l'antibiothérapie par Co-amoxicilline 1 g 2x/j pendant 7 jours. • Rendez-vous de contrôle chez médecin traitant dans 7-10 jours. • Suite de prise en charge, avec ablation des fils à 3 semaines, chez le médecin traitant. • Recommandation de reconsulter en cas d'état fébrile, de frissons ou de trouble neurologique. Examen clinique. Rendez-vous chez médecin traitant pour ablation des fils à J7-J10. Examen clinique. Résultat de l'IRM le 21.02.2019. Avis du Dr X du Team Rachis de l'HFR Fribourg : traitement conservateur avec aussi dexaméthasone avec schéma dégressif sur une semaine. La patiente va prendre rendez-vous avec le Team Rachis de l'HFR Fribourg, dans 2 semaines. Elle le contacte avant si péjoration clinique. Examen clinique. Retour à domicile avec antalgie en réserve, nous proposons à la patiente de revenir si elle présente un déficit neurologique ou de céphalées en augmentation. Examen clinique. Retour à domicile avec antalgie et arrêt de travail, consigne de s'hydrater et de reconsulter en cas de péjoration des symptômes ou d'apparition de douleur thoracique. Examen clinique. Retour à domicile avec antalgie et myorelaxant. Recommandations de reconsulter en cas de signe de gravité. Examen clinique. Retour à domicile avec antalgie et organisation d'un ultrason du genou gauche en ambulatoire le 25.02.2019 puis rendez-vous au secteur ambulatoire des urgences. Examen clinique. Retour à domicile avec antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/jour, contrôle en filière dans 48 h, consigne de reconsulter avant en cas de péjoration des symptômes. Examen clinique. Retour à domicile avec Dafalgan et Codéine Knoll 50 mg pendant 5 jours. Contrôle chez le médecin traitant le 15.02.2019 si persistance de la symptomatologie.Examen clinique. Retour à domicile avec réassurance du patient. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Examen clinique. Retour à domicile avec traitement symptomatique, arrêt de travail, consigne de consulter chez son médecin traitant semaine prochaine si absence d'amélioration des symptômes. Examen clinique. Retour à domicile avec traitement symptomatique et arrêt de travail. Examen clinique. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Arrêt de travail. Contrôle à J4 chez le médecin traitant. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Examen clinique. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Arrêt de travail. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Reconsulter son médecin à 48 heures si non amélioration. Examen clinique. Retour à domicile (elle vit avec son ami), consignes de surveillances neurologiques données à la patiente. Examen clinique. Retour à domicile. Recommandation de reconsulter en cas de signe de gravité. Examen clinique. RX : cfr ci-dessous. Bande élastique à but antalgique. Examen clinique. RX : cfr ci-dessous. Avis orthopédique de Dr. X : au vu de l'axe conservé et du contexte, traitement conservateur par plâtre AB pour une semaine puis consultation à la policlinique de traumatologie pour changement du plâtre le 14.02.2018. Examen clinique. RX : cfr ci-dessous. Dafalgan 1g 3x/j selon douleur, Irfen 400 mg 3x/j pour 5 days et 9 séances de physiothérapie à but antalgique/anti-inflammatoire et de renforcement de la coiffe des rotateurs. Examen clinique. RX : cfr ci-dessous. Patient vu par Dr. X, orthopédiste. Consultation en policlinique à sa consultation le 13.02 pour suivi de l'évolution clinique et rediscuter d'une prise en charge opératoire ou conservatrice. Syndactylie D4-D5. Antalgie simple. Examen clinique. RX bassin face/profil : pas de descellement ou de fracture visualisée, explication donnée par le médecin. Consilium orthopédie (Dr. X) : radiographie de contrôle, poursuite physiothérapie. Attitude : • physiothérapie • traitement symptomatique Patient sera recontacté pour rendez-vous de suivi en orthopédie (avec Dr. X). Examen clinique. RX cheville G : pas de fracture. Antalgie simple et conseil de glaçage. Examen clinique. RX coude. Avis ortho (Dr. X). Hospitalisation en orthopédie pour opération. A jeun. Examen clinique. RX de cheville : cfr ci-dessous. Laboratoire : cfr annexes. Antalgie par Ecofenac et paracétamol 1g IV. Clexane 40mg en prophylaxie de la thrombose. Attelle postérieure plâtrée. Consultation en policlinique orthopédique dans 1 semaine. Arrêt de travail. Examen clinique. RX de cheville droite face profil : cfr ci-dessous. RICE. Antalgie. Aircast 4 semaines. Cannes anglaises. Contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Arrêt de travail. Examen clinique. RX de la cheville gauche : cfr ci-dessous. Immobilisation par attelle jambière postérieure au vu d'importantes douleurs de la malléole externe à la charge dans le R-cast. Antalgie par Irfen/Dafalgan/Tramal. Anticoagulation prophylactique par Clexane. Contrôle à la policlinique orthopédique à 7 jours. Arrêt de travail. Examen clinique. RX de la jambe droite : cfr ci-dessous. Traitement antalgique et anti-inflammatoire de réserve, consignes de surélévation et glace du membre inférieur droit. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 1 semaine. Examen clinique. RX de la main gauche : cfr ci-dessous. Retour à domicile avec bande élastique, glace et antalgie simple. Arrêt de travail jusqu'au 22.02.2019, contrôle chez le médecin traitant le 25.02.2019. Examen clinique. RX de l'épaule : cfr ci-dessous. Avis orthopédique (Dr. X) : réduction. Gilet orthopédique. Antalgie. Rendez-vous orthopédique à 1 semaine le 22.02.2019 à la policlinique auprès de Dr. X, avec réalisation d'une radiographie de contrôle. Examen clinique. RX de l'épaule. Avis orthopédique Dr. X. Gilet orthopédique. Antalgie. Arrêt maladie. Recommandation de reconsulter en cas de douleurs intenses. Suite de prise en charge en orthopédie pour opération. Examen clinique. RX de l'hallux droit : cfr ci-dessous. Traitement antalgique et anti-inflammatoire de réserve. Conseils de marche avec des chaussures à semelles rigides, surélévation du membre inférieur droit, glace. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 1 semaine. Examen clinique. RX de thorax : cfr ci-dessous. Dafalgan cpr 1g 4x/j, Irfen 400 mg 3x/j, Rinosedin 0.5% 1 gttes/narine 3x/j max 5j, Fluimucil cpr 200mg 2x/j. Arrêt de travail. Examen clinique. RX dorsale, lombaire et du bassin : cfr ci-dessous. CT scan cérébral, lombaire et bassin : cfr ci-dessous. Transfert à Fribourg pour suite de prise en charge et surveillance hémodynamique, en ambulance. Arrêt de travail. Examen clinique. RX du genou droit : cfr ci-dessous. Avis orthopédique de Dr. X : ad CT du genou droit : cfr ci-dessous. Poursuite du suivi à la consultation de Dr. X le 25.02.2019. Examen clinique. RX du genou gauche : cfr ci-dessous. Avis orthopédique de Dr. X. CT du genou gauche : cfr ci-dessous. Attelle jeans à 0°. Cannes. Pas de Clexane. Antalgie par AINS au besoin. Contrôle à la policlinique orthopédique dans 1 semaine, 2 semaines et à 6 semaines. Arrêt de sport. Examen clinique. RX du majeur droit : cfr ci-dessous. Attelle digitale métallique avec syndactylie des doigts 3 et 4 à titre antalgique. Antalgie. Arrêt de travail jusqu'au 18.02.2019. Contrôle clinique chez le médecin traitant à 5 jours avec consultation préalable en cas de péjoration de la clinique. Examen clinique. RX en charge : cfr ci-dessous. Aircast 6 semaines. AINS. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine : si persistance de douleurs ou suspicion de douleurs sus-naviculaire, ad CT (avis de Dr. X, orthopédiste, au colloque du matin). Examen clinique. RX genou G. Laboratoire. Avis orthopédique Dr. X. Hospitalisation pour opération. Antalgie simple. Examen clinique. RX main gauche. Avis orthopédique (Dr. X). Désinfection et investigation à l'aiguille boutonnée : atteinte tendineuse, suture tendon et cutanée avec pansement, attelle Edimbourg jusqu'au prochain contrôle. Ergothérapie. Clindamycine 600 mg 2x/jour pour 3 jours (allergie à l'Amoxicilline). Contrôle secteur ambulatoire des urgences à 48h. Examen clinique. RX thoracique du 20.02.2019 : pas de pneumothorax ou de fracture costale visualisée. Attitude : • Traitement antalgique. • Repos. • Patient est instruit des symptômes graves nécessitant une reconsultation aux urgences. Examen clinique. RX thorax. Hémocs à pister. ETT + avis Dr. X : Petit épanchement circonférentiel de max 3mm en regard des cavités droites, bon fonctionnement de la bioprothèse. Recommandations : • Hospitalisation en médecine • Brufen 600mg 3x/j (sevrage dès disparitions des symptômes) + Colchicine 2x0.5mg/j pendant 6 mois avec FSS 1x/mois (risque leucopénie) • ETT en urgence si instabilité hémodynamique (attention Tamponnade) • ECG quotidien Aux urgences le 09.02.2019. Laboratoire. ECG. US bedside (Dr. X) : fine lame d'épanchement péricardique. Avis cardiologie et ETT Dr. X : compatible avec Dressler, présence d'un épanchement péricardique et pleural. Vu diminution Hb, hypoTA, lactates et douleur initialement transfixiante, ad CT injecté pour exclure saignement. CT thoracique injecté : pas de saignement, épanchement péricardique, épanchement pleural gauche avec atélectasie de contact et foyer sous-jacent ne peut pas être exclu, comblements bronchiques, hernie de Bochdalek à gauche. Examen clinique. RX. Avis orthopédique (Dr. X) : attelle Stack, anti-douleur, cold pack, contrôle radio-clinique à la consultation ortho-urgence dans 7 jours.Examen clinique. RX. CT. Avis orthopédique : immobilisation par gilet orthopédique. Examen clinique. Score de Centor : 2 points. Streptotest : négatif. Lavages nasaux au NaCl 0.9 %. Rhinostop 50/25. Dafalgan/Irfen. Reconsulter si apparition de troubles visuels, oedème du visage, rhinorrhée purulente. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Examen clinique. Score de Centor 2/4. Strept-test positif. Amoxicilline 625 mg 3x/jour pendant 10 jours. AINS, Dafalgan. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Sédiment, stix du 20.02.2019. Attitude : • Traitement par antibiotiques, Ciprofloxacine pour 7 jours en raison d'une légère sensibilité à la percussion rénale. • Mme. Y est instruite des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf. annexes. Uricult à pister. Furadantine caps 100 mg 2x/jour pendant 5 jours. Dispense d'école ce jour et de sport jusqu'au 23.02.2019. Examen clinique. Sédiment urinaire : propre. Cf. annexes. Radiographie du bassin : décrite ci-dessous. Antalgie avec Voltaren 75 mg et Sirdalud 4 mg. Physiothérapie en ambulatoire. Arrêt du travail pour 3 jours. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf annexe. Antibiothérapie par Furadantine 100 mg 2x/jour pendant 5 jours. Examen clinique. Sédiment urinaire : cf annexe. Laboratoire : cf annexes. Retour à domicile avec antalgie de réserve et filtre pour les urines. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Examen clinique. Sédiment urinaire et laboratoire : cf annexes. Uro-CT : cf ci-dessous. Avis urologique de Dr. X : • ordonnance pour antalgie et Tamsulosine • contrôle clinique à 1 semaine à sa consultation. Mr. Y prendra rendez-vous demain • filtration des urines • conseil de consulter avant si apparition d'un état fébrile. Examen clinique. Sédiment urinaire : pas de sang, pas de leuco, pas de nitrite. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, créatines à 59. Retour à domicile avec antalgie par Dafalgan, Irfen, Mydocalm. Reconsultera en cas d'état fébrile, d'hématurie ou d'anurie et de persistance des symptômes malgré le traitement antalgique. Examen clinique. Sédiment urinaire. Uricult : leuco +++, nitrite +++, sang +, pas de bactérie. Furadantine pour 7 jours. Urispas. Examen clinique. Sportusal Emgel 3-4x/jour, Algifor sirop junior 12,5 ml/dose 3x/jour pendant 3 jours, Dafalgan 500 mg cp en réserve selon douleurs max 4x/jour, revoir chez le médecin traitant à 5 jours si pas d'amélioration. Examen clinique. Stix et sédiment urinaire : cf. annexes. Laboratoire : leucocytose en amélioration (5.1 G/l, contre 12.3 G/l le 25.02.2019) : CRP à 102 mg/l. Urotube : S. hominis et E. Coli sensible à Ceftriaxone + Ciprofloxacine. Ciproxine 500 mg 2x/jour dès le 26.02.2019 prolongé jusqu'au 05.03.2019 comme prévu. Contrôle chez le médecin traitant au cours de la semaine prochaine. Arrêt de travail jusqu'au 04.03.2019. Examen clinique. Stix et sédiment urinaire. Laboratoire : cf. annexes. Urotube : cf. annexes. Uro-CT : décrit ci-dessous. Rocéphine 2 g i.v. Ciproxine 500 mg 2x/jour dès le 26.02.2019 pendant 5 jours, à prolonger à 7 jours si l'urotube est positif. Contrôle biologique, clinique à la filière des urgences ambulatoires le 28.02.2019, pister l'urotube. Arrêt de travail jusqu'au 28.02.2019. Examen clinique. Stix, sédiment. Uriculture du 18.02.2019. Attitude : • Traitement par Nitrofurantoïne 100 mg 2x/jour. • Mme. Y informée des symptômes graves nécessitant une reconsultation aux urgences. Examen clinique. Stix urinaire. Examen clinique. Stix urinaire : cf. annexes. A la limite de la norme, leucocytes ++ et pH un peu plus acide. Sédiment urinaire : cf. annexes. Dafalgan 1 g 4x/jour et Irfen 400 mg 3x/jour pour 3 jours, Fluimucil sachet 200 mg 3x/jour, Triofan 1 spray/narine 2x/jour maximum 5 jours. Examen clinique. Stix urinaire : sang négatif. Protocole RICE. Antalgie Dafalgan/Irfen/Tramal. Arrêt de travail 4 jours et contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Stix urinaire - normal. Arrêt de travail. Antalgie. Retour à domicile. Examen clinique. Streptotest : négatif, explications données à Mme. Y. Retour à domicile avec traitement antalgique, Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pour 7 jours. Arrêt de travail. Proposition de reconsulter si persistance ou péjoration des symptômes. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Strepto-test : négatif. Traitement symptomatique par antalgique et anti-inflammatoires. Consultation en cas de péjoration des symptômes ou de persistance des douleurs à 1 semaine. Examen clinique. Streptotest : positif, explications données à Mr. Y. Avis ORL. Retour à domicile avec traitement symptomatique et Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour durant 7 jours. Contrôle à 48h chez le médecin traitant. Mr. Y informé de reconsulter si péjoration des symptômes, ou apparition d'une dyspnée, dysphonie. Examen clinique. Streptotest le 05.02.2019 : positif. Traitement par Pénicilline V 1 Mio Ul pendant 7 jours. Antalgie simple et traitement symptomatique. Recommandation de consulter en cas de trismus, dyspnée, état fébrile, frissons. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examen clinique. Streptotest négatif. Antibiotique par Amoxicilline 1 g 2x/j durant 7 jours. Traitement symptomatique avec Dafalgan, Aspegic, Collunosol et Xylo-Mepha. Conseil d'hydratation. Reconsultera en cas de douleurs persistantes. Examen clinique. Strepto-test négatif. Radiographie du thorax face/profil : décrite ci-dessous. Dafalgan cp 1 g 4x/jour pendant 5 jours, Irfen 400 mg 3x/jour pendant 3 jours, Triofan spray nasal 4x/jour pendant 5 jours, Calmesin sirop 5 ml 3x/jour pendant 5 jours. Arrêt de travail. Examen clinique. Streptotest négatif. Dafalgan 1 g 4x/jour pendant 5 jours, Irfen 400 mg 3x/jour pendant 3 jours, Triofan spray nasal 2 jours supplémentaires, rinçages nasaux Emser, Nasobol au besoin. Examen clinique. Streptotest négatif. Traitement symptomatique avec Dafalgan, Irfen et Collunosol. Reconsultera son médecin traitant en cas de péjoration des symptômes ou état fébrile. Examen clinique. Streptotest positif. Attitude : • traitement par Pénicilline V 1 mios UI pour 10 jours • conseils d'usage Mme. Y instruite des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Examen clinique. Streptotest : positif. Laboratoire. Traitement antibiotique et antalgie. Contrôle chez le médecin traitant dans 2 à 3 jours. Examen clinique. Streptotest : négatif. Traitement symptomatique. Examen clinique. Streptotest. Traitement symptomatique. Contrôle chez son médecin traitant. Examen clinique. Suivi biologique. Examen clinique. Suivi gynécologique chez Dr. X. Examen clinique. Surveillance aux urgences pendant 6 heures. Avis psychiatrique (Dr. X) : hospitalisation à Marsens. Examen clinique. Surveillance clinique. Examen clinique. Surveillance clinique aux urgences. Surveillance neurologique à domicile durant 24 h par son amie. Examen clinique. Suspicion de thrombophlébite de la veine ovarienne du post-partum à droite. Labo : CRP 260, Lc 18. CT abdominal (rapport oral Dr. X) : pas d'appendicite, pas de colite. Avis chirurgie (Dr. X) : CT abdominal à la recherche d'appendicite, au vu du manque d'appendicite suspicion du diagnostic susmentionné, hospitalisation en gynécologie, traitement antibiotique empirique à voir avec les gynécologues, suivi clinique et biologique. Examen clinique. Suture de plaie : désinfection par Bétadine, anesthésie en bague par Rapidocaïne 1 %, exploration de plaie, pas d'atteinte fonctionnelle, pas d'arthrotomie, rinçage à NaCl et Bétadine diluée, 7 points de suture Prolène 4.0 et réfection de pansement, Adaptic digit.Antibiothérapie par Co-amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 5 jours. Avis orthopédique (Dr. X) : exploration de plaie sans lésion ligamentaire ni tendineuse, ni neural. Antalgie simple. Suite de prise en charge chez le médecin traitant à 48 h pour contrôle et ablation de fils à J7. Examen clinique. Tavegyl 2 mg IV. Solumedrol 125 mg. Surveillance. Retour à domicile. Examen clinique. Tavegyl 2 mg IV. Laboratoire : cf. annexes. Examen clinique. Test à la fluorescéine négatif. Vitamine A pommade. Consultation ophtalmologique si persistance de douleurs. Examen clinique. Test de grossesse négatif. Traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant si persistance de la symptomatologie. Mme. Y est instruite des symptômes nécessitant un re-contrôle aux urgences. Examen clinique. Test de Shellong : négatif. Remeron 15 mg au coucher, avec majoration de la posologie selon tolérance. Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Proposition de suivi psychologique en ambulatoire. Examen clinique. Test de streptocoque : négatif. Examen clinique. Test des toxines non effectué (délai dépassé). Consilium gynécologique. Conseil de prévention. Consultation à la consultation ambulatoire des urgences pour résultats MST le 06.02.2019 (Hépatite B, C, HIV, syphilis, gonocoque, chlamydia). Test HIV à répéter à 3 mois chez son médecin traitant. Examen clinique. Tétanos à jour selon le patient. Désinfection par Hibidil. Stéristrips. Examen clinique. Tétanos à jour. Désinfection, champage, anesthésie locale, rinçage et exploration avec NaCl, 3 points simples avec Ethilon 4.0, Opsite spray. Contrôle à 48 h et retrait des fils chez le médecin traitant à J10. Examen clinique. Traitement antalgique simple. Nasivine spray et rinçage à l'eau de mer. Consultation en ORL à 24-48 h. Examen clinique. Traitement antalgique standard. Contrôle clinique auprès du médecin traitant en début de semaine prochaine. Reconsulter les urgences si péjoration de la clinique ou trouble neuro-moteur. Examen clinique. Traitement antalgique. Arrêt de travail. Retour à domicile avec conseils de reconsulter son médecin traitant si persistance ou péjoration des symptômes. Examen clinique. Traitement d'épreuve par Lévocétirizine : amélioration de la clinique avec diminution de la rougeur. Traitement symptomatique par Cétirizine Hydrochloride 5 mg (compatible à l'allaitement). Suite de prise en charge chez le médecin traitant avec proposition de consultation chez l'allergologue. Recommandation de consulter en cas de nausée et vomissement, diarrhée ou dyspnée. Examen clinique. Traitement symptomatique. Examen clinique. Traitement symptomatique. Examen clinique. Traitement symptomatique. Examen clinique. Traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Reconsulter les urgences si péjoration des céphalées. Examen clinique. Traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant si absence d'amélioration. Examen clinique. Traitement symptomatique. Arrêt de travail. Contrôle chez son médecin traitant. Examen clinique. Traitement symptomatique. Arrêt de travail. Proposition de reconsulter en cas de persistance ou péjoration des symptômes. Examen clinique. Traitement symptomatique. Arrêt de travail. Reconsulte en cas de persistance ou de péjoration des symptômes. Examen clinique. Traitement symptomatique. Conseils donnés au patient de reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie. Examen clinique. Traitement symptomatique. Consultation chez le médecin traitant si persistance de la symptomatologie. Examen clinique. Traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant. Examen clinique. Traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des symptômes. Examen clinique. Traitement symptomatique. Contrôle chez son médecin traitant. Arrêt de travail. Examen clinique. Traitement symptomatique. Contrôle clinique chez le médecin traitant si non amélioration de la symptomatologie. Examen clinique. Traitement symptomatique. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à la patiente. Examen clinique. Traitement symptomatique. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examen clinique. Traitement symptomatique. Poursuite de prise en charge chez le médecin traitant si persistance de la symptomatologie. Examen clinique. Traitement symptomatique. Prélèvement de selles : le patient ramènera au laboratoire. Consultation à la consultation ambulatoire des urgences le 06.02.2019 pour résultats de PCR de selles et mise en place d'antibiotiques si nécessaire : le patient est informé d'annuler si amélioration de la symptomatologie. Examen clinique. Traitement symptomatique. Reconsulte si persistance au-delà de 5 jours ou si péjoration de douleurs ou état fébrile. Examen clinique. Traitement symptomatique. Repos jusqu'au 14.02.2019. Le patient est instruit des symptômes graves nécessitant une reconsultation aux urgences. Examen clinique. Traitement symptomatique. Suivi chez le médecin traitant. Examen clinique. Traitement symptomatique. Suivi chez le médecin traitant. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Examen clinique. TSH dosée aux urgences de Neuchâtel dans la norme. Explications données par le médecin pour : ECG. Laboratoire. Score de Genève intermédiaire avec D-Dimères négatif. La patiente ayant consulté aux urgences de Neuchâtel 10 jours auparavant, un holter avait déjà été planifié. Nous lui proposons d'effectuer ces investigations comme prévu. Retour à domicile avec Magnesiocard et Dafalgan. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à la patiente. Examen clinique. Ultrason de la cheville droite : décrit ci-dessous. Avis orthopédique du Dr. X, médecin assistant. VacoPed statique 30° + décharge complète avec cannes selon schéma. Antalgie. Thromboprophylaxie Clexane 40 mg. Physiothérapie. Contrôle à la policlinique d'orthopédie le 08.03.2019 à 15h15. Examen clinique. Ultrason des parties molles de la cuisse gauche : décrit ci-dessous. Avis de la Dr. X, orthopédiste. Physiothérapie ambulatoire. Contrôle à la consultation de la Dr. X le 27.02.2019 à 8h45. Poursuite de la marche avec cannes avec arrêt dès que possible en lien avec les douleurs. Examen clinique. US ambulatoire le 08.02.2019 à 13h45. Avis orthopédique (Dr. X). Consultation de contrôle avec orthopédiste (Dr. X) post US le 08.02.2019. Retour à domicile avec antalgie, cannes, charge selon douleur. Arrêt de travail. Physiothérapie à 10 jours en ambulatoire. Examen clinique. Vaccin antitétanique à jour. Rinçage. Désinfection. Exploration de la plaie sous anesthésie locale avec lidocaïne. Suture de 2 points avec Ethilon 5.0. Contrôle à J2 chez le médecin traitant. Contrôle à J7 pour ablation des fils. Antalgie simple par Brufen et Dafalgan. Examen clinique. Vaccin anti-tétanique à jour. Rinçage et désinfection de la plaie. Anesthésie avec Gel Et pour inspection de la plaie. Exploration de la lésion superficielle, pas de suture nécessaire. Pansement compressif avec Adaptic. Antalgie à domicile (pas besoin d'ordonnance). Contrôle à J2 chez le pédiatre. Examen clinique. VacoPed à 30°, cannes anglaises, Clexane, antalgie. Ultrason organisé pour le 25.03.2019 avec ensuite contrôle par le Dr. X, orthopédiste, pour discussion avec le patient d'une prise en charge chirurgicale versus un traitement conservateur. Examen clinique. Visualisation fluorescéine, rinçage sous pression NaCl 0.9 %, pansement fermé. Floxal gouttes 3 mg/g 3x/j, Vitamine A blanche 3x/j. Contrôle à la policlinique d'ophtalmologie HFR-Fribourg cet après-midi.Arrêt de travail. Examen clinique. Voltarène et 10 mg de Morphine au triage. Avis gynécologique avec sonographie endovaginale : gênes probablement d'origine gynécologique, pas de liquide libre dans le Douglas. Examen clinique. Xyzal + hydratation par Excipial. Consultation ambulatoire en dermatologie (rendez-vous sera pris par le patient). Examen clinique. Xyzal 1 comprimé pendant 5 jours. Suivi chez le médecin traitant si persistance de la symptomatologie. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à la patiente. Examen clinique. Xyzal 5 mg. Consultation à prévoir en allergologie. Examen clinique. 1 rinçage à la Chlorhexidine 100 de la sonde qui rend 1500 ml. Avis du Dr. X, urologue traitant : rendez-vous à sa consultation ce jour pour changement de la sonde urinaire. Examen clinique Radiographie main droite : pas de fracture Attitude : • Retour à domicile avec antalgie, nous proposons au patient de revenir au secteur ambulatoire des urgences si pas d'amélioration. Examen dans les limites de la norme. Examen de base de médecine palliative, standardisé (PBA) selon SENS (Dr. X, Dr. Y, le 21.02.2019) Évaluation par ESAS Équipe de traitement multidisciplinaire : médecin, infirmier, oncologue (Dr. Z), physiothérapeute, ergothérapeute, nutritionniste. Examen de base de médecine palliative, standardisé (PBA) selon SENS (Dr. X, le 22.01.2019) Évaluation par ESAS Équipe de traitement multidisciplinaire : soins infirmiers, médecins, Oncologie : Dr. Y ; physiothérapie, ergothérapie, nutrition clinique, Mme. Z (psycho-oncologue), aumônier. Arrêt des traitements d'Atorvastatine et aspirine cardio. Poursuite du traitement d'Escitalopram. Introduction de Zyprexa fixe le 22.01.2019. Temesta en réserve dès le 22.01.2019. Examen de base de médecine palliative, standardisé (PBA) selon SENS (Dr. X, le 23.01.2019) Évaluation par ESAS Équipe de traitement multidisciplinaire : médecin, infirmier, anesthésiste, travail social, physiothérapeute, ergothérapeute, nutritionniste, aumônier. Examen électrophysiologique Neurocentre fin janvier : pas d'atteinte radiculaire, centrale ou du plexus avec résultats parlant en faveur d'un tunnel carpien du côté droit. Examen : mollet souple à la palpation, pas d'hématome, pas de trouble neuro-vasculaire. RX jambe : pas de lésion osseuse. Vaccin antitétanique à jour. RAD avec antalgie, anti-inflammatoire, protocole RICE. Arrêt de travail. Contrôle à la FUA (pas de MT) le 30.01.2019. --> Discussion du cas au colloque de chirurgie du 01.02.19 : patient convoqué à la policlinique d'orthopédie le 01.02 ou le 04.02 au plus tard, examen du tendon d'Achille, si hématome simple retirer les cannes et marche en charge. Examen neurologique dans la norme. Antalgie standard. Arrêt de travail. Feuille d'information donnée à la patiente. Consultation chez le médecin traitant dans 3 jours. Examen neurologique dans la norme. Antalgie standard et repos. Consignes de gravité nécessitant une reconsultation communiquées à la patiente. Examen neurologique dans la norme. Avis du Dr. X, de médecine interne. Avis du Dr. Y, chirurgien : pas d'indication à faire d'imagerie. Retour à domicile avec feuille de surveillance. Examen neurologique en ordre. Consignes de surveillance. Examen neurologique et orthopédique. Rx lombaire F et P. À organiser chez le pédiatre (sur demande des parents) : FSC, CRP, VS. Irfen d'office 48 heures. Contrôle chez pédiatre à 48 heures et évaluation nécessité d'examen approfondi (IRM). Examen neurologique normal, pas de bradycardie associée, pas de drapeaux rouges. Rassurance. Conseils de surveillance donnés, reconsultation +/- imagerie cérébrale si péjoration. Prise en charge HTA selon pédiatre. Examen neurologique : rassurant. ECG : pas de trouble de la repolarisation. Labo : aligné. Rx colonne lombaire : pas de fracture visualisée. Surveillance pendant la nuit. RAD le matin. Examen neurologique, réassurance. Initiation traitement par Lyrica, à poursuivre selon tolérance et efficacité par le médecin traitant, réévaluer consultation neurologique ou antalgique selon l'évolution. Examen neurologique. Ablation du fil Prolène 4.0. Examen neurologique. Conseils de surveillance et consignes de reconsultation. Examen neurologique. CT-cérébraux cervicaux (Dr. X) : pas de saignement, pas de fracture au niveau cervical visualisée, CT sans particularité. Antalgie. Feuille de surveillance TC donnée et expliquée au patient avec les consignes de reconsultation expliquées. Conseil pour la commotion cérébrale. Examen neurologique. Laboratoire : cf. annexes. Arrêt de travail. Examen neurologique. Réassurance parentale. Conseils de surveillance et consigne de reconsultation. Examen neuropsychologique le 31.01.2019. Contre-indication à la conduite automobile jusqu'à une évaluation complète à la Memory Clinic. Examen : pas de déficit neurologique. Antalgie. Examen physique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexe. Avis du Dr. Y, chirurgien de garde. Avis du Dr. Z, urologue de garde. Uro-CT : décrit ci-dessous. Antalgie (Novalgine et Paracétamol). Buscopan. Patient sera hospitalisé à la clinique Daler à Fribourg le 06.02 pour une prise en charge chirurgicale par le Dr. Z, urologue, avec une intervention prévue le 07.02.2019. Examen rassurant. Traitement symptomatique. Conseils au patient de reconsulter en cas de persistance de la symptomatologie à la fin du traitement (pas de médecin traitant). Examen sans particularité. Pas de signes d'alerte. Examen sous fluorescéine. Avis ophtalmologique téléphonique (Dr. X). Floxal, Vitamine A, Pansement occlusif. Contrôle en ophtalmologie le 07.02.2019 au matin. Examen. Antalgie par AINS, Dafalgan et myorelaxant. Arrêt de travail. Reconsulter médecin traitant en cas de persistance ou de péjoration des symptômes. Examens avec explication donnée par le médecin : • CT-scan cérébral natif, colonne cervicale du 14.02.2019 : pas de saignement intra-parenchymateux, pas de fracture du massif facial, pas de fracture de la voûte crânienne. • Laboratoire du 14.02.2019 : sans particularité. Traitement antalgique. Feuille d'information traumatisme crânien mineur remise à la patiente. Rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. La patiente est informée des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Examens avec explication donnée par le médecin : • ECG. • Laboratoire. • Glycémie 4.2. • Recherche de toxine dans les urines. • Test de Shellong : négatif. • CT scan cérébral : pas de lésion cervicale, pas de saignement. Avis neurologique Dr. X : pas d'argument pour une épilepsie, surveillance neurologique aux 4 heures. Avis pédopsychiatrie (Dr. Y) le 21.02.2019 : consultation en ambulatoire pour suivi. Examens avec explication donnée par le médecin : • ECG. • Laboratoire. • Urines : pas de protéinurie. Adalat retard aux urgences avec bonne réponse. Retour à domicile. Consultation précoce du médecin de famille pour organisation holter tensionnel. Ordonnance avec Adalat retard en réserve. Examens avec explication donnée par le médecin : • ECG : normal. • Laboratoire : troponine positive sans cinétique. • Radiographie du thorax : pas de foyer. Traitement d'épreuve au Pantoprazole et Alucol. Intervention thérapeutique brève. Recommandation de consulter en cas de douleur rétrosternale. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Proposition de contrôle de facteur de risque cardiovasculaire et gastroscopie. Examens avec explication donnée par le médecin : • ECG : pas de signe d'ischémie. • Radiographie du thorax. • 2 CE. • Trop hs après les 2 CE : 13, H1 12. Test de l'évolution des douleurs thoraciques à l'effort après les 2 CE sans particularité. Consultation cardiologique chez Dr. X prévue le 22.02.2019 à 16h 30 avec réalisation d'une ETT dans la mesure du possible pour contrôler l'évolution de la sclérose aortique connue.Examens avec explication donnée par le médecin : • ECG : pas d'extrasystoles objectivées • laboratoire Substitution per os. Contrôle biologique à 48 heures aux ambulatoires des urgences. Examens avec explication donnée par le médecin : • ECG du 15.02.2019 • laboratoire du 15.02.2019 • H0 à 5 ng/l • H1 à 5 ng/l • D-dimères négatifs Traitement antalgique. Physiothérapie. Mr. Y est instruit des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Examens avec explication donnée par le médecin : • ECG • laboratoire : pas de trop, pas de D-Dimère, pas de syndrome inflammatoire • Score de Genève faible à 3 points Réassurance de Mme. Y. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • bandelette • urotube Contrôle + résultats le 07.02.2019. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : cf copie • ECG : rythme sinusal régulier, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation Réassurance. Majoration du traitement de Xarelto 15 mg 2x/jour pendant 3 semaines puis 20 mg 1x/jour. Discussion d'un bilan de thrombophilie par le Dr. X à distance et traitement anti-coagulant au long court. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : cf copie • radiographie thorax : infiltrat interstitiel à droite • gazométrie artérielle • ECG VNI aux urgences : absence d'amélioration clinique après 1 heure. Aux urgences : • Lasix 20 mg IM • Lasix 20 mg IV Appel avec le fils (Dr. X) : décision de soin de confort. Transfert à l'EMS de la Providence pour soins de confort. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : CRP à 38 • sédiment urinaire : hématurie • US aux urgences (Dr. X) : motif, conditions d'examen : colique néphrétique. Péritoine : pas d'épanchement. Aorte abdominale : 2 cm, pas de dilatation. Cavités pyélocalicielles : dilatation stade I-II rein gauche. Autre : pas de globe vésical. Conclusions : calculs de 1.15 cm intra-rénal visualisé. • Uro CT, le 25.02.2019 (rapport oral) : calcul au niveau de l'uretère proximal gauche de 3x3x3 mm avec une dilatation en amont de 12 mm, pas de dilatation pyélocalicielle significative, pas d'argument pour une rupture du fornix, présence d'un calcul intra-rénal déjà visualisé lors de l'US réalisé aux urgences. Antalgie. Tamsulosine. Contrôle urologique ambulatoire. Reconsulter en urgence si apparition de fièvre ou de péjoration des douleurs malgré le traitement antalgique. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : D-dimères positives, BNP 487 ng/l • ECG : rythme sinusal normocarde à 72/min avec BAV du 1er degré (PR 240 ms), nombreuses extrasystoles supraventriculaires. (BAV connu) • radiographie de thorax : pas de franche surcharge. • CT thoracique : pas d'embolie pulmonaire, probable HTAP, probable sérome de 7 cm au niveau mammaire gauche. Ad Torasémide 2.5 mg 1x/jour. Consultation cardiologique ambulatoire à prévoir avec investigation de l'HTAP. Suite de prise en charge chez le Dr. X. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • ECG • CT cérébral injecté (Dr. X, transmission orale) : pas de saignement, pas de masse, examen normal. Avis neurologique (Dr. X) : explications quant à la pathologie, pas d'autres investigations préconisées, réassurance et retour à domicile. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire. • fibroscopie (Dr. X) : déviation septale légère. Pas de signe de rhinosinusite chronique. Cavum sans particularité. Luette linguale très discrètement œdématiée. Amygdales de grade 2 cryptiques non inflammatoires. Hypertrophie du tissu lymphoïde basilingual asymétrique plus large à gauche mais non inflammatoire. Vallécules non vues (pas pu exclure un kyste valléculaire). Épiglotte, susglotte, glotte et sinus piriformes sans particularité, sans stase salivaire. RCF : un ganglion palpable sus-claviculaire gauche, thyroïde non palpable. Cavité buccale sans particularité. US thyroïde (Dr. X) : quelques ganglions réactionnels des niveaux IB des deux côtés, Vb gauche. Thyroïde sans particularité. Ligne médiane sans particularité. Vaisseaux du cou sans particularité. Glandes salivaires sans particularité (pas d'argument US pour un Sjögren). Avis ORL (Dr. X) : en cas de persistance, nous la réadresser pour refaire un statut ORL. Rendez-vous en rhumato demain. Rendez-vous en immuno-allergologie vu le diagnostic différentiel d'angio-œdème. Si investigations négatives, nous devrions la revoir dans un délai raisonnable <1 mois pour refaire un statut et discuter une laryngoscopie / œsophagoscopie. Retour à domicile après surveillance clinique (5h), avec Prednisone et Xyzal. Rendez-vous chez Dr. X demain. Mme. Y va avancer son rendez-vous en immuno-allergologie pour investigation de l'angio-œdème. Évaluer une nouvelle consultation en ORL < 1 mois, si l'origine de la dysphagie reste inconnue. Mme. Y et son mari ont été informés en cas de récidive --> consultation aux urgences. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : hématurie • US aux urgences (Dr. X) : motif, conditions d'examen : douleur fosse lombaire droite. Péritoine : pas d'épanchement. Aorte abdominale : non dilatée. Cavités pyélocalicielles : dilatation à droite, non dilatée à gauche, probables calculs intra-rénaux. Vésicule biliaire : non examinée. Voies biliaires : non examinées. Conclusions : probable colique néphrétique droite. Antalgie. Tamsulosine. Uro-CT low-dose et contrôle urologique en ambulatoire. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : leucocytes 3.8, CRP 25. • radiographie de thorax : pas d'épanchement, pas d'infiltrat. Traitement symptomatique pour faire baisser la fièvre, recontrôle clinique chez le Dr. X à 48 heures. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : normal. • analyses urinaires : leucocyturie sans protéinurie US ciblé (Dr. X) : dilatation pyélo-calicielle plus marquée à gauche, bonne vitalité fœtale. Avis gynécologique : examen obstétrical normal. Antalgie simple et arrêt maladie. Suite de prise en charge chez le Dr. X. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile, frissons, douleur intense, persistance de douleur. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. • sédiment urinaire : microhématurie. • US abdominal : pas de dilatation pyélocalicielle. • CT abdominal : pas de calcul visualisé. Antalgie simple. Recommandation de consulter son Dr. X si persistance de la symptomatologie. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile, frissons. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : troponine H0 : 5 • ECG, le 02.02.2019 • radiographie du thorax, le 02.02.2019 Nitroglycérine caps : pas de changement des douleurs. Nifédipine 20 mg aux urgences. Antalgie simple. Majoration de la posologie d'antihypertenseur et conseil. Suite de prise en charge chez le Dr. X. Recommandation de consulter en cas de récidive de douleur intense, dyspnée. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • Ag urinaire : ___ • gazométrie • radiographie thorax : pas de foyer franc Co-amoxicilline 2.2 g IV Atrovent et Ventolin Retour à domicile avec antibiothérapie par Co-amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 7 jours Traitement symptomatique Contrôle clinique et biologique chez le Dr. X dans le courant de la semaine prochaine Retour aux urgences en cas de péjoration des douleurs, dyspnée, douleurs rétro-sternales.Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : aligné. • urines : propres. • US : globe vésical Sondage évacuateur. 2 lavements Freka Clyss, sans évolution favorable. Avis chirurgical (Dr. X). Rendez-vous aux ambulatoires des urgences le 07.02 avec contrôle clinique, avec CT abdominal organisé à 15h. Antalgie. Et poursuite Transipeg. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • analyses urinaires • urotube en cours Ad Ceftriaxone 2g iv aux urgences avec poursuite par Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pendant 1 semaine. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Prévoir contrôle chez l'urologue avec indication à une imagerie en ambulatoire sur récidive de pyélonéphrite en 2 ans. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire. • analyses urinaires. Pantozol 40 mg 2x/jour + Alucol en réserve pendant 2 semaines, suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • bandelette urinaire : ++++ d'érythrocytes • US abdominal aux urgences (Dr. X) : pas de dilatation pyélocalicielle, pas de rupture du fornix, calcul de 0.3cm intra-vésical. Calcul excrété et envoyé au laboratoire Contrôle chez un urologue Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • CT cérébral natif + injecté avec vaisseaux pré-cérébraux (Dr. X) : pas d'hémorragie, pas de thrombose, pas de dissection Aux urgences : Ondansetron 4 mg i.v. Primperan 10 mg i.v. Examen ORL consilium Retour à domicile avec traitement pour une névrite vestibulaire Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire. • CT cérébral natif : pas de saignement, pas de fracture, hématome de l'arcade sourcilière gauche Antalgie, Imovane 10mg per os. Surveillance sur la nuit. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • CT maxillo-facial : collection abcès jugal droit 21 x 27 x 11 avec infiltration phlegmoneuse de la joue au contact du vestibule. Pas d'argument pour une cellulite. Possible point d'entrée au niveau de la dent 47. Avis ORL : indication à un drainage de l'abcès. Transfert en ORL pour suite de prise en charge. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire. • CT scan abdominal (Drsse X). Avis chirurgical (Dr. X) : absence d'arguments pour une appendicite ou atteinte viscérale ni urinaire. Ad Ciproxin 500 mg 2x/jour. Contrôle aux ambulatoires des urgences dans 48 heures. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire. • ECG : normal. • Schellong. • CT cérébral natif et injecté : pas de saignement, pas de masse. Recommandation de consulter en cas de douleurs intenses, antalgie simple. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • ECG • radiographie thorax Retour à domicile avec réassurance et poursuite du traitement habituel Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • ECG • test de Schellong : négatif Avis neurologue Dr. X : très faible possibilité d'une étiologie centrale, au vu de la clinique isolée. Evaluation par un ORL pour infirmer ou affirmer une étiologie périphérique. Si cause périphérique exclue, ok pour réévaluation par le Team neurologique. Pas d'indication à une imagerie en urgence. Avis ORL : vertige rotatoire en relation avec un vertige paroxystique positionnel bénin. Manoeuvre libératrice réalisée par l'ORL. La patiente sera revue à +/- une semaine en consultation vertige pour réévaluation clinique. Retour à domicile. Conseil d'usage. Traitement symptomatique pour les vomissements. Réévaluation en ambulatoire par l'ORL à distance pour suivie du vertige paroxystique positionnel bénin. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • ECG • radiographie thorax Thérapie : • Pantoprazol 40mg p.o. • Alucol 15mL p.o. Amélioration sous traitement. Retour à domicile avec antalgie et Pantoprazol 40mg p.o. Si persistance des symptômes, consultation chez le médecin traitant. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • ECG Ad Adalat retard 20 mg per os aux urgences. Lisinopril 2.5 mg 1x/j avec suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire. • ECG. Retour à domicile avec traitement symptomatique et arrêt de travail, conseil de reconsulter chez son médecin traitant en cas de mauvaise évolution des symptômes. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • ECG Sonographie aux urgences (Dr. X) : pas d'argument pour une dissection aortique. CT abdomino-pelvien le 19.02.2019 (rapport oral Dr. X) : pas d'argument pour une perforation gastrique ou duodénale, pas de pathologie de l'aorte. Antalgie selon douleur. Gastroscopie en ambulatoire. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire. • radiographie coude gauche : épaississement des tissus mous en regard de la bourse olécrânienne pouvant correspondre à une bursite. Selon clinique. Pas d'épanchement articulaire ni de lésion osseuse/articulaire suspecte. Avis orthopédique : Dr. X : indication à une prise en charge chirurgicale devant une bursite septique du coude. Evolution dans le service : devant un problème de communication entre le patient et l'assistant d'orthopédie dans la suite de la prise en charge, celui-ci a décidé de quitter l'HFR sans avertir le personnel soignant pour se rendre à l'hôpital de Meyriez. À Meyriez, le patient a reçu une antibiothérapie par Co-Amoxicilline avec immobilisation et contrôle clinico-biologique à 48h00 et conseil de se représenter aux urgences si péjoration des symptômes. Le Dr. X contacte le patient par rapport à la nécessité d'une prise en charge chirurgicale non acceptée par le patient qui préfère un traitement conservateur. En accord avec le médecin de l'HFR Meyriez, le suivi du patient sera effectué à l'hôpital de Meyriez avec possible traitement chirurgical si non évolution sous antibiothérapie. Orthopédiste mis au courant de la situation. Patient parti contre avis médical. Suite de prise en charge à l'hôpital de Meyriez (en accord avec le médecin de Meyriez). Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • radiographie de thorax : pas d'air sous la coupole diaphragmatique • ECG Ad Pantozol et Alucol, réassurance et retour à domicile. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire. • radiographie de thorax. • échographie ciblée thorax Dr. X : motif, conditions d'examen : douleur thoracique. Glissement pleural : présent au niveau de tous les champs pulmonaires. Plèvre : pas d'épanchement. Profil Blue protocole : syndrome alvéolo-interstitiel base gauche. Condensation : non vue. Conclusion : syndrome alvéolo-interstitiel base gauche. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire. • radiographie thorax. • streptotest test : négatif. AG urinaire Pneumocoque et Legionelle : en cours. Ad Co-Amoxicilline 1gr 3x/jour. Contrôle aux ambulatoires des urgences dans 48 heures. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • sédiment • test de grossesse urinaire négatif Aux urgences : amélioration des douleurs avec 1gr de Dafalgan. Retour à domicile avec antalgie en réserve et arrêt de travail 2 jours. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire • sédiment Retour à domicile avec sonde vésicale, contrôle chez l'urologue, antalgie en réserve. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire, urines. NaCl Hydratation. 40 mg Pantozol i.v. Surveillance aux urgences. Recontrôle de l'hémoglobine. Demande pour gastroscopie en ambulatoire faite. Examens avec explication donnée par le médecin : • radiographie abdomen : coprostase • CT abdominal en 01.2019 : pas de masse au niveau du côlon Metamucil et conseil d'hydratation. Consultera son médecin traitant en cas d'absence de selles et persistance des douleurs. Examens avec explication donnée par le médecin : • radiographie cervicale ap/lat, odontoïde. • CT cervical avec vsx pré-cérébraux. Avis neuro-chirurgical (Dr. X) : ad CT cervical. IRM cervicale + contrôle team Spine. Examens avec explication donnée par le médecin : • radiographie du bassin et hanche droite • laboratoire Avis rhumatologique (Dr. X) Aux urgences : antalgie Retour à domicile avec augmentation de l'antalgie préexistante par Oxycontin Solatran 15 mg 1-2x/jour Prednisone pendant trois jours à raison de 2x40 mg et 1x20 mg Prochain contrôle prévu le 08.02.2019 chez le Dr. X Examens avec explication donnée par le médecin : • radiographie main droite. • CT main droite. Avis orthopédique (Dr. X) : plâtre AB fendu. Antalgie. Contrôle à J7 en ortho-urgences. Recommandation de consulter en cas de douleurs intenses, troubles neurologiques. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : D-Dimères 2020 • écho ciblé urgence (Dr. X) : thrombose veineuse profonde non visualisée, mais non exclue au niveau distal • US membres inférieurs : thrombose veineuse profonde fémorale superficielle distale. Bursite fémoro-patellaire. Consilium angiologique : traitement HBPM, rendez-vous dans 2 semaines et 3 mois en angiologie pour discuter d'un bridge avec sintrom. Avis ORL : visualisation des muqueuses nasales sans particularité, débuter l'anticoagulation, poursuivre l'onguent nasal. Attitude Clexane 80 mg sous-cutanée aux urgences. Poursuite de la Clexane 2x100 jusqu'à la consultation d'angiologique le 8.03. Contrôle de la tension artérielle. Reconsulter immédiatement en cas de saignements. Arrêt de travail 3 jours, puis une semaine sans effort sur le membre inférieur. Examens avec explication donnée par le médecin : • laboratoire : légère hyponatrémie. • sédiment urinaire : leucocyturie sans symptômes. Traitement de Quétiapine en réserve en cas d'agitation. Suite de prise en charge chez le médecin traitant et neurologue traitant le jeudi 21.02.2019. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile, frissons. Examens avec explication donnée par le médecin : Laboratoire du 26.02.2019 : • H0 troponine à 10, • H1 troponine à 10, • D-dimères à 540. ECG du 26.02.2019 : sans particularité. Adalat cpr retard ordre unique chez le médecin traitant. Introduction d'un traitement par Lisinopril 10 mg. US cardiaque et test d'effort en ambulatoire, Mr. Y sera convoqué. Mr. Y est instruit des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine avec journal tensionnel. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Arthro-IRM en ambulatoire. Suite chez le médecin militaire. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • contention chimique et mécanique. • laboratoire : alcoolémie à 3,10. • CT cérébral : pas de saignement visualisé, pas de fracture. Désinfection de la plaie par Bétadine, 2 pts de suture avec Prolène 3.0. Stéristrips et Opsite. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à J5 pour ablation des fils. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile, vomissements ou autre trouble neurologique. Retour à domicile avec surveillance neurologique par la mère. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • CT cérébral, massif facial et colonne cervicale : pas de saignement intra-crânien, pas de fracture cervicale, ni du massif facial. Réassurance du patient et retour à domicile avec Dafalgan et Irfen. Remplissage du document de traumatisme cervical pas décélération. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • CT cérébral natif. Réévaluation neurologique. Antalgie. Anti-émétique. Arrêt de travail à 100 % pour le 06.02 et contrôle chez son médecin traitant le 07.02. Mme. Y est informée des symptômes et des éléments qui doivent la faire reconsulter en urgence et la feuille d'instructions pour traumatisme crânien lui est donnée. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • CT time is brain le 04.02.2019 : pas d'accident vasculaire cérébral, pas de saignement, pas de masse, pas de foyer épileptogène sur les cartes de perfusion. Laboratoire du 04.02.2019 : hypophosphatémie légère, pas de CK, ni lactate, TSH à 0.213. EEG du 04.02.2019 : pas de signe irritatif ou foyer épileptogène visualisé. Avis neurologique (Dr. X & Dr. X) : pas de lésion objectivée avec EEG de contrôle, IRM de contrôle du 31.01.2019 ne montre aucune lésion (en particulier, pas de lésion démyélinisante ou ischémique), le diagnostic le plus probable étant un trouble somatoforme, proposition d'avis psy en ambulatoire. A reçu aux urgences : Rivotril 1 mg iv, Midazolam 2 mg iv, Keppra 500 mg per os. Rendez-vous de contrôle chez médecin traitant le 06.02.2019 pour dosage de TSH, actuellement à 0.213. Proposition d'introduction prise en charge psychologique en ambulatoire. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • ECG : normal. • RX thorax : pas de foyer, pas de fracture. • Test de Schellong : normal, asymptomatique. Recommandations de reconsulter en cas d'état fébrile, frissons ou péjoration de l'état clinique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • ECG : pas de trouble de la repolarisation. • laboratoire. • Radiographie du thorax : pas de pneumothorax. Retour à domicile avec traitement antalgique. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • ECG. • CT scanner cérébral-thoraco-abdominal, PACS des images au CHUV. • Cathéter artériel radial à gauche. Transfert en urgence au CHUV avec la REGA après contact avec l'équipe de chirurgie cardiaque. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • ECG. • laboratoire : Troponine H0 11 (pas de cinétique par rapport à la veille). Shellong négatif. Diminution du traitement anti-hypertenseur Olmetec, ajout Magnésium. Prises tensionnelles à domicile et proposition de suivi avec adaptation du traitement chez médecin traitant +/- ajout bas de contention si persistance. Modification ECG depuis 1 an sans cinétique (à Tafers) proposition d'effectuer un test d'effort en ambulatoire dans ce contexte. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • ECG. • laboratoire : Troponines H0 3 ng/l, H1 4 ng/l, D-Dimères 444 ng/l. • RX thorax. Score de Wells : 0 pt. Retour à domicile avec contrôle clinique chez son médecin traitant la semaine prochaine. Discussion d'un bilan cardiaque. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • ECG. • laboratoire. • Ergométrie à organiser par le médecin traitant, au vu des facteurs de risques du patient. Réassurance. Critères de reconsultation expliqués au patient. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • ECG. • laboratoire. • RX thorax. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • ECG. • Profil hémodynamique et profil tensionnel en ordre aux urgences. Dernier contrôle de pacemaker en janvier 2019 avec patient en fibrillation auriculaire. Retour à domicile. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • ECG. • Traitement symptomatique. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • ECG. • 4 agrafes au niveau occipital à enlever chez le médecin traitant dans 5 à 7 jours. Critères de surinfection expliqués à Mme. Y et feuille de surveillance pour traumatisme crânien donnée et expliquée à Mme. Y.Surveillance post-traumatisme crânien expliquée aux proches. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Echographie ciblée (Dr. X): dilatation pyélocalicielle stable à 2 cm. Laboratoire du 12.02.2019. Stix/sédiment du 12.02.2019. Uriculture du 12.02.2019. Rocéphine 2 g iv le 12.02.2019. Retour à domicile avec Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pendant 7 jours. Contrôle en filière dans 24h-48h avec contrôles clinique et biologique. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : IRM le 13.02.19. Avis neuro-chirurgical (Dr. X) : indication à une opération en semi-urgence, opération prévue le 15.02.2019. Hospitalisation demain en neuro-chirurgie, si aggravation de la symptomatologie, opération immédiate. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : ALAT 185, Gamma GT 226, pas de syndrome inflammatoire. CT abdominal le 08.02.19 : anses jéjunales dilatées dans les limites supérieures de la norme, pas de saut de calibre, pas de masse obstructive, vaisseaux perméables, pas de colite, pas de diverticule, petite dilatation des voies intra-hépatique en lien à la CCK. Pas de liquide libre. Poursuite du traitement antalgique. Arrêt de travail. Nous proposons à la patiente de revenir si elle présente un changement du transit, une péjoration des douleurs ou de la fièvre. La patiente sera convoquée pour une colonoscopie. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : alcoolémie à 1.44. ECG : sinusal régulier, sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation, QRS fin, QT normal. Benerva 300 mg. Becozyme Forte per os. Avis psychiatre Drsse X : au vu de la négligence et de la suspicion de tentamen avec benzodiazépines (négatifs dans le sang, mais Zolpidem non détecté par screening; nié par la patiente). Hospitalisation Marsens. PAFA. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : créatinine 107 umol/l, leucocytes 11.5 G/l, CRP < 5 mg/l. Urines. Uro-CT (Dr. X, rapport téléphonique) : calcul 4 x 3 x 5 mm dans l'uretère lombaire gauche à la hauteur L3-L5, densité 350 HU (calcul acide urique), en amont dilatation uretère 7 mm, pyélon 12 mm, calice 12 mm, discret oedème du rein gauche, discrète infiltration péri-rénale. Aux urgences : Voltarène 50 mg, Morphine 10 mg iv, Primpéran 10 mg, Buscopan 10 mg. Avis Dr. X : prise de rendez-vous le 06.02.2019 à 14h00 - impossibilité pour le patient, toujours nauséeux. Avis et propose prise en charge conservatrice avec Tamsulosine, antalgique, filtrage d'urine et consultation de contrôle le 11.02.2019 à 10h00 à son cabinet. Le patient est instruit des symptômes nécessitant une reconsultation en urgence. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : CRP 11. Avis du Dr. X pour antécédent de tuberculose : la patiente a bien suivi son traitement, il est toutefois possible que la maladie s'active à nouveau. Arrêt d'école 2 jours, poursuite du traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant en fin de semaine. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : CRP 46 mg/l, leucocytes 16.5 g/l. Status urinaire : leucocytes innombrables, nitrites négatifs, flore bactérienne +++. ECG. Pose de sonde vésicale (Dr. X) : 600 ml. Retour à domicile avec la sonde. Compensation des pertes d'urines par la sonde à compenser per os (expliqué au patient). Rendez-vous chez son médecin traitant le 04.02.2019 avec contrôle laboratoire de la fonction rénale et kaliémie. Rendez-vous chez un urologue dans les meilleurs délais, le patient ne souhaite plus être suivi par Dr. X. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : CRP 6 mg/l, leucocytes 5.5 G/l. Radiographie du thorax : absence de foyer visualisé. Sérologie coqueluche : en cours. Toplexil sirop. Consultation chez son pneumologue ou médecin traitant si persistance de la toux et pour discussion des résultats de sérologie. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : D-Dimères négatifs. RX de thorax faite chez le médecin traitant : pas de foyer de pneumonie. Echographie ciblée aux urgences (Drs X) : pas de pneumothorax, pas de franche ligne B, pas d'épanchement pleural. Retour à domicile sous Co-Amoxicilline 1 g 2x/j pendant 5 à 7 jours avec contrôle biologique et clinique à 48 heures chez le médecin traitant et suite de prise en charge chez le médecin traitant. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : INR 2.1. Créatinine 109. Reprise du Sintrom avec un schéma 2-2-2. Suivi biologique chez le médecin traitant dans 48 heures. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : Leucocytes à 22 G/l, CRP 36 mg/l. Aux urgences : 2 x 10 mg Morphine per os. Ultrason abdominal (Dr. X, rapport téléphonique) : appendice en flanc droit, 5 mm (sous les 6 mm pathologiques, appendice normale à 2 mm), partie distale non visible mais les deux tiers proximaux visibles, dernière anse iléale épaissie à 4 mm, pas de McBurney échographique. Antalgie simple. Surveillance et représentation si péjoration de la symptomatique. Avis gastro-intestinal chez son médecin demain. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Réassurance. Suivi de l'anxiété chez le médecin traitant désiré par la patiente. Consignes de reconsultation en cas de péjoration de la symptomatologie. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Désinfection et délimitation de rougeur. Contrôle à 48 heures pour évolution de la rougeur. Poursuite du traitement antibiotique. Proposition d'ablation des fils à J7 (le 21 ou 22.2.19). Reconsulte en cas d'état fébrile, frissons, écoulement de plaie ou augmentation de la rougeur. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : pas de trouble électrolytique. TSH : à pister. ECG : rythme sinusal régulier, PR normal, QRS fins, pas d'onde Q, ST iso, T normaux, progression de l'onde R retardée, axe cardiaque -20°. Le patient sera convoqué en ambulatoire pour un Holter. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire : tests hépatiques dans les limites de la norme. Rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant à 3-4 semaines pour suivi des tests hépatiques. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire (chez le médecin traitant) : CRP 130 mg/l. RX thorax : suspicion d'opacité en base droite. Antigène urinaire, pneumocoque et Légionelle en cours. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/j pendant 5 à 7 jours, plus Klacid 500 mg 2x/j. Contrôle chez le médecin traitant, le cas échéant au secteur ambulatoire des urgences à 48 heures avec résultats des antigènes, pneumocoques et Légionelle avec adaptation en fonction de l'antibiothérapie. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire du 04.02.2019 : D-dimères négatifs. ECG du 04.02.2019. Radiographie thoracique du 04.02.2019 : pas de pneumothorax. Traitement symptomatique par Pantozol 40 mg pendant 3 semaines. Patiente instruite des symptômes nécessitant une reconsultation en urgence. • Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire du 04.02.2019 : léger syndrome inflammatoire. Traitement symptomatique. Arrêt de travail. Patiente informée des symptômes graves nécessitant une reconsultation.Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire du 04.02.2019 : leucocytes 5.3 G/l, CRP 8 mg/l. Hémocultures 2 x 2 : en cours. Ponction lombaire (Dr. X) du 04.02.2019 : limpide, eau de roche, éléments < 1/mm3, érythrocytes < 1/mm3. CT-scan cérébral du 04.02.2019 : pas de lésion, pas de tumeur, multiples lésions calcifiées au niveau dural de type séquellaire d'origine indéterminée, sans effet de masse. Aux urgences : Dafalgan 1 g, Novalgine 1 g, Brufen 400 mg. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Patient instruit des manifestations graves nécessitant une reconsultation. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire du 04.02.2019. Radiographie thoracique du 04.02.2019 : refusée par la patiente en raison de la grossesse. ECG du 04.02.2019 : sp. En raison du syndrome inflammatoire au laboratoire avec CRP à 99 mg/l et leucocytes à 12.8 G/l et la présence de râles crépitants en base droite au statut clinique, nous décidons de traiter la patiente par antibiothérapie Augmentin 1 g 2x/j pendant 7 jours pour suspicion de pneumonie. Consultation de contrôle chez médecin traitant durant la semaine d'arrêt. Patient est instruite des symptômes graves nécessitant une reconsultation. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire du 13.2. : CRP < 5 mg/l, leucocytes 6 G/l. Ultrason (Dr. X) du 13.2. : appendice pas visualisé, pas de liquide libre, péristaltisme augmenté au niveau du côlon ascendant, sans réaction inflammatoire mésentérique. Mac Burney sonographique négatif. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. ECG. RX thorax : pas d'épanchement, pas de niveau aérique. Ultrason abdominal. Aux urgences : Pantozol iv, Morphine iv. Attitude : Stop AINS. Pantozol cp 40 mg per os pour 1 semaine. Gastroscopie à prévoir selon évolution. Surveillance biologique et clinique à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire (externe hôpital de l'île) du 12.02.2019 à 00h30 : CRP < 3 mg/l, Leucocytes 8,07 g/l. Laboratoire (externe hôpital de l'île) du 12.02.2019 à 14h00 : CRP < 3 mg/l, Leucocytes 7,38 g/l. Avis chirurgical (Dr. X) : sonographie, recontrôle clinique et biologique au secteur ambulatoire des urgences le 13.02.2019 avec avis chirurgical pour évaluation si le patient doit bénéficier d'une appendicectomie. Sonographie (Dr. X) : appendice pas visualisé, pas de liquide libre dans l'abdomen, pas d'épaississement de la paroi de caecum, pas d'adénopathie visible. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. Analyses urinaires. Contrôle gynécologique. Transfert en ambulance sous PAFA à l'hôpital psychiatrique de Marsens. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. Avis Dr. X : IRM cérébrale et cervicale en ambulatoire + consultation neurologique. IRM en ambulatoire (patient sera contacté). Consultation neurologique en ambulatoire (patient sera contacté). Retour à domicile avec antalgie. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. ECG. Hydratation NaCl 1000 ml / 2h. Retour à domicile avec contrôle clinique chez médecin traitant la semaine prochaine. Conseils d'usage. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. Freka Clyss : rendu des selles en bonne quantité ce qui la soulage un peu au niveau des douleurs. Retour à domicile avec traitement d'épreuve par IPP pendant 7 jours. Traitement symptomatique. Contrôle clinique chez médecin traitant la semaine prochaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. Stix/Sédiment : sang +++. Hydratation 1000 ml NaCl 0,9 %. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Suivi clinique et biologique chez le médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. Stix/Sédiment urinaire : leucocytes +++, nitrites +. Urotube en cours. Test de grossesse urinaire : négatif. Nitrofurantoïne 100 mg 3x/j durant 5 jours, Dafalgan, Irfen. Retour à domicile. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. Urine : TG - Ultrason abdominal : examen difficile car tissu adipeux important, appendice non visualisé, pas de cholécystite, pas de dilatation des voies biliaires, pas de dilatation pyélocalicielle, douleur en loge rénale. CT abdominal injecté : appendice non visualisé, pas de signe indirect pour une appendicite (pas d'infiltration de la graisse, pas d'adénopathie), pas de signe pour un calcul rénal, pas de dilatation pyélocalicielle, hyperdensité bassin correspondant probablement à l'ovaire droit, phlébolithe veineux. Antalgie + anti-nauséeux. Amélioration des symptômes. Retour à domicile avec contrôle le 09.02 en gynécologie et le 11.02 chez son médecin traitant. Symptômes d'alarmes expliqués. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Laboratoire. Urines. Aux urgences : Paracétamol 1 g per os. Morphine iv 4 mg. CT scanner organisé par le médecin traitant le 08.02.2019. Majoration de l'antalgie dans l'intervalle. Critères de reconsultation expliqués au patient. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Manoeuvre de Davos avec réduction. Radiographie pré et post-réduction. Avis ortho (Dr. X) : gilet, physiothérapie, rendez-vous au team membre supérieur, IRM ambulatoire en raison du jeune âge du patient. Gilet orthopédique 6 semaines. Rendez-vous au team membre supérieur dans 2 semaines. Physiothérapie pour renforcement des muscles stabilisateurs. Antalgie. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Radiographie : calcification à la base du tendon sus-épineux. Arthrose de l'épaule avancée. Avis orthopédique (Dr. X) : • Physiothérapie avec travail sur les amplitudes, principalement en rotation externe • Antalgie • Contrôle chez le Dr. X dans 7 jours. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Radiographie : pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X) : pas de fracture, pas d'argument pour un syndrome des loges. Antalgie. Cannes + anticoagulation. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Radiographie cheville gauche. Avis orthopédique (Dr. X). Chaussure semelle rigide, charge selon douleur, cannes. Repos, élévation, glace. Retour à domicile avec antalgie et arrêt de travail. Contrôle clinique et radiologique en orthopédie à 1 semaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Radiographie. CT-scan : fracture transverse pluri-fragmentaire du radius distal, sans déplacement significatif et sans atteinte de la surface articulaire. Avis orthopédique (Dr. X) : • pas d'opération d'emblée • plâtre antébrachial • antalgie • suite de prise en charge à Argau, canton de résidence de la patiente. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Radiographie du genou (face, profil, axial) : pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X). Arrêt de travail jusqu'au 08.02.2019. Rendez-vous de contrôle en orthopédie le 08.02.2019. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Radiographie main gauche. CT main gauche. Attitude : plâtre fendu. Antalgie. Traitement conservateur. Contrôle la semaine prochaine avec circularisation du plâtre au team membre supérieur. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Radiographie thoracique : fracture de K6 et K7 avec doute d'un déplacement de K7, pas de pneumothorax, minime épanchement pleural base gauche. Avis chirurgien, Dr. X : contrôle à 48h au secteur ambulatoire des urgences pour vérifier l'évolution de l'épanchement. Retour à domicile. Antalgie. Conseil de se représenter aux urgences si péjoration des symptômes. Contrôle radiologique prévu le 14.02.19 au secteur ambulatoire des urgences. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Radiographie thoracique. • Aérosol 5 mg Ventolin • Aérosol 0.5 mg Atrovent Retour à domicile. Antibiothérapie par Co Amoxicilline 1 g 3x/24h. Réévaluation clinique +/- biologique au secteur ambulatoire des urgences à 48h. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Radiographie. • Avis ortho (Dr. X) : pas de fracture, arthrose cervicale. • Traitement conservateur. • Antalgie. • Physiothérapie. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Radiographie. • Laboratoire. • Avis orthopédique par téléphone (Dr. X) : antalgie et anti-inflammatoire, recontrôle à 48 heures, discuter sonographie si persistance des gênes et hausse du syndrome inflammatoire. • Sonographie aux urgences (Dr. X) : veines du membre inférieur droit bien compressibles. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • Réfection du plâtre. • RX f/p du poignet gauche post changement de plâtre : superposable au cliché précédent. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas d'arrachement osseux, ni de lésion de la plaque palmaire. • Attelle alu du 4ème doigt, immobilisation l'interphalangienne proximale. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas d'arrachement osseux. • Attelle à 30° de flexion du coude. • Ultrason en ambulatoire et contrôle au team membre supérieur dans 1 semaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas de déplacement secondaire de la fracture, charge partielle avec cannes. • Contrôle radio-clinique la semaine prochaine en ortho-urgence avec circularisation du plâtre. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas de fracture visualisée. • Amélioration des douleurs avec antalgie reçue aux urgences. • Antalgie. • Arrêt de travail 1 semaine. • Rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. • Symptômes d'alarmes expliqués. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas de fracture visualisée, mais non concluante. • CT scan dorsal et lombaire : pas de fracture visualisée. Cimentoplastie au niveau L1 en place. Pas de fracture de côte visualisée. • Retour à domicile avec antalgie standard. • Consultation chez le médecin traitant dans 7 jours. • Consignes de reconsultation en cas de péjoration de la symptomatologie. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas de lésion osseuse. • Antalgie, bretelle. • Contrôle chez le Dr. X si persistance des douleurs. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas de lésion osseuse. • Antalgie, RICE. • IRM et contrôle au team genou dans 2 semaines. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas de lésion osseuse. • Attelle Stack pour 6 semaines. • Ergothérapie et contrôle en ortho-urgence dans 6 semaines pour l'ablation de l'attelle. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas de lésion osseuse. • Bande élastique, antalgie, RICE. • Contrôle chez le médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas de lésion osseuse. • Antalgie, bretelle. • Contrôle chez le médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas de lésion osseuse. • Antalgie, physiothérapie, RICE. • IRM et contrôle team genou dans 2 semaines. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas de lésion osseuse. • Antalgie. RICE. • IRM et contrôle au team genou. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas de lésion osseuse. • Antalgie, RICE. • IRM et contrôle au team genou dans 2 semaines. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas de lésion osseuse. • Attelle Velcro, antalgie. • Contrôle chez le médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX : pas de lésion osseuse. • Attelle Velcro, antalgie. • Contrôle chez son médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX cervicale et dorsale : pas de fracture visualisée, pas de tassement. • Retour à domicile avec : • antalgie • arrêt de travail • contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX cervicale et dorsale : pas de fracture visualisée. • Avis team spine (Dr. X) : pas de déficit sensitif ou moteur, pas de douleur lors de l'examen, pas de défaut de mobilisation, pas de symptôme au niveau des épaules. traitement avec Sirdalud 2 mg pendant deux semaines et contrôle au team spine. Nous proposons à la patiente de contacter le team spine si elle présente des nouveaux symptômes. • Retour à domicile avec antalgie et contrôle au team spine à 2 semaines. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX cheville droite et jambe droite : pas d'argument pour une fracture ou luxation. • Avis orthopédiste, Dr. X : pas d'instabilité de la syndesmose, pas de laxité observée, pas de nécessité d'une immobilisation par attelle Aircast. • Retour à domicile, antalgie. • Conseil de glaçage. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX colonne : pas de changement. • Retour à domicile avec arrêt de travail et reprise à 50 % jusqu'à fin février, traitement antalgique en réserve et physiothérapie. • Nous proposons au patient d'appeler le team spine si la douleur persiste. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX de la colonne lombaire f/p : pas de lésion osseuse traumatique. hyperlordose lombaire. Probable scoliose dorsale sinistro-convexe avec compensation lombaire. • Antalgie. • Myo-relaxant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX du doigt : pas de débris de verre, pas de fracture. • Désinfection, champage, rinçage, exploration à l'aiguille boutonnée. 1 pt simple de suture au 3.0. Pansement. • Ablation du fil à 10 jours. • Consultation chez son médecin traitant à 48 heures pour contrôle. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX du pied et cheville gauches du 10.2.19 : découverte fortuite d'une lésion périostale au niveau du péroné distal. • RX du péroné du 13.02.2019 : lésion périostale du péroné distal inhomogène, sans signe suspect clair. • Avis radiologique (Dr. X) : contrôle IRM, sans urgence. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX du thorax : pas de foyer franc. • Laboratoire : syndrome inflammatoire avec CRP à 71. • Retour à domicile avec traitement antibiotique au vu de la clinique et des comorbidités de la patiente, contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : • RX épaule droite : pas de fracture, pas de luxation. • Avis orthopédique, Dr. X : • Antalgie avec anti-inflammatoires pendant 5 jours. • Arrêt de travail pendant 5 jours. • Consultation chez son médecin traitant en cas de persistance des symptômes et ajouter si nécessaire des séances de physiothérapie.RX épaule f/Neer : absence de fracture ou de calcification visualisée, pas d'arthrose. Bretelle antalgique pour 3-4 jours. Antalgie, anti-inflammatoires, physiothérapie ambulatoire. Contrôle chez le médecin traitant à une semaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX épaule, poignet et scaphoïde : pas de lésion osseuse. Gilet orthopédique. Physiothérapie. Antalgie. Organisation d'une IRM avec son médecin traitant et suivi avec son orthopédiste. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX et CT : fracture de la scapula gauche non déplacée, pas de lésion de la glène. Antalgie, bretelle. Contrôle au team membre supérieur la semaine prochaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX et CT montrant la fracture susmentionnée. Pose d'un plâtre BAB fendu, antalgie, élévation du membre supérieur. Sera convoquée pour une opération la semaine prochaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX face/Neer : luxation gléno-humérale antérieure. CT-scan de l'épaule droite post-réduction du 04.02.2019 : pas de lésions de la glène. RX face/Neer post-réduction : sp. Avis orthopédique (Dr. X) : gilet orthopédique 6 semaines, physiothérapie avec renforcement des stabilisateurs de l'épaule, traitement antalgique, consultation dans 2 semaines au team membre supérieur. Gilet orthopédique 6 semaines. Arrêt de travail pour 2 semaines. Physiothérapie. Consultation membre supérieur dans 2 semaines. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX f/Neer de l'épaule gauche et f/p du coude gauche : pas de lésion osseuse traumatique, pas de fat pad, pas d'ascension de la tête humérale. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX f/p de la cheville gauche : pas de lésion osseuse traumatique. Attelle Aircast jours et nuits durant 6 semaines, puis durant 6 semaines supplémentaires lors des activités à risque. Physiothérapie à but de proprioception et de tonification des stabilisateurs de la cheville à commencer dès que possible. Suivi par le médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX genou gauche : pas de fracture. Avis orthopédique, Dr. X : Antalgie et charge selon douleurs avec cannes. Arrêt de travail. IRM en ambulatoire et suite de prise en charge au team genou dès que possible. Recommandation de reconsulter en cas de douleur intense, trouble neurologique. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX lombaire bassin et hanche. Avis team spine Dr. X : majoration du traitement antalgique avec Tilur retard 90 mg 1x/j. et en réserve 1x/j., Zaldiar 2x/j. et 2x/j. en réserve, Sirdalud 4 mg 0.5 midi et soir, organiser une IRM en ambulatoire à Givision. Dès que la patiente aura effectué l'IRM, prendre contact avec le team spine de l'HFR ou le Dr. X. Retour à domicile avec antalgie, IRM en ambulatoire et contrôle avec le team spine avec le résultat de l'IRM. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX poignet et cheville gauches : pas de lésion osseuse. Attelle Velcro au poignet, antalgie, RICE. Contrôle chez le médecin traitant. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX sacrum/coccyx : pas de fracture visualisée. Antalgie par Oxynorm 5 mg aux urgences. Arrêt du Zaldiar, remplacé par Oxycontin 5 mg 2x/j. et Oxynorm en réserve, Dafalgan 500 mg 3x/j. Rendez-vous de suivi chez son médecin traitant au cours de la semaine. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX standard bassin de face, Lauenstein de la hanche gauche et f/p du fémur : pas de lésion osseuse traumatique. Matériel en place. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX standards f/p de la cheville droite : pas de lésion osseuse traumatique. Attelle Aircast durant 6 semaines. Physiothérapie à but antalgique de proprioception et de tonification de la musculature de la cheville, à débuter dès que possible. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX standards f/p du genou : pas de lésion osseuse traumatique. Attelle Jeans. Décharge et Clexane jusqu'à dédouanement du ménisque. IRM en ambulatoire suivie d'une consultation au team genou. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX standards f/p/ax. de rotule du genou gauche : pas de lésion osseuse traumatique. Antalgie. Marche en charge selon douleurs à l'aide de deux cannes, avec prophylaxie anti-thrombotique par Héparine de bas poids moléculaire jusqu'à abandon des cannes. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX thorax. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX thorax. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX thorax. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX thorax : absence de pneumothorax ou de fracture visualisée. Antalgie, anti-inflammatoires. Arrêt de travail. Suite chez son médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Critères de reconsultation expliqués au patient. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX thorax : pas de foyer. Traitement symptomatique par Toplexil, Dafalgan, Irfen. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX 3ème doigt de la main droite : pas de fracture. Trépanation de l'ongle. Traitement symptomatique. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX. Avis orthopédie Dr. X. Attelle Stack - 6 semaines. Consultation team main dans 6 semaines. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX. Avis orthopédique Dr. X. Aircast, béquilles. Clexane 40 mg à stopper lorsqu'arrive à charger. Contrôle chez son médecin dans 1 semaine. Physiothérapie dans 10 jours. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : RX. Avis orthopédiste Dr. X. Béquilles, charge selon douleur. Physiothérapie (bon fait). Consultation orthopédie urgence dans 15 jours. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Sédiment urinaire : pas de leucocyte, pas de nitrite, pas de sang. Test de grossesse urinaire : positif. Retour à domicile avec traitement de Dafalgan en réserve pour les douleurs, nous proposons à la patiente de prendre rendez-vous rapidement pour un contrôle en gynécologie. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Sonde urinaire 3 voies avec rinçages. Rocéphine 2 g iv le 19.02.2018. Ciproxine 500 mg 2x/j. pendant 14 jours. Sédiment urinaire et urotube (Dr. X en copie pour les résultats). Contrôle au secteur ambulatoire des urgences avec avis urologique à 48 heures ou rendez-vous chez l'urologue traitant du patient, Dr. X, si possible. Les critères de reconsultation ont été expliqués au patient avec consigne de reconsulter immédiatement. Antalgie. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Stick urinaire : leucocytes +++. Sang +++. Nitrite 0. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Streptotest : négatif. Traitement symptomatique avec suite chez le médecin traitant. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Examens complémentaires effectués après explications du médecin : Ultrason épaule et coude gauches : suspicion de lésion de la coiffe des rotateurs. Conseil de faire une IRM. Pas de lésion du tendon bicipital à l'insertion. Bretelle antalgique. Antalgie. Physiothérapie. IRM de l'épaule et consultation au team membre supérieur dans 2 semaines. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. CT cérébral et cervicales (transmission orale, Dr. X): pas de saignement intra-crânien, pas de fracture cervicale. Arthrose des cervicales. • RAD avec antalgie et myorelaxant. • Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. CT cérébral natif: pas de saignement, pas de fracture des os du crâne. Antalgie simple, consignes de surveillance. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. ECG: dans la norme. Laboratoire. Pantoprazol 40 mg iv. US ciblé aux urgences (Dr. X): pas d'épanchement, vésicule non épaissie, pas de calcul visualisé. Pas de dilatation pyélo-calicielle. Antalgie et traitement par IPP et Alucol. Contrôle clinique et biologique au Secteur Ambulatoire des Urgences à 48h. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. ECG. Laboratoire: Troponines H0 coagulé, troponines H1 5. Retour à domicile avec réassurance. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. ECG: pas de signes ischémiques, superposable au comparatif. Laboratoire: légère insuffisance rénale. Radiographie thorax: pas de pneumothorax, pas d'épanchement, pas de foyer. Antalgie. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. ECG. Laboratoire: CRP 31 ng/l, pas de leucocytose. Stix urinaire: négatif. Avis chirurgical (Dr. X): au vu de la forte suspicion clinique, pas d'imagerie nécessaire. Antibiothérapie durant 5 jours, Ciprofloxacine/Métronidazole pour 5 jours. Contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant avant la fin des antibiotiques, ad CT si péjoration. Laxatifs. Colonoscopie à 6 semaines (sera contactée pour un rendez-vous au cabinet Dr. X). • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. ECG. Laboratoire. Radiographie du thorax. Echographie cardiaque aux urgences (Dr. X). • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. ECG. Laboratoire. Radiographie du thorax. RAD avec réassurance de la patiente. Consultation chez le médecin traitant pour réévaluation hypertension artérielle et réintroduction du traitement. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. ECG. Laboratoire. Radiographie thoracique. US Abdominal Dr. X: épanchement pleural de faible abondance en base droite avec atélectasie de contact. Fine lame d'épanchement pleural gauche. CURB 65 = 0. Avis téléphonique pneumologue (Dr. X): symptomatologie peu probable pour une poussée de sarcoïdose. Ok pour relais CIPROXINE par de la LEVOFLOXACINE. RAD avec réassurance. Arrêt de la Ciproxine. Introduction de TAVANIC 500 mg x 2/24h. Réévaluation clinico-biologique le 05.02.19 au Secteur Ambulatoire des Urgences avec avis pneumologue. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire: aligné. Urines: purée d'érythrocytes, pas de leucocytes, nitrites négatifs. Culture d'urines: en cours. Echographie ciblée des urgences (Dr. X). CT abdominal injecté (Dr. X, rapport téléphonique): pas de calcul, pas de dilatation pyélocalicielle, vésicule biliaire collabée, utérus hétérogène (en rapport avec cycle?). Antalgie simple. Contrôle clinique et biologique au secteur ambulatoire des urgences le 05.02.2019. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire: CK 131 U/l, CRP 11 mg/l, Leucocytes 16.4 G/l. ECG. CT cérébral (Dr. X, rapport téléphonique): connue pour un méningiome frontal gauche de 8 mm (inchangé), atrophie cérébrale, pas de fracture, pas d'hémorragie. Retour à l'EMS. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. ECG. Certificat médical. Consultation dès que possible chez le médecin traitant pour substitution ferrique. Prévoir consultation chez un gynécologue. Patient informé des signes devant l'amener à reconsulter. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. ECG. Stix/sédiment urinaires. Test de grossesse urinaire: négatif. Réassurance. Antalgie et arrêt de travail. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire le 19.02.2019: CRP 38, Leucocytes 7.8. US main droite Dr. X (rapport oral): infiltration des tissus mous et de la gaine des fléchisseurs, pas d'abcès. Avis orthopédique (Dr. X, Dr. X). Co-Amoxicilline 2.2 g i.v 1 dose aux urgences. Débridement des plaies, désinfection et réfection des pansements. RAD avec traitement antibiotique de Co-Amoxicilline 1 g 3/j et traitement anti-inflammatoire. Contrôle clinico-biologique au Secteur Ambulatoire des Urgences à 48 heures. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter au préalable. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire: paramètres hépatiques et de cholestase stables. Avis chirurgical: contrôle biologique (paramètres hépatiques et de cholestase) et clinique à 48h au Secteur Ambulatoire des Urgences. La patiente sera revue à la consultation des chefs de clinique de chirurgie (Dr. X) ad discussion de l'indication à une cholécystectomie et contrôle biologique des paramètres des cholestase. Patient reconsultera en cas de péjoration clinique et état fébrile. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, tests hépatiques et de cholestase dans les normes. Résolution spontanée des symptômes. Test de grossesse urinaire: négatif. US abdominal aux Urgences Dr. X: pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement dans le Douglas, pas de globe vésical, vésicule biliaire alithiasique, pas d'épanchement spléno-rénal. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Culture de selles. RAD avec traitement symptomatique pas Buscopan. Le patient reconsultera en cas d'état fébrile ou de péjoration clinique. Conseils d'hydratation. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Streptotest: négatif. Tests thyroïdiens. Avis endocrinologue (Dr. X): pister les tests thyroïdiens et adapter le traitement selon résultat, proposition d'augmenter l'Euthyrox 1x/semaine à 2 comprimés avec le début de la grossesse. Le Dr. X prendra contact avec la patiente demain pour adapter le traitement selon le résultat. Il propose un avis ORL. US thyroïde (Dr. X): pas de modification de la taille de la thyroïde par rapport au dernier examen, pas d'élément pour un problème de la thyroïde, type thyroïdite de Quervain. Présence de quelques ganglions sous-mandibulaires de petites tailles, pas d'élément inquiétant. Consilium ORL. RAD avec antalgie; la patiente sera contactée pour adaptation de l'Euthyrox par le Dr. X et sera contactée pour un rendez-vous en ORL. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire: troponines négatives. ECG: pas de signe d'ischémie du myocarde. Aux urgences: Voltaren, Dafalgan. RAD avec conseil de poursuivre les séances d'ostéopathie, poursuivre la prise de Dafalgan. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire: TSH dans la norme. ECG. Test de Shellong: positif. Bas de contention. Vitamine B12 et acide folique: à contrôler chez le médecin traitant. Contrôle chez le médecin traitant. • Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Analyses urinaires. Test de grossesse urinaire: négatif. US ciblé aux urgences (Dr. X/Dr. X): pas de liquide libre, dilatation pyélocalicielle stade I à droite, aorte non agrandie (2 cm). Uro CT: pas de lithiase. Rocéphine 2 g iv aux urgences. RAD avec traitement par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j durant 7 jours et antalgie simple. Mme. Y informée des signes qui devraient la pousser à reconsulter. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Pas de critères de gravité au statut clinique, résolution spontanée des douleurs après défécation. RAD avec traitement symptomatologique. Recommandation d'une bonne hydratation orale. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Radiographie du thorax. ECG. Traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Radiographie hallux gauche. Avis orthopédique Dr. X. Rappel anti-tétanique, désinfection. Antibiothérapie par Augmentin 1 g pendant 7 jours. Contrôle chez le médecin traitant dans 2 jours, et au préalable en cas de fièvre ou douleurs non gérables à domicile. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Stix et sédiment urinaire: négatif. RAD. Antalgie. Conseil de réévaluer dans les 48 h chez le médecin traitant, ad introduction d'une thérapie anti-hypertensive en réserve (ADALAT?). Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Stix/Sédiment urinaires. ECG. Consultation gynécologique. Réassurance, antalgie et RAD. Arrêt de travail. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Stix urinaire. Test de grossesse: négatif. RAD avec traitement antalgique, filtre (pas de Tamsulosine au vu de l'allaitement); suivi chez le médecin traitant dans la semaine. Mme. Y informée de reconsulter en urgences si fièvre, frissons, douleurs non gérables à domicile. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Laboratoire. Streptotest: négatif. Traitement symptomatique. Substitution de l'hypokaliémie PO durant 3 jours. Contrôle clinique et biologique chez le gynécologue traitant le 04.02.2019. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie cheville gauche. Aircast, cannes avec charge selon douleur. Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie doigt gauche. Avis orthopédique Dr. X. Attelle alu. Ergothérapie ambulatoire. Arrêt de travail. RAD avec antalgique. Contrôle à 6 semaines chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie du genou gauche. Avis orthopédique Dr. X: en cas de persistance de l'instabilité, prévoir une IRM. Traitement avec Dafalgan et Irfen, si marche impossible, poursuivre Clexane 40 mg. Possible présence d'une contusion osseuse, pas de signe d'instabilité ligamentaire. Traitement symptomatique et physiothérapie 9 séances. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie du thorax: pas d'argument pour un pneumothorax, ni pour un hémothorax. Doute sur une fracture costale en regard de l'arc costal K4 gauche. RAD avec réassurance. Antalgie et arrêt de travail. Mme. Y informée de réévaluation chez le médecin traitant le 18.02.19, en cas de douleur malgré le traitement, ad majoration de l'antalgie et suite de prise en charge. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie épaule droite: pas de déplacement au niveau du trait de fracture. RAD. Réassurance. Conseil de prendre en systématique son AINS + PARACETAMOL jusqu'à prise en charge chirurgicale. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie épaule droite. Immobilisation par gilet orthopédique. Antalgie par Dafalgan, Irfen, Tramadol en réserve. Convocation ambulatoire en orthopédie pour discuter d'une intervention ou d'un traitement conservateur. Proposition au médecin traitant d'organiser les repas à domicile, ainsi que passage de l'aide à domicile pour la toilette du matin. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie épaule gauche face/neer. Avis orthopédique Dr. X: immobilisation par gilet orthopédique. Contrôle à 1 semaine en orthopédie-urgence. Organisation de soins à domicile, antalgie simple. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie face/profil genou gauche: pas de lésion. Marche avec cannes de décharge. Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane 40 mg, jusqu'à dédouanement du ménisque lors de la prochaine consultation. Antalgie. IRM en ambulatoire. Consultation au Team Genou après IRM. Dispense d'activité sportive durant 3 semaines, à réévaluer. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie genou ap/lat/patella. CT genou (Dr. X, rapport téléphonique): pas de fracture, pas d'épanchement. Avis orthopédique (Dr. X): au vu de l'absence de fracture au CT, retour au home Bonne-Fontaine. Antalgie simple. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie genou gauche: pas de fracture visualisée. Avis orthopédique Dr. X: charge avec cannes selon douleur, IRM en ambulatoire. Consultation au Team genou après IRM. Mme. Y informée de reconsulter en cas d'apparition de trouble neurologique, douleur intense. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie jambe gauche: pas de lésion. US des parties molles jambe gauche aux Urgences, Dr. X: pas d'hématome dans la loge latérale ni dans les loges postérieures, profonde et superficielle. Veines dépressibles. Réassurance. Antalgie. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie lombaire. Appel au MT: il n'a pas les images qui ont été faites à la clinique St Anne. RAD avec traitement symptomatique, physiothérapie et arrêt de travail. Contrôle chez le médecin traitant pour suite de prise en charge. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie main droite: pas de déplacement du matériel, pas de nouvelle fracture. RAD avec poursuite de l'antalgie. Conseil de se représenter aux urgences si péjoration des douleurs et/ou signe d'infection. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie main gauche: pas de fracture visualisée, pas de luxation. Avis orthopédique Dr. X: syndactylie 4/5, ergothérapie en ambulatoire pour maintien de la fonction articulaire et musculaire. Contrôle en orthopédie-urgences à 6 semaines. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie main gauche: pas de fracture visualisée. Antalgie et mobilisation selon douleur. Arrêt de travail de 4 jours. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie membre supérieur gauche. CT poignet gauche. Avis orthopédique Dr. X: indication opératoire; ad plâtre AB fendu et retour à domicile; la patiente sera reconvoquée la semaine prochaine pour discuter de l'opération. Antalgie à domicile. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie poignet droit: fracture intra-articulaire du poignet droit avec bascule postérieure. CT poignet droit. Réduction de la fracture et immobilisation sous KETAMINE 30 mg + MIDAZOLAM 3 mg IVD. Contrôle radiographique post-réduction. Avis orthopédique Dr. X: indication à une prise en charge chirurgicale en ambulatoire. Mme. Y sera revue à distance pour suite de prise en charge.RAD avec antalgie. Prise en charge chirurgicale en ambulatoire par orthopédistes. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie poignet droit. Attelle poignet à but antalgique. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie poignet droit. Avis orthopédique Dr. X. Réduction fermée et plâtre avec Fentanyl 75 mcg. Radiographie poignet droit post-réduction : normale. RAD avec plâtre, antalgie. Contrôle radio-clinique en orthopédie-urgence à 1 semaine. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie poignet droit. Avis orthopédique Dr. X : pas de fracture. Attelle poignet à but antalgique. Antalgie. Contrôle chez le médecin dans 5 jours. Retour aux urgences si persistance des douleurs. Suite au colloque orthopédique du 04.02.2019, la patiente est reconvoquée au Secteur Ambulatoire des Urgences pour contrôle. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie poignet/main droite face/profil : pas de fracture. Avis orthopédique Dr. X. Antalgie simple. Attelle poignet droit max. durant 10 jours. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie rachis cervical + lombaire : pas de fracture, pas d'entorse cervicale. Antalgie. Réassurance. Conseil de réévaluer si vomissement/céphalée en péjoration et ou somnolence, à réaliser un CT cérébral natif. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie thorax face/profil : pas de fracture déplacée, pas d'hématothorax, pas de pneumothorax. Antalgie avec Dafalgan, Brufen, Tramal. Certificat médical jusqu'au 1er mars. Reconsultation si persistance de douleurs après 6 semaines post-accident. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Radiographie thorax. Radiographie colonne cervicale avec l'odontoïde. RAD après réassurance de la patiente. Antalgie par Dafalgan, Irfen et Sirdalud. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Test de grossesse : négatif. CT cervical. Avis orthopédique Dr. X : antalgie simple, physiothérapie. Contrôle radio-clinique à 7-10 jours à la consultation du Team Spine ; pas d'immobilisation, y compris minerve mousse. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Test de grossesse : négatif. Urines. CT abdominal low dose : calcul de 2 mm au niveau de la jonction urétéro-vésicale gauche, pas de dilatation des cavités pyélocalicielles. RAD avec antalgie. Filtrer les urines. Nous recommandons à la patiente de faire analyser le calcul par le médecin traitant. Examens effectués expliqués à la patiente par le médecin. Test de grossesse urinaire : négatif. Stix urinaire : négatif. Radiographie thoracique/colonne thoraco-lombaire : pas de fracture de côte ou de vertèbre, pas de pneumothorax (discuté avec le radiologue). Retour à domicile avec antalgie et arrêt de sport d'1 semaine. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Echographie ciblée aux urgences (Dr. X) : dilatation pyélocalicielle stable à 2 cm. Laboratoire. Stix/Sédiment urinaires. Rocéphine 2 g iv DU. RAD avec Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pendant 7 jours. Contrôle chez le médecin traitant avec rendez-vous déjà pris le 15.02.2019. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. Sédiment urinaire. Uro-CT. Antalgie par Dafalgan, Novalgine, Tramal. Tamsulosine. Filtrage des urines. Conseil de reconsulter en cas d'état fébrile, anurie, hématurie. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Anuscopie (Dr. X) : hémorroïdes internes douloureuses. Procto-Glyvenol crème 5 % 2x/j, puis 1x/j. RAD, patient rassuré. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. CT cérébral et cervical (rapport oral) : pas de saignement intracrânien. Pas de fracture à l'étage cervical, ni au niveau de l'épaule gauche. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. CT-scan cérébral natif du 12.02.2019 : pas de saignement intracrânien. Pas de fracture. Surveillance sur la nuit. Désinfection. Anesthésie locale, suture par 7 pts. Pansement. Retour au Home. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Désinfection, anesthésie locale à la Rapidocaïne, aiguille boutonnée, suture par 3 points Prolène 4.0. Pansement Adaptic touch, compresse, bande de gaz et attelle alu. Conseil de reconsulter en cas de douleur, rougeur, état fébrile. Ablation des fils à 10 jours. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. ECG : rythme sinusal, irrégulier sus ESA, pas de trouble de la conduction, pas de trouble de la repolarisation, pas de bloc de branche droit et gauche. Laboratoire : Troponines H0 = 21, H1 = 22. Réassurance. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. ECG : rythme sinusal régulier, sans trouble de la conduction, repolarisation précoce du jeune, pas de bloc de branche droit et gauche. Radiographie thoracique : superposable aux anciennes. Laboratoire : D-dimères négatif. Réassurance et RAD. Antalgie. Conseil de réévaluer avec le médecin de famille en cas de recrudescence des symptômes. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. ECG. Laboratoire. Sédiment urinaire. Adalat retard 20 mg, avec bonne réponse tensionnelle. RAD avec conseil de consulter son médecin traitant à introduction d'un traitement anti-HTA. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. ECG. Laboratoire. Toxique urinaire : en cours. CT total Body (Dr. X rapport oral) : pas de fracture ni de saignement cérébral. Pas de fracture du rachis ou du bassin. Pas de PNO. Pas de liquide libre intra-abdominal. Pas de fracture au niveau des membres. RAD. Repos intellectuel pendant 48h. Conseils d'usage, avec feuille TCC donnée à la famille du patient. Antalgie. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. ECG. Radiographie épaule droite : épaule arthro-pathique, pas de fracture, pas de luxation. Avis orthopédique Dr. X : pas d'investigation complémentaire au vu de l'âge du patient, nécessité d'une prise en charge ambulatoire par physiothérapie. RAD avec conseils d'usage. Réévaluation clinique à J10 par le médecin traitant. Antalgie. Physiothérapie en ambulatoire. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. Aérosol Ventolin 5 mg aux urgences. Poursuite du traitement symptomatique et de l'antibiothérapie avec ajout de Ventolin et anti-toussif pour la nuit ; explications quant à la technique d'inhalation données. Conseil d'utiliser une chambre d'inhalation (en a une à domicile). Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine en urgence si dyspnée, douleurs thoraciques, fièvre à >38.5 °C. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire avec cycle de troponines négatif, D-Dimères négatif. ECG. Radiographie du thorax. Traitement symptomatique. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter. Consultation chez le médecin traitant, à l'organisation d'une consultation chez un cardiologue (holter tensionnel + échographie cardiaque/± test d'effort). Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire : CK MB 59 Troponines 13. ECG : dans la norme. Radiographie thorax : suspicion de fracture de côte 7. Physiothérapie respiratoire avec de l'eau et une paille. RAD avec traitement antalgique et arrêt de travail. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire : CRP à 23. RAD avec instructions pour prélèvement et culture de selles ; le patient conserve un bon état général, sans trouble électrolytique majeur. Examens effectués expliqués au patient par le médecin.Laboratoire: CRP à 74, tests hépatiques et lipase dans la norme. RAD avec contrôle chez le médecin traitant à 24-48 heures pour le suivi du syndrome inflammatoire, avec CT abdominal injecté à effectuer dès que possible dans les 48h et transmission des images à Bern. Nous proposons au patient de reconsulter les urgences en cas de nouvelles douleurs abdominales ou d'un nouveau symptôme inquiétant. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire: CRP à 76 mg/l. Analyses urinaires: pas d'infection urinaire. Urotube: en cours. Radiographie de thorax: opacité sur toute la plage pulmonaire gauche et en base droite. Ad Co-amoxicilline 1.2 g iv aux urgences puis à poursuivre par Co-amoxicilline 1 g 2x/j per os pendant 7-10 jours avec suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire: CRP à 86. Radiographie thoracique: pas de foyer visible. US aux urgences Dr. X/Dr. Y: pas de syndrome alvéolo-intersticiel bilatéral, léger épanchement costo-diaphragmatique à droite, avec visualisation de quelques lignes B. Pas de pneumothorax. Traitement symptomatique. Patient informé de reconsulter en cas d'état fébrile/frisson persistants. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire: CRP 54, leucocytose à 14,5. Co-Amoxicilline 2,2 iv aux urgences. Co-Amoxicilline 1 g 3x/j durant 7 jours. Antalgie par Dafalgan et Irfen, Tramal en R. Marquage cutané. Contrôle clinique et biologique au Secteur Ambulatoire des Urgences à 48 H. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. CT-Scan: pas d'hémorragie, pas de fracture. Aux urgences: • NaCl 500 ml i.v. Antalgie simple. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter les urgences. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire du 04.02.2019. US abdominal du 04.02.2019: appendice non visualisable, pas de liquide libre. Uro-CT scan du 04.02.2019: pas de calcul, pas de dilatation pyélocalicielle. Stix urinaire: leucocytes +, sang ++. En raison d'une clinique rassurante et de l'absence de syndrome inflammatoire, le patient rentre à domicile avec traitement symptomatique et convocation le 05.02.2019 au Secteur Ambulatoire des Urgences pour suivi du syndrome inflammatoire. Le patient est informé des symptômes nécessitant une reconsultation en urgence. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. ECG. Gazométrie. CT thoracique (Dr. X): pas d'embolie pulmonaire centrale, embolie pulmonaire sous-segmentaire non exclue car patient a fait une manoeuvre de Valsalva pendant l'examen, mais pas de signe indirect. Léger air trapping dans les petites voies aériennes, sans épaississement des bronchioles. Augmentation des ADP médiastinales, diminution des ADP axillaires. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. Hémocultures. Stix/sédiment urinaire. ECG. Radiographie du thorax: pas de foyer mis en évidence. US abdominal (Dr. Y/Dr. Z): pas de dilatation pyélocalicielle visualisée, pas de liquide libre. RAD avec Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour. Antalgie simple et consigne d'hydratation. Contrôle biologique et clinique en filière 34 le 12.02.2019. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire: INR thérapeutique à 3.4. Analyses urinaires: purée d'érythrocytes. Urines couleur framboise aux urgences, pas de caillot visible. Echo ciblée abdomen aux urgences_motif macrohématurie (Dr. Y/Dr. X): pas de globe vésical, pas de caillot sanguin intravésical, lithiase vésiculaire, présence d'un kyste rénal sur le pôle rénal supérieur gauche. Explication donnée au patient de reconsulter si douleurs du bas ventre, extériorisation de caillot sanguin, impossibilité d'uriner correctement. Convocation ambulatoire en urologie pour cystoscopie. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire: leucocytose à 22 G/l avec neutrophilie, CRP 20 mg/l. ECG. Avis chirurgical. CT abdominal: infiltration mésentérique sans épaississement des parois de l'intestin, présence d'un nodule DD diverticule au niveau du duodénum, à contrôler par imagerie dans 3 mois. Pas d'ulcère ni de perforation gastrique. Ad Pantozol 40 mg 2x/j et Alucol en réserve. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Stix/sédiment: propre. Echo ciblée des urgences Dr. Y motif: suspicion de colique néphrétique. Calcul intra-rénal de 7 mm rein gauche avec lésion kystique au niveau du pôle supérieur du rein gauche, pas de dilatation des cavités pyélocalicielles perçue, pas de dilatation des cavités pyélocalicielles à droite, pas de globe vésical. CT abdominal low-dose: calcul intra-rénal d'environ 7 mm, sans dilatation pyélo-calicielle associée, pas de dilatation urétrale, pas d'autre calcul visualisé. Antalgie. Contrôle biologique et clinique au Secteur Ambulatoire des Urgences. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. US parties molles (Dr. W): pas de corps étranger visible, pas de collection constituée, pas d'épanchement articulaire. Infiltration des tissus mous. Avis orthopédique: (Dr. X) immobilisation, antalgie. Contrôle le 12.02.19 au Secteur Ambulatoire des Urgences avec contrôle du syndrome inflammatoire. et +/- nouvelle imagerie selon biologie ou clinique. Patient instruit des signes devant le faire reconsulter en urgence. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. US pectoral le 03.02.2019 (Dr. Z): infiltration diffuse du tissu sous-cutané d'une largeur de 4x2 cm, infiltration non comparable aux signes sonographiques d'un hématome, pas de sérome, pas de collection. Contrôle à la consultation des CDC de chirurgie en ambulatoire. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. Avis chirurgical (Dr. A): pas de signe pour une hernie post-chirurgicale incarcérée, pas de signe de gravité. RAD avec antalgie. Contrôle clinique et biologique au Secteur Ambulatoire des Urgences à 48h. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. CT-cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux: pas de dissection de l'artère vertébrale, pas de masse cervicale. RAD avec antalgie et Sirdalud. Patient informé de ne pas conduire sous Sirdalud. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. ECG: tachycardie supraventriculaire à 223/mn. Manoeuvre vagale inversée. ECG: sinusale normocarde 80/mn. Avis cardiologique (Dr. B/Dr. C/Dr. D): tachycardie supraventriculaire rapide à 220/mn, proposition d'effectuer une thermo-ablation à l'Inselspital. Dans l'intervalle Beloc Zok 25 mg 2x/j, si récidive prise de 50 mg et manoeuvre de Valsalva +/-, consultation aux urgences si persistance des symptômes malgré le traitement. Beloc Zok 25 mg 2x/j. Arrêt de travail. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. ECG. Radiographie du thorax. RAD après réassurance, suivi chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. Radiographie: pas de tophie visualisée, pas d'atteinte articulaire. RAD avec majoration du traitement par Colchicine 0,5 mg 3x/jour durant 3 jours. Consultation chez le médecin traitant dans 5 jours. Consultation en rhumatologie le 27.03.2019, à maintenir. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. Sédiment urinaire. ECG. Conseil de consulter son médecin traitant pour introduction d'un traitement antihypertenseur. Adalat ret en réserve. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. Sédiment urinaire. Rocéphine 2g iv aux urgences. Ciprofloxacine 500 mg 2x/j 7 jours. Mr. Y reconsultera en cas de symptômes persistants ou hématurie. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. Uricult: pas de leucocytes, pas de nitrites, Hb +, érythrocytes négatif. Uro-CT: calcul de 5mm de plus grand axe dans l'uretère proximale droite, pyélon dilaté jusqu'à 1.6 cm, infiltrat autour du rein droit, sans signe de néphrite. Antalgie par AINS durant 7 jours + protection gastrique, paracétamol, Tramal. Tamsulosine pour 1 mois ou jusqu'à expulsion du caillot. Consultation urologique à organiser par médecin traitant. Reconsulter en urgence en cas de fièvre, anurie, douleurs malgré l'antalgie et vomissements empêchant la prise de médicaments. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. US abdominal ciblé aux Urgences Dr. X: hyperplasie de la prostate, globe urinaire, vésicule biliaire alithiasique, pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement dans le Douglas. Pose de sonde vésicale à demeure: pas de complication post-geste. Stix et sédiment urinaire: leucocytes ++++, nitrites négatif, sang ++++. RAD. Consultation en ambulatoire avec l'urologue traitant (Dr. X) pour suite de prise en charge. Pas d'antibiothérapie au vu de la clinique non en faveur d'une sepsis et des antécédents de sonde vésicale à demeure. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire. US doppler membre supérieur gauche: paraphlébite du membre supérieur gauche, au niveau de la veine basilique et céphalique avec halo inflammatoire peri-lésionnel pouvant être en lien avec une infection sous-jacente. Avis angiologique Dr. X: anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg avec réévaluation par angiologue le 20.02.19. Co-Amoxicilline 2.2 g iv en dose unique. Avis infectiologue Dr. X: arrêt de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline avec relais par Bactrim forte matin et soir pendant 5 jours afin de couvrir le germe de la flore cutanée. RAD avec RDV en angiologie le 20.02.19 et contrôle clinique au Secteur Ambulatoire des Urgences le 22.02.19. Mr. Y informé de reconsulter les urgences si péjoration des signes infectieux. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie cervicale: pas de fracture. RAD avec antalgie et arrêt de travail, nous proposons au patient de revenir en cas de non-amélioration de la symptomatologie. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie cheville droite: pas de fracture objectivée. Avis orthopédique (Dr. X): attelle Aircast, Clexane 40 mg si charge impossible (instructions d'usage données au patient). RDV de suivi dans 10-14 jours en orthopédie, team membre inférieur (pas de physiothérapie d'ici là). RICE. Mr. Y informé de reconsulter en cas d'apparition de symptômes neurologiques, saignement ne se tarissant pas. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie cheville droite. Immobilisation latérale par Aircast durant 2 semaines jour et nuit, puis à réévaluer par le médecin traitant. Application de glace et repos. Antalgie par Dafalgan et Irfen. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie cheville gauche: pas de fracture. Mise en place d'une Aircast durant 2 semaines, marche selon douleur. Arrêt de travail de 5 jours. Anti-inflammatoires et antalgie. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie coude gauche: pas de fracture. Antalgie. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie du thorax: pas de foyer, pas de pneumothorax. RAD avec traitement symptomatique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie D2 main droite face/profil chez MT montrant la présence de plusieurs corps étrangers métalliques dont certains en profondeur, en regard de la 2ème phalange de D2, face palmaire. Laboratoire. US tissus mous: tuméfaction des tissus mous en regard de P2-D2, avec mise en évidence de multiples corps étrangers infra-millimétriques. Pas de collection. Avis orthopédique (Dr. X): prise en charge au bloc opératoire pour rinçage le 08.02.19. Mr. Y se présentera à jeun à l'admission ambulatoire; pas d'antibiothérapie ni d'immobilisation dans l'intervalle. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie épaule droite face/profil: luxation antérieure. Avis orthopédique (Dr. X). • Fentanyl 125 mg, Morphine 10 mg. Réduction luxation. Radiographie de contrôle post-réduction: épaule en place. Gilet orthopédique durant 2 semaines puis débuter physiothérapie. Contrôle chez le médecin traitant à 2 semaines, ad IRM en cas d'instabilité. Antalgie. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie épaule gauche: pas de fracture. Radiographie coude G: pas de fracture. Fat Pad. Radiographie poignet G: pas de fracture. Suspicion de fracture scaphoïde. Avis orthopédique (Dr. X): CT coude et poignet gauche pour suspicion de fracture. CT poignet et coude gauche (rapport oral): fracture tête radiale gauche et fracture scaphoïde. BAB fendu avec pouce (PIP libre). Contrôle orthopédique dans 1 semaine avec radiographie préalable au team membre supérieur. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie et CT: confirmation de fracture de l'os trigone. Mise en place de botte plâtrée fendue, semelle rigide, avec charge de 15 Kg. Marche avec cannes. Protection prophylactique par Xarelto 10 mg jusqu'au prochain contrôle. Contrôle radio-clinique au Team Pied. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie face/profil: pas de fracture visualisée. Immobilisation par attelle pouce. Traitement antalgique. Arrêt de travail 1 semaine (Mr. Y droitier et peintre en bâtiment). Contrôle au Secteur Ambulatoire des Urgences le 13.02.19 pour réévaluation du statut et stabilité du pouce, ad imagerie si persistance des douleurs. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie genou droit: présence de lésions chondrales en regard de la surface articulaire de la rotule. Marche en charge selon douleur, avec attelle Jeans 0°, qui protège l'articulation fémoro-patellaire. IRM en ambulatoire et prochain contrôle en orthopédie Team Genou pour investigations rupture MPLF et examen de la lésion cartilagineuse. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie genou gauche: pas de fracture visible. Avis orthopédique Dr. X. RAD avec traitement antalgique. Repos pendant 2 semaines. Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie genou gauche: pas de fracture. Antalgie. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie main droite. Avis orthopédique Dr. X. Immobilisation à but antalgique. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie main gauche: pas de fracture, pas de signe pour une chondrocalcinose. Avis rhumatologique (Dr. X): pas de signe d'infection, origine rhumatologique peu probable. Traitement symptomatique et proposition de consulter son médecin traitant si persistance des symptômes. Arrêt de travail. RAD avec antalgie. Proposition de consulter le médecin traitant si persistance des symptômes. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie poignet gauche. Réduction de la fracture. Fentanyl 10 ml. Radiographie post-réduction. Mise en place d'un plâtre AB fendu. Bretelle antalgique. Contrôle radio-clinique en orthopédie-urgences. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie pouce droit/scaphoïde: pas de fracture visualisée. RAD avec immobilisation du pouce durant 3 jours. Antalgie, application de glace. Mr. Y informé de reconsulter le médecin traitant à J7-10 en cas de persistance des douleurs, ad IRM scaphoïde à la recherche d'une lésion non visualisée ce jour à l'imagerie. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie rachis lombaire face/profil: pas d'argument pour une fracture. Réassurance. Antalgie et myorelaxant. Arrêt de travail. Mr. Y informé de consulter le médecin traitant en cas de persistance des douleurs malgré l'antalgie, ad +/- réalisation d'une IRM en ambulatoire. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie thoracique: fracture de K6 et K7 avec doute sur déplacement K7. Pas de pneumothorax, disparition de l'épanchement pleural de faible abondance en base gauche. Réassurance et RAD. Poursuite de l'antalgie prescrite le 12.02.19. Mr. Y averti de consulter le médecin traitant en cas de péjoration des douleurs malgré l'antalgie. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie. Avis orthopédique Dr. X. CT-Scan: fracture du cunéiforme moyen et latéral, arrachement osseux du naviculaire non déplacé. Plâtre botte fendue pour 6 semaines, Clexane 40 mg s.c. Antalgie. Contrôle radio-clinique au Team pied dans 7 jours. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie. Avis orthopédique: plâtre fendu, Clexane 40 mg (explications données au patient). Consultation en orthopédie-urgences dans 7 jours. Antalgie. Arrêt de travail. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographie. Protocole plaque palmaire pour 4 semaines. Contrôle à 6 semaines chez le médecin traitant (Mr. Y habite Bern). Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographies calcanéum/cheville droits. Avis orthopédique Dr. X. Cannes avec charge selon douleur. Semelle mousse. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Radiographies cheville/pied gauche. Avis orthopédique Dr. X. CT du pied et cheville gauche. Attelle postérieure plâtrée, marche avec cannes, Clexane 40 mg. Réévaluation en orthopédie urgence dans 1 semaine. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. US abdominal Dr. X: aorte abdominale dans la norme. RAD avec antalgie et Sirdalud. Mr. Y informé de ne pas conduire sous Sirdalud. Examens faits la veille. Examens réalisés à l'Hôpital Neuchâtelois : • Laboratoire 09.01.2019 : syndrome inflammatoire avec CRP 71, leucocytes 15 G/l, germes et leucocytes dans les urines • RX thorax 09.01.2019 : pas de foyer systématisé • CT-cérébral le 10.01.2019 : hypodensités confluentes de la substance blanche péri-ventriculaire, des centres semi-ovales postérieurs ainsi que du bras postérieur de la capsule interne à droite globalement superposable au comparatif. Lacune thalamique gauche nouvelle. • Cultures urinaires : négative/croissance non significative (11.01.2019) • Pannel respiratoire viral (frottis rétro-pharyngé) : négatif (11.01.2019) Consilium neurologique le 18.01.2019 (Dr. X, Dr. X) IRM cérébro-médullaire le 17.01.2019 : • Au niveau cérébral, nette augmentation en nombre des lésions de SEP connues, sans argument pour des lésions actives. Importante progression de la microangiopathie vasculaire. Dilatation du système ventriculaire sans atrophie cortico-sous-corticale associée et avec un angle callosal de 85° pouvant évoquer une hydrocéphalie à pression normale. • Au niveau du rachis, pas de franche lésion de SEP visible. Canal cervical étroit s'étendant de C3 à C6. Ectasie du canal central de la moelle épinière évoquant une hydromyélie sans masse en amont clairement visible. Co-Amoxicilline IV 2.2 g 3x/jour du 10.01.2019 au 16.01.2019 Prednisone majorée à 20 mg dès le 10.01.2019 Solu-Medrol 1 g/jour du 18.01.2019 au 21.01.2019 (sur avis neurologique, pas de contre-indication du point de vue oncologique) Schéma dégressif de Prednisone du 22.01.2019 au 12.02.2019 Physiothérapie respiratoire, mobilisation Ergothérapie A faire : • Quand la date de fin de radiothérapie est connue, avertir par e-mail Dr. X à Meyriez pour réactiver la demande de neuro-réadaptation EXAMENS Laboratoire Hémocultures 20.02.2019 en cours RX thoracique 19.02.2019 CT thoracique 19.02.2019 Expectorations BAAR: 20.02.2019 : négatif / 21.02.2019 négatif / 21.02.2019 (2h post-bronchoscopie) négatif / 22.02.2019 négatif AVIS Avis gastroentérologue (Dr. X), OGD le 21.02.2019 Avis pneumologue (Dr. X) : faible probabilité d'une étiologie pneumologique. Bronchoscopie le 21.02.2019 INTERVENTIONS OGD (Dr. X) 21.02.2019 : 2 ulcères gastriques frais compatibles avec les crachats hémoptoïques. Hématémèse sur les lésions érosives de l'antre ne peut pas être écartée. Pister les biopsies et éradication H. Pylori si positif. Ad IPP 40 mg/jour pour au moins 1 mois Bronchoscopie (Dr. X) 21.02.2019 : muqueuse fortement atrophique avec quelques impactions purulentes, sans lésion endobronchique. Pas de signes de saignement ancien ou frais. Aspiration des sécrétions bronchiques et mise en culture Nasopharyngolaryngoscopie (Dr. X) 21.02.2019 : dans les limites de la norme, ad transit baryté ambulatoire à distance pour exclure diverticule de Zenker TRAITEMENT Hydratation Isolation aérosols du 20.02 au 23.02.2019 Rocéphine 2 g du 20.02 au 21.02.2019 Flagyl 500 mg du 20.02 au 21.02.2019 Ad IPP 2x 40 mg/j Examen. Traitement symptomatique. Reconsulter chez le médecin traitant en cas de péjoration/persistance des symptômes. Exanthème cutané DD réaction allergique au Co-Amoxicilline Exanthème cutané diffus. DD : - sur virose - allergique sans critère de gravité. Exanthème maculaire cutané non prurigineux sur Keppra le 26.01.2019 Exanthème maculo-papuleux prurigineux Exanthème maculo-papuleux prurigineux au niveau du tronc le 04.02.2019 • DD: réaction allergique au Demo Tussol (commencé le 02.02.2019, arrêté le 03.02.2019) • Xyzal depuis le 04.02.2019 Exanthème maculo-papuleux prurigineux initialement localisé (cuisses ddc) le 06.02.2019 avec généralisation sur tout le corps dès le 08.02.2019 • DD: réaction allergique au Vitarubin / Fresubin / Ecofenac Gel Excellent résultat clinique à six semaines post-opératoires, fin de traitement. Mr. Y me recontactera si nécessaire. Excellent résultat clinique à trois mois post-opératoires. Je propose à Mme. Y de poursuivre la physiothérapie pour entraîner la proprioception et surtout la musculature du quadriceps. Je la reverrai à six mois post-opératoires pour probablement un dernier contrôle. Elle peut recommencer une activité sportive légère, ceci sous la direction de la physiothérapie. Excellent résultat clinique à une année post-accident. Fin de traitement. Elle me recontactera si nécessaire. Excellent résultat clinique à 6 mois post-opératoires. Mme. Y me recontactera pour planifier l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Dans son cas, on peut se permettre dès maintenant d'enlever le matériel d'ostéosynthèse. Prochain contrôle à sa demande. Ce jour-là, examen radio-clinique avant l'AMO.Excellent résultat clinique avec le traitement conservateur de son entorse du genou. Fin de traitement. Mme. Y peut reprendre les activités sportives. Elle me recontactera si nécessaire. Excellent résultat clinique avec traitement conservateur. Mr. Y peut arrêter la physiothérapie. De ma part, fin du traitement. Il me recontactera en cas de besoin. Reprise du travail à 100% dès le 21.2.2019. Excellent résultat radioclinique à six semaines post opératoires. Mme. Y peut commencer à porter des charges. Le prochain contrôle aura lieu à une année post opératoire où l'on discutera de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Excellent résultat radioclinique à une année post opératoire. Prochain contrôle radioclinique à deux ans post opératoires soit en février 2020. Excellent résultat radio-clinique à 6 semaines post-opératoires. Mme. Y va continuer la physiothérapie pour récupérer le reste de la mobilité. Elle peut reprendre le travail à 100% dès demain. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines à ma consultation le 22.3.2019. Excellent résultat radiologique à 3 mois post opératoires. Mr. Y est très satisfait du résultat. Prochain contrôle radiologique à une année post opératoire. Excellente évolution chez ce patient, chez qui nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Fin de traitement. Excellente évolution clinique avec la physiothérapie pour stabiliser le genou suite à la rupture de son LCA du genou droit. Je propose pour le moment de continuer le traitement conservateur. Mme. Y va continuer à entraîner la musculature et la proprioception. Elle peut commencer une activité sportive légère pour voir comment son genou réagit sur les activités plus intenses. Je la reverrai dans 6 semaines pour une réévaluation clinique le 13.3.2019. En cas d'apparition d'épisodes d'instabilité du genou, il faudrait discuter d'une éventuelle plastie du LCA. Pour le moment l'indication n'est pas donnée vu l'excellent résultat clinique déjà atteint à 6 semaines de traitement. Mme. Y a déjà repris son travail à 100%. Excellente évolution clinique avec le traitement conservateur de la fracture susmentionnée. Mme. Y terminera les séances de physiothérapie et commencera une activité sportive légère. Pas de contrôle prévu d'emblée à ma consultation. Mme. Y me contactera en cas de besoin, sinon fin du traitement. Excellente évolution. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition. Excellente évolution. Prochain contrôle radioclinique à 1 année de l'intervention. Excellente évolution radioclinique à six semaines de l'introduction du traitement conservateur pour la fracture sous-capitale peu déplacée de l'humérus. Ce jour, Mr. Y peut enlever le gilet orthopédique. Il va débuter la physiothérapie active assistée avec une amplitude qui est donnée libre et une charge progressive. Je le revois dans six semaines pour une réévaluation radioclinique. Excellente évolution radioclinique à 3.5 mois postopératoire. Prochain contrôle dans 4 mois pour planifier l'ablation du matériel d'ostéosynthèse (arrêt de travail à prévoir pour 3 semaines). Dans l'intervalle poursuite de la physiothérapie. Excellente évolution radioclinique avec une patiente satisfaite et qui a bien récupéré la fonction de sa main. Mme. Y veut encore terminer ses séances d'ergothérapie. En regard de la bonne évolution, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition si besoin. Excision de kératose actinique au niveau de la tête. Opération de l'épaule droite. Opérations ophtalmologiques de longue date. Excision de la partie extériorisée du silastic sur demande insistante du patient. Avis ORL Dr. X: réévaluation clinique au E4 le 23.02 à 10h du matin. Excision de plaie, prélèvements bactériologiques, lavage abondant le 14.12.2018. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g/jour, puis relais per-os à la sortie à raison de 2 x 1 g/jour. Excision des berges de la plaie chirurgicale, débridement, prélèvements, lavage, libération des adhérences et fermeture cutanée primaire coude G (OP le 28.01.2019). Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 28.01. au 30.01.2019 puis Co-Amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 08.02.2019. Microbiologie peropératoire du 28.01.2019 : négatif à J2. Avis d'infectiologie 31.01.2019 : La plaie n'est pas infectée pour l'heure actuelle. Cependant, au vu d'une déhiscence de plaie avec le matériel d'OS à l'air, celui-ci a probablement été colonisé par des germes de la peau. Ad traitement antibiotique de 2 semaines. Excision en totalité d'un carcinome basocellulaire nodulaire péri-mandibulaire G le 06.06.2017. Globe urinaire le 30.09.2018 avec récidive le 14.10.2018 suite au retrait accidentel de la sonde vésicale. Sonde urinaire du 30.09 au 05.12.2018. Excision kyste synovial du pied droit 1998. Exclusion de TVP aux MIG. Exclusion d'une infection urinaire le 06.02. Poursuite du traitement symptomatique. Ad. Normolytoral. Signes de déshydratation expliqués. Excroissance patellaire latérale genou D sur statut post. - OS d'une fracture de la rotule D par 2 vis dans les années 1970. - Début de gonarthrose tri-compartimentale D. Excroissance post-fracture patellaire droite. Début d'arthrose tri-compartimentale genou droit. Exérèse basaliome de l'angle mandibulaire G en 2017. Panendoscopie et cordectomie de type III-IV sous micro-laryngoscopie en suspension au laser CO2 en 2016. Carcinome de la prostate, traité par radio- et hormonothérapie en 2006. Exclusion d'une infection urinaire. Exostose cartilagineuse métaphyse dorso-médiale à G. Expansion volémique. Expansion volémique. Expansion volémique. Expansion volémique CVV-HDF au Citrate du 12.02 au 13.02.2019. Expansion volémique CVV-HDF au Citrate du 12.02 au 13.02.2019. Surveillance de la créatinine. Expansion volémique Imipenem le 05.02.2019. Meropenem IV du 05.02 au 06.02.19. Rocephine IV du 06.02 au ... Flagyl IV du 06.02 au ... Fluconazole IV 800 mg le 05.02, puis 400 mg du 05.02 au ... Expansion volémique Suivi biologique. Explication de la basse probabilité d'une crise convulsive chez un enfant entre sommeil et éveil n'ayant sans perte de contact. Re-explication des mesures à prendre en cas de convulsion. Probable gastro-entérite débutante, reconsulter lundi 18.02 chez pédiatre si persistance de fièvre sans symptômes de gastro-entérite pour éventuellement faire un examen d'urines. Explication de la possible réinfection par un autre virus notamment celui de la grippe. Explication des résultats de l'ultrason des voies urinaires. Suite du traitement par le médecin traitant. Explication des résultats de sérologie et dépistage. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 08.02.2019. Prévention au sujet des maladies sexuellement transmissibles. Explication des résultats. Si persistance des symptômes, proposition de consulter chez son médecin traitant +/- urologue. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Explication donnée par le médecin pour examen. Rx de l'épaule gauche. Antalgie reçue aux urgences : - Fentanyl 175 mcg i.v. - Dormicum 2 mg i.v. Avis orthopédique ( Dr. X) : Gilet orthopédique et antalgie. IRM de l'épaule dans les prochains jours. Rendez-vous au team membre supérieur dans 7 jours (Mr. Y sera convoqué). Explication du doute de fracture aux parents mais de l'attitude similaire en cas de contusion/fracture non déplacée. Explication préalable pour les différents examens : - Laboratoire : cf annexes. - ECG : cf annexes. - IRM cérébrale avec vaisseaux : pas de lésion ischémique, comblement des cellules mastoïdiennes gauches.• Rediscuter d'une échocardiographie + Holter en ambulatoire à la recherche d'une fibrillation auriculaire. • Explication préalable pour les différents examens: CT cérébral : pas de fracture de l'os nasal. Rappel anti tétanique. Après désinfection par Hibidil, anesthésie locale, suture par 3 pts simples avec Prolène 5.0 ; fils à enlever dès J5 • Explication préalable pour les différents examens: CT crânio cervical : pas de fracture, pas de saignement. Consignes de surveillance post-traumatisme crânien données au fils de Mr. Y après surveillance de 4h aux urgences. • Explication préalable pour les différents examens: CT Time is brain: pas de saignement, vaisseaux précérébraux dans la norme, pas de lésion focale, pas de déficit sur les cartes de perfusion. ECG: RSR 60/min, axe droit, PR 200 msec, QRS fins, ST isoélectriques. Laboratoire: aligné. Schellong négatif. Avis neurologie (Dr. X): AVC-AIT peu probable, recommande IRM en ambulatoire au vu de la possible ptose labiale gauche, rechercher autre cause à la perte de connaissance. • Explication préalable pour les différents examens: Culture d'urine. PCR urinaire chlamydia/gonorrhée: Chlamydia +, Gonorrhée - Dépistage VIH, syphilis: - Recommandation de Safe sex + prendre contact avec toutes les partenaires sexuelles depuis 6 mois. Urispas pour symptomatologie urinaire. Prendre contact avec son médecin traitant en début de semaine prochaine si non amélioration de la symptomatologie + pour résultats de la culture d'urine. Critères de reconsultation expliqués. • Explication préalable pour les différents examens: ECG: pas de signes d'ischémie. Laboratoire: Trop H0 < 3 mg/l, hypokaliémie déjà substituée, pas d'anémie, pas d'autre trouble électrolytique. Réassurance de la patiente. • Explication préalable pour les différents examens: ECG: rythme sinusal régulier sans troubles de la repolarisation, QRS limite sans image de bloc de branche, pas de déviation axiale. Radio thorax. Laboratoire: Trop H0: 15 ng/mL, H1 19, H3 15. D-dimère 800. CT thoracique (rapport oral): Pas d'embolie pulmonaire. Pas de foyer ou autre élément pouvant expliquer la pathologie. Aspirine 250 mg IV. Héparine 5000 U IV. Avis cardiologique (Dr. X). Attitude (discutée avec les collègues de cardiologie): • retour à domicile. • début d'un traitement d'Aspirine cardio. • coronarographie en électif demain. • expliqué dans quelles conditions il faudra reconsulter en urgence. • Explication préalable pour les différents examens: ECG: sinusal, régulier. Bradycarde 53/min. Pas de BAV avec PR < 200 ms. QRS fins. St isoélectrique. Laboratoire: aligné. • Trop H0: 4 ng/L, H1: 4 ng/L • D-dimères: négatifs. Radiographie du thorax: pas de foyer. Antalgie: Dafalgan, Voltarène. Retour à domicile. Rendez-vous chez son psychiatre cet après-midi. • Explication préalable pour les différents examens: ECG: Sinusal. Régulier. FC 68/min. PR dans la norme. QRS fins. ST isoélectrique. Pas de troubles de la repolarisation. Laboratoire: aligné. Radiographie du thorax: sans particularité. Attitude: • Conseils hygiéno-diététiques (notamment stopper la consommation de café). • Consultation chez le médecin traitant afin d'effectuer un nouveau Holter et effectuer un contrôle chez un cardiologue. • Explication préalable pour les différents examens: ECG: sinusal régulier, sans trouble de la conduction sans trouble de la repolarisation, QT normal. Test de Schellong. Avis chirurgical: conseil de suture de la plaie par 3/0 en point simple avec couverture antibiotique par Co-Amoxicilline. Parage de la plaie : Dr. X, désinfection locale, champage, anesthésie locale par Lidocaïne 1%, pose de 6 points de sutures 3/0. Pas de complication post-geste. • Retour à domicile. • Antalgie. • Antibiothérapie par Co-Amoxicilline pendant 7 jours. • Conseil d'ablation des fils à 8 jours. • Conseil de réévaluer avec le médecin de famille si signe d'infection loco régionale et/ou apparition de trouble urogénital. • Explication préalable pour les différents examens: ECG: tachycardie sinusale, rythme régulier, axe dans la norme, pas de trouble de la repolarisation, PR dans la norme, QRS et QT dans la norme. Laboratoire: cf annexes. Aux urgences: Magnésium 2 g IV. NaCl 500 ml 0.9% sur 2 heures. Attitude: Réassurance. Consigne d'arrêt des anabolisants. Critères de gravité expliqués au patient. • Explication préalable pour les différents examens: ECG. Laboratoire. Pas d'argument pour une embolie pulmonaire ou une origine cardiaque. • Explication préalable pour les différents examens: ECG. Laboratoire: Troponine négative. Reste aligné. Réassurance. Retour à domicile avec contrôle chez le médecin traitant en cas de persistance. • Explication préalable pour les différents examens: ECG. Lisinopril 10 mg. • Explication préalable pour les différents examens: ECG. Réassurance. • Explication préalable pour les différents examens: ECG. Réassurance. Suite chez le médecin traitant. • Explication préalable pour les différents examens: ECG. Suivi clinique le 01.03.2019. • Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire : alcool 3.74. Urines: cocaïne négatif, amphétamines négatif. CT crâne natif (rapport téléphonique, Dr. X) : pas de fracture, pas de saignement intracrânien. Aux urgences : Mesures de contention, Haldol 4 mg i.m., Dormicum 10 mg i.m., 20 mg i.v., rappel tétanos. PAFA et hospitalisation à Marsens dans un contexte de mise en danger à répétition et situation sociale difficile. • Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire : d-dimères à 265 ng/ml, troponine 4 ng/l, pas de syndrome inflammatoire. ECG : rythme sinusal régulier à 90/min, axe QRS gauche, pas de sus- ou sous-décalages ST. Sédiment urinaire : propre. Echographie ciblée de l'abdomen (Dr. X) : US abdominal dans la norme, pas d'argument pour une dissection aortique. Echographie ciblée du cœur (Dr. X) : pas d'épanchement péricardique. Majoration du traitement de Pantozol à 40 mg/jour pendant 10 jours. Alucol 3x10 ml/jour. Pas de prise de café ou d'alcool. Arrêt de la prise d'Irfen. Contrôle chez le médecin traitant dans 10 jours. Si persistance des douleurs, merci d'adresser la patiente pour une gastroscopie en ambulatoire. • Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Frottis grippe (Influenza A/B PCR) : Influenza A positif. Gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire partielle légère (pH 7.41, pCO2 5.3 kPa, pO2 9.8 kPa, bicarbonate 25 mmol/l) ECG. Radiographie du thorax ap/latéral. Tamiflu 75 mg 2x/jour. Antalgie simple. • Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Stix/sédiment : propre. • Contrôle biologique et clinique chez le médecin traitant dans 72 heures. • Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: absence de syndrome inflammatoire. Spot urinaire: absence d'hématurie ce jour. Consilium gynécologique: pas d'argument pour une étiologie gynécologique. Consilium chirurgie (Dr. X): ad IRM dès que possible. Aux urgences: • 1 g de Paracétamol per os. • 50 mg de Voltarène per os. • 15 mg de Morphine per os. Attitude: • IRM en ambulatoire. • Antalgie par Paracétamol, Novalgine, Tramal et Buscopan. • Critères de reconsultation expliqués à la patiente. • Arrêt de travail pour une semaine. • Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire aligné (hormis CK élevées, à suivre) ; glycémie à 9 mmol/l. CT cérébral: pas d'hémorragie. Thérapie reçue: • Par les ambulanciers: Dormicum 2x 5mg i.m. • Aux urgences: Haldol 2mg i.v., Dormicum 2mg i.v. à l'arrivée + Haldol 1 mg i.v. à 6h + Haldol 1mg iv à 9h.US ciblé (Dr. X) : pas de liquide libre dans l'abdomen, vessie pleine à 300 ml. Attitude: Vue par nos collègues psychiatres de liaison: hospitalisation à Marsens sous PAFA. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: aligné. • trop H0: 6, H1: 6 ng/mL. Reste du labo aligné. ECG: axé hypergauche, sinon dans la norme. Radiographie du thorax. Nitré 1 cp 0.8 mg avec diminution des symptômes. Avis cardiologique (Dr. X): Éventuel angor sur pic hypertensif. Merci de convoquer le patient en ambulatoire pour une consultation cardio et un bilan ergométrique. Majoration du traitement antihypertenseur: Vascord HCT 40/5/25 1x/j. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Amélioration des symptômes après 500 mg de paracétamol. Poursuite de l'antalgie en réserve à domicile. Reconsultera son médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Antiémétique (Domperidon 10 mg), IPP (Pantoprazole 40 mg iv), à poursuivre à domicile. Suite chez le gynécologue traitant le 18.02, revient en urgence sur récidive, avis gastro-entérologue à ce moment-là. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Aux urgences: morphine 9 mg per os, paracétamol 1 g, Alucol 10 ml. Ordonnance de Buscopan et Dafalgan. Voir avec le médecin traitant pour le suivi psychiatrique. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: cf annexes. Avis gastroentérologique: probable syndrome de Mallory Weiss, dans un contexte de vomissement lié à la grossesse. Pas de nécessité de réaliser une OGD, seulement si persistance des saignements ou aggravation des saignements. Propose un traitement antiémétique et d'IPP. Pantozol 20 mg 1x/jour. Primpéran 10 mg 1x/jour. Consultation en gynécologie avec suivi en gynécologie. Reconsulter si saignement et dans ce cas-là discuter d'une gastroscopie. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: cf annexes. Contrôle chez le médecin traitant en fin de semaine. Si récidive, demander un avis ORL. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: cf annexes. CT scan cérébral injecté: pas de saignement, pas d'ischémie, pas de lésion focale. Avis neurologique téléphonique (Dr. X): possible amnésie transitoire globale, IRM cérébrale à prévoir. Attitude: Consigne de reconsultation avec critères de gravité communiqués au patient. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: cf annexes. Examen clinique rassurant. Retour à domicile avec réassurance du patient sous Dafalgan/Irfen. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: cf annexes. Avis orthopédique (Dr. X). Attitude: Nettoyage de la plaie avec Aquagel et réfection de pansement avec Prontosan, débridement de fibrine. Retour à domicile avec traitement symptomatique, pas d'antibioprophylaxie. Contrôle en Filière 34 à 48 heures avec laboratoire pour suivi du syndrome inflammatoire. Signes de gravité devant amener à une nouvelle consultation aux urgences expliqués. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: CRP < 5 mg/l, Lc 13.7 G/l. Sédiment urinaire: propre. Antalgie. Consulte son médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Consulte les urgences en cas d'apparition de fièvre, péjoration de l'état général. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: CRP 15 mg/l, Leucocytes dans la norme, Trop H0: 9 ng/l, H1: 8 ng/l, tests hépato-pancréatiques et de cholestases normaux. ECG: pas de signes ischémiques. Angio-CT-abdominal: pas d'anévrisme, pas de dissection. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: CRP 34. Echographie abdominale (Dr. X): Non contributif. CT abdominal: transmission orale Dr. X): absence d'explication pour les douleurs. Consilium chirurgie: contrôle clinique et biologique à 48h en filière. Attitude: • Antalgie simple. • Contrôle clinique et biologique à 48h en filière +/- avis gynécologique. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: CRP <5 ng/l, VS 38 mm/h, tests hépatiques dans la norme, éosinophiles dans la norme. Strepto-test négatif. Avis dermatologique (Dr. X). Biopsie faite (pour confirmation diagnostique). Attitude: • Excipial U Lipolotion le matin. • Elocom crème sur toutes les lésions 1x/j 10 jours, 1x/2 10 jours. • Ablation des fils dans 10-14 jours. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: CRP 6 mg/l, Lc 5.4 G/l. OPG: pas de lésion osseuse visualisée, dent de sagesse inférieure gauche en train de pousser. Avis ORL (Dr. X): rendez-vous en ORL mardi pour US et consultation ORL, AINS d'ici là. Irfen 600 mg 3x/j jusqu'au rendez-vous en ORL. Consulte en cas d'apparition de fièvre, péjoration clinique. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. CT-cérébral natif: pas d'hémorragie cérébrale, pas de fracture. ECG. Surveillance neurologique aux 4h (hospitalisation aux urgences). Attitude: • Retour à l'EMS avec antalgie. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. ECG. Avis ORL (Dr. X, Dr. X): cf DD mentionné ci-dessus, ad hospitalisation en médecine au vu des vertiges importants, investigations en ORL demain (audiométrie). Pas de place disponible à l'HFR Fribourg, pas de surveillance possible aux urgences. Patiente acceptée pour un transfert à Riaz pour hospitalisation en médecine. Patiente refuse la prise en charge, disant que le transfert en ambulance coûte trop cher. Expliqué à la patiente que c'est la seule possibilité qu'on peut lui offrir. Attitude: • RAD contre avis médical. • Suite de la prise en charge en ORL, la patiente sera convoquée. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. ECG. Radiographie du thorax. Coronarographie le 14.02.2019 (Dr. X). Avis des soins: pas de place au moment, au vu que le patient habite le canton. Avis cardiologique: Aspégic 500 mg i.v. aux urgences. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Évaluer US vs CT recherche thrombose porte. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: FeUrée 38.6%. Urines: protéinurie 2.92 g/l avec albuminurie 2987 mg/L. Avis néphrologie (Dr. X): pas d'investigation néphrologique nécessaire. Attitude: • contrôle de la fonction rénale chez le médecin traitant vendredi 01.03.2019. • stop Torem, revoir selon la fonction rénale le 01.03.2019. • Stopper metformine si péjoration de la fonction rénale. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Gazométrie. ECG. Echo-coeur aux urgences (Dr. X): FEVG conservée, légère hypokinésie de la paroi inférieure du ventricule gauche, pas de dilatation de l'OG. Pas de dilatation de la VC. Téléphone avec le médecin traitant (Dr. X). • Retour à domicile. • Discours motivationnel: nous avons expliqué au patient l'importance d'un suivi thérapeutique chez son médecin traitant pour les problèmes d'alcool et psychiatriques. • Nous proposons un suivi psychiatrique, ainsi qu'une consultation de contrôle chez le cardiologue. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: hémoglobine 132 g/l, thrombocytes, fibrinogène et facteur V dans la norme. Compression des narines bi-digitale pendant 10 minutes. Insertion de ballon de compression Rapid Rhino 5.5 cm. NaCl 1000 ml i.v., Konakion 10 mg i.v. Convocation pour consultation ORL dans 48 h suivra. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: H0: 5, H1: 6. ECG. Reçoit 10 mg de Primpéran et 1 g de Novalgine aux urgences. Retour à domicile avec suivi chez le médecin traitant.Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: paracétamolémie à 4h à 47.1 mg/l Avis du psychiatre de liaison : retour à domicile après discussion avec Mme. Y et son père, Temesta pour le soir, suivi le 15.02.19 au Centre psycho social. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Ponction d'ascite le 26.02.2019 : 7300 cc, liquide trouble beige, sans complication. Répartition cellulaire sans signe de péritonite bactérienne spontanée (94 éléments/mm3, dont 12% de polynucléaires). Complémentation par Albumine IV 60 g en ordre unique le 26.02.2019. TIPS en cours d'organisation à l'Inselspital (CT et Echocardiographie de bilan pré-TIPS réalisés le 04.02.2019) en attente de convocation actuellement. Consultation avec Dr. X le 14.03.2019 pour soins de support dans le cadre de pathologie terminale. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Radiographie du thorax. ECG. Réassurance, antalgie simple. Suite chez le médecin traitant si nécessaire. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Réassurance, suivi organisé le 14.02 en chirurgie pour discuter d'une cholecystectomie. Reconsulter si récidive des symptômes. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: stable. Urines: pas de leucocytes. Symptômes d'alarmes expliqués. Retour à domicile avec antalgie et opération le 08.03.19. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: trop H0 6, H1 7. ECG: rythme sinusal régulier sans troubles de la repolarisation. Radiographie de thorax. Attitude: • traitement d'épreuve par Pantozol pendant 10-14 jours. • suite de prise en charge chez le médecin traitant. • expliqué dans quelles conditions il faudra reconsulter aux urgences. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: trop H0 8, trop H1 8. ECG: rythme sinusal régulier, pattern de repolarisation précoce avec sus-décalage limite en V2-V3. Attitude: • retour à domicile avec traitement symptomatique. • suite de prise en charge chez son cardiologue traitant, Dr. X, avec test d'effort le 28.02.2019. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire, Urines: bandelette avec leuco +, nitrites +, Hb+ au tri. Pas d'anomalie au sédiment/stix du laboratoire Consultation gynécologique: Mme. Y ne s'est pas présentée en gynécologie et ne répond pas sur son téléphone. Contrôle clinique en filière à 48h, pister la culture. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire: 1212 ng/ml Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane (100 mg, 2x/jour) avec instruction à l'auto-injection. Rendez-vous le 25.02.2019 en angiologie pour recherche de thrombose veineuse profonde, le patient sera convoqué. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Analyses urinaires. ECG. Radiographie de thorax. Ad Amlodipine 5 mg + Nitroglycérine caps 0.8 mg per os aux urgences, en réserve si TAS > 170 mmHg. Adaptation du traitement anti-hypertenseur chez le médecin traitant (Mme. Y ne connaît pas sa posologie). Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire Avis chirurgical (Dr. X) 02.02.2019: • Ajustement de la PEG avec résolution des douleurs abdominales. Attitude: • Retour à domicile et conseil de reconsulter en cas de récidive des douleurs abdominales, état fébrile, nausée/vomissement. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Avis neurologie (Dr. X): ad transfert à Berne pour IRM cérébrale, pas de CT car enceinte de 10 SA, pas d'indication à effectuer d'autres examens complémentaires. Attitude: Transfert aux urgences de Berne pour organiser une IRM. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Avis neurologique (Dr. X): retour avec Urbanyl 6 jours. Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine: pister le taux de Lamictal, +/- contrôle neurologique et EEG. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Consilium psychiatrique (Dr. X) Décision de PLAFA en raison du refus d'hospitalisation de Mme. Y et protection de mise en danger. Examens somatiques à demander pendant l'hospitalisation psychiatrique (entre autres examen ophtalmologique, dosage cortisol et prolactine, comme mentionnés dans la lettre de sortie précédente d'Yverdon-les-Bains). Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. ECG. Avis cardiologique (Dr. X) : • Suivi organisé à la consultation du Dr. X cette semaine avec échographie cardiaque. • Pas d'anticoagulation d'emblée car pas de fibrillation auriculaire objectivée aux urgences ni par le passé selon Dr. X. Critères de gravité communiqués au patient. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire ECG CT Time is Brain : pas de saignement, pas de lésion ischémique, pas d'asymétrie de perfusion, pas d'occlusion vasculaire. Avis neurologique (Dr. X/Dr. X): charge en Aspégic 250 mg iv, ad IRM cérébrale le jour même, qui est normale ; au vu de la durée des symptômes sans atteinte centrale sur l'imagerie, AVC/AIT exclu. Consultation ORL en ambulatoire. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. ECG. Dosage du taux de Levetiracetam: en cours. Avis neurologique (Dr. X, Dr. X) EEG. 500 mg de Levetiracetam per os aux urgences Attitude (discutée avec les neurologues): • retour à domicile. • conduite de la voiture interdite jusqu'à nouvel avis. • augmentation du traitement de Levetiracetam à 1000 mg 2x/jour. • suite à la consultation de neurologie à 3 semaines. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Gazométrie artérielle. Avis neurologique (Dr. X, Dr. X). CT-scan cérébral protocole time is brain (Dr. X). 1000 NaCl sur 12 heures. Oxygénothérapie avec cible 94% Avis neurologique Inselspital Bern Attitude: • transfert à l'Inselspital pour suite de prise en charge. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Ponction d'ascite le 26.02.2019 : 7300 cc, liquide trouble beige, sans complication. Répartition cellulaire sans signe de péritonite bactérienne spontanée (94 éléments/mm3, dont 12% de polynucléaires). Complémentation par Albumine IV 60 g en ordre unique le 26.02.2019. TIPS en cours d'organisation à l'Inselspital (CT et échocardiographie de bilan pré-TIPS réalisés le 04.02.2019) en attente de convocation actuellement. Consultation avec Dr. X le 14.03.2019 pour soins de support dans le cadre de pathologie terminale. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Radiographie du thorax face + profil: pas d'épanchement pleural, pas de fracture de côte visible. Scanner abdominal: pas d'atteinte splénique, reste des organes abdominaux sans particularité. Fracture du cartilage chondro-costal de la 7ème côte gauche avec discret hématome périphérique. Traitement antalgique. Mise au repos : arrêt de travail 3 jours et arrêt du sport pendant un mois. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Radiographie du thorax Dépistage EBV: en cours IRM neurocrâne organisé: à pister. Suite de prise en charge chez le médecin traitant, le patient a été invité à nous reconsulter en cas de péjoration des symptômes ou apparition de nouveaux symptômes neurologiques déficitaires. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoires le 07.02.19: pas d'anémie, pas de syndrome inflammatoire, pas de retentissement sur la fonction rénale. US aux urgences le 07.02.19: dilatation pyélo-calicielle. CT abdominal le 07.02.19: calcul radio-opaque de 3 mm logé dans la jonction urétéro-vésicale droite, discrète dilatation des voies urinaires en amont. • Avis assistant de chirurgie.Attitude: • Antalgie • Traitement conservateur par Pradif T 400 mcg jusqu'à élimination du calcul, filtration de toutes les urines jusqu'à élimination du calcul, antalgie et anti-inflammatoire • Contrôle chez son médecin traitant début semaine prochaine • Arrêt de travail à 100% pour 4 jours. • Nous laissons le soin au médecin traitant de recontrôler la FSS, la CRP et la fonction rénale. • Le patient est informé des symptômes qui doivent le faire reconsulter en urgence. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Sédiment urinaire. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Traitement par Co-Amoxicilline 10 jours + antalgie. US le 22.02 pour exclusion d'une thrombose sous-jacente. a reçu clexane prophylactique en attendant Contrôle clinique à 48h en filière. Symptômes d'alarmes expliquées. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Trop H0 + H1: pas de cinétique significative. ECG. CT thoracique à la recherche d'une embolie pulmonaire (transmission tél. Dr. X): pas d'embolie pulmonaire, atélectasie du LID, emphysème centro lobulaire et para septal. Pantozol 40 mg iv. Aspirine 250 mg iv. Retour à domicile avec IPP, pansement gastrique en réserve, proposé au patient de prendre son traitement plutôt le matin voir matin et midi pour éviter l'effet stimulant de la Prednisone au coucher Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Trop H1: stable à 11, Trop H3: 14. Radiographie: pas de foyer, pas de pneumothorax. Résolution de la symptomatologie une heure après son arrivée, retour à domicile avec symptômes d'alarmes expliqués. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Urines propres. Uriculte: E Coli multisensible Hémocultures à froids: négatif à J2 Ceftriaxone 2 g iv le 01.02.2019. Nitrofurantoïne le 02.02.2019. Attitude: Adaptation de l'antibiothérapie et introduction de Cefuroxim 500 mg 2x/jour le 03.02.2019 au vu de l'insuffisance rénale. Patiente reconsultera en cas de péjoration clinique. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Urines. ECG. Ponction aux urgences: culture + chimie en cours. Rocéphine 2 g IV, après adapter selon dose. Lactulose 30 ml per os. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Urines. NaCl 0.9 % 500 ml sur 1h IV. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie cheville droite: fracture. Botte fendue. Antalgie. Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane avec instruction à l'auto-injection. Élévation du membre inférieur. Patient sera convoqué un scanner cheville droite et sera convoqué pour l'opération définitive. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie colonne lombaire: pas de fracture visualisée. Retour à domicile avec antalgie simple par Dafalgan, bon de physiothérapie, traitement topique. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie coude droit face/profil: rapport ostéoarticulaire conservé, pas de signe de fracture, pas de fat pad, pas de signe avulsion osseuse/ligamentaire. Examen clinique. Immobilisation antalgique avec écharpe. Antalgie. Contrôle membre supérieur le 1er mars 2019. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie de la cheville face/profil: fracture fibula distale, doute sur une atteinte malléole interne/postérieure. CT de la cheville. Avis orthopédique (Dr. X). Prescription de béquilles avec instructions à la marche données. Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane avec instruction à l'auto-injection. Plâtre aux urgences. Retour à domicile avec antalgie simple. Patiente sera convoquée en orthopédie. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie de la cheville face/profil: possible fracture de l'os trigonum ancienne. Pas d'autre lésion décelable. Bandage élastique avec Flector patch. Charge selon douleurs. Antalgie simple. Contrôle chez le médecin traitant. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie de la colonne cervicale face/profil/odontoïde. CT-cervical. Avis orthopédique Dr. X. Attitude: Immobilisation dans une attelle mousse. Antalgie et anti-inflammatoire. IRM et consultation au Team Spine au cours de la semaine. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie de la colonne lombaire face/profil: pas de lésion osseuse décelable, bon alignement de la colonne lombaire. Antalgie simple. Contrôle chez le médecin traitant. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie de la colonne lombaire: pas de fracture. Traitement symptomatique. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie de la main droite face/profil/oblique: pas de lésion osseuse décelable. Antalgie topique avec Voltarène Emulgel. Antalgie simple. Attelle Edimbourg pour 3-5 jours avec mobilisation en dehors de l'attelle Contrôle chez le médecin traitant. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie de la main gauche: fracture non déplacée. Avis orthopédique (Dr. X): attelle Edimbourg, contrôle radiologique et suivi en ortho urgence à 7 jours. Attelle Edimbourg. Contrôle radiologique et suivi en ortho urgence à 7 jours. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie de l'épaule droite. Attitude. • Antalgie. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie de l'épaule droite face/axiale/neer: pas de fracture, pas de luxation. Avis orthopédique (Dr. X). Attitude: Retour à domicile avec traitement antalgique. Physiothérapie selon protocole de San Antonio. Signes de gravité devant amener à une nouvelle consultation aux urgences expliqués. Expliqué au patient qu'en cas de persistance des douleurs à 3 semaines malgré l'antalgie, il faudra reconsulter aux Urgences étant donné que le patient n'a pas de médecin traitant. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie de l'épaule gauche: Pas d'argument pour une fracture, pas de disjonction acromio-claviculaire. • Retour à domicile. • Réassurance • Immobilisation par bretelle droite pour un maximum de 3 jours. • IRM de la coiffe des rotateurs en ambulatoire à la recherche d'une lésion de la coiffe des rotateurs. • Antalgie. • Conseil de réévaluer avec le médecin de famille si persistance des douleurs malgré l'antalgie et dès réception du résultat IRM de l'épaule +/- suite de prise en charge par un orthopédiste. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie de l'épaule gauche: pas de fracture. Avis orthopédique Dr. X. Écharpe. Antalgie simple. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie de l'épaule gauche. Avis orthopédique (Dr. X): immobilisation antalgique par bretelle orthopédique, antalgie par Dafalgan et Irfen, physiothérapie. Proposition de faire une IRM de l'épaule gauche en Espagne chez une patiente traitée habituellement en Espagne. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie de O5 pied droit: pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X): probable contusion, peu d'argument pour une arthrite psoriasique ni septique, attelle et suivi de l'évolution. Attelle plate. Irfen 600 mg 3x/jour pendant 48h puis selon douleurs. Rendez-vous de suivi en fin de semaine chez son médecin traitant. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie du bassin face, colonne lombaire face/profil: doute sur une atteinte de la sacro iliaque droite après discussion avec consultant orthopédiste (Dr. X). Complément par CT bassin: pas de fracture visualisée. Donné consignes de surveillance post-traumatisme crânien, antalgie simple.Explication préalable pour les différents examens: Radiographie du coccyx face/profil. CT du coccyx: pas de fracture décelable. Antalgie simple. Contrôle au Team Spine dans 7-10 jours. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie du coccyx: pas de fracture visualisée (avis ortho de Dr. X). Retour à domicile. Dafalgan, Irfen. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie du genou gauche face/profil/rotule axiale: pas de fracture décelable, pas de déplacement des vis. Radiographie hanche gauche face/axiale: pas de lésion osseuse décelable. Radiographie bras droit face/profil: pas de fracture décelable. Antalgie simple. Contrôle chez le médecin traitant. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie du genou gauche face/profil/rotule axiale. Avis orthopédique (Dr. X). Attitude: Retour à domicile avec traitement symptomatique. En cas de persistance des douleurs, expliquer à Mr. Y qu'il devra reconsulter chez son médecin traitant pour organiser une IRM du genou et par la suite qu'il soit adressé à la consultation orthopédique du membre inférieur. Signes de gravité devant amener à une nouvelle consultation aux urgences expliqués. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie du poignet face/profil: pas de débris métalliques. Suture. Pansement à changer à 48h. Pas de contact avec l'eau pendant 24h, pas de bains pendant 48h. Point à enlever chez le médecin traitant à 12-14 jours. Antalgie. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie du poignet gauche face/profil. Avis orthopédique Dr. X. • retour à domicile avec poursuite du traitement antalgique • explication de l'importance de faire la physiothérapie, de mobiliser son membre supérieur gauche et de prendre la vitamine C. • expliqué à Mme. Y les motifs de reconsultation. • suite de prise en charge en orthopédie. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie du poignet: pas de lésion osseuse. Attelle velcro. Antalgie. Protocole RICE avec instructions données. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie du thorax face: absence de fracture de côtes ou de pneumothorax visualisé. Attitude: Antalgie refusée par Mr. Y. Suite chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Critères de reconsultation expliqués à Mr. Y. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie du thorax: pas de foyer infectieux net visible. Retour à domicile. Arrêt de sport à la demande de Mr. Y. Antibiothérapie préventive par Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour devant la persistance des symptômes depuis 2 semaines. Conseils de représenter aux urgences si péjoration des symptômes malgré le traitement. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie du thorax: pas de fracture, pas de pneumothorax. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie du thorax: pas de fracture visualisée, pas de pneumothorax, pas d'épanchement. US ciblé Dr. X: pas de fracture costale. Consultation en filière 34 le 22.02 pour constat de coup et blessure. Retour à domicile avec antalgie simple. Reconsultera en cas de dyspnée. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie du thorax: pas de pneumothorax visualisé. Réassurance. Antalgie. Retour à domicile. Consulter le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie épaule droite: arthrose acromio-claviculaire. Pas de signe de tendinite calcifiante. Bretelle, physiothérapie antalgique, contrôle dans 2-3 semaines en ortho-urgences. Si persistance des douleurs, IRM et contrôle au Team membre supérieur. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie et scanner: pas de fracture au niveau du scaphoïde. Gantelet plâtré pour antalgie pour une semaine. Contrôle en ortho urgences pour ablation du gantelet et contrôle clinique. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie genou gauche face/profil/rotule gauche axiale: pas de lésion osseuse décelable. Bandage élastique avec pommade de Voltarène. Marche en charge avec béquilles. Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane avec instruction à l'auto-injection. Contrôle chez le médecin traitant dans 2 semaines. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie le 13.02.2019: pas de fractures. Avis orthopédique (Dr. X): Drainage hématome sous-unguéal. Antalgie. Reconsulter si signe d'infection ou péjoration de la douleur. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie lombaire face/profil: pas de fracture. US Fast: pas de liquide libre. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant à une semaine. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie main droite. Vaccin de rappel du tétanos. 1 dose Co-Amoxicilline 2.2 g IV. Avis orthopédique (Dr. X): • Transfert Berne pour opération par manque de place. • Orthopédiste: anesthésie, désinfection, champage. Exploration de la plaie avec mise en évidence d'une section partielle de 90% du ligament extenseur de la phalange D2 de la main droite. Fermeture par 7-8 points simples. Fermeture de la plaie superficielle de la partie ventrale de l'avant-bras gauche par 4 points simples. Entretien téléphonique avec le chirurgien de la main Berne (Dr. X): Pas d'indication pour eux à une prise en charge chirurgicale en urgence. Délai de 2 semaines maximum pour une opération en électif. Proposent en attendant attelle avec flexion main 30° extension. MCP 70° flexion. IPP 0°. Avis orthopédique (Dr. X): Retour à domicile avec attelle Edimbourg. Sera reconvoqué pour une opération en électif. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie: pas de lésion osseuse. Bande élastique. RICE. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant. Cannes pendant 4-5 jours. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie: pas de lésion osseuse. Charge selon douleur, antalgie. Protocole RICE avec instructions données au patient. Contrôle chez le médecin traitant au besoin. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie: pas de lésion osseuse. Attelle velcro. Antalgie. RICE. Contrôle chez le médecin traitant. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie: pas de lésion osseuse. Bande, antalgie, RICE. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie: pas de lésion osseuse. Bande élastique. RICE. Antalgie. IRM en ambulatoire. Contrôle au Team genou dans 2 semaines. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie: pas de lésion osseuse. Syndactylie pendant 6 semaines, antalgie, ergothérapie, contrôle en ortho-urgences dans 6 semaines. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie: petite calcification au niveau de l'insertion du muscle sous-épineux, pas d'autre lésion visible. Avis orthopédique Dr. X: Prévoir une consultation au Team membre supérieur pour évaluation d'une intervention chirurgicale du long biceps. Mr. Y sera recontacté. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie pied droit face/profil/oblique: pas de fracture décelable. Chaussure Darco avec charge selon douleurs. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie poignet et main face/profil/oblique: pas de fracture visualisée. Attitude: Attelle poignet à but antalgique pour 5-7 jours. Antalgie et anti-inflammatoire. Suite chez le médecin traitant en cas de persistance. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie rachis thoracique + scapula gauche: Pas d'argument pour une fracture. US abdominal (Dr. X): pas d'épanchement dans le Morison, pas d'épanchement dans le Douglas, pas de globe, pas d'épanchement dans le Kohler, pas d'argument pour une dissection aortique. • Retour à domicile. • Réassurance. • Antalgie. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie standard face/profil/rotule axiale du genou gauche: pas de lésion osseuse traumatique. Gonarthrose fémoro-patellaire. Mme. Y refuse l'antalgie. Physiothérapie de renforcement de la musculature autour du genou. Suivi par le médecin traitant: en cas de non-amélioration des douleurs en interne à 10 jours, envisager la réalisation d'une IRM. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie thoracique: pas d'argument pour un pneumothorax, doute sur une fracture costale arc antérieur gauche, pas de fracture sternale. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie thorax face + profil: pas de foyer visible, pas d'épanchement pleural. Traitement antalgique et anti-inflammatoire. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie. Avis orthopédique Dr. X: Aircast avec instructions à l'utilisation données au patient. Prescription de béquilles avec instructions à la marche données avec charge selon douleurs. Protocole RICE avec instructions données au patient. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine si persistance des douleurs. Explication préalable pour les différents examens: Radiographie. Avis orthopédique Dr. X: Après anesthésie locale en bague, révision de la plaie avec absence d'atteinte osseuse ou nerveuse. Rappel tétanos, Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pour 5 jours. Pansement occlusif. Contrôle en Filière 34 dans 7 jours. Explication préalable pour les différents examens: Radiographies genou gauche face + profil: pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X): décharge partielle avec cannes et bande à visée antalgique, pas d'immobilisation. Consultation dans 10-15 jours en team genou avec IRM au préalable. Traitement antalgique, arrêt de travail, glaçage. Explication préalable pour les différents examens: Réduction sous Propofol, Kétamine, Midazolam. Avis orthopédique (Dr. X): Gilet orthopédique et antalgie. IRM épaule droite (le patient sera convoqué). Patient sera convoqué au Team membre supérieur dans 2 semaines. Explication préalable pour les différents examens: Sédiment urinaire: leucocytes et érythrocytes incomptables, nitrites négatifs, flore bactérienne ++ Antibiothérapie par Nitrofurantoïne 100 mg 3 fois par jour pendant 5 jours. Consignes de reconsultation et circonstances favorisantes expliquées. Discussion éventuelle d'un traitement prophylactique en cas de récidive rapprochée. Explication préalable pour les différents examens: Sédiment urinaire: cf annexes. Bactrim forte 2x/jour pour 4 jours. Bactériologie à pister. Explication préalable pour les différents examens: Sérologies Syphilis, HBV, HCV, HIV. Dépistage Chlamydia et gonorrhée urinaire. Rocéphine 500 mg IV + Azithromycine 1 g per os. Doxycycline 100 mg 2x/jour pour 7 jours. Explication préalable pour les différents examens: Stix et sédiment urinaire: cf annexes. Urotube envoyé. Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pendant 7 jours. Explication préalable pour les différents examens: Stix et sédiment urinaire. Changement de sonde urinaire sur avis du Dr. X. Maintien du rendez-vous chez le Dr. X le 25.02.2019. Explication préalable pour les différents examens: Stix urinaire: leuco ++, sang ++++, nitrite + Retour à domicile, réassurance, conseils d'hydratation donnés à Mme. Y. Antibiothérapie par Nitrofurantoïne pendant 5 jours. Conseil de représenter aux urgences ou réévaluer avec le médecin traitant si péjoration des symptômes et/ou fièvre ou douleurs en loges rénales. Explication préalable pour les différents examens: US ciblé des membres inférieurs (Dr. X/Dr. X): pas de thrombose veineuse. Attitude: • Retour à domicile, patiente rassurée. Explication préalable pour les différents examens. Radiographie: pas de lésion osseuse. Physiothérapie avec exercices en chaîne fermée et renforcement du quadriceps. Attelle Jeans. IRM. Contrôle au Team genou. Explication préalable pour les différents examens Scanner lombo-sacral le 16.02.2019. Antalgie. Contrôle dans 3 semaines au Team Spine. Explications de la pathologie au patient. Radiographie genou gauche face/profil et axiale de rotule (05.02.2019): Enthésopathie de l'insertion du tendon rotulien sur la TTA, sans lésion osseuse traumatique. Attelle jeans à 0° durant 1 semaine. Anti-inflammatoires PO et topiques. Repos sportif durant 1 semaine. Explications des convulsions fébriles et de l'attitude à avoir. Nous donnons une ampoule de Diazepam rectal 5 mg et la feuille d'information. Si nouvel épisode contrôle aux urgences. Si persistance de l'état fébrile lundi, consultation chez le pédiatre. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire: aligné. • Stix urinaire: sang -, nitrite -, leucocyte -. • Test de grossesse urinaire: négatif. Avis chirurgien (Dr. X): pas d'indication à faire imagerie à l'heure actuelle. Antalgie avec Novalgine, Brufen, Buscopan et Tramal. Contrôle clinique au secteur ambulatoire des urgences le 18.02.2019. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire: CRP à 11. Délimitation de l'érythème avec photographie, changement de pansement. Retour à domicile avec traitement antibiotique. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48h. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. • CT cérébro-cervical natif: calcifications des noyaux gris centraux (diagnostic différentiel: atteinte métabolique ou infectieuse ancienne), apophyse odontoïde déviée vers la gauche (le plus souvent positionnelle), pas de fracture ni saignement, plaie fronto-pariétale droite. Retour à domicile avec instructions post-traumatisme crânien. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire du 16.02.2019: pas de syndrome inflammatoire. Avis orthopédique (Dr. X): laboratoire, immobilisation et rendez-vous de contrôle avec nouvelle prise de sang. Vaccination tétanos il y a 7 ans maximum. Immobilisation par attelle Edimbourg (avec explication d'utilisation). Poursuite du traitement antibiotique. Rendez-vous de contrôle le 17.02.2019 avec laboratoire de suivi. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire du 16.02.2019. • Sérologies HIV, HCV du 16.02.2019. Rendez-vous à 48h au secteur ambulatoire des urgences pour les résultats HIV et HCV. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire le 17.02.2019: TSH à contrôler le 18.02.2019. • Test de grossesse: négatif. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire: pas d'anémie, pas de syndrome inflammatoire. Avis orthopédique (Dr. X). Traitement antibiotique par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 5 jours. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 18.02.2019. Le patient est informé des symptômes devant l'amener à reconsulter les urgences. Explications données par le médecin avant: • Prise de sang pour le laboratoire. • Sédiment urinaire. • Hémocultures: en cours. • Radiographie du thorax. • Frottis nasopharyngé Influenza: en cours. Retour à domicile avec contrôle clinique au secteur ambulatoire des urgences le 17.02.2019 à 13h. Consigne de prendre 30 mg d'hydrocortisone ce matin. Explications données par le médecin avant:Prise de sang pour le laboratoire. Sonographie de l'abdomen supérieur du 15.02.2019 : pas de calcul, pas d'épaississement de la paroi de la vésicule, un polype dans la vésicule. CT abdomen du 15.02.2019 (rapport oral Dr. X) : pas de cholécystite, pas de colite, appendice libre, pas de liquide libre dans le ventre. Avis chirurgical (Dr. X) : CT abdominal à la recherche d'un foyer qui explique sa hausse du syndrome inflammatoire. Avis chirurgical (Dr. X après le CT) : traitement symptomatique, discuter d'une IRM en ambulatoire avec le médecin traitant. Traitement symptomatique. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 17.02.2019. Explications données par le médecin avant : • Prise de sang pour le laboratoire. Avis orthopédique (Dr. X) : débridement léger, pansement, rendez-vous de contrôle à 48h, poursuite de l'antibiothérapie pendant 5 jours. Poursuite de l'antibiothérapie pendant 5 jours. RDV de contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48h. Explications données par le médecin avant : • Radiographie de la main droite : pas de franche fracture visualisée. Avis orthopédique (Dr. X) : mobilisation avec une attelle poignet (avec explication d'utilisation), contrôle radiologique en ortho-urgences. Antalgie par Dafalgan et Irfen. Explications données par le médecin avant : • Radiographie du doigt : pas de signe d'ostéomyélite. Avis orthopédique (Dr. X). Ablation de pansement avec ablation de l'ongle (Dr. X). Désinfection par Bétadine, champage, anesthésie de la gaine des fléchisseurs par 2 cc de Lidocaïne 1 %, ablation de plaie, nettoyage du lit capillaire avec NaCl et Bétadine. Réfection de l'ongle en plastique, 2 points de suture avec Prolène 3.0, réfection de pansement avec Adaptic Digit. Antibiothérapie par C-Amoxicilline 1 semaine. Antalgie simple. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48h. Suite de prise en charge, avec ablation des fils à 3 semaines, chez le médecin traitant. Recommandation de reconsulter en cas d'état fébrile, de frissons ou de trouble neurologique. Explications données par le médecin avant : • Radiographie du poignet droit. Avis orthopédique (Dr. X) : attelle velcro au poignet droit (avec explication d'utilisation). Antalgie par Dafalgan et Irfen. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Explications données par le médecin avant : • Radiographie du thorax. • ECG. Réassurance du patient. Retour à domicile avec Dafalgan et Irfen. Explications données par le médecin avant : • Radiographie : pas de fracture. • US de l'avant-bras droit aux urgences (Dr. X) : collection de 1,5 x 0,5 cm. Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X) : Add US de l'avant-bras droit pour exclure un hématome drainable, pas de signe de fascéïte nécrosante. Plaie inférieure : rinçage de plaie, exploration de la plaie, désinfection par Bétadine, anesthésie par Rapidocaïne 2 ml, 2 points de suture au Prolène 4-0 (avec explications données au préalable), pansement. Plaie supérieure : pansement compressif. Co-amoxicilline 625 mg 2x/jour durant 7 jours. Antalgie simple par Dafalgan et Tramal. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48h. Mr. Y reconsultera avant en cas de péjoration clinique (forte douleur, état fébrile). Explications données par le médecin pour : CURB 1 point. Laboratoire. Radiographie thorax : infiltrat débutant lobe inférieur droit. Retour à domicile avec Augmentin 1 g 2x/jour pendant 7 jours. Contrôle chez son médecin traitant dans la semaine de retour en France. Explications données par le médecin pour : ECG. Laboratoire. Augmentation de la posologie d'AINS, poursuite de Colchicine. Réassurance, proposition d'introduire un traitement phytothérapeutique pour l'anxiété et les palpitations dans un premier temps, puis voir si indication à beta-bloquant si persistance des épisodes de palpitations. Suite chez le médecin traitant comme prévu le 15.02.2019. Explications données par le médecin pour : ECG. Laboratoire. CT cérébral natif à 3h du traumatisme crânien : pas d'hémorragie, pas de fracture. Surveillance neurologique pendant 4h aux urgences. Attitude : Retour à domicile. Feuille de surveillance traumatisme crânien au domicile. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à la patiente. Explications données par le médecin pour : ECG. Laboratoire. Radiographie du thorax. Score de Genève : 3 pts. Attitude : Retour à domicile avec traitement symptomatique. Suivi chez le médecin traitant avec discussion d'un bilan cardiaque par ergométrie. Explications données par le médecin pour : ECG. Lexotanil en réserve. Numéro du CPS donné à la patiente qui s'engage à les appeler demain pour organiser un suivi psychothérapeutique. Réassurance. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Explications données par le médecin pour examen. ECG. Attitude : • Holter déjà prévu, patient sera convoqué en cardiologie. • Retour à domicile avec réassurance. • Lexotanil en réserve si anxiété. Explications données par le médecin pour examen. ECG. Temesta en réserve. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire : aligne, CK, troponine dans la norme. Poursuite du traitement. Explication des critères de reconsultation. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire : aligné. Anti-émétique avec Motilium lingual. Imodium lingual. Antalgie avec Dafalgan et Irfen. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire : CRP 49 mg/l, leucocytes normal. Retour à domicile avec surveillance clinique par son mari Dr. X. Reconsultation si péjoration clinique. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire : CRP 67 mg/l, leucocytes dans la norme. Strepto-test : négatif. Traitement antalgique local avec Collunosol et Angina MCC. Antalgie et fébrifuge. Certificat médical jusqu'au 25.02. Critères de reconsultation expliqués. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire : pas de leuco, CRP à 6. Aux urgences : changement de pansement avec pansement Aquacel en regard de la fistule à gauche. Avis ortho (Dr. X) : pas d'intervention en urgence, pas de syndrome inflammatoire, le patient aura une consultation en ambulatoire en orthopédie. Retour à domicile avec contrôle en orthopédie dès que possible. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Persistance des douleurs ce jour, à 48 heures de la dernière consultation aux urgences. Morphine 10 mg i.v. avec soulagement des douleurs. Retour à domicile avec consigne d'augmenter l'antalgie en cas de péjoration des douleurs. Suite de prise en charge chez le médecin traitant et le gastro-entérologue. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire : CRP 6 (explication donnée par le médecin). Traitement donné aux urgences : hydratation avec NaCl 0,9 % 1000 ml. Antalgie : Paracétamol 1 g iv. Traitement antiémétique avec Odansétron 4 mg i.v. Attitude : • Stop Metronidazol. • Primpéran en réserve. • Suite de prise en charge chez le médecin traitant. • Critères de reconsultation aux urgences expliqués à la patiente en cas de péjoration. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. Hydratation par 500 cc NaCl. Poursuite du traitement instauré par le médecin traitant avec augmentation de la posologie du Métronidazole, poursuite du traitement symptomatique et conseils d'usage. Suite chez le médecin traitant selon évolution. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire : syndrome inflammatoire avec CRP 138, leucocytose à 14. Titration Morphine. Co-amoxicilline 2,2 g iv. Retour à domicile. Co-amoxicilline 1 g 3x/j durant 7 jours. Antalgie. Arrêt de travail. Reconsulter si péjoration ou persistance des symptômes à 48h. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. Avis neurologique (Dr. X) : céphalée médicamenteuse avec migraine récidivante. Pas d'imagerie nécessaire à ce jour. Mise en place d'Inderal d'office 10 mg 2x/j et Novalgine 500 mg 3x/j en réserve. • Retour à domicile. • Conseil de se représenter aux urgences si céphalée en péjoration ou déficit neurologique. • Contrôle de la fonction rénale chez le médecin traitant à une semaine. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. ECG. Réassurance. Explications données par le médecin pour examen. Laboratoire. Retour à domicile avec contrôle chez le médecin traitant en cas de récidive de la symptomatologie. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie : pas de lésion osseuse. Attelle velcro pour 4-5 jours. Protocole RICE. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie de la cheville droite : pas d'argument pour une fracture, pas d'argument pour une luxation. Retour à domicile. Immobilisation par attelle Aircast droite pendant 7 jours au maximum. Clexane 40 mg devant antécédents de varices des membres inférieurs associés à une boiterie d'esquive. Antalgie, conseil de glacer la cheville autant que possible avec surélévation du membre. Conseil de réévaluer à J7 avec médecin de famille pour testing de la cheville droite, +/- IRM selon résultat de l'examen clinique. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie de la main gauche : manque de pointe de la houppe de P3-D2. Antibiothérapie pendant 7 jours. Vaccin anti-tétanique. Lavage et rinçage de la plaie et fermeture par pansement occlusif. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie du thorax : pas de pneumothorax. Auscultation pulmonaire sans particularité. Retour à domicile avec antalgie et contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie du thorax et de la clavicule droite : fracture de la clavicule avec léger déplacement. Avis orthopédique : traitement conservateur avec consultation en orthopédie à J7 (se fera en Macédoine car le patient est en vacances en Suisse). Retour à domicile, réassurance, antalgie, immobilisation par anneau orthopédique avec conseils donnés au patient. Conseil de se faire suivre en Macédoine par un orthopédiste pour suite de prise en charge d'une fracture de la clavicule. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie main droite. Avis orthopédiste (Dr. X) : pas de fracture. • Attelle Edimbourg. • Antalgie simple. • Glace. • Arrêt de travail à 100 % pour 3 jours. • Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine si persistance des symptômes. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie main face/oblique : pas de fracture. Désinfection de plaie, anesthésie locale avec Rapidocaïne, 2 points de suture avec Prolène 4.0, pansement local. Rappel tétanos. Ablation de fils dans 7-10 jours en filière 34. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie thoracique : pas d'argument pour un foyer infectieux. Retour à domicile. Antalgie, anti-inflammatoire, prescription d'un sirop antitussif devant toux sèche. Conseil de réévaluer avec le médecin de famille si persistance des symptômes malgré le traitement symptomatique. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie thoracique : pas d'argument pour une pneumonie, pas d'argument pour un pneumothorax. Réassurance, retour à domicile, antalgie, conseil de réévaluer avec médecin de famille si persistance des douleurs malgré le traitement symptomatique. Explications données par le médecin pour examen. Radiographie. Antalgie simple. Explications données par le médecin pour examens effectués aux urgences. Laboratoire. ECG. Rx thorax : pas de foyer visualisé. Examen clinique. Explications données par le médecin pour examens. • Laboratoire : pas d'anémie, pas de syndrome inflammatoire. • Sédiment urinaire : Lc : +, sang : négatif, bactéries : +, nitrites : négatif. • Urotube : à pister. • Dépistage IST : HIV, Syphilis, Chlamydia, Gonocoque, à pister. Attitude : • Rocephin 500 mg dose unique et Azithromycine 1 g per os aux urgences. • Revient aux urgences dans 5 jours pour transmission des résultats. • Le patient est informé qu'il doit utiliser un préservatif en cas de rapport sexuel. • Le patient est informé des symptômes qui doivent le faire revenir aux urgences. Explications données par le médecin pour examens. • Laboratoire. • Test de Schellong. Attitude : • Magnésiocard 10 ml 1x/jour. • Arrêt de travail pour la journée. • Nous laissons le soin au médecin traitant d'organiser un Holter ainsi qu'un test de Tilt en ambulatoire. Explications données par le médecin pour examens. • Sédiment urinaire. • Laboratoire. • Urotube. Attitude : • Monuril. • Duspatalin Retard. • Traitement anti-douleur. • Revient aux urgences samedi pour transmission des résultats de l'urotube. • La patiente est informée des symptômes qui doivent la faire reconsulter en urgence. Explications données par le médecin pour examens. ECG : dans la norme. Laboratoire : Trop. nég. Reste aligné. Radiographie thorax : sans particularité. Réassurance. Retour à domicile avec antalgie. Consigne de mesurer et relever la tension artérielle 3x/j au domicile avec un contrôle chez le médecin traitant afin de discuter du profil tensionnel. Explications données par le médecin pour examens. ECG : pas d'anomalies. Laboratoire : aligné. Dosage de TSH par le médecin conseillé en cas de persistance de la symptomatique. Prise de rendez-vous chez le médecin traitant pour communication des résultats du Holter. Critères de reconsultation expliqués. Explications données par le médecin pour examens. ECG : rythme irrégulier, pas de signe d'ischémie. Laboratoire : pas d'anémie, pas de syndrome inflammatoire, pas de troubles électrolytiques. Consilium cardiologique prévu en ambulatoire. Explications données par le médecin pour examens. ECG : bloc de branche droit connu. Laboratoire. Radiographie du thorax. Retour à domicile + antalgie par Tramal, Irfen. Explications données par le médecin pour examens. ECG : bloc de branche droit nouveau. Laboratoire : 0.21°/°°. Désinfection, champtage, antalgie par Lidocaïne 5 cc, 5 points au Prolène 3.0 de plaie en X occipitale de 3 cm x 0,5 cm. Shellong : pathologique avec perte de connaissance brève. NaCl 1000 ml/1h. Surveillance aux urgences sur la nuit. Ablation des fils à 10 jours chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour examens. ECG du 22.02.2019 : dans la norme. Laboratoire du 22.02.2019 : aligné. Troponines négatifs. Ultrason cardiaque aux urgences (Dr. X) : pas d'épanchement. Pas de dilatation des cavités. Fraction d'éjection du ventricule gauche visuelle 60%. • Attitude - Réassurance. Antalgie. Rendez-vous de contrôle prévu chez le cardiologue traitant (Dr. X) le 25.02.2019, avec discussion d'une indication à une coronarographie. Explications données par le médecin pour examens. ECG. CT-scanner cérébral natif (Dr. X). Rappel vaccin dT. Suture de la plaie occipitale (Dr. X) : • désinfection et champtage. • exploration de la plaie avec NaCl. • 7 points de suture avec Vicryl 4.0. • nettoyage de plaie et pansement. Attitude : • Retour à domicile. • donné la feuille pour la surveillance post-TCC ; patient et entourage informés des signes d'alarme. • Rendez-vous demain avec le médecin traitant pour contrôle du Sintrom ; ablation des fils à 5 jours. Explications données par le médecin pour examens. ECG. Laboratoire : Troponines négatifs. CRP 25. Pas de leucocytes. Radiographie : foyer de pneumonie des deux côtés. Co-amoxicilline 2.2 g IV, une dose. Antalgie. Score de PSI : 41 points. Attitude : • Traitement ambulatoire avec Co-amoxiciline per os 1 g 3x/j pendant 7 jours. • Contrôle clinico-biologique dans 48h chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour examens. ECG. Laboratoire. Retour à domicile avec traitement d'épreuve par IPP. Explications données par le médecin pour examens. ECG. Laboratoire. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Retour aux urgences en cas de péjoration des douleurs ou de dyspnée. Explications données par le médecin pour examens. ECG. Laboratoire. Traitement symptomatique. Consignes données au patient en cas de péjoration des symptômes, de douleurs rétrosternales oppressives ou de dyspnée. Explications données par le médecin pour examens. Examen clinique. Radiographie thoracique F/P du 16.02.2019 : difficilement interprétable en raison d'une présence d'ostéoporose importante. CT-scan colonne dorsale du 16.02.2019 : non réalisé. Attitude : La patiente rentre à domicile contre avis médical avant d'avoir pu effectuer son scanner et refuse de signer la décharge. Nous décidons en accord avec l'orthopédiste de garde de reconvoquer la patiente à distance pour effectuer un scanner et un contrôle post-examen si elle accepte. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : CRP à 27. Radiographie du thorax : pas de foyer, pas d'épanchement. Retour à domicile avec : • Antipyrétiques, anti-émétiques. • Consigne de bonne hydratation. • Contrôle chez médecin traitant dans 48h. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : H0 5 ng/L (douleur asymptomatique à son arrivée aux urgences), D-dimères. Radiographie du thorax. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : syndrome inflammatoire, D-dimère négatif. Gazométrie artérielle : hypoxémie à 9.6, pas de lactate. Frottis de grippe : à pister. Urines : légionelle et pneumocoque à pister. Radiographie du thorax. Echographie ciblée du thorax. Aux urgences : • Hydratation 4250 ml. • Co-amoxicilline 2.2 g IV. Attitude : • Retour à domicile avec : • Co-Amoxiciline 1 g 2x/jour pendant 7 jours. • Critères de gravité communiqués à la patiente. • Contrôle tensionnel et clinique chez le médecin traitant dans 24h. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : aligné. US abdominal (rapport oral radio) : cholécystite avec paroi épaissie à 5-7 mm. Petit calcul dans le fond vésiculaire. Pas de signe de complication. Pas de dilatation des voies biliaires. Consilium chirurgical (Dr. X) : • Transfert à Riaz pour prise en charge chirurgicale (en accord avec le chirurgien de Riaz). • Le patient se rend à Riaz par ses propres moyens (en accord entre les chirurgiens et lui). Aux urgences : • Paracétamol, AINS, Morphine. • Pantoprazole 40 mg per os. Attitude : • Ad une dose de Rocéphine/Flagyl. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Culture de sels à pister. ECG. Urines. Test de grossesse urinaire. Aux urgences : 500 NaCl 0.9% en 15 min. puis 1000 NaCl 0.9% sur 1h, 1 g de Dafalgan effervescent, Primpéran 10 mg IV, Pantozol 40 mg IV, Buscopan 10 mg IV. Attitude : • Retour à domicile avec antibiotique et contrôle à la consultation ambulatoire des urgences le 27.02.19 pour contrôle de l'évolution et résultat de la culture des sels. • Résultat de culture de sels du 25.02.2019 : Shigella positif, proposition de passer à Zythromax si pas d'amélioration (pas possible de contacter la patiente par téléphone). Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire du 05.02.2019 : CK 803. Avis neurologique (Dr. X) : possible crise d'épilepsie avec IRM de contrôle, convocation le 06.02 pour EEG, pas de conduite pendant 3 mois. Stix urinaire : propre, corps cétonique +++. CT-scan cérébral natif du 05.02.2019 : pas de lésion visualisée. Demande d'IRM en ambulatoire faite avec précision, à la recherche d'une lésion au niveau du gyrus post-central inférieur. Convocation demain par la neurologie pour EEG. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire du 06.02.2019 : CRP à 43. Radiographie thoracique du 04.02.2019 : refusée par la patiente en raison de la grossesse. ECG du 06.02.2019 : superposable à celui de 04.02.2019. US aux urgences : Echo cœur/pleural/abdominal (Dr. X) : péricarde sec, FeVG conservée, pas de trouble de la cinétique segmentaire, pas de pneumothorax, pas d'épanchement des culs de sac péritonéaux. Réassurance sur la symptomatologie. Continuation de Augmentin 1g 2x/jour. Consultation chez le médecin traitant dans 48h pour évolution. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire du 10.02.2019. Avis neurologique du 11.02.2019 (Dr. X) : pas d'indication à une IRM en urgence, ad observation sur la nuit et IRM demandée demain matin. Avis gynécologique du 11.02.2019 : douleurs abdominales d'origine ligamentaire, grossesse de 18 semaines d'aménorrhée avec bonne évolution, poursuite du Magnésium. IRM neurocrâne non injecté (transmission orale, Dr. X) : pas de thrombose. Test de Schellong : négatif. Attitude : • Retour à domicile avec antalgie par Dafalgan. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : H0 8, H1 9. ECG : pas de trouble de la repolarisation. Radiographie thorax : pas de foyer. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Pas de trouble de la crase. Radiographie du genou droit : pas de lésion osseuse, présence d'un épanchement intra-articulaire. Ultrason du genou droit : présence d'un important épanchement intra-articulaire. Ponction articulaire genou droit (Dr. X/Dr. X) : extraction de 55 ml d'un liquide citrin. Numération : 11000 éléments/mm3 avec 79% de polynucléaires. Bactériologie en cours. Pas de cristaux demandés au vu du contexte de polyarthrite rhumatoïde. Suite de prise en charge chez le médecin traitant, pister le résultat de la bactériologie. Retour au domicile avec Dafalgan et Voltaren. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Analyses urinaires. ECG. Uro-CT : calcul de 4x6 mm au niveau de la jonction vésico-urétérale à droite, dilatation pyélocalicielle à 10 mm au niveau du rein droit. Retour au domicile avec Dafalgan, Irfen, Tramadol en réserve, filtre à urines. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Analyses urinaires : microhématurie. Radiographie de thorax : pas de foyer pulmonaire. Sondage vésical aux urgences (sonde 12 G béquillée) : urines claires, pas de macrohématurie. Ad Tamsulosine 0.4 m 1x/j. Ad consultation en urologie (l'épouse du patient va prendre rendez-vous) avec évaluation du sevrage de la sonde vésicale. Enseignement de la part de l'infirmière pour la gestion de la sonde vésicale. Retour à domicile. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. CT cérébral : hémorragies basi-frontale et infra-frontale bilatérale stable en comparaison avec les CT cérébraux du 01.02. et 04.02.2019. Avis neuro-chirurgien (Dr. X) : majoration de l'antalgie, retour à domicile possible, céphalées persistantes env. 2-4 semaines en raison de l'oedème péri-hémorragique. Consultation en neuro-chirurgie ambulatoire dans 10 jours. • Retour à domicile accompagné de sa femme. • Majoration de l'antalgie. • Explications données au patient et à sa femme. • Consultation en neurochirurgie à 10 jours à prévoir (patient sera convoqué). • Retour aux urgences si augmentation des douleurs, trouble neurologique. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. CT-cérébral + VX : pas d'hémorragie sous-arachnoïdienne, pas de signe pour une dissection, pas de thrombose. Antalgie avec résolution des symptômes aux urgences. Consulter médecin traitant si nouvel épisode + bilan neurologique.Symptômes d'alarme expliqués. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. ECG. CT thoraco-abdominal. Antalgie avec 12 mg de Morphine au total, 1 g de Novalgine iv. Avis urologie: traitement conservateur, restriction hydrique 1500 ml/jour, Tamsulosine, antalgie, filtrer les urines. Retour à domicile avec antalgie par Dafalgan et Tramal, Novalgine en réserve, consigne de bien s'hydrater et de filtrer ses urines, reconsulter chez Dr. X son urologue si les douleurs augmentent, si état fébrile ou frissons, si pas de calcul observé d'ici 7 jours. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. ECG. Pas d'argument pour une origine cardiaque, ni thrombotique. Retour à domicile avec sa fille. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. ECG. Réassurance, poursuite traitement actuel, Adalat en réserve. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. FAST (Dr. X): pas de LL intra-abdominal, pas d'épanchement péricardique. Radiographie du thorax. CT cérébro-cervical: pas d'hémorragie, pas de fracture au niveau de la colonne cervicale et thoracique jusqu'à D2, ossification en regard de la Denta d'aspect séquellaire. Retour à domicile accompagnée par une amie avec: • Feuille de surveillance neurologique (explications données): surveillance 24h, retour aux urgences si symptômes. • Antalgie et Sirdalud. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Proposition de contrôler la glycémie et de faire un carnet. Suite de prise en charge chez le médecin traitant avec réévaluation de plus amples investigations selon les glycémies (DD insulinome, hypocorticolisme). Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Radiographie. ECG. Traitement symptomatique. Au vu des comorbidités du patient, la vaccination est recommandée. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Stix/sédiment. Antalgie. Critères de gravité expliqués au patient qu'il nécessiterait une nouvelle consultation. En cas de persistance des symptômes, le patient doit reconsulter chez médecin traitant. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Stix/sédiment. Spot urinaire. Avis rhumatologique (Dr. X): possible vasculite cutanée. Ad sérologies EBV, HIV, Hépatites B et C : à pister. FR, ANCA et ANA à pister. Cryoglobulines à effectuer. Radiographie du thorax à prévoir. Attitude: • Traitement par Prednisone 15 mg 1x/jour. • Rendez-vous en rhumatologie le mardi 26.02 prévu. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Ultrason ciblé (Dr. X): épanchement pleural de faible abondance base gauche. Radiographie thorax face/profil: diminution de la quantité de liquide en base gauche par rapport à l'examen du 23.01. Suite en pneumologie (Dr. X) comme prévu. La patiente prendra contact le 04.02 pour voir si nécessité d'avancer le rendez-vous selon évolution et pour annuler la radiographie prévue le 06.02. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Ultrason rénal (Dr. X): dilatation du pyélon gauche grade II. CT-abdominal. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Urines propres. CT-abdominal: pas d'iléus, pas de signe d'infection. Retour à domicile avec antalgie. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Urines. US par urgentiste: dilatation pyélocalicielle droite grade I, calcul 8 mm à la jonction urétero-vésicale, flux urinaire préservé des deux côtés. Retour à domicile avec antalgie et Tamsulosine. Symptômes d'alarme expliqués. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Urines. Avis chirurgical. CT scan abdominal (Dr. X): pas d'iléus mécanique, anastomose perméable calme, progression des métastases pulmonaires. Duphalac aux urgences avec par la suite selles en quantité importante et soulagement de la douleur. Attitude: • Retour à domicile avec modification du traitement laxatif (ad Iberogast). • Suite de prise en charge par le médecin traitant et l'oncologue traitant (Dr. X). Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Urines. CT abdomen, low dose: pas de lithiase urinaire visible, pas de dilatation pyélo-calicielle. Disparition des douleurs au cours du séjour aux urgences. Attitude: • Retour à domicile avec antalgie, anti-émétique. • Filtrer les urines. • Reconsulte si récidive des douleurs, état fébrile. Explications données par le médecin pour examens. Laboratoire. Urines. CT-Scan: pas de saignement, pas de fracture. Attitude: • Critères de retour à domicile. • Antalgie en réserve. • Informations écrites sur TCC léger données au patient. • Critères de gravité communiqués au patient. Explications données par le médecin pour examens. Radiographie cervicale. CT cérébral (Dr. X): pas d'hémorragie, pas de lésion traumatique, pas de fracture. Surveillance neurologique aux urgences pendant 8 heures. Antalgie. Documentation de traumatisme d'accélération crânio-cervicale dans le dossier. Attitude: • Retour à domicile avec antalgie. • Patient a reçu la feuille pour la surveillance post-traumatisme crânio-cervical avec les explications. • Suite de prise en charge chez le médecin traitant. • Explications au patient des critères de reconsultation aux urgences. Explications données par le médecin pour examens. Radiographie de l'épaule: épaule en place. Radiographie de la clavicule droite: luxation acromio-claviculaire. Avis orthopédique: • IRM ambulatoire. • prise en charge opératoire ambulatoire au décours de la semaine prochaine. Attitude: • Retour à domicile avec immobilisation par écharpe orthopédique et traitement symptomatique. • Convoqué en ambulatoire pour l'IRM (organisé par l'orthopédie). • Contrôle clinique en orthopédie au team membre supérieur en vue de l'opération. Explications données par le médecin pour examens. Radiographie poignet gauche: fracture extra-articulaire extrémité distale radius gauche avec bascule postérieure de 20° et comminution postérieure. Réduction fermée, plâtre ouvert. Radiographie de contrôle: rééducation partielle de la fracture. Nous expliquons à la patiente qu'une opération chirurgicale est indiquée pour sa situation, ainsi que les risques et les bénéfices de cette intervention. La patiente souhaite réfléchir et nous la recontacterons demain pour prendre connaissance de sa décision. Antalgie, Arrêt de travail à 100% pendant 2 semaines. Explications données par le médecin pour examens. Radiographie poignet gauche. CT poignet gauche. Plâtre. Antalgie. La patiente sera reconvoquée à distance pour une prise en charge chirurgicale. Nous informons la patiente qu'elle doit reconsulter en cas d'apparition de symptomatologie du tunnel carpien. Arrêt de travail à 100% pendant 2 semaines. Explications données par le médecin pour examens. Rx colonne dorsale: pas de fracture visualisée. Rx bassin et hanche droite: pas de fracture visualisée. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Contrôle clinique chez médecin traitant la semaine prochaine en cas de persistance des douleurs. Explications données par le médecin pour examens. Score de PERC 0. ECG. Laboratoire: troponines négatifs, D-dimère négatif. Radiographie du thorax. Ultrason ciblé: exclusion d'épanchement péricardique, pneumothorax. Retour à domicile avec antalgie. Contrôle FSS chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Explications données par le médecin pour examens. Sédiment urinaire: hématurie microscopique. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, pas d'insuffisance rénale. Antalgie. Avis radiologique: compléter bilan par angio-CT et possible IRM en raison d'un doute sur masse au niveau D7. Suite de prise en charge chez le médecin traitant et le gynécologue traitant. Mme. Y sera reconvoquée pour l'angio-CT. Recommandation de consulter en cas de douleur intense et/ou d'état fébrile et frissons. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : absence de syndrome inflammatoire. Avis chirurgical (Dr. X) : ad US abdominal pour caractérisation de l'hernie dans les 72h. Par la suite, adresser Mme. Y à la consultation du Dr. X le 14.02.2019 pour suite de prise en charge. Antalgie simple. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : bilan lipidique en cours, Hb glyquée à 4.9%. Avis neurologie (Dr. X) : ad Aspirine cardio 100 mg 1x/j, bilan cardiologique à prévoir en ambulatoire, convocation en ambulatoire en neurologie. Mme. Y sera convoquée en ambulatoire pour Holter, échocardiographie et consultation neurologique. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : CRP à la hausse 74 (49 le 09.02), pas de leucocytose. Coprocultures en cours. Antalgie : Brufen 600 mg, Dafalgan 1 g, Tramal 100 mg. CT abdominal (Dr. X) : appendice à 6 mm à la limite de la norme, comparable au dernier scanner. Infiltrats en verre dépoli aux 2 bases pulmonaires, en légère régression au dernier scanner. Adénopathie du médiastin bas. À la radiographie du 09.02, élargissement du médiastin. Proposition d'organiser un CT thoracique. Avis chirurgical (Dr. X) : pas d'argument pour une appendicite ou autre problème chirurgical. Demander consilium gynéco. Avis gynécologue : PID retenue, a reçu 500 mg de Rocéphine en im, puis Azithromycine 1 g demain et à J7, sera revue dans 3 jours en contrôle. Selon l'avis des radiologues, vu la présence d'infiltrats en verre dépoli aux 2 bases pulmonaires sur le CT et adénopathies médiastinales, nous vous laissons le soin d'organiser un CT thoracique dans 3-6 mois. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : CRP 69 mg/l, Leuco 2.9. Examen clinique. Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour durant 5 jours. Poursuite de la radiothérapie le 11, 12 et 13.02.2019. Mise en suspens de la chimiothérapie le 11.02.2019 et consultation chez le Dr. X, oncologue traitant, le 15.02.2019. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mme. Y. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Avis chirurgical (assistante de nuit Dr. X) : pas de signe clinique ni biologique pour une incarcération au niveau de l'hernie. Antalgie standard et bonne hydratation. Maintien du rendez-vous chez le Dr. X le 14.02.2019. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Radiographie lombaire F/P. Avis orthopédique (Dr. X) : pas de déplacement de matériel. Mr. Y rentre à domicile contre avis médical avant d'avoir été examiné par l'orthopédiste. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mr. Y. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : sans particularité. Stix/sédiment urinaire : sans particularité. Test de grossesse urinaire : négatif. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mme. Y. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. Attitude : Retour à domicile avec traitement symptomatique. Suivi chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. ECG. Sédiment. TCR grippe : en cours. CT thoracique : épaississement bronchique diffus sans foyer franc, image compatible avec une décompensation BPCO, pas d'embolie pulmonaire. Contrôle biologique et clinique au secteur ambulatoire des urgences à 48h. En raison de l'heure, le résultat du TCR grippe n'a pas pu être transmis à Mme. Y, elle s'engage à appeler le lendemain les urgences pour recevoir les résultats. Si il est positif, Mme. Y doit continuer le traitement par Tamiflu pendant 5 jours au total. Si il est négatif, elle peut arrêter le traitement. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mme. Y. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. Réassurance. Antalgie. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique avec absence de syndrome inflammatoire, nous proposons à Mr. Y de continuer la suite de prise en charge dans 5 jours chez son médecin traitant. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mr. Y. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Mme. Y prendra rendez-vous en ambulatoire chez sa dermatologue, Dr. X. Consigne de reconsulter en cas de péjoration des symptômes ou d'apparition de nouveaux symptômes avant la consultation en dermatologie. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. Stix urinaire. Test de grossesse : négatif. Rocéphine 2 g iv aux urgences. Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pendant 7 jours au total. Prévention concernant les maladies sexuellement transmissibles. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mr. Y. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. Traitement symptomatique. Physiothérapie. Contrôle chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs avec réévaluation de l'indication d'une IRM. Avis orthopédique (Dr. X) : lombalgies non déficitaires sans Red Flags, traitement conservateur avec contrôle chez le médecin traitant. Conseils sur l'hygiène du dos prodigués à Mr. Y. Explications données par le médecin pour : Laboratoire. Urines. Avis chirurgical (Dr. X et Dr. X) : effectuer un US sans urgence. Sédiment. US organisé en ambulatoire, Mr. Y sera convoqué. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à Mr. Y. Explications données par le médecin pour les divers examens effectués aux urgences. Laboratoire. ECG. Angio-CT scan (Dr. X) : absence d'occlusion vasculaire. Avis orthopédique (Dr. X) : ad Lyrica 25 mg 2x/jour avec schéma progressif. Consultation team rachis dans 10 jours. Physiothérapie. Antalgie. Explications données par le médecin pour les divers examens. Laboratoire. ECG. Traitement symptomatique. Critères de gravité communiqués à Mme. Y. Consigne d'hydratation. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Explications données par le médecin pour les divers examens. Radiographies. ECG. Echographie ciblée (Dr. X/Dr. X) : pas d'épanchement abdominal, pas d'épanchement pleural, pas d'épanchement péricardique, pas de pneumothorax. Urines. Établissement du formulaire traumatisme d'accélération crânio-cervical de SUVA (copie à Mr. Y). Retour à domicile avec antalgie simple. Explications données par le médecin pour les examens effectués : Laboratoire : aligné. Avis Dr. X (neurologie) : pas d'indication absolue à l'introduction d'un traitement anti-épileptique, Mr. Y doit appeler demain Dr. X pour en discuter. Explications données par le médecin pour les examens effectués : Laboratoire : CK-MB 82 U/l, CK 101 U/l, troponine T hs H0 9 ng/l, H1 à 9 ng/l, H3 à 10 ng/l. ECG : rythme sinusal bradycarde à 47/min, bloc AV 1er degré, axe QRS gauche, pas de sus- ou sous-décalage ST significatifs. Aux urgences : Nitroglycérine 0.8 mg p.o. (passage des douleurs après 10 minutes). Prise de contact avec le médecin traitant pour le suivi et test d'effort, et éventuellement un contrôle cardiologique.Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire : formule sanguine dans la norme hormis une légère leucocytose à 10.4 G/l. Électrolyte dans la norme. CRP < 5. CK et troponines négatives. • radiographie : pas de foyer, pas d'épanchement • ultrason cardiaque : pas d'épanchement, pas d'hypocinésie, bonne fraction ventriculaire • ECG. Ibuprofène avec protection gastrique. Contrôle clinique au secteur ambulatoire des urgences le 08.02.19. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire • stix et sédiment urinaire. CT-scanner abdominal (Dr. X). Attitude : • antalgie • filtration des urines • contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant à 48-72h • consigne lithiase et critères de reconsultation expliqués à la patiente. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire : troponine sp, D-Dimères 3100 • ECG : RSR, BBG inconnu • radiographie thorax : pas de foyer, pas d'élargissement du médiastin. CT thoracique (transmission orale Dr. X) : pas d'embolie pulmonaire, pas de dilatation droite, mais tronc pulmonaire mesuré à 32mm. Pas de pneumopathie sous-jacente. Attitude : • réassurance • suite chez le médecin traitant • critères de reconsultation expliqués au patient. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire : CRP < 5, leucocyte 13 G/L • Stix : sang, pas de leucocytes, pas de nitrite. Antalgie palier 1. Attitude : • pas d'argument pour une origine digestive à la douleur • transfert aux urgences de gynécologie pour examen et suite de prise en charge. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire : CRP à la baisse • urines • radiographie du thorax : pas de foyer • frottis de grippe : positif pour Influenza A • avis pneumologie pédiatrique (Dr. X, CHUV). Attitude : • poursuite de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline pour un total de 7 jours en prophylaxie d'une surinfection bactérienne au vu du contexte de mucoviscidose • Tamiflu 75mg 2x/j pendant 5 jours • poursuite de l'arrêt de travail • recommandation de reconsulter en cas de persistance, péjoration. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire • CT cérébral et massif crânien : pas d'hémorragie cérébrale, pas de fracture orbitaire. Contention chimique par Midazolam et Halopéridol IV et IM. Contention physique. Consilium psychiatrie. Attitude : retour à domicile avec suivi psychiatrique ambulatoire, discuté avec psychiatre de liaison et époux, retour aux urgences si nouvelle alcoolisation ou prise abusive de médicaments, avec transfert en psychiatrie sous PAFA si nécessaire. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire : dans la norme • radiographie de thorax : sans particularité • ECG : sans particularité. Attitude : • réassurance. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire du 05.02.2019. • US ciblé aux urgences (Dr. X) : échogénéicité moyenne, pas de liquide libre, pas de dilatation pyélocalicielle, pas de dilatation aortique visualisée. Examen clinique. Attitude : • retour à domicile avec conseils d'usage et prescription de laxatif • rendez-vous de contrôle chez médecin traitant pour suite de prise en charge et suivi des tests hépatiques. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire • ECG • Echographie aux urgences (Dr. X) : fine lame d'épanchement péricardique non circonférentiel et non compressive, FVG conservée, petit flux d'IT sans HTAP évident. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire • ECG • stix et sédiment urinaire. CT-scanner abdominal (Dr. X). Attitude : • poursuite du traitement antalgique habituel • suite de prise en charge chez le médecin traitant • explications transmises au patient quant aux critères devant le mener à reconsulter aux urgences. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire • ECG Avis neurologique (Dr. X, Dr. X) : diagnostic de migraine avec aura ophtalmique, pas de suivi en neurologie, pas de traitement. Attitude : • retour à domicile • reconsulter si autres symptômes neurologiques associés Nous recommandons au patient d'avancer son rendez-vous chez le rhumatologue. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire : pas de syndrome infectieux inflammatoire, troponine US N, bilan thyroïde N, INR 1.9 • ECG : RRS à 77/min, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation évident • échographie du cœur non contributive (mauvaise échogénéicité +++), mais a priori péricarde sec, racine aortique semblant un peu dilatée (mais impression visuelle). Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire • radiographie du thorax • US ciblé aux urgences (Dr. X, Dr. X) : FAST négatif • urines : pas de sang. Attitude : • retour avec antalgie • reconsulte si douleurs persistantes, fièvre, hématurie macroscopique. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire • radiographie du thorax Attitude : • retour à domicile avec traitement symptomatique • recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire • radiographie. Traitement symptomatique (fébrifuge, mucolytique). Reconsulter si péjoration de la symptomatologie. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire • streptotest : négatif. • dépistage EBV : à pister. • CT-scan abdominal (Dr. X) : splénomégalie 13.5 cm, absence APP ou liquide libre. Stop Ciproxine, Ad Co-Amoxicilline 1g 2x/j. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences dans 24h + biologie. Si sérologie EBV +, stop AB PO et traitement pour mononucléose. Si sérologie négative, évaluer AB pour 5 jours. En cas de non-amélioration clinique, reconsidérer DD. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire : troponines à 7 ng/l à H0 puis H1 à 6 ng/l. • ECG • radiographie de thorax Retour au domicile. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire • urines : propre • TG : nég • CT abdominal : - anses jéjunales dilatées dans les limites sup. de la norme, pas de saut de calibre, pas de masse obstructive, vaisseaux perméables, pas de colite, pas de diverticule, petite dilatation des voies intra-hépatiques en lien à la CCK. Pas de liquide libre. Attitude : • retour à domicile avec contrôle clinico-biologique au secteur ambulatoire des urgences dans 48h • traitement antalgique • colonoscopie en ambulatoire à la recherche de dysplasie colorectal • retour aux urgences en cas de péjoration des symptômes. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • laboratoire • US bedside centré sur la vésicule biliaire (Dr. X) : pas de calcul, pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Attitude : retour à domicile avec antalgie simple, doit prendre contact avec le Prof. X, gastro-entérologue. Explications données par le médecin pour les examens effectués : • radiographie de l'épaule droite avec omoplate droite • CT omoplate : pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X) : contusion de la scapula droite et de la colonne cervicale, retour à domicile avec traitement antalgique. Attitude : Retour à domicile avec traitement antalgique. Si persistance des douleurs --> consultation chez le médecin traitant. Reconsulte si nouveaux symptômes, en particulier neurologiques.RX lombaire F/P + bassin : pas de signes de fracture. Attitude : • antalgie par paracétamol, ibuprofène et tramadol • consultation chez le médecin traitant la semaine prochaine si pas d'amélioration • reconsulter en urgence si signe de gravité. Explications données par le médecin pour les examens effectués : Laboratoire. ECG superposable à 2016. Score de Genève : 4 points (âge et FC), D-dimère 433 ng/ml. Schellong positif. TA symétriques aux 2 membres supérieurs. Attitude : retour à domicile avec consultation en cardiologie en ambulatoire pour ETT et Holter, ordonnance pour des bas de contention classe 2 et consigne de bien s'hydrater, ainsi que de prendre rendez-vous chez un médecin généraliste. Explications données par le médecin pour : Radiographie avant-pied face, profil et oblique : pas de fractures. Traitement antalgique et anti-inflammatoire. Protection gastrique par Pantoprazol 20 mg. Semelles rigides bilatérales. Contrôle à J7 en ortho-urgences (patient rappelé). Explications données par le médecin pour : Radiographie cheville droite et cheville droite en charge. Aircast, antalgie. Cannes avec charge selon douleurs. Prescription de béquilles avec instructions à la marche données à la patiente. Contrôle chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour : Radiographie colonne dorsale : possible fracture non déplacée de la côte n°7 postérieur. Antalgie standard. Contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à la patiente. Explications données par le médecin pour : Radiographie de la cheville. Antalgie par Voltaren 50 mg et Morphine 10 mg per os. Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane 40 mg avec instruction à l'auto-injection. Avis orthopédique (Dr. X) : botte fendue sous MEOPA, contrôle à J7-J10 avec radiographie en charge hors plâtre. Retour à domicile avec antalgie. Prescription de béquilles avec instructions à la marche données au patient. Contrôle radiologique en orthopédie dans 7-10 jours. Explications données par le médecin pour : Radiographie de la main face/profil/oblique : fracture sous-capitale du 5ème métacarpes avec une petite bascule palmaire. Pas d'autre lésion mise en évidence. Traitement conservateur avec immobilisation provisoire dans une attelle Édimbourg. Immobilisation dans une Metacarpal Brace avec syndactylie 4-5 confectionnée en ergothérapie. Contrôle radio-clinique à 10 jours en ortho-urgences afin de voir si un déplacement secondaire a lieu ou s'il développe en défaut de rotation qui serait une indication pour une chirurgie. Arrêt de travail pour 2 semaines avec prolongation éventuelle lors de la prochaine consultation. Explications données par le médecin pour : Radiographie du poignet : fragment osseux qui provient probablement du capitatum ou trapèze. Pas présent sur les radiographies du poignet antérieures. CT poignet droit : fracture postérieure du triquetrum avec fragment osseux postérieur. Avis orthopédique (Dr. X) : attelle AB fendue, arrêt de travail 3 semaines contrôle en ortho-urgences à 1 semaine. Retour à domicile avec attelle AB fendue, arrêt de travail, antalgie en réserve. Contrôle en ortho-urgences à 1 semaine avec circularisation. Explications données par le médecin pour : Radiographie du poignet gauche face/profil : mise en évidence d'une déformation de l'ulna compatible avec une fracture ancienne et également arrachement de la styloïde ulnaire actuellement guéri. Pas de fracture fraîche mise en évidence. Radiographie pied gauche + cheville face/profil/oblique : status post-ostéosynthèse du calcanéum. Mise en évidence d'un trait de facture probablement ancienne. Mise en évidence d'une arthrose en regard de la métatarsophalangienne sans signe de fracture. Mise en évidence d'une distorsion du TFCC sur une entorse du poignet et une décompensation arthrosique sur un traumatisme du pied. Immobilisation du poignet pour 10 jours avec une attelle Velcro. Antalgie et anti-inflammatoire. Contrôle chez le médecin traitant à 10 jours. Arrêt de travail pour 2 semaines. Explications données par le médecin pour : Radiographie du thorax. Retour à domicile avec antalgie et arrêt de travail. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Explications données par le médecin pour : Radiographie : enthésopathie de surcharge au niveau de l'olécrâne. Avis orthopédique (Dr. X). Antalgie, physiothérapie. Suivi chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour : Radiographie épaule gauche face et Neer. Traitement antalgique et anti-inflammatoire. Arrêt de travail à 100 % jusqu'au 17.02.2019. IRM de l'épaule le 20.02.2019. Rendez-vous chez son médecin traitant après IRM pour suite de prise en charge. Explications données par le médecin pour : Radiographie épaule. Avis orthopédique (Dr. X) : immobilisation gilet orthopédique. Antalgie, physiothérapie de mobilisation douce. IRM en ambulatoire avec contrôle au team membre supérieur dans 7-10 jours. Probable indication de prise en charge chirurgicale. Explications données par le médecin pour : Radiographie et CT : fracture de la base des 3ème et 4ème métacarpiens, pas déplacée, extra-articulaire. Mise en place d'une attelle Édimbourg. Contrôle radio-clinique dans 1 semaine en ortho-urgences. Explications données par le médecin pour : Radiographie face profil/oblique : pas de lésion visualisée. Avis orthopédique (Dr. X) : pas de fracture, pas d'indication à d'autres investigations. Traitement symptomatique. Suite chez médecin traitant si persistance des douleurs. Explications données par le médecin pour : Radiographie face/oblique. Chaussure Darco durant 4 semaines. Antalgie simple. Suivi chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour : Radiographie face/profil : épanchement intra-articulaire visualisé. Avis orthopédique (Dr. X) : IRM en ambulatoire. Prescription de béquilles avec instructions à la marche données au patient, charge selon douleurs. Traitement symptomatique. IRM en ambulatoire. Contrôle team genou post-IRM. Explications données par le médecin pour : Radiographie face/profil genou gauche : pas de lésion osseuse traumatique. Charge selon douleur sous protection d'une attelle jeans. IRM en ambulatoire puis consultation au team genou. Explications données par le médecin pour : Radiographie face/profil : pas de fracture visualisée. Traitement symptomatique. Suite chez médecin traitant si persistance des douleurs. Explications données par le médecin pour : Radiographie face/profil. Avis orthopédique (Dr. X) : attelle Stack en hyper-extension et contrôle team membre supérieur à 1 semaine. Bon ergothérapie pour attelle en hyperextension (Schéma Mallet Finger). Explications données par le médecin pour : Radiographie face/profil/axial de rotule : pas de lésion osseuse traumatique. Marche en charge selon douleur. Prophylaxie anti-thrombotique par Héparine de bas poids moléculaire avec instruction à l'auto-injection. IRM en ambulatoire puis consultation au team genou. Explications données par le médecin pour : Radiographie face/profil/oblique de l'avant-pied droit. Marche en charge totale avec syndactylie et chaussure Darco durant 3 semaines, puis port de la chaussure Darco selon douleurs. Antalgie simple. Suivi chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour : Radiographie face/profil. Traitement symptomatique. Arrêt de travail. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à la patiente. Explications données par le médecin pour : Radiographie main gauche : fracture non déplacée de la base du MTC de D5 du membre supérieur gauche. Avis orthopédique (Dr. X) : pas de rotation de D5 du membre supérieur gauche, traitement conservateur, contrôle en ortho-urgences dans 1 semaine.Attitude: Immobilisation par attelle Edimbourg. Contrôle en ortho-urgences dans 1 semaine. Explications données par le médecin pour : Radiographie: pas de fracture visualisée. Mise en place d'une syndactylie que le patient doit garder pour 5-6 jours. Conseil de marcher avec des chaussures avec semelles rigides. Explications données par le médecin pour : Radiographie: pas de lésion osseuse. Attelle jeans. Antalgie selon procédure RICE. IRM et contrôle au team genou dans 2 semaines. Explications données par le médecin pour : Radiographie: pas de lésion osseuse. Bande élastique, antalgie selon protocole RICE. Contrôle chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour : Radiographie pied gauche: présence de petites altérations au niveau de la base de P1 du 5ème orteil et de P4 du 4ème orteil. Mise en place d'une semelle rigide. Contrôle à 1 semaine et à 6 semaines chez le médecin traitant. Explications données par le médecin pour : Radiographie: possible infiltrat base droite. Traitement antibiotique. Rendez-vous de contrôle chez médecine traitante. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués à la patiente. Explications données par le médecin pour : Radiographie rachis cervical: pas de fracture. Traitement symptomatique. Arrêt de travail. Critères de gravité devant amener à reconsulter les urgences expliqués au patient. Explications données par le médecin pour : Radiographie. Avis orthopédique (Dr. X). Attelle aluminium, antalgie, glace. Ergothérapie avec attelle thermo-formée. Suivi chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Explications données par le médecin pour : Radiographie. Consultation chez le médecin traitant si pas d'amélioration des symptômes. Explications données par le médecin pour : Radiographie. Contrôle chez son médecin si pas d'amélioration. Explications données par le médecin pour : Radiographie. Prescription de béquilles avec instructions à la marche données à la patiente. Charge selon douleur. Réévaluation dans 1 semaine chez son médecin traitant. Explications données par le médecin pour : Spot urinaire. Sédiment. Explications données par le médecin pour : Strepto-Test: négatif. Ad Ciproxine gouttes pendant 7 jours. Explications données par le médecin pour tous les examens complémentaires. Laboratoire. Analyses urinaires (test de grossesse urinaire négatif chez le médecin traitant ce jour selon la patiente) avec microhématurie massive ; en l'absence de syndrome inflammatoire, de signe d'infection urinaire et de douleur à la percussion de la loge rénale, pas d'urotube effectué. Uro-CT : pas de signe de lithiase, pas de dilatation pyélocalicielle. Avis gynécologique : examen gynécologique dans la norme ; frottis en cours, la patiente sera rappelée si pathologique. Retour à domicile avec antalgie simple, contrôle chez le médecin traitant dans une semaine, répétition des analyses urinaires à distance. Explications données par le médecin pour : US voies urinaires (Dr. X): hydronéphrose stade II G, kyste rénale G pôle inf. Bosniak II (diamètre 4 cm), petit kyste Bosniak I pôle moyen. Globe urinaire 750 ml, pas de lésion focale de la paroi vésicale visualisée. Le patient refuse la pose d'une sonde urinaire et sort contre avis médical, il dit être d'accord de revenir le lendemain pour voir un urologue. Convocation au secteur ambulatoire des urgences le 15.02.2019: demander US voies urinaires et contacter urologue de garde (patient suivi par Dr. X). Proposition d'augmentation Torem de 10 à 15 mg/j pour 1 semaine (jusqu'à retour MT le 21.02.2019). Évaluer si nécessaire prévoir contrôle ORL vu l'augmentation des sécrétions de mucus. Explications données par le médecin pour : ECG. Retour à domicile avec consigne de reconsulter en cas de réapparition des symptômes. Explications données par médecin pour divers examens. Laboratoire. ECG: rythme sinusal régulier sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation, sans bloc de branche droit et gauche. Test de Schellong: négatif. Contact téléphonique auprès du service de gynécologie, patiente adressée pour réévaluation gynécologique en per partum. Conseils d'usage. Conseil d'hydratation donné à la patiente. Patiente adressée en gynécologie pour suite de prise en charge. Explications données pour les examens effectués : • ECG. • laboratoire • radiographie du thorax. Attitude: retour à domicile avec organisation d'un Holter en ambulatoire, et contrôle chez le médecin traitant dans la semaine. Exploration chirurgicale prévue. Exploration de la plaie en an. locale, rinçage au NaCl, suture plaie par 3 points de rapprochement à l'Ethibond 5.0. Cefuroxime 1,5 g i.v. dose unique, à l'HFR Riaz le 08.02.2019. Tétanos à jour. Révision de la plaie face dorsale IP pouce G, rinçage articulaire, suture du tendon long extenseur du pouce par 1 point selon Kessler au Prolène 5.0, adaptation avec un surjet au Prolène 6.0 (OP le 09.02.2019). Exploration de la plaie, suture des tendons avec Prolene 4/0 et du nerf médian avec Daffilon 9/0 et Dermabond (OP le 18.02.2019). Antibioprophylaxie par céfuroxime pendant 48 h. Retrait des fils de sutures à J 12 soit le 01.03.2019. Changement des pansements tous les 48 h. Ergothérapie. Exploration inguinale et orchidopexie selon Shoemaker le 14.02.2019 (2ème temps chirurgical). Hospitalisation du 14.02 au 15.02 en raison de nausées importantes post-anesthésique. Exploration sous anesthésie locale (GelLet) et Meopa par orthopédiste (Dr. X) difficile, puis suture avec 5 points simples avec Prolène 5-0 sous anesthésie locale (GelLet, Xylocaïne spray, échec de Lidocaïne s.c.) et Meopa. Une lésion des nerfs ou tendons est peu probable. Vue l'exploration difficile nous faisons un contrôle aux urgences pédiatriques le 19.02.2019 pour contrôle de la fonction des nerfs et tendons et changement de pansement. Exploration sous anesthésie locale (GelLet) et Meopa par orthopédiste (Dr. X). Suture avec 5 points simples avec Prolène 5-0 sous anesthésie locale (GelLet, Xylocaïne spray, échec de Lidocaïne s.c.) et Meopa. Stéristrip. Contrôle dans 48h aux urgences pédiatriques avec avis orthopédique. Reconsulter avant si signes d'infection. Exploration sous anesthésie locale (GelLet) et Meopa par orthopédiste (Dr. X). Suture avec 5 points simples avec Prolène 5-0 sous anesthésie locale (GelLet, Xylocaïne spray, échec de Lidocaïne s.c.) et Meopa. Stéristrip. Contrôle dans 48h aux urgences pédiatriques avec avis orthopédique. Reconsulter avant si signes d'infection. TIP le 19.02: Pansement. Avis orthopédique. Ablation des fils chez le pédiatre dans 3 jours. Exposition à de la fumée le 04.02.2019. Exposition à un toxique. Exposition au liquide biologique. Exposition au liquide biologique professionnel hors HFR. Extension de la TVS de la veine basilique bras gauche vs inflammation veineuse en distalité de la TVS du bras. Extériorisation de sang sur probable irritation orale. Extériorisation partielle de la plaque de silicone de la fosse nasale droite suite à un éternuement dans contexte de septoplastie, fermeture perforation septale droite, turbinoplastie inférieure, mise en place de silastics ddc, coagulation endonasale de la branche septale de l'artère sphéno-palatine droite le 13.02.2019 par le Dr. X. Extraction bouchon cérumen conduit auditif G. AMX 450 mg 2x/j pendant 5 j. Extraction dentaire le 02.06.2016. Angioedème des paupières et zygomes réactionnel le 03.03.2016. Thermoablation d'un foyer de tachycardie en septembre 2015. Embolie pulmonaire avec infarctus postéro-basal droit le 31.10.2015. Extraction dentaire le 13.02.2019 à 10h30. Suivi sage-femme à domicile. Contrôle du post-partum dans 6 semaines quand on propose d'effectuer le vaccin ROR ainsi que les sérologies pour la varicelle. Contrôle hémoglobine et ferritine dans 3 mois. Extrasystoles, sous traitement par Concor. État dépressif sous traitement par Citalopram. Extrasystoles ventriculaires monomorphes isolées avec couplets occasionnels, connues depuis au moins 2017 chez Mr. Y sous traitement psychotrope. Extravasation de produit de contraste suite à une cholangiographie dans drain biliaire avec péritonite chimique + pancréatite sur probable migration de calcul lors du même geste le 30.1.2019. Status après pose d'un drain semi-rigide vésiculaire le 28.12.2018 pour cholécystite aiguë le 21.12.2018. Extravasation de 50 ml produit de contraste lors du CT dans le tissu mou du bras droit. Extravasation du produit de contraste dans le bras droit et petit saignement à l'interface entre le muscle psoas et le carré des lombes sur le trajet de l'aiguille lors de la ponction sous CT le 13.03.2018. Agranulocytose fébrile avec pneumonie le 26.05.18. Traitement de vésicocèle 2006. Hystérectomie 2001. Hématoschézie le 01.09.2018 sur probable saignement digestif bas. Tension artérielle normale: mise en suspens des traitements anti-hypertenseurs. Pancytopénie le 04.09.18 sur chimiothérapie. Petite plaie sous la clavicule droite dans le cadre d'une réaction allergique locale au film adhésif de son portacath le 13.11.2018. Fucidine crème pour 5 jours. Colite à Clostridium difficile le 31.01.2019. CT Scan thoraco-abdominal du 30.01.2019. Isolement contact. Avis infectiologique. Ad Flagyl 500 mg 3x/j du 31.01 au 10.02.2019. Possible engraftment syndrom avec infiltrat pulmonaire basal G et diarrhées. • Prednisone du 15.01.2019 au 29.01.2019. Laboratoire du 30.01.2019: CRP à 177 mg/l; Hémoculture du 30.01.2019: négative après 5 jours. Sédiment urinaire du 30.01.2019 dans la norme. CT Scan thoraco-abdominal du 30.01.2019. Suivi clinique et biologique. Troubles électrolytiques le 30.01.2019 avec • Hypokaliémie à 3.3 mmol/l. • Hypomagnésémie à 0.70 mmol/l. • Hyponatrémie à 130 mmol/l. Substitution. Suivi clinique et biologique. Eczéma. Ezetimibe. F. 32.2 Trouble dépressif récurrent. • Épisode actuel moyen. F 33.0 Trouble dépressif récurrent, épisode actuel léger. • Mr. Y traité par Fluoxétine. F 33.4 Troubles dépressifs récurrents, actuellement en rémission (sous traitement antidépresseur). F 11.1 Troubles mentaux du comportement, consommation d'opiacés, syndrome de dépendance (consommation jusqu'à 1-2 mg de Fentanyl par jour per os en réserve lors de son précédent séjour à l'HFR Fribourg en mars 2017). F 13.2 Troubles mentaux du comportement, consommation de sédatifs à hypnotiques, syndrome de dépendance (Zolpidem). Z 86.4 Antécédents personnels d'abus de substances psycho-actives (ancienne consommation à risque d'alcool). Syndrome douloureux lombaire chronique avec dysesthésie des deux jambes sur : • paraplégie des membres inférieurs suite à une lésion complète depuis L1 après fracture de luxation de L2 d'origine traumatique (1981). • sténose du canal lombaire avec syndrome de la queue de cheval. • neurostimulateur Nevro, IRM non compatible, implanté en 2 temps le 10.02 et le 25.02.2016 (Dr. X, Nottwil), ne fonctionnant plus depuis juillet 2016, reprise en juin 2017. • troubles de la vidange vésicale neurogène avec sondage aller-retour avec infection urinaire à répétition. • incontinence fécale. FRCV : • hypertension artérielle. • tabagisme actif à 40 UPA. • syndrome d'apnée du sommeil. • obésité. Hémorroïdes. F 41.2 Trouble anxio-dépressif chronique avec probable composante réactionnelle actuelle dans le contexte du diagnostic principal. F. 45.1 Trouble somatoforme indifférencié le 28.01.2019. FA à l'ECG du 05.12.2019 • Sous anticoagulation par Xarelto 20 mg 1x/j. FA anticoagulée avec Xarelto 20 mg 1x/j depuis le 09.08.2013. HTA. Excès pondéral. Gonarthrose en valgus G post-traumatique sur statut post. • OS d'une fracture plurifragmentaire plateau tibial externe le 16.01.2012; accident du 13.01.2012. • ablation plaque tibia proximal G le 13.05.2014. Implantation PTG G, OST TTA (OP le 11.02.2015). Analgésie par cathéter périnerveux périphérique du 11 au 14.02.2015. FA asymptomatique de nouvelle découverte le 04.01.2019 : • Xarelto 20 mg 1x/j. • Beloc Zok 25 mg 1x/j. FA intermittente. FA intermittente en octobre 2017. Vitrectomie postérieure par la pars plana, endodrainage, rétinotomie, cryocoagulation, endolaser et échange eau-silicone le 04.01.2017 sur décollement de la rétine du pseudophake (macula off) œil droit. Cholécystectomie. Fracture métaphysaire radius distal avec bascule postérieure de 23°, fracture déplacée styloïde ulnaire à gauche, le 05.03.2018. Réduction fermée sous MEOPA, immobilisation par plâtre BAB le 06.03.2018. Réduction ouverte, OS radius distal G par plaque Aptus 2,5 (OP le 07.03.2018). Traumatisme crânien simple avec plaie péri-orbitaire à droite le 05.03.2018. FA intermittente non anticoagulée (sur souhait de Mr. Y). Obésité de grade 1. FA normocarde de découverte fortuite le 11.02.2019. FA nouvelle durant la coronarographie le 18.02.2019 • Cardioversion spontanée. FA nouvelle le 08.02.2019 • DD: contexte de sepsis. FA paroxystique à réponse ventriculaire normocarde le 25.01.2019 • CHADVASC : 9.8%/an. • HAS-BLED : 8.7%/an. FA paroxystique anticoagulée par Xarelto • EHRA III. FA paroxystique dans le contexte hypovolémique le 22.01.2019 • FA intermittente connue. • Anémie macrocytaire hypochrome avec Hb à 82 g/l le 22.01.2019. FA paroxystique dans un contexte hypovolémique le 23.01.2019 • Transfusion : 2 CE le 23.01.2019, 1 CE le 24.01.2019, 1 CE le 29.01.2019. • Cordarone 150 mg dose unique le 23.01.2019. • Sulfate de Magnésium 2 g le 23.01.2019. • Reprise des bétabloquants le 24.01.2019. FA paroxystique, ED 18.01.2019 • CHA2DS2-VASc-Score : 6 points. • HAS-BLED Score : 3 points. FA paroxystique en 2017. Pneumonie basale droite le 27.09.2013. Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 306 umol. Accident de travail avec fracture de l'avant-bras gauche. Accident avec énucléation oculaire droite il y a 5 ans. Hématurie macroscopique le 12.11.2018 sur saignement prostatique avec statut post-TURP : • Status post-cancer prostatique avec radiothérapie en 2004. • Status post-TURP en 03.2018. • Sonde à demeure du 08.11 au 12.11.2018, retirée chez le Dr. X à l'hôpital de Daler. • Cystoscopie le 12.11.18 (Dr. X): saignements actifs de petite taille au niveau de la prostate. Electrocoagulation. Vessie sans particularité. • Sonde 3 voies de rinçage manuel et en continu. • Xarelto en suspend. • Tienam 500 mg 12.11 et 13.11 matin puis stop. • Cyklokapron 1 gr le 12.11 à deux reprises. FA paroxystique le 04.12.2018. FA paroxystique persistante à 130/min • CHAD2VASC : 6 points • HASBLED : 2 points • Double anti-agrégation FA paroxystique post-opératoire le 18.01.2019 FA rapide FA rapide à 150/min FA rapide avec aberration de conduction le 20.02.2019 et le 22.02.2019 DD : ESV FA rapide dans le contexte de douleurs et déshydratation. FA rapide inaugurale le 18.02.2019 • CHADS-VASc 4 pts (risque 4.8% par année) • HAS-BLED 1 pt (risque faible de saignement) FA rapide, le 18.02.2019 • CHADS-VASc 4 pts (risque 4.8% par année) • HAS-BLED 1 pt (risque faible de saignement) Face à ce début d'évolution rassurant, à savoir l'absence de signe infectieux. Nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie, sachant que la patiente a reçu instruction d'aller faire contrôler sa plaie dans 48 heures chez son médecin traitant et d'effectuer l'ablation des fils le 15.02.2019 chez son médecin traitant. Arrêt de travail à 100% du 01.02.2019 au 15.02.2019. La reprise se fera à 100% dès le 16.02.2019. Face à ce début d'évolution rassurante, à savoir l'absence de déplacement de la fracture et une patiente qui peut charger sans trop de douleurs, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. La patiente a reçu instruction de porter une attelle Aircast sport pour cinq semaines supplémentaires puis d'effectuer un contrôle radioclinique chez son médecin traitant. La patiente a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 14.02.2019 au 24.02.2019. Reprise à 100% le 25.02.2019. La patiente bénéficie également d'un arrêt de sport du 14.02.2019 au 28.03.2019. Face à ce début d'évolution rassurante, à savoir l'absence de signe infectieux, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient a reçu instruction de changer ses pansements toutes les 48 à 72 heures puis d'effectuer une ablation des fils à votre consultation le 03.03.2019. Le patient a reçu instruction de reconsulter en cas d'apparition de signes infectieux. Face à ce début d'évolution rassurante, notamment l'absence de signes infectieux, nous concluons à la fin de traitement en policlinique d'orthopédie. Sachant que la patiente a reçu l'instruction d'aller faire contrôler sa plaie dans 48h chez son pédiatre, puis de reconsulter son pédiatre dans 13 jours pour l'ablation des fils. Face à ce statut, nous rétrogradons le diagnostic initial d'entorse stade II à une entorse de grade I et immobilisons la patiente par une bande élastique qu'elle devra porter pour une durée supplémentaire de trois semaines avant d'effectuer un contrôle clinique chez son médecin traitant. La patiente, qui travaille comme femme de ménage, a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 10.02.2019 au 11.02.2019 reprise à 100% le 12.02.2019. Face à cet examen clinique rassurant, nous suspectons une crise d'angoisse chez ce patient dans un contexte de stress actuel. Nous décidons de laisser le patient rentrer à domicile avec une prescription de Temesta 1mg en réserve en cas de réapparition de cette symptomatologie. Face à cette évolution favorable, nous concluons à la fin de traitement en policlinique d'orthopédie. Face à cette évolution favorable nous concluons à la fin du traitement en policlinique. Face à cette évolution rassurante, à savoir un patient qui charge totalement sur son membre inférieur G sans trop de douleurs et un statut clinique dans la norme. Nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Nous retenons le diagnostic de contusion du pied G pour lequel le patient a été traité. Le patient n'a jamais bénéficié d'arrêt de travail pour ce traumatisme. Face à cette évolution rassurante, à 4 semaines du traumatisme avec uniquement une légère raideur articulaire attendue, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. La patiente a reçu instruction de porter une attelle de poignet palmaire pour 14 jours supplémentaires puis d'effectuer un contrôle clinique chez son médecin traitant. La patiente bénéficie d'un arrêt de sport dès le 20.01.2019 jusqu'au 05.03.2019. Face à cette évolution rassurante, avec une bonne mobilité et uniquement la persistance de légères douleurs à la palpation du site fracturaire, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie, sachant que la patiente a reçu instruction de porter une attelle de poignet palmaire pour 14 jours supplémentaires avant d'effectuer un contrôle clinique chez son pédiatre. La patiente a bénéficié d'un arrêt de sport du 22.01.2019 au 07.03.2019. Face à cette évolution rassurante avec une patiente qui n'a que très peu de douleurs à la marche, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie, sachant que la patiente a reçu instruction de porter son attelle Aircast pour une durée supplémentaire de 3 semaines puis d'effectuer un contrôle clinique chez son pédiatre. Face à cette évolution rassurante avec uniquement la persistance de légères douleurs à la palpation du site fracturaire, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie sachant que le patient a reçu instruction d'éviter les activités sportives pour une durée supplémentaire de 14 jours puis d'effectuer un contrôle clinique chez son pédiatre dans deux semaines. Face à cette évolution rassurante marquée néanmoins par une légère raideur de la cheville comparée au côté opposé. Nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. La patiente a reçu une prescription de 9 séances de physiothérapie pour récupérer les amplitudes de sa cheville. La patiente aspirante à l'école de police n'a jamais bénéficié d'arrêt de travail pour ce traumatisme mais a bénéficié d'un arrêt de sport du 15.12.2018 au 04.02.2019. Face à cette évolution rassurante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. À savoir que la patiente a reçu instruction de nous recontacter en cas de raideur dans un mois. La patiente n'a pas bénéficié d'arrêt de travail. Face à cette évolution rassurante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Face à cette évolution rassurante nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Les parents de la patiente ont reçu l'instruction de se représenter en cas d'évolution défavorable, à savoir l'apparition de nouvelles douleurs, la majoration de la déformation ou l'apparition de troubles neurovasculaires. Face à cette évolution rassurante, nous concluons à la fin de traitement en policlinique d'orthopédie. Le patient a reçu instruction de reconsulter en cas d'évolution défavorable. Le patient n'a jamais bénéficié d'arrêt de travail pour ce traumatisme. Face à cette évolution rassurante, nous concluons à la fin de traitement en policlinique d'orthopédie, sachant que le patient a reçu instruction de se représenter en cas de péjoration des douleurs ou d'apparition de troubles neurovasculaires. Face à cette évolution rassurante, nous confirmons la fin du suivi en policlinique d'orthopédie sachant que la patiente a reçu instruction de porter la bande élastique pour une durée supplémentaire de 3 semaines et d'effectuer un contrôle à votre consultation à la fin de l'immobilisation. La patiente, étudiante, n'a jamais reçu d'arrêt de travail pour ce traumatisme. Face à cette évolution rassurante, nous mettons fin ce jour, 13.02.2019, au suivi en policlinique d'orthopédie. La patiente a reçu les instructions de continuer à porter son Air-Cast pour une durée de 5 semaines, puis de se présenter à votre consultation pour contrôle. Étudiante, elle n'a jamais bénéficié d'un arrêt de travail pour ce traumatisme. Par contre, arrêt de sport du 06.02 au 20.03.2019. Face à cette évolution satisfaisante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie, sachant que le patient a reçu instruction de s'auto-mobiliser pour récupérer les amplitudes articulaires du poignet et d'éviter la pratique du sport pour une durée supplémentaire de 14 jours.Face à cette évolution tout à fait rassurante, à savoir disparition des douleurs et persistance uniquement d'une légère raideur articulaire attendue après 4 semaines d'immobilisation, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Mme. Y a reçu instruction de reconsulter en cas de persistance de la raideur à un mois. Elle a bénéficié d'un arrêt de sport du 19.01.2019 au 05.03.2019. Face à cette évolution tout à fait rassurante, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient a reçu instruction d'effectuer lui-même les réfections de pansements tous les deux à trois jours jusqu'à ce que la croûte en place tombe. Mr. Y a reçu instruction de reconsulter en cas d'évolution défavorable, à savoir apparition de signes infectieux. Face à la clinique, nous soupçonnons une fracture du scaphoïde gauche pour laquelle nous conseillons l'immobilisation dans un plâtre et une antalgie simple. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans 10 jours. Face à l'évolution favorable clinique et radiologique, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Il est conseillé au patient de ne pas pratiquer un sport de contact pendant 2 semaines supplémentaires. Le patient pourra ensuite reprendre les activités sportives. Face à l'évolution favorable de la plaie, le suivi sera fait chez le médecin traitant jusqu'à l'ablation des fils chez le Dr. X à J14. Face à l'évolution favorable du traitement, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie et nous restons à disposition si nécessaire. Face à l'évolution favorable, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient sera recontrôlé chez son médecin traitant ainsi que pour l'ablation des fils prévue dans 2 semaines. Face à l'évolution favorable, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Face à l'évolution favorable, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Nous proposons à la patiente de faire de la physiothérapie mais elle préfère faire de l'automobilisation elle-même. Elle nous recontactera si cela ne devait pas convenir. Face à l'évolution favorable, nous concluons à la fin de traitement en policlinique d'orthopédie. Le patient pourra reprendre le travail le lendemain. Nous restons à disposition si nécessaire. Face à l'évolution favorable, nous refaisons le pansement et les contrôles suivants seront effectués chez le pédiatre du patient, avec ablation des fils à J14. Nous conseillons aux parents de garder l'attelle car le patient est traité pour une hyperactivité et serait plus enclin à se blesser à nouveau. Le patient peut tout de même la retirer lors de moments plus calmes. Face à l'examen clinique et au bilan biologique, nous demandons l'avis du Dr. X qui préconise une antalgie simple et un retour à domicile de la patiente. Elle passera un CT abdominal à Vevey le 18.02.2019 prévu de longue date pour déterminer l'origine de cette douleur abdominale chronique. La patiente se rendra chez son médecin traitant afin d'analyser les résultats de celui-ci. Face à l'examen clinique, nous effectuons une Rx thorax et une Rx du bassin pour exclure une lésion osseuse. Nous effectuons également un examen des urines mettant en évidence une hématurie microscopique et un laboratoire sanguin montrant une fonction rénale sans particularité. Au vu de l'examen urinaire et de la clinique, nous décidons d'effectuer une US de l'abdomen et excluons une lésion rénale gauche. Nous effectuons également un US de la jambe droite afin d'exclure un syndrome des loges sur hématome intra-musculaire et objectivons un hématome sous-cutané au niveau postéro-inférieur de la jambe droite de 7x2cm de grand axe sans atteinte des muscles. En raison des résultats clinico-radiologiques rassurants, nous posons le diagnostic de fracture de l'arc postérieur de la 10e côte gauche et une contusion du mollet droit. Nous mettons la microhématurie sur le compte d'un probable choc sur le rein gauche dans le contexte traumatique de la lésion osseuse costale. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec une prescription d'oxycontin 5mg 2x/jour pendant 10 jours pour sa fracture costale et Voltaren 75mg retard 2x/jour. Nous mettons en place une bande élastique au niveau de sa jambe droite et laissons la patiente marcher en charge au seuil de sa douleur sans aide auxiliaire. La patiente reçoit également un rappel anti-tétanique aux urgences par TD-Pur. La dermabrasion est couverte par un Jelonet complété par un pansement simple. La patiente sera revue à la consultation de son médecin traitant pour une réévaluation clinico-radiologique dans une semaine. Nous invitons la patiente à se présenter aux urgences en cas de douleur persistante malgré l'antalgie, de toux, de dyspnée, de macrohématurie ou de tout autre signe de gravité. Face à un doute sur la radiographie la veille, nous réalisons donc un scanner du genou le 17.02.2019, qui montre cette fracture du plateau tibial externe. Le Dr. X discute avec la patiente l'indication opératoire, et la patiente rentre à domicile. Elle sera appelée pour fixer une date opératoire. Consentement éclairé déjà signé. Face à une évolution favorable, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie et restons disponibles si nécessaire. Facteur V Leiden, hétérozygote, sans événement thrombo-embolique. Facteurs de risque cardio-vasculaire: • tabagisme actif (25 UPA), • Obésité modérée (BMI 30.5 kg/m²) en 06/2018, • Dyslipidémie à LDL (Contrôle du 01.02.2019: 4.050 mmol/l) Facteurs de risque cardiovasculaire: anamnèse familiale positive, hypercholestérolémie Epilepsie focale complexe récidivante post AVC cardio-embolique en 2014 • récidive en 01/2018 sur pneumonie, malcompliance médicamenteuse et manque de sommeil sur stress psychosocial • récidive en 2016 • présentation clinique: aphasie, réactivité réduite, myoclonies des membres supérieurs • trouble de l'état de conscience d'allure encéphalopathie le 17.02.2014, spontanément résolutif (EEG avec altération générale modérée à sévère, sans potentiels typiques d'épilepsie) Crises épileptiques partielles simples à répétition depuis le 16.01.2019 • Symptomatologie: aphasie motrice transitoire, fixité regard, perte de contact • Facteur déclencheur: arrêt de prise du traitement • Epilepsie structurelle connue depuis 2014 sur AVC de l'artère cérébrale moyenne gauche (cf. antécédents) • EEG le 17.01.2019 (Dr. X): absence signal évoquant épilepsie • EEG le 21.01.2019 (Dr. X): EEG de veille et de somnolence normal • EEG + consultation neurologique HFR Fribourg (Dr. X ou Pr. X) le 29.01.2019: à organiser depuis Tafers • Lévétiracétam du 17.01.2019 au 19.01.2019 (stop pour état confusionnel aigu) • Clobazam (Urbanyl) dès le 17.01.2019, Phénytoïne, Lamotrigine et Gabapentine dès le 18.01.2019 Suspicion de troubles cognitifs débutants (primo diagnostic 02.2016) • consilium neuropsychologique en 02.2016: déficits cognitifs d'intensité modérée (fonctions exécutives, langage, attention et mémoire (MOCA 16/30)) Facteurs de risque cardiovasculaire: anamnèse familiale positive, hypercholestérolémie Epilepsie focale complexe récidivante post AVC cardio-embolique en 2014 • récidive en 01/2018 sur pneumonie, malcompliance médicamenteuse et manque de sommeil sur stress psychosocial • récidive en 2016 • présentation clinique: aphasie, réactivité réduite, myoclonies des membres supérieurs • trouble de l'état de conscience d'allure encéphalopathie le 17.02.2014, spontanément résolutif (EEG avec altération générale modérée à sévère, sans potentiels typiques d'épilepsie)Crises épileptiques partielles simples à répétition depuis le 16.01.2019 • Symptomatologie: aphasie motrice transitoire, fixité du regard, perte de contact • Facteur déclencheur: arrêt de la prise du traitement • Epilepsie structurelle connue depuis 2014 sur AVC de l'artère cérébrale moyenne gauche (cf. antécédents) EEG le 17.01.2019 (Dr. X): absence de signal évoquant épilepsie EEG le 21.01.2019 (Dr. X): EEG de veille et de somnolence normal EEG + consultation neurologique HFR Fribourg (Dr. X ou Dr. X) le 29.01.2019: à organiser depuis Tafers Lévétiracétam du 17.01.2019 au 19.01.2019 (stop pour état confusionnel aigu) Clobazam (Urbanyl) dès le 17.01.2019, Phénytoïne, Lamotrigine et Gabapentine dès le 18.01.2019 Suspicion de troubles cognitifs débutants (primo diagnostic 02/2016) • Consilium neuropsychologique en 02/2016: déficits cognitifs d'intensité modérée (fonctions exécutives, langage, attention et mémoire (MOCA 16/30)) Facteurs de risque cardiovasculaires avec : • diabète de type 2 insulino-requérant avec rétinopathie diabétique et acuité visuelle à droite à 0.1 et à gauche à 0.5 • obésité de classe I avec BMI à 31.7 kg/m2, le 14.03.2017 • hypertension artérielle • hypercholestérolémie • ancien tabagisme à 40 UPA, arrêté en 1999 • insuffisance rénale chronique de stade III Artériopathie de stade IV du membre inférieur gauche avec : • amputation sus-condylienne pour ischémie aiguë du membre inférieur droit le 09.01.2015 avec : • choc hémorragique sur saignement du moignon et ACR intra-opératoires à 2 reprises • nécrose cutanée infectée à Staphylococcus Aureus, Morganella morganii et ostéite de l'hallux gauche • sténoses sub-occlusives des artères jambières gauches • status post cure chirurgicale de l'ongle incarné du gros orteil gauche par le Dr. X, le 27.03.2015 • amputation de l'hallux gauche le 17.07.2015 • nécrosectomie et débridement le 02.09.2015 • amputation de l'avant-pied gauche le 27.11.2015 avec pose de VAC le 30.11.2015 Syndrome des apnées obstructives du sommeil, appareillé Troubles de l'adaptation, réaction mixte, anxieuse et dépressive avec Escitalopram dès le 18.02.2015 Tumeur des tissus mous de la face antérieure du coude gauche Cataracte à droite Hypoacousie à droite, non appareillée Hématurie macroscopique chronique d'origine indéterminée et multi-investiguées, suivi Dr. X Facteurs de risque cardiovasculaire: tabagisme actif, hypercholestérolémie, hérédité. Facteurs de risque cardiovasculaire: • Diabète de type 2 non insulino-requérant (HbA1c 6.5 %) • ATCD tabagique à 25 UPA • hypercholestérolémie traitée • SAOS appareillé Facteurs de risque cardiovasculaires : cigare occasionnel, notion d'une dyslipidémie non traitée. Facteurs de risque cardiovasculaires : • Hypertension artérielle. • Diabète de type II non insulino-dépendant cortico-révélé le 04.06.2018 • Dyslipidémie. • Tabagisme ancien (20 UPA) • SAOS modéré, diagnostiqué par polysomnographie le 28.01.2019; VNI non tolérée Facteurs de risque cardiovasculaires : hypertension artérielle, hypercholestérolémie, ancien tabagisme. Anamnèse familiale positive : son père décédé d'un infarctus du myocarde à l'âge de 57 ans, 1 frère et 1 sœur qui ont eu un anévrisme de l'aorte. Facteurs de risque cardio-vasculaires : • tabagisme actif • anamnèse familiale positive • surcharge pondérale BPCO Syndrome d'apnées obstructives du sommeil, non appareillé Diverticulose colique Maladie coronarienne monotronculaire avec sténose significative de la coronaire droite proximale, avec : • NSTEMI le 10.06.2016 sur une sténose très serrée de la CD proximale traitée par un stent actif • FEVG à 68% à la ventriculographie Facteurs de risque cardio-vasculaires : • tabagisme actif • anamnèse familiale positive • surcharge pondérale BPCO Syndrome d'apnées obstructives du sommeil Diverticulose colique Maladie coronarienne monotronculaire avec sténose significative de la coronaire droite proximale, avec : • NSTEMI le 10.06.2016 sur une sténose très serrée de la CD proximale traitée par un stent actif • FEVG à 68% à la ventriculographie Facteurs de risque cardio-vasculaires : • tabagisme actif • anamnèse familiale positive • surcharge pondérale BPCO Syndrome d'apnées obstructives du sommeil Diverticulose colique Maladie coronarienne monotronculaire avec sténose significative de la coronaire droite proximale, avec : • NSTEMI le 10.06.2016 sur une sténose très serrée de la CD proximale traitée par un stent actif • FEVG à 68% à la ventriculographie Facteurs de risques cardiovasculaire : hypertension artérielle, dyslipidémie. Asthme. Palpitations occasionnelles. Bradycardie sinusale sous bêta-bloquants. Facteurs de risques cardio-vasculaires : • tabagisme actif à 10 UPA • surcharge pondérale • dyslipidémie non traitée • anamnèse familiale positive pour dissection aortique chez le père avec décès vers 60 ans Adénocarcinome colique sigmoïdien diagnostiqué en avril 2017 • colectomie subtotale le 10 mai 2017: adénocarcinome colorectal du gros intestin moyennement différencié G2 pT3 pN0/18 pV1 R0 avec 2 adénomes tubulo-villeux du gros intestin en dysplasie de bas grade • bilan d'extension négatif cM0 • absence d'instabilité des régions micro-satellites (MSI) sur le matériel tumoral • absence de mutation PIK3CA • chimiothérapie adjuvante par Xeloda de mai à octobre 2017 Facteurs de risques cardiovasculaires : hypertension artérielle sous bithérapie, dyslipidémie non traitée, tabagisme actif à 5 UPA. Reflux gastro-oesophagien sur hernie hiatale non traitée. Omalgies gauches chroniques sur accident en 2012 sous Amotriptilline. Facteurs de risques cardio-vasculaires : • tabagisme actif à 10 UPA • surcharge pondérale • pas de diabète ni hypertension artérielle connue • dyslipidémie non traitée • anamnèse familiale positive pour dissection aortique chez le père avec décès vers 60 ans Adénocarcinome colique sigmoïdien diagnostiqué en avril 2017 • colectomie subtotale le 10 mai 2017: adénocarcinome colorectal du gros intestin moyennement différencié G2 pT3 pN0/18 pV1 R0 avec 2 adénomes tubulo-villeux du gros intestin en dysplasie de bas grade • bilan d'extension négatif cM0 • absence d'instabilité des régions micro-satellites (MSI) sur le matériel tumoral • absence de mutation PIK3CA • chimiothérapie adjuvante par Xeloda de mai à octobre 2017 Facteurs de risques familiaux : grand-père maternel : infarctus Facturation faite. Facture de la première phalange du 4ème orteil gauche : Facture hémi-Lefort de type I, associée à une fracture tripode du zygomatique peu déplacée. Fracture de l'omoplate gauche légèrement déplacée sans composante intra-articulaire. Contusion intra-parenchymateuse du pôle inférieur de la rate (CT thoraco-abdominal), sans hématome sous-capsulaire ni liquide libre. Septicémie à Pneumocoque d'origine pulmonaire le 05.01.2013. Cholécystite le 06.01.2013. Fracture sous-capitale MCP V D non déplacée, le 19.12.2017. Facture P1O4 gauche faible métrorragie du 1er trimestre Faible risque anamnestique (partenaire stable depuis 2 ans). Pilule du lendemain le 09.02.2019. Test HIV refusé par la patiente. Recherche Gonocoque et Chlamydia dans les urines: PCR pour Chlamydia revient positive (résultat transmis à la patiente le 14.02.2019). Consultation gynécologique en ambulatoire prévue par la patiente. Faiblesse bras G Faiblesse, fièvre, céphalées, maux de gorge. Failed back surgery syndrome sur: • Status post-discectomie décompression L3-L4 et L5-S1 par abord rétro-péritonéal G, contrôle de la stabilité de la cage L4-L5, mise en place d'une cage Synfix S 10.5/10° fixée par 3 vis et pré-remplie au Ceracell en L5-S1, mise en place d'une cage Synfix M 12/14° fixée par 3 vis et pré-remplie au Ceracell en L3-L4 + correction de la cyphose le 02.07.2018 pour une pseudarthrose L5-S1 avec syndrome du segment adjacent L3-L4 et discopathie invalidante à ce niveau.• Status post-spondylodèse L4-L5 par système ROMEO et BGel, décompression canalaire L5-S1 avec facettectomie, ablation de la lyse isthmique bilatérale et mise en place d'une cage TLIF Juliet le 06.01.2017 pour un spondylolisthésis L5-S1 grade I selon Meyerding et lyse isthmique L5 bilatérale. • BAV 1er degré • Anémie normocytaire normochrome • Faire un bilan d'anémie à distance • Transfusion 1 CE le 21.02.2019 • Fait ablation de points de suture en accord avec MRT. • Familiaux : père IDM, décédé en 1999. Grand-père IDM (paternel de la patiente). Grand-mère IDM (paternel de la patiente). Accouchements par voie basse en 2013 et 2016. Suspicion d'entorse du ligament latéro-externe du genou gauche. • Familiaux : • Père : cancer du colon, il y a 2 ans. • Grand-mère : cancer du sein PMP. • Grand-père : décédé cancer du poumon /plèvre (amiante). • Grand-mère : décédée cancer généralisé. • Status post commotion cérébrale en 1995. • Status post fracture du nez en 2007. • Status post extraction dent de sagesse infectée/AL en 2007. • Patiente de 28 ans IG0P à 26+3 SA avec probable gastroentérite (nausée, vomissement et diarrhée depuis la veille). • Gastroentérite. • Familiaux : • Père : cancer du colon, il y a 2 ans. • Grand-mère : cancer du sein PMP. • Grand-père : décédé cancer du poumon /plèvre (amiante). • Grand-mère : décédée cancer généralisé. • Status post commotion cérébrale en 1995. • Status post fracture du nez en 2007. • Status post extraction dent de sagesse infectée/AL en 2007. • Patiente de 28 ans IG0P à 26+3 SA avec probable gastroentérite (nausée, vomissement et diarrhée depuis la veille). • Gastroentérite. • Familiaux : • g-père + g-mère diabète. • père : VIH pos. • cousin : trisomie 21. • g-mère : mélanome. • Accouchement par voie basse le 28.07.2016 à terme +5 après une provocation pour terme dépassé et hydramnios chez une patiente 1G devenue 1P. Déchirure périnéale degré 2. • Contusion et torsion du pied G le 17.10.2016. • Fascéite nécrosante de la cuisse gauche le 06.02.19. • Prise en charge palliative en vue du mauvais pronostic d'une prise en charge chirurgicale. • Fascéite nécrosante du membre inférieur gauche 08.03.2010. • Débridement large le 8 et le 10 mars 2010. • Fascéite nécrosante du membre inférieur gauche 08.03.2010. • Débridement large le 8 et le 10 mars 2010. • Fascéïte plantaire droite. • Fracture péri-prothétique sub-trochantérienne du fémur G le 19.12.2018 sur status post ostéosynthèse par DHS d'une fracture pertrochantérienne G le 10.01.2014. • Arrachement de la base du 5ème métacarpien de la main G le 19.12.2018. • Fascéïte plantaire le 04.02.2019. • Fascéite plantaire pied D. • Métatarsalgie du pied D. • Hallux valgus. • Arthrose au niveau de l'articulation du Lisfranc et du Chopart. • Fasciculation et hypoesthésie de la joue gauche intermittentes sub-aiguës d'origine indéterminée le 28.02.2019. • Touché-piqué bien distingué des deux côtés. Pas d'autre trouble neurologique associé. • Fasciite plantaire à D. • Fasciite plantaire bilatérale sur : • Status post libération des coalitions, ostéotomie de latéralisation du calcanéum ddc, arthrodèse sous-talienne ddc, en octobre 2014 au CHUV pour une coalition sous-talienne talo-calcanéenne bilatérale, arthrose sous-talienne débutante et pieds creux. • Status post ablation des vis d'arthrodèse et résection de l'esquille osseuse du calcanéum G en décembre 2015 au CHUV. • Fasciite plantaire du pied gauche. • Fasciite plantaire gauche. • Fasciite plantaire pied D. • Arthrose peu symptomatique au niveau de la MTP 1 à D. • Status post infiltration MTP 1 à D le 10.01.2019. • Status post entorse Chopart et entorse cheville stade II à D en juin 2018. • Fasciite plantaire pied G. • Status post PTG à G en octobre 2017. • Fasciotomie complète des 4 loges musculaires de la jambe D le 06.02.2019. • Fasciotomie complète des 4 loges musculaires de la jambe D le 06.02.2019. • Tazobac dès le 09.02.2019. • Frottis de plaie le 09.02.2019 : Cocci +++, antibiogramme en cours, téléphone labo microbiologie : 026 306 18 80. • FAST : globe urinaire environ 1200 ml, pas de liquide libre. • Pose de sonde vésicale. • Urines propres. • FAST le 24.01.2019 : Pas d'épanchement dans le Morisson, fine lame d'épanchement de 1 cm dans le cul de sac de Douglas, pas d'épanchement spléno-rénal, pas de dilatation des voies pyélocalicielles. • Radio thorax le 24.01.2019 : Hiles pulmonaires sans particularité. Absence de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Absence d'épanchement pleural. Plages pulmonaires sans foyer constitué. Troubles dégénératifs multi-étagés de la colonne dorsale avec anciens tassements des corps vertébraux de D5, D7 et D8, superposables au comparatif. • Angio-CT le 24.01.2019 : Très discrète augmentation de l'anévrisme abdominal sous-rénal, mesuré à 40 mm de grand axe, partiellement thrombosé avec inflammation de sa paroi et une infiltration péri-aortique faisant suspecter un syndrome de pré-rupture, sans signe de saignement actif. • Angio-CT le 26.01.2019 : Examen totalement superposable au comparatif CT du 24.01.2019, on retrouve l'anévrisme abdominal sous-rénal, mesurant 40 mm de grand axe inchangé avec un thrombus mural hémi-circonférentiel ainsi qu'une infiltration avec prise de contraste de la paroi de l'anévrisme, antérieurement et infiltration de la graisse péri-aortique faisant suspecter un syndrome de pré-rupture ou des signes d'instabilité de cet anévrisme DD péri-aortite sur anévrisme inflammatoire. Pas de saignement actif. Absence de liquide libre intra-péritonéal ou de collection. • ETT le 25.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie de la paroi latéro-apicale, de la paroi latérale moyenne et de la paroi postéro-basale. FEVG à 50 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Épaississement de moins de 50 % des 2 feuillets mitraux. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'HTAP (PAPs à 19 mmHg). Insuffisance tricuspide minime. Absence d'épanchement péricardique. La fonction systolique globale est légèrement diminuée avec une hypokinésie de la paroi latéro-apicale, de la paroi latérale moyenne et de la paroi postéro-basale. Ad coronarographie en préopératoire pour évaluer la présence d'une atteinte coronarienne. • Coronarographie le 28.01.2019 : Maladie coronarienne sévère avec une fonction systolique préservée dans ETT. Le double ostium de la coronaire gauche montre une sténose de l'IVA ostiale 70 % suivi par une longue lésion de l'IVA moyenne 70-90 %. L'artère circonflexe est de moyenne calibre et montre une sténose significative dans la partie moyenne. L'ACD proximale démontre une lésion 50-70 %. • Laboratoire : cf. annexes • Fatigue. • Fatigue. • Fatigue. • Fatigue. • Fatigue. • Fatigue. • Fatigue. • Fatigue d'origine indéterminée le 27.02.2019. • Fatigue d'origine peu claire DD syndrome d'apnée de sommeil, insuffisance hépatique.• Epworth's score: 1/24 • Lab: en Annexe. Fatigue d'origine X le 27.02.2019. Chez une patiente connue pour une polyarthrite subaiguë d'origine indéterminée • périphérique et symétrique le 09.09.2018 • touchant l'épaule gauche, les hanches et les genoux • début rhizomélique. Facteur rhumatoïde négatif, anti-CCP négatif. HLA-B27 négatif. Fatigue et faiblesse généralisée dans le contexte d'une maladie tumorale finale et une anémie sur saignement gastrique. Fatigue extrême et inappétence. Fatigue importante dans le contexte d'une situation oncologique terminale. DD sur anémie sur saignement digestif et urinaire. Fausse couche sans curetage en juillet 2011. Césarienne le 30.05.2012. Fausse couche avec curetage (2018) Ablation des végétations. Fausse couche hémorragique à 6 1/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 5G3P de 40 ans. Fausse couche hémorragique à 7 1/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 2G1P de 27 ans. Fausse couche incomplète en octobre 2014 traitée par curetage. Status post césarienne élective pour une présentation en siège à 38 3/7 SA chez une patiente de 27 ans G2 devenue P1 le 22.03.2016. Fausse couche spontanée en mars 2018. Opération d'un abcès de la grande lèvre gauche (maladie de Verneuil). Amygdalectomie en 2005. Accouchement par voie basse avec EMLD le 23.01.2011. Fausse couche spontanée en 2015 (sans curetage). Accouchement par voie basse en 2014 à 35 semaines d'aménorrhée, sexe : garçon, poids : 2950 g. Fausse couche spontanée en 2018. Pyélonéphrite droite en 2014. Fausse couche spontanée (mai 2018). Fausse couche spontanée X4. Fausse couche spontanée. Interruption thérapeutique de grossesse à 17 semaines d'aménorrhée pour trisomie 21 avec malformation cardiaque et vertébrale chez une patiente 2G 0P de 41 ans. Fausse couche sur rupture prématurée des membranes et amnios à 20 6/7 SA chez une patiente 1G 0P de 29 ans. Groupe sanguin: 0 Rhésus positif. Fausse route. Fausse route probable DD inhalation CE. Fausse suspicion d'infection intestinale à Shigella. Fausse couche hémorragique à 11 semaines d'aménorrhée, curetée en 2013. Fausse couche tardive à 17 semaines d'aménorrhée en 2016, curetage. Césarienne en urgence pour CTG pathologique et bradycardie maternelle à 41 4/7 semaines d'aménorrhée en 2015. Naissance d'une fille de 2620 g. Accouchement par césarienne après un échec de provocation par Propess pour rupture prolongée des membranes, chez une patiente de 29 ans, 4 gestes devenue 2 pares à 39 3/7 semaines d'aménorrhée avec un utérus cicatriciel. Fausses couches à répétition. Asthme traité. Fausses routes primaires. Faux croup. Faux croup. Faux croup. Faux croup. Faux croup. Faux croup léger. Faux croup léger. Faux croup léger. Faux croup léger. Faux croup léger. Faux croup léger. Faux croup modéré. Faux croup modéré. Faux croup modéré dans un contexte de faux croups en répétition (laryngo-malacie, kyste laryngé). Faux croup modéré résolu rapidement à domicile. Rhume associé. Consignes données pour surveillance à domicile et explication des signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Faux croup modéré (score de Westley à 3). Faux croup modéré, Westley 5. Faux croup sévère. Faux croup Westley 0. Faux croup Westley 0. Faux croup Westley 5. Faux croup, 1er épisode. Faux-croup. Faux-croup. Faux-croup. Faux-croup. Faux-croup. Faux-croup. Faux-croup, actuellement résolu. Faux-croup léger. Faux-croup léger. Faux-croup modéré. Faux-croup sévère. Faux-croup. Bronchite. FE urée : 33%. Hydratation. Mise en suspend des traitements anti-diabétiques oraux et diurétiques. Schéma de correction d'insuline. FE urée: 33%. Hydratation. Mise en suspend des traitements anti-diabétiques oraux et diurétiques. Schéma de correction d'insuline. Fébrifuges au besoin. Fébrifuge en réserve. Consignes de réhydratation en détail. Fébrifuge si besoin. Contrôle chez le pédiatre si persistance d'EF. Fébrifuges. Fébrifuges (Dafalgan, Novalgine). Sédiment urinaire et Urotube le 01.02.2019 : flore mixte avec 10^4 germes. Hémocultures le 31.01.2019 : négatives à 5 jours. Radiographie du thorax le 01.02.2019 : pas de foyer. Frottis de grippe le 01.02.2019 : positif à Influenza A. Isolement type gouttelettes et géographique du 01.02.2019 jusqu'au 05.02.2019. Introduction de Tamiflu du 01.02.2019 pour 5 jours. Fébrifuges et sirop Weleda. Consignes usuelles détresse respiratoire et déshydratation. Fébrifuges, hydratation, antalgie. Fébrifuges. Contrôle pédiatre. Fébrifuges. Suivre l'hydratation. Fécalome asymptomatique. Fécalome le 01.02.2019. • Douleurs abdominales. Fécalome le 20.01.2019. • sur compression extrinsèque par la masse abdominale. Fecalome. • sur constipation chronique majorée par prescription d'Immodium. • avec diarrhées paradoxales. Fécalome 17.02.2019. Fêlure des côtes 9 et 10 droites le 25.01.2019 sur accident à basse vitesse. Fémur proximal droit : fracture pertrochantérienne, Kyle I. Fémur proximal droit : réduction fermée et enclouage PFNA (opération le 04.12.2018). Clexane 40 mg sous-cutanée pendant 6 semaines. Charge maximale de 15 kg pendant 6 semaines. Passage à l'Eliquis au vu d'un flutter auriculaire. Prochain rendez-vous chez Dr. X le 18.01.2019 à 10h15 : charge libre dès ce jour. Rendez-vous de contrôle avec radiographie à 6 semaines à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal chez Dr. X le 01.03.2019 à 8h45. Fenestration inter-laminaire L5-S1 G et ablation du kyste avec décompression de la racine S1 homolatérale. (OP le 04.02.2019). Douleurs postopératoires nécessitant une hospitalisation pour surveillance et traitement antalgique. Fenêtre antibiotique depuis le 13.02.2019. Réalimentation progressive par voie orale. Stop nutrition parentérale le 14.02 ou 15.02.2019. Voie veineuse centrale jugulaire interne gauche dès le 29.01.2019, à retirer dès que possible ! Poursuite physiothérapie respiratoire et mobilisation. CPAP personnelle 2x le jour et la nuit en continu. Fenêtre antibiotique. Suivi biologique et clinique. Fenêtre thérapeutique. Suite chez médecin traitant. Feniallerg en réserve. Féniallerg en réserve. Éviction de l'allergène pizza. Suivi par pédiatre pour prévoir une consultation allergologique. Consignes usuelles en cas d'anaphylaxie. Feniallerg gouttes 15 gouttes 3x/j en R. Feniallerg si prurit. Feniallerg si prurit. Consignes de surveillance données aux parents. Feniallerg 0.1 mg/kg/j en 3 doses, soit 9 gouttes 3x/jour. Reconsulter en cas de signes de détresse respiratoire ou péjoration de l'état général. Evaluer de faire un dépistage pour allergies chez le pédiatre. Feniallerg 1 mg/ml 6 gouttes 3/jour. Surveillance clinique pendant 6h après début urticaire. Éviction des aliments qu'elle a mangés ce jour. Contrôle chez pédiatre dans cette semaine. Consilium chez allergologue pédiatrique (Dr. X) (à organiser par pédiatre). Feniallerg 15 gouttes aux urgences, puis en réserve. Consultation allergologique à discuter si récidive. Feniallerg 15.20 gouttes 3x/j pendant 3 jours. Surveillance apparition d'autres lésions. Feniallerg 2x20 gouttes. Tavégyl 2 mg iv. Xyzal 5 mg 1x/jour pour 4 jours. Feniallerg 20 gouttes 3x/jour. Prednisone 1 mg/kg po. Monitoring cardiorespiratoire. Ventolin en réserve. Feniallerg 20 gouttes 3x/j en R. Feniallerg 5 gouttes. Reconsulter en cas de difficultés respiratoires • Feniallerg Cefuroxime 250mg 2x/jour 5 jours • Feniallerg Cefuroxime 250mg 2x/jour 5 jours Fucidine locale Consultation si état fébrile ou dissémination des lésions • Fentanyl en pompe CAD Rajout de la Méthadone car composante d'irradiation Maintien du Pallexia en fixe pour éviter sevrage Maintien de la Novalgin Physiothérapie, ergothérapie Approches complémentaires • Fentanyl intranasal 2x25 microgrammes Pose de VVP Échec de pose de sonde urinaire sous Meopa Pansement avec Burnfree Mis à jeûn Transfert au CHUV pour suite de prise en charge • Fentanyl 250mcg Morphine titrée Laboratoire Stix/ Sédiment Uricult Echographie ciblée aux urgences (Dr. X): dilatation pyélocalicielle 1cm à gauche avec douleur au passage de la sonde au niveau du rein gauche Avis urologique: Rocéphine adapté à la fonction rénale, hospitalisation en chirurgie, à jeûn, pose de sonde double J prévue Attitude: • Hospitalisation en chirurgie • Pose de sonde double J prévue, • À jeûn • Continuer Rocéphine 1g iv./ 24h (adapté à la fonction rénale) • Pister Uricult • Fente palatine congénitale Hypertension artérielle Ancien tabagisme à 20 UPA stoppé il y a 40 ans Ostéoarthrite chronique de la hanche gauche à Streptococcus viridans sur prothèse totale de la hanche gauche non cimentée : • Ostéomyélite chronique du cotyle et du massif trochantérien • Status post débridement et drainage de l'abcès du psoas 04/2014 • Status post explantation d'une prothèse totale de hanche gauche infectée à streptocoque viridans et abcès du psoas ipsilatéral en novembre 2013 • Status post débridement et drainage de l'abcès du psoas en novembre 2013 • Cimentage hanche gauche (date de l'intervention inconnue) • Ferinject le 14.01.2019 • Ferinject reçu chez Dr. X • Fermeture d'auricule gauche avec LAA Occluder Amplatzer Amulet 25 mm le 11.02.2019 • Fermeture de colostomie de par abord direct le 13.02.19. • Fermeture de fistule entre l'artère interventriculaire antérieure et l'artère pulmonaire. Fracture du radius distal gauche peu déplacée avec trait intra-articulaire en février 2013. Hospitalisation pour difficultés respiratoires en mars 2015. Fracture du 4ème métatarsien droit le 10.07.2016. Hospitalisation pour déconditionnement sur décompensation psychique en septembre 2017. Dyspnée d'origine probablement fonctionnelle sur angoisse. Suspicion d'angoisse généralisée avec dépendance aux benzodiazépines et autres psychotropes sédatifs et anxiolytiques. Hyponatrémie sur traitement diurétique. • Fermeture de la paroi abdominale planifiée le 08.02.2019 Soins intensifs en post-opératoire • Fermeture de l'iléostomie le 18.02.2019 • Fermeture de shunt cardiaque le 11/06/2012 (Dr. X) • Fermeture de splitstomie le 08.02.2019 • Fermeture d'iléostomie le 08.02.2019 • Fermeture d'iléostomie le 19.02.2019 (Prof. X) • Fermeture percutanée de l'auricule gauche le 11.02.2019 (Prof. X, Prof. X) ETT de contrôle le 11.02.2019 et le 12.02.2019: bon positionnement du device ETT de contrôle dans 6 mois Aspirine à vie Plavix pour 3 mois Prophylaxie endocardite selon carte fournie à la patiente • Ferritine dans la norme B12, acide folique dans la norme • Feuille d'annonce de morsure sur humaine remplie. Avis orthopédique (Dr. X). Exploration et débridement de plaie : désinfection par Bétadine, champage, anesthésie par Lidocaïne 1%, excision des berges de la plaie par scalpel 11, exploration de plaie avec sonde boutonnée, rinçage à la Bétadine diluée. Pansement. Rappel tétanos le 17.02.2019. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/j. pendant 7 jours. Consultation au secteur ambulatoire des urgences à 48h pour contrôle de plaie. Recommandation de consulter les urgences en cas d'état fébrile, frissons, trouble neurologique. • Feuille de surveillance donnée aux parents • Feuille de surveillance post-traumatisme crânien donnée. Elle sait quand reconsulter les urgences. • Fibrillation auriculaire anticoagulée jusqu'en 12.2018 (hématome rétropéritonéal spontané sous Xarelto) Syndrome métabolique: • Diabète non insulino-dépendant. • Hypertension artérielle. • Dyslipidémie. • Obésité. Hypothyroïdie suite à OP goître à l'âge de 24 ans. • Fibrillation auriculaire rapide. • Fibrillation auriculaire : • Anticoagulation par Xarelto Hypertension artérielle Ancien tabagisme actif • Fibrillation auriculaire • sous Xarelto et métoprolol • Fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide intermittente récidivante les 07.02.2019 et 08.02.2019 • Contexte de pancréatite versus cardiopathie rythmique • Fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide le 15.01.2019 • Fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide le 15.01.2019, évoluant depuis 2014 : • remplissage • Metoprolol • reprise anticoagulation thérapeutique par Sintrom dès le 16.01.2019 • Fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide le 15.02.2019 • Fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide nouvelle le 22.02.2019 • dans un contexte infectieux • Fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide • Sous Xarelto 20 mg • Fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide à 135-155/min sur déshydratation. • Fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide à 150 bpm à l'incision pour pose de PAC le 07.02.2019 • CHADS-VASC à 4 points, HAS-BLED à 3 points • Fibrillation auriculaire à 125 battements par minute le 21.01.2019 • Fibrillation auriculaire à 94 bpm le 25.01.2019 avec score Child-Vasc2 : 4.8%. • Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom Consommation excessive d'alcool (3 à 4 bières par jour et 1 verre de vin par jour) Probable syndrome démentiel débutant (IRM juillet 2011 : atrophie cérébrale, lésions vasculaires) • Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom Constipation chronique Diabète de type 2 sous traitement Hypertension artérielle sous traitement Troubles de la marche et de l'équilibre dans les suites de métastases ostéolytiques de D8 à D12 avec infiltration épidurale d'un adénocarcinome de la prostate cT3b cN1 cM1 stade IV Gleason VIII, opérées le 02.11.2016 par : • Décompression par laminectomie D8-D9-D10 • Spondylodèse D8-D11 avec vis cimentées • Cyphoplastie de D9 et D10 avec VBS • Reprise du Xtandi le 04.11.2016 Troubles cognitifs débutants le 21.11.2016 Douleurs abdominales chroniques (diagnostics différentiels : dans contexte oncologique, versus effets secondaires de la Metformine) Douleurs abdominales dans un contexte de carcinome de la prostate métastatique Léger état confusionnel sur opiacés (Effentora) le 25.08.2016 État confusionnel aigu le 28.10.2016 Contusion de la tête sans trouble neurologique le 01.11.2016 Hypophosphatémie le 02.11.2016 (0.57mmol/l) : substitution de Phoscap Hypokaliémie le 29.10.2016 (2.9mmol/l) Adénocarcinome de la prostate Gleason score 8, stade initial cT3b cN1 M0 : • Date du diagnostic : 09.11.2009 • Histologie (Unilabs H2009.22155) : adénocarcinome de la prostate Gleason score 4+4=8 avec infiltration péri-neurale • CT abdomino-pelvien du 20.11.2009 : masse prostatique d'environ 40x32mm avec envahissement de la vésicule séminale droite, de la graisse péri-prostatique et envahissement du rectum ; adénopathies pelviennes • Scintigraphie osseuse du 20.11.2009 : absence d'image en faveur de métastase osseuse • PSA initial 17.1ng/ml • Traitement de radio-hormonothérapie associant analogues LHRH de décembre 2009 à décembre 2011 et radiothérapie 74 Gy de la prostate et des vésicules séminales • Récidive bio-chimique traitée par analogues LHRH le 15.05.2014 • Progression tumorale réfractaire à la déprivation androgénique en août 2016 sous la forme de métastases osseuses et d'adénopathies crurales, médiastinales et hilaires • Thérapie antihormonale palliative de 2ème ligne par Xtandi (enzalutamide) dès le 20.10.2016 • Radiothérapie palliative à visée antalgique du rachis dorsal D8-D12 du 26.09.2016 au 11.10.2016 • Décompression par laminectomie D8-D9-D10, spondylodèse D8-D11 avec vis cimentées et cyphoplastie de D9 et D10 le 28.10.2016 • Progression biologique depuis décembre 2017, asymptomatique • Progression biologique et clinique dès septembre 2018 Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom. Probable adénocarcinome prostatique non biopsié en 2011 (désir du patient). Anémie hypochrome normocytaire non proliférative. Troubles d'équilibre et de la marche avec les chutes à répétition avec facteur de risque d'origine multiple : hypotension orthostatique, anémie, carence en vitamine, polymédication, troubles cognitifs, sarcopénie. Fibrillation auriculaire chronique (diagnostiquée 2006) Bronchite avec hyperréactivité bronchique Fibrillation auriculaire chronique sous Cordarone depuis le 27.03.2007, actuellement sous Eliquis Hypertension artérielle Insuffisance mitrale discrète (à modérée) sur dilatation de l'anneau (échocardiographie en 2009) Maladie de l'oreillette avec brady-tachycardie : Mise en place d'un pacemaker le 03.11.2014 (Dr. X) Dernier contrôle le 13.11.2018 Perte d'équilibre sur anciennes séquelles neurologiques (1974) post-hernie discale lombaire et vertiges sur cupulolithiase Insuffisance veineuse chronique de stade III Dermite blanche du membre inférieur gauche : • Depuis avril 2015 • Sur insuffisance veineuse chronique • Cure de varice endoveineuse de la grande veine saphène gauche le 09.10.2015 (Dr. X) Fibrillation auriculaire chronique traitée par Sintrom Consommation excessive d'alcool (3 à 4 bières par jour et 1 verre de vin par jour) Probable syndrome démentiel débutant (IRM juillet 2011 : atrophie cérébrale, lésions vasculaires) Fibrillation auriculaire, connue depuis 2011 Fibrillation auriculaire constante normocarde le 31.01.2019 CHAD2VASC2 5 points, HASBLED 2 points Fibrillation auriculaire découverte le 22.01.2019 • CHA2DS-VASc : 6 • HAS-BLED : 3 Fibrillation auriculaire diagnostiquée en avril 2018 non anticoagulée par choix du patient • VG non dilaté avec fonction systolique normale en avril 2018 Obésité de grade 1 Fibrillation auriculaire (FA) intermittente le 18.02.2019 • FA connue depuis avril 2018 non anticoagulée par choix du patient • CHA2DS2-VASc le 20.02.2019 à 4 points • HAS-BLED le 20.02.2019 à 2 points Fibrillation auriculaire inaugurale à 120/min asymptomatique le 28.01.2019 • HAS-BLED 3 points, CHAD-VASC 4 points Fibrillation auriculaire inaugurale à 145 bpm le 15.02.2019 • CHADVASC2 à 4 pts • HASBLEED à 1 pt DD : contexte infectieux Fibrillation auriculaire inaugurale en octobre 2017, actuellement non-anticoagulée. Artériopathie de stade III à droite et de stade asymptomatique à gauche. Notion d'asthme dans l'enfance. Fibrillation auriculaire inaugurale le 03.01.2019 • CHADS-VASC : 3 pts, HAS-BLED : 3 pts Fibrillation auriculaire inaugurale le 17.02.2019 d'origine mixte sur • anémie • état infectieux • dysélectrolytémie • Cardioversion médicamenteuse par Amiodarone le 17.02.2019 Fibrillation auriculaire inaugurale paroxystique à réponse ventriculaire rapide à 120-155/min le 31.12.2018 (moins de 24h) dans un contexte de déshydratation et état inflammatoire, • TSH dans la norme Fibrillation auriculaire inaugurale préopératoire le 27.10.2017 probablement liée au contexte inflammatoire avec : • CHA2DS2Vasc score à 4 points • HASBLED à 2 points • ECG le 27.01.2017 : fibrillation auriculaire • ECG le 31.10.2017 : fibrillation auriculaire. Extra-systoles monomorphes connues. Status après néoplasie mammaire droite avec tumorectomie et radiothérapie en 1998 selon le Dr. X. Status après néoplasie mammaire gauche in situ opérée en 2006 avec suspicion de métastases osseuses répondant bien sous traitement d'Aromasine depuis 2 ans (oncologue traitant : Dr. X). Etat dépressif. Troubles de la marche et de l'équilibre avec risque de chutes sur : • déconditionnement post-opératoire • hypovitaminose • lombosciatalgie • status après thrombose veineuse profonde • polymédication • malvoyance (dégénérescence maculaire prononcée des deux côtés). Fibrillation auriculaire intermittente sous Xarelto Hypertension artérielle traitée Syndrome d'apnées du sommeil non appareillé (essai en 2015, appareillage non supporté) Goutte récidivante sous Febuxostat avec dernière crise le 20.10.2018 Bicytopénie chronique d'installation progressive (DD : médicamenteuse (Adenuric), SMD, toxique (alcool)) Cirrhose hépatique CHILD A dans un contexte d'OH chronique le 12.12.2018 Gynécomastie sur aldactone traitée par radiothérapie au printemps 2018 Trouble neuro-cognitif léger Lombalgies chroniques invalidantes avec : • tassement D11 post-chute le 06.03.2015 • tassement de L1-L2 sur chutes à répétition en 2012 • ostéoporose traitée par Alendronate 1x/semaine • IRM colonne totale le 19.05.2017 : séquelles de maladie de Scheuermann avec multiples tassements vertébraux et altérations dégénératives un peu plus marquées au niveau lombaire. A noter une discopathie en L5-S1 avec hernie discale et probable conflit radiculaire L5 des deux côtés Polyneuropathie des membres inférieurs avec : • apallesthésie des MI jusqu'aux genoux bilatéralement en mars 2015 Oedème des membres inférieurs récidivant d'origine mixte probable : insuffisances veineuse chronique, lymphatique, cardiaque mal compensée Troubles urinaires irritatifs sous Tamsulosine et Toviaz • dans un contexte de récidive d'adénome de la prostate à la cystoscopie de 2017, status post RTUP en mars 2009 • RTUP monopolaire organisé pour le 08.01.2019 à la Clinique Daler par le Dr. X Fibrillation auriculaire le 22.08.2018 : • CHA2DS2-VASc Score : 2 Points • Anticoagulation avec Xarelto 20mg journalier Epanchement pleural gauche récidivant sur carcinome mammaire • status post thoracoscopie gauche avec biopsie, pleurodèse et pose d'un drain le 03.05.2018 • Status post retrait de drain le 01.06.2018 BPCO sur tabagisme actif traité par Symbicort Polyneuropathie périphérique Lymphoedème chronique avec sténose de la veine sus-clavière gauche Hypertension artérielle Fibrillation auriculaire non anticoagulée en raison d'ulcère veineux. Hypertension artérielle. Insuffisance veineuse chronique de stade III des membres inférieurs. Tétralogie de Fallot avec: • insuffisance cardiaque globale • hypoplasie de l'artère iliaque externe droite et occlusion complète de l'artère fémorale commune droite • FA ou fibrillo-flutter récidivant après cardioversion • pas de communication interventriculaire résiduelle • atrésie secondaire de l'artère pulmonaire gauche • sténose modeste résiduelle sur l'artère pulmonaire droite • plastie de l'artère pulmonaire droite en 1990 pour sténose à l'endroit de l'ancien Blalock • fermeture secondaire du Blalock-Taussig en 1979 • correction complète en 1977, sans ligature Blalock • Blalock-Taussig droit en 1973 • atrésie pulmonaire avec communication interventriculaire (tétralogie de Fallot extrême). Insuffisance rénale chronique stade 2 le 21.07.2018 : • FE urée 0.33%, ClCr selon MDRD 55 ml/min, DD : insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale. Fibrillation auriculaire (non anticoagulée) Hypertension artérielle traitée Anémie normocytaire d'origine indéterminée Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom depuis 12/2013 • HAS-BLED score à 3 (4 avec ASA temporairement) • CHADS-VASc score à 7 Fibrillation auriculaire non datée. Fibrillation auriculaire normocarde inaugurale DD dans le contexte d'hypokaliémie et déshydratation DD dans le contexte de la cardiopathie Fibrillation auriculaire normocarde paroxystique, sous Sintrom. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Obésité morbide de classe III avec BMI à 41.5 kg/m2 le 10.10.2016. Déhiscence du muscle droit abdominal avec hernie ombilicale sans signe d'incarcération intestinale. Syndrome d'hypoventilation sur obésité + syndrome restrictif (fonctions pulmonaires de janvier 2015) : BiPAP à domicile (15 IPAP, 9 EPAP). Troubles de l'adaptation avec réaction mixte anxieuse et dépressive. Diabète type 2 insulino-requérant avec : • rétinopathie diabétique non proliférative sévère avec des zones de non-perfusion capillaire et maculopathie diabétique sévère • insuffisance rénale chronique stade 4 sur néphropathie diabétique • polyneuropathie diabétique sévère. Cardiopathie hypertensive, valvulaire et ischémique avec : • sténose 50% de l'artère interventriculaire antérieure moyenne le 01.09.2012 • FEVG à 60% le 26.04.2018 • VD dilaté et hypertrophique avec fonction systolique abaissée. IT (1/4). Signes secondaires d'HTP. Fibrillation auriculaire nouvelle Fibrillation auriculaire nouvelle le 08.02.2019 • dans le contexte de sepsis Fibrillation auriculaire nouvelle le 08.02.2019 résolue post sepsis • dans le contexte de sepsis • avec NSTEMI secondaire (avec sous-décalage en DII, DIII et AVF) Fibrillation auriculaire nouvelle symptomatique à 157 bpm le 30.04.2018. Décompensation BPCO le 14.04.2018, Anthonisen 2/3. Pneumonie basale droite avec exacerbation du syndrome obstructif le 22.12.2017. Exacerbation de BPCO stade IV d'origine infectieuse le 30.09.2018 avec 2/3 critères Antonisen. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 30.09 au 06.10.2018. • Klacid 500 mg per os 2x/j du 30.09 au 01.10.2018. Prednisone 50 mg/j du 30.09 au 04.10.2018. Fibrillation auriculaire paroxystique Fibrillation auriculaire paroxystique à réponse ventriculaire rapide • CHA2DS2-VASc : 5 pts • HAS-BLED : 3 pts AIT vertébrobasilaire ou sylvien droit le 30.03.2018 d'origine indéterminée • Symptômatologie : hémisyndrome moteur gauche • NIHSS à 0 point à l'arrivée, 0 point à la sortie • ABCD3-I 5 points Hypertension artérielle traitée. Lombalgies chroniques avec irradiation jusqu'au genou droit. Notion de polyglobulie. Fibrillation auriculaire paroxystique à réponse ventriculaire rapide • CHA2DS2-VASc : 5 pts • HAS-BLED : 3 pts. AIT vertébrobasilaire ou sylvien droit le 30.03.2018 d'origine indéterminée • Symptômatologie : hémisyndrome moteur gauche • NIHSS à 0 point à l'arrivée, 0 point à la sortie • ABCD3-I 5 points. Hypertension artérielle traitée. Lombalgies chroniques avec irradiation jusqu'au genou droit. Notion de polyglobulie. Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée par Eliquis Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée par Eliquis • Score de CHA2DS2-VASC 8 points, HAS-BLED 3 points le 04.01.2019 Fibrillation auriculaire paroxystique avec : • cardioversion médicamenteuse par cordarone IV, • EHRA IV, • CHA2DS2-VASc 2. Fibrillation auriculaire paroxystique connue non anticoagulée • CHADS-VASC à 7 points Fibrillation auriculaire paroxystique connue • Pas d'anticoagulation en raison d'une hémorragie digestive d'origine peu claire en décembre 2018 Fibrillation auriculaire paroxystique d'origine valvulaire le 18.08.2014 avec : • Épisodes de fibrillation auriculaire rapide les 08.08.2014, 13.08.2014 et 18.08.2014 • CHA2DS2-VASc score à 6 pts • HAS-BLED 3 (risque 5.8%) • Anticoagulée par Sintrom Fibrillation auriculaire paroxystique inaugurale asymptomatique le 26.01.2019, • CHADS-VASC Score : 1 point • HAS-BLED-Score : 1 point. Fibrillation auriculaire paroxystique inaugurale avec : • cardioversion médicamenteuse par cordarone le 12.02.2019. • CHA2DSVASC : 2. Fibrillation auriculaire paroxystique inaugurale le 20.02.2019. • CHADVASC 0, HASBLED 0. Fibrillation auriculaire paroxystique le 12.02.2019. Fibrillation auriculaire paroxystique le 13.02.2019 avec : • début des symptômes depuis moins de 24 heures • EHRA IV • patient sous anticoagulation et antiagrégant pour la valve mitrale • cardiopathie sous-jacente • fibrillation auriculaire paroxystique le 11.04.2018 Fibrillation auriculaire paroxystique le 13.02.2019 avec : • début des symptômes depuis moins de 24h • EHRA IV • patient anticoagulé et antiagrégant pour la valve mitrale • cardiopathie sous-jacente • cardioversion par cordarone IV le 14.02.2019 • fibrillation auriculaire paroxystique le 11.04.2018 Fibrillation auriculaire paroxystique le 18.02.2019. Fibrillation auriculaire paroxystique le 28.01.2019. Fibrillation auriculaire paroxystique nouvelle. Fibrillation auriculaire paroxystique péri-interventionnelle (coronarographie) 18.06.2007. Pseudo thrombocytopénie le 18.07.2014. Cholécystite aiguë sur lithiase le 31.12.2015. CT abdominal du 31.12.2015 : Cholécystite aiguë. Ceftriaxone et Métronidazole intraveineux du 31.12.2015 à 05.01.2016. Ciproxine et Métronidazole per os du 05.01.2015 au 10.01.2016. Possible gastrite à Helicobacter Pylori. Gastroscopie en ambulatoire. Fibrillation auriculaire paroxystique rapide à 140/mn le 15.02.2019 • Insuffisance cardiaque gauche, FEVG à 30% en 2008 • CHADS VASC 5 points, HAS BLED 4 points. Fibrillation auriculaire paroxystique, sous Meto Zerok. Bloc atrio-ventriculaire du 1er degré avec un PQ régulier à 258 ms, asymptomatique. Polymyalgie rhumatismale. Névralgie du trijumeau. Cholécystolithiase chronique. Lombarthrose et gonarthrose sévères. Dégénérescence maculaire liée à l'âge depuis 2003 avec baisse très importante de l'acuité visuelle. Fibrillation auriculaire persistante tachycarde • diagnostique le 16.01.2019 • CHA2DS2-VASc 5 points (6.7 %/an), HAS-BLED 2 pts (1.88 %/an) • contexte de déshydratation Fibrillation auriculaire rapide dans le contexte du choc le 13.01.2019 • Holter le 31.01.2019 : Pas de FA constatée • ETT le 17.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 %. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Oreillette gauche non dilatée. • Amiodarone du 14.01.2019 au 16.01.2019 • Beloc Zok 25 mg 2x/j dès le 15.01.2019 Fibrillation auriculaire rapide (ED 17.7.18) anticoagulée • CHADS CASC-Score 5 (09.2018) Fibrillation auriculaire rapide inaugurale le 20.07.2014 traitée par Cordarone 300mg du 20.07 au 29.07.2014 Lobectomie supérieure gauche de totalisation et lymphadénectomie médiastinale en juillet 2014 pour un adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur gauche pT1a, cN0 (0/11), G2, R0 (NSCLC) et hamartome du lobe inférieur. Appendicectomie dans l'enfance. Ancien tabagisme. Cure de doigt à ressaut DIII main D. Ténolyse le 28.11.2016. Fibrillation auriculaire rapide intermittente inaugurale le 10.01.2019 • Amiodarone iv du 10.-12.01.2019 • Introduction d'une anticoagulation thérapeutique le 14.01.2019, relais Clexane-Xarelto le 22.01.2019. Fibrillation auriculaire rapide paroxystique le 18.01.2016 chez patient connu pour : • cardiopathie hypertensive. • anticoagulé pour une fibrillation auriculaire. • une insuffisance mitrale 3/4. Brûlure de 2ème degré par coup de soleil du lobe de l'oreille droite, le 14.08.2016. Fibrillation auriculaire sous Sintrom. Fibrillation auriculaire sous Sintrom et Beloc Zok • Pas d'ETT disponible. Fibrillation auriculaire sous Sintrom (1 cp par jour selon la fille). Coxarthrose gauche. Dégénérescence de la colonne lombaire. Maladie d'Alzheimer. Hallux valgus. Fibrillation auriculaire sous Xarelto. Fibrillation auriculaire sous Xarelto. Troubles cognitifs. Fibrillation auriculaire tachycarde asymptomatique, dernier ECG de comparatif d'octobre 2018 : FA normocarde. Fibrillation auriculaire tachycarde récidivante le 26.02.2019. Fibrillation auriculaire tachycarde (140/min), le 10.05.2017 • Cardioversion médicamenteuse par Cordarone. Pneumonie nosocomiale précoce avec insuffisance respiratoire hypoxémique secondaire le 08.05.2017 • Co-amoxicilline 2.2 intraveineux 3x/jour du 08.05.2017 au 18.05.2017 • VNI du 08 au 10.05.2017. Hernie inguinale droite. Cure de hernie selon Lichtenstein à droite (OP le 31.08.2018). Status post-ténotomie et ténodèse d'un ligament de l'épaule droite, anamnestiquement il y a de nombreuses années. Status post-opération au niveau de la rotule du genou droit, anamnestiquement à l'âge de 18 ans. Status post-prothèse totale de la hanche droite. Fibrillation ventriculaire per procédure. Fibrillo-flutter à conduction rapide le 22.02.2019 • dans un contexte infectieux et déshydratation. Fibrillo-flutter auriculaire • Anticoagulé par Marcoumar. Fibrillo-flutter auriculaire à conduction rapide intermittent connu • Traitement habituel : Marcoumar. Fibrillo-flutter rapide le 26.02.2019. Fibrinogène : 1 g le 22.02., 1 g le 23.02.2019. Fibromatosis colli. Fibrome utérin. Fibrome utérin en 2013. Stéatose hépatique. Hystérectomie pour myomatose. Appendicectomie. Fibromyalgie. Fibromyalgie et polyarthrite traitées. Fibromyalgie. Uncarthrose massive C5/6. Fibromyalgie. État dépressif traité depuis 1 mois. Fibromyalgie. État dépressif traité. Épilepsie traitée. Fibromyalgie. Hernie cervicale. Asthme à l'effort. Fibromyalgie. Polyarthrite rhumatoïde. Hernie hiatale par glissement • Fundoplicature selon Nissen par laparoscopie le 17.09.2007 pour une hernie hiatale. Fibromyalgies. Syndrome dépressif. Hypertension artérielle traitée. BPCO stade IV. Fibromyalgie. Syndrome des jambes sans repos. Décompensation diabétique inaugurale de type II hyper-osmolaire le 30.09.2017 avec perte de connaissance • Glycémie à 107.4 mmol/l • pH 7.30, bicarbonate 20 mmol/l, lactate 5.6 mmol/l • Hyponatriémie à 104 mmol/l (124 mmol/l de natrémie corrigée). Pancréatite biologique le 02.10.2017 post décompensation diabétique hyper-osmolaire. Angor à l'effort depuis septembre 2017 • Patient à haut risque (14% de risques CV à 10 ans) • Aspirine Cardio et Atorvastatine dès le 10.10.2017, en prévention primaire. Fibromyalgie. Trouble psychiatrique (probable trouble de la personnalité et syndrome dépressif) avec : • intoxication volontaire au Xanax le 16.12.2013. • idées suicidaires avec plan (noyade le 18.12.2013). • hallucinations auditives et visuelles. Cardiopathie ischémique et hypertensive. • STEMI inférieur le 13.11.2008 avec pose de 2 stents dans la CD proximale. • STEMI inférieur en novembre 2011. • FEVG en mai 2011 à 65%. • ECG : ondes Q et T négatives en III et aVF (en octobre 2011), BBD. Accident vasculaire cérébral en 2000. Diabète de type 2 insulino-requérant sur pancréatites à répétition depuis l'âge de 35 ans. • polyneuropathie des membres inférieurs. Tabagisme actif à 40 UPA. Hypercholestérolémie. Obésité. Adénome tubulaire de bas grade du caecum diagnostiqué en 12/2011. Fibrose pulmonaire avec syndrome restrictif. Cardiopathie d'origine indéterminée avec insuffisance cardiaque stade NYHA II. Diverticulose à la colonoscopie de 2014. Trouble anxieux. Troubles de la marche et de l'équilibre avec chute à domicile et traumatisme crânien simple le 02.01.2018. Facteurs de risque de chute : • État infectieux aigu récent. • état confusionnel aigu. • troubles cognitifs (MMSE 31.01.2018 : 19/30 ; Test de la Montre 30.01.2018 : 0/7). • déficits vitaminiques. • prise d'anxiolytique (Seresta) et d'opiacés (Targin). Fibrose pulmonaire avec syndrome restrictif. Cardiopathie d'origine indéterminée avec insuffisance cardiaque stade NYHA II. Diverticulose à la colonoscopie de 2014. Trouble anxieux. Infection urinaire basse sous traitement depuis le 25.01.2019. Fibrose pulmonaire avec syndrome restrictif. Cardiopathie d'origine indéterminée avec insuffisance cardiaque stade NYHA II. Diverticulose à la colonoscopie de 2014. Trouble anxieux. Troubles cognitifs (MMSE 31.01.2018 : 19/30; Test de la Montre 30.01.2018 : 0/7). Fibrose pulmonaire idiopathique dx 2009 : • fonctions pulmonaires normales en 2010 et 2012. Fibrose pulmonaire idiopathique lentement évolutive diagnostiquée en octobre 2010 : • avec insuffisance respiratoire globale sous oxygenothérapie en continu (1-2 l/min sans VNI et 2-4 l/min à l'effort) ; Bi PAP nocturne • Diagnostic radioclinique en octobre 2010 : pneumopathie fibrosante de distribution asymétrique (G>D) • Fonction pulmonaire 06/2018 : syndrome restrictif et trouble de la diffusion sévère • Bilan pré-greffe en 2014 effectué au CHUV : indication finale non retenue (découverte fortuite de cardiopathie ischémique, voir comorbidité). Cardiopathie ischémique : lésion monotronculaire de la CD traitée par PTCA et pose de stent actif en juin 2014 (découverte fortuite dans le cadre d'un bilan pré-greffe pulmonaire au CHUV). HTA traitée. Hypercholestérolémie traitée. Obésité stade I selon l'OMS. Hernie hiatale connue depuis 2005 avec très probable pathologie de reflux traitée par IPP depuis septembre 2010. Paresthésies des doigts 3 à 5 de la main gauche sans notion de tunnel carpien. Oedèmes des membres inférieurs en progression depuis juin 2018 malgré traitement de Torasemide 10 mg 1x/j. avec : • eczéma de stase au niveau des pieds et des chevilles. Consilium angio US-Doppler artériel et veineux des 2 MI le 20.09.2018 : Oedème déclive et eczéma de stase sur HTAP. début de lymphoedème secondaire. Poursuite du traitement de Torasemide les 20.09.2018 et 21.09.2018 ; cf. TIP diagnostic principal pour la suite. Xyzal 5 mg en dose unique le 20.09.2018 : sans effet. Betnovate crème 1x/j sur eczéma du 21-27.09.2018, puis tous les deux jours du 29.09-04.10.2018.Bas compressifs dès le 21.09.2018 Fibrose pulmonaire idiopathique lentement évolutive diagnostiquée en octobre 2010 : • avec insuffisance respiratoire globale sous oxygenothérapie en continu (1-2 l/min sans VNI et 2-4 l/min à l'effort); Bi PAP nocturne • Diagnostic radioclinique en octobre 2010 [CT Givision]: pneumopathie fibrosante de distribution asymétrique (G>D) • Fonction pulmonaire 06/2018 : syndrome restrictif et trouble de la diffusion sévère • Bilan pré-greffe en 2014 effectué au CHUV : indication finale non retenue (découverte fortuite de cardiopathie ischémique, voir comorbidité) Cardiopathie ischémique : lésion monotronculaire de la CD traitée par PTCA et pose de stent actif en juin 2014 (découverte fortuite dans le cadre d'un bilan pré-greffe pulmonaire au CHUV) HTA traitée Hypercholestérolémie traitée Obésité stade I selon l'OMS Hernie hiatale connue depuis 2005 avec très probable pathologie de reflux traitée par IPP depuis septembre 2010 Paresthésies des doigts 3 à 5 de la main gauche sans notion de tunnel carpien Oedème déclive et eczéma de stase sur HTAP avec début de lymphoedème secondaire (consilium angio US-Doppler artériel et veineux des 2 MI le 20.09.2018) Fibrose rétropéritonéale • Iléus mécanique d'origine indéterminée le 13.07.2018 • Laparotomie avec adhésiolyse, suture colique droite, confection d'une iléostomie latérale à double canon para-ombilicale gauche le 17.07.2018 • Iléostomie à haut débit ayant nécessité une hospitalisation du 23.08.2018 au 12.09.2018 • Abcès parastomial avec drainage spontané à la peau au niveau médian le 18.09.2018 • Ciproxine et Flagyl du 15.01 au 28.01.2019 afin de prévenir d'un syndrome de l'anse borgne Fièvre Fièvre aigüe d'origine indéterminée le 28.12.2018 avec : • DD infection (pneumonie d'aspiration), DD néoplasique DD syndrome malin des neuroleptiques, Fièvre après retour de voyage Fièvre au retour d'un voyage au Cameroun. Fièvre avec asthénie. Fièvre avec dyspnée. Fièvre, brûlure mictionnelle, connu pour problème rénal, rhume Fièvre, changement de voix Fièvre dans le cadre d'une IVRS Fièvre de 3 jours, urines sentent fort Fièvre depuis 12h Fièvre depuis 24H à 40° avec rhume, toux Fièvre, diarrhée Fièvre et baisse de l'appétit Fièvre et céphalées. Fièvre et détresse respiratoire Fièvre et diarrhées Fièvre et douleur abdominale Fièvre et maux de gorge. Fièvre et odynophagie Fièvre et otalgie Fièvre et rash Fièvre et rhume Fièvre et toux Fièvre et vomissement Fièvre, mal de gorge, toux sèche, myalgies. Fièvre, maux de gorges, arthralgies, toux. Fièvre, myalgies et maux de gorge. Fièvre, obstruction nasale et de toux. Fièvre persistante (7 jours) et rhume Fièvre, pleurs Fièvre, rhume Fièvre, toux Fièvre, toux et rhume Fièvre, vomissements fièvre 38°9 ce jour, rhume, toux Fièvre 39.5 °C. Fièvres périodiques de 2008 à 2009. Plaie longitudinale à l'extrémité distale de la 3ème phalange de l'index gauche. Fille de 3 ans arrive aux urgences pour un traumatisme crânien ce soir. Pleurs immédiats après le traumatisme, pas de vomissements, pas de perte de connaissance. Pas d'otorrhée ou rhinorrhée, pas d'otorragie ou rhinorrhagie. Bon état général. Petite plaie superficielle de 2 cm sur le front désinfectée et fermée avec de la colle (Dermabond) et stéristrips. Fille d'un an et 10 mois qui est amenée aux urgences par fièvre intermittente de 38.5°C depuis 3 jours et un pic aujourd'hui matin de 40°C. Bon état général, bien hydratée, fébrile à 38.5°C. Status sans constatations pathologiques implorantes. Écarté le diagnostic d'infection urinaire par Stix urinaire négatif et otite par otoscopie normale. Dx: Infection virale des voies respiratoires supérieures. Fille jumelle prématurée de 33 5/7. Poids de naissance 2065 g • à l'entrée poids 6860 g, taille 61,5 cm et PC 41 cm. • Nourrisson de 4 mois Sténose pulmonaire moyenne avec une dysplasie et épaississement de la valve pulmonaire Soeur jumelle : bronchiolite actuellement avec troubles alimentaires Antécédents chirurgicaux : Status post ballon-valvuloplastie le 27.10.2018 et 13.12.2019 Status post thrombose de V. femoralis communis et superficielle droite (Oct 2018) Prématurité de 33 5/7 SA, PN 2065 g Fille née à terme à 40, accouchement par voie basse avec forceps et présentation céphalique. Poids de naissance 3630 g, taille 50 cm, périmètre crânien 37 cm. Pas de problèmes durant la grossesse. Pas d'hospitalisation après la naissance. 3ème de la fratrie (deux frères de 10 ans et 18 mois, bonne santé générale). Fille née à terme à 40, accouchement par voie basse avec forceps et présentation céphalique. Poids de naissance 3630 g, taille 50 cm, périmètre crânien 37 cm. Pas de problèmes durant la grossesse. Pas d'hospitalisation après la naissance. 3ème de la fratrie (deux frères de 10 ans et 18 mois, bonne santé générale). Fille née à terme à 40 SA, accouchement par voie basse avec forceps et présentation céphalique. Poids de naissance 3630 g, taille 50 cm, périmètre crânien 37 cm. Pas de problèmes durant la grossesse. Pas d'hospitalisation après la naissance. 3ème de la fratrie (deux frères de 10 ans et 18 mois, bonne santé générale). Fille née à terme à 40 2/7, par césarienne pour prolongation du travail et risque infectieux maternel, avec un poids de naissance de 4.070 kg. Fille née à terme à 40 2/7, par voie basse, à l'aide de Ventouse, avec un PN de 3kg420 (P50), Taille XX PC XX Fille née à terme à 40 4/7, accouchement par voie basse avec forceps. Poids de naissance 2870gr (P5), taille 46 cm(P3), périmètre crânien 33.5 cm (P75-90) Fille née à terme par césarienne Fille née à 38 2/7 SA, poids de naissance 2310 g (P <3), Taille à la naissance 45 cm (P <3), périmètre crânien 31 cm (P <3) • RCIU harmonieux y compris microcéphalie • à l'entrée J4, 38 5/7 SA, poids 2120 ( gauche le 21.02.2019 • Angio-oedème, réaction allergique locale à l'infiltration corticoïde. • Flutter atrial le 07.12.2018. • Flutter atrial paroxystique à conduction ventriculaire normale inaugural dans un contexte infectieux pulmonaire le 26.12.2018, avec :• ECG le 26.12.2018 : flutter atrial 3:1 normocarde à 85 bpm, rythme légèrement irrégulier, pas d'autres altérations • consilium cardiologique le 29.12.2018 : ETT pas indiquée, effectuer Holter-ECG, poursuite anticoagulation orale pendant 3 mois puis réévaluation, si récidive flutter, mise en suspens d'Aspirine Cardio et poursuite Eliquis et Plavix à long terme • Eliquis pour 3 mois jusqu'au 30.03.2019 Maladie coronarienne bitronculaire, avec : • sténose significative de l'IVA moyenne • sténose subocclusive et calcifiée de la CD moyenne : rotablator/PTCA/DES 3x le 27.11.2018 • FEVG 60% • coronarographie élective le 27.11.2018 • tamponade post-coronarographie le 27.11.2018 sur saignement de la branche postéro-latérale de la CD avec drainage péricardique et drain jusqu'au 29.11.2018 • reprise coronarographie le 27.11.2018 : stent couvert sur la branche postéro-latérale de la CD • s/p angor instable le 25.11.2018 • Aspirine Cardio à vie, Plavix pour 6 mois jusqu'au 28.05.2019 Hypothyroïdie d'Hashimoto substituée Ostéoporose fracturaire, avec : • Fracture vertébrale D11 traumatique en 2008 • Bonviva p.o. depuis 2009, puis Prolia depuis 2013 (dernière dose en 08/2018) Oesophagite de reflux sur hernie hiatale Cervicalgie chronique récidivante sur troubles dégénératifs Flutter auriculaire à conduction rapide le 24.02.2019 Flutter auriculaire à 133/min documenté le 13.02.2019 • date du début indéterminée Flutter auriculaire anticoagulé par sintrom Malnutrition protéino-énergétique sévère avec : • syndrome de renutrition inappropriée • coagulopathie sur insuffisance en Vitamine K Flutter auriculaire anticoagulé par Xarelto depuis février 2015 Cardiopathie ischémique avec statut après 4 pontages aorto-coronariens le 29.06.2010 Syndrome des apnées obstructives du sommeil avec échec de traitement par CPAP Goutte Adénocarcinome de la prostate (Gleason 6, cT2 N0 M0) : • suivi par le Dr. X • diagnostiqué en novembre 2008, sous hormonothérapie (refus de chimiothérapie) • PSA : 0.04ng/ml le 01.10.2018 Flutter auriculaire nouveau à 133 bpm à l'entrée : • chez un patient qui n'a jamais eu de consultation cardiologique Flutter auriculaire paroxystique, à conduction 2:1 le 07.02.2019 • décompensation cardiaque globale • clinique à l'entrée : tachycardie, dyspnée NYHA 3, orthopnée, râles crépitants fins bi-basaux avec hypo-ventilation, oedème des MI bilatéraux, jusqu'aux genoux Flutter auriculaire tachycarde à 150 bpm le 25.01.2019 • adénosine 6 mg IV 2x aux urgences permettant de mettre en évidence des ondes de flutter • Dilzem 15 mg IV aux urgences avec cardioversion Flutter auriculaire typique anti-horaire à conduction 2:1 / 3:1, à 140 bpm paroxystique le 24.10.2015 avec : • CHA2DS2 VASc à 5 points • EHRA II (palpitations) • rythme sinusal à l'ECG en 2017 État confusionnel aigu hypoactif favorisé par une anesthésie générale Lobectomie inférieure droite pour tuberculose dans les années 1960 Appendicectomie dans l'enfance Deux césariennes sans complication Flutter auriculaire typique anti-horaire Fibrillation auriculaire paroxystique BAV du 1er degré Hypertrophie ventriculaire gauche, insuffisance mitrale discrète, oreillette gauche dilatée, FE 55% Hypertension artérielle Diabète de type 2 Hypercholestérolémie Tabagisme ancien à 60 UPA Surcharge pondérale Symptômes urinaires irritatifs sur hyperplasie bénigne de la prostate Flutter auriculaire typique le 12.02.2019 avec : • cinétique des troponines à la hausse • CHA2DVASC2 : 2pts ; HASBLED : 1pt Flutter auriculaire vs tachycardie nodale le 12.02.2019 avec : • cinétique des troponines à la hausse Flutter 2/1 à réponse ventriculaire rapide inaugurale le 24.08.2018 • bonne tolérance hémodynamique • CHADS-2-VASC 1 point Flutter auriculaire rapide le 14.09.2018 • 1er épisode le 24.08.2018 • CHADS-2-VASC 1 point • 1ère cardioversion électrique réussie le 24.08.2018 Aux urgences le 14.09.2018 : • échec de cardioversion électrique externe par 2 chocs synchronisés à 70 et 100 J Avis cardiologique (Dr. X) : nouvelle cardioversion électrique à réaliser 150J si échec 200J. Cardioversion électrique sous sédation le 14.09.2018 (Dr. X / X) : 150J puis RSR Flutter 2/1 en 2001. Multiples échecs de sevrage alcoolique. Crise convulsive le 01.10.2014. Lésion au niveau du frenulum par auto-agression lors d'état confusionnel aigu le 01.10.2014. Traumatisme crânio-cérébral avec hémorragie intra-parenchymateuse frontale droite post-chute accidentelle le 01.10.2014. Fracture trois parts déplacée de l'humérus proximal gauche. Folliculite para-dorsale gauche en 2015. Entorse de cheville. Fonction pulmonaire à distance Ultibro 1x/j Suivi ambulatoire organisé au service de pneumologie Fonction pulmonaire à répéter si non réalisé récemment. Répété le test de marche à 6 minutes à 6 mois. Suivi du profil tensionnel en ambulatoire, +/- réalisation d'un Remler. Fonction pulmonaire le 1.02.2018 : impossible pour patiente qui refuse tout nouvel essai. Fonction pulmonaire complète du 29.01.2019 : • trouble ventilatoire obstructif de degré sévère avec réversibilité complète après inhalation de béta-2-mimétique. Présence d'un air trapping statique. Capacité de diffusion du CO corrigée est sévèrement diminuée à 31%. Introduction d'une thérapie d'emblée par Ultibro 1x/jour et Axotide 250 mcg 2x/jour dès le 19.01.2019 Fonction rénale normale Fonctions pulmonaires complètes à prévoir à distance de l'hospitalisation Physiothérapie (groupe de reconditionnement) en ambulatoire Fonctions pulmonaires complètes 12.02.2019 : trouble ventilatoire obstructif de degré sévère (VEMS 37 % du prédit avec réversibilité significative). Air trapping statique et hyperinflation. Diminution sévère de la DLCOc à 37 % du prédit. ResScan du 11.02.2018 au 10.02.2019 : 20 jours de non utilisation sur 365 au total Utilisation moyenne quotidienne 6h30, 81 % des jours employés > 4h Fuites médianes 0 l/min, fuites au 95ème centile 4.8 l/min Volume courant médian 500 ml, volume courant au 95ème centile 620 ml Fréquence respiratoire médiane 15 min, fréquence respiratoire au 95ème centile 20 min Polygraphie nocturne sous VNI et 1 l d'oxygène du 11.02.2019 Index d'apnées/hypopnées du sommeil : 16/h hypopnées Index de désaturation en oxygène 17/h Ronflements 10 % SpO2 moyenne 88.5 %, durée SpO2 < 90 % = 67 % (300 min) Pouls moyen 81 bpm Statistiques ResScan du 11.02.2019 Durée de l'enregistrement 10 h Fuites médianes 1.2 l/min, fuites au 95ème centile 10.8 l/min Capnographie sous VNI et 1 l d'oxygène du 11.02.2019 : SpO2 moyenne 92 %, tcpCO2 moyen 7.3 kPa Gazométrie artérielle au repos à l'AA au réveil : pH 7.35, PaCO2 7.7 kPa, PaO2 8.1 kPa, HCO3- 31 mmol/l Foramen ovale ouvert. Foramen ovale perméable (FOP) de Grade II après manœuvres de Valsalva avec un shunt modéré associé à un anévrysme du septum interauriculaire. • RoPE score à 4 points Foramen ovale perméable uniquement (avec shunt minime le 02.02.2019). Intolérance au glucose cortico-induite le 01.02.2019 • Januvia 50 mg/j dès le 1.2.2019 • Humalog en schéma de correction. Stéatose hépatique sur consommation d'alcool :• Child A 6 points (hypoalbuminémie). • BPCO modérée. • Foramen ovale perméable uniquement (avec shunt minime le 7.2.2019). • Formule sanguine complète: Hémoglobine, leucocytes et thrombocytes dans la norme. • Syndrome inflammatoire: CRP 22 mg/l. • Malaria test rapide: négatif. • Gazométrie: Bicarbonates discrètement diminués à 22 mmol/L. • Formule sanguine: Leuco 4.4 G/l, CRP 47 mg/l, gazométrie normale. • Formule Sanguine Simple. • Contrôle ORL. • Forte contusion de la rotule G le 09.01.2019. • Forte suspicion de carcinome hépato-cellulaire multifocal des segments IV et VIII, cT2 cN0 cMx. • Date du diagnostic radiologique : 17.12.2018. • Alphaphoetoprotéine du 09.01.2019 : 45,1 ng/ml. • IRM hépatique du 17.12.2018: par rapport à l'examen du 15.10.2017, croissance d'une lésion suspecte d'être un CHC dans le segment IV (de 1,8 à 3,5 cm de diamètre) avec caractéristiques suspectes. Plusieurs petites prises de contact infracentimétriques des segments IV et VIII compatibles avec foyers de nouveaux CHC. • Tumor board des pathologies digestives du 09.01.2018 : bilan d'extension et biopsie du foie (lésions suspectes et foie sain). • Suivi par le Dr. X. • Forte suspicion de cirrhose hépatique connue depuis octobre 2017 CHILD A (5 points): • IRM hépatique du 17.12.2018: signe de nodule de régénération hépatique. • Segments IV et VI avec importante fibrose. • Hépatite A, B et C négatives le 09.01.2019. • Consommation d'alcool à risque évaluée par le patient à environ 5 dl de bière par jour en moyenne avec vin rouge occasionnel (selon la compagne, consommation beaucoup plus importante). • Antécédents de nombreux voyages à l'étranger, notamment 14x au Kenya dont le dernier en 1983. • Laboratoire du 09.01.2019: légère perturbation des tests hépatiques avec ASAT à 86 U/l et ALAT à 47 U/l, bilirubine totale à 28,9 mmol/l et directe à 21,1, fer sérique normal ainsi que ferritine. Recherche d'hépatite en cours. Diabète de type 2 non insulino-requérant. Claudication neurogène sur canal lombaire étroit. Douleurs pseudo-radiculaires des membres inférieurs sur probable compression radiculaire S1, sur statut post-laminectomie L3, L4-L5 bilatérale en 2003 et spondylodèse L3-L5 et laminotomie S1 le 30.10.2003. • ENMG du 04.08.2016: lésion subaiguë de la racine S1 des deux côtés avec irritation L5 droite et signes de polyneuropathie diabétique. Splénomégalie 13.9 cm. • Forte suspicion de récidive du cancer urothélial de la vessie (Dr. X). Ad résection endoscopique de la vessie à l'Hôpital Daler le 11.02.2019. • Fourmillements. • Fourmillements dans le pied gauche d'origine indéterminée. • Fourmillements et douleurs persistantes main gauche sur statut post cure de tunnel carpien gauche le 28.11.2017. Suspicion de compression du nerf cubital au niveau du coude G. Kyste de Tarlov C7-D1 et D1-D2 ddc. • Foyer atrial ectopique normocarde le 05.02.2019. • Foyer pulmonaire en base droite dans un contexte de fracture costale antérieure basi thoracique droite. • Foyer pulmonaire en regard de la lingula. • Foyer rétrocardiaque avec épanchement pleural exsudatif en mars 2018. Phakectomie bilatérale. Iléus mécanique grêle sur brides avec laparotomie exploratrice et adhésiolyse 02.03.2010. Cystopexie en 1990. Appendicectomie. • Fractionnement alimentaire avec diminution des prises alimentaires pour un cible de 140 cc/kg/j. • Toilettes nasales régulières. • Nasivine gouttes. • Contrôle chez le pédiatre dans 24 heures. • Explication de signes de gravité ou épuisement maternel comme consignes de consultation aux urgences pédiatriques. Fractionnement alimentaire. Contrôle aux urgences pédiatriques dans 24 heures vu la courte durée des vomissements. TIP le 03.02: Evolution favorable. Poursuite contrôle poids avec sage-femme. Explication des signes de gravité. Fractionnement de l'alimentation et des boissons. Fractionnement du repas. Essai d'hydratation aux Urgences - n'a pas revomi. Nous avons proposé aux parents une réhydratation sur 4 heures aux urgences par Normolytoral avec la SNG, mais les parents veulent essayer la réhydratation à domicile, puis quantifier les pertes. Fractionner les repas. Rinçages de nez. Dafalgan en réserve. Contrôle clinique médecin traitant à 24 h. Fracture. Fracture - tassement T12. Fracture acétabulaire G non déplacée le 01.01.2019. Fracture AOA1 de D7 le 31.01.2019. • stable. Fracture apophyse épineuse L1 le 06.03.2017. OS par PFNA fracture inversée pertrochantérienne D le 18.08.2014. Fracture non déplacée du tubercule majeur humérus D le 21.10.14. Entorse cervicale en 2013. Fracture du manubrium sternal non déplacée en 2013. Fracture-tassement D12 en 2012. Contusion hémithorax G en 2012. Tassement de L1 en juillet 2010. Fracture radius distal G en 1992, traitée par OS avec: • AMO en 1993. Fracture déplacée de la phalange proximale de Dig V pied D. Pyélonéphrite bilatérale le 16.11.2012. Contusion de la hanche droite sur chute de sa hauteur le 16.10.2017. Infection urinaire basse. Sédiment urinaire. Uricult le 15.05.2018: Staphylococcus epidermidis. Rocéphine 2 g débutée aux urgences le 15.05. Bactrim forte 2xj 16-18.05.2018. Episode d'agitation psychomotrice le 15.05.18. DD: neuropsychiatrique, origine infectieuse. 1 mg dormicum donné par ambulanciers. Consilium psychiatrique le 16.05.2018. F43.25 Trouble de l'adaptation avec perturbation mixte des émotions et des conduites. F79 Retard mental sans précision (absence de test QI). F41.0 Trouble panique (anxiété épisodique paroxystique). Consilium psychiatrique le 16.05.2018. Introduction de Temesta (lorazepam) en réserve. Introduction d'un suivi psychiatrique en ambulatoire au centre psychosocial de Fribourg. Fracture apophyse épineuse L1 le 06.03.2017. OS par PFNA fracture inversée pertrochantérienne D le 18.08.2014. Fracture non déplacée du tubercule majeur humérus D le 21.10.14. Entorse cervicale en 2013. Fracture du manubrium sternal non déplacée en 2013. Fracture-tassement D12 en 2012. Contusion hémithorax G en 2012. Tassement de L1 en juillet 2010. Fracture radius distal G en 1992, traitée par OS avec: • AMO en 1993. Fracture déplacée de la phalange proximale de Dig V pied D. Pyélonéphrite bilatérale le 16.11.2012. Crise d'épilepsie (type absence) partielle complexe: plusieurs épisodes en 2012, 2014. Contusion de la hanche droite sur chute de sa hauteur le 16.10.2017. Infection urinaire basse. Fracture arrachement de Chopard à gauche au niveau du cuboïde et du calcanéum. Fracture arrachement de la base de P1 D2 main gauche 08.2014. • réduction ouverte, stabilisation du fragment osseux de la base de P1 D2 par une vis 1 mm et refixation du ligament collatéral ulnaire par une ancre Mitek main gauche. • Hallux valgus pied gauche. • Cure d'hallux valgus du pied gauche en mini invasif (OP le 16.01.2018). • Fracture arrachement de la partie antérieure de la capsule astragalo-tibiale le 01.05.2016. • Fracture arrachement de la partie interne de la malléole externe pour fracture-arrachement de la partie interne du talus G. • Fracture de la partie postéro-latérale du calcanéum G. • Fracture du naviculaire de la base du 2ème, 3ème et 5ème métatarses G. • Fracture arrachement de la plaque palmaire de la 1ère interphalangienne proximale du 4ème doigt à droite. • Fracture arrachement de l'ischion gauche sur traumatisme le 01.02.2019. • Fracture arrachement face dorsale du triquetrum, main droite le 03.01.2019. • Fracture arrachement postérieure du triquetrum le 05.02.2019. • Fracture articulaire déplacée du radius distal gauche le 08.02.2019. • Fracture au niveau de la tête radiale droite. • Fracture au niveau de l'épiphyse proximal tibial. • Fracture au niveau du col du 2ème métacarpe droit, peu déplacée. • Fracture avant-bras gauche en 2004. • Fracture avec impaction du capitulum du coude D. • Fracture A1 du plateau supérieur de D3 non déficitaire. • Fracture base de P1 du pouce D le 20.01.2019. • Fracture base métacarpe I G type Benett le 01.02.2019. • Fracture base phalange distale Dig I G le 02.05.2018, traitée conservativement • Contusion coude et crête iliaque D le 02.05.2018 • Hystérectomie il y a 18 ans • Cholécystectomie il y a 18 ans • Fracture base P1 D5 main gauche, avec entorse IPP et arthrose localisée, du 15.07.2014. • Status après fracture tête P1 D5 main gauche en avril 2012. • S/p hystérectomie et annexectomie. • S/p prothèse épaule gauche. • S/p déchirure ligament cheville gauche. • Fracture base 1er métacarpien main gauche, type Benett, le 01.02.2019. • Fracture base 5 e métatarse pieds droit. • Fracture base 5ème métatarsien droit type Pseudo-Jones. • Fracture base 5ème métatarsien pied droit, le 27.01.2014. • Traumatisme crânien simple le 01.11.2014 : > • fracture de l'os propres du nez > • perte traumatique de la dent 21. Luxations dentaires 11, 12, 22. > • plaie avant-bras face ulnaire et dorsale gauche avec déficit sensitif cubital face dorsale sans atteinte des nerfs des extrémités > • Érosion cornéenne punctiforme œil droit sur corps étranger avec : > • conjonctivite bulbaire et palpébrale • Probable gastrite le 16.02.2018 • Diagnostic différentiel : spasme oesophagien. • Fracture base 5ème métatarsien. • Éperon calcanéen gauche le 14.08.2015. • Tendinite patte d'oie gauche le 14.08.2015. • Fasciite plantaire éperon calcanéen gauche. • Lésion dégénérative méniscale gauche symptomatique. • Décompensation cardiaque à fraction d'éjection préservée le 21.01.2019 > • Râles crépitants fins aux 2 bases > • ETT du 17.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté, FEVG 70 %, pas d'anomalie de la contractilité segmentaire. Oreillette gauche dilatée, aspect de cardiopathie hypertensive. > • Pro-BNP à 3601 ng/L > • Ajouter diurétique et IEC avec bonne réponse clinique • Fracture bi-malléolaire G avec souffrance cutanée face médiale cheville 5x6 cm. • vs tri-malléolaire • Fracture bi pariétale et temporale droite avec un hématome sous-galéal suivant les traits de fracture, sans contexte de traumatisme en juillet 2018. • Ultrason cérébral • Scanner cérébral • IRM cérébrale • Examen ophtalmologique • Bilan d'hémostase • Radiographies du squelette entier • Hospitalisation pour surveillance neurologique • Annonce au juge de paix de la Gruyère • Fracture bifocale clavicule G le 17.02.2019 avec : > • fracture oblique déplacée avec un raccourcissement de 9 mm tiers moyen clavicule G. > • fracture de l'extrémité latérale clavicule G dans le sens d'une fracture type I selon Neer • Fracture bifocale clavicule G le 17.2.2019 avec : > • fracture oblique déplacée avec un raccourcissement de 9 mm tiers moyen clavicule G > • fracture de l'extrémité latérale clavicule G dans le sens d'une fracture type I selon Neer • Fracture bifocale du tiers moyen et du tiers distal de la clavicule gauche sur chute à cheval du 17.02.2019. • Fracture bimaléolaire de la cheville droite avec luxation. • Fracture bimalléolaire. • Fracture bimalléolaire cheville droite le 11.02.2019. • Fracture bimalléolaire de la cheville gauche. • Fracture bi-malléolaire de type B à droite en 2014. • Hémorragie abdominale basse post-résection de polype. • Saignement sur anticoagulation au niveau du muscle pectiné et du psoas. • Bactériémie à Staph. aureus après thrombophlébite jambe gauche en 2008. • Prothèse de genou gauche. • Fracture bi-malléolaire de type B à droite en 2014. • Hémorragie abdominale basse post-résection de polype. • Saignement sur anticoagulation au niveau du muscle pectiné et du psoas. • Bactériémie à Staph. aureus après thrombophlébite jambe gauche en 2008. • Prothèse de genou gauche. • Fracture bimalléolaire de type supination adduction de la cheville gauche. • Fracture bimalléolaire de type supination-adduction de la cheville gauche le 03.02.2019. • Fracture bimalléolaire non déplacée de la cheville D traitée conservativement. • Fracture boxeur main G 1er métacarpe. • Fracture branche ilio- et ischio-pubienne bilatérale le 26.12.2018 > • Traitement conservateur • Fracture branche ilio-ischio pubienne gauche le 27.01.2019. • Fracture branche ischio-pubienne D haute, sur chute le 21.12.2018, traitée conservativement. • Fracture bras gauche à l'âge de 9 ans. • Fracture burst complète de T12 et recul de 3 mm du mur postérieur. • Fracture burst-split du plateau tibial gauche antéro-latéral. • Fracture cartilage chondro-costal 7ème côte gauche. • Fracture centro-orbitale gauche, fracture de la base du crâne antérieure, fracture de la paroi antérieure du sinus maxillaire et fracture nasale sur accident de travail (03/2007). • AE. • Plastie de la coiffe des rotateurs du côté gauche. • Epiphysiolysis capitis femoris des deux hanches durant l'enfance avec triple vissage bilatéral à l'âge de 13 ans. • Fracture non déplacée de l'os zygomatique droit le 05.11.2012. • Contusion du genou droit sur probable arthrose débutante. • Fracture cheville. • Fracture cheville D type AO 44-B3.1, le 14.01.2019. • Fracture cheville D type Weber A. • Fracture cheville droite Weber A le 10.02.2019. • Fracture cheville droite. • Trois entorses de la cheville droite. • Entorse de la cheville droite le 03.05.2013. • Fracture cheville gauche. • Traumatisme cheville droite. • Fracture cheville gauche. • Traumatisme cheville droite. • Fracture claviculaire gauche distale en 2005. • Luxation de l'épaule gauche en mai 2014. • Lésion du ligament collatéral interne du genou gauche le 12.08.2014. • Fracture clavicule droite opérée en 2013. • Fracture clavicule gauche latérale avec rupture des ligaments coraco-claviculaire le 16.02.2019. • Fracture clavicule gauche tiers moyen, sans atteinte cutanée. • Fracture clinique de l'arc antérieur de la 10ème côte droite. • Fracture clinique de l'arc antérieur gauche de la 10ème côte. • Fracture clinique des 3ème, 4ème et 5ème arcs costaux antérieurs droits non compliquée. • Fracture col de l'humérus proximal. • Fracture col fémoral G Garden III le 28.12.2018 et mise en place d'une prothèse céphalique le 03.01.2019, avec : > • contrôle du Dr. X / Dr. X le 13.02.2019 à Morat. • Fracture col fémoral G Garden III le 28.12.2018 et mise en place d'une prothèse céphalique le 03.01.2019, avec : > • contrôle du Dr. X / Dr. X le 13.02.2019 à Morat. • Fracture col fémoral G Garden III le 28.12.2018 et mise en place d'une prothèse céphalique le 03.01.2019, avec : > • contrôle du Dr. X / Dr. X le 13.02.2019 à Morat. • Fracture comminutive avec déplacement radial du 4ème métacarpien gauche sur chute mécanique le 04.02.2019. • Fracture comminutive bi-malléolaire de la cheville gauche, compliquée d'une algoneurodystrophie en 2004. Ostéosynthèse pour fracture ouverte du code droit en 1999. PTG droite le 14.03.2013 pour gonarthrose tricompartimentale. Lésion de la coiffe des rotateurs de l'épaule gauche. Omalgies gauches sur probable tendinopathie dans le contexte d'un traumatisme ancien. Anémie microcytaire et hypochrome. Fracture comminutive déplacée postérieure du col huméral droit dans le contexte d'une chute mécanique le 06.02.2019. Fracture comminutive du cotyle droit au pourtour de la cupule acétabulaire avec déplacement postéro-supérieur de la cupule et de la tête fémorale. Status post-mise en place de PTH droite par le Dr. X au CHUV en 1999. Fracture comminutive métaphyso-épiphysaire de l'humérus proximal droit. Fracture communitive de la rotule droite le 15.02.2019. Fracture complète tibia-péroné droit. Fracture complexe de l'humérus distal D, le 05.02.2019. Fracture cotyle D (colonne antérieure) avec fracture de la lame quadrilatère et impaction de la surface articulaire postéro-supérieure avec: • status post ostéosynthèse par voie d'abord Olerud et Stoppa et reconstruction de la surface articulaire par des impactions du fragment postéro-supérieur impacté sous contrôle arthroscopique et greffon du défect avec un bloc Tutoplast 10 x 10 x 20 le 02.03.2017. Fracture C2 sur métastase datant du 06.12.2018 • instabilité de la vertèbre • pas de compression de la moëlle épinière • minerve mousse rigide dès le 06.12.2018 • Avis oncologie : ad radiothérapie 12 séances dès le lundi 17.12.2018 • IRM avec séquences vasculaires (07.12.2018): lésion tumorale métastatique infiltrant la vertèbre C2, sans signe de myélopathie et infiltration para-vertébrale prédominant à G notamment infiltration de l'artère vertébrale G. Lésion du corps vertébral de D1 avec infiltration épidurale antérieure sans compression médullaire. • Avis neurochirurgical (Dr. X) 12.2018: masse sans effet neurologique. Au vu du contexte, pas d'intervention chirurgicale Fracture dans la phalange distale du pouce gauche non déplacée • Radio-mains gauche: Fracture dans la phalange distale du pouce gauche non déplacée Fracture d'avulsion base de la 2ème phalange D4 main gauche, stade I selon Hytone le 17.02.2019. Fracture de cheville D type AO 44 B3.1 le 14.01.2019 traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole latérale D par plaque tiers Tube 3.5 antiglide le 21.01.2019. Fracture de cheville G en 2007. Fracture de la base de la phalange proximale de l'hallux droit, non déplacée. Fracture de la base de la première phalange du 5ème doigt droit. Fracture de la base de la 1ère phalange du majeur droit déplacée. Fracture de la base de la 2ème phalange du 3ème orteil du pied gauche avec luxation antéro-latérale. Fracture de la base de P1 du 5ème orteil et fracture de la base de P4 du 4ème orteil du pied gauche le 21.02.2019. Fracture de la base de P1 D1 à D (dominant) type Salter Harris II le 31.01.2019. Fracture de la base de P3 du 3ème doigt de la main D le 05.01.2019. Fracture de la base des métatarses II, III et IV à gauche avec atteinte intra-articulaire. Fracture de la base des 3ème et 4ème métacarpiens de la main droite extra-articulaire le 10.02.2019. Fracture de la base du 4ème métacarpe G. Fracture de la base du métacarpien 1 de la main droite. Fracture de la base du premier métatarse du pied droit suite à la réception d'un objet lourd sur le pied le 08.02.2019. Fracture de la base du 5ème métacarpien main D le 06.01.2019. Fracture de la base du 5ème métatarse gauche, intra-articulaire, déplacée 1.9mm le 05.06.2013. Status post rupture aiguë sur chronique de la coiffe des rotateurs, conflit sous-acromial et arthrose acromio-claviculaire de l'épaule droite, avec AS épaule droite, réinsertion trans-osseuse du sus-épineux, acromioplastie et résection acromio-claviculaire le 25.01.2013. Status post traitement conservateur d'une fracture intra-articulaire radius distal à droite le 08.02.2009. Status post cure éventration par mise en place d'une prothèse ultrapro 30x20 cm en rétro-musculaire en septembre 2009. Status post cholécystectomie par laparoscopie convertie en tomie le 04.02.2006 pour cholécystite aiguë. Status post hystérectomie et annexectomie bilatérale par scopie pour hyperplasie de l'endomètre avec atypie en octobre 2006. Status post hépatite médicamenteuse aiguë sur Voltaren en juillet 2003. Status post diverticulites probables en juillet 2000, décembre 2007 et novembre 2008. Status post septoplastie et turbinoplastie bilatérale pour déviation de cloison nasale en 1999. Status post prurigo généralisé avec lésions type prurigo nodulaire et dermatose perforante en septembre 2005, janvier 2007 et novembre 2008. Réactivation de CMV. • Virémie positive le 30.10.2018. Infection urinaire basse compliquée. • chez Mme. Y ayant un rein unique post néphrectomie bilatérale et greffe de rein en 2014, avec rein pelvien gauche. • chez Mme. Y immunosupprimée. Fracture de la base du 5ème métatarsien droit. Fracture de la base du 5ème métatarsien du pied droit le 01.07.14 avec probable entorse du Chopart. Lésion partielle intéressant 20% du diamètre du tendon extenseur du 4ème doigt en zone I, main gauche. Plaie superficielle avec perte de substance 1cmx5mm au niveau de la pulpe de la 2ème phalange du pouce de la main gauche. Tétanos à jour <10 ans. Fracture de la base P2 D1 à D non déplacée du 14.02.2019 de manière ouverte, Gustillo I. Fracture de la branche antérieure du pubis gauche. Fracture de la branche ilio-ischio pubienne, le 04.02.2019. Fracture de la branche ilio-pubienne droite, non déplacée. Fracture de la branche ilio-pubienne gauche. Fracture de la branche ischio-pubienne droite le 29.01.2017. Fracture de la branche ilio-pubienne droite non déplacée le 18.11.2012. Opération des varices des membres inférieurs. Contusion de l'épaule droite. Appendicectomie. Fracture de la cheville droite Weber A sur une ancienne fracture Weber A non datée. Fracture de la cheville droite Weber B. Fracture de la cheville G type AO 44 C1.1U (Lauge-Hansen IV) le 22.01.2019. Fracture de la cheville gauche. Fracture de la clavicule droite. Fracture de la clavicule droite. • marche avec les cannes possible. Fracture de la clavicule gauche. Fracture de la clavicule gauche au niveau du tiers moyen. Fracture de la clavicule gauche. Ligament de l'épaule gauche. Hernie inguinale. Fracture in situ tiers médial clavicule gauche. Plaie superficielle transversale au niveau de la phalange distale du pouce gauche de 2 cm le 31.08.2017. Fracture de la côte 10 à droite. Fracture de la côte 10 à droite le 08.02.2019. Fracture de la diaphyse fémorale G avec angulation à 45° traitée par ostéosynthèse par LFN, le 26.12.2018 Fracture de la diaphyse tibiale gauche. Fracture de la face dorsale du capitatum et hématome de la main D le 03.02.2019. Fracture de la fibula à G avec luxation latérale. Fracture de la fibula gauche non déplacée. Fracture de la Houppe de P3 dig. III G avec ablation de l'ongle le 29.12.2018. Fracture de la houppe P3 D4 à G le 20.12.2018. Fracture de la huppe ouverte du 4ème doigt gauche avec perte de substance pulpaire. Fracture de la jambe gauche Maisonneuve-like. Fracture de la jonction du tiers-moyen tiers-latéral de la clavicule gauche avec raccourcissement de plus de 30 mm. Fracture de la lame papyracée antéro postérieure droite (07.02.2019). Fracture de la malléole externe de type Weber B non déplacée le 20.07.2012. Fracture de la branche ischio-pubienne droite et du cotyle droit le 03.05.2016. Fracture trans-condylienne de l'humérus distal droit tractée avec réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Medartis de l'humérus distal interne et postéro-latérale, le 17.09.2017. Neuropathie par compression locale du nerf ulnaire, coude droit. • Status post réduction ouverte et ostéosynthèse d'une fracture trans-condylienne de l'humérus distal droit le 17.09.2017. • 11.09.2018, Dr. X : neurolyse et antéposition sous-cutanée du nerf ulnaire, coude droit. AMO humérus droit. Cure d'une volumineuse hernie inguino-scrotale gauche selon Lichtenstein le 19.02.2014. Anémie normocytaire hypochrome avec une hémoglobine à 121 g/l le 29.08.2018 par carence en Vit B12, substituée. Fracture de la malléole externe G type Weber A le 17.10.2018. Fracture de la malléole externe G type Weber B, non déplacée le 21.11.2018. Fracture de la malléole externe gauche. Fracture de la malléole externe gauche Weber A. Fracture de la malléole externe type Weber B à D le 05.02.2019. Fracture de la malléole externe type Weber B à G le 04.02.2019. Fracture de la malléole externe type Weber B le 04.02.2019. Fracture de la malléole latérale D avec fracture du Volkmann de la cheville D selon classification AO 44-B1 le 03.02.2019. Fracture de la palette humérale du coude gauche septembre 2016 traitée conservativement. Contusion de la première phalange du gros orteil du pied droit. Fracture de la phalange distale du pouce droit. Fracture de la phalange distale du 3ème orteil gauche. Fracture de la phalange proximale du gros orteil gauche. Fracture de la phalange proximale du IIIème rayon de la main gauche, le 25.02.2019. Fracture de la phalange proximale du 4ème métacarpe G de type Salter II le 07.02.2019. Fracture de la pointe de l'olécrâne non déplacée. Fracture de la styloïde radiale éventuellement du scaphoïde gauche non déplacée le 05.02.2019. Fracture de la pointe du grand trochanter avec coxalgie le 19.02.2019. Fracture de la première phalange du gros orteil gauche intra-articulaire. Fracture de la première phalange du 2ème doigt droit du 22.02.2019. Fracture de la rotule genou G avec composante horizontale et transversale, le 01.01.2019 traitée conservativement. • Status post PTG G en 2003 (Dr. X, clinique générale). Fracture de la styloïde radiale gauche le 24.12.2018 avec traitement conservateur. Fracture de la styloïde radiale gauche le 24.12.2018. Traumatisme crânien avec amnésie circonstancielle sans perte de connaissance chez une patiente sous aspirine le 24.12.2018. État confusionnel aigu hyperactif d'origine mixte le 31.12.2018. Fracture du col fémoral gauche Garden IV gauche le 24.12.2018. • pose de prothèse céphalique hanche gauche le 27.12.2018 (Dr. X/ Dr. X). • Xarelto 10 mg 4 semaines. Lipothymie vaso-vagale et orthostatique le 14.07.2015. Crise d'angoisse avec hyperventilation le 13.12.2012. PTH droite en 1998. Appendicectomie à l'âge de 8 ans. Malnutrition protéino-énergétique légère sur inappétence. Fracture de la tête du péroné gauche dans le contexte de chute mécanique le 04.02.2019. Fracture de la tête du 5ème métacarpe de la main droite avec bascule palmaire le 14.02.2019. Fracture de la tête du 5ème métatarse non déplacé du pied gauche le 20.02.19. Fracture de la tête radiale D multifragmentaire non déplacée. Avulsion osseuse en regard du collatéral médial D. Fracture/avulsion de la pointe du processus coronoïde D le 15.01.2019. Fracture de la tête radiale droite le 23.02.2019. Fracture de la tête radiale droite Mason 1. Fracture de la tête radiale droite Mason 1 avec hémarthrose. Fracture de la tête radiale G type Mason I le 05.02.2019. Fracture de la tête radiale G type Mason I le 23.11.2018. Fracture de la tête radiale gauche (Mason 1) le 25.11.2017. Fracture de la tête radiale gauche (Mason 1) le 25.11.2017. Fracture de la tête radiale gauche (Mason 1) le 25.11.2017. Fracture de la tête radiale gauche, type Mason II. Fracture de la tête radiale Mason type II non déplacée. Fracture de la 1ère phalange du 5ème orteil du pied gauche. Fracture de la 2ème et de la 5ème phalange proximale non déplacée, main gauche, le 18.09.2011. Fracture de la 2ème et de la 5ème phalange proximale non déplacée, main gauche, le 18.09.2011. Fracture de la 2ème phalange du majeur droit peu déplacée. Fracture de la 4ème côte G. Fracture de la 7ème côte droite le 10.02.2019. Fracture de la 8ème côte droite le 22.02.2019. Fracture de la 9ème côte dorsale gauche sur chute en 10.2012. Appendicectomie dans l'enfance. Hernie inguinale droite en 2010. Oedème aigu du poumon sévère et état de choc sur insuffisance mitrale aiguë le 02.12.2017. Suspicion de pneumonie lobaire moyenne droite le 02.12.2017. Insuffisance rénale aiguë avec troubles électrolytiques. Insuffisance mitrale aiguë sévère en décembre 2017 avec rupture de pilier mitral avec choc cardiogène dans le contexte d'un NSTEMI subaigu. Hémorragie digestive probablement sur bulbite érosive duodénale avec pétéchies intra-muqueuses dans un contexte d'anticoagulation orale supra-thérapeutique, avec notion de melaena depuis le 10.04.2018. Test ELISA pour recherche d'Helicobacter dans les selles. Passage en fibrillation auriculaire sur déshydratation sur vomissements/diarrhées le 11.04.2018. DD : sur dysthyroïdie ? Patient porteur d'une valve mécanique mitrale, avec : • INR supra-thérapeutique à 3.8 le 11.04.2018. • INR infra-thérapeutique dès le 13.04.2018. Fracture de la 9ème côte dorsale gauche sur chute en 10.2012. Appendicectomie dans l'enfance. Hernie inguinale droite en 2010. Suspicion de pneumonie lobaire moyenne droite le 02.12.2017. Hémorragie digestive probablement sur bulbite érosive duodénale avec pétéchies intra-muqueuses dans un contexte d'anticoagulation orale supra-thérapeutique. Fracture de l'acromion droit. Fracture de l'arc costal antérolatéral de la 10ème côte gauche. Fracture de l'articulation métacarpophalangienne pouce I. Fracture de l'écaille de l'omoplate droite. Fracture de l'épiphyse radiale intra-articulaire non déplacée à G le 15.11.2018. Fracture de l'extrémité distale du radius à D intra-articulaire le 14.01.2019. Fracture de l'extrémité distale du radius D le 23.12.2018. Fracture de l'extrémité distale du radius droit et arrachement osseux du triquétrum. Fracture de l'extrémité distale du radius droit, fermée, non déficitaire avec déplacement postérieur. Fracture de l'extrémité distale du radius extra-articulaire à D le 03.01.2019. Fracture de l'extrémité distale du radius G le 03.01.2019. Fracture de l'extrémité distale du radius gauche basculée dorsalement. Fracture de l'extrémité distale extra-articulaire du radius à D du 10.02.2019. Fracture de l'humérus proximal D, 2 parts selon Neer le 04.02.2019. Fracture de l'humérus proximal droit le 04.02.2019. Fracture de l'humérus proximal gauche 2 parts 3 segments le 26.12.2018 • ORIF fracture de l'olécrâne + ostéosynthèse par plaque Philos. Fracture de l'humérus proximal 2 parts 3 fragments impactés en valgus à droite. Fracture de l'olécrâne gauche. Fracture de l'os malaire droit avec pneumorbite associé. Fracture de l'os propre du nez avec plaies superficielles à la face du nez. Fracture de l'os propre du nez, le 13.02.2019 sur • Chute accidentelle avec traumatisme crânien, sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle • Contexte de trouble de la marche en péjoration • Hydrocéphalie probablement secondaire à une hémorragie péri-ventriculaire et parenchymateuse néonatale avec éventuelle composante congénitale compliquée de crises d'épilepsie de type absence, hémiparésie D, retard mental avec: • Crise d'épilepsie (type absence) partielle complexe: plusieurs épisodes en 2012, 2014 • Suivi par Dr. X Fracture de l'os propre du nez, le 13.02.2019 sur • Chute accidentelle avec traumatisme crânien, sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle • Contexte de trouble de la marche en péjoration • Hydrocéphalie probablement secondaire à une hémorragie péri-ventriculaire et parenchymateuse néonatale avec éventuelle composante congénitale compliquée de crises d'épilepsie de type absence, hémiparésie D, retard mental avec: • Crise d'épilepsie (type absence) partielle complexe: plusieurs épisodes en 2012, 2014 • Suivi par Dr. X Fracture de l'os propre du nez sur chute mécanique le 14.02.2019. Fracture de l'os trigone de la cheville droite, le 08.02.2019. Fracture de Maisonneuve avec fracture de la malléole interne et Volkmann cheville droite. Fracture de Maisonneuve de la cheville G le 16.02.2019. Fracture de Maisonneuve du péroné avec instabilité de la syndesmose et fracture type Volkmann tibia, jambe G; le 08.02.2019. Fracture de Maisonneuve du péronier gauche le 08.02.2019 • sans fracture de la malléole interne • avec instabilité de la syndesmose. Fracture de Mallet D5 main droite sub-aiguë avec incongruence articulaire. Fracture de Pouteau Colles du poignet gauche dans le contexte d'une chute mécanique le 09.02.2019. Fracture de Pouteau-Colles fortement déplacée au niveau du poignet gauche. Fracture de P1 D3 à droite. le 05.01.2019. Fracture de P1-D3 droit consolidée le 06.09.2017. • accident le 15.08.2017 Radiographie fracture de P1-D3 droit ancienne, avec présence d'un cal osseux. Fracture de P2 D5 à G datant de fin septembre 2018. Fracture de P3 Dig IV main D le 21.03.2018 Tumeur de la vessie opérée en novembre 2012 ORIF fracture plateau tibial D en 2000 à Zurich; AMO en 2003 au Portugal. Fracture de Rolando. Fracture du tuberculum majus droit • Radio-épaule droit: Fracture de tuberculum majus droite. • CT-épaule droit: Fracture de tuberculum majus droite non déplacée • Consultation orthopédique (médecin garde de l'HFR Fribourg): Ortho-Gilet pour 6 semaines, contrôle dans une semaine à la consultation orthopédique des urgences de l'HFR Fribourg avec Radio-épaule. Fracture de type blow out avec fracture du plancher de l'orbite droit et incarceration du droit inférieur le 20/02/19. Fracture de type blow out avec fracture du plancher de l'orbite droit et incarcération du droit inférieur le 20.02.2019. Fracture de type Jones, non déplacée, du 5ème métatarsien du pied droit le 22.07.2017. Suture des tendons extenseurs de la face dorsale du poignet gauche avec multiples lésions tendineuses et arthrotomie traumatique médio-carpienne le 27.06.2015. Cure d'hémorroïdes selon Longo pour prolapsus hémorroïdaire persistant avec hématochézie le 16.07.2010. Cure d'hernie fémorale gauche. Douleur pariétale thoracique le 17.04.2018. Récidive de douleurs abdominales hyperalgiques d'origine indéterminée le 20.09.2018. Fracture de type Pouteau-Colles du poignet gauche. Fracture dentaire probable dents 11 & 21. Fracture déplacée à la base de P1 D3 main droite. Status post AVC avec parésie du MID. Fracture déplacée au niveau de la tête humérale. Fracture déplacée avec raccourcissement de 17 mm et déplacement de plus d'une diaphyse tiers-moyen clavicule gauche. Fracture déplacée, avec raccourcissement d'environ 17 mm, du tiers moyen de la clavicule gauche. Fracture déplacée bimalléolaire. Fracture déplacée clavicule gauche, le 16.02.2019. Fracture déplacée de la base du 5ème métacarpien. Fracture déplacée de l'extrémité distale de la clavicule droite en extra-articulaire le 04.02.2019. Fracture déplacée de l'extrémité distale du radius gauche. Fracture déplacée des os propres du nez. Fracture déplacée diaphysaire tibia gauche et de la fibula proximale suite à une chute le 17.02.2019. Fracture déplacée du col de l'humérus le 05.02.2019. Fracture déplacée du radius distal droit le 16.05.2016 S/p PTH G en 2005 et PTH D il y a des années (ne sait pas exactement quand). S/p cholécystectomie. S/p fracture cheville G et opérations X des mains. Fracture déplacée du radius distal gauche avec composante intra-articulaire et bascule dorsale sur chute du 16.02.2019. Fracture déplacée du radius distal gauche, extra-articulaire, non déplacée le 07.02.2019. Fracture déplacée, engrainée base métacarpien IV et V main droite avec probable neuropraxie nerf propre D4-D5. Entorse bénigne de l'articulation métacarpophalangienne doigt 1 droit, le 03.11.2018. Fracture des apophyses transverses L2-L4 à droite sur accident de la voie publique piéton contre voiture le 14.02.2019. Fracture des branches ilio et ischio-pubiennes droites et fracture non déplacée du sacrum. Fracture des épines tibiales D de Meyers et Mc Keever type 3 le 01.01.2019. Fracture des incisives centrales supérieures sans exposition de la pulpe. Fracture des os propres du nez (DD: contusion). Fracture des os propres du nez des deux côtés, fracture du septum nasal avec déviation vers la droite le 11.02.2019. Fracture des os propres du nez et du sinus maxillaire gauche, avec hémo-sinus sans déplacement significatif le 04.01.2019. Fracture des os propres du nez et du sinus maxillaire gauche, avec hémo-sinus sans déplacement significatif le 04.01.2019 • Avis ORL Inselspital, Berne: traitement conservateur, Co-Amoxicilline du 04.01.2019 au 08.01.2019 Polytraumatisme avec chute et perte de connaissance d'origine indéterminée le 03.01.2019. Plaie délabrante de D3, sur la face dorsale, latérale interne et légèrement palmaire, avec une plaie interdigitale du troisième espace, main droite. Plaie de la face latérale externe de D4 en regard de l'IPD, avec perte de substance intéressant la peau, une partie du sous-cutané, laissant la graisse sous-cutanée à l'air. Parage de plaies, révision du tendon extenseur du 3ème doigt. Fermeture des plaies après rinçage abondant. Fracture des os propres du nez et du sinus maxillaire gauche, avec hémo-sinus sans déplacement significatif le 04.01.2019 • Avis ORL Inselspital, Berne: traitement conservateur, Co-Amoxicilline du 04.01.2019 au 08.01.2019 Polytraumatisme avec chute et perte de connaissance d'origine indéterminée le 03.01.2019. Plaie délabrante de D3, sur la face dorsale, latérale interne et légèrement palmaire, avec une plaie interdigitale du troisième espace, main droite.Plaie de la face latérale externe de D4 en regard de l'IPD, avec perte de substance intéressant la peau, une partie du sous-cutané, laissant la graisse sous-cutanée à l'air. Parage de plaies, révision du tendon extenseur du 3ème doigt. Fermeture des plaies après rinçage abondant. Fracture des processus transverses droits stables de L2-L4 avec: • mise en évidence à l'IRM de contrôle le 18.02. • faisant suite à sa consultation aux urgences du 15.02. Fracture diaphysaire bifocale, déplacée, de l'humérus D type 12C2, le 26.01.2019 • Plâtre Sarmiento le 26.01.2019 Fracture diaphysaire de l'humérus. Fracture diaphysaire de l'humérus droit le 26.01.2019. Fracture diaphysaire déplacée au niveau du 5ème métacarpe gauche. Fracture diaphysaire déplacée du radius et de l'ulna gauche. Fracture diaphysaire distale du 5ème métacarpien, avec défaut de rotation et trouble sensitif. Pneumothorax apical droit de 3cm, le 06.03.2017 avec écoulement au niveau de la plaie le 09.03.2017. Douleur thoracique gauche d'origine pariétale sur entraînement fitness intensif le 22.05.2018. Fracture diaphysaire distale du 5ème métacarpien de la main droite, subaiguë, datant du 16.11.2018. Fracture diaphysaire du cubitus distal gauche type AO 23-A1, Gustillo 1er degré. Status post-fracture du cuboïde, pied gauche, traitée conservativement le 21.04.2012. Fracture multifragmentaire de l'os propre du nez. Fracture du sinus sphénoïdal gauche, avec plaie, hématosinus et pneumoencéphale. Fracture du processus épineux C4-C5. Fracture diaphysaire du fémur distal droit sur chute mécanique le 03.02.2019. Fracture diaphysaire du tibia G, non-déplacé le 06.02.2019. Fracture diaphysaire du 3ème métatarse du pied gauche datant de 3 semaines non déplacée. Fracture diaphysaire du 5ème métacape de la main D sur chute d'origine mécanique le 31.01.2019 • non déplacé, pas de défaut de rotation. Fracture diaphysaire fémur D type AO 32.A1, le 23.01.2019. Fracture diaphysaire fibulaire à gauche. Fracture diaphysaire MCP V à G le 11.12.2018. Fracture diaphysaire non déplacée du 4ème métacarpien D le 14.11.2018. Fracture diaphysaire non-déplacée de la fibula G le 08.02.2019. Entorse stade II de la cheville G. Fracture diaphysaire non-déplacée du tibia à D le 13.01.2019. Fracture diaphysaire oblique péri-prothétique type Vancouver B1 fémur G, le 23.01.2019. • Implantation prothèse céphalique sur fracture col fémur G type Garden IV le 10.03.2018. Fracture diaphysaire ouverte (en ulnaire) selon Gustilo I des 2 os de l'avant-bras D le 08.02.2019. Fracture diaphysaire P1 D2 de la main D le 13.01.2019. Fracture diaphysaire radio-ulnaire à D le 29.01.2019. Fracture diaphysaire radius distal droit, accident du 30.05.2014. Status post OS par plaque palmaire Aptus le 06.11.2013 sur fracture extra-articulaire déplacée radius distal droit. Ostéosynthèse diaphyse radius distal droit par plaque LCP 3,5. Fracture diaphysaire spirale métacarpe 5 à droite, discrètement déplacée. Fracture diaphysaire spiroïde du 5ème métacarpien de la main D le 31.01.2019. Fracture diaphysaire spiroïde MC 4 main G le 05.01.2019. Fracture diaphysaire tiers distal tibia gauche. Fracture diaphysaire transverse, déplacée, tiers proximal fémur G type AO 23.A2b, le 26.01.2019. Fracture diaphysaire ulnaire/radiale déplacée. Fracture d'impression peu déplacée du plateau tibial externe genou D associée d'une lésion d'allure dégénérative du ménisque interne. Fracture distale de la malléole interne G type Salter Harris avec léger déplacement antérieur 09.2013. Fracture distale du radius avec bascule postérieure. Fracture du bassin latéral compression Typ I sur traumatisme le 22.02.2019 avec: • Fracture des branches ischio et ilio pubienne, ainsi qu'aile sacrée à droite. Fracture du bassin le 07.01.2018: • Fracture de la branche ilio-pubienne et ischio-pubienne gauche. • Fracture de l'aile sacrum. • Hématome avec épaississement du psoas et de l'obturateur sans engagement de la vessie. Hémorragie sous-arachnoïdienne (sillon central gauche) le 07.01.2018. Pneumonie le 15.01.2016. Pneumonie rétrocardiaque le 26.03.2013. Implantation de prothèse totale de hanche droite en 2004. Multiples fractures et ostéomyélite du radius gauche et du fémur droit en 1939. Dysesthésies dorso-latérales du pied gauche de probable origine neurologique périphérique. Embolies pulmonaires sous-segmentaires le 31.01.2018 avec défauts sous-segmentaires périphériques au niveau de la pyramide basale droite, en latéro-postéro basal, en regard de la lingulaire, du segment apical du lobe inférieur gauche et de la région postéro-basale lobaire inférieure gauche. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute de sa hauteur: • Hémorragie sous-arachnoïdienne (sillon central gauche) le 07.01.2018. • Fracture du bassin le 07.01.2018 (branche ilio-pubienne et ischio-pubienne gauche ; aile sacrum ; hématome avec épaississement du psoas et de l'obturateur). • Déficit en vitamine D. • Malnutrition protéino-énergétique modérée. Fracture du bassin type latéral compression I G avec: • Fractures de branches ischio et ilio pubiennes peu déplacées. • Fracture non déplacée de l'aileron sacré gauche. • Hématome para vésical gauche de 3cm x 2cm. • Tuméfaction des muscles obturateurs. Fracture du boxer, Doigt V droit. Fracture du calcanéum D type Sanders A1 le 15.08.2018 traitée conservativement. Fracture du calcanéum pied gauche. Lésion de l'articulation de Chopart du pied gauche du 09.10.2018. Status post arthroscopie diagnostique, réinsertion du sus-épineux, ténotomie et ténodèse du LCB, épaule droite, résection AC droite le 24.04.2018. Fracture du clou gamma et fracture intertrochantérienne fémur proximal, le 13.02.2019. Fracture du coccyx. Fracture du col du fémur droit sous-capitale déplacée avec fracture de la branche ilio-pubienne le 05.02.2019: • chute dans un contexte d'état confusionnel aigu fluctuant depuis la veille au soir après prise de Temesta. Fracture du col du fémur G le 02.01.2019, traitée par une prothèse céphalique G, le 03.01.2019. Fracture du col du fémur gauche. Fracture du col du fémur gauche Garden IV. Fracture du col fémoral à gauche type Garden IV le 22.12.2018. Fracture du col fémoral droit Garden II. Fracture du col fémoral droit Garden IV. Fracture du col fémoral droit Pauwels II sur chute, traitée par réduction fermée et mise en place d'une DHS droite le 01.09.2016. Troubles de la déglutition avec repas mixte et lisse, médicaments écrasés. Fracture du col fémoral gauche. Contusion de la hanche gauche le 10.02.2019. Fracture du col fémur gauche, déplacée, type Pauwels III, le 04.02.2019. Fracture du cotyle droit (colonne antérieure et postérieure hémitransverse) le 15.10.2018, traitée conservativement. Possible traumatisme crânien avec AVC et PC brève le 15.10.2018 (pas d'hématome intracrânien, pas de fracture). Leucocytose isolée d'origine indéterminée en mai 2018. Cholangite sur cholécystolithiase le 07.04.2016, traitée conservativement. Hémorragie sous-arachnoïdienne sur rupture d'un anévrisme de l'artère communicante antérieure en 1993, traitée par clippage et craniotomie. Hystérectomie et ovariectomie en 1968. Sepsis sévère d'origine urinaire à E. Coli multisensible le 19.07.2017. Monoarthrite du genou gauche microcristalline, le 28.07.2017. Probable AIT sylvien gauche d'origine indéterminée (DD : cardio-embolique) le 03.05.2018. Symptomatologie : dysarthrie. Fracture du coude droit. Fracture du coude gauche. Gastroentérite virale. Traitement symptomatique. Fracture du crâne et de la jambe inférieure il y a 30 ans. Lombalgie chronique. Fracture du cunéiforme latéral et arrachement osseux du naviculaire, le 18.02.2019. Fracture de fatigue du 2ème métatarse du pied gauche. Fracture du fémur droit à l'âge de 14 ans. Fracture du 4ème doigt droit en enfance. Greffe cutanée du dos de la main gauche (29.06.2018) pour statut post-brûlure 2ème degré de P1D2 dorsale avec défect (08.06.2018). Fracture du fémur gauche en 2007. Amygdalectomie. Réaction allergique le 24.01.2013 (allergène indéterminé). Eczéma au niveau du pli du coude gauche (2 épisodes). Fracture du grand trochanter non déplacée le 30.05.2016. Triple arthrodèse de la cheville gauche en 2010. Fracture de la malléole externe droite, traitée par ostéosynthèse en 2012. Cure de tunnel carpien droit en 1998. Interventions pour épicondylites bilatérales non datées. Chirurgie bariatrique le 12.01.2015 pour obésité morbide. Cholangite et choc septique à E. Coli sur calculs cholédociens en 11.2015 : • sphinctérotomie, extraction de calculs et drainage en 11.2015 (CHUV) • cholécystectomie en 12.2015. Annexectomie partielle (ablation de kyste ovarien gauche) en 1994. Amygdalectomie non datée. Fracture du Lisfranc gauche le 05.11.2018 avec : • fracture intra-articulaire du cuboïde • composante articulaire du 4ème métatarse. Fracture du nez avec plaie le 12.02.2019. Fracture du nez le 17.02.2019. Fracture du PFNA et fracture intertrochantérienne du fémur proximal le 11.02.2019. • Status post réduction ouverte et ostéosynthèse par 2 cerclages, clou PFNA long d'une fracture intertrochantérienne du fémur gauche le 20.10.2018. Fracture du plateau supérieur des vertèbres L3 et L4 le 27.03.2014. Fracture du plateau tibial externe gauche, type Schatzker III, le 18.01.2019. • Gonarthrose tricompartimentale à prédominance interne gauche. Fracture du plateau tibial externe gauche avec enfoncement de 4 mm. Fracture du plateau tibial externe Schatzker II et lésion du ménisque latéral droit. Ostéosynthèse par fixateur externe le 26.12.2018. Réduction ouverte et ostéosynthèse, ainsi que refixation du ménisque externe le 28.12.2018, facid Dr. X et Dr. X. Fracture du plateau tibial externe type split depression, genou gauche. Fracture du plateau tibial gauche. Fracture du plateau tibial gauche, probablement Schatzker type II. Fracture du plateau tibial gauche. Arthroscopie du genou droit (problème de cartilage) en 2006. Coupure de l'avant-bras, avec lésion tendineuse en 1985. Malformation du coude droit, opérée. Status post-excision et drainage d'un abcès péri-anal antérieur le 25.02.2017. Fracture du plateau tibial interne du genou droit, type Schatzker IV non déplacée le 09.09.2018. Fracture du plateau tibial latéral droit, type Schatzker I le 24.01.2019. Fracture du plateau tibial Schatzker II, genou droit, le 06.02.2019. Fracture du plateau tibial, type Schatzker III à droite le 26.01.2019, traitée par ORIF sous arthroscopie le 31.01.2019. Fracture du poignet, côté inconnu. Fracture du poignet gauche et du genou gauche il y a plusieurs années. Fracture du processus antérieur du calcanéum le 23.02.2019. Fracture du processus épineux type AO 0 C5 (corne droite du processus bifide). Fracture du radius distal. Fracture du radius distal droit de type chauffeur le 04.02.2019. Fracture du radius distal gauche sans déplacement. Fracture du radius distal à droite en motte de beurre non déplacée. Fracture du radius distal droit avec bascule postérieure de 15° le 25.09.2012. Fracture du radius distal droit non déplacée. Fracture du radius distal et arrachement de la styloïde cubitale AO 23 C2 à droite, avec traumatisme crânien chez un patient qui ne prend pas de traitement antiagrégant ni anticoagulant, sans déficit neurologique. Fracture du radius distal gauche avec bascule postérieure le 08.02.2019. Fracture du radius distal gauche extra-articulaire le 06.02.2019. Fracture du radius distal gauche le 05.01.2019. Fracture du radius distal gauche avec bascule postérieure de 30° le 08.02.2019. Fracture du radius distal gauche avec composante intra-articulaire et bascule dorsale sur chute du 16.02.2019 : • Status post-réduction par manœuvres externes le 16.02.2019. Fracture du radius distal gauche et de la styloïde ulnaire gauche. Fracture du radius distal gauche intra-articulaire dorsale non déplacée. Fracture du radius distal gauche le 07.03.2018. Brûlures avant-bras gauche. Greffe de Thiersch et pose d'un VAC des brûlures avant-bras le 13.03.2018. VAC au niveau de la greffe de Thiersch du 13.03.2018 au 19.03.2018. Hématome épidural droit massif post-traumatique avec saignement actif le 07.03.2018 : • contexte de raptus psychotique. Drainage par craniotomie le 07.03.2018 (OP Dr. X). Cathéter artériel fémoral droit le 07.03 au 08.03.2018. PICCO fémoral droit le 07.03.2018. Choc hémorragique le 07.03.2018. Schizophrénie paranoïde en décompensation aiguë avec le passage à l'acte auto-agressif par défenestration le 07.03.2018. Contusion pulmonaire le 07.03.2018. Épanchement péricardique le 07.03.2018. Boursite traumatique du genou droit le 11.03.2018. Fracture du radius distal gauche le 08.01.2019, traitée conservativement. Fracture du radius distal gauche le 27.11.2011 (bascule mesurée à 21 degrés), admission le 28.11.2011 pour opération par Dr. X, antalgie, plâtre AB.Fracture du radius distal gauche traitée conservativement Fracture du radius distal multifragmentaire intra-articulaire gauche avec bascule postérieure le 15.02.2019 avec • fracture du processus styloïde ulnaire • hypoesthésie au regard de la face dorsale de D5 Fracture du radius distal plurifragmentaire déplacée en dorsal à gauche le 30.01.19. Fracture du radius distale gauche déplacée le 09.02.2019. Fracture du radius et cubitus distal à droite le 18.11.2018. Fracture du radius et de l'ulna diaphysaire de l'avant-bras D le 14.01.2019. Fracture du rocher gauche avec comblement partiel des cellules mastoïdiennes avec: • CAE sténosé DD: post-traumatique vs composante inflammatoire • Audiogramme 13.02.2019 pas d'atteinte cochléaire, perception dans la norme, pas de PF à priori (CHUV) • Pose de mèche de Diprogenta le 13.02.2019 avec changement avec nouvelle mèche de tampogras le 15.02.2019 (CHUV) • Audiogramme le 15.02.2019: inchangé (CHUV) Fracture du sacrum Denis I à gauche avec petite composante à droite sur traumatisme le 27.12.2018: • IRM du 15.01.2019: fracture du sacrum • Radiographies bassin et hanche droite de face et axial: pas de lésion osseuse traumatique visualisée, présence d'une coxarthrose débutante Fracture du scaphoïde droit nécessitant une prise en charge chirurgicale le 13.02.2019. Fracture du scaphoïde droit non déplacée. Fracture du scaphoïde main D en 2002 (anamnestique) Plaie face dorso-radiale poignet D avec section complète tendon long abducteur et court extenseur du pouce (coulisse I) en zone 7; accident du 05.05.2017. Suture du long abducteur et du court extenseur selon Kessler mono-brin au Prolène 3.0 puis surjet au Prolène 6.0, poignet D (OP le 06.05.2017) Hypoesthésie de la lèvre inférieure en postopératoire, le 06.05.2017 Fracture du scaphoïde type Midwest non-déplacée à D le 20.11.2018. Fracture du septum nasal isolé le 19.02.2019. Fracture du tibia distal à G Fracture du tibia et du péroné gauche. Epanchement pleural gauche en décours (cf synthèse). Anémie normochrome macrocytaire à hémoglobine à 70 g/l sur hémorragie digestive haute 20.10.2018 Malaise avec traumatisme crânien. Nodule pulmonaire lobe inférieur gauche de découverte fortuite. Crise de goutte métatarso-phalangienne 1 pied gauche. Fracture du tibia et du péroné gauches. Hémorragie digestive haute 20.10.2018 • melaena le 19.10.2018 • sur prise d'AINS ? • possible contexte OH (mais pas de consommation dans les derniers jours) • grand ulcère de 5 x 2 cm de la paroi postérieure Forrest IIc, test rapide Helicobacter Pylori négatif. Malaise avec traumatisme crânien. Fracture du tiers distal de la clavicule droite le 28.01.2019. Fracture du tiers distal de la clavicule droite sans souffrance cutanée le 12.02.2019. Fracture du tiers distal de la clavicule gauche Fracture du tiers distal de tibia et péroné peu déplacée. Éraflure au niveau de la face interne de pied gauche. Fracture du tiers externe de la clavicule droite avec détachement de fragments osseux. Fracture du tiers moyen de la clavicule à G. Fracture du tiers moyen de la clavicule D. Fracture du tiers moyen de la clavicule G le 02.02.2019. Fracture du tiers moyen de la clavicule gauche Fracture du tiers moyen de la clavicule gauche sans menace cutanée le 24.06.2015. Fracture du tiers distal du tibia-péroné D le 17.02.2019, déplacée au niveau du tibia. Fracture du toit de l'orbite droite Fracture du triquetrum droit sans signe de complication. Fracture du 2ème sésamoïde gauche sur chute le 01.11.14 • avec perte de sensibilité de la face latérale et de la pulpe de l'index sur hématome. Fracture du 3ème métatarsien du pied D le 06.01.2019. Fracture du 4ème doigt non déplacée, au niveau de l'articulation interphalangienne distale du 4ème doigt de la main droite en 2011. Fracture de la phalange distale du 3ème doigt de la main droite en 2011. Plaie en regard de l'articulation interphalangienne distale des doigts III et IV 2011. Fracture du 5ème métatarsien le 29.12.2019 Fracture du 5ème arc costal antérieur droit Fracture du 5ème métatarse gauche type Jones. Paresthésie bilatérale de membres supérieurs sur troubles anxieux. Fracture du 5ème métatarse gauche type Jones. Paresthésie bilatérales des membres supérieurs sur troubles anxieux. Fracture du 5ème métatarse gauche type Jones. Paresthésies bilatérales de membres supérieurs sur troubles anxieux. Fracture du 5ème métatarse gauche, type Pseudo-Jones. Paresthésies bilatérales des membres supérieurs sur troubles anxieux. Fracture du 5ème métatarsien du pied gauche le 14.09.2017. Fracture dutiers latéral de la clavicule droite et arrachement ligament CC. Fracture D3 catégorie A1 sans déficit neurologique. Après discussion avec le team spine et en raison d'un patient peu algique, nous convenons d'un retour à domicile avec un contrôle radio-clinique dans 10 jours. Le patient est tenu au courant qu'en cas d'apparition de déficit neurologique (perte de force, troubles de la sensibilité, rétention urinaire, incontinence urinaire ou fécale) ou de fortes douleurs, il doit reconsulter notre service des urgences. Fracture D5 droit. Fracture D9 non déficitaire • DD: traumatique sur chute le 21.01.2019 • DD: pathologique Fracture EDR droit le 06.02.19. Fracture en arrachement du triquétrum droit le 09.02.2019. Fracture en bois-vert peu déplacée de la diaphyse de P2 D4 à D le 22.11.2018. Fracture en motte de beurre au niveau du radius distal G le 12.02.2019. Fracture en motte de beurre de la base du 1er métacarpien de la main gauche sur traumatisme du 17.02.2019. Fracture en motte de beurre de la fibula distale à D le 01.02.2019. Fracture en motte de beurre de la métaphyse du radius et ulna distal droit. Fracture en motte de beurre des métaphyses distales radio-ulnaires à droite. Fracture en motte de beurre du poignet droit. Fracture en motte de beurre du radius distal Fracture en motte de beurre du radius distal à D le 04.01.2019. Fracture en motte de beurre du radius distal à G le 28.01.2019. Fracture en motte de beurre du radius distal à G le 28.01.2019. Fracture en motte de beurre du radius distal D le 09.01.2019. Fracture en motte de beurre du radius distal D le 19.01.2019. Fracture en motte de beurre du radius distal droit le 18.02.2019. Fracture en motte de beurre du radius distal G le 19.01.2019. Fracture en motte de beurre du radius distale gauche l en décembre 2017. Fracture en motte de beurre du tibia distal gauche. Fracture en motte de beurre radius distal D. Fracture en motte de beurre tibia distal D avec Bowing du péroné le 15.07.2018. Fracture en une part selon Neer de l'Humérus proximal à G avec une Bankart associée de l'épaule à G. Fracture en voie de consolidation. Augmentation progressive de la charge. Concernant l'activité professionnelle, il me semblerait raisonnable de reprendre une activité de conducteur de Clark depuis le mois de mars à condition qu'il n'y ait pas de port de charge sur le membre supérieur G. Je prévois de le revoir dans 3 mois. Fracture épicondyle médial humérus G, le 15.02.2019 Fracture épicondyle médial sur luxation coude D • réduction ouverte et fixation épicondyle médial par 2 broches 1.25 coude D (OP le 06.01.2012) Fracture extra-articulaire du radius distal du poignet droit, le 6.2.2019. Fracture extra-articulaire du radius distal In Situ. Fracture extra-articulaire du radius distal In Situ. Fracture extra-articulaire radius distal in situ. Avis orthopédique: plâtre fait aux urgences. Fracture extra-articulaire communitive du radius distal droit, type AO 2R3 A3 avec bascule postérieure de plus de 20°, main dominante, le 04.02.2019. Fracture extra-articulaire de la base du 3ème et 4ème métacarpe main D, non-déplacée le 10.02.2019.Fracture extra-articulaire de la jambe droite le 23.02.2019. Fracture extra-articulaire de la partie postéro-médiale du calcanéum D le 15.11.2018. Fracture extra-articulaire de la phalange distale et de l'hallux gauche non déplacée le 24.02.2019. Fracture extra-articulaire déplacée de l'extrémité distale des deux os de l'avant-bras gauche avec bascule postérieure. Fracture extra-articulaire, déplacée, radius distal D; accident du 04.02.2019. Fracture extra-articulaire distale du radius gauche. Fracture extra-articulaire du radius distal du poignet droit le 06.02.2019. Fracture extra-articulaire extrémité distale radius gauche avec bascule postérieure de 20° et comminution postérieure. Fracture extra-articulaire radius distal G type AO 23-A2, le 08.02.2019. Fracture extrémité distale du radius de type chauffeur peu déplacée le 04.02.2019. Fracture extrémité distale du radius gauche avec bascule postérieure de 10° et fracture de la styloïde ulnaire non déplacée le 08.01.19. Fracture extrémité distale radius gauche le 04.11.2015. S/p APP pendant l'enfance. Fracture 8ème côte gauche. Otite moyenne légère à droite le 17.05.2014. Angine probablement virale. Fracture face dorsale capitatum et hématome main droite le 03.02.2019. Fracture fémorale D en 2011, opérée. Hystérectomie à 35 ans. Appendicectomie à 30 ans. Epistaxis de la narine gauche sous anticoagulation (Xarelto) le 18.01.2018. Epistaxis narine droite le 03.01.2017. Douleur épaule G 06.2016 post chute sur syncope (arythmie, torsade de pointe avec QT allongé), Rx fracture de côte consolidée. Fracture fémorale distale droite (13A2 le 20.02.2019). Fracture fémur distal D type AO 33-C1 le 09.09.2017, OS fémur D par plaque LISS 5 trous (OP le 12.09.2017). Fracture fémur droit péri-prothétique déplacée le 06.02.2019. Fracture fermée du scaphoïde droit le 20.02.2019, sans trouble neurovasculaire associé. Fracture fibulaire tiers distal diaphysaire gauche non déplacée, sans atteinte de la fourchette malléolaire de la cheville, sans instabilité, en 2011. Status post plaie de la face antéro-externe de la jambe gauche prise en charge en Italie avec nécrose sèche de 2x2cm de la plaie, en 2011. Fracture Garden I du col fémoral droit, traitée par ostéosynthèse par plaque DHS, le 03.02.2016. Cure d'hernie cervicale en 2004. Pose d'un stimulateur électrique en 2000 (boîtier en fosse iliaque droite et électrodes au niveau S3) IRM incompatible. Appendicectomie il y a 40 ans. Fracture Garden I du fémur gauche, impactée en valgus, stable, le 10.02.2019 avec risque augmenté de déplacement dans un contexte d'adénocarcinome de la prostate multimétastatique et âge avancé. Fracture glène G type Ideberg II, traitée conservativement. Entorse du coude avec lésion du ligament collatéral médial. Fracture hamatum et triquetrum carpe à gauche post-traumatique chez un patient connu pour arthrodèse poignet en 1993. Fracture hanche G avec éclat infra-trochantérien le 28.02.2019. Fracture humérale avec hypoesthésie persistante C6/7 droite. Notion de syncope à l'emporte-pièce 12.2017. Tassement L1. Cholécystectomie. Ulcère plantaire gauche 05.2017. Fracture humérus distal gauche supracondylien Rigault I le 25.12.2018. Fracture humérus G il y a 10 ans (traitement conservateur avec gilet). Fracture humérus proximal D, 3 fragments 2 parts, datant du 04.02.2019. Fracture humérus proximal droit en 4 fragments dont arrachement du tubercule majeur. Fracture humérus proximal G en 2 parts impactée en valgus avec une composante head split le 01.01.2019 traitée conservativement. Fracture humérus proximal et diaphysaire à gauche, le 16.02.2019. Fracture in situ de la malléole interne à D le 28.12.2018. Fracture in situ de l'extrémité distale du radius à G le 30.12.2018. Fracture in situ de P1 O4 à gauche, le 22.02.2019. Fracture in situ P2 D1 main gauche le 01.02.2019. Fracture instable type B1 de la vertèbre D12 avec arrachement ligamentaire inter-épineux D11-D12. Fracture-tassement A1 vertèbre L2. Fracture instable Type B3 D5 et D6 avec cyphose le 07.03.2011. 1) Correction de la cyphose et spondylodèse avec URS (Synthes) D3 - D8 + Novabone. 2) Cyphoplastie de reconstruction D5 et D6 avec VBS + Vertecem (OP le 16.03.2011). Fracture du cotyle droit (medial wall) avec impaction de la tête du fémur droit sur fracture-luxation obturatrice le 07.03.2011 avec : Révision de la hanche par une voie d'abord Kocher-Langenbeck trochanter flip. Ostéosynthèse du Medial Wall par ostéosuture avec FiberWire 5. Ostéotomie inter-trochantérienne valgisante de 25° avec légère dérotation interne pour augmenter l'antétorsion fémorale (OP le 24.03.2011). Status post ORIF par cerclage-haubanage d'une fracture ouverte (Gustillo grade II) de l'olécrâne coude droit AO 21-B1 (07.03.2011, Sion). S.p. fracture du corps de l'omoplate droite le 07.03.2011. Status post fractures des apophyses transverses L2 et L3 gauches le 07.03.2011. Perforation du tympan à opérer en 2016. Fracture intra-articulaire base 1er métatarsien gauche le 09.02.19. Fracture intra-articulaire de l'olécrane le 19.02.2019. Fracture intra-articulaire du poignet droit avec bascule postérieure le 14.02.2019. Fracture intra-articulaire EDR gauche. Fracture intra-articulaire radius distal G, avec bascule postérieure. Fracture intra-articulaire du 5ème métacarpe de la main droite. Fracture intra-articulaire au niveau de la 1ère phalange de l'auriculaire droit sur traumatisme le 02.02.2019. Fracture intra-articulaire base P1 D4 main droite. Fracture intra-articulaire, comminutive, radius distal G, le 16.01.2019. Fracture intra-articulaire de la base du 1er métatarsien du pied G le 09.02.2019. Fracture intra-articulaire de la base du 5ème métacarpien à D le 28.01.2019. Fracture intra-articulaire de la malléole interne cheville gauche. Fracture intra-articulaire de l'olécrâne gauche le 26.12.2018. - ORIF fracture d'olécrâne (OP le 31.12.2018). Fracture intra-articulaire de P1 distale O2 du pied G le 26.01.2019. Fracture intra-articulaire déplacée extrémité distale du radius à D type AO 23R.C1, datant du 05.01.2019. Réduction ouverte, OS radius distal D par plaque palmaire Aptus et plaque dorsale Aptus Hand (OP le 08.01.2019). Fracture intra-articulaire du radius distal à D le 06.02.2019. Fracture intra-articulaire du radius distal à D non-déplacée le 09.01.2019. Fracture intra-articulaire du radius distal à gauche (AO 23-C2) avec bascule postérieure le 09.02.2019. - réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Aptus 2.5 (opération le 09.02.2019 par le Dr. X). Fracture intra-articulaire du radius distal G peu déplacée le 08.02.2019. Fracture intra-articulaire interphalangienne proximale au niveau de l'auriculaire droit sur traumatisme le 02.02.2019. Fracture intra-articulaire multi-fragmentaire du radius distal gauche. Fracture intra-articulaire non-déplacée du radius distal D le 11.11.2018. Fracture intra-articulaire peu déplacée radius distal G, le 27.01.2019. Fracture intra-articulaire peu déplacée radius distal G, le 27.01.2019. Suspicion de syndrome du tunnel carpien G. SCAC poignet G. Fracture intra-articulaire P1 Dig IV main D le 10.01.2019. Fracture intra-articulaire radius distal et fracture de la styloïde ulnaire, type AO 23.C1 à G, le 28.01.2019.• Syndrome du tunnel carpien G • Fracture intra-articulaire radius distal G type AO 2R3C2, le 09.02.2019 • Fracture intra-articulaire radius distal gauche. • Fracture intra-articulaire radius distale G le 27.01.2019 avec traitement conservateur par plâtre AB • Fracture isolée de la tête du péroné droit. Marche en charge selon douleurs. • Fracture Jones du 5ème métatarsien pied D. Distorsion ligament talo-fibulaire antérieur stade II, cheville D. • Fracture latérale de la rotule droite sans déplacement ni atteinte articulaire significatif le 12.02.2019. • Fracture légèrement déplacée de la grande tubérosité de l'humérus gauche. • Fracture Lisfranc avec fracture intra-articulaire base 5ème métatarsien et fracture base P1 O4 pied droit. • Fracture longitudinale peu déplacée de P2 du pouce G le 01.02.2019. • Fracture longitudinale (tiers latéral de la rotule G) le 20.12.2018. • Fracture luxation cheville D type Weber B • Fracture luxation de l'articulation huméro-radio-ulnaire • Fracture L1 type B (Reverse Chance) le 03.01.2019, ASIA E • Fracture Maisonneuve de la jambe droite avec rupture de la syndesmose et fracture de la diaphyse du péroné. • Fracture malléolaire externe de type Weber B cheville gauche le 28.11.2018 • Fracture malléole externe cheville D Weber B. • Fracture malléole externe cheville G type Weber B, le 18.01.2019 • Fracture malléole externe cheville gauche en octobre 2016. Fracture 1er métatarse gauche en décembre 2017. Entorse du ligament latéro-interne de la cheville gauche de stade I. • Fracture malléole externe Weber B à G le 05.11.2018 traitée conservativement. • Fracture malléole médiale isolée cheville gauche. • Fracture Mallet P3 D5 main G subaigüe sans incongruence articulaire. • Fracture Mason I de la tête radiale G peu déplacée. • Fracture Mason II coude D Fracture Mason II coude droit le 30.01.2019. • Fracture Mason II de la tête radiale à gauche, le 05.02.2019. Fracture scaphoïde gauche. • Fracture méta-diaphysaire avant-bras gauche en motte de beurre. 07/2011 • Fracture métadiaphysaire humérus proximal G sur kyste uniloculaire le 09.01.2019. • Fracture métaphysaire AB gauche. Contusion crânienne le 12.11.2018 avec CT cérébral dans la norme. • Fracture métaphysaire distale du 5ème métacarpe à D le 26.11.2018. • Fracture métaphysaire distale non déplacée de la phalange proximale de O5 à gauche • Fracture métaphysaire distale radius et cubitus D; le 19.03.2018 Réduction fermée, embrochage selon Kapandji radius distal D par 2 broches 1.6 (OP le 19.03.2018) • Fracture métaphysaire du radius distal D sur traumatisme du 19.01.2019. • Fracture métaphysaire du radius distale droit. • Fracture métaphysaire du radius droit, distale et non déplacée. • Fracture métaphysaire du 1er métacarpe du pouce gauche. • Fracture métaphysaire non déplacée du radius distal droit le 18.02.2019. • Fracture métaphysaire non déplacée radius D. • Fracture métaphysaire non déplacée type motte de beurre du radius distal à G le 02.02.2019. • Fracture métaphysaire non déplacée du radius distal gauche. • Fracture métaphysaire proximale de l'humérus droit déplacée. • Fracture métaphysaire radius distale et cubitus distal Salter 3 gauche • Fracture métaphysaire tibial proximal à G le 06.10.2018. • Fracture métaphysaire 1er métacarpe pouce gauche • Fracture métaphyse distale du tibia péroné G le 09.01.2018. • Fracture métaphyso-diaphysaire déplacée radius distal et fracture peu déplacée type Salter III cubitus distal G, le 21.01.2019 • Fracture motte de beurre double • Fracture motte de beurre fibula droite • Fracture motte de beurre radio-ulnaire distaux gauches • Fracture motte de beurre radius distale à droite le 27.02.2018 • Fracture motte de beurre tibia et péroné distal gauche. • Fracture multi-fragmentaire de la base de P1 D5 de la main droite. • Fracture multifragmentaire de la grande tubérosité et du col chirurgical de l'humérus droit. • Fracture multi-fragmentaire de l'humérus proximal et diaphysaire le 10.02.2019 • Fracture multifragmentaire déplacée tiers moyen clavicule D; accident du 04.11.2018 • Fracture multifragmentaire du plateau tibial et du péroné proximal, le 05.02.2019 • Fracture multifragmentaire du radius distal droit avec impaction de la surface articulaire le 16.02.2019. • Fracture multi-fragmentaire du talus droite sur chute de 6 mètres le 14.02.2019 avec arrachement du sustentaculum tali du calcanéum • Fracture multi-fragmentaire du tiers distal de la clavicule G le 14.10.2018. Coxarthrose modérée bilatérale. Déconditionnement musculaire musculature abducteur à gauche. • Fracture multifragmentaire intra-articulaire avec bascule postérieure du radius distal et arrachement du processus styloïde à G, le 15.02.2019 • Fracture multifragmentaire intra-articulaire déplacée du tiers distal du radius gauche et fracture de l'apophyse styloïde cubitale le 09.02.2019. • Fracture multi-fragmentaire intra-articulaire du radius distal gauche. • Fracture multi-fragmentaire médio-claviculaire gauche. • Fracture multifragmentaire proximale et diaphysaire de l'humérus G le 10.02.2019 • Fracture multipare de P2-D3 gauche, le 23.02.2019. • Fracture multiple du bassin le 04/02/19 • Fracture nasale. Plaie de l'extrémité distale du 5ème doigt de la main droite trans-unguéale le 23.10.2017. • Fracture Neer III de l'humérus droit. • Fracture non déplacée à la base de la 3ème phalange du 5ème doigt gauche. • Fracture non déplacée au niveau de la fusion entre phalange distale et intermédiaire du 5ème orteil gauche le 20.01.2019. • Fracture non déplacée de la base de la première phalange du 3ème doigt de la main gauche sur traumatisme le 03.02.2019. • Fracture non déplacée de la base de la 3ème phalange du 4ème orteil du pied G le 24.02.2019. • Fracture non déplacée de la base du MTC de D5 du membre supérieur gauche le 28.02.2019. • Fracture non déplacée de la clavicule médio-diaphysaire droite le 01.02.2019 • Fracture non déplacée de la malléole interne G, fracture non déplacée de la malléole postérieure G et lésion in situ du processus latéral du talus à G le 12.11.2018. • Fracture non déplacée de la malléole postérieure D le 04.02.2019. • Fracture non déplacée de la malléole postérieure droite. • Fracture non déplacée de la scapula gauche. • Fracture non déplacée de la tête de l'humérus gauche du 26.02.2018. • Fracture non déplacée de l'aileron sacré et de la paroi antérieure de l'acétabulum gauche avec fracture légèrement déplacée de la branche ischio-pubienne. • Fracture non déplacée de l'apophyse transverse gauche de L2 sur traumatisme basithoracique et de l'hypochondre gauche sur une chute de 2,5 mètres. Fracture non déplacée de l'extrémité distale du radius droit. Fracture non déplacée de l'extrémité distale du radius gauche le 04.02.2019. Fracture non déplacée de P2 pouce gauche. Fracture non déplacée du radius distal gauche, extra-articulaire le 06.02.2019. Fracture non déplacée du scaphoïde gauche. Fracture non déplacée du tiers distal de la clavicule droite. Fracture non déplacée du tiers distal de la clavicule D type Neer le 30.11.2018. Fracture non déplacée du tubercule majeur de l'épaule D traitée conservativement. Fracture non déplacée du tubercule majeur de l'humérus gauche avec suspicion de luxation réduite spontanément aux urgences. Fracture non déplacée du tubercule majeur de l'humérus gauche le 03.02.2019. Fracture non déplacée du tubercule majeur épaule D en 2012, traitée conservativement et lésion du tendon du muscle sous-scapulaire. Fracture non déplacée du 5ème métacarpe de la main gauche le 24.02.2019. Fracture non déplacée du 5ème métatarsien droit. Fracture non déplacée olécranienne G le 17.02.2019. Fracture non déplacée radius distal intra-articulaire côté radial. Fracture non déplacée trochiter humérus proximal G du 24.01.2019. Fracture non déplacée de 5ème métacarpe distal D. Fracture non déplacée du tiers distal de la clavicule G type I selon Neer le 08.01.2019. Fracture non déplacée du tubercule majeur D (dominant) le 02.02.2019. Fracture non déplacée du 1/3 latéral de la clavicule gauche. Fracture non déplacée du 5ème métacarpien G le 28.01.2019. Fracture nouvelle de la branche ischio-pubienne gauche sur une ancienne fracture. Fracture oblique de la phalange proximale du 4ème orteil gauche suite à un traumatisme le 27.02.2019. Fracture oblique extra-articulaire de P1 orteil 5 à droite le 24.02.2019. Fracture oblique métaphyse proximale de la première phalange du D1 de la main gauche le 07.02.19. Fracture oblique métaphyse proximale de P1 D1 G le 07.02.19. Fracture occipitale avec phénomène coup contre-coup. Fracture omoplate G non déplacée du 09.02.2019. Fracture os métacarpe V de la main droite avec défaut de rotation du doigt le 03.02.2019. Fracture os propre du nez et fracture lame papyracée ethmoïde au CT du 17.02.2018, déjà connu par le patient. Consommation d'alcool chronique avec plusieurs consultations aux urgences pour éthylisation aiguë. Fracture osseuse du Lisfranc gauche avec fracture des têtes des 2ème, 3ème et 4ème métatarsiens. Fracture ostéochondrale de la rotule D traitée par ostéosynthèse le 24.09.2014. Fracture ostéophytaire D4-D5 longitudinale sur chute le 09.06.2015 • Stabilisation postérieure D3-D6 (cimentage des vis D5,D6) avec système Viper, le 12.06.2015 (HFR Fribourg, Dr. X) Douleur thoracique atypique respiro-dépendante le 26.10.15 Insuffisance rénale légère État grippal probablement viral, le 27.01.2017. Fracture ouverte communicative P1 de D2 main gauche avec lésion du lit de l'ongle le 19.01.2019. Fracture ouverte de la phalange distale de l'annulaire gauche, dans une porte. Fracture ouverte de la phalange distale du pouce droit, le 14.02.19. Fracture ouverte de la phalange distale du pouce gauche en juin 2012. Cure de hernie ombilicale en 1965. Cure de hernie inguinale par Lichtenstein à droite (19.12.2016, Dr. X) Cure de canal carpien (22.11.2018, Dr. X) Pneumonie base D le 18.12.2018 sur probable broncho-aspiration. Fracture ouverte de la phalange distale du 3ème doigt de la main droite, avec arrachement de l'ongle et lésion du lit de l'ongle. Fracture ouverte de la 3ème phalange du 4ème doigt droit, avec lacération du lit de l'ongle. Fracture ouverte de l'os propre du nez avec déviation vers la droite. Fracture ouverte de l'os propre du nez, peu déplacée, ainsi que fracture de l'os vomer peu déplacée, le 12.02.2019. Fracture ouverte de P2 O1 et fracture arrachement de P3 O2, pied droit. Fracture ouverte de P3 Dig IV main G Plaies délabrées de P3 Dig II et Dig III main G (accident du 30.01.2019) Fracture ouverte déplacée 2 os avant bras D. Fracture ouverte du doigt 3 à droite par une agrafe le 28.02.2019. Fracture ouverte du poignet droit (2006). HIV positif, traité. Dépression traitée. Fracture ouverte fémoro-tibiale droite au niveau du moignon d'amputation sous-géniculée droit • Douleurs neurogènes du moignon du membre inférieur • Status post amputation infra-géniculée selon Burgess du membre inférieur le 15.12.2016 sur AOMI • Status post-greffe de Thiersch du moignon du membre inférieur le 27.03.2017 • Révision du moignon du membre inférieur le 28.08.2018. Fracture ouverte Gustillo I de la phalange distale du 4ème doigt gauche avec petit arrachement osseux le 22.11.2015. Fracture ouverte Gustilo II P3 index D et lésion lit ongle le 20.11.2018. Fracture ouverte Gustilo I de la 3ème phalange du 3ème doigt de la main droite avec plaie profonde de la 3ème phalange du 3ème doigt droite, face palmaire. Fracture ouverte Gustilo I du tiers distal du radius et de l'ulna gauche le 22.02.2019. Fracture ouverte Gustilo I phalange distale index G le 24.09.2011. Fracture diaphysaire tibia/péroné jambe D avec syndrome des loges; accident le 02.02.2017. Fasciotomies des loges jambe D. Réduction ouverte et OS tibia D par clou Expert. (OP le 02.02.2017) Fermeture des fasciotomies des loges jambe D (OP le 08.02.2017). Fracture ouverte multifragmentaire de la 3ème phalange du majeur gauche le 18.02.2019. Fracture ouverte phalange distale de D4 gauche. Fracture ouverte P3D3 main D • Révision plaie et ostéosynthèse par embrochage (OP 05.08.2014). Fracture par compression latérale du bassin avec atteinte des branches ilio et ischio-pubiennes G, le 27.01.2019. Fracture par enfoncement de la surface articulaire de la base de P3 D3 à G le 14.12.2018. Fracture par enfoncement de la surface articulaire de la base de P3 D3 à G le 14.12.2018 avec lésion du collatéral radial de l'IPD. Fracture per trochantérienne hanche D. Fracture péri-prothétique acétabulaire, fracture en T ou transverse avec mur postérieur plurifragmentaire sur ostéolyse préalable en regard de la cupule, hanche D, le 10.02.2019. • Status post implantation PTH D en 1999 (Dr. X, CHUV) sur nécrose tête fémorale post traumatisme datant de 1986. Fracture péri-prothétique du genou G le 09.12.2018 sur chute et traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque LISS 13 trous, le 11.12.2018. Fracture périprothétique type Vancouver B2 fémur proximal droit suite à une chute le 08.12.2018 • Status post prothèses totales de hanches bilatérales en 2000 (à gauche) et 2002 (à droite). Fracture péri-prothétique type Vancouver B2 sur status post-PTH gauche en 2006. Fracture péri-prothétique Vancouver C diaphysaire distale du fémur gauche sur chute mécanique le 19.02.2019. Status post-fracture péri-prothétique de la hanche gauche type Vancouver B1 traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque NBC le 17.09.2014 (Dr. X). Fracture pertrochantérienne D. Fracture pertrochantérienne D, le 24.01.2019. Fracture pertrochantérienne D type Kyle II le 21.01.2019. Fracture pertrochantérienne droite (Kyle 2) sur chute, le 21.01.2019 traitée par PFNA fémur droit le 23.01.2019. Actuellement : hématome hyperalgique péri-prothétique non infecté mesurant 34 x 15 x 36 mm.Fracture pertrochantérienne droite (Kyle 2) sur chute le 21.01.2019 traitée par PFNA le 23.01.2019. Fracture pertrochantérienne du fémur D le 07.02.2019 sur une chute mécanique. Fracture pertrochantérienne du fémur D traitée par clou Gamma long le 04.02.2019. Fracture pertrochantérienne du fémur droit. Fracture pertrochantérienne du fémur gauche. Fracture pertrochantérienne du fémur proximal gauche avec important fracas du grand trochanter en trois sur le plan longitudinal le 24.01.2019. Fracture pertrochantérienne et sub-trochantérienne du fémur gauche le 10.02.2019. Fracture pertrochantérienne G traitée par ORIF par PFNA et cerclage le 27.12.2018. Fracture pertrochantérienne gauche Kyle II le 03.12.2018 traitée par réduction fermée et ostéosynthèse par enclouage centromédullaire Gamma III le 04.12.2018. Fracture pertrochantérienne reverse à gauche sur chute d'origine mécanique le 04.01.2019, avec: • s/p réduction ouverte et ostéosynthèse par clou gamma du fémur proximal le 06.01.2019 • anémie normochrome normocytaire postopératoire avec administration de 2 CE le 07.01.2019 Fracture pertrochantérienne type Kyle I à D le 23.01.2019. Fracture pertrochantérienne type Kyle II à D le 26.01.2019. Fracture pertrochantérienne type Kyle III à D le 09.02.2019. Fracture peu déplacée de la grande tubérosité de l'épaule droite. Fracture peu déplacée de la partie supérieure du corps du sternum. Fracture peu déplacée de la tête fémorale droite sur chute le 02.02.2019 : • Rx Bassin face et hanche axiale ddc : voir diagnostic principal Fracture peu déplacée du coccyx sur traumatisme du 02.02.2019. Fracture peu déplacée du radius distal et de la styloïde ulnaire. Fracture peu déplacée du tibia diaphysaire à G le 17.02.2019. Fracture peu déplacée du tiers moyen de la clavicule D sur traumatisme le 20.01.2019. Fracture peu déplacée du tiers moyen de la clavicule gauche. Fracture peu déplacée extra-articulaire radius distal gauche du 13.02.2019. Fracture phalange distale D1 main droite avec contusion et hématome sous-unguéal. Fracture phalange distale D1 main droite avec contusion et hématome sous-unguéal le 18.02.2019. Fracture phalange distale pouce main gauche. Fracture phalange distale pouce main gauche Cholécystectomie. Fracture pied droit il y a 10 ans. Fracture pied gauche 17.11.2015. Fracture plurifragmentaire de la diaphyse distale de l'humérus G avec : • Status post réduction ouverte ostéosynthèse par plaque LCP 3.5 humérus extra-articulaire, 10 trous et 2 vis libres 2.7 le 04.09.2018. Fracture plurifragmentaire humérus proximal D le 01.12.2018 (avec 3 fragments). Fracture plurifragmentaire humérus proximal droit sur chute à ski le 18.02.2019. Fracture pluri-fragmentaire intra-articulaire non-déplacée de la tête de P2 D3 à G le 29.01.2019. Fracture pluri-fragmentaire intra-articulaire non-déplacée de P2 O1 pied G le 10.02.2019. Fracture plurifragmentaire 4 parts humérus proximal D le 27.03.2017. Fracture pluri-fragmentée de la tête radial gauche le 26.01.2019. Fracture poignet G Fracture clavicule G Entorse genou G stade I Luxation rotule D avec réduction spontanée. Fracture polaire distale du scaphoïde gauche selon Weber. Fracture du processus styloïde radial gauche non déplacée. Fracture possiblement ouverte des os propres du nez le 07.02.2019. Fracture postérieure du triquetrum avec fragment postérieur le 05.02.2019. Fracture Pouteau-Colles poignet gauche dans le contexte d'une chute mécanique le 27.02.2019. Fracture PP O5 pied droit le 10.04.2016. Plaie sur pénétration clou plantaire gauche entre 2e et 3e rayon gauche. Fracture probablement subaiguë de la tubérosité ischio-pubienne gauche. Fracture proximale du 2ème métacarpe de la main gauche, non déplacée, non intra-articulaire. Fracture pseudo Jones de la base du 5ème métatarsien gauche déplacée. Fracture pseudo jones gauche. Fracture pseudo jones pied droit. Fracture pseudo-Jones de la base du 5ème métatarse droit. Fracture Pseudo-Jones du pied D le 12.02.2019. Fracture P1D5 droite déplacée • op prévue le 11.01.2019 par le Dr. X. Fracture radio distal droit pas déplacée, extra-articulaire le 29.12.2018. Fracture radius distal avec déplacement dorsal d'environ 20°. Fracture radius distal D non déplacée 06.04.2013. Fracture radius distal D, traitée conservativement avec plâtre AB fendu le 24.07.2018. Fracture radius distal droit non déplacé 06.04.13 Plâtre AB fendu Contrôle policlinique dans une semaine. Fracture radius distal poignet gauche le 06.02.2019. Fracture rayon Lisfranc G avec fracture de la base des métatarsiens 1-2-3-4 le 14.02.2019. Fracture Salter Harris de type 3 du tibia distal droit. Fracture Salter Harris I de la tête du 3ème métacarpe à droite le 18.12.2018. Fracture Salter Harris I de l'extrémité distale du radius avec luxation postérieure de l'épiphyse et fracture de la styloïde ulnaire G le 26.12.18. Fracture Salter Harris II base de P1 D5 à D. Fracture Salter Harris II de la base de la phalange proximale du 5ème doigt à D. Fracture Salter Harris II de la malléole externe le 04.02.2019. Fracture Salter Harris II de P1 D5 à gauche le 31.10.2018. Fracture Salter Harris II radius distal G. Fracture Salter I malléole externe D le 21.01.2019. Fracture Salter II de la base de P2 D5 à G le 17.12.2018. Fracture Salter II de P1, D1 à gauche le 20.12.2018. Fracture Salter II du radius distal G type motte de beurre. Fracture Salter II humérus proximal droit. Fracture Salter II In Situ du radius distal G non déplacée. Fracture Salter II P1 dig. I D le 15.01.2019. Fracture Salter II P1 D5 main D. Fracture Salter II P1 D5 main G. Fracture Salter II P2 D5 G. Fracture Salter II radius distal G. Fracture Salter 2 P1 D4 main gauche le 26.02.2019. Fracture Salter 3 de la phalange distale du pouce gauche. Fracture Salter-Harris type 2 de la base du 5ème métacarpe à droite. Fracture scaphoïde gauche, Herbert II. Avis orthopédique Dr. X : immobilisation par plâtre scaphoïde. Antalgie. Consultation au Team membre supérieur le 23.01.2019. Fracture Schatzker VI avec arrachement des massifs des épines tibiales, plateau tibial droit. Fracture SH2 du premier métatarse droit non déplacée. Fracture sous capitale de l'humérus droit le 26.09.2018 : traitement conservateur. Fracture sous capitale de l'humérus G impactée du 08.02.2019. Fracture sous capitale de l'humérus G le 08.02.2019. Fracture sous capitale de l'humérus gauche avec déplacement médial le 08.02.2019. • patient droitier. Fracture sous capitale de l'humérus gauche déplacée sur chute, le 13.01.2019 traitée par ORIF par plaque PHILOS avec ténotomie/ténodèse du LCB le 15.01.2019. Fracture sous capitale de l'humérus non déplacée 10.2012. Entorse du Chopard avec suspicion fracture in situ du calcanéum 10.2012. Suspicion d'entorse du Chopard gauche. Fracture sous capitale du 1er métacarpien de la main G. Fracture sous capitale du 5ème métacarpe de la main D le 09.02.2019. Fracture sous capitale humérus gauche non déplacée le 08.02.2019. Fracture sous-capital du 5ème métacarpe D avec extension intra-articulaire. Traitement : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Aptus Hand 1.5. Fracture sous-capital du 5ème métacarpe de la main D le 17.02.2019. Fracture sous-capital du 5ème métacarpien G (non dominant) avec une angulation de 40° le 11.02.2019.Fracture sous-capital métacarpe 5 de la main droite le 10.02.2019. Fracture sous-capitale avec bascule < 50° de l'humérus D le 22.01.2019. Fracture sous-capitale de l'épaule G avec une bascule postérieure de 30°. Fracture sous-capitale de l'humérus droit. Fracture sous-capitale de l'humérus droit le 26.01.2019. Fracture sous-capitale de l'humérus droit le 26.02.2019. Fracture sous-capitale de l'humérus proximal G type Neer IV le 08.02.2019. Fracture sous-capitale déplacée de l'humérus droit le 15.02.2019. Fracture sous-capitale déplacée de l'humérus droit suite à une chute à ski le 15.02.2019. Fracture sous-capitale déplacée de l'humérus proximal droit. Fracture sous-capitale, déplacée, humérus G, le 13.01.2019. Fracture sous-capitale du 3ème et 4ème métatarse du pied droit le 14.02.2019. Fracture sous-capitale du 5ème métacarpe D avec bascule antérieure de 40° le 24.12.2018. Fracture sous-capitale du 5ème métacarpien avec légère angulation de 15 à 20° sans dérotation. Fracture sous-capitale du 5ème métacarpien G avec bascule antérieure de 40°. Fracture sous-capitale du 5ème métacarpien G (non dominant) le 11.02.2019. Fracture sous-capitale multi-fragmentaire non déplacée de l'humérus G le 19.01.2019. Fracture sous-capitale peu déplacée de l'humérus gauche. Fracture sous-capitale peu déplacée du 5ème métacarpien gauche, le 11.02.2019. Fracture sous-capitale 5ème métacarpien main droite avec bascule 30°. Fracture sous-trochantérienne à G le 29.01.2019. Fracture sous-trochantérienne du fémur G le 03.01.2019 sur chute mécanique, traitée par réduction ouverte, stabilisation par 2 cerclages Dall-Miles et ostéosynthèse par clou Gamma long le 05.01.2019. Fracture spiroïde de la base du deuxième métatarsien du pied D avec lésion du Lisfranc. Fracture spiroïde de la diaphyse et métaphyse distale tibiale sans déplacement (<1°). Fracture spiroïde de la diaphyse tibiale et fracture de la diaphyse proximale du péroné jambe G, type AO 42-A1), le 18.01.2019. • Trouble de la sensibilité dans le territoire du nerf péronier profond post-traumatisme. • Status post plastie des ligaments croisés genou G en 1991. Fracture spiroïde de la métaphyse distale tibiale D le 06.02.2019. Fracture spiroïde diaphysaire de fémur à Droit. Fracture spiroïde diaphysaire du tibia gauche le 01.01.2019. Fracture spiroïde diaphysaire du 4ème métacarpe de la main G le 14.02.2019. Fracture spiroïde diaphysaire du 4ème métacarpe de la main gauche le 14.02.2019. Fracture spiroïde diaphyse tibia G le 20.01.2019. Fracture spiroïde du tibia à G le 12.01.2019. Fracture spiroïde du tibia droit le 13.02.2018 avec rotation externe de 10°. Fracture spiroïde du tibia G non déplacée le 20.01.2019. Fracture spiroïde du tiers distal du tibia, sans atteinte de la métaphyse. Fracture spiroïde du tiers moyen diaphysaire du tibia G et fracture proximale du péroné type AO 41.A1 le 17.02.2019. Fracture spiroïde du tiers moyen du tibia D le 04.01.2019. Fracture spiroïde du tiers moyen du tibia droit avec rupture partielle ligament collatéral externe cheville droite. Fracture spiroïde longue, diaphysaire, extra-articulaire du 5ème métatarse du pied gauche. Fracture styloïde cubitus main droite et petite fracture radius distal main droite le 01.12.2018. Fracture styloïde radiale gauche non déplacée. Fracture supra-condylienne de l'humérus distal gauche avec déplacement postérieur sur une chute en luge le 22.01.2019. Fracture supracondylienne déplacée coude G. Fracture supracondylienne humérus G, déplacée le 03.02.2019. Fracture supracondylienne in situ coude gauche le 27.02.2019. Fracture tassement de D4. Fracture tassement L1. Status post vertébroplastie L5 le 17.01.2018. Status post vertébroplastie D12 et L2 le 19.03.2018. Cyphoplastie L1 le 19.03.2018. Fracture tassement T12 non datée. Fracture tassement T12 non déplacée. Ostéoporose. Fracture tear drop coin antéro-inférieur du corps vertébral de C3, le 18.01.2019. • Uncodiscarthrose cervicale étagée, en particulier de C6-C7 avec débord discal postérieur. Fracture tear drop C5 avec fracture de la lame C5 D avec traitement conservateur en mars 2013. Dermo-hypodermite de la joue gauche en mars 2012. Panaris doigt III main gauche. Contusion 2ème orteil gauche le 29.08.2018. Fracture tête du péroné D le 14.02.2019. Fracture tête du péroné droit le 14.02.2019. Fracture tibia et péroné droit le 07.02.2019. Fracture tibiale proximale droite. Fracture tibiale proximale droite. Fracture tibia-péroné D multi-fragmentée le 13.02.2019. Fracture tibia/péroné et malléole postérieure jambe D, le 30.01.2019. Fracture tibia/péroné et malléole postérieure jambe droite le 30.01.2019. Fracture tibia/péroné jambe D avec composante spiroïde multifragmentaire du tibia, type AO 42-C1; le 07.02.2019. Fracture tibia-péroné D. Fracture tibio-fibulaire droite sur chute de sa hauteur le 02.02.2019. Fracture tibiopéroné jambe droite le 16.02.2019. • diaphyse proximale péroné. • métaphyse distale tibia. Fracture tiers moyen clavicule droite. Fracture tiers moyen clavicule droite 17.11.2018. Fracture tiers moyen clavicule gauche, sans atteinte cutanée. Fracture tiers moyen de la clavicule D. Fracture Salter-Harris II phalange proximale doigt 5 à D le 18.01.2019. Fracture tiers moyen de la clavicule droite sans déplacement. Fracture tiers moyen radius/cubitus D type AO 22-D5.1, le 07.02.2019. Fracture tiers-moyen clavicule droite avec raccourcissement d'environ 4 mm. Fracture tiers-moyen de la clavicule D non déplacée le 01.02.2019. Fracture trans-condylienne de l'humérus distal non déplacée à droite 07/2013. Mise en place d'un plâtre BAB puis contrôle radio-clinique en orthopédie le 02.08.2013 pour confection d'un plâtre fendu circulaire. Fracture transcondylienne humérus D avec bascule postérieure avec traumatisme crânien simple le 22.02.2018. Fracture transverse de l'épiphyse distale de la phalange distale du pouce droit sans déplacement. Fracture transverse du pôle inférieur de la rotule du genou gauche le 12.06.2015. Migraine avec aura inaugurale DD : AVC/AIT le 01.12.2018. Alcoolisation aiguë à 2.44 pour mille le 01.12.2018. Fracture transverse non déplacée à la jonction S4-S5 du sacrum suite à une chute survenue le 22.01.2019. Fracture transverse non déplacée du tiers moyen de la clavicule. Fracture transverse non déplacée du tiers moyen de la clavicule à D. Fracture transverse S4 gauche et S5 à droite. Fracture tri-malléolaire cheville D avec arrachement du tubercule Tillaux-Chaput, le 02.02.2019. Fracture trimalléolaire cheville D type AO 43-B2, le 05.02.2019. Fracture tri-malléolaire de la cheville droite Weber B avec déplacement latéral. Fracture trimalléolaire type Weber B cheville D type AO 43-B2, le 05.02.2019. Fracture triquétrum de la main gauche. Fracture tubercule majeur à droite le 14.02.2019. Fracture tubercule majeur épaule G le 20.01.2019. Fracture type Garden IV col fémur G; le 01.08.2018. Implantation prothèse céphalique bipolaire hanche G (OP le 03.08.2018). Insuffisance rénale aiguë le 01.08.2018 : • avec créatinine à 174 mcmol/l. Hydratation. Suivi biologique. Anémie postopératoire avec Hb à 74 g/l le 06.08.2018. Transfusion de 2 CE le 06.08.2018. Crise tonico-clonique inaugurale d'origine indéterminée le 01.08.2018. Suivi clinique. Pas d'investigations supplémentaires au vu de l'âge et le contexte médical de la patiente. Désorientation spacio-temporelle DD état confusionnel hypoactif DD contexte de maladie Alzheimer. Surveillance clinique. Fracture type Jones de la base du 5ème métatarse à D le 25.11.2018.Fracture type Jones non déplacée du 5ème métatarsien du pied droit le 22.07.2017. Suture des tendons extenseurs de la face dorsale du poignet gauche avec multiples lésions tendineuses et arthrotomie traumatique médio-carpienne le 27.06.2015. Cure d'hémorroïdes selon Longo pour prolapsus hémorroïdaire persistant avec hématochézie le 16.07.2010. Cure d'hernie fémorale gauche. Douleur pariétale thoracique le 17.04.2018. Récidive de douleurs abdominales hyperalgiques d'origine indéterminée le 20.09.2018. DD addiction médicamenteuse aux antalgiques opiacés, autre maladie intestinale chronique (coeliaquie, IBD, allergie alimentaire). Fracture type motte de beurre du radius G le 18.02.2019. Fracture type Pseudo Jones du 5ème métatarsien G le 03.02.2019. Fracture type pseudo Jones du 5ème métatarsien gauche le 03.02.2019. Fracture type Weber B de la cheville G avec fragment de Chaput, type AO 44.B1, le 22.01.2019. Fracture type Winterstein base premier métacarpien droit. Fracture type Winterstein base premier métacarpien droit. Réaction allergique avec urticaire le 22.05.2017. Fracture Waeber B de la cheville droite sur chute le 03.02.2019. Fracture Weber A de la cheville gauche. Fracture Weber A de la cheville gauche non déplacée. Fracture Weber A de la malléole externe de la cheville gauche le 14.02.2019. Fracture Weber A non déplacée de la cheville G. Fracture Weber B à gauche. Fracture Weber B cheville droite. Fracture Weber B cheville G le 18.02.2019. Fracture Weber B cheville gauche le 04.01.2019. Fracture Weber B cheville gauche le 04.02.2019. Fracture Weber B de la cheville à G le 07.01.2019. Fracture Weber B de la cheville droite sur chute le 03.02.2019. Fracture Weber B de la cheville G le 11.01.2019. Fracture Weber B de la cheville G, le 18.01.2019. Fracture Weber B de la cheville G traitée conservativement du 04.02.2019. Fracture de l'extrémité distale du radius G extra-articulaire avec traitement conservateur le 04.02.2019. Fracture Weber B de la cheville gauche. Fracture Weber B de la cheville gauche non déplacée. Fracture Weber B de la fibula distale gauche. Fracture Weber B de la malléole externe, cheville droite sur traumatisme du 15.02.2019. Fracture Weber B de la malléole externe, cheville gauche. Fracture Weber B le 01.02.2019. Fracture Weber B non déplacée cheville droite. Contusion cervicale suite à une agression physique le 10.03.18. Fracture Weber B non déplacée de la malléole interne gauche. Fracture Weber B stable droite le 16.02.2019. Fracture Weber B trimalléolaire cheville droite. Fracture Wedge diaphysaire distale du tibia D associée à une fracture diaphysaire du péronier D le 13.02.2019. Fracture 3 parts de la tête humérale droite. Fracture 3 parts de l'humérus proximal droit le 04.02.2019. Fracture 3 parts humérus proximal D le 01.12.2019. Fracture 3 parts selon Neer humérus proximal D le 30.12.2018. Fracture 3ème phalange 5ème doigt G. Dorsalgie non traumatique non déficitaire d'origine musculaire. Plaie nette face dorsale de D2 droit en zone III. Rappel vaccination anti-tétanos. Désinfection, anesthésie locale à la Rapidocaine et exploration de la plaie permettant de voir la bandelette centrale, qui est intacte, rinçage abondant au NaCl et suture par 3 points d'Ethilon 4-0. Pansement Adaptic. Dose unique d'antibiothérapie IV par Co-amoxicilline 2,2 g aux urgences. Contrôle clinique à 48 h chez le médecin traitant. Ablation des fils de suture à 14 jours à la consultation du médecin traitant. Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve. Consultation aux urgences en cas d'apparition de signes inflammatoires locaux ou de douleurs. Fracture 3ème phalange 5ème doigt G. Dorsalgie non traumatique non déficitaire d'origine musculaire. Plaie nette face dorsale de D2 droit en zone III. Rappel vaccination anti-tétanos. Désinfection, anesthésie locale à la Rapidocaine et exploration de la plaie permettant de voir la bandelette centrale, qui est intacte, rinçage abondant au NaCl et suture par 3 points d'Ethilon 4-0. Pansement Adaptic. Dose unique d'antibiothérapie IV par Co-amoxicilline 2,2 g aux urgences. Contrôle clinique à 48 h chez le médecin traitant. Ablation des fils de suture à 14 jours à la consultation du médecin traitant. Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve. Consultation aux urgences en cas d'apparition de signes inflammatoires locaux ou de douleurs. Fracture 4 parts selon Neer, déplacée, de l'humérus proximal D selon Neer le 23.01.2019. Fracture 4 parts selon Neer de l'humérus proximal gauche. Fracture-arrachement du processus styloïde du radius gauche suite à une chute le 27.02.2019. Fracture-arrachement du triquetrum à D datée du 09.02.2019. Fracture-arrachement talus G. Entorse sévère cheville G. Fracture-enfoncement plateau tibial externe, jambe D; accident du 10.03.2015. Réduction ouverte, ostéosynthèse plateau tibial externe D par plaque 2,4 mm, greffe osseuse autologue. (OP le 19.03.2015). Fracture-impaction du plateau tibial externe postéro-latéral avec entorse LCP et fracture in situ du massif des épines; le 26.01.2019. Fracture-impaction du plateau tibial latéral avec marche d'escalier de maximum 2,5 mm et déplacement minime des fragments. Fracture-luxation bimalléolaire Weber B de la cheville droite. Fracture-luxation bimalléolaire Weber B de la cheville gauche. Fracture-luxation de la cheville gauche : Weber C pour le péroné, malléole interne et malléole postérieure. Fracture-luxation de la malléole externe Weber B, cheville droite. Fracture-luxation postérieure coude G le 22.06.2016. Fracture tête métatarse V du pied droit en 2018. Fracture-luxation trimalléolaire de la cheville droite le 05.02.2019 avec: • fracture type Weber B malléole externe • fracture du Volkmann non déplacée • lésion du ligament deltoïde. Fracture/luxation trimalléolaire droite le 13.02.2019. Fracture-luxation trimalléolaire type Weber B cheville D, le 22.01.2019. Fracture-luxation type Weber C cheville G, le 08.02.2019. Fractures bilatérales traumatiques du Lisfranc • Avec arrachement osseux bilatéral multiple, cf. rapport CT. Fractures costales à gauche compliquées d'un épanchement pleural de faible abondance, le 12.02.19. Fractures costales droite multiples • Sur chute à faible cinétique le 06.11.2018 • Traitement conservateur. Fractures costales étagées de la 3ème à la 9ème côte gauche latéralement. Fractures costales gauches compliquées d'un épanchement pleural de faible abondance le 12.02.19. Fractures costales post traumatiques. Fractures costales 5-6 droites asymptomatiques (Rx thorax du 26.01.2019). Cancer du sigmoïde stade T4 avec envahissement de la vessie • hémicolectomie gauche avec anastomose termino-terminale, résection partielle de la vessie et cholécystectomie (31.05.2005, Dr. X, HFR Fribourg). Fractures costales 7 à 9 G le 27.10.2017 avec emphysème cutané et minime pneumothorax. Pyélonéphrite obstructive droite à E. Coli sur calcul urétéral distal avec IRA post-rénale traitée par pose de sonde double en avril 2011. PTG D en 2010 (Dr. X). Abcès hépatique en 2005 traité conservativement.Diverticulites à répétition Cure de rectocèle en 1985 (Dr. X, CHUV) Hystérectomie en 1980 Cure d'hallux valgus en 1960 Appendicectomie en 1939. Fractures de multiples côtes d'âge hétérogène avec fracture récente à gauche atraumatique le 28.02.2019. Fractures déplacées des arcs moyens des 2ème, 3ème, 4ème et 5ème côtes droites avec emphysème des parties molles. Fractures des arcs postérieurs des côtes 3, 4 et 5 gauches le 26.12.2018. Fractures des deux pieds le 26.07.2018 avec : • Pied gauche : fracture métatarsienne IV distale, non déplacée • Pied droit : entorse cheville avec fracture-arrachement talo-calcanéen • Traitement conservateur • Suivi par Dr. X à la Clinique Générale. Fractures du bassin le 31.12.2018 sur chute avec : • Fracture de la branche ilio-pubienne droite • Fracture de la branche ischio-pubienne droite • Fracture de l'aileron sacré droit. Fractures multiples des membres. Fracture de la clavicule droite le 21.06.2015. Fractures ulnaires proximales bilatérales le 26.02.2019. Fracture-tassement de L1, AO A1, sans atteinte du mur postérieur. Fracture-tassement de L2 sur traumatisme le 20.12.2018 dans un contexte probable d'ostéoporose. Fracture-tassement de L4 avec perte d'hauteur d'environ 30% sur : • prise chronique de corticostéroïdes dans le contexte d'une maladie de Crohn • Mme. Y en période de ménopause sans diagnostic d'ostéoporose encore établi. Fracture-tassement D8 le 10.02.2019. Fractures multiples. FRC : Hypertension artérielle traitée, anamnèse familiale positive Maladie de l'oreillette avec : • thermo-ablation et pose de pacemaker DDDR 12/2005 (CHUV) sur bradycardie avec insuffisance cardiaque globale • arrêt sinusal de 4.025 sec au Holter de 12/2005 • excision d'un lipome de l'oreillette par thoracotomie en 2004 • décompensation cardiaque gauche 10/2006 • anticoagulation thérapeutique avec Sintrom pour FA intermittente. Changement du boîtier du pacemaker avec contrôle le 21.08.2014 (Dr. X). Contrôle de la plaie et ablation des fils à 10 jours chez le médecin traitant. Contrôle de pacemaker à 2 mois. FRCV : • Hypertension artérielle • Hypercholestérolémie • Tabagisme ancien à 30 UPA (stoppé il y a 20 ans) HBP et rétention chronique du rein D due à un problème de la jonction pyélo-urétrale le 21.03.2013 • Clearance de la créatinine estimée à 57 ml/min le 21.03.2013. Hernie abdominale sur cicatrice, asymptomatique. FRCV : • âge • HTA • diabète de type 2 non insulino-requérant (suivi par Dr. X) • dyslipidémie traitée • surpoids (BMI à 29 kg/m2). FRCV : diabète de type 2 insulino-requérant, HTA Parésie MID sur séquelle de poliomyélite. Polymyalgie (notion dans nos actes). FRCV : HTA, dyslipidémie, diabète insulino-requérant et sous ADO, obésité de stade 1, anamnèse familiale positive, OH occasionnel, ancien tabagisme Sinusite chronique Hernie hiatale avec RGO Prostatisme sur hyperplasie bénigne de la prostate Hypovitaminose B12 en juin 2018 Syndrome des yeux secs. FRCV : HTA, dyslipidémie, diabète non insulino-requérant, obésité Goutte OH chronique. Suspicion d'un anévrisme de l'artère poplitée. FRCV : • Hypertension artérielle traitée • Diabète de type II insulino-requérant traité • Hypercholestérolémie (notion d'intolérance à l'Atorvastatine (myalgies)) traitée • Hyperuricémie traitée (urée 377 mmol/l 2018) • Suspicion de syndrome d'apnées du sommeil (Polygraphie nocturne du 04.07.2018 (AHI 43.0) • Ancien tabagisme stoppé en 2015 (46 UPA) • Voir ATCD. FRCV : tabagisme actif. FRCV : • tabagisme actif • hypertension artérielle • obésité (BMI 33 kg/m2) • anamnèse familiale positive. Insuffisance artérielle des membres inférieurs avec : • dilatation des artères fémorales superficielles droite en 2009 • angioplastie de la fémorale superficielle et thrombolyse à gauche en 2009. Maladie coronarienne des 3 vaisseaux : • occlusion chronique de l'artère interventriculaire antérieure moyenne (depuis 2008) • bon résultat à moyen terme après stenting/in-stent stenting de l'ACD en mai 2017 • bon résultat à long terme après stenting de la RCx proximale • fonction systolique du ventricule gauche effondrée avec dyskinésie apicale. Coronarographie le 10.08.2017 : vaisseaux perméables, FEVG 18%. Mme. Y incluse dans la Cobra Study avec : • Aspirine jusqu'en novembre 2017 • Clopidogrel 75 mg/j jusqu'en mai 2018 • Acénocoumarol à vie au raison de l'anévrisme apical. FRCV : Hérédité, dyslipidémie, ancien tabagisme. FRCV : • HTA. • Hypercholestérolémie. • Surcharge pondérale. • Ancien tabagisme. FRCV : Hypercholestérolémie, tabagisme actif à 8 UPA, surcharge pondérale. FRCV : Hypercholestérolémie (traitée par des plantes), tabagisme actif à 8 UPA, surcharge pondérale. FRCV : • Hypertension artérielle. • Dyslipidémie. FRCV : • hypertension artérielle traitée sous quadri-thérapie, mal contrôlée, avec complications vasculaires documentées • diabète type 2, non-insulinodépendant, mal contrôlé • hypercholestérolémie traitée • ancienne obésité morbide • tabagisme actif 50 UPA. QTc long à 510 ms le 22.12.2018, avec : • présence sur ECG datant de 2012 • ECG le 14.01.2019 : QTc 438 ms. Anémie normochrome normocytaire. FRCV : Tabagisme à 40 UPA (stop 01.11.2018). AF négative (père décédé AVC à 75 ans, mère décédée d'IM à 84 ans). OH : 1 verre/jour. Cardiopathie ischémique avec : STEMI antéro-latéral sur occlusion thrombotique de l'interventriculaire antérieure moyenne le 01.11.2018 avec coronarographie réalisée à Fribourg par Dr. X le 01.11.2018 avec : • thrombo-aspiration, dilatation et mise en place de 2 stents de l'IVA moyenne • pic des CK à 6653 U/l • FEVG 45%, akinésie apicale. Polykystose rénale bilatérale suivie par son médecin traitant. Polype du colon sigmoïde de 1 cm. Frecaclyss aux urgences. Movicol Junior selon le schéma de désimpaction. Freka Clyss le 09.02.2019. Laxoberon 7.5 mg 1x/j. Movicol 1x/j. Frekaclyss x2. Antalgiques. Rx abdominale. Consignes de surveillance à domicile. Augmentation de la dose du Movicol. Frekaclyss. Hydratation parentérale. Arrêt de Tramal. Proposition de dosage de la TSH en ambulatoire. Frekka-clys. Movicol en réserve. Frère avec angine à Strepto + Frissons Frissons et EF à 48h d'antibiothérapie le 31.01.2019 • sans augmentation de la rougeur pré-tibiale droite Frissons solennels et état fébrile d'origine indéterminée le 06.04.2014 Hypokaliémie à 2.4mmol/l sur diurétiques le 06.04.2014 Ulcère gastrique en 1953 traité conservativement Frotis rectal positif Isolement Frotti gorge: influenza A + traitement symptomatique Frottis anal et aisselles Isolement de contact Frottis avec Strepto-test rapide : négatif. Frottis bacterio et champignons Frottis chlamydia et gonnocoques A pister Frottis bacterio et champignons Frottis chlamydia et gonnocoques Fucidine locale Co-amoxicilline 50mg/kg/j Contrôle le 20.02 pour avis chirurgical Frottis coqueluche Frottis coqueluche en cours Rinçage de nez au besoin Contrôle chez pédiatre à 24 heures Reconsultation si péjoration Frottis grippe : négatifs Ag urinaires (légionnelles et pneumocoques) absents Hémocs du 05.02.2019 : négatives Aérosols d'Atrovent et Ventolin d'office et en réserve si dyspnée Solumédrol le 05.02.2019 puis Prednisone du 06.02 au 09.02.2019 Ceftriaxone du 05.02 au 11.02.2019 Clarithromycine du 05.02 au 06.02.2019 Ag légionnelle et pneumocoque négatif Vaccin grippe effectué : négatif pour Influenza A et B Frottis grippe : négatif Sédiment urinaire : propre Frottis grippe du 20.02. revient négatif le 21.02.2019 Frottis grippe: en cours --> revient positif pour Influenza A en fin de journée, parents prévenus Frottis grippe: en cours Consignes usuelles déshydratation Contrôle dans 48h chez pédiatre Fébrifuge Frottis grippe en cours --> revient positif pour Influenza A en fin de journée, parents prévenus Consignes usuelles déshydratation Consignes usuelles boutons de fièvre Contrôle dans 48 heures chez pédiatre Frottis grippe en cours Absence de signes de déshydratation aux urgences et prise hydrique adéquate lors de la surveillance Frottis grippe: en cours FSC, CRP, VS, fonction rénale, CK Stix/sédiment urinaire Antalgie en systématique par paracétamol durant 48h et suivi par pédiatre Frottis grippe: en cours FSC: pas de leucocytose ni thrombocytose, répartition en ordre CRP: légèrement augmentée à 29 mg/l VS: légèrement augmentée à 34 mm/h Na, K, urée, créat: potassium limite basse à 3.3 mM, fonction rénale alignée CK: dans la norme Stix/sédiment urinaire: pas d'hémoglobinurie ni d'érythrocytes Frottis grippe et RSV négatifs, antigènes urinaires négatifs aspiration bronchique le 11.02.2019: Pseudomonas aeruginosa Clarithromycine le 06.02.2019 Co-Amoxicilline du 06.02 au 12.02.2019 Prednisone du 06.02 au 12.02.2019 VNI du 10.02.2019 au 11.02.2019 Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 11.02.2019 au 13.02.2019 Bronchoscopie le 11.02.2019 avec aspirations bronchiques positives pour P.aeruginosa Cathéter artériel radial droit du 10.02 au 15.02.2019 Frottis grippe: négatif mais RSV positif Frottis grippe: négatif mais RSV positif Ventolin 4 pushs puis selon schéma Consignes usuelles détresse respiratoire Contrôle dans 24 heures chez pédiatre Frottis grippe négatif Antigènes légionelle et pneumocoque négatifs Cathéter artériel radial gauche du 17.02.2019 au 18.02.2019 VNI du 17.02.2019 au 18.02.2019 TNT du 17.02.2019 au 18.02.2019 Furosémide à partir du 17.02.2019 Klacid du 17.02.2019 au 18.02.2019 Tamiflu du 17.02.2019 au 18.02.2019 Rocéphine à partir du 17.02.2019 Frottis grippe (positif). Isolement gouttelettes pour 5 jours. Traitement par Tamiflu 2 x 75 mg/jour du 19 au 20.02.2019, puis Tamiflu 30 mg/jour du 20 au 24.02.2019. Frottis grippe (vu état fébrile de 6 jours): en cours Frottis grippe (vu symptomatologie évoluant depuis > 1 semaine): en cours Frottis grippe Consignes usuelles déshydratation Frottis Influenza Frottis influenza Frottis influenza Frottis influenza : + pour influenza A Frottis MRSA le 21.01.2019 : présence dans les narines, absence dans plis inguinaux et aisselles Avis UPCI : isolement de contact pendant toute la durée de l'hospitalisation Frottis mycoplasme en cours Frottis mycoplasme pneumoniae : positif le 04.02. Frottis nasale 04.02.2019 : RSV positif Ventilation non-invasive du 03.02 au 06.02.2019 Intubation oro-trachéale (CK 1) avec ventilation mécanique du 05.02 au 06.02.2019 Prednisone du 03.02 au 05.02.2019 Pipéracilline/tazobactam du 03.02 au 06.02.19 Adaptation du traitement bronchodilatateur Suivi pneumologique par le Dr. X Réadaptation respiratoire à Billens dès le 19.02.2019 Frottis naso-pharyngé : RSV positif, coqueluche en cours Frottis nasopharyngé Influenza: en cours Frottis nasopharyngé Influenza: négatif Frottis nasopharyngé: positif pour Influenza Rx Thorax: pas de foyer Isolement Traitement conservateur Frottis naso-pharyngé pour RSV : positif Hospitalisation en isolement de contact Monitoring cardio-respiratoire Oxygénothérapie 29.01- 03.02.2019 Ventolin 29.01- 31.01.2019 Frottis naso-pharyngé pour RSV : positif Hospitalisation en isolement gouttelettes Monitoring cardio-respiratoire, ad. O2 si sat <90 Suivi de la prise alimentaire, ev. pesées avant/après la tétée Frottis naso-pharyngé Tamiflu 75mg reçu aux urgences Frottis PCR Coqueluche Frottis PCR coqueluche Frottis plis inguinaux et narines : positifs Isolement de contact dès le 08.02.2019 Lavage avec Lifo Scrub Suivi UPCI. Pas de décolonisation pour le moment au vu du projet et du pronostic. Frottis pli inguinaux et narines: positifs Isolement de contact dès le 08.02.19 Lavage avec Lifo Scrub Frottis rectale le 21.02.2019: négatif Frottis RSV négatif Frottis Coqueluche en cours Frottis RSV négatif Frottis Coqueluche en cours Traitement symptomatique Reconsulter chez le pédiatre si péjoration de l'état général ou difficultés respiratoires ou alimentaires Frottis RSV positif Frottis RSV: positif Frottis RSV: positif Frottis RSV: positif Frottis RSV: positif Frottis RSV: positif Frottis RSV: positif Frottis RSV positif Frottis RSV positif Frottis RSV positif Frottis RSV positif Frottis RSV positif Surveillance aux urgences pédiatriques Traitement symptomatique Médecine anthroposophique Contrôle chez le pédiatre ou aux urgences pédiatriques demain Reconsulter en cas de péjoration des difficultés respiratoires, si diminution de l'état général ou si diminution de l'alimentation. Frottis RSV Monitoring respiratoire Oxygénothérapie du 17.02 - 18.02.2019 Surveillance alimentaire FSC, bilirubine, Coombs Contrôle bilirubine dans 24h aux urgences FSC: alignée CRP: négative VS: négative FSC: anémie microcytaire hypochrome avec hémoglobine à 84 g/l, pas de leucocytose, thrombocytose à 576 G/l CRP: négative FSC, crase Consignes de reconsulter si tout signe de diathèse hémorragique FSC, CRP : pas de syndrome inflammatoire Urine : pas de signes d'infection urinaire Gazométrie : alignée, hyperkaliémie traumatique probable FSC, CRP, CK Ultrason hanche (aux urgences pédiatriques) Antalgie au besoin Reconsulter si persistance des douleurs la semaine prochaine FSC, CRP, Électrolytes, Gazométrie (pas de trouble électrolytique, CRP < 5, leuco 13) FSC, CRP, gazométrie, fonction rénaleFrottis RSV/grippe Rx thorax Consignes usuelles déshydratation/détresse respiratoire/crises fébriles Contrôle dans 72h chez pédiatre FSC, CRP, gazo, frottis RSV et coqueluche Consignes usuelles déshydratation/détresse respiratoire Contrôle clinique dans 12h aux urgences +/- nouvelle gazométrie pour pCO2 FSC, CRP, gazo Bilan hépatique et rénal Bilirubine directe et indirecte Ammoniémie Hémocultures en cours Sédiment urinaire, Urotube en cours NaCl 0.9% 20 cc/kg/h i.v. Surveillance alimentaire et régulation des apports FSC, CRP, gazométrie Coproculture inclus clostridium et rotavirus/adénovirus Consignes usuelles déshydratation Contrôle dans 24-48h par pédiatre Appel des parents en ORL pour discuter de repousser la chirurgie ORL FSC, CRP, gazo Pose de VVP, bolus NaCl 0.9% Normolytoral 200 ml Avis ORL Surveillance clinique Retour à domicile avec VVP, contrôle dans 24h aux urgences +/- radio du thorax si auscultation pathologique FSC, CRP, gazo US abdominal Stix/sédiment urinaire Culture d'urines: en cours Hémocultures: en cours Pose de VVP Ceftriaxone 50 mg/kg/j en 1 dose Garde la VVP avec contrôle dans 24h aux urgences et 2ème dose iv Contrôle FSC/CRP dans 48h FSC, CRP: pas de syndrome inflammatoire CK, 108, urée, créat dans la norme Gazométrie: 7.42, bic 22, Na 133, K 3.9, gluc 4.8 FSC, CRP, PCT Urines au sachet Rota/adéno en cours FSC, CRP, sédiment urinaire Traitement symptomatique Contrôle à 24 heures chez pédiatre si persistance EF Reconsultation aux urgences si péjoration de l'état général FSC, CRP: voir annexes Stix et sédiments négatifs FSC, CRP, VS Poursuite antalgie si douleur, RICE Contrôle dans une semaine chez pédiatre FSC, CRP Avis chirurgical (téléphone, Dr. X) Ablation VVP Consignes usuelles déshydratation Buscopan en réserve Contrôle dans 24h chez pédiatre FSC, CRP Fractionner les repas Rinçages de nez Contrôle clinique chez médecin traitant à 24h FSC, CRP Hémocultures en cours Délimitation des plaies Rocephine 1.5g iv, traitement antibiotique pour 7 jours avec relais per os par Co-Amoxicilline dès résolution locale Contrôle clinique +/- antibiothérapie iv à 24 heures FSC, CRP Sérologies EBV et CMV revenant positives pour CMV, demande de test d'avidité faite pour préciser si infection récente ou ancienne Contrôle clinique dans 48 heures, après fin d'antibiothérapie Consignes de reconsulter avant si péjoration clinique entre temps FSC, CRP Stix et sédiment urinaires : négatifs Stimuler hydratation FSC, CRP Stix et sédiments négatifs FSC, CRP Traitement symptomatique Médecine anthroposophique Contrôle clinique dans 24h FSC: diminution de la leucocytose à 16 G/l à prédominance neutrophile, thrombocytose à 507 G/l, hémoglobine 118 g/l CRP: en diminution à 45 mg/l Sérologies CMV: IgG et IgM positifs Sérologies EBV: IgG positifs, ancienne infection FSC: diminution de la leucocytose à 16 G/l, répartition à prédominance neutrophile, pas de thrombocytose CRP: à la baisse à 88 mg/l (versus 160 chez pédiatre la veille) Gazo: alignée, pH 7.41, pCO2 4.5 kPa, bicarbonates 22 mM, BE -2.8 mM, pas de troubles électrolytiques, glycémie en ordre, lactates 1.8 mM Na, K, urée, créat: Na limite basse à 134 mM, reste aligné Frottis RSV: négatif Frottis grippe: négatif Rx thorax: déviation de la trachée (sur mauvaise symétrie de l'image d'après radiologue), pas de franc foyer mais épaississement des bronches péri-hilaires FSC: en annexe CRP: en annexe Gazométrie: en annexe Hémocultures 02.02.2019: négatives Rx Thorax 02.02.2019: Opacité quasi-complète de la plage pulmonaire droite sans déviation trachéale, compatible avec une pneumonie, avec épanchement pleural. Le parenchyme pulmonaire gauche se présente normalement. Attitude scoliotique que sinistro-convexe de la colonne thoracique. Le reste du cadre osseux et les tissus mous sont de morphologie normale. Rx Thorax 06.02.2019: Apparition d'un pneumothorax avec présence d'un hydro pneumothorax. Décollement de la plèvre estimé à 2 cm latéralement. Apparition de clartés en projection du poumon collabé, droit (abcès ?). Refoulement du médiastin vers la gauche. La plage pulmonaire gauche se présente normalement. Rx abdomen 02.02: examen réalisé en position debout. Mise en évidence d'une coprostase recto-sigmoïdienne (dd : Fécalome ?), associée à une dilatation colique en amont mesurée jusqu'à 56 mm de diamètre. Pas d'argument radiologique pour un pneumopéritoine. Le cadre osseux et les tissus mous se présentent normalement. FSC et CRP: eo Rx Thorax: pas de foyer FSC et CRP, petit syndrome inflammatoire sans argument pour un sepsis ou une méningite FSC et CRP Réhydratation iv par NaCl 0.9% 20cc/kg/h sur une heure + per os env 200ml FSC: hémoglobine limite basse à 102 g/l normocytaire/normochrome, pas de leucocytose, pas de neutropénie, thrombocytose légère 354 G/l CRP: positive à 148 G/l Gazo: pas de troubles acido-basiques ni électrolytiques (potassium légèrement augmenté à 4.8 mM dans contexte de prise de sang capillaire), glycémie et lactates en ordre Frottis RSV: négatif Frottis grippe: en cours FSC: hémoglobine 109 g/l normocytaire normochrome, pas de leucocytose, répartition sp, pas de thrombocytose CRP: négative Gazométrie (non rapatriée sur DPI): pH 7.38, pCO2 1.76 (pleurs +++), bicarbonates non visibles, Na 133 mM, K 4.1 mM, Ca 1.19 mM, Cl 112 mM, glycémie 3.1 mM, lactates 0.69 mM FSC Lc 13.5 G/l principalement neutrophiliques CRP 29mg/l Hémocultures en cours FSC: Leu à 30, CRP à 57 FSC: leuco 14, hémoglobine 127, thrombo 467, pas de déviation gauche CRP 15 FSC: leucocytes et thrombocytes alignés sans neutropénie mais prédominance neutrophile, pas d'anémie CRP: très augmentée à 330 mg/l Gazo: pH légèrement augmenté à 7.48 avec hypocapnie à 4.2 kPa (hyperventilation ?), bicarbonates en ordre à 24 mM, BE 0.4 mM, pas de troubles électrolytiques, lactates 1.3 mM, glycémie 7.1 mM (pas à jeûn) US abdominal: présence de liquide libre en fosse iliaque droite, appendice non visualisée, sédiment dans la vessie, bonne différenciation cortico-médullaires rénales sans abcès, doppler rénal sp Stix/sédiment urinaire: purée de leucocytes, pas de nitrites Culture d'urines: en cours FSC: leucopénie à 4.1 G/l sans neutropénie, hémoglobine et thrombocytes alignés CRP: légèrement positive à 15 mg/l Gazo: pas de troubles acido-basiques avec pH 7.44, pCO2 4.8 kPa, bicarbonates 24 mM, base excess 0.4 mM, lactates 1.3 mM, glycémie en ordre, natrémie limite basse à 133 mM, reste des électrolytes en ordre Frottis RSV: positif FSC: leucopénie à 4.1 G/l sans neutropénie, hémoglobine et thrombocytes alignés CRP: légèrement positive à 15 mg/l Gazométrie: pas de troubles acido-basiques avec pH 7.44, pCO2 4.8 kPa, bicarbonates 24 mM, base excess 0.4 mM, lactates 1.3 mM, glycémie en ordre, natrémie limite basse à 133 mM, reste des électrolytes en ordre Frottis RSV: positif Radiographie thorax (faite par pédiatre) le 05.02: doute sur foyer para cardiaque gauche effaçant la silhouette cardiaque, épaississement des bronches péri-hilaires FSC montre une leucocytose, mais vu la CRP relativement basse, probable infection virale FSC: Pas d'anémie, pas de signes infectieux, pas de troubles rénaux ni hépatiques (ASAT, ALAT et CK légèrement élevées), Amylasémie/Lipasémie en ordre Gazométrie: acidose métabolique avec pH 7,28 et puis 7,30 et bicarbonates à 18. Pas de troubles électrolytiques, glycémie en ordre Enzymes cardiaques: sans pathologie Cétonurie sans hématurie ni protéinurie, spot urinaire en ordre ECG: normocarde, rythmique et sinusal, PR 722 ms, QT 460 ms, pas de ST surélevés ou sous-élevées, ni des ondes T, avec ondes U 2e exemplaire montre toujours un QT légèrement long sans ondes UBilan métabolique avec: acétonémie, acides gras libres, profil acylcarnitine Urines: acides organiques FSC: pas de leucocytose, hémoglobine limite basse à 110 g/l microcytaire normochrome, thrombocytose à 456 G/l CRP: positive à 71 mg/l VS: positive à 44 mm/h Rx cervicales: pas de lésion des cervicales visibles mais tissu rétropharyngé épaissi CT-scan injecté (sous sédation par midazolam 0.2 mg/kg intranasal): épaississement de l'espace retro-pharyngé (plus marqué à droite qu'à gauche) sans abcès, compatible avec un phlegmon, épaississement de l'anneau de Waldeyer, pas de lésion osseuse FSC: pas de leucocytose, répartition alignée, thrombocytose à 445 G/l, légère anémie à 106 g/l normocytaire normochrome CRP: négative à 8 mg/l FSC: pas de leucocytose, répartition en ordre, thrombocytose à 445 G/l, hémoglobine 100 g/l avec hématocrite légèrement abaissée à 32% CRP: augmentée à 39 mg/l Gazo: légère acidose métabolique avec pH 7.34, pCO2 4.2 kPa et bicarbonates 17 mM avec BE -8,2 mM, pas de troubles électrolytiques, glycémie en ordre, lactates 1.3 mM FSC: pas de leucocytose, thrombocytose à 414 G/l CRP: très légèrement positive à 12 mg/l Test à la fluoresceine: négatif FSC: pas de leucocytose, thrombocytose à 679 G/l, anémie à 95 g/l normocytaire normochrome CRP: légèrement positive à 12 Gazométrie: pH limite basse à 7.35, pCO2 limite haute à 6.3 kPa, bicarbonates 26 mM, base excess 0.9 mM, lactates 1.5 mM, glycémie en ordre Frottis RSV: positif Frottis coqueluche: en cours FSC: pas de leucocytose (9.1 G/l sans neutropénie), thrombocytose à 514 G/l CRP: légèrement augmentée à 31 mg/l Gazo: pH 7.48, pCO2 4.11 (contexte de tachypnée), bicarbonates alignés à 23 mM et BE -0.2 mM, pas de troubles électrolytiques, glycémie en ordre, lactates incalculables Radiographie du thorax: globalement stable par rapport à la radiographie du 07.02, foyer basal droit avec émoussement du récessus costo-diaphragmatique, pas de péjoration d'épanchement, pas de pneumothorax, épaississement péri-bronchique bilatéral FSC: pas de thrombopénie, anémie légère à 110 g/l normocytaire normochrome (MCV et MCHC limite basse) Crase: alignée (PTT 52 sec, en ordre, discuté avec Dr. X) FSC- retic Bili T/D, Asat, ALAT urée, créat gazo + glucose hémoculture CRP pas de radio de thorax pour le moment FSC sans anomalies CRP négative Gazo en ordre FSC: thrombocytose en diminution à 445 G/l, pas de leucocytose CRP: négative FSC: thrombocytose 433 G/l, reste aligné CRP: augmentée à 42 mg/l Gazométrie: pH 7.42, bicarbonates limite basse à 21 mM, base excess -3.3 mM, pas de troubles électrolytiques, lactates et glycémie en ordre FSC Suivi par pédiatre notamment bilan de carence FSS et Hb chez le médecin traitant dans une semaine. Anémie normochrome microcytaire à investiguer en ambulatoire Fucicort Contrôle chez le pédiatre Fucicort local pour une durée de 10 jours avec amélioration Fucidine locale, co-amoxicilline per os, contrôle dans 36 heures, consignes de ne pas aller au camp de ski Consultation avant si péjoration ou état fébrile Fucidine locale Co-amoxicilline 50 mg/kg/j Contrôle le 20.02 pour avis chirurgical Consultation avant en urgence si péjoration, si impossibilité d'uriner, si état fébrile Fucidine locale STOP antibiothérapie locale vu l'absence de red flags Consultation avant en urgence si péjoration, si impossibilité d'uriner, si état fébrile Fuite sur sonde urinaire. Fuite urinaire sur sonde à demeure le 15.02.2019. • pose de sonde urinaire chez le Dr. X le 12.02.2019. Fuites urinaires sur sonde vésicale 14 dans contexte status post-globe vésical sur fécalome le 17.02.19. Fungus Ball sphénoïdal droit Sphénoïdotomie le 24.01.2019 pendant la panendoscopie. Furoncle au niveau du sourcil droit, tiers médial, avec petit halo d'oedème autour. Furoncle de la narine gauche du nez Furoncle sans critère de gravité de 0.5 x 0.5 cm au niveau du mollet gauche le 08.02.2019. Furoncle surinfecté Furosemide du 06.02.2019 au 08.02.2019. Reprise Céfépime du 06.02.2019 au 11.01.2019. CPAP du 06.02.2019 au 08.02.2019 intermittente la journée. Furosemide du 06.02.2019 au 08.02.2019 Reprise Cefepime du 06.02.2019 au 11.01.2019 VNI le 06.02.2019 CPAP personnelle du 06.02.2019 au 08.02.2019 intermittente la journée Furosemide intraveineux dès le 11.02.2019 Morphine intraveineux dès le 13.02.2019 Arrêt aérosols Ipratropium le 13.02.2019 Scopolamine patch dès le 14.02.2019 Physiothérapie respiratoire Fusschmerzen links plantar vorne, whs Überbelastung Fussschmerzen rechts F10.2 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool; syndrome de dépendance, utilisation continue F11.2 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'opiacés; syndrome de dépendance F33.2 Trouble dépressif récurrent épisode actuel sévère sans symptôme psychotique. Probable trouble de la personnalité émotionnellement labile. Hospitalisation à Marsens pour un état dépressif sévère traité par Sertraline 100 mg. F-42.23 Trouble de l'adaptation mixte avec anxiété et dépression F43.22 Trouble de l'adaptation • avec anxiété G 5% Eau libre Passage en soins de confort purs le 04.02.2019 avec arrêt de l'hydratation Gabe von 2 EC am 08.04.2018 Gamma-Nadel Fraktur bei St.n. intertrochantärer proximalen Femur Fraktur links am 20.10.2018 Gammapathie monoclonale IgG type Kappa de signification indéterminée (MGUS) le 18.10.2018; DD : lymphome avec gammapathie monoclonale • Immuno-électrophorèse des protéines le 13.10.2018 : k/l 1.65, bande monoclonale IgG kappa • Avis hématologie (CHUV) : pas de critère de myélome, CT cervico-thoraco-abdominal à la recherche d'adénopathie / splénomégalie à effectuer à la recherche d'un lymphome Gangrène talon droit, le 18.02.2019. • Sur AOMI stade IV. • Etat confusionnel hypoactif. Garçon d'un an et 7 mois qui a depuis 3 jours inflammation du méat urinaire. Il est diagnostiqué de balanite. Garçon né à terme à 38 1/7 SA, accouchement par voie basse. Poids de naissance 2920 g (P10-25), taille 47 cm (P3) et périmètre crânien 35 cm (P50), pas de problème cardio-respiratoire en péri-natal. Garçon né à terme à 38 1/7 SA, par voie basse, avec un poids de naissance de 2920 (P10-25) Garçon né à terme à 39 6/7 SA, accouchement par voie basse et présentation céphalique. Poids de naissance 3600 g (P50), taille 51 cm (P30) et PC 33,5 cm (P5). 2ème de la fratrie (frère de 2 ans et demi, bonne santé). Pas de problèmes durant la grossesse. Pas d'hospitalisation après la naissance. Garçon né à terme par césarienne avec poids de naissance de 3110 g Garçon né à terme par voie basse avec poids de naissance de 3460 g Garçon né à terme 41 2/7 avec un poids de naissance 3920 g (P50-75), taille de naissance 52 cm (P52), périmètre crânien de naissance 36.5 cm (P50), par voie basse à l'aide d'une ventouse Kiwi, présence de liquide méconial Garçon né à T+5 à l'Hôpital Daler, PN 4470 g (P 95-97) Poids actuel à 7.310 kg (P97), taille 65 (P97) PC 42 (P97) Garçon né à T+5 à l'Hôpital Daler, PN 4470 g (P 95-97) Traumatisme crânien simple Garçon né à 40 5/7 SA avec un poids de naissance de 3940 g Garçon prématuré à 33 5/7 SA, PN 1835 g (P 10-25), TN 40 cm (P 3), PCN 31 cm (P 10-25) Garçon prématuré de 33 3/7 SA, PN 1920 g (P25), taille 42 cm (P10-25) et PC (P10-25) • à l'entrée J35, 37 6/7 SA, poids 2755 g (P<3) Garçon prématuré de 35 4/7 SA avec à la naissance un poids de 2040 g (P 5), une taille de 44 cm (P 5) et un périmètre crânien de 31.5 cm (P 10-25) Garçon prématuré de 35 4/7 SA avec à la naissance un poids de 2040 g (P 5), une taille de 44 cm (P 5) et un périmètre crânien de 31.5 cm (P 10-25) • Garrot initial par bande élastique. • Pansement occlusif avec bande Opsite sur tout le doigt. • Adaptic digit. • Pansement digital. • Gastrectomie partielle il y a 30 ans. • Carcinome prostatique traité par radiothérapie. • Gastrectomie totale avec curage ganglionnaire le 20.02.2019 • Voie veineuse centrale jugulaire droite dès le 20.02.19 • Alimentation entérale dès le 22.02.2019 • Alimentation orale dès le 26.02.2019 • Péridurale du 20.02 au 26.02.2019 • Sonde vésicale dès le 20.02.2019 • Ceftriaxone du 20.02.2019 au 25.02.2019 • Métronidazol du 20.02.2019 au 25.02.2019 • Gastrectomie totale, cholécystectomie et jéjunostomie le 30.01.2019 • Sonde naso-gastrique du 30.01.2019 au 05.02.2019 • Cathéter péridural du 31.12.2019 au 04.02.2019 • Cathéter artériel radial droit du 30.01.2019 au 31.01.2019 • Voie veineuse centrale jugulaire droite du 30.01.2019 au 04.02.2019 • Céfuroxime du 30.01.2019 au 31.01.2019 • Métronidazole du 30.01.2019 au 31.01.2019 • Hémocultures du 08.02.2019 : ESBL multisensible • Meropenem 1 g 3x/jour du 10.02.2019 au 20.02.2019 • Histologie Promed P2019.1239 : Adénocarcinome (diamètre maximal 3 cm) peu différencié, de type diffus selon Lauren, de la paroi gastrique classé ypT3 ypN1mi et i+ (1/24) L1 V0 Pn0 R0 • Gastrite • Gastrite. • Gastrite à H. Pylori avec ulcère traité • Hématome de la face antéro-médiale de la tubérosité tibiale le 22.01.2016. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance avec dermabrasion du cuir chevelu le 22.01.2016. • Gastrite à H. Pylori en 2009 avec traitement d'éradication. • Gastrite chronique acutisée le 17.06.2017 : • avec majoration du Pantozol 40 mg 2x/j et adjonction d'Ulcogant 2x/j dès le 17.06.2017. • Notion de méléna non objectivée aux urgences. • Epigastralgie réfractaire au traitement par IPP et pluri-investiguée. • Hyponatrémie hypoosmolaire à 126 mmol/l sur probable SIADH sur Sartan. • Crise hypertensive. • Crise hypertensive sans atteintes d'organes le 07.11.2018 : • contrôle tensionnel obtenu aux urgences après Adalat CR 20 ordre unique et repos/mise au calme. • Surveillances des tensions à domicile selon carnet de tension. • Adaptation du traitement habituel par ajout Amlodipine 5 mg 1x/jour le soir. • Gastrite à H pylori éradiquée en 2007 • HBP avec prostatite récidivante • Prostatectomie et lymphadénectomie pelvienne pT2N0P0V0R0 Gleason 5 • Amorose fugace 2013-2014. • Gastrite aiguë dans le contexte d'un traitement corticoïde. • Gastrite aiguë dans un contexte de gastro-entérite aiguë le 08/02/19. • Gastrite aiguë. • DD douleurs musculo-squelettiques. • Gastrite aiguë, DD intolérance au lactose. • Gastrite aiguë le 14.02.2019. • Gastrite aiguë le 17.02.2019. • Gastrite aiguë para-infectieuse. • Gastrite aiguë sur consommation d'AINS le 17.01.2019. • Gastrite aiguë sur consommation de Brufen. • Gastrite antrale subaiguë et chronique, active, d'intensité significative avec la présence de nombreux Helicobacter Pylori. • Gastrite avec dorsalgies sur contracture de la musculature paravertébrale. • Gastrite avec duodénite de continuité le 06.02.2019. • Gastrite avec reflux gastro-oesophagien. • Carence martiale en cours de traitement. • Gastrite chronique avec malabsorption de B12 • OGD et colonoscopie le 21.07 • Suivie par Dr. X. • Chez une patiente connue pour une polyarthrite subaiguë d'origine indéterminée • Périphérique et symétrique le 09.09.2018 • Touchant l'épaule gauche, les hanches et les genoux • Début rhizomélique • Facteur rhumatoïde négatif, anti-CCP négatif • HLA-B27 négatif • US articulaire le 11.09.2018 : épaule gauche : liquide autour long biceps, calcification sus-épineux ; genou gauche/droit : pas de calcification, présence de liquide ; hanches droite/gauche : bombardement capsulaire • Rx bassin et CT bassin des 12-13.09.2018 : pas de sacro-iléite, arthrose sacro-iliaque gauche. • Gastrite chronique avec ulcères gastro-duodénaux le 04.10.2018 - avec atrophie muqueuse. • Gastrite chronique. • Iléus mécanique sur adénocarcinome du sigmoïde sténosant et métastatique. • Douleurs abdominales sur probable constipation. • Gastrite dans un contexte de prise d'AINS le 26.02.2019. • Gastrite (DD : gastro-entérite) • Gastrite DD gastro-entérite. • Gastrite d'origine indéterminée. • Gastrite d'origine virale probable. • Gastrite en 2017. • Gastrite érosive sans ulcère ni saignement actif (Forrest III) en novembre 2015 • Thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche non datée • Fermeture d'une fistule entre un anévrisme du sinus de Valsalva et l'oreillette droite en 1973 (CHUV) par thoracotomie • Insuffisance respiratoire aiguë globale d'origine multifactorielle le 25.06.2018 : • décompensation cardiaque globale d'origine probablement rythmique (flutter) dans un contexte de cardiopathie dilatée • épanchements pleuraux bilatéraux • Phlébolymphoedème d'origine multifactorielle dans le contexte d'insuffisance cardiaque et d'hypertension pulmonaire sévère : • opération des varices il y a plus de 20 ans au niveau de la grande veine saphène ddc • bilan artério-veineux du 27.04.2018 : absence d'artériopathie significative, insuffisance trans-ostiale des grandes veines saphènes accessoires antérieures de la cuisse avec des varices massives au niveau de la cuisse et de la jambe ddc.• bilan artério-veineux du 27.04.2018 : absence d'artériopathie significative, insuffisance trans-ostiale des grandes veines saphènes accessoires antérieures de la cuisse avec des varices massives au niveau de la cuisse et de la jambe ddc. • Gastrite et gastroentérite débutante. • Gastrite infectieuse probable • DD : H pylori, pancréatite (douleur non transfixiante), cholecystite (Murphy négatif), constipation • Gastrite irritative sur AINS et alcool le 28.02.2019. • Gastrite le 08.02.19. • Gastrite le 10.02.2019. • Gastrite le 21.06.2015. Crise d'angoisse le 27.06.17. • Gastrite le 25.02.2019. • Gastrite le 26.02.2019 • Gastrite non traitée le 21.02.2019. • Gastrite peptique avec reflux acide le 03.02.2019, dans un contexte de stress et insomnie. • Gastrite post vomissements. • Gastrite post-arrêt IPP en janvier 2012 Hystérectomie en 2011 sur fibromatose utérine Kystes ovariens des deux côtés, opérés en mai 2012 Grossesses extra-utérines en 1993 Tuberculose pulmonaire (traité lege artis) en 1990 • Gastrite probablement virale • Gastrite sous Pantozol • Gastrite sur AINS. • Gastrite ulcéreuse à H.Pylori en 2018 Carcinome épidermoïde basilinguale droit avec métastase cervicale droite level II/III, classé pT1 pN2b cM0 en 2014 TURP en 2007 Chirurgie intestinale en 2003 Colique néphrétique traitée par lithotripsie en 1998 OH chronique sevré H. Pylori • Gastrite virale • Gastrite virale le 14.01.2019. • Gastrite 08/2018 Bonne santé habituelle, vaccins à jour • Gastrite Cupulolithiase • Gastro-entérite virale débutante. • Gastro-entérite virale probable le 05.02.2019. DD : dysenterie. • Gastro-entérite • Gastroentérite • Gastroentérite. • Gastroentérite. • Gastroentérite. • Gastroentérite. • Gastroentérite à Campylobacter le 21.02.2019 - diarrhées et douleurs abdominales depuis 2 jours au retour du Maroc • Gastro-entérite à Rotavirus • Gastro-entérite à rotavirus • Gastroentérite à rotavirus avec déshydratation légère • Gastro-entérite à Shigella le 24.02.2019. • Gastro-entérite aiguë • Gastro-entérite aigue • Gastro-entérite aiguë • Gastro-entérite aiguë • Gastro-entérite aiguë • Gastro-entérite aiguë • Gastro-entérite aiguë • Gastro-entérite aiguë • Gastro-entérite aiguë • Gastro-entérite aiguë • Gastro-entérite aigue • Gastroentérite aigue • Gastroentérite aiguë • Gastroentérite aiguë • Gastroentérite aiguë à Rotavirus avec déshydratation estimée à 5% • Gastro-entérite aiguë à rotavirus avec difficultés alimentaires • Gastroentérite aigue à Rotavirus avec légère déshydratation • Gastroentérite aiguë avec déshydratation légère • Gastro-entérite aigue avec déshydratation modérée 6-9% • Gastro-entérite aiguë avec env 6% de déshydratation • Gastro-entérite aiguë avec une déshydratation d'environ 2% • Gastroentérite aigue DD état grippal • Gastro-entérite aiguë débutante probable • Gastro-entérite aiguë, IVRS • Gastro-entérite aiguë le 12.02.2019. • Gastro-entérite aiguë le 19.02.2019. • Gastroentérite aiguë le 20.02.19. • Gastro-entérite aiguë sans déshydratation • Gastro-entérite aigue sans signes de déshydratation • Gastro-entérite aigue sans signes de gravité sans signes de déshydratation. Devant l'état général excellent, nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique avec consignes en détails pour réhydratation orale. Nous expliquons en détails les signes de déshydratation qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Si péjoration réhydratation orale, à consulter aux urgences dans 24 heures. • Gastro-entérite aiguë virale • Gastroentérite aigue virale probable • Gastro-entérite avec déshydratation de 10% avec hypernatrémie • Gastro-entérite au décours • Gastroentérite avec déshydratation de 3-5 % • Gastroentérite avec déshydratation estimée à 8%, probablement virale • Gastro-entérite avec déshydratation le 31.01.2019 • Gastroentérite avec déshydratation légère et refus de boire • Gastro-entérite avec déshydratation modérée • Gastro-entérite avec une déshydratation d'environ 6% • Gastroentérite d'allure virale. • Gastroentérite DD intoxication alimentaire • Gastro-entérite débutante • Gastro-entérite d'origine indéterminée DD virale, bactérienne • Gastro-entérite d'origine indéterminée, le 12.02.19 - DD : virale, bactérienne. • Gastro-entérite d'origine indéterminée le 24.02.19. DD virale, bactérienne. • Gastroentérite d'origine probablement virale le 04.02.2019 • Gastroentérite d'origine probablement virale sans signes de déshydratation 03.2015 Suspicion de pyélonéphrite 03.2015 • Gastro-entérite d'origine virale le 07.02.19 - DD : intoxication alimentaire. • Gastro-entérite d'origine virale le 13.02.2019 • Gastroentérite d'origine virale le 15.02.2019 • Gastroentérite en diminution • Gastro-entérite infectieuse • Gastro-entérite infectieuse à rotavirus avec acidose métabolique sévère et déshydratation estimée à 5% • Gastro-entérite infectieuse débutante DD : invagination-désinvagination • Gastro-entérite infectieuse probableGastro-entérite infectieuse probable Gastro-entérite infectieuse sans signes de déshydratation Gastro-entérite infectieuse versus intoxication alimentaire Gastro-entérite le 05.02.2019. Gastroentérite le 07.02.2019. Gastroentérite le 10.02.2019. Gastro-entérite le 2.2.2019. Gastroentérite le 23.12.2011. Traumatisme cervical par écrasement le 16.07.2016 avec contusion laryngée. Gastroentérite légère aiguë sans signes de déshydratation Gastroentérite probablement d'origine bactérienne, le 18.02.2019 • avec déshydratation Gastro-entérite probablement d'origine virale. Gastroentérite probablement d'origine virale. Gastroentérite probablement d'origine virale. Gastroentérite probablement d'origine virale. Gastroentérite probablement d'origine virale. Gastroentérite probablement d'origine virale, le 18.02.2019 Gastroentérite probablement virale sans signe de déshydratation Gastro-entérite probablement virale Gastroentérite, probablement virale Gastroentérite, probablement virale Gastroentérite, probablement virale Gastroentérite probablement virale Gastroentérite probablement virale Gastroentérite probablement virale Gastro-entérite probablement virale au décours Gastroentérite probablement virale, DD: influenza Gastroentérite probablement virale, DD: intoxication alimentaire Gastro-entérite probablement virale, le 06.02.2019. Gastroentérite probablement virale le 19.02.2019. DD : consommation de cannabis Gastroentérite probablement virale, sans signe de déshydratation Gastroentérite probablement virale sans signe de déshydratation Gastroentérite probablement virale sans signe de déshydratation, DD: infection urinaire Gastroentérite probablement virale sans signe de déshydratation, Gastroentérite probablement virale sans signes de déshydratation Gastro-entérite sans déshydratation Gastro-entérite sans déshydratation Gastro-entérite sans déshydratation Gastro-entérite sans déshydratation actuellement Gastro-entérite sans signe de déshydratation Gastroentérite sans signe de déshydratation Gastro-entérite sans signe de gravité. DD : intoxication alimentaire, salmonellose. Gastro-entérite sans signes de déshydratation Gastro-entérite virale Gastro-entérite virale Gastro-entérite virale Gastro-entérite virale Gastro-entérite virale. Gastro-entérite virale. Gastro-entérite virale. Gastroentérite virale Gastroentérite virale Gastroentérite virale Gastroentérite virale Gastroentérite virale Gastroentérite virale. Gastroentérite virale. Gastroentérite virale. Gastroentérite virale. Gastroentérite virale. Gastroentérite virale. Gastroentérite virale aiguë avec signes de légère déshydratation Gastroentérite virale au décours. Gastro-entérite virale au décours le 26.08.2016. Césarienne en 2015. Contusion des 1er et 5ème métatarses. Gastroentérite virale avec déshydratation hyponatrémique de 6-9% Gastroentérite virale avec déshydratation légère Gastro-entérite virale avec déshydratation modérée 6-9% Gastroentérite virale. DD : gastrite aiguë. Gastro-entérite virale débutante Gastroentérite virale débutante Gastro-entérite virale le 04.02.2019. Gastro-entérite virale, le 10.02.2019. Gastroentérite virale le 15.02.2019 Gastroentérite virale le 16.02.2019. Gastroentérite virale le 19.02.2019. Gastro-entérite virale le 21.01.2019 Gastro-entérite virale le 21.02. Gastro-entérite virale le 21.02.2019, DD intoxication alimentaire. Gastro-entérite virale le 25.02.2019. Gastro-entérite virale. Pneumothorax apical droit. Gastroentérite virale probable Gastroentérite virale probable Gastro-entérite virale probable avec vomissements incoercibles et diarrhées le 05.02.2019 avec • déshydratation • hypokaliémie à 2.8mmol/l • état confusionnel aigu à domicile (anamnestique) DD : toxicité des opiacés (Morphine) Gastro-entérite virale probable le 09.02.2019. Gastro-entérite virale probable le 10.02.2019. Gastroentérite virale probable le 31.01.2019. DD : • intoxication alimentaire. Gastro-entérite virale sans déshydratation Gastro-entérite virale sans déshydratation Gastro-entérite virale sans déshydratation Gastroentérite virale sans signe de déshydratation, DD: intoxication alimentaire Gastro-entérite virale sans signes de déshydratation Gastroentérite virale DD: constipation. Gastro-entérite virale. Lombalgie non déficitaire. Gastro-entérite 10.2013. Cystite sans signe de gravité. Gastro-entérite 25.02.2019. Diagnostic différentiel : viral, allergie. Gastroscopie du 11.10.2018 Fluconazol 400 mg/jour pour une durée de 14 jours, jusqu'au 25.10.2018 Gazo // Rx Thorax CT thoracique du 14.01.2019 Radiothérapie du médiastin 12 séances du 15.01 au 30.01.2019 (Dr. X) Gazométrie Gazométrie: ____ Gazométrie // Rx thorax // Sédiment urinaire Microbiologique : culture du liquide de ponction (hématome hanche droite) // urotube CT thoraco-abdomino-pelvien injecté 15.02.2019 Avis infectiologique Rocéphine 1g i.v. 1x/j du 12.02 au 13.02.2019 Klacid 500 mg p.o. 2x/j du 12.02 au 13.02.2019 Co-amoxicilline IV puis per os pour une durée de 7 jours du 13.02 au 20.02.2019 Gazométrie : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Atrovent en ordre unique. VNI sous 12 litres. Gazométrie : hypoxémie sans rétention de CO2 Rx thorax le 17.01.2019 : (pour hypoventilation nouvelle à l'auscultation) : cliché comparable à l'examen du 09.01.2019 Co-Amoxicilline IV du 10.01 au 16.01.2019 Fluimucil Physiothérapie respiratoire, Gazométrie : Na 136mmol/l, reste aligné FSC : Lc 11.3G/l, Hb 109g/l, Tc 370G/l CRP 39mg/l Gazométrie : pas de troubles acido-basiques, pas d'hyperlactatémie US abdominal 01.02 : Invagination iléo-caecale réduite par lavement au produit de contraste sous contrôle fluoroscopique. US abdominal 02.02 : Pas de récidive Gazométrie acidose métabolique avec pH à 7.30 le 07.02, corrigée le 08.02 Perfusion le 07.02, glucosalin 2:1 700 ml/24h au 08.02 Ringer Lactate pour la compensation des pertes le 07.02 Gazométrie : acidose métabolique avec pH 7.28, bicarbonates 17 mM, BE -8.6 mM, Na limite basse à 134 mM, glucose 3.6 mM, lactates 1.3 mM Gazométrie : acidose métabolique compensée Ondansetron 2 mg po Bolus NaCl 0.9% 20 ml/kg, soit 250 ml sur 1h Glucosalin 2:1 i.v. 1050ml/24h mise en place le 13.02, retrait le 14.02 au matin Gazométrie : acidose métabolique légère, avec natriémie corrigée depuis hier, euglycémique (ph : 7.34 bicar : 18 Na : 133 K : 2.7) Gazométrie après le bolus NaCl 0.9% : ph 7.36, Na : 136, K : 2.7, Bicar : 16. Pas de diarrhées entre temps avec bonne diurèse Gazométrie : acidose métabolique sévère hyperchlorémique avec bicarbonates à 13 mM, BE -13.6 mM, chlore 112 mM. Gazométrie alignée hormis bicarbonates à 21 mmol/l Bilan sanguin : absence de syndrome inflammatoire Bilan urinaire : Pas d'infection urinaire. Présence de corps cétoniques Gazométrie : alignée, pas de troubles acido-basiques ni électrolytiques, glycémie en ordre Frottis grippe : positif pour influenza A Gazométrie : alignée pH 7.43, pCO2 4.7 kPa, Bicarbonates 23 mmol/l, excès de base -1.2 mmol/l, Lactate 1.2 mmol/l, Glucose 4.8 mmol/l, électrolytes sp Gazométrie : alignée Sodium, potassium, phosphates, magnesium, fonction rénale : alignés Gazométrie art. le 17.01.2019 : pH 7.35, pCO2 3.8 kPa, PO2 9.4 kPa, HCO3- 15 mmol/l Suivi biologique Gazométrie art. le 23.01.2019 : pH 7.54, pCO2 4.7 kPa, PO2 8.3 kPa, HCO3- 30 mmol/l Gazométrie art. le 14.02.2019 : pH 7.42 Chlore urinaire 88 mmol/l le 24.01.2019 Suivi biologique Gazométrie artérielle : PH 7.43, PCO2 4.3, PO2 8.9, Bic 21, Lact 1.8. Cf. annexes. Radiographie du thorax couchée : décrite ci-dessous. Oxygénothérapie 3 l/min aux lunettes. Gazométrie artérielle : K+ 1.8 mmol/L Labo : CRP 192, sans leucocytes. K+ 2.3 mmol/L. GGT 413 U/L, PAL 148 Coprocultures : ___ Hémocultures : ----- Clostridium toxine dans les selles : ___ PCR multiplex : ---- Isolement de contact jusqu'à résultat analyse selles Hydratation ATT : • pister cultures de selles • si cultures de selles négatives, traitement par enterocort jusqu'à résolution des symptômes • pister résultat coloscopie 2016 Gazométrie artérielle Aérosols Oxygénothérapie Monitoring aux lits d'observation Ventilation non invasive aux urgences Gazométrie capillaire : Acidose métabolique compensée : pH 7.44, pCO2 4 kPa, bicarbonates 20 mmol/l, excès de base -3.8 mmol/l, Hyperlactatémie 6.0 mmol/l, Hyperkaliémie K+ 6.2 mmol/l, Glucose 5.4 mmol/l RSV négatif Gazométrie capillaire : alignée, pas de troubles électrolytiques, ni métaboliques Gazométrie capillaire : alignée sans troubles métaboliques, sans troubles électrolytiques Gazométrie capillaire du 21.02 : Acidose métabolique avec pH 7.33, Bic 12, BE -14, pCO2 2.9, glycémie 3.2 Gazométrie capillaire du 23.02 : alignée Gazométrie capillaire : pas de troubles électrolytiques, pas d'acidose, pas de signes de déshydratation Stix urinaire : négatif, pas de glycosurie Gazométrie capillaire : pH 7.42, bicarbonates à 19 mM, base excess -5.9 mM, natrémie en ordre, glycémie en ordre Gazométrie capillaire : ph 7.44, Bic 23.9, EB -0.4, Na 139, Glycémie 5.3, lactates 1.8 Gazométrie capillaire (pressée++++): pH 7.42, pCO2 4 kPa, bicarbonates abaissés à 19 mM avec BE -5.5, hyperkaliémie et hyperlactatémie à 6.9 mM et 5.3 mM dans contexte capillaire Gazométrie veineuse : alignée Ammoniémie : normale Electrolytes : alignés Tests hépatiques : alignés Gazométrie capillaire puis veineuse avec électrolytes, ammoniémie et tests hépatiques Calendrier de la prise hydrique Contrôle aux urgences le 25.02 Gazométrie capillaire (réalisée pour des raisons de myalgies débutantes) : pas d'hypokaliémie sévère, acidose métabolique légère Gazométrie capillaire Remplissage par la SNG Antalgiques en réserve Gazométrie (car mère décrit tirage plus important qu'actuellement depuis 23h la nuit passée) : alignée avec pH 7.42, pCO2 5 kPa Gazométrie, corps cétoniques sanguins Bilan urinaire Avis endocrinologue CHUV Repas Contrôle glycémie à 22:00 si > 15 mmol/l, administrer 0.7 U/I d'Insuline Contrôle glycémie demain si hyperglycémie, appeler infirmier diabétologue au CHUV pour adapter le schéma Gazométrie de contrôle : alignée avec natrémie à 134 mM, pas de troubles acido-basiques avec pH 7.41, pCO2 4.9 kPa, bicarbonates 23 mM, base excess -1 mM, glycémie 6.1 mM, lactates 1.1 mM. Gazométrie de contrôle Ablation VVP Consignes usuelles déshydratation Contrôle dans 24 heures chez pédiatre Gazométrie du 13.02.2019 (veineux) : acidose métabolique compensée : pH 7.26, pCO2 3.2 kPa, bicarbonates à 10 mmol/l, excès de base -15.4 mmol/l, pas de trou anionique, lactate à 2.1 mmol/l, glucose à 4.0 mmol/l, Na+, K+ dans la norme, hyperchlorémie à 110 mmol/l 14.02 : normalisation : pH 7.43, pCO2 3.2 kPa, bicarbonates à 16 mmol/l, excès de base -2 mmol/l, pas de trou anionique, lactate à 2.1 Gazométrie et formule CRP Rinçage de nez : beaucoup de sécrétions épaisses Gazométrie, FSC et CRP faites avant la réévaluation post-ventolin en raison de l'hypoventilation très marquée et de la désaturation sous 2L d'O2. Nette amélioration de l'auscultation et de la saturation (remontant à 100% sous 3L d'O2) après 6 pushs de ventolin. Train complété pour 3x6 pushs de ventolin au total. SpO2 94% sans oxygène. Persistance d'une entrée d'air légèrement diminuée à gauche mais d'un souffle tubaire à l'auscultation de la plage pulmonaire gauche avec CRP augmentée à 430 mg/l, motivant la radiographie du thorax qui montre un foyer basal gauche important avec bronchogramme aérien bilatéral. Gazométrie Hydratation Spot urinaire Sédiment urinaire Hydratation intraveineuse G20% + Insuline 20 UI Résonium Bicarbonate par voie orale Gluconate de calcium en intraveineux Gazométrie Hydratation Spot urinaire Sédiment urinaire Sonde urinaire du 17.01 au 01.02.2019 Hydratation i.v. dès le 17.01.2019 G20% + Insuline 20 UI le 17.01.2019 Résonium du 17.01 au 19.01.2019 Bicarbonate po Gluconate de calcium amp iv Gazométrie : lactates 1.6 mmol/l Gazométrie le 17.01.2019 CT thoraco-abdomino-pelvien le 22.01.2019 ECG le 22.01.2019 Avis cardiologique : Suivi régulier de l'épanchement pleural par US • Echocardiographie les 25.01.19, 29.01.19, 01.02.2019, 04.02.2019 Ponction pleurale le 29.01.2019 : 750 ml de liquide séro-sanguin. Exsudat aspécifique (prédominance de mono/macrophages). Culture : négative ; Cytologie : pas de cellules suspectes de malignité • Radiographie du thorax le 29.01.2019 Examen gynécologique le 01.02.2019 • Frottis PAP : négatif PET-CT le 06.02.2019 : hypercaptations thyroïdiennes bilatérales suspectes. Hypercaptation colique suspecte à confronter à une colonoscopie. Légère hypercaptation surrénalienne gauche probablement en lien avec le syndrome inflammatoire. • Absence de lésion hypermétabolique suspecte d'éventuelle néoplasie. Avis rhumatologique en cours Traitement par aérosols (Atrovent, Ventolin, Symbicort en réserve) Traitement diurétique Gazométrie : pas d'acidose, bicarbonates diminués à 20 mmol/l, hyponatrémie à 129 mmol/l Bolus de NaCl 0.9% 20ml/kg. Amélioration du sodium à 131 mmol/l. Bicarbonates restent bas à 19 mmol/l. 10 ml/kg NaCl 0.9% Reprise de l'hydratation per os avec 100ml de jus RAD avec voie en place Contrôle dans 12 heures • Gazométrie: pas de troubles acido-basiques, pas d'hyperlactatémie • Désinvagination radiologique efficace sous sédation par Midazolam 4 mg intranasal 01.02.2019 • Surveillance 24 h d'une récidive éventuelle, US de contrôle 02.02.2019 normal • Avis CDC de chirurgie de garde et Dr. X (téléphonique) • Gazométrie: pH 7.42, pCO2 3.7 kPa, bicarbonates à 18 mM avec BE -6.6 mM, Na limite basse à 133 mM, K et Cl en ordre, lactates légèrement augmentés à 2.1, glucose 5.9 • FSC: leucocytose à 18.2 G/l avec répartition à prédominance neutrophile, hémoglobine limite basse à 107 g/l normocytaire normochrome, thrombocytes alignés à 203 G/l • CRP: très augmentée à 430 mg/l • Gazométrie: pH 7.43, pCO2 4.1 mmol/l, Bicarbonates 21 mmol/l, BE -3.7 mmol/l, Glucose 20 mmol/l, Lactate 1.1 mmol/l, corps cétoniques sanguins négatifs • Bilan urinaire: Glucose 250.3 mmol/l, corps cétoniques + • Gazométrie: pH 7.44, Bicarbonates 21 mmol/l. Lactates 0.8. Trou anionique 10. • Consilium ophtalmologie dans la semaine • Contrôle en neuropédiatrie par la suite • Gazométrie pH 7.46, pCO2 4.26 kPa, pO2 8.98 kPa, Bicarbonates 22.9 mmol/l, Excès de base -1.2 mmol/l, lactate à 0.76 mmol/l, Na 137 mmol/l, K+ 3.2 mmol/l, Ca 1.22 mmol/l, Cl 103 mmol/l, Glucose 5.1 mmol/l • Gazométrie • Toilettes nasales • Oxygénothérapie le 02.02 • Gazométrie • Analyse des selles Rota-/Adénovirus, Bactériologie en cours • Contrôle chez la pédiatre dans 2-3 jours • Gazométrie • Frottis grippe en cours • Consignes usuelles déshydratation • Fébrifuges • Contrôle dans 48h chez pédiatre • Gazométrie • Frottis RSV : positif • Analyse de selles : rota positif • Gazométrie • HbA1c à 6.4% (non interprétable à cause de l'anémie) Consilium diabétologie: • adaptation des anti-diabétiques oraux: metformine 500mg 1x/j, diamicron 60mg 0.5cp/j et stop janumet • introduction Ryzodeg 18-0-14U Enseignement par les infirmières spécialisées de diabétologie Attitude: • Rendez-vous de suivi en diabétologie le 16.04.19 à 10h30 • Gazométrie • Hydratation avec bolus NaCl 0.9% IV 20cc/kg sur 1h • Gazométrie • Ondansetron 0.2 mg/kg • Buscopan • Réhydratation per os par Normolytoral et sirop 400ml en tout • Normolytoral, Buscopan et Paracétamol • Contrôle chez le pédiatre lundi 04.03, avant si péjoration clinique, sang dans selles, impossibilité d'hydratation • Rediscuter indication à coprocultures et virologie des selles • Gazométrie • Radiographie de thorax • Hémocultures en cours • Oxygénothérapie • Aérosols Ventolin Discussion de la gravité de la situation avec la famille au service des urgences (Dr. X) Soins de confort Morphine/Dormicum • Gazométrie • stop VVP • Traitement symptomatique • Reconsulter si péjoration de l'hydratation • GDS am 14.02.2019 • Escitalopram 10 mg/d ab dem 15.02.2019 Consultation psychiatrique (Dr. X) am 20.02.2019: une IRM au cours est indiquée pour exclure une démence. Poursuivre avec Escitalopram. Aucune physiothérapie agressive. Discuter d'un éventuel placement en maison de retraite avec le patient plus tard. • GEA • GEA • GEA débutante, probablement virale, sans signes de déshydratation • GEA débutante sans signes de déshydratation • GEA sans signes de déshydratation • GEA virale • GEA virale avec déshydratation légère DD : • pas d'argument pour IU ni récidive de la glomérulonéphrite • GEA virale débutante • Exanthème périnéal DD: irritatif, viral • Gelclair 3x/jour. • Gel-LET et bandage compressif au tri • Avis orthopédique (Dr. X) • Pose de Stéristrip à garder durant 10 jours avec bandage autour • Ne pas mouiller la plaie • Gémissements sur pneumonie • Gêne abdominale mise sur le compte des cicatrices récentes, pas de franches douleurs, pas de signes d'irritation péritonéale. Diagnostic différentiel de ses troubles mictionnels aigus: cystite bactérienne, cystite virale, diabète de type 1 débutant. Au vu de la glycémie légèrement élevée (à 4h du dernier repas) sans glucosurie et de l'absence de signes d'infection urinaire au sédiment, proposition de retour à domicile avec contrôle aux urgences demain 13.02 matin à jeun pour nouvelle glycémie +/- nouveau sédiment urinaire. En attendant, culture d'urines en cours. • Gêne dans le plâtre au poignet gauche : • status post confection d'un plâtre scaphoïde à la consultation du team membre supérieur du 23.01.2019 pour une fracture scaphoïde gauche associée à une fracture du radius distal le 18.02.2019. • Gène des matériaux de spondylodèse L4-S1. • AMO spondylodèse Pangea L4-S1. • Gêne du matériel d'OS et cal vicieux sur status post • Réduction ouverte, OS fracture fémur distal D par lame plaque en 2014 • Gêne du matériel d'ostéosynthèse et cal vicieux après réduction ouverte et ostéosynthèse du fémur distal droit par lame plaque en 2014 • Ablation du matériel d'ostéosynthèse, prise de biopsies, ablation d'exostose le 05.02.2019 • Gêne fonctionnelle face plantaire IPP D3 à D • Gêne oculaire sur diplopie d'origine probablement centrale et sécheresse • Gêne résiduelle après suture d'une lésion PASTA du tendon du sus-épineux de l'épaule droite le 29.01.2018. • Gêne sur une vis d'interférence intra-tendineuse pôle supérieur rotule et sur une vis d'interférence extrusive épicondyle médial genou G sur status post reconstruction MPFL genou G en juin 2017 (Dr. X, clinique générale). • Gêne sus-pubienne d'origine indéterminée. • Gêne thoracique à caractère de tiraillement le 06.02.2019 • probablement d'origine anxieuse. • Gêne thoracique de caractère tiraillement le 06.02.2019. • Gêne/irritation de l'oeil droit. • Genou D : • Chondropathie fémoro-patellaire de grade IV. • Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de la rotule en 1981. • Status post stabilisation de la rotule et greffe spongieuse 1983. • status post déchirure du LCA, traitée conservativement en 1981. • Genou D : • déchirure du LCA. • entorse du LLE grade I le 21.01.2019. • Genou D : • déchirure du LCA. • entorse du LLE grade I le 21.01.2019. • Genou D : • Arthrofibrose et possible patellar clunk syndrome. • Status post arthroplastie totale du genou D le 01.12.2017 (Prothèse Persona, fémur cimenté PS narrow taille 4, tibia cimenté 5° taille C, polyéthylène fixed bearing taille 10, all polypatella cimenté taille 29 mm de diamètre et 8 mm d'épaisseur). • Status post arthroscopie synovectomie partielle, ménisectomie partielle et ablation de 3 corps libres, ostéophytectomie du pôle supérieur de la rotule au genou D le 14.02.2017. • Genou D : • déchirure du ligament croisé antérieur • déchirure sub-totale du LLI distal. • Genou D : • Déchirure LCA D le 25.01.2019. • Déchirure LLI grade II-III. • Lésion bien délimitée au niveau métadiaphysaire du tibia proximal (DD: fibrome non ossifiant, dysplasie fibreuse, autre). • Genou D : distorsion ligament collatéral interne • DD : lésion méniscale, lésion du LCA. • Genou D : • Entorse du LLI de grade I-II • Rupture du LCP (partielle versus complète) • Dysplasie fémoro-patellaire avec possible 1er épisode de luxation de la rotule • Genou D : Inflammation de la Patte d'Oie et des ischio-jambiers intérieurs avec déconditionnement léger suite à un traumatisme au ski il y a un an. • Genou D : lésion cartilagineuse rétro-patellaire le 07.09.2018 • Genou D : lésion LCA. Lésion LLI en août 2017. • Genou D (traumatisme du 25.01.2019) : • déchirure complète du ligament croisé antérieur. • déchirure du LLI distal. • déchirure verticale de la corne postérieure du ménisque externe en zone rouge.Fibrome non ossifiant métadiaphysaire tibia proximal. Genou droit : rupture probablement complète du ligament croisé antérieur associée à une lésion stade III du ligament collatéral interne. Genou G : • déchirure du ligament croisé antérieur. • déchirure du LLI de grade II à III. • déchirure du corps du ménisque externe le 20.01.2019. Genou G : • déchirure du LLI de grade II-III. • déchirure du LCP grade III. • déchirure horizontale de la corne postérieure du corps du ménisque interne s'étendant en surface tibiale. Genou G : • déchirure verticale de la corne postérieure du ménisque interne. • entorse du LCP. Genou G : • entorse du LLI grade I. • lésion chondrale facette rotulienne externe grade IV. Genou G : • déchirure complète du ligament croisé antérieur. • anse de seau du ménisque interne. Genou G : • déchirure du LCA. • déchirure du LLI grade II à III le 26.01.2019. Genou G : fracture d'enfoncement du plateau tibial postéro-externe associée d'une distorsion du ligament collatéral externe et d'une moindre importance du ligament croisé antérieur. Genou G : • instabilité persistante après plastie du LCA, probablement à partir des tendons ischio-jambiers en 2012 (Dr. X, Clinique Générale). • statut méniscectomie interne pour une lésion anse de seau fissurée en janvier 2014 (Dr. X, Clinique Générale). Genou G : instabilité rotulienne, probable nouveau épisode le 28.01.2019. Genou G : instabilité rotulienne. Probable nouveau épisode le 28.01.2019. Genou G : Lésion LCP. Lésion LLE. Genou D : Lésion LLE. Ébauche d'arthrose interne. Genou G : statut post arthroscopie avec rinçage et incision, débridement et boursectomie partielle infra-patellaire le 12.01.2019 sur : Bursite infra-patellaire et suspicion arthrite septique genou G. Genou gauche : • fracture d'avulsion de l'épine tibiale en regard de l'insertion du LCA. • fracture isolée du péroné proximal non déplacée. Genou gauche : entorse stade I LLI. Genou gauche : lésion du ménisque interne. Gentamicine 4 mg/kg/j et Amoxicilline 200 mg/kg/j aux 6 h pendant 24 h puis 100 mg/kg/j aux 8 h dès 30.01. Bilan sanguin et urinaire monitoring cardio-respiratoire en continu Sédiment urinaire fortement positif. Culture d'urine négative (prélevée après le début d'antibiothérapie). Hémoculture stérile. Culture LCR stérile. US rénal le 31.01 - dilatation minime visible comme résultat d'urosepsis, pas de malformation sous-jacente objectivée, vessie sp. GERD. Dyslipidémie. État dépressif sur contexte d'isolation sociale. Mild Cognitive Impairment. Vertige positionnel paroxystique bénin. Diverticulite avec suspicion de perforation couverte le 04/2015. Geste technique. Gestion antalgie. Gestion antalgique. Gestion de douleurs Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 14 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Gestion de l'antalgie et renutrition. Gestion de l'antalgie Physiothérapie de mobilisation. Gestion de l'antalgie Physiothérapie de mobilisation. Gestion de l'antalgie Majoration de d'Irbesartan. Gestion des douleurs dans contexte oncologique Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 10 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Gestion des symptômes Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 24 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. G-Fast : 0. À Riaz NIHSS 3 : Chute du MSD à 10 sec sans toucher le lit, ataxie doigt-nez présente MSD, hypoesthésie MSD. Labo. Transfert à Fribourg pour un Time is brain. Aux urgences HFR à 21 h 25 : NIHSS 1 hypoesthésie du MSD, pas d'ataxie. Après CT : NIHSS 2 hypoesthésie toucher-piquer membre inférieur et membre supérieur droit, ataxie avec MSD. CT cérébral : masse extra-axiale de 38 x 27 x 28 mm qui prend le contraste de manière homogène, pas d'effet de masse mais œdème péri-lésionnel, vaisseaux pré-cérébraux perméables, artère cérébrale moyenne avec léger rétrécissement M3. Avis neuro Dr. X : mettre en place un traitement anti-épileptique et dexaméthasone, diagnostic de symptomatologie comitiale. ECG. Avis neuro-chirurgie Bern Dr. X : pas de dexaméthasone pour le moment, mettre 2 x 500 mg de Keppra/j, effectuer un IRM et EEG dès que possible. Pas d'indication à un transfert et hospitalisation en urgences. Consilium EEG : IRM dès que possible : ATT • hospitalisation en chirurgie, discuter avec le patient de la prise en charge. GFR le 11.02.2019 21 ml/min. Gilet orthopédique bras G à porter jusqu'à 6 semaines postopératoires. Gilet orthopédique. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Gilet orthopédique et antalgie Repos 6 semaines Consultation urgences de pédiatrie le 03.02 pour CT-scan. Gilet orthopédique pendant 6 semaines Mobilisation de l'épaule en passif jusqu'à une rotation externe de 10° et abduction/flexion à 90°. Gilet orthopédique. Contrôle en ortho-urgences dans une semaine. A réévaluer la physiothérapie après une semaine. Gilet XS étant trop grand pour elle, décision de laisser guérir sans immobilisation. Gingivostomatite. Gingivo-stomatite le 18.02.2019. GIU à 6 1/7 SA selon LCC chez patiente Mme. Y G III P de 40 ans • spotting sans facteur déclencheur. GS : 0 Rh positif. GIU à 6 1/7 SA (selon LCC) qui correspond pas à l'aménorrhée d'évolutivité douteuse. GIU évolutive à 6 1/7 SA selon LCC. Glace et antalgie. Pas d'attelle vu tendance à contracture musculaire et peur de fléchir. Contrôle chez pédiatre si persistance des douleurs dans 2-3 jours. Glace anti-inflammatoires topiques suivi clinique. Glande surrénale gauche avec 2 nodules : • CT abdominal 2015. • CT abdominal 6/2016 : idem. Tremor essentiel. Cardiopathie hypertensive avec hypertrophie concentrique avec douleur thoracique transitoire d'origine indéterminée le 04.05.2018 • Échocardiographie le 04.05.2018 FEVG 60 % sans trouble de la cinétique segmentaire apparent. Pas de valvulopathie significative, pas d'image suggestive de strain du VD. Dysfonction diastolique II.Coronaires saines le 04.05.2018 Hypertension artérielle • Coronarographie le 04.05.2018 : coronaires saines Malnutrition protéino-énergétique grave avec suspicion de manque de vitamines (exclu pour vitamine B12 et folate) Glande surrénale gauche avec 2 nodules: • CT abdominal 2015 • CT abdominal 6/2016 : idem Tremblement essentiel Cardiopathie hypertensive avec hypertrophie concentrique avec douleur thoracique transitoire d'origine indéterminée le 04.05.2018 • Echocardiographie le 04.05.2018 FEVG 60 % sans troubles de la cinétique segmentaire apparents. Pas de valvulopathie significative, pas d'image suggestive de strain du VD. Dysfonction diastolique II. • Coronaires saines le 04.05.2018 Hypertension artérielle • Coronarographie le 04.05.2018 : coronaires saines Malnutrition protéino-énergétique grave avec suspicion de manque de vitamines (exclu pour vitamine B12 et folate) Glasgow score 15/15. Status neurologique normal. Retour à domicile, accompagné par son frère et sa copine, hydratation per os +++. Glaucome • Décollement rétinien • Suivi à l'Inselspital avec quasi-cécité (ne peut voir que la lumière) Glaucome bilatéral. Probable polyneuropathie périphérique avec ataxie proprioceptive des 2 membres inférieurs. Anévrisme de 1.5 cm du tronc basilaire partiellement thrombosé, découvert au CT du 20.11.2018. Anévrisme de la crosse de la racine de l'aorte à 42 mm. FRCV : HTA traitée, HCT traitée, Tabagisme actif > 50 UPA. Glaucome pseudo-exfoliatif à angle ouvert bilatéral traité par DuoTrav. Cataracte œil gauche. DMLA débutante. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Anévrisme de l'aorte abdominale. Glaucome traité. Hypertrophie bénigne de la prostate traitée par Proscar et suivi par Dr. X. Glaucome Conjonctivite de l'œil droit : ectropion de la paupière inférieure • Correction chirurgicale par Dr. X le 24.04.2018 Glaucome Consommation d'OH Glaucome Hypertension artérielle traitée Glaucome. Kystes rénaux gauches. Bloc de branche droit connu. Glaucome Lymphome type MALT oculaire G suivi par Dr. X Conjonctivite de l'œil droit : ectropion de la paupière inférieure • Correction chirurgicale par Dr. X le 24.04.2018 Glaucomes des deux yeux suivis et traités. Glioblastome fronto-pariétal gauche de stade 4 selon l'OMS, IDH1 non muté, sans perte d'ATRX, MIB-1 à 30 %, MGMT méthylé • Symptomatologie initiale : hémisyndrome facio-brachio-crural droit en juin 2018 • Exérèse quasiment complète de la lésion frontale rolandique gauche le 20.06.2018 • IRM le 21.06.2018 : résidu au bord antéro-médial et inférieur de la cavité de résection avec atteinte ischémique aiguë du centre semi-ovale gauche • Radiothérapie (60 Gy, 30 séances) du 30.07 au 10.09.2019 et chimiothérapie par Témozolomide • IRM du 09.10.2018 : stabilité de la maladie oncologique • Chimiothérapie de maintenance par Témozolomide du 10.10 au 12.12.2018 • IRM du 18.12.2018 : progression de la maladie oncologique • Chimiothérapie par Lomustine débutée le 18.12.2018 aux 6 semaines, C2 le 29.01.2019 annulé • Suivi oncologique au CHUV Globe urinaire Globe urinaire à répétition sur probable atrophie vésicale Globe urinaire à 750 ml le 22.01.2019 dans un contexte de : • hyperplasie de la prostate connue traitée par Tamsulosine. Globe urinaire à 750 ml le 22.01.2019 dans un contexte d'hyperplasie de la prostate connue traitée par Tamsulosine. Sonde urinaire dès le 22.01.2019. Décompensation de BPCO (2 critères d'Anthonisen) le 14.01.2019 avec culture d'expectorations le 14.01.2018 : Moraxella catarrhalis • BPCO stade IV oxygénodépendante à domicile. Inflammation cutanée locale au niveau de la sonde de PEG le 16.01.2019, pose en 2014. Anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 108 g/l le 15.01.2019 de probable origine inflammatoire avec B12, acide folique, TSH et ferritine dans la norme le 25.05.2018. Furoncle sur la fesse droite le 21.06.2017. Hépatite mixte cholestatique et hépato-cellulaire d'origine indéterminée. Lymphome folliculaire stade initial IV selon Ann Arbor : • Status post 5 cycles de R-CHOP en mai 2014. • Status post 3 cycles de thérapie de maintien par Rituximab d'août à décembre 2014. Pemphigus paranéoplasique avec atteinte muco-cutanée diagnostiqué en 2014, réfractaire au traitement par Ciclosporine, Immunoglobuline et Prednisone avec : • stomatite lichénoïde (ouverture buccale limitée). • œsophagite lichénoïde (sténose du tiers moyen). • Alimentation par PEG depuis mai 2014 en raison de troubles sévères de la déglutition dans le contexte du pemphigus paranéoplasique. Bronchiolite oblitérante sur pemphigus paranéoplasique : • syndrome obstructif très sévère. • insuffisance respiratoire globale sous oxygénothérapie continue à 1.5 lt/min. • échec d'appareillage par VNI en 2017. • dyspnée stade 4 selon NYHA. Globe urinaire avec : • Adénocarcinome de la prostate en stade cT3 cN0 M0 Gleason 7, high risk • Date du diagnostic : 12.10.2016 • Histologie (Promed P10886.16) : adénocarcinome acinaire Gleason score 3 + 4 = 7 dans les biopsies des deux lobes prostatiques • Status post-biopsie de la prostate le 11.10.2016 • PSA initial 29 ng/ml • CT thoraco-abdominal et pelvien du 14.07.2016 : prostate sans particularité. Pas d'adénopathie palpable ou de métastase à distance décelables. • Scintigraphie osseuse du 28.10.2016 : absence de métastase osseuse. • TB interdisciplinaire du 03.11.2016 : traitement à visée curative, radiothérapie et hormonothérapie (longue durée) • Contexte de carcinome urothélial papillaire faiblement différencié uretère droit avec statut post-néphrectomie droite Globe urinaire dans le contexte d'hypertrophie bénigne de la prostate Globe urinaire le 03.01.2019 supérieur à 1 000 ml Globe urinaire le 16.02.2019 Globe urinaire le 16.02.2019 à 1200 cc • ablation traumatique de la sonde par patient le 20.02.2019 • hématurie et petite lésion au niveau du pénis Globe urinaire le 19.01.2019 • Uricult 19.01.2019 : E. coli ESBL Globe urinaire le 30.09.2018 avec récidive le 14.10.2018 suite au retrait accidentel de la sonde vésicale Encéphalite et polyradiculonévrite sur immunothérapie (Ipilimumab et Nivolumab) en décembre 2018 avec : • trouble de l'initiative • ralentissement idéomoteur • parésie MID > MIG • parésie proximale MSG • troubles sphinctériens Globe urinaire sur probable hyperplasie de la prostate. Globe urinaire sur retrait sonde vésicale le 01.02.2019 Globe urinaire > 900 ml le 30.01.2019 Globe vésical Globe vésical Globe vésical avec hématurie macroscopique et infection urinaire à E. coli le 18.01.2019 • PSA : 6.9 ng/ml, FPSA : 1.72 ng/ml, FPSA/PSA : 25 % (le 19.01.2019) • Sonde vésicale et rinçage en continu dès le 18-21.01.2019 + 25.- 30.01.2019 • Changement de sonde les 23 et 25.01.2019 • Ciproxine 500 mg 2x/j du 21.01.-28.01.2019 • Duodart dès le 21.01.2019 Globe vésical dans un contexte de CA de la prostate le 25.02.2019. Globe vésical de 1 000 ml le 18.01.19 Globe vésical de 1.5 L. Globe vésical, d'étiologie multifactorielle (sevrage, sédation, hyperplasie prostatique), le 28.02.2019 Globe vésical le 04.02.2019. Globe vésical le 06.02.19 Globe vésical le 06.02.2019 Globe vésical le 07.01.2019 à 748 ml Globe vésical le 07.02.2019 Globe vésical le 11.02.2019. • sur hyperplasie bénigne de la prostate probable. DD : masse prostatique. Globe vésical le 17.02.2019 Globe vésical le 18.01.2019 (env. 1 litre) sur alitement et possible atteinte sphinctérienne Globe vésical le 24.01.2019 Globe vésical postopératoire Globe vésical post-retrait de sonde le 13.02.2019 Globe vésical sur hyperplasie bénigne de la prostate et infection urinaire à E. coli avec hématurie macroscopique secondaire à l'anticoagulation le 18.01.2019 • S/p hématuries récidivantes, pas de suivi urologique • US voies urinaires / CT abdominal natif le 10.07.2017 : kyste rénal interpolaire à droite. Pas de calcul. Globe vésical sur hyperplasie bénigne de la prostate (non connue le 06.12.2017) • sous Pradif au long cours Etat fébrile à 39°C sur atélectasie basale G le 07.12.2017 Sténose canalaire dégénérative L4-L5 sur discopathie et hypertrophie ligamentaire avec kyste (Dr. X) Spondylodèse L4-L5 par système Viper (vis 6.0/50, tiges 45) + décompression ddc Discectomie complète L4-L5 et mise en place d'une cage TLIF Juliet hauteur 10 (OP le 29.04.2017) Globe vésical sur sonde urinaire. Globe vésical sur sonde vésicale bouchée. Glomus pharyngien le 16.02.2019. Gluc sol inj 40 % : • organiser les soins à domicile Glucosalin 500 ml iv rapide. G5 % 1000 ml/24 h. Suivi clinique. Glucose G5 % iv. Surveillance glycémie. Adaptions de la Lantus à 8 U si à jeûn. Glucose iv Glucose 10 % intraveineuse par cathéter veineux ombilical du 28.11 au 3.12.2018 Sonde naso-gastrique du 28.11 au 09.12.2018 Glycémie : 5.6 mmol/L Laboratoire : sans particularité Gazométrie : sans particularité ECG : superposable • suspension des traitements psychotropes (Haldol, Risperidone) du 13.02 au 15.02.2019 • reprise de l'Haldol le 17.02.2019 Glycémie à 11.2 mmol/l Glycémie à 17.5 mmol/l le 29.01.2019 Glycémie à 4.9 mmol/l le 23.01.2019 sur : • diabète type 2 insulino-requérant • diminution des apports oraux dernièrement. Glycémie à 5.4 mmol/l. Avis psychiatrique. Hospitalisation à Marsens en mode volontaire. Glycémie à 7.8 • avec glucose urinaire et corps cétoniques urinaires Glycémie post second malaise à 4.7 mM. ECG (en raison de l'anamnèse familiale d'arythmie d'étiologie indéterminée chez père) : RSR 70 /min, axe env 90°, PR 120 msec, QRS fins, bonne progression de l'onde R, ST isoélectrique, QTc 340 msec (Bazett) Glycémie 6.9 mmol/l. Prednisone 30 mg aux urgences et à poursuivre jusqu'au 25.02.2019. Rendez-vous de suivi chez son médecin traitant le 28.02.2019. Informée du risque de décompensation du diabète et des mesures à prendre, appelle son médecin en cas d'impossibilité avec schéma de correction. Glycémie ECG Glycémies 4x/j Goitre hétéro-nodulaire plongeant dans le médiastin avec déviation à droite de la trachée Goître médiastinal le 20.02.2019 • TSH à 0.441 mU/l, T4 libre à 15 pmol/l, T3 à 1.5 nmol/l Goitre multinodulaire avec fonction euthyroïdienne : • Nodule thyroïdien dans le lobe thyroïdien droit, mesurant 3.2 x 2.6 x 2.1 cm oncocytaire : Ponction à l'aiguille fine : classification selon Bethesda IV Thyroïdectomie totale bilatérale avec neuromonitoring le 27.11.2018 Substitution par Euthyrox 150 mcg 6j/7 dès le 28.11.2018 Tumeur papillome du sein droit Diabète de type II insulino-requérant Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle • obésité morbide avec BMI à 51 kg/m2 • hypercholestérolémie Syndrome des apnées du sommeil non appareillé Goître multinodulaire avec : • nodule dominant du lobe droit mesurant 2.9 x 206 x 2.3 cm avec atypie nucléaire dans une lésion d'architecture folliculaire le 28.11.18 (Bethesda IV-V) • fonction euthyroïdienne Goitre multi-nodulaire de la thyroïde. Hypertension artérielle. Dépression. Goitre multinodulaire droit avec : • Status post lobectomie thyroïdienne droite (adénome micro-folliculaire) Diabète de type 2 non insulino-requérant Trouble de la mobilité d'origine multifactorielle • Implantation d'une prothèse totale inversée de l'épaule gauche avec greffe osseuse sur la glène (Affinis inverse 9.125, glénosphère 39) le 12.11.2018 pour luxation gléno-humérale antérieure invétérée de l'épaule gauche avec fracture de la glène antéro-inférieure • Polyarthrose avancée avec : • status post infiltration de la sacro-iliaque à gauche le 11.10.2018 • coxarthrose bilatérale • arthrose facettaire et ostéophytose de la colonne lombo-sacrée • status post prothèse totale de genou à gauche en 2009 Gonalgie. Gonalgie. Gonalgie. Gonalgie. Gonalgie à D. Kyste poplité au niveau de la face latérale du genou D. Gonalgie à droite le 16.02.2019 • DD : tendinite de la patte d'oie. Gonalgie D avec trouble de la marche Gonalgie décompensée G. Décompensation arthrosique compartiment interne genou D. Décompensation de chondrocalcinose au genou G. • Status post méniscectomie des deux genoux en 2015 (Dr. X). Gonalgie droite. Gonalgie droite. Gonalgie droite, compartiment médial (DD : lésion méniscale, syndrome fémoro-patellaire) Gonalgie droite sur descellement aseptique d'une PTG (changé en 2016) Gonalgie droite sur gonarthrose sévère avec • douleurs référées sur face latérale de la hanche droite Gonalgie du genou D. Gonalgie gauche. Gonalgie gauche. Gonalgie gauche. Gonalgie gauche chronique sur lésion du ligament patellaire suite à une chute en été 2018. Gonalgie gauche d'origine indéterminée DD : suspicion d'atteinte méniscale ddc, conflit fémoro-patellaire. Douleurs antérieures genou G. Gonalgies. Gonalgies aigües gauches sur gonarthrose DD lésion méniscale Gonalgies D (DD : polyarthrite rhumatoïde, prothèse, autre). Status post prothèse unicompartimentale fémoro-tibiale interne en juillet 2013 révisée en février 2014 (Dr. X). Gonalgies D spontanées : • DD : dans le contexte d'un flexum de 20° du genou dû à une fracture du fémur distal à l'âge de 10 ans. • Infiltration du genou D le 17.01.2019. Gonalgies D sur gonarthrose tri-compartimentale à prédominance du compartiment fémoro-tibial interne Gonalgies droite Gonalgies droites chroniques d'origine peu claire. Gonalgies droites chroniques le 09.02.2019 avec status post-arthroscopie pour lésion méniscale le 11.07.2018 (Dr. X), suivies par le Dr. X, orthopédiste. Gonalgies droites sur décompensation arthrosique Gonalgies du genou droit après plusieurs traumatismes. Gonalgies gauches chroniques aggravées dans contexte traumatique. DD : lésion méniscale, conflit fémoro-patellaire. Gonalgies gauches dans un genou multi-opéré. Gonalgies gauches d'origine indéterminée, en rémission complète. Gonalgies gauches suite à un traumatisme Gonalgies gauches sur probable kyste de Baker en juin 2017 Gonalgies gauches sur usure cartilagineuse condyle fémoral interne dd : Kyste de Baker. Status post implantation de PTG droite le 24.1.2018. Gonalgies gauches sur usure cartilagineuse condyle fémoral interne dd : Kyste de Baker. Status post implantation de PTG droite le 24.1.2018. Gonalgies genou D sur décompensation musculaire. Gonalgies post opératoire Gonalgies sans traumatisme le 12.02.2019. Gonarthrose à D débutante. Gonarthrose à prédominance fémoro-tibiale interne et fémoro-patellaire bilatérale. Gonarthrose activée tricompartimentale genou droit post-traumatique : Status post-ostéotomie de valgisation tibia proximal interne à droite.Status post-reconstruction (3x) du ligament croisé antérieur par le Dr. X. Status post-AS (2x) du genou droit. • Gonarthrose bilatérale. • Gonarthrose compartiment externe et rétro-patellaire genou G. • Gonarthrose douloureuse, décompensée bilatéralement. • Gonarthrose droite tricompartimentale. • Gonarthrose du compartiment interne bilatéral sur une configuration de jambe en O. • Gonarthrose du genou gauche hépatite C tabagique. • Gonarthrose fémoro-patellaire genou gauche. • Status post infiltration du genou gauche le 26.9.2018. • Status post infiltration du genou gauche le 16.1.2019. • Gonarthrose fémoro-tibiale du compartiment médial et fémoro-patellaire des deux genoux, plus prononcée à gauche. • Gonarthrose fémoro-tibiale interne à G. • Gonarthrose fémoro-tibiale interne gauche débutante. • Gonarthrose gauche acutisée. • Gonarthrose gauche, tricompartimentale. • Status post-plastie du LCA à gauche le 04.07.2018. • Status post-arthrodèse droite en 2000. • Gonarthrose genou D. • Gonarthrose. • Maladie inflammatoire chronique de la peau dans la région génitale. • Gonarthrose tri-compartimentale à prédominance fémoro-tibiale interne, genou gauche. • Gonarthrose tri-compartimentale bilatérale avancée. • Gonarthrose tricompartimentale D. • Gonarthrose tri-compartimentale débutante à G. • Gonarthrose tricompartimentale débutante ddc. • Gonarthrose tricompartimentale du genou droit. • Gonarthrose tricompartimentale du genou droit. S/p recentrage de l'appareil extenseur, ostéotomie de varisation du fémur distal gauche. • Gonarthrose tricompartimentale du genou gauche. • Status post-arthrodèse talo-naviculaire par le Dr. X en octobre 2016, à droite. • Suspicion de déscellement implant tibial. • Status post hémi-arthroplastie fémoro-tibiale interne genou droit le 06.01.15 pour une gonarthrose fémoro-tibiale interne droit. • Gonarthrose tricompartimentale du genou gauche. • Nécrose aseptique lunaire poignet gauche. • Gonarthrose tricompartimentale et chondrocalcinose genou D. • Status post stabilisation de la rotule D et ostéotomie de la TTA avec ablation secondaire du matériel. • Gonarthrose tricompartimentale G et probable lésion méniscale. • Cataracte bilatérale. • Vessie hyperactive VS trouble obstructif de la prostate. • Diabète de type II. • HTA. • Dyslipidémie. • Gonarthrose tricompartimentale G. • Status post AS genou G avec micro-fractures compartiment interne et OST valgisante tibia proximal avec plaque Tomofix le 21.05.2008 par le Dr. X. • Gonarthrose tricompartimentale gauche décompensée. • Gonarthrose tri-compartimentale genou gauche. • PTG à droite dans les années 90, Dr. X à l'HFR. • Gonarthrose tricompartimentale varisante à D. • Status post implantation PTH G le 12.12.2007 (Dr. X). • Gonarthrose tricompartimentale varisante D. • Gonarthrose varisante à prédominance fémoro-tibial interne et fémoro-patellaire à D. • Status post plastie LCA du genou G. • Goutte cheville droite. • Fracture L5 type AO A1. • Cyphoplastie bipédiculaire de L5 par système Tektona avec cimentage par cohésion 7 cc. • Biopsie L5 (OP le 14.03.2016). • Goutte cheville droite. • Fracture L5 type AO A1. • Cyphoplastie bipédiculaire de L5 par système Tektona avec cimentage par cohésion 7 cc. • Biopsie L5 (OP le 14.03.2016). • Goutte cheville droite. • Fracture L5 type AO A1. • Cyphoplastie bipédiculaire de L5 par système Tektona avec cimentage par cohésion 7 cc. • Biopsie L5 (OP le 14.03.2016). • Goutte cheville droite. • Fracture L5 type AO A1. • Cyphoplastie bipédiculaire de L5 par système Tektona avec cimentage par cohésion 7 cc. • Biopsie L5 (OP le 14.03.2016). • Goutte de l'articulation première métatarso-phalangienne droite. • Goutte. • sous Allopurinol. • Goutte traitée. • Maladie coronarienne (obstruction de la coronaire droite) avec échec de PTCA en 2001. • Insuffisance veineuse chronique des MI. • Lymphoedème des MI sur insuffisance veineuse et lymphatique. • Lombosciatalgie droite sur canal lombaire étroit avec conflit sur racine L5 D. • Arthrose sévère de l'épaule G. • Diverticulose sigmoïdienne. • Cystocèle avec incontinence urinaire de stress. • Syndrome obésité/hypoventilation et syndrome d'apnées du sommeil sous VNI nocturne (14/22). • Insuffisance respiratoire globale. • BMI à 61 kg/m2. • Syndrome restrictif moyen (VEMS 64%). • Diffusion du CO dans les limites de la norme à 82% en septembre 2016. • Tabagisme actif. • HTA traitée. • Restless leg syndrome. • Obésité stade III. • Diabète de type 2 non insulino-requérant. • Constipation chronique, traitée. • Syndrome du tunnel carpien droit. • Goutte. • Fracture de cheville. • Résection vésicule biliaire. • Goutte. • Fracture de cheville. • s/p résection vésicule biliaire. • Goutte. • Fracture de cheville. • s/p résection vésicule biliaire. • Goutte. • Fracture de cheville. • s/p résection vésicule biliaire. • Gouttes de Tobradex. • Contrôle chez le médecin traitant. • Gouttes ophtalmiques antiseptiques. • Goutte. • S/p OP radius avec greffe tibiale. • Grande tabagique. • Granulome à fil sur status post réduction ouverte et ostéosynthèse d'une fracture du tiers-moyen de la clavicule droite le 2.1.2019. • Griffure de chat. • Griffures et morsures de chat au niveau des deux mains. • Griffures et morsures de chat au niveau des 2 mains, le 24.02.2019. • Grippale symptome. • Grippe. • Grippe A. • Grippe A avec insuffisance respiratoire aiguë sévère le 03.02.2019. • Grippe A avec surinfection bactérienne à germe indéterminé le 11.02.2019. • Insuffisance respiratoire aigue partielle. • Choc septique associé. • Grippe A compliquée d'insuffisance respiratoire globale le 15.02.2019. • Grippe à Influenza A. • Grippe à Influenza A avec : • Insuffisance respiratoire hypoxémique. • Exacerbation BPCO. • Surinfection bactérienne secondaire. • Grippe à Influenza A compliquée d'une insuffisance respiratoire globale aiguë le 26.01.2019. • syndrome d'hypoventilation sur obésité. • bronchoaspiration. • Grippe à Influenza A le 12.02.2019. • Grippe à Influenza A le 28.01.2019. • Grippe à Influenza A le 29.01.2019. • avec surinfection bactérienne et pneumonie basale droite. • Grippe A le 05.02.2019. • Insuffisance respiratoire aiguë globale avec exacerbation de BPCO. • Colonisation secondaire par Klebsiella pneumoniae et Pseudomonas aeruginosa. • Grippe A, le 12.02.2019. • pneumonie acquise en communauté concomitante possible.Grippe A le 14.02.2019 • Insuffisance respiratoire globale sur probable surinfection bactérienne secondaire le 20.02.2019 Grippe A nosocomiale le 18.02.2019 Grippe A nosocomiale le 18.02.2019 • vaccination contre la grippe chez le médecin traitant en octobre 2018 Grippe A DD: • Grippe • Primo-infection herpétique (1er bouton de fièvre, fièvre et fatigue, pas de splénomégalie) • Parvovirus B19 (langue framboisée mais pas d'érythème des joues avec pâleur péri-buccale, pas d'adénopathies, pas de splénomégalie) • Kawasaki > • > 5 jours de fièvre avec bouton de fièvre sans chéilite mais langue framboisée, pas d'autres arguments cliniques Grippe avec début de surinfection bronchique. Grippe avec début de surinfection bronchique le 16.02.2019. Grippe avec Influenza A positive Grippe, avec suspicion pneumonie surinfectée • chez un patient connu pour des pneumonies à répétition sur broncho-aspiration, cf. diag. supp. 1 • frottis positif pour Influenza A • Labo du 14.02.2019: CRP 158 mg/L, pas de leucocytes. Grippe Influenza A avec insuffisance respiratoire globale dans un contexte de BPCO sévère le 24.01.2019 Grippe Influenza A avec insuffisance respiratoire partielle le 22.02.2019 • Suspicion de surinfection pulmonaire bactérienne • Syndrome obstructif connu dans le cadre de bronchectasies Grippe Influenza A avec pneumonie bilatérale communautaire le 20.02.2019 Grippe influenza A avec possible surinfection bactérienne le 31.01.2019 • CURB 65 à 2 points Grippe Influenza A avec probable surinfection pulmonaire le 12.02.2019 Grippe Influenza A chez une patiente immunosupprimée le 10.02.2019. Grippe Influenza A compliquée d'un ARDS avec possible surinfection bactérienne le 15.02.2019 • HIV négatif, Ag urinaires négatifs Grippe Influenza A compliquée d'un syndrome de détresse respiratoire aiguë avec possible surinfection bactérienne le 15.02.2019 • HIV négatif, Antigènes urinaires négatifs Grippe Influenza A compliquée d'une insuffisance respiratoire aiguë le 14.02.2019 avec: • surinfection bactérienne à Pneumocoque Grippe Influenza A compliquée d'une insuffisance respiratoire globale aiguë dans un contexte de BPCO stade IV D Grippe Influenza A compliquée d'une pneumonie à Haemophilus influenzae et insuffisance respiratoire globale le 25.01.2019 Grippe Influenza A et gastroentérite au décours le 10.02.2019 Grippe Influenza A le 11.02.19 Grippe Influenza A le 11.02.2019 Grippe Influenza A le 20.02.2019 • Surinfection bactérienne par S. aureus • Insuffisance respiratoire globale sévère c/o BPCO stade IV Grippe Influenza A le 30.01.2019 • surinfectée avec suspicion de pneumonie inférieure droite à Pneumocoque surajoutée Grippe Influenza A nosocomiale avec état fébrile à 39.5° le 01.02.2019 Grippe Influenza A pneumonie basale droite à germe indéterminé le 20.02.2018 • Avec insuffisance respiratoire partielle Grippe Influenza de type A, le 12.02.2019 • Suspicion de pneumonie acquise en communauté concomitante Grippe le 13.02.2019. Grippe le 24.02.2019. Grippe saisonnière Influenzae A positif (frottis du 09.02.2019) Grippe saisonnière le 03.02.2019. Grippe saisonnière. Irritation diaphragmatique sur effort de toux, avec douleurs référées épaule droite. Gros rinçage de nez aux urgences Grossesse. Grossesse à la 22e SA Grossesse à 22 SA Grossesse à 5 semaines d'aménorrhée chez G1P0. Grossesse à 8 semaines d'aménorrhée avec: • douleurs crampiformes du bas abdomen suite à l'agression physique. Grossesse cervicale chez patiente 2G1P à 6 2/7 semaines d'aménorrhée Grossesse de 5 mois. Grossesse et accouchement sans problème Grossesse évolutive, non désirée, à 6 0/7 semaines d'aménorrhée le chez une patiente, 2G 0P, de 22 ans Grossesse évolutive, non désirée, à 6 5 /7 semaines d'aménorrhée chez une patiente primigeste, de 24 ans. Grossesse évolutive, non désirée, à 7 1/7 semaines d'aménorrhée le chez une patiente, 3G 2P, de 32 ans Grossesse évolutive, non désirée, à 7 4 /7 semaines d'aménorrhée le chez une patiente, primigeste, de 19 ans Grossesse évolutive, non désirée, à 9 4/7 semaines d'aménorrhée le chez une patiente, 1G 0P, de 18 ans Grossesse évolutive, non désirée, à 9 5 /7 semaines d'aménorrhée le chez une patiente, 4G 2P, de 24 ans Grossesse extra-utérine ampullaire gauche à 6 6/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 4G1P de 30 ans Grossesse extra-utérine gauche non rompue à 5 6/7 semaines d'aménorrhée après échec de traitement médicamenteux par Méthotrexate. Grossesse intra-utérine de 10 SA chez G2P1 le 09.02.2019. Grossesse intra-utérine évolutive à 6 1/7 SA (selon LCC) chez patiente 5G 2P Grossesse non désirée à 8 2/7 semaines d'aménorrhée le chez une patiente, primigeste, de 16 ans. Grossesse non évolutive à 9 2/7 semaines d'aménorrhée, d'une grossesse sur FIV, chez une patiente 9G 0P de 30 ans Grossesse sans particularité, naissance à terme et petite enfance sans particularités. Grossesse sur FIV ICSI Groupe O Rhésus positif laboratoire le 22.01.2019: Hb 92g/l, Tc 362G/l, Leucocytes 6.6G/l, créatinine 50umol/l laboratoire le 06.02.2019: Hb 105g/l Sérologies le 04.05.2018: HBs négative, HCV négative, VIH négatif, VDRL négatif Le 28.12.2018: US pelvien: fibrome utérin sous muqueux FIGOII de 3cm, paroi antéro-fundique de l'utérus Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 21.02.2019: Hb 128 g/l, leuco 17 g/l Plaq 282 mg/l, Crase en ordreLaboratoire du 22.02.2019: Hb 101 g/l, leuco 12 g/l Plaq 191 mg/l CRP 41 mg/l Sérologie du 21.02.2019: HB négatif; HCV négatif; HIV négatif; Syphilis négatif Stix: sang +++, leuco ++, nitrites - Frottis vaginal le 22.02.2019, Chlamydia et gonocoque négatif Uricult le 22.02.2019 négatif Hémocultures le 22.02.2019 en cours Echographie abdominale le 21.02.2019 exclut un hémopéritoine. Les annexes et utérus sont sans particularité, l'endomètre est fin et homogène. Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire 2019: Hb 102 g/l; leuco 6.5 g/l; Plaq 220 mg/l; Crase en ordre. PAP du 12.12.2017: absence de cellules suspectes Sérologies IST du 12.12.2017: HBV guérie; HCV et HIV: négatifs Chlamydia du 12.12.2017: négatif IRM 19.11.2018: Cet examen démontre la présence de deux masses utérines. L'une des masses mesure 4.5 x 3.8 x 3.6 cm, est accolée à la paroi de l'utérus à gauche. Une deuxième lésion mesurant 6.2 x 5 x 5.7 cm est à l'intérieur de la paroi utérine. Ces lésions évoquent des myomes. On retrouve des ovaires avec quelques petits follicules à l'intérieur. Pas de liquide libre dans l'abdomen. Quelques petits ganglions iliaques infracentimétriques. Echographie à l'entrée: myome intramural latéral gauche avec refoulement cavitaire et faible signal doppler sur sa face inféro-antérieure et de provenance de l'artère utérine gauche. Second myome sous-séreux latéral gauche. Groupe sanguin A Rhésus négatif Groupe sanguin: A Rhésus négatif Laboratoire du 17.12.2019: Hb 132 g/l, leuco 4.7 g/l, Plaq 264 mg/l, Crase en ordre. Sérologie: HB vacciné, HC, HIV: négatifs PAP le 14.01.2019: Négatif Echographie pelvienne: dans la norme CT abdominale: dans la norme IRM le 05.12.2018: L'examen des voies biliaires et de la vésicule biliaire est dans la norme, sans calcul visible et sans dilatation. Pas d'anomalie visible au sein du pancréas. Au niveau du pelvis, suspicion d'adénomyose. Groupe sanguin: A Rhésus négatif. Sérologies du 01.02.2019: HBV vaccinée, HIV et HCV négatives. Laboratoire du 01.02.2019: Hb 129, leuco 15, thrombo 250. CRP 104. Crase sp. US: collection de 35x20 mm sur la partie postérieure de la grande lèvre gauche de contenu hétérogène. Frottis de l'écoulement purulent péri-opératoire: H. influenza sensible à Zinacef. Chlamydia négatif. Biopsie de la capsule du kyste: en cours. Groupe sanguin: A Rhésus négatif PAP le 12.02.2019: Pas de cellules suspectes de malignité Chlamydia du 12.02.2019: négatif Echographie endovaginale grossesse intra-utérine avec présence d'une vésicule viteline sans embryon Groupe sanguin: A Rhésus positif PAP du 11.02.2019 Chlamydia du 11.02.2019: négatif Sérologies IST du 19.02.2019: HBV, HCV, HIV, syphilis: négatifs Groupe sanguin: A Rhésus positif Frottis cervical + Chlamydia le 22.01.2019: en cours Laboratoire le 22.01.2019: bétahcg 14853, en post-op 5454 USTV le 22.01.2019: utérus AVF, endomètre épais à 19 mm, sans image de SG, ovaire droit visualisé d'aspect normal, annexe gauche avec image d'hématosalpinx, ovaire pas bien visualisé Laboratoire du 22.01.2019 à l'entrée: Hb 115 g/L, béta HCG 14'853 U/L, progestérone 6.3 Laboratoire le 22.01.2019: béta HCG 14853, en post-op 5454 Echographie trans-vaginale le 22.01.2019: utérus en AVF, endomètre épais à 19 mm, sans visualisation de sac gestationnel, ovaire droit visualisé d'aspect normal, annexe gauche avec image d'hématosalpinx, ovaire pas bien visualisé. Groupe sanguin: A Rhésus positif Labo le Laboratoire du 2019: Hb 133 g/l; leuco 7.1 g/l; Plaq 344 mg/l; Crase en ordre Chlamydia: négatif Sérologies IST: HBV vaccinée, HCV, HIV: négatifs Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 02.11.2018: leuco: 6.6 g/l, Hb: 116 g/l, Plaq: 271 mg/l, Crase en ordre. Sérologie du 18.04.2018: HIV et HCV: négatif, HBV: antigène HBs, anticorps HBc IgG, anticorps HBe: positifs, anticorps HBc IgM et antigène HBe: négatif. PAP test: LSIL HPV 16 positif le 20.11.2016 Colposcopie et biopsie du col le 03.2018: LSIL/CIN1 avec HSIL/CIN2 à 3h. Le 20.11.2018: CIN2/HSIL et focalement CIN3/HSIL à 11h, P16 positif. Echographie endovaginale le 04.2018: Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 20.02.2019: Leucocytes 11.6 G/l, Hémoglobine 134 g/l, Thrombocytes 281 G/l, Na 134 mmol/l, K 3.6 mmol/l, Créatinine 45 umol/l, Mg 0.74 mmol/l, ASAT 20 U/l, ALAT 22 U/l, gamma GT 12 U/l, TSH 1,410 mU/l, T4 libre 15 pmol/l. Echographie trans-vaginale du 22.02.2019: Grossesse intra-utérine évolutive estimée à 8 4/7 selon LCC à 20.2 mm, activité cardiaque positive. Ovaires vus sans particularités, corps jaune à droite, pas de liquide libre. Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 2019: Hb 133 g/l; leuco 5.7 g/l; Plaq 312 mg/l; Crase en ordre Sérologies: HB HC HIV Syphilis: négatifs PAP le 30.03.2017: négatif Mammographie + US mammaire: présente une masse sus-mamelonnaire du QSE du sein droit mesurant 34x19 mm avec contours réguliers le 10.12.2018, masse hypo-échogène hétérogène sans atténuation postérieure avec des zones kystiques au contours macro-lobulé et régulier de 3x1 cm, classée BIRADS III Biopsie mammaire le 11.12.2018: Parenchyme mammaire avec foyer d'adénose avec pose de clip Groupe sanguin: A Rhésus positif. Laboratoire du 2019: Hb 133 g/l; leuco 8.6 g/l; Plaq 328 mg/l; Crase en ordre. Sérologie: HB vaccinée; HC, HIV: négatifs. Sérologie Syphilis: le 13.02 (comparaison au 06.12.2018) Syphilis RPR (VDRL) 1 Titre %: <1, <1 Syphilis anticorps dépistage 0.9-1.1: 1,5* (1,6*) Syphilis TPPA 80 Titre % <80, <80 PAP du 27.04.2018: LSIL, Cintec +. Coloscopie le 12.06.2018 avec biopsie du col: micro fragment superficiel d'exocol avec dysplasie de haut grade (CIN2,HSIL). Chlamydia négatif. Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 2019: Hb 138 g/l; leuco 8.2 g/l; Plaq 348 mg/l; Crase en ordre. Echographie endovaginale le 23.01.2019: utérus de 7x5 cm avec un endomètre de 3.7 mm. Ovaires dans la norme. Chlamydia négatif. Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 22.02.2019: Hb 132 g/l, leuco 5 g/l, Plaq 227 mg/l, Crase en ordre. PAP du 12.09.2017: absence de cellules suspectes Chlamydia du 19.09.2018: négatif Sérologies IST du 22.02.2019: HBV guérie (cicatrice sérologique), HCV, HIV, syphilis: négatifs Echographie endovaginale le 18.02.2019: Sac gestationnel de 41 mm (9 3/7 sa) et un embryon de 25.8 mm (9 3/7 semaines d'aménorrhée) sans activité cardiaque. Présence d'un anasarque. Placenta homogène, pas de liquide dans le Douglas. Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire du 23.11.2018: Hb 109 g/l, GB: 12.5 g/l, Plaq: 292 G/L, TP > 100%, créat: 66, Na+: 134, K+: 4.2, ASAT: 26, LDH: 447. Laboratoire du 14.01 2019: CEA 3.3 ng/ml; CA-125: 45 U/ml; CA 15-3: 23.4 U/ml; CA 19-9: 9U/ml; HCG 5U/l; AFP 5.5 ng/ml. Sérologies le 26.11.2018 VIH, VHB, VHC, syphilis: négatifs. US: Utérus en AVF, endomètre hétérogène épais à 29 mm, ovaires dans la norme, pas de liquide libre. PAP-test le 22.11.2018 Cellules glandulaires atypiques AGC-NOS négatif pour une lésion malpighienne intra-épithéliale. Pipelle de Cornier le 22.11.2018: adénocarcinome de l'endomètre. ER positif 70%, PR positif 90%, P16 négatif. CT abdomino-pelvien du 15.10.2018: Lésion d'allure tumorale de l'utérus qui est diffusément agrandi avec un aspect hétérogène de l'endomètre s'étendant au myomètre. Une petite ADP de 9 mm au niveau iliaque externe à droite. Nodule de 7 mm dans le segment latéro-basal du lobe inférieur pulmonaire droit, micronodule de 3 mm dans le segment postéro-basal du lobe inférieur pulmonaire droit. Pas de lésion osseuse suspecte. IRM au CIF 03.01.2019: Infiltration tumorale de l'endomètre sur 45 mm d'épaisseur envahissant localement plus de 50 % du myomètre sans envahissement du col. Utérus antéversé antéfléchi de 82 × 75 × 61 mm estimation local I.R.M. TNM T1 N0 MX Stade Fig0 ICGanglions iliaque externe et interne sans véritable adénopathie Pas d'extension tumorale pelvienne viscérale extra-utérine Anomalies de signal focale médullaire sacrée, détroit supérieur de 20x17 mm d'origine indéterminée. Le PET CT programmé mais la patiente a refusé de le faire. • Groupe sanguin: A Rhésus positif Laboratoire le 11.02.2019: Hb 124 g/l, leuco 4.3 g/l Plaq 264 mg/l. PAP ASCUS, HPV négatif une colposcopie est agendée Chlamydia : négatif Sérologies refusées par la patiente. • Groupe sanguin: A Rhésus positif PAP le 11.02.2019: Pas de cellules suspectes de malignité Chlamydia du 05.02.2019 : négatif Echographie endovaginale le 12.02.2019: grossesse intra-utérine évolutive bichoriale biamniotique estimée à 6 6/7 semaines d'aménorrhée selon LCC. • Groupe sanguin: AB Rhésus positif Laboratoire du 17.12.2019: Hb 150 g/l, leuco 6 g/l Plaq 331 mg/l Crase en ordre. Sérologie 18.12.2018 HB vaccinée HC, HIV négatifs Speculum : tache bleutée au niveau du col, fils du DIU PAP 21.11.2018 : Absence de cellules suspectes Biopsie de l'endomètre le 19.12.2018: Absence de malignité Echographie pelvienne: utérus de 84x50 mm d'aspect adénomysique, endomètre de 5,6 mm • Groupe sanguin: B Rhésus négatif Laboratoire du 03.12. 2019: Hb 130 g/l, leuco 13.1 g/l Plaq 597 mg/l, Crase en ordre, urée et créat en ordre Sérologie le 03.12.2019 HB, HC, HIV, Syphilis: négatifs PAP en ordre le 17.09.2018 Echographie pelvienne utérus polymyomateux de 9 cm en AVF présentant 2 myomes de 18x24 mm FIGO 6 et 16x18 mm FIGO 2, ovaires sp ddc. IRM pelvien le 27.08.2018: utérus polymyomateux avec un polype sous-muqueux pédonculé type 0 et plusieurs myomes sous-séreux type 6 au fond. Pipelle de Cornier le 14.08.2018: Absence d'atypie. Matériel polypoïde accouché par le col : Absence d'atypie • Groupe sanguin: B Rhésus positif Laboratoire du 11.02.2019: Hb: 128 g/l, leuco: 6.9 g/l, plaquettes: 224 mg/l, TP > 100%, Sérologies du 02.07.2018: VHB, VHC, VIH : négatives Hystéroscopie diagnostique du 11.02.2019: Vagin sans particularité, col sans particularité. Canal cervical normal. présence de débris de membranes au niveau de l'isthme. Cavité de taille normale. Endomètre fin. Ostia vus normaux • Groupe sanguin: B Rhésus positif Laboratoire du 20.12.2019: Hb 143 g/l, leuco 4.8 g/l, Plaq 213 mg/l, Crase en ordre. Sérologie du 20.12.2018: HB, HC, HIV, Syphilis : Négatifs. PAP du 13.08.2018 : Négatif Echographie pelvienne du 20.12.2018: Utérus en AVFR de 77 x 43 mm, échostructure homogène, isthmocèle de 5.6 x 3.7 mm, endomètre de 4 mm, pas de dispositif intra-utérin, ovaires normaux des deux côtés, pas de liquide libre dans le Douglas. • Groupe sanguin: B Rhésus positif Laboratoire du 08.11.2018 : Hb 139 g/l, leuco 7.1 g/l Plaq 250 mg/l, CA 125 à 14.08 kU/l IRM pelvien 09.09.1968: masse pelvienne para-sagittale gauche de 55 x 48 mm polycyclique. Kyste ovarien à gauche et ovaire droit dans la norme. PAP fait par Dr. X et normal. Pas d'IUE. • Groupe sanguin: B Rhésus positif Laboratoire du 20.12.2019 : Hb 143 g/l, leuco 4.8 g/l Plaq 213 mg/l Crase en ordre. Sérologie du 20.12.2018: HB, HC, HIV, Syphilis : Négatifs. PAP du 13.08.2018 : Négatif Echographie pelvienne du 20.12.2018: Utérus en AVFR de 77 x 43 mm, échostructure homogène, isthmocèle de 5.6 x 3.7 mm, endomètre de 4 mm, pas de dispositif intra-utérin, ovaires normaux des deux côtés, pas de liquide libre dans le Douglas. • Groupe sanguin: B Rhésus positif Laboratoire du 2019: Hb 126 g/l, leuco 6.5 g/l Plaq 323 mg/l Crase en ordre. PAP : Absence de cellules suspectes. Chlamydia positif traitée par Zithromax le 02.02.2019 Sérologies IST : HBV, HCV, HIV, syphilis : négatifs • Groupe sanguin: B Rhésus positif Laboratoire le 11.02.2019 : Hb 130 g/l, leuco 5.5 g/l Plaq 191 mg/l, Crase en ordre PAP en ordre. Chlamydia : négatif Sérologies IST en 2015 : HBV, HCV, HIV, syphilis : négatifs (partenaire stable) • Groupe sanguin: B Rhésus positif Laboratoire 2019: Hb 131 g/l, leuco 9 g/l Plaq 251 mg/l, Crase en ordre PAP le 30.01.2019 : LSIL, HPV négatif. Chlamydia : négatif Sérologies HBV, HCV, HIV : négatifs • Groupe sanguin demandé, 2 EC mis en réserve Evaluer nécessité d'un consilium de médecine interne pour investiguer l'étiologie • Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 10.01.2019: Hb 134 g/l; leuco 6 g/l; Plaq 355 g/l; Crase en ordre. Sérologies IST: HBV vaccinée; HCV négatif; HIV négatif; Syphilis négatif Diagnostic anatomo-pathologie du curetage du 14.12.2018: Hyperplasie endométriale apparaissant par places complexes avec atypies sans transformation carcinomateuse IRM du pelvis le 09.01.2019: Utérus en position intermédiaire de petite taille. Présence, au sein de la cavité utérine, d'une lésion d'allure tissulaire avec nette restriction de la diffusion et discret rehaussement mesurant environ 32 x 13 x 23 mm, développée dans le fond de l'utérus avec petit envahissement de la paroi myométriale postérieure. Pas d'extension suspecte en dehors de l'utérus. Les annexes sont de petite taille, sans lésion focale suspecte. Pas d'épanchement péritonéal. Absence d'adénopathie pelvienne de taille significative. Diverticulose sigmoïdienne non compliquée. Pas de lésion osseuse suspecte décelable sur le volume exploré. • Groupe sanguin: O Rhésus négatif. Rhésus bébé : Rhésus positif Rhophylac 300 mcg le 05.02.2019. • Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire 2019 Hb 132 g/l, leuco 4 g/l Plaq 229 mg/l Crase en ordre. Sérologie HB HC HIV négatif le 17.01.2019 PAP le 23.11.2018 négatif Echographie pelvienne : myome au niveau du mur postérieur 1.9 x 1.5 cm Hystéro-salpingographie du 18.12.2018 Perméabilité conservée de la trompe utérine gauche avec possibles petites synéchies en regard de la corne utérine gauche. La trompe utérine droite est complètement obstruée. Par ailleurs, prises de contraste para-utérines bilatérales d'origine probablement vasculaire. Status post cerclage utérin. • Groupe sanguin: O Rhésus positif PAP du 19.02.2019 Négatif Chlamydia: Négatif Sérologies: Refusée par la patiente Echographie endovaginale le 19.02.2019: grossesse intra-utérine évolutive à 6 1/7 semaines d'aménorrhée. • Groupe sanguin: O Rhésus positif. Sérologies IST du 31.07.2018: négatives. PAP-test du 31.07.2018: pas de cellules suspectes de malignité. Chlamydia du 31.07.2018: négatif. USTV post interruption volontaire de grossesse : endomètre épais à 16 mm. • Groupe sanguin: O Rhésus positif Chlamydia du 12.02.2019 : négatif Echographie endovaginale le 12.02.2019: grossesse intra-utérine, évolutive, estimée à 6 6/7 de semaines d'aménorrhée selon LCC. • Groupe sanguin: O Rhésus positif Labo du 19.02.2019: Leuco: 9.0 g/l, Hb 129 g/l, Plaq 217 g/l, Crase en ordre. PAP du 19.02.2019 : négatif Chlamydia du 19.02.2019 : négatif Sérologies IST du 19.02.2019 : HCV, HIV, syphilis : négatifs, HB: guérie Echographie du 19.02.2019: Grossesse intra-utérine évolutive à 8 2/7 semaines d'aménorrhée. • Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 05.02.2019: Hb 137 g/l, leuco 9.7 g/l Plaq 227 mg/l Crase en ordre. Chlamydia 22.01.2019: positif traité par Zithromax. Sérologies IST du : HBV, HCV, HIV, syphilis : négatifs • Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 09.01.2019: Hb 150 g/l; leuco 6.1 g/l; Plaq 323 mg/l; Sérologies: HB, HC, HIV, Syphilis : Négatifs Contrôle échographique de la bandelette : bandelette trop proximale. Bilan urodynamique le 03.07.2018: Incontinence urinaire mixte à prédominance mécanique Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 12.07.2018 : Leuco: 11,7 G/l, Hb: 121 g/l, Plaq: 242 G/l, Crase PAP du 11.10.2018: absence de cellules suspectes Chlamydia du 18.02.2018 : négatif Sérologies IST : HBV vaccinée, HCV, HIV: négatifs Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 14.02.2019: Hb 131 g/l, Lc 9.5 G/l, Tc 304 G/l US transvaginal du 14.02.2019: utérus antéversé de 108 mm x 57 mm x 53 mm, sac gestationnel aplati au niveau isthmique, avec vésicule vitelline hydropique et un embryon sans activité cardiaque, ovaires vus des deux côtés sans particularités. Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 19.02.2019: Hb 108 g/l, leuco 11.8 g/l, Plaq 257 mg/l, Crase en ordre, créat 338, K+ 3.6 meq/l Laboratoire du 20.02.2019: Hb 98 g/l, leuco 16.7 g/l, créat 340, K+ 4.1 meq/l Laboratoire du 22.02.2019: Hb 97 g/l, leuco 13.8 g/l, créat 338, K+ 4.3 meq/l Mammographie 05.11.2018: Masse probablement maligne classée BIRADS 5 mesurant au minimum 44 mm de diamètre au niveau des quadrants supérieurs du sein gauche associée à une rétraction cutanée. Discret épaississement focal du cortex d'un ganglion du creux axillaire gauche. Ponction biopsie de la masse des quadrants supérieurs du sein gauche et de la partie épaissie du cortex du ganglion du creux axillaire gauche sans complication immédiate. PET-CT 14.11.2018: Multiples masses tumorales hypercaptantes dans le sein gauche correspondant à la tumeur primitive multifocale connue sans mise en évidence de métastase locorégionale et à distance. IRM DU NEUROCRANE NATIVE ET INJECTEE DU 07.12.2018: Pas d'argument en faveur d'une métastase cérébrale. SCINTIGRAPHIE MYOCARDIQUE 26.11.2018: Absence d'image scintigraphique nette en faveur d'une ischémie de stress. Fraction d'éjection normale mais probablement légèrement surestimée. Épreuve de stress pharmacologique au Rapiscan, doublement négative. Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 2019: Hb 151 g/l, leuco 10 g/l, Plaq 323 mg/l, Crase en ordre Chlamydia positif traité par Zithromax le 01.02.2019, PAP 30.01.2019 : négatif pour des lésions intra-épithéliales. Sérologies IST HBV, HCV, HIV: négatifs Groupe sanguin: O rhésus positif Laboratoire du 22.11.2019: Hb 129 g/l, leuco 6.1 g/l, Plaq 300 mg/l, Crase en ordre. Sérologie HB, HC, HIV, syphilis : négatif le 22.11.2019 PAP 30.10.2018, présence de cellules endométriales irrégulières, Chlamydia négatif Échographie pelvienne le 24.10.2018: présence de 2 myomes intra-muraux de 5 x 7 et 4.5 x 3.6 cm au niveau du fundus. Endomètre 7 mm IRM pelvien le 13.11.2018: Utérus globuleux multi-myomateux en position antéfléchie et légèrement latéro-dévié vers la droite. Mise en évidence de plusieurs myomes utérins dont la plupart infracentimétriques développés dans l'épaisseur du myomètre à la partie antérieure du corps de l'utérus et quelques-uns de plus petite taille, sous-séreux, dans les régions isthmique et corporéale. Les deux plus volumineux myomes sont situés dans le fond de l'utérus : • À gauche, mesurant 68 x 65 x 57 mm, avec centre nécrotique ; • Le 2ème, mesurant 47 x 41 x 41 mm, développé à la partie droite du fond de l'utérus. Ligne de vacuité utérine libre. Remaniements du col de l'utérus probablement en relation avec un statut post-opératoire. Pas d'épaississement pariétal suspect du vagin et du rectum. Absence d'adénopathie pelvienne de taille significative. Pas d'épanchement péritonéal. Absence de lésion osseuse suspecte sur le volume exploré. Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire du 30.01.2019: Hb 141 g/l, leuco 10.4 g/l, Plaq 164 mg/l, Crase en ordre, CRP, Na+, K+ en ordre, créat 98 mmol/l Sérologie du 09.12.2018 HB, HC, HIV : négatifs Chlamydia du 05.02.2019: négatif Échographie pelvienne le 08.12.2018 : endomètre à 20 mm sans prise de Doppler. Ovaires sp des deux côtés. Pas de liquide libre Frottis cervico-vaginal le 01.02.2019: Non contributif avec absence de cellules de la zone de la jonction endocervicale. Endosimpler en cours chez son gynécologue traitant. Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire le 05.02.2019: Hb 132 g/l, leuco 11.5 g/l, Plaq 302 mg/l, Crase en ordre PAP du 07.02.2019 : absence de cellules suspectes Chlamydia : négatif Sérologies IST du 05.02.2019 : HB vaccinée, HCV, HIV, syphilis : négatifs Échographie trans-vaginale le 18.01.2019 : grossesse intra-utérine évolutive à 6 5/7 semaines d'aménorrhée Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire le 11.02.2019 : Hb 135 g/l, leuco 8.1 g/l, Plaq 277 mg/l, Crase en ordre PAP en ordre. Chlamydia : négatif Sérologies HB guérie, HCV, HIV, syphilis : négatifs Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire 12.02.2019 : Hb 133 g/l, leuco 9.3 g/l, Plaq 221 mg/l, Crase en ordre. Chlamydia 12.02.2019 : négatif Sérologies IST du : HBV, HCV, HIV, syphilis : négatifs Échographie endo-vaginale le 12.02.2019: Grossesse intra-utérine évolutive estimée à 9 1/7 sa. Groupe sanguin: O Rhésus positif Laboratoire 12.02.2019 : Hb 133 g/l, leuco 9.3 g/l, Plaq 221 mg/l, Crase en ordre. Chlamydia 12.02.2019 : négatif Sérologies IST du : HBV, HCV, HIV, syphilis : négatifs Échographie endo-vaginale le 12.02.2019: Grossesse intra-utérine évolutive estimée à 9 1/7 sa. Groupe sanguin: O Rhésus positif Le Laboratoire du 2019: Hb 136 g/l, leuco 4.6 g/l, Plaq 273 mg/l, Crase en ordre Échographie endo-vaginale : kyste annexe droite de 7 cm avec image de torsion tubaire droite au Doppler couleur et raccourcissement de la trompe droite. Test de grossesse est négatif Stix urinaire est propre. Groupe sanguin: O Rhésus positif PAP du 05.09.2018 : Négatif Chlamydia du 13.02.2019: positif le 13.02.2019, a reçu 1 g de Zithromax per os le 19.02.2019 Sérologies IST du 19.02.2019: HBV vacciné, HCV, HIV, syphilis : négatifs Groupe sanguin: O Rhésus positif PAP du 21.02.2019 : Négatif Chlamydia du 21.02.2019 : Négatif Sérologies IST du 19.02.2019 : HBV vacciné, HCV, HIV, syphilis : négatifs Groupe sanguin: O Rhésus positif PAP le 12.02.2019 : Pas de cellules suspectes de malignité, avec présence de candida au niveau cervical chez une patiente asymptomatique. Chlamydia du 07.12.2018: négatif Échographie endovaginale le 12.02.2019 à 5 2/7 semaines d'aménorrhée: grossesse intra-utérine, avec sac gestationnel correspondant aux semaines d'aménorrhée, estimée à 5/7 semaines d'aménorrhée. GS: O Rh pos stix urinaire: sang +, pas de leuco ni nitrites. USTV: utérus AVF dde 79 x 65 x 78 mm, avec SG de 24 mm avec VV et embryon LCC de 3.7 mm avec visualisation de l'activité cardiaque. pas de liquide libre au Douglas, ovaire D 24 x 13 mm sp, ovaire G 32 x 22 mm avec corps jaune. Gustilo I index main droite le 25.02.2019. • Avec perte de substance unguéale partielle. GvHD pulmonaire (ED 08/2018) • suivi en pneumologie au HUG (Dr. X) • CT thorax 17.01.2019 : stabilité de la lésion nodulaire du segment apical lobe inférieur gauche de 9 x 6 mm. Pas de nouvel infiltrat apparu. Stabilité de bronchectasies et bronchiolectasies prédominant au lobe inférieur gauche • fonctions pulmonaires 29.01.2019 : résultats sous réserve d'une dyspnée importante limitant la collaboration. Syndrome obstructif (VEMS/CVF 35% du prédit), sévère (VEMS 0.95 L soit 30% du prédit) apparemment non-réversible après bronchodilatation (VEMS/CVF 34% du prédit post bronchodilatation). Par rapport à l'examen antérieur on note une perte de 80 mL du VEMS et une augmentation de 1400 mL de la FVC. Trouble de la diffusion de degré modéré. Diminution du KCO de degré léger. • proposition du suivi au 29.01.2019 : reprise Noxafil Syndrome myélodysplasique de type AREB1 (MDS-therapy related) • date du diagnostic : avril 2017 • bicytopénie progressive depuis quelques mois (anémie et leucopénie) • ponction-biopsie médullaire du 19.04.2017 : hypercellularité trilinéaire au niveau de la moelle sans excès de blastes. Les données pourraient être compatibles avec un syndrome myélodysplasique lié au traitement (MDS-therapy related) • biopsie (Promed) : résultat en cours • cytogénétique : mutation DNMT3A à 39%, RUNX1 dans 8%, ASXL1 à 29%, EZH2 50%. Anomalie complexe avec plus de 3 anomalies (catégorie cytogénétique à haut risque) • colloque Vaud-Genève du 24.05.2017 : SMD avec EB (blastes circulants 5%) therapy related avec caryotype complexe et anomalies NGS défavorables. Indication à une allogreffe de donneur non-apparenté 10/10 ou si RC haploidentique retenue • sous chimiothérapie par Vidaza depuis le 19.06.2017 • 3ème cure de Vidaza débutée le 21.08.2017 en cours, suivie par une allogreffe avec un donneur non-apparenté en octobre (HUG) • Suivi Dr. X • réévaluation médullaire du 17.10.2018 : médullogramme : moelle de richesse diminuée avec de nombreux artéfacts d'écrasement rendant impossible un compte cellulaire. Cytométrie en flux : différentes sous-populations leucocytaires normales. Blastes constituant 0.12% des leucocytes et présentant un phénotype physiologique. MRD indétectable de la LMA connue au seuil de sensibilité 1.10-3 sous réserve d'une probable part d'hémodilution. Chimérisme : 100% donneur sur le sang et la moelle. Cytogénétique : caryotype masculin normal. Analyse par NGS montre que la mutation observée précédemment dans DNMT3A et RUNX1 a été retrouvée à une fréquence qui n'est pas distinguable du bruit de fond de la méthode. Surinfection d'un corps étranger de l'éminence thénar à D de type Enterobacter Cloacae avec : • ablation d'un corps étranger de l'éminence thénar droit (OP le 13.09.2017) • consilium d'infectiologique par Dr. X et par Dr. X le 13.09.2017 (cf. annexe) • antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2.2 g 4x/j du 13.09 au 15.09.2017 • antibiothérapie par Céfépime iv du 15.09 au 16.09.2017 • antibiothérapie par Ciproxine 250 mg po 2x/j du 16.09 au 26.09.2017 Cardiopathie avec BBG et QT long à 0.48 sec, connu non décompensé probablement post-chimiothérapie Pose de pacemaker-resynchronisation DDD Edora 8 HF - T QP (IRM compatible1.5T) le 19.11.2018 par Dr. X pour : • cardiopathie d'origine indéterminée (toxique sur chimiothérapie, GVHD) avec hypokinésie globale sévère avec FEVG 32% et BBG Hémorroïdes stade I Hypercholestérolémie Myélopathie post-actinique Immunodéficience secondaire (déficit en IgA, IgM, IgG) avec : • pneumonie basale droite communautaire à Pneumocoques en novembre 2011 • sinusopathie chronique • hypogammaglobulinémie secondaire, substituée par Intratect Gynécologiques non-opératoires : fausse couche spontanée 6 semaines d'aménorrhée Gynécologiques opératoires : mutilation génitale type 1 Chirurgicaux non-gynécologiques : 2009 cholecystectomie ; 3 interventions sur fistule anale depuis 2012 HFR Obstétricaux : 2016 AVB avec ventouse à 40 4/7 SA, sexe : Masculin, poids : 3510 g, particularités : provocation pour DGNIR Accouchement par voie basse spontanée à 37 0/7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y de 28 ans, G3 devenue P2, le 08.01.2018 Diabète gestationnel non-insulino-requérant Névrite vestibulaire droite le 07.03.18 Hypovitaminose D le 16.03.18 Douleurs abdominales post-ponction d'abcès le 07.03.2018 Gynécologiques non-opératoires : Fausse couche spontanée en 2017 Médicaux : Hépatite B guérie Obstétricaux : 2014 : Accouchement par ventouse métallique pour non-progression de la présentation aux épines à 39 4/7 semaines d'aménorrhée, épisiotomie médio-latérale droite, garçon de 3260 g. Gynécologiques non-opératoires : Infertilité primaire : AMH basse à 4.3. Gynécologiques opératoires : 21.07.2015 LSC : Ouverture de phimosis tubaire, retrait de 2 myomes intra-muraux de 2 et 3 cm. Médicaux : Hépatite B chronique (CV 6000 le 16.02.2015). Cystites à répétition. Mutilation génitale type II. Accouchement par césarienne en urgence 1 pour métrorragie à la suite d'une provocation par ballonnet pour diabète gestationnel insulino-requérant et utérus cicatriciel, chez Mme. Y de 32 ans 1G devenue 1P38 4/7 semaines d'aménorrhée. Diabète gestationnel insulino-requérant. Paraparésie bilatérale MI. Familiaux : mère diabétique Gynécologiques non-opératoires : L-SIL, HPV HR+, Colposcopie au post-partum. Obstétricaux : 2009 Accouchement par voie basse à 39 3/7 SA, lieu : Londres, M 3330 g 2011 Accouchement par voie basse à 39 6/7 SA, lieu : Londres, F 3250 g 2015 Accouchement par voie basse à 40 4/7 SA, lieu : Paris, M 3700 g Accouchement par voie basse spontanée à 38 /7 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y de 27 ans, G4 devenue P4. Laboratoire. Anesthésie par péridurale. Syntocinon. Suites de couches. Sevrage primaire de l'allaitement. Dostinex selon protocole. Gynécologiques non-opératoires : s/p 2 fausses couches spontanées Gynécologiques opératoires : s/p conisation en 2007 Chirurgicaux non-gynécologiques : s/p appendicectomie par laparotomie en 2003 Obstétricaux : s/p accouchement par voie basse à 37 semaines d'aménorrhée (3250 g, garçon) en 2017 Gynécologiques non-opératoires : 2010 cure d'hernie inguinale droite Mme. Y témoin de Jéhovah Gynécologiques non-opératoires : 2017 : Fausse couche avec Cytotec Gynécologiques opératoires : 2002 : Grossesse extra-utérine Médicaux : Fibromyalgie Chirurgicaux non-gynécologiques : 1999 : APP 2017 : opération des sinus Obstétricaux : Le 27.04.1997 accouchement par voie basse spontané, lésion génitale : Déchirure I, délivrance : Nle complète, anesthésie : AG, lieu : Angola, sexe : F, prénom : Francisca, SA : 38, poids (g) : 2700, allaitement mois : 6 mois Le 03.04.2003 accouchement par voie basse spontané, périnée intact, délivrance : Nle complète, lieu : St-Gall, sexe : M, prénom : Gaël, SA : 39.4, poids (g) : 2800, allaitement 8 mois Le 04.04.2016 accouchement par voie basse spontané, lésion génitale : Périnée intact, délivrance : Nle complète, lieu : St-Gall, sexe : M, prénom : Kevin, SA : 36, poids (g) : 2660, allaitement 10 mois Gynécologiques non-opératoires : 2017 Fausse couche spontanée 2018 Fausse couche spontanée Gynécologiques opératoires : 2017 : Interruption thérapeutique de grossesse à 22 6/7 semaines d'aménorrhée avec curetage pour ventricule cardiaque unique Médicaux : Maladie de Hashimoto sous Euthyrox 75 mcg/j Gynécologiques opératoires : mars 2015 avec curetage pour grossesse non évolutive à 12 SA, au Daler. Médicaux : asthme léger Ventolin en réserve. Chirurgicaux non-gynécologiques : opération de la cloison nasale en 2011. Familiaux : cancer du sein chez une tante paternelle (55 ans). Cancer du côlon chez un oncle paternel. Gynécologiques opératoires : Status post-fausse couche précoce et curetage évacuateur en 2011. Obstétricaux : • 2010 : AVB à 40 SA (fille, 3200 g) avec déchirure degré II, à l'HFR Riaz. Allaitement : 6 mois. • 2012 : AVB à 40 SA (garçon, 3060 g) à l'HFR Riaz. Allaitement : 7 mois. • 2014 : AVB après provocation par Misoprostol pour dépassement de terme à 40 5/7 SA chez Mme. Y de 25 ans 4 G devenue 3 P. Syndrome d'hypoliquorrhée sur brèche épidurale post-pose de péridurale perpartum, chez Mme. Y de 25 ans, 4 G 3 P, qui a accouché le 14.04.2014. Hospitalisation pour antalgie et traitement par Blood-patch en anesthésie. Gynécologiques opératoires : 2004 Annexectomie gauche par laparoscopie pour torsion de l'annexe gauche (Tunisie) Décembre 2017 : Laparoscopie avec salpingotomie pour grossesse extra-utérine droite Gynécologiques opératoires : 2011 : Fausse couche + curetage 2014 : Interruption volontaire de grossesse par curetage en Mongolie (indication médicale pour lithiases rénales) Médicaux : Hépatite B guérie fin 2014 : hospitalisation pendant 10 jours pour lithiases rénales (Mongolie)Obstétricaux: Le 16.05.2013 accouchement par voie basse périnée intact, délivrance: Nle complète, lieu: Mongolie, sexe: F, SA: 40, poids 3150 gr, allaitement 4 mois Le 07.03.2018 accouchement par voie basse périnée intact, délivrance: Nle complète, lieu: Yverdon, sexe: F, Prénom: oyudari, SA: 40+4, poids 3680 gr, allaitement 6 semaines, particularités: provocation T+3 pour hydramnios à 28 cm Familiaux: mère: cancer de l'utérus vers 40-45 ans, décédée Gynécologiques opératoires: s/p 2011 Fausse couche à 8 semaines d'aménorrhée avec curetage. Obstétricaux: s/p 2012 Interruption thérapeutique de grossesse pour syndrome polymalformatif à 24 semaines d'aménorrhée (pas de syndrome identifié). S/p 2013 césarienne élective pour siège, sous rachianesthésie à 39 semaines d'aménorrhée, d'une fille de 3200 gr. S/p 2015 césarienne élective itérative sous rachianesthésie à 39 1/7 semaines d'aménorrhée d'une fille de 2920 gr. Particularités: itérative pour suspicion de déhiscence confirmée, lésion du dôme vésicale. Gynéco-Obstétricaux: Antécédent d'infection à Chlamydia, traitée S/p Grossesse extra-utérine gauche en 2015: laparoscopie avec salpingectomie gauche et curetage S/p Grossesse extra-utérine à droite en 2013: Milking-out S/p Grossesse extra-utérine à droite en 2014: Salpingectomie droite S/p bilan d'infertilité secondaire en juillet 2015 sous laparoscopie avec plastie tubaire gauche pour phimosis et mise en évidence de foyers d'endométriose électrocoagulé et nodule d'endométriose sur les ligaments utéro-sacrés S/p Fausse-couches (4x) Chirurgicaux: S/p Cure chirurgicale d'hémorroïdes en 2005 S/p Fissurectomie anale en 2015 pour fissure anale chronique Médicaux: S/p Lithiase rénale droite en 2014, avec ablation sous endoscopie Gyno Pevaryl ovules pendant 7 jours Gyno-Pevaryl ovule du 22 au 24.02.2019 Gyno-Pevaryl ovule et crème pendant 3 jours G20% IVC 500 ml/24h Glycémies aux 4h : cible 4-10 Haldol IM, Quetiapin PO Haldol Imovane mis en suspens Haldol IV le 10.02.2019 Haldol mis en suspens transitoirement Haldol 5 mg per os. Laboratoire. US bedside: pas de globe. Avis psychiatrie de liaison (Dr. X): ad hospitalisation à Marsens en psychogériatrie, unité Aubépines en PAFA au vu de l'incapacité de discernement. Attitude : transfert à Marsens en PAFA. Hallucination. Hallucinations. Hallucinations visuelles probablement dans un contexte de Charles Bonnet le 08.03.2017 OS fracture humérus proximal D en 01/2001 OS fracture intra-articulaire comminutive, radius distal D en 2001 Fracture du processus frontal de l'os zygomatique à droite en 2001 Thrombose de la veine rétinienne (non datée) Carcinome canalaire invasif du sein gauche opéré en février 1985 par mastectomie selon Patey avec 9 ganglions lymphatiques sans tumeur mastectomie droite en date du 29.09.1997 Chutes à répétition chez une patiente connue pour une dégénérescence maculaire bilatérale sévère avec : Fractures-tassements de L2 et D12 Laboratoire, ECG Radiographies de la colonne dorso-lombaire Scintigraphie osseuse le 30.06.2017 Antalgie par Dafalgan et Tramal Traitement conservateur avec mobilisation en bloc Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 26.06.2017 CRP 66 mg/l, sans leucocytose DD origine urinaire Laboratoire : amélioration spontanée Sédiment urinaire le 26.06.2017 leucocyturie, nitrite et sang nég Urotube le 26.06.2017 : stérile Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 probablement pré-rénale sur déshydratation : créat à 99 umol/l, ClCr à 44 ml/min selon MDRD et 23 ml/min selon Cockroft Suivi biologique Epanchement pleural droit le 26.06.2017 mise en évidence fortuite à la radiographie de colonne dorsale Torasemide 10 mg dès le 03.07.2017 Hallux allongé à D, gênant avec ongle incarné récidivant. Hallux G : le lit unguéal présente une sécrétion claire. La peau péri-plaie de tout l'hallux est rouge, d'aspect inflammatoire. Pas de dermo-hypodermite en proximité. On objective une macération de l'espace interdigitale avec également un discret aspect de contamination spongique. Il persiste, en médial et latéral du lit unguéal, des restes de tablette unguéale qui ont un aspect d'onychomycose. Hallux rigidus débutant à D. Conflit au niveau dorsal de la MTP I à droite avec une flexion dorsale de l'ostéotomie de 17° sur Status post cure d'hallux valgus en mini invasif ddc le 7.11.2017. Hallux valgus. Hallux valgus avec importants troubles dégénératifs des articulations MTP 1 et MTP 2 et cunéo-MT3. Hallux valgus bilatéral avec un angle inter-métatarsien à D de 16°, à G de 17°, angle MTP I à D de 44°, à G de 43° Surlongueur du 2ème rayon bilatéral à prédominance D Hallux valgus du pied gauche. Le 18.02.2014, Dr. X, correction de l'hallux valgus du pied gauche. Infection urinaire basse le 18.08.2016. Ménorragie. Hallux valgus G avec angle MTP à 45°, intermétatarsien à 17°, DMMA à 26°. Hallux valgus D avec angle MTP à 30°, intermétatarsien à 15°, DMMA à 15°. Hallux valgus G symptomatique avec angle MTP à 30° et angle intermétatarsien à 15°. Hallux valgus D asymptomatique avec angle MTP à 20° et angle intermétatarsien à 15°. Arthrose métatarsophalangienne ddc asymptomatique. 2ème orteil en griffe ddc. Hallux valgus juvéniles ddc dans le cadre de pieds plats réductibles bilatéraux. Pied gauche : angle MTP à 20°, inter-métatarsien à 15° Pied droit : angle MTP à 20°, inter-métatarsien à 20° Hallux varus sur status post cure d'hallux valgus à D selon Akin et Scarf, Dr. X. Halopéridol le 31.01.2019 Réafférentation // Correction des facteurs déclencheurs (Sepsis, douleur, post-choc vasoplégique) Temesta mis en réserve Halopéridol Réafférentation • Handgelenkschiene, Irfen 600 mg 3x pro Tag, Pantoprazol 40 mg 1x pro Tag. Cave Vorsicht mit Alkoholkonsum! NaKo bei der HÄ bei Bedarf, allenfalls Allopurinol bei rezid. Gichtschüben? • Handicap moteur cérébral de naissance avec hémisyndrome droit. • Trouble schizo-affectifs (patient actuellement suivi et traité par le Dr. X). • Gonalgies gauches. • Omalgies droites. • Harnsweginfekt ohne Komplikationen • Harnwegsinfekt mit komplikationen DD pyélonéphritis, mit/bei: • Hashimoto. • Hat 2000 ml NaCl i.v. auf der Permanence bekommen Patient konnte bis jetzt nicht Wasser lösen • Haute suspicion de compression du nerf cubital à la loge de Guyon droite sur status post fracture intra-articulaire P1 D5 droit. EMG : compression du nerf cubital coude droit. • Haute suspicion d'un syndrome du tunnel carpien gauche. Epicondylite radiale gauche. • Hb à 90 g/l, pas de transfusion • Hb à 90 g/l Transfusion à organiser le 25.02.2019 avant la chimiothérapie • Hb du post-partum: 103 Maltofer • Hb du post-partum: 100 g/l Maltofer pendant 3 mois. • Hb du post-partum 101 g/l. Maltofer pendant 3 mois. • Hb du post-partum: 102 g/l Maltofer 100 mg/j pendant 3 mois • Hb du post-partum 105 g/l Maltofer pendant 3 mois. Contrôle hémoglobine et ferritine à 3 mois. • Hb du post-partum 107 g/l Maltofer pendant 3 mois. • Hb du post-partum 92 g/l. Maltofer 100 mg/j pendant 3 mois. • Hb du post-partum 95 g/l. Maltofer pendant 3 mois. • Hb du post-partum 97 g/l. Ferinject 1 g le 08.02.2019 • Hb du 16.02.2019: 92 g/L Bonne tolérance clinique Ad substitution martiale per os • Hb glyquée : 5.8% Contrôle quotidien des glycémies durant l'hospitalisation : pas d'anomalies glycémiques retrouvées • Hb glyquée à 5.5 mg/l le 29.01.2019 Suivi clinique et biologique • Hb post-partale: 93 g/l Supplémentation orale par Maltofer 100 mg pour 3 mois • Hb post-partale 102 g/l Maltofer • Hb post-partale 106 g/l Maltofer • Hb post-partale 106 g/l Maltofer • Hb post-partale 109 Maltofer • Hb post-partale 110 g/l Substitution orale : Maltofer • Hb post-partale 75 g/l Ferinject 1 g le 24.02.2019 • Hb post-partale 82, asymptomatique Substitution martiale per os • Hb post-partale 98 g/l Maltofer • Hb pp: 107 g/l Supplémentation orale par Maltofer 100 mg pour 3 mois • Hb 102 g/L Ad Maltofer per os • Hb 105 g/l. Gyno-Tardyféron 80 mg/j pour 3 mois • Hb 106 g/l Maltofer 100 mg/j pendant 3 mois. • Hb 107 g/l Maltofer 100 mg/j pour 3 mois • Hb 108 g/l Maltofer pendant 3 mois. • Hb 109 g/l Maltofer 100 mg/j pendant 3 mois • Hb 145 G/l, leucocytes 9.4 G/l, monocytes 23%, CRP < 5 mg/l, urine normal • Hb 206 (Ht 59%) • Hb 70 g/l le 28.01.2019 Transfusion de 2 CE le 28.01.2019 • Hb 80 g/l Maltofer 100 mg/j pendant 3 mois • Hb 98 g/l. Maltofer 100 mg/j pendant 3 mois. • HbA1c à 13.4 % Gazométrie : acidocétose légère Hydratation Avis Endocrinologique (Dr. X) : hospitalisation pour mise en place traitement et enseignement Lantus et Humalog aux repas lors de l'hospitalisation Recherche auto-anticorps anti-Îlot, anti-GAD, anti-IA2 en cours LDL à 1.98 mmol/l, pas d'introduction de statines Consultation en diabétologie le 22.03.2019 à 16h00 Suivi ambulatoire : • Rétinopathie : suivi 1x/an chez l'ophtalmologue • Contrôles podologiques réguliers • Dépistage de néphropathie diabétique avec un rapport micro-albuminurie/créatininurie à distance de l'épisode aigu • Cardiovasculaire : bilan lipidique avec cible LDL cholestérol < 1.8 mmol/l et TA < 130/80 mmHg • HbA1c le 20.02.2019 : 7.4% glycosurie • Schéma de correction d'insuline. Metformine 500 mg le matin dès le 22.02.2019, 500 mg matin et midi dès le 26.02.2019 • Consilium diabétologique le 21.02.2019 suite : Suivi des glycémies à domicile Prochain contrôle avec infirmière en diabétologie : 5.03.2019 à 11h Prochain suivi par diabétologue : vendredi 5.04.2019 à 11h • Hba1c (17.01.2019): 6,2% Examen de pallesthésie : 4/8 (genoux bilatéral) 3/8 (Malléole medialis + Hallux droit), 2/8 (Malléole medialis + Hallux gauche) Introduction Metfin 500 mg 1x/j de 19.01 au 21.01.2019 Introduction Janumet 50/500 mg 1x/j de 22.01 au 28.01.2019 • HBP Cholecystectomie • HBP Cholecystectomie • HBP Cholecystectomie • HBP Colon irritable Maladie diverticulaire • HD lombaires L3-L4, L4-L5, L5-S1 Obésité avec BMI à 38 kg/cm2 le 16.07.2018 • HDH sur multiples ulcères du duodénum traité par pose de clip et injection d'adrénaline le 27.01 et 01.02.2019 Pantoprazol dès le 27.01.2019 • Hémangiome du corps vertébral L4 (CT 5/14). Gastrite chronique. Hépatite A. Hypotension orthostatique. • Hémangiome intra-musculaire en regard du gluteus medius à droite. Syndrome de la sacro-iliaque à droite. • Hémarthrose du genou gauche, le 06.04.2018 PTG D PTG G en 2014 AVC en 1998 AIT en 2009 Douleurs rotuliennes post-PTG nécessitant un resurfaçage de la rotule PTG G le 29.01.2018 Antécédent TVP et EP en 2009 (post-opératoire) avec anticoagulation par Sintrom - arrêt de l'anticoagulation le 16.02.2019 qui n'est plus indiquée (stratification du risque pour le FOP, TVP-EP unique en 2009 post-opératoire, pas d'autres phénomènes cardio-emboliques connus) Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale probable sur prise d'AINS, le 02.02.2018 Suspicion de surinfection de la cicatrice opératoire de la PTG G le 14.02.2018 • Hémarthrose du genou gauche, le 06.04.2018 PTG D PTG G en 2014 AVC en 1999 AIT en 2009 Douleurs rotuliennes post-PTG nécessitant un resurfaçage de la rotule PTG G le 29.01.2018 Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale probable sur prise d'AINS, le 02.02.2018 Suspicion de surinfection de la cicatrice opératoire de la PTG G le 14.02.2018 • Hematemese • Hématémèse • Hématémèse • Hématémèse. • Hématemèse DD crachats hémoptoïques provenant de la cavité buccale (sur morsure de langue) post thrombolyse intraveineuse le 01.02.2019 • Hématémèse isolée dans un contexte de syndrome grippal et de gastrite chronique le 22.02.2019. • Hématémèse le 25 et 26.02.2019 sur probable envahissement tumoral au niveau gastrique / duodénal • Hématémèse, méléna. • Hématémèse, méléna. • Hématémèse post-épistaxis spontanée dans un contexte de rhinite • Hémato-bourse infra patellaire genou D • Hémato-bursite du genou à droite le 23.02.2019 - St/p opération du genou droit le 06.02.2019 • Hématochésie. • Hématochésie d'origine indéterminée le 18.01.2019 • Hématochésie d'origine indéterminée le 18.01.2019 • Hématochésie le 20.01.2019 avec 150 ml sous anticoagulation suprathérapeutique par Sintrom : - 1 épisode de sang frais, 4 épisodes de méléna. • Hématochésie sur proctite actinique le 03.08.2018 • Hématochésies • Hématochézie • Hématochézie • Hématochézie • Hématochézie • Hématochézie. • Hématochézie. • Hématochézie. • Hématochézie avec selles diarrhéiques le 21.02.2019. - Dans contexte de traitement oncologique par Lonsurf. • Hématochézie d'origine indéterminée le 31.01.2019 • Hématochézie le 10.02.2019 - s/p colono/gastroscopie le 06.02.2019 (Dr. X) avec ablation de 4 polypes, histologie en cours • Hématochézie le 10.02.2019 - s/p post polypectomie (4) le 06.02.2019 (Dr. X) • Hématochézie le 11.02.2016 DD : saignement gastrique, hémorroïdes, néoplasie PTG gauche (06.09.2012) pour gonarthrose gauche tri-compartimentale Zona du visage Hallux valgus bilatéral opéré en 1998 Hystérectomie (1 ovaire restant) Ulcère gastrique (2006) Cure tunnel carpien droit (07.02.2006) Cure tunnel carpien gauche (21.08.2000) Arthroscopie genou gauche (04.11.1998) pour déchirure en "anse de saut" du ménisque interne Récidive de varices avec néocrosses ddc, symptomatiqueRe-crossectomie et re-phlébectomie ddc prévue le 30.10.2017 avec le Dr. X Douleurs mollet gauche d'origine indéterminée DD : sur insuffisance veineuse chronique, origine musculaire, thrombo-phlébite D dimères positifs US 4 points aux urgences : veines poplitées et fémorales bien visibles, symétriquement compressibles Bilan angiologique demandé pour le 04.02 ; dans l'intervalle, pas d'anticoagulation au vu de la suspicion clinique modérée et de l'antécédent d'hématochézie Antalgie simple par Dafalgan Pic hypertensif Bonne réponse avec Adalat ret 20 mg Suite chez médecin traitant pour réévaluer l'introduction à un traitement Hématochézie le 11.02.2016. DD : saignement gastrique, hémorroïdes, néoplasie. Prothèse totale genou gauche (06.09.2012) pour gonarthrose gauche tri-compartimentale. Zona du visage. Hallux valgus bilatéral opéré en 1998. Hystérectomie (1 ovaire restant). Ulcère gastrique (2006). Cure tunnel carpien droit (07.02.2006). Cure tunnel carpien gauche (21.08.2000). Arthroscopie genou gauche (04.11.1998) pour déchirure en "anse de saut" du ménisque interne. Récidive de varices avec nécroses des deux côtés, symptomatique Re-crossectomie et re-phlébectomie des deux côtés prévues le 30.10.2017 avec le Dr. X. Hématochézie le 25.01.2019 avec : • anémie normochrome macrocytaire hyporégénérative secondaire avec nadir à 73 G/L le 27.01.2019 DD : diverticulose, angiodysplasie Hématochézie récidivante Hématochézie sans critère de gravité. Hématochézies d'origine indéterminée • avec répercussion biologique Hématochézies le 10.02.2019 avec : • anémie normocytaire normochrome Hb 102 g/l • sur prise d'AINS + Clopidogrel Hématochézies le 18.02.2019. Hématochézies le 26.01.2019 probablement sur maladie diverticulaire • status post-colonoscopie avec résection de polype le 10.01.2019 Hématochromatose • Saignées 3-4x/an Hématome Hématome tensor fascia lata G. Hématome à la face interne du coude gauche de 19x7 cm sur status post-traumatisme contusif coude gauche le 27.01 avec bursite traumatique coude G et dermabrasion cutanée en regard de l'olécrane Hématome bras droit sur extraction difficile Hématome cheville droite Hématome cuisse gauche en regard de l'injection d'héparine de bas poids moléculaire Hématome de la cheville probablement suite à l'administration de Clexane. Hématome de la hanche gauche le 18.02.19 Hématome de la main gauche. Hématome de la paroi aortique de type B selon la classification de Stanford le 12.02.2019 Hématome de la tibia droit • pas d'argument pour syndrome de compartiment, thrombose ou infection Hématome de 5x3x6 cm au niveau du muscle grand droit à droite Hématome dissécant de l'aorte de type B Hématome du genou gauche chez un patient avec un s/p plastie du LCA le 05.02.2019 (Dr. X) Hématome du pavillon et du conduit auditif externe de l'oreille droite • sans signe de gravité Hématome du périnée. Hématome du petit bassin sur saignement actif de l'artère épigastrique inférieure gauche le 01.12.2018 dans un contexte d'anticoagulation supra-thérapeutique : • Comorbidité active : syndrome anticorps anti-phospholipides anticoagulé par Marcoumar avant l'opération du 27.11.2018 Hématome D2 main gauche. Hématome en cocarde œil droit sur traumatisme le 06.02.2019. Hématome en regard de la voie d'abord carotidienne droite le 22.12.2018 Hématome en regard du pacemaker le 15.02.2019 Hématome épidural postéro-latéral avec paraparésie sévère et troubles sphinctériens traité par laminectomie bilatérale ouverte D11-12-L1-L2 pour évacuation le 09.12.2018 Hématome face antérieure du bras D • DD : rupture de la ténodèse LCB • DD : irritation du matériel d'ostéosynthèse Status post-ostéosynthèse et ré-ostéosynthèse d'une fracture sous-capitale de l'humérus D le 27.07.16 et 13.10.16. Hématome flanc gauche sur chute mécanique le 14.01.2019 • patiente anticoagulée par Xarelto Hématome genou droit le 07.02.2019 Hématome hanche droite avec plaie superficielle au décours Hématome index main gauche. Hématome inguinal droit non-perfusé, le 09.03.2017 : • Après coronarographie Status après hystérectomie Fracture non déplacée de la branche ilio-ischio-pubienne à gauche le 26.01.2013 Status après ablation de voies accessoire/réentrée intranodale en avril 2017 (CHUV) pour AVRT/AVNRT Hyponatrémie asymptomatique à 123 mmol/l le 27.09.2018 sur probable SIADH Ostéoporose fracturaire avec tassement D12-L1 non déplacé le 22.09.2018 Passage en fibrillation auriculaire, cardioversée spontanément le 18.10.2018 après coronarographie Maladie valvulaire aortique avec sténose serrée symptomatique : • Implantation d'une prothèse valvulaire aortique TAVI de Edwards Sapien 3 de 23 mm par voie percutanée fémorale (OP le 17.12.2018) Hématome intra-vésical avec hématurie macroscopique sur carcinome urothélial invasif (diagnostic initial 18.02.2019) Hématome membre supérieur G avec peau de parchemin Hématome péri-orbitaire à droite suite à un TC le 30.01.19 Hématome péri-rénal gauche le 07.02.2019 • s/p thermoablation et biopsie rénale Hématome péri-testiculaire traumatique. DD : Varicocèle. Hématome pli inguinal droit. Hématome pli inguinal droit post-coronarographie du 08.02.2019. Hématome post-résection cutanée en dermatologie le 07.02.2019 Hématome post-traumatique tibia droit le 04.03.16. Chute d'une échelle en juillet 2009 avec • fracture type Barton du radius distal gauche quasiment pas déplacée. • fracture blow out du plancher de l'orbite gauche et de l'os du nez. • plaie de 7 cm de l'arcade sourcilière et autour de l'orbite à gauche. • contusion genou droit. Embrochage fracture 5ème métacarpien gauche en 1998. Hidradénite suppurative axillaire gauche. Opération kyste ménisco-synovial du genou droit. Opération du canal carpien droit. Névralgie de la mâchoire en 2006. Céphalées primaires de type, Ice pick headache (primary stabbing headache). • DD : Short lasting unilateral neuralgiform headache (SUNCT) en septembre 2014. Abcès axillaire gauche récidivant d'environ 1 cm le 16.09.2018. Hématome racine de la cuisse gauche post-bloc nerf fémoral. Status post-AS genou gauche avec : • plastie du LCA par TQ, • suture CPME 2x FastFix le 14.08.2018 sur : Entorse du genou G en mai 2018 avec : • Déchirure complète du LCA • Possible lésion méniscale et kyste de Baker secondaire à un lâchage du genou en juin 2018 Hématome rétro-péritonéal et sous-capsulaire du rein droit sur maladie polykystique acquise dans le contexte de la dialyse. Hématome rétropéritonéal et sous-capsulaire rein droit Hématome scrotal sur un statut post-cure selon Lichtenstein bilatérale avec mise en place d'un filet le 08.02.2019, Dr. X à l'HFR Riaz. Hématome sous dural sur traumatisme le 23.09.2018 Crise convulsive du visage le 27.09.2018 • à trois reprises depuis une semaine DD sur hypoglycémie, sur statut post-AVC, hypocalcémie sur IRC IRA d'origine probablement cardio-rénale le 6.04.2017 avec hyperkaliémie à 8.3 mmol/l Accident vasculaire cérébrale ischémique sylvien droit sur sténose à 50% de l'artère carotide interne droite (le 14.07.2008), thrombo-endartériectomie D le 11.08.08 en ALR (Dr. X) Hypogonadisme hypogonadotrope, acromégalie auto-limitée (1970) Excision carcinome spinocellulaire en 1991 Prothèse d'épaule à droite Crise de goutte au coude à droite Erysipèle de la jambe gauche Hématome sous-capsulaire du rein droit avec hématome rétropéritonéal. Hématome sous-cutané dans la loge du pacemaker dans un contexte d'anticoagulation par Xarelto Hématome sous-cutané de la face latérale de la cuisse droite sous anticoagulation pour thrombose veineuse profonde en 04/2012 drainé chirurgicalement le 16.05.2012 Cholécystectomie par laparoscopie le 29.08.2012, cholécystite aiguë sur lithiase vésiculaire symptomatique en 04/2012 Ablation du matériel d'ostéosynthèse du tibia droit le 30.03.2012 post-ostéosynthèse de valgisation en 02/2011 Hématome sous-cutané de l'angle droit de la cicatrice de césarienne. Hématome sous-cutané lombaire/flanc gauche sur chute mécanique le 14.01.2019 • CT abdominal le 14.01.2019 : Hématome des tissus mous sous-cutanés en para-vertébral gauche, au-dessus du muscle grand fessier homolatéral, mesurant 140 x 53 x 113 mm, avec saignement artériel actif au moment de l'examen, probablement originaire d'une artère lombaire à hauteur de L4. • CT abdominal le 16.01.2019 : pas de saignement actif, diminution de la taille de l'hématome par rapport au comparatif. • Mme. Y anticoagulée par Xarelto Hématome sous-cutané surinfecté en regard de la cicatrice de laparotomie le 16.02.2019 Hématome sous-dural frontal gauche de 2.5 mm avec hyperdensités frontales pouvant être des foyers punctiformes de saignement sous-arachnoïdiens Hématome sous-dural frontale gauche de 4.8mm et hématome sous-dural pariétal droit de 5mm Hématome sous-dural fronto-pariétal aigu à D avec fracture de l'os temporal D, le 24.02.2019 Hématome sous-dural fronto-pariétal aigu à droite avec fracture de l'os temporal D, le 24.02.2019 avec • status post-plusieurs chutes dans le cadre d'une démence avec agitation Hématome sous-dural gauche chronique Hématome sous-dural massif avec déviation de la ligne médiane post-traumatique avec : • alcoolisation aigue à 2.08%o • état de décérébration • coma avec GCS 3/15 Hématome sous-dural para-falcoriel droit le 13.11.2018 compliquée de crise épileptique partielle complexe avec paralysie de Todd et paraparésie du MIG le 14.11.2018 • Surveillance neurologique rapprochée du 13.11.2018 au 15.11.2018 aux soins intensifs • CT cérébral natif les 13.11.2018, 14.11.2018 et 16.11.2018 : sans progression de l'hémorragie • Suivi neurochirurgical (Dr. X) : hématome à proximité du sinus sagittal rendant l'intervention très risquée, attitude expectative, intervention à rediscuter si péjoration de l'état neurologique et radiologique • Rivotril le 14.11.2018 puis Keppra dès le 14.11.2018, Taux de Keppra le 16.11.2018 : 23.6ugl (norme 20-40ug/l) Hématome sous-dural subaigu le 17.12.2018 Hématome sous-dural subaigu voire chronique bi-frontal sur chute avec TC le 23.01.2019 • Facteurs de risque de chutes : consommation d'alcool à risque, notion d'ostéoporose fracturaire, hyponatrémie, prise de benzodiazépine et malnutrition protéino-énergétique Hématome sous-galéal pariétal post-traumatisme crânien mineur suite à une chute accidentelle le 21.01.2019 Hématome sous-orbitaire gauche Hématome sous-unguéal de l'index droit. Hématome spontané du muscle psoas iliaque G en 2017. Embolie pulmonaire sous-segmentaire postéro-basale droite le 01.11.2018 • Score de PESI : classe II • Xarelto 15 mg 1-0-1 pendant 3 semaines, suivi par Xarelto 20 mg/j (durée à déterminer) Hématome spontané du psoas sous Xarelto en 12.2018 Status post-résection transurétrale de la vessie le 28.09.2016 pour carcinome urothélial papillaire non invasif pTa G2. Status post-arthrodèse MTP I à droite par plaque Pedus et cure de deuxième orteil droit en marteau le 20.09.2016 (HFR Fribourg). Carcinome urothélial papillaire non invasif pTa G2. • Résection transurétrale de la vessie le 22.11.2017 (Dr. X) Hématome sub-unguéal de l'ongle du doigt II de la main D Contusion insertion tendon d'Achille D Hématome suite à accouchement à l'aide de ventouse Hématome sur statut post-ablation du matériel d'ostéosynthèse du poignet droit le 08.02.2019. Hématome surinfecté au niveau de la surface dorsale de la main droite Hématome testiculaire bilatéral dans un contexte post-opératoire sans saignement actif. Hématome traumatique fesse D surinfecté à Staph. aureus • Status post chute avec réception sur la fesse D le 28.12.2018 Hématome vaste latéral cuisse droite (40 mm x 23mm x 170 mm) sur pseudoanévrisme (6x6x10 mm) de probable origine iatrogène localisé à une des branches de la circonflexe latérale. • s/p reconstruction tendons moyen et petit fessier hanche droite sur déchirure (OP : le 04.02.2019 Dr. X). Hématomes Hématurie Hématurie. Hématurie. Hématurie. Hématurie. Hématurie. Hématurie avec protéinurie et bactériurie asymptomatique le 04.02.19 • Sondage à demeure Tiemann Kath. CH.14 mis en place le 14.1.19 à la Permanence • Carcinome prostatique en 1998, kurativ avec radio, guéri en 2008 Hématurie avec protéinurie • sondage à demeure (à reverifier) Carcinome prostatique en 1998, kurativ avec radio, guéri en 2008 Hématurie et protéinurie Hématurie macroscopique le 28.01.19 possiblement sur anticoagulation thérapeutique Hématurie macroscopique Hématurie macroscopique. Hématurie macroscopique. Hématurie macroscopique. Hématurie macroscopique dans contexte carcinome prostatique avec invasion plancher vésical le 06.02.2019 Hématurie macroscopique dans un contexte d'obstruction des voies urinaires supra-vésicales droites sur masse à la jonction urétéro-vésicale. Hématurie macroscopique (DD : calculs rénaux, infection urinaire, glomérulonéphrite à streptocoque/IgA Burger, néphrite infectieuse, Lupus)Hématurie macroscopique (DD: calculs rénaux, infection urinaire, glomérulonéphrite à streptocoque/IgA Burger, néphrite infectieuse, Lupus) Hématurie macroscopique, le 03.02.2019 • d'origine urétrale probable Hématurie macroscopique post pose de sonde urinaire le 29.01.2019 Hématurie macroscopique probablement due aux calculs d'évolution favorable. Après avis néphropédiatrique, nous proposons un contrôle clinique + sédiment urinaire + hémodynamique chez le pédiatre dans une semaine et de nouveau discussion des nouveaux résultats avec Dr. X pour la poursuite de la prise en charge. Dr. X propose à priori un contrôle tous les 6 mois chez le pédiatre par la suite. Hématurie microscopique. Hématurie microscopique avec : • contexte d'adénocarcinome prostatique Gleason 4 + 3 = 7 Hématurie microscopique avec • quelques GR de type glomérulaire • fonction rénale préservée • protéinurie et albuminurie non sélective Hématurie microscopique connue. Hématurie microscopique DD: déshydratation Hématurie microscopique d'origine indéterminée le 04.03.2017. Syncope post-OGD le 03.06.2015. Hypomagnésiémie et hypophosphatémie le 03.06.2015. Fracture basi-cervicale du col fémoral gauche avec ostéosynthèse par DHS à deux trous le 14.06.2012. Anémie hypochrome normocytaire le 18.03.2015. Infection à CMV oesophagienne traitée par Ganciclovir du 02.02 au 16.02.2015 Trouble de la conscience d'allure vagale post-OGD avec dilatation oesophagienne. Soins impossibles à domicile en raison de l'hospitalisation de son épouse le 27.05.2016 Migration d'une PEG endoscopique en intra voire extra-gastrique. Status après traitement de sténose oesophagienne par dilatation et poses de stents en 2015. Malnutrition protéino-énergétique grave. Chute avec TC simple sans PC, sans AC, avec un hématome sous-cutané de 3 cm occipitale droite, sans plaies. AVC ischémique aigu : occipital D + cervelet G. TC sans PC avec cervicalgies le 4.12.2018 dans un contexte de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Pneumonie droite le 28.12.18. Déconditionnement global. Troubles cognitifs dans un contexte de démence de type mixte à prédominance vasculaire Hypernatrémie à 150 mmol/l le 28.12.2018 Hématurie post-biopsie rénale avec hématome péri-rénal. Hématurie sur probable néoplasie vésicale 09.02.2019 Hemeran application locale 2 à 3 x/jour. En cas de péjoration suivi chez le médecin traitant ou aux urgences. Hemeran crème localement Hémianopsie droite Hémibloc antérieur gauche asymptomatique avec : • échocardiographie normale le 05.08.2014. Hémicolectomie droite avec anastomose iléo-transverse latéro-latérale en deux plans (OP le 25.01.2019) Tumorboard du 30.01.2019 : chimiothérapie adjuvante Mise en place d'un Port-à-Cath par dénudation de la veine céphalique à droite (OP le 01.02.2019) Hémicolectomie droite avec CME par laparotomie le 31.01.2019 Discussion au Tumorboard du 06.02.2019 : surveillance Hémicolectomie élargie à droite avec CME le 29.01.2019 Tumorboard le 06.02.2019 Hémicolectomie gauche en 2010 Hémi-laminectomie L5 à D avec décompression L4 - L5 et L5 - S1 ainsi que foraminotomie L4 et L5 à D. (OP le 04.02.2019) Hémiparésie gauche depuis la naissance. Handicap mental léger. Troubles multiples de la personnalité et léger retard mental. Obésité. Boulimie. Fibrillation atriale rapide à 150/minute. Schizophrénie, environ 20 hospitalisations. Hémiplégie D congénitale touchant essentiellement le segment jambier et les releveurs du pied Entorse chronique du LLI genou D Hémiplégie droite résiduelle sur AVC (1993). Hyperplasie bénigne de la prostate. Hémisyndrome droit. Hémisyndrome moteur gauche Hémi-thyroïdectomie droite et isthmectomie avec neuromonitoring le 12.02.2019 (Prof. X) Histologie Promed (P2019.1803) : Carcinome folliculaire de la thyroïde en grande partie de type oncocytaire minimalement invasif avec invasion de vaisseaux sanguins capsulaires (moins de 5 vaisseaux) ainsi que accidents évolutifs. Tumorboard du 13.02.2019 : totalisation de la thyroïdectomie Hémoccult : positif (mais présence de sang frais) Pantozol dès le 31.01.19 Suivi biologique OGD/colonoscopie en ambulatoire, le patient sera convoqué à domicile. Hémochromatose héréditaire. Goutte. Omarthrose débutante. Lésion chronique du sous-scapulaire avec luxation du long chef du biceps dans le cadre d'un traumatisme en décembre 2016 sur status post-stabilisation de l'épaule il y a 20 ans. Hémochromatose hétérozygote avec phlébectomies Epilepsie partielle secondaire post-AVC ischémique • Traité par lévétiracétam • Suivi régulier par Dr. X Insuffisance cardiaque à fraction d'éjection diminuée d'origine ischémique avec : • infarctus antéro-septal thrombolysé en octobre 2004 • status post PTCA et 1 stent actif sur l'IVA moyenne • status post PTCA et 2 stents actifs sur la CD proximale et moyenne • lésion de < 30 % de la Cx englobant l'origine de la seconde marginale • lésion de < 30 % de la CD proximale • décompensation cardiaque sans cause évidente le 22.06.2015 et sur FA à réponse ventriculaire rapide le 17.05.2015 • implantation de Pacemaker 11.05.2017 pour FA et bradycardie d'étiologie inconnue • FEVG 30 % en 04/2018 • suivi par Dr. X Fibrillation auriculaire permanente anticoagulée : • status post-cardioversion électrique en 2013 et en mars 2015 AOMI stade IIb selon Leriche-Fontaine du MIG avec : • athéromatose aorto-iliaque • sténose serrée de l'artère fémorale superficielle gauche dans son tiers moyen • ectasie poplitée de 1 cm • HTA • Hypercholestérolémie. Arthropathie microcristalline de type goutte • Traité par allopurinol • Suivi rhumatologique à l'HFR par Dr. X Syndrome des jambes sans repos • Traité par Adatrel Syndrome d'apnée du sommeil avec : • syndrome jambe sans repos : PLMS avec un index à 21/h, score de jambe sans repos 28/40 • polysomnographie (2011) : saturation nocturne moyenne à 95 % avec index de désaturation total à 2.5/h. Index micro-réveils 26.7/h Hypoaccousie appareillée. Hyperthyroïdie diagnostiquée le 22.06.2015.• mauvaise compliance avec machine CPAP • Hypoaccousie appareillée • Hyperthyroïdie diagnostiquée le 22.06.2015 • Myoclonie de MSD et mâchoire d'origine indéterminée le 22.05.2015 : • diagnostic probable : dystonie segmentaire secondaire • Hémochromatose sous-clinique • Hypertension artérielle non traitée • Insuffisance aortique • Discopathie • L4-L5-S1 • Maladie de Gilbert • Hémochromatose traitée par saignées régulières depuis 2011 • Reflux gastro-oesophagien • Hémoculture à chaud le 13.2.2019 : négatives à 5 jours • Hémoculture à chaud le 15.2.2019 : 1/4 positive à 4 jours Capnocytophaga sputigena -> considéré comme contaminant • Hémoculture positive à Staphylococcus pettenkoferi (1 bouteille/4, 1 paire/2) sur contamination probable • Hémoculture 09.02.19 : négative • Culture lésion croûteuse nasale 09.02.19 : S. pyogenes ß-hémol. A • CT-Scan vidage 09.02.19 • Suivi ORL (Dr. X) le 09,10,11,12 et 13.02.19 • Co-Amoxicillin 1.2 g i.v 4x/j du 09.02.19 au 13.02.19 • Co-Amoxicilline 1 g 2x/j du 14.02.19 au 19.02.19 • Fucidine crème • Suivi ORL le 22.09.19 • Hémoculture 2 paires à froid : stériles à 5 jours • Frottis de grippe : négatif • Culture d'expectorations du 12.02.2019 : germes de la flore bucco-pharyngée • Antigènes urinaires Légionnelle : négatif • Stix et sédiment urinaire propre • Ceftriaxone du 11.02 au 17.02.2019 inclus (7 jours dont 2 min. post-sortie d'agranulocytose) • Clarithromycine du 11.02 au 12.02.2019 (antigène urinaire négatifs pour légionnelle et absence d'imagerie évocatrice) • Hémocultures // cultures d'expectorations // PCR d'expectorations à la recherche de PCP • CT cérébro-thoraco-abdo le 11.2 • Avis infectiologie (Prof. X) • Avis pneumologique • Piperacilline-Tazobactam 4.5 g 4x/jour du 11.2.2019 au 20.2.2019 • Hémocultures à chaud le 06.02.2019 : négatives à 5 jours • Suivi clinique • Hémocultures: Candida kefyr • Antibiothérapie par Vancomycine et Meropenem i.v. du 10.02.2019 au 24.02.2019 • Cancidas intraveineux du 14.02.2019 au 22.02.2019 • Fluconazole per os du 23.02.2019 au 28.02.2019 • Drainage transhépatique sous contrôle scannographique le 13.02.2019, drain en place jusqu'au 25.02.2019 • Hémocultures et culture d'expectorations : en cours • Antigènes urinaires négatifs le 16.02.2019 • Frottis grippe positif pour Influenza A le 16.02.2019 • Radiographie thoracique le 15.02.2019 • Co-Amoxicilline et Clarithromycine le 15.02.2019 • VNI du 15.02.2019 au 17.02.2019 • Cathéter artériel radial gauche le 16.02.2019 au 17.02.2019 • Physiothérapie respiratoire • Hémocultures et culture d'urines en cours • Garde VVP • Reçoit 2ème dose Ceftriaxone iv • Contrôle demain avec FSC/CRP +/- ablation de la VVP et relais per os • Hémocultures le 05.02.2019 : négatif à 5 jours • Hémocultures le 07.02.2019 : négatif à 5 jours • Urotube le 08.02.2019 : 10^4 Enterococcus faecium • CT abdominal natif et injecté le 05.02.2019 • Pose de PICC line le 08.02.2019 • Expansion volémique • Imipenem le 05.02.2019 • Meropenem IV du 05.02 au 06.02.2019 • Rocéphine IV du 06.02 au 07.02.2019 • Flagyl IV du 06.02 au 07.02.2019 • Meropenem IV dès le 07.02.2019 • Fluconazole IV 800 mg le 05.02.2019, puis 400 mg dès le 05.02.2019 • Hémocultures le 11.02.2019 : Staphylococcus aureus • Culture cathéter artériel radial gauche le 12.02.2019 • Culture liquide pleural (drain PleurX) le 16.02.2019 • plaie de la loge du PAC • Co-Amoxicilline le 12.02.2019 • Vancomycine le 12.02.2019 • Pipéracilline-Tazobactam du 12.02.2019 au 17.02.2019 • Ablation PAC le 13.02.2019 • ETT le 14.02.2019: pas de végétation • Hémocultures le 12.02.2019 : 2/2 positives pour Enterococcus faecium (< 12h) • Lasix IV • Soins de confort : Morphine et Dormicum IVD et IVC • Hémocultures le 14.02.2019 : négatives à 5 jours • Hémocultures le 15.02.2019 : négatives à 5 jours • Sédiment urinaire • Hémocultures le 15.01.2019 : négatif à 5 j. • Sédiment le 15.01.2019 : Lc < 3, nitrites +, flore bactérienne + • Urotube le 15.01.2019 : 10^3 germes • Consilium infectiologique (Dr. X) • Céfépime 2 g 3x/j IV du 15.01 au 21.01.2019 • Hémocultures le 24.01.2019 : 4/4 positives pour Enterococcus gallinarum Ampicilline-sensible (< 12h) • Hémocultures le 25.01.2019 : 2/2 positives pour Enterococcus gallinarum (1 j. et 4 j.) • Hémocultures le 26.01.2019 : négatives à 5 j. • Sédiment le 24.01.2019 : propre • Urotube le 24.01.2019 : stérile • Hémocultures le 03.02.2019 : en cours • Sédiment le 04.02.2019 : leucocytes 3-5/champ, nitrites négatifs, flore bactérienne ++ • Ablation VVC le 25.01.2019 • Culture VVC le 25.01.2019 : positive pour Enterococcus gallinarum • US Doppler jugulo-subclavier le 29.01.2019 (Dr. X) : manchon fibrineux sur 4 cm de long et 6 mm de large au niveau jugulaire interne D, sans extension visible dans le TVBC ; pas d'autre thrombose au niveau jugulaire G ou subclavier • Recherche C. difficile dans les selles le 27.01.2019 : négatif • PCR eubactérienne le 27.01.2019 : négatif • Consilium infectiologique (Dr. X) • Céfépime 2 g 3x/j IV du 24.01 au 25.01.2019 • Vancomycine 1 g IV le 25.01.2019 • Clamoxyl 2 g IV 4x/j du 25.01 au 28.01.2019 • Gentamycine 240 mg IV 1x/j du 25.01 au 07.02.2019 pour une durée de 14 jours (depuis la dernière hémoculture positive) • Tazobac 4.5 g IV 4x/j du 28.01 au 07.02.2019 • Taux de Gentamycine le 28.01.2019 : 0.2 mg/l • Taux de Tazobac le 01.02.2019 : 4.8/0.7 mg/l • Hémocultures le 26.02.2019 • Urotube le 26.02.2019 • Cefepime du 26.02 au __ • Hémocultures le 31.01.2019 : négatives à 5 jours • ECG le 31.01.2019 • Sédiment urinaire le 31.01.2019 • Radiographie du thorax le 31.01.2019 • Ceftriaxone 2 g/jour du 31.01 au 05.02.2019 • Relais per os par Co-amoxicilline 1 g 2x/jour du 05.02 au 06.02.2019 • Physiothérapie respiratoire • Hémocultures les 15.02, 16.02 et 18.02.2019 • PCR frottis nasopharyngé positif à Influenza A le 16.02.2019 • Antigénurie pneumocoque et légionelle négatif le 16.02.2019 • VNI du 15.02 au 17.02.2019 • Intubation oro-trachéale (Cormack 1) avec ventilation mécanique du 17.02 au 19.02.2019 • Physiothérapie respiratoire dès le 19.02.2019 • Co-Amoxicilline du 15.02 au 16.02.2019 • Clarithromycine du 11.02 au 16.02.2019 • Lévofloxacine 16.02 au 22.02.2019 • Cathéter artériel radial droit du 16.02 au 21.02.2019 • Voie veineuse centrale jugulaire gauche du 17.02 au 21.02.2019 • Sonde naso-gastrique du 17.02 au 20.02.2019 • Hémocultures négatives à 5 jours. • Urotube négatif. • Pas d'antibiothérapie sur avis Dr. X. • Hémocultures (1 paire) à froid le 29.01.2019 au service des urgences : négative à 5 j. • Hémoculture (1 paire) à chaud le 29.01.2019 : négative à 5 j. • Radiographie du thorax le 29.01.2019 • Stix - sédiment urinaire le 29.01.2019 • Antigènes urinaires (Légionnelle et pneumocoque) le 29.01.2019 : négatif • Frottis de grippe le 30.01.2019 : Influenza A • Gazométrie le 30.01.2019 • Isolement gouttelettes du 29.01 au 01.02.2019 • Oxygénothérapie du 29.01 au 06.02.2019 • Aérosols Atrovent et Ventolin • Antibiothérapie par Ceftriaxone 2 g 1x/j IV du 30.01 au 05.02.2019 • Hémocultures 2 paires (cathéter et périphérique) : • le 08.02.2019 : négatives • le 11.02.2019 : en cours • Culture cathéter 14.02.19 : négative • Daptomycine dès le 25.01.2019 en dialyse jusqu'au 08.02.2019 avec dose supplémentaire le 13.02.2019 • Retrait fils thoraciques et inguinaux le 11.02.2019 • Avis infectiologues (Prof. X) • Repose d'un pacemaker le 21.02.2019 par le Dr. X à 9h30 (rendez-vous à 8h à jeûn, pas d'anticoagulation)Transfert en réadaptation cardio-vasculaire à Billens le 19.02.2019 • Hémocultures 2 paires (cathéter et périphérique) le 08.02.2019 : en cours • Daptomycine dès le 25.01.2019 en post-dialyse jusqu'au 08.02.2019 • Hémocultures 20.02.2019 en cours • Résultats biopsies 21.02.2019 pour H. Pylori • Hémocultures • Urotube • Suivi clinique et biologique • Hémodialyse intermittente dès le 04.02.2019 (lu-me-ve) • Hémodialyse du 22.02.2019 déplacée au matin • Hémodialyse le 21.01.2019. Retour à domicile possible. Adaptation du sintrom fait pour une semaine. Poursuite de l'administration de la Céfépime en dialyse. • Hémodialyse le 25.01, 28.01. et 30.01.2019 • Hémodiafiltration veino-veineuse continue du 04.02.2019 au 05.02.2019 • Hémodiafiltration intermittente : arrêtée avec suivi néphrologique Dr. X • Torasémide haute dose, Métolazone • Résonium, Chélateur du phosphate • Hémodialyse les 25, 28 et 30.01.2019. • Hémodynamiquement stable • Nexium 40 mg 1x/j • Diminution des AINS • Hémoglobine abaissée à 116 g/l à sa sortie DD : état inflammatoire/infectieux, hémodilution • Hémoglobine du post-partum au Petit Prince Contrôle post-partum à 6 semaines à votre consultation avec rediscussion de la contraception Aspirine lors de la future grossesse • Hémoglobine (Ferostadol) Crise d'angoisse des fois traitée avec Ventolin (dernière fois en juillet 18) • Hémoglobine stable. US : collection de 7x2 cm 05.02.2019 : Sous narcose, ouverture cutanée sur 5 cm et drainage de l'hématome • Hémoglobinurie paroxystique nocturne. • Hémoglucotest 12.3 mmol/l. • Hemoptysie • Hémoptysie • Hémoptysie • hemoptysie • Hémoptysie dans un contexte de mucoviscidose Status post-invagination traitée par laparotomie en août 2014 Status post-hospitalisation au CHUV pour exacerbation de mucoviscidose avec colonisation par Staph. aureus Status post-hospitalisation au CHUV pour insuffisance respiratoire avec surinfection pulmonaire à Staph. aureus, H. haemolyticus et Rhinovirus en février 2014 Status post-invagination iléo-caecale réduite par un lavement de NaCl 0.9% le 12.07.2014 Status post-invagination avec syndrome d'obstruction intestinale incomplète avec laparotomie, désinvagination et appendicectomie en passant en février 2012 Rupture de la plaque palmaire du majeur de la main droite le 07.12.2012 Status post-gastrostomie de 2001 à 2008 Exacerbation pulmonaire par surinfection (colonisation chronique à S. aureus et E. Coli multirésistant) dans le contexte de mucoviscidose Delta F 508 avec bronchectasies 10/2015 Exacerbation de Mucoviscidose le 07.06.2017, sans signe de gravité. Surinfection pulmonaire d'origine probablement virale dans un contexte d'une mucoviscidose Delta F 508 avec bronchectasies le 21.05.2018 • colonisation chronique à MSSA et E. Coli multirésistant • microbiologie du 21.05.2018 : E. coli ESBL+ sensible à l'amycacine, MSSA Cultures expectorations le 22.05.2018 : E. Coli ESBL +, sensible à l'amikacine et S. aureus MSSA, colonisation connue Meronem du 21.05 au 28.05.2018 VNI intermittente du 21.05 au 22.05.2018 Physiothérapie active/Caugh-expect 5x/jour • physiothérapie 3x/j sur le week-end • augmentation du traitement de Pulmozyme à 2x/j le 25.05.2018 • aérosols de NaCl hypertonique 3% 4x/j Malnutrition protéino-énergétique grave sur insuffisance du pancréas exocrine Avis et suivi diététique (S. Blanc) • 1500 ml Survimed/nuit du 21.05.2018 puis 3000 ml Survimed sur 20h du 25.05 au 04.06.2018. 2000 ml dès le 05.06.2018 • nutrition per os enrichie • adaptation des doses de Creon Anémie ferriprive sur malabsorption. • 2 injections de Venofer 05/2018 (Inselspital) • Venofer 150 ml avec préparation (solumedrol 125 mg et Tavegyl 2 mg) • Injection de Venofer en ambulatoire avec préparation le 13.06.2018 à 14h30 Insuffisance pancréatique endocrine • HbA1c 6,3% début mai à l'Inselspital Contrôle glycémique 4x/j. Insuline selon valeur si besoin. Douleurs thoraciques apicales droites le 25.05.2018 sur effort de toux. • Rx thorax le 25.05.2018 : infiltrats superposables à la radiographie du 21.05.2018. • Dafalgan et Tramadol d'office dès le 25.05.2018. Erythème de la main gauche post-tatouage, le 17.10.2018 • DD : érysipèle. Sérologies Hépatite B, A, C. HIV (pas de résultats) Surinfection pulmonaire probablement bactérienne dans un contexte de mucoviscidose Delta 508 le 30.11.2018 • Hémoptysie. DD : dans un contexte d'IRVS le 19.02.2019. • Hémoptysie DD dans IRVS le 19.02.2019 avec DD Diverticule oesophagien, Perforation oesophagienne, Tuberculose ganglionnaire ouverte, Sarcoïdose • Geneva Score 5 • Hémoptysie DD dans IRVS le 19.02.2019 avec DD Diverticule oesophagien, Perforation oesophagienne, Tuberculose ganglionnaire ouverte, Sarcoïdose • Geneva Score 5 • Hémoptysie DD dans le cadre d'ulcères gastriques le 19.02.2019 avec : DD Diverticule oesophagien DD tuberculose • Hémorragie. • Hémorragie cérébrale traumatique il y a 30 ans, prise en charge au CHUV Fracture tibia-péroné gauche sur accident de moto il y a environ 30 ans, prise en charge au CHUV • Hémorragie cérébrale traumatique il y a 30 ans, prise en charge au CHUV Fracture tibia-péroné gauche sur accident de moto il y a environ 30, prise en charge au CHUV • Hémorragie conjonctivale atraumatique de l'œil droit d'origine indéterminée. • Hémorragie digestive basse. • Hémorragie digestive basse avec instabilité hémodynamique le 03.02.2019 • Hémorragie digestive basse (DD : haute) • chez un patient anticoagulé par Sintrom pour une FA • Hémorragie digestive basse (diagnostic différentiel : haute) : • Chez un patient anticoagulé par Sintrom pour une fibrillation auriculaire • Hémorragie digestive basse possiblement sur volumineux polype caecal le 23.01.2019 • Hémorragie digestive haute sur ulcère pylorique Forrest III le 24.01.2019 • Hémorragie digestive basse sur hémorroïdes stade IV et lésion ulcérée du rectum le 03.02.19 avec • instabilité hémodynamique aux Urgences • Hémorragie digestive basse sur télangiectasies multiples du rectum d'origine post-radique • Hémorragie digestive haute avec instabilité hémodynamique, origine probable des varices oesophagiennes, le 28.02.2019 dans un contexte de cirrhose Child C • Hémorragie digestive haute avec instabilité hémodynamique, origine probable des varices oesophagiennes, le 28.02.2019 dans un contexte de cirrhose Child C • Hémorragie digestive haute avec méléna. • Hémorragie digestive haute dans le contexte d'un ulcère gastrique perforé • Hémorragie digestive haute dans un contexte d'angiodysplasie gastrique connue, le 09.01.2019. Odynophagie sur probable infection virale des voies respiratoires supérieures le 09.01.2019. Algurie chronique sans leucocyturie le 09.01.2018, DD cystite interstitielle. Traitement d'éradication de H. pylori avec Klacid et Clamoxyl en janvier 2017. Pancolite a. e. d'origine infectieuse en novembre 2017 Colonisation dans l'urine à E. coli ESBL (sensible à la nitrofurantoïne) en novembre 2017. Pyélonéphrite à droite en 2013. Gonarthrose tricompartimentale droite avec status post-arthroscopie du genou à droite avec biopsie et irrigation sous V.a. arthrite septique (23.11.2011). TUR-B au papillome de la vessie 2007 pT1 G1. Rupture de la coiffe des rotateurs épaule droite en 2002. Paralysie faciale périphérique en 1997. Pancréatite aiguë. Cholécystectomie. Hystérectomie et annexectomie. • Hémorragie digestive haute le 14.02 DD : atteinte gastrique sur prise AINS? • Hémorragie digestive haute le 14.02.19 sur: • Varices oesophagiennes sévères distales, traitées par 7 ligatures • Ulcère fibrineux de 1 cm sans signes de saignement au niveau du bulbe duodénal (sur prise d'AINS probable) • Hémorragie digestive haute post-ERCP avec papillotomie dans le contexte d'anticoagulation thérapeutique le 15.02.2019 • Hémorragie digestive haute post-ERCP dans le contexte d'anticoagulation thérapeutique le 15.02.2019 • Hémorragie digestive haute sur deux ulcères gastriques prépyloriques, Forrest III, le 18.01.2019. • Hémorragie digestive haute sur multiples ulcères du duodénum traité par pose de clip et injection d'adrénaline les 27.01 et 01.02.2019 • Hémorragie digestive haute sur rupture de varices oesophagiennes stade II le 16.09.2016 : • OGD le 16.09.2016 (Dr. X) : 4 ligatures, OGD de contrôle le 03.11.2016 • Propranolol po dès le 19.09.2016 Anémie normochrome macrocytaire d'origine multifactorielle le 16.09.2016 • Hémorragie digestive haute sur rupture de varices oesophagiennes stade II le 16.09.2016 : • OGD le 16.09.2016 (Dr. X) : 4 ligatures, OGD de contrôle le 03.11.2016. • Propranolol po dès le 19.09.2016 Anémie normochrome macrocytaire d'origine multifactorielle le 16.09.2016 • Hémorragie digestive haute sur trois ulcères gastriques dans l'antre de l'estomac, Forrest III, le 17.01.2019. • Hémorragie digestive haute sur ulcère duodénal • Hémorragie digestive haute sur ulcère duodénal Forrest III en décembre 2017. • Bypass gastrique et cholécystectomie pour obésité morbide en 2015. • Hémorragie digestive haute sur ulcère œsophagien circonférentiel d'origine indéterminée le 04.02.2019 • DD : ischémique, sur AINS • Biopsies ulcère œsophagien (ProMed) : inflammation neutrophilique, pas d'éléments pour une néoplasie • Prélèvement microbiologique ulcère œsophagien (CHUV) : PCR virale (HSV et CMV) et culture fongique négatives • Hémorragie digestive haute sur ulcères duodénaux le 07.02.2019 • Hémorragie digestive haute sur une angiodysplasie duodénale et jéjunale en juin 2018 avec : • OGD et coloscopie le 01.06.2018 : pas de mise en évidence de saignement digestif haut ou colique • OGD le 12.06.2018 : traitement de 4 angiodysplasies de moins de 8 mm à l'Argon plasma (2x duodénum distal, 2x jéjunum proximal) • Tuberculose méningée et miliaire en 1959 avec choroïdite et paralysie faciale D, traitement par PAS, streptomycine et Rimifán • Tendinopathie chronique du supra-épineux épaule D 2017 • Anémie macrocytaire d'origine mixte sur suspicion d'hémorragie digestive et carence en acide folique. • Angiodysplasie du caecum mise en évidence en 2010 • Ténosynovite extenseur ulnaire du carpe D aiguë le 29.05.2018 dans le contexte de la polyarthrite rhumatoïde • Polyarthrite rhumatoïde séropositive avec anti-CCP (1995) • Methotrexate de 05/2006 - 07/2017 (en raison d'une stomatite sévère) • Naproxène 2x500 mg/jour du 30.05.2018 - 31.05.2018 • Manchon thrombotique péricathéter dans la veine basilique D le 05.06.2018 • Hémorragie digestive haute sur ulcère duodénal Forest III le 01.08.2018 • PTH D en avril 2018 • Appendicectomie à 12 ans et amygdalectomie à 23 ans • Cure de tunnel carpien G en 1979 • Hystérectomie et annexectomie bilatérale en 1980 • Biopsie des seins en 1980 • Lithotrypsie bassinet rénal G en août 2005 • Choc cardiogène d'origine multifactorielle le 19.07.2018 • Cardiopathie ischémique tritronculaire avec dysfonction VG sévère connue • Hémorragie digestive récidivante DD sur diverticule duodénal (D3) • Status post-hémorragie digestive le 23.02.2018 sur érosions gastriques et bulbaires duodénales • Status post-hémorragie d'origine indéterminée le 17.04.2018 et le 05.05.2018 • Capsulo-endoscopie en juin 2018 : angiodysplasies du côlon et de l'iléon proximal avec quelques pétéchies • Colonoscopie en 2018 (Inselspital) : adénome tubulaire avec dysplasie de bas grade du côlon ; coagulation d'une angiodysplasie du caecum • Perfusion de Ferinject 1.5 g entre mai 2018 et janvier 2019 • Hémorragie du noyau gris central droit dans le contexte de thrombopénie le 12.01.19 • Hématome de taille 38 x 24 mm • Effet de masse avec compression du foramen de Monro D avec hydrocéphalie • Hémorragie du point de ponction sans critères de gravité le 24.09.2019 • Hémorragie du post-partum sur atonie utérine • Hémorragie du post-partum sur hypotonie utérine et saignement vaginal • Hémorragie du post-partum sur rétention de membranes et résidus placentaires • Hémorragie du post-partum sur rétention de cotylédon et atonie • Hémorragie du post-partum sur saignement de l'utérotomie • Hémorragie hémorroïdaire sans critère de gravité. • Hémorragie intra-cérébrale temporo-pariétale droite de 8 x 4.5 x 4.5 cm avec hémorragie sous-arachnoïdienne péri-lésionnelle • Secondaire à une thrombolyse intraveineuse pour anopsie droite sur thrombose aiguë de l'artère centrale de la rétine droite le 17.01.2019 • Symptomatologie : dysarthrie, troubles de la déglutition, hémisyndrome sensitivomoteur gauche, héminégligence gauche • NIHSS initial : 0 point, NIHSS post-lyse : 17 points, NIHSS à 24h : 17 points, NIHSS à la sortie : 13 points • Prise en charge complexe en unité Stroke Monitorée du 17.01.2019 au 18.01.2019, transfert à l'Inselspital du 18.01.2019 au 19.01.2019, en unité Stroke Monitorée du 19.01.2019 au 26.01.2019 puis en Stroke unit monitoré du 26.01.2019 au 12.02.2019 • Mini-craniotomie à Berne le 18.01.2019 • CT Cérébraux 17.01.2019, 18.01.2019 (Inselspital), 21.02.2019, 25.01.2019, 30.01.2019 • IRM Cérébral 05.02.2019 • Bilan neuropsychologique le 07.02.2019 • Sonde vésicale depuis le 18.01.2019 • Hémorragie intra-cérébrale temporo-pariétale droite de 8 x 4.5 x 4.5 cm avec hémorragie sous-arachnoïdienne péri-lésionnelle • Secondaire à une thrombolyse intraveineuse pour ischémie rétinienne avec cécité monoculaire droite sur thrombose aiguë de l'artère centrale de la rétine droite le 17.01.2019 • Symptomatologie : dysarthrie, troubles de la déglutition, hémisyndrome sensitivomoteur gauche, héminégligence gauche • NIHSS initial : 0 point, NIHSS post-lyse : 17 points, NIHSS à 24h : 17 points, NIHSS à la sortie : 13 points • Hémorragie intraparenchymateuse insulaire droite à hauteur de la jonction M2-M3 de l'artère cérébrale moyenne droite et possible petite hémorragie sous-arachnoïdienne en région frontale gauche post-thrombolyse intraveineuse le 01.02.2019 • Hémorragie pariéto-occipitale gauche avec : • Sous anticoagulation avec Sintrom, INR 1.3. • Hémorragie per-opératoire avec anémie normocytaire normochrome postopératoire le 11.01.2019 Hémorragie rétropéritonéale sur anévrisme de l'artère iliaque commune gauche rompu de 55x41x42 mm le 23.02.2019 • avec syncope à domicile. Hémorragie sous-arachnoïdienne droite post-lyse avec hématémèse associée le 01/02/19 Hémorragie sous-arachnoïdienne post-traumatique Hémorragie sous-arachnoïdienne frontale gauche et pariétale droite non traumatique le 28.11.2018 probablement dans le contexte d'une angiopathie amyloïde avec: • Probable épilepsie focale secondaire aux hémorragies sous-arachnoïdienne avec: • Crise d'épilepsie focale le 28.11.2018 • Possible récidive le 15.12.2018 • Clinique à l'entrée en neuroréhabilitation: ralentissement psychomoteur et troubles exécutifs légers, troubles de la mémoire du travail légers, apraxie visuo-constructive légère, déconditionnement physique global. Hémorragie sous-arachnoïdienne sur rupture d'anévrisme de la pointe basilaire le 22.08.2016 • hémorragie ventriculaire avec compression du mésencéphale, drainage ventriculaire externe et lombaire, coiling de l'anévrysme basilaire (14 coils, 4 x Deltamaxx, 10 Target 360, les deux sont IRM compatibles) • hémisyndrome moteur droit, mydriase gauche unilatérale fixe séquellaires, troubles cognitifs sévères Hémangiome hépatique Hémorragie sous-arachnoïdienne sylvienne G sur status post-chute dans un contexte d'éthylisation aiguë le 26.01.2019 • pas de séquences angio effectuées Hémorragie sous-conjonctivale de l'œil gauche Hémorragie sub-arachnoïdienne massive avec trouble de l'état de conscience le 11.01.2017 (DD: HSA rupture d'anévrisme, AVC). Hémorragie vaginale depuis le 04.05.2013. Hémorragies cérébrales multiples le 24.02.2019 • Foyers d'hémorragie dans le cervelet gauche (9 mm de diamètre) et dans le lobe occipital droit (13x9 mm), ainsi que hémorragie sous-arachnoïdienne frontale ddc • DD: angiopathie amyloïde cérébrale, vasculite, métastases hémorragiques d'un éventuel mélanome • Vertiges et nausées • NIHSS à 0 le 23.02.2019 Hémorragies digestives basses Hémorroïde interne, le 13.02.2019. Hémorroïde stade 2 réductible Hémorroïde stade 2 réductible. Hémorroïde stade 2 réductible. Hémorroïdectomie Hémorroïdes. Hémorroïdes de stade III à 9h en position gynécologique. Hémorroïdes de stade IV non repositionnables Hémorroïdes internes stade 4 le 10.12.2015. Hémorroïdes stade IV depuis juin 2018 Hémorroïdes stade IV le 03.02.2019 Hémorroïdes Constipation sévère avec colonoscopie le 20.02.2014 Malnutrition protéino-énergétique grave Lichen génital et anal suivi par Dr. X avec: • Suspicion de syndrome d'Alcock versus lichen vaginal • Infiltration du nerf périnéal gauche en raison d'une hyperspasticité sphinctérienne en 2013 Infection urinaire symptomatique le 27.09.2013 Status post-hystérectomie Status post-cure de hernie inguinale dans l'enfance Petite protrusion discale aux niveaux L2-L3-L4-L5 et L5-S1, sans obstruction, ni conflit radiculaire État de stress émotionnel Hémorroïdopexie le 03.06.2016. Turbinectomie et ethmoïdectomie partielle. Prostatite aiguë en janvier 2010. Insuffisance rénale aiguë pré-rénale sur déshydratation en 01.2010. Cholécystectomie Péritonite sur APP perforée à l'âge de 25 ans. Anémie spoliative hypochrome microcytaire ferriprive avec hémoglobine à 85 g/l en 1.18 Sevrage alcoolique en 01.2018 Hyponatrémie légère à 131 mmol/l en 01.18 Hémostase opératoire le 28.01.2019 (Dr. X) Mise en suspens du traitement anticoagulant. Reprise du Xarelto le 01.02.2019 Suivi de plaie, enlever les fils dans 2 semaines chez médecin traitant Henara est admise dans le service de néonatologie le 30.01 pour intolérance alimentaire dans le cadre d'une virose RSV positive. Sur le plan digestif, elle présente plusieurs vomissements sur les premiers jours de l'hospitalisation et des résidus importants lors des repas. Raison pour laquelle nous décidons de changer le lait au Prégomin AS exclusivement (jour et nuit) et par la suite mettons son alimentation sur la période de 24 heures en continu. Vu mauvaise tolérance, nous décidons par la suite de diminuer les apports caloriques de son alimentation. Nous passons sur des solutions standards du lait Pregomin AS de 13.8% qui lui fait 82 kcal/kg/j, toujours en continu (22/24 h). À partir du 11.02, au vu de la bonne tolérance alimentaire, nous décidons de maintenir l'alimentation sur la nuit, et de réaliser progressivement des pauses sur la journée à 3 x 2 h, avec un débit augmenté à 28 ml/h en préparation du retour à domicile. Le 12.02, nous enrichissons à nouveau le lait pour obtenir du Pregomin AS 18.6% (correspondant à 4 mesurettes de poudre pour un volume total de 100 ml, soit du lait à 90 kcal/100 ml), ce qui correspond à environ 113 kcal/kg/j. Un rendez-vous est pris à la consultation de Dr. X le 22.02 à 10h, afin d'assurer un suivi de la prise alimentaire. Sur le plan cutané, elle bénéficie d'un traitement de Fucidin sur 10 jours dans le pli du cou à cause d'une irritation importante, et d'applications de Dexeryl crème sur le reste du corps, pour une sécheresse importante de la peau. Au cours de l'hospitalisation, la nécessité d'effectuer des soins de la peau quotidiennement, en particulier dans les plis, est mise en évidence, rendant la visite de l'infirmière à domicile d'autant plus essentielle. Sur le plan infectieux, elle présente quelques pics fébriles, max à 39.1 jusqu'au 5.02, restant asymptomatique et sans perturbation de bilan biologique. Au vu de la toux et de l'état fébrile, nous réalisons une radiographie du thorax qui ne met pas en évidence de foyer infectieux. Sur le plan neurologique, plusieurs bilans ont été demandés par Dr. X (acylcarnitine eatc, homocystéine sanguine, acides aminés organiques et urinaires et sulfocystéine dans les urines). Ces résultats seront pistés lors du suivi à sa consultation. Sur le plan ostéo-tendineux, elle présente des arthrogryposes importantes et bénéficie d'un traitement 3 x/semaine pour la mobilisation de physiothérapie et ergothérapie, qui sera poursuivi à sa sortie aux Buissonnets. Durant cette hospitalisation, nous avons réalisé une observation sans antalgie d'office: la situation globale restait stable et même pendant la mobilisation (y compris physiothérapie) elle n'a pas présenté d'augmentation de son inconfort ou de ses douleurs. C'est pourquoi nous avons mis le paracétamol en réserve. Au vu de l'évolution clinique favorable, Henara rentre à domicile le 13.02, avec un suivi par l'infirmière à domicile dès le 14.02, un contrôle chez le pédiatre le 18.02, un suivi chez Dr. X le 22.02.2019, et un suivi chez Dr. X le 26.02.2019. Nous laissons le soin aux parents de contacter les Buissonnets pour la poursuite du traitement de physiothérapie et d'ergothérapie. Héparine thérapeutique arrêtée le 30.01.2019 Sintrom Héparine thérapeutique du 08.02, switch pour Clexane thérapeutique CT thoracique le 08.02.2019 Héparine 50 000 UI en bolus, puis 24 000 UI sur 24 h le 8.02.2019 Tavegyl et Solumédrol le 8.2.2019 (prémédication anti-allergique vu notion de réaction X au PC) Stop bêta-bloquant sur avis cardio Amlodipine dès le 08.02.2019 Nitroglycérine OU le 8.2.2018 Patch de nitrés dès le 10.2.2019 ECG le 7, 8, 9, 10, 12.2.2019: pas d'anomalies nouvelles Rx thorax le 7.02.2019 Échographie ciblée aux urgences (Dr. X, Dr. X) le 7.02.2019 Consilium cardiologique (Dr. X) le 7.2.2019 Coronarographie le 8.02.2019 (Dr. X) ECG le 7, 8, 9, 10, 12.2.2019: pas d'anomalies nouvelles Coronarographie du 11.2.2018 (Dr. X) CT injecté des tissus mous du cou, du thorax et abdomen du 14.2.2019 Consilium angiologique avec US artério-veineux MID (Dr. X et Dr. X)RAD le 15.2.2019 ETT prévue le 15.3.2019 à la consultation du Dr. X hépatopathie de stase Hépatopathie alcoolique le 01.02.2019 • perturbation de la crase (PTT à 42 sec) • perturbations des tests hépatiques • Thrombocytopénie • Score Maddrey 4 • Score de Lille 0.05 Hépatite A Hernie hiatale État dépressif Bruxisme Globus pharyngé. Hépatite aiguë d'origine alcoolique le 23.01.2019 • dans un contexte de cirrhose alcoolique CHILD C d'origine alcoolique (11 points) • score de Maddrey à 73 points • score de Lille à 92% (mauvais pronostic) • avec insuffisance hépatocellulaire Hépatite alcoolique d'une cirrhose Child C OH (bilan 05.2018) avec insuffisance hépatocellulaire aiguë (Score de Maddrey : 69.4) • Trouble de la crase • Hyperbilirubinémie • Encéphalopathie hépatique stade I Hépatite alcoolique le 15.02.2019 Hépatite B : Infection guérie (cicatrice sérologique). Hépatite B aiguë en 2008 non suivie depuis Hépatite B ancienne Tuberculose pulmonaire en 1985 avec méningo-encéphalite tuberculeuse en 1996, microabcès tuberculeux cérébraux pariétaux bilatéraux à prédominance droite réactivation TBC pulmonaire avec trois foyers parenchymateux Amputation accidentelle subtotale P2D3 main D en 2006 Fracture non déplacée du trochanter de l'humérus D sur chute de sa hauteur en 2007 Delirium tremens le 27.10.2012 Bulbite active avec Helicobacter Pylori en avril 2017 Hépatite B chronique découverte pendant grossesse en 2014 (suivie par Dr. X, virémie basse). Hépatite B chronique, virémie basse, suivie par Dr. X. Hépatite B guérie. Gynécologiques opératoires : hystérectomie totale avec annexectomie pour fibrome. Adhésiolyse par laparoscopie. Appendicectomie. Gynécologiques non opératoires : endométriose. Incontinence urinaire d'effort chez une patiente post-ménopausée de 55 ans. Pose de TOT sous anesthésie générale. Hépatite biologique mixte. Hépatite biologique mixte à prédominance cholestatique. Hépatite B. Troubles dépressifs. Hépatite C. Hépatite C chronique Hépatite C chronique • cirrhose Hépatite C chronique connu depuis 2001 • suivi Dr. X • pas de traitement actuel Vertiges récidivants déjà investigués Hépatite C chronique sur ancienne toxicomanie 4 Accouchements par voie basse Hépatite C (suivi Dr. X). Trouble dépressif. Hépatite C traitée au CHUV. Hypertension artérielle. Hépatite chronique avec : • perturbation de la crase (PTT à 42 sec) • perturbations des tests hépatiques Hépatite d'origine indéterminée le 23.02.2019. DD : lithiase des voies biliaires. Hépatite d'origine indéterminée le 24.02.2019. Hépatite fulminante d'origine indéterminée le 31.01.2019 • DD : ischémique, viral, toxique Hépatite médicamenteuse sur abus de Paracétamol. Hépatite mixte cholestatique et hépatocellulaire d'origine indéterminée. Furoncle sur la fesse droite le 21.06.2017. Hépatite virale B aiguë. Hépatite virale chronique C non traitée : • anti-HCV positif à 3 reprises depuis 2014. • génotype 1a (mcl 19.08.2016). • charge virale du 19.08.2016 : 298 UI/ml. • sérologie du 07.06.2016 : Ag HBs nég, Ac anti-HBs < 10 UI/l ; Ac anti-HBs IgG nég ; Ac anti-HBe nég ; Ac anti HIV1+2 et Ag HIVp24 nég. • Troubles de la crase liés à l'HCV. Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de drogues multiples (opiacés, cocaïne, cannabis et benzodiazépines) et troubles liés à l'utilisation d'autres substances psychoactives : • polytoxicomanie active avec injections intraveineuses de drogues, en placement sous PAFA à l'Hôpital de Marsens. • situation sociale précaire, avec patient sans domicile fixe. • syndrome de dépendance substituée par L-Polamidon (lévométhadone). Perturbation de l'activité et de l'attention sous Ritaline. Insuffisance mitrale post-endocardite mitrale à Entérocoque faecalis depuis septembre 2016. Lombosciatalgies avec syndrome radiculaire L5 gauche (IRM juin 2016 sans particularité). Hépatite X en 1960 environ Fracture de fatigue du genou G en décembre 2018 Vertiges à prédominance nocturne. DD : hypertension artérielle. Hypokaliémie à 2,8 mmol/l le 07.08.2018 S/p cholécystectomie octobre 2018 Hépatite B Hépatocarcinome des segments IV et VII Hépatopathie à prédominance de cholestase dès le 21.02.2019 • Probablement sur le Co-Amoxicilline Hépatopathie alcoolique. Hépatopathie d'origine possiblement alcoolique, DD : origine médicamenteuse • Rapport ASAT/ALAT>1, GGT augmenté, macrocytose • Éthylisme chronique • CT abdominal le 11.01.2019 : Stéatose hépatique. Pas de dilatation des voies biliaires ni de signes de cholécystite • sous Benerva et Becozym Hernie abdominale de la ligne blanche et hernie ombilicale. Hernie cervicale Hernie cervicale C5-C6. Hernie cicatricielle symptomatique • status post-laparotomie et résection d'un GIST de l'intestin grêle le 02.08.2017 Hernie de la ligne blanche infra-ombilicale, incarcérée le 27.05.2018 Sonde naso-gastrique du 27.05.2018 au 28.05.2018 Laparotomie exploratrice sous-ombilicale, résection 20 cm iléon à 40 cm du Bauhin, anastomose latéro-latérale manuelle et cure d'éventration selon Rives avec Filet Progrip en position pré-péritonéale le 27.05.2018 Choc hémorragique postopératoire probablement suite à une lésion d'un vaisseau sous-cutané dans le trajet du Redon et une macrohématurie dans le contexte d'une anticoagulation suprathérapeutique le 31.05.2018 • Transfusion 4 concentrés érythrocytaires et 3 PFC le 31.05.2018 • Protamine 5000 UI le 31.05.2018 Anticoagulation suprathérapeutique (Persistance de l'effet du Marcoumar à 5 jours après l'arrêt + Héparine) le 31.05.2018 • Beriplex le 27.05.2018 • Konakion le 27.05.2018 • Héparine dès le 27.05.2018, mise en suspens le 31.05.2018 • Protamine le 31.05.2018 • Reprise du Clexane le 04.06.2018 (2 x 80 mg /j) Hernie de la ligne blanche supraombilicale Hernie diaphragmatique avec reflux gastro-oesophagien. Infections urinaires à répétition. Hernie discale L4-L5. Hypertension artérielle. Hernie discale avec sciatalgie à droite. AIT le 13.11.2011. Hernie discale cervicale (opérée en février 2017). Douleurs abdominales chroniques sur possible colon irritable. Hernie discale C3-C4 Réaction cutanée de grade III sur Erbitux Tabagisme ancien (40 UPA) Hernie discale diagnostiquée en 2013 Hernie discale foraminale L5-S1 G, protrusion discale L5-S1 (2014) • infiltration foraminale L5-S1 G sous CT le 21.02.2014. Hernie discale lombaire. Hernie discale lombaire diagnostiquée en 2009. Hernie discale lombaire L4L5 Hernie discale L4-L5 : • diagnostiquée à l'IRM du jour • sur lombo-cruralgies droites non déficitaires acutisées sur traumatisme du 29.01.2019. Hernie discale L4-L5 avec irritation de la racine droite du L5. Hernie discale L4-L5 en 2009. Arthroscopie du genou gauche en 1990. Prothèse totale de hanche droite le 23.03.2015. Hernie discale L4-L5 gauche, infiltrée il y a un mois Trouble anxieux. Traumatisme crânien léger avec plaie temporale droite le 10.05.2014. Douleurs thoraciques probablement dans un contexte anxieux le 14.02.2017. Hernie discale L4-L5 gauche symptomatique avec: • hypoesthésie L4-L5. • discrète perte de force aux releveurs du pied et flexion de hanche. Hernie discale L4-L5 paramédiane G avec compression de la racine L5 G (totalement résorbée à l'IRM du 20.03.2018) Hernie discale L5-S1. Hernie discale L5/S1 dès 2015 Hernie discale L5-S1. Reflux gastro-oesophagien. Hernie discale médiane et paramédiane bilatérale au niveau L4-L5. Hernie discale, sans précision Trouble anxieux Hernie discale, traitement conservateur en 1990 Fracture de Maisonneuve de la jambe droite avec réduction et fixation par des broches de Kirchner 1.6 en oblique à 45°, péronéo-tibiales le 24.05.2013 Traumatisme du nez le 07.10.2016 AVC ischémique multifocal sylvien gauche aigu et cérébelleux droit subaigu en 2 temps d'origine cardioembolique sur fibrillation auriculaire inaugurale le 08.10.2018 Décompensation cardiaque globale sur tachyarythmie le 04.11.2018 Hernie hiatale Hernie hiatale. Hernie hiatale. Hernie hiatale (anamnestique). Gastrite chronique. HTA. Hernie hiatale avec gastrite BPCO non stadée, tabagique 20 cigarettes/j Hernie hiatale avec reflux gastro-oesophagien • sous Omeprazol Tabagisme actif 15 UPA Obésité (BMI 30 kg/m2 (163 cm, 79 kg) F43.22 troubles de l'adaptation, réaction mixte, anxieuse et dépressive F54 facteurs psychologiques et comportementaux associés à des maladies ou des troubles classés ailleurs Hernie hiatale, sous IPP. Hernie hiatale sous IPP. Tabagisme actif à environ 30 UPA. Porteuse d'un stérilet hormonal. Notion des chutes accidentelles occasionnelles dont la dernière en mars 2017. Hernie hiatale traitée par Oméprazol. Côlon irritable traité par Spasmo-Canulase et Iberogast il y a quelques années. Hernie hiatale traitée Hernies inguinales bilatérales connues depuis des années Status vaccinal tétanos anamn. en ordre Hernie hiatale. Hémorroïdes internes stade I. Migraines. Tachycardie supra-ventriculaire sous Bilol. Antécédent de cupulolithiase. Hernie hiatale Hyperplasie bénigne de la prostate HTA, Obésité, Hypercholestérolémie Intolérance au glucose Hernie hiatale. Hypothyroïdie substituée. Hernie inguinale bilatérale symptomatique. Hernie inguinale bilatérale, symptomatique à gauche Hernie inguinale droite. Hernie inguinale droite de Amyand (avec Appendix) Hernie inguinale droite oligo-symptomatique le 22.01.2019 Hernie inguinale droite Adenoidectomie Hernie inguinale en 2007. Appendicectomie. Fracture déplacée de la 12ème côte droite sur chute accidentelle dans le contexte de la maladie de Parkinson. Décompensation de BPCO avec surinfection bronchitique, le 09.02.2015. Accident vasculaire cérébral en 2017. Hernie inguinale gauche : • Connue depuis plusieurs années Hernie inguinale gauche non incarcérée le 07.11.2016. Hernie inguinale gauche opérée dans l'enfance Amygdalectomie Hernie latérale externe gauche L3-L4 et droite L4-L5 Spondylolisthésis L4-L5 Cure d'hernie inguinale directe droite et cure d'hernie ombilicale en 2006 Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique, avec créatinine à 511 µmol/l d'origine obstructive avec calcul de 12 mm x 9 mm intra-urétéral proximal à 5-6 cm de la jonction Infection urinaire compliquée en janvier 2019 Crise de goutte aux 2 chevilles le 17.01.2019 Hernie L5-S1. Status post appendicectomie dans l'enfance. Douleurs thoraciques pariétales le 25.08.2017. Hernie ombilicale Hernie ombilicale Hernie ombilicale Hernie ombilicale avec souffrance cutanée Hernie ombilicale et appendicite dans l'enfance Fracture intra-articulaire radius distal gauche le 05.01.2015 TURV en mars 2018 pour carcinome urothélial (Dr. X, Hôpital Daler) Hernie ombilicale réductible Hernie ombilicale symptomatique Hernie ombilicale. BPCO stade IV selon Gold avec/sur : • insuffisance respiratoire globale sévère • emphysème pulmonaire • exacerbation en mars 2014 • tabagisme actif à 30 UPA • oxygénothérapie à 1-1.5 l/min au repos, 1.5-2 l/min à l'effort • VNI nocturne (EPAP 7 - IPAP 21) avec O2 2 l/min la nuit. Hernie para-stomiale réductible en fosse iliaque gauche. Hernie sus-ombilicale réductible et indolore. Hernie sus-ombilicale réductible et indolore le 05.02.2019. Hernie transmésentérique Herniectomie L4-L5 bilatérale avec microdiscectomie. (OP le 15.02.2019) Herpangine Herpès génital (pas de lésion à son admission) Herpès labial avec impétiginisation légère Herpès labial le 18.11.2018 Herpès simplex au niveau de la verge le 01.02.2019. Herpès simplex vulvaire le 01.02.2019. Mr. Y a une situation sociale difficile à la maison. Il consacre beaucoup de temps à s'occuper de Mme. Y. En raison de cela, il a besoin d'aide et d'une surveillance médicale. Après enquête, un risque de suicide probable, qui s'est révélé négatif, nous lui avons donné le numéro du réseau de santé mentale de Fribourg. Il a également le prochain rendez-vous chez le médecin généraliste le 19.02.2019. Mr. Y a été référé par son médecin généraliste en raison de douleurs au niveau de la cuisse gauche. Le patient a été opéré pour une fracture proximale intertrochantéaire du fémur gauche à Fribourg. Il s'est très bien remis de l'opération, mais actuellement, depuis le 11.02.2019, il éprouve plus de difficultés à marcher, il ne peut plus marcher sans déambulateur et ressent des douleurs dans la partie supérieure de la cuisse. Le patient dit qu'il n'est pas tombé, la responsable de l'établissement de soins dit qu'il est incertain, mais il est déjà possible que le patient soit tombé. La radiographie d'aujourd'hui montre une fracture du fémur proximal et du clou. Atemnot, Durchfall, Obstipation et Übelkeit wurden verneint. Bei Eintritt stellte sich un patient de 94 ans, éveillé, orienté, dans un état général normal, dans un état nutritionnel normal. Normoton (BD 158/61 mmHg), normocarde (HF 63/min), Temp 36.5°C Abdo : flaches Abdomen, weiches Abdomen, Darmgeräusche in allen 4 Quadranten, kein Peritonismus, keine Druckdolenz Uro : keine Klopfschmerz über Nierenlogen. Pulmo: vesikuläres Atemgeräusch über allen Lungenfeldern, keine Rasselgeräusche, kein Giemen, kein Brummen. Herz : reine Herztöne, rhythmische Herzaktion, keine pathologischen Herzgeräusche, kein Strömungsgeräusch über Karotiden, Pulse bds. Symmetrisch tastbar, warme Peripherie, keine gestauten Halsvenen, keine peripheren Beinödeme Muskuloskelettal: keine Klopfdolenz über die Wirbelsäule Lokaler Status: Becken links • Hüfte links aussenrotiert, Beweglichkeit unbeschränkt, leichte Schmerzen nach Absetzen des Beines, Durchblutung Art. dorsalis pedis unauffällig • kein Hämatom, leichter Druckdolenz auf dem medialen proximalen Oberschenkel Nach Rücksprache mit unseren Orthopäden müsse der patient nach Fribourg auf der Orthopädie zur weiteren Prozedere verlegt werden. Eine Blutentnahme wurde bei uns durchgeführt. Wir danken unseren Kollegen für die rasche Übernahme. Verlegung nach Fribourg auf der Orthopädie zur operativen Versorgung.Atemnot, Durchfall, Obstipation und Übelkeit wurden verneint. Bei Eintritt stellte sich ein 94-jähriger Patient, wach, orientiert, in normalem Allgemeinzustand, in normalem Ernährungszustand. Normoton (BD 158/61 mmHg), normokard (HF 63/min), Temp 36,5°C Abdomen: flaches Abdomen, weiches Abdomen, Darmgeräusche in allen 4 Quadranten, kein Peritonismus, keine Druckdolenz Uro: keine Klopfschmerz über Nierenlogen. Pulmo: vesikuläres Atemgeräusch über allen Lungenfeldern, keine Rasselgeräusche, kein Giemen, kein Brummen. Herz: reine Herztöne, rhythmische Herzaktion, keine pathologischen Herzgeräusche, kein Strömungsgeräusch über Karotiden, Pulse bds. symmetrisch tastbar, warme Peripherie, keine gestauten Halsvenen, keine peripheren Beinödeme Muskuloskelettal: keine Klopfdolenz über die Wirbelsäule Lokaler Status: Becken links • Hüfte links aussenrotiert, Beweglichkeit unbeschränkt, leichte Schmerzen nach Absetzen des Beines, Durchblutung Art. dorsalis pedis unauffällig • kein Hämatom, leichter Druckdolenz auf dem medialen proximalen Oberschenkel Nach Rücksprache mit unseren Orthopäden müsse der Patient nach Fribourg auf der Orthopädie zur weiteren Prozedere verlegt werden. Eine Blutentnahme wurde bei uns durchgeführt. Wir danken unseren Kollegen für die rasche Übernahme. Verlegung nach Fribourg auf der Orthopädie zur operativen Versorgung. Hétéro-agression. Hétéro-agression. Hétéro-agressivité. Hétéro-agressivité dans un contexte de mécontentement de la prise en charge au foyer le 01.02.2019. Hétéro-anamnèse. Status clinique. Vaccins à jour. Anesthésie par Gel Let. Désinfection par Octenisept. 2 points simples à l'aide de Prolen 5.0. Contrôle chez le pédiatre la semaine prochaine et ablation des fils à 5 jours. Hétérozygotie pour le facteur V de Leiden • s/p embolies pulmonaires centrale et basale gauches 07/2018 • s/p Thrombose veineuse profonde en 2003 Hypertension artérielle sous traitement Hypothyroïdisme substitué: • substitution insuffisante le 13.07.2018 • Augmentation de la Levothyroxine à 0.075 mg (de 0.05 mg) le 13.07.2018. • Laboratoire 08.01.2019: TSH: 5.380, FT4: 14, FT3: 4.43 Adénocarcinome de la prostate Gleason 8 cN0 cM0 09/2016 • s/p résection trans-urétrale de la prostate 09/2016 • Biopsie Promed (P10191.16): adénocarcinome grade groupe 4. Gleason score 4+4=8 • CT abdomen 10/2016 (HFR Fribourg): pas de métastase • PSA 05/2016: 10.1mcg/l, 01/2018: 16.7mcg/l • Hyperplasie de la prostate: sous Tamsulosine, mise en suspense le 10.07.2018 vu vertiges orthostatiques Lésion nodulaire corticale supérieure du rein gauche (16 mm), juillet 2018 HFR Fribourg: • Anamnèse et examen clinique • Laboratoire • Hémocultures • Transfusions de deux culots érythrocytaires • Transfusion d'un plasma frais congelé • Konakion 10mg intraveineux 2x • Pantozol 80mg bolus intraveineux Transfert et hospitalisation en gériatrie aiguë HFR Riaz: • Suivi biologique • Hémocultures • Transfusion de deux culots érythrocytaires le 03.02.2019 puis de 2 concentrés érythrocytaires le 10.02.2019 • Pompe Nexium 8 mg/h du 02.02.2019 au 05.02.2019 • Prescription Dicynone 500 mg 3x/jour PO • Radiographie thoracique • Scanner abdominal • Laboratoire du 11.02.2019: hémoglobine à 107g/l • Projet de retour au home médicalisé de la Sarine à Villars-sur-Glâne le 11.02.2019 Hhydratation optimale HI bilatéral opérée en 2000 Hiatushernie, Ulcus ösophagogastral (Gastroskopie 8/16) • unter Pantozol Hiatushernie Kardiale Ebsteinbarranomalie Hirntumor-OP Allergische Reaktion auf Wespenstich mit: • Lippenschwellung Tavegyl 2 mg i.v., Solumedrol 80 mg i.v., Fenistil Gel, Überwachung, Xyzal und Prednison weiter Hirudoid crème pas d'anticoagulation devant anémie sous-jacente (Hb 48 g/l) Histologie: à pister Contrôle et soins de plaie Ablation des fils planifiée chez médecin traitant le 26.02.19 Histologie: cf annexes Histologie P2019.2187 vom 20.02.2019: Entzündliche Fistel/Zyste mit schwerer chronischer, zum Teil aktiver und abszedierender Entzündung, in die Tiefe von gefäss- und nervenführendem Bindegewebe, Fettgewebe und Skelettmuskulatur (Exzisat 09.00 Uhr SSL). Histopathologie: Pas d'élément néoplasique. Lésion décrite comme un ostéochondrome. HIV diagnostiqué en 1996, stable sous trithérapie sous Truvada et Intelence Perturbation des tests hépatiques à prédominance cholestatique et coagulopathie (TP abaissé), multifactorielle avec: • foie de stase • cirrhose dans contexte ancienne consommation OH et ancienne hépatite B (biopsie juillet 2012) • Xarelto en suspens depuis le 14.11.2017 Hypothyroïdite latente Tabagisme actif à 5 cigarettes/jour Troubles de l'adaptation avec réactions mixtes, anxieuses et dépressives Probable trouble cognitif d'origine mixte (ancien OH, s/p ACR hypoperfusion chronique) • MMS à 16/30 le 12.12.2017 • Bilan neuropsychologique le 11.12.2017 capacité de discernement difficilement jugeable mais possiblement altérée Abcès para-anal droit incisé le 19.12.2017 Hyponatrémie modérée vraie dans le contexte de l'insuffisance cardiaque Insuffisance rénale chronique de stade 3 sur syndrome cardiorénal de type 2 avec clairance à la créatinine selon CKD-EPI autour des 50 ml/min Prise en charge palliative d'une insuffisance cardiaque globale sur cardiomyopathie dilatée terminale (FEVG 10-15%) d'origine mixte valvulaire, hypertensive et dilatée (OH) diagnostiquée en 2008 avec: • coronarographie 02.2008: coronaires saines • FA rapide avec cardioversion électrique le 06.08.2012 avec récidive le 27.04.2017 • tachycardie ventriculaire instable avec ACR le 25.10.2012 (HFR Fribourg) • pose de pacemaker-défibrillateur tricaméral (CRT-D) le 01.11.2012 (HFR Fribourg), contrôlé le 06.07.2017 • choc cardiogénique le 05.05.2017 avec cure de Levosimendan • décompensation cardiaque probablement sur insuffisance mitrale sévère le 06.07.2017 avec valvuloplastie mitrale avec implantation de pose de 2 Mitra-Clip le 14.07.2017 (Inselspital) • décompensation cardiaque globale 12.2017 • pas de projet de greffe (récusé car mal compliance), pas d'assistance ventriculaire • Problématique principale à l'entrée aux soins palliatifs (selon SENS): perte d'appétit, asthénie, dyspnée à l'effort, constellation sociale HIV positif sous trithérapie par Triumeq. Pancréatite chronique avec: • épisodes récidivants de pancréatite aiguë compliquée • insuffisance pancréatique endocrine et exocrine (Diabète pancréatiprive) • status post-pose de stent au ductus biliaire et Wirsung en 2014 en Guinée-Bissau • Pancréatite aiguë nécrosante sur pancréatite chronique le 19.02.2016, Balthazar D (d'origine alcoolique, consommation arrêtée en septembre 2015) • ERCP avec changement de stent le 17.03.2016 • status post-pancréatectomie céphalique avec conservation du duodénum en 2017 (Inselspital) • status post-pancréato-gastrostomie trans-gastrique et mise en place d'un stent plastique en mars 2017 • status post-dilatation et stenting du conduit pancréatique trans-gastrique et dilatation/stenting d'une sténose biliaire en mai 2017 • status post-changement des stents et extraction de lithiase le 14.03.2018 Varices oesophagiennes stade I Reflux gastro-intestinal post-cure de hernie hiatale Troubles de l'adaptation, réaction dépressive légère HIV positif (ED 2002) • HAART mit Triple-Therapie Lamivudin/Zidovudin und Efavirenz • Iatrogene hepatische Steatose bei HAART • Hyperchrome Makrozytose, Verdacht auf megaloblastäre Erythropoese unter Zidovudintherapie HIV sous trithérapie avec virémie indétectable en janvier 2016. Hépatite C active non traitée avec: • Charge virale à > 3 mio en janvier 2016. • Ictère clinique. • Perturbation des tests hépatiques. • Traitement antiviral prévu en avril 2016 au Portugal. BBD incomplet avec hémi bloc antérieur gauche nouveau (pas de comparatif) asymptomatique le 22.02.16. Tabagisme actif. • Décision d'arrêt tabac volontaire le 22.02.16. HIV sous tri-thérapie, suivi au Portugal. HIV stade CDC C3, diagnostiqué en 1985 avec : • CD4+ entre 300-500 x 106/l, virémie indétectable en 2017 • s/p tuberculose en 2000 (antibiothérapie durant 9 mois), récidive en 2004 (antibiothérapie durant 15 mois) • s/p pneumonie à Pneumocystis jiroveci (carinii) en 2000 • s/p candidose oesophagienne en 2000 • trithérapie par Emtriva, Reyataz, Edurant • Actuellement : virémie indétectable et CD4 439 /ul le 11.11.2019 • suivi par Dr. X Hyperbilirubinémie (depuis trithérapie selon le patient) BPCO avec probable hypertension artérielle pulmonaire Discrète gynécomastie droite • US du sein droit en décembre 2016 Formation kystique sous-cutanée du flanc droit • US en novembre 2017 : kyste épidermoïde ou nodule kystique aspécifique de 17 x 20 x 7mm Insuffisance rénale chronique d'origine multifactorielle mixte sur réduction néphronique, néphrangiosclérose hypertensive et stase urinaire urétéro-pyélocalicielle sur sténose incomplète de la jonction pyélocalicielle gauche, clearance actuelle de janvier 2018 (53 ml/min) Status post néphrectomie droite pour carcinome rénal en 1998 Status post pyéloplastie gauche pour sténose pyélo-urétrale gauche en 2000 • HTA avec rétinopathie hypertensive stade I • ClCr 42 ml/min/1.73m2 selon MDRD en avril 2016 (créatinine 155 mcmol/l) • Scintigraphie rénale 06/16 : stase urinaire urétéro-pyélocalicielle sur sténose incomplète de la jonction pyélocalicielle gauche • Aggravée par Tenofovir Holter ambulatoire du 23.01.2018 : fibrillation auriculaire constante, avec une fréquence cardiaque moyenne à 72 bpm, maximale à 124 bpm, minimale à 42 bpm. Indication théorique à une anticoagulation, à évaluer selon le risque hémorragique. Attitude : • pas d'anticoagulation dans contexte de chute à répétitions/intervention orthopédique/angiologique/s/p anémie spoliative Holter de 72 heures du 27.12.2018 au 31.12.2018 montre (Dr. X) ne met pas de FA en évidence. Holter de 72h du 23.01.2019 Echocardiographie transthoracique du 28.01.2019 Avis cardiologique Ergométrie à distance Holter demandé ETT le 04.02.2019 : troubles de la cinétique segmentaire, FEVG 45% Avis cardiologique (Dr. X) : rassembler précédentes ETT à l'Inselspital et chez Dr. X, si dégradation de la FEVG, discuter coronarographie Holter du 15.02 au _ IRM cardiaque à demander (à la recherche morphologie cardiomyopathie hypertrophique) Lisinopril dès le 15.02.2019 Metoprolol le 15.02.2019 Holter en ambulatoire (demande faite sur DPI) Holter en ambulatoire et rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant dans la semaine. Holter et échocardiographie transthoracique en ambulatoire (la patiente sera convoquée). Investigation d'une possible HTA chez le médecin traitant. Holter sur 24h le 07.02.2019 : résultats à pister MAPA sur 24h le 07.02.2019 : résultat à pister Holter tensionnel prévu le 25.02 en cardiologie. Adaptation du traitement en conséquence. Holter 48h du 25.02. au 27.02.19 Holter 72h Homme de 63 ans connu pour un carcinome bronchique à petites cellules du lobe moyen droit métastatique cT1 cN2 cM1a (métastases cérébrales et rénales, ED 05.12.2018), ED 12.10.2017, nous est transféré de l'HFR Tafers où il a été hospitalisé entre le 11 et le 18.01.2019 pour agitation et comportement agressif suite à sa dernière hospitalisation en décembre 2018, dans un contexte d'épuisement familial. Le patient avait eu à Tafers un CT cérébral qui avait uniquement montré une régression des métastases cérébrales sans aucun signe d'HTIC, de saignement nouveau ou d'ischémie, ainsi qu'un EEG qui n'avait pas montré de statut épileptique. Suite à un consilium psychiatrique à Tafers avec Dr. X, le patient a été mis sous Haldol et sous Valium à visée prophylactique. À l'entrée, le patient ne se plaint de rien sauf de légère constipation, mais la fiabilité de l'anamnèse n'est pas certaine du fait de la présence de troubles cognitifs. À l'hétéroanamnèse, la femme du patient ne mentionne pas d'autre plainte. Pas de dyspnée, pas de douleur thoracique, pas de douleur abdominale, pas de nausée ou vomissement, pas de perte d'appétit, pas de trouble de l'humeur, pas d'anxiété. À l'examen physique, nous retrouvons un patient en bon état général, normohydraté, normocoloré, collaborant, calme, eupnéique à l'AA. Au status cardiovasculaire, des bruits B1 et B2 bien frappés, réguliers, sans souffle. Il y a des OMI relativement importants sans autre signe de surcharge vasculaire, les pouls périphériques sont bien perçus. L'examen abdominal montre un abdomen souple, dépressible, indolore, avec des bruits normaux en fréquence et en tonalité. Les loges rénales sont indolores. Le reste du status, y compris neurologique, est sans particularités. En raison d'apparition de chutes au début de son hospitalisation, non réapparues par la suite, nous conseillons un retour au domicile avec un rollateur ainsi qu'une surveillance en cas de nouvelles chutes. Mr. Y aura de la physiothérapie ambulatoire pour poursuivre le renforcement de l'équilibre. Il présente des œdèmes des membres inférieurs sans clinique de dyspnée ni d'atteinte pulmonaire, que nous traitons par des diurétiques et des bandages avec un résultat discret. Le CT thoraco-abdomino-pelvien du 28.01.2019 ne montre pas d'occlusion des voies lymphatiques ou des voies veineuses, qui expliqueraient ses œdèmes. Il montre une majoration de la plage de consolidation périhilaire droite avec sténose majorée de la bronche lobaire moyenne et apparition d'une zone de nécrose du segment médial du lobe moyen et une stabilité de la plage de consolidation de l'apex pulmonaire gauche. Pour le reste, une nette diminution de la masse probablement métastatique du pôle inférieur du rein gauche est mise en évidence.Nous notons des troubles cognitifs probablement dans le contexte du pronostic de son cancer et peut-être un début sous-jacent de mild cognitive impairment. La discussion familiale du 29.01.2019 projette un retour au domicile avec Spitex 2x/jour avec une acceptation de valeurs de glycémie plus élevées pour éviter des hypoglycémies ainsi qu'un suivi par Voltigo. En raison d'hypoglycémie matinale fréquente, nous adaptons quotidiennement les dosages de ses traitements d'insuline. Le 01.02.2019, suite à une discussion avec Mr. Y et à sa demande, nous arrêtons son Insulatard et sa Metformine et nous ne continuons qu'avec un schéma d'insuline rapide léger avec une acceptation de glycémie plus élevée jusqu'à 20 mM pour éviter ces hypoglycémies symptomatiques. Par la suite, le traitement et les contrôles sont arrêtés complètement. Mr. Y peut rentrer au domicile le 07.02.2019 dans un meilleur état général. Hoquet et nausées secondaires à ce dernier • probablement péjoré par l'anxiété • bonne réponse à Baclofène mais refus du patient à prendre traitement per os Hoquet le 31.01.2019 Hoquet probablement sur irritation diaphragmatique dans le contexte de la carcinomatose connue. Hospitalisation il y a 1 mois pour une crise d'asthme. Hospitalisation à l'Inselspital du 04.01 au 10.01.2019 avec potentielle exposition à Enterocoque vancomycine-résistant. Hospitalisation à Marsens après accord du psychiatre de liaison. Temesta 2.5 mg. Hospitalisation à Marsens en décembre 2016 suite à une fugue. Hospitalisation en septembre 2016 pour malaise sans cause retrouvée. Hospitalisation du 06 au 25.09.2018 pour dénutrition entérale dans le contexte d'une dénutrition protéino-énergétique. Status post-polypectomie nasale en 2010. Céphalées sans critères de gravité le 2.5.2018. Lipothymie sans traumatisme crânien, ni amnésie circonstancielle le 2.5.2018. DD : déconditionnement physique. Dyspnée d'origine indéterminée le 2.5.2018. DD : hyperventilation. Hospitalisation à Marsens en volontaire. Hospitalisation à Marsens en 2016. Séjour au Foyer St-Joseph d'une année en 2014-15. Sevrage alcoolique compliqué avec crise épileptique de type grand mal le 07.09.2014. Pneumonie sur broncho-aspiration le 09.09.2014. AVC ischémique putamen gauche avec hémisyndrome moteur droit en 2012. Épisodes psychotiques (hospitalisée à Marsens en 2010 et 08/2007). Syndrome akinétique rigide probablement sous Risperdal 2010. Hépatite toxique avec insuffisance hépato-cellulaire et pancréatite sur abus d'alcool et ingestion accidentelle de paracétamol. Bactériémie à E. Coli ESBL le 24.04.2018 probablement d'origine urinaire. Hospitalisation à Marsens pour sevrage volontaire le 26.10.2018. État confusionnel aigu dans le cadre de syndrome de sevrage à l'alcool avec délirium tremens le 31.08.2018. Hépatite aiguë d'origine alcoolique le 05.08.2018, le 24.08.2017. Séjour à Marsens le 27.02.2018 en privation de liberté pour sevrage alcoolique (sur avis du Dr. X). Thrombose du tronc porte et de la veine porte droite le 13.02.2018 • Arixtra thérapeutique dès le 13.02.2018, Relai par Eliquis 2 x 5 mg dès le 24.02.2018 (anticoagulation totale min. 6 mois) • US abdominal de contrôle 08.05.2018 : tronc porte perméable, sans mise en évidence de thrombose. Hépatosplénomégalie. Dysmorphie hépatique en lien avec la cirrhose connue. Disparition de l'ascite. Encéphalopathie hépatique le 12.02.2018 avec : • facteurs précipitants : thrombose de veine porte, sevrage éthylique, possible péritonite bactérienne spontanée • cirrhose hépatique d'origine alcoolique CHILD-PUGH B (score de Maddrey calculé à 67) le 12.02.2018 • séjour aux soins intensifs du 12.02 au 14.02.2018 Hépatite alcoolique le 22.12.2017 avec hallucinations paranoïdes nouvelles dans le cadre d'encéphalopathie hépatique. Hémorragie digestive haute sur rupture de varices oesophagiennes le 02.03.2017 dans le contexte de cirrhose Child B traitée par 6 ligatures. Varices oesophagiennes stade III, varices gastriques type G0V1. Légère gastropathie portale (OGD du 03.11.2016). Décompensation ascitique initiale sur cirrhose Child C d'origine éthylique le 11.08.2015. Boursite olécranienne gauche traumatique le 31.08.2018. Cholécystite alithiasique le 28.11.2016. Hospitalisation à Marsens, unité Venus, en mode volontaire, après avis du psychiatre de liaison. Hospitalisation au CHUV du 06.02 au 16.02. • Rocephine IV 100 mg/kg/j une dose à son arrivée jusqu'au 19.02 par voie centrale • Co-Amoxicilline 80 mg/kg/j en 3 doses du 19.02 au 7.03 per os. Hospitalisation au CSH de Marsens en électif le 18.02.2019. Hospitalisation au Daler. Antalgie. Pradif. CT abdomino-pelvien. Hospitalisation au HIB de Payerne du 07.01.2019 au 28.01.2019. • VVC jugulaire droite du 15.01.2019 • Ablation de PTG le 29.01.2019, biopsies, lavage avec mise en place d'un spacer en ciment (OP le 29.01.2019) • Ablation redons le 30.01.2019 • Co-amoxi 2.2 3x/j depuis le 07.01.2019 au 30.01.2019 • Amoxicilline du 30.01.2019 au • Avis infectio le 30.01.2019 • Taux résiduel de l'amoxicilline (J5) du 04.02.2019. Hospitalisation aux lits monitorés puis en gériatrie aiguë. Bilan biologique. Deux paires d'hémocultures : négatives à 5 jours. Gazométrie. Radiographie du thorax de face couché. Atrovent 250 µg. Pulmicort 0.5 mg. Paracétamol 1 g en intraveineux. Rocéphine 2 g en intraveineux à partir du 08.01.2019 au 15.01.2019. Solumedrol 62.5 mg aux urgences. Oxygénothérapie : stoppée le 15.01.2019. Antigènes urinaires pour légionelle et pneumocoques : négatifs. Hospitalisation aux lits monitorés. Fluimucil 600 mg 1x/j. Prednisone 50 mg 1x/jour du 09.01.2019 au 13.01.2019. Aérosol : Atrovent et Ventolin stoppés le 16.01.2019. Hospitalisation aux soins intensifs du CHUV du 09.01 au 29.01.2019 et de l'HFR du 29.01 au 13.02.2019. Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 09.01 au 15.01.2019 et du 17.01 au 21.01.2019. Drainage thoracique gauche du 09.01 au 24.01.2019 (changement le 12.01.2019 en raison d'une malposition). Trachéotomie chirurgicale (Shiley 6 FEN) du 21.01 au 12.02.2019. Ventilation mécanique par trachéotomie du 21.01 au 11.02.2019. Décanulation et fermeture de trachéotomie le 12.02.2019. Hospitalisation aux soins intensifs du CHUV du 09.01 au 29.01.2019 et de l'HFR du 29.01 au 13.02.2019. Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 09.01 au 15.01.2019 et du 17.01 au 21.01.2019. Trachéotomie chirurgicale (Shiley 6 FEN) du 21.01 au 12.02.2019. Ventilation mécanique par trachéotomie du 29.01 au 11.02.2019. Décanulation et fermeture de trachéotomie le 12.02.2019. Drainage thoracique gauche du 09.01.2019 au 24.01.2019 (changement le 12.01.2019 en raison d'une malposition). Transfert en réhabilitation respiratoire à l'HFR Billens dès que possible : demande envoyée. Hospitalisation aux soins intensifs 30.01 au 05.02.2019. Réanimation volémique et support hémodynamique par catécholamine. Suivi clinique et biologique. Hospitalisation aux urgences dans la nuit du 13 au 14.02.2019 pour gestion d'antalgie. Avis orthopédique (Dr. X). Convocation en Team Spine dans 10-14 jours. Antalgie par Dexaméthasone 4 mg 3x/jour pendant 5 jours puis schéma dégressif avec 4 mg 2x/jour pendant 5 jours. Mydocalm 150 mg 1x/jour au coucher, Co-Dafalgan et Tramadol. Éventuelle infiltration péri-radiculaire CT-guidée L5 à gauche. Hospitalisation de Mr. Y 4 mois pour déshydratation sur gastro-entérite aiguë à rotavirus. À son arrivée, il présente une déshydratation légère estimée à 5 %. Nous effectuons une gazométrie qui revient normale. Il bénéficie d'une perfusion de glucosaline 2:1 à son arrivée de 1500 ml/24 h qui est diminuée progressivement pour être retirée le 19.02.Il présente de très nombreuses selles volumineuses persistantes qui nécessitent la pose d'une SNG du 20 au 21.02 en raison de la non-compensation de ses pertes et d'une acidose métabolique sans désordre électrolytique. Arian reste afébrile durant tout son séjour. Au vu de la clinique rassurante et de la compensation per os, nous décidons d'un retour à domicile le 22.02 malgré la présence persistante de nombreuses selles volumineuses. Un contrôle est prévu aux urgences pédiatriques le 23.02. • Hospitalisation de Mme. Y presque 9 ans pour rechute de purpura thrombocytopénique immun d'origine infectieuse (mononucléose infectieuse). A son arrivée, au vu de sa clinique, nous effectuons un bilan sanguin qui montre une thrombopénie sévère à 6 G/l avec thrombocytes géants au frottis et réticulocytose (107 G/L, Hg réticulocyte 28pg) sans anémie associée qui nécessite la prescription d'immunoglobuline IV 1g/kg en une dose. Le reste du bilan sanguin est aligné hormis le bilan hépatique qui est en amélioration par rapport à la dernière hospitalisation. Une PCR pour EBV est demandée qui revient positive. Suite à l'avis du Dr. X (hémato-oncologue pédiatre au HFR), nous décidons d'un retour à domicile le 25.02.2019 avec contrôle biologique des thrombocytes prévu le 26.02.2019. • Hospitalisation de Mr. Y 6 ans pour blistering distal dactylitis à streptocoque pyogène A. Au vu de la clinique de Mr. Y à son arrivée, un traitement par Co-amoxicilline IV 50mg/kg 3x/j est instauré. A 48h d'antibiothérapie, nous notons une absence d'amélioration, avec une augmentation des lésions au niveau des doigts, et une limitation importante de la flexion des doigts 2 et 3 de la main gauche, avec une collection purulente au bout de chaque doigt. Nous demandons un avis au Dr. X (orthopédiste) pour exclure une atteinte de la gaine des fléchisseurs, et nous réalisons un US qui montre une gaine intacte des deux côtés. Un changement est effectué après 48h le 13.02, en accord avec l'infectiologue pédiatre Dr. X, pour un traitement par vancomycine 350mg 3x/j accompagnée de Céfépime 100mg 3x/j car l'évolution clinique n'était pas favorable, pour couvrir les MRSA et pseudomonas. Il a présenté un redman syndrome lors des prises de traitement de vancomycine traité par Tavegyl 0.5 mg IV et ralentissement de l'écoulement de la vancomycine. Un traitement topique est fait par des bains de Bétadine puis de l'Octenisept. On remarque une amélioration de la symptomatologie le 15.02 et la culture d'écoulement purulent revient positive pour streptocoque pyogène A. Nous échangeons l'antibiothérapie et reprenons le Co-amoxicilline à dose similaire. Sur le plan biologique, nous remarquons un syndrome inflammatoire modéré (CRP 45mg/L) sans leucocytose associée qui s'amende au cours de l'hospitalisation pour se normaliser le jour de sa sortie. Un bilan hépatique et un bilan rénal reviennent normaux, permettant d'exclure un toxic shock syndrome. Sur le plan infectieux, il reste afébrile durant tout son séjour et une culture d'élément purulent revient positive pour streptocoque pyogène A. Un isolement de contact est effectué durant tout son séjour. Au vu de la clinique favorable et de la normalisation de la biologie, nous décidons d'un retour à domicile le 17.02 avec suivi du traitement de Co-amoxicilline à raison de 80mg/kg/j jusqu'au 21.02. • Hospitalisation de Mme. Y pour bronchite spastique oxygénodépendante. A son arrivée, elle présente une difficulté respiratoire pour laquelle un traitement par Ventolin est instauré aux 2h avec 4 push qui sera progressivement diminué au cours de son hospitalisation. Lors de son hospitalisation, elle présente des désaturations à minima 88% qui nécessitent une prise en charge par oxygénothérapie supplémentaire du 18.02 au 20.02. Un frottis du nez est revenu négatif pour RSV. Au vu de la clinique favorable et de la bonne évolution, nous décidons d'un retour à domicile le 21.02 avec traitement par Bronchovaxum et Ventolin à domicile. Un RDV est prévu en pneumologie chez le Dr. X au mois d'avril. • Hospitalisation de Mr. Y 1 an pour une bronchite spastique oxygénodépendante. Transféré depuis Berne, il présente à son arrivée une insuffisance respiratoire avec désaturation qui nécessite une oxygénothérapie par lunettes, du Ventolin, un train de 6 push, du Betnesol 0.25mg/kg et de l'Atrovent. On remarque une amélioration de la symptomatologie sous ce traitement avec un amendement progressif du Ventolin et de l'oxygène supplémentaire. Sur le plan infectieux, il est apyrétique depuis le 18.02 malgré la présence de développement d'une otite moyenne gauche. Nous débutons un traitement par Amoxicilline 50mg/kg/j en 2 doses le jour de sa sortie à poursuivre pendant 10 jours. Au vu de la bonne évolution de Mr. Y, nous décidons d'un retour à domicile le 19.02 avec contrôle par vos soins dans 48h pour le suivi clinique. • Hospitalisation de Mr. Y pour difficulté alimentaire sur stomatite virale sévère. A son arrivée, Mr. Y présente une légère déshydratation pour laquelle il reçoit un bolus de Nacl 0,9% 20 cc/kg sur une heure suivi d'une perfusion de Glucosalin 2:1 avec des besoins d'entretien progressivement diminués au cours de son hospitalisation. Un bilan sanguin est prélevé afin d'évaluer la déshydratation et montre un léger syndrome inflammatoire (CRP 13mg/L) sans leucocytose associée et une gazométrie dans la norme. Sur le plan alimentaire, il nécessite une prise en charge locale par une solution lidocaïnée (solution du CHUV) qui lui permet, accompagnée de traitement antalgique par Algifor et Dafalgan, une augmentation de ses apports principalement hydriques puis solides. Sur le plan clinique, on remarque une diminution des lésions ulcéreuses intra et extrabuccales ainsi qu'une diminution de l'érythème des lésions maculo-papuleuses sur les mains, pieds, torse et dos. Sur le plan biologique, un frottis mycoplasme revient négatif mais est effectué après 4 jours d'antibiotiques donc est probablement faux positif. La sérologie n'est pas disponible au moment de sa sortie, nous préconisons donc une poursuite du traitement par Klaciped pendant 10 jours. La sérologie revient positive avec des IgM fortement positives, en faveur d'une infection à mycoplasme. Au vu de l'amélioration clinique et de l'augmentation de la prise orale, nous décidons d'un retour à domicile sous traitement par Klaciped 7.5ml 2x/j jusqu'au 24.02, solution buccale du CHUV et aux clous de girofle. • Hospitalisation de Mr. Y 3 ans et 8 mois pour pneumonie à Influenza et bronchite à RSV, enfant connu pour drépanocytose. A son arrivée, Mr. Y présente une détresse respiratoire qui nécessite la mise en place d'une oxygénothérapie supplémentaire à maxima 1L. Au cours de son hospitalisation, nous remarquons une amélioration de la symptomatologie respiratoire ce qui permet une diminution progressive de l'oxygénothérapie et son arrêt le 18.02. Le bilan revient positif pour RSV et Influenza A. Au vu de ses antécédents et de sa pathologie connue de longue date, nous réalisons une radiographie de thorax qui montre une opacité du poumon gauche aspécifique qui est en lien avec une infection virale. Cette radiographie met également en évidence une cardiomégalie qui nous fait demander un avis cardiologique et une échographie cardiaque qui reviennent toutes deux rassurantes. Sur le plan métabolique, on remarque une anémie hémolytique régénérative qui est à 63 g/L et qui diminue pour atteindre 57 g/L le 16.02. Mr. Y reçoit une transfusion de 10ml/kg de concentré érythrocytaire ce même jour. Une amélioration de l'anémie est visualisée jusqu'au jour de sa sortie mais nécessite un contrôle chez le Dr. X (hémato-oncologue pédiatre au HFR) pour un suivi. On remarque également une atteinte hépatique (ASAT 100 U/L, ALAT 23 U/L, Bilirubine totale 120 micromol/L, direct 15.6 micromol/L) ainsi qu'un léger syndrome inflammatoire (CRP 31 mg/L) sans leucocytose associée qui coïncident avec une pathologie virale et la pathologie sous-jacente de l'enfant.Sur le plan infectieux, il présente un état fébrile uniquement le jour de son arrivée. Au vu de ses antécédents personnels et de sa clinique, un traitement par Rocéphine IV 700 mg 1x/j et Klaciped 100 mg 2x/j est instauré le 15.02. Ils seront arrêtés le 16.02 au résultat positif de l'influenza et changé pour du Tamiflu 32.5 mg 2x/j qui devra perdurer jusqu'au 21.02 matin. Sur le plan alimentaire et hydrique, il présente un faible apport du 16 au 17.02 qui nécessite la mise en place d'une perfusion de glucosalin 2:1 de 900 ml/24h. La reprise alimentaire et hydrique augmente progressivement et il est parfaitement autonome avec apport complet le jour de sa sortie. Au vu de la clinique rassurante et des examens biologiques en amélioration, nous décidons après avis du Dr. X, d'un retour à domicile le 19.02 avec suivi du traitement de Tamiflu jusqu'au 21.02 et d'un contrôle organisé par Dr. X à son cabinet. Hospitalisation de Mme. Y 3 mois qui présente une bronchiolite. Elle nous est transférée de Berne et présente à son arrivée une désaturation à environ 85 %, un expirium prolongé, des tirages aux trois niveaux et un balancement thoraco-abdominal ce qui nous pousse à mettre en place une oxygénothérapie supplémentaire à maximum 0.5 L qui persistera jusqu'au 13.02. Elle présente uniquement un état fébrile le 11.02. Une PCR RVS revient négative. Elle s'alimente correctement lors de son séjour, allaitement exclusif au lait Aptamil, ce qui ne nécessite pas d'aide particulière. Hospitalisation de Mr. Y 9 ans pour mise à l'abri dans un contexte de situation psychosociale difficile. À son arrivée, Mr. Y est nerveux et le restera durant toute son hospitalisation. Les entretiens familiaux et personnels au cours de l'hospitalisation ont mis en exergue une situation familiale complexe qui perdure depuis plusieurs années et qui a entraîné une angoisse chez Mr. Y. Un suivi pédopsychiatrique ainsi qu'une surveillance à domicile est mise en place avant sa sortie avec un changement dans le planning de garde de l'enfant. L'anxiété de Mr. Y s'améliore sous Atarax 12.5 mg donné au soir ce qui lui permet de passer des nuits calmes. Une sortie d'hospitalisation est effectuée le 14.02 pour un retour à domicile chez le père avec une mise en place d'évaluation à domicile dans les 3 puis 6 mois. Un suivi pédopsychiatrique est prévu chez la pédopsychiatre. Hospitalisation de surveillance pour SAOS appareillé avec impossibilité d'appareillage en raison du statut post-opératoire. Hospitalisation de Mme. Y 1 an et 9 mois pour déshydratation modérée sur gastro-entérite aiguë virale. À son arrivée, elle présente une déshydratation modérée pour laquelle elle reçoit un bolus de normolytoral par SNG 50 ml/kg, soit 600 ml sur 4h. Par la suite, elle présente une hydratation orale suffisante qui permet le retrait de la sonde le 22.02. Une gazométrie est revenue normale. Elle reste afébrile durant tout son séjour. Au vu de la clinique rassurante et de la prise orale suffisante, nous décidons d'un retour à domicile avec contrôle par vos soins dans 48 heures selon disponibilité. Hospitalisation du 06 au 16.01.2012 puis du 10.03 au 19.06.2012 pour troubles anxieux avec troubles du comportement alimentaire, crises d'angoisse et scarifications des avant-bras. Incontinence pour manque d'entraînement. Traumatisme crânio-cérébral vers l'âge de 1 an. Gastrite, diagnostic différentiel douleurs abdominales sur constipation. Entorse tibio-talare gauche le 05.09.2018. Intoxication médicamenteuse volontaire à la QUETIAPINE le 07.01.2018. Hospitalisation du 11.02 au 12.02.2019 à l'hôpital psychiatrique de Marsens. Consilium psychiatrique le 19.02.2019 : absence d'idéation suicidaire actuellement. Hospitalisation d'un enfant de 3 ans pour bronchite obstructive modérée. Sur le plan respiratoire, l'évolution est favorable avec un traitement de Ventolin en push espacé progressivement aux 4 heures et sevré le 12.02. Du Betnesol 0,2 mg/kg/jour est introduit durant 3 jours. Une oxygénothérapie n'a pas été nécessaire. Sur le plan infectieux, elle est afébrile durant son séjour. Une PCR pour RSV revient négative. Sur le plan alimentaire, elle présente des apports alimentaires et hydriques suffisants. Elle n'a pas présenté de symptôme digestif durant son séjour et son transit est normal. Sur le plan métabolique, elle présente initialement une hyperlactatémie et une hyperkaliémie, mises sur le compte de la détresse respiratoire et des hautes doses de Ventolin. Au vu de la bonne évolution clinique, nous décidons d'un retour à domicile le 12.02 avec contrôle chez le pédiatre dans 48h afin d'évaluer l'évolution clinique. Hospitalisation élective. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 26 ans, qui a été victime d'une luxation de son genou D le 10.04.2018 à la suite d'une chute d'une échelle d'une hauteur d'environ 2 mètres. Le patient a bénéficié le 27.04.2018 d'une intervention chirurgicale pour la révision du plan interne et postéro-interne du genou D avec suture de la corne postérieure du ménisque interne, de la réinsertion-suture du ligament collatéral interne et de la réinsertion-suture du ligament postérieur oblique. Le patient a tout d'abord présenté une évolution favorable. Mais depuis quelques mois, il présente une instabilité persistante au niveau de son genou D avec craquement audible douloureux et une sensation de faiblesse au niveau de la jambe D. Le bilan clinique effectué le 29.11.2018 a mis en évidence un tiroir antérieur sur déchirure du LCA avec laxité interne de grade III sur insuffisance du collatéral médial ainsi que du ligament postérieur oblique. Face à cette situation, une indication de prise en charge chirurgicale pour une reconstruction des 3 ligaments (LCA, LLI et POL) est posée. L'intervention se déroule le 12.12.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une tachycardie d'origine indéterminée associée à une hypertension artérielle postopératoire. Nous organisons un CT thorax qui a permis d'exclure une embolie pulmonaire le 15.12.2018. Nous demandons l'avis de nos collègues en médecine interne, qui préconisent une surveillance du dosage TSH et la réalisation d'un bilan cardiologique chez le médecin traitant. Les douleurs sont bien gérées après l'adaptation de l'antalgie. Dans le contexte d'un hématome au niveau du genou D opéré, le patient a présenté un épisode de fièvre jusqu'à 37.9 °, sans foyers infectieux. Les paramètres inflammatoires sont en régression spontanée avec une CRP à 96 mg/l et Lc à 6.7 G/L à la sortie. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche à la sortie. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Le patient bénéficie d'une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 60 mg 1x/j durant le séjour et qui sera à poursuivre pour les 6 prochaines semaines. Il bénéficie également d'une attelle articulée et de séances de physiothérapie durant le séjour. Au vu d'une bonne évolution, le patient peut regagner son domicile le 19.12.2018. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 41 ans, qui a bénéficié d'une cure d'hernie discale L5-S1 à G en 2017 avec tout d'abord une évolution favorable puis une péjoration de la symptomatologie avec des douleurs lombaires invalidantes l'empêchant de reprendre une activité professionnelle. Une indication de prise en charge a été posée. L'intervention se déroule le 14.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une hypoesthésie du versant latéral de la jambe G avec une faiblesse de la dorsiflexion des orteils et de l'extension du genou, cliniquement cotés à M4+. Nous introduisons un traitement par Déxaméthasone, qui permet d'améliorer lentement cette symptomatologie.Le patient reste apyrétique durant le séjour. Les cicatrices chirurgicales évoluent favorablement. Le transit intestinal est repris dans les délais habituels. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg s.c. 1x/j durant le séjour et pour une durée de 3 semaines à la sortie. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Au vu d'une bonne évolution, le patient est autorisé à retourner à son domicile le 21.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 44 ans, qui présente une sténose cervicale pluri-étagée, plus marquée en C5-C6 et C6-C7 avec myélopathie radiologique; cliniquement pas de myélopathie, mais cervicobrachialgie C7. L'intervention se déroule le 08.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche durant le séjour. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour uniquement. La mobilisation est débutée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Les douleurs radiculaires et axiales sont en nette diminution par rapport au contrôle préopératoire. Au vu de la bonne évolution, le patient est autorisé à retourner à son domicile le 12.02.2019. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 58 ans, qui se présente ce jour pour l'ablation des vis et des tiges en raison de dorso-lombalgies avec irradiation pseudo-radiculaire bilatérale sur descellement des vis supérieures. L'intervention se déroule le 08.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Le patient reste apyrétique. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Le patient présente une force évaluée à M5 des MI et ne présente pas de trouble de la sensibilité. Retour à domicile le 14.02.2019. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 60 ans, connu pour un status post bursectomie partielle le 31.12.2018 sur infection postopératoire à Staph. aureus post cure d'hygrome du coude D le 12.12.2018 par le Dr. X. Le 22.01.2019, le patient consulte les urgences au vu de l'évolution défavorable de la plaie avec déhiscence et écoulement purulent. L'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 23.01.2019, sans complications. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. La microbiologie péropératoire revient positive pour un Staph. aureus, la culture est nég. à J2. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 25.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 61 ans, qui présente une lombalgie persistante avec irradiation dans les MI. Au vu de l'échec du traitement conservateur, une indication de prise en charge chirurgicale est posée. L'intervention se déroule le 04.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par d'importantes douleurs et paresthésies des deux cuisses et un CT-scan de la colonne lombaire est effectué. Le CT a permis d'exclure la présence d'un hématome épidural et a montré une collection hématome sous-cutané au niveau de la plaie. Nous décidons dans un premier temps d'attendre la réabsorption progressive de l'hématome. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg durant le séjour. La mobilisation est débutée sous la conduite de la physiothérapie. En raison de l'écoulement séreux au niveau de la plaie avec augmentation de la CRP à 260 mg/l le 15.02.2019, nous demandons un consilium en infectiologie et débutons un traitement par Bactrim forte 160 mg 2x/j du 15.02.2019 au 20.02.2019 en raison des résultats du sédiment urinaire positif pour Enterococcus faecalis. Nous décidons également de faire 3 points de sutures cutanées le 14.02.2019 et d'enlever une agrafe le 15.02.2019. La suture a permis d'arrêter l'écoulement séreux. Nous prolongeons la durée de l'hospitalisation pour surveillance clinique et biologique. Le status neurologique est sans particularité. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Le patient décide de quitter notre service le 16.02.2019, contre avis médical. Il se présentera le 18.02.2019 pour un contrôle clinique et biologique (CRP et Fss) à la consultation du team spine. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 65 ans, connu pour une coxarthrose sévère à gauche, au vu d'une implantation de PTH. L'intervention se déroule le 14.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Le patient reste apyrétique. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour avec relais par du Xarelto 10 mg 1x/j à la sortie et ce pour une durée de 6 semaines. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 19.02.2019. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 74 ans, qui présente une symptomatologie douloureuse persistante au niveau L4-L5 bilatérale. Au vu de l'échec du traitement conservateur, une indication de prise en charge chirurgicale est posée. L'intervention se déroule le 04.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples avec un patient qui reste apyrétique. La plaie est calme durant le séjour. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée sous la conduite de la physiothérapie durant le séjour. Le patient présente une force évaluée à M5 au niveau des MI, sans trouble de la sensibilité ni de douleurs radiculaires. Au vu de la bonne évolution, le patient est autorisé à retourner à son domicile le 06.02.2019. Hospitalisation élective de ce patient âgé de 75 ans, qui a fait une chute dans sa salle de bain en septembre 2018, depuis il présente des douleurs au niveau de l'épaule D. Au vu de l'échec du traitement conservateur et selon le souhait du patient, une indication de prise en charge chirurgicale pour l'implantation d'une prothèse est posée. L'intervention se déroule le 31.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une insuffisance rénale aiguë et un SAOS non-appareillé. Nous demandons un consilium en médecine interne et débutons une hydratation i.v. avec prescription de bronchodilatateur en réserve. La fonction rénale est à nouveau normale le 04.02.2019. Le status neurologique du MSD est dans la norme et l'hémoglobine reste stable. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche durant le séjour. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Au vu de la bonne évolution, le patient est autorisé à retourner à son domicile le 04.02.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 20 ans pour l'intervention susmentionnée après entorse du genou D le 11.11.2018 en jouant au football entraînant le diagnostic susmentionné confirmé par IRM du 16.11.2018. L'intervention chirurgicale se déroule le 16.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies chirurgicales restent propres et calmes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie avec protection du genou D par attelle articulée. Retour à domicile le 17.01.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 22 ans qui présente une tuméfaction douloureuse récidivante du poignet D. Les investigations rx (clichés standard, CT, IRM) montrent une lésion plutôt corticalisée de la métaphyse radiale avec une perforation palmo-ulnaire et une infiltration du carré pronateur évoquant, en premier lieu, une ostéomyélite chronique. L'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 17.01.2019, sans complications. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. Selon ordre des infectiologues et au vu de la suspicion d'ostéomyélite, l'antibiothérapie i.v. est poursuivie jusqu'au 28.01.2019 puis passage à une antibiothérapie p.o. pour 2 semaines. À noter que la microbiologie des différentes biopsies du 17.01.2019 revient négative à J5. Rx postop satisfaisantes. La plaie reste propre et calme avec ablation des fils le 28.01.2019. Retour à domicile le 28.01.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 25 ans pour l'intervention susmentionnée. Pour rappel, en date du 08.04.2018, torsion du genou G en jouant au football entraînant la lésion du ménisque interne et du LCA. La lésion en anse de seau du ménisque interne genou a été suturée le 08.04.2018 par le Dr. X. Actuellement, en raison de la persistance d'une instabilité du genou G, l'indication à une plastie du LCA est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 05.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie chirurgicale reste calme et propre. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Antalgie standard. Retour à domicile le 08.02.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 25 ans qui, le 29.01.2019, présente une première luxation de l'épaule D lors d'un combat de lutte. Les investigations (clichés standard, CT-scanner + IRM) mettent en évidence les lésions susmentionnées. L'indication opératoire est alors retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 04.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. durant l'hospitalisation. Retour à domicile le 06.02.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 26 ans pour l'intervention susmentionnée suite à une torsion interne du genou G le 08.08.2018. L'intervention chirurgicale se déroule le 15.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 17.01.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 30 ans pour l'intervention susmentionnée. Pour rappel, le 23.09.2019, le patient se fait une torsion du genou G en jouant au football entraînant le diagnostic susmentionné. L'intervention chirurgicale se déroule le 13.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire reste propre et calme. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 15.02.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 31 ans pour l'intervention susmentionnée qui avait été agendée lors de la dernière hospitalisation du 08 au 18.01.2019. L'intervention chirurgicale se déroule le 25.01.2019, sans complications. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. Les suites postopératoires sont marquées par un écoulement sanguin persistant en regard de deux points de la plaie tibiale D malgré le traitement par pansement aspiratif VAC-Renasys qui est changé le 28.01. et 01.02.2019 puis enlevé le 04.02.2019 avec poursuite d'un traitement local selon protocole transmis aux infirmières des SAD. La plaie en regard de la prise de greffe évolue favorablement. La microbiologie peropératoire du 25.01.2019 se révélera négative à J5. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie avec Schlupfgips. Le 04.02.2019, passage à une antibiothérapie p.o., à poursuivre jusqu'au 10.02.2019. Dans les suites postopératoires, le patient rapporte le 30.01.2019 des douleurs thoraciques. Un ECG réalisé le 30.01.2019 s'avère dans la norme. Une échocardiographie ETT est réalisée le 31.01.2019 qui se révèle également dans la norme. Retour à domicile le 06.02.2019 avec les SAD. Hospitalisation élective de ce patient de 44 ans connu pour un status post OS d'une fracture du radius distal, cure tunnel carpien à G le 04.04.2018 ainsi qu'une instabilité du DRUJ sur lésion du TFCC. L'indication à une AS diagnostique et thérapeutique du poignet G est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 04.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de l'ergothérapie. Attelle Munster. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. durant l'hospitalisation. Retour à domicile le 07.02.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 44 ans qui présente une pseudarthrose de P2 Dig IV G post OS d'une fracture ouverte de P2 Dig IV en juillet 2018. L'indication à l'AMO et cure de pseudarthrose est donnée. L'intervention chirurgicale se déroule le 31.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie chirurgicale évolue favorablement. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. durant l'hospitalisation. Attelle confectionnée en ergothérapie et mobilisation de l'IPP et MCP IV. Retour à domicile le 01.02.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 47 ans qui présente une symptomatologie douloureuse à la montée et descente d'escaliers essentiellement motivant une IRM qui met en évidence le diagnostic susmentionné. Non évolution sous traitement conservateur. L'indication opératoire est alors retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 22.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie chirurgicale reste calme et sèche. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Rx postop satisfaisantes. Antalgie standard. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 24.01.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 49 ans qui présente une coxarthrose sévère à G et une rétroversion acétabulaire bilatérale. L'indication à l'implantation d'une PTH G est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 14.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une hypokaliémie nécessitant une substitution p.o. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire reste propre et calme. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 18.02.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 53 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 05.02.2019, sans complications. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. La microbiologie peropératoire revient négative et sur ordre des infectiologues, l'antibiothérapie par co-amoxicilline est stoppée le 11.02.2019. Les suites postopératoires sont simples. L'hémoglobine reste stable. Absence de trouble neurologique des MI. Rx postop satisfaisantes. Les plaies évoluent favorablement. Immobilisation par Schlupfgips et mobilisation sous conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 12.02.2019 Hospitalisation élective de ce patient de 54 ans pour l'intervention susmentionnée à la suite d'une chute dans la douche survenue en juillet 2018 entraînant le diagnostic décrit ci-dessus.L'intervention chirurgicale se déroule le 21.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples, toutefois marquées par des douleurs importantes du MSG motivant la prescription d'Oxycontin 15 mg 2x/24 h. Rx postop satisfaisantes. La plaie évolue favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 24.01.2019. Hospitalisation élective de Mr. Y de 54 ans pour l'intervention susmentionnée au vu du diagnostic décrit ci-dessus confirmé par IRM en novembre 2018 après traumatisme en août 2018. L'intervention chirurgicale se déroule le 28.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire et les orifices de l'arthroscope évoluent favorablement. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut pendant l'hospitalisation. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 01.02.2019. Hospitalisation élective de Mr. Y de 54 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 30.01.2019. Pour rappel, suite à l'OS par PFNA de la fracture pertrochantérienne D, Mr. Y présente un cal vicieux entraînant une antétorsion d'environ 50° du fémur. L'indication à l'ablation du PFNA et comblement du défect osseux est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 30.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 01.02.2019. Hospitalisation élective de Mr. Y de 58 ans connu entre autres pour une transplantation hépatique en 2016 pour un carcinome hépato-cellulaire ainsi qu'une insuffisance rénale chronique stade IIIa. En regard de l'épaule G, Mr. Y présente une aggravation de sa symptomatologie suite à une chute sur l'épaule survenue avant Noël 2018. L'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 07.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie chirurgicale évolue favorablement, les points d'entrée de l'arthroscopie sont également calmes. Rx postop satisfaisantes. Rééducation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Liquémine 5000 UI 2x/24 h durant l'hospitalisation. Pendant l'hospitalisation, nous constatons des valeurs élevées de la glycémie avec un maximum de 27, par conséquent nous expliquons à Mr. Y de discuter de son traitement anti-diabétique avec son diabétologue traitant, le Dr. X lors de la prochaine consultation agendée au 12.02.2019. Retour à domicile le 09.02.2019. Hospitalisation élective de Mr. Y de 58 ans en raison de l'évolution défavorable des plaies malléoles interne et externe cheville G. Pour rappel, Mr. Y avait été hospitalisé du 27.08. au 27.10.2018 pour une infection à Pseudomonas aeruginosa des tissus mous cheville G nécessitant un lavage, drainage abcès sous-tibial par abord médial et latéral le 28.08.2018 puis une révision de plaies malléoles interne et externe, débridement, prélèvements, rinçage et drainage par Penrose cheville G le 18.09.2018. A noter un état fébrile le 15.11.2018 au soir motivant Mr. Y à prendre des comprimés de Ciprofloxacine 750 mg 3x/j jusqu'au rendez-vous chez le Dr. X le 19.11.2018. La Ciprofloxacine est stoppée et l'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 23.11.2018, sans complications. Antibiothérapie par Meropenem 1 g 3x/j i.v. La microbiologie peropératoire montre une colonisation des plaies par Pseudomonas aeruginosa. Un consilium d'infectiologie est demandé : l'antibiothérapie est stoppée le 03.12.2018 au vu de l'absence de syndrome inflammatoire et de prélèvements microbiologiques peropératoires profonds du 23.11.2018 négatifs (hormis une seule colonie de Pseudomonas dans un seul prélèvement). Un consilium d'angiologie est demandé le 10.12.2018 montrant des pieds chauds et bien perfusés. Pressions systoliques aux gros orteils à G de 146 mmHg et à D de 135 mmHg. L'US Doppler artériel de la cheville G met en évidence un flux triphasique dans les artères pédieuse et tibiale postérieure. Plusieurs débridements, pansements aspiratifs VAC, lavages sont réalisés entre le 30.11.2018 et le 29.01.2019. Toutes les interventions chirurgicales se déroulent sans complications. Poursuite du traitement aspiratif par pansement VAC. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane durant l'hospitalisation. Adaptation d'un plâtre Sarmiento à G. Une otite externe D est traitée par Ciproxine 3 gttes 2x/j pendant 7 jours. Une carie profonde sous-radiculaire de la dent 17 est extraite par le dentiste en an. locale le 07.01.2019. Un consilium de psychiatrie est demandé le 30.01.2019 en raison d'un épisode dépressif moyen. Au vu d'une bonne évolution, Mr. Y retourne à domicile le 11.02.2019 avec suivi des plaies en stomathérapie. Hospitalisation élective de Mr. Y de 62 ans qui présente une excroissance latérale de la rotule D post fracture dans les années 1970 ainsi qu'un début de gonarthrose tri-compartimentale. L'indication opératoire est posée au vu de la gêne fonctionnelle. L'intervention chirurgicale se déroule le 12.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 14.02.2019. Hospitalisation élective de Mr. Y de 66 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 01.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut pendant l'hospitalisation. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. A la sortie, la force est évaluée à M5 en regard des MI, la sensibilité est normale au MID, hyposensibilité pré-existante à l'intervention actuelle sur le dermatome L2-L3 G ainsi qu'apparition en postopératoire d'une nouvelle hyposensibilité au niveau pubien et fessier à G, en amélioration. Retour à domicile le 11.02.2019. Hospitalisation élective de Mr. Y de 69 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 31.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une insuffisance respiratoire globale possiblement secondaire à une accumulation des opiacés sur IRA et benzodiazépines ainsi que d'une insuffisance rénale aiguë AKIN 2 motivant un avis des soins intensifs ainsi qu'un consilium de médecine interne ; bonne réponse. La plaie opératoire évolue favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut pendant l'hospitalisation. Le 08.02.2019, Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que Mr. Y a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Hospitalisation élective de Mr. Y de 74 ans pour l'intervention chirurgicale qui se déroule le 07.02.2019, sans complications. Antibiothérapie par la microbiologie peropératoire revient positive pour un Staph. epidermidis qq, la culture reviendra négative à J14. Antibiothérapie par Vancomycine 1 g 2x/24 h du 07 au 09.02.2019 puis Cubicin 700 mg 1x/42 h dès le 09.02.2019 et jusqu'au 07.03.2019 selon ordre des infectiologues.A noter une Hb à 86 g/l le 09.02.2019 asymptomatique ne nécessitant qu'un suivi biologique. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j. Les suites postopératoires sont marquées par une exacerbation des omalgies G connues. Afin de compléter le bilan, une IRM est agendée le 19.02.2019. La plaie opératoire évolue favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. En accord avec les infectiologues, poursuite de l'antibiothérapie jusqu'à la réimplantation de la PTH D agendée au 07.03.2019 puis selon microbiologie peropératoire. Le 15.02.2019, Mr. Y est transféré à l'HFR Billens jusqu'à la réhospitalisation le 07.03.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 76 ans connu pour un status post PTG G en 2016 qui est actuellement hospitalisé pour l'implantation d'une PTG D sur gonarthrose tricompartimentale valgisante. L'intervention chirurgicale se déroule le 22.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par des douleurs rétro-sternales associées à des nausées et vomissements, ces douleurs sont apparues en post-prandial le lendemain de l'interventionchirurgicale. A l'examen, l'abdomen est souple avec des bruits présents, le patient rapporte mal supporter les opiacés ainsi que les AINS. Un consilium de médecine est demandé; un ECG réalisé est superposable à celui du 15.01.2019, un train de troponines est à 36 ng/l pour le premier et 34 ng/l pour le deuxième. Après 2 h, les symptômes régressent totalement, sans traitement spécifique. Les internistes proposent une surveillance clinique. Les tests hépatiques et la lipase sont dans la norme. Une légère hypokaliémie le 23.01.2019 est surveillée avec normalisation, sans substitution. Un globe urinaire postopératoire nécessite la mise en place d'une SU qui est enlevée après quelques jours avec reprise spontanée de la miction. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. A la sortie, le genou D est encore tuméfié, la plaie est calme et sèche. Hb stable, à 111 g/l le 28.01.2019. Retour à domicile le 28.01.2019. Au vu de l'évolution clinique favorable, le patient peut regagner son domicile le 28.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 77 ans qui, le 18.10.2019, fait une chute en montagne entraînant le diagnostic susmentionné confirmé par IRM. Il est actuellement hospitalisé pour l'intervention chirurgicale qui se déroule le 18.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 20.02.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 78 ans suivi en diabétologie pour une plaie chronique du 3ème orteil pied D. Au vu de l'échec du traitement conservateur et d'un bilan angiologique montrant une perfusion du 3ème orteil D compatible avec une chirurgie, l'indication à l'intervention susmentionnée est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 18.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont favorables. Réfection du pansement 1x/j, à noter un léger écoulement séro-sanguinolant dans la partie externe de la plaie chirurgicale. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. dès le 18.01.2019. La microbiologie peropératoire revient positive pour un Cibrobacter freundii et un Serratia rubidaea. Selon ordre des infectiologues, changement de l'antibiothérapie pour Ciproxin 500 mg 2x/j dès le 21.01.2019 et pour une durée de 2 semaines afin d'éradiquer les germes enfermés au niveau du moignon et de prévenir le développement d'une nouvelle ostéomyélite. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. durant l'hospitalisation. Retour à domicile le 23.01.2019 avec suivi journalier de la plaie opératoire. Hospitalisation élective de ce patient de 81 ans pour l'implantation d'une PTH D. Patient connu pour une maladie coronarienne monotronculaire avec fonction cardiaque normale et porteur d'une valve aortique biologique. L'intervention chirurgicale se déroule le 30.01.2019. Les suites postopératoires immédiates sont marquées par une vasoplégie sur défaut de remplissage nécessitant plusieurs litres de remplissage ainsi qu'un soutien aminergique transitoire. Suite de prise en charge postopératoire aux soins intensifs dès le 30.01.2019. Hospitalisation élective de ce patient de 76 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 12.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement. Adaptation d'un plâtre en flexion plantaire pour la nuit. Reprise de la mobilisation avec une chaussure Künzli sous conduite de la physiothérapie. Le 22.02.2019, Mme. Y est transférée en séjour de rééducation à l'HFR Billens. Hospitalisation élective de cette patiente âgée de 36 ans, qui présente une lombosciatalgie L5 G sur sténose foraminale L5-S1 à G. Au vu de l'échec du traitement conservateur, une indication de prise en charge est posée. L'intervention se déroule le 08.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par des douleurs lombaires et radiculaires L5-S1 à G, raison pour laquelle nous organisons un CT-scan et une IRM, qui mettent en évidence une bonne libération foraminale L5-S1 à G. Les douleurs sont en nette diminution grâce à une antalgie de base. Le status neurologique des MI est sans particularité. L'hémoglobine est stable. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et propre. La patiente bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. Au vu de la bonne évolution, la patiente est autorisée à retourner à son domicile le 15.02.2019. Hospitalisation élective de cette patiente âgée de 64 ans, connue pour une myélopathie chronique due à une contusion médulaire basse D11-D12 sur un traumatisme dorso-lombaire suite à une chute accidentelle en 2016. Afin de mieux comprendre la cinétique et le côté encore actif ou non de cette myélopathie ainsi que pour optimiser le traitement antalgique pour des douleurs neuropathiques insoutenables, nous hospitalisons la patiente le 30.01.2019. Durant le séjour, nous complétons le bilan avec une nouvelle IRM de la colonne dorso-lombaire avec des séquences STIR ainsi qu'un PET SUV. Pendant l'hospitalisation, la patiente présente une névralgie intercostale contrôlée par une antalgie simple. La patiente bénéficie d'une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. Elle présente un status neurologique inchangé par rapport à l'entrée: Babinski positif ddc. Douleurs neuropathiques avec paresthésie et dysesthésie surtout le long de la face antérieure de la cuisse et des jambes ddc à prédominance gauche. Troubles proprioceptifs avec perte positionnelle bilatérale surtout des pieds. Romberg et Unterberger instables. Pas de déficit moteur ni sensitif au touché-piqué. Pas de troubles sphinctériens. Retour à domicile le 01.02.2019. Hospitalisation élective de cette patiente âgée de 71 ans, qui présente une claudication neurogène typique à prédominance G et d'une scoliose dégénérative avec rétrécissement canalaire sévère surtout aux étages L3-L4 et L4-L5. Au vu de l'échec du traitement conservateur, une indication de prise en charge chirurgicale est posée. L'intervention se déroule le 08.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples.Le patient reste apyrétique. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement, elles sont calmes et sèches durant le séjour. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. Le patient présente à la sortie une force à M5 au niveau du MID. Les muscles du MIG présentent une force normale, sauf les muscles extenseurs du pied qu'on évalue à M0. Retour à domicile le 16.02.2019. Hospitalisation élective de cette patiente âgée de 83 ans, connue pour des lombocruralgies mixtes L4 avec sciatalgie L5 G, réfractaires à tout traitement conservateur. Une indication de prise en charge chirurgicale est donc posée. L'intervention se déroule le 01.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La patiente reste apyrétique. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. La patiente bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. La patiente présente à la sortie une diminution de l'intensité des douleurs au niveau du membre inférieur D avec une force évaluée à M5 des deux côtés, sans trouble sensitif. Transfert au HIB à Payerne le 08.02.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 17 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 07.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Absence de trouble neuro-vasculaire du MID. Retour à domicile le 10.02.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 21 ans pour l'intervention susmentionnée sur coxarthrose sévère de la hanche D post arthrite septique dans l'enfance. L'intervention chirurgicale se déroule le 06.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie sur pertes sanguines peropératoires nécessitant la transfusion de 2 CE le 08.02.2019 avec bonne réponse. Une hypokaliémie à 3,4 mmol/l le 08.02.2019 est substituée en p.o. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire reste propre et calme. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation. Le 14.02.2019, Mme Y est transférée en séjour de rééducation à l'HFR Billens. Hospitalisation élective de cette patiente de 28 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 25.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples, absence de troubles neuro-vasculaires en distal. Les plaies opératoires évoluent favorablement, elles sont calmes et sèches à la sortie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Antalgie standard. Retour à domicile le 28.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 35 ans pour les interventions susmentionnées qui se déroulent le 05.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Les plaies chirurgicales restent propres et calmes. L'hémoglobine reste stable. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Antalgie standard. Retour à domicile le 09.02.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 39 ans pour l'intervention susmentionnée. Pour rappel, la patiente avait été adressée par son médecin traitant suite à une torsion du genou G à ski au début janvier 2019. Une IRM réalisée à la demande du médecin traitant met en évidence le diagnostic susmentionné. L'indication opératoire a été retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 06.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation. Attelle articulée. Mobilisation sous conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 08.02.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 39 ans pour l'intervention susmentionnée suite à une chute à ski au début janvier 2019 entraînant la rupture du LCA genou G. L'intervention chirurgicale se déroule le 05.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Les plaies chirurgicales évoluent favorablement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 07.02.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 43 ans qui, le 18.01.2019, fait une chute avec torsion de la cheville G en forêt entraînant la fracture susmentionnée. Consulte nos urgences et au vu du déplacement fracturaire, l'indication opératoire est retenue. Dans l'attente de l'intervention, la patiente rentre à domicile pour repos, surélévation, botte fendue jusqu'à régression de la tuméfaction des tissus mous. L'intervention chirurgicale se déroule le 25.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement. Immobilisation par Schlupfgips. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. En raison d'une hypoacousie à D présente depuis environ 2 semaines, un consilium ORL est demandé le 25.01.2019 et un bouchon de cérumen est visualisé à D. Ad nettoyage des orteils avec ablation du bouchon de cérumen ddc. Application de pommade Diprogenta dans le CAE D. À noter également une tuméfaction douloureuse de l'angle de la mâchoire G présente depuis 1 semaine selon la patiente. Un consilium d'ORL est demandé où le diagnostic de parotidite G est posé. Ad antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j pour 7 jours. Retour à domicile le 29.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 46 ans pour l'intervention susmentionnée. Pour rappel, au début septembre 2018, la patiente fait une chute lors d'un parcours en forêt avec réception sur l'épaule D. Les investigations ont mis en évidence le diagnostic susmentionné et l'indication opératoire a été retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 14.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. La plaie opératoire évolue favorablement. Retour à domicile le 16.02.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 58 ans qui, en date du 04.02.2019, fait une chute sur le verglas avec réception sur l'épaule D entraînant la fracture susmentionnée. L'indication opératoire a été retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 08.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire reste propre et calme. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation. Le status neuro-vasculaire est sans particularité. Antalgie standard. Retour à domicile le 11.02.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 63 ans pour l'intervention susmentionnée suite à une chute sur le verglas survenue le 04.02.2019 entraînant la fracture susmentionnée. Immobilisation par plâtre AB fendu dès le 04.02.2019 et jusqu'à l'intervention chirurgicale. L'intervention chirurgicale se déroule le 14.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement. Absence de troubles neuro-vasculaires du MSD. Rx postop satisfaisantes. Attelle velcro. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 15.02.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 69 ans qui présente une déhiscence de la cicatrice distale face latérale jambe D avec écoulement séreux. L'indication opératoire est posée.Patiente sous anticoagulation Xarelto 20 mg 1x/j qui est mise en suspens le 14.01.2019. L'intervention chirurgicale se déroule le 16.01.2019, sans complications. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Les suites postopératoires sont favorables avec une plaie qui évolue favorablement. Antibiothérapie prophylactique par co-amoxicilline 2,2 g 4x/j jusqu'à 48 h postopératoires. Reprise de l'anticoagulation par Xarelto 20 mg 1x/j le 21.01.2019. Retour à domicile le 22.01.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 71 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 30.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire reste propre et calme. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 60 mg 1x/j sous-cut. puis reprise de l'anticoagulation thérapeutique par Eliquis le 03.02.2019. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 03.02.2019. Hospitalisation élective de cette patiente de 71 ans pour l'intervention susmentionnée sur coxarthrose avancée à D. L'intervention chirurgicale se déroule le 07.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une rétention urinaire aiguë le 08.02.2019 nécessitant un sondage vésical. La fonction rénale évolue favorablement, le 11.02.2019, la créatinine est à 70 umol/l. Prophylaxie thrombo-embolique par Liquémine 5000 UI 2x/j puis Xarelto 10 mg 1x/j dès le 08.02.2019. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire reste calme et sèche. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Le 12.02.2019, Mme Y est transférée en séjour de rééducation à l'HFR Meyriez. Hospitalisation élective de cette patiente de 75 ans pour l'intervention susmentionnée après une chute le 20.12.2018 entraînant la fracture-tassement de L2. L'anticoagulation par Xarelto 20 mg a été mise en suspens avant l'hospitalisation actuelle. L'intervention chirurgicale se déroule le 21.01.2019, sans complications. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane puis reprise du Xarelto à 24 h postopératoires. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Les petites plaies chirurgicales évoluent favorablement, à signaler toutefois au-dessous du sparadrap type Mefix des phlyctènes qui se sont ouvertes spontanément laissant des dermabrasions que nous traitons par des soins locaux avec bonne évolution. Le status neurologique de sortie ne montre pas de déficit, la force des MI est dans la norme. Retour à domicile le 24.01.2019 avec les SAD. Hospitalisation élective de cette patiente de 75 ans pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 23.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie symptomatique avec Hb à 82 g/l le 26.01.2019 nécessitant la transfusion de 2 CE avec bonne réponse. La plaie opératoire évolue favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j; le 28.01.2019 sur ordre du Dr. X reprise du Xarelto à but prophylactique à 10 mg 1x/j jusqu'à la consultation d'hématologie (rdv fixé par la patiente). Retour à domicile le 29.01.2019 avec une plaie opératoire propre et sèche. Hospitalisation élective de cette patiente érythréenne requérante d'asile en Suisse depuis 2017 qui se plaint d'une gêne du matériel en place au fémur D post-fracture en 2014. L'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 05.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La microbiologie peropératoire revient négative. La plaie opératoire reste calme et sèche. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. A noter une hémoglobine à 83 g/l le 08.02.2019 asymptomatique. Retour à domicile le 09.02.2019 avec les SAD. Hospitalisation élective d'une patiente âgée de 42 ans, qui présente une hernie discale L5-S1 à base large avec compression récessale S1 à D, sans déficit moteur. Au vu de l'échec du traitement conservateur, une indication de prise en charge chirurgicale est posée. L'intervention se déroule le 11.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La patiente reste apyrétique. La plaie chirurgicale évolue favorablement, elle est calme et sèche. Le contrôle RX post-op est satisfaisant. La patiente bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour et qui sera à poursuivre pour les 3 prochaines semaines. La rééducation est initiée durant le séjour sous la conduite de la physiothérapie. La patiente présente des paresthésies au niveau du petit orteil et au niveau de la face latérale du pied D, qui sont en nette diminution en postopératoire. Au vu de la bonne évolution, la patiente est autorisée à retourner à son domicile le 16.02.2019. Hospitalisation élective pour adaptation antalgie avec prise en charge palliative complexe. Poursuite corticothérapie par Prednisone 20 mg et bicalutamide (Casodex). Bilan biologique le 01.02.2019 : fonction rénale et bilan calcique aligné. Rendez-vous en oncologie à la consultation de Dr. X prévu le 18.02.2019 à 11h30. Rendez-vous chez Dr. X prévu le 08.04.2019. Hospitalisation élective pour contrôle VNI. Hospitalisation élective pour pose de pacemaker DDD. Hospitalisation élective pour radiosynoviorthèse. Hospitalisation élective prévue le 25.02.2019 à 8h pour poursuite de la chimiothérapie. Hospitalisation en Frailty Care en accord avec Dr. X. Hospitalisation en gériatrie aiguë depuis le 28.01.2019. Traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 29.01.2019 au 05.02.2019 avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Bilan nutritionnel • Tests de la cognition du 28.01.2019 : MMSE à 26/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 9/30 Hospitalisation en lit stroke monitoré du 27.01 au 28.01.2019 puis non monitoré du 28.01.2019 au 05.02.2019 date de son transfert à l'Unité de Frailty Care. Angio-CT cérébral le 27.10.2019. IRM 28.01.2019. Echocardiographie transthoracique le 28.01.2019. Laboratoire : cholestérol total 5.2 mmol/l, LDL cholestérol 3.78 mmol/l, HbA1c 5.1 %. Dose de charge par Aspirine 500 mg IV et Plavix 300 mg per os. Plavix 75 mg 1x/j dès le 28.01.2019. Atorvastatine 40 mg dès le 28.01.2019. Rendez-vous de suivi à prévoir à la consultation de Dr. X. Hospitalisation en médecin interne du 03.02.2019 au 05.02.2019 puis prise en charge neurologique complexe en lit non monitoré en Stroke Unit du 05.02.2019 au 12.02.2019. Laboratoire : cholestérol total 5.1 mmol/l, LDL cholestérol 3.58 mmol/l, HbA1c 5.7 %. Sérologie pour la maladie de Lyme : Négatif pour IgM et IgG. TSH à 1.71 mU/L (dans les limites de la norme). Facteurs antinucléaires : négatif. ANA, ANCA : négatifs. Anticorps anti-phospholipides : en cours. Homocystéine : 11.3 micromol/L (n < 12 micromol/L). Test de dépistage du VIH le 04.02.2019 : négatif. Dose de charge en Aspirine cardio 250 mg iv puis Plavix 75 mg 1x/j. Atorvastatine 40 mg 1x/j dès le 04.02.2019. Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 03.02.2019. IRM cérébrale le 04.02.2019. Echographie cardiaque transthoracique le 04.02.2019 Holter de 72 heures posé le 06.02.2019 Bilan neuropsychologique le 07.02.2019 Inclusion dans l'étude Return to Work Transfert en neuroréhabilitation intensive le 12.02.2019 Consultation neurovasculaire de contrôle le 15.05.2019 à 16h15 Hospitalisation en néonatologie Placenta envoyé en anatomo-pathologie Hospitalisation en neuro-chirurgie le lendemain et opération prévue le 15.02.2019. Hospitalisation en octobre 2016 : • Gastro-entérite à Adénovirus avec déshydratation légère à modérée et troubles électrolytiques et acidose métabolique • Vomissements cycliques d'origine indéterminée > Cortisol basal normal > CT cérébral 06.10.2017 (Dr. X) : pas de signes d'hypertension intra-crânienne, petite hypodensité en occipital D évoquant une ectasie de la corne occipitale ventriculaire latérale D (en comparaison de la G), à confirmer par IRM, pas d'effet de masse > Dilatation pyélocalicielle et urétérale G de découverte fortuite à l'US abdominal En l'absence d'antécédent d'infection urinaire documenté, proposition de suivi US 1x/6-12 mois Hospitalisation en réadapation gériatrique du 09.01 au 25.01.2018, avec : bilan biologique, IRM, avis Spine Teau, RX colonne lombaire, avis infectiologique (Dr. X), biopsie sous CT le 18.01.2019 (Dr. X) et PCR eubactérienne. Co-amoxi 2.2 g iv - 4 x/jour dès le 18.01.2019, selon fonction rénale (Cockroft 98 ml/min). Hospitalisation en Stroke unit monitorée du 15.02 au 17.02.2019 CT-scan time is brain le 15.02.2019 IRM cérébrale le 18.02.2019 Echocardiographie transthoracique le 18.02.2019 Holter dès le 19.02.2019 pour 72h Bilan lipidique et hémoglobine glyquée le 16.02.2019 Test de déglutition le 16.02.2019 Avis neurologique (Dr. X) : on propose la prise en charge en stroke unit monitorée, avec recherche active d'une cause cardioembolique. IRM cérébrale pour déterminer l'étendue de lésion ; bilan neuropsychologique ; US cardiaque avec Holter min 72 heures. Double anti agrégation pour 1 mois. Introduction Clopidogrel avec charge de 300 mg le 15.02.2019 Passage à Atorvastatine 40 mg le 22.02.2019 au vue LDL augmenté sous Pravastatine Attitude : • Poursuite Aspirine pour 1 mois, Clopidogrel à vie • Contrôle strict des facteurs de risques cardiovasculaires, contrôle du cholestérol à distance avec LDL cible <1.8mmol/L • Bilan neuropsychologique à envisager en ambulatoire • Rendez-vous à 3 mois à la consultation neurovasculaire (07.06.2019 à 11h) • Si pas d'arythmie emboligène sur le holter, organiser un R-test/holter de 7 jours afin d'exclure une origine cardiaque Hospitalisation en Stroke unit monitorée du 15.02.2019 au 17.02.2019 CT-scan time is brain le 15.02.2019 IRM cérébrale (demande DPI faite) Echocardiographie transthoracique (demande DPI faite) ECG-Holter (demande DPI faite) Bilan lipidique et hémoglobine glyquée le 16.02.2019 Test de déglutition le 16.02.2019 Poursuite Aspirine Introduction Clopidogrel avec charge de 300mg le 15.02.2019 Hospitalisation en stroke unit monitorée du 24.02.2019 au 25.02.2019 CT Time is brain le 23.02.2019 IRM cérébrale prévu le 25.02.2019 PL : selon évolution Hospitalisation en Stroke Unit monitorée CT cérébral (Dr. X) : Absence d'argument scannographique en faveur d'un accident vasculaire ischémique ou hémorragique. Bilan à compléter par une IRM cérébrale. Les axes artériels vasculaires précérébraux et le polygone de Willis sont perméables. A noter une légère infiltration athéromateuse de l'artère basilaire avec petite plaque calcifiée. CT cérébral le 01.02.2019 : bonne évolution de la situation hémorragique Labétalol sevré au profit de Coversum le 02.02.2019 Physiothérapie Attitude : • Bilan neuropsychologique à demander • Introduction statine • ETT demandé • Holter demandé Hospitalisation en Stroke unit monitorée CT cérébral : Sténose focale du tronc basilaire à 60%. Occlusion focale de l'artère cérébrale postérieure gauche dans son segment P3. Actilyse Hospitalisation en Stroke unit monitorée CT Time is Brain (transmission orale Dr. X) 31.01.2019 IRM 31.01.2019 Avis neurologie (Dr. X/Dr. X) : Aspégic 250 mg iv et Atorvastatine 40 mg aux urgences, protocole Stroke, Hospitalisation en Stroke Unit monitorée CT-Scan Time is Brain le 15.02.2019 IRM cérébrale (demandée dans DPI) Echocardiographie transthoracique (demandée dans DPI) ECG-Holter (demandée dans DPI) Bilan lipidique et hémoglobine glyquée le 16.02.2019 Test de déglutition le 15.02.2019 Mise en suspend Rivaroxaban le 15.02.2019 Aspirine dès le 15.02.2019 avec charge de 500mg Atorvastatine 40mg/j dès le 15.02.2019 Hospitalisation en urologie. Hospitalisation en vue d'une fracture. Hospitalisation et curetage hémostatique sous anesthésie générale le 23.02.2019 Envoi du matériel en analyse anatomopathologique Groupe sanguin : O Rhésus positif Hospitalisation les 03-04.02.2018 pour une bronchite à RSV. Hospitalisation pour antalgie. Hospitalisation pour antalgie, anti-inflammatoires dans le cadre d'une adénite mésentérique et suivi paramètres infectieux. Sur le plan infectieux, Mme. Y présente une pyrexie à partir de 05.02 qui cède sous antalgique et n'est plus présent à sa sortie. Elle présente un syndrome inflammatoire à tendance virale qui diminue progressivement au cours de l'hospitalisation. On exclut une maladie à EBV. Sur le plan digestif, elle présente des douleurs abdominales journalières qui sont non fluctuantes. L'alimentation est satisfaisante durant toute l'hospitalisation. Une adénite mésentérique est mise en évidence grâce à un CT abdominal qui peut expliquer les douleurs persistantes lors de la sortie. Un retour à domicile est effectué le 05.02 au vu de la bonne évolution biologique ainsi que la gestion des douleurs possible au domicile. Un traitement par Ulcar est mis en place à hauteur de 1g 3x/j si douleur épigastrique ainsi qu'une bonne hydratation per os et des massages abdominaux. Si douleur persistante, prévoir un rendez-vous chez le pédiatre traitant dans 1 semaine. Hospitalisation pour bronchiolite modérée oxygénodépendante avec difficulté alimentaire. Mme. Y, 3 mois, bénéficie à son arrivée d'une oxygénothérapie supplémentaire ainsi que de la médecine anthroposophique pour désaturation et difficulté respiratoire. L'oxygénothérapie est progressivement diminuée pour être arrêtée le 20.02. Elle bénéficie d'une sonde naso-gastrique le jour de son entrée qui progressivement est moins utilisée avec mise à profit de la prise orale. Sur le plan infectieux, elle reste afébrile durant tout le séjour et une PCR pour RSV revient négative. Nous mettons en évidence également un syndrome inflammatoire léger (CRP 18 mg/L) sans leucocytose associée. Une gazométrie a également été alignée. Au vu de la clinique favorable et de la prise orale suffisante, nous décidons d'un retour à domicile le 22.02. Hospitalisation pour bronchite spastique oxygénodépendante avec otite moyenne perforée et conjonctivite bilatérale. Sur le plan respiratoire, l'évolution est favorable avec un traitement de Ventolin en push espacé progressivement aux 4 heures. De l'Atrovent est mis en place à son arrivée puis stoppé le 08.02 et du Betnesol 0,2mg/kg/j durant 3 jours. Une oxygénothérapie supplémentaire est instaurée à son arrivée et atteint un maximum de 4L aux lunettes puis est sevrée le 09.02. Sur le plan infectieux, il est afébrile durant son séjour. Une PCR pour RSV revient négative. On note une otite moyenne droite perforée pour laquelle un traitement par Co-Amoxicilline 50mg/kg/j en 2 doses est instauré le 07.02 et fin prévue le 17.02. Une conjonctivite est visualisée lors de son entrée et se résout le lendemain. Sur le plan alimentaire, les apports alimentaires et hydriques sont suffisants. Il n'a pas présenté de symptôme digestif durant son séjour et son transit est normal.Au vu de la bonne évolution clinique, nous décidons d'un retour à domicile le 10.02 avec contrôle chez le pédiatre dans 48h afin d'évaluer l'évolution clinique. • Hospitalisation pour bronchopneumonie à RSV oxygénodépendante avec difficultés alimentaires. Sur le plan respiratoire, Emma nécessite de l'oxygène depuis le 05.02 avec diminution progressive qui peut être sevrée le 09.02. Le traitement par Ventolin est graduellement espacé durant son séjour pour un sevrage complet le 07.02. Sur le plan digestif, elle nécessite la pose d'une SNG le 05.02 avec apports pratiquement au complet au début de l'hospitalisation, diminués progressivement afin d'atteindre un sevrage total le 07.02, jour auquel elle prend environ 75% de ses apports par oral journaliers. Sur le plan infectieux, un RSV est mis en évidence ainsi qu'un léger syndrome inflammatoire à 15mg/L de CRP. Emma présente un état fébrile jusqu'au 07.02. Au vu de l'infection virale non compliquée et de difficulté de prise, nous ne continuons pas le traitement par antibiothérapie que vous avez instauré. Sur le plan métabolique, elle présente une légère leucopénie sans neutropénie avec le reste de l'analyse sanguine alignée. Nous remarquons également une légère alcalose respiratoire avec bicarbonates dans la norme. Nous n'avons pas effectué d'analyse de contrôle au vu de la bonne évolution de l'enfant. Au vu de la bonne évolution clinique, nous décidons d'un retour à domicile le 10.02 avec contrôle si nécessaire chez le pédiatre traitant dans le courant de la semaine. • Hospitalisation pour contractions utérines sans modification du col de l'utérus à 29 0/7 semaines d'aménorrhée. Cure de maturation pulmonaire les 05.02.2019 et 06.02.2019 à 31 1/7 semaines d'aménorrhée sous tocolyse par Tractocile avec col à 4 cm. • Hospitalisation pour des vertiges rotatoires d'étiologie indéterminée avec une diplopie lors des vertiges et des céphalées chroniques. Ghazal montre un nystagmus hautement atypique lors de la mobilisation, le reste du statut neurologique est normal. Elle n'a pas de signes inflammatoires dans le sang. Un avis auprès des ORL n'évoque pas d'origine infectieuse ni d'argument pour un déficit vestibulaire ou VPPB. Une surdité de perception bilatérale (droite majorée en rapport à gauche) est déjà connue. L'origine est possiblement génétique, séquellaire ou congénitale. Une IRM effectuée le 08.02 ne montre aucune lésion intracrânienne ou d'oreille interne. Au vu de la clinique stable et des examens complémentaires sans particularité, nous décidons d'un retour à domicile avec un suivi neuro-ophtalmologique le 11.02.2019, un suivi en ORL le 12.02 et le 19.02.2019 à 9h et un suivi en neuropédiatrie le 19.02 (pour les céphalées chroniques) à 13h. • Hospitalisation pour déshydratation estimée à 10% sur gastro-entérite aiguë. Luca présente à son arrivée une déshydratation estimée à 10% pour laquelle une perfusion de Glucosalin 2:1 est mise en place à 80ml/h pour une durée de 8h et un bolus de 20ml/kg en 1h est donné. Une diminution progressive de la perfusion est effectuée après visualisation de l'amélioration de la clinique et la reprise hydrique par voie orale pour être retirée le 04.02. Sur le plan métabolique, il présente une acidose métabolique à son arrivée (pH7.3, pCO2 3.8 mmHg, bicarbonates 14 mmol/l, base excess -11.5 mmol/l) avec un potassium abaissé à 2.9mmol/L pour laquelle une perfusion de Kalium chloride 8ml IV est prescrite. Nous remarquons une amélioration de la biologie au cours de l'hospitalisation pour tous les paramètres. Sur le plan infectieux, il reste afébrile durant tout son séjour et une analyse biologique revient positive pour le rotavirus. Au vu de la clinique rassurante et de la normalisation des critères biologiques, nous décidons d'un retour à domicile le 05.02. • Hospitalisation pour douleur thoracique d'origine indéterminée. Lors de la surveillance, elle a présenté une douleur persistante similaire à maxima 5/10 qui cède sous antalgie. Elle est restée stable sur le plan hémodynamique et n'a pas présenté d'état fébrile. Aucun bilan n'a été effectué hormis un ECG revenu normal. Au vu de l'amélioration de la symptomatologie, nous décidons d'un retour à domicile le 25.02.2019 avec un contrôle auprès du Dr. X prévu le 27.02.2019 avec une électrocardiographie. • Hospitalisation pour douleurs abdominales d'origine psychosomatique et absentéisme scolaire. Il a présenté de légères douleurs abdominales 3/10 qui n'ont pas nécessité de traitement. Sur le plan psychologique, des avis pédopsychiatriques montrent aucun risque de mise en danger actuel. Suite à l'avis positif des pédopsychiatres, nous décidons d'un retour à domicile le 15.02.2019. Un suivi est mis en place avec le psychologue scolaire ainsi que l'école et la pédopsychiatre. • Hospitalisation pour gastro-entérite à rotavirus avec risque de déshydratation. En raison de la déshydratation avec refus de s'hydrater, il est réhydraté par sonde naso-gastrique avec apport principalement par sonde au début de son hospitalisation puis reprise progressive de l'hydratation puis de l'alimentation spontanée, bien tolérée ainsi que résolution des vomissements et diarrhées permettant l'ablation de la sonde naso-gastrique le 09.02.2019. Sur le plan infectieux, il présente un état fébrile jusqu'au 08.02. Une analyse pour le rotavirus revient positive. Au vu de la bonne évolution clinique et de la reprise d'hydratation et d'alimentation par voie orale, nous décidons d'un retour à domicile le 10.02. • Hospitalisation pour hydratation IV 1500ml/m2/24h. O2 si Sat < 94% (limite plus haute vu la drépano). Physio dans le week-end (attention, à risque de STA). Après la sortie : prévoir DTC (contrôle annuel). • Hospitalisation pour investigation d'état fébrile sans foyer. Sur le plan infectieux, il ne présente pas d'état fébrile tout au long de son hospitalisation. Un bilan pour recherche de toxoplasmose et de tuberculose revient négatif. Il reste asymptomatique durant tout son séjour. Sur le plan métabolique, vous remarquez une splénomégalie que nous confirmons lors d'un US abdominal à 75mm de grand axe, stable. Nous mettons en évidence également une dilatation pyélocalicielle asymptomatique que nous jugeons pas inquiétante au vu des urines revenues sans particularité. Nous ne disposons pas de mesure précise pour cet examen et nous ne constatons pas d'anomalie sur l'examen précédent. Nous proposons un contrôle dans un mois. Au vu des résultats revenus sans particularité, nous demandons un avis hématologique à Dr. X (hémato-oncologue pédiatre) qui nous conseille d'effectuer une prise de sang comprenant un bilan hépatique : normal, un bilan d'hémolyse : normal, une gazométrie : normale, IgA, IgG et IgM dans la norme, haptoglobine également dans la norme ainsi qu'une recherche de COOMBS déficit en pyruvate kinase et déficit en glucose 6-phosphate déshydrogénase tous revenus dans la norme. Au vu de la clinique et des bilans rassurants, nous décidons d'un retour à domicile avec contrôle par vos soins dans un mois. • Hospitalisation pour maturation pulmonaire par Celestone le 04.02.2019 et le 05.02.2019. Surveillance tensionnelle. Surveillance CTG. Protéinurie des 24h : 1.4g/24h. Magnésium sulfate depuis le 17.02.2019. Trandate 200mg 2x/j dans le post-partum. • Hospitalisation pour perte de connaissance sur probable difficulté respiratoire. Eléonore est restée stable sur le plan neurologique, respiratoire et cardiaque tout au long de son hospitalisation. Les analyses sanguines demandées reviennent toutes sans particularité hormis pour un pH à 7.45 avec une gazométrie complètement alignée que nous ne savons pas expliquer.Elle présente quelques selles diarrhéiques qui nous poussent à demander une analyse de rotavirus et adénovirus qui revient négative. Elle reste apyrétique durant toute son observation. Nous décidons d'un retour à domicile le 23.02.2019 au vu de la clinique parfaite et des analyses sanguines sans particularité. Hospitalisation pour pneumonie basale gauche oxygéno-dépendante sans difficulté alimentaire. Mr. Y s'est présenté avec une tachydyspnée et un besoin d'oxygénation supplémentaire aux urgences. Nette amélioration de l'auscultation et de la saturation (remontant à 100% sous 3L d'O2) après 6 pushs de ventolin. Train complété pour 3x6 pushs de ventolin au total et 0.2 mg/kg de Betnesol. Par la suite, SpO2 94% sans oxygène supplémentaire. En raison d'une persistance d'une entrée d'air légèrement diminuée à gauche avec souffle tubaire, une leucocytose et un CRP augmentée à 430 mg/l. Nous demandons une radiographie du thorax qui montre un foyer basal gauche avec bronchogramme aérique bilatéral et un petit épanchement en base gauche. Début d'une thérapie avec un traitement d'amoxicilline 150mg/kg/j PO. Sur cette thérapie, Mr. Y montre une bonne évolution clinique et biologique. Elle présente un état fébrile uniquement le jour de son hospitalisation. Nous changeons les antibiotiques pour oral Amoxicillin/acide clavulanique le 11.02.2019 et Mr. Y retourne à domicile le même jour. Hospitalisation pour purpura thrombocytopénique auto-immun grade 1 Sur le plan hématologique, nous remarquons une thrombopénie isolée à 30 G/L. Devant un échec de contact de l'onco-hématologue de garde du CHUV, nous décidons une hospitalisation. Le lendemain, la thrombopénie s'accentue à 16 G/L. Le reste de l'analyse est sans particularité. On remarque des pétéchies éparses sur le thorax, les bras, le pubis et les jambes, une quantité faible (<50 pétéchies au total). Pas de lésion de muqueuses visualisée et pas de saignement lors de l'hospitalisation. Pas de traitement d'immunoglobuline instauré. Le service d'oncologie-hématologie du CHUV atteint le 12.02 et confirme une limite de traitement par IVIG pour des thrombocytes <10G/l. Un retour à domicile est effectué avec un contrôle des thrombocytes prévu le 13.02. Hospitalisation pour réhydratation dans le cadre d'une gastro-entérite aiguë. Mr. Y présente une déshydratation légère avec une acidose métabolique compensée à son arrivée aux urgences. Il bénéficie d'un traitement par 2 mg d'Ondansetron mais malgré le traitement, il refuse encore de boire. On a mis une perfusion par laquelle passe un bolus de NaCl 0.9% 20mg/kg suivi par une perfusion d'entretien avec Glucosalin 2:1. On remarque une normalisation de la gazométrie. Au matin, au vu de la bonne prise alimentaire, nous stoppons la perfusion et Mr. Y s'hydrate correctement lors de la matinée. Au vu de la bonne évolution clinique et de la reprise hydrique et alimentaire ainsi que l'arrêt des vomissements, nous décidons d'un retour à domicile avec contrôle si nécessaire par vos soins. Hospitalisation pour surveillance clinique et biologique. Mise à jeûn pendant 24 heures. Hydratation intraveineuse + antiémétiques + inhibiteurs de la pompe à protons. Réalimentation progressive avec évolution favorable. Hospitalisation pour surveillance dans le cadre de pleurs inexpliqués. Mme. Y à son arrivée est souriante et ne présente aucun symptôme ou signe particulier. Au cours de la nuit, elle pleure à maximum 3 reprises avec arrêt si prise de biberon. Nous remarquons que l'enfant a une alimentation principalement basée sur du lait y compris le soir. Nous émettons l'hypothèse d'un manque d'apport alimentaire. Nous essayons d'augmenter les apports solides en fin de journée mais l'enfant refuse. Elle ne présente pas d'opistononos ni de mâchonnement lors de son hospitalisation. Le traitement par Nexium est cependant conservé. Elle ne présente aucun état fébrile et une analyse de selles pour rotavirus et adénovirus revient négative après deux épisodes de selles conséquentes molles. Au vu de la clinique favorable et des pleurs soulagés par la prise alimentaire, nous décidons d'un retour à domicile le 14.02 avec visite chez vous dans une semaine pour faire le bilan et possiblement un arrêt du Nexium. Hospitalisation pour surveillance et traitement antalgique. Hospitalisation pour surveillance neurologique dans le cadre d'un traumatisme crânien avec signes indirects de gravité. Sur le plan neurologique, un scanner est effectué au vu de l'apparition de signes de gravité (vomissements retardés à plusieurs reprises) est revenu sans particularité. Mme. Y est restée stable durant toute son hospitalisation. Pas de vomissement ni de saignement visualisé. Au vu de la clinique stable sans apparition de symptôme ou signe inquiétant, nous décidons d'un retour à domicile le 12.02 avec surveillance à domicile. Hospitalisation pour un sondage gastrique partiel pour une gastro-entérite aiguë avec des difficultés alimentaires. Au moment de son arrivée, Mme. Y présente des signes de déshydratation légère. La gazométrie montre un équilibre acido-basique. Par suite d'une évolution favorable avec résolution des diarrhées et une reprise progressive de l'hydratation puis de l'alimentation, le sondage pourrait être continuellement réduit. Nous décidons d'un retour à domicile le 14.02.2019. Hospitalisation pour une 2ème tentative de provocation le 21.08.2018. Hospitalisation pour vertige d'origine indéterminée. Sur le plan neurologique, Mme. Y présente une amélioration de la symptomatologie d'entrée après 4h d'hospitalisation. Aucune investigation n'a semblé nécessaire. Sur le plan digestif, elle est restée asymptomatique avec une prise alimentaire satisfaisante. Un retour à domicile est établi le 05.02 des suites de la bonne évolution de la jeune avec un suivi pédopsychiatrique déjà prévu le 06.02 ainsi qu'un suivi chez le Dr. X dans une semaine. Hospitalisation récente à l'Inselspital. Hospitalisation récente au Portugal. Hospitalisation soins intensifs Inselspital de Berne du 11.02.2019 au 12.02.19. IOT avec ventilation mécanique du 11.02.2019 au 19.02.2019. Co-amoxicilline du 05.02.2019 au 06.02.2019. Ceftriaxone du 08.02.2019 au 11.02.2019. Piperacillin/Tazobactam du 11.02.2019 au 18.02.2019. Cathéter artériel radial droit du 11.02.2019 au 21.02.2019. VVC jugulaire droite du 11.02.2019 au 16.02.2019. Noradrénaline du 11.02.2019 au 13.02.2019. Hospitalisation suite à l'intervention chirurgicale genou D agendée en ambulatoire en raison de douleurs postopératoires importantes et de vertiges. Les suites postopératoires sont simples sous antalgie adéquate. Attelle articulée. Mobilisation avec la physiothérapie. Les plaies opératoires sont propres et calmes. Retour à domicile le 15.02.2019. Hospitalisation volontaire à Marsens en 2014 et 2015. Opération de la vésicule biliaire en 2005. Ligature des trompes en 2002. Status post entorse de cheville droite de degré 2. Alcoolisation aiguë avec hétéro-agressivité dans le cadre d'une dépendance à l'alcool le 14.10.2015. Tentamen médicamenteux le 13.07.2017 par Trittico 1.9 gr et 2l de vin rouge. Cervicalgie d'origine indéterminée, 19.05.2018. Hospitalisation vue oxygénodépendance. Hospitalisation. Physiothérapie. Hospitalisations à Malévoz, à Monthey; plusieurs hospitalisations. HTA. HTA. HTA. HTA. HTA. HTA. HTA. HTA. HTA. HTA. HTA. HTA HTA. HTA anciennement traitée par Nifédipine 5mg (stoppée par la patiente) Hypercholestérolémie (traitement stoppé par la patiente) Sinusites à répétition (1x/an) Protrusion L5-S1 HTA asymptomatique HTA asymptomatique non traitée Diabète de type II non insulino-requérant HTA avec arrêt du traitement spontané par la patiente. HTA avec tendance à l'hypotension • Losartan et Amlodipine en pause suite à une hypotension postopératoire HTA depuis 8 ans sous traitement par IEC. Hyperlipidémie non traitée. HTA Diabète de type II non insulino-requérant Apnée du sommeil HTA Diabète de type II non insulino-requérant Apnée du sommeil HTA, dyslipidémie, obésité morbide (BMI 46) Diabète mellitus type II depuis 2014 non insulinodépendant Polyneuropathie périphérique Hypothyroïdie HTA essentielle Asthme allergique Eczéma HTA et HCT traitées. HTA. Hypercholestérolémie. Status post STEMI inférieur en 2015 sous Aspirine Cardio. HTA Hypertriglycéridémie Élévation des gGT de longue date, probable stéatose normalisée 3/2018 Hypovitaminose D substituée Polyarthrose digitale Migraine ophtalmique, hypermétropie et astigmatisme HTA Hypertriglycéridémie Hypovitaminose D substituée Polyarthrose Migraine ophtalmique, hypermétropie et astigmatisme État anxieux HTA Hypothyroïdie substituée Ostéoporose HTA labile Diverticulose Hémorroïdes Cardiopathie hypertensive légère Excès pondéral HTA mal contrôlée le 15.02.2019 HTA non traitée Tabagisme actif HTA réfractaire au traitement suivie par le Dr. X, actuellement sous Coaprovel et Nebilet FA intermittente sous Cordarone Stp thrombose sur OAMI Stp coronarographie blanche en nov. 2009 Asthme Migraine ophtalmologique Troubles dermatologiques urticariformes Malaise avec brève PC et amnésie circonstancielle sans traumatisme avec hypoTA • probable origine vaso-vagale HTA réfractaire le 11.06.2018 Possible réaction allergique à la Co-Amoxicilline avec érythrodermie et bronchospasme le 08.06.2018 Vasculite et nécrose cutanée au site d'injection d'Enoxaparine sur les cuisses le 24.06.2018 Suspicion d'un syndrome de sevrage 06/2018 Thrombose non-occlusive de la veine jugulaire droite sur voie veineuse centrale le 08.06.2018 Anévrisme aortique juxta- et infrarénal de 52 mm de diamètre avec s/p cure par prothèse de type tube droit par voie rétropéritonéale et résection partielle de la 12ème côte à gauche le 04.07.2013 Zona thoracal droit 05/2013 Cure d'une cataracte des deux côtés Appendicectomie Insuffisance respiratoire globale aiguë sur décompensation BPCO dans le contexte d'infection virale à RSV le 21.01.2019 • 4ème décompensation BPCO en 6 mois VNI aux soins intensifs du 21.01.2019 au 26.01.2019, puis du 28.01.2019 au 29.01.2019 Cathéter artériel droit du 24.01.2019 au 26.01.2019 Physiothérapie respiratoire Aérosols de Ventolin et Atrovent Poursuite du traitement habituel de Vannair et Spiriva Solumédrol une dose le 21.01.2019, puis relais par Prednisone haute dose jusqu'au 25.01.2019, puis reprise de la dose habituelle Avis pneumologique (Dr. X, Dr. Y) Polysomnographie nocturne le 28.01.2019 sans équipement : SAOS modéré Polysomnographie nocturne le 29.01.2019 avec équipement : VNI non tolérée Consultation pneumologique auprès de Dr. X prévue le 02.04.2019 à 9h Rétention urinaire aiguë le 26.01.2019 sur hypertrophie prostatique connue • retrait de 1000 ml d'urine Suivi urologique par Dr. X Poursuite de la Tamsulosine Sonde vésicale dès le 26.01.2019 avec 2 échecs d'ablation de sonde (29.01.2019 et 31.01.2019) Retour à domicile avec sonde vésicale Consultation urologique auprès de Dr. X prévue le 19.02.2019 à 9h Acidose lactique par intoxication à la Metformine Arrêt de la Metformine du 21.01.2019 au 26.01.2019 Agitation nocturne sur globe vésical le 23.01.2019 • DD : trouble cognitif léger, délirium des soins Haldol Imovane mis en suspens HTA traitée HTA traitée HTA traitée HTA traitée HTA traitée HTA traitée HTA traitée HTA traitée. HTA traitée. HTA traitée. Dépression sous traitement. Psoriasis. HTA traitée Diabète de type 2 non insulino-requérant Dyslipidémie Tremblement d'allure essentiel sous Inderal Insuffisance rénale chronique stade G2 Suspicion de Restlegs syndrom Anémie normocytaire normocytaire, DD saignement post-opératoire HTA traitée Dyslipidémie Tremblement d'allure essentiel sous Inderal HTA traitée par Coversum. Dyslipidémie traitée par Atorvastatine. Cardiopathie ischémique avec pose de trois stents en 2009 sous Aspirine Cardio à vie. HTA traitée par Lisinopril HTA traitée par Perindopril HTA traitée • sous Vascord HTA traitée Troubles dépressifs HTA traitée Douleurs chroniques du MIG et de l'épaule gauche Diverticulose (colonoscopie de 2006) Carcinome mammaire gauche stade I • diagnostiqué en 1998 et traité par quadrantectomie, curetage axillaire et radiothérapie adjuvante • actuellement : en rémission complète avec contrôles annuels avec dernière mammographie en 11/2011 Polyneuropathie périphérique HTA traitée État dépressif Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine le 29.03.2018 HTA traitée FA à réponse ventriculaire lente sous Sintrom • Status post thermoablation d'un flutter auriculaire typique, le 20.01.2009.Cardiopathie rythmique: Echographie cardiaque, réalisée le 06/12/2018 • Discrète dilatation du ventricule gauche avec une dyskinésie du septum moyen et du septum basal, une hypokinésie modérée de la paroi latérale et de la paroi antérieure et une hypokinésie minime de la paroi inféro-apicale. FEVG à 45 %. Géométrie normale du ventricule gauche. • Dilatation importante du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Dilatation importante des cavités droites. HTAP modérée (PAPs à 37 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Valve pulmonaire normale. Coronarographie réalisée le 06/12/2018 • Maladie coronarienne avec atteinte surtout de la coronaire droite et la circonflexe. La fonction systolique du ventricule gauche est diminuée à une EF de 40-45%. • Coronarographie et PCI de la coronaire droite prévue le 29.01.2018 Presbyacousie appareillée Hyperuricémie Chondrocalcinose polyarticulaire Daltonisme Suspicion de syndrome des apnées de sommeil BPCO Stade I selon Gold Sténose foraminale L5-S1, sténose dégénérative L4-L5 sur suspicion de kyste du ligament jaune L4-L5 et hernie discale traitées le 10.12.2018 par : • Décompression L5-S1 bilatérale par cross-foraminotomie par la D • Décompression L4-L5 bilatérale par cross-foraminotomie par la D avec ablation d'un kyste synovial du ligament jaune • Patch dural au TachoSil • Cure de hernie discale L4-L5 D et microdiscectomie HTA traitée FA à réponse ventriculaire lente sous Sintrom • Status post thermoablation d'un flutter auriculaire typique, le 20.01.2009 Cardiopathie rythmique: Echographie cardiaque, réalisée le 06/12/2018 • Discrète dilatation du ventricule gauche avec une dyskinésie du septum moyen et du septum basal, une hypokinésie modérée de la paroi latérale et de la paroi antérieure et une hypokinésie minime de la paroi inféro-apicale. FEVG à 45 %. Géométrie normale du ventricule gauche. • Dilatation importante du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Dilatation importante des cavités droites. HTAP modérée (PAPs à 37 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Valve pulmonaire normale. Coronarographie réalisée le 06/12/2018 • Maladie coronarienne avec atteinte surtout de la coronaire droite et la circonflexe. La fonction systolique du ventricule gauche est diminuée à une EF de 40-45%. • Coronarographie et PCI de la coronaire droite prévue le 29.01.2018 Presbyacousie appareillée Hyperuricémie Chondrocalcinose polyarticulaire Daltonisme Suspicion de syndrome des apnées de sommeil BPCO Stade I selon Gold Sténose foraminale L5-S1, sténose dégénérative L4-L5 sur suspicion de kyste du ligament jaune L4-L5 et hernie discale traitées le 10.12.2018 par : • Décompression L5-S1 bilatérale par cross-foraminotomie par la D • Décompression L4-L5 bilatérale par cross-foraminotomie par la D avec ablation d'un kyste synovial du ligament jaune • Patch dural au TachoSil • Cure de hernie discale L4-L5 D et microdiscectomie HTA traitée Fibrillation auriculaire transitoire le 10.10.2016, dans contexte de déshydratation • Dernier ECG en 2011 sinusal avec BBD incomplet • CHA2DS2-VASc score à 4 pts • HAS-BLED score à 1 pt • Echocardiographie transthoracique le 12.10.2016 • ECG de contrôle du rythme à la sortie : rythme sinusal Démence débutante depuis 2015 • MMS à 26 pts/30 le 01.06.2015 • MMS le 13.10.2016 à 23/30 pts • Test de la montre 0 pt HTA traitée Fibrillation auriculaire transitoire le 10.10.2016 dans contexte de déshydratation • Dernier ECG en 2011 sinusal avec BBD incomplet • CHA2DS2-VASc score à 4 pts • HAS-BLED score à 1 pt • Echocardiographie transthoracique le 12.10.2016 • ECG de contrôle du rythme à la sortie : rythme sinusal Démence débutante depuis 2015 • MMS à 26 pts/30 le 01.06.2015 • MMS le 13.10.2016 à 23/30 pts • Test de la montre 0 pt Trouble obsessionnel compulsif HTA traitée Flutter auriculaire 2:1 avec alternance de tachycardie auriculaire multifocale • FEVG à 70% le 26.02.2015 Névralgies faciales sous un traitement de Saroten HTA traitée Flutter auriculaire 2:1 avec alternance de tachycardie auriculaire multifocale • FEVG à 70% le 26.02.2015 Névralgies faciales sous un traitement de Saroten HTA traitée Glaucome HTA traitée Gonarthrose interne D et fémoro-patellaire sur status post arthroscopie, ménisectomie partielle interne et OST valgisante avec plaque Tomofix le 29.06.2006 par Dr. X. HTA traitée Hépatite C traitée - guérie (suivi par Dr. X) • Recherche cryoglobulines en mai 2018, examen douteux Pathologies psychiatriques multiples avec : • Épisode dépressif moyen à sévère • Syndrome de stress post-traumatique • Exposition à une catastrophe, une guerre et autres hostilités • Difficultés liées à l'environnement social • Suivi psychiatrique en ambulatoire par Dr. X • Traitement habituel par Fluoxetine 20 mg, Olanzapine 2.5 mg, arrêté par la patiente Lésion isthmo-corporéale à développement extra-utérin sous séreux à l'IRM du 09.02.2018 • Consilium gynécologique le 07.08.2018 : stable, pas d'opération nécessaire Trouble neurologique mixte du membre supérieur droit : • Suivi par Dr. X • Tunnel carpien débutant à droite • Notion de cervico-brachialgie C8 Labilité tensionnelle, le 04.01.2019 avec : • Dyspnée et céphalée lors de pic hypertensif • Vertige lors d'hypotension • Dans contexte de trouble anxieux avec multiples plaintes Affections rhumatologiques multiples (suivi Dr. X) : • Cervico-brachialgie droite • Ostéoporose fracturaire et densitométrique • Syndrome du tunnel carpien droit • Lombalgies chroniques mécaniques • Rhizarthrose bilatérale • Syndrome sec oral et oculaire, en cours d'investigation Situation sociale complexe avec : • Pauvreté des ressources (vit seule à domicile sans famille) • Requérante d'asile • Pathologies psychiatriques multiples • Suivi par infirmier ORS Dr. X • Contrôle de santé 1x/semaine • Aide au ménage organisée avec ORS HTA traitée Hypercholestérolémie traitée Arthrose HTA traitée Hypercholestérolémie Migraines HTA traitée Hyperlipidémie traitée TVP MIG sous pilule oestro-progestative TVP en 2010 sous traitement hormonal HTA traitée Hyperlipidémie traitée TVP MIG sous pilule oestro-progestative TVP en 2010 sous traitement hormonal HTA traitée Hypoacousie bilatérale connue appareillée Troubles visuels sur DMLA bilatérale traitée par Monoprost Angiopathie amyloïde cérébrale • Suivi depuis 2 ans par Dr. X suite à un trouble moteur du membre inférieur droit (IRM en 2013 avec lésion pariétale gauche hémorragique, évoquant une angiopathie amyloïde en 1er lieu) HTA traitée Hypothyroïdie actuellement non traitée (TSH 3.73 en octobre 2016) ESSV Lithiase vésiculaire Incontinence urinaire HTA traitée Hypothyroïdie substituée HTA traitée Hypothyroïdie traitée HTA traitée. Hypothyroïdie traitée. HTA traitée. Maladie coronarienne monotronculaire : • Sténose 70% de l'artère interventriculaire antérieure proximale et moyenne (Imagerie IVUS) : PCI + 1xDES • FEVG normale 65% • Coronarographie le 02.02.2018 : Stent actif de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • Aspirine 100 mg 1x/j à vie • Efient 10 mg 1x/j pendant 6 mois HTA traitée Polyneuropathie des membres inférieurs d'origine indéterminée Hyperuricémie et rare crise de goutte Spondylolisthésis Canal lombaire étroit asymptomatique HTA traitée Polyneuropathie des membres inférieurs d'origine indéterminée Hyperuricémie et rare crise de goutte Spondylolisthésis Canal lombaire étroit asymptomatique HTA traitée s/p infarctus du myocarde en 2005 avec pontage coronarien (inselspital) • Ergométrie 28.5.2015 (Dr. X) : normale HTA traitée. Syndrome de dépendance à l'alcool. Stéatohépatite le 24.08.2015, d'origine probablement alcoolique. • consommation OH excessive le 22.08.2015. • substitution Benerva, Becozym. • HTA traitée • Syndrome de Li Fraumeni : • Carcinome invasif mammaire gauche Dx 2013, avec tumorectomie et curage axillaire gauche le 13.12.2013 : carcinome canalaire invasif NST pT2 G3 récepteurs oestroprogestatifs positifs. HER2 négatif. Traité par tumorectomie, chimiothérapie (3 cycles FEC 100 et Taxotère 100), radiothérapie. Traitement anti-aromatase par Létrozole (en suspens depuis mi-avril 2016) • Carcinome baso-cellulaire crânien excisé en 2004 • Tumeur ovarienne borderline opérée par annexectomie bilatérale et hystérectomie en 2010 • HTA • BPCO non stadée • HTA • Cardiopathie ischémique et hypertensive • angor instable le 04.04.2013 (coronarographie du 05.04.2013 (Dr. X) : maladie coronarienne bitronculaire avec sténose significative de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale à 90-99%. Absence de resténose de la partie proximale de la seconde marginale au niveau du site d'implantation du stent actif. FEVG normale à 65% • mono-potage (AMIG-IVA) à cœur battant le 08.04.2013, Clinique Cécil, Lausanne • drainage pneumothorax G en postopératoire avril 2013 • probable crise hypertensive en 2010 • dilatation et mise en place d'un stent actif sur une sténose de 95% de la 2ème branche marginale de l'artère circonflexe en juin 2007 Diabète type 2 non insulino-requérant Dyslipidémie traitée Surcharge pondérale (BMI 29 kg/m2) • HTA • Déficit en acide folique substitué • Psoriasis • SAOS non appareillé (CPAP non supporté) • Troubles dépressifs avec idées suicidaires (hosp. RFSM Marsens le 26.10.2018) • Tabagisme actif • HTA • Diabète de type II non insulino-requérant • Hypercholestérolémie • Hernie hiatale non compliquée diagnostiquée en 2010 • HTA • Diabète de type II non insulino-requérant • Hypercholestérolémie • Hernie hiatale non compliquée diagnostiquée en 2010 • HTA • Diabète de type II non insulino-traité • Lombalgies • HTA • Diabète de type II non-insulino-requérant • Sténose serrée >50% de l'artère vertébrale G (V4) probablement asymptomatique le 05.11.2018 • Double antiagrégation par Aspirine 100 mg et Plavix 75 mg durant 1 mois puis Plavix 75 mg seul • Atorvastatine 40 mg/j • HTA Diabète de type 2 non insulino-requérant • AOMI sur pied diabétique • s/p Amputation sous-capitale P1 gros orteil pied G (OP le 28.10.2016) Insuffisance rénale chronique Fibrillation auriculaire sous Sintrom. Carcinome papillaire multifocal de la thyroïde pT3m, R1 • micro-invasion du tissu périthyroïdien • thyroïdectomie totale bilatérale le 08.02.2012 • hypothyroïdie substituée • traitement par iode radioactif de 4 Gbq le 23.04.2012 Hypoparathyroïdie primaire suite à une thyroïdectomie totale • PTH : 7 ng/l 04.12.2017 Troubles du sommeil Dégénérescence maculaire liée à l'âge (G > D) Arthrose bicompartimentale du genou gauche Malnutrition protéino-énergique modérée Carence de vitamine D • substitution avec 5600 UI par semaine • HTA • Diabète mellitus insulino-requérant. • HTA • Diabète type 2 non insulino-requérant • Céphalées chroniques dans un contexte de douleurs/fatigue chroniques. • HTA • Douleur costale T10 à gauche dans un contexte de toux le 21.01.2016 • HTA. • Dyslipidémie. • HTA. • Dyslipidémie. • Diabète de type 2. • HTA • Dyslipidémie • Etat dépressif traité • Constipation chronique. • Tétraparésie, dysarthrie et troubles cognitifs (exécutifs et attentionnels) séquellaires d'une encéphalopathie post-anoxique en juillet 2014, avec syndrome de Lance-Adams, après arrêt respiratoire, probablement sur arythmie supraventriculaire. • Epilepsie partielle à rare généralisation secondaire • Atrophie cortico-sous-corticale à prédominance fronto-pariéto-temporale-bilatérale • Troubles neurologiques fonctionnels associés • Déficit en acide folique post-anémie transfusée en octobre 2017 • Probable ostéoporose fracturaire • HTA • Dyslipidémie • Maladie coronarienne bitronculaire avec s/p pontage aorto-coronarien en 2010 • Subocclusion TC moyen et IVA proximale avec AMIg-IVA fonctionnelle • Occlusion de l'ostium de la première diagonale avec saphène-DA fonctionnelle • RCx aberrante provenant de l'ostium de l'ACD • ACD dominante avec lésions non significatives • FEVG à 50% Gastrite chronique • HTA • FA anticoagulée par Xarelto • Démence modérée de probable origine vasculaire • MMSE à 22/30 le 06.04.2016 • Test de l'horloge à 2/7 le 06.04.2016 • HTA • FA non anticoagulée • HTA • Goutte • Tachycardie supraventriculaire de découverte fortuite le 10.01.2019 : • DD : tachycardie par réentrée intra-nodale, tachycardie auriculaire. • avis cardiologique le 11.01.2019 (Dr. X) : arythmie de découverte fortuite. Vu l'âge du patient et absence de palpitations, proposition de traitement cardio-frénateur par bétabloquant • Adénosine 6 mg puis 12 mg sans effet le 10.01.2019 • Beloc Zok 5 mg i.v. puis Beloc Zok 50 mg per os le 10.01.2019 puis 100 mg dès le 15.01.2019 • HTA • Hyper-cholestérolémie • HTA Hypercholestérolémie Asthme bronchique • HTA • Hypercholestérolémie • Asthme bronchique • Insuffisance rénale chronique depuis 2009 • HTA • Hypercholestérolémie • Asthme bronchique • Insuffisance rénale chronique depuis 2009 • HTA • Hypercholestérolémie • Asthme bronchique • Insuffisance rénale chronique depuis 2009 • HTA • Hypercholestérolémie • Goutte • HTA • Hypertrophie bénigne de la prostate • HTA • Hypoacousie bilatérale connue appareillée • Troubles visuels sur DMLA bilatérale traitée par Monoprost • Angiopathie amyloïde cérébrale • Suivi depuis 2 ans par le Dr. X suite à un trouble moteur du MID (IRM en 2013 avec lésion pariétale gauche hémorragique, évoquant une angiopathie amyloïde en 1er lieu) • HTA • Maladie de Ménière • HTA • Néphrectomie • Hypothyroïdie substituée • Vessie hyperactive avec incontinence urinaire traitée efficacement par Betmiga • HTA • Obésité avec BMI à 38. • HTA • Obésité • Hypercholestérolémie • Cardiomyopathie hypertrophique asymétrique • HTAP sous oxygénothérapie 1 l/min à domicile et traitement de Macitentan et Sildenafil. • HTA • QT long • SAOS appareillé • HTA • Sarcoïdose • HTA • Surcharge pondérale • Coxarthrose débutante à D sur impingement en CAM. • HTA. • Trouble anxio-dépressif. • HTA • Troubles de la marche et de l'équilibre avec facteurs de risques : • Chutes à répétition • Troubles du sommeil Tabagisme actif (80 UPA) Substitut nicotinique huile de lavande le matin et soir Contrôle chez pédiatre dans 48h Humalog 20 UI du matin en suspens dès le 24.01.2019. Suivi glycémique. Humeral Subcapital Fraktur Salter-Harris II links Humeur dépressive Husten Husten mit verminderte AZ DD pseudokrupp DD Pertussis • Schwach nach Hause • Starke Hustenkreise mit Erbrechen Husten seit 2 semaines Husten, Thoraxschmerzen Leukozyten 8.2 G/l, CRP < 5mg/l, D-dimers 170 ng/l Husten und Erkältung Husten und Allegeimzustandsverschlechterung Husten und Kopfschmerzen Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation Hydratation+++ Hydratation. hydratation Hydratation +++ Hydratation à l'administration de produit de contraste le 29.01.2019 pour le scanner Sous traitement diurétique Suivi biologique Hydratation à continuer à la maison Reconsulter si beaucoup de pertes par rapport aux apports Hydratation à stimuler Hydratation à stimuler, fébrifuges Hydratation à stimuler Antalgie et febrifuges en R Hydratation à suivre Hydratation, antalgie Hydratation, antalgie Hydratation • Hospitalisation aux soins intensifs pour suite de prise en charge Hydratation au NaCl Pose de sonde urinaire du 05.01.2019 au 10.01.2019 Suivi clinico-biologique Hydratation aux soins intensifs Hydratation aux urgences : NaCl 0.9% 500 ml/12h puis 500 ml Glucosalin. Mise en place d'une sonde vésicale pour bilan (absence de globe). Hydratation aux urgences 500 ml NaCl IV. Laboratoire : cf annexes. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Suivi chez le médecin traitant. Hydratation aux urgences 500 ml NaCl 0.9%. Laboratoire : cf. annexes. Hydratation avec NaCl 500 ml. Traitement anti-émétique avec Primpéran 10 mg iv. Mme. Y refuse la suite de prise en charge, se dit angoissée en raison de la voie veineuse, et désire rentrer à domicile. Nous la renvoyons à domicile avec traitement symptomatique, et l'informons des signes qui devraient la pousser à reconsulter. Hydratation avec Normolytoral en salle d'attente sans vomissement Hydratation avec 200 ml de sirop Hydratation avec 500 ml NaCl, Tamsulosine 0.4 mg, Novalgin à la permanence. Novalgin 500 mg 6x/J, Olfen 75 2x/J, Tamsulosine 0.4 mg pour 3 jours et consultation chez le MT au cours de la semaine. Hydratation depuis 22.01.19 : 1 l NaCl en 24 h Hydratation stoppée depuis le 30.01.2019 Hydratation du 22.01 au 30.01.2019 Hydratation en intraveineux G20% + Insuline 20 UI Résonium Bicarbonate par voie orale Gluconate de calcium amp en intraveineux Substitution NaCl oral, Phosphate et Magnésium oral et en intraveineux Hydratation et suivi biologique. Hydratation, fébrifuge Hydratation, fébrifuges Hydratation, fébrifuges Hydratation fractionnée Hydratation fractionnée Apports de sucre Reconsultation si persistance Hydratation fractionnée Cô chez le pédiatre dans 24 heures Hydratation fractionnée Consignes de surveillance Hydratation fractionnée Consultation si signes d'alarme Hydratation fractionnée Consultation si signes de déshydratation Hydratation fractionnée Explication des signes d'alarme Hydratation fractionnée Poursuite du schéma de sevrage de nexium au lieu d'arrêter totalement comme envisagé par les parents Consultation pédiatre demain pour vaccin et rediscussion de la stagnation pondérale et des difficultés pouvant être rencontrées lors du changement de lait Hydratation intraveineuse Hydratation intraveineuse Hydratation intraveineuse Hydratation intraveineuse Hydratation intraveineuse Hydratation intraveineuse. Hydratation intraveineuse. Adaptation médicamenteuse. Consilium néphrologique Dr. X. Hydratation intraveineuse par NaCl 1000 ml/24 heures. Suivi biologique (créatinine plasmatique à 114 umol/l le 07.02.2019). Hydratation intraveineuse par NaCl. Suivi biologique. Hydratation intraveineuse par NaCl. Suivi biologique : correction à 133 mmol/l le 30.01.2019. Hydratation intraveineuse Suivi laboratoire Hydratation intraveineuse. US des voies urinaires. CT thoraco-abdominal. Consilium néphrologique (Dr. X et Dr. X) : prise de sang (Na, K, créatinine, urée) et Spot urinaire (Na, K, créatinine, urée, protéine, albumine) en fin de semaine. En cas de persistance de valeurs anormales, un consilium néphrologique est indiqué. Hydratation intraveineuse Suivi biologique Hydratation iv Hydratation iv Hydratation iv. Hydratation iv aux urgences et poursuite avec hydratation orale. Hydratation iv aux urgences par 1000 ml/3h puis hydratation par NaCl au besoin. Suivi biologique. Torasémide de 20 mg à 10 mg le 19.01.2019. Hydratation iv aux urgences, stimulation à l'hydratation à l'étage Suivi biologique Hydratation IV du 07.02 au 08.02.2019 Suivi biologique Consilium néphrologique Suivi ambulatoire prévu par le service de néphrologie (Mme. Y sera convoquée) avec : US-doppler rénal (taille, morphologie et index de résistance) Hydratation IV du 13 au 14.02.2019 Suivi biologique Hydratation iv et per os Adaptation du traitement par Metformine (dose journalière 1000 mg) Hydratation i.v. et suivi biologique Hydratation iv NaCl 500 ml 4x aux urgences. NaCl 1500 ml/12h le 15.01.2019. Hydratation iv par NaCl 0.9% 500 ml. Substitution potassique iv puis per os. Suivi biologique (natrémie à 133 mmol/l, kaliémie à 3.9 mmol/l le 08.02.2019). Hydratation iv par NaCl 1500 ml/24 heures. Suivi biologique. Contrôle biologique le 11.02.2019. Hydratation iv pendant 24h Hydratation IV prudente et suivi de la diurèse par SV Suivi clinique et biologique Hydratation IV puis PO à partir du 02.02 Suivi diurèse et TA Hydratation IV rapide. Surveillance. Hydratation IV Suivi biologique Hydratation IV 500 ml Stix/sédiment urinaire Suivi biologique Hydratation iv Alcalinisation des urines Hydratation IV Caféine Repos au lit Hydratation IV Suivi biologique Hydratation i.v. Suivi biologique Hydratation lisse et froide et fractionnée Daflagan, Algifor Hydratation NaCl Hydratation NaCl IV 1500/24h du 11 au 20.02.2019 Oxycontin et oxynorm PO dès le 12.02.2019 Pantozol et Alucol PO dès le 12.02.2019 Xylocain spray dès le 12.02.2019 au 14.02.2019 Mycostatin du 13.02.2019 au 22.02.2019 OGD pour pose de SNJ le 19.02.2019 : nécrose étendue de l'œsophage distal RAD le 25.02.2019 Hydratation NaCl 0.9% IV US Suivi biologique en ambulatoire Hydratation NaCl 0.9% 1000 ml avec prudence (Mr. Y avec cœur pulmonaire, FEVG 55%) Diurétiques en suspens Bic 8.4% 100 ml sur 30 min (100 mmol) Aérosols Ventolin 5 mg (pour hyperkaliémie) Resonium 15 g 3x/j Hydratation NaCl 1000/24h le 05.02.19 Hydratation NaCl 1000/24h le 05.02.2019 Hydratation NaCl 1500 ml par 24h iv Hydratation NaCl 1500 ml par 24h iv. Suivi biologique. Hydratation NaCl 1500 ml par 24h Fraction excrétion Na prérénale le 20.02.2019 Hydratation NaCl 1500 ml par 24h Spot urinaire en cours Hydratation NaCl 750 ml/24h IV Spot urinaire 20.02.2019 : Fe Na 0.3% Bilan diurèse Eosinophilie urinaire à pister Hydratation, Normolytoral Hydratation orale Consignes de surveillance données aux parents Hydratation orale Dafalgan si fièvre Pas d'AINS Hydratation orale de 6 dl, sans problème. Réassurance quant à l'absence de critères inquiétants. Retour au foyer. Hydratation orale et lavage du nez Hydratation orale Consignes de surveillance données aux parents Hydratation orale Consignes de surveillance pour les parents Hydratation par NaCl Hydratation par NaCl iv Laboratoire ECG Hb1Ac à 12.7% le 20.01.2019 Avis diabétologiques les 21.01, 25.01 et 28.01.2019 Téléphone médecin traitant : mauvaise compliance de Mr. Y. Dernier rendez-vous en mars 2018. HbA1C : 6.3%. Dernière ordonnance valable jusqu'en juin 2018, probablement plus de traitement depuis lors. Bilan lipidique le 23.01.2019 : Cholestérol total 5.4 mmol/L, HDL 1.51 mmol/L, LDL 3.74 mmol/L, TG 1.00 mmol/L Introduction de thérapie par insuline basale (Insulatard) et rapide (Humalog) jusqu'au 25.01.2019 Remplacement de l'Insulatard par du Tresiba et reprise des traitements habituels (Metformine et Jardiance) le 25.01.2019 Suivi et injection d'insuline à domicile par sa belle-fille (infirmière) Hydratation par NaCl 0.9% Suivi biologique Hydratation par NaCl 1000 ml sur le 24 h le 31.12.2018 Changement de la sonde vésicale le 02.01.2019 Adaptation du traitement diurétique Dialyse refusée par Mme. Y Suivi biologique Hydratation par NaCl 1500 ml par 24h Osmolarité 452 mosm/l Hydratation par NaCl 1500 ml par 24h Spot urinaire en cours Hydratation par NaCl 2000 ml par 24h Contrôle biologiqueHydratation par Normolytoral • Fractionnement des repas • Consignes de surveillance données aux parents Hydratation par Ringer lactate puis glucose 5% Hydratation par 1500 ml de NaCl/24h du 09.01.2019 au 14.01.2019 • Suivi biologique Hydratation par 200 ml de jus de pomme bien toléré • Consignes usuelles déshydratation • Contrôle chez pédiatre si persistance des symptômes à 1 semaine Hydratation par 750 ml de NaCl 0.9% aux urgences. Hydratation par 750 ml de NaCl 0.9% aux urgences. Hydratation parentérale par NaCl 0.9% 1000 ml/24h. Hydratation per os. Hydratation per os du 18.01.2019 au 20.01.2019 en raison de l'absence de VVP • Hydratation IV dès le 20.01.2019 1000 NaCl/24h jusqu'au 25.01, 500 ml/24 heures dès le 25.01 Hydratation per os, positionnement • Schellong test: hypotension après 3 et 4 minutes sans compensation rythmique Hydratation per os. • Suivi laboratoire à Marsens. Hydratation per os • Correction des troubles de la crase • Adaptation antalgie • Physiothérapie Transfert à la Villa St François le 19.02.2019 Hydratation prudente • Médicaments néphrotoxiques mis en suspens • Prophylaxie thrombo-embolique par Liquémine 5000 UI 2x/j • Suivi laboratoire Hydratation régulière • Dafalgan • Algifor Hydratation • Suivi biologique Hydratation • Suivi biologique et clinique Hydratation +++ • US abdo: pas d'invagination Hydratation 1000 ml/24h sur 3 heures. Hydratation 1000 ml/24h • Suivi biologique Hydratation 1000 NaCl 0.9%/24h. Hydratation 1000 ml/24h • Suivi biologique Hydratation 1500 ml/24h • Suivi biologique Hydratation 500 ml NaCl 0.9% aux urgences puis restriction hydrique à 1000 ml/j vu l'hyponatrémie et fonction rénale préservée. • Suivi biologique. Hydratation 500 ml NaCl 0.9%. • Bladder scan : 640 ml. • Mise en place d'une sonde vésicale. • Suivi biologique. Hydratation 500 ml/h IV. • Surveillance hémodynamique. Hydratation 500 ml/h IV. • Surveillance hémodynamique. Hydratation 500 ml aux urgences, puis 1000 ml/24h Hydratation • Adaptation du traitement Hydratation • Alcalinisation des urines Hydratation • Algifor au besoin Hydratation • Antibiothérapie Hydratation • Avis néphrologie Hydratation +++ • Contrôle si EF dépasse 5 jours Hydratation • Mis en suspens IEC et diurétique, reprise des deux le 07.02.2019 • Résolution le 06.02.2019 Hydratation • Mise en suspens du diurétique Hydratation • Pause de médications néphrotoxiques Hydratation • Recherche de toxines C. Difficile : négatif • Suivi clinique Hydratation • Recontrôler chez le pédiatre si mauvaise évolution Hydratation +++ • Recontrôler si beaucoup de pertes Hydratation par NaCl. • Suivi biologique. Hydratation • STOP diurétiques le 29.01.2019 uniquement Hydratation. • Stop traitement diurétique et anti-diabétiques oraux. • Contrôle biologique. Hydratation • Suivi biologique Hydratation • Suivi biologique Hydratation • Suivi biologique Hydratation. • Suivi biologique. Hydratation. • Suivi biologique. Hydratation • Suivi biologique avec amélioration Hydratation • Suivi biologique avec correction Hydratation • Surveillance clinico-biologique Hydratation • Ventilation non-invasive du 06.02 au 07.02.2019 • Cathéter artériel radial droit du 06.02 au 07.02.2019 • Pipéracilline/Tazobactam du 06.02 au 07.02.2019 • ETT ciblée le 06.02.2019: FEVG conservée Hydrocèle bilatéral de petite quantité le 30.04.2016. • Néphrolithiase droite le 08.06.2015. • Colique rénale sur lithiase réno-urétérale gauche le 07.07.2014. • Lithotripsie endo-urétérale uretère gauche le 20.07.2009. • Fracture du radius distal droit avec arrachement de la styloïde ulnaire, type AO 23-B3; accident du 02.07.2015. • Crise de goutte avec atteinte des deux genoux et de la 2ème articulation métacarpo-phalangienne de la main gauche le 30.04.2016 avec: • kyste de Baker rompu hémorragique à gauche. • Anémie macrocytaire normochrome arégénérative à 114 g/l le 30.04.2016 sur probable anémie de Biermer. • Hématurie microscopique le 30.04.2016 et le 05.05.2016. • Panniculite mésentérique asymptomatique. • Cholécystite aiguë avec hydrops vésiculaires le 28.06.2017. • Cholécystectomie par laparoscopie en urgence le 28.06.2017. • Hypokaliémie à 3.3 le 28.06.2017. Hydrocèle bilatéral plus prédominant à droite le 22.01.2019 Hydrocèle gauche post-traumatique symptomatique. Hydrocèle le 05.02.2019 Hydrocéphalie Hydrocéphalie. Hydrocéphalie probablement secondaire à une hémorragie péri-ventriculaire et parenchymateuse néonatale avec éventuelle composante congénitale compliquée de crises d'épilepsie de type absence, hémiparésie D, retard mental avec: • Crise d'épilepsie (type absence) partielle complexe: plusieurs épisodes en 2012, 2014 • Insuffisance rénale chronique stade III selon KDIGO avec: • polykystose rénale sur probable mutation HNF 1 bêta (GFR 36.7) • Etat anxio-dépressif • Incontinence urinaire nocturne • Hypercholestérolémie probablement familiale. • Gonarthrose gauche • Ostéoporose Hydrocéphalie probablement secondaire à une hémorragie péri-ventriculaire et parenchymateuse néonatale avec éventuelle composante congénitale compliquée de crises d'épilepsie de type absence, hémiparésie D, retard mental avec: • Crise d'épilepsie (type absence) partielle complexe: plusieurs épisodes en 2012, 2014 • Insuffisance rénale chronique stade III selon KDIGO avec: • polykystose rénale sur probable mutation HNF 1 bêta (GFR 36.7) • Etat anxio-dépressif • Incontinence urinaire nocturne • Hypercholestérolémie probablement familiale. • Gonarthrose gauche • Ostéoporose Hydrocéphalie radiologique: • ponction lombaire soustractive (40 cc) le 06.09.2018 sans amélioration clinique significative. Hydronéphrose droite asymptomatique dans le cadre d'un carcinome urothélial • Antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j du 08.10 au 10.10 et Rocephin 2g IV du 10.10 au 15.10.2012 • Cystoscopie + TURV pose d'une sonde double J à droite le 11.10.2012. Syncopes vraisemblablement d'origine vaso-vagale dans le contexte d'une consommation d'alcool à risque • Beta-bloquants mis en pause dans le cadre d'une bradycardie et BAV du 1er degré • CT crâne 26.09.2012: plusieurs lésions dans les lobes frontaux et dans la corne antérieure du lobe temporal droit. • Remaniements athéromateux de l'arc aortique et des départs des carotides. Pas de sténose significative • Schellong 28.09.2012: négatif • US cardiaque 26.09.2012: FEVG 60%. VG normal, aorte normale. Valve aortique normale. Sclérose aortique sans sténose significative. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche sans particularité, VD de fonction normale. • Holter 27.09.2012: sans particularité. Fracture-dislocation du fémur avec PTH hanche droite en 01/2011. Fracture vertébrale et bassin en 10/2001. AVP en 2000. Status post opération méniscale. Hyponatrémie hypoosmoläre hypovolémique à 117 mmol/l d'étiologie peu claire en 2012 • DD SIADH, diurétiques, antagonistes de l'angiotensine II. Hydronéphrose droite sur compression tumorale le 02.02.2019 Hydronéphrose gauche SFU III en absence de valves d'urètre postérieure • Souffle cardiaque II/VI pan systolique • Syndrome de Noonan • pieds et main œdémateuse, oreilles orientées postérieurement avec hélix épaissi, nuque courte, faciès • anamnèse familiale positive • Hypertrophie ventricule droit (physiologique) • Pré-maturité à 34 6/7 SG, PN 2850 g (P 50-75), TN 44 cm (P 10), PCN 33 cm (P 50) Hydronéphrose stade II G le 14.02.2019. • avec globe urinaire à 750 ml. • DD: obstruction sur CA vessie. Hydronéphrose stade II G, le 14.02.2019: • avec globe urinaire à 750 ml • DD: sur CA vessie Hydro-pneumothorax à droite, 4 cm de pneumothorax, survenant dans un contexte post-chirurgical • Status post résection uni-portale du segment I et II droit avec lymphadénectomie médiastinale radicale le 20.12.2018 dans la suspicion d'un NSCLC (histopathologie : pas de malignité, présence d'Aspergillus)Status post ablation du drain thoracique à droite le 22.12.2018 Hygiène buccale Mycostatine dès le 14.02.2019 Hygiène buccale Mycostatine du 14.02 au 19.02.2019 Hypecholestérolémie Maladie variqueuse chronique stade C6 à D et C5 à G • insuffisance veineuse profonde • st après cure des 2 grandes veines saphènes il y a plusieurs années • cure récidive de varice de la grande veine saphène à la jambe D en septembre 2014 • phlébectomie étagées dans le territoire des 2 grandes veines saphènes jambières le 21.01.2015 • ulcère ouvert rétro-malléolaire à D et ulcère guéri du côté G • lymphoedème secondaire Surcharge pondérale Carcinome de la prostate T2à3, NX, MX, G1 gleason score 4 • st.p. résection transurétrale de la prostate 13.10.2006 • PSA initial 17.4 ng/ml • st.p. traitement antiandrogène • st.p. traitement au analogues LHRH • st.p. radiothérapie du 17.07 au 06.09.2007 • dernier contrôle 09.2015 : évolution favorable du point de vue urologique et oncologique Syndrome cervical chronique Syndrome lombo-spondylogène avec canal spinal étroit (L2-L5) sur atteinte dégénérative Coxarthrose D Hyperammoniémie à 78 micromol/l le 07.02.2019 Hyperactivité vésicale Hyperaldostéronisme : • Substitution per os par potassium effervette 2-2-2 ambulatoire, contrôle de la kaliémie chez médecin traitant le 25.02.2019 avec adaptation de la substitution per os • Rendez-vous en endocrinologie pour discussion des résultats et suite de prise en charge le 05.04.2019 • Suivi tensionnel et adaptation des traitements antihypertenseurs AVC : • Poursuite Aspirine pour 1 mois, Clopidogrel à vie • Contrôle strict des facteurs de risque cardiovasculaires, contrôle du cholestérol à distance avec LDL cible <1.8 mmol/L • Bilan neuropsychologique à envisager en ambulatoire • Rendez-vous à 3 mois à la consultation neurovasculaire (07.06.2019 à 11h) • Si pas d'arythmie emboligène sur le holter, organiser un R-test/holter 7 jours afin d'exclure une origine cardiaque Hyperammoniémie dans un contexte de cirrhose hépatique stade CHILD A Hyperbilirubinémie à la limite des critères de photothérapie Hyperbilirubinémie à 295 mmol/L (coombs et groupe en cours) Hyperbilirubinémie (Bilirubine max 230 umol/l) Hyperbilirubinémie (coombs négatif) Hyperbilirubinémie en dessous du seuil de photothérapie Hyperbilirubinémie en dessous du seuil pour photothérapie. Suivi par sage-femme avec consignes habituelles de l'ictère. Hyperbilirubinémie sans critères de photothérapie Hypercalcémie à 2.65 mmol/l Hypercalcémie à 3.17 mmol/l le 30.01.2019 DD : hypercalcémie maligne, sur adénome parathyroïdien connu Hypercalcémie avec un calcium corrigé de 2.66 mmol/l le 23.01.2019 Hypercalcémie chronique dans un contexte d'hyperparathyroïdisme primaire probable sous Mimpara 30 mg. Hypercalcémie, DD d'origine oncologique. Hypercalcémie maligne. Hypercapnie chronique sur syndrome de Rett : • Poids 28.5 kg • Traitement par VNI depuis 02.2018. • Oxygènothérapie à domicile ponctuel dans le cadre de crise de l'épilepsie 2 l/min ou de décompensation respiratoire • Polygraphie nocturne sous VNI du 19.11.2018 : IAH 7.4/h avec 3.3/h hypopnées, 1.8/h apnées obstructives, 2/h apnées centrales, IDO 6.2/h, Ronflements 22.9 %, SpO2 moyenne 96 % • Capnographie sous VNI du 19.11.2018 : SaO2 moy 96 %, pCO2 moyenne 6.5 kPa • Paramètres ventilatoires : Stellar 150, Mode ST, EPAP 5 cmH2O, IPAP 12 cmH2O, Masque AirFit F10 XS Hypercholestérolémie Cluster headache Névralgie faciale : • intensité inhabituelle et persistante le 13.06.2015 • status post implantation de 2 neuro-stimulateurs : 1x occipital sous-cutané avec générateur sous-cutané abdominal (2011) et 1x sphéno-palatin droite (2015) Tabagisme à 18 UPA stoppé le 01.05.2011, actuellement fume des cigarillos (2/jour) Trouble anxieux lié aux crises Colique néphrétique sur urolithiase de 6 mm de l'uretère distale G le 23.01.2017 • Première urolithiase gauche de 3.8 mm le 08.10.2016 Hypercholestérolémie Cluster headache Névralgie faciale : • intensité inhabituelle et persistante le 13.06.2015 • status post implantation de 2 neuro-stimulateurs : 1x occipital sous-cutané avec générateur sous-cutané abdominal (2011) et 1x sphéno-palatin droite (2015) Tabagisme à 18 UPA stoppé le 01.05.2011, actuellement fume des cigarillos (2/jour) Trouble anxieux lié aux crises Colique néphrétique sur urolithiase de 6 mm de l'uretère distale G le 23.01.2017 • Première urolithiase gauche de 3.8 mm le 08.10.2016 Hypercholestérolémie Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie. Hypertonie artérielle. Suspicion d'asthme, non fumeuse. Status post-mastectomie droite, radio et chimiothérapie en 2009 pour carcinome mammaire. Migraine. Humeur dépressive sous traitement. Hypercholestérolémie le 12.01.2019 avec LDL à 4.8 mmol/l. Hypercholestérolémie le 22.02.2019 Hypercholestérolémie non traitée Hypercholestérolémie non traitée Hypercholestérolémie non traitée Hypercholestérolémie non traitée. Hypercholestérolémie non traitée Tabagisme actif à 75 UPA Hypercholestérolémie non traitée Tabagisme actif à 75 UPA Hypercholestérolémie pure nouvellement diagnostiquée le 06.02.2019 Hypercholestérolémie Surcharge pondérale Prédiabète Tabagisme actif 50 UPA Hypercholestérolémie. Tabagisme. Syndrome des jambes sans repos. Constipation chronique d'origine indéterminée avec épaississement hémi-circonférentiel gauche du bas rectum (CT-scan abdominal janvier 2016). Hypercholestérolémie traitée Hypercholestérolémie traitée avec athéromatose marquée Hypothyroïdie sur thyroïdite de type Hashimoto sous Euthyrox Polyarthrose Hypercholestérolémie traitée avec athéromatose marquée Hypothyroïdie sur thyroïdite de type Hashimoto sous Euthyrox Polyarthrose Hypercholestérolémie traitée jusqu'en début mai 2013 (patiente a stoppé le traitement avant de débuter la chimiothérapie) Ostéoporose Hypercholestérolémie traitée par Pravalotin. Arthrose cervicale. Hypercholestérolémie traitée par Simcora. Anamnèse familiale d'infarctus paternel à 50 ans. Hypercholestérolémie traitée. Diabète non insulino-requérant. Hypercholestérolémie traitée. Diabète non insulino-requérant. Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle Cardiopathie ischémique avec : • PTCA de l'IVA moyenne en 1997 • Mise en place d'un stent actif sur l'IVA en 2010 Hernie hiatale Coxarthrose gauche Hernie inguinale gauche Carcinome rénal gauche • status post-thermoablation par micro-ondes d'une lésion maligne kystique du pôle inférieur du rein gauche, sous CT le 28.11.2016 • suivi par Dr. X Adénocarcinome colique à double localisation transverse et sigmoïdienne stade pT4a (2) pN0 (0/65), Pn1, V1, R0, G2, avec • Colectomie subtotale avec ascendo-rectostomie et iléostomie de protection le 28.09.2015 (Dr. X)Suspicion de syndrome parkinsonien • Clinique : petits pas, pas de rigor, pas de tremor • Madopar 125 mg 1-1-1 depuis 09/2018 • Stop de Madopar 10/2018 Hypercholestérolémie traitée Hyperuricémie traitée Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée. Hyperuricémie traitée. Trouble de l'anxiété. Probable syndrome des apnées obstructives du sommeil. Hypercholestérolémie traitée Polyarthrite rhumatoïde traitée Hypercholestérolémie Dépression Hypercholestérolémie. Diabète de type II non insulino-requérant. Hypercholestérolémie HBP Epigastralgies avec RGO (sous IPP depuis 2014) Hypercholestérolémie. HTA. Hernie discale L4-L5. Hypercholestérolémie HTA Tabagisme actif Hypercholestérolémie Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Hypertension artérielle Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle. Suspicion d'asthme. Migraine. Humeur dépressive sous traitement. Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle. Coronarographie en 2008 : sclérose des coronaires, absence de sténose significative ; fraction d'éjection ventriculaire gauche à 65 % ; aorte ascendante normale, absence de régurgitation aortique. Hypovitaminose D modérée substituée oralement. Chutes à répétition sans prodrome ni perte de connaissance avec suspicion de Drop Attack, DD : troubles de la marche, sarcopénie avec insuffisance musculaire proximale du MIG Hypercholestérolémie Hypertension artérielle Hernie hiatale Iléite terminale, colite du cæcum à Campylobacter spp, Salmonella et Shigella le 01.01.2018 BBG nouveau alternant avec QRS fins probablement d'origine dégénérative Fonction systolique du VG normale (EF 60 %) Hypercholestérolémie. Hypoxémie d'origine indéterminée le 17.12.2016 • sans hypercapnie • DD : hypertension pulmonaire d'origine indéterminée • ETT le 19.12.2016 (Dr. X) : FEVG 55 %, Dilatation du VD, PAPs légèrement élevée selon les mesures par l'IP. • CT-scan thoracique du 19.12.2016 : discrète dystélectasie du lobe inférieur droit, en amélioration par rapport comparatif. Le reste de l'examen est normal. Pas d'embolie pulmonaire. Hypercholestérolémie. Maladie coronarienne tritronculaire : • sténose significative IVA proximale et moyenne • occlusion IVA distale • sténose significative de la première marginale • occlusion de l'artère circonflexe distale • sténose significative de l'artère coronaire droite proximale • FEVG estimée à 55 % avec une hypokinésie apicale. Coronarographie 12.1.2011. Quadruple pontage en 2011 à Berne. Hernie ombilicale. Hypercholestérolémie Maladie de Parkinson Hyperplasie de la prostate • suivi chez le Dr. X Hypercholestérolémie. Maladie de Parkinson. Hyperplasie de la prostate. • suivi chez le Dr. X Hypercholestérolémie Multiples ulcères gastriques Diverticulose colique Hypercholestérolémie Polyarthrite rhumatoïde, séronégative (actuellement sans traitement) Maladie de Parkinson Diverticulose sigmoïde et adénome tubulaire de colon sigmoïde avec dysplasie de bas grade (coloscopie 2016) Gastrite chronique et maladie de reflux Cirrhose CHILD A : • biopsie 03.04.2014 : remodelage cirrhotique micronodulaire diffus du foie avec fibrose péri-sinusienne et infiltrat lymphocytaire inflammatoire discret, étiologie la plus susceptible d'être alcoolique Cervico-nuchalgie récurrente Hypercholestérolémie Tabagisme actif à 37 UPA Hypercholestérolémie Tabagisme actif à 37 UPA Hyperéchogénicité cérébrale à l'US du 30.11.18 Hyperémèse gravidique Hypérémèse gravidique à 6 SA chez Mme. Y primigeste de 24 ans Hyperémèse gravidique à 7 6/7 semaines d'aménorrhée chez une Mme. Y 2-gestes 1-pare de 29 ans Hyperemesis gravidique à 8 SA chez une Mme. Y 1GOP (grossesse gemellaire) Dépression Hyperesthésie du genou D. Hyperextension de la cheville : entorse non compliquée. Claquage musculaire le 08.10.2015. Hyperférritinémie d'origine X à 753 le 11.02.2019 DD : inflammatoire, hémochromatose (saturation transferrine à 46.6 %) Hyperglycémie Hyperglycémie à 15.6 à l'entrée Hyperglycémie cortico-induite Hyperglycémie dans un contexte de diabète de type 2 insulino-requérant, • hémoglobine glyquée à 8,7 % le 25.01.2019. Hyperglycémie, déshydratation. Hyperglycémie le 08.02.2019 • DD : intolérance au glucose VS diabète de type II Hyperglycémie le 21.02.2019 • diabète de type 2 insulino-requérant Hyperglycémie sans acidose cétonique dans le cadre d'une infection virale Hyperglycémie secondaire à la prise de prednisone le 25.02.2019 Hyperglycémie sur diabète de type 2 normalement bien régulé sous bithérapie avec : • Glycémie à 15.7 g/l le 19.02.2019 Hyperglycémie sur prednisone Hyperglycémies à répétition Hyperglycémies dans contexte de diabète de type 2 décompensé dans contexte infectieux Hyperglycémies matinales sur nutrition entérale, chez Mme. Y avec pré-diabète Hyperhidrose sous traitement de Driptaen 5 mg 2 à 3 fois par jour Hyperkaliémie à 5.2 mmol/l le 31.01.2019 Hyperkaliémie à 5.3 mmol/l le 03.02.2019 Hyperkaliémie à 5.3 mmol/l le 04.02.2019. Hyperkaliémie à 5.3 mmol/l Hyperkaliémie à 5.4 mmol/l asymptomatique sur insuffisance rénale aiguë et déshydratation le 07.01.2019. Hyperkaliémie à 5.4 mmol/l le 22.01.2019 Hyperkaliémie à 5.4 mmol/l Hyperkaliémie à 5.5 mmol/l (contexte insuffisance rénale sur chronique) Hyperkaliémie à 5.6 mmol/l le 27.01.2019 Hyperkaliémie à 5.6 mmol/l sur traitement de Spironolactone le 04.01.2019 avec : • arrêt de l'Aldactone par le médecin traitant le 04.01.2019 • récidive à 6.2 mmol/l le 14.01.2019. Hyperkaliémie à 5.6 mmol/l. Hyperkaliémie à 5.7 mmol/l Hyperkaliémie à 5.8 mmol/l Hyperkaliémie à 5.8 mmol/l le 03.02.2019. Hyperkaliémie à 5.9 mmol/l dans le contexte d'insuffisance rénale, le 27.02.2019 Hyperkaliémie à 6.5 mM le 13.02.2019 • Sur acidose respiratoire avec hypercapnie Hyperkaliémie asymptomatique à 5.1 mmol/l le 29.01.2019 Hyperkaliémie iatrogène à 5.6 mmol/l le 12.02.2019 • sur traitement d'Aldactone, insuffisance rénale chronique Hyperkaliémie le 17.02.2019 • probablement dans le contexte d'insuffisance rénale Hyperkaliémie le 23.01.19, d'origine probablement rénale avec • Labo le 23.01.19 : 5.5 g/l • Mme. Y avec une probable syndrome urémique et une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 Hyperkaliémie légère à 5.3 mmol/l le 23.01.2019 Hyperkaliémie légère le 15.02.19 Hyperkaliémie probablement sur IRA à 5.6 mmol/l le 25.01.2019 Hyperkaliémie récidivante d'origine rénale Hyperkaliémie sur substitution, acidose et insuffisance rénale le 01.02.2019 Hyperkératose au niveau des pieds, à D plus qu'à G, douloureuse. Hyperlactatémie de type B sur prise de beta-2-mimétiques et alcalose respiratoire le 25.02.2019 Hyperlactatémie et hypokaliémie sur bêta-2-mimétiques à hautes doses le 27.02.2019 Hyperlactatémie postopératoire le 30.01.2019 DD : origine abdominale. Hyperminéralocorticisme avec : • hypokaliémie sévère à 1.5 mmol/l • alcalose métabolique avec pH à 7.6 • déconditionnement avec neuromyopathie Hypernatrémie à 132 mmol/l sur traitement diurétique le 27.01.2019 Hypernatrémie à 149 mmol/l le 16.01.2019 sur déshydratation sur diaphorèse. Hypernatrémie à 153 mmol/l hypovolémique de probable origine rénale sur diurétique. Hypernatrémie à 156 mmol/l le 05.02.2019 sur déshydratation (diarrhée, hyperglycémie) puis sur nécrose tubulaire aiguë. Hypernatrémie à 159 mmol/l sur déshydratation : • déficit en eau libre calculé à 2808 mL Hypernatrémie à 159 mmol/l le 15.01.2019. Hypernatrémie hypovolémique. Hypernatrémie le 24.01.2019. Hypernatrémie sévère à 158 mmol/l le 08.11.2018. Iléus jéjuno-iléal sur probables adhérences le 30.10.2018 • Status post-subiléus grêle en février 2008 • Status post-subiléus le 28.12.2017 Infection urinaire compliquée DD infection de la néphrostomie le 16.11.2018, Rocéphine 2g iv 19 - 26.11.2018 Encéphalopathie myoclonique d'origine multifactorielle (toxico-métabolique et médicamenteuse (Lyrica)) le 23.10.2018 Résection antérieure basse pour adénocarcinome recto-sigmoïdien avec radiothérapie adjuvante en 2000. Cholécystectomie en 1999. Cure de hernie inguinale droite en 1999. Hyperparathyroïdisme primaire • status post-thyroïdectomie totale, substituée par Euthyrox. Ostéoporose. Conflit fémoro-acétabulaire G symptomatique sur cal vicieux et nécrose tête fémorale sur status post : • ostéosynthèse fémur proximal G par DHS 27.06.2012 pour fracture pertrochantérienne. AMO DHS fémur proximal G, implantation PTH G (cupule Fitmore 52, noyau Durasul 52/36, tête Protasul 36 col L, tige MS-30/8 standard, centralizer 8/10, bouchon Weber 4, Palacos R+G) (OP le 12.12.2012). Incontinence urinaire. Hyperparathyroïdisme primaire sur adénome parathyroïdien inférieur droit le 15.11.2018 avec : • Echographie thyroïdienne du 15.11.2018 : microlésions kystiques, lésion au niveau de la pointe inférieure du lobe droit dans la partie postérieure de la thyroïde compatible avec un adénome. • Scintigraphie para-thyroïdienne du 08.10.2018 : hypercaptation focale inférieure droite, aspect normal de la glande thyroïde. Hyperphosphatémie à 2.38 mmol/l le 26.01.2019. DD : rénale ; dans contexte MGUS. Hyperplasie bénigne de la prostate. Hyperplasie bénigne de la prostate. Hyperplasie bénigne de la prostate. Arthrose. Calcification probablement dans le tendon du sus-épineux à droite. Sténose peptique débutante du bas-oesophage et hernie hiatale axiale à l'oeso-gastro-duodénoscopie du 24.08.2012 (réalisée par le Dr X). Hyperplasie bénigne de la prostate avec obstruction. Insuffisance rénale chronique stade III. Status après insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 07.12.2011. Status après insuffisance rénale exacerbée de stade IV le 08.12.2012, probablement sur bas débit et néphropathie hypertensive. Status après accident vasculaire cérébral temporo-occipital droit le 12.12.2011. Status après état confusionnel aigu d'origine multifactorielle le 07.12.2011. Probable pancréatite chronique. Status après pancréatite aiguë d'origine toxique (éthylisme chronique, diagnostic différentiel : passage de calcul, Ranson à 48h : 2-3) le 07.12.2011. Maladie thrombo-embolique sous Sintrom. Status après embolie pulmonaire. Status après syncope le 08.12.2012 sur embolie pulmonaire bilatérale. Status après thrombose veineuse profonde. Dysphagie d'origine mixte (mécanique et moteur) avec : • Diverticule de traction du tiers distal de l'oesophage. • Troubles moteurs oesophagiens probablement d'origine centrale (maladie de Parkinson). Malnutrition protéino-énergétique modérée avec anémie macrocytaire sur carence en folates. Anorexie (perte de l'appétit). Polyneuropathie des membres inférieurs. Chutes à répétition dans un contexte de troubles de la marche d'origine multifactorielle. Status après implantation de prothèses totales des deux genoux. Contusion du genou gauche avec épanchement intra-articulaire le 01.08.2017 avec : • CT genou gauche : pas de déscellement ou de fracture péri-prothétique, épanchement articulaire non ponctionnable. Hématome périorbitaire gauche le 01.08.2017 : • CT cérébral : anciennes fractures des os propres du nez et du plancher orbitaire droit, pas d'HSD, pas de saignement intracrânien. Status après implantation de prothèses des deux épaules. Status après réduction de fracture pertrochantérienne multi-fragmentaire complexe du fémur proximal droit avec ostéosynthèse par clou gamma le 15.04.2015. Hémarthrose du genou droit : • Sans notion de traumatisme. • Sur INR supra-thérapeutique sur traitement par Sintrom. • Avec S/p PTG droite. Anamnèse / Examen clinique. RX genou. Bilan biologique : pas de syndrome inflammatoire. Avis Dr. X • CT genou droit le 05.01.19 : pas de fracture ou de signes de déscellement prothèse. • US genou droit le 06.01.2019 : pas de rupture du tendon quadriceps ni aileron rotulien mais présence d'hémarthrose. • Traitement conservateur avec poche de glace 4 fois par jour, attelle genou jusqu'à genou sec puis l'enlever. • Antalgie. • Contrôle dans 1 mois à la polyclinique d'orthopédie de Riaz chez Dr. X, RDV à prendre. Immobilisation par attelle jean 0°. Physiothérapie de mobilisation. INR supra-thérapeutique > 5.5. Arrêt Sintrom le 05.01.18. • add 5mg Konakion. Sintrom 2 cpr le 06.01 et 1 cpr le 07.01 -> labo de contrôle le 08.01.19 avec INR. Bradycardie sinusale à 40 bpm. Stop Metoprolol. Suivi clinique et réévaluer la reprise du médicament avec le MT. Hyperplasie bénigne de la prostate avec status post résection transurétrale de la prostate. Nodule thyroïdien gauche. Nodule pulmonaire du lobe supérieur gauche de 4 mm en mai 2017 stable. Hyperplasie bénigne de la prostate de stade II. Kyste cortical du pôle supérieur du rein D de type II selon Bosniak. Coxarthrose G. Hyperplasie bénigne de la prostate (09/2018) : • PSA libre 1.13 ng/mL, quotient PSA libre/PSA 10% le 02.10.2018. • IRM 18.09.2018 : lésion focale de 9 x 4 mm, en partie moyenne, de la zone périphérique latérale gauche, classée PIRADS 4. Deuxième lésion focale de 5 x 5 mm de la zone de transition antérieure médiane de la région moyenne adjacente au stroma fibromusculaire antérieur, classée PIRADS 4. Absence d'effraction capsulaire. Absence d'infiltration des vésicules séminales, ni d'atteinte ganglionnaire ou osseuse. Hyperplasie de la prostate avec vessie de lutte. • biopsies selon schéma le 16.10.2018 (Promed P2018.11841) : hyperplasie glandulaire et atrophie du parenchyme prostatique. Absence de dysplasie de haut grade ou de malignité dans le matériel examiné. • suivi par Dr. X. Obstruction nasale chronique avec : • ectasie vasculaire du locus Kiesselbachi à droite. • utilisation quotidienne de Triofan (arrêté le 17.01.2019). • cautérisation au nitrate d'argent le 07.01.2019, Bloxang du 07.01-11.01.2019, Avamys spray du 12.01-12.02.2019. Hyperplasie bénigne de la prostate. Pied tombant D (L5, S1) dans le cadre de post-ostéotomie de valgisation tibia péroné droit, le 27.02.2017, canal lombaire étroit L3-L5 avec troubles dégénératifs, attelle de Heidelberg en place. Sténose du canal spinal cervical en C3-C4 sur troubles dégénératifs multi-étagés avec myélopathie traitée par microdiscectomie ventrale de C3/C4 avec pose d'une cage, le 02.08.2018.Hyperplasie de la prostate le 02.02.2019 Hyperplasie endométriale atypique chez une patiente de 68 ans, 4 gestes 2 pares. Hyperplasie nodulaire focale du dôme hépatique situé entre les veines sus-hépatiques droite et moyenne de 3.5x4.5cm (CT abdominal injecté du 23 juillet 2013). Hernie hiatale non compliquée (Dr. X 27 juin 2008, Dr. X 15 juillet 2013). Hémorroïdes internes (Dr. X 15 juillet 2013). Nodules sous pleuraux lobe inférieur gauche (4mm) et lobe inférieur droit (4mm) (CT 6 septembre 2013). Kyste biliaire du segment IVa (CT 6 septembre 2013). Contractures musculaires avec cervicalgies : traitement antalgique et myorelaxant. Dessiccation L5/S1 à l'IRM du 14.05.2012 avec lombalgies. Conflit coxo-fémoral droit (arthographie IRM hanche droite 24 mai 2012). Hyperplasie prostatique. Hyperréactivité bronchique. DD : pneumonie atypique. Hyperréflexie Hypersensibilité aux poils de chat le 17.02.2019 avec : • rhino-conjonctivite allergique. • hyperactivité bronchique. Hypersensibilité D2 à D4 de la main gauche après traitement conservateur d'amputation de pulpe D2 à D4 de la main gauche le 24.08.2018. Hypersomnie idiopathique (diagnostic posé au laboratoire du sommeil du CHUV en 2009, lors d'investigation d'apnées du sommeil). Hypothyroïdie substituée. Hypertension. Hypertension arétérielle. BPCO stade II en décembre 2015, à composante asthmatique. Tabagisme à 70 UPA, stoppé en 2011. Hépatite C chronique avec : • laparoscopie et biopsie du foie en 1999 • status post-traitement par IFN • stéatofibrose. Hépatites A et B. Hypertension artérielle traitée par Co-Aprovel. Tabagisme ancien à 60 UPA (stoppé il y a 10 ans). Obésité. Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle. Hypertension artérielle • DD : blouse blanche. Hypertension artérielle : • Secondaire à la dysplasie fibromusculaire des artères rénales • Coronarographie le 03.03.2017 : dysplasie fibromusculaire avec présence de septa du tiers moyen des artères rénales • Proposition Dr. X pour une angioplastie des artères rénales, encore non réalisée à ce jour • Enregistrement tensionnel sur 24h en mars 2017 : patiente normotendue Sténose aortique serrée symptomatique (dyspnée) : • Echocardiographie transoesophagienne le 01.10.2018 : fraction d'éjection ventriculaire gauche à 55-60% (évaluation visuelle) ; rétrécissement aortique serré de type paradoxical low flow low gradient ; surface aortique à 1.09 cm² (0.67cm²/m²) par équation de continuité, 0.8cm2 par planimétrie ; gradient moyen VG-Ao à 18mmHg ; insuffisance aortique minime (grade 1/3) ; présence d'un petit élément hyperéchogène mobile dans la CCVG d’origine indéterminé ; excès tissulaire des 2 feuillets mitraux avec dégénérescence myxomateuse de la valve mitrale ; insuffisance mitrale minime (grade 1/3) ; insuffisance tricuspide minime (grade 1/3) avec valves épaissies de type myxomateuse ; valve pulmonaire normale ; foramen ovale fermé ; présence petite CIV peri-membraneuse sans nécessité de prise en charge • Coronarographie pour bilan pré-TAVI prévue pour le 18.10.2018 Bradycardie avec bloc atrio-ventriculaire du 1er degré Hypothyroïdie substituée Discopathie L3-L4 et L4-L5 avec : • Rétrécissement du canal lombaire L3-L4 (IRM novembre 2012, suivi par Dr. X) Trouble anxieux Dégénérescence myxomatose des valves mitrales et tricuspidienne Hypercholestérolémie Epigastralgie Hypertension artérielle • sous Torem 5mg et Lisinopril 5mg Hypertension artérielle à 180/120 mmHg le 26.02.2019 • asymptomatique DD : effet blouse blanche, cortisone Hypertension artérielle à 200/118 mmHg. Hypertension artérielle Artériopathie des membres inférieurs Occlusion de la carotide interne droite Syndrome pulmonaire mixte discret Broncho-pneumopathie chronique obstructive Tabagisme actif à 90 unités paquets année, stoppé début 2017. Polyarthrose prédominante au niveau cervical. Insuffisance rénale chronique probablement vasculaire. Reflux gastro-oesophagien traité. Hypertension artérielle. Asthme. Schizophrénie traitée avec 5 hospitalisations à Marsens, suivi par Dr. X (prdv: le 22.05.2018). Maladie de Bechterew. Dorsalgies chroniques. BPCO. Hypertension artérielle asymptomatique le 19.01.2019 sur accident vasculaire cérébral subaigu avec : • Adalat retard 30 mg donné par le médecin de garde à 10 h. Hypertension artérielle asymptomatique le 26.02.2019. Hypertension artérielle avec : • cardiopathie hypertrophique et physiologie de restriction • petite insuffisance mitrale sur prolapsus simple du feuillet mitral postérieur Status post thrombose du membre inférieur gauche. Hypertension artérielle avec : • cardiopathie hypertrophique et physiologie de restriction • petite insuffisance mitrale sur prolapsus simple du feuillet mitral postérieur • status post thrombose du membre inférieur gauche. • Suivie par Dr. X • dernier ETT en septembre 2017. Hypertension artérielle avec cible < 140/80 mmHg. Hypertension artérielle avec crises hypertensives symptomatiques DD dysautonomie liée à la chimiothérapie. • hypotensions décrites à domicile • test de Schellong le 19.11.2018 : positif • sous Lisinopril, Nifédipine (selon besoin). Hypertension artérielle avec probable cardiopathie hypertensive (ETT 16.02.2017). Syndrome d'hyper-IgG4 avec : • sialadénite chronique sclérosante Possible atteinte pulmonaire sous forme de pneumonie interstitielle. Fibrose rétropéritonéale débutante de l'aorte sous-rénale. Hypertension artérielle avec : • rétinopathie hypertensive à 2/4 au fond d'œil du 13.08.2018 (HFR Fribourg) • néphropathie. Hypertension artérielle confirmée par un Remler. Douleurs rétrosternales atypiques probablement d'origine gastrique. Hypertension artérielle connue. Hypertension artérielle décompensée le 8.9.2019. Hypertension artérielle. Dépression. Hypertension artérielle. Dépression avec psychose depuis 2004. Dyslipidémie. Adipositas. Hypertension artérielle depuis 2010. Reflux gastro-oesophagien. Syndrome douloureux lombaire chronique. Cervico-scapulalgies chroniques bilatérales d'origine myo-tendineuse. Hypertension artérielle. Diabète de type II. Hypertension artérielle. Diabète de type 2. Insuffisance rénale chronique stade 3a selon KDIGO acutisée AKIN 1 d'origine prérénale. Obésité. BPCO non stadée. Bloc atrio-ventriculaire du premier degré (ECG du 30.08.2018). Hypothyroïdie primaire substituée. Cataracte bilatérale avec perte importante de l'acuité visuelle. Diarrhées chroniques avec alternance de constipation depuis 4 ans d'origine indéterminée. Hypertension artérielle. Diabète de type 2 insulino-requérant. Dyslipidémie. Tabagisme actif à 70 UPA. Obésité et sédentarité. Maladie de Dupuytren débutante (12.2018). Maladie coronarienne (01.2018), dominance gauche avec : • sténose significative de l'artère circonflexe proximale : primary stenting DES • sténose subocclusive de la coronaire droite (petit vaisseau) • Fraction d'éjection VG 65%. Hypertension artérielle diastolique avec rétinopathie de stade I. Crises d'épilepsie partielle sur foyer temporal droit. Hypertension artérielle. DLP. Fibrillation auriculaire anticoagulée. Cardiopathie hypertensive. Insuffisance mitrale. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Hypertension artérielle. Dyslipidémie traitée. Diabète de type 2 non insulino-requérant sous Metfin et Glimepiride. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Diabète de type 2. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Diabète de type 2. Hypertension artérielle en cours d'investigation. Hypertension artérielle essentielle non traitée probable 13.02.2019. Hypertension artérielle essentielle. Obésité de stade I selon l'OMS. Sténose aortique. Hypertension artérielle et hypercholestérolémie traitées. Hypertension artérielle. Extrasystoles supra-ventriculaires. Incontinence de type stress. Migraines avec paresthésies du membre inférieur droit. Malformation en collier de perles de l'artère rénale droite. Hypertension artérielle. Fibrillation auriculaire anticoagulée par Xarelto. Polymyalgia rheumatica en 2005 avec récidive en 2010. Syndrome des jambes sans repos. Canal lombaire étroit. Arthropathie chronique à pyrophosphate de calcium. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Baisse de l'acuité visuelle • Prise de traitement antihypertenseur • Obésité et sarcopénie relative • Canal lombaire étroit non opéré • Douleurs arthrosiques des pieds • Troubles cognitifs (tests de la cognition du 23.10.2018 (lettre 1) : MMS à 24/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 3/15). Hypertension artérielle. Fibrillation auriculaire sous Marcumar. Lombalgies chroniques. État anxio-dépressif. Hypertension artérielle grade 2 diagnostiquée en 02/2019. Hypertension artérielle. Hernie discale. Anxiété. Hypertension artérielle. Hernie discale cervicale. Hypoacousie appareillée gauche. Thrombose du membre inférieur droit en 2001. Tachycardie supraventriculaire à 140/min traitée par Bilol. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Tabagisme ancien à 35 UPA. Fibrillation auriculaire inaugurale non datable sous Sintrom. Adénocarcinome de l'œsophage distal à 38 cm des arcades dentaires, uT3 uN1 cM0. • date du diagnostic : 15.02.2018 • histologie : adénocarcinome peu différencié à croissance solide/trabéculaire avec cellules isolées, en partie en « bague à chaton » au niveau de l'œsophage distal. • transit baryté du 22.01.2018 : court segment apéristaltique irrégulier de la jonction oesogastrique avec distension de l'œsophage distal et en amont. • OGD Dr. X du 14.02.2018 : vers 38 cm des arcades dentaires supérieures présence d'une tumeur bourgeonnante du tiers inférieur de l'œsophage circulaire en virole ulcérée franchissable s'étendant sur 3-4 cm avec envahissement du cardia. Le reste de l'estomac est macroscopiquement normal. • colonoscopie du 14.02.2018 : micro-polype sessile d'environ 2 mm de diamètre de la charnière recto-sigmoïdienne. Diverticulose sigmoïdienne floride entre 25 et 40 cm de la marge anale. • CT-Scan thoraco-abdominal du 01.02.2018 : présence d'une hernie hiatale. Pas de mise en évidence de lésion oesophagienne. Pas d'adénopathie locorégionale. Pas de lésion hépatique. • PET-CT du 09.03.2018 : épaississement de la jonction gastro-œsophagienne, intensément hyperactive, s'étendant sur quelques centimètres, associé à de multiples adénopathies loco-régionales, non captantes, en partie nécrotiques, en contact intime avec le pilier du diaphragme droit. Zone hypodense dans le segment V du foie en sous-capsulaire, bien visible sur le temps portal, sans hypercaptation pathologique au PET. Mise en évidence d'adénopathies dans le rétropéritoine, non-captantes, et au niveau inguinal des deux côtés non-captantes. • écho-endosonographie du 16.03.2018 : au niveau œsophage distal entre 40-43 cm tumeur sténosante franchissable avec peu de pression. À l'inversion pas de masse infiltrative dans le cardia. Pas d'infiltration d'autres organes de proximité. Plusieurs ganglions de proximité, le plus grand mesurant 13 mm. • colloque multidisciplinaire du 14.03.2018 : proposition d'un traitement de radio-chimiothérapie définitif au vu du contact étroit de la tumeur avec le pilier diaphragmatique droit. • status post radio-chimiothérapie combinée à visée définitive, radiothérapie du 16.04 au 30.05.2018, 48 GY accompagnée d'une chimiothérapie par Platinol et 5-FU, 4 cycles du 16.04 au 16.07.2018. • CT-scan thoraco-abdominal du 06.08.2018 : régression modérée de l'épaississement tumoral de l'œsophage distal avec ganglions satellites. SNG posée fin août 2018 • progression tumorale avec adénopathies para-oesophagiennes et multiples implants au niveau abdominal, fin octobre 2018 • Actuellement chimiothérapie palliative par Taxol depuis le 12.11.2018 Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie traitée. Maladie coronarienne tritronculaire: • PTCA/DES de la coronaire D proximale et moyenne (2015), • sténose subocclusive branche marginale de la RCX, PTCA/DES le 07.03.2017, • lésions intermédiaires de l'IVA proximale et moyenne avec occlusion d'une petite branche diagonale, • Sténose aortique modérée (US cardiaque le 08.11.2016), • Ectasie avec dilatation discrète de l'aorte ascendante, • FEVG 55%. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Diabète. Hypothyroïdie. Glaucome. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Hernie hiatale modérée. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Tabagisme chronique Consommation OH à risque Ostéoporose fracturaire Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Tabagisme chronique Consommation OH à risque Ostéoporose fracturaire Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Tabagisme chronique Status post résection d'un adénocarcinome moyennement différencié de la jonction recto-sigmoïdienne développé au sein d'un polype adéno-tubuleux pT1 pN0 (0/13) R0 G2. • Résection antérieure basse par voie laparoscopique et iléostomie de protection le 20.06.2014 Hypertension artérielle Insuffisance rénale chronique stade G3a • eGFR selon CKD-EPI 51ml/min le 05.02.2019 Carcinome papillaire multifocal de la thyroïde pT3m, R1 • micro-invasion du tissu périthyroïdien • thyroïdectomie totale bilatérale le 08.02.2012, traitement par iode radioactif de 4 Gbq le 23.04.2012 • hypothyroïdie substituée Hypoparathyroïdie primaire post thyroïdectomie totale • PTH: 7 ng/l 04.12.2017 • sous Rocaltrol Troubles du sommeil sous Seresta Hypertension artérielle. Insuffisance veineuse chronique. Spondylarthrose région lombaire. Arthrose facettaire étagée L4-L5 et L5-S1. Discopathie étagée L4-L5 et L5-S1. Hypertension artérielle. IRA AKIN I avec créatinine 110 umol/l. Hypertension artérielle le 03.02.2019. • Nausées et vomissements associés. • Chez patiente sous anti-hypertenseur il y a 5 à 6 ans. Hypertension artérielle le 05.02.2019. Hypertension artérielle le 18.02.2019 Hypertension artérielle le 18.02.2019 Hypertension artérielle le 25.12.2018 Hypertension artérielle le 31.01.2019 avec: • cardiopathie hypertensive à FEVG à 75% Hypertension artérielle légère, non traitée. Insuffisance rénale légère (Cockcroft à 50 ml/min). Hernie inguinale bilatérale asymptomatique. Kyste épidermoïde au niveau de la 3ème phalange doigt 4 à gauche depuis 20 ans. Hypertension artérielle. Leucémie lymphoïde chronique (stade O selon RAI), diagnostiquée en 2008. Hypercholestérolémie. Diabète type 2 tt par anti-diabétiques oraux. Dépendance à l'alcool. Goutte. Troubles mnésiques séquellaires importants post AVC en 1999. Hypertension artérielle Lombalgies chroniques Hypertension artérielle. Lombalgies chroniques sur troubles dégénératifs. Hypertension artérielle. Lombosciatalgies Hypertension artérielle mal contrôlée Hypertension artérielle mal contrôlée. Hypertension artérielle mal contrôlée • sous Enalapril 20 mg ; Zanidip 10 mg ; Torasémide 5 mg ; Hypertension artérielle mal contrôlée • Sous Irbesartan, torasemid et amlodipine Hypertension artérielle. Néphrolithiase (2016). Hypertension artérielle non traitée Hypertension artérielle non traitée Hypertension artérielle non traitée Hypertension artérielle non traitée avec: • Cardiopathie hypertensive • pic hypertensif à 220/130 mmHg le 10.02.2019 Hypertension artérielle non traitée Hypercholestérolémie non traitée Hypertension artérielle non traitée (le patient a arrêté son traitement volontairement). Hypertension artérielle non traitée Arthrose acromio-claviculaire gauche modérée (2015) Reflux gastro-oesophagien Intolérance au glucose depuis 2016 Hypertension artérielle non traitée. Diabète type 2 non insulino-requérant traité par GluciConcept (homéopathie). Hypertension artérielle non traitée. Tabagisme actif. Dépression, alcoolisme. Hypertension artérielle nouvellement diagnostiquée Hypertension artérielle nouvellement diagnostiquée le 05.02.2019 Hypertension artérielle post-partale Hypertension artérielle pulmonaire modérée Hypertension artérielle pulmonaire post-capillaire (sPAP 60 mmHg) Hypertension artérielle réfractaire traitée avec Lisinopril Trouble bipolaire sous traitement par Lithium Lésion nodulaire hépatique de 3 cm d'origine indéterminée et de découverte fortuite le 04.01.2019 DD: CHC, hémangiome atypique IRM hépatique le 22.01.2019: lésion supracentimétrique du foie gauche pas spécifique. Wash out rapide en phase portale pouvant évoquer un CHC. US hépatique le 22.01.2019: Lésion connue du segment II du foie, mesurant environ 25 mm de diamètre, hétérogène avec un aspect hypoéchogène prédominant et une discrète vascularisation périphérique. Cette lésion ne présente pas les caractéristiques typiques d'un hémangiome. AFP dans la norme à 2.2 ng/ml le 22.01.2019 • Convocation en oncologie à la consultation du Dr X le 12.02.2019 avec prise de contact et explication de la situation. • Pet Scan pour bilan d'extension avec prise de sang et Tumorboard le 20.02.2019 • Rendez-vous pour discuter des résultats avec le patient le 25.02.2019 Hypertension artérielle réfractaire traitée avec Lisinopril Trouble bipolaire sous traitement par Lithium Lésion nodulaire hépatique de 3 cm d'origine indéterminée et de découverte fortuite le 04.01.2019 DD: CHC, hémangiome atypique IRM hépatique le 22.01.2019: lésion supracentimétrique du foie gauche pas spécifique. Wash out rapide en phase portale pouvant évoquer un CHC. US hépatique le 22.01.2019: Lésion connue du segment II du foie, mesurant environ 25 mm de diamètre, hétérogène avec un aspect hypoéchogène prédominant et une discrète vascularisation périphérique. Cette lésion ne présente pas les caractéristiques typiques d'un hémangiome. AFP dans la norme à 2.2 ng/ml le 22.01.2019 • Convocation en oncologie à la consultation du Dr X le 12.02.2019 avec prise de contact et explication de la situation. • Pet Scan pour bilan d'extension avec prise de sang et Tumorboard le 20.02.2019 • Rendez-vous pour discuter des résultats avec le patient le 25.02.2019 Hypertension artérielle secondaire sur globe vésical. Hypertension artérielle sévère Cardiopathie rythmique et ischémique sur maladie coronarienne tritronculaire • FA paroxystique, anciennement anticoagulée par Sintrom • NSTEMI en septembre et décembre 2018 Artériopathie des membres inférieurs • amputation du côté gauche en 2009 après échec de revascularisation chirurgicale et endovasculaire • recanalisation d'une sténose serrée de l'artère fémorale superficielle droite par angioplastie et pose de stent, ainsi que d'une occlusion étendue de l'artère tibiale antérieure et de l'artère pédieuse par des angioplasties le 29.02.2012 • angioplastie de resténose fémorale superficielle et intra-stent le 08.01.2013 • angioplasties au ballon actif de 2 resténoses de l'artère fémorale superficielle droite le 09.06.2015 • angioplasties de l'artère fémorale superficielle et de l'artère poplitée au ballon à élution le 16.06.2016 à droite, avec aspiration de thrombus formés en intra-opératoire, sans embolisation • angioplastie au ballon médicamenteux de l'artère fémorale superficielle proximale et angioplastie de toute l'artère tibiale antérieure droite le 08.09.2016, compliquées par 2 pseudo-anévrismes au niveau des sites de ponction de l'artère fémorale commune et de l'artère fémorale superficielle, traitées par compression écho guidée et injection de thrombine avec succès • absence d'ischémie critique, avec sténose serrée de l'AFS proximale droite Phlébo-lymphoedème chronique avec insuffisance veineuse chronique superficielle et profonde (veine poplitée), artériopathie périphérique et mobilité réduite • Plusieurs séances de sclérothérapie écho-guidée de la PVS, de la GVS cuisse et jambier et de différents tributaires jambières de 12/2016 à 03/2017 Nodule pulmonaire hilaire bénin calcifié Diabète de type II insulino-requérant avec: • Complications microvasculaires: insuffisance rénale terminale, rétinopathie diabétique à fond modéré avec début de maculopathie à gauche (suivie par Dr. X), mal perforant du talon droit (suivie par Dr. X) • Complications macrovasculaires: artériopathie sévère cardiaque, intestinale et membres inférieurs Schizophrénie paranoïde (institutionnalisée) Hypertension artérielle sévère Diabète de type 2 insulino-requérant • Complications microvasculaires: insuffisance rénale terminale, rétinopathie diabétique à fond modéré avec début de maculopathie à gauche (suivie par Dr. X), mal perforant du talon droit (suivie en podologie à HFR Fribourg, Dr. X) • Complications macrovasculaires: artériopathie sévère cardiaque, intestinale et membres inférieurs Cardiopathie rythmique et ischémique sur maladie coronarienne tritronculaire • subocclusion RCx ostiale : PCI (1 DES) • sténose serrée IVA ostiale : PCI (1 DES) • lésions intermédiaires IVA moyenne et ACD moyenne • fraction d'éjection VG 65% • FA paroxystique, anciennement anticoagulée par Sintrom • NSTEMI en septembre et décembre 2018 Insuffisance rénale terminale, d'origine diabétique avec: • hémodialyse depuis le 15.12.2017 (ma-jeu-sam) • IF et IgG nég en décembre 2017 • Permacath droit posé en décembre 2017 • syndrome néphrotique • suivie par Dr. X Artériopathie des membres inférieurs • amputation du côté gauche en 2009 après échec de revascularisation chirurgicale et endovasculaire • recanalisation d'une sténose serrée de l'artère fémorale superficielle droite par angioplastie et pose de stent, ainsi que d'une occlusion étendue de l'artère tibiale antérieure et de l'artère pédieuse par des angioplasties le 29.02.2012 • angioplastie de resténose fémorale superficielle et intra-stent le 08.01.2013 • angioplasties au ballon actif de 2 resténoses de l'artère fémorale superficielle droite le 09.06.2015 • angioplasties de l'artère fémorale superficielle et de l'artère poplitée au ballon à élution le 16.06.2016 à droite, avec aspiration de thrombus formés en intra-opératoire, sans embolisation • angioplastie au ballon médicamenteux de l'artère fémorale superficielle proximale et angioplastie de toute l'artère tibiale antérieure droite le 08.09.2016, compliquées par 2 pseudo-anévrismes au niveau des sites de ponction de l'artère fémorale commune et de l'artère fémorale superficielle, traitées par compression écho guidée et injection de thrombine avec succès • absence d'ischémie critique, avec sténose serrée de l'AFS proximale droite Phlébo-lymphoedème chronique avec insuffisance veineuse chronique superficielle et profonde (veine poplitée), artériopathie périphérique et mobilité réduite • Plusieurs séances de sclérothérapie écho-guidée de la PVS, de la GVS cuisse et jambier et de différents tributaires jambières de 12/2016 à 03/2017 Notion de nodules mammaires calcifiés (pas de plus amples investigations) Nodule pulmonaire hilaire bénin calcifié Hypertension artérielle • sous Adalat retard (actuellement en suspens) Hypertension artérielle sous Adalat Epilepsie sous Keppra et phénobarbital OH Lésion ulcérante non cicatrisante de la tête (8 mm) DD kératose actinique Hypertension artérielle • sous Amlodipin, Valsartan Hypertension artérielle sous Cosaar plus Hypertension artérielle sous Enatec. Hypercholestérolémie sous Sortis. Hypothyroïdie sous Euthyrox. Hypertension artérielle sous trithérapie Hypertension artérielle sous trithérapie • Allergie aux IEC, Aldactone, Amlodipine Poursuite de traitement avec Carvedilol 25 mg 1x/jour, Torasemid 10 mg 1x/jour, Minoxidil 10 mg 1x/jour Minoxidil augmenté à 15 mg 1x/jour avec bon effet Surveillance clinique journalière Valeurs dans la norme pendant l'hospitalisation actuelle Diabète de type II insulino-requérant • Avec plusieurs épisodes d'hypoglycémie le soir, et l'après-midi • Suivi glycémie et adaptation des doses d'insuline avec la collaboration du service d'endocrinologie de l'hôpital cantonal de Fribourg Suivi des glycémies 4x/jour Insulin schéma dans la réserve pendant l'hospitalisation Dose d'Insulatard adaptée selon quantité de nutrition entérale Avis Diabéto le 07.02.2019: Insulatard (dose du matin) réduit à 5 UI Avis Diabéto le 08.02.2019: Insulatard (dose du soir) réduit à 60 UI Dose d'Insulatard à garder jusqu'à poursuite de nutrition entérale Cardiopathie ischémique • ECG Holter 7 jours dès 14.09.2018: pas de trouble de rythme Surveillance clinique Insuffisance rénale chronique Stade 4 le 06.02.2019 avec: • eGFR selon CKD-EPI à 39.8 ml/min le 29.11.2018 • eGFR selon CDK-EPI à 35.8 ml/min le 17.12.2018 • eGFR selon CDK-EPI à 26.4 ml/min le 06.02.2019 Suivi biologique Hydratation par la PEJ à 1500 ml par jour Hypoacousie des deux côtés d'origine traumatique DD liée à l'âge avec • St/p extraction des bouchons de cérumen bilatéraux le 16.10.2018 • Petite lésion secondaire oreille gauche • Ciproxine HC du 16.10. au 22.10.2018 Surveillance clinique Réévaluation dans 1 mois: si persistance de la clinique, contrôle ORL indiqué Hypertension artérielle sous trithérapie Diabète de type II insulino-requérant Cardiopathie ischémique Insuffisance rénale chronique Stade 4 Hypertension artérielle symptomatique mal contrôlée le 19.02.19. Hypertension artérielle. Tabagisme actif. Hypertension artérielle. Thrombophilie (mutation facteur V Leiden et déficit Protéine S) sous anticoagulation par Sintrom (5 cp par jour habituellement) Maladie thrombo-embolique sans compromission hémodynamique (anticoagulation infra-thérapeutique) avec embolie pulmonaire centrale droite et thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche en 2011. Canal lombaire étroit avec discopathie L4-L5, L5-S1 Hypertension artérielle traitée Fibrillo-flutter auriculaire intermittent en mai 2017, avec récidive le 02.02.2018 • avec conduction 2:1, puis passage en fibrillation auriculaire • CHADS VASC à 5 (risque AVC 6.7%/an) • HAS-BLED à 3.4% risque saignement • ETT le 02 et le 06.02.2018 : FEVG 59%. Cardiomyopathie hypertrophique asymétrique modérée. HTAP modérée à sévère (PAPs 65 mmHg) probablement d'origine pré-capillaire dans le contexte de la BPCO • Eliquis 2.5 mg 2x/j dès le 13.02.18 AOMI de stade IIB chronique avec: • Ischémie subaiguë du membre inférieur gauche sur une occlusion de l'artère iliaque commune et iliaque externe • Tentative de thrombo-embolectomie selon Fogarty de l'axe ilio-fémoral gauche par voie fémorale, thrombo-endartériectomie de l'artère fémorale commune et profonde gauche avec plastie d'élargissement par un patch bovin et thrombo-endartériectomie de l'iliaque commune et externe avec une plastie d'élargissement à l'aide d'un patch bovin par lombotomie gauche le 15.05.2017. Athéromatose/Thrombus mural de l'aorte abdominale, diagnostiqué le 17.05.2017 avec une plaque molle ulcérée sur la paroi antérieure de l'aorte Hypothyroïdie traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée Hypertension artérielle traitée. Hypertension artérielle traitée avec composante rénovasculaire (sténose de l'artère rénale gauche à 60%). Cardiopathie ischémique, status post-pose de 3 stents (artère circonflexe en 1996, artère interventriculaire antérieure en 2002). Diabète de type 2 insulino-requérant. Dyslipidémie. Cécité sur dégénérescence maculaire bilatérale. Coxarthrose des deux côtés à prédominance gauche. Cancer de la prostate cT3a Gleason 7 (4+3)cN0cM0 iPSA 3.8 • diagnostic par biopsie 01.02.2017 • status post-prostatectomie transurétrale le 04.03.2011 pour hyperplasie • actuel radiothérapie. Maladie coronarienne bitronculaire : • excellent résultat à long terme post stenting IVA prox et ACD prox • sténose 70-90% IVP : PCI (1DES) : bon • sténose 70% 1ère diagonale : PCI (1DES) : bon • dysfonction VG légère (FEVG 48%) • CT thoracique (Dr. X) : embolie pulmonaire sous-segmentaire en regard du segment postéro-basal du lobe inférieur droit. Hypertension artérielle traitée (Co-Aprovel et Adalat). Hypertension artérielle traitée. Dépression. HIV connu, patient sous trithérapie. Diabète de type 2 non insulino-requérant avec HbA1c à 7.2 % le 04.01.2017. Hypertension artérielle traitée Dépression HIV connu, sous trithérapie (Dr. X) Diabète de type 2 non insulino-requérant avec : • HbA1c à 7.2 % le 04.01.2017. Hypertension artérielle traitée. Dépression. HIV connu, sous trithérapie. Diabète de type 2 non insulino-requérant avec : • HbA1c à 7.2 % le 04.01.2017. Hypertension artérielle traitée depuis août 2016. Tabagisme actif (env. 35 UPA), sevré août 2016. Obésité de classe 1 selon OMS (BMI = 32.7 kg/m2 le 15.12.2015). Syndrome des apnées du sommeil appareillé par CPAP nocturne depuis 2009. Goître plongeant. Hypertension artérielle traitée depuis janvier 2019. Hypertension artérielle traitée depuis 20 ans. Diabète de type 2 non insulino-dépendant diagnostiqué il y a 15 ans. Hyperuricémie. Discopathies L4-L5-S1. Polyarthrose. Scoliose lombaire sinistro-convexe. Ostéopénie. Hypertension artérielle traitée depuis 2012 Diabète de type 2 non insulino-requérant traité (PD : 2002, suivi ophtalmique) Tabagisme actif à 65 UPA Goutte Troubles mnésiques légers BPCO traitée (suivi par Dr. X) Incontinence urinaire (suivie par Dr. X) Suspicion de troubles cognitifs débutants • MOCA 18/30 en octobre 2018 • Examen neuropsychologique le 31.01.2019 • Contre-indication à la conduite automobile jusqu'à une évaluation complète à la Memory Clinic Consommation d'alcool à risque avec probable syndrome de dépendance. Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2 insulino-requérant. Maladie coronarienne bitronculaire avec status post-angioplastie de l'artère coronaire droite moyenne et distale (2 stents actifs). Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2 depuis 1996, non insulino-requérant. Hypertension artérielle traitée. Diabète mellitus de stade 2 traité. Hypercholestérolémie traitée. Hypertension artérielle traitée. Fibrillation auriculaire paroxystique sous Xarelto. Ostéoporose avec fracture stable de D12. Arthrose interfacettaire L4-L5 avec lombalgies chroniques. Gammapathie monoclonale type IgM kappa. Lymphome B de la zone marginale stade IV diagnostiqué en 2004 avec : • nodule parotide gauche traité par résection et radiothérapie en 2004. • amygdalectomie en 2008. • infiltrat pulmonaire symptomatique en 2008, traitement par Mabthera jusqu'en 2011 avec réponse radiologique complète. • infiltration parotide droite en août 2012 avec reprise Mabthera tous les 2 mois depuis septembre 2012, dernière cure début février 2013. Lombalgies chroniques sous traitement de Fentanyl. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Polymyalgia rheumatica. Pneumopathie interstitielle probablement sarcoïdose pulmonaire DD : fibrose pulmonaire suivi par Dr. X. Nodule scissural gauche (sans hypercaptation au PET-CT). Dysphagie et douleurs abdominales chroniques. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Tabagisme actif. Hypertension artérielle traitée Hypothyroïdie diagnostiquée en 2018. Hypertension artérielle traitée. Insuffisance rénale chronique stade 3. Ethylisme chronique (stoppé anamnestiquement depuis l'annonce de la tumeur). Syndrome d'apnée du sommeil non-appareillé. Hyperferritinémie d'origine alcoolique. Hypovitaminose B12. Notion d'un ulcère gastrique traité conservativement. Diverticule oesophagien connu depuis 2015, à 34 cm des arcades dentaires. Diarrhée chronique. Psoriasis. Polyarthrose cervicale et lombaire. Carcinome épidermoïde moyennement différencié de l'œsophage proximal cT3 cN2 cM0 stade III. Hypertension artérielle traitée Ostéoporose. Hypertension artérielle • traitée par Aprovel jusqu'à il y a 1 mois. • actuellement traitée par médicament à base de plantes. • Adalat retard 20 mg en ordre unique le 03.08.2018. Diabète de type II non insulino-requérant. Hypertension artérielle : • traitée par Aprovel jusqu'à il y a 1 mois. • actuellement traitée par médicament à base de plantes. • Adalat retard 20 mg en ordre unique le 03.08.2018. Diabète de type II non insulino-requérant. Hypertension artérielle traitée par Atacand, Zanidip, Esidrex. Hypercholestérolémie traitée. Hypertension artérielle traitée par Atacand, Zanidip, Esidrex. Hypercholestérolémie traitée. Hypertension artérielle traitée par Candesartan, de contrôle inconnu. Hypercholestérolémie traitée par Simvastatine. Hypertension artérielle traitée par Coversum 4 mg 1x/j. et Hygroton 0,5x/j. État dépressif suivi par Dr. X sous Mocloa 1x/j. et Fluanxol 1x/j. Hypertension artérielle traitée par Coversum 4 mg 1x/j Borderline et TADA (anamnestique). Hypertension artérielle traitée par Eprotan (Eprosartan) 600mg. Traitement habituel : Atorvastatine 20mg le soir, (Eprosartan) 600mg le matin. Hypertension artérielle traitée par trithérapie. Hypercholestérolémie traitée. Obésité stade II (88 kg pour 153 cm, BMI 37.6kg/m2). Diabète de type 2 non insulino-dépendant. Hypertrophie septale essentielle avec : • dysfonction diastolique de degré I. • absence de coronaropathie au niveau proximal et moyen. Hypertension artérielle traitée Sarcoïdose pulmonaire suivie chez Dr. X. Douleur costale T10 à gauche dans un contexte de toux le 21.01.2016. Hypertension artérielle traitée sous double traitement avec introduction d'un IEC le 03.11.2016, mal contrôlée. Ectasie aortique abdominale diagnostiquée le 03.11.2016. Fibrose rétropéritonéale péri-aortique s'étendant sur 9 cm en sous-rénal. Tabagisme à 50 UPA. Ulcère aortique infra-rénal.Myolipome surrénalien gauche. Diverticulose actuellement calme. Kystes rénaux bilatéraux à prédominance gauche. Hypertension artérielle traitée. Adénocarcinome du côlon sigmoïde moyennement à peu différencié de stade T3 G2 n2 m1 : • status post-sigmoïdectomie avec anastomose colorectale le 28.05.2008. • status post-pose de PAC le 28.05.2008. • status post-hépatectomie partielle en 2008. Hypertension artérielle traitée. Anémie normocytaire d'origine indéterminée. Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom depuis 12/2013. Hypertension artérielle traitée. Asthme. Syndrome dépressif. Hypertension artérielle traitée. Atrophie cérébrale. Ponction lombaire de soustraction en 2016 pour suspicion d'hydrocéphalie à pression normale. Polyneuropathie d'origine indéterminée (suivi Dr. X). Dermite ocre des membres inférieurs. Hydrocèle bilatérale avec kyste épididymaire droit. Dégénérescence maculaire liée à l'âge bilatérale : • Visions corr D 0.6 et corr G 0.9. • Cataracte modérée bilatérale. Rétention urinaire chronique (940 ml) et incontinence urinaire de reflux sur hyperplasie de la prostate avec : • Vessie de lutte (diverticules pariétaux multiples). • Hydrocèle bilatéral connu. • Indication à une intervention chirurgicale, refusée par le patient. US voies urinaires le 21.06.2017. Troubles de la marche et chutes à répétition d'origine multifactorielle (dernier épisode en 05/2017) : • Maladie de Parkinson traitée par Madopar. • Polyneuropathie sensitivo-motrice sévère à prédominance des membres inférieurs. • Consommation OH à risque. • Insuffisance aortique modérée, FA paroxystique avec passages en bradycardie. • Incontinence urinaire avec pollakiurie. • Dégénérescence maculaire liée à l'âge bilatérale. Hypertension artérielle traitée. BPCO de stade IIIa selon GOLD VEMS à 41% et DLCO à 61% du prédit le 25.11.16. Diabète type II non IR. Coronaropathie tritronculaire sans sanction chirurgicale : occlusion chronique de l'artère coronaire droite moyenne, subocclusion de l'artère circonflexe proximale et sténose de 50-70%, FEVG 60%. Carcinome épidermoïde du lobe inférieur gauche cT3 G2 cN0 M0 : • radiothérapie et chimiothérapie à visée curative 30.01 au 10.03.2017. • augmentation du nodule apical droit en 11.2017. • immunothérapie par Pembrolizumab depuis le 12.01.18. • actuellement : globalité dans le contexte de la maladie oncologique. Hypothyroïdie substituée. Hypertension artérielle traitée. BPCO de stade IIIa selon GOLD VEMS à 41% et DLCO à 61% du prédit le 25.11.16. Diabète type II non IR. Coronaropathie tritronculaire sans sanction chirurgicale : occlusion chronique de l'artère coronaire droite moyenne, subocclusion de l'artère circonflexe proximale et sténose de 50-70%, FEVG 60%. Carcinome épidermoïde du lobe inférieur gauche cT3 G2 cN0 M0 : • radiothérapie et chimiothérapie à visée curative 30.01 au 10.03.2017. • Augmentation du nodule apical droit en 11.2017. • immunothérapie par Pembrolizumab depuis le 12.01.18. • actuellement : globalité dans le contexte de la maladie oncologique. Hypothyroïdie substituée. Hypertension artérielle traitée. BPCO de stade IIIa selon GOLD VEMS à 41% et DLCO à 61% du prédit le 25.11.2016. Diabète type II non insulino-requérant. Coronaropathie tritronculaire sans sanction chirurgicale : occlusion chronique de l'artère coronaire droite moyenne, subocclusion de l'artère circonflexe proximale et sténose de 50-70%, FEVG 60%. Hypothyroïdie substituée. Hypertension artérielle traitée. BPCO non stadée. Hypertension artérielle traitée. BPCO non stadée. Hypertension artérielle traitée. BPCO non stadée. Hypertension artérielle traitée. BPCO non stadée. Hypertension artérielle traitée. BPCO stade IIISyndrome obstructif moyennement sévère sans changement après administration de Béta-2-stimulants (suivi par Dr. X). Hypertension artérielle traitée. Carcinome invasif NST du quadrant inféro-externe du sein gauche cT2 cN0 cM0 actuellement sous chimiothérapie néo-adjuvante par Epirubicine et Endoxan suivi par Dr. X. Hypertension artérielle traitée. Cardiopathie hypertensive et coronarienne bitronculaire avec à la coronarographie du 18.05.2015 (Dr. X) : • Sténose angiographiquement et fonctionnellement limite ; occlusion chronique RCx distale ; sténose serrée MA et DA. • FEVG 50 %, akinésie inféro-basale. • Échec d'angioplastie. • Proposition d'un test de viabilité avec éventuelle revascularisation chirurgicale. Hypertension artérielle traitée. Cardiopathie ischémique monotronculaire avec : • St. p. PTCA avec stent de la coronaire droite le 07.02.2006. • Ergométrie mars 2007 : dans les normes. • Facteurs de risque cardio-vasculaire : hypertension artérielle, hypercholestérolémie, anamnèse familiale positive, âge. • Sous Plavix (intolérance à l'Aspirine). • Intolérance aux beta-bloquants. • S/p tumorectomie et lymphodénectomie sentinelle le 17.09.2015. • Histologie : carcinome mammaire canalaire invasif : N1a (1/3) MX L1 V0 R0 G3, ER 90%, PR 70 %, Hercep Test Score 2+, Ki-67 hoch (carcinome luminal B). • Sous Tamoxifen 20 mg 1x/jour. Collection liquidienne intra-abdominale 3x3 cm en fosse iliaque gauche, connue depuis novembre 2013 d'origine ovarienne ou diverticulaire sigmoïdienne avec : • IRM 2014 : Annexite gauche associée à une probable fistule ovaro-vaginale et ovaro-sigmoïdienne. Cholélithiase : • Status post-cholécystite aiguë lithiasique le 16.01.2014. • Drain intra-biliaire du 16.01.2014 au 02.04.2014. • ERCP + papillotomie le 01.04.2014. AOMI II marquée à G avec/sur : • Consultation chez Dr. X le 17.05.2016 : traitement conservateur. Trémor essentiel avec/sur : • Intolérance aux Beta-bloquants et Mysoline. Incontinence urinaire sévère. Restless legs syndrome. Déficit en B12 substituée. Hypertension artérielle traitée. Cardiopathie ischémique sur maladie coronarienne bitronculaire avec : • Infarctus du myocarde (1975). • angioplastie et stenting CX proximale et IVA proximale (2003). • FEVG 55 %, akinésie inféro-basale et inféro-latéro-basale (ETT de 2013, Triemlispital). • Tachycardie auriculaire soutenue monomorphe, cardioversée le 22.03.2003 et le 16.07.2005. • Facteurs de risque : anamnèse familiale positive. Hypothyroïdie substituée. Hypertension artérielle traitée. Démence de type Alzheimer. Troubles de l'équilibre d'origine multifactorielle. Cardiopathie hypertensive, dysrythmique et dilatative avec : • fibrillation auriculaire intermittente. • bloc de branche gauche. • échocardiographie transthoracique du 31.12.2018 : • fonction systolique globale conservée (FEVG 63 %). • sclérose aortique, d'ouverture conservée. • insuffisance aortique légère. • insuffisance tricuspide légère (grade 1/3). • discrète hypertension artérielle pulmonaire avec PAPS estimée à 37 mmHg. Insuffisance rénale chronique acutisée (clearance 42 ml/min selon Cockroft, MDRD à 50 ml/min/1.73 m2) le 14.07.2015 avec : • hyperkaliémie à 5.5 mmol/l, DD d'origine médicamenteuse (Xenalon). Hypertension artérielle traitée. Démence de type Alzheimer. Troubles de l'équilibre d'origine multifactorielle. Cardiopathie hypertensive, dysrythmique et dilatative avec : • Fibrillation auriculaire intermittente. • Bloc de branche gauche. • ETT le 31.12.2018 : > Fonction systolique globale conservée (FEVG 63 %). > Sclérose aortique, d'ouverture conservée. > Insuffisance aortique légère. > Insuffisance tricuspide légère (grade 1/3). > Discrète hypertension artérielle pulmonaire avec PAPS estimée à 37 mmHg. ETT le 31.12.2018. Holter le 03.01.2019 (durée limitée à quelques heures car enlevé par la patiente). Attitude : • Pas de répétition de holter au vu d'une patiente non compliante et en raison du contexte (âge, démence), en accord avec la famille de la patiente. • ETT de contrôle dans 1 année pour contrôle de l'insuffisance aortique légère. Hypertension artérielle traitée. Dépression traitée. Alcoolisme chronique depuis 2 ans. Hypertension artérielle traitée. Diabète de type II non insulino traité. Hypertension artérielle traitée. Diabète de type II non insulino-requérant. État dépressif traité. Hypertension artérielle traitée Diabète de type 2 insulino-traité Cardiopathie ischémique et rythmique avec : • Stenting RIVA proximal janvier 2004) • Tachycardie auriculaire avec BAV du 1er degré (06.2013) traitée par cordarone (5 jours sur 7) Hypertension artérielle traitée Diabète de type 2, actuellement non traité Fibrillation auriculaire paroxystique, non anticoagulée Troubles cognitifs Hypovitaminose D d'origine carentielle Maladie de Parkinson de forme akinéto-rigide et trémulante Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2 NIR. Algoneurodystrophie CRPS type I pied D (M89.0, S99.7) avec : • status post arrachement au niveau de l'insertion postérieure du ligament deltoïde, fracture du processus antérieur du calcanéum et entorse sévère de Chopart au pied droit suite à une entorse sévère de la cheville le 12.05.2015, traitement conservateur. Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2 non-insulino-traité. Troubles cognitifs non investigués. Hypertension artérielle traitée Diabète type 2 non-insulino-requérant sous Metformin • pas de rétinopathie diabétique (Dr. X; macula et cataracte) Hypertension artérielle traitée Douleurs chroniques arthrosiques traitées par Prednisone Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie non traitée Carcinome épidermoïde du col utérin avec une invasion du vagin et de la paroi postérieure de la vessie • avec métrorragies (sous anticoagulation pour FA) • diagnostic par curetage le 15.10.2018 (Dr. X, P15605.18) : carcinome épidermoïde moyennement et peu différencié, focalement kératinisant • Marqueurs tumoraux le 15.10.2018 : AFP, CEA, CA 19-9, CA 15-3 dans la norme, CA 125 à 24.1, HCG à 7.7%, SCC 78,4 mcg/l • IRM pelvienne le 11.10.2018 : volumineuse tumeur du col utérin avec une invasion du vagin et de la paroi postérieure de la vessie • PET-CT le 16.10.2018 : adénopathie à la base cervicale gauche, ganglions augmentés en taille dans le médiastin, masse de l'utérus difficilement évaluable (absence d'injection de contraste), ganglions augmentés en taille et en nombre dans le rétropéritoine, suspects • Radiothérapie à but hémostatique dès le 31.10.2018 (5/10 séances effectuées) Cardiopathie ischémique et rythmique avec fibrillation auriculaire chronique intermittente et s/p 4 pontages aorto-coronariens (cf. infra) • ETT le 02.10.2018 (Dr. X) : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie minime de la paroi inféro-basale et une hypokinésie modérée apicale. FEVG à 55% (méthode de Simpson). Remodelage concentrique. Absence de valvulopathie significative. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. • Holter 05.10.2018 : fréquence cardiaque moyenne de 74 bpm, maximale de 129 bpm, minimale de 45 bpm. Le rythme de base est sinusal avec un BAV du 1° degré avec un PQ max de 310 msec. Pas d'arrythmie significative. Troubles neuro-cognitifs légers (MMS 29/30 le 16.09.2018) • IRM cérébral du 18.07.2017 (Affidea) : leucopathie d'origine probablement vasculaire. Élargissement des espaces liquidiens ventriculaires et cérébraux dans le contexte d'une atrophie cortico-sous-corticale normale pour l'âge de la patiente. Pas de syndrome de masse. Pas de stigmate d'antécédent hémorragique ou ischémique. Pas de prise de contraste pathologique. • Bilan neuropsychologique 03.10.2018 : trouble neurocognitif léger d'origine probablement multiple : en lien avec la situation médicale actuelle et les facteurs thymiques d'une part, la participation d'une composante dégénérative n'est pas exclue Diverticulose colique Syndrome anxio-dépressif avec troubles cognitifs légers dans le cadre de la maladie oncologique métastatique récemment diagnostiquée avec : • Hospitalisation Marsens en mode volontaire du 16.09 au 28.09.2018 • Suivi ambulatoire par Dr. X au CPS de Bulle • Consilium psychiatrique les 01.10.2018 et 15.10.2018 (Dr. X, Dr. X) : • Distraneurin dès le 01.10.2018 • Brintellix 5 mg dès le 03.10.2018 • Bilan neuropsychologique le 03.10.2018 : trouble neurocognitif léger d'origine probablement multiple, en lien avec la situation médicale actuelle et les facteurs thymiques d'une part, la participation d'une composante dégénérative n'est pas exclue Syndrome anorexie-cachexie d'origine multiple (maladie oncologique métastatique, syndrome anxio-dépressif, asthénie) Dysurie dans un contexte de néoplasie infiltrant le bassin et la vessie - sans argument pour une infection urinaire • PET-CT du 16.10.2018 : pas de dilatation pyélocalicielle, pas d'obstacle au niveau de l'uretère gauche Œdème du membre inférieur droit dès le 05.11.2018 : • sur probable compression tumorale lymphatique et / ou veineuse • favorisé par insuffisance veineuse chronique et s/p opératoire Carcinome épidermoïde cutané au niveau membre inférieur droit • biopsie d'une lésion jambe droite le 18.10.2018 : carcinome épidermoïde (spinaliome) Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie traitée. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie traitée. Amygdalite chronique cryptique. Syndrome d'apnée du sommeil obstructif appareillé. Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie Insuffisance rénale chronique stade III, avec clairance selon MDRD à 32 ml/minute en décembre 2017 Cardiopathie valvulaire, avec : • Insuffisances mitrale, aortique et tricuspide minimes Consommation éthylique à risque Troubles de la mémoire de type Alzheimer Maladie de Parkinson Hypertension artérielle traitée Dyspnée d'effort de stade NYHA II connue Facteurs de risque cardiovasculaires : tabagisme (pipe), hypertension artérielle traitée Palpitations Paralysie de l'hémi-diaphragme droit connue depuis 1960 Chondrodermatite nodulaire de l'oreille droite Hypertension artérielle traitée. Épigastralgies. Migraine. Hypertension artérielle traitée. Épigastralgies traitées. Hypertension artérielle traitée Épilepsie partielle multifocale traitée par Keppra Diabète II insulino-requérant compliqué avec : • multiples décompensations hyper-osmolaire. • polyneuropathie des membres inférieurs avec trouble de l'équilibre Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée Trémor essentiel Hypertension artérielle traitée Épilepsie partielle multifocale traitée par Keppra Diabète II insulino-requérant compliqué avec : • multiples décompensations hyper-osmolaire. • polyneuropathie des membres inférieurs avec trouble de l'équilibre Fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée Trémor essentiel Hypertension artérielle traitée Fibrillation auriculaire anticoagulée par Xarelto Polymyalgia rheumatica en 2005 avec récidive en 2010 Syndrome des jambes sans repos Canal lombaire étroit avec traitement opiacé par Targin en cours Arthropathie chronique à pyrophosphate de calcium Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Baisse de l'acuité visuelle • Prise de traitement antihypertenseur • Obésité et sarcopénie relative • Canal lombaire étroit non opéré • Douleurs arthrosiques des pieds • Troubles cognitifs Troubles cognitifs sans précision avec : • Tests de la cognition du 23.10.2018 (lettre 1) : MMS à 24/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 3/15 Hypertension artérielle traitée Gastrite chronique Arthrose MTP IV droit le 04.09.2017 Hypertension artérielle traitée Gastrite chronique Arthrose MTP IV droit le 04.09.2017 Hypertension artérielle traitée Gastrite chronique Arthrose MTP IV droit le 04.09.2017 Hypertension artérielle traitée. Gastrite chronique. Arthrose MTP IV droit le 04.09.2017. Hypertension artérielle traitée. Hernie hiatale avec reflux gastro-oesophagien. Hypertension artérielle traitée Hernie inguinale gauche • opération prévue le 05.03.2019 Hypertension artérielle traitée Hernie para-oesophagienne Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie. Athéromatose avec plaques calcifiées non sténosantes au départ de l'artère carotide interne droite. Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie non traitée Hernie hiatale Diverticulose étendue Syndrome douloureux lombovertébral sur troubles statiques et dégénératifs avec : • bascule du bassin sur la droite, discopathies étagées de L3 à S1, scoliose lombaire droite Rhizarthrose, polyarthrose des doigts Gonarthrose bilatérale avec : • st/p PTG gauche le 06.09.2012 Insuffisance veineuse de stade C4 au MIG et C2 au MID, pauci-symptomatique avec : • récidive de varices (veines accessoires des veines grandes saphènes ddc avec incontinence des crosses) à l'écho-Doppler du 11.12.2009 (Prof. X) ; pas de changement notable au contrôle du 24.02.2014 • st/p thrombose de la petite veine saphène gauche • st/p cure de varices radicale des veines grandes saphènes ddc et nombreuses séances de miniphlébectomies ainsi que sclérothérapie bilatérale • proposition (03/2015, Dr. X) : traitement conservateur par bas de contention classe II, si insuffisant, cure de varice AOMI stade I avec petites plaques ilio-fémorales bilatérales Dégénérescence maculaire liée à l'âge Cataracte Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie non traitée (refus de la patiente). Hernie hiatale. Diverticulose étendue. Fibrose pulmonaire prédominante aux bases d'origine indéterminée, en 2009 : • CT thoracique le 27.10.2009 (HFR). • fonctions pulmonaires normales en 2010 et 2012 (Dr. X). Syndrome douloureux lombovertébral sur troubles statiques et dégénératifs avec : • bascule du bassin sur la droite, discopathies étagées de L3 à S1, scoliose lombaire droite. Rhizarthrose, polyarthrose des doigts. Gonarthrose bilatérale avec : • status post prothèse totale du genou gauche le 06.09.2012. Insuffisance veineuse de stade C4 au membre inférieur gauche et C2 au membre inférieur droit, pauci-symptomatique avec : • récidive de varices (veines accessoires des veines grandes saphènes des deux côtés avec incontinence des crosses) à l'écho-Doppler du 11.12.2009 (Prof. X), pas de changement notable au contrôle du 24.02.2014. • status post thrombose de la petite veine saphène gauche. • status post cure de varices radicale des veines grandes saphènes des deux côtés et nombreuses séances de mini-phlébectomies ainsi que sclérothérapie bilatérale. • proposition (mars 2015, Dr. X) : traitement conservateur par bas de contention classe II, si insuffisant, cure de varice AOMI stade I avec petites plaques ilio-fémorales bilatérales. Dégénérescence maculaire liée à l'âge. Cataracte. Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie non traitée (refus de la patiente) Hernie hiatale Diverticulose étendue Fibrose pulmonaire prédominante aux bases d'origine indéterminée, en 2009 : • CT thoracique le 27.10.2009 (HFR) • fonctions pulmonaires normales en 2010 et 2012 (Dr. X) Syndrome douloureux lombovertébral sur troubles statiques et dégénératifs avec : • bascule du bassin sur la droite, discopathies étagées de L3 à S1, scoliose lombaire droite Rhizarthrose, polyarthrose des doigts Gonarthrose bilatérale avec : • st/p PTG gauche le 06.09.2012 Insuffisance veineuse de stade C4 au MIG et C2 au MID, pauci-symptomatique avec : • récidive de varices (veines accessoires des veines grandes saphènes ddc avec incontinence des crosses) à l'écho-Doppler du 11.12.2009 (Prof. X) ; pas de changement notable au contrôle du 24.02.2014 • st/p thrombose de la petite veine saphène gauche • st/p cure de varices radicale des veines grandes saphènes ddc et nombreuses séances de miniphlébectomies ainsi que sclérothérapie bilatérale • proposition (03/2015, Dr. X) : traitement conservateur par bas de contention classe II, si insuffisant, cure de varice AOMI stade I avec petites plaques ilio-fémorales bilatérales Dégénérescence maculaire liée à l'âge Cataracte Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée ATCD de TVP? G il y a 20 ans selon patiente Hernie hiatale Dénutrition protéino-énergétique modérée Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Bronchite chronique. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Broncho-pneumopathie chronique obstructive sur terrain asthmatique Carcinome épidermoïde de la région rétro-cricoïdienne gauche cT3 cN1 cM0, stade III : • date du diagnostic : le 13.05.2015 • CT scan thoraco-abdominal du 28.04.2015 (Givision) : pas de lésion métastatique • IRM du cou (Givision) du 04.05.2015 : lésion des 3 replis gauches avec composantes rétro-cricoïdienne • panendoscopie du 13.05.2015 (Dr. X) : tumeur de la partie postérieure de l'aryténoïde et du cartilage cricoïde à gauche avec léger dépassement de la ligne médiane, palpation d'une adénopathie supra-centimétrique jugulo-carotidienne moyenne gauche • histologie (Promed P4237.15) : carcinome épidermoïde bien à moyennement différencié peu kératinisant invasif dans une muqueuse malpighienne non kératinisante par endroit, fortement dysplasique • radiothérapie concomitante à un traitement par Erbitux, à visée curative avec : • 34 séances de radiothérapie du 16.07.2015 au 02.09.2015 • chimiothérapie hebdomadaire par Cétuximab (6 cycles au total). Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. État dépressif. Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Faiblesse au niveau musculaire dans le cadre d'une myopathie diabétique, aux stéroïdes ? Colonoscopie dépistage du 06.11.2017 avec diverticulose, minuscule polype du sigmoïde, sinon sans lésion Diabète non insulino-dépendant traité par Metfin Lymphome non hodgkinien stade III A • date du diagnostic : 18.05.2001 • histologie : lymphome non hodgkinien de type folliculaire grade I (HS 01010092, pathologie Lausanne, Dr. X) • CT-thoraco-abdomino-pelvien : atteinte des ganglions axillaires médiastinaux et mésentériques • immuno-histochimie : CD20 positifs, Bcl-2 positifs, CD3 négatifs • pas d'infiltration médullaire, pas de symptômes B • progression tumorale, avril 2009 • histologie : lymphome non hodgkinien B folliculaire de grade II avec transformation blastique (Promed P1459.09) • status post-8 cures de chimiothérapie selon CVP associée à l'anticorps Mabthera du 18.05.2009 au 12.10.2009, rémission partielle • status post-traitement par Mabthera à partir de décembre 2009 à janvier 2011 • progression tumorale en juin 2011 • status post-traitement par Mabthera de juin 2011 à juillet 2013, excellente réponse • rechute du lymphome au niveau mésentérial août 2016 (CT et PET-CT) • progression tumorale avec ganglion sous-mandibulaire droit d'une taille de 4 cm, février 2018 • PET-CT du 12.02.2018 : majoration en taille et captation d'une masse ganglio-tumorale sous-mandibulaire droite, autres adénopathies stables (rétro-périonéales) • progression rapide du lymphome au niveau sous-mandibulaire droit, février 2018 • ponction de moelle osseuse/aspiration et biopsie le 19.02.2018 : pas d'évidence d'infiltration par le lymphome • PET-CT du 12.02.2018 : hypercapation sous-mandibulaire droite (SUV 7.9), adénopathie au niveau du mésentère • biopsie d'adénopathie cervicale droite : lymphome à cellules B matures, CD20 +, grade 1 à 2 d'un lymphome folliculaire sans signe de transformation (Promed P2018.2102) • PET-CT du 07.06.2018 : pas d'adénopathie visible, rémission complète • status post-chimiothérapie par Ribomustine et Mabthera du 15.02 au 16.07.2018, 4 cycles, rémission complète après trois cycles • actuellement : pas d'évidence de rechute du lymphome Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Fibromyalgie Syndrome de CREST : • Prednisone depuis octobre 2016 (25 mg/j le 10.02.2019) Insuffisance respiratoire légère à modérée le 28.10.2017 : • Possible hypertension pulmonaire sur syndrome de CREST • ECG : rythme sinusal régulier, bloc de branche gauche (pas de comparatifs) • Troponines • NT-proBNP : négatifs • D-dimères : positifs • CT injecté : pas d'embolie, pas de foyer, pas de signes de décompensation cardiaque • US cardiaque à organiser en ambulatoire Toux chronique le 28.10.2017 • Probable reflux gastro-oesophagien sur syndrome de CREST • Introduction Pantoprazole Incontinence urinaire à l'effort Exacerbation de polyarthralgies dans un contexte de syndrome douloureux chronique le 04.10.2018 • Douleurs chroniques sur fibromyalgie • Syndrome de CREST avec anticorps anti-Centromère positifs • Composante neuropathique des douleurs : paresthésies, brûlures surtout nocturnes • Oxycodone retard 5 mg q12h dès le 04.10.2018 • Prednisone 10 mg q24h dès le 04.10.2018 puis 5 mg dès le 11.10 Bloc de branche gauche avec septum paradoxal échocardiographique le 08.10.2018 • Absence d'HTAP • Absence de coronaropathie significative • ETT le 08.10.2018 • Cathétérisme G/D + Coronarographie le 15.10.2018 Kyste ovarien droit le 15.10.2018 Suivi clinique par gynécologue et médecin traitant Sevrage de prednisone le 17.10.2018 Hydrocortisone 15-10 mg par jour dès le 17.10.2018 Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Fibromyalgie Syndrome de CREST : • Prednisone depuis octobre 2016 (25 mg/j le 10.02.2019) Reflux gastro-oesophagien sur syndrome de CREST • Introduction Pantoprazole Incontinence urinaire à l'effort Exacerbation de polyarthralgies dans un contexte de syndrome douloureux chronique le 04.10.2018 • Douleurs chroniques sur fibromyalgie • Syndrome de CREST avec anticorps anti-Centromère positifs • Composante neuropathique des douleurs : paresthésies, brûlures surtout nocturnes • Oxycodone retard 5 mg q12h dès le 04.10.2018 • Prednisone 10 mg q24h dès le 04.10.2018 puis 5 mg dès le 11.10 Bloc de branche gauche avec septum paradoxal échocardiographique le 08.10.2018 • Absence d'HTAP • Absence de coronaropathie significative • ETT le 08.10.2018 : FEVG légèrement diminuée en raison d'un septum paradoxal (HTP vs. BBG vs. Ischémie). Les pressions pulmonaires ne peuvent pas être évaluées (absence d'IT et d'IP). Proposition d'effectuer un cathétérisme cardiaque. • Cathétérisme G/D + Coronarographie le 15.10.2018 : L'évaluation invasive montre une maladie coronarienne avec des lésions peu sévères au niveau de l'IVA et de l'ACD. La fonction systolique de VG est normale, les pressions télédiastoliques sont normales. RVP normale. Traitement antihypertenseurs, Aspirine 100 mg par jour à vie, statine. Kyste ovarien droit le 15.10.2018 Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée Obésité de classe II selon l'OMS Goitre multi-nodulaire avec : • Thyroïdite de Hashimoto • Hypothyroïdie Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie Ostéoporose Hypertension artérielle traitée Hyperlipidémie Hypertension artérielle traitée Hyperlipidémie traitée Hypertension artérielle traitée. Hypothyroïdie substituée. Ancien tabagisme stoppé en 1994 (90 UPA, 2 paquets/jour pendant 45 ans). Obésité. Troubles anxieux. Scoliose sinistro-convexe lombaire dégénérative. Hypertension artérielle traitée Hypothyroïdie substituée Hypercholestérolémie non traitée Hémorroïdes Anévrismes multiples avec : • deux anévrismes de l'artère splénique à hauteur de la queue du pancréas et dans le hile, connu depuis le 14.06.2018, le premier mesurant 11 mm de diamètre, le second 10 mm • succession de petits anévrismes en collier de perles, dont le plus gros est mesuré à un diamètre de 14 mm, du tronc coeliaque, connu depuis le 14.06.2017 Suspicion d'apnée de sommeil • pauses respiratoires selon l'époux Hypertension artérielle traitée. Hypothyroïdie traitée par Euthyrox. Hypertension artérielle traitée. Infections urinaires à répétition. Hypertension artérielle traitée Insuffisance rénale chronique Reflux gastro-oesophagien sous Pantozol 20 mg Hypertrophie prostatique Discopathie étagée lombaire avec probable canal lombaire étroit Hypertension artérielle traitée. Insuffisance veineuse chronique de stade III avec lymphoedème chronique : • Épisodes d'érysipèle récurrents des membres inférieurs. • Status après ulcère variqueux de la région malléolaire interne à gauche. Insuffisance artérielle de stade I avec artériosclérose généralisée au niveau des membres inférieurs, sans sténose relevée (Dr. X 2015) Polyarthrose Diverticulose sigmoïdienne. Gastrite chronique, avec : • Status après éradication d'Hélicobacter Pylori en 2011. Sténose aortique modérée le 11.10.2018 : • Souffle holosystolique à 3/6, p.m. Erb. • Échocardiographie transthoracique du 12.10.2018 (PD Dr. X) : le souffle systolique correspond à une sténose aortique modérée ; il y a un remodelage concentrique probablement dans le cadre d'une maladie hypertensive. Trouble anxiodépressif traité. Hypertension artérielle traitée Insuffisance veineuse des membres inférieurs C4a, s Ep As,p Pr (selon classification CEAP), suivi au CHUV • ablation thermique de la GVS ostiale gauche par laser endoveineux et phlébotomies étagées des varices jambières et du dos du pied le 03.09.2018 Hypertension artérielle traitée. Kyste hépatique. Hypertension artérielle traitée Lombalgie sur hernie discale foraminale L3-L4 à G • infiltration le 12.11.2018 Hypertension artérielle traitée Lombalgie sur hernie discale L3-L4 IRM en ambulatoire le 09.11.18 : Hernie discale L3-L4 foraminale gauche au contact de la racine L3. Pas de hernie à droite. Infiltration le 12.11.18 Hypertension artérielle traitée Lombalgie sur hernie discale L3-L4 IRM en ambulatoire le 09.11.18 : Hernie discale L3-L4 foraminale gauche au contact de la racine L3. Pas de hernie à droite. Infiltration le 12.11.18 Syndrome d'apnée du sommeil appareillée Hypertension artérielle traitée Lombo-sciatalgie gauche Tabagisme sevré depuis 40 ans Reflux gastro-oesophagien Hypertension artérielle traitée Méningiome paramédian pariétal gauche, connu de longue date et stable lors du dernier contrôle du 30.08.2017 Hypertension artérielle traitée Notion de fibromyalgie • sous Pregabaline Obésité stade II selon l'OMS (BMI 38,2 kg/m2) SAOS non appareillé Hypertension artérielle traitée Obésité Hypothyroïdie substituée BPCO probable dans un contexte de tabagisme actif • sous Spiriva Ostéoporose sévère Etat anxio-dépressif Insuffisance respiratoire globale cardio-respiratoire le 25.06.2018 avec: • décompensation cardiaque aiguë avec oedème pulmonaire bilatéral • exacerbation BPCO probable Insuffisance rénale chronique Stad II/IIIa • avec baseline d'eGFR selon CKD-EPI autour de 70 ml/min • Labo du 16.07.2018: Créat 89 umol/l, eGFR selon CKD-EPI 56.4 ml/min • Labo du 26.07.2018: Créat 68 umol/l, eGFR selon CKD-EPI 77.8 ml/min Troubles de la marche et d'équilibre dans un contexte de fracture non déplacée du col de la fibula gauche le 13.07.2018 • sur chute de sa hauteur dans contexte de faiblesse des membres inférieurs • Avis orthopédie 13.07.2018 (Dr. X): prise en charge conservatrice avec charge normale • Polyarthrose sévère avec PTH droite en 2010, PTH gauche en 2016, omarthrose droite stade IV avec ostéonécrose de la tête humérale, gonarthrose droite stade IV • S/p PTH droite en 2010 • S/p PTH gauche le 30.06.2016 Hypertension artérielle traitée OH chronique (8 bières/j) Tabagisme actif 37 UPA Cardiomyopathie hypertrophique homogène Hypertension artérielle traitée OH chronique (8 bières/j) Tabagisme actif 37 UPA Cardiomyopathie hypertrophique homogène dilatée Hypertension artérielle traitée Ostéoporose stable Hypoacousie bilatérale appareillée depuis l'âge de 40 ans Traitement habituel: Felodipine 5 mg: 0.5-0-0.5, co-valsartan 80/12.5 0.5-0-0.5, Kalcipos D3 500/800 1 cp le matin, Becozyme 1-1-1, Mg 5 mmol 1xj, Sirop de figue 20 ml le soir Hypertension artérielle traitée Ostéoporose Polyarthrose invalidante sous Transtec Hypertension artérielle traitée. Ostéoporose. Polyarthrose invalidante sous Transtec. Hypertension artérielle traitée. Reflux gastro-oesophagien. Etat anxieux. Hypertension artérielle traitée Status après hystérectomie Carcinome basocellulaire pré-tibial gauche Carcinome basocellulaire scapulaire droit Hypertension artérielle traitée. Syndrome anxio-dépressif traité. Lombalgies chroniques. Hypertension artérielle traitée. Syndrome de dépendance à l'alcool: • status épileptique avec deux épisodes de crises d'épilepsie tonico-cloniques sur sevrage alcoolique • Sp multiples crises d'épilepsie sur consommation alcoolique depuis 2003 • Sp multiples tentatives de sevrage à Torry et au Centre cantonal d'Addictologie (CCA) • Stéatose hépatique sur ultrason abdominal en mai 2018. Anémie macrocytaire dans le cadre d'une consommation alcoolique. Hypertension artérielle traitée Syndrome de dépendance à l'alcool • status épileptique avec deux épisodes de crises d'épilepsie tonico-cloniques sur sevrage alcoolique, • Sp multiples crises d'épilepsie sur consommation alcoolique depuis 2003 • Sp multiples tentatives de sevrage à Torry et au Centre cantonal d'Addictologie (CCA) • stéatose hépatique sur ultrason abdominal en mai 2018 Anémie macrocytaire dans le cadre d'une consommation alcoolique Hypertension artérielle traitée Tabagisme actif à 52 UPA stoppé en mai 2018 Dyslipidémie Ostéoporose clinique avec tassements vertébraux • traitement par Bonvia entre octobre 2012 et mai 2014 Scoliose et arthrose lombaire Asthme allergique Hypoacousie après streptomycine Maladie coronarienne tritronculaire • avec FEVG à 25% • NSTEMI en mai 2018 • coronarographie le 11.07.2018 (Dr. X) • ETT le 20.07 et le 26.07.2018 Hypertension artérielle traitée Trouble bipolaire sous traitement par Lithium Hypertension artérielle traitée. Trouble dépressif récurrent. Reflux gastro-oesophagien. Hypertension artérielle. Adénome surrénalien gauche infracentimétrique au CT-scan du 30.04.2016 inchangé par rapport au comparatif. Cholecystolithiase asymptomatique (CT-scan du 30.04.2016). Hypertension artérielle Adénomes surrénaliens des deux côtés, de découverte fortuite (IRM du 10 avril 2017) Colite à collagène Psoriasis Tabagisme actif Hypertension artérielle Adénomes surrénaliens des deux côtés, de découverte fortuite (IRM du 10 avril 2017) Colite à collagène Psoriasis Tabagisme actif Hypertension artérielle. Anévrisme de l'aorte abdominale (30 mm diamètre) le 31.03.2016. Canal lombaire étroit. Glaucome. Extrasystoles de haute incidence (9.8% des complexes) avec salves non soutenues de tachycardie auriculaire et sans fibrillation auriculaire, bloc de branche gauche sur le Holter du 27.08.2018. Hypertension artérielle Anévrisme de 7.5 mm de l'artère carotide interne droite dans son segment intra-caverneux le 01.07.2016 Malnutrition protéino-énergétique légère BPCO non stadée avec dyspnée de stade II NYHA sur: • Tabagisme à 45 UPA Hypertension artérielle Anévrisme de 7.5 mm de l'artère carotide interne droite dans son segment intra-caverneux le 01.07.2016 Malnutrition protéino-énergétique légère BPCO non stadée avec dyspnée de stade II NYHA sur: • Tabagisme à 60 UPA Hypertension artérielle Arthrose acromio-claviculaire gauche modérée (2015) Reflux gastro-oesophagien Intolérance au glucose depuis 2016 Hypertension artérielle Arthrose acromio-claviculaire gauche modérée (2015) Reflux gastro-oesophagien Intolérance au glucose depuis 2016 Hypertension artérielle Asthme allergique sous Ventolin Etat dépressif Gonalgies Hypertension artérielle. Asthme bronchique. Hypertension artérielle. Asthme bronchique. Légère démence non objectivée Hypertension artérielle Asthme Hypothyroïdie sur status après thyroïdectomie totale en 1974 pour maladie de Basedow Dégénérescence maculaire liée à l'âge Presbyacousie appareillée bilatérale Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec risque de chute sur: Dégénérescence maculaire liée à l'âge Sonde urinaire à demeure depuis 04.2018 pour globe vésicaux récidivant Hypertension artérielle Asthme Hypothyroïdie sur status après thyroïdectomie totale en 1974 pour maladie de Basedow Dégénérescence maculaire liée à l'âge Presbyacousie appareillée bilatérale Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec risque de chute sur: Dégénérescence maculaire liée à l'âge Sonde urinaire à demeure depuis 04.2018 pour globe vésicaux récidivant Hypertension artérielle Bloc de branche gauche connu Hypertension artérielle. Bloc de branche gauche. Fraction d'éjection à 60 % en 2004. Fibrillation auriculaire paroxystique en 2004. Hyperlipidémie. Diverticulose colique. Hypertension artérielle Carcinome de la vessie avec st/p 2 TURV (30.04.2015 et 28.05.2015). Chimiothérapie intravésicale par Farmorubicin mensuelle Goutte traitée Syndrome des jambes sans repos Hypertension artérielle Cardiopathie dilatée, valvulaire et rythmique avec: • Bloc atrio-ventriculaire du 2ème degré Mobitz II intermittent • Fibrillation auriculaire paroxystique sous anticoagulation orale, depuis mai 2013 • Fraction d'éjection du ventricule gauche à 33 % Insuffisance rénale chronique Hypothyroïdie subclinique non substituée, depuis 2013 Diagnostic différentiel: Origine auto-immune et euthyroïd sick syndrome Troubles cognitifs non bilantés MMS à 25/30 et Clocktest 2/7 Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN d'origine pré-rénale sur IRC G3bA1 le 11.07.2018 • CKD-EPI : 33 ml/min/1,73 m2 stade MRC 3, le 18.07.17 Hypertension artérielle Cardiopathie rythmique et ischémique et valvulaire avec: • Bloc atrio-ventriculaire du 2ème degré Mobitz II intermittent • Fibrillation auriculaire paroxystique sous Sintrom • Coronarographie le 07.08.2012 : maladie monotronculaire • Sténose aortique légère (US le 14.08.2012) Fibrillation auriculaire paroxystique chronique Hypertension artérielle Carence en fer Hypertension artérielle. Dégénérescence maculaire avancée Hypertension artérielle. Dégénérescence maculaire avancée Hypertension artérielle. Démence vasculaire corticale et sous-corticale (le patient a fait plusieurs AIT). Troubles de l'orientation. Arthrose lombaire et des hanches. Hypertension artérielle. Dépression sous Fluoxétine. BPCO stade IV D selon Gold avec/sur : • tabagisme actif à 4-5 cig/jour. • DLCO 40% du prédit. • oxygénothérapie 1.5 lt/min liquide. • cachexie. • déconditionnement sévère à l'effort. • emphysème centro-lobulaire. • obstruction sévère (VEMS à la sortie 48%). • status post-exacerbation de BPCO sur pneumonie bibasale nosocomiale le 28.04.2018 avec VNI du 14 au 16.04.2018 et multiples antibiothérapies (Rocéphine, Imipenem, Klacid et Pipéracilline-Tazobactam). • CAT score à 27. Hypertension artérielle. Diabète de type II. Hypertension artérielle Diabète de type 2 Ancien tabagique 50 UPA (stoppé en 1995) Dyslipidémie AOMI Goutte Hypertension artérielle Diabète de type 2 Polyneuropathie diabétique Insuffisance rénale chronique Ulcères veineux péri-malléolaires internes Anémie normocytaire normochrome chronique avec hémoglobine à 86 /l le 12.07.2013 Hypertension artérielle. Diabète insulino-requérant. Glaucome. Diverticulose. Hypertension artérielle Diabète non-insulino-requérant type 2 traité Hypercholestérolémie Insuffisance rénale chronique modérée Cardiopathie ischémique mono-tronculaire avec : • status après mise en place d'un stent sur la coronaire droite pour infarctus (2000) • test d'effort avec fraction d'éjection ventriculaire gauche à 65% (2004) Adénocarcinome de la prostate cT1b Nx Mx de découverte fortuite lors d'une résection transurétrale de la prostate pour hyperplasie de la prostate grade II (2004) Polyneuropathie aiguë Arthralgies au niveau cervical et poignet droit : • diagnostics différentiels : goutte, pseudo-goutte Consommation d'alcool à risque Hypertension artérielle Diabète non-insulino-requérant type 2 traité Hypercholestérolémie Insuffisance rénale modérée Cardiopathie ischémique mono-tronculaire avec : • status après mise en place d'un stent sur la coronaire droite pour infarctus (2000) • test d'effort avec fraction d'éjection ventriculaire gauche à 65% (2004) Adénocarcinome de la prostate cT1b Nx Mx de découverte fortuite lors d'une résection transurétrale de la prostate pour hyperplasie de la prostate grade II (2004) Polyneuropathie aiguë Hypertension artérielle Diabète sucré type 2 insulino-requérant Gonarthrose droite Hypertension artérielle. Diabète type 2 non insulino-requérant. Trois anévrismes de l'artère carotide interne droite à la sortie du siphon carotidien mesurant 4, 3 et 3 mm. CT cérébral du 19.04.2018. IRM cérébrale du 20.04.2018. Hypertension pulmonaire sévère diagnostiquée le 20.04.2018 sur : • maladie thrombo-embolique. • emphysème pulmonaire prédominant aux apex. • fibrose pulmonaire basale droite. Echographie cardiaque transthoracique le 20.04.2018. Gazométrie le 23.04.2018. CT thoraco-abdominal le 24.04.2018. Scintigraphie pulmonaire le 30.04.2018 (après la sortie de la patiente), ventilée/perfusée : aspects hétérogènes des poumons dans les 2 phases de l'examen avec des irrégularités périphériques bilatérales compatibles avec une maladie thrombo-embolique. Absence de signe indirect d'hypertension pulmonaire. Absence d'image d'embolie récente. Clexane thérapeutique dès 24.04.2018. Switch pour Xarelto 2 x 15 mg pendant 2 semaines puis 20 mg 1x/j dès réception de l'ordonnance envoyée à domicile le 3.05.2018. Emphysème pulmonaire prédominant aux apex et fibrose pulmonaire prédominant en base droite. Radiographie du thorax le 20.04.2018. CT thoraco-abdominal le 24.04.2018. Fonctions pulmonaires complètes le 25.04.2018. Hypertension artérielle Diabètes de type II non insulino-requérant Cervicalgies chroniques dans le contexte des atteintes musculaires • status post infiltration des facettes en 2018 Hypertension artérielle Diabètes sucré de type II Hypertension artérielle Douleurs épaule droite avec suspicion de lésion dégénérative de la coiffe de rotateurs Insuffisance rénale chronique Goutte Hypertension artérielle Douleurs épaule droite avec suspicion de lésion dégénérative de la coiffe de rotateurs Insuffisance rénale chronique Goutte Hypertension artérielle Dyslipidémie Hypertension artérielle Dyslipidémie Hypertension artérielle. Dyslipidémie. • traitée depuis 6/2013. Obésité : • BMI du 11.07.13 : 35.17 kg/m2. Syndrome d'apnée de sommeil, appareillé depuis 7/2013. Stéatose hépatique (US du 27.7.12). Lombosciatalgie et cervicalgie. Amblyopie gauche (AV à 10 % depuis la naissance). Vision à 50-60 % de l'œil D suite à agression en 2006. Hypertension artérielle Dyslipidémie Hyperuricémie Reflux gastro-oesophagien Syndrome d'apnée au sommeil Hypertension artérielle Fibrillation auriculaire permanente, non anticoagulée Hypoacousie appareillée Goutte Méningiome temporal gauche (IRM du 21.06.2013) Hypertension artérielle Fibrillation auriculaire permanente, non anticoagulée Hypoacousie appareillée Méningiome temporal gauche (IRM du 21.06.2013). Trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Hypertension artérielle Glaucome Cataracte Reins polykystiques Phimosis Hypertension artérielle. Gonarthrose débutante à gauche. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Diabète de type 2 insulino-requérant Insuffisance veineuse des membres inférieurs stade C6 Ep As Pr au membre inférieur gauche avec : • ulcère malléolaire interne gauche • néocrosse avec varice tortueuse et incontinente nourrissant l'ulcère • status après crossectomie de la grande veine saphène gauche • status après phlébectomie des varices • status post-thrombose veineuse superficielle de la veine saphène interne gauche post insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs • pas d'artériopathie des membres inférieurs • dernier bilan angiologique le 17.10.2017 • thrombophlébite de la veine saphène interne gauche en 2004 Duplication rénale et urétérale congénitale Diverticulose colique Troubles digestifs de type alternance diarrhées-constipation depuis 2015 : • CT abdominal et colonoscopie virtuelle et injectée du 31.03.2015 : conclusion : pas d'évidence de tumeur colonique même en respect des conditions d'examen limitées ; résection sigmoïdienne antécédente Hernie hiatale Troubles dégénératifs ostéo-articulaires multiples avec canal cervical étroit et syndrome cervico-brachial Maladie de Sudeck du poignet gauche Ostéoporose fracturaire : • status après fracture-tassement de D11 • status après fracture du poignet gauche Xérose cutanée d'origine indéterminée, suivie par Dr. X Subluxation C1-C2 chronique Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Diabète de type 2 insulino-requérant Insuffisance veineuse des membres inférieurs, stade C6 Ep As Pr au membre inférieur gauche avec : • ulcère malléolaire interne gauche • néocrosse avec varice tortueuse et incontinente nourrissant l'ulcère • status post-crossectomie de la grande veine saphène gauche • status post-phlébectomie des varices • status post-thrombose veineuse superficielle de la veine saphène interne gauche post-insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs • pas d'artériopathie des membres inférieurs • dernier bilan angiologique le 17.10.2017 • thrombophlébite de la veine saphène interne gauche en 2004. Duplication rénale et urétérale congénitale. Diverticulose colique. Troubles digestifs de type alternance diarrhées-constipation depuis 2015. Hernie hiatale. Troubles dégénératifs ostéo-articulaires multiples avec canal cervical étroit et syndrome cervico-brachial.Maladie de Sudeck du poignet gauche. Xérose cutanée d'origine indéterminée, suivie par Dr. X du CHUV. Ostéoporose fracturaire : • Status après fracture-tassement de D11 • Status après fracture du poignet gauche. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Diabète type II non-insulino dépendant. Lombosciatalgies gauches. Cardiopathie ischémique avec • maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et CD). • status post-2 pontages aorto-coronariens (pont mammaire interne gauche-IVA et pont veineux-branche rétro ventriculaire de l'artère coronaire droite) • fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE 73%) en 03/2011 • coronarographie du 26.01.2012 : Lésions bitronculaires. Occlusion de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure distale. Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. Sténose significative de l'artère coronaire droite distale. Sténose significative de l'artère marginale du bord droit. Perméabilité du pontage - IVA III (mammaire gauche pédiculée). Perméabilité du pontage - CD III (saphène). Succès primaire d'angioplastie du pontage - CD III (saphène) avec implantation d'un stent actif. • angor résiduel de stade II-III. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie (non traitée). Diabètes mellitus type II (non insulino-requérant). Anémie normocytaire normochrome d'origine mixte (inflammatoire, perte intestinale). • ferritine, vit. B12, acide folique : sans particularité. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Polyarthrite rhumatoïde traitée par Methotrexate. Psoriasis. Adénocarcinome moyennement différencié du sigmoïde stade pT3, N0 (0/24); M0 G2: R0. Résection antérieure basse et recto-colostomie le 31.07.2015 (Dr. X). Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie traitée. Maladie coronarienne tritronculaire. • PTCA/DES de la coronaire D proximale et moyenne (2015). • sténose subocclusive branche marginale de la RCX, PTCA/DES le 07.03.2017. • lésions intermédiaires de l'IVA proximale et moyenne avec occlusion d'une petite branche diagonale. • Sténose aortique modérée (US cardiaque le 08.11.2016). • Ectasie avec dilatation discrète de l'aorte ascendante. • FEVG 55%. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Arthropathie microcristalline à cristaux d'acide urique. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie BPCO de stade III selon GOLD avec : • Status post pneumonie rétrocardiaque gauche et basale droite à germe indéterminé, le 05.12.2018 • Tabagisme actif à 25 UPA • Status post décompensation sur probable IVRS le 13.02.2017, hospitalisée à l'HIB Payerne • VEMS 48% le 18.04.2017 • DLCO sévèrement abaissé en septembre 2016 • Emphysème pulmonaire AVC ischémique aigu du territoire sylvien droit complet sur occlusion au niveau M1 sur sténose ACI droite le 30.06.2015, avec : • hémisyndrome facio-brachio-crural, héminégligence gauche et dysarthrie avec NIHSS à 13 le 30.06.2015 • NIHSS à 15 à l'entrée au SIB le 01.07.2015 • NIHSS à 11 le 05.07.2015 Héminégligence G, troubles cognitifs diffus avec troubles mnésiques (MMSE 23/30) Dorso-lombalgies chroniques Anévrisme de l'aorte thoracique ascendante (43 mm) Déficit concentrique du champ visuel, plus marqué au niveau de l'œil gauche Troubles de la marche et d'équilibre avec chute à répétition d'origine multifactorielle. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Cardiopathie valvulaire • FEVG à 60%. Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Dégénérescence maculaire liée à l'âge. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Diabète mellitus non-insulino-requérant. Polymyalgie rhumatismale. Fibromyalgie. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Hernie hiatale. Etat anxieux. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Insuffisance rénale chronique. Syndrome ACOS, bronchite chronique. Polyneuropathie d'origine toxique et carentielle des MI. Cardiopathie ischémique, rythmique et valvulaire : • status post angioplastie de la CD pour infarctus du myocarde en 1995 • status post thermoablation d'une tachycardie par réentrée intra-nodale en 1999 • status post infarctus du myocarde en 1994 Angor instable dans contexte de maladie coronarienne monotronculaire avec : • subocclusion IVA moyenne : PTCA (1xDES) : bon résultat final • fonction systolique VG normale 60% : hypokinésie apicale • coronarographie le 23.08.2018 (Dr. X) • attitude 08/2018 : Aspirine cardio à vie, Efient 5mg cpr pour 1 mois jusqu'au 27.09.2018 Artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade I, sans ischémie critique • occlusion artère tibiale postérieure connue (05/2018). Hypertension artérielle Hypothyréose Sténose pyélocalicielle bilatérale sur probable maladie de la jonction. Coxarthrose hanche et genou gauche. Syndrome lombo-radiculaire L4-L5, L5-S1 bilatérale hyperalgique avec • discopathie modérée à massive pluri-étagée. • hernie discale L3-L4 para-médian gauche, luxée vers le haut • canal lombaire étroit. • sténose foraminale gauche L4-L5, Impingement de la racine L4 gauche au niveau intra-foraminal • sténose foraminale droite L5-S1, Impingement de la racine L5 droite au niveau intra-foraminal. Hypertension artérielle. Hypothyroïdie (Hashimoto). Obésité. Dyslipidémie. Polymyalgie rhumatismale. Hypertension artérielle. Hypothyroïdie substituée. Hypertension artérielle Incontinence urinaire Lombalgies chroniques. Hypertension artérielle Maladie coronarienne tritronculaire avec (coronarographie 13.03.2018) : • lésion intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) • sténose significative de l'ostium de la première marginale. • sténoses subocclusives de l'artère coronaire droite proximale et moyenne : PTCA/DES x3 • fraction d'éjection VG 65%. Sténose aortique sévère AVA 0.48 cm2, gradient systolique moyen 48 mmHg. Hypertension artérielle Maladie coronarienne tritronculaire avec NSTEMI secondaire le 22.01.2013 Atteinte surtout de la périphérie des vaisseaux coronaires : • sténose subtotale de l'artère interventriculaire antérieure distale, plusieurs lésions intermédiaires de l'IVA proximale et moyenne • occlusion de la branche marginale • sténoses subtotales de l'artère rétroventriculaire • dysfonction ventriculaire gauche (FEVG 45 %) sur hypo-akinésie diaphragmatique et antéro-latérale • Echocardiographie le 24.01.2013 (Dr. X) • Coronarographie et ventriculographie le 29.01.2013 (Dr. X) • Traitement conservateur. Artériopathie des MI avec status post angioplastie de l'artère fémorale superficielle D en 2010 Diabète de type 2 insulino-requérant Trouble de la marche et de l'équilibre avec vertiges d'origine indéterminée 08/2018 • mini-Schellong nég (TA 99/59 mmHg couché, 96/66 mmHg après 3 min debout) • Pallesthésie 6/8 malleolaire le 06.08.2018, sensibilité profonde distale préservée. Hypertension artérielle Maladie de Ménière. Hypertension artérielle. Maladie variqueuse chronique des deux membres inférieurs avec : • à droite, un reflux veineux profond fémoro-poplité jambier probablement post-thrombotique, absence de maladie variqueuse superficielle. • à gauche, insuffisance de la grande veine saphène stade C2 avec perforante à la face médiane de la jambe. Le 14.12.2015, Dr. X : crossectomie et stripping de la grande veine saphène gauche avec phlébectomies étagées et traitement de deux perforantes à la jambe gauche. • Hypertension artérielle. • Migraines traitées. • Hypertension artérielle • Ostéopénie • Syndrome des jambes sans repos • Démence d'origine indéterminée • Hypertension artérielle • Ostéoporose LWK 2 fracture en 2002 • Gonarthrose latérale et chondrocalcinose de l'articulation du genou droit, début d'arthrose fémoro-patellaire • Événement cérébrovasculaire de St. N. • hémisyndrome moteur complètement régressé à gauche et parésie laissée en 1994 • Sténose sonologiquement modérée de l'artère carotide droite et occlusion de l'artère ventrale • Crise ischémique transitoire de St. N. en 1979 • Démence légère à modérée probablement étiologie mixte • MMS : 23/27, test de l'heure 0/7 mais avec un faible score d'acuité visuelle • MMS le 9.7.12 : 26/30, test de l'horloge 1/7 • Vit. B12, acide folique et TSH dans • Démence parkinsonienne • Insuffisance rénale chronique • Hypertension artérielle. • Prostatisme. • Hernie hiatale. • Hypertension artérielle • Prostato-épididymite récidivante (Dr. X) • Maladie de Parkinson akinéto-rigide et trémulante à prédominance droite depuis 1992, avec pose DBS sous-thalamique bilatérale en 2000 avec : • Malaises récidivants sur hypoxie secondaire à des fausses routes sur troubles de la déglutition chroniques • Hospitalisation au CHUV du 31.12.2013 au 08.01.2014 pour mouvements dystoniques bucco-faciaux droits récidivants dans le cadre de la majoration de la stimulation sous-thalamique gauche en novembre 2013 probable • Troubles de déglutition sévères dans un contexte de maladie de Parkinson • Trouble dépressif • Hypertension artérielle • Prostato-épididymite récidivante (Dr. X) • Maladie de Parkinson depuis 1992 akinéto-rigide et trémulante à prédominance droite avec pose DBS sous-thalamique bilatérale en 2000 avec : • Malaises récidivants sur hypoxie secondaire à des fausses routes sur troubles de la déglutition chroniques • Hospitalisation au CHUV du 31.12.2013 au 08.01.2014 pour mouvements dystoniques bucco-faciaux droits récidivants dans le cadre de la majoration de la stimulation sous-thalamique gauche en novembre 2013 probable • Troubles sévères de la déglutition dans un contexte de maladie de Parkinson • Troubles dépressifs • Hypertension artérielle. • QT long. • Hypertension artérielle • Rhizarthrose pouce gauche • Emphysème pulmonaire mixte, diffus avec composante de fibrose • Hypertension artérielle • Status post adénocarcinome prostatique traité par radiothérapie • Ancien tabagisme sevré • Canal lombaire étroit sévère L4-L5 • Arthrodèse de la cheville droite en 1997 • Hypertension artérielle • Status post adénocarcinome prostatique traité par radiothérapie • Ancien tabagisme sevré • Canal lombaire étroit sévère L4-L5 • Arthrodèse de la cheville droite en 1997 • Hypertension artérielle • Status post adénocarcinome prostatique traité par radiothérapie • Ancien tabagisme sevré • Canal lombaire étroit sévère L4-L5 • Arthrodèse de la cheville droite en 1997 • Hypertension artérielle. • Sténose carotide interne droite de 50 %. • Diabète non insulino-requérant. • Syndrome des jambes sans repos. • Hypertension artérielle • Sténose carotidienne à droite jusqu'à 50 % le 17.01.2019, Angio-CT cérébral avec vaisseaux précérébraux, Duplex des vaisseaux pré-cérébraux et transcrânien le 20.01.2019, Aspirine cardio 100 mg/j dès 6 semaines post hémorragie (dès le 01.03.2019), Atorvastatine 20 mg • Hypertension artérielle. • Syndrome d'apnée du sommeil. • Bloc de branche droit complet. • Trouble anxieux chronique. • Ostéoporose fracturaire. • Infiltration spiculée péri-bronchovasculaire dans le segment apico-post gauche, d'allure cicatricielle post-infectieuse (CT thoracique du 15.04.2018). • Hypertension artérielle • Syndrome des jambes sans repos traité par Prégabaline • Ostéoporose modérée selon densitométrie de 2016 • Hernies discales lombaires • Insuffisance veineuse • status post cure de varices en 1982 à gauche et en 2005 ddc • Hypertension artérielle. • Tabagisme actif à 40 UPA. • Dyslipidémie. • Bloc de branche gauche. • Syndrome de dépendance à l'alcool avec : • hépatomégalie modérée • stéatose hépatique diffuse sévère • cardiomyopathie dilatatoire. • Ostéoporose fracturaire avec : • fracture D11 • fractures costales • Hypertension artérielle. • Tabagisme actif à 45 UPA. • Dorsalgies chroniques. • Status post réaction anaphylactique de cause inconnue. • Trouble dépressif récidivant. • Consommation d'alcool à risque. • Hypertension artérielle • Tabagisme actif à 50 UPA • Adénome surrénalien gauche avec syndrome de Conn • Hernie hiatale • Gastrite diffuse avec reflux biliaire (oeso-gastro-duodénoscopie en juillet 2013) • Oedème de Reincke • Kystes mammaires bilatéraux • Etat anxio-dépressif avec asthénie et perte pondérale de 15 kg en 7 mois, 26 septembre 2012 • Hypertension artérielle • Tabagisme actif à 65 UPA • Syndrome coronarien aigu avec NSTEMI le 05.10.2015 sur maladie coronarienne monotronculaire avec occlusion de l'artère coronarienne droite proximale et pose de 2 stents actifs. • Dernière coronarographie le 14.01.2016 : Coronarographie dans les limites de la normale. Lésion non significative du tronc commun. Lésion non significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale. Absence de resténose de la partie moyenne de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation). Absence de resténose de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. • Parésie NC III oeil D DD micro-angiopathique, maladie de Horton, AVC le 29.09.2018 avec • Diplopie binoculaire, ptose palpébrale oeil droit • Céphalées temporo-pariétales droites • Hypertension artérielle • Tabagisme actif à 65 UPA • Syndrome coronarien aigu avec NSTEMI le 05.10.2015 sur maladie coronarienne monotronculaire avec occlusion de l'artère coronarienne droite proximale et pose de 2 stents actifs. • Dernière coronarographie le 14.01.2016 : Coronarographie dans les limites de la normale. Lésion non significative du tronc commun. Lésion non significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale. Absence de resténose de la partie moyenne de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation). Absence de resténose de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. • Parésie NC III oeil D DD micro-angiopathique, maladie de Horton, AVC le 29.09.2018 avec • Diplopie binoculaire, ptose palpébrale oeil droit • Céphalées temporo-pariétales droites • Hypertension artérielle • Thrombose veineuse profonde en 1979 et embolie pulmonaire en 2015, sous Xarelto à long terme • Hypertension artérielle • Troubles anxio-dépressifs • Hypertension artérielle • Troubles cognitifs avec : • Tests de la cognition du 13.05.2018 : MMS à 19/30, GDS à 3/15, test de la montre à 1/7 • CT cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux • Evaluation neuropsychologique en ambulatoire pour le permis de conduire (interdiction de conduire jusqu'à l'évaluation). • Lésions dégénératives asymptomatiques de la colonne cervicale, avec hernie discale à l'étage C3-C4 et C4-C5 (CT du 05.04.2014). • Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute le 25.01.2018 avec : • Hospitalisation HFR Riaz du 25.01.2018 au 09.02.2018 • Facteurs de risque de chute : • Troubles cognitifs (MMSE à 19/28 le 26.01.2018) • Etat dépressif • Hypovitaminose D, B12 et acide folique • Status après accident vasculaire cérébral ischémique en 2014• Hernies discales C3-C4-C5. Etat dépressif traité Hypertension artérielle. Troubles cognitifs modérés à sévères avec : • Tests de la cognition du 13.05.2018 : MMS à 19/30, GDS à 3/15, test de la montre à 1/7 • CT cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux Lésions dégénératives asymptomatiques de la colonne cervicale, avec hernie discale aux étages C3-C4 et C4-C5 (CT du 05.04.2014). Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute le 25.01.2018 avec : • Hospitalisation HFR Riaz du 25.01.2018 au 09.02.2018 • Facteurs de risque de chute : • Troubles cognitifs (MMSE à 19/28 le 26.01.2018) • Etat dépressif • Hypovitaminose D, B12 et acide folique • Status après accident vasculaire cérébral ischémique en 2014 • Hernies discales C3-C4-C5. Etat dépressif traité Hypertension artérielle. Troubles cognitifs modérés à sévères avec : • Tests de la cognition du 13.05.2018 : MMS à 19/30, GDS à 3/15, test de la montre à 1/7 • CT cérébral avec vaisseaux pré-cérébraux. Lésions dégénératives asymptomatiques de la colonne cervicale, avec hernie discale aux étages C3-C4 et C4-C5 (CT du 05.04.2014). Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute le 25.01.2018 avec : • Hospitalisation HFR Riaz du 25.01.2018 au 09.02.2018 • Facteurs de risque de chute : • Troubles cognitifs (MMSE à 19/28 le 26.01.2018) • Etat dépressif • Hypovitaminose D, B12 et acide folique • Status après accident vasculaire cérébral ischémique en 2014 • Hernies discales C3-C4-C5. Etat dépressif traité Hypertension artérielle. Troubles psychiatriques (sans précision) : suivi chez Dr. X. Hypertension chronique mal contrôlée. Hypertension dans le contexte de traitement par hautes doses de corticostéroïdes. Diabète cortico-induit en 10/2018. Bactériémie à Staphylococcus epidermidis dans un contexte de thrombose septique de la veine jugulaire interne droite depuis le 27.08.2018 : • traité par vancomycine puis relais daptomycine devant dégradation de la fonction rénale jusqu'au 14.10.2018 inclus (6 semaines au total) Thrombophlébite de la branche superficielle de la GVS gauche. Hypogammaglobulinémie avec injection de Privigen® 10 g/j le 2/10, 4/10 et 7/10. Grippe Influenza A et surinfection pulmonaire en 02/2018, traitée par Oseltamivir du 27.02.2018 au 03.03.2018 et par antibiothérapie par Ceftriaxone. Réactivation HHV6 le 25.09, traitée par foscarnet du 26.9.18 au 16.10.18 (PCR indétectable le 08.10.18) : • IRA AKIN I d'origine mixte à diurèse conservée d'origine fonctionnelle (anasarque) et rénale sur foscavir. • Prophylaxie (Bactrim Forte, Ospen, Noxafil, Valtrex) stoppée le 30.10.2018 selon colloque : Prof. X, Prof. X, Dr. X. • HHV-6 PCR positive le 01.11.2018 à 180 copies/ml. • Avis infectiologie (Prof. X) : virémie faible, suivi à 15 jours par sérologie. Pas d'indication à une thérapie antivirale dans l'intermédiaire. Ostéosynthèse épaule droite en mars 2016. Arthroscopie épaule droite en décembre 2016. Colique néphrétique gauche le 20.08.2014. Appendicectomie et amygdalectomie dans l'enfance. Hypertension inaugurale. Hypertension intra-crânienne avec œdème cérébral et signe de pré-engagement dans le contexte de carcinome mammaire avec métastases cérébrales, le 18.02.2019. Hypertension intra-crânienne avec œdème cérébral et signe de pré-engagement dans le contexte de carcinome mammaire avec métastases cérébrales, le 18.02.2019 : • Nausées, asthénie. • Contexte de sevrage corticoïdes. Hypertension intracrânienne et légère hydrocéphalie d'étiologie indéterminée le 12.02.2019 : DD migraine, vasoconstriction cérébrale, vasculite, méningo-encéphalite. Hypertension intra-oculaire. Fibrillation auriculaire avec réponse ventriculaire rapide nouvelle, cardioversée spontanément le 10.08.2016 : • Scores : CHAD-VASC2 : 2 points / HAS-BLED : 2 points, cardioversée spontanément. • Echocardiographie transthoracique le 12.08.2016 (Prof. X) : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG estimée à 73% (mode TM). Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Insuffisance aortique modérée (grade 2/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Oreillette gauche très dilatée. Dilatation importante de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. • Traité par Xarelto 20 mg 1x/jour dès le 01.09.2016. Hypertension le 13.02.2019. Hypertension mal contrôlée avec : • Pic hypertensif asymptomatique et tension artérielle systolique jusqu'à 200mmHg. Hypertension mal contrôlée symptomatique : DD composante d'anxiété. Hypertension non traitée. Hypertension non traitée le 19.02.2019. Hypertension nouvelle. Hypertension portale d'origine extra-hépatique avec : • cavernome porte (DD : post-thrombotique) • hypersplénisme (splénomégalie, thrombocytopénie) • varices œsophago-duodénales • gastrite hypertensive. Traitement en cours : Propranolol 40mg PO 1x/j. ATCD : • bilan thrombophilie le 12.09.2017 sans particularités • bilan en hépatologie au HUG : PBH avec absence de remaniement histologique notable ; angiographie de la veine porte le 15.12.2017 ne montre pas de Rex : pas possible de faire un shunt mésentérico-Rex. Sténose du cholédoque moyen et aspect dysmorphique du foie avec un lobe gauche atrophique et un lobe caudé hypertrophique. Alpha thalassémie légère (délétion alpha 3.7 hétérozygote et triplication alpha 3.7 hétérozygote). Présence de débris métalliques (éclat de bombe) au niveau de la face droite. Shunt mésentérique-cave le 10.10.18 (Effectué au HUG par Dr. X). Thrombectomie + réfection anastomose mésentérico-jugulaire le 16.10.2018 (Effectué au HUG par Dr. X). Asthme à la petite enfance, pas de traitement de fond. Hypertension traitée. Hypertension traitée. Hypertension traitée. Hyperuricémie avec multiples antécédents de crise de goutte (plus de traitement depuis 12/2018). Consommation éthylique à risque. Hypertension traitée. Hyperuricémie avec multiples antécédents de crise de goutte (plus de traitement depuis 12/2018). Consommation éthylique à risque. Hypertension traitée par Cansartan 16/12.5 plus VPPB depuis 20 ans. Hypertension traitée par Cansartan 16/12.5 plus VPPB depuis 20 ans. Hypertension traitée. Dyslipidémie mixte. Diabète mellitus type 2 insulino-requérant. Hypertension traitée. Dyslipidémie mixte. Diabète mellitus type 2 insulino-requérant. Hypertension traitée. Dyslipidémie traitée. Hypertension traitée. Hypercholestérolémie traitée. Surpoids (BMI 28kg/m2). SAOS non appareillé. Utérus polymyomateux symptomatique chez une patiente de 44 ans, 4G-4P. Hystérectomie totale avec salpingectomie bilatérale conservatrice des ovaires par laparoscopie le 14.12.2017. Exérèse d'un myome accouché par le col. Envoi du matériel en anatomo-pathologie. Hypertension traitée. Insuffisance rénale chronique. Hypertension traitée. Insuffisance rénale chronique. Goutte. Excès pondéral. TTE am 06.02.2019: mittelgradig eingeschränkte systolische LV-Funktion (EF visuell 40%). Diffuse Hypokinesie mit Betonung inferior und posterior. Linksarteriale Dilatation. Mittelschwere Mitralinsuffizienz, leichtgradige Trikuspidalinsuffizienz. Pulmonale Hypertonie (systol. PAP > 60 mmHg). Vorhoflimmern während der Untersuchung cvRF: arterielle Hypertonie, familiäre Belastung Hypertention artérielle Hypertention artérielle labile Hypertention artérielle. Insuffisance rénale progressive stade III à IV, connue, suivie et investiguée par Dr. X, néphrologue, sur : • glomérulonéphrite proliférative à IgA. • sclérose glomérulaire globale de 85% des glomérules échantillonnés. • hyalinose segmentaire et focale secondaire. • fibrose interstitielle de 40%. • inflammation chronique interstitielle secondaire (20%). . Composante de prolifération extra-capillaire sur un glomérule biopsié. • greffe rénale en 2013. Hyperthermie néonatale transitoire Hyperthyreose iatrogène avec • tachycardie, palpitations, diarrhée, dyspnée d'effort (DD embolie pulmonaire) Hyperplasie thymus découvert en fortuite le 17.08.2017 Hyperthyroïdie anciennement sous Néomercazole (stoppé en mars 2017). Hernie discale médiane et para-médiane gauche à extension foraminale en L5-S1 (IRM lombaire en octobre 2015, AFIDEA Bulle). Discopathie cervicale pluri-étagée et protrusive C4-C7 sur canal étroit, prédominant en C5-C6. Maux de gorge chronique. Hyperthyroïdie le 14.01.2019 • Hypothyroïdie sous Euthyrox post goitre micro-nodulaire 2018 avec antécédent de thyroïdite lymphocytaire et hyperthyroïdie transitoire • 14.01.2019: TSH 0,005 mU/L, T4 28 pmol Hyperthyroïdie sur goitre multinodulaire toxique Rosacée Diverticulose Affaissement de la voûte plantaire D et arthrose du pied Ostéopénie Lombalgies sur troubles dégénératifs multi-étagés avec discopathies sévères L2-S1 sans hernie, arthrose post étagée (liquide L4-L5), contact L4 gauche avec spondylophyte extra-foraminal, pas de CLE Hyperthyroïdie sur maladie de Basedow • maladie auto-immune mixte de la thyroïde, avec composante de thyroïdite de Hashimoto Hyperthyroidie sur probable maladie de Basedow • Symptômes anxio-dépressif dans ce contexte Hyperthyroïdie traitée par Néomercazole 60 mg/j, suivi par Dr. X Hypertonie artérielle traitée VPPB depuis 20 ans Hypertonie, Bauchschmerzen Hypertriglycéridémie probablement familiale péjorée par le diabète le 05.02.19 Hypertrophie bénigne (?) de la prostate. HTA. Hypercholestérolémie. Hyperuricémie. Excès macronique, suivi dermatologique au CHUV. Hypertrophie bénigne de la prostate. Hypertrophie bénigne de la prostate traitée Dépression traitée Hypertrophie de la prostate. Syndrome métabolique avec : • diabète de type II insulino-requérant • hypertension artérielle • dyslipidémie • obésité stade II (BMI 38 kg/m2) Syndrome des apnées du sommeil appareillé Cardiopathie hypertensive et sclérose coronarienne • Hypertension pulmonaire légère post-capillaire (mPAP 37mmHg, DPG 1mmHg, RVP 150, 2WU) (09.2018) • Dysfonction systolique VG discrète (FEVG 50-55%) (09.2018) Hypertrophie de la prostate • s/p rétention urinaire dans un contexte d'infection urinaire basse le 25.01.2019 • s/p infection urinaire basse à E. faecium et S. haemolyticus le 23.01.2019 traitée par Rocéphine et Vancomycine • US voies urinaires le 25.01.2019: Volume de la vessie avant miction environ 268 ml (avec urgence mictionnelle), après miction environ 175 ml. Hypertrophie de la prostate. • Toucher rectal le 30.01.2019: pas de sang sur le doigtier. Tonus et sensibilité conservés. La prostate est augmentée de volume, lisse, régulière. Petit nodule dans le quadrant inférieur droit. Hémorroïdes externes. Pas de sang sur le doigtier. • Sonde vésicale 28-31.01.2019 • sous Pradif dès le 28.01.2019 Hypertrophie du ventricule G sur HTA non traitée Hypertrophie endométriale persistante après le traitement progestatif avec hyperménorrhée anémiante chez une patiente 3G 2P de 41 ans Hypertrophie prostatique • Suivi urologique chez le Dr. X Hyperuricémie traitée. Hyperventilation dans le contexte de vomissements. Hypoacousie. Hypoacousie bilatérale de perception nouvelle dans le contexte de radiothérapie cérébrale Hypoacousie bilatérale, non-appareillée Hypoacousie de deux côtés d'origine probablement traumatique (St/p extraction des bouchons de cérumen bilatéraux le 16.10.2018) DD liée à l'âge avec • Petite lésion secondaire oreille gauche • Ciproxine du 16.10. au 22.10.2018 Hypoacousie droite d'origine indéterminée et hémato-tympan gauche le 08.02.2019. DD : obstruction de la trompe d'Eustache dans le contexte de virose, toxicité au Lasix. Hypoacousie oreille gauche. Hypoacousie sévère appareillée • péjoration des acouphènes après chimiothérapie • suspicion de syndrome de Ménière en 2015 • suivi en ORL (HFR Fribourg) Hypoalbuminémie. Hypoalbuminémie à 26 g/l avec anasarque débutante, probablement sur malnutrition. • CT-scan abdominal (Dr. X) : état d'anasarque avec infiltration des parties molles. Hypoalbuminémie acutisée à 25 g/l. Hypoalbuminémie et protéinurie modérée le 11.02.2019 Hypoalbuminémie, Hypoprotéinémie dans un contexte oncologique Hypocalcémie à 2.09 mmol/l. Hypocalcémie à 2.12 mmol/l. Hypocalcémie avec Ca 2.02 mmol/l le 8.2.19 Hypocalcémie, hypomagnésiémie d'origine médicamenteuse Hypocalcémie le 29.01.2019 à 2,02 nM Hypocalcémie légère à 2.04 mmol/l, le 17.01.2019. Hypocalcémie légère à 2,07 mmol/l Hypocalcémie légère le 28.01.2019 Hypocalcémie secondaire symptomatique à 1,86 mmol/l post-opératoire sur thyroïdectomie totale. Hypocalcémie 2.04 mmol/L Hypodensité au niveau de la prostate avec asymétrie des lobes suspect d'une néoplasie Hypo-esthésie Hypoesthésie Hypoesthésie Hypoesthésie de la joue gauche. Hypoesthésie membre inférieur gauche. Hypoesthésie membre inférieur gauche. Hypoesthésie membre supérieur gauche hypoesthésie MSD Hypoesthésie MSG Hypoesthésie MSG Hypoferritinémie isolée Hypo-fibrinogénémie congénitale familiale. Hypoglycémie Hypoglycémie Hypoglycémie à répétition probablement sur accumulation de médicaments sur insuffisance rénale Hypoglycémie à 2.1 mmol/l chez une patiente diabétique insulino-requérante le 31.12.2018. Traumatisme de la main droite suite à une chute le 30.05.2017. Fracture des os propres du nez en 2006. Mise en place d'un filet abdominal pour récidive d'une hernie abdominale en 2002. Fracture du poignet gauche en 1998. Péritonite en 1992. Occlusion intestinale sur polype en 1970.Fracture-tassement de D11. Cholécystectomie. Hypoglycémie à 2,6 mmol/l le 14.07.2019 • diabète de type II insulino-requérant Hypoglycémie à 2,7 mmol/l sur majoration du traitement (le 14.2) le 26.02.2019. DD: surdosage d'insuline sur insuffisance rénale aiguë. Hypoglycémie à 3 mmol/l le 25.02.2019 Hypoglycémie à 3,8 mmol/l sur probable aphagie. Hypoglycémie aux soins intensifs à 2.9 mM le 18.02.2019 et arrêt de l'insulatard Reprise de l'insulatard le 21.02.2019 à 20 U Schéma de correction avec Insuline Humalog Hypoglycémie dans le contexte d'hépatopathie et malnutrition • hypoglycémie asymptomatique à 2.2 mmol/L le 23.01.2019 • glucose 40% 2 ampoules le 23.01.2019 Hypoglycémie iatrogène sur mal compliance médicamenteuse Hypoglycémie le 08.02.2019 Hypoglycémie le 29.01.2019 Hypoglycémie néonatale à min 1.1 mmol/l, normalisé après resucrage per os Hypoglycémie néonatale à 1.4 mmol/l dans le contexte d'une mère avec diabète gestationnel Hypoglycémie néonatale asymptomatique (min. 1.9 mmol/l) • NN hypotrophe avec RCIU symétrique, PN 2170 g à 37 6/7 SG (< P3) RCIU harmonieux de 37 6/7 SG, PN 2170 g (< P3), TN 43 cm (< P3), PC 31 cm Hypoglycémie sévère à 0.9 mmol/l dans le contexte de : • diabètes de type 2 connu sous traitement de Lantus 10 UI dès le 11.01.2019. Hypoglycémie sur éthylisme aigu le 28.02.2019 Hypoglycémie sur insuffisance hépato-cellulaire le 19.02.2019 Hypoglycémie symptomatique à 2.3 mmol/L en juin 2017 dans un contexte de : • diarrhées • diminution de l'alimentation suite à une intervention dentaire • accumulation des ADO sur insuffisance rénale avec : • acidose métabolique S/p ulcère gastrique perforé à 50 ans S/p extraction d'un pivot mandibulaire G pour abcès en juin 2017 Diarrhées non sanglantes en juin 2017 Hyperkaliémie à 5.9 mmol/L Insuffisance rénale aiguë sur chronique G3a avec : • FE urée 45.6% • cGFR (CKD-EPI) : 50 ml/min Malnutrition protéino-énergétique modérée en juin 2017 Hypoglycémie symptomatique le 27.06.18 : • à 2.8 mmol/l • DD: dans probable contexte de péjoration d'insuffisance rénale Labo Sédiment urinaire Spot urinaire Gazométrie artérielle Att : Arrêt traitement de Metformine Diminution traitement de Glyméril RDV avec MT le 29.06 pour adaptation traitement Hypoglycémie symptomatique • convulsion aux urgences le 26.01.2019 • sur auto-administration d'Insuline • HbA1c à 7.7% Hypoglycémie symptomatique (min 1.2 mmol/l) Nouveau-née 39 4/7, PN 2750 gr (P5), TN 48 cm (P5), PC 35 cm (P50). Infection néonatale infirmée Difficultés alimentaires Hypoglycémie 2.1 dans le contexte d'alcoolisation chronique et aigu Hypoglycémie 2.1 dans le contexte d'insuffisance hépatique le 15.2.2019 Hypoglycémies avec convulsions néonatales Hypokalémie à 3.2 mmol/l. Hypokaliémie Hypokaliémie Hypokaliémie Hypokaliémie. hypokaliémie Hypokaliémie • 2.9 mmol/l (1.2.2019), 3.1 mmol/l (2.2.19) Hypokaliémie à 2.0 mmol/l probablement d'origine médicamenteuse sur Hydrochlorothiazide le 08.02.2019 Hypokaliémie à 2.2 mmol/l : • sur diarrhées dans un contexte de maladie de Crohn et sur prise de Torem 10 mg. Hypokaliémie à 2.2 mmol/l et hypomagnésémie 0.5 mmol/l. Hypokaliémie à 2.2 mmol/l et hypomagnésémie 0.5 mmol/l : • 03.02.2019 : K 3.2 mmol/l, Mg 0.88 mmol/l Hypokaliémie à 2.4 le 20.2.2019 Hypokaliémie à 2.4 mmol/l le 21.01.2019 sans trouble du rythme Hypokaliémie à 2.6 mmol/L le 15.01.2019 Hypokaliémie à 2.6 mmol/L le 15.02.2019 • d'origine probablement mixte sur jeûne, Torem Hypokaliémie à 2.6 mmol/l le 29.01.2019 et à 2.8 mmol/l le 02.02.2019 Hypokaliémie à 2.7 mmol/l. Hypokaliémie à 2.7 mmol/l le 11.02.2019 Hypokaliémie à 2.7 mmol/l, le 14.02.2019 Hypokaliémie à 2.7 mmol/L le 15.02.2019 Hypokaliémie à 2.8 mmol avec retentissement ECG (QT long) Hypokaliémie à 2.8 mmol/l le 08.02.2019. Hypokaliémie à 2.8 mmol/l Hypokaliémie à 2.8 mmol/l le 21.01.2019 Hypokaliémie à 2.8 mmol/l le 24.02.2019 Hypokaliémie à 2.9 mmol/l le 06.02.2019 Hypokaliémie à 2.9 mmol/l le 10.02.2019 Hypokaliémie à 2.9 mmol/L le 27.02.2019. Hypokaliémie à 2.9 mmol/L le 28.01.2019. Hypokaliémie à 2.9 mmol/l secondaire à l'Indapamide le 23.01.2019 : • Correction à 3.4 mmol/l le 24.01.2019 • Stop Indapamide le 24.01.2019 et reprise à partir du 25.01.2019 • ECG du 23.01.2019 : pas d'altération en comparaison avec l'ECG de février 2018. Pas de symptômes cardiaques. Hypokaliémie à 2.9 mmol/l Hypokaliémie à 3 mmol/l Hypokaliémie à 3 mmol/l Hypokaliémie à 3 mmol/l. Hypokaliémie à 3 mmol/l le 11.02.2019 Hypokaliémie à 3 mmol/l le 21.02.2019. Hypokaliémie à 3 mmol/l le 22.02.2019 Hypokaliémie à 3 mmol/l le 28.01.2019 Hypokaliémie à 3 mmol/l le 04.02.2019 et le 11.02.2019 Hypokaliémie à 3 mmol/l le 09.01.2019 Hypokaliémie à 3.0 mmol/l Hypokaliémie à 3.0 mmol/l le 04.02.2019 Hypokaliémie à 3.0 mmol/l le 05.10.2018 d'origine probablement iatrogène sur bronchodilatateurs. Hypokaliémie à 3.0 mmol/l le 19.02.2019 Hypokaliémie à 3.0 mmol/l le 23.01.2019 • sur apports insuffisants Hypokaliémie à 3.0 mmol/L, le 27.02.2019. Hypokaliémie à 3.1 Hypokaliémie à 3.1 mmol/l. Hypokaliémie à 3.1 mmol/l le 15.02.2019 Hypokaliémie à 3,1 mmol/l le 23.01.2019. Hypokaliémie à 3.1 mmol/l le 23.01.2019. Hypokaliémie à 3.1 mmol/l le 25.01.2019. Hypokaliémie à 3.1 mmol/l le 25.12.2018, substituée Hypokaliémie à 3.1 mmol/l le 31.01.2019. Hypokaliémie à 3.1 mmol/l probablement sur vomissements. Hypokaliémie à 3.1 mmol/l sur probable erreur de laboratoire le 17.01.2019 avec : • hyperkaliémie à 5.3 mmol/l le 17.01.2019. Hypokaliémie à 3.2 le 08.02.2019 Hypokaliémie à 3.2 le 08.02.2019 Hypokaliémie à 3.2 le 08.02.2019 Hypokaliémie à 3.2 le 15.02 Hypokaliémie à 3.2 le 15.02.2019 Hypokaliémie à 3.2 mmol/L Hypokaliémie à 3.2 mmol/L Hypokaliémie à 3.2 mmol/L. Hypokaliémie à 3.2 mmol/L. Hypokaliémie à 3.2 mmol/l. Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 04.01.2019 Hypokaliémie à 3.2 mmol/L le 07.02.2019 Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 11.02.2019 Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 13.01.2019 Hypokaliémie à 3,2 mmol/l, le 15.02.2019. Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 6.2.2019 Hypokaliémie à 3.2 mmol/l sur vomissements le 16.01.2019. Hypokaliémie à 3.2 mmol/l Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 14.02.2019 Hypokaliémie à 3.3 le 15.02.19 Hypokaliémie à 3.3 le 4.2.2019 Hypokaliémie à 3.3 mmol Hypokaliémie à 3.3 mmol/L. Hypokaliémie à 3.3 mmol/l Hypokaliémie à 3.3 mmol/l Hypokaliémie à 3.3 mmol/l Hypokaliémie à 3.3 mmol/l. hypokaliémie à 3,3 mmol/l Hypokaliémie à 3.3 mmol/L le 11.02.2019 Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 16.02.2019. Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 21.01.2019. Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 27.01.2019 Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 27.01.2019 Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 28.01.2019. Hypokaliémie à 3.3 mmol/l sur manque d'apports oraux le 15.02.2019. Hypokaliémie à 3.3 mmol/l sur vomissements. Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 27.01.2019 Hypokaliémie à 3.4 mmol/l. Hypokaliémie à 3.4 mmol/l le 05.02.2019. Hypokaliémie à 3.4 mmol/l le 07.01.2019 Hypokaliémie à 3.4 mmol/l le 08.02.2019 Hypokaliémie à 3.4 mmol/l, le 11.01.2019 Hypokaliémie à 3.4 mmol/l le 12.02.2019. Hypokaliémie à 3.4 mmol/l le 18.02.2019 Hypokaliémie à 3.4 mmol/l le 27.02.2019 Hypokaliémie à 3.4 mmol/l Hypokaliémie à 3.5 mmol/l. Hypokaliémie à 3.5 mmol/l le 06.02.2019. Hypokaliémie à 3.5 mmol/l probablement secondaire au traitement diurétique le 05.02.2019 Hypokaliémie à 3.5 mmol/l le 08.02.2019 Hypokaliémie à 3.5 mmol/l le 20.01.2019 Hypokaliémie à 3.6 mmol/L le 18.01.2019 Hypokaliémie à 3.7 mmol le 11.01.2019 sur d'apports. Hypokaliémie à 3.7 mmol/l le 02.01.2019 sur manque d'apports oraux et vomissements. Hypokaliémie à 3.7 mmol/l le 13.02.2019. Hypokaliémie asymptomatique le 28.01.2019 Hypokaliémie chronique, actuellement 1.7 mmol/l le 6.2.19 Hypokaliémie et hypomagnésémie légères le 18.01.2019 Hypokaliémie iatrogène. Hypokaliémie le 07.02.2019 Hypokaliémie le 08.02.2019 Hypokaliémie le 14.01.2019 d'origine peu claire, probablement secondaire à traitement diurétique Hypokaliémie le 29.01.2019 à 3.1 mM Hypokaliémie le 31.01.2019 Hypokaliémie le 31.07.18 Hypokaliémie légère Hypokaliémie légère à 3.1 mmol/l le 25.01.2019. Hypokaliémie légère à 3.2 mmol/l. Hypokaliémie légère à 3.2 mmol/l le 09.02.2019. Hypokaliémie légère à 3.3 mmol/l. Hypokaliémie légère à 3.3 mmol/l sur diurétique Hypokaliémie légère à 3.4 mmol/l, le 05/02/2019 Hypokaliémie légère à 3.4 mmol/l le 05.02.2019. Hypokaliémie légère à 3.4 mmol/l le 18.01.2019. Hypokaliémie légère à 3.6 mmol/L Hypokaliémie légère à 3.6 mmol/l le 29.01.2019 Hypokaliémie légère asymptomatique. Hypokaliémie légère avec K à 3.6 mmol/l le 22.01.2019 Hypokaliémie légère le 18.02.2019 Hypokaliémie légère probablement sur vomissements Hypokaliémie légère 31.01.2019 Hypokaliémie modérée Hypokaliémie modérée à 2.7 Hypokaliémie modérée à 2.8 mmol/l. Hypokaliémie modérée à 2.8 mmol/l sur manque des apports le 02.02.2019. Hypokaliémie modérée à 2.8 mmol/l : • Sous Lasix Hypokaliémie modérée à 2.9 mmol/l probablement sur traitement diurétique de l'anse. Hypokaliémie modérée à 3.3 mmol/l Hypokaliémie modérée secondaire à des pertes digestives (diarrhées et vomissements). Hypokaliémie sans répercussion à l'ECG le 05.02.2019 Hypokaliémie sévère le 15.02.2019 compliquée d'arythmie transitoire (bigéminismes intermittents) le 17.02.2019 • substitution per os à domicile de 100 mEq/j • DD : hyperaldostéronisme primaire Hypokaliémie sévère le 29.01.2019 • Avec retentissement ECG (QT long) Hypokaliémie sur anorexie Hypokaliémie 1.8 mmol/L sévère sur diarrhées chroniques avec répercussions ECG Hypokaliémie 2.5 mmol/L dans contexte prise thiazidiques. Hypokaliémie 2.8 mmol sans retentissement ECG le 19.02.19. Hypokaliémie 3.0 mmol/L Hypokaliémie 3.1 mmol/L dans contexte vomissements alimentaires Hypokaliémie 3.4 mmol/L. Hypokaliémie à 2.9 mmol/l Hypokaliémie à 2.9 mmol/l le 11.02.2019 Hypokinésie septale antérieure cardiaque Hypomagnésémie Hypomagnésémie à 0.51 mmol/l. Hypomagnésémie à 0.56 mmol/l Hypomagnésémie à 0.63 mmol/l Hypomagnésémie à 0.64 mmol/l malgré substitution Hypomagnésémie à 0.7 mmol/l le 30.01.2019 Hypomagnésémie à 0.70 mmol/l le 25.01.2019 Hypomagnésémie à 0.72 mmol/l le 26.02.2019 Hypomagnésémie à 0.72 mmol/l le 26.02.2019 Hypomagnésémie à 0.72 mmol/l le 26.02.2019 Hypomagnésémie et hypophosphatémie modérées Hypomagnésémie le 18.02.2019 Hypomagnésémie légère le 08.01.2019 Hypomagnésémie sévère 0.47 mmol/l le 11.02.19 Hypomagnésémie 0.72 mmol/l le 23.02.2019. Hypomagnésémie 0.75 mmol/l. Hypomagnésiémie le 06.02.2019 Hypomagnésiémie légère à 0.60 mmol/l, le 17.01.2019. Hypomagnésiémie symptomatique à 0.53 mmol/l. Hyponatrémie Hyponatrémie à 111 mmol/l Hyponatrémie à 114 mmol/l avec osmolalité urinaire à 446 et fraction d'excrétion de l'urée à 48.3% le 25.02.2019 sur probable SIADH Hyponatrémie à 120 mmol/L hypo-osmolaire euvolémique le 12.01.2019 • osmolarité urinaire 427 mosm/Kg • DD : SIADH, CSWS Hyponatrémie à 124 mmol/l le 26.02.2019 Hyponatrémie à 126 mmol/l Hyponatrémie à 127 mmol/l Hyponatrémie à 127 mmol/l dans un contexte d'insuffisance cardiaque et rénale Hyponatrémie à 127 mmol/l le 24.02.2019 • Dans contexte ascite Hyponatrémie à 127 mmol/l sur probable SIADH le 08.02.2019 Hyponatrémie à 128 ml/min normo-osmolaire à 283 mmol/l sur déshydratation le 19.02.2019. Hyponatrémie à 128 mmol/l sur probable SIADH Hyponatrémie à 129 mmol/l Hyponatrémie à 129 mmol/l le 27.02.2019. Hyponatrémie à 130 mmol/l Hyponatrémie à 130 mmol/l. Hyponatrémie à 130 mmol/l hypo-osmolaire Hyponatrémie à 130 mmol/l le 08.02.2019 Hyponatrémie à 130mmol/l le 27.01.2019 • dans un contexte de prise de diurétiques Hyponatrémie à 130mmol/l le 28.02.2019 Hyponatrémie à 131 mmol/l Hyponatrémie à 131 mmol/l sur insuffisance rénale aiguë le 07.01.2019. Hyponatrémie à 132 mmol/l. Hyponatrémie à 132mmol/l Hyponatrémie à 132mmol/l le 25.01.2019 Hyponatrémie à 133 mmol/l Hyponatrémie à 133 mmol/l le 20.02.2019 Hyponatrémie à 134mmol/l Hyponatrémie chronique hypo-osmolaire chez une patiente hypervolémique Hyponatrémie dans contexte de syndrome de sécrétion inappropriée de l'ADH probable Hyponatrémie discrètement hypoosmolaire d'allure chronique Hyponatrémie hypo-osmolaire • DD : diurétiques aldactone, SIADH Hyponatrémie hypo-osmolaire (DD : diurétiques aldactone, DD SIADH) Hyponatrémie hypoosmolaire à VEC conservée de 127 mmol le 04.02.19 Hyponatrémie hypo-osmolaire à 114 mmol/l d'origine indéterminée sur : • DD : potomanie, SIADH, iatrogène sur Spironolactone • osmolalité urinaire le 23.01.2019 : 381 mosmol/kg • hyponatrémie hypo-osmolaire chronique. Hyponatrémie hypo-osmolaire à 115 mmol/L le 19.02.2019 • DD : buveur de bière, perte sodique extra-rénale d'origine peu claire, manque d'apport Hyponatrémie hypo-osmolaire à 123 mmol/l probablement dans le cadre de l'éthylisme chronique Hyponatrémie hypo-osmolaire à 125 mmol/l le 28.01.2019. Hyponatrémie hypoosmolaire à 126 mmol/l, le 05/02/2019 DD: probable SIADH Hyponatrémie hypoosmolaire à 127 mmol/l probablement sur perte extra-rénale le 04.02.2019 Hyponatrémie hypoosmolaire à 127 mmol/l dans un contexte infectieux Hyponatrémie hypoosmolaire à 129 mmol/l le 18.02.2019 sur hypervolémique Hyponatrémie hypoosmolaire à 130 mmol/l le 08.02.2019 Hyponatrémie hypoosmolaire asymptomatique à 111 mmol/l sur intoxication à l'eau le 03.02.2019 • secondaire à la prise de Minirin Hyponatrémie hypoosmolaire avec sodium à 115 mmol/l mixte, sur : • SIADH d'origine médicamenteuse, traumatisme crânien • potomanie (3 à 4 litres/jour) avec : • FeNa 1.3 % • TSH dans la norme. Hyponatrémie hypoosmolaire avec sodium à 129 mmol/l d'origine mixte, sur : • SIADH • potomanie, boit 3 à 4 l/jour Hyponatrémie hypo-osmolaire chronique sévère asymptomatique à 104 mmol/l d'origine multifactorielle sur perte digestive sur gastroentérite le 18.02.2015 Hypokaliémie à 2.4 mmol/l le 18.02.2015 sur perte digestive Etat confusionnel aigu VS état confusionnel aigu avec troubles cognitifs pré-existants en 2015 : • état anxieux Hyponatrémie hypoosmolaire d'origine pré-rénale avec : • sodium à 129 mmol/l • fraction d'excrétion du sodium à 0.5% (pré-rénale) Hyponatrémie hypoosmolaire euvolémique à 129 mmol/L le 07.02.2019, sur probable SIADH secondaire à néoplasie pulmonaire Hyponatrémie hypo-osmolaire euvolémique modérée à 119 mmol/l le 19.02.19 • sur probable polydipsie sur hyposialorrhée d'origine médicamenteuse (Amitriptyline) Hyponatrémie hypoosmolaire hypovolémique sévère à 117 mmol/l le 14.12.2018 sur probable SIADH et diarrhées • osmolarité urinaire : 512 mOsm/l Hyponatrémie hypoosmolaire intermittente : • probablement sur SIADH Hyponatrémie hypo-osmolaire légère à 126 mmol/l, probablement dans le cadre SIADH d'origine infectieuse Hyponatrémie hypoosmolaire modérée à 122 mmol/l sur probable SIADH Hyponatrémie hypoosmolaire modérée à 124 mmol/l à VEC normal le 19.02.19. Hyponatrémie hypo-osmolaire pauci-symptomatique le 20.01.2019 avec : • inappétence • en premier lieu SIADH dans le contexte d'un carcinome vésical multi-métastatique à petites cellules Hyponatrémie hypoosmolaire sévère à 115 mmol/l et hypokaliémie à 2.2 mmol/l sur hydrochlorothiazide en 2009. Etat confusionnel aigu régressif en 2009. Infection urinaire basse à Enterobacter aerogenes en 2009. Carcinome mucineux invasif sein droit en 1988. Prothèse totale de l'épaule droite. Hystérectomie. Status post-réduction fermée et ostéosynthèse par clou PFNA le 18.01.2017 pour fracture pertrochantérienne du fémur gauche type AO 31-A2. Fracture diaphysaire fémur gauche iatrogène, en peropératoire lors de l'OS de la fracture pertrochantérienne gauche le 18.01.2017 : • cerclages du fémur gauche par deux Dall-Miles, AMO clou PFNA et ré-OS par PFNA long le 21.01.2017. Anémie préopératoire avec Hb à 95 g/l le 21.01.2017 (transfusion de 1 CE le 21.01.2017). Infection urinaire le 20.01.2017. Etat fébrile d'origine indéterminée le 22.01.2016, malgré traitement par Uvamin pour infection urinaire à germes non documentés Décompensation hyperglycémique d'un diabète type 2 chez une patiente connue pour un syndrome métabolique (HTA, obésité, hypercholestérolémie). Pic hypertensif en postopératoire le 21.01.2017. Diarrhées le 26.01.2017. Fracture pertrochantérienne du fémur proximal droit. Décompensation cardiaque globale légère avec : • saturation 86 % à l'air ambiant • prise pondérale de 4 kg sur la dernière semaine. Hyponatrémie hypo-osmolaire sévère avec état confusionnel aigu le 22.02.2019 • probable SIADH secondaire à la grippe Hyponatrémie hypo-osmolaire sévère sur probable SIADH le 25.02.2019 DD: SIADH médicamenteux, parapneumonique, perte de sodium extra-rénale Hyponatrémie hypo-osmolaire sévères 119 mmol/l le 21.02.2019 Hyponatrémie hypoosmolaire sur patient euvolémique à 115 mmol/l • probablement sur SIADH sur grippe Hyponatrémie hypoosmolaire sur probable SIADH chronique d'origine médicamenteuse avec acutisation sur diarrhée à 125 mmol/l. Hyponatrémie hypoosomolaire à VEC normal DD SIADH sur néoplasie pulmonaire Hyponatrémie, hypophosphatémie, hypomagnésiémie le 11.02.2019 Hyponatrémie hypotonique le 21.02.2019. Hyponatrémie iso-osmolaire (284 mosm/osm) Hyponatrémie iso-osmolaire Hyponatrémie isotonique à 130 mmol/l. Hyponatrémie le 13.02.19 • 125 mmol/l • résolution spontanée Hyponatrémie légère à 129 mmol/l, le 10.02.2019. Hyponatrémie légère à 130 mmol/l tendanciellement hypoosmolaire le 11.02.19 avec bilan lipidique dans la norme. Hyponatrémie légère à 132 mmol/l. Hyponatrémie légère à 132 mmol/l le 05.02.2019. Hyponatrémie légère à 132 mmol/l, le 18.01.2019. Hyponatrémie légère à 133 mmol/l le 09.02.2019. Hyponatrémie légère aiguë asymptomatique, le 22.02.2019 dans le cadre de la décompensation cardiaque Hyponatrémie légère et hypocalcémie asymptomatique Hyponatrémie légère normo-osmolaire le 13.03.2018. Hypokaliémie à 2.9 mmol/l le 17.03.2018. Remplacement valvulaire aortique par une bioprothèse Trifecta 21 mm le 22.10.2013, dans le cadre d'une sténose aortique serrée (surface 0.9-1 cm2) : • fraction d'éjection du ventricule gauche à 45% le 21.02.2017. • sclérose coronarienne sans sténose (coronarographie préopératoire du 19.07.2013, HFR Fribourg - Hôpital cantonal). • facteurs de risque cardiovasculaires : tabagisme ancien, anamnèse familiale positive, dyslipidémie non traitée. • suivi par le Dr X. • bloc de branche gauche connu. Coprostase du cadre colique le 21.04.2017. Foraminotomie le 21.01.2013 pour sténose foraminale L4-L5 gauche. Hémicolectomie gauche par LSC avec anastomose colorectale mécanique le 26.11.2007 pour polype sigmoïdien bénin avec incontinence fécale séquellaire. Cure de cataracte à gauche en 2006. Hystérectomie en 1976. Hystérectomie en 1975. 2 cystopexies et hystéropexie en 1975. Appendicectomie. Ulcères gastriques Forrest 2b sur prise de Brufen avec : • hémorragie digestive haute. • hémoglobine à 91 mg/l le 05.12.2018. Hypokaliémie à 3.2 mmol/l le 10.12.2018 avec hypomagnésiémie à 0.55 mmol/l le 09.12.2018 (non substituée). Hyponatrémie légère probablement sur déshydratation (DD: traitement antipsychotique). Hyponatrémie légère probablement sur traitement diurétique DD post transfusionnel. Hyponatrémie légèrement hypotone à 123 mmol/l probablement symptomatique avec FE Na : <1%• DD pseudo-natrémie • DD paranéoplasique SIADH. Hyponatrémie modérée à 119 mmol/l hypo-osmolaire euvolémique DD SIADH, potomanie. Hyponatrémie modérée à 120 mmol/l hypo-osmolaire euvolémique d'origine mixte • sur traitement par Thiazidiques et SIADH sur pneumonie basale droite. Hyponatrémie modérée à 125 mmol/l hypo-osmolaire chez un patient euvolémique DD sur pertes extra-rénales d'origine indéterminée. Hyponatrémie modérée à 126 mmol/l hypertonique. Hyponatrémie modérée à 129 mmol/l. Hyponatrémie modérée à 129 mmol/l dans le contexte de l'hyperglycémie. Hyponatrémie modérée à 130 mmol/l normo-osmolaire. Hyponatrémie modérée asymptomatique, probablement chronique le 21.1.2019 • Na sanguin: 129 mmol/l. Hyponatrémie modérée le 01.02.2019. Hyponatrémie modérée le 25.01.2019. Hyponatrémie modérée sur probable baisse du volume circulant efficace dans le contexte infectieux • Na 129 mmol/l le 26.12.2018. Hyponatrémie normo-osmolaire à 128 le 27.02.2019. Hyponatrémie normo-osmolaire à 132 mmol/l le 02.02.2019. Hyponatrémie normo-osmolaire à 131 mmol/l. Hyponatrémie normo-osmolaire le 23.02.2019. Hyponatrémie possiblement sur SIADH. Hyponatrémie probablement dans le contexte d'une déshydratation DD: SIADH médicamenteux (HCT), para-infectieux. Hyponatrémie sévère à 112 mmol/l hypo-osmolaire d'origine mixte le 30.01.2019 : • SIADH médicamenteux (Quétiapine) • Potomanie (5-6 L/J). Hyponatrémie sévère hypo-osmolaire euvolémique à 113 mmol/L le 11.02.2019 • probable SIADH. Hyponatrémie sévère hypo-osmolaire euvolémique à 113 mmol/l • probable SIADH. Hyponatrémie vraie à 129 mmol/l sans hypernatriurèse. Hyponatrémie vraie modérée à 126 mmol/L le 18.02.2019 • Suspicion insuffisance cortico-surrénalienne sur sevrage corticoïdes. Hyponatrémie 122 mmol/L hypo-osmolaire (osmolalité 272 mosmol/Kg) : • DD sur apport diminué. Hyponatrémie 122 mmol/L hypo-osmolaire (osmolalité 272 mosmol/Kg) le 15.02.2019 • DD sur apport diminué. Hyponatrémie 122 mmol/l sur hyponatrémie chronique. Hyponatrémie 126 mmol/l, hypokaliémie 3.2 mmol/l. Hyponatrémie 127 mmol/L. Hyponatrémie hypoosmolaire le 12.02.19 • Na 120 mmol/l, osmol 258 mosmol/kg • Spontanément corrigé am 13.02.19. Hyponatrémie à 129 mmol/l le 04.01.2019 (DD SIADH). Hyponatrémie à 132 mmol/l. Hyponatrémie chronique • Na le 19.02.2019 129 mmol/l. Hyponatrémie de 129 mmol/l le 23.01.2019. Hyponatrémie en amélioration Na: 130 mmol/l le 13.01.2019. Hyponatrémie hypoosmolaire le 06.02.2019 • possiblement dans un contexte de SIADH sur pneumonie. Hyponatrémie isotonique à 128 mmol/l (pseudohyponatrémie). Hyponatrémie légère à 134 mmol/l. Hyponatrémie légère le 07.02.19 avec 132 mmol/l. Hypophosphatémie à 0.47 mmol/l le 22.01.2019. Hypophosphatémie le 09.01.2019, substituée. Hypophosphatémie légère le 08.01.2019. Hypophosphatémie modérée à 0.57 mmol/l. Hypophosphatémie sévère à 0.26 mmol/l le 24.02.2019 sur hyperventilation. Hypophosphatémie 0.58 mmol/L le 15.02.2019 : • DD sur alcalose rap. DD apports diminués. Hypophosphatémie 0.59 mmol/L. Hypoplasie et ectopie congénitale du rein droit. Hyposphagma traumatique œil droit 08/2014. Ovariectomie préventive en 1996. Cancer du sein à D en 1995 • Chirurgie + chimio + rayon • en rémission. Tonsillectomie 1974. Appendicectomie 1980. Hystérectomie. Hypotension. Hypotension à deux reprises sur probable composante vagale le 23.01.2019. Hypotension à 90/60 mmHg sur déshydratation. Hypotension artérielle. Hypotension artérielle à 72/58 mmHg à l'arrivée le 11.02.2019. Hypotension artérielle à 80/35 mmHg. Hypotension artérielle DD : médicamenteux. Hypotension artérielle le 09.02.2019. Hypotension artérielle sévère à 60/40 mmHg sur origine mixte : • Iatrogène sur Paracétamol 1 g iv • Infectieuse sur bactériémie. Hypotension artérielle sur hypovolémie et vasoplégie post-opératoire le 08.02.2019. Hypotension artérielle symptomatique d'origine médicamenteuse. Hypotension artérielle symptomatique iatrogène sur traitement antihypertenseur le 11.02.2019. Hypotension dans le contexte septique sans critère de choc le 15.01.2019. Hypotension, nausées. Hypotension orthostatique. Hypotension orthostatique à 69/31 mmHg et instabilité posturale le 05.02.2019. Hypotension orthostatique asympatico-tonique symptomatique 69/31 mmHg avec instabilité posturale le 05.02.2019. Hypotension orthostatique du per partum le 26.02.2019. Hypotension orthostatique le 04.02.2019. Hypotension orthostatique le 12.02.2019. Hypotension orthostatique le 02.02.2019. Hypotension orthostatique le 23.02.2019. Hypotension orthostatique le 29.01.2019 sur origine iatrogène (Lisinopril et Adalat). Hypotension orthostatique le 31.01.2019. Hypotension probablement sur administration de Morphine, le 02.02.2019. Diagnostic différentiel : syndrome de la veine cave inférieure sur position en décubitus dorsale. Hypotension sévère à 12h44 avec activité électrique sans pouls. Hypotension sous Effortil. Hypotension symptomatique. Hypotension symptomatique le 06.02.2019 avec • TA 80/56, 110/60 après position décubitus 10 min • vertige, faiblesse. Hypotension symptomatique le 27.01.2017 sur douleur DD antalgie. Hypotension 80/45 mmHg sur hypovolémie dans le contexte d'une ponction d'ascite le 26.02.2019. Hypotension 80/45 mmHg (TAM 65 mmHg) sur hypovolémie dans le contexte de ponction d'ascite le 26.02.2019. Hypotensions sur anémie en 2014. Hypothermie à 33°C le 24.01.2019 • exposition. Hypothermie à 34°C d'origine indéterminée. Hypothermie légère à 34° le 23.02.2019. Hypothymie avec trouble psychotique débutant. Avis pédopsychiatrie (Dr. X) : pas de critère d'urgence nécessitant une hospitalisation, mais besoin de réévaluer le patient avant le week-end. État dépressif avec projet suicidaire le 06.12.2018. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie. Hypothyroïdie avec TSH 7,59 mU/l le 22.02.2019. Hypothyroïdie biologique le 30.01.2019 • TSH 5.58 mU/L • T4 libre à 9 pmol/L • T3 libre à 1.59 pmol/L. Hypothyroïdie de Hashimoto (anti-TPO positif) Porteuse d'implant mammaire. Hypothyroïdie de Hashimoto sous Eltroxine. Hypothyroïdie de Hashimoto découverte en cours de grossesse. Hypothyroïdie d'Hashimoto substituée. Ostéoporose fracturaire, avec : • Fracture vertèbre D11 traumatique en 2008 • Bonviva p.o. depuis 2009, puis Prolia depuis 2013 (dernière dose en 08/2018). Oesophagite de reflux sur hernie hiatale. Cervicalgie chronique récidivantes sur troubles dégénératifs. Hypothyroïdie franche symptomatique le 14.01.2019 avec : • atrophie thyroïdienne homogène, sans nodule décelable (US thyroïde). Hypothyroïdie gestationnelle Hypothyroïdie Hashimoto découverte lors de la grossesse Hypothyroïdie insuffisamment substituée Hypothyroïdie le 04.02.19 • TSH de fév 2018 : 14.85, T3 2.51 Hypothyroïdie non traitée. Hypothyroïdie post-chirurgie de la thyroïde sous-substituée (11.02.2019 : TSH 7.710 mU/l) Hypothyroïdie sous Euthyrox (150 mcg 1x/j tous les jours durant la grossesse) Tabagisme actif (10 cigarettes par jour) Hypothyroïdie sous Euthyrox 75 mcg, suivie par Dr. X Hypercholestérolémie (arrêt de l'Atorvastatin durant la grossesse) Hypothyroïdie sous substitution Palpitations récidivantes (psychogène ?) Tabagisme à 1 UPA Hypothyroïdie sous-traitée le 21.01.19 Hypothyroïdie subclinique Hypothyroïdie subclinique. Hypothyroïdie subclinique • antécédent d'hypothyroïdie subclinique déjà présent en 2014 Hypothyroïdie sub-clinique Bilan thyroïdien le 04.02.2019 : TSH : 5.12 mU/l, T4 libre : 12 pmol/L, T3 libre : 3.54 pmol/L Hypothyroïdie subclinique en 2014 Hypothyroïdie subclinique le 15.02.2019 : • TSH 21.51 mU/l, T3 0.8 nmol/l, T4 libre 14 pmol/l Hypothyroïdie sub-clinique le 20.08.2014. Hypovitaminose D le 20.08.2014. Hémorragie gastro-intestinale haute sur ulcères gastro-duodénaux avec : • grand ulcère hémorragique de la grande courbure de l'estomac (Forrest IIb) • deux ulcères duodénaux non hémorragiques. Hypothyroïdie subclinique le 30.01.2019 • TSH 10.21 mUI/l ; T4l 15 pmol/l ; T3l 3.86 pmol/l Hypothyroïdie subclinique substituée Hypothyroïdie subclinique traitée le 12.02.2019 • TSH à 17.06 mU/L • T3 totale : 1.2 nmol/L • T4 libre : 13 pmol/L • Traité par Euthyrox 25 mcg Hypothyroïdie subclinique. Troubles anxieux et dépressifs mixtes Trouble schizo-affectif, type dépressif Probable trouble hypochondriaque Hypothyroïdie sublinique le 13.02.2019 • TSH 9.9 mU/L • T4 libre 16 pmol/L • T3 libre 1.94 pmol/L Hypothyroïdie substituée Hypothyroïdie substituée Hypothyroïdie substituée Hypothyroïdie substituée Hypothyroïdie substituée Hypothyroïdie substituée Hypothyroïdie substituée Hypothyroïdie substituée Hypothyroïdie substituée Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée. Hypothyroïdie substituée Obésité morbide Anémie ferriprive à 108 g/l (ferritine = 22 µg/l) le 08.12.2018, secondaire à des ménorragies, substituée par Ferinject 1'000 mg i.v. le 10.12.2018 Thrombopénie auto-immune (DD : primaire ?, secondaire dans un contexte de connectivite ?) diagnostiquée le 08.12.2018 et en investigation, sous Prednisone 100 mg/j. Hypothyroïdie substituée par Thyronil. Substitution hormonale suite à l'annexectomie. Hypothyroïdie substituée sur une thyroïdite auto-immune. Hypovitaminose droite légère substituée à 60 nmol/l, le 31.01.2017. Reflux gastro-oesophagien. Diverticule gastrique de la paroi postérieure de découverte fortuite (CT thoracique, le 14.02.2017). Goutte sous Allopurinol. Arthrose acromio-claviculaire bilatérale avec lésion Tossy I à droite (radiographie des clavicules, le 01.02.2017). Syndrome lombo-vertébral chronique sur des troubles statiques et dégénératifs du rachis. Coxarthrose gauche. Arthrose cervicale. Status post-résection d'une tumeur fibreuse solitaire grade I du trou occipital. Hydrocéphalie traitée par drain ventriculo-péritonéal. Hypothyroïdie substituée Adénocarcinome du lobe supérieur gauche du poumon ypT1a(0.2 cm) ypN0 (0/20) cM0 L0 V0 Pn0 R0, de stade initial cT1b cN2 (4 L) cM0, Stade IIIA • Date du diagnostic : 28.10.2016 • Tabagisme 40 UPA • Bronchoscopie avec EBUS le 28.10.2016 • Tumorboard du 02.11.2016 : thérapie néo-adjuvante et lobectomie, Protocole SAKK • Chimiothérapie néo-adjuvante avec Cisplatin et Taxotere (3 cycles) du 25.11.2016 au 06.01.2017 • Lobectomie supérieure gauche par thoracotomie, curage ganglionnaire médiastinal et patch de péricarde sur le moignon bronchique le 07.03.2017 à l'Inselspital Berne • Immunothérapie Medi 4736 (2 cycles) selon le protocole SAKK 16/14, dernière perfusion le 13.04.2017 Hypothyroïdie substituée Ataxie centrale résiduelle suite à hydrocéphalie d'origine indéterminée, avec : • Derivation ventriculo-cardiaque dès l'âge de 13 ans Hypothyroïdie substituée Cirrhose CHILD A sur NASH Psoriasis Hypothyroïdie substituée Dermatomyosite sur Prednisone et Methotrexate, suivie par le service de rhumatologie, HFR Fribourg Hypothyroïdie substituée Dyslipidémie traitée HTA traitée État dépressif non traité Hypothyroïdie substituée État anxio-dépressif Hypothyroïdie substituée. Hypercholestérolémie. Diabète type 2 IR. Hypothyroïdie substituée Hypertension artérielle Hypothyroïdie substituée Hypertension artérielle traitée Hypothyroïdie substituée Kyste parotidien gauche opération prévue par Unco-cervico-discarthrose étagée C3-C7 Hypothyroïdie substituée Neurofibromatose de Von Recklinghausen familiale de type I Crises épileptiques (absences) secondaires Hypothyroïdie substituée. Neurofibromatose de Von Recklinghausen familiale de type I. Crises épileptiques (absences) secondaires. Hypothyroïdie substituée Probable BPCO • status post 30 UPA Dyslipidémie traitée Sténose de 50 % de l'artère cérébrale moyenne droite • Associée à des signes indirects d'une sténose de l'artère carotide interne sur un CT cérébral réalisé le 13.09.2017 à Berne • découverte consécutive à un AIT post-opératoire en 2017 (hémisyndrome gauche) avec récupération neurologique complète Sous clopidogrel Hypothyroïdie substituée. Syndrome des apnées du sommeil non appareillé. Notion BPCO avec ancien tabagisme actif à 100 UPA. Dyslipidémie traitée. Hypertrophie bénigne de la prostate traitée. Hypothyroïdie substituée Syndrome migraineux chronique Hypothyroïdie substituée. Trisomie 21. Status épileptiques le 13.09.2018 • plusieurs épisodes de convulsions des quatre membres sans perte de connaissance le 12.09.2018 • antécédent de possible crise d'épilepsie inaugurale le 10.12.2017, sous traitement de Pregabaline jusqu'en mai 2018 (suivi Prof. Annoni) Troubles de l'oculomotricité, en premier lieu dans un contexte syndromal • strabisme convergent • nystagmus bi-directionnel au regard latéral, plus prononcé à droite, avec aspect rotatoire • possible syndrome de Parinaud Hypothyroïdie substituée Uvéite bilatérale actuelle, sous traitement avec gouttes Hypothyroïdie sur maladie de Hashimoto. Hypertension artérielle. Hypothyroïdie traitée. Polyarthrite psoriasique sous Humira. Varicocèle de grade II à gauche le 10.01.19. Hypothyroïdie traitée Dermite auto-immune plus traitée BPCO stade II selon Gold avec : • Emphysème de type centro-lobulaire bilatéral et troubles diffusionnels de degré moyen (DLCO 54 % de la valeur prédite, 05.09.2017) • Ancien tabagisme (20 cigarettes/jour il y a 30 ans) • Obstruction bronchique de degré moyennement sévère (05.09.2017) Troubles cognitifs de type Alzheimer d'origine mixte (vasculaire et neuro-dégénératif) • MMSE 19/30 (octobre 2017), pas d'imagerie, pas de bilan mémoire réalisé • Bilan neuropsychologique (04.09.2017, Billens) : MMSE 25/30, troubles de mémoire antérograde verbale et visuelle, associés à des difficultés exécutives, difficultés praxiques constructives, gnosiques, visuelles discriminatives et orientation temporelle hésitante ; compatibles avec une étiologie mixte, vasculaire et neurodégénérative (de type Alzheimer). Anémie macrocytaire normochrome à 77 g/l d'origine mixte sur déficit vitaminique et probable myélodysplasie • clairance de la créatinine 51 ml/min sur Cockroft (origine rénale exclue) Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • PTH droite et gauche • Tuberculose à l'âge de 7 ans avec implication osseuse • PTG gauche • Anémie • Trouble cognitif de type Alzheimer d'origine mixte (vasculaire et neurodégénératif) • Hypothyroïdie Cervico-discarthrose sévère C4-C5 et canal cervical étroit de nature dégénérative Hypothyroïdie traitée Dermite auto-immune plus traitée BPCO stade III selon Gold avec : • Emphysème de type centro-lobulaire bilatéral et troubles diffusionnels de degré moyen (DLCO 54% de la valeur prédite, 05.09.2017) • Ancien tabagisme (20 cigarettes/jour il y a 30 ans) • Obstruction bronchique de degré moyennement sévère (05.09.2017) Troubles cognitifs de type Alzheimer d'origine mixte (vasculaire et neuro-dégénératif) • MMSE 19/30 (octobre 2017), pas d'imagerie, pas de bilan mémoire réalisé • Bilan neuropsychologique (04.09.2017, Billens) : MMSE 25/30, troubles de mémoire antérograde verbale et visuelle, associés à des difficultés exécutives, difficultés praxiques constructives, gnosiques, visuelles discriminatives et orientation temporelle hésitante ; compatibles avec une étiologie mixte, vasculaire et neurodégénérative (de type Alzheimer). Anémie macrocytaire normochrome à 77 g/l d'origine mixte sur déficit vitaminique et probable myélodysplasie • Clairance de la créatinine 51 ml/min sur Cockroft (origine rénale exclue). Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • PTH droite et gauche • Tuberculose à l'âge de 7 ans avec implication osseuse • PTG gauche • Anémie • Trouble cognitif de type Alzheimer d'origine mixte (vasculaire et neurodégénératif) • Hypothyroïdie Cervico-discarthrose sévère C4-C5 et canal cervical étroit de nature dégénérative Hypothyroïdie traitée. Extrasystolie de haute incidence symptomatique sur cœur sain, dernier. Hypothyroïdie traitée Tabagisme chronique Migraine Fibromyalgie Hépatomégalie idiopathique connue Epilepsie traitée suite à électroconvulsiothérapie en 2017 Spondylose discrète L3/L4 et L5/S1. Hypothyroïdie Diabète insulino-requérant Carcinome du sein droit métastatique au niveau osseux et opéré en 2003 • Sous Aromasin • Fractures pathologiques de la branche ischio-pubienne gauche, du cotyle droit et sacro-iliaque droite Coxarthrose bilatérale Hypothyroïdie Diabète insulino-requérant Carcinome du sein droit métastatique au niveau osseux et traité en 2003 : • Fracture pathologique branche ischio-pubienne gauche, cotyle droit et sacro-iliaque droite Coxarthrose bilatérale Hypothyroïdie. Hypertension artérielle. Hypothyroïdie. Hypertension artérielle. Cataracte. Crise hypertensive avec céphalées de tension le 29.10.2017. Hypothyroïdie. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Cataracte œil droit. Hypothyroïdisme sub-clinique avec : • TSH à 7.09 mU/l • T4 libre à 13 pmol/l Hypothyroïdisme traitée. Vertiges traités. Hypothyroïdisme. Bronchites asthmatiformes récidivantes sur infections virales. Dérivation ventriculaire pour HTIC idiopathique. Hypotonie asymptomatique d'origine indéterminée • Probablement dans le cadre du diagnostic principal • Valeurs environ 90/50 mmHg Hypotonie congénitale d'origine indéterminée, suivie en neuropédiatrie (en cours d'investigations) Dilatation du ventricule gauche sans dysfonction systolique Hypovitaminose B9. Hypovitaminose B9 et B12, le 11.02.2019 • Avec hématies macrocytaires Hypovitaminose D Hypovitaminose D Hypovitaminose D Hypovitaminose D Hypovitaminose D Hypovitaminose D (à 25 nmol/L le 17.01.2018) Hypovitaminose D à 25 nmol/l le 17.01.2019 Hypovitaminose D à 26 nmol/l Hypovitaminose D à 33 nmol/L le 13.02.2019 Hypovitaminose D à 36 nmol/l Hypovitaminose D à 38 nmol/l le 16.08.2018 Hypovitaminose D à 40 nmol/l le 06.12.18 Hypovitaminose D à 40 nmol/L le 19.12.2018 Hypovitaminose D à 40 nmol/L le 19.12.2018 Hypovitaminose D avec : • 03/12/2018 : vit D 38 nmol/L Hypovitaminose D avec 12 nmol/l le 30.04.2018 • Substitution 2000 UI/jour pendant 1 mois Hypovitaminose D et B9 le 26.02 Hypovitaminose D le 21.02.2019 Labo : vitamine D 32 nmol/l Hypovitaminose D légère Hypovitaminose D légère Hypovitaminose D légère Hypovitaminose D légère le 24.01.2019 Hypovitaminose D modérée. Hypovitaminose D modérée à 32 nmol/l Hypovitaminose D sévère à 14 nmol/l Hypovitaminose D (Vit. D 43 nmol/l) Hypovitaminose D 15 nmol/l Hypovitaminose D3, B12, B9 Hypovitaminose multiples le 02.01.2019 avec Vitamine B12 à 97 pg/ml, vitamine B9 à 3.5 ng/ml et Vitamine D à 37 nmol/L Hypoxémie Hypoxémie. Hypoxémie d'origine indéterminée (mise en évidence en 08.2018) • CT Thorax 10.08.2018 : pas de fibrose, pas de foyer • CT Thorax injecté 14.08.2018 : pas d'embolie pulmonaire • ETT 14.08.2018 : FEVG à 65 %. Sans autres particularités DD restriction, syndrome d'hypoventilation d'obésité Hypoxémie d'origine mixte sur obstruction bronchique externe (atélectasie lobe supérieur), probable carcinomatose pulmonaire Hypoxémie probablement d'origine multifactorielle : infectieuse, surcharge hydro-sodée, chronique sur HTAP et emphysème bulleux. Hypoxémie probablement d'origine multifactorielle : infectieuse, surcharge hydro-sodée, chronique sur HTAP et emphysème bulleux. • Emphysème pulmonaire bulleux avec discrète fibrose pulmonaire • S/p embolies pulmonaires sous-segmentaires le 31.01.2018 avec défects sous-segmentaires périphériques au niveau de la pyramide basale droite, en latéro-postéro basale, en regard de la lingulaire, du segment apical du lobe inférieur gauche et de la région postéro-basale lobaire inférieure gauche. Hyptonie. Hystérectomie avec coniotomie (1974), rechute (1976). Status post fracture sous-capitale de l'humérus droit. Status post 2 épisodes de goutte. Status post cure de varices avec crossectomie, stripping et phlébectomie du membre inférieur droit en 1986. Status post cure de tunnel carpien bilatéral en juin et août 2008. Status post prothèse totale de la hanche. Status post cholécystite sur lithiase (03/2014). Status post suspension de la vessie. Hystérectomie avec ovarectomie Volvulus intestinal Appendicectomie Amygdalectomie Malaise avec dysesthésies du crâne suivi de trouble phasique moteur le 12.06.2017 DD : possible crise d'épilepsie partielle focale simple Douleur rétrosternale d'origine indéterminée le 13.06.2017 DD : anxiété, pariétale Angio-CT thoraco-abdominal le 14.06.2017 : pas d'argument pour une dissection aortique, anévrisme artère splénique Hystérectomie. Cure de varices en 1968 et 1996. Exposition à la tuberculose en 1953 (séjour en sanatorium). Hystérectomie dans les années 1990. Fracture col fémur G type Garden 4 ; le 20.06.2016. Implantation d'une PTH G (OP le 22.06.2016). Hystérectomie en mai 2017 Etat confusionnel aigu d'origine multiple probable, le 17.03.2018 DD : encéphalopathie hépatique, infection urinaire basse, possible démence débutante Régime pauvre en protéines Duphalac 20 ml 1x/jour + 3x en R pour obtenir 1-3 selles molles/jour MMS du 20.03.2018 à 26/30 Infection urinaire basse à Klebsiella multisensible, le 23.03.2018 Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 17.03, le 23.03 et le 28.03.2018 Hypothyroïdie subclinique, le 21.03.2018 Oedème des membres inférieurs bilatéral, le 23.03.2018 Acidose métabolique à trou anionique normal le 23.03.2018 • Hyperlactatémie à 2.8 mmol/l Hystérectomie en mai 2017 Etat confusionnel aigu d'origine multiple probable, le 17.03.2018 DD : encéphalopathie hépatique, infection urinaire basse, possible démence débutante Rx thorax du 17.03.2018 CT cérébral du 17.03.2018 US abdominal le 19.03.2018 Régime pauvre en protéines Duphalac 20 ml 1x/jour + 3x en R pour obtenir 1-3 selles molles/jour MMS du 20.03.2018 à 26/30 Infection urinaire basse à Klebsiella multisensible, le 23.03.2018 DD: bactériurie asymptomatique Urotube le 23.03.2018 Ceftriaxone IV 2g/j du 23.03.2018 au 26.03.2018 Bactrim du 26.03.2018 au 28.03.2018 Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 17.03.2018, le 23.03.2018 et le 28.03.2018 • FeUrée 28.12% le 23.03.2018 • FeUrée à 51.5% le 28.03.2018 US abdo du 23.03.2018. Hydratation iv Albumine 20 g le 23.03.2018 et le 24.03.2018 Stop Thiazide le 23.03.2018 puis reprise à demi-dose le 28.03.2018 Ad Amlodipine 10 mg Torasémide 10 mg du 26.03.2018 au 28.03.2018 puis 5 mg le 28.03.2018 Hypothyroïdie subclinique, le 21.03.2018 Contrôle chez le médecin traitant à distance du CT injecté (2 mois) Œdème des membres inférieurs bilatéral, le 23.03.2018 Introduction de Torasémide Acidose métabolique à trou anionique normal le 23.03.2018 • hyperlactatémie à 2.8 mmol/l • avec vomissements • probablement sur reprise de traitement par Metformin Mise en suspens transitoire de Metfin et Janumet, repris à dose réduite Hystérectomie en 1976 Phakectomie Statut après thyroïdectomie Statut après colectomie dans les années 1990 Statut après opération des varices Carcinome basocellulaire de l'anthélix gauche ainsi que lésion suspecte de la pommette gauche : • Résection de la lésion pavillonaire gauche avec lésions jugales avec greffe de peau libre le 17.12.2013 Diverticulose colique (CT de 2015). Embolie pulmonaire bilatérale le 03.02.2015 : • PESI-score classe III (91) • Clexane 60 mg 2x/jour, puis Xarelto Embolie pulmonaire le 28.03.2018 CT scan thoracique le 28.03.2018 Arrêt de la Clexane Xarelto 15 mg 2x/j du 28.03.2018 au 18.04.2018 Xarelto 20 mg à partir du 19.04.2018 Hystérectomie en 2000 Liposuccion en 2002 Exacerbation sévère de BPCO stade IV le 07.02.2016 sur possible surinfection de Moraxella catarrhalis avec insuffisance respiratoire globale traitée par ceftriaxone et clarithromycine. • 3/3 critères Anthonisen • insuffisance respiratoire partielle • traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. • Solumédrol 125 mg iv aux urgences. • Prednisone 50 mg per os pendant 5 jours, puis en schéma dégressif. • Tavanic 500 mg 1x/j jusqu'au 05.03.2016. Sevrage tabagique en 2016 • Poursuite de Nicotinell. Épisodes d'angoisse en 2016 • Poursuite du traitement anxiolytique habituel. Hystérectomie en 2004. Hystérectomie en 2005. Hystérectomie en 2012 Statut post kystectomie des 2 ovaires par laparoscopie en 2010 Réduction mammaire bilatérale en 2004 Statut post-3 césariennes Thyroïdectomie non datée Hystérectomie en 2013 Laparotomie exploratrice en 2012 5 fausses couches Cholécystectomie en 2008 Hystérectomie et annexectomie bilatérale sur métrorragie et hypertrophie irrégulière de l'endomètre le 13.03.2018. Curetage hémostatique le 21.04.2014 : hyperplasie glandulaire de l'endomètre. Laparoscopie, adhésiolyse et lavage péritonéal le 10.08.2016 pour infection à Chlamydia. Amygdalectomie en 2010. Césarienne le 21.04.2008. Douleur de l'épaule gauche et du bras gauche d'origine probablement musculo-squelettique. Douleur abdominale probablement sur hématome au site opératoire le 13.03.2018. Hystérectomie et annexectomie bilatérale Appendicectomie Réduction fermée de fracture de la cheville gauche et arthroscopie du genou gauche Fracture du 5ème orteil droit Fracture de la clavicule gauche Épicondylite bilatérale Tunnel carpien gauche Cure de rhizarthrose droite Hystérectomie et annexectomie en novembre 2009 par voie transabdominale et trans-vaginale. Hystérectomie et cystopexie Strumectomie Sclérose des varices des membres inférieurs Prothèse totale céphalique de la hanche droite sur coxite laminaire, sur prothèse modulaire de la hanche droite, le 13.12.2013 Infection urinaire à P. Mirabilis et Enterococcus sp le 19.12.2013 Infection urinaire à P. Mirabilis multisensible le 11.01.2014 Hystérectomie inter-annexielle par laparoscopie le 05.02.2019 Examen anatomo-pathologique de la pièce opératoire Hystérectomie pour myomes et ovariectomie unilatérale en 2009. 2 accouchements par voie basse. Lombo-dorsalgies aiguës non déficitaires. Hystérectomie totale avec salpingectomie bilatérale le 12.02.2019 Examen anatomo-pathologique de la pièce opératoire Hystérectomie totale avec salpingectomie gauche (s/p salpingectomie droite) + lavage péritonéal par laparoscopie le 06.02.2019 Pièces opératoires envoyées en anatomo-pathologie. Hystérectomie totale en 2013. Appendagite. Hystérectomie totale et adnexectomie bilatérale le 21.01.2019 Histologie Promed P2019.823 : pas de dysplasie ni de néoplasie Hystérectomie totale et annexectomie bilatérale + lavage péritonéal avant et après gestes chirurgicaux par laparoscopie convertie en laparotomie par Pfannenstiel et difficulté de la pièce opératoire le 30.01.2019 Appendicectomie (appendice suspecte opérée par le chirurgien viscéral Dr. X) Analyse anatomo-pathologique des pièces opératoires Analyse cytologique Hystérectomie totale et annexectomie bilatérale par laparoscopie le 29.01.2019 Analyse anatomo-pathologique de la pièce opératoire Hystérectomie totale et annexectomie bilatérale par laparoscopie le 13.02.2019. Pièces opératoires envoyées en anatomo-pathologie. Hystérectomie totale et annexectomie bilatérale par laparoscopie le 20.02.2019 Les pièces opératoires envoyées en anatomo-pathologie Hystérectomie totale et annexectomie bilatérale par laparoscopie le 31.01.2019 Extraction de la pièce opératoire par voie vaginale après morcellement manuel Suture du dôme vaginal par voie vaginale Examen anatomo-pathologique de la pièce opératoire : utérus et annexes droite et gauche + lavage préopératoire. Zinacef 1.5 g 3x/j pendant 48 h Hystérectomie totale et annexectomie bilatérale par laparoscopie le 31.01.2019 Extraction de la pièce opératoire par voie vaginale après morcellement manuel Suture du dôme vaginal par voie vaginale Examen anatomo-pathologique de la pièce opératoire : utérus et annexes droite et gauche + lavage préopératoire. Zinacef 1.5 g 3x/j pendant 48 h Hystérectomie totale et salpingectomie bilatérale par laparoscopie avec biopsie d'un nodule endométriosique superficiel pariétal droit le 05.02.2018 Examen anatomo-pathologique de la pièce opératoire Hystérectomie totale. Kyste sein droit. Ablation kyste ovarien. Varicectomie. Morton pied opéré. Crise de migraine le 24.04.2016. Douleurs de l'épaule et du bras droits suite à pose de port-à-cath le 13.11.2016. Réaction leucémoïde sur Neulasta. Agranulocytose le 04.01.2017. Accident vasculaire cérébral ischémique d'origine indéterminée avec : • parésie membre supérieur gauche à M4. Réaction inflammatoire locale étendue sur piqûre d'abeille au niveau du front le 27.08.2017. Contusion coude droit. Hystérectomie vaginale interannexielle avec colporraphie antérieure et postérieure et sacro-spino-fixation selon Richter le 07.02.2019 Pièces opératoires envoyées en anatomo-pathologique. Hystérectomie en 1982 Hystérectomie en 1982. Appendicectomie en 1982.Prothèse totale du genou gauche le 09.07.2012, Dr. X. État fébrile sur colite aiguë du côlon descendant d'origine probablement bactérienne en 08.2012 avec : • diarrhée post-antibiotique non-Clostridiales, colite ischémique non exclue. Perturbation des tests hépatiques probablement para-infectieux en 08.2012 avec : • US-hépatique : pas de lésion structurelle. Hystérectomie (1988) APP (1975) Lésion du tendon d'Achille G suturée Fracture rotule G (1969) Hystérectomie 1998 Prothèse totale du genou gauche. Vertiges d'origine mixte et faiblesse des membres inférieurs d'origine indéterminée en décembre 2012 : Douleur rétrosternale d'origine mixte probable le 08.08.16. • DD étiologique : reflux gastro-oesophagien, composante pariétale, (spasme coronarien moins probable). Chute de sa hauteur avec traumatisme crânien sans perte de connaissance le 07.06.2017. Probable fracture costale droite le 28.12.2017. État grippal le 27.08.2018. Otalgie sur bouchons de cérumen ddc le 27.08.18. Céphalées inhabituelles en casques d'origine indéterminée le 28.09.2018. Hystérectomie. Abdominoplastie. Appendicectomie. 1 césarienne. Ablation de polypes janvier 2019. Hystérectomie Appendicectomie Colique néphrétique Hystérectomie Cholécystectomie Hémorragie digestive haute d'origine indéterminée avec : • Un épisode de méléna le 19.12.2017 • Hémoglobine à 87g/l le 20.12.2017 • Transfusion d'un culot érythrocytaire le 21.12.2017 • Avis cardiologique : poursuite du Plavix, réévaluer introduction de l'aspirine selon évolution générale • Pantozol 40mg par voie orale, puis 8mg/h dès le 19.12.2017, reprise du Pantozol par voie orale dès le 22.12.2017 • Mise à jeun, Glucosalin 1000 ml/24h • Mise en suspens transitoire de la Clexane • Mise en suspens de l'aspirine cardio, switch Efient pour Plavix • Attitude rediscutée avec la famille : pas d'OGD, si nouveau saignement, privilégier le confort Probable cholangite le 02.01.2018 avec : • CRP à 99mg/l, dilatation des voies biliaires et ictère • CT abdominal le 02.01.2018 • Pas d'ERCP/cholangio-IRM, discuté avec la famille et la patiente • Rocéphine 2g intraveineux du 02.01.2018 au 08.01.2018 • Flagyl 500mg 2x/jour du 02.01.18 au 08.01.18 Hématome de la cuisse droite après coronarographie le 17.12.2017 avec : • Chute de l'hémoglobine de 128g/l à 117g/l puis 102g/l • US angio (Dr. X) : gros hématome, pas de fuite du vaisseau, pas de contre-indication pour anticoagulation thérapeutique Hémorragie digestive haute d'origine indéterminée le 19.12.2017 Flutter auriculaire de date inconnue Hypokaliémie 3.3mmol/l le 02.01.2018 Hystérectomie Cure varice Fracture col fémoral D 2013 Hystérectomie. Fracture tibia-péroné en 1980. Fracture malléole externe type Weber A à droite (26.06.2012). Vertiges de tangage d'origine inconnue le 29.03.2018. Hystérectomie Hernie ombilicale opérée Thyroïdectomie partielle, non substituée Hystérectomie Hernie ombilicale opérée Thyroïdectomie partielle, non substituée Hystérectomie Hernie ombilicale opérée Thyroïdectomie partielle, non substituée Épisode dépressif le 08.02.2019 Laboratoire Avis psychiatrique (Dr. X) : risque auto-agressif sans arguments pour une hospitalisation en PAFA à ce jour. Contrat passé avec la patiente et le mari pour le week-end. Attitude : • Patiente se présente en ambulatoire en psychiatrie de liaison le 11.02.2019 pour rediscuter d'une éventuelle hospitalisation à Marsens • Temesta max 2cpr/j en réserve • Recommandation de reconsulter avant en cas de nécessité Hystérectomie Hernie ombilicale opérée Thyroïdectomie partielle, non substituée Tachycardie ventriculaire courte et auto-résolutive sur pose de VVC jugulaire gauche le 12.02.2019 • contexte d'acidémie majeure Hystérectomie Hypotension orthostatique Erysipèle du membre supérieur droit en 10.2018 Syndrome douloureux après fracture pertrochantérienne Kyle 3 à droite Hypothyroïdie subclinique en 10.2018 • TSH 6.1 mU/l, fT4 14 pmol/L, fT3 3.6 pmol/L Pneumonie nosocomiale le 07.11.2018 Ostéosynthèse Fracture corticale de la partie latérale de la diaphyse proximale du fémur à droite (ostéosynthèse par clou fémoral) le 18.10.2018 • contrôle radiologique (20.11.2018) : fracture corticale de la partie latérale de la diaphyse proximale du fémur à droite. Pas de signe de consolidation Hystérectomie Prothèse totale de genoux en 2007 Hystéro-salpingographie de 14.11.2014 : trompe gauche perméable et trompe droite obstruée Spermogramme de 14.08.2018 : normal Hystéroscopie diagnostique, curetage de l'endocol le 09.02.2019 Groupe sanguin : O Rhésus positif Injection de méthotrexate IM 1mg/kg le 09.02.2019 Hystéroscopie diagnostique et opératoire (Dr. X) avec cure d'isthmocèle (ablation de l'endomètre par Novasure) le 19.02.2019 Laparoscopie diagnostique avec stérilisation tubaire par section coagulation le 19.02.2019 Suture du col Examen anatomo-pathologique de la pièce opératoire : matériel de curetage, fragment tubaire droit + gauche Hystéroscopie diagnostique et opératoire (Dr. X) avec cure d'isthmocèle et résection de l'endomètre par Novasure le 19.02.2019. Laparoscopie diagnostique avec légère adhésiolyse épiploïque au niveau de la paroi antérieure et stérilisation tubaire par section coagulation le 19.02.2019. Suture du col. Examen anatomo-pathologique de la pièce opératoire : matériel de curetage, fragment tubaire droit. Fragment tubaire gauche. Hystéroscopie opératoire avec myomectomie le 06.02.2019 Envoi du matériel en anatomo-pathologie Hystéroscopie opératoire et endométrectomie le 27.02.2019 Analyse anatomo-pathologique du matériel de curetage Ialugen crème 1-2x/jour jusqu'à guérison complète Excipial sur tout le corps 1x/j Ialugen crème 3 x/jour. Suivi clinique. Ialugen Plus crème. Lidocaïne crème. Ialugen Plus - Protection du frottement des habits. Ibuprofen 600 mg 3x pro Tag MRI im Givision. Ibuprofène du 14.02.2019 au 19.02.2019 Colchicine dès le 14.02.2019 Prednisone du 19.02.2019 au 24.02.2019 Rx pied le 18.02.2019 : pas de lyse ni d'érosion Ponction articulaire le 18.02.2019 : analyse en cours par les rhumatologues Rendez-vous de contrôle en rhumatologie Ibuprofène et Dafalgan pendant 48h Nasivine spray 0.025% et rinçage du nez Médecine anthroposophique Contrôle chez pédiatre dans 48h Ibuprofène et Dafalgan rinçage du nez Contrôle chez pédiatre dans 48h Ibuprofène et Paracétamol pendant 48h Nasivine spray 0.05% et rinçage du nez Médecine anthroposophique Contrôle chez pédiatre dans 48h Ibuprofène et Paracétamol si température > 38°C Diazepam Destin 5mg en réserve si convulsion > 5-10 min Reconsulter en cas de convulsion, appeler 144 en cas de convulsion > 5-10 min Ibuprofène et Paracétamol Médecine anthroposophique Contrôle chez pédiatre si persistance de la fièvre dans 48h Ibuprofène et Paracétamol rinçage du nez Calmerphan L le soir si n'arrive pas à dormir Weleda Stibium arsenicosum D8 huile de lavande 10% Contrôle chez le pédiatre si persistance des douleurs Ibuprofène et Paracétamol Rinçage du nez OSA gel dentaire Médecine anthroposophique Contrôle chez pédiatre dans 48h si persistance de la fièvre Ibuprofène et Paracétamol Triofan Sirop Santa sapina Médecine anthroposophique contrôle chez pédiatre si pas d'amélioration dans 48h ou si diminution de l'état général Ibuprofène et Paracétamol Triofan Sirop Santa sapina Médecine anthroposophique contrôle chez pédiatre si pas d'amélioration dans 48h ou si diminution de l'état général Ibuprofène-Fluimare. Ictère Ictère de nouveau né Ictère d'origine indéterminée le 06.02.19 DD foie de stase Ictère d'origine indéterminée le 06.02.2019, connu depuis 2003 probablement Syndrome de GilbertDD foie de stase Ictère du nouveau né Ictère et douleurs abdominales. Ictère indolore Ictère précoce (Coombs négatif, groupe A+, risque : hématome bras droit et talon, polyglobulie) Ictère sur cholestase intrahépatique sans dilatation des voies biliaires depuis fin août 2018 • absence de pathologie des voies biliaires visualisées par modalités sonographiques, tomographiques et par résonance magnétique (septembre 2018) • ERCP refusée par le patient en octobre 2018 • hyperlipidémie mixte (triglycérides et cholestérol) • abstinence éthylique depuis décembre 2017 DD : atteinte toxique (médicamenteuse, alcoolique), possible cirrhose, cholangite sclérosante non exclue Ictère sur suspicion de cholangiocarcinome Idéation suicidaire. Idéation suicidaire avec tentamen médicamenteux Idéations suicidaires. Idéations suicidaires avec plan Idéations suicidaires et traumatisme membre supérieur gauche. Idéations suicidaires non scénarisées chez patiente connue pour trouble de la personnalité borderline. Idées suicidaires. Idées suicidaires avec projet clair le 08.01.2019. Avis psychiatrique (Dr. X) : hospitalisation volontaire à Marsens à prévoir. Idées suicidaires avec scénario précis. Idées suicidaires avec scénario 18.11.2018 • Troubles anxio-dépressifs en péjoration depuis avril 2018 • Hospitalisation volontaire à Marsens Idem au diagnostic principal. 3 points simples au fil d'Ethilon 4.0. Pansement simple. IEC, B-bloq IEC Bêtabloquants Nitrés en cas d'angor Aspirine à vie Il ne me semble pas raisonnable de proposer une chirurgie avec une ostéotomie correctrice à Mr. Y. Sachant les complications liées à une ostéotomie correctrice : risques de raideur, il me semble plus logique de laisser le doigt tel quel. Vu la gêne subjective résiduelle du patient, je veux demander un 2ème avis au Dr. X à l'HFR Fribourg - Hôpital Cantonal. Je prie le secrétariat du Dr. X de convoquer le patient. Je me tiens à disposition. Il a été expliqué que les selles verdâtres sont normales pour les bébés. Nous expliquons à la mère que c'est important de mettre la fille au sein avant de donner le biberon, même si elle a l'impression qu'elle n'a pas de lait et que la quantité de lait va augmenter si elle la met au sein, mais que le lait diminue si elle ne la met pas au sein. Vu la légère rhinite nous recommandons de continuer les rinçages du nez avec sérum physiologique. Un contrôle chez le pédiatre est prévu la semaine prochaine. Il doit faire des bains chaque jour avec de la Bétadine diluée puis laisser sécher la plaie à l'air et ensuite faire un pansement simple avec des compresses sèches. Poursuite des anti-douleurs si besoin. Nous le reverrons dans 1 semaine pour un contrôle clinique. Il est autorisé à poursuivre la mobilisation en charge selon douleurs, sans attelle et sans moyen auxiliaire. Il débutera un traitement en physiothérapie axé sur antalgie, drainage, récupération des amplitudes articulaires et étirement des chaînes postérieures. L'arrêt est prolongé à 100% jusqu'au prochain contrôle. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Il est clair que Mr. Y garde des limites avec une capsulolyse et débridement sous-acromiale en 2012. Il présente également des troubles dégénératifs cervicaux et a montré un CRPS actuellement au décours. D'un point de vue assécurologique, la situation n'est pas réglée quant à la capacité professionnelle résiduelle et l'évaluation du CRPS qui reste toujours subjectif. Il est content de la situation qui s'est améliorée. Le patient est motivé à travailler et recherche un travail mais celui-ci doit être adapté à sa situation comme l'ancien. Une expertise pour évaluer la situation peut être une bonne chose. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Il est difficile de dire si le tendon avait guéri complètement ou si l'image actuelle correspond à ce qui permettait une bonne fonction. On a en tout cas un sus-épineux qui est testable et activable. Je propose dans un 1er temps une attitude expectative avec physiothérapie avec programme San Antonio et traitement anti-inflammatoire. Il ne peut actuellement pas conduire raison pour laquelle il est en incapacité de travail. Il me semble opportun de compléter le bilan par une arthro-IRM le 19.2.2019 qui nous permettra de mieux juger de la qualité du TFCC pour une éventuelle prise en charge. Je reverrai le patient suite à l'arthro-IRM le 22.2.2019 pour faire la part des choses. Il me semble qu'il faudrait discuter d'une plastie du 6ème compartiment des extenseurs. J'adresse la patiente à la consultation spécialisée du Dr. X pour discuter d'un tel geste chirurgical. Je prie le secrétariat du Dr. X de convoquer la patiente dans des délais raisonnables, vu sa souffrance. Je me tiens à disposition. Il nous contacte avec 24 heures pour le point de ponction. Prochain contrôle dans 3 mois. Il n'y a ce jour aucun diagnostic orthopédique pédiatrique à faire sur la base de l'examen clinique. Dans ce contexte, nous proposons au papa de refaire un bilan de contrôle une fois que l'enfant est indépendant pour la déambulation. Il n'y a pas de signe de gravité à l'anamnèse et à l'examen clinique. Le patient poursuivra le traitement anti-allergique auquel nous ajoutons une substitution en Zinc, le tableau n'étant pas tout à fait typique d'une réaction allergique. Nous lui recommandons de consulter son médecin traitant (dont nous n'arrivons pas à retrouver le nom pour le dossier...) pour un bilan au vu de la tension artérielle plutôt élevée à l'entrée et l'encourageons à maintenir l'arrêt de la fumée. Il n'y a pas de signe inflammatoire avec une plaie bien cicatrisée. Dans ce contexte, nous retirons les fils avec une absence de déhiscence au niveau de la plaie. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile. Il persiste des douleurs au niveau du LFTA. L'IRM d'octobre 2018 a montré une déchirure partielle à ce niveau-là mais des fibres intactes. On prescrit encore un traitement par onde de choc pour améliorer la situation car, après l'infiltration, il a remarqué une nette amélioration durant 7 jours. Les douleurs du côté interne peuvent s'expliquer par le pied plano valgus qui a été compensé à cause des douleurs de l'autre côté. On prescrit une semelle sur mesure. Nous le reverrons dans 6 semaines. Il peut s'agir d'une contusion simple de l'épaule. Par contre, étant donné la persistance des symptômes de longue durée, je préconise une arthro-IRM pour faire la part des choses. Je reverrai la patiente suite à cet examen. Il reçoit du Tramal 50 mg et paracétamol 1 g iv avec amélioration des douleurs. Le CT-scan montre un hématome sous-capsulaire droit avec hématome rétropéritonéal. Nous prenons initialement l'avis du néphrologue de garde, le Dr. X qui ne veut pas d'injection de PDC. Nous prenons l'avis de l'urologue, le Dr. X qui propose du Cyklokapron. Il reçoit 500 mg aux urgences. Vu la baisse d'Hb il propose de transférer le patient à l'HFR Fribourg, de suivre l'Hb toutes les 6 heures, et de mettre en suspens l'Aspirine Cardio. Aux urgences de l'HFR Riaz, le patient reste hémodynamique stable. Transfert en ambulance avec le SAS pour l'HFR Fribourg. Il reconsultera si pas d'amélioration. Il reste 2 options qui s'offrent à Mr. Y : l'une d'une activité professionnelle adaptée si son stage débouche sur un contrat à durée indéterminée, je pense que cette proposition serait intéressante. Si tel n'était pas le cas, je soutiendrai toujours le patient pour une reprise de l'activité professionnelle de maçon avec une reprise accompagnée et graduelle du travail à titre d'essai.Il s'agit a priori d'un doigt à ressaut débutant au niveau de l'annulaire gauche que je vais infiltrer. J'ai programmé une infiltration pour le 01.03.2019. En ce qui concerne l'épaule droite, le patient présente des signes d'une tendinopathie du long chef du biceps pour laquelle je ne propose pas de mesure particulière en ce moment. Je vais suivre l'évolution. Je reverrai le patient à ma consultation 3 semaines après l'infiltration : 21.03.2019. Il s'agit de l'histoire naturelle d'une lésion tendineuse de Mallet avec un port inconséquent de l'attelle. Normalement, le traitement conservateur d'une lésion de Mallet consiste en une immobilisation pour une durée de 8 semaines jour et nuit puis immobilisation seulement la nuit pour les 6 semaines suivantes. Même avec un traitement si conséquent, on risque de finir avec un petit LAG en extension. Le patient admet qu'il n'a pas porté son attelle de manière conséquente. Il me semble que la situation actuelle est parfaitement acceptable, avec une fonction correcte. Je ne peux pas proposer un geste chirurgical, vu le LAG de 20°. Le patient se contente de mes explications. Je n'ai pas prévu de nouveau rendez-vous mais me tiens toutefois à disposition. Il s'agit d'un cal vicieux suite à une fracture qui a passé inaperçu. Je préconise un scanner pour faire la part des choses. Je reverrai le patient à la suite de cet examen pour discuter des différentes options thérapeutiques. Il s'agit d'un état fébrile de moins de 24h avec des signes d'imprégnation virale. C'est une virose respiratoire probable. Devant l'état clinique rassurant, on propose un contrôle clinique chez le pédiatre demain. Il s'agit d'un patient avec plusieurs antécédents de chirurgies en regard du genou actuellement exacerbée. Je propose d'effectuer une IRM et le reverrai une fois cet examen effectué. Il s'agit d'un patient de 17 ans qui, suite à un traumatisme du pouce en décembre 2018, a bénéficié d'une immobilisation par un gantelet plâtré et par la suite d'une attelle faite sur mesure par l'ergothérapeute pour l'entorse du ligament collatéral ulnaire et MCP 1 à D. À six semaines du traumatisme, il est nécessaire de faire de l'ergothérapie afin de récupérer la mobilité avec contrôle clinique après le traitement pour voir si elle doit prolonger l'ergothérapie. Arrêt de sport pour encore un mois. Mme. Venegas se présentera à votre consultation pour le dernier contrôle clinique. Nous restons à disposition si nécessaire. Il s'agit d'un patient de 25 ans, en bonne santé habituelle, qui glisse sur le verglas et chute. Aux urgences, le bilan radio-clinique met en évidence le diagnostic suscité, pour lequel l'indication opératoire est retenue. Une réduction fermée est effectuée aux urgences puis, l'état cutané étant correct, Mr. Y est pris au bloc opératoire le même jour pour une réduction ouverte et ostéosynthèse de la cheville gauche. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, sous une antalgie efficace. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en décharge, sous protection d'une attelle jambière postérieure et à l'aide de cannes anglaises, ceci pour une durée de 6 semaines. Une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et est à poursuivre durant 6 semaines post-opératoires. La réfection des pansements montre des cicatrices calmes et propres, l'examen clinique ne montre pas de trouble neuro-vasculaire. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y retourne à domicile le 08.02.2019. Il s'agit d'un patient de 27 ans connu pour un pneumothorax gauche sur quinte de toux le 18.12.2018, avec retrait du drain le 21.12.2018. Depuis deux jours avant la présente admission, Mr. Y ressent des douleurs thoraciques gauches respiro-dépendantes, en péjoration progressive, motivant une consultation aux urgences. L'examen clinique révèle une hypoventilation de la plage pulmonaire gauche, avec asymétrie thoracique. L'examen radiologique montre une récidive du pneumothorax gauche et, dans ce contexte, un drain thoracique gauche est mis en place par le Dr. X, drain dont la bonne position est contrôlée radiologiquement. Un CT thoracique est effectué afin d'investiguer l'étiologie de la récidive de ce pneumothorax. Cet examen met en évidence des bulles d'emphysème aux apex gauche et droit. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance et traitement antalgique. Devant la bonne évolution radio-clinique, le drain peut être retiré le 05.02.2019 et Mr. Y peut retourner à domicile. Il s'agit d'un patient de 32 ans connu pour des investigations rénales multiples dans l'enfance en raison de kystes. Le 11.02.2019, Mr. Y chute à vélo à basse cinétique et présente d'importantes douleurs du flanc gauche. Les investigations initialement réalisées aux urgences de l'HFR Riaz concluent à une lacération rénale de stade initialement évalué à IV. Dans ce contexte, le patient est transféré à l'Inselspital de Berne où il bénéficie d'une surveillance rapprochée au soins intermédiaires pour la journée du 12.02.2019. Mr. Y étant stable sur les plans hémodynamique, clinique et biologique, il nous est retransféré pour suite de la prise en charge. Durant le séjour, l'état clinique et biologique de Mr. Y est tout à fait rassurant, il ne présente plus de macro-hématurie. Il est sous antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour jusqu'au 16.02.2019 inclus. Nous réalisons une IRM de contrôle le 14.02.2019, concluant en un hématome du pôle inférieur du rein gauche d'environ 5,6 cm dans le plan axial pour 4,6 cm d'extension crânio-caudale, sans rehaussement suspect au sein de l'hématome ou en périphérie. Il n'y a aucune évolution significative par rapport au scanner comparatif. Dans ce contexte, Mr. Y peut retourner à domicile le 15.02.2019, avec l'instruction de reconsulter en cas de réapparition des douleurs ou d'un état fébrile. Nous avons organisé un uro-CT et urogramme de contrôle le 25.03.2019 à 08h00 à l'HFR Riaz où le patient se présentera à jeun. Nous vous remercions de convoquer le patient à votre cabinet une semaine avant l'examen afin de doser la fonction rénale en vue du scanner injecté. Après cet examen, nous vous remercions d'adresser le patient à la consultation urologique du Dr. X pour un suivi urologique à long terme. Il s'agit d'un patient de 42 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte aux urgences le 15.02.2019 en raison de douleurs du coude gauche. Mr. Y relate une plaie du coude gauche le 10.02.2019 avec augmentation de douleurs et apparition d'une tuméfaction, d'une chaleur et d'une rougeur locales. Le bilan radio-clinique et biologique oriente le diagnostic vers une bursite septique du coude gauche motivant la prise en charge au bloc opératoire. L'intervention se déroule le 15.02.2019 et, après les prélèvements per-opératoires, une antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 1,2 g/jour est instaurée. Les suites opératoires sont simples, les douleurs sont bien gérées par une antalgie standard et la cicatrice reste calme et sèche. Les prélèvements bactériologiques reviennent positifs pour un Staphylococcus aureus, sensible à l'antibiothérapie initiée. Face à la bonne évolution clinique et biologique, avec disparition du syndrome inflammatoire, Mr. Y rentre à domicile le 19.02.2019 où il poursuivra l'antibiothérapie par voie orale à raison de 2 x 1 g/jour de Co-Amoxicilline jusqu'au 02.03.2019 inclus.Il s'agit d'un patient de 45 ans, en bonne santé habituelle, victime d'un traumatisme crânien à ski, sans perte de connaissance mais avec amnésie circonstancielle d'environ 20 minutes. L'accident s'est déroulé à environ 10 km/heure, le patient était casqué. Il décrit un épistaxis spontanément résolutif. Le patient peut skier par la suite, puis consulte en raison de l'amnésie. Pas d'autre symptôme (déficit neurologique, troubles auditifs ou visuels, vomissements ou nausées). A l'examen clinique, patient calme et collaborant, orienté aux trois modes, pupilles isocores et isoréactives, le reste des nerfs crâniens est sans particularité. Force M5 aux quatre membres. Réflexes ostéo-tendineux symétriques aux quatre membres, sensibilité symétrique aux quatre membres, Babinski en flexion des deux côtés. Pas de dysmétrie à l'épreuve doigt-nez, pas de trouble de la sensibilité fine. Marionnettes et talon-genou sans particularité. Romberg sans latéralisation. Pas de pronation à l'épreuve des bras tendus. Sur le plan ORL, pas d'hémato-tympan. Dermabrasion de 1 x 4 cm de la pommette droite. Palpation des os du visage indolore. Mobilisation du palais supéro-inférieur stable. Palpation de l'arcade dentaire supérieure indolore et stable. Pas d'hématome de la cloison nasale, pas de sang visible. Palpation de la colonne vertébrale et mobilisation de la colonne cervicale indolores. A noter une douleur à la mobilisation du coude gauche, connue auparavant. Le reste du status est sans particularité. Au vu du traumatisme crânien avec amnésie circonstancielle, le patient est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique. Celle-ci se déroule sans complication, le status neurologique répété est dans la norme et Mr. Y peut rentrer à domicile le 03.02.2019. Il s'agit d'un patient de 45 ans qui a bénéficié, le 14.07.2018, d'une réduction ouverte et ostéosynthèse pour une fracture de l'humérus proximal gauche. L'évolution est marquée par un retard de consolidation osseuse puis par une pseudarthrose. Le Dr. X retient alors l'indication à l'intervention suscitée. L'opération a lieu sans complication le 20.02.2019 et les suites post-opératoires sont simples, les douleurs étant initialement gérées par un cathéter interscalénique, puis par une antalgie standard per os. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Face à la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 23.02.2019. Il s'agit d'un patient de 50 ans qui souffre de la lésion susmentionnée suite à une chute d'une chaise en novembre 2018. Le bilan radiologique, complété par une arthro-IRM, confirme la lésion susmentionnée. Le patient est alors suivi en physiothérapie. Au vu du déficit fonctionnel et du type de la lésion, une prise en charge chirurgicale pour réinsertion de la coiffe est proposée. L'intervention susmentionnée se déroule le 28.01.2019, sans complication. Les suites post-opératoires sont simples. L'antalgie est gérée à J1 par un cathéter interscalénique, arraché par erreur par le patient, puis par une antalgie per os. La mobilisation se fait à l'aide de la physiothérapie. La plaie opératoire est calme et elle évolue favorablement. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y regagne son domicile le 01.02.2019. Il s'agit d'un patient de 52 ans, en bonne santé habituelle, droitier travaillant comme chauffeur routier, qui est victime d'une chute à ski avec réception sur le moignon de l'épaule droite le 04.02.2019. Mr. Y est initialement héliporté à l'hôpital de Sion où le bilan radio-clinique met en évidence la fracture susmentionnée. Une immobilisation par gilet orthopédique est mise en place et le patient est adressé à l'HFR Fribourg, puis à l'HFR Riaz pour suite de la prise en charge. L'indication chirurgicale est retenue et l'intervention a lieu le 07.02.2019 à l'HFR Riaz. Les suites opératoires sont simples, la radiographie post-opératoire est en ordre et le contrôle biologique à 24 heures post-opératoires retrouve une valeur d'hémoglobine dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie standard. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Mr. Y bénéficie de séances de physiothérapie passive et active assistée dès le premier jour post-opératoire, avec une abduction/élévation limitée à 90°, des rotations interne et externe libres, selon douleurs. Cette physiothérapie sera poursuivie en ambulatoire après la sortie de l'hôpital. En outre, le patient est porteur d'un gilet orthopédique jusqu'à l'ablation des fils. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour, traitement qui est stoppé à la sortie. Le 09.02.2019, Mr. Y retourne à domicile. Il s'agit d'un patient de 53 ans, connu pour les comorbidités et antécédents suscités, notamment pour un premier épisode d'abcès péri-anal antérieur en fer à cheval en juillet 2016. Mr. Y consulte aux urgences le 24.02.2019 en raison d'une douleur au niveau du périnée depuis le 22.02.2019. A noter que le patient aurait été traité la semaine précédente pour une dermo-hypodermite par de la Co-Amoxicilline 3 x 1 g/jour. A l'examen clinique aux urgences, nous retrouvons une douleur à la palpation du périnée, avec tuméfaction sur la partie antérieure gauche. Le toucher rectal est indolore, il n'y a pas de sang au doigtier. Le bilan biologique montre une CRP à 18 mg/l, sans leucocytose. Le bilan est complété par un CT pelvien qui révèle une récidive d'abcès péri-anal antérieur à 12h00 en position gynécologique, mesurant 30 x 32 x 42 mm. Mr. Y est pris au bloc opératoire où le Dr. X réalise, le 24.02.2019, une incision, un rinçage et un drainage de l'abcès avec mise en place d'une lame ondulée. Au cours du séjour dans le service de chirurgie, des rinçages sont réalisés deux fois par jour, ramenant du liquide clair. Dans ce contexte, au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y est autorisé à regagner son domicile le 26.02.2019, la lame étant en place. Des douches seront réalisées 4 fois par jour et le patient sera revu à la consultation du Dr. X à l'HFR Billens le 01.03.2019 à 16h30. Il s'agit d'un patient de 54 ans qui présente des douleurs et une limitation fonctionnelle de l'épaule droite. Après un bilan montrant une déchirure du long chef du biceps, du sus-épineux et du sous-épineux de cette épaule droite, le Dr. X retient l'indication opératoire, intervention effectuée le 04.02.2019. Les suites opératoires sont simples, les douleurs sont initialement gérées par un cathéter interscalénique, puis par l'antalgie standard habituelle. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive en abduction-élévation 90°, rotation interne sur le ventre, rotation externe 30°, avec protection du long chef du biceps. En dehors des séances de physiothérapie, un coussin d'abduction est en place pour une durée de 6 semaines. La réfection du pansement montre état local calme et propre, l'examen clinique ne montre pas de trouble neuro-vasculaire. Devant la bonne évolution, Mr. Y retourne à domicile le 08.02.2019, une fois l'aide organisée, avec notamment réfection du pansement 3 x/semaine par les infirmières des soins à domicile. Il s'agit d'un patient de 55 ans, en bonne santé habituelle, que vous nous adressez en raison de douleurs abdominales constantes, à EVA 6/10, progressant depuis deux jours, d'apparition progressive, en barre, localisées au niveau épigastrique et irradiant en hypochondre et flanc droits. Cette symptomatologie s'accompagne d'une inappétence, sans nausées, ni vomissements. Il s'agit là d'un premier épisode. Pas de notion d'état fébrile.A l'arrivée aux urgences, l'examen montre un abdomen avec des bruits augmentés en fréquence et en tonalité, souple à la palpation, avec une sensibilité épigastrique en hypochondre droit et défense. Signe de Murphy négatif. Douleur à la percussion de la loge rénale droite. Percussion de la loge rénale gauche indolore. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 22,6 G/l, des neutrophiles à 18,74 % et une CRP à 208 mg/l. Les paramètres hépato-pancréatiques sont alignés. Le sédiment urinaire est sans particularité et un urotube est prélevé. Le bilan est complété par une radiographie du thorax excluant un foyer infectieux. Un CT abdominal met en évidence un infiltrat au niveau des voies biliaires, avec aspect hétérogène du foie. Le diagnostic d'angio-colite est retenu et une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour et Metronidazole 3 x 500 mg/jour est instaurée dès le 19.02.2019 et sera maintenue jusqu'au 22.02.2019. Dès le 23.02.2019, nous passons à un relais per-os par Flagyl 3 x 500 mg/jour et la Rocéphine est relayée dès le 26.02.2019 par de la Ciprofloxacine 2 x 500 mg/jour per-os, antibiothérapie qui sera poursuivie jusqu'au 02.03.2019 inclus. Une cholangio-IRM est réalisée le 20.02.2019 afin de compléter le bilan et révèle un foyer super-actif dans le dôme hépatique, une lésion hépatique focale dans les segments VII et VIII, absence de collection, absence de calcul radio-opaque. Présence d'une probable lésion tumorale sous-jacente, à contrôler après traitement. Au cours de l'hospitalisation, l'évolution clinique et biologique est favorable, avec régression du syndrome inflammatoire. Nous réalisons un CT abdominal de contrôle le 25.02.2019, montrant une régression de la zone hypodense dans le segment VIII, pour lequel le radiologue conclut à un probable phlegmon. Il propose la réalisation d'une IRM le 11.03.2019 afin de suivre cette lésion à distance et s'assurer de l'absence de formation d'un abcès. Au vu des circonstances peu claires de l'apparition de cette cholangite et de la suspicion d'une lésion tumorale sous-jacente, nous sollicitons l'avis du Dr. X, service de chirurgie hépatique du CHUV, qui présentera le cas du patient au colloque des voies biliaires le 27.02.2019. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y est autorisé à regagner son domicile le 26.02.2019. A noter, en cours d'hospitalisation, une perte pondérale d'environ 5 kg, cette constante sera à suivre à distance. Il s'agit d'un patient de 56 ans connu pour le carcinome urothélial suscite diagnostiqué lors d'une résection transurétrale primaire de la vessie le 16.01.2019. Mr. Y est admis en électif en vue de la réalisation d'une RTUV secondaire, intervention qui est effectuée le 30.01.2019 par le Dr. X. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, avec une bonne gestion de l'antalgie. Les urines sont claires, permettant un retrait de la sonde vésicale le 01.02.2019, avec bonne reprise des mictions et contrôle par bladder-scan. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 31.01 au 01.02.2019. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 01.02.2019. Il s'agit d'un patient de 57 ans qui chute d'un balcon d'une hauteur de 2,5 mètres avec réception sur le côté gauche. Pas de traumatisme crânien, ni perte de connaissance ou amnésie circonstancielle. Mr. Y est amené aux urgences avec une douleur basi-thoracique gauche, de l'hypochondre et de la loge rénale gauches. A l'examen clinique, douleurs à la palpation para-vertébrale gauche au niveau lombaire haut. Auscultation cardio-pulmonaire, ainsi que status abdominal dans les limites normales. Status neurologique normal. Au laboratoire, Hb 156 g/l, CK 188 U/l, ALAT 52 U/l, créatinine 84 umol/l. Lipase et amylase dans la norme. La radiographie du thorax permet d'exclure toute fracture et/ou pneumothorax. Le bilan est complété par un CT qui met en évidence la fracture suscitée, sans lésion hépatique, splénique ou rénale. Le patient est gardé pour une surveillance et traitement antalgique. La surveillance se déroule sans complication, avec bonne réponse de la douleur aux AINS et Tramal. Le retour à la marche se fait sans problème, avec une légère douleur persistant au niveau lombaire gauche. L'examen de sortie ne montre aucun déficit neurologique des membres inférieurs, il n'y a pas d'hématome. Dans la matinée du 12.02.2019, Mr. Y retourne à domicile. Il s'agit d'un patient de 58 ans connu et suivi par le Dr. X pour une ostéo-nécrose aseptique de la tête fémorale gauche, pour laquelle il retient l'indication à l'implantation d'une prothèse totale de la hanche gauche. L'intervention se déroule sans complication le 12.02.2019 et les suites post-opératoires sont simples. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre, les douleurs sont bien gérées par l'antalgie standard habituelle. Sur le plan biologique, la valeur d'hémoglobine se monte à 138 g/l à 24 heures post-opératoires, la chimie est alignée. Nous avons instauré une anticoagulation prophylactique par Xarelto 10 mg/jour pour un total de 6 semaines. La réfection du pansement montre une cicatrice calme et propre. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises. En outre, le patient bénéficie d'un enseignement par l'ergothérapeute concernant les mouvements et les précautions à prendre comme mesures anti-luxation. Nous organisons l'aide à domicile (hygiène, ménage et repas) et, vu la bonne évolution, Mr. Y quitte notre service le 18.02.2019. Il s'agit d'un patient de 59 ans connu pour un adénocarcinome pulmonaire et des métastases cérébrales. Pour rappel, il a été hospitalisé aux soins palliatifs en novembre 2018. Depuis deux semaines, sa femme rapporte une détérioration de l'état général avec une confusion en péjoration, des troubles cognitifs détériorés, une incontinence urinaire nouvelle ainsi qu'un tremblement nouveau du membre supérieur gauche. Au status neurologique, nous avons un patient désorienté aux 4 modes, qui ne comprend pas les ordres simples. Les pupilles sont asymétriques avec une mydriase à droite réactive à la lumière. Il ne présente pas de ptose ni d'asymétrie. Les nerfs crâniens sont globalement normaux. Les réflexes sont hypervifs et symétriques. Le babinski est négatif. Le test de la marionnette est lent et le test doigt-nez est pathologique. Au niveau pulmonaire, on a une hypoventilation générale, sans crépitant. Le status cardiovasculaire et abdominal est normal. Le patient présente un œdème facial avec une érythrodermie ainsi qu'un œdème de la main droite plus que la gauche. Au cours de son hospitalisation, Mr. Y se péjore au niveau de l'état de confusion ainsi que dans sa posture. Il a tendance à chuter sur le côté D et semble avoir une parésie faciale D. Sur suspicion d'une carcinomatose méningée, nous introduisons un traitement avec Dexamethasone haute dose le 17.12.2018, sans effet significatif. Nous testons différents traitements concernant son état de confusion et son agitation importante pour essayer de le rendre le plus confortable possible. En parallèle, nous demandons un avis psychiatrique au Dr. X, qui au vu de son expertise ne voit pas d'argument pour une maladie psychiatrique (dépression ou manie) mais plutôt un état de confusion multifactoriel. Il n'y a pas d'indication ni de transfert possible à Marsens. La Dr. X établit qu'il n'y a pas la nécessité d'investigation ultérieure en raison du manque de conséquences thérapeutiques.L'état de Mr. Y durant la semaine du 28.01.2019 se détériore, on note une baisse de l'état général avec toujours des moments d'agitation importants et des moments de somnolence. La famille vient lui rendre visite régulièrement et est informée de la situation. Mr. Y décède sans souffrance entouré de sa famille le 02.02.2019. Il s'agit d'un patient de 61 ans, aux antécédents et comorbidités suscités, qui consulte aux urgences le 11.02.2019 en raison de la persistance d'un ballonnement abdominal survenu dans la nuit du 09 au 10.02.2019, avec apparition de douleurs thoraciques hautes. L'anamnèse révèle un transit régulier, un appétit normal, pas de nausée ou de vomissement. A l'entrée, l'abdomen est souple, dépressible, les bruits sont normaux en fréquence et en tonalité, il n'y a ni défense, ni détente. Le toucher rectal est indolore, présence d'hémorroïdes, pas de sang au doigtier. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. La radiographie du thorax montre un pneumopéritoine. Le bilan est complété par un CT qui révèle un important pneumopéritoine en rapport avec une probable perforation d'ulcère gastrique versus duodénal. Présence d'une stéatose hépatique. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie où il bénéficie d'une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine et Flagyl. Une sonde nasogastrique est en place du 12 au 13.02.2019, avec bonne évolution après le retrait et reprise d'une alimentation entérale dès le 14.02.2019, bien tolérée. Au vu de cette bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 15.02.2019. L'antibiothérapie est relayée per-os à raison de Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour et Klacid 2 x 500 mg/jour jusqu'au 03.03.2019 inclus. En outre, le traitement par Nexium 2 x 40 mg/jour est à poursuivre jusqu'au 30.03.2019. Il s'agit d'un patient de 65 ans, sans antécédents notables, qui se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales ayant débuté dans la nuit du 02 au 03.02.2019, situées en fosse iliaque gauche, de forte intensité, irradiant en barre en sus-pubien et en fosse iliaque droite, de type crampiforme, aggravées en décubitus dorsal. Le patient décrit une modification du transit, avec trois épisodes de selles décrites comme glaireuses le 03.02.2019 au matin et de nombreuses flatulences. A l'entrée, importantes douleurs abdominales avec défense, plus marquée en fosse iliaque gauche, mais également présente en sus-pubien et en fosse iliaque droite. Les bruits intestinaux sont de tonalité et de fréquence normales. Pas de signe de péritonisme. Au toucher rectal, pas de selles dans l'ampoule rectale, ni de sang sur le doigtier. Loges rénales souples et indolores. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 55 mg/l et une leucocytose à 14,1 G/l. Un CT abdominal est effectué, révélant une diverticulite sigmoïdienne stade IIa selon Hansen & Stock. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie où il bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv/jour et Metronidazole 3 x 500 mg iv/jour. En cours d'hospitalisation, les douleurs abdominales s'amendent et les divers contrôles biologiques mettent en évidence une diminution rapide de la leucocytose et la CRP est à 67 mg/l le 06.02.2019 (125 mg/l le 05.02.2019). Devant la bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y peut retourner à domicile le 06.02.2019 où il poursuivra l'antibiothérapie par voie orale à raison de Ciproxine 2 x 500 mg/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour jusqu'au 13.02.2019 inclus. Durant son séjour, le patient a reçu un enseignement diététique pour un régime pauvre en fibres qu'il devra poursuivre durant un mois. Il s'agit d'un patient de 69 ans suivi par le Dr. X dans le contexte d'un carcinome urothélial papillaire de haut grade, G2-G3, pT1 et pTis de la vessie. Deux résections transurétrales de la vessie ont déjà été effectuées, l'une en juillet, l'autre en août 2018. Suspectant une récidive de la tumeur, le Dr. X retient l'indication à une nouvelle RTUV qui sera réalisée en électif le 13.02.2019. Les suites post-opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie et des urines revenant claires par la sonde, permettant ainsi son ablation le 15.02.2019. Après deux mictions sans résidu, Mr. Y peut regagner son domicile. Durant son séjour, le patient bénéficie d'une antibioprophylaxie par Cefuroxime 500 mg le 13.02.2019, puis par Ciproxine 500 mg du 14 au 15.02.2019 inclus, ainsi qu'une prophylaxie thromboembolique par Clexane. Il s'agit d'un patient de 73 ans, hospitalisé aux soins intensifs de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une décompensation de BPCO sur atélectasie obstructive du lobe inférieur gauche. Mr. Y est amené en ambulance à l'HFR de Riaz le 19.01.2019 en raison d'une dyspnée aiguë. Une pneumonie basale gauche est suspectée et un traitement de Ceftriaxone et de soutien respiratoire par ventilation non invasive est initié. L'évolution clinique et biologique est défavorable nécessitant une intubation ainsi qu'un soutien aminergique transitoire. Dans ce contexte, le patient est transféré aux soins intensifs de Fribourg. Une première bronchoscopie est effectuée le 20.01.2019, qui montre des sécrétions caséeuses obstruant tout l'arbre bronchique gauche. Dans ce contexte, et au vu d'un syndrome inflammatoire à la hausse, l'antibiothérapie est adaptée par de la Co-Amoxicilline. Le patient bénéficie d'une nouvelle bronchoscopie le 22.01.2019 par le Dr. X, pneumologue, qui découvre un corps étranger d'allure métallique dans le lobe inférieur gauche, qui ne peut être extrait. Proposition d'effectuer un CT thoracique de contrôle à 6 semaines et de rediscuter l'indication à une éventuelle bronchoscopie par les pneumologues à ce moment-là. Dans l'intervalle, le traitement antibiotique par Co-Amoxicilline est poursuivi pour une durée de 14 jours. Concernant le soutien respiratoire, Mr. Y peut être extubé sans complication immédiate. Des séances de VNI sont poursuivies en post-extubation et un traitement de la BPCO est introduit. Le patient reste légèrement hypercapnique. Un bilan pneumologique complet est à prévoir à distance. A noter que le patient présente un état confusionnel nouveau, apparu subitement 14 jours avant l'hospitalisation et bilanté en ambulatoire par une IRM cérébrale qui est sans particularité. Sur le plan neurologique, un état confusionnel est mis en évidence en post-extubation et nécessite un traitement par neuroleptique. Les investigations neurologiques sont à poursuivre à distance de l'épisode aigu. Le diagnostic évoque une possible démence débutante avec un délirium des soins surajouté. Ce délirium, initialement difficile à gérer, s'amende sous faible dose de Nozinan. Il est très important de majorer les doses des médicaments dépresseurs respiratoires sous surveillance chez ce patient insuffisant respiratoire à haut risque de carbonarcose. Mr. Y est transféré en médecine à Riaz pour la suite de la prise en charge le 27.01.2019. Le 29.01.2019, le patient présente une désaturation à 84 % sous 2 litres d'O2 avec des signes cliniques de surcharge, avec prise de 400 g en 1 jour et œdèmes des membres inférieurs. Une radiographie du thorax montre un épanchement pleural bilatéral de faible abondance prédominant à gauche, une hypoventilation bi-basale, un épaississement et des lésions d'infiltrat pulmonaire des deux bases pulmonaires raison pour laquelle nous instaurons un traitement de Torasémide. L'évolution sur le plan respiratoire est favorable, permettant avec un sevrage de l'oxygène le 08.02.2019 bien toléré par le patient.Sur le plan hématologique, le patient présente une anémie normocytaire hypochrome d'origine ferriprive et inflammatoire avec un déficit en fer. Il bénéficie d'une injection de 500 mg de Ferinject le 01.02.2019. A la sortie, nous notons une bonne réponse au traitement, avec une amélioration de l'anémie (hémoglobine à 126 g/l). Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y regagne son domicile le 13.02.2019. Il s'agit d'un patient de 73 ans, hospitalisé du 09.11.2018 au 28.11.2018 à l'hôpital d'Yverdon-les-Bains pour un épanchement pleural bilatéral, transféré par la suite en médecine à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour le reste des investigations. Durant ce séjour, l'épanchement a été investigué et l'hypothèse d'un lymphome vasculaire écarté. Le 09.01.2019, Mr. Y est admis dans le service de réadaptation gériatrique pour la suite de sa prise en charge. Le 24.01.2019, en sortant de son lit dans le service de gériatrie, le patient glisse et chute lourdement sur le côté gauche. Traumatisme crânien sans perte de connaissance. Le bilan radiologique met en évidence la fracture suscitée pour laquelle l'indication opératoire est retenue. Mr. Y est donc transféré dans le service d'orthopédie. L'intervention se déroule le 25.01.2019, sans complication. Les suites post-opératoires sont marquées par une anémie post-opératoire à J2 à 70 g/l, raison pour laquelle le patient reçoit deux culots érythrocytaires. Le contrôle biologique montre une hémoglobine qui se normalise à 103 g/l. La plaie opératoire évolue favorablement. Les radiographies post-opératoires sont satisfaisantes. La rééducation à la marche se fait à l'aide de la physiothérapie. Au vu des multiples comorbidités du patient, celui-ci est retransféré en réadaptation gériatrique le 31.01.2019. Il s'agit d'un patient de 75 ans qui souffre d'une coxarthrose gauche symptomatique pour laquelle, après bilan radio-clinique, le Dr. X retient l'indication à une arthroplastie totale, intervention qui se déroule sans complication le 30.01.2019. Les suites post-opératoires sont simples, avec un bon contrôle de l'antalgie. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises. Durant son séjour, le patient bénéficie d'une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour, qui sera relayée par Xarelto 10 mg/jour à la sortie, à poursuivre jusqu'au 17.03.2019 inclus. Vu la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 02.02.2019. Il s'agit d'un patient de 76 ans, connu pour une cardiopathie ischémique et une hypertension artérielle sous traitement, qui présente à 2 reprises à 48h d'intervalle une parésie et hypoesthésie du membre supérieur droit spontanément résolutif en l'espace de 2 heures. L'IRM cérébral montre plusieurs lésions ischémiques aiguës dans le territoire sylvien superficiel gauche. Sur le plan étiologique, l'angio-CT des vaisseaux pré-cérébraux met en évidence une plaque d'athérome mixte à la bifurcation carotidienne gauche avec une sténose de la carotide interne évaluée à 40%. Un US doppler des vaisseaux pré-cérébraux confirme la présence de cette plaque mixte, toutefois sans sténose hémodynamiquement significative. Ainsi, une origine artério-artérielle nous semble le plus probable. Cependant, une origine cardio-embolique n'est pas totalement exclue, c'est pourquoi un Holter sur 72 heures est posé pendant l'hospitalisation dont les résultats vous parviendront après leur interprétation. Sur le plan thérapeutique, nous recommandons une double antiagrégation par aspirine cardio 100 mg 1x/j et Plavix 75 mg 1x/j pendant 1 mois puis le Plavix seul. Nous débutons également un traitement par Rosuvastatine 40 mg 1x/j avec un cible de LDL < 1.8 mmol/L en prévention secondaire. La surveillance neurologique confirme l'absence de symptômes pendant toute son hospitalisation avec un NIHSS stable à 0 point. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois avec un US des vaisseaux pré-cérébraux. Il s'agit d'un patient de 78 ans connu pour une gonarthrose tricompartimentale pour laquelle le Dr. X retient, après bilan radio-clinique, l'indication à une arthroplastie totale, intervention qui se déroule sans complication le 06.02.2019. Les suites opératoires sont simples, le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et le contrôle biologique montre une hémoglobine à 111 g/l à 24 heures post-opératoire. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie standard habituelle. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises, ainsi que d'une mobilisation passive sur Kinétec. Une prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg/jour est instaurée et sera poursuivie durant 6 semaines post-opératoires. Vu la bonne évolution, le patient peut retourner à domicile le 12.02.2019. Il s'agit d'un patient de 78 ans, hospitalisé au RFSM CSH Marsens en raison d'idées suicidaires sur péjoration d'un état dépressif, qui nous est adressé en raison d'une réacutisation de goutte au niveau du genou droit. A l'entrée, le genou droit est tuméfié et douloureux à la palpation. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire élevé avec une CRP à 240 mg/l et une leucocytose à 13 G/l. Une cyto-ponction du genou droit est effectuée puis Mr. Y est mis sous antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g/jour. La ponction révèle la présence de cristaux (acide urique), des PNM 88%, monomacrophages 8, lymphocytes 4, glucose 5,67, protéines 42,2. Les résultats bactériologiques du liquide synovial et les hémocultures sont négatifs à 5 jours, raison pour laquelle l'antibiothérapie est stoppée. L'évolution est favorable, avec bonne gestion de la douleur par l'antalgie prescrite et l'immobilisation par attelle jeans. Le site de ponction du genou ne montre pas de signe de surinfection. Le 26.02.2019, Mr. Y se plaint de douleurs du genou gauche. En comparaison avec l'examen du genou droit, les signes cliniques s'avèrent très légers, notamment absence de chaleur, de rougeur ou de tuméfaction. Ces douleurs s'amendent spontanément le même jour, ne motivant donc pas d'indication à une ponction et/ou une immobilisation du membre inférieur gauche. Par ailleurs, la présence d'une exostose du versant du condyle tibial latéral, genou gauche motive la réalisation d'un CT le 23.02.2019. L'évolution est favorable, le patient arrive à se mobiliser sans l'attelle jeans et sans difficulté. Dès lors, après discussion avec nos collègues du RFSM CSH Marsens qui ne retiennent pas l'indication à un retour dans leur service, Mr. Y peut retourner à domicile le 27.02.2019. Le contrôle biologique à la sortie atteste de la diminution du syndrome inflammatoire, avec une CRP à 62 mg/l et des leucocytes à 12,6 G/l. En outre, Mr. Y se plaint de douleurs de la colonne lombaire, avec notion de chute à l'hétéro-anamnèse. Une radiographie de la colonne lombaire permet d'exclure toute lésion traumatique récente. Il s'agit d'un patient de 79 ans, aux antécédents suscités, suivi par le Dr. X suite à la découverte, lors d'un CT abdominal du 30.01.2019, d'une suspicion de cancer du rein gauche. L'indication opératoire est retenue et l'intervention est agendée au 20.02.2019.Sur le plan urologique, les suites post-opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie et bonne évolution clinique. Le patient est au bénéfice d'une antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 20.02 au 01.03.2019 inclus, puis selon contrôle à la consultation du Dr. X. Monsieur Y présente un pneumothorax sur perforation pleurale, traité de manière conservatrice et en régression sur les différentes radiographies de contrôle. Par ailleurs, mise en évidence d'une insuffisance rénale aiguë AKIN 1, raison pour laquelle nous sollicitons l'avis de la Dresse X, néphrologue, qui se montrera rassurante car, en présence d'un rein unique, la créatinine augmentera jusqu'à atteindre un plateau. Les valeurs seront à suivre à distance et Monsieur Y est stimulé à boire. L'évolution, tant clinique que biologique, étant favorable, Monsieur Y est autorisé à regagner son domicile le 26.02.2019, avec la sonde vésicale en place. Durant le séjour, le patient bénéficie d'une prophylaxie thromboembolique par Héparine 2 x 5000 unités/jour. Il s'agit d'un patient de 84 ans, aux co-morbidités et antécédents suscités, sous anticoagulation par Sintrom, qui glisse sur la neige et chute le 14.02.2019 en faisant un mécanisme en inversion du pied gauche. Le patient ressent de légères douleurs de la cheville gauche mais se déplace en charge, avec une boiterie antalgique. Devant la persistance des douleurs, Monsieur Y vous consulte le 18.02.2019 et, les radiographies montrant une fracture de la cheville gauche, vous nous l'adressez. Dans la salle d'attente des urgences, le patient présente un épisode de malaise vago-vagal sans syncope, spontanément résolutif. En ce qui concerne la fracture de la cheville, une attitude conservatrice est décidée et le patient est hospitalisé pour instauration d'une antalgie et apprentissage du retour à la marche. Lors du contrôle biologique en cours d'hospitalisation, mise en évidence d'un INR supra-thérapeutique, a priori sur surdosage du Sintrom, raison pour laquelle celui-ci est réadapté. Le patient se présentera à votre consultation le 22.02.2019 pour contrôle de l'INR et adaptation du Sintrom. L'évolution clinique est favorable, le patient est autonome pour ses déplacements, sous protection d'un Vacoped et de cannes anglaises. Il peut ainsi regagner son domicile le 20.02.2019. Il s'agit d'un patient de 84 ans connu pour une cardiopathie ischémique et hypertensive, ainsi que pour un statut post-PTH bilatérale, à droite en 1990. Monsieur Y est amené aux urgences par ambulance le 02.02.2019 suite à une chute mécanique de sa hauteur le jour même dans la matinée, après avoir glissé sur de la glace. Le patient décrit une réception directe sur la hanche droite, sans traumatisme crânien. Il réussit ensuite à se relever et à marcher, mais appelle les ambulanciers devant la présence de douleurs au niveau du pli de l'aine droit. Monsieur Y ne rapporte pas de plainte algique aux niveaux rachidien, thoracique ou abdominal. Le bilan radiologique réalisé aux urgences ne met pas en évidence de lésion osseuse et retrouve un matériel prothétique en bonne position. Cependant, en raison de l'importance des douleurs, Monsieur Y est hospitalisé dans le service de chirurgie orthopédique pour antalgie et physiothérapie de rééducation à la marche. Les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie simple et le patient est capable de marcher en charge à l'aide d'un rollator (rollator personnel qu'il utilise également à domicile) de manière autonome. Devant la bonne évolution, Monsieur Y peut retourner à domicile le 06.02.2019 où il bénéficiera d'une aide quotidienne pour aide à la toilette et habillage. Sur le plan électrolytique, une hyponatrémie normoosmolaire à 132 mmol/l est mise en évidence lors du bilan biologique d'entrée, ainsi qu'une rhabdomyolyse légère avec CK à 198 U/l. Le patient bénéficie d'une hydratation intraveineuse par NaCl 1000 ml/24 heures, ainsi que d'un suivi biologique qui retrouve des valeurs dans les limites normales lors du contrôle du 05.02.2019. Il s'agit d'un patient de 86 ans, sous Plavix, qui est amené aux urgences par ambulance le 26.02.2019 suite à une chute accidentelle de son balcon d'une hauteur d'environ 1,30 mètre dans des circonstances peu claires. Lors de la chute, Monsieur Y présente un traumatisme crânien avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle. A l'examen clinique, l'auscultation cardio-pulmonaire est sans particularité. Les paramètres hémodynamiques sont stables, le patient est collaborant. Présence d'une plaie superficielle de 2 cm de longueur au niveau pariétal droit, avec des berges nettes, sans corps étranger visible, sans écoulement actif ou perte de sensibilité. Sur le plan ostéo-articulaire, impotence fonctionnelle de l'épaule droite qui est douloureuse. Pas de déformation, sensibilité dans la norme, pouls périphériques palpés. Pas d'hématome, pas de douleur à la palpation de l'articulation acromio-claviculaire, ni sterno-claviculaire. Douleurs à la palpation de la partie médiale de la clavicule, ainsi que généralisées à la palpation de l'omoplate. Suspicion clinique de fractures des 3ème, 4ème et 5ème côtes vu la présence d'une faiblesse à la palpation. L'examen neurologique montre des pupilles en mydriase des deux côtés mais répondant à la lumière. Force et sensibilité conservées aux quatre membres. Nerfs crâniens dans la norme. Le patient présente une amnésie circonstancielle et un discours répétitif. Le bilan biologique est sans particularité hormis une leucocytose à 18,9 G/l sans CRP, que nous mettons dans le contexte du traumatisme. Un bilan par CT cérébro-cervico-thoraco-abdominal est effectué, mettant en évidence une fracture étagée des arcs moyens des 2ème, 3ème, 4ème et 5ème côtes droites avec emphysème des parties molles, sans pneumothorax, une fracture du tiers externe de la clavicule droite avec détachement d'un fragment osseux et une fracture déplacée de l'écaille de l'omoplate à droite. Le Dr. X, orthopédiste de garde, préconise une radiographie de l'épaule droite puis un Rücksack et un gilet orthopédique sont mis en place. Monsieur Y est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique. Une radiographie du thorax, effectuée le lendemain, 27.02.2019, permet d'exclure la présence d'un épanchement ou d'un pneumothorax. Sur le plan clinique, nous observons une stabilité et un bon contrôle de la douleur par une antalgie orale simple. Toutefois, au vu des nombreuses co-morbidités de Monsieur Y, de son âge avancé et dans ce contexte de chutes à répétition, nous le transférons dans le service de gériatrie aiguë pour suite de la prise en charge et réalisation d'un bilan plus approfondi. Le transfert a lieu le 28.02.2019. Il s'agit d'un patient qui a bénéficié d'un traitement conservateur de la fracture susmentionnée avec une bonne évolution radioclinique. Fin de traitement. On reste à disposition si nécessaire. Il s'agit d'un patient qui a bénéficié d'un traitement par plâtre de décharge à but antalgique suite à une chute il y a un mois en faisant du ski. Le contrôle à la policlinique montre une bonne évolution clinique. Pour cette raison, le patient peut reprendre le sport. Il n'est pas nécessaire de prolonger l'immobilisation. Nous restons toutefois à disposition si nécessaire. Il s'agit d'un patient qui a fait un AVP 30 km/h le 27.02 avec TC sans PC sous OH. Il consulte le lendemain à Tavel où une fracture non déplacée du sinus frontal est mise en évidence. Un avis ORL préconise un traitement conservateur sous couvert de co-amoxiciline 1 g 2x/j x 7 jours. Il sera revu le 11.03 à 15h30 à sa consultation.En ce qui concerne la fracture du poignet gauche, une indication opératoire est posée. Les risques et bénéfices de l'intervention sont expliqués et le consentement éclairé est signé. L'intervention se déroule le .... sans complication. Le contrôle radiologique post-opératoire est satisfaisant. Les suites opératoires sont simples avec des plaies calmes. Retour à domicile le ... Il s'agit d'un patient victime d'une chute de sa hauteur réceptionnée sur le poignet gauche avec torsion de la cheville gauche le 04.02.2019. Les investigations mettent en évidence le diagnostic sus-mentionné. Une indication à un traitement conservateur par l'immobilisation dans plâtre du poignet ainsi qu'une charge selon douleurs dans une attelle AirCast au niveau de la cheville gauche est posée. Mr. Y bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant le séjour et doit le continuer hors de l'hospitalisation jusqu'à la charge complète du membre inférieur gauche. On organise le retour à domicile le 06.02.2019. Mr. Y sera revu dans une semaine pour un contrôle clinique ainsi que pour la circularisation du plâtre au niveau du poignet. Il s'agit d'une douleur plutôt inhabituelle. Dans la situation actuelle, je préconise une infiltration de l'insertion du deltoïde. Celle-ci est agendée pour le 29.03.2019. Il s'agit d'une entorse simple sans instabilité claviculaire. Pas d'attitude active de ma part. Je me tiens toutefois à disposition si nécessaire. Il s'agit d'une épicondylite radiale classique. Je préconise une infiltration avec avivement de l'origine des extenseurs. Celle-ci est programmée pour le 15.02.2019. Je reverrai Mr. Y le 13.03.2019. Il s'agit d'une inflammation post-traumatique des pronateurs de l'avant-bras. Nous prescrivons à Mme. Y des séances de physiothérapie à but anti-inflammatoire et ondes de choc. Pas d'autre contrôle à notre consultation, nous restons à disposition. Il s'agit d'une lésion de la plaque palmaire qui mérite un traitement conservateur par mise en place d'une attelle en 8 pour une durée de 2 semaines puis syndactylie. J'ai prévu un contrôle chez moi dans 2 semaines le 13.03.2019 pour faire le point et adapter la syndactylie. Il s'agit d'une lésion sous-totale du tendon EPL, sans déficit d'extension en actif. Mme. Y a vécu avec cette situation durant un mois, sans qu'il y ait une rupture secondaire du tendon extenseur. Je ne retiens donc pas d'indication pour une révision du site. Pour la forme, immobilisation du pouce pour encore 2 semaines par une attelle auto-stop, afin d'éviter une rupture secondaire. Je reverrai Mme. Y d'ici 2 semaines pour enlever l'attelle et commencer un traitement d'ergothérapie pour mobiliser à nouveau le pouce. J'espère qu'avec ces mesures on arrive à éviter une rupture secondaire de la fibre résiduelle. Prochain rendez-vous le 11.03.2019. Il s'agit d'une pathologie plutôt inhabituelle. Avant de proposer une chirurgie, je vais d'abord juger celle-ci par une infiltration intra-articulaire programmée pour le 1er mars 2019. La prise en charge va se discuter par la suite en fonction du résultat de cette infiltration. Il s'agit d'une patiente de 16 ans, primigeste, à 8 2/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption de grossesse, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption chirurgicale. Mme. Y accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vu d'une bonne évolution clinique, Mme. Y rentre à domicile ce jour et elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 17 ans, 1G0P, à 5+4 SA selon DDR (24.12.19), se présentant en urgence pour douleurs sus-pubiennes crampiformes 6/10 30 min après la prise du Cytotec dans le cadre d'une IVG médicamenteuse à domicile. Prise de myfégine le 30.01 et Cytotec 400 mcg ce jour à 11h00. Mme. Y signale de légères traces de sang rouge en augmentation sans caillot. Pas de prise d'antalgie. Au status d'entrée : Normo TA Normo FC, apyrétique, abdomen indolore à la palpation. Au spéculum, le col fermé post. Sang en trace. Le TV est indolore. Stix : Sang +++, Leuco +, nitrite +. US : GIU en voie d'expulsion après prise de Cytotec 400 mcg ce jour. Pas de LLD. Annexes sp. Mme. Y n'expulse pas le produit de conception après avoir reçu au total deux doses de Cytotec (1/2x400ug). Au vu de l'amélioration de ses douleurs, et après discussion avec elle, elle rentre à domicile le soir même, avec un contrôle prévu à 7-10 jours à la consultation du Dr. X. Elle est informée des signes qui devront l'amener à consulter en urgence. Il s'agit d'une patiente de 18 ans que vous adressez à la consultation du Dr. X en raison d'une fracture déplacée du tiers moyen de la clavicule gauche suite à une chute à ski. Après discussion quant aux options thérapeutiques, il est décidé d'une prise en charge chirurgicale. L'intervention se déroule le 25.02.2019 sans complication. Mme. Y est gardée pour surveillance en lit d'observation car, à la fin de l'intervention, elle présente une tachycardie sinusale fluctuant entre 110 et 130/minute. L'ECG montre une tachycardie sinusale avec un trouble aspécifique de la repolarisation, une onde T négative en D3 et QTCa 440 (consilium Dr. X). Pendant l'observation, la fréquence diminue graduellement et, à la sortie, la fréquence cardiaque est à 98/minute, régulière. Une radiographie du thorax permet d'exclure un pneumothorax et un ultrason des vaisseaux du membre supérieur ne met pas en évidence de lésion vasculaire ni d'hématome. Dr. X préconise un contrôle ECG à distance, ainsi que de la TSH. En cas de persistance de cette tachycardie, nous vous laissons le soin d'adresser Mme. Y à un cardiologue pour évaluation de l'introduction éventuelle d'un bêta-bloqueur. Le bilan biologique du 25.02.2018 montre une hémoglobine à 128 g/l, des thrombocytes à 318 G/l, sodium 134 mmol/l, potassium 4,2 mmol, leucocytes 10,1 G/l. Sur le plan orthopédique, les douleurs sont bien contrôlées par AINS et Tramal. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Mme. Y porte initialement un gilet orthopédique, puis une écharpe. Elle peut effectuer une mobilisation active assistée de l'épaule en abduction-élévation de 90°, avec rotations libres. Une mobilisation régulière du coude est à effectuer afin d'éviter des raideurs à ce niveau. Devant la bonne évolution clinique, Mme. Y peut retourner à domicile le 26.02.2019. Il s'agit d'une patiente de 18 ans, 1G 0P, à 9 4/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption médicamenteuse de grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption chirurgicale. Mme. Y accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. On pose un stérilet Jaydess en per opératoire. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vu d'une bonne évolution clinique, Mme. Y rentre à domicile ce jour et elle revient pour un contrôle échographique dans 6 semaines en ambulatoire.La patiente accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. On pose un stérilet Jaydess en per opératoire. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile ce jour et elle revient pour un contrôle échographique dans 6 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 19 ans, 1G 0P, à 6 5/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption médicamenteuse de grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente a expulsé après avoir reçu 2 doses de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 19 ans, 1G 0P, à 7 4/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption médicamenteuse de grossesse, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. La patiente a expulsé après avoir reçu 2 doses de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 19 ans, 1G 0P, à 7 4/7 semaines d'aménorrhée, connue pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente n'a pas expulsé après avoir reçu 1 dose de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 10 jours en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 19 ans, 1G0P, à 7 1/7 semaines d'aménorrhée, connue pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente a expulsé après avoir reçu 1 dose de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 22 ans, 1G 0P, à 7 3/7 semaines d'aménorrhée, connue pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente a expulsé après avoir reçu 1 dose de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 22 ans, 2G0P, à 6 0/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption médicamenteuse de grossesse, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. L'expulsion n'a pas été objectivée après avoir reçu 2 doses de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 10 jours en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 23 ans, connue pour une épilepsie, suivie par le Dr. X, sous traitement de Lamotrigine et Zonegran. Elle se retrouve le 08.02.2019 à terre, dans la salle de bain. La patiente ne décrit pas avoir ressenti de prodrome, ni d'état post-critique au réveil alors qu'habituellement, après ses crises, elle présente une fatigue. Lors de sa chute, elle se fait deux plaies de l'aile nasale gauche avec déviation du nez vers la droite. Absence de morsure latérale de la langue, pas de perte d'urine. La durée exacte de l'épisode est inconnue mais la patiente parle d'une dizaine de minutes. Au status des urgences, Glasgow 15/15, patiente orientée dans les trois modes. Pupilles isocores et isoréactives. Nerfs crâniens sans particularité. Force M5 aux quatre membres. Sensibilité, tonus conservés aux quatre membres. Épreuves doigt-nez, talon-genou conservées. Romberg tenu, marche conservée. Sur le plan ostéo-articulaire, la palpation de la colonne vertébrale est indolore. Le massif facial est douloureux à la palpation en regard de l'os propre du nez et au niveau frontal gauche. Hématome en regard de l'os propre du nez, avec déviation nasale vers la droite. Douleurs de l'épaule gauche en regard de la tête humérale. Thorax et bassin stables, indolores à la compression. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Au vu de ce traumatisme crânien dans un contexte d'une probable crise d'épilepsie, la patiente est hospitalisée dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique. L'évolution est favorable, avec diminution de la symptomatologie douloureuse et un status neurologique sans péjoration. Le 09.02.2019, la patiente peut rentrer à domicile où elle continuera l'antibiothérapie suscitée. Il s'agit d'une patiente de 24 ans, 1G 0P, à 6 5/7 semaines d'aménorrhée, connue pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente a expulsé après avoir reçu deux doses de Cytotec (400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 24 ans, 4G 2P, à 9 5/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption de grossesse, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption chirurgicale. La patiente accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Le stérilet est posé en per opératoire. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile ce jour et elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 27 ans, 2-gestes 1-pare, à 31 4/7 semaines d'aménorrhée, qui est hospitalisée dans notre service pour investigation d'une hypertension artérielle. Nous diagnostiquons une pré-éclampsie modérée avec une protéinurie de 24h positive et nous débutons une cure de maturation pulmonaire les 04 et 05.02.2019. Elle est hospitalisée pour surveillance. Les bilans initiaux sont en ordre avec une patiente asymptomatique ainsi que des tensions et surveillances paracliniques (laboratoire et US) stables. Une péjoration de son état clinique dès le 17.02.2019 avec des céphalées et un bilan tensionnel altéré, ce qui motive l'initiation de la provocation sous traitement par sulfate de magnésium. La patiente est provoquée par 2 Propess et un Ballonnet. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à une fille de 1985g admise en néonatologie pour prématurité. L'accouchement est compliqué par une atonie utérine non-hémorragique, motivant une révision des 3 étages et traitée par Syntocinon 20 IU et Cyklokapron 1gr iv, avec une bonne évolution. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. La patiente présente toutefois toujours une hypertension en post-partum, motivant l'instauration d'un traitement par Trandate. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future est à rediscuter. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile le 22.02.2019. Il s'agit d'une patiente de 28 ans, primigeste, à 6 6/7 semaines d'aménorrhée, connue pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente a expulsé après avoir reçu 1 dose de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 30 ans, 2G 3P, qui se présente en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes et contractions utérines irrégulières, désireuse d'un accouchement par voie basse.Provocation de l'accouchement par complément de rupture. Antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole. Travail soutenu par Syntocinon. A 7 cm de dilatation, devant des douleurs de la cicatrice avec des métrorragies et un CTG suspect nous suspectons une pré-rupture utérine et indiquons une césarienne en urgence 30 minutes. L'intervention est effectuée le 21.02.2019 et se déroule sans complication, confirmant la pré-rupture utérine. La patiente donne naissance à une fille de 3200 gr de bonne adaptation néonatale. Les suites de couche sont simples et la patiente reste afébrile. Devant une anémie spoliative symptomatique, une perfusion de Ferinject 1000 mg est réalisée pendant son séjour. Au vu de la constellation rhésus, nous administrons une dose de Rhophylac en post-partum. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par préservatif et la patiente est avertie du risque de grossesse en absence de contraception. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.02.2019 et sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. Il s'agit d'une patiente de 30 ans, 4G2P, à 6 3/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption médicamenteuse de grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente a expulsé après avoir reçu 1 dose de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 30 ans, 9G 0P, suivie en PMA pour infertilité secondaire, admise pour un curetage évacuateur d'une grossesse sur FIV arrêtée à 9 2/7 semaines d'aménorrhée. La patiente était sous traitement par Clexane arrêté le 18.02.2019. Elle accepte le curetage évacuateur et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile ce jour et elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 31 ans, 1 geste 0 pare, qui présente un utérus polymyomateux symptomatique (2 volumineux myomes sous-muqeux antérieur de 6.2 x 5 x 5.7 cm, (FIGO 2) et myome sous-séreux gauche de 4.5 x 3.8 x 3.6 cm (FIGO 6) avec hyperménorrhée anémiante. Après discussion des différentes possibilités thérapeutiques, la patiente opte pour un traitement chirurgical avec myomectomie par laparoscopie. La patiente accepte l'intervention en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 12.02.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue dans 10 jours à la consultation du Dr. X. Il s'agit d'une patiente de 31 ans, 2G1P, à 5 5/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption médicamenteuse de grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente a expulsé après avoir reçu 1 dose de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 31 ans, 4 gestes 0 pares, à 8 5/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption de grossesse par curetage. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption chirurgicale. La patiente accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. A l'entrée, la patiente signale de légères métrorragies, mais le contrôle échographique retrouve une grossesse intra-utérine persistante évolutive. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile ce jour et elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 31 ans, 6G 2P, à 7 6/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption médicamenteuse de grossesse non désirée, sans ambivalence. On propose aussi une pose de stérilet Mirena. La patiente accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile ce jour et elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 32 ans connue pour un antécédent de colique néphrétique droite il y a 7 ans. Depuis le 22.02.2019, elle présente des douleurs constantes en fosse iliaque droite, avec paroxysmes douloureux sur fond fébrile (température maximale mesurée à domicile 41°). Les douleurs n'étant que peu soulagées par la prise d'anti-inflammatoires, la patiente se présente aux urgences de l'HFR Riaz. Notion de brûlure mictionnelle avec pollakiurie et dysurie ces derniers jours. Au status d'entrée, la patiente est fébrile à 38,5°. L'abdomen est souple, sensible en fosse iliaque droite, sans défense ni détente. Les bruits intestinaux sont normaux en fréquence et en tonalité. La percussion des loges rénales est douloureuse à droite. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 43 mg/l, une leucocytose à 11,6 G/l. Au vu de l'état hautement fébrile, des hémocultures sont prélevées. Le bilan est complété par un ultrason abdominal et un CT qui montrent une hydronéphrose droite avec pyélon mesuré à 17 mm, une infiltration péri-rénale, une dilatation de l'artère lombaire droite. Dans le petit bassin droit, mise en évidence d'une structure circulaire dense d'environ 5 mm de diamètre pouvant correspondre à un calcul urétéral distal. Nous sollicitons l'avis du Dr. X, urologue de garde, qui préconise l'administration d'une dose unique de Rocéphine 2 g iv et il procède, le 23.02.2019, à la mise en place d'une sonde double J en urgence. Les suites post-opératoires sont simples, avec bonne évolution clinique, ce qui permet de retirer la sonde vésicale le 25.02.2019. Elle peut ainsi retourner à domicile le 26.02.2019. Au cours de son hospitalisation, la patiente bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv/jour du 23 au 25.02.2019, avec relais per os par Ciproxine 2 x 500 mg/jour du 26.02 au 06.03.2019, puis 1 x 500 mg/jour jusqu'au 11.03.2019 inclus. Il s'agit d'une patiente de 32 ans, 3G 2P, à 7 1/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption médicamenteuse de grossesse, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente a expulsé après avoir reçu 1 dose de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 10 jours en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 34 ans, 1 geste 1 pare, hospitalisée pour une conisation pour dysplasie de haut grade du col de l'utérus. La patiente accepte l'intervention en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 13.02.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et favorables, raison pour laquelle la patiente rentre à domicile le même jour de l'intervention. Il s'agit d'une patiente de 34 ans, 4G 3P, à 7 5/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption médicamenteuse de grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente a expulsé après avoir reçu 1 dose de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 36 ans, 8 gestes 1 pare, ayant subi une interruption médicamenteuse de grossesse par Mifegyne le 24.11.2018 et Cytotec le 26.11.2018 à 7 5/7 semaines d'aménorrhée, sans expulsion objectivée. Un traitement par Cytotec a été initié sans succès. La patiente est admise ce jour pour une hystéroscopie diagnostique avec curetage évacuateur et pose de DIU en per opératoire. La patiente accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Le stérilet est posé en per opératoire. Les suites post-opératoires sont favorables. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile ce jour et elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 37 ans, 4G 2P à 7 semaines d'aménorrhée, connue pour une grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente n'a pas expulsé après avoir reçu 1 dose de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 10 jours en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 38 ans, 2G 1P, à 6 1/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption médicamenteuse de grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente a expulsé après avoir reçu 2 doses de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Il s'agit d'une patiente de 38 ans, 3 gestes 2 pares, qui présente un utérus adénomyosique symptomatique à titre de méno-métrorragies résistantes au traitement médicamenteux et de dysménorrhée. La patiente souhaite une hystérectomie après discussion des différentes options thérapeutiques. La patiente signe le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 05.02.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue dans 10 jours à la consultation du Dr. X. Il s'agit d'une patiente de 40 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte les urgences de l'HFR Riaz le 14.02.2019 pour des épigastralgies transfixiantes apparues la veille, accompagnées de vomissements alimentaires lors des pics douloureux. La patiente décrit une notion d'épisode similaire, d'intensité plus faible et de résolution spontanée, dans le passé. A l'examen clinique aux urgences, abdomen souple, dépressible, sans défense, ni détente. Douleurs à la palpation de l'abdomen supérieur, bruits intestinaux normaux. Le bilan biologique montre des signes de cholestase avec prédominance de la bilirubine conjuguée, ainsi que des signes de cytolyse, une CRP à 8 mg/l et une leucocytose à 14,5 G/l. Dans ce contexte, nous réalisons un ultrason abdominal qui met en évidence une dilatation des voies biliaires, avec épaississement de la paroi du cholédoque. Le bilan est complété par une cholangio-IRM qui révèle une vésicule biliaire lithiasique, avec début d'hydrocholécyste et une lame de liquide péri-vésiculaire, ainsi que deux calculs dans le cholédoque. Mme. Y est hospitalisée dans le service de chirurgie où elle bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv/jour du 14 au 24.02.2019 et Flagyl 3 x 500 mg iv/jour du 14 au 22.02.2019. La patiente est mise à jeun et une ERCP est effectuée le 18.02.2019 par le Dr. X de l'HFR Fribourg : tentative d'extraction de deux concréments du canal hépatique commun qui échoue en raison d'un cholédoque trop étroit. Réalisation d'une papillotomie et mise en place d'un stent de polyéthylène. L'examen révèle des cholécystolithiases multiples. Au vu de l'échec, la réalisation d'une seconde ERCP est agendée au 04.03.2019, avec une consultation pré-anesthésique prévue pour le 01.03.2019 à 09h40. Suite à l'ERCP, la patiente présente, le 19.02.2019, une pancréatite traitée conservativement. Vu la bonne évolution clinique et la normalisation progressive des tests hépato-pancréatiques et de la CRP, Mme. Y peut retourner à domicile le 25.02.2019 avec un contrôle clinico-biologique prévu en policlinique de chirurgie le 28.02.2019. L'antibiothérapie est relayée per-os dès le 23.02.2019 à raison de Flagyl 3 x 500 mg/jour et Ciprofloxacine 2 x 500 mg/jour à poursuivre jusqu'au 04.03.2019 inclus. En outre, une thromboprophylaxie par Clexane 40 mg sc/jour a été prescrite durant l'hospitalisation. Il s'agit d'une patiente de 41 ans, connue pour deux antécédents de pyélonéphrite en 2016 et 2017, la première avec sepsis sévère sur néphrolithiase, qui vient pour une clinique typique de pyélonéphrite gauche. Le sédiment urinaire montre des signes infectieux, raison pour laquelle nous envoyons un uricolt à pister. Sur avis du Dr. X, chirurgien, nous réalisons une prise de sang qui montre un syndrome inflammatoire modéré avec une leucocytose à 11,4 G/l, sans augmentation de la CRP. Ainsi qu'une échographie qui ne montre pas de dilatation pyélocalicielle ni de signe de néphrolithiase. Ainsi avec le Dr. X, de médecine interne, nous concluons à une pyélonéphrite gauche simple, pour laquelle nous administrons une dose iv de Rocéphine 2 g avec prescription de Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour jusqu'au 07.03.2019 et une antalgie simple. La patiente peut rentrer à la maison, nous lui organisons un contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 03.03.2019 et nous rendons attentif le médecin traitant de la présence d'un E. Coli résistant à la Ciprofloxacine lors de la pyélonéphrite de 2016. Nous lui fournissons un arrêt de travail jusqu'au 01.03.2019 à réévaluer et invitons la patiente à reconsulter les urgences en cas de fièvre ou d'évolution clinique défavorable. Il s'agit d'une patiente de 41 ans connue pour une incontinence de stress grade II et de type urgence, avec leucoplasie du trigone, pour laquelle le Dr. X propose la pose d'une bandelette sous-urétrale de type TOT en mode électif le 13.02.2019. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples, avec une bonne gestion de l'antalgie. La sonde vésicale et la compresse vaginale sont retirées le 14.02.2019 et, après vérification par bladder-scan de l'absence de résidu mictionnel, la patiente peut retourner à domicile. Elle sera revue à la consultation du Dr. X pour contrôle. Il s'agit d'une patiente de 44 ans, 2G 1P, à 7 1/7 semaines d'aménorrhée, admise pour interruption médicamenteuse de grossesse non désirée, sans ambivalence. Au vu de l'âge gestationnel, nous lui proposons une interruption médicamenteuse par Mifegyne et Cytotec. Elle accepte et signe le consentement éclairé. La patiente a expulsé après avoir reçu 1 dose de Cytotec (1 x 400 ug). Elle revient pour un contrôle échographique dans 4 semaines en ambulatoire. Dans l'intervalle, elle utilisera le préservatif avant la pose d'un stérilet en cuivre. Il s'agit d'une patiente de 45 ans, aux antécédents et co-morbidités suscités, qui chute sur les fesses suite à une glissade le 20.02.2019. Mme. Y est amenée aux urgences par ambulance. Douleurs importantes au pli inguinal droit et impotence fonctionnelle. A l'examen clinique, douleurs de la hanche droite particulièrement au mouvement de rotation, sensibilité conservée, bassin stable. Rachis indolore à la percussion. Abdomen et loges rénales souples et indolores.L'hémoglobine reste stable depuis la chute. Le bilan radiologique, complété par un CT, met en évidence une fracture des branches ilio et ischio-pubiennes et du sacrum, non déplacée. De plus, cet examen montre du liquide libre dans l'abdomen, raison pour laquelle nous effectuons un CT injecté qui permet d'exclure un saignement abdominal et de poser le diagnostic d'ascite. Selon le chef de clinique de médecine interne, Dr. X, il n'y a pas d'indication à effectuer une ponction, le liquide étant de modeste quantité. Mme. Y est hospitalisée dans le service d'orthopédie pour traitement conservateur par antalgie et initiation d'une physiothérapie de mobilisation. La marche se fait en charge selon douleurs, sous une antalgie efficace. Nous procédons à un suivi régulier de l'hyponatrémie chronique et de l'insuffisance rénale (copies du laboratoire annexées). L'évolution est favorable avec une créatinine à 110 umol/l le 26.02.2019 (170 le 24.02.2019). L'hydratation intraveineuse est arrêtée et la patiente peut s'hydrater librement. Le bilan entrée-sortie ainsi que le poids ont été suivis de manière journalière. Notons une augmentation pondérale durant le séjour, la patiente passant de 48 à 52 kg, pour se stabiliser à cette dernière valeur. En raison de l'insuffisance rénale, le traitement par Digoxine est mis en suspens (digoxinémie à 1,6 le 26.02.2019). La prise d'une dose unique de Digoxine est prévue pour le 01.03.2019. Nous laissons le soin à nos collègues de l'HFR Billens de suivre cette valeur et d'adapter le traitement en fonction du résultat. En outre, le traitement d'Aldactone est mis en suspens jusqu'au 26.02.2019, puis est repris comme à son habitude. Une prophylaxie par Clexane n'étant pas possible, la patiente reçoit 2 x 5000 UI/jour de Liquémine. La leucopénie reste stable entre 2,6 G/l et 2,9 G/l, les plaquettes entre 83 et 89 G/l durant le séjour. Devant la bonne évolution radio-clinique, Mme. Y est transférée à l'HFR Billens le 28.02.2019. Il s'agit d'une patiente de 48 ans, en BSH sans médication, qui a chuté de sa hauteur sur une plaque de glace le 05.02.2019. La patiente rapporte avoir senti un craquement au niveau de la cheville droite et d'avoir ressenti de fortes douleurs à 7/10 avec une impotence à la marche. Les douleurs sont soulagées par la prise de Fentanyl 100 mcg et Dafalgan 1 g. Elle ne présente pas d'autres zones douloureuses. Pas de notion de TC ni de PC. La patiente rapporte également avoir une hernie discale avec des lombo-sciatalgies droites. L'examen clinique de la cheville droite met en évidence un hématome en regard de la malléole interne ainsi qu'une déformation face interne tiers distal du tibia, une douleur à la palpation de la face interne et externe de la cheville ainsi qu'au niveau du coup du pied. Pas de douleur à la palpation des métatarses et des orteils. Hypoesthésie de la malléole interne mais pas de trouble de la sensibilité en distalité, pas de trouble moteur, pas de trouble vasculaire, pas de menaces de l'intégrité cutanée. La palpation du rachis est non douloureuse et la mobilité du rachis n'est pas limitée. Le reste du body check est indolore à la palpation avec une mobilité non limitée. On retrouve également une hypoesthésie de la face latérale de la cuisse droite dans le contexte de l'hernie discale. La radiographie de la cheville droite met en évidence une fracture bi-malléolaire avec suspicion de fracture du fragment de Volkman. Un CT de la cheville confirme une fracture Weber B trimalléolaire. Nous effectuons une réduction fermée puis un plâtre. La patiente est informée de la nécessité d'une réduction ouverte par ostéosynthèse et les risques et bénéfices de cette intervention lui sont expliqués. La patiente donne son consentement et sera opérée lorsque la tuméfaction de la cheville aura suffisamment diminué. La patiente nous signale avoir une coagulopathie (mutation génétique type II) et nous informe que son mari apportera les documents avec plus d'informations à ce sujet. Une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg 1x/j est à débuter ce jour. Dans ce contexte, la patiente est transférée à l'étage d'orthopédie. Il s'agit d'une patiente de 51 ans, qui est admise dans notre service pour un kyste de la glande de Bartholin surinfecté et symptomatique (tuméfaction, douleur et rougeur sans fièvre). Après un échec de traitement médicamenteux (Ibuprofen et Ichtolan) pendant 48 h, on lui propose un drainage au bloc opératoire que la patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. On procède à une biopsie de la capsule du kyste ainsi qu'un frottis de l'écoulement purulent. Les suites post-opératoires sont simples et favorables et la patiente peut regagner son domicile le jour même en fin de soirée en bon état général. Il s'agit d'une patiente de 51 ans qui présente une cholélithiase symptomatique, raison pour laquelle Dr. X retient l'indication à une cholécystectomie laparoscopique, intervention organisée pour le 04.02.2019 en électif. Les suites post-opératoires sont simples, Mme. Y est hospitalisée pour gestion de l'antalgie et, le 05.02.2019 au matin, le statut abdominal est dans la norme, les douleurs sont contrôlées. Mme. Y peut retourner à domicile le 05.02.2019. Il s'agit d'une patiente de 57 ans qui souffre de douleurs chroniques de l'épaule gauche. Un bilan par arthro-IRM organisé par Dr. X met en évidence une lésion postéro-supérieure transfixiante de la coiffe des rotateurs, associée à une très probable instabilité du long chef du biceps, avec une ancre et une poulie effilochées ainsi qu'une arthrose AC. Au vu de la gêne de la patiente, Dr. X retient l'indication pour une intervention chirurgicale qui se déroule le 28.01.2019, sans complication. Les suites post-opératoires sont simples. La mobilisation se fait à l'aide de la physiothérapie. La plaie opératoire évolue favorablement. La radiographie post-opératoire est satisfaisante. L'antalgie est d'abord gérée par un cathéter interscalénique, suivie d'un traitement per os. Au vu d'une évolution favorable, Mme. Y regagne son domicile le 31.01.2019. Il s'agit d'une patiente de 64 ans, connue pour les antécédents et comorbidités suscités, qui consulte aux urgences pour des douleurs abdominales apparues le matin même, en barre, persistantes, augmentant progressivement en intensité jusqu'à atteindre EVA 10/10, associées à des nausées et à des vomissements (odeur fécale selon la patiente). À noter une tendance à la constipation habituelle, dernières selles hier matin, en petite quantité, pas d'arrêt des gaz. Pas de fièvre, pas d'appétit alimentaire. À l'admission, la patiente est légèrement hypertendue. Auscultation cardio-pulmonaire sans particularité, pouls périphériques perçus. L'abdomen est souple, dépressible, sans défense, ni détente, pas de douleur à la palpation (post-administration de Fentanyl), bruits hydro-aériques normaux. Loges rénales indolores à la percussion. Le bilan biologique montre une lipase à 171 U/l, amylase 137 U/l, pas de syndrome inflammatoire. Lactate 0.8 mmol/l. Un CT abdominal est effectué, mettant en évidence un iléus grêle avec saut de calibre de l'iléon distal sur probable statut adhérentiel post-annexectomie bilatérale, hystérectomie et omentectomie. Il n'y a pas de signe de souffrance ni de manifestation tumorale visible. Nous retenons le diagnostic d'iléus mécanique du grêle sur bride au niveau de l'iléon distal. La patiente est mise à jeun et une sonde nasogastrique en aspiration est mise en place. Mme. Y est hospitalisée dans le service de chirurgie pour suite de la prise en charge.Au cours du séjour, la symptomatologie reste stable, sans péjoration ni amélioration clinique. Les différents examens biologiques reviennent alignés avec résolution de la leucocytose objectivée à l'entrée. Un ASP effectué le 13.02.2019 ne met pas en évidence de distension digestive significative. Une hypokaliémie à 2.7 mmol/l, mise en évidence le 15.02.2019, est substituée par 40 mmol de KCL par litre de perfusion. Trois essais de restimulation du péristaltisme par 100ml de Mannitol 25g/500ml per-os se soldent par un échec. Le 15.02.2019 dans la soirée, la patiente présente une asthénie nouvelle avec frissons occasionnels, sensation de chaleur, des brûlures mictionnelles, ainsi qu'une toux avec expectorations blanchâtres. Mme. Y est subfébrile à 37.8°. L'auscultation pulmonaire est dans la norme. Un stix ainsi qu'un sédiment urinaires ne montrent pas de signes d'infection urinaire et une radiographie de thorax effectuée en urgence ne met pas en évidence de foyer pulmonaire. Une prise de sang effectuée dans les mêmes délais révèle une leucopénie à 3.5 G/l ainsi qu'une augmentation nouvelle de la CRP à 72 mg/l. Au vu de ces éléments, un CT abdominal est effectué le soir même, montrant la persistance de l'iléus décrit précédemment, sans signe de souffrance, avec du liquide libre en quantité stable par rapport au dernier CT abdominal. Devant la péjoration de son état clinique, la patiente est transférée le 15.02.2019 à l'HFR Fribourg en vue d'une éventuelle intervention chirurgicale en urgence. Il s'agit d'une patiente de 67 ans, connue pour un antécédent d'épilepsie traitée de 1993 à 2008, qui présente une perte de connaissance en rue, avec chute et TC ainsi qu'une amnésie circonstancielle. À l'arrivée des secours, Mme. Y présente un GCS à 8/15, qui s'améliore spontanément jusqu'à 14/15. Elle est hémodynamiquement stable, ne présente pas de signe de latéralisation, la glycémie est dans la norme. À l'arrivée au service des urgences, la patiente est consciente, désorientée dans l'espace, orientée dans le temps avec un status neurologique dans la norme. Il est objectivé une morsure du bord latéral de la langue du côté droit. Nous suspectons en premier lieu une récidive de crise d'épilepsie chez cette patiente. Un EEG, effectué dès le lendemain, ne montre cependant pas de foyer épileptique. Dr. X, neurologue, propose un traitement de Vimpat 50 mg 2x/j pour une durée de 3 ans au minimum et un suivi au Neurocentre Fribourg avec un EEG à 6 mois. Comme trigger à cette nouvelle crise, nous mettons en évidence une infection urinaire simple. Un traitement par Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j pour 5 jours est initié. Sur le plan hématologique, nous retrouvons une anémie normochrome, normocytaire. Le bilan que nous réalisons met en évidence une carence en acide folique que nous substituons. Sur le plan néphrologique, elle présente également une insuffisance rénale chronique G3A3 et d'origine probablement rénale, associée à une microalbuminurie. La patiente sera suivie en ambulatoire par notre service de néphrologie pour suite d'investigations. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 12.02.2019. Il s'agit d'une patiente de 69 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences le 19.02.2019 en raison de douleurs épigastriques crampiformes paroxystiques sur un fond continu progressif depuis le 13.02.2019, accompagnées de nausées et d'un épisode de vomissements. Pas de notion d'état fébrile, de trouble du transit ou de trouble fonctionnel urinaire. Pas de douleur rétrosternale. Il s'agit d'un premier épisode de la sorte décrit par la patiente. À l'examen clinique, patiente en bon état général, bien hydratée, bien perfusée, anictérique. L'auscultation cardio-pulmonaire est sans particularité. Sur le plan digestif, l'abdomen est souple à la palpation, sensible au niveau épigastrique, sans défense, ni détente. Les bruits abdominaux sont diminués en fréquence et en tonalité. Signes de Rovsing, McBurney et Murphy négatifs. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 71 mg/l et une leucocytose à 11,3 G/l. Présence d'une cystolyse avec ASAT à 279 U/l, ALAT à 435 U/l, ainsi que cholestase avec phosphatase alcaline à 215 U/l, gamma GT à 1169 U/l, bilirubine totale à 29,2 umol/l, directe à 29,2 umol/l. L'ultrason abdominal réalisé aux urgences met en évidence une vésicule modérément distendue, avec une épaisseur de paroi à 3 mm, un sludge et des micro-calculs vésiculaires parlant en faveur d'un début de cholécystite, sans dilatation du cholédoque toutefois non visualisé. Mme. Y est hospitalisée dans le service de chirurgie où elle bénéficie d'une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour. Une cholangio-IRM est réalisée le 21.02.2019, mettant en évidence une cholédocholithiase d'environ 1 cm de diamètre dans le cholédoque proximal. Le 22.02.2019, une ERCP est effectuée à l'HFR Fribourg se soldant par un échec, avec développement d'une pancréatite post-interventionnelle (amylase à 1338 U/l et lipase à 7250 U/l). Une nouvelle ERCP a lieu le 25.02.2019 à l'HFR Fribourg au cours de laquelle Dr. X extrait le calcul cholédocien. L'évolution est par la suite favorable, tant sur le plan clinique que biologique, avec normalisation des tests hépato-pancréatiques et une reprise alimentaire normale bien tolérée par Mme. Y. Face à la bonne évolution, la patiente peut retourner à domicile le 27.02.2019. Mme. Y reviendra dans notre service pour la réalisation d'une cholécystectomie par Dr. X en date du 14.03.2019. Il s'agit d'une patiente de 69 ans, suivie par Dr. X pour des tumeurs papillaires récidivantes de la vessie. Dans ce contexte, une résection transurétrale de la vessie est agendée pour le 13.02.2019 en électif. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, avec une bonne gestion de l'antalgie et des urines claires dans la sonde vésicale, permettant son ablation le 15.02.2019. Mme. Y reçoit une antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg du 13 au 15.02.2019, ainsi qu'une prophylaxie thromboembolique par Clexane 20 mg/jour le 13.02.2019 et 40 mg sc le 14.02.2019. Après deux mictions sans résidu post-mictionnel au bladder scan, Mme. Y peut rentrer à domicile le 15.02.2019. À la demande de Dr. X, nous organisons une IRM pelvienne pour le 19.02.2019 afin de compléter le bilan d'une structure d'allure kystique au niveau de l'ovaire. Il s'agit d'une patiente de 73 ans, connue pour une maladie d'Alzheimer, hospitalisée au RFSM CSH Marsens en PAFA, qui est retrouvée par terre par les infirmiers et amenée aux urgences de l'HFR Riaz. Le bilan radio-clinique met en évidence une fracture trois parts de la tête humérale droite. Durant la chute, traumatisme crânien sans perte de connaissance, raison pour laquelle un CT cérébral est effectué, permettant d'exclure toute fracture et/ou saignement intracrânien. Une surveillance neurologique aux 4 heures est exempte de toute péjoration neurologique. Le 10.02.2019, la patiente est prise au bloc opératoire pour une réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos de la fracture humérale droite. L'intervention se déroule sans complication et le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation active assistée, avec élévation limitée à 90°, rotation externe limitée à 0°, ceci pendant 6 semaines, puis mobilisation et charge libres. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est calme et propre, les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie prescrite. Durant son séjour, la patiente présente deux pics fébriles, le 09 et le 11.02.2019, motivant le prélèvement d'hémocultures et d'un urotube, revenant tous deux négatifs. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer bronchopneumonique et, à l'examen clinique, il n'y a pas de foyer infectieux, l'auscultation pulmonaire est normale, il n'y a pas de lésion cutanée comme intertrigo. Nous demandons un avis à Dr. X qui, sur une origine probablement post-opératoire au syndrome inflammatoire, ne propose pas d'antibiothérapie. Un pic hypertensif à 178/100 mmHg répond favorablement à la prescription d'Adalat.En ce qui concerne la fracture du radius distal gauche datant du 07.02.2019, après contrôle radiologique satisfaisant, une immobilisation définitive par plâtre en résine est confectionnée. Le 13.02.2019, Mme. Y quitte notre service pour retourner à l'hôpital de Marsens. Il s'agit d'une patiente de 77 ans adressée à la consultation du Dr. X en raison de douleurs du genou droit. Après bilan radio-clinique montrant une gonarthrose tricompartimentale, l'indication à une arthroplastie totale du genou droit est retenue, raison de l'hospitalisation actuelle. L'intervention et ses suites se déroulent sans complications, avec des douleurs bien gérées, initialement par cathéter fémoral, puis par l'antalgie standard. Le contrôle biologique montre une hémoglobine stable, avec une valeur à 100 g/l le 25.02.2019. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs, sous la protection de deux cannes anglaises. Par ailleurs, une mobilisation passive sur Kinétec est également entreprise. La réfection du pansement montre une cicatrice propre et calme. Une prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg/jour est instaurée et sera à poursuivre jusqu'au 03.04.2019. Le traitement par Aspirine Cardio pourra être repris à partir de 10 jours post-opératoires. Le 27.02.2019, Mme. Y est transférée à l'HFR Billens pour la suite de la prise en charge. Il s'agit d'une patiente de 80 ans, hospitalisée en vue d'une ablation de clou Gamma et PTH, intervention prévue le 01.02.2019, suite à un déplacement du matériel d'ostéosynthèse, avec déplacement secondaire de la fracture sur un statut post-réduction ouverte, cerclage, ostéosynthèse par clou Gamma long le 31.10.2018 pour fracture complexe du fémur proximal droit, avec composante du col fémoral latéral et inter-trochantérienne. Le matin du 31.01.2019, la patiente glisse en sortant de son lit et chute en se réceptionnant sur le flanc droit et l'épaule droite. Pas de traumatisme crânien, ni perte de connaissance ou amnésie circonstancielle. Le bilan radiologique de l'épaule droite montre une fracture spiroïde métaphyso-diaphysaire du tiers proximal de l'humérus, pour laquelle l'indication opératoire est retenue. L'intervention se déroule sans complication et les suites sont simples, les douleurs de l'épaule diminuent graduellement et celles de la hanche sont stables et tolérables. La réfection du pansement montre une plaie chirurgicale calme. Le contrôle biologique atteste d'une stabilité de la valeur d'hémoglobine à 90 g/l le 12.02.2019, le reste du laboratoire étant aligné. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation libre selon douleurs de son épaule droite en actif et actif assisté dans tous les plans. En dehors des séances de physiothérapie, un gilet orthopédique est en place jusqu'à cicatrisation, puis une écharpe sera prescrite, selon douleurs. La mobilisation se fait par transferts lit-fauteuil, la patiente n'étant pas autorisée à marcher jusqu'au changement du clou Gamma. Le 13.02.2019, Mme. Y est transférée à l'unité d'accueil temporaire, EMS La Providence à Fribourg. Il s'agit d'une patiente de 83 ans, hospitalisée suite à une prothèse totale du genou droit le 29.01.2019 sur gonarthrose. Pour rappel, la patiente avait déjà bénéficié d'une prothèse unicompartimentale du genou en 2004. En raison d'apparition de douleur au début du mois de janvier, elle avait reconsulté et le diagnostic d'une arthrose importante fémoro-patellaire ainsi que fémoro-tibiale externe droite est posé, nécessitant le remplacement de la prothèse en place. A l'entrée, la patiente présente des douleurs légères du genou ainsi que du dos. Une fatigue importante est présente. Elle n'a pas d'autre plainte. Le status orthopédique montre un épanchement important du genou avec limitation du mouvement à 90-30-25°. Un hématome est présent sur la cuisse et le mollet. Les pouls périphériques sont palpables. Des douleurs diffuses à la palpation sont présentes. Le reste du status est sans particularité. Le laboratoire montre une anémie suite à l'opération, qui s'améliore durant l'hospitalisation. Une antalgie avec AINS et Dafalgan reste insuffisante, nous débutons avec du Palexia retard avec un bon effet sur les douleurs du genou et du dos. Merci de revoir l'indication à cette antalgie. Une substitution de vitamine D est introduite pour réduire le risque de chute, qu'il faudra continuer ambulatoirement. Socialement, Mme. Y vit dans une maison avec son mari. Elle doit monter trois marches d'escalier pour entrer dans la maison. Elle est indépendante pour toutes les activités de la vie quotidienne et détient encore le permis de conduire. Nous débutons une réhabilitation avec physiothérapie et ergothérapie. Les scores de mobilité au début du séjour sont les suivants : le transfert se fait sous supervision (FIM 5), la mobilité avec des cannes également (FIM 5) ainsi que la montée des escaliers (FIM 5). Le risque de chute est légèrement élevé avec un Tinetti à 18/27. A la fin du séjour, les scores de mobilité sont les suivants : le transfert se fait seul (FIM 6), Mme. Y est autonome pour la mobilité avec des cannes anglaises (FIM 6), les escaliers se font également de manière autonome avec aide des cannes (FIM 6). Il y a un risque de chute éventuel avec un Tinetti à 20/27. Au vu de ces améliorations, il n'y a plus de nécessité de prise en charge hospitalière et sur demande de Mme. Y, elle peut rentrer à domicile le 15.02.2019 avec sa fille, sans aide à domicile. De la physiothérapie ambulatoire ainsi que l'utilisation du Kinetec sont utiles au domicile. Un contrôle orthopédique est prévu à 8 semaines post-opératoire. Il s'agit d'une patiente de 85 ans, connue pour une hypertension pulmonaire et un antécédent d'embolie pulmonaire en 2015, qui consulte aux urgences pour des douleurs de l'hémithorax droit postérieur. Les douleurs sont apparues progressivement la veille au soir, sont localisées à l'hémithorax droit au niveau sous-costal, sans irradiation, sont constantes mais péjorées par la respiration et par les mouvements. Il n'y a pas eu de chute ou de traumatisme costal. Les douleurs sont connues par la patiente avec une prise en charge de l'antalgie par le médecin traitant. Une dyspnée à l'effort est décrite comme connue par la patiente, sans péjoration les derniers temps. Elle n'a pas de toux, pas de plaintes urinaires, pas d'autres douleurs. Le transit est perturbé avec une constipation qui est régulière selon la patiente et des dernières selles l'avant-veille. Elle n'a pas d'allergie connue, pas de tabagisme, pas de consommation d'alcool. Elle vit seule à domicile avec le passage d'infirmières 2x/j. Status aux urgences : • Cardio : B1B2 bien frappés, sans souffles audibles • Pulmo : mvs sur toutes les plages avec ronchi fins en base droite • Abdo : abdomen souple et indolore, bruits hydroaériques normaux • Ostéoarticulaire : colonne vertébrale indolore à la percussion Un bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 157 et une leucocytose et une anémie avec une hémoglobine à 109 g/l.Une radio du thorax ne montre pas de foyer infectieux mais une lésion au niveau du lobe supérieur droit est présente, raison pour laquelle nous effectuons un scanner thoracique qui montre par rapport à un comparatif de 03.2018 une nouvelle lésion située au niveau du lobe supérieur droit, avec un centre nécrosé. Le radiologue de garde de Fribourg retient comme diagnostic préférentiel une tumeur pulmonaire primaire avec comme DD une métastase pulmonaire, un foyer infectieux de tuberculose ou une lésion nécrotique de séquelle d'embolie pulmonaire. La patiente étant stable et les douleurs en diminution, nous laissons la patiente rentrer à domicile et nous laissons le soin au médecin traitant de discuter des différents moyens d'investiguer cette lésion pulmonaire et si cela est nécessaire de la diriger vers un oncologue pour la suite de la prise en charge. La patiente prendra rendez-vous le lendemain chez son médecin traitant. Il s'agit d'une patiente de 88 ans, connue pour des troubles de la marche d'origine multiple, amenée par ambulance le 02.02.2019 au HIB suite à une chute de sa hauteur à son domicile, suite à des vertiges, avec réception sur le côté gauche et traumatisme crânien, sans perte de connaissance, ni amnésie circonstancielle. Après bilan radio-clinique montrant la fracture suscitée, Mme. Y est transférée à l'HFR Riaz pour suite de la prise en charge en raison d'un manque de place à Payerne. L'indication à une prise en charge chirurgicale est retenue et l'intervention a lieu le 03.02.2019 sans complication. Les douleurs post-opératoires sont bien contrôlées par une antalgie simple, la radiographie de contrôle à J1 est en ordre et la réfection régulière du pansement met en évidence une cicatrice calme et sèche, sans signes inflammatoires locaux. Au contrôle biologique à 24 heures post-opératoire, l'hémoglobine est à 120 g/l. Mme. Y bénéficie d'une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg sc/jour pour une durée de 6 semaines post-opératoires. Une physiothérapie de rééducation à la marche en charge selon douleurs est entreprise durant le séjour, sous protection de cannes anglaises. La patiente vivant à Payerne, cette rééducation sera poursuivie à l'hôpital d'Estavayer-le-Lac où la patiente est transférée le 07.02.2019. Il s'agit d'une patiente de 88 ans qui est amenée aux urgences par ambulance suite à une chute mécanique avec réception sur la hanche gauche le 06.02.2019. Le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, avec des douleurs bien gérées par l'antalgie standard. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en charge selon douleurs, sous protection d'un moyen auxiliaire. Le contrôle biologique montre une hémoglobine stable, avec une valeur à 107 g/l le 08.02.2019. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement étanche, est propre et calme. Mme. Y bénéficie d'une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour, qui sera poursuivie durant 6 semaines post-opératoires. Le 13.02.2019, Mme. Y est transférée à l'HFR Billens pour suite de la prise en charge. Il s'agit d'une patiente de 93 ans, connue pour hypertension artérielle traitée, des troubles cognitifs importants (MMS à 10/30 le 04.01.2019), une ostéoporose avec status après implantation de prothèses totales de hanches bilatérales, et tout récemment hospitalisée en gériatrie aiguë du 04.01.2019 au 16.01.2019 en raison d'une chute ayant pour conséquence une fracture de la branche ischio-pubienne droite, où elle avait bénéficié d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce avec physiothérapie constatant un risque de chute élevé, bilan nutritionnel ne mettant pas en évidence malnutrition protéino-énergétique ainsi qu'un bilan ergothérapeutique, puis en attente de placement jusqu'au 29.01.2019. Cependant, lors de son séjour en reclassement, Mme. Y fait une décompensation cardiaque droite avec œdèmes des membres inférieurs prenant le godet ainsi que des râles crépitants aux bases pulmonaires et une prise pondérale de 1.3 kg en 5 jours. Pour cette raison, la patiente est reprise en gériatrie aiguë ce 29.01.2019 afin de pouvoir débuter un traitement par diurétiques en voie orale et d'y suivre sa clinique et son poids. Face à une escarre sacrée qui n'évolue pas favorablement avec une macération liée à la localisation, nous demandons un avis à la stomatothérapeute qui propose de poser une sonde urinaire le temps que l'escarre se résorbe un peu. La sonde urinaire est donc posée entre le 31.01.2019 et le 07.02.2019, permettant ainsi une bonne évolution de l'escarre sacrée. Le 06.02.2019, au vu de la bonne évolution clinique, la patiente est reclassée dans l'attente d'une place en EMS. Mme. Y reste donc hospitalisée bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement. Finalement, Mme. Y sera institutionnalisée au Foyer St-Joseph de Sorens le 12.02.2019. Il s'agit d'une patiente de 94 ans, en relativement bonne santé habituelle, que vous adressez en raison d'un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée (CRP > 200 mg/l, leucocytes 10.9 G/l). La patiente décrit les symptômes suivants apparaissant progressivement le 16.01.2019, disparus la veille de l'admission : diarrhées liquides, sans sang, de fréquence élevée, douleurs épigastriques irradiant en barre dans l'abdomen haut mais plus marquées à droite, modérées, apparaissant-disparaissant, non descriptives. Nausées sans vomissement. Actuellement, la patiente décrit une fatigue, une baisse de l'appétit, une incapacité à s'hydrater correctement et se sent nerveuse. Pas d'autre plainte : fièvre, frissons, rash cutané, perte de poids ces dernières semaines, céphalée, vertige, paresthésies, otalgie, rhinorrhée, odynophagie, toux/crâchats, dyspnée, douleur thoracique, douleur articulaire, urines et gynéco sans particularité (lésions cutanées, fréquence, douleur, couleur, odeur). La patiente est autonome, vit seule chez elle, famille proche en soutien. Au status d'entrée, patiente en état général moyen, nerveuse, non algique. À l'auscultation respiratoire, pas de tirage ni cyanose, murmure respiratoire difficilement audible sur tachypnée superficielle, pas de bruit surajouté. Sur le plan ORL, pas d'adénopathie palpable en sous-mandibulaire, CAE et tympans symétriques non érythémateux, fond de gorge sans particularité. Auscultation cardiaque avec B1B2 bien frappés, pas de souffle audible, rythme régulier, rapide. Au niveau digestif, bruits abdominaux augmentés en fréquence, de tonalité normale, abdomen souple mais sensible en hypocondre droit avec défense, loges rénales indolores à la percussion. Marisques visibles (5 à 7h), toucher rectal indolore, pas de masse palpable, selles molles, pas de sang. Les examens complémentaires effectués sont les suivants : • un bilan biologique montre un syndrome inflammatoire important avec une perturbation hépatique et pancréatique • un sédiment urinaire avec des signes d'infections • un ECG avec un BBD complet connu • une Rx thorax sans particularité • l'US abdominal met en évidence des signes de cholécystite aiguë lithiasique sans dilatation des voies biliaires. Au vu de ces éléments, la patiente est hospitalisée dans le service de chirurgie où elle bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour. Dans le décours de l'hospitalisation, une infection urinaire à ESBL est mise en évidence et la patiente est mise en isolement de contact. Son antibiothérapie est relayée par Meropenem 500 mg iv 3 x/jour, traitement sous lequel elle développe des signes d'allergie (érythrodermie).Une cholangio-IRM effectuée le 21.01.2019 met en évidence une cholédocolithiase de 13 mm au niveau de la papille duodénale ainsi que plusieurs calculs intra-vésiculaires. Une ERCP est donc organisée le 24.01.2019 à l'HFR Fribourg. Le Dr. X réalise une grande papillotomie, une lithotripsie partielle et une mise en place d'un stent. Dans son rapport, il ne propose pas de deuxième ERCP au vu de l'âge de la patiente. De plus, au vu de la maladie lithiasique, le Dr. X pose l'indication à une cholécystectomie, réalisée le 30.01.2019. L'évolution est favorable, tant au niveau clinique que biologique. À noter une discrète augmentation progressive de la lipase à 185 à la sortie, chez une patiente asymptomatique. Nous vous proposons de réaliser un contrôle clinico-biologique en début de semaine prochaine pour suivre cela. Le Dr. X prendra contact avec le Dr. X pour réévaluer la nécessité d'une deuxième ERCP. De plus, la patiente a une tendance à l'hypokaliémie sous Torasémide que nous vous laissons le soin de suivre. Le 07.02.2019, Mme. Y quitte notre service pour se rendre en court séjour au Foyer St-Joseph de Sâles. Il s'agit d'une patiente nulligeste de 18 ans, qui s'est présentée aux urgences pour saignement vaginal avec des caillots survenus après le premier rapport sexuel avec pénétration vaginale. Elle signale une pénétration pénienne uniquement, avec contraception par préservatif, sans notion de rupture. Au status d'entrée, la patiente est normocarde et normotendue, apyrétique. Au spéculum, nous mettons en évidence deux déchirures bilatérales de la paroi vaginale, profondes, de 4 cm de longueur, n’atteignant pas le col, mais avec un saignement actif. L'échographie abdominale exclut un hémopéritoine. Les annexes et l'utérus sont en ordre. Le laboratoire à l'entrée montre une leucocytose isolée. Dans ce contexte, la patiente est prise en urgence au bloc opératoire pour suture vaginale sous anesthésie générale. L'hémoglobine post-opératoire est à 97 g/l. Un traitement de Maltofer 100 mg 1x/j est débuté. Les suites post-opératoires sont marquées par un état fébrile sans point d'appel clinique. Le bilan sanguin objective un syndrome inflammatoire. La patiente bénéficie d'un traitement antibiotique par Augmentin 1,2 g iv 2x/j avec un relais per os pour 7 jours, évolution clinique et biologique est favorable permettant un retour à domicile le 24.02.2019. Il s'agit d'une patiente primigeste de 28 ans qui se présente en salle d'accouchement à 41 3/7 semaines d'aménorrhée en vue d'une provocation pour terme dépassé. Nous débutons une provocation par ballonnet sur un col défavorable puis Syntocinon. En raison d'une rupture prolongée des membranes, nous introduisons une antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole. La patiente se met en travail et dilate lentement. En raison d'une fatigue maternelle, nous posons l'indication à une césarienne en urgence. Dans l'intervalle, la patiente développe un état fébrile per-partum 30 minutes avant la césarienne, avec un léger syndrome inflammatoire. Nous introduisons une antibiothérapie par Zinacef pour 48 h. L'intervention se déroule sans complication et elle donne naissance à une fille de 3650 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Desonur. La patiente utilisera un préservatif dans l'intervalle si nécessaire. Au vu de la bonne évolution clinique, elle rentre à domicile avec son bébé le 23.02.2019. Il s'agit d'une patiente primigeste de 30 ans qui se présente à 40 1/7 semaines d'aménorrhée pour une rupture prématurée des membranes. Devant un streptocoque du groupe B négatif, nous adoptons une attitude expectative de 12 h. En absence de mise en travail spontané, nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl IV et provoquons par Propess. Après un complément de rupture, la patiente se met en travail et dilate harmonieusement. En raison d'un CTG pathologique à épines +2, nous posons l'indication à une extraction par ventouse Kiwi avec épisiotomie médio-latérale droite. Elle donne naissance par voie basse avec ventouse Kiwi en deux tractions à un garçon, pesant 2980 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par pose de DIU Mona Lisa chez son gynécologue traitant, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.02.2019 et sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. Il s'agit d'une patiente primigeste de 37 ans admise en salle d'accouchement le 11.02.2019 en raison d'une rupture prématurée des membranes à 37 1/7 semaines d'aménorrhée. La patiente se met en travail spontanément mais en raison d'une contracture, nous administrons du Gynipral. L'évolution est favorable avec un travail finalement soutenu par Syntocinon. Après 12 h de rupture, nous débutons une antibiothérapie par Clamoxyl IV selon protocole. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse par ventouse Kiwi pour CTG suspect à un garçon de 3150 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. Le profil glycémique à J3 est effectué en ambulatoire et sera communiqué directement à l'équipe de diabétologie. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par pilule Desonur dès J21 du post-partum. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 14.02.2019. Il s'agit d'une patiente suivie par le Dr. X pour une tendinopathie calcifiante du long chef du biceps pour laquelle il retient l'indication opératoire. L'intervention se déroule le 11.02.2019 sans complication et les suites opératoires sont simples. Les douleurs sont bien contrôlées, initialement par cathéter interscalénique, puis par l'antalgie standard. La cicatrice est calme et propre, Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation en actif et passif libre de son épaule, selon douleurs. Vu la bonne évolution, la patiente peut retourner à domicile le 14.02.2019. Il s'agit d'une patiente 1G0P de 35 ans qui se présente en salle d'accouchement en travail spontané à 39 5/7 semaines d'aménorrhée le 12.02.2019. Elle dilate harmonieusement après rupture artificielle des membranes (liquide amniotique teinté par du méconium). En raison d'un portage du streptocoques du groupe B, nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole. Elle donne naissance par voie basse instrumentée par ventouse Kiwi pour CTG intermédiaire et non progression de la présentation à une fille de 3740 g, de bonne adaptation néonatale. Accouchement compliqué par une atonie utérine légère en post-partum immédiat avec bonne évolution après 20 unités de Syntocinon et des pertes finalement estimées à 300 cc. À noter que l'anesthésie nous signale une brèche de la dura-mère lors de la pose de péridurale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile et asymptomatique pour une brèche. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans particularité. La contraception future se fera par pilule Desonur dès J21 du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile avec son bébé le 16.02.2019. Il s'agit d'une patiente 1G1P de 25 ans adressée par le Dr. X pour fièvre à J 14 post-accouchement par forceps avec épisiotomie médio-latérale droite pour non-progression de la présentation. La délivrance du placenta a été normale et complète.A l'entrée dans notre service, elle se plaint de douleurs au niveau du sein gauche depuis plusieurs jours. Allaitement par téterelles. Au status d'entrée, la patiente est afébrile, normotendue et légèrement tachycarde. Le Stix urinaire est sans particularités hormis la présence de sang. L'abdomen est souple, sans défense ni détente. La palpation utérine est discrètement sensible. Les loges rénales sont libres et indolores. L'examen des seins révèle une douleur intense du QSE gauche en regard d'un érythème cutané avec induration. Une ponction écho guidée du sein gauche ne ramène pas de matériel purulent. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec des Leucocytes à 8 g/L, CRP 237, Hb 96 g/L. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour une antibiothérapie IV. Durant son séjour, la patiente développe des pics fébriles avec frissons durant les 48 premières heures d'antibiothérapie. Des hémocultures ont dès lors été prélevées. L'évolution clinique a ensuite été favorable, permettant le passage vers l'antibiothérapie PO et le retour à domicile de la patiente le 10.02.2019. Les frottis du col utérin reviennent négatifs. L'uricult revient négatif. Les hémocultures sont toujours négatives à J4. Le produit de ponction du sein gauche ne révèle aucun germe. Il s'agit d'une patiente 1G1P de 38 ans s/p conisation LEEP avec curetage endo-cavitaire le 13.02.2019 pour une dysplasie de haut grade. L'examen anatomo-pathologique retrouve une lésion CIN 2-3 en marge saine avec une absence d'atypie au niveau du curetage de l'endocol. Elle consulte le Dr. X en raison de saignement le 22.02.2019. Une cautérisation au nitrate d'argent avec méchage est effectuée et un traitement de co-amoxicilline et de Flagyl est débuté. En raison de l'augmentation des saignements, la patiente reconsulte le 22.02.2019 à 19h. Cliniquement, la patiente présente un saignement actif latéralement à droite au niveau du lit de conisation. En raison de la persistance du saignement malgré l'application de nitrate d'argent, nous gardons la patiente hospitalisée pour surveillance afin de réévaluer une indication opératoire. Les saignements se tarissent spontanément. Nous mettons en place une mèche bétadinée qui est retirée le 24.02.2019. L'hémoglobine de contrôle est à 115 g/l. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 24.02.2019. Nous proposons de poursuivre les antibiotiques débutés et introduisons des ovules de Bétadine pour 7 jours. Il s'agit d'une patiente 2G1P de 29 ans, à 7 6/7 semaines d'aménorrhée, qui consulte aux urgences pour des nausées et des vomissements jusqu'à 6x/j depuis 3 semaines, avec une perte de poids de deux kilos et impossibilité de s'hydrater et de s'alimenter, sans autres plaintes. Au status d'entrée, la patiente est normocarde, hypotendue et afébrile. L'abdomen est souple et indolore. Le bilan biologique revient perturbé avec une légère hypokaliémie à 3.4 mmol/L. A l'échographie, nous confirmons la présence d'une grossesse intra-utérine évolutive en accord avec la date des dernières règles. Devant la baisse de l'état général, nous proposons à la patiente une hospitalisation qu'elle accepte. Durant son hospitalisation, la patiente est mise à jeûn pendant 24h puis la réalimentation progressive est introduite et est bien tolérée. La patiente regagne son domicile en bon état général le 22.02.2019. Il s'agit d'une patiente 2G2P de 35 ans, date des dernières règles le 17.02.19, sous Implanon, qui se présente pour des douleurs intenses en péjoration sans prise d'antalgie depuis 24h sur un kyste connu. Pas de nausée ni de vomissement, pas de trouble de transit, pas de fièvre, pas de signes fonctionnels urinaires. La patiente avait une consultation de pré-hospitalisation prévue pour prise en charge chirurgicale de ce kyste. A l'entrée, la patiente est hypertendue à 163/107, avec une FC à 76 bpm, apyrétique. A l'examen clinique, on objective un abdomen sensible à la palpation de la fosse iliaque droite avec défense sans détente. La mobilisation du col est indolore. L'échographie endovaginale objective un kyste annexielle droit de 7 cm avec image de torsion tubaire droite au doppler couleur et raccourcissement de la trompe droite. Le test de grossesse est négatif et le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. L'Hb pré-opératoire est à 136 g/L avec une crase dans la norme. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour une laparoscopie en urgence. La patiente accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention est effectuée en urgence le 18.02.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires immédiates sont simples et favorables. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue dans 10 jours en consultation ambulatoire pour contrôle post-opératoire. Il s'agit d'une patiente 2-gestes 1-pare de 28 ans admise en salle d'accouchement à 37 1/7 semaines d'aménorrhée en vue d'une provocation pour suspicion de macrosomie le 11.02.2019. Cette dernière se fait par Syntocinon. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à un garçon de 4190g de bonne adaptation néonatale. Accouchement compliqué par une hémorragie du post-partum sur atonie utérine nécessitant une révision des 3 étages sous péridurale et kalinox ramenant des caillots. Après la perfusion de 40 unités du Syntocinon et 5 comprimés de Cytotec, l'évolution est favorable avec des pertes sanguines estimées à 700cc. Une antibioprophylaxie par Zinacef est débutée pour 24h. Les suites post-partales sont marquées par une anémie ferriprive du post-partum légèrement symptomatique, raison pour laquelle on débute une substitution orale par Maltofer. La patiente reste afébrile pendant son séjour. Le profil glycémique à J3 a été effectué et transmis à l'équipe de diabétologie. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par DIU, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 14.02.2019. Il s'agit d'une patiente 2G0P de 30 ans qui se présente en salle d'accouchement à 39 5/7 semaines d'aménorrhée le 03.02.2019 pour des contractions utérines. Elle se met en travail spontanément et dilate harmonieusement sous anesthésie péridurale. En raison d'un CTG pathologique durant la phase expulsive aux épines, la décision est prise d'effectuer une ventouse Kiwi. Elle donne naissance en 2 tractions à une fille de 2950 g de bonne adaptation néonatale. Les suites de couches sont simples et la patiente est afébrile. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La cicatrice est calme et propre avant son départ et les douleurs sont soulagées par antalgie simple. La contraception future se fera par Desonur dès J21 du post-partum. La patiente peut rentrer à domicile le 06.02.2019 en bon état général avec son bébé. Il s'agit d'une patiente 2G1P de 20 ans qui est admise dans notre service pour une menace d'accouchement prématurée à 30 1/7 semaines d'aménorrhée avec un col raccourci à 12 mm sans contractions utérines présentes au CTG malgré les plaintes de la patiente de douleurs abdominales. On diagnostique à l'admission une vaginose bactérienne pour laquelle on débute un traitement pour Fluomizin. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour surveillance et maturation pulmonaire avec tocolyse par Adalat.Pendant son séjour, la patiente termine son traitement de maturation pulmonaire et est asymptomatique. Par la suite, le col reste stable et la patiente peut rentrer à domicile le 16.02.2019 avec un contrôle prévu le 22.02.2019 à notre consultation. Il s'agit d'une patiente 2G1P de 27 ans, à 8 5/7 semaines d'aménorrhée selon la date des dernières règles, qui consulte en urgences gynécologiques pour des saignements vaginaux abondants avec caillots depuis le soir même. La patiente avait déjà consulté le 14.02.2019 en raison de légères métrorragies avec la mise en évidence d'une grossesse intra-utérine non évolutive arrêtée à 7 1/7 semaines d'aménorrhée. A l'arrivée, elle est stable au niveau hémodynamique. Au speculum, nous retrouvons plusieurs caillots volumineux, le col est légèrement ouvert avec un saignement actif de faible abondance. A l'échographie, le sac gestationnel se trouve au niveau isthmique, avec un embryon sans activité cardiaque. L'hémoglobine à l'entrée est à 131 g/l. Devant le saignement actif avec de fortes douleurs abdominales et après discussion avec la patiente, l'indication à un curetage évacuateur en urgence est posée. L'intervention se déroule sans complications le 14.02.2019. Les suites postopératoires sont favorables. La patiente regagne son domicile en bon état général le 15.02.2019 et sera vue à la consultation de Dr. X à 1 mois post-opératoire. Il s'agit d'une patiente 3-gestes devenue 2-pares le 02.02.2019 qui nous est transférée du Daler pour un rapprochement mère-enfant. Le nouveau-né est hospitalisé en néonatologie en raison d'une tachypnée. Elle a accouché spontanément sous péridurale le 02.02.2019. Une déchirure du 2ème degré a été suturée. Les suites de couche sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par préservatif et se rediscutera lors du contrôle du post-partum. La patiente regagne son domicile le 05.02.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 4G1P qui se présente en salle d'accouchement le 02.02.2019 à 39 0/7 semaines d'aménorrhée en raison d'une rupture prématurée des membranes. Mise en travail spontanée avec dilatation harmonieuse. Antibioprophylaxie par Clamoxyl selon schéma pour rupture prolongée des membranes. En raison d'une non-progression de la présentation et CTG intermédiaire, décision de césarienne en urgence. Nous mettons en place une antibioprophylaxie par co-amoxicilline pour 48h en raison de la main vaginale à l'extraction fœtale ainsi que 20 UI de Syntocinon, Nalador et 2 gr iv de Cycklokapron pour atonie utérine. La patiente donne naissance à un garçon de 3060 gr, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par un hématome sous-cutané de l'angle droit de la plaie de césarienne. En raison d'importantes douleurs, nous réalisons son drainage sous narcose le 05.02.2019. La patiente reste afébrile et l'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. En raison d'une anémie spoliative, nous débutons une substitution ferrique per os pour 3 mois. La contraception future se fera par Desonur dès J21 du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 06.02.2019, en bon état général. Des soins locaux seront assurés par une sage-femme à domicile. Il s'agit d'une patiente 4G4P de 47 ans, sans contraception, qui consulte pour des douleurs abdomino-pelviennes, plus marquées en fosse iliaque droite (VAS à 8/10), crampiformes, sans EF, associées à des nausées sans vomissements, sans troubles du transit, ni EF ni autres plaintes. Au statut abdominal, nous retrouvons une défense en fosses iliaques droite et gauche ainsi qu'une détente en fosse iliaque gauche. Le toucher vaginal est douloureux. Le bilan sanguin objective un syndrome inflammatoire et l'IRM met en évidence un pyosalpinx gauche et une suspicion d'appendicite avec des signes de péritonisme. Dans ce contexte, nous demandons un consilium chirurgical qui opte pour une laparoscopie exploratrice avec +/- appendicectomie, +/- salpingectomie bilatérale. La patiente accepte et signe les consentements éclairés. La laparoscopie exploratrice du 01.02.2019, effectuée par nos collègues chirurgiens viscéraux, retrouve une pelvi-péritonite sur abcès tubo-ovarien gauche, sans atteinte de l'appendice. Une appendicectomie est tout de même effectuée et envoyée en anatomo-pathologie. En raison d'un important état inflammatoire du pelvis et d'un état adhérentiel très avancé du sigmoïde (boucle sigmoidienne dans le Douglas), nous optons pour une reprise chirurgicale après antibiothérapie intraveineuse afin de diminuer l'état inflammatoire pelvien. Après 72 heures d'antibiothérapie intraveineuse, la deuxième laparoscopie est effectuée et nous réalisons une annexectomie gauche ainsi qu'une salpingectomie droite après adhésiolyse étendue. Les suites postopératoires sont favorables et la patiente reste apyrétique. Le jour du départ, l'abdomen est souple, les cicatrices sont calmes et propres et le syndrome inflammatoire est à la baisse. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 08.02.2019 et sera revue dans 10 jours à la consultation ambulatoire. Il s'agit d'une patiente 4G4P de 50 ans, adressée par son gynécologue traitant pour des douleurs abdominales diffuses irradiantes dans l'épaule G qui ont été déclenchées par un rapport sexuel le 13.02.19. La patiente a bénéficié d'une hystérectomie totale et salpingectomie bilatérale pour utérus myomateux symptomatique par laparoscopie et pose de TOT le 03.01.2019. Pas de complications opératoires (suture vaginale par des points en X séparés). La patiente ne signale pas d'autres plaintes. Pas de diarrhée ni constipation, transit normal. Pas de signes fonctionnels urinaires. Pas de fièvre. L'analyse anatomopathologique de la pièce opératoire confirme le diagnostic de léiomyome sous-séreux et intra-muraux sans lésions suspectes. A l'entrée, 143/65, FC 94, afébrile. L'abdomen est sensible à la palpation des 4 quadrants sans détente ni défense. La percussion des loges rénales est sans particularité. Au speculum, le dôme vaginal est fermé avec un suintement séreux. La patiente ne présente pas de syndrome inflammatoire au contrôle biologique. L'examen complémentaire par le CT thoraco-abdominal met en évidence un pneumopéritoine modéré en péri-hépatique, pas d'embolie pulmonaire, pas de liquide libre. La patiente est hospitalisée pour surveillance clinique et biologique et antalgie. Lors de son hospitalisation, elle reste afébrile avec des douleurs sous contrôle par antalgie standard. Après une surveillance de 24 heures et une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile avec un prochain contrôle à la consultation de Dr. X le 20.02.2019. Il s'agit d'une patiente 4-gestes 2-pares de 29 ans qui se présente en salle d'accouchement à 38 3/7 semaines d'aménorrhée en vue d'une provocation pour fatigue maternelle avec lombalgies et cervicalgies le 11.02.2019. Cette dernière se fait par la mise en place d'un Misodel. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à un garçon de 2860 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. Pas de symptômes d'une anémie du post-partum qui justifie une prise de sang. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. Avant son départ, la patiente remarque deux furoncles au niveau des cuisses droite et gauche avec légers signes inflammatoires pour lesquels on lui propose un contrôle chez son médecin traitant en raison de son départ imminent. Par rapport à la contraception future, le mari aura une vasectomie et dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 13.02.2019. Il s'agit d'une patiente 4G1P de 30 ans à 28 1/7 semaines d'aménorrhée, qui consulte en urgence le 08.02.2019 pour un épisode de pertes de liquide et de métrorragies avec caillots vers 5h30 le 08.02.2019. Elle n'a pas de douleur abdominale, ni de symptôme de pré-éclampsie. À noter qu'elle avait déjà présenté un épisode de métrorragies le 16.01.2019. À l'admission, la patiente est stable au niveau hémodynamique, il n'y a pas de métrorragie active et le col est fermé au speculum. L'ActimProm revient positif. Le CTG est réactif, non pathologique et il n'y a initialement pas de contractions utérines. La patiente est hospitalisée pour surveillance, cure de maturation pulmonaire et antibiothérapie intraveineuse. En raison de l'apparition de contractions utérines ressenties non douloureuses, nous débutons une tocolyse par Gynipral et l'indication à un transfert est posée. La patiente est transférée à l'Inselspital le 08.02.2019 sous tocolyse par Gynipral. Il s'agit d'une patiente 4G1P de 30 ans, à 6 6/7 semaines d'aménorrhée, qui nous est adressée en ambulance pour des douleurs à 8/10 au niveau de la fausse iliaque gauche, avec un test de grossesse urinaire positif, malgré la prise de la pilule d'urgence après un rapport non protégé en mi-décembre. La date des dernières règles est le 05.12.2018. La patiente est stable au niveau hémodynamique. À l'examen clinique, elle présente une défense avec détente en fausse iliaque gauche. Au speculum, les pertes vaginales sont normales. À l'échographie endo-vaginale, nous ne visualisons pas de grossesse intra-utérine, mais nous apercevons un hématosalpinx à gauche, avec une image latéro-utérine suspecte. Le taux de bêta HCG revient à 14'853 U/L. Nous posons l'indication à une laparoscopie exploratrice, que la patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule le 22.01.2019, confirmant la présence d'une grossesse dans l'ampoule de la trompe gauche, avec un hémopéritoine d'environ 400 cc. Nous effectuons une salpingectomie gauche et envoyons le matériel en analyse anatomopathologique. En fin d'intervention, les pertes sanguines sont estimées à 500 ml. L'évolution post-opératoire est favorable et l'anémie spoliative est bien tolérée par la patiente et sera traitée par Maltofer 100 mg 1x/j pendant 3 mois. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue dans 10 jours en consultation ambulatoire. Il s'agit d'une patiente 4G1P de 42 ans qui se présente en salle d'accouchement pour une provocation de l'accouchement en raison d'un diabète gestationnel sans insuline qui n'a pas été suivi durant la grossesse (refus du couple). À l'entrée, nous diagnostiquons une pré-éclampsie avec une hypertension et une protéinurie. La patiente est asymptomatique et le bilan sanguin est aligné. Nous débutons la provocation par Misodel. Elle dilate rapidement sous Kalinox. En raison d'un CTG ininterprétable à l'expulsion et de poussées inefficaces, nous posons l'indication à une ventouse Kiwi. Elle donne naissance en deux tractions à une fille de 2980 g avec une bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par la persistance de l'hypertension. Un bilan de pré-éclampsie complémentaire revient négatif. Nous instaurons donc un traitement par Trandate 200 mg 2x/j. Les tensions seront à suivre en post-partum et le traitement à réévaluer chez son médecin traitant à 2 semaines. Concernant l'hypothyroïdie, nous reprenons les posologies d'avant la grossesse. Une TSH sera à répéter à 2 mois. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par préservatif si besoin. Le profil glycémique à J3 est transmis au service d'endocrinologie. La patiente est encouragée à reprendre contact avec le service de diabétologie ou son médecin traitant pour une HGPO à 3 mois. Il s'agit d'une patiente 4G1P qui se présente en salle d'accouchement pour une rupture prématurée des membranes sans mise en travail spontané depuis plus de 12 h. Nous proposons une provocation de l'accouchement par Propess en raison d'une rupture prolongée des membranes sur un col défavorable avec un utérus cicatriciel, qu'elle accepte après signature du consentement éclairé. Nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl selon schéma. Par la suite, elle se met en travail et la dilatation se déroule de manière harmonieuse. Elle donne naissance par voie basse à une fille de 2650 g de bonne adaptation néonatale. En raison d'une déchirure vaginale profonde, nous décidons de faire la suture au bloc opératoire sous rachianesthésie. L'intervention se déroule sans complications. Elle reçoit une antibioprophylaxie par Zinacef 1.5 g. Les suites post-partales sont marquées par une anémie ferriprive asymptomatique, raison pour laquelle on débute une substitution per os par Maltofer. La patiente reste afébrile pendant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complications. Les cicatrices sont calmes et propres avant son départ. La contraception future se fera par stérilet, en attendant elle utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile avec son bébé le 16.02.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 5G 2P de 35 ans qui se présente en salle d'accouchement avec une mise en travail spontanée. Elle dilate de manière rapide sans nécessité d'antalgie. Elle donne naissance de manière spontanée par voie basse à un garçon de 3310 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par stérilet, en attendant elle utilisera le stérilet si besoin. La patiente regagne son domicile le 22.02.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 5G 3P qui se présente en salle d'accouchement à 38 3/7 semaines d'aménorrhée pour des contractions utérines. Dans un contexte d'utérus bi-cicatriciel, nous proposons la césarienne en urgence qu'elle accepte. L'intervention se déroule sans complications. Découverte fortuite intra-opératoire d'un défaut d'environ 5 cm de l'aponévrose. Elle donne naissance à une fille de 2500 g (p3), de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. En raison d'une constellation rhésus, la patiente reçoit une injection de Rhophylac 300 mcg le 05.02.2019. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par préservatif en attendant une discussion de contraception lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile le 07.02.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 5-gestes 4-pares de 38 ans, admise à J7 d'une césarienne en urgence pour mise en travail sur utérus bi-cicatriciel. Mme. Y est admise pour un saignement vaginal actif accompagné de caillots sans douleurs abdominales, ni état fébrile. À son arrivée, elle est normotendue, tachycorde et subfébrile. À l'examen clinique, l'abdomen est souple et la cicatrice est calme. Nous retrouvons un caillot volumineux au niveau de l'introitus. Au speculum, on objective l'extériorisation de volumineux caillots. L'échographie endo-vaginale objective un caillot intra-utérin d'environ 6 cm avec absence de liquide libre dans l'abdomen. Le laboratoire d'entrée objective une hémoglobine à 129 g/l. Nous posons l'indication à une révision de la cavité utérine avec un curetage hémostatique effectué le 11.02.2019, qui ramène du matériel trophoblastique envoyé en anatomo-pathologie. Durant l'intervention, la patiente reçoit au total 40 unités de Syntocinon, 2 ampoules de Nalador, 5 comprimés de Cytotec, 2 g de fibrinogène et 2 g de Cyklokapron avec une bonne évolution et des pertes sanguines estimées à 1900 ml. La patiente bénéficie d'une antibiothérapie prophylactique par Zinacef pendant 48 h.Les suites post-opératoires sont favorables. L'hémoglobine de contrôle revient à 98 g/l et est traitée par Maltofer 100 mg 1xj. Le contrôle échographique avant la sortie confirme la vacuité de la cavité utérine. Au vue d'une bonne évolution clinique, Mme. Y rentre à domicile le 12.02.2019 en bon état général. Il s'agit d'une patiente 5G3P de 40 ans, suivie à notre consultation ambulatoire pour une grossesse arrêtée à 6 1/7 semaines d'aménorrhée selon la LCC. Mme. Y avait un curetage évacuateur prévu le 25.02.2019 à l'hôpital Daler. Elle se présente en urgence le 23.02.2019 au soir avec une hémorragie vaginale et des douleurs crampiformes abdominales basses à 8-9/10. Elle est stable au niveau hémodynamique, mais présente une métrorragie active avec des caillots volumineux au speculum. A l'échographie, nous constatons l'élimination du sac gestationnel avec un endomètre à 16.5 mm. Devant la persistance du saignement actif et une baisse de l'état général de Mme. Y (vertiges, nausées, dyspnée), nous décidons d'une prise en charge chirurgicale par curetage hémostatique en urgence, qui se déroule le 23.02.2019 sans complications. Le matériel d'expulsion et du curetage est envoyé en analyse anatomopathologique. Les suites sont simples, et Mme. Y regagne son domicile en bon état général, avec un contrôle à prévoir dans 4 à 6 semaines à la consultation de sa gynécologue traitante. Il s'agit d'une patiente 6G3P qui se présente en salle d'accouchement à 38 4/7 semaines d'aménorrhée pour une provocation de l'accouchement en raison d'un diabète gestationnel insulino-requérant. A l'entrée, le CTG est intermédiaire, le tocogramme montre quelques contractions irrégulières et l'ultrason montre un liquide amniotique diminué (AFI à 5 cm). En vue de la multiparité et de la présence de contractions, nous débutons une provocation par Syntocinon. En raison d'un CTG suspect devant un col postérieur et perméable à un doigt, nous proposons une césarienne en urgence qu'elle accepte. L'intervention se déroule sans complications. Mme. Y donne naissance à un garçon de 2660 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par stérilet. Dans l'attente, Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 23.02.2019. Il s'agit d'une plaie du pouce suite à un accident au travail. Après soins et sutures, nous proposons à Mr. Y de le revoir pour un contrôle dans 10 jours. Il s'agit d'une rupture in situ du ligament croisé antérieur chez un pratiquant de uni-hockey en ligue B qui pratique 4 à 5 entraînements par semaine. Nous lui proposons tout d'abord une prise en charge en physiothérapie pour mobilisation du genou, lutte contre le flexum et entretien musculaire. Nous reverrons Mr. Y pour faire le point dans 6 semaines. Il s'agit d'une situation bien compensée. Je ne retiens pas d'indication opératoire. Je reste à disposition en fonction de l'évolution. Il s'agit d'une situation complexe chez Mr. Y âgé avec une rupture massive de la coiffe des rotateurs. Du point de vue fonctionnel, on est assez content de la fonction résiduelle de son épaule. Une réinsertion de la coiffe des rotateurs est déconseillée vu l'âge de Mr. Y et la rétraction avancée. Dans une telle situation, je préconise tout d'abord une infiltration de la gouttière du long chef du biceps que je vais faire uniquement sous anesthésie locale et sans cortisone. Cette infiltration probatoire devrait aider à faire la part des choses et on pourra par la suite éventuellement proposer une ténotomie et ténodèse du long chef du biceps. Infiltration le 15.02.2019. Il s'agit d'une situation complexe. Mr. Y présente une rupture chronique du sous-scapulaire qui mériterait un transfert du grand pectoral. Pour la lésion du sus-épineux et sous-épineux, on pourrait éventuellement discuter d'une réinsertion. Par contre, je doute que ces lésions datent de l'accident de janvier. Mr. Y admet qu'il a déjà eu d'anciens traumatismes de cette épaule. La réinsertion de la coiffe des rotateurs chez ce patient de 65 ans et grand fumeur me semble douteuse. On va d'abord tenter un traitement conservateur. Je reverrai Mr. Y le 14.3.2019 suite à une rééducation en physiothérapie qui se fera à l'HFR Riaz. Il s'agit d'une situation dépassée. La rupture du tendon du sus-épineux semble être ancienne. Je suis obligé de bilanter la situation par arthro-IRM pour être sûr du diagnostic et juger de la situation actuelle du tendon du sus-épineux. Je reverrai Mr. Y par la suite pour discuter des options thérapeutiques. Prochain rendez-vous le 20.02.2019. Il s'agit d'une situation que j'observe souvent : suite à la libération articulaire, il reste une limitation de mobilité due à un rétrécissement capsulaire antérieur limitant l'extension complète. Je préconise la fabrication d'une attelle dynamique d'extension afin de récupérer l'extension complète de Mr. Y. Poursuite de la physiothérapie. Reprise du travail à 100% comme agent immobilier. Prochain contrôle dans 2 mois le 24.4.2019. Il s'agit d'une tendinopathie du sus-épineux mais vu l'absence d'une gêne majeure, pas de proposition particulière de ma part. Je me tiens à disposition en fonction de l'évolution. Il s'agit d'une 1ère luxation de l'articulation gléno-humérale. A l'IRM, nous visualisons une lésion AlPSA et un Bankart osseux dans une position parfaitement anatomique, raison pour laquelle nous proposons de continuer le traitement conservateur avec physiothérapie et proprioception. Reprise de l'escalade au plus vite dans 3 mois après la lésion. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Il s'agit initialement d'un traumatisme par écrasement avec des symptômes neurologiques déjà initiaux qui peuvent être péjorés par l'immobilisation prolongée qui lui a été prescrite. Je retrouve actuellement des signes d'irritation sur les 3 troncs nerveux principaux et une hypoesthésie extra-anatomique. La force musculaire est conservée et il y a une allodynie diffuse sur la main en contraste avec l'hypoesthésie rapportée à l'examen clinique. Elle a eu 2 évaluations neurologiques dont je n'ai pas les résultats, je vais me les faire transmettre. J'organise une IRM de la main gauche et je souhaiterais que Mme. Y soit convoquée en consultation d'antalgie, jusque-là poursuite de l'incapacité de travail et du suivi en ergothérapie. Il s'agit vraisemblablement d'une ostéomyélite chronique complètement asymptomatique. Dans un premier temps, il s'agit de restaurer l'intégrité du tégument au niveau de l'ulcère. Puis, Mr. Y pourra être réadressé à notre consultation pour la prise en charge de cette probable ostéomyélite. A ce moment-là, on pourra entreprendre une scintigraphie pour confirmer le diagnostic et proposer une prise en charge. Il se présentera à jeun pour opération de révision le 12.02.2019, il se présentera à l'Hôpital de jour à 8h. Il va poursuivre son traitement et nous recontacter s'il souhaite un nouveau contrôle. Il va reprendre le travail le 01.03.2019. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Il y a une légère augmentation du syndrome inflammatoire au laboratoire, mais la radiographie du thorax montre un épanchement à la baisse. Mme. Y est tout à fait rassurante sur le plan clinique. Elle nous explique craindre beaucoup de refaire une ponction aux urgences, sa dernière expérience ayant été traumatisante. Nous ne retenons de toute manière pas d'indication à ponctionner ce jour, en l'absence de répercussion clinique.Il y a 2 options pour gérer la situation. La moins lourde est de faire une cure d'ongle incarné selon Kocher sur le bord latéral afin d'enlever l'appui au niveau de la partie distale de l'ongle, ce qui peut probablement être suffisant pour soulager Mme. Y. Sinon, il faudrait faire une ostéotomie de correction au niveau de la phalange distale pour corriger la rotation et la déviation. Mme. Y se décide, dans un premier temps, pour une cure d'ongle incarné du bord latéral qui est prévue pour le 01.03.2019. Elle a signé le consentement. Elle sait qu'en cas de récidive, il faudra prévoir l'ostéotomie de la phalange distale. Iléostomie à haut débit avec perturbation électrolytique • Laparotomie le 24.12.2018 : résection segmentaire 30 cm grêle à 270 cm de Treitz, confection d'une splitstomie, lavage avec 40 L NaCl, drainage en Douglas, fermeture hernie de la ligne blanche et mise en place d'un VAC sous-cutané Iléostomie à haut débit avec perturbation électrolytique • status post laparotomie exploratrice, résection segmentaire grêle à 270 cm de Treitz, confection d'une splitstomie le 24.12.2018 pour iléus mécanique sur bride Iléostomie à haut débit • Status post-laparotomie exploratrice, adhésiolyse étendue, résection segmentaire du grêle et confection d'une splitstomie en FID le 16.10.2018 • Status post-amputation abdomino-périnéale avec une colostomie définitive le 13.08.2018 Iléus Iléus grêle. Iléus grêle le 10.02.2019 Iléus grêle le 23.02.2019 avec : • Lactate à 2.1 DD : paralytique sur Parkinson Iléus grêle mécanique le 27.01.2019 Iléus grêle sur hernie para-duodénale le 22.02.2019 Iléus grêle sur invagination iléo-iléale d'origine indéterminée, DD tumoral, le 18.02.2019 Iléus mécanique avec invagination iléo-iléale sur volumineux polype inflammatoire intra-luminale le 18.02.2019 Iléus mécanique avec péritonite purulente dans la perforation de l'intestin grêle le 03.12.2018 : • status post-sonde nasogastrique • status post-résection de l'intestin grêle à 150 cm du Treitz avec splitstomie et insert de pompe à VAC, changement de VAC inguinal le 03.12.2018 (Dr. X) • status post-Ceftriaxon et Flagyl du 03 au 09.12.2018 • status post-fermeture de la plaie inguinale le 12.12.2018 avec PICCO (Dr. X) • bilan d'entrée et de sortie Iléus mécanique du grêle le 17.02.2014 Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique le 31.08.2012 Laparotomie en 2011 pour un iléus à Bienne (sans autre précision) Cure de hernie cicatricielle abdominale et inguinale selon Lichtenstein en 2011 Colique néphrétique à droite en 2006 avec mise en place d'une sonde double J, récidive en mars 2012, traitement conservateur Appendicectomie en 2004 Choc septique sur péritonite stercorale à E. faecalis de 1-2 quadrants le 22.12.2018 • Iléostomie à haut débit du 25.12.2018 au 25.01.2019 Iléus mécanique sur adhérences le 20.12.2018 STEMI latéral subaigu secondaire le 25.12.2018 • Cardiopathie ischémique tritronculaire : > Sténose serrée IVA proximale sur rupture de plaque : PTCA/DES > Sténose serrée IVA moyenne à distale : PTCA/DES x2 > Lésions intermédiaires RCx ostiale et ACD (non dominante) > FeVG 35% (12.2018) Coronarographie diagnostique le 25.12.2018 Coronarographie le 31.12.2018 : pose de 3 stents sur l'IVA. Aspirine à vie, Plavix pour 6 mois, lésion sur la Cx à traiter dans 1 mois Salves de tachycardie ventriculaire le 01.01.2018 • asymptomatique, sans répercussion hémodynamique Fibrillo-flutter inaugural à 150/min dans le contexte septique et ischémique le 19.12.2018, le 25.12.2018, et le 30.12.2018 • CHAD2VASC : 6 points • HASBLED : 2 points Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 • Epuration extra rénale continue au citrate du 24.12 au 25.12.2018 Hydrops vésiculaire de découverte fortuite asymptomatique Chutes à répétitions dès le 14.01.2019 • dans contexte état confusionnel aigu Bactériémie à Staphylocoques epidermidis le 19.01.2019 Iléus mécanique du grêle le 17.02.2014 Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique le 31.08.2012 Laparotomie en 2011 pour un iléus à Bienne (sans autre précision) Cure de hernie cicatricielle abdominale et inguinale selon Lichtenstein en 2011 Colique néphrétique à droite en 2006 avec mise en place d'une sonde double J, récidive en mars 2012, traitement conservateur Appendicectomie en 2004 Choc septique sur péritonite stercorale à E. faecalis de 1-2 quadrants le 22.12.2018 • Iléostomie à haut débit du 25.12.2018 au 25.01.2019. Iléus mécanique sur adhérences le 20.12.2018 STEMI latéral subaigu secondaire le 25.12.2018 • Cardiopathie ischémique tritronculaire : > Sténose serrée IVA proximale sur rupture de plaque : PTCA/DES > Sténose serrée IVA moyenne à distale : PTCA/DES x2 > Lésions intermédiaires RCx ostiale et ACD (non dominante) > FeVG 35% (12.2018) Coronarographie diagnostique le 25.12.2018 Coronarographie le 31.12.2018 : pose de 3 stents sur l'IVA. Aspirine à vie, Plavix pour 6 mois, lésion sur la Cx à traiter dans 1 mois. Fibrillo-flutter inaugural à 150/min dans le contexte septique et ischémique le 19.12.2018, le 25.12.2018, et le 30.12.2018 • CHAD2VASC : 6 points • HASBLED : 2 points Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 • Epuration extra rénale continue au citrate du 24.12.2018 au 25.12.2018 Hydrops vésiculaire de découverte fortuite asymptomatique Salves de tachycardie ventriculaire le 01.01.2018 • asymptomatique, sans répercussion hémodynamique Chutes à répétitions dès le 14.01.2019 • dans contexte état confusionnel aigu Bactériémie à Staphylocoques epidermidis le 19.01.2019Colique néphrétique à droite en 2006 avec mise en place d'une sonde double J, récidive en mars 2012, traitement conservateur Appendicectomie en 2004 État confusionnel persistant dès le 19.12.2018 Choc septique sur péritonite stercorale à E.Faecalis de 1-2 quadrants le 22.12.2018 Iléus mécanique sur adhérences le 20.12.2018 STEMI latéral subaigu secondaire le 25.12.2018 • Cardiopathie ischémique tritronculaire: > Sténose serrée IVA proximale sur rupture de plaque : PTCA/DES > Sténose serrée IVA moyenne à distale : PTCA/DES x2 > Lésions intermédiaires RCx ostiale et ACD (non dominante) > FeVG 35% (12.2018) Coronarographie diagnostique le 25.12.2018 Coronarographie le 31.12.2018: pose de 3 stents sur l'IVA. Aspirine à vie, Plavix pour 6 mois, lésion sur la Cx à traiter dans 1 mois. Attitude: • Coronarographie à rediscuter selon évolution • Plavix pour 6 mois Fibrillo-flutter inaugural à 150/min dans le contexte septique et ischémique le 19.12.2018, le 25.12.2018, et le 30.12.2018 • CHAD2VASC: 6 points • HASBLED: 2 points Attitude: • AC thérapeutique à rediscuter si diminution du risque de chute • ETO de contrôle à prévoir dans 3 mois à rediscuter Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 du 24.12.2019 au 31.01.2019 • acmé de la créatinine 217 micromol/L le 27.12.2018 • CKD-EPI 25 ml/min le 27.12.2019 DD pré rénale contexte sepsis, déshydratation (diarrhées) Laboratoire: FeUrée 26% le 09.01.2019, FeNA 0.8% le 20.01.2019 Hydratation i.v. Cathéter dialyse fémoral droit du 24.12.2018 au 26.12.2018 Épuration extra rénale continue au citrate du 24.12.2018 au 25.12.2018 Hydrops vésiculaire de découverte fortuite asymptomatique CT abdominal du 22.12.2018 Suivi clinique Salves de tachycardie ventriculaire le 01.01.2018 • asymptomatique, sans répercussion hémodynamique B-bloquant Iléostomie à haut débit du 25.12.2018 au 25.01.2019. Chutes à répétitions dès le 14.01.2019 • dans contexte état confusionnel aigu Adaptation des traitements psychiatriques Contention physique nocturne Réafférentation CT cérébral le 19.01.2019: pas de lésion traumatique Bactériémie à Staphylocoques epidermidis le 19.01.2019 avec: • troubles de la vigilance DD décharge bactériémie unique sur arrachage voies veineuses périphériques Avis infectiologique (Dr. X): bactériémie sans foyer, DD contexte arrachage VVP/VVC, proposition de stopper le Tazobac, refaire des hémocultures à froid à la recherche d'une décharge persistante de s. epidermidis (endocardite etc). En cas d'état fébrile, hémoculture et réévaluer le patient. Iléus mécanique du grêle sur bride au niveau de l'iléon distal. Iléus mécanique probablement sur bride le 22.02.2019 • CT abdominal le 21.02.2019 à Tafers (oral): iléus avec saut de calibre jéjunal probablement sur bride, mais une hernie interne ne peut pas être exclue, sinon pas de liquide libre, pas de pneumatose, réhaussement pariétal des anses. • Labor: 48 mg/l, Laktat 1,9 mmol/l Iléus mécanique sur bride le 24.02.19 Iléus mécanique sur volvulus sigmoïdien, le 28.02.2019 Iléus paralytique dans le contexte tumoral et syndrome de la veine cave Iléus paralytique dans un contexte de lymphome B sous chimiothérapie. Iléus paralytique DD accumulation opiacés, sepsis Iléus paralytique le 10.02.2019 Iléus paralytique le 26.01.2019 sur mucite et traitement hypokynétique Iléus paralytique mécanique (pneumonie avec épanchement et constipation) Iléus postopératoire sur bride le 24.09.2017: • Laparotomie, adhésiolyse, lavage : 27.09.2017 • Pipéracilline-Tazobactam du 27.09 au 10.10.2017 Iléus sur bride, intervention pour laparotomie d'adhésiolyse 04.08.2002 (Dr. X) Ovariectomie bilatérale dans le cadre des masses ovariennes multi-kystiques bilatérales le 06.06.2002 Iléus mécanique le 13.07.2017 Réaction émotionnelle dans le contexte d'une maladie grave - F43.23 Consilium psychiatrique Remeron 15 mg/j Troubles électrolytiques mixtes : • Hyperkaliémie • Hypokaliémie • Hypophosphatémie Suivi biologique Iléus sur coprostase Image hypoéchogène au niveau de la tête du pancréas Imagerie ceinture scapulaire avec 5 kg de charge des deux côtés: pas de décalage au niveau de l'AC. Imagerie pulmonaire à distance afin de suivre l'évolution de la pneumonie. Images de l'IRM pacsées à l'Inselspital Imazole 2x/j IMC Scoliose Imipénème du 12.01.2019 au 01.02.2019 Fluconazole du 12.01.2019 au 17.01.2019 Lidocaïne iv continu du 13.01.2019 au 14.01.2019 CT abdominal le 12.01.2019: pancréatite Balthazar E, probable perforation duodénale, cholangite réactionnelle CT abdominal le 14.01.2019: épanchements pleuraux bilatéraux, diminution des coulées de nécrose CT thoraco-abdominal le 21.01.2019: majoration des coulées de nécrose avec pseudo-kyste nécrosé de 6 x 3 cm dans la queue du pancréas SNG de décharge du 12.01.2019 au 14.01.2019 Voie veineuse centrale jugulaire droite du 12.01.2019 au 03.02.2019 SNJ d'alimentation du 28.01.2019 au 06.02.2019 Immobilisation par plâtre BAB pour une durée totale de 6 semaines. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Immobilisation par plâtre AB pour une durée totale de 4 semaines. Immobilisation par attelle poignet palmaire pour les 2 semaines suivantes. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Immobilisation avec bretelle pour quelques jours, antalgiques systémiques et topiques; physiothérapie pour enseignement d'exercices de renforcement adaptés. Contrôle chez le médecin traitant comme prévu dans une semaine avec réévaluation imagerie selon évolution. Immobilisation avec un plâtre cruro-pédieux Antalgie Chaise roulante Immobilisation avec une attelle velcro pour 4 doigts/cô orhto en urgence dans une semaine Immobilisation dans un plâtre AB fendu pour une durée totale de 4 semaines. Immobilisation par attelle poignet pour 2 semaines supplémentaires. Suivi en policlinique d'orthopédie. Immobilisation dans un plâtre cruro-pédieux. Prochain contrôle à 4 semaines du traumatisme. Pas de charge. Déplacement avec chaise roulante. Immobilisation du bras gauche pendant une semaine. Ablation des fils à J10. Immobilisation en AirCast Contrôle chez le pédiatre dans une semaine Immobilisation par Aircast 1 semaine et bande élastique les 3 semaines suivantes. Immobilisation par attelle alu dorsale pour 2 semaines. Immobilisation par syndactylie pour les 4 semaines suivantes. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Immobilisation par attelle jambière postérieure en décharge durant la 1ère semaine. Immobilisation par Air-Cast pour les 5 semaines suivantes. Immobilisation par attelle jambière postérieure la première semaine. Immobilisation par attelle Aircast sport pour les cinq semaines suivantes. Immobilisation par attelle jambière postérieure pour la première semaine. Immobilisation par attelle Aircast Sport pour les 5 semaines suivantes. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Immobilisation par attelle jambière postérieure. Thromboprophylaxie par Clexane. Contrôle en policlinique d'orthopédie. Immobilisation par attelle Metacarpal Brace et syndactylie pour une durée totale de 4 semaines. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Immobilisation par bande élastique pour 4 semaines. Marche en charge selon douleurs. Immobilisation par botte de décharge pendant 3 semaines. Immobilisation par botte de marche pour les 3 semaines suivantes. Thromboprophylaxie par Xarelto pour toute la durée d'immobilisation. Immobilisation par botte de décharge pour 3 semaines. Immobilisation par botte de charge pour les 3 semaines suivantes. Thromboprophylaxie par Xarelto pour toute la durée de l'immobilisation. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation par bretelle. • Echographie de l'épaule en ambulatoire. • Immobilisation par gantelet pour 4 semaines. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation par plâtre AB pour 4 semaines. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation par plâtre AB pour 6 semaines. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation par Rucksack pour une durée totale de 4 semaines. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation par syndactylie D4 D5 et attelle Edimbourg pour 6 semaines puis suivi en policlinique d'orthopédie. • Immobilisation pour 4 semaines, puis uniquement pour les activités à risques. Contrôle à distance. • Immobilisation MRI des linkes Handgelenks am 12.02.2019 Analgesie • Immunothérapie à prévoir en post-opératoire durant une année Suivi Dr. X : prendre rendez-vous une semaine après la sortie d'hospitalisation. • Immunothérapie prophylactique par DLI prévue durant la semaine du 11.02.2019 aux HUG (Mr. Y recevra une convocation). Consultation en angiologie prévue le 15.02.2019 à 15h avec réévaluation de l'indication à la poursuite de l'anticoagulation thérapeutique. CT thoracique de contrôle à 3 mois (mi-avril 2019) pour suivi du nodule pulmonaire. • Impaction de bol alimentaire le 17.02.19. • Impaction morceau de viande d'environ 4 cm le 27.02.2019. • Imperméabilité tubaire droite à l'hystéro-salpingographie et myome antérieur sous muqueux de 2 cm chez une patiente, 12 gestes, 2 pares de 43 ans. • Impétigo • Implantation d'un Pacemaker DDD Kora 250 Rx thorax de contrôle (18.02.19) : pas de complication Contrôle de la plaie à 10 jours Rendez-vous en cardiologie pour contrôle à distance. • Implantation d'une prothèse totale du coude D Dr. X cimentée (OP le 07.02.2019). • Implantation primaire d'une PTG BalanSys PS D avec : • plateau tibial 70, cimenté • fémur B cimenté • inlay 70/9 fixe (OP le 23.01.2019). • Implantation prothèse inversée épaule D, Affinis inverse Résection AC (OP le 31.01.2019). • Implantation PTG G sur gonarthrose valgisante et compartimentale le 14.06.2016 PTH G Changement PTH D sur descellement aseptique de la tige en 2010 (PTH D posée en 2002). Fracture ouverte phalange distale de Dig III et IV main G le 31.05.2017. Cure D3 à ressaut à G. Cure tunnel carpien D avec neurolyse du nerf médian dans le tunnel carpien le 13.08.2012. 2 cures de tunnel carpien à D dans les années 90 par le Dr. X. Cure tunnel carpien ddc en 2000 et 2001. Cure d'un syndrome de compression du nerf ulnaire au niveau du coude D. Suspicion d'endocardite traitée par Rocéphine i.v. pendant 4 semaines en 04/2011. Empyème pleural D à Enterococcus faecalis et Candida albicans en 02/2011 avec récidive en 04/2011. Syndrome Guillain-Barré en 2004 suite à une piqûre de tique en 1999. Hydrocélectomie G en 1996. OP ulcère gastrique et fundoplicature selon Nissen en 1995. Laparotomie exploratrice avec section de bride et résection de l'anse iléale nécrosée, anastomose latéro-latérale en novembre 2015. • Implantation PTH à G. (OP le 14.02.2019). • Implantation PTH D (OP le 07.02.2019). • Implantation PTH D Ostéophytectomie antéro-supérieure et postéro-inférieure (OP le 30.01.2019). • Implantation PTH D Ostéophytectomie antéro-supérieure et postéro-inférieure (OP le 31.01.2019). • Implantation PTH D Reconstruction du cotyle avec une greffe autogène du massif du petit trochanter. Ablation d'une plaque intra-médullaire. Biopsies cavité fémur D. Ablation d'un clou de Prévôt intra-médullaire. Refixation du grand trochanter par une plaque Câble grip 150 avec un total de 4 Dall-Miles. (OP le 06.02.2019). Microbiologie peropératoire du 06.02.2019 : négative. Diagnostic anatomopathologique (cavité fémur D du 06.02.2019) - Rapport Promed du 12.02.2019 : en annexe. • Implantation PTH G le 03.03.2015 STEMI inféro-postérieur en novembre 2017 avec stent de la circonflexe • antiagrégation jusqu'à fin novembre 2018. • Implantation PTH G (OP le 14.02.2019). • Important épanchement pleural gauche le 26.02.2019, DD mésothéliome • CT scan thoraco-abdominal du 25.02.2019. • Important œdème et douleurs importantes du membre supérieur droit. • Importante stase stercorale du caecum et du colon ascendant et en partie du colon transverse avec "fécalisation" de l'iléon terminal, le 05/02/2019 • pas de niveau transitionnelle ni de signe de souffrance intestinale. • Impotence au niveau de la jambe G. • Impotence fonctionnelle du sus-épineux et infra-épineux épaule gauche sur status post ablation du matériel d'ostéosynthèse humérus proximal gauche le 24.1.2019. dd : Neuropraxie du nerf supra-scapulaire. dd : Rupture post-opératoire de la coiffe des rotateurs. • Impotence RE sur status post ostéotomie de dérotation humérus proximal sur status post fracture en enfance avec guérison en RI. • IMR épaule G du 14.02.2019 : tendinopathie sus-épineux et fracture non déplacée de l'omoplate. • Inappétence dans le contexte oncologique en progression. • Inappétence et malnutrition protéino-calorique légère dans le contexte oncologique en progression. • Inappétence légère dans le cadre de la maladie oncologique. • Inappétence persistante, nausées et perte de poids d'origine indéterminée, DD sur St.p. radiothérapie cérébrale avec : • Calprotectine 19.01.2019 : 73 mg/kg. IgA anti-transglutaminase 16.01.2019 : normale. • Incapacité de travail 100 % jusqu'au 08.03.2019 Reprise du travail à 40 % dès 11.03.2019 jusqu'au 11.04.2019. Reprise du travail à 60 % dès 12.04.2019 jusqu'au 12.05.2019. Contrôle neurologique par Dr. X à l'HFR Meyriez-Murten le 11.07.2019 à 15:00 h. Physiothérapie et ergothérapie ambulatoires. Nous proposons de faire un contrôle de la Vitamine D3 dans 3 mois avec réévaluation de la thérapie substitutive. IRM médullaire et ENMG des membres inférieurs avant le contrôle neurologique du 11.07.2019. • Incision abcès, exploration, prélèvements, rinçage, ouverture de la poulie A1, suture primaire Dig II D (OP le 25.01.2019). Exploration, rinçage, débridement, suture, drainage par Penrose Dig II D (OP le 29.01.2019). Microbiologie du 25.01.2019 : Pasteurella multocida. Microbiologie du 25.01.2019 après rinçage : nég. à J5. Microbiologie du 29.01.2019 : nég. à J2. Consilium d'infectiologie 25.01.2019 (en annexe). Antibiothérapie : co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 24.01. au 01.02.2019 puis co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. dès le 01.02.2019 et jusqu'à 14 jours postopératoires. • Incision abcès, lavage, drainage pré-patellaire genou D (OP le 25.01.2019). Hémocultures : nég. à J5. Culture de la biopsie abcès genou D : nég. à J2. Consilium infectiologie 28.01.2019 (en annexe). Antibiothérapie : co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 26.01. au 28.01.2019 puis co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. dès le 29.01. et jusqu'au 03.02.2019 compris. Diagnostic anatomopathologique (abcès genou D) - Rapport Promed du 31.01.2019 : l'image histologique est compatible avec la périphérie d'un abcès. • Incision au niveau de l'hématome, évacuation de l'hématome, rinçage, prise de prélèvement fesse à droite le 22.01.2019. US fesse droite avec ponction le 17.01.2019. CT bassin et cuisses le 18.01.2019. Co-Amoxicilline du 17.01.2019 au 21.01.2019. Cubicin du 21.01.2019 au 03.02.2019. Avis Dr. X (le 08.02.2019) : soins de plaie journalière, pas de reprise au bloc, patiente peut être suivie cliniquement par le service d'orthopédie HFR Riaz. Les fils postop sont à enlever à 21 jours post-opératoires, mais d'abord à valider par un orthopédiste. Pas de contre-indication à l'anticoagulation thérapeutique. Demande de consilium orthopédique faite le 09.02.2019, contacter le médecin de garde en orthopédie le 11.02.2019 pour évaluation de la plaie et suivi.Incision au niveau de l'hématome, évacuation de l'hématome, rinçage, prise de prélèvement fesse à droite le 22.01.2019 US fesse droite avec ponction le 17.01.19 CT bassin et cuisses le 18.01.19 ETO le 25.01.2019: valvulopathies significatives de la valve mitrale et aortique Co-Amoxicilline du 17.01.2019 au 21.01.2019 Cubicin du 21.01.2019 au 03.02.2019 Avis Dr. X (le 08.02.2019): Soins de plaie journaliers, pas de reprise au bloc, Mme. Y peut être suivie cliniquement par l'orthopédique à Riaz. Les fils post-op sont à enlever à 21 jours post-opératoire, mais d'abord à valider par un orthopédique. Pas de contre-indication à l'anticoagulation thérapeutique Incision avec drainage Fucidine crème AINS Consignes de désinfection Incision d'abcès de la cuisse droite en mai 2018. Sensation de dysphagie avec brûlure et nausées d'origine indéterminée le 09.11.2016. DD: probable reflux gastro-oesophagien, fonctionnelle, anxiété. Crise d'hyperventilation dans un contexte de douleur épigastrique (RGO) le 11.02.2016. Diarrhées chroniques avec douleurs en FIG d'origine indéterminée. DD: fonctionnelle, colite. Contracture para-vertébrale droite, le 11.05.18. Incision des phlyctènes le 14.12.2018 Incision, drainage abcès, débridement, rinçage avec 6 litres, prélèvements et mise en place de 2 penrose au pied gauche le 11.02.2019 Cathéter artériel radial gauche du 07 au 11.02.2019 Voie veineuse centrale jugulaire interne droite du 07 au 11.02.2019 CT abdominal le 05.02.2019 US abdominal le 05.02.2019 CT scan cérébral le 07.02.2019 CT cérébro-thoraco-abdominal et membres inférieurs le 10.02.2019 Echographie transoesophagienne le 08.02.2019: possible végétation aortique (rapport écrit suit) Antibiothérapie: • Pipéracilline/Tazobactam du 05 au 06.02.2019 • Floxapen du 06 au 08.02.2019 • Rifampicine du 07.02.2019 au 11.02.2019 • Kefzol du 09 au 11.02.2019 Noradrénaline iv continu du 08 au 11.02.2019 Incision et drainage au bloc opératoire le 17.02.2019 Incision et enlèvement du corps étranger sous anesthésie locale (GelLet) et Meopa par orthopédiste (Dr. X) Incision, évacuation hématome, rinçage, prélèvements fesse D (OP le 22.01.2019) Consilium infectiologie 19.01.2019 Antibiothérapie: • Co-amoxicilline du 17.01. au 21.01.2019. • Cubicin dès le 21.01.2019 Echocardiographie ETO le 25.01.2019 à la recherche d'une endocardite. Valvulopathies significatives de la valve mitrale et aortique, inchangées par rapport au dernier examen TTE en septembre 2018. Incision selon Pfannenstiel sous péridurale approfondie Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique à la peau Test au bleu négatif Thromboprophylaxie Zinacef 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie puis anesthésie générale Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Pertes sanguines estimées à 500ml Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie puis anesthésie générale Utérotomie isthmique transverse basse (PE 1000 cc) Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie puis anesthésie générale Utérotomie isthmique transverse basse (PE 400cc) Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse (PE 300 cc) Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse (PE 300 cc) Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse (PE 400 cc) Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie/ Utérotomie isthmique transverse basse (PE 700 cc) Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Incision selon Pfannenstiel sous rachianesthésie Utérotomie transverse basse Surjet intradermique Zinacef 1.5g Thromboprophylaxie Suites de couches Incision sous anesthésie locale par Rapidocaïne (Dr. X). Contrôle à la consultation de proctologie le 20.02.2019. Douche à l'eau claire 3x/jour et après chaque selle. Laxatif. Incompatibilité Rhésus Incompétence cervicale Inconfort abdominal, vomissements Inconfort et pleurs depuis 5 heures Inconnus. Inconscience Incontinence d'effort post-opération de la prostate, sans précision Status post prostatectomie Ulcère gastrique hémorragique avec oesophagite peptique Décompensation cardiaque gauche dans le contexte d'une cardiopathie hypertensive dilatée le 01.02.2017 Incontinence fécale et urinaire nouvelles (depuis 2 semaines) Incontinence fécale partielle comme complication d'une coloscopie pour ablation d'un polype rectal Incontinence fécale partielle comme complication d'une coloscopie pour ablation d'un polype rectal. Incontinence fécale partielle comme complication d'une coloscopie pour ablation d'un polype rectal. Incontinence urinaire dans le contexte d'une infection urinaire Incontinence urinaire d'effort de deuxième degré sans prolapsus, sous Ditropan. Fracture du bassin et de la jambe gauche. Abcès fistulisé du sein gauche péri-aréolaire à 43 ans. Hystérectomie avec annexectomie bilatérale le 14.07.2017 sur/avec: • Washing péritonéal • Adénocarcinome endométrioïde bien différencié in situ • Mme. Y de 46 ans nulligeste. Infection urinaire asymptomatique - Dose unique de Monuril 3 g le 18.07.2017. Anémie avec Hb à 97 g/l le 14.07.2017 puis à 94 g/l en postopératoire • Transfusion de 2 culots érythrocytaires • Supplémentation martiale per os par Maltofer pour 3 mois. Incontinence urinaire d'effort transitoire post-accouchement Incontinence urinaire depuis 2017. Incontinence urinaire d'urgence avec une cystocèle degré 3, hystérocèle degré 1, rectocèle degré 2 Incontinence urinaire mixte à prédominance mécanique avec récidive de cystocèle degré 3, rectocèle degré 2 chez une patiente ayant 4 gestes et 3 pares de 52 ans Incontinence urinaire mixte de type stress et urgence. Incontinence urinaire nouvelle le 04.02.19 • dans un contexte infectieux avec état confusionnel Incontinence urinaire nouvelle DD: cystite bactérienne, cystite virale, diabète de type I débutant Incontinence urinaire secondaire au Deanxit. Pollakiurie dans le contexte d'une anxiété massive, le 14.11.2014. Gastro-entérite probablement virale, le 27.01.2015. Crise de panique dans un contexte de trouble borderline et de dépression. Crise d'angoisse. Incontinence urinaire • suivi par Dr. X Incontinence urinaire sur prolapsus. DD: vessie neurogène, vessie hyperactive. Incontinence urinaire sur relaxation des sphincters liés à l'âge + traitement médicamenteux (Paraplatine, incontinence urinaire fréquente) DD: Incontinence d'effort sur infection urinaire Incontinence sur trouble neurologique (DD: métastase) Indication anticoagulation: AVC avec embolisations multiples (2014) Thérapie aux urgences: • Konakion 1mg p.o. le 05.02.2019 • Konakion 1mg p.o. le 06.02.2019 • Contrôle INR le 06.02.2019 avec INR toujours à > 5.5. Attitude: Hospitalisation en médecine interne pour reversement de la CRASE. Indication d'un suivi à votre consultation du traitement par Tamsulosine afin d'en évaluer sa tolérance. Indication opératoire retenue, mais pas d'intervention avant résolution du contexte infectieux. Induction de travail Induction pour pré-éclampsie légère Induction pour suspicion de macrosomie Induction pour terme dépassé Infarctus du myocarde dans les années 2000 Notion d'embolie pulmonaire dans le passé (anamnestique) S/p Fracture du poignet S/p PTH D Tabagisme sevré Etat confusionnel le 24.04.2018 Etat confusionnel hypoactif le 04.05.2018 Lésions eczématiformes punctiformes dos, en plaque face médiale coude G et faces antérieures des cuisses le 22.05.2018 Chute avec traumatisme crânio-cérébral le 23.04.2018 avec : • hémorragie sous-arachnoïdienne temporale droite • fracture bi-focale non déplacée de l'arc postérieur de C1 • fracture de C2 de type II selon la classification d'Anderson et d'Alonzo (instable) Infection urinaire simple le 28.04.2018 à Proteus mirabilis Infection urinaire basse le 30.12.2018 • Antibiothérapie par Bactrim 800/160 2x/j du 30.12.2018 au 02.01.2019 Contusion au niveau de 5e côte gauche le 28.12.2019 Rhinosinusite avec bronchite le 3.2.2019 Infarctus du myocarde dans les années 2000 Notion d'embolie pulmonaire dans le passé (anamnestique) S/p Fracture du poignet S/p PTH D Tabagisme sevré Etat confusionnel le 24.04.2018 Etat confusionnel hypoactif le 04.05.2018 Lésions eczématiformes punctiformes dos, en plaque face médiale coude G et faces antérieures des cuisses le 22.05.2018 Chute avec traumatisme crânio-cérébral le 23.04.2018 avec : • hémorragie sous-arachnoïdienne temporale droite • fracture bi-focale non déplacée de l'arc postérieur de C1 • fracture de C2 de type II selon la classification d'Anderson et d'Alonzo (instable) Infection urinaire simple le 28.04.2018 à Proteus mirabilis Infection urinaire basse le 30.12.2018 • Antibiothérapie par Bactrim 800/160 2x/j du 30.12.2018 au 02.01.2019 Contusion au niveau de 5e côte gauche le 28.12.2019 Rhinosinusite avec bronchite le 3.2.2019 Infarctus du myocarde dans les années 2000 Notion d'embolie pulmonaire dans le passé (anamnestique) S/p Fracture du poignet S/p PTH D Tabagisme sevré Etat confusionnel le 24.04.2018 Etat confusionnel hypoactif le 04.05.2018 Lésions eczématiformes punctiformes dos, en plaque face médiale coude G et faces antérieures des cuisses le 22.05.2018 Chute avec traumatisme crânio-cérébral le 23.04.2018 avec : • hémorragie sous-arachnoïdienne temporale droite • fracture bi-focale non déplacée de l'arc postérieur de C1 • fracture de C2 de type II selon la classification d'Anderson et d'Alonzo (instable) Infection urinaire simple le 28.04.2018 à Proteus mirabilis Infection urinaire basse le 30.12.2018 traitée par Bactrim 800/160 2x/j du 30.12.2018 au 02.01.2019 Contusion au niveau de 5e côte gauche le 28.12.2018 Rhinosinusite avec bronchite le 3.2.2019 Infarctus du myocarde en 2005 avec mise en place de stent. Laparoscopie en 2012 pour appendicectomie. Pneumonie communautaire basale gauche à germe indéterminé, le 15.09.2015. Adénocarcinome de l'endomètre chez une patiente 1g1p de 70 ans. • hystérectomie et annexectomie bilatérale par laparotomie, washing péritonéal et lymphadénectomie pelvienne. Carcinome épidermoïde du plancher buccal antérieur droit stade pT1 pN2b (4/96) L1 G2 R0 N0. • status post tumorectomie et évidement cervical droit bilatéral, le 24.06.2015. • status post-radio- chimiothérapie adjuvante par Erbitux, jusqu'en octobre 2015. Infarctus du myocarde en 2011. Douleur thoracique d'origine musculo-squelettique. Infarctus du myocarde en 2012 Ostéoporose Anémie macrocytaire hypochrome Infarctus du myocarde en 2016 à l'Inselspital • 2 stents actifs Embolie pulmonaire il y a 6 ans. Infarctus du myocarde en 2016 à l'Inselspital avec 2 stents actifs Embolie pulmonaire 2012 Infarctus du myocarde 1993, stent de l'IVA en 1994 Infarctus il y a 20 ans Hypertension artérielle traitée Fibrillation auriculaire anticoagulée Infarctus myocardique sans élévation ST (NSTEMI) sur maladie coronarienne monotronculaire le 03.02.2019 : • Sténoses significatives de l'IVA proximale, moyenne et distale • Fraction d'éjection VG 45%, hypokinésie antérieure Infarctus myocardique sans élévation ST (NSTEMI) sur subocclusion de l'IVA proximale le 07.02.2019 Infection à Chlamydia trachomatis et Neisseria gonorrhée Infection à Influenza A avec : • rhinite et état fébrile Infection à mycoplasme Infection à Staphylococcus aureus d'un hématome au niveau de la fesse droite le 17.01.2019 Infection aiguë des voies urinaires basses. Infection chronique PTG droit sur bactériémie à E. faecalis multisensible : • status post pose de PTG en janvier 2014 pour gonarthrose en valgus grave, plus de 20°, du genou droit avec destruction subtotale du compartiment externe avec : • Correction d'axe par mise en place d'une PTG à droite RHK de reconstruction avec un condyle fémoral D combiné à une quille 16 145 avec un offset mis sur la position de 2, la quille étant d'épaisseur 16.81.54 • Plateau tibial RHK sans quille No 3 avec greffes anti-translation fixées par broches résorbables et cimentées, comme le fémur d'ailleurs, par du ciment à la Garamycine. Polyéthylène rotatoire 14. • Ostéotomie de resurfaçage de la rotule et mise en place d'une rotule NexGen No 29 avec recentrage de l'appareil capsulo-ligamentaire interne par plicature et transfert musculaire.Infection chronique PTG droit sur bactériémie à E. faecalis multisensible: • status post pose de PTG en janvier 2014 pour gonarthrose en valgus grave, plus de 20°, du genou droit avec destruction subtotale du compartiment externe avec: • Correction d'axe par mise en place d'une PTG à droite RHK de reconstruction avec un condyle fémoral D combiné à une quille 16 145 avec un offset mis sur la position de 2, la quille étant d'épaisseur 16. 81.54 • Plateau tibial RHK sans quille No 3 avec greffes anti-translation fixées par broches résorbables et cimentées, comme le fémur d'ailleurs, par du ciment à la Garamycine. Polyéthylène rotatoire 14. • Ostéotomie de resurfaçage de la rotule et mise en place d'une rotule NexGen No 29 avec recentrage de l'appareil capsulo-ligamentaire interne par plicature et transfert musculaire. Infection chronique PTH G traitée par antibiothérapie suppressive. Infection cutanée Infection cutanée à staphylocoque, DD dermatite de contact, éruption irritative Infection cutanée débutante point d'insertion de la pompe à insuline Infection cutanée du pouce droit. Infection cutanée du pouce droit le 30.01.2019. Infection de drain Infection de drain. Infection de la main gauche en face palmaire avec lymphangite sur morsure de chat. Infection de l'hallux gauche. Infection de plaie du MIG avec: • greffe de Thiersch face interne jambe G et pansement VAC le 09.03.2017 • Révision, neurolyse tibiale postérieure et saphène jambe G le 02.02.2017 • Fermeture partielle fasciotomie jambe G le 05.04.2016 et greffe de Thiersch face interne jambe G le 20.05.2016 • Fasciotomie et fasciectomie face interne jambe G sur fasciite nécrosante jambe G à Serratia marcenscens le 18.03.2016 Labo Avis orthopédique (Dr. X) : pas d'indication à opération, éclaircir autre piste que infectieuse Avis rhumatologue (Dr. X) : gangrène pyrogène incertaine, car pas d'autres symptômes et image non similaire Sonographie du MIG par le Dr. X : pas de collection, pas d'infiltration musculaire, infiltration des tissus mous Infection de plaie du tendon d'Achille droit à type de granulome superficiel le 11.01.2019, avec: • s/p plastie d'augmentation du tendon d'Achille avec tendon plantaire grêle le 21.12.2018 suite à une rupture du tendon lors d'une chute le 11.12.2018 Infection de site opératoire inguinal droit le 03.01.2018 Infection débutante du pied D, suite à une blessure avec un clou rouillé le 02.04.2016 Déchirure du rectus femoris 15.08.2014 Infection débutante du pied droit, suite à une blessure avec un clou rouillé le 02.04.2016. Déchirure du rectus femoris 15.08.2014. Infection des tissus mous. Infection des voies aériennes supérieures Infection des voies aériennes supérieures, aspécifique. Infection des voies aériennes supérieures aspécifique. Infection des voies aériennes supérieures aspécifiques. Infection des voies aériennes supérieures de probable origine virale le 28.02.2019. Infection des voies aériennes supérieures d'origine probablement virale. Infection des voies aériennes supérieures d'origine probablement virale. Infection des voies aériennes supérieures d'origine probablement virale. Probable gastrite alcoolique. Hépatite aiguë alcoolique. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Infection des voies aériennes supérieures d'origine virale le 28.02.2019. Infection des voies aériennes supérieures le 17.02.2019. Infection des voies aériennes supérieures le 24.02.2019. Infection des voies aériennes supérieures probablement d'origine virale avec toux irritative Infection des voies respiratoires supérieures avec probable foyer de pneumonie à droite Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires avec syndrome grippal d'allure virale Infection des voies respiratoires hautes avec probable persistance d'un épisode d'angine bactérienne récente et probable bronchite associée. • Angine bactérienne à Strepto A le 25.01.2019 traitée par amoxicilline pendant 5 jours mais traitement arrêté car la patiente a présenté un rash cutané sous amox. Infection des voies respiratoires hautes d'allure virale avec syndrome grippal Infection des voies respiratoires hautes d'allure virale avec syndrome grippal Infection des voies respiratoires inférieures le 04.02.2019 Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures. Infection des voies respiratoires supérieures à Influenza A Infection des voies respiratoires supérieures avec possible sinusite. Infection des voies respiratoires supérieures avec: • rhume • pharyngite Infection des voies respiratoires supérieures d'origine probable virale le 10.02.2019. Infection des voies respiratoires supérieures d'origine virale. Infection des voies respiratoires supérieures d'origine virale le 04.02.2019. Infection des voies respiratoires supérieures et angine en 2012 St post-fracture de l'humérus en 2011: traitement conservateur St post-fracture Salter II non-déplacée de la phalange moyenne du 5e doigt G avec plaie superficielle en juin 2013 Méningite à Entéro-virus Déshydratation estimée à 5% Infection des voies respiratoires supérieures le 03.02.2019. • avec syncope d'origine vaso-vagale le 03.02.2019. DD: grippe. Infection des voies respiratoires supérieures le 05.02.2019. Infection des voies respiratoires supérieures le 10.02.2019. Infection des voies respiratoires supérieures le 11.02.2019. Infection des voies respiratoires supérieures le 13.02.2019. Infection des voies respiratoires supérieures le 16.02.2019. • DD: otite virale. Infection des voies respiratoires supérieures le 19.02.19. Infection des voies respiratoires supérieures le 22.02.2019. Infection des voies respiratoires supérieures récente Fracture peu déplacée 1/3 moyen clavicule D le 28.02.2016, traité conservativement Bronchite spastique, la dernière à l'âge de 6 ans Infection des voies respiratoires supérieures, très probablement virale. Infection des voies respiratoires supérieures. DD : grippe. Infection des voies respiratoires supérieurs d'origine virale avec : • sinusite, rhinite • Patiente actuellement enceinte à 13 semaines d'aménorrhée, dernier contrôle chez son gynécologue il y a une semaine • Infection des voies respiratoires supérieures le 05.02.19. • Infection des voies urinaires le 07.01.2019 sur sonde vésicale en place • Infection des voies urinaires le 25.01.2019 • Infection des voies urinaires simples. • Infection des voies respiratoires traînante depuis deux semaines avec fièvre, probablement d'allure bactérienne • Infection d'orifice de drain abdominal • Infection du boîtier du pacemaker par staphylocoque epidermidis le 28.01.2019 • Infection du doigt • Infection du pansement ce jour. La suite se fera chez le médecin traitant à raison d'une fois tous les deux jours. Nous le reverrons à 2 semaines postopératoires. • Infection du point d'insertion du pacemaker • Infection du site d'insertion de drain abdominal à Streptocoque gr. anginosus/milleri et Enterococcus faecium le 10.02.2019 • Contexte de léiomyosarcome utérin FIGO IIIA (L1, V2, R1) métastatique avec fistule entre anse intestinale et masse surinfectée drainée • Pas de collection ou abcès de paroi ni dermohypodermite associés • Infection du triangle de Scarpa droit par staphylocoque epidermidis et Enterocoque faecalis le 20.01.2019 • au site d'accès vasculaire pour ECMO • Infection du 5ème orteil du pied gauche. • Infection HIV Hépatite C Neuropathie périphérique • Infection loges amygdaliennes post-amygdalectomie du 05.03.2018 • Infection phlegmoneuse du dos de la main gauche sur morsure de chat le 03/2013 Lombocruralgies invalidantes droite sur sténose canalaire (antélisthésis L3-L4 et L4-L5 sur arthrose) en 04/2008 Pneumonie droite 10/2006 PTH gauche 01/2002, PTH droite en 06/2002 Arthroscopie thérapeutique genou G Correction chirurgicale orthopédique des orteils I et II G Opérations cataracte ddc Correction ptose palpébrale D Hystérectomie et annexectomie pour des saignements périodiques persistants en 1990 Torticolis avec correction chirurgicale pendant l'enfance • Infection plaie profonde à Staphylococcus epidermidis hominis et Klebsiella pneumoniae avec: • Status post-révision de plaie lombaire, rinçage pluri-étagé des tissus mous et mise en place de deux Redon le 28.12.2018 pour une infection et déhiscence de plaie chirurgicale sur spondylodiscite déjà connue et sur infection du site opératoire lombaire • Status post-révision de cicatrice, drainage d'un abcès sous-cicatriciel et laminectomie L2-L3 le 14.12.2018 pour une infection du site opératoire lombaire avec collection sous-cutanée de L2 à S2 et abcès épidural D L2-L3 sur status post-spondylodèse L3-S2 et fusion inter-vertébrale L3-L4, L4-L5 et L5-S1 le 23.11.2018 • Infection post-partum à E. Coli avec hospitalisation en 2012. Gonalgie gauche le 08.12.2015. Notion anamnestique de hernie discale lombaire. Tendinite des extenseurs doigt 1 main gauche. • Infection précoce PTH D à Streptocoque oralis (ponction réalisée le 23.01.2018) • Implantation PTH D en juillet 2017 suivie, 6 semaines plus tard, d'une fracture périprothétique type Vancouver • Changement de la tête fémorale D en novembre 2017 Embolie pulmonaire sous-segmentaire apicale du lobe supérieur et segmentaire médiane du lobe moyen à D; le 10.02.2018 AS diagnostique, bursectomie sous-acromiale, ténotomie, ténodèse du LCB, résection articulation AC épaule G le 13.03.2017 sur ténopathie du LCB, bursite sous-acromiale et arthrose AC épaule G Implantation PUC genou G en 2012 sur arthrose fémoro-tibiale interne varisante AS genou G il y a 2 ans Implantation PTH G en 2006 Cure pouce à ressaut Cure hernie inguinale G OS cheville à 2 reprises. OS fracture radius distal G en 2005 • Infection pulmonaire • Infection pulmonaire à Influenza A, DD Tuberculose : • Origine éthiopienne, statut VIH, antécédent de tuberculose, compliance faible (en partie liée à des troubles cognitifs d'origine indéterminée) • Infection pulmonaire à Para-influenza virus type 4 et Rhinovirus chez un patient immuno-déprimé pour une néphropathie à IgA, en janvier 2012 : • diagnostic différentiel infection pulmonaire atypique, Pneumocyste Carinii (PCP). Gastrite chez patient immuno-déprimé le 24.06.2015. Adhérence tendineuse au niveau de l'interphalangienne proximale à droite sur status post-réduction ouverte et ostéosynthèse de la 1ère phalange de l'index par plaque Aptus Hand 1.5 et suture du tendon extenseur le 13.12.2017 pour une fracture oblique diaphysaire de la 1ère phalange ouverte stade II selon Gustilo-Anderson. AMO plaque Aptus Hand 1.5 et ténolyse de l'extenseur index droit • Infection pulmonaire bi-basale sur grippe nosocomiale à Influenza A le 03.02.2019 • Infection respiratoire, probablement virale • Infection secondaire du PAC à Staphylocoque aureus le 11.02.2019 • Infection urinaire • Infection urinaire à Citrobacter freundii et Pseudomonas aeruginosa multisensible • Infection urinaire à Citrobacter Koseri • Infection urinaire à E. coli ESBL le 25.01.2019 • Infection urinaire à Escherichia coli • Infection urinaire à Escherichia Coli le 15.02.2019 • Infection urinaire asymptomatique. • Infection urinaire avec CRP à la hausse • Infection urinaire baisse • Infection urinaire basse le 18.02.2019. Hématome sous-cutané de la face latérale de la cuisse droite sous anticoagulation pour thrombose veineuse profonde en 04/2012 drainé chirurgicalement le 16.05.2012. Cholécystectomie par laparoscopie le 29.08.2012, cholécystite aiguë sur lithiase vésiculaire symptomatique en 04/2012. Ablation du matériel d'ostéosynthèse du tibia droit le 30.03.2012 post-ostéosynthèse de valgisation en 02/2011. • Infection urinaire basse à E. coli multisensible • récidive au décours d'une antibiothérapie récente • Infection urinaire basse à E. Coli résistant à la Ciprofloxacine le 08.01.2019 • Infection urinaire basse à E. faecium le 23.01.2019 • S/p choc septique à E. coli d'origine urinaire • Infection urinaire basse à Enterobacter complexe cloacae le 04.01.2019 • Infection urinaire basse à K. pneumoniae chez patiente enceinte. • Infection urinaire basse asymptomatique à Klebsiella pneumoniae le 22.01.2019Infection urinaire basse asymptomatique le 21.01.2019. Infection urinaire basse asymptomatique le 31.01.2019. Infection urinaire basse avec : • ralentissement psychomoteur. Infection urinaire basse avec rétention urinaire en novembre 2015. Décompensation arthrosique bilatérale des genoux le 19.12.2015 avec : • chondropathie femoro-tibiale interne G stade IV. Troubles dépressifs/bipolaires chez Mme. Y connue pour retard mental et démence (Dx 2011). Tremblements de repos et au mouvements d'origine peu claire (DD : trémor essentiel). Hypertension artérielle mal contrôlée. Infection urinaire basse compliquée. Infection urinaire basse compliquée le 05.02.2019 dans un contexte de diabète de type 2 non traité. Infection urinaire basse compliquée le 05.02.2019 dans un contexte de diabète de type 2 sans traitement. Infection urinaire basse le 02.09.2015. Gastrite d'origine probablement virale. Infection urinaire basse le 06.02.19. Infection urinaire basse le 08.02.2019 • chez un patient avec une sonde vésicale à demeure. Infection urinaire basse le 18.02.2019. Infection urinaire basse le 18.12.2014. Gastro-entérite virale le 18.12.2014. Suspicion d'intolérance au lactose le 09.02.2015, DD : intolérance au Gluten, oeso-gastro-duodénoscopie le 10.02.15. Colonoscopie le 10.02.15. Lombalgie non déficitaire le 19.02.2015. Contusion de l'articulation IPD II à droite. Radiographie index droit f/p : pas de fracture visualisée. Céphalées pariéto-temporales accompagnées de faiblesse musculaire et hypoesthésie hémicorps droit. Laboratoire 02.07.2018. Consilium neurologique. Douleurs chroniques du pied droit le 29.09.2018. DD : névrome de Morton. Infection urinaire basse le 19.02.2019. Infection urinaire basse le 19.10.2015. Colique néphrétique gauche. DD : pyélonéphrite aigue gauche. Infection urinaire basse, le 21.02.2019. Infection urinaire basse le 21.02.2019. Infection urinaire basse le 2.2.2019. Infection urinaire basse le 23.07.2015. Arthroscopie du genou droit avec résection de la corne postérieure du ménisque interne. Lithiase rénale avec calcul de 6 x 4 mm de l'uretère distal droit août 2015. Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD : coprostase-constipation. Probable lithiase urinaire gauche non compliquée. Douleurs thoraciques droites d'étiologie indéterminée le 08.10.2018. Infection urinaire basse le 26.10.2017. Antibiothérapie per os par Nitrofurantoïne 2x100mg/jour pour 5 jours. Métrorragies post-coïtales le 24.10.2017. DD : traumatique sur rapport sexuel. Traumatique sur déplacement stérilet ? Infection urinaire basse le 27.01.2019 à E. coli. Infection urinaire basse le 29.01.2019. Infection urinaire basse non compliquée. Infection urinaire basse non compliquée le 26.02.2019. Infection urinaire basse non compliquée (premier épisode). Infection urinaire basse récidivante sur transplantée rénale le 01.02.2019. Infection urinaire basse simple le 30.01.2019 • chez Mme. Y connue pour pollakiurie. Infection urinaire basse sous traitement depuis le 25.01.2019. Infection urinaire basse • Status urinaire : Leuco +, Nitrite +. Infection urinaire basse sur probable infection sexuellement transmissible. Infection urinaire basse symptomatique à E. coli multisensible : • Palpation douloureuse de la vessie, chute récente. Infection urinaire basse symptomatique à E. coli multisensible. Probable hémorragie digestive haute sur gastrite érosive. Fracture radiale distale extra-articulaire droite. Infection urinaire compliquée. Infection urinaire compliquée à E. coli multisensible, chez une patiente diabétique. Infection urinaire compliquée à E. coli résistant à la ciprofloxacine le 22.12.2018 : • status post-infection urinaire traitée par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j jusqu'au 08.12.2018. Hyperkaliémie à 5.2 mmol/l le 22.12.2018. Infection urinaire compliquée à E. Faecalis le 18.01.2019 sur sonde urinaire depuis décembre 2018. Infection urinaire compliquée à E. coli le 22.01.2019 • avec rétention urinaire aiguë le 25.01.2019. Infection urinaire compliquée à E. coli multisensible et Streptococcus gallolyticus, le 09.10.2018. Embolie pulmonaire spontanée le 27.10.2015. Carcinome spino-cellulaire bien différencié de type serpigineux du menton, opéré en 2003 (greffe cutanée). Embolies pulmonaires post-opératoire en (1997, 1998). Ménisectomie droite. Appendicectomie. Infection urinaire compliquée chez l'homme. Infection urinaire compliquée chez une patiente diabétique le 05.02.2019. Infection urinaire compliquée. DD : pyélonéphrite débutante. Infection urinaire compliquée, le 04.12.2018. Hyponatrémie à 124 mmol/l sur probable SIADH (infectieux, possible néoplasie gastro-intestinale), le 04.12.2018. Agitation psycho-motrice d'origine indéterminée avec hétéroagressivité depuis le 26.11.2018 et refus de traitement depuis le 23.11.2018. Hospitalisation à Marsens sous PLAFA. Anémie normochrome normocytaire chronique avec hémoglobine à 110 g/l le 20.09.2018. Anémie ferriprive sur probable hémorragie digestive haute en mars 2018. Thrombose veineuse profonde de la poplitée gauche en mars 2018. Pneumonie basale droite, DD : infection urinaire persistante malgré l'antibiothérapie par Bactrim 16.12.2018. Colite à Clostridium difficile le 15.12.2018 traité par Rocéphine et Flagyl. Résection transurétrale de la prostate en 2010 et 2016. Prostatite aiguë à E. coli multisensible. Épanchement articulaire inflammatoire du genou gauche. Infection urinaire compliquée le 06.02.2019. Infection urinaire compliquée le 10.02.2019. Infection urinaire compliquée • post-opératoire après TURP et orchydectomie bilatérale (28.01.2019) pour adénocarcinome prostatique, le 31.01.2019. Infection urinaire • DD : pyélonéphrite débutante. Infection urinaire : Gentamycine 4 mg/kg/dose 1x/j. Clamoxyl 100 mg/kg/j en 3 doses. Hospitalisation à A4. Infection urinaire haute. Infection urinaire haute. Infection urinaire haute à E. Coli le 22.11.2018. Rash maculo-papuleux sur probable allergie médicamenteuse dès le 3.12.2018 • Médicaments suspectés : 1) Rocéphine, 2) Plavix, 3) Torasemide, 4) Cordarone. Hyponatrémie hyperosmolaire hypervolémique symptomatique à 113 mmol/l le 18.11.2018. Tentamen dans un contexte d'état dépressif depuis 2-3 semaines. Escarre cutanée de stade 1 le 10.12.2018. Status post vissage par vis sur fracture sous-capitale fémur droit sur ostéoporose le 08.05.2008. Infection urinaire haute à germe indéterminé, le 12.02.2019. Infection urinaire haute à Proteus mirabilis le 12.02.2019. Infection urinaire haute le 03.02.2019. Infection urinaire le 08.01.2019. Infection urinaire le 11.02.2019. Infection urinaire le 11.02.2019 • sur Mme. Y avec sonde à demeure depuis 4 mois. Infection urinaire, le 11.02.2019 • Urine. • Cipro pendant une semaine. Hypogammaglobulinémie IgG • Electrophorèse du 24.02.2016 : IgG 6.08 g/l (N 8-15 g/l). Delirium dans le cadre de l'Acute Erkrankung avec pyélonéphrite le 19.02.2016. DD : Alzheimer Demenz ? Commencement de Lewy-Körper-Demenz, - Chute le 18.02.2016. • CT crâne du 19.02.2016 : aucune fracture, aucun saignement, atrophie cérébrale. • IRM crâne du 29.02.2016, HFR Freiburg : rien de spécial. • EEG du 24.02.2016, HFR Freiburg : ralentissement général. • Rocephin 2 g i.v. au service des urgences de Freiburg le 19.02.2016. • Ciproxin 500 mg 2x/jour du 20.02.2016 au 25.02.2016.Introduction de Pradif am 25.02.2016 Schwerer Vitamin D Mangel • Vitamin D : 21 nmol/L (08.03.2016) • Substitution Mittelschwere depressive Episode DD : Dans le cadre d'une début d'Alzheimer DD Episode dépressif sévère avec symptômes psychotiques • GDS am 07.03.2016 : 9/15 • Consilium Dr. X, Psychogériatre Tafers : continuer avec Quétiapine 25 mg, Distraneurin fix à 22h, en cas de suspicion d'épisode dépressif sévère avec symptômes psychotiques • Consilium Prof. X, Neurologue, HFR Freiburg du 24.02.2016 : suspicion d'état de confusion subaigu, DD démence à corps de Lewy • Sous traitement avec Trittico, Quétiapine et Distraneurin depuis le 24.03.2016 • Consilium Dr. X : Trouble anxieux avec symptômes psychotiques et signes dépressifs sévères. Mr. Y devrait être traité dans un service psychiatrique. Introduction de Demetrin, augmentation de Trittico et Quétiapine Transfert à Marsens pour un traitement complémentaire, sous hospitalisation sous contrainte Infection urinaire, le 11.02.2019 • Urine • Ciprofloxacine pendant une semaine Hypogammaglobulinémie IgG • Electrophorèse du 24.02.2016 : IgG 6,08 g/l (N 8-15 g/l) Delirium dans le cadre d'un état infectieux aigu sur pyélonéphrite aiguë le 19.02.2016 DD Alzheimer ? démence à corps de Lewy débutante - chute le 18.02.2016 • CT crâne du 19.02.2016 : pas de fracture, pas de saignement, atrophie cérébrale • IRM crâne du 19.02.2016, HFR Fribourg : sp • EEG du 24.02.2016, HFR Fribourg : ralentissement global • Ciproxin 500 mg 2x/j du 20.02.2016 au 25.02.2016 • Pradif dès le 25.02.2016 Carence en Vitamine D • Vitamine D : 21 nmol/L (08.03.2016) • Substitution Épisode dépressif moyennement sévère DD dans le cadre d'une maladie d'Alzheimer débutante DD épisode dépressif sévère avec symptômes psychotiques Consilium Dr. X, Psychogériatre Tafers : Quétiapine 25 mg, Distraneurin à 22h Consilium Dr. X : Demetrin, Trittico, Quétiapine Transfert à Marsens Infection urinaire, le 11.02.2019 • Urine • Ciprofloxacine pendant une semaine Hypogammaglobulinémie IgG • Electrophorèse du 24.02.2016 : IgG 6,08 g/l (N 8-15 g/l) Delirium dans le cadre d'un état infectieux aigu sur pyélonéphrite aiguë le 19.02.2016 DD Alzheimer ? démence à corps de Lewy débutante - chute le 18.02.2016 • CT crâne du 19.02.2016 : pas de fracture, pas de saignement, atrophie cérébrale • IRM crâne du 19.02.2016, HFR Fribourg : sp • EEG du 24.02.2016, HFR Fribourg : ralentissement global • Ciproxin 500 mg 2x/j du 20.02.2016 au 25.02.2016 • Pradif dès le 25.02.2016 Carence en Vitamine D • Vitamine D : 21 nmol/L (08.03.2016) • Substitution Épisode dépressif moyennement sévère DD dans le cadre d'une maladie d'Alzheimer débutante DD épisode dépressif sévère avec symptômes psychotiques Consilium Dr. X, Psychogériatre Tafers : Quétiapine 25 mg, Distraneurin à 22h Consilium Dr. X : Demetrin, Trittico, Quétiapine Transfert à Marsens Infection urinaire le 13.01.2019 Infection urinaire le 25.01.2019 Infection urinaire, le 25.02.2019. Infection urinaire le 26.02.2019 • statut post infection urinaire traitée par Ciproxine du 11.02.2019 au 18.02.2019 • Culture urinaire prélevée le 24.02.2019 : résultat pas disponible Infection urinaire le 27.02.2019. Infection urinaire non compliquée le 16.02.2019. Infection urinaire nosocomiale le 30.01.2019 Infection urinaire probable à P. Aeruginosa et E. faecalis le 31.12.2018 • chez une patiente porteuse d'une sonde vésicale à demeure et sondes JJ bilatérales Infection urinaire probablement haute : • EF le 04.02.2019 DD : prostatite Infection urinaire simple. Infection urinaire simple le 08.02.2019 Infection urinaire simple le 19.02.2019 Infection urinaire simple le 22.02.2019 Infection urinaire simple le 27.12.2018. Infection urinaire simple le 30.12.2018 Infection urinaire simple : Monuril 18.02.2019 Proposition de rééducation périnéale après le post-partum Infection urinaire simple • Arthroscopie pour gonarthrose gauche en 2018 • Mise en place de TIPS pour ascite réfractaire en 2012 • Césariennes en 1979, en 1981 et en 1999 • Amygdalectomie en 1968 • Appendicectomie en 1973 Infection urinaire sur sonde à demeure. Infection urinaire symptomatique. Infection urinaire symptomatique à E. Coli et Enterococcus faecalis le 22.01.2019. Infection urinaire. Calcul urinaire il y a 15 ans. Infection urinaire récidivante (dernière en 2010). Prostatite. Résection d'une sténose urétrale et anastomose terminoterminale le 02.08.1995, opérée par Dr. X. Urétrotomie interne (1982). Plastie urétrale selon Johanson I et II (1983). Excision d'une fistule urétrale (1983). Tunnel carpien gauche. Cholécystectomie. Sigmoïdectomie pour diverticulite. Infection vaginale mixte dans un contexte d'atrophie vaginale. Infection virale. Infection virale (DD : syndrome de Kawasaki : moins probable). Infection virale, DD : 5ème maladie, DD : 6ème maladie, moins probable vu l'âge. Infection virale des voies respiratoires supérieures • Angine. Infection virale des voies aériennes supérieures. Infection virale des voies aériennes supérieures avec angine sur probable grippe. Infection virale des voies aériennes supérieures avec angine virale dans le contexte de probable grippe. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures avec suspicion de pneumonie rétrocardiaque, DD pneumonie virale, DD bronchite. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures. Infection virale des voies respiratoires supérieures, DD: gastroentérite Infection virale des voies respiratoires supérieures, DD: infection influenza Infection virale des voies respiratoires supérieures. Diagnostic différentiel : Influenza. Infection virale des voies respiratoires supérieures et angine virale Infection virale des voies respiratoires supérieures le 13.02.2019. Infection virale des voies respiratoires supérieurs avec toux Infection virale des voies supérieures Infection virales de voies respiratoires supérieures DD état grippal Infection virales de voies respiratoires supérieures • otite moyenne en amélioration Infection virales des voies respiratoires supérieures Infection virales des voies respiratoires supérieures Infection virales des voies respiratoires supérieures. Infection virales des voies respiratoires supérieures avec Angine Infection virales des voies respiratoires supérieures • Toux • angine Infection virales des voies respiratoires supérieurs DD coqueluche Infections des voies aériennes supérieures avec: • Rhume • Pharyngo-amygdalite • Otite Moyenne Aiguë D débutante Infections des voies respiratoires supérieures avec: • Rhume • Otite moyenne débutante à gauche Infections pulmonaires récidivantes avec épanchement pleural persistant (dernière 01.11.2018) Prothèse totale de hanche droite Cure d'hernie inguinale droite par TEP Trouble de l'adaptation avec réactions mixtes anxieuses et dépressives (F43.22) le 01.07.2013 Syncope d'origine indéterminée le 02.07.2015 Ancien tabagisme Probable pneumonie basale gauche le 12.11.2015 Péjoration probable de sa DMLA le 11.12.2017 Fracture des os propres du nez et septum nasal en contexte de chute du 14.06.2018 Trauma Dig I main gauche le 23.06.2018 Fracture et subluxation du phalange distal de D1 gauche le 23.06.2018 Fracture costale D non déplacée en contexte de chute le 30.06.2018 Chutes à répétition dans le contexte de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle • rétropulsion et élargissement du polygone de sustentation • probable hydrocéphalie à pression normale • malnutrition protéino-énergétique légère • hypotension orthostatique Diverticulose colique et ectasie veineuse (colonoscopie en 2000) • dernière poussée de diverticulite aiguë en août 2008 • 1er épisode de diverticulite simple à la jonction colo-sigmoïdienne en octobre 2007 Pontage fémoro-poplité prothétique gauche le 20.12.2018 sur AOMI stade IV Drainage hématome et pose de pansement VAC le 24.12 avec changements itératifs jusqu'au 14.01.2019 Frottis plaies proximale et distale: staphylocoque epidermidis Cubicine du 16.01 au 30.01.2019 Troubles cognitifs avec MMS à 20/30 et test de la montre 7/7 le 05.07.2015 • maladie neurodégénérative de type Alzheimer avec dilatation tétra-ventriculaire en évolution Délire hyperactif post-opératoire, DD dans le cadre de la maladie Alzheimer Infections récidivantes du membre inférieur gauche avec: Dermo-hypodermite du membre inférieur gauche le 23.01.2019 • sur mal perforant plantaire gauche récidivant • contexte polyneuropathie diabétique et AOMI sévère Infections urinaires à répétition avec: • Urosepsis à E coli et Enterococcus faecalis en 09.2018 • Urosepsis à E. Coli sensible chez patient avec auto-sondages dans le cadre d'une vessie neurogène le 16.07.2018 Fracture tibiale diaphysaire et fibulaire D d'origine peu claire et non datée: mise en évidence le 08.07.2016 Status post-multiples fractures du MID (fémur distal ddc, plateau tibial droit) d'origine traumatique avec opération et lambeau jambe D (novembre 2015) Status post-prothèse épaule D 2013. Nouvelle fracture tassement du coin inféro-antérieur de L1 (07.2018). Status post-anévrysme post-traumatique de l'aorte ascendante avec descendent interponat le 29.06.1994. Acutisation d'un syndrome douloureux lombaire chronique sur: • déconnection des sondes du neurostimulateur Nevro. Exacerbation de douleurs neurogènes chroniques dans le contexte infectieux. Bronchite d'origine probablement virale: • fonctions pulmonaires le 10.03.2017: pas de syndrome obstructif Bicytopénie d'origine probablement inflammatoire, spontanément résolutive avec: • neutropénie grade I • anémie macrocytaire hypochrome hyporégénérative TVP veine tibiale antérieure G (08/2015). Etat confusionnel aigu hyperactif d'origine mixte (contexte infectieux, antalgie). Plaie ouverte du gland sur arrachage de sonde. Infections urinaires à répétition Hystérectomie Cholécystectomie Cure de varices des 2 côtés Cure d'hémorroïdes Opération de cataracte Uvéite droite en 1997 Prothèse du genou droit Ostéosynthèse de l'humérus droit Infections urinaires à répétition Pyélonéphrite en 11.2016 Plusieurs antécédents d'œdème aigu pulmonaire et de décompensation cardiaque Insuffisance respiratoire d'origine multifactorielle le 10.12.2017 Épanchements pleuraux bilatéraux • Thoracocenthèse le 29.11.2018 bilatérale: transsudat Hystérectomie Cholécystectomie Cure de varices des 2 côtés Cure d'hémorroïdes Opération de cataracte Uvéite droite en 1997 Prothèse du genou droit Ostéosynthèse de l'humérus droit Sepsis à Entérocoques faecium sur érysipèle du MIG en 2009 Dermohypodermite du membre inférieur droit le 01.10.2018 Hématochézies d'origine indéterminées • colonoscopie et OGD en décembre 2018, colonoscopie en janvier 2019: Sp • Mise en suspens du traitement anticoagulant Infections urinaires à répétition Hémorragie digestive haute en 2017 sur ulcères et angiodysplasie Cure pouce à ressaut en 2010 Zona V2 en 2007 Maladie de Lyme en 1997 Cure de hernie inguinale gauche Cure de hernie ombilicale en 2014 Infections urinaires à répétitions Infections urinaires à répétitions Ostéopénie Paraplégique D4-D8 complet post AVP moto 1988 Infections urinaires à répétition. 2005: status post-2 pyélonéphrites. 2010: status post-hyperthyroïdie subclinique. Infections urinaires basses à répétition. Gastrite à H. pylori à l'âge de 16 ans. Infections urinaires répétitives. • actuellement sous Aspirine Cardio 100 mg 1-0-0, Atorvastatin 40 mg 1-0-0, Lisinopril 5 mg 1-0-0, Meto Zerok 25 mg 1-0-0 • Koronarographie und Ventrikulographie am 08.03.2013 (bei Dr. X): Rekanalisation und Aktiv-Stent Implantation • EF à 45% avec une akinesie postéro-basale. Tansitorischen AV-Block 3° Grad am 08.03.2013 • Atropin am 08.03.2013 • Chronische Reflux Oesophagitis • Lungen Nodulus • unklarer Lungenherd m/b • radiologische Progredienz (im Thorax-Röntgen festgestellt) • Bronchoskopie im Verlauf bei Dr. X (Inselspital) • Status nach Nikotin Abusus • Infertilité primaire. • Infertilité primaire chez une patiente nulligeste de 33 ans • Infertilité primaire depuis 4 ans • Infertilité primaire d'origine indéterminée avec grossesse spontanée • Infertilité primaire d'origine mixte, chez une patiente nulligeste, de 36 ans • Infertilité primaire suivie par Dr. X. • Lipodystrophie. • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration • Infiltration C6 D sous CT le 26.02.19 (CIMF) Prochain contrôle le 28.03.2019 • Infiltration C6 D sous CT le 26.03.2019 (CIMF) Prochain contrôle le 28.03.2019 • Infiltration C6 G sous CT le 12.03.2019 (CIMF) Prochain contrôle le 09.04.2019 • Infiltration C6 G sous CT le 25.02.19 (CIMF) Prochain contrôle le 19.03.2019 • Infiltration C8 G sous CT le 18.02.19 (CIMF) Prochain contrôle le 14.03.2019 • Infiltration de la graisse autour de la rate • Infiltration de l'articulation AC G le 15.02.2019 : • désinfection classique • repérage de l'articulation AC sous scopie • infiltration du point douloureux de la clavicule latérale avec une mixte de Dépo-Médrol et Ropivacaïne • puis en intra-articulaire par la même mixture. • rétraction de l'aiguille, pansement stérile. • Infiltration de l'épaule gauche et du genou droit du 30.1.2019. • Épaule gauche : désinfection et champage habituels de l'épaule gauche. Anesthésie locale par Rapidocaïne. Infiltration de 40 mg de Dépo-Médrol mélangé à 1 ml de Rapidocaïne dans l'articulation gléno-humérale. La mobilisation immédiate de l'épaule révèle un soulagement des douleurs. • Genou droit : désinfection et champage habituels. Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne après anesthésie locale dans l'articulation du genou droit. La mobilisation immédiate du genou droit révèle un soulagement des douleurs. • Infiltration diagnostique du sillon bicipital, épaule D le 15.02.2019. • désinfection classique • repérage digitale du sillon bicipital • infiltration du sillon bicipital par Ropivacaïne • rétraction de l'aiguille, pansement stérile. • Infiltration du genou gauche du 13.2.2019 : • désinfection et champage habituel. • Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. • Infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol mélangé à 4 ml de Rapidocaïne 1% dans l'articulation du genou gauche. • La mobilisation immédiate est bien tolérée par la patiente. • Infiltration du sillon bicipital épaule D le 01.02.2019. • Procédure : • désinfection classique. Repérage digital du long chef du biceps. • infiltration d'une mixture de Dépo Médrol et Ropivacaïne dans cette zone douloureuse. • rétraction de l'aiguille. • pansement stérile. • Infiltration du sillon bicipital épaule D le 01.02.2019. • Procédure : • désinfection classique, repérage digital du sillon bicipital. • infiltration d'une mixture de Dépo Médrol et Ropivacaïne en péritendineux. • rétraction de l'aiguille. • pansement stérile. • Infiltration du sillon bicipital épaule droite le 22.2.2019. • désinfection classique. Repérage digital du sillon bicipital. • D'abord infiltration de la zone par Ropivacaïne puis par une mixture de Ropivacaïne et Dépo-Médrol. • rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. • Infiltration du sillon bicipital le 15.2.2019. • désinfection classique. Repérage digital du sillon bicipital. • infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne dans le sillon bicipital. • rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. • Infiltration du 14.02.2019. Prochain contrôle le 06.03.2019. • Infiltration du 2ème espace inter-métatarsien du côté G le 21.02.2019. Prochain contrôle le 06.03.2019. • Infiltration d'une épicondylite radiale G le 15.02.2019 : • Procédure : • désinfection et champage classique. • repérage digital du point douloureux sur l'épicondyle. • D'abord infiltration de Ropivacaïne puis avivement de l'origine du ECRB. A la fin injection de Dépo Médrol. • rétraction de l'aiguille, pansement stérile. • Infiltration épaule droite. • Infiltration épaule gauche. • Infiltration extra-foraminale L4 D sous CT le 20.02.2019. Prochain contrôle le 12.03.2019. • Infiltration facettaire C5-C6 et C6-C7 ddc sous CT avec CURAVISC le 28.02.2019 (CIMF) • Infiltration facettaire C5-C6 et C6-C7 ddc sous CT avec CURAVISC le 14.03.2019 (CIMF) • Infiltration facettaire C5-C6 et C6-C7 ddc sous CT avec CURAVISC le 28.03.2019 (CIMF) • Prochain contrôle suite à ces infiltrations. • Infiltration facettaire L3-L4 sous CT. Prochain contrôle suite à l'infiltration. • Infiltration facettaire L4-L5 sous CT (CIMF). Infiltration facettaire L5-S1 sous CT (CIMF). Prochain contrôle avec CT lombaire dans 3 mois. • Infiltration facettaire sous CT le 13.02.19. Prochain contrôle le 14.03.2019. • Infiltration foraminale L4 D sous CT (HFR Tavel). Prochain contrôle le 14.03.2019. • Infiltration foraminale L4 D sous CT le 04.03.2019 (CIMF). Infiltration foraminale L5 D sous CT le 18.03.2019 (CIMF). Évaluation au Neurocentre (merci de convoquer le patient). Prochain contrôle le 28.03.2019. • Infiltration foraminale L4 D sous CT le 20.02.2019 (HFR Tavel). Prochain contrôle le 09.05.2019. • Infiltration foraminale L5 D sous CT le 28.02.2019. Prochain contrôle le 28.03.2019. • Infiltration le 11.03.2019 chez Dr. X. Contrôle post-infiltration le 13.03.2019 chez Dr. X pour mobilisation. • Infiltration le 12.02.2019. Prochain contrôle le 12.03.2019. • Infiltration le 13.03.2019. • Infiltration le 14.02.2019 Prochain contrôle le 04.03.2019. • Infiltration le 18.02.2019. • Infiltration le 19.03.2019. • Infiltration le 21.02.2019. Prochain contrôle le 06.03.2019. • Infiltration le 22.02.2019. Prochain contrôle le 21.03.2019. • Infiltration le 26.02.2019. • Infiltration le 28.02.2019. Prochain contrôle le 18.03.2019.Prochain contrôle le 04.04.2019 • Infiltration péri-radiculaire C5 G sous CT le 07.03.2019 Evaluation au Neurocentre (merci de convoquer le patient) Prochain contrôle le 28.03.2019 • Infiltration péri-radiculaire C6 gauche sous CT le 21.02.2019 RDV au Neurocentre Prochain contrôle le 28.03.2019 • Infiltration péri-radiculaire C7 G sous CT le 12.02.2019 Prochain contrôle le 26.02.2019 • Infiltration péri-radiculaire L5 droite sous CT le 25.02.2019 Prochain contrôle le 19.03.2019 • Infiltration péri-radiculaire S1 D sous CT le 19.02.19 Prochain contrôle le 14.03.2019 • Infiltration prévue le 11.02.2019. • Infiltration prévue le 26.02.2019. • Infiltration sacro-iliaque bilatérale sous scopie le 12.03.2019 Prochain contrôle le 19.03.2019 • Infiltration sacro-iliaque D sous scopie le 05.03.2019 Densitométrie osseuse (merci de convoquer la patiente) Prochain contrôle le 19.03.2019 Intervention chirurgicale pré-réservée pour le 01.04.2019 • Infiltration sacro-iliaque D sous scopie le 12.03.2019 Prochain contrôle le 04.04.2019 • Infiltration sacro-iliaque D sous scopie par Curavisc le 19.03.2018 Prochain contrôle le 11.04.2019 • Infiltration sacro-iliaque D sous scopie par Curavisc le 26.02.2018 Prochain contrôle le 11.04.2019 • Infiltration sacro-iliaque G sous scopie le 05.03.2019 • Infiltration sacro-iliaque G sous scopie le 19.02 EMG Neurocentre (merci de convoquer la patiente) Prochain contrôle le 14.03.2019 • Infiltration sacro-iliaque gauche le 12.03.2019 Prochain contrôle le 04.04.2019 • Infiltration sous CT le 18.02.19 Prochain contrôle le 12.03.2019 • Infiltration sous scanner Contrôle chez nous par la suite • Infiltration sous-acromiale épaule droite le 22.2.2019. Désinfection et champage classique. Repérage de l'espace sous-acromial sous scopie. Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale épaule D le 01.02.2019. Procédure : Repérage de l'espace sous-acromial sous scopie. Désinfection habituelle. Infiltration d'une mixture de Dépo Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. Rétraction de l'aiguille, pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale épaule G le 01.02.2019. Procédure : Désinfection classique, repérage de l'espace sous-acromial sous scopie. Infiltration d'une mixture de Dépo Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale épaule G le 01.02.2019. Procédure : Désinfection classique. Repérage de l'espace sous-acromial sous scopie. Infiltration d'une mixture de Dépo Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule D le 01.02.2019. Désinfection classique, repérage de l'espace sous-acromial sous scopie. Infiltration d'une mixture de Dépo Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. Rétraction de l'aiguille et ponction gléno-humérale antéro-supéro-latérale sous scopie. Infiltration intra-articulaire de la mixture de Dépo Médrol et Ropivacaïne. Rétraction de l'aiguille, pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule G le 01.02.2019. Procédure : Désinfection classique. Repérage de l'espace sous-acromial. Infiltration d'une mixture de Dépo Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. Rétraction de l'aiguille. Ponction antéro-supéro latérale de l'articulation gléno-humérale. Confirmation de la bonne position de l'aiguille puis injection d'une mixture de Dépo Médrol et Ropivacaïne en intra-articulaire. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. • Infiltration sous-acromiale et intra-articulaire, épaule G le 15.02.2019 : • désinfection classique • repérage de l'espace sous-acromial • infiltration d'une mixture de Dépo-Medrol et Ropivacaïne d'abord en sous-acromial • 2ème injection en intra-articulaire • rétraction de l'aiguille, pansement stérile • Infiltration sous-acromiale et intra-articulaire, épaule G le 15.02.2019 : • désinfection classique • repérage de l'espace sous-acromial sous scopie • infiltration d'une mixture de Dépo-Medrol et Ropivacaïne en sous-acromial, rétraction de l'aiguille • ponction antéro-supéro-latérale gléno-humérale et injection de la même mixture en intra-articulaire, rétraction de l'aiguille, • pansements stériles. • Infiltration sous-acromiale le 22.2.2019. Désinfection classique. Repérage de l'espace sous-acromial sous scopie. Infiltration d'une mixture de Dépo-Médrol et Ropivacaïne en sous-acromial. Rétraction de l'aiguille. Pansement stérile. • Infiltrations sacro-iliaque gauche par Curavisc le 05.03.2019 Prochain contrôle le 28.03.2019 • Infiltrations sacro-iliaques droites par Curavisc : 19.03.2019 09.04.2019 23.04.2019 Prochain contrôle le 16.05.2019 après CT lombaire du jour • Infiltrations sacro-iliaques gauches avec Curavisc : 19.03.2019 09.04.2019 Prochain contrôle le 23.05.2019 • Infiltrations sacro-iliaques gauches avec Curavisc : 26.02.2019 19.03.2019 09.04.2019 Prochain contrôle le 23.05.2019 • Inflammation chronique tubercule de Gerdy à gauche. Tendinopathie d'irritation au tubercule du Gerdy du tractus ilio-tibial. Status post-alignement de l'appareil extenseur du genou gauche avec relâchement externe, plastie du MPFL, médialisation de la TTA de 12 mm, prise de greffe tendon gracilis le 10.09.14 pour instabilité fémoro-patellaire genou gauche. • Inflammation cutanée locale au niveau de la sonde de PEG le 16.01.2019 : • pose en 2014. • Inflammation de la sacro-iliaque G. Raccourcissement du membre inférieur G d'environ 10 mm. Status post PTH G en 2016, après un traitement conservateur d'une fracture du cotyle. • Inflammation de l'insertion du m. plantaris gauche avec talalgie le 10.02.2019 • douleur 8/10 depuis 3 jours, talon gauche et cheville. Surtout nocturne • pas de tuméfaction, érythème, diminution de la mobilité. Douleur palpation insertion du m. plantaire et médialement • Inflammation de plaie superficielle de la cheville droite le 17.02.2019. • Inflammation des génitales • Inflammation du doigt • Inflammation du gros orteil à D sur status post cure d'ongle incarné à D. Status post cure du 2ème orteil en marteau du pied D avec Pip tree le 18.01.2019. Status post cure d'ongle incarné hallux valgus face interne/externe ddc le 09.03.2018. Status post cure d'hallux valgus en mini-invasif et cure du 2ème orteil en marteau du pied G le 05.01.2018. • Inflammation du nerf génito-fémoral DD : crémastite, hyperactivité scrotale • Inflammation locale sur piqûre d'insecte le 26.06.2014. DD : érysipèle du coude gauche. • Inflammation locale sur piqûre d'insecte le 26.06.2014. Diagnostic différentiel : érysipèle coude gauche. • Inflammation poignet G suite à faux mouvement le 29.01.2019 : Rx le 12.02.2019 : doute sur un trait de fracture au niveau de la styloïde radiale (mais pas de correspondance avec clinique) • Inflammation tissus mous pré-patellaires genou G : • DD : Bursite inflammatoire • Influenza. • Influenza A compliqué par un ARDS le 15.02.2019 : • probable surinfection bactérienne à germe indéterminé • Influenza A compliqué par un ARDS le 15.02.2019 • probable surinfection bactérienne à germe indéterminée • Influenza A (début le 16.02.2019) • Influenza A le 20.02.2019 • Influenza A le 20.02.2019 • Influenza A le 20.02.2019. • Influenza-A-Infektion• Röntgen Thorax ap/lat: possible infiltration droite basale • 2x2 Blutkulturen 04.02.2018: négatif après 5 jours • Influenza-PCR 05.02.2019: positif pour Influenza A • Inhalations avec Atrovent • Ingestion de corps étranger • Ingestion de toxique HCl 2N le 16.02.2019. • Ingestion volontaire de corps étrangers le 23.02.2019. • Ingestion volontaire de 20 cp de 500 mg de Ciprofloxacine. • Inguinal Muskelzerrung droit • Inguinal douleurs • Inguinalhernie droite médiale symptomatique • Inhalation avec Adrénaline 5 mg en aérosol • Prednison 1 mg/kg/j soit 35 mg p.o. • Surveillance aux urgences pendant 3h • Traitement symptomatique • Médecine anthroposophique • Prednison 1-2 mg/kg/dose, soit 40 mg p.o. en cas de faux croup • Reconsulter en cas de difficultés respiratoires • Inhalation de fumée avec dyspnée transitoire • Inhalation de produit de nettoyage avec présence de brûlure chimique de stade I en regard des 2 joues, le 12.06.2015. 4.5% selon la règle de Wallace. • Statut post-fausse couche spontanée en 2008. • Statut post-césarienne (garçon, 2880 grammes) en 2009. • Statut post-opération pour strabisme de l'œil gauche. • Statut post-laparoscopie exploratrice et épreuve au bleu (bilan PMA). • Céphalées occipitales depuis le 04.09.2015. • Infection urinaire baisse le 15.04.2017. • Initialement, nous nous orientons plutôt pour un retour à domicile, mais au vu de la situation à domicile déjà difficile en raison des troubles cognitifs, nous décidons pour finir d'hospitaliser Mme. Nous prenons contact avec Dr. X, médecin de garde à Riaz, où la patiente a été récemment hospitalisée. • Initialement poursuite Prednisone à 40 mg puis arrêt progressif • Lorazépam du 25.02 au 26.02.2019 • Midazolam du 26.02 au 27.02.2019 • Prise en charge multidisciplinaire • Injection de Boostrix. • Conseils et effets secondaires donnés par le médecin trieur. • Injection fortuite d'insuline rapide 80 UI le 09.02.2019. • Inquiétude quant à sa santé. • Inquiétude sur sa propre santé. • INR cible 2.5-3.5 • Poursuite Sintrom (schéma 3-2-2-3-2) • INR infra puis supra-thérapeutique. • INR infra thérapeutique (cible 3-4). • INR infra-thérapeutique à 1.6 le 10.02.2019 • INR infra-thérapeutique à 1.8 • INR infra-thérapeutique pour valve mécanique aortique sur valvulopathie rhumatismale (2002, CHUV) • INR cible 2.5-3.5 • INR supra thérapeutique • anticoagulé pour une FA • Cha2ds2-vasc 6 • Has-Bled 4 • INR supra thérapeutique • anticoagulé pour une FA • Cha2ds2-vasc 6 • Has-Bled 4 • INR supra thérapeutique • par accumulation Sintrom suite à l'insuffisance rénale aiguë • INR supra thérapeutique > 5.5 le 19.01.2019 sur schéma habituel de Sintrom (1-1-1). • INR supra thérapeutique à plus de 5.5 par cause iatrogène le 17.01.2019 • INR supra thérapeutique à 3.5 • INR supra thérapeutique à 3.9. • INR supra thérapeutique à 4.7 le 11.01.2019 • INR supra thérapeutique à 4.9 le 15.02.2019 • INR supra thérapeutique à 4.9 sous Sintrom le 15.02.2019 • INR supra thérapeutique à 6.8. • INR supra thérapeutique le 21.01.2019 : • anticoagulation orale pour fibrillation auriculaire. • INR supra-thérapeutique. • INR suprathérapeutique à 3.7, le 21.02.2019 • INR supra-thérapeutique à 3.9 • INR suprathérapeutique à 3.9 : • par accumulation de Sintrom suite à l'insuffisance rénale aiguë • INR supra-thérapeutique à 3.9 le 04.02.2019 • INR supra-thérapeutique à 3.9, le 07.02.2019 • INR supra-thérapeutique à 3.9 le 09.02.2019 • INR supra-thérapeutique à 4.2 • INR suprathérapeutique à 4.6 • INR supra-thérapeutique à >5.5 • INR supra-thérapeutique à >5.5 le 05.02.19 et 4.7 le 06.02.19 • INR suprathérapeutique à >5.5 le 21.02.2019 • INR suprathérapeutique à 5.8 chez patient Ac par Sintrom, avec : • INR suprathérapeutique à 5.8 le 07.02.2019 • INR supra-thérapeutique à 7, le 05.02.2019 • INR supra-thérapeutique dans le contexte de l'IRA le 28.01.2019 • INR suprathérapeutique, le 13.02.2019 • pic INR à 5.4 le 17.02.2019 • plusieurs antécédents d'INR suprathérapeutiques • INR supra-thérapeutique le 09.02.2019 • INR suprathérapeutique sans saignements extériorisés • INR supra-thérapeutique sur prise de Sintrom, le 18.02.2019. • INR 1.3. • Insektenstich • Insertion tendinopathie du tendon d'Achille à l'insertion au calcanéum 2011 • Insertionite du tractus ilio-tibial et pes anserinus à droite. • Statut post-ablation de PTG droite et réimplantation d'une PTG BalanSysRev Mathys sur instabilité fémoro-tibiale latérale sur statut post-PTG droite le 10.10.2012. • Syndrome sacro-iliaque et lombosciatalgies à gauche. • Insistance parentale ++++ pour antibiotiques donc amoxicilline 50 mg/kg/j pendant 5j • ttt symptomatique • Insomnie dans le contexte de conflit intra-familial : • possibles troubles anxio-dépressifs. • Insomnie, sous Temesta. • Utérus polymyomateux symptomatique et kyste simple de 5 cm de l'ovaire gauche. • Insomnies sévères • Discopathie L4-L5 avancée, sur sténose canalaire L4-L5 avec radiculopathie L5 G opéré le 28.09.2018 • Décompression L4-L5 bilatérale et libération radiculaire L5 G • Spondylodèse L4-L5 par système Romeo (vis 6.0/50, tiges 35 mm) • Discectomie L4-L5 et mise en place d'une cage TLIF Juliet 10/6° par la G, pré-remplie par de l'os autologue • Greffe postéro-latérale par os autologue • Insomnies sévères. • Discopathie L4-L5 avancée, sur sténose canalaire L4-L5 avec radiculopathie L5 gauche opérée le 28.09.2018 : • décompression L4-L5 bilatérale et libération radiculaire L5 gauche • spondylodèse L4-L5 par système Romeo (vis 6.0/50, tiges 35 mm) • discectomie L4-L5 et mise en place d'une cage TLIF Juliet 10/6° par la gauche, pré-remplie par de l'os autologue • greffe postéro-latérale par os autologue. • Insomnies sur syndrome anxio-dépressif chronique. • Névralgies du trijumeau. • Coxalgie droite chronique. • Hypoacousie. • Instabilité antérieure genou D sur insuffisance du LCA post • AS genou D, débridement du LCA des reliquats de la plastie du LCA, prélèvement greffe crête iliaque D, ablation vis interférence tibiale et fémorale et greffe des tunnels fémoral et tibial le 15.07.2015 ; entorse genou D en mai 2015. • Rupture plastie LCA genou D en 2013 • Plastie LCA genou D en 2012 • AS genou D avec plastie de reconstruction du LCA par tendon du quadriceps. • (OP le 17.02.2016) • Instabilité antérieure, médiale et postéro-médiale genou droit avec : • déchirure LCA • entorse LCP • déchirure collatéral médial superficiel • déchirure collatéral médial profond • déchirure POL. • Instabilité antéro-postérieure de la clavicule latérale gauche après entorse AC du 01.08.2017. • Instabilité chronique de la cheville sur atténuation du LTFA sur statut post entorse grade II de la cheville D il y a 5 ans.Instabilité chronique du coude droit avec : • Status post plastie ligamentaire du ligament collatéral ulnaire du coude D en décembre 2014 (fecit Dr. X, Hôpital cantonal St-Gall). • Instabilité postéro-latérale de la tête radiale coude droit sur dysplasie de la tête radiale. • Arthrose débutante du coude. • Status post-plastie du ligament collatéral ulnaire latéral du coude D le 25.10.2012. • Status post arthroscopie du coude droit et résection de 2 fragments libres intra-articulaires le 04.05.2012. Actuellement : lésion du nerf cubital au niveau du coude droit. Instabilité de la rotule G. • Status post 2 épisodes de luxation. Instabilité des parties hautes du LCB avec tendinopathie hypertrophique et lésion partielle du tendon du sous-scapulaire. Instabilité du tendon ECU poignet gauche. Status post infiltration du 6ème compartiment des extenseurs du poignet gauche le 25.01.2019. Instabilité grade II L4-L5 avec sténose dégénérative. Décompression interlaminaire racine L4-L5 ddc Discectomie L4-L5 ddc et mise en place d'une cage TLIF JULIET 10 mm + os par la G Spondylodèse avec ROMEO vis 06 50 + BGel et os en postéro-latéral (OP le 21.10.2016). Instabilité scapho-lunaire chronique poignet D Hypertension artérielle Hyperplasie prostatique Installation d'un Pace-défibrillateur de resynchronisation CRT-D le 04.02.2019 radiographie thorax de contrôle (04.02.2019) : pas de complication Contrôle de la plaie à 10 jours Rendez-vous de contrôle en cardiologie à distance Installation d'un Pacemaker Instauration de Tardyferon pour une durée de 1 mois. Contrôle à votre consultation. Instauration d'un traitement par Eliquis en post-OP. Sartan et Bétabloquant, Aldactone seulement si FEVG < 30 %. Transfusions pré-OP selon avis de l'opérateur. Instruction au patient post-TCC, consulte en cas d'apparition des symptômes décrits. Instruction rinçage nasale Poursuite de l'antibiothérapie Traitement symptomatique Suite de prise en charge par pédiatre Insuffisance aortique de degré faible à modéré, probablement post-endocardite (Dr. X, Guin). Insuffisance aortique modérée (grade 2/4) Incontinence urinaire traitée État anxio-dépressif avec hospitalisation à Marsens HTA traitée Insuffisance aortique moyenne à importante (grade 3-4/4). Insuffisance artérielle de stade IIa • PTA sur sténose 80 % A. fémorale sup 07/2000 (Dr. X) • Aspiration et thrombolyse a. fém. sup et poplitée G 10/2006 (Dr. X) Hypercholestérolémie Ancien tabagisme 40 UPA stoppé en 2016 Insuffisance artérielle de stade 1 du membre inférieur droit Cataracte bilatérale AVC ischémique subaigu pariétal gauche découvert le 14.06.2016 Cardiopathie dilatative avec FEVG à 33 % en mai 2017 Anémie hypochrome normocytaire probablement secondaire sur insuffisance rénale Insuffisance artérielle MI sur sténose subtotale de l'artère iliaque commune droite visualisée lors de l'aortographie 1998 et probables sténoses de l'artère fémorale superficielle ddc Syndrome métabolique avec • HTA • Diabète de type II • Hypercholestérolémie • Surcharge pondérale Paralysie diaphragmatique gauche ancienne et syndrome ventilatoire mixte avec légère restriction des volumes et un syndrome obstructif de degré modéré; ancien tabagisme Status post-opération d'un double cancer de la vessie en 2001, sans récidive Status post-opération d'un cancer du larynx et nodules lymphatiques du cou à gauche ~1995, sans récidive Insuffisance cardiaque à FEVG conservée dans un contexte de cardiopathie hypertensive, valvulaire, ischémique et rythmique • Sténose 50 % de l'IVA moyenne le 01.09.2012 • VD dilaté et hypertrophique avec fonction systolique abaissée. IT (1/4). Signes secondaires d'HTP. • Dernière ETT le 08.02.2019 : FEVG conservée • Fibrillation auriculaire normocarde paroxystique, sous anticoagulation par Sintrom Insuffisance cardiaque à FEVG conservée (55-60 % 06.2017), avec : • Echocardiographie 06.2017 : FEVG 55-60 %, hypokinésie postéro-basale connue, insuffisance mitrale discrète, dilatation discrète des oreillettes • Cardiopathie rythmique • Fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide anticoagulée par Sintrom • Cardiopathie ischémique • 10.2013 : NSTEMI avec décompensation cardiaque gauche (sans précisions, pris en charge à Genève) Hypercholestérolémie Hypertension artérielle traitée Diabète de type 2 insulino-requérant Ancien tabagisme 20 UPA sevré en 2008 Hypertrophie bénigne de la prostate Gammapathie monoclonale à IgG kappa de signification inconnue MGUS (07.2017) Dysphagie d'origine multifactorielle (janvier 2018) RGO Insuffisance cardiaque à FEVG diminué sur cardiopathie hypertensive, rythmique et ischémique, avec : • ETT le 24.12.2018 : FEVG 35 %, atteinte de la cinétique segmentaire compatible avec une lésion de l'IVA proximale • Fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide inaugurale le 22.12.2019, cardioversion spontanée le 27.12.2019 • Maladie coronarienne monotronculaire • Coronographie le 04.01.2019 : sténose de l'artère coronaire droite moyenne traitée par pose de stent actif • S/p NSTEMI secondaire au choc hypovolémique le 21.12.2018 • S/p décompensation cardiaque NYHA IV le 27.12.2018 sur pic hypertensif et FA rapide • Avec insuffisance respiratoire partielle aiguë sur épanchement pleural gauche Insuffisance cardiaque à fraction d'éjection abaissée sur maladie coronarienne tritronculaire avec : • Occlusion IVA distale, subocclusion calcifiée IVA proximale, sténose IVA moyenne sur la bifurcation DA, subocclusion calcifiée de la RCx proximale et de la trifurcation MA, occlusion chronique, collatéralisée de la CD moyenne • Fraction d'éjection VG 38 %, akinésie diaphragmale. Insuffisance cardiaque à fraction d'éjection préservée le 21.01.2019 • ETT du 17.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté, FEVG 70 %, pas d'anomalie de la contractilité segmentaire. Oreillette gauche dilatée, aspect de cardiopathie hypertensive Insuffisance cardiaque à prédominance droite avec : • Hypertension pulmonaire modérée mixte mais à prédominance post-capillaire d'origine indéterminée sous Revatio et oxygénothérapie à domicile (PAPs 56 par cathétérisme droit)• Oedèmes des membres inférieurs symétriques • Oedème pulmonaire interstitiel. • Insuffisance cardiaque à prédominance droite (bronchopneumopathie chronique obstructive). • Bronchopneumopathie chronique obstructive d'origine allergique. • Fibrillation auriculaire sous Cordarone. • Oedème lymphatique du membre inférieur droit d'origine indéterminée. • Tremor essentiel des membres supérieurs. • Bronchopneumopathie chronique obstructive de stade IV avec : • syndrome obstructif très sévère (VEMS à 32% le 12.01.2018) • insuffisance respiratoire globale chronique (pO2 à 7kPa, pCO2 7kPa) • pneumonie le 16.12.2017 • colonisation par Pseudomonas aeruginosa. • Oxygénothérapie. • Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 31.01.2018 à 11h. • Insuffisance cardiaque à prédominance droite (bronchopneumopathie chronique obstructive). • Fibrillation auriculaire sous Cordarone. • Oedème lymphatique du membre inférieur droit d'origine indéterminée. • Tremor essentiel des membres supérieurs. • Bronchopneumopathie chronique obstructive de stade IV avec : • syndrome obstructif très sévère (VEMS à 32% le 12.01.2018) • insuffisance respiratoire globale chronique (pO2 à 7kPa, pCO2 7kPa) • pneumonie le 16.12.2017 • colonisation par Pseudomonas aeruginosa. • Hypertension artérielle. • Polymyalgia rheumatica il y a 3 ans, sevrée puis réintroduction de Calcort 30 mg le 20.01.2015. • Insuffisance cardiaque aigüe avec dysfonction systolique sévère (FEVG 10%) d'origine multifactorielle • cardiomyopathie toxique • FA rapide • ttt inotrope neg (B bloquant). • Insuffisance cardiaque aiguë globale sur fibrillo-flutter à conduction ventriculaire rapide le 26.02.2019 avec • épanchements pleuraux bilatéraux. • Insuffisance cardiaque avec dysfonction systolique sévère (FEVG 20%) d'origine probablement multifactorielle le 11.02.2019 • Cardiomyopathie toxique • Fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide • Coronaropathie non exclue • traitement inotrope négatif (B bloquant). • Insuffisance cardiaque avec FEVG à 25% nouvellement diagnostiquée • possiblement toxique (OH) • DD: cardiopathie, hypertension artérielle, autres. • Insuffisance cardiaque avec fraction d'éjection diminuée à 20% sur cardiopathie ischémique (IVA et CD), rythmique et hypertensive, avec: • maladie coronarienne bitronculaire (IVA et CD) : s/p STEMI en 2006 et 3 NSTEMI en 2017 avec pose de stent actifs IVA moyenne et distale • bigéminisme intermittent avec hypotension artérielle secondaire en 02/2018 • pacemaker AAIR-DDDR pour BAV I°, bradycardie et BBG complet en 2017 • défibrillateur non souhaité par le patient • ETT en 02/2019 : VG avec hypokinésie globale sévère, FEVG à 20-25%, hypertrophie excentrique, disparition du thrombus apical par rapport à l'examen effectué le 18.01.2019, dysfonction diastolique modérée (grade II). • Insuffisance cardiaque chronique terminale selon le rapport du Dr. X 11.2017 avec NYHA 2 avec une cardiopathie ischémique tritronculaire, valvulaire et dysrythmique • Maladie tritronculaire et insuffisance mitrale sévère non opérée en raison de refus de la patiente 11.2017 avec mise en place de mesures palliatives avec traitement médicamenteux maximal • Fibrillation auriculaire avec conversion à rythme sinusale grâce au Cordarone le 25.04.2016, sous Xarelto depuis 04.2016 • Echocardiographie 11.2017 : Ventricule gauche avec une hypokinésie modérée de la paroi postérieure et de la paroi inféro-basale ainsi qu'une hypokinésie légère des segments restants. FEVG à 40% (méthode de Simpson). Remodelage concentrique. Aggravation de la fraction d'éjection. Rétrécissement aortique lâche. Rupture de cordage du feuillet mitral avec flail leaflet P2. Insuffisance mitrale sévère (grade 3/3). Insuffisance mitrale stable par rapport à l'examen précédent. Oreillette gauche très dilatée. HTAP légère (PAPs à 45 mmHg). • Echocardiographie 04.2017 : Insuffisance mitrale sévère avec phénomène de ‘flail’ (grade 3/3). SOR de l'IM à 0,24 cm². Ventricule gauche avec une hypokinésie minime du septum, de la paroi latéro-apicale, de la paroi septale antérieure basale et de la paroi postéro-basale et une hypokinésie modérée des segments restants. FEVG à 40-45% (évaluation visuelle). Oreillette gauche très dilatée. PAPs à 25 mmHg. Remarque et proposition : Anticoagulation orale. Au vu d'une absence de thrombus dans l'auricule, une cardioversion médicamenteuse par Cordarone en dose de charge 600mg/j pendant 10 jours puis cardioversion électrique si absence de cardioversion médicamenteuse. • Bourgeon calcique au niveau du tronc commun distal, Sténose 70% de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, englobant l'origine de la seconde diagonale (lésion de bifurcation), Occlusion de la RCx ostiale, Sténoses significatives ACD proximale et moyenne, très calcifiées, Sténose 90% PLA, Dysfonction VG systolique légère, insuffisance mitrale modérée à sévère, hypertension artérielle pulmonaire. • Insuffisance rénale modérée stade 3. • Osteoporose avec fracture pathologique Th4, Th5. • Douleurs musculosquelettiques thoraciques avec changements dégénératifs, ostéoporose des corps vertébraux avec déformation thoracique. • Insuffisance veineuse des membres inférieurs avec status post-varicectomie. • Anorexie avec carence nutritionnelle sévère : • DD médicamenteux (Amiodarone, Metfin) • Déconditionnement • Dysphagie. • Diabète de type 2 non insulino-requérant, actuellement sans traitement. • Carence modérée en vitamine D sous traitement de calcimagon (27.07.2016), 25OH Vit D2-3 48 nmol/l le 28.07.2016. • Macrocytose sans anémie avec carence en vit B12 (218 pg/ml le 28.07.2016). • Insuffisance cardiaque chronique terminale sur cardiopathie ischémique tritronculaire, valvulaire et dysrythmique avec NYHA II, avec : • maladie tritronculaire et insuffisance mitrale sévère non opérée sur souhait de la patiente avec mise en place de mesures palliatives avec traitement médicamenteux maximal. • fibrillation auriculaire paroxystique, conversion médicamenteuse par Cordarone en 2016, anticoagulée par Xarelto depuis 2016. • ETT en 11/2017 : VG avec hypokinésie modérée de la paroi postérieure et inférobasale ainsi qu'une hypokinésie légère des segments restants, FEVG 40% (aggravation depuis 04/2017), remodelage concentrique, rétrécissement aortique lâche, rupture de cordage du feuillet mitral avec flail leaflet P2, insuffisance mitrale sévère (grade 3/3) (stable depuis 04/2017), OG très dilatée, HTAP légère (PAPs 45 mmHg). • Coronographie en 2017 : bourgeon calcique du TC distal, sténose 70% de l'IVA moyenne englobant l'origine de la seconde diagonale (lésion de bifurcation), occlusion de la RCx ostiale, sténoses significatives ACD proximale et moyenne très calcifiées, sténose 90% PLA. • Ostéoporose fractuaire avec s/p multiples fractures vertébrales (dont D4-5) et costales et déformation thoracique. • Insuffisance veineuse des membres inférieurs avec status post-varicectomie. • Diabète de type 2 non insulino-requérant, actuellement sans traitement. • Insuffisance cardiaque chronique terminale sur cardiopathie ischémique, valvulaire et dysrythmique, avec : • actuellement pas décompensée. • maladie coronarienne tritronculaire et insuffisance mitrale sévère nécessitant une opération, mais celle-ci est non souhaitée par la patiente en 11/2017. • thérapie palliative avec un traitement médicamenteux maximal. • Insuffisance cardiaque (D > G) dans un contexte péri-infectieux : • Pneumonie communautaire (02/2019). • Insuffisance cardiaque dans un contexte infectieux. • comme symptômes : dyspnée et OMI nouveaux. • NT pro-BNP à 5'642 le 15.02.2019. • Insuffisance cardiaque décompensée sur sa cardiopathie et état fébrile, le 14.02.2019. • Insuffisance cardiaque diastolique de stade II sur cardiopathie ischémique (maladie tri-tronculaire) et hypertensive.Suivi par le Dr. X, dernière consultation en 2017 • Double revascularisation myocardique par greffon en Y mammaire sur l'IVA intra myocardique et la marginale circonflexe par le Dr. X le 04.04.2017 à la Clinique Cecil et pose de stent actif dans l'ACD moyenne le 09.06.17 (Dr. X) • US en 08.2017 : FEVG à 71%, hypertrophie concentrique. Actuellement : Décompensation cardiaque dans un contexte infectieux, le 19.02.2019, • NT-proBNP à 6298 ng/l • Pas de cinétique des troponines Insuffisance cardiaque diastolique décompensée le 18.02.2019 Insuffisance cardiaque d'origine mixte sur cardiopathie ischémique, valvulaire et rythmique : • ETT mai 2018 : FEVG à 70 %, HTAP importante à 66 mmHg, insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4) Cardiopathie ischémique : • coronarographie du 01.06.2018 : maladie coronarienne bitronculaire : excellent résultat à long terme post PCI IVA (2014) et CD (1998), • angioplastie et stent de la CD en 1998 ainsi que de l'IVA proximale et de la 1ère diagonale en 2014 (Clinique Cecil) Fibrillation auriculaire anticoagulée Hypertension pulmonaire modérée mixte à prédominance post-capillaire d'origine indéterminée • fonctions pulmonaires complètes en juin 2017 (Dr. X) : dans la norme, atteinte modérée de la DLCO • HIV négatif • oxygénothérapie au long cours, à domicile. • HTAP sévère à 50 mmHg sur IT importante à sévère mais fonction D conservée le 03.07.2018, sous Revatio • CT thoracique natif de juin 2017 : pneumopathie interstitielle débutante • cathétérisme droite/gauche en juin 2018 Ancien tabagisme à 40 UPA, stoppé en 2015 HTA traitée Dyslipidémie Obésité stade I Diabète de type 2 NIR Diverticulose sigmoïdienne importante (2018) Adénome surrénalien gauche de 22 mm de découverte fortuite (CT du 29.06.2017) Insuffisance cardiaque d'origine mixte sur cardiopathie ischémique, valvulaire et rythmique : • ETT mai 2018 : FEVG à 70 %. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4) avec calcification de l'anneau mitral. Pas de sténose. Dilatation du ventricule droit avec dysfonction importante. HTAP importante à 66 mmHg (D-shape du VG et notching du flux pulmonaire). Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4) • décompensation cardiaque à répétition : la dernière en mai 2018 Cardiopathie ischémique : • coronarographie du 01.06.2018 : maladie coronarienne bitronculaire : excellent résultat à long terme post PCI IVA (2014) et CD (1998), lésion intermédiaire (50%) de l'IVA moyenne contrôle OCT (MLA > 4 mm2), hypertension pulmonaire modérée mixte (DPG > 7 mmHg, RVPi 1173), IM angiographiquement modérée (2/4), fonction systolique VG normale (FEVG 75%) • status après angioplastie et stent de la CD en 1998 ainsi que de l'IVA proximale et de la 1ère diagonale en 2014 (Clinique Cecil). Fibrillation auriculaire : • fibrillation auriculaire anticoagulée, pas de réversion sous Cordarone • status post-décompensation d'IC stade IV à répétition. Hypertension pulmonaire modérée mixte à prédominance post-capillaire d'origine indéterminée • oxygénothérapie au long cours, à domicile. • désaturation majorée en position couchée. • HTAP sévère à 50 mmHg sur IT importante à sévère mais fonction D conservée le 03.07.2018, sous Revatio, pas d'indication pour ajouter le Bosentan • fonctions pulmonaires complètes en juin 2017 (Dr. X) : dans la norme, atteinte modérée de la DLCO • probable pneumopathie interstitielle débutante juillet 2017 • CT thoracique natif de juin 2017 : pneumopathie interstitielle débutante. Unique bulle d'emphysème sous-pleurale LSG. Pas de nodule suspect, ni épanchement pleural • FEVG à 70 %. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4) avec calcification de l'anneau mitral • test HIV négatif • cathétérisme droite/gauche en juin 2018. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie. Obésité stade I. Diabète de type 2 non insulino-requérant. Ancien tabagisme à 40 UPA, stoppé en 2015. Diverticulose sigmoïdienne importante (2018). Adénome surrénalien gauche de 22 mm de découverte fortuite (CT du 29.06.2017). Cholecystolithiase avec : • cholangite lithiasique en septembre 2018 • ERCP le 19.09.2018 : échec • ERCP le 25.09.2018 : pose de stent biliaire dans le cholédoque. Sténose cholédocienne d'origine indéterminée, en cours d'investigation • CEA 4.3 ng/ml, CA 19-9 57 U/ml, AFP 1.7 ng/ml • status post-pose de stent plastique par ERCP le 25.09.2018 • retrait du stent avec implantation de stent métallique le 03.01.2018 • US abdominal le 18.12.2018 : cholécystite lithiasique avec une vésicule biliaire aux parois épaisses ; pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques • remplacement du stent cholédocien par ERCP lors du séjour du 16.12.2018 au 08.01.2019. Possible anévrisme de l'artère cérébrale moyenne gauche de 8 mm : • qualité diagnostique limitée au vu d'un CT natif et non injecté • continuation de l'anticoagulation par Xarelto (bénéfice > risque hémorragique). Insuffisance cardiaque droite avec oedèmes des membres inférieurs chroniques bilatéraux en augmentation Insuffisance cardiaque droite terminale acutisée avec choc cardiogène réfractaire le 31.01.2019 • hypertension pulmonaire d'origine indéterminée sous Revatio et oxygénothérapie à domicile (PAPs 56 par cathétérisme droit) Insuffisance cardiaque droite (15.11.2017) Souffle à 4/6 au foyer aortique sur sclérose aortique Hypertension artérielle Maladie de Parkinson Insuffisance cardiaque gauche avec FEVG à 30% Insuffisance cardiaque gauche avec oedème aigu du poumon le 07.02.2019. Insuffisance cardiaque globale à prédominance gauche, NYHA 2 dans un contexte de cardiopathie hypertensive le 31.01.19 • Echocardiographie 03.2018 : EF 35%, hypokinésie diffuse et hypertrophie excentrique Insuffisance cardiaque globale, avec phlébo-lymphoedème des membres inférieurs. Immuno-suppression par Méthotrexate (traitement par Valtrex en prophylaxie) pour syndrome de Sharp et lupus érythémateux systémique, Liebman Sacks Endocardite. Troubles schizo-affectifs, type dépressif. Hypercholestérolémie. Obésité de stade I avec BMI à 31.08 kg/m2. Hernie hiatale. BPCO. Insuffisance cardiaque globale d'origine indéterminée • DD : sur anémie (high output heart failure), cardiopathie hypertensive sous-jacente Insuffisance cardiaque globale récurrente à FEVG diminuée d'origine hypertensive, valvulaire, rythmique • hypertension artérielle • fibrillation auriculaire permanente non anticoagulée asymptomatique CHA2DS2-VASc 2; HAS-BLED 2 • bloc de branche gauche connu • échocardiographie 2017 : FEVG 25% • Pacemaker le 09.11.2017 Hypothyroïdie substituée (s/p thyroïdectomie en 1998) Insuffisance veineuse chronique des MI • Dermite jaune d'ocre Tassement D12 Incontinence urinaire de stress Décompensation d'insuffisance cardiaque globale multifactorielle NYHA II probablement sur mise en suspens du traitement dans un contexte d'IRA pré-rénale, avec : • Syndrome cardio-rénal • Prise de poids (6 kg depuis l'entrée) et orthopnée • s/p décompensation cardiaque sur arrêt du traitement en 06/16 Adalat dès le 10.12.2018 Lombalgies chroniques acutisées non déficitaires le 23.11.2018 • Red flags : âge, chute en septembre 2018 • lombalgies en péjoration depuis 04/2018 Antalgie Miacalcic 200 U/I par jour pendant minimum 6 semaines Physiothérapie Rx rachis lombaire le 23.11.2018 IRM lombaire le 27.11.2018 Avis équipe rachis : Traitement conservateur, contrôle clinique et radiologique prévu le 20.12.2018 Transfert pour réadaptation gériatrique à Riaz le 13.12.2018 Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN I probablement pré-rénale le 28.11.2018 • FEurée : 40%, osm. urinaire >500, creatinine ratio urine/plasma >40 • CKD-EPI 36 ml/min/1.44 m2 • Péjoration le 08.12.2018 : eGFR (CKD-EPI) 26.6 ml/min/1.44 m2, FE urée 28% Hydratation par NaCl 500 ml/24h le 10.12.2018 Mise en suspens médicament néphrotoxiques, reprise Torem et Aldactone le 11.12.2018 Aprovel 75 mg à reprendre dès fonction rénale suffisante Hyponatrémie chronique à 129 mmol/l • hyperosmolaire le 28.11.2018 • iatrogène sur diurétiques Spot urinaire Suivi biologique Insuffisance cardiaque globale terminale avec : • anasarque • cardiopathie valvulaire congénitale. Insuffisance cardiaque. Hypertension artérielle pulmonaire chronique. • Embolie pulmonaire en 2010, sous Sintrom 09/2013 et actuellement sous Xarelto 20 mg. Syndrome dépressif. Sténose dégénérative lombaire avec sténose canalaire L4-L5 et L5-S1 • Hernie discale paramédiane L5-S1 traitée conservativement en 2012 Douleurs chroniques sous antalgie. Insuffisance cardiaque NYHA II à fonction systolique conservée dans un contexte de cardiopathie rythmique • ETT 11.2018 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 %. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4) fonctionnelle. • Décompensation cardiaque globale sur insuffisance cardiaque diastolique le 07.11.2018 : STOP Digoxine • Fibrillation auriculaire permanente initialement anticoagulée par Apixaban, stoppée dans un contexte d'hématochésie Diabète de type 2 insulino-dépendant, mal contrôlé, avec complications vasculaires documentées, avec : • HbA1c : 8.5 % (11.2018) • Polyneuropathie périphérique • Etat hyperglycémique hyperosmolaire le 02.11.2018, décompensation d'un diabète de type II le 08.05.2013 Hypertension artérielle traitée, non contrôlée Obésité classe 2 selon l'OMS (BMI 39.18 kg/m2) Suspicion de troubles cognitifs légers • Dépistage de démence le 07.11.2018 : MMS 25/30 • Test de l'horloge pathologique (0/1) / (5/7) s/p AVC ischémique pariétal gauche subaigu sur le territoire de l'artère sylvienne gauche superficielle, d'origine microangiopathique suspectée le 08.11.2018 avec : • symptomatologie : hémisyndrome moteur pur brachio-crural droit, anamnestiquement depuis le 02.11.2018 Insuffisance cardiaque NYHA I-II avec : • HTAP d'origine indéterminée Insuffisance cardiaque NYHA IV dans un contexte de cardiopathie ischémique : • Angor stable • Fibrillation auriculaire paroxystique sous Acénocoumarol Insuffisance cardiaque sévère à fraction d'éjection abaissée sur maladie coronarienne tritronculaire le 07.02.2019 • subocclusion calcifiée IVA proximale : PCI (1DES) : bon • fraction d'éjection du VG 18 %, LVEDP 46 mm Hg Insuffisance cardiaque sévère sur cardiopathie hypertensive, ischémique (maladie tritronculaire) et valvulaire : a) dernière coronarographie en 05/2017 -- excellent résultat à moyen terme après PCI de l'IVA moyenne 09.12.2016 -- sténose serrée d'une diagonale de petit calibre et sténose 50 % de l'artère coronaire droite distale -- dysfonction ventriculaire gauche systolique sévère avec fraction d'éjection de 25 % b) primo-implantation d'un pacemaker-défibrillateur en 03/2014 avec dernier contrôle en 08/2018 -- Fabricant : Medtronic. Modèle : viva Quad XT CRT- D DTBA2QQ -- mode DDDR -- IRM non compatible -- non-dépendance c) insuffisance mitrale grade IV Artériopathie avec polygénique : • sténose de l'artère carotide interne droite à 80 % • dolicho-artériomégalie avec importantes tortuosités des artères iliaques • anévrisme poplité à gauche • anévrisme poplité à droite avec pontage fémoro-poplité et thrombus mural le 19.08.2013 Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Hyperplasie de la prostate Insuffisance cardiaque sévère sur cardiopathie hypertensive, ischémique (maladie tritronculaire) et valvulaire : a) dernière coronarographie en 05.2017 -- excellent résultat à moyen terme après PCI de l'IVA moyenne 09.12.2016 -- sténose serrée d'une diagonale de petit calibre et sténose 50 % de l'artère coronaire droite distale -- dysfonction ventriculaire gauche systolique sévère avec fraction d'éjection de 25 % b) primo-implantation d'un pacemaker-défibrillateur en 03.2014 avec dernier contrôle en 08.2018 -- Fabricant : Medtronic. Modèle : viva Quad XT CRT- D DTBA2QQ -- mode DDDR -- IRM non compatible -- non-dépendance c) insuffisance mitrale grade IV Artériopathie polyvasculaire: • sténose de l'artère carotide interne droite à 80% • dolicho-artériomégalie avec importantes tortuosités des artères iliaques • anévrisme poplité à gauche • anévrisme poplité à droite avec pontage fémoro-poplité et thrombus mural le 19.08.2013 Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Obésité Insuffisance cardiaque subaiguë dans un contexte de bronchite. Insuffisance cardiaque sur : • sténose aortique sévère • maladie coronarienne tritronculaire • insuffisance mitrale sévère Insuffisance cardiaque sur cardiopathie ischémique et hypertensive Insuffisance cardiaque sur coeur pulmonaire le 27.02.2019. Insuffisance cardiaque sur maladie coronarienne tri-tronculaire Insuffisance cardiaque terminale sur cardiopathie rythmique et valvulaire • ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 32%. Hypertrophie excentrique. Rétrécissement aortique lâche calcifié, d'origine dégénérative. Clip mitral (Physio Ring) sténosant et fuyante. Rétrécissement mitral serré. Gradient moyen OG-VG à 10 mmHg. Surface mitrale estimée à 0,98 cm². Insuffisance mitrale importante (grade 4/4) fonctionnelle. Oreillette gauche très dilatée. HTP modérée à sévère très probable (PAPs à 56 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4) • porteuse d'un pacemaker-défibrillateur • fibrillation auriculaire sous Marcoumar. Insuffisance rénale chronique. Dyslipidémie. Malnutrition protéino-énergétique grave. Insuffisance cardiaque terminale sans décompensation Insuffisance cardiaque terminale sur cardiopathie rythmique, valvulaire et hypertensive : • FA paroxystique depuis 2011 jusqu'à présent anticoagulée par Marcoumar • remplacement valvulaire aortique par prothèse biologique (19 mm Edwards Lifesciences Perimount Magna Ease) par Dr. X (Clinique Beausite) et anuloplastie mitrale le 08.09.2015 pour sténose aortique sévère et insuffisance mitrale modérée avec coronaires saines et FEVG 55-60%. (fermeture auricule gauche dans le même temps opératoire) • dernière ETT le 07.01.2019 : FEVG à 19% Insuffisance cardiaque Diabète type 2 Hypertension artérielle Glaucome Insuffisance de la valve aortique minime • avec un rétrécissement aortique lâche Insuffisance du tendon d'Achille à D sur status post • rupture du tendon d'Achille D à son insertion avec un gap de 4 cm le 11.07.2018, traitée conservativement • excision d'une exostose de Haglund calcanéum D le 04.05.2018 Insuffisance hépato-cellulaire aiguë sur cirrhose de Child C dans un contexte d'éthylisme chronique probable le 20.01.2019 • facteur V à 40%, coagulopathie avec INR spontané à 2.1 • encéphalopathie hépatique de stade IV, score de Child-Pugh à 13 points • méléna Insuffisance hépato-cellulaire sévère dans un contexte oncologique terminal le 20.02.2019 Insuffisance hépato-cellulaire sévère le 11.02.2019 • troubles de la crase • facteur V à 15% DD : origine OH, hépatopathie de stase Insuffisance hépato-cellulaire sévère sur cirrhose CHILD C éthylique et NASH le 29.01.2019 • déclencheur : prise d'alcool, infectieux (probable infection urinaire basse) • score de MELD à 37 points • suivi par le centre d'hépatologie du CHUV Insuffisance hypophysaire antérieure partielle avec : • hypothyroïdie centrale • taux ACTH abaissé • LH/FSH abaissés Clubbing idiopathique familial avec : • doigts en baguette de tambour • ongles en verre de montre Prolapsus rectal récidivant avec réductions multiples : • le 23.02.2013 et 04.11.2013 • le 29.04.2015 avec 2e épisode 4h après la première réduction • le 28.06.2015 et 29.06.2015 • le 01.07.2015 • le 05.07.2015 Ostéopathie complexe avec ostéoporose et ostéomalacie • status post fracture spontanée des genoux des deux côtés, hanche et radius droit Arthrose des chevilles et des pieds Insuffisance rénale chronique terminale (stade V) : • dans un contexte de néphrite interstitielle sur phénacétine et abus de diurétiques et de laxatifs • dans un contexte d'acidose tubulaire distale de type I congénitale • status post multiples néphrolithiases • biopsie rénale 14.08.2008 : glomérules atubulaires, remaniement interstitiel chronique • CT-scan abdominal 12.08.2008 : reins de taille diminuée des deux côtés, multiples petites lithiases des deux côtés, calcification marginale de corticale, kyste pôle inférieur rein droit • acidose réno-tubulaire distale, pas de protéinurie, sédiment urinaire inactif • confection d'une fistule artério-veineuse humérale selon Brescia-Cimino / proximalisation au niveau du membre supérieur droit le 23.11.2015 • dialyse 3x/semaine depuis 2015, via Permacath (posé par ponction veine jugulaire interne D le 04.07.2017) Complications associées : • hyperparathyroïdisme secondaire • ostéopathie complexe avec ostéoporose et ostéomalacie, status post fracture spontanée des genoux des deux côtés, hanche et radius droit • anémie chronique normochrome, normocytaire, hyporégénérative Suivi biologique Poursuite de la dialyse (lundi, mercredi, vendredi) Anémie chronique normochrome, normocytaire, hyporégénérative d'origine rénale Introduction de EPO 2000 U 3x/semaine (donnés en dialyse) Suivi biologique Anorexie mentale avec : • malnutrition protéino-énergétique • cachexie (BMI 15 kg/m2) le 01.07.2015 • abus de diurétiques et laxatifs de longue date Complications associées : • ostéopathie complexe avec ostéoporose et ostéomalacie, status post fracture spontanée des genoux des deux côtés, hanche et radius droit Suivi biologique Insuffisance mitrale sévère avec rupture de cordage du feuillet postérieur d'origine indéterminée Insuffisance musculaire des abducteurs post décompression L5-S1, mise en place TLIF et spondylodèse L4 à S1 en novembre 2018 (Dr. X). Bursite trochantérienne G. Insuffisance pancréatique intrinsèque et extrinsèque avec diabète secondaire, insulino-dépendant : • status post laparotomie et excision d'un kyste pancréatique en 1989 • status post pancréatite chronique en 1995 • status post OH chronique Insuffisance rénale aiguë, AKIN1, le 04.02.2019 • créatinine plasmatique à l'entrée de 150 umol/l (basale autour de 75 umol/l) • en premier lieu d'origine prérénale (dans contexte infectieux, déshydratation) Insuffisance rénale Akin I Insuffisance rénale chronique le 24.01.2019 • insuffisance rénale chronique acutisée le 26.05.2018 • infection urinaire basse le 31.03.2015 Insuffisance rénale chronique stade G3b Insuffisance rénale à 109 mmol/l d'origine pré-rénale le 28.01.2018 • FE Urée : 34.6% le 28.01.2019 Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance chronique le 08.02.2019 • AKIN 3 • GFR 16 ml/h selon Cockroft-Gault Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 12.02.2019 AKIN III • péjoration possiblement dans le contexte d'hypoperfusion • Créa 360 • GFR selon Cockroft-Gault à 23 ml/min le 12.02.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine prérénale avec une créatininémie à 105 µmol/l • Fraction d'excrétion de l'urée à 24 %. Insuffisance rénale aiguë AKI I Insuffisance rénale aiguë Insuffisance rénale aiguë Insuffisance rénale aiguë. Insuffisance rénale aiguë • EGFR à 66 ml/min/1.73 selon Cockcroft • post-rénal Insuffisance rénale aiguë à 189 µmol/l d'origine post-rénale. Insuffisance rénale aiguë à 99 mmol/l, probablement d'origine pré-rénale. Insuffisance rénale aiguë AKI I sur chronique Insuffisance rénale aiguë AKI sur insuffisance rénale chronique G2a, le 27.02.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 14.02.2019 • sonde à demeure depuis 11.18 pour rétention urinaire aiguë changée le 24.01.19 • clairance (CKD-EPI) : 41 ml/min • FeUrée : 26,36 % (pré-rénal) DD : syndrome cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë AKIN I, pré-rénale secondaire au sepsis le 11.02.2019 • ClCr 60 ml/min selon MDRD Insuffisance rénale aiguë AKIN I à 127 µmol/L le 21.02.2019 DD : d'origine pré-rénale Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec : • Créatinine à 144 µmol/l • Cockroft calculé à 22,4 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec : • Créatinine 100 µmol/l • Clairance à 35 ml/min selon Cockcroft & Gault Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec : • créatinine à 100 µmol/l • clairance à 20 ml/min • probablement pré-rénale dans le contexte para-infectieux Insuffisance rénale aiguë Akin I avec créatinine à 159 µmol/l le 08.02.2019 (89 µmol/l en pré-opératoire). Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 180 µmol/l probablement d'origine pré-rénale, le 19.01.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN I dans le contexte aigu le 25.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I dans un contexte d'insuffisance rénale chronique stade III avec clairance de la créatinine à 33 ml/min : • Fraction d'excrétion du sodium à 73.1 % (intra-rénal) • Dans un contexte de globe urinaire Insuffisance rénale aiguë AKIN I DD chronique avec : • créatinine à 148 µmol/l. Insuffisance rénale aiguë AKIN I DD néphropathie de produit de contraste, hypoperfusion Insuffisance rénale aiguë AKIN I DD pré-rénale, post-rénale : • créatinine à 130 µmol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine mixte rénale et pré-rénale avec fraction d'excrétion de l'urée à 55 % : • Dans un contexte de déshydratation • Néphrotoxicité sur prise de Novalgine Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine post-rénale probable sur déplacement de la néphrostomie sur chronique sévère G3b (obstructive sur progression d'un adénocarcinome prostatique, hypertensif, diabétique) • eGFR selon CKD-EPI 31 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale dans le contexte septique avec : • créatinine à 142 µmol/l. • clairance à 66 ml/min. Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale dans le contexte septique avec : • créatinine à 142 µmol/l • clairance à 66 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine prérénale le 05.02.2019 • créat 134 µmol/l, urée 38.8 mmol/l, eGFR selon CKD-EPI 30 ml/min, FEurée 15 % le 05.02.2019 • sur insuffisance rénale chronique stade 3a Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 15.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale le 30.01.2019 • sur probable syndrome cardio-rénal et réintroduction des IEC Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique avec créatinine à 163 µmol/l et clairance de la créatinine à 39.3 ml/min selon Cockcroft & Gault Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale Urosepsis à Escherichia coli ESBL le 10.12.2018 Embolies pulmonaires segmentaires le 06.08.2018 : • Pas d'anticoagulation au vu du contexte hémorragique • Pose de filtre de la veine cave le 06.08.2018 Hématochézie sur des hémorroïdes le 15.06.2018 avec : • 15.06.2018, Dr. X : ligature de l'artère hémorroïdaire supérieure et hémorroïdopexie Hémorragie digestive basse le 27.07.2018 : • OGD le 02.08.2018 (Dr. Y) : normale • Colonoscopie 13.08.2018 : diverticulose et hémorroïdes, absence de source de saignement actif ; proposition d'arrêt des investigations gastro-entérologiques et suivi de la formule sanguine Ulcère gastrique en 2012 Ulcères de la jambe droite sur statut après dermo-hypodermite avancée ayant nécessité un débridement large, un traitement par VAC et plusieurs greffes de peau méchées en janvier et février 2008 Herpès zoster en août 2013 avec douleurs neurogènes séquellaires et prurit Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement mixte : • Clairance de la créatinine à 39 ml/min • Fraction d'excrétion de l'urée à 36,15 % Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement mixte rénale et pré-rénale • CrCl à 36 ml/min • FE urée 30,4 % Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement mixte rénale et pré-rénale • Créat 134 µmol/l avec CrCl CKD-EPI à 36 ml/min (le 04.02.2019), Créat 104 µmol/l avec CKD-EPI de 47 ml/min, Cockroft 43 ml/min (le 06.02.2019), Créat 95 µmol/l avec CKD-EPI 52 ml/min (le 07.02.2019) • FE urée 30,4 % le 04.02.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine rénale avec clairance de la créatinine à 26,4 ml/min selon MDRD : • Fraction d'excrétion de l'urée : 40 % Insuffisance rénale aiguë AKIN I • EGFR à 66 ml/min/1.73 selon Cockcroft • post-rénal Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 02.02.2019 sur chronique (néphropathie diabétique de stade V) • dans un contexte infectieux et volume intravasculaire inefficace • FE urée à 30 % • associée à un syndrome néphrotique connu Insuffisance rénale aiguë, AKIN I, le 05.01.2019 : • Sur déshydratation et rhabdomyolyse • Avec créatinine à 151 µmol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 14.02.2019. • origine prérénale : FE urée 32,7 %. • possible composante post-rénale sur obstruction. Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 14.02.2019 : • Possible origine prérénale : FE urée 32,7 %. • DD post-rénale sur obstruction. Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 25.02.2019 • créatinine 111 µmol/l à l'entrée. • spot : rénal (FE urée 49 %). Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 25.02.2019 • créatinine 111 µmol/l à l'entrée. • spot : rénal (FE urée 49 %). Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 25.02.2019 d'origine rénale • CrCl 57 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I oligurique d'origine pré-rénale dans le contexte de sepsis le 28.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I oligurique d'origine pré-rénale dans le contexte septique le 28.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I pré-rénale le 12.02.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I prérénale le 22.02.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN I prérénale sur déshydratation et petit débit cardiaque le 22.02.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN I probablement d'origine pré-rénale. Insuffisance rénale aiguë AKIN I, probablement d'origine pré-rénale dans le contexte septique avec : • Créatinine à 173 µmol/l • Clairance à 38 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique d'origine probablement pré-rénale avec : • Créatinine à 158 µmol/l Clairance à 45 mL/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique KDIGO G3a, probablement sur déshydratation, le 21.02.2019 • clairance 37 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique KDIGO 3 • Créatinine 137 umol/l (2016) • Créatinine 155 umol/l, eGRF /CKD-EPI : 28.6 ml/min (06.02.2019) Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique stade G3bA2 d'origine rénale le 28.01.19 DD : néphrite interstitielle d'origine médicamenteuse (Tavanic ou Furosemide) Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique stade III avec une créatinine à 182 mcmol/l. Insuffisance rénale aiguë AKIN I vs chronique avec : • créatinine à 100 umol/l • clairance à 30 ml/min (CKD-EPI) Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine rénale sur chronique stade 3 A/B le 09.02.19 : • CKD-EPI : 54 ml/min/1,73 m2 le 13.02.19 Insuffisance rénale aiguë AKIN II le 03.02.2019 sur IRC Insuffisance rénale aiguë AKIN II le 01.02.2019 sur embolisation hépatique Insuffisance rénale aiguë AKIN II le 28.12.2018 sur néphropathie secondaire à IgA • FeUree (29.01.2019) : 52.5% (étiologie rénale) • FeUree (04.02.2019) : 33.4% Insuffisance rénale aiguë AKIN II pré-rénale le 19.01.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN II pré-rénale sur insuffisance rénale chronique KDIGO G2, le 27.02.2019 • créatinine à 25 ml/min Insuffisance rénale aiguë AKIN II probablement d'origine pré-rénale Insuffisance rénale aiguë AKIN II sur chronique d'origine pré-rénale le 21.01.2019 • DD déshydratation, septicémie, syndrome hépato-rénal • Fraction d'excrétion d'urée à 8,2% • Créatininémie à 318 umol/l, oligurie Insuffisance rénale aiguë AKIN II sur chronique d'origine pré-rénale le 31.01.2019 • DD déshydratation, diarrhées, syndrome hépato-rénal Insuffisance rénale aiguë AKIN II sur chronique le 17.01.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN II sur chronique stade CKD 3 b le 19.01.2019 AVC hémorragique pariéto-occipital gauche d'origine indéterminée le 14.01.2017 • héminégligence droite, aphasie, déviation du regard vers la droite, NIHSS initial 8 • Crise d'épilepsie 01/2017 Infection urinaire simple 06/2017 Crise d'épilepsie focale post-hémorragie sous-durale et sous-arachnoïdienne 10/2014 Excision athérome du scalp pariétal droit en 1994 Appendicectomie Hystérectomie Cholécystectomie Insuffisance rénale aiguë AKIN III anurique sur chronique le 31.01.2019 • sur bas débit suivie d'une nécrose tubulaire aiguë Insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine pré-rénale sur déshydratation sévère le 22.01.2019 avec : • Fraction d'excrétion de l'urée à 22.8% • MDRD 12. Insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine probablement mixte pré-rénale et post-rénale en juillet 2016 (post-prothèse totale de hanche gauche). Status post-tamponade iatrogène post-coronarographie le 13.11.2012. Status post-cholécystectomie par laparoscopie pour cholangite sur cholédocholithiase (calcul de 5 mm) en 2014. Insuffisance rénale aiguë RIFLE R d'origine pré-rénale le 30.06.2016. Hypokaliémie légère le 04.07.2016. Insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine rénale et plurifactorielle le 28.01.2019 • FeUrée 38%, FeNa 3.1% • DD : contexte septique, néphropathie au produit de contraste, traitement diurétique Insuffisance rénale aiguë AKIN III oligo-anurique le 08.02.2019 • Hyperkaliémie sévère • Acidose mixte Insuffisance rénale aiguë AKIN III oligo-anurique récidivante, d'origine multifactorielle le 09.01.2019, avec récidive dès le 16.01.2019 • initialement sur déshydratation et sepsis le 09.01.2019 • nouvelle aggravation depuis le 16.01.2019 (DD néphrite interstitielle médicamenteuse +/- para-infectieuse) Insuffisance rénale aiguë AKIN III oligo-anurique récidivante, d'origine multifactorielle le 09.01.2019, avec récidive dès le 16.01.2019 • initialement sur déshydratation et sepsis le 09.01.2019 • nouvelle aggravation depuis le 16.01.2019 (DD néphrite interstitielle médicamenteuse +/- para-infectieuse) Insuffisance rénale aiguë AKIN III oligo-anurique récidivante, d'origine multifactorielle le 09.01.2019, avec récidive dès le 16.01.2019 • initialement sur déshydratation et sepsis le 09.01.2019 • nouvelle aggravation depuis le 16.01.2019 (DD néphrite interstitielle médicamenteuse sur Cefuroxime +/- para-infectieuse) Insuffisance rénale aiguë AKIN III sur insuffisance rénale chronique avec troubles électrolytiques. Insuffisance rénale aiguë AKIN III sur insuffisance rénale chronique, d'origine pré-rénale sur sepsis et hypovolémie le 06.02.2019 • FeUrée (07.02.19) : 23% Insuffisance rénale aiguë AKIN III sur insuffisance rénale chronique, d'origine pré-rénale sur sepsis et hypovolémie le 06.02.2019 • FeUrée (07.02.2019) : 23% Oligo-anurie initialement Insuffisance rénale aiguë AKIN stade 2 sur origine rénale dans un contexte de choc septique le 02.01.2018 sur insuffisance rénale chronique avec : • clairance à la créatinine selon MDRD à 19 ml/min/1.73 m2 le 02.01.2019 • clairance à la créatinine selon MDRD à 27 ml/min le 08.01.2019 • FE Na 2.9% • atrophie rénale droite et infiltration de graisse rénale et péri-rénale gauche au CT scanner du 02.01.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN I Insuffisance rénale aiguë AKIN I Insuffisance rénale aiguë AKIN I. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec : • Créatinine à 133 µmol/l sur probable insuffisance rénale chronique Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec : • Créatinine à 133 µmol/l sur probable insuffisance rénale chronique Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec : • hypokaliémie 3.3 mmol/l • GFR : 46 ml/min • FEUrée : 31.28% Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 116 umol/l, clairance à 54,4 ml/minute. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 156 umol/l. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 156 mcmol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec • hypokaliémie 3.3 mmol/l • GFR : 46 ml/min • FEUrée : 31.28% Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec une créatinine à 128 mcmol/l d'origine probablement pré-rénale, • clairance créatinine à 64.2 selon Cockroft & Gault. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec une créatinine à 133 mcmol/l. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec une créatinine à 139 mcmol/l le 29.01.2019 d'origine probablement pré-rénale. Insuffisance rénale aiguë AKIN I (clairance à 25 ml/min). Insuffisance rénale aiguë AKIN I (créatinine 112 umol/l à J1, 90 umol/l en pré-opératoire). Insuffisance rénale aiguë AKIN I DD : d'origine pré-rénale Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine .... Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine mixte (pré-rénale et rénale) sur sepsis le 31.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine mixte (pré-rénale et rénale) sur sepsis le 31.01.2019Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale avec clairance de la créatinine à 50 ml/min selon MDRD : • Fraction d'excrétion de l'urée : 22.86% Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale • Créatinine 129 mcmol/l, clairance selon Cockroft et Gault 45.8 le 11.02.2019 • FeNa 0.4% Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale • FE urée à 24% Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale, le 08.02.2019 • Créatinine à 162 micromol/l le 08.02.2019 et 151 micromol/l le 11.02.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine probablement mixte avec créatininémie à 154 µmol/l : • prérénale sur déshydratation • postrénale sur globe vésical de 1000 ml • FeUrée 45 %. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine probablement pré-rénale • Fe Urée à 5.3% Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine probablement pré-rénale le 30.01.2019 • Fe Urée à 12.95%, Fe Na à 0.1% DD : sur syndrome hépato-rénal Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 08.02.2019 DD : d'origine pré-rénale Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 18.01.2019 avec une créatinine à 147 mmol/l • MDRD à 43 ml/min/1.73 m² Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 20.02.2019 • FE urée 47% (composante mixte rénale, probablement sur néphropathie hypertensive et prérénale sur diarrhées et déficit d'apports) Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 prérénale dans le contexte d'une néphropathie diabétique chronique stade 3 le 25.02.2019: DD infectieux, cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 pré-rénale le 12.02.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 prérénale le 14.02.2019 • Créatinine à 169 µmol/l • Clairance selon Cockroft & Gault à 12.7 ml/h • Fraction d'excrétion de l'urée à 31% Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 prérénale sur chronique stade 3 • Clearance Créatinine mesurée à 37 ml/min le 07.02.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 probablement d'origine prérénale, le 18.01.2019 : • clairance selon Cockroft & Gault 43.1 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1, probablement d'origine rénale, le 24.01.2019 • FE Na 4.3%, FE Urée 50% Insuffisance rénale aiguë AKIN 1, probablement mixte prérénale et post-rénale dans le contexte septique le 01.02.2019 : • FE Na 1.84%, FE Urée 38% Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 probablement pré-rénale le 08.02.2019 • Créatinine à 114 umol/L Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur chronique avec • hypokaliémie à 3.4 mmol/l, hypomagnésémie 0.68 mmol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur insuffisance rénale chronique de type pré-rénal sur déshydratation, le 16.08.2015 avec : • Créatinine 212 µmol/l • Fraction d'excrétion du sodium à 0.8% Sepsis d'origine urinaire le 16.08.2015 Status après implantation de prothèses totales des deux genoux Cholécystectomie Multiples lithiases rénales Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur insuffisance rénale chronique stade IV le 31.12.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 avec créatinine à 179 µmol/l. Clairance à 31 ml/min selon Cockroft. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 avec créatinine 278 µmol/l d'origine pré-rénale : • fraction d'excrétion de l'urée 24.5%. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine pré-rénale le 17.01.2016 Chute sur déshydratation le 17.01.2016 Thyroïdectomie partielle non datée Fracture ilio-ischio-pubienne droite traitée conservativement en 2012 Contusion lombaire le 27.10.2013 Infection des voies respiratoires inférieures 25.05.2016 Intervention chirurgicale pour grossesse extra-utérine non datée Soins impossibles à domicile d'origine multifactorielle avec : • Déshydratation • Troubles cognitifs • Infection des voies aériennes inférieures Insuffisance rénale aiguë à 107 µmol le 18.07.2016 d'origine probablement prérénale sur déshydratation Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine pré-rénale sur déshydratation avec créatinine à 236 mmol/l le 07.01.2019. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine pré-rénale sur déshydratation le 04.01.2019 avec : • clairance de la créatinine estimée à 28 ml/min selon Cockcroft-Gault • urée/créatinine > 100. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine probablement pré-rénale le 03.02.2019 • créatinine sérique 162 micromol/l, urée 8.6 mmol/l Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine probablement pré-rénale 03.01.2019 • FE urée (après hydratation à 2L) : 40% • eGFR CKD-EPI 03.01.2019 : 22 ml/min • dans le contexte des diarrhées et manque d'apport Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 pré-rénale le 15.02.2019 • FeUrée 28.5%, FeNa 0.1% Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 sur insuffisance rénale chronique d'origine pré-rénale sur manque d'apports : • apports de 550 ml en liquides le 02.02.2019 et de 150 ml le matin du 03.02.2019 selon médecin de garde du RFSM. Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 au décours le 29.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine plutôt prérénal le 25.02.2019 • FE du sodium 0.45% : prérénal, FE de l'urée 39% • sur injection de produit de contraste pour le CT cérébral du 23.02.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine post-rénale dans contexte d'insuffisance rénale chronique G3b • Urosepsis avec obstruction des sondes double J • Labo effectué par Dr. X le 28.01.2019 : CKD EPI de 7 ml/min • Urétropyélographie rétrograde avec sonde double J pour pyonéphrose gauche le 03.01.2019 • Cefpodoxime 200 du 03.01 au 10.01.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 le 07.08.2018 d'origine mixte sur nécrose tubulaire aiguë et néphrite interstitielle immuno-allergique (2% éosinophiles) probablement sur Novalgine Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 le 29.01.2019 sur nécrose tubulaire aiguë et hypovolémie relative à la cirrhose DD : syndrome hépato-rénal type I Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 pré-rénale avec : • hyperkaliémie à 5.3 mmol/l résolu le 06.02.2019 Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 sur chronique avec : • acidose métabolique sévère pH 7.29, Bic 10 mmol/l • lactatémie 6.3 mmol/l • hyperkaliémie à 5.5 mmol/l • tachypnée dans le contexte de compensation respiratoire probablement dans un contexte de syndrome cardio-rénal et déshydratation intravasculaire Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 sur chronique d'origine pré-rénale (FE urée 7.1%) avec : • acidose métabolique sévère pH 7.29, Bic 10 mmol/l • lactatémie 6.3 mmol/l • hyperkaliémie à 5.5 mmol/l probablement dans un contexte de syndrome cardio-rénal et déshydratation intravasculaire Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 04.02.2019 DD : acutisation d'une insuffisance rénale chronique • Fraction excrétée de Na : 0.77 % suggestif de pré-rénal sur probable déshydratation liée à la fièvre Insuffisance rénale aiguë AKIN1 le 20.01.2019 • Laboratoire le 20.01.2019 : Créatinine 134 mcmol/l, eGFR 51 ml/min selon Cockroft Insuffisance rénale aiguë avec : • Créatinine à 224µmol/l • Clairance à la créatinine selon Cockroft calculée à 16.3ml/min Insuffisance rénale aiguë avec clairance de la créatinine à 41.1ml/min : • Fraction d'excrétion du sodium à 1.4 % (rénal) Insuffisance rénale aiguë avec créat à 156 GFR à 16 ml/min Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 100 mcmol/l le 15.02.2019 • GFR selon EPI 61.8 ml/min • FE urée 47.7 % (d'origine rénale) Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 110 µmol/l. Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 113 umol/l (Cockroft : 50 ml/min). Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 115 mmol/L le 04.02.2019. Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 121 mmol/l • clairance à 40 ml/min selon Cockroft. Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 200 mcmol/l d'origine pré-rénale le 28.01.2019 Insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 244 et urée à 19,3. Péritonite purulente diffuse sur probable perforation couverte du sigmoïde le 03.09.2013 • Dr. X : laparotomie exploratrice avec lavage et drainage de la cavité péritonéale. Cholécystite aiguë CT abdomino-pelvien et échographie vésiculaire à Affidea Bulle : Cholécystite aiguë lithiasique. Diverticulose colique gauche à prédominance sigmoïdienne sans signe de complication. Laboratoire : syndrome inflammatoire avec CRP à 125 mg/L, leucocytose à 12.7 G/L, GGT à 223 U/I, bilirubine directe à 6.5 mcmol/L Avis Dr. X Rocéphine 2 g i.v. en OU aux urgences et Metronidazole 500 mg, suivi de relais par double antibiothérapie par Ciproxine 500 mg 2x/J et Flagyl 500 mg 3x/J pour une durée totale de 10 jours. Contrôle clinico-biologique chez le MT la semaine prochaine Cholécysectomie à froid à discuter Insuffisance rénale aiguë avec créatinine le 28.02.2019 Insuffisance rénale aiguë avec créatinine sérique à 141µmol/l Insuffisance rénale aiguë avec créatinine 109 umol/l le 07.02.2019 (Clearance : 39 ml/min) sur majoration des traitements diurétiques Insuffisance rénale aiguë • avec créatinine 224 umol/L Insuffisance rénale aiguë chez un patient connu pour une néphrectomie totale gauche d'origine prérénale sur gastroentérite probablement virale avec : • créatinine 143 umol/l • clairance 75.7 ml/min • Fe Urée 27.3 % Insuffisance rénale aiguë créatinine à 114 umol/L Insuffisance rénale aiguë dans le contexte de l'état de choc le 12.02.2019 Insuffisance rénale aiguë dans le contexte le 12.02.2019 Insuffisance rénale aiguë DD chronique à : • créatinine à 145 umol/l • clairance 47 ml/min Insuffisance rénale aiguë de probable origine pré-rénale sur manque d'apport le 26.02.2019 Insuffisance rénale aiguë de stade AKIN 1 sur insuffisance rénale chronique, d'origine rénale sur prise de Colchicine le 21.01.2019 avec : • clairance selon MDRD à 42 ml/min/1.73 le 16.01.2019 • clairance selon MDRD à 34 ml/min/1.73 le 21.01.2019 • FE Na : 1.94 % • FE urée : 40.25 %. Insuffisance rénale aiguë de type mixte stade AKIN I le 31.07.2017 (uricult le 03.08.2017 : Pseudomonas putida) • cystoscopie et urétrotomie d'une sténose avec pose de sonde urinaire à demeure le 04.08.2017 (Dr. X) • avec insuffisance rénale chronique G3 selon KDIGO (eGFR le 12.07.2017 à 50ml/min selon CKD-EPI) • sur probable déshydratation et composante obstructive sur rétention urinaire chronique estimée à 700 ml • avec une incontinence urinaire nouvelle de regorgement • colonisation de la néovessie avec Pseudomonas sp. le 12.07.2017 • Urosepsis en 2010 sur infection du porth-a-cath avec explantation de ce dernier • Urosepsis avec IRA en 2012 • Dilatation à la bougie de l'urètre pénien distal en 2012 Spondylodiscite septique avec spondylodèse lombaire en 2011 AVC ischémique et embolique subaigu G avec hémisyndrome D régressif en 2011 Extirpation d'un méningiome frontal en 1990 Insuffisance rénale aiguë d'origine indéterminée Insuffisance rénale aiguë d'origine indéterminée DD sur diurétiques Insuffisance rénale aiguë d'origine indéterminée initialement AKIN II, actuellement en amélioration avec GFR à 53 ml/min le 14.02.2019 DD : obstructive sur masse, vessie neurogène avec reflux Insuffisance rénale aiguë d'origine post-rénale sur rétention urinaire aiguë postopératoire à 800 ml le 08.02.2019 • créatinine 147 umol/l Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale • FE urée à 29 % • clairance à la créatinine à 57 ml/min selon Cockroft-Gault le 29.01.2019 Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale à 143 mmol/l le 21.02.2019 Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale AKIN I avec clairance de la créatinine à 51ml/min selon Cockroft & Gault Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale AKIN I le 02.02.2019 • FE urée à 26.43 % DD cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale AKIN I sur chronique dans contexte infectieux le 02.02.2019 DD : syndrome cardio-rénal • FE urée à 30 % • associée à un syndrome néphrotique (connu) Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale AKIN 3 le 04.02.19 • Créat : 340 µmol/L, Urée à 22.1 mmol/L, GFR selon CKI EPI : 16ml/min le 04.02.19 • FeUrée 6.67 % le 05.02.19 Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale le 04.02.2019 • FEurée : 25.4 % Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 09.02.2019 • Créat 121 mcmol/l, FE Urée 26.9 % Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 18.02.2019 avec : • créatinine 127 mcmol/l, clairance à 40 ml/min selon Cockroft • FE Na 0.1 %, FE Urée 40 % Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale sans critères AKIN le 25.02.2019 • eGFR 78 mL/min selon CKD-EPI • FEUr 32.05 % Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale sur chronique avec créatinine à 155 mcmol/l le 26.2.2019. FeNa 0,4 % GFR à 37 ml/min selon Cockroft-Gault. Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale sur déshydratation Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale sur déshydratation et traitement diurétique avec : • GFR selon Cockroft-Gault : 50 ml/min, FeUrée 20.3 % Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale sur probable manque d'apport hydrique le 20.10.2017 • Hyperkaliémie 5.1 mmol/l • Clairance créatinine 51 ml/min • FeUrée 28 % Phlébolymphoedème chronique des membres inférieurs le 19.10.2017 • sur insuffisance veineuse superficielle avec status post cure de varices ddc >20 ans PTH G pour une probable nécrose de la tête fémorale, le 08.11.2017 Anémie spoliative postopératoire OMI sur surcharge volémique dans un contexte de phlébolymphoedème chronique des membres inférieurs Fracture trois compartiments de la tête humérale avec impaction en valgus et arrachement de la glénoïde, non déplacée Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale FEurée : 25.4 % Insuffisance rénale aiguë d'origine probablement mixte : • déshydratation et globe urinaire • FE Na à 0.94 % Insuffisance rénale aiguë d'origine probablement prérénale le 05.02.2019• eGFR selon CKD-EPI 40 ml/min • Insuffisance rénale chronique stade 3a avec atrophie rénale gauche • Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale et post-rénale sur insuffisance rénale chronique avec : • Créatinine à 133 ml/min le 27.01.2019 • Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale probable AKIN 3 • CRP : 340 µmol/L, Urée à 22.1 mmol/L, GFR selon CKI EPI : 13 ml/min • Insuffisance rénale aiguë fonctionnelle KDIGO 1 avec créatininémie à 205 mcmoles/L le 16.01.2019 sur probable IRC pré-existante • Insuffisance rénale aiguë fonctionnelle KDIGO 1 avec créatininémie à 206 mcmol/L. • Insuffisance rénale aiguë fonctionnelle prérénale avec créatininémie de 2016 à 49 µmol/L, actuellement 83 µmol/L (clearance selon Cockroft à 71 ml/min) • Insuffisance rénale aiguë fonctionnelle sur sepsis et hypovolémie le 06.02.2019 • GFR à 19 ml/min • Insuffisance rénale aiguë KDIGO 1 (créatinine 127 µmol/L le 17.02.2019). • Insuffisance rénale aiguë KDIGO 2 pré-rénale sur diarrhées. • Insuffisance rénale aiguë KDIGO 3 à 381 mcmol/L de créatinine sérique, d'origine pré-rénale, le 14.02.2019, 26 ml/min créatinine clearance, original Cockcroft-Gault, FENa : <1%. • Insuffisance rénale aiguë le 05.02.2019 avec clairance de la créatinine à 25 ml/min selon Cockroft : • Dans un contexte de rhabdomyolyse le 05.02.2019 • Insuffisance rénale aiguë le 08.01.2019 sur insuffisance rénale chronique stade 2 • Créatinine : 105 µmol/L, eGFR = 47 ml/min/1.73 m2 stade 3a • Péjoration le 15.01.2019 avec créatinine : 163 µmol/L, urée : 19.7 mmol, eGFR = 28 ml/min/1.73 m2 stade 4 probablement dans le cadre d'un syndrome cardio-rénal • Insuffisance rénale aiguë le 09.02.2019 • Insuffisance rénale aiguë le 14.02.2019 : • GFR le 59 ml/min • DD : acutisation d'une insuffisance chronique, syndrome cardio-rénal • Insuffisance rénale aiguë, le 15.01.2019. • Insuffisance rénale aiguë le 15.02.2019. • Insuffisance rénale aiguë le 18.02.19 • DD foie de stase, déshydratation • Insuffisance rénale aiguë le 19.02.2019 avec/sur : • Creat 140 µmol/L GFR selon CKD-EPI 29 ml/min • Insuffisance rénale aiguë le 20.02.19. • DD déshydratation, médicamenteuse. • Insuffisance rénale aiguë le 22.01.2019 • AKIN I • Insuffisance rénale aiguë le 23.02.2019 • Clairance 50 ml/min. • Insuffisance rénale aiguë le 25.02.2019 dans un contexte d'insuffisance rénale chronique • FE urée : 39.26 % • GFR selon Cockroft 26 ml/min • Insuffisance rénale aiguë oligurique sur rhabdomyolyse sévère associée à l'effort physique intense en février 2011. • Rhabdomyolyse massive dans un contexte infectieux avec insuffisance rénale aiguë en 2004 et 2010. • Pyélonéphrite gauche en avril 2010. • Infection urinaire à E. Coli sur sonde en 2004. • Surcharge pulmonaire sur hyperhydratation en 2004. • Angine à streptocoques en 2004. • Familiaux : Aucun cas similaire dans la famille • Obstétricaux : • voie d'accouchement : Accouchement par voie basse, instrumentation : ventouse, lésion génitale : Déchirure II, délivrance : Artificielle, Date : 20.12.2016, anesthésie : Péri, lieu : HFR Fribourg, sexe : F, SA : 39.6, poids (g) : 3510, particularités : pré-E modérée • Hh délivrance sur atonie 1.7 L • Tf de 2 CE • Insuffisance rénale aiguë postopératoire le 01.02.2019. • Crea : 150 µmol, GFR = 42 ml/min/1.73 m2 Stade 3B (MDRD) • Insuffisance rénale aiguë post-rénale sur insuffisance rénale chronique. • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN 1 du 28.01 au 29.01.2019 • créatinine maximale à 155 µmol/L (GFR Cockroft 49 ml/min) • créatinine de sortie à 64 µmol/L • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN I le 11.02.2019 • ClCr 45 ml/min selon MDRD • FE urée 27 % • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN II le 25.01.2019 • FE urée à 12.32 % • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN 1 le 19.07.2018. • Anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 115 g/L le 19.07.2018. • Troubles neurologiques le 21.07.2018 d'origine probablement fonctionnelle. • Lombosciatalgies prédominant à gauche non déficitaires acutisées en mars 2018. • Troubles neurologiques d'origine fonctionnelle le 12.12.2017. • Troubles neurologiques avec hypoesthésie et parésie du membre inférieur gauche d'allure fonctionnelle le 17.07.2017. • Interruption des fibres du tendon quadricipital gauche sur le versant médial avec distance entre les 2 fragments d'environ 20 mm le 27.07.2017, probablement d'origine traumatique. • Douleurs au niveau de la hanche gauche post-traumatiques suite à une chute en mai 2017. • PTH gauche et ostéophytectomie antérieure sur nécrose de la tête fémorale à gauche de stade II, le 20.01.2016. • PTG gauche en 2013. • Sevrage d'opioïdes en 2015. • Bursite sous acromio-deltoïdienne de l'épaule gauche avec tendinopathie inflammatoire de la coiffe des rotateurs. • Vésicopexie à 2 reprises (cystopexie avec mise en place de bandelettes à un an d'intervalle, dans les années 80-90). • Hystérectomie radicale. • Déshydratation dans un contexte de probable intoxication alimentaire chez patiente immuno-supprimée, sous Méthotrexate pour syndrome de Sharp et lupus érythémateux systémique (MCTD). • Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine 98 µmol/L, Cockroft 76.5 ml/min. • Cardiopathie bivalvulaire avec : • Sténose mitrale, status post-dilatation de la sténose mitrale le 20.04.2017 (Clinique Cécil) et maladie aortique à prédominance d'insuffisance. • 06.11.2018 : remplacement valvulaire mitral par une prothèse ATS n°29 et reconstruction valvulaire aortique par péricarde autologue (Ozaki) 25/25/25. • Complications post-opératoires : • AVC sensitivo-moteur gauche incomplet à prédominance distale probable d'origine embolique sylvienne droite le 14.11.2018 • anémie post-opératoire avec NADIR à 75 g/L le 07.11.2018 • fibrillation auriculaire post-opératoire • état fébrile post-opératoire, probablement d'origine pulmonaire, traité par Tazobac • atélectasies pulmonaires partielles rétro-cardiaque et basale droite post-opératoire • épanchements pleuraux bilatéraux prédominants à gauche post-opératoire • Céphalées d'apparition brutale le 09.12.2018 avec paralysie faciale gauche • CT cérébral injecté sur le CHUV le 09.12.2018 • IRM neurocrâne + rachis cervical le 13.12.2018 • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN 1 le 12.02.2019 • GFR à 44 ml/min selon CKD-EPI • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN 2 le 15.02.2019 : • FE Urée 28.9 % • Insuffisance rénale aiguë prérénale AKIN 3 sur stomie à haut débit • Hyperkaliémie 7.1 mmol/L • FE urée 10 % 17.01.2019 • FE Na 0.2 % 22.01.2019 • FE urée 25 % 22.01.2019 • eGFR le 18.01.2019 46 ml/min CKD EPI • Insuffisance rénale aiguë prérénale AKIN 3 sur stomie à haut débit • Hyperkaliémie 7.1 mmol/L • FE urée 10 % 17.01.19 • FE Na 0.2 % 22.01.19 • FE urée 25 % 22.01.19 • eGFR le 18.01.19 46 ml/min CKD EPI • Insuffisance rénale aiguë prérénale sur diurétiques, infectieux BPN dans un contexte d'insuffisance rénale chronique de stade 3. • Insuffisance rénale aiguë probablement d'origine pré-rénale • Insuffisance rénale aiguë probablement d'origine pré-rénale AKIN I avec créatinine à 169 µmol/L. • Insuffisance rénale aiguë probablement d'origine pré-rénale, le 24.01.2019. • Insuffisance rénale aiguë probablement d'origine prérénale. • Clairance selon Cockroft & Gault : 56.9. • Insuffisance rénale aiguë probablement sur chronique non documentée : • Clairance de la créatinine à 26 ml/min selon Cockroft • Diagnostics différentiels : diurétique, shift en troisième secteur • Insuffisance rénale aiguë récidivante oligo-anurique sur chronique stade 4 • sur syndrome cardio-rénal de type 2 et possible syndrome du compartiment abdominal Permcath posé le 21.06.2018. Insuffisance rénale aiguë Rifle R d'origine probablement pré-rénale, avec créatinine à 146 umol/l (Cockroft 50 ml/min) le 07.07.2014. Ethylisation aiguë le 07.07.2014 à 2,42 o/oo. Probable crise d'absence le 07.07.2014, sur éthylisation aiguë. Crise d'épilepsie en janvier 2013, dans le cadre d'une dépendance à l'alcool avec adaptation de la thérapie par Valproate. Possible crise d'épilepsie en décembre 2012 sur alcoolisation aiguë. Traumatisme crânio-cérébral en juin 2012 dans le cadre d'une crise d'épilepsie. Fracture intra-articulaire de la 1ère phalange gauche en janvier 2013 sur chute sur crise d'épilepsie. Crises de goutte du genou droit en février 2013 et du genou gauche en juillet 2013. État d'alcoolisation aiguë à 1.98 o/oo le 27.08.2013. Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN. • Créatiniémie à 138 le 23.02.2019. • Cockcroft à 41. DD: sepsis, prérénal, rénal? Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN le 23.02.2019. • Créatinémie à 126. • Cockroft. • Feurée. Insuffisance rénale aiguë sans critère AKIN le 27.02.2019 avec: • créatinine 137 micromol/L (valeurs habituelles 120 micromol/L), EGFR 31 ml/min. DD: néphropathie diabétique. Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN d'origine pré-rénale probable dans le contexte septique, le 18.02.2019. Insuffisance rénale aiguë stade AKIN I. Insuffisance rénale aiguë stade AKIN II d'origine indéterminée avec GFR à 38 ml/min le 11.02.2019. DD: obstructive sur masse, vessie neurogène avec reflux. Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 1 d'origine pré-rénale avec: • clearance à 39 ml/min selon MDRD. • FE urée 22%. Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 1 sur origine pré-rénale sur déshydratation le 14.01.2019. Insuffisance rénale aiguë sur chronique. • Clearance selon MDRD: 56.5 ml/min. Insuffisance rénale aiguë sur chronique à 241 umol/l de créatinine. Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN 1 d'origine prérénale le 31.01.2019. Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN 1. • GFR: 55 ml/min. Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN 1 le 29.01.2019. • GFR: 60 ml/min selon Cockroft. • Fe urée: 48.7%. Insuffisance rénale aiguë sur chronique AKIN 3 sur syndrome cardio-rénal le 28.01.19. • Anurie sur 12 heures, Créatinine 345 umol/l avec CKD-EPI de 13 ml/min le 28.01.19. Insuffisance rénale aiguë sur chronique avec: • EGFR à 43 ml/min/1.73 (selon Cockcroft-Gault). Insuffisance rénale aiguë sur chronique d'origine mixte DD: post-rénal sur obstruction de la néphrostomie. Insuffisance rénale aiguë sur chronique d'origine prérénale. • eGFR 35. Insuffisance rénale aiguë sur chronique en septembre 2017. INR supra-thérapeutique supérieur à 5.5 le 16.09.2017. Opération des varices au membre inférieur gauche. Contusion cuisse gauche avec important hématome (2016). Status après opération pour suspension de la vessie au début des années 2000. Status après hystérectomie à l'âge de 50 ans. Status après fracture des deux poignets. Status après hémiprothèse des deux genoux en 1989. Status après prothèses totales de genoux bilatérales en 1990. Status après changement de la prothèse totale de genou droit en mai 2012 sur descellement douloureux. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle en octobre 2017. Hématome de 9 cm x 7 cm x 3 cm de la jambe droite le 16.09.2017 sur chute de sa hauteur en fin août 2017. Anémie hypochrome normocytaire avec une hémoglobine à 100 g/l le 25.09.2017. Suspicion de dermohypodermite du membre inférieur droit (face latérale postérieure inférieure) le 05.10.2017. Insuffisance rénale chronique de stade G3b. Hémarthrose du coude gauche non traumatique dans le contexte d'un INR supra-thérapeutique. Troubles anxieux avec consilium psychiatre de liaison (Dr X): Tritico 50 mg, Circadin et Distraneurin le soir, garder traitement habituel avec Temesta 0.5 mg 2x/jour. Déconditionnement global chez Mme. Y présentant: • Des troubles anxieux. • INR suprathérapeutique avec hématomes multiples. • Insuffisance rénale chronique stade G3b acutisée. • Troubles électrolytiques. • Infections urinaires à répétition. Infection urinaire basse le 06.09.2018 chez Mme. Y connue pour des infections urinaires à répétition. Insuffisance rénale aiguë sur chronique, G2 AKIN 2, d'origine mixte (rénale et pré-rénale). • Kreat 261 umol/l. • Clearance selon CKD-EPI à 20 ml/min le 07.02.19. • FeUrea: 40.73%, FeNa 1.45%. Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 12.02.2019 AKIN III. Insuffisance rénale aiguë sur chronique (néphropathie hypertensive) prérénale le 24.01.2019. • Créatinine 239 micromol/l. • Créatinine habituelle 140 micromol/l. Insuffisance rénale aiguë sur chronique post-rénale le 07.02.2019. • FE Urée 54.1%. • DD récidive tumorale. Insuffisance rénale aiguë sur chronique sans critère AKIN avec hyperkaliémie à 5.2 mmol/L à l'entrée. Insuffisance rénale aiguë sur chronique à stade III avec composante pré-rénale: • CKD-EPI Créatinine: 45 ml/min. • FeUrée: 5.5%. Insuffisance rénale aiguë sur chronique le 12.02.2019 AKIN III. Insuffisance rénale aiguë sur diarrhées et acidose lactique sur accumulation de metformine, avec nécessité de dialyse (2014). Pneumonie droite 2013. Cataracte droite opérée 2012. Kyste charnu du rein gauche 2014. Cholécystectomie (1998). Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique le 15.02.2019. • 09.2017 eGFR 69 ml/min, Creat 93 uM. • 02.2019 GFR 71 ml/min, Creat 226 uM. Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique stade G3b selon KDIGO. Insuffisance rénale aiguë VS chronique. • Sans trouble électrolytique. Insuffisance rénale aiguë. Anémie normochrome hypochrome. Acidose métabolique compensée. Insuffisance rénale aiguë. Anémie normochrome hypochrome. Acidose métabolique compensée. Insuffisance rénale aiguë. Anémie normochrome hypochrome. Acidose métabolique compensée. Suivie pour Glomérulonéphrite à C3 abaissé par Dr X. Hypertension artérielle, traitée par Enalapril jusqu'en avril 2018. Amygdalectomie en septembre dans le cadre d'angines à répétition. Insuffisance rénale aiguë sur chronique KDIGO IV d'origine probablement prérénale dans le cadre de la décompensation cardiaque le 27.02.2019. Insuffisance rénale AKIN d'origine prérénale le 15.02.2019. • Clairance DFG (CKD - EPI): 47 ml/min. Insuffisance rénale AKIN I. • Étiologie pré-rénale. Insuffisance rénale AKIN II d'origine pré-rénale et rénale sur prise d'AINS le 25.02.2019. • CrCl 21 ml/min. Insuffisance rénale AKIN III à 224 umol/l le 06.02.2019. Insuffisance rénale AKIN III avec clearance à 38 ml/min d'origine septique le 04.02.2019. Insuffisance rénale AKIN III avec créatinine à 219 umol/l, clearance à 38 ml/min.Insuffisance rénale AKIN 1 avec créatinine 156 mcmol/l le 22.02.2019 • 32 créatinine clearance, original Cockcroft-Gault • FENa 1.8% (intrinsèque). Insuffisance rénale AKIN 1, le 15.02.2019, d'origine probablement pré-rénale avec FENA 0.1%. Clearance à la créatinine 34 ml/mn. Insuffisance rénale AKIN 1 sur origine pré-rénale sur déshydratation avec : • FE Na: 0.36% • FE urée: 9.57% • clearance créatinine selon MDRD : 30 ml/min Insuffisance rénale AKIN 2 Insuffisance rénale AKIN 2 de probable origine pré-rénale sur refus d'hydratation le 26.02.2019 • eGFR à 23 selon CKD-EPI à l'entrée Insuffisance rénale AKIN 2 le 15.01.2019 • Créatinine 96 umol/L, eGFR après CKD-EPI 69 ml/min (le 15.01.2019) Insuffisance rénale avec créat à 134 le 11.02.2019 Insuffisance rénale avec créat à 134 probablement dans un contexte de déshydratation le 11.02.2019 • Fe urée 21% DD: origine cardio-rénale Insuffisance rénale chronique Insuffisance rénale chronique. • EGFR à 34 ml/min/1.73 selon Cockroft Gault. Insuffisance rénale chronique • eGFR calculé à 45 ml/min/1.73 selon Cockroft-Gault Insuffisance rénale chronique • s/p néphrectomie gauche suite à de nombreuses pyélonéphrites • hypertension chronique traité avec Exforge 10/160 + Torem 5 mg • hyperparathyroïdie secondaire Labo le 25.02.2019 : 158 µmol/L, Urée 20 mmol/L, GFR 25 ml/min selon CKI EPI Insuffisance rénale chronique acutisée AKIN 1 avec clairance de la créatinine à 24 ml/min selon MDRD : • Créatininémie à 185µmol/l Insuffisance rénale chronique acutisée AKIN 2 d'origine pré-rénale le 28.01.2019 • FE urée 22.83% Insuffisance rénale chronique acutisée avec créatinine 562 umol/l (314 umol/l en 2016) le 22.02.2013. Insuffisance rénale chronique acutisée de probable origine pré-rénale le 14.02.2019 avec : • clairance de créatinine à 41 ml/min. Insuffisance rénale chronique acutisée (sans critère AKIN) le 17.02.2019 • Clairance créatinine 37 ml/min selon CKD- EPI • Spot urinaire : FE urée 29.74 % Insuffisance rénale chronique acutisée (sans critères AKIN) le 17.02.2019 • Clairance créatinine 37 ml/min selon CKD- EPI • Spot urinaire : FE urée 29.74% Insuffisance rénale chronique acutisée sous Esidrex et hydratation avec NaCl euvolémique. Insuffisance rénale chronique acutisée • Créatinine 121 umol/l avec clairance de créatinine à 41 ml/min Insuffisance rénale chronique avec : • créatinine 136 umol/l • Cockroft. Insuffisance rénale chronique avec créat à 119 mmol/l FE urée 34.9% GFR selon CKD EPI 48 ml/min Insuffisance rénale chronique avec créat à 127 mcmol/l le 13.2.2019 GFR à 44 ml/min selon Cockroft-Gault Insuffisance rénale chronique avec créat à 127 mcmol/l GFR à 44 ml/min selon Cockroft-Gault Insuffisance rénale chronique avec créatinine à 153µmol/l. Insuffisance rénale chronique avec une créatininémie à 111 µmol/l le 11.01.2019, • clairance de créatinine à 41 ml/min • FE Na < 1%. Insuffisance rénale chronique chez un patient immunosupprimé greffé rénal en 2013 • GFR 57 ml/min Insuffisance rénale chronique chez un patient immunosupprimé greffé rénal en 2013 : • GFR 57 ml/min. Insuffisance rénale chronique (clairance à 40 ml/min) Insuffisance rénale chronique • clairance 20 ml/min Insuffisance rénale chronique • clairance 20 ml/min Insuffisance rénale chronique • Créat le 16.02.19 • GFR selon Cockroft Gault: 22 ml/min • GFR selon CKD-EPI 39.2 ml/min/1,73 m² Insuffisance rénale chronique • Créat le 17.02.2019 : 178 • GFR selon Cockroft-Gault : 39.9 Insuffisance rénale chronique de stade G3bA3 selon KDIGO d'origine indéterminée avec : • Protéinurie modérée non sélective et leucocyturie dans le contexte d'une infection urinaire basse • Fe Urée : 40%, FeNa à 1.5 % Insuffisance rénale chronique de stade G5A2 selon KDIGO Insuffisance rénale chronique de stade III a. Syndrome métabolique avec obésité. • Diabète type II non insulino-requérant depuis 2018. • HTA. • Tabagisme actif (40 UPA). Typhus abdominal anamnestique. Transplantation hépatique orthotrope le 29.08.2016 (Hôpital de l'Ile à Bern) pour carcinome hépato-cellulaire diagnostiqué en 2014 avec suspicion de fibrose dans le cadre d'une hépatite C chronique et d'abus d'alcool. • actuellement sous traitement immunosupresseur, Advagraf (Tacrolimus but taux 4-5 ng/ml) Insuffisance rénale chronique de stade KDIGO G3b d'origine hypertensive probable : • Glomérulonéphrite aiguë proliférative endocapillaire et extracapillaire à dépôts de complexe immun, avec syndrome néphrotique entièrement résolutif en 1976 • GFR selon MDRD à 40 ml/min le 09.02.2019 Insuffisance rénale chronique G2 selon KDIGO d'origine indéterminée Insuffisance rénale chronique G2 selon KDIGO d'origine indéterminée Traitement complexe en médecine palliative dès le 09.01.2019 • Facteur de performance le 08.01.2019 : ECOG 2, PPS : 50% performance, ambulation réduite, incapable de travailler normalement et maladie importante, autosoins avec aide partielle, ingestion normale ou réduite, niveau de conscience entier. • MIF (totale/motrice) : 121/87 • NRS et diagnostique nutritionnel : malnutrition protéino-énergétique légère • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : douleurs abdominales nociceptives somatiques. Souhaiterait avoir du temps, de qualité. • Orientation planifiée (lieu) : retour en communauté religieuse (si vie peu altérée, avec SAD) ; Alternative : Établissement de soins palliatifs (si fin de vie) Insuffisance rénale chronique G2 selon KDIGO d'origine indéterminée Traitement complexe en médecine palliative dès le 09.01.2019 • Facteur de performance le 08.01.2019 : ECOG 2, PPS : 50% performance, ambulation réduite, incapable de travailler normalement et maladie importante, autosoins avec aide partielle, ingestion normale ou réduite, niveau de conscience entier. • MIF (totale/motrice) : 121/87 • NRS et diagnostique nutritionnel : malnutrition protéino-énergétique légère • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : douleurs abdominales nociceptives somatiques. Souhaiterait avoir du temps, de qualité. • Orientation planifiée (lieu) : retour en communauté religieuse (si vie peu altérée, avec SAD) ; Alternative : Établissement de soins palliatifs (si fin de vie) Insuffisance rénale chronique G2 selon KDIGO d'origine indéterminée Traitement complexe en médecine palliative dès le 09.01.2019 • Facteur de performance le 08.01.2019 : ECOG 2, PPS : 50% performance, ambulation réduite, incapable de travailler normalement et maladie importante, autosoins avec aide partielle, ingestion normale ou réduite, niveau de conscience entier. • MIF (totale/motrice) : 121/87 • NRS et diagnostique nutritionnel : malnutrition protéino-énergétique légère • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : douleurs abdominales nociceptives somatiques. Souhaiterait avoir du temps, de qualité. • Orientation planifiée (lieu) : retour en communauté religieuse (si vie peu altérée, avec SAD) ; Alternative : Établissement de soins palliatifs (si fin de vie) Insuffisance rénale chronique G2A1 d'origine indéterminée • GFR : 66 ml/min/1.73m2 selon CKD-EPI • Suivie par Dr. X Insuffisance rénale chronique G3a Insuffisance rénale chronique G3a, avec : • malformation congénitale avec rein unique • eGFR selon CKD-EPI 57 ml/min le 04.01.2019 Insuffisance rénale chronique G3b4A2 sur néphropathie vasculaire et interstitielle chronique • néphroangiosclérose avec 20% sclérose glomérulaire (biopsie rénale du 20.08.2018) Syndrome métabolique avec : • diabète de type 2 insulino traité • dyslipidémie mixte • obésité • hypertension artérielle • Probable NASH SAOS appareillé BPCO stade IV selon Gold sur tabagisme, suivie par Dr. X Lombosciatalgie chronique Hyperuricémie Insuffisance rénale chronique G3b4A2 sur néphropathie vasculaire et interstitielle chronique • néphroangiosclérose avec 20% sclérose glomérulaire (biopsie rénale du 20.08.2018) Syndrome métabolique avec : • diabète de type 2 insulino traité • dyslipidémie mixte • obésité • hypertension artérielle • probable NASH SAOS appareillé BPCO stade IV selon Gold sur tabagisme, suivie par Dr. X Lombosciatalgie chronique Hyperuricémie Insuffisance rénale chronique G3b4A2 sur néphropathie vasculaire et interstitielle chronique • néphroangiosclérose avec 20% sclérose glomérulaire (biopsie rénale du 20.08.2018). Syndrome métabolique avec : • diabète de type 2 insulino traité • dyslipidémie mixte • obésité • hypertension artérielle • Probable NASH. Syndrome des apnées du sommeil appareillé. BPCO stade IV selon Gold sur tabagisme, suivie par Dr. X. Lombosciatalgie chronique. Hyperuricémie. Insuffisance rénale chronique KDIGO G3aA3 le 20.02.2019 • CKD-epi à 50 ml/min/1.73m2 le 20.02.2019 DD néphropathie diabétique, hypertensive Insuffisance rénale chronique KDIGO G3b Clearance selon Cockroft 34ml/min Insuffisance rénale chronique le 04.02.2019 • créatinine à 111 umol/l • clairance à 40 ml/min Insuffisance rénale chronique, le 28.02.2019 • Clearance MDRD: 60 ml/min Insuffisance rénale chronique non stadée • clearance à la créatinine à 55 ml/min selon Cockroft-Gault Insuffisance rénale chronique pré-terminale d'origine indéterminée le 15.05.2018 avec : • Hyperparathyroïdie secondaire et carence en vitamine D3 dans le cadre de l'insuffisance rénale terminale substituée • Anémie normochrome normocytaire (115 g/l) le 15.05.2018 • Clairance à la créatinine (24h) : 6 ml/min • Ponction rénale 1982 pour investigations d'une protéinurie : trentaines de glomérules, dont deux en voie de sclérose, touche de hyalinose segmentaire au niveau des petites artères, pas de dépôts d'IgA, C'3, IgM; dépôts à la limite et isolés d'IgG; histologie, immuno-histologie et microscopie optique sans autre particularité • Status post-fistule artério-veineuse huméro-humérale avec boucle prothétique au membre supérieur gauche le 13.11.2018 Ganglions discrètement agrandis au niveau inguinal et iliaque externe des deux côtés, prédominant à droite • découverte fortuite au CT abdomen du 16.05.2018 Tumeur polypoïde, de consistance molle au niveau de l'hélix de l'oreille gauche Tabagisme actif Syndrome métabolique • Hypertension artérielle traitée • BMI 32 kg/m^2 le 16.05.2018 • Dyslipidémie : HDL 0,80 mmol/l • Pré-diabète HbA1c 6,4% le 17.05.2018 • Risque à 10 ans selon Framingham de >30%, selon AGLA/GSLA de 31% Surdité appareillée Insuffisance rénale chronique sévère de grade G4 KDIGO avec / à : • Consilium néphro 05/2017 : absence de cause auto-immune / infectieuse, protéinurie et albuminurie en 24h • urine LCC (CHUV Lausanne) : bêta-NAG 13,20 U / l, lysozyme 694 kU / l (norme <50) • Obstruction multifocale de l'uretère proximal à gauche avec dilatation du bassin rénal en 05/2017 d'étiologie inconnue • Double J cathéter bds depuis le 29.05.2017 pour plusieurs sténoses de l'urètre • Aggravation aiguë de l'insuffisance rénale chronique avec AKIN 1 le 27.04.2018, probablement étiologie rénale (pyélonéphrite) Créatinine de 309 µmol / l, eGFR après CKD-EPI à 11 ml / min le 27.04.2018 Créatinine de 187 µmol / L, eGFR après CKD-EPI à 20,6 ml / min le 05.06.2018 • Créatinine de 187 umol / l, eGFR après CDK-EPI à 20,5 ml / min le 14.08.18 Créatinine de 178 µmol / L, eGFR après CDK-EPI à 21,8 ml / min le 16.08.2018 • FEUrée 25% fin juillet 2018 • Changement du double cathéter JJ et du cistofix le 8/8/18 • Consilium Infectiologie : aucun antibiotique prophylactique nécessaire Insuffisance rénale chronique stade G2 Insuffisance rénale chronique stade G3b selon KDIGO avec : • hyperparathyroïdie secondaire et hypovitaminose D avec substitution vitaminique • anémie normocytaire normochrome hyporégénérative • acidose métabolique traitée par Nephrotrans Syndrome pulmonaire restrictif léger d'origine plurifactorielle • cyphose • atélectasie lobaire inférieur gauche • surélévation de la coupole diaphragmatique gauche Ancien tabagisme stoppé en 2000 (40 UPA) Cardiopathie ischémique et dysrythmique • Maladie coronarienne tritronculaire avec quadruple pontage aorto-coronarien (mammaire interne gauche-interventriculaire antérieure, pont veineux-interventriculaire postérieure, pont veineux séquentiel-première diagonale-première marginale) le 23.01.2008 • Ponts mammaires et veineux perméables le 20.02.2013 • Fibrillation auriculaire chronique • ETT 19.02.2018 : dilatation importante des 2 oreillettes, FEVG 60-70% • Holter 19.02.2018 : réponse ventriculaire de FA insuffisamment contrôlée Hypertension artérielle mal contrôlée sous trithérapie introduction de Physiotens aux soins intensifs Anémie normochrome normocytaire dans un contexte d'insuffisance rénale chronique stade G3 selon KDIGO Insuffisance rénale chronique stade G3b selon KDIGO avec : • hyperparathyroïdie secondaire et hypovitaminose D avec substitution vitaminique • anémie normocytaire normochrome hyporégénérative • acidose métabolique traitée par Nephrotrans Syndrome pulmonaire restrictif léger d'origine plurifactorielle • cyphose • atélectasie lobaire inférieur gauche • surélévation de la coupole diaphragmatique gauche Ancien tabagisme stoppé en 2000 (40 UPA) Cardiopathie ischémique et dysrythmique • Maladie coronarienne tritronculaire avec quadruple pontage aorto-coronarien (mammaire interne gauche-interventriculaire antérieure, pont veineux-interventriculaire postérieure, pont veineux séquentiel-première diagonale-première marginale) le 23.01.2008 • Ponts mammaires et veineux perméables le 20.02.2013 • Fibrillation auriculaire chronique • ETT 19.02.2018 : dilatation importante des 2 oreillettes, FEVG 60-70% • Holter 19.02.2018 : réponse ventriculaire de FA insuffisamment contrôlée Hypertension artérielle mal contrôlée sous trithérapie introduction de Physiotens aux soins intensifs Anémie normochrome normocytaire dans un contexte d'insuffisance rénale chronique stade G3 selon KDIGO Insuffisance rénale chronique stade II selon KDIGO • GFR selon CKD-EPI : 76 ml/min/1.73 m² (25.01.2019) AOMI • S/p stent artère poplitée G 2014 Insuffisance rénale chronique stade III • connue depuis 2009 • actuellement : GFR 36 ml/min/1.73 m2 (CKD-EPI), 33 mL/min (Gault-Cockroft) Insuffisance rénale chronique stade III selon KDIGO avec : • polykystose rénale sur probable mutation HNF 1 bêta (GFR 36.7) Incontinence urinaire nocturne Hypercholestérolémie probablement familiale. Gonarthrose gauche Ostéoporose Insuffisance rénale chronique stade III selon KDIGO • clairance de la créatinine 43.5 ml/min selon Cockroft Insuffisance rénale chronique stade IV acutisée AKIN 1 d'origine probablement prérénale : • Créatininémie à 170µmol/l le 11.01.2018 • Index urée/créat supérieur à 100 Insuffisance rénale chronique stade IV selon KDIGO : • Clairance de la créatinine estimée selon Cockroft & Gault à 22ml/min le 27.01.2019 Polypes vésicaux (suivi par Dr. X) Polypes oesophagiens (anamnestique, OGD Dr. X) Hypertension artérielle Gastrite érosive Insuffisance rénale chronique stade KDIGO G2 sur néphropathie hypertensive Insuffisance rénale chronique (stade KDIGO G3a A3) sur probable néphropathie diabétique, avec : • Protéinurie progressive documentée depuis 2004 • Suivi Dr. X Insuffisance rénale chronique stade KDIGO G3bA3 (suivi Dr. X), dans l'attente d'une greffe avec :• syndrome néphrotique depuis juillet 2014. • ponction-biopsie rénale 30.07.2014 : néphropathie diabétique avec glomérulosclérose globale de type Kimmelstiel-Wilson • ostéodystrophie rénale débutante (hypovitaminose D et hyperphosphatémie sans hyperparathyroïdisme). Troubles de la marche et troubles douloureux chroniques du MIG dans contexte de : • PTG le 19.07.2016. • polyneuropathie diabétique sévère. Diabète de type I depuis 1996 (suivi Dr. X), avec : • pompe à insuline depuis 2011. • rétinopathie diabétique avec oedèmes maculaires. • polyneuropathie des membres inférieurs. • gastroparésie avec syndrome de Mallory-Weiss le 21.03.2016. • décompensation hyperglycémique sur infection urinaire le 11.03.2016. Contrôles glycémiques réguliers. Consilium diabétologie (Dr. X) : Majoration de l'insuline basale à 110%, traitement d'Erythrocine maintenu. Erythrocine pour sa gastroparésie diabétique. Insuffisance rénale chronique stade KDIGO G3bA3 sur néphropathie diabétique et néphroangiosclérose • créatinine à 180 mcmol/l le 07.02.2019. Insuffisance rénale chronique stade V due à une acidose tubulaire distale et néphropathie interstitielle. • Biopsie rénale 14.08.2008 : glomérules atubulaires, remaniement interstitiel chronique dans le contexte d'une anorexie mentale, abus de diurétiques/laxatifs. • Acidose réno-tubulaire distale, pas de protéinurie, sédiment urinaire inactif. • CT-scan abdominal 12.08.2008 : reins de taille diminuée des deux côtés, multiples petites lithiases des deux côtés, calcification marginale de corticale, kyste pôle inférieur rein droit. • Status post multiples néphrolithiases. • Hyperparathyroïdisme secondaire. • Confection d'une fistule artério-veineuse humérale selon Brescia-Cimino / proximalisation au niveau du membre supérieur droit le 23.11.2015. • Dialyse 3x/sem depuis 2015, via Permacath (posé par ponction veine jugulaire interne D le 04.07.2017). Insuffisance rénale chronique stade 2. Insuffisance rénale chronique stade 3 • CrCl 55ml/min. Insuffisance rénale chronique stade 3 : • polykystose rénale bilatérale suivie par son médecin traitant. • CrCl 55 ml/min. Insuffisance rénale chronique stade 3a acutisée le 24.01.2019 avec créatinine à 128 mmol/l. Insuffisance rénale chronique stade 4 • créat à 155 le 20.02.2019. Insuffisance rénale chronique stade 4 avec créat à 184 le 27.02.2019 • eGFR selon CK-EPI à 40 ml/min le 27.02.2019. Insuffisance rénale chronique stade 4 • créatinine à 184 umol/l le 27.02.2019. • eGFR selon CKD-EPI à 40 ml/min le 27.02.2019. Insuffisance rénale chronique stade 4 le 06.02.2019 probablement d'origine multifactorielle (âge, diabète, HTA) : • eGFR selon CKD-EPI à 39.8 ml/min le 29.11.2018. • eGFR selon CKD-EPI à 35.8 ml/min le 17.12.2018. • eGFR selon CKD-EPI à 26.4 ml/min le 06.02.2019. Insuffisance rénale chronique stade III • CKD-EPI Creatinine : 45ml/min. • FeUréé : Insuffisance rénale chronique sur polykystose rénale, néphro-angiosclérose et néphropathie diabétique, stable le 16.01.2019 avec : • clearance selon MDRD à 33 ml/min/1.73 m2 le 16.01.2019 (très probable erreur de mesure). • clearance selon MDRD à 21 ml/min/1.73 m2 le 17.01.2019 et le 18.01.2019. Insuffisance rénale chronique sur probable néphropathie hypertensive, stable, le 31.01.2019 • Clearance selon MDRD : 47.2 mL/min/1.73 m² le 31.01.2019. Insuffisance rénale chronique sur probable SHR type II : • Créatine : 124 umol/l. Insuffisance rénale chronique terminale : • hémodialyse 3x/semaine. • suivi par Dr. X. Insuffisance rénale chronique terminale à diurèse conservée avec hémodialyse • Suivi par Dr. X. • Clearance de la créatinine à 30 ml/min le 05.02.2019. • double cathéter de Tésio jugulaire interne droit tunnelisé en pré-pectoral droit. Insuffisance rénale chronique terminale avec hémodialyse 3x/semaine et hyperkaliémie à 5,2 mmol/l le 21.01.2019. Insuffisance rénale chronique terminale dialysée sur néphropathie à IgA. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Diabète de type 2 non insulino-requérant (hémoglobine glyquée à 6.2% le 21.09.2016). Hyperparathyroïdisme secondaire. Fibrillation auriculaire intermittente le 14.09.2016 : • CHADS-Vasc 3 points (risque 3.2%). • HAS-BLED 3 points. • Echocardiographie transthoracique : fraction d'éjection ventriculaire gauche à 60 % (évaluation visuelle) ; hypertrophie concentrique homogène ; oreillette gauche modérément dilatée ; plaque pleurale calcifiée du lobe supérieur gauche et adénopathies sous-carinaire et hilaire droite mesurant 14 mm chacune de petit diamètre, avec : • Exposition à l'amiante durant 20 ans (de 15 à 35 ans environ, ancien couvreur de toit). • Ancien tabagisme (pipe et cigare). Obésité. Anémie normocytaire normochrome hyporégénérative. Insuffisance rénale chronique terminale (stade V) : • Dans un contexte de néphrite interstitielle sur phénacétine et abus de diurétiques et de laxatifs. • Dans un contexte d'acidose tubulaire distale de type I congénitale. • Status post multiples néphrolithiases. • Biopsie rénale 14.08.2008 : glomérules tubulaires, remaniement interstitiel chronique. • CT-scan abdominal 12.08.2008 : reins de taille diminuée des deux côtés, multiples petites lithiases des deux côtés, calcification marginale de corticale, kyste pôle inférieur rein droit. • Acidose réno-tubulaire distale, pas de protéinurie, sédiment urinaire inactif. • Confection d'une fistule artério-veineuse humérale selon Brescia-Cimino / proximalisation au niveau du membre supérieur droit le 23.11.2015. • Dialyse 3x/sem depuis 2015, via Permacath (posé par ponction veine jugulaire interne D le 04.07.2017). Complications associées : • Hyperparathyroïdisme secondaire. • Ostéopathie complexe avec ostéoporose et ostéomalacie, status post fracture spontanée des genoux des deux côtés, hanche et radius droit. • Anémie chronique normochrome, normocytaire, hyporégénérative. Insuffisance rénale chronique terminale stade V • probablement glomérulaire sur HSF (maladie de reflux à diurèse conservée). • fistule artério-veineuse huméro-céphalique avec boucle Omniflow du membre supérieur gauche (14.01.2019). • dialyse dès le 15.01.2019. Insuffisance rénale chronique terminale sur néphropathie diabétique, en attente de greffe rénale le 11.02.2019. Insuffisance rénale chronique. BPCO (stade inconnu). Cardiopathie hypertensive et valvulaire (insuffisance aortique modérée, insuffisance mitrale discrète, FEVG à 65% en 2008). Troubles cognitifs. Kératose actinique acantosique du vertex. Parapsoriasis type parakératose variegata (parapsoriasis lichnoïde). Cervicalgies non déficitaires sur cervico-discarthrose pluri-étagée. Insuffisance rénale chronique, avec : • insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique d'origine probablement pré-rénale sur déshydratation et sepsis à Entérocoque faecalis et à Staphylocoque epidermidis d'origine endovasculaire, avec comme porte d'entrée une VVP, le 26.03.2018. • Malnutrition protéino-énergétique grave. Insuffisance rénale chronique. Cervicarthrose pluri-étagée avec chondrocalcinose de l'articulation atlanto-odontoïdienne le 25.01.2013. Céphalées chroniques multi-investiguées sur probable crises migraineuses. Episode dépressif majeur d'intensité modérée, sans risque suicidaire. Troubles cognitifs avec démence sévère. Insuffisance rénale chronique HTA Diabète type 2 insulino-requérant Obésité classe I avec BMI à 31.6 kg/m2 le 28.08.2017 Cardiopathie ischémique avec triple pontage en 2005 (AMIG-IVA, pontage veineux-branche diagonale, pontage veineux-CD) avec : • Coronarographie 2009 : pontage sur la coronaire droite est occluse chroniquement et la coronaire droite native démontre une longue occlusion chronique distale, échec de recanalisation, hypocinésie postéro-basal (inchangé depuis ECHO d'octobre 2009) • ETT en septembre 2013 : FEVG à 55 % et hypokinésie modérée de la paroi postérieure et de la paroi inférieure moyenne et une dyskinésie de la paroi inféro-basale Insuffisance rénale chronique. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Cervicalgies chroniques sur signes dégénératifs arthrosiques multisegmentaires de C2-C7 avec hernie discale C2-C3. Démence vasculaire hypo-active (bilan neuropsychologique et IRM cérébrale en décembre 2014) avec trouble de la marche et chute à répétition d'origine multifactorielle : • forte dose d'opioïdes. • médication psychotrope. • polyneuropathie des MI d'origine mixte (diabète et OH). • apathie. • probable consommation d'alcool à risque. Insuffisance rénale chronique Hypertension artérielle BPCO de stade IV oxygénodépendante (2 L/24 h) Insuffisance rénale chronique Neuropathie sévère des MI Hypertension artérielle avec hypertrophie concentrique (FEVG 65 %, échocardiographie le 13.11.2013) Syndrome des apnées du sommeil, appareillé Obésité morbide (BMI 42 kg/m2) Insuffisance rénale d'allure chronique CKD-EPI le 18.02.2019 : GFR à 59 ml/min • avec acidose métabolique compensée à trou anionique normal, sans acidémie Insuffisance rénale d'allure chronique nouvelle le 18.02.2019 • CKD-EPI le 18.02.2019 : GFR à 59 ml/min • Spot urinaire le 21.02.2019 : micro-albuminurie à 0.3 g/24 h, à la limite de la protéinurie Insuffisance rénale de cinétique inconnue. Insuffisance rénale de dynamique pas claire, le 24.02.2019, DD aigu dans le contexte infectieux • clairance 52 ml/min Insuffisance rénale d'évolution inconnue. • EGFR 65 mL/min selon MDRD. Insuffisance rénale Grade IV le 26.12.2018, d'étiologie post-rénale sur une dilatation pelvienne rénale confirmée radiologiquement, dans un contexte néoplasique • CT Thorax 28.12.2018 : dilatation du pyélocaliciel gauche, insuffisance rénale gauche • Consultation urologique du 28.12.2018 (Dr. X) : actuellement, pas de mise en place de sonde double J au vu des taux de créatinine modérément élevés. Étant donné l'âge du patient et le contexte néoplasique, aucune biopsie n'est recommandée. Insuffisance rénale le 15.02.2019 DD médicamenteux, sur pyélonéphrite • Créa 138 • GFR selon Cockroft Gault : 56 ml/min Insuffisance rénale le 18.02.2019 possiblement prérénale • Creat 121 le 18.02.2019 • GFR selon Cockroft-Gault 42 ml/minute • GFR selon CKD-EPI 48 ml/minute. Insuffisance rénale pré-rénale AKIN 1 le 24.02.2019 • eGFR 53 ml/min selon Cockroft • FE Na 0.2 %, FE Urée 37 % Insuffisance rénale pré-rénale le 15.02.2019 • Créatinine 138 mcmol/l, eGFR selon Cockroft : 59 ml/min • FE Na : 0.4 % Insuffisance rénale probablement aiguë AKIN I sur chronique KDIGO G4, d'origine pré-rénale avec : • clairance 21.3 ml/min le 07.02.2019 • Spot urinaire : FeUrée 20 % DD : cardio-rénale Insuffisance rénale probablement aiguë AKIN I sur chronique KDIGO G4, d'origine pré-rénale avec : • clairance 21.3 ml/min le 07.02.2019 • S/p Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine rénale sur nécrose tubulaire aiguë le 07.09.2016, avec : • DD : néphropathie au produit de contraste, toxique sur antibiothérapie par Céfépime, composante pré-rénale sur vomissements Insuffisance rénale probablement acutisée d'origine pré-rénale (pas de valeur comparative) : clairance de la créatinine estimée selon Cockcroft-Gault à 15 ml/min. Insuffisance rénale probablement chronique • CrCl 31 ml/min Insuffisance rénale probablement chronique acutisée avec une créatininémie à 90 mmol/l : • Clairance estimée selon Cockcroft-Gault à 20 ml/min avec un poids de 34.4 kg mesuré aux urgences Insuffisance rénale stade V avec glomérulonéphrite extra-capillaire nécrosante sévère à ANCA diagnostiquée le 19.02.2008 • confection d'une fistule artério-veineuse radio-céphalique droite selon Brescia-Cimino le 17.12.2015 • sous dialyse 2 x/semaine. Emphysème pulmonaire bulleux avec discrète fibrose pulmonaire. Hypertension artérielle. Extrasystoles supraventriculaires. Hyperuricémie. Cholécystolithiase asymptomatique. Stéatose hépatique. Dysesthésies dorso-latérales du pied gauche de probable origine neurologique périphérique. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle en janvier 2018, avec déficit en vitamine D et malnutrition protéino-énergétique modérée. Insuffisance rénale terminale avec status post transplantation rénale le 03.02.2019. Insuffisance rénale terminale chronique de stade III-IV, probablement mixte (hypertensive, diabétique et sur réduction néphrotique en 1998) avec dialyse 3 x/semaine (depuis le 17.10.2011) Apnées du sommeil, appareillé depuis 2012 Insuffisance artérielle des membres inférieurs de stade IIb avec multiples chirurgies vasculaires. Insuffisance rénale terminale dialysée. Insuffisance rénale terminale d'origine diabétique • hémodialyse depuis le 15.12.2017 (mardi-jeudi-samedi) • Permacath droit le 13.12.2017 • syndrome néphrotique • suivie par Dr. X Insuffisance rénale terminale d'origine diabétique • hémodialyse depuis le 15.12.2017 (mardi-jeudi-samedi) • syndrome néphrotique • Sonde vésicale à demeure Insuffisance rénale terminale d'origine hypertensive et diabétique • En dialyse depuis 29.11.2017 Insuffisance rénale terminale d'origine multifactorielle sur néphropathie diabétique et probable néphrite interstitielle chronique et dilatation pyélocalicielle : • Dialyses depuis le 03.02.2017 : 3 x/semaine • FAV boucle omniflow MSG 21.03.2017 (Dr. X), reprise le 24.04.2017 dans le cadre d'une occlusion par thrombus ; nouvelle thrombose le 25.04.2017 ; inutilisable selon phlébographie du 23.05.2017, car flux extrêmement faible au niveau des veines du bras gauche • KT permanent droit le 01.06.2017 • Complications : acidose métabolique, anémie normochrome normocytaire • Suivi par le Dr. X • Dialyse 3 x/semaine Plaies chroniques des orteils :Ulcères orteils 3 et 4 à droite (IPP face dorsale) et pulpe de l'orteil 4 à gauche Reflux vésico-urétéraux bilatéraux classés grade IV à gauche et grade I à droite : • cystoscopie, bactériologie du bassinet droit, UPR droite et pose de double J à droite 24.02.2017 (Dr. X) • suivi par Dr. X avec changements réguliers de sonde vésicale et double J Néphro-urétéro-pyélonéphrite bilatérale chronique avec statut après résection transurétrale de la prostate en 2011 (pour hypertrophie prostatique obstructive) puis résection d'une sténose du col pour obstruction récidivante en mai 2015 : • sonde vésicale à demeure • porteur MRSA dans les urines : culture d'urine le 31.07.2017 : absence de MRSA ; frottis et urotube à faire chaque 6 semaines • macrohématurie et infection urinaire à Acinetobacter 24.06.2017 Cardiopathie ischémique : • Infarctus du myocarde en 1972 et 1975 Artériopathie oblitérante du membre inférieur gauche de stade IV : • Angioplastie le 10.02.2017 : dilatation au ballon de sténoses du tronc tibio-péronier et de l'artère péronière gauches Syndrome des apnées obstructives du sommeil Trouble dépressif chronique Prurit généralisé chronique • Biopsie cutanée le 06.11.2017 : pas de dépôt immunoglobuline ou complément Lésion chronique de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite MGUS (gammapathies monoclonales de signification indéterminée) dx le 02.08.2017 Insuffisance rénale terminale sur glomérulonéphrite extra-capillaire nécrosante sévère à ANCA • Date du diagnostic le 19.02.2008 • Dialyse les mardis et samedis à Riaz • Diurèse résiduelle 750 ml • Suivi par Dr. X (Riaz) et Kalicki Insuffisance rénale. Erysipèle de la jambe droite. Prothèse totale de hanche ddc. Iléus. Céphalées de tension à 6/10 depuis hier soir, sans signes neurologiques focaux. Pic hypertensif à 180/100 mmHg à domicile, le 23.10.2014. Insuffisance rénales aiguës le 15.02.2019 Insuffisance respiratoire Insuffisance respiratoire Insuffisance respiratoire Insuffisance respiratoire aiguë Insuffisance respiratoire aiguë Insuffisance respiratoire aiguë avec une acidose respiratoire à pH 7.25 avec hypercapnie Insuffisance respiratoire aiguë globale d'étiologie indéterminée le 13.02.2019 DD exacerbation d'une BPCO non stadée avec possible décompensation cardiaque associée Insuffisance respiratoire aiguë globale le 13.02.2019 sur probable insuffisance cardiaque gauche • DD : exacerbation d'une BPCO non stadée, SAOS, syndrome d'obésité-hypoventilation, HTAP, pneumopathie d'origine médicamenteuse (Azathioprine) Insuffisance respiratoire aiguë globale le 15.02.2019 dans un contexte infectieux avec pneumonie des lobes supérieur et inférieur droits et grippe Influenza A, chez un patient BPCO stade IV Insuffisance respiratoire aiguë globale le 19.01.2019 • décompensation de BPCO non stadée • corps étranger du lobe inférieur gauche avec surinfection bactérienne • probable décompensation cardiaque gauche le 29.01.2019. Insuffisance respiratoire aiguë globale • OAP associé à un pic hypertensif en dialyse le 15.02.2019 • Épanchement pleural droit • Contexte de multiples reprises chirurgicales Insuffisance respiratoire aiguë globale sur épanchement pleural droit massif le 29.01.2019 • pro-BNP 11'255 • ETT 16.01.2019 : dysfonction diastolique Grade II, HTP sévère (PAP's à 66 mmHg) • Cardiopathie hypertensive, valvulaire, ischémique et rythmique anti-coagulée • BPCO de stade IV Insuffisance respiratoire aiguë globale sur exacerbation BPCO et sur une décompensation cardiaque le 29.01.2019 • DD : ischémique vs surcharge cardiaque sur pic TA Insuffisance respiratoire aiguë globale sur exacerbation d'une probable BPCO (tabagisme actif à 30 UPA) le 05.02.2019 : • Grippe Influenza A • Surinfection bactérienne secondaire le 08.02.2019 Insuffisance respiratoire aiguë globale sur une pneumonie nosocomiale le 06.02.2019 Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémiante sur probable crise d'asthme aiguë le 26.02.2019 • Contexte de broncho-pneumonies basales au décours • 1 épisode de crachat sanglant Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique d'origine multifactorielle le 06.02.2019 avec : • Décompensation cardiaque • Pneumonie récidivante Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique d'origine multifactorielle le 06.02.2019 • Décompensation cardiaque • Pneumonie récidivante Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique le 17.01.2017 • Pneumonie nosocomiale bilatérale à germe indéterminé • Composante de surcharge cardiaque • ARDS primaire • Probable BPCO non stadée Pneumonie bi-basale le 27.09.2016 Hypoxémie chronique d'origine multifactorielle (dépendance à la nicotine, syndrome restrictif sur obésité) Bronchite asthmatiforme le 11.03.2018 avec : • bronchite chronique (3 à 4 exacerbations par année) • s/p ARDS en janvier 2017 • FPC du 04.04.2017 : absence de trouble ventilatoire obstructif (Tiffeneau à 114 % du prédit), trouble ventilatoire restrictif de degré léger (CPT à 72 % du prédit) • Tabagisme actif à 130 UPA Cure d'anévrysme de l'artère cérébrale médiale gauche de 5 mm de diamètre aux HUG le 05.04.2013 Arthrite septique à pneumocoque du genou D le 09.04.2012 • PTG gauche le 04.03.2010 à Riaz • PTG gauche le 31.01.2005 à la Clinique St-Anne Laparotomie exploratrice pour hémopéritoine en 2005 Syndrome douloureux fascio-brachial gauche Infiltrat diffus / Hématome au niveau du genou G à J6 post-PTG à G. le 01.04.2018 Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique le 18.04.2016 d'origine multifactorielle sur atélectasies bi-basales, syndrome restrictif et épanchements pleuraux. Rectorragie sur hémorroïdes dans un contexte d'anticoagulation et anti-agrégation le 26.04. et le 29.04.2016. Cholécystite aiguë et pancréatite aiguë sur cholécystolithiase connue : Cholécystectomie et cure d'éventration avec filet ProGrip le 05.02.2013 par Dr. X Colique néphrétique gauche sur calcul urétéral distal de 10 x 8 x 6 mm radio-opaque avec lithotripsie et mise en place d'une sonde double J le 22.09.2012. État dépressif en 1995 et rechute en 2002. Éventration médiane sur cicatrice sous-costale droite pour surrénalectomie droite en 1994. Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique le 18.04.2016 d'origine multifactorielle sur atélectasies bi-basales, syndrome restrictif et épanchements pleuraux. Rectorragie sur hémorroïdes dans un contexte d'anticoagulation et anti-agrégation le 26.04. et le 29.04.2016. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 fonctionnelle sur bas débit cardiaque le 19.04.2016. Cholécystectomie le 05.02.2013, statut post-cholécystite aiguë et pancréatite aiguë sur cholécystolithiase connue. Cure d'éventration avec filet ProGrip (même temps opératoire) par Dr. X le 05.02.2013. Colique néphrétique gauche sur calcul urétéral distal de 10 x 8 x 6 mm radio-opaque avec lithotripsie et mise en place d'une sonde double J le 22.09.2012. État dépressif en 1995 et rechute en 2002. Éventration médiane sur cicatrice sous-costale droite pour surrénalectomie droite en 1994. Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique postopératoire d'origine multifactorielle le 15.01.2019 • atélectase basale G • embolie pulmonaire segmentaire lobe moyen D Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur atélectasies et pneumonie bibasale le 28.12.2018. Status post-cholécystite aiguë perforée le 21.12.2018.Mise en place d'un drainage biliaire à l'HFR Fribourg le 28.12.2018. Luxation de la prothèse totale de la hanche gauche le 24.12.2011, 30.08.2014. Thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche le 02.02.2012, sous Sintrom depuis lors. Fibrillation auriculaire avec décompensation cardiaque en janvier 2012. Arthroplastie totale de la hanche gauche le 21.11.2011 (Dr. X). Résection transurétrale de la vessie le 13.09.2010 pour carcinome urothélial. Résection transurétrale de la vessie le 30.08.2010. Résection transurétrale de la vessie le 04.08.2010 pour une petite récidive tumorale papillaire pT1 G3 de la vessie. Résection transurétrale de la vessie en mars et novembre 2009 pour une petite tumeur récidivante de la vessie. Méatotomie pour sténose du méat et résection transurétrale de la vessie en 2003 pour tumeurs papillaires multifocales de la paroi latérale droite pTa G1. Insuffisance respiratoire aiguë le 05.02.2019. Insuffisance respiratoire aiguë le 17.02.2019. Insuffisance respiratoire aiguë sévère le 14.02.2019 sur bouchon muqueux de la bronche souche gauche. Insuffisance respiratoire aiguë sur décompensation asthmatique d'origine infectieuse (RSV positif), le 06.02.2019 : • Tabagisme ancien à 40-60 UPA, stoppé en 2016 • Nodule pulmonaire au niveau du LSD, aspécifique, suivi régulièrement par CT (dernier CT en 2017, CIMED) • Décompensations respiratoires récidivantes, dont une en 2017 nécessitant un séjour aux SI avec intubation • Dernières fonctions pulmonaires en 2015 : absence de trouble ventilatoire obstructif. Diminution du débit expiratoire moyen. Absence de trouble ventilatoire restrictif Insuffisance respiratoire aiguë sur décompensation de BPCO d'origine probablement infectieuse. Insuffisance respiratoire aiguë sur exacerbation de BPCO stade GOLD III / C (2015) dans le contexte de grippe Influenza A le 26.01.2019, avec : • Critères d'Anthonisen 1/3 (augmentation dyspnée) • Fonctions pulmonaires 07.05.2015 : Tiefenau (FEV1/FVC) 50%, FEV1 0.41 l (34% de la valeur attendue) Insuffisance respiratoire aiguë sur OAP sur pic hypertensif dans un contexte de probable surinfection pulmonaire le 17.02.2019. Insuffisance respiratoire aiguë sur oedème aigu du poumon plurifactoriel le 23.02.2019 : • Sepsis sur dermohypodermite du membre inférieur gauche • Sténose aortique modérée à sévère • Cardiopathie ischémique bitronculaire (FEVG 40% en 2018), fibrillation auriculaire chronique et pacemaker défibrillateur Insuffisance respiratoire aiguë sur paralysie bilatérale des cordes vocales d'origine indéterminée le 01.02.2019 • DD : lésion par traction des nerfs récurrents, péridurale, lésion sur intubation Insuffisance respiratoire chronique dans un contexte de BPCO stade IV D selon GOLD sur tabagisme ancien à 60 UPA + inhalation professionnelle avec : • Insuffisance respiratoire partielle sévère sous oxygénothérapie à domicile (6 lt/min) • Troubles sévères de la diffusion • Portage de P. aeruginosa et exacerbations itératives (sous Azithromycine) • Déficit en alpha-1-anti-trypsine • Status post réduction de volume pulmonaire LIG et résection wedge de 2 bulles du LSG (Dr. X, le 12.03.2015) • Projet de transplantation pulmonaire, patient sur liste depuis 21 mois • Consultation du 20.06.2018 - Dresse Yersin, pneumologue CHUV : le patient est sur liste d'attente pour transplantation pulmonaire, proposition de réitérer des fonctions pulmonaires complètes et le scanner thoracique • Coeur pulmonaire chronique avec PAP à 46 mmHg à l'US cardiaque • Score CAT : 28 • Réhabilitation pulmonaire du 09.08.2018 au 29.01.2019 Insuffisance respiratoire chronique. Septo-rhinoplastie le 29.04.2016 (Dr. X). Douleurs thoraciques gauches le 30.08.2016, probablement dans un contexte anxieux. Sensation de corps étranger de l'œil droit le 01.12.2017. Insuffisance respiratoire dans le cadre d'une bronchiolite à RSV. Insuffisance respiratoire dans le contexte de bronchiolite dans un contexte d'une infection à RSV. Insuffisance respiratoire d'origine indéterminée : • Épanchement pulmonaire D connu depuis 2017 • Probable foyer pulmonaire Insuffisance respiratoire d'origine mixte : post-critique, iatrogène sur Dormicum et broncho-aspiration le 11.02.2019. Insuffisance respiratoire d'origine multifactorielle le 02.07.2015 : • Pneumonie bilatérale sur broncho-aspiration • Épanchements pleuraux bilatéraux Décompensation de BPCO le 23.12.2018 sur possible pneumonie : • Co-Amoxicilline le 24.12.2018 puis Ceftriaxone du 24.12.2018 au 31.12.2018 État confusionnel aigu le 01.07.2015. Anémie normochrome normocytaire probablement spoliative en 2015. Candidose oropharyngée le 22.07.2015. Insuffisance respiratoire d'origine multifactorielle le 03.02.2019 : • Décompensation cardiaque avec NT-proBNP à 12923 • BPCO stade 4 Insuffisance respiratoire d'origine multifactorielle : • Métastatique • Décompensation cardiaque Insuffisance respiratoire d'origine multifactorielle : • VNI inefficace car mal supportée • Syndrome d'hypoventilation sur obésité • Sevrage ventilatoire prolongé après intubation pour état de mal épileptique • Péjoration dans un contexte infectieux pulmonaire à répétition (grippe à Influenza A, bronchopneumonie à Pseudomonas) Insuffisance respiratoire et troubles alimentaires dans un contexte d'une bronchiolite à RSV nég.Insuffisance respiratoire globale aiguë le 04.02.2019 • Contexte de syndrome d'obésité hypoventilation • Pneumonie • Composante d'oedème aigu du poumon sur surcharge hydrique Insuffisance respiratoire globale aiguë le 09.02.2019 sur : • Exacerbation de BPCO stade IV avec oxygénothérapie à domicile (0.75-1.5L/min 24h/24) Insuffisance respiratoire globale aiguë sur décompensation BPCO dans le contexte d'infection virale à RSV le 21.01.2019 • 4ème décompensation BPCO en 6 mois Insuffisance respiratoire globale aiguë sur une exacerbation BPCO stade GOLD III d'origine infectieuse à Branhamella Catarrhalis le 31.12.2018 (Critère d'Anthonisen à 2/3) traitée par : • Prédnisone du 31.12.2018 au 02.01.2019 • Co-Amoxicilline iv du 31.12.2018 au 03.01.2019 puis po du 04.01 au 06.01.2019 • Aérosols Atrovent/Ventolin stoppé le 07.01.2019 • Ultibro et Pulmicort sous conseil pneumologique • Ventilation non-invasive dès le 31.12.2018 BiPAP dès le 04.01.2019 • Oxygénothérapie à 2 L/min d'O2 • BiPAP nocturne • Sous 1 litre d'oxygène 15h/jour au home Décompensation respiratoire globale aiguë d'origine multifactorielle le 10.12.2018 (Clarithromycine le 10.12.2018, Imipénème du 10.12 au 12.12.2018, Ertapénème du 12.12 au 17.12.2018) Bactériurie à E.Coli ESBL et Klebsiella pneumoniae asymptomatique chez Mme. Y avec sonde urinaire à demeure le 03.01.2019 : Avis infectiologique : pas de traitement antibiotique Embolies pulmonaires segmentaires le 06.08.2018 : • Pas d'anticoagulation au vu du contexte hémorragique • Pose de filtre de la veine cave le 06.08.2018 Hématochézie sur des hémorroïdes le 15.06.2018 avec : • Le 15.06.2018, Dr. X : ligature de l'artère hémorroïdaire supérieure et hémorroïdopexie Hémorragie digestive basse le 27.07.2018 : • OGD le 02.08.2018 (Dr. X) : normale • Colonoscopie 13.08.2018 : diverticulose et hémorroïdes, absence de source de saignement actif ; proposition d'arrêt des investigations gastro-entérologiques et suivi de la formule sanguine Ulcère gastrique en 2012 Ulcères de la jambe droite sur statut après dermo-hypodermite avancée ayant nécessité un débridement large, un traitement par VAC et plusieurs greffes de peau méchées en janvier et février 2008 Herpès zoster en août 2013 avec douleurs neurogènes séquellaires et prurit Insuffisance respiratoire globale avec : • Acidose lactique et respiratoire à 7.12, carbonarcose à 11.3, hypoxémie à 9.3 • Diagnostic différentiel : décompensation BPCO, OAP sur pic hypertensif, état septique, broncho-aspiration. Insuffisance respiratoire globale avec : • Acidose respiratoire avec pH 7.20, Bic à 34 mmol/l, CO2 à 12.2 kPa • Probable BPCO non-stadée Insuffisance respiratoire globale dans contexte de BPCO non stadée le 06.02.2019 avec : • Possible pneumonie bilatérale le 06.02.2019 avec prise en charge initiale à Lindenhof (Berne) • Suspicion de pneumonie de broncho-aspiration sur possibles troubles de la déglutition • Atélectasie du lobe inférieur du poumon gauche le 11.02.2019 Insuffisance respiratoire globale dans le cadre d'une BPCO stade 3 • Tabagisme actif (60 UPA) • Taille 149 cm, poids 55 kg, BMI 24.8 • CT thoracique : Emphysème pulmonaire prédominant aux apex • CT thoracique 08.2017 et 11.2017 : Emphysème pulmonaire prédominant aux apex, épaississement bronchique • ETT 02.2018 : FEVG 60 %, dilatation des cavités droites modérée, pas de valvulopathie • Fonctions pulmonaires complètes 02.2019 : trouble ventilatoire obstructif de degré sévère (VEMS 37 % du prédit avec réversibilité significative). Air trapping statique et hyperinflation. Diminution sévère de la DLCOc à 37% du prédit • Gazométrie artérielle AA 02.2019 : hypoxémie, hypercapnie (pH 7.35, PaO2 8.1 kPa, PaCO2 7.7 kPa, SaO2 90%, HCO3- 31 mmol/l) • Oxygénothérapie nocturne 1l dès novembre 2017 • VNI nocturne dès le 22.08.2017 (VPAP Lumis 150 ST-1 EPAP 6 cm H2O, IPAP 14 cm H2O, FR 12/min) Insuffisance respiratoire globale d'origine mixte : • Dans un contexte de grippe Influenza A • Possible surinfection bactérienne • Décompensation cardiaque Insuffisance respiratoire globale d'origine mixte le 12.02.2019 : • Dans un contexte de grippe Influenza A • Possible surinfection bactérienne • Participation de décompensation cardiaque Insuffisance respiratoire globale le 02.02.2019 d'origine mixte : • Grippe à Influenza A avec sur-infection bactérienne secondaire • Anasarque • Exacerbation syndrome obstructif, syndrome hypopnée-hypoventilation • Prise en charge aux soins intensifs du 02.02.2019 au 07.02.2019 Insuffisance respiratoire globale le 08.02.2019 Insuffisance respiratoire globale le 08.02.2019 • Surcharge importante et décompensation cardiaque • Surinfection pulmonaire probable Insuffisance respiratoire globale le 10.02.2019 sur : • Surcharge hydrique chez Mr. Y avec dialyse en pause • Cardiogénique chez Mr. Y avec angor instable • Syndrome hypoventilation-obésité avec dysfonction mécanique de la CPAP Insuffisance respiratoire globale le 27.01.2019 : • Pneumothorax gauche le 25.01.2019 sur fractures costales des arcs latéraux 3-6ème à gauche • Probable composante de surcharge cardiaque Insuffisance respiratoire globale possiblement secondaire à une accumulation des opiacés sur IRA et benzodiazépines (Urbanyl) symptomatique avec somnolence le 04.02.2019 Insuffisance respiratoire globale postopératoire le 27.12.2018 • Epanchement pleural droit • BPCO stade III selon GOLD Insuffisance respiratoire globale sur choc cardiogène. DD : origine infectieuse (pneumonie, broncho-aspiration). Insuffisance respiratoire globale sur Grippe A avec pneumonie surinfectée • Chez Mr. Y connu pour des pneumonies à répétition sur broncho-aspiration frottis positif pour Influenza A Insuffisance respiratoire globale sur pneumonies de broncho-aspiration le 15.09.2018, le 20.09.2018, le 01.10.2018, le 22.10.2018 • Surinfection d'une atélectase du LIG le 04.10.2018 • Epanchement pleural G le 12.10.2018 • Broncho-aspirations à bas bruit Hypernatrémie à 150 mmol/l le 20.09.2018 Dermatose membre inférieur le 26.10.2018 • DD réaction cutanée aux bas de contention • DD Dermatite de stase insuffisance respiratoire globale sur probable pneumonie basale gauche. Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë le 13.02.2019 • Dystélectasies et hypoventilation dans le contexte algique et post-opératoire • BPCO de stade III • DD: Surcharge hydrique Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë plurifactorielle dès le 29.01.2019 • pneumonie d'aspiration • atélectasies post-opératoires • syndrome restrictif et obstructif sévère connu Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë plurifactorielle le 29.01.2019 • Pneumonie d'aspiration • Atélectasies post-opératoires • Syndromes restrictif (SOH) et obstructif sévères connus Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë sur hypervolémie, anasarque le 22.01.2019 • Epanchements pleuraux bilatéraux Insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine mixte le 19.02.2019 avec: • Grippe Influenza A • Pneumonie communautaire basale gauche • Probable décompensation cardiaque secondaire dans le contexte infectieux • Dans un contexte d'Adénocarcinome pulmonaire avec épanchement pleural malin chronique à droite Insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine mixte sur pneumonie bibasale et décompensation cardiaque le 06.03.2012 Décompensation cardiaque globale en 2007 Décompensation cardiaque à prédominance droite NYHA 3 sur cardiopathie ischémique et rythmique le 20.06.2018 Décompensation cardiaque globale le 28.12.2018 Exacerbation de BPCO le 04.01.2019 Pneumonie nosocomiale le 13.03.2017 Ancien éthylisme chronique, abstinent depuis novembre 2015 Insuffisance rénale AKIN I d'origine pré-rénale sur déshydratation le 28.08.2018 (créatinine à 167 umol/l, urée 30 mmol/l, FeUrée à 24.4%) Hyperkaliémie iatrogène à 6.3 mmol/l le 03.01.2019, substituée et traitement d'Aldactone Infection urinaire basse à E.Coli résistant à la Ciproxine le 04.01.2019 • avec état confusionnel aigu • Ceftriaxone 2g IV du 04.01.2019 au 05.01.2019 puis Bactrim forte PO du 06.01.2019 au 10.01.2019 Hypokaliémie 2.8 mmol/l le 28.12.2018 sur diurétique Prostatectomie pour troubles urinaires obstructifs sur phimosis en mai 2018 Sepsis sévère sur colite ascendante et sigmoïdite à Campylobacter Jejuni le 05.10.2015 Hématochézie le 01.03.2017 sur probable diverticulose sigmoïdienne Anémie normocytaire normochrome hyporégénérative avec Hb 101 g/l le 28.08.2018 Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale sans critères AKIN à 134 umol/l le 31.12.2018: • récidive le 11.01.2019 avec créatinine à 137 micromol/L • DD : diurétiques, syndrome cardio-rénal Troubles de la crase sur anticoagulation par Sintrom, le 28.12.2018 • INR 4.8 le 28.12.2018 • INR > 5.5 le 09.01.2019 Insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique aiguë avec sevrage ventilatoire prolongé • Après arrêt cardio-respiratoire sur activité électrique sans pouls d'origine hypoxémique le 09.01.2019 • Pneumothorax gauche le 09.01.2019 • Récidive de pneumothorax gauche le 17.01.2019 • BPCO stade 3 Insuffisance respiratoire hypoxémique hypercapnique aiguë avec sevrage ventilatoire prolongé • après arrêt cardio-respiratoire sur activité électrique sans pouls d'origine hypoxémique le 09.01.2019 • pneumothorax sous tension gauche le 09.01.2019 • Récidive de pneumothorax gauche le 17.01.2019 • BPCO stade 3 Insuffisance respiratoire hypoxémique le 02.02.2019 • DD : pré-OAP sur surcharge volémique Insuffisance respiratoire hypoxémique le 06.02.2019 sur décompensation cardiaque Insuffisance respiratoire hypoxémique le 12.02.2019 sur sténose laryngée et probable décompensation cardiaque sur hypertension artérielle mal contrôlée, probable lésion ischémique sur l' IVA et surcharge volémique majeure Insuffisance respiratoire hypoxémique le 18.02.2019 sur remplissage volémique et bactériémie Insuffisance respiratoire hypoxémique le 18.02.2019 sur surcharge volumique • DD: pneumonie Insuffisance respiratoire hypoxémique le 20.02.2019 • surcharge cardiaque • atélectasie bilatérale Insuffisance respiratoire hypoxémique multifactorielle: • broncho-pneumonie communautaire D • exacerbation BPCO • suspicion de décompensation cardiaque à prédominance G Insuffisance respiratoire hypoxémique sévère le 25.01.2019 • sur obstruction complète du poumon gauche par broncho-aspiration Insuffisance respiratoire hypoxémique sur décompensation cardiaque globale dans un contexte de FA rapide DD toxique sur OH le 18.02.2019 • Maladie coronarienne bitronculaire (coronaire droite et IVA): • s/p double revascularisation chirurgicale le 13.05.2002 (pont mammaire gauche-IVA, pont veineux-IVP) couplée d'une suture directe du foramen ovale perméable Insuffisance respiratoire hypoxémique sur exacerbation d'une probable BPCO sur Grippe Influenza A le 28.01.2019 avec: • probable surinfection bactérienne le 30.01.2019 Insuffisance respiratoire hypoxémique sur probable BPCO avec: • tabagisme ancien à environ 60 UPA, sevré depuis 04.2017 • dyspnée NYHA III, en péjoration actuellement • investigations pulmonaires le 25.01.2019 pour CPAP • polysomnographie prévue en ambulatoire DD : SOH, BPCO, Asthme Insuffisance respiratoire hypoxémique sur sepsis d'origine pulmonaire le 11.02.2019 Insuffisance respiratoire, le 13.02.2019 sur • Pneumonie bilatérale et/ou grippe DD: ARDS Insuffisance respiratoire, le 25.02.2019 • Critère d'Anthonisen 3/3 • Tabagisme actif à 40 UPA - Consommation de cannabis • Dernière hospitalisation pour une exacerbation le 15.02.2019, 15.01.2019 • Oxygénothérapie à domicile (0.75 l/min, 16h/24, 2L/min si actif) et réhabilitation pulmonaire ambulatoire 2x/semaine à Billens • BPCO stade III D (CVF 66%, VEMS 41%, score CAT 26) Insuffisance respiratoire partielle aiguë sur œdème aigu du poumon, dans un contexte de pneumonie basale gauche à germe indéterminé, précipité par un pic hypertensif (objectivé au service des urgences à 204/122 mmHg) DD: • ischémique (pas d'argument clinique ni électrocardiographique ni échographique) • rythmique (pas d'argument à l'interrogation du pacemaker) Insuffisance respiratoire partielle dans le contexte de grippe à Influenza A le 18.01.2019 DD: exacerbation d'une probable BPCO (FR : 65 UPA, exposition passive professionnelle) Anévrismes cérébraux opérés il y a 6 ans. Crise d'angoisse le 16.04.2013 Hystérectomie non datée Carcinome épidermoïde in situ au niveau du pubis (excision 03/2015) Fracture radius distal G, déplacée (réduction et ostéosynthèse le 16.05.2015) Fracture non déplacée base de l'hamulus de l'os hamatum, fracture plurifragmentaire, légèrement déplacée face dorsale de l'os triquétrum, arrachement face dorsale os lunatum, main D (05.2015) Colite du côlon descendant le 23.09.2016 Infection urinaire basse à K. pneumoniae le 23.09.2016 Insuffisance rénale chronique acutisée dans un contexte pré-rénal (AKIN 1, Rifle R) Cytolyse hépatique dans le contexte d'une hépatite A diagnostiquée le 29.10.2018 Insuffisance respiratoire partielle d'origine multifactorielle: • atélectasies aux deux bases sur le CT scan thoracique • insuffisance cardiaque (cf infra). Insuffisance respiratoire partielle hypoxémique avec pO2 à 7.9 kpa DD : influencée par fracture costales (2-8), anémie, pleurésie droite surinfectée au décours, BPCO, EP Insuffisance respiratoire partielle le 09.02.2019 d'origine multifactorielle: • grippe Influenza A positive DD aggravation de la GvHD pulmonaire dans contexte sevrage PrednisoneInsuffisance respiratoire partielle le 10.02.2019 • sur pneumonie G avec probable empyème Insuffisance respiratoire partielle le 11.02.2019. Insuffisance respiratoire partielle le 13.02.2019 • Dystélectasies et hypoventilation dans le contexte algique et post-opératoire • BPCO de stade III Insuffisance respiratoire partielle le 28.01.2019 sur : • exacerbation d'une BPCO non stadée • critères d'Anthonisen 2/3 • RSV positif DD composante de décompensation cardiaque, syndrome restrictif sur obésité (CPAP à domicile) Insuffisance respiratoire partielle sur atélectasie le 30.01.2019 • DD : pneumonie base droite Insuffisance respiratoire partielle sur épanchement pleural unilatéral gauche sur décompensation cardiaque le 09.02.2019 DD : para-néoplasique Insuffisance respiratoire partielle sur majoration d'un épanchement pleural droit d'origine probablement tumoral le 07.02.2019, dans contexte d'adénocarcinome pulmonaire métastatique actuellement en progression Insuffisance respiratoire partielle sur pneumonie bibasal le 19.02.2019 avec Insuffisance respiratoire partielle sur probable pneumonie basale droite le 19.03.2012 Insuffisance respiratoire sur bronchiolite à RSV Insuffisance respiratoire sur bronchiolite à RSV, oxygénodépendante Insuffisance respiratoire sur bronchiolite à RSV Neutropénie modérée (ANC min. 0,8 G/L), DD : para-viral Insuffisance respiratoire sur bronchiolite modérée non oxygénodépendante Insuffisance respiratoire sur bronchiolite modérée oxygénodépendante Insuffisance respiratoire sur bronchite spastique à RSV Insuffisance respiratoire sur bronchite spastique péri-infectieuse oxygénodépendante Insuffisance respiratoire sur broncho-pneumonie virale non compliquée, oxygénodépendante, Insuffisance respiratoire sur épanchement pleural D d'origine indéterminée • connu depuis 2017 • antécédent de carcinome mammaire traité par mastectomie bilatérale (1985 et 1997) Insuffisance respiratoire sur pneumonie basale droite le 04.02.2019 Insuffisance surrénalienne aiguë le 20.01.2019 en cours de sevrage de la Prednisone • Solucortef iv le 20.01.2019 Insuffisance veineuse Insuffisance veineuse avec : • Oedèmes des membres inférieurs. Insuffisance veineuse chronique : • Status après crossectomie et stripping du membre inférieur gauche en 2008 • Status après cure d'anévrisme poplité veineux en 2004 Maladie thrombo-embolique avec syndrome des anticorps antiphospholipides : • Traitement : anticoagulation par Marcoumar • Les anticorps anti-phospholipides seraient à l'origine d'une anopsie droite ainsi que du mal perforant ; la patiente est suivie en rhumatologie (Dr. X) et a été mise sous Plaquenil puis Méthotrexate Dyslipidémie Hernie hiatale par glissement avec : • Échec de pose de sonde naso-gastrique à l'étage (boucle dans l'oesophage) Malnutrition protéino-énergétique : • Pose de sonde gastro-gastrique par endoscopie le 17.01.2019 : nutrition par Fresubin avec 1000 ml/24 h jusqu'au 28.01.2019 Nodule pulmonaire de 5 mm du lobe moyen droit de découverte fortuite Fibrillation auriculaire inaugurale dans un contexte septique le 20.12.2018 Incontinence urinaire post-retrait de sonde vésicale le 03.01.2019 : • Probable incompétence vésicale due à la compression par l'hématome • Incontinence d'impériosité sous Betmiga et Toviaz Insuffisance veineuse chronique • Status post-crossectomie et stripping v. saphena magna ; 1979 • Crossectomie et phlébectomie 2014 Dr. X Fracture de luxation Lisfranc droite avec arthrodèse articulaire Lisfranc droite (OP le 29.03.2016) Insuffisance veineuse chronique des MI Troubles anxieux Insuffisance veineuse chronique du membre inférieur droit avec dermite ocre importante, status post cure de varices avec crossectomie, stripping de la veine et ligature des perforantes le 30.01.2018. Obésité avec un BMI de 49,6 kg/m2. Ancien tabagisme. Hypertension artérielle. Bradycardie intermittente asymptomatique sur trouble de la conduction atrioventriculaire, avec pose de pacemaker. Syndrome d'apnée obstructive du sommeil très sévère. Insuffisance veineuse chronique • incontinence des 2 grandes veines saphènes droite et gauche • hémorragie de varices le 10.01.2019 traitée par suture • surinfection d'ulcères dans la région tibiale le 07.01.2018 • varices dans le territoire de la grande veine saphène du côté droit • S/p TVP en 2009 Insuffisance veineuse chronique stade IV Maladie thrombo-embolique • Embolie pulmonaire bilatérale segmentaire et sous-segmentaire lobaire moyen à prédominance gauche en 2011 • Thrombo-phlébites multiples en 2007 Trouble ventilatoire obstructif de degré léger (VEMS 80 % du prédit) • sur ancien tabagisme (80 UPA) Insuffisance rénale chronique légère stade G2 • eGFR selon CKD-EPI : 64 mL/min/1.73 m² (le 22.01.2019) • S/p insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine mixte le 08.01.2019 • Sonde vésicale 08.-17.01.2019 Insuffisance veineuse des membres inférieurs de stade C2. Insuffisance veineuse des membres inférieurs. HTA. Hypercholestérolémie. Hypokaliémie récidivante. • substitution. • introduction d'un diurétique à épargne potassique. Syndrome post-thrombotique du membre inférieur gauche, avec : • ulcères variqueux • dermite ocre • lymphoedème de l'avant-pied Insuffisance vitamine D (38 nmol/L) Insuline en continu du 21.02 au 22.02.2019 Reprise Insulatard dès le 22.02.2019 Insuline en réserve Insuline Insulatard 28-0-10-0 Insuline rapide 0-0-4-0 dès le 25.01.2019 Consilium diabétologique le 22.01.2019 Insuline Lantus 8 U le matin depuis le 30.01.2018 Suivi glycémique Insuline/glucose le 13.02.2019 VNI intermittente Insulinothérapie intraveineuse Insulinothérapie intraveineuse du 12.02 au 13.02.2019 Hydratation intraveineuse du 12.02 au 13.02.2019 Substitution électrolytique potassium, phosphate et magnésium Cathéter artériel radial gauche du 12.02 au 13.02.2019 Avis endocrinologique : adaptation du schéma basal prandial Suivi diététique chez Mme. Y le 28.02.2019 à 13h00 Rendez-vous de contrôle diabétologique le 26.03.2019 à 10h00 par Dr. X Tentative de prise en charge ambulatoire avec suivi régulier, si récidive sur malcompliance discuter encadrement plus strict ou PLAFA Insulinothérapie iv continue du 12.02.2019 au 13.02.2019 Correction volémique Substitution en potassium, phosphate et magnésium Cathéter artériel radial gauche du 12.02.2019 au 13.02.2019 Consilium endocrinologie Suivi diabétologique par Dr. X Insulinothérapie iv continue du 24.02.2019 au 26.02.2019 Introduction Insulatard dès le 26.02.2019 avec schéma de correction en réserve Consilium diabétique Insulinothérapie iv continue du 29.01.2019 au 06.02.2019 Insulinothérapie sous-cutanée selon glycémie préprandiales Interrogation du pacemaker : aucune origine retrouvée. Peu de simulations par le pacemaker. Schellong le 31.01.2019 : pas de chute de la TAS, compensation de la FC conservée, symptômes aspécifiques rapportés IRM impossible en raison de pacemaker non-IRM-compatible ! Angio-CT cérébral avec vaisseaux précérébraux, le 01.02.2019 US Doppler des vaisseaux précérébraux, le 04.02.2019 Consilium neurologique le 01.02.2019 • Tilt-Test à envisager en ambulatoire • Contrôle de la sténose carotidienne par US Doppler dans 2 ans • Poursuite de l'aspirine et de la statine • Interruption de grossesse par curetage le 08.02.2019 • Contraception future: Elyfem 30, sa contraception précédente. • Interruption de grossesse par curetage le 08.02.2019 • Pose de stérilet Mona Lisa en per opératoire le 08.02.2019 • Interruption de grossesse par curetage le 15.02.2019 • Pose de Stérilet Jaydess en per opératoire le 15.02.2019 • Interruption de grossesse par curetage le 22.02.2019 • Contraception future: stérilet Mirena posé en per-opératoire le 22.02.2019. • Interruption médicamenteuse le 26.11.2018 • Hystéroscopie diagnostique avec curetage évacuateur le 08.02.2019 • Pose de DIU en cuivre en per opératoire le 08.02.2019 • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 02.02.2019 et Cytotec le 04.02.2019 • Expulsion non objectivée le 04.02.2019 • Contraception future: Implanon • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 02.02.2019 et Cytotec le 04.02.2019 • Expulsion non objectivée le 04.02.2019 • Contraception future: Sera discutée avec le gynécologue traitant • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifégyne le 02.02.2019 et Cytotec le 04.02.2019 • Expulsion objectivée le 04.02.2019 • Contraception future: Desonur (3 EO) puis Implanon (pas de contre indication à l'association au traitement par Gilenya mais une contraception double est conseillée au vu des effets secondaires au niveau gastro-intestinal par Gilenya) • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 02.02.2019 et Cytotec le 04.02.2019 • Expulsion objectivée le 04.02.2019 • Contraception future: Stérilet en cuivre • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 09.02.2019 et Cytotec le 11.02.2019 • Expulsion objectivée le 11.02.2019 • Contraception future: Implanon • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 09.02.2019 et Cytotec le 11.02.2019 • Expulsion objectivée le 11.02.2019 • Contraception future: Stérilet en cuivre • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 16.02.2019 et Cytotec le 18.02.2019 • Expulsion objectivée le 18.02.2019 • Contraception future: Mona Lisa NT Cu 380. • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 16.02.2019 et Cytotec le 18.02.2019 • Expulsion objectivée le 18.02.2019 • Contraception future: Elyfem 30, check-list COC en ordre, info TVP/EP donnée • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 16.02.2019 et Cytotec le 18.02.2019 • Expulsion objectivée le 18.02.2019 • Contraception future: Stérilet Kyleena • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 16.02.2019 et Cytotec le 18.02.2019 • Expulsion objectivée le 18.02.2019 • Contraception future: Mercilon, check-list COC en ordre, Info TVP/EP donnée • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 23.02.2019 et Cytotec le 25.02.2019 • Expulsion non objectivée le 25.02.2019 • Contraception future: Elyfem 30, check-list COC en ordre, info TVP/EP donnée • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 23.02.2019 et Cytotec le 25.02.2019 • Expulsion non objectivée le 25.02.2019 • Contraception future: Azalia puis Implanon • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 23.02.2019 et Cytotec le 25.02.2019 • Expulsion objectivée le 25.02.2019 • Contraception future: Ladonna, check-list COC en ordre, info TVP/EP donnée • Interruption médicamenteuse selon protocole: Mifegyne le 23.02.2019 et Cytotec le 25.02.2019 • Expulsion objectivée le 25.02.2019 • Contraception future: Stérilet Kyleena • Interruption volontaire de grossesse • Interruption volontaire de grossesse • Interruption volontaire de grossesse • Interruption volontaire de grossesse • Interruption volontaire de grossesse • Interruption volontaire de grossesse • Interruption volontaire de grossesse • Interruption volontaire de grossesse • Interruption volontaire de grossesse • Interruption volontaire de grossesse • Interruption volontaire de grossesse • Interruption volontaire de grossesse. • Interruption volontaire de grossesse. • Interruption volontaire de grossesse. • Interruption volontaire de grossesse à 5 5/7 semaines d'aménorrhée le 18.02.2019 chez une patiente, 2G 1P, de 31 ans • Interruption volontaire de grossesse à 6 1/7 semaines d'aménorrhée le 18.02.2019 chez une patiente, 2G 1P, de 38 ans • Interruption volontaire de grossesse à 6 3/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, 4G 2P, de 30 ans • Interruption volontaire de grossesse à 6 6/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente primigeste de 28 ans • Interruption volontaire de grossesse à 7 0/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, 4G 2P, de 37 ans • Interruption volontaire de grossesse à 7 1/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, 2G 1P, de 44 ans • Interruption volontaire de grossesse à 7 3/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, primigeste, de 22 ans • Interruption volontaire de grossesse à 7 4/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, 1G 0P, de 19 ans. • Interruption volontaire de grossesse à 7 5/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, 4G 3P, de 34 ans • Interruption volontaire de grossesse à 7 6/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, 6 gestes 2 pares de 31 ans • Interruption volontaire de grossesse à 8 0/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, 1G 0P, de 19 ans • Interruption volontaire de grossesse à 8 5/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, 4 gestes 0 pares, de 31 ans • Interruption volontaire de grossesse à 9 4/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, 1G 0P, de 18 ans • Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse • Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse • Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse • Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse à 7 2/7 semaines d'aménorrhée le 28.12.2015 • Lithiases vésiculaires multiples, asymptomatique • Cholécystite aiguë lithiasique • Cholécystectomie laparoscopique le 22.06.2018 • Suspicion de PID DD endométriose le 20.01.2019 • Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse à 7 2/7 semaines d'aménorrhée le 28.12.2015. • Lithiases vésiculaires multiples, asymptomatique. • Cholécystite aiguë lithiasique. • Cholécystectomie laparoscopique le 22.06.2018. • Suspicion de PID: • DD: endométriose le 20.01.2019. • Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse à 7 5/7 semaines d'aménorrhée le 18.02.2019 chez une patiente, 1G 0P, de 19 ans • Interruption volontaire de grossesse par curetage en 2009 • Intertrigo des plis mammaires • Intertrigo inguinal • Intertrigo pli inguinal des deux côtés • Interventin brève. • Retour à domicile avec son amie. Intervention à planifier • Intervention arthroscopie ménisques internes en 2010 et 2017 • Intervention chirurgicale des genoux ddc (première en 2010, deuxième en 2017) • Correction de ptose paupière droite en 1980 • Kyste rétro-auriculaire droit avec début de surinfection, 01.01.2019 • Intervention au niveau de la prostate en 2004 • Intervention brève par rapport au tabagisme actif. • Entretien motivationnel pour arrêt du tabac, numéro de Dr. X donné. • Aspirine cardio 100 mg dès le 11.01.2019. • Clexane 40 mg sous-cutané du 11.01 au 24.01.2019. • Consilium angiologique, Dr. X, le 22.01.2019. • Intervention brève, suite chez médecin traitant. • Intervention brève • Seresta durant la nuit • Intervention chirurgicale - date opératoire à définir selon disponibilités du patient • Intervention chirurgicale le 01.03.2019 • Intervention chirurgicale le 04.03.2019 • Intervention chirurgicale le 06.03.2019 • Intervention chirurgicale le 11.03.2019 • Intervention chirurgicale le 15.02.2019 • Intervention chirurgicale le 18.03.2019 • Intervention chirurgicale le 22.03.2019 • Intervention chirurgicale le 25.02.2019 • Intervention dans le testicule selon patient • Intervention de lithotripsie puis changement de la sonde double J le 01.02.2019 (Dr. X à la Clinique Daler) • Remplissage vasculaire • Noradrénaline du 01.02.2019 au 04.02.2019 • Tienam du 01.02.2019 au 03.02.2019 • Vancomycine du 02.02.2019 au • Fluconazole le 02.02.2019 • Avis infectiologique le 02.02.2019 (Dr. X) • Voie veineuse centrale sous-clavière droite dès le 01.02.2019 (posée au Daler) • Cathéter artériel radial droit du 01.02.2019 au 04.02.2019 • Intervention élective. • Intervention élective. • Intervention élective. • Intervention élective. • Intervention élective et surveillance post-opératoire • Intervention le 12.02.2019. • Intervention le 16.02.2019 au HFR Riaz. • Intervention le 22.02.2019 • Intervention planifiée. • Intervention poignet droite en avril 2018 • Cure de tunnel carpien droit en 2010, Dr. X • Cure d'hallux valgus droit en 2009 • Strumectomie en 2003 • Lésion du tendon sus-épineux de l'épaule droite • Suture de la coiffe, acromioplastie, bursectomie sous-acromiale, ténolyse et ténodèse du long chef du biceps le 10.11.2011 (Dr. X) • Intervention pour hypospadias. • Intervention prévue par Dr. X au HFR Fribourg le 20.02.2019 • Consultation anesthésique le 15.02.2019 à l'HFR Fribourg • Transfert le 20.02.2019 à l'HFR Fribourg pour intervention citée ci-dessus • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention programmée • Intervention (prothèse totale hanche gauche) prévue le 21.02.2019 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. • Intervention thérapeutique brève. • Proposition de thérapie comportementale et cognitive • Intervention ultra-brève. • Laboratoire. • ECG. • Surveillance en lit d'observation aux urgences. • Interventions nutritionnelles • Pose de Picc-Line le 22.01.2019 à Fribourg • Avis Dr. X et suivi diététique. • SNG du 23.01 • Novasource 500 ml/jour du 23.01 au 30.01 puis 750 ml le 31.01 puis 1000 ml à partir du 01.02. • Acide folique 5 mg 1x/jour pendant 1 semaine • Benerva iv 300 mg/j pendant 3 jours • Supradyn 1 cp/j durant 7 jours • Vit D3 100000 U 1 dose en hospitalier le 22.01, à poursuivre en ambulatoire avec 1 administration à 2 semaines pendant 4 fois au total. • Stomatologue • Avis oncologique (Dr. X) : le patient sera convoqué à distance • Avis chirurgie (Dr. X) : Chirurgien qui l'a vu en consultation pré-opératoire. Le patient devrait bénéficier d'une opération chirurgicale le 08.02.2019 à l'Hôpital cantonal sous réserve de l'évolution du poids lors de ce séjour. Merci de le rappeler lundi 28.01.2019 pour discuter avec lui de l'évolution du patient. Si l'opération est maintenue, on pourrait effectuer un transfert direct de Riaz à Fribourg, mais à réévaluer. • Avis Dr. X du 25.01 : patient en anabolisme qui couvre ses besoins depuis 10 jours. OK pour opération, envisager même de l'avancer. • Transfert le 06.02.2019 à l'HFR Fribourg Service de Chirurgie. • Interventions • Conseil et traitement diététique, au moins 2 unités de traitement • Intolérance au glucose cortico-induite le 01.02.2019 • Glycémie à midi le 01.02.2019 à 10.6 mmol/l • Intolérance au lactose • Intolérance au lactose • Intolérance au lactose • Intolérance au protéine bovine • Intolérance au Tramal. • Intolérance médicamenteuse. • Intolérances alimentaires dans le cadre d'une probable gastro-entérite et d'un RSV positif • Intoxication. • Intoxication. • Intoxication. • Intoxication à l'héroïne et alcool en 11/2015 • Opération cataracte œil gauche • Hernie discale • Syndrome de dépendance à l'alcool • ECG : rythme sinusal régulier à 81/min, axe 60°, PQ <200 ms, QRS fin, ST iso-électrique, ondes T à morphologie pointues V2-3 • Hépatite C • Suivi Dr. X, actuellement pas de traitement • Rendez-vous à la consultation de Dr. X (le patient sera convoqué) • Intoxication aiguë à l'alcool avec une alcoolémie à 1.2 ‰ le 12.02.2015 • Décompensation psychique avec auto-agression le 12.02.2015 • Tentative de suicide par abus médicamenteux le 07.03.2015 • Syndrome de Gardner avec polypose familiale traitée par colectomie subtotale en 1986 • Duodénectomie juxta-papillaire en 1998 • Implantation neurostimulateur D12-L1, non fonctionnel depuis 2009 • Opération selon Whipple en 2008 pour pancréatite récidivante • Cholécystectomie • Embolie pulmonaire en 2008 • Résection d'ostéome mandibulaire 1996 • Dépendance aux opioïdes et aux benzodiazépines • Douleurs abdominales subaiguës dans un contexte de douleurs abdominales chroniques le 02.10.2017 • opération selon Whipple en 2008 pour pancréatite récidivante • cholécystectomie • embolie pulmonaire en 2008 • résection d'ostéome mandibulaire 1996 Dépendance aux opioïdes et aux benzodiazépines Douleurs abdominales subaiguës dans un contexte de douleurs abdominales chroniques le 02.10.2017 Intoxication aiguë à l'alcool le 24.06.2015 avec alcoolémie à 3.71. Contusion thoracique le 20.01.2018. Intoxication aiguë à l'alcool (2.95). Fracture de la 1ère phalange du 5ème doigt droit le 20.08.2017. Intoxication aiguë par OH. Intoxication alcoolique aiguë. Intoxication alcoolique aiguë à 1.6 le 20.02.2019. Intoxication alcoolique aiguë le 04.02.2019. Intoxication alimentaire (DD : gastro-entérite virale). Intoxication alimentaire le 18.02.2019. DD : gastro-entérite, poussée de Crohn. Intoxication alimentaire sur ingestion de poulet le 19.02.2019. DD : • Gastro-entérite Intoxication au cannabis. Intoxication au paracétamol. Intoxication au paracétamol. Intoxication au paracétamol réactionnelle à une crise sociale • avec 5 cp de paracétamol le 13.02.2019 Intoxication aux benzodiazépines le 28.01.2019 avec carbonarcose. Intoxication involontaire au paracétamol le 18.01.2019. Intoxication médicamenteuse. Intoxication médicamenteuse avec 4 cp de 40 mg d'entumine et 4 cp de 2 mg d'akineton le 24.04. Intoxication médicamenteuse mixte (Remeron, Zolpidem, Temesta, Aspirine et paracétamol), le 17.02.2019 dans un contexte de trouble mixte de la personnalité et trouble dépressif. Intoxication médicamenteuse par 10 g de paracétamol - troubles schizo-affectifs en phase dépressive. Élévation isolée des gamma-GT. Décompensation psychiatrique d'un trouble bipolaire le 11.07.2016 avec : • phase maniaque actuelle avec agitation psychomotrice et hétéro-agressivité verbale. • troubles du comportement en exacerbation. • maintien impossible à la Fondation St-Louis dans le contexte actuel. Hospitalisation à Marsens en privation de liberté à fin d'assistance. Intoxication médicamenteuse volontaire. Intoxication médicamenteuse volontaire. Intoxication médicamenteuse volontaire à la quétiapine 2 g le 23.02 à 17h. Intoxication médicamenteuse volontaire au benzodiazépine le 17.02.19. Intoxication médicamenteuse volontaire en mai 2017. Status post-césariennes en 2001 et 2008. Cholélithiase symptomatique. Pharyngite aiguë virale. Intoxication médicamenteuse volontaire le 15.04.2013. Syndrome grippal. Traitement symptomatique de la grippe. Intoxication médicamenteuse volontaire par : • 10 cp de Temesta 1 mg • 10 cp de xanax 0.5 mg • 1 cp d'atarax 25 mg. Intoxication médicamenteuse volontaire par quétiapine, 1.4 g et alcool le 10.08.2018. Crise de goutte au niveau du coude droit le 21.08.2017. Intoxication volontaire en 2008 par paroxétine et alcool. Contusions cutanées (date x) : • Ecchymose de la face dorsale de l'extrémité proximale et du pli du coude de l'avant-bras droit. • Ecchymose en dessous de l'omoplate droite. • Griffure avec ecchymose de la face palmaire de l'extrémité proximale du bras gauche. Status post-appendicectomie. Intoxication médicamenteuse volontaire par Temesta 24 mg le 15.07.2016. Cystite non compliquée le 19.10.2013. Séjour au RFSM CSH Marsens en mode volontaire pour sevrage en 2013 (sevrage à la cocaïne et à l'ecstasy), avec suivi au centre psychosocial à Bulle et sous traitement de Demetrin et Risperdal. Epigastralgies et hématémèse : • chez patiente connue pour une oesophagite par reflux de grade A selon Los Angeles sur hernie par glissement axial possible et pour une pangastrite chronique d'intensité modérée avec activité légère en présence d'H. pylori en quantités légères, • traitement par Co-Amoxi et Klacid pendant 10 jours en juillet, • traitement par Pantozol par intermittence (stoppé il y a un mois), • contexte actuel de stress important (fêtes). Intoxication médicamenteuse volontaire, 6 cp Zolpidem + 10 cp Muxol le 19.02.19 avec éthylisation aiguë. Intoxication volontaire au paracétamol le 05.03.2018 • 25 g à 1h du matin • Paracétamolémie à 89.4 mg/l N-Acétylcystéine IV selon protocole du 05.03.2018 au 06.03.2018 Consilium psychiatrique le 05.03.2018 Contusions multiples post-AVP moto le 21.09.2018 • traumatisme crânien et colonne vertébrale • Contusion main et jambe gauche. Contusions multiples le 11.2018 • cervicale avec contracture musculaire associée • thoraciques (rachis + côtes) • de l'arc zygomatique gauche • coude droit Bilan radiologique : pas de fracture Stix et sédiment urinaire : pas de microhématurie Consultation en filière 34 le 17.11.2018 pour constat de coup TC simple Intoxication au fentanyl le 15.02.2019 sous 200 mcg/h en patch Introduction d'Adalat le 25.12.2018 Introduction d'Amlodipine Introduction d'antibiothérapie par Co-Amoxi du 30.01 au 03.02.2019 Introduction de Pulmicort le 30.01.2019 Majoration des aérosols Hémocultures le 30.01.2019 Passage à du Tazobac IV du 02.02 au 07.02.2019 Antigènes urinaires (pneumocoques et légionelles) le 03.02.2019 Suivi clinique et biologique Introduction de Bêtabloquant, IEC et inhibiteur calcique Suivi du profil tensionnel Introduction de Bêtabloquant, IEC et inhibiteur calcique Suivi du profil tensionnel Introduction de EPO 2000 U 3x/semaine (donnés en dialyse) Suivi biologique Introduction de Lisinopril le 05.02.2019, puis relayé par Valsartan Introduction Metoprolol Attitude : • Cible TA 130/80 mmHg Introduction de Métoprolol en augmentation progressive depuis le 11.02.2019 Introduction de Mirtazapine 15 mg dès le 17.01.2019 Introduction de Prednison 30 mg pour 5 jours Suivi clinique Introduction de Rivotril pour l'anxiété et comme antiépileptique de fond Approche interdisciplinaire Introduction de Sifrol Introduction de Voltigo à domicile Suite de prise en charge oncologique à la consultation du Dr. X le 13.02.19 à 13h45 (avec prise de sang à 13h15) OPG en ambulatoire à la consultation du Dr. X le 14.02.19 à 15h45 à son cabinet en ville. RDV à votre consultation avec contrôle biologique le 22.02.19 à 8h30 RDV à la consultation du Dr. X le 04.03.19 Introduction d'Escitalopram le 15.01.2019 Avis Dr. X (psychiatre de liaison) : suivi en ambulatoire indiqué pour suivi d'abstinence alcool notamment, mais refusé par Mr. Y Détection précoce à l'AI, refusée par Mr. Y Introduction d'Insulatard 16-0-0-8 unités le 01.02.2019 sous 50 mg de prednisone Corrections par Insuline Humalog Attitude : • Sevrage prévu de la cortisone • Adaptation de l'insuline • Suivi glycémique Introduction d'Insuline Lantus et schéma de Novorapid. Discuter l'introduction d'antidiabétiques oraux versus insulinothérapie. Introduction d'Ultibro empirique depuis le 19.02.2019 Fonctions pulmonaires complètes pour stader la BPCO à prévoir pendant l'hospitalisation à l'HFR Billens (important : arrêt Ultibro 48h avant) Introduction d'un schéma basal bolus. Instruction quant aux injections, aux auto-contrôles, aux hypoglycémies. Suivi à la PMU du CHUV à la demande de Mr. Y. Introduction d'un traitement anti-hypertenseur Introduction d'un traitement anti-hypertenseur Suivi des tests hépatiques Introduction d'une insulinothérapie. Introduction de Metformine. Introduction Euthyrox 25 mcg dès le 30.01.2019 Contrôle des valeurs thyroïdiennes à 1 mois Introduction Euthyrox 25 mg Évaluer à 6 semaines les valeurs thyroïdiennes Introduction Insulatard Novorapid d'office Schéma de Novorapid en réserve Introduction Insuline Suivi diabétologue Suivi diététicien Contrôle en 03.2019 Introduction Lisinopril 5 mg dès le 26.02.2019 Adaptation diurétique Introduction Resonium 15 mg ECG Suivre kaliémie Introduction Venlafaxine 75 mg dès le 04.02.19, à majorer à 150 mg dès le 11.02.2019 Arrêt Halopéridol le 06.02.2019 Prise en charge multidisciplinaire Conseil au patient d'aller faire un contrôle de l'appareil auditif qui est actuellement mal réglé Introduction Voltigo pour soutien psycho-émotionnel à domicile Intubation (au vidéo laryngoscope car minerve) et ventilation mécanique dès le 12.02.2019 VVC jugulaire gauche dès le 12.02.2019 Cathéter de dialyse fémoral droit dès le 12.02.2019 PICCO fémoral droit dès le 12.02.2019 Cathéter artériel radial gauche dès le 12.02.2019 Insuline intraveineuse dès le 12.02.2019 KCl iv dès le 12.02.2019 Expansion volémique majeure Noradrénaline dès le 12.02.2019 Solucortef dès le 13.02.2019 Co-Amoxicilline dès le 12.02.2019 Intubation (au vidéo laryngoscope car minerve) et ventilation mécanique du 12.02. au 15.02.2019 Cathéter de dialyse fémoral droit du 12.02.2019 au 14.02.2019 PICCO fémoral droit du 12.02.2019 au 14.02.2019 VVC jugulaire gauche du 12.02.2019 au 19.02.2019 Cathéter artériel radial gauche du 12.02.2019 au 18.02.2019 Expansion volémique majeure Insuline intraveineuse du 12.02.2019 au 18.02.2019 Relai par insulatard SC le 19.02.2019 Noradrénaline du 12.02.2019 au 14.02.2019 Solucortef du 13.02.2019 au 14.02.2019 Co-Amoxicilline du 12.02.2019 au 18.02.2019 Intubation difficile le 16.01.19 • Cormack 4 laryngoscopie standard • vidéo-laryngoscopie lame courbe ok Intubation difficile le 25.02.2019 avec Cormack III • intubation possible au vidéolaryngoscope (lame 4) • Ventilation mécanique possible à 4 mains avec guedel Intubation et ventilation mécanique du 08 au 11.02.2019 OGD le 08.02.2019 : pas de varices œsophagiennes objectivées Intubation le 12.02.2018 Noradrénaline le 12.02.2018 CT cérébrale-thoraco-abdominale, le 12.02.2019 Laboratoire : syndrome inflammatoire avec perturbation des tests hépatiques Discussion avec représentant thérapeutique Retrait thérapeutique et soins de confort, le 12.02.2019 Intubation oropharyngée CT cérébral 16.02 : examen dans les limites de la norme. Transfert aux soins intensifs de pédiatrie du CHUV pour suite de prise en charge Retransfert à Fribourg après extubation Intubation orotrachéale avec ventilation mécanique du 15.02 au 16.02.2019 Angio-CT thoraco-abdominale le 15.02.2019 Oeso-gastro-duodénoscopie le 15.02.2019 avec injection d'adrénaline Pantoprazol iv continue du 15.02.2019 au 19.02.2019 puis bolus Cyklokapron le 15.02.2019 Transfusion de 2 CE le 15.02.2019 Mise en suspens de l'anticoagulation thérapeutique jusqu'au 04.03.2019 Intubation oro-trachéale (Cormack 1) et ventilation mécanique du 14.02.2019 au 15.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 14.02.2019 au 16.02.2019 SNG du 14.02.2019 au 15.02.2019 VNI du 15.02.2019 au 17.02.2019 Bronchoscopie le 14.02.2019 Noradrénaline du 14.02.2019 au 15.02.2019 Tazobac dès le 14.02.2019 Intubation oro-trachéale (difficile sous vidéo laryngoscopie) et ventilation mécanique du 06.02 au 10.02.2019 Ventilation non-invasive du 10.02 au 15.02.2019 Trachéotomie le 15.02.2019 avec ventilation invasive intermittente du 15.02 au 28.02.2019 Réanimation volémique Noradrénaline du 06.02 au 08.02.2019 Dobutamine le 07.02.2019 Midazolam du 06.02 au 07.02.2019 Voie veineuse centrale sous-clavière gauche du 06.02 au 19.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 06.02 au 06.02.2019 Cathéter artériel fémoral droit du 06.02 au 11.02.2019 Cathéter artériel radial gauche du 12.02 au 16.02.2019 PICCO du 06.02 au 09.02.2019 Antigènes urinaires le 06.02.2019 : pneumocoque positif Ceftriaxone du 06.02 au 12.02.2019 Lévofloxacine du 06.02 au 07.02.2019 Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 06.02 au 07.02.2019 Quetiapine, Haldol en réserve Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 06.02 au 07.02.2019 Régime mixé-lisse après extubation Invagination iléo-caecale avec : Invagination iléo-caecale le 07.12 : Désinvagination par lavement Échographie de contrôle post désinvagination : pas de récidive, multiples ganglions au niveau iléo-caecal À jeun pendant 12 heures après la désinvagination Perfusion intraveineuse Surveillance en intra-hospitalier pendant 48h sans récidive Inversion du rythme réveil/sommeil Investigation • créatinine 121 umol/l • spot U à pister Attitude • contrôle labo • Hydratation 1000 ml/24h Investigation à compléter par IRM (par médecin traitant), dépistage d'une éventuelle néoplasie. Investigation d'une dermato-polymyosite Investigations : • coproculture/norovirus si diarrhées • rediscuter de plus amples investigations Investigations • K3.2 Attitude • K effervette 2 cp/j • contrôle labo Investigations • laboratoire : Hb 126 g/l, leuco 9.8 G/l, thrombo 355 G/l ; créatinine 121 umol/l, urée 7.5 mmol/l, Na 127 mmol/l, K3.2 mmol/l ; CRP 268 ; INR >5.5 • ECG • RX thorax : foyer pulmonaire droite • AgU : à pister • Frottis grippe : négatif Attitude • Clamoxil 1 g iv aux urgences puis 2.2 g 4x/j iv • Klacid 2 x 250 mg (QTc 475 ms) à stopper selon AgU • NaCl 1000/24h • Oxygénothérapie pour sat 94-95 • Atrovent /ventolin en R • pister AgU Vérifier dosage des médicaments habituels (Beloc, Exforge) ! Investigations • Na 127 mmol/l • osmolarité à pister sur le labo 06.02 Attitude • NaCl 1000 ml /24h • contrôle labo 06.02 Investigations : • radiographie cheville droite • avis orthopédiste : Dr. X • CT cheville droite Attitude : • antalgie • réduction fermée, plâtre • la patiente est informée de la nécessité d'une réduction ouverte par ostéosynthèse et les risques et bénéfices de cette intervention lui sont expliqués. La patiente donne son consentement et sera opérée lorsque la tuméfaction de la cheville aura diminué. • transfert à l'étage d'orthopédie • préciser coagulopathie avec mai et évaluer la nécessité d'adapter l'anticoagulation prophylactique avec hématologues Investigations • RX F/P : fracture bimalléolaire cheville Attitude • réduction + platrage • RX de contrôle ok • Clexane 40 prophylactique • antalgie par brufen, dafalgan, pantozol, oxycontin et oxynorm • primperan en réserve • reprise du traitement habituel • labo de base + groupe 06.02 • lit strict Investigations : • CT cérébral : prise de contraste insulaire droite pouvant correspondre à un artefact VS nécrose laminaire subaiguë chronique Attitude • rediscuter du cas avec les neurologues +/- IRM Avis neurologique le 16.02.2019 Investigations de troubles cognitifs. Investigations. ECG : BBG, onde P pulmonaire. Radiographie du thorax : pas de PNO, pas de foyer. Frottis grippe : négatif. US ciblé aux urgences (Dr. X) : hypertrophie du VG avec dyskinésie modérée. pas d'épanchement péricardique. US cardiaque transthoracique (Dr. X) : cardiopathie dilatative sévère du ventricule gauche avec FEVG à 25 %, avec dysfonction systolique et diastolique. Pas de valvulopathie, pas d'akinésie. Bilan cardiaque complet à prévoir.Introduction de traitement : • Lisinopril cpr 5mg 1x/jour • Aldactone cpr 25 mg 1x/jour • Beloc Zok cpr 25 mg 2x/jour Consultation en cardiologie prévue le 13.02.2019 • Coronarographie prévue le 20.02.2019 • TSH, Ferritine à pister Ad traitement Ventolin/Atrovent en réserve à domicile. Investigations en cours par le pédiatre Investigations : • Labo : Hb150, leucocytose 18.6 G/l, thrombopénie 121 G/l ; Créatinine 150 umol/l, électrolytes dans la norme ; CRP 328 mg/l • Gazométrie artérielle sous 2L O2 : pH 7.38, pO2 7.6 kpa, bicarbonate 24 mmol/l • RX (faite chez MT) : foyer pulmonaire droite • ECG : rythme sinusal, PR <200ms, QRS fins déviés à gauche avec transition RS en V4, pas de trouble de la repolarisation, QTc 426ms • Frottis grippe : Influenza A + • AgU : négatifs • Culture d'expectorations : à pister • SSU/SpotU : protéine ++, urobili +, sang ++, cylindres hyalins nombreux, flore bactérienne++, Na 20, créat à pister Attitude : • Ceftriaxone 2g iv 1x/j • O2 pour sat 90-95 % + O2 2L d'office pendant la nuit comme à domicile • Reprise du traitement d'aérosols + Atrovent/Ventolin en R • Isolement gouttelette • Hydratation 1500ml/24h à réévaluer • Cultures d'expectorations à pister • SSU à contrôler à distance de l'infection • Clexane prophylactique Investigations : • Laboratoire : Hb100, TP 1.4. Anti Xa thérapeutique. Attitude aux urgences : • Cyclokapron 500mg iv + Konakion 10mg iv + Protamine 4000UI • Suture de la gencive par collègue ORL de garde par 1 point en croix et 2 points simples • Contrôle Hb à 2h : 83g/l --> 2 culots érythrocytaires --> Contrôle Hb à 6h : 94 • Retour à domicile avec arrêt de la Clexane, reprise du Sintrom le 24.02 selon schéma et contrôle le 24.02.19 chez le médecin traitant + ORL. Investigations : • Laboratoire • ECG • Gazométrie • US abdominal par urgentiste : double lumière faisant évoquer une dissection • CT thoraco-abdominal : calcul dans la vésicule biliaire, amincissement de l'antre gastrique pouvant correspondre à une gastrite ou un ulcère. Au niveau thoracique, pas de foyer, trouble ventilatoire des 2 bases postérieures en verre dépoli (possiblement lié au fait que le patient a respiré pendant l'examen) Attitude : • Stop antibiothérapie initiée à Medhome car pas de foyer profond clair et pas d'état fébrile • Contrôle clinique et biologique et rediscuter antibiothérapie en fonction de l'évolution (14'000 leucos aux urgences) • Metfin mis en suspension • 1000 NaCl 24h à réévaluer • Motilium en R • Clexane prophylactique • Demander un bilan gériatrique Physiothérapie IOT (CK 3) du 31.01.2019 au 01.02.2019 Exsufflation à l'aiguille le 31.01.2019 Pose de drain thoracique le 31.01.2019 (accidentellement intraparenchymateux) Avis chirurgical thoracique (Dr. X) le 31.01.2019 : drainage antérieur possible, mais expansion peu probable au vu de l'état de base du poumon. IOT (Cormack I) et ventilation mécanique du 20.01 au 23.01.2019. VNI le 19.01.2019 et le 23.01.2019. Bronchoscopie le 20.01.2019 (Dresse X). Bronchoscopie le 22.01.2019 (Dr. X) : échec d'extraction du corps étranger. CT thoracique le 20.01.2019. Cathéter artériel radial gauche du 19.01 au 27.01.2019. Soins intensifs du 19.01 au 27.01.2019. Ceftriaxone du 19.01 au 21.01.2019. Clarithromycine du 19.01 au 20.01.2019. Co-amoxicilline du 21.01 au 03.02.2019. Noradrénaline le 19.01.2019. Torasémide 5 mg dès le 29.01.2019. CT thoracique de contrôle à 6 semaines. IOT (Cormack 4 ; vidéo-laryngoscopie par ANE) et ventilation mécanique du 20.01.2019 au 26.01.2019 Bronchoscopie le 21.01.2019 Isolement type gouttelettes du 20.01 au 24.01.2019 Co-Amoxicilline du 20.01.2019 au 22.01.2019 Klacid du 20.01.2019 au 21.01.2019 Ertapenem du 22.01.2019 au 26.01.2019 Tamiflu du 20.01.2019 au 24.01.2019 IOT du 06.02.2019 au 08.02.2019 Nasofibroscopie ORL le 08.02.2019 IOT et ventilation mécanique du 29.01.2019 au 30.01.2019 IOT et ventilation mécanique le 31.01.2019 Sonde vésicale à demeure Cathéter artériel du 29.01.2019 au 01.02.2019 VVC depuis le 29.01.2019 SNG depuis le 29.01.2019 Alimentation parentérale depuis le 30.01.2019 CT abdominal le 29.01.2019 Laparotomie exploratrice, hémicolectomie droite, résection grêle segmentaire avec anastomose manuelle latéro-latérale ; splitstomie grêle terminal-colon transverse, VAC intra-péritonéal le 29.01.2019 (Dr. X) Reprise de laparotomie le 31.01.2019 Pipéracilline/tazobactam 2250 mg 2/j (adapté pour dialyse) depuis le 29.01.2019 IOT et ventilation mécanique du 29.01.2019 au 31.01.2019 VNI intermittente du 15.02.2019 au 18.02.2019 IOT et ventilation mécanique du 18.02.2019 au 23.02.2019 VNI intermittente du 23.02.2019 au 25.02.2019 Labétalol IVC Ponction pleurale droite le 20.02.2019 IPP et pansement gastrique pour 5 jours Pas d'arguments pour cause chirurgicale Reconsultation chez le pédiatre si persistance des plaintes IPP PO Évaluer colonoscopie vs OGD IPP pour deux semaines avec suivi chez le médecin traitant. IPP 20 mg/j IRA AKIN I d'origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique avec créatinine à 163 umol/l et clairance de la créatinine à 39.3 ml/min selon Cockroft & Gault IRA AKIN I sur IRC IRA AKIN I sur IRC IRA AKIN II d'origine pré-rénale suspectée IRA Akin III d'origine rénale sur néphropathie à Tazobac versus nécrose tubulaire aiguë sur dépôts de cristaux du Tazobac DD : favorisé par une déshydratation le 05.02.2019 • FeUrée : 69 % • GFR à 18 mL/min (Cockroft-Gault) IRA AKIN 1 IRA AKIN 1 d'origine pré-rénale le 28.01.2019 IRA AKIN 1 Status post hystérectomie (fibrome utérin) Traumatisme crânien simple en 2016 Arthroplastie du genou D le 07.08.2007 Hématome sous-cutané post ponction artère fémorale D IRA avec créatinine à 164 et clairance à 30 ml/min le 04.02.2019 Mr. Y a consulté son médecin traitant en France, ne veut pas rater son train, parti sans consultation médicale. IRA d'origine pré-rénale avec créatinine à 140 le 20.02.2019 DD : syndrome hépato-rénal, médicamenteux sur Floxapen IRA d'origine probablement multifactorielle le 25.01.2019 dans un contexte infectieux IRA pré-rénale en mars 2018 PTG D en 2014 Cure du tunnel carpien D en 2014 Hernies discales en 2014 et 2010 Sigmoïdectomie en 1994 Status post cure d'une hernie hiatale, date non spécifiée Status post intervention de cataracte bilatérale IRA pré-rénale le 24.08.2018 Probable état dépressif IRA rénale euvolémique le 28.01.2019 avec fraction excrétion Na 2.23 % (créatinine 157 umol/l, clairance selon Cockroft calculée à 60 ml/min) Mr. Y doit se faire voir par les chirurgiens dans un délai de 4 heures, ces derniers étant au bloc opératoire, ou se rendre demain à sa consultation prévue dans ce contexte de douleurs anales. La patiente ne désirant pas attendre, décide de se rendre à la consultation prévue initialement le 12.02. Revient en cas de péjoration des douleurs. Mr. Y voir son médecin traitant, parti sans consultation médicale. IRC sur : • Déshydratation et sepsis le 09.01.2019 • Aggravation depuis le 16.01.2019 (DD néphrite interstitielle médicamenteuse sur Cefuroxime +/- para-infectieuse) • Épuration extra-rénale continue du 28.01 au 02.02.2019 • Reprise d'une hémodialyse intermittente dès le 04.02.2019 (lu-me-ve) Irfen, Ecofenac Contrôle le 20.02.2019 RX cheville Atelle Mc David Irfen 400 mg 3x/j Médecine anthroposophique Irfen 48 heures, contrôle chez le pédiatre si besoin Irfen 48 heures, contrôle chez le pédiatre si besoin Irfen 600 mg max 3x/d. Mr. Y doit porter des chaussons souples à la maison. Semelles orthopédiques refusées pour l'instant. Mr. Y se manifestera à nouveau si besoin. Irfen 600 mg 3x/jour jusqu'à 48h après la résolution des symptômes. Consultation chez son médecin traitant en cas de persistance des symptômes, consulte les urgences si fièvre, péjoration clinique.Arrêt de travail jusqu'au 04.03.2019. • IRM : Arthrose AC. Tendinopathie du sus-épineux et sous-épineux sans lésion structurelle visible sur cette IRM non injectée. • IRM : chondropathie rotulienne débutante sans lésion au niveau de la trochlée fémorale. Le reste de l'examen radiologique est dans les limites de la norme. • IRM : cicatrisation acquise du collatéral médial depuis sa déchirure proximale et en continuité. Absence de lésion méniscale nouvelle ou cartilagineuse des trois compartiments pouvant être significatives dans ce cas. • IRM : coiffe des rotateurs compétente. Pas de signe d'une contusion osseuse. Pas de lésion pathologique visible sur cette IRM. • IRM : coiffe des rotateurs intacte. Lésion SLAP type II. • IRM : comparé à l'IRM de 2015, pas d'altération majeure avec une lésion transfixiante partielle du tendon du sus-épineux. Tendinopathie plutôt inflammatoire sous-scapulaire et partie haute du sous-épineux. • IRM : comparée à l'IRM précédente, je ne trouve pas de fuite de liquide de contraste dans l'espace sous-acromial. Lésion partielle du sus-épineux dans le sens d'une lésion PASTA. Arthrose AC. Irrégularités sur la partie haute du sous-scapulaire avec une très probable instabilité de la partie haute du LCB. Lésion géodique dans la tête humérale vis-à-vis de cette lésion du sus-épineux. • IRM : confirme un kyste de l'articulation CMC1. • IRM : déchirure du ligament croisé antérieur. Entorse grade II LLI. Intégrité des structures méniscales. Gros œdème du plateau tibial externe. • IRM : discopathie pluri-étagée lombaire avec débordement antérieur au niveau L1-L2 et L2-L3 associée à une arthrose facettaire au niveau L4-L5 et L5-S1 surtout à droite. Rétrécissement récessal L5-S1 droit sur composante disco-arthrosique qui n'est pas associée à une symptomatologie douloureuse radiculaire selon les informations rapportées par le patient. • IRM : discopathies dégénératives pluri-étagées avec une sténose lombaire et un canal étroit très sévère au niveau L3-L4 et un rétrécissement absolu L4-L5 sans visualisation de LCR associés à un kyste articulaire L4-L5 à gauche. • IRM : discrète chondropathie rotulienne du genou gauche. • IRM : intégrité de la plastie LCA. Il y a peut-être un petit fragment méniscal qui est parti dans l'échancrure au détriment de la corne postérieure du ménisque interne. Il n'y a toutefois pas de réelle grosse luxation méniscale. Un petit fragment méniscal reste tronqué au détriment de la corne postérieure. • IRM : je trouve une rétraction du troisième degré du sus-épineux mais avec une assez bonne qualité musculaire. Rupture spontanée du long chef du biceps. • IRM : lésion de Stener avec ligament collatéral cubital de la MCP I refoulé vers proximal. • IRM : lésion très probablement incomplète du tendon EPL avec un amalgame cicatriciel bien marqué du versant radial. En cubital par contre, je trouve encore des fibres tendineuses en continu. • IRM : montre une légère propagation de cette lésion partielle de la couche superficielle du sus-épineux avec une rétraction. On trouve un clivage entre les deux couches du tendon du sus-épineux. Arthrose AC. Les parties hautes du sous-épineux semblent être bonnes, sus-scapulaire sans particularité. • IRM : montre une situation plutôt inhabituelle avec évidemment une rupture du long chef du biceps avec un moignon proximal créant un conflit intra-articulaire. Sous-épineux et sus-épineux intacts, légères irrégularités sur les parties hautes du sous-scapulaire qui pourraient être en lien avec cette rupture du long chef du biceps. • IRM : pas d'altération ou lésion en regard des structures ligamentaires, cartilagineuses ou méniscales. • IRM : pas de lésion notable mise en évidence. • IRM : pas de pathologie majeure. Peut-être tendinopathie des parties hautes du tendon du sous-scapulaire. Le biceps est à sa place et ne montre pas de signe d'inflammation. • IRM : pas de visualisation de lésion cartilagineuse, méniscale ou ligamentaire. • IRM : petite zone de contusion en regard du condyle fémoral externe. Pas d'arrachement du MPFL. Intégrité des structures méniscales et ligamentaires. • IRM : rupture chronique avec rétraction du 3ème degré du tendon du sus-épineux et évolution graisseuse de la masse musculaire du sus-épineux. Rupture du tendon du sus-épineux avec une rétraction avancée. Petit rond intact, l'insertion du tendon du sous-scapulaire sur le troquin montre une altération sur ses parties hautes avec une subluxation du long chef du biceps. • IRM : tendinopathie du sus-épineux avec petite bursite sous-acromiale. Intégrité de la coiffe des rotateurs, notamment pas de fuite du liquide de contraste dans l'espace sous-acromial. • IRM : visualisation de la lésion cartilagineuse décrite, vraisemblablement un petit lambeau cartilagineux est libre au détriment de la facette interne. • IRM : visualisation des déchirures, avulsion distale du collatéral médial. Œdème le long du LCA qui reste toutefois en continuité. • IRM : visualisation d'une déchirure au détriment de la corne postérieure et moyenne du ménisque interne avec un fragment instable. Pas de phénomène arthrosique au pourtour. Volumineux kyste poplité. • IRM : visualisation d'une déchirure du LCA. Intégrité du collatéral médial et latéral. Intégrité des structures méniscales. Intégrité cartilagineuse. • IRM : visualisation d'une déchirure du ligament croisé antérieur. Lésion verticale de la corne postérieure du ménisque interne. Pas de fragment luxé dans l'articulation. • IRM : visualisation d'une déchirure du ligament croisé antérieur. Mise en évidence d'une lésion de la corne postérieure du ménisque interne. Entorse collatéral médial. • IRM : visualisation d'une dégénérescence du compartiment fémoro-tibial externe avec fragmentation du volume méniscal. Toutefois, il n'y a pas de fragment luxé ou luxable dans l'articulation. • IRM : visualisation d'une fracture - impaction dans le tibial postéro-latéral compatible avec une subluxation du genou type. Entorse en regard du LCA mais les fibres sont en continuité. Pas d'altération des collatéraux. Ménisque externe avec corne moyenne. • IRM : visualisation d'une inflammation sous-cutanée en regard de la graisse sous-cutanée antérieure à la tubérosité tibiale. Pas d'altération des signaux du tendon rotulien ou des structures ligamentaires ou méniscales du genou. • IRM : visualisation d'une intégrité des structures ligamentaires périphériques et centrales. Le ménisque interne est tout à fait suivi dans sa totalité, légèrement comprimé dans la corne moyenne mais sans présenter de lésion structurelle. Pas d'atteinte cartilagineuse. Pas d'œdème de l'os sous-chondral. • IRM : visualisation d'une intégrité du ligament collatéral médial et latéral ainsi que du pivot central. Les ménisques internes et externes sont physiologiques hormis une petite zone d'œdème en regard de la corne postérieure du ménisque interne correspondant à une lésion de grade 1. Pas d'altération cartilagineuse. • IRM : visualisation d'une irritation à l'insertion du sus-épineux sur le trochiter. Pas d'élément en faveur d'une rupture de ce dernier. Biceps en place. Tête centrée. Coiffe intègre. • IRM : visualisation d'une languette méniscale au détriment de la corne postérieure du ménisque interne. • IRM : visualisation d'une laxité interne grade II-III sur le collatéral médial. Intégrité du ligament croisé antérieur. Début d'arthrose. Début de cartilagineuse en interne et externe, externe dans la portion postérieure du plateau tibial et interne en regard du condyle fémoral interne zone de charge. Les ménisques sont en place. Pas vraiment de statut après ménisectomie. • IRM : visualisation d'une lésion au détriment de la corne postérieure du ménisque interne qui se trouve encore en zone rouge. La fissuration part dans la surface articulaire tibiale du ménisque. Il n'y a pas vraiment de fragment libre luxé ou luxable dans l'articulation. Intégrité des structures ligamentaires et cartilagineuses.IRM : Visualisation d'une lésion dégénérative de la corne postérieure du ménisque externe mais également un amincissement du compartiment fémoro-tibial interne. IRM : visualisation d'une rupture au détriment de l'origine fémorale du LLI qui emporte les 2 faisceaux. Intégrité de la structure distale. Déchirure du pivot central avec un tendon avec un ligament LCP désinséré depuis l'origine fémorale. Entorse du plan postéro-externe et du ligament collatéral latéral mais qui est intègre. Déchirure de la corne postérieure du ménisque externe. IRM : Visualisation d'une zone d'infarctus osseux qui s'étend dans la métaphyse distale fémorale ainsi que jusque dans le fémur et le condyle fémoral médial. Pas d'effraction de l'os cortical sous-chondral. Cartilage intègre. IRM : visualisation d'une zone d'inflammation en regard de la zone de prélèvement du tendon quadricipital de son insertion sur la rotule. Intégrité de la plastie LCA, intégrité des structures des collatéraux et des structures méniscales interne et externe. Pas de lésion cartilagineuse. IRM : voir le diagnostic susmentionné. On trouve une rétraction assez avancée du sus-épineux avec une qualité musculaire encore conservée. IRM à effectuer dans un contexte de trouble psychiatrique nouveau. IRM abdomen le 11.02.2019 à 15h15 à l'HFR Riaz. Poursuite de la physiothérapie en ambulatoire. IRM amenée par la patiente, révélant une nette variante ulna minus avec une infiltration du TFCC proche de son insertion ulnaire. Les autres structures tendino-ligamentaires sont continues et de signal conservé. Rx du poignet droit et gauche f/p du jour révélant une variante ulna + bilatérale plus marquée à droite qu'à gauche avec un raccourcissement de 5 mm du côté droit contre 3 mm du côté gauche. Du côté droit, il y a une incongruence articulaire au niveau de l'articulation radio-cubitale distale. L'inclinaison radiale est augmentée à 36° à gauche contre 30° à droite, l'inclinaison palmaire est dans la norme. La surface articulaire radiale est relativement plate. Pas d'anomalie de signal au niveau du semi-lunaire. IRM amenée par le patient : met en évidence une lésion intra-tendineuse du sus-épineux avec une boursite sous-acromiale. Arthropathie AC non active. IRM bassin prévue le 22.02.2019. IRM. Bilan ophtalmologique. IRM cardiaque le 4.07.2019 à 13h30 - centre Hirslanden Dudingen. IRM cérébral du 21.12.2018 : remaniement hémorragique ainsi que prise de contraste autour de la cavité de résection 3 semaines après l'opération, impossible d'interpréter de manière claire. Par rapport à l'IRM post-opératoire, prise de contraste médio-postérieure sur le bord de la cavité de résection DD petit résidu VS matériel hémostatique. Pas d'oedème significatif ni de 2ème lésion. IRM cérébral le 18.02.2019 à 15h45. PET CT le 08.02.2019 à 8h45 (à jeun). Présentation au Tumorboard. Le patient sera convoqué en oncologie. IRM cérébrale ambulatoire organisée pour le 04.03.2019 à Riaz. IRM cérébrale au CIMF avec Dr. X le 05.02.2019 à 10h15. Consultation mémoire le 06.03.2019 à 13h00 à l'HFR Billens. IRM cérébrale (demandée dans DPI). Echocardiographie transthoracique (demandée dans DPI). ECG-Holter (demandée dans DPI). IRM cérébrale demandée. Echocardiographie transthoracique demandée. Holter demandé. US doppler des vaisseaux pré-cérébraux demandé. IRM cérébrale du jour (Givision, Daler) : Cf. diagnostic. IRM cérébrale du jour (PACS) : pas de signe d'altération pathologique des structures. IRM cérébrale du jour (PACS) : pas de signe de lésion axonale diffuse mais présente d'une altération au niveau frontal droit dans les séquences SWAN qui peut être associée à un petit cavernome de 5 mm. IRM cérébrale du jour (PACS) : Pas d'augmentation des dimensions de la lésion. Pas de réaction oedémateuse péri-lésionnelle. Pas d'autre altération sur les séquences FLAIR. Réaction hyper-ostéosique au niveau de la voûte crânienne frontale G, déjà connue. IRM cérébrale du 16.01.2019 : Importante progression de la microangiopathie vasculaire est visualisée avec des signes d'anciens micro-AVC multiples jamais documentés. IRM cérébrale en ambulatoire. Neuroleptique, benzodiazépine. Catapressan le 25.01.2019. IRM cérébrale en ambulatoire. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Consulter en cas de péjoration clinique. IRM cérébrale le 11.02.2019 à 12h30 à l'HFR Fribourg (le service de radio-oncologie prendra contact avec les oncologues). Contrôle à la consultation de Dr. X le 26.02.2019. Evaluation neuropsychologique à l'HFR Billens le 09.04.2019 à 08h30. Consultation interdisciplinaire avec Dr. X, neuropsychologue, physio- et ergothérapeute le 10.04.2019 à 13h00. IRM cérébrale le 13.02.2019 au CHUV. Angio-CT cérébral le 14.02.2019. Double antiagrégation par Aspirine et Clopidogrel le 14.02.2019. IRM cérébrale le 18.02.2019 au CIMF. Prochain contrôle le 19.02.2019. IRM cérébrale le 22.01.2019 : Absence de lésion ischémique ou hémorragique. Bonne perméabilité des axes vasculaires artériels précérébraux et du Willis. Les quelques hypersignaux T2 FLAIR de la substance blanche sont aspécifiques, devant être d'origine dégénérative vasculaire. Epaississement muqueux polypoïde du sinus sphénoïdal qui est presque complètement comblé, associé à un épaississement muqueux du sinus frontal et des cellules éthmoïdales à gauche et du fond des sinus maxillaires (sinusite chronique ? à corréler à la clinique). A noter que cet examen n'a pas été réalisé pour explorer les orbites. IRM cérébrale fenêtre orbite/sinus le 23.01.2019 : Absence d'anomalie des voies optiques et du contenu orbitaire. Epaississement muqueux polypoïde du sinus sphénoïdal, des cellules ethmoïdales et frontales gauche avec sinusite maxillaire droite et sphénoïdale. Absence de tumeur sinusienne visible à l'IRM. IRM cérébrale le 22.01.2019. Consultation ophtalmologique le 25.01.2019 : nouvel examen ophtalmologique en ambulatoire le 15.02.2019, avec réévaluation de l'indication à une angiographie ainsi que des injections intravitréennes. IRM cérébrale le 22.01.2019. Complément par IRM cérébrale avec fenêtre orbites/sinus, le 23.01.2019. Consilium ORL le 25.01.2019. Antibiothérapie par Co-Amoxi 1 g 2x/j le 26.01.2019 (durée totale 10 jours). Introduction de Nasonex et rinçages nasaux quotidiens. Suivi clinique. Consultation ORL de contrôle prévue le 08.02.2019 (HFR Fribourg). IRM cérébrale le 29.01.2019. Avis oncologique de Dr. X. Consultation géronto-psychiatrique le 30.01.2019, Dr. X. IRM cérébrale prévue en ambulatoire le 07.02.2019. Prise en charge neuropsychologique à discuter. IRM cérébrale programmée le 29.01.2019 à 10h. Vous êtes informé du scanner cérébral de contrôle à organiser par vos soins dans 1 mois à votre consultation. IRM cérébrale programmée pour le 29.01.2019 à 10h. Selon résultat, suivi oncologique chez Dr. X en ambulatoire. IRM cérébrale (25.01.2019) : lésion unique intra-axiale pariétale postérieure gauche avec oedème péri-lésionnel vasogénique. PET-CT (28.01.2019) : masse dans le lobe occipital gauche. Suspicion d'une petite lésion au niveau hilaire gauche. Suspicion de la présence d'une masse splénique. Hypertension pulmonaire artérielle. Atrophie rénale (due au diabète ?). Avis pneumologues (30.01.2019) : risque de biopsie transbronchique trop élevé, contre-indiqué.Avis oncologues (30.01.2019): ad biopsie cérébrale. Avis Tumor Board (30.01.2019): ad biopsie/résection de la lésion cérébrale. Suite de prise en charge refusée par la patiente. IRM cérébral • Spot urinaire, réhydratation, surveillance de la fonction rénale • Echographie cardiaque IRM cervicale: réctitude de la colonne cervicale avec discopathies débutantes sur plusieurs niveaux. Discopathie avancée au niveau C5-C6 avec débordement antérieur et ostéophytes ainsi qu'uncarthrose postérieure qui est la cause d'un rétrécissement C5-C6 droit qui provoque conflit disco-arthro-radiculaire C6 ipsilatéral. IRM cervicale à Riaz le 13.02.2019 Prochain contrôle le 19.02.2019 IRM cervicale du jour (Givision): pas d'hyperintensité pathologique au niveau ligamentaire ni au niveau cervical ni au niveau dorsal supérieur ni sur le plan coronal au niveau du ligament croisé C1-C2. IRM cervicale du 11.06.2018: Discopathie de C4 à C7 avec rétrécissement du canal rachidien en C5-C6 et C6-C7. IRM cervicale du 13.02.2019 (PACS): pas d'altération discale aiguë ni dégénérative. Pas de lésion ligamentaire. IRM cervicale et lombaire du jour (PACS): antéro-listhésis L5 sur S1 de grade II sur une lyse isthmique bilatérale de L5. Pas de canal lombaire étroit. Pas de rétrécissement canalaire médian. Rétrécissement foraminal ddc avec compression des deux racines sans aucune plainte du patient. IRM cervicale et lombaire du jour (PACS): troubles dégénératifs pluri-étagés avec notamment discopathie L4-L5 sans compression canalaire ni perte de hauteur significative. Lordose préservée au niveau cervical et lombaire. Pas de sténose foraminale C6 gauche. IRM cervicale le 05.03.2019 Consultation au Neurocentre (merci de convoquer la patiente) Prochain contrôle suite à ces examens IRM cervicale le 18.02.2019 Prochain contrôle le 19.02.2019 IRM cheville G du jour: oedème sous-chondral entre l'astragale et le naviculaire, de part et d'autre de l'articulation talo-naviculaire. IRM cheville G du jour: plages d'oedème diffuses en particulier au niveau du tibia distal avec en son centre une zone sombre linéaire faisant évoquer une zone d'impaction de l'os. IRM cheville G le 29.01.2019 native et injectée: ténosynovite du tendon du muscle tibial postérieur jusqu'à son insertion. IRM colonne cervicale du jour (PACS): Aggravation de l'uncarthrose et de l'arthrose facettaire C3-C4 par rapport à l'examen de 2018 et surtout 2017. Rétrécissement canalaire, sans signe de myélopathie. Les racines C3 et C4 ddc pourraient être coincées au niveau foraminal. Aggravation moindre au niveau C6-C7, plutôt au niveau de l'uncarthrose, sans composante significative des éléments postérieurs. IRM colonne cervicale du mois de décembre: cf. diagnostic. IRM colonne cervicale du 07.11.2018 (Givision, Givisiez): Potentiel syndrome facettaire C2-C3 avec listhésis C2-C3 et signes de surcharge articulaire à G. IRM colonne cervicale du 07.12.2018 (PACS): Hernie discale C5-C6, d'allure ancienne, avec minime compression foraminale C5-C6 G. IRM colonne cervicale du 16.11.2018 (CIF): Altération de la statique de la colonne avec rétrolisthésis C5 sur C6 associée à une discopathie ipsi-segmentaire, une hernie discale médiane et paramédiane C5-C6 avec compression de la moelle et de la racine C6 G. IRM colonne cervicale du 29.01.2019 (IDMG): Cf. diagnostic. Lordose cervicale préservée. IRM colonne cervicale et lombaire de janvier 2019 (PACS): Cf. diagnostic. IRM colonne cervicale le 01.03.2019 (CIMED) Prochain contrôle le 05.03.2019 IRM colonne cervicale (PACS): au niveau C3-C4, présence de début d'ossification du ligament longitudinal postérieur sans sténose significative avec des protrusions multi-étagées et des troubles génératifs. Réctitude de la colonne cervicale. RX colonne cervicale du jour (PACS): réctitude de la colonne cervicale, signes d'arthrose. IRM colonne cervicale (PACS): troubles dégénératifs pluri-étagés avec discopathie et surtout uncarthrose avec rétrécissement foraminal plus marqué en C4-C5 et C5-C6 du côté gauche. IRM colonne cervico-dorsale du 12.02.2019 (PACS): hernie discale para-médiane gauche en C7-T1. Suspicion d'oedème osseux parlant en faveur d'une hernie molle post-traumatique. Coupes transverses difficilement exploitables. IRM colonne cervico-dorsale du 18.02.2019 (PACS): hernie discale paramédiane gauche en C7-D1 aiguë post-traumatique. Les séquences STIR confirment le caractère aigü de la hernie. RX dynamique colonne cervicale f/p position neutre et profil f/e du jour (PACS): tear drop fracture en C6 IRM colonne dorsale et paroi thoracique du 21.12.2018 (CIMF): Pas de franche hernie discale visualisée au niveau dorsale. IRM colonne lombaire (apportée par la patiente): Physiologique au vu de l'âge de la patiente et dans le contexte des 2 interventions réalisées. Discopathie pluri-étagée grade II selon Pfirmann avec des Z-line encore visibles et sans hernie discale, signe de Modic ni d'atteinte facettaire postérieure. IRM colonne lombaire (apportée par le patient): Hernie discale L5-S1 avec protrusion discale médiane et fragment exclu. Discopathie L5-S1. IRM colonne lombaire (apportée par le patient): Canal lombaire étroit avec sténose canalaire centrale à l'étage L3-L4 et plus particulièrement L4-L5 avec suspicion de compression de la racine L5 D. IRM colonne lombaire du jour (CIF): Sténose canalaire sévère déjà connue en L3-L4 et L4-L5, sans nouvelle fracture. IRM colonne lombaire du jour (PACS): arthrose facettaire multi-étagée L3-L4, L4-L5 minime. Pas de sténose ni de compression médulaire visualisée. Pas de signe d'inflammation sacro-iliaque gauche ou droite. IRM colonne lombaire du jour (PACS): cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du jour (PACS): discopathie multi-étagée principalement en L2-L3, L3-L4, L4-L5. Pas d'inflammation trabéculaire visualisée. Pas de sténose médulaire ou foraminale visualisée. IRM colonne lombaire du jour (PACS): pas de tassement nouveau ni d'aggravation du tassement de L1. Pas de sténose canalaire visualisée. IRM colonne lombaire du jour (PACS): Pas de compression radiculaire ni médullaire. IRM colonne lombaire du jour (PACS): Pas de nouvelle sténose objectivée en L4-L5. Méningocèle postérieur au canal médullaire, sans compression de ce dernier. IRM colonne lombaire du jour (PACS): Pas de nouvelle trouvaille, notamment sur les séquences STIR, pas de nouvel oedème. Fractures stables avec une bonne consolidation. Troubles dégénératifs déjà connus, notamment discopathie L4-L5 et L5-S1 avec discrète arthrose facettaire et sténose foraminale modérée de L3 à L5 ddc. IRM colonne lombaire du jour (PACS): Pas de remaniements, de récidive herniaire ni nouveau fragment luxé. IRM colonne lombaire du 01.02.2019 (Givision, Bulle): Discopathie dégénérative L5-S1 grade IV selon Pfirmann avec malformation des plateaux vertébraux L5-S1 en vague. IRM colonne lombaire du 05.02.2019 (Givision, Givisiez): Hernie discale L4-L5 sur discopathie, avec rétrécissement récessal et conflit disco-radiculaire L5 pouvant bien justifier la clinique. IRM colonne lombaire du 13.02.2019 (PACS): Progression de la hernie avec nouveau fragment luxé vers le bas, comprimant le sac dural du côté G et obstruant le canal à plus de 90% à cette hauteur. IRM colonne lombaire du 14.02.2019: canal lombaire étroit sévère notamment L4 L5 avec une arthrose facettaire et hypertrophie du ligament jaune. IRM colonne lombaire du 19.02.2019 (PACS): Pas d'arrachement ligamentaire. Claire discopathie L5-S1 avec hypo-perfusion discale et positivité aux séquences vasculaires diminué d'env. 60% par rapport aux ROI des autres disques. IRM colonne lombaire du 21.02.2019 (PACS): altération au niveau des vertèbres traitées par XLIF, principalement une hyper-intensité sur les séquences T2 et STIR, soit au niveau vertébral, soit au niveau inter-vertébral. Ces altérations sont définies par les radiologues comme aspécifiques, plutôt à corréler avec la clinique.IRM colonne lombaire du 23.01.2019 : Hypersignal L3 avec perte de hauteur d'environ 50% de la vertèbre L3 sur fracture de son plateau supérieur. Multiples fractures dorso-lombaires d'allure ancienne. Préservation de la colonne lombaire avec toutefois une cyphotisation au niveau de la charnière. IRM colonne lombaire du 23.10.2018 : Cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du 25.10.2018 : cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du 26.02.2019 : Cf. diagnostic. IRM colonne lombaire du 28.01.2019 : Discopathie lombaire pluri-étagée avec hernie discale médiane et paramédiane D L3-L4, comprimant la racine L4 D. IRM colonne lombaire du 28.11.2018 : selon rapport uniquement : Arthrose du massif articulaire postérieur, prédominante en L4-L5 ddc. Hernie discale postéro-latérale et foraminale G en L5-S1, avec extrusion discale de 5mm. Protrusion discale et ostéophyte avec mise à l'étroit de la racine L5 G dans son trajet foraminal. IRM colonne lombaire du 31.01.2019 : discopathie en L2-L3 et L5-S1. Minime hernie discale en L4-L5, hernie discale en L5-S1 avec prolapsus discal paramédian gauche. IRM colonne lombaire et orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour : Cf. diagnostic. IRM colonne lombaire novembre 2018 : volumineuse hernie discale L5-S1 avec une compression de 80% du canal rachidien. Absence de lordose lombaire physiologique. Kyste au niveau de la facette articulaire L5-S1 à droite. IRM colonne lombaire RDV au Neurocentre (merci de convoquer la patiente) Contrôle chez nous par la suite OP pré-réservée pour le 25.03.2019 IRM colonne lombaire, sacrum et coccyx du 15.02.2018 : coupe manquante sur les derniers centimètres du coccyx. IRM colonne lombaire septembre 2018 : lordose lombaire préservée avec sacralisation de L5. Discrète discopathie L5-S1 mais sans perte de hauteur discale ni hernie. Pas de compression canalaire. Discrète arthrose à différents étages. IRM colonne cervicale décembre 2018 : cf. diagnostic. Uncarthrose diffuse avec discopathie dégénérative pluri-étagée sans compression radiculaire ni médullaire claire. IRM colonne lombaire Stix, sédiment urinaire le 14.02.2019 : sans particularité Résolution spontanée le 12.02.2019 IRM colonne thoracique du jour : fracture du plateau supérieur de la vertèbre D7 avec perte de hauteur minime et hypersignal presque jusqu'au mur postérieur sans déplacement fragmentaire ni atteinte de la colonne postérieure. IRM colonne totale du 21.02.2018 : discopathie multi-étagée. En raison de l'absence de coupe transverse, l'objectivation d'une radiculopathie est impossible. IRM de ce jour : kyste du condyle interne stable. IRM de contrôle le 14.02.2019 à 7h45, puis consultation auprès de Dr. X, oncologue, à 10 h. IRM de la cheville D : cf diagnostic susmentionné. IRM de la cheville du 04.02.2019 : Il n'y a pas de lésion osseuse objectivable. L'appareil ligamentaire ne présente pas de rupture tant latéral qu'en médial sans hypersignal. Le ligament talo-fibulaire antérieur est toutefois anatomiquement petit. Les gaines tendineuses et les tendons sont continus, sans signe de lésion. IRM de la cheville du 05.02.2019 : on objective un oedème spongieux avec altération ostéochondrale du dôme talaire latéral. Les ligaments latéraux de la cheville présentent un aspect remanié sans solution de discontinuité. Tissu mou capsulaire antérieur ne montre pas de signe d'irritation. IRM de la cheville effectuée en octobre 2017 : sur la base de cet examen on objective principalement une arthrose sous-talienne avancée. Il n'y pas d'autre image à disposition. IRM de la colonne dorsale native : examen effectué de D1 jusqu'à L2. La hauteur des corps vertébraux est conservée sauf en D6 où l'on note une perte de hauteur du plateau supérieur de ce corps vertébral, de moins de 25%, avec de discrètes hyperintensités de signal en pondération T2 saturation de graisse, discrète hypointensité de signal en pondération T1. Pas d'atteinte des pédicules. Pas de recul du mur postérieur. Pas d'hématome dans le canal spinal. Les autres corps vertébraux se présentent normalement, sans altération de signal notable. La taille du canal spinal est normale. Le cordon médullaire se présente normalement, sans altération de signal notable. CONCLUSION : tassement du plateau antéro-supérieur de D6, sans recul du mur postérieur ni hématome épidural (type A1). IRM de la colonne lombaire native : du 21.02.2019 : comparatif : aucun. Examen effectué de D 11 à S 3. Hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. L1-L2, L2-L3 : Pas de discopathie significative. La taille du canal spinal et des neuroforamens dans la norme. L3-L4 : Discopathie se caractérisant par une dessiccation discale (hypo-intensité du disque en pondération T2) et un bombement discal à large rayon de courbure, et une déchirure de l'anneau fibreux dans sa partie postérieure. Les neuroforamens sont de taille conservée. La taille du canal spinal est normale. L4-L5 : Discopathie se caractérisant par une dessiccation discale (hypo-intensité en pondération T2) et une perte de hauteur du disque, un peu plus marquée dans sa partie antérieure et latérale gauche, avec réaction des plateaux vertébraux en miroir de type Modic 1 (hyper-T2, hypo-T1). Hernie discale médiane, paramédiane des deux côtés, un peu plus marquée à gauche, occasionnant un conflit avec la racine L5 gauche dans le récessus. La racine L5 droite est également nettement mise à l'étroit dans le récessus, sans évidence de conflit certain (à confronter à la clinique). Arthrose facettaire. L5-S1 : Pas de discopathie significative. Les neuroforamens sont libres. Taille du canal spinal est normale. Arthrose facettaire modérée. La portion examinée du cordon médullaire se présente normalement. Pour le reste, musculature para-vertébrale (y compris muscles psoas) symétrique. Pas d'adénopathies visibles dans les portions examinées du rétro-péritoine. La portion examinée de l'aorte abdominale se présente normalement. CONCLUSION : discopathie modérée L3-L4 avec bombement discal à large rayon de courbure, sans conflit disco-radiculaire et une image de déchirure de l'anneau fibreux. Discopathie avec hernie discale L4-L5 médiane paramédiane des deux côtés, plus marquée à gauche qu'à droite, avec un conflit avec la racine L5 gauche dans le récessus (sciatalgie L5 gauche?). La racine L5 droite est également nettement mise à l'étroit dans le récessus (sciatalgie L5 droite?). IRM de la colonne lombaire native : examen effectué de D10 jusqu'au sacrum. Hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Inversion de la courbure physiologique en L2-L3 avec une inversion de la courbure en raison d'une discopathie. L1-L2 : pas de discopathie significative hormis un discret bombement à large rayon de courbure du disque, débordant dans les neuroforamens, sans rétrécissement neuroforaminal significatif, avec un canal spinal de taille normale. L2-L3 : discopathies se caractérisant par une perte de hauteur du disque, une dessiccation discale et un bombement discal à large rayon de courbure postérieur, occasionnant un rétrécissement d'environ 50% du canal spinal, sans rétrécissement neuroforaminal, sans conflit discoradiculaire. L3-L4 : discopathies se caractérisant par un bombement discal à large rayon de courbure, débordant dans les neuroforamens et rétrécissant modérément ces derniers. Taille du canal spinal normale. Arthrose facettaire.L4-L5 : hernie discale récessale droit venant au contact et refoulant la racine L5 droit. Bombement discal intéressant également le neuroforamen droit avec une nette mise à l'étroit de la racine L4 droit (pas de graisse péri-radiculaire). Le neuroforamen L4-L5 G est également fortement rétréci en raison d'un bombement discal à large rayon de courbure, prédominant dans le foramen, d'une arthrose facettaire et d'une hypertrophie des ligaments jaunes (suspicion d'un conflit de la racine L4 G également dans le neuroforamen). Rétrécissement modéré du canal spinal en raison de la hernie discale et du bombement discal. L5-S1 : discopathie se caractérisant par une perte de hauteur du disque intervertébral, une dessiccation discale et un bombement discal à large rayon de courbure, débordant dans les neuroforamens. Rétrécissement de haut degré du neuroforamen L5-S1 droit en raison de la discopathie, une arthrose facettaire et d'une hypertrophie des ligaments jaunes. Rétrécissement également marqué à gauche mais moins que du côté droit. Taille du canal spinal normale. La portion examinée du cordon médullaire se présente normalement. Pour le reste, musculature paravertébrale (y compris muscles psoas) symétrique. Pas d'adénopathies visibles dans les portions examinées du rétropéritoine. La portion examinée de l'aorte abdominale se présente normalement. CONCLUSION : hernie discale récessale droit L4-L5, venant au contact de la racine L5 dans le récessus (conflit). Rétrécissement neuroforaminal L4-L5 ddc sévère, multifactoriel (discopathies, arthrose facettaire et hypertrophie des ligaments jaunes). Rétrécissement neuroforaminal L5-S1 ddc sévère, multifactoriel (discopathies, arthrose facettaire et hypertrophie des ligaments jaunes). Discopathies L2-L3 avec protrusion centrale dans le canal spinal, avec rétrécissement d'environ 50% de ce dernier, sans conflit discoradiculaire. IRM de la jambe D natif et injecté du 22.01.2019 : hypersignal métaphyso-épiphysaire inhomogène, 32x29x17 mm au niveau du tibia distal D s'étendant au niveau de l'articulation tibio-astragalienne. IRM de la jambe gauche native du 18.02.2019 : pas d'image d'hypersignal démateux en projection de la membrane interosseuse. Les calcifications déjà décrites sur la radiographie standard sont difficiles à analyser ce jour. Pas d'image d'écartement anormal entre le tibia et le péroné. Pas d'anomalie de signal des structures osseuses. Pas d'anomalie suspecte en projection des parties molles. CONCLUSION : pas de signe de lésion aiguë de la membrane interosseuse de la jambe. IRM de l'épaule D du 06.11.2018 : tendinopathie sans lésion transfixiante du supra-spinatus et dans une moindre mesure de l'infra-spinatus. Pas d'atteinte au niveau du subscapularis. Discret signe de bursite sous-acromiale. Absence de luxation du LCB. ENMG du 07.02.2019 : examen compatible avec un syndrome du tunnel carpien à prédominance G sans lésion neurogène. IRM de l'épaule droite le 30.01.2019 : voir le diagnostic. IRM des 2 pieds : aucun signe d'ostéomyélite. IRM du coude : Renflement intra-articulaire en regard du trajet du LUCL pouvant être à l'origine des clics mécaniques ressentis par le patient. Reste des structures osseuses et ligamentaires sans particularité. Pas d'instabilité. IRM du genou D datant du 13.02.2019 : lésion du LCA avec une contusion et une fracture peu déplacée du plateau tibial externe dans la partie postérieure. Distorsion des collatéraux. IRM du genou D de ce jour : rupture complète du LCA, distorsion du LLI, pas d'autre lésion mise en évidence. IRM du genou D du 21.02.2019 : re-rupture du LCA. Lésion du collatéral interne. Petite déchirure de la corne postérieure du ménisque interne. Épanchement intra-articulaire important. Pas d'autre lésion mise en évidence. IRM du genou D du 06.02.2019 : rupture stade II du ligament collatéral interne. Pas de lésion méniscale ni de lésion des ligaments croisés. Contusion osseuse du plateau tibial postéro-interne. Pas de lésion cartilagineuse. IRM du genou D du 17.12.2018 : boursite pré, voire supra-patellaire déviée sur le côté interne du genou, remplie de liquide inflammatoire. Le reste de l'IRM est normal. IRM du genou D du 31.01.2019 : aspect d'une distorsion très avancée du ligament croisé antérieur avec persistance de quelques fibres. Entorse grade III du ligament collatéral interne. Aspect d'une contusion osseuse des deux condyles fémoraux interne et externe et du plateau tibial externe. IRM du genou G : contusion du versant interne de la rotule + contusion du condyle fémoral externe. Pas de lésion cartilagineuse visible. Pas d'autre lésion du genou. IRM du genou gauche du 13.02.2019 : distorsion grade I du ligament collatéral interne. Pas de rupture mise en évidence. Le reste de l'IRM est normal. IRM du genou gauche du 19.02.2019 : probable distorsion de l'aileron rotulien interne. Présence d'un petit œdème à ce niveau-là. Pas de lésion méniscale ni ligamentaire. IRM du genou gauche du 28.01.2019 : à part quelques kystes en regard de la corne antérieure du ménisque externe, pas de lésion visualisée. Cartilage intact. Pas de lésion ligamentaire. IRM du genou gauche le 15.02.19 : contrôle en team genou après IRM. IRM du jour : cicatrisation sur la voie opératoire sans mise en évidence de récidive de hernie et sans compression de la racine L3 du côté gauche. IRM du jour : diminution de la taille de cette hernie discale L3-L4. IRM du jour : discopathie débutante au niveau L5-S1 avec protrusion discale centrale et hernie discale médiane, para-médiane droite avec conflit disco-radiculaire S1 droit. IRM du jour : statut post-opératoire avec une persistance d'une composante compressive postérieure d'allure ligamentaire. IRM du neurocrâne native et injectée : comparatif du 21.12.2015. Le système ventriculaire et les espaces sous-arachnoïdiens sont modérément élargis comme sur l'examen précédent. Pas de collection sous-durale ou extra-durale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Sur les coupes en diffusion, pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Sur les coupes T2*, pas de saignement. Sur les coupes T2 FLAIR, quelques plages punctiformes hyperintenses de la substance blanche. Sur les coupes T1, la substance grise périphérique et les noyaux gris centraux sont bien définis. Après injection i.v. de Gadolinium, pas de prise de contraste pathologique intra-axiale. Les sinus veineux sont perméables. L'angio-IRM centrée sur le polygone de Willis démontre une perméabilité conservée des artères intracérébrales. Pas d'anévrisme, pas de sténose significative. Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes normalement pneumatisées. Orbites sans particularité. CONCLUSION : IRM cérébrale dans les limites de la norme. Pas d'argument pour des lésions métastatiques intra-parenchymateuses ou méningées. Pas de lésion ischémique de la fosse postérieure. Vaisseaux intra-cérébraux perméables. IRM du pied D du 08.02.2019 : pas d'argument pour une ostéite ou pour une ostéomyélite, pas de collection en regard de la lésion. IRM du pied D du 15.02.2019 : ostéolyse avec suspicion d'une ostéomyélite de la tête du 3ème métatarsien. Luxation de la MTP 3. IRM du poignet G prévue le 13.02.2019. Prochain contrôle clinique le 20.02.2019. IRM du 04.02.2019 : séquelle de fracture consolidée de la rotule avec lésion cartilagineuse rétro-patellaire. Sinon IRM dans les limites de la norme. IRM du 04.12.2018 : lésion en contact avec la capsule articulaire MC 2 côté radial. IRM du 05.02.2019 : cf. diagnostic.IRM du 12.02.2019 (PACS) : pas de compression au niveau radiculaire ni canalaire. Pas de prise de contraste au niveau osseux ni au niveau des tissus mous. Pas de trouble morphologique majeur. Dégénérescence discale et discopathie débutante au niveau L3-L4, L4-L5, L5-S1 et discopathie avancée D12-L1, sans signe de Modic. IRM du 12.11.2018 : pas d'insuffisance ligamentaire, stigmate cicatriciel de l'entorse externe, pas d'oedème de l'os spongieux, pas de signe d'inflammation péri-tendineuse, les trajets tendineux sont suivis sur toute la longueur, disparition du kyste calcanéo-cuboïdien précédemment objectivé par IRM. Minime inflammation en regard de l'épine calcanéenne, inchangée depuis l'IRM de 2017. IRM du 12.12.2018 (HIB) : bon état de la colonne lombaire. Présence de deux petits kystes péri-radiculaires de type Tarlov au niveau de la racine S1 droite. IRM du 15.01.2019 à Riaz (PACS) : rétrécissement constitutionnel du canal lombaire, avec une hernie de Schmorl au niveau du corps vertébral de L5. Discopathie L4-L5 associée à une hernie discale médiane qui écrase le sac dural. Pas de sténose absolue. IRM du 22.11.2018 : absence de rupture de la coiffe des rotateurs. Image de boursite sous-acromiale et deltoïdienne. Bec acromial. Absence d'atrophie ou de dégénérescence. Absence de luxation du LCB. IRM du 25.09.2019 : discopathie pluri-étagée L2-L3, L3-L4, L4-L5 et surtout en L5-S1, sans hernie discale ni compression radiculaire. Troubles inflammatoires facettaires. IRM du 30.01.2019 : On note un status post-mise en place d'une prothèse de hanche engendrant quelques artefacts. Cette prothèse est bien centrée dans la cavité cotyloïdienne. On note la présence d'une atrophie avec dégénérescence adipeuse du moyen, du petit fessier, du muscle obturateur externe. Le muscle tenseur fascia lata présente également une atrophie mais un peu moins marquée. Les autres structures musculaires de la hanche sont également modérément atrophiques, mais dans une moindre mesure. On note, en outre, la présence d'une plage hyperintense en pondération T2, hypointense en pondération T1 avec un très discret rehaussement alentour après injection iv de Gadolinium, devant correspondre à du liquide, celui-ci étant situé en regard du grand trochanter. L'os spongieux examiné ne démontre pas d'oedème. Altérations dégénératives du rachis. Maladie diverticulaire calme du sigmoïde. CT-scan du 30.01.2019 : Pas de fracture. Bonne congruence des prothèses. Status post PTH bilatérales sans signe de descellement. Très importants troubles dégénératifs de la colonne lombaire avec discopathie L4-L5, L5-S1 et arthrose zygapophysaire postérieure. Chondrocalcinose de la symphyse pubienne. Pour le reste, on visualise une discrète déhiscence de la ligne médiane à contenu graisseux. Diverticulose sigmoïdienne sans signe d'inflammation. Atrophie des muscles petit ou moyen glutéus ddc. Ectasie de l'aorte abdominale infra-rénale mesurant 32 mm de grand diamètre. Calcifications vasculaires et tortuosités des artères iliaques communes. Droite Gauche AT fémorale (rétrotorsion) • -19° 1° Longueur fémur • 400 mm 394 mm Longueur sacro-iliaque-fémur • 469 465 mm Longueur tibia • 308 310 mm IRM effectuée à l'extérieur du HFR : présence d'une dépression du plateau tibial latéral antérieur. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Organisation d'un CT-scan le 08.02.2019. Marche en touch-down, avec cannes. Prophylaxie par Xarelto. Pas de prescription d'attelle en raison de la stabilité ligamentaire. RDV à la consultation du Dr. X, le 08.02.2019 pour suite de prise en charge, après le CT. IRM en ambulatoire. IRM en ambulatoire. Consilium neurologique en ambulatoire. Consilium ophtalmologie en ambulatoire. IRM épaule D : environ 2 cm de transposition des rotateurs externes serait nécessaire pour améliorer l'arc actif des rotateurs externes. IRM épaule D du 24.01.2019 : cf diagnostic. IRM épaule D du 8.2.19 : Minime inflammation de l'articulation AC. Tendinopathie marquée du tendon du muscle supra-épineux, sans lésion transfixiante. Bursite sous-acromio-deltoïdienne réactive. Pas de lésion des autres tendons de la coiffe des rotateurs. IRM épaule D (faite en externe) : rupture complète du sus-épineux avec rétraction jusqu'au sommet de la tête humérale. Boursite sous-acromiale. Arthrose acromio-claviculaire. IRM épaule droite : Lésion du sous-scapulaire avec luxation du tendon LCB. Lésion Bankart avec débris osseux. Fracture tubercule majeur avec insertion du sus-épineux dans le fragment. Rupture de l'insertion humérale du ligament gléno-huméral inférieur et médial. CT épaule droite : Lésion osseuse rime intérieure glénoïdale. Fracture tubercule majeur. Bonne morphologie de la glénoïde. Minime Hill-Sachs. IRM épaule G du 20.12.2018, visualisée sur www.groupe3r.ch, accès S112072742 : oedème osseux sur la face postérieure de la tête humérale. Bankart osseux et lésion de ALPASA en position anatomique. Coiffe des rotateurs intacte. IRM épaule G du 27.12.2018 : lésion subtotale du tendon sus-scapulaire et subluxation du tendon du LCB. Arthrose acromio-claviculaire. Partie de la coiffe des rotateurs supéro-postérieur intacte. Pas de dégénérescence musculaire du sus-scapulaire. IRM épaule G du 31.01.2019 : lésion de Bankart fibreuse du labrum antéro-inférieur bien en place. Tendon de la coiffe des rotateurs intact. Pas de défect cartilagineux. IRM épaule gauche : déchirure du ligament coraco-claviculaire complète de la partie latérale avec un faisceau élongué partie médiale. Lésion partielle du sus-épineux du côté de la bourse. IRM épaule gauche du 11.02.2019 : Lésion partielle du côté dorsal du sus-épineux. Lésion partielle de l'insertion du sous-scapulaire dans la partie proximale. IRM et contrôle dans le courant du mois de mai. IRM et contrôle le 08.02.2019. IRM et contrôle le 08.02.2019. IRM et CT cervical le 25.02.2019 Prochain contrôle le 26.02.2019 Date opératoire pré-réservée pour le 01.03.2019. IRM et prochain contrôle le 01.03.2019. IRM et prochain contrôle le 05.04.2019. IRM et prochain contrôle le 15.02.2019. IRM et prochain contrôle le 15.03.2019. IRM et prochaine consultation le 01.03.2019. IRM et RX (Affidea) : pas d'image à disposition. Selon les rapports : antéro-listhésis C2-C3, discopathie pluri-étagée, empirée au niveau C5-C6 où l'on retrouve un rétrécissement foraminal bilatéral. IRM genou D : cf diagnostic susmentionné. IRM genou D : cf diagnostic susmentionné. IRM genou D : cf diagnostic susmentionné. IRM genou D : lésion du LCA. Pas d'autre lésion visible. IRM genou D : minime lésion présente dans la zone blanche du ménisque externe tiers intermédiaire. Pas d'autre pathologie visualisée. IRM lombaire : hernie discale L4-L5 avec les foraminales libres. IRM genou D : on voit des épanchements articulaires, pas de lésion méniscale, pas de lésion des ligaments croisés antérieur et postérieur. Pas de lésion collatérale. IRM genou D : pas de lésion des ligaments collatéraux. Pas de lésion des ligaments croisés. Petite ligne blanche dans la corne postérieure horizontale des ménisques internes. Pas d'épanchement articulaire. IRM genou D de ce jour : bonne position du fragment osseux au niveau de la base du LCA, qui est bien consolidée. Le LCA est sous bonne tension. Légères arthrose rétro-patellaire avec 4 vis qui sont encore posées dans le condyle fémoral. IRM (genou D) du 07.02.2019 : remaniement du tendon rotulien et de la bourse pré-patellaire parlant pour une inflammation chronique. Chondropathie au niveau du condyle fémoral interne. Ligaments croisés et collatéraux intacts, de même que les ménisques. IRM genou G : cf diagnostic susmentionné. IRM genou G : cf diagnostic susmentionné.• IRM genou G : cf diagnostic susmentionné • IRM genou G : contusion du versant interne de la rotule et contusion du condyle externe fémoral. Pas de lésion cartilagineuse mise en évidence. • IRM genou G : mise en évidence d'une zone de contusion au niveau du pôle supérieur de la rotule. Atteinte du ligament quadricipital au niveau de son insertion sur la rotule versant médial. Lame d'épanchement. Discrète atteinte cartilagineuse de la facette interne et gouttière inter-condylienne. • IRM genou G : remaniement patellaire massif avec arthrose fémoro-patellaire. Intégrité des structures méniscales interne et externe, même s'il y a des troubles dégénératifs bien présents. • IRM genou G : visualisation d'une déchirure LCA. Fracture in situ de l'épicondyle médial. • IRM genou G de ce jour : lâchage de la plastie LCA. Pas d'autre pathologie visualisée. • RX genou G face et profil de ce jour : vis polaire fémoral visible. Tunnel fémoral et tibial visible. • IRM genou G de ce jour : les cartilages sont complets, mais plus fins au niveau de l'articulation fémoro-tibiale et au niveau de la rotule. Pas de signe d'oedème osseux. Ménisque externe et interne intact. LCA et LCP intacts. Tendon rotulien plus épaissi au niveau tibial, mais correct et sans lésion visualisée. • IRM genou G du 14.02.2019 : rupture du LCA, contusion osseuse du condyle externe et du plateau tibial externe, lésion de la corne postérieure du ménisque interne. • IRM genou G du 30.01.2019 : rupture complète du LCA, entorse du LLI. Contusion du condyle du plateau tibial externe. • IRM genou G du 6.2.19 : aspect d'une distorsion avancée du LCA. Entorse garde I du ligament collatéral externe. Hypersignal dégénératif de la corne postérieure du ménisque interne. • IRM genou gauche le 12.02.2019 : déchirure méniscale horizontale étendue instable migrée de la corne postérieure du corps du ménisque interne avec flap, le long du récessus ménisco-tibial de 5 mm. Volumineux kyste intra-osseux sous le massif des épines tibiales avec oedème osseux. Volumineux kyste arthrosynovial circonscrivant la jonction myotendineuse poplitée de 4.5 cm. Chondropathie fémoro-patellaire externe de grade IV. Dégénérescence mucoïde des ligaments croisés. • IRM genou gauche le 13.02.19 consultation en ortho team genou après IRM • IRM hallux G du jour : hypersignal en séquence stir au niveau de l'ensemble de P2 mais prédominant au niveau de la partie distale. • IRM (hanche D) du 17.01.2019 : mise en évidence de petites lésions cartilagineuses ainsi que du labrum. Hanche de type en CAM. • IRM (hanche) du 31.01.2019 : mise en évidence d'un discret oedème en regard de l'insertion du moyen fessier avec une petite lame de liquide. Pas de lésion cartilagineuse, ni du labrum. Pas de vraie dysplasie mise en évidence. • IRM (HIB) : discopathie L5-S1 surtout. Légère discopathie L4-L5. Pas de compression foraminale visualisée. Minime protrusion médulaire du disque L5-S1 en para-médian gauche. • IRM importée du 11.02.2019 : rupture de l'anulus L3-L4 avec protrusion centrale. Hernie médiane luxée vers le bas en L4-L5. Hernie para-médiane droite L5-S1 avec compression de la racine L5 à droite. • IRM le 04.03.2019 puis, je reverrai la patiente à la fin du mois à Meyriez. • IRM le 04.03.2019 : prochain contrôle à Meyriez • IRM le 07.02.2019 : prochain contrôle le 08.02.2019. • IRM le 08.02.2019 : prochain contrôle le 11.02.2019. • IRM le 14.03.2019 : prochain contrôle le 14.03.2019. • IRM le 15.02.2019 : prochain contrôle le 18.02.2019. • IRM le 21.02.2019 : prochain contrôle le 22.02.2019. • IRM le 26.02.2019 : prochain contrôle le 04.03.2019. • IRM le 28.02.2019 : prochaine consultation le 01.03.2019. • IRM le 28.02.2019 : RDV au Neurocentre contrôle chez nous par la suite • IRM lombaire + sacrum et coccyx le 15.02.2019 à Givision : prochain contrôle le 19.02.2019. • IRM lombaire du jour : cfr ci-dessous. • IRM lombaire du jour (PACS) : cf diagnostic. • IRM lombaire du 05.02.2019 : hernie discale L4-L5 avec contact dans le recessus de la racine L5. Probable lésion dégénérative de la partie antéro-supérieure de L2. • IRM lombaire du 21.02.2019 : prochain contrôle le 26.02.2019. • IRM lombaire le 05.02.2019 : spine team le 19.02.2019. • IRM lombaire le 19.02.2019 : prochain contrôle le 21.02.2019. • IRM lombaire le 25.02.2019 : prochain contrôle le 26.02.2019. • IRM lombaire le 28.02.2019 : prochain contrôle le 05.03.2019. • IRM lombo-sacrée le 30.01.2019. • IRM lombosacrée le 30.01.2019 : lavement par Practomil le 31.01.2019. Laxatifs et Freka-Clyss pour le domicile. • IRM main gauche : lésion nodulaire de 7 mm de diamètre en regard de la 1ère commissure, pouvant correspondre à un névrome. • IRM main le 06.02.2019 : pas de CRPS. • IRM natif colonne cervicale du 13.2.19 : dans les limites de la norme, pas de lésion visualisée (pas de hernie discale, pas de myélopathie). • IRM native de l'épaule droite du 28.01.2019 : éventuelle re-rupture du tendon du sus-épineux. • IRM native de l'épaule gauche du 04.02.2019 : stigmates post-ablation de matériel d'ostéosynthèse dans l'humérus proximal gauche pour une fracture actuellement consolidée de la jonction tête - col huméral. Image d'une tendinopathie modérée du muscle supra-épineux, avec discrète bursite réactive dans la bourse sous-acromio-deltoïdienne. Image d'une tendinopathie un peu plus marquée du tendon du muscle sous-scapulaire. Aucune rupture complète des tendons de la coiffe des rotateurs. Petite lame de liquide réactive dans la bourse sous-acromio-deltoïdienne. • EMG du 04.02.2019 fait par le Dr. X : signe d'une lésion neurogène de la partie supérieure du plexus brachial gauche sans signe de dénervation. Signe de lésion neurogène dans le deltoïde et de façon moins nette dans le sus-épineux, le sous-épineux et le biceps. • IRM native de mai 2018 : voir diagnostic susmentionné. • IRM native de 2016 : coiffe des rotateurs compétente, kyste sur la face antérieure de la tête humérale. Pas d'autre lésion visible. • IRM native du genou D du 04.01.2019 : petite déchirure horizontale de la corne postérieure du ménisque interne sans atteinte de la surface articulaire. Pas de lésion ligamentaire visualisée. Pas de lésion cartilagineuse. • IRM native du genou D du 30.01.2019 : chondropathie stade IV au niveau fémoro-patellaire et chondropathie stade I en regard du condyle fémoral interne. Le reste de l'IRM est normal. Pas de lésion ligamentaire, ni cartilagineuse. • IRM native du genou droit : distorsion de haut grade du LCA, dd rupture partielle. Pas de lésion de ménisque. Pas de lésion ligamentaire ou de cartilage. • IRM native du genou droit : zone contuse en regard du plateau tibial interne. Pas d'autre lésion visualisée. • IRM native du genou droit du 11.2.2019 : examen compatible avec une distorsion du ligament collatéral interne sans signe de rupture complète. Pas de rupture complète des ligaments croisés. Aspect discrètement épaissi de la partie proximale du ligament croisé antérieur DD distorsion. Pas de déchirure méniscale franche atteignant la périphérie. Altération mucoïde de la corne postérieure du ménisque interne. • IRM native du genou droit du 24.1.2019 : altération cartilagineuse partielle focale du versant externe de la rotule avec altérations de signal de l'os spongieux sous-jacent. Aspect discrètement épaissi de la partie proximale du LCA pouvant faire évoquer une ancienne lésion de la partie proximale de celui-ci. Cela est à corréler à la clinique. Pas de fracture. • IRM native du genou G du 15.02.2019 : rupture complète du ligament croisé antérieur. Distorsion modérée du ligament collatéral interne sans mise en évidence de rupture. Potentielle lésion horizontale de la corne postérieure du ménisque interne sans atteinte de la surface articulaire. • IRM native du genou G du 20.02.2019 : fracture d'enfoncement du plateau tibial externe avec un oedème osseux sous-chondral associé. Distorsion du ligament croisé antérieur sans mise en évidence de rupture. Distorsion du ligament collatéral externe, important épanchement articulaire. Pas de lésion cartilagineuse.IRM native du genou gauche : lésion du ménisque interne en regard du corps et de la corne postérieure. Présence d'une chondropathie stade II en regard de l'articulation fémoro-tibiale interne. Pas de lésion ligamentaire visualisée. IRM native du genou gauche du 18.02.2019 : gonarthrose tricompartimentale avec méniscopathie dégénérative interne compliquée d'une fissure rejoignant la surface articulaire inférieure et perte de volume du ménisque. Kyste de Baker de 6 cm. Intégrité des structures ligamentaires. IRM native du genou gauche du 22.02.2019 : distorsion du ligament collatéral interne sans mise en évidence de rupture. Déchirure oblique de la corne moyenne et postérieure du ménisque interne. Petit signe de dégénérescence du ménisque externe. Présence d'un kyste de Baker de petite taille. Gonarthrose débutante en regard de la trochlée et de moindre importance sur le versant interne de la rotule. IRM native du poignet gauche : Très probable atteinte du TFCC avec des entorses ligamentaires et une très probable rupture du ligament radio-cubital palmaire. IRM native du 14.2.2019 : En contraste avec l'interprétation de mon collègue, je trouve une lésion trans-fixiante de petite taille des parties antérieures du tendon du sus-épineux. Pas d'autre pathologie visible. IRM neurocrâne le 06.02.2019 : Les structures de la ligne médiane sont en position physiologique. Sur les séquences T2 FLAIR, mise en évidence de multiples plages d'hypersignal intéressant la substance blanche sous-corticale et profonde des deux hémisphères cérébraux, y compris les lobes temporaux. Certaines lésions présentent une distribution péri-ventriculaire d'orientation parallèle par rapport à l'axe des ventricules latéraux (Dawson fingers). Les lésions épargnent le cortex, les noyaux gris centraux, les fibres juxta-corticales (fibres U), le corps calleux, la fosse postérieure et la partie visible du cordon médullaire. Il n'y a pas de restriction de la diffusion ni de prise de contraste. Elles ne provoquent pas d'effet de masse. La séquence T2* ne montre pas de zone d'hémorragie. Pas de collection sous- ou extradurale. Pas de prise de contraste notable sur le trajet des nerfs crâniens ou sur les méninges. Les sinus veineux intracrâniens sont perméables. En tenant compte de l'âge du patient et de la distribution de certaines des multiples lésions intéressant la substance blanche des deux hémisphères cérébraux, une maladie démyélinisante de type SEP semble être le DD le plus vraisemblable. Des DD plus rares comme une ADEM, une maladie microvasculaire, une maladie de Lyme et une neurosarcoïdose doivent aussi être considérés. IRM totale de la colonne le 07.02.2019 : Pas de lésion médullaire suspecte d'atteinte démyélinisante active ou non-active. CT thoracique du 12.02.2019 : sans anomalie, notamment pas d'argument pour une sarcoïdose. IRM neurocrâne le 20.2.19. Concilium neuropsychologique (en cours). Concilium neurologie le 20.2.19. PL soustractive d'environ 35 ml de LCR le 20.2.19 : Taux normaux de hTau Ag, phospho Tau et béta amyloïde dans le LCR. Sérologies VIH et syphilis négatives. IRM neurocrâne le 23.01.2019. IRM novembre 2018 : signes de discite à répétition de type aseptique au niveau des disques L3-L4, L4-L5 associés à une inflammation des facettes correspondantes. Protrusion discale sans compression du canal rachidien. IRM organisée par la patiente. Prochain contrôle le 29.07.2019. OP pré-réservée pour le 04.10.2019. IRM pelvienne le 19.02.2019. Suivi urologique à la consultation du Dr. X. IRM pied D du jour : masse sous-cutanée de 2 sur 1.5 cm. IRM pied D du jour : légère inflammation au niveau des sésamoïdes ddc et au niveau de la tête du 1er métatarse. IRM pied D du 01.11.2018 (effectuée à l'extérieur et apportée par la patiente) : en séquence P1, on a un hypersignal diffus des tissus mous au niveau de la portion distale du deuxième espace inter-métatarsien, compatible avec une boursite ou un névrome de Morton en situation inflammée. IRM pied D du 13.02.2019 : montre une réaction inflammatoire au niveau du TMT I avec suspicion d'un fragment osseux à l'intérieur DD os surnuméraire. IRM pied G le 19.11.2018. Rx thorax le 21.11.2018, 23.11.2018, 26.11.2018, 01.12.2018, 07.01.2019, 15.01.2019. US pleural/péricardiaque le 30.12.2018. US système urogénital le 08.01.2019. IRM poignet G natif externe du 07.02.2019 : irrégularité scapho-lunaire avec un alignement parfait du carpe. Les structures sont dans la norme. IRM prévue le 01.02.2019. Prochain contrôle clinique le 08.02.2019. IRM prévue le 12.02.2019. Prochain contrôle clinique le 15.02.2019. IRM prévue le 13.02.2019. Prochain contrôle le 15.02.2019. IRM prévue le 18.01 (externe). IRM sacrum et coccyx du jour (Givision, Givisiez) : dégénérescence graisseuse physiologique du coccyx, associée à un déplacement/résorption osseuse au niveau Cx3. Le coccyx se révèle tranché au niveau Cx2 et la dernière articulation n'est pas clairement visible. Celle-ci semble toutefois déplacée vers l'avant avec un processus de résorption et évolution vers un kyste. IRM sacrum et coccyx le 01.03. Prochain contrôle le 14.03.2019 après CT sacrum et coccyx du jour. IRM sacrum et coccyx le 11.02.2019. Prochain contrôle le 25.07.2019. IRM sous sédation en ambulatoire + EEG + consultation neurologique. Suivi chez le médecin traitant. Pas de conduite durant 3 mois. Irritation atypique du nerf poplité externe. DD : neuropathie périphérique. Irritation clinique de la branche inter-osseuse postérieure du nerf radial du bras D. Irritation cutanée du filtre nasale sur rhinorrhée. Irritation cutanée par corps étranger (boucle d'oreille). Irritation du muscle poplité genou droit. Rétraction chaîne musculaire latérale. Douleurs postéro-latérales à D. Irritation du nerf radial à droite plus qu'à gauche avec suspicion de compression du nerf interosseux postérieur à l'arcade de Frohse. Syndrome de compression du nerf cubital au coude droit plus que gauche. Syndrome de tunnel carpien modéré à D plus qu'à G, sensible uniquement. Maladie de Dupuytren débutante, 4ème rayon main D. Discopathie dégénérative pluri-étagée au niveau cervical. Douleurs chroniques L5 voir S1 à droite sur statut post spondylodèse L3-L4 sur discopathie évolutive L3-L4 avec petite hernie discale para-médiale droite en contact de la racine L4. Statut post multiples opérations lombaires, la 1ère en 2006 avec microdiscectomie L3-L4. Irritation du nerf radial sur déchirure musculaire sur statut post arthroscopie de l'épaule D, ténotomie du LCB à D, suture du labrum supérieur, acromioplastie, résection AC arthroscopique et suture du sus-épineux le 11.05.2017 pour arthrose acromio-claviculaire, conflit sous-acromial, rupture du sus-épineux, lésion SLAP de l'épaule D. Bursite sous-acromiale épaule D. Madelung du poignet D avec décompensation post traumatique conduisant à une tendinite de l'extenseur ulnaire du carpe à D. Irritation du sus-épineux D. Irritation nerf cubital post cure de tunnel carpien G le 05.11.2018. Irritation péri-méatale le 24.02.2019. Irritation vulvaire. Irritation/dermabrasion du gland. IRS documenté. Avis anesthésique : Stable HD et asymptomatique durant le bloc opératoire et lors du début d'hospitalisation.Kardiovaskuläre Risikofaktoren: Dyslipidämie Verdacht auf IPMN im Pankreasschwanz • Endosonographie mit evtl. transgastraler Biopsieentnahme am 20.12.2018 (Dr. X, mündlich): MRI oder Endosonographie in 1. Jahr für Verlaufskontrolle, Pankreaszyste mit Verbindung zum Main duct Heterogenität der linken Mamma • Mikroherde und multiple Lymphadenopathie axillär links bis max. 2 cm (Angio-CT des Thorax 04.02.2015) • Diskrete mediastinale Lymphadenopathie links Ischämischer CVI Subarachnoidalblutung 2006 Fraktur 6. Rippe dorsolateral links nach Sturz am 30.10.2010 Knie-Operation rechts vor vielen Jahren Inguinalhernien-OP rechts vor vielen Jahren Schiefhals-Operation als Kind Epileptischer Anfall intra Op. am 04.01.2016 Sturz nach Benzodiazepin und Alkoholabusus mit Bewusstseinstörung am 26.02.2016 : Der Patient lebt in einem Pflegeheim. Ischémie aiguë du membre inférieur à droite le 09.12.2018 Ischémie aiguë du membre inférieur droit en 2016. Erysipèle de la cuisse gauche en janvier 2015. Coronarographie en 2008 (préventive) : sclérose coronarienne sans sténose significative, FEVG 60%. Ischémie aiguë du membre inférieur gauche le 27.01.19 Ischémie aiguë Rutherford IIa du membre inférieur droit sur anévrisme poplité thrombosé avec anévrisme poplité de 2cm au membre inférieur gauche : • Pontage fémoro-jambier du MID à l'aide d'une veine in situ le 17.12.2018 • Fasciotomie des 4 loges du membre inférieur droit le 17.12.2018 • Embolectomie / thrombectomie / lyse sélective intra-artérielle de l'artère poplitée D le 17.12.2018 • Greffe de Thiersch le 07.01.2019 Ischémie artérielle critique du membre inférieur droit le 09.02.2019 d'origine indéterminée : • occlusion de l'artère fémorale au niveau poplité avec quelques collatérales et occlusion de l'artère tibiale antérieure en distilité Ischémie artérielle critique du MID le 09.02.2019 • avec occlusion de l'artère fémorale au niveau poplité avec quelques collatérales et occlusion de l'artère tibiale antérieure en distilité Ischémie critique du membre inférieur droit sur sténose de plus de 50% de l'artère fémorale supérieure moyenne/distale avec atteinte jambière diffuse Ischémie critique du membre inférieur gauche dans le cadre d'une AOMI stade IV à gauche et stade IIb à droite : • occlusion de l'artère fémorale superficielle et de l'artère poplitée à gauche • occlusion complète de l'a. poplitée à droite Ischémie critique membre inférieur gauche sur pré-occlusion du carrefour fémorale gauche Ischémie critique stade IV du membre inférieur droit avec ulcère infecté au 2ème orteil. Pontage fémoro-poplité bas du membre inférieur droit à l'aide d'une veine inversée et amputation du 2ème orteil du pied droit le 27.08.2010. Ischémie du membre inférieur gauche Ischémie du MID aiguë post-coronarographie, le 18.02.2019 Ischémie rétinienne sur thrombose aiguë de l'artère centrale de la rétine droite le 17.01.2019 • symptomatologie initiale: cécité unilatérale de l'œil droit • NIHSS initial: 0 point Isolation Isolation VRE depuis le 21.02.2019 jusqu'au 25.02.2019 Isolement contact du 08.02 au 11.02.2019 Frottis rectal VRE le 08.02.2019 : négatif Isolement de contact depuis le 08.02.2019 Isolement de contact dès le 30.12.2018 • arrivée de Macédoine Frottis MRSA, VRE, CPE, ESBL : négatifs Levée de l'isolement le 07.01.2019 Embolie pulmonaire en 2007 (Aspirine à vie) TVP MIG 2005 (anamnestiquement) Anamnèse de thrombophilie Vertiges avec vomissements • DD : VPPB • manoeuvre d'Epley sur le NFS : sans nystagmus, sans vertige Isolement de contact dès 07.09.2018 jusqu'au 10.09.2018 Frottis rectal Isolement de contact du 10.01 au 13.01.2019 Frottis rectal le 10.01.2019 : négatif Isolement de contact du 10.01 au 23.01.2019. Frottis de dépistage. Isolement de contact du 10.02.2019 au 11.02.2019 Isolement de contact du 28.01.2019 au 29.01.2019 Introduction de ciprofloxacine et Valtrex (en plus de Bactrim) à but prophylactique le 28.1.19 Neupogen 48Mio le 28.1.19 Isolement de contact pour toute la durée de son séjour Laboratoire Avis Dr. X, infectiologue : pas d'indication à traiter une bactériurie asymptomatique Isolement de contact. Laboratoire. Culture de selles. Hémocultures. Antibiothérapie par Vancomycine 125 mg per os 4x/j jusqu'au 04.02.2019. Isolement gouttelette du 31.01 au 02.02.2019 Frottis de grippe : Grippe Influenza A positif Hémocultures : négatives à 2 jours Antigènes urinaires pour pneumocoques positifs Radiographie de thorax le 30.01.2019 Tamiflu 75 mg 2x/j du 30.01 au 04.02.2019 Ceftriaxone 2g du le 30.01 au 31.02.2019 Co-amoxicilline 625 mg 3x/j du 01.02 au 07.02.2019 Physiothérapie respiratoire Isolement gouttelettes du 20.02. au 22.02.2019 Co-Amoxicilline du 20.02 au 27.02.2019, relai PO le 23.02.2019 Traitement bronchodilatateur du 20.02 au 22.02.2019 Cathéter artériel radial gauche du 22.02. au 23.02.2019 Isolement gouttelettes Traitement symptomatique Isolement protecteur dès le 16.02.2019 Isolement respiratoire de type gouttelette Surveillance respiratoire / alimentaire Oxygénothérapie du 28.12 au 04.01 aux lunettes Sonde naso-gastrique du 28.12 au 01.01, puis du 03.01 au 05.01 Isolement Consilium médecine interne Consilium hématologique Isolette du 27.01 au 7.02.19 ; Lit chauffant du 7.02.19 au - 9.02. Isolette du 28.11 au 05.12.2018 Lit chauffant du 05.12.2018 au 9.12.18 Isoprénaline du 14.02.2019 au 15.02.2019 Atropine le 14.02.2019 Pacing externe le 14.02.2019 Implantation de Pacemaker AAI-DDD (compatible IRM 1.5T) le 15.02.2019 Echocardiographie le 14.02.2019 Contrôle Pacemaker le 15.02.2019 Radiographie thorax après pose de Pacemaker le 15.02.2019 Coronarographie le 14.02.2019 : pas de lésion Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 14.02.2019 au 15.02.2019 Cathéter artériel radial gauche du 14.02.2019 au 15.02.2019 Sérologie maladie de Lyme négative Isosource Energy 750 ml sur 11h, stop le 07.02.2019. Ablation de la sonde nasogastrique le 07.02.2019. Issue de grossesse gémellaire Isthmocèle avec dysménorrhée et hyperménorrhée, chez une patiente 3G 3P, de 38 ans Isthmocèle de 15x6 mm à l'échographie Itinerol à réserve Récidive en cas de détérioration de l'état général, de comportement anormal ou de nouveaux symptômes IU non compliquée, le 26.02.2019. IU symptomatique à E.Coli et E. Faecalis le 25.01.2019 avec : • incontinence urinaire Ivermectine 14 mg à J 0 et à J10. Sanytol et conseil de laver les draps à 60°. Patient reconsultera en cas de prurit persistant. IVG médicamenteuse à 5 4/7 SA selon DDR IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS. IVRS : • toux grasse ++ yc nocturne • encombrement nasal IVRS, bronchiolite possible IVRS aspécifique le 07.02.19. IVRS au décours IVRS avec angine virale IVRS avec bon état général. Traitement symptomatique et consignes de surveillance et de réhydratation. Contrôle chez le pédiatre dans 72 heures pour contrôle clinique. IVRS avec épistaxis sur le rhume IVRS avec exanthème IVRS avec faux-croup IVRS avec herpangine IVRS avec obstruction nasale importante IVRS avec otite moyenne aiguë débutante à droite IVRS avec otite moyenne aiguë gauche débutante IVRS avec • Otite moyenne gauche IVRS avec possible bronchite spastique débutante IVRS avec réactivité bronchique IVRS avec rhinite le 13.02.19. IVRS avec rhinopharyngite IVRS avec rhume, pharyngite, otite moyenne aiguë droite débutante IVRS avec surinfection IVRS avec un probable corps étranger anamnestiquement IVRS, conjonctivite virale IVRS DD Angine Virale. IVRS débutante avec une pharyngite IVRS en décours IVRS et OMA bilatérale IVRS le 01.02.19. IVRS le 01.02.19. IVRS le 09.02.2019. IVRS le 31.01.19. IVRS, possible faux-coup léger IVRS, rhinopharyngite avec toux et douleur secondaire IVRS sans fièvre IVRS sans signes de déshydratation IVRS sans signes de gravité. Toilettes nasales avec consignes de réhydratation et traitement symptomatique. Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures si état fébrile persistant. Signes de gravité bien expliqués. IVRS sur virose, le 25.02.19. IVRS virale IVRS vs bronchiolite débutante IVRS vs bronchite IVRS DD: toux post-infectieuse J'ai opéré Mme. Y pour un syndrome du tunnel carpien chronique et de longue date et il faut s'attendre à une récupération très longue. Poursuite de l'ergothérapie. Mme. Y me recontactera pour une nouvelle prescription d'ergothérapie si nécessaire. Je n'ai pas prévu de rendez-vous chez moi, mais je me tiens toutefois à disposition. J'ai plutôt l'impression qu'il s'agit d'une situation positionnelle. Nous faisons ce jour les plâtres redressant et verrons dans quelques semaines l'évolution. Nous referons des RX pour voir comment se présente l'angulation. Prochain contrôle le 06.03.2019 pour un plâtre redressant. J'ai proposé de revoir Mr. Y si bilan de coagulation qu'il fera en externe à distance de l'algifor est perturbé ou récidive des saignements. Si bilan dans la norme : résultat par téléphone. Jambe D face et profil de ce jour : mise en évidence d'un cal osseux. Visualisation du trait de fracture sur la partie distale. Jambe en X ddc avec 10° de valgus au niveau du genou. Status post traitement conservateur d'une fracture spiroïde du tibia G (méta-diaphysaire) datant du 13.02.2018. Janek présente à son arrivée une détresse respiratoire avec tachypnée et tirage sous-costal avec une bonne saturation (92-95%). Nous décidons d'une surveillance pendant une nuit et Janek ne bénéficie pas d'oxygénothérapie supplémentaire. Il ne présente pas d'état fébrile. Au vu de la bonne prise alimentaire et de la bonne clinique respiratoire, nous décidons d'un retour à domicile le 27.02 avec contrôle par vos soins dans 24-48h selon disponibilité. Janumet 50/500 1-0-1-0 dès le 16.01.2019 Laboratoire 11.01.2019 : HbA1c 7.1 %, Glycémie veineuse à jeun : 4.1 mmol/l Suivi glycémies et adaptation selon schéma Januvia 50 mg/j dès le 1.2.2019 Humalog en schéma de correction Janvier 2018 : Phlegmon abcédé de la gaine des extenseurs de la main gauche à S. Aureus Décompensation cardiaque à prédominance gauche dans le contexte septique le 13.01.2018 avec FEVG conservée Sténose aortique modérée le 13.01.2018 Amputation sous-capitale de P1 3ème orteil pied D (OP le 10.10.2017) pour nécrose humide de P2 et P3 3ème orteil pied D Désarticulation IPP et amputation trans-phalangienne P1 2ème orteil pied D, curetage mal perforant face médiale P1 3ème orteil pied D le 10.05.2017 sur nécrose P2 2ème orteil et ostéo-arthrite IPP distale ainsi qu'ulcère, mal perforant face médiale P1 3ème orteil du pied D Hyponatrémie normo-osmolaire à 119 mmol/l sur insuffisance cardiaque DD SIADH médicamenteux (HCT) le 13.01.2018 Status post ischémie cérébrale, sous Sintrom, date non spécifiée Décompensation diabète de type 2 dans un contexte septique, date non spécifiée Globe urinaire le 02.10.2018 Colite à clostridium difficile le 08.01.2019 Hyponatrémie hypo-osmolaire hypovolémique à 126 mmol/L Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 sur chronique le 13.12.2018, avec composante mixte pré- et post-rénale Suspicion d'état confusionnel aigü hyperactif le 26.12.2018 Mr. Y a présenté des céphalées durant tout son séjour qui ont bien cédé sous fébrifuge. Une investigation par IRM n'a rien mis en évidence et le fond d'œil est revenu sans particularité. Le status neurologique est resté stable avec une persistance d'une hypoesthésie non expliquée au bras gauche. Il n'a pas présenté d'épisode fébrile durant toute son hospitalisation et un bilan sanguin ne montre pas de signe inflammatoire ni de particularité. Une première hémoculture prélevée à son arrivée est revenue positive pour streptocoque mitis. Une deuxième est effectuée à nouveau à froid le lendemain, qui est revenue négative. Nous mettons ces résultats changeants sur le compte d'une possible infection transitoire provenant d'une infection buccale sur porte d'entrée dentaire. Une PCR RSV et une recherche pour influenza sont tous deux revenus négatifs. Au vu de l'amélioration des céphalées et des examens rassurants, nous décidons d'un retour à domicile le 27.02 avec un traitement par Magnésium 300 mg 1x/j pour un mois et un RDV chez le Dr. X pour un suivi dans un mois ainsi qu'un RDV chez Mr. Y ou Mr. Y pour effectuer un neuro feedback. Mme. Y présente une pharyngite virale pour laquelle nous proposons un traitement symptomatique. Nous rendons la mère attentive aux éléments pour lesquels il faut reconsulter. Je complète le bilan par CT scan et IRM de l'épaule droite, examens planifiés pour le 14.02.2019. Cliniquement, la patiente souffre d'un conflit sous-acromial et la poursuite de la physiothérapie me semble nécessaire. Je la reverrai après les examens. Je complète le bilan par un IRM de la main G et je reverrai la patiente après cet examen. Dans l'intervalle, on traite avec des anti-inflammatoires locaux. La patiente refuse une infiltration en raison des risques concernant le glaucome dont elle souffre. Un rendez-vous chez son ophtalmologue est prévu demain. Elle informera le médecin pour savoir si une infiltration est possible. Je complète le bilan par une IRM du poignet G pour ce qui semble être un kyste arthrosynovial. Je le revois après cet examen. Je conseille à la patiente de rééduquer le genou et de le préparer pour un geste chirurgical à venir. Ceci pourrait être réalisé d'ici 2 à 3 mois. Je ne prescris pas d'arrêt de travail. La patiente reprendra contact pour planifier l'intervention. Je conseille un sevrage progressif de la genouillère, peut-être de la garder pour 1 mois lors de la pratique du sport. Il n'y a pas de prochain contrôle prévu, mais nous restons à disposition en cas de nécessité de bon de physiothérapie ou de fitness médical. Je conviens avec le patient d'un nouvel ultrason d'ici 3-4 semaines avec un contrôle à ma consultation le 26.03.2019. Si la situation ne s'améliore pas, une excision chirurgicale pourra être discutée. Je discute assez longuement avec la patiente. Je pense qu'il y a une instabilité antéro-postérieure minime mais qui suffit à induire une arthrose réactive au niveau de l'articulation AC. Je propose à la patiente une prise en charge chirurgicale avec arthroscopie de l'épaule pour exclure toute lésion intra-articulaire en particulier sur le biceps, résection AC à minima et stabilisation coraco-claviculaire par Endobutton et Fibertape. La patiente est d'accord avec ce procédé. Je remplis avec elle le formulaire d'information et de consentement. Je discute avec la maman et les frères et sœurs qui accompagnent Mr. Y, de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse en ambulatoire. Je remplis le formulaire d'information et de consentement. Une date opératoire est agendée. Je discute avec la patiente des différents critères. Il s'agit d'une fracture extra-articulaire qui montre un raccourcissement et une bascule dorsale. Une partie de la réduction a été perdue durant les 2 dernières semaines, mais à 3 semaines de la fracture, il me semble raisonnable de poursuivre avec le traitement conservateur plutôt que de vouloir tenter une correction actuellement. Prochain contrôle dans 2 semaines Je discute avec la patiente et son mari qui l'accompagne des différentes options. Vu le traitement déjà initié avec une réduction qui est acceptable, je propose de poursuivre le traitement conservateur avec un contrôle radioclinique dans 2 semaines. Je discute avec la patiente qu'il y a différentes possibilités, comme déjà discuté, soit faire une ostéotomie pour plantariser la tête métatarsienne soit une cheilectomie. La patiente n'a pas de métatarsalgie des transferts. Afin d'évaluer encore une fois la situation, je propose qu'on fasse une surélévation du bord externe du pied, de 0.5 cm. On fait encore une fois une pédographie mercredi et nous réévaluerons la situation le 18.02.2019 pour voir si on fait une cheilectomie seule ou combinée avec ostéotomie. Je discute des différentes options thérapeutiques avec le patient. Théoriquement, une réinsertion de ce sus-épineux peut être discutée. Étant donné qu'il n'y a pas d'altération majeure depuis 2015, je ne veux pas dire qu'il s'agisse d'une évolution catastrophique qu'il faut opérer absolument. Ce jour, j'explique au patient les suites intra et post opératoires d'une réinsertion du sus-épineux. Il va réfléchir à ces propositions. Je le reverrai dans trois semaines. Je discute des options thérapeutiques avec le patient. A priori, il s'agit d'une situation délicate avec un assez grand risque d'arthrose post-traumatique si l'on laisse la situation telle quelle. La sub-luxation articulaire reste une des indications principales pour une chirurgie. Je retiens donc l'indication opératoire. J'informe le patient du déroulement intra et postopératoire, notamment avec ouverture du foyer fracturaire, réduction du fragment et fixation par des broches, très probablement avec une arthrodèse temporaire de l'IPD. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 16.02.2019. Je discute également la situation avec la maman et on se met d'accord pour continuer avec l'attelle et que, dans 2-3 ans, il faudra probablement faire un geste chirurgical pour améliorer sa mobilité au niveau de la cheville. Je discute les options thérapeutiques avec la patiente. A priori, un traitement conservateur comme chirurgical peut être discuté. Il n'y a pas d'indication dure pour une chirurgie. Vu la demande fonctionnelle de la patiente et vu le déplacement par contre, on se met d'accord pour un traitement chirurgical. J'informe la patiente et sa maman du déroulement intra et post-opératoires. Elles me donnent leur accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 25.2.2019. Je discute les options thérapeutiques avec la patiente qui est accompagnée de sa mère. Théoriquement, un traitement conservateur pourrait être indiqué. Par contre, vu que la patiente est droitière et se sert quasi normalement de sa main droite, un traitement chirurgical avec une rééducation fonctionnelle précoce me semble indiqué. J'informe donc la patiente du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 5.3.2019.Je lui propose de continuer l'ergothérapie pour désensibilisation de la cicatrice. Je reste à disposition en cas de besoin. Je montre au patient comment faire le pansement. Il devra le faire tous les jours après désinfection. On le revoit dans 1 mois pour un contrôle clinique. Je ne veux pas précipiter les choses vu le contexte et les antécédents médicaux de la patiente. Je préconise tout d'abord un nouvel examen neurologique pour tirer au clair une éventuelle compression nerveuse périphérique. En ce qui concerne la colonne cervicale, la patiente va m'apporter l'IRM afin que je puisse faire la part des choses, s'il s'agit d'une compression périphérique ou spinale. Je reverrai la patiente suite à l'examen neurologique du Dr. X du 11.03.2019 à 11 h 00. Prochain rendez-vous chez moi le 21.02.2019. Je peux très bien comprendre cette attitude et pour le moment bien justifier la poursuite du traitement conservateur. J'ai programmé un contrôle radio-clinique lundi prochain à ma consultation pour veiller sur un éventuel raccourcissement ultérieur. Jusque là, poursuite du port des anneaux. Je préconise l'ablation de la vis. J'informe le patient du déroulement intra et post opératoire pour cette intervention qui est prévue le 25.03.2019. Je préconise tout d'abord un traitement conservateur. Le patient va me tenir au courant de l'évolution et me recontactera en cas de péjoration. Je préconise un examen neurologique auprès du Dr. X pour réévaluer le nerf cubital qui a déjà vu par EMG en mai 2018. Personnellement, je pense que la patiente présente une instabilité du nerf cubital au coude D nécessitant une libération et anté-position du nerf. Je reverrai la patiente à la suite de cet examen. Je préconise un traitement physiothérapeutique pour rééducation à la marche avec charge selon douleurs. Mobilisation hanche et genou, drainages lymphatiques. J'ai programmé un prochain contrôle chez moi dans 6 semaines le 1.4.2019. Je préconise une arthro-IRM pour être sûr de ce diagnostic. Vu la baisse de fonction du sus-épineux, je devrais par la suite discuter de la nécessité d'une re-suture du sus-épineux. Prochain rendez-vous le 06.03.2019. Je préconise une infiltration de l'articulation AC vu les symptômes du patient. Celle-ci est programmée pour le 29.3.2019. Je préconise une IRM pour définir la position du kyste et de l'artère. Je reverrai la patiente à la suite de cet examen pour discuter des différentes options thérapeutiques. Je préconise une neurolyse du nerf médian d'abord à droite, par la suite à gauche. J'informe la patiente du déroulement intra et postopératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 11.03.2019. Je préconise une nouvelle IRM de l'épaule G pour localiser la tendinite calcifiante résiduelle. Par la suite on discutera des différentes options thérapeutiques, voire une éventuelle chirurgie pour ablation de la calcification. Je prie mon secrétariat de prendre contact avec le secrétariat du Dr. X, psychiatre, pour une évaluation et une prise en charge rapide de ce patient. Comme alternative, je lui remets l'adresse du centre de Bertigny. Avec l'accord du patient, j'envoie une copie de cette consultation à l'AI de Fribourg, avec la demande d'une réévaluation pour une reconversion professionnelle, ou au moins des stages d'orientation qui auraient un effet bénéfique sur la situation globale. Mr. Y souhaiterait également avoir un autre avis pour le traitement d'antalgie. Je propose au service d'antalgie de convoquer le patient pour évaluation et prise en charge. Prochain contrôle à distance. Je propose au patient une prise en charge chirurgicale avec réinsertion du sous-scapulaire et ténodèse du LCB. Je lui explique l'importance de ce tendon pour la fonction de l'épaule et sa dégénérescence assez rapide après traumatisme. Il s'agit pour clairement des suites de l'accident. Nous réservons une date opératoire. Le formulaire d'information et de consentement est rempli et signé. Il est en incapacité de travail pour une durée d'au moins 3 mois. Je propose donc une infiltration au niveau du sinus du tarse. Nous fixons ce geste et, 2 semaines après, un contrôle chez nous. Arrêt de travail à 40% jusqu'au prochain contrôle. Je propose un lavement avec une Frecaclyss, refusé par l'enfant. Donc mise sous Movicol et reçu un Micro-clyss en réserve pour la maison cette nuit. Je recommande à la patiente de l'ergothérapie et un traitement anti-inflammatoires. Je la revois pour un contrôle dans 6 semaines. Je remplis avec le patient le formulaire d'information et de consentement en vue d'une prise en charge chirurgicale pour refixation de l'arrachement osseux du sous-scapulaire, ténotomie, ténodèse du long chef du biceps. Une date opératoire est agendée dans les semaines à venir. Je remplis avec le patient le formulaire et le consentement éclairé en vue d'une cure de tunnel carpien G en ambulatoire. Le patient signe le consentement éclairé et une date est agendée. Je reprends l'IRM avec le patient pour lui expliquer la pathologie et je lui montre le tendon du sus-épineux intact. La contusion osseuse sur le tubercule majeur et le liquide dans la bourse sous-acromiale. Je prévois de refaire une infiltration et de continuer la physiothérapie. Il est clair que comme coffreur, il est en incapacité de travail. Infiltration agendée en mars. Je reste sceptique à l'association que fait la patiente entre la plaque et la gêne provoquée. Elle a été, entre temps, exempte de tout symptôme. Actuellement, on a vraiment une image de tendinite de Quervain. Je propose un traitement conservateur et une infiltration. Si par la suite on devait envisager une prise en charge chirurgicale pour la tendinite de Quervain, on pourrait rediscuter d'une ablation du matériel d'ostéosynthèse à ce moment-là. Je retiens l'indication pour une cure de tunnel carpien d'abord à droite, puis à gauche. J'informe la patiente du déroulement intra et postopératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour l'intervention du côté droit qui est prévue pour le 25.03.2019. Je revois Mr. Y juste pour discuter de questions assécurologiques vu l'arrêt des prestations de la SUVA à compter du 29.10.2018. Je dicterais un rapport à envoyer à la SUVA de Fribourg. Je suis obligée d'accepter la décision du patient même si j'aurais un tout petit espoir d'une réinsertion du sus-épineux. Par contre, en l'absence d'une gêne majeure, j'ai du mal à proposer un tel geste à tous prix. Je rends le patient attentif par contre qu'à mi ou long terme, une reconstruction capsulaire supérieure serait indiquée en cas de douleurs importantes. Il me recontactera en cas de péjoration. Je suis très réticent dans la situation actuelle de proposer une neurolyse du nerf cubital au coude G. Je propose tout d'abord une attitude expectative avec mise en place d'une coudière nocturne comme cela a été proposé par le Dr. X. Travailler la cicatrice avec mise en place de patchs de silicone au niveau de la main G. Je préconise un suivi ergothérapeutique. Je reverrai la patiente d'ici six semaines pour faire le point de la situation. Je suspecte chez Mme. Y une distorsion grade II du LLI, éventuellement associée à une lésion méniscale interne. Afin de clarifier la situation, une IRM est organisée. Je la revois le 20.02.2019 afin de discuter de la suite du traitement. D'ici-là poursuite de l'immobilisation dans l'attelle Jeans en extension, sous protection de cannes anglaises et thrombo-prophylaxie par Clexane 40 mg sous-cut./jour. Je suspecte chez Mme. Y une lésion du ménisque interne. Comme diagnostic différentiel, une lésion du ligament collatéral interne du genou D est retenue. Afin de préciser le diagnostic, une IRM est organisée. Je la revois suite à cet examen afin d'envisager la suite du traitement. Elle garde son attelle Jeans en place, cannes anglaises et va poursuivre la thromboprophylaxie par Clexane 40 mg sous-cut./jour. Un arrêt de travail n'est pas demandé, par contre une attestation notifiant son inaptitude à la conduite de son véhicule est demandée (télé-travail à domicile). Je suspecte chez Mme. Y une distorsion du ligament collatéral interne, éventuellement associée à une lésion du ménisque interne ou même du LCA. Je propose donc d'effectuer une IRM de son genou D et je revois la patiente suite à cette IRM afin d'envisager la suite du traitement. La patiente va porter la genouillère articulée. Prochain contrôle le 13.2.19. Je suspecte chez Mme. Y une lésion du LCA associée à une lésion du ménisque interne du genou G. Afin d'investiguer la situation, une IRM est organisée. Un contrôle à ma consultation est prévu suite à cet examen, afin d'envisager la suite du traitement. Poursuite de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au 10.02.2019. La thromboprophylaxie par Clexane 40 mg sous-cut./jour est poursuivie, ainsi que le port de l'orthèse et des cannes anglaises. Je suspecte chez Mme. Y une lésion du ligament collatéral interne associée à une lésion du ménisque interne type anse de seau vu l'extension qui n'est pas possible. Je propose d'effectuer une IRM native de son genou G. Je la reverrai après l'IRM pour discuter des résultats et des différentes options thérapeutiques. Incapacité de travail à 100 % jusqu'au prochain contrôle, soit le 08.02.2019. Elle continue à se déplacer à l'aide de cannes anglaises. Jeune patient de 23 ans qui présente un 2ème épisode de luxation de la rotule plusieurs années après le 1er épisode. Ce 1er épisode avait alors été associé à une lésion chondrale de la facette rotulienne interne de grade IV traitée conservativement. Au vu du délai entre les 2 épisodes de luxation et de l'évolution favorable entre ces épisodes, nous proposons au patient de débuter un traitement conservateur. Il est autorisé à enlever son attelle Velcro et à marcher en charge selon douleurs. Il débutera également un traitement en physiothérapie, axé sur la récupération des amplitudes articulaires et le renforcement musculaire (tonification du vaste interne). Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'arrêt de travail est prolongé à 100 % jusqu'au 01.03.2019. Il reprendra son activité professionnelle à 100 % dès le 02.03.2019. Jeune patient de 7 ans qui présente une déchirure du ligament croisé antérieur avec le moignon distal du ligament qui est retourné antérieurement et qui peut expliquer le déficit d'extension du patient. Au vu de l'âge du patient, nous lui proposons de débuter un traitement conservateur axé sur la récupération des amplitudes articulaires, renforcement musculaire dans l'axe, proprioception et gainage. Il est au courant qu'il doit éviter les activités de pivot pendant 1 mois au moins. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. Ce patient sera probablement candidat à une plastie de reconstruction du ligament croisé antérieur en fin de croissance. Jeune patiente de 9 ans qui présente un kyste de Baker au genou D pour lequel elle est très peu symptomatique. Nous expliquons à la patiente et à sa maman que cette lésion, fréquente chez les enfants, a de fortes chances de régresser spontanément. Dans ce contexte, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'office. En cas de douleurs, la patiente reprendra contact. J'explique à la maman l'intervention, les complications et les suites postopératoires avec un formulaire de consentement, qu'elle signe. J'explique à la patiente la nature de la fracture et les critères motivant une prise en charge chirurgicale. Elle accepte le traitement. Le formulaire d'information et de consentement est rempli et signé. Je prévois de l'opérer le lendemain sur le programme opératoire d'urgence. J'explique au patient et à sa maman la nécessité de la physiothérapie et de la difficulté en raison des douleurs. Traitement anti-inflammatoires avant la physiothérapie et poursuite de celle-ci. Prochain contrôle dans 6 semaines. J'explique au patient la nature des lésions. Je trouve que la fonction au-delà de l'horizontale est relativement bonne. Je propose un traitement par anti-inflammatoires, Novalgine et Dafalgan avec du Brufen en réserve. Le patient étant connu pour une hernie hiatale, des épigastralgies sous Pantozol. Physiothérapie et réévaluation dans 2 mois avec une IRM de l'épaule droite et une IRM cervicale. J'explique au patient l'intervention de l'arthrodèse tibio-astragalienne avec un formulaire de consentement qu'il signe finalement. L'intervention aura lieu fin mars 2019. J'explique au patient qu'il s'agit d'une lésion sévère pour un doigt. Je lui explique à nouveau toutes les structures qui ont été abîmées et réparées. Ergothérapie et physiothérapie pour mobilisation active et passive et rééducation sensitive. Poursuite de l'incapacité de travail. J'opte pour une prise en charge conservatrice. Je prolonge l'arrêt de travail jusqu'à fin février. Prochain contrôle dans 3 mois. Mr. Y est gardé hospitalisé pour antalgie dans un contexte de douleur testiculaire bilatérale avec majoration à droite. Sur le plan urologique, il présente des douleurs testiculaires, droite plus que gauche, par intermittence durant son séjour, avec crise douloureuse à 10/10 à 3 reprises comprenant une contraction du crémaster en alternance toutes les secondes (effet de vague au niveau du scrotum visualisé) sans clinique parlante pour une torsion ou autres atteintes uro-génitales. Il est revu par les chirurgiens avec un statut rassurant. L'antalgie en réserve permet de soulager les douleurs temporairement. Après avis auprès de Dr. X, une IRM prévue pour le 07.02 est avancée au 04.02 qui revient tout à fait normale. S'en suit une cystographie qui montre un kyste urétéral sans lien avec les douleurs et sans signe d'orchite chimique. Au vu de la persistance de la douleur malgré les examens effectués tout à fait rassurants, un autre avis est demandé par Dr. X aux urologues adultes du HFR et l'urologue pédiatre du CHUV, avec un diagnostic possible d'inflammation du nerf génito-fémoral avec une mise en place de traitement par Neurodol gel patch (test sur une journée). Diminution partielle de la douleur qui nous encourage à la sortie du jeune. Suite aux résultats rassurants, nous décidons d'un retour à domicile avec traitement par Neurodol gel patch 12h/jour durant 5 jours, Ibuprofen 400 mg 3x/jour en traitement journalier accompagné par du Toradol 10 mg max 3x/j et du Tramal 50 mg max 2x/j en réserve si forte douleur. Un contrôle est prévu le 12.02 aux urgences pédiatriques avec contrôle par Dr. X pour suivre l'évolution ce même jour. Mr. Y présente une bronchiolite modérée débutante, non oxygénodépendante et sans difficultés alimentaires, raison pour laquelle il rentre à domicile, avec un contrôle clinique d'office à 24 h à votre consultation. En cas de péjoration dans l'intervalle, il reviendra aux urgences. J'organise encore un IRM de la colonne lombaire. Je mets en place la physiothérapie dans le but de stabiliser l'épaule. Poursuite de l'incapacité de travail, prescrit par le médecin traitant, jusqu'au prochain contrôle dans 6 semaines. J'organise une IRM cervicale pour exclure une pathologie à ce niveau et un bilan ENMG à la recherche d'une lésion compressive. Mme. Y reste en surveillance neurologique suite à sa chute à haute cinétique. Sur le plan neurologique, les contrôles sont normaux durant son séjour et le statut neurologique dans la norme à la sortie. Elle s'alimente normalement sans nausées ou vomissements. Les diverses plaies sont stables et elle se mobilise librement. Dans ce contexte, Mme. Y rentre à domicile le 02.02.2019. Nous donnons aux parents les conseils de surveillance et les consignes de reconsultation en cas de péjoration. Jumper's knee D. Mr. Y est hospitalisé pour surveillance respiratoire car lors de sa surveillance monitorée aux urgences, il présente un épisode de serrement et de gêne respiratoire avec désaturation à 83% au scope, vu par la maman mais non documenté par l'infirmière, sans autre signe associé. La maman annonce l'épisode 30 minutes plus tard et à l'examen clinique Mr. Y est asymptomatique avec des contrôles en ordre, auscultation normale et luette toujours enflée. Au cours de son hospitalisation de moins de 24h, Mr. Y reste stable sur le plan hémodynamique sans nouvel épisode de difficultés respiratoires. Au vu de la symptomatologie, un diagnostic de gêne respiratoire sur possible irritation des voies respiratoires dans un contexte d'un effort soutenu au froid est retenu. Un diagnostic différentiel d'anaphylaxie, sans facteur déclenchant clair, est également évoqué, mais peu probable, raison pour laquelle il bénéficie d'une dose unique de prednisone 1mg/kg aux urgences. K effervette pendant 48 heures Suivi biologique. Mr. Y est admis dans le service le 16.02.2019 pour une photothérapie dans le cadre d'une hyperbilirubinémie néonatale. Au niveau métabolique, à l'entrée, il présente une bilirubinémie à 295 mmol/l, avec une limite posée à 260 pour prématurité. Il nécessite donc une photothérapie à 1 lampe du 16.02.2019 au 17.02.2019 avec une normalisation de la bilirubine par la suite (242 mmol/l le 18.02.2019). Le test de Coombs direct est négatif, il possède un groupe sanguin B+. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 18.02.2019 avec un contrôle par Bilicheck le 19.02.2019 (262 au Bilicheck le 18.02.2019). En cas de péjoration, nous conseillons un retour aux urgences pour de nouvelles mesures de la bilirubine sanguine. Kamillosan localement. Kamillosan solution. Kamilosan Bepanthène crème. Kélatite post-traumatique le 01.02.2019. Kélatite superficielle ophtalmique gauche le 01.02.2019. Kératocône œil droit opéré et gauche, évolutif. Mélanocytose nécrosée de l'œil droit. Mr. Y est hospitalisé pour surveillance à la suite d'un arrêt cardio-respiratoire à la suite d'une probable broncho-aspiration. Sur le plan hémodynamique, il reste stable durant son séjour sans nouvel épisode. Sur le plan respiratoire, il présente des signes de bronchite spastique péri-infectieuse, raison pour laquelle du Ventolin et de l'Atrovent sont réintroduits. Il nécessite de l'oxygène aux lunettes jusqu'au 05.02. Au vu de l'amélioration graduelle, nous n'effectuons pas de radiographie concernant la suspicion de broncho-aspiration qui ne montre pas d'infiltrats. Sur le plan infectieux, RSV revient positif au frottis naso-pharyngé. Il est fébrile jusqu'au 02.02. Au niveau digestif, son schéma habituel est repris dès le 01.02 avec bonne tolérance. Klinische Kontrolle. Klinische Kontrolle am 06.03.2019 um 13h00. Klinische und biologique Verlaufskontrolle am 09.02.2019. Klinische Verlaufskontrolle am 16.02.2019. Kniekontusion beiden Seiten, mit/bei : Knieprothese beidseits. Knieverletzung droite 2001. Décompensation de BPCO. Konakion. Konakion et Beriplex le 28.01.2019. Pause du Sintrom du 28.01.2019. Relais Héparine puis Clexane. Reprise du Sintrom prévue le 09.02.2019. Konservative Therapie. Kopfschmerzen, Husten. Kopfschmerzen und Rhinorrhée. Kopfschmerzen und Schulterschmerzen. Kopftrauma mit kurzzeitiger Amnesie. Koronare Kardiopathie. St.n. 4-fachem aortokoronarem Bypass. Echokardiographie 23.03.2016 : LVEF 45%. Linker Ventrikel non dilaté, non hypertrophié, avec akinesie de la paroi apicale, modérée hypokinesie de la paroi anteroseptale, minimale hypokinesie du septum moyen, de la paroi inférieure et de la paroi postérieure. Aortensklerose sans sténose significative. Minimale Aorteninsuffizienz. Minimale Mitralinsuffizienz. Minimale diastolische Dysfunktion. Linker Vorhof discret dilaté. Rechter Vorhof et Ventrikel normaux, pas de pulmonale hypertention. Kein Pleuraerguss. EKG normokarder Sinusrhythmus, QRS en Linkslage. T-Negativierung en I, II, aVL, T-Abflachung en III, aVF.• Kosultation beim Augenarzt im HFR-Fribourg • Kyan est admis dans le service de néonatologie le 13.02 pour une antibiothérapie intra-veineuse dans le cadre d'une infection urinaire haute. Au niveau infectieux, un bilan sanguin met en évidence un léger état inflammatoire. Des nitrites et des leucocytes lors du bilan urinaire motivent l'hospitalisation et la mise en place d'une antibiothérapie. Kyan est mis sous Amoxicilline et sous Gentamicine sur 3 jours, avec un dosage le 15.02. Après perte de voie veineuse, un relais per os est effectué par co-amoxicilline pour une durée totale de 10 jours. Il reste stable au niveau hémodynamique au cours de son séjour et ne présente pas d'état fébrile. Au niveau urologique, un ultrason des voies urinaires est réalisé et ne montre pas de dilatation pyélocalicielle des deux côtés. Au vu de l'évolution clinique favorable, Kyan rentre à domicile le 17.02 avec contrôle chez le pédiatre. • Kyste annexiel avec suivi gynécologique. Syndrome grippal le 13.10.2015. • Kyste arachnoïdien sous-tentoriel, découverte fortuite le 05.02.2019. • Kyste arthro-synovial, face dorsale du poignet G : • DD : kyste de la paroi veineuse (cf rapport angiologique du 25.1.19). • Kyste arthro-synovial face palmaire du poignet D. • Kyste arthrosynovial médial genou G. • Kyste au niveau du sinus du tarse G avec : • Status post excision le 22.09.2017. • Status post cure d'hallux valgus en 2013 par le Dr. X. • Kyste de Baker au niveau du creux poplité à D. • Kyste de Baker du genou droit. • Kyste de Baker genou D. • Kyste de Baker symptomatique genou droit. • Kyste de corps jaune hémorragique à gauche chez une patiente primigeste de 27 ans à 6 1/7 semaines d'aménorrhée. • Kyste de la glande Bartholin gauche surinfecté chez une patiente de 51 ans. • Kyste de la glande de Bartholin surinfecté gauche. • Kyste de la tête du pancréas de 20mm (en premier lieu IPMN de type main duct) • régression en taille (15mm) au CT du 07.05.2018 • pancréatite biologique le 02.10.15 non investiguée. • Cholécystolithiase. • Syndrome métabolique avec : • Hypertension artérielle • Diabète de type 2 insulino-requérant • Dyslipidémie • Obésité. • SAOS non appareillé. • Bradycardie sinusale, sans insuffisance chronotrope (test d'effort 08.2015). • Polyneuropathie périphérique. • Kyste de l'ovaire. • 2 syncopes en 2013. • Tachycardie sinusale, probablement dans le cadre d'une attaque de panique, DD Intoxication le 13.12.17. • Alcoolisation aiguë le 13.12.17. • Douleur thoracique d'origine indéterminée le 20.02.2017 et le 07.07.2018. • Douleurs loge rénale gauche d'origine indéterminée le 27.07.2018. • Tachycardie sinusale d'origine multifactorielle le 23.10.2018. • Déshydratation, stress, tabagisme, déconditionnement, consommation d'alcool à risque et cocaïne ; ultrason cardiaque ciblé (Dr. X) : pas d'épanchement péricardique, pas de dysfonction ventriculaire. • Kyste dermoïde au niveau du pli sous-fessier droit. • Kyste en regard de l'articulation trapézo-métacarpienne G. • Kyste multilobulé au niveau du FCR d'une taille de 20 à 12 mm. Tendinite sous épineuse et discrète arthrose de l'articulation acromio-claviculaire de l'épaule droite. Irritation du nerf cubital au coude gauche. • Kyste ovarien. • Kyste ovarien bilatéral symptomatique le 01/02/19. • Kyste ovarien droit il y a 4 ans. • 2012 interruption volontaire de grossesse médicamenteuse. • Infection vaginale à Gardnerella chez une patiente 1G-0P de 17 ans. • Gastrite. • Douleurs diffuses mal systématisées dans un contexte de stress multifactoriel. • Malaise de probable origine anxieuse. • Suspicion d'appendicite 02.10.2018 (DD : torsion ovarienne). • Anaphylaxie sur Relpax avec atteinte respiratoire, tuméfaction des muqueuses, sans atteinte cutanée, abdominale ou hypotension. • Kyste ovarien droit le 30.01.2019. • Kyste ovarien fonctionnel, uniloculaire, à droite, de 7 cm, symptomatique chez une patiente 2G 2P de 35 ans. • Kyste ovarien gauche. • Kyste ovarien gauche • Connu depuis 2013. • Kyste pancréatique • CT scan abdominal en ambulatoire le 22.08.2018 • IRM abdominal le 7.11.2018 : lésions évoquant en premier lieu des IPMN. • Kyste péri-anal • Coxarthrose bilatérale. • Kyste péri-anal • Coxarthrose bilatérale. • Kyste péri-aréolaire du quadrant supéro-externe du sein D. Exérèse sous anesthésie générale le 21.11.2014. • Amygdalectomie en 2003. • Kyste péri-rénal surinfecté gauche le 24.12.2018 • s/p drainage sous guidance CT le 24.12.2018 • s/p lombotomie gauche, évacuation de l'abcès et drainage le 26.12.2018 (drain retiré le 28.12.2018) • lésions iatrogènes de la plèvre gauche conduisant à un pneumothorax (drain thoracique du 26-28.12.2018) et du colon (suturée) • culture du liquide d'abcès péri-rénal gauche : Enterobacter aerogenes • antibiothérapie : ceftriaxone 24.12-26.12.2018, méropénème 26.12-31.12.2018, ciprofloxacine 31.12.2018-18.01.2019. • Kyste pied D. • DD : au dépend de l'articulation TMT, naviculo-cunéiforme. • Kyste radio-palmaire poignet G symptomatique. • Kyste rénal droit d'environ 10 cm. • Kyste sacro-coccygien en 2011. • Kyste sacro-coccygien le 03.02.2019. • Kyste sacro-coccygien le 07.06.2016. • Cystite en février 2015. • Eczéma de contact en 2013. • Hyperemesis gravidarum. • Kyste sacro-coccygien le 5 juillet 2013. • Primo-infection à CMV le 18.02.2016. • Fièvre récurrente, sudations, perte de poids et inappétence. • Multiples adénopathies supra et infra diaphragmatiques. • Cytolyse et cholestase concomitante (versus perturbation chronique des tests hépatiques). • Kyste sacro-coccygien surinfecté. • Kyste sacro-coccygien surinfecté le 19.02.2019. • Kyste sacro-coccygien opéré il y a 3 ans. • Kyste sacro-coccygien. • Panaris du 1er doigt de la main droite, avec inflammation catarrhale. • Kyste sébacé dorsal infecté (T4-T5 droit). • Kyste sous-mandibulaire gauche surinfecté le 04.06.2016. • Conjonctivite irritative bilatérale. • Kyste très probablement arthro-synovial CMC1 P1 à G symptomatique. • Kystectomie droite et ovariopexie droite par laparoscopie le 30.01.2019. • Analyse anatomo-pathologique de la pièce opératoire. • Kystectomie gauche et annexectomie droite par laparoscopie 2013. • Kystes de Baker bilatéraux. • Suspicion de thrombophlébite traitée par Fraxiparine pendant 8 jours en 2013. • Kystes mammaires bénins bilatéraux. • Surinfection actuelle sous surveillance (prochaine mammographie en juin 2019). • Adénocarcinome pulmonaire non à petites cellules du lobe supérieur droit, classé pT2a pN1 (1/7) M0 G2 R0 en 2009, traité par chirurgie et chimiothérapie adjuvante. Pas d'évidence de récidive (décembre 2018). • Adénocarcinome mucineux du segment apical du lobe inférieur droit classé pT1a pN0 (0/2) M0 G2 R0 en 2013, traité par chirurgie. En rémission complète (dernier contrôle en décembre 2018). • Ancien tabagisme à 25 UPA (stoppé en 2009). • BPCO. • Kystes ovariens. • Kystes ovariens. • Malaise avec perte de connaissance en avril 2018 sans étiologie cardiaque retenue. • Kystes ovariens. • Malaise avec perte de connaissance en avril 2018 sans étiologie cardiaque retenue.Kystes ovariens. Malaise avec perte de connaissance en avril 2018 sans étiologie cardiaque retenue. Kystes pancréatiques. Kystes para tubaires pédiculés bilatéraux. La PEJ est posée le 21.01.19, l'intervention se déroule sans complication. Le traitement par Duodopa est débuté dès le 21.01.19. L'évolution sous Duodopa est lentement favorable. On note une nette amélioration de la mobilité avec une augmentation de l'endurance à la marche avec un rollator (150 m contre 100 m le 18.01.19), qui est par ailleurs sécuritaire ainsi que les transferts. Concernant la réalisation des activités de la vie quotidienne, la patiente est autonome pour la prise des repas et pour se rendre aux toilettes durant la journée, elle parvient à effectuer une partie de la toilette de manière autonome (haut du corps) sous supervision et stimulation. La pompe de Duodopa sera gérée par les infirmières des soins à domicile ainsi que par les proches du patient (mari, filles). Concernant la médication, un traitement par Leponex à toute petite dose est introduit en raison de cauchemars nocturnes avec bon effet. Le Sifrol est stoppé ainsi que le Rivotril dont nous ne parvenons pas à retrouver l'indication. À signaler que les nuits restent tout de même difficiles, Mme Y nécessite d'être nursée régulièrement et sonne fréquemment (toutes les 2 h en début de séjour) pour se rendre aux toilettes (avec présence de faux besoin). La situation nocturne s'améliore légèrement après traitement d'une infection urinaire basse et introduction de Betmiga pour suspicion de vessie hyperactive. Sous ce traitement, la patiente nécessite de l'aide environ 2x/nuit pour se rendre aux toilettes. Après réalisation d'un colloque de famille, la situation semble gérable au domicile pour le mari de la patiente qui effectuera les soins durant la nuit. Concernant la nutrition, un nouveau bilan calorique est réalisé durant le séjour et montre une bonne couverture des besoins (127%), en l'absence de la nutrition entérale qui est donc stoppée. Le test de déglutition réalisé durant le séjour ne montre pas de trouble de déglutition avec l'épaississement des liquides et le régime mixé lisse. Un régime haché fin est également possible mais non introduit par convenance de la part de la patiente. Pour le domicile, le régime haché fin enrichi sera poursuivi avec l'adjonction d'un supplément nutritif oral par jour. Le poids sera pris régulièrement par les soins à domicile et un suivi nutritionnel poursuivi en ambulatoire. Le bilan radiologique effectué aux urgences ne met en évidence aucune lésion osseuse. Au vu de l'anamnèse typique et du statut clinique, nous retenons comme diagnostic une rupture partielle du tendon d'Achille gauche et immobilisons l'articulation de la cheville dans une attelle SplintPod avec décharge et prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg. Nous conseillons au patient de rappeler le lendemain le secrétariat de la policlinique d'orthopédie pour prendre un rendez-vous pour un contrôle clinique et éventuellement un examen radiologique pour visualiser la lésion et décider d'une prise en charge. Il peut rentrer à domicile avec une prescription pour des anti-inflammatoires à prendre pendant 5 jours, une antalgie simple de réserve et la prophylaxie antithrombotique, ainsi qu'un arrêt de travail d'une semaine. La cicatrice est toujours douloureuse. Nous prescrivons donc de l'ergothérapie pour désensibilisation/re-sensibilisation. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. La cicatrisation de la peau n'est pas terminée, ce qui est surtout lié à la tuméfaction présente. Nous expliquons à la patiente qu'il faut adapter ses activités quotidiennes et se reposer de manière régulière. Poursuite de changement de pansement aux 2-3 jours et désinfection à la Bétadine avec contrôle chez le médecin-traitant la semaine prochaine. La patiente est informée qu'elle doit nous contacter tout de suite en cas d'augmentation d'érythème ou en cas d'écoulement de la plaie. Prochain contrôle radio-clinique à notre consultation le 12.03.2019. La cicatrisation est favorable. Elle peut arrêter les pansements. Nous lui prescrivons une adaptation des chaussures ainsi qu'une confection de semelles avec une bande de déroulement et une décharge des têtes métatarsiennes 2-3. Nous la reverrons à 3 mois post-opératoires pour un contrôle clinique. La clinique de réadaptation n'a pas permis d'améliorer la fonction du pouce ainsi que de diminuer ces douleurs, l'ergothérapie de rééducation sensitive chez M. Y est restée vaine. Une infiltration test que nous avions effectuée en avril 2018 n'avait pas permis de diminuer également les douleurs qu'il ressent. Nous demandons à nos collègues du Centre de la douleur de l'Hôpital de l'Ile de bien vouloir convoquer le patient. Nous lui donnons aujourd'hui le questionnaire du Centre de la douleur qu'il remplira et apportera lors de la consultation. De notre côté, nous reverrons le patient le 24.06.2019 pour discuter avec lui des résultats du Centre de la douleur. La clinique est compatible avec un névrome de Morton. Le diagnostic différentiel comprend éventuellement une bursite. On propose à la patiente, dans un premier temps, une infiltration test à but diagnostique et pour soulager ses symptômes. On commence d'abord par le côté G, qui est le plus symptomatique. On reverra la patiente par la suite le 06.03.2019 pour discuter de l'efficacité de cette mesure et éventuellement discuter d'une infiltration du côté controlatéral. La clinique est rassurante, nous ne visualisons pas d'arthrose avancée. Nous proposons à la patiente des séances de physiothérapie à but de tonification musculaire, massage et des exercices de proprioception et de renforcement musculaire. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'office, mais restons à disposition en cas de besoin. La clinique est stable et la patiente arrive à fonctionner dans sa vie quotidienne et aussi professionnelle si elle fait attention à adapter l'activité à la clinique de ses épaules, ce qu'elle sait bien faire pour l'instant. Actuellement, nous ne prévoyons pas de nouvelle intervention chirurgicale (selon les douleurs capsulo-plastie supérieure). Nous reverrons la patiente à nouveau dans une année et dans l'intervalle, nous restons à disposition. La clinique et l'anamnèse sont suggestives d'une compression du nerf interosseux postérieur à l'arcade de Frohse à gauche. Je préconise un examen neurologique auprès du Dr. X puis un suivi chez moi. Prochain rendez-vous le 27.03.2019. La clinique et le bilan radiologique sont tout à fait compatibles avec le diagnostic de suspicion. On propose à la patiente une infiltration test qui aura lieu le 14.02.2019. Nous la reverrons deux semaines après le geste. Dans l'intervalle, on recommande à la patiente de poursuivre les exercices de stretching qu'elle effectue déjà pour son pied G. La clinique romande de réadaptation de La Chaux-de-Fond a récemment évalué le patient et lui a donné des indications concernant sa reprise de son activité sportive et professionnelle. Le patient a donc déjà commencé un parcours de réhabilitation avec physiothérapie et piscine. Il souhaiterait donc reprendre son travail à 100% au vu de son état clinique excellent, nous n'y voyons aucune contre-indication. Pas de prochain contrôle prévu à notre consultation mais nous restons à disposition si nécessaire. La consultation angiologique a pu exclure une thrombose veineuse, par contre elle a mis en évidence un éventuel kyste de la paroi de la veine. Comme diagnostic différentiel, il faut retenir un kyste arthro-synovial en regard de l'avant-bras G. Étant donné que le patient est absolument asymptomatique actuellement, une gêne chirurgicale n'est pas indiquée. Il me recontactera au besoin. La consultation du jour met en évidence un tableau clinique compatible avec un état dépressif sévère avec symptômes psychotiques. Il n'y a pas de plainte somatique actuellement qui justifie une hospitalisation en milieu somatique. L'examen clinique et les examens paracliniques sont rassurants. Nous profitons du passage de Mme. Y pour une évaluation psychiatrique par la Dr. X qui confirme le diagnostic retenu et propose une hospitalisation en milieu psychiatrique électif pour débuter une thérapie psychotrope. En effet, Mme. Y semble perturbée dans ses activités de la vie quotidienne depuis 2013, date depuis laquelle elle subit un conflit intrapsychique qui justifie selon nous une aide en milieu hospitalier. Elle nous fait part aussi d'abus sexuels répétés dont elle fut la victime dans son enfance et qui ont resurgi depuis cette époque. Mme. Y avait été hospitalisée en octobre 2017 pour un tableau clinique similaire et un suivi psychiatrique avait été recommandé. Actuellement, les hallucinations auditives et somesthésiques dont Mme. Y souffre sont critiquées et il n'y a pas d'idéation suicidaire. Une hospitalisation est donc prévue le 18.02.2019 au CSH de Marsens. D'un point de vue social, Mme. Y est bien entourée par son mari et ses deux filles. D'un point de vue somatique, les symptômes digestifs ont été investigués en 2017 par une gastroscopie mais une coloscopie ne semble pas avoir été refaite depuis 2011 alors que proposée. Un CT abdominal en août 2017 n'avait pas mis de lésion en évidence. Le laboratoire à notre disposition ne met pas d'anomalie à recontrôler hormis des signes d'hémoconcentration et un dosage de LDH supérieur à la norme. La fibromyalgie n'est pas actuellement décompensée et ne justifie pas l'intensification du traitement antalgique. Nous restons à disposition en cas de nécessité. La copie du résultat du dosage plasmatique de la tryptase sera envoyée au médecin traitant. La différence de longueur entre les deux os créant une incongruence articulaire au niveau de la radio cubitale distale pouvant entraîner les symptômes mentionnés par la patiente. Dans un premier temps, traitement anti-inflammatoire et stabilisation du poignet. Je revois la patiente dans deux mois. En fonction de l'évolution, on décidera de la suite de la prise en charge. La douleur en regard de la malléole interne peut être incriminée à l'ossicule et il est possible que cette douleur génère une marche non physiologique qui surcharge l'arrière-pied, générant la douleur secondaire. Au vu du CT et de l'IRM, il y a une atteinte de l'ossicule en regard de la malléole interne qu'il s'agit de réséquer par voie chirurgicale. En effet, l'ossicule génère un conflit avec le talus et une refixation ne permettrait pas une amélioration de la symptomatologie car elle ne ferait que maintenir voire renforcer ce conflit malléolo-astragalien. Intervention à réaliser en ambulatoire en collaboration avec le Dr. X. La Dr. X, psychiatre de liaison, a un entretien motivationnel avec le patient concernant sa consommation d'alcool. Il lui est conseillé un suivi avec le CCA en vue d'un sevrage alcoolique. Le patient est averti qu'au vu de son taux d'alcoolémie, il ne devrait pas conduire dans les prochaines 12h. Un arrêt de travail lui est donné. La fracture est consolidée mais le patient est limité dans la mobilisation raison pour laquelle nous proposons d'effectuer l'ablation du matériel d'ostéosynthèse (2 vis) et une ténolyse en ambulatoire. Après explication des risques et bénéfices, le patient signe le consentement éclairé à la consultation. Une date opératoire est agendée. La fracture que présente Mme. Y est une fracture stable, sans risque de déplacement. Traitement conservateur avec immobilisation par une bretelle en réserve et physiothérapie pour maintenance de la mobilité. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. La fracture sous-capitale du 5ème métacarpien est évocatrice d'une fracture, comme en sa forme, mettant un coup de poing. Ceci associé aux lésions au niveau du visage, la question a été clairement posée à la patiente si elle avait été mêlée à une altercation et si elle avait été battue par quelqu'un, ce que la patiente nie formellement et reconfirme l'histoire déjà racontée dans l'anamnèse. La guérison de la pseudarthrose est à 80%. Les douleurs qu'il rapporte actuellement sont dues soit à des douleurs articulaires soit par frottement de la plaque. Nous organisons donc une infiltration diagnostique. Nous le reverrons après ce geste pour discuter de la suite. Concernant l'AMO, celle-ci sera à discuter à une année post-opératoire (mars). La lésion est stable et le patient est asymptomatique. C'est pourquoi il est autorisé à porter ses chaussures de ville. Reprise du travail à 100% dès le 25.02.2019. Toutefois, nous lui recommandons de ne pas reprendre ses activités sportives avant 1 mois. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. La lésion présentée par le patient reste en diagnostic différentiel entre une réaction à piqûre d'insecte (peu probable, anamnèse pas dans ce sens), une infection fongique ou virale. La lésion est examinée par le Dr. X, de médecine interne, qui suspecte plutôt une infection fongique. Le patient est mis sous Pevaryl crème pendant 14 jours, avec indication de reconsulter si pas d'amélioration. Des photos sont prises par le Dr. X, qui en discutera avec le médecin chef demain et, si autre suspicion diagnostique, il rappellera le patient. Complément d'anamnèse : après discussion avec le Dr. X, nous retenons le diagnostic de dermatophytose. Le traitement débuté par Pevaryl ne passant pas bien la barrière cutanée plantaire est remplacé par de la terbinafine 250 mg 1x/jour pendant 1 mois. Suite chez le médecin traitant. La lésion visualisée à l'IRM se présente stable et la coiffe est intacte. Il s'agit d'une 1ère luxation et nous proposons de continuer le traitement conservateur avec la mobilisation progressive en physiothérapie surtout en regard de la raideur en rotation externe qui est actuellement présente. Renforcement selon protocole San Antonio progressif selon tolérance. Reprise du travail à 100% dès le 11.02.2019. Prochain contrôle clinique dans 6 à 8 semaines. La marche intra-articulaire est minime, ce n'est pas sûr qu'une ostéotomie de correction puisse grandement améliorer la situation. Le pour et le contre sont discutés longuement avec le patient. Comme le patient présente également de légères douleurs au niveau de la radio-ulnaire distale, un reste de douleurs peut persister même après une ostéotomie de correction. Nous nous décidons de ne pas effectuer celle-ci. Nous reverrons le patient d'ici 3 mois. La mère note seulement la douleur du genou, pas d'autre plaintes. Elle nous informe que, d'après elle, l'enfant a un comportement normal. L'examen clinique est rassurant. La radiographie du genou ne montre pas de lésion osseuse. Nous retenons une contusion simple du genou droit pour laquelle nous conseillons une antalgie simple et un contrôle chez le pédiatre. Fiche surveillance traumatismes crânio-cérébraux donnée à la mère. La mère refuse de faire un sondage. Vu le syndrome inflammatoire, l'urine avec une forte suspicion de pyélonéphrite, nous débutons quand même une antibiothérapie et envoyons les urines pour une uriculte. Contrôle chez le pédiatre dans 48h. La pathologie de la patiente est antérieure à l'accident et a probablement été réactivée par ce dernier. Nous proposons dans un premier temps un traitement conservateur avec physiothérapie pour hygiène posturale et stretching de la musculature abdominale. Néanmoins, en cas de péjoration de la symptomatologie, une infiltration foraminale C5-C6 G sous CT pourra être envisagée. La prise en charge définitive consisterait en une herniectomie C5-C6.Prochain contrôle dans 3 mois pour refaire le point. • La patiente allaitant actuellement son enfant, nous ne prescrivons pas de myorelaxant mais des antalgiques et anti-inflammatoires. Collerette mousse à visée antalgique pour 72h maximum. • La patiente consultera en cas de péjoration des symptômes ou de persistance des douleurs à 72h. Elle ne travaille pas avant mercredi 20.02.2019. • Le patient ne nous ayant pas apporté les images de son IRM, nous ne pouvons pas nous prononcer aujourd'hui sur les lésions objectivées ni lui proposer une prise en charge. Mme Y nous dit avoir une infiltration prévue lundi prochain par un anesthésiste, ce qui n'est pas contre-indiqué de notre point de vue. Au vu de la stabilité de la symptomatologie et des symptômes, nous ne voyons pas d'urgences à récupérer les images et reverrons donc la patiente prochainement à la consultation. Dans l'intervalle, prescription de séances de physiothérapie à but antalgique et hygiène posturale. • Le patient présente une irritation du nerf cubital, possible suite à l'utilisation d'un garrot en per opératoire. L'ENMG ne montre pas de lésion du nerf. La situation s'est améliorée sous le régime ergo-physiothérapeutique, par conséquent poursuite de ces séances. Attelle la nuit pour mettre les doigts en extension selon les douleurs. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 7 avril 2019. Prochain contrôle dans 3 mois. • Le patient se sent mieux. • La patiente a cessé de fumer il y a 1 semaine. • La patiente a encore une légère perte de mobilité principalement en pronation, celle-ci est explicable par l'arthrose au niveau de la radio-ulnaire distale ainsi que par la non congruence articulaire. La patiente présente également sur le cliché radiologique effectué en post opératoire un déplacement vers ulnaire de tout le carpe, avec le temps il est possible qu'elle développe une symptomatologie d'impaction ulnaire. Actuellement vu le peu de douleur, la mobilité somme toute acceptable, aucune autre opération ne peut lui être proposée. Si la situation devait se péjorer, nous pourrions effectuer une arthrodèse RSL. Si la patiente devait reprendre une activité professionnelle, celle-ci devrait être sans activité manuelle de force, sans port de charge de plus de 5 à 10 kg. • La patiente a noté une nette amélioration suite à la cure de tunnel carpien gauche. Elle est contente du résultat atteint. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'à la fin de la semaine avec une reprise du travail prévue à partir du 18.2.2019. En ce qui concerne le syndrome du tunnel carpien droit, la patiente veut encore attendre. Elle reprendra contact avec nous en automne pour discuter de la suite de la prise en charge. • La patiente a plusieurs problèmes de surcharge du membre supérieur D, la gêne la plus forte se situe à l'épaule. Pour cette raison, on prescrit de la physiothérapie avec schéma San Antonio. On organise également une infiltration sous-acromiale. On commence également un traitement pour les douleurs à la base du pouce avec un traitement par ergothérapie. • La patiente a rendez-vous le 28.02.2019 pour faire le constat de coup. Brochure LAVI donnée à la patiente. • La patiente a subi une entorse sévère de la cheville G en décembre. La fracture-arrachement du côté latéral peut être une nouvelle fracture car il persiste de fortes douleurs à la palpation DD ancien arrachement avec nouveau traumatisme. La cheville ne montre pas d'instabilité. Il faut poursuivre le traitement conservateur. On prescrit de la physiothérapie pour des exercices de stabilité et renforcement musculaire, traitement local par US. Nous la reverrons dans 6 semaines. • La patiente aimerait savoir si une nouvelle révision chirurgicale pourrait améliorer la situation, mon avis est qu'une telle opération ne peut être effectuée que si une infiltration test au niveau du nerf digital commun a été effectuée 3 fois avec une disparition totale des douleurs. Pour le moment, une telle infiltration n'a pas été effectuée. Ainsi poursuite de la thérapie au centre de la douleur par Dr. X, nous reverrons la patiente dans 3 mois. La patiente ne nécessite pas d'incapacité de travail vu qu'elle est actuellement sans emploi. • La patiente ayant remarqué une non péjoration de ses symptômes sous physiothérapie, nous prescrivons une nouvelle série de séances. La patiente rapporte avoir de meilleure amplitude articulaire grâce aux séances chez un ostéopathe, ce que nous encourageons à continuer. Nous prévoyons de revoir la patiente pour contrôle clinique dans 6 mois. • La patiente bénéficie aux urgences d'une anamnèse et d'un statut clinique ciblé. Au vu de la symptomatique et de la présence de contractures musculaires au statut, nous prescrivons à la patiente, durant son séjour aux urgences, un traitement de Voltaren 75 mg, Dafalgan 1 g et Sirdalud 2 mg. La patiente rapporte une amélioration au niveau de sa jambe avec diminution des douleurs. Elle rapporte cependant être encore un peu algique au niveau lombaire. Nous prescrivons à la patiente du Tramal en addition et lui proposons de suivre le traitement reçu aux urgences pour 3 jours. Nous lui conseillons de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour avoir un suivi de la symptomatique. Elle est invitée à se représenter aux urgences en cas de péjoration de la symptomatique. • La patiente bénéficie d'un examen clinique ciblé. Aux urgences, elle bénéficie d'un ECG qui revient dans la norme. Un laboratoire montre une ammoniémie à 135 µmol/L isolée asymptomatique, raison pour laquelle nous conseillons à la patiente de passer à une dose de 25 ml de Duphalac 3x/jour, la patiente en prenant actuellement 20 ml 3x/jour. Nous effectuons également une recherche de sang occulte dans les selles qui revient négative. La patiente a rendez-vous le 13.02.2019 au CHUV chez Dr. X gastro-entérologue pour une oesogastroduodénoscopie et gastroscopie. Une radiographie du thorax ne montre pas de signe de foyer ou de surcharge hydrique. Au vu d'une clinque rassurante et d'une absence de symptomatique, la patiente peut rentrer à domicile. • La patiente bénéficie d'un traitement par Atrovent 0,25 mg, Pulmicort 0,5 mg, Temesta 1 mg et Seretide 2x250 aux urgences sous supervision avec un bon effet. Nous donnons à la patiente des instructions par rapport à la procédure correcte de l'inhalation des aérosols Seretide et Ventolin. Nous majorons le traitement de Seretide 250 à 2-0-0-2 pendant 1 semaine. Nous retenons à cette dyspnée une origine surtout d'angoisse importante, possiblement également un syndrome obstructif réversible après aérosols. De plus, la patiente prend son Seretide de manière sous-optimale. La patiente sera revue par son médecin traitant fin de semaine prochaine avec adaptation de la posologie du Seretide, si nécessaire. • La patiente bénéficie d'un traitement par Augmentin i/v et Solumédrol 250mg i/v ainsi qu'une paracentèse avec pose d'un drain transtympanique et mise à plat des bulles séro-hémorragiques du tympan, avec évolution clinique favorable. En raison d'une panne de tout le système informatique de l'audiologie, l'audiogramme ne peut être réalisé lors de l'hospitalisation et sera effectué dès que possible en Policlinique ORL. La patiente sera revue pour contrôle le 22.09.2019. Les frottis de liquide de l'oreille moyenne sont en cours à la sortie.Retour à domicile le 23.02.2019. La patiente chute d'un trampoline le 05.02.2019 et se réceptionne avec le pied gauche en éversion et rotation. Elle ressent une vive douleur mais elle arrive à marcher dans un premier temps, puis se présente le 06.02.2019 aux urgences avec une impotence fonctionnelle. Le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. L'intervention se déroule sans complication le 06.02.2019 et les suites opératoires sont simples, sous une antalgie efficace. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la patiente ne présente aucun trouble neuro-vasculaire. La réfection du pansement montre une cicatrice calme et sèche. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en déroulant le pas, maximum 5 kg, sous protection d'un Vacoped et à l'aide de cannes anglaises, ceci pour 6 semaines post-opératoires. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera à poursuivre jusqu'au 21.03.2019 inclus. Devant la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 08.02.2019. La patiente décrit un épisode de vertige auto-limité en septembre, des acouphènes de temps en temps et le test de Weber est latéralisé et le test de Rinne est négatif bilatéral. Pour ces raisons, nous retenons un vertige d'origine probablement périphérique et conseillons à la patiente de consulter un médecin ORL. En attendant, nous conseillons un traitement symptomatique par Primpéran. La patiente doit rappeler pour prendre rendez-vous. La patiente est adressée à la consultation du Dr. X en raison de douleurs à la hanche gauche. Après un bilan radio-clinique montrant une coxarthrose, l'indication à une arthroplastie totale est retenue, raison de l'hospitalisation actuelle. L'intervention se déroule sans complication le 22.02.2019 et les suites opératoires sont simples, sous une antalgie efficace. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la patiente bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Le contrôle biologique montre une hémoglobine stable, avec une valeur à 100 g/l le 25.02.2019. Une prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg/jour est instaurée et sera à poursuivre durant 6 semaines post-opératoires. Le 26.02.2019, la patiente présente une tuméfaction du genou gauche, ainsi qu'une plaie du poignet gauche qui est également légèrement tuméfié, une radiographie du genou et du poignet gauche est effectuée, permettant d'exclure toute lésion traumatique. Au laboratoire, présence d'un syndrome inflammatoire mise sur le compte du contexte post-opératoire. La dernière valeur d'hémoglobine le 26.02.2019 est 92 g/l chez une patiente asymptomatique, ne nécessitant dès lors pas de transfusion. Vu la bonne évolution radio-clinique, Mme. Y quitte notre service le 27.02.2019, après organisation du passage des soins à domicile. La patiente est allée directement en consultation ophtalmologique, sans être vue par un médecin assistant pédiatrique. Traitement selon consilium ophtalmologique. La patiente est asymptomatique et on peut considérer cette tendinopathie du tibialis postérieur comme étant guérie. Fin du suivi. En cas d'évolution défavorable, elle nous recontactera. La patiente est hospitalisée pour suite de prise en charge. La patiente est informée de reconsulter si récidive accompagnée d'autres symptômes neurologiques. La patiente est maintenant au décours de cette pneumonie, rendant ainsi l'acte chirurgical possible. Nous planifions donc cette intervention au 05.03.2019. La patiente est plutôt demandeuse d'un traitement conservateur. Je préconise donc une infiltration sous-acromiale le 1.3.2019. Je reverrai la patiente le 27.3.2019. Prescription de Dafalgan et Irfen en cas de crise douloureuse. Pas d'arrêt de travail. La patiente est plutôt rassurante sur le plan clinique, mais au vu des comorbidités et de la sensibilité en loge rénale à la percussion, nous effectuons une analyse sanguine qui montre une leucocytose à 13.8 sans CRP (mais Prednisolone stoppée il y a 4 jours). Nous traitons donc une infection urinaire, tout en la mettant en garde sur les symptômes à surveiller et qui devraient la pousser à reconsulter. La patiente sent bien bouger son bébé, le prurit vaginal ne la gêne pas trop, elle prendra contact avec son gynécologue en début de semaine prochaine pour un contrôle. La patiente est plutôt rassurée sur le plan clinique, mais au vu du diabète et des quelques râles à l'auscultation, nous effectuons tout de même un laboratoire et une radiographie, qui sont rassurants. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec les conseils d'usage et poursuite du traitement symptomatique. Elle reconsultera si dyspnée, douleurs thoraciques, forte fièvre ou si persistance des symptômes. La patiente est rassurée par les examens radiologiques effectués. Elle ne souhaite pas d'antalgie. Nous lui recommandons de consulter son orthopédiste à l'Inselspital en cas de persistance des douleurs. La patiente est réévaluée sur le plan neurologique et montre une amélioration de la force aux 4 membres à M5, le reste du status est inchangé. Dans ce contexte, nous laissons la patiente rentrer à domicile. La patiente vivant seule à la maison, nous lui recommandons d'aller aujourd'hui et pour la nuit chez une personne de confiance afin qu'elle puisse être surveillée en cas de problème. Nous l'informons des symptômes et des éléments qui doivent la faire reconsulter en urgence et nous lui donnons la feuille d'instructions pour traumatisme crânien. Nous lui prescrivons un traitement antalgique par Paracétamol, Irfen et Tramal et un traitement anti-émétique par Primpéran en cas de nausées ou vomissements, ainsi qu'un arrêt de travail pour la journée. Nous lui recommandons de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. La patiente est revue ce jour pour des douleurs au niveau de la loge rénale à droite, avec suspicion de pyélonéphrite le 02.02.19. Un Uro CT et un US abdominal se sont avérés sans particularité, sous réserve de la non-injection de produit de contraste en raison de l'allergie de la patiente. Mme. Y relate une évolution moyennement favorable, avec une persistance des crises douloureuses au niveau de la loge rénale à droite et du flanc à droite. Cliniquement, elle présente encore de discrètes douleurs à la palpation de la loge rénale à droite. Au niveau biologique, nous ne retrouvons pas de syndrome inflammatoire. Les analyses urinaires ne montrent, par ailleurs, plus d'hématurie, et les cultures sont négatives. La patiente est vue par nos collègues de gynécologie, qui ne mettent pas en évidence de raison pouvant expliquer les douleurs de la patiente. Nous prenons avis auprès de la chirurgie, qui propose d'effectuer une IRM de l'abdomen devant ces douleurs inexpliquées. Les douleurs sont efficacement soulagées par de la morphine per os aux urgences. La patiente sera reconvoquée pour une IRM dès que possible, avec suivi en filière 34 par la suite. Les critères de reconsultation sont expliqués à la patiente. La patiente est satisfaite de l'intervention et n'est pas gênée par le matériel d'ostéosynthèse. De ce fait, nous ne proposons pas d'ablation. Au niveau du doigt à ressaut de son 3ème rayon et de son flexum au niveau du 4ème rayon, nous proposons des séances d'ergothérapie à visée antalgique et de maintien des amplitudes, la patiente n'étant pas vraiment gênée par ses diminutions d'amplitude. Pas de contrôle prévu à notre consultation mais restons à disposition au besoin.La patiente est stable du point de vue hémodynamique. Nous essayons d'arrêter la tachycardie en mettant de la glace sur les yeux selon avis du pédiatre de garde de Fribourg, mais ceci s'avère inefficace. Le Dr. X contacte les collègues néonatologues du CHUV, qui viennent avec la REGA et effectuent une cardioversion par adénosine. La patiente part avec la REGA vers le CHUV. La patiente est surtout gênée par le matériel. Elle souhaite l'ablation de celui-ci. Comme les fractures sont consolidées, nous pouvons faire cette intervention à 7 mois postopératoires. L'opération est prévue pour le 12.03.2019 en ambulatoire. On explique les risques et les bénéfices. Elle signe le consentement éclairé. La patiente est tout à fait satisfaite de l'évolution, elle n'a aucune gêne dans les activités de la vie quotidienne. Elle a stoppé d'elle-même les thérapies prescrites. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. La patiente est traitée symptomatiquement et est rapidement soulagée avec les lésions cutanées qui disparaissent suite à la prise de Tavegyl. La patiente alors regagne son domicile avec du Ceftrizine à prendre pour 3 jours. La patiente est vue par la stagiaire et le relais prévu par l'orthopédiste, qui n'arrive pas à venir voir la patiente avant qu'elle décide de partir avec ses parents. Vu la résolution complète des symptômes après une dose d'Algifor, nous proposons de recontrôler chez le pédiatre dans une semaine au cas de réapparition de symptômes. La patiente est vue par le Dr. X, chirurgien, qui considère les douleurs dans le cadre d'une adénite mésentérique et conseille de prescrire une antalgie simple. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. La patiente et son mari souhaitent encore terminer les 9 premières séances de physiothérapie avant de rediscuter d'une autre alternative thérapeutique. Nous ne retenons donc pas d'indication à une infiltration foraminale C4 D pour l'instant mais réévaluerons sa nécessité lors du prochain contrôle. La patiente glisse sur du verglas le 24.01.2019 et se présente aux urgences avec des douleurs et une impotence fonctionnelle de la cheville gauche. Le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic suscité pour lequel l'indication opératoire est retenue. Aux urgences, la luxation est réduite et une immobilisation par attelle jambière postérieure est mise en place. La patiente retourne à domicile dans l'attente d'un état cutané permettant la prise en charge chirurgicale. L'intervention, initialement prévue en mode ambulatoire, se déroule le 31.01.2019. En raison de l'heure tardive de la fin de l'intervention chez une patiente algique, celle-ci reste hospitalisée pour surveillance et traitement antalgique. L'évolution est favorable, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de remobilisation en charge touch down, sous protection de cannes anglaises et d'une botte de décharge. Les cicatrices, contrôlées à travers un pansement Comfeel étanche, sont propres et calmes. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée pour une durée de 6 semaines post-opératoires. Vu la bonne gestion de l'antalgie, la patiente peut retourner à domicile le 02.02.2019. La patiente glisse sur la glace et chute en se réceptionnant sur la hanche droite le 09.02.2019. Aux urgences, le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. L'intervention se déroule sans complication, le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la patiente bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge de 5 kg sur le membre inférieur droit, à l'aide de cannes anglaises. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Les douleurs sont bien gérées par l'antalgie standard habituelle. Le 12.02.2019, le contrôle biologique montre une diminution des plaquettes à 144 G/l, posant le diagnostic de thrombopénie induite par l'Héparine type 1. Le traitement par Clexane est stoppé, remplacé par Xarelto 10 mg/jour que la patiente poursuivra durant 6 semaines post-opératoires. Le 13.02.2019, face à la bonne évolution, la patiente peut retourner à domicile. La patiente glisse sur une plaque de verglas et chute sur le côté droit. Aux urgences, le bilan radio-clinique, complété par un scanner, permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, avec des douleurs bien contrôlées initialement par cathéter, puis par l'antalgie standard habituelle. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et la cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. La patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation active et active assistée de l'épaule. En outre, un gilet orthopédique est en place pour une durée de deux semaines. Le contrôle biologique montre une hémoglobine stable autour de 90 g/l, chez une patiente asymptomatique. Devant la bonne évolution, la patiente peut retourner à domicile le 13.02.2019. La patiente n'a pas encore bénéficié de séances de physiothérapie depuis l'accident. Nous lui prescrivons donc une série de 9 séances pour hygiène posturale et antalgie. Pas de contre-indication à une quelconque physiothérapie pour la rééducation suite à la fracture du péroné. Prochain contrôle radio-clinique dans 4 semaines. Nous attestons un arrêt de travail de 4 semaines pour son activité de barmaid. Poursuite de l'antalgie par paracétamol et prescription de Flector patchs. La patiente ne désire pas d'infiltration sous-acromiale. Elle préfère continuer la physiothérapie. Je suis d'accord avec cette attitude. J'ai prévu un contrôle intermédiaire à ma consultation dans deux mois. La patiente ne présentant plus de douleur au moment de la consultation, nous convenons d'un ultrason abdominal en radiologie en ambulatoire en raison de la suspicion de cholélithiase. La patiente nie avoir voulu attenter à ses jours et avoir pris du Zolpidem, mais son réseau (pharmacien, mari) montre une importante inquiétude quant à son état physique et moral. Le screening sanguin ne permet pas forcément de détecter le Zolpidem dans le sang, c'est pourquoi nous ne pouvons exclure la prise de Zolpidem même si niée par la patiente. Dans ce contexte, nous décidons, avec le Dr. X, psychiatre de liaison, de l'hospitaliser à Marsens sous PAFA en raison d'une mise en danger sous forme de tentamen médicamenteux et de négligence (ne s'alimente plus selon le mari). La patiente nous appellera pour nous donner la date des examens (IRM et ENMG) et prendra rendez-vous à ce moment-là. La patiente nous appellera pour prendre un rendez-vous. La patiente nous dit avoir bénéficié de 3 infiltrations épidurales qui l'ont beaucoup soulagée. Elle ne se sent pas encore prête pour une éventuelle intervention de décompression sur 2 voire 3 niveaux de L3-L4 à L5-S1 avec herniectomie L4-L5 par la G. Nous ne prévoyons donc pas de nouveau contrôle d'office mais restons à disposition une fois la patiente décidée pour l'intervention ou en cas d'apparition de nouveau déficit. À noter également une douleur à la provocation de la hanche G, à investiguer de manière plus poussée selon désir de la patiente. La patiente part avant la fin de la consultation. Nous essayons de l'appeler plusieurs fois, sans réponse. La patiente part contre avis médical, elle refuse la prise de sang et préfère aller chez son médecin traitant. La patiente peut commencer à marcher avec des semelles rigides, sans restriction. Il faut tout de même respecter la douleur. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois.Mme. Y peut enlever de plus en plus le gilet orthopédique et peut commencer la physiothérapie avec des mouvements pendulaires, flexion/abduction/élévation jusqu'à l'horizontal et rotation externe selon douleurs. Pas de charge pour 2 semaines. Nous la reverrons dans 4 semaines pour un contrôle radioclinique. Mme. Y prendra rendez-vous à votre consultation pour ablation des fils de suture à votre consultation à J5. En cas de récidive de perte de connaissance ou d'apparition de nouveaux symptômes, nous vous laissons le soin d'organiser au besoin des investigations complémentaires. En ce qui concerne les douleurs de l'épaule droite, ne pouvant exclure une entorse articulaire, nous avons prescrit 9 séances de physiothérapie. Nous avons proposé à Mme. Y de prendre rendez-vous à la consultation du Dr. X, chirurgien orthopédique, en cas de persistance des douleurs à 3 semaines. Mme. Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle radiologique à 6 semaines du traumatisme. Mme. Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle, selon évolution. Mme. Y présente à la clinique des douleurs thoraciques d'origine pariétale, et l'ECG revient dans la norme. Elle peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Mme. Y présente, à la clinique et à l'anamnèse, une réaction anaphylactique sans choc ni menace aux voies aériennes. Nous administrons Adrénaline IM 0.5mg, et gardons Mme. Y en surveillance aux urgences pendant 6h. Elle rentre à domicile avec un traitement par Prednisone 50mg par jour pendant 2 jours, Xyzal 1 cpr 2x/j pendant 2 jours, ensuite 1x/j pendant 3 jours, Epipen à domicile avec feuille d'instruction. Nous vous conseillons d'envisager une consultation allergologique précoce en ambulatoire. Nous effectuons un dosage de la triptase que vous recevrez en copie. Concernant l'otite, nous effectuons un switch de la Co-Amoxicilline par Clarithromycine. Au vu d'une bonne évolution sous surveillance, Mme. Y peut rentrer à domicile avec le traitement susmentionné. Mme. Y présente actuellement des douleurs non mécaniques au niveau paravertébral D, d'origine plutôt musculaire, pour lesquelles elle a bénéficié jusqu'à présent d'un traitement physique uniquement. Nous proposons de compléter le bilan par IRM lombaire afin d'exclure une éventuelle surcharge articulaire à D, pouvant justifier les douleurs unilatérales. Mme. Y présente clairement un syndrome d'impaction cubital du poignet gauche suite à une position assez courte du radius constitutionnelle. Pour ce problème, une ostéotomie de raccourcissement du cubitus pourrait être discutée. En ce qui concerne la suspicion de tunnel carpien et loge de Guyon, je vais faire bilanter Mme. Y auprès du Dr. X. Je reverrai Mme. Y suite à cet examen pour discuter des options thérapeutiques. Rendez-vous chez le Dr. X le 12.03.2019 à 10 h 00. Rendez-vous chez moi le 21.03.2019. Mme. Y présente cliniquement et anamnestiquement une conjonctivite bactérienne, que nous traitons selon les guidelines des urgences ophtalmologiques de l'HFR. Elle reconsultera en ophtalmologie si pas d'amélioration sous traitement. Mme. Y présente déjà une bonne évolution clinique avec des signes de consolidation de la fracture. Nous conseillons quand même à la maman de faire attention quand elle va jouer avec d'autres enfants. Nous la reverrons le 26.02.2019 pour un contrôle clinique. Mme. Y présente déjà une toux depuis 6 mois probablement dans le cadre de syndrome de GERD ou sinusite chronique. C'est pourquoi nous proposons d'augmenter la dose de Pantozol à 40 mg pendant 3-4 semaines, et faire un contrôle chez le médecin de famille dans un mois. Également, nous proposons de continuer les traitements symptomatiques de la sinusite chronique. L'examen clinique a exclu des bronchites. L'ECG et l'examen biologique ont exclu notre suspicion de crise cardiaque. Nous avons introduit le Pantozol et primpéran i.v à la permanence avec une bonne évolution. Mme. Y présente des douleurs abdominales du bas ventre sur fond douloureux chronique, multi-investiguées. Le bilan biologique réalisé ne montre pas de syndrome inflammatoire ou de trouble électrolytique. Les tests hépatiques sont alignés hormis une élévation de la bilirubine à 19.3µmol/l. Nous réalisons le dosage des lactates qui sont à 1.3mmol/l. Le scanner abdominal réalisé le 05.02.2019 n'a pas montré d'obstruction ni de masse à l'origine des douleurs. Mme. Y reçoit une antalgie par Dafalgan, Novalgine, Buscopan à son arrivée aux urgences. Nous réalisons un ECG qui montre un bloc de branche droit. Mme. Y ne présente par ailleurs pas de douleur rétrosternale. Le test de Schellong est négatif. Nous retenons un malaise vasovagal sur pic douloureux probable. Nous laissons Mme. Y rentrer à domicile, un contrôle clinique est prévu le 18.02.2019 à la filière des urgences ambulatoires. Un contrôle est prévu le 20.02.2019 chez son médecin traitant. Mme. Y présente des douleurs abdominales suite à la consommation de Codéine. Le bilan biologique montre une perturbation des tests hépatiques et une cholestase. Une échographie abdominale exclut une dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Au vu de la bonne évolution de Mme. Y, nous lui proposons un contrôle clinique et biologique à 48h. Mme. Y présente des douleurs d'une part en regard de la face antéro-latérale du bras et de l'avant-bras pouvant être compatibles avec une irritation radiculaire du territoire C5-C6 versus irritation périphérique du nerf radial. Nous organisons donc une IRM de la colonne cervicale à la recherche d'une éventuelle compression ou signe d'irritation des racines C5-C6. Poursuite des séances de physiothérapie en parallèle. Nous reverrons Mme. Y dans 6 à 8 semaines après l'IRM pour contrôle clinique. Mme. Y présente des douleurs thoraciques d'allure pariétale, et l'ECG revient normal. Elle rentre à domicile avec antalgie et réassurance. Mme. Y présente des fractures sévères du rayon Lisfranc à G sans subluxation. Les fractures présentent un risque important de déplacement. Nous décidons de poursuivre le traitement avec une immobilisation dans un Schlupfgips car la peau est très tuméfiée. Nous la reverrons le 28.02.2019 pour confectionner une botte plâtrée fermée et pour faire des radiographies en charge avec touch down pour voir s'il y a un déplacement secondaire des fractures. S'il n'y a pas de déplacement, nous poursuivons le traitement conservateur avec une immobilisation pour 8 semaines au total avec charge en touch down de 10-15 kg. Poursuite de la Clexane. Arrêt de travail jusqu'à fin avril 2019. Mme. Y présente des lombosciatalgies d'origine pluri-factorielle. Dans un premier temps, nous souhaitons évaluer une composante sacro-iliaque D qui pourrait justifier les douleurs lombaires et l'irradiation dans la jambe D. Nous organisons donc une infiltration de cette articulation à but diagnostic et thérapeutique. À noter qu'au vu de la spondylodèse L3-S1, la douleur crurale et sur le genou D pourrait être justifiée par une décompensation du segment L2-L3 avec éventuelle hernie discale à ce niveau. Si l'infiltration sacro-iliaque D ne devait pas se révéler satisfaisante, une myélographie fonctionnelle lombaire sera réalisée afin d'exclure une compression nerveuse ou une instabilité dynamique. Pour l'instant, nous n'instaurons pas de traitement pour les douleurs neuropathiques au vu du fait que la composante douloureuse semble plutôt être mécanique.Prochain contrôle suite à l'infiltration. Mme. Y présente des omalgies gauches depuis le début 2018, sans déclencheur particulier. Une IRM effectuée au mois d'août met en évidence une rupture transfixiante du sus-épineux avec une rétraction du IIème degré. Vu l'échec du traitement conservateur et la gêne ressentie par la patiente, le Dr. X retient l'indication opératoire. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, les douleurs sont bien gérées, initialement par cathéter interscalénique, puis par l'antalgie standard. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive en abduction/élévation 90°, rotations libres, pas de flexion forcée, ni d'extension brusque. En outre, elle portera un coussin d'abduction durant 6 semaines post-opératoires. Vu la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 15.02.2019. Mme. Y présente des signes de radiculopathie du segment adjacent à sa spondylodèse probablement. Nous organisons une myélographie avec scanner de la colonne lombaire et reverrons la patiente à la suite de cet examen. Mme. Y présente éventuellement un kyste au niveau de son poignet gauche au niveau de la tabatière. Actuellement celui-ci est oligo-symptomatique et nous ne posons pas l'indication pour une imagerie supplémentaire pour confirmer le diagnostic. Si la symptomatologie devait progresser, nous pourrions organiser une sonographie. Concernant le poignet droit, la patiente est absolument asymptomatique. Nous mettons ainsi un terme à la thérapie, nous n'avons pas prévu de revoir la patiente. Mme. Y présente probablement un petit conflit antérieur au pli de la plastie LCA pouvant évoquer le cyclope déjà mentionné. À terme, une arthroscopie pourrait lui être proposée. J'organise une IRM de contrôle et reverrai la patiente dans le courant du mois de mai. Mme. Y présente un axe des jambes inférieures légèrement en X, qui est tout à fait physiologique à son âge. Lorsqu'elle marche, cette situation s'aggrave car elle a des pieds plats et une antétorsion fémorale encore très haute. C'est pour cela qu'elle met souvent les jambes en dedans afin d'être plus stable. Pour l'instant, au vu de son âge, il ne faut rien faire mise à part la stimuler pour faire du sport. Je la reverrai dans 1 an. Mme. Y présente un choc anaphylactique après 4 minutes avec épigastralgie, dyspnée, toux sèche et érythème thoracique et visage. Stop médicament, adrénaline 300 ug im., remplissage rapide. Transfert à l'Inselspital à Berne pour IRM en urgence. Mme. Y présente un état grippal. Vu l'antécédent de thrombose veineuse cérébrale en mars 2018, traité par Xarelto pour 6 mois, nous considérons ses céphalées actuelles dans le contexte de l'état grippal mais lui expliquons de se présenter aux urgences en cas de péjoration des céphalées. Mme. Y présente un hématome sur la face interne du calcanéum pour lequel nous conseillons une surveillance simple. Contrôle chez le médecin traitant si nécessaire. Mme. Y présente un risque de thrombose veineuse profonde faible selon le score de Wells, mais les D-dimères reviennent positifs. Nous traitons la patiente par Clexane adaptée au poids et antalgie, et elle reviendra demain à 08H00 pour ultrason Doppler et contrôle à la filière des urgences ambulatoires. Mme. Y présente un syndrome de Wartenberg lié éventuellement au port de l'attelle pour le tunnel carpien. L'attelle a été enlevée et les symptômes persistent. Je préconise un avis spécialisé auprès du Dr. X, spécialiste du traitement antalgique à Bulle. Je le prie d'évaluer la nécessité d'une infiltration sous US. Je la reverrai le 1.4.2019. Mme. Y présente un syndrome douloureux de la fosse iliaque droite d'origine indéterminée. Les examens complémentaires permettent d'écarter une cause internistique ou chirurgicale. Nous proposons à la patiente un rendez-vous chez le gynécologue le lendemain au vu de l'évolution favorable des douleurs, et lundi chez son médecin traitant. Mme. Y présente un syndrome grippal d'origine virale, qui ne nécessite pas d'investigation ultérieure. Elle rentre à domicile avec traitement symptomatique et arrêt de travail. Mme. Y présente un syndrome grippal persistant depuis plus d'une semaine. En raison d'une auscultation douteuse en base droite, nous effectuons une radiographie du thorax qui se montre normale. Nous effectuons également un bilan biologique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Dans ce contexte, nous retenons une infection virale simple et nous lui proposons un traitement symptomatique. Les critères de reconsultation lui sont expliqués ainsi qu'à sa famille. Mme. Y présente une amélioration clinique des symptômes, avec moins de myalgies. Elle a présenté un état fébrile sur la nuit à 38.5°C qui a bien répondu au paracétamol. Le statut est inchangé par rapport à celui de la veille, notamment pas de dyspnée ni de déviation de la luette/tuméfaction du palais. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec poursuite du traitement antibiotique prévu pour un total de 7 jours et contrôle chez son médecin traitant à la fin des antibiotiques. Les hémocultures seront à pister et communiquées si positives. Mme. Y présente une arthrose sous-talienne symptomatique à D. Nous retenons l'indication à une arthrodèse. Après discussion avec la patiente, nous lui expliquons les risques et les bénéfices de ce geste. Elle reçoit également les informations concernant une alternative consistant en des infiltrations successives et un traitement conservateur. À ce stade, la patiente souhaite poursuivre les infiltrations et elle réfléchira quant à la qualité de vie qu'elle souhaite et si elle se décide pour une intervention. Elle reprendra contact avec nous. Mme. Y présente une contracture du muscle trapèze, dont l'étiologie est probablement liée à la toux. Nous la renvoyons à domicile avec le traitement susmentionné et conseillons au médecin de prévoir à distance une physiothérapie de renforcement musculaire dorsal. Mme. Y présente une double problématique, premièrement un hallux valgus qui est fortement symptomatique avec échec du traitement conservateur. Deuxièmement, des métatarsalgies de transfert sur un deuxième rayon qui est très long. Dans ce contexte, nous allons effectuer une cure chirurgicale consistant en une cure d'hallux valgus en mini-invasif mais également une ostéotomie selon Hohmann et avec une arthrodèse de l'articulation interphalangienne proximale du 2ème rayon par système Pip tree et un raccourcissement épibasale avec stabilisation par plaque au niveau de la base du 2ème métatarsien. La patiente reçoit les informations et signe le consentement éclairé. Intervention en ambulatoire. Mme. Y présente une dyspnée suite à l'introduction de Xarelto en raison d'une thrombose veineuse profonde. La patiente ne montre pas de signe d'insuffisance respiratoire et est cliniquement rassurante. Le bilan biologique ne montre pas de répercussion cardiaque. Nous décidons de ne pas réaliser d'angio-scanner thoracique à la recherche d'embolie pulmonaire devant l'absence de répercussion thérapeutique. Les doses de Xarelto sont augmentées aux doses standards. Mme. Y présente une évolution favorable à 3 semaines du traumatisme. On propose de poursuivre le traitement en rééducation axé sur le drainage, la récupération des amplitudes articulaires, l'étirement des chaînes postérieures, le renforcement musculaire, la proprioception et le gainage. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Reprise des activités professionnelles à 100% dès le 16.02.2019.La patiente présente une évolution favorable en post opératoire. Elle n'est pas fortement entravée au quotidien mais il lui manque de l'amplitude articulaire en abduction. Poursuite des séances de physiothérapie pour gain d'amplitude articulaire et consigne de solliciter plus fortement son épaule pour lui faire gagner en souplesse et en musculature. Prochain contrôle radioclinique dans 8 semaines. La patiente présente une évolution radioclinique tout à fait favorable. Il persiste néanmoins une diminution d'amplitude articulaire, notamment à la rotation interne. Nous prescrivons donc une nouvelle série de séances de physiothérapie pour récupérer les amplitudes articulaires et renforcer la coiffe. Nous reverrons la patiente dans 5 à 6 mois soit à 1 an postopératoire pour contrôle radioclinique. La patiente présente une fracture supracondylienne déplacée vers antérieur, subie suite à une chute. Actuellement, elle est immobilisée dans un plâtre BAB et ressent de plus en plus de douleurs. La patiente mentionne, comme elle ressent de plus en plus de douleurs, d'envisager notre proposition d'implantation d'une prothèse. Nous lui expliquons les risques et les gains d'une prise en charge chirurgicale, consistant à mettre en place une prothèse de coude à gauche. Le but principal est de diminuer clairement les douleurs et d'améliorer la mobilité à long terme. L'intervention est expliquée à l'aide d'un consentement que la patiente signe par la suite. L'intervention est agendée pour le 14.02.2019. La patiente présente une gonarthrose varisante à prédominance fémoro-tibiale interne et fémoro-patellaire devenant invalidante dans les activités de la vie quotidienne et ne répondant que partiellement au traitement conservateur. Nous discutons dans ce contexte des différentes options thérapeutiques, à savoir la poursuite du traitement conservateur par optimisation de l'antalgie et physiothérapie ou une prise en charge chirurgicale qui pourrait se faire soit sous forme d'une ostéotomie de valgisation du tibial proximal interne ou d'une prothèse uni-compartimentale fémoro-tibiale interne. En cas de prise en charge chirurgicale, nous nous dirigerions plutôt vers une prothèse uni-compartimentale fémoro-tibiale interne au vu de l'âge de la patiente et de sa demande fonctionnelle. La patiente est informée des risques et des bénéfices des deux techniques chirurgicales. Elle est au courant que dans les deux cas, une prise en charge chirurgicale permettrait d'améliorer la symptomatologie due à l'arthrose fémoro-tibiale interne mais pas de l'arthrose fémoro-patellaire. La patiente souhaite encore réfléchir. Prochain contrôle dans le courant du mois d'août 2019. La patiente présente une histoire et une clinique typiques d'infection des voies urinaires basses sans signe de gravité. Les sédiments sont pathologiques et confirment notre diagnostic. Nous lui prescrivons de la Furadantine caps 100 mg 2x par jour pendant 5 jours ainsi qu'une dispense d'école pour aujourd'hui et de sport jusqu'au 23.02.2019. La patiente n'a pas de médecin traitant (elle étudie à l'Ecole Hôtelière de Glion, elle vient de l'étranger), raison pour laquelle nous lui recommandons de consulter les urgences en cas d'apparition d'un état fébrile ou s'il n'y a pas d'amélioration clinique d'ici 48 heures. La patiente présente une lésion complète du sus-épineux et une lésion partielle du sous-épineux. Vu la typologie de la lésion et l'âge de la patiente, qui travaille comme paysagiste, nous proposons un traitement chirurgical par arthroscopie de l'épaule, ténotomie/ténodèse du LCB et suture du sus-épineux, avec, en cas de nécessité, la pose d'un patch du biceps ou d'une membrane. La patiente est informée des risques et bénéfices de l'intervention et signe le consentement éclairé à la consultation. En regard des douleurs au niveau de la nuque, sans trouble neuro-moteur au niveau des membres supérieurs et inférieurs avec des indurations importantes de la musculature para-cervicale, nous organisons encore une IRM cervicale avant l'opération. La patiente présente une nette amélioration clinique suite au traitement par Prednisone. Selon les critères de House-Brackmann, la paralysie devient de sévérité 2. Nous décidons de garder le schéma de Prednisone instauré lors de la précédente consultation. La demande pour l'ENMG a été acceptée, mais le secrétariat est fermé lors de la consultation de la patiente. La patiente sera convoquée par le secrétariat de neurologie, mais si elle ne reçoit pas de convocation d'ici demain, elle va les appeler. La patiente présente une polyarthrose digitale avec un foyer actif au niveau de l'IPP du digit III. Pour l'instant, nous proposons un traitement en rhumatologie pour diminuer les fréquences et les intensités des douleurs qui arrivent de manière ondulée. Les solutions chirurgicales (implantation prothèse IPP versus arthrodèse) en regard d'une pauvre mobilité sont à discuter après l'instauration d'un traitement correct en rhumatologie. Nous prions donc notre service de rhumatologie de convoquer la patiente pour une évaluation et suite de la prise en charge. Nous ne planifions pas de consultation d'office mais restons à disposition. La patiente présente une réaction de type urticarienne sans trigger identifié à l'anamnèse. Au vu des épisodes répétés, et à la demande de la patiente, nous vous proposons de rediscuter un bilan allergologique à distance. La patiente présente une récidive de sciatalgies droites non déficitaires, que nous traitons par antalgie et palier 1 (plus palier 2 en réserve), AINS, myorelaxants et repos fonctionnel. Une physiothérapie sera à envisager dès que la phase aiguë sera résolue. La patiente consultera chez le médecin traitant s'il n'y a pas d'amélioration clinique d'ici la fin du traitement. La patiente présente une récidive de TSV, probablement sur décharge sympathique sur anxiété et dans le contexte post-interventionnel. Les manœuvres vagales sont inefficaces, et la stimulation par massage du sinus carotidien aussi. Nous administrons un protocole de 2 injections d'adénosine, qui permet un retour en sinusal pendant quelques secondes, mais la TSV recommence. Nous gardons la patiente en surveillance en administrant un comprimé de 50 mg de Metoprolol retard. Après quelques heures de sommeil, un nouvel ECG montre un rythme sinusal avec BAV 1° isolé. Elle peut rentrer à domicile avec réassurance, et nous rapporte qu'elle appellera son cardiologue demain pour plus de renseignements. Nous lui rappelons de consulter les urgences à nouveau si récidive des palpitations. La patiente présente une rupture traumatique du sus-épineux sur les parties antérieures alors typiquement l'endroit de rupture. Pour le moment, elle ne se qualifie sûrement pas pour une chirurgie vu les douleurs. Je conseille l'ablation de toute contention, notamment du gilet orthopédique et initiation d'une mobilisation de l'épaule. Celle-ci se fera en physiothérapie. À mi- voire long terme, une réinsertion du sus-épineux sera discutée. Jusque là, physiothérapie pour récupérer les amplitudes articulaires. J'ai programmé un contrôle chez moi le 14.3.2019 pour refaire le point. La patiente présente une situation complexe avec un défilé thoracique connu depuis des années, bilané en septembre 2018 au CHUV avec la conclusion que la symptomatologie prédominante est du côté neurologique. Par conséquent, une consultation chez le Dr X a permis d'exclure une récidive du tunnel carpien bilatéral. De plus, la patiente présente une récidive d'une tendinite de De Quervain à droite. Dans cette situation, nous souhaitons une évaluation neurologique globale avec examen des deux membres supérieurs complets par ENMG par le Dr X. De plus, nous demandons un ultrason pour la 1ère coulisse avec, en cas de présence de signes inflammatoires, l'infiltration écho-guidée. Nous prescrivons également de la physiothérapie pour l'hygiène posturale et le positionnement des omoplates en rapport avec le défilé thoracique. Pour compléter le bilan neurologique, nous demandons également une IRM cervicale. Prochain rendez-vous après l'examen chez le Dr X. Arrêt de travail à 50 % du 04.02. au 07.04.2019.Mme. Y présente une tendinite de l'insertion du tendon du biceps distal avec une exostose secondaire suite au processus inflammatoire. Dans un 1er temps, nous proposons un traitement conservateur plutôt que chirurgical en raison des multiples risques, surtout neurovasculaires ainsi qu'une longue période de récupération due à la nécessité du détachement du tendon bicipital. Également traitement par Novalgine (en regard d'un ulcère gastrique pas de AINS). Mesure anti-inflammatoire en physiothérapie et infiltration dans la couche entre l'ostéophyte et les tissus mous autour. Nous prions nos collègues du service d'antalgie de convoquer Mme. Y pour évaluation et effectuer les infiltrations mentionnées précédemment. Prochain contrôle dans 3 mois. Mme. Y présente une virose respiratoire simple, ce qui est bien confirmé par les résultats de laboratoire. Elle rentre à domicile avec traitement symptomatique et repos fonctionnel. Mme. Y rapporte avoir bénéficié de physiothérapie pour remobilisation et effectue 30 escaliers par jour. L'évolution est globalement favorable. Au vu de nos constats, nous ne proposons pas de traitement spécifique ni de suivi. Nous restons bien évidemment à disposition en cas de nouvelle chute ou récidive de la symptomatologie. Mme. Y rapporte bien supporter les douleurs qui ne l'importunent que de manière très modérée au quotidien. Elle n'est pour l'heure pas très demandeuse d'une prise en charge chirurgicale, même vertébroplastie simple. Au vu de son statut clinique rassurant et de la stabilité de son tassement sur le plan radiologique, nous prévoyons donc un contrôle radio-clinique dans 4 semaines. Dans l'intervalle, prescription de physiothérapie qui avait bien aidé Mme. Y auparavant. Mme. Y rapporte un bénéfice des séances de physiothérapie et un bénéfice partiel de l'infiltration acromio-claviculaire à droite et un bénéfice total de l'infiltration acromio-claviculaire à gauche. Nous proposons donc une poursuite des séances de physiothérapie et agendons une nouvelle infiltration à droite. Contrôle clinique 2 mois après l'infiltration. Mme. Y rapporte une évolution favorable sous traitement conservateur de physiothérapie et antalgie médicamenteuse. Mme. Y ne présentant pas de péjoration nouvelle, nous ne proposons pas de geste pour le moment. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition en cas de péjoration de la symptomatologie sous ce traitement. Mme. Y rapporte une mauvaise évolution de son infection du pouce, avec ce jour un panaris collecté. Après avis orthopédique, nous procédons à une ablation de l'ongle avec extériorisation d'une bonne quantité de pus au niveau de la pulpe et des cuticules. Mme. Y reçoit un bon pour de la physiothérapie pour renforcement musculaire et mobilisation. Elle reçoit un arrêt de travail à 100% jusqu'au 17.02.2019 en raison du fait qu'elle est femme de ménage. Par la suite à 50% jusqu'au 03.03.2019 avec reprise de travail à 100% dès le 04.03.2019. J'ai conseillé à Mme. Y un contrôle auprès du team rachis à Fribourg. Elle se charge de prendre le rendez-vous. Mme. Y récupère après la surveillance aux urgences sur la nuit. Elle est suivie par son psychiatre avec un rendez-vous planifié pour le 20.02.2019 afin de discuter d'une hospitalisation. Au moment de la réévaluation le matin, Mme. Y ne souhaite pas d'hospitalisation dans un contexte psychiatrique. Vu sa capacité de discernement préservée et un manque d'idées noires, nous laissons Mme. Y retourner à domicile. Nous exigeons que Mme. Y respecte son rendez-vous avec son psychiatre. Mme. Y rentre à domicile avec une adaptation de son traitement. Elle sera revue le 05.02 à la filière des urgences ambulatoires pour le retour des résultats de la recherche H. Pylori. Mme. Y présente des douleurs suite à un contexte émotionnel stressant avec une interruption thérapeutique de grossesse pour hypoplasie du cœur droit et de l'artère pulmonaire à 22 4/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 5G2P en octobre 2018. Mme. Y rentre au home après exclusion d'une fracture du genou gauche et exclusion d'un saignement intracrânien au CT cérébral. Mme. Y répond bien au traitement donné aux urgences. Nous laissons Mme. Y rentrer à domicile avec un traitement antalgique simple. Mme. Y reprendra contact Mme. Y reste très symptomatique dû à la lésion de la corne postérieure du ménisque interne. Je propose alors une arthroscopie du genou gauche, résection partielle de la corne postérieure du ménisque interne, +/- suture de celui-ci en fonction de la lésion. Mme. Y est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci et elle nous donne son accord oral et signé. L'intervention est prévue en ambulatoire pour le 4.2.2019. Mme. Y sera encore vue par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mme. Y se plaint d'une hypoesthésie douloureuse avec sensation de brûlures la réveillant durant la nuit, accompagnées de douleurs mécaniques au niveau des articulations sacro-iliaques ddc. Au vu du fait qu'elle refuse actuellement tout traitement par infiltration, nous lui proposons l'instauration de Neurontin 300mg pour 30 jours puis la reverrons pour faire le point. Selon l'évolution, nous discuterons à ce moment-là d'une éventuelle infiltration sacro-iliaque bilatérale, vu la persistance des douleurs mécaniques. Mme. Y se présente pour des douleurs évocatrices de lithiase urinaire. Elle ne présente pas de fièvre, de frissons ou d'autres arguments pour un urosepsis. Le bilan biologique ne montre pas de symptôme inflammatoire et les urines sont propres. Les douleurs sont efficacement gérées par une antalgie simple. Le scanner confirme une urolithiase simple de 3mm, non obstructive. Au vu de l'absence de critère de gravité, et après discussion avec Mme. Y, nous convenons d'un traitement ambulatoire. Par ailleurs, le scanner montre une progression de l'épanchement pulmonaire à droite. Mme. Y se plaint d'une dyspnée en discrète progression sur les derniers jours, mais dit être relativement peu gênée par la symptomatologie. Après discussion avec Mme. Y, nous lui proposons d'avancer son rendez-vous en oncologie au CHUV. Mme. Y sera contactée demain matin pour une prise en charge au bloc opératoire. Retour à Marsens en ambulance. Mme. Y sera convoquée au CHUV pour une ablation du flutter atrial. Rendez-vous auprès du Dr. X le 14.03.19 à 11h00. Contrôle thyroïdien à effectuer. Mme. Y sera convoquée au service d'antalgie dès que possible. Mme. Y sera convoquée en gynécologie pour suite de prise en charge. Mme. Y sera convoquée en radiologie (Dr. X) pour transmission des résultats et organisation de la suite. Mme. Y sera convoquée pour une IRM dès que possible. Mme. Y sera ensuite suivie, comme prévu, à la consultation du Dr. X, à deux semaines post-opératoires. Elle continuera la physiothérapie comme déjà prescrit. Mme. Y sera revue à la consultation de Dr. X, policlinique d'orthopédie, à 6 semaines du traumatisme.Administration unique de Digoxine le 01.03.2019 et suivi biologique régulier. Concernant le problème hépatique, Mme. Y sera revue à votre consultation comme prévu pour contrôle et suite de la prise en charge après sa sortie de l'hôpital. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X pour suite de la prise en charge orthopédique, notamment ablation des fils à 15 jours post-opératoires. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X le 19.03.2019 pour discussion d'une arthroplastie du genou droit. La patiente sera revue à votre consultation le 15.02.2019 pour contrôle et ablation des fils. La patiente sera revue à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 7 jours. Nous vous laissons le soin de recontrôler la valeur de calcémie. La patiente sera revue en consultation de contrôle chez le Dr. X. Alimentation lisse et froide pour 2 semaines. Pas d'eau dans les oreilles jusqu'à fermeture des tympans. La patiente sera revue le 04.02.2019 pour discuter de la suite de la prise en charge, à savoir si une chirurgie est nécessaire ou non. La patiente sera vue en consultation chez le Dr. X le 12.03.19. La patiente souffre de douleurs ainsi que de luxations récidivantes de la prothèse totale de hanche D ainsi que des douleurs au niveau de la hanche G. Cette symptomatologie survient environ 10 ans après implantation de la PTH D. Cela nous fait penser à un problème aigu et non à un problème de technique de l'implantation. Nous suspectons un arrachement des abducteurs, cependant, nous ne pouvons pas le confirmer clairement à l'IRM. En plus, nous ne pouvons pas exclure une possible infection low-grade, raison pour laquelle, la patiente va bénéficier d'une ponction diagnostique de la PTH D, prévue le 28.02.2019 ainsi que d'une prise de sang avec tous les paramètres (FSC, Vitesse de sédimentation, Procalcitonine, Interleukin-6). Après réception des résultats de la ponction ainsi que de la prise de sang, nous allons décider du procédé ultérieur. La patiente souffre depuis longtemps de douleur au niveau de sa hanche gauche. Nous posons l'indication opératoire à l'implantation d'une prothèse de hanche G, l'intervention prévue le 20.02.2019. Auparavant, la patiente se rendra en consultation d'anesthésie pour un bilan pré-opératoire (14.02.2019). Nous expliquons à la patiente le déroulement, les risques ainsi que les bénéfices de l'opération et elle nous donne son accord en signant le formulaire de consentement éclairé. La patiente est sous Xarelto 10 mg en raison d'un status post-embolie pulmonaire, qui sera remplacé par de la Clexane 40 mg/1x jour s.c. dès demain et ce jusqu'à la veille de l'intervention (les soins à domicile sont organisés pour les injections). La patiente va effectuer une prise de sang le matin de l'intervention afin de procéder à un bilan de coagulation. En postopératoire, elle se rendra à l'Hôpital de Billens pour une rééducation musculo-squelettique pendant 14 jours. La patiente souffre d'un pied plano valgus modéré, réductible sur les pointes et une souplesse des chevilles ddc. On prescrit des séances de physiothérapie pour exercices de stabilité et renforcement musculaire. La maman peut également apprendre à faire du tapping de la cheville, qu'elle peut mettre lors des activités sportives. On a prescrit également des semelles sur mesure. On la reverra dans 2 mois. La patiente souhaite se faire suivre à notre consultation, raison pour laquelle nous souhaiterions nous procurer le protocole opératoire de 2017 de la part du Dr. X qui l'a opérée pour une hernie discale cervicale C4-C5. Par ailleurs, au vu des images IRM, nous discutons avec la patiente de l'éventualité probable d'une prise en charge chirurgicale. Un trouble de signal au niveau de la moëlle en regard de C4-C5 nous fait suspecter une myélopathie, raison pour laquelle nous adressons la patiente au Neurocentre pour un bilan neurologique à la recherche d'une myélopathie. D'autre part, nous organisons un scanner cervical pour évaluer l'état de consolidation après la cure de hernie et la mise en place d'une cage en C4-C5. Introduction d'une antalgie avec Dafalgan, mise en place d'un traitement avec Lyrica 25 mg le soir pour les douleurs nocturnes de la patiente ainsi que du Mydocalm 150 mg le soir. La patiente sera revue après ces examens. La patiente souhaite une prise en charge chirurgicale en raison de l'intensité des douleurs. Je lui propose une trapézectomie et plastie de suspension. Je remplis le formulaire d'information et de consentement avec la patiente qui le signe par la suite. Une date opératoire est agendée. La patiente travaille comme infirmière à domicile, raison pour laquelle un arrêt de travail est prolongé à 100% jusqu'au 17.03.2019 puis, reprise à 50% à partir du 18.03.2019. Prescription de physiothérapie pour mise progressive à la marche en charge totale avec mobilisation libre et regain des amplitudes articulaires et travail de la proprioception. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. La patiente va appeler son ophtalmologue demain pour prendre rendez-vous. La patiente va continuer son traitement de physiothérapie déjà prescrit et la suite du traitement se fera avec son médecin opérateur. La patiente va débuter la mobilisation libre en physiothérapie. Ablation de l'attelle ce jour. Arrêt de l'antibiothérapie. Prochain contrôle clinique le 05.03.2019. La patiente est informée qu'en cas de rougeur ou autres signes inflammatoires, elle doit se présenter immédiatement aux urgences. La place du traitement conservateur dans cette symptomatologie multi-factorielle est gentiment arrivée à terme et, sur le plan orthopédique, il est légitime de proposer une prothèse totale du genou D même si fondamentalement l'amélioration post-opératoire reste encore assez aléatoire. Je me base surtout sur la durée du traitement conservateur effectué à ce jour ainsi que les images radiologiques pour justifier la prise en charge chirurgicale. La patiente sera convoquée pour le mois de mai 2019. Je la reverrai encore après la consultation en anesthésie. La présentation évoque un kyste arthrosynovial au dépend de l'articulation TMT. Nous organisons une IRM pour préciser l'origine de la lésion et ses rapports topographiques locaux. Nous le reverrons suite à l'examen. La présentation initiale du patient avec des douleurs rétrosternales avec irradiation dans le dos et un état hypertensif important nous motive d'effectuer un scanner thoraco-abdominal pour un Triple-Rule-Out qui nous démontre le diagnostic susmentionné. Le patient bénéficie d'une mise en place d'un drain thoracique. Il est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour la suite de la prise en charge. La prise de sang est rassurante sans syndrome inflammatoire. Le bilan hépato-pancréatique est par ailleurs sans particularité. Le sédiment urinaire montre des leucocytes incomptables. Au vu de la situation, nous retenons comme diagnostic une infection urinaire simple. La patiente rentre à domicile avec un traitement par Furadantine. Concernant les douleurs abdominales chroniques, nous laissons le soin au médecin traitant de poser l'indication pour des investigations supplémentaires. La problématique au niveau du pied D se situe au niveau de l'interphalangienne proximale et nécessiterait de sacrifier cette articulation en réalisant une arthrodèse avec Pip tree. Au vu du jeune âge de la patiente, nous proposons plutôt un traitement conservateur avec un appui sous-diaphysaire. La patiente et sa mère acceptent d'essayer le traitement conservateur et reprendront contact avec nous en cas de péjoration des symptômes. La proposition à plusieurs reprises d'une hospitalisation dans notre service était clairement refusée de la part de la patiente. La pseudarthrose de l'olécrane a mené à une arthrose traumatique secondaire et à un enraidissement capsulaire antérieur de la patiente empêchant l'extension. Comme je l'ai déjà décrit lors de la consultation précédente, la seule solution chirurgicale serait la mise en place d'une prothèse du coude avec capsulolyse et arthrolyse antérieure ainsi que ré-ostéosynthèse de l'olécrane. Il s'agit d'une opération très lourde avec un taux de complication très haut et quasi irresponsable. Vu que la patiente arrive à fonctionner dans sa vie quotidienne, je déconseille un tel geste. La patiente est contente de mes explications. Elle ne souhaite pas d'attitude chirurgicale. Pas de mesure particulière de ma part. Je me tiens toutefois à disposition. • La radio de contrôle ne montre pas de sub-luxation de la rotule à 30-60-90° de flexion. • La radio du jour montre une bonne évolution osseuse. • La radio du jour montre une fracture non déplacée sans atteinte des ligaments CC. • La radio du jour ne montre pas de déplacement secondaire de la fracture. • La radiographie ainsi que le CT-scan de la hanche permettent d'exclure une fracture. Mme. Y rentre à domicile avec les conseils et la prise en charge sus-mentionnée. Suivi chez l'orthopédiste traitant si persistance des symptômes, ou aux urgences si apparition de nouveaux symptômes. • La radiographie de contrôle du jour met en évidence la présence d'un cal osseux et nous ne retrouvons pas de déplacement secondaire. • La radiographie de contrôle montre la tête de l'humérus en bonne position. Au vu de la facilité de reluxation pendant l'analgosédation, nous recommandons à la palpation une immobilisation dans un gilet 24h sur 24. Mme. Y sera convoquée pour une IRM en ambulatoire et elle sera revue par le team membre supérieur après l'IRM. • La radiographie de contrôle ne met pas en évidence de déplacement de la fracture du deuxième métatarsien et met en évidence la présence de cal osseux. • La radiographie de la cheville droite exclut une fracture. Mr. Y peut rentrer à domicile avec attelle Aircast sans Clexane (charge partielle possible même si douloureuse), protocole RICE et contrôle en policlinique d'orthopédie dans 7 jours. • La radiographie de la clavicule montre une guérison de la fracture avec un cal bien développé. En ce qui concerne la fracture au niveau du doigt, on ne retient pas l'indication de faire une radiographie de contrôle étant donné qu'il s'agit d'une fracture stable sans risque de déplacement. • La radiographie de l'abdomen montre la lame de rasoir dans l'angle hépatique, les cure-pipes dans l'angle splénique. Nous demandons l'avis du Dr. X, chirurgien, et nous programmons un contrôle clinique et radiologique vendredi. Mr. Y doit reconsulter si apparition de symptômes. • La radiographie de l'épaule droite face neer montre un acromion Bigliani type III et une calcification en regard du labrum. • La radiographie de l'épaule montre une fracture de la grande tubérosité de l'humérus gauche. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste, et nous effectuons un CT-scan de l'épaule gauche qui montre que la fracture est légèrement déplacée. Nous mettons en place un gilet orthopédique. La suite a été réévaluée au colloque du 26.02.2019 et un traitement conservateur a été décidé, avec un contrôle en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. • La radiographie de l'épaule montre une fracture de la grande tubérosité et du col chirurgical de l'humérus droit. Nous prenons l'avis du Dr. X, orthopédiste, et nous effectuons un CT-scan de l'épaule qui montre une fracture multifragmentaire de la grande tubérosité et du col chirurgical de l'humérus droit. Mr. Y doit rester à jeun depuis 2h00 et il sera recontacté demain matin pour programmer l'opération. Un gilet orthopédique a été mis en place dans l'attente de l'opération. Le consentement éclairé a été signé et est dans le dossier. Mr. Y a été vu par l'anesthésiste aux urgences. • La radiographie demandée par le médecin traitant montre une fracture au niveau du col de métacarpe peu déplacée. • La radiographie du coude droit ne montre pas de fracture. Mr. Y rentre à domicile avec une bretelle, une prescription pour une antalgie ainsi qu'un arrêt de sport. Un rendez-vous pour un contrôle dans une semaine chez la pédiatre sera à organiser. • La radiographie du coude ne montre pas de fracture du coude évidente, mais nous notons un fat pad sur la partie antérieure de l'extrémité distale de l'humérus. Nous demandons l'avis de l'orthopédiste de garde, le Dr. X, qui conseille la réalisation d'un pansement écossais, un traitement antalgique et de faire revenir Mr. Y le lendemain pour prise en charge au bloc opératoire. • La radiographie du coude ne montre pas de lésion osseuse traumatique. Le bilan sanguin montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, léger syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 13.4 G/l, CRP < 5 mg/l. Nous retenons une bursite inflammatoire du coude droit. Nous mettons en place une attelle brachio-antébrachiale postérieure plâtrée. La radiographie post-plâtre est en ordre. Mr. Y peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie standard par Dafalgan et AINS. Il sera vu à 48h en policlinique d'orthopédie. • La radiographie du genou ne montre pas de fracture. Nous suspectons une lésion du ligament latéro-interne du genou droit. Une attelle Jeans à 0° a été mise en place, avec des cannes anglaises. Mme. Y doit prendre un rendez-vous à la consultation du Dr. X, orthopédiste, dans 1 semaine. • La radiographie du genou ne trouve pas de fracture mais met en évidence une exostose d'allure bénigne au niveau de la tête du péroné. Nous retenons une possible lésion du ménisque interne du genou gauche pour laquelle nous proposons l'immobilisation dans une attelle Jeans et conseillons à Mr. Y de marcher avec des cannes anglaises. Nous recommandons une prophylaxie antithrombotique. Mr. Y prendra rendez-vous chez le Dr. X pour un contrôle par la suite. • La radiographie du jour montre pas de déplacement secondaire de la fracture qui a une apparence de consolidation. • La radiographie du jour montre la consolidation de la fracture. • La radiographie du jour montre la formation d'un cal osseux sans déplacement secondaire au niveau de la fracture. • La radiographie du jour montre une bonne consolidation des fractures. • La radiographie du jour montre une bonne guérison osseuse. • La radiographie du jour montre une bonne guérison osseuse. • La radiographie du jour montre une bonne guérison osseuse. • La radiographie du jour montre une consolidation de la fracture. • La radiographie du jour ne montre pas de cal, ni de déplacement secondaire. • La radiographie du jour ne montre pas de changement par rapport à celle de juin 2018. Nous remarquons une ostéolyse autour de la vis céphalique mais sans progression à la sortie de celle-ci par rapport à la radio précédente. • La radiographie du jour ne montre pas de déplacement secondaire. • La radiographie du pied met en évidence une fracture comminutive de la phalange proximale du 4ème orteil pour laquelle nous conseillons un traitement conservateur par syndactylie et marche selon douleurs avec des chaussures à semelles rigides. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. • La radiographie du poignet droit montre une fracture non déplacée de l'extrémité distale du radius droit. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste, et un plâtre antébrachial fendu a été fait. La radiographie de contrôle post-plâtre est sans particularité. Contrôle en policlinique à faire dans une semaine. De l'antalgie par Algifor a été prescrite et un certificat d'arrêt du sport pour 1 mois a été fait. Contrôle dans 1 semaine en policlinique d'orthopédie.La radiographie du poignet et les symptômes du patient parlent pour une possible arthrodèse ou conflit articulaire de l'articulation radio-métacarpienne. Pour cela, nous envisageons un contrôle chez un orthopédiste qui est prévu le 19.03.2019. Mr. Y ne nécessite pas d'arrêt de travail. La radiographie du poignet montre une fracture de l'extrémité distale du radius droit, avec déplacement postérieur, ce qui est confirmé par un CT-scan. Avec l'aide du Dr. X, orthopédiste, nous réduisons la fracture et mettons en place un plâtre antébrachial fendu. Le patient reviendra en consultation en policlinique d'orthopédie dans 7 jours. Nous prescrivons des antalgiques. La radiographie du pouce gauche ne montre pas de lésion osseuse. Nous mettons en place une attelle Softcast et prescrivons une antalgie simple. La maman de la patiente prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans 10 jours. La radiographie du pouce ne met pas en évidence de lésion osseuse. Après anesthésie en bague, nous explorons la plaie et notons une lésion partielle du long tendon extenseur pour laquelle le Dr. X met en place 3 points de suture avec Vicryl 3.0 et après réalise une suture de la peau par 7 points de suture avec Prolène 4.0. Le patient reçoit une dose unique de Zinacef et le pouce est immobilisé dans une attelle. Il sera revu le 28.02.2019 pour un contrôle en policlinique d'orthopédie. La radiographie du sacrum montre une fracture du coccyx non déplacée. La radiographie du thorax ne montre pas de fracture costale ni de pneumothorax. La tension artérielle se normalise avec la gestion des douleurs par la prise de Dafalgan 1 g et Voltaren 75 mg. Nous retenons le diagnostic de fissure costale probablement au niveau costal antérieur gauche, que nous traitons symptomatiquement avec des antalgiques et de la physiothérapie respiratoire en ambulatoire. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique à 5 jours. La radiographie effectuée ce jour est sans particularité. La radiographie effectuée ce jour montre la présence d'un cal. La radiographie effectuée ce jour montre la présence d'un cal et l'absence de déplacement secondaire. La radiographie met en évidence une fracture de Pouteau Colles du poignet gauche pour laquelle le Dr. X conseille l'immobilisation dans un plâtre brachio-antébrachial fendu et la patiente sera recontactée pour une réduction ouverte. La radiographie met en évidence une hémarthrose probablement dans le contexte d'une lésion osseuse moins évidente sur la radiographie. Le Dr. X, orthopédiste, conseille un traitement conservateur par une attelle plâtrée postérieure BAB. Contrôle en policlinique d'orthopédie. La radiographie met un doute sur une fracture du cuboïde. Nous demandons l'avis de la Dr. X et complétons par un CT-scanner (rapport oral du radiologue de garde, le Dr. X) qui montre une atteinte de Lisfranc et Chopart avec un arrachement au niveau de calcanéum et une fracture non déplacée du cuboïde à gauche. Nous mettons en place une attelle jambière postérieure avec un traitement par antalgie, AINS et Clexane ainsi que des cannes. Le patient prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans une semaine. La radiographie montre un enfoncement au niveau de la tête radiale. Nous prenons l'avis du Dr. X, orthopédiste, et retenons une fracture au niveau de la tête radiale et mettons une attelle plâtrée postérieure brachio-antébrachiale (poignet libre). Antalgie AINS et contrôle le 15.02.2019 à la consultation orthopédique du Dr. X. Arrêt de travail. La radiographie montre une fracture métaphysaire du radius droit peu déplacée (Bois Vert) et une fracture métaphysaire du cubitus droit, non déplacée, que nous traitons avec un plâtre brachio-antébrachial pour 6 semaines. Un contrôle radioclinique est prévu à la consultation du Dr. X, orthopédiste, à 1 semaine de distance. La radiographie ne montre pas de fracture de côte en évidence ni de signe de complications selon le Dr. X, radiologue, et dans ce contexte, nous retenons un diagnostic de contusion thoracique droite sur traumatisme. Au vu de l'absence de douleurs en hypochondre droit, nous ne réalisons pas de bilan des tests hépatiques. Dans ce contexte, le patient rentre à domicile avec une antalgie simple par Brufen et Dafalgan et un arrêt de travail du 04.02 au 05.02.2019. Nous lui proposons de reconsulter son médecin traitant au besoin. La radiographie ne montre pas d'atteinte osseuse. Nous réalisons une désinfection bétadinée, un champage stérile, un rinçage, une exploration sans structure noble visualisée, 3 points simples à l'Ethilon 4-0 et un pansement Adaptic avec une attelle digitale métallique. Un contrôle à la policlinique d'orthopédie est organisé le 28.02.2019. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des points dans 7 à 10 jours. Nous effectuons un rappel anti-tétanique avec un arrêt de travail jusqu'à la date de son prochain contrôle et une antalgie simple à réévaluer. La radiographie ne montre pas de corps étranger. Tétanos à jour. Désinfection par Bétadine, champage stérile. Rinçage au NaCl 0.9%, exploration de la plaie. Suture par 3 points d'Ethilon 4.0. AINS et antalgie au besoin. Réfection du pansement à 48 heures chez le médecin traitant. Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. La radiographie ne montre pas de déplacements secondaires mais la formation d'un cal osseux. La radiographie ne montre pas de fracture, et nous concluons à une contusion du genou gauche au niveau patellaire. Il peut rentrer à domicile avec AINS et antalgie, arrêt de travail et il prendra un rendez-vous à la consultation du Dr. X, orthopédiste. La radiographie ne montre pas de fracture mais, excroissance osseuse tibiale postérieure d'origine inconnue et minime épanchement articulaire. Nous suspectons une lésion méniscale externe et une entorse du compartiment interne et mettons en place une attelle Jeans à 30°, Clexane, protocole RICE et antalgie. La patiente rentre à domicile avec un rendez-vous en policlinique d'orthopédie à la fin de cette semaine. La radiographie ne montre pas de fracture ni de pneumothorax. La patiente rentre à domicile avec une antalgie et prendra rendez-vous chez son médecin traitant dans une semaine. En cas de péjoration, elle reconsultera les urgences. Elle ne souhaite pas d'arrêt de travail, elle est infirmière. La radiographie ne montre pas de fracture. Nous retrouvons des douleurs à la palpation du ligament latéral externe et à la pointe de la malléole externe de la cheville gauche, pour lesquelles nous retenons le diagnostic d'entorse de grade 1 du ligament latéral externe de la cheville gauche. Nous prescrivons une contention légère par bande élastique ainsi qu'une antalgie et un traitement anti-inflammatoire par Dafalgan 1 g 4x/jour et Irfen 400 mg 3x/jour pour 3 jours. Nous mettons le patient en arrêt de travail pour une semaine étant donné son métier. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en cas de non-amélioration à 7 jours.La radiographie ne trouve pas de lésion osseuse. Vu que le patient n'arrive pas à charger son pied à cause des douleurs, nous mettons en place une attelle plâtrée postérieure avec thromboprophylaxie par Clexane et contrôle en policlinique d'orthopédie dans une semaine. La radiographie permet d'exclure une fracture. Nous retenons une entorse de la cheville gauche de stade II et mettons en place un traitement avec une attelle Aircast. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle dans une semaine. La radiographie du poignet et de la main droite est sans particularité, décrite ci-dessus. Nous prenons l'avis du Dr. X, du service d'orthopédie, qui préconise le port d'une attelle poignet palmaire à but antalgique. Antalgie par Algifor. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires à 7 jours, arrêt du sport. La rééducation doit viser principalement maintenant un renforcement des stabilisateurs de l'omoplate avec récupération des amplitudes articulaires. Poursuite de l'incapacité de travail de 80%. Prochain contrôle chez moi le 15.4.2019. La reverse Hill-Sachs est de petite taille et ne devrait pas engager. Je recommande tout de même au patient d'éviter les rotations internes maximales. Physiothérapie avec proprioception et renforcement musculaire. Incapacité de travail jusqu'au 30.03.2019 avec reprise selon évolution. Pas d'activité à risque jusque-là. La RX faite aux urgences ne montre pas de signe de fracture. La situation actuelle ne nécessite plus de suivi mais nous expliquons bien au patient de nous rappeler s'il devait remarquer une altération de la symptomatologie avec une récidive des douleurs. La situation actuelle nécessite un nouveau bilan radiologique ainsi qu'électrophysiologique. L'indication pour une discectomie et mise en place d'une cage C3-C4 gauche est claire en raison de la discopathie avancée et du rétrécissement foraminal C3-C4 gauche qui pourrait être responsable de la douleur au niveau de l'épaule gauche. L'évolution défavorable de la sensibilité semble être le symptôme le plus gênant pour le patient et l'empêche d'avoir une qualité de vie optimale, cette dernière doit donc être investiguée par un nouveau bilan électrophysiologique et neurologique. Nous organisons une nouvelle IRM de contrôle et un rendez-vous au Neurocentre. Dès que nous aurons tous les résultats, nous reverrons le patient pour discuter de la suite de la prise en charge. La situation, au niveau de la main, commence à se stabiliser et pour l'instant, nous ne voyons pas d'indication pour effectuer une injection par Botulinum toxine. Sur le plan socio-professionnel, le patient a été annoncé d'effectuer une expertise par l'AI. Pour l'instant, il n'a pas encore été convoqué. Nous sommes d'avis que cette expertise doit avoir lieu au plus vite et qu'une prise en charge totale doit être mise en place en tenant compte de la problématique de la colonne lombaire dans l'évaluation. Du point de vue de la main, un travail sans port de charge lourd, sans mouvement à répétition, sans exposition au froid serait mieux. La combinaison avec la problématique lombaire est par contre difficile et doit être évaluée en totalité. En accord avec le patient, nous envoyons une copie à l'AI, que nous prions de convoquer le patient au plus vite. Prochain contrôle clinique dans 4 mois. La situation de la tendinite du tendon du péronier s'est calmée avec une immobilisation dans une chaussette Soft Cast durant 4 semaines. Je propose au patient de reprendre le sport à l'école, progressivement. Dans un premier temps, nous le soulageons avec une chevillère. Si cela se passe bien, sans douleur ressentie au sport, il pourra reprendre le football également. Si les douleurs reviennent, la maman doit tout de suite réagir et appliquer de la pommade Voltarène localement. Pour l'instant, je ne fixe pas de prochain rendez-vous mais reste à disposition. Si la situation réapparaît, il faudrait peut-être voir une fois avec le service d'antalgie. La situation est stable au niveau de cette infection de PTH G traitée par antibiothérapie suppressive, avec un patient asymptomatique au niveau de sa hanche. Nous proposons un suivi annuel. L'antibiothérapie suppressive est à poursuivre à vie. La situation est stable. Nous poursuivons l'observation avec un contrôle annuel. S'il ressent une péjoration de la situation, il nous contactera. La situation est stagnante et le patient reste algique, raison pour laquelle nous proposons de nouveau une infiltration sous-acromiale à droite. Par la suite, physiothérapie pour les exercices musculaires et réglage. La situation évolue tout de même. Je lui recommande de continuer les exercices et de contrôler fin avril début mai pour suivre l'évolution. La situation me semble stabilisée. Je pense que, dans son activité de peintre en bâtiment, il ne peut pas travailler à plus de 50%. Il ne me semblerait pas raisonnable, vu les capacités linguistiques, d'envisager une autre profession à son âge. Je ne prévois pas de le revoir, mais je reste à disposition. La situation 4 mois postopératoire sur le plan des douleurs n'est pas satisfaisante, surtout au niveau de la pulpe en regard de la pauvre couverture des tissus mous sur l'os. Au niveau de la IPP, on constate une amélioration de la situation. Comme discuté en préopératoire avec la famille et le patient, étant donné le résultat non satisfaisant, il faut envisager l'amputation soit du P3 soit du 4ème rayon complet. Nous déconseillons de prendre une décision finale maintenant puisque nous n'en sommes qu'à 4 mois postopératoire, sachant que les températures froides influencent de manière négative la situation. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 30.05.2019. Prochain contrôle radioclinique le 27.05.2019. La substitution se poursuit avec 5600 UI / semaine. La symptomatologie actuelle du patient évoque plusieurs problèmes. Les troubles de la marche sont dus à des douleurs au niveau de la hanche gauche vraisemblablement sur une coxarthrose avancée. L'examen clinique montre des chaînes postérieures raccourcies influant également sur la statique et la façon de marcher du patient. Ces problèmes semblent être l'origine principale des plaintes et des douleurs du patient. Nous souhaiterions donc que le team hanche convoque le patient pour une évaluation. Dans l'intervalle, prescription de physiothérapie pour étirement des chaînes postérieures et renforcement musculaire. Nous restons à disposition si besoin. La symptomatologie douloureuse de la patiente au niveau de la hanche droite est en aggravation avec une raideur complète à la clinique et une arthrose avancée radiologiquement. Dès lors, nous posons l'indication pour une prise en charge chirurgicale avec mise en place d'une prothèse totale de hanche à droite. À gauche, la situation est encore acceptable avec une bonne mobilité de la hanche. Nous pré-réservons d'ores et déjà une date opératoire pour le 25.04.2019 et la patiente se rendra encore en consultation avec le Dr. X pour finaliser la planification de cette intervention le 12.03.2019. La symptomatologie du patient entre parfaitement dans le cadre de cette malformation vertébrale et dégénérescence discale. Nous lui proposons dans un premier temps un traitement conservateur avec repos, antalgie par Co-Dafalgan et Irfen ainsi que physiothérapie pour relâchement, stretching et fango. La prise en charge définitive serait une discectomie complète L5-S1 avec mise en place d'une cage. Il est déjà informé des risques et des avantages de cette procédure. Prochain contrôle clinique dans 1 mois pour faire le point et planifier une éventuelle prise en charge chirurgicale. Dans l'intervalle, il demandera un 2ème avis.La symptomatologie du patient est compatible avec l'imagerie visualisée. Au vu du bénéfice du traitement conservateur, poursuite de celui-ci avec séances de physiothérapie comportant hygiène posturale et stretching de la musculature abdominale. Nous lui conseillons également de pratiquer la natation plutôt que le ski et s'il est possible, d'acheter un ballon pour s'asseoir lorsqu'il travaille au bureau. Prescription d'antalgie de palier I, pas de cortisone étant donné le traitement récent par le Dr X. Prochain contrôle dans 6 semaines pour réévaluation clinique pour fin de traitement VS prise en charge chirurgicale si péjoration. Nous expliquons déjà au patient qu'au vu de sa discopathie L5-S1, une prise en charge chirurgicale consisterait soit en une herniectomie simple, soit en une discectomie totale et mise en place de cages. La symptomatologie gênant actuellement le plus la patiente est ce Trigger point para-cervical G irradiant dans le bras G. Au vu de nos constatations cliniques et radiologiques, nous complétons donc les investigations par une IRM de la colonne cervicale, à la recherche de signe de conflit radiculaire ou compression. Dans l'intervalle, prescription d'antalgie dont patchs de Emla. Physiothérapie pour hygiène posturale et antalgie. La patiente est informée que ces traitements risquent de n'avoir un bénéfice que partiel. Prochain contrôle suite à l'IRM. La symptomatologie ne correspond pas à un territoire nerveux bien délimité. J'ai cliniquement la forte suspicion pour une compression du nerf interosseux postérieur à l'arcade de Frohse pour expliquer les douleurs ressenties à l'effort. Il y a certes la présence d'un syndrome de tunnel carpien sensible, modéré, mais il n'explique pas les paresthésies sur Dig V. Je souhaite renouveler le bilan électroneuromyographie de manière plus détaillée. J'introduis de la physiothérapie avec un traitement neuro-méningé, le traitement médicamenteux étant en place actuellement est suffisant. Prochain contrôle dans 2 mois. Je souhaiterais qu'il soit convoqué en consultation d'antalgie pour évaluation et prise en charge. La tension artérielle diminue spontanément et rapidement. Les examens complémentaires sont rassurants. Longue discussion avec la patiente quant aux différents traitements introduits, en particulier le traitement antidépresseur, qui peut parfois au début engendrer plus d'anxiété. Nous proposons à la patiente de lui prescrire un traitement anxiolytique en réserve durant les premières semaines. La patiente aimerait diminuer la posologie du Candesartan, nous lui proposons de prendre la moitié le matin et l'autre le soir. Elle prendra contact avec son médecin traitant pour la suite de prise en charge comme prévu. Lab: CRP 28 mg/l, Hémat gram, enzymes hépatiques dans la norme. Labétalol en IVC IEC, bêta-bloquant. Labétalol intraveineux du 18.02.2019 au 19.02.2019 Reprise du Lisinopril dès le 18.02.2019 Nifédipine per os depuis le 19.02.2019 Nitroglycérine patch du 18.02.2019 au 19.02.2019. Labétalol iv le 10.02.2019 Introduire un traitement antihypertenseur per os dès que possible Fond d'œil prévu le 11.02.2019 Organiser une récolte d'urine à la recherche d'une protéinurie. Labilité psychologique et émotionnelle : • consommation d'OH à risque. Labo : cf dossier. Labo : CRP 106, pas de leuco sédiment : leuco positif, pas de nitrite, sang positif culture d'urine à pister hémoculture à froid à pister Aux urgences : ceftriaxone 2g iv ATT : • RAD avec antibiotique et contrôle chez le médecin traitant. Labo : CRP 6, Hb 173 avec 0,49 d'hématocrite Radiographie de thorax. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Discret épaississement de la trame bronchovasculaire au niveau basal à droite. Pas de foyer de condensation pneumonique décelable. Pas d'épanchement pleural visible. Labo : CRP 9 mg/l, leuco 7.8 G/l, NT-ProBNP 10'076 ng/l Gazométrie artérielle : pH 7.45, PaCO2 4.3, PaO2 8.6 kPa, HCO3 22 mmol/l, lactate 2.2 mmol/l Expectorations : flore mixte Rx thorax : Signes de décompensation cardiaque US ciblé aux urgences (Dr X) : épanchements pleuraux bilatéraux non ponctionnables. Signe d'oedème pulmonaire ubiquitaire (lignes B) PCR grippe : négatif ETT le 19.02.2019 : Hypokinésie globale sévère. FEVG 35%. Rétrécissement aortique serré. Lasix IV Beloc Zok 2.5 mg IV aux urgences Introduction Aprovel 150 mg 1x/j Adaptation du traitement diurétique avec passage per os dès le 21.02.19 Coronarographie en ambu demandée (bilan PACs et évaluation TAVI). Labo : hémoglobine 75 g/L, INR 3.9, TP 15%, PTT 58 Commandé 2CE, 1PFC, donné 10 mg Konakion 2 fois Hemocue après 1er CE : 76 Contrôle hémoglobine après les 2 CE : 82 G/L Pantozol 80 mg bolus IV Selon transmission téléphonique par infirmière du Home, formulaire directives anticipées avec REA NON, pas de mesures diagnostiques ou thérapeutiques lourdes ou invasives. Contact téléphonique avec fille : confirme les directives de refus de mesures thérapeutiques lourdes et/ou de soins intensifs. Hospitalisation à Riaz avec surveillance hémoglobine • contrôle hémoglobine étroite aux 6h. Labo : lysozymes en cours, beta-NAG : 11.3 U/l Spot urinaire : albumine augmenté, protéines 0.52 g/l Sédiment urinaire : protéine+, cristaux de Piperacillin-Tazobactam Consilium néphrologique (Dr X et Dr X) Hydratation Stop médicaments néphrotoxiques Adaptation du Piperacillin-Tazobactam à la GFR Labo : pas de syndrome inflammatoire ECG Rx thorax : pas de foyer visible Frottis grippe du 1.2.19 : négatif Labo // RX coude gauche // Hémocultures Consilium infectiologique (Dr X) Co-Amoxicilline 2,2 g 3x/j iv du 06.02 au 08.02.2019 Soins de plaie ATT : • rendez-vous chez le médecin traitant le 12.02.2019. Labo sédiment urinaire : leuco positif CT thoraco-abdominal : rupture du pyélon du rein gauche avec liquide tout autour jusqu'au muscle psoas avec prise de contraste en périphérie, signe d'abcès et de surinfection, épaississement de la vessie. Rein droit sans particularité. CT abdominale phase tardive : pas de fuite du produit de contraste, le radiologue pense tout de même à une rupture du pyélon pour expliquer la présence de liquide. Il y a un réhaussement du pyélon et du calice. Liquide autour du rein qui descend jusqu'au psoas. Avis chir : ok pour transfert en chirurgie avec prise en charge à distance Urotube : à pister 2 paires d'hémocultures à froid : à pister Labo : voir annexes CT cérébral : pas de fracture, pas d'hémorragie, pas de signe d'oedème Labo : voir annexes CT cérébral 16.02 : pas de fracture, pas d'hémorragie, pas de signe d'oedème Labo : voir annexes RX thorax : lame d'épanchement pleural gauche Labo à l'arrivée : 52.1 mmol/l, Na 122mmol/l, K 5mmol/l osmolalité 330 Labo 4h15 16mmol/l K 3.2 urines glucose positif ECG : sans particularité Aux urgences : 1000NaCl 0.9% sur 1h, 10 U d'insuline rapide iv en bolus, 8 U d'insuline rapide iv/h, stop lorsque glycémie cible (<20mmol/l), 2l de NaCl 0.9% sur 24h avec 40meq sur 24h, 10 U d'insuline rapide ATT • hospitalisation en médecine avec insuline basale et insuline rapide schéma standard. Labo : albumine à 20.3 g/l, bilirubine totale à 37 umol/l Suivi biologique Labo : aligné ECG : RSR, axe verticale, fréquence 75 bpm, QRS fins, sus décalage ST de 1 mm en V2, V3, V4 Labo AVC Hospitalisation en stroke non monitoré (Dr X) Poursuite Aspirine cardio.ETT demandé Holter demandé Labo: Ca corrigée 2.08 mmol/l le 28.01.2019 Substitution orale Labo: créatinine 251 umol/L NaCl 2L sur 24h Labo: CRP 111, Lc 10.3, LDH 1127, Hb 83 Urines: propres Gazométrie 2 paires d'hémocultures: CT thoraco-abdominal: • thorax: pas de foyer pulmonaire. • abdomen: urétérite droite avec dilatation pyélocalicielle, pas de foyer de néphrite. Dilatation estomac Rocéphine 2 g iv Flagyl 500 mg iv Att: • Avis onco et urologique • poursuite des investigations d'un foyer infectieux Labo: CRP 158 mg/L, pas de leucocytes. Radio thorax: pas de foyer franc. Co-amoxicilline 2.2g IV 3x/j. Hémocultures: en cours. Cultures d'expectoration: en cours Urines: propres. Transfert à Meyrier pour suite de prise en charge. Labo: CRP 177 mg/mL, sans leucocytes. 1 paire d'hémoculture: en cours. Radio cheville droite Avis orthopédie (Dr. X): pas de signes en faveur d'une arthrite septique. Introduction Clindamycine IV ATT: Transfert Meyrier pour suite de prise en charge. Suivi clinico-biologique. Pister hémocultures. Labo: CRP 224 mg/l, Lc 13.9 G/l Avis chirurgical (Dr. X): CT abdominal, laboratoire, hospitalisation en chirurgie avec Tazobac 4.5 g 3x/j Tazobac 4.5 g iv aux urgences CT abdominal: superposable au comparatif d'hier. Hospitalisation en chirurgie Tazobac 4.5 g 3x/j Pister laboratoire du 09.02.2019 Labo: CRP 27, pas de leucocytes. Radio thorax: pas de foyer. Élargissement hile droit. Urines: Lc nég, nitrites nég, sang ++++, corps cétoniques +++ Frottis grippe: Influenza A positif. Hémoc (2 paires): en cours. Hospitalisation en médecine. ATT: • Tamiflu 75 mg per os 2x/j Labo: CRP 30 mg/L, Lc 12 G/L, créatinine 172 umol/L Avis ortho: pas d'indication opératoire en urgence, traitement conservateur avec antibiotique i.v., suivi clinique de la dermohypodermite. US partie moelles main droite: épanchement au niveau de la gaine des extenseurs Thérapie: • Clindamycine 600mg i.v. • Ciproxin 200mg i.v. Attitude: • Hospitalisation en médecine interne pour antibiothérapie iv et suivi de l'évolution clinique • Antibiothérapie avec ciproxin 200mg aux 8h et clindamycine 600mg i.v. aux 8h • Suivi clinique (délimitation de la dermohypodermite) Labo: CRP 58, Lc 11.7. Trop H0 43, H3 48 ng/mL NTProBNP dans la norme. Gazométrie ECG: BBD connu. Radio thorax: foyer basal droit. Hémoculture: en cours. Antigènes urinaires: en cours. Rocéphine 2g IV, Klacid 500 mg po ATT: • Transfert Meyrier. • Poursuite antibiothérapie Rocéphine 2g IV 1x/j et Klacid 500 mg 2x/j • Clexane prophylactique • Isolement MRSA Labo: CRP 69 mg/L CT thoracique (Rapport oral Dr. X): foyers de bronchopneumonie minimes aux apex. ATT: pas d'antibiothérapie (absence de fièvre, toux chronique sur 30 UPA) Labo: CRP 69 mg/L CT thoracique (Rapport oral Dr. X): foyers de bronchopneumonie minimes aux apex. RX thorax 21.2.2019 AB pour Staph doré par Floxapen en cours Labo CT cérébral natif Avis neurologique (Dr. X): au vu dernière crise il y a une vingtaine d'années, traitement en hospitalier pour débuter, avec Vimpat 2x50mg et EEG à prévoir le 08.02; pas d'autre imagerie d'emblée; ok pour hospitalisation en Stroke Unit Labo: D-dimère à 2100 CRP: <5 mg/L Leuc: 7.1 Labo du 04.02.2019: CRP 304 mg/l, Lk 15.3 G/l Rx Thorax du 04.02.2019: Infiltrat basal gauche Inhalations avec Atrovent et Ventolin Antibiothérapie avec Co-Amoxi 1.2 g 3x/j du 04.02.2019 au 06.02.19 puis 1g 2x/j per os jusqu'au 10.02.19 Labo du 13.02.19 et du 14.02.2019 (effectués par MT): Syndrome inflammatoire avec CRP à 155 Avis chir (Dr. X): CT thoraco-abdo injecté, avec recherche éventuel abcès, puis pas d'indication chirurgicale, traitement conservateur avec contrôle tensionnel Urines en cours CT thoraco-abdominal injecté: dissection aortique de type B depuis la sous-clavière G jusqu'à la bifurcation iliaque, le tronc coeliaque, les artères mésentériques sup et inf, les artères rénales sont perméables, foyer pulmonaire base G avec petit épanchement pleural, pas de foyer abdominal Contrôle tensionnel avec Adalat iv en bolus 25mg au total Att: transfert au SIC pour suite de prise en charge Labo du 6.2.19: CRP 16 mg/l, 3.9 G/l Leucocytes Status urinaire du 7.2.19: négatif ECG du 6.2.19: rsr, déviation normale, BBD, pas de troubles de la repolarisation Rx thorax du 6.2.19: pas d'infiltrats ni de signes de surcharges cardiaques Pas d'isolement ni frottis de grippe au vu durée des symptômes >5 jours Labo ECG Hydratation par 1000cc NaCl 0.9% sur 1h, puis encore 500cc sur 1/2h, puis 1000cc sur 12h Pantozol 80mg en bolus, puis 8mg/h en continu Transfusion 2 CE aux urgences Avis Dr. X: gastroscopie en salle d'endoscopie le 14.02 Situation présentée au Dr. X des SI, pas de place actuellement Labo ECG Rx thorax Frottis grippe en cours, à pister par collègues de Meyriez Transfert à Meyriez pour suite de prise en charge Labo ECG TEMESTA 2mg p.o Hydratation 2000ml NaCl 0.9% SERESTA 30 mg PO Avis soins intensifs = pas d'indication à une hospitalisation aux soins intensifs au vu de l'absence d'atteinte neurologique. ATT • Arrêt PAROXETINE • Hospitalisation en médecine pour surveillance clinico-biologique • Réévaluation en ambulatoire par psychiatre traitant pour réévaluation traitement Labo ECG CT Time is brain (Dr. X): pas de saignement ni d'ischémie, pas d'asymétrie de perfusion, pas d'occlusion vasculaire, axes pré cérébraux perméables Avis neurologique (Dr. X): Aspégic 250mg iv, Atorvastatine 40mg per os aux urgences; hospitalisation aux SI, IRM dès que possible, bilan lipidique, Hb glyquée, bilan cardiologique Labo: ferritine 15 ug/L Labo: fonction rénale normale. Stick urinaire: leucocytes, pas de nitrites, sang +++ Labo Gazométrie Rx du thorax: pas de foyer Premier Peak flow: 270 ml 65% de la valeur prédite, puis 300 ml = 73 % de la valeur prédite Aux urgences: Atrovent 250 inhalation 3x, Ventolin 5mg inhalation 4x, Prednisone 100 mg PO ATT • Hospitalisation Labo, gazométrie Rx thorax Écho ciblée cardiaque, thoracique (cf ci-dessous) Ag urinaires à pister, frottis de grippe réalisé aux urgences, à pister Antibiothérapie par Rocéphine et Klacid, hospitalisation aux soins intensifs pour ventilation non invasive Labo: Gluc 3.3, dernière glycémie à 9 après sucre po. Poursuite Thiamine Labo: glycémie 24.4 Gazo: acidose métabolique avec pH 7.25, bicarbonate à 9 mmol/L Urines: corps cétonique +++ Bolus insuline le 12.02.2019 Insuline intraveineuse: correction Novorapid 8U puis bolus 4U et 1U/h Hydratation intraveineuse NaCl 3L Substitution potassium intraveineuse 40 meq sur 4h Transfert aux soins intensifs.Labo: Hb 107 g/L, Légère leucocytose 14.5, sans CRP. CT injecté cuisse droite (rapport oral Dr. X): Hématome vaste latéral cuisse ~ 40 mm x 23 mm x 170 mm avec pseudoanévrisme de 6 x 6 x 10 mm originaire d'une branche de la circonflexe latérale de la cuisse droite. Proposition Dr. X: Compression latérale mécanique + Consilium: contrôle US par angiologues demain avec compression sous guidage. Si échec => embolisation par radiologues. (discuté entre Dr. X et Dr. X) Avis ortho (Dr. X): Bandage compressif, glace. Consilium angio (demande faite pour le 14.02.2019) Hospitalisée en ortho ATT: • Stop Xarelto. • Pister Hb à 20h puis suivi Hb aux 4h • Discuter suite de prise en charge demain avec angiologue et radiologues. Labo: K 3.0 mmol/l le 28.01.2019 Substitution orale Aldactone dès le 30.01.2019 Labo le 05.02.2019: NT-proBNP 2916 ng/l Rx thorax le 05.02.2019: signes d'insuffisance cardiaque sans franche décompensation avec cardiomégalie, redistribution vasculaire baso-apicale et turgescence hilaire bilatérale, pas d'épanchement pleural ECG le 05.02.2019: rythme irrégulier (FA/flutter atrial), QRS variables d'aspect BBD avec ESV gauches fréquentes Avis par le cardiologue traitant Dr. X le 06.02.2019: cardiopathie terminale sur maladie tritronculaire et insuffisance mitrale sévère avec refus de triple pontage et remplacement mitral en 11.2017 avec dans ce contexte une prise en charge palliative et traitement médicamenteux maximal Introduction d'Aldactone, poursuite de Torasemid Introduction de Lisinopril 2.5 mg le 06.02.2019, suspendu le 07.02.2019 en raison d'hypotensions Labo le 05.02.2019: pas de syndrome inflammatoire Urines le 05.02.2019: propres Rx bassin et hanche gauche le 05.02.2019: pas de fracture, coxarthrose droite avec déformation de la tête fémorale, s/p PTH gauche en place sans signe de fracture péri-prothétique. Rx colonne dorso-lombaire le 07.02.2019: pas de tassement vertébal visible ni de fracture, ostéochondrose étendue, antélisthésis de grade I de L5 sur S1 sans lyse isthmique visible, aspect relativement ostéopénique de la trame osseuse Avis orthopédique par Dr. X: douleur de type musculaire, traitement antalgique et physiothérapie Physio- et ergothérapie Dafalgan, Novalgine, Oxycontin et Oxynorm AINS avec Lodine pendant 4 jours Labo le 07.02.2019: aligné, TSH, vit. B9 et B12 dans la norme Labo le 14.02.2019: TG 1.24 mmol/l, LDL 2.2 mmol/l, HbA1c 5.2% ECG le 05.02.2019: RSR, axe normal, pas de troubles de la dé-/repolarisation Holter-ECG le 20.02.2019: pas de troubles de rythme CT cérébral le 07.02.2019: légère atrophie cérébrale à prédominance corticale en rapport avec l'âge, absence d'hémorragie et de processus expansif intracrânien, pas de séquelle ischémique, pas d'hydrocéphalie IRM cérébrale le 13.02.2019: processus neuro-dégénératif de type démence fronto-temporale avec une atrophie périsylvienne bilatérale massive, hypoperfusion des lobes temporaux et frontaux et affaissement marqué du nacétylaspartate dans les mêmes régions, stigmates d'une leucoencéphalopathie vasculaire légère n'excédant pas un grade de 1/3 sur l'échelle de Fazekas avec toutefois présence d'un petit infarctus lacunaire aigu dans la partie postérieure du noyau lentiforme à droite et de vastes zones de gliose cicatricielle au niveau de la base pontique US artères précérébrales le 19.02.2019: sclérose diffuse légère, pas de sténose EEG le 19.02.2019: tracé instable et désorganisé malgré une ébauche d'activité de fond alpha, de nombreux éléments rapides diffus témoignant d'une probable imprégnation médicamenteuse, de nombreuses bouffées de ralentissement theta-delta prenant un aspect pseudorhythmique sortant clairement de l'activité de fond et contenant parfois des éléments aigus, voire une fois quelques pointes témoignant d'une possible activité épileptiforme MMS 12/30, test de l'horloge 2/6 et GDS 4/15 le 07.02.2019 MMS 19/30 et test de l'horloge 3/6 le 14.02.2019 Evaluation neuropsychologique le 25.02.2019 • tr. mnéstiques légers à moyens, ralentissement psychomoteur sévère, tr. exécutifs • probable démence mixte dégénérative et vasculaire • aptitude à conduire pas donnée Avis neurologique par Dr. X: compte tenu de la clinique (fluctuations cognitives importantes), faire un traitement d'épreuve par Valproate 2x500 mg (éviter Keppra car contexte thymique fragile), si ralentissement psychomoteur important et effet positif avéré sur les fluctuations cognitives, un shift du Dépakine vers le Lamictal Contrôle des FRCV et prévention secondaire • Plavix 75 mg/j à la place d'Aspirine Cardio 100 mg/j en raison d'un petit infarctus lacunaire aigu • TA cible <140/90 mmHg avec adaptation du traitement antihypertenseur • LDL cible <1.8 mmol/l (actuellement 2.2 mmol/l), poursuite avec Lipanthyl en raison d'une intolérance aux statines (myalgies) Traitement complexe de rééducation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie Structure journalière, réorientation Quétiapine fixe pour la nuit et en réserve Traitement antiépileptique d'épreuve par Depakine 500 mg 2x/j Labo: leuco 14.9 G/l, CRP mg/l, Hb 123 g/l, Créat 86, PTT 53 s, INR 1.2, Na 128 mmol/l, Osmolal 276, K 3.3 mmol/l Labo: Na+ 124 mmol/L, osmolalité sérique 261 mosm/kg spot urinaire: Na 83 mmol/L Aldactone mis en suspend. Introduction Amlodipine 5 mg po 1x/j A réévaluer à votre consultation. Labo: pas de signes d'inflammation, tests hépatiques et cholestatiques normaux Thérapie symptomatique Labo Remplissage volémique et transfusion de 2 CE aux urgences le 14.02.19. Pantozol 80 mg en bolus, puis 8 mg/h en continu. Relai per os le 18.02.19 OGD le 14.02.19 (Dr. X): Attitude: • sandostatine pendant 5 jours (du 15 au 19.02.19 inclus) • antibiothérapie par ceftriaxone pendant 7 jours (du 15 au 21.02.19 inclus) • indéral introduit dès le 18.02.19 avec une cible de fréquence cardiaque de 55-65 bpm. • à jeun pendant 24h puis régime lisse froid dès le 16.02.19, puis mixé chaud dès le 18.02.19 et normal dès le 19.02.19 • OGD de contrôle le 26.02.19 (consultation anesthésique réalisée lors du séjour) Labo Rx thorax Analyses urinaires à compléter à Meyriez Pas d'isolement ni frottis de grippe au vu durée des symptômes >5 jours STOP antibiotique Transfert à Meyriez par propres moyens (amené par son entourage), en raison manque de place à Fribourg Labo troponine à 19 CT abdominal le 06.02.19: rupture du pyélon du rein gauche avec liquide tout autour jusqu'au muscle psoas avec prise de contraste en périphérie, signe d'abcès et de sur-infection, épaississement de la vessie. Rein droit sans particularité. Pas de lésion au niveau du pancréas. Labo troponine H0 32 H1 20 H3 34 ECG trouble de la repolarisation en V2 et V3, ECG superposable à celui du 28.06.18 Rx du thorax: pacemaker, pas d'épanchement, pas de cardiomégalie Aux urgences: patch nitroglycérine patch 5 mg/24h Observation de Mr. Y sur la nuit : attente d'une place pour une hospitalisation à Fribourg si possible selon désir de Mr. Y. Si pas de place à Fribourg prévoir transfert en périphérie. Besoin d'une place isolement car porteur MRSA Prévoir avis cardio et US du cœur, majoration du traitement pour l'angine de poitrine Avis cardio (Prof. X): hospitalisation, suivi clinique, Nitro en réserve, coro planifiée pour lundi (à revoir avec la fonction rénale) pas d'urgences sur le week-end, augmenter bêta-bloquant si tachycardie, installer traitement par antagoniste de canal de calcium si hypertension Labo: Troponine 12, CK-MB 14 Consilium cardiologique: bilan cardio organisé en ambulatoire avec ETT Labo US des fléchisseurs: collection de pus au niveau de l'articulation du 3ème doigt main gauche Aux urgences: changement de pansement avec désinfection Bétadine Avis ortho Dr. X: hospitalisation et opération à ce jour pour rinçage de la gaine ATT • hospitalisation en ortho pour prise en charge chirurgicale Labo • Us des fléchisseurs : collection de pus au niveau de l'articulation du 3ème doigt main gauche • Aux urgences : changement de pansement avec désinfection Bétadine • Avis ortho Dr. X : hospitalisation et opération à ce jour pour rinçage de la gaine ATT • hospitalisation en ortho pour prise en charge chirurgicale Labo : Vit D 37 nmol/L Labo : voir annexes Labo 14.01.2019 : K 3,1 mmol/l Substitution Labo 21.01.2019 : K 3,7 mmol/l Labo 14.01.2019 : 49 nmol/L Substitution déjà mise en place via Calcimagnon Labo 30.01.2019 : CRP 148, Leuco 11,5 G/L Hémoculture 29.01.2019 : 1/4 hémoculture positive à un Bacille Gram - Uriculture 31.01.2019 : non réalisable car oligo-anurique connu Refus de la radiographie. Test de la grippe : négatif. Cefepime 1 g post Dialyse le 30.01.2019, prochaine dose post dialyse le 01.02.2019 de 1,5 g et le 04.02.2019 de 1 g Dialyse tous les lundis, mercredis et vendredis. Téléphone Dr. X le 30.01.2019 : le patient recevra de la Cefepime post dialyse vendredi et lundi prochain Labo 01.02.2019 : syndrome inflammatoire à la baisse Labo • Ag urinaire : négatifs • Hémocultures négatives • Rx thorax • Tamiflu du 12 au 17.02.19 • Rocephine du 12 au 18.02.19 Labo Amélioration clinique : un épisode de selles molles aux urgences. Attitude : • Attitude "watch and wait" • Contrôle biologique demain (CRP) Labo • Analyses urinaires • Antalgie par Morphine et Ketalar • US ciblé (Dr. X) : pas de caillot visualisé dans la vessie • Avis chirurgical (Dr. X) : pose sonde 3 voies, hospitalisation en chirurgie Dr. X, urologue traitant, prévenu le 06.02.2019 ; confirme que le patient est toujours sous hormonothérapie, mais très mauvais état général ; revoir situation à domicile avant retour Mise en suspens Aspirine, à rediscuter selon évolution Labo • Angiographie (Dr. X) : subocclusion de l'a. iliaque externe droite sur probable dissection • Avis angiologique (Dr. X) : angiographie avec pose de stent le 19.02.2019, donner clexane 60 mg sc (dose unique) Thérapie : • Clexane 60 mg sc Att : • Hospitalisation en médecine interne • Intervention prévue en angiologie le 19.02.2019 Labo Attitude : • Hydratation i.v. Labo Attitude : • Lantus augmenté à 30 U/jour pour 5 jours (pendant thérapie avec stéroïde) • Schéma novorapid en R • Continuer Janumet Labo • CT cérébral : hématome sous-dural fronto-pariétal aigu à D avec fracture de l'os temporal D • Urines (non stériles) Avis neuro-chirurgical (Dr. X, Inselspital) : petit hématome sous-dural, contrôle neurologique pendant 24 h, si aucune péjoration : pas de contrôle radiologique nécessaire. Attitude : • Hospitalisation en chirurgie pour contrôle neurologique pour 24 h • EN CAS DE PÉJORATION : REA NON, intubation NON --> contacter la fille, Mme. Y en tout temps (078 880 87 11), +/- CT-cérébral pour diagnostic, pas d'intervention chirurgicale • Psychiatrie Marsens contacté : ils sont au courant que le patient sera transféré demain à Marsens si contrôles neurologiques stables. • SVP contacter psychiatre à Marsens demain pour confirmer le transfert • Uricult à envoyer par infirmière de l'étage (urines non stériles aux urgences), pister uricult Labo • CT cérébral : pas de signe d'ischémie, méningiome du sinus caverneux, lésion lytique au niveau du crâne • ETT (Dr. X) : pas de signe de végétations. Attitude : • Hospitalisation en médecine interne pour surveillance des paramètres et bilan post-AIT • Alimentation normale, mobilisation libre, TA systolique < 160 mmHg, • IRM cérébral à prévoir • Labo avec Hb1Ac et bilan lipidique demain • Continuer la médication actuelle Labo • Cultures de selles en cours Sous Vancomycine pour 12 semaines depuis le 11.01.2019, actuellement Vancomycine 125 mg 3x/semaine Att : • Hospitalisation en médecine interne à Tavel pour suite de prise en charge, • Continuer antibiothérapie avec Vancomycine 125 mg 3x/semaine p.o. • Cultures de selles à pister, éventuellement avis infectiologie si C. difficile positif Labo • ECG • CT cérébral natif : pas d'hémorragie Avis neurologique (Dr. X) : en absence d'hémorragie cérébrale --> continuer Xarelto 15 mg, pas d'aspirine cardio. Attitude : • Hospitalisation à Riaz en gériatrie Labo • ECG • CT thoracique injecté : EP paracentrale droite au niveau du lobe inférieur et moyen. EP segmentale (lobe supérieur) et subsegmentale gauche (lingula, lobe inférieur). Ganglions médiastinaux hilaires augmentés. Trouble de la ventilation basal gauche. Ventricule D élargi. • Echo-coeur (Dr. X) : rapport VD-VG 1:1 Avis chirurgie vasculaire (Inselspital) : pas d'indication pour une thrombectomie Avis cardiologie (Inselspital, Dr. X) : pas d'indication pour une lyse Avis soins intensifs (HFR, Dr. X) : pas d'indication à une hospitalisation aux soins intensifs. Thérapie : • Héparine 5000 U en bolus iv • Initiation d'une anticoagulation avec héparine continue (30 000 U/24 h) pour 24 h • Contrôle aPPT- Anti XA à 6 h, adaptation de la dose d'héparine • bilan cardiaque avec écho-coeur • bilan onco : colono à prévoir Labo • ECG • Rx jambe G • CT jambe G Avis orthopédique (Dr. X) : hospitalisation pour opération en orthopédie en 526, attelle jeans, à jeûn, surveillance syndrome des loges aux 2 h, surélévation de la jambe, pont Marcoumar-héparine. Thérapie : • Antalgie avec fentanyl, morphine, voltarène et dafalgan • Konakion 10 mg i.v. • Initiation d'une anticoagulation avec héparine (30 000 U/24 h) Attitude : • Hospitalisation en orthopédie 526 • À jeûn • Antalgie • Surveillance du syndrome des loges aux 2 h • Marcoumar pausé, pont avec héparine 30 000 U/24 h, contrôle laboratoire du TP, aPTT et INR le 05.02.2019 à 2.30 h Labo • ECG • Rx thorax • Echo-coeur (Dr. X) : FEVG estimée à 20 %, hypokinésie globale du ventricule gauche, dilatation de la VCI, HTP estimé à 45 mmHg. Thérapie : • Lasix 40 mg • Pose de sonde vésicale Att : • Continuer la thérapie avec diurétique selon poids et le bilan • Suivi du poids 1x/j Labo • ECG • Urines • CT cérébral natif : pas d'hémorragie, pas d'hématome sous-dural Attitude : • Hospitalisation en gériatrie à Meyrier pour physiothérapie et investigation des chutes à répétition Labo • Gazométrie • Examen clinique • CT Mise en place d'un drain thoracique le 21.02.2019 (Dr. X, Dr. X) aux urgences Physioresp à l'étage Antalgie selon douleur Labo • Gazométrie • Cultures d'expectorations à pister • ECG • Rx thorax Avis infectiologique (Dr. X) : pneumonie basale D communautaire, continuer antibiothérapie avec Rocephine ou co-amoxicilline et Klacid jusqu'aux résultats des antigènes urinaires Thérapie : • Rocephine 2 g i.v. • Klacid 500 mg p.o. Attitude : • Hospitalisation en médecine interne pour antibiothérapie iv avec Rocephine 2 g i.v. et Klacid 500 mg p.o. • Pister AG urinaires pour Legionelle et Pneumocoque • Suivi biologique et clinique Labo • Gazométrie Mise en pause du traitement anti-hypertenseur Rocephine 2 g du 10.02. au 11.02.2019 Solucortef 3x 50 mg du 10.02 au 11.02.2019 Majoration Prednisone à 15 mg dans le contexte infectieux du 11.02 au 13.02.2019, réduction à 10 mg dès le 14.02.2019 Remplissage Labo • Gazométrie • Rx thorax Thérapie : • Atrovent et Ventolin en inhalation • Co-amoxicilline 1.2 g i.v. Attitude : • Hospitalisation en médecine interne pour antibiothérapie et prednisone • Oxygénothérapie • Physio respiratoire Labo • Gazométrie • Rx thorax • US ciblé aux urgences (Dr. X) : épanchements pleuraux bilatéraux. Signe d'œdème pulmonaire ubiquitaire (lignes B) • PCR grippe : en cours --> A PISTER Thérapie : • Lasix 40 mg i.v. • Beloc Zok 2.5 mg i.v. Attitude : • Hospitalisation pour thérapie diurétique avec Lasix 40 mg i.v. • Poids quotidien + statut pour adaptation du Lasix TTE au cours de l'hospitalisation (demande faite) • SVP appeler méd traitant pour pister diagnostics + ATCD Labo Gazométrie RX thorax US ciblé aux urgences: lignes B ubiquitaire. Epanchement pleural ddc Attitude: • Hospitalisation en médecine interne à Tavel pour suite de prise en charge • Contrôle du poids quotidien • Pas de diurétique aux urgences chez une patiente sortant de 5 jours de diarrhées profuses, à réévaluer demain Labo Gazométrie Thérapie: • Culots érythrocytaires (2x) • Sandostatine 250mcg en bolus iv • Pantoprazol 80mg iv Avis soins intensifs (Dr. X) Avis gastro-entérologie (Dr. X) Attitude: • Continuer sandostatine 250mcg/h et Pantoprazol 8mg/h iv en perfusion continue • A donner PFC, PCT, fibrinogène iv et antibiothérapie en prévention • Adapter l'antibiothérapie à l'antibiogramme (ESBL E.Coli, 04/18) • Isolation de contact • Transfert aux soins intensifs • Patiente accepte intubation pour intervention Labo Gazométrie Thérapie: • Culots érythrocytaires (2x) • Sandostatine 250mcg en bolus iv • Pantoprazol 80mg iv Avis soins intensifs (Dr. X) Avis gastro-entérologie (Dr. X) Attitude: • Continuer sandostatine 250mcg/h et Pantoprazol 8mg/h iv en perfusion continue • A donner PFC, PCT, fibrinogène iv et antibiothérapie en prévention • Adapter l'antibiothérapie à l'antibiogramme (ESBL E.Coli, 04/18) • Isolation de contact • Transfert aux soins intensifs • Patiente accepte intubation pour intervention Labo Gazo Radio thorax Urine: antigène pour légionelles et pneumocoques Hémoc Rocéphine 2 g aux urgences Klacid 500 mg aux urgences Physio resp à l'étage Labo Hydratation (reçoit 1500cc NaCl aux urgences) Avis Dr. X : hospitalisation dans l'idéal pour débuter ttt et enseignement ; commencer avec Lantus 20UI ; consilium demandé, verront pour le reste du bilan (anticorps divers) Att: Hospitalisation en médecine pour la suite de la prise en charge Labo Prednisone 20 mg du 22 au 27.2.19 Labor Labor Labor Labor Labor Labor Labor: normal Symptomatische Therapie Labor: CRP 133 mg/l, thrombozyten 127 G/l Urin: Leukozyten ++ Ceftriaxone 1g IV 1x Ciprofloxacine 250mg PO 2x/jour pendant 7 jours Labor: CRP 211 mg/l, Leuco 11.7 G/l Ceftriaxon 2g IV 1x am Permanence Ciprofloxacin 500mg PO 2x/jour pendant 7 jours Labor: CRP 24mg/l, Leukozyten 9.2G/l Rx Thorax en 2E: Infiltrat de la droite basal Antibiotique thérapie avec Co-Amoxicillin 1g 3x/jour pendant 5 jours Daflagan 1g 3x/jour Suivi en 2 jours sur la Permanence Labor, hémoculture Rontgen Thorax Labor: pas de syndrome inflammatoire Azithromycin 3 jours Symbicort Klinische Verlaufskontrolle Labor: pas de syndrome inflammatoire Urin: nitrit ++, bacterial +++ Bactrim 160/800 pendant 3 jours Ibuprofène 400mg Labor: Créatinine 100umol/l, eGFR nach CKD-EPI 57ml/min Trinkstimulation Labor: Leukozyten 11.5G/l, Thrombozyten 691 G/l, CRP 18 mg/l, ALAT 43 U/I, Phosphatase 195 U/I, GGT 161 U/I, Urinstatus: bactéries +++, Leukozyten 15-20 Urinkultur: suit CT-abdomen (rapport oral): pneumopéritoine sans bêche visualisée (beaucoup d'air autour de l'estomac, possible site perforation). Masses au niveau du rein droit évoquant des abcès. Labor: Leukozyten 10,1 g/l, CRP 117 mg/l. Antibiotique thérapie avec Co-Amoxicillin 1 g 3 x jour pendant 7 jours, symptomatique thérapie avec Ibuprofen, Dafalgan, Collunosol Rachenspray, Angina Lutschtabl., contrôle en 24 heures sur la Permanence. Labor: lymphocytose 8.4 G/l Labor, Urin et Rachen- et Augen-Abstriche: Test Neisseria gonorrea, Chlamydia trachomatis, Treponema pallidum, HIV 1-2, HCV Labor: pas de signes infectieux Test de grossesse: négatif Thérapie symptomatique Labor: pas de syndrome inflammatoire CT-scan cérébral: pas d'hypodensité, pas de signes de méningite Labor: pas de syndrome inflammatoire Thérapie symptomatique Labor: voir avis de preuve. Labor: voir annexe Labor: voir annexe Labor, Urinsediment, Urinkultur Labor suivi de contrôle Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire Laboratoire: • à l'arrivée : 113mmol/l • à 20h : 115mmol/l • à 00h : 118 mmol/l • osmolalité à 247, patient euvolémique Correction cible : 0.3 mmol/l à l'heure Gazométrie Stix/Sédiment : glucose et corps cétoniques positifs Spot urinaire : osmolalité à 355, sodium à 64 TSH à pister Aux urgences : • Bilan hydrique à 2h00 : reçu 2750ml de NaCl 0.9% en 10h, avec débit de 500ml sur 2h Avis soins intensifs (Dr. X) : manque de place à Fribourg, correction de l'hyponatrémie aux urgences ou transfert à Payerne ou Vevey Avis médecine interne (Dr. X) : possibilité d'hospitaliser le patient en médecine interne en cas de cinétique positive de la natrémie aux urgences Hospitalisation en médecine interne. Laboratoire : cf annexes Colonoscopie du 25.02.2019: diverticulose sigmoïdienne. pas d'évidence pour une lésion susceptible de saigner chroniquement à bas bruit jusqu'à la valve iléo-caecale. OGD du 25.02.2019: 2 diverticules duodénaux de grande taille dont l'un responsable de saignement situé au-dessous du genu inferius. 3 clips métalliques et injection d'adrénaline. absence d'angiodysplasie visible. Laboratoire : cf copies annexées. Radiographie du thorax : par rapport au comparatif du 11.09.2018, on constate l'apparition d'un petit infiltrat à la base D, pouvant correspondre à un foyer pulmonaire. Cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. PAC sous-clavier D avec extrémité dans la partie distale de la veine cave supérieure. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec ostéophytose intersomatique marquée dans la partie inférieure. Laboratoire : • EBV négatif. • Syndrome inflammatoire stable. Bonne évolution clinique. Continuation Co-Amoxiciline 1g 2x/jour pendant 5 jours. Consignes de reconsultation en cas de péjoration des symptômes. Laboratoire : absence de syndrome inflammatoire Hémocultures : en cours Cultures d'expectorations : en cours Frottis grippe : négatif RX de thorax : absence d'infiltrat Pas d'argument pour une infection urinaire au sédiment Pas d'antibiothérapie débutée. Suivi clinique. Laboratoire : acide urique dans la norme à 368µmol/l Suivi à distance Laboratoire : Alcoolémie à 1.7 pour mille Benerva // Becozyme Seresta d'office et en réserve CIWA 4x/jour Laboratoire : alcoolémie 3.50 CT Cérébral + cervical + abdominal = Fracture de type blow out avec fracture du plancher avec lame du papiracé avec incarceration du droit inférieur. Infiltration diffuse graisse rétro orbitaire, pas de lésion au niveau du globe occulaire, cristallin en place. Pas de lésion osseuse, pas d'hémorragie intracrânienne, pas de perforation d'organe creux. Fracture ancienne de côtes 9 et 10 postérieure gauche Stix et sédiment urinaire = négatif Toxique urinaire = négatif Avis Maxillo-facial = Indication à une prise en charge chirurgicale sans urgence. Prise en charge chirurgicale le 22/02/19 vu avec ORL. Demande d'un avis ophtalmo afin d'écarter une lésion oculaire. Pas de mouchage devant fracture du plancher de l'orbite. Avis Ophtalmo = Désaturation du rouge avec possible atteinte nerveuse. Doute sur luxation du vitré. Demande de la réalisation d'un Heiss Wisse à 15h00 pour suite de prise en charge: Goutte Pred fort 4/jour oeil droit.CO Amoxicilline 2.2g IV Hyperhydratation 2000 ml NaCl 0.9% BENERVA 600 mg BECOZYME 1 dragée PO SERESTA 15 mg PO Vaccination anti-tétanique CAT : • Hospitalisation en chirurgie • Poursuite de l'antibiothérapie • Examen ophtalmo le 21/02/19 à 15h00 • Prise en charge chirurgicale par ORL le 22/02/19 Laboratoire : alcoolémie 3.50. CT cérébral + cervical + abdominal 20.02.2019 : fracture de type blow out avec fracture du plancher, avec lame papiracée, avec incarcération du droit inférieur. Infiltration diffuse de la graisse retro-orbitaire, pas de lésion au niveau du globe oculaire, cristallin en place. Pas de lésion osseuse, pas d'hémorragie intracrânienne, pas de perforation d'organe creux. Fracture ancienne des côtes 9 et 10 postérieures gauches. Stix et sédiment urinaire = négatif. Toxique urinaire = négative. Avis auprès du maxillo-facial de garde le 20.02.2019 : indication à une prise en charge chirurgicale sans urgence. Prise en charge chirurgicale le 22.02.2019 vu avec ORL. Demande d'un avis ophtalmologique afin d'écarter une lésion oculaire. Pas de mouchage en raison de la fracture du plancher de l'orbite. Avis de l'ophtalmologue de garde 20.02.2019 : Mydriase posttraumatique droite, goutte Pred forte 4/J œil droit. Laboratoire : aligné. Pas de syndrome inflammatoire. D-dimères négatifs. Crase dans la norme. Rendez-vous au secteur ambulatoire des urgences le 04.02.19 pour contrôle clinique, add avis oncologique par rapport au traitement +/- rhumatologique. Nous recommandons à la patiente de reconsulter aux urgences en cas d'étendue des pétéchies. Laboratoire : aligné. Radiographie lombaire : pas de lésion visualisée. Radiographie du bassin : pas de fracture ni de signe de spondylodiscite visualisée. Attitude : • Antalgie de pallier 2 avec protection gastrique. • Contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours : conseil au patient de trouver un médecin traitant. Laboratoire : aligné. Stix/sédiment : propre. US aux urgences (Dr. X) : pas de dilatation pyélo-calicielle visualisée. Retour à domicile avec : • Antalgie. • Contrôle chez le médecin traitant en cas d'apparition de symptomatologie urinaire. Laboratoire : aligné. ECG : cf. annexes. RSR à 67/min normoaxé, PQ 142 ms, QRS fins, QTc 436 ms, ST isoélectrique, Transition R en V4. Laboratoire : aligné ECG Test de Schellong : tachycardisation + 30/min, sans hypotension Aux urgences : NaCl 500 ml i.v. Retour à domicile Hydratation et alimentation. Explications des examens données au patient par le médecin. Laboratoire : amélioration de la CRP avec légère perturbation des tests hépatiques et bilirubine. Avis chirurgical (Dr. X : proposition d'une IRM pour exclure un calcul flottant, compléter le bilan polype vésicule biliaire. IRM abdominale, le patient sera convoqué. Consultation chirurgicale après IRM abdominale. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile, frissons. Laboratoire : Ammoniémie à 157 mmol/l CT cérébral non injecté le 01.02.2019 : absence de saignement intracrânien Avis neurologique (Dr. X, Dr. X) Avis oncologique (Dr. X) Discussion multi-disciplinaire au service des urgences (Dr. X, Prof. X, Dr. X, Dr. X, Dr. X) : soins de support/confort. Traitement symptomatique et traitement anti-épileptique en réserve. • Duphalac 3x 50 ml PO, pour 3 selles molles par jour Laboratoire : anémie normocytaire normochrome à 116g/l, CRP 18mg/l, sans leucocytose. Ultrason Doppler de la veine jambe gauche (Thrombus) : les veines fémorales communes superficielles et poplitées sont perméables. Le contenu est anéchogène, compressible sous la sonde sans image de thrombus avec manœuvre de chasse positive. Visibilité par ailleurs d'une veine communicante à contenu échogène dilaté non compressible sous la sonde, sur le trajet saphénien interne. CONCLUSION : aspect d'une thrombophlébite superficielle sur le trajet de la veine saphène interne gauche. (Dr. X). Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. Laboratoire : annexé. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde à 87 bpm, axe normal à 11°, QRS fins à 72 ms, segment-ST iso-électrique, onde T concordante, transition de l'onde R retardé en V4, QTc à 458 ms. Laboratoire : annexé. CT abdominal injecté le 21.02.19 : coprostase modérée au niveau du côlon ascendant, mais pas de sténose ni de volvulus mis en évidence. Laboratoire : annexé. CT cérébral + massif facial : suspicion d'une petite contusion hémorragique fronto-basale droite. Pas de fracture du crâne et du massif facial. Laboratoire : annexé. CT cérébral le 02.02.2019 : absence de saignement intra-crânien. Pas de fracture. Laboratoire : annexé. CT cérébral natif 20.02.2019 : pas d'hémorragie intracérébrale. Quelques bulles de pneumo-encéphale temporo-polaire droite en raison d'une fracture de l'os sphénoïde s'étendant dans l'os temporal droit. Fracture du maxillaire avec fracture et enfoncement de la paroi antérieure surtout et latéral du sinus maxillaire droit, fracture de l'arcade zygomatique, fracture du plancher de l'orbite sans incarcération musculaire. Laboratoire : annexé. Culture de l'hématome sous-cutané du 29.01.2019 : négatif à 2 jours. Culture du frottis de la plaie abdominale du 29.01.2019 : Propionibacterium avidum + (pas d'antibiogramme). Culture du drainage abdominal sous-cutané du 30.01.2019 : négatif à 2 jours. CT abdominal du 28.01.2019 : status post-abdominoplastie, associée à une infiltration liquidienne importante des tissus mous, en voie de collection. Léiomyome utérin. Le dispositif intra-utérin est mal positionné à 7cm du fond utérin à corréler à un avis gynécologique. Biopsie sous US du 29.01.2019 : après recueil du consentement éclairé de la patiente et après repérage ultrasonographique de la collection de la paroi abdominale profonde, en particulier dans la partie inférieure de la paroi abdominale gauche, on procède à une désinfection cutanée soigneuse et au champage habituel. Sous asepsie stricte, anesthésie locale à la peau puis, sous repère échographique, mise en place d'une aiguille au sein de la collection avec retrait d'environ 5 ml de liquide citrin-rosé, non purulent, remis à l'étage pour effectuer les analyses nécessaires. Retrait du matériel et application d'un pansement à la peau. Pas de complication dans les suites immédiates du geste. Laboratoire : annexé. Culture du liquide du drain du 30.01.2019 : S. aureus [MRSA] +++. Culture du liquide du drain du 03.02.2019 : Staphylococcus aureus. ECG : tachycardie supra-ventriculaire à 116 bpm, PR à 150 ms, QRS fins avec un axe à -60°, QTc à 302 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. CT abdominal du 31.01.2019 : par rapport au comparatif du 28.12.2018, on constate un status après drainage de la vésicule biliaire qui est contractée avec des calculs à l'intérieur et l'on constate le passage de produit de contraste dans la collection sous-capsulaire des segments V et VI, ce qui confirme le diagnostic de biliome sur perforation vésiculaire. Laboratoire : annexé. ECG : RSR à 116 bpm, axe 8°, Bloc de branche gauche. Laboratoire : annexé. ECG : RSR à 88 bpm. PR<200 ms, QRS fins normoaxé à 60°, QTc=400 ms, Transition de l'onde R en V4. RX de l'épaule gauche du 08.02.2019 : surélévation de la tête humérale avec un espace sous-acromial à la limite inférieure de la norme pouvant correspondre à une atteinte de la coiffe des rotateurs, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Rx crâne du 09.02.2019 : petite fracture de la partie distale de l'os nasal.Laboratoire : annexé. ECG : rythme sinusal et régulier à 75/minute, axe QRS à 10*, PR 160 ms, QRS 90 ms, QTc 420 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique. RX thorax face/profil du 11.02.2019 : présence d'air sous la coupole diaphragmatique, surtout à droite. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. ASP debout du 11.02.2019 : pneumopéritoine avec air sous la coupole diaphragmatique D et G ainsi qu'en sous-hépatique. Coprostase modérée du cadre colique. Pas d'image d'iléus. Remaniement osseux de l'épine iliaque antéro-inférieure, devant correspondre à un ancien arrachement. Discrète attitude scoliotique sinistro-convexe de la colonne dorsale. ASP couché du 12.02.2019 : visualisation d'un pneumopéritoine. CT abdominal du 12.02.2019 : important pneumopéritoine en rapport avec une probable perforation d'ulcère gastrique versus duodénal. Stéatose hépatique. RX thorax du 12.02.2019 : on retrouve le pneumopéritoine sous la coupole diaphragmatique D et G de grande abondance. Pas d'image de foyer visible de façon bilatérale. Status post-mise en place d'une sonde nasogastrique. RX thorax du 15.02.2019 : persistance du pneumopéritoine bilatéral sous les deux coupoles diaphragmatiques. Laboratoire : annexé. ECG : rythme sinusal régulier à 50/minute, axe QRS à 80*, PR 160 ms, QRS 80 ms, QTc 409 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique. Test de Schellong : sans particularité. Rx épaule droite face/Neer du 21.02.2019 : bonne congruence gléno-humérale. Les rapports anatomiques sont conservés. Pas de signe de complication. Rx acromio-claviculaire ddc du 21.02.2019 : pas de disjonction acromio-claviculaire significative. Examen fait de façon comparative. Pas d'image de fracture claviculaire. Laboratoire : annexé. Hémocultures du 18.01.2019 : Klebsiella Oxytoca, Enterococcus Casseliflavus. Urotube du 18.01.2019 : Escherichia coli +++ (ESBL) sensible à la nitrofurantoïne. Urotube du 03.02.2019 : Escherichia coli + (ESBL) sensible à la nitrofurantoïne, contamination par Enterococcus faecalis + et Enterococcus faecium +. ECG : tachycardie sinusale et régulière à 120/minute, axe QRS à -30*, PR 160 ms, QRS 130 ms, rSR', QTc 197 ms, segment ST iso-électrique, onde T négative en II, III, aVR, aVF, V1, V2, V3, V4. Semblable au comparatif. Rx thorax F/P du 18.01.2019 : cardiomégalie avec un déroulement de l'aorte thoracique. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Calcifications de l'anneau mitral. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal en relation avec l'âge de la patiente. Calcifications chondrocostales. Rx thorax F du 20.01.2019 post VVC : probable composante d'épanchement pleural à gauche. Aorte déroulée et calcifiée. Epaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire prédominant au niveau basal à droite. Probable tendinite calcifiante de l'épaule gauche. US abdominal du 18.01.2019 : aspect échographique pouvant cadrer avec une cholécystite aiguë lithiasique. Cholangio-IRM 22.01.19 : cholélithiase multiples avec épaississement des parois de la vésicule biliaire, DD cholécystite aiguë lithiasique, DD dans le contexte de l'obstruction biliaire. Cholédocholithiase de 13 x 10 mm dans le cholédoque distal avec dilatation du cholédoque à 11 mm. Stigmates de pancréatite avec infiltration rétropéritonéale péri-pancréatique. Pas de zone de nécrose du pancréas. Laboratoire : annexé. IRM de l'abdomen native 14.02.2019 : hématome du pôle inférieur du rein gauche, mesurant 5,6 cm dans le plan axial pour environ 4,6 cm d'extension crânio-caudale, sans réhaussement suspect au sein de cet hématome ou en périphérie de cet hématome (pas d'argument actuellement pour une tumeur sous-jacente). Pas d'évolution significative en taille de l'hématome par rapport au scanner. Infiltration rétropéritonéale adjacente. Troubles perfusionnels hépatiques du segment IV et du segment VIII sur le temps artériel, aspécifiques DD liés à l'acquisition relativement précoce. Un contrôle IRM du rein gauche serait souhaitable après résolution de l'hématome. Volumineux kyste Bosniak 1 du pôle supérieur du rein droit d'environ 7 cm de diamètre. Laboratoire : annexé. RX bassin + hanche axiale droite : par rapport au comparatif du 13.09.2018, on retrouve le status post-mise en place de PTH des deux côtés, d'aspect superposable, sans signe de complication secondaire. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Pour mémoire multiples clips chirurgicaux en projection du pelvis et calcifications artérielles marquées. Laboratoire : annexé. Rx colonne dorsale et sacrum du 15.02.2019 : au niveau de la colonne dorsale, pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Au niveau du sacrum, pas de lésion osseuse traumatique clairement visualisée. CT cérébral, de la colonne thoracique et abdominal du 15.02.2019 : l'ensemble du cadre osseux ne démontre pas de fracture. Pas de saignement à l'étage cérébral. Lacération hépatique de grade III, intéressant les segments VII et VIII, d'une profondeur maximale mesurée à 4 cm, associée à un hématome sous-capsulaire en avant des segments IVa et b, de 4 mm d'épaisseur. Fines bulles mises en évidence en avant du foie, difficiles à localiser (supra ou infra-diaphragmatiques), DD : pneumopéritoine ou pneumothorax minime. US abdominal du 18.02.2019 : lame de liquide en péri-hépatique, sans signe de complication sur la lésion déjà décrite, en rapport avec la lacération hépatique. Laboratoire : annexé. Rx thorax du 15.02.2019 : par rapport au comparatif du 13.02.2019, on constate une péjoration du pneumothorax apical gauche qui est mesuré à environ 6,5 cm de hauteur contre 3,5 cm précédemment. On retrouve une désorganisation de la trame broncho-vasculaire avec des épaississements bronchiques et l'on constate l'apparition d'une petite condensation à la base gauche à mettre en relation avec le pneumothorax. Rx thorax du 17.02.2019 : par rapport au comparatif du 15.02.2019, on constate une petite diminution de la hauteur du pneumothorax apical gauche qui est passé d'environ 6,5 cm à 5,5 cm. Pour le reste, l'examen est superposable avec notamment des épaississements bronchiques et une petite condensation à la base gauche. US abdominal du 13.02.2019 : liquide en périphérie des deux reins, prédominant du côté droit. Cortex rénal hyperéchogène. CT thoraco-abdominal du 13.02.2019 : on retrouve le pneumothorax gauche mesuré jusqu'à 4 cm d'épaisseur à la base ainsi qu'une petite lame de liquide en périphérie du rein droit, mais qui ne paraît pas correspondre à du sang, avec également une infiltration de la graisse péri-rénale des deux côtés. Laboratoire : annexé. US abdomen complet natif et CT abdomen complet natif 23.02.2019 : hydronéphrose droite avec un pyélon mesuré à 17 mm et infiltration péri-rénale. Dilatation de l'uretère lombaire droit. Dans le petit bassin à droite, on met en évidence une structure circulaire dense, d'environ 5 mm de diamètre, d'une densité d'environ 1000 unités en Hounsfield (en arrière de la vessie à droite) pouvant correspondre à un calcul urétéral distal pouvant expliquer l'hydronéphrose droite. Deux calculs caliciels moyen droit, l'un de 5 mm l'autre de 3 mm. L'appendice ne présente pas de signe inflammatoire et contient de l'air (pas d'argument pour une appendicite aiguë). Laboratoire : annexé. US abdominal du 19.02.2019 : vésicule biliaire, à paroi normale à 2 mm, siège d'un sludge de multiples micro-calculs, modérément distendue, à confronter au reste du bilan. Cholangio-IRM du 21.02.2019 : cholédoco-lithiase de 13x7 mm dans le cholédoque moyen avec dilatation des voies biliaires extra-hépatiques à 7 mm et une ectasie des voies biliaires intra-hépatiques. Image de cholécysto-lithiase sans signe de cholécystite aiguë franche (discret épaississement) aspécifique des parois de la vésicule.ERCP 22.02.2019 : extraction impossible du calcul cholédocien. ERCP 25.02.2019 : extraction d'un calcul cholédocien après papillotomie. Diverticule duodénal juxta-papillaire. Laboratoire : annexé. US abdominal 14.02.2019 : lithiase vésiculaire ainsi que dilatation modérée des voies biliaires sur un ou plusieurs calculs intra-cholédociens dans la partie distale. Cholangio-IRM 14.02.2019 : vésicule biliaire lithiasique avec début d'hydrocholécyste et lame de liquide péri-vésiculaire et deux calculs du cholédoque. Dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Laboratoire : annexé. ASP couché du 17.02.2019 : coprostase encore modérée, prédominant au niveau du côlon ascendant. Distribution non spécifique des gaz intradigestifs. Quelques phlébolites pelviens, mais pas de calcification pathologique. Opacification oesophage/estomac/intestin du 18.02.2019 : ouverture partielle du pylore, DD : ulcère gastrique vs tumeur. Laboratoire : annexé. CT abdominal du 04.02.2019 : diverticulite sigmoïdienne classée IIa selon Hansen & Stock, possiblement associée à une cystite de contact. Calculs partiellement calcifiés dans la vésicule biliaire. Laboratoire : annexé. CT abdominal du 10.02.2019 : pas de lithiase radio-opaque au sein de la vésicule ni signe de cholécystite ni dilatation des voies biliaires. Discrète infiltration rétropéritonéale en regard de la tête et du processus unciné du pancréas suggérant une pancréatite débutante. Pas d'autre anomalie. US abdominal du 11.02.2019 : pas de lithiase vésiculaire mise en évidence. Laboratoire : annexé. CT cérébral natif, CT colonne cervicale natif, CT thoracique injecté, CT abdomen natif et injecté 26.02.2019 : fracture étagée des arcs moyens de la 2ème, 3ème, 4ème et 5ème côte à droite avec emphysème des parties molles sans pneumothorax. Fracture du tiers externe de la clavicule droite avec détachement de fragments osseux. Fracture non déplacée de l'écaille de l'omoplate à droite. RX épaule droite face/Neer et clavicule droite 26.02.2019 : fracture médio-claviculaire avec détachement de fragment osseux après probable fracture de l'écaille de l'omoplate. RX thorax face 27.02.2019 : pas de pneumothorax décelable. Hypoventilation basale droite. Aorte déroulée et calcifiée. Absence d'un bon inspirium. Fractures costales déjà connues. Laboratoire : annexé. CT cérébral natif du 19.02.2019 : pas d'hémorragie intra-crânienne, ni de lésion osseuse traumatique. Laboratoire : annexé. CT cérébral natif et CT colonne cervicale natif du 04.02.2019 : CT cérébral dans les limites de la norme, sans lésion post-traumatique intra-cérébrale mise en évidence. Cervicarthrose modérée, sans signe de fracture. Laboratoire : annexé. ECG : RSR à 90 bpm, PR à 190 ms, QRS fins avec un axe à -20°, QTc à 445 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. CT abdomen natif et injecté : récidive d'une collection périnéale supracentimétrique (DD : abcès) positionnée à 12h00 en position gynécologique. RX thorax face : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire : annexé. ECG 23.02.19 : RSR normocarde à 79 bpm, QRS fins normo-axé. Pas d'inversion des ondes T. Léger sus-décallage du segment ST en V2V3 mais non significatif. CT abdominal : image scanographique évoquant en premier lieu une appendicite épiploïque aiguë en fosse iliaque gauche (Dr. X). Laboratoire : annexé. Gazométrie : lactates normaux, alcalose respiratoire aiguë avec hypoxémie 10.5 kPa. CT abdominal du 12.02.2019 : iléus grêle modéré jusqu'à la valve iléo-caecale sans saut de calibre clairement visible mais présence d'une coprostase modérée du caecum et du côlon ascendant (DD : incompétence de la valve iléo-caecale ? en rapport avec la coprostase ? paralytique ?). Faible quantité de liquide libre péri-hépatique et inter-anse dans le petit bassin. Bon rehaussement pariétal des anses dilatées. Pour le reste, diminution de la splénomégalie avec persistance de multiples lésions hypodenses en rapport avec le lymphome. Nette diminution des adénopathies rétropéritonéales. RX abdominal du 12.02.2019 : persistance d'un iléus grêle intéressant tout l'intestin se caractérisant par des images en piles d'assiettes et une dilatation des anses intestinales grêles. Granité stercorale dans le cadre colique. Laboratoire : annexé. RX cheville droite face/profil : pas de signe d'atteinte osseuse. Laboratoire : annexé. RX colonne lombaire : lésions dégénératives multi-étagées du rachis lombaire avec des discopathies de tous les niveaux prédominant en L1-L2, L2-L3 ainsi qu'un petit antérolisthésis de L4-L5 d'origine probablement dégénérative, mais pas d'image de tassement. Fracture de la branche ilio-pubienne gauche. Clips chirurgicaux en regard de l'artère fémorale superficielle droite à confronter avec les antécédents de Mme. Y ainsi que calcifications artérielles. RX thorax : statut après sternotomie pour pontage aorto-coronarien. Cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax, ni de fracture de côte visualisés. Laboratoire : annexé. RX thorax du 20.02.2019 : en projection de la plage pulmonaire gauche, on visualise une image avec un bord net évoquant plutôt un pli cutané qu'un pneumothorax. Petit trouble ventilatoire à la base gauche avec une rangée d'agrafes à mettre en relation avec le statut post-opératoire connu. Probable statut post-fermeture d'un foramen ovale, à confronter avec les antécédents de Mr. Y. Quelques épaississements bronchiques, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire. Cœur de taille dans les limites de la norme, en tenant compte de la position couchée. RX thorax du 20.02.2019 : par rapport au comparatif du même jour, on visualise actuellement un pneumothorax apical gauche d'environ 22 mm de hauteur. Pour le reste, l'examen est superposable avec notamment la rangée d'agrafes à la base gauche et le matériel métallique en projection du cœur. RX thorax du 20.02.2019 : persistance du pneumopéritoine bilatéral. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire prédominant au niveau basal à droite. RX thorax du 21.02.2019 : pneumopéritoine bilatéral. Aorte déroulée et calcifiée. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. RX thorax du 22.02.2019 : persistance de la visibilité du pneumopéritoine bilatéral. Aorte déroulée, calcifiée. Foyer de condensation et lésion d'infiltrat pulmonaire des 2 bases pulmonaires. Laboratoire : annexé. RX thorax face : ascension de la coupole diaphragmatique à droite. Absence d'un bon inspirium. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Plaque vissée pour fracture claviculaire gauche. Doppler artères et veines du membre supérieur gauche 25.02.2019 : pas d'anomalie notable des flux au niveau de l'artère et de la veine sous-clavière gauche. Laboratoire : annexé. RX thorax face/profil : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution de Mr. Y. Pas de fracture de côte déplacée mise en évidence. Pas d'épanchement pleural. CT abdomen natif et injecté : fractures non déplacées des processus transverses gauches des vertèbres L1 et L2. Minime infiltration de la graisse péri-rénale dans le pôle postéro-supérieur du rein gauche sans fracture ou lacération du parenchyme rénal. DD : contusion ? Pas d'autre lésion traumatique visible sur l'ensemble du volume exploré.Laboratoire : annexé. US du système urogénital 19.02.2019 : minime dilatation pyélocalicielle gauche, toutefois sans qu'un calcul obstructif n'ait pu être objectivé, compte tenu d'une faible réplétion de la vessie. Laboratoire : ASAT 210 U/l, ALAT 83 U/l, gamma-GT 77 U/l, bilirubine directe 4.8 umol/l, amylase totale 136 U/l, lipase 113 U/l US abdomen sup. ciblé (Dr. X) : parenchyme hépatique normal, dilatation des voies biliaires physiologique (8 mm) sur st/p cholécystectomie, flux portal hépatopète. Rate de taille (11 cm axe long) et échogénicité normale. Pas de liquide libre. ATT : contrôle biologique le 16.02 et 17.02.2019 Laboratoire : ASAT 223 U/l, ALAT 466 U/l, phosphatase alcaline 236 U/l, gamma-GT 629 U/l, bilirubine totale 31.5 umol/l, bilirubine directe 25.9 umol/l Hémocultures 2x2 : en cours Ultrason abdomen supérieur (Dr. X, rapport téléphonique) : vésicule avec paroi 7 mm, plusieurs calculs au fond de la vésicule, dilatation choledoque à 7 mm, pas de choledocholithiase objectivée Avis chirurgical (Dr. X, Dr. X) Avis gastroentérologique (Dr. X) Aux urgences : Paracétamol 1 g p.o., Morphine 10 mg i.v., Rocéphine 2 g i.v., Metronidazole 500 mg i.v. Attitude : Hospitalisation en chirurgie À jeun Hydratation i.v. à NaCl 1500 ml/jour Rocephine 2 g/jour i.v. du 17.02.2019 - __________ et Metronidazole 3x500 mg/jour i.v. du 17.02.2019 - ________ Laboratoire de contrôle à 6h00 matin Laboratoire : ASAT 318 U/l, ALAT 542 U/l Laboratoire : bilirubine totale 37.2 micromol/L, bilirubine direct 10.8 micromol/L, ASAT 21 U/L, ALAT 19 U/L US abdominal du 07.02.2019 : hormis une discrète hypertrophie prostatique, le reste de l'examen est dans la norme Laboratoire : BNP 1780, créat 84, CRP 10, INR 1.2 ECG Rx thorax Ponction d'ascite le 24.02.2019 (Dr. X) : • retrait de 6.3 l de liquide citrin • pas d'argument pour péritonite bactérienne spontanée • culture non demandée 3 flacons d'Albumine 20 % le 24.02.2019 Majoration du traitement par Aldactone Transfert à la Villa St-François pour suite de la prise en charge Laboratoire : B12 264 pg/ml, B9 4.6 ng/ml, TSH 2.67 mU/L, ferritine 22 microgramme/L Sang occulte dans les selles : 3/3 positifs Attitude : • colonoscopie à organiser en ambulatoire Laboratoire : cf. annexe. Retransfert au RFSM de Marsens (Unité Jasmin, psychogériatrie). Départ avec sa nièce. Laboratoire : cf. annexe Laboratoire : cf. annexe Laboratoire : cf. annexe. Laboratoire : cf annexe Laboratoire : cf annexe Laboratoire : cf annexe Laboratoire : cf annexe Laboratoire : cf annexe Laboratoire : cf annexe Laboratoire : cf annexe Laboratoire : cf annexe CT abdominal le 12.01.2019 : pancréatite Balthazar E avec coulées nécrotiques pariéto-coliques bilatérales, probable perforation duodénale, cholangite réactionnelle CT abdominal le 14.01.2019 Nouveaux épanchements pleuraux bilatéraux avec atélectasie. Diminution des coulées de nécrose péri-pancréatique. Disparition des bulles d'air du rétro-péritoine. Diminution de cholangite, avec persistance d'une dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. CT thoraco-abdominal du 21.01.2019 : Surcharge hydrique avec épanchements pleuraux bilatéraux de grande abondance, surcharge pulmonaire avec infiltrat interstitiel diffus et infiltration des tissus mous. Probable foyer pulmonaire surinfecté sur atélectasie passive des lobes inférieurs. Majoration des coulées de nécrose péri-pancréatique avec une collection autour de la queue du pancréas, présentant des signes d'inflammation en périphérie (surinfection ?). Aspect mal limité des contours du canal anal. Coulée de nécrose dans la racine du mésentère et le long du fascia para-rénal sans signe de surinfection. Vésicule biliaire multi-lithiasique sans signe de cholécystite. Dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques, stable par rapport au comparatif. Pas de zone de nécrose pancréatique. Liquide pleural du 22.01.2019 et 23.01.2019 : transsudat sans cellule tumorale maligne Laboratoire : cf annexe CT cérébral le 22.01.2019 : Hémorragie intra-parenchymateuse sous-corticale frontale gauche de 5 mm. Hémorragies sous-arachnoïdiennes frontales gauches à proximité ainsi que para-falcorielle gauche avec discret passage sous-falcoriel droit. Hématome sous-cutané supra-orbitaire droit avec quelques bulles d'emphysème. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. CT cérébral le 23.01.2019 : Stabilité des hémorragies sous-arachnoïdiennes et des contusions hémorragiques corticales de la région frontale pré-centrale gauche, absence de nouveau saignement à distance. Absence de collection péri-cérébrale. Élargissement diffus des ventricules et des sillons corticaux en rapport avec une atrophie cortico-sous-corticale stable. Lésion séquellaire corticale frontale droite. Les structures médianes sont en place. Le reste est inchangé. Laboratoire : cf annexe ECG le 10.02.2019 : rythme sinusal régulier, QRS large avec bloc de branche gauche, allongement du QT avec présence d'onde U. Rx thorax du 09.02.2019 : sans particularité. Laboratoire : cf annexe Rx thorax 19.01.2019 : Troubles ventilatoires à la base pulmonaire gauche. Infiltrat mal délimité et épaississement bronchique à la base pulmonaire droite (broncho-aspiration ?). CT 21.01.2019 : Comparatifs du 18.01.2019. Status post craniotomie temporo-pariétale droite. Majoration de l'hématome intra-cérébral temporo-pariétal droit avec large plage d'hypodensité cortico-sous-corticale sous-jacente. Diminution de la pneumencéphalie péri-cérébrale. Majoration de l'effet de masse sur le ventricule latéral droit avec déviation de 3 mm de la ligne médiane. Hémorragie sous-arachnoïdienne occipitale bilatérale. Apparition d'hypodensité bi-thalamique DD infarctus bi-thalamique. CT cérébral natif le 24.01.2019 : Examen inchangé par rapport au comparatif du 21.01.2019. CT cérébral natif le 30.01.2019 : On retrouve l'hématome parenchymateux temporal droit avec aspect discrètement moins dense, ainsi que l'hypodensité adjacente du parenchyme cérébral en lien avec un œdème péri-lésionnel, de taille globalement superposable. Il n'y a pas de majoration de l'effet de masse sur le ventricule latéral droit. Persistance d'une déviation de la ligne médiane de 3 mm vers la gauche, stable. Par ailleurs, on retrouve les deux bulles de pneumo-encéphale, de taille légèrement diminuée. Persistance d'une collection aérique d'épaisseur superposable, en regard de la crâniotomie. Aspect globalement stable des hémorragies sous-arachnoïdiennes occipitales bilatérales et de l'hémorragie intra-ventriculaire au sein des cornes occipitales. Pas de collection hématique liquidienne péri-cérébrale. Le reste de l'examen est superposable. IRM cérébrale du 05.02.2019 : En comparaison avec le CT du 30.01.2019, diminution modérée du volumineux hématome temporo-pariétal droit évacué, avec diminution de l'effet de masse sur le ventricule latéral droit. Pas de lésion ischémique focale ou de prise de contraste suspecte au sein des noyaux gris centraux, en particulier dans les thalamus. Echocardiographie le 28.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale d'ouverture conservée. Insuffisance mitrale légère. Oreillette gauche discrètement dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Insuffisance tricuspide minime. Absence d'épanchement péricardique.Laboratoire : cf annexe RX thorax 31.01.2019 : Pacemaker pectoral gauche, de position inchangée par rapport au comparatif. Stabilité en taille de la cardiomégalie. Absence de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Absence d'épanchement pleural. Absence de foyer constitué dans les plages pulmonaires. Reste de l'examen superposable au comparatif. CT cérébral natif 31.01.2019 : absence de lésion traumatique visualisée. Atrophie cérébrale avec leuco-encéphalopathie péri-ventriculaire. Sinusopathie. Laboratoire : cf annexe ASP 21.01.19 : Status post mise en place d'une PEJ faisant probablement une boucle dans l'estomac avant de terminer dans le D1. Sous réserve de la non-visualisation des coupoles diaphragmatiques, pas de pneumopéritoine visible. Pas de niveau hydro-aérique au sein des structures intestinales. Cadre osseux superposable comparatif. Laboratoire : cf annexe. Biopsie sous CT le 07.02.2019. Laboratoire : cf annexe Bronchoscopie du 21.01.2019 : Dr. X Trachée distale du tube sp., carène sp. Muqueuse : altération inflammatoire importante dans l'arbre G et D dans le contexte de la grippe. Arbre D : sécrétions épaisses dans la bronche souche, les bronches lobaires apicales et inférieures, aspiration et envoi bactério. Arbre G : quelques sécrétions épaisses aspirées. Conclusion : sécrétions sanguinolentes et purulentes, suspicion de bronchomalacie (rétrécissement important de la bronche au cours de l'expiration et à l'aspiration) qui pourrait favoriser la stagnation de sécrétions. Laboratoire : cf annexe Coronarographie du 04.02.2019 : Maladie coronarienne monotronculaire avec sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation), sténose subtotale de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, sténose significative de l'IVA distale : succès d'angioplastie de l'artère interventriculaire avec implantation de 3 stents actifs. Fraction d'éjection VG 45 %, hypokinésie antérieure. Laboratoire : cf annexe CT abdominale 29.01.19 : Pas d'iléus. Pas de signe de souffrance digestive. Stase stercorale dans le cadre colique. Maladie de la jonction des deux côtés avec dilatation pyélocalicielle bilatérale d'aspect globalement superposable à gauche. À droite, disparition des signes de décompensation visible en 2011. Sur les coupes passant par le thorax, à noter un épaississement et quelques comblements bronchiques. Laboratoire : cf annexe CT cérébral avec cartes de perfusion du 09.02.2019 : Pénombre ischémique temporo-pariétale gauche sans zone d'infarctus constitué avec thrombus vasculaire au niveau d'une branche de l'artère cérébrale moyenne gauche (M2/M3). Plusieurs séquelles d'AVC ancien dans les deux hémisphères du cervelet. CT cérébral du 10.02.2019 : Pas d'AVC constitué ni transformation hémorragique. Le reste de l'examen est inchangé. Laboratoire : cf annexe CT cérébral avec cartes de perfusion le 12.02.2019 : Pénombre ischémique frontale gauche précentral sans infarctus constitué. Absence de lésion sténosante significative des vaisseaux pré-cérébraux. Absence de thrombose des sinus veineux. Sinusite maxillaire gauche chronique. CT cérébral du 13.02.2019 : Absence d'AVC constitué. Absence d'hémorragie. Echocardiographie transthoracique le 13.02.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Excès tissulaire du feuillet mitral postérieur. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Fonction diastolique normale. Oreillette gauche modérément dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du VD est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf annexe CT cérébral du 12.02.2019 : Suspicion d'une hydrocéphalie sans signe de résorption trans épendymaire ni de mise en évidence de lésion compressive. Les vaisseaux cérébraux sont perméables, de diamètre normal et régulier, sans argument en faveur d'une étiologie vasculaire. Hypoplasie du segment P1 de l'artère cérébrale postérieure droite, avec une origine fœtale de celle-ci. Hypoplasie du segment A1 de l'artère cérébrale antérieure droite par rapport au côté controlatéral. Laboratoire : cf annexe CT cérébral du 22.01.19 : Absence de saignement intracrânien. Pas de fracture. Hématome sous-galéal pariétal. Lésions parenchymateuses d'allure séquellaire. Ectasie du système ventriculaire et élargissement des sillons cérébraux et cérébelleux en rapport avec l'âge du patient. Radiographie du thorax du 22.01.19 : Sclérose et déroulement de l'aorte thoracique. Pas de signe de décompensation cardiaque, d'épanchement pleural ou de pneumothorax, sous réserve d'un examen réalisé en position couchée. Le parenchyme pulmonaire ne présente pas d'opacité suspecte de foyer infectieux. Radiographie de la colonne dorsale du 22.01.19 : Cunéiformisation du corps vertébral de D12 avec un angle de cyphose locale mesuré à 15°. CT de la colonne dorso-lombaire du 22.01.19 : Absence d'argument en faveur d'une fracture récente. Cunéiformisation des corps vertébraux de D11, D12 et L1, sans trait de fracture décelé, en rapport avec des tassements anciens. Laboratoire : cf annexe CT cérébral le 10.02.2019 : Pas d'AVC ischémique constitué ou hémorragique. Pas d'autre lésion et notamment pas d'athéromatose significative. IRM cérébrale le 11.02.2019 : rapport provisoire : lésion ischémique au niveau du noyau lenticulaire et du noyau caudé gauche. Laboratoire : cf annexe CT cérébral le 11.02.2019 : Absence de signe de pénombre ni d'AVC constitué aigu. Présence de plusieurs séquelles, entre autres des territoires jonctionnels à gauche, associée à un hématome intramural (dissection ?)/thrombus mural de l'artère carotide commune à gauche, non datables, avec sténose à 50 % probablement ancienne responsables des lésions ischémiques sus décrites. Nous proposons la réalisation d'une séquence CUBT1FAT SAT dissection à l'IRM. Plaque mixte irrégulière circonférentielle à l'origine de l'artère sous-clavière gauche, avec plaques calcifiées du départ de l'artère vertébrale gauche. CT cérébral le 11.02.2019 : Absence de lésion ischémique constituée ni de transformation hémorragique. Absence de saignement intracrânien. Pas d'hémorragie péri-cérébrale ou de collection extra ou sous-durale. Pas de lésion ischémique constituée nouvelle. Séquelles corticales frontale et pariétale gauche. Le reste est inchangé par rapport au comparatif. CT cérébral le 12.02.2019 : Absence de lésion ischémique constituée ni de transformation hémorragique. Absence de saignement intracrânien. Pas d'hémorragie péri-cérébrale ou de collection extra ou sous-durale. Pas de lésion ischémique constituée nouvelle. Séquelles corticales frontales et pariétales gauche, ainsi que frontal à droite. Le reste est inchangé par rapport au comparatif. Laboratoire : cf annexe CT CÉRÉBRAL NATIF ET INJECTÉ DU 02.02.2019 CT DES TISSUS MOUS DU COU INJECTÉ DU 02.02.2019 Absence d'argument en faveur d'une lésion ischémique ou hémorragique. Perméabilité préservée des vaisseaux précérébraux et intracrâniens. ETT du 04.02.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Oreillette gauche non dilatée. Sous réserve d'un examen de mauvaise qualité, la fonction systolique de VG est normale et il n'y a pas de valvulopathies significatives. Absence de passage des microbulles en repos et après Valsalva, mais qualité des images limitée.Laboratoire : cf annexe CT cérébral 11.02.19 : Absence d'hémorragie intracrânienne ou de fracture. Rx thorax face, couché 11.02.19 : Structures cardiomédiastinales se présentant normalement. Pas d'épanchement pleural. Surélévation de la coupole diaphragmatique droite associée à une fine opacité en bande correspondant probablement à une atélectasie. En base gauche, on note un signe de la silhouette sur le bord gauche du cœur probablement en lien avec un foyer infectieux non clairement visible. Le reste du parenchyme pulmonaire est sp. Cadre osseux et parties molles extrathoraciques sp. Laboratoire : cf annexe CT cérébral 14.02.19 : Pas d'hémorragie intracrânienne et pas de signes scanographiques d'AVC ischémique aigu ou subaigu. On retrouve une atrophie cérébrale et une leucoaraïose inchangées. Rx bassin face et hanche axiale droite : Status post-mise en place de clous de type PFNA ddc avec matériel métallique intègre, en position inchangée. Pas de fracture nouvelle mise en évidence. Laboratoire : cf annexe CT cérébrale, cervical et massif facial 13.02.19 : Fracture impactée de l'os propre du nez à gauche. Radiographie colonne thoracique 13.02.19 : Pas de fracture visible. Spondylose dorsale. Bon alignement des corps vertébraux. Parties molles sp. Radiographie thorax 13.02.19 : Examen réalisé en position couchée. Structures cardiomédiastinales se présentant normalement. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Le parenchyme pulmonaire est sp. Radiographie épaule gauche 13.02.19 : Pas de fracture. Sous réserve de la position couchée, surélévation de la tête humérale avec probable conflit acromio-huméral et calcifications en surprojection du muscle supra-épineux. Omarthrose. EEG + video no 24582/5 14.02.19 : Rythme légèrement ralenti à 6-7/sec, parfois à 8, réactif. Le tracé frappe d'emblée par une asymétrie majeure avec à gauche un foyer delta continu sur tout l'hémisphère, en particulier dans les régions temporales. Pendant une grande partie du tracé, ce foyer devient plus grand, plus irrégulier avec des bouffées. L'EEG montre une légère tachycardie sinusale à 80/min. Foyer actif hémisphérique gauche, avec un léger ralentissement pendant une à deux minutes sur l'ensemble du tracé. Laboratoire : cf annexe CT genou droite : Status post prothèse totale du genou droit avec mise en évidence d'un liseré radio-transparent au pourtour du ciment de fixation fémoral et tibial, compatible avec un descellement. Pas de fracture péri-prothétique décelée. Pas d'épanchement intra-articulaire notable. Cicatrice pré-tibiale en rapport avec la voie d'abord opératoire. CT Cheville/pied gauche : Pas de fracture. Remaniements dégénératifs diffus des articulations de la cheville, du tarse et tarso-métatarsienne. Pas d'épanchement intra-articulaire notable. Laboratoire : cf annexe CT scan face 09.02.19 : Sous réserve d'un examen non injecté : absence de sinusite de la face. Pas de signe d'infiltration hypodermique de la face ni d'image d'abcès. Laboratoire : cf annexe CT thoracique injecté 22.01.2019 fait par Affidea Givision : condensation pulmonaire d'une taille de 10x8x7mm dans le segment apical du lobe pulmonaire supérieur droit au contact d'une bronche sous-segmentaire pouvant expliquer l'hémoptysie du patient évoquant en premier lieu une néoplasie pulmonaire. Un foyer broncho-pneumonique débutant semble moins probable. La réalisation d'un PET-CT complémentaire est recommandée et ce compte tenu de l'absence de syndrome inflammatoire dans le bilan sanguin. Signes de bronchite chronique et légère altération emphysémateuse du parenchyme pulmonaire. Fractures costales en séries bilatérales en voie de consolidation. Multiples lithiases intra-vésiculaires sans signe de complication. Laboratoire : cf annexe CT thoraco-abdominal le 02.02.2019 : Vésicule biliaire d'aspect distendu, contenant de multiples calculs dont un à l'entrée du canal cystique, associé à une discrète infiltration de la graisse péri-vésiculaire, faisant suspecter une cholécystite débutante. Pas de dilatation des voies biliaires extra-hépatiques. Calcifications des parois de l'aorte et des artères coronaires. Dystélectasies en bande bi-basales. Hypodensité aspécifique du pôle supérieur du rein gauche (DD : kyste ?). Prostate de taille agrandie. Calcifications aorto-bi-iliaques. Diverticulose pancolique. Coprostase du côlon ascendant. Omarthrose bilatérale. Arthrose des articulations acromio-claviculaires. Remaniements dégénératifs pluri-étagés du rachis. Status post PTH droite avec discrète infiltration des tissus mous en rapport avec le status post-opératoire récent. Coxarthrose gauche. Rx bassin du 04.02.2019 : Status post-mise en place d'une prothèse totale de hanche droite, avec intégrité et sans déplacement du matériel. Coxarthrose gauche. Status post-mise en place d'une sonde vésicale. Laboratoire : cf. annexe. ECG : foyer atrial ectopique, rythme à 74/min, axe gauche, pas de bloc atrio-ventriculaire, pas de bloc de branche, pas de troubles de la repolarisation. CT abdominal le 01.02.2019 : status post drainage percutané des voies biliaires avec drain en position correcte et régression de la dilatation des voies biliaires du foie droit. Pas de signe de saignement actif. Minime majoration de la lame de liquide péri-hépatique avec réhaussement capsulaire en regard du segment VI hépatique pouvant être en lien avec une petite fuite de bile en péri-hépatique lors du drainage percutané de ce jour. Le reste de l'examen est inchangé. Drainage sous radioscopie le 01.02.2019 : l'intervention et ses complications sont exposées au patient. Recueil du consentement éclairé. Désinfection cutanée et champage de l'hypochondre droit. Repérage échographique d'une dilatation des voies biliaires droites, modérée. Examen réalisé sous anesthésie générale. Désinfection cutanée et champage. Anesthésie locale à la peau et en profondeur au moyen de Rapidocaïne 1%. Ponction échoguidée des voies biliaires droites puis opacification de celles-ci au moyen d'une petite quantité de produit de contraste puis monté d'un guide jusqu'à hauteur de la convergence. Passage ensuite d'un introducteur Neff-set 4 French. Nous cathétérisons ensuite une obstruction relativement solide au moyen d'un cathéter Bernstein et un guide Terumo. Nous réussissons à passer celui-ci jusque dans le duodénum. Contrôle de position intra-duodénale. Changement pour un guide Amplatz puis changement pour un introducteur long 8 French Arrow. Réalisation d'une angiographie diagnostique et réalisation d'un brossage sur la zone suspecte c'est-à-dire proximalement par rapport au stent droit. Matériel que nous envoyons pour analyse cytologique au laboratoire Promed à Marly. Nous retirons également de la bile que nous envoyons pour analyse bactériologique. 1ère angioplastie au moyen d'un ballon 6 X 40 qui confirme la présence d'une sténose serrée. Décision ensuite de déployer un stent Silver 8 X 40 avec un déploiement optimal. Dilatation intra-stent au moyen du même ballon 6X40. Retrait du matériel et mise en place d'un drainage biliaire 8,5 French. Contrôle de position optimale. Drainage abondant. Nous retirons de la bile teintée de sang qui se clarifie. Suture du drain à la peau. Mise en place d'un pansement. Suite de la prise en charge en salle de réveil. Opacification le 04.02.2019 : injection d'une petite quantité de produit de contraste par le drain biliaire. Les voies biliaires sont fines et le drain est perméable jusqu'au niveau du duodénum. Pas d'anomalie visualisée. Pas de déplacement du drain.Le retrait du drain percutané est programmé pour le lendemain à 14h. Embolisation le 05.02.2019 : repérage fluoroscopique du drain qui est en place sans déplacement par rapport à l'examen de la veille. En vue de l'examen, nous administrons 3 mg de Morphine par voie iv et 1 mg de Dormicum par voie iv au patient. Surveillance hémodynamique. Désinfection cutanée et champage du flanc droit. Anesthésie locale de la peau et de profondeur au moyen de Rapidocaïne 1%. Mise en place d'un guide Amplatz jusque dans le duodénum à travers le drain. Retrait du drain biliaire est montée d'un introducteur court 6 F. embolisation ensuite du trajet par voie intra-hépatique au moyen de Spongostan. Retrait de l'introducteur. Mise en place d'un pansement stérile. Le patient est positionné en décubitus latéral droit durant 2 heures. US abdominal le 06.02.2019 : pas de dilatation des voies biliaires, stent en place. Laboratoire : cf annexe ECG : rythme irrégulièrement irrégulier à 101/min, axe gauche, pas de bloc atrio-ventriculaire, pas de bloc de branche Radiographie de thorax du 07.02.2019 : légère cardiomégalie. Ouverture de la carène pouvant correspondre à une dilatation de l'oreillette droite. Sclérose, élongation et déroulement de l'aorte thoracique descendante. Épanchements pleuraux bilatéraux avec opacité dans le lobe inférieur droit (atélectasie passive ? foyer ?) et redistribution vasculaire baso-apicale dans un contexte d'insuffisance cardiaque décompensée. Pas de pneumothorax. Sur le compartiment osseux, on note des fractures de côtes en série du côté droit. Echocardiographie le 08.02.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 20%. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Rétrécissement aortique serré. Surface aortique à 0,88 cm² (0,46 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4). Élévation franche des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Discrète dilatation du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Dilatation importante de l'oreillette droite avec une discrète dilatation du ventricule droit. Insuffisance tricuspide modérée à moyenne (grade 2 à 3/4). Absence d'épanchement péricardique. Consilium angiologique (16.02.2019, Dr. X) Laboratoire : cf annexe ECG : rythme irrégulièrement irrégulier à 51/min, axe dans la norme, pas de bloc de branche Radiographie du coude gauche du 27.01.2019 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'épanchement intra-articulaire. Calcifications vasculaires. Radiographie épaule droite du 28.01.2019 : pas de fracture mise en évidence. Pincement de l'espace sous-acromial parlant en faveur d'une atteinte du tendon du muscle sus-épineux. Calcifications à l'insertion du tendon du muscle sus-épineux sur le tubercule majeur. Radiographie épaule gauche du 28.01.2019 : pas de fracture mise en évidence. Pincement de l'espace sous-acromial parlant en faveur d'une atteinte du tendon du muscle sus-épineux. Artériographie des membres inférieurs du 30.01.2019 : bonne vascularisation jusqu'en distalité. Laboratoire : cf annexe ECG : rythme sinusal normocarde Radiographie de thorax 19.02.19 : Laboratoire : cf annexe. ECG : rythme sinusal régulier à 102/min, pas de bloc atrio-ventriculaire, axe hypergauche avec image d'hémibloc antérieur gauche, pas de bloc de branche complet, transition S-R en V2/V3, pas de troubles de la repolarisation. Radiographie thoracique le 28.01.2019 : mise en évidence d'un infiltrat réticulo-nodulaire en surprojection de l'ensemble de la plage pulmonaire gauche, ainsi que de la base de la plage pulmonaire droite, associé à des épaississements bronchiques diffus, compatibles avec des foyers de broncho-pneumonie. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardio-médiastinale de morphologie normale, sans signe de décompensation cardiaque. Troubles dégénératifs débutants du rachis thoracique avec discopathie pluri-étagée. Le reste du cadre osseux et les tissus mous sont de morphologie normale. Radiographie thoracique du 05.02.2019 : comparatif du 28 janvier 2019. Index cardiothoracique dans la norme. Nette diminution des opacités de l'hémi-champ pulmonaire gauche. Épaississement péri-broncho-vasculaire en base droite relativement superposable au comparatif. Absence d'épanchement pleural. Laboratoire : cf annexe ECG : rythme sinusal régulier à 67/min, axe hypergauche, pas de bloc atrio-ventriculaire, pas de bloc de branche, onde T inversée en V1 et DIII (connue), pas de sus/sur élévation significative du segment ST. Radiographie du thorax du 31.01.2019 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Opacité linéaire basale droite en rapport avec une atélectasie sous-segmentaire. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. CT abdominal du 31.01.2019 : au niveau hépatique, involution d'un kyste du segment IV, actuellement non caractérisable avec certitude. Pas d'autre anomalie hépatique pouvant expliquer le laboratoire perturbé. Atrophie du cortex rénal et dilatation pyélocalicielle massive à droite, plus ou moins comparable à des examens antérieurs, sur probable obstruction post-thérapeutique au niveau des vaisseaux iliaques externes. Une surinfection du système excréteur droit ne peut être exclue. Hypertrophie de la surrénale gauche. Reste de l'examen dans les normes, sans changement significatif par rapport au comparatif. Laboratoire : cf annexe ECG : rythme sinusal régulier à 75/min, axe gauche dans la norme, pas de bloc atrio-ventriculaire, pas de bloc de branche, onde Q pathologique en V1, onde T inversée en V1, retard de progression de l'onde R. Radiographie du thorax du 01.02.2019 : Stabilité en taille et morphologie de la silhouette cardio-médiastinale. Absence de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Absence d'épanchement pleural. Opacité dans le LIG en lien avec un foyer de pneumonie rétro-cardiaque gauche. Emoussement du sinus costo-diaphragmatique gauche. Plage pulmonaire droite sp. Cadre osseux et tissus mous sans particularité. Radiographie du thorax du 05.02.2019 : pas de pneumothorax post bronchoscopie. Bronchoscopie EBUS le 05.02.2019 Laboratoire : cf annexe. ECG : rythme sinusal régulier à 75/min, pas de bloc atrio-ventriculaire, axe hypergauche, hémi-bloc antérieur gauche, bloc de branche droit, pas de troubles de la repolarisation. Radiographie de thorax du 28.01.2019 : cardiomégalie. Discret déroulement athéromateux de l'aorte. Aspect proéminent des hiles pulmonaires, de contours flous. Discrète redistribution apicale des vaisseaux pulmonaires, qui se présentent de manière discrète, compatible avec une surcharge cardiaque. Absence d'épanchement pleural. Ventilation symétrique des deux plages pulmonaires, sans foyer constitué. St/p ostéosynthèse de la tête de l'humérus droit. Hypercyphose de la colonne dorsale, avec présence d'un discret tassement d'origine dégénérative de la colonne antérieure. Reste des structures osseuses sans particularité. Tissus mous sans particularité. Laboratoire : cf annexe ECG : rythme sinusal régulier à 90 bpm, STEMI antérieur étendue (sus-décalage ST V1 à V6) RX thorax 05.02.2019 : absence de comparatif. Clichés réalisés couché en inspirium incomplet. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signe de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Spondylose. Coronarographie du 05.02.2019 : occlusion de l'IVA distale. Atteinte coronarienne très diffuse et très calcifiée. Dysfonction VG systolique modérément-sévère. Recanalisation de l'IVA et angioplastie des 3 segments de l'IVA avec 3 stents et utilisation de ballons à haute pression (jusqu'à 48 ATM !), permettant de faire céder la sténose calcifiée proximale. Subocclusion de la RCx (très infiltrée) et une occlusion chronique de l'ACD. Re-coro de contrôle dans 1 mois pour PCI RCX (puis ACD) versus chirurgie.ETT 07.02.2019 (Dr. X) : ventricule gauche non dilaté avec une dyskinésie de la paroi inféro-basale, une akinésie de la paroi apicale et de la paroi septale antérieure moyenne et une hypokinésie minime du septum moyen et de la paroi inférieure moyenne. FEVG à 45% (méthode de Simpson). Hypertrophie concentrique. Bourrelet septal sous-aortique. Absence de thrombus apical après injection de produit de contraste endocavitaire. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Contrôle échocardiographique à 2-3 semaines lors de la réadaptation à Billens avec question sur formation de thrombus apicale. Laboratoire : cf. annexe. ECG : rythme sinusal régulier à 95/min, axe 90°, pas de bloc atrio-ventriculaire, pas de bloc de branche, pas de troubles de la repolarisation, transition R/S de V3 à V4. Radiographie de thorax du 30.01.2019 : pas de signe de décompensation cardiaque. Dystélectasies en bandes bi-basales. Pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax. Pas de déplacement secondaire notable des fractures costales. CT thoracique du 01.02.2019 : embolie pulmonaire segmentaire lobaire inférieure gauche avec début de répercussions sur le cœur droit. Possible foyer débutant dans la pyramide basale droite. Fractures costales. Oesophagogastroduodénoscopie le 05.02.2019 : diverticule de Zenker évalué par transit baryté, candidose oesophagienne, pas de source de saignement. Colonoscopie le 05.02.2019 : nombreux diverticules dans le sigmoïde et quelques diverticules dans le reste du côlon. Aucune autre source de saignement dans l'ensemble du côlon. Laboratoire : cf. annexe. ECG du 03.02.2019 : rythme sinusal à 70/min, axe -25°, PR 120 msec, QRS fin, pas de signes d'hypertrophie, pas d'élévation du segment ST, bonne progression précordiale. CT cérébral du 03.02.2019 : absence d'argument en faveur d'une atteinte ischémique ou hémorragique. Perméabilité préservée des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens. IRM cérébral du 04.02.2019 : pas d'argument sur l'examen actuel en faveur d'une lésion ischémique aiguë. Les quelques plages d'hypersignaux au niveau de la substance blanche sur les coupes FLAIR ne sont pas spécifiques. Elles doivent correspondre à de petites altérations dégénératives vasculaires. ETT du 03.02.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie sévère du septum apical, de la paroi inféro-apicale et de la paroi inférieure moyenne et une hypokinésie modérée des segments restants. FEVG à 40-45 % (évaluation visuelle). Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule et oreillette droite normales. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Fonction systolique du VG modérément diminuée, pas de valvulopathie significative (les rapports des précédentes ETT faits par Dr. X doivent être rapatriés afin de comparer l'évolution de la fonction cardiaque). Absence de passage des microbulles au repos et après Valsalva, mais qualité des images limitée. Coronarographie du 06.02.2019 : cet examen montre une maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et coronaire droite), avec un bon résultat à long terme de la PCI de l'IVA proximale-moyenne et une sténose ostiale subtotale d'une 1ère grosse branche diagonale, traitée par PCI/ 1 DES avec kissing balloon final IVA-diagonale avec un bon résultat immédiat. Laboratoire : cf. annexe. ECG le 13.02.2019 : rythme sinusal régulier, PR <120 msec, impression de QRS large en V1/V2, fin dans les autres dérivations. Pas de QT long. Rx thorax du 14.02.2019 : développement d'opacités pulmonaires bibasales (DD : atélectasie ? foyer infectieux ?). Épanchements pleuraux bilatéraux de faible abondance. Émoussement des récessus costo-diaphragmatiques. Laboratoire : cf. annexe. ECG (01.02.2019) : fibrillation atriale, normocarde à 100 bpm ; déviation axiale gauche. Bloc de branche droit. Onde T négative en I et aVL, ainsi qu'en V5-V6. ETT (04.02.2019) : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Augmentation du débit cardiaque calculé à 4,83 l/min avec un index cardiaque à 2,62 l/min/m². Aorte normale. Présence d'une prothèse mécanique à ailettes (St-Jude) en position aortique discrètement sténosante mais non fuyante avec une cinétique normale, sans dysfonction. Le gradient moyen VG-aorte est de 8 mmHg. Rétrécissement aortique lâche. Surface aortique à 1,57 cm² (0,85 cm²/m²). Pas d'insuffisance aortique. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit normal. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Épaississement de la mécano-prothèse en position aortique sans dysfonction (gradient satisfaisant, pas d'insuffisance). ETO (04.02.2019) : l'examen du jour ne montre pas d'argument pour une dysfonction de la prothèse aortique. Visuellement, il y a une fermeture valvulaire incomplète avec hyperechogénicité sur le versant aortique d'une des aillettes. Pour compléter le bilan un ciné-valve sera effectué demain par Dr. X et le Prof. X. Bilan Ciné-valve (08.02.2019) : l'examen invasif du jour démontre une fonction encore dans les limites de la norme de la prothèse valvulaire. Laboratoire : cf. annexe. ECG 17.01.2019 : sinusal régulier. Axe normal. BAV 1er degré. QRS fins. ST isoélectrique. CT crânio-cérébral 17.01.2019 : hématomes sous duraux bilatéraux à prédominance droite d'aspect chronique avec composante aiguë. Sans effet de masse sur ligne médiane ou ventricules. Hématome sous-dural à droite de la tente du cervelet. Hémorragie sous-arachnoïdienne à proximité de la tente du cervelet péri-mésencéphalique. Inondation hématique ventriculaire de la corne temporale et occipitale gauche. CT-scanner cérébral et colonne cervicale le 18.01.2019 : superposable au comparatif, pas de fracture. CT cérébral 18.01.2019 : stabilité des lésions. CT cérébral 27.01.19 : discrète diminution de taille des hématomes sous-duraux des hémi-convexités droite et de l'hématome sous-dural de la tente du cervelet à droite. Disparition de l'hémorragie ventriculaire du ventricule latéral gauche et de l'hémorragie sous-arachnoïdienne péri-mésencéphalique à droite. Pas de nouvelle hémorragie, ni signe en faveur d'une hydrocéphalie obstructive. Laboratoire : cf. annexe. ECG 30.01.19 : RSR 80/minutes, QRS fin, axe gauche, QRS fin, ST isoélectrique. Laboratoire : cf. annexe. Échocardiographie transthoracique le 07.02.2019 : dilatation importante du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 20 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Aorte ascendante modérément dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Surface aortique par planimétrie à 2,6 cm² (1,39 cm²/m²). Insuffisance aortique modérée (grade 2/3). Absence de rétrécissement mitral. Gradient moyen OG-VG à 2 mmHg. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3). Oreillette gauche discrètement dilatée. Sonde de PM en place. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique.Coronarographie le 07.02.2019 : progression de l'atteinte calcifiée de l'IVA proximale avec une sténose actuellement serrée. Dysfonction VG systolique sévère avec élévation franche des pressions de remplissage. Angioplastie de l'IVA avec implantation d'un stent actif et un excellent résultat immédiat. Anévrisme de l'aorte infra-rénale. Laboratoire : cf annexe Echocardiographie transthoracique 31.01.19 : dilatation modérée du ventricule gauche avec une dyskinésie de la paroi apicale et du septum, une akinésie de la paroi septale antérieure et de la paroi inférieure moyenne, une hypokinésie sévère de la paroi latérale moyenne, de la paroi inféro-basale, de la paroi antérieure moyenne, de la paroi antéro-basale et de la paroi postérieure moyenne et une hypokinésie minime de la paroi latéro-basale. FEVG à 10-15 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Aggravation de la fraction d'éjection. LVAD (Heartware) en place. Aorte non dilatée. Ouverture de la valve aortique insuffisance aortique minime (grade 1/3). Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3). Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit non dilaté. Hypokinésie globale du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. HTP sévère (PAPs à 79 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3). Absence d'épanchement péricardique. US abdominales : status post cholécystectomie (depuis longtemps selon le patient). Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Foie de morphologie et d'échostructure normales, de contours réguliers, sans lésion focale visible. Diamètre cranio-caudal sur la ligne médio-claviculaire 145 mm. Dilatation des veines sus-hépatiques et de la VCI qui sont perméables et de flux hépatofuge avec épanchement pleural droit de moyenne abondance et ascite diffuse de moyenne abondance (probablement d'origine cardiaque de la perturbations des tests hépatiques). CT abdominale 07.02.19 : status après mise en place d'un dispositif de persistance ventriculaire gauche, sans signe de complication. Pas d'infiltration ou de collection dans les parties molles le long du câble. Anasarque dans le contexte de l'insuffisance cardiaque connue. Laboratoire : cf annexe Frottis de grippe : négatif Rx thorax du 24.02.2019 : pas de foyer, semblable à la dernière radiographie CT membre inférieur gauche le 25.02.2019 : infiltration œdémateuse circonférentielle des tissus graisseux sous-cutanés de la jambe gauche, sans collection. Gonarthrose tricompartimentale bilatérale. Chondrocalcinose méniscale des deux genoux, prédominant à gauche. Calcifications des parties molles péri-articulaires du versant interne de l'articulation métatarso-phalangienne du premier rayon des deux côtés (DD : goutte ?). Os naviculaire accessoire de type I des deux côtés, bipartite à droite. Calcifications vasculaires diffuses. Echographie cardiaque du 25.02.2019 : examen de mauvaise qualité au lit du patient : ventricule gauche non dilaté avec, FEVG à 45 % (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique homogène. Sténose aortique calcifiée, modérée à sévère d'origine dégénératif. Surface aortique à 0,77 cm² (0,28 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 20 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Insuffisance mitrale minime. Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf annexe Frottis naso-pharyngé (Influenza A + B, RSV) : négatifs Hémocultures : négatifs Analyse urinaire et uricult : sp Antigène urinaire légionnelle et pneumocoque : négatifs Radiographie de thorax le 12.02 : foyer base droite Tazobac 3x 2250 mg IV du 12.02 au 13.02.2019 Klacid 2x 500 mg PO du 12.02 au 13.02.2019 Co-Amoxicilline 2x 1,2 g IV du 13.02 au 15.02.2019 Co-amoxicilline per os adapté à la fonction rénale du 15.02.2019 au 20.02.2019 Attitude : • Nous vous laissons le soin d'évaluer la réalisation d'un CT thoracique à distance pour exclure une néoplasie sous-jacente Laboratoire : cf annexe Hémocultures : négatives Urines : propres Traitements antibiotiques : • Zinacef 1,5 g aux 8h du 23.01.2019, adapté à la fonction rénale le 25.01.2019 1,5 g aux 12h jusqu'au 06.02.2019 • Zinat du 06.02 au 15.02.2019 (arrêté sur avis orthopédiste) Consilia : • Avis infectiologique : antibiotérapie à continuer jusqu'à opération (passage per os par Zinat possible) • Avis angiologique • Avis orthopédique Intervention : • Amputation transmétatarsienne I et prise de prélèvements pied G le 08.02.2019 > Culture de prélèvement osseux du 08.02.2019 : négatives Attitude : • réhabilitation à la marche à Tafers • chaussures de décharge adaptées • suivi orthopédique, ablation des fils selon avis orthopédique Laboratoire : cf annexe IRM cérébrale le 21.01.2019 Rx thorax du 21.01.2019 : élargissement du médiastin supérieur (DD : goitre ?). Silhouette cardiaque dans la norme. Artères pulmonaires proéminentes (DD : HTAP ?). Absence d'épanchement pleural. Absence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Status post prothèses mammaires. Discopathie pluriétagée du rachis dorsal. ETT (22.01.2019) : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Commentaire : examen superposable au comparatif. Pas d'argument pour un AVC d'origine cardio-embolique (si le diagnostic se confirme). IRM cérébrale (25.01.2019) : lésion unique intra-axiale pariétale postérieure gauche avec œdème péri-lésionnel vasogénique évoquant en premier diagnostic une métastase ou un glioblastome. PET-CT (28.01.2019) : masse dans le lobe occipital gauche. Suspicion d'une petite lésion au niveau hilaire droite. Suspicion de la présence d'une masse splénique. Hypertension pulmonaire artérielle. Atrophie rénale (due au diabète ?). Laboratoire : cf annexe IRM 13.02.2019 : séquelles parenchymateuses multiples sus et sous-tentorielles. SCA droite perméable, autres artères mal visibles. Angio-CT cérébral le 14.02.2019 : Laboratoire : cf annexe Radiographie de thorax et CT thoracique du 13.02.2019 : pas d'embolie pulmonaire ou de dissection aortique. Multiples adénopathies médiastino-hilaires et nodules pulmonaires en rapport avec la sarcoïdose connue. Suspicion de fractures non déplacées des arcs antérieurs costaux 4 et 5 à gauche.Radiographie de thorax du 18.02.2019 : pas de pneumothorax post-pose de pacemaker. ECG : rythme sinusal régulier à 71/min, axe gauche dans la norme, bloc atrioventriculaire du 1er degré, pas de bloc de branche, pas de sus ou sous-élévation du segment ST, onde T négative en V1. Echocardiographie du 14.02.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie minime de la paroi inféro-basale. FEVG à 65% (évaluation visuelle). Présence d'un bourrelet sous-aortique avec accélération des flux en sous-aortique et mi-ventriculaire. Présence d'une obstruction dynamique à la manœuvre de Valsalva plus marquée en mi-ventriculaire (gradient max passant de 5 à 27 mmHg) et en sous-aortique (gradient max passant de 5 à 27 mmHg). Dagger sign. Aorte non dilatée. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Insuffisance aortique physiologique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Commentaire : l'examen du jour montre une fonction globale conservée avec une hypokinésie minime de la paroi inféro-basale. Présence d'une hypertrophie plus marquée en septal avec une obstruction dynamique à la manœuvre de Valsalva plus marquée en mi-ventriculaire et en sous-aortique ainsi qu'un Dagger sign (DD : cardiomyopathie hypertrophique). Nous proposons d'effectuer une coronarographie à la recherche d'une maladie coronarienne et une IRM cardiaque (DD : sarcoïdose cardiaque). En raison de la FV, nous proposons l'implantation d'un ICD (recommandation classe IA selon les guidelines ESC 2015). Coronarographie du 14.02.2019 : l'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne avec sténose subocclusive de la RVP. Après discussion avec Mme. Y, j'ai procédé à une angioplastie de l'artère rétroventriculaire postérieure avec mise en place d'un stent actif Resolute Onyx 2.0x18 mm POT au ballon NC de 3.0 avec bon résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. Poursuite des investigations à la recherche d'une atteinte cardiaque de la sarcoïdose avec IRM vs scintigraphie. Discussion de mise en place de DAI. Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie dans 1 année. IRM cardiaque le 15.02.2019 : ventricule gauche de taille normale, légère hypertrophie concentrique, fonction systolique excellente, pas d'anomalie segmentaire de contractilité. VD de taille normale, non hypertrophié, avec une fonction systolique globale normale. Pas de valvulopathie significative, pas de shunt significatif, œdème intra-myocardique circonscrit à l'étage basal en inférieur d'origine indéterminée. Pas de réhaussement tardif. Pas d'argument IRM franc en faveur d'une atteinte cardiaque dans le cadre de la sarcoïdose connue. Laboratoire : cf annexe. Radiographie du thorax 05.02.2019 : absence de foyer infectieux ou de fracture. Laboratoire : cf annexe. Rx abdomen : status post mise en place d'une sonde naso-gastrique qui, sur les différentes clichés et en particulier le dernier cliché de l'abdomen debout avec opacification, se trouve dans le 3ème duodénum. Laboratoire : cf annexe. Rx bassin de face 11.02.19 : status post-enclouage centromédullaire aérien du fémur droit sans nouveau trait de fracture visualisé. Arrachement et ascension connue du petit trochanter. Probables lithiases calcifiées par la vésicule biliaire en surprojection de l'aile iliaque droite. Pas d'autre anomalie des tissus mous. Rx rachis lombaire de face et profil 11.02.19 : tassement de L1 avec perte de hauteur estimée à 40% sans recul du mur postérieur. Cunéiformisation de L2. Discarthrose pluri-étagée et arthrose facettaire. Pas d'autre lésion. Scintigraphie osseuse le 14.02.19 : mise en évidence d'hypercaptations linéaires tardives en L1 et L3, compatibles avec des tassements relativement récents. Mise en évidence d'une légère hypercaptation tardive fémorale droite en relation avec le status post-ostéosynthèse connu. Aspect dégénératif avancé de la colonne vertébrale et des grandes articulations. Absence d'autre image suspecte au niveau du squelette. Laboratoire : cf annexe. Rx colonne lombaire 25.01.19 : scoliose dextro-convexe du rachis dorsal. Status post-cyphoplastie D12, superposable. Importante ostéochondrose L3-L4-L5. Status post-ancien tassement de L4, superposable, sans recul du mur postérieur. Laboratoire : cf annexe. Rx du coude G : pas d'altération de la structure osseuse. Interligne articulaire régulier, d'épaisseur conservée, sans mise en évidence de pincement, ni d'érosion marginale, d'ostéophyte ou de géode. Tuméfaction des tissus mous, en lien avec la dermo-hypodermite. Laboratoire : cf annexe. Rx du thorax 04.02.2019 : cardiomégalie avec déroulement de l'aorte thoracique. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas de pneumothorax. Emoussement du sinus diaphragmatique gauche. Le compartiment osseux se présente normalement. US 08.02.2019 : mise en évidence d'une hernie inguinale gauche à contenu graisseux à collet large (27 mm) avec discrète protrusion en Valsalva. Pas de signe d'incarcération. Déhiscence de la ligne blanche. Pas d'hernie inguinale droite. Laboratoire : cf annexe. Rx thorax du 03.02.2019 : la silhouette cardio-médiastinale dans la norme, avec sclérose du bouton aortique. Gradient de radiotransparence cranio-caudal dans les plages pulmonaires avec réticulations bi-basales évoquant une surcharge. Absence de foyer individualisé. Pas d'épanchement pleural. Altérations dégénératives du cadre osseux, sans lésion suspecte. Laboratoire : cf annexe. Rx thorax du 28.01.2019 : st/p cerclage de sternotomie. Importantes lésions d'infiltrat pulmonaire bilatéral avec hypoventilation des deux bases pulmonaires. CT abdominal du 28.01.2019 : péritonite généralisée avec perforation digestive intra-abdominale et important pneumopéritoine d'origine peu claire, néanmoins au vu d'une diverticulose importante et la présence de liquide libre dans le bassin et autour du sigmoïde, une origine sigmoïdienne est probable. Iléus du jéjunum proximal jusqu'à 4,3 cm avec saut de calibre en fosse iliaque gauche. Quelques ganglions aspécifiques du mésentère et rétro-péritonéaux. Nombreux calculs radio-opaques de la vésicule biliaire, sans signe d'inflammation aiguë. Structure kystique du pôle supérieur du rein droit, spontanément hyperdense (environ 70 HU), compatible avec un kyste hémorragique. Discrète infiltration de la graisse para-rénale des deux côtés. Condensation avec bronchogramme de la base droite, compatible avec un foyer. Troubles de ventilation de la lingula et du lobe inférieur gauche. Cardiomégalie globale massive. Trame osseuse ostéopénique. St/p sternotomie avec présence de plusieurs cerclages intacts. Discopathies multi-étagées du rachis. Coxarthrose bilatérale, prédominante à droite. Arthrose de la symphyse pubienne. US-doppler membre inférieur gauche du 01.02.2019 : pas de thrombose veineuse profonde. Laboratoire : cf annexe.US-doppler membre inférieur gauche, le 01.02.2019 : pas de TVP Laboratoire : cf annexe Rx thorax du 30.01.2019 : épaississement des parois bronchiques en rapport avec une bronchite aux deux bases prédominant à gauche sans foyer de pneumonie. Status post-mise en place d'une trachéotomie en place. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardio-médiastinale et hiles pulmonaires sans particularité. Structures osseuses sans particularité. Laboratoire : cf annexe Rx thorax le 29.01.2019 CT thoracique le 04.02.2019 : Épanchements pleuraux bilatéraux, prédominants à droite, sans anomalie notable de la plèvre ni mise en évidence de masse suspecte d'atteinte tumorale, sous réserve de l'atélectase de contact de la pyramide basale droite. Amincissement du myocarde à l'apex du ventricule gauche, vraisemblablement séquellaire d'infarctus, avec mise en évidence d'un thrombus intra-ventriculaire en regard mesurant 15 mm de plus grand axe. Laboratoire : cf annexe. RX thorax 01.02.2019 : l'examen est superposable au précédent, avec notamment une surélévation de la coupole diaphragmatique droite, sans autre image pathologique mise en évidence, en particulier pas de foyer individualisé. US abdominal le 04.02.2019 : hépatomégalie avec stéatose, sans signe direct ou indirect d'hypertension portale. Laboratoire : cf annexe Rx thorax 10.01.19 : absence de comparatif à disposition. Silhouette cardio-médiastinale normale, avec sclérose du bouton aortique. Pas de foyer pulmonaire constitué et pas d'épanchement pleural. Le cadre osseux présente des altérations dégénératives étagées sans lésion suspecte. Laboratoire : cf annexe RX thorax 11.02.2019 : pas de foyer visualisé. On retrouve un épaississement bronchique diffus, prédominant aux bases pulmonaires, avec aspect d'opacité micro-nodulaire diffuse, en lien avec la BPCO connue. Silhouette cardio-médiastinale de morphologie normale. Calcification de la crosse aortique. Le reste de l'examen est superposable au comparatif. Ultrason des voies urinaires le 12.02.2019 : les reins sont de parenchyme homogène et de bonne différenciation cortico-médullaire des deux côtés. Ils mesurent 13 cm des deux côtés. Pas de dilatation pyélocalicielle ni calcul visualisé. Vessie en réplétion partielle aux parois régulières sans lésion suspecte. Conclusion : examen dans les limites de la norme. Laboratoire : cf annexe. RX thorax 12.02.2019 : radiographie effectuée en position couchée et en incidence AP. Les structures cardio-médiastinales se présentent normalement. Calcification du bouton aortique et déroulement de l'aorte thoracique. Pas d'épanchement pleural. Le parenchyme pulmonaire ne présente pas d'opacité suspecte de foyer infectieux. Épaississement bronchique diffus. Status postcimentoplastie du corps vertébral de L4. Le reste du status est superposable. Laboratoire : cf annexe Rx thorax 17.02.19 : sclérose de l'arc aortique. Flou péri-hilaire témoignant d'une surcharge. Infiltrats en base pulmonaire gauche compatibles avec un foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Scoliose sinistro-convexe du rachis dorsal associée à une discopathie pluri-étagée. Laboratoire : cf annexe RX thorax 21.02.2019 (effectuée à l'extérieur) : absence de franc foyer, athélectasie lobe inférieur droit connue, pas de fracture, pas de signe de surcharge. Laboratoire : cf annexe RX thorax 28.01.2019 : cardiomégalie sans signe de surcharge majeure. Ectasie de l'aorte thoracique ascendante. Emphysème pulmonaire prédominant aux apex pulmonaires et épaississement bronchique diffus. CT thoracique 28.01.2019 : cardiomégalie sans signe de surcharge majeure. Ectasie de l'aorte thoracique ascendante. Absence d'embolie pulmonaire. Emphysème pulmonaire prédominant aux apex pulmonaires et épaississement bronchique diffus. Petit infiltrat en verre dépoli dans le LSD, aspécifique. ETT 31.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60% (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte discrètement dilatée au niveau du sinus de Valsalva. Absence de rétrécissement aortique. Gradient moyen VG-Ao à 7 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3) avec maladie annulo-ectasiante. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Dysfonction diastolique minime (grade I). Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche discrètement dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. PAPs non mesurable (absence d'insuffisance tricuspidienne) mais absence d'élément en faveur d'une hypertension pulmonaire importante (PAPd estimée à 13 mmHg, PV acc T 109 ms). Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Absence d'épanchement péricardique. Suspicion de petite communication interauriculaire avec shunt gauche-droit, sous réserve de qualité d'image très limitée en fenêtre sous-costale. Laboratoire : cf annexe. RX thorax 30.01.2019 : comparatif du 20.11.2018. Le parenchyme pulmonaire se présente normalement, sans mise en évidence de foyer. Status post-sternotomie avec fermeture par cerclages, intacts (status post-remplacement de la valve mitrale et aortique, ainsi qu'un pontage entre l'artère sous-clavière gauche et l'artère interventriculaire antérieure par une artère mammaire interne gauche). Silhouette cardio-médiastinale de morphologie normale, sans signe de décompensation cardiaque. Calcifications de la crosse aortique. Pas d'épanchement pleural. Le reste de l'examen est superposable au comparatif avec les multiples métastases ostéocondensantes sur l'ensemble du cadre osseux exploré. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Laboratoire : cf annexe. Abdomen sans préparation : décrit ci-dessous. Poursuite antalgie par Co-Dafalgan. Traitement laxatif par Movicol durant 3 jours.Régime riche en fibres avec hydratation per os > 1.5 litre par jour. Contrôle clinique-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 20.02.2019 à 9h30 avec annulation si disparition des symptômes. Colonoscopie à réaliser en ambulatoire. Laboratoire : cf. annexes. Aligné. Stix et sédiment urinaire : cf. annexes. Macro-hématurie, pas de leucocyte, ni de nitrite. CT-scan abdominal natif : acquisition tomodensitométrique hélicoïdale abdomino-pelvienne en phase native. Lithiase de 9 mm (720 HU) enclavée dans l'uretère distal gauche à quelques millimètres de la jonction urétéro-vésicale avec une discrète infiltration au pourtour mais sans dilatation en amont ni infiltration péri-rénale expliquant probablement la symptomatologie chronique. Vessie aux parois fines. Pas de lithiase ni dilatation ni infiltration du côté droit. Sur le reste de l'examen, sous réserve d'une phase native, le foie est de contours réguliers, parenchyme homogène. Probable kyste biliaire du segment IVa. Pas de dilatation des voies biliaires. Vésicule biliaire sans calcul radio-opaque ni signe de cholécystite. Surrénales, rate et pancréas sans particularité. Pas d'adénopathie. Pas de liquide libre. Utérus et annexes sans particularité. En fenêtre osseuse, pas de lésion lytique ou condensante suspecte. Sur les quelques coupes passant par les bases pulmonaires, pas de nodule ni épanchement. CONCLUSION : lithiase de 9 mm (720 HU) enclavée dans l'uretère distal gauche à quelques millimètres de la jonction urétéro-vésicale avec une discrète infiltration au pourtour mais sans dilatation en amont. Pas d'autre anomalie visualisée. Laboratoire : cf. annexes. Amélioration du syndrome inflammatoire avec CRP diminuée à 56 mg/l sans leucocytose, fonction rénale créatinine à 72 µmol/l et anémie normochrome normocytaire à 99 mmol/l. Hémocultures : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ASAT à 1'959 U/l, ALAT à 241 U/l, GGT 96 U/l, bilirubine totale 63 µmol/l, bilirubine directe 62 µmol/l, amylase-lipase normales, CK 869 U/l, créatinine 162 µmol/l, leucocytes 8.3 G/l, Hb 113 g/l. CT-scan abdominal : foie stéatosique, pas de cholécystite ni de cholélithiase, pas de dilatation des voies biliaires. Etat d'anasarque gauche > droite avec infiltration des parties molles. Laboratoire : cf. annexes. ASAT 37 U/l, ALAT 23 U/l, PA 80 U/l, GGT 33 U/l, bilirubine totale 25.8 µmol/l, bilirubine directe 13 µmol/l, amylase à 93 U/l, lipase à 10 U/l, CRP 5 mg/l, leucocytes 5 G/l, Tc 210 G/l. Laboratoire : cf. annexes. Avis du chef de clinique de garde des urgences, le Dr. X. Désinfection bétadinée, 2 incisions des bords de l'ongle avec évacuation purulente, rinçage à l'aiguille boutonnée. Pansement Adaptic. Co-Amoxicilline 2,2 g iv puis 625 mg 3x/jour per os pendant 5 jours. Contrôle à 48 h à la filière des urgences ambulatoires. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. Poursuite du traitement antibiotique. Contrôle clinico-biologique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Repos avec surélévation de la jambe droite. Contrôle radiographique à organiser par le médecin traitant. Laboratoire : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. Ultrason : décrite ci-dessous. Antibiothérapie ci-dessous. Consultation chez le Dr. X le 06.03.2019 pour une discussion pré-cholécystectomie. Consultation avant aux urgences en cas de péjoration clinique. Laboratoire : cf. annexes. Bilan biologique : Bilan hépato-pancréatique dans la norme, hématurie à 6-10 érythrocytes par champs. Laboratoire : cf. annexes. Bilan hépatique dans la norme, bilirubine totale 7.3 µmol/l, bilirubine directe 4.1 µmol/l. Sédiment urinaire : cf. annexes. Érythrocytes 11-20. Radiographie du thorax face : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Status post-cholécystectomie. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. Radiographie du coude droit face et profil : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Pas d'épanchement articulaire. Radiographie de l'épaule droite face/neer : petite surélévation de l'humérus, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Laboratoire : cf. annexes. Bladder scan 200 ml. Sonde vésicale. Nexium 40 mg IV aux urgences. Pister le sédiment et spot urinaire. Laboratoire : cf. annexes. Calcémie à 2.94. Avis de l'HFR Fribourg de la dernière hospitalisation : contrôle de la calcémie corrigée et ionisée le 07.02.2019, contacter les endocrinologues de l'HFR avec le résultat. Laboratoire : cf. annexes. Contrôle clinique, réfection pansement, avis du Dr. X. Attelle Jeans 20°, Clexane, cannes. Contrôle à la policlinique chez le Dr. X, le 05.02 (FSS et CRP à 09H15, puis consultation à 10H15). Si fièvre, si péjoration de l'épanchement se présenter aux urgences. Laboratoire : cf. annexes. Créatinine 114 µmol/l, LDH 502 U/l, CRP 11 mg/l, leucocytes normaux, anémie normochrome et normocytaire. ECG : cf. annexes. RSR, axe HG, fréquence 75 bpm, onde q ample en D2, D3, aVF, QRS fins, sus décalage ST de 1 mm en V2, V3, ondes T plates D2, D3, aVF, V5, V6. Radiographie du thorax face/profil : par rapport au comparatif du 04.04.2016, on retrouve le st/p sternotomie pour pontage aorto-coronarien. On retrouve également des épaississements bronchiques avec actuellement une trame broncho-vasculaire un peu plus augmentée au niveau postéro-basal gauche, pouvant correspondre à un foyer débutant, à confronter avec la clinique. Laboratoire : cf. annexes. Créatinine 126 µmol/l, acide urique 544 mmol/l. Laboratoire : cf. annexes. CRP à 10 mg/l, pas de leucocytose. Radiographie du thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. Laboratoire : cf. annexes. CRP à 15 mg/l, pas de leucocyte. Laboratoire : cf. annexes. CRP à 28 mg/L, leucocytose à 10 G/l, reste du bilan sans particularité. Laboratoire : cf. annexes. CRP à 53 mg/L, sans leucocytose. Laboratoire : cf. annexes. CRP inférieur à 5 mg/l, leucocytes 12.7 G/l. Radiographie du gros orteil droit : pas de signe de séquelle d'arthrite. Pas d'image de tophus. Laboratoire : cf. annexes. CRP inférieure à 5 mg/l, leucocytes 12.7 G/l. Radiographie du 1er orteil droit : pas de signe de séquelle d'arthrite. Pas d'image de tophus. Laboratoire : cf. annexes. CRP 10 mg/l, leucocytes 6.5 G/l. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec ostéophytose intersomatique. Laboratoire : cf. annexes. CRP 120 mg/l. Urinaire : cf. annexes. Leucocyturie, hématurie, nitrites +. Hémocultures et urotube : cf. annexes. En cours. Laboratoire : cf. annexes. CRP 123 mg/l, leucocytose à 11.2 G/l. Radiographie du thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Épaississement bibasal de la trame broncho-vasculaire essentiellement au niveau para-cardiaque à droite. Emoussement modéré du cul-de-sac costo-diaphragmatique à droite. Laboratoire : cf. annexes. CRP 14 mg/l, leucocytes 8.0 G/l. Radiographie du thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Analyse d'urine : corps cétoniques ++. Cf. annexes.Laboratoire : cf. annexes. CRP 15mg/l, avec leucocytose à 14.2G/l, créatinine 154µmol/l, urée 13.5mmol/l, K 5.1mmol/l. Gazométrie : cf. annexes. Acidose respiratoire à 7.25 avec rétention CO2 à 9 PO2 9.9. 2ème gazométrie : cf. annexes. Post aérosol : ph à 7.19 PCO2 10.9 Po2 9.1. Radiographie du thorax face : élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. Epanchement pleural à gauche avec trouble ventilatoire. Epaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. (Dr. X). Radiographie du thorax face : par rapport au comparatif du même jour, on retrouve un épanchement pleural gauche d'aspect superposable. Pour le reste, l'examen est également superposable, notamment sans signe majeur d'insuffisance cardiaque. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP 16mg/l, reste aligné. Stix urinaire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. QTc 455 ms. Contact pris avec le Chef de clinique de garde du RFSM de Marsens : pas d'indication à une hospitalisation. Retour à domicile. Laboratoire : cf. annexes. CRP 19mg/l sans leucocytose, urée 9.7mmol/l, créatinine 143µmol/l. Frottis de grippe demandé par le CHUV : revient négatif. Laboratoire : cf. annexes. CRP 35mg/l, pas de leucocytose. Sédiment urinaire : propre. Streptotest : négatif. Laboratoire : cf. annexes. CRP 45mg/l, créatinine 137µmol/l. Bilan urinaire : cf. annexes. Hématurie, leucocyturie, flore bactérienne, urotube en cours. Laboratoire : cf. annexes. CRP 5, créatinine à 107, ASAT 79, ALAT 43, LDH 626 GGT 259 bili directe 6.9 Amylase 105. ECG : cf. annexes. RSR à 56 bpm, BAV 1er degré avec PR à 200 ms, QRS fins avec un axe à -13°, QTc à 478ms, mauvaise progression de l'onde R, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Ultrason abdominal supérieur natif : le foie est de taille à la limite supérieure de la norme, d'échostructure discrètement hétérogène et hyperéchogène, compatibles avec une stéatose, mais sans lésion focale décelable. Les voies biliaires sont modérément dilatées, à mettre en relation avec le st/p cholécystectomie, le canal cholédoque mesurant environ 10mm de diamètre. Le pancréas et la rate sont sp. Les deux reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme pour l'âge du patient, sans dilatation pyélocalicielle. L'aorte est athéromateuse, sans image d'anévrisme. CONCLUSION : dilatation modérée des voies biliaires à mettre en relation avec le st/p cholécystectomie, avec un foie de taille à la limite supérieure de la norme et modérément stéatosique. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CRP <5mg/l, leucocytes à 11G/l, Tc à 232G/l. Laboratoire : cf. annexes. CRP 6mg/l, leucocytes 9.5G/l. Laboratoire : cf. annexes. CRP 65mg/l, pas de leucocyte, reste sp. Laboratoire : cf. annexes. CRP<5mg/l. Leucocytose 10.9G/l. Pas de trouble de la fonction hépatique. Pas d'élévation des enzymes pancréatiques. Laboratoire : cf. annexes. CT cérébro-cervical natif le 21.02.2019 : hématome sous-cutané frontal. Absence de saignement intracrânien. Lésion parenchymateuse séquellaire cérébelleuse droite. Pas de fracture. RX de l'épaule droite le 22.02.2019 : consolidation en cours de la fracture sans déplacement secondaire. Le reste est également inchangé. Laboratoire : cf. annexes. CT-scan de l'abdomen natif aux urgences de Riaz le 08.02.2019. Re-transfert à l'Hôpital de Billens. Laboratoire : cf. annexes. CT-scan abdominal natif et injecté : acquisition tomodensitométrique hélicoïdale abdomino-pelvienne en phase native puis après injection de produit de contraste iodé bien toléré. Pas de comparatif. En phase native, l'analyse des voies urinaires des deux côtés ne révèle ni dilatation ni calcul. Vessie aux parois fines. Après injection, pas de foyer de néphrite individualisable. Sur le reste de l'examen, le foie est de parenchyme homogène et contours réguliers. Kystes biliaires du segment VIII et à cheval entre les segments V et VI. Veines sus-hépatiques et tronc porte perméables. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extrahépatiques. Vésicule biliaire sans calcul radio-opaque ni signe de cholécystite. Nodule surrénalien droit de 1.9cm de densité > 10HU, non caractérisable. Surrénale droite, rate et pancréas sans particularité. Pas de dilatation du canal de Wirsung. Pas d'adénopathie rétropéritonéale ou mésentérique ou inguinale. Pas de liquide libre. Prostate sans particularité. Pas d'anomalie du tractus digestif. Aorte et veine cave sans particularité. Au niveau des parties molles, on relève un nodule sous-cutané hypodense avec une infiltration de la graisse adjacente au niveau du pli inguinal gauche mesurant 1.7 cm. Sur les quelques coupes passant par les bases pulmonaires, pas d'épanchement pleural ni nodule suspect. En fenêtre osseuse, pas de lésion lytique ou condensante suspecte. Sacralisation de L5. CONCLUSION : pas de calcul visualisé ni signe de pyélonéphrite. Nodule non caractérisable de la surrénale droite (probable adénome). Nodule sous-cutané inguinal gauche de 1.7 cm (abcès sous-cutané sur folliculite ou kyste sébacé) (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CT-scan cérébral natif : absence de comparatif. Absence d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Les citernes basales et mésencéphaliques ainsi que le système ventriculaire ont une morphologie normale. Les calcifications physiologiques et les structures médianes sont en position normale. Pas d'altération des sillons cérébraux. Pas de lésion focale parenchymateuse. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. CONCLUSION : absence d'hémorragie intracrânienne. Pas d'autre anomalie de l'encéphale sous réserve de l'absence de contraste. Examen réalisé par télé-radiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg avec résultats transmis à 23h10 au Dr. X. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. CT-scan cérébral natif : décrit ci-dessous. Antalgie par Dafalgan, Irfen et Tramal en réserve. Physiothérapie. Laboratoire : cf. annexes. Dans la norme. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Dans la norme, notamment CK normaux. CRP 29mg/l, sans leucocytose. Hyponatrémie légère 134mmol/l. CT-scan cérébral natif : examen réalisé sans injection de produit contraste. Absence d'examen comparatif à disposition. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Présence de calcifications sous-cutanées adjacentes à l'os au niveau fronto-pariétal droit, DD ancienne fracture, corps étranger. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Système ventriculaire et citernes de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas d'altération des sillons cérébraux. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. CONCLUSION : examen dans les limites de la norme, sans composante traumatique visible. Examen réalisé en téléradiologie avec transmission des résultats à 11h20 au Dr. X. (Dr. X). ECG : cf. annexes. RSR 78/min, PR 170ms, QRS fins normoaxés, QTc 450ms, pas de signes d'ischémie active avec ST isoélectrique sur toutes les dérivations, pas d'autres troubles de repolarisation. Laboratoire : cf. annexes. Dans la norme. Sédiment urinaire : propre. Radiographie du coude gauche et de l'avant-bras gauche : fracture de la tête radiale avec composante intra-articulaire. Volumineux épanchement articulaire. Épine olécrânienne. Radiographie du poignet gauche : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Radiographie du coude gauche sous plâtre : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé. Par rapport à l'examen du même jour, pas de DS de la fracture de la tête radiale. (Dr. X).Laboratoire : cf. annexes. D-dimères à < 190 ng/ml. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 82 bpm, QRS fins à 100 ms, axe gauche à -12°, Segment-ST isoélectrique, transition de l'onde R en V4. QTc à 433 ms. Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax visualisé. Laboratoire : cf. annexes. D-dimères > 500 ng/mL. Reste stable. Radiographie de la cheville droite : pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Laboratoire : cf. annexes. Diminution du syndrome inflammatoire. Sédiment urinaire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Pantozol 40 mg 2x/jour pendant 1 semaine. Ulcar 3x/jour avant les repas pendant 3 jours. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Proposition d'un Holter en ambulatoire. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Contrôle chez son médecin traitant. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Retour à domicile avec antalgie simple. Contrôle chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme irrégulier avec extrasystole auriculaire en bigeminisme, PR 188 ms, QRS fins à 102 ms, d'axe -12°, transition de l'onde R en V3, ST iso-électrique, QTc 440 ms. Ultrason abdominal supérieur natif : le foie est de taille à la limite supérieure de la norme, mesurant environ 16 cm de diamètre antéro-postérieur sur la ligne médio-claviculaire et présente un parenchyme diffusément hyperéchogène, à mettre en relation avec la maladie de Gilbert mais sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées et la veine porte est perméable avec un flux hépatopète. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont sp. Les 2 reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. On retrouve un kyste cortical d'environ 3,5 cm de grand axe au niveau de la lèvre postérieure du rein D. Pas d'anévrisme de l'aorte abdominale. CONCLUSION : on retrouve un foie hyperéchogène à mettre en relation avec la maladie de Gilbert connue, mais pas de lithiase vésiculaire mise en évidence. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 81 bpm, axe normal à 41°, QRS fin à 80 ms, segment-ST isoélectrique, T négative concordante en V1, transition de l'onde R précoce en V3, QTc 452 ms. Radiographie du thorax face : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de foyer pneumonique visible. Pas de pneumothorax. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 70 bpm, axe normal à 43°, PR 144 ms, QRS fins à 82 ms, segment ST isoélectrique, onde T négative en V1 concordante, transition de l'onde R en V3. QTc à 409 ms. Radiographie du thorax face/profil : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de foyer pneumonique visible. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Test de Schellong : négatif. Consilium psychiatrique (Dr. X) : symptômes associés au vécu actuel de Mr. Y. Pas de critère de suicidalité ni de conduite à risque. Ad suivi dans un bref délai chez le médecin traitant afin de soutenir Mr. Y dans son processus. Pas d'anxiolyse pour le moment. Consultation le 12.02.2018 à 12h30 chez le médecin traitant (Dr. X). Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien. CT-scan cérébral : décrit ci-dessous. Test de Schellong. Avis et passage du Dr. X, de médecine interne. Consultation à 10 jours chez son médecin traitant pour réévaluer la médication (Halcion). Feuille d'information post-traumatisme crânien donnée. Sortie avec son fils. Laboratoire : cf. annexes. ECG : RSR à 69 bpm, PR 146 ms, QRS 86 ms monomorphes avec transition RS en V3-V4, ST isoélectrique QTc à 389 ms pas de trouble de la repolarisation. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde à 67 bpm avec un axe normal à 49°. QRS fin à 78 ms, segment ST iso-électrique, onde T négative en V1 concordante. Transition de l'onde R en V3. QTc à 449 ms. Cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 03.01.2019 : rythme sinusal à 86 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, pas de trouble de la conduction ni de la repolarisation. Oxymétrie nocturne du 03.01.2019 : index des événements de désaturation 12.8/heure, SpO2 moyenne 89.1 %. Gazométrie du 11.01.2019, à l'air ambiant : pH 7.45, SpO2 95.2 %, pO2 8.7 kPa, pCO2 4.74 kPa, HCO3- 24.2 mmol/l. Polygraphie nocturne du 11.01.2019 : IAH 47/h, IDO 50.3/h. Radiographie épaule D face/Neer du 11.01.2019 : bonne congruence gléno-humérale. Pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques restent conservés. Ébauche d'ostéophyte céphalique inférieure évoquant une omarthrose débutante par ailleurs. Radiographie bassin, hanche G axiale et fémur G du 17.01.2019 : matériel d'OS en place. Pas de déplacement secondaire. Coxarthrose bilatérale. Radiographie bassin, hanche G axiale et fémur G du 08.02.2019 : matériel d'ostéosynthèse en place. Pas de signe de complication. Les rapports anatomiques sont conservés. Évaluation neuropsychologique du 28.01.2019 : cf rapport. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 03.01.2019 : rythme sinusal à 81 bpm, PR 120 ms, QRS élargis à 135 ms avec aspect de bloc de branche droit complet, axe à droite à -30°, QTc à 467 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, T inversés dans les dérivations V1 à V5. ECG superposable aux anciens. Radiographie bassin et hanche G le 04.01.2019 (comparatif du 28.12.2018) : st/p mise en place d'une PTH G avec élément fémoral cimenté, cupule acétabulaire vissée. Les éléments prothétiques sont en bonne position, sans signe de complication précoce. Régression de l'emphysème des parties molles. Retrait de la sonde urinaire. Multiples phlébolithes pelviens D. Gazométrie du 24.01.2019, à l'air ambiant : pH 7.42, pCO2 6.35 kPa, pO2 8.1 kPa, SpO2 90.4 %. Évaluation neuropsychologique du 16 et 21.01.2019 : cf rapport. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 04.01.2019 : rythme sinusal à 70 bpm, PR à 190 ms, QRS fins à 78 ms avec un axe à -15°, QTc à 449 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V4, ST isoélectriques sans signe d'ischémie active. ECG des 07, 11 et 21.01.2019 : superposables à l'ECG d'entrée. Radiographie hanche G et bassin du 04.02.2019 (comparatif du 28.12.2018) : pas de changement significatif de la fracture per-trochantérienne et du st/p clou PFN long du fémur G avec cerclage, en position totalement inchangée, sans signe de descellement, sans fracture péri-prothétique. Hanche D sp. Retrait de la sonde urinaire. Évaluation neuropsychologique du 14-15.01.2019 : cf rapport. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 04.02.2019 : rythme sinusal irrégulier à 90 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. Radiographie hanche D du 06.02.2019 : pas de déplacement secondaire notable du matériel ni de la fracture et avec l'impression d'un discret déplacement du petit trochanter entre les deux examens. Hanche gauche totalement inchangée avec calcifications du labrum. Pas d'autre fracture mise en évidence. Calcifications vasculaires. Laboratoire : cf annexes. ECG du 07.01.2018 : rythme sinusal à 71 bpm, axe gauche à -24°, intervalles PR à 190 ms, intervalles QRS et QTc dans la norme, onde T négatives en V1 et DIII, onde T aplati en V2. Oxymétrie nocturne du 08.01.2019, à l'air ambiant : SpO2 moyenne 95.5 %, index des événements de désaturation à 14/heure. Gazométrie du 10.01.2019, à l'air ambiant : pH 7.45, pO2 10.1 kPa, pCO2 4.13 kPa, HCO3- 21 mmol/l, satO2 95.8 %. US de la vessie avec résidu post-mictionnel du 17.01.2019 : vessie presque vide avec une patiente qui mentionne un besoin d'uriner (volume d'environ 6 cc). La patiente remonte à l'étage boire de l'eau. Environ 45 minutes plus tard, la patiente redescend en échographie avec la sensation d'une vessie pleine et d'un besoin impérieux d'aller uriner. Le volume vésical est passé à 9 cc. Évaluation neuropsychologique du 16 au 28.01.2019 : cf rapport. Laboratoire : cf annexes. ECG du 08.02.2019 : CT scan abdominal natif du 08.02.2019 : importante stéatose hépatique. Lithiases vésiculaires sans signe de cholécystite ni dilatation des voies biliaires. Épanchements pleuraux bilatéraux prédominant à gauche avec atélectasie passive en regard. Anasarque avec infiltration des parties molles déclives. Laboratoire : cf annexes. ECG du 10.01.2019 : rythme sinusal à 78 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. Gazométrie du 10.01.2019, à l'air ambiant : pH 7.46, SpO2 97.5 %, pO2 10.9 kPa, pCO2 3.62 kPa, HCO3- 19 mmol/l. Gazométrie du 29.01.2019, à l'air ambiant : pH 7.39, SpO2 96.5 %, pO2 10.8 kPa, pCO2 4.87 kPa, HCO3- 21.7 mmol/l. Spirométrie du 22.01.2019 : CVF 106 % du prédit, VEMS 88 %, Tiffeneau 71.3 %. Radiographie thorax du 11.01.2019 (comparatif du 30.12.2018) : on ne met plus en évidence de pneumothorax à droite. Pas de pneumothorax à gauche. Clip en surprojection du hile droit à corréler aux antécédents chirurgicaux de la patiente. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Test des 6 minutes, à l'entrée : distance parcourue 120 m. FC 83-86 bpm, TA 120/76 mmHg - TA 100/70 mmHg, satO2 100 % - 94 %, dyspnée EVA 2/10 - 4/10. Test des 6 minutes, à la sortie : distance parcourue 425 m. FC 83-97 bpm, TA 115/52 mmHg - TA 103/60 mmHg, satO2 99 % - 91 %, dyspnée EVA 0/10 - 4/10. Laboratoire : cf annexes. ECG du 11.01.2019 : rythme sinusal à 58 bpm, PR 164 ms, QRS 140 ms avec aspect de bloc de branche droit complet, avec un axe à 7°, QTc à 493 ms, ST isoélectriques sans signe d'ischémie active, T négatifs de V1 à V4 dans le contexte du bloc de branche droit. Évaluation neuropsychologique du 28.01.2019 : cf rapport. Laboratoire : cf annexes. ECG du 21.01.2019 : rythme sinusal à 101 bpm, PR 118 ms, QRS fins à 64 ms avec un axe à 15°, QTc à 473 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V4, ST isoélectriques sans signe d'ischémie active. Laboratoire : cf annexes. ECG du 24.01.2019 : RSR à 85 bpm, pas de bloc AV, QRS fin d'axe normal, segment ST isoélectrique, onde T négative en V1. Laboratoire : cf annexes. ECG du 28.12.2018 : rythme sinusal à 65 bpm, PR à 200 ms, QRS fins à 108 ms avec un axe à 0°, QTc à 469 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, présence d'une extrasystole ventriculaire. Laboratoire : cf annexes. ECG du 30.01.2019 : rythme sinusal à 73 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, onde T inversée en V1 et aVL, ondes T aplaties en V2. Laboratoire : cf annexes. ECG le 09.02.2019 : rythme sinusal régulier, BAV 1°, BBG. Angio-CT cérébral avec vaisseaux précérébraux du 09.02.2019 : pénombre ischémique dans la région fronto-temporale droite sans infarctus constitué et sans occlusion vasculaire. Plaques d'athérome calcifiées au niveau des bulbes carotidiens et à l'origine de la vertébrale gauche sans sténose significative. Plaques d'athérome mixtes molles et calcifiées au niveau de la crosse de l'aorte. Sinusite aiguë sphénoïdale et maxillaire bilatérale. Échocardiographie transthoracique du 11.02.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une dysfonction systolique légère sur hypokinésie modérée de la paroi septale antérieure moyenne. FEVG à 52 % (méthode de Simpson). Hypertrophie concentrique. Mouvement paradoxal du septum interventriculaire dans le contexte de BBG. Aplatissement du septum systolo-diastolique (D-shaping) sur pressure overload du VD. Aorte ascendante non dilatée. Aspect de sclérose de la valve aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3), d'origine dégénérative. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Oreillette gauche modérément dilatée. Ventricule droit non dilaté. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/3). Insuffisance pulmonaire significative. Signes indirects en faveur d'une hypertension pulmonaire (D-shaping du VG, notching du signal PW dans la CCVD, PAPd estimée à 18 mmHg). VCI s'effondre en inspiration en faveur d'une hypovolémie. Absence d'épanchement péricardique. CT cérébral natif du 10.02.2019 : ischémies constituées au niveau du putamen, du cortex insulaire et du gyrus précentral droit. Pas de transformation hémorragique. Sinusite maxillaire bilatérale et sphénoïdale droite. IRM cérébrale du 13.02.2019 : lésion ischémique aiguë fronto-insulaire droite avec œdème local provoquant un effacement des sillons dans la partie supérieure de la lésion. Pas de signe de transformation hémorragique. Pas d'autre lésion focale suspecte de séquelle d'atteinte ischémique. Bilan neuropsychologique du 12.02.2019 : rapport définitif en cours. Duplex des vaisseaux précérébraux du 12.02.2019 : duplex couleur extracrânien : mise en évidence d'une athéromatose carotido-vertébrale précérébrale discrète à modérée à prédominance droite, toutefois sans sténose hémodynamiquement significative. Présence de plaques d'athérome d'aspect hétérogène, irrégulière, iso- à hypoéchogène au départ des artères carotides internes à prédominance droite. Artère vertébrale de flux antérograde, légèrement résistif à gauche avec un calibre prédominant à droite. Pas de sténose sur l'artère vertébrale droite et gauche détectée. Coronarographie et angioplastie du 14.02.2019 : lésions bitronculaires. avec sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Sténose significative de la première diagonale. Sténose significative de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la seconde marginale (lésion de bifurcation). Sténose significative de la première marginale. Sténose significative de la seconde marginale. Lésion non significative de l'artère coronaire droite moyenne. Lésion non significative de l'artère coronaire droite distale. Succès d'angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Implantation de 1 stent actif. Succès d'angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Implantation de 1 stent actif. EF indéterminée. Radiographie thoracique le 18.02.2019 : rapport définitif en cours. Laboratoire : cf annexes. Examen clinique. Nexium 40 mg iv + Ulcar 1 g. Laboratoire : cf annexes. Examen clinique. Paracétamol 1000. Nexium 40 mg iv.NaCl 1000 ml /3 heures. CT-scan abdomen natif : décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, chirurgien. Transfert aux urgences à Fribourg, départ en ambulance. Laboratoire : cf. annexes. Formule sanguine alignée, D-dimères à 658 ng/l. Radiographie du genou droit et rotules des deux côtés : effilement du massif des épines tibiales et remaniements dégénératifs modérés des plateaux tibiaux dans le contexte d'une arthrose. Patella alta. Arthrose fémoro-patellaire compartimentale externe avec pincement articulaire et remaniements ostéophytaires de l'aileron externe de la rotule. Rotule G centrée, sans lésion. Laboratoire : cf. annexes. Gazométrie : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. ECG : cf. annexes. Superposable au comparatif. ETT (Dr. X) : hypokinésie basale antéro-septale compatible avec une atteinte coronarienne antérieure. Un EP semble peu probable en l'absence de dilatation de VD. VCI respiro-dépendante. Atrovent en ordre unique. VNI sous 12 litres. Glucosalin 500 ml/39 min, NaCl 1000/2h. Lasix 20 mg iv en bolus à 10h00 et 11h40 (100 ml de diurèse). Intubation orotrachéale pour baisse de l'état de conscience. Transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg, départ en ambulance. Laboratoire : cf. annexes. Hb 143 g/l, leucocytes 6.9 G/l, CRP 6 mg/l, créatinine 67 µmol/l. Laboratoire : cf. annexes. Hb 146 g/l, leucocytes 11.1 G/l, créatinine 74 µmol/l, pas de trouble électrolytique, tests hépato-pancréatiques dans les normes, LDH 510 U/l, crase dans la norme. Sédiment urinaire : cf. annexes. Hématurie ++, érythrocytes 6-10/champ. Radiographie de la jambe droite : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. CT-scan abdominal natif et injecté : acquisition tomodensitométrique hélicoïdale abdomino-pelvienne en phase native puis après injection de 90 ml de Iomeron 400, bien toléré. Pas de pneumopéritoine. Pas de liquide libre. Pas d'extravasation de contraste. Foie de parenchyme homogène et contours réguliers sans lésion suspecte. Veines sus-hépatiques et tronc porte perméables. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extrahépatiques. Vésicule biliaire sans calcul radio-opaque ni signe de cholécystite. Rate, surrénales et pancréas sans particularités. Reins de contours réguliers et de bonne différenciation cortico-médullaire. Pas de dilatation des voies excrétrices des deux côtés. Vessie aux parois fines. Prostate sans particularité. Pas d'adénopathie rétropéritonéale, mésentérique ou inguinale. Aorte abdominale et ses branches perméables. Veine cave sans particularité. Sur les quelques coupes passant par les bases pulmonaires, pas de nodule ni condensation. Pas d'épanchement. En fenêtre osseuse, pas de fracture. Pas de lésion lytique ou condensante. Perte de sphéricité de la portion supérieure de la tête fémorale droite avec sclérose et géodes sous-chondrales traduisant des remaniements arthrosiques. À noter une anomalie de sphéricité de la tête fémorale droite avec des remaniements arthrosiques sous forme de sclérose et géodes sous-chondrales avancées pour l'âge, à corréler à l'antécédent d'ostéochondrite disséquante. CONCLUSION : examen dans les limites de la norme. Remaniements arthrosiques de l'articulation coxo-fémorale droite. Laboratoire : cf. annexes. Hb 154 g/l, leucocytes 13.3 G/l, CRP <5 mg/l, créatinine 89 µmol/l, pas de trouble électrolytique, crase dans les normes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Hématurie ++++. Laboratoire : cf. annexes. Hb 155 g/l, créatinine 74 µmol/l, crase dans les normes, tests hépato-pancréatiques dans les normes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Hématurie +, érythrocytes 3-5/champs. Radiographie de la colonne cervicale face, profil et axiale : rectitude du rachis d'origine probablement antalgique. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieur et postérieur. Pas d'épaississement des tissus mous prévertébraux. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Radiographie du bassin et de la hanche axiale gauche : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Laboratoire : cf. annexes. Hb 158 g/l, créatinine 92 µmol/l, tests hépato-pancréatiques dans les normes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Erythrocytes <3/champs. Radiographies du rachis lombaire face/profil : petite attitude scoliotique sinistro-convexe. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieur et postérieur. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Laboratoire : cf. annexes. Hb 169 mg/l, CRP <5 mg/l, créatinine 80 µmol/l, Na 140 mmol/l, K 3.8 mmol/l, TP 93, INR 1, PTT 23. Laboratoire : cf. annexes. Hydratation NaCl 0,9 % 1 litre/1 h. Paracétamol 1 g iv. Nexium 40 mg iv. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 04.02.2019 avec échographie abdominale à la recherche d'une éventuelle appendicite. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Hydratation 1000 ml/24 h. Retour au RFSM de Marsens sous PAFA, en ambulance. Laboratoire : cf. annexes. IRC avec créatinine à 284, urée 9.9, bil direct 4.7, pas de sd inflammatoire, Hb 134 puis 119 après 4 h. CT-scan abdominal natif : examen réalisé sans injection de produit de contraste en raison de l'insuffisance rénale connue. En comparaison avec le CT thoracique du 15.02.2016. Abdomen : sous réserve d'un examen en l'absence de produit de contraste : le foie est de taille, de configuration et de densité normales, avec une lésion hypodense dans le segment II (max. 16 mm), évoquant un kyste biliaire simple. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Vésicule lithiasique sans signe d'inflammation. La rate et les surrénales ont une morphologie normale. Atrophie lipomateuse du pancréas. Par rapport au comparatif du 15.02.2016 (les reins ne sont que partiellement visibles sur le comparatif), apparition d'une collection sous-capsulaire spontanément hyperdense de 31 mm d'épaisseur maximale intéressant l'entièreté du contour rénal compatible avec un hématome. On visualise aussi l'apparition d'une collection liquidienne spontanément hyperdense rétropéritonéale prédominant dans l'espace para-rénal postérieur d'une épaisseur maximale de 18 mm compatible avec un hématome. On retrouve d'innombrables kystes rénaux bilatéraux dont certains à contenu spontanément dense d'origine hémorragique/protéique, en rapport avec une maladie rénale polykystique acquise dans le contexte de dialyse. Pas de dilatation du système excréteur des deux côtés. Sous réserve d'artéfacts métalliques provoqués par la PTH droite, pas de masse ou de collection pelvienne. Pas d'adénopathie radiologiquement significative. Dolichocolon sigmoïde avec maladie diverticulaire calme. Fécalome rectal. Aorte abdominale et artères iliaques de calibre normal, avec des altérations calcifiées. Atrophie du muscle psoas droit. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique : très fines lames d'épanchement pleural ddc, avec présence d'une petite atélectasie de contact postéro-basale droite. On retrouve un emphysème pulmonaire inchangé, ainsi qu'un petit nodule de 6 mm du segment médio-basal du lobe inférieur. Osseux : altérations dégénératives du rachis dorsolombaire. Séquelles d'anciennes fractures du ramus ossis pubis supérieur et inférieur gauche. Status post PTH droite. Coxarthrose gauche. Absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION : volumineux hématome sous-capsulaire du rein droit avec hématome associé à un hématome rétropéritonéal para-rénal droit. Un saignement actif ne peut pas être exclu (injection de produit de contraste renoncée après discussion avec le Dr. X). On retrouve une maladie rénale polykystique acquise dans le contexte de dialyse, avec certains kystes spontanément denses d'origine hémorragique/protéique. Radiographie du thorax face/profil : par rapport au comparatif du 08.01.2019, on retrouve une importante désorganisation de la trame bronchovasculaire ainsi qu'un lobe azygos, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. K 40 méq sur 8 heures le 29.01.2019. Potassium effervette 30 mmol/L le 29.01.2019. Laboratoire : cf. annexes. Hb stable à 89g/l par rapport à 93 g/l le 11.02.2019. Bilan urinaire : cf. annexes. Hématurie ++++ leucocyturie +. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes à 15.7G/l, CRP à 97mg/l. 2 paires d'hémocultures périphériques prélevées. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes à 16G/l, et CRP à 7mg/l. CT-scan du jour : décrit ci-dessous. Avis ORL de garde, Dr. X : une IRM et cytoponction sous ultrason, organisé le 25.02 à Riaz pour exclure processus néoplasique et un contrôle à sa consultation le 06.03.2019 pour la suite de prise en charge. Retour à domicile avec antalgie simple. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes à 18G/l, neutrophiles à 15.8G/L, CRP 5mg/l. Gazométrie : PH 7.22, pCo2 à 8 et PO2 à 10.9, lactates 2.8. Cf. annexes. Radiographie du thorax face : cardiomégalie G majorée par la position couchée. Sclérose aortique. Accentuation de l'interstice péri-hillaire bilatéral à prédominance basale bilatérale compatible avec une surcharge cardiaque. Pas d'épanchement pleural décelable. Éventuel foyer surajouté ne peut être formellement exclu notamment au niveau du rétrocarde. Lésion dégénérative du rachis. PSH calcifiante de l'épaule D. (Dr. X). ECG : cf. annexes. Superposable au comparatif. ETT (Dr. X) : hypokinésie basale antéro-séptale compatible avec une atteinte coronarienne antérieure. Un EP semble peu probable en l'absence de dilatation de VD. VCI respiro-dépendante. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 11G/l avec neutrophilie 10.7G/L, CRP 35mg/l. Hémocultures : cf. annexes. Ag urinaires : cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR à 78min, superposable au comparatif de 2017. CT-scan thoracique pour recherche d'embolie pulmonaire injectée : comparatif 24.01.2019. Par rapport au comparatif, on note une très nette augmentation de taille de l'épanchement pleural gauche avec progression d'une atélectasie passive accompagnatrice lobaire inférieure. On retrouve une masse tissulaire connue, infra-hilaire gauche au contact du cœur, mesurant environ 10 x 7 cm de diamètre maximal contre 8,8 x 6,5 précédemment. Ce jour, absence d'épanchement péricardique. Tronc et artères pulmonaires de calibre conservé, perméables sans argument pour une embolie centrale, lobaire ou segmentaire. À droite, absence d'épanchement pleural ou de foyer parenchymateux interstitiel ou alvéolaire visible. On retrouve une lésion nodulaire inchangée en taille de 3 mm de diamètre dans le segment antérobasal du lobe supérieur droit. Aspect inchangé des adénopathies médiastinales prétrachéales et de la fenêtre inter-aortico-pulmonaire. Le reste du status étant superposable. Pour mémoire, on retrouve un st/p sternotomie pour pontage aortocoronarien. Lésions dégénératives du rachis dorsal, sans lésion ostéocondensante osseuse suspecte dans le contexte du carcinome de base. CONCLUSION : absence d'embolie pulmonaire. Progression d'un épanchement pleural gauche, de la masse médiastinale métastatique connue dans le contexte d'un carcinome urothélial récidivant. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 11G/l, CRP <5mg/l, Hb 162g/l, créatinine 69µmol/l, Na 141mmol/l, K 4.6mmol/l. Radiographie du thorax face/profil : examen superposable au comparatif du 14.11.2014 avec une petite surélévation de l'hémicoupole diaphragmatique droite ainsi que quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Cœur de taille à la limite supérieure de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 11.6G/l, CRP 4mg/l, Hb 157g/l, créatinine 99µmol/l, Na 136mmol/l, K 3.8mmol/l. Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. (Dr. X). ECG : cf. annexes. RSR à 108/min. Intervalle PR 160msec. QRS à 88sec, axe à 50°. Transition de l'onde R en V3. Pas d'onde Q. Pas d'onde T inversée. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 11.9G/l, CRP 19mg/l. Sédiment urinaire : cf. annexes. Erythrocyte <3. Radiographie de la colonne cervicale face/profil/axiale : 7 vertèbres cervicales visibles sur l'incidence de profil. Morphologie, alignement, hauteur des corps vertébraux conservés. Bon alignement spino-lamellaire. Absence de pincement intersomatique. Odontoïde centré. Pas de lésion traumatique visible C1-C2. Épaisseur des parties molles pré-cervicales conservée. Radiographie de la colonne lombaire face, profil : clichés réalisés en position couchée, ne permettant pas de juger pleinement de la statique. Éléments radio-opaques en projection de l'espace inter-épineux L5-S1 évoquant un mécanisme de fixation. Hauteur des corps vertébraux conservée. Hauteur des murs antérieurs conservée. Pédicules, apophyses épineuses tous visibles, alignés. Pas d'atteinte décelable des apophyses transverses. Absence de pincement intersomatique. Ombres des psoas symétriques. Radiographie du bassin face et hanche axiale gauche : contenu calcique et structures osseuses du bassin et des fémurs proximaux conservés sans lésion traumatique visible. Épaulement de la jonction tête col fémoral ddc évoquant des conflits coxo-fémoraux. Articulations sacro-iliaques symétriques. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 12.5G/l (16.7G/l le 15.02.2019) CRP à 316mg/l (185mg/l le 15.02.2019). Streptotest négatif. Hémocultures en cours. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 12.8G/l, CRP 93mg/l, Hb 134g/l, créatinine 147µmol/l, Na 140mmol/l, K 5.1mmol/l. Gazométrie artérielle : PH 7.43, PCo2 4.3, PO2 8.9, Bic 21, Lact 1.8. Cf. annexes. CT-scan cérébral : les structures médianes sont en place. Le système ventriculaire est dilaté. Élargissement des sillons corticaux en rapport avec une atrophie cérébrale. Pas d'hémorragie méningée. Pas de collection hématique juxta-osseuse ou intraparenchymateuse. CT-scan du pelvis : on retrouve les lésions ostéocondensantes diffuses bilatérales des ailes iliaques, du sacrum, des dernières vertèbres lombaires et au niveau fémoral, de façon bilatérale. Fracture engrainée en valgus du col fémoral à G. Aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. Calcifications athéromateuses des artères iliaques externes et des artères fémorales. Coprostase rectale. Hypertrophie prostatique à confronter aux données de la PSA. CONCLUSION : CT cérébral : pas de lésion traumatique cérébrale. CT du pelvis : aspect de lésions métastatiques condensantes diffuses bilatérales lombaires, iliaques, sacrées et fémorales avec fracture engrainée en valgus du col fémoral à G. Radiographie du thorax face : par rapport au comparatif du 05.06.2018, on retrouve le st/p sternotomie avec cerclages intacts pour pontage aorto-coronarien, ainsi que la surélévation de l'hémicoupole diaphragmatique gauche avec condensation parenchymateuse en regard, pouvant être potentiellement affectée et associée à un épanchement pleural. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de signe net de décompensation cardiaque. Aspect hétérogène des structures osseuses pouvant traduire des métastases. (Dr. X).Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 13.9 G/l, CRP 126 mg/l, CK 3785, créatinine 76 µmol/l, Na 141 mmol/l, K 4.1 mmol/l. Stix et sédiment urinaire : nitrites, sang, leucocytes Uricult : en cours. Radiographie du thorax face/profil : cœur de taille à la limite supérieure de la norme avec un déroulement de l'aorte sans signe d'insuffisance cardiaque. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 14 G/l, CRP 29 mg/l, acide urique 526. Radiographie du genou droit et rotules ddc : arthrose fémoro-tibiale interne modérée. Ébauche d'ostéophyte par ailleurs au niveau patellaire évoquant une gonarthrose fémoro-patellaire. Pas d'anomalie suspecte de la trame osseuse. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 14.5 G/l, CRP 49 mg/l, reste sp. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 15 G/l, neutrophiles 13.52 G/l, CRP 48 mg/l, créatinine 71 µmol/l, Na 134 mmol/l, K 3.8 mmol/l. Streptotest : positif. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 22.5 G/L, CRP 161 mg/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 3.8 G/l, CRP 124 mg/l, créatinine 46 µmol/l, Na 135 mmol/l, K 4.1 mmol/l. ECG : rythme de fibrillation auriculaire rapide à 152 bpm. Cf. annexes. ECG : post-cardioversion médicamenteuse retour en rythme sinusal. Cf. annexes. Frottis grippe : suivra. Gazométrie : cf. annexes. pH 7.46, pCO2 3.9 kPa, pO2 18.3 kPa, Bic 21 mmol/l, Lac 0.6 mmol/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 4.2 G/l, CRP 25 mg/l, Hb 141 g/l, Na 139 mmol/l, K 3.8 mmol/l, créatinine 70 µmol/l. ECG : cf. annexes. RSR à 80/min, PR à 166 msec, régulier. QRS fin, axe normal, transition de l'onde R en V3. Pas de troubles de la repolarisation. QRc à 424 msec. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 4.7 G/l, CRP <5 mg/l, créatinine 58 µmol/l, Na 140 mmol/l, K 3.7 mmol/l, Hb 156 g/l. Ultrason abdominal complet et recherche d'appendicite : le foie est de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont sp. Les deux reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie, en réplétion, présente des parois fines et l'on ne visualise pas de liquide libre intrapéritonéal. Quelques ganglions mésentériques discrètement agrandis en FID, mesurés jusqu'à 4 mm de petit axe, mais pas d'image pathognomonique pour une APP. CONCLUSION : pas d'image pathognomonique pour une APP. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 4.9 G/l, CRP <5 mg/l, Hb 138 g/l, créatinine 50 µmol/l, Na 140 mmol/l, K 3.4 mmol/l. Stix et sédiment/urinaire : cf. annexes. Leucocytes 6-10/champ, érythrocytes 6-10/champ. bHCG urinaire : négatifs. CT-scan abdominal injecté : Foie : taille et morphologie normales. Pas de lésion focale. Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de calcul radio-opaque au sein de la vésicule, dont les parois sont fines. Rate : taille et morphologie normales. Pancréas : taille et morphologie normales. Surrénales : fines ddc. Reins : taille et morphologie normales, bonne différenciation corticomédullaire. Pas d'hydronéphrose. Vessie : sans particularités. Utérus et ovaires : découverte d'une lésion hypodense bien délimitée de 7.7 x 5.9 cm de diamètre dans le plan axial, dans le petit bassin à droite, en arrière de l'utérus, pouvant correspondre à un volumineux kyste ovarien. Rétropéritoine : pas d'adénopathie rétropéritonéale de taille radiologiquement significative. Aorte : taille normale. Estomac, intestin, côlon : pas de lésion sous réserve de l'absence de préparation. Cavité péritonéale : pas de liquide libre en quantité significative. Parties molles : sans particularités. Bases pulmonaires : pas d'épanchement pleural, pas de lésion nodulaire suspecte. Colonne et os : pas d'altération suspecte dans l'ensemble du volume osseux exploré. Hauteur des corps vertébraux conservés. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Petit îlot d'ostéocondensation bénin para-symphysaire G. CONCLUSION : volumineuse lésion kystique de 7.7 x 5.9 cm de diamètre dans le petit bassin à droite faisant évoquer un volumineux kyste ovarien. À confronter à un avis gynécologique pour aller plus loin dans les investigations. L'appendice est visualisé et contient de l'air, on ne dénote aucune infiltration de la graisse péri-appendiculaire. Son diamètre est d'environ 5-6 mm (valeur limite supérieure de la norme). Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 5.2 G/l, CRP <5 mg/l. Radiographie du poignet gauche : par rapport au comparatif du 04.02.2019, on retrouve le st/p OS par plaque vissée de la fracture de l'EDR, sans DS. Pour mémoire, fracture de l'apophyse styloïde cubitale, d'aspect superposable. Pas de signe d'arthrite septique mais à noter que la radiographie standard n'est pas l'examen de choix. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 5.3 G/l, CRP <5 mg/l, Hb 127 G/l, Na 128 mmol/l, K 3.4 mmol/l, créatinine 69 µmol/l, osmolalité 285. Radiographie du thorax face/profil : comparatif du 10.12.2018. Cardiomégalie globale. Épaississement bronchique péri-hilaire avec hypoventilation basale droite plus marquée qu'à gauche. Syndrome péri-bronchique postéro-basal droit non exclu. Pas d'épanchement pleural. Trouble de la statique dorsale et lésions dégénératives étagées du rachis. Status post-cholécystectomie. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 56.9 G/l, CRP <5 mg/l, Hb 131 g/l, thrombocytes 119 G/l, créatinine 65 µmol/l, Na 131 mmol/l, K 4.4 mmol/l. CT-scan du neurocrâne natif et injecté : examen réalisé avant et après injection iv de 60 ml de Iomeron 400. Ectasie des citernes basales et mésencéphaliques ainsi que du système ventriculaire et élargissement des sillons cérébraux et cérébelleux en rapport avec l'âge de la patiente. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extra-durale. Pas de dédifférenciation notable entre la substance grise et la substance blanche. Hypodensité de la substance blanche péri-ventriculaire compatible avec de la leucoaraïose. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas de prise de contraste pathologique aux étages supra et infra-tentoriels. Pas de thrombose des sinus veineux. Pas d'occlusion ni de sténose significative décelée sur le cours des artères cérébrales. Pneumatisation normale des cavités sinusiennes de la face ainsi que des cellules mastoïdiennes. Calcification de la crosse de l'aorte et des troncs supra-aortiques. Trajet dolichoïde des artères carotides en rétro-pharyngé. Calcification du bulbe carotidien droit avec sténose serrée au départ de l'artère carotide interne. Calcification du bulbe carotidien gauche sans sténose significative. Calcifications des artères carotides internes à hauteur des siphons carotidiens des deux côtés. Dominance de l'artère vertébrale droite avec artère vertébrale gauche filiforme sur toute sa longueur. Pas d'adénopathie de taille radiologiquement significative. Nodule thyroïdien gauche de 21 mm plongeant dans le médiastin supérieur. Les coupes passant par les apex pulmonaires sont sans particularité. Unco-discarthrose pluri-étagée du rachis cervical prédominant en C5-C6. CONCLUSION : absence d'argument en faveur d'une atteinte ischématique ou hémorragique. Pas de thrombose des sinus veineux. Perméabilité préservée des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens avec présence d'une sténose serrée au départ de l'artère carotide interne droite en rapport avec une plaque calcifiée. Note : examen effectué sur le site de Riaz et interprété sur le site de Fribourg. Résultats transmis par téléphone à 20h40.Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 5.9G/l, Hb 138g/l, créatinine 42µmol/l, Na 137mmol/l, K 4.1mmol/l. TSH en cours. ECG : cf. annexes. RSR à 58/min, PR régulier à 160msec. QRS à 80msec, axe à 60°, aspect en BBD. Transition de l'onde R en V4. Onde Q isolée en avR. Absence de troubles de la repolarisation. QTc à 408msec. Gazométrie : cf. annexes. Ph 7.40, PO2 107.1, PCo2 5. Test de Schellong : négatif. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 6G/l, CRP <5mg/l, créatinine 73µmol/l, Na 141mmol/l, K 3.9mmol/l, Hb 158g/l, Tbc 250. ECG : cf. annexes. RSR à 67/min, PR à 160msec, régulier. QRS fin à 78msec, axe à 49°. Transition de l'onde R en V5. Sus-décalage de 2 mm en V2 et 1mm en V3 (compatible avec une repolarisation masculine, non significative). Pas d'onde Q. Pas d'onde T. QTc à 377msec. Test de Schellong : négatif. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 6.1G/l, CRP <5mg/l, Hb 140g/l, K 4.6mmol/l, calcium corrigé 8.3, osmolalité plasmatique, acide folique 8.3, B12 230. Bladder scan : 350ml. IRM du neurocrâne natif et injecté : le système ventriculaire est de taille et de morphologie normales. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous-durale ou extra-durale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Sur les coupes en diffusion, pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Sur les coupes T2*, plusieurs lésions punctiformes en hypointensité de signal, notamment temporales droites et gauches et temporo-pariétales gauches, aspécifiques DD microbleeds. Sur les coupes T2 FLAIR, multiples plages en hyperintensité de la substance blanche périventriculaire et profonde Fazekas 2 - 3. Quelques altérations de signal pariéto-temporal droit et une petite altération corticale du gyrus précentral droit pouvant faire évoquer plutôt des lésions ischémiques anciennes. Sur les coupes T1, la substance grise périphérique et les noyaux gris centraux sont bien définis (hormis en pariéto-temporal droit (ancienne lésion ischémique)). Après injection i.v. de Gadolinium, pas de prise de contraste pathologique intra-axiale. Les sinus veineux sont perméables. Pas de dilatation notable des cornes temporales ventriculaires ni atrophie significative de l'hippocampe. L'angio-IRM centrée sur le polygone de Willis démontre une perméabilité conservée des artères intracérébrales. Pas d'anévrisme, mais une sténose modérée au départ de la branche inférieure de l'artère cérébrale moyenne gauche (M2). Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes normalement pneumatisées. Orbites sans particularité. CONCLUSION : séquelles d'AVC ischémiques anciens de siège cortical pariéto-temporal D et frontal D. Altérations de la substance blanche profonde et périventriculaire compatibles avec une leuco encéphalopathie Fazekas 2 (- 3). Pas d'atrophie hippocampique ou de dilatation des cornes temporales significative. Sténose modérée du départ de la branche inférieure de l'artère cérébrale moyenne gauche dans sa portion M2. Plusieurs lésions punctiformes en hypointensité de signal en pondération T2*, notamment temporales droites et gauches et temporo-pariétales gauches, aspécifiques DD microbleeds. ECG : cf. annexes. RSR à 65/min. PR régulier à 92msec. QRS à 100msec, axe à -25°, compatible avec hémibloc ant G. Transition de l'onde R en V3. Pas d'onde Q. Absence de troubles de la repolarisation. QTc à 421msec. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 6.2G/l, CRP 139mg/l, Hb 123g/l, Na 130mmol/l, K 3.7mmol/l, créatinine 50µmol/l, osmolalité 277, Lipase 191 U/l, autres tests hépato-pancréatiques dans la norme. Gazométrie artérielle : cf. annexes. Ph 7.47, PO2 11.7, PCo2 4.5, Bic 24, lactates 0.7. Radiographie du thorax : pas de foyer, pas d'épanchement, pas de pneumothorax. ECG : cf. annexes. RSR à 100bpm. PR à 130msec, régulier. QRS 80msec, axe à 35°. Transition de l'onde R en V3. Pas d'onde Q. Pas d'onde T inversée. Absence de troubles de la repolarisation. QTc à 428msec. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 6.2G/l, CRP 139mg/l. Stix et sédiment urinaire : sp. Cf. annexes. Radiographie du thorax couchée : absence de foyer. Retransfert au RFSM de Marsens (Jasmin, psychogériatrie). Départ avec sa nièce. Proposition de contrôle biologique à 72h (FSS, CRP, tests hépato-pancréatiques), à disposition si besoin. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 6.3G/l, CRP 22mg/l, D-dimères 765ng/mL, Na 138mmol/l, K 3.9mmol/l, créatinine 91µmol/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 6.3G/l, CRP <5mg/l, créatinine 77µmol/l, Na 142mmol/l, K 4.4mmol/l, Hb 143g/l. Radiographie de l'abdomen couché : distribution non spécifique des gaz intradigestifs avec tout de même une aérogrélie, mais pas de ligne de subiléus en position couchée. Quelques phlébolites pelviens, mais pas de calcification pathologique. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 6.5G/l, CRP <5mg/l, créatinine 53µmol/l, Na 138mmol/l, K 3.3mmol/l. Bandelette urinaire : sp. Test de Schellong : négatif. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 6.6G/l, CRP <5mg/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.1G/l, CRP <5mg/l, Hb 140g/l. Gazométrie artérielle : cf. annexes. PH 7.45, PCo2 4.5, PO2 8.3, Bic 2.3. ECG : cf. annexes. RSR à 71/min, intervalle PR régulier à 200msec. QRS à 80msec, axe à 40°. Transition de l'onde R en V4. Pas d'onde Q visible. Pas de trouble de la repolarisation. QTc à 466msec. Radiographie du thorax face/profil : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec ostéophytose intersomatique marquée. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.3G/l, CRP <5mg/l, créatinine 53µmol/l, Na 136mmol/l, K 3.9mmol/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.3G/l, CRP 20mg/l, CK 78U/l, D-dimères 268ng/mL. ECG : cf. annexes. RSR à 72/min. PR régulier à 178msec. QRS à 80msec, axe à 30°. Transition de l'onde R en V3. Pas d'onde Q. Sus-décalage du segment ST millimétrique isolé en V2, non significatif. Pas d'onde T inversée-négative. QTc à 390msec. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.4G/l, CRP <5mg/l, troponines 5-4ng/L. ECG : cf. annexes. Superposable au dernier comparatif. Radiographie du thorax face/profil : décrite ci-dessous. Antalgie par Dafalgan/Irfen, Sirdalud. Suivi clinique chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.4G/l, CRP <5mg/l, troponines 5-4ng/L. ECG : cf. annexes. RSR à 61/min, PR régulier à 176/min. QRS fin à 100msec, axe à -13°. Aspect en BBD. Transition de l'onde R en V4. Pas de troubles de la repolarisation. QTc à 422msec. Radiographie du thorax face/profil : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Désorganisation de la trame broncho-vasculaire avec des épaississements bronchiques, mais pas d'image type de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural. Scoliose sinistro-convexe à la jonction dorso-lombaire. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 7.4G/l, CRP <5mg/l. Test de grossesse urinaire : négatif. CT-scan cérébral natif et injecté : examen réalisé avant et après injection intraveineuse de 60ml de Iomeron 400. Absence de comparatif à disposition. Le parenchyme cérébral se présente normalement, sans lésion focale visible. Pas d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous- ou épidurale. Morphologie normale du système ventriculaire et des sillons cérébraux. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Pas de rehaussement pathologique après injection de produit de contraste. Pas de thrombose des sinus veineux. Les sinus de la face et les cellules mastoïdiennes sont libres. CONCLUSION : le présent examen est dans la norme, et on ne voit pas de saignement ou de rehaussement pathologique après injection de produit de contraste. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 8.5G/l, CRP 29mg/l, Hb 136g/l, K 3.7mmol/l, Na 139mmol/l, créatinine 55µmol/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 8.6G/l, Hb 130g/l, Tb 487G/l, Na 141mmol/l, K 4.0mmol/l, créatinine 55µmol/l, urée 6.8mmol/l, CRP 16mg/l, acide urique 230µmol/l, TP 81%, PTT 31 sec. Radiographie du genou gauche face/profil/axial : status post mise en place d'une PTG en bonne position, sans signe de complication secondaire. On retrouve des calcifications au niveau des tissus mous dans la région poplitée, qui étaient déjà visibles sur le comparatif du 27.06.2016 réalisé avant la mise en place de la PTG. (Dr. X). CT-scan du genou gauche natif : par rapport à la radiographie standard du même jour, on retrouve le status après mise en place d'une PTG en bonne position, sans signe de complication secondaire. On retrouve également l'aspect remanié de la rotule avec des indentations évoquant un resurfaçage, mais pas de lésion osseuse traumatique mise en évidence. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. On retrouve un volumineux épanchement articulaire ainsi que des calcifications au niveau des tissus mous en arrière du condyle fémoral externe ainsi que des calcifications artérielles. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 8.8G/l, Na 139mmol/l, K 3.4mmol/l, créatinine 61µmol/l. Gazométrie : cf. annexes. Ph 7.40, PCo2 4.4, PO2 12.4. Peak Flow à l'arrivée : 57. Peak Flow post bronchodilatateurs : Peak Flow à 62%. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 9.5G/l, CRP 6mg/l, Hb 138mg/l, tests hépatiques sp. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytes 9.9G/l, Hb 129g/l, Tbc 404G/l, CRP <5mg/l, troponines 6ng/L, TP 100, PTT 27, D-Dimères 306mg/mL, urée 1.8mmol/l, créatinine 61µmol/l, Na 142mmol/l, K 3.8mmol/l. Laboratoire : cf. annexes. Leucocytose en amélioration (5.1G/l contre 12.3G/l le 25.02.2019). CRP à 102mg/. Laboratoire : cf. annexes. Na 134mmol/l, leucocytes 14.7G/l, Hb 155g/l. Radiographie du thorax face/profil : par rapport au 10.01.2013, pas de changement significatif. Pas de pneumothorax mis en évidence. Pas de fracture de côte déplacée. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Normal. Laboratoire : cf. annexes. Normal hormis 27mg/l de CRP, leucocytes normaux. Sédiment urinaire : cf. annexes. Positif avec leucocytes et bactéries, nitrites négatifs. ECG : cf. annexes. RSR 80 bpm, PR 120 ms, QRS fins normoaxés, QTc 480ms, pas de troubles de la repolarisation. Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Parfaitement aligné. Laboratoire : cf. annexes. Pas de CRP ni leucocytose, tests hépato-pancréatiques dans la norme. CT-scan de l'abdomen natif et injecté : comparatif du 18 décembre 2018. Examen réalisé avant et après injection de 110 ml de Iomeron 400. En lieu et place de la diverticulite, on retrouve un discret épaississement pariétal circonférentiel focal du sigmoïde sans abcès ou collection mise en évidence. Pas de pneumopéritoine ni d'ascite. Foie d'aspect inchangé, sans lésion focale visible. Légère stéatose hépatique hétérogène. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extrahépatiques. Status post-cholécystectomie. Le tronc porte et ses branches sont normalement opacifiés. Le pancréas, la rate et les surrénales se présentent normalement. Les reins sont de morphologie normale sans dilatation du système excréteur. La vessie se présente normalement. L'utérus est sans particularité. Mise en évidence de deux hypodensités para-utérine droite et gauche mesurant respectivement 22 x 27 mm et 26 x 29 mm compatibles avec des kystes ovariens. L'aorte abdominale se présente normalement. Pas d'adénopathie rétropéritonéale ou mésentérique. Involution lipomateuse du muscle rectus abdominis droit. Sur les quelques coupes passant par les bases pulmonaires, mise en évidence de dystélectasies en base gauche. Pas de nodule suspect mis en évidence. Le volume osseux exploré est superposable comparatif, on retrouve les remaniements dégénératifs pluri-étagés du rachis. Discopathie lombaire basse. Lombalisation de S1. Coxarthrose bilatérale. CONCLUSION : on retrouve un discret épaississement pariétal circonférentiel du sigmoïde mais nettement moins marqué par rapport au comparatif de décembre 2018, sans abcès ou collection visible. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Bilan urinaire 3 érythrocytes/champs (non significatif). Radiographie de la main gauche : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Pas de perturbation du bilan hépatique, lipase à 40 UI, CRP à 80mg/l, leucocytes à 12.7G/l. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire. Augmentation isolée de la bilirubine totale. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire. Radiographie du thorax face/profil : par rapport au 17.10.2018, silhouette cardiaque inchangée, dans les limites de la norme. Discrète sclérose du bouton aortique. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Hernie hiatale. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Perturbation ASAT à 63 U/L, ALAT à 131 U/l, GGT à 100 U/l, CRP à 6mg/l, leucocytose à 12.8G/l. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie de l'abdomen couché : présence d'une anse digestive dilatée jusqu'à 4cm de diamètre compatible avec un iléus grêle. Coprostase diffuse encore modérée, prédominant au niveau des côlons transverse et descendant. (Dr. X). CT-scan : ileus grêle mécanique, avec multiples sauts de calibre paramédian sus-ombilicaux D, zone avec prise de contraste sur la paroi. Petite quantité de liquide libre, pas d'autres signes de souffrance intestinale. CT-scan de l'abdomen injecté : comparatif CT abdominal du 07.01.2019. Examen réalisé après injection IV de produit de contraste. Contraste négatif per os et rectal. Abdomen : dilatation jusqu'à 38 mm d'anses grêles en position médiane supra-ombilicale comportant un feces sign. Plusieurs sauts de calibre grêle dans la même région avec des épaississements plurifocaux circonférentiels des parois de anses grêles plates. Infiltration de la graisse mésentérique adjacente et fine lame de liquide libre entre les anses. Prise de contraste du péritoine en regard de l'infiltration graisseuse sur la ligne médiane. Plusieurs adénopathies mésocoliques ; la plus grande mesurant 12 x 10 mm. Absence d'air libre. Estomac rempli. Côlon sans particularité. Atrophie du foie gauche. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. Atrophie du corps et de la queue du pancréas. La rate et les surrénales ont une morphologie normale. Les reins sont de taille et de configuration normale, sans dilatation du système excréteur. Les structures uro-génitales ont une morphologie normale. Vessie en bonne réplétion, sans lésion de ses parois. Pas d'adénopathie, pas d'ascite. Pas d'anomalie de l'aorte ou de la veine cave inférieure. Artères viscérales perméables. Les structures vasculaires pelviennes sont sans particularité. Pas d'altération dans les tissus mous.Sur les coupes passant par l'étage thoracique : absence de lésion nodulaire suspecte. Troubles ventilatoires aux bases. Absence d'épanchement pleural. Os : absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. CONCLUSION : iléus grêle mécanique avec plusieurs sauts de calibre (Status adhérentiel? Sténoses inflammatoires? Hernie interne). Fine lame de liquide libre entre les anses grêles dilatées. Absence d'autre signe de souffrance des anses grêles. Estomac rempli (indication de pose de sonde naso-gastrique). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du coude gauche : tuméfaction des parties molles rétro-olécrâniennes sans corps étranger radio-opaque surajouté visible. Contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires conservés. Absence de remaniement dégénératif. Radiographie dans le plâtre : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé. Pour le reste, l'examen est superposable au comparatif du même jour avec une tuméfaction des tissus mous en regard de l'olécrâne, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax, décrite ci-dessous. 500 mg de Cyklokapron aux urgences, Tramal 50 mg et paracétamol 1 g iv. CT-scan natif : décrit ci-dessous. Avis du néphrologue de garde Dr. X. Avis de l'urologue, Dr. X : Cyklokapron. Vu la baisse d'Hb, il propose de transférer le patient à l'HFR Fribourg, suivi de l'Hb toutes les 6h, mettre en suspens l'Aspirine Cardio. Transfert à l'HFR Fribourg, départ en ambulance (SAS). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : décrite ci-dessous. Avis de Dr. X, de médecine interne. Traitement symptomatique. Consultation en cas de péjoration clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : décrite ci-dessous. Avis et passage de Dr. X, de médecine interne. Co-Amoxicilline 2.2 g iv aux urgences. Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pour 7 jours. Consultation chez son médecin traitant en fin de semaine pour un contrôle clinique. Consultation avant aux urgences en cas de péjoration clinique. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de signe de pneumopéritoine. Laboratoire : cf. annexes. Remplissage 2x NaCl 0,9% 1000 ml en bolus. Remplissage NaCl 0,9% 500 ml/24 heures. Laboratoire : cf. annexes. Remplissage 2x NaCl 0,9% 500 ml en bolus. Remplissage NaCl 0,9% 1000 ml/24 h. Proposition de soupes salées et un contrôle biologique à 72 h. Laboratoire : cf. annexes. Sans particularité (pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble hépatique ni rénal, B-HCG négatifs). Sédiment urinaire : sans particularité. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment et spot urinaire : à pister. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis chirurgical de Dr. X. Mme. Y refuse le contrôle clinique et l'ultrason prévu demain pour des raisons organisationnelles. Elle se rendra chez son médecin traitant la semaine prochaine. Nous proposons à ce dernier d'organiser un ultrason abdominal pour investiguer ces douleurs. Consultation avant si péjoration clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis chirurgical de Dr. X. Ultrason et contrôle clinico-biologique refusés par le patient sur manque de temps. Consultation chez son médecin traitant la semaine prochaine. Consultation avant aux urgences si péjoration clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Avis Dr. X, chirurgien. CT-scan cérébral : décrit ci-dessous. Retour à domicile accompagnée par son fils. Consultation en urgences en cas de péjoration clinique. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie de l'abdomen : décrite ci-dessous. Antalgie par Buscopan, Dafalgan. Lavement avec Practomil 1 litre. Movicol et Laxoberon jusqu'aux selles molles. Avis de Dr. X, chirurgien. CT-scan abdominal : iléus grêle. Décrit ci-dessous. Sonde nasogastrique en aspiration. Transfert en chirurgie à l'HFR Fribourg, départ en ambulance. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Suivi clinique chez le médecin traitant. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie de la hanche droite et Lauenstein droit : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Géode dans la partie inférieure de la tête fémorale, mais pas de signe majeur d'arthrose ou de séquelles d'arthrite. Status post-ligature des trompes. Laboratoire : cf. annexes. Stix et sédiment urinaire : cf. annexes. Leucocytes incomptables. Test de grossesse rapide : négatif. Laboratoire : cf. annexes. Streptotest : positif. Amoxicilline 375 mg 3x/jour durant 7 jours. Contrôle en fin de semaine chez le médecin traitant. Antalgie par Dafalgan/Irfen. Reconsultation en cas de dyspnée nouvelle, péjoration clinique, stase salivaire importante. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Strictement normal. Laboratoire : cf. annexes. Substitution de KCL retard 30 mmol aux urgences. Laboratoire : cf. annexes. Substitution IV 20 mEq sur 1 h. Suivi biologique. Laboratoire : cf. annexes. Syndrome inflammatoire avec 15.7 G/l. Leucocytes et nette neutrophilie, CRP 51 mg/l, le reste est normal. Laboratoire : cf. annexes. TP 93, PTT 33. Laboratoire : cf. annexes. Tropines à H0 9 ng/L, H1 9 ng/L. Radiographie du thorax face : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de foyer pneumonique visible. Pas de pneumothorax mis en évidence. ECG : cf. annexes. RSR à 86/min axe à 66/min, PR 136 ms QRS 102 ms, monomorphes, pas d'élévation du segment ST, QTc à 419 ms. Laboratoire : cf. annexes. Tryptase envoyée au CHUV, CRP 6 mg/l, leucocytes 7.3 G/l. Laboratoire : cf. annexes. Ulcar sachet 3x. Nexium 40 mg iv. IPP à domicile, Nexium 40 mg 2x/jour pour 3 jours, puis Nexium 40 mg 1x/jour pour 14 jours. Suivi chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason abdominal complet et recherche d'appendicite : le foie est de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire est contractée, le patient n'étant pas à jeûn et ses parois paraissent discrètement épaissies, mesurées à environ 4 mm d'épaisseur en raison de la contraction. Le pancréas et la rate sont sp. Les 2 reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie est peu remplie et la prostate n'est pas agrandie. Pas de liquide intra-péritonéal. Pas d'image pathognomonique pour une APP mais à noter un aspect discrètement épaissi du bas fond cæcal et de la dernière anse iléale avec diminution du péristaltisme, l'épaisseur pariétale étant mesurée environ 4 mm. CONCLUSION : discret épaississement pariétal du bas fond cæcal et de la dernière anse iléale, mais pas d'image pathognomonique pour une APP. Laboratoire : cf. annexes. Xarelto 15 mg 2x/jour dès le 17.02.2019 jusqu'à nouvel avis angiologique.Contrôle clinique et biologique à la filière des urgences ambulatoires le 18.02.2019 à 8h15. Consilium en angiologie avec Doppler ultrason des membres inférieurs, le 18.02.2019 (demande envoyée, angiologues à contacter lundi matin). Consultation aux urgences durant la nuit si douleurs importantes du membre inférieur droit, dyspnée, douleurs rétrosternales. Laboratoire : cf. annexes. 2 voies veineuses. Ringer 1000 ml. NaCl 1000 ml. Avis de la Dresse X, gynécologue de garde à l'HFR Fribourg, transfert à l'HFR Fribourg pour bilan gynécologique en urgence. Départ en ambulance. Laboratoire : cf. annexes. Angio-CT cérébral le 01.02.2019 : pas de lésion intracrânienne suspecte. Sténose estimée à 75 % selon NASCET de l'origine de l'artère carotide interne droite. US Doppler des vaisseaux précérébraux le 04.02.2019 : rapport oral (à pister) : athéromatose non-sténosante de la carotide interne droite. Néanmoins, possible sous-estimation de la taille de la sténose. En tous les cas, asymptomatique. Contrôle par US Doppler indiqué dans 2 ans. Laboratoire : cf annexes Angio-CT le 31.01.2019 : abcès situé dans la loge de cholécystectomie avec drainage et mise en place d'un drain résolve 8,5 French, sans complication immédiate. Status post cure d'anévrisme de l'aorte abdominale par tube droit, perméable. Défaut de rehaussement du parenchyme du pôle inférieur du rein gauche en rapport avec une occlusion partielle d'une artère polaire inférieure. Épanchement pleural de faible abondance ddc. Histologie : cf annexes Laboratoire : cf annexes. Angio-CT (19.11.2018) Angiographie (20.11.2018) Laboratoire : cf. annexes. Avis chirurgical du Dr X. Désinfection, anesthésie locale, exploration de plaie, suture de plaies par Prolène 4.5, Vicryl 5.0 (Dr X). Co-Amoxicilline 1200 mg iv en ordre unique. Rappel du tétanos réalisé. Dernier repas à 10h00. Avis ophtalmologique : ad urgences ophtalmologiques à l'HFR Fribourg. Antalgie par Dafalgan, Irfen. Départ pour l'HFR Fribourg, en transport interne. Laboratoire : cf. annexes. Avis Dr X le 07.02.2019 : pas de potentiel de réhabilitation palliative. Projet thérapeutique pas vraiment défini. Discuter UATO ou autre projet. US tissu mou musculo-squelettique le 12.02.2019 : volumineuse masse polylobée hétérogène sus-claviculaire gauche s'étendant en direction de la fourchette sternale mesurant environ 5,5 cm d'axe crânio-caudal pour 2,6 cm d'épaisseur mais dont l'extension antéro-postérieure est difficilement mesurable. Vascularisation hétérogène au Doppler mais avec des flux artériels par endroits. Pas d'autre adénopathie cervicale côté gauche. Nette progression en taille de l'adénopathie décrite sur le PET-CT du 12 mars 2018 présentant un aspect polylobulé infiltratif. Laboratoire : cf. annexes. CMV et EBV pas d'infection active, HIV négatif, TSH dans la norme. Rx du thorax le 11.02.2019 : pas de foyer infectieux. Rx main droite le 11.02.2019 : pas de signe de fracture. CT thoraco-abdominal le 13.02.2019 : hétérogénéité de l'isthme et du lobe thyroïdien droit à corréler à une échographie. Asymétrie de répartition du parenchyme glandulaire mammaire avec un effet de masse de 2,6 cm bien délimité du quadrant supéro-externe du sein droit à corréler à un examen mammographique et échographique (DD : parenchyme mammaire focalement dense). Pas de lésion suspecte à l'étage abdominal. Stéatose hépatique. Adénome surrénalien droit. Avis rhumatologique le 11.02.2019 : le syndrome inflammatoire initial important ne concorde pas vraiment avec la clinique peu criante de la patiente. Elle présente effectivement une arthrite du 3ème MCP et IPP de la main droite, voire une dactylite, ainsi qu'une douleur de la ceinture scapulaire, toutefois sans atteinte de l'état général ni signe inflammatoire bruyant expliquant un tel résultat. Nous n'avons pas d'argument pour une artérite giganto-cellulaire actuellement. Nous relevons toutefois un syndrome inflammatoire déjà présent en juillet 2018 chez son ancienne rhumatologue traitante, sans raison claire. La patiente avait alors été hospitalisée à Yverdon pour suspicion de méningite, diagnostic ensuite infirmé. Mme Y se plaignait à l'époque de douleurs également au niveau des sacro-iliaques pour lesquelles elle a bénéficié d'infiltrations sans effet bénéfique et de séances de physiothérapie. Ces dernières amélioraient la symptomatologie douloureuse, mais la marche en antéflexion du tronc était déjà présente et problématique. Nous vous proposons un traitement d'épreuve par AINS si la fonction rénale le permet et nous réévaluerons la patiente 2 semaines après sa sortie de l'hôpital. En cas d'hospitalisation prolongée, nous la reverrons au cours de son séjour. Laboratoire : cf. annexes. CT abdomen natif et injecté le 10.02.2019 : mise en place d'un Pigtail au sein de la plus volumineuse lésion intrapéritonéale en diminution de taille passant dans le plan axial de 10,9 x 8,8 cm à 6,7 x 6,4 cm. Pas de collection sur le trajet du drain. L'extrémité du drain est bien en place au sein de cette collection. Les autres masses sont globalement inchangées (paramédiane gauche de 4,8 x 3,9 cm et para-rectale droite de 4,8 x 5,5 cm). Pas de nouvelle masse intrapéritonéale visible. Lame de liquide libre inchangée. Pas de pneumopéritoine. Les structures digestives et coliques se présentent par ailleurs normalement. Pour le reste, le foie est de taille, de configuration et de densité normales, sans lésion suspecte visible. Tronc porte et veines sus-hépatiques perméables. Ectasie des voies biliaires intra et hépatiques. Cholécystolithiases, sans signe de cholécystite. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Rate accessoire mesurant 7 mm de diamètre. Les reins sont de taille et de configuration normales, sans dilatation du système excréteur. S/p hystérectomie et annexectomie bilatérale. Pas d'adénopathie. Pas d'anomalie de l'aorte ou de la veine cave inférieure. Les structures vasculaires pelviennes sont sans particularité. Pas d'altération dans les tissus mous. En fenêtre osseuse, pas de lésion lytique ou condensante suspecte. Discopathies étagées prédominantes en L5-S1. Coxarthrose droite avec épanchement articulaire du même côté. Sur les coupes passant par l'étage thoracique : régression des épanchements pleuraux. Pas de lésion nodulaire suspecte. Dystélectasies en bande en base droite et status post résection Wedge ligulaire inchangé. Avis chirurgical le 08.02.2019 (Dr X) : pas d'indication à une antibiothérapie vu clinique et laboratoire. Nettoyage de la plaie et refixage du drain. Avis chirurgical le 10.02.2019 (Dr X) : CT abdominal injecté, frottis prélevé pour bactériologie et hospitalisation en médecine pour antibiothérapie intraveineuse. Microbiologie : frottis de plaie le 10.02.2019 : Streptocoque gr. anginosus/milleri +, quelques Enterococcus faecium. Avis infectiologique le 13.02.2019 (Dr X/Dr X) : pas d'indication à une antibiothérapie à la sortie. Laboratoire : cf. annexes. CT abdomen supérieur natif et injecté le 19.02.2019 : reins sans particularité. Absence de sténose des artères rénales. Nodule surrénalien gauche correspondant à un adénome (syndrome de Conn ?). Laboratoire : cf annexes. CT abdomen 08.02.2019 : diverticulite sigmoïdienne perforée couverte IIb selon Hansen & Stock, sans collection mise en évidence et globalement inchangée par rapport au comparatif de la veille. Laboratoire : cf annexes. CT abdomen 10.02.2019 : diverticulite sigmoïdienne compliquée avec collection pelvienne gauche de 3,6 cm, un pneumopéritoine, un iléus paralytique et des lames de liquide libre péritonéal (Hansen & Stock IIc). Pas de changement du kyste annexiel droit à corréler à un bilan gynécologique vu de sa taille et de l'âge de la patiente.Histologie : cf annexes Laboratoire : cf. annexes CT abdominal natif et injecté du 05.02.2019 : épaississement pariétal du côlon sigmoïde d'allure inflammatoire avec perforation couverte en fosse iliaque gauche vraisemblablement secondaire à une diverticulite. Rx thorax du 07.02.2019 : cardiomégalie avec élargissement de toutes les cavités. Œdème pulmonaire massif et décompensation cardiaque. Présence d'épanchements pleuraux des deux côtés. Absence de foyer constitué. Laboratoire : cf. annexes. CT abdominal natif le 29.01.2019 : foie d'aspect cirrhotique avec vraisemblable décompensation ascitique. Les parois de la vésicule biliaire sont difficilement analysables mais on note la présence d'hyperdensité millimétrique dans sa lumière pouvant correspondre à des concrétions biliaires/petits calculs calcifiés. Pas de dilatation des voies biliaires. Sous réserve de l'absence de contraste, pancréas de morphologie normale avec présence d'une hypodensité nodulaire centrée sur son corps qui semble avoir augmenté en taille par rapport à 2016 (pseudokyste ? IPMN ?). Splénomégalie. Pas de dilatation pyélocalicielle et pas d'évidente obstruction sur le cours des voies excrétrices. US-Doppler hépatique le 30.01.2019 : foie de configuration cirrhotique, sans mise en évidence de lésion focale, associé à des signes d'hypertension portale sous forme de liquide libre intra-abdominal diffus et d'une splénomégalie. Perméabilité préservée de la veine porte et des veines sus-hépatiques. Laboratoire : cf annexes CT abdominal 11.02.2019 : Appendice clairement visible, avec épaississement jusqu'à environ 9 mm. Absence d'infiltration de la graisse alentour. Absence de perforation ou de collection. Histologie : cf annexes Laboratoire : cf annexes CT abdominale du 11.08.2018 : mise en évidence d'une dilatation des voies biliaires intra-hépatiques, le canal cholédoque se présente normalement sans dilatation et pas de calcul radio-opaque visible. Perméabilité des veines sus-hépatiques et de la veine porte. La rate (à noter une rate accessoire). Absence de masse pancréatique, absence d'un abouchement commun entre le canal de Wirsung et le canal cholédoque. Présence de quelques ganglions dans le mésentère, de taille infracentimétrique. IRM abdominale du 13.08.2018 : dilatation des voies biliaires intra-hépatiques jusqu'à la convergence hilaire avec épaississement des parois du duodénum et de l'antre gastrique. Laboratoire : cf annexes CT abdomino-pelvien le 07.02.2019 Laboratoire : cf annexes. CT cérébral avec cartes de perfusion du 09.02.2019 : Pénombre ischémique temporo-pariétale gauche sans zone d'infarctus constituée avec thrombus vasculaire au niveau d'une branche de l'artère cérébrale moyenne gauche (M2/M3). Plusieurs séquelles d'AVC ancien dans les deux hémisphères du cervelet. CT cérébral du 10.02.2019 : Pas d'AVC constitué ni transformation hémorragique. Le reste de l'examen est inchangé. Echocardiographie transthoracique du 11.02.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG estimée à 70 % (mode TM). Aorte normale. Valve aortique normale. Valve mitrale normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve triuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. IRM cérébrale du 12.02.2019 : Lésions ischémiques aiguës insulaire, pariétales et occipitale gauche. Lésions parenchymateuses d'allure séquellaire cortico-sous-corticale frontale droite et cérébelleuses bilatérales. Bilan neuropsychologique du 12.02.2019 : Patient collaborant, légèrement désinhibé et anosodiaphorique. Le bilan met en évidence : Une légère désorientation aux 3 modes ; Des difficultés d'expression orale en langage spontané, sur description d'image et en répétition (avec présence de néologismes, un manque du mot sévère, des paraphasies phonémiques et des persévérations verbales) ; Des difficultés de compréhension orale pour les phrases et lors de discrimination de paires minimales ; Des difficultés de lecture à voix haute (paraphasies phonologiques et néologismes) ; Des difficultés de compréhension écrite pour les phrases ; Une jargonagraphie avec persévérations de graphèmes ; Des difficultés exécutives (programmation motrice, inhibition, mise à jour). Le tableau décrit correspond actuellement aux lésions observées. Holter de 72 h du 14.02.2019 : Interprétation en attente Laboratoire : cf annexes. CT cérébral avec cartes de perfusion le 12.02.2019 : Pénombre ischémique frontale gauche précentral sans infarctus constitué. Absence de lésion sténosante significative des vaisseaux pré-cérébraux. Absence de thrombose des sinus veineux. Sinusite maxillaire gauche chronique. CT cérébral du 13.02.2019 : Absence d'AVC constitué. Absence d'hémorragie. Echocardiographie transthoracique le 13.02.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Excès tissulaire du feuillet mitral postérieur. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Fonction diastolique normale. Oreillette gauche modérément dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du VD est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf annexes CT cérébral le 08.02.2019 : Hémorragie sous-arachnoïdienne fronto-pariéto-temporale droite et frontale gauche, de petite quantité, post-traumatique. Pas de fracture des os du crâne. CT cérébral de contrôle le 08.02.2019 : Pas de majoration des suffusions hémorragiques sous-arachnoïdiennes bilatérales. Laboratoire : cf. annexes. CT cérébral le 12.02.2019 : suspicion d'une hydrocéphalie sans signe de résorption trans épendymaire ni de mise en évidence de lésion compressive. Les vaisseaux cérébraux sont perméables, de diamètre normal et régulier, sans argument en faveur d'une étiologie vasculaire. Hypoplasie du segment P1 de l'artère cérébrale postérieure droite, avec une origine fœtale de celle-ci. Hypoplasie du segment A1 de l'artère cérébrale antérieure droite par rapport au côté controlatéral. Ponction lombaire le 13.02.2019 : pression d'ouverture à 44 mmHg, pléiocytose lymphocytaire, protéinorachie, xantochromie négative et spectrométrie du LCR négative. IRM du neurocrâne native et injectée le 14.02.2019 : Microbleed en regard de la corne frontale du ventricule latéral gauche (DD : cavernome ?). Absence d'argument en faveur d'une vasculite. PL le 18.02.2019 (couché) : liquide eau de roche, pression d'ouverture 13 cmH20, 35 éléments, 13 % mono/macrophages, 87 % lymphocytes, Glucose, lactate et protéines sp. PCR multiplex dans LCR pour HSV1 et 2, VZV : négatives. Sérologie sanguine pour VZV, CMV, EBV, Lyme, syphilis, Tuberculose : négatives. FR, FAN, ANC : négatifs. Laboratoire : cf. annexes. CT cérébral le 26.01.2019 : absence de lésion traumatique visualisée. ETT le 29.01.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile globale normale. La cinétique segmentaire fine n'est pas évaluable en raison d'une mauvaise échogénéicité. FEVG à 65 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. L'examen du jour montre une fonction systolique globale normale, sans valvulopathie significative. La cinétique segmentaire fine n'est pas évaluable en raison d'une mauvaise échogénéicité. Nous proposons d'effectuer une ergométrie pour évaluer la présence d'une éventuelle maladie coronarienne.Ergométrie le 29.01.2019 : rapport en cours : à pister. Coro-CT le 30.01.2019 : Coro-CT dans la norme, avec un score calcique à 0, et des coronaires perméables sur toute leur longueur. L'examen du thorax est également dans la norme. Laboratoire : cf annexes CT cérébral natif et injecté avec vaisseaux précérébraux du 09.02.2019 : pas d'AVC ischémique constitué ou hémorragique ni de signe de pénombre. Plaque athéromateuse mixte molle et calcifiée de la bifurcation carotidienne gauche probablement à risque embolique mais sans sténose significative. IRM cérébrale du 11.02.2019 : pas de lésion ischémique décelée. Sténose de l'artère carotide interne droite au sein du siphon carotidien. Lésion extra-axiale de la fosse postérieure à droite, compatible avec un méningiome. Echocardiographie transthoracique du 12.02.2019 : dans les limites de la norme. Rapport définitif en cours. Bilan neuropsychologique du 12.02.2019 : troubles exécutifs légers. Rapport définitif en cours. Laboratoire : cf annexes CT colonne totale du 16.02.2019 : La courbure de la colonne est physiologique. La morphologie des corps vertébraux, des disques intervertébraux, des processus latéraux et épineux est normale. Pas d'altération de la structure osseuse et pas d'ostéolyse. Absence de masse ou de prise de contraste au niveau de la colonne lombaire, y compris dans le cul-de-sac dural, sous réserve d'une sensibilité médiocre du scanner pour ce genre de pathologie. Une IRM en complément est recommandée. Les tissus mous péri-vertébraux sont sans particularité. Vessie en répletion. IRM colonne totale du 18.02.2019 : Mise en évidence d'une lésion au sein de la moelle dorsale, oblongue et mesurant environ 5.5 cm de longueur à hauteur de D5-D7 évoquant en premier lieu une myélite (DD : transverse, maladie démyélinisante). Lésion focale. Une lésion tumorale de type épendymome astrocytome semble moins probable. CT thoraco-abdomino-pelvien du 19.02.2019 : Pas de signe de malignité dans l'ensemble du volume exploré. Présence de trois léiomyomes utérins. IRM cérébrale du 19.02.2019 : Quelques hyperintensités de signal T2 FLAIR de la substance blanche profonde, aspécifiques, et devant être en lien avec des altérations dégénératives vasculaires. Epaississement pachyméningé en lien avec le statut post-ponction lombaire et petit méningiome frontal droit infracentimétrique. Mammographie du 21.02.2019 : Examen dans les limites de la norme. Étant donné la densité de type C, une échographie complémentaire est souhaitable. BIRADS II. Laboratoire : cf annexes. CT scan abdominal le 15.01.2019 (HFR) : pas d'iléus. Pas d'argument en faveur d'une colite. Sous réserve d'une distension partielle des anses digestives, pas de lésion suspecte. Laboratoire le 25.01.2019 : pas de syndrome inflammatoire, pas de carence vitaminique, TSH dans la norme. Elastase dans les selles normale. Porphobilinogène urinaires : négatif. OGD le 31.01.2019 : petite hernie hiatale, suspicion gastrite antrale, biopsie recherche H. Pylori en attente. Colonoscopie le 31.01.2019 : pas d'explication pour symptômes décrits. Résection polype colique 3 mm au niveau du côlon ascendant. Rx thorax le 24.01.2019 : silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Élóngation de l'aorte thoracique descendante et calcification de la crosse aortique. Pas d'image pathologique en projection des champs pulmonaires. Cadre osseux inchangé. Oeso-gastro-duodénoscopie le 31.01.2019 : petite hernie hiatale actuellement sans signe d'une oesophagite de reflux. Suspicion d'une gastrite antrale. Lésion polypoïde au niveau du bulbe duodénal d'origine indéterminée. Colonoscopie le 31.01.2019 : pas d'explication pour symptômes décrits. Résection d'un polype colique de 3 mm au niveau du côlon ascendant. Diverticulose colique calme. Pour le reste colonoscopie dans les limites de la norme. Laboratoire : cf annexes. CT scan abdominale le 09.02.2019 : liquide libre intrapéritonéal de nature indéterminée avec infiltration de la graisse péri-duodénale et rétropéritonéale sur possible duodénite à corréler à un examen endoscopique. Pas de pneumopéritoine. Anse grêle hypotonique en fosse iliaque droite et dans le petit bassin sans signe d'iléus. Le reste de l'examen est dans la norme. OGD le 11.02.2019 (Dr. X) : aucune lésion visible dans le tube digestif supérieur. Absence de H. pylori. Microbiologie : • PCR multiplex des selles : négatif • 2x hémocultures : négatif à 5 jours • Urotube négatif Laboratoire : cf annexes. CT thoracique injecté le 25.01.2019 : embolie pulmonaire dans les segments latéro-basal du lobe inférieur droit et médial du lobe moyen sans répercussion sur les cavités cardiaques ou le parenchyme pulmonaire. CT cérébral "Time is brain" le 25.01.2019 : occlusion de l'artère vertébrale droite dans ses segments V3 V4 avec reprise du flux en aval pouvant correspondre à une occlusion versus dissection chronique comme aiguë, à corréler à une IRM. Asymétrie de perfusion avec hypoperfusion sur le TMax de la région fronto-pariétal gauche (statut post-épileptique ?). Pas de lésion ischémique constituée. Pas d'hémorragie intracrânienne. Sténose de l'artère carotide interne gauche sur plaque calcifiée juste après son départ de la bifurcation, estimée à 60%. Petite lésion kystique en région pré-auriculaire droite, à corréler à une échographie. RX du thorax le 26.01.2019 : statut post-intubation orotrachéale avec tube se terminant à distance de la carène. Statut post-mise en place d'une SNG se terminant en surprojection de l'antre gastrique. IRM du neurocrâne et des vaisseaux du cou native et injectée le 28.01.2019 : Petite lésion ischémique récente corticale pariétale gauche. On retrouve l'occlusion de l'artère vertébrale droite dans ses segments V3 et V4. En raison d'un imprévu technique, la séquence ciblée pour la dissection a été réalisée après l'injection de produit de contraste, raison pour laquelle on ne peut pas se prononcer sur une origine aiguë ou chronique. Dans le cas où les investigations doivent être poursuivies, nous nous tenons à disposition pour réaliser à nouveau cette séquence ciblée, dès le lendemain, après élimination du produit de contraste. IRM du neurocrâne et des vaisseaux du cou native et injectée le 29.01.2019 : sur la séquence angiographique des vaisseaux cérébraux sans produit de contraste (TOF), on retrouve une artère vertébrale droite filiforme et à flux ralenti dans son segment V4. Pas d'autre lésion sténotique ou anévrysmale sur le cours des artères cérébrales. Sur la séquence cube pondérée en T1 centrée sur les vaisseaux pré-cérébraux, on retrouve une artère vertébrale droite filiforme avec multiples défauts de "flow void", sans hématome de paroi, compatible avec une origine chronique de la dissection en premier lieu. Laboratoire : cf annexes. CT thoracique le 07.02.2019 : nette péjoration de la pneumonie du lobe inférieur droit avec consolidation des parties déclives et importantes plages de verre dépoli du segment apical. Epanchement para-pneumonique associé de quantité modérée. Diminution des altérations du lobe moyen mais présence d'une atélectasie partielle, sans qu'une surinfection ne soit exclue. US thoracique le 12.02.2019 : hépatisation pulmonaire sans épanchement visible. Laboratoire : cf annexes CT thoracique natif et injecté le 10.02.2019 : comme sur le comparatif de 2016, on retrouve d'innombrables embolies pulmonaires centrales, segmentaires et sous-segmentaires, avec infarctus du segment latéro-basal du lobe inférieur droit et discrets signes de souffrance cardiaque droite. La majorité des embolies présente un aspect chronique. Fine lame d'épanchement pleural à droite.ETT du 11.02.2019 (Dr. X) : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG estimée à 73 % (mode TM). Aorte normale. Valve aortique normale. Valve mitrale normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. HTAP modérée. PAPs estimée à 45 mm Hg + 10 mm Hg = 55 mm Hg. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Conclusion : Hypertension artérielle pulmonaire modérée dans le cadre d'une EP. Absence de défaillance du VD. Laboratoire : c.f. annexes CT thoraco-abdo le 20.02.2019 : Par rapport aux comparatifs, majoration des épaississements bronchiques notamment aux bases, avec apparition de multiples comblements bronchiolaires dans les régions déclives des poumons, dont l'aspect est compatible avec une bronchiolite et dont la distribution parle en première intention pour une origine infectieuse (DD : bronchiolite dans le contexte d'une maladie de système. Il n'y a pas d'image spécifique pour une vasculite des petits vaisseaux en regard des poumons, hormis la présence de quelques discrètes plages de verre dépoli qui pourraient éventuellement parler pour des hémorragies alvéolaires (hémoptysie à l'anamnèse ?). Discrète majoration des ganglions médiastinaux et hilaires pouvant être réactionnelles dans le contexte de la bronchiolite. L'examen des structures vasculaires est normal, sans sténose significative et sans évidence d'anévrisme/microanévrime. A noter que des microanévrismes des artères rénales dans le contexte de certaines vasculites (p. ex. PAN) ne pourraient être visibles que sur une angiographie. Pour le reste, stabilité du conglomérat de petites lésions kystiques de la tête du pancréas, dont l'aspect et la localisation évoquent des IPMN de type side branch. Pas de changement d'une petite plage hypodense aspécifique du segment hépatique VI, déjà décrite sur les précédents examens et sans captation suspecte au PET/CT du 30.08.2018. Laboratoire : cf. annexes. CT thoraco-abdominal du 21.01.2019 : discrets infiltrats en verre dépoli et en arbre en bourgeons dans le lobe supérieur droit et le lobe moyen. Condensations entourées d'infiltrats en verre dépoli dans le lobe supérieur gauche, compatibles avec des foyers infectieux. Pas de signe de foyer infectieux à l'étage abdominal. CT thoracique 28.01.2019 : augmentation des condensations entourées de plages en verre dépoli dans le LSD et LSG (infection fongique ?), légère augmentation de l'épanchement pleural gauche de faible abondance, persistance de ganglions de taille agrandie dans le médiastin, globalement stables, légère augmentation en taille de la lésion nodulaire supracentimétrique au niveau de l'angle cardiophrénique gauche. Laboratoire : cf annexes CT thoraco-abdominal injecté le 25.01.2019 : Par rapport au PET-CT du 14 juin 2018, on constate une progression de la tumeur exophytique de la lèvre postérieure du rein droit avec progression de l'infiltration du pyélon et de l'uretère proximal. Forte suspicion d'une petite thrombose tumorale sur une branche postérieure de la veine rénale droite. Nette progression en taille et en nombre des innombrables nodules pulmonaires bilatéraux donnant actuellement une image en lâcher de ballon. Compte tenu de cette progression et des caractéristiques scanographiques de ces nodules, une origine métastatique est la plus vraisemblable. Sur les quelques coupes passant par le cerveau, doute quant à la présence d'une prise de contraste mal délimitée centrée sur l'obex du 4ème ventricule. Examen à confronter à un CT cérébral injecté à la recherche d'une métastase. Par rapport à l'examen PET-CT 18F-FDG du 14 juin 2018, nous constatons une augmentation de la captation au niveau de la lésion tumorale rénale droite et l'apparition de multiples lésions hypermétaboliques pulmonaires bilatérales et hilaires pulmonaires bilatérales. CT-scan contrôle 29.01.19 : abcès a diminué de moitié, de 7 cm de diamètre à 3 cm ce jour, thrombose veine rénale stable. CT-scan de contrôle du 05.02.19 : abcès en nette diminution avec très mince lame de liquide autour du Pigtail, tumeur à côté nécrosée. Laboratoire : cf. annexes CT thoraco-abdomino-pelvien du 17.01.2019 : augmentation de taille du léiomyosarcome utérin connu à l'origine d'une compression du système veineux abdominal et pelvien expliquant les œdèmes des membres inférieurs. En raison du volume de la tumeur, présence d'une obstruction rénale bilatérale plus marquée à gauche. Apparition également d'une lame d'ascite et d'épanchements pleuraux des deux côtés. Transit intestinal du 28.01.2019 : opacification de l'estomac et des anses jéjunales. Absence de reflux visualisé. Le cliché effectué après 2 h montre une bonne répartition du contraste à travers l'abdomen (anses coliques) mais persistance d'un contenu dans l'estomac. Laboratoire : cf. annexes. CT Time is Brain le 21.02.2019 : absence d'argument en faveur d'une lésion ischémique ou hémorragique. Lésion hypodense d'aspect kystique pariéto-temporale droite bordée de gliose, connue et inchangée. Asymétries de perfusion sur plusieurs territoires vasculaires, parlant en faveur d'une origine épileptique. Perméabilité préservée des vaisseaux pré-cérébraux et intracrâniens. Avis neurologique le 21.02.2019 (Dr. X / Dr. X) : charge en Keppra, poursuite du traitement anti-épileptique avec Keppra 250 mg 2x/jour, hospitalisation en médecine avec surveillance neurologique aux 4 heures. Électroencéphalogramme le 22.02.2019 : foyer irritatif fronto-temporal droite résiduel. Électroencéphalogramme de contrôle le 27.02.2019 : foyer résiduel droite moins important mais toujours présent. Laboratoire : cf annexes CT-abdominal le 18.02 : Pas de masse tumorale des voies urinaires. On note par contre un nodule hyper-vascularisé dans la queue du pancréas, de nature incertaine, c'est pourquoi nous recommandons la réalisation d'une IRM complémentaire. Prostate de taille augmentée. Laboratoire : cf annexes CT-abdominal 04.02.2019 : Important pneumopéritoine et liquide libre intra-abdominal. Laboratoire : cf annexes CT-scan cervico-thoraco-abdominal du 01.02.2019 : Intubation orotrachéale sélective, se terminant dans la bronche souche droite. Embolie pulmonaire segmentaire latérale du lobe moyen, avec dilatation des cavités cardiaques droites. Épanchement pleural bilatéral de quantité modérée avec atélectasies passives et partielles des lobes inférieurs. Défaut de rehaussement du parenchyme splénique supérieur et inférieur, compatible avec des infarctus ; S/p gastrectomie totale, avec anastomose oesophago-jéjunale et jéjuno-jéjunale, sans complication. Lame d'épanchement dans le cul de sac de Douglas de densité à 66 UH pouvant être séro-hématique sans signe de saignement actif. Pas de lésion radiologiquement visible pouvant expliquer le stridor aigu avec détresse respiratoire. CT thoraco-abdominal 09.02.2019 : Majoration d'embolie pulmonaire précédemment segmentaire latérale lobaire moyenne droite actuellement se prolongeant à l'artère lobaire inférieure droite et à sa bronche segmentaire antérieure. Probable infarctus parenchymateux consécutif du segment apical du lobe supérieur droit. À l'étage abdominal, pas d'argument pour une complication de la chirurgie.IRM neurocrâne 21.02.2019: Absence d'argument en faveur d'un AVC aigu ou subaigu. On retrouve de manière inchangée les calcifications des noyaux gris de la base à droite, d'origine peu claire (DD : infectieux, médicamenteux, autre ?). Hématome sous-cutané frontal et périorbitaire gauche. CT cérébral 21.02.2019: Hématome sous-cutané frontal gauche. Pas d'autre lésion post-traumatique, notamment pas de saignement intra- ou extra-axial. Calcifications aspécifiques dans les noyaux gris centraux droits inchangées par rapport au PET/CT du 16.10.2018 (DD : origine métabolique ? post-chimiothérapie ? toxique ?). Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR à 61/min. PR 168 msec. QRS 102 msec, axe -34°, transition de l'onde R en V2. Segment ST isoélectrique. Onde T négative en III concordante. QTc à 420 msec. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier à 58/min. PR 174 msec. QRS 100 msec, axe -31°, transition de l'onde R en V2. Segment ST isoélectrique. Onde T négative en III concordante. QTc à 420 msec. Radiographie du thorax : cœur de taille dans les limites de la norme avec des calcifications de l'aorte thoracique. Petite surélévation de l'hémicoupole diaphragmatique droite. Petite lésion en bande à la base gauche, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax visualisé. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR à 79 bpm, axe à 6°, PR 142 ms, QRS 88 ms, transition RS v2-v3, pas de sus-décalage ST, QTc à 448 ms. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR à 85 bpm, PR à 140 ms, QRS fins avec un axe à 50°, QTc à 400 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Radiographie de la colonne cervicale face/profil : examen de C1 à C7 : En C4-C5 et en C5-C6, aspect cunéiforme des corps vertébraux d'origine le plus probablement constitutionnelle, avec petites opacités aspécifiques en surprojection de l'espace intersomatique (discales ?) visibles sur l'incidence de profil uniquement, aspécifiques. Sinon pour le reste, la courbure de la colonne est physiologique. La morphologie des corps vertébraux, des disques intervertébraux, des processus latéraux et épineux est normale. Pas d'altération de la structure osseuse et pas d'ostéolyse. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, bradycarde à 49 bpm, axe normal à -7°, QRS fins à 80 ms, segment ST isoélectrique, onde T négatives dans les précordiales concordantes. QTc à 402 ms. Radiographie du thorax face/profil : aorte déroulée et calcifiée. Lésion d'infiltrat pulmonaire bilatérale. Hypoventilation des 2 bases pulmonaires. (Dr. X). CT-scan cérébral natif : comparatif du 15.01.2018. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Hyperostose frontale interne. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extra-durale. Ectasie des citernes basales et mésencéphaliques ainsi que du système ventriculaire et élargissement des sillons cérébraux et cérébelleux en rapport avec l'âge de la patiente. Hypophyse d'aspect agrandi pour l'âge de la patiente, mesurée à 8 mm de hauteur, faisant suspecter une lésion sous-jacente. Hypodensité diffuse de la substance blanche péri-ventriculaire et profonde compatible avec de la leuco-araïose. Calcifications des artères carotides internes à hauteur des siphons carotidiens des deux côtés. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. Hématome sous-cutané péri-orbitaire droit. CONCLUSION : hématome sous-cutané péri-orbitaire droit. Absence de saignement intracrânien. Pas de fracture. Hypophyse d'aspect agrandi pour l'âge de la patiente, mesurée à 8 mm de hauteur, faisant suspecter une lésion sous-jacente. Si l'on souhaite aller plus loin dans les investigations, un complément d'examen par IRM spécifique à l'évaluation de l'hypophyse peut être réalisé. Examen réalisé en téléradiologie avec transmission des résultats au Dr. X à 00H20. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, normocarde à 86 bpm. Axe du QRS normal à -28°, fin à 92 ms, transition de l'onde retardée en V5. QTc à 349 ms. Radiographie de l'abdomen debout : pas de distension digestive significative. Scoliose dégénérative sinistroconvexe. Multiples phlébolites pelviens. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 65/min, axe 70°, pas de bloc atrioventriculaire, pas de bloc de branche, pas de sus/sous-élevation du segment ST, onde T inversée en V1-V2 connu, Transition onde R en V2. Laboratoire : cf. annexes. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde, QRS fins, normoaxés, QTc dans la norme à 432 ms, pas de troubles de la conduction ni de la repolarisation. CT thoraco-abdominal du 13.02.2019 : splénomégalie. Pas d'autre lésion suspecte. Echocardiographie du 15.02.2019 (Dr. X) : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de rétrécissement aortique. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Valve mitrale normale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexes ECG du 03.01.2019 : FA inaugurale ECG du 07.01.2019 : FA à réponse ventriculaire normale US ciblé du 03.01.2019 (Dr. X) : pas de liquide libre en Morrison. Discret épanchement pleural droit. Pas de cholestase intra-hépatique. S/p ablation vésicule biliaire. Pas de liquide libre para-splénique. Dilatation rénale grade 2 à droite. Vessie urinaire remplie à 100 ml. CT abdominal natif et injecté du 03.01.2019 : épaississement segmentaire du côlon sigmoïde et descendant en rapport avec le lymphome connu, apparition d'un épaississement des parois de tous les autres segments du côlon (pancolite, patient présentant des diarrhées ?). Sub-iléus grêle (avec des anses dilatées à 3 cm en amont d'un épaississement segmentaire de l'iléon terminal). Diminution en taille des multiples implants de carcinomatose, principalement à hauteur de la bifurcation iliaque dans le mésentère, ainsi qu'en regard de l'espace para-rénal gauche. Majoration de la dilatation du pyélon gauche sur probable implant sur l'uretère. Rx abdomen le 11.01.2019 : on retrouve une dilatation grêle actuellement mesurée à 4.5 cm au maximum. Pas de franche distension colique. Sonde urinaire en place. Statut post cholécystectomie. Importants troubles dégénératifs du rachis lombaire. Laboratoire : cf. annexes. ECG du 03.01.2019 : rythme sinusal à 60 bpm, axe gauche, BAV du 1er degré avec PR à 300 ms, intervalles QRS et QTc dans la norme, T négatives en V1 et DIII (ECG superposable au 21.05.2018). ECG du 09.01.2019 : rythme sinusal à 59 bpm, BAV connu à 300 ms, QRS et QTc dans la norme, ondes T négatives en V1. Echocardiographie du 22.01.2019 (Dr. X) : dilatation modérée de l'OG avec un septum IA flottant au niveau FO (perméabilité partielle non exclue). Pas de flux couleur ou doppler pw mis en évidence (test de provocation à réaliser si jugé utile). Les autres cavités ne sont pas dilatées. Pas d'hypertrophie pariétale. Bonne fonction cardiaque (FEVG Simpson : 65 %; dysfonction de type II). Fonction VD à la limite inférieure avec FR à 21 % (apex et septum hypokinésie modérée). Pas d'HTAP. Remaniement des feuillets mitraux avec anneau calcifié; fuite discrète; E/A <0.85; e's à 6 cm7sec et lat à 12 cm/sec. Calcification des cuspides aortiques principalement NC et D avec minime fuite. Pas de sténose (ouverture > 2 cm2). Aorte calcifiée dans sa portion ascendante. VCi plate, compliante aux mouvements respiratoires. Péricarde sec.Oxymétrie nocturne du 03.01.2019 : index des événements de désaturation à 1.3/heure, SpO2 moyenne à 96.1%. Radiographie main D et G du 04.01.2019 : ostéopénie en bandes juxta-articulaires bilatérales. A droite : émoussement de la styloïde cubitale. Discret pincement articulaire radio-carpien. Arthrose trapézo-trapézoïdo-scaphoïdienne et rhizarthrose. Déviation ulnaire des doigts 2 à 5 avec subluxation métacarpophalangienne marquée au niveau des 2ème et 4ème doigts. Érosion osseuse sur le versant ulnaire de P1D3. Pincement arthrosique interphalangien proximal du 3ème doigt avec petite ossification para-articulaire. Pincement arthrosique et lésions dégénératives interphalangiennes distales du 2ème et surtout du 3ème doigt, ainsi que du 5ème. A gauche : important remaniement radio-ulno-carpien avec destruction pratiquement complète de la 1ère rangée du carpe. Volumineux remaniement osseux en regard du cubitus qui est largement déformé. Important remaniement dégénératif trapézo-trapézoïdo-métacarpien 1 et 2 et scaphoïdien. Le scaphoïde est en partie détruit. Déviation ulnaire du 5ème doigt majeure. Important remaniement dégénératif métacarpophalangien prédominant au niveau du 3ème rayon. Remaniements arthrosiques dégénératifs interphalangien proximal des doigts 2 à 5 ainsi qu'interphalangiens distaux du 2ème, 3ème et 5ème doigts. Le tout compatible avec une atteinte polyarthrosique. IRM cérébrale du 18.01.2019 : lésions de la substance blanche périventriculaire, confluentes, devant correspondre à des lésions de type micro-vasculaire, chroniques. Pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Suspicion d'ancienne lésion lacunaire frontale D et d'une petite lésion lacunaire cérébelleuse G (anciennes lésions ischémiques ?). Pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Laboratoire : cf annexes. ECG du 05.02.2019 : rythme sinusal à 84 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, surélévation du segment ST isolé en V1, bonne progression des ondes R. Laboratoire : cf annexes. ECG du 06.02.2019 : RSR à 70 bpm, pas de bloc AV, QRS fin d'axe normal, segment ST isoélectrique, onde T négative en V1. Laboratoire : cf annexes. ECG du 07.01.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde, QTc dans la norme, bloc de branche droit connu, pas de trouble de la repolarisation. CT thoraco-abdominal du 07.01.2019 : en comparaison à l'examen de février 2018 : apparition d'un nodule pulmonaire de 8 x 7 mm dans le lobe supérieur droit, aspécifique (d'origine infectieuse ?). Persistance d'un goitre nodulaire plongeant, stable. Persistance d'une hépatomégalie modérée, sans lésion focale hépatique. Absence de foyer pulmonaire ou abdominal. Rx thorax du 07.01.2019 : status post mise en place d'une voie veineuse jugulaire droite se terminant en projection de la veine cave supérieure. Absence de pneumothorax sous réserve de la position couchée. Pour le reste, on retrouve l'opacité médiastinale supérieure en rapport avec un goitre plongeant avec déviation de la trachée vers la droite. Le parenchyme pulmonaire se présente sans particularité. Pas d'épanchement pleural. ETT du 08.01.2019 (Dr. X) : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70% (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aorte normale. Gradient moyen VG-Ao à 7 mmHg. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/3). Minime épanchement péricardique systolique isolé hémodynamiquement non significatif. Fraction d'éjection stable par rapport à l'examen précédent du 02/2018. CT thoracique du 17.01.2019 : absence d'évolution significative du nodule du lobe supérieur droit en 10 jours, mesurant 9 x 6 mm, ne présentant pas de caractère typique d'atteinte fongique. On note une rétraction de la scissure en regard de ce nodule probablement d'origine cicatricielle. Néanmoins, un contrôle dans trois mois est recommandé en absence de péjoration clinique. Laboratoire : cf annexes. ECG du 07.01.2019 (11h20) : rythme sinusal à 87 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, 2 extrasystoles ventriculaires, T négatives de V2 à V6. ECG du 07.01.2019 (12h06) : rythme sinusal à 88 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, pas d'extrasystole ventriculaire, ondes T négatives de V3 à V6. Echocardiographie du 25.01.2019 (Dr. X) : échogénicité difficile avec cœur dévié nettement vers la droite (fenêtres classiques inadéquates). Cavités : VD aux limites supérieures de la normale pour la portion circulaire horizontale. OD aplatie en axe verticalisé. Cavités gauches de dimension normale. Épaisseur pariétale : HVD (paroi 10 mm). Cinétique segmentaire : dysfonction septale droite avec FR VD à +/- 20%; FE VG conservée avec dysfonction diastolique de type pseudo-normale. Pressions de remplissage VG : normale. Pas d'épanchement péricardique. Veine cave inférieure non dilatée mais avec compliance partielle aux mouvements respiratoires. Valvules : pas de vice valvulaire avec mobilité et structure normale. Pas d'argument pour une HTAP résiduelle (vélocité transvalvulaire normale ; temps d'accélération pulmonaire à 105 msec). Gazométrie du 07.01.2019, à l'air ambiant : pH 7.52, SpO2 86.8%, pO2 6.6 kPa, pCO2 4.81 kPa, HCO3- 29.1 mmol/l. Gazométrie du 21.01.2019, sous O2 0.5 lt/min : pH 7.44, SpO2 89.5%, pO2 7.7 kPa, pCO2 5.05 kPa, HCO3- 25.1 mmol/l. Gazométrie du 01.02.2019, à l'air ambiant : pH 7.48, SpO2 88.8%, pO2 7.5 kPa, pCO2 4.83 kPa, HCO3- 26.5 mmol/l. Spirométrie du 08.01.2019 : CVF 57% du prédit, VEMS 42% du prédit, Tiffeneau 59.5%. Spirométrie du 05.02.2019 : CVF 76% du prédit, VEMS 58% du prédit, Tiffeneau 62.4%. Capnographie nocturne du 07.01.2019, avec O2 0.5 lt/min : tcpCO2 7.1 kPa (55 mmHg), SpO2 moyenne 91.9%. Capnographie nocturne du 15.01.2019, avec O2 0.5 lt/min : tcpCO2 5.4 kPa (40 mmHg), SpO2 moyenne 98.1%. Capnographie nocturne du 01.02.2019, avec O2 0.5 lt/min : tcpCO2 5.4 kPa (40 mmHg), SpO2 moyenne 97.2%. Oxymétrie nocturne du 17.01.2019 (0.5 lt/min d'O2 durant environ 2h au début de nuit) : SpO2 moyenne 86.9%, index des événements de désaturation à 87.7/heure. Radiographie thorax du 08.01.2019 : poumon blanc D en relation avec la pneumonectomie connue. Le cœur est mal analysable et l'on retrouve des infiltrats mixtes à la base G, compatibles avec un foyer de pneumonie, mais en l'absence de comparatif nous ne pouvons juger de l'évolution. Radiographie thorax du 24.01.2019 : poumon D blanc avec importante rétraction de la trachée. Lésions d'infiltrat pulmonaire au niveau basal à G. Effacement de la coupole diaphragmatique à D. Pas d'épanchement pleural à G significatif. Radiographie thorax du 01.02.2019 (comparatif du 24.01.2019) : très discrète diminution de l'infiltrat pulmonaire lingulaire correspondant au reste de la pneumonie connue. Pas de majoration de cet infiltrat. Pas de nouveau foyer de pneumonie mis en évidence. Le reste de la plage pulmonaire G se présente normalement, sans foyer. Pas d'épanchement pleural à G. A droite, cavité d'hydrothorax dans le contexte du st/p pneumonectomie D. Hauteur des corps vertébraux conservée avec bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. US abdomen supérieur avec élastographie hépatique du 22.01.2019 (CIMF) : splénomégalie. Morphologie normale du foie. Trois mesures élastographiques ont été réalisées sur le lobe hépatique D ; la valeur moyenne relevée est 5.1 kPa, score METAVIR F0 et F1.Test des 6 minutes, à l'entrée, sous O2 3 lt/min : distance parcourue 190 m (avec 2 cannes anglaises). FC 87-103 bpm, TA 130/93 mmHg • TA 144/98 mmHg, satO2 94% • 84%, EVA dyspnée 2/10 • 6/10. Test des 6 minutes, à la sortie, avec concentrateur level 5 : distance parcourue 335 m. FC 89-105 bpm, TA 132/91 mmHg, satO2 95% • 82% (90% ap 1'30''), dyspnée EVA 0/10 • 3/10. Laboratoire : cf annexes. ECG du 08.01.2019 : rythme sinusal avec une FC à 84 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, pas de trouble de la conduction ni de la repolarisation. Radiographie bassin du 15.01.2019 : on retrouve les séquelles de fracture de la branche ischio-pubienne G avec cal osseux. Coxarthrose bilatérale prédominant à D avec ébauche d'ostéophyte au niveau du coin supéro-externe. Aspect modéré ostéopénique de la trame osseuse. Pas d'anomalie décelable des parties molles. US de la vessie post-mictionnelle du 15.01.2019 : aspect normal des 2 reins. Prostate de 21 g approximativement de volume. L'étude du résidu post-mictionnel n'a pas pu être réalisée étant donné le volume vésical. Laboratoire : cf annexes. ECG du 10.01.2019 : rythme sinusal avec FC à 80 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, ondes T négatives en V1. Laboratoire : cf annexes. ECG du 10.12.2018 : rythme sinusal à 65 bpm, bloc AV 1er degré avec PR 232 ms, QRS fin à 90 ms avec un axe à gauche à -30°, QTc à 406 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Oxymétrie nocturne du 13-14.12.2018, à l'air ambiant : SpO2 moyenne 89.7%, 252 évènements de désaturation, index des évènements de désaturation : 42.9/heure. Spirométrie du 03.01.2019 : CVF 93% du prédit, VEMS 59% du prédit, Tiffeneau 49.3%. US système uro-génital du 20.12.2018 : vessie vide avec ballonnet de sonde urinaire en place. La prostate est de volume dans la norme mesurant 4,1 x 2,6 x 3 cm de diamètre. Analyse limitée des parois vésicales en raison d'une vessie non remplie malgré une sonde urinaire clampée. Radiographie bassin face et hanche axiale G du 13.12.2018 : matériel d'ostéosynthèse à gauche en place. Pas de déplacement secondaire. Radiographie bassin face et hanche axiale G du 03.01.2019 (comparatif du 13.12.2018) : le matériel est en place, intact, en position inchangée. Avulsion du petit trochanter. Pas de déplacement secondaire de ce dernier. Coxarthrose droite connue. Sonde urinaire en projection du petit bassin. Radiographie bassin face et hanche axiale G du 15.01.2019 : matériel d'ostéosynthèse fémoral gauche en place. Pas de déplacement secondaire. Laboratoire : cf annexes. ECG du 11.01.2019 : rythme sinusal à 81 bpm, axe gauche, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. Laboratoire : cf annexes. ECG du 14.02.2019 : rythme sinusal à 69 bpm, normoaxé, QRS fin, transition précoce de l'onde R, ST sans particularité. Radiographie pied G du 11.02.2019 : matériel d'ostéosynthèse en place. Pas de signe de déplacement secondaire, les rapports anatomiques sont conservés. La fracture est en voie de consolidation. CT pied G du 14.02.2019 : trait de fracture non visible. Plaque vissée au niveau du tiers distal du péroné en place. Discret diastasis tibio-péronier distal. Les rapports anatomiques restent conservés. Discret ostéophyte au niveau de l'interligne tibio-talien postérieur. Épine calcanéenne. Laboratoire : cf annexes. ECG du 15.01.2019 : FA à 83 bpm, axe dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. Radiographie bassin et hanche D du 15.01.2019 : prothèse de la hanche droite en place. Pas de signe de complication. Petit phlébolithe pelvien. Laboratoire : cf annexes. ECG du 15.01.2019 : rythme sinusal à 60 bpm, axe dans la norme, intervalles PR et QRS dans la norme, intervalle QTc à 470 ms. Test des 6 minutes, à l'entrée : distance parcourue 300 m. Test des 6 minutes, à la sortie : distance parcourue 420 m. Laboratoire : cf annexes. ECG du 18.01.2019 : rythme sinusal à 108 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. Oxymétrie nocturne du 23.01.2019, à l'air ambiant : SpO2 moyenne 90.8%, index des événements de désaturation 7.7/heure. Oxymétrie nocturne du 26.01.2019, avec O2 1 lt/min : SpO2 moyenne 91%, index des événements de désaturation 0.3/heure. Laboratoire : cf annexes. ECG du 21.01.2019 : rythme sinusal à 65 bpm, PR à 162 ms, QRS fins à 96 ms avec un axe à 45°, QTc à 411 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Résultat histo-pathologique (Promed) : méningiome atypique OMS grade 2, infiltrant le tissu conjonctif dense de type dure-mère, confirmé par l'hôpital universitaire pathologie de Bâle. Evaluation neuropsychologique du 22-24.01.2019 : cf rapport. Laboratoire : cf annexes. ECG du 21.01.2019 : rythme sinusal à 66 bpm, intervalle PR à la limite de la norme à 200 ms, intervalles QRS et QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. Laboratoire : cf annexes. ECG du 21.01.2019 : rythme sinusal irrégulier à 79 bpm, intervalle PR à la limite de la norme, intervalles QRS et QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. ECG du 29.01.2019 : superposable. Gazométrie du 21.01.2019, sous O2 2 lt/min : pH 7.34, SpO2 93.3%, pO2 9.3 kPa, pCO2 6.73 kPa, HCO3- 26.2 mmol. Gazométrie du 05.02.2019, sous O2 2 lt/min : pH 7.36, SpO2 95.1%, pO2 10.4 kPa, pCO2 6.61 kPa, HCO3- 27.1 mmol. Spirométrie du 22.01.2019 : CVF 56% du prédit, VEMS 43% du prédit, Tiffeneau 58%. Spirométrie du 05.02.2019 : CVF 57% du prédit, VEMS 45% du prédit, Tiffeneau 51.4%. Capnographie nocturne du 22.01.2019, sous VNI (10/18) et O2 2 lt/min : SpO2 moyenne 85.3%, tcpCO2 7.3 kPa, indice de désaturation 6.75/heure. Capnographie nocturne du 27.01.2019, sous VNI (10/22) et O2 2 lt/min : SpO2 moyenne 91.3%, tcpCO2 6.3 kPa, indice de désaturation 17.36/heure. Radiographie thorax du 22.01.2019 : petite désorganisation de la trame bronchovasculaire avec des épaississements bronchiques ainsi qu'un aplatissement des coupoles diaphragmatiques dans le cadre de la BPCO connue. On visualise de petits troubles ventilatoires à la base gauche, mais pas d'image typique de foyer pulmonaire. Cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. Pas d'épanchement pleural. Scoliose dorsale dextro-convexe. Radiographie thorax du 05.02.2019 (comparatif du 22.01.2019) : on retrouve une discrète incurvation para-médiastinale D inchangée. Cœur de volume dans la norme. Pas de signe de surcharge cardiaque. Sclérose aortique. Épaississements bronchiques diffus bilatéraux dans le contexte de la BPCO connue. Atélectasie versus séquelle pleuro-parenchymateuse en bande fine basale G inchangée. Le parapluie cave n'est pas visible sur le cliché. Laboratoire : cf annexes. ECG du 28.01.2019 : rythme sinusal irrégulier 65 bpm, axe normal, QRS fins 114 ms, pas de sous sus décalage. Gazométrie du 28.01.2019, sous O2 2 lt/min : pH 7.33, pCO2 8.3 kPa, pO2 9.5 kPa, HCO3- 32 mmol/l, satO2 92%. Gazométrie du 29.01.2019 (07h50), sous O2 2 lt/min : pH 7.11, pCO2 13.56 kPa, pO2 7.8 kPa, HCO3- 31.1 mmol/l, satO2 74.7%. Gazométrie du 29.01.2019 (08h35), sous O2 2 lt/min : pH 7.16, pCO2 12.37 kPa, pO2 6.8 kPa, HCO3- 31.5 mmol/l, satO2 67.9%. Laboratoire : cf annexes. ECG du 28.01.2019 : rythme sinusal à 104 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction.Gazométrie du 28.01.2019, sous O2 1 lt/min: pH 7.40, SpO2 93.7%, pO2 8.9 kPa, pCO2 5.58 kPa, HCO3 -25.6 mmol/l. Spirométrie du 05.02.2019 : CVF 79% du prédit, VEMS 54% du prédit, Tiffeneau 53.8%. Radiographie thorax du 29.01.2019: aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Epanchement pleural gauche de faible abondance. Troubles ventilatoires en bande aux 2 bases pulmonaires. Epaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Laboratoire : cf annexes. ECG du 28.12.2018: rythme sinusal à 63 bpm, BAV 1er degré avec PR à 210 ms, QRS fins à 90 ms avec un axe normal à -7°, QTc à 435 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Radiographie thorax face du 24.01.2019 : cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée avec des calcifications aortiques. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. US abdomen complet natif du 24.01.2019 : lithiase vésiculaire, sans signe de cholécystite, mais pour le reste l'examen est dans les limites de la norme pour l'âge de la patiente, notamment pas de foyer infectieux mis en évidence. Evaluation neuropsychologique du 08.01.2019 : cf rapport. Laboratoire : cf annexes. ECG du 29.01.2019 : rythme sinusal à 97/min, QRS légèrement > 120 ms, sans bloc de branche clair. Onde T de peu d'amplitude. Pas de sur- ou sous-élévation du ST. QT 360 ms, QTc 460 ms. ECG globalement semblable à 10/2018. Radiographie du thorax du 29.01.2019 : St/p sternotomie avec aspect intact des cerclages. Aspect élargi de la silhouette cardio-médiastinale, sous réserve d'un examen effectué en position couchée. Déroulement athéromateux de l'aorte. Hiles pulmonaires sans particularité. Absence de signe en faveur de décompensation cardiaque. Absence d'épanchement pleural. Par rapport au comparatif, apparition d'une discrète diminution de la transparence infra hilaire à droite, compatible avec un foyer débutant. Reste des plages pulmonaires sans foyer constitué. Cadre osseux et tissus mous sans particularité. Laboratoire : cf annexes. ECG du 29.01.2019: rythme sinusal à 72 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. ECG du 07.02.2019: superposable. Laboratoire : cf annexes. ECG du 29.01.2019: rythme sinusal à 97 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS et QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. Laboratoire : cf annexes. ECG du 30.01.2019 : RSR 63 bpm, axe gauche, PR 146 ms, QRS fins 92 ms, pas de sus/sous décalage, QTc 447 ms. Gazométrie du 30.01.2019, sous O2 2 lt/min: pH 7.34, pCO2 7.53 kPa, pO2 8.3 kPa, HCO3 - 29.5 mmol/l, satO2 89.6%. Gazométrie du 12.02.2019, à l'air ambiant : pH 7.44, pCO2 5.68 kPa, pO2 8.6 kPa, HCO3 - 28.1 mmol/l, satO2 91.8%. Spirométrie du 05.02.2019 : CVF 136% du prédit, VEMS 36% du prédit, Tiffeneau 20.1% (qualité B). Spirométrie du 13.02.2019 : CVF 78% du prédit, VEMS 54% du prédit, Tiffeneau 52.6% (qualité B). Diffusion du CO du 05.02.2019 : DLCO 41 %. Capnographie nocturne du 30.01.2019, sous O2 2 lt/min : tcpCO2 moyenne 6 kPa, SpO2 moyenne 92.1%, index de désaturation 2.13/heure. Radiographie thorax du 31.01.2019 (comparatif du 23.01.2019) : majoration de l'épanchement pleural à la base D et persistance d'un épanchement scissural à D. Probable atélectasie passive au contact de l'épanchement pleural à D. Epaississement bronchique plus marqué à D qu'à G. Pas de foyer de pneumonie à G. Emoussement du sinus costo-diaphragmatique G. Silhouette cardiaque dans la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. PAC pectoral G en surprojection inchangé. Pas de tassement vertébral. Radiographie thorax du 04.02.2018 : stabilité de l'épanchement pleural D. Test des 6 minutes, à l'entrée, sous O2 3 lt/min : distance parcourue 210 m (arrêt à 4' en raison de vertiges). FC 82-100 bpm, TA 158/90 mmHg - TA 108/90 mmHg, satO2 91% - 71% (92% après 2'), EVA dyspnée 0/10 - 5/10. Test des 6 minutes, à la sortie, sous O2 3 lt/min : distance parcourue 330 m. FC 82-97 bpm, TA 150/74 mmHg - TA 177/94 mmHg, satO2 94% - 91%, EVA dyspnée 1/10 - 4/10. Laboratoire : cf annexes. ECG le 10.02.2019 : rythme sinusal régulier, QRS large avec bloc de branche gauche, allongement du QT avec présence d'onde U. Laboratoire : cf annexes. ECG le 13.02.2019: rythme sinusal régulier, PR <120 msec, impression de QRS large en V1/V2, fin dans les autres dérivations. Pas de QT long. Rx thorax du 14.02.2019 : Développement d'opacités pulmonaires bibasales (DD : atélectasie ? foyer infectieux ?). Epanchements pleuraux bilatéraux de faible abondance. Emoussement des récessus costo-diaphragmatiques. Laboratoire : cf annexes. ECG le 29.01.2019 : tachycardie monomorphe ventriculaire intermittente. Échocardiographie transthoracique le 29.01.2019 (Dr. X, Dr. X) : Dilatation modérée du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 25-30 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Pas de sténose aortique. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Epaississement des 2 feuillets mitraux. Insuffisance mitrale légère à modérée (grade 1-2/3) d'origine dégénérative, sous le feuillet mitral postérieur, difficilement quantifiable en raison d'extrasystoles fréquentes. Pas de reflux systolique dans la veine pulmonaire supérieure gauche. Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche discrètement dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. HTAP minime (PAPs à 38 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3). Absence d'épanchement péricardique. Commentaire : cardiopathie dilatée avec une fonction systolique sévèrement diminuée, probablement dans un contexte de tachy-cardiomyopathie. Insuffisance mitrale légère à modérée (grade 1-2/3) d'origine dégénérative, sous le feuillet mitral postérieur, difficilement quantifiable en raison d'extrasystoles fréquentes. L'ECG au scope montre de nombreux épisodes de tachycardies ventriculaires non soutenues possiblement dans un contexte d'hypomagnésémie. Troponinémie dans le contexte de la tachyarythmie. Pas de NSTEMI retenu, dernière coronarographie en 2016 avec coronaires saines. Pas d'indication à une coronarographie en urgence. Correction de l'hypomagnésémie et holter de 24 h pour déterminer la fréquence des extrasystoles ventriculaires. Radiographie et CT-Scan thoracique natif et injecté du 29.01.2019 (Dr. X; Dr. X) : cardiomégalie avec athéromatose calcifiée tritronculaire et signes de décompensation cardiaque. Absence d'embolie pulmonaire. Consilium angiologique du 01.02.2019 (Dr. X) : sténose significative au départ de la carotide interne gauche chez une patiente avec occlusion de l'artère centrale de la rétine gauche, il y a environ 3 mois; et probable sténose subocclusive du tronc brachio-céphalique droit avec inversion du flux en V2 au niveau vertébral droit et atténuation du flux en sous-clavier droit chez une patiente avec cécité de l'œil droit sur thrombose veineuse centrale de la rétine, il y a 1 an. Angio-CT ou angio-IRM de la gerbe aortique, des vaisseaux précérébraux et des vaisseaux cérébraux avec le polygone de Willis à réaliser d'ici lundi après-midi afin que nous puissions discuter des images et de l'attitude thérapeutique à notre colloque multidisciplinaire de vasculaire. Adit antiagrégant plaquettaire, statine et traitement optimal des FRCV au long cours. CT cou tissus mous du cou injecté du 01.02.2019 (Dr. X; Dr. X) : importante athéromatose calcifiée avec sténoses subocclusives du tronc brachio-céphalique à droite et de l'artère sous-clavière gauche suivies de sténoses significatives des 4 axes précérébraux.Laboratoire : cf. annexes. ECG. RX du thorax ap, lat, debout le 20.02.2019 : silhouette cardiaque de morphologie normale. Déroulement de l'aorte thoracique. Opacité para cardiaque droite intéressant le lobe moyen, compatible avec un foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Discrète majoration du tassement de D10. Aspect superposable du tassement de L1. Analyses urinaires : leucocyturie et Bactériurie avec nitrites +. Frottis grippe : positif pour Influenza A. Laboratoire : cf. annexes Echocardiographie le 17.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie minime de la paroi inféro-basale et de la paroi postérieure basale. FEVG à 55%. Aorte discrètement dilatée. Insuffisance mitrale légère (grade 1/3). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche modérément dilatée. Reste de l'examen dans la norme. CT-cérébral le 18.01.2019 : Nette régression des hémorragies sous-durales et sous-arachnoïdiennes avec persistance d'hygromes frontaux bilatéraux. Pas de nouvelle lésion ou hémorragie intracrânienne nouvelle. Diminution des hématomes sous-galéaux avec persistance d'une collection à gauche. Fracture non consolidée des os propres du nez et du mur latéral du sinus maxillaire gauche. IRM hépatique le 22.01.2019 : La lésion supracentimétrique du foie gauche n'est pas spécifique. Toutefois, elle présente un wash out rapide en phase portale pouvant évoquer un CHC. Nous proposons de compléter le bilan par une AFP et une échographie. US hépatique le 22.01.2019 : On retrouve la lésion connue du segment II du foie, mesurant environ 25 mm de diamètre, hétérogène avec un aspect hypoéchogène prédominant et une discrète vascularisation périphérique. Cette lésion ne présente pas les caractéristiques typiques d'un hémangiome. Compte tenu de sa présentation à l'IRM comparative, on peut citer dans le DD un HCC, sans toutefois pouvoir exclure formellement un éventuel hémangiome atypique. Nous proposons de compléter le bilan par le dosage d'une alpha-foeto-protéine. Le foie est, par ailleurs, stéatosique, à contours réguliers, sans autre lésion focale visualisée. Perméabilité des veines sus-hépatiques et de la veine porte. IRM cérébrale de contrôle le 01.02.2019 : Pas d'arguments pour sidérose superficielle du système nerveux central. Stabilité des hygromes sous-duraux connus. Pas de nouvelle hémorragie intracrânienne. Laboratoire : cf annexes ERCP: cf. annexes Histologie : cf annexes Laboratoire : cf. annexes. ETT le 12.02.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile globale normale. La cinétique segmentaire fine n'est pas évaluable en raison des conditions techniques moyennes. FEVG à 60 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance aortique légère (grade 1/3). Valve mitrale normale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexes. ETT le 18.02.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4), d'origine dégénérative. Oreillette gauche très dilatée. Dilatation modérée du ventricule droit. Dilatation importante de l'oreillette droite avec une dilatation modérée du ventricule droit. HTAP minime (PAPs à 37 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4) par dilatation de l'anneau. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexes. Gazométrie le 19.02.2019 : pH 7.41, PaCO2 4.0 kPa, PaO2 10 kPa, HCO3 18 mmol/l, Sat 95 % sous 2 l/min d'O2. RX lombaire le 20.02.2019 : pas de comparatif à disposition. Fracture-tassement en galette de la vertèbre D12, impossible à dater. Pas de recul du mur postérieur clairement visible. Fracture-tassement bi-concave de la vertèbre D11, difficilement datable. Pas de fracture clairement visible des vertèbres lombaires. Discopathie étagée avec spondylose. Arthrose facettaire étagée avec possible sténose foraminale aux niveaux L4-L5 et L5-S1. Maladie de Baastrup. Altérations dégénératives des articulations sacro-iliaques avec probable ankylose de la partie supérieure des deux côtés. Calcification aorto-iliaque. CT colonne lombaire le 20.02.2019 : fracture-tassement en galette de la vertèbre D12 sans trait de fracture frais et sans recul significatif du mur postérieur. Au niveau de la fracture, présence de quelques bulles de gaz pouvant parler pour une ostéonécrose (maladie de Kümmell). Discrète inversion de la courbure centrée sur cette fracture. Pas de fracture clairement visible ailleurs. DISH dorsal. Spondylose lombaire avec quelques calcifications discales. Maladie de Baastrup. Calcifications artérielles. Avis Team Spine (Dr. X) le 21.02.2019 : compléter avec IRM dorsale basse et lombaire (avec séquences STIR) à la recherche de fracture plus récente, âge de la lésion et signes d'inflammation des tissus mous. IRM colonne thoracique basse et lombaire le 22.02.2019 : sous réserve d'un examen partiel, on retrouve la fracture cunéiforme sévère de T12 sans perte de hauteur ultérieure par rapport au comparatif. Absence d'autre fracture visible à l'examen du jour. Importants troubles dégénératifs de toute la colonne lombaire et de la jonction dorso-lombaire. Avis Team Spine le 22.02.2019 : traiter la fracture avec physiothérapie et antalgie, contrôle 2 semaines après la sortie au Team Rachis avec radiographie debout de colonne avec jonction dorso-lombaire (exclure péjoration de la cyphotisation). Laboratoire : cf. annexes. Hémocultures du 10.02.2019 : en cours. Frottis du nasopharynx : PCR INF A/B + RSV négatif. CT Time is Brain du 09.02.2019 : leucocaraïose très marquée. Sous réserve des artéfacts de mouvement, très probablement pénombre ischémique dans la région temporale gauche avec embolie calcifiée d'une branche artérielle M 3 de la sylvienne gauche. Plaque athéromateuse calcifiée très irrégulière à risque emboligène au niveau du bulbe carotidien gauche avec sténose significative à 85%. Multiples autres calcifications endovasculaires des artères distales en frontal et pariétal ddc. Radiographie du thorax du 09.02.2019 : discret infiltrat alvéolaire en base pulmonaire droite évoquant une origine infectieuse. Troubles ventilatoires des bases. Pas d'épanchement pleural. Pacemaker unipolaire en place. Cadre osseux sans particularité. CT cérébral natif du 10.02.2019 : constitution d'un AVC ischémique sylvien superficiel temporo-pariétal gauche. Pas de transformation hémorragique. Echocardiographie transthoracique du 11.02.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Rétrécissement aortique lâche. Surface aortique à 1,52 cm² par équation de continuité (0,75 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 20 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Remarque : la fonction systolique globale et segmentaire est normale. Présence d'une IA minime et d'un rétrécissement aortique lâche. Contrôle par échocardiographie dans 1 an.Duplex des vaisseaux précérébraux et transcrânien du 12.02.2019 : sténose de l'artère carotide interne gauche estimée à 50%. possiblement sous-estimée dans un contexte de plaques calcifiantes exerçant une ombre acoustique. Sténose < 50% de l'ACM droite. Laboratoire : cf annexes Histologie : cf annexes IRM de la cheville gauche native et injectée le 15.02.2019 : sous réserve d'artéfacts de susceptibilité magnétique, pas de lésion métastatique osseuse. Pas de signe de tendinopathie. Infiltration œdémateuse des parties molles sous-cutanées, DD : sur insuffisance veineuse ? Pour l'analyse osseuse du tibia et du matériel d'ostéosynthèse, un bilan complémentaire par radiographies standards peut compléter le bilan. Angio-CT avec produit de contraste le 23.02.2019 : importante infiltration athéromateuse des axes vasculaires artériels du membre inférieur gauche avec mise en évidence de sténoses étagées et une occlusion focale de l'artère fémorale superficielle à proximité du canal de Hunter. Sous réserve d'une exploration incomplète du membre inférieur droit, occlusion focale de l'artère poplitée droite dont l'étendue n'est pas évaluable. Status post ostéosynthèse par longue plaque vissée sur la partie interne du tiers moyen - distal du tibia, avec mat Timmy Cancelli. IRM le 13.02.2019 (CHUV) : séquelles parenchymateuses multiples sus et sous-tentorielles. SCA droite perméable, autres artères mal visualisées. Angio-CT cérébral injecté le 14.02.2019 : tout comme sur le comparatif du 21.11.2018, aspect perméable de l'artère cérébelleuse supérieure gauche avec AVC constitué en regardant l'hémisphère cérébelleux gauche. Légère majoration de l'anévrisme thrombosé de la partie terminale du tronc basilaire donnant naissance à l'artère cérébrale postérieure gauche et l'artère cérébelleuse supérieure gauche. Aspect superposable de la dilatation fusiforme de la partie proximale du tronc basilaire. Multiples séquelles ischémiques et traumatiques bi-hémisphériques cérébrales. Status post-dérivation ventriculo-péritonéale avec ectasie ventriculaire stable. IRM neurocrâne 25.02.2019 : examen compatible avec des lésions axonales diffuses hémorragiques intéressant le gyrus frontal supérieur droit de façon prédominante. Présence également d'une petite hémorragie du septum pellucide. Par ailleurs, altérations de signal probablement sur contusion de l'hippocampe droit. En raison de l'absence de franche chute de signal sur les séquences SWI, ces altérations doivent être recontrôlées dans un délai de 3 à 4 mois afin d'exclure une pathologie du parenchyme cérébral. Pas d'anomalie visible sur le trajet des nerfs crâniens, notamment des nerfs oculomoteurs à droite. Toutefois, la présence de lésions axonales diffuses parle pour un traumatisme de haut grade et une contusion/étirement/distorsion de ces nerfs est vraisemblable dans un tel contexte. Pour le reste, présence d'une anomalie de développement veineux temporale gauche. IRM de la colonne cervicale 26.02.2019 : examen du rachis cervical dans la norme. IRM rachis et sacro-iliaque le 6.02.2019 : sclérose de la jonction costo-vertébrale gauche de D12, sclérose de la sacro-iliaque droite, signe d'ancienne enthésite au niveau D11-L1. CT coupe fine natif - sacro-iliaque et jonction thoraco-lombaire le 7.02.2019 : sclérose du versant iliaque de l'articulation sacro-iliaque droite, sans érosion visible, dont l'aspect est pathognomonique d'une osteitis condensans ilii. Pas d'ankylose des articulations sacro-iliaques. Les images intéressant la charnière dorsolombaire montrent quelques petites hernies intraspongieuses pouvant correspondre à des séquelles d'une maladie de Scheuermann. Calcification du disque D10-D11 déjà présente sur une radiographie de la colonne dorsale du 16.12.2014, probablement d'origine dégénérative. Apparition de quelques calcifications des insertions des muscles fessiers sur le grand trochanter droit. CT coupe fine natif - colonne cervicale le 11.02.2019 : respect de l'alignement antérieur et postérieur. Présence de troubles dégénératifs multi-étagés avec unco-discarthrose prédominante en C5-C6 avec protrusion ostéophytique intra-canalaire. Discrète arthrose de l'articulation atlanto-axiale. Absence de tassement/fracture des corps vertébraux. Discrète calcification discale de C3-C4 et C6-C7. Absence de calcification ligamentaire. Tissus mous sans particularité, sous réserve d'un examen effectué sans injection de produit contraste. CT pulmonaire le 18.02.2019 : par rapport au comparatif du 17.08.2018, disparition des multiples condensations et des épanchements pleuraux de faible abondance. Laboratoire le 09.02.2019 : NT Pro-BNP 31'378 ng/l. Gazométrie le 09.02.2019 : alcalose respiratoire pH 7.5, PaCO2 3.3 kPa, PaO2 10.7 kPa, HCO3 19 mmol/l, Sat 97 % sous 2 l/min d'O2. Hémocultures à froid le 09.02.2019 : négatives. RX du thorax le 09.02.2019 : apparition d'un volumineux épanchement pleural gauche sans qu'une surinfection du LIG ne puisse être exclue. On retrouve des réticulations du parenchyme pulmonaire des deux côtés, d'aspect inchangé. Disparition d'une lame d'épanchement pleural cloisonnée à droite mais persistance d'un comblement du récessus costo-diaphragmatique droit pouvant parler pour un petit épanchement. Sédiment urinaire les 11.02 et 13.02.2019 : purée d'érythrocytes. Urotube le 12.02.2019 : propre. Ponction pleurale le 12.02.2019 : retour de liquide citrin, 1.5 L. LDH sérique 682 U/l, LDH pleural 278 U/l, protéines sériques 76.5 g, LDH sérique 278. Critères de Light : 1 seul critère pour exsudat (LDH pleurales > 200). Cytologie : pas de cellule suspecte de malignité. Épanchement lymphocytaire compatible avec une réaction inflammatoire chronique non spécifique. RX post-ponction le 13.02.2019 : léger épanchement résiduel gauche, pas de pneumothorax visualisé. Contrôle du pacemaker le 12.02.2019 : tests de détection, stimulations et impédances dans les normes. Fonctionnement normal. Prochain rendez-vous prévu à 1 mois. Échocardiographie transthoracique le 12.02.2019 (Dr. X) : discrète dilatation du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 20 %. Hypertrophie concentrique. Augmentation du débit cardiaque calculé à 4,91 l/min avec un index cardiaque à 2,95 l/min/m² (145 % de la théorique). Aorte normale. Rétrécissement aortique non serré. Surface aortique à 1,06 cm² (0,64 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 13 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Fonction diastolique normale. Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Traiter insuffisance cardiaque et selon le désir du patient CRT P. RX du thorax le 13.02.2019 : comparatif du 09.02.2019. Régression quasi complète de l'épanchement pleural gauche en rapport avec le status post-ponction, sans mise en évidence de pneumothorax. Persistance d'opacités pulmonaires bi-basales prédominant du côté gauche. Le reste de l'examen est inchangé.US abdomen complet le 14.02.2019 : foie avec des contours réguliers, présentant une distension des veines sus-hépatiques en rapport avec une insuffisance cardiaque. Perméabilité des veines sus-hépatiques. Le pancréas est lipomateux. Reins de taille normale, sans dilatation pyélo-calicielle des deux côtés. Rate de taille normale, mesurant 113 mm de grand axe. Dans la vessie, mise en évidence d'une lésion endophytique hyperéchogène dans la paroi postérieure, sur la ligne médiane, mesurant 17 x 9 x 17 mm avec signal Doppler en son sein (correspondant à une vascularisation veineuse). Masse vésicale endophytique sur la paroi postérieure de la vessie, sur la ligne médiane, mesurant 17 x 9 x 17 mm, fortement suspecte, à corréler à une cystoscopie. Laboratoire : cf. annexes. Marqueurs d'hémolyse : LDH à 503 U/l, hyperbilirubinémie directe et totale, Haptoglobine dans la norme. Électrophorèse et Immunofixation, le 30.01.2019 : présence de bandes monoclonales à IgM kappa. Bilan vitaminique le 30.01.2019 : vit. B12 et B9 dans la norme. ETT le 31.01.2019 : aspect de cardiopathie hypertensive avec un ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Calcification importante de la valve aortique. Gradient moyen VG-Ao à 13 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Calcification importante de l’anneau postérieur de la valve mitrale. Pas de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche modérément dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. CT cervico-thoraco-abdominal le 01.02.2019 : absence de manifestation tumorale visible sur le présent examen. Avis hématologique (Dr. X) : investigations pour hémolyse (LDH, Haptoglobine, test de Coombs). Add CT cervico-thoraco-abdo (recherche d'adénopathies). Nouvel avis hématologique le 04.02.2019 (Dr. X) : anémie mixte (hémolytique, rénale). Probable lymphome lymphoplasmocytaire indolent. Discuter PBM, si souhait d'une prise en charge thérapeutique par immunothérapie (Rituximab). Laboratoire : cf annexes. Pléthysmographie : gros orteil D : 111 mm Hg, G : 78 mm Hg. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, de médecine interne. Colchicine 0.5 mg 2x/jour à réévaluer la durée selon la fonction rénale du 06.02.2019. Contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires à 48h en raison du fait que son médecin traitant est absent. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Traitement symptomatique avec Bexine sirop 3x/jour. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax du 09.02.2019 (Dr. X ; Dr. X) : silhouette cardio-médiastinale normale, sans signe de décompensation cardiaque. Pas de foyer infectieux ni de nodule suspect individualisé. Pas d'épanchement pleural. Sonde nasogastrique se terminant dans l'estomac. Cadre osseux sans particularité. CT-Scan cervico-thoracique natif et injecté du 13.02.2019 (Dr. X) : comparatif CT du 29.01.2019 du CHUV. Par rapport au comparatif CT du 29.01.2019, transformation nécrotique de la récidive tumorale au niveau du site de résection pharyngo-cervical droit et submandibulaire droit avec persistance de quelques zones tissulaires, notamment au niveau du muscle ptérygoïdien médial avec infiltration osseuse en regard, stable. Pour l'exploration de la dysarthrie, indication de compléter par une IRM cérébrale. IRM cérébrale et cervicale natif et injecté le 15.02.2019 (Dr. X) : IRM cérébrale dans les limites de la norme. A l'étage cervical, on retrouve les lésions tumorales en partie à centre nécrotique, avec discrète restriction de diffusion au sein de la lésion à centre nécrotique située en région sous-mandibulaire droite, posant le diagnostic différentiel entre une composante tumorale tissulaire mélangée à la nécrose et une éventuelle surinfection. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax (11.02.2019) : silhouette cardiomédiastinale inchangée. On retrouve des épaississements bronchiques et de discrets infiltrats péri-bronchiques, le tout d'aspect superposable. Pas d'épanchement pleural. Le reste du statut est inchangé. Laboratoire : cf annexes. Radiographie thoracique de contrôle (25.02.2019) : Ligne radiotransparente apicale gauche correspondant à un pneumothorax résiduel d'épaisseur mesurée à 8 mm. Minime émoussement du récessus diaphragmatique postérieur gauche. Histologie Promed : cf annexes. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie thoraco-abdominale du 26.01.2019 (Dr. X ; Dr. X). Comparatif du 26.01.2019 (CT-scanner abdominal). Thorax : statut post-mise en place d'une sonde nasogastrique dont l'extrémité fait une boucle en surprojection de l'estomac. Silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Pas d'épanchement pleural. Le parenchyme pulmonaire se présente normalement. Cadre osseux dans les limites de la norme. Abdomen : persistance d'une dilatation des anses grêles en rapport avec l'iléus connu. Aspect radio-opaque de la vessie en rapport avec le s/p injection de produit de contraste. CT abdominal natif et injecté du 26.01.2019 (Dr. X ; Dr. X). Comparatif CT du 05.12.2018. Iléus avec saut de calibre dans le flanc gauche compatible avec un iléus mécanique sur bride ou adhérence. Liquide libre dans le pelvis et dans le flanc gauche (iléus mécanique infirmé par la suite). Pose de Picc Line du 01.02.2019 (Dr. X ; Dr. X). Mise en place d'une PICC-Line Pro-PICC® CT 4F 45 cm dans la veine brachiale gauche. NB : le clamp ne doit pas être fermé en présence de la valve anti-reflux. Echocardiographie du 02.02.2019 (Dr. X ; Dr. X). Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 %. Aorte non dilatée. Valve aortique d'ouverture normale. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale d'ouverture normale. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Absence de masse flottante/mobiles perçues sur les valves cardiaques suspectes pour des végétations/abcès sous réserve d'un examen transthoracique de qualité médiocre. Absence d'insuffisance valvulaire significative. Radiographie du thorax du 05.02.2019 (Dr. X) : comparatif du 27.09.2018 : statut post-mise en place d'une voie veineuse jugulaire droite se terminant en projection de la veine cave supérieure. Statut post-mise en place d'un Pigtail gauche se terminant en projection de la veine cave supérieure. Pas de pneumothorax. Les plages pulmonaires et la silhouette cardio-médiastinale se présentent normalement. Statut post-mise en place d'une sonde naso-gastrique se projetant au niveau de l'estomac. Les structures osseuses se présentent normalement. Laboratoire : cf. annexes. Retour à domicile avec traitement symptomatique et suivi chez le médecin traitant. Laboratoire : cf. annexes. RX du thorax le 09.02.2019 : comparatif du 16 janvier 2019. Silhouette cardiomédiastinale inchangée. Pas de changement d'une masse en projection de la plage pulmonaire inférieure droite. Pas de foyer pulmonaire constitué, pas d'épanchement pleural.Reste du statut superposable. Microbiologie : Antigènes urinaires (Legionelle et Pneumocoque) : négatifs. Frottis grippe le 10.02.2019 : négatif. Expectorations le 10.02.2019 : Morganella morganii, Raoultella ornithinolytica, Proteus mirabilis. Laboratoire : cf. annexes. Rx du thorax le 09.02.2019 : majoration d'une opacité alvéolaire intéressant le lobe moyen et dont l'aspect est compatible avec un foyer infectieux. Diminution de quelques infiltrats intéressant la plage pulmonaire gauche. Comblement des récessus costo-diaphragmatiques des deux côtés pouvant parler pour de fines lames d'épanchement pleural. On retrouve d'innombrables fractures costales à gauche. Le reste du statut est inchangé. Laboratoire : cf. annexes. RX du thorax le 15.02.2019 : comparatif du 01.01.2018. Thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas d'image pathologique au sein des champs pulmonaires, ni d'épanchement pleural. Pas de changement de la scoliose dorso-lombaire sinistro-convexe connue. US abdomen complet le 15.02.2019 : reins de position et de morphologie normales avec bonne différenciation cortico-médullaire et sans dilatation pyélocalicielle (Rein D 125 mm Rein G 116 mm). Absence d'infiltration liquidienne péri-rénale. Vessie aux parois fines, à contenu liquidien anéchogène. Pas d'obstacle décelable dans les méats urétéraux. Absence d'épanchement péritonéal. Aorte abdominale de calibre régulier mesurant 16 mm. RX d'avant-pied gauche avec clichés en charge le 15.02.2019 : pas de fracture visualisée (en cours). Laboratoire : cf. annexes. Rx du thorax le 15.02.2019 : statut post-sternotomie et mise en place de prothèses valvulaires (ou annuloplasties) aortique et mitrale. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme, avec sclérose du bouton aortique et déroulement de l'aorte descendante. Hiles proéminents, épaississements bronchiques bilatéraux et réticulations multiples, avec épanchement pleural bilatéral de faible importance, le tout compatible avec une surcharge. Pas de foyer constitué. Altérations dégénératives du cadre osseux sans lésion suspecte. Coronarographie le 18.02.2019 (Dr. X) : l’examen invasif par l’artère radiale gauche en urgence démontre des artères coronaires peu athéromateuses sans lésion significative. L’aortographie est normale, le ciné valve est normal, on note une insuffisance minimale para-valvulaire. ETT le 19.02.2019 (Dr. X) : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 30 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Présence d'une prothèse mécanique (type inconnue) en position aortique non sténosante, sans dysfonction. Le gradient moyen VG-aorte est de 9 mmHg. Plastie mitrale discrètement sténosante et fuyante. Rétrécissement mitral lâche. Gradient moyen OG-VG à 4 mmHg. Insuffisance mitrale minime. Oreillette gauche modérément dilatée. Ventricule droit non dilaté. Fonction systolique du ventricule droit modérément diminuée. Discrète dilatation de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexes. Rx du thorax le 21.02.2019. Laboratoire : cf. annexes. RX du thorax le 24.02.2019 : comparatif du 22.07.2013. Cardiomégalie avec index cardio-thoracique à 0.54, sans signe de décompensation. Pacemaker bicaméral de position inchangée. Opacité alvéolaire diffuse du lobe inférieur droit correspondant à un foyer pulmonaire et émoussement du sinus costo-diaphragmatique homolatéral devant être en rapport avec un petit épanchement associé. Cadre osseux inchangé. Avis infectiologique le 24.02.2019 (Dr. X) : pneumonie basale droite communautaire, continuer antibiothérapie avec Rocéphine ou Co-Amoxicilline et Klacid jusqu'aux résultats des antigènes urinaires. Laboratoire : cf. annexes. Rx le 30.01.2019 : • lombaire : Discrète attitude scoliotique sinistro-convexe. Pas de fracture mise en évidence. Discopathie prédominant sur le versant gauche de L3-L4 et L4-L5 ainsi que de manière diffuse en L5-S1. • Bassin : Pas de fracture mise en évidence. Coxarthrose bilatérale modérée. Remaniements dégénératifs et chondrocalcinose de la symphyse pubienne. • Genou droit : Pas de fracture mise en évidence. Gonarthrose prédominant sur le compartiment externe. Deux opacités bien délimitées en surprojection de la métaphyse tibiale interne (DD : calcifications au sein d'un kyste de Baker ? énostoses ?). • Genou gauche : Pas de fracture mise en évidence. Gonarthrose prédominant sur le compartiment externe. Séquelle de fracture de la diaphyse fibulaire proximale consolidée. Rx main D les 1, 4, 5.02.2019 : Fracture diaphysaire spiroïde du 5ème métacarpe, bascule palmaire du fragment distal estimée à 13°. Laboratoire : cf. annexes. Rx lombaire, bassin et les deux genoux le 14.01.2019 : genou droit pas de fracture visible. Statut post-mise en place d'une prothèse totale du genou sans surfaçage de la rotule, sans signe de descellement. Absence d'épanchement articulaire. A noter un remaniement ostéo-condensant de la patella déjà visible sur les comparatifs. Calcifications vasculaires. A gauche absence de fracture. Gonarthrose tricompartimentale prédominante au niveau du compartiment médial et fémoro-patellaire. Absence d'épanchement intra-articulaire. CT abdominal le 14.01.2019 : Hématome des tissus mous sous-cutanés en para-vertébral gauche, au-dessus du muscle grand fessier homolatéral, mesurant 140 x 53 x 113 mm, avec saignement artériel actif au moment de l'examen, probablement originaire d'une artère lombaire à hauteur de L4. CT cérébral le 15.01.2019 : Absence d'hémorragie intracrânienne ou de fracture. Ectasie du système ventriculaire stable par rapport au comparatif, DD hydrocéphalie à pression normale ? CT abdominal le 16.01.2019 : pas de saignement actif, diminution de la taille de l'hématome par rapport au comparatif. Selon le radiologue, l'hématome n'est pas la source de déglobulisation. Laboratoire : cf. annexes. RX thoracique 30.01.2019 : Cathéter de dialyse sous-clavier droit en place, dont l'extrémité distale se situe dans l'oreillette droite. Silhouette cardio-médiastinale normale. Pas de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Absence d'épanchement pleural. Épaississement des parois bronchiques. Pas de foyer visible. RX thoracique 06.02.2019 : étalement de la silhouette cardio-médiastinale, en lien avec la position couchée du patient. Statut post-mise en place d'un cathéter de dialyse sous-clavier droit, de position inchangée, dont l'extrémité distale se situe dans l'oreillette droite. Le parenchyme pulmonaire se présente normalement, sans mise en évidence de foyer. Épaississement bronchique. Pas d'épanchement pleural. CT du 01.02.2019 : statut des voies urinaires globalement superposable au comparatif, hormis une discrète régression de l'infiltration de la graisse péri-rénale et péri-urétérale droite. Sonde double J à droite en position correcte. Fécalome au sein de l'ampoule rectale. Consilium infectiologique du 07.02.2019 (Dr. X) : états fébriles évocateurs de décharges bactériennes alors que les hémocultures pratiquées sont revenues à chaque fois négatives. S'il s'agit d'un processus infectieux qui ne répondrait ni au Méropénem, ni à la Céfépime, ni à la Vancomycine, on peut évoquer soit un Stenotrophomonas soit une infection à Candida. Toutes ces infections devraient être à point de départ du cathéter. En fonction d'une origine urinaire, ceci semble tout de même invraisemblable en l'absence de documentation microbiologique. Peu d'arguments pour un abcès rénal. Proposition de ne pas réintroduire d'antibiotique en l'absence d'état septique. Laboratoire : cf. annexes. Rx thorax du 21.01.2019 : silhouette cardiaque de morphologie normale. Sclérose de l'aorte thoracique. Pas de signe de décompensation cardiaque. Absence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Séquelle de fracture de l'arc latéral de la 9ème côte à gauche.Laboratoire : cf. annexes Rx thorax du 31.01.2019 : examen de qualité suboptimale, réalisé en position couchée avec une incidence oblique. Status post sternotomie avec cerclages intacts. Épanchement pleural droit, sans signe de pneumothorax, sous réserve d'un examen réalisé en position couchée. La plage pulmonaire gauche se présente normalement. Structures osseuses sans particularité. Rx thorax du 04.02.2019 : aspect relativement superposable de la quantité d'épanchement pleural droit. Absence de pneumothorax. Le reste de l'examen est superposable aux comparatifs. Laboratoire : cf. annexes Rx thorax le 31.01.2019 : silhouette cardio-médiastinale de morphologie normale. Pas de signe de décompensation cardiaque. La plage pulmonaire droite se présente normalement. On retrouve de manière superposable au comparatif les remaniements pleuro-parenchymateux en base pulmonaire gauche, faisant suspecter la persistance d'un épanchement pleural cloisonné. Séquelles de fractures costales en série antérieures gauches. CT thoraco-abdominal le 04.02.2019 : épanchement pleural G cloisonné, plèvre épaissie et calcifiée. Diminution de la taille de l'épanchement depuis le scanner d'octobre 2018. Pas de lésion suspecte de néoplasie pulmonaire. Abdominal : vessie diffusément irrégulière (type vessie de lutte) avec quelques diverticules intra-vesicaux. Prostate discrètement agrandie de 23 cm cube. Cytologie liquide pleural le 04.02.2019 : interprétation limitée par le caractère hémorragique. Répartition : lymphocytes 83 %, ONN 15 %, monocytes/macrophages 2 %, type transudat. Cytologie urinaire le 01.02.2019 : rares cellules urothéliales atypiques dans un contexte hémorragique (atypie cellulaire quantitativement et qualitativement insuffisantes pour permettre le diagnostic de néoplasie urothéliale de haut grade). Fonctions pulmonaires le 05.02.2019 : pas de trouble ventilatoire mais une légère diminution de la capacité de diffusion. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax (05.02.2019) : plage de consolidation triangulaire en projection de la partie inférieure du poumon droit silhouettant le bord droit du cœur mais pas le diaphragme, et provoquant rétraction médiastinale à droite, le tout parlant pour un foyer de pneumonie du lobe moyen avec possible atélectasie associée. Infiltrat alvéolaire touchant presque l'ensemble de la plage pulmonaire droite restante, parlant pour une pneumonie associée. Légers infiltrats de la plage pulmonaire gauche. Lame d'épanchement pleural à droite. Pas d'épanchement à gauche. Pas d'autre anomalie. Consultation angiologique (07.02.2019) : importante dermite ocre des membres inférieurs bilatérale sans trouble trophique ni asymétrie des circonférences. Peau sèche. Occlusion des deux aa. poplitées avec une bonne collatéralisation. Amplitude des courbes Doppler conservée au niveau des deux aa. pédieuses, avec pléthysmographie à 65 T ddc. Pas de modification significative par rapport au dernier contrôle de septembre 2017. Laboratoire : cf. annexes. RX thorax (12.02.2019) : silhouette cardio-médiastinale de taille et de morphologie normales. Status-post chirurgie pulmonaire à droite avec chaînes d'agrafes visibles à mi-hauteur de la plage pulmonaire et élévation de la coupole diaphragmatique du même côté. Pas de foyer. Pas de nodule suspect. Status post-mastectomie droite et mise en place d'un port-à-cath sous-clavier gauche. Cadre osseux et tissus mous sans particularités. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme avec des franges graisseuses à la pointe. Quelques troubles ventilatoires aux bases, mais pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisés. Laboratoire : cf. annexes Stix et sédiment urinaire. Laboratoire : cf. annexes. Stix et sédiment urinaire : nitrites, sang, leucocytes. Uricult : en cours. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Rocéphine 2 g iv 1x/jour à 20h00 du 06.02.2019 au 13.02.2019. Laboratoire de contrôle le 07.02.2019. Transfert en gériatrie à Meyriez en raison de manque de place à Riaz. Laboratoire : cf. annexes. Stix et sédiment urinaire 16.02.2019 : négatifs. RX du thorax le 16.02.2019 : pas de foyer infectieux. Laboratoire : cf. annexes. Stix urinaire : négatif. HCG urinaires : négatives. ECG : cf. annexes. RSR 91/min, PR 116 ms, QRS fins normoaxés, pas de troubles de repolarisation, QTc 405 ms. Laboratoire : cf. annexes. Thoracocentèse le 09.11.2018 : exsudat, cytologie négative, culture stérile. Rx thorax le 10.11.2018 : épanchement pleural suspendu lobe sup D, plus minime à G. CT abdominal le 11.11.2018 : épanchement pleural bilatéral, cloisonné à D avec épanchement suspendu au lobe sup D, zones d'atélectasie en regard, minime pneumothorax ant droit, multiples fractures costales D. Cardiomégalie, stéatose hépatique avec foie augmenté en taille. Pas de masse tumorale. Rx thorax (F/P) le 16.11.2018 : épanchements bilatéraux, sonde NG en place. CT abdominal le 19.11.2018 : ostéonécrose tête fémorale G, épanchement pleural G/D, pas d'abcès profond ni d’empyème aux bases. US pleurale le 21.11.2018 : épanchement pleural transsonore à gauche, présent à droite, mais peu abondant. Thoracocentèse sous US le 23.11.2018 : transsudat; culture négative, adénosine déaminase négative, pas de BAAR au frottis. US membre supérieur G : pas de thrombose de la v. jugulaire interne et au niveau des vv du bras. Rx thorax le 23.11.2018 : suivant la thoracocentèse; diminution légère des épanchements, pas de pneumothorax. ETT le 29.11.2018 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Fonction diastolique normale. Valve aortique sclérosée. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Insuffisance aortique physiologique. Insuffisance mitrale minime. Oreillette gauche discrètement dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Fonction systolique du VD normale. Insuffisance tricuspide minime. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. L’examen du jour montre une fonction contractile segmentaire et globale normale. Absence de valvulopathie significative. Pas de dysfonction cardiaque droite. Présence d'une sclérose aortique. PET-CT le 20.12.2018 : mise en évidence de plusieurs petites hypercaptations ganglionnaires axillaires gauches, évoquant premièrement une origine inflammatoire. Mise en évidence d'une légère captation au niveau des épanchements pleuraux, d'origine également inflammatoire. Absence de lésion hypermétabolique pathologique nette en faveur d'éventuelles lésions malignes. Mise en évidence d'une stase urinaire urétéro-pyélocalicielle droite. Laboratoire : cf. annexes. Troponines hi : H0 9, H2 16, H3 27, H4 337 ng/l. CT thoracique Triple Rule out le 14.02.2019 (Dr. X) : absence d'embolie pulmonaire. Absence de dissection aortique. Absence d'explication radiologique à la symptomatologie présentée par la patiente. Mise en évidence d'une lésion poly-lobulée avec présence d'un clip post-biopsie dans le sillon sous-mammaire gauche, connue. ETT le 14.02.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 4,01 l/min avec un index cardiaque à 2,11 l/min/m² (101 % de la théorique). Aorte discrètement dilatée au niveau du sinus et de l’aorte ascendante. Rétrécissement aortique non serré calcifié, d'origine dégénératif. Surface aortique à 1,26 cm² (0,66 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 7 mmHg. Absence d'insuffisance aortique. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Dysfonction diastolique minime (grade I). Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique.Coronarographie le 15.02.2019 (Dr. X) : l'examen invasif du jour démontre une sténose focale de la bifurcation MA/RCx comme corrélat à l'infarctus NSTEMI d'hier. La fonction VG systolique est conservée. Après discussion avec Mme. Y, angioplastie de la bifurcation avec deux stents actifs. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Clopidogrel 75 mg 1-0-0 pour 3 mois (une fenêtre thérapeutique peut être envisagée au besoin après >1 mois), reste du traitement selon SICO. Contrôle dans 1 mois à ma consultation. Ergométrie dans 1 année. ETT le 15.02.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Bourrelet septal sous-aortique. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 4,01 l/min avec un index cardiaque à 2,11 l/min/m² (101 % de la théorique). Aorte discrètement dilatée. Rétrécissement aortique non serré calcifié, d'origine dégénératif. Surface aortique à 1,26 cm² (0,66 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 7 mmHg. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Laboratoire : cf. annexes. Troponines H0 : 20 ng/l, H1 : 20 ng/l, CK 269 U/l, CK-MB 239 U/l. ECG le 18.02.2019 : bradycardie, bloc AV 2ème degré type Wenckebach. ECG le 18.02.2019 : bradycardie, bloc AV 2ème degré Mobitz II. ECG le 20.02.2019 : RSR, FC à 46/min, bloc AV 1er degré, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation. ECG le 21.02.2019 : rythme électro-entraîné, FC 60/min. RX du thorax le 18.02.2019 : examen réalisé en position couchée, en incidence antéro-postérieure. Silhouette cardiaque ininterprétable en raison de l'incidence antéro-postérieure. Déroulement de l'aorte descendante. Quelques opacités linéaires du côté gauche, notamment à hauteur du hile et dans le récessus costo-diaphragmatique, compatible avec des dystélectasies en bande. Pas d'argument pour une décompensation cardiaque, notamment, pas d'épanchement pleural visible. Surélévation de la coupole diaphragmatique gauche. Le cadre osseux est sans particularité. Echocardiographie trans-thoracique le 19.02.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Débit cardiaque dans les limites de la normale calculé à 5,26 l/min avec un index cardiaque à 2,41 l/min/m² (99 % de la théorique). Aorte normale. Rétrécissement aortique non serré. Surface aortique à 1,36 cm² (0,62 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 14 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Coronarographie le 19.02.2019 (Dr. X) : l'examen invasif du jour démontre un excellent résultat à long terme après stenting de la coronaire droite distale. Il n'existe pas de progression de maladie coronarienne. Pose de pacemaker le 21.02.2019 : Pacing anti-bradycardie à 60, mode stimulation : DDDR. Compatibilité IRM : Oui à 3 T corps entier. RX du thorax le 21.02.2019 : matériel en place, pas de signe de pneumothorax (rapport provisoire). Laboratoire : cf annexes. Ultrason abdominal le 07.02.2019 : cholécystite aiguë, épaississement paroi vésiculaire à 8 mm, multiples calculs dans la vésicule (10 à 15 mm, dilatation cholédoque à 11 mm avec concrétion à l'intérieur, dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. ERCP le 07.02.2019 : extraction de concréments et de sludge, pose d'un stent plastique 8,5 French, 7 cm. Cholangite en raison d'une cholédocolithiases, papillotomie. Laboratoire : cf annexes. Ultrason abdominal le 22.12.2018 : discret épaississement des parois vésiculaires pouvant correspondre à une cholécystite débutante. Pas de dilatation des voies biliaires. CT abdominal 23.12.2018 : cholécystite lithiasique. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason de l'abdomen supérieur natif : examen fortement limité en raison du morphotype du patient. Pancréas masqué par les superpositions aérodigestives. Foie visible partiellement par abord intercostal droit, d'échostructure conservée, hyperéchogène par rapport au cortex rénal. Pas de lésion focale visible. Pas de distension des voies biliaires intra-hépatiques. Vésicule biliaire contenant plusieurs images hyperéchogènes de 5 et 12 mm de diamètre, correspondant à des calculs. Discret épaississement des parois vésiculaires. Pas d'aspect feuilleté encore visible ou de liquide dans le lit vésiculaire. Canal cholédoque masqué par les superpositions aérodigestives malgré le positionnement du patient en décubitus latéral gauche. Veine porte perméable avec un flux hépatopète. Rate de taille normale homogène. Diamètre bipolaire de 12,5 cm. Les reins sont en place de taille normale, bien différenciés d'échostructure conservée sans dilatation pyélocalicielle. Pas de liquide libre à l'étage sus-mésocolique. CONCLUSION : examen limité par le morphotype du patient. Foie partiellement visible, discrètement stéatosique. Cholécystolithiase. Discret épaississement des parois vésiculaires évoquant une cholécystite débutante, sans distension des voies biliaires intra-hépatiques. Laboratoire : cf annexes. Uro-CT le 04.02.2019 : lithiase urinaire de 7x4x4 mm, densité de 521 HU (acide urique), situé à 12 mm en amont de la jonction urétéro-vésicale droite, dilatation urétérale de 9 mm à droite, dilatation du pyélon droit de 24 mm, dilatation des calices de 8 mm. Laboratoire : cf annexes. Uro-CT le 06.02.2019 (Dr. X, rapport téléphonique) : calcul 4x3x5 mm dans l'uretère lombaire gauche à la hauteur L3-L5, densité 350 HU (calcul acide urique), en amont dilatation uretère 7 mm, pyélon 12 mm, calice 12 mm, discret œdème rein G, discrète infiltration périrénale. Laboratoire : cf. annexes. US abdominal le 05.02.2019 : pas de dilatation notable des voies biliaires intra ou extra-hépatiques, partie la plus distale du cholédoque pas identifiable. Pas de calcul dans la vésicule biliaire et pas de signe d'inflammation. Œdème de la tête du pancréas, cependant le reste du pancréas n'est pas identifiable du fait de la mauvaise échogénéicité du patient. CT abdominal injecté le 06.02.2019 : pancréatite aiguë avec présence de multiples collections aiguës nécrotiques péri-pancréatiques, sans zone de nécrose intra-parenchymateuse. Absence de complication vasculaire visible. Stéatose hépatique diffuse avec hépatomégalie et splénomégalie nouvelle par rapport à un comparatif de 2013. Absence de lithiase radio opaque visible dans les voies biliaires qui ne sont pas dilatées. Doutes sur une éventuelle colite associée de l'angle colique droit.ECG Holter le 12.02.2019 : à pister. ETT le 12.02.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Dysfonction diastolique minime (grade I). Discrète augmentation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Absence d'épanchement péricardique. Au vu d'un CHADs-VASc à 1 point (diabètes) et la survenue de la FA paroxystique dans un contexte septique de pancréatite aiguë, avec actuellement rythme sinusal, il n'y a pas d'indication absolue d'introduction d'une AC orale. Répéter Holter 48h à 6 semaines et référer Mr. Y avec consultation cardiologique pour test d'effort (FRCV : dyslipidémie) et discussion des résultats Holter 1 semaine après. Laboratoire : cf annexe Toxicologie urinaire (amphétamine, cocaïne, cannabis) le 04.02.2019 : négatif Laboratoire : cf. annexe. US abdominal du 07.02.2019 : hormis une discrète hypertrophie prostatique, le reste de l'examen est dans la norme. Radiographie du thorax du 08.02.2019 : pas de franc foyer. Radiographie du thorax du 11.02.2019 : pas de franc foyer. Laboratoire : cf annexe US abdominales : Rein droit de position et de morphologie normales mesurant 96 x 57 x 55 mm. Bonne différenciation cortico-médullaire avec aspect aminci du cortex en lien à l'âge de Mr. Y. Pas de dilatation pyélocalicielle. Rein gauche de position et de morphologie normales mesurant 89 x 57 x 50 mm. Bonne différenciation cortico-médullaire avec aspect aminci du cortex en lien à l'âge de Mr. Y. Pas de dilatation pyélocalicielle. Vessie en faible réplétion, à contenu liquidien anéchogène. Radiographie de thorax 28.01.19 : Pacemaker pectoral gauche avec deux sondes sans signe de déconnexion. Stabilité en taille de la silhouette cardio-médiastinale avec déroulement athéromateux de l'aorte. Cardiomégalie avec dilatation du ventricule et de l'oreillette gauche. Émoussement costo-diaphragmatique des deux côtés, compatible avec un petit épanchement pleural bilatéral. Hiles pulmonaires de contours flous. Redistribution apicale des vaisseaux pulmonaires d'aspect flou, compatible avec une stase veineuse. Apparition d'une diminution de transparence para-hilaire adjacente à la grande scissure à droite, compatible avec un foyer alvéolaire du lobe inférieur droit. Cadre osseux et tissus mous sans particularité. Laboratoire : cf copie. ECG du 09.01.2019 : rythme sinusal à 77 bpm, axe dans la norme, intervalles PR, QRS, QTc dans la norme, ondes T négatives en V1. Holter-ECG du 15.01.2019 (durée 7 jours) : dans la norme. US abdomen du 15.01.2019 : le foie est de taille normale, de contours réguliers, d'échostructure homogène. La vésicule biliaire est à parois fines sans image de calcul. Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Tronc porte perméable. Pancréas, rate et reins sp. Pas d'ascite. Évaluation neuropsychologique des 21, 22 et 25.01.2019 : cf rapport. Laboratoire : cf copie en annexe Rx thorax le 29.01.2019 : comparatif du 24.04.2018. Pas de signe de décompensation cardiaque ou d'épanchement pleural, sous réserve d'un examen réalisé en position couchée. Sclérose de l'arc aortique. Absence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Séquelles de fracture de l'arc postérieur de la 7ème côte à droite. CT cérébral le 28.01.2019 : pas de fracture du crâne, ni de saignement intracrânien. US bilan hépatique le 29.01.2019 : sous réserve d'un morphotype limitant fortement l'examen, on retrouve une stéatose hépatique. Les vaisseaux hépatiques ne peuvent être analysés. Au besoin, une analyse plus approfondie du foie est possible, avec un complément par CT. CT abdominal natif le 31.01.2019 : absence du produit de contraste en raison de l'insuffisance rénale de Mme. Y. Foie de configuration cirrhotique connue avec une importante stéatose diffuse. Pas de dilatation des voies biliaires et pas de calcul radioopaque visualisé. Lame liquidienne dans le Douglas. Avis gastro-entérologue (Dr. X) le 28.01.2019 : pas de CT abdominal en urgence, faire US, début de Prednisone 40 mg en raison de la possible composante d'encéphalopathie alcoolique, pas d'autre bilan. Laboratoire : cf copie. Examen neuropsychologique du 01.02.2019 : met en évidence de légères difficultés cognitives avec des troubles gnosiques visuels, un déficit de mémoire antérograde plus marqué en modalité verbale que visuelle (encodage et récupération), un léger dysfonctionnement exécutif sur le plan comportemental (nombreuses répétitions, résurgence de réflexes archaïques) et cognitif (abstraction, mémoire de travail), des troubles attentionnels associés à un ralentissement idéomoteur et de légères difficultés de cognition sociale. L'orientation, le langage oral et écrit, le traitement des nombres, les praxies constructives et idéomotrices et la mémoire à court terme sont globalement préservés. Par ailleurs, absence de signes d'héminégligence ou de confabulation spontanée ou provoquée. Le tableau cognitif ne montre pas de signe d'atteinte neurologique focale et a vraisemblablement une étiologie multiple, à savoir toxique sur consommation OH chronique, thymique, médicamenteuse associée à une légère augmentation des troubles cognitifs des suites de la récente hémorragie tétra-ventriculaire. Les troubles cognitifs d'intensité légère ne devraient pas entraver les AVQ de manière significative. Au vu de la présence vraisemblablement antérieure des troubles cognitifs, aucune prise en charge neuropsychologique n'est indiquée à l'heure actuelle. ECG à l'entrée du 29.01.2019 : rythme sinusal à 76 bpm, axe au limite gauche à -20°, intervalle PR, QRS et QTc dans la norme, pas de trouble de la repolarisation ni de la conduction. IRM neurocrâne le 05.02.2019 (provisoire) : stigmates d'une trépanation frontale droite et stigmates d'un ancien drainage ventriculaire frontal droit actuellement retiré. Système ventriculaire de taille et de morphologie normales. Les voies optiques examinées se présentent dans les limites de la norme, sans lésion significative décelable en IRM. Une petite lésion de la substance blanche de localisation sous-corticale de la région pariéto-occipitale droite, aspécifique. DD : lésion vasculaire DD chronique ? DD : séquelle de lésion ischémique. Consilium ophtalmologique le 07.02.2019 : pas d'atteinte oculaire liée aux symptômes de Mme. Y. Symptômes visuels non spécifiques qui pourraient être éventuellement liés à l'AVC. À continuer avec des investigations supplémentaires neuro-ophtalmologiques. Champ visuel Goldmann (ou top) ainsi que test de Hess Weiss prévus pour le prochain contrôle la semaine prochaine. Laboratoire : cf copies annexées. Laboratoire : cf copies annexées. Laboratoire : cf copies annexées. Laboratoire : cf copies annexées. Laboratoire : cf copies annexées. Acide folique, fer, vitamine B12 : dans la norme. Troponines le 31.12.2019 : 15 ng/l. Hémocultures : négatives. Recherche de sang occulte dans les selles : positive. Sérologie de Lyme : négative. Facteur rhumatoïde : 14 U/ml. ANCA : négatifs. Electrophorèse protéines et immunofixation : aspécifique. ECG du 31.01.2018 : rythme sinusal régulier à 73/min, intervalle PR à 162 ms. QRS fins avec un axe normal. Progression de l'onde R en V4. ST isoélectrique. QTc à 427 ms.ECG du 02.01.2019 : rythme sinusal régulier à 74/min, intervalle à PR 156 ms. QRS fin avec un axe normal. Progression de l'onde R en V4. ST isoélectrique. QTc à 420 ms. RX thorax du 31.12.2018 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Aplatissement des coupoles diaphragmatiques, ainsi que quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. CT scan abdominal du 31.12.2018 : injection de 90 ml de Iomeron 400 en i.v. Une lithiase vésiculaire partiellement calcifiée de 11 mm, sans franc argument scannographique en faveur d'une inflammation de la vésicule. Pas de dilatation des voies biliaires. Anévrisme de l'aorte abdominale sous-rénale, partiellement thrombosé, mesurant 39 mm de diamètre maximal. Angio CT scan thoraco-abdominal du 15.01.2019 : lésions athéromateuses de l'aorte thoracique. Pas d'argument pour une vasculite de cette aorte. Calcifications coronariennes ainsi que de la valve aortique. US abdominal haut du 07.01.2019 : cholécystolithiase sans signe de cholécystite ou distension des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. Kyste cortical polaire supérieur du rein droit. Kyste biliaire du segment III. IRM neurocrâne, native et injecté du 04.01.2019 : IRM cérébrale dans les limites de la norme, sans masse, sans hémorragie, sans lésion intracérébrale pouvant expliquer les symptômes du patient. Pas d'épaississement des méninges. Pas de comblement des cavités sinusiennes de la face. Une lésion polypoïde de 12 mm de diamètre du sinus maxillaire droit pouvant correspondre à un kyste de rétention avec un contenu en partie protéique versus un polype (moins probable). Dilatation des veines supra-ophtalmiques ddc, plus marquée à gauche qu'à droite, nouvelle par rapport au scanner du 04.08.2017, aspécifique. On propose un contrôle ophtalmologique. Le DD de la dilatation des veines supra-ophtalmiques est relativement large. Parmi les causes potentielles, se trouve la fistule carotido-caverneuse, mais pas d'argument sur cet examen. Une thrombose des sinus caverneux est exclue au vu du bon rehaussement de ce sinus. Pas d'évidence d'orbitopathie thyroïdienne sur cet examen. Cette dilatation peut être rencontrée dans les cas d'hypertension intracrânienne. Chez ce patient, on ne met pas en évidence les autres signes classiques (dilatation de l'espace sous-arachnoïdien autour du nerf optique ou dépression de la selle turcique). IRM neurocrâne du 08.01.2019 : examen compatible avec une artérite temporale de Horton bilatérale. Bilan ophtalmologique - Dr. X - du 09.01.2019 : absence de neuropathie optique. Biopsie artère temporale - Promed P2019.400 - du 11.01.2019 : artérite floride, cf copie annexée. OGD - Dr. X - 10.01.2019 : OGD normale. Biopsie estomac - Promed P2019.362 - du 11.01.2019 : muqueuse gastrique normale. Pas d'Helicobacter pylori. Pas de granulome. Pas d'atrophie glandulaire. Pas de métaplasie intestinale ni de signe de dysplasie ou de malignité. Laboratoire : cf copies annexées. Calprotectine : 2783 Recherche de C. difficile : positive. PCR multiplex selles : négative. ECG du 06.02.2019 : rythme sinusal régulier à 67/min, PR à 178 msec. QRS à 90 msec, axe à -18, transition de l'onde R en V5 avec trou électrique en V3 et onde Q isolée. Absence de trouble de la repolarisation. RX thorax du 06.02.2019 : absence d'un bon inspirium. Hypoventilation basale gauche avec très probable frange graisseuse. Emoussement du cul-de-sac costo-diaphragmatique à gauche. Aorte déroulée et calcifiée. Laboratoire : cf copies annexées. Colonoscopie - Dr. X - du 24.01.2019 : résection de 4 polypes infra-centimétriques. DAP, biopsie colique - Promed P2019.1019 - du 25.01.2019 : • polype : adénome tubulo-villeux de la muqueuse du gros intestin avec dysplasie épithéliale/néoplasie intra-épithéliale de bas grade. • polype de l'ascendant : deux fragments d'adénome tubuleux de la muqueuse colique avec dysplasie épithéliale/néoplasie intra-épithéliale de bas grade. Quatre fragments de muqueuse colique ainsi qu'un fragment de sous-muqueuse, sans lésion histopathologique appréciable. • polype : polype hyperplasique dans un sur deux fragments de muqueuse du gros intestin. Laboratoire : cf copies annexées. Consilium angiologique - Dr. X - du 22.01.2019 : • STOP TABAC : prévoir consultation spécialisée, refusée par la patiente • traitement vasodilatateur par Adalat retard 30 mg à augmenter selon tolérance • anticoagulation thérapeutique à adapter à la fonction rénale : NACO en l'absence de contre-indication • antiagrégant plaquettaire • bon contrôle des autres facteurs de risque cardiovasculaire • protection gastrique maximale • antalgie au besoin pour éviter les vaso-spasmes • pansement avec pommade betadinée pour petite crevasse du majeur droit • bonne protection des extrémités contre le froid et contre les traumatismes • garder la patiente hospitalisée quelques jours pour optimiser le traitement et voir si elle le supporte bien • suivi angiologique en ambulatoire le 30.01.2019 à 11h30 - HFR Riaz Laboratoire : cf copies annexées. CT scan cérébral et des tissus mous du cou du 21.01.2019 : pas d'anomalie significative à l'étage cérébral. Minime infiltration athéromateuse des artères carotides au niveau des bulbes. Discrète leucoaraïose. Test de Schellong : négatif. Laboratoire : cf copies annexées. CT scan thoraco-abdominal du 09.01.2019 : nette progression en taille et en nombre de l'atteinte métastatique hépatique. Carcinose péritonéale connue prédominant à l'étage sus-mésocolique. Progression modérée de l'épaisseur de la carcinose et de l'atteinte du flanc droit. Perméabilité de l'anastomose gastro-jéjunale conservée. Pas d'argument pour une atteinte métastatique osseuse ou thoracique. OGD - Dr. X - du 15.01.2019 : status post-bypass gastrique avec un estomac résiduel d'environ 8 cm de long et avec des signes d'une gastrite érosive. Pas de sténose de l'anastomose gastro-jéjunale. Signe d'une oesophagite de reflux stade 1 (cf copie annexée). DAP, biopsie gastrique - Promed P2019.560 - du 16.01.2019 : traces d'inflammation inactive et discrète hyperplasie fovéolaire de la muqueuse gastrique de type corps/fundus. (cf copie annexée). Laboratoire : cf copies annexées. Culture de selles : absence de C. difficile. PCR multiplex selles : positive pour Salmonella. RX thorax du 29.01.2019 : pas d'image de foyer pneumonique décelable de façon bilatérale. Minime épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire prédominant au niveau des deux bases. Aorte déroulée et calcifiée. Pas d'épanchement pleural décelable. Minimes lésions dégénératives étagées de la colonne dorsale. US système urogénital du 29.01.2019 : les reins sont agrandis par de multiples kystes corticaux des deux côtés, dans le cadre de la polykystose rénale connue, mais pas de dilatation pyélocalicielle surajoutée mise en évidence. Le pelvis est difficilement analysable en raison d'une vessie pratiquement vide. Laboratoire : cf copies annexées. Culture d'expectorations : ++ Streptococcus pneumoniae, ++ flore bucco-pharyngée. Hémocultures : négatives à 5 jours. ECG du 14.01.2019 : rythme électro-entrainé, régulier, tachycarde. RX thorax du 14.02.2019 : par rapport au comparatif du 08.02.2019, on retrouve une importante désorganisation de la trame broncho-vasculaire, ainsi qu'un aplatissement des coupoles diaphragmatiques, correspondant à des signes de BPCO sévère, mais pas de foyer pulmonaire surajouté. Cœur de taille dans les limites de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Status post-sternotomie pour valvuloplastie aortique et mise en place d'un pacemaker bicaméral en position pectorale gauche.RX thorax du 17.02.2019 : opacité arciforme en projection de la plage pulmonaire droite évoquant plutôt un pli cutané ou une origine externe. Par rapport au comparatif du 14.02.2019, on retrouve une désorganisation de la trame bronchovasculaire correspondant à un signe de BPCO. La coupole diaphragmatique droite est mal délimitée avec un petit infiltrat en regard pouvant être dans le cadre de troubles ventilatoires, mais une surinfection n'est pas exclue. Pour mémoire, pacemaker bicaméral en position pectorale gauche ainsi que status après sternotomie pour valvuloplastie aortique. • Laboratoire : cf copies annexées. • D-Dimères : 4284 ng/ml. • Troponines : 7 ng/l le 22.01.2019. • NT-ProBNP : 6 ng/l le 22.01.2019. • ECG du 22.01.2019 : rythme sinusal régulier à 59/min, intervalle PR à 152 ms, isoélectrique, QRS à 100 ms, axe à 4°. Transition de l'onde R en V4. Pas de trouble de la repolarisation. QTc à 449 ms. • ECG du 24.01.2019 : rythme sinusal régulier à 59/min, intervalle PR à 152 ms, isoélectrique. QRS à 90 msec, axe à 5°. Transition de l'onde R en V3. Pas de trouble de la repolarisation. QTc à 414 ms. • Angio-CT scan thoracique du 21.01.2019 : nombreuses embolies pulmonaires para-centrales, segmentaires et sous-segmentaires à droite, sous-segmentaire à gauche avec élargissement du tronc pulmonaire, compatible avec un début de surcharge cardiaque droite. • Consilium angiologique - Dr. X - du 23.01.2019 : thrombose veineuse profonde proximale du membre inférieur gauche, compliquée d'embolies pulmonaires bilatérales survenue suite à 2 longs voyages successifs en voiture et le dernier de plus de 22 h en bus. Anticoagulation thérapeutique pour au moins 3 mois jusqu'à réévaluation en angiologie. Hospitalisation pour surveillance car patient dyspnéique lors de l'examen. Contention élastique par bandes du lever au coucher jusqu'à la cuisse gauche à relayer par bas de contention classe 2 jusqu'à la cuisse à prescrire au patient et à porter du lever au coucher jusqu'à consultation angiologique. • Laboratoire : cf copies annexées. • Dépistage hépatites A, B, C, D, VIH et virémie HBV : HBV détecté. • US abdominal du 25.01.2019 : US abdominal supérieur sans anomalie, notamment pas de dilatation des voies biliaires. • Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 02.02.2019 : fibrillation auriculaire avec réponse ventriculaire rapide, axe normal, pas de signe d'ischémie active. Pas d'onde Q pathologique, pas de signe d'hypertrophie ventriculaire gauche. • Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 04.02.2019 : rythme sinusal régulier à 75/min, axe hypergauche, onde P bifide en V1, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation. • Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 04.02.2019 : rythme sinusal régulier à 75/min, axe vertical, QRS fins, sus décalage ST de 1 mm en V2, V3, V4. • RX colonne lombaire du 04.02.2019 : pas de fracture visualisée. • Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 05.02.2019 : rythme sinusal normocarde, tachycarde à 96/min, axe gauche à -32°, QRS fins à 96 ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R retardée en V5. QTc à 489 ms. • CT scan thoracique du 05.02.2019 : pas d'embolie pulmonaire mais signes de décompensation cardiaque. Ganglions médiastinaux et quelques adénomégalies pouvant également être en lien avec la décompensation cardiaque. À noter un épaississement nodulaire sous-pleural apical à gauche ainsi qu'une plaque pleurale calcifiée à la base pulmonaire droite (exposition à l'amiante ?). • Echocardiographie transthoracique - Dr. X - du 07.02.2019 : cet examen confirme une cardiomyopathie dilatée avec dysfonction systolique sévère dont l'étiologie doit être recherchée (coronaropathie, infectieuse, post-myocardite toxique, cardiomyopathie rythmique ...) cf copie annexée. • Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 05.02.2019 : rythme sinusal régulier à 65/min, QRS fins, extrasystole supraventriculaire, pas de sus- ni de sous-décalage. • CT scan thoracique du 05.02.2019 : pas d'argument scanographique pour une embolie pulmonaire, ni d'infiltrat interstitiel mis en évidence. Pour mémoire, multiples métastases osseuses connues. • Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 05.02.2019 : rythme sinusal régulier à 71/min, PR 162 ms, QRS fin avec un axe normal à 7°, ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition précoce en V2, pas d'onde T négative, QTc 437 ms, pas de signe d'hypertrophie ventriculaire gauche. • CT scan abdominal injecté du 05.02.2019 : importante stase stercorale du caecum et du colon ascendant et en partie du colon transverse avec "fécalisation" de l'iléon terminal. Pas de niveau transitionnel ni de signe de souffrance intestinale. Prise de contraste des pyélons des deux côtés évoquant des pyélites, à corréler aux analyses urinaires. Sur les coupes passant par le thorax, épanchement pleural droit à corréler au status post-opératoire récent. Stabilité d'un nodule de 4 mm du lobe moyen. • Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 08.02.2019 : rythme en fibrillation auriculaire à 91/min, bloc de branche gauche connu, QTc 480 ms. Pas de signe d'hypertrophie ventriculaire gauche. • RX thorax du 08.02.2019 : comparatif du 03.01.2019 : cardiomégalie globale majeure. Accentuation péri-hilaire évoquant une surcharge chronique. Épanchement pleural droit. Épanchement pleural basal gauche non exclu. Squelette visible sans particularité. • Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 08.02.2019 : rythme sinusal normocarde à 72/min (oreillette) probablement électro-entrainé avec stimulation ventriculaire systématique, axe 91°, PQ 200 ms, QRS 162 ms, QTc 488 ms, repolarisation non interprétable. • RX thorax du 08.02.2019 : comparatif du 01.06.2017. On retrouve un status post-sternotomie avec cerclage intact pour valvuloplastie aortique. Pacemaker à deux électrodes, intact avec boîtier en position pectorale gauche. Cœur en "goutte" de volume dans la norme sans signe de décompensation. Sclérose aortique. Accentuation du volume thoracique, aplatissement des coupoles diaphragmiques, désorganisation/rares effractions de la trame pulmonaire dans un contexte de syndrome obstructif. Remaniement pleuro-parenchymateux apical droit en contexte d'emphysème pulmonaire avec atteinte bulleuse marquée de l'apex pulmonaire (CT-scanner du 27.02.2017). Actuellement pas de bronchogramme aérien en faveur d'un foyer systématisé visible. Pas d'épanchement pleural. Lésions dégénératives étagées du rachis dorsal. • Bladder scan : 16 ml d'urine. • Test de Schellong : négatif. • Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 13.02.2019 : rythme sinusal régulier à 86/min, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré. QRS à 120 ms normoaxé, segment ST isoélectrique, QTc 467 ms, bloc de branche droit connu. • Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 13.02.2019 - 18h50 : rythme irrégulièrement irrégulier en fibrillation auriculaire à 168/min. QRS fins normoaxés. QTc à 485 ms. Pas de trouble de la repolarisation. • ECG du 13.02.2019 - 21h20 : rythme irrégulièrement irrégulier. QRS fins normoaxés. QTc à 490 ms. Pas de trouble de la repolarisation. • ECG du 14.02.2019 - 08h50 : rythme sinusal régulier. • RX thorax du 13.02.2019 : status post cerclage-sternotomie. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. • Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 15.01.2019 : rythme sinusal régulier à 75/min, PR<200ms, QRS fins normoaxés. QTc = 449 ms. Transition de l'onde R en V4. • RX thorax du 15.01.2019 : aspect désorganisé de la trame bronchovasculaire et au niveau de l'hémichamp pulmonaire inférieur à droite avec composante d'épanchement pleural et troubles ventilatoires passifs. Ascension de la coupole diaphragmatique gauche de façon modérée. Aorte déroulée et calcifiée.Echocardiographie transthoracique • Dr. X • du 16.01.2019 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 15.01.2019 : rythme sinusal régulier à 88/min, PR à 154 ms, QRS fin avec un axe normal à 88°, ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition précoce en V2, QTc 410 ms, pas de signe d'hypertrophie ventriculaire gauche. RX thorax du 15.01.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Pas de signe de broncho-aspiration. Attitude scoliotique dorsale dextro-convexe. IRM neurocrâne du 16.01.2019 : examen dans les limites de la norme. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 16.01.2019 : rythme irrégulier, fibrillation auriculaire rapide à 129 bpm, axe normal à 32°, QRS fins à 80 ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R en V4, QTc à 483 ms. RX thorax du 16.01.2019 : comparatif du 11.10.2017. Silhouette cardiomédiastinale inchangée, dans la norme. Pas de flou péri-hilaire significatif (pas d'argument pour une insuffisance cardiaque décompensée). Pas de foyer de pneumonie. Remaniement inchangé de la base pulmonaire gauche avec surélévation de la coupole diaphragmatique gauche. Anamnestiquement, la patiente aurait eu un polytraumatisme dans le passé avec opération de la rate et lésion basithoracique gauche. Les altérations visibles pourraient rentrer dans ce cadre-là au vu de leur chronicité depuis la radio du 11.10.2017. Pas de véritable foyer visible en base gauche. Pas de foyer pulmonaire dans le poumon à droite. Si l'on veut aller plus loin dans les investigations, un scanner thoracique serait l'examen de choix. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 16.01.2019 : rythme irrégulièrement irrégulier avec conduction à 69/min. Pas d'onde P visible. QRS à 160 msec avec axe à -42°, bloc de branche droit. Transition de l'onde R en V4. Repolarisation non interprétable. QTc à 472 msec superposable au comparatif de juillet 2018. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 16.01.2019 : rythme irrégulièrement irrégulier avec conduction ventriculaire moyenne à 70/min. QRS à 80 msec, axe à 6°. Transition de l'onde R en V5. Absence de troubles de la repolarisation. QTc non interprétable. RX pied droit du 16.01.2019 : important remaniement de la tête du 1er métatarsien, encore compatible avec des géodes, non spécifiques mais compatibles avec une goutte. On visualise par ailleurs également une arthrose interphalangienne proximale et distale des autres rayons ainsi qu'une arthrose tarso-métatarsienne du 1er rayon. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 18.01.2019 : rythme sinusal régulier à 66 bpm, axe hypergauche, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré, bloc de branche gauche complet connu, ST isoélectrique, QTc 463 ms. CT scan abdominal du 18.01.2019 : absence de saignement actif au moment de l'examen. En raison d'un examen réalisé sans lavement rectal, il est impossible de pouvoir formellement exclure une masse colique ou rectale, pouvant expliquer les rectorragies. En revanche, la maladie diverticulaire pourrait être la source du saignement. Dilatation de la veine ovarienne gauche pouvant parler pour un éventuel syndrome de congestion pelvienne. OGD • Prof. X • du 22.01.2019 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 18.01.2019 : rythme sinusal régulier à 70/min, PR à 178 ms, QRS fin avec un axe normal, pas d'onde Q pathologique, segment ST isoélectrique, progression de l'onde R avec une transition en V2, ondes T négatives en V1-V2 et V3, QTc à 424 ms. RX thorax du 18.01.2019 : par rapport au CT scan thoracique du 16.04.2018, on retrouve de multiples infiltrats interstitiels diffus, prédominant du côté gauche, en relation avec la fibrose pulmonaire connue, dont il est difficile de juger de l'évolution en raison de la différence de technique. On retrouve également les multiples ganglions médiastinaux calcifiés avec un cœur de taille dans les limites de la norme et une surélévation de l'hémi-coupole diaphragmatique droite. Pas d'épanchement pleural, mais en raison de l'infiltrat et de la fibrose, il est difficile de juger d'une surcharge cardiaque surajoutée. On retrouve un tassement sévère de D9. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 19.01.2019 : bradycardie sinusale à 52/min, ondes T négatives en inférieur et précordiales DII, DIII, aVF et de V2 à V6. Test de Schellong : négatif. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 19.01.2019 : rythme sinusal régulier à 61/min, axe normal à 26°, PQ 166 ms, QRS fin à 86 ms, QTc 436 ms, pas d'onde Q pathologique, segment ST isoélectrique, ondes T négatives et concordantes en V1, présence d'une onde U, progression de l'onde R précoce avec une zone de transition en V1-V2. CT scan cérébro-cervical et des vaisseaux pré-cérébraux natif et injecté du 19.01.2019 : pas de saignement intra- ou extra-axial. Pas d'arguments pour un accident vasculaire cérébral ischémique aigu ou subaigu. Pas de lésion significative des vaisseaux pré-cérébraux ou des artères du polygone de Willis. Angio-IRM du neurocrâne du 23.01.2019 : Lésion ischémique aiguë d'environ 9 mm de diamètre de la corona radiata frontale gauche sans transformation hémorragique. Une petite sténose de la portion M1 de l'artère cérébrale moyenne droite sinon vaisseaux intracérébraux perméables. Enregistrement de Holter • Dr. X • du 22.01.2019 : examen dans les limites de la norme pour l'âge sans fibrillation auriculaire démontrée durant les 24h d'enregistrement (cf copie annexée). Echocardiographie transthoracique • Dr. X • du 22.01.2019 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 21.01.2019 : flutter auriculaire à transition variable 3:1 et 4:1 (DD fibrillo-flutter), normocarde à 90/min, inversion des électrodes avec un axe à 180°, QRS fins à 96 ms, segment ST isoélectrique, onde T négative non concordante en V3-V6, bonne progression de l'onde R avec une zone de transition en V3-V4. RX thorax du 20.01.2019 : absence d'un bon inspirium. Aorte déroulée et calcifiée. Hypoventilation bi-basale. Ultrason de l'abdomen complet natif du 22.01.2019 : ascite de grande abondance, occupant les récessus péri-hépatiques et péri-spléniques, en inter-anse, au niveau du cul-de-sac de Douglas et des gouttières pariéto-coliques D et G. Calcul vésiculaire simple. Pas de dilatation des voies biliaires intra- ou extra-hépatiques. Le tronc porte est perméable, à flux hépatopète, avec une vitesse diminuée : la maximale est mesurée à 15 cm/sec. Pancréas caché par un écran gazeux. La rate est d'aspect normal. Les deux reins sont sp. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 25.01.2019 : rythme sinusal à 66/min, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré avec un PR à 226 ms, QRS fins à 92 ms, QTc à 406 ms. Axe du QRS normal à -25°. Pas d'onde Q significative, sous-décalage du segment ST à la limite du significatif en V4 et V5. Onde T biphasique en aVL. Transition précoce en V2 sur les dérivations précordiales. ECG du 31.01.2019 : rythme sinusal régulier à 74/min, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré avec PR à 222 ms, QRS fins normal à -5°, transition de l'onde R en V2. Absence d'onde Q pathologique. RX thorax du 25.01.2019 : cœur de taille dans les limites de la norme avec un important déroulement de l'aorte thoracique. Pas de signe de décompensation cardiaque. Petits troubles ventilatoires à la base gauche mais pas de foyer ni d'épanchement pleural. Echocardiographie transthoracique • Dr. X • du 28.01.2019 : cf copie annexée. Coronarographie • Prof. X • du 29.01.2019 : maladie coronarienne monotronculaire avec sténose significative de l'IVA moyenne : PTCA/1xDES (bon), sténose significative de la 1ère diagonale : PTCA/1xDES (bon), fraction d'éjection 60%.Laboratoire : cf copies annexées. • ECG du 30.01.2019 : rythme sinusal à 75/min, PR à 120 ms, QRS fins à 100 ms avec un axe à 30°, QTc à 420 ms, ST avec surélévation de 1 mm isolé en V1, bonne progression de l'onde R avec transition en V4. • RX thorax F/P du 31.01.2019 : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de lésion nodulaire suspecte. Pas de zone de lyse osseuse. • US abdomen complet du 31.01.2019 : kyste biliaire simple du foie droit de 16 mm. Pas d'autre anomalie décelable dans les limites de l'ultrason. Laboratoire : cf copies annexées. • ECG : rythme sinusal régulier à 78 bpm, BAV du premier degré. QRS fins normoaxés, ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologiques, QTc 444 ms, pas de signe d'hypertrophie du ventricule gauche. Laboratoire : cf copies annexées. • Frottis grippe : négatif. • Hémocultures : à pister. • PCR multiplex selles : positive pour Shigella. • ECG du 20.01.2019 - post administration de Ciproxine : pas de QT long, inversion des ondes T aspécifique. • RX thorax du 19.02.2019 : en attente du rapport. • CT scan abdominal du 20.02.2019 : épaississement pariétal du colon ascendant, avec infiltration de la graisse au contact, compatible avec une colite au vu du contexte clinique. Pas de signe de complication décelé, sous réserve de l'absence d'injection de produit de contraste. Laboratoire : cf copies annexées. • Frottis grippe : négatif. • Hémocultures : négatives. • Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : positive pour pneumocoque. • Urotube : 10E6 germe, signe d'une contamination. • Culture d'expectorations : Streptococcus pneumoniae. • ECG du 07.02.2019 : rythme sinusal régulier à 100/min, axe gauche, sous décalage PR en V1, V2, V3, bloc de branche gauche complet, sus-décalage de ST en V1, V2, sous-décalage de ST en D1, D2, aVF, V5, V6, ondes T négatives en D1, D2, aVF, V5, V6. • RX thorax du 07.02.2019 : quelques épaississements bronchiques avec une augmentation de la trame bronchovasculaire, mais pas d'image typique de foyer pulmonaire. Cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Image en bande en projection de la partie proximale de la clavicule droite, évoquant une lésion pulmonaire séquellaire, qui était déjà présente sur un comparatif datant de 2013. • RX thorax du 13.02.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. Pas d'image de foyer visible de façon bilatérale. • CT scan thoracique du 08.02.2019 : anomalies parenchymateuses pouvant être dans le cadre d'une atteinte interstitielle pulmonaire rhumatismale. Probable signe de pneumonie organisée associée à des signes de pneumopathie interstitielle non spécifique. Laboratoire : cf copies annexées. • Frottis grippe : négatif. • Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. • Expectorations avec recherche de pneumocystis, mycoplasme et chlamydia par PCR : test rapide positif pour pneumocystis jirovecii le 29.01.2019. • ECG du 24.01.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde à 87/min, axe normal à -14°, QRS fins à 94 ms, onde T négative en III concordante, segment ST isoélectrique, transition de l'onde tardive en V6. • RX thorax du 24.01.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Lésion d'infiltrat pulmonaire bilatéral avec épaississement de la trame bronchovasculaire. Pas d'épanchement pleural décelable. • CT scan thoracique du 25.01.2019 : examen mettant en évidence un infiltrat en nid d'abeilles bilatéral postérieur, prédominant dans les parties moyennes, compatible avec une fibrose ainsi qu'un emphysème para-septal prédominant aux apex avec également un petit infiltrat en verre dépoli, prédominant également aux apex, mais pas d'argument scanographique pour une embolie pulmonaire. Laboratoire : cf copies annexées. • Frottis nasopharynx : négatif pour Influenza. • Urotube : négatif. • Hémocultures : négatives. • CT scan colonne lombaire du 29.01.2019 : présence de plusieurs foyers de néphrite du rein gauche, possiblement sans zone d'abcédation, sans nette collection. Pyélo-urétérite gauche, sans mise en évidence de lithiase ou d'autre obstacle le long de l'uretère. Pas d'argument radiologique pour un abcès péridural. • US système urogénital du 01.02.2019 : pas d'image d'abcès avec les lésions rénales gauches connues qui ne sont pas visualisées actuellement par cette technique. Laboratoire : cf copies annexées. • Hémocultures : • le 22.01.2019 : Staphylocoque Epidermidis 2/4 • le 23.01.2019 : négatives. • Frottis grippe-RSV du 25.01.2019 : négatif. • Urotube du 22.01.2019 : Klebsiella pneumoniae +++ 10E6, E.Coli --. • Troponines : 28 ng/l à H0, 31 ng/l à H2. • ECG du 21.01.2019 : rythme irrégulièrement irrégulier à conduction ventriculaire normocarde. Pas d'onde P visible. QRS à 80 msec, axe -88°, compatible avec un hémibloc antérieur gauche. Ondes T négatives de V1-V3 et inversées en aVL et aVR. QTc à 444 msec. • RX thorax du 21.09.2019 : cardiomégalie malgré la position couchée avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. Désorganisation de la trame bronchovasculaire avec des épaississements bronchiques ainsi que des troubles ventilatoires aux bases, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire. Calcifications de l'anneau mitral. Pacemaker unicaméral en position pectorale gauche. • RX colonne lombaire du 23.01.2019 : lésions dégénératives étagées avec pincements étagés des espaces discaux. Aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Ostéophytose étagée antérieure et postérieure. Arthrose interfacettaire étagée. • RX colonne dorsale du 23.01.2019 : hypercyphose dorsale. Ostéophytose marginale étagée antérieure. Pas d'image de tassement décelable dans les limites de l'incidence réalisée. Si forte suspicion de fracture, à compléter par un CT-scanner à distance. • Avis infectiologique - Dr. X - du 23.01.2019 : possible bactériémie sur contamination au vu de la prise de 2 prélèvements en même temps. DD : infection endovasculaire à Staphylocoque Epidermidis de départ cutané (pacemaker ou zona cutané). Répéter hémocultures et en l'absence de nouvelle bactériémie, discuter pour arrêter l'antibiothérapie pour contamination probable. • Echocardiographie transthoracique - Dr. X - du 24.01.2019 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. • Hémocultures : négative à 5 jours. Laboratoire : cf copies annexées. • Hémocultures : négatives. • Culture d'expectorations : flore bucco-pharyngée. • Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. • ECG du 14.01.2019 : rythme sinusal régulier à 80/min, PR 192 ms, QRS fin d'axe normal à 16°, segment ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition en V2-V3, QTc 447 ms, pas de signe d'hypertrophie ventriculaire gauche. • RX thorax du 18.01.2019 : cœur de taille encore dans les limites de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Status après sternotomie pour remplacement de la valve aortique. Quelques troubles ventilatoires à la base gauche, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Hypercyphose dorsale en relation avec un tassement cunéiforme sévère de D11 probablement sur ostéoporose. Laboratoire : cf copies annexées. • Hémocultures : négatives. • Frottis nasopharynx : positif pour Influenza A. • ECG du 28.01.2019 : rythme sinusal régulier à 88/min, PR 166 ms, QRS fins normoaxé, inversion des ondes T de V1 à V6 déjà présentes le 24.01.2019, pas de sus ni de sous-décalage du segment ST. • RX thorax du 28.01.2019 : absence d'un bon inspirium. Lésion d'infiltrat pulmonaire bilatérale avec opacité alvéolaire. Aorte déroulée et calcifiée.RX thorax du 31.01.2019 : par rapport au 28.01.2019, cardiomégalie stable. Majoration du flou péri-hilaire et de l'augmentation de la trame interstitielle sur les 2 plages pulmonaires, compatible avec une insuffisance cardiaque décompensée. Surélévation de la coupole diaphragmatique droite par rapport à la gauche inchangée. Probable épanchement pleural basal gauche. Laboratoire : cf copies annexées. • Hémocultures : négatives. • Hémofecatest : positif. ECG du 29.01.2019 : rythme sinusal irrégulier, tachycarde à 103 bpm, axe gauche à -4°, QRS large à 148 ms avec image de bloc de branche droit, sous décalage du segment ST en V2 et V3 non significatif, transition de l'onde R en V4, QTc à 479 ms. RX thorax du 29.01.2019 : examen réalisé en forte obliquité antérieure gauche. Compte tenu de la mauvaise incidence, pas d'évidence de foyer pulmonaire. On visualise toutefois des épaississements bronchiques avec une augmentation de la trame péri-hilaire droite. Cardiomégalie modérée avec un déroulement de l'aorte thoracique. Laboratoire : cf copies annexées. • Hémocultures : négatives. • PCR multiplex selles : négative. • Urotube : négatif. ECG du 14.01.2019 : rythme sinusal régulier à 82/min, PR 124 ms, QRS fins avec un axe à 15°, QTc 447 ms. Pas de signe d'ischémie aiguë. RX thorax du 14.01.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Discret épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Laboratoire : cf copies annexées. • Hémocultures : négatives. • Recherche de C. difficile : négative. • PCR multiplex selles : négative. ECG du 24.01.2019 : rythme sinusal régulier normocarde à 99 bpm, axe normal à 67°, PQ 172 ms, QRS fins à 94 ms, QTc 444 ms, pas d'onde Q pathologique, segment ST isoélectrique, onde T aplatie en aVF, V4-V6, bonne progression de l'onde R avec une zone de transition en V3-V4. RX thorax du 24.01.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Épaississement bi-basal de la trame bronchovasculaire. CT scan abdominal natif et injecté du 24.01.2019 : pas de foyer infectieux décelé, en particulier absence d'argument scanographique en faveur d'une colite ou d'une diverticulite. Hépatomégalie et stéatose hépatique diffuse. Vessie estimée à 770 ml (DD : globe vésical ?). Laboratoire : cf copies annexées. • Hémocultures : négatives. RX thorax du 18.01.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Absence d'un bon inspirium. RX thorax du 21.01.2019 : absence d'un bon inspirium. Aorte déroulée et calcifiée. Multiples troubles ventilatoires en bandes aux deux bases pulmonaires. On retrouve par ailleurs le cathéter de dialyse. Laboratoire : cf copies annexées. • Hémocultures : négatives. • Urotube : flore mixte. ECG du 24.01.2019 : rythme électroentraîné, QRS fin avec un axe hypergauche à 181°, aspect de bloc de branche gauche complet, QTc 502 ms. RX thorax du 24.01.2019 : pacemaker en place. Élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. CT scan abdominal du 25.01.2019 : pas de masse, de diverticulite ni d'autre cause pouvant expliquer les diarrhées sanglantes. Laboratoire : cf copies annexées. • Hémocultures : négatives. • Urotube : négatif. ECG du 15.01.2019 : rythme sinusal régulier à 133/min, QRS fins normo-axés, pas de signe pour une ischémie aiguë. RX thorax du 15.01.2019 : on trouve les foyers de condensation rétractiles déjà connus au niveau basal droit avec comblement du cul-de-sac d'allure séquellaire. Pas d'épanchement pleural à gauche. Pas d'anomalie significative du poumon gauche. Clips chirurgicaux déjà connus. US des voies urinaires du 15.01.2019 : US de l'appareil urinaire sans anomalie. Laboratoire : cf copies annexées. • Hémocultures : négatives. • Urotube : négatif. • Frottis narine : absence de germe. • Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. RX thorax du 29.01.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Status post-remplacement de la valve aortique. Quelques épaississements bronchiques avec une petite désorganisation de la trame broncho-vasculaire, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec réactions ostéophytaires prédominant dans la partie inférieure. CT scan rochers et sinus du 01.02.2019 : par rapport à l'examen du 10.07.2017, sinusopathie chronique du sinus maxillaire des deux côtés avec épaississement muqueux en cadre et épaississement des parois osseuses de ces sinus ainsi qu'occlusion complète du complexe ostio-métal des deux côtés. Comblement partiel des cellules ethmoïdales antérieures, comblement partiel d'allure aiguë du sinus sphénoïdal droit. Comblement presque complet des cellules mastoïdiennes des deux côtés, sans image de lyse ou de coalescence des cellules mastoïdiennes, sans érosion des parois des mastoïdes (pas d'extériorisation vers les tissus sous-cutanés, pas de lyse en direction de la boîte crânienne). Pas de thrombose des sinus veineux. IRM neurocrâne, natif et injecté du 11.02.2019 : pas d'argument sur cet examen pour une inflammation pariétale des artères temporales des deux côtés (pas d'argument pour une artérite). Pas d'argument non plus pour une vascularite intracérébrale. Les altérations de signal de la substance blanche sur les coupes FLAIR font évoquer en premier lieu une leucoencéphalopathie vasculaire. Sinusopathie maxillaire et dans une moindre mesure éthmoïdale avec également un comblement des cellules mastoïdiennes. Laboratoire : cf copies annexées. • Hémocultures : positives pour Streptocoque pneumoniae. • Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : présence de pneumocoque. ECG du 23.01.2019 : rythme sinusal régulier à 115/min, PR à 164 ms, QRS fins avec axe à -24°, pas de trouble de la repolarisation, QTc 408 ms. ECG du 28.01.2019 à 14h20 : fibrillation auriculaire à 144/min, QRS fins avec axe à -38°, ondes T négatives de V4 à V5, QTc 475 ms. ECG du 28.01.2019 à 19h00 : rythme sinusal régulier à 121/min, PR 122 ms, QRS fins avec axe à -34°, ondes T négatives de V4 à V6. QTc 446 ms. RX thorax du 23.01.2019 : absence d'un bon inspirium. Lésion d'infiltrat pulmonaire avec foyer de condensation des 2 bases pulmonaires. Aorte déroulée calcifiée. RX thorax du 24.01.2019 : foyer de condensation des deux bases pulmonaires avec épaississement de la trame broncho-vasculaire. Aorte déroulée et calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. RX thorax du 28.01.2019 : par rapport au comparatif du 24.01.2019, on retrouve les infiltrats alvéolaires aux deux bases pulmonaires, en amélioration du côté droit, mais avec une hémi-coupole diaphragmatique toujours effacée du côté gauche. Arthrose acromio-claviculaire bilatérale ainsi que calcifications à l'insertion du tendon du sus-épineux sur le trochiter du côté droit. Laboratoire : cf copies annexées. • Hémocultures : positives (2/4) pour Campylobacter fetus (résultats reçus après la sortie). ECG du 05.02.2019 : rythme sinusal à 90/min, PR 150 ms, QRS fins à 100 ms avec un axe à 0°, QTc à 435 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V4, ST isoélectriques sans signe d'ischémie active. CT scan thoracique du 05.02.2019 : examen compatible avec une embolie pulmonaire lobaire moyenne ainsi que segmentaires inférieures des deux côtés. CT scan cérébral natif et injecté du 07.02.2019 : examen mettant en évidence une sinusite touchant notamment le sinus sphénoïdal gauche. Laboratoire : cf copies annexées. • Hémocultures (port-à-cath et périphérie) : négatives. • Culture d'expectorations : flore bucco-pharyngée. RX thorax du 29.01.2019 : port-à-cath en place. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Aorte déroulée et calcifiée.Laboratoire : cf copies annexées. • IRM colonne lombaire du 15.01.2019 : hernie discale médiane et paramédiane bilatérale L4-L5, très probablement conflictuelle avec les racines L5, de façon bilatérale, à leur émergence. Laboratoire : cf copies annexées. • Paracétamolémie : 30,1 mg/l. • ECG du 18.01.2019 : rythme sinusal à 73/min, QRS 82 ms, QT 394 ms, QTc 438 ms. Laboratoire : cf copies annexées. • Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. • Culture d'expectorations : flore bucco-pharyngée. • Hémocultures : négatives. • ECG du 28.01.2019 : tachycardie sinusale à 113/min, PR à 132 ms, QRS fins avec un axe à 26°, QTc à 439 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. • RX thorax du 28.01.2019 : foyer de condensation des deux bases pulmonaires avec bronchogramme aérique et importantes lésions d'infiltrat pulmonaire. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural significatif associé stable. Laboratoire : cf copies annexées. • Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. • Hémocultures : négatives. • ECG du 08.02.2019 : rythme sinusal régulier, QRS fins, pas de sus- ni de sous-décalage du segment ST. • RX thorax du 08.02.2019 : opacité postéro-basale droite bien délimitée, pouvant correspondre à un foyer pulmonaire, mais une néoplasie sous-jacente n'est pas exclue, à contrôler ultérieurement au moins par des clichés standards du thorax. Troubles ventilatoires à la base gauche. Petite désorganisation de la trame broncho-vasculaire, mais pas d'épanchement pleural. Cœur de taille dans les limites de la norme. Tassement de D6 à D9 et de D11, d'allure ancienne. • CT scan thoracique du 12.02.2019 : infiltrat alvéolaire basal droit compatible avec un infiltrat infectieux. Quelques bronchiectasies basales gauches inchangées. • RX thorax du 12.02.2019 : évolution favorable d'un foyer pulmonaire basal droit qui présentait une forme ronde sur la radiographie initiale du 08.02.2019. Nous préconisons une radiographie de thorax de contrôle à distance de l'épisode aigu pour s'assurer de la disparition complète de cet infiltrat. Laboratoire : cf copies annexées. • Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. • Hémocultures : négatives. • Urotube : négatif. • ECG du 06.02.2019 : rythme sinusal régulier, tachycarde à 96 bpm, axe gauche à 52°, QRS fins à 84 ms, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré connu avec PR à 230 ms. Segment ST isoélectrique, transition de l'onde R en V3. QTc à 405 ms. • RX thorax du 06.02.2019 : comparatif du 09.05.2017. Étalement de la silhouette cardiomédiastinale avec important déroulement aortique. Élargissement médiastinal droit connu de longue date, présent déjà en 2013 lié à une asymétrie modérée de la cage thoracique. Surélévation de la coupole diaphragmatique gauche connue. Épaississement bronchique diffus bilatéraux avec accentuation péri-bronchique basale droite plus marquée évoquant un foyer parenchymateux. Pas d'épanchement pleural. Trouble de la statique. Lésions dégénératives dorso-lombaires. • RX bassin + hanche gauche du 06.02.2019 : status post-PTH gauche en place avec élément fémoral cimenté. Pas de descellement. Pas de fracture visualisée. Analyse limitée des articulations sacro-iliaques en raison des superpositions aérodigestives et de l'excès pondéral de la patiente. Lésions dégénératives des derniers espaces intersomatiques lombaires. Laboratoire : cf copies annexées. • Recherche de C. difficile dans les selles : négative. • PCR multiplex selles : négative. • CT scan abdominal du 22.01.2019 : le discret épaississement du rectum et du côlon sigmoïde avec un point maximum à la jonction colo-sigmoïdienne pourrait faire évoquer un début d'état inflammatoire de ces structures anatomiques. Pas de lésion focale visible. Pas de signe de perforation (pas d'air libre, pas de liquide libre, pas de fuite intra-péritonéale de produit de contraste administré par lavement). Laboratoire : cf copies annexées. • Recherche de sang occulte dans les selles : positive. • CT scan thoraco-abdominal du 07.01.2019 : par rapport au comparatif du 03.10.2018, on constate une péjoration avec une augmentation significative de la taille des métastases pulmonaires, hépatiques et de la tumeur primitive du cæcum, et avec également une augmentation de l'ascite et l'apparition d'une infiltration de la graisse sous-hépatique. Pour mémoire, cirrhose hépatique avec signes d'hypertension portale. • RX thorax du 09.01.2019 : par rapport au comparatif du 01.06.2018, on constate une importante progression en taille et en nombre des multiples métastases pulmonaires en lâcher de ballon, la plus volumineuse en projection de la partie moyenne de la plage pulmonaire gauche mesurant actuellement 4,5 cm de diamètre contre 2 cm précédemment. Pour le reste, l'examen est superposable avec notamment un port-à-cath sous-clavier gauche dont l'extrémité se situe dans la veine cave supérieure. • Test de la déglutition du 09.01.2019 : normal. Laboratoire : cf copies annexées. • Recherche de sang occulte dans les selles : positive. • ECG du 22.01.2019 : tachycardie sinusal à 117/min, pas de bloc ventriculaire, QRS fin d'axe normal, segment ST isoélectrique, pas d'onde T négative. • RX thorax du 22.01.2019 : pas de changement significatif par rapport au 05.05.2018. Radiographie effectuée en légère obliquité gauche. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Sclérose et élongation de l'aorte thoracique. Pas d'épanchement pleural. Tassement connu d'une vertèbre dorsale basse, inchangée. Ostéopénie. • RX épaule droite du 22.01.2019 : omarthrose. Pas de fracture évidente. Arthrose assez modérée. Ostéopénie. • RX hanches du 22.01.2019 : pas de coxarthrose significative. Pas de fracture mise en évidence. Bons rapports articulaires physiologiques. Chaînette chirurgicale en surprojection du petit bassin à gauche à corréler aux antécédents chirurgicaux de la patiente. Plusieurs clips également en surprojection de l'abdomen dans sa partie moyenne DD cure de hernie. Calcifications vasculaires. • CT scan cérébral du 22.01.2019 : hématome sous-galéal pariétal postérieur. Pas de fracture. Absence de saignement intracrânien. • Rotation vers la droite de C1 par rapport à C2, avec subluxation postérieure de la masse latérale de C1 de 7 mm par rapport à la facette articulaire supérieure de C2 (DD : chronique sur remaniements dégénératifs ? aigu sur traumatisme récent ?), à corréler à une IRM. • IRM colonne cervicale native du 23.01.2019 : pas d'argument pour une lésion ligamentaire aiguë C1, C2 ou dans le reste de la colonne cervicale. On retrouve une image de subluxation des massifs articulaires C1-C2 à droite, avec une réaction sclérotique (cf scanner du 22.01.2019) de C1 dans ce contexte. Absence d'altération de signal de l'os spongieux (pas d'œdème de l'os spongieux). Cette situation doit donc correspondre à une subluxation chronique. Rétrolisthésis de C5 sur C6 de grade 1 avec rétrécissement du canal spinal, non absolu, sans signe de myélopathie associée.Rétrécissements neuro-foraminaux bilatéraux multi-étagés de C3 à C6. CT scan du pelvis, natif, du 05.02.2019 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée, notamment au niveau du col fémoral droit. Coxarthrose bilatérale, prédominant du côté droit avec pincement fémoro-acétabulaire postéro-externe. Calcifications artérielles. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche de sang occulte dans les selles : positive. ECG du 25.01.2019 : rythme cardio-entraîné régulier, axe hypergauche à - 59°, QRS large à 130 ms, segment ST isoélectrique surélevé en V2, non significatif. Image de bloc de branche droit (pacemaker). QTc à 424 ms. RX thorax du 25.01.2019 : par rapport au comparatif du 22.10.2015, on retrouve le status post-pneumonectomie gauche avec déplacement du médiastin vers la gauche. Présence d'un niveau hydro-aérique en projection de la base gauche correspondant probablement à une hernie hiatale. Aspect inchangé de la silhouette cardiomédiastinale. Pacemaker bicaméral en position pectorale gauche. Au niveau de la plage pulmonaire droite, on ne visualise pas de foyer, ni d'épanchement pleural. US abdomen complet du 30.01.2019 : stéatose hépatique diffuse, mais pas de signe d'hypertension portale, notamment pas de diminution du flux porte, ni de splénomégalie. Laboratoire : cf copies annexées. Recherche de sang occulte dans les selles : 3x positive. Bilan anémie : cf copie annexée. ECG du 01.02.2019 : rythme sinusal régulier à 119/min, PR 132 ms, QRS fins avec axe à -15°, pas de trouble de repolarisation, QTc 462 ms, présence de 5 extrasystoles ventriculaires. RX thorax du 01.02.2019 : cardiomégalie malgré la position couchée avec un infiltrat interstitiel par endroit confluant, bilatéral, diffus, compatible en 1er lieu avec une insuffisance cardiaque. Arthrose acromio-claviculaire et omarthrose bilatérale. Laboratoire : cf copies annexées. RX thorax du 10.02.2019 : absence d'un bon inspirium. Pas d'épanchement pleural visible. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Laboratoire : cf copies annexées. RX thorax du 15.01.2019 : aorte déroulée calcifiée. Pas d'épanchement pleural à gauche. Composante d'épanchement pleural à droite de faible abondance avec troubles ventilatoires. CT scan thoracique non injecté du 17.01.2019 : épanchement pleural bilatéral, prédominant du côté droit, sans argument pour un hémothorax, malgré de multiples fractures de côtes du côté droit, mais la plupart anciennes. Par ailleurs, pas de foyer pulmonaire. IRM abdominale du 18.01.2019 : multiples lésions kystiques du processus unciné, de la tête, du corps et de la queue du pancréas pouvant correspondre au vu du contexte à des pseudo-kystes pancréatiques DD IPMN. L'hétérogénéité des kystes du corps et de la queue du pancréas pourrait être expliquée par l'épisode aigu de pancréatite actuelle. En effet, l'infiltration péri-pancréatique, majoritairement entre le corps du pancréas et l'estomac fait évoquer une atteinte de pancréatite aiguë. Toutefois, il y a un rehaussement présent et homogène de quasiment toute la glande. Une lésion linéaire mal délimitée, de 3 x 1.2 cm, hypo T2, hypo T1 sans rehaussement après injection iv de Gadolinium, située dans la graisse péritonéale en regard de la grande courbure de l'estomac, aspécifique. Une IRM de contrôle rapprochée (6 semaines) permettrait de s'assurer de la bonne évolution des remaniements cités ci-dessus. Ensuite, des IRM de contrôle régulières devraient être effectuées pour les lésions kystiques du pancréas. Épanchement pleural. Lésions dégénératives du rachis. Échographie abdominale du 01.02.2019 : vésicule biliaire avec aspect normal sans sludge ou calcul. Au niveau hépatique pas de signes de stéatose ou cirrhose avec une échogénéicité comparable à celle des reins. Pancréas visualisé avec aspect hyperéchogène (probablement kystes). Laboratoire : cf copies annexées. RX thorax du 18.02.2019 : minime épaississement du cul-de-sac costo-diaphragmatique à droite. Lésions d'infiltrat pulmonaire bilatérales. Pas de foyer de condensation décelable. Laboratoire : cf copies annexées. RX thorax du 24.02.2019 : pas de foyer visualisé. Laboratoire : cf copies annexées. RX thorax du 30.01.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. Laboratoire : cf copies annexées. Sérologie Lyme et syphilis : négative. Ponction lombaire du 13.02.2019 : eau de roche, éléments 1 mm³, érythrocytes 62 µl /mm³, glucose 3.8 mmol/l, sérothèque 489. Bandes IgG oligoclonales : absence. Pas de dissociation albumino-cytologique. CT scan cérébral et des tissus mous du cou injecté du 03.02.2019 : CT scan cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux dans les limites de la norme. IRM neurocrâne du 05.02.2019 : IRM dans les limites de la norme. Pas d'argument pour une maladie démyélinisante. Pas d'hémorragie. Pas de lésion ischémique aiguë. Examen ophtalmologique - Dr. X - du 08.02.2019 : • vision œil droit 120 %, œil gauche 90 % • couleur œil droit 15/17 rapide, œil gauche 13/17 lent • saturation du rouge œil droit 100 %, œil gauche 85 % • saturation lumière œil droit 100 %, œil gauche 90 % • diagnostic : neuropathie optique rétrobulbaire gauche. Laboratoire : cf copies annexées. Sérologies VHA, VHB et VHC : négatives. US abdominal du 08.02.2019 : échographie abdominale dans les limites de la norme, notamment pas de signe de cirrhose hépatique, ni de dilatation des voies biliaires. IRM de l'abdomen native du 10.02.2019 : IRM native sans argument pour un processus expansif décelable au niveau hépatique des voies biliaires ou du pancréas. Pas d'obstruction ou d'empierrement des voies biliaires. Un ganglion aspécifique, centimétrique, en avant de la veine cave, en arrière de la veine porte. Nous restons à disposition en fonction de l'évolution de la fonction rénale si un complément injecté devait s'avérer nécessaire. Laboratoire : cf copies annexées. Streptotest : négatif. Frottis buccal candida : négatif pour des levures. Sérologies HSV : IgG positifs, IgM négatifs. Dépistage BRCA : en attente du résultat à la sortie. RX thorax du 13.01.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. PAC sous-clavier droit avec extrémité dans la veine cave supérieure. US abdominal du 17.01.2019 : examen mettant en évidence une ascite qui pourrait être à l'origine d'un épaississement pariétal de la vésicule biliaire plutôt qu'une cholécystite aiguë. On visualise par ailleurs une cholélithiase. Laboratoire : cf copies annexées. Taux de Cefepime (CHUV) : demandé par le médecin néphrologue. Résultat pister par leur soin. ECG du 23.01.2019 : rythme sinusal à 87 bpm, PR 125 ms, QRS larges avec aspect de bloc de branche droit complet, QTc 439 ms, ST isoélectriques sans signe d'ischémie active. RX thorax du 23.01.2019 : absence d'un bon inspirium. Hypoventilation des deux bases pulmonaires. Épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Aorte déroulée et calcifiée. CT scan cérébral du 23.01.2019 : absence de saignement intracrânien. Pas de fracture. US doppler veines jambe gauche du 28.01.2019 : perméabilité du réseau veineux superficiel et profond du membre inférieur gauche. Les veines sont compressibles sous la sonde, sans image de thrombus. Mise en évidence, par ailleurs, d'une importante infiltration œdémateuse de la graisse sous-cutanée de la jambe gauche. Pas de signe de thrombophlébite du membre inférieur gauche. Aspect pouvant cadrer avec une hypodermite de la jambe.Echocardiographie transthoracique • Dr. X • du 29.01.2019 : cf copie annexée. Laboratoire : cf copies annexées. Troponines : 9 ng/l. D-Dimères : 477 ng/ml. Score de Genève : 5 points, risque intermédiaire. ECG du 28.01.2019 : rythme sinusal régulier à 105 bpm, espace PR de 210 ms, QRS fins normo-axés, pas de signe de sus-sous décalage du segment ST, pas d'inversion des ondes T. RX thorax du 28.01.2019 : pas de foyer visualisé, pas d'épanchement. Légère anomalie au niveau de la 2ème côte à droite, bien délimitée. US abdomen complet natif du 28.01.2019 : pas de signe de cirrhose. Foie de surcharge stéatosique. Le tronc porte est perméable, pas de signe d'ascite. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : ++ E. coli. Hémocultures : positives pour E. coli. RX thorax du 25.01.2019 : cardiomégalie modérée en tenant compte de la position assise. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : +++ E. coli multisensible. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : négatif. Culture d'expectorations : ++ Moraxella catarrhalis. ECG du 14.01.2019 : rythme sinusal régulier à 86/min, intervalle PR à 158 ms, régulier. QRS à 86 ms avec un axe à - 59°, compatible avec un hémibloc antérieur gauche. Aspect de bloc de branche droit. Transition de l'onde R en V4. Pas d'onde Q. Onde T inversée isolée en II, III et aVF. QTc à 400 ms. RX thorax du 14.01.2019 : par rapport à l'examen du 29.05.2018, on retrouve une désorganisation de la trame broncho-vasculaire et un aplatissement des coupoles diaphragmatiques, mais pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. Port-à-cath sous-clavier droit avec extrémité dans la veine cave supérieure. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : E. coli +++. Hémocultures : positives pour Klebsiella pneumoniae. RX thorax du 23.01.2019 : minime épaississement des parois bronchiques au niveau des deux bases pulmonaires. Pas d'épanchement pleural significatif décelable. Fines calcifications du bouton aortique. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale par ailleurs. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : négatif. ECG du 28.01.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde. Pas de trouble du rythme ni de signe d'ischémie. CT scan cérébral et thoracique du 29.01.2019 : accident vasculaire cérébral ischémique subaigu avec rupture de la barrière hémato-encéphalique en temporal droit dd encéphalite à corréler à une IRM. Embolie pulmonaire sous-segmentaire apicale supérieure et inférieure droite, sans répercussion sur les cavités cardiaques droites et sans infarctus pulmonaire. Lacunes ischémiques cérébelleuses droites et gauches. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : positif pour E. coli. Hémocultures : négatives à 5 jours. ECG du 22.01.2019 : rythme sinusal régulier à 60/min, axe normal, QRS fins, onde Q ample en D3, ondes T plates en aVL, pas d'autre trouble de la repolarisation. RX thorax du 22.01.2019 : comparatif du 28.08.2016. Diminution de la radio-transparence de l'apex pulmonaire droit par rapport au 28.08.2016, dans sa partie médiale dd surprojection de la 1ère côte et de la clavicule. DD lésion pulmonaire dans cette localisation. Dans le reste du parenchyme pulmonaire, pas de foyer, pas de masse mise en évidence. Silhouette cardiaque dans la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Si l'on veut aller plus loin dans les investigations, une nouvelle radiographie effectuée en position debout et en bon inspirium, serait le 1er examen à effectuer, avec également une radiographie de profil. Sinon un CT-scanner serait l'examen de choix. US ciblé à l'étage • Dr. X • du 25.01.2019 : pas d'hydronéphrose, présence d'un globe vésical. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : positif pour E. faecalis, sensible à la Vancomycine. Hémocultures : négatives. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. ECG du 18.01.2019 : bradycardie avec fibrillation auriculaire à 45/min, axe QRS à -45°, QRS 130 ms, rS en V1 et rS en V6, QTc 476 ms, segment ST isoélectrique, onde T physiologique. ECG du 25.01.2019 : bradycardie à 47/min, avec fibrillation auriculaire connue, QRS larges avec un axe dévié à gauche. Présence d'extrasystoles ventriculaires en bigéminisme. Aspect rS en V1 et qR en V6. RX thorax du 18.01.2019 : aspect élargi de façon globale de la silhouette cardiomédiastinale. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. Probable foyer de condensation basal gauche, difficile à analyser en rapport avec la superposition de l'arc inférieur gauche. Status post-annuloplastie. Intégrité du cerclage post sternotomie. RX bassin, hanche axiale droite et fémur droit du 26.01.2019 : par rapport au comparatif du 20.12.2018, on retrouve le status post-mise en place de 5 cerclages autour du fémur proximal, le cerclage supérieur étant pertrochantérien, pour la fracture péri-prothétique, sans déplacement secondaire. Progression du cal osseux. CT scan cérébral du 06.02.2019 : absence d'argument pour une hydrocéphalie. Présence d'un cavum vergae. Absence de lésion hémorragique intra-parenchymateuse ou des espaces méningés. Consilium psychiatrique • Dr. X • du 30.01.2019 : F33.1 - Trouble dépressif récurrent, épisode actuel moyen ; Z63 - Autres difficultés liées à l'entourage immédiat, y compris la situation familiale. Test de déglutition du 20.01.2019 : altération du réflexe. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : Staphylococcus epidermidis, Staphylococcus capitis. Test de déglutition : positif. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : 10E3 germe, signe d'une contamination. RX thorax du 17.01.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Absence d'un bon inspirium. Épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire prédominant au niveau bi-basal. CT scan cérébral du 17.01.2019 : pas d'argument en faveur d'un accident vasculaire cérébral ischémique constitué ou hémorragique. Pas d'occlusion du polygone de Willis ainsi que du tronc basilaire. Occlusion de l'artère vertébrale gauche dans sa partie V1 et V2, puis reprise d'une opacification dans sa partie V2 à hauteur de C4 avec aspect irrégulier dans sa partie V3. IRM neurocrâne du 18.01.2019 : pas d'argument pour une lésion ischémique aiguë. Quelques lésions dégénératives vasculaires FAZEKAS I. Pas d'hémorragie. Pas d'argument pour une dissection aiguë de l'artère vertébrale gauche dans sa partie proximale sous réserve d'une qualité d'image limitée. Laboratoire : cf copies annexées. Urotube : 10E5 (Staphylococcus epidermidis, Enterococcus faecalis, Escherichia coli). Hémocultures : positive pour Staphylococcus hominis. RX thorax du 15.01.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Port-à-cath en place. Pas d'épanchement pleural décelable. Minime épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. US abdominal du 16.02.2019 : écho de réverbération hépatique pouvant cadrer avec une aérobilie en rapport avec les séquelles opératoires. Pas de lésion focale hépatique suspecte en dehors d'un petit kyste biliaire. Pas d'autre anomalie décelable. Laboratoire : cf copies annexées. ECG du 11.01.2018 : fibrillation auriculaire à 60 battements par minute, QRS dans la norme avec un axe à -60°, QTc à 450 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. RX thorax de face du 11.01.2019 : comparatif du 04.03.2014 : radiographie effectuée en position couchée. Cardiomégalie. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Emoussement du sinus costodiaphragmatique droit. Sinus costodiaphragmatique gauche libre. Pas de foyer pneumonique visible.Bilan angiologique le 16.01.2019, Dr. X : conclusion : contention élastique par bandes du lever au coucher. Traitement de l'insuffisance cardiaque et traitement local adéquat des ulcères. Cf rapport annexé. Tests de la cognition du 25.01.2019 : MMSE à 27/28 (patiente en isolement de contact), test de la montre non réalisable ; GDS à 1/15. Laboratoire : cf copies annexées. ECG le 18.02.2019 : rythme sinusal régulier à 84 bpm, PR à 172 msec, QRS à 100 msec avec un axe à -7°, QTc à 421 msec, segment ST isoélectrique, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3. Laboratoire : cf copies annexées. Gazométrie artérielle : pH 7.4, PCO2 36 kPa, PO2 8.6 kPa, HCO3- 16. ECG : rythme PM à 138/min, ondes P, ventricule pacé. RX thorax : discret flou péri hilaire pouvant rentrer dans le cadre d'une insuffisance cardiaque légèrement décompensée. Minime émoussement du sinus costo-diaphragmatique droit. Pas d'épanchement pleural à gauche. Pas de foyer pneumonique visible. Test de Schellong sans bandes de contention : positif Test de Schellong sans bandes de contention : négatif. Laboratoire : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. RX thorax du 02.02.2019 : absence de comparatif. Silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Opacité en bande bilatérales prédominant aux bases devant correspondre à des dystélectasies. Pas de foyer constitué. Minime émoussement des angles costo-diaphragmatiques ddc. Pas de pneumothorax. Cadre osseux dans les limites de la norme. US de la main (HFR Fribourg) : dermo-hypodermite du site de résection du mélanome. Pas d'argument pour un abcès. US abdominal : discrète stéatose. Pas de lésion focale hépatique. Suspicion de petits polypes vésiculaires multiples. Hydronéphrose gauche (s/p multiples opérations et vraisemblablement connue selon le patient mais nous ne disposons pas d'examen comparatif). A corréler aux ATCD personnels du patient. Laboratoire : cf copies ci-jointes. ECG : rythme sinusal régulier normocarde à 60 bpm, QRS élargi à 144 ms avec image de bloc, segment ST iso-électrique, transition de l'onde R en V4. RX thorax du 16.01.2019 : par rapport au comparatif du 19.12.2018, on retrouve des infiltrats à la base droite ainsi que péri-hilaire gauche. On visualise également de multiples épaississements bronchiques avec une augmentation de la trame broncho-vasculaire pouvant entrer dans le cadre d'une décompensation cardiaque. Cœur de taille encore dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée. Laboratoire : cf copies ci-jointes. Ag urinaires pour légionelle et pneumocoques : négatifs. ECG : rythme sinusal régulier à 98 bpm, PR à 200 ms, QRS fins avec un axe à 84°, QTc à 436 ms, ST iso-électrique sans signe d'ischémie active. RX thorax du 08.02.2019 : comparatif du 08.07.2014 : élargissement du médiastin à droite lié à l'obliquité du cliché. Silhouette cardiaque de taille dans la norme sans signe de décompensation. Inspirium discrètement diminué. Pas de foyer parenchymateux systématisé visible. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. Tests de Schellong avec et sans contention du 12.02.2019 : positifs. Laboratoire : cf copies ci-jointes. CT abdominal du 17.02.2019 : effet de masse de l'uretère distal droit, avec protrusion dans la lumière de la vessie, réalisant une obstruction du système excréteur droit, DD : carcinome urothélial, carcinome vésical. Un caillot ne peut être formellement exclu mais est moins probable. Important épanchement pleural gauche et de moindre quantité à droite. Dilatation du cholédoque, sans lithiase ou masse visible. US des voies urinaires du 18.02.2019 : dilatation des cavités rénales droites avec un bassinet mesuré à 18 mm en antéro-postérieur. La vessie est à parois fines et contenu homogène. Laboratoire : cf copies ci-jointes. Culture d'expectoration du 18.01.2019 : contamination buccale. Hémocultures du 18.01.2019 : une paire négative après 5 jours. Ag urinaires pour pneumocoques et légionelle : négatifs. Culture d'expectoration du 19.01.2019 : Candida albicans. ECG : rythme irrégulier à 107 bpm. PR<200 ms. QRS fins, axe gauche à -60 degrés. QTc = 432 ms. Transition de l'onde R en V2. Hemibloc antérieur gauche. Extrasystoles supra-ventriculaires. RX thorax du 06.02.2019 : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Petite désorganisation de la trame broncho-vasculaire avec des épaississements bronchiques, dans le cadre de la BPCO, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural. Présence de trois corps calcifiés, infra-centimétriques, postéro-basal droit correspondant à des calcifications pleurales. Laboratoire : cf copies ci-jointes. ECG : RSR à 75/min, axe dans la norme, PR 200 ms, QRS fins, ST iso-électriques, QTc 402 ms. US bedside, Dr. X : pas de pneumothorax, pas de liquide libre intra-abdominal. CT thoraco-abdominal du 16.01.2019 : fractures costales étagées de la 3ème à la 9ème côte gauche latéralement. Pas de lésion traumatique des organes intra-abdominaux, ni pulmonaire. RX thorax du 21.01.2019 : épanchement pleural à droite minime. Désorganisation de la trame broncho-vasculaire. Aplatissement des coupoles diaphragmatiques. Consilium psychiatrique du 18.01.2019, Dr. X : Syndrome de dépendance à l'alcool, de longue date, à bas bruit, non traité, utilisation continue - F10.25 Troubles cognitifs non investigués, d'origine indéterminée - F09. Laboratoire : cf copies ci-jointes. Hémocultures du 05.02.2019 : Pseudomonas aeruginosa au niveau de la fistule, négatives au niveau périphérique. Hémocultures du 07.02.2019 (fistule et en périphérie) : négatives après 5 jours. Urotube du 07.02.2019 : négatif. CT thoraco-abdominal du 20.01.2019 : volumineux hématome sous-capsulaire du rein droit avec hématome associé à un hématome rétropéritonéal para-rénal droit. Un saignement actif ne peut pas être exclu (injection de produit de contraste renoncée). On retrouve une maladie rénale polykystique acquise dans le contexte de dialyse, avec certains kystes spontanément denses d'origine hémorragique/protéique. RX thorax du 20.01.2019 : par rapport au comparatif du 08.01.2019, on retrouve une importante désorganisation de la trame broncho-vasculaire ainsi qu'un lobe azygos, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. CT abdomino-pelvien du 23.01.2019 : examen réalisé sans injection de contraste en raison d'une insuffisance rénale. Comparatifs du 20.01.2019 : stabilité de l'hématome sous-capsulaire péri-rénal droit et de l'hématome rétro-péritonéal le long du fascia para-rénal postérieur. Pas de nouveau saignement à distance. Pas de dilatation des cavités pyélo-calicielles. Lithiase vésiculaire sans signe de complication. Diverticulose sigmoïdienne sans signe de diverticulite. Le reste de l'examen est superposable aux comparatifs. Sur les coupes passant par les bases thoraciques : épanchement pleural droit de petite abondance et foyer de condensation pulmonaire basale droite en augmentation en rapport avec un foyer infectieux. Emphysème pulmonaire aux 2 bases. CT thoracique du 25.01.2019 : dilatation du tronc pulmonaire, compatible avec une hypertension artérielle pulmonaire. Important emphysème pulmonaire pan-lobaire et épaississements bronchiques diffus, compatible avec une broncho-pneumopathie obstructive chronique. Légère majoration de la lame d'épanchement pleural à droite. Stabilité en taille des adénomégalies médiastinales et hilaires depuis 2016. On retrouve un hématome rétro-péritonéal le long du fascia para-rénal postérieur droit.Consilium pneumologique du 24.01.2019, Dr. X, HFR Fribourg - Hôpital cantonal : hypoxémie probablement chronique et mixte (BPCO post-tabagique jamais stadée avec emphysème/fibrose pulmonaire, pneumonie, déconditionnement, surcharge sur insuffisance cardiaque diastolique gauche et insuffisance rénale dialysée, probable HTAP) • DD : UIP (usual interstitial pneumonia). Bilan angiologique du 04.02.2019, Dr. X : stabilité du débit à 930 cc/min au niveau d’une fistule Brescia Cimino proximalisée à l’avant-bras droit réalisée le 17.12.2015, avec persistance de sténose à l’anastomose artério-veineuse et vitesses aux alentours de 5-6 m/sec ce jour. Stabilité des anévrismes post-anastomotiques, en légère diminution à 1,4 x 1,9 cm pour le premier anévrisme et 1,3 cm de diamètre pour le deuxième anévrisme. Status post-dilatation d’une veine post-anastomotique le 06.06.2016 au niveau de la fistule Brescia Cimino du côté droit. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. IRM colonne lombaire du 21.01.2019 : lésions dégénératives multi-étagées, plus marquées en L4-L5, où l'on note une nette perte de hauteur du disque intervertébral, et des rétrécissements neuro-foraminaux bilatéraux, surtout liés aux lésions dégénératives (arthrose intersomatique et arthrose facettaire) mais sans conflit disco-radiculaire. Laboratoire : cf. copies ci-jointes. Recherche de MRSA (aisselles, plis inguinaux, narines) du 08.01.2019 : S. aureus 1 colonie au niveau des plis inguinaux et positif au niveau des narines. Ag. urinaires pour Pneumocoques et Légionelle du 08.01.2019 : négatifs. Frottis de plaie de l'orteil droit : S. aureus (MRSA) négatif, Staphylocoque coag. nég. quelques. Urotube du 17.01.2019 : 10E4, Candida albicans. ECG : RSR 71/min, BAV du 1er degré (PR 200 ms), QRS fins, axe normal, pas de trouble de repolarisation, QTc 400 ms. RX thorax du 07.01.2019 : comparatif du 08.09.2017 : silhouette cardiaque à la limite supérieure de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Opacité alvéolaire basale droite compatible avec un foyer de bronchopneumonie débutant. Pas d'épanchement pleural. Une calcification longeant le bord gauche du cœur pouvant correspondre à une calcification péricardique. CT thoracique du 10.01.2019 : pas d'argument scannographique pour une embolie pulmonaire. Discrets infiltrats au niveau du lobe moyen et au niveau postéro-basal à gauche. Calcification péricardique. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d’entrée : RR à 82 bpm. Ondes P de 100 ms, espace PR de 166 ms, QRS fin avec axe horizontal. Sus-décalage du segment ST non significatif en V2-V3. Ondes T négatives en I et aVL. QTc de 414 ms. ECG de sortie : RR à 91 bpm. Ondes P de 104 ms, espace PR de 166 ms, QRS fin avec axe horizontal. Sus-décalage du segment ST non significatif en V2-V3. QTc de 449 ms. Test des 6 minutes à l’entrée : distance parcourue 570 m, FC repos 95 bpm, TA repos 132/85 mmHg, TA fin 154/95 mmHg, BORG 2/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 595 m, FC repos 97 bpm, TA repos 127/84 mmHg, TA fin 170/98 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d’entrée : RSR à 60 bpm, onde P de 114 ms, BAV 1er degré avec PR de 206 ms, QRS fins avec axe à -20°, progression de l'onde R avec inversion en V4-V5, segment ST isoélectrique, QTc 422 ms. ECG de sortie : RSR à 69 bpm, onde P de 102 ms, PR de 292 ms, QRS fins avec axe à -20°, progression de l'onde R avec inversion en V4-V5, segment ST isoélectrique, QTc 437 ms. Test des 6 minutes à l’entrée : distance parcourue 270 m, FC repos 71 bpm, TA repos 126/67 mmHg, TA fin 131/74 mmHg, BORG 3-4/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 290 m, FC repos 70 bpm, TA repos 117/76 mmHg, TA fin 145/105 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d’entrée : RSR à 61 bpm, ondes P de 102 ms, intervalle PR de 138 ms, QRS fin, segment ST avec aspect de composante anévrismale électrique. ETT du 01.02.2019 : FEVG 35%, persistance de l'akinésie apicale et antéro-latérale sans thrombus. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d’entrée : RSR à 62 bpm, ondes P de 118 ms, PR de 166 ms, QRS fin avec axe horizontal, segment ST isoélectrique, ondes T négatives en I, V5-V6, QTc de 439 ms. ECG de sortie : RSR à 67 bpm, ondes P de 122 ms, PR de 168 ms, QRS fin avec axe horizontal, segment ST isoélectrique, ondes T négatives en I, V5-V6, QTc de 409 ms. MAPA du 29.01.2019 : profil TA élevé pendant la journée avec une légère diminution en milieu de la nuit (effet Dipper présent). Au contrôle, amélioration sensible des valeurs tensionnelles. Echographie du 13.02.2019 : cardiomyopathie hypertrophique à prédominance septale dilatée (VG à 66 mm, septum 13.5 mm, PP 12 mm). Amélioration sensible de la FEVG 40-45% (Simpson). Hypokinésie inférieure, septale et latérale apicale et moyenne. Bon fonctionnement de la prothèse aortique. EP 6-11 mmHg. Minime régurgitation mitrale, pas d'HTAP. Epreuve d’effort du 13.02.2019 : EE arrêtée pour atteinte de la TA maximale cible pour une charge de travail plus élevée qu'à l'entrée. 80% de la réserve coronaire sont explorés. Elévation satisfaisante de la TA sous plurithérapie. À signaler des EVS à aspect BBD pour FC > 110/min soit en quadrigéminisme, soit en bigéminisme asymptomatique. Test des 6 minutes à l’entrée : distance parcourue 365 m, FC repos 80 bpm, FC fin 82 bpm, FC récupération 78 bpm, TA repos 157/115 mmHg, TA fin 171/114 mmHg, BORG 4/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 500 m, FC repos 66 bpm, FC fin 80 bpm, FC récup 76 bpm, TA repos 155/108 mmHg, TA fin 154/109 mmHg, BORG 2/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d’entrée : RSR à 63 bpm, onde P de 110 ms, intervalle PR de 176 ms, QRS fin avec un axe normal, progression de l'onde R avec inversion entre V1-V2, segment ST isoélectrique, ondes T négatives en V2-V3, QTc de 515 ms. Indice de Sokolov de 3.86 mV. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d’entrée : RSR à 92 bpm, onde P de 100 ms, intervalle PR de 156 ms, QRS fin avec axe horizontal, segment ST isoélectrique, ondes T négatives en I et aVL, QTc de 410 ms. ECG de sortie : RSR à 94 bpm, onde P de 112 ms, intervalle PR de 160 ms, QRS fin avec axe horizontal, segment ST isoélectrique, ondes T négatives en V1 et V2, QTc de 446 ms. ETT à l'entrée : FEVG 55% (septum paradoxal post-op); présence d'une lame péricardique non significative sur le plan hémodynamique. Epreuve d’effort du 07.02.2019 : status post chirurgie cardiaque. EE confirmant encore une limitation fonctionnelle et adaptation à l'effort non optimale. Pour une exploration de 84% de la réserve coronaire, l'épreuve est rassurante tant sur le plan ischémique, que clinique ou rythmique. Epreuve d’effort à la sortie du 18.02.2019 : FC max 87% de la FCTM arrêtée en raison de la limite de tolérance musculaire des membres inférieurs. DP 201 mmHg/min. Bonne performance globale. Cette épreuve est négative sur les plans ECG, rythmique et clinique. Paramètres de récupération dans les normes. Test des 6 minutes à l’entrée : distance parcourue 310 m, FC 108 bpm, TA repos 133/90 mmHg, TA fin 119/88 mmHg, BORG 5/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 530 m, FC 120 bpm, TA repos 116/82 mmHg, TA fin 131/88 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d'entrée le 30.01.2019 : RSR à 60 bpm, onde P de 108 ms, pas de bloc AV avec PR à 160 ms, QRS fin d'axe normal à 40° avec progression de l'onde R en V3, segment ST isoéléctrique, pas d'onde T négative. QTc de 386 ms. ECG de sortie le 18.02.2019 : RSR à 56 bpm, onde P de 160 ms, pas de bloc AV avec PR à 190 ms, QRS fin d'axe normal à 30° avec progression de l'onde R en V3, segment ST isoélectrique, pas d'onde T négative. QTc de 398 ms. Epreuve d'effort à la sortie : FC max 84% de la FCTM. DP 247 mmHg/min. Test d'effort arrêté en raison d'une atteinte de la limite de tolérance musculo-respiratoire physiologique. Cette épreuve sous-maximale est négative sur les plans ECG, rythmique et clinique. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 405 m, FC repos 63 bpm, FC fin 75 bpm, FC récup 71 bpm, TA repos 145/78 mmHg, TA fin 159/79 mmHg, BORG 2/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 480 m, FC repos 63 bpm, FC fin 78 bpm, FC récup 72 bpm, TA repos 113/78 mmHg, TA fin 140/77 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d'entrée (08.01.2019) : RSR à 87/min, PR 174 ms, QRS fins avec axe à 12°, pas de trouble de repolarisation, QTc 431 ms. ECG de sortie (31.01.2019) : RSR à 84/min, PR 192 ms, QRS fins avec axe à 9°, pas de trouble de repolarisation, QTc 424 ms. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 255 m, FC repos 86 bpm, FC fin 100 bpm, TA repos 138/76 mmHg, TA fin 156/89 mmHg. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 365 m, FC repos 89 bpm, FC fin 124 bpm, TA repos 198/99 mmHg, TA fin 198/88 mmHg, BORG 3/10. A noter une évolution spontanément favorable avec normalisation de la TA après 30 minutes de repos. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d'entrée (11.01.2019) : rythme à 80 bpm avec onde P propre et QRS électro-entrainés. ECG de sortie (30.01.2019) : rythme à 80 bpm avec onde P propre et QRS électro-entrainés. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 455 m, FC repos 74 bpm, FC fin 84 bpm, TA repos 146/65 mmHg, TA fin 164/65 mmHg, BORG 2-3. Test des 6 minutes à la sortie : patient absent. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d'entrée (15.01.2019) : RSR à 87/min, PR 172 ms, QRS fins avec axe à -26°, ondes T aplaties en D3, QTc 448 ms. ECG de sortie (31.01.2019) : RSR à 55/min, PR 188 ms, QRS fins avec axe à -24°, ondes T négatives en D3, QTc 440 ms. MAPA de 24h du 23.01.2019 : profil tensionnel normal en phase diurne. Tendance à l'HTA nocturne et en fin de nuit. Effet dipper conservé. Epreuve d'effort du 30.01.2019 : épreuve arrêtée pour atteinte de la limite de tolérance musculaire des membres inférieurs. La capacité fonctionnelle est encore limitée, l'exploration cardiologique reste aussi limitée et avec les réserves mentionnées ci-dessus, pas d'argument pour une ischémie résiduelle ou arythmie. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 270 m, FC repos 87 bpm, FC fin 110 bpm, TA repos 107/70 mmHg, TA fin 110/82 mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 370 m, FC repos 72 bpm, FC fin 96 bpm, TA repos 100/75 mmHg, TA fin 104/41 mmHg, BORG 2-3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG d'entrée (29.01.2019) : RSR à 70 bpm, PR 146 ms, QRS fins avec axe horizontal, ondes T pointues en V2 et biphasiques en D3. QTc 393 ms. ECG de sortie : RSR à 55 bpm, PR 160 ms, QRS fins avec axe horizontal, segment ST isoélectrique, ondes T pointues en V2. QTc 379 ms. Test de 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 302 m, FC repos 72 bpm, TA repos 144/101 mmHg, TA fin 147/96 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG du 11.02.2019 : rythme sinusal à 74 batt/min, normo-axé, QRS fin, pas de troubles de la repolarisation avec une transition de l'onde R en V3-V4. Laboratoire : cf copies en annexe. ECG du 21.02.2019 : rythme sinusal à 81 bpm, normo-axé, transition précoce de l'onde R (V2-V3), QRS fins à 80 ms. Laboratoire : cf copies en annexe. ETT du 31.12.2018 : fonction systolique modérément diminuée avec des troubles de la cinétique segmentaire, plus marqués en apical. Pas de valvulopathie significative. Minime épanchement péricardique avec compression diastolique minime de l'oreillette droite. Présence d'une masse échogène arrondie, fixe et apicale, suspecte pour un thrombus. ETT du 03.01.2019 de contrôle : FEVG à 33%. ECG d'entrée : RSR à 58 bpm, ondes P de 78 ms, espace PR de 138 ms, QRS fin de 82 ms avec un axe vertical. Ondes T négatives en V5-V6. QTc de 418 ms. ECG du 14.01.2019 : RSR à 70 bpm, ondes P de 78 ms, espace PR de 154 ms, QRS fin de 84 ms avec un axe vertical. Ondes T négatives en V5-V6. QTc de 448 ms. ECG de sortie : RSR à 63 bpm, ondes P de 88 ms, espace PR de 158 ms, QRS fin de 82 ms avec un axe vertical. Ondes T négatives en V4-V6. QTc de 458 ms. Ergospirométrie du 29.01.2019 : EE menée selon protocole RAMP 10/10, arrêtée pour fatigue des membres inférieurs. 70% de la capacité fonctionnelle prévue sont atteints. 76% de la réserve coronaire sont explorés : pas de modification ECG, ni arythmie ; clinique négative. Sur le plan spirométrique, VO2 pic à 14.1 (classe B de Weber). Pente VE/VCO2 à 22 et pouls en O2 à 87% des prédites. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 375 m, FC repos 68 bpm, FC fin 68 bpm, FC récup 67 bpm, TA repos 82/55 mmHg, TA fin 97/63 mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 435 m, FC repos 67 bpm, FC fin 100 bpm, FC récup 69 bpm, TA repos 98/64 mmHg, TA fin 93/68 mmHg, BORG 2/10. Laboratoire : cf copies en annexe. Radiographie du thorax à l'entrée : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. ECG d'entrée : RSR à 70 bpm, espace PR de 170 ms, QRS de 100 ms normo-axé à 79°. Segments ST iso-électriques. QTc 402 ms. Indice de Sokolow de 4.66 mV. ECG de sortie : RSR à 53 bpm, espace PR de 184 ms, QRS fin normo-axé. Segments ST iso-électriques. Progression de l'onde R avec inversion en V2-V3. QTc 402 ms. ETT du 23.01.2019 : FEVG à 59%. Epreuve d'effort du 28.01.2019 : EE maximale sur le plan de l'exploration coronarienne, négative sur les plans électrique, clinique et rythmique. Très bonne capacité fonctionnelle et paramètres de récupération dans les normes. Arrêt pour atteinte de la FC supra-maximale. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 545 m, FC repos 67 bpm, TA repos 113/75 mmHg, TA fin 127/76 mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 640 m, FC repos 63 bpm, TA repos 114/69 mmHg, TA fin 120/77 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe. RX thorax à l'entrée : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Petite désorganisation de la trame broncho-vasculaire, mais pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Pacemaker unicaméral en position pectorale G. ECG d'entrée : RSR à 87 bpm, onde P de 106 ms, espace PR de 202 ms. QRS fins avec un axe à 34°. Segment ST isoélectrique. QTc de 439 ms. ECG de sortie : RSR à 78 bpm, onde P de 104 ms, espace PR de 200 ms. QRS fins avec un axe à 36°. Sus-décalage du segment ST en V1-V2 non significatif. QTc de 437 ms. Epreuve d'effort du 23.01.2019 : épreuve d'effort arrêtée pour atteinte de la limite de la tolérance musculo-respiratoire et atteinte de la TA maximale (anévrisme aortique abdominal). Épreuve explorant 91% de la réserve coronaire, positive sur le plan électrique. Négatif sur le plan clinique. Ectopie supra-ventriculaire isolée fréquente pour des faibles charges, disparaissant à une FC >100/min. Pas d'ESV sauf une durant l'examen. EE démontre une ischémie électrique dans le territoire AL. A réévaluer par tests de recherche d'ischémie (écho effort, scinti-IRM effort) prochainement. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 490 m, FC repos 91 bpm, FC fin 105 bpm, FC récup bpm, TA repos 173/91 mmHg, TA fin mmHg, BORG 2/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 510 m, FC repos 70 bpm, FC fin 104 bpm, FC récup 93 bpm, TA repos 136/81 mmHg, TA fin 160/81 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf copies en annexe.RX thorax du 07.01.2019 : par rapport au comparatif du 22.11.2018, on retrouve une désorganisation de la trame broncho-vasculaire avec augmentation diffuse de cette dernière, mais la quasi-disparition des petites opacités. On retrouve une cardiomégalie modérée avec des calcifications et un déroulement de l'aorte thoracique. On constate un st/p mise en place d'une prothèse de la valve aortique, d'un pacemaker unicaméral en position pectorale G et le retrait du drain pleural à la base G. Pas de reconstitution d'un épanchement pleural actuellement. Déminéralisation osseuse diffuse et hypercyphose dorsale, associées à des petits tassements de D7, D8 et D12. RX thorax du 21.01.2019 : épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire avec lésion d'infiltrat pulmonaire. Composante d'épanchement bilatéral de faible abondance. Aorte déroulée et calcifiée. Pacemaker en place. ECG d'entrée : RR à 81 bpm. QRS électro-entraînés. ECG de sortie : RR à 81 bpm. Alternance QRS propres (BBDc) et QRS électro-entraînés. Épreuve d'effort du 07.01.2019 : +80% de la réserve coronaire sont explorés ; l'épreuve est négative sur les plans ischémique, électrique, rythmique et chimique. ETT du 22.01.2019 : VG non dilaté avec parois amincies. FEVG 34%. Bioprothèse TAVI aortique en place sans fuite ; DP : 3.8/7.7 mmHg. IM 1/4. Pas de thrombus. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 390 m, FC repos 92 bpm, FC fin 93 bpm, FC récup 93 bpm, TA repos 144/85 mmHg, TA fin 143/77 mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 285 m, FC repos 86 bpm, FC fin 104 bpm, FC récup 91 bpm, TA repos 143/77 mmHg, TA fin 138/81 mmHg, BORG 3/10. Laboratoire : cf. annexes. Avis chirurgical de Dr. X. Changement de sonde vésicale. Rendez-vous chez Dr. X, urologue, prévu le 21.02.2019. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Patient vu par Dr. X, chef de clinique. Pantozol 2x/jour pendant 7 jours puis 1x/jour pendant 3 semaines. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. Test de Schellong. Retour à domicile avec une ordonnance pour des bas de contention. Laboratoire : cf. annexes. Ecofenac + paracétamol IV. Laboratoire : cholestérol 5.6 mmol/l, HDL-cholestérol 1.08 mmol/l, LDL-cholestérol 4.0 mmol/l, TG 1.87 mmol/l Introduction d'une statine high-intensity Attitude : • LDL cible < 1.8 mmol/l Laboratoire : CK à 655 ECG CT-Scan : pas de saignement Suivi des CK Laboratoire : CK et lactate sans particularité. CT cérébral injecté (transmission Dr. X) : pas d'hémorragie, pas de masse. Hématome sous-cutané occipital. EEG : pas de foyer épileptique. Consilium neurologique (Prof. X) : pas d'argument pour une étiologie épileptogène, probable syncope convulsivante. Pas de nécessité d'introduction d'un traitement anti-épileptique. Retour à domicile. Réassurance. Suite par neurologue du CHUV. Laboratoire : CK et Lactates négatifs. Reçu en ambulance : • Midazolam 9 mg i.n. et i.v. Retour à domicile avec : Proposition de suivi psychologique chez sa thérapeute traitante, accepté par la patiente. Pas de modification de traitement. Critères de gravité communiqués à la patiente. Laboratoire : CK 12'381 U/l Pose d'une SV aux urgences Alcalinisation des urines (NaBic 8.4%, 100 mmol (100 ml) sur 30 min) pH urinaire à 5, augmentation à 5.5 Hydratation intraveineuse par NaCl 2000 ml/24h Laboratoire : CK 1660 U/l Hydratation intraveineuse Laboratoire : CK 248 U/l, INR 1.1 Gazométrie veineuse : lactate 3.6 mmol/l CT cervico-thoraco-abdomino-cuisses (Dr. X, rapport téléphonique) : sinusite maxillaire droite, pas de lésion traumatique au niveau cou, thorax : infiltrats infectieux lobaire moyen droit et lobaire inférieur gauche, abdomen : pas de liquide libre, pas de pneumopéritoine et pas de lésion des viscères, nodule au dôme hépatique ressemblant à un adénome (peut-être à faire suivre par IRM hépatique), cuisses : superficiel, pas de gros hématome en profondeur, lésion profonde face intérieure poignet gauche Consilium chirurgical (Dr. X) Consilium orthopédique (Dr. X) Avis tox-centrum le 17.02.2019 : au vu de la haute dose, risque de : • acidose métabolique • IRA • troubles de l'état de conscience avec convulsion (à traiter par BZD) • troubles gastro-intestinaux • élévation des transaminases Pic plasmatique 1-2h après ingestion si cpr standard, 5-6h si forme retard. Le pic plasmatique peut être atteint plus tardivement en raison de la haute dose ingérée. Propositions : • Surveillance de l'état de conscience • Poursuite de l'IPP • Surveillance de la fonction rénale jusqu'à 1 semaine. Att : • Exploration chirurgicale des plaies en laparoscopie • Exploration des structures de la main gauche touchées par orthopédiste en salle OP • hospitalisation et surveillance aux soins intensifs B Laboratoire : contrôle à 0.54 mmol/L après 1h. Laboratoire : copies en annexe. ECG à l'entrée du 31.01.2019 : fibrillation auriculaire connue à 98 bpm, axe gauche, BBD, T négatives en V1, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie du thorax du 19.02.2019 : surélévation de l'hémi-coupole diaphragmatique G avec condensation en regard, compatible avec une atélectasie. Quelques épaississements bronchiques avec une discrète augmentation de la trame broncho-vasculaire, pouvant traduire une insuffisance cardiaque débutante, mais pas d'image typique de foyer pulmonaire. Cœur de taille à la limite supérieure de la norme. Laboratoire : créatinine à 233 umol/L Att Hospitalisation au Daler pour suite de prise en charge Laboratoire : créatinine 118 umol/l, clearance selon formule MDRD à 21 ml/min Spot urinaire Suivi diurèse Laboratoire : créatinine 187 umol/l FeUrée 20.3% --> prérénal Hydratation intraveineuse avec NaCl 1500 ml/jour Laboratoire : créatinine 233 umol/l, CRP < 5 mg/l, leucocytes 7.2 G/l CT-scan du 06.02.2019 : grand calcul de 11x9x14 mm dans l'uretère lombaire gauche à la hauteur de L4, densité à 1500 HU (probablement un calcul calcique), dilatation en amont de l'uretère gauche 16 mm, pyélon gauche à 26 mm, calice 15 mm, œdème du parenchyme rénal, importante infiltration péri- et pararénale --> indication à la pose de double J. Calcul non-obstructif à 4 mm dans le groupe caliciel inférieur G, calcul non-obstructif dans groupe caliciel supérieur droit. Urines : érythrocytes 11-20/champ, pas de leucocytes, pas de nitrite Lésion lytique suspecte vertèbre L3 (soit lésion métastatique, soit herniation de Schmorl) Att hospitalisation au Daler pour suite de prise en charge. Bilan suivi à 3 mois Laboratoire : créatinine 78 umol/l, CRP 48, thrombopénie 129 G/l. SSU : propre. US de débrouillage : globe urinaire. Attitude : • Pose d'une sonde urinaire • Rendez-vous en urologie le 18.02.2019 à 15h30 chez Dr. X. • Tamsulosine 0.4 1x/jour. Laboratoire : CRP < 5 mg/l, leucocytes 16.9 G/L Gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire partielle sans rétention de CO2 Radiographie du thorax : pas de foyer objectivé Traitements : • Aérosols d'Atrovent + Ventolin • O2 au besoin • Physiothérapie respiratoire Attitude : • Suivi clinique et biologique Laboratoire : CRP < 5 mg/l, pas de leucocytose Urines : pas d'érythrocyturie, pas de leucocyturie, nitrite pos. ECG : rythme sinusal régulier à 81/min, axe QRS gauche, QTc à 486 ms, pas d'extrasystoles CT cérébral natif (Dr. X, rapport téléphonique) : pas d'hémorragie, atrophie cérébrale liée à l'âge Aux urgences : Haldol 10 mg, Dormicum 8 mg, Temesta 2.5 mg p.o. Haldol fixe et Temesta en réserve Hospitalisation en gériatrie à Tavel Bilan démence possiblement à réaliser si pas encore fait Placement à discuterPersonnes de contact (amis proches) : Mr. Y et Mr. Y : 031 747 77 29, 079 250 64 90 Laboratoire : CRP à 45, leucocytose à 12,9 sans déviation gauche 30.01.2019 : 2 paires d'hémocultures 30.01.2019 culture d'expectorations Délimitation de l'érythème et suivi clinique Augmentin 1,2 g iv 3x/j (adapté à la fonction rénale) Décès le 01.02.2019 Laboratoire : CRP à 80 mg/l, Lc 6 G/L ECG : rythme électro-entraîné normocarde sinusal Radiographie du thorax le 31.01.2019 : pas de foyer Frottis grippe : Grippe A positif Hémocultures 2 paires, le 31.01.2019 : négatives à 5 jours Antigène urinaire pour Legionnella et pneumocoque, le 01.02.2019 : négatif Oseltamavir 2x 30 mg PO (adapté à fonction rénale) du 31.01 au 04.02.2019 Ceftriaxone 1x 2 g IV du 31.01 au 04.02.2019 Co-Amoxicilline 2x 625 mg PO du 05.02 au 07.02.2019 inclus Attitude : • Contrôle chez le médecin traitant Laboratoire : CRP 10 mg/l, leucocytes normaux, bonne fonction rénale, pas d'anémie. Cf. annexes. Stix urinaire : pas de leucocyte, pas de nitrite, pas de sang. Cf. annexes. Laboratoire : CRP 12 mg/l, Leucocytes 12.6 mg/l (6.2.19) ECG du 06.02.2019 : rsr, déviation de droite, sus-décalage en V2, V3, V4, Onde T négative en II, V2-V6 (Troponine négative) Radio thoracique du 07.01.19 : Par rapport à la radiographie du 1er février 2019 en Égypte, stabilité d'un épanchement pleural droit abondant. Absence d'épanchement pleural gauche. Pas d'infiltrat pulmonaire notable. Silhouette cardio-médiastinale dans la norme PET-CT 18F-FDG du 08.02.19 : pas de foyer hypermétabolique suspect, notamment en regard des adénopathies péri-pancréatiques visibles sur CT du 11.12.18 Oxygenothérapie Physiothérapie respiratoire Inhalation à l'Atrovent Isolation de contact avec frottis MRSA, VRE et ESBL Frottis rectale : ESBL multirésistant (sensible uniquement à la gentamicine, sensibilité à la mycicine en cours) Poursuite de Levofloxacin du 06.02.19 au 08.02.19 Piperacilline-Tazobactam du 08. au 11.02.19 Ponction pleurale le 11.02.19 : drainage de 2 l de liquide pleural avec analyse chimique parlant pour un mélange transsudat/exsudat et analyse cyto-pathologique en cours • Protéinurie 27 g/l (Transsudat) • LDH 274 U/l (Exsudat) Laboratoire : CRP 121 mg/l, Lc 14 G/l, déviation gauche Radiographie thorax du 10.02.19 Co-amoxicilline 1 g 2x/jour du 11.02.19 au 17.02.19 Physiothérapie respiratoire Laboratoire : CRP 14, Lc 9.1 Test rapide EBV + malaria négatifs Laboratoire : CRP 14, Lc 9.1 Test rapide EBV + malaria négatifs Traitement symptomatique Laboratoire : CRP 140 mg/l, leucocytes 11.4 G/l, neutrophilie à 80.9%, troponine T hs 86 ng/l Rx thorax face 1 paire d'hémocultures à chaud Ambulance : 40 mg Lasix i.v. Aux urgences : VNI, 3.5 mg de Nitroglycérine i.v., Morphine 1 mg i.v., Trandate i.v. Transfert aux soins intensifs B sous VNI Frottis de grippe et gazométrie à faire Laboratoire : CRP 148 mg/l, leucocytes 8 G/l, ASAT 61 U/l, ALAT 48 U/l, gamma-GT 230 U/l, créatinine 107 umol/l Gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire partielle (pO2 8.6 kPa, pCO2 4.1 kPa, bicarbonate 20 mmol/l, pH 7.44) Radiographie thoracique : infiltrat diffus bilatéral, pas d'épanchement Avis infectiologique (Dr. X) : Pas de corticoïdes Aux urgences : Zovirax 650 mg i.v. Zovirax 3x 650 mg/jour i.v. pendant 5 jours Caladryl lotion à appliquer 4x/jour Isolement contact et aérosols Laboratoire : CRP 155 mg/l, leucocytes 15 G/l Radiographie du thorax le 11.02.2019 : absence de foyer pulmonaire Stix urinaire : Leucocytes incomptables, flore bactérienne ++ Urotube : E. Coli ESBL Hémocultures (2 paires) : négatives à 5 jours US voies urinaires le 12.02.2019 : pas de dilatation pyélo-calicienne, pas de calcul Avis urologique Traitements : • Méropénème 2x 1000 mg IV toutes les 12h du 11.02 au 13.02.2019 • Ciproxine 2x 500 mg PO du 14.02 au 25.02.2019 (durée totale 14 jours) Attitude : • Bilan étiologique à effectuer en ambulatoire chez le Dr. X Laboratoire : CRP 18 mg/l, leucocytose à 11 G/l Urines : leucocyturie, bactériurie, nitrites négatives Urotube : non contributif CT scanner abdominal natif le 17.02.2019 Laboratoire : CRP 18 mg/l, NT-ProBNP 248 ng/l Gazométrie : pH 7.43, pCO2 4.8 kPa, pO2 7.9 kPa, bicarbonates 23 mmol/l, lactates 1.1 mmol/l ECG : RSR, Tachycardie à 100, normoaxé, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation Radiographie thorax le 25.01.2019 : disparition de l'épanchement droit. Radiographie de thorax le 30.01.2019 : minime épanchement pleural basal droit Co-Amoxicilline du 21.01 au 28.01.2019 Torem du 29.01 au 08.02.2019 Laboratoire : CRP 181 mg/l, leucocytes 9.6 G/l, créatinine 122 umol/l Gazométrie artérielle : pH 7.45, pCO2 4.8 kPa, pO2 15 kPa, bicarbonates 24 mmol/l Frottis naso-pharyngé avec PCR Influenza : négatif Antigène urinaire Légionnelle : négatif Hémocultures : négatifs à 5 jours Radiographie du thorax : foyer basal gauche probable Traitements : • Klacid 2x 500 mg po du 04.02 au 05.02.2019 • Rocéphine 1x 2 g IV du 04.02 au 07.02.2019 • Co-Amoxicilline 2x 1 g PO du 07.02 au 11.02.2019 • Physiothérapie respiratoire Laboratoire : CRP 189 mg/l, Lc 9.2 G/l Radiographie thorax 13.02.19 ECG : rythme sinusal, normo-axé, pas de troubles de la repolarisation Co-Amoxicilline 1.2 g i.v. 3x/j Laboratoire : CRP 19 mg/l, leucocytes à 8.6 G/l ECG Sédiment urinaire Culture urinaire : en cours Aux urgences : Novalgine 1 g, Ondansetron 4 mg, hydratation intraveineuse Transfert à Tavel pour hospitalisation Isolement contact Laboratoire : CRP 19 mg/l, leucocytes 8.1 G/l ECG : rythme électro-entraîné à 66 bpm, avec extrasystoles ventriculaires intermittentes Frottis de plaie : en cours Aux urgences : dose de charge de Co-Amoxi Attitude : • Co-Amoxi 3x 1.1 g/jour du 27.02.2019 - _______ • Ablation du pacemaker discutée avec le Dr. X, prévue le 28.02.2019 (anesthésie avertie) • Aspirine cardio et Plavix en suspens Laboratoire : CRP 20 ng/l, Leucocytes : 0.4 G/L Culture urines : négative Hémocultures : négatives Frottis de grippe : négatif Radiographie de thorax du 08.02.2019 : pas de foyer franc Radiographie de thorax du 12.02.2019 : pas de foyer franc Agranulocytose du 07.02 au 09.02.2019 Isolement agranulocytose du 08.02 au 10.02.2019 Céfépime du 08.02 au 12.02.2019 (5 jours) Laboratoire : • CRP 283, Lc 11 Consilium chirurgical (Dr. X) Aux urgences : • Pip/Tazobactam 4500 mg 3x/j • NaCl 1000 ml Attitude : • Hospitalisation en chirurgie pour intervention, à jeun • Pip/Tazobactam 4500 mg 3x/j • Antalgie simple Laboratoire : CRP 288 mg/l, leucocytes 2.7 G/l, 82% de neutrophiles ECG Urine Gazométrie artérielle sous 4 L/min O2 : alcalose respiratoire (pH 7.49, pCO2 4.0 kPa, pO2 14.5 kPa, bicarbonate 23 mmol/l) Antigènes urinaires légionelles et pneumocoques : en cours Frottis influenza A/B : en cours 2x2 hémocultures : en cours Aux urgences : Co-Amoxi 2.2 g i.v., Klacid 500 mg ATT : poursuite Co-Amoxi et Klacid pister frottis grippe et antigènes urinaires si péjoration clinique, prendre contact avec infectiologue sur le weekend Laboratoire : CRP 32 mg/l, leucocytes 6.8 G/l Gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire globale (pH 7.34, pCO2 6.9 kPa, pO2 7.6 kPa, bicarbonate 27 mmol/l) Gazométrie artérielle sous VNI : pH 7.35, pCO2 6.5 kPa, pO2 9 kPa, bicarbonate 26 mmol/l 2 paires d'hémocultures : en cours Culture d'expectorations : en cours Antigènes urinaires légionelles et pneumocoques : en cours Radiographie thorax ap/lat : infiltrats bibasaux, pas d'épanchement pleural Aux urgences : 5 Ventilation non-invasive pendant 1 heure, Co-Amoxi 2.2 g i.v., Klacid 500 mg i.v., Atrovent 2x250 mcg, Ventolin 2x1.25 mg, Solu-Medrol 125 mg i.v. Co-Amoxi 3x1.2 g/jour i.v. du 15.02.2019 - ________ Klacid 2x500 mg/jour i.v. du 15.02.2019 - __________ Inhalation bronchodilatative et oxygénothérapie par masque Physiothérapie respiratoire Contrôle laboratoire le 16.02.2019 Mise en place d'un cathéter artériel 20 dans l'artère radiale gauche (Dr. X) Laboratoire : CRP 40 mg/l, leucocytes 11 G/l CT cérébral natif : pas de fracture visualisée ni de saignement actif Attitude : • hospitalisation en médecine interne • sédiment urinaire à faire à l'étage si possible • contrôle laboratoire le 15.02.2019 Laboratoire : CRP 45 mg/l, Lc 11.8 G/l. Traitement symptomatique. Rendez-vous de suivi clinique et de l'évolution des adénopathies cervicales chez son médecin traitant en début de semaine prochaine. Laboratoire : CRP 46 mg/l, leucocytes 16.5 g/l. Status urinaire : leucocytes innombrables, nitrites négatifs, flore bactérienne +++ Culture d'urine : à pister. Rocéphine 2 g adapté à la clearance rénale aux urgences. Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pendant 7 jours, à adapter en fonction de la fonction rénale. Laboratoire : CRP 46 mg/l, leucocytes 2.5 G/l Hémocultures à chaud : en cours Gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire partielle (pH 7.46, pO2 9.6 kPa, pCO2 4.2 kPa, bicarbonate 21 mmol/l) Sédiment urinaire : en cours Antigènes urinaires (légionelles et pneumocoques) : en cours ECG Radiographie du thorax : infiltrat dans le lobe moyen droit, pas d'épanchement Avis infectiologique (Dr. X) : patient pas en agranulocytose, donc traitement antibiotique standard Aux urgences : Rocéphine 2 g i.v., Klacid 500 mg i.v. Rocéphine 2 g i.v./jour du 03.02.2019 au _____ Klacid 2x500 mg i.v./jour du 03.02.2019 au ______ Hospitalisation en médecine à Meyriez Laboratoire : CRP 48 mg/l, leucocytes 4.9 G/l, troponine T hs H0 7 ng/l, H1 7 ng/l. ECG : rythme sinusal régulier à 101/minute, axe QRS normal, pas de bloc AV, sous-décalage diffus du segment PR, pas de trouble de la repolarisation. RX thorax (ap/lat) : pas d'infiltrat, pas d'épanchement, pas de pneumothorax. Echographie ciblée (Dr. X) : pas d'épanchement péricardique. Aux urgences : Dafalgan 1 g, Novalgine 1 g, Voltarène 75 mg, Pantozol 20 mg p.o. Pantozol 20 mg/j pendant 6 semaines, Alucol en réserve. Traitement symptomatique des douleurs. Si persistance des symptômes, demande au médecin traitant d'organiser une OGD. Laboratoire : CRP <5 mg/l, leucocytes 3.3 G/l, créatinine 79 µmol/l. ECG : RSR à 65 bpm, BAV du 1er espace PR de 212 ms déjà présent sur un comparatif en 2018, QRS de 108 ms avec déviation gauche compatible avec un hémibloc antérieur gauche, QTc de 444 ms. Pas de sus ou sous décalage du segment ST, pas d'inversion des ondes T. Laboratoire : CRP 5 RX thorax : pas de foyer objectivé Gazométrie : insuffisance respiratoire partielle Thérapie aux urgences : • Atrovent + Ventolin, • Prednisone 50 mg, • O2 Attitude : • Hospitalisation en observation (INR) • Atrovent/ventolin inhalation à continuer • Prednisone 50 mg 1x/j, durée à évaluer Laboratoire : CRP <5 mg/l, leucocytes 5.4 G/l, K 5.6 mmol/l. Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. (Dr. X) Laboratoire : CRP 55 mg/l, leucocytes 15 G/l Hémocultures (2 paires) : négatif à 2 jours, à pister. Frottis de grippe : Grippe type A Gazométrie artérielle : pH 7.47, pCO2 3.8 kPa, PO2 12.6 kPa, bicarbonate 20 mmol/l, excès de base -3 mmol/l. Avis obstétrique (Dr. X) : ultrason et examen obstétrical - excellente vitalité fœtale Avis soins intensifs (Dr. X) Traitements : Hydratation IV Antibiothérapie par Co-Amoxiciline IV puis relais PO jusqu'au 18.02.2019 Tamiflu 75 mg p.o 2x/j Dafalgan Physiothérapie respiratoire Attitude : • rendez-vous chez le médecin traitant le 18.02.2019 à 11h Laboratoire : CRP 58 mg/l, Lc 6.4 G/l Radiographie thoracique du 01.02.2019 (couché) : Absence de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Absence d'épanchement pleural significatif. Absence de foyer dans les plages pulmonaires visualisées. US au lit du malade du 01.02.2019 (Dr. X) : petite lame liquidienne au niveau pleural, pas de ligne B, pas de condensation visible. Frottis de grippe du 01.01.19 : positif Oxygénothérapie Physiothérapie respiratoire Inhalation à l'Atrovent et au Ventolin Adaptation du traitement diurétique Laboratoire : CRP 58 mg/l, Lc 6.4 G/l RX : difficilement interprétable US au lit du malade (Dr. X) : petite lame liquidienne au niveau pleural, pas de ligne B, pas de condensation visible. Frottis de grippe : à pister Oxygénothérapie Suivi clinique et laboratoire Physiothérapie respiratoire Atrovent et Ventolin Laboratoire : CRP 68, leucocytes 19.8 sans déviation gauche. Une paire d'hémocultures à froid : à pister. Stix et sédiment urinaire : sans particularité. Streptotest : négatif. Zithromax 250 mg 2 cpr aux urgences. Attitude : • Retour à domicile. • Même si streptotest négatif, au vu du tableau clinique et de l'important syndrome inflammatoire, traitement de Zithromax 500 mg 1x/j pendant 3 jours. • Contrôle clinico-biologique au secteur ambulatoire des urgences le 10.02.2019, pister le résultat des hémocultures et évaluer si une poursuite de la thérapie antibiotique pendant 5 jours est nécessaire. Laboratoire : CRP 7 mg/l, leucocytes 13.6 G/l, K 3.4 mmol/l Au service des urgences : • petit lavement avec bon résultat symptomatique À l'étage : • Movicol/Laxoberon • Hydratation NaCl i.v. et stimulation per os • Practomil le 25.01.2019 Attitude : • colonoscopie à distance à envisager Laboratoire : CRP 81 mg/l, leucocytes 14.4 G/l Gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire globale (pH 7.37, pCO2 6.6 kPa, pO2 10.3 kPa, bicarbonate 27 mmol/l) ECG Radiographie thorax Frottis nasopharyngé PCR influenza positif Antigènes urinaires Légionnelle et pneumocoque en cours VNI mal supportée Aux urgences : Atrovent 250 mcg, Ventolin 2.5 mg à 3 reprises Co-amoxi i.v., Klacid 500 mg per os Laboratoire : CRP 9 mg/l, Lc normaux, tests hépato-pancréatiques et de cholestase dans les normes. ECG : cœur droit connu, superposable au comparatif. Echographie ciblée abdomen, thorax, cœur (Dr. X) US abdominal supérieur en ambulatoire. Suivi par le médecin traitant. Laboratoire : CRP 95 mg/l, leucocytes 15.5 G/l Aux urgences : Dafalgan 1 g p.o. Avis orthopédique (Dr. X) Pas d'antibiotiques avant la prise en charge chirurgicale Antalgie avec Dafalgan, Brufen et Novalgine Clexane 1x40 mg/jour Prise en charge orthopédique avec bursectomie et prélèvement de liquide articulaire le 17.02.2019 à 22h Lit strict, patient à jeun jusqu'à opération Laboratoire // Culture Urine Rx thorax // Rx main droite CT thoraco-abdominal le 13.02.2019 Avis rhumatologique Traitement d'épreuve par Arcoxia 60 mg 1x/jour jusqu'au 05.03.2019, sera réévalué par les rhumatologues Attitude : • Contrôle en rhumatologie le 05.03.2019 à 13h30 • Contrôle chez le médecin traitant le mercredi 20.02.2019 à 9h40 Laboratoire : dans la norme. Cf. annexes. Sédiment urinaire : érythrocytes <3. Cf. annexes. Radiographie de la colonne cervicale face et profil et axiale : la courbure de la colonne est physiologique. La morphologie des corps vertébraux, des disques intervertébraux, des processus latéraux et épineux est normale. Pas d'altération de la structure osseuse et pas d'ostéolyse. Discrète excentration de la dens du côté droit par rapport aux massifs latéraux de C1. En cas de doute sur une lésion ligamentaire à ce niveau, une IRM serait l'examen de choix. (Dr. X) CT-scan de la colonne cervicale natif : comparatif radiographie de la colonne cervicale du jour. Taille, morphologie et alignement des corps vertébraux conservés sans fracture mise en évidence. Les apophyses épineuses et transverses ainsi que les articulations postérieures se présentent normalement sans fracture. Ossiculum terminale. On retrouve la minime asymétrie de distance entre les masses latérales de C1 et la dens C2 (droite 3 mm, gauche 4 mm). Pas de tuméfaction des tissus mous pré-vertébraux. Pas de masse au sein de la filière pharyngo-laryngée. Pas d'adénopathie au sein des stations du cou visualisé. Les coupes passantes par les apex pulmonaires ne démontrent pas de lésion suspecte. CONCLUSION : on retrouve une minime asymétrie de centrage entre la dens C2 et les masses latérales de C1 d'origine probablement positionnelle. Si persistance des douleurs, bilan à compléter par une IRM afin de rechercher une atteinte ligamentaire. (Dr. X)Laboratoire : dans la norme, troponines H0 5 ng/l, H1 5 ng/l, H3 3 ng/l. Cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. (Dr. X). Laboratoire : dans la norme. CT-scan cérébral natif et injecté : le système ventriculaire est de taille et de morphologie normales. Les espaces sous-arachnoïdiens sont bien définis. Pas de collection sous-durale ou extra-durale. Les structures de la ligne médiane sont en position correcte. Pas d'hémorragie mise en évidence. Après injection iv de produit de contraste, pas de prise de contraste pathologique intra-axiale. Les sinus veineux sont perméables. Les artères intracérébrales sont perméables sur cet examen effectué au temps tardif. Cavités sinusiennes de la face et cellules mastoïdiennes normalement pneumatisées. Orbites sans particularité. CONCLUSION : CT-scan cérébral dans les limites de la norme. Pas d'hémorragie. Pas de thrombose des sinus veineux. (Dr. X). Laboratoire : d-dimère 1064 ng/ml, troponine T hs H0 4 ng/l, leucocytes 16.5 G/l, CRP 11 mg/l. ECG : rythme sinusal régulier normocarde à 93/min, axe QRS gauche, pas de sus- ou sous-décalages significatifs. Sédiment urinaire. Antigènes urinaires légionelles et pneumocoques : en cours. CT triple rule out (Dr. X, rapport téléphonique) : condensation pulmonaire en base gauche compatible possiblement avec pneumonie, pas d'embolie pulmonaire, pas de dissection aortique. Aux urgences : Morphine 23 mg en titration i.v., Co-Amoxi 2.2 g i.v., Klacid 500 mg i.v. Co-Amoxi 3 x 2.2 g/jour i.v. du 15.02.2019 - ________. Klacid 2 x 500 mg/jour i.v. du 15.02.2019 - __________. Contrôle laboratoire le 16.02.2019. Antalgie avec Dafalgan, Brufen, Morphine en réserve. Selon clinique, possibilité de continuer la thérapie à domicile. Laboratoire : D-Dimère 1285, pas de syndrome inflammatoire. Rx genou droit du 18.02.2019 : pas d'image de fracture visible. Gonarthrose tricompartimentale prédominant en fémoro-tibial et interne fémoro-patellaire avec ostéophytose périphérique. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. US membre inférieur droit du 18.02.2019 : pas de TVP visualisée. CT genou droit du 18.02.2019 : pas de fracture visualisée. Laboratoire : D-dimères à 11'795, CK à 270, CK-MB 28, Trop H0 : 8, H3 : 7, NT-ProBNP à 26. CT-Scan : embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires des lobes supérieurs des deux côtés, du lobe moyen et lingula, ainsi que les lobes inférieurs avec répercussion cardiaque. Condensation dans le segment postéro et latéral du LID compatible avec un infarcissement (présent en 2016). Dilatation des cavités du cœur droit avec un rapport à > 1 en rapport avec VG. Stable hémodynamiquement. Avis cardiologique (Dr. X) : au vu de la stabilité hémodynamique et des valeurs biologiques dans la norme, pas d'échocardiographie en urgences. Avis soins intensifs : pas de surveillance aux soins nécessaire au vu de la stabilité hémodynamique. Hospitalisation en médecine avec échographie cardiaque à prévoir. Xarelto thérapeutique 15 mg 2 x/jour. Test rapide Malaria : négatif. Aux urgences : Liquémine 5'000 UI en bolus. Hospitalisation en médecine avec : • Bilan cardiaque à prévoir. • Bilan trombo-embolique. Laboratoire : D-dimères positives, Troponines à H0 8, H1 9, H3 10 ng/l. ECG. Radiographie du thorax. CT triple rule out (transmission orale, Dr. X) : pas d'embolie pulmonaire, pas de dissection aortique. Hypoperfusion du myocarde au regard de l'IVA distale, possiblement ancien, coronaires non visualisables dans leur ensemble en raison des multiples stents. Ad Dafalgan, Irfen et Sirdalud. Consultation ambulatoire cardiologique à organiser. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire : D-dimères > 500 ng/mL, reste stable. Cf. annexes. Laboratoire : décrit ci-dessous. CRP < 5 mg/l, leucocytes 11 G/l, HCG négative. Sédiment urinaire : cf. annexes. Laboratoire : dosage Keppra. IRM cérébrale le 14.01.2019. MOCA à 17/30 le 16.01.2019. Diminution Keppra à 2 x 500 mg. Diminution topamax à 1 x 50 mg. Stop rivotril. Laboratoire // ECG // Gazométrie // Radio de thorax. Microbiologie : hémocultures le 18.02 et le 20.02.2019 // PCR grippe // antigènes urinaires. Rocéphine 2 g i.v. du 19.02 au 22.02.2019, relais avec Co-amoxicilline 1 g 2 x/jour du 23.02 au 25.02.2019. Klacid 500 mg le 19.02.2019. Isolement gouttelettes du 19.02 au 21.02.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire // ECG // Gazométrie. Radiographie de thorax le 24.02.2019. Microbiologie : cultures d'expectorations // antigènes urinaires. Avis infectiologique le 24.02.2019 (Prof. X). Rocéphine 2 g i.v. du 24.02 au 26.02.2019. Relais avec Co-Amoxicilline 625 mg 3 x/jour du 27.02 au 02.03.2019. Klacid 500 mg per os du 24.02 au 26.02.2019. Laboratoire // ECG // Radio de thorax. Microbiologie : Stix et sédiment urinaire : négatifs. Frottis grippe : Influenza A positif. Hydratation intraveineuse. Antalgie et antiémétiques. Tamiflu 75 mg 2 x/jour du 17.02 au 21.02.2019. Isolement gouttelettes du 16.02 au 19.02.2019. Physiothérapie de mobilisation. Laboratoire // ECG // Radio de thorax. Test de Schellong le 17.02.2019 : positif. Hydratation intraveineuse. Physiothérapie de mobilisation. Laboratoire // ECG // Radiographie de thorax. ETT le 31.01.2019. Lasix 20 mg i.v. aux urgences. Augmentation du Torasémide à 20 mg per os. Suivi poids, de la clinique et biologique. Laboratoire // ECG // Rx thorax. CT cérébral 30.01.2019. Suivi tensionnel rapproché. ATT : • Suivi tensionnel à domicile (3 x/jour) et lors des épisodes de nausée/vomissements. • Si pic hypertensif > 180 avec nausée, vomissements, céphalées -> 1 cpr d'Adalate. Laboratoire // ECG // Rx thorax. Frottis PCR Grippe : négatif. Physiothérapie respiratoire. Cefepime 2 g 2 x/j IV du 14.02 au 20.02.2019. Laboratoire // ECG. Remplacement du Sotalol par du Diltiazem le 08.02.2019 (cf. BPCO de la patiente). Passage à du Dilzem retard le 11.02.2019, majoré à 2 x 120 mg le 18.02.2019. Laboratoire // ECG. Adaptation antalgie, diminution MST continus de 2 x 30 mg à 2 x 20 mg. Soins de support. Physiothérapie. Laboratoire // ECG. Avis cardiologique le 18.02.2019 (Dr. X). Radiographie de thorax le 18.02.2019. Radiographie de thorax le 21.02.2019. Pose de pacemaker le 21.02.2019. Contrôle chez le médecin traitant à 10 jours. Laboratoire // ECG. Avis hématologue (Dr. X). Avis hématologique le 04.02.2019 (Dr. X). CT thoraco-abdo-pelvien le 01.02.2019. Électrophorèse et immunofixation le 30.01.2019. Bilan vitaminique le 30.01.2019. Supplémentation en acide folique au long cours (1 j/2) en raison de l'hémolyse chronique. Mesure de protections contre le froid. Suivi biologique régulier par le médecin traitant. ! Seuil de transfusion à 80 g/l d'Hb (transfusions chauffées) ! Laboratoire // ECG. CT cérébral natif. Laboratoire // ECG. Echocardiographie transthoracique le 19.02.2019. Coronarographie le 19.02.2019 (Prof. X). Laboratoire // ECG. Taux de lamotrigine : 3.7 mcg/ml (N : 3.0-15.0). En pré-hospitalier : 1 mg de Dormicum i.v. Aux urgences : Dormicum i.v., Keppra 500 mg i.v. CT Time is Brain le 21.02.2019 Avis neurologique les 21.02. et 22.02.2019 (Dr. X / Dr. X) EEG les 22.02 et 28.02.2019 Lamotrigine 150 mg 2x/jour du 22.02.2019 au 27.02.2019, augmentation à 200 mg 2x/jour le 28.02.2019 Keppra 500 mg 2x/jour dès le 22.02.2019, à réévaluer à distance Surveillance neurologique Physiothérapie Taux sérique de lamotrigine à effectuer dans 10 jours, et réévaluer EEG et Keppra à 1 mois selon évolution (discuté avec Dr. X) Laboratoire : en annexe CT cérébral natif et injecté du 29.01.2019 : Séquelles parenchymateuses pariétales droite, cérébelleuses gauche et frontale gauche. En raison de cartes de perfusion de qualité sous-optimale, un AVC ne peut être exclu. Pas d'hémorragie ou de masse intracrânienne. Pas d'évidence de sténose ou d'occlusion des artères proximales. RX thorax du 29.01.2019 : Status post-mise en place d'une SNG se terminant en surprojection de l'estomac. Le reste de l'examen est inchangé avec persistance d'une opacité du champ pulmonaire moyen à droite évoquant une atélectasie partielle ainsi qu'un infiltrat en base pulmonaire droite. EEG le 30.01.2019 (Dr. X) : EEG modérément normal par une activité de base ralentie et déstructurée. Pas d'activité épileptique sur ce tracé qui montre une légère encéphalopathie au vu du contexte multifactoriel (toxico-métabolique, post-critique, médicamenteux). Laboratoire : en annexe Radiographie du thorax le 06.02.2019 CT-thoracique le 07.02.2019 : maladie interstitielle sévère. Epanchements pleuraux avec présence de quelques bulles d'air (DD empyème vs résidu d'ancien pneumothorax). Foyer infectieux non exclu. Laboratoire : en annexe Radiographie du thorax le 31.01.2019 Biopsie transjugulaire hépatique le 08.02.2019 CT-abdominal les 25.01 et 11.02.2019 US abdominal le 11.02.2019 Laboratoire : en annexe Rx thorax du 25.02.2019 : Examen globalement superposable au comparatif du 29.06.2017. On retrouve une cardiopathie avec valve ?. Pour rappel, atélectasie passive et chronique des pyramides basales. Laboratoire (examen avec explication donnée par le médecin). Hyperhydratation 1000 ml NaCl 0.9%. Conseil d'usage. Traitement symptomatique. Conseil de réévaluer avec le médecin de famille si persistance des symptômes à J4 malgré le traitement symptomatique. Laboratoire : FS dans la norme, pas de trouble électrolytique, TP sans particularité, créatinine 105 umol/l (GFR 67 selon Cockroft), glucose 7.1 mmol/l. ECG : rythme sinusal et régulier, PR <200 ms, QRS fin normoaxé, pas de trouble de la repolarisation. CT : pas de lésion ischémique ni hémorragique, athéromatose diffuse à la bifurcation des carotides, origine fœtale des artères cérébrales postérieures, pas d'occlusion du TB. Attitude (vu avec la neurologie de garde) : • Aspirine 250 mg iv. • Poursuite de l'Aspirine 100 mg per os jusqu'à résultats de l'IRM puis poursuite ou arrêt en fonction du résultat. • IRM en ambulatoire. • ETT/Holter en ambulatoire. • Arrêt de travail une semaine car pas possible de conduire au travail en raison de la vision. • Chez le médecin traitant : organiser un bilan ophtalmologique en ambulatoire. Dosage HbA1c et bilan lipidique par le médecin traitant, instaurer Atorvastatine si pathologique. Redoser la créatinine lors du bilan sanguin (légèrement élevée chez nous) et réaliser un SSU si toujours élevé + suite de prise en charge. Laboratoire : gamma-GT 400 U/l, bilirubine totale 24.7 umol/l, bilirubine directe 8.8 umol/l. Laboratoire // Gazométrie // ECG Frottis grippe : Influenza A positif Radiographie de thorax le 23.02.2019 ETT le 26.02.2019 Oxygénothérapie Aérosols Atrovent/Ventolin Physiothérapie respiratoire et de mobilisation Isolement gouttelettes du 23.02 au 26.02.2019 Lasix i.v. du 24.02 au 25.02.2019, relais avec Torasémide p.o. dès le 26.02.2019 Laboratoire // Gazométrie // Rx de thorax // Aux urgences : Aérosols Atrovent/Ventolin VNI Solumédrol 125 mg IV Antibiothérapie IV par Tazobac 4.5 g 3x/j Morphine IV titré Avis Soins Intensif Hospitalisation aux SIC Laboratoire // Gazométrie // Rx de thorax // ECG Antigènes urinaires : négatifs ETT le 12.02.2019 Aux urgences : VNI Lasix 40 mg i.v. aux urgences Prednisone 40 mg Aérosols Atrovent/Ventolin A l'étage : Antibiothérapie IV par Tazobac 4.5 g 3x/jour Majoration du traitement par aérosols (Atrovent/Ventolin) Poursuite de la Prednisone pour 5 jours Physiothérapie respiratoire Laboratoire // Gazométrie // Rx thorax Physio respiratoire Prednisone du 21.02 au 25.02.2019 y compris Co-amoxicilline 1.2 g i.v. 3x/jour du 21.02 au 25.02.2019 y compris Atrovent et Ventolin en inhalation Reprise du traitement par Ultibro Ordonnance pour oxygénothérapie à court terme pour le domicile (2 l/min d'O2 au repos et 3 l/min d'O2 à l'effort) Contrôle en pneumologie à l'HFR- Fribourg le 30.04.2019 à 14h00 avec fonctions pulmonaires Laboratoire // Gazométrie // Rx thorax US abdominal le 29.01.2019 CT abdominal natif 31.01.2019 Avis gastro-entérologue (Dr. X) le 28.01.2019 Prednisolone 40 mg du 28.01 au 26.02.2019 Substitution vitaminique Konakion pendant 3 jours Hydratation Duphalac Perfusion d'Albumine du 31.01 au 02.02.2019 Vaccination HBV à prévoir Laboratoire // Gazométrie // Rx thorax US abdominal le 29.01.2019 CT abdominal natif 31.01.2019 Avis gastro-entérologue (Dr. X) le 28.01.2019 Prednisolone 40 mg du 28.01.2019 au 26.02.2019 Substitution vitaminique Konakion pendant 3 jours Hydratation Duphalac Perfusion d'Albumine du 31.01.2019 au 02.02.2019 Vaccination HBV à prévoir Laboratoire // Gazométrie // Rx thorax US abdominal le 29.01.2019 CT abdominal natif 31.01.2019 Avis gastro-entérologue (Dr. X) le 28.01.2019 Prednisolone 40 mg du 28.01.2019 au 26.02.2019 Substitution vitaminique Konakion pendant 3 jours Hydratation Duphalac Perfusion d'Albumine du 31.01.2019 au 02.02.2019 Vaccination HBV à prévoir Laboratoire // Gazométrie // Stix et sédiment urinaire // Antigènes urinaires 2 paires d'hémocultures le 05.02.2018 : 4/4 négatives à 5 jours Cultures d'expectorations : non contributives, mauvaise qualité Radiographie du thorax le 06.02.2019 CT thoracique le 07.02.2019 US thoracique le 12.02.2019 Avis infectiologique le 12.02.2019 Traitement en dialyse : • Vancomycine • Cefepime • Tramadol 20 mg, Temgesic 0.2 mg Traitement durant l'hospitalisation : • Klacid 250 mg per os 2x/jour du 06.02.2019 au 10.02.2019 • Méropénem 1000 mg le 07.02.2019 puis 2x 500 mg/jour jusqu'au 13.02.2019 • Relais par Ceftriaxone 1000 mg du 13.02.2019 au 15.02.2019 • Physiothérapie respiratoire Laboratoire // Gazométrie artérielle // ECG // Radiographie du thorax les 28.01 et 02.02.2019 Frottis PCR grippe Hémocultures le 28.01.2019 Aérosols avec Ventolin et Atrovent Fonctions pulmonaires complètes à prévoir en ambulatoire Laboratoire // Gazométrie artérielle // ECG // Radiographie thorax Hémocultures 2/4 positives pour Staph Epidermidis et un Staph Hominis (Avis infectiologique, Dr. X : probable contamination) Frottis nasopharyngé PCR : Influenza A positif Antigènes urinaires Legionelle et Pneumocoque : absents VNI le 04.02.2019 Co-amoxicilline IV du 04.02 au 11.02.2019 Prednisone pour une durée de 5 jours Tamiflu le 04.02.2019 pour 2 jours uniquement (arrêt sur avis infectiologique, Dr. X) Isolement type gouttelettes jusqu'au 06.02.2019 Suivi biologique Laboratoire // Gazométrie Avis diabétologie (Dr. X) Hyperhydratation 3000 ml NaCl 0.9% Adaptation de l'insulinothérapie Enseignement thérapeutique Podologie Att : • contrôle chez le médecin traitant le mercredi 13.02.2019 • suivi diabétologique en ambulatoire, rendez-vous prévu 18.03.2019 Séjour aux soins intensifs du 09.02 au 10.02.2019 Ventilation non invasive du 09.02 au 10.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 09.02 au 10.02.2019 Solu-Médrol 125 mg le 10.02.2019 Prednisone du 10.02.2019 au 14.02.2019 Rocéphine 2 g du 12.02 au 16.02.2019 Physiothérapie respiratoire Réhabilitation pulmonaire refusée par Mr. Y. Laboratoire : glucose 6.8 mmol/l, Hb glyquée 5.1%, FSS normale, TP 84%, PTT 29 sec, sérologies Lyme nég., anticorps anti-gangliosides nég., sérologie HIV nég., syphilis nég., EBV infection ancienne, HSV infection ancienne, CMV nég., Mycoplasma pneumoniae nég., Vit. B12 normale, acide folique normal., VS 25 mm/h, ANA nég., ANCA nég., FR <10 U/ml, anti-SSa nég., anti-SSb nég., TSH 1.06 mU/l, céruloplasmine normale, anticorps anti-NMO (antiaquaporine 4) nég. Ponction(s) lombaire(s) le 16.02.2019 : première analyse ininterprétable vue ponction traumatique. Seconde : 68 éléments/ul (18% neutro, 81% lympho), 9045 érythrocytes/ul, glucose 3.6 mmol/l, protéines 0.92 g/l, lactates 2.77 mmol/l. PCR VZV nég., HSV nég. Electrophorèse des protéines : Pas de bandes oligoclonales. Ig-M augmentées. Ig-G et Ig-A normales. Anticorps anti-neuronaux nég. CT colonne totale le 16.02.2019 : sans particularité IRM colonne totale le 18.02.2019 : compatible avec une myélite de D5 à D7 IRM cérébrale le 19.02.2019 : quelques hyperintensités de la substance blanche profonde aspécifiques CT thoraco-abdomino-pelvien le 19.02.2019 : pas de néoplasie. ENMG le 17.02.2018 (Dr. X) : pas d'anomalie significative Consilium neurologique le 19.02.2019 (Dr. X, Dr. X) Consilium gynécologique le 20.02.2019 : examen gynécologique sans particularité. PAP en cours, PV en cours Mammographie le 21.02.2019 : examen dans les limites de la norme. Étant donnée la densité de type C, une échographie complémentaire est souhaitable. BIRADS II. Peak Flow quotidien Évaluation multidisciplinaire : physiothérapie, ergothérapie Solumedrol 500 mg 1x/j IV du 19.02.2019 au 23.02.2019 Prednisone 60 mg dès le 24.02.2019, puis schéma dégressif prévu jusqu'au 10.03.2019 Laboratoire : Hb 107 g/l. Cf. annexes. Proposition d'un contrôle à distance de l'épisode infectieux. Laboratoire : HbA1c : 5.4%, HDL 0.92 mmol/l, Cholestérol 4.5 mmol/l, LDL 2.77 mmol/L, Triglycérides 1.98 mmol/L Attitude : • Plavix 6 mois, Aspirine à vie • Introduction Atorvastatine 40 mg/j PO • Contrôle dans 1 mois chez le médecin traitant • Ergométrie dans 1 année • Mme. Y sera convoquée pour une réhabilitation cardiovasculaire à Billens en ambulatoire Laboratoire. Hydratation par NaCl 0.9%. Laboratoire : hypomagnésémie 0.51 mmol/L. Hypocalcémie 2.0 (Ca corrigé : 2.33). 2 grands lavements : évolution favorable cliniquement après le 2ème lavement. Magnésium 2 g IV. Contrôle clinique secteur ambulatoire des urgences le 19.02.2019 • avis chir +/- CT abdominal. Traitement laxatif. Laboratoire : INR 1.1, hémoglobine 100 g/l (arrivée), hémoglobine 78 g/l à 1h38, fibrinogène ___ Groupement sanguin Gazométrie artérielle Aux urgences : 2 culots de sang, 3250 ml NaCl i.v., Cyclokapron, gluconate de calcium Avis chirurgical (Dr. X) : pas de saignement sur hémorroïdes Avis gastro-entérologique (Dr. X) Prise au bloc opératoire pour anoscopie et coloscopie en urgence Laboratoire : insuffisance rénale avec créatinine à 126, CRP à 177 Urines : leucocyturie US aux urgences (Dr. X) du 09.02.2019 : dilatation pyelo-calicielle de 1.5 cm Aux urgences : Voltarène 50 mg, Morphine 10 mg i.v., Primpéran 10 mg Avis chirurgie : • Antibiothérapie • Mise en place de sonde double J le 10.02.2019 • Hospitalisation en chirurgie. Laboratoire : insuffisance rénale chronique connue et stable, pas de syndrome inflammatoire. Cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. CT-scan cérébral natif et CT-scan du massif facial et des sinus natif : examen réalisé sans injection de produit de contraste. Examen comparatif du 26.08.2018. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Éctasie des citernes basales et mésencéphaliques ainsi que du système ventriculaire. Élargissement des sillons cérébraux et cérébelleux. Élargissement de la fossa sylvi ddc. Les structures médianes et les calcifications physiologiques sont en position normale. Pas de lésion focale, pas de masse. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. St/p ancienne fracture de l'arcade zygomatique gauche. Présence d'une structure ossifiée dans les tissus mous de la paupière supérieure droite, stable par rapport à l'examen d'août 2018. CONCLUSION : absence de lésion post-traumatique, en particulier pas de saignement intracrânien ou de fracture. Examen réalisé en téléradiologie avec transmission des résultats à 19h45 au Dr. X (X). Laboratoire : lactate veineux à 3 points millimolaire (examen avec explication donnée par le médecin). Avis chirurgical : pas de médication d'urgence à une imagerie. Réassurance de Mr. Y, retour à domicile avec antalgie premier palier et explication donnée à Mr. Y de reconsulter si péjoration des douleurs. Suite de prise en charge chez le médecin traitant si péjoration et reprise de contact avec son chirurgien. Laboratoire : lactates veineux 3.7 Stix et sédiment urinaire Taux de Levetiracetam : en cours (Laboratoire Risch à Bern 058 523 34 00) CT-scanner cérébral injecté : examen dans les limites de la norme sans fracture, lésion suspecte ou saignement. Avis neurologique (Prof. X) • Charge d'acide valproïque au service des urgences • EEG du 06.02.2019 : léger foyer irritatif antérieur droit à la limite de la norme • Bithérapie anti-épileptique avec Keppra et Vimpat Suivi chez son neurologue Laboratoire : • Lc 12.7, CRP 104 CT abdominal (transmission orale Dr. X) : diverticulite perforée couverte, avec collection de selle de 3 cm. Consilium chirurgie (Dr. X) : traitement conservateur Attitude : • Hospitalisation en chirurgie • Pip/tazo 4500 3x/j • Réalimentation • Contrôle biologique demain matin • Marqueurs tumoraux +/- colonoscopie à discuter Laboratoire : LDH 715, CRP 32, haptoglobine _, bêta2-microglobuline _, bili tot 9.2, Lc 17.8, fibrinogène 0.9, D-dimère 10'289 US abdominal réalisé par le médecin traitant : splénomégalie, masse utérine Avis hématologique (Dr. X) 1 CP le 22.02.2019 Test de grossesse urinaire : à pister CT thoraco-abdo-pelvien le 22.02.2019 (demandé) Bilan biologique : HIV _, HBV _, HCV _, EBV _, CMV _, VZV _, électrophorèse des protéines _, test de Coombs _, vit B12 _, ac. folique _ Bilan envoyé à l'Inselspital : cytométrie de flux - leucémie aiguë, typisation des lymphocytes Laboratoire : légère hypokaliémie, leucocytes légèrement augmentés, CRP normale. Cf. annexes. Stix urinaire : sang +, 3-5 érythrocytes, nitrites négatives, leucocytes négatifs. Cf. annexes. Laboratoire : leucocytes 11 G/L avec lymphocytes, pas de CRP, troponines négatives. ECG : sinusal régulier, sans trouble de la conduction, repolarisation précoce du jeune, pas de bloc de branche, pas de HVG. Stix et sédiment urinaire : urines propres. Prélèvement IST : hépatites A, B, C en cours, HIV, PCR gonocoque, PCR chlamydia en cours. US abdominal (Dr. X) : cf. compte-rendu. Lavement freka clyss : évolution favorable. Traitement symptomatique. Rendez-vous au secteur ambulatoire des urgences le 04.02.2019 pour communication des résultats et contrôle clinique. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration des symptômes. Laboratoire : leucocytes 12.4 G/l, CRP 79 mg/l Antigènes urinaires légionelles + pneumocoques : négatifs Frottis de grippe en cours.Rx thorax face : infiltrats bilatéraux Aux urgences : Co-Amoxi 2.2 g i.v., Atrovent 250 mcg, Ventolin 2.5 mg Avis soins intensifs : désaturation et dyspnée expliquées par la pneumonie, en raison de la rhabdomyolyse et du risque pour les reins, renoncement à procéder à un CT pour exclure une embolie pulmonaire formellement. Co-Amoxi 4 x 2.2 g i.v./jour dès le 20.02.2019 Inhalation broncho dilatative en réserve Laboratoire : leucocytes 12.4 G/l, CRP 79 mg/l ECG Gazométrie artérielle : pH 7.47, pCO2 3.5 kPa, pO2 8.5 kPa, bicarbonate 19 mmol/l CT cérébral natif (Dr. X, rapport téléphonique) : suspicion d'hématome sous-dural frontal gauche de 2.5 mm, au niveau frontal présence d'une hyperdensité spontanée qui peut parler pour des très fines hémorragies sous-arachnoïdiennes Consilium cardiologique (Dr. X) • contrôle de pacemaker : fonctionne bien, pas d'événement tachycarde ou bradycarde • échocardiographie transthoracique normale, pas de dilatation des cavités du cœur droit (pas d'EP massive centrale) Avis neurologique (Dr. X): pas de traitement anti-épileptique d'emblée. Avis neurochirurgie (Dr. X): contrôle imagerie à 6h et 24h puis 4 semaines. Aux urgences : Charge Benerva 300 mg i.v., Seresta 15 mg p.o. Seresta d'office et en réserve selon le score CIWA Benerva 300 mg iv 3x/j pendant 3 jours puis 1x/j Attitude : IRM cérébral le 21.02.2019 à 11h30 (questionnaire d'IRM dans le dossier du patient), rdv à 11h en cardiologie pour changement de mode du pacemaker Contrôle scanner cérébro-cervical à 6h (19h) : évolution de l'hématome sous-dural, exclusion de fractures/instabilités cervicales, puis 24h. Ad 1 mg Rivotril ivd en réserve si crise d'épilepsie Laboratoire : leucocytes 5.7 G/l, CRP 24 mg/l, Hb 141 g/l, K 3.3 mmol/l, Na 133 mmol/l, créatinine 65 µmol/l. Laboratoire : leucocytes 6.3 G/l, Na 141 mmol/l, potassium 5 mmol/l, créatinine 82 µmol/l. Laboratoire : leucocytose 13.8 G/L. Laboratoire : MCV 73 fl, MCH 26 pg Ferritine et TSH en cours Laboratoire : MCV 90 fl, MCH 30 pg, thrombocytes 404 G/l, INR 3.4, TP 18%, PTT 48 sec, LDH 340 U/l, haptoglobine ____ ECG Test de Coombs direct : négatif Sédiment urinaire : propre Rx du thorax ap/lat : pas d'infiltrat, pas d'épanchement Aux urgences : Pantozol 80 mg i.v., puis 8 mg/h i.v., transfusion de 1 concentré érythrocytaire Attitude : • Pantozol en i.v. continu 8 mg/h • gastroscopie à la recherche de saignement gastro-intestinal, demande faite • contrôle d'hémoglobine et de l'hémostase le 17.02.2019 • mise à jeun dès 17.02.2019 à 23h59 • mise en suspens de Sintrom et d'aspirine cardio Laboratoire : nette amélioration des paramètres - pas de leucopénie, pas d'anémie, pas de thrombocytopénie actuellement. Test rapide mononucléose douteux. Poursuite traitement symptomatique. Laboratoire : normal. Cf. annexes. ECG : cf. annexes. RSR 95 bpm. PR 170, QRS fins avec axe hyperdroit, ondes Q pathologiques en antérieur, sinon pas de signes d'ischémie active ni d'autres troubles de repolarisation. QTc 450ms. Radiographie du thorax face/profil : aorte déroulée et calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. (Dr. X) CT-scan cérébral natif : pas de comparatif. Examen effectué sans injection de produit de contraste. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Éctasie des citernes basales et mésencéphaliques ainsi que du système ventriculaire. Élargissement des sillons cérébraux et cérébelleux. Élargissement de la fossa sylvi ddc. Les structures médianes et les calcifications physiologiques sont en position normale. Pas de lésion focale, pas de masse. Les régions sellaire, supra-sellaire, orbitaires et la charnière occipito-cervicale se présentent normalement. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. Status post-FESS bilatérale avec polypose nasale. Calcifications des artères carotides internes dans leurs siphons et des artères vertébrales dans leur segment V4. CONCLUSION : absence d'hémorragie intracrânienne ou de fracture. Note : résultats transmis par téléphone au Dr. X à 22h20. Laboratoire : NT-ProBNP > 29000 ng/l, CRP 11 mg/l. pas de leucocytose. Gazométrie : acidose respiratoire hypercapnique. pH 7.25, PCO2 7.8 kPa. RX thorax. Laboratoire : NT-proBNP à 23 422 ng/l ECG : flutter à 101/min Radiographie thorax : signe de surcharge Echocardiographie le 08.02.2019 Avis cardiologique (Dr. X) Lasix dès le 07.02.2019, pompe dès le 12.02.2019 Stop esidrex le 08.02.2019 Introduction métoprolol dès le 08.02.2019 Introduction aldactone dès le 08.02.2019 Introduction cordarone 3x/j dès le 12.02 au 20.02.2019 pour dose de charge Cordarone 200 mg 1x/j et 7/7 dès le 21.02.2019 Pose de sonde vésicale Attitude : • poids sec estimé : environ 77 kg • statine à rediscuter • poursuite cordarone pour 3 mois minimum, indication claire à cardioversion électrique, à rediscuter avec la patiente car refus actuel (cardioversion après 1 mois d'anticoagulation efficace) Laboratoire : NT-proBNP 26'046 ng/l Rx thorax ap/lat : épanchement bilatéral de faible abondance Aux urgences : Lasix 20 mg i.v. Majoration des diurétiques à Lasix 2x20 mg/jour Laboratoire : osmolalité sérique 275 mosmol/kg Spot urinaire : sodium urinaire 41 mmol/l, osmolalité urinaire 704 mosmol/kg Laboratoire : osmolalité 282 mosmol/kg Suivi biologique Laboratoire : pas d'anémie, pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique. Analyse d'urines : sans particularité, test de grossesse négatif. US ciblé aux urgences (Dr. X) : pas de liquide libre, Mc Burney négatif au passage de la sonde, pas de dilatation pyélo-calicielle, pas de dilatation des voies biliaires. Contrôle le 25.02.2019 chez son médecin traitant si persistance des douleurs. La patiente est informée qu'elle doit reconsulter les urgences si la situation se péjore. Laboratoire : pas d'argument pour CIVD Laboratoire : pas de chute d'hémoglobine Traitement de la constipation Laboratoire : pas de cinétique de troponine. ECG : rythme sinusal régulier, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation. Echographie FAST aux urgences (Dr. X). CT total body (transmission orale Dr. X) : fracture non déplacée sternum, pas d'autres lésions traumatiques visualisées. Aux urgences : • Antalgie et anti-nauséeux. Attitude : • Traitement antalgique simple. • Physiothérapie respiratoire. • Suite à 48h chez le médecin traitant pour adaptation antalgique. Laboratoire : pas de péjoration de la fonction rénale, acide urique à 432 mcmol/l. Arrêt du traitement par Irfen 600 mg 3x/jour. Introduction de Colchicine 1 mg 0.5 cp 1x/jour (diarrhées avec 1 cp). Introduction d'Allopurinol 300 mg (3ème crise). Rendez-vous de suivi le 26.02.2019 chez son médecin traitant, consultation avant en cas de diarrhées ou péjoration clinique. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire (examen avec explication donnée par le médecin). Antalgie par Toradol et Dafalgan. Arrêt de travail. Contrôle clinique et biologique à 48 heures aux ambulatoire des urgences. Patient informé de reconsulter si péjoration ou apparition de nouveaux symptômes. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble de la fonction rénale. Urines : microhématurie. Ultrason aux urgences (Dr. X) : pas de dilatation des voies urinaires. Retour à domicile avec filtre à urines. Antalgie par Dafalgan, anti-inflammatoire, Tramadol, Buscopan et Tamsulosine. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Perturbation des tests hépatiques avec ASAT 98, ALAT 59 et GAMMA GT 96. Avis chir (Dr. X) : US abdominal à organiser en ambulatoire à la recherche d'une éventuelle hernie inguinale à droite. Conseil d'hydratation. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, test hépatiques alignés. Suite de prise en charge par médecin traitant pour résultats de la colonoscopie. Refuse antalgie. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, tests hépatiques, pancréatiques et rénaux sp. Analyse d'urine : microhématurie. ECG : bloc de branche droite. Test de grossesse négatif. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, tests hépato-pancréatiques normaux. Status urinaire : nitrites nég, Leuco 3-5 par champ, pas de bactérie. Culture d'urine : à pister par le médecin traitant. PCR chlamydia et gonocoque : résultats seront transmis au médecin traitant. Ureaplasma : résultats seront transmis au médecin traitant. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, thrombocytes 389 G/l, INR 1.1 Aux urgences : Dafalgan 1 gr, Voltarène 50 mg, Morphine 10 mg p.o. Ultrason cervical (Dr. X) : Adénite suppurée level III droite + polyadénopathies des secteurs Va, Ib, II, III, IV droits, avec perte de l'anatomie ganglionnaire normale, peu inflammatoires. Veine jugulaire interne droite perméable en sus claviculaire, puis laminée en arrière de la masse cervicale sans pouvoir affirmer une thrombose. Carotide perméable. Glandes salivaires sans particularité. Ligne médiane et base de la langue sans particularité. Plancher buccal sans particularité. Thyroïde sans particularité. Consilium ORL (Dr. X) Avis infectiologique (Dr. X) : Probable mycobactérie atypique ou tuberculose ganglionnaire. Ad cytoponction et culture mycobactéries + PCR mycobactéries/tuberculose. Cytologie en parallèle. Pas de traitement antibiotique probabiliste. Antalgie seule. Avis hématologique (Dr. X) : au vu de l'incertitude d'une thrombose --> anticoagulation du patient. Ponction/drainage de 6cc de pus de la collection latéro cervicale droite avec diminution de la tuméfaction cervicale. Cytoponction d'une adénopathie du secteur Ib avec petite carotte tissulaire pour la cytologie. Attitude : Pister cytologie Pister bactériologie Anticoagulation thérapeutique avec Clexane 2 x 60 mg/jour Antalgie simple Contrôle dans 48 h en ORL avec Dr. X (patient va être convoqué par téléphone par secrétariat ORL) Médecins ORL vont organiser ultrasonographique angiologique de contrôle, arrêt de l'anticoagulation si exclusion thrombose Puis contrôle à 10 jours si évolution stable. Examens effectués expliqués au patient par le médecin. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Radiographie du thorax face/profil : pas de foyer. Laboratoire : • ProBNP à 596 ECG Suivi electrographique Laboratoire : Pro-calcitonine à 0.76 RX thorax : pas de foyer claire visible Frottis de grippe à pister Co-Amoxiciline 2.2gr i.v. aux urgences Hospitalisation en médecine interne sans isolement jusqu'à résultat du frottis de grippe. Laboratoire : protéines totales 57.6 g/l, albumine 29 g/l Consilium diététique à demander Laboratoire // radio de thorax Sérologie HBV, HCV, Alpha-foetoproteine augmenté à 12 ng/ml, CEA normal et CA-19-9 augmenté à 92 U/ml US abdominal le 03.01.2019 CT thoraco-abdo le 04.01.2019 IRM cérébrale le 14.01.2019 Biopsie hépatique guidé par CT le 11.01.2019 (Dr. X) Tumorboard le 09.01.2019 (arrêt) Suite : embolisation hépatique le 28.01.2019 Laboratoire // Radiographie du thorax // Gazométrie Microbiologie : sédiment urinaire // frottis grippe Physiothérapie respiratoire VNI du 06.02.2019 au 08.02.2019 Solumedrol 125 mg iv le 06.02.2019 Co-Amoxicilline 1.2 gr i.v. le 06.02.2019 Avis pneumologique le 07.02.2019 (Dr. X) Prednisone 40 mg. 1x/jour entre le 06.02.2019 et le 11.02.2019 Antibiothérapie par Clarithromycine du 07.02.2019 au 13.02.2019 Aérosols Ventolin et Atrovent Introduction de Vannair 2 doses 3x/jour Retour à domicile avec réadaptation respiratoire à Billens Fonctions pulmonaires complètes indiquées à distance. Laboratoire // Rx thoracique CT-scan cérébral natif du 26.01.2019 Physiothérapie hospitalière Examen de la pallesthésie aux membres inférieurs (G/D) : articulation métatarso-phalangienne 4/5, Malléole interne 5/6, Rotule 4/4 2x 9 séances de physiothérapie (groupe de reconditionnement) prévue en ambulatoire Laboratoire : sans particularité. Cf. annexes. Laboratoire : sans particularité. Cf. annexes. Consultation cet après-midi avec le team thérapie sensitive de l'HFR Fribourg (trouble somatoforme). Consultation chez son médecin traitant en cas de persistance à une semaine. Laboratoire : sans particularité. Cf. annexes. ECG : cf. annexes. Rythme sinusal et régulier à 70/min, axe QRS à -10*, PR 160 ms, QRS 80 ms, QTc 451 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique. Test de Schellong : négatif. CT-scan cérébral natif : atrophie corticale déjà avancée. Quelques hypodensités de la substance blanche péri-ventriculaire, correspondant à une leucoaraïose, mais pas d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne, ni d'hématome sous-dural ou épidural. Petit épaississement muqueux du fond du sinus maxillaire gauche. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée au niveau des structures du crâne et du massif facial. CONCLUSION : pas d'hémorragie intracrânienne, ni de lésion osseuse traumatique mise en évidence au niveau des structures du crâne et du massif facial. (Dr. X). Laboratoire : sans particularité. ECG : sans particularité. Schellong négatif. Attitude : • Retour à domicile avec holter en ambulatoire le 25.02.2019. Laboratoire : • Sédiment urinaire CT thoraco-abdo le 20.02.2019 expectoration purulentes -> cultures le 21.02.2019 : H. Influenza FR le 22.02.2019 : négatif FAN le 22.02.2019 : négatif ANCA le 22.02.2019 : ANCA - MPO : positif immunofluorescence ANCA : négatif Majoration de la Prednisone à 40mg/j dès le 26.02.2019 Rituximab 1000mg le 26.02.2019 (avec prémédication selon protocole : solu-medrol, tavegyl et dafalgan) • bilan prébiologique : HIV et hépatites le 30.08.2018, quantiféron le 21.02.2019, sérologie ROR-V le 26.02.2019 Prophylaxie dans contexte de corticothérapie au long cours • Bactrim forte 3x/semaine • Calcimagon D3 forte 1x/j • Alendronate 70mg/semaine • DEXA sera faite en ambulatoire Consilium ORL le 23.02.2019 • biopsie muqueuse nasale le 26.02.2019 : s.p. Consilium pneumologique 23.02.2019 Consilium Ophtalmologique le 21.02.2019 : fond d'œil s.p. Consilium Dermatologique (Dr. X) le 21.02.2019 suite : • 2ème dose de Rituximab le 13.03.2019 • CT pulmonaire le 22.03.2019 • sera revu dans 1 mois chez le Dr. X le 26.03.2019 • patient sera convoqué pour DXA en ambulatoire • Le patient reprendra contact directement avec le Dr. X, dermatologue, si récidive d'un nodule pour biopsie précoce. Laboratoire // Sédiment urinaire Microbiologie : Urotube // Hémocultures Rocephin 2g i.v. du 15.02 au 18.02.2019 Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pour 7 jours au total Laboratoire. Soins de confort. Laboratoire // Spot urinaire // Gazométrie artérielle // ECG // Radiographie de thorax Correction contrôlée de la natrémie avec suivi biologique rapproché Contrôle clinique rapproché Contrôles biologiques des électrolytes chez le médecin traitant 1x/semaine pendant 4 semaines Restriction hydrique à 3000 ml/24h au long cours dans la mesure du possible Laboratoire // Spot urinaire // Gazométrie artérielle // ECG // Radiographie de thorax Hémocultures CT cérébral Contention mécanique et médicamenteuse par Midazolam 3 mg iv (suite à agitation psycho-motrice) le 31.01.2019 uniquement Avis neurologique le 01.02.2019 (Dr. X) : pas d'indication à un EEG (durant l'hospitalisation ou à distance) en raison d'un épisode unique avec causalité claire. Laboratoire // Stix // Sédiment urinaire // ECGCT thoracique Tripple Rule out 14.02.2019 (Dr. X) ETT 14.02.2019 (Dr. X) ETT 15.02.2019 (Dr. X) Avis cardio (Dr. X) Coronarographie le 15.2.2019 (Dr. X) Attitude : • Dose unique d'Arixtra 2,5 mg et Nitré patch 5 mg/24h • Aspirine 100 mg 1x/jour à vie • Clopidogrel 75 mg 1x/jour pour 3 mois. • Contrôle dans 1 mois chez le Dr. X • Ergométrie dans 1 année • Physiothérapie en ambulatoire Laboratoire // suivi clinique Consultation chez le Dr. X prévue le 14.03.2019 à 13h15 pour des soins de support Laboratoire // Suivi glycémie • Adaptation du schéma de Lantus (augmenté à 30 U/jour jusqu'au 25.02.2019) • Poursuite Janumet • Schéma novorapid en R Laboratoire : syndrome inflammatoire à la baisse en comparaison au laboratoire du home. • Poursuite de l'antibiothérapie par Nitrofurantoïne. • Suite de prise en charge chez le médecin traitant. • Recommandation de reconsulter si état fébrile, frissons. Laboratoire : • Syndrome inflammatoire avec leucocytose à 19.2 et CRP à 92 ECG CT abdominal injecté (Transmission oral Dr. X) Aux urgences : • Pantozole 80 mg IVD puis relai 8 mg/h au PSE • Sonde naso gastrique (1700 ml de liquide fécaloïde) • Pip Tazo 4500 mg Attitude : • Hospitalisation en chirurgie • À jeun strict • SNG en aspiration continu • Poursuite Pantozol en continu • Pip Tazo 4500 mg 3x/j (adapté à la fonction rénale) • Laboratoire demain matin Laboratoire : syndrome inflammatoire, CRP 43 mg/l, leucocytose à 13.5 G/l ECG : bloc de branche gauche connu Hémocultures : E. Coli, 1/4 Urotube : négatif Rocéphine 2 g IV aux urgences Poursuite antibiothérapie en dialyse dès le 18.02.2019 par Céfépime sur avis néphrologique (Dr. X) Laboratoire : syndrome inflammatoire, CRP 43 mg/l, leucocytose à 13.5 G/l Gazométrie : insuffisance respiratoire partielle Radio du thorax : pas de foyer, pas de signe de surcharge Sevrage oxygène Laboratoire : syndrome inflammatoire, CRP 71 mg/l, leucocytes 11.9 G/l, urée 11.9 mmol/l, créatinine 112 µmol/l, anémie 114, normocytaire hypochrome D-dimères 1052 ng/mL, bilan hépatique dans la norme, amylase 158 U/l, lipase 59 U/l. ECG : cf. annexes. Scanner thoracique pour recherche d'embolie pulmonaire injecté : comparatif scanner natif du 8 février 2019. Parenchyme pulmonaire : persistance d'une dystélectasie du segment apical du lobe supérieur droit inchangé. Diminution des infiltrats lobaire moyen, lobaire supérieur droit et gauche, et lobaire inférieure des deux côtés. Persistance de petits remaniements pleuro-parenchymateux lobaire supérieur et moyen aspécifique. Médiastin : Pas d'embolie pulmonaire. Pas d'épanchement péricardique. Calcifications coronariennes. Petite adénopathie infra-carinaire relativement stable. Multiples voies de dérivation veineuse après injection i.v. du produit de contraste par le bras gauche en raison d'une veine innominée grêle DD occluse. Plèvre : Pas d'épanchement pleural. Abdomen supérieur : Pas de lésion suspecte. Colonne vertébrale et os : Hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas de lésion suspecte ostéolytique ou ostéocondensante. Reste du volume exploré, sans anomalie notable. Parties molles : status post-mastectomie droite. CONCLUSION : pas d'embolie pulmonaire. Évolution favorable des foyers de pneumonie par rapport au 8 février 2019. (Dr. X) Laboratoire : syndrome inflammatoire Absence de parasite dans les selles Recto-sigmoïdoscopie le 31.01.2019 (Dr. X) Biopsie rectum le 31.01.2019 : compatible avec colite ulcéreuse (RCUH) Avis infectiologique (Dr. X) le 31.01.2019 : cause bactérienne peu probable. Recherche de parasites sur 3 selles sur 3 jours Avis Dr. X le 01.02.2019 : au vu du diagnostic, introduction Prednisone 60 mg/jour pour 1 semaine puis 40 mg/jour Patient sera convoqué pour colonoscopie en ambulatoire au cabinet du Dr. X Laboratoire : tests hépatiques dans la norme. Arrêt de Flucloxacilline. Ad Xyzal 5 mg 1x/jour jusqu'à disparition des symptômes. Contrôle chez le médecin traitant à 7 jours. Laboratoire : tests hépatiques en cours CT scanner thoraco-abdominal le 30.01.2019 Sonographie abdominale 31.01.2019 Avis Dr. X : si drainage percutané, demande auprès des radiologues interventionnels Avis chirurgical : Intervention à distance, à adresser en ambulatoire US voies biliaires le 31.01.2019 Rocéphine du 30.01.2019 Flagyl du 30.01.2019 Laboratoire : tests hépatiques et pancréatiques dans la norme Sédiment urinaire : nitrite nég, Leuco +, sang ++ Urotube 29.01.2019 : Pseudomonas 10E6 Urotube 30.01.2019 : Pseudomonas et E. Coli, antibiogramme en cours Hémocultures 29.01.2019 : négatives RX thorax : pas de foyer CT-abdominal : pas de foyer visualisé, splénomégalie en augmentation, pas de liquide libre, hypodensité au niveau de la prostate avec asymétrie des lobes suspect d'une néoplasie DD abcès sur prostatite Rocéphine 1 g le 29.01.2019 Avis infectiologique (Dr. X) : pas d'argument pour une cause infectieuse, baisse de la CRP sous Rocéphine malgré un Pseudomonas dans les urines. Proposition arrêt antibiothérapie et suivi clinique Laboratoire : trop H0 15, trop H1 43 ECG • Aspegic 500 mg i.v, Plavix 600 mg le 06.02.2019 • Liquemine 5000 UI le 06.02.2019 Coronarographie le 06.02.2019 (Dr. X) : maladie bi-tritronculaire, sténose critique Cx moyenne traitée par stent actif, FEVG 68%. • Aspirine à vie • Plavix pour 6 mois • Lisinopril dès le 06.02.2019 • Atorvastatine dès le 06.02.2019 Laboratoire : • Trop H0 9, H1 9 • Pro BNP à 900 • Pas de syndrome inflammatoire ou de trouble électrolytique ECG : inchangé Radiographie thorax F/P : émousement péri-hilaire avec infiltrat diffus. ligne de Kerley Aux urgences : • Lasix 20 mg IV (1850 ml/3h) • Adalat 10 mg en pré-hospitalier Attitude : • Transfert à Riaz pour manque de place à Fribourg Laboratoire : Troponine H0 = 3, D-Dimères = 194. ECG : sinusal régulier, sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation, sans bloc de branche droit et gauche.Radiographie thoracique: pas de foyer infectieux, pas de syndrome alvéolaire. Antalgie. Myorelaxant. Réassurance. Conseil de réévaluer avec médecin de famille si persistance des symptômes malgré antalgie. Laboratoire : troponines H0 29 ng/l, H1 80 ng/l, H3 200 ng/l, D-dimères à 2000 ng/ml, BNP 5200 ng/l Gazométrie artérielle ECG : présence d'extrasystolie ventriculaire à prédominance de 50% Radiographie de thorax : surcharge cardiaque Scanner thoracique: pas d'embolie pulmonaire Avis cardiologique (Dr. X) : troponinémie dans le contexte de la tachyarythmie. Pas de NSTEMI retenu, dernière coronarographie en 2016 avec coronaires saines. Pas d'indication à une coronarographie en urgence Lasix 29.01 au 30.01.2019 Augmentation du bêtabloquant Bisoprolol 10 mg per os (7.5 mg habituel) Oxygénothérapie du 29.01 au 30.01.2019 Holter du 01.02 au 03.02.2019 : résultats en cours Thermoablation de la tachyarythmie à distance à discuter Laboratoire : troponines H0 57 ng/l, H1 65 ng/l H17 393 Charge en Plavix 600 mg per os 30.01.2019 Reprise Lixiana 01.02.2019, ASA et Plavix 1 mois, puis Plavix seul (avec Lixiana) pour 3 mois puis stop Laboratoire : troponines H0 80 ng/l, H1 105 ng/l; nt-proBNP 7572. ECG : sous-décalage V2-V6 et I-II, sus-décalage en aVR. Gazométrie artérielle : alcalose respiratoire, lactates à 2.4. Radiographie de thorax. US de débrouillage aux urgences FAST (Dr. X) : FAST négatif, aorte fine, pas d'épanchement péricardique. En pré-hospitalier: • Aspirine 500 mg per os. Aux urgences: • Gestion de l'antalgie avec Fentanyl 25 mcg. • Titration de Beloc i.v (dose totale 15 mg). • Atenolol 50 mg. Discussion avec la patiente et la famille (époux, 2 enfants) : patiente ne désire ni de coronarographie ni de dialyse; REA non, tube non, soins non --> soins max étage; à noter qu'une copie des directives anticipées est envoyée avec les transmissions. Attitude: • Transfert à l'Hôpital de Payerne pour prise en charge en extra-cantonal (pas de places disponibles sur le canton de Fribourg. • Prise en charge du SCA avec soins max étage. • Charge en Aspirine donnée par ambulanciers • Pas d'Héparine car patiente anti-coagulée par Sintrom (INR thérapeutique à 3.0). • Pas de double anti-agrégation (car pas de stents). • Si douleurs ad Temgesic. • Si tachycardie ad nouvelle titration de Beloc. • N.B: patiente et famille aimeraient un transfert à Riaz pour suite de prise en charge (néphrologue traitant Dr. X à Riaz, patiente habite à Bulle); selon discussion avec les collègues de Riaz, des places vont se libérer demain dès 10 heures, SVP prendre contact pour un transfert si possible, fille informée par téléphone. Laboratoire : Troponines T hs, CK, CK-Mb dans la norme ECG Antalgie en réserve Suivi clinique Laboratoire : TSH dans la norme, hypovitaminose D Attitude : • substitution Phosphate PO dès le 31.01.2019 • poursuite Calcimagon 2x/j en-dehors des repas • pister PTH (dosé 1x/semaine uniquement) • suivi électrolytique en ambulatoire Laboratoire : TSH 3,310 mU/l, pas de troubles électrolytiques ECG du 15.02.2019 : fibrillation auriculaire rapide à 128/min ETT 20.02.2019 : examen limité en raison de FA rapide à 130-150/min pouvant sous-estimer la fonction systolique VG et les valvulopathies. Consilium de cardiologie du 15.02.2019 (Dr. X) : ad anticoagulation par Elliquis 5 mg 2x/j et US cardiaque Bilol 7 mg iv au service des urgences (1 boucle à 5 mg, 1 boucle à 2 mg) avec bon effet sur la fréquence Poursuite traitement habituel de Bilol 2.5 mg Lisinopril introduit le 21.02.2019 Anticoagulation par eliquis introduit le 15.02.2019 Attitude : • Atrovent à la place du ventolin en raison d'effet tachycardisant • Cardioversion électrique organisée à 3 semaines de la sortie, le patient sera convoqué • Echocardiographie de contrôle à 6 semaines post cardioversion avec Holter 48h 1 semaine auparavant, afin de contrôler la fonction systolique VG et les valvulopathies et d'évaluer l'indication à une coronarographie. Laboratoire : une CRP à 6 mg/l, pas de leucocytose, troponines H0 12 mg/L, H1 12 mg/L, H3 13 mg/L. Radiographie du thorax face/profil : absence d'un bon inspirium. Élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. (Dr. X). ECG : cf. annexes. Laboratoire : urine positive à Gonorrhée et Chlamydia. Suite du dépistage pour HIV déjà prévue au check-point le 18.02.19. Retour à domicile avec suite de prise en charge au check-point. Laboratoire : vide annexes Rx le 15.01.2019 : Comme sur le comparatif, on retrouve une cardiomégalie avec très discrète redistribution vasculaire pouvant être en rapport avec une décompensation cardiaque. Nette majoration de l'épanchement pleural gauche. Pas de foyer pulmonaire clairement visible sur les parties ventilées des poumons. On retrouve une opacité nodulaire en projection de l'apex pulmonaire droit qui semble légèrement majorée par rapport au comparatif, à confronter à un CT. Apparition d'un épanchement pleural de faible quantité du côté droit. ETT le 15.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65% (évaluation visuelle). Aorte normale. Valve aortique normale. Absence de rétrécissement aortique. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Ballonisation des 2 feuillets mitraux. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale moyenne (grade 3/4) par dilatation annulaire. SOR de l'IM à 0,05 cm². Élévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche très dilatée, sans thrombus visible. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. HTAP minime (PAPs à 47 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Foramen ovale perméable avec un shunt important gauche-droit. Absence d'anévrysme du septum interauriculaire. Décollement péricardique systolique isolé localisé latéral, en regard du ventricule droit et apical. Bonne tolérance hémodynamique. ETO le 16.01.2019 : IM modérée, stable, FeVG 60%; épaississement jct atrio-ventriculaire droite, épanchement péricardique à 12 mm, sans répercussion hémodynamique Rx le 18.01.2019 : On retrouve une cardiomégalie avec persistance d'une égalisation vasculaire apicale devant être en rapport avec une légère surcharge hydrique. Émoussement du sinus costodiaphragmatique droit. Status post-drainage de l'épanchement pleural gauche. Pas de pneumothorax. Reste superposable au comparatif. PET-CT (30.01.2019) : Présence d'un important épanchement pleural bilatéral prédominant à droite avec atélectasie parenchymateuse passive des lobes inférieurs prédominant à droite. Dystélectasie lamellaire lobaire moyenne. Épanchement péricardique circonférentiel mesurant 20 mm de plus grande épaisseur en regard des cavités cardiaques droites et 17 mm antérieurement. Ganglions agrandis dans la loge de Barety, sous-carinaires et hilaires gauches. Sous réserve d'un inspirium limité, présence de 2 micronodules pulmonaires suspects de 15 mm sous-pleural du segment apical du LSD et d'environ 12 mm dans le segment apical du LIG. Bronchoscopie (01.02.2019) : Biopsie des lymphonoeuds suspects au PET-CT. Opération compliquée d'un épisode d'instabilité hémodynamique. Laboratoire : vide annexes Rx thorax (04.02.2019) : absence d'embolie pulmonaire segmentaire ou sous-segmentaire visualisée. Aspect superposable des multiples adénopathies médiastinales et hilaires dans le contexte de la sarcoïdose. Image compatible avec une bronchite et probable décompensation cardiaque. CT thoracique (06.02.2019) : absence d'embolie pulmonaire segmentaire ou sous-segmentaire visualisée. Aspect superposable des multiples adénopathies médiastinales et hilaires dans le contexte de la sarcoïdose. Image compatible avec une bronchite et probable décompensation cardiaque. Laboratoire : vide annexes Rx thorax (05.02.2019) : cardiomégalie connue. Opacité basale gauche avec signe de la silhouette cardiaque et de l'hémidiaphragme gauche, DD épanchement, foyer non exclu. Récessus costodiaphragmatique droit libre. Signes de surcharge hydrique. Cadre osseux inchangé. ECG : fibrillation atriale, image de BBG ETT (06.02.2019) : ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie modérée du septum moyen, du septum basal et de la paroi inféro-basale et une hypokinésie minime de la paroi inférieure moyenne et de la paroi septale antérieure basale. FEVG à 50 % (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique asymétrique plus marquée au niveau du septum. Sclérose aortique, d'ouverture conservée. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Épaississement léger des 2 feuillets mitraux. Insuffisance mitrale minime. Élévation franche des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche très dilatée. Oreillette droite modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. Absence d'HTAP (PAPs à 30 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire : vitamine B12 433 pg/ml / vitamine B9 7 pg/ml / ferritine : 268 microgrammes/l / TSH normale en 2016 Avis gastro-entérologue de garde (Dr. X) Consultation anesthésique le 30.01.2019 Colonoscopie/Gastroscopie le 04.02.2019 : pas de source de saignement retrouvée au niveau du tractus supérieur/inférieur Attitude : • seuil transfusionnel Hb < 80 g/l Laboratoire : vitamine B12 671 pg/ml, B9 5.8 ng/l, ferritine 1047 microgrammes/L, récepteur soluble de la transferrine 1.1 mg/l, haptoglobine 1.11 g/l Avis hématologique (Dr. X) : bilan anémie (exclusion autre cause) mais très probable syndrome myélodysplasique, pas de PBM vu l'âge et le contexte. Seuil transfusionnel ambulatoire à sa sortie à Hb < 90 g/l. Au service des urgences : • Pantozol 80 mg iv puis 8 mg/h iv continu • Transfusion 2 CE • Lasix 20 mg dose unique À l'étage : • Transfusion d'1 CE le 12.02.2019 Attitude : • pas de clexane car origine spoliative digestive formellement non exclue • sang occulte dans les selles impossible à réaliser en raison de troubles cognitifs, envisager colonoscopie en ambulatoire • contrôle hémoglobine régulier, seuil transfusionnel ambulatoire Hb < 90 g/l Laboratoire : voir annexes CT orbite + sinus le 04.02.2019 : Pas d'infiltration de la graisse conale ou extraconale des deux orbites. Pas d'épaississement de la musculature extrinsèque des deux côtés. Pas d'anomalie des globes oculaires. Sur le reste du volume exploré, on relève une discrète atrophie cortico-sous-corticale en lien avec l'âge de la patiente. Pas d'hémorragie intra ou extra-axiale. Pas d'effet de masse ni déviation de la ligne médiane. Système ventriculaire symétrique. Citernes de la base libres. Sinus de la face et cellules pétro-mastoïdiennes bien pneumatisées. Pas de lésion osseuse. Arthrose C1-C2. CONCLUSION : Pas d'argument scannographique pour une atteinte granulomateuse des orbites des deux côtés. Bilan à compléter par une IRM centrée sur les orbites selon le besoin. Laboratoire : 544 LDH, gGT 62 U/l (04.02.2019) ECG : rythme sinusal, déviation droite, onde T négative en II et III, V1 jusqu'à V6 (connue) Rx du thorax du 04.02.2019 : infiltrats interstitiels pulmonaires évoquant une fibrose pulmonaire Sonographie Doppler des membres inférieurs du 05.01.2019 : perfusion adéquate des membres inférieurs droite et gauche, fémorale, poplitéale et dans les jambes, totalement comprimables, sans signe de thrombose profonde des deux côtés. Sonographie abdominale du 06.02.2019 : Vésicule biliaire lithiasique sans signe de cholécystite. Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de calcul rénal visible. Angio-CT du 06.02.2019 : Signes d'hypertension artérielle pulmonaire et présence d'un thrombus d'allure chronique au sein de l'artère pulmonaire gauche (non présent sur le comparatif de septembre 2018). Pas d'embolie pulmonaire du côté droit. Adaptation de l'analgésie Laboratoire à 10h : Hb à 102 Laboratoire à 14h : Hb à 90 Prochain laboratoire à 20h Stabilité hémodynamique. Avis chirurgical (Dr. X) : • Hospitalisation en chirurgie • Avis gastro-entérologique Laboratoire. Acétylcystéine iv puis selon schéma sur 21 heures. Hospitalisation pour surveillance. Antalgie aux urgences par Voltaren 75 mg puis titration Morphine : 4 mg. Suivi biologique, clinique. Laboratoire. Adaptation du traitement antalgique. Avis Dr. X, Dr. X et Dr. X, psychiatres. Adaptation du traitement psychiatrique avec introduction d'Escitalopram 10 mg le 11.01.2019. Laboratoire. Ag. urinaires, urotube. ECG. RX thorax. Score de Genève modifié : 8, risque intermédiaire. CT thoracique. Ventolin 0.5 ml - 1 x/jour. Ceftriaxone 2 g iv du 07.01 au 15.01.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Ag urinaires. ECG. RX thorax. Atrovent 250 mcg et Ventolin - 4 x/jour. Pulmicort 0.5 mg - 2 x/jour. Antibiothérapie par Rocéphine 2 g du 08.02 au 11.02.2019 et Klacid 500 mg jusqu'au 10.02.2019. Relais par Tavanic 500 mg - 1 x/jour du 12.02 au 14.02.2019. Fluimucil 200 mg - 3 x/jour. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire : ALAT 48, GGT 173 Sérologie EBV demandée Suivi biologique Laboratoire : ALAT 48, GGT 173 Sérologie EBV : pas d'infection récente Suivi biologique Laboratoire : alcoolémie à 3.41. CT cérébral : lésion hypodense au niveau du pont déjà présente en 2013 mais plus visible, parlant pour une myélinolyse centro-pontique, pas de saignement cérébral, atrophie corticale et sous-corticale surtout au niveau du cervelet. NaCl 0.9 % 500 ml, Trittico 100 mg, Seresta 15 mg, Dafalgan 1 g et Irfen 400 mg aux urgences. Courte hospitalisation aux urgences. Laboratoire : Alcoolémie : 1.7 pour mille Benerva Becozyme Seresta d'office et en réserve CIWA 4 x/J Discuté sevrage selon volonté du patient Laboratoire : aligné, pas de perturbation. Laboratoire : aligné. TSH en cours Hydratation intraveineuse RAD avec traitement symptomatique RDV le 25.02.2019 avec le psychologue pour désir d'IVG, puis le mardi 26.02.2019 pour discussion +/- DIVG Laboratoire aligné. Avis psychiatrique (Dr. X) : • Patient pas inquiétant, peut rentrer à domicile pour la nuit. • Rendez-vous chez le psychologue prévu demain avec discussion suite à la prise en charge. • Mirtazapine 15 mg 1 x/jour au coucher, pour insomnie. Laboratoire : Ammoniémie à 250 umol/l Laboratoire : Ammoniémie à 250 umol/l. Laboratoire. Analyses urinaires. Beta HCG urinaire négatif. Suite en gynécologie : découverte d'un fibrome utérin qui peut expliquer les douleurs. Laboratoire : anémie NC NC stable, légère hypoNa connue, légère augmentation de créatinine plasmatique. Radiographie du thorax face/profil du 23.02.2019 : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Quelques épaississements bronchiques mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Sur le cliché de profil, on visualise trois lames de rasoir au niveau abdominal mais pas de corps étranger radio-opaque visualisé en projection du médiastin. (Dr. X) CT-scan abdominal natif du 23.02.2019 : comparatif du 16 novembre 2018. Examen réalisé sans injection i.v. de produit de contraste. Prise de contraste par voie orale. Abdomen : mise en évidence d'un corps étranger radio-opaque (1550 HU) mesurant 38 x 5 x 6 mm dans le corps gastrique (dd : tête de rasoir selon les dires du patient), ainsi qu'un 2ème corps étranger radio-opaque (3061 HU) mesurant 82 x 23 x 19 mm dans les duodénums D2 et D3 (dd : cure-pipes selon les dires du patient), sans pneumopéritoine ni fuite du produit de contraste au moment de l'examen. Passage du contraste au-delà de l'angle de Treitz avec opacification des anses jéjunales. Pas de liquide libre ni d'infiltration de la graisse abdominale. Pas d'iléus. Dolichocôlon sigmoïdien avec coprostase de l'ensemble du cadre colique. Pour le reste, sous réserve d'un examen réalisé sans injection de produit de contraste, les morphologies des parenchymes hépatiques, spléniques, pancréatiques, rénaux et surrénaliens se présentent normalement. Vésicule biliaire presque vide. On retrouve un pyélon extrasinusal du rein gauche. Les structures urogénitales ont une morphologie normale. Pas de masse ou de collection pelvienne. Multiples phlébolithes dans le pelvis. Calcifications de l'aorte abdominale, du tronc celiac, de l'artère splénique, de l'artère mésentérique supérieure, ainsi que des artères iliaques et fémorales. Pas d'adénopathie, ni de liquide libre intra-abdominal. Déhiscence de la paroi abdominale antérieure avec, sur la ligne médiane, anses digestives se trouvant au-dessous de la peau.Sur les coupes passant par l'étage thoracique: calcifications coronaires tri-tronculaires, ainsi que de la valve aortique. Sous réserve des artéfacts de mouvement dus à la respiration, pas de nodule suspect individualisé. Absence d'épanchement pleural. Troubles ventilatoires lingulaires et dans le lobe moyen. Osseux: absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. Troubles dégénératifs du rachis thoracique bas et lombaire, avec ostéophytes antérieurs et latéraux. Discopathies pluri-étagées avec phénomènes de vides discaux. Arthrose zygapophysaire lombaire. CONCLUSION: ingestion de deux corps étrangers radio-opaques, se situant respectivement dans le corps de l'estomac et dans le duodénum (segments D2 et D3), sans pneumopéritoine, fuite du produit de contraste au moment de l'examen ou de liquide libre. Examen réalisé par télé-radiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg avec résultats transmis à 23h00 au Dr. X. Laboratoire: anémie ECG: RSR, normocarde, axe normal, transition précoce V2-V3, pas de trouble de la repolarisation, pas de signes d'ischémie Hydratation per os Laboratoire. Angio-CT scan. Anticoagulation thérapeutique par Clexane 100mg 2x/j avec première dose donnée aux urgences. Laboratoire. Antalgie par Dafalgan, AINS et opiacés. IRM neurocrâne. Examen ophtalmologique - HFR Fribourg - le 08.02.2019 : neuropathie optique rétrobulbaire gauche. Ponction lombaire le 13.02.2019 avec recherche bandes oligoclonales, négative. Avis neurologique, Dr. X et contrôle neurologique à sa consultation, pas de traitement. Laboratoire. Antalgie par Dafalgan, AINS, myorelaxant et opiacés. Physiothérapie de mobilisation. Laboratoire: ASAT 101 U/l, ALAT 76 U/l, GGT 161 U/l, bilirubine directe 5 mcmol/l, pas de syndrome inflammatoire ECG: pas de signes ischémiques. US au lit du malade (Dr. X): pas de lithiase, probable sludge, grande vésicule, paroi 2-3 mm. US abdominal supérieur: cholécystite débutante avec sludge, 2 lithiases, parois à 3 mm, parenchyme hépatique hétérogène en regard de la vésicule, pas de dilatation des voies intra-hépatiques. Avis chirurgical (Dr. X): indication à une prise en charge chirurgicale. Rocéphine 2 g et Flagyl 500 mg aux urgences. Laboratoire: ASAT 41, ALAT 43, phosphatase alcaline 80, bilirubine directe 5.1. Suivi chez le médecin traitant. Laboratoire: attaché Echographie du cou 04.02.2019: Nombreuses adénopathies cervicales réactives des deux côtés, prédominantes à gauche, mesurant max 12 mm de petit axe, sans signe d'abcédation, compatible avec un statut post-infection ORL. Pas de thrombose de vaisseaux cervicaux. Muscle sterno-cléido-mastoïdien normal des deux côtés. Laboratoire Aux urgences: morphine 9 mg p.o., paracétamol 1 g, alucol 10 ml Ordonnance de Buscopan et Dafalgan Voir médecin traitant pour le suivi psychiatrique Laboratoire. Aux urgences: Tramal gouttes 50 mg, 1 g de Dafalgan effervescent. • Retour à domicile avec majoration du traitement antalgique, contrôle à la filière 34 à 48h. Laboratoire. Aux urgences: hydratation avec NaCl 0.9% iv, Pantozol 40 mg iv. PCR multiplexe recherche pathogène dans les selles négative. RAD avec traitement symptomatique et arrêt de travail. Le patient sera contacté pour le résultat de culture de selles. Laboratoire (avec explication donnée par le médecin). Avis psychiatrie (Dr. X): hospitalisation élective volontaire à Marsens. Laboratoire (avec explication donnée par le médecin). Poursuite Lyrica 50 mg 2x/jour. Ad Urbanyl 5 mg 3x/jour pendant 5 jours le temps d'une reprise du taux plasmatique efficace du Lyrica. Explication donnée à l'éducateur de l'importance d'une prise médicamenteuse précise. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Avis angiologues (Dr. X): absence de thrombose veineuse superficielle, thrombose veineuse profonde, trajet lymphangitique avec deux adénopathies, proposition de prolonger l'antibiothérapie à 14 jours. Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour per os durant 14 jours. Antalgie par Dafalgan et Irfen, Tramal en R. Marquage cutané. Consultation pour contrôle clinique et biologique aux ambulatoires des urgences le 07.02.2019. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Avis chirurgical (Dr. X): ad cholangio-IRM le 06.02.2019, contrôle biologique et clinique le 07.02.2019. Reconsulter si péjoration des douleurs. Laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Avis téléphonique pneumologue (Dr. X): ad contrôle clinique dans 48 heures, rendez-vous en pneumologie pour suivi sarcoïdose le 20.02 à 9h. Retour à domicile, réassurance, suivi aux ambulatoires des urgences dans 48 heures. Laboratoire avec sérologies HIV, EBV, CMV. Contrôle le 12.02.19 au Secteur Ambulatoire des Urgences pour répétition FSS et résultats sérologies. Laboratoire. Avis chir: pas d'argument pour une cholécystite, DD: hépatite. Contrôle biologique des tests hépatiques. Laboratoire. Avis hématologue de garde Dr. X: • optimiser la crase en donnant du Konakion • pas d'indication à une substitution si pas de saignement • si saignement: Haemocomplettan 4-8 g iv ou PFC (plasma frais complet). Bilan avec facteurs de coagulation, V, VII, VIII, activité facteur von Willebrand, fibrinogène. Avis Dr. X le 25.01.2019: • stop Konakion • pas d'indication pour substitution en fibrinogène sauf avant et après intervention • si extraction dentaire ou oesogastroduodénoscopie ad Cyklokapron 1.5 mg 3/24h, 3 jours avant et 3 jours après l'intervention. Laboratoire avis neurologique (Dr. X, Dr. X) avis oncologique (Dr. X) discussion multi-disciplinaire aux urgences (Dr. X, Dr. X, Dr. X, Dr. X, Dr. X): ad soins de confort. Probable rapide dégradation de l'état général et neurologique sur saignement cérébral. Pas d'indication à une imagerie cérébrale car pas de conséquences thérapeutiques. Ad hospitalisation à l'étage pour fin de vie, ad traitement symptomatique, ad traitement anti-épileptique en réserve. Laboratoire. Avis orthopédique (Dr. X) : bursite infectieuse (apparition de rougeur et chaleur). Au vu du syndrome inflammatoire modéré, consultation le 10.02.2019 de contrôle avec laboratoire. Laboratoire • à 14h: 115 mmol/l • à 19h: 111 mmol/l ECG Aux urgences: NaCl 0.9% 1000 ml sur 4h Hospitalisation aux soins intensifs. Laboratoire. Bactériologie. E. COLI résistant à la Ciprofloxacine. LEUC 13,9 (avant 16,9) CRP 135. Sédiment: Leuco ++ (avant +++) Sang +++ (avant ++++) LEUC 21-40 (avant incomptables). Stop Ciprofloxacine. Ceftriaxone IV 2 g aux urgences et suivre avec Céfuroxime po. Laboratoire: baisse du syndrome inflammatoire avec CRP à 20 mg/l, sans Leucocytes.Avis orthopédique Dr. X: au vu de l'amélioration clinique et biologique, consultation au Secteur Ambulatoire des Urgences, à 48H. Laboratoire BENERVA 300 mg IV Stix et sédiment urinaire Spot urinaire Contact assistant oncologie = Dr. X qui suivra Mr. Y le 05/02/19 CAT : • Hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge • Diminution du TORASEMIDE • Reprise ALDACTONE Laboratoire. Bilan anémie. Recherche de sang occulte dans les selles. RX thorax. Transfusion de 2 culots érythrocytaires le 01.02.2019. Lasix 20 mg iv - 3x. Pantoprazol 80 mg iv puis 2 x 40 mg per os. Pas de Clexane vu le saignement. Arrêt de l'aspirine. Suivi biologique. Gastroscopie + colonoscopie le 21.02.2019. Laboratoire. Bilan hépatite et HIV. Avis infectiologique, Dr. X avec rendez-vous de contrôle à sa consultation le 14.02.2019. US abdominal. Konakion 10 mg pendant 2 jours. Laboratoire: bilirubine conjuguée: 352 micromol/L, bilirubine totale 395 micromol/L, ASAT 52 U/L, ALAT 70 U/L Drainage percutané (Dr. X/Dr. X) le 18.02.2019 Cytologie: Promed C2019.231: présence de cellules tumorales malignes de type adénocarcinome. L'aspect cyto morphologique seul ne permet pas de différencier entre un adénocarcinome d'origine pancréato-biliaire et la métastase de l'adénocarcinome colorectal connu, cependant l'immunophénotype de la population tumorale est plutôt en faveur d'une origine colorectal. Cholangiographie par drain le 21.02.2019: Cholangiographie: drain en place, ne drainant pas la totalité du foie CT abdominal du 22.02.2019: drain se terminant correctement Attitude: • rinçage du drain 3x/j puis à 2x/j dès le 26.02 • suivi biologique des tests hépatiques et de cholestase • Stent à rediscuter à distance si bonne évolution • changement du drain biliaire le 24.04 à 9h15. Laboratoire. Bladder scan. Hydratation iv NaCl 0,9 % 1 l/24 h. Irbesartan HCT en suspens du 10 au 12.02.2019. Laboratoire: B12 460 pg/ml, B9 4.5 ng/ml, ferritine 133 microgramme/L Sang occulte dans les selles : 2/3 négatifs, 1/3: douteux Transfusion de 2 CE le 27.01.2019 Attitude: • colonoscopie à envisager en ambulatoire • Seuil Hb > 70 g/l Laboratoire ce jour : cf. annexes. CRP 161mg/L, leucocytes 10.9G/l. Laboratoire: cf annexe Laboratoire: cf annexe. Avis du Dr. X. Antalgie. Arrêt de travail jusqu'au 07.02.2019. Consulter le médecin traitant si les douleurs et les nausées persistent. Laboratoire: cf. annexe Rx bassin et hanches (10.01.2019): Status post mise en place d'une PTH gauche avec matériel intact, en position correcte. Coxarthrose droite avec phénomène d'épaulement à la jonction tête-col. Calcifications vasculaires. CT-thorax, abdomen, hanche gauche (24.01.2019): Pas de notion d'un foyer infectieux ou d'une néoplasie. Suspicion d'un hématome au niveau des tissus mous entourant la prothèse de la hanche gauche. Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatriques précoce de min. 7 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur déconditionnement suite à une implantation d'une prothèse totale de la hanche gauche le 09.01.2019 et par réduction/perte des capacités fonctionnelles au niveau locomoteur, autonomie, nutritionnel et l'état général. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 17 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 16/28 avec tintébin Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 58/24 MMS/CLOCK 24/30 - 4/6 GDS 2/15 Évaluation sociale (5 domaines) 15.01.2019 Colloque interdisciplinaire 1 16.01.2019 Colloque interdisciplinaire 2 23.01.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 19/28 avec tintébin Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 72/27 Laboratoire: cf annexe Angio-CT thoracique du 25.02.2019: Embolie pulmonaire centrale à droite, lobaire supérieure droite se prolongeant dans le segment apical, ainsi qu'au niveau segmentaire latéral du lobe moyen. Cardiomégalie, avec dilatation des cavités cardiaques et hypertrophie myocardique ventriculaire gauche, associée à un épanchement pleural bilatéral de grande quantité, ainsi qu'un épaississement des septas interlobulaires, compatible avec une surcharge dans un contexte d'insuffisance cardiaque. Stabilité en taille de l'anévrisme de l'aorte thoracique ascendante mesurant 42 mm de diamètre. S/p gastrectomie totale avec anastomose du jéjuno-oesophagienne, non compliquée. Echographie transthoracique le 25.02.2019: Discrète dilatation de l'oreillette droite avec une dilatation légère à modérée du ventricule droit. Fonction systolique du VD conservée. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Insuffisance tricuspide minime. Pas d'autre valvulopathie. Laboratoire: cf annexe CT thoraco-abdominal natif le 01.02.2019 Condensation dans les lobes inférieurs correspondant à des foyers de pneumonie. Petit épanchement pleural droit et lame d'épanchement à gauche. Status post anastomose iléo-sigmoïdienne latéro-latérale et fermeture d'iléostomie. Infiltration liquidienne diffuse du péritoine en rapport avec le status post opératoire, sans évidente collection, sous réserve de l'absence de produit de contraste iodé. CT thoraco-abdominal natif le 03.02.2019 Majoration des condensations pulmonaires bilatérales, avec obstruction nouvelle de la bronche segmentaire apicale du LID (DD : broncho-aspiration ?). Anastomose iléo-sigmoïdienne sans signe de complication. CT thoraco-abdominal natif le 10.02.2019 Majoration de l'infiltration parenchymateuse lobaire inférieure droite à l'exception du segment apical légèrement mieux ventilé. Discrète amélioration de la ventilation lobaire inférieure gauche. À l'étage abdominal, pas de collection ni signe d'iléus ou de lâchage anastomotique. En revanche, comblement de la cavité aérique précédemment visible sur la cicatrice de laparotomie faisant suspecter une abcédation, dd sérome sous réserve de l'absence d'injection, à corréler au status local.Laboratoire: cf annexe ECG le 03.02.2019: Bigéminisme supraventriculaire, FC 68/min. Axe gauche. BBD complet. S larges et profondes en DI, DII, aVL, V4-V6. QTc 484 ms. ECG le 04.02.2019: RSR, FC 58/min. Le reste est comparable avec l'ECG du 03.02.2019. ETT le 07.02.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60% (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 11 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. HTAP minime (PAPs à 35 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Absence d'épanchement péricardique. Rx Thorax le 18.02.2019: pas d'infiltrat. Signes persistants d'hypoventilation aux bases pulmonaires. Apport d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 14 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus surdéconditionnement post-choque et par réduction/perte des capacités fonctionnelles sur la locomotion et l'autonomie. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 29 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 16/28 avec tintébin Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 64/22 MMS/CLOCK 25/30 - 6/6 GDS 1/15 Évaluation sociale (5 domaines) 01.02.2019 Colloque interdisciplinaire 1 06.02.2019 Colloque interdisciplinaire 2 13.02.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 16/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 79/26 Laboratoire: cf annexe ECG le 03.02.2019: rythme sinusal régulier, pas de trouble de la conduction ni de la repolarisation, normal. CT cérébral du 05.02.2019: hypodensité temporo-polaire gauche évoquant une lésion hémorragique d'allure séquellaire; hématome sous-dural de la fosse postérieure gauche d'allure chronique. EEG le 07.02.19: rapport en cours CT cérébral et thoracique du 08.02.19: Examen du crâne superposable au précédent, sans rehaussement pathologique après injection de produit de contraste. Status après mise en place d'un drain thoracique droit avec persistance d'un pneumothorax droit. Multiples foyers de pneumonie bilatéraux, principalement postérieurement dans les lobes inférieurs, ainsi que dans le lobe moyen. Présence d'une lésion sous-capsulaire du segment IVa hépatique, hypodense et oblongue de 17 x 11 x 37 mm, aspécifique (DD kyste ? lésion iatrogène ? post-traumatique ?) à corréler à la clinique et à un ultrason si nécessaire. ENMG le 10.02.2019: rapport en cours Laboratoire: cf annexe ECG 07.02.19 : RSR 70/minutes, BAV 1, axe gauche, QRS fin, Sus décalage ST V2-V5 Rx thorax 07.02.19 : Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Surélévation de la coupole diaphragmatique droite, connue. Quelques dystélectasies lamellaires basales droites. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Laboratoire: cf annexe Rx thorax du 12.02.2019: Examen réalisé en position couchée et en incidence antéro-postérieure. Silhouette cardio-médiastinale élargie pouvant être en rapport avec la position. Épanchements pleuraux ddc, plus marqués du côté gauche avec probable condensation de la plage pulmonaire inférieure gauche, sans qu'une surinfection ne soit exclue. Les parties ventilées visibles des plages pulmonaires ne montrent pas de foyer infectieux. Anciennes fractures costales à droite. Calcification du bouton aortique. Omarthrose bilatérale. Rx cheville droite face/profil du 15.02.2019: Ostéopénie diffuse. Status post-ostéosynthèse par plaque vissée de la fibula distale et par vis de la malléole interne avec consolidation satisfaisante des fractures, sans signe de descellement ni d'érosion osseuse suspecte d'ostéomyélite. Rx cheville droite face/profil du 19.02.2019: Examen actuel réalisé sous plâtre. Status post-AMO de la malléole externe sans matériel métallique résiduel mis en évidence. Dans les conditions de l'examen, il n'est pas possible d'exclure une petite fracture secondaire non déplacée. Pas de changement du matériel d'ostéosynthèse en regard de la malléole interne. Le reste de l'examen est superposable. Laboratoire: cf annexe MMS/GDS le 08.02.2019: MMS test 23/30 points, Clock test 4/6 points, GDS test 0/15 points. ECG le 09.02.2019: RSR, FC 64/min. Axe gauche. R/S en V4. Pas de troubles de la repolarisation. QTc 456 ms. Rx thorax le 20.02.2019: rapport en attente Apport d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 7 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus après thromboendartériectomie et pontage fémoro-poplité à gauche. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 17 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement.Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 20/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 54/25 MMS/CLOCK 23/30 • 4/6 GDS 0/15 Evaluation sociale (5 domaines) 08.02.2019 Colloque interdisciplinaire 1 13.02.2019 Colloque interdisciplinaire 2 20.02.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 22/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 69/29 Laboratoire: cf annexe MMS/GDS le 12.02.2019: MMS test 30/30 points, Clock-test 6/6 points, GDS test 3/15 points. Rx Thorax le 18.02.2019: Coeur de taille limite (HTQ 18:35,5 cm). Pas d'infiltrat. Pas d'épanchement pleural. Apport d'une traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 14 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur déconditionnement dans un contexte de lymphome avec nausées post-chimiothérapie. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 26 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 21/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 67/26 MMS/CLOCK 30/30 • 6/6 GDS 3/15 Evaluation sociale (5 domaines) 12.02.2019 Colloque interdisciplinaire 1 13.02.2019 Colloque interdisciplinaire 2 20.02.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 22/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 82/32 Laboratoire: cf annexe MMS/GDS le 23.01.2019: MMS test 25/30 points, Clock test 6/6 points, GDS test 1/15 points. US abdominal du 25.01.2019: Reins de taille normale des deux côtés (mesurant 10,7 cm de grand axe à droite et 10,9 cm à gauche), sans dilatation pyélocalicielle visualisée. Vessie moyennement remplie de manière anormale avec des traces de boucles du cathéter double-J au fond de la vessie. Volume de la vessie urinaire avant la miction environ 268 ml (avec urgence mictionnelle), après la miction environ 175 ml. Une hypertrophie de la prostate connue. ECG le 28.01.2019: RSR, FC 62/min. Axe gauche. BBD complet. QTc 455 ms. Apport d'une traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 7 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur une choc septique et par réduction/perte des capacités fonctionnelles sur la locomotion et l'autonomie. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 11 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 16/28 avec tintébin Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 57/27 MMS/CLOCK 25/30 • 6/6 GDS 1/15 Evaluation sociale (5 domaines) 23.01.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 16/28 avec tintébin Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 64/27 Laboratoire: cf annexe Radiographie de thorax du 19.02.2019: Silhouette cardiaque de taille normale. Déroulement athéromateux de l'aorte thoracique. Pas d'image pathologique en projection des plages pulmonaires hormis des discrets troubles ventilatoires aux bases. Pas d'épanchement pleural. Status post-mise en place d'un PAC sous-clavier droit se terminant en projection de la jonction cavo-atriale, sans complication visible. Le reste de l'examen est sp. Cholangiographie du 21.02.2019: L'intervention et ses complications ont été exposées au patient. Intervention réalisée sous anesthésie générale. Repérage échographique des voies biliaires gauches. Désinfection cutanée et clampage. Ponction échoguidée des voies biliaires du segment III. Opacification des voies biliaires par une petite quantité de produit de contraste. Passage d'un micro-guide et montée de l'introducteur Neff. Identification de la sténose et passage au travers de celle-ci avec un cathéter Cobra 4F et un guide Terumo. Passage jusque dans le duodénum. Contrôle de position Passage d'un guide Amplatz et brossage de la sténose que nous envoyons pour analyse cytologique au laboratoire Promed à Marly. Montée d'un drain biliaire 8.5 F. Position optimale et suture du drain à la peau. CT abdominal du 22.02.2019: Par rapport au comparatif du 08.02.2019, status post-drainage percutané des voies biliaires avec drain se terminant correctement à l'intérieur du duodénum. Diminution de la dilatation des voies biliaires. On retrouve le status post-hépatectomie droite avec visualisation d'une plage hypodense mal délimitée du segment IVb, sans qu'une récidive métastatique ne soit complètement exclue. Apparition d'une ascite diffuse dans les quatre quadrants, aspécifique. Pas de changement des remaniements et de la prise de contraste des feuillets péritonéaux visibles sur le comparatif. Pas de changement des quelques petites adénopathies à proximité de la petite courbure gastrique.Pas de changement du cavernome porte avec multiples varices gastro-œsophagiennes. Le reste de l'examen est superposable. Laboratoire: cf annexe RX du thorax le 22.02.2019: Infiltrats micronodulaires bronchiolaires des deux plages pulmonaires et épaississement péri-bronchique diffus. Emphysème pulmonaire. Suspicion d'épanchement pleural gauche sous réserve d'un mauvais dégagement du récessus costo-diaphragmatique gauche. Silhouette cardio-médiastinale par ailleurs sans particularité. Cadre osseux et tissus mous également. Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Laboratoire (cf annexes) Laboratoire: cf annexes. Laboratoire: cf annexes. Avis du Dr. X, orthopédiste. Brufen 400 mg 3x/jour. Surélévation de la main. Contrôle en filière des urgences ambulatoires le 11.02 à 10h30. Laboratoire: cf annexes. Avis du Dr. X. Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour et Klacid 250 mg 2x/jour pendant 1 semaine. Nexium 40 mg 1x/jour pendant 1 mois. Contrôle des selles dans 2 mois. Laboratoire: cf annexes. Consilium angiologique le 18.02.2019: pas de thrombose veineuse profonde ni superficielle du membre inférieur droit. Dermite sous-cutanée suite à une stase en raison d'un serrage trop important des chaussures de ski. Contention élastique par bandes du lever au coucher jusqu'au genou droit et stop Xarelto. Laboratoire: cf annexes CT abdominal le 20.02.2019: Colite descendante diverticulaire avec quelques bulles de gaz extra-luminal à proximité mais sans abcès et sans signes de perforation libre. Laboratoire: cf annexes. CT-scanner cérébral natif du 05.02.2019: absence de comparatif CT. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Système ventriculaire et citernes de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas d'altération des sillons cérébraux. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. CONCLUSION: CT cérébral dans la norme, sans lésion traumatique. Pas de saignement intra-crânien. Laboratoire: cf annexes. CT-scanner cérébral natif du 07.02.2019: absence de comparatif CT. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Os accessoire entre le condyle occipital et l'articulation facettaire supérieur de C1 à droite. Petit hématome des tissus mous périorbitaires à droite avec emphysème sous-cutané. Pas d'infiltration de la graisse orbitaire ou de corps étranger. Absence d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Ectasie des citernes basales et mésencéphaliques ainsi que du système ventriculaire. Hypodensité diffuse de la substance blanche péri-ventriculaire devant correspondre à une leuco-araïose. Élargissement des sillons cérébraux et cérébelleux. Élargissement de la fosse sylvienne droite. Les structures médianes et les calcifications physiologiques sont en position normale. Déviation de la cloison nasale vers la droite avec éperon vomero-septal droit. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. Status post phakectomie bilatérale. CONCLUSION: petit hématome des tissus mous périorbitaires à droite. Absence d'autre lésion traumatique, pas de saignement intracrânien ou de fracture. Atrophie cérébrale avec leuco-araïose. Laboratoire: cf annexes. CT-scanner cérébral natif du 09.02.2019: acquisition tomodensitométrique hélicoïdale cérébral en phase native. Pas d'hémorragie intra ou extra-axiale ni effet de masse ni déviation de la ligne médiane. Système ventriculaire symétrique. Citernes de la base libres. Selle turcique sans particularités. Athéromatose calcifiée des siphons carotidiens. Volumineux hématome dans les parties molles sous-cutanées en pariétal postérieur paramédian gauche. Comblement de quelques cellules ethmoïdales à gauche. Autres sinus de la face et cellules pétro-mastoïdiennes bien pneumatisés. Orbites sans particularité. En fenêtre osseuse, pas de lésion post-traumatique. CONCLUSION: pas de lésion post-traumatique cranio-encéphalique. Hématome sous-galéal et dans les parties molles sous-cutanées de la région pariétale postérieure paramédiane gauche. Laboratoire: cf annexes. Dépistage HAV, HBV, HCV. Rendez-vous en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle et la communication des résultats le 01.03 à 11h. Laboratoire: cf annexes. Diminution du Sintrom le soir du 09.02 à 0.5 au lieu de 3 puis reprise de son schéma habituel. Laboratoire: cf annexes. ECG à l'arrivée (21h43): rythme irrégulièrement irrégulier à conduction ventriculaire normocarde. QRS à 71°, axe à 70°, transition de l'onde R en V5. Absence d'onde Q. Pas de troubles de la repolarisation. QTc non interprétable. ECG long (22h00): rythme régulièrement irrégulier en flutter auriculaire typique antihoraire à conduction à 4:1, 3:1 et 2:1. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. IRM du neurocrâne native et injectée et des carotides injectées du 15.02.2019: absence d'examen antécédent à disposition. Structures médianes en place. Système ventriculaire de topologie et morphologie en relation avec l'âge du patient. Bonne délimitation des noyaux gris centraux et du ruban cortical. En pondération FLAIR, en séquence de diffusion et en T2, absence d'altération de la substance blanche en faveur d'une atteinte ischémique récente ou ancienne visible. Absence d'artéfact de susceptibilité en T2* pour une atteinte hémorragique intraparenchymateuse ou des espaces méningés. Les séquences pondérées T1 avec saturation de graisse au niveau du cou ne montrent pas d'argument pour une dissection des artères vertébrales ou carotidiennes. Les séquences angiographiques des troncs supra-aortiques démontrent une origine la plus fréquente de ces derniers. Calibre conservé des axes carotidiens. Dominance de l'artère vertébrale gauche. Tronc basilaire tortueux sans formation anévrismale visible. Fin rameau V4 droite versus artère vertébrale se terminant en pica (les séquences injectées s'effectuant après interruption momentanée de l'examen). Pas d'effet de masse ou de prise anormale de produit de contraste sus ou sous-tentoriel.CONCLUSION: absence d'argument IRM pour une dissection des artères vertébrales ou carotidiennes visible. Absence de lésion ischémique ou hémorragique intraparenchymateuse ou des espaces méningés, sus ou sous-tentoriel. En 1er lieu, artère vertébrale droite se terminant en pica. Dominance de l'artère vertébrale gauche. Dr. X Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Nifédipine 20 mg retard aux urgences. Pister documents extracantonaux et rapports radiologiques. Continuer Amlodipine 10 mg 1-0-0. Ajout Belok Zok 25 mg 1-0-0. Ajout Temesta 1 mg en R si angoisse ou crise hypertensive liée au stress, jusqu'à 2x/jour, ne pas conduire après la prise. Retour à domicile. En cas de récidive, nous proposons un bilan de dépistage avec échographie doppler des artères rénales et urines de 24h afin d'écarter une hypertension secondaire (sténose d'artère rénale ou phéochromocytome). Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Dafalgan 1 g 4x/jour, Lyrica 75 mg 1-0-0-1 durant 7 jours, Novalgine en R. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Reconsulte les urgences si péjoration des douleurs ou apparition de symptômes nouveaux. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Echocardiographie transthoracique: décrite ci-dessous. Retour à domicile avec Torem 5 mg. Contrôle chez le médecin traitant le 11.01.2019. Contrôle rapproché auprès de son cardiologue. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. Stabilisation des valeurs tensionnelles. Carnet tensionnel à domicile pendant 2 semaines. Rendez-vous chez le médecin traitant pour adaptation du traitement. Laboratoire: cf annexes. ECG du 04.02.2019 : RSR à 60 bpm, bloc AV 1er degré, bloc de branche gauche connu, segment ST isoélectrique, onde T négative V1-V4 connues Gazométrie du 04.02.2019, sous O2 2 lt/min : pH 7.42, satO2 96.4%, pCO2 5.75 kPa, pO2 10.4 kPa, HCO3- 27.5 mmol/l, COHb 1.5%. Gazométrie du 13.02.2019, sous O2 1 lt/min : pH 7.43, satO2 95.5%, pCO2 5.35 kPa, pO2 10.1 kPa, HCO3- 26.4 mmol/l, COHb 2.0%. Spirométrie du 05.02.2019 : CVF 72% du prédit, VEMS 68% du prédit, Tiffeneau 72% (qualité B). Radiographie thorax du 05.02.2019 : élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. Epanchement pleural bilatéral de faible abondance. Important épaississement de la trame bronchovasculaire. Aorte déroulée et calcifiée. US abdomen complet natif du 07.02.2019 : pas d'ascite. Dilatation des veines hépatiques discrète. Pas de calcul dans la vésicule ou dilatation intra ou extra hépatique Test des 6 minutes, à l'entrée, sous O2 4 lt/min : distance parcourue 240 m (avec rollator). FC 51-69 bpm, TA 125/54 mmHg - TA 140/79 mmHg, satO2 100% - 80%, EVA dyspnée 2/10 - 6-7/10. Test des 6 minutes, à la sortie, avec SimplyGo niv 2 : distance parcourue 375 m. FC 66-80 bpm, TA 137/62 mmHg - TA 160/89 mmHg, satO2 88% - 76%, EVA dyspnée 2/10 - 5-6/10. Laboratoire: cf annexes. ECG du 11.02.2019 : RSR à 80 bpm, BAV de 1er degré, QRS fin, sus décalage du segment ST en DII, DII aVF et sous-décalage en aVR et sus-décalage de 1 mm en V1 (déjà présent en 2013), pas d'onde T négative. Gazométrie du 11.02.2019 à l'air ambiant : pH 7.42, satO2 95.4%, pCO2 5.27 kPa, pO2 9.2 kPa, HCO3- 24.9 mmol/l, COHb 3.1%. Spirométrie du 12.02.2019 : CVF 70% du prédit, VEMS 26% du prédit, Tiffeneau 29.4%. Radiographie thorax du 12.02.2019 : aplatissement des coupoles diaphragmatiques, augmentation de l'espace rétrosternal, pas de foyer visualisé Test des 6 minutes, à l'entrée, à l'air ambiant : distance parcourue 410 m. FC 87-93 bpm, TA 88/73 mmHg - TA 132/86 mmHg, satO2 96% - 96%, EVA dyspnée 0/10 - 7-8/10. Laboratoire: cf annexes. ECG du 14.01.2019 : rythme sinusal à 92 bpm, PR à 160 ms, QRS fins à 80 ms avec un axe à 60°, QTc à 408 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, T concordants dans toutes les dérivations. ECG du 18.01.2019: ECG superposable. ECG du 21.01.2019: ECG superposable. Gazométrie du 14.01.2019, à l'air ambiant: pH 7.45, pCO2 5.75 kPa, pO2 8.2 kPa, HCO3- 29.7 mmol/l, SpO2 93.2%. Spirométrie du 15.01.2019 : CVF 58% du prédit, VEMS 29% du prédit, Tiffeneau 39.2%. Spirométrie du 31.01.2019 : CVF 43% du prédit, VEMS 19% du prédit, Tiffeneau 35.2% (mauvaise qualité d'examen). Radiographie thorax du 15.01.2019: distension pulmonaire bilatérale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. Radiographie colonne lombaire face/profil du 31.01.2019 (comparé au scanner de mai 2017) : sacralisation de L5. Examen effectué de D9 jusqu'au sacrum. Perte de hauteur du corps vertébral de L1 et de D11, connue et inchangée par rapport au scanner du 05.01.2017. Les autres corps vertébraux sont de hauteur conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs, hormis en L4-L5 où l'on note un antélisthésis de grade 1 de L4 sur L5. Calcification de l'aorte abdominale. Répartition du gaz intestinal physiologique. 2 petites structures calcifiées en surprojection du petit bassin à gauche DD phlébolites versus ganglions calcifiés. Evaluation neuropsychologique du 21.01.2019 : cf rapport. Test des 6 minutes, à l'entrée : distance parcourue 440 m. FC 103-132 bpm, TA 160/93 mmHg - TA 188/86 mmHg, satO2 91% - 83% (95% après 3'), dyspnée EVA 2/10 - 6/10. Test des 6 minutes, à la sortie : distance parcourue 360 m (douleurs lombaires). FC 92-135 bpm, TA 126/69 mmHg - TA 147/81 mmHg, satO2 95% - 79% (90% après 1'40''), dyspnée EVA 0/10 - 6/10. Laboratoire: cf annexes. ECG du 21.01.2019 : rythme sinusal à 89 bpm, PR 146 ms, QRS fins à 88 ms avec un axe à 0°, QTc à 444 ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Gazométrie du 21.01.2019, sous O2 1 lt/min: pH 7.45, pCO2 4.78 kPa, pO2 9.4 kPa, SpO2 96.3%, HCO3 24.3 mmol/l. Spirométrie du 22.01.2019 : CVF 64% du prédit, VEMS 21% du prédit, Tiffeneau à 26.9%. Spirométrie du 05.02.2019 : CVF 63% du prédit, VEMS 18% du prédit, Tiffeneau à 24.5%. Diffusion du CO du 05.02.2019 : DLCO 26%. Oxymétrie nocturne du 23.01.2019, sous O2 1 lt/min : SpO2 moyenne 94.1%, 4 événements de désaturation. Radiographie thorax du 22.01.2019 (comparatif du 11.01.2018) : on retrouve de grand volume pulmonaire, avec un discret remaniement de la trame pulmonaire, une augmentation du diamètre antérieur postérieur et une augmentation de l'espace clair rétrosternal compatible avec un emphysème. Pas de foyer de pneumonie. Petite dystélectasie basale G connue inchangée. Structures cardiovasculaires du médiastin inchangées, sans cardiomégalie, sans signe pour une insuffisance cardiaque décompensée. Déroulement de l'aorte thoracique. Ostéopénie, cyphose thoracique et tassement dorsal bas, connus. Echocardiographie du 26.01.2019 (Dr. X) : cavités cardiaques: dilatation légère de l'OG à 21 cm2. VGtd à 50 mm. Épaisseur pariétale: HVG concentrique (13.5 mm). Pas d'HVD. Cinétique segmentaire: normale et homogène; FE VG à 65% avec dysfonction diastolique de type I. Pressions de remplissage normales. Péricarde sec. Veine cave inférieure plate et compliante aux mouvements respiratoires. Valvules: calcification aortique dégénérative banale secondaire à l'âge responsable d'une minime fuite aortique (SR 0.15 cm2); calcification du feuillet antérieur surtout et anneau sclérosé; bonne mobilité des feuillets. Pas de fuite. Sclérose pulmonaire banale, minime fuite. Fuite tricuspide minime. Pas d'HTAP. CCl HVG avec bonne fonction VG.US abdomen du 07.02.2019 : une petite plage hypoéchogène au sein de la tête du pancréas aspécifique, à confronter aux données d'une IRM abdominale pour mieux caractériser cet organe (foyer de pancréatite ? la patiente présente en effet des douleurs lors du passage de la sonde. Autre ?). Reste de l'abdomen dans les limites de la norme. Nous n'avons pas effectué de résidu post-mictionnel au vu de la faible réplétion en début d'examen. Pas de liquide libre. Discrète stéatose hépatique. Test des 6 minutes, à l'entrée, sous O2 1 lt/min : distance parcourue 280 m. FC 94-90 bpm, TA 184/109 mmHg - TA 203/121 mmHg, satO2 92% - <80% (90% ap 2'), EVA dyspnée 2/10 - 8/10. Test des 6 minutes, à la sortie, sous O2 1 lt/min : distance parcourue 285 m (avec un rollator). FC 81-91 bpm, TA 137/84 mmHg - TA 170/108 mmHg, satO2 95% - 69% (90% ap 3'20''), EVA dyspnée 1/10 - 8/10. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 58/min, PR 164 ms, QRS fins à 74 ms, d'axe 56°, transition de l'onde R en V3, ST iso-éléctriques, QTc 395 ms. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier, axe vertical, fréquence 75 bpm, BBD incomplète, sus décalage ST de 1 mm en V2-V3, ondes T négatives en D3. Radiographie de la colonne cervicale face/profil/axiale et CT-scanner de la colonne cervicale natif du 05.02.2019 : absence de comparatif CT. Rectitude de la colonne cervicale. La morphologie des corps vertébraux, des disques intervertébraux, des processus latéraux et épineux est normale. Pas de fracture ou de luxation. Pas de tuméfaction des tissus mous pré-vertébraux. Pas d'altération de la structure osseuse et pas d'ostéolyse. La partie visible des apex pulmonaire et la filière pharyngolaryngée se présentent normalement. CT-scanner cérébral natif du 05.02.2019 : absence de comparatif CT. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Tuméfaction des tissus mous en région occipitale. Absence d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Système ventriculaire et citernes de morphologie normale. Kyste arachnoïdien de la fosse postérieure. Selle turcique partiellement vide. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas d'altération des sillons cérébraux. Kyste de rétention du sinus sphénoïde droit et comblement de quelques cellules ethmoïdales droites. Sinus para-nasaux, oreilles moyennes et cellules mastoïdes libres. CONCLUSIONS : pas de lésion traumatique et notamment pas de saignement cérébral ni de fracture du crâne ou des cervicales. Laboratoire : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier, normocarde à 54 bpm, axe normal à 49°, QRS fins à 80 ms, segment ST isoélectrique. Onde T1 négative en V1 concordant. Transition de l'onde R en V3. QTc à 398 ms. Radiographie du thorax face/profil du 26.02.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Multiples épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire : cf annexes. Gazométrie : cf annexe. Radiographie du thorax et cou tissu mou : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, ORL de garde. Tox info : surveillance de 6h aux urgences. Laboratoire : cf annexes. Hémocultures Urines stix et sédiment Urotube US abdominal : persistance d'une dilatation pyélocalicielle bilatérale inchangée. PET-CT 21.02 : mise en évidence d'une intense hypercaptation vésicale correspondant à la tumeur diffuse connue, avec une suspicion de métastase ganglionnaire rétro-péritonéale para-médiane droite autour de L3. Absence d'autres lésions hypermétabolique. Laboratoire : cf annexes. Histologie : cf annexes. Laboratoire : cf annexes. Histologie : cf annexes. Ultrason abdomen 31.01.2019 : appendicite phlegmoneuse aiguë, avec lame de liquide libre péri-caecale. Laboratoire : cf annexes. IRM de l'abdomen natif du 26.02.2019 : nous n'avons pu effectuer qu'une seule séquence en raison de la claustrophobie du patient. Il s'agit d'une séquence en coupes axiales en pondération T2 de bonne qualité. Sur cette unique séquence, on ne met pas en évidence de dilatation des voies biliaires intra ou extra-hépatiques ni de calcul au sein des voies biliaires. Le foie présente des contours réguliers, sans lésion focale suspecte. Le foie gauche n'est peu voire pas développé. St/p cholécystectomie. La rate est de taille et de morphologie normales. Le pancréas est de taille et de morphologie normales, sans lésion focale. Les glandes surrénales sont fines. Le rein gauche est unique, avec une hypertrophie compensatrice. Pas d'hydronéphrose. Pas de lésion focale sous réserve de l'absence d'injection iv de produit de contraste. Les portions visibles de l'intestin se présentent normalement. Bases pulmonaires : pas d'épanchement pleural. CONCLUSION : pas de dilatation des voies biliaires. St/p cholécystectomie. Pas de lithiase visible au sein des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. Rein unique à gauche. Laboratoire : cf annexes. Pas de sédiment sur début de règles et absence de symptôme. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. ECG : cf annexe. Avis et passage du Dr. X, chirurgien. Ultrason le 27.02 à 10h15. Consultation chez le médecin traitant la semaine prochaine pour discuter des résultats. Carte du Dr. X donnée à la patiente. Laboratoire : cf annexes. Radiographie des 3ème et 4ème doigts droits du 09.02.2019 : contenu calcique dans la norme. Remaniements dégénératifs interphalangiens distaux du 3ème et 4ème doigt avec pincement articulaire global et réaction ostéophytaire. Tuméfaction des parties molles péri-phalangiennes. Pas de volumineuse destruction osseuse visible. Opacité de faible tonalité calcique en projection des parties molles sur le versant radial des articulations interphalangiennes distales surtout marquées au niveau du 3ème rayon. Goutte sous-jacente ? Laboratoire : cf annexes. Radiographie du coude droit du 02.02.2019 : rapports articulaires physiologiques. Pas d'épanchement intra-articulaire. Tuméfaction des parties molles péri-olécrâniennes avec quelques bulles d'air pouvant correspondre à une bursotomie traumatique olécrânienne. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du poignet gauche : fracture multi-fragmentaire de l'EDR avec bascule postérieure d'environ 24°. On visualise également une fracture peu déplacée distale du cubitus. Radiographie du thorax face : cœur de taille à la limite supérieure de la norme en tenant compte de la position assise. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Traitement symptomatique. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax face/profil du 09.02.2019 : comparatif du 04.01.2018. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. On retrouve de discrets épaississements bronchiques péri-hilaires bilatéraux (contexte de tabagisme ?). Accentuation péri-bronchique péri-hilaire droite à peine plus marquée que précédemment. Foyer infectieux débutant ? Remaniement des arcs costaux post-anciennes fractures consolidées à droite. Laboratoire : cf annexes. Radiographie du thorax face/profil : pas de comparatif. Cœur à la limite supérieure de la norme. Flou péri-hilaire avec épaississement bronchique. Discrète augmentation de la trame interstitielle. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Ostéopénie. CONCLUSION: pour l'âge du patient, le cœur est à la limite supérieure de la norme (clinique pour une péricardite ? insuffisance cardiaque ?). Épaississement bronchique DD infectieux versus insuffisance cardiaque décompensée. À corréler à la clinique. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Rinçage à l'aiguille boutonnée par NaCl 0.9% et Bétadine. Pansement par compresse et Mefix. Suivi clinique chez la Dresse X le 20.02.2019. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Avis du Dr. X, chirurgien. Uro CT: décrit ci-dessous. Avis du Dr. X, urologue. CT-scanner abdomen: décrit ci-dessous. Rendez-vous le 27.02.2019 à 9h45 pour faire une cystoscopie chez le Dr. X. Xarelto en pause sur demande du Dr. X. Antalgie à domicile. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. CT-scanner abdominal: décrit ci-dessous. Traitement symptomatique avec antalgie anti-inflammatoire et Pradif. Filtrage des urines. Contrôle chez son médecin traitant afin d'organiser un rendez-vous urologique. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. CT-scanner abdominal natif du 09.02.2019: acquisition tomodensitométrique hélicoïdale abdomino-pelvienne en phase native. Pas de comparatif. L'analyse des voies urinaires du côté gauche révèle une infiltration de la graisse péri-rénale et un rein d'aspect légèrement tuméfié avec une dilatation du pyélon jusqu'à 1,4 cm et de l'uretère en aval jusqu'à un calcul situé à la jonction urétéro-vésicale gauche de 4 mm. Pas d'anomalie des voies urinaires du côté droit. Sur le reste de l'examen, sous réserve d'une phase native, le foie est de parenchyme homogène et contours réguliers. Hypodensité liquidienne bien délimitée, évoquant un kyste biliaire du segment II. Pas de dilatation des voies biliaires. Vésicule biliaire sans calcul radio-opaque ni signe de cholécystite. Surrénales, rate et pancréas sans particularité. Pas d'adénopathie. Pas de liquide libre. Utérus et annexes sans particularité. Aorte sans particularité. En fenêtre osseuse, pincement discal avec phénomène de vide discal en L5-S1 avec protrusion postéro-supérieure de contenu aérique le long du mur postérieur de L5. Pas de lésion suspecte au lytique ou condensante. CONCLUSION: lithiase de 4 mm à la jonction urétéro-vésicale gauche avec dilatation urétéro-pyélique en amont jusqu'à 1.4 cm au niveau du hile rénal gauche. Pas d'autre anomalie. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Radiographie du thorax: décrite ci-dessous. Traitement symptomatique. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Radiographie du thorax face/profil du 09.02.2019: comparatif du 17.02.2017. Cœur de volume dans la norme. St/p mise en place d'un Riveal. Pas de signe de décompensation cardiaque. Pas de fracture de côtes, pas de pneumothorax ni d'épanchement pleural. Absence de fracture/tassement des corps vertébraux. Pas d'air libre sous les coupoles diaphragmatiques. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Radiographie du thorax face/profil du 18.02.2019: aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. (Dr. X) Radiographie de la colonne dorsale face/profil du 18.02.2019: alignement conservé des murs vertébraux. Pas d'image de tassement vertébral. Si forte suspicion de fracture, à compléter par un CT à distance. (Dr. X) Radiographie de la colonne lombaire face/profil du 18.02.2019: lordose anatomique conservée. Les espaces discaux sont de hauteur conservée. Alignement conservé des murs vertébraux. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Test de grossesse urinaire: négatif. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexe. Uricult: cf annexe. RPM: 40 ml Avis du Dr. X, urologue. Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pour 6 semaines. Antalgie par anti-inflammatoire. Reconsulter en cas d'état fébrile. Suivi chez le Dr. X. Suivi clinique et biologique et pister Uricult en filière des urgences ambulatoires le 05.02. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexes. Avis et passage du Dr. X, chirurgien. Consultation clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 27.02 à 9h00. Avertir le Dr. X. Consultation avant si péjoration brutale. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: cf annexes. Recherche de Ag H. Pylori dans les selles. Pantozol 40 mg 2x/jour, Ulcar en R. Rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires le 05.02 pour contrôle et retour des résultats. +/- OGD si recherche H. Pylori négative. Laboratoire: cf annexes. Sédiment urinaire: hématurie ++, leucocyturie +, absence de nitriturie/bactériurie, test de grossesse urinaire négatif. Laboratoire: cf annexes. Stick urinaire: cf annexe. Ultrason du système urogénital et des parties molles du 14.02.2019: les 2 reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie en semi-réplétion présente des parois fines et l'on ne visualise pas de pathologie gynécologique. Pas de hernie inguinale gauche mise en évidence, notamment à la manœuvre de Valsalva. On ne visualise par ailleurs pas d'anomalie à l'insertion du muscle grand droit à gauche qui se présente symétriquement par rapport au côté controlatéral. CONCLUSION: pas de cause objectivée à la symptomatologie de la patiente. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Stix et sédiment urinaire: cf annexe. Avis du gynécologue de garde à l'HFR Fribourg: consultation chez eux durant la nuit. La patiente part au HFR Fribourg par ses propres moyens. Laboratoire: cf annexes. Stix et sédiment urinaire: cf annexe. Radiographie du thorax face du 18.02.2019: aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. (Dr. X) CT-scanner de l'abdomen natif et injecté du 18.02.2019: examen réalisé avant et après injection iv de 100 ml de Iomeron 400. Le foie est de taille et de morphologie normale, présentant une prise de contraste focale sous-capsulaire de 6 mm dans le segment II, aspécifique (DD: hémangiome ?). Perméabilité préservée de la veine porte et des veines sus-hépatiques. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extrahépatiques. Pas de calcul radio-opaque n'est objectivé au sein de la vésicule biliaire. Les surrénales, la rate, le pancréas et les reins se présentent normalement, sans signe d'atteinte traumatique. Rate accessoire de 11 mm. Pas de dilatation des systèmes excréteurs. Les structures urogénitales pelviennes ont une morphologie normale. Pas d'anomalie de l'aorte ou de la veine cave inférieure. Veine rénale gauche rétro-aortique. Diverticulose sigmoïdienne. Absence de liquide ou d'air libre intra-abdominal. Pas d'adénopathie rétropéritonéale ou mésentérique. Sur les coupes passant par les bases pulmonaires, mise en évidence de discrets infiltrats dans le lobe moyen, aspécifiques. Au niveau osseux, discopathie L5-S1. Séquelles de maladie de Scheuermann. Remaniements dégénératifs des articulations sacro-iliaques et coxo-fémorales. Pas de fracture. CONCLUSION: pas de lésion traumatique décelée. Note: examen effectué sur le site de Riaz et interprété sur le site de Fribourg. Résultats transmis par téléphone au Dr. X à 19h00. (Dr. X)Laboratoire: cf annexes. Stix urinaire: 1 croix de sang. Radiographie du bassin du 02.02.2019: ossification ovale mesurant environ 7 cm de long par environ 2,3 cm de petit diamètre en regard de la tubérosité ischiatique droite, à corréler aux antécédents du patient. A gauche, petit fragment osseux détaché de l'épine ischiatique devant correspondre à un petit fragment fracturaire d'une fracture de l'ischion. Le reste de la tubérosité ischiatique ne montre pas de déplacement. (Dr. X) Ultrason de l'abdomen complet natif du 02.02.2019: le foie est de taille et de morphologie normales. Examen hépatique effectué essentiellement par voie intercostale. Hyperéchogénicité diffuse du parenchyme. Pas de lésion focale échographiquement décelable. Pas de dilatation des voies biliaires intra- ou extra-hépatiques. Vésicule biliaire aux parois fines, au contenu liquidien, anéchogène. Flux veineux porte hépatopète. Pancréas non visualisé en raison d'interpositions aéro-digestives. Rate de taille et de morphologie normales (92 mm de plus grand axe). Rein D de 112 mm et rein G de 116 mm de plus grand axe. Bonne différenciation cortico-médullaire. Pas de dilatation des voies urinaires excrétrices. Vessie aux parois fines, au contenu liquidien, anéchogène. Aorte abdominale de calibre normal (15 mm de diamètre). Pas de liquide libre dans l'abdomen. CONCLUSION: stéatose hépatique, sinon, ultrason abdominal dans les limites de la norme. Pas de liquide libre intra-abdominal. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Stix/sédiment urinaire: cf annexe. Test de grossesse: négatif. Ultrason du système urogénital du 18.02.2019: les 2 reins sont de taille normale, de contours réguliers, bien différenciés. Pas d'image de dilatation des cavités rénales. La vascularisation rénale est conservée de façon bilatérale. Vessie à parois fines, à contenu homogène. CONCLUSION: ultrason de l'appareil urinaire sans anomalie. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Substitution Kcl 40 meq iv et Nacl 0.9% 1000 ml aux urgences. Substitution Kcl 10 mmol cp jusqu'au 05.02.2019. Contrôle biologique par le médecin traitant. Laboratoire: cf annexes. Suivi biologique en filière des urgences ambulatoires. Laboratoire: cf annexes. Test de grossesse urinaire: négatif. Radiographie du thorax face/profil du 09.02.2019: silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Discrète accentuation bronchique péri-hilaire droite. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité. (Dr. X) Laboratoire: cf annexes. Ultrason abdominal le 09.02.2019: Appendicite aiguë sans signe de complication. Polykystose connue. Histologie : cf annexes Laboratoire: cf annexes. Xarelto 15 mg 1x. Consilium en angiologie avec Doppler ultrason du membre inférieur droit. Contention élastique par bandes jusqu'au genou à garder du lever au coucher. AINS. Antalgie. Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Laboratoire: cf annexes Analyses urinaires CT abdominal: retrait de la néphrostomie droite avec tuyau présent entre le muscle oblique interne et le muscle transverse avec dilatation pyélo-calicielle droite de 38 mm, suspicion de pyélonéphrite droite, pas de dilatation pyélo-calicielle gauche. Scintigraphie-FDG: amélioration symétrique de la fonction rénale en rapport avec la scintigraphie du 14.11.2018. Stase urinaire gauche ne répondant pas au changement de position. Amélioration de l'écoulement urinaire droite. Laboratoire: cf annexes. Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 03.02.2019: Examen des vaisseaux cérébraux et précérébraux dans la norme. Pas d'argument scannographique en faveur d'une lésion ischémique ou hémorragique. Bilan à compléter par une IRM cérébrale. Emphysème paraseptal épars aux apex pulmonaires. IRM cérébrale le 04.02.2019: AVC ischémique aigu de la queue du noyau caudé, corona radiata et du bras postérieur de la capsule interne droite sans transformation hémorragique. Perméabilité des réseaux vasculaires artériel et veineux. Echographie cardiaque transthoracique le 04.02.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence de passage des microbulles en repos et après Valsalva (manoeuvre de Valsalva limitée en raison de l'hémisyndrome), mais présence d'un anévrysme au niveau du septum interauriculaire. Absence d'épanchement péricardique. Echographie cardiaque transoesophagienne le 06.02.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Excès tissulaire du feuillet mitral postérieur. Insuffisance mitrale minime. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée, sans thrombus visible. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Absence de passage des microbulles en repos et après Valsalva (manoeuvre de Valsalva limitée en raison de la sédation et de l'hémisyndrome), mais présence d'un anévrysme au niveau du septum interauriculaire minime. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. US des vaisseaux précérébraux et transcrânien le 07.02.2019: Absence d'athéromatose significative (rapport en cours). Bilan neuropsychologique le 07.02.2019: Quelques difficultés attentionnelles et mnésiques avec un bon potentiel de neuro rééducation. Laboratoire: cf annexes. Angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux le 08.02.2019: Pas d'argument scannographique en faveur d'un AVC. Bonne perméabilité du polygone de Willis et absence de sténose significative des vaisseaux précérébraux. IRM cérébrale le 08.02.2019: Deux petits AVC aigus corticaux frontal et pariétal droits. Absence d'occlusion vasculaire intracrânienne. Echographie cardiaque transthoracique le 08.02.2019: Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Fonction diastolique normale. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Holter de 72 heures le 11.02.2019: En cours. Duplex des vaisseaux précérébraux le 11.02.2019: Pas d'athéromatose significative. Bilan neuropsychologique le 11.02.2019: Rapport définitif en cours. Laboratoire: cf annexes. Angio-CT cérébral le 18.01.2019: AVC bifocale sous forme de pénombre ischémique occipitale droite sur occlusion de l'artère cérébrale postérieure droite distale (P2) et cérébelleux supérieur gauche sur occlusion de l'artère cérébelleuse supérieure gauche. Pas de complication hémorragique. Le reste de l'examen est superposable aux examens réalisés en octobre et novembre 2018.IRM cérébrale le 21.01.2019: Lésions ischémiques aiguës dans le cervelet des deux côtés mais surtout à gauche (territoire de l'artère cérébelleuse supérieure ddc), dans la partie postérieure du thalamus droit et en occipital droit (territoire de l'artère cérébrale postérieure droite) probablement dans le cadre d'une origine embolique. Pas de saignement intracrânien. Anévrisme fusiforme de la jonction entre le tronc basilaire et les artères cérébrales postérieures mesurant 4 mm. Atrophie cortico-sous-corticale et leucoaraïose microvasculaire. Lésions ischémiques séquellaires encéphaliques, connues. Echographie cardiaque transthoracique le 21.01.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Rétrécissement mitral lâche. Gradient moyen OG-VG à 5 mmHg. Surface mitrale estimée à 2,27 cm². Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Dysfonction diastolique minime (grade I). Elévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. R-Test de 7j posé le 21.01.2019: (Résultats en cours d'analyse) Examen neurosonologique le 21.01.2019: (Rapport définitif suivra) Persistance d'une sténose serrée de l'artère vertébrale G au segment V4 estimée à > 50%, ainsi que du tronc basilaire proximal estimée à <50%. Athéromatose carotidienne et vertébrale précérébrale diffuse. Bilan neuropsychologique du 24.01.2019: Examen neuropsychologique et logopédique, qui met en évidence une dysarthrie légère à modérée (avec flou articulatoire et quelques paraphasies phonémiques, léger bredouillement et nasonnement); des difficultés exécutives (en incitation verbale, de mise à jour et d'inhibition). Il n'y a actuellement pas d'héminégligence G, hormis de discrets signes (déviation de la tête et exploration de gauche à droite). Les difficultés articulatoires sont compatibles avec les lésions au niveau du cervelet. En comparaison au bilan effectué en 2018, on retrouve aujourd'hui des difficultés exécutives qui peuvent être compatibles avec la localisation des nouvelles lésions aiguës. Cependant, une composante vasculaire plus diffuse n'est pas exclue. Laboratoire: cf. annexes Cholangio-IRM le 06.02.2019: status post-cholécystectomie. Ectasie des voies biliaires en particulier du cholédoque, ce canal cholédoque mesurant à 10 mm dans la région sus-papillaire. Pas de calcul visible à l'intérieur. Anses grêles par endroits dilatées, fine lame de liquide dans le petit bassin. Laboratoire: cf. annexes Côlon en simple contraste 07.02.2019: Opacification de l'anse efférente au niveau de la stomie en fosse iliaque droite, opacification des anses intestinales se présentant normalement jusqu'à l'abouchement iléo-colique. Pas de signe d'iléus. Laboratoire: cf annexes. Colonoscopie du 31.01.2019: rapport non disponible à l'heure actuelle. Laboratoire: cf. annexes CT abdomen 09.02.2019: Cholécysto- et cholédocho-lithiases, associé à une dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques, avec des signes de cholécystite débutante. Adénopathies du hile hépatique centimétriques. Epaississement des deux surrénales, plus marqué à gauche (max. 13 mm), DD adénomes, hyperplasie. Zones ostéolytiques, à titre d'exemple dans l'os ilium droit (max. 9 mm, image 257/377), DD ostéopénie, kystes, autre ?. Cholangio-IRM le 12.02.2019: Lithiase de 9 mm au sein du bas-cholédoque associée à une dilatation modérée des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Multiples cholécystolithiases sans signe de cholécystite. ERCP le 13.02.2019. Laboratoire: cf. annexes CT abdominal du 09.02.2019: Apparition d'épanchements pleuraux des deux côtés prédominant à gauche avec atélectasie passive subtotale du lobe inférieur gauche au sein de laquelle une surinfection est possible. À l'étage abdominal, status post-opératoire avec apparition de liquide libre dans les quatre quadrants et d'une collection péri-hépatique droite suspecte d'abcès de 30x20 mm avec colite de l'angle droit par contiguïté. Gastroscopie du 12.02.2019. Gastroscopie du 15.02.2019. Laboratoire: cf. annexes CT abdominal du 24.02.2019: Pontage aorto-bi-fémoral avec exclusion complète de l'anévrisme de l'aorte abdominale connu et sans signe de complication. Iléus grêle d'origine probablement mécanique avec mise en évidence de multiples sauts de calibre à hauteur de l'ombilic et de la fosse iliaque droite. Doute sur la présence d'un peu de liquide libre au contact des anses grêles dilatées. Pas de défaut de rehaussement pariétal ni de pneumopéritoine. Laboratoire: cf. annexes CT abdominal du 25.02.2019: Appendice aux parois épaissies, mesurant jusqu'à 16 mm de diamètre, associée à une infiltration de la graisse en regard, ainsi qu'une lame de liquide libre péri-caecale. Présence de plusieurs adénomégalies péri-caecales et dans le rétropéritoine. Absence de pneumopéritoine. Laboratoire: cf. annexes CT abdominal du 25.02.2019: Appendice aux parois épaissies, mesurant jusqu'à 16 mm de diamètre, associée à une infiltration de la graisse en regard, ainsi qu'une lame de liquide libre péri-caecale. Présence de plusieurs adénomégalies péri-caecales et dans le rétropéritoine. Absence de pneumopéritoine. Histologie: cf annexes. Laboratoire: cf. annexes CT abdominal le 16.02.2019: Pneumopéritoine sur probable perforation gastrique. Pas d'hémorragie active. Pas de pseudo-anévrisme. Laboratoire: cf. annexes CT colonne lombaire du 13.01.2019 (externe): Status post spondylodèse L4-L5 par vis transpédiculaire ddc avec matériel intègre sans signe de rupture ou de déscellement. Arthrose zygapophysaire aux mêmes étages. Taille, morphologie et alignement des corps vertébraux conservés sans fracture mise en évidence. Les apophyses épineuses et transverses ainsi que les articulations postérieures ne présentent pas de fracture. Pas de zone de lyse ou d'ostéocondensation. Remaniements dégénératifs pluri-étagés du rachis exploré. Ankylose sacro-iliaque partielle bilatérale. IRM colonne lombaire du 13.01.2019 (CIMF): Apparition d'une grosse hernie discale L5/S1 paramédiane droite, séquestrée et luxée vers le bas avec une compression marquée de la racine S1 droite et dans une moindre mesure de la racine L5 gauche. Sténose foraminale L5/S1 bilatérale connue et préexistante. Laboratoire: cf. annexes CT thoraco-abdomino-pelvien natif et injecté du 22.02.2019: Mise en évidence d'une splénomégalie, sans adénopathie à l'étage thoraco-abdominal. Lésion annexielle supracentimétrique droite associée à du liquide libre dans le Morrison, la gouttière pariéto-colique droite ainsi que dans le cul-de-sac de Douglas, évoquant un kyste hémorragique rupturé (DD : torsion ovarienne ?). Aspect discrètement dense avec zones de raréfaction de l'os spongieux examiné, aspécifique (en lien avec une hémopathie ?). Echographie gynécologique du 22.02.2019: Corps jaune hémorragique à droite avec lame de liquide libre para-ovarien et lame de liquide dans le Douglas, Surveillance clinique, pas d'argument pour prise en charge chirurgicale, Injection de Lucrin à administrer dès que possible. Echographie cardiaque du 22.02.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique.Laboratoire: cf annexes CT-cérébral le 22.02.2019: examen dans la norme, sans lésion traumatique, notamment pas de saignement intra- ou extra-axial. Laboratoire (cf annexes) CT-scan abdominal natif du 29.01.2019 (Dr. X; Dr. X): • Epaississement pariétal du colon descendant et du sigmoïde avec minime infiltration de la graisse adjacente, devant correspondre à une colite aiguë (infectieuse ?), sans complication. • On retrouve un épaississement pariétal circonférentiel segmentaire du côlon sigmoïde proximal, déjà présent sur le comparatif de 2016, évoquant une sigmoïdite chronique. • Un examen par colonoscopie est souhaitable si cela n'a jamais été fait. Laboratoire: cf annexes CT-scan thoraco-abdominal le 24.01.2019: • épanchement pleural gauche avec cardiomégalie globale, épaississement des lignes septales pouvant cadrer avec des signes débutants de décompensation cardiaque probable. • Très probable cholécystite aiguë. • Foie modérément dysmorphique. CT-scan abdominal le 28.01.2019: • vésicule collabée, rendant un drainage à risque de fortes complications. • De plus, l'indication au drainage n'existe plus, la vésicule s'étant drainée spontanément dans les voies naturelles. Cholangio-IRM le 01.02.2019: • Vésicule biliaire contenant des petits calculs avec une lumière qui reste quasi vide, sans collection péri-vésiculaire. • Ses parois sont légèrement épaissies pouvant parler pour une discrète cholécystite résiduelle. • Pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. • Pas de calcul visible au sein du cholédoque. • Faible quantité de liquide libre péri-hépatique, péri-splénique et dans le petit bassin, globalement inchangée. • Faible quantité d'épanchement pleural bilatéral. Laboratoire: cf annexes CT-thoracique (Triple rule out) le 15.02.2019: • Condensations pulmonaires postérieures en base gauche compatibles avec un foyer infectieux, associé à des adénopathies hilaires gauches. • Discret épanchement pleural gauche. • Pas d'embolie pulmonaire, de dissection aortique ou de pneumothorax. Laboratoire: cf annexes. ECG: cf annexe. KCl 40 mmol/l dans NaCl 1000 ml en 2 heures aux urgences. Stop Torasemide. Potassium effervette 1x/jour jusqu'au 01.03.2019. Contrôle chez le médecin traitant le 01.03.2019. Laboratoire: cf annexes. ECG du 06.02.2019: rythme sinusal régulier à 62 bpm, PR 144 msec, QRS à 80 msec avec un axe normal à 60°, QTc à 394 msec, segment ST isoélectrique, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3. Laboratoire: cf annexes. ECG du 07.01.2019: RSR à 88/min, PR à 136 ms, QRS fins avec axe à -11°, pas de troubles de repolarisation, QTc à 439 ms. Radiographie genou G du 18.01.2019: matériel d'OS en place. Pas de déplacement secondaire. Prothèse en place du genou. Radiographie épaule G 4 plans du 18.01.2019: • omarthrose avancée avec pincement très avancé de l'interligne articulaire et ostéocondensation sous-chondrale et déformation des facettes articulaires. • Ostéophytose exubérante sous-capitale. • Réduction de l'espace sous-acromial. Oxymétrie nocturne du 15.01.2019, à l'air ambiant: SpO2 moyenne 90.4%, SpO2 <90%: 24.6%, index des événements de désaturation 5.4/heure. Evaluation neuropsychologique du 29.01.2019 : cf rapport. Laboratoire: cf annexes. ECG du 10.01.2019: RSR à 76/min, PR à 194 ms, BBD incomplet avec axe de QRS à -21°, présence d'une onde U diffuse en relation avec l'hypokaliémie du patient. QTc 481 ms. Laboratoire: cf annexes. ECG du 10.01.2019: RSR à 79/min, PR à 184 ms, QRS fins avec axe à 11°, pas de trouble de repolarisation, QTc 432 ms. Laboratoire: cf annexes ECG du 16.01.2019: RSR à 57/min, PR 124 ms, QRS fins avec axe à 38°, onde U diffuse, QTc 437 ms. Radiographie colonne lombaire face/profil du 24.01.2019: rectitude rachidienne. Matériel de spondylodèse en place. Pas de signe de complication. Laboratoire: cf annexes. ECG du 22.01.2019: rythme sinusal à 80 bpm, PR 160 ms, QRS élargis à 160 ms avec bloc de branche droit complet et axe à -15°, QTc à 420 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active. Evaluation neuropsychologique des 06-07.02.2019: cf rapport. Laboratoire: cf annexes. ECG du 30.01.2019: RSR 61 bpm, axe 0°, PR 148 ms, QRS fins 94 ms, pas de sus-/sous décalage, QTc 435 ms. Laboratoire: cf annexes ECG du 30.01.2019: RSR à 101/min, PR 136 ms, QRS fins avec axe à 26°, pas de trouble de repolarisation, QTc 421 ms. Laboratoire: cf annexes ECG le 16.02.2019: RSR, axe hypergauche, pas de trouble de la repolarisation, pas de signe d'ischémie. Radiographie du thorax le 16.02.2019: pas d'infiltrat ni d'épanchement. Oesogastroduodénoscopie le 19.02.2019: polypes glandulo-kystiques multiples de l'estomac. Pas de source de saignement. Echo-doppler veineux des MI le 20.02.2019: Pas de TVP ou TVS aiguës des MI. Laboratoire: cf annexes ECG le 22.02.2019 Laboratoire: cf annexes. ECG: rythme sinusal régulier normocarde, QRS fins, normoaxés, QTc dans la norme, pas de troubles de la conduction ni de la repolarisation. Laboratoire: cf annexes Echocardiographie du 15.02.2019 (Dr. X): Ventricule gauche non dilaté. FEVG à 60% (évaluation visuelle). Aorte normale. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Valve mitrale normale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Rx thorax du 17.02.2019: Présence d'un élargissement du médiastin supérieur, avec comblement du médiastin antérieur et opacités péri-hilaires, en lien avec les multiples adénopathies médiastinales et hilaires mises en évidence sur le CT du 13.02.2019. Présence d'opacités réticulo-nodulaires en sur-projection des deux plages pulmonaires, prédominantes à gauche, compatibles avec des foyers. Pas d'épanchement pleural. Image festonnée de la coupole diaphragmatique droite, en lien avec le dôme hépatique. Le cadre osseux et les tissus mous se présentent normalement. PET-CT du 19.02.2019: Mise en évidence de multiples hypercaptations ganglionnaires, supra- et infra-diaphragmatiques bilatérales, et une hypercaptation diffuse splénique, compatible avec un lymphome. Légère hypercaptation diffuse au niveau du squelette, suspecte de traduire une infiltration médullaire. Absence de lésion hypermétabolique suspecte, pulmonaire ou hépatique. Rx thorax du 20.02.2019: On retrouve un aspect élargi des hiles pulmonaires en rapport avec les adénopathies connues. Sur le cliché de profil, apparition d'une opacité en regard du cul-de-sac pleural pouvant parler pour un foyer infectieux. Un épanchement pleural de faible quantité, notamment du côté gauche n'est pas exclu. Le reste de l'examen est superposable. Laboratoire: cf annexes. Echocardiographie transthoracique du 11.02.2019: Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG estimée à 75% (mode TM). Aorte normale. Valve aortique normale. Valve mitrale normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. La qualité d'image est insuffisante pour écarter une origine cardiaque de l'AIT.Echographie cardiaque transoesophagienne le 20.02.2019: Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Fonction diastolique normale. Aorte non dilatée, absence d'athéromatose à l'aorte descendante. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Épaississement de moins de 50 % des 2 feuillets mitraux. Pas de prolapsus mitral. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3), d'origine dégénérative. SOR de l'IM à 0,14 cm², vena contracta à 5 mm. Absence de reflux systolique dans les veines pulmonaires. Oreillette gauche non dilatée, sans thrombus visible. Absence de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. Ventricule droit non dilaté. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Absence d'élément en faveur d'endocardite. Foramen ovale perméable Grad II après manœuvres de Valsalva avec un shunt modéré. Anévrysme du septum interauriculaire. IRM cérébrale du 12.02.2019: Lésion ischémique aiguë de la médulla oblongata à droite, superposable au comparatif. Pas de nouvelle lésion ischémique aiguë décelée. IRM cérébrale du 14.02.2019: On retrouve la lésion ischémique connue de la médulla oblongata à droite, d'aspect discrètement plus tuméfié et plus en hyperintensité de signal T2 que sur le comparatif. Pas de nouvelle lésion ischémique aiguë décelée. Le reste de l'examen à l'étage cérébral est superposable au comparatif avec présence d'une lésion cérébelleuse droite en hyperintensité de signal T2, en hypointensité de signal en pondération T1 et hyperintensité de signal en périphérie en pondération T1 (DD : lésion ischémique subaiguë ? Autre ?). Pas de signe de dissection sur le cours des vaisseaux pré-cérébraux. Holter de 72 heures le 20.02.2019: Rapport définitif en cours. Examen neurosonologique le 12.02.2019: Duplex couleur extracrânien : mise en évidence d'une athéromatose carotido-vertébrale précérébrale discrète à modérée, sans sténose significative au niveau des carotides internes ddc ainsi qu'au niveau des artères vertébrales du trajet V1-V3. L'examen est limité par un contexte difficile (cou court et adipeux). Duplex vertébro-basilaire : mise en évidence d'un flux normal, non accéléré sur l'artère vertébrale gauche en V4 ainsi que sur la partie proximale du tronc basilaire. L'artère vertébrale droite est non détectée lors de cet examen, à corréler à l'IRM cérébrale. Bilan ophtalmologique le 22.02.2019: • Pas de rétinopathie diabétique, proposition de faire un prochain contrôle dans 1 an • Syndrome des yeux secs. Proposition d'hydrater avec des larmes artificielles (Lacrycon) 4-6x/j ddc. Bilan neuropsychologique du 11.02.2019: Rapport en cours Consilium angiologique le 18.02.2019: Thrombose veineuse superficielle de la veine céphalique de l'avant-bras G sur 8,5 cm, dès 2 cm du poignet, à distance du réseau veineux profond, secondaire (VVP, hospitalisation, alitement). Étant donné le caractère douloureux, nous proposons l'application locale d'une crème anti-inflammatoire locale, comme cela semble déjà être le cas. Surveillance clinique. À noter que le patient est déjà au bénéfice d'une anticoagulation à dose prophylactique étant donné les antécédents thrombotiques. Laboratoire: cf. annexes ERCP du 04.02.2019: cf. annexes Hémocultures 07.02.2019: Candida albicans Fond d'œil 12.02.2019: Pas d'emboles fongiques visualisés Histologie: cf. annexes Ultrason abdominal: Cholécystite lithiasique aiguë, associée à une ectasie des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Ultrason abdominal le 02.02.2019: Appendicite aiguë, épaississement de la paroi à 9-10 mm, épaississement dès la base, pas de signe de perforation, petite lame liquidienne au contact de l'appendice. IRM colonne lombaire + sacro-iliaques du 30.01.2019: Dans un contexte carcinologique, la prise nodulaire de contraste le long des racines nerveuses de la queue de cheval doit correspondre à une infiltration carcinomateuse. Laboratoire: cf. annexes MMS/GDS le 17.01.2019: MMS test 22/30 points, Clock test 0/6 points, GDS test 7/15 points. ECG le 18.01.2019: RS irrégulier bradycarde, FC 49/min. Axe indifférent. PQ constante 0,2 s (limite BAV I°). S-persistantes en V5. R/S en V5. Pas de troubles de repolarisation. CT abdomino-pelvien le 18.01.2019: Comparaison avec l'examen préliminaire du CT du 10.07.2017. Épaississement circulaire irrégulier de la vessie sans signe de coagulation. Prostate modérément élargie. Aucune preuve d'une masse dans le volume examiné. Kyste rénal cortical inchangé à droite. Pas d'adénopathie rétropéritonéale, mésentérique ou pelvienne. Épanchement péricardique secondaire. Foie homogène et sans lésions solides, kystes sans particularité. Vésicule biliaire mince, pas de calculs. Atrophie du pancréas. Cytologie urinaire le 22.01.2019: Absence de cellule tumorale maligne. ETT le 28.01.2019: Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Valve mitrale normale. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. L'examen du jour montre une anomalie intra-péricardique en inférieur et latéral avec un diamètre maximal de 1,7 cm pouvant correspondre à un épanchement péricardique localisé en voie de résorption, ou une tumeur primaire ou secondaire. Il n'y a aucune répercussion hémodynamique. Contrôle à distance et selon l'évolution clinique du patient. Histologie: cf. annexes Oesophago-gastro-duodénoscopie le 05.02.2019: cf. annexes CT abdomen du 05.02.2019: Absence d'explication scanographique à la chute d'hémoglobine. Status post ERCP avec pose de stent en bonne position. Aérobilie consécutive nouvelle et disparition de la dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Aspect inchangé de la masse du processus unciné du pancréas. Colonoscopie du 08.02.2019: cf. annexes OGD le 29.01.2019: cf. annexes Radio thorax le 19.02.2019: Hydro-pneumothorax droit dont la composante aérique apicale droite mesure 22 mm en crânio-caudal. Légère majoration de l'opacité hilaire droite probablement d'origine infectieuse. On retrouve une fine lame d'épanchement pleural gauche, inchangée.Laboratoire (cf annexes) Radiographie du thorax ap, lat debout du 17.02.2019 (Dr. X): • Multiples opacités bilatérales diffuses, évoquant un ARDS. • Cœur de taille dans les limites de la norme. • Pas d'épanchement pleural. Laboratoire: cf annexes. Radiographie du thorax face/profil du 01.02.2019: • Silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. • Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Laboratoire (cf. annexes) Radiographie du thorax le 17.01.2019 : • Silhouette cardiaque dans la norme. • Opacité pulmonaire apicale droite associée à une destruction de l'arc postérieur de la 2ième côte, suspecte d'atteinte tumorale, à corréler à un CT scanner. • Opacité pulmonaire apicale gauche, aspécifique (DD : foyer ? atélectase ? tumorale ?). • Pas d'épanchement pleural. IRM Neurocrâne le 16.01.2019 et panmédullaire le 17.01.2019 • Au niveau cérébral, nette augmentation en nombre des lésions de SEP connues, sans argument pour des lésions actives. • Importante progression de la microangiopathie vasculaire. • Dilatation du système ventriculaire sans atrophie cortico-sous-corticale associée et avec un angle callosal de 85° pouvant évoquer une hydrocéphalie à pression normale. • Au niveau du rachis, pas de franche lésion de SEP visible. • Canal cervical étroit s'étendant de C3 à C6. • Ectasie du canal central de la moelle épinière évoquant une hydromyélie sans masse en amont clairement visible. • Au sein des structures thoraciques visibles, mise en évidence d'une masse de l'apex pulmonaire droit venant au contact des structures costales et dont la nature évoque en premier lieu une origine tumorale (clinique évocatrice d'un syndrome de Pancoast) à corréler avec un CT-scan thoracique. PET-CT le 24.01.2019: • Mise en évidence de deux masses du poumon droit, la première est située à l'apex du lobe supérieur droit, avec une érosion costale. • La 2ème lésion se situe dans le lobe supérieur droit et mesure 16 x 14 mm. • Mise en évidence d'une intense hypercaptation pulmonaire apicale droite, correspondant très probablement à une tumeur de Pancoast, et de deux lésions pulmonaires bilatérales très suspectes d'être des métastases (celle du lobe supérieur gauche se traduit par un épaississement interstitiel focal). • Mise en évidence de 4 captations costales droites successives (séquelles de fracture) et d'une captation sternale, évoquant une origine plutôt traumatique que métastatique. • Absence de lésion hypermétabolique suspecte médiastinale, hépatique ou surrénalienne. Laboratoire (cf annexes) Radiographie thoracique du 27.01.2019 (Dr. X ; Dr. X): • Examen comparatif du 24.09.2018. • Pas de changement de l'aspect de la silhouette cardio-médiastinale avec un déroulement athéromateux de l'aorte. • Hiles pulmonaires sans particularité. • Absence de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. • Absence d'épanchement pleural significatif. • Aplatissement des coupoles diaphragmatiques des deux côtés. • Ventilation pulmonaire symétrique, sans foyer constitué. • Structures osseuses, stable par rapport au comparatif. CT-Scan colonne lombaire natif et injecté du 27.01.2019 (Dr. X ; Dr. X) : • Pas de signe indirect de spondylodiscite. • Découverte fortuite de multiples adénopathies dans le rétropéritoine dont plusieurs ont un contenu nécrotique et le long des axes iliaques surtout à droite (Origine inflammatoire ? Métastases ?) pour lesquelles nous recommandons la réalisation d'un CT pour faire un bilan de l'origine. CT-Scan thoraco-abdominal natif et injecté du 28.01.2019 (Dr. X ; Dr. X) • Multiples adénopathies rétropéritonéales, iliaques internes et externes des deux côtés et inguinale droite sans lésion suspecte susceptible d'expliquer une dissémination ganglionnaire et évoquant par conséquent un lymphome en première intention. • Discret épaississement pariétal circonférentiel du sigmoïde (sigmoïdite a minima ?). • Lésion sous-capsulaire et supracentimétrique dans le segment II du foie, évoquant un hémangiome hépatique. • Nous proposons de compléter le bilan par une IRM dédiée afin de mieux caractériser cette lésion. • Une hypodensité de 2 mm dans le corps du pancréas qui semble être en contact avec le Wirsung (IPMN ?). • Cardiomégalie et maladie athéromateuse tritronculaire. • Nodule thyroïdien droit hétérogène à confronter éventuellement à une échographie et un avis endocrinologique spécialisé. • Volumineuse hernie hiatale par glissement. PET-CT 18F-FDG du 31.01.2019 (Dr. X): • Mise en évidence de multiples hypercaptations ganglionnaires supra- et infra-diaphragmatiques bilatérales, compatibles avec une atteinte lymphomateuse. • Absence de lésion hypermétabolique pulmonaire, hépatique, splénique ou osseuse. Echocardiographie du 01.02.2019 (Dr. X): • Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. • FEVG à 70% (évaluation visuelle). • Bourrelet septal sous-aortique. • Aorte non dilatée. • Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. • Absence de rétrécissement mitral. • Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). • Fonction diastolique normale. • Discrète augmentation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. • Oreillette gauche non dilatée. • Ventricule droit non dilaté. • Cinétique ventriculaire droite normale. • Fonction systolique du ventricule droit normale. • Absence de dilatation des cavités droites. • Absence d'HTP (PAPs à 28 mmHg). • Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/3). • Absence d'épanchement péricardique. Laboratoire: cf. annexes Rx colonne dorsale du 08.02.2019: • Pas de lésion traumatique ostéo-articulaire décelable. • Absence de troubles de la statique. • Alignement préservé des murs vertébraux antérieurs et postérieurs. • Hauteur conservée des corps vertébraux et des disques intervertébraux. • Le reste de l'examen est superposable aux comparatifs. • Status post mise en place d'un PAC en surprojection de la veine sous-clavière droite, dont l'extrémité distale se termine dans la veine cave supérieure. Laboratoire (cf annexes) Rx thorax : fractures costales latérales/antérieures, emphysème sous-cutané CT thoracique : pneumothorax G d'environ 4 cm de hauteur maximum associé à des fractures des arcs latéraux des 3 à 6ème côtes du même côté ainsi qu'à un important emphysème des tissus mous. Laboratoire: cf. annexes Rx thorax ap, lat debout du 21.02.2019: • Status après mise en place d'un PAC sous-clavier droit. • Silhouette cardiaque difficilement interprétable dans le contexte de la non visualisation du bord droit. • Surélévation de la coupole diaphragmatique droite. • Dystélectasie en bande basale droite. • Absence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. • Absence d'épanchement pleural. • DISH dorsal. Laboratoire: cf. annexes Rx thorax du 12.02.2019: • Sonde nasogastrique suivie jusqu'en surprojection de l'abdomen supérieur (extrémité distale hors champ). • Silhouette cardiaque de morphologie normale. • Le parenchyme pulmonaire se présente normalement. • Pas d'épanchement pleural. • Structures osseuses sans particularité. Laboratoire: cf. annexes Rx thorax du 14.02.2019: • Status après mise en place d'un pacemaker en région pré-pectorale gauche avec deux sondes connectées au boîtier se terminant en surprojection de l'oreillette et du ventricule droit. • Pas de signe de décompensation cardiaque. • Dystélectasie en bande basale gauche. • Pas d'épanchement pleural. • Pas de pneumothorax. • Structures osseuses sans particularité. Laboratoire: cf. annexes Rx thorax du 15.02.2019: • Image cardiovasculaire normale. • Pas d'opacité nodulaire radiographiquement visible dans les 2 champs pulmonaires. • Les hiles, le médiastin, les tissus mous et le cadre osseux sont également de morphologie normale. • On visualise juste une synostose de l'arc moyen des 1ère et 2ème côtes droites.Laboratoire: cf. annexes Rx thorax du 21.02.2019: Silhouette cardio-médiastinale normale et inchangée. Pas de franche image pathologique en projection des plages pulmonaires. On retrouve des épanchements pleuraux de faible quantité ddc, plus marqués du côté droit. Le reste de l'examen est superposable. Laboratoire: cf. annexes Rx thorax du 23.01.2019: Silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Pas d'épanchement pleural ou de foyer pulmonaire. Ectasie de la crosse aortique et de l'aorte thoracique descendante. Cadre osseux superposable au comparatif. US abdomen supérieur du 23.01.2019: Pas de thrombose porte mise en évidence. Dysmorphie hépatique, en rapport avec une cirrhose connue. Dérivation porto-systémique, avec reperméabilisation de la veine ombilicale. US abdomen supérieur du 05.02.2019: Absence d'argument en faveur d'une thrombose de la veine porte à l'examen actuel. Reste de l'examen superposable au comparatif avec présence d'une cirrhose et de signe d'hypertension portale. Laboratoire: cf. annexes Rx thorax du 25.01.2019: Silhouette cardiaque sans particularité. Discret déroulement athéromateux de l'aorte. Pas de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Présence d'une opacité suspecte supra hilaire à droite, avec déviation de la trachée (DD : adénopathie ? tumeur ? atélectasie). Un complément d'imagerie par CT-scan est recommandé. Absence d'épanchement pleural significatif gauche. Présence d'un important épanchement pleural droit. Sous réserve d'un examen réalisé couché, absence de pneumothorax visualisé. Présence de troubles ventilatoires au contact de l'épanchement. Présence d'un infiltrat d'allure interstitielle au niveau de l'apex droit. Absence de foyer de pneumonie visible sur les plages pulmonaires ventilées. Rx thorax du 28.01.2019: Relative stabilité de l'épanchement pleural droit, sans signe de pneumothorax. Le reste de l'examen est inchangé avec persistance d'une masse supra-hilaire droite ainsi que d'adénopathies hilaires droites. ETT le 28.01.2019 (Dr. X, Dr. X): Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie de la paroi latérale moyenne, de la paroi inféro-basale et de la paroi postérieure moyenne. FEVG à 51 % (méthode de Simpson). Géométrie normale du ventricule gauche. Valve aortique d'ouverture normale. Absence de rétrécissement aortique. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance aortique minime. Valve mitrale d'ouverture normale. Insuffisance mitrale légère. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Absence d'épanchement péricardique. Rx thorax du 01.02.2019: Majoration de l'épanchement pleural droit. Absence de pneumothorax visible. Pour le reste, examen globalement superposable au comparatif. US Doppler veines membre inférieur gauche du 02.03.2019: Pas de thrombose veineuse profonde visualisée jusqu'au niveau poplité. Rx thorax du 03.02.2019: Par rapport au comparatif, nette majoration de l'épanchement pleural droit en partie cloisonné et remontant jusqu'à l'apex pulmonaire droit. Épaississement péri-bronchovasculaire de l'apex pulmonaire droit ventilé. La plage pulmonaire gauche se présente sans particularité. Absence d'épanchement pleural gauche. Rx thorax du 04.02.2019: La radiographie de thorax réalisée 2h post intervention ne met pas en évidence de pneumothorax volumineux. Nette diminution de l'épanchement pleural par rapport aux comparatifs du 03.02.2019. PET-CT du 07.02.2019: Mise en évidence d'une volumineuse masse para-médiastinale droite associée à de multiples adénopathies médiastinales. Deuxième masse à l'apex du lobe supérieur droit. Lymphangite carcinomateuse du poumon droit. Élargissement des glandes surrénales ddc, évoquant des atteintes métastatiques. Lésions osseuses métastatiques diffuses. IRM cérébrale du 08.02.2019: Perte de volume global du parenchyme cérébral en rapport avec l'âge du patient. Absence de lésion métastatique visible. CT thoraco-abdomino pelvien du 23.01.2019 (Dr. X): Volumineuse masse pulmonaire droite avec envahissement médiastinal, atélectasie et épanchement pleural liquidien droit abondant. Pas de signe de récidive de la tumeur urothéliale droite ni de lésion contro-latérale. Apparition d'une adénopathie latéro-cave. Pas de localisation secondaire hépatique ou osseuse. Laboratoire: cf. annexes Rx thorax du 30.01.2019: Sous réserve de la position, on note une suspicion d'un pneumothorax gauche avec deep sulcus sign à corréler à une incidence en position debout ou assise. Silhouette cardiaque ininterprétable en raison de la position couchée. Pas d'argument pour une décompensation cardiaque. Pas de foyer pulmonaire mis en évidence. On retrouve la surélévation de coupole diaphragmatique droite, sans changement (paralysie du nerf phrénique connue ?). Nette diminution de taille de l'opacité basale gauche silhouette le bord du cœur, avec discret reste, DD graisse para cardiaque, trouble de la ventilation. Pas de foyer visible dans les parties aérées des poumons. Le cadre osseux est superposable. Laboratoire: cf. annexes. Sédiment urinaire: cf. annexe. Bactériologie: cf. annexe. Laboratoire: cf. annexes Sédiment urinaire: positif Uricult positif à E. coli 2 paires d'hémocultures à pister Radiographie de thorax le 20.01: Signe de BPCO avec hyper-transparence pulmonaire et aspect désorganisé de la trame bronchovasculaire. Lésions d'infiltrat pulmonaire bibasales. Radiographie de thorax le 20.01: Sonde nasogastrique en place. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Minimes lésions d'infiltrat pulmonaire des deux bases pulmonaires. Laboratoire: cf. annexes Ultrason abdomen supérieur le 17.02.2019: Cholécystite lithiasique. Dilatation des voies biliaires extra-hépatiques mais sans obstacle visible. Hépatomégalie stéatosique et splénomégalie. ERCP le 18.02.2019: cf. annexes CT abdominal le 19.02.2019: Signes de cholécystite lithiasique, sans complication visible. Pas de signes de pancréatite ou d'autre complication liée à l'ERCP. Laboratoire: cf. annexes Ultrason abdominal du 05.02.2019: Appendicite avec discrète quantité de liquide libre autour, son extrémité la plus distale n'est pas clairement identifiable. Histologie: cf. annexes Laboratoire: cf. annexes Ultrason abdominal du 17.02.2019: Appendicite aiguë. CT abdominal du 18.02.2019: Appendicite aiguë phlegmoneuse avec inflammation par contiguïté du caecum. Pas d'abcès et pas de signes de perforation. Histologie: cf. annexes Laboratoire: cf. annexes Ultrason abdominal supérieur le 01.02.2019: examen compatible avec une cholécystite aiguë débutante sur cholécystostilithiase. Pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Les voies biliaires extra-hépatiques n'ont pas pu être visualisées. ERCP le 03.02.2019: Extraction d'un probable concret mou dans le cholédoque après papillotomie et cathétérisme difficile du cholédoque. Pancréatographie normale. Papillotomie effectuée secondairement après un précut. Histologie: cf. annexes Laboratoire: cf. annexes Urines: cf. annexes Radiographie du thorax 19.02.2019: émoussement costo-diaphragmatique à droite, pas de franc foyer Ultrason ciblé aux Urgences (Dr. X / Dr. X): dilatation pyélocalicielle bilatérale prédominante à droite (pyélon 1,4 cm à D, 1 cm à gauche) avec vessie vide sur sonde vésicale en place. Pas d'épanchements pleuraux, pas de condensation pulmonaire. Lame de liquide dans l'espace de Morrison. Uro CT 19.02.2019: Par rapport au comparatif de 2016, persistance d'une lithiase de la jonction urétéro-vésicale droite (6 x 4 x 5 mm ; 1400 HU) avec apparition d'une hydronéphrose en amont (pyélon à 19 mm), sans signe de rupture du fornix.Au vu de la densité du calcul et de son analyse spectrale (GSI), sa composition principale est l'oxolate. Infiltration de la graisse autour de la vessie compatible avec une éventuelle cystite, à corréler au bilan biologique et clinique. Laboratoire: cf. annexes Urines CT abdominal 23.02.2019 (Dr. X): Urolithiase de 3 x 2 x 2 située à 10 mm de la jonction urétéro-vésicale gauche associée à une dilatation pyélocalicielle et une rupture du fornix. Une 2ème lithiase de 5 x 5 x 6 mm dans le groupe caliciel inférieur du rein gauche Ultrason abdominal 25.02.2019 (Dr. X): Rein gauche présentant une dilatation pyélocalicielle, moins marquée que sur l'examen du 23.02.2019, avec un pyélon mesuré à 1,5 cm dans l'axe antéro-postérieur. La vessie est en réplétion partielle avec un contenu liquidien anéchogène. Le calcul à la jonction urétéro-vésicale gauche n'est pas visualisé. Laboratoire: cf. annexes US abdominal du 03.02.2019: Pas de collection mise en évidence, ni de liquide libre abdominal. Dans le contexte du syndrome inflammatoire en péjoration, et après discussion avec les médecins en charge, il est décidé de réaliser un CT abdominal sans injection en complément. CT abdominal du 03.02.2019: Collection à contenu partiellement aérique dans le lit de cholécystectomie, suspecte de surinfection, pour laquelle nous organisons un drainage percutané après discussion avec les médecins en charge de la patiente. Histologie : cf annexes Laboratoire: cf. annexes US abdominal le 19.02.2019: Échographie abdominale démontrant une cholécystite lithiasique, sans dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Petite inclusion graisseuse au sein du cortex rénal droit. Utérus d'aspect hétérogène, à corréler avec la clinique. Histologie : cf annexes Laboratoire: cf copie Gazométrie artérielle: cf copie ECG: cf copie Urine: cf copie Frottis de grippe: en cours RX thorax: cardiomégalie, foyer non visualisé mais peu évaluable au vu de la cardiomégalie Attitude: • Augmentin 1.2 g 1 x/j, 1ère dose donnée aux urgences • Comme le patient est VIH+, isolation TB, réaliser 3 expectorations matinales le 16.02 puis lever isolement en fonction du résultat À faire: • 3 expectorations matinales le 16.02 pour recherche TB • Appeler pharmacie ou MT le 16.02 pour savoir la liste des médicaments et poursuivre le traitement (patient venu seulement avec son semainier) • proBNP à pister • Frottis grippe à pister Laboratoire: cf. copie Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 7 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus en raison d'un déconditionnement post-infectieux. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 14 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7 j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 19/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 70/28 MMS/CLOCK 25/30 - 6/6 GDS 5/15 Évaluation sociale (5 domaines) 25.01.2019 Colloque interdisciplinaire 1 30.01.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 20/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 79/29 Laboratoire: cf copie Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de 15 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus en raison d'un hématome important au niveau lombaire avec anémie associée. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 19 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7 j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 21/28 avec des cannes Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 65/27 MMS/CLOCK 25/30 - 6/6 GDS 0/15 Évaluation sociale (5 domaines) 21.01.2019 Colloque interdisciplinaire 1 23.01.2019 Colloque interdisciplinaire 2 30.01.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 23/28 avec rolateur/canne Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 77/27 Laboratoire: cf copie MMS/GDS le 05.02.2019: MMS test 20/30 points, Clock test 5/6 points, GDS test 1/15 points. ECG le 06.02.2019: RSR bradycarde, FC 48/min. Axe gauche. Bloc AV I°. Transition R/S en V4. QTc 402 ms. Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 7 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur déconditionnement post crise d'épilepsie, AVC ischémique et embolies pulmonaires. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 13 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7 j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires.Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance, mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 18/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 70/20 MMS/CLOCK 20/30 • 5/6 GDS 1/15 Évaluation sociale (5 domaines) 05.02.2019 Colloque interdisciplinaire 1 06.02.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 22/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 74/20 Laboratoire: cf copie Radiographie genou F/P: Infiltration des tissus mous, matériel d'ostéosynthèse en place, pas d'argument pour une arthrite. Laboratoire: cf copies annexées Laboratoire : cf copies annexées. PCR selles : positive pour Campylobacter spp. Culture de selles : absence de C. difficile. ECG du 11.02.2019 : rythme en fibrillation auriculaire à 109/min, QRS fins avec axe à 1°, pas de signes d'ischémie active, QTc à 468 ms. Présence d'une extrasystole ventriculaire. RX thorax du 11.02.2019 : par rapport au 05.01.2018, disparition des infiltrats pulmonaires bibasaux. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Spondylose dorsale modérée. CT scan abdominal du 12.02.2019 : infiltration de la graisse autour du côlon descendant et de la jonction colo-sigmoïdienne pouvant faire évoquer une colite. Maladie diverticulaire du sigmoïde. Laboratoire (cf copies) RX thorax le 05.02.2019 : Silhouette cardiaque étalée. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural significatif ou de pneumothorax sur la partie analysable des poumons. Densité linéaire latéralement à la trachée (matériel de support ?). Laboratoire: cf copie Urines: cf copie Laboratoire: cf copie Urines: cf copie US ciblé aux Urgences (Dr. X / Dr. X): dilatation pyélocalicielle bilatérale prédominante à droite (pyélon 1,4 cm à D, 1 cm à gauche) avec vessie vide sur sonde vésicale en place. Pas d'épanchements pleuraux, pas de condensation pulmonaire. Lame de liquide dans l'espace de Morrison. Laboratoire: cf copie. US selon avis chirurgical: vésicule biliaire à paroi fine, alithiasique, appendice non visualisée, pas de liquide libre. Retour à domicile avec conseils de régime et symptôme d'alarme expliqué. • Mise en garde contre efficacité de la pilule réduite en raison des vomissements. Laboratoire (cf annexes) Laboratoire (cf annexes) Laboratoire (cf annexes) CT-Scan thoraco-abdominal natif et injecté du 30.01.2019 (Dr. X): En comparaison avec l'examen de septembre 2018 : Persistance de bronchectasie dans le lobe inférieur gauche et la lingula associée à un comblement bronchique des lobes inférieurs ainsi que des infiltrats de type tree-in-bud sans foyer pulmonaire objectivé. Progression en taille de la lésion tissulaire en para-aortique gauche, juste en-dessus du hiatus aortique. Progression en taille des multiples conglomérats d'adénopathies rétro-péritonéaux. Apparition d'un épaississement de tout le cadre colique en lien avec une colite aiguë, devant être d'origine infectieuse. Laboratoire (cf annexes) Radiographie du thorax le 08.02.2019 (Dr. X): Comparatif du 28.12.2018. Volumineuses zones de consolidation basale droite associées à des infiltrats compatibles avec un foyer infectieux. Émoussement des deux sinus costo-diaphragmatiques en lien avec des petits épanchements pleuraux. Sclérose de l'aorte thoracique. Laboratoire. Changement de sonde vésicale bouchée, évacuation de 2000 ml d'urines foncées avec clampage régulier. Hydratation IV NaCl 1500/24h. Suivi biologique. Laboratoire chez médecin traitant le 22.02.2019 sans particularité. Examen clinique. Attitude : • Majoration du traitement protection gastrique. • Patient instructé des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. • Conseils de reconsultation chez son médecin traitant ou spécialiste pour suite de prise en charge. Laboratoire chez médecin traitant le 07.02.2019 : CRP et Lc négatifs. Urine: propres TG du 05.02 : négatif US abdominal 06.02 : • Appendice de calibre augmenté, mesuré jusqu'à 6,5 mm de diamètre, toutefois sans image pathognomonique pour une APP. • Par ailleurs quelques ganglions mésentériques agrandis en fosse iliaque droite. US abdominal du 06.02 : • Appendice de calibre légèrement augmenté, pas de franche APP. Avis chir (Dr. X): • contrôle biologique et clinique au secteur ambulatoire des urgences dans 24h avec avis chirurgical. Attitude : • Retour à domicile avec traitement symptomatique. • Contrôle clinico-biologique au secteur ambulatoire des urgences dans 24h à la recherche d'une APP débutante. • Ad CT abdominal en cas de persistance des douleurs/syndrome inflammatoire biologique. • Discuter d'un consilium gynécologique selon évolution. • Retour aux urgences en cas de péjoration des douleurs, état fébrile, nausées/vomissements. Laboratoire: CK et lactate négatifs. Réassurance. Critère de reconsultation expliqué à la patiente et sa mère. Laboratoire: CK négatif, CRP à 50 mg/L. US des parties molles (Molteni): pas de collection, signe de myosite. Avis Orthopédie (Dr. X): pas d'indication à une prise en charge orthopédique. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline IV puis relais per os dès le 24.02.2019 pour une durée totale de 7 jours. Laboratoire: CK négatif, CRP à 50. US des parties molles (Molteni): pas de collection, signe de myosite. Avis Orthopédie (Dr. X): pas d'indication à une prise en charge orthopédique. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline IV. Antalgie. Délimitation de rougeur. Hospitalisation. Laboratoire (CK 198 U/l le 02.02.2019). Hydratation intraveineuse par NaCl 1000 ml/24 heures. Suivi biologique (CK 106 U/l le 05.02.2019). Laboratoire. Courte hospitalisation aux urgences. Hydratation iv 2l aux urgences. Avis psychiatrique (Dr. X): surveillance aux urgences sur la nuit. Avis psychiatrique le 08.02.2019 : retour à domicile avec recommandation de poursuivre un suivi psychiatrique ambulatoire auprès de CCA à Fribourg. Nouvelle évaluation psychiatrique demain matin. Hospitalisation à Marsens le 08.02.2019 (volontaire ou PAFA). Réévaluation lorsque le patient sera sobre.Contacter la copine du patient pour l'informer. Laboratoire: CPR 18, leucocytes 11 Stix et sédiment urinaire: nitrites négatives, purée de leucocytes CT scanner abdominal natif: pas de diverticulite, dilatation urétérale ddc, sonde double J à gauche, vessie moyennement pleine, épaissie, avec infiltration de la graisse autour, liquide libre surtout en FID Avis chirurgical (Dr. X): images scanographiques superposables aux précédentes, ventre pas inquiétant; restent à disposition en cas de péjoration des douleurs, fièvre ou augmentation du syndrome inflammatoire Attitude: • laboratoire de contrôle demain à pister • organiser une échographie rénale au vu de la dilatation bilatérale Laboratoire: Creat 108 umol/l Contrôle chez médecin traitant dans une semaine. Laboratoire: créatininémie 119 umol/l, ASAT 59 U/l, amylase 339 U/l, CRP <5 mg/l, leucocytes 17.2 G/l. Laboratoire: CRP : 18 mg/l, hypovitaminose D 27 nmol/l. Laboratoire: CRP < 5 mg/l, Lc normaux, ammoniémie 52 mcmol/l ECG Rx thorax: pas de foyer, pas d'épanchement Status urinaire: nitrite positif, bactérie +++, Lc <3 par champ. Laboratoire: CRP à la baisse US des parties molles du coude (transmission orale, Dr. X): importante tuméfaction et collection de 8mm au plus grand diamètre au regard de la bourse olécranienne Avis orthopédique (Dr. X) Attitude: • Hospitalisation en orthopédie pour prise en charge chirurgicale • A jeun Laboratoire: CRP à 125 mmol/l, pas de leucocytose Hémocultures, le 03.02.2019 en cours Stix/ Sédiment urinaire, le 03.02.2019: leucocyturie et nitriturie ECG Ag Legionelle + Pneumocoque urinaire, le 03.02.2019 en cours Radiographie thorax, le 03.02.2019 Ceftriaxone 2g, le 04.02.2019 Laboratoire: CRP à 25. Sédiment urinaire: microhématurie, avec leucocytes. Urotube. Hémoculture. Ceftriaxone 2 g iv. Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pendant 7 jours. Antalgie. Suite de prise en charge chez urologue traitant. Recommandations de reconsulter en cas d'état fébrile, frissons ou péjoration de la clinique. Laboratoire: CRP à 52 mg/l sans leucocytose. Troponines H0 56 ng/l, H1 55 ng/l, H3 ___. BNP 4000 ng/l Gazométrie artérielle Analyses urinaires____ ECG: sus-décalage ST de 1mm en III, sous-décalages non-significatifs en I, aVL, V4-V6. Radiographie de thorax: élargissement du coeur, opacité rétrocardiaque? Avis neurologie (Dr. X): pas d'indication à une imagerie cérébrale d'urgence concernant la déviation vers la droite et le nystagmus probablement physiologique, plutôt un contexte de décompensation de Parkinson para-infectieux. Ad Co-amoxicilline 1.2 g 3x/j iv Antigènes urinaires pneumocoques et légionellose en cours Physiothérapie respiratoire Hospitalisation en médecine interne à Tafers Laboratoire CRP à 60 mg/l, leucocyte 5 G/L, déviation gauche Gazométrie artérielle : pH 7.43, PO2 8.4 kPa, PCO2 4.5 kPa, lactate 2 mmol/L PCR frottis grippe : positif Influenza A Hémocultures : négatives à 5 jours Urine pour légionelle et pneumocoque : négatif Radiographie thorax le 28.01.2019 : mise en évidence d'un infiltrat réticulo-nodulaire en surprojection de l'ensemble de la plage pulmonaire gauche, ainsi que de la base de la plage pulmonaire droite, associé à des épaississements bronchiques diffus, compatibles avec des foyers de broncho-pneumonie Avis infectiologue (Dr. X) Rocéphine du 28.01 au 04.02.2019 Klacid du 28.01 au 31.01.2019 Isolement gouttelette du 28.01 au 01.02.2019 Oxygénothérapie transitoire Laboratoire: CRP à 8 mg/l, leucocytes à 7.9 G/l. Radiographie de l'avant-pied gauche du 23.02.2019: hallux valgus avec un angle d'environ 40° et petite subluxation externe, mais pas de signe d'ostéomyélite, notamment pas d'image d'ostéolyse ou de réaction périostée. Laboratoire: CRP à 8 mg/l, sans leucocytose, K+ 3.7 mmol/l, érythrocyte à 6.09 T/l. Laboratoire: CRP 106, pas de leucocyte. Sédiment: leuco positif, pas de nitrite, sang positif. Urotube. Hémoculture à froid. Aux urgences : ceftriaxone 2 g iv. Retour à domicile avec antibiotique et contrôle chez le médecin traitant. Le 24.02.2019: pyélonéphrite de mauvaise évolution. Laboratoire. Hémocultures Aux urgences: Ceftriaxone 2 g iv. Pas d'imagerie au vu du bilan biologique rassurant, hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge. Urotube et hémocultures du 23 et 24.02.2019 à pister. Laboratoire: CRP 11 mg/l, Leucocytes 9.6 G/L. Ultrason de l'abdomen complet natif du 15.02.2019: le foie est de taille normale, de contours réguliers, d'échostructure homogène. Pas de calcul dans la vésicule biliaire. Pas de dilatation des voies biliaires. Le pancréas, la rate et les reins sont sp. L'appendice n'est pas visible. Pas de liquide libre en intra-péritonéal. Les ovaires sont visibles, d'aspect normal. CONCLUSION: ultrason abdominal dans la norme. Appendice non visible. A confronter aux restes des données cliniques et biologiques. Laboratoire: CRP 112, leucocytes 1.0 Radiographie de thorax: surélévation de la coupole diaphragmatique droite connue, pas de foyer. Stix et sédiment urinaire. 2 paires d'hémocultures périphériques 2 paires d'hémocultures sur le PAC Frottis grippe: en cours 2 g de Cefepime i.v aux urgences Hydratation par 500 ml de NaCl. Isolement agranulocytose. Attitude: • hospitalisation en médecine • rediscuter avec les oncologues. Laboratoire: CRP 116, HB 86 • contrôle de l'hémoglobine à 3 heures de distance: Hb 89 Radiographie du genou gauche Avis orthopédique (Dr. X) Attitude: • hospitalisation en orthopédie pour surveillance de l'hématome • lit strict, antalgie, prophylaxie anti-thrombotique. Laboratoire: CRP 116 mg/l, leuco 15.9 G/l 2 paires d'hémoculture --> A PISTER PCR grippe: en cours --> A PISTER Antigène urinaire: en cours --> A PISTER Gazométrie: pH 7.41, PaCO2 4.0 kPa, PaO2 10 kPa, HCO3 18 mmol/l, Sat 95 % sous 2 l/min d'O2 Radiographie du thorax: pas de foyer constitué Rocéphine 2 gramme IV du 19.02.19 au ___ Klacid 500 mg du 19.02.19 au ___ Attitude: Hospitalisation en médecine pour la suite de la prise en charge Aérosols Atrovent + Ventolin. Laboratoire: CRP 12 mg/l sans leucocytose, Troponines 15 ng/l stable. ECG. Echo ciblée thorax et coeur (Dr. X): pas de pneumothorax, pas d'épanchement pleural, pas d'épanchement péricardique. Retour au domicile avec Dafalgan, Irfen. Laboratoire • CRP 14, Leucocytose à 17 Ponction évacuatrice: • Bactériologie: • Répartition: hématies, leucocyte, pas de bactérie Radiographie genou F/P: Oedème des parties molles, petit épanchement articulaire, matériel d'ostéo-synthèse en place Consilium orthopédiques (Dr. X, Dr. X): ponction évacuatrice Patient surveillé aux urgences en attendant place en orthopédie (discuté avec Dr. X) Attitude: • Hospitalisation en orthopédie • Immobilisation, décharge, glace et antalgie • Pister résultat bactériologique • Contrôle biologique demain matin • Arrêt Xarelto et relais à de la cléxane prophylactique. Laboratoire: CRP 14 ng/l, Leucocyte 5.9 g/l Urine: sédiment: Leucocyte +++, nitrites positif, sang: ++++ Radiographie de thorax: pas de franc foyer Hémocultures (1 paire) /Urotube à pister Attitude: • Rocéphine 2g iv (1 dose donnée aux Urgences) • pister urotube et adapter antibiotique à AB gram • frottis de grippe à pister. Laboratoire: CRP 155 (chez MT ce jour), Lc 13.5 Gazo ECG Co-amoxycilline 2.2g IV US pulmonaire (Dr. X): pneumothorax droit. Radio thorax: pneumothorax avec possible foyer pulmonaire. Avis chirurgien: • Hospitalisation en chirurgie pour surveillance du pneumothorax, et traitement pour pneumonie au vu du syndrome inflammatoire. ATT: • oxygénothérapie • Prévoir radio de contrôle demain • Co-amoxycilline IV 1,2 g IV 3x/j Laboratoire: CRP 158 mg/l, Lc 14.6 G/l Avis chirurgical (Dr. X): prise en charge chirurgicale nécessaire. Laboratoire: CRP 18, tests hépatiques alignés. Consilium chirurgie (Dr. X): douleurs d'origine pariétale, (- DD: gastrite), retour à domicile avec Pantoprazol 40 mg 1x/jour. Attitude: • Antalgie simple, stop Ibuprofen, Pantoprazol 40 mg pour 2 semaines. • Nous recommandons de prévoir une gastroscopie à distance. • Nous recommandons à la patiente de faire un contrôle chez un gynécologue. Laboratoire: CRP 20, leuco à 12.1 sédiment urinaire uriculte Rx thorax Laboratoire: CRP 246 mg/l, leucocytes 12 G/l. Laboratoire: CRP 27, leucocytes dans la norme. Béta-HCG sérique négatif. Test de grossesse urinaire négatif. Antalgie. Anti-émétiques. Retour à domicile avec consigne de reconsulter si péjoration des symptômes. Laboratoire: CRP 32 mg/l sans leucocytose ni déviation gauche. Radiographie du thorax : pas de franc foyer visualisé. Traitement symptomatique, pas d'indication à la poursuite de l'antibiothérapie. Laboratoire: CRP 433, leucocytes 13,1. Antigène urinaire Légionnelle/pneumocoque: positif pour le pneumocoque. Aux urgences: Rocéphine 2 g IV. RAD avec poursuite de l'antibiothérapie par Klacid 500 mg 2x/jour, traitement anti-inflammatoire. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 24H avec prise de sang et nouvelle dose de Rocéphine IV. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter au préalable. Laboratoire: CRP 55 mg/l, Lc 10.8 G/l. Laboratoire: CRP 55 mg/l, Lc 10.8 G/l. Avis orthopédique (Dr. X): débridement de la plaie et réfection du pansement, pas d'antibioprophylaxie, pansement avec aquacel sans Ag tous les jours, suivi par l'ergothérapie pour la suite de la prise en charge. Laboratoire: CRP 55 pas de leucocytose. Stix et sédiment urinaire: sans particularité. US de débrouillage aux urgences (Dr. X, Dr. X): pas de liquide libre, vésicule alithiasique avec paroi sans particularité, tronc porte sans particularité, aorte pas bien visualisée. CT-scanner thoraco-abdominal avec injection de produit de contraste (Dr. X): gastrite avec aussi signes de duodénite, épaississement de l'antre gastrique, pas de signes de perforation; condensation pulmonaire para-vertébrale droite de probable origine infectieuse; pas de dissection aortique. Retour à domicile avec traitement de Pantozol pendant 10-14 jours. Suite chez le médecin traitant avec contrôle clinico-biologique en début de semaine. Explications données à la patiente dans quelles conditions il faudra reconsulter. Laboratoire: CRP 64, leucocytes 13.4. Stix/sédiment urinaire. Test de grossesse urinaire: négatif. US abdominal (Dr. X) Avis chirurgical (Dr. X, Dr. X). Rocéphine 2 g IV et Metronidazole 500 mg IV aux urgences. Laboratoire: CRP 645, 21 leucocytes. Stix et sédiment urinaire: en cours. Radiographie de thorax. Gazométrie artérielle: échec de ponction. Antigènes urinaires Légionelle et Pneumocoque: en cours. 2 paires d'hémocultures: en cours. Avis soins intensifs. Traitement en dialyse: • Vancomycine • Cefepime • Tramadol 20 mg, Temgesic 0.2 mg Traitement aux urgences: • Klacid 250 mg per os • Temgesic 0.2 mg Attitude: • Indication à un transfert aux soins intensifs mais pas de place disponible, la patiente va rester en observation aux urgences sur la nuit, puis se stabilise sur la nuit raison pour laquelle elle est hospitalisée en médecine. Meropénem 1000 mg IV aux urgences le 07.02.2019 Laboratoire: CRP 68, Lactate 2.3 CT abdomino-pelvien: hydrocèle bilatéral, pas de hernie, anévrisme aorte abdominale infra-rénale 43 mm, fécalome 6 cm, collection en regard grand trochanter gauche 6x1.5x9.5 cm. Avis orthopédique: sérome non infecté, suivi clinico-biologique, reprendre contact au besoin si CRP augmente le 06.02.2019. Laboratoire: CRP 69, leucocytes 5.0. Gazométrie artérielle: pCO2 7.0 kPa, pO2 8.0 kPa, bicarbonates à 30. Radiographie de thorax. Attitude aux urgences: • Aérosols Atrovent et Ventolin • Oxygénothérapie avec O2 1L aux lunettes avec cible 88-92% • Pas de VNI vu du projet limité et de la rapide amélioration sur le plan respiratoire aux urgences • Pas de Prednisone ni antibiotique • Transfert pour hospitalisation en médecine à Riaz. La patiente habite seule à la maison, hospitalisation aussi pour SAD, la patiente demande un placement car sent être un poids pour ses voisins. • Aérosols en réserve • Demande de physiothérapie envoyée. Laboratoire: CRP 7 mg/l, leucocytes 9.6 G/l, Hb 127 g/l, sans particularité. Stix/sédiment urinaire: propre. Laboratoire: CRP 71 mg/l, Leuco 13.4 G/l (23.01.19), CRP 72 mg/l, Leuco 10.6 G/l (25.1.2019). Gazométrie artérielle: • 23.1.19: sans oxygène: pO2 9 kPa, pCO2 6.2 kPa • 24.1.19: avec oxygène: pO2 9.2 kPa, pCO2 5.6 kPa ECG du 24.1.19: non conclu. Radiographie de thorax du 23.1.19: petits infiltrats bibasaux sans franche condensations (patiente couchée). Culture d'expectoration du 23.1.19: flore bucco-pharyngée. Antigènes pneumocoques + légionelles urinaires du 24.1.19: absents. Rocéphine 2 g IV du 23.1.19 au 30.1.19. Klacid 500 mg 2x/j per os du 23.1.19 au 27.1.19. Hydratation NaCl 1500 ml sur 24h IV. Aérosols de Ventolin et Atrovent. Physiothérapie respiratoire. Oxygénothérapie. Laboratoire: CRP 71 mg/l, Leuco 13.4 G/l (23.01.19), CRP 72 mg/l, Leuco 10.6 G/l (25.1.2019). Gazométrie artérielle: • 23.1.19: sans oxygène: pO2 9 kPa, pCO2 6.2 kPa • 24.1.19: avec oxygène: pO2 9.2 kPa, pCO2 5.6 kPa ECG du 24.1.19: non conclu. Radiographie de thorax du 23.1.19: petits infiltrats bibasaux sans franche condensations (patiente couchée). Culture d'expectoration du 23.1.19: flore bucco-pharyngée. Antigènes pneumocoques + légionelles urinaires du 24.1.19: absents. Rocéphine 2 g IV du 23.1.19 au 30.1.19. Klacid 500 mg 2x/j per os du 23.1.19 au 27.1.19. Hydratation NaCl 1500 ml sur 24h IV. Aérosols de Ventolin et Atrovent. Physiothérapie respiratoire. Oxygénothérapie. Laboratoire: CRP 73 (explication donnée par le médecin). Traitement donné aux urgences: hydratation avec NaCl 0,9% 500 ml. Antalgie: morphine 3 mg IV, Paracétamol 1 g IV. Traitement antiémétique avec Primpéran 10 mg IV. Retour à domicile au vu de l'état clinique rassurant et de la baisse du syndrome inflammatoire. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Explications données à la patiente de reconsulter les urgences en cas de péjoration de la symptomatologie. Laboratoire: CRP 93 mg/L, pas de leucocytose, NT-proBNP 6'125 ng/L. Hémocultures du 12.02.2019: 1/2 positives pour Staphylococcus capitis multi-S. Hémocultures du 15.02.2019: négatives à 5 j. Antigène urinaire pneumocoques et légionelle: négatif. PCR grippe: positive pour Influenza A. Isolement gouttelettes du 12.02.2019 au 17.02.2019. VNI 45 min aux urgences mal tolérée (hypotension). Oxygénothérapie. Rocéphine 2 g IV 1x/j du 12.02.19 au 18.02.2019, puis Co-Amoxicilline 2.2 g 3x/j IV dès le 18.02.2019. Klacid 500 mg 2x/j du 12.09.2019 au 15.02.2019. Tamiflu 30 mg adapté à la fonction rénale pour une durée de 5 jours du 13.02.18 au 17.02.2019. Laboratoire: CRP 97, leucocytes 12.7. Stix et sédiment urinaire: sans particularités. US de l'abdomen complet (Dr. X): appendice de 1.1 cm avec liquide libre et infiltration des tissus autour. Avis chirurgical (Dr. X). Aux urgences: • Antalgie: Paracétamol 1 g, Voltaren 50 mg au tri • Rocéphine 2 g IV et Metronidazole 500 mg IV. Laboratoire: CRP20, leuco 6,2 Radiologie: pas de foyer, pas d'épanchement Frottis grippe: positif Avis infectiologique (Dr. X): Proposition de Tamiflu + Isolement Isolement gouttelette Tamiflu 75 mg 2x/j pendant 5 jours Tél Dr. X: pas d'indication à une nouvelle imagerie Hospitalisation Laboratoire. CT cérébral: MAV occipito-pariétal droite avec extension intraventriculaire et drainage dans les veines profondes, probable départ du saignement. Plus de saignement actif visible. Pas d'engagement, mais effet de masse à droite avec effacement des sillons. Dilatation des ventricules en lien avec l'obstruction qui descend dans les canaux rachidiens. Neuro-chirurgie à Bern Dr. X: PACS des images, transfert à Bern avec le SMUR directement aux urgences. Transfert à Bern en neurochirurgie. Laboratoire CT cérébral et cervical: la patiente refuse d'effectuer un scanner cérébral contre avis médical. Elle comprend les risques que cela implique. Attitude: • Retour à domicile avec antalgie, arrêt de travail et feuille d'information lors des traumatismes crâniens simples. • Nous proposons à la patiente de revenir si elle présente un symptôme neurologique. Laboratoire. CT scan cérébral. Antibiothérapie par: • Co-Amoxi 1,2 g iv du 06 au 07.02.2019 • Co-Amoxi 1 g per os 3x/j du 08 au 17.02.2019. Triofan nasal + lavage nasal au sérum physiologique. Laboratoire. CT scan cérébral. Prednisone 1 mg/kg (100 mg) pendant 5 jours. Laboratoire. CT scan thoracique du 19.02.2019: embolie pulmonaire centrale en selle associée à des embolies segmentaires et sous-segmentaires bilatérales avec atteinte occlusive à cheval entre les segments latéro- et postéro-basal à droite, avec infarctus associé. Signes de répercussion sur l'activité cardiaque droite. Laboratoire. CT scan thoracique. Hospitalisation pour surveillance de la dyspnée (composante d'angoisse importante chez un patient en soins palliatifs). Prednisone 40 mg du 05 au 07.02.2019 puis 30 mg avec schéma dégressif (suite du schéma géré par Dr. X) Clexane prophylactique. Laboratoire. CT scan thoraco-abdominal le 09.01.2019. Arrêt du Stivarga. Physiothérapie. Suivi par Dr. X avec rendez-vous à sa consultation le 22.01.2019. Laboratoire CT-Scan: pas de collection sous-jacente, pas de sinusite Remplissage: 2L sur 4h Co-Amoxiciline 1.2gr i.v. aux urgences. Avis ORL (Dr. X): • Croûtes nasales avec surinfection à traiter avec crème Fucidine • Laryngite probablement d'origine bactérienne mais sans signe d'oedème ni d'épiglotite • Signes de gravité: gonflement des paupières, troubles visuels, mauvaise évolution de l'érythème • A disposition pour suite de prise en charge Hospitalisation en médecine. Laboratoire. Culture de selles. Hydratation parentérale. Antibiothérapie par Ceftriaxone 2 g 2x/j du 30.01 au 05.02.2019. Laboratoire. Culture d'urines le 19.02.2019: Enterococcus faecalis et Staphylococcus epidermidis, probable contamination. Liquide céphalo-rachidien: 6 échantillons prélevés, aspect limpide, couleur eau de roche, 2 éléments, absence de protéinorachie, glucose dans la norme, dépistage protéine hTAU en cours au CHUV. RX thorax du 19.02.2019: absence d'un bon inspirium. Pas d'épanchement pleural. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. IRM neurocrâne native et injectée du 19.02.2019: IRM cérébrale dans les limites de la norme. Pas d'argument pour une encéphalite ou une masse. Pas de perte de volume significative cérébrale. Laboratoire: dans la norme. Gazométrie: PH à 7.42. Radiographie du thorax face/profil et cou tissu mou du 23.02.2019: silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de signe d'emphysème des tissus mous, ni de pneumo-médiastin. Pas d'épaississement des tissus mous pré-vertébraux. Tous les corps vertébraux cervicaux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. (Dr. X) Laboratoire: dans la norme. Sédiment urinaire: leucocytes 3-5/champs, erythrocytes 3-5/champs, nitrites négatifs. CT-scanner de l'abdomen natif et injecté du 26.02.2019: on trouve un épaississement sur l'hélice tardive de l'uretère pelvien distal en préméatique à l'origine d'une sténose significative de la lumière urétérale, l'uretère reprend par ailleurs après en regard du méat, calibre conservé. On trouve la dilatation du reste des segments de l'uretère avec un bassinet dilaté, mesuré à 14 mm en antéropostérieur. Importante infiltration de la graisse périrénale droite. Pas d'image de calcul sur l'arbre urinaire. Pas d'anomalie du foie, de la rate et du pancréas. Pas de liquide libre en intrapéritonéal. Pas d'anomalie de la paroi vésicale. CONCLUSION: épaississement circonférentiel sténosant de l'uretère pelvien en distalité en préméatique à l'origine d'un syndrome obstructif et infiltration de la graisse périrénale à confronter aux données endoscopiques par ailleurs. (Dr. X) CT-scanner abdominal natif du 26.02.2019: les 2 reins sont de taille normale, de contours réguliers. Importante infiltration de la graisse péri-rénale à D. Dilatation du bassinet à D avec un diamètre mesuré à 15 mm en antéro-postérieur. Contenu dense déclive de 4 mm au niveau de l'uretère pelvien. Probable calcul peu dense versus une lésion solide polyploïde. Pas d'image de calcul sur les voies excrétrices. Pas d'anomalie de densité spontanée du foie, de la rate et du pancréas. CONCLUSION: syndrome obstructif urétéro-pyélocaliciel D probablement en rapport avec le calcul peu dense de 4 mm au niveau de l'uretère pelvien versus composante hématique ou débris ou polype, à contrôler à distance. (Dr. X) Laboratoire: D-dimères à 2526 Troponines à 19. Laboratoire: D-Dimères, Tropo, BNP. Avis cardiologique Dr. X: pas d'indication à une ETT en urgence au vu du laboratoire rassurant et du CT thoracique sans anomalie notable. Malaise d'allure vagale. La patiente sera revue le 18/02/19 à 8h00 en cardiologie pour réalisation d'une ETT. ECG: multiples extrasystoles ventriculaires monomorphes par moment en bigéminisme ventriculaire. ECG: résolution du bigéminisme. Laboratoire: D-dimères 797 ECG: rythme sinusal régulier sans trouble de la repolarisation, pas de signe indirect d'embolie pulmonaire. Radiographie de thorax: pas de foyer CT-scan thoracique: (rapport oral Dr. X) • pas d'embolie pulmonaire • signes indirects d'hypertension pulmonaire: rapport VD/VG à 1.15, tronc pulmonaire élargi à 39 mm • épaississement bronchique diffus avec impaction des muqueuses prédominante aux lobes inférieurs, compatible avec une bronchite Attitude: • Retour à domicile avec traitement symptomatique • Suite de prise en charge chez son médecin traitant en Italie. Laboratoire de contrôle Laboratoire de contrôle • 22.02.2019: P 0,86 mM, Mg 0,41 mM, Hypoalbuminémie 23,6 g/l Suivi nutritionnel: régime souhaité par le patient mixté-lisse Laboratoire de contrôle Changement Cystofix le 11.09.2018 Changement sonde double cathéter JJ prévu en octobre Laboratoire de 2007: bilan étiologique: ECA neg, Lyme neg, VDRL/TPHA neg, CMV/EBV/Herpes simplex neg, mantoux neg Consilium d'ophtalmologie demandée • Arrêt Imurek • Surveillance du syndrome pseudo-exfoliatif bilatéral en ambulatoire Laboratoire: discret syndrome inflammatoire avec CRP à 34 mg/L sans leucocytose Gazométrie: Hypoxémie à 8.3 kPa Absence d'argument pour une infection urinaire au sédiment urinaire Antigénurie pneumocoque + légionnelle: négatifs Frottis grippe: négatif Radiographie thoracique: pas de franc foyer Aérosols de salbutamol et d'ipratropium du 18 au 20.02.19Dose unique de co-amoxicilline 2.2g aux urgences puis co-amoxicilline per os stoppée le 19.02.19 au vu de l'absence de franc foyer infectieux. Prednisone le 19.02.19 puis stoppée devant l'absence de critères de sévérité de la BPCO. Introduction sérétide et réévaluation par le médecin traitant à 1 semaine. Laboratoire du 01.02.2019 : leucocytes à 11,8 G/l, CRP <5 mg/l. Vaccination AT à jour. Nettoyage, débridement, rinçage et suture selon Kessler (2x + surjet) du flexor digitorum profundus (OP le 02.02.2019). Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. du 01.02. au 03.02.2018 puis co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. pour 7 jours. Laboratoire du 01.02.2019 : Hb 106 g/l, Lc 11.9 G/l; Tc 212 G/l; CRP 17 mg/l. Hb post-partale : 108 g/l. Groupe sanguin A+. Streptocoques du groupe B négatif le 23.01.2019. Sérologies : Toxo non immune; CMV non immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite. Laboratoire du 01.02.2019 : Hb 125, Lc 10, Tc 221, ASAT 75, ALAT 128, LDH 469, fibrinogène 4.7. Spot positif à 0.12 g/mmol. Protéinurie de 24h positive (0,61g/l). Hb post-partale : 133 g/l. Groupe sanguin B+, AC irréguliers le 01.02.2019. Streptocoques du groupe B inconnu. Sérologies : Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Laboratoire du 01.02.2019 : Hb 132 G/L, Lc 13.4 G/L, Tc 354 G/L, CRP 5 mg/L. Groupe sanguin : A Rhésus positif. USTV : utérus antéversé, endomètre épaissi avec sac gestationnel de 13 x 9mm, vésicule vitelline de 2.8mm, embryon de LCC 2.5 mm (correspondant à 5 6/7 SA), ovaire droit sans particularité de 33 x 23 mm, ovaire gauche de 42 x 49 mm, avec image de kyste hémorragique de corps jaune de 31 x 27mm, lame de liquide para-ovarien et épanchement de 2cm dans le Douglas avec présence de caillots. Stix : leucocytes+. Urotube : contaminé. Frottis cervical : positif pour S. agalactiae et négatif pour Chlamydia. Hb du 02.02.19 : 113g/l et 118 g/l. Laboratoire du 01.02.2019 : Hb 133 g/l, Lc 16.8 G/l; Tc 142 G/l. Hb post-partale : 105 g/l. Groupe sanguin A négatif, immunoglobuline anti-D le 16.11.2018, AC irréguliers négatif le 02.02.2019. Streptocoques du groupe B négatif le 09.01.2019. Sérologies : Toxo non immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite. Laboratoire du 01.02.2019 : Hb 134g/l, Lc 12.7 G/l; Tc 188 G/l. Hb post-partale : 137 g/l. Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatifs le 02.02.2019. Streptocoques du groupe B négatif le 07.01.2019. Sérologies : Toxo immune; CMV non immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite (immune). Laboratoire du 02.02.2019 : Hb 122 g/L, Leucocytes 7.4 G/l, Thrombocytes 159 G/l, Crase en ordre. Groupe sanguin : A positif, AC irréguliers négatifs le 02.02.2019. Frottis bactériologique du 31.01.2019 : flore normale. Frottis Chlamydia + Gonocoques du 31.01.2019 : négatif. US transvaginale : masse latéralisée de 23x16mm de l'ovaire gauche, utérus sp, ovaire droit sp, lame de liquide libre dans le Douglas. Hb post-opératoire : 107 g/l. bHCG à 707 U/l le 03.02.2019. Laboratoire du 02.02.2019 : Hb 140 g/l, Leucocytes 15 G/l, Thrombocytes 238 G/l, Crase en ordre. Hb post-partale : 135 g/l. Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatifs le 02.02.2019. Streptocoques du groupe B inconnu. Sérologies : Rubéole immune, VDRL négatif, HBS vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Boostrix le 12.12.2018. Laboratoire du 02.02.2019 : Hémoglobine 138 g/l, Leucocytes 10,7 G/l; Thrombocytes 186 G/l. Crase en ordre. Hb post-partum : 102 g/l. Groupe sanguin B+, AC irréguliers négatif le 13.08.2018. Streptocoques du groupe B négatif le 04.01.2019. Sérologies : Toxo immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS, Vaccinée; HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 03.02.2019 : Hb 120 g/l; Leucocytes 8.3 G/l; Thrombocytes 144 G/l; TP >100%; CRP 10mg/l, ASAT/ALAT : 17/11, Acide urique : 335. Spot 0,016 g/mmol du 04.02.2019. Labo du 17.02.2019 : ALAT 16 U/L, ASAT 12 U/L, A urique 361 micromol/l, Haptoglobine 2.09g/l, leuk 8G/L, Hb 118 g/l, Thc 167 G/L. Labo post-partal 21.02. 2019 : ALAT 21 U/L, ASAT 8 U/L, A urique 440 micromol/l, leuk 9.7G/L, Hb 106 g/l, Thc 195 G/L. US 08.02.2019 par le Dr. X : PC, bonne vitalité fœtale. Dopplers omb et ACM dans la norme. AFI à 6cm. Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 17.02.2019. Streptocoques du groupe B négatif le 05.02.2019. Sérologies du 31.08.2018 : Toxo immune; CMV non-immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite. Laboratoire du 03.02.2019 : Hb 128 g/l, Leucocytes 13.9 G/l, Thrombocytes 255 G/l, Crase en ordre. Hb post-partale : 106 g/l. Groupe sanguin A+; AC irréguliers négatif le 03.02.2019. Streptocoques du groupe B positif. Sérologies du 06.06.2018 : Toxo non-immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite. Laboratoire du 04.02.2019 : Hb 131g/l, Leucocytes 12 G/l, Thrombocytes 194 G/l, Crase en ordre. Hb post-partale : 118 g/l. Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 04.02.2019. Streptocoques du groupe B négatif le 01.02.2019. Sérologies : Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif : Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Laboratoire du 04.02.2019 : Hb 141 g/l, Leucocytes 8.7 G/l, Thrombocytes 207 G/l, Crase en ordre. Hb post-partale : 97 g/l. Groupe sanguin O+, AC irréguliers le 05.02.2019. Streptocoques du groupe B négatif le 21.01.2019. Sérologies : Rubéole immune, Syphilis négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 04.02.2019 : Hémoglobine 130 g/l, Leucocytes 12.3 G/l, Thrombocytes 410 G/l. Crase sans particularité. Hb post-partum : 116 g/l. Groupe sanguin O-, immunoglobuline anti-D le 22.11.2018; AC irréguliers positif (anti-D) le 09.11.2018. Streptocoques du groupe B négatif le 08.01.2019. Sérologies : CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, particularités : Boostrix le 08.01.2019. Laboratoire du 04.12.2018 : E 110 pmol/L; Prolactine à 16 mcg/L; Progestérone 0.57 ng/ml; LH 4.3 U/L; FSH 5.1 UI/l; AMH 27.9 pmol/l. Sérologie IST le 04.12.2018 : HB vaccinée, HC, HIV, Syphilis : Négatifs. PAP avril 2018 eo. Frottis vaginal le 07.08.2019 : Gardenella positive traité par Flagyl. Mycoplasma, Ureaplasma négatifs. Hystéro-salpingographie le 16.08.2019 : Fond utérin légèrement arqué avec perméabilité tubaire des deux côtés. Laboratoire du 05.02.2019. Ad avis hématologie du 05.02.2019 (Dr. X) : bilan de thrombophilie avant introduction de Clexane à dosage thérapeutique. Bilan de thrombophilie avant début de traitement par Clexane thérapeutique - non réalisé aux urgences. Ad laboratoire de contrôle. Laboratoire du 05.02.2019 : absence d'agranulocytose. Rendez-vous avec Dr. X le 06.02.2019 pour adaptation et notion d'introduction d'un nouveau traitement pour néoplasie à préciser. (Dr. X au courant de l'hospitalisation). Laboratoire du 05.02.2019 : aligné. Consilium hématologique (Dr. X) 1) Dosage quantitatif du rapport porphobilinogène/créatinine urinaire (en cas de crise de porphyrie aiguë, le rapport augmente à 20-300 !), Perfusion de G5% 1000 ml/24h en association avec du NaCl 09% 1000 ml/24h, Poursuite investigation, selon clinique, d'éventuelles autres causes de douleurs abdominales. Urines : porphobilinogène qualitative négatif, porphobilinogène quantitatif et acide delta-aminolévulinique en cours (envoyés au laboratoire externe à Zurich). Téléphone au Dr. X (médecin traitant). Aux urgences : Dafalgan 1 g, Brufen 600 mg, NaCl 0.9% 500 ml i.v., Glucose 5% 500 ml i.v. Hospitalisation en médecine interne pour poursuites des investigations et adaptation antalgie. Laboratoire du 05.02.2019 : aligné. Urines : porphobilinogène qualitatif négatif, porphobilinogène quantitatif et acide delta-aminolévulinique en cours (envoyés au laboratoire externe à Zurich, Triemlispital).Au service des urgences : Dafalgan 1 g, Brufen 600 mg, NaCl 0.9% 500 ml i.v., Glucose 5% 500 ml i.v. Consilium hématologique du 05.02.2019 (Dr. X) ECG le 06.02.2019 RX de thorax le 06.02.2019 CT thoraco-abdominal non-injecté le 07.02.2019 Consilium gastroentérologie le 07.02.2019 (Dr. X) : pas d'indication à une oeso-gastro-duodénoscopie durant l'hospitalisation, traitement d'IPP +/- anti-H2 et contrôle en ambulatoire si péjoration. Test d'effort le 08.12.2019. Laboratoire du 05.02.2019 : Hb 129 g/l, Leucocytes 8.1 G/l, Thrombocytes 154 G/l, Crase en ordre. Hb post partale : 110 g/l. Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 20.02.2019. Streptocoques du groupe B négatif le 05.02.2019. Sérologies : Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 05.02.2019 : Hémoglobine 137 g/l, Leucocytes 10,9 G/l, Thrombocytes 200 G/l. Hb post-partum : 110 g/l. Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 20.02.2018. Streptocoques du groupe B négatif le 08.01.2019. Sérologies 20.02.2018 : Toxo immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS, Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Laboratoire du 05.02.2019. Deux paires d'hémocultures faites. CT-scan abdominal injecté du 05.02.2019 : diverticulite perforée couverte sans air libre avec discrète dilatation des voies biliaires intra-hépatiques un peu plus marquée qu'au dernier scanner. Avis chirurgie (Dr. X) : traitement ciproxine 200 mg x 2 iv, 500 mg 3x/j. Stix urinaire/Sédiment le 05.02.2019 : sang +++. • Tienam 500 mg iv. • 30 Meq KCL dans 1000 NaCl en perf iv. Laboratoire du 05.02.2019. ECG du 05.02.2019. CT-scan abdominal du 05.02.2019. US abdominal voies urinaires ciblé aux urgences : vessie 54 mm x 64 mm x 65 mm = 224 /2 ml. Stix/Sédiment. Avis chirurgical du 22.01.2019 (Dr. X, Dr. X, Dr. X) : Laboratoire du 05.02.2019. Hémocultures. Laboratoire du 05.02.2019. Hémocultures 2 paires. Stix du 05.02.2019. Avis chirurgical (Dr. X) : traitement conservateur, pas d'indication chirurgicale, boisson libre jusqu'à demain. Avis infectiologique (Dr. X) : Méronem 1 g 3x/j iv, Diflucan 800 mg iv. • Tienam 500 mg iv. • KCL 30 meq iv sur 3h. • Magnésium 2 g iv. après avis infectio : Diflucan 800 mg iv. Hydratation. Hospitalisation aux soins continus pour prise en charge. Laboratoire du 05.02.2019. Stix/Sédiment du 05.02.2019. ECG du 05.02.2019 : sp. CT-scan du 05.02.2019 : examen compatible avec une cholécystite associé à un réhaussement des voies biliaires extra-hépatiques, suspect de cholangite. Pas de lithiase radio-opaque décelée. Pas de dilatation des voies biliaires. Thrombose d'une branche de la veine porte dans le segment VIII. Absence d'iléus. Avis chirurgicale du 05.02.2019 (Dr. X) : prise en charge conservatrice, Rocéphine 2 g iv, Flagyl 500 mg iv 3x. • Rocéphine 2 g iv aux urgences. • Flagyl 500 mg iv. ad hospitalisation en chirurgie pour suivi, patient à jeûn jusqu'à nouvel ordre. Laboratoire du 06.02.2019 : CRP 55, leucocytose 21.1. CT scan cérébral natif : pas de saignement visualisé. Avis neuro. • Avis anesthésie. • Intubation crash avec tube 7.5 mm (Dr. X), induction par Midazolam et Kétamine. Laboratoire du 06.02.2019 : leucocytes à 21.1 G/l. CRP à 55. Gazométrie du 06.02.2019 : pH à 7.26, PCO2 à 6.3 kPa, PO2 21.7 kPa, bicarbonate 21 mmol/l. CT-scan thoraco-abdominal du 06.02.2019 : pas de saignement visualisé. Avis soins intensifs (Dr. X) : pose de cathéter artériel, cathéter veineux central. • Tazobac 4.5 mg iv DU. • Remplissage 2500 ml. • Soutien aminergique par Noradrénaline. Laboratoire du 06.02.2019 : Hb 140 g/l, Lc 12.6 G/l ; Tc 261 G/l ; CRP 20 mg/l. Hb post-partale : 110 g/l. Groupe sanguin B+, anticorps irréguliers négatifs le 06.02.2019. Streptocoques du groupe B négatif le 17.01.2019. Sérologies : Rubéole non immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle inconnu. Laboratoire du 07.02.2019 : FSC, PCR VZV, Syphilis, HIV, FR, FAN, Lyme. Téléphone (Dr. X) : souhaite un avis infectiologique et neurologique. Avis neurologique (Dr. X / Dr. X) du 07.02.2019 : ad ponction lombaire avec recherche d'électrophorèse des protéines, PCR VZV, et investigations habituelles. Avis infectiologique (Dr. X) du 07.02.2019 : pas d'indication à d'autres investigations infectiologiques. Ponction lombaire du 07.02.2019 (Dr. X, Dr. X et Dr. X) : • Patiente en décubitus latéral gauche, chien de fusil. • Site de ponction L4-L5, désinfection locale et champage. • 2 tentatives de ponction avec échec (extravasation sanguinolente non pulsatile). • Pression d'ouverture à 19 mm. • LCR eau de roche avec prélèvement 6 tubes. Attitude : • Consentement pré-ponction lombaire effectué et signé par la patiente. • Lettre d'information post ponction lombaire remise à la patiente. • Surveillance 2h aux urgences. • Avis neurologique (Dr. X / Dr. X) : patiente doit prendre rendez-vous à 4 semaines chez (Dr. X) (neurologue pour suite de prise en charge et pistage des résultats. Retour à domicile avec : • Traitement antalgique. • Conseils d'usage : repos, antalgie. • Informations sur symptômes graves nécessitant une reconsultation en urgence. • Convocation au secteur ambulatoire des urgences lundi 11.01.2019 pour transmission de résultats tests HIV. Laboratoire du 07.02.2019 : Hb 123 g/l, Lc 6.8 G/l ; Tc 186 G/l. Hb post-partale : 96 g/l. Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 07.02.2019. Streptocoques du groupe B négatif le 22.01.2019. Sérologies : Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle positif. Laboratoire du 07.02.2019. ECG. Avis neurologique du 07.02.2019 (Dr. X, Dr. X) : probable crise migraineuse avec aura, IRM en ambulatoire. IRM cérébral en ambulatoire. Traitement symptomatique. Stop pilule oestro-progestative. Laboratoire du 07.02.2019. H0 466. H1 435. Rx thoracique du 07.02.2019. US cardiaque du 07.02.2019 : péjoration de la fraction d'éjection ventriculaire (40 -> 20%) nécessitant une coronarographie en urgences. Coronarographie le 07.02.2019. Avis cardio (Dr. X) : indication à coronarographie. • Coronarographie le 07.02.2019. • surveillance SIC. Laboratoire du 08.02.2019 : Hb 120 g/l, leucocytes 5.9 G/l ; Thrombocytes 211 G/l ; CRP 6 mg/l, Kleihauer négatif. Groupe sanguin A+. US endovaginal le 08.02.2019 : Col long de 27 mm fermé, placenta postérieur praevia recouvrant. US abdominal 08.02.2019 : fœtus de sexe féminin en présentation céphalique, Manning 10/10, ILA en ordre avec grande citerne à 5 cm, PFE 1180 g, Dopplers ombilicaux en ordre, Doppler ACM en ordre. Sérologies : Toxo immune ; CMV non immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif (en 2017, pas refait en 2019) ; HCV inconnu ; HIV négatif ; Varicelle positif. US 1er trimestre (30.10.2018) : CN 1.6 mm, CRL 75 mm. Risque de T 21 1/5245, T13/18 < 1/40 000. Dépistage 2ème trimestre le 27.11.2018 : risque DFTN 1/8500. Laboratoire du 08.02.2019 : HCG 10527 UI/L, Hb 121, Tc 295, Lc 4.5, crase sp, ASAT 15, ALAT 12, créatinine 45. Groupe O+, AC irrégulier négatif le 08.02.2019. US endovaginal du 09.02.2019 (Dr. X) : matériel en position cervico-isthmique évocateur de sac gestationnel en cours d'expulsion. Frottis vaginal le 08.02.2019 : en cours. Laboratoire du 09.01.2019 : ___ CT-scan thoraco-abdominal du 18.01.2019 : métastases osseuses iliaque gauche et costale droite. Suspicion de néoplasie mammaire droite. Scintigraphie du 31.01.2019 : mise en évidence d'une intense hypercaptation humérale droite et de plusieurs captations costales postérieures droites, évoquant plutôt une origine traumatique. Les deux lésions ostéolytiques visualisées au CT-scan ne captent pas le radiotraceur de manière pathologique. Absence d'autre lésion suspecte au niveau du squelette.ECG du 09.02.2019 • AINS 400 mg 3x/j pour 3 jours avec protection gastrique Pantozol 40 mg 1x/j • ad hospitalisation en médecine interne Laboratoire du 09.01.2019 • ATT • Hospitalisation • Adaptation antalgie : introduction d'AINS 400 mg 3x/j pour 3 jours avec protection gastrique Pantozol 40 mg 1x/j • Évaluer introduction Opiacé selon évolution • Physiothérapie Laboratoire du 09.02.2019 : pas de syndrome inflammatoire. Uro-CT-scan du 09.02.2019 : pas de calcul, pas de signe franc de pyélonéphrite. Nodule hypervasculaire en regard de l'artère iliaque externe droite à contrôler. Laboratoire du 09.02.2019 • ATT • Hospitalisation • Avertir oncologue • Adapter aide à domicile Laboratoire du 09.02.2019 • suivi biologique Laboratoire du 09.02.2019 ECG de 01.2019 • att • ad hospitalisation en médecine interne Laboratoire du 09.02.2019 Electrophorèse des protéines : en cours Suivi biologique Substitution en folates Contrôle biologique à 1 semaine Laboratoire du 09.02.2019 Gazométrie du 09.02.2019 Radiographie du 09.02.2019 ECG du 09.02.2019 Dose unique : Rocéphine 2 g iv, Klacid 500 mg 3x/j per os • att • Lasix 40 mg iv DU • Avis cardiologique : ad interrogation du pacemaker et US • Ad hospitalisation en médecine interne pour suite de prise en charge Laboratoire du 10.02.2019 Laboratoire du 10.02.2019 • att • Administration de vitamine K et Beriplex pour réversion de la crase avant pose de drain • Sintrom en pause Laboratoire du 10.02.2019 ECG du 10.02.2019 Gazométrie du 10.02.2019 US ciblé Dr. X, urgences : volumineux épanchement pleural G cloisonné CT thoracique du 10.02.2019 • att • Co-amoxicilline 1.2 g 3x/j • Antigènes urinaires à pister • Aérosols administrés aux urgences • ad hospitalisation en médecine interne • Refus de pose de drain par la patiente, ad réévaluation des souhaits de la patiente durant hospitalisation Laboratoire du 10.02.2019. Radiographie du 10.02.2019. US des tissus mous du 10.02.2019 : petite hypodensité cutanée de 3 mm, infiltration des tissus mous sous-cutanés, mais sans mise en évidence de collection purulente. Visibilité des extenseurs. Compatible avec dermo-hypodermite. Avis orthopédique du 10.02.2019 (Dr. X) : débridement de plaie. Co-amoxicilline 2.2 iv OU puis 3x 1 g durant 7 jours. Contrôle clinique au Secteur Ambulatoire des Urgences dans 48 h avec avis orthopédique. Laboratoire du 11.02.2019 : lactates 0.8 mmol/l, CRP 124 mg/l, anémie normocytaire. Radiographie du thorax couché faite le 11.02.2019 : absence de foyer. Hémocultures : à pister. Frottis grippe en cours. Laboratoire du 11.02.2019 : Hb 117 g/l ; Leucocytes 13.4 G/l ; Thrombocytes 350 G/l. Crase sans particularité. Hb post-partum : 110 g/l. Groupe sanguin A+ ; AC irréguliers négatif le 22.08.2018. Streptocoques du groupe B négatif le 16.01.2019. Sérologies du 22.08.2018 : Toxo non-immune ; Rubéole immune ; TPHA négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif. Laboratoire du 11.02.2019 : Hb 119 g/l, Leucocytes 20.5 G/l, Thrombocytes 349 G/l, Crase en ordre Groupe sanguin AB+, AC irréguliers le 11.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 10.01.2019 Sérologies : CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 11.02.2019 : Hb 122 g/l ; Leucocytes 8.8 G/l ; Thrombocytes 179 G/l, Crase en ordre. Hb post-partale : 95 g/L. Groupe sanguin O+ ; AC irréguliers négatif le 11.02.2019. Streptocoques du Groupe B négatif le 04.02.2019. Sérologies du 20.08.2018 : CMV immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle, faite. Laboratoire du 11.02.2019 : Hb 129 g/l, Leucocytes 16 G/l, Thrombocytes 506 G/l, Crase en ordre. Hb de contrôle le 12.02.2019 : 98 g/l. Groupe sanguin : O négatif, AC irréguliers négatifs le 11.02.2019. US : présence d'un caillot intra utérin d'environ 6 cm, absence de liquide libre avec Morrison libre. US de contrôle à la sortie (Dr. X) : confirme la vacuité de la cavité utérine. Laboratoire du 11.02.2019 : Hb 134 g/l ; Leucocytes 11.0 G/l ; Thrombocytes 301 G/l ; L'hémoglobine post-partale à 113 g/l. Groupe sanguin A+ ; AC irréguliers négatifs le 20.12.2018 Streptocoques du groupe B positifs 14.01.2019 ; TSH : 0.89 le 20.07.2018 Sérologies du 10.08.2018 : Toxo immune ; CMV immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; Vaccinée ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite ; Boostrix fait en novembre 2018 Laboratoire du 11.02.2019 Radiographie thoracique du 11.02.2019 Gazométrie du 11.02.2019 Hémoculture du 11.02.2019 Expectorations du 06.02.2019 : positif au Corynebacterium Frottis grippe : positif pour Influenza A Aux urgences : Ventolin et Atrovent Solumédrol 125 mg i.v. VNI pendant 20 minutes, puis non-tolérée par la patiente Gazométrie de contrôle Attitude : • Majoration du Torem à 30 mg/jour • Hospitalisation en médecine pour suite de la prise en charge Laboratoire du 11.02.2019 Stix/Sédiment du 11.02.2019 CT-scan abdominal du 11.02.2019 Thérapie aux urgences : • Pantozol 40 mg iv • Alucol 20 ml Avis chirurgical (Dr. X) : indication à une cholécystectomie, hospitalisation en chirurgie, à jeûn Attitude : • Hospitalisation en chirurgie • Cholécystectomie prévue • À jeûn • Laboratoire le 12.02.2019 Laboratoire du 12.02.2019 : Hb 118 g/l, Leucocytes 7.9 G/l, Thrombocytes 163 G/l, Crase en ordre Hb post-partale : 98 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 12.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 08.02.2019 Sérologies : Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 12.02.2019 : Hb 121 g/l, Leucocytes 10.8 G/l, Thrombocytes 172 G/l, Crase en ordre Hb post-partale : 113 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 12.02.2019 Streptocoque du groupe B négatif le 07.02.2019 Sérologies : CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Laboratoire du 12.02.2019 : Hb 124 g/l, Leucocytes 10.7 G/l, Thrombocytes 209 G/l, CRP 6 mg/ml, Crase en ordre Hb post-partale : 92 g/l Groupe sanguin B+, AC irréguliers négatif le 12.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 14.01.2019 Sérologies : Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif Laboratoire du 12.02.2019 : Hb 133 g/l, Leucocytes 11.6 G/l, Thrombocytes 274 G/l, CRP 62 mg/ml, Crase en ordre Hb post-partale : 126 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 13.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 10.01.2019 Sérologies : Toxo immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif Laboratoire du 12.02.2019 : Hémoglobine 116 g/l, Leucocytes 10.2 G/l. Thrombocytes 288 G/l, CRP 7 Groupe sanguin O+ ; AC irréguliers négatif le 12.10.2018 Sérologies du 12.10.2018 : Rubéole non-immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. US à l'entrée : bonne vitalité foetale. Col stable à 13 mm. US le 14.02.2019 : Col à 15 mm, avec léger funneling, stable au Vasalva. Présentation céphalique, biométrie foetale correspondant au p50, bonne vitalité foetale, AFI dans la norme. Frottis bactériologie : flore normale ; chlamydia négatif Urotube : flore mixte, probable contamination Urotube du 15.02.2019 : 10E4 (contaminants) Laboratoire du 12.02.2019 : Hémoglobine 119 g/l, Leucocytes 14.5 G/l, Thrombocytes 217 G/l, CRP < 5 mg/ml, Crase en ordre. Hb post-partale : 103 g/l. Groupe sanguin O+. AC irréguliers négatifs le 12.02.2019. Streptocoques du groupe B positifs le 18.01.2019. Sérologies le 05.09.2018 : Toxo immune, CMV immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBV Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 13.02.2019 : Hb 116 g/l ; Leucocytes 10.7 G/l ; Thrombocytes 278 G/l ; CRP 7 mg/l Hb post-partum : 107 g/l. Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 10.07.2018 • Streptocoques du groupe B négatif le 22.01.2019; • Sérologies: Toxo non-immune; Rubéole immune; HBS négatif, Vaccinée; HCV négatif; HIV négatif • Laboratoire du 13.02.2019: Hb 123 g/l, Leucocytes 12.8 G/l, Thrombocytes 234 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 113 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 13.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 21.01.2019 • Sérologies: Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif • Laboratoire du 13.02.2019: Hb 124 g/l, Lc 13.5 G/l; Tc 183 G/l Hb post-partale: 110 g/l Groupe sanguin B+, AC irréguliers négatif le 09.01.2019, AC irréguliers positif le 24.12.2018 Ac anti-M positif, titre bas et stable Streptocoques du groupe B négatif le 09.01.2019 • Sérologies: Toxo non-immune le 12.06.2018; CMV immune le 06.07.2018; Rubéole immune le 06.07.2018; VDRL négatif le 06.07.2018; HBS négatif le 30.11.2018; HCV négatif le 30.11.2018; HIV négatif le 06.07.2018; Boostrix faite le 06.11.2018 • Laboratoire du 13.02.2019: Hb 124 g/l, Leucocytes 18 G/l, Thrombocytes 274 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 113 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 15.11.2018 Streptocoques du groupe B négatif. • Sérologies: Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, TPHA négatif, HBS, Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. • Laboratoire du 14.02.2019: Hb 116 g/l, Leucocytes 11.1 G/l, Thrombocytes 255 G/l Hb post-partale 102 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 14.02.2019 Streptocoques du groupe B positif le 14.01.2019 • Sérologies du 01.01.2016: CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif le 09.08.2018; HCV négatif; HIV négatif; • Laboratoire du 14.02.2019: Hb 120 g/l, Leucocytes 13.7 G/l, Thrombocytes 284 G/l, CRP 6 mg/ml, Crase en ordre Hb post-partale: 92 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 14.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 29.01.2019 • Sérologies: CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS, Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. • Laboratoire du 14.02.2019: Hb 129 g/l, Lc 12 G/l; Tc 220 G/l, ASAT 62 U/L, ALAT 99 U/L Labo post-partal: Hb 110 g/l, ASAT 47 U/I, ALAT 55 U/L Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 17.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 31.01.2019 • Sérologies: CMV immune le 03.06.2015; Rubéole immune le 04.09.2018; VDRL négatif; TPHA négatif le 04.09.2018; HBS négatif le 04.09.2018; HCV négatif le 04.09.2018; HIV négatif le 04.09.2018. • Laboratoire du 15.02.2019: Hb 113 g/l, Lc 6.3 G/l; Tc 305 G/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 15.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 10.01.2019 • Sérologies: CMV immune, Rubéole immune, HBV vaccinée, HIV, HCV, TPHA prélevés le 15.02.2019 • Laboratoire du 15.02.2019: NT pro-BNP à 1235 ng/l Radiographie thoracique effectuée chez Mr. Y ETT le 20.02.2019: FEVG à 30-35% (évaluation visuelle) • Torasémide 5 mg introduit le 20.02.2019 Poids sec: 70-71kg • Laboratoire du 15.02.2019: NT pro-BNP à 1235 Radiographie thoracique effectuée chez Mr. Y • att ad hospitalisation en médecine interne pour suite prise en charge • Laboratoire du 15.02.2019: Hb 119 g/l, Lc 9.4 G/l, Tc 323 G/l Hb post-partale: 102 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 14.06.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 14.01.2019; • Sérologies le 14.06.2018: Toxo immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; • Laboratoire du 15.02.2019: Hb 122 g/l, Lc 10 G/l; Tc 237 G/l; CRP 6 mg/l Hb post-partale: 106 g/l Groupe sanguin B+, AC irréguliers négatif le 17.08.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 17.01.2019 • Sérologies: Toxo non-immune le 21.06.2018; CMV non-immune le 21.06.2018; Rubéole non-immune le 21.06.2018; TPHA négatif le 20.06.2018; HBS négatif le 21.06.2018; HCV négatif le 17.08.2019; HIV négatif le 17.08.2018 • Laboratoire du 15.02.2019: Hb 127 g/l, Lc 8.1 G/l, Tc 229 G/l Hb post-partale: 113 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 15.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 16.01.2019 • Sérologies: Toxo non-immune le 03.07.2018; CMV non-immune le 07.08.2018; Rubéole immune le 18.05.2015; VDRL négatif le 07.08.2018; HBS négatif le 30.11.2018; HCV négatif le 30.11.2018; HIV négatif le 07.08.2018 • Laboratoire du 15.02.2019: Hb 139 g/l, Lc 13.8 G/l, Tc 258 G/l Hb post-partale: 133 g/l Groupe sanguin O-, immunoglobuline anti-D le 19.11.2018 Groupe sanguin bébé: Rh + Streptocoques du groupe B négatif le 24.01.2019 • Sérologies: Toxo non-immune le 31.10.2018; CMV immune le 18.12.2015; Rubéole immune le 18.12.2015; VDRL négatif le 18.07.2018; HCV négatif le 18.07.2018; HIV négatif le 18.07.2018; Varicelle positif le 18.12.2015. • Laboratoire du 15.02.2019 • att Substitution par 40 Meq de Potassium sur 2h • Laboratoire du 15.02.2019 CT-scan time is brain le 15.02.2019: AVC artère cérébrale moyenne droite avec zone constituée de <30% et reste zone de pénombre, occlusion vasculaire branche distale M3 avec anévrisme 2x3mm dans carotide interne D au niveau du segment intra-caverneux. Avis neurologique du 15.02.2019 ( Dr. X): pas d'indication à une lyse, ad 300mg de Plavix iv. Plavix 75mg & Aspirine cardio 100 mg le 16.02, suivi neurologique sur la nuit aux soins intensifs, ad investigations cardiaque avec US cardio et holter. • att Plavix 300mg iv aux urgences en OU. Hospitalisation soins intensifs au stroke unit • Laboratoire du 15.02.2019 Gazométrie du 15.02.2019 Radiographie du 15.02.2019: effectué chez médecin traitant Antigènes urinaires le 15.02.2019: ______ • att Rocéphine 2g iv Klacid 500mg po ad hospitalisation en médecine interne avec poursuite du traitement antibiothérapie • Laboratoire du 15.02.2019 Gazométrie du 15.02.2019 Radiographie du 15.02.2019: effectué chez médecin traitant, foyer basal droit Antigènes urinaires le 15.02.2019: négatif pour legionella Rocéphine iv du 15.02 au 19.02.2019 Klacid po du 15.02 au 18.02.2019 Co-amoxicilline po du 20.02 au 21.02.2019 Physiothérapie respiratoire et de mobilisation • Laboratoire du 16.01.2019: Acide folique, VitB12, TSH du 16.01.2019 dans la norme, carence en zinc Consilium: conseil et traitement diététique Substitution vitaminique et oligo-éléments • Laboratoire du 16.02.2019: Hb 120 g/l, Lc 17.7 G/l; Tc 207 G/l Hb post-partale: 82 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 16.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 16.01.2019 • Sérologies: Toxo non immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS immune; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle positif Boostrix le 21.11.2018 Uricult 18.02.2019: Flore mixte • Laboratoire du 16.02.2019: Hb 122 g/l, Lc 14.1 G/l; Tc 191 G/l Hb post-partale: 114 g/l Groupe sanguin A-, immunoglobuline anti-D le 05.11.2018, AC irréguliers négatif le 16.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 14.01.2019 • Sérologies: Rubéole immune; TPHA négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle négatif • Laboratoire du 16.02.2019: Hb 126 g/l, Lc 6.4 G/l; Tc 91 G/l; tests hépatiques et rénaux dans la norme, crase dans la norme (fibrinogène à 2.6 g/l), LDH 607 U/l, rapport protéine/créatinine (urines) 0.044 Hb post-partale: 98 g/l Bilan de gestose 22.02.2019 Hb 100g/l, Thc 136 G/l, ASAT 136 U/l, ALAT 115 U/l, LDH 557, A.urique 287 Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 16.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 07.02.2019 • Sérologies: Rubéole positif; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite • Laboratoire du 16.02.2019: Hb 129 g/l, Lc 9.8 G/l; Tc 159 G/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 16.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 15.01.2019 • Sérologies: Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle inconnu, non retrouvé ce jour), Boostrix le 09.11.2018 • Laboratoire du 17.01.2019: Hb 124 g/L, Leucocytes 7.6 G/l, Thrombocytes 255 G/l Hb post-partale: 127 g/l Groupe sanguin O Rhésus positif, AC irréguliers négatif le 06.12.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 17.01.2019 Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 17.02.2019: Hb 139 g/l, Lc 12.2 G/l; Tc 187 G/l Hb post-partale: 139 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 17.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 14.02.2019 Sérologies: CMV non immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle positif Laboratoire du 18.02.2019: Hb 138 g/l, Leucocytes 9.9 G/l; Thrombocytes 109 G/l, Crase en ordre Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 18.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 04.02.2019 Sérologies: Toxo non immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 18.02.2019: Hb 111 g/l, Lc 6.4 G/l; Tc 237 G/l Hb post-partale: 110 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 18.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 14.01.2019 Sérologies: Toxo non immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 18.02.2019: Hb 126 g/l, Lc 13.7 G/l; Tc 395 G/l; CRP 5 mg/l Hb post-partale: 124 g/l Groupe sanguin AB+, AC irréguliers négatif le 18.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 29.01.2019 Sérologies: Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif Laboratoire du 18.02.2019: Hb 128 g/l, Leucocytes 12 G/l, Thrombocytes 258 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 115 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 18.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 21.01.2019 Sérologies: Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 18.02.2019: Hb 128 g/l, Leucocytes 7.9 G/l, Thrombocytes 215 G/l, Crase en ordre Hb post-partale 119 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 18.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 15.02.2019 Sérologies: Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif: Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 18.02.2019. Avis chirurgical du 18.02.2019 (Dr. X) : laboratoire et anuscopie. Anuscopie du 18.02.2019 (Dr. X) : pas de source de saignement visualisé, hémorroïde stade II. Attitude : • Demande de colonoscopie en ambulatoire effectuée. • La patiente prendra rendez-vous de contrôle en proctologie post-colonoscopie. • Patiente est instruite des symptômes graves nécessitant une reconsultation aux urgences. Laboratoire du 19.02.2019: Hb 118 g/l, Leucocytes 13.1 G/l, Thrombocytes 184 G/l, Crase en ordre, Bilan de gestose aligné. Hb post-partale: 117 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 28.08.2018 Streptocoques du groupe B négatif Sérologies: Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif Laboratoire du 19.02.2019. Avis orthopédique (Dr. X) du 19.02.2019: démarcation et contrôle à 24h avec laboratoire. Rappel Tétanos le 17.02.2019. Majoration du traitement antibiotique par Co-amoxicilline 1 g 3x par jour. Consultation au Secteur Ambulatoire des Urgences à 24h pour contrôle de plaie avec laboratoire. Recommandation de consulter les urgences en cas d'état fébrile, frissons, trouble neurologique. Laboratoire du 20.02.2019: Hb 120 g/l, Leucocytes 7.5 G/l, Thrombocytes 242 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 107 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 20.02.2019 Streptocoques du groupe B positif le 29.01.2019 Sérologies: Toxo immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite Laboratoire du 21.02.2019: Hb 108 g/l, Lc 7.1 G/l; Tc 196 G/l Hb post-partale: 107 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 21.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 24.01.2019 Sérologies: CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 21.02.2019: Hb 109 g/l, Leucocytes 10 G/l, CRP 8 mg/ml, Thrombocytes 307 G/l, Crase en ordre. Hb fœtale 0. Fern Test du 21.02.2019: négatif Hb fœtale du 22.02.2019: 0 Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 21.02.2019 Sérologies: Rubéole non-immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Frottis bactériologique: Gardnerella positif Frottis Streptocoques du groupe B: négatif Urotube: stérile US transabdominale et trans-vaginale à l'entrée: Fœtus eutrophique en présentation céphalique avec PFE à 1440 g, manning 8/8, liquide amniotique en quantité normale avec AFI à 17, placenta antérieur non-bas inséré avec suspicion de décollement sur la marge inférieure, doppler ombilical et ACM droite en ordre. Col fermé stable au Valsalva de 33 mm. US du 25.02.2019: Image placentaire sans hématome rétroplacentaire retrouvé et dopplers en ordre, bonne vitalité fœtale Laboratoire du 21.02.2019: Hb 117 g/l, Lc 185 G/l; Tc 8.6 G/l Hb post-partale: 108 g/l Groupe sanguin AB+, AC irréguliers négatif le 21.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 12.02.2019 Sérologies: Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite, Boostrix le 12.11.2019 Laboratoire du 21.02.2019: Hb 129 g/l, Leucocytes 11.2 G/l, Thrombocytes 230 G/l, CRP 6 mg/ml, Crase en ordre Hb post-partale: 93 g/l Groupe sanguin AB+, AC irréguliers négatif le 21.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 21.01.2019 Sérologies: Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Laboratoire du 21.02.2019: syndrome inflammatoire avec CRP: 56 mg/l et Lc: 11.3 G/l, pas d'anémie, pas de troubles électrolytiques. CT abdominal du 21.02.2019: appendicite aiguë sans signe de complications. Laboratoire du 21.02.2019: syndrome inflammatoire avec CRP: 56 mg/l et Lc: 11.3 G/l, pas d'anémie, pas de troubles électrolytiques. CT abdominal du 21.02.2019: appendicite aiguë sans signes de complication Histologie: cf. annexes Laboratoire du 22.02.2019: Hb 107 l, Lc 9.9, Tc 270 G/l, Fibrinogène 3.4 g/l, urée 2.9 mmol/l, ASAT 29 U/l, ALAT 20 U/l, LDH 493 U/l, acide urique 246 micromol/l Spot urinaire du 22.02.2019: 0.043 g/mmol Laboratoire du 25.12.2019: Hb: 73 g/l, GB: 12 g/l, Plaq: 223 G/l, CRP: 81, ASAT/ALAT: 52/21, LDH: 647, PAL: 149, Haptoglobine: 1.16, Fibrinogène: 6.6 Groupe sanguin O Rhésus positif, anticorps irréguliers négatifs le 22.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 14.02.2019 Sérologies: Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif Laboratoire du 22.02.2019: Hb 130, Lc 9.7, Tc 286, Crase en ordre, CRP <5 Laboratoire du 23 et 24.02.2019: amélioration de la kaliémie, natrémie et du syndrome inflammatoire Stick urinaire propre RX thorax: pas de foyer Laboratoire du 23.02.2019: Hb 119 g/l, Lc 3.9 G/l; Tc 124 G/l Hb post-partale: 109 g/l Groupe sanguin AB+, AC irréguliers négatif le 30.07.2018 Streptocoques du groupe B négatif le 22.01.2019 Sérologies le 27.07.2019: CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; Vaccinée; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite Laboratoire du 23.02.2019: Hb 132 g/l, Lc 10.8 G/l; Tc 156 G/l; CRP <5 mg/l Hb post-partale: 137 g/l Groupe sanguin A+, anticorps irréguliers négatifs le 23.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 23.02.2019 Sérologies: Toxo immune; CMV non-immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS vaccinée; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle positif Laboratoire du 23.02.2019: Hb 136 g/l, Lc 8.5 G/l, Tc 251 G/l Groupe sanguin: O Rhésus positif USTV du 23.02.2019: utérus en avf de 88 mm x 55 mm, endomètre de 17 mm avec image de sac fragmenté, prise de Doppler positive, pas de liquide libre Laboratoire du 24.02.2019: Hb 137 g/L, Lc 7.1 G/L, Tc 246 G/L, Na+ 136 mmol/L, K+ 3.5 mmol/L, bilan hépatique complet aligné GS: O Positif Laboratoire du 25.02.2019: pas d'anémie, pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique, pas de perturbation des tests hépatiques et de la fonction rénale. Laboratoire du 25.12.2018: Hb 109 g/l, Leucocytes 15 G/l, Thrombocytes 160 G/l, crase en ordre. Hb post-partum: 80 g/l. Groupe sanguin A+, AC irréguliers positif le 25.12.2018 (Anti-M positif, non impliqués dans MHNN) Streptocoques du groupe B négatif le 03.12.2018 Sérologies: Toxo immune, CMV immune, Rubéole non-immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif, faite. Laboratoire du 26.02.2019: D-Dimères 265 ng/ml, CRP 48 mg/l, pas d'anémie. Réassurance. Traitement anti-inflammatoire 3x/jour pendant 3 jours. Laboratoire du 27.01.2019: Hb 114 g/l, Leucocytes 12.6 G/l, Thrombocytes 228 G/l, CRP <5mg/ml Hb post-partale immédiate: 70g/l Hb J2: 82g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 27.01.2019 Streptocoques du groupe B positif Sérologies: Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle. Laboratoire du 27.02.2019: pas d'anémie, pas de syndrome inflammatoire. Test de Schellong: négatif. Laboratoire du 29.01.2019: Hb 121 g/l, Lc 15 G/l, Tc 259 G/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 03.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 03.01.2019 Sérologies: CMV non-immune; Rubéole non-immune (ROR fait à deux reprises); VDRL négatif; HBS: Vaccinée; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle: faite, Boostrix fait en 2018 Laboratoire du 29.01.2019: Hb 122 g/l, Lc 12.1 G/l, Tc 252 G/l Hb post-partale: 129 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 15.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 17.01.2019 Sérologies du 08.08.2018: Toxo immune; CMV immune; Rubéole immune; TPHA négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif ; Varicelle, faite Laboratoire du 29.01.2019: Hb 137 g/l, Lc 10.8 G/l; Tc 217 G/l; CRP 23 mg/l Hb post-partale: 116 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers positif anti Leb le 29.01.2019 Streptocoques du groupe B positif le 10.01.2019 Sérologies du 07.2018: Rubéole non-immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif Laboratoire du 30.01.2019: CRP à 177 mg/l; Hémoculture du 30.01.2019: négative après 5 jours Sédiment urinaire du 30.01.2019 dans la norme CT Scan thoraco-abdominal du 30.01.2019 Suivi clinique et biologique Laboratoire du 30.01.2019: Hb 108 g/l; Leucocytes 8,0 G/l; Thrombocytes 177 G/l Hb post-partum: 109 g/l Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif le 30.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 28.12.2018 Sérologies le 13.07.2018: Rubéole immune; HBS vaccinée; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite, AC Syphillis dépistage négatif Laboratoire du 30.01.2019: Hb 135 g/l, Lc 10.7 G/l; Tc 197 G/l; CRP <5 mg/l Hb post-partale: 120 g/l Groupe sanguin O+, anticorps irréguliers négatifs le 30.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 11.01.2019 Sérologies: Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle positif Laboratoire du 30.01.2019: test de grossesse négatif, Na 134, K 3.3, CRP <5, Lc 5.3, Hb 137, Lc 212, crase en ordre, tests hépatiques et pancréatiques dans la norme. Laboratoire du 30.01.2019: CEA 3.4 ng/ml; CA-125: 4 U/ml; HCG <01U/l; AFP 2.1ng/ml. Uro CT le 30.01.2019: pas de dilatation pyélo-calicielle, pas de lithiase urinaire visible ; volumineux tératome de l'ovaire droit de 73x89mm US endovaginal le 30.01.2019 masse rétro-utérine latérale droite de 97x81x67 mm à prédominance solide avec nodule échogène de type Rokitanski. En marge, présence de tissu probablement ovarien droit. Pas de papillations. Surface lisse mais explorable que sur une partie de la masse. Absence de whirpool sign. Doppler rare et artériel. Laboratoire du 31.01.2019: Hb 113 g/l, Leucocytes 10.4 G/l, Thrombocytes 254 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 105 g/l Groupe sanguin O positif, AC irréguliers négatifs le 12.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 31.01.2019 Sérologies: Toxo non-immune, CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif: Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif. Laboratoire du 31.01.2019: Hémoglobine 106 g/l, Leucocytes 12.8 G/l, Thrombocytes 179 G/l. Crase en ordre Hb post-partale: 101 g/l Groupe sanguin O-, immunoglobuline anti-D le 12.11.2018, AC irréguliers négatifs le 31.01.2019 Streptocoques du groupe B négatif le 04.01.2019 Sérologies: CMV immune, Rubéole immune le 28.06.2018, VDRL négatif le 28.06.2018, HCV négatif le 28.06.2018, HIV négatif le 28.06.2018, Varicelle, faite. Particularités: Hépatite B guérie. Laboratoire ECG Laboratoire ECG : sus-décalages en V1, V2 et V3 superposables à l'ECG de janvier 2019. QTc à 327ms Gazométrie : plusieurs essais sans succès car patient clampé en périphérie Frottis grippe envoyé : à pister Hémocultures : à pister Culture d'expectorations : à pister Urines : antigènes urinaires à pister CT-Scan thoraco-abdominal : infiltrats pulmonaires nouveaux d'aspect infectieux et de forme nodulaire, deux lésions nodulaires segment apical lobe inférieur droit et lobe supérieur droit connu au CT thorax de 2014. Granulomes calcifiés médiastinaux. Sténose du tronc coeliaque en progression, pas de signe d'ischémie mésentérique. Aux urgences : • NaCl 1000ml 0.9% i.v. • Rocéphine 2gr i.v. • Klacid 500mg p.o. Hospitalisation à Tafers. Laboratoire. ECG. Angio-CT scan thoracique le 21.01.2019. Consilium angiologique - Dr. X - le 23.01.2019. Xarelto 15 mg 2x/j du 22.01 au 13.02.2019 puis Xarelto 20 mg 1x/j durant au moins 6 mois. Oxygénothérapie. Physiothérapie respiratoire. Bas de contention classe 2 du lever au coucher jusqu'à prochaine consultation angiologique. Echocardiographie transthoracique en ambulatoire à 4 semaines. Suivi angiologique - HFR Riaz - le 17.04.2019 à 09h00. Laboratoire. ECG. Antalgie. Transfert en réadaptation musculo-squelettique à l'HFR Billens. Laboratoire. ECG. Avis Dr. X, psychiatre de garde. Avis Dr. X, psychiatre de liaison. Bilan sanguin Transfert au RFSM CSH Marsens le 14.02.2019 au matin, sous PAFA. Laboratoire ECG Avis Dr. X: troubles de l'équilibre ne sont pas en lien avec sa maladie rhumatologique. Hospitalisation en médecine interne. Laboratoire ECG Avis Dr. X = pas d'indication à la réalisation d'une imagerie, nécessité d'hospitalisation pour antalgie. Patient sera réévalué durant hospitalisation par Team spine pour suite de prise en charge. CAT : • Hospitalisation Médecine • Antalgie • Réévaluation durant hospitalisation par Team spine Laboratoire ECG Avis Dr. X = pas d'indication pour une imagerie. Hospitalisation pour antalgie. Réévaluation durant hospitalisation pour suite de prise en charge. Adaptation de l'antalgie Prise en charge physiothérapeutique Réadaptation Billens Laboratoire ECG: BAV 1er degré. Pas de comparatif. CT cérébral natif et injecté avec vaisseaux du cou le 15.02.2019 : Examen du cerveau et des vaisseaux du cou normal. Pas d'anomalie sur les cartes fonctionnelles. Avis neurologique (Dr. X), avis cardiologique (Dr. X) Surveillances neurologiques sur 24h Poursuite traitement habituel : switch Xarelto pour Eliquis à rediscuter avec son cardiologue Interdiction de conduite pendant 1 semaine Proposition d'organiser une IRM en ambulatoire et interrogation du Reveal par cardiologue traitant Laboratoire. ECG. Cardioversion par Cordarone 150 mg iv sur 30 min (2x) puis charge en Cordarone iv. Diltiazem 25 mg iv en ordre unique. Hydratation intraveineuse. Poursuite de la charge en Cordarone per os puis entretien. Augmentation du Beloc Zok.Laboratoire. ECG. CT scan abdominal le 25.01.2019. Transfusion de deux culots érythrocytaires le 24.01.2019. Nexium 40 mg 2x/24h du 24.01 au 14.03.2019. Ferinject 2000 mg iv durant l'hospitalisation. OGD/colonoscopie le 14.03.2019 avec consultation pré-anesthésique le 05.03.2019 à 10h (recevra une convocation). Laboratoire. ECG. CT scan cérébral le 19.01.2019. IRM neurocrâne le 23.01.2019. Avis Dr. X, neurologue de garde : • ad traitement de Plavix 75 mg 1x/j et Aspirine cardio 100 mg 1x/j pour un mois puis Plavix 75 mg 1x/j seul • tension artérielle cible à 140/90 mmHg. Enregistrement de Holter. Echocardiographie transthoracique. Suivi tensionnel. Pravastatine 40 mg 1x/j Amlodipine 5 mg. Contrôle des facteurs de risque cardiovasculaire. Contrôle du profil tensionnel 1x/j à domicile. Interdiction à la conduite automobile durant 3 mois, à réévaluer par le médecin traitant. Laboratoire. ECG. CT scan : pas de saignement, pas de signe d'ischémie Avis neurologique (Dr. X) : • Plavix 75 mg p.o. aux urgences • Surveillance avec monitoring aux soins pendant 24h • Aspirine 100 mg et Plavix 75 mg dès le 04.02.2019 et pour un mois Bilan à compléter durant l'hospitalisation : • Echocardiographie et Holter • IRM cérébral • Contrôle lipidique et glycémique Laboratoire. ECG du 09.02.2019 : tachycardie sinusale régulière à 102/min, axe normal pour l'âge à -7°, PR à 184 ms, QRS fins à 88 ms, QTc 432 ms, segment ST sus-décalé de façon non-significative en V2-V3, sus-décalé de 0.15 mV en V4, onde T négative non concordante en I, aVL, V6; bonne progression de l'onde R avec une zone de transition en V4-V5. Echocardiographie transthoracique - Dr. X : cf cardioreport. Laboratoire. ECG. Echocardiographie transthoracique le 08.02.2019. CT scan thoracique. Lasix 40 mg iv. Pantozol 40 mg per os. Laboratoire, ECG et consultation gynécologique le 26.02.2019. Laboratoire, ECG et radiographie thoracique qui reviennent normaux. La cinétique des troponines permet d'exclure une ischémie cardiaque, le patient rentre à domicile avec un diagnostic de douleurs thoraciques pariétales et il a reçu une antalgie. Laboratoire. ECG. Hydratation par NaCl. Laboratoire. ECG. Lasix 20 mg iv aux urgences. Dilzem 17,5 mg iv aux urgences. Laboratoire. ECG. Radiographie du thorax. Réassurance, retour à domicile avec poursuite du traitement symptomatique, contrôle comme prévu le 07.02.2019. Laboratoire. ECG. RX thorax. Laboratoire. ECG. RX thorax. Avis Dr. X, pneumologue traitant : • augmenter la Prednisone à 40 mg/j pendant une semaine. • introduire de l'Imurek 50 mg/j le matin puis 100 mg 1x/j après 1 mois (à discuter avec le médecin traitant) • prophylaxie PCP à discuter aussi entre le médecin traitant et le Dr. X. Oxygénothérapie. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. ECG. RX thorax. CT scan cérébral. Laboratoire. ECG. RX thorax. Echocardiographie transthoracique - Dr. X. Isolement de contact. Laboratoire. ECG. RX thorax. Hydratation par NaCl 0.9% 2000 ml/24 heures. Beloc Zok 37.5 mg 1x/jour. Laboratoire. ECG. RX thorax. Introduction statine. Coronarographie le 29.01.2019. Contrôle à la consultation du Dr. X à un mois. Laboratoire. ECG. RX thorax. Lasix 20 mg iv 4x/j, puis Lasix 20 mg 2x/j dès le 10.02.2019. Relais par Torem 5 mg dès le 15.02.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. ECG. RX thorax. Oxygène au masque 15 litres. Lasix iv 40 mg 4x/jour en discontinu. Discussion avec la fille du patient et le Dr. X pour suite de prise en charge. Soins de confort dès le 09.02.2019. Laboratoire. ECG. RX thorax. Oxygénothérapie 2 l/min aux lunettes. Antibiothérapie par : • co-amoxicilline 2,2 g iv 3x/j du 10 au 14.02.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 3x/j du 15 au 19.02.2019. Laboratoire. ECG. RX thorax. RX thorax. ECG. Laboratoire. ECG. RX thorax. Stop Torem, ad Lasix 20 mg 3x/24h iv durant l'hospitalisation. Reprise du Torem 100 mg 1x/24h per os à la sortie. Contrôle cardiologique à distance. Laboratoire. ECG. RX thorax. Test de Schellong. Laboratoire. ECG : sinusal régulier sans trouble de la conduction sans trouble de la repolarisation sans bloc de branche droit et gauche. Stix et sédiment urinaire : négatifs. Total Body : infiltration de la graisse sous-cutanée avec aspect asymétrique du cordon spermatique gauche (varicocèle ? Hématome ?), pas de lésion osseuse, pas d'hémorragie intracrânienne, pas de perforation d'organe creux. Avis Chirurgien : au niveau des testicules, pas de signe de compression des vaisseaux. Attendre que l'hématome se résorbe et consultation le 18.02.2019 en urologie. Consultation en urologie le 18.02.2019 (Dr. X). Arrêt de travail 3 jours. Symptômes d'alarme expliqués. Laboratoire. ECG. Test de Schellong. Laboratoire. ECG. Transfusion de 3 culots érythrocytaires au total. Nexium 80 mg en bolus puis 8 mg/h, puis 40 mg 2x/24h iv durant l'hospitalisation. Nexium per os 40 mg 2x/24h durant 6 semaines au total. CT scan abdominal. OGD le 22.01.2019. Laboratoire. ECG. Troponines : H0 à 10, H1 à 10 US abdominal (Dr. X) : rétention urinaire, masse kystique visualisée au-dessus de la vessie Sondage vésical et stix/sédiment Attitude : • Imagerie à compléter • Ad consilium gynécologique Laboratoire. ECG. US abdominal (Dr. X) : liquide libre au niveau de la tête du pancréas. Pas de lithiase dans la VB. CT abdominal : iléus grêle sur invagination iléo-iléale. Avis chirurgical (Dr. X) : hospitalisation en chirurgie pour résection de l'iléon +/- anastomose ou iléostomie, par laparotomie Attitude : • Hospitalisation en chirurgie • A jeûn • Opération prévue durant la nuit Laboratoire. ECG. Avis gastro-entérologique (Dr. X) Attitude (discutée avec les gastro-entérologues) : • hospitalisation en médecine • à jeun jusqu'à nouvel avis • contacter le secrétariat d'endoscopie demain matin --> avancer OGD avec nasofibroscope qui était prévue lundi prochain (discuté et validé avec gastro-entérologue de garde) ; une endo-US serait aussi indiquée (demande informatique envoyée) • contacter gastro-entérologues aussi pour pose de sonde naso-jéjunale Laboratoire. ECG. Avis hématologique les 19.02 et 20.02.2019 (Dr. X) CT cervico-thoraco-abdomino-pelvien le 20.02.2019 1 culot érythrocytaire le 19.02.2019 1 culot érythrocytaire le 20.02.2019 Substitution vitamine B12 Laboratoire. ECG. CT cérébral (Dr. X) : Absence d'argument scannographique en faveur d'un accident vasculaire ischémique ou hémorragique. Bilan à compléter par une IRM cérébrale. Les axes artériels vasculaires précérébraux et le polygone de Willis sont perméables. À noter une légère infiltration athéromateuse de l'artère basilaire avec petite plaque calcifiée. Avis neurologique (Dr. X, Dr. X) : avis soins intensifs Attitude aux urgences : • selon avis neurologique, lyse débutée après le scanner cérébral • environ 30 minutes après le début de la lyse, on constate une péjoration de l'hématome temporal D et l'apparition d'une hématome auriculaire D. Fluctuation de l'état neurologique. Suite à discussion avec les neurologues, arrêt de la lyse (14h50) À faire : • prévoir bilan AVC standard CT-scanner de contrôle le 01.02.2019 à 21h • cible TAS entre 140 et 160 mmHg laboratoire ECG NIHSS à l'entrée à 7, NIHSS après le début de la lyse à 7 CT-scanner protocole time is brain (Dr. X) : lésion séquellaires cérébelleuses bilatérales, pas de saignement, pas d'occlusion des axes vasculaires, pas de dissection ; au niveau des cartes de perfusion importante zone de pénombre pariétale gauche avis neurologique (Dr. X) : heure de début des symptômes inconnue, mais grande zone de pénombre sans lésion constituée, indication à une lyse même si au-delà des délais discussion avec les 2 filles : Mr. Y n'a pas son discernement au vu de son aphasie ; les filles donnent l'accord pour une lyse i.v hors protocole avis soins intensifs début de la lyse à 20:38 laboratoire. ECG. RX thorax. Avis Dr. X, neurologue de garde. IRM neurocrâne le 16.01.2019. Consultation Dr. X le 16.01.2019 avec EEG. Keppra cpr 500 mg 2x/24h dès le 16.01.2019. Suivi neurologique en ambulatoire. Conduite automobile interdite durant une année. laboratoire. ECG. Rx thorax. Lasix 20 mg iv 3x/jour durant l'hospitalisation, puis relais per os par Lasix 40 mg 3x/j. Avis Prof. X : pas de bêtabloquant ni IEC, compte tenu de la cardiopathie terminale. Si prise de poids de 600 g en un ou deux jours, augmenter le Lasix 40 mg 4x/24h. laboratoire. ECG. Sédiment urinaire. Uro-CT : pas d'urolithiase, découverte fortuite de 2 kystes sous-capsulaires hépatiques. Consultation gynécologique : pas d'origine gynécologique aux douleurs. Soulagement de Mme. Y aux urgences. Retour au domicile sous antalgie par Dafalgan, Irfen et Tramadol en réserve. Certificat de travail pour 3 jours. laboratoire : • Electrophorèse des protéines : pas de gammapathie monoclonale • Immunofixation : Anomalie dans la zone IgG kappa. Suivre à distance • Ferritine dans la norme • Sérologies HIV, HBV, HCV négatives • Sérologie de Lyme négative • Bilan thyroïdien (cf pb 5) Imagerie : Radiographie du thorax du 15.01.2019 CT Total Body du 22.01.2019 Radiographie du thorax du 23.01.2019 post ponction pleurale Echocardiographie transthoracique le 25.01.2019 Investigations : Holter le 30.01.2019 : pas de troubles du rythme Coronarographie le 04.02.2019 : origine ischémique exclue Geste : Ponction pleurale le 23.01.2019 : Avis : Avis cardiologique (Dr. X) Proposition : IRM cardiaque pour exclure une cardiopathie structurelle. Traitement médical inchangé, Aspirine 100 mg à vie. Statines, BB, IEC, diurétiques Médicaments : Beloc Zok dès le 24.01.2019 Lisinopril HC dès le 24.01.2019 Furosemide du 24.01.2019 au 05.02.2019 Torasémide dès le 05.02.2019 Attitude : • IRM cardiaque à organiser en ambulatoire • refaire l'électrophorèse à distance • demande de consultation Synecard effectuée laboratoire en annexe ECG le 7.2.2019 : RSR, normoaxé, pas de trouble de la repolarisation visualisé. Echo ciblée urgence (Dr. X, Dr. X) • Discrète lame d'épanchement péricardique antérieur, hypokinésie inférieure, dilatation VG, aorte de calibre normal Coronarographie le 8.2.2019 (Prof. X) : L'examen invasif du jour démontre comme corrélat de l'infarctus NSTEMI, une probable dissection spontanée de la Cx distale et de la 2ème marginale. Le résultat à court terme après PCI de la Cx proximale est bon. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à EF 65 %. Il existe donc une hypokinésie inféro-latérale. L'arcographie et les artères rénales sont normales. Ajouter anticalcique à la place du bêtabloqueur. AngioCT pour exclure dysplasie fibromusculaire aa. Carotides, rénales et iliaques. Echo-Tt de contrôle dans 1 mois à la consultation du Prof. X. Coronarographie du 11.2.2018 (Prof. X) : L'examen invasif du jour démontre une situation stable avec un stent au niveau de l'artère circonflexe proximale sans restenose. La partie distale montre toujours l'image d'une dissection spontanée avec un bon flux actuel sans indication pour une intervention. Bon traitement antihypertenseur. BB en plus si nécessaire. Contrôle dans un mois chez Prof. X. CT DES TISSUS MOUS DU COU INJECTE DU 14.02.2019 CT THORACIQUE NATIF ET INJECTE DU 14.02.2019 CT ABDOMEN INJECTE 14.02.2019 Athéromatose mixte diffuse du réseau artériel, associée à des plaques ulcérées de l'aorte thoracique descendante et abdominale, ainsi que des artères iliaques et fémorales, associée à un thrombus flottant dans l'artère fémorale commune droite. Pas d'argument radiologique pour une dysplasie fibro-musculaire artérielle. Consilium angiologique avec US artério-veineux (Dr. X et Dr. X) : • Absence de pseudoanévrisme ou de FAV au pli inguinal droit. Absence de TVP proximale du MID. Hématome sans saignement actif au site de ponction. A ttt conservateur. • Avis téléphonique le 14.2.2019 : visualisation des images du CT, petit thrombus au niveau de l'artère fémorale commune D, patiente asymptomatique, pas d'obstruction, pas de risque de progression, pas d'investigation, ni traitement ou contrôle indiqué laboratoire en cours. Ponction lombaire : Dr. X, désinfection locale, champage, ponction lombaire en L4 en une fois. Liquide clair, pas de complication post geste. Hydratation 1000 ml. Retour à domicile. Suite de la prise en charge par l'équipe de neurologie (vu avec Dr. X). laboratoire est dans la norme Le sédiment urinaire Ery <3 Radiographie du genou gauche et des rotules des deux côtés du 23.02.2019 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de Mr. Y. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) laboratoire et analyse des urines qui reviennent normales. Mme. Y n'est pas algique. Nous remplissons le formulaire SUVA et l'envoyons à domicile avec antalgie en réserve. laboratoire et gazométrie : en annexe. Hémocultures 2 paires : en attente. ECG : tachycardie sinusale régulière à 124/min, axe normal à 36°, PQ 152 ms, QRS fins à 84 ms, QTc 432 ms, absence d'onde Q pathologique, segment PQ et ST isoélectrique, onde T négative et concordante en V1, ample en V3, bonne progression de l'onde R avec une zone de transition en V3-V4, pas de signe d'hypertrophie ventriculaire. Rx thorax face/profil : Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. CT thoracique injecté (protocole embolie) : Absence d'embolie pulmonaire. Multiples adénopathies à l'étage thoraciques et splénomégalie, faisant suspecter un lymphome. Multiples nodules pulmonaires dans les deux poumons. Épanchement péricardique d'épaisseur maximale mesurée à 11 mm (rédiscuté au colloque de radiologie du 24.01.2019 : épaisseur maximale de 14 mm à prédominance antérieure). Splénomégalie non visible en totalité, associée à une discrète infiltration de la graisse sous-diaphragmatique adjacente. Un complément d'examen par CT-scanner abdominal est recommandé. laboratoire et sédiment urinaire : décrits ci-dessous. Radiographies du rachis lombaire, du bassin et de la hanche gauche et radiographie cervicale : décrites ci-dessous. CT-scan lombaire (Dr. X) : décrit ci-dessous. Avis orthopédique de la Dr. X. Traitement symptomatique. Arrêt de travail. Rendez-vous au Team Rachis à l'HFR Fribourg le 07.02.2019 à 08H00. laboratoire Examen clinique rassurant, Mme. Y asymptomatique Consilium gynécologique : examen obstétrique normal, bilan pré-éclampsie négatif (haptoglobine effondrée pour des raisons pas claires, mais pas d'autres signes d'hémolyse), pas de nécessité d'hospitalisation en gynécologie Attitude : • hospitalisation en médecine interne en vue de compléter le bilan neurologique, consilium neurologique demandé et vu avec Dr. X (Mme. Y devrait être examinée le 28.02.2019) Laboratoire. • Frottis grippe. • RX thorax. • CT scan abdominal natif. • Antibiothérapie par Ciproxine 500 mg 2x/j. • ECG post-administration de Ciproxine. • Contrôle à la FUA le 22.02.2019. Laboratoire. • Frottis grippe. • Hémocultures. • RX thorax. • Tamiflu 75 mg bid du 29.01 au 03.02.2019. Laboratoire. • Frottis nasopharyngien de grippe : positif Influenza A. • Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : à pister. • Hémocultures : à pister. • ECG du 15.02.2019 : rythme sinusal régulier à 102/min, normoaxé, QRS fins, pas de sus- ni de sous-décalage du segment ST, ondes T négatives en V1 et aVR. Présence d'une extrasystole ventriculaire. • RX thorax du 17.02.2018 : rapport en cours. Laboratoire : • FSC alignée, CRP 42 mg/l, Lc normaux, LDH 507 U/l, tests hépatiques et de stase normaux. • IRM cérébrale en ambulatoire. Laboratoire • Gazométrie • ECG • Co-amoxycilline 2.2g IV • Sinusal irrégulier sur ESV, pas de trouble de la conduction, pas de trouble de la repolarisation, pas de bloc de branche. • US pulmonaire (Dr. X) : pneumothorax droit. • Radio thorax : • Avis chirurgien : • Hospitalisation en chirurgie. • ATT : • Oxygénothérapie • Prévoir Radio de contrôle demain • Co-amoxycilline IV 1,2 g IV 3x/j Laboratoire • Gazométrie = hypoxémie sans retentissement sur le pH sanguin. • ECG • Radiographie thoracique • Aérosol ATROVENT • Aérosol VENTOLIN • PREDNISOLONE 50 mg • CO AMOXICILLINE 2.2 IV • Frottis grippe : en cours • CAT : • Hospitalisation en médecine • Consilium cardiologie pour réévaluation de la fonction cardiaque dans un contexte d'exacerbation de BPCO. Laboratoire • Gazométrie : pas d'hypoxémie. • Stix/sédiment • CT-Scan thoracique (Dr. X) : embolie pulmonaire centrale avec inversion du rapport VD / VG et élargissement du tronc pulmonaire à 31. • Liquémine 5000UI dose de charge puis 32000 UI sur 24h d'entretien. • Transfert aux soins intensifs. Laboratoire • Gazométrie • Antalgie • RX Thorax (avis Dr. X) : superposable à RX de 2011, pas de signe d'infarctus pulmonaire. • Hospitalisation à Meyrier pour Antalgie : • Avis Dr. X Laboratoire • Gazométrie artérielle. Laboratoire • Gazométrie artérielle : lactate 5.4 mmol/l. • ECG • Urines tox screening : en cours. • 15 mg in toto de Dormicum • Contention physique • Hospitalisation aux soins intensifs. Laboratoire, gazométrie, radiographie, ECG, hémocultures le 09.02.2019. • Contrôle du pacemaker le 12.02.2019. • ETT le 12.02.2019 (Dr. X). • Ponction pleurale le 12.02.2019. • Radiographie post-ponction le 13.02.2019. • Adaptation des diurétiques. • Introduction Lisinopril et Métoprolol dès le 13.02.2019. Laboratoire • Gazométrie • RX Thorax (avis Dr. X) : superposable à RX de 2011, pas de signe d'infarctus pulmonaire. • Antalgie • Avis Dr. X : Maintenir Litalir 2x/jour avec contrôle biologique (Na, FSS, LDH, Leuco, Hb), viser une sortie de l'hôpital sans opiacés. Contrôle au HFR le 12.04.19 à 15h30 (prise de sang à 14h30). Laboratoire • Gazométrie • ECG : fibrillation auriculaire • Radiographie du thorax • Sonde vésicale • Lasix 10mg/h i.v. continu dès le 28.02.2019 • Réévaluer nouvelle ETT/avis cardio (dernier contrôle en 12.2018, refus de TAVI par le patient). Suivi Voltigo déjà en place. Laboratoire • Gazométrie • ECG • Radiographie thorax • Aux urgences : • 2x Lasix 40mg iv • VNI 30 mn • 2x Aérosol Ventolin 5mg • Hospitalisation en médecine • ETT : évaluation valvulopathie, FEVG. Laboratoire : GGT à 216 U/l. Discussion initiée sur sa consommation d'alcool aux urgences. Laboratoire : glucose à 17. Gazométrie : pas de troubles acido-basique, lactate à 3.5 mmol/l. Urine : glucose +, cétone +. Aux Urgences : • Hydratation 500 ml/6h. • Attitude : • Surveillance glycémie • Insuline rapide en R • Hydratation. Laboratoire : Hb à 82 G/l, Calcium normal. • ECG : BBD connu • CT abdominale : Pancréatite Balthazar. • À jeun. • Hydratation IV NaCl. • Morphine IV titrée. • Avis Gastroentérologie, (Dr. X) : OGD ---> Annulé. • Hospitalisation en . • Hydratation. • Contrôle labo le 22.02.2019. • Boisson libre. • CT après 48 h de clinique à planifier. Laboratoire : Hb 102 g/l. • Anuscopie (Dr. X) : lésion plus en amont non visualisée à l'anuscopie mais saignement actif frais. • Hémoglobine à 4h. • À jeun. • Hospitalisation en chirurgie. • Si déglobulisation ou persistance de saignement important => add CT injecté thoraco-abdo à la recherche du saignement +/- add colonoscopie en urgence. • Consilium pour avancer l'OGD + colonoscopie (prévue le 21.2.2019) demandé. Laboratoire : Hb 107. • ECG : bloc de branche droit connu. • Hémoc. 90. • CT abdominal (Dr. X) : anévrisme de l'artère iliaque commune gauche 55x42x41mm avec hémopéritoine. • CT cérébral (Dr. X) : pas d'hémorragie cérébrale. • Arrêt Apixaban. • Beriplex 2000 U, Cyclokapron 1,5g, Morphine. • Avis chirurgical (Dr. X) : indication à une pose de prothèse endovasculaire EVAR en raison de l'anatomie du patient. • Attitude : • Transfert Inselspital pour pose de prothèse endovasculaire EVAR de l'artère iliaque commune gauche. Laboratoire : Hb 111g/l, Leucocytes 7.1 g/l, Thrombocytes 325 G/l. • Hb post-partale 75 g/l. • Groupe sanguin O rhésus négatif, AC irréguliers négatif le 20.02.2019. • Streptocoques du groupe B négatif le 16.01.2019. • Sérologies du 25.09.2018 : CMV immune, Rubéole immune, VDRL négatif, TPHA négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Laboratoire : Hb 113g/l 05.07.2018 ; Leucocytes 8.1G/l, Thrombocytes 252G/l 05.07.2018. • Groupe sanguin A Rhésus positif. AC irréguliers négatif le 07.06.2018. • Streptocoques du groupe B positif dans les urines le 15.07.2018. • Sérologies 2018 : Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite ; particularités : Boostrix fait le 15.6.18. Laboratoire : Hb 129g/l, Leucocytes 12.8G/l, Thrombocytes 225G/l, CRP 5mg/ml. • Hb post-partale : 110 g/L. • Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatifs le 28.01.2019. • Streptocoques du groupe B positif le 28.01.2019. • Sérologies : Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS, Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite. Laboratoire : Hb 133 g/l, Leucocytes 12.9 G/l ; Thrombocytes 198 G/l. • Hb post-partum : 129 g/l. • Groupe sanguin A-, immunoglobuline anti-D le 05.12.2018 ; AC irréguliers négatif le 27.07.2018. • Streptocoques du groupe B négatif le 11.01.2019. • Sérologies du 14.02.2018 : Toxo non-immune ; CMV immune ; Rubéole immune ; HBS négatif ; Vaccinée ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite ; Syphilis négatif. Rappel Boostrix le 05.12.18. Laboratoire : Hb 141 g/l. • Contrôle hémoglobine à 3 jours lors des résultats de pathologie chez Dr. X. Laboratoire • Hb : 145. • Pas de trouble de la crase. Laboratoire : Hb1AC, Glycémie à 37.3 mmol/l. • Gaz du sang artériel = acidose métabolique compensée. • Hyperhydratation 3000 ml NaCl 0.9 %. • INSULINE HUMALOG SC = 10 UI. • Hospitalisation : • Avis Diabétologie. Laboratoire. • Hémoculture à chaud le 15.02.19 : à pister. • Uriculture : à pister. • Sédiment : Leucocytes et sang. • ECG. • Aux urgences : Ceftriaxone 2g iv. • RAD avec traitement antibiotique. • Nous proposons à Mr. Y d'effectuer un contrôle chez son médecin traitant en début de semaine prochaine avec examen clinique et laboratoire pour l'évolution de l'infection. Mr. Y est informé de revenir aux urgences en cas de péjoration de la toux ou apparition d'une dyspnée. Laboratoire. • Hémocultures : à pister. • Culture d'expectorations : à pister. • ECG du 03.02.2019 : rythme sinusal régulier, tachycardie à 122/min, axe dévié à droite avec QRS à -110°, QRS à 84 ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R absente. QTc à 446 ms. (qualité limitée). • RX thorax du 03.02.2019 : par rapport au 03.08.2017, on retrouve un remaniement de la trame pulmonaire, une augmentation du diamètre antéro-postérieur et de l'espace rétro-sternal avec un aplatissement des coupoles diaphragmatiques dans le cadre de l'emphysème connu. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Silhouette cardiaque inchangée, à la limite supérieure de la norme. Les hiles sont proéminents, nodulaires, surtout à gauche, de façon inchangée, d'origine le plus probablement vasculaire au vu de la stabilité de cette image.Laboratoire. Hémocultures : en cours au moment du transfert. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. Urotube : contamination. RX thorax du 31.01.2019 : par rapport au 17.12.2018, on retrouve une cardiomégalie, un déroulement de l'aorte thoracique, un flou péri-hilaire pouvant correspondre à une insuffisance cardiaque décompensée. Pas de foyer, pas d'épanchement pleural. CT scan thoraco-abdominal du 31.01.2019 : décompensation cardiaque, avec cardiomégalie, dilatation des cavités cardiaques droites et de l'artère pulmonaire homolatérale, reflux du produit de contraste dans la veine cave inférieure et veines sus-hépatiques, associée au niveau pulmonaire à des plages en verre dépoli et des épaississements des septas interlobulaires. Apparition d'un tassement de T10, avec léger recul du mur postérieur. Cholécystolithiases, avec suspicion de cholécystite sous réserve des artefacts respiratoires. US abdomen supérieur du 01.02.2019 : examen compatible avec une cholécystite lithiasique, possiblement aiguë. Laboratoire Hémocultures : en cours Stix/Sédiment : négatif Antigènes urinaires : négatifs Radiographie thorax : foyer basal gauche ECG Rocéphine 2 g iv du 21.01 au 25.01.2019 Klacid 500 mg le 21.01.2019 Haldol fixe et en réserve Transfert à la Villa St-François le 23.01.2019 Laboratoire. Hémocultures. Avis angiologique le 30.01.2019. Antibiothérapie par : • Co-Amoxi 1,2 g iv du 29.01 au 01.02.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 3x/j du 02 au 05.02.2019. Laboratoire. Hémocultures. Culture de selles. Urotube. ECG. RX thorax. Antalgie par paracétamol. Antibiothérapie par : • co-amoxicilline 1,2 g iv 3x/j du 15 au 16.01.2019 • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 16 au 19.01.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 2x/j du 19 au 26.01.2019. Laboratoire. Hémocultures. Culture d'expectorations. ECG. RX thorax. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Prednisone 30 mg dès le 15.02.2019. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j dès le 14.02.2019. Oxygénothérapie. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Hémocultures. Culture d'expectorations. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. RX thorax. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv du 28 au 31.01.2019 • co-amoxicilline 625 mg 3x/j du 01 au 07.02.2019. Laboratoire. Hémocultures. ECG. RX thorax. Echocardiographie transthoracique - Dr. X. Brufen 600 mg 3x/j (sevrage dès disparitions des symptômes) + Colchicine 2 x 0.5 mg/j pendant 6 mois avec FSS 1x/mois (risque leucopénie). Recommandations : • ECG quotidien • échocardiographie transthoracique en urgence si instabilité hémodynamique (attention tamponnade). Laboratoire. Hémocultures. ECG. RX thorax. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Antibiothérapie par : • Co-Amoxi 2,2 g iv 3x/j du 20 au 27.01.2019 • Co-Amoxi 625 mg per os 2x/j jusqu'au 04.02.2019. Laboratoire. Hémocultures. Frottis narine gauche. Avis ORL de garde, HFR Fribourg, le 04.02.2019. Avis Dr. X, ORL, le 07.02.2019 : Nasonex 3x/j, Fluimucil 3x/j. Brufen 400 mg 3x/j. Dafalgan 3x/j puis Co-Dafalgan 500 mg/30 dès le 13.02.2019. Antibiothérapie par : • Levofloxacine 500 mg 1x/j per os du 29.01 au 11.02.2019. Suite de prise en charge par le Dr. X, ORL. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Culture d'expectorations. ECG. Aux urgences : • traitement bronchodilatateur par Atrovent • oxygénothérapie 2 l/min • Paracétamol 1 g • Pulmicort 0,5 mg • Prednisone 50 mg. Hospitalisation en médecine : • Atrovent 0.25 mg 4x/j en fixe et 4x/j en réserve • Pulmicort 0,5 mg 2x/j en fixe • Prednisone 50 mg 1x/j jusqu'au 07.02.2018 • NaCl 0.9% 1 l / 24 h iv • Dafalgan 500 mg 6x/j en réserve • physiothérapie respiratoire • antibiothérapie par Co-Amoxi 1,2 g 3x/j dès le 03.02.2019. Lit d'observation aux urgences le 05.02.2019 : • deux séances de VNI d'une heure sans effet • transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. ECG. RX thorax chez le médecin traitant. Oxygénothérapie. Physiothérapie respiratoire. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 14 au 17.01.2019 • Klacid 500 mg per os du 14 au 16.01.2019 • Co-Amoxi 1 g per os 2x/j du 18 au 20.01.2019. RX thorax de contrôle le 18.01.2019. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. RX thorax. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 26 au 28.01.2019 • Klacid 500 mg per os 2x/j du 26 au 28.01.2019 • Co-Amoxicilline 1 g per os 2x/j du 28.01 au 02.02.2019. Laboratoire. Hémocultures. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. RX thorax. Test de la déglutition. Physiothérapie respiratoire. Oxygénothérapie. Atrovent aux urgences. Antibiothérapie par : • Tazobac 4,5 g iv 3x/j du 23 au 24.01.2019 • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 25.01 au 02.02.2019. Intervention brève le 26.01.2019 concernant l'adhérence thérapeutique à la physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Hémocultures. RX thorax. Mise en suspens du Methotrexate. Antibiothérapie par : • ceftriaxone 2 g iv du 23 au 28.01.2019 • Ciprofloxacine 500 mg per os du 28.01 au 05.02.2019. Laboratoire. Hémocultures. RX thorax. Traitement bronchodilatateur par Atrovent 250 ug et Ventolin, 2 doses. Hospitalisation en médecine. BIPAP sous 2 litres d'oxygène. Réserve d'Atrovent et de Ventolin. Oxygène sous 2 litres comme au domicile dès le 20.01.2019. Laboratoire. Hémocultures. Sérologie HIV. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Frottis nasopharyngien grippe. RX thorax. Avis Prof. X, infectiologue : Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv dès le 15.02.2019 • Klacid 500 mg 2x/j dès le 15.02.2019 • Tamiflu 75 mg 2x/j. Isolement. Laboratoire. Hémocultures. Transfert HFR Fribourg pour évaluation neurologique en urgence avec EEG. Laboratoire. Hémocultures. Urotube. ECG. RX thorax. RX orteils droits. US doppler membres inférieurs. CT scan thoraco-abdominal. US abdominal Avis chirurgical - Dr. X. Hydratation. Dafalgan. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Antibiothérapie par Pipéracilline/Tazobac puis Floxapen. Laboratoire. Hémocultures. Urotube. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 1x/j du 07 au 13.02.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Hémocultures. Urotube. RX thorax. US abdominal. Avis Mme. X, oncologue traitante. Laboratoire. Hémocultures. Urotube. Frottis grippe-RSV le 25.01.2019. ECG. RX thorax. Hydratation parentérale par NaCl 0,9% 1000 ml/24h. Avis infectiologique, Dre. X. Echocardiographie transthoracique - Dr. X. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j le 22.01.2019 • Klacid 500 mg 2x/j per os du 22 au 23.01.2019 • Cubicine 350 mg iv 1x/j du 23 au 24.01.2019. Laboratoire, hémocultures, urotube. RX thorax. Scintigraphie pulmonaire le 22.01.2019. CT pulmonaire natif, coupes fines le 25.01.2019. Consilium pneumologique le 24.01.2019, Dr. X : O2 à domicile 3 l/min 24h/24, physiothérapie respiratoire, suivi pneumologique à organiser si nécessaire. Fonctions pulmonaires le 25.01.2019. Physiothérapie respiratoire. Lasix 40 mg le 23.01.2019, puis Torem 20 mg/jour.Co-Amoxi du 22.01 au 30.01.2019. Laboratoire. Hémocultures. 4/4 positives pour Staphylocoque aureus. ECG du 04.02.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde à 69 bpm, axe gauche à -49°, QRS large à 116 ms, image de bloc de branche droit. Sous décalage segment ST en V3, V4, V5 et V6, transition de l'onde R en V4, QTc à 490 ms, Mr. Y en sepsis. ECG (2) : rythme sinusal régulier, normocarde à 74 bpm, axe gauche à -47°, QRS à 114 ms, image de bloc de branche droit, sous-décalage segment ST en V3, V4, V5 et V6, transition de l'onde R en V4, QTc à 507 ms, comparable au précédent. RX thorax du 04.02.2019 : cœur de taille dans les limites supérieures de la norme en tenant compte de la position couchée avec des franges graisseuses à la pointe. Calcifications aortiques. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. RX avant-pied droit du 04.02.2019 : on retrouve un status post-amputation au niveau de P3 O2, mais pas de signe d'ostéomyélite visualisé actuellement, notamment au niveau de O3. Hallux valgus avec un angle mesuré à 41°. CT scan abdominal natif du 05.02.2019 : hépato-splénomégalie avec mise en évidence d'un foie dysmorphique à contours irréguliers et vraisemblable reperméabilisation de la veine para-ombilicale, pouvant entrer dans un contexte de cirrhose. Lésion hypodense mal définie et difficilement caractérisable qui se trouve dans la partie moyenne du rein gauche et qui mesure environ 20 mm, associée à une légère infiltration de la graisse péri-rénale (abcès ?), à confronter à une échographie. Pas de liquide libre ou de pneumopéritoine. Importante plaque calcifiée du départ de l'artère mésentérique supérieure. US abdomen complet natif du 05.02.2018 : examen fortement limité en raison du morphotype de Mr. Y. Structure ronde de 1,5 et 2,5 cm de diamètre au niveau cortical du rein gauche qui, en confrontation avec le CT scan du 05.02.2019, évoque soit une formation kystique surinfectée soit un probable abcès. Hépatomégalie et stéatose hépatique. Foie de configuration cirrhotique sans lésion focale. Pas de liquide libre. Laboratoire. Hémocultures. Culture d'expectorations. RX thorax. Laboratoire, hémocultures. ECG. RX thorax. Hydratation par NaCl. CT thoraco-abdominal le 11.02.2019. Laboratoire. Hémofecatest. ECG. Transfusion de 3 culots érythrocytaires les 13 et 14.02.2019. IPP dose de charge 80 mg, puis pompe 8 mg/h durant la surveillance en lit d'observation. IPP per os double dose 40 mg 2x/24h dès le 14.02.2019. Examen gynécologique agendé pour le 23.02.2019. Colonoscopie et oesogastroduodénoscopie agendées à l'HFR Fribourg le 28.02.2019. Laboratoire. Hémofecatest. Transfusion de 2 culots érythrocytaires durant le séjour. Hydratation parentérale. Suivi biologique. Nexium 80 mg iv en bolus. Nexium 8 mg/heure iv continu puis relais 40 mg 2x/j per os. Laboratoire : Hémoglobine 131 g/l, K 3,7 mmol/l, CRP 7 mg/l, leucocytes 11,2 G/l. Laboratoire. Hydratation au NaCl. Suivi biologique. Laboratoire. Hydratation iv par Ringer 2 l/24 h. Suivi clinique et biologique. Laboratoire. Hydratation NaCl. Suivi biologique. Laboratoire. Hydratation NaCl 1 l/24h. Suivi biologique. Laboratoire. Hydratation NaCl 1500 ml/24 h. Suivi biologique. Laboratoire. Hydratation NaCl 2 litres par 24 heures. Laboratoire. Hydratation par NaCl 0.9% 2000 ml/24 heures. Suivi biologique. Laboratoire. Hydratation parentérale par NaCl 0.9% 4 l/8h puis 1000/12 h aux urgences. Laboratoire. Hydratation prudente et suivi au poids. Laboratoire. Hydratation. Régime mixé lisse. Antalgie par : • Voltaren • Dafalgan • Novalgine en réserve. Antibiothérapie par Clindamycine 600 mg iv puis 3x/j pour 3 jours. Consultation dentaire à prévoir le 04.02.2019. Laboratoire : hypokaliémie à 2,2 mmol/l, CRP 40 mg/l, leucocytes 7 G/l, Créatinine à 108 umol/l. ECG : rythme sinusal régulier à 64 bpm, PR à 180 ms, QRS fins avec un axe à -20°, QTc à 470 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition tardive en V5, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, T aplaties, absence d'ondes Q pathologiques. Laboratoire : hypovitaminose Vit B12 (200), folate (4) : substitution pour 1 mois. Hémofécatest positif le 28.01.2019. TR sans méléna objectivé. Nexium 40 mg 2x/j du 28.01 au 06.02.2019 puis 1x/j dès le 07.02.2019. Aspirine, Plavix, Eliquis prophylactiques en suspens. Transfusion de 1 CE le 28.01.2019 et 1 CE le 29.01.2019. Suivi biologique avec bonne évolution. Reprise de l'Aspirine le 05.02.2019. Reprise du Plavix à rediscuter à distance. Laboratoire : H0 29, H1 27. ECG : Fibrillation auriculaire à 138/mn avec bloc de branche gauche connu. ECG : rythme sinusal régulier à 88/mn. Echographie cardiaque ( Dr. X) : FEVG à 40%. Introduction anticoagulation par Eliquis 2,5 mg 2x/j, Bilol 2,5 mg. Arrêt du Plavix. Discussion de l'introduction de Cordarone si pas d'effet du traitement par Bilol. Examens effectués aux urgences expliqués à Mme. Y par le médecin. Laboratoire : H0 65 H1 122, NT proBNP 3667. Gazométrie : pH 7,10, PCO2 13,2, PO2 32,8, lactate 1,7. Radiographie du thorax. ECG. Aux urgences : VNI 45 mn, Aide 15 ; PEEP 5, O2 25%. Gazométrie post-VNI : pH 7,34, PCO2 6.9, PO2 9,9, lactate 1,2. VNI 30 mn. Lasix 40 mg iv. Plavix 600 mg. Aspirine cardio. Avis cardio (Dr. X) : Charger en Plavix 600 mg. Poursuite Aspirine cardio. Introduction d'atorvastatine 40 mg 1x/j. Pas d'indication à une coronarographie en urgence. Discuté avec Prof. X qui décidera quand il effectuera la coronarographie. ETT (Dr. X rapport oral) : FEVG diminuée 40-45%. Troubles de la cinétique légers, avec sténose aortique modérée connue. Transfert aux soins intensifs. Laboratoire : INR 3.9. Radiographie de l'épaule gauche face/neer du 09.02.2019 : fracture multi-fragmentaire capitale sous-capitale de l'humérus G récente, avec engrainement partiel des fragments et déplacement d'un fragment du trochiter. Une plaque métallique en projection sous-acromiale ainsi qu'une ancre métallique en projection de la tête humérale, à confronter aux ATCD OP de Mme. Y qui nous font défauts. Élargissement de l'interligne articulaire AC, sans évidence de disjonction. (Dr. X) Radiographie du bras gauche du 09.02.2019 : absence d'atteinte traumatique de la diaphyse humérale. Pas de signe indirect pour un épanchement intra-articulaire au niveau du coude sur le profil centré. (Dr. X) Radiographie de l'avant-bras du 09.02.2019 : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires conservés, sans lésion traumatique osseuse. En tenant compte d'un cliché non centré sur la main et le poignet, arthrose radio-carpienne et rhizarthrose. (Dr. X) Laboratoire. IRM abdominale. Régime pauvre en graisse. Antalgie standard. IRM de contrôle rapprochée (6 semaines). Laboratoire : K 5,2, leucos 10,2, reste normal. Rx thorax : pas de foyer ni épanchement. TNI h0 : 246. TNI h1 250. ECG : RSR 71 bpm, PR 160 ms, QRS fins avec axe horizontal, surélévation de 1 mm du ST en II-III-aVF avec sous-décalage infra-mm en aVL. QTc 420 ms. Laboratoire. Konakion 5 mg par voie orale. Stop Marcumar. Reprise du Marcumar le 25.01.2019. Laboratoire : lactate 2,5, CK normaux, OH 4,29 %o, tests hépatiques alignés sauf GGT 154 U/l. Minerve. Rx thorax : pas de foyer, pas d'épanchement. CT cérébral natif et colonne cervicale : pas de saignement, pas de fracture. Hydratation par 2000 ml sur 12h. Seresta en R, Temesta 2,5 mg, Becozyme po, Benerva 300 mg i.v. Temesta 1 mg avant le départ. Avis psychiatrique (Dr. X) : • PAFA pour risque parasuicidaire élevé sur alcoolisation à répétitions • transfert à Marsens • proposition d'annonce au juge de paix pour ordonner un placement au vu de la chronicité de l'addiction à l'alcool. Laboratoire : lactates veineux 3,7. Stix et sédiment urinaire.taux de Levetiracetam: en cours CT-scanner cérébral injecté (Dr. X): pas de fracture, pas de saignement, pas de masse avis neurologique (Prof. X) charge d'acide Valproïque 1 g sur 1 heure aux urgences Attitude (discutée avec le Prof. X, neurologue de garde): • hospitalisation en médecine pour surveillance de minimum 24 heures • surveillance neurologique aux 3 heures • demande EEG envoyée • bithérapie antiépileptique avec Keppra et Acide Valproïque jusqu'à nouvel avis Laboratoire: lactates 5.5, pas de syndrome inflammatoire. ECG. Avis neurologique (Dr. X): pas d'indication à une hospitalisation, IRM en ambulatoire sous sédation (Mme. Y claustrophobe), consultation neurologique + EEG en ambulatoire, pas de traitement. Pas de conduite durant 3 mois. (Mme. Y informée) Laboratoire: Lc 12.7, CRP dans la norme. Urines: sang 2+, Lc et nitrites négatifs. US abdominal: cf compte rendu Dr. X. Retour à domicile avec antalgie. CT abdominal ambulatoire (demande faite). Rendez-vous chez urologue sera pris par Mr. Y dans une semaine. Recommandation de reconsulter aux urgences en cas de fièvre, vomissements. Laboratoire: Lc 16.5 G/l, CRP 27 mg/l US au lit du malade (Dr. X): appendice augmenté de taille (1.3-1.4 cm), petite lame de liquide libre US abdominal (Dr. X): appendicite aiguë, épaississement de la paroi à 9-10 mm, épaississement dès la base, pas de signe de perforation, petite lame liquidienne au contact de l'appendice. Avis chirurgical (Dr. X): prise en charge chirurgicale. Rocéphine 2 g et Metronidazole 500 mg iv aux urgences Laboratoire le 06.02.2018 Antiémétiques iv Hydratation iv Diminution de la Morphine puis rotation d'opiacés par Hydromorphone Laboratoire le 10.02.2019. RX thoracique lombaire face/profil le 10.02.2019. Gazométrie du 10.02.2019. Attitude : • Retour à domicile avec antalgie simple. • Physiothérapie. • Au vu de l'importance des douleurs initiales et de l'épisode fébrile du 09.02.2019, nous proposons un contrôle clinique au secteur ambulatoire des urgences le 11.02.2019. • Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Laboratoire le 11.06.2018 : Hb 123 g/l, Leucocytes 10.2 G/l, Thrombocytes 149 G/l Groupe sanguin A Rhésus négatif, immunoglobuline anti-D le 25.05.2018 AC irréguliers négatif 11.06.2018 Streptocoques du groupe B positif le 17.05.2018 Sérologies du 18.11.2017: Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, TPHA négatif, HBS: Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle négatif. Laboratoire le 16.02.2019: pas d'anémie, pas de syndrome inflammatoire Laboratoire le 19.02.2019: Hb 126 g/l; Leucocytes 8.2 G/l; Thrombocytes 192 G/l; Hb post-partale: 124 Groupe sanguin A+ AC irréguliers négatif le 20.02.2019 Sérologies: Rubéole immune le 20.08.2018; TPHA négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; Varicelle faite particularités: le 20.08.2018: Hépatite B infection guérie Laboratoire le 21.02.2019: Hb 127 g/l; Leucocytes 15.5 G/l; Thrombocytes 366 G/l; ASAT 19 U/I, ALAT 11 U/l, bilirubine totale 2.5 micromol/l, Spot urinaire 0.159 Laboratoire le 22.02: Bilan PE: ASAT 19 U/l, ALAT 12 U/l, bilirubine totale 4.2 micromol/L, acide urique 425 micromol/l, leuk 21.9 G/l, Hb 123 g/l, thc 356 G/l Groupe sanguin O+; AC irréguliers négatif le 22.02.2019 SB négatif le 04.02.2019 Sérologies du 24.08.2018: Toxo immune; CMV immune; Rubéole immune; VDRL négatif; HBS négatif; HCV négatif; HIV négatif; particularités: Boostrix fait le 27.12.2018 Laboratoire le 21.02.2019 Avis Dr. X: Pose de SNG le 21.02.2019, suivi ambulatoire de l'alimentation entérale par SNG à la consultation de nutrition. Prochain RDV prévu la semaine du 25.02.2019 avec la Dr. X. Radiographie du thorax le 21.02.2019 Laboratoire le 24.01.2019 Hb 120 g/l, Leucocytes 12.8 G/l, Thrombocytes 214 G/l Hb post-partum: 106 g/l Groupe sanguin A+; AC irréguliers négatif le 24.01.2019 Streptocoques du groupe B positif le 08.01.2019 Sérologies le 17.04.2019: Toxo non-immune, CMV non-immune, Rubéole immune, VDRL négatif, HBS, Vaccinée, HCV négatif, HIV négatif Laboratoire le 25.01.2019: Lc 17 G/l, CRP 54 Rx Thorax 26.01.2019: Discrets épaississements bronchiques et minimes infiltrats alvéolaires aux bases évoquant une origine infectieuse. Co-Amoxi 1.2 g 3x/jour iv à partir du 25.01. au 27.01.2019 puis orale jusqu'au 01.02.2019 Pas de troubles de la déglutition selon logopédiste Laboratoire le 25.02.2019. Avis chirurgical du 25.02.2019 : pas d'indication à poursuite d'investigation. Attitude : • Retour à domicile. • Mme. Y est instruite des symptômes nécessitant une reconsultation aux urgences. Laboratoire le 28.01.2019 Hb 123 g/l, Leucocytes 8.9 G/l, Thrombocytes 269 G/l, Crase en ordre Hb post-partale: 117 g/l Groupe sanguin A+, AC irréguliers négatif le 28.01.2019 Streptocoques du groupe B positif le 05.08.2018 Sérologies: Toxo immune, CMV non-immune, Rubéole immune, Syphilis négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle positif. Laboratoire le 30.01.2019: Lc 2.3 G/l, CRP 68 mg/l, créatinine 84 mcmol/l Sédiment urinaire le 30.01.2019: Lc 11-20, nitrite négatif, bactérie + Frottis de grippe le 30.01.2019: Positif pour Influenza A Hémocultures le 30.01.2019 (2 paires): négatif à 5 jours Uricult le 30.01.2019: contaminé Antigènes urinaires le 30.01.2019: négatifs pour Légionelle et Pneumocoque RX thorax le 30.01.2019: pas de franc foyer pulmonaire Traitements : • isolement gouttelettes du 30.01 au 05.02.2019 • Rocéphine 2 g IV 1x/j du 30.01 au 05.02.2019 • Klacid 500 mg 2x/j PO du 30.01 au 31.01.2019 • Tamiflu du 31.01 au 04.02.2019 • aérosols d'Atrovent et Ventolin • physiothérapie de mobilisation et respiratoire Attitude : suivi clinique et biologique Laboratoire le 30.01.2019: Hb 124 g/l, Leucocytes 9.5 G/l, Thrombocytes 210 G/l. Groupe sanguin O Rhésus négatif, AC irréguliers négatif 15.01.2019. Streptocoques du groupe B négatif le 14.01.2019 Sérologies le 14.07.2016: CMV immune, Rubéole immune, Syphilis négatif, HBS négatif, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle négatif. Boostrix fait le 06.12.18 Laboratoire le 30.01.2019 IRM vertébrale lombaire et sacrée le 30.01.2019: infiltration carcinomateuse de la colonne lombaire et sacrée (rapport oral) Sur avis Dr. X: Ad Fortecortin iv 15 mg puis dexaméthasone 4 mg 3x/j po dès le 31.10.2019 avec schéma dégressif Ad Antalgie par Morphinique Avis radio-oncologique effectuée le 31.01.2019 Décision de Mr. Y de sortir le 31.01.2019 avec organisation de la prise en charge organisée en ambulatoire : • CT-Scan cervico-thoraco-abdomino-pelvien, le 04.02.2019 à 14h30 • IRM neurocrâne le 07.02.2019 à 09h45 • Rendez-vous de consultation oncologique (Dr. X) le 08.02.2019 à 13h00 Laboratoire: léger syndrome inflammatoire, CRP 28 mg/L, pas de leucocytose Benerva 300 mg IV aux urgences Stix et sédiment urinaire: bactériurie et leucocyturie asymptomatique Consilium ORL le 07.02.2019: Candidose oropharyngée diffuse. Lésion polypoïde de la fausse corde vocale G d'allure bénigne Ad Diflucan + Daktarin, Bains de bouche, Xylocaine gel sur aphte bord latéral droit de la langue avant les repas. Naso-fibroscopie de contrôle le 04.04.2019 à 14h00. Supplémentation IV et per os Adaptation des traitements diurétiques avec diminution du Torem et reprise Aldactone Restriction hydrique Suivi biologique avec correction des valeurs Contrôle des tests hépatiques au vu du Diflucan et de la cirrhose préexistante Laboratoire: Leuc à 13, ASAT=181, ALAT=109, LDH=1041, Bili directe à 7.4, Bili totale à 13.4, GGT=879, Créat à 156, Urée=12, Glu=12.5, Na=136, Radiographie du thorax: pas de foyer, pas d'épanchement, pas de cardiomégalie, cerclage en place. ECG (1): Rythme régulièrement irrégulier en FA à 168 bpm. QRS fins normoaxés. QTc=485 ms, pas de troubles de la repolarisation.ECG (2): Rythme irrégulièrement irrégulier. QRS fins normoaxés. QTc=490 ms. Pas de troubles de la repolarisation. ECG du 14.02.2019: rythme sinusal régulier. • Laboratoire: leucocytes 10.3 G/l, CRP <5 mg/l, Hb 153 g/l, Créatinine 66 µmol/l, Na 138 mmol/l, K 3.7 mmol/l. • Stix/sédiment urinaire: leucocytes < 3/champ, Erythrocytes < 3/champ. • bHCG urinaire: négatif. • Laboratoire: Leucocytes 13.7 G/l, CRP 19 mg/l, Na 136 mmol/l, K 4.1 mmol/l, Créatinine 62 µmol/l. • Laboratoire: leucocytes 14.3 G/l, CRP 41 mg/l, tests hépatiques, pancréatiques et rénaux alignés. • Laboratoire: leucocytes 3.8 G/l, CRP 124 mg/l, Créatinine 46 µmol/l, Na 135 mmol/l, K 4.1 mmol/l. • ECG: rythme de fibrillation auriculaire rapide à 152 bpm. • ECG post-cardioversion médicamenteuse: retour en rythme sinusal. • Frottis grippe: suit. • Gazométrie: pH 7.46, pCO2 3.9 kPa, pO2 18.3 kPa, Bicarbonate 21 mmol/l, Lactates 0.6 mmol/l. • Laboratoire: leucocytes 4.7 G/l, CRP 6 mg/l, créatininémie 59 umol/l, INR 1.9. • Sédiment urinaire: leucocytes et erythrocytes <3/champs, nitrites négatifs. • Uricult: cf annexe. • Laboratoire: leucocytes 5.6 G/l, CRP <5 mg/l, Créatinine 60 µmol/l, Na 139 mmol/l, K 3.1 mmol/l, ASAT 24 U/l, ALAT 39 U/l, PA 58 U/l, GGT 33 U/l, Bilirubine totale 10 µmol/l, lipase 26 U/l. • Laboratoire: leucocytes 6.1 G/l, CRP 8 mg/l, Hb 136 g/l, N 142 mmol/l, K 4 mmol/l, Troponines H0 16 ng/L, Troponines H1 15 ng/L. • ECG: rythme sinusal régulier à 73/min, PR à 160 msec, régulier. QRS à 80 msec, axe à 15°, transition de l'onde R en V3. Pas d'onde Q. Absence de sus-sous ST. Pas d'onde T négative/inversée. QTc à 442 msec. • Radiographie du thorax face/profil du 02.02.2019: cœur de taille à la limite supérieure de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. • Laboratoire: leucocytes 6.6 G/l, CRP <5 mg/l, Hb 138 g/l, Créat 60 µmol/l, Na 137 mmol/l, K 4.4 mmol/l. • Radiographie de la colonne cervicale face/profil/axiale du 05.02.2019: cliché réalisé en position couchée avec contention en place, limitant l'analyse de la statique. 7 vertèbres cervicales et la 1ère vertèbre dorsale visible sur l'incidence de profil. Morphologie, alignement, hauteur des corps vertébraux conservés. Pas de pincement intersomatique. L'épaisseur des parties molles pré-cervicales dans la norme. Possible ébauche de côte cervicale à droite en C7. Sur le cliché de l'odontoïde, présence d'un piercing lingual et labial. Pas de lésion traumatique osseuse décelable. Dens centré. • Radiographie du poignet gauche du 05.02.2019: pas de lésion traumatique ostéo-articulaire décelable. • Radiographie de l'épaule gauche face/neer du 05.02.2019: interligne articulaire gléno-huméral, espace sous-acromio-huméral conservé. Pas de lésion traumatique ostéo-articulaire visible. Intégrité de la partie visible du gril costal. Pas de pneumothorax. • Radiographie du genou droit du 05.02.2019: contenu calcique, structures osseuses, rapports ostéo-articulaires du genou conservés, sans lésion traumatique visible. En défilé fémoro-patellaire, les rotules sont symétriques, sans lésion décelable. Pas d'épanchement intra-articulaire. • CT-scanner de la colonne cervicale natif du 05.02.2019: tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas d'épaississement des tissus mous prévertébraux. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Petit comblement de la cellule éthmoïdale antérieure droite. • CONCLUSION: pas de lésion osseuse traumatique du rachis cervical mise en évidence. • Laboratoire: leucocytes 9 G/l, CRP 28 mg/l, Na 134 mmol/l, K 3.5 mmol/l, Créatinine 71 µmol/l. • Laboratoire: Leucocytes 9.2 G/l, CRP <5 mg/l. • Laboratoire: leucocytose 13.8 G/l. • Laboratoire: mise en suspens des traitements néphrotoxiques. Suivi biologique. • Laboratoire: Na+ 124 mmol/l, osmolalité sérique 261 mosm/kg. Spot urinaire: Na 83 mmol/l. Aldactone mise en suspens. Introduction Amlodipine 5 mg po 1x/j. A réévaluer à votre consultation. • Laboratoire: Nexium 40 mg 2x/j iv du 14 au 19.01.2019. Primperan 10 mg 3x/j iv du 15 au 19.01.2019. Suivi clinique. • Laboratoire: NT proBNP a 1400, trains de troponines négatives. ECG: rythme sinusal régulier, QRS larges avec morphologie de bloc de branche. • Radiographie du thorax en chambre du 07.02.2019: élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. Hypoventilation des 2 bases pulmonaires. Épaississement basal à droite de la silhouette cardiomédiastinale. • Echocardiographie transthoracique du 07.02.2019: VG non dilaté et présentant une hypertrophie concentrique. FEVG conservée estimée à 60% sans trouble net de la cinétique segmentaire. Par rapport au comparatif d'avril 2018, les gradients ont légèrement augmenté mais le gradient moyen actuel reste dans les valeurs d'une sténose modérée. L'anamnèse de dyspnée hivernale depuis de nombreuses années ne fait pas évoquer une origine valvulaire puisque la dyspnée ne devrait pas s'amender spontanément. De plus, le NT-pro BNP marginalement augmenté et toujours dans la zone grise pour l'âge parlent contre une sténose hémodynamiquement significative. Il existe par contre une probable dysfonction diastolique ainsi qu'une HTAP significative. • Laboratoire: NT-ProBNP à 596 ng/l; Troponines T0 à 99 ng/l, T6 à 133 ng/l. Echographie cardiaque de débrouillage aux soins intensifs: veine cave collabée, FEVG paraissant discrètement abaissée avec une hypokinésie apicale. Ad Aspirine cardio 100 mg 1-0-0-0. Résolution de la FA après sepsis (ECG le 11.02.2019): Pas d'autres investigations, pas d'anticoagulation. • Laboratoire: oxygénothérapie. Traitement bronchodilatateur. Antibiothérapie par co-amoxicilline avec première dose iv aux urgences, 1.2 g le 06.02.2019. Soins de confort mais poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline. • Laboratoire: pas d'agranulocytose, CRP 66 mg/l. Gazométrie artérielle. Analyses urinaires. Hémocultures (piccline + VVP). Frottis de grippe en cours. Radiographie de thorax. Cefepime du 25.02 au ... Tamiflu 75 mg po le 25.02.2018. Hydratation par NaCl 2000 ml par 24h. • Laboratoire: pas de cinétique des troponines, D-dimères négatifs, CRP négative. ECG. Gazométrie artérielle. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Expliqué dans quelles conditions il faudra reconsulter en urgence. • Laboratoire: pas de cinétique des troponines. ECG: rythme sinusal régulier sans trouble de la repolarisation. Radiographie du thorax. Examens effectués aux urgences expliqués à la patiente par le médecin. • Attitude: retour à domicile avec traitement symptomatique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Nous expliquons à la patiente dans quelles conditions il faudra reconsulter aux urgences. • Laboratoire: pas de cinétique des troponines. ECG. • Laboratoire: pas de leucocytes, pas de CRP. Radiographie du thorax face/profil: cœur de taille dans les limites de la norme, quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Status après cholécystectomie. • Laboratoire: pas de leucocytose, CRP 10. Bains d'Amukina 4x/jour. Contrôle chez le médecin traitant. • Laboratoire: pas de perturbation hépatique ni syndrome inflammatoire. ECG: rythme sinusal et régulier à 75/min, axe QRS à 60°, PR 160 ms, QRS 80 ms, QTc 400 ms, segment ST isoélectrique, onde T physiologique. • Radiographie du thorax face/profil du 26.02.2019: aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable.Laboratoire: pas de répercussion sur les organes nobles. Traitement en réserve. Consultation chez le médecin traitant, ad holter tensionnel et suivi. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. CT-scanner de l'abdomen natif ou injecté du 09.02.2019: acquisition tomodensitométrique hélicoïdale abdomino-pelvienne en phase native puis après injection de Xénétix 300 bien toléré. L'analyse des voies urinaires des deux côtés ne révèle pas d'infiltration péri-rénale ou de dilatation urétéro-pyélo-calicielle ni de calcul. Après injection, pas de signe de foyer de pyélite des parenchymes rénaux des deux côtés. Vessie aux parois fines. Pour le reste: Le foie est de parenchyme homogène et contours réguliers sans lésion focale suspecte. Probable kyste biliaire du segment deux. Veines sus-hépatiques et tronc porte perméable. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extrahépatiques. Vésicule biliaire sans calcul radio-opaque ni signe de cholécystite. Surrénales, rate et pancréas sans particularité. Pas de dilatation du canal de Wirsung. Pas de liquide libre. Nodule se rehaussant à la face antérieure de l'artère iliaque externe droite mesurant 1,5 x 1,2 cm évoquant une adénopathie hypervasculaire en première intention. Utérus et annexes sans particularité. Discrète athéromatose calcifiée de l'aorte. Veine cave sans particularité. En fenêtre osseuse, discopathie avec sclérose des plateaux adjacents au disque L4-L5 déjà visible en 2018. Pas de lésion lytique ou condensante suspecte. Sur les quelques coupes passant par le thorax, pas de nodule suspect. Pas d'épanchement. CONCLUSION: pas de lithiase. Pas de signe de pyélonéphrite. Nodule hyper vasculaire à la face antérieure de l'artère iliaque externe droite évoquant une adénopathie hyper vasculaire dd tumeur carcinoïde? à investiguer. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, pas d'anémie. Sédiment urinaire: leucocytes 3-5/champs, erythrocytes <3/champs, nitrites négatifs. Recherche de Ag H. Pylori dans les selles: à pister. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, perturbation modérée des tests hépatiques. Sédiment urinaire: cf annexe. ECG: tachycardie sinusale et régulière à 105/min, axe QRS à 15*, PR 140 ms, QRS 80 ms, QTc 445 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique. Test de Shellong: négatif. Ultrason de l'abdomen supérieur natif du 26.02.2019: foie de taille normale, de contours réguliers, d'échostructure homogène. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. La vésicule biliaire est à parois fines, siège d'un calcul de 2.8 cm, sans épaississement de la paroi. Le pancréas, la rate et les reins sont sp. CONCLUSION: calcul vésiculaire simple de 2.8 cm. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Radiographie du thorax face/profil du 07.02.2019: aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas de foyer pneumonique décelable. Pas d'épanchement pleural décelable de façon bilatérale. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, tests hépato-pancréatiques alignés, éosinophilie à 1.95 G/l. Contacter le Dr X demain pour suite de prise en charge. Buscopan en R en plus de Dafalgan (a déjà à domicile). Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Avis orthopédique Dr X: ergothérapie, immobilisation durant encore 1 semaine (mobilisation possible). RAD avec conseil de reconsulter en cas de douleur en augmentation ou signes d'infection. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Rx thorax: pas de foyer. Sédiment urinaire: nitrite, leuco, sang, pas de bactéries. Uricult à pister. Arrêt de l'ATB le 21.02.2019. Suivi clinique. Envisager un changement de sonde. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Urines: propres. ECG. Rx bassin et hanche G. Avis orthopédique (Dr X): douleur de type musculaire, ttt antalgique et physiothérapie. Si pas d'amélioration, réévaluation orthopédique. Attitude: • Hospitalisation à Meyriez • Ttt antalgique et physiothérapie À faire: • Pister la liste des médicaments (pharmacie de Givisiez). Laboratoire: pas de trouble électrolytique, benzo screening positif. Stix et sédiment urinaire avec screening toxiques: benzo +, cannabis +, méthadone +. Gazométrie: pH 7.33, pCO2 7.2 kPa, pO2 7.5 kPa, bicarbonates 29. ECG: QTc 437 ms, pas de trouble de la repolarisation. Le patient a pris une dose majorée de son traitement habituel et en plus Stilnox et Dormicum, on lui communique l'indication à une surveillance en milieu hospitalier. Le patient dit comprendre mais dit se connaître et refuse l'hospitalisation. Le patient a sa capacité de discernement, signe la décharge qui se trouve dans le dossier (discussion aux urgences avec le patient, Dr X et Dr X). • Retour à domicile contre avis médical. Laboratoire: pas de trouble électrolytique, pas de syndrome inflammatoire. CT cérébral: pas de saignement, pas de fracture, légère atrophie du cortex. Temesta 1 mg par les ambulanciers. Temesta 1 mg aux urgences. Avis psychiatrique: Hospitalisation à Marsens. Laboratoire: pas de trouble électrolytique. Urines: propres. Avis psychiatrique: hospitalisation à Marsens. Laboratoire. PCR multiplex selles. Recherche de C. difficile. Hémocultures. ECG. Rx thorax. Hydratation aux urgences. CT abdominal injecté. Antibiothérapie par: • Flagyl 500 mg 3x/j per os, substitué par Metronidazole 500 mg 3x/jour iv dès le 25.01.2019. • Rocéphine 2 g iv 1x/j dès le 25.01.2019. Ringer lactate 2000 ml/24 h. Laboratoire. PCR selles. ECG. Rx thorax. CT scan abdominal. Antibiothérapie par: • Ceftriaxone 2 g 1x/j et Métronidazole 500 mg 3x/j iv du 12 au 13.02.2019. • Klacid 500 mg per os 2x/j du 14 au 16.02.2019. Laboratoire PCR urinaire à Chlamydia et Gonorrhée. Au vu du résultat revenu positif chez le partenaire, nous effectuons un traitement chez le patient. Aux urgences: Ceftriaxon 500 mg im et une dose d'Azithromycine 1 g per os. Retour à domicile avec dépistage VIH et syphilis en ambulatoire. Laboratoire: perturbation des tests hépatiques. Laboratoire. Radiographie du thorax: pas de foyer visualisé. Retour à domicile avec poursuite du traitement symptomatique. Laboratoire. Radiographie du thorax. Sédiment urinaire et uriculte. Hémocultures: négatives. Antigènes urinaires: négatifs. Traitement avec Co-Amoxicilline 2.2g intraveineux 3x/j du 07.02.2019 au 13.02.2019, puis Co-Amoxicilline 1g 2x/j du 14.02.2019 au 16.02.2019. Bilan déglutition. Laboratoire. Radiographie thoracique. ECG = sinusal régulier, QRS large, onde Q de nécrose en territoire inférieur, sous décalage en V2 V3 AVL avec aspect de bloc de branche gauche complet (superposable aux anciens). CT thoracique abdominal = condensation à cheval du segment antérieur du lobe supérieur droit et du lobe moyen + ADP hilaire droite. Lame épanchement pleural cloisonné en regard de la condensation. ADP hiliaire. Lésion ostéolytique arc antérieur 4 côte gauche et de l'aile iliaque gauche. Pas d'autre localisation (étiologie infectieuse VS néoplasie sous-jacente). CAT: • Hospitalisation en médecine. • Envisager prélèvement liquide pleural si augmentation ou envisager lavage broncho-alvéolaire afin de déterminer la présence ou absence d'une étiologie néoplasique. • Pas d'antibiothérapie initialement devant la clinique non en faveur d'un état septique, discuter de l'introduction d'une antibiothérapie si détérioration clinique. Laboratoire. Radiographie thoracique 09.12.2019: pas de foyer constitué ni épanchement pleural. Hémocultures 09.02.2019: négatives. Antigènes urinaires à légionelles: négatifs. Frottis grippe: Influenza A positif.Expectorations 13.02.2019 : négatives Tamiflu 75 mg 2x/j du 10.02 au 14.02.2019 Isolation gouttelettes du 09.02 au 14.02.2019 Avis infectiologue 11.02.2019 Dr. X Surveillance clinique Suivi en hématologie (Dr. X/Dr. X) au HUG Suivi Dr. X à l'HFR Laboratoire rassurant et sérologies négatives (en parallèle avec les examens déjà effectués en juin 2018). Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. Hémocultures : à pister. Culture d'expectorations : à pister. ECG du 02.02.2019 : rythme sinusal régulier, QRS fins, segment ST isoélectrique. RX thorax du 02.02.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. RX thorax du 15.02.2019 : foyer diffus d'aspect de bronchopneumonie atypique (rapport provisoire). CT scan thoracique du 16.02.2019 : absence d'embolie pulmonaire. Présence d'infiltrats inflammatoires au niveau des deux plages pulmonaires, dd : germes atypiques ? Laboratoire. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Culture d'expectorations. Hémocultures. Frottis nasopharynx. RX thorax. CT scan thoracique. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv dès le 15.02.2019 • Klacid 500 mg per os 2x/j dès le 15.02.2019. Laboratoire. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Hémocultures. RX thorax. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv du 27 au 28.01.2019 • co-amoxicilline per os jusqu'au 02.02.2019. Laboratoire. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. RX thorax. CT scan thoracique. Oxygénothérapie. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv du 15 au 17.01.2019. Laboratoire. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin aux urgences. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 18 au 21.01.2019 • Céfépime 2 g iv 2x/j du 22 au 24.01.2019. Laboratoire. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Hémocultures. RX thorax. Hydratation par NaCl 1000/24h du 21 au 23.01.2019. Sonde urinaire du 21 au 24.01.2019. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv du 21 au 24.10.2019 • Klacid 500 mg per os 2x/j du 21 au 22.01.2019 • Co-Amoxi 1 g per os 2x/j du 24 au 31.01.2019. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Recherche de C. difficile. PCR multiplex selles. Avis Dr. X. CT scan abdominal. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 22 au 25.01.2019 • Flagyl 500 mg per os 3x/j du 22 au 25.01.2019. Colonoscopie agendée pour le 07.03.2019 (consultation pré-anesthésie le 27.02.2019). Laboratoire. Recherche de sang occulte dans les selles. Bilan vitaminique. NaCl 0.9% 1000 ml/24 heures. Nexium iv 80 mg, puis Nexium pompe 8 mg/h. IPP 40 mg per os 2x/j. OGD - Dr. X - agendée pour le 28.02.2019. Laboratoire. Reçu aux urgences : NaCl 0.9% 2000 ml i.v. Consignes d'hydratation. Antalgie. Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pendant 5 jours. Laboratoire. Rhino-Rapid longue mèche narine gauche avec bon effet. Retirée à 13H30. Avis de l'ORL, le Dr. X : • réversion de la crase • Konakion 10 mg per os : INR > 5.5 • Konakion 10 mg per os, puis 10 mg iv : INR 2.7 • Beriplex 500 Ul à 12:00 : récidive de l'épistaxis 15H40. • Beriplex 500 Ul : arrêt de l'épistaxis. • Vu par Dr. X après la 2ème dose de Beriplex : saignement tari. Origine narine gauche. Laboratoire. Rocéphine 2 g iv du 16.01 au 21.01.2019 puis relais per os par Co-Amoxi 1 g - 2 x/jour durant 7 jours. Laboratoire RX cheville CT cheville Réduction et mise en place d'un plâtre Jambe surélevée, plâtre fendu, glace Antalgie A jeun Clexane prophylactique Transfert à Tafers en accord avec l'équipe d'orthopédie en raison du manque de place sur le site de Fribourg Laboratoire. RX colonne lombaire, bassin, hanche. IRM colonne lombaire. Aux urgences : • Fentanyl 50 ug, Sirdalud 4 mg, Prednisone 20 mg, Pregabaline 50 mg. Hospitalisation en médecine. Physiothérapie antalgique. Prednisone 20 mg 1x/jour dès le 11.02.2019. Brufen 400 mg 3x/jour. Nexium 40 mg 1x/jour aussi longtemps qu'Ibuprofène et Prednisone. Dafalgan 1 g 4x/jour. Sirdalud 4 mg 3x/jour, puis 1x/j à partir du 12.02.2019. Pregabaline 75 mg 2x/jour. Avis Spine team (Dr. X) le 13.02.2019 : transfert HFR Fribourg pour évaluation. Laboratoire. RX thorax. Laboratoire. RX thorax. Bilan ORL à la consultation du Dr. X le 01.02.2019 à 07h45. Rendez-vous à la consultation de Dr. X le 13.02.2019 à 15h15. Oesogastroduodénoscopie agendée le 28.02.2019 en ambulatoire à l'HFR Riaz. Consultation pré-anesthésique agendée le 20.02.2019 à 14h20 Réadaptation pulmonaire à l'HFR Billens dès le 30.01.2019. Laboratoire. RX thorax. CT scan cérébral injecté. IRM neurocrâne. Consilium psychiatrique. Bilan neuropsychologique en ambulatoire le 20.02.2019 à 13h00 à l'HFR Billens. Laboratoire. RX thorax. CT scan thoraco-abdominal le 07.01.2019. Test de la déglutition le 09.01.2019. Avis soins palliatifs - Dr. X. Makatussin 30 ml 4x/j du 10 au 11.01.2019. Codéine 50 mg 3x/j du 11 au 14.01.2019. Morphine 2.5 mg per os 4x/j du 14 au 15.01.2019. MST 10 mg per os 2x/j dès le 16.01.2019. Laboratoire. RX thorax. Hydratation NaCl 0.9% 1000 ml/6h puis sur 24h durant la surveillance. Traitement symptomatique par Dafalgan et AINS. Contrôle à l'infirmerie du centre de réfugiés. Si persistance de la clinique, reconsulter immédiatement aux urgences. Laboratoire. RX thorax. Mise en suspens du traitement psychiatrique. IRM du neurocrâne le 20.02.2019 Ponction lombaire le 21.02.2019 Laboratoire. RX thorax. Oxygénothérapie et BiPAP. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Echocardiographie transthoracique le 29.01.2019. Laboratoire. RX thorax. Oxygénothérapie. Physiothérapie respiratoire. Atrovent 250 ug 4x/j. Laboratoire. RX thorax. Solumedrol 125 mg aux urgences. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. RX thorax. Test de Schellong. Laboratoire. RX thorax. Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. Solumédrol 125 mg iv. Oxygénothérapie 1 - 1,5 l aux lunettes avec saturation cible 88 - 92%. Prednisone 40 mg 1x/24h du 05 au 11.02.2019. Antibiothérapie par co-amoxicilline 1,2 g iv 3x/j du 05 au 11.02.2019. Laboratoire. RX thorax. Traitement symptomatique standard. Laboratoire. RX thorax. VNI. Oxygénothérapie (5 l aux lunettes) Solumedrol 125 mg dès le 17.02.2019. Pantoprazol 40 mg iv. NaCl 0.9% 500 ml/24h. Transfert aux soins intensifs du HIB Payerne. Laboratoire. RX thorax. VNI. Oxygénothérapie. Atrovent 0,25 mg du 15 au 17.02.2019. Pulmicort 0,5 mg du 15 au 17.02.2019. Solumédrol 125 mg iv du 15 au 17.02.2019. Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv du 15 au 17.02.2019. Laboratoire sans anomalie. Status abdominal sans particularité. Conseil des signes devant amener à reconsulter. Laboratoire : sans particularité. Sédiment urinaire : sans particularité. ECG : rythme sinusal et régulier à 70/min, axe QRS à -5*, PR 180 ms, QRS 80 ms, QTc 422 ms, segment ST iso-électrique, onde T physiologique. Radiographie de l'épaule droite face/neer du 26.02.2019 : pas d'image de fracture décelable. Bonne congruence gléno-humérale. Espace sous-acromial conservé. Radiographie de la colonne cervicale face/profil/axiale du 26.02.2019 : lésions dégénératives étagées, essentiellement C5-C6, C6-C7, avec ostéophytose marginale étagée antérieure et postérieure. Asymétrie C1-C2, probablement d'origine antalgique. Ligaments conservés des murs vertébraux. A compléter par un CT-scanner à distance. Radiographie de la colonne dorsale face/profil du 26.02.2019: pas d'image de tassement vertébral. Lésions dégénératives étagées avec ostéophytose marginale étagée antérieure. Discarthrose étagée. CT-scanner de la colonne cervicale natif du 26.02.2019: on retrouve l'asymétrie latérale C1-C2. Les reconstructions des corps vertébraux de C1-C2 mettent en évidence une discrète composante rotatoire minime à 10°, très probablement en rapport avec une attitude antalgique. Pas de visibilité de composante de déplacement antéro-postérieur de C1 par rapport à C2. Pas de visibilité de tassement vertébral. Pas d'image de luxation articulaire. Composantes dégénératives étagées de la colonne cervicale avec discarthrose, essentiellement en C5-C6 et C6-C7 ainsi qu'ostéophytose étagée antérieure et postérieure. Pas d'image de tassement vertébral dorsal. CONCLUSION: discrète asymétrie latérale C1-C2 avec un discret phénomène rotatoire à 10°, probablement en rapport avec une composante antalgique. Pas d'image de composante de déplacement antéropostérieur. Une IRM à distance peut être demandée afin de mieux étudier l'état du ligament transverse. Laboratoire: sans particularité. Sédiment urinaire: sans particularité. Laboratoire: sans syndrome inflammatoire, sans trouble de la fonction rénale, pas de déséquilibre des électrolytes, lignées sanguines alignées, INR 1.0. Sédiment urinaire: présence d'érythrocytes, pas de leucocytes, pas de protéine, pas de glucose. CT-scanner abdominal natif du 05.02.2019: au niveau du pyélon D, on visualise un calcul d'environ 9 x 4 x 8mm, actuellement sans nette dilatation pyélocalicielle. Les 2 reins sont par ailleurs de taille et de morphologie dans les limites de la norme compte tenu de l'absence d'injection de produit de contraste. Pas de dilatation pyélocalicielle du rein G. Compte tenu de l'absence d'injection de produit de contraste, le foie, le pancréas, la rate et les surrénales sont sp. Pas d'adénopathie, pas d'ascite. Quelques calcifications prostatiques. Minime antérolisthésis L5-S1 sur lyse isthmique bilatérale. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieur et postérieur. CONCLUSION: examen mettant en évidence un calcul au niveau du pyélon D mesurant environ 9 x 8 x 4mm, sans dilatation pyélocalicielle notable, ni signe de souffrance. Laboratoire Sédiment urinaire Spot urinaire ECG: rythme sinusal normocarde Radiographie de thorax: opacité en base gauche Poursuite de la co-amoxicilline 1g 2x/j per os pour 2 jours (5 jours au total) Antigènes urinaires Pneumocoque et Légionelle en cours Hospitalisation en médecine interne Laboratoire: sf annexes. ECG du 04.02.2019: rythme sinusal régulier à 70 bpm, PR à 150 msec, QRS à 106 msec avec un axe normal à 40°, QTc à 411 msec, segment ST isoélectrique, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4. Laboratoire Spot urinaire Restriction hydrique à 1l/j et hydratation par 500ml de NaCl 0.9% du 18.01.2019 au 19.01.2019 Laboratoire Spot urinaire: mise en suspens médicament néphrotoxique Laboratoire. Stimulation hydratation per os. Suivi biologique. Laboratoire Stix et sédiment urinaire = Leuco -, nit-, Sang ++++ Test de grossesse urinaire = Négatif US abdominal = Dr. X (cf compte rendu) Avis gynécologue = Hospitalisation devant kyste imposant non rupturé. En surveillance clinique pour évaluer le risque de torsion sur kyste. CAT : • Hospitalisation gynécologie pour surveillance Laboratoire stix et sédiment urinaire spot urinaire: Na urinaire pas demandé, nouvel examen nécessaire Laboratoire Stix/sédiment : hématurie, protéinurie CT-Scan cérébral et vaisseaux pré-cérébraux : pas de saignement, pas d'occlusion Avis neurologique (Prof. X) : • Lit strict monitoré • Cible tensionnelle à <140-150 • DD : Posterior encephalopathy reversible syndrome • IRM à prévoir • PL à réévaluer • Si acutisation de l'état confusionnel, ad Haldol 5mg en gouttes Laboratoire. Stop médicaments avec épuration rénale. Hydratation avec NaCl 1000 ml/j du 22 au 23.01 puis 2000 ml dès le 23.01.2019 puis 3000 ml dès le 25.01.2019. Laboratoire. Streptotest. Frottis buccal. Sérologies HSV. RX thorax. Avis Dr. X (oncologue traitant). Antalgie. Gargarisme solution rapidocaïne orale. Solumedrol 125 mg/j. Bilan nutritionnel. Laboratoire. substitution de Magnésium iv 16 mmol sur 4 heures. Laboratoire. Substitution orale en potassium. Suivi biologique. Laboratoire. Substitution per os du 25 au 27.01.2019. ECG. Mise en suspens du Beloc Zok 25 mg. Laboratoire. Suivi biologique. Laboratoire. Suivi biologique. Laboratoire. Suivi biologique. Laboratoire Suivi nutritionnel (NRS à 4) Physiothérapie de mobilisation Adaptation antalgie : Irfen 400mg 3x/j pour 3 jours puis Oxycontin ATT : • Réadaptation gériatrique à Riaz Laboratoire Suivi nutritionniste avec adaptation alimentaire Suivi du poids Laboratoire: syndrome inflammatoire avec CRP à 150 mg/l et leucocytose à 11 G/l Sédiment urinaire: pas d'infection urinaire Spot urinaire Radiographie de thorax: opacité base gauche Radiographie hanche gauche CT hanche gauche Ad Co-amoxiciline 1.2 g iv 3x/j Laboratoire: syndrome inflammatoire avec CRP à 150 mg/l et leucocytose à 11 G/l Sédiment urinaire Spot urinaire Radiographie de thorax Radiographie hanche gauche CT hanche gauche Hospitalisation en orthopédie avec prise au bloc opératoire dans les prochains jours A jeûn avec prophylaxie antithrombotique Laboratoire: syndrome inflammatoire avec CRP 34 mg/l, leucocytes 3.7 G/l. Laboratoire: syndrome inflammatoire biologique (leucocytose à 30G/L et CRP à 341mg/L) Radiographie thoracique: probable foyer basal droit et gauche Hemocultures du 18.02.19: stériles Culture d'expectorations: flore bucco-pharyngée Antigenurie Pneumocoque et legionnelle: négatifs Frottis grippe: négatif Aérosols ventolin et atrovent Physiothérapie respiratoire Ceftriaxone du 18.02.2019 au 21.02.2019 Clarythromycine du 18.02.2019 au 21.02.2019 Co-amoxicilline 625mg 2x/j (clairance selon Cockroft à 45ml/min) du 22.02.2019 au 24.02.2019. Laboratoire: syndrome inflammatoire CRP à 107 mg/L, pas de leucocytose Gazométrie: acidose respiratoire, insuffisance respiratoire globale Radiographie du thorax: absence de foyer, fractures de côtes connues Frottis nasopharyngé Influenza A positif Antigène urinaire: négatif Tamiflu 75 mg 2x/j per os pour 5 jours malgré début des symptômes > 72h, au vu de la fragilité de la patiente Co-amoxicilline 1.2g IV dès le 11.02.2019 pour une durée de 5 jours, stoppé au vu réaction allergique le 12.02.2019. Changement par Tavanic 500mg 1X/J pour une durée de 5 jours au total Klacid 2X500 mg per os du 11.02.2019 au 13.02.2019 Prednisone 40mg per os pour une durée de 5 jours Isolement du 11.02.2019 au 14.02.2019 Séances de VNI Aérosol Atrovent/Ventolin Amélioration clinique progressive Mise en place oxygène à domicile Consultation la semaine prochaine en pneumologie Nouvelle consultation dans 2 mois avec: • gazométrie • tests fonctionnels • test de marche de 6 minutes Laboratoire: syndrome inflammatoire en baisse. RAD avec poursuite de l'antibiothérapie. Contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Laboratoire: Syndrome inflammatoire Hémocultures 2 paires Frottis de grippe le 12.02.2019: grippe Gazométrie Artérielle Avis Obstétrique (Dr. X): Ultrason et examen obstétrical - Bonne vitalité fœtale Avis Soins Intensif (Dr. X) Hydratation IV (NaCl et G5%) Antibiothérapie par Co-Amoxiciline IV Tamiflu 75 mg p.o Febrifuge Physiothérapie Respiratoire Laboratoire: taux des anti-épileptiques (Lacosamide, Levetiracetam): en cours. Stix et sédiment urinaire. ECG: rythme sinusal régulier sans troubles de la repolarisation, PR à 256 ms. Aux urgences: Rivotril 1 mg i.v avec résolution des symptômes. Avis neurologique (Dr. X). Retour à domicile: • ad augmentation du Vimpat à 100 mg à 2-0-1, maintien de la dose de Levetiracetam • EEG de contrôle le 06.03.2019 et par la suite consultation en neurologie. Laboratoire: • test rapide malaria +, parasitémie 5 o/oo, probable Plasmodium vivax/oval Stix et sédiment urinaire. 2 paires d'hémocultures: en cours. Radiographie de thorax. Avis infectiologique (Dr. X). 4 cpr de Riamet aux urgences. Attitude (discutée avec le Dr. X): • Malaria sans critères de gravité, ad retour à domicile avec traitement de Riamet. • Expliqué à la patiente et son mari la suite de la prise en charge en présence de l'interprète, rédaction d'une feuille dans la langue de la patiente avec les explications concernant le traitement à prendre, les signes d'alarme et la prochaine consultation en infectiologie. • Suivi à la consultation du Dr. X en infectiologie jeudi à 9:30. Laboratoire. Test rapide mononucléose: négatif. Hémoculture du 8.02: Streptotest négatif. Au vu du tableau clinique, du syndrome inflammatoire et de la non-amélioration sous Zithromax, malgré un streptotest négatif, switch pour Co-amoxicilline 1 g 3x/j pour 7 jours. Co-amoxicilline 2.2 g iv aux urgences (notion d'allergie à un antibiotique il y a 10 ans, non retrouvé dans le dossier. A reçu co-amoxicilline en 2015 sans allergies). Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Symptômes d'alarme expliqués. Laboratoire. Traitement bronchodilatateur par Atrovent 250 ug 4x/j et Ventolin 2.5 ml 4x/j. Laboratoire. Transfusion de 2 culots érythrocytaires. Nexium 80 mg en bolus puis en pompe 8 mg/h. Nexium per os 40 mg 2x/24h dès le 23.01.2019 pour 6 semaines au total. Oesogastroduodénoscopie à l'HFR Riaz agendée pour le 07.03.2019. Consultation pré-anesthésiste le 27.02.2019. Laboratoire. Transfusion de 4 culots érythrocytaires durant le séjour. Mise en suspens de l'Aspirine Cardio et du Beloc Zok durant l'hospitalisation. OGD - Prof X - le 18.09.2019. Une dose unique de Nexium 80 mg, puis Nexium 40 mg 2x/24h dès le 18.01.2019 pour 8 semaines au total. Laboratoire Transfusion érythrocytaire à effectuer à l'étage. Laboratoire: trop: H0: 57, H2: 66, H3 Gazométrie artérielle 2 paires d'hémocultures le 19.02.2019: Frottis de grippe le 19.02.2019: Influenza A positif Antigènes urinaires le 19.02.2019: Radiographie du Thorax Antibiothérapie par Ceftriaxone et Clarithromycine dès le 19.02.2019 Fébrifuges Pas d'isolement ni de Tamiflu en raison de symptômes présents depuis >5 jours Physiothérapie respiratoire Laboratoire: Tropo H0; 31, H1; 30, D-dimères; 2731. ECG: sinusal irrégulier sur ESV, pas de trouble de la conduction, pas de trouble de la repolarisation, pas de bloc de branche. US pulmonaire et cardiaque: cf compte rendu (Dr. X). Angio CT: pas d'embolie pulmonaire centrale ou para-centrale. Légère augmentation du pneumothorax à droite, épanchement pleural droit en majoration. Majoration de l'atélectasie post-opératoire. Collection dans la paroi du côté droit en regard de la pointe de l'omoplate X2: 9 cm X 4.5 cm et 7.5 X2 (fuite de thoracotomie?, sérome ou hématome de paroi post-op, abcès). Avis chirurgien: Dr. X, pas d'indication à une hospitalisation malgré une CRP à 212, CT thoracique plutôt rassurant, patient sera reconvoqué par Dr. X dans la semaine pour réévaluation clinico-biologique. • Retour à domicile. • Réassurance. • Conseil de réévaluer cliniquement avec médecin de famille le 18.02.2019 pour réfection de pansement et mise en place d'un suivi infirmier pour réfection de pansement et suite de soins. Laboratoire: Troponine sans cinétique ECG Avis Cardiologie (Dr. X), Radiographie Thorax, le 18.20.2019 Hospitalisation • ETT • Holter • Discussion de nécessité à PM Laboratoire: Troponines pas de cinétique ECG: Repolarisation précoce de V1-V4 CT Time is brain, le 03.02.2019: pas de lésion visible Avis Neurologie (Dr. X): Hospitalisation en médecine lit stricte • IRM cérébrale • Avis Neurologie • Discuté d'avis Psy Laboratoire: Troponines T0 8 ng/L, T1 8 ng/L. ECG: rythme sinusal régulier, normocarde à 67 bpm, axe normal à 29°, QRS fins à 82 ms, onde T négative en V1, III et concordante. Segment ST isoélectrique. QTc 440 ms. Radiographie du thorax face/profil du 26.02.2019: silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Multiples épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec ostéophytose intersomatique marquée et calcification du ligament longitudinal antérieur. Laboratoire. Urines: propres. Avis urologique (Dr. X): épididymite sans leucocyturie et syndrome inflammatoire peu probable, au vu du deuxième épisode des douleurs de ce genre. Proposition d'un contrôle en urologie en ambulatoire, reconsultation si réapparition des douleurs. Contrôle chez Dr. X en urologie. Reconsultation si réapparition des douleurs. Si persistance des gênes, reconsultation pour effectuer un scanner. Laboratoire. Urines. Urotube. Laboratoire. Urotube: en cours. RX bassin face, hanche axiale gauche et colonne lombaire du 11.02.2019 : scoliose lombaire sinistro-convexe avec pincement sévère de niveau L3-L4 droit dans la région de la concavité. Réactions ostéophytaires intersomatiques étagées et arthrose des facettes articulaires postérieures prédominant entre L4 et S1. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieur et postérieur. Coxarthrose bilatérale et symétrique en relation avec l'âge de la patiente. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. IRM colonne lombaire du 12.02.2019: troubles de la statique lombaire avec lésions dégénératives, pincements intersomatiques pluri-étagés dans un contexte de scoliose sinistro-convexe. Canal lombaire dégénératif, secondaire à une arthrose interfacettaire postérieure marquée des trois derniers espaces intersomatiques avec sténose prédominant en L3-L4. Rétrécissements foraminaux pluri-étagés prédominant à G en L3-L4 et L5-S1. Protrusions discales pluri-étagées avec, notamment en L5-S1, une composante foraminale extra-foraminale gauche. CT scan abdominal, natif et injecté du 12.02.2019: pas de liquide libre ni air libre dans la cavité péritonéale. Diverticulose sigmoïdienne d'allure calme. Coprostase pancolique avec fécalome rectal. Suspicion d'une pneumatose pariétale de la jonction colo-sigmoïdienne aspécifique. Pas de calcul le long des voies urinaires, pas d'hydronéphrose. Vessie sondée. Laboratoire. Urotube. ECG. RX thorax. US rénal. Antibiothérapie par: • Rocéphine 2 g iv du 22 au 25.01.2019 • Bactrim Forte per os 2x/j du 25 au 29.01.2019. Laboratoire. Urotube. Hémocultures. Antibiothérapie par: • Rocéphine 2 g iv du 29.01 au 01.02.2019 • Ciprofloxacine 500 mg per os 2x/j jusqu'au 10.02.2019. Laboratoire. Urotube. Hémocultures. ECG. RX thorax. Antibiothérapie par Tavanic 500 mg iv 2x/j stoppé le 18.01.2019 en raison du risque de crise myasthénique. Laboratoire. Urotube. Hémocultures. Recherche d'antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. ECG. RX thorax. CT scan thoracique. Antibiothérapie par: • Rocéphine 2 g iv du 08 au 12.02.2019 • Klacid 500 mg per os du 08 au 12.02.2019 • Co-Amoxi 1 g per os 2x/j du 13 au 15.02.2019. Fluimucil 200 mg 3x/j. Physiothérapie respiratoire. Laboratoire. Urotube. Monuril 3 g en dose unique. Laboratoire. Urotube. Test de la déglutition. Bilan diététique. Avis Dr. X (neurologue traitant du patient) Avis Dr. X, neurologue de garde. Contrôle à la consultation ambulatoire du Dr. X le 09.01.2019. Laboratoire US abdominal aux urgences (Dr. X) : rétention urinaire, masse kystique d'environ 13 cm visualisée au-dessus de la vessie Sondage vésical et stix/sédiment CT cervico-thoraco-abdomino-pelvien le 20.02.2019 Consilium gynécologique le 21.02.2019 (Dr. X) Laboratoire. US abdominal. IRM abdominal. Hydratation 1500 NaCl / 24h. Laboratoire. US abdominal. La patiente ne souhaite pas d'investigations. Famille avertie de la situation, souhaite des soins de confort. Morphine 1 mg/j dès le 26.01.2019. Laboratoire. US rénal. Bilan sorties. Contrôle électrolytes 1x/j. Hydratation parentérale. Mise en pause du Dilzem, Crestor, Votum. Laboratoire : vide annexes Laboratoire : vide annexes Rx thorax (05.02.19) : Plage de consolidation triangulaire en projection de la partie inférieure du poumon droit silhouettant le bord droit du cœur mais pas le diaphragme, et provoquant rétraction médiastinale à droite, le tout parlant pour un foyer de pneumonie du lobe moyen avec possible atélectasie associée. Infiltrat alvéolaire touchant presque l'ensemble de la plage pulmonaire droite restante, parlant pour une pneumonie associée. Légers infiltrats de la plage pulmonaire gauche. Lame d'épanchement pleural à droite. Pas d'épanchement à gauche. Pas d'autre anomalie. Laboratoire : voir annexes. Laboratoire : voir annexes ECG le 05.02.2019 : Fibrillation auriculaire 75/min, QRS 100ms, QTc 429ms, pas de trouble de la repolarisation. Rx thorax le 05.02.2019 : cardiomégalie connue sans signes de décompensation cardiaque. Pas d'infiltrat. Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 7 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur déconditionnement multifactoriel. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 21 thérapies de 30 min chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 9/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 36/22 MMS/CLOCK 24/30 - 4/6 GDS 5/15 Evaluation sociale (5 domaines) 04.02.2019 Colloque interdisciplinaire 1 06.02.2019 Colloque interdisciplinaire 2 13.02.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 16/28 avec rolateur Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 62/25 Laboratoire : voir annexes ECG le 25.01.2019 : fibrillo-flutter 46bpm, QRS fins, QTc 449ms. 25.01.2019 : MMS 24/30, Clock 0/6, GDS 3/15 Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 14 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus après une amputation sous-géniculée du membre inférieur droit. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 26 thérapies de 30 min chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 3/28 avec arjo Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 58/28 MMS/CLOCK 24/30 - 0/6 GDS 3/15 Evaluation sociale (5 domaines) 25.01.2019 Colloque interdisciplinaire 1 30.01.2019 Colloque interdisciplinaire 2 06.02.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 5/28 avec Arjo Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 62/27 Laboratoire : voir annexes RX genou F/P : pas de lésion osseuse visualisée Laboratoire 01.02.2019 : Leuco 13, CRP 14, fonctions hépatique, rénale et hémostase normales ; B HCG négatif. Laboratoire du 02.02.2019 : leuco 21 g/l, CRP 87 mg/l Laboratoire du 04.02.2019 : leuco 10 g/l, CRP 27 mg/l Laboratoire du 06.02.2019 : Hb 122 g/l, leuco 9.3 g/l, CRP 44 mg/l Echographie endovaginale le 01.02.2019 : pyosalpinx gauche sans liquide libre dans le Douglas. Imagerie par résonance magnétique : suspicion d'appendicite, pyosalpinx gauche, signes de péritonisme. Laboratoire 07.01.2019 : Creat. 96 umol/l, DFG d'après CKD-EPI : 61.9 ml/min/1.73 m² Suivi laboratoire Laboratoire 09.01.2019 : TSH : 16.97 mU/l, FT4 : 12 pmol/l Substitution par Euthyrox 25 mcg/j Contrôle des hormones thyroïdiennes dans 3 mois Laboratoire 1 paire d'hémoculture Antigène urinaire ECG Radiographie du thorax PCR grippe : Influenza A positive Rocéphine 2 gr iv du 12.02.19 au .... Klacid 500 mg 2x/j du Tamiflu 30 mg du 12.02.18 au VNI 45 min aux urgences mal tolérée (hypotension) Att : hospitalisation en médecine pour la suite de la prise en charge Laboratoire 11.01.2019 : Creat 77 umol/l, GFR d'après CKD-EPI : 62.6 ml/min/1.73 m² Laboratoire 11.01.2019 : Hb 95 g/l Suivi laboratoire Laboratoire (15.02.2019) : leucocytose à 6.8 G/L et CRP à 32 mg/L Hémocultures : stériles à 5j Culture d'expectorations : flores bucco-pharyngée et quelques aspergillus en cours d'identification Antigènes urinaires négatifs le 16.02.2019 Frottis grippe positif pour Influenza A le 16.02.2019 Gazométrie à l'entrée : pH à 7.34, pO2 à 7.6 kPa, pCO2 à 6.9 kPa, bicarbonates : 27 mmol/L Gazométrie (air ambiant, 19.02.2019) : pH à 7.43, pO2 à 5.9 kPa, pCO2 à 5.6 kPa, bicarbonates : 27 mmol/L Gazométrie (sous 2L d'oxygène, 20.02.2019) : pH à 7.44, pO2 à 8.3 kPa, pCO2 à 5.4 kPa, bicarbonates : 27 mmol/L CT thoracique le 12.02.2019 (Affidea) : foyers bronchopneumoniques dans le lobe supérieur droit et le lobe inférieur droit, signes de bronchite chronique et d'hypertension artérielle pulmonaire. Radiographie thorax le 15.02.2019 : opacité pulmonaire basale droite Antibiothérapie : • Ceftriaxone IM du 10.02 au 15.02.2019 • Dose unique de Co-Amoxicilline et clarithromycine au service des urgences le 15.02.2019 VNI du 15.02.2019 au 17.02.2019 Physiothérapie respiratoire Consilium pneumologie (Dr. X/ Dr. X) : • fonctions pulmonaires (20.02.2019) : VEMS/CVF à 44 avec VEMS à 24% du prédit • introduction Spiolto Respimat 2.5 mcg, 2 inhalations le matin • introduction oxygénothérapie à domicile • rendez-vous de suivi en pneumologie à 2 mois, le 10.04.2019 à 10h Laboratoire 15.02.2019 : NT-proBNP 1'878 ng/l Gazométrie : pH 7.43, pCO2 5.4 kPa, pO2 7.5 kPa, bicarbonates 27 mmol/l, excès de base 2.5 mmol/l, saturation à O2 91 %. Stix/Sédiment urinaire : propres Radiographie thoracique : épanchements pleuraux • ETT le 18.02.2019 (Dr. X) : hypokinésie globale sévère, FEVG 30 %, hypertrophie excentrique. Valve mécanique aortique non sténosante. Gradient moyen VG-aorte de 9 mmHg Traitements : • Torem 20 mg (poursuite de son traitement habituel, majoré en ambulatoire par médecin traitant) Attitude : • Poids cible : 92 kg Laboratoire 15.02.2019 : Troponines 19 ng/l Bilan lipidique : HDL 0.76 mmol/l, LDL 3.21 mmol/l, triglycérides 2.29 mmol/l Coronarographie le 18.02.2019 (Dr. X) : artères coronaires peu athéromateuses sans lésion significative. L'aortographie est normale, le cinévalve est normal, on note une insuffisance minimale para-valvulaire. Introduction Atorvastatine 40 mg PO dès le 19.02.2019 Attitude : • Proposition d'ajouter Aspirine cardio en prévention primaire en ambulatoire Laboratoire 16.02 : Leuco 6.9 CRP<5 Laboratoire 18.01.2019 : Hb 88 g/l Laboratoire 30.01.2019 : Hb 93 g/l Laboratoire 18.01.2019 : K 3.3 mmol/l Supplémentation potassique Laboratoire le 01.02.2019 : K 3.7 mmol/l Laboratoire 18.01.2019 : Na 129 mmol/l Laboratoire 22.01.2019 : Na 127 mmol/l, Osm 268 mosm/l, FE urée : 33% Restriction hydrique Laboratoire du 01.02.2019 : Na 135 mmol/l Laboratoire 18.02.2019 : CRP 126 mg/L, absence de leucocytose Gazométrie 18.02.2019 : pH 7.43, pCO2 3.8 kPa, pO2 8.0 kPa, bicarbonates 18 mmol/L, excès de base -5.3 mmol/L, saturation O2 92% Gazométrie de contrôle 20.02.2019 : pH 7.45, pCO2 3.9 kPa, pO2 7.4 kPa, bicarbonates 20 mmol/L, excès de base -3.4 mmol/L, saturation 92% Radiographie thoracique le 18.02.2019 : multiples réticulations périphériques DDC avec diminution des volumes pulmonaires, l'aspect est compatible avec une fibrose. Pas de franche zone de consolidation alvéolaire. Frottis de la grippe le 18.02.2019 : négatif. Cultures d'expectoration le 18.02.2019 : contaminées par flore bucco-pharyngée Antigènes urinaires (pneumocoque et légionelle) le 18.02.2019 : négatifs. Avis pneumologique Co-amoxicilline 1200 mg 2x/j IV du 18.02 au 21.02.2019 et relais PO par 625 mg 2x/j du 22.02 au 25.02.2019 Aérosols d'Atrovent et Ventolin dès le 18.02.2019 Ultibro Breezhaler 1x/j dès le 18.02.2019 Klacid du 18.02 au 19.02.2019 Physiothérapie respiratoire Attitude : • Fonctions pulmonaires suivies d'une consultation en pneumologie le 23.05.2019 à 9h à l'HFR Fribourg Laboratoire 18.02.2019 : Hb 129 g/l Leucocytes 6.8 G/l ; Thrombocytes 353 G/l ; Hb post-partale : 120 Groupe sanguin O+, AC irréguliers négatif 18.02.2019 Streptocoques du groupe B négatif 24.01.2019 Sérologies du 26.07.2018 : Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite Laboratoire. 2 paires d'hémocultures à chaud : à pister. Streptotest : négatif. CT-scanner : pharyngite avec tonsillite et amygdale gauche très tuméfiée, infiltration de la graisse rétro-pharyngée mais pas d'abcès, pas de sinusite, pas de réhaussement des méninges, pas de mastoïdite. Aux urgences : 2000 ml de NaCl 0.9%, 1 g de Novalgine IV, co-amoxicilline 2.2 g IV. Ponction lombaire : liquide clair eau de roche, 1 élément, 1 érythrocyte. Co-Amoxicilline per os et suivi chez médecin traitant. Courte hospitalisation aux urgences. Laboratoire 22.01.2019 : créatinine 51 umol/l, DFG d'après CKD-EPI : 85.1 ml/min/1.73 m² Suivi laboratoire Laboratoire 22.01.2019 : créatinine 98 umol/l, DFG d'après CKD-EPI : 46.8 ml/min/1.73 m² Suivi laboratoire Laboratoire 22.01.2019 : Hb 107 g/l Suivi laboratoire Laboratoire : 2/6 positives pour S. Aureus multisensible Culture de la voie veineuse périphérique : Staphylococcus aureus Avis infectiologique (Dr. X/Dr. X) : source : VVP, durée antibiothérapie : 2 semaines, Amoxicilline IV 1.2 g aux 6h dès le 12.02.2019 au 22.02.2019 Amoxicilline par voie orale 1 g 3x/j du 22.02.2019 au 29.02.2019 Laboratoire : 4/4 hémocultures positives pour pneumocoque, multisensible (résultat dans attaché laboratoire de chimie du 20.02.2019) IRM du 12.02.19 : signe indirect d'hypertension portale, compression des voies biliaires de la région de la confluence au niveau du hile hépatique, dont l'éthologie précise n'est pas objectivée de manière formelle sur cet examen, suspect néanmoins de représenter une récidive locorégionale tumorale du fait de signes indirects sur le reste de l'examen d'un début de carcinose péritonéale avec un implant juxta cicatriciel au bord de l'hépatectomie et d'une ascite. Rate présente Radiographie de thorax du 19.02.2019 : : US abdominal en chambre le 19.02.2019 : ascite en faible quantité non ponctionnable Avis infectiologique (Dr. X/Dr. X) : durée de traitement : 10-14 jours, bactériémie origine indéterminée Rocéphine 2 g IV dès le 18.02.19 jusqu'au 28.02.2019 Flagyl 3x 500 mg PO dès le 18.02.19 - 20.02.2019 Laboratoire. Antigènes urinaires : négatifs pour légionelle et pneumocoque. Adaptation dosage Co-Amoxicilline 1 g 3x/j. Contrôle chez médecin traitant dans 48-72h, reconsulter si récidive de fièvre ou frissons. Laboratoire Alpha-foeto-protéine 2.2 ng/ml le 24.01.2019 PET-CT le 06.02.2019 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal Biopsie hépatique le 11.02.2019 à l'HFR Riaz Laboratoire Analyses urinaires Laboratoire. Analyses urinaires : kaliurèse 111 mmol/l. ECG. Admin KCl 40 mEq IV sur 2h. Admin MgSO4 2 g IV. Correction de la kaliémie et du magnésium sérique. Poursuite par Magnesiocard et K eff 30 mmol avec contrôle électrolytique chez le médecin traitant la semaine prochaine (évaluer nécessité du contrôle par spot urinaire). Laboratoire. Analyses urinaires. Admin Rocéphine 2 g IV puis poursuite par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pendant 7 jours. Contrôle chez le médecin traitant. Laboratoire Analyses urinaires CT abdominal Laboratoire Analyses urinaires CT abdominal : retrait de la néphrostomie droite avec tuyau présent entre le muscle oblique interne et le muscle transverse avec dilatation pyélo-calicielle droite de 38 mm, suspicion de pyélonéphrite droite, pas de dilatation pyélo-calicielle gauche. Admin Co-amoxicilline 2.2 g IV sur probable germe cutané et précédente infection à S. Epidermidis et E. Faecalis sensible à l'ampiciline Pose de néphrostomie DDC en semi-urgence le 14.02.2019 (Dr. X au courant) Laboratoire Analyses urinaires ECG Radiographie de thorax surcharge cardiaque CT cérébral: pas de saignement intracanien Ad Torasémide 10 mg 1x/j Suivi du poids, électrolytes et créatinine Prévoir une échocardiographie Laboratoire Analyses urinaires ECG Radiographie de thorax: surcharge cardiaque CT cérébral: pas de saignement intracrânien Ad Rocéphine 2g iv 1x/j Urotube en cours Changement de la sonde vésicale à 72h Hospitalisation en médecine interne avec transfert à l'HFR Riaz Laboratoire Analyses urinaires ECG Radiographie de thorax CT cérébral Laboratoire Analyses urinaires Radiographie de thorax Radiographie bassin et hanches, rachis lombaire: pas de déscellement de matériel. Hospitalisation en médecine interne pour antalgie Physiothérapie Evaluer IRM lombaire si persistance des douleurs et du syndrome inflammatoire Laboratoire Analyses urinaires Radiographie de thorax Dépistage de drogues: positif pour Cannabis CT cérébral: Anévrysme de 2 mm de l'artère cérébrale postérieure gauche Ponction lombaire: pression d'ouverture à 7 mmHg, eau de roche. CD4 en cours à pister Avis infectiologie Dr. X IRM cérébrale Hospitalisation en médecine interne Laboratoire Analyses urinaires Radiographie de thorax Radiographie bassin et hanches Radiographie de la colonne lombaire Laboratoire Analyses urinaires Urotube Radiographie de thorax Laboratoire Analyses urinaires US abdominal Laboratoire Analyses urinaires US abdominal Avis gastro-entérologue Dr. X: ERCP dans les 24h Hospitalisation en chirurgie Ad Rocéphine 2g iv + Metronidazole 500 mg iv 3x/j À jeun Pantozol 40 mg iv 1x/jour Hydratation par RL à 3000 ml par 24h Laboratoire Aspirine cardio débutée le 24.01.2019 uniquement avec arrêt du sintrom depuis le 23.01.2019. Anticoagulation prophylactique mise en place, stoppée le 24.01.2019. Laboratoire Attitude: • Réassurance. • Critère de reconsultation expliqué. • Majoration IPP pour 1 semaine. Laboratoire Attitude: • Stop Paracétamol. • Rendez-vous pour contrôle au secteur ambulatoire des urgences pour suivi des tests hépatiques. Laboratoire Attitude: • Suivi biologique +/- bilan Laboratoire Attitude: • Suivi biologique • Pister spot urinaire Laboratoire Attitude: • Suivi clinique et biologique Laboratoire Attitude: • Surélévation, compression • Contrôle laboratoire le 15.02.2019 • Si péjoration clinique ou biologique, discuter de donner des antibiotiques Laboratoire Attitude: • Pister spot urinaire • Suivi biologique Laboratoire Avis chirurgical (Dr. X): pas d'indication à une antibiothérapie vu clinique et laboratoire. Nettoyage de la plaie et refixage du drain par Dr. X. Garde d'oncologie avertie du cas. Rendez-vous au secteur ambulatoire des urgences le 10.02.2019 pour contrôle clinique + laboratoire. Rendez-vous en stomatologie la semaine prochaine. Laboratoire Avis chirurgical (Dr. X) Désinfection bétadinée, champ habituel et anesthésie locale par Rapidocaïn. Ablation de 3 points au niveau ventral. Décalottage et rinçage au NaCl. Coagulation du saignement qui est diffus au niveau sous-cutané et du muscle en profondeur. Compresse stérile dans la cavité et pansement compressif. Attitude: • Rendez-vous au secteur ambulatoire des urgences pour contrôle clinique, rinçage de la plaie et avis chirurgical • Critères de reconsultation expliqués à Mme. Y et à sa fille. Laboratoire Avis chirurgical (Dr. X): IRM et consultation en chirurgie. IRM abdominale, le patient sera convoqué. Feuille d'information patient IRM remplie. Consultation chirurgie, le patient sera convoqué. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile ou frisson. Suite de prise en charge en chirurgie. Laboratoire Avis chirurgical (Dr. X): • Ajustement de la PEG avec résolution des douleurs abdominales. Attitude: • Retour à domicile avec contrôle clinico-biologique au secteur ambulatoire des urgences. • Retour aux urgences en cas de récidive des douleurs abdominales, état fébrile, nausée/vomissement. Laboratoire Avis chirurgie (Assistant/Dr. X): Ad hospitalisation pour surveillance en chirurgie. IRM (Dr. X): ectasie 1 cm, anses grêles dilatées, liquide libre petit bassin. Laboratoire Avis dermatologique (Dre. X): ad CK, troponines (pour atteinte d'organe), sédiment urinaire avec protéinurie, ad application cutanée massive de Betnovate sur tout le corps (à raison d'utilisation de 2 ou 3 tubes). Pansement de 10x10 cm abdominal sans Betnovate pour biopsie. Stop médicament. Suivi dermatologique à raison d'un contrôle sur la nuit pour suivre évolution clinique, en particulier inspection d'une décoloration grisâtre de la peau (CAVE syndrome de Lyell). Si progression sur la nuit, transfert aux urgences du CHUV. Ad suivi clinique sur la nuit du 15.02.2019 au 16.02.2019. Ad hospitalisation au CHUV le 16.02.2019, patiente attendue pour 9h30 au CHUV au 5ème étage du bâtiment de Beaumont. Laboratoire Avis gynécologique: examen gynécologique dans la norme. • US dans la norme. Antalgie. Proposition de suivi chez un gastro-entérologue pour évaluer post-suite des investigations. Consignes de reconsultation communiquées à la patiente. Laboratoire Avis oncologique (Dr. X): Prednison 50mg/j, réévaluation téléphonique lundi, en cas de péjoration reconsulte les urgences durant le week-end- Attitude: • Retour à domicile avec Prednisone 50mg 1x/jour. • Patient informé qu'il doit reconsulter en cas de péjoration des symptômes. Laboratoire Avis ORL (Dr. X): drainage d'abcès sous anesthésie locale, patient reçoit Solumédrol 125mg iv et Augmentin 2.2g iv et sera revu en consultation en ORL. Attitude: • Augmentin 2.2g iv en ORL avec relais per os. • Solumédrol 125mg iv en ORL. • Consultation de contrôle en ORL pour suivi. Laboratoire Avis ORL: pas d'urgence au vu du statut fait aux urgences, proposition d'organiser une consultation ORL en ambulatoire. RAD avec poursuite du traitement Arlevert 3x/j. Consilium ORL. Suivi chez médecin traitant. Laboratoire Avis psychiatre (Dr. X): phase maniaque/hypomane, hospitalisation. Transfert à Marsens pour la suite de la prise en charge. Laboratoire Avis psychiatrique (Dr. X): risque auto-agressif sans argument pour une hospitalisation en PAFA à ce jour. Contrat passé avec la patiente et le mari pour le week-end. Attitude: • Patiente se présente en ambulatoire en psychiatrie de liaison le 11.02.2019 pour rediscuter d'une éventuelle hospitalisation à Marsens • Temesta max 2 cpr/j en réserve • Recommandation de reconsulter avant en cas de nécessité Laboratoire Bilan urinaire Adaptation médicamenteuse Laboratoire Clostridium négatif Laboratoire Consilium psychiatrique. Patient parti contre avis médical avant fin de prise en charge. Laboratoire Consultation anesthésiste du 24.01.2019 Moviprep le 30.01.2019 et 31.01.2019 Colonoscopie le 31.01.2019 à 15h (Dr. X) Laboratoire Contrôle biologique à prévoir dans la semaine Laboratoire Contrôle de pacemaker Dr. X Avis chirurgical Dr. X Radio Thorax le 28.01.2019: Status post-mise en place d'une SNG suivie jusqu'en surprojection de l'abdomen supérieur (extrémité distale hors champ). On retrouve des épanchements pleuraux bilatéraux ainsi que des opacités pulmonaires bi-basales (DD: atélectases? foyers?). Le reste de l'examen est inchangé. Coloscopie et iléoscopie le 29.01.2019: échec sur mauvaise visualisation Radio thorax ap le 31.01.2019: à pister (pas de pneumothorax, VVC en projection sur OD) Opacification abdominale anse iléale-anus le 31.01.2019: Mise en place d'une sonde à ballonnet au sein de l'anse efférente de l'iléostomie. Opacification par injection de gastrografin diluée à 50%. Opacification des anses iléales distales ainsi que du cadre colique jusqu'à l'ampoule rectale, sans mise en évidence de sténose. Persistance d'un péristaltisme des anses grêles et coliques.ETT le 01.02.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une dyskinésie de la paroi apicale, une akinésie de la paroi septale antérieure et du septum basal, une hypokinésie marquée de la paroi inféro-basale, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi antéro-basale et une hypokinésie des segments restants. FEVG à 34% (méthode de Simpson). Bourrelet septal sous-aortique. Aorte discrètement dilatée. Rétrécissement aortique serré calcifié, d'origine dégénératif. Sténose aortique low-flow, low-gradient. Gradient moyen VG-Ao à 23 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/3). Insuffisance mitrale modérée (grade 2/3) fonctionnelle. SOR de l'IM à 0,17 cm². Élévation franche des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Pas de reflux systolique dans la veine pulmonaire supérieure gauche. Oreillette gauche très dilatée. L'oreillette droite est modérément dilatée sans dilatation du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. PAPs à au moins 33 mmHg. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. En résumé : examen inchangé par rapport au comparatif du 22.08.2018. La fonction systolique est modérément diminuée avec des troubles de la cinétique segmentaire. Le patient présente une condition cardiaque instable selon les recommandations ESC 2014 en présence d'une sténose aortique serrée (low-flow, low gradient) déjà connue avec échec de TAVI en 2016. La chirurgie envisagée est une opération de risque CV intermédiaire (1-5%). La tolérance à l'effort est conservée avec une capacité fonctionnelle anamnestiquement égale à 4 METS. Consilium anesthésie 25.01, 28.01.2019 : visite préopératoire Coloscopie et iléoscopie le 04.02.2019 : prévue Laboratoire Coprocultures pas encore prélevées Laboratoire CT abdominal Laboratoire CT abdominal = cholelithiase avec calcul au niveau du sphincter d'Oddi associé à une dilatation des voies intra et extra-hépatique (dilatation au niveau 14 mm choledoque) Avis chirurgical : hospitalisation en chirurgie avec antibiothérapie par ROCEPHINE / FLAGYL. Mettre à jeun. CAT : • Hospitalisation chirurgie Laboratoire CT abdominal injecté (Dr. X) : diverticulite colon descendant, pas de pneumopéritoine diffus Avis chirurgie (Dr. X) : hospitalisation, antibiothérapie Aux urgences : Rocefin 2g iv et Metronidazol 500mg iv ATT : hospitalisation en chirurgie pour suite de prise en charge Laboratoire CT abdominal injecté : (transmission orale, Dr. X) : Lésion hypodense au dôme de l'utérus. DD : cicatrice. DD : abcès. Ovaire droit agrandi avec masse centrique qui prend le produit de contraste. DD : corps jaune DD : abcès. Pas de liquide libre. Pas d'appendicite, pas d'adénopathie mésentérique. Avis gynécologique : La patiente ne souhaite pas être examinée ce soir. Refuse de rester après discussion. Va prendre rendez-vous lundi au secrétariat de gynécologie. Elle est avertie de reconsulter si état fébrile, péjoration clinique. Explications des examens effectués données à la patiente par le médecin. Patiente partie contre avis médical, décharge de responsabilité signée. Laboratoire CT abdominal Avis chirurgical (Dr. X) Antibiothérapie par Rocephin 2g i.v. 1x/j et Flagyl 500mg 3x/j Transfert à l'étage de chirurgie pour prise en charge chirurgicale après avoir obtenu le consentement de la patiente Laboratoire CT abdomino-pelvien : pas de compression externe, cause veineuse non exclue Laboratoire CT cérébral + vaisseaux pré-cérébraux = Pas d'hémorragie intracrânienne, pas de lésion osseuse, pas de dissection carotidienne Avis neurologue (Dr. X/Dre X) Avis ophtalmologue = Pas d'étiologie ophtalmologique, patiente sera revue dans 7 jours pour un Heiss Weiss Avis neurochirurgien (Dr. X) = pas d'arguments pour une opération, hospitalisation en chirurgie CAT : • Hospitalisation pour surveillance TCC • Bilan neuro-psy à organiser Laboratoire CT cérébral cervical : hématome sous-galéal gauche, pas de saignement intra-cérébral, pas de fracture des cervicales. • RAD avec consigne pour traumatisme crânien, rendez-vous à la filière 34 pour constat de coup le 25.02.19. Laboratoire CT cérébral et carotides injecté : dans la norme. Avis neurologie (Dr. X) : au vu du score ABCD3I : 3 points (âge et durée des symptômes), pas d'indication à une hospitalisation, ad aspirine iv 250mg et introduction du traitement aspirine cardio 100mg, IRM cérébrale en ambulatoire Aux urgences : 250mg aspirine iv. Attitude : • Retour à domicile avec antalgie, aspirine cardio 100mg 1x/jour. • Organisation par le médecin traitant d'une IRM en ambulatoire. • Conseil de reconsulter en cas de réapparition des symptômes. Laboratoire CT cérébral injecté du 26.02.2019 : pas de lésions vasculaires ou focales faisant penser à un AVC, pas de métastases, pas de thrombose du sinus IRM cérébral du 27.02.19 Ponction lombaire (Dr. X/Dr. X) Schellong Avis ORL (Dr. X) : oto-rhino-laryngologie, audiogramme Avis neurologique (Dr. X/Dr. X) Irfen 600 mg 3x/jour à partir du 28.02 jusqu'au 02.03.2019 Physiothérapie de rééducation vestibulaire Proposition : Si pas d'amélioration Sibelium 5 mg 0-0-1 pendant 2 mois (ordonnance faite) Appelle ORL dans 2 et dans 7 jours si pas d'amélioration dans 7 jours refaire IRM Rendez-vous ORL dans environ 6 semaines pour contrôle (Après 9 séances de physiothérapies) En cas de persistance : proposition de refaire un Schellong à distance pour recherche de tachycardie posturale et indication à un traitement par Inderal Laboratoire CT cérébral injecté : pas de lésions vasculaires ou focales faisant penser à un AVC, pas de métastases, pas de thrombose du sinus Avis neurologique (Dre X/Dre X) Ponction lombaire (Dre X/Dre X) : désinfection, champage, anesthésie par lidocaïne 4cc, 2 tentatives, Pression d'ouverture 15mmHg, liquide eau de roche, pas de complications post-geste. Glycorachie à 6,6. Hospitalisation en médecine Pister résultats de PL Avis neurologique IRM demandée Laboratoire CT cérébral natif et injecté : pas de saignement, pas de fracture, pas de processus expansif. Sinusite maxillaire gauche chronique avec composante aiguë, hématome sous-galéal au niveau pariétal droit. Aux urgences : 300 mg de Benerva iv, 105 mg de Seresta p.o, perfusion de 2000 ml NaCl 0.9% en 24h. Hospitalisation aux soins intensifs à Yverdon Discussion avec la Dre X en raison du manque de place à Fribourg, retour à Fribourg dès que possible. Laboratoire CT cérébral. Avis du neurologue de garde : • augmentation du Levetiracetam 1000 mg - 2 x/jour (au lieu de 750 mg - 2 x/jour). • Urbanyl 5 mg - 2 x/jour durant 2 jours, puis stop. EEG le 12.02.2019. Taux de Levetiracetam demandé. Surveillance en lit d'observation. Contrôle auprès du Dr. X, neurologue traitant, en fonction de la clinique. Laboratoire CT cérébral. Avis ORL : ad Co-Amoxicilline 1g 2x/j p.o. pour 10 jours, mouchage interdit, rendez-vous en ORL ambulatoire à 10 jours chez Dr. X. Attitude : • Retour à domicile avec Co-amoxicilline 1g 2x/j p.o. pour 10 jours et antalgie. • Interdiction de se moucher (patient informé). Laboratoire CT cérébro-cervical natif : calcifications des noyaux gris centraux (DD : atteinte métabolique ou infectieuse ancienne), apophyse odontoïde déviée vers la gauche (le plus souvent positionnelle), pas de fracture ni saignement, plaie fronto-pariétale droite. Retour à domicile avec instructions après traumatisme crânien. Laboratoire CT cervico-thoraco-abdomino-pelvien le 20.02.2019 Consilium endocrinologique le 21.02.2019 (Dr. X/Dr. X) Laboratoire CT crânio-cervical natif : hématome sous-galéal occipital droit, pas de fracture, pas de saignement.Laboratoire CT lombaire Avis Dr. X, Spine team : Transfert à Fribourg pour une hospitalisation à visée antalgie +/- intervention chirurgicale Avis orthopédique (Dr. X) : ad IRM thoraco-lombaire (demande et questionnaire de sécurité faits) Hospitalisation aux urgences en attente d'une place Mobilisation en bloc mais position assise acceptée dans l'attente de l'IRM (Dr. X) Antalgie par Dafalgan, AINS et Tramadol en réserve Hospitalisation en orthopédie Bilan ostéoporose à prévoir Laboratoire CT scan abdominale (Dr. X) : Avis Chirurgical (Dr. X) : Pas d'arguments pour atteinte abdominale, Ad IPP et OGD à distance Laboratoire CT scan abdomino-pelvien : Absence de collection, inflammation zone en regard. Avis chirurgical (Dr. X) : Ad Hospitalisation, Rocéphine + flagyl Laboratoire CT scan cérébral et cervical : pas d'hémorragie intracrânienne, pas de lésion osseuse. Réévaluation clinique post éthylisation. Retour à domicile. Conseil d'hydratation donné au patient. Laboratoire CT scan (Dr. X) : pas saignements, pas fracture. Avis ortho (Dr. X) : Ad collerette en mousse, lit stricte, évaluer indication IRM à 24h Laboratoire CT sinus et cou en ambulatoire. Suite chez médecin traitant ; dans l'intervalle, Temesta en R pour la nuit. Laboratoire CT thoracique = Mise en évidence de deux structures à contenu aérique situées entre la paroi latérale droite de l'œsophage proximal et la trachée, en avant du corps vertébral de T2 (DD : perforation ? diverticule oesophagien ou trachéal ?). Granulome calcifié postéro-basal gauche et adénopathies médiastinales et hilaires en partie calcifiées (DD : Tuberculose ? Sarcoïdose ? Hémoptysie à point de départ ganglionnaire ?). Avis Gastroentérologue = indication à une OGD. Après discussion avec gastroentérologue et devant la clinique rassurante du patient, une OGD sera réalisé durant l'hospitalisation soit le 21/02/19. Si péjoration clinique, l'OGD sera réalisée en urgence par gastroentérologue de garde (Dr. X) Avis Pneumologue : Dr. X = Faible probabilité d'une étiologie pneumologique. Poursuite de l'isolement respiratoire avec culture des expectorations X3/24h. Si expectoration négatif, lever l'isolement respiratoire. Pneumologue réalisera en post OGD une bronchoscopie si pas d'étiologie gastroentérologique retrouvée aux hémoptysies. Si péjoration du patient durant la nuit et nécessité d'une OGD en urgence, possibilité de contacter le Dr. X pour réalisation de façon contemporaine d'une bronchoscopie. ROCEPHINE 2g FLAGYL 500 mg Hydratation 2000 ml de NaCl 0.9%/24h A jeun strict CAT : • Hospitalisation en médecine • OGD à confirmer pour le 21/02/19 • Suivi pneumologique durant l'hospitalisation si pas d'étiologie intestinale • Arrêt de l'antibiothérapie durant l'hospitalisation si risque de médiastinite écartée Laboratoire CT thoracique = Mise en évidence de deux structures à contenu aérique situées entre la paroi latérale droite de l'œsophage proximal et la trachée, en avant du corps vertébral de T2 (DD : perforation ? diverticule oesophagien ou trachéal ?). Granulome calcifié postéro-basal gauche et adénopathies médiastinales et hilaires en partie calcifiées (DD : Tuberculose ? Sarcoïdose ? Hémoptysie à point de départ ganglionnaire ?). Avis Gastroentérologue = indication à une OGD. Après discussion avec gastroentérologue et devant la clinique rassurante du patient, une OGD sera réalisée durant l'hospitalisation soit le 21/02/19. Si péjoration clinique, l'OGD sera réalisée en urgence par gastroentérologue de garde (Dr. X) Avis Pneumologue : Dr. X = Faible probabilité d'une étiologie pneumologique. Poursuite de l'isolement respiratoire avec culture des expectorations X3/24h. Si expectoration négatif, lever l'isolement respiratoire. Pneumologue réalisera en post OGD une bronchoscopie si pas d'étiologie gastroentérologique retrouvée aux hémoptysies. Si péjoration du patient durant la nuit et nécessité d'une OGD en urgence, possibilité de contacter le Dr. X pour réalisation de façon contemporaine d'une bronchoscopie. ROCEPHINE 2g FLAGYL 500 mg Hydratation 2000 ml de NaCl 0.9%/24h A jeun strict CAT : • Hospitalisation en médecine • OGD à confirmer pour le 21/02/19 • Suivi pneumologique durant l'hospitalisation si pas d'étiologie intestinale • Arrêt de l'antibiothérapie durant l'hospitalisation si risque de médiastinite écartée Laboratoire CT-cérébral le 22.02.2019 Bilan cardiaque récent (janvier 2019) sans anomalie (ETT, ECG, Holter, Test de Schellong) Surveillance neurologique pendant 24h Laboratoire CT-cérébral : pas d'hémorragie, pas de dissection des artères vertébrales. Avis neurologique (Dr. X, Dr. X) : CT cérébral et vaisseaux pré-cérébraux, si sans particularité --> retour à domicile avec Temesta 1 mg en R. Retour à domicile avec 2 pilules de Temesta 1 mg en R. IRM cérébrale demandée, formulaire de sécurité rempli, rendez-vous au secteur ambulatoire des urgences pour résultats. Au contrôle au secteur ambulatoire des urgences : demander avis neurologique (Dr. X) pour la suite de la prise en charge. Laboratoire CT-scanner abdominal (Dr. X) : pas de signe d'iléus. Lavement aux urgences avec soulagement partiel de la douleur. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Suite de prise en charge par l'oncologue traitant Dr. X. Explications données au patient dans quelles conditions il devra reconsulter en urgence. Laboratoire Désinfection et curetage plaie : pansement avec Prontosan gel et suite chez médecin traitant, poursuite Co-Amoxi encore 3x 1g demain puis 2x 1g pour un total de 7 jours. Laboratoire ECG Laboratoire ECG Laboratoire ECG Laboratoire ECG Laboratoire ECG Laboratoire ECG : BBG avec FA connus CT scan cérébral natif, colonne cervicale : pas d'hémorragie cérébrale, pas de fracture Surveillance 6h aux urgences Laboratoire ECG CT-Scan Time is Brain : pénombre temporo-occipitale avec zone d'infarcissement temporale d'environ 30%. Occlusion nette à la jonction P2-P3 de l'artère cérébrale postérieure gauche. Avis neurologique (Dr. X) : • Stop Xarelto • Aspirine 500 mg i.v. • Surveillance aux soins en lit monitoré • Cible tensionnelle : < 210 systolique Laboratoire ECG : rythme sinusal régulier, bradycarde, pas de trouble de la conduction, pas de trouble de la repolarisation, QT long, bloc de branche droit complet. IRM cérébral et carotide : pas d'argument pour un AVC, axe vasculaire perméable. Examen sans anomalie notable. Avis neurologue (Dr. X) : pas d'argument pour une étiologie centrale. Conseil d'évaluer en ambulatoire par REMLER de 24h00 à la recherche de poussée hypertensive pouvant expliquer les céphalées. Conseil d'une évaluation ophtalmique en ambulatoire devant le trouble visuel. Attitude : • Retour à domicile. • Réassurance. • Conseil de réévaluation en ambulatoire avec médecin de famille pour organisation d'un REMLER et d'une évaluation ophtalmologiste. Laboratoire ECG : rythme sinusal régulier normocarde à 93/min, axe QRS gauche, pas de sus- ou sous-décalages significatifs Sédiment urinaire Antigènes urinaires : négatifs Culture d'expectoration en cours CT triple rule out le 15.02.2019 Klacid 2 x 500 mg/jour i.v. du 15.02. au 16.02.2019 Co-Amoxicilline 3 x 2200 g/jour i.v. du 15.02.2019 au 19.02.2019 avec relais per os jusqu'au 25.02.2019 Antalgie Laboratoire ECG : Rythme sinusal régulier, pas de trouble de la repolarisation. QTc 427 ms (dans la norme) Hydratation IV par NaCl 0.9% du 01.02.2019 au 05.02.2019 Ondansetron, Primperan Arrêt du Bactrim Rotation opiacé le 04.02.2019 : Palladon 8 mg 2x/j remplacé par patch de Fentanyl 12 mcg/h Bilan nutritionnel Laboratoire ECG : rythme sinusal régulier, QRS fin, normoaxé, bonne progression dans les précordiales, pas de trouble de la repolarisation.CT massif facial et crânien natif : pas de saignement, fracture os maxillaire. Consilium ORL (Dr. X) : suture aux urgences, fibroscopie sans particularité, pas d'indication à une évacuation de l'hématome septal. Aux urgences : • Rappel tétanos. • Co Amoxicilline 2.2g IV. • Désinfection à la Chlorhexidine, champagne habituelle, anesthésie locale à la Rapidocaïne. • Plaie profonde : exploration de la plaie, qui ne montre pas d'atteinte transfixiante ou de contact cartilagineux/osseux. Rinçage abondant avec 500ml de NaCl. 3 points d'hémostase par du Vicryl 4-0 pour saignement artériolaire. Coagulation d'une artériole à la bipolaire. Rapprochement des berges par des points inversés sous-cutanés avec du Vicryl 4-0. Suture à la peau par 11 points de Prolène 5-0, et de la lèvre par 1 point de Vicryl 5-0. • Plaie frontale : lavage au NaCl et suture par un point simple de Prolène 5-0. • Plaie crête du nez : exploration de la plaie, qui ne montre pas d'atteinte des structures nobles. Rinçage au NaCl puis suture par 2 points simples de Prolène 5-0. • Plaie du menton droit : exploration de la plaie, qui ne montre pas d'atteinte des structures nobles. Rinçage au NaCl puis suture par 3 points simples de Prolène 5-0. • Plaie du menton à gauche : exploration de la plaie. Saignement artériolaire, que nous coagulons à la bipolaire. Rinçage abondant au NaCl. Point sous-cutané par du Vicryl 4-0, puis suture à la peau par du Prolène 5-0, 4 points. • Pansement par du spray Opsite. Attitude : • Antalgie, glace et repos. • Poursuite antibiothérapie pour 5 jours. • Contrôle en ORL à 48h, puis à 7 jours pour l'ablation des fils. • Feuille de surveillance TCC. • Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Laboratoire. ECG : rythme sinusal régulier, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation, normoaxé. Radiographie du thorax : pas de pneumothorax, pas de foyer, médiastin non élargi. Attitude : • Réassurance. • Antalgie simple. • Suite chez le médecin traitant. Laboratoire. ECG : rythme sinusal régulier sans trouble de la conduction, repolarisation précoce du jeune, pas de bloc de branche. US Fast (Dr. X). Body CT : pas d'hémorragie, pas de perforation d'organe creux, pas de lésion osseuse. RX jambe gauche : pas d'argument pour une fracture. Retour à domicile. Antalgie. Myorelaxant. Conseil d'usage. Laboratoire. ECG = Sinusal régulier sans trouble de la conduction sans trouble de la repolarisation, sans bloc de branche droit et gauche. PANTOZOL 40 mg IV = bonne réponse médicamenteuse. Retour à domicile. Traitement symptomatique. Conseil d'un IPP en systématique +/- réévaluation par médecin de famille avec suivi par OGD de sa gastrite. Laboratoire ECG : BBD complet connu Stix/ sédiment Angio CT cérébral : pas d'AVC, carte de perfusions normales, vaisseaux précérébraux normaux. Avis neurologique (Dr. X) : suspicion d'AIT sylvien droit d'origine thrombotique. Charger en aspirine 250 IV. Mobilisation accompagnée. Hospitalisation pour IRM et bilan cholestérol, diabète. À disposition. Aspirine 250mg IV. Hospitalisation à Riaz • IRM • Bilan biologique • Avis neurologique +/- aspirine cardio à vie Laboratoire. ECG : bloc du premier degré connu. À noter préparation par Prednisone 30 mg per os administrée aux urgences en vue d'un scanner cérébral injecté (allergie à l'iode), finalement annulé pour peu d'argument en faveur d'une absence d'origine neurologique. Test de Schellong négatif. Massage de sinus négatif. Mise en place d'un holter ce jour en cardiologie. Convocation ambulatoire par la cardiologie pour suite du bilan (échocardiographie, Tilt-test). Discuter une endoscopie si persistance des troubles gastro-intestinaux. Retour au domicile avec suite de prise en charge chez le médecin traitant. Laboratoire ECG dans la norme. CT cérébral et thoracique natif 31.01.2019 : embolies pulmonaires segmentaires du lobe supérieur droit, sans infarctus pulmonaire, ni de répercussion cardio-vasculaire. Présence d'une hyperdensité dans le sinus sagittal supérieur de nature indéterminée dd calcification, méningiome, petit saignement. Schellong à distance. Au service des urgences : • Héparine non fractionnée 5000 UI en bolus, puis 45000 UI sur 24h. Clexane thérapeutique dès le 31.01.2019 puis relais au Xarelto dès le 04.02.2019. Laboratoire ECG : FA, ESV, pas de trouble de la repolarisation. Rx thorax. Consilium cardiologique (Dr. X) : Poursuite traitement IC. ETT (Dr. X) : FEVG conservée, ESV, dilatation importante OG et VD et OD, insuffisance tricuspidienne modérée. CT thoracique EP (Transmission orale Dr. X) : Pas d'EP, cardiomégalie, pas de pneumopathie. Aux urgences : • Lasix 20mg IV • Poursuite B bloquant. Attitude : • Hospitalisation en médecine • Lasix 3x20mg IV. Laboratoire ECG : FA, ESV, pas de trouble de la repolarisation. Rx thorax/CT thorax 18.02.19 : cardiomégalie avec dilatation importante des oreillettes. Dilatation à 33 mm de l'artère pulmonaire droite sans EP visualisée (HTAP ?). ETT (Dr. X) 18.02.19 : FEVG conservée, ESV, dilatation importante OG et VD et OD, insuffisance tricuspidienne modérée. Consilium cardiologique (Dr. X) : Poursuite traitement IC. Aux urgences : • Lasix 20mg IV. Majoration traitement insuffisance cardiaque au vu des PAPs par diurétiques et IEC. Poursuite bêtabloquant. Laboratoire ECG : FA normocarde, R perte V2. Coronarographie 31.01.2019. La fraction d'éjection du ventricule gauche est normale (65%). La ventriculographie gauche montre une importante hypokinésie diaphragmatique. Minime insuffisance mitrale (grade I sur IV). Lésions tritronculaires. Occlusion chronique de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). Absence de resténose de l'artère circonflexe moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale. Sténose significative de l'artère interventriculaire postérieure. Perméabilité de pontage mammaire gauche pédiculée IVA II. Perméabilité de pontage saphène séquentiel Marginale 1, Diagonale 1. Perméabilité de pontage saphène séquentiel CD III, IVP. Succès d'angioplastie de l'artère interventriculaire postérieure. Implantation de 1 stent actif. Laboratoire : ECG : Normale. CT cérébrale et massive faciale, le 13.02.2019 : Pas de saignement. Avis ORL : Contrôle ORL dans une semaine pour réduction de fracture de l'os propre après diminution de tuméfaction. Hospitalisation pour soins impossibles à domicile : • Avis Neurologie à demander pour trouble de la marche en péjoration. • Discussion avec Soeur de mise en place de soins à domicile, ergothérapie, physiothérapie. Laboratoire : ECG : Normale. CT cérébrale et massive faciale, le 13.02.2019 : Pas de saignement. Avis ORL : Contrôle ORL dans une semaine pour réduction de fracture de l'os propre après diminution de tuméfaction. Hospitalisation pour soins impossibles à domicile : • Avis Neurologie à demander pour trouble de la marche en péjoration. • Discussion avec Soeur de mise en place de soins à domicile, ergothérapie, physiothérapie. Laboratoire ECG : normale. CT Cérébrale. Avis Neurologie (Dr. X). Hospitalisation pour bilan post AVC • IRM cérébrale. Laboratoire ECG : onde T biphasique superposable. Radiographie thorax. CT pulmonaire injecté (Dr. X) : pas d'embolie pulmonaire, surcharge droite (élargissement tronc pulmonaire et léger élargissement ventricule droit) athéromatose coronaire étendue, pas de foyer. Antalgie. RAD avec suivi chez médecin traitant si persistance des symptômes de fatigue. Laboratoire ECG : RSR, BBD. Consilium neurologie (Dr. X). CT cérébral : Sténose focale du tronc basilaire à 60%. Occlusion focale de l'artère cérébrale postérieure gauche dans son segment P3.Actilyse au CT Attitude: • Hospitalisation en Stroke unit monitoré Laboratoire ECG: RSR, normoaxé, pas de trouble de la repolarisation visualisé. ECG dérivation droite et postérieure: Echo cibé urgence (Dr. X, Dr. X) • Discrète lame d'épanchement péricardique antérieur, hypokinésie inférieure, dilatation VG, aorte de calibre normal Coronarographie le 8.2.2019: Le tronc commun est normal, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure moyenne présente une lésion intermédiaire <50 %. L'artère interventriculaire antérieure distale présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. L'artère circonflexe proximale indemne de resténose intrastent actif, englobant l'origine de la première marginale au niveau du site d'implantation du stent actif. L'artère circonflexe moyenne présente une lésion intermédiaire à 50 %, englobant l'origine de la seconde marginale. Dissection de type C. L'ostium de la seconde marginale présente une lésion intermédiaire à 50 %. L'artère coronaire droite est indemne de sténose sur l'ensemble de ses segments. L'aortographie sus-sigmoïdienne ne met pas en évidence d'insuffisance aortique. La ventriculographie gauche montre une hypokinésie modérée inféro-latérale. La fraction d'éjection du ventricule gauche est estimée à 65% (en OAD). Laboratoire. ECG. RX thorax. RX bassin face et fémur axial. Laboratoire ECG: rythme sinusal régulier sans troubles de la repolarisation Attitude: • évaluer l'indication à un Holter pendant l'hospitalisation Laboratoire ECG: sinusal, BBD CT time is brain: pas de saignement, pas d'occlusion des vaisseaux, pénombre sur les cartes de perfusion au niveau de l'aire de Broca Avis neurologie (Dr. X/Dr. X): lyse par atéléplase bolus puis continu pendant 1h, débuté à 16h18 5 mg de Trandat iv à 16h17 en raison d'une hyperTAs > 180 mmHg Att: transfert au SIC pour suite de prise en charge Laboratoire. ECG: sinusal régulier sans trouble de la conduction sans trouble de la repolarisation. KEPRRA 1000 mg IV. Reprise de son traitement aux dosages habituels. Laboratoire ECG: superposable Rx du thorax Attitude: • Hospitalisation à Meyriez pour adaptation de l'antalgie et soins actuellement impossibles à domicile Laboratoire ECG: tachycardie sinusale régulière à 130/bpm sans troubles de la repolarisation 2 paires d'hémocultures: en cours frottis Influenza A/B en cours • x2 500 mL NaCl rapide aux urgences Attitude: • isolement gouttelettes jusqu'à réception des résultats du frottis • pas de Tamiflu au vu des symptômes qui évoluent depuis plus de 48 heures • pister le frottis grippe Laboratoire. ECG. US bedside (Dr. X), HFR Fribourg - Hôpital cantonal. CT thoraco-abdominal, HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Antalgie par Fentanyl et Dafalgan d'office, Tramal en réserve. Laboratoire ECG Ad Resonium, ad Torasémide Contrôle biologique Laboratoire ECG Aérosol VENTOLIN 5 mg 3 X sur une heure Aérosol ATROVENT 250 mcg X 3 sur une heure Hydratation 1000 ml de NaCl 0.9% Radiographie thoracique Antigenurie pneumocoque et legionnelle en cours Stix et sédiment urinaire = négatif CURB 65 = 2 CEFTRIAXONE 2 g KLACID 500 mg CAT: • Hospitalisation en médecine à TAVEL • Réadaptation de l'antibiothérapie durant l'hospitalisation Laboratoire. ECG. Antalgie. Critères de reconsultation expliqués au patient. Laboratoire ECG Antalgie CT abdominale: Dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatique, pas de masse Avis chirurgical (Dr. X) Mis à jeûn strict. Gazométrie. Rocéphine 2 grammes iv du 25.05.18 au __ Flagyl iv 500 mg du 25.02.19 au ___ Hydratation 1500 ml IV aux urgences. Att: Hospitalisation en chirurgie pour la suite de la prise en charge Organiser un avis gastro-entérologique Évaluer indication à ERCP, IRM, drainage voies biliaires Laboratoire ECG Antalgie simple CT cérébrale: pas d'argument pour un AVC, pas de dissection IRM cérébrale: pas de place ce jour Avis Neuro: Lit monitoré, Plavix 75 mg per os (patiente allergique à l'aspirine, elle ferait des démangeaisons) Laboratoire ECG ATT: hospitalisation en médecine pour bilan néoplasie (colonoscopie, imagerie) Bilan diététique Laboratoire. ECG. Attitude: • Réassurance. • Traitement symptomatique. • Critère de reconsultation expliqué. • Suite chez le médecin traitant. Laboratoire ECG Attitude: • Hospitalisation à Tavel pour investigation baisse de l'état général et soins impossibles actuellement à domicile Laboratoire ECG AUX URG: Beloc Zoc 25 mg Discuter AC et cardioversion selon projet/ après ponction pleurale selon évolution clinique Laboratoire ECG Aux urgences: • Pantozol 80 mg iv puis 8 mg/h iv continu • Transfusion 2 CE • Lasix 20 mg Hospitalisation en médecine pour suite des investigations FSS à pister le 12.02 + évaluer si transfusion nécessaire Laboratoire. ECG. Aux urgences: Alucol 10 ml 40 mg, Pantozol iv. Retour à domicile avec traitement d'épreuve IPP et Alucol en réserve. Laboratoire ECG Avis cardiologique (Dr. X) Ad Aspégic 500 mg iv, Efient 60 mg per os, Héparine 5000 U iv Hospitalisation aux soins intensifs pour surveillance rythmique et hémodynamique Coronarographie le 04.02.2019 Laboratoire ECG Avis Cardiologue = Dr. X = prise en charge en urgence en salle de coronarographie CAT: • Transfert salle de coronarographie Laboratoire ECG Avis neurologique téléphonique (Dr. X): CT cérébral pour exclure un AVC, chargé en aspirine 250 ml iv aspirine. Ad IRM pour confirmer le diagnostic et EEG pour exclure une crise d'épilepsie. IRM cérébrale (questionnaire rempli, dans le dossier) EEG CT cérébrale Time is brain: sans particularité Att: Hospitalisation en médecine pour la suite de la prise en charge Laboratoire. ECG. Avis orthopédique (Dr. X): retour à domicile avec gilet orthopédique et suivi clinique + radiologique à 5 jours en ortho +/- opération. Laboratoire ECG Avis urologue (Dr. X) Rinçage en continu jusqu'à éclaircissement des urines jusqu'au 05.02.2019, puis rinçages manuels 2x/j Mise en pause transitoire du Marcoumar Laboratoire. ECG. Charbon actif à dose de 30 ml à Meyriez. Hydratation. Avis psychiatrique: la patiente accepte l'hospitalisation à Marsens en mode volontaire. Laboratoire ECG Consilium néphrologie (Dr. X): Dialyse ce jour Consilium SIC (Dr. X): Pas de place au SI Aux urgences • Rocéphine 2 g IV • Haldol IM Attitude: • Suite en néphrologie Laboratoire ECG CT abdominal injecté Avis chirurgie (Dr. X): pas d'indication opératoire vu le stade de la néoplasie Aux urgences: 1 CE à visée symptomatique Laboratoire ECG CT abdominale (Dr. X): Thrombose veineuse V. mésentérique supérieure et inférieur, V. splénique, Tronc porte, infiltration du tissu autour de la racine mésentérique, pas de iléus, pas de signe de souffrance intestinale, nodule hépatique déjà présent en 2013 (adénome) Avis chirurgicale (Dr. X): hospitalisation en chirurgie, régime liquide, anticoagulation thérapeutique, antibiothérapie Rocéphine, Flagyl Héparine iv continue dès le 27.02.2019, cible 0.3-0.7 Rocéphine dès le 27.02.2019 Flagyl dès le 27.02.2019 Attitude: • À jeun, à rediscuter • Pister anti Xa à 18h le 27.02, anti Xa cible : 0.3-0.7 • Hospitalisation en chirurgie Laboratoire ECG CT cérébral + cou vasculaire Avis neurologique (Dr. X, Dr. X): ad hospitalisation en lit monitoré, avis cardiologie pour ETT et voir si PM-défi compatible pour IRM cérébrale, +/- EEG selon résultats, stop Eliquis vu fonction rénale, switch pour liquémine thérapeutique, bilan cholestérol et Hb glyquée Laboratoire ECG CT cérébral injecté (Dr. X/Dr. X): plaque molle à la bifurcation carotidienne G non significative (sténose à 40-50%).Consilium neurologique (Dr. X / Dr. X): Nous proposons une hospitalisation en Stroke Unit avec bilan étiologique avec Holter, ETT, bilan lipidique et diabétologique, ainsi qu'une IRM cérébrale. Nous proposons l'introduction de Plavix 75 mg dès ce jour, avec poursuite d'une double anti-agrégation par la suite. Introduction de rosuvastatine au vu de l'intolérance à l'Atorvastatine. Mobilisation selon protocole AVC. Alimentation dès test de déglutition effectué et dans la norme. • Plavix 75 mg, Rosuvastatine 20 mg, pas de charge en aspirine 250 car le patient prend son traitement • Revoir dosage du Lisitril plus Hospitalisation aux soins intensifs pour surveillance neurologique, lit à 0-30° durant 24h Laboratoire ECG CT cérébral natif: hémorragie sous-arachnoïdienne fronto-pariéto-occipital droite de faible quantité. Rx épaule droite: pas de fracture visualisée Avis neuro-chirurgical (Dr. X): proposition de CT de contrôle à 6h du premier, surveillance aux SIC et si refus: surveillance en chirurgie aux 2h puis selon évolution du CT. Avis SIC (Dr. X): au vu de la stabilité de la patiente et de la limitation des places: refus de surveillance mais si mauvaise évolution clinique ou radiologique sont à disposition. CT cérébral de contrôle à 6h du premier CT Surveillance neurologique aux 2h Laboratoire ECG CT Time is Brain: pas d'asymétrie des cartes de perfusion, pas de sténose des axes précérébraux, pas de saignement intracrâniens. Avis neurologue de garde, Dr. X Charge en Plavix 300 mg per os, puis poursuite pendant un mois d'Aspirine cardio + Plavix 75 mg puis poursuite Plavix 75 mg seul. Atorvastatine 40 mg 1x/j Pister Hb glycquée + profil lipidique Hospitalisation aux soins intensifs (lit stroke monitorisé) Bilan cardiologique à organiser IRM cérébrale à organiser Laboratoire ECG CT Time is Brain (transmission orale Dr. X): Pas d'AVC nouveaux Laboratoire ECG CT Time is Brain (transmission orale Dr. X): Pas d'AVC nouveaux Consilium neurologique (Prof. X): Charge aspirine, hospitalisation pour AIT Consilium SIC: Absence de place en stroke Aux urgences: • Aspirine 500 mg IV en bolus Attitude: • Hospitalisation en médecine Laboratoire ECG CT total body: minime pneumomédiastin infracarinaire (résultat après relecture CDC de radiologie). US Fast (Dr. X): pas d'épanchement abdominal/pleural/péricardique, pas de pneumothorax. Avis psychiatrique téléphonique (Dr. X): hospitalisation en PAFA à Marsens. Aux urgences: Dormicum 2x1 mg i.v. Attitude: • Transfert à Marsens en PAFA. • Numéro de la mère qui n'a pas pu être jointe: 0033.76.832.34.72 Laboratoire ECG CT-scan cérébral: pas de saignement, pas d'occlusion visualisée. Avis neurologique (Dr. X / Dr. X): • IRM cérébral à prévoir en ambulatoire. • Résultats communiqués au médecin traitant. Laboratoire ECG CT-scanner protocole time-is-brain (Dr. X) Avis neurologique (Dr. X, Dr. X) Lyse débutée à 13:55 Laboratoire ECG CT-thoraco-abdominal injecté (transmission orale, Dr. X): pas de dissection aortique. Adénopathies bihilaires, possiblement surcharge cardiaque CT cérébral et carotides: pas de saignement intra-crânien Avis SI: pas de critères pour hospitalisation en SI Aux urgences: Nitroglycérine 0.4 mg p.o., Labétalol 20 mg bolus i.v., Deponit patch 5 mg/24h posé le 26.02.2019 à 00h15 Attitude: • Avis cardiologique et ETT demandés pour considérer nécessité de coronarographie • Bilan biologique le 26.02.2019 avec bilan lipidique, HbA1c à pister Laboratoire ECG Echo ciblée thorax et cœur. Laboratoire ECG Echocardiographie Envisager massage des sinus Discuter mise en place de bas de contention Laboratoire ECG Echographie abdominale le 18.02.2018: absence de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques, stéatose hépatique. Aux urgences Primpéran 10 mg IV. Traitement symptomatique. Eviction codéine. Consultation secteur ambulatoire des urgences à 48h avec contrôle clinique et biologique. Laboratoire ECG Gazom Laboratoire ECG G40, 4 ampoules iv en bolus. G10, 1 litre/24 heures. G5%, 1500 ml/24h iv. Suivi régulier des glycémies. Laboratoire ECG Nous proposons d'augmenter la Prednisone, puis de réduire les doses en schéma par palier. Dans un second temps, lorsque la patiente sera plus collaborante, nous proposons de réaliser un IRM cérébral en ambulatoire. Laboratoire ECG Radiographie de thorax ap, lat debout 20.02.2019: opacité base droite Analyses urinaires Frottis grippe positive pour Influenza Oxygénothérapie Physiothérapie respiratoire Rocéphine 2 g iv 1x/jour du 20.02 au 26.02.2019 Klacid 500 mg 2x/jour per os du 20.02 au 22.02.2019 Tamiflu du 20.02 au 21.02 au 25.02.2019 Laboratoire ECG Radiographie de thorax: opacité base droite Analyses urinaires Frottis grippe en cours Oxygénothérapie Physiothérapie respiratoire Rocéphine 2 g iv 1x/j + Klacid 500 mg 2x/j per os Laboratoire ECG Radiographie de thorax Analyses urinaires Frottis grippe Laboratoire ECG Radiographie de thorax Echographie ciblée thoracique Laboratoire ECG Radiographie du coude droit CT cérébral, cervical et coude droit Laboratoire ECG Radiographie du coude droit CT cérébral, cervical et coude droit Avis orthopédique Hospitalisation en orthopédie Echo ciblée abdomen (Dr. X / Dr. X): pas d'épanchement péritonéal. Immobilisation par attelle BAB 60° Clexane 20 mg 1x/j À jeûn Pas d'indication à une radiographie de thorax en bilan pré-op (patient faisant 40 km de vélo équivalant à un test d'effort) Laboratoire ECG Radiographie du thorax le 11.01.2019 Hémocultures: Veillonella parvula dans 1 flacon sur 4 Antigènes urinaires Co-Amoxicilline intraveineux 1.2 g 2x/j adapté à la fonction rénale du 11.01.2019 au 13.01.2019 Avis infectiologique Dr. X: • Co-Amoxicilline intraveineux 1.2 g 3x/j du 14.01.2019 pour deux semaines au total Radiographie du thorax de contrôle le 17.01.2019 Laboratoire ECG Radiographie thoracique = pas de foyer infectieux Stix et sédiment urinaire = négatif CAT: • Traitement symptomatique • Conseil de réévaluer avec médecin de famille à 48h00 si persistance des symptômes malgré traitement symptomatique • Conseil d'hydratation donné à la patiente Laboratoire ECG Radiographie thoracique: pas de foyer infectieux Stix et sédiment urinaire: négatif Frottis grippe: en cours Aux urgences: • Hydratation 2000 mL sur 24 heures • Primperan 10 mg i.v • Perfalgan 1 g i.v Attitude: • Hospitalisation en médecine pour surveillance pendant 24 heures comme proposé par l'oncologue de garde • Pister frottis grippe • Effectuer test de Schellong Laboratoire ECG Radiographie thoracique Stix et sédiment urinaire Antigénurie Pneumocoque et légionnelle en cours Hémoculture 2 paires : en cours Aérosol VENTOLIN 5 mg X3 sur une heure Aérosol ATROVENT 250 mcg X3 sur une heure CEFTRIAXONE 2 g KLACID 500 mg CAT: • Hospitalisation en médecine Laboratoire ECG Radiographie thorax. Levofloxacine 250 mg 2x/j durant 7 jours. Rinçage nasal. Suivi chez le médecin traitant. Laboratoire ECG Réassurance de la patiente. Retour à domicile avec antalgie par Dafalgan. Suite de prise en charge chez médecin traitant. Laboratoire ECG Retour à domicile avec réassurance au vu de l'absence de critère de gravité. Laboratoire ECG Rx hanche D et du bassin Antalgie Laboratoire ECG Rx hanche D et du bassin Attitude: • Antalgie Laboratoire ECG Schellong négatif. Att: explications concernant surveillance post-traumatisme crânien et retour à domicile. Laboratoire ECG Schellong négatif. Score de Genève modifié: 2 pts, D-dimères 624 ng/ml. CT thoracique injecté: défauts d'opacification au niveau segmentaire bilatéral, probablement sur artéfacts de flux, pas de répercussions sur le cœur droit.Massage du sinus carotidien négatif. Attitude : réassurance, retour à domicile avec rendez-vous chez médecin traitant en début de semaine prochaine. Laboratoire ECG Sédiment urinaire Laboratoire ECG stix et sédiment urinaire gazométrie artérielle radiographie de thorax frottis grippe : grippe à Influenza A + antigènes urinaires Legionelle et pneumocoque : en cours culture d'expectorations : en cours Aux urgences : • remplissage avec 500 mL NaCl • aérosols Atrovent et Ventolin • Co-amoxicilline 2.2 g i.v • Prednisone 40 mg Attitude : • hospitalisation en médecine • pister les examens microbiologiques • physiothérapie respiratoire • récupérer les documents de pneumologie Laboratoire. ECG. Stix/sédiment. Toxicologie. Aux urgences : • Haldol 5 mg en gouttes • Temesta 1 mg lingual • Temesta 2.5 mg lingual. Avis psychiatrique (Dr. X) : • PAFA pour décompensation psychotique sur arrêt de traitement • transfert à Marsens. Laboratoire ECG Substitution IV 40 mEq sur 4 h. Laboratoire ECG suivi avec score de CIWA Aux urgences : • Seresta au total 75 mg po • Becozyme per os et charge de Benerva 300 mg i.v • hydratation NaCl 1000 mL, à noter que le patient s'est beaucoup hydraté per os avis soins intensifs Attitude : • hospitalisation aux soins intensifs pour suite de prise en charge • la psychiatrie de liaison va revoir le patient lundi prochain Laboratoire. ECG. Surveillance en lit d'observation OGD et CT scan thoraco-abdominal à prévoir. Avis diététique : nutrition parentérale débutée (Periolimel 42 ml/h, Cernevit et Addamel 1 ampoule de chaque). Avis psychiatrique le 05.02.2019. Laboratoire ECG taux des anti-épileptiques : en cours CT Time is Brain (Dr. X) : (rapport oral) hypoperfusion droite sur les cartes de perfusion, pas d'atteinte d'un territoire vasculaire particulier, pas d'AVC Avis neurologique (Dr. X, Dr. X) : charge en Keppra, poursuite du traitement anti-épileptique avec Keppra 250 mg x 2/j, hospitalisation en médecine avec surveillance neurologique aux 4 heures En pré-hospitalier : • 1 mg de Dormicum i.v Aux urgences : • 1 mg + 2 mg de Dormicum i.v • Perfalgan 1 g, Primperan 10 mg i.v, hydratation NaCl 500 ml • Keppra 500 mg i.v Attitude : • hospitalisation en médecine pour surveillance • si récidive de la symptomatologie, ad Keppra 500 mg i.v (selon avis neurologique) • pister le taux des anti-épileptiques Laboratoire. ECG. Traitement aux urgences : • Morphine 12 mg i.v avec soulagement des douleurs • Primperan 10 mg p.o., Buscopan 10 mg p.o., Pantozol 40 mg p.o., Alucol gel p.o. Bonne évolution clinique. RAD avec suivi chez le médecin traitant dans les prochains jours. Nous proposons de faire une recherche de sang occulte dans les selles. Laboratoire. ECG. Traitement empirique par Pantozol 40 mg 2x/j et Alucol gel. Laboratoire ECG Transfert aux urgences de l'HFR Fribourg pour la suite de prise en charge Laboratoire ECG Urines CT-scan thoracique (Dr. X) : (rapport oral) pas de dissection aortique, pas d'embolie pulmonaire, défaut de captation du liquide de contraste au niveau myocardique Avis Cardio (Dr. X, Dr. X) : coronarographie le 28.02.2019 (Dr. X) Antalgie : Morphine 2 mg IV en bolus répétée • Aspirine 250 mg IV, Liquemine 5000 UI IV OU Contrôle de la tension artérielle avec pompe de TNT : initialement 1 mg/h et montée jusqu'à 4 mg/h Laboratoire. ECG. US abdominal (Dr. X) : • Péritoine : pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement dans le Douglas, pas d'épanchement spléno-rénal. • Aorte abdominale : pas d'argument pour une dissection. • Autre : foetus visible avec mouvement cardiaque identifiable. Discussion avec team radiologique par rapport à la réalisation d'un examen irradiant lors d'une grossesse : risque tératogène très faible au vu de la localisation de la zone à irradier. CT cérébral et rachis cervical : pas d'argument pour une hémorragie intracrânienne, pas d'argument pour une lésion osseuse. Immobilisation rachis cervical par collier mousse. Avis gynécologique : ok pour transfert en gynécologie pour suite de prise en charge. Attitude : • Transfert gynécologie. • Conseil de réévaluer avec médecin de famille si persistance des douleurs à J7 pour réalisation d'une IRM cervicale. • Arrêt de l'immobilisation à J4. Laboratoire. Echographie abdominale (transmission orale Dr. X). Antalgie et anti-nauséeux. Contrôle clinique et biologique à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Cholecystectomie prévue le 08.03.2019. Laboratoire. Echographie abdominale le 18.02.2019 : absence de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques, stéatose hépatique. Laboratoire. Echographie ciblée (Dr. X). Expulsion de la néphrolithiase lors de la miction (calcul envoyé en analyse). Attitude : • retour à domicile • antalgie • conseil d'évaluation en ambulatoire avec urologue • conseil de se représenter aux urgences si recrudescence des symptômes • pas d'indication à un CT en ambulatoire et en urgence au vu de l'expulsion du calcul suivie de la cessation des symptômes. Laboratoire. Echographie en ambulatoire. Antalgie simple. Critère de reconsultation expliqué à la patiente. Laboratoire Eco FAST : négatif Avis chirurgical Dr. X : • CT thoraco-abdominal natif • Suivi biologique Laboratoire ERCP élective le 22.02.2019 Surveillance clinique et biologique Cholecystectomie et cure de hernie inguinale prévue le 05.03.2019 à l'hôpital Daler (Dr. X), maintenues si évolution favorable par la suite Laboratoire Frottis de plaie profond le 20.02.2019 Hémocultures 2 paires le 20.02.2019 Avis chirurgical (Dr. X, HFR Fribourg) le 20.02.2019 : transfert en chirurgie vasculaire le 21.02.2019. A jeun dès minuit. Avis infectiologique (Dr. X, HFR Fribourg) le 20.02.2019 : Tazobac 4.5 g 3x/j dès le 20.02.2019. Hydratation NaCl i.v dès le 20.02.2019 Laboratoire Frottis naso-pharyngé le 18.02.2019 Hémocultures 2 paires le 18.02.2019 Rx thorax le 20.02.2019 Avis infectiologique (Dr. X, HFR Fribourg) le 18.02.2019 Tamiflu 75 mg 2x/j 18 - 23.02.2019 Isolement gouttelettes 18 - 22.02.2019 Laboratoire Frottis naso-pharyngé le 18.02.2019 Rx thorax le 18.02.2019 Suivi clinique Laboratoire Gaz du sang artériel ECG = tachycardie supraventriculaire réduite post induction Intubation orotrachéale sur critère neurologique devant agitation aigue : Dr. X, intubation avec tube de 7.5, 22 lèvres, induction par 160 mg de PROPOFOL + 80 mg de SUCCINYL CHOLINE. Pas de collapsus de reventilation Pose de sonde nasogastrique = recueil d'un liquide brunâtre (sang digéré versus matière fécale) Sondage vésical Pose d'un cathéter artériel radial droit = Dr. X, désinfection locale, champage, pose d'un cathéter artériel 20 G. CT cérébral + thoracique + abdominal = atelectasie bilatérale de reventilation, fine lame d'épanchement péricardique, kyste hépatique, prostate d'allure douteuse avec localisation ostéocondensante au niveau vertébral et costal, le reste de l'examen est sans particularité. EPHEDRINE 300 mcg (50 + 100 + 100 + 50) devant instabilité hémodynamique Avis soins intensifs = ok pour transfert soins intensifs CAT : • Transfert soins intensifs Laboratoire Gaz du sang artériel Stix sédiment urinaire Antigénurie pneumocoque + Legionelle : en cours Hémoculture 2 paires à froid : en cours Radiographie thoracique ECG = superposable aux anciens MERONEME 1 g IV KLACID 500 mg PO CAT : • Hospitalisation en médecine pour suite de prise en charge • Adaptation antibiothérapie durant hospitalisation selon prélèvement infectieux • Prendre contact avec Dr. X (chir. vasc.) pour suite de prise en charge pansement VAC (contrôle ambulatoire prévu le 19.02.19) Laboratoire. Gazométrie : alcalose métabolique d'origine indéterminée. ECG. CT-cérébral natif : pas d'hémorragie, pas de fracture. Radiographie thorax: pas de pneumothorax, pas de fracture costale, pas de pneumonie d'aspiration. Radiographie épaule droite: pas de fracture. Avis Dr. X (soins intensifs HFR): hospitalisation aux soins intensifs indiquée pour surveillance clinique. Pas de place aux soins intensifs de l'HFR. Transfert dans un autre centre. Thérapie: Hydratation iv. 1500 mL. Transfert direct aux soins intensifs de Neuchâtel en raison d'un manque de place aux soins intensifs à Fribourg. Laboratoire: Gazométrie artérielle, le 11.02.2019: lactate à 8.1 mmol/l, spontanément CT Thoraco-Abdominale-Cérébrale: ECG, le 11.02.2019: normale Substitution IV par KCL 40mmol/l, Kphos 40mmol/l Substitution per os Laboratoire Gazométrie artérielle Analyses urinaires ECG du 23.1.19: ncSR, Indifferenztyp, keine ERBS Radiographie de thorax d 23.1.19 (au couché): petits infiltrats bibasaux sans franches condensations (patiente couchée), signes d'insuffisances cardiaques compensé Laboratoire Gazométrie artérielle Analyses urinaires ECG Radiographie de thorax Laboratoire Gazométrie artérielle Analyses urinaires Hémocultures (piccline + VVP) Frottis de grippe Radiographie de thorax Laboratoire Gazométrie artérielle Analyses urinaires Radiographie de thorax Laboratoire Gazométrie artérielle Analyses urinaires Radiographie de thorax: opacité en base droite et para-hilaire gauche Co-amoxicilline 1g 2x/j pendant 7-10 jours Oxygénothérapie Hospitalisation en médecine interne à Tafers (pas de frottis de grippe car symptomatologie > 5 jours) Laboratoire Gazométrie artérielle Consilium néphrologie (Dr. X): Dialyse ce jour, puis suite soit à Meyriez, soit à domicile, soit au SI (complet au HFR) en fonction de l'évolution Consilium soins palliatif (Dr. X): Place disponible, retéléphoner en cours de dialyse pour confirmer Attitude: • Suite en néphrologie Laboratoire Gazométrie artérielle CT Time is brain Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Radiographie de thorax: pas de franc foyer visualisé. Echographie ciblée coeur-thoracique (Dr. X): Pas de signe d'insuffisance cardiaque, épanchement pleural droit. Co-amoxicilline 2.2 g iv aux urgences, puis 1.1 g iv 3x/j Prednisone 50 mg 1x/j pour 5 jours Aérosols de ventolin et Atrovent en réserve Culture d'expectoration en cours Frottis de grippe en cours Physiothérapie respiratoire Hospitalisation en médecine interne Laboratoire Gazométrie artérielle ECG Radiographie du thorax CT abdominal natif Coproculture le 28.01.2019: négative Hydratation Suivi clinique et biologique Colonoscopie à organiser Laboratoire. Gazométrie artérielle. ECG. US par urgentiste: Examen de mauvaise qualité. Pas d'hypokinésie du ventricule droit, pas d'eau Echocardiographie le 22.02.2019 Anticoagulation par Xarelto, réévaluer la durée en ambulatoire. Recommandations données au patient par le médecin quant aux risques de saignement. Discuter bilan en ambulatoire Arrêt de travail 1 semaine. Laboratoire Gazométrie artérielle Frottis de grippe Hémocultures ECG Radiographie de thorax Laboratoire Gazométrie artérielle Frottis de grippe Hémocultures ECG Radiographie de thorax ATT Aérosols de Ventolin et Atrovent en continu Aérosols d'Adrénaline Ad MgSO4 2g iv aux urgences VNI Hospitalisation aux soins intensifs Laboratoire Gazométrie artérielle Intubation orotrachéale aux urgences CT Time is brain: saignement sous-dural gauche avec déviation de la ligne médiane, thrombose du tronc basilaire avec A. cérébrale moyenne gauche non visible au scanner, fracture du crâne Avis neurochirurgical (Inselspital, Dr. X) Avis soins intensifs (Dr. X) Décision d'un retrait thérapeutique avec extubation et soins de confort Laboratoire Gazométrie artérielle Intubation orotrachéale aux urgences CT Time is brain: saignement sous-dural gauche avec déviation de la ligne médiane, thrombose du tronc basilaire avec A. cérébrale moyenne gauche non visible au scanner, fracture du crâne Avis neurochirurgie Inselspital Dr. X Avis soins intensifs Décision d'un retrait thérapeutique, avec extubation et soins de confort avec hospitalisation aux urgences Morphine et Midazolam Patch Scopoderm CAT: • Hospitalisation en médecine Laboratoire Gazométrie artérielle Urines Frottis grippe: en cours ECG Echo ciblée Cœur, thorax Radiographie thorax F/P: Pas de foyer, pas de signe de décompensation cardiaque Aux urgences: • Oxygénothérapie 2L lunettes • Paracétamol 1g Attitude: • Hospitalisation en médecine interne • isolement gouttelette dans la chambre • Pister grippe pour évaluer Tamiflu • Lasix 20mg en ordre unique demain • Ventolin Laboratoire. Gazométrie veineuse. Radiographie de thorax. Analyses urinaires. RDV en diabétologie le 13.02.20109. Laboratoire Gazométrie CT cérébral injecté + cartes de perfusions (Dr. X): Sténose serrée de la carotide interne gauche avec probable embolisation au niveau sylvien gauche Avis Neurologique (Dr. X) Lyse bolus 5.4 ml et 48.6 ml sur 60 ml avec mise en suspend au bout de 27 mn Hospitalisation aux soins intensifs pour suite de prise en charge Laboratoire. Gazométrie. ECG. Laboratoire Gazométrie ECG CT cérébral avec vaisseaux précérébraux: pas de saignement, pas de lésion ischémique récente, cartes de perfusion symétriques, pas de fracture, nodule de l'apex droit, épaississement circonférentiel de l'oesophage supérieur Radiographie du thorax et de l'épaule gauche: pas de foyer, pas de fracture FAST: pas de liquide libre, globe urinaire environ 1200ml Avis neurologie (Dr. X): reprise du ttt antiépileptique habituel, organiser IRM et Holter, ad hospitalisation aux soins Aux urgences: Clexane 40mg, Urbanyl 10mg per os (les autres ttt antiépileptiques ne sont pas disponibles ici) Att: transfert aux soins Laboratoire Gazométrie ECG Hémocultures: stériles Radiographie du thorax Antigènes urinaires pneumocoque et légionnelle Frottis nasopharyngé Influenza A positif Aux urgences: rocéphine 2g iv, Klacid 500mg per os Tamiflu 75mg per os Laboratoire Gazométrie ECG Radiographie du thorax Aérosols Atrovent 250, Ventolin 0.55 2/3 critères d'Anthonisen rempli Urines Prednison 40 mg aux urgences Rocephin 2 g i.v. aux urgences (patient allergique à laPenicillin (bronchospasme) et à la Ciproxine) Laboratoire Gazométrie ECG Rx thorax: CT scanner (Dr. X): Aux URG: Ventolin 5mg + Atrovent 250 mg aérosol en continu Prednisone 50 mg PO OU Ad Hospitalisation SI pour surveillance et suivi fonction respiratoire. Laboratoire Gazométrie Hémocultures en cours Antigènes urinaires positifs pour pneumocoque Frottis grippal positif; discuté avec Dr. X au vu fragilité respiratoire préexistante, pas d'indication à traitement de Tamiflu au vu durée des symptômes Radiographie de thorax 1e séance physiothérapie respiratoire aux urgences Thérapie: • Rocéphine 2g i.v. Attitude: • Hospitalisation pour antibiothérapie i.v. • Suivi biologique des paramètres inflammatoires Laboratoire Gazométrie ECG CT scan cérébral: pas de saignement, tube en place Intubation aux urgences par l'équipe anesthésique Actrapid 6UI/h + 1 bolus 8UI 2 flacons bicarbonate Pompe potassium 10 mmol/h Hospitalisation aux SI Famille de Mme. Y avertie Laboratoire Gazométrie Sédiment urinaire Rx thorax F Laboratoire Gazométrie Stix/ Sédiment urinaire Radiographie thoracique: épanchement pleural Lasix 40mg Hospitalisation en médecine interne Laboratoire. Gazométrie. test au Flumazénil. Laboratoire Gazométrie Urines à pister avec antigènes urinaires légionelle et pneumocoque ECG Radiographie du thorax Frottis nasopharyngé Influenza A positif, Tamiflu 75 mg 2x/j car début des symptômes > 72h Aux urgences: 3 aérosols Atrovent 250 mg, Ventolin 5mg Séance de VNI durant 30 min à 4 reprises Rocéphine 2 g iv, Klacid 500 mg per os 2x/J Solumedrol 125 mg iv Discussion avec soins intensifs: Patiente non admise aux soins par manque de place. Amélioration des gazométrie avec les VNI et les aérosols. Hospitaliser en médecine, recontacter soins en cas de péjoration. ATT: • aérosol atrovent, ventolin aux 4h (dernier 13h) • prednisone 40 mg per os pendant 5 jours • organiser VNI par physio sur l'après-midi. • Rediscuter attitude REA (intubation? Soins intensifs) plus en détails, Souhaite massage cardiaque mais pas d'intubation. Laboratoire gazométrie 2x Hemoc: à pister Urines: en cours Avis Chirurgicale (Dr. X) Ad Rocéphine 2 g + Flagyl Laboratoire GDS = Acidose métabolique compensée avec hypoxémie associée à 8.3 mmHg Radiographie thoracique Aérosol SALBUTAMOL 5 mg X3 sur 1 heure Aérosol ATROVENT 0.5 mg X3 sur 1 heure Stix et sédiment urinaire en cours Antigenurie pneumocoque + légionnelle en cours CAT: • Hospitalisation en médecine • Poursuite des aérosols • Indication de l'antibiothérapie à réévaluer Laboratoire: Groupe sanguin O+; AC irréguliers négatif Streptocoques du groupe B négatif Sérologies du 08.08.2018: Toxo non-immune; CMV non-immune; Rubéole immune; VDRL négatif; TPHA négatif; HBS, Vaccinée; HCV négatif; HIV négatif Informations de l'accouchement: Accouchement sous péridurale le 02.02.2019 à 3:28, liquide méconial, APGAR 9/10/10, pHa 7.20, pHv 7.32, poids de naissance 3750 g (P25-50), taille de naissance 53 cm (P25-50), périmètre crânien de naissance 36 cm (P50). NN en néonatologie en raison d'une tachypnée, DD: wet lung, infection. Délivrance normale et complète du placenta. Pertes sanguines estimées à 300 ml. Laboratoire Hb foetale Frottis bactériologique et Streptocoque du groupe B Urotube US trans abdominal et trans vaginal Maturation pulmonaire par cure de Celestone les 21.02.2019 et 22.02.2019 Surveillance CTG 3 fois par jour Laboratoire Hémoculture à Meyriez: à suivre Urines à Meyriez: Pneumocoque et Légionel à suivre Gazométrie artérielle: hypoxémie à 7.6, pas de lactate Rx thorax: Foyer droit ECG: FA nouvelle, pas de trouble de la repolarisation, QRS fin Consilium SICO (Dr. X) Aux urgences: • Oxygénothérapie (8L au masque) • Klacid 500 mg IV • Augmentin 2.2 IV (rocéphine non donnée à Meyriez) • 500 ml NaCl IV Attitude: • Hospitalisation au SI pour support hémodynamique (discuté avec Dr. X et le fils, Mr. Y) • Poursuite Augmentin IV • Physiothérapie respiratoire Laboratoire. Hémoculture 2 paires. Radiographie pulmonaire. Stix et sédiment urinaire : sang ++++, leuco -, nit-. Test de grossesse urinaire : négatif. US abdominal. Avis gynécologique (Dr. X) : pas d'argument pour une cause gynécologique aiguë, frottis fait ce jour, pas de torsion des annexes. Au vu du statut clinique rassurant et de la réalisation d'un CT abdominal il y a 15 jours, nous préférons ne pas réaliser en aigu un nouveau CT abdominal et nous reverrons la patiente au secteur ambulatoire des urgences pour réévaluation clinico-biologique. Attitude : • Retour à domicile. • Traitement symptomatique. • Réévaluation clinico-biologique au secteur ambulatoire des urgences. Laboratoire Hémocultures : négatif à 5 jours Recherche C. difficile dans les selles le 04.01.2019 : positif PCR multiplex des selles : négatif Recherche C. difficile dans les selles le 11.01.2019 : négatif US ciblé (Dr. X) le 03.01.2018 CT abdominal le 03.01.2018 Avis chirurgical (Dr. X): pas d'indication chirurgicale. À évaluer sonde nasogastrique seulement en cas de vomissements. Co-Amoxicilline 600 mg IV au service des urgences Rocéphine 2 g 1x/j IV du 03.01 au 05.01.2019 Flagyl 500 mg 3x/j IV du 03.01 au 05.01.2019, puis PO du 06.01 au 11.01.2019, puis IV du 11.01 au 15.01.2019 (en raison de la récidive de subiléus) Isolement de contact du 05.01 au 15.01.2019 Laboratoire Hémocultures : négatives Gazométrie artérielle : insuffisance respiratoire partielle Radiographie thoracique 02.02.2019 : infiltrat diffus bilatéral, pas d'épanchement Rx thorax 05.02.2019 : majoration des infiltrats micronodulaires étendus aux 2 plages pulmonaires, prédominant aux bases en rapport avec une infection probablement bronchique ou bronchiolaire, sans foyer de pneumonie Avis infectiologique (Dr. X) Acyclovir i.v. du 02.02 au 07.02.2019 avec relais par Valacyclovir po. jusqu'au 09.02.2019 Caladryl lotion à appliquer 4x/jour Isolement contact et aérosols du 02.02 au 08.02.2019 Laboratoire Hémocultures: à pister CT abdominal : Vésicule biliaire épaissie à 6 mm, 2 calculs dans l'infundibulum dont 1 de 1,5 cm qui semble obstructif Rocéphine 2 grammes du 21.02.2019 au___ Flagyl 500 iv du 21.02.19 au___ Avis chirurgical Dr. (X): hospitalisation en chirurgie pour un probable drainage demain Laboratoire. Hémocultures. RX thorax. Antibiothérapie par : • co-amoxicilline 2,2 g iv 3x/j le 02.02.2019 • co-amoxicilline 2,2 g iv 4x/j du 03 au 05.02.2019 • co-amoxicilline 1 g per os 3x/j du 06 au 13.02.2019. Laboratoire. Hémocultures. Urotube. RX thorax. Antibiothérapie par : • Rocéphine 2 g iv 1x/j du 25 au 30.01.2019 • Ciprofloxacine 500 mg cpr 2x/j du 31.01 au 08.02.2019. Annulation de contrôle à la consultation ambulatoire de Dr. X. Laboratoire. Hémocultures, urotube. CT abdominal le 09.02.2019. Rocéphine 2 g iv - 1 x/jour du 09.02 au 11.02.2019, relais per os par Ciproxine 500 mg - 2 x/jour du 12.02 au 15.02.2019 inclus. Laboratoire Hémocultures 1 paire 29.01.2019 en cours CT tissu mou : dermohypodermite de la jambe et de la cheville droite, sans argument radiologique pour une fasciite nécrosante. Lésion ostéo-chondrale avec petits séquestres du bord supéro-médial du talus. Consilium orthopédique (Dr. X) Co-Amoxicilline 2.2 g IV du 29.01 au 04.02.2019 le matin Relais per os avec Co-amoxicilline 1 g 3x/j le 04.02.2019 midi et soir Thromboprophylaxie par Clexane 40 mg Physiothérapie Laboratoire Hémocultures 2 paires en cours Venflon du bras droit envoyé en culture car douloureux Poursuite du traitement au vu de paramètres inflammatoires et d'une clinique à la baisse Laboratoire Hémocultures Ag urinaires: Légionelle, Pneumocoque négatif Rx thorax 08.02.2019: Volumineuses zones de consolidation basale droite associée à des infiltrats compatibles avec un foyer infectieux. Émoussement des deux sinus costo-diaphragmatiques en lien avec des petits épanchements pleuraux. Sclérose de l'aorte thoracique. ECG: FA nouvelle, pas de trouble de la repolarisation, QRS fin Cathéter artériel radial droit du 08.02.2019 au 09.02.2019 Augmentin le 08.02.2019, Clarithromycine le 08.02.2019, Pipéracilline/Tazobactam du 08.02.2019 au 14.02.2019, Noradrénaline du 08.02.2019 au 09.02.2019 Laboratoire. Hémocultures. Antigènes urinaires. RX de thorax : pas de foyer décelable de façon bilatérale. Distension pulmonaire bilatérale. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale (Dr. X). Laboratoire Hémocultures Urines stix et sédiment Urotube Avis chirurgical (Dr. X) Aux urgences: Rocéphine 2 g i.v., Flagyl 500 mg i.v. Attitude: • Hospitalisation en chirurgie pour suite de prise en charge • US abdominal demandé Laboratoire Hémocultures Urotube Traitement par Rocéphine pendant 7 jours Laboratoire Hydratation Laboratoire Hydratation intraveineuse Adaptation des médicaments Reprise Torem 10 mg le 12.02.2019 Adaptation du dosage du Torem chez le médecin traitant, en fonction de l'évolution biologique et clinique Laboratoire Hydratation iv Avis psychiatrie de liaison: indication à une hospitalisation à Marsens pour un sevrage, mais situation instable du point de vue somatique Contrôle de l'alcoolémie à 12:05: alcoolémie à 0.91/mille Laboratoire. Hydratation NaCl 0.9% 2000 ml/ 24 heures. Laboratoire.Hydratation par 1000 ml NaCl 0.9% aux urgences. Proposition de contrôle des CK le 24.02.2019. Laboratoire. Hydratation per os. Laboratoire. Hydratation 1500 ml iv. Primpéran 10 mg iv. Retour à domicile avec Itinérol B6 suppositoire. Arrêt de travail. Suivi chez le médecin traitant. Laboratoire. Hydratation 1500 ml/24 heures. Laboratoire Hydratation 1500 ml/24h Suivi biologique Pose de sonde vésicale Laboratoire Hydratation 2000 ml NaCl/24h avec 40 meq K, 2 g Mg/30 min aux urgences. Laboratoire IPP en bolus 80 mg intraveineux le 07.02.2019, puis 40 mg 2x/jour 1 culot érythrocytaire le 07.02.2019 Colonoscopie et oesogastroduodénoscopie à prévoir en ambulatoire. Laboratoire IRM genou gauche le 12.02.2019 (réalisée au CIF). Avis orthopédique le 13.02.2019 (Dr. X, Dr. X): Pas d'indication chirurgicale en urgence, RAD possible dans ce contexte avec consultation en ambulatoire chez le Dr. X pour suite de prise en charge. Immobilisation par attelle postérieure. Avis orthopédique le 14.02.2019 (Dr. X): pas d'indication opératoire. Enlever l'attelle Jeans dès que possible et traitement par antalgie et physiothérapie. Si persistance des douleurs, infiltration du mur méniscal sous contrôle US par radiologues possible. Immobilisation par attelle jeans 20° du 13.02 au 14.02.2019. Adaptation antalgie. Physiothérapie. Laboratoire. Lexotanil 1.5 mg 1x/j en réserve. Laboratoire Microbiologie : sédiment urinaire // urotube // frottis grippe PCR // hémocultures Rx thorax CT thoraco-abdo le 03.02.2019. Avis infectiologie (Dr. X) Avis pneumologique. Piperacilline-Tazobactam 4.5 g 4x/jour du 31.01 au 03.02.2019 Tamiflu 75 mg 2x/j du 03.02. au 08.02.2019. Laboratoire Mise en place de sonde naso-gastrique le 25.01.2019. Radiographie thoraco-abdominale haute le 25.01.2019 post mise en place de SNG. Alimentation entérale dès le 25.01.2019 à réévaluer. Suivi clinique et biologique. Laboratoire. Morphine 10 mg iv. Fentanyl Patch 25 mcg. Retour à domicile avec prescription d'opiacé. Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine pour organiser un schéma dégressif. Laboratoire Oxycontin 10 mg 2x/j + Oxynorme 5 mg 6x/j en réserve. Hospitalisation pour gestion de l'antalgie. Laboratoire. Oxygénothérapie. Cultures d'expectorations, Ag urinaires. RX thorax. Atrovent 0.25 mg, Pulmicort 0.25 mg, Prednisone 50 mg aux urgences, puis aérosols d'Atrovent, de Symbicort et de Seebri. Céfépime 2 g iv - 3 x/jour du 17.01 au 21.01.2019 puis relais par Co-Amoxi 1 g - 2 x/jour pour une durée totale de 7 jours d'antibiothérapie. Laboratoire. Perfusion de 1000 ml NaCl 0.9%. Restriction hydrique à 1000 ml/j. Restriction hydrique à 2 litres par jour dès le 25.01.2019. Capsule NaCl 500 mg 1 cpr. Laboratoire Photothérapie du 16.02.2019 au 17.02.2019. Laboratoire. Physiothérapie. Laboratoire Ponction d'ascite le 14.02.2019 : 6810 cc, liquide trouble jaune-brunâtre, sans complications. Répartition cellulaire sans signe de péritonite bactérienne spontanée (123 éléments / mm3, dont 4% de polynucléaires). Complémentation par Albumine IV 20 g en ordre unique le 14.02.2019. TIPS en cours d'organisation à l'Inselspital (CT et échocardiographie de bilan pré-TIPS réalisés le 04.02.2019). Laboratoire. Poursuite du fer et suivi chez le médecin traitant. Laboratoire. Poursuite du traitement de fer et suivi chez le médecin traitant. Laboratoire. Poursuite traitement symptomatique. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 03.02.2019 avec contrôle clinique formule sanguine complète. Reconsulter aux urgences avant en cas de péjoration des symptômes. Laboratoire. RAD avec réassurance, proposition de trouver un médecin traitant, poursuivre le suivi psychiatrique. Laboratoire Radiographie bassin et hanche G. CT hanche G. Avis orthopédie (Dr. X) : ad hospitalisation en orthopédie pour suite de prise en charge chirurgicale. Laboratoire Radiographie de thorax de face : pas de foyer. 2 paires d'hémocultures : en cours. n.b : patient retrouvé par terre vers 2:30 du matin ; status neurologique et orthopédique superposable, pas d'impact crânien. Attitude : - transfert à Tafers pour hospitalisation en médecine (pas de place à Fribourg, patient refuse transfert à Riaz et Meyriez). - physiothérapie intensive. - surveillance neurologique aux 2 heures, évaluer l'indication à un CT-cérébral en fonction de l'évolution. Laboratoire. Radiographie de thorax : épanchement pleural à mi-poumon, moins important qu'au 04.02.2019. Retour à domicile avec suite de la prise en charge par le Dr. X. Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Laboratoire Radiographie de thorax : pas de foyer. Gazométrie artérielle. Laboratoire. Radiographie de thorax. Attitude : - Réassurance. - Traitement symptomatique. - Suite chez le médecin traitant. - Critères de reconsultation expliqués à la patiente. Laboratoire. Radiographie de thorax. Sédiment urinaire. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g x 2 du 05.02.2019 au 12.02.2019. Laboratoire Radiographie du genou droit. Avis orthopédie (Dr. X) : indication opératoire en électif, ad CT genou droit et RDV Dr. X le 20.02.2019, attelle jeans 0° et cannes, charge selon douleur, Clexane 40 mg. Surveillance sur la nuit au vu de l'alcoolémie. Att : RAD avec antalgie, Clexane, organisation d'un CT en ambulatoire avec RDV en orthopédie du membre inférieur. Laboratoire. Radiographie du thorax : pas de foyer, pas d'épanchement. Pas de frottis d'emblée. Retour à domicile avec traitement symptomatique et contrôle chez médecin traitant dans 5 jours. Laboratoire Radiographie du thorax. CT thoraco-abdominal natif. CT cérébral natif. Eco FAST : négatif. Laboratoire Radiographie du thorax du 11.02.2019. Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour du 15.02.2019 au 22.02.2019. Laboratoire Radiographie du thorax du 17.02.2019. Gazométrie. Soins intensifs du 17.02 au 18.02.2019. Cathéter artériel radial gauche du 17.02 au 18.02.2019. VNI du 17.02 au 18.02.2019. Frottis grippe : négatif. Antigènes légionelle et pneumocoque : négatifs. Hémocultures du 17.02.2019 : stériles à 5 jours. Ceftriaxone du 17.02 au 21.02.2019. Clarithromycine du 17.02 au 18.02.2019. Tamiflu du 17.02 au 18.02.2019. Co-Amoxicilline du 22.02 au 24.02.2019 inclus. TNT du 17.02 au 21.02.2019. Furosémide i.v. à partir du 17.02.2019. Majoration du traitement anti-hypertenseur habituel (cf ordonnance de sortie). Avis endocrinologique (demandé pour exclure récidive de phéochromocytome pouvant expliquer pic HTA) : - CT abdominal natif pour évaluer morphologie surrénale droite : discrète hypertrophie nodulaire de la surrénale droite, à la limite du significatif (stable par rapport au comparatif). - cortisol basal et ACTH pour évaluer axe corticotrope : en cours. Laboratoire Radiographie du thorax : Infiltrat multi-lobaire. Frottis de grippe. Gazométrie artérielle. Hémocultures 2 paires. Antigène urinaire pneumococque légionelle : pas fait aux urgences (pas d'urine). Aérosols. Antibiothérapie par Ceftriaxone et Clarithromycine. Hospitalisation aux Soins Intensifs. Laboratoire Radiographie du thorax le 09.02.2019. Culture des expectorations. Frottis de grippe le 09.02.2019. Hémocultures le 10.02.2019. Traitement bronchodilatateurs. Ceftriaxone du 10.02 au 17.02.2019. Laboratoire Radiographie du thorax. Attente d'avis du Prof. X concernant un TAVI. Laboratoire. Radiographie du thorax. Dépistage EBV. IRM neurocrâne : multiples lésions de la substance blanche en périphérie du corps calleux, certaines compatibles avec une SEP, d'autres atypiques faisant penser à une maladie de Lyme ou une sarcoïdose. Pas de lésion ischémique, pas de lésion prenant le produit de contraste, pas de lésions sous-tentorielles. Avis neurologique (Dr. X / Dr. X) : suspicion de SEP, DD maladie de Lyme, DD sarcoïdose. PL : pression d'ouverture, numérotation et différenciation cellulaire (recherche des plasmocytes également en cas de < 5 cellules !), glucose, protéine, lactate, électrophorèse de protéines, au minimum 2 sérothèques.bilan sanguin: ANA, ANCA, FAN, VS, anti-phospholipides, beta-2-microglobuline, TSH, vitamine B12, vitamine D, sérologie pour la maladie de Lyme, syphilis, HIV, HBV, HCV, VZV, test au Quantiféron, enzyme de conversion de l'angiotensine (DD sarcoïdose) IRM panmédullaire Bilan ophtalmologique: signes en faveur d'une vasculite ? bilan de l'exophtalmie de l'œil gauche Avis infectiologique dès le 07.02.2019 si PL rassurante, sinon déjà dans la soirée du 06.02.2019 Infectiologue Dr. X informée du cas PL (Dr. X/Dr. X): désinfection, champage, anesthésie locale avec xylo 1% 3mL, ponction L4-L5 médiane, 1x ponction avec aiguille PL 22G, 1ère ponction: échec, 2e ponction (Dr. X): réussie sans paresthésie, LCR teinté, puis eau de roche, pression d'ouverture à 13 cm d'eau. Prélèvement de 5x tubes 1mL, envoyés pour analyse Att: • Hospitalisation en médecine interne pour suite d'investigations • IRM pan-médullaire à organiser • Quantiféron, VS et enzyme de conversion de l'angiotensine (à faire à l'étage) • Pister les résultats sanguins • Avis infectio à demander • Bilan ophtalmologique à demander: signes en faveur d'une vasculite ? bilan de l'exophtalmie de l'œil gauche Laboratoire. Radiographie du thorax. Sortie contre avis médical, Mr. Y averti du risque encouru en cas de non prise du traitement. Traitement par RIAMET donné à Mr. Y pour 1 jour (ordonnance pour récupérer le reste du traitement à la pharmacie BENU de la Gare qui a été appelée et qui peut disposer du traitement). Avis infectiologue Dr. X : traitement ambulatoire par Riamet, contrôle clinique et laboratoire à 24 heures. Laboratoire Radiographie du thorax Stix/ Sédiment US (Dr. X): pas de globe urinaire Laboratoire Radiographie hanche gauche CT hanche gauche Avis Orthopédie: Hospitalisation et reprise au Bloc opératoire Hospitalisation en Orthopédie • A jeun dès minuit Laboratoire Radiographie thorax CT base pulmonaire (Transmission orale Dr. X) Aux urgences: • Pip Tazo Attitude: • Pip Tazo • Physio respiratoire Laboratoire. Radiographie. Stix / sédiment : sans particularité. Attitude : • Clarithromycine 500mg 2x/j pendant 7 jours. • Pantozol 40 mg. Laboratoire. Réassurance. Traitement symptomatique par du Paracétamol et Pantozol pour 7 jours. Reconsultation chez la psychiatre traitante dans les prochains jours. Critères de reconsultation expliqués à Mr. Y. Laboratoire. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Culture d'expectorations. Urotube. Frottis grippe. Hémocultures. RX thorax. CT scan thoracique. Antibiothérapie par : • Cefepime 1,5 g 2x/j le 08.02.2019 • Rocéphine 2 g du 08 au 14.02.2019 • Klacid 500 mg 2x/j du 08 au 10.02.2019. Laboratoire. Restriction hydrique à 1L. KCl per os 3 cp par jour pendant 5 jours à réévaluer. Laboratoire de contrôle le 05.02.2019. Laboratoire. Restriction hydrique. Substitution pendant 3 jours. Laboratoire. Retour à domicile avec Paracétamol, consigne de bien s'hydrater. Reprendra contact avec son médecin traitant qu'il n'a encore jamais vu en cas de persistance des symptômes. Laboratoire. Retour à domicile. Réassurance. Arrêt de travail. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/24h pendant 5 jours. Réévaluation clinique le 20.02.2019 +/- avis ORL si persistance des symptômes malgré antibiothérapie. Laboratoire, Retour à domicile. Reconsulter si récidive. Laboratoire. Rhinorapid 5.5 cm et anesthésique + 2000 UI de Beriplex. Retrait du Rhinorapid par Mme. Y, pas de récidive de saignement. Laboratoire de contrôle stable, crase reversée. Retour au home avec suspension du Marcoumar 24h. Réévaluation par le médecin du home le 17.02.2019 des doses de Marcoumar avec bilan biologique, à distance de l'épistaxis. Laboratoire Rx cheville/calcaneum droit ap/lat Rx jambe droite ap/lat CT scan jambe droite jambe et cheville (pour exclure fracture du pylon) Aux urgences : 14 mg morphine, paracétamol 1 g i.v. Attelle postérieure jambe droite Faire contrôle de syndrome de loges Antalgie simple Opération prévue Mme. Y à jeun Laboratoire. RX thorax. Co-Amoxicilline 1 g - 2 x/jour pendant 7 jours. Laboratoire Rx thorax le 18.02.2019 Frottis naso-pharyngé le 18.02.2019 Consilium infectiologique (Dr. X, HFR Fribourg) le 18.02.2019 Tamiflu 75 mg 2x/j 18.-22.02.2019 Isolement gouttelettes 18.-22.02.2019 Suivi clinique Laboratoires : cf. annexes. Radiographie de thorax le 13.01.2019 : cardiomégalie avec une augmentation bilatérale diffuse de la trame bronchovasculaire, compatible avec une insuffisance cardiaque. Radiographie du thorax le 14.01.2019 : status après mise en place d'un pacemaker en région prépectorale gauche avec deux sondes connectées au boîtier se terminant en surprojection de l'oreillette et du ventricule droit. Cardiomégalie avec flou péri-hilaire témoignant d'une surcharge. Calcification de l'aorte thoracique. Infiltrat diffus dans le poumon droit (DD : comblement alvéolaire dans le cadre d'une insuffisance cardiaque décompensée ? foyer infectieux ?), à corréler à la clinique. Pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax. DISH dorsal. Echocardiographie transthoracique le 14.01.2019 : • ventricule gauche. Le ventricule gauche est non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile globale normale. La cinétique segmentaire n'est pas évaluable en raison des mauvaises conditions techniques. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée en bi-dimensionnelle à 50-55 %. La géométrie du ventricule gauche est normale avec une masse indexée à 77 g/m² et un rapport h/r à 0,33. • aorte. L'aorte n'est pas dilatée, avec un diamètre de 36 mm au niveau du sinus aortique. • valve aortique. Il existe 3 sigmoïdes aortiques. L'anneau aortique est calcifié. Sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Le gradient max. VG-Ao est de 15 mmHg. Le gradient moyen VG-Ao est de 6 mmHg. L'ITV aortique est de 40 cm. La Vmax aortique est de 194 cm/s. Insuffisance aortique physiologique. • valve mitrale. La valve mitrale est de cinétique normale. Fonction diastolique normale. L'onde E mitrale est de 120 cm/s. L'onde A mitrale est de 99 cm/s. Le rapport E/A est égal à 1,21. Pas d'insuffisance mitrale. • oreillette gauche. L'oreillette gauche est normale, non dilatée. Le diamètre antéro-postérieur de l'oreillette gauche est mesuré à 58 mm. La surface par voie apicale (4 cavités) est mesurée à 16 cm². Le volume de l'oreillette gauche est calculé à 37 ml. • cavités droites. Les cavités droites ne sont pas dilatées. Fonction systolique du VD visuellement conservée. Insuffisance tricuspide minime. Insuffisance pulmonaire minime. • péricarde. Absence d'épanchement péricardique. Coronarographie du 16.01.2019 : • Coronaire gauche : le tronc commun est normal, sans sténose. L'artère interventriculaire antérieure ne présente pas de sténose significative sur l'ensemble de ses segments proximal, moyen et distal. L'artère circonflexe est indemne de lésion coronaire significative. • Coronaire droite : l'artère coronaire droite est indemne de sténose sur l'ensemble de ses segments. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 19.01.2019 : fibrillation auriculaire à 67 battements par minute, aspect de bloc de branche droit connu en V1 et V2, QTc à 470ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. RX de thorax le 19.01.2019 : pseudo-élargissement de la silhouette cardiomédiastinale. Aorte déroulée et calcifiée. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Pas d'épanchement pleural visible. RX de hanche et bassin le 19.01.2019 : bassin et hanche : pas de signe de fracture ou descellement. Aspect ostéopénique de la trame osseuse.RX de l'abdomen du 19.01.2019 : nous trouvons une importante dilatation des anses digestives avec coprostase colique droite. Importante distension digestive avec coprostase colique droite. Lésions dégénératives de la colonne lombaire. CT cérébral natif le 19.01.2019 : conclusion : pas de saignement intra- ou extra-axial. Pas de signes d'AVC ischémique aigu ou subaigu. Atrophie cérébrale avec hygromes frontaux bilatéraux superposables. US des testicules le 25.01.2019 : ascension du testicule gauche qui présente de multiples calcifications grossières, correspondant à un processus ancien, mais pas d'évidence de néoplasie. Laboratoires : cf annexe Radiographie du gros orteil et du pied gauche dorso-plantiaire et oblique : arthrose marquée inter-phalangienne et métatarso-phalangienne du 1er rayon avec des réactions ostéophytaires, mais pas de lésion osseuse traumatique clairement visualisée. Radiographie du pouce gauche : fracture proximale du 1er métacarpien avec bascule palmaire d'environ 37°. Arthrose interphalangienne du 1er rayon déjà avancée. Radiographie de l'avant-bras gauche face/profil : examen réalisé sous contention plâtrée et sans pli visualisé. Par rapport au comparatif du même jour, on retrouve la fracture du 1er métacarpien avec bascule palmaire inchangée. CT-scan cérébral natif : comparatif du 24 juillet 2013. Élargissement du système ventriculaire ainsi que des sillons cérébraux et cérébelleux en rapport avec l'âge du patient. Pas de déviation des structures de la ligne médiane. Pas d'hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous- ou extra-durale. Hypodensités de la substance blanche péri-ventriculaire et profonde compatibles avec de la leuco-araïose. Calcifications des artères carotides internes à hauteur des siphons carotidiens des deux côtés. Discret épaississement muqueux dans le bas-fond du sinus maxillaire G. Déviation gauche de la cloison nasale associée à un éperon osseux. Cellules mastoïdiennes bien ventilées. Séquelles d'ancienne fracture de l'arcade zygomatique gauche. Fracture du processus frontal de l'os maxillaire des deux côtés, sans infiltration des tissus graisseux sous-cutanés en regard, également d'allure ancienne. Pas de fracture d'aspect récent. CONCLUSION : absence de saignement intracrânien. Pas de fracture d'aspect récent. Note : résultats transmis par téléphone au Dr. X à 20h20. RX thorax du 01.02.2019 : pas de franc foyer visualisé, pas d'élargissement de la silhouette cardiaque. Laboratoires : cf annexes. Coronarographie le 16.02.2019 : l'examen invasif en urgence démontre comme corrélat pour le NSTEMI une sténose serrée de l'IVA moyenne. La fonction systolique du VG est légèrement diminuée à une hypokinésie apicale. Je procède après discussion avec Mme. Y à une dilatation avec mise en place d'un stent actif. Extravasation de contraste. Raison pour laquelle surveillance et réinjection après 30 min qui écarte la présence d'extravasation. Épanchement péricardique. Surveillance aux soins intensifs. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. ETT le 18.02.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 2 mmHg. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. HTAP minime (PAPs à 47 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Les feuillets péricardiques sont normaux, non épaissis. Minime épanchement péricardique circonférentiel. Indication à une surveillance régulière de l'épanchement. ETT le 19.02.2019 : examen limité à l'étude du péricarde : les feuillets péricardiques sont normaux, non épaissis. Épanchement péricardique circonférenciel de moyenne abondance, d'aspect liquidien associé à des thrombi. Le diamètre maximal de cet épanchement est de 14 mm en regard du VD et stable en comparaison directe des images de l'examen précédent. Bonne tolérance hémodynamique. ETT le 21.02.2019 : les feuillets péricardiques sont normaux, non épaissis. Le diamètre maximal de cet épanchement est de 18 mm en regard de l'OD, 15 mm en regard du VD et 14 mm à l'apex. Les mesures réalisées sont en légère augmentation en comparaison directe des images de l'examen précédent (19.02.2019). Bonne tolérance hémodynamique. ETT le 22.02.2019 : examen limité à l'étude du péricarde : les feuillets péricardiques sont normaux, non épaissis. Le diamètre maximal de cet épanchement est de 25 mm en regard de l'OD, 16 mm en regard du VD et 15 mm à l'apex. Les mesures réalisées sont en augmentation en comparaison directe des images de l'examen précédent (21.02.2019). Bonne tolérance hémodynamique sans compression des cavités cardiaques droites. ETT le 25.02.2019 : écho ciblée : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. Ventricule droit normal. Épanchement péricardique de moyenne abondance, circonférentiel, en partie organisé stable par rapport au 22.02.2019. Bonne tolérance hémodynamique. Laboratoires : cf annexes. ECG : rythme sinusal régulier à 71/min, axe gauche dans la norme, bloc atrio-ventriculaire du 1er degré, pas de bloc de branche, progression onde s/R en V3/V4, pas de sus/sous-élévation du segment ST. Échocardiographie le 18.02.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Aorte non dilatée. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Holter le 19.02.2019 : résultats en cours. CT-scan time is brain le 15.02.2019 : pénombre ischémique intéressant le territoire postérieur de l'artère cérébrale moyenne droite, avec une occlusion artérielle à la jonction M2-M3, et une zone estimée à 10 % correspondant à une ischémie constituée. Séquelle ischémique cérébelleuse droite devant correspondre à l'antécédent d'AVC en 2000. Occlusion de l'artère vertébrale droite à son départ, d'origine vraisemblablement chronique, avec une reprise de l'opacification a retro. Petit anévrisme de 3 x 2 mm dans le segment intracaverneux de l'artère carotide interne droite, sur sa paroi latérale droite. IRM cérébral le 18.02.2019 : examen évoquant une lésion ischémique aiguë dans le territoire sylvien à droite. Lésion séquellaire cérébelleuse droite. Les plages d'hypersignaux au niveau de la substance blanche sur les coupes FLAIR ne sont pas spécifiques mais doivent correspondre à des altérations dégénératives vasculaires. Lésion athéromateuse diffuse de toutes les artères, asymétrie au niveau des artères sylviennes, en défaveur de la droite. Pas de dissection artérielle récente visible sur cet examen. Irrégularités au niveau de la bifurcation carotidienne ddc mais surtout à droite, devant faire évoquer des altérations athéromateuses. Asymétrie au niveau des artères vertébrales en défaveur de la droite. Petite image d'addition de 3 x 2 mm dans le segment intracaverneux de l'artère carotide interne droite.CT surrénale du 20.02.2019 : • Discrète hypertrophie de la glande surrénalienne gauche, avec présence d'une nodularité focale de 20 x 19 x 12 mm se caractérisant par une densité de 28 HU à l'examen natif, par une prise de contraste hétérogène d'environ 152 HU et par une diminution de la densité à 42 HU sur les images tardives à 15 min (washout absolu mesuré à 88.7 %). • La glande surrénale droite est légèrement hypertrophique avec présence d'une petite nodularité exophytique de 4.5 mm prenant le contraste mais trop petite pour être caractérisée car non clairement visible sur les autres acquisitions. Laboratoires : cf annexes ECG du 14.02.2019 : rythme sinusal à 75 bpm, axe 90°, PR 160 ms, QRS fin, pas de signe d'hypertrophie, pas d'élévation du segment ST, bonne progression précordiale. CT-scan thoracique le 14.02.2019 : • Dilatation des quatre cavités cardiaques, ainsi que du tronc pulmonaire (DD : hypertension artérielle pulmonaire ?), associée à un épanchement pleural bilatéral prédominant à droite, ainsi que du crazy paving pulmonaire, entrant dans le cadre d'une décompensation cardiaque. • À noter toutefois que l'image en crazy paving est aspécifique, ouvrant le diagnostic différentiel d'une étiologie infectieuse (pneumonie à Pneumocystis jirovecii), ainsi qu'un syndrome de détresse respiratoire aiguë (ARDS). • Mise en évidence de consolidations avec bronchogramme aérique dans le lobe moyen et la lingula inférieure, avec adénopathies médiastinales, compatibles avec des foyers. • Présence d'un nodule dans le segment latéro-basal du lobe inférieur droit, à recontrôler dans 6 à 12 mois selon les recommandations de Fleischner. Échocardiographie transthoracique le 15.02.2019 : • Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale hyperdynamique. • FEVG à 70 % (évaluation visuelle). • Hypertrophie concentrique légère. • Fonction diastolique non évaluable en raison de tachycardie. • Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. • Absence de rétrécissement mitral. • Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). • Discrète augmentation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. • Oreillette gauche non dilatée. • Ventricule droit non dilaté, hypertrophié avec paroi libre mesurée à 7 mm. • Cinétique ventriculaire droite normale. • Fonction systolique du ventricule droit normale. • Absence de dilatation des cavités droites. • HTP modérée (PAPs à 56 mmHg). • Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). • Absence d'épanchement péricardique. US abdominal le 26.02.2019 : • Foie de morphologie conservée, sans dilatation des voies biliaires intra et extrahépatiques. • Foie droit mesuré à 160 mm sur la ligne médio-claviculaire droite. • Pas de lésion suspecte. • Absence de ralentissement du flux porte. • Le pancréas est lipomateux avec perméabilité de la veine splénique. • Rate de taille normale, mesurée à 77 mm. Ponction pleurale : liquide de type transsudât, à 330 éléments par microlitre. • Nombreuses cellules mésothéliales d'aspect volontiers réactionnel, sur fond riche en éléments lymphoïdes polymorphes, avec une majorité de petits lymphocytes matures, mêlés à des cellules lymphoïdes activées, à de rares polynucléaires neutrophiles et à de rares histiocytes/monocytes. • Absence de cellules suspectes de malignité. Laboratoires : cf annexes. Microbiologie : frottis grippe et RSV négatifs, antigènes urinaires négatifs. RX du thorax le 11.02.2019 : mise en évidence d'une opacité en surprojection de la mi-plage pulmonaire inférieure gauche silhouettant la coupole diaphragmatique homolatérale ainsi que le bord gauche du cœur, compatible avec une consolidation du lobe inférieur gauche (DD : pneumonie ? Atélectasie ?) associée à un épanchement pleural. IRM du bassin le 19.02.2019 : masse utérine endocavitaire supra-centimétrique avec invasion du myomètre à plus de 50 % par endroit, devant correspondre à un carcinome de l'endomètre jusqu'à preuve du contraire. • Absence d'adénopathie ou de lésion osseuse sur le volume exploré. Laboratoires : cf annexes. Radiographie du thorax le 15.02.2019 : • Cardiomegalie sans signe de décompensation cardiaque. • Sclérose de l'arc aortique. • Irrégularités de la trame parenchymateuse pulmonaire en lien à la BPCO connue. • Développement d'une opacité pulmonaire basale droite compatible avec un foyer infectieux. • Pas d'épanchement pleural. • Discopathie pluri-étagée du rachis dorsal. Fonctions pulmonaires du 20.02.2019 : VEMS/CVF à 44 avec VEMS à 24 % du prédit, non réversible avec bronchodilatateurs. Radiographie du thorax du 21.02.2019 : par rapport au comparatif, majoration des infiltrations alvéolo-interstitielles bilatérales, plus marquées aux bases parlant pour une progression de la maladie infectieuse. • Pas d'épanchement pleural. • Le reste de l'examen est superposable. Laboratoires : cf copie annexée. ECG du 10.02.2019 : RSR à 91/min, PR 136 ms, bloc de branche droit complet avec axe de QRS à 34°, QTc 454 ms. RX thorax du 10.02.2019 : absence d'un bon inspirium. • Important épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. • Aorte déroulée et calcifiée. Laboratoires : cf copies annexées. Laboratoires : cf copies annexées. Laboratoires : cf copies annexées. Laboratoires : cf copies annexées. Laboratoires : cf copies annexées. • Hémocultures : négatives. RX thorax de face et profil du 21.01.2019 : la qualité de l'examen est limitée par un cliché de face surexposé, surtout au niveau de la base pulmonaire droite. • Cœur de taille à la limite supérieure de la norme avec un déroulement et des calcifications de l'aorte, sans signe d'insuffisance cardiaque. • Multiples épaississements bronchiques, avec une augmentation de la trame rétrocardiaque pouvant correspondre à un foyer pulmonaire débutant, à confronter avec la clinique. • Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal en relation avec l'âge du patient avec des tassements entre D9 et D11 d'allure ancienne. CT cérébral natif du 21.01.2019 : conclusion : signes d'atrophie cérébrale et cérébelleuse majeurs. • Leucopathie vasculaire. Tests de la cognition du 28.01.2019 : MMSE à 14/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. • Antigènes urinaires : négatifs. ECG du 11.01.2019 : rythme sinusal régulier, axe hypergauche, fréquence cardiaque à 60 battements par minute, bloc atrioventriculaire du premier degré, bloc de branche droit complet, ondes T négatives en D3. ECG du 12.01.2019 : RSR à 70 bpm, PR à 220 ms, QRS aux limites supérieures de la norme avec un axe hypergauche°, QTc à 470 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques, ondes T négatives en D3. RX thorax du 11.01.2019 : • Cardiomegalie modérée avec un déroulement de l'aorte thoracique ainsi qu'une petite augmentation de la trame péri-hilaire des deux côtés, pouvant traduire une insuffisance cardiaque modérée, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire, ni d'épanchement pleural. • Déminéralisation osseuse diffuse avec un tassement cunéiforme de L2 d'allure ancienne. RX thorax du 17.01.2019 : • Élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. • Aorte déroulée et calcifiée. • Épanchement pleural bilatéral prédominant à droite avec troubles ventilatoires. • Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. Tests de la cognition du 15.01.2019 : MMSE à 23/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 10/30. Laboratoires : cf copies annexées. • Antigènes urinaires : négatif. • Hémocultures : négatives. RX thorax de face du 19.01.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. • Aorte déroulée calcifiée. • Pas d'épanchement pleural visible. Laboratoires : cf copies annexées. • Calprotectine dans les selles : négative.Hémocultures : négatives. ECG du 21.01.2019 : flutter à 100 battements par minute, QRS fins avec un axe à 5°, QTc à 490ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. RX thorax de face et profil du 21.01.2019 : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Aorte déroulée calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire bien visible sur le cliché de profil. Tests de la cognition du 25.01.2019 : MMSE à 29/30, test de la montre à 4/7 ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 05.02.2019 : rythme sinusal régulier à 100 bpm, PR 152 ms, QRS fin avec un axe hypergauche, ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, pas d'onde T négatives, extrasystole supraventriculaire, QTc 457 ms. RX thorax du 05.02.2019 : par rapport au comparatif du 16.10.2018, on retrouve une cardiomégalie modérée avec des épaississements bronchiques et une augmentation de la trame broncho-vasculaire péri-hilaire ddc. L'hémi-coupole diaphragmatique gauche est un peu moins bien visible dans sa partie interne, pouvant correspondre à un infiltrat postéro-basal gauche. On retrouve le status post-mise en place du cathéter de dialyse par abord jugulaire interne droit avec extrémité dans l'oreillette droite. Pas d'épanchement pleural. Calcifications et déroulement de l'aorte thoracique. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 06.02.2019 : rythme sinusal régulier, axe gauche, fréquence cardiaque à 75 battements par minute, RR en D2, D3 et aVF, ondes T plates en D3, plusieurs extrasystoles supra-ventriculaires. US abdomen supérieur natif du 08.02.2019 : conclusion : examen mettant en évidence une masse pancréatique à cheval entre la tête, l'isthme et le corps, suspecte pour une néoplasie, sans compression des voies biliaires et avec une veine porte qui reste perméable. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 12.01.2019 : rythme sinusal régulier à 75/min, axe vertical, onde Q en D3, QRS fins, ondes T plates en V6, pas d'autre trouble de la repolarisation. ECG du 13.01.2019 : rythme sinusal à 76 bpm, PR 146 ms, QRS fins à 92 ms, QTc à 394 ms. Axe du QRS normal à 26 degrés. Pas d'onde Q, ondes T plates en V4 et négatives en V5-V6. ECG du 16.01.2019 : rythme sinusal à 95 bpm, PR 138 ms, QRS fins à 94 ms, QTc à 446 ms. Axe du QRS normal à 41 degrés. Pas d'ondes Q. Coronarographie - Dr. X - du 12.01.2019 : lésions bitronculaires avec sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). Sténose significative de la première diagonale. Sténose significative de la première marginale. Succès d'angioplastie de la première marginale. Implantation de 1 stent actif. Succès d'angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Implantation de 1 stent actif. Succès d'angioplastie de la première diagonale. Implantation de 1 stent actif. Échocardiographie transthoracique - Dr. X - du 12.01.2019 : cf copie annexée. RX thorax du 14.01.2019 : absence d'un bon inspirium. Aorte déroulée et calcifiée. Troubles ventilatoires en bande des deux bases pulmonaires avec épaississement de la trame bronchovasculaire au niveau basal droit. RX thorax du 16.01.2019 : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Par rapport au comparatif du 14.01.2019, on retrouve une lésion en bande à la base gauche, séquellaire, ainsi que quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax visualisé. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 17.01.2019 : rythme régulier à 78/min, PR 182 ms, QRS fin avec un axe normal à 39°C, aspect de bloc de branche gauche incomplet connu, ST isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition en V2, QTc 434 ms. OGD - Dr. X - du 18.01.2019 : 3 ulcères gastriques dans l'antre de l'estomac, sans signe d'hémorragie active. Hernie hiatale modérée et œsophagite de reflux de stade I. Test rapide H. Pylori négatif. DAP, antre estomac - Promed P2019.760 - du 21.01.2019 : gastrite antrale subaiguë et chronique, active, d'intensité significative, avec la présence de nombreux Helicobacter pylori, HP +++ (une biopsie muqueuse antrale). Pas de granulome. Pas d'atrophie glandulaire. Pas de métaplasie intestinale ni de signe de dysplasie ou de malignité. Laboratoires : cf copies annexées. • Gazométrie : cf copies annexées. ECG le 05.02.2019 : rythme sinusal régulier à 90 battements par minute, avec QRS fins, axe à -20°, QTc à 440ms, bonne progression de l'onde R avec transition en V3, ST isoélectriques sans signe d'ischémie active. ECG du 12.02.2019 : superposable au précédent. RX thorax le 05.02.2019 : élévation de la coupole diaphragmatique droite connue. Présence de quelques troubles ventilatoires para cardiaque gauche. Pas de foyer. Pas d'épanchement significatif. Silhouette cardiaque non évaluable en raison de la position couchée. Cadre osseux et tissus mous inchangés. CT Cérébral natif le 05.02.2019 : pas d'hémorragie intra ou extra-axiale ni effet de masse ni déviation de la ligne médiane. Atrophie cortico-sous-corticale diffuse supra- et infra-tentorielle avec élargissement ex-vacuo du système ventriculaire consécutif. Système ventriculaire symétrique. Citernes de la base libres. Noyaux gris centraux et selle turcique sans particularités. Sinus de la face et cellules pétro-mastoïdiennes bien pneumatisés. St/p phakectomie des deux côtés. CT thoraco-abdominal natif le 05.02.2019 : en fenêtre médiastinale, pas d'adénopathie des relais axillaires, thoraciques internes, médiastinaux ou hilaires. Pas d'épanchement pleural ni péricardique. Athéromatose calcifiée de l'aorte et des artères coronaires. Calcifications de la valve mitrale. Aspect spontanément hyperdense de la paroi aortique évoquant une anémie. Thyroïde et œsophage sans particularité. En fenêtre parenchymateuse, pas de pneumothorax. Pas de foyer. Nodule de 6mm du segment postérieur du lobe supérieur droit. Granulomes calcifiés non suspects. Surélévation de la coupole diaphragmatique et atélectases en bande en base droite (déjà présente en 2017). Discret épaississement péri-bronchique. Pas de liquide libre. Pas de pneumopéritoine. Pas de lésion du parenchyme hépatique. Vésicule biliaire sans calcul radio-opaque ni signe de cholécystite. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extrahépatiques. Surrénales, rate et pancréas sans particularité. Quelques calcifications pancréatiques. Petite rate accessoire sur le bord postérieur de la rate. Kyste cortical simple du pôle inférieur du rein droit. Kyste de la lèvre antérieure du rein gauche spontanément hyperdense évoquant un contenu hémorragique ou protéique. Pas de dilatation des voies excrétrices. Vessie aux parois fines. Prostate agrandie. Pas d'anomalie du tractus digestif. Athéromatose calcifiée de l'aorte et de ses branches. Tests de la cognition du 11.02.2019 : MMSE à 18/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 0/15. Examen neuropsychologique prévu le 21.02.2019 à 13h30 à l'HFR Riaz : le rapport vous parviendra. Laboratoires : cf copies annexées. • Gazométrie du 11.02.2019 à l'air ambiant : pH à 7.48, SpO2 à 94%, pO2 à 8.2kPa, pCO2 à 4.8kPa, HCO3 à 96mmol/l. ECG du 31.01.2019 : rythme sinusal à 53 battements par minute, axe gauche à -40°, bloc auriculoventriculaire du 1er degré, troubles de la repolarisation aspécifique de V1 à V2 (déjà présent au ECG de 2011). ECG du 08.02.2019 : rythme sinusal à 50 battements par minute, axe gauche, bloc auriculoventriculaire du 1er degré, troubles de la repolarisation aspécifique de V1 à V2 (déjà présent à l'ECG de 2011).RX thorax de face du 30.01.2019 : radiographie effectuée en position couchée : cardiomégalie. Déroulement de l'aorte. Flou péri-hilaire pouvant entrer dans le cadre d'une insuffisance cardiaque décompensée. Epanchements pleuraux bilatéraux avec condensation bibasale. Epanchement scissural à droite. Le tout fait évoquer une insuffisance cardiaque décompensée avec des atélectasies passives ddc. Une surinfection n'est pas exclue. Cadre osseux sans particularité. Tests de la cognition du 01.02.2019 : MMSE à 26/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 0/15. Test de Schellong du 12.02.2019 : négatif. Laboratoires : cf copies annexées. • Hémocultures : négatives. • Antigènes urinaires : négatifs. RX du thorax de face le 07.02.2019 : absence d'un bon inspirium. Epaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Hypoventilation basale gauche. RX du 1er orteil du pied droit le 08.02.2019 : pansement en projection de l'hallux. Remaniement arthrosique dégénératif sésamoïdo-métatarsien I. Actuellement, pas de zone d'ostéolyse focale de réaction périostée ou de destruction osseuse visible en projection de P1 et P2 parlant pour une ostéomyélite compliquée. Absence de corps étranger radio-opaque en projection des parties molles, restant à confronter à la localisation précise de la plaie. Bilan angiologique du 13.02.2019, Dr. X : pas d'artériopathie majeure au niveau des artères jambières, pas de contre-indication à contention contre oedèmes. Consilium de diabétologie du 12.02.2019, Dr. X : votre patient présente un diabète de type 2 dans le contexte d'un syndrome métabolique, actuellement en déséquilibre hyperglycémique. Vous avez arrêté son traitement par Kombiglyze XR Ret et introduit un traitement par Lantus 40UI, un schéma de correction par Humalog et Metformine 1000 2x/j. Par ailleurs, selon votre description, la patiente prenait du Suliqua 100/50, 40UI le matin (mélange de Lantus et GLP-1 analogue). Pour cela le Kombiglyze n'est pas associé mais seulement remplacé par la Metformine 500 2x/j. Nous vous proposons d'introduire également un schéma de correction fixe par Humalog 10UI-6UI-6UI. En ce qui concerne le suivi des complications, nous proposerions : • Rétinopathie : suivi 1x/an chez l'ophtalmologue • Contrôles podologiques : suivis réguliers • Cardiovasculaire : bilan lipidique avec cible LDL cholestérol <1.8 mmol/l et TA <130/80 mmHg. • Dépistage de néphropathie diabétique avec un rapport micro-albuminurie/créatininurie à distance de l'épisode aigu Nous suivrons les glycémies durant l'hospitalisation et si nécessaire adapterons le traitement. Une infirmière passera le mardi 12.02.2019 pour les techniques d'injections. A disposition. Cf rapport annexé. Evaluation neuropsychologique le 07.02.2019, Mme. Y : examen neuropsychologique mettant en évidence au premier plan, un dysfonctionnement exécutif (incitation, programmation, inhibition, abstraction, jugement, récupération en mémoire à long terme), des difficultés mnésiques antérogrades légères alors que la mémoire d'éléments jugés importants est meilleure (AVQ, famille, motif d'hospitalisation) et un ralentissement idéomoteur. Au questionnaire de Silberfeld adapté à la question du retour à domicile, la patiente affirme vouloir rentrer à domicile et n'y avoir aucun risque de nouvelles chutes (alors qu'elle se décrivait comme inquiète et plus craintive quant au risque de tomber), signalant sa famille comme peu inquiète. Au vu de son discours ambivalent vis-à-vis de son retour à domicile et des difficultés exécutives (notamment de jugement et d'abstraction), d'un point de vue strictement neuropsychologique, la capacité de discernement concernant le choix du lieu de vie est abaissée. Cf rapport annexé. Tests de la cognition du 11.02.2019 : MMSE à 19/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 2/15. Laboratoires : cf copies annexées. • Hémocultures : négatives. • Antigènes urinaires : positifs pour pneumocoque. • Urotube : contaminé. ECG le 02.02.2019 : rythme sinusal régulier à 74 battements par minute, PR à 160 msec, QRS fin à 90 msec, axe à 13°. Transition de l'onde R en V2. Pas d'onde Q. Absence de troubles de la repolarisation. QTc à 476 msec. Rx thorax le 02.02.2019 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme en tenant compte de la position couchée avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. Multiples épaississements bronchiques, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire. RX colonne dorsale-lombaire le 02.02.2019 : lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal en relation avec l'âge de la patiente avec des réactions ostéophytaires intersomatiques prédominantes du côté droit. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Colonne lombaire : tassement biconcave de L1 et dans une moindre mesure L2, d'allure ancienne. Petit antérolisthesis de niveau L3-L4 ainsi que discopathie sévère de niveau L4-L5. Arthrose des facettes articulaires postérieures. CT crâne 02.02.2019 : absence de saignement intracrânien. Pas de fracture. RX thorax le 11.02.2019 : pas de foyer pneumonique visible. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Ectasie et sclérose de l'aorte thoracique inchangées. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Pas de foyer pneumonique visible. Remaniements dégénératifs de l'articulation AC des deux côtés et calcifications en surprojetant les tendons de la coiffe des rotateurs, surtout à gauche et, dans une moindre mesure, à droite (suspicion de tendinopathie calcifiante des tendons de la coiffe des rotateurs). RX colonne vertébrale le 12.02.2019 : • Colonne cervicale : cinq vertèbres cervicales visibles sur l'incidence de profil. Importante cervico-discarthrose pluri-étagée associant pincements intersomatiques, réactions dégénératives interfacettaires postérieures bilatérales avec atteinte marquée et uncarthrose en C5-C6, C6-C7, C7-D1. Absence de côte cervicale. Pas de fracture. • Colonne dorsale : lésions dégénératives ostéophytaires antérieures marquées au niveau médio-dorsal. Pas de tassement des corps vertébraux dorsaux. Déminéralisation osseuse avec aspect discrètement peigné des corps vertébraux. Pédicules, apophyses épineuses tous visibles, alignés. • Colonne lombaire : en confrontation avec les radiographies standards du 02.02.2019, le CT-scanner abdominal du 25.07.2018, on retrouve un aspect concave des plateaux supérieurs de L1 et L2 en faveur de fractures/tassements ostéoporotiques anciens. Aspect concave du plateau supérieur de L4 d'allure ancienne, mais toutefois ultérieure au mois de juillet 2018. Discret antélisthésis L3/L4 de nature dégénérative. Arthrose interfacettaire postérieure bilatérale pluri-étagée prédominant aux trois derniers espaces intersomatiques lombaires, sans lyse isthmique visible. Arthrose inter-épineuse postérieure/Baastrup. Sclérose aortique. Tests de la cognition du 06.02.2019 : MMSE à 28/30, test de la montre à 7/7 ; GDS à 1/15. Laboratoires : cf copies annexées. Hémocultures : négatives. ECG du 24.01.2019 : rythme sinusal régulier à 60/min, normo-axé, PR 156 ms, QRS fins, transition de l'onde R en V5, ST iso-électrique, QTc 392 ms. Laboratoires : cf copies annexées. • Hémocultures : négatives • Sédiment urinaire : propre ECG du 14.01.2019 : rythme irrégulier, normocarde à 85 battements par minute, axe normal à -11°, QRS fins à 78 ms, segment ST isoélectrique. RX bassin et hanche gauche : pas de fracture visualisée. RX genou gauche : pas de fracture. RX thorax : pas de signe de surcharge hydrique ou de foyer. US parties molles membre inférieur gauche : déchirure musculaire profonde au niveau des adducteurs.Tests de la cognition du 15.01.2019 : MMSE à 20/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 7/30. Laboratoires : cf copies annexées. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. Hémocultures : négatives. ECG du 27.01.2019 : rythme sinusal avec extrasystoles auriculaires avec fréquence cardiaque à 115/min, QRS fins, pas de sus- ni de sous-décalage du segment ST, ondes T négatives en aVL, QTc à 417 ms. Laboratoires : cf copies annexées. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoques : positive pour Pneumocoques. Hémocultures : négatives. RX thorax du 21.01.2019 : cœur de taille dans les limites de la norme, avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. Petite surélévation de l'hémi-coupole diaphragmatique gauche qui est partiellement effacée, pouvant traduire un foyer pulmonaire basal du même côté, à confronter avec la clinique. RX thorax du 24.01.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Hypoventilation des deux bases pulmonaires avec foyer de condensation au niveau basal gauche. Épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Laboratoires : cf copies annexées. Recherche Entérocoques vanco R rectum : négative. RX thorax du 23.01.2019 : composante d'épanchement pleural bilatéral de faible abondance prédominant à droite avec troubles ventilatoires. Épaississement scissural à droite. Épaississement marqué de la trame bronchovasculaire. Port-à-cath en place. ASP du 27.01.2019 : coprostase diffuse, prédominant au niveau du côlon ascendant. Pas de signe d'iléus grêle en position couchée. Plusieurs opacités de tonalité calcique en projection du pelvis, pouvant correspondre à des ganglions calcifiés (versus des îlots d'os compact pour celles en projection du sacrum). Laboratoires : cf copies annexées. RX thorax du 05.02.2019 : comparatif du 21.01.2019. Silhouette cardiaque à la limite supérieure de la norme. Sclérose, élongation et déroulement de l'aorte thoracique descendante. Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Status post prothèses mammaires ddc. Le compartiment osseux est inchangé. Arthrose acromio-claviculaire à droite. Laboratoires : cf copies annexées. • Sédiment urinaire : cf copies annexées. • Antigènes urinaires : négatifs RX thorax du 27.02.2019 : par rapport au comparatif du 19.01.2019, nous retrouvons une asymétrie des plages pulmonaires en défaveur du côté droit. Nous visualisons actuellement un infiltrat interstitiel diffus au niveau de la plage pulmonaire droite, pouvant correspondre à une pneumonie, à confronter avec la clinique. Cardiomégalie modérée avec un déroulement de l'aorte thoracique. Quelques troubles ventilatoires à la base droite avec une petite réaction au niveau de la petite scissure. IRM cérébrale du 29.01.2019 : épaississement pachyméningé diffus, avec des épaississements un peu plus marqués de la région fronto-pariétale gauche et pariétale droite proches du vertex, inchangés par rapport au mois de septembre 2018. Ces altérations doivent correspondre en premier lieu à une atteinte métastatique méningée (carcinose pachyméningée) plutôt qu'à une atteinte post-traumatique (ces lésions ne présentent pas les caractéristiques IRM d'hématomes sous-duraux). Mise en évidence de 2 petites lésions focales intra-axiales, l'une dans le gyrus frontal moyen à droite, l'autre dans le gyrus post-central droit de siège cortical devant correspondre en premier lieu, au vu du contexte oncologique, à des métastases corticales. Une prise de contraste de la calotte crânienne pariétale droite proche de la lésion pachyméningée faisant évoquer une métastase osseuse du crâne. Laboratoires : cf copies annexées • Sédiment urinaire : cf copies annexées • Hémocultures : négatives. Cf copies annexées ECG du 26.01.2019 : rythme sinusal régulier à 80 battements par minute, PR à 200 ms, QRS fins avec un axe à 0°, QTc à 450 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, présence d'extrasystoles auriculaires, absence d'ondes Q pathologiques. RX thorax du 26.01.2019 : cœur de taille à la limite supérieure de la norme en tenant compte de la position couchée. Quelques épaississements bronchiques avec une petite augmentation de la trame broncho-vasculaire péri-hilaire, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec ostéophytose intersomatique avancée dans la partie inférieure. CT abdominal du 26.01.2019 : malheureusement, le patient étant dément, l'examen a été de qualité très limitée avec d'importants artéfacts de mouvements. Pas de dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Il n'est pas possible d'étudier correctement les voies biliaires extra-hépatiques, notamment clairement leur taille, leur contenu et leur prise de contraste, en cas de nécessité, nous recommandons la réalisation d'un examen sous sédation (ou une échographie). Calcul radio-opaque objectivé dans la vésicule biliaire. Il n'est pas possible d'évaluer correctement la paroi de la vésicule biliaire, à confronter à une échographie. Tests de la cognition du 31.01.2019 : MMSE à 13/30, test de la montre refusé ; GDS refusé. Évaluation neuropsychologique du 07.02.2019 : examen neuropsychologique compatible avec un état confusionnel aigu mettant en évidence une désorientation temporelle, spatiale et personnelle, des difficultés très sévères de compréhension orale, un discours peu informatif et mal construit avec propos incohérents, un déficit praxique constructif, de sévères difficultés mnésiques antérogrades et un dysfonctionnement exécutif massif sur le plan cognitif et comportemental (persévérations), avec atteinte du raisonnement. Au vu de l'atteinte cognitive très sévère compatible avec un état confusionnel aigu, d'un point de vue strictement neuropsychologique, la capacité de discernement concernant le choix du lieu de vie est altérée à ce jour. Les troubles cognitifs très importants peuvent entraver l'ensemble des activités de la vie quotidienne. Un bilan d'évolution à distance de l'épisode aigu pourrait être indiqué. Cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. • Sédiment urinaire : cf copies annexées. ECG du 18.01.2019 : rythme sinusal et régulier à 90 battements par minute, axe QRS à -40°, PR 160 ms, QRS 70 ms, QTc 430 ms, segment ST isoélectrique, onde T physiologique. RX thorax de face du 18.01.2019 : par rapport au comparatif du 16.08.2015, l'hémi-coupole diaphragmatique gauche est moins bien délimitée, pouvant correspondre à un foyer, un épanchement pleural ou à une atélectasie à ce niveau. Cardiomégalie modérée en tenant compte de la position couchée. Petite augmentation de la trame bronchovasculaire vers les apex pouvant correspondre à une insuffisance cardiaque, à confronter avec la clinique. Tests de la cognition : non effectués par refus du patient. Laboratoires : cf copies annexées. • Sédiment urinaire : Leuco +++, <3 leucocytes par champ • Urotube : 10E6 Staph. haemolyticus. ECG du 12.01.2019 : rythme sinusal régulier normocarde à 84 battements par minute, axe normal à 12°, QRS fins à 100 ms, signe d'hémibloc antérieur en V2 déjà connu, ST isoélectrique, QTc à 476 ms. RX poignet droit 12.01.2019 : poignet droit : calcifications en projection du ligament triangulaire du carpe compatibles avec une chondrocalcinose avec également une rhizarthrose ainsi que des calcifications artérielles déjà avancées, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. RX thorax de face et profil du 12.01.2019 : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement et des calcifications de l'aorte. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec ostéophytose intersomatique avancée.Tests de la cognition du 17.01.2019 : MMSE à 29/30, test de la montre à 7/7 ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. • Sédiment urinaire : propre. ECG du 01.02.2019 : fibrillation auriculaire normocarde à 72 battements par minute, bloc de branche droit connu, segment ST isoélectrique, onde T négative en V1. RX thorax de face et profil du 01.02.2019 : cardiomégalie modérée avec un déroulement de l'aorte thoracique, sans signe d'insuffisance cardiaque. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Tests de la cognition du 04.02.2019 : MMSE à 26/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 2/15. Test de Schellong des 05.02.2019 et 09.02.2019 sans bas : positifs. Test de Schellong du 10.02.2019 avec bas : positif. Laboratoires : cf copies annexées. • Sédiment urinaire • Urotube : Escherichia Coli • Hémocultures : propres ECG du 07.02.2019 : rythme sinusal régulier à 76 battements par minute, PR inférieur à 200ms, QRS fins à -30°, QTc à 402ms. Transition de l'onde R retardée en V5. Tests de la cognition du 10.02.2019 : MMSE à 19/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 4/15. Laboratoires : cf copies annexées. • Spot urinaire : fraction d'excrétion de l'urée à 30.8% (pré-rénale) • Sédiment urinaire : leucocytes incomptables, érythrocytes 3.5/champs, nitrites négatifs • Résidu post mictionnel : 0ml • Culture d'urines : E. coli multisensible ECG du 02.02.2019 : fibrillation auriculaire connue normocarde à 85 battements par minute, QRS fin d'axe limite hyper G (-28°), segment ST isoélectrique, onde T négative en V1. RX thorax de face du 02.02.2019 : similaire au comparatif, hormis une augmentation de l'opacité rétrocardiaque en base droite : description : par rapport au comparatif du 22.07.2016, nous retrouvons des calcifications ainsi qu'un important déroulement de l'aorte thoracique. Surélévation de l'hémi-coupole diaphragmatique gauche, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. RX et CT de la cheville et du pied gauches du 02.02.2019 : fracture plurifragmentaire intra-articulaire de la base du 5ème métatarse. Fracture multifragmentaire diaphyso-métaphysaire distale des métatarses 3 et 4. Avulsion d'un fragment cortical de la partie antéro-supérieure du talus, témoignant d'une atteinte de l'articulation de Chopart, associée à un épanchement au sein de l'articulation talo-naviculaire. Status après ancienne arthrodèse métatarso-phalangienne du 1er rayon, avec débord de vis dans les parties molles, et ostéosynthèse par vis de la tête du 2ème métatarse. Infiltration des tissus mous en regard des fractures. L'examen a été réalisé à l'hôpital de Riaz et interprété en téléradiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg, avec transmission des résultats par téléphone au médecin en charge de la patiente. Tests de la cognition du 05.02.2019 : MMSE à 25/30, test de la montre à 3/7 ; GDS à 4/15. Laboratoires : cf copies annexées. • Stix et sédiment urinaires : érythrocytes et leucocytes : moins de 3 par champs. ECG du 19.01.2019 : rythme sinusal régulier à 80 battements par minute, pas de bloc atrioventriculaire, QRS fin d'axe normal à 10°, segment ST isoélectrique, onde T négative. RX du thorax du 19.01.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Troubles ventilatoires en bandes des deux bases pulmonaires. RX hanche droite et bassin 19.01.2019 : pas d'image de fracture décelable. Coxarthrose bilatérale. Aspect ostéopénique de la trame osseuse. Aspect déminéralisé par ailleurs hétérogène de la branche ischio-pubienne gauche. CT cérébral le 19.01.2019 : petits hématomes sous-duraux d'allure récente dans les régions précentrales des deux côtés. Pas de fracture des os du crâne ou du massif facial. CT cérébral le 21.01.2019 : collection hématique sous-durale frontale gauche de 4.8mm en discrète régression et hématome sous-dural pariétal droit de 5mm, relativement inchangé. Laboratoires : cf copies annexées. • Stix/sédiment urinaire : leucocytes, nitrites sang : négatif. • Spot urinaire : fraction excrétion de l'urée : 25.24% --> I rénale pré rénale. ECG du 11.01.2019 : rythme de pacemaker. RX thorax : cardiomégalie, signes de surcharge bronchogramme, pas de foyer visualisé. Laboratoires : cf copies annexées. • Urotube : contaminé. ECG du 29.01.2019 : rythme sinusal irrégulier, normocarde à 52 battements par minute, axe gauche à -26°, QRS fins à 86ms, segment ST isoélectrique, transition de l'onde R précoce en V5. QTc à 475ms. RX thorax de face du 29.01.2019 : par rapport au comparatif du 29.05.2018, nous retrouvons le status après sternotomie avec de multiples clips chirurgicaux en projection du médiastin, évoquant un status post-pontage. Nous retrouvons aussi une cardiomégalie modérée et visualisons actuellement un effacement du bord gauche du cœur, pouvant correspondre à un foyer pulmonaire. Déroulement de l'aorte thoracique. Tests de la cognition du 05.02.2019 : MMSE à 14/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 5/15. Laboratoires : cf. copies annexées. Urotube : positif pour E. coli et S. agalactiae. Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque : négative. Sérologie Echinococcose : aucun anticorps spécifique pour Echinococcus spp détectable. ECG du 11.01.2019 : rythme sinusal régulier à 63/min, PR 150 ms, QRS fins avec un axe normal à 7°, pas d'onde Q pathologique, ST isoélectrique, progression de l'onde R avec une transition précoce en V2, QTc 465 ms, pas de signe d'hypertrophie ventriculaire gauche. Laboratoires : cf copies annexées. Consilium neuropsychologique du 31.01.2019 : cf copies annexées. Tests cognitifs du 01.02.2019 : MMSE à 27/30, test de la montre à 7/7 ; GDS à 5/15. Laboratoires : cf copies annexées. Coronarographie du 11.02.2019, HFR Fribourg - Hôpital cantonal : coronaires normales. Fonction systolique un peu diminuée avec FEVG calculée à 45%. Cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. CT cérébral 05.02.2019 : pas d'hémorragie intra ou extra-axiale ni effet de masse ni déviation de la ligne médiane. Système ventriculaire symétrique. Citernes de la base libres. Hypodensités devant correspondre à une leucoaraïose péri-ventriculaire. Selle turcique partiellement vide. Noyaux gris centraux sans particularité. Épaississement muqueux de la base du sinus maxillaire gauche et kyste de rétention du sinus maxillaire droit. Autres sinus de la face et cellules pétro-mastoïdiennes bien pneumatisées. Orbites sans particularités. Pas de fracture des os du crâne. Pas de lésion lytique ou condensante suspecte. IRM colonne lombaire du 12.02.2019 : pincements intersomatiques, discopathies et lésions dégénératives ostéophytaires pluri-étagés du rachis lombaire. Tassement récent du plateau supérieur de L4, sans recul du mur postérieur. Protrusion discale extra-foraminale droite L3-L4. RX colonne lombaire debout du 13.02.2019 : nous trouvons un aspect ostéopénique de la trame osseuse. Signe d'arthrose avancée avec ostéophytose marginale étagée antérieure et postérieure. Discarthrose avancée essentiellement en L4-L5 et L5-S1. On trouve la fracture-tassement essentiellement du plateau supérieur de L4 avec discret bombement du coin postéro-supérieur. Perte de la lordose anatomique avec rectitude rachidienne. Tests de la cognition du 06.02.2019 : MMSE à 27/29, test de la montre non effectué ; GDS à 8/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 01.02.2019 : fibrillation auriculaire à 70 battements par minute, QRS dans la norme avec un axe à 50°, QTc à 420ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques.RX thorax du 01.02.2019 : cardiomégalie avec dilatation des cavités gauches. Important déroulement athéromateux de l'aorte. Élargissement du médiastin supérieur avec déviation de la trachée sur la droite, diagnostics différentiels : goitre, adénopathie, masse. Absence de signe en faveur d'une décompensation cardiaque. Surélévation de la coupole diaphragmatique droite. Absence d'épanchement pleural significatif. Pas de foyer constitué. Spondylarthrose dorsale. Présence de deux structures de densité métallique longilignes en projection de l'hypocondre droit (status post cholécystectomie). CT thoracique du 06.02.2019 : pas de lésion focale suspecte parenchymateuse pulmonaire. Minime lame d'épanchement pleural à droite. Discrète dystélectasie lobaire moyenne. Aspect discrètement épaissi des parois de l'œsophage, diagnostic différentiel : inflammatoire (dans un contexte de reflux). Déviation du médiastin antéro-supérieur par une structure hétérogène polylobaire aux dépens du lobe thyroïdien gauche, faisant évoquer un goitre hétéro-nodulaire, plongeant dans le médiastin. Tests de la cognition du 04.02.2019 : MMSE à 26/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 5/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 02.02.2019 : fibrillation auriculaire, bloc de branche droit, QTc long à 502ms. RX thorax du 02.02.2019 : par rapport au comparatif du 20.06.2018, nous retrouvons une cardiomégalie modérée avec des calcifications et un déroulement de l'aorte ainsi qu'une surélévation de l'hémicoupole diaphragmatique gauche d'aspect superposable. Quelques épaississements bronchiques, mais pas d'image nette de foyer pulmonaire. Pour mémoire, status après mise en place d'un pacemaker unicaméral en position pectorale gauche. Scanner abdominal du 03.02.2019 : pas de franche masse décelée sur le cours des anses grêles ou coliques, sous réserve d'un examen non injecté. Diverticulose sigmoïdienne, sans argument en faveur d'une diverticulite. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 04.02.2019 : rythme sinusal régulier à 57 battements par minute, PR à 206 ms, QRS dans la norme avec un axe à 30°, QTc à 410ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Tests de la cognition du 10.02.2019 (séjour n°2) : MMSE à 27/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 1/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 05.01.2019 : rythme sinusal avec présence d'extra-systoles auriculaires, fréquence cardiaque à 77 battements par minute, un axe gauche à -41°, QRS fins, QTc à 448ms, pas de signes d'ischémie. RX bassin, hanche axiale droite et thorax de face du 05.01.2019 : • Thorax : cardiomégalie modérée avec un déroulement de l'aorte thoracique. Trouble ventilatoire à la base gauche, mais pas d'évidence de foyer pulmonaire. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal déjà avancées. • Bassin et hanche droite : status après mise en place d'une prothèse totale de hanche droite cimentée, d'aspect superposable au comparatif du 06.01.2017, sans lésion osseuse traumatique visualisée, mais corps osseux allongé d'environ 4cm de longueur se projetant en regard du petit trochanter gauche, d'origine indéterminée. CT cérébral natif du 06.01.2019 : conclusion : pas de lésion post-traumatique décelable, en particulier pas de saignement intracrânien. Méningiome calcifié temporal gauche avec hyperostose en regard. CT cérébral natif du 07.01.2019 : l'examen est superposable au comparatif de la veille avec notamment une atrophie cortico-sous-corticale en relation avec l'âge de la patiente, mais pas d'hémorragie intracrânienne, ni de signe d'AVC ischémique récent. RX bassin axial droit du 21.01.2019 : par rapport au comparatif du 05.01.2019, nous retrouvons un status après mise en place d'une prothèse totale de hanche droite, d'aspect superposable, sans signe de complication secondaire, ni lésion osseuse traumatique mise en évidence. Tests de la cognition du 10.01.2019 : MMSE à 23/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 5/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 05.02.2019 : rythme sinusal régulier à 93 battements par minute, QTc à 455ms, extrasystoles supraventriculaires, pas de trouble de la repolarisation. IRM colonne lombaire du 14.01.2019 : discopathies multi-étagées modérées avec, en L4-L5, une hernie discale récessale gauche luxée vers le bas venant au contact de la racine L5 gauche dans le récessus et comprimant cette dernière et pouvant expliquer les symptômes de la patiente. Rétrécissement absolu du neuroforamen L4-L5 gauche mais également, dans une moindre mesure, du neuroforamen L3-L4 gauche, potentiellement à l'origine des symptômes de la cuisse. Évaluation gérontopsychiatrique du 06.02.2019, Dr. X : cf rapport annexé. Tests de la cognition du 06.02.2019 : MMSE à 28/29, test de la montre à 6/7 ; GDS à 9/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 08.01.2019 : fibrillation auriculaire avec transmission ventriculaire moyenne, bloc de branche gauche complet et sous décalage ST de 2mm en D1 et aVL - superposable à l'ancien ECG. RX thorax en chambre du 08.01.2019 : cardiomégalie malgré la position couchée. Petite augmentation de la trame interstitielle périhilaire avec des épaississements bronchiques, pouvant traduire une insuffisance cardiaque débutante. Pas d'épanchement pleural notable. Tests de la cognition du 22.01.2019 : MMSE à 21/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 11.01.2019 : rythme sinusal à 85 battements par minute, QRS et QTc dans la norme ; pas de troubles de la repolarisation. Tests cognitifs du 15.01.2019 : MMSE à 16/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 15/30. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 12.02.2019 : superposable au comparatif du 19.01.2019, rythme de bigéminisme ventriculaire normocarde, axe hypergauche, QRS fins, pas de troubles de repolarisation ni de signes d'ischémie active. QTc 450ms. RX thorax de face et profil du 01.02.2019 : par rapport au 21.01.2019, nous constatons une diminution de l'épanchement pleural droit et pas de modification significative de l'épanchement pleural gauche. Pour le reste, l'examen est superposable avec une cardiomégalie, une petite redistribution de la trame broncho-vasculaire vers les apex ainsi que des épaississements bronchiques. Pour mémoire scoliose dextro-convexe à la jonction dorso-lombaire. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 13.01.2019 : rythme sinusal régulier, axe HG, fréquence 100 battements par minute, ondes P négatives en V1, QRS fins, sus décalage ST en V1-V5, ondes T négatives en aVL - superposable à l'ancien ECG. ECG du 19.01.2019 : rythme sinusal régulier avec bigéminisme, axe gauche, fréquence cardiaque à 108 battements par minute, ondes P négatives en V1, QRS fins, sus décalage ST en V1-V5, ondes T négatives en aVL. RX thorax du 13.01.2019 : cardiomégalie avec une redistribution de la trame bronchovasculaire vers les apex ainsi que des épaississements bronchiques et un épanchement pleural bilatéral prédominant du côté gauche, compatibles avec une insuffisance cardiaque. Nous visualisons également des infiltrats alvéolaires aux bases, pouvant correspondre à des atélectasies, toutefois une surinfection surajoutée n'est pas exclue, à confronter avec la clinique. RX thorax du 21.01.2019 : par rapport au comparatif du 13.01.2019, nous retrouvons une cardiomégalie avec une redistribution de la trame bronchovasculaire vers les apex ainsi que des épaississements bronchiques et des épanchements pleuraux, compatibles avec une insuffisance cardiaque. Nous retrouvons également des infiltrats alvéolaires aux bases pouvant correspondre à des atélectasies, le tout d'aspect superposable.Tests de la cognition du 22.01.2019 : MMSE à 25/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 7/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 18.01.2019 : rythme électro-entrainé avec réponse ventriculaire avec une fréquence cardiaque à 71 battements par minute. CT cérébral du 18.01.2019 : CT cérébral sans anomalie significative. RX de thorax de face et profil du 18.01.2019 : par rapport au comparatif du 18.07.2017, on retrouve un cœur de taille à la limite supérieure de la norme, sans signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Status après mise en place d'un pacemaker tri-caméral en position pectorale droite, avec une électrode non connectée, superposable. US abdominal complet du 18.01.2019 : status après hépatectomie droite, sans signe de récidive d'échinococcose au niveau du foie gauche restant. Test de Schellong du 18.01.2019 : négatif. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 18.01.2019 : rythme sinusal régulier à 68 battements par minute, PR à 230 ms, QRS dans la norme avec un axe à 50°, QTc à 425 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Tests de la cognition du 20.01.2019 : MMSE à 27/30, test de la montre à 4/7 ; GDS à 4/15. Evaluation gérontopsychiatrique du 24.01.2019, Dr. X : cf rapport annexé. Test de Schellong : pathologique. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 20.01.2019 : rythme sinusal régulier à 71 battements par minute. QTc 459 ms. Pas de trouble de la repolarisation. ECG du 21.01.2019 : fibrillation auriculaire à 125 battements par minute. ECG du 23.01.2019 : retour en rythme sinusal à 70 battements par minute. RX bassin et hanche droite du 19.01.2019 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Coxarthrose bilatérale modérée en relation avec l'âge de la patiente, ainsi que calcifications artérielles. RX pied droit du 19.01.2019 : fracture de la base du 5ème métatarsien, peu déplacée. Hallux valgus. Scanner colonne totale 19.01.2019 : absence de comparatif. Étude de la colonne de C1 à L4. • Rachis cervical : pas de fracture et de luxation du rachis cervical. Importante lordose centrée sur C4. Arthroses atlanto-odontoïdienne et zygapophysaire pluri-étagée. Alignement préservé des murs vertébraux antérieur et postérieur, ainsi que de la ligne spino-laminaire. Hauteurs conservées des corps vertébraux et des disques intervertébraux. • Rachis thoraco-lombaire : pas de fracture récente. Perte de hauteur du plateau supérieur de L1, sans recul du mur postérieur, compatible avec un tassement d'allure ancien. Importants troubles dégénératifs du rachis thoracique et lombaire avec ostéophytes antérieurs et latéraux. Arthrose zygapophysaire pluri-étagée, avec syndrome de Baastrup au niveau lombaire. Alignement conservé des murs vertébraux antérieur et postérieur, hormis un discret antélisthésis de L4 sur L5 d'origine probablement dégénérative. À l'exception de la perte de hauteur de L1, hauteurs conservées des corps vertébraux. Discopathies pluri-étagées, prédominantes au niveau thoracique. • Pour le reste, status après sternotomie, avec fermeture par cerclages, pour un pontage aorto-coronarien. Importantes calcifications de l'aorte thoracique et abdominale, ainsi que des vaisseaux supra-aortiques. Calcifications coronaires tri-tronculaires, ainsi que des valves aortique et mitrale. Cardiomégalie. Dans le parenchyme pulmonaire, présence de quelques petits nodules, en partie calcifiés dans les lobes supérieurs et le lobe moyen, compatibles avec des granulomes. Pas d'épanchement pleural, ni de pneumothorax. Tests de la cognition du 25.01.2019 : MMSE à 26/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 5/15. Test de Schellong du 26.01.2019 : pas d'orthostatisme. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 21.01.2019 : rythme sinusal à 81 battements par minute, normoaxé, QRS fin, pas de trouble de la repolarisation, transition précoce de l'onde R. RX de la cuisse droite : verticalisation du col fémoral droit, sans lésion osseuse traumatique clairement visualisée. Coxarthrose bilatérale avec des pincements coxo-fémoraux prédominant dans les parties internes. RX du thorax : cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural visualisé en position couchée. Omarthrose bilatérale sévère avec pincement sous-acromial ddc, correspondant à des signes de déchirure des tendons des muscles sus-épineux. Hernie hiatale. RX pied entier droit du 21.01.2019 : hallux valgus avec un angle d'environ 70° et également des orteils en griffe, ainsi qu'une arthrose métatarso-phalangienne du 1er rayon, mais pas de lésion ostéolytique ou de réaction périostée pour des signes d'ostéomyélite. Consilium angiologique du 25.01.2019, Dr. X : nous constatons une perfusion à la limite de l'ischémie critique du membre inférieur droit sur une sténose de plus de 50% de l'artère fémorale superficielle moyenne/distale et une atteinte jambière diffuse. L'ulcère reste encore très superficiel, je propose de l'observer pendant une semaine et s'il n'y a pas de guérison, merci de me recontacter pour organiser une angiographie antégrade (à l'HFR Fribourg, peut se faire en ambulatoire, une feuille d'information a déjà été donnée à la patiente). Merci d'introduire un traitement par ASA (100 mg/j) et une statine avec valeurs cibles du LDL cholestérol inférieure à 1.8 mmol/l. Tests de la cognition du 28.01.2019 : MMSE à 25/30, test de la montre à 5/7 ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 21.01.2019 : rythme sinusal régulier à 100 battements par minute, PR à 200 ms, QRS dans la norme avec un axe à 0°, QTc à 450 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V4, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. CT abdominal natif et injecté du 23.01.2019 : maladie diverticulaire du côlon descendant sans signe de diverticulite aiguë. Pas d'air libre, pas de liquide libre en quantité significative, pas de signe de perforation. Pas de masse visible au sein du côlon. Présence d'une PEG dans l'estomac. Multiples lithiases rénales (deux dans les calices à droite et un dans les calices à gauche). Plusieurs kystes d'allure simple des reins le plus volumineux mesurant 9 cm dans le pôle supérieur du rein droit. Infiltration aspécifique de la graisse pré-sacrée sans visualisation de fracture de l'os sacrum. Discopathies lombaires basses. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 21.01.2019 : rythme sinusal régulier, fréquence cardiaque à 66 battements par minute, axe gauche, bloc atrioventriculaire du 1er degré, QRS fins, pas de troubles de la repolarisation. RX du thorax le 21.01.2019 : élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale. Hypertransparence pulmonaire bilatérale. Aspect désorganisé de la trame bronchovasculaire au niveau des deux bases pulmonaires. Troubles ventilatoires en bandes des deux bases pulmonaires. Hypercyphose dorsale. Tests cognitifs le 30.01.2019 : impossibles à effectuer au vu de l'état de démence avancée de la patiente. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 23.01.2019 : rythme sinusal à 61 battements par minute, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation. RX pied et cheville gauches 23.01.2019 : trait radio-transparent au niveau malléolaire interne pouvant cadrer avec une fracture. Aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Arthrose de l'arrière-pied. Scanner cheville gauche 26.01.2019 : fracture intra-articulaire de la malléole interne. Pas de luxation de l'articulation tibio-fibulo-talienne. Petits fragments en regard de la malléole postérieure (petites fractures récentes, anciennes ? Remaniement de type chondrocalcinose ?). Pas d'autre fracture. Tuméfaction des tissus mous péri-malléolaire interne.RX bassin et hanche le 05.02.2019 : comparatif du 16.08.2018. Nous retrouvons les remaniements osseux pot-radique avec destruction de la tête fémorale gauche. Intégrité de la tête fémorale droite. Tests de la cognition du 29.01.2019 : MMSE à 18/28, test de la montre à 0/7 ; GDS à 5/30. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 23.01.2019 : rythme sinusal régulier à 70 battements par minute, PR à 200 ms, QRS avec aspect de BBD en V1 avec un axe à -85°, QTc à 470 ms, bonne progression de l'onde R avec une transition en V3, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. US uro-génitale du 28.01.2019 : vessie en faible réplétion, aux parois discrètement irrégulières, probablement liées à l'absence de réplétion complète. Volume pré-mictionnel à 100 ml, résidu post-mictionnel à 20 ml, avec sensation de vidange complète par le patient. Pas d'hydronéphrose. Volume prostatique estimé à environ 22 cm³. Tests de la cognition du 26.01.2019 : MMSE à 29/30, test de la montre à 3/7 ; GDS à 1/15. Evaluation neuropsychologique du 31.01.2019 : cf rapport annexé. • Suivi neuropsychologique en ambulatoire le 25.04.2019. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 24.01.2019 : rythme sinusal régulier, normocarde à 69 battements par minute, axe normal à 76°, QRS fins à 102 ms, segment ST isoélectrique. Image de bloc de branche droit. QTc à 471 ms. RX thoracique du 24.01.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Épanchement pleural bilatéral de faible abondance. Hypoventilation des 2 bases pulmonaires. Scanner cérébral du 24.01.2019 : contusion hémorragique du lobe cérébelleux gauche avec hémorragie sous-arachnoïdienne en regard ainsi qu'également une composante sous-arachnoïdienne occipitale du même côté associée à une fracture occipitale, ainsi que contusion hémorragique frontale bilatérale associée à une hémorragie sous-arachnoïdienne correspondant à une lésion de contre-coup. Scanner cérébral de contrôle le 25.01.2019 : le présent examen est comparé au CT-scanner cérébral de la veille. Par rapport au comparatif, nous retrouvons les contusions hémorragiques associées à des hémorragies sous-arachnoïdiennes frontales antérieures en regard de l'ethmoïde ainsi qu'au niveau du lobe cérébelleux gauche avec également une composante sous-arachnoïdienne occipitale gauche, le tout d'aspect superposable. Pour mémoire, fracture occipitale gauche. Pour le reste, l'examen est également inchangé. Scanner cérébral injecté et scanner colonne cervicale du 26.01.2019 : comparatif CT cérébral du 25.01.2019 : examen cérébral superposable au comparatif du 25.01.2019 du point de vue hémorragique et fracturaire (cf descriptif) avec des sinus veineux perméables. Uncodiscarthroses cervicales étagées sans signe de fracture ou de luxation cervicale. Antécédent de fracture en cours de consolidation de l'arc postérieur de la 4ème côte gauche. Tests de la cognition du 28.01.2019 : MMSE à 26/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 9/30. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 25.01.2019 : rythme sinusal à 72 battements par minute, pas de signes d'ischémie active. Tests de la cognition du 01.02.2019 : MMSE 28/30, test de la montre à 7/7 ; GDS à 8/15. Consultation gérontopsychiatrique du 30.01.2019, Dr. X : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 25.01.2019 : rythme sinusal régulier à 100 battements par minute, PR à 140 ms, QRS aux limites supérieures de la norme avec un axe à 100°, QTc à 490 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. RX thorax du 25.01.2019 : cardiomégalie modérée, sans signe d'insuffisance cardiaque. Quelques épaississements bronchiques avec une augmentation de la trame sous-hilaire droite, mais pas d'image de franc foyer pulmonaire. Tests de la cognition du 28.01.2019 : MMSE à 21/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 1/15. Evaluation neuropsychologique du 31.01.2019 : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 26.01.2019 : rythme sinusal régulier à 66 battements par minute, PR à 165 ms, QRS fins avec un axe à -10°, QTc à 420 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. Tests de la cognition du 04.02.2019 : MMSE à 24/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 1/15. Test de Schellong : positif. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 27.01.2019 : rythme sinusal régulier à 81 battements par minute, bloc atrioventriculaire du 1er degré, QRS fins normoaxés, QTc à 433 ms, pas de trouble de la repolarisation. RX thorax du 27.01.2019 : cœur de taille dans les limites de la norme, en tenant compte de la position couchée, avec un déroulement et des calcifications de l'aorte, sans signe d'insuffisance cardiaque. Quelques épaississements bronchiques mais pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Tests de la cognition du 31.01.2019 : MMSE à 25/30, test de la montre à 7/7 ; GDS à 6/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 27.01.2019 : rythme sinusal régulier, avec fréquence cardiaque à 88 battements par minute, axe gauche, PQ 0.20 ms, QRS fins, pas de troubles de la repolarisation. Tests cognitifs du 29.01.2019 : MMSE à 18/30, test de la montre : non réalisable car pas de lunettes de vue (refusé par la patiente) ; GDS à 5/30. Laboratoires : cf copies annexées. ECG du 30.01.2019 : rythme sinusal régulier 98 battements par minute, axe normal, PQ 0.12 ms, QRS fin, pas de troubles de la dépolarisation. RX thorax en chambre le 30.01.2019 : importantes lésions d'infiltrat pulmonaire avec désorganisation de la trame broncho-vasculaire. Épanchement pleural bilatéral de faible abondance prédominant à gauche. Hypoventilation basale gauche. Aorte déroulée et calcifiée. Tests de la cognition du 31.01.2019 : MMSE à 26/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 2/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG le 10.02.2019 : fibrillation auriculaire avec un rythme normocarde, QRS fins normoaxés (-30°), QTc à 441 ms, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, présence d'une extrasystole. RX thorax le 10.02.2019 : lésions nodulaires d'allure métastatique bilatérales. Émoussement bilatéral du cul-de-sac costo-diaphragmatique. Aorte déroulée et calcifiée. Pas d'image de foyer pneumonique décelable. CT thoraco-abdomen le 12.02.2019 : épaississement pariétal du côlon ascendant pouvant faire évoquer une tumeur. Dans ce contexte, mise en évidence d'environ 24 lésions nodulaires parenchymateuses pulmonaires, les plus grandes mesurant environ 15 mm de diamètre, dans les deux poumons et faisant évoquer des métastases. Une structure hypodense de 7 mm du corps du pancréas aspécifique, diagnostic différentiel : kyste, diagnostic différentiel : IPMN. Volumineuse masse du lobe thyroïdien droit plongeant dans le médiastin antéro-supérieur, devant faire évoquer un goitre plongeant. Sinusopathie sphénoïdale d'allure chronique. Tests de la cognition du 13.02.2019 : MMSE à 30/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 0/15. Laboratoires : cf copies annexées. ECG le 25.01.2019 : rythme sinusal régulier 65 battements par minute, pas de trouble de la repolarisation. IRM colonne lombaire et sacrum du 15.01.2019, HFR Fribourg - Hôpital cantonal : image compatible avec une fracture par insuffisance du sacrum. Lésions dégénératives marquées de la colonne lombaire, superposables à celles visualisées sur l'IRM du 03.06.2016. Les neuroforamens sont fortement rétrécis surtout à gauche en L4-L5. Les neuroforamens à droite sont modérément rétrécis, sans véritable conflit disco-radiculaire visible.RX bassin et hanches du 21.01.2019, HFR Fribourg - Hôpital cantonal : pas de lésion osseuse traumatique visualisée, notamment au niveau du col fémoral et des branches ischio et ilio-pubienne du côté droit. CT bassin du 24.01.2019, HFR Riaz : fracture non déplacée des deux ailes sacrées avec aspect remanié de l'os, sans déplacement secondaire dd fracture sur ostéopénie, fracture pathologique ? Fracture ilio-pubienne droite, para-symphysaire non déplacée. Tests de la cognition du 02.02.2019 : MMSE à 29/30, test de la montre à 7/7 ; échelle de dépression gériatrique à 5/15. Laboratoires : cf copies annexées. Evaluation neuropsychologique du 14.02.2019 : cf copies annexées. Tests de la cognition du 20.02.2019 : MMS à 19/28 (écriture pas possible), test de la montre à 1/7 ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. Rapport de contrôle de pacemaker bicaméral du 12.02.2019, Dr. X : cf copies annexées. Tests de la cognition du 08.02.2019 : MMS à 30/30, test de la montre à 5/7 ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. RX cheville gauche et pied entier gauche du 14.02.2019 : fracture malléolaire interne en voie de consolidation. Pas de déplacement secondaire. Pas de signe de complication. Aspect ostéopénique de la trame osseuse. Hallux valgus. Enthésopathie d'insertion du tendon achilléen. Pas de signe de complication. Laboratoires : cf copies annexées. RX du bassin et des hanches du 28.01.2019 : prothèse totale de hanche droite en place. Pas de signe de fracture ou descellement. Coxarthrose à gauche avancée. Aspect très ostéopénique de la trame osseuse. RX de l'épaule droite du 28.01.2019 : ascension de la tête humérale. Omarthrose excentrée. Diminution de l'espace sous-acromial. Arthrose acromio-claviculaire. Tests de la cognition : MMS à 28/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 1/15. Laboratoires : cf copies annexées. RX jambe droite le 23.01.2019 : aspect modérément ostéopénique de façon homogène de la trame osseuse. Fines calcifications vasculaires distales de la jambe : médiacalcose. Epine calcanéenne. Pas d'anomalie suspecte de la trame osseuse. Tests de la cognition du 11.01.2019 : MMSE à 27/30 ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. RX thoracique du 17.01.2019 : cardiomégalie, sans signe de décompensation cardiaque. Absence d'opacité pulmonaire suspecte de foyer infectieux. Pas d'épanchement pleural. Scoliose en S du rachis, dextro-convexe à l'étage thoracique et sinistro-convexe à la jonction thoraco-lombaire. Suspicion de tassement de L1, à corréler à des clichés ciblés. RX coude gauche du 17.01.2019 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de fracture décelée. RX bassin du 17.01.2019 : fracture des branches ilio et ischio-pubienne gauches. Le reste de l'examen est superposable au comparatif avec un statut après enclouage centromédullaire du fémur proximal droit avec cerclages. Matériel intact, sans déplacement secondaire. Petit trochanter droit désolidarisé, de position inchangée. Coxarthrose bilatérale. Calcifications vasculaires. Scanner bassin et hanche 17.01.2019 : présence d'une fracture peu déplacée de la branche supérieure du pubis et bifocale peu déplacée de la branche inférieure du pubis à gauche. Fracture également non déplacée de l'aileron sacré gauche, sans extension neuroforaminale. Pas d'autre fracture visible. Bonne congruence articulaire. Aspect tuméfié des muscles obturateurs internes et externes en lien avec des hématomes ainsi que visualisation d'un hématome para vésical gauche mesurant approximativement 33 x 22 mm. Pas d'hémorragie active. Statut post-ostéosynthèse du fémur proximal droit avec matériel visualisé intact, sans évidence de fracture. Coxarthrose et arthrose sacro-iliaque bilatérale. Maladie de Baastrup. Pour le reste des structures analysables, on note une diverticulose pancolique sans signe d'inflammation. Infiltration athéromateuse de l'aorte abdominale et des troncs iliaques ddc, sans sténose significative. Tests de la cognition du 25.01.2019 : MMSE à 25/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. RX thorax de face du 19.01.2019 : aorte déroulée calcifiée. Pas d'épanchement pleural. Pas de foyer de condensation décelable. ECG du 19.01.2019 : rythme sinusal régulier à 80 battements par minute, PR à 190 ms, QRS aux limites supérieures de la norme avec un axe à -30°, QTc à 490 ms, présence d'extrasystoles auriculaires, ST isoélectrique sans signe d'ischémie active, absence d'ondes Q pathologiques. ECG du 20.01.2019 : comme le comparatif du 19.01.2019. Tests de la cognition du 28.01.2019 : MMSE à 10/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 1/15. Evaluation neuropsychologique du 24.01.2019 : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. RX thorax du 09.01.2018 : par rapport au comparatif du 05.01.2016, nous retrouvons une cardiomégalie modérée, sans signe d'insuffisance cardiaque en position couchée. Déroulement de l'aorte thoracique. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec ostéophytose intersomatique. Tests de la cognition du 15.01.2019 : MMSE à 20/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 5/15. Laboratoires : cf copies annexées. Test de la cognition : MMSE à 23/30, test de la montre à 7/7 ; GDS à 3/15. Laboratoires : cf copies annexées. Tests cognitifs réalisés le 04.01.2019 (séjour n°1) : MMSE 10/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 7/30. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition : MMSE à 29/30 ; GDS à 1/15. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition : non réalisés. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 06.02.2019 : MMS à 17/27, test de la montre non évaluable en raison des troubles visuels importants ; GDS à 7/15. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 10.02.2019 : MMSE à 28/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 1/15. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 10.02.2019 : MMSE à 29/30 ; GDS à 0/15. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 11.02.2019 : MMSE à 24/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 5/15. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 14.12.2018 (séjour précédent) : MMS à 27/30, test de la montre à 3/7. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 15.01.2019 (lettre n°1, séjour gériatrie aiguë) : MMSE à 9/30, test de la montre à 0/7 ; GDS non réalisable. Evaluation neuropsychologique du 24.01.2019 : cette brève évaluation neuropsychologique, limitée en raison de l'hypoacousie non appareillée, met en évidence une atteinte cognitive diffuse avec des difficultés de compréhension orale et écrite, des difficultés praxiques constructives, des troubles mnésiques antérogrades et des difficultés exécutives importantes, accompagnés d'un ralentissement idéomoteur (temps de latence, non réponses, difficulté d'initiation), une mimique et prosodie peu modulées, un regard fixe, un flou articulatoire, une voix tremblée, saccadée et hypophone, ainsi qu'une altération du graphisme. L'orientation temporelle et personnelle semble globalement préservée. Au vu du discours sur la situation et le projet médical, ainsi que des troubles exécutifs et de compréhension (avec altération du raisonnement), d'un point de vue strictement neuropsychologique, la capacité de discernement concernant le choix du lieu de vie est abaissée. cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 24.01.2019 : MMSE à 19/30 ; GDS à 8/15. Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 30.01.2019 : MMSE à 14/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 5/15.Laboratoires : cf copies annexées. Tests de la cognition du 31.01.2019 : MMSE à 12/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 4/15. Evaluation neuropsychologique du 07.02.2019 : cf rapport annexé. Laboratoires : cf copies annexées. US système urogénital le 31.01.2019 : reins de néphropathie chroniques avec multiples encoches corticales bilatérales. Pas de dilatation des cavités rénales. Calcul caliciel inférieur gauche de 6mm non obstructif. Laboratoires : cf. copies ci-jointes. RX thorax du 11.02.2019 : comparatif du 14.07.2018 : cardiomégalie connue, inchangée. Suspicion d'un épanchement pleural basal gauche modéré. Bronchogramme aérique de la région rétro-cardiaque pouvant faire évoquer une broncho-aspiration, déjà en partie visible sur la radiographie du 14.07.2018. Plage pulmonaire droite sans particularité. CT cérébral du 11.02.2019 : absence de saignement intra-crânien ou de fracture. Séquelles d'accident vasculaire cérébral ischémique sylvien superficiel gauche en fronto-temporal. EEG du 12.02.2019 (14h) : tracé de mauvaise qualité mais pas de signe de foyer épileptiforme. Laboratoires : cf. copies ci-jointes. Culture d'expectoration du 20.01.2019 : flore bucco-pharyngée +. Bactériologie du lavage broncho-alvéolaire du 20.01.2019 : Streptocoque groupe mitis, Streptocoque vestibularis, Candida albicans. Bactériologie du lavage broncho-alvéolaire du 22.01.2019 : bactériologie classique négative après 2 jours, champignons filamenteux négatifs à 14 jours, mycobactérie en cours. RX thorax du 19.01.2019 : élargissement global de la silhouette cardio-médiastinale. Epanchement pleural à gauche avec trouble ventilatoire. Epaississement bi-basal de la trame bronchovasculaire. RX thorax du 19.01.2019, 2ème cliché : par rapport au comparatif du même jour, on retrouve un épanchement pleural gauche d'aspect superposable. Pour le reste, l'examen est également superposable, notamment sans signe majeur d'insuffisance cardiaque. RX thorax du 20.01 + CT thoraco-abdominal du 20.01.2019 : épanchement pleural des deux côtés, plus marqué du côté gauche, avec des atélectasies de contact dans les deux lobes inférieurs et de la lingula présentant des signes de surinfection. Présence également de quelques opacités nodulaires spiculées du segment apical du lobe inférieur gauche et de la lingula parlant également pour une origine infectieuse mais dont un suivi scanographique est recommandé à distance pour exclure des vrais nodules. Pas de franche masse tumorale visible. Les ganglions médiastinaux légèrement augmentés parlent en premier lieu pour une origine réactionnelle. Sonde nasogastrique se terminant dans le duodénum. RX thorax du 29.01.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Epanchement pleural bilatéral de faible abondance prédominant à gauche. Hypoventilation bibasale. Epaississement et lésions d'infiltrat pulmonaire des deux bases pulmonaires. Laboratoires : cf. copies ci-jointes. Hémocultures : 2 paires négatives après 5 jours. ECG : rythme sinusal régulier à 106 bpm, PR 132 ms, QRS fins avec un axe normal, ST-isoélectrique, pas d'onde Q pathologique, progression de l'onde R avec une transition en V3, pas d'onde T négative, QTc 451 ms, pas de signe d'HVG. RX thorax du 05.02.2019 : morphologie cardio-pulmonaire dans les limites de la norme sans foyer parenchymateux systématisé, épanchement pleural ou lésion nodulaire suspecte de métastase dans le contexte carcinologique. PAC sous-clavier gauche en place. Squelette visible sans particularité. CT thoraco-abdominal du 11.02.2019 : pas de signe d'embolie pulmonaire. Pas de lésion d'allure métastatique à distance. Test de Schellong : négatif. Laboratoires : cf. copies ci-jointes. Hémocultures du 08.02.2019 : 2 paires négatives après 5 jours. Urotube du 08.02.2019 : E. coli. Hémocultures du 09.02.2019 : 2 paires négatives après 5 jours. CT abdominal natif et injecté du 09.02.2019 : pyélonéphrite gauche multifocale sans abcès. Ectasie du pyélon gauche, sans mise en évidence de calcul ou d'obstacle dans les voies excrétrices. Le reste de l'examen est normal. Laboratoires : CRP 192 mg/L, pas de leucocytose. Clostridium toxine dans les selles : positives. PCR multiplex : négatives. Hémocultures : négatives. Hydratation. Introduction Métronidazole 500 mg 3X/J du 09.02 au 18.02.2019 pour une durée totale de 10 jours. Isolement de contact du 08.02 au 18.02.2019. Laboratoires : nihil. Rapport de colonoscopie le 12.02.2019, Dr. X : diverticulose considérable du côlon sigmoïdien. Veinectasie rectale et hémorroïdes internes du stade I. Résultats prélèvement biopsie colique du 13.02.2019, Promed P2019.1854 : muqueuse colique d'architecture conservée, d'histologie dans les limites de la norme. Cf rapport annexé. Tests de la cognition du 10.02.2018 : MMSE à 27/30, test de la montre à 2/7 ; GDS à 1/15. Laboratoires : nihil. Tests de la cognition : MMSE à 22/30 ; GDS à 4/15. Laboratoires : TSH, B12, acide folique dans la norme, Ferritine augmentée. Laboratoires : vide annexes. CT cérébral (18.02.2019) : pas de signe scanographique d'AVC ischémique aigu ou subaigu. Pas d'hémorragie intracrânienne. Présence d'un petit méningiome accolé au sinus caverneux droit. Présence de quelques petites lésions ostéolytiques aspécifiques intéressant la calotte crânienne (DD : myélome multiple ? hyperparathyroïdisme ? métastases ?). Pas de lésion vasculaire significative mise en évidence. ETT (18.02.2019) : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie globale minime. FEVG à 50% (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aorte normale. Présence d'une bioprothèse à armature (CoreValve) en position aortique non sténosante mais fuyante avec une cinétique normale, sans dysfonction. Le gradient moyen VG-aorte est de 4 mmHg. Surface aortique à 1,93 cm². Insuffisance aortique physiologique (grade 0 à 1/4). Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Oreillette gauche très dilatée. Dilatation modérée du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit très altérée. Dilatation importante de l'oreillette droite avec une dilatation modérée du ventricule droit. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. L'examen du jour montre un excellent résultat après TAVI. Il n'y a pas d'argument pour une atteinte bactérienne ou un thrombus valvulaire aortique. IRM cérébrale (20.02.2019) : les nombreuses plages d'hypersignaux, au niveau de la substance blanche, sur les coupes FLAIR, ne sont pas spécifiques. Elles doivent correspondre à des altérations dégénératives vasculaires. Atrophie cortico-sous-corticale. Lésion ponctiforme de siège cortical frontal à gauche et petites lésions ponctiformes cérébelleuses à gauche, ces lésions évoquant de petites lésions ischémiques aigües. Petite lésion extra axiale temporale interne à droite en regard du sinus caverneux évoquant un petit méningiome. Consilium d'angiologie (Dr. X, 19.02.2019) : Le bilan artériel montre l'absence d'ischémie critique malgré la présence d'une sténose d'environ 50% de l'AFC et de multiples sténoses de l'A tib post. Il existe par contre une importante insuffisance veineuse superficielle, avec insuffisance de la GVS avec des tributaires et insuffisance de la moitié distale de la PVS en lien avec cet ulcère d'origine probablement avant tout veineux. Proposition : • Poursuite de compression élastique de classe II (bandes élastiques ou bas de compression), à domicile idéalement avec un bas de compression à double composante (p.ex. ulcer X). • Traitement par étape des différentes varices, avec dans un premier temps ttt par sclérothérapie échoguidée à la mousse (SEM) de la PVS le 11.03.2019 en angiologie en ambulatoire, avec un contrôle à J7. En cas de non-guérison de l'ulcère, un ttt plus complet avec laser endoveineux de la GVS et SEM des tributaires pourrait être effectué dans un 2ème temps. Tous ces ttt veineux se feront sous anticoagulation thérapeutique.Laboratoires : vides annexe ECG (11.02.2019) : tachycardie à 150 bpm, pas de trouble de la repolarisation, pas de signe ischémique ECG (12.02.2019) : rythme sinusal régulier à 80 bpm, déviation axiale gauche, pas de trouble de la conduction, pas de signe ischémique Coronarographie (13.02.2019) : aa coronaires saines. Proposition de procéder à une ablation par cathéter du flutter atrial typique. ETT (13.02.2019) : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70% (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique asymétrique modérée d'origine idiopathique. Obstruction dynamique intraVG sous-aortique modérée au repos avec un SAM modéré lié à la cardiopathie hypertrophique. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Insuffisance aortique stable par rapport à l'examen précédent. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche modérément dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 27 mmHg). Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoires : cf. annexes Gazométrie artérielle sous 2l O2 : pO2 12.4, pCO2 5.7, bic 28, SO2 97%, lactate 1.9 Sédiment urinaire : Lc nég, Lc 6-10/champ, nitrites nég, prot pos, sang +++++, éry 11-20/champ, flore bactérienne +++, corps cétoniques ++ Urotube : flore mixte +++ (probable contamination) ECG du 23.02.2019 : rythme sinusal régulier tachycarde à 111/min, PQ 150 ms, QRS fins à 90 ms, axe normal à 30°, transition de l'onde R en V4, pas d'onde Q significative, pas de trouble de la repolarisation, QTc 470 ms Radiographie de thorax le 23.02.2019 : silhouette cardio-médiastinale de taille et morphologie normales. Discrète athéromatose calcifiée de la crosse aortique. Plages pulmonaires bien ventilées et sans condensation ni nodule suspect. Troubles dégénératifs du rachis dorsal sans lésion osseuse ou des tissus mous suspect. Echocardiographie trans-thoracique le 26.02.2019 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60% (évaluation visuelle). Cardiomyopathie hypertrophique homogène modérée. Aorte normale. Valve aortique normale. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche modérément dilatée. Ventricule droit normal. Ventricule droit non dilaté. Valve tricuspide normale. Absence d'épanchement péricardique. Laboratoires : cf annexes CT abdominal le 21.01.2019 : status post EVAR avec status post-embolisation à l'Onyx pour endofuite de type II. Pas d'endofuite visible sur le présent scanner mais augmentation du diamètre du sac anévrismal avec probable début de rupture latérale gauche. Ces images évoquent le plus probablement une endofuite de type V (endo tension) avec progression du sac anévrismal. Stabilité du volumineux anévrisme de l'artère coronaire droite. Coronarographie le 22.01.2019 : l'examen invasif confirme une maladie coronarienne ectasique avec anévrisme énorme de l'ACD moyenne (45x42 mm) et ectasie de l'IVA et de la Cx prox. Absence de sténoses significatives. La fonction systolique du VG est normale. Laboratoires cf annexes CT abdominal le 22.02.2019 : Cluster de boucles intestinales jéjunales avec feces sign se trouvant à cheval de la région péri-ombilicale, du flanc et de l'hypochondre gauche faisant suspecter une hernie para duodénale antérieure gauche avec sac herniaire à travers la fossa de Landzert. Un peu de liquide libre dans le pelvis. CT abdominal le 23.03.3019 : Bon passage du produit de contraste au sein de toutes les anses grêles, sans iléus. Comme sur le précédent examen, on retrouve un conglomérat d'anses jéjunales situé au niveau de la région péri-ombilicale, du flanc et de l'hypochondre gauche parlant en faveur d'une hernie para duodénale antérieure gauche. Disparition du small bowel feces sign. Pas de nette masse visualisable. Légère augmentation de la faible quantité de liquide libre dans le petit bassin. Le reste de l'examen est superposable comparatif. Histologie/cytologie : cf annexes Laboratoires : cf annexes CT abdominal 07.02.2019 : Comme sur le comparatif, on retrouve une importante dilatation de l'estomac (gastroparésie ?). Pas de signe de perforation ou de liquide libre. Coprostase caecale et du colon ascendant avec fécalisation de l'iléon, pouvant être en lien avec un ralentissement du transit. OGD le 08.02.2019 : Gastro-duodénotomie termino-latérale sans particularité. L'examen n'explique pas la gastroparésie. Laboratoires cf annexes CT abdomino-pelvien du 14.02.2019 : colite du colon ascendant et de l'iléon terminal, abcès de 5 cm en FID avec suspicion de fistule grêle-colon ascendant, une lame de liquide dans l'abdomen, pas de perforation, aspect d'iléus paralytique débutant • Drainage sous guidance CT CT abdominal du 19.02.2019 : Par rapport au comparatif, mise en place d'un pigtail avec mise à plat de l'abcès en fosse iliaque droite et nette diminution de l'inflammation iléocaecale. Disparition de la lame de liquide libre en péri-splénique, dans les gouttières pariéto-coliques et entre les anses grêles. Laboratoires : cf annexes CT cérébral du 11.02.2019 : zone de pénombre frontale gauche sans argument pour un AVC constitué. Multiples lésions ischémiques séquellaires bilatérales prédominantes dans l'hémisphère cérébral droit. Absence d'occlusion ou de sténose du polygone de Willis et des vaisseaux précérébraux. Absence de thrombose des sinus veineux. IRM cérébrale le 12.02.2019 : lésions ischémiques aiguës au sein du gyrus pré-central gauche et sub-aiguës au sein du gyrus post-central gauche. Multiples lésions parenchymateuses séquellaires fronto-temporo-pariétales droites et occipitales bilatérales. Laboratoires : cf annexes CT cérébral injecté avec vaisseaux précérébraux et cartes de perfusion du 11.02.2019 : zone de pénombre frontale gauche sans argument pour un AVC constitué. Multiples lésions ischémiques séquellaires bilatérales prédominantes dans l'hémisphère cérébral droit. Absence d'occlusion ou de sténose du polygone de Willis et des vaisseaux précérébraux. Absence de thrombose des sinus veineux. IRM cérébrale le 12.02.2019 : lésions ischémiques aiguës au sein du gyrus pré-central gauche et sub-aiguës au sein du gyrus post-central gauche. Multiples lésions parenchymateuses séquellaires fronto-temporo-pariétales droites et occipitales bilatérales. Echocardiographie transthoracique du 13.02.2019 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie modérée du septum et de la paroi inféro-apicale et une hypokinésie minime des segments restants. FEVG à 45% (méthode de Simpson), stable par rapport à l'examen du 23.05.2018. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte non dilatée. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance aortique minime (grade 1/3) avec un jet central. Excès tissulaire du feuillet mitral postérieur. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du VD est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Pas de thrombus apical avec injection de produit de contraste (Sonoview le 13.02.2019).R-Test sur 7 jours le 13.02.2019: En cours. Laboratoires: cf annexes CT-scan cérébral le 26.02.2019: occlusion de l'artère cérébrale postérieure G dans sa portion P3. Présence d'une pénombre occipitale G aux cartes de perfusion. Pas de sténose significative des vaisseaux pré-cérébraux. Laboratoires: cf annexes CT-scan cérébral le 27.02.2019: pas de lésion hémorragique aigue. Séquelle d'AVC ischémique sylvien profond gauche connu. Sinusite sphénoïdale gauche. Comblement du fond du conduit auditif externe ddc. EEG le 28.02.2019: rapport en cours Laboratoires: cf annexes CT-scan thoracique le 14.02.2019: dilatation des quatre cavités cardiaques, ainsi que du tronc pulmonaire (dd : Hypertension artérielle pulmonaire?), associée à un épanchement pleural bilatéral prédominant à droite, ainsi que du crazy paving pulmonaire, entrant dans le cadre d'une décompensation cardiaque. À noter toutefois que l'image en crazy paving est aspécifique, ouvrant le diagnostic différentiel d'une étiologie infectieuse (pneumonie à Pneumocystis jirovecii), ainsi qu'un syndrome de détresse respiratoire aiguë (ARDS). Mise en évidence de consolidations avec bronchogramme aérique dans le lobe moyen et la lingula inférieure, avec adénopathies médiastinales, compatible avec des foyers. Présence d'un nodule dans le segment latéro-basal du lobe inférieur droit, à recontrôler dans 6 à 12 mois selon les recommandations de Fleischner. Echocardiographie transthoracique le 15.02.2019: ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale hyperdynamique. FEVG à 70 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique légère. Fonction diastolique non évaluable en raison de tachycardie. Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Discrète augmentation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté, hypertrophié avec paroi libre mesurée à 7 mm. Cinétique ventriculaire droite normale. Fonction systolique du ventricule droit normale. Absence de dilatation des cavités droites. HTP modérée (PAPs à 56 mmHg). Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Laboratoires: cf annexes CT-scan thoracique Triple Rule Out le 12.02.2019: hématome de la paroi aortique de type B selon la classification de Stanford, en aval du départ de la sous-clavière gauche et s'étendant jusqu'au diaphragme. Anévrisme fusiforme de l'aorte abdominale distale, mesurant environ 29 mm de diamètre maximum (comparatif 28 mm) ainsi que de l'artère iliaque commune droite, mesurant au maximum 19 mm (comparatif idem). Nodule solide sous-pleural adjacent à la plèvre diaphragmatique du lobe inférieur droit, dans le segment latéro-basal mesurant environ 8 mm de diamètre (antérieur 7 mm de diamètre) stable. CT thoraco-abdominal le 13.02.2019: stabilité de l'hématome disséquant de la paroi de l'aorte thoracique type B sans signe de complication. Laboratoires: cf annexes CT-Scan Time is Brain: pénombre temporo-occipitale avec zone d'infarcissement temporale d'environ 30%. Occlusion nette à la jonction P2-P3 de l'artère cérébrale postérieure gauche. Laboratoires: cf annexes CT-scan time is brain le 15.02.2019: pénombre ischémique intéressant le territoire postérieur de l'artère cérébrale moyenne droite, avec une occlusion artérielle à la jonction M2-M3, et une zone estimée à 10% correspondant à une ischémie constituée. Séquelle ischémique cérébelleuse droite devant correspondre à l'antécédent d'AVC en 2000. Occlusion de l'artère vertébrale droite à son départ, d'origine vraisemblablement chronique, avec une reprise de l'opacification a retro. Petit anévrisme de 3 x 2 mm dans le segment intracaverneux de l'artère carotide interne droite, sur sa paroi latérale droite. Laboratoires: cf annexes Echocardiographie transthoracique le 13.02.2019: ventricule gauche non dilaté avec une fonction systolique normale. FEVG à 70 % (évaluation visuelle). Valve aortique normale. Pas de sténose aortique. Gradient moyen VG-Ao à 4 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Oreillette gauche discrètement dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est visuellement normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3). Vena contracta à 6 mm. Pas de reflux systolique dans les veines hépatiques. HTP avec une PAPs à 48 mmHg. Absence d'épanchement péricardique. RX thorax du 13.02.2019: port-à-cath sous-clavier droit en position inchangée, se terminant en surprojection de l'oreillette droite. Voie veineuse centrale jugulaire interne droite se terminant en surprojection de la veine cave supérieure. Tube orotrachéal se terminant à distance de la carène. Sonde nasogastrique se terminant en surprojection de l'estomac. Pas de franc signe de décompensation cardiaque, sous réserve de la position couchée. Sclérose de l'arc aortique. Nette régression de l'opacité de la partie moyenne du poumon droit. Relative stabilité des infiltrats en région apicale droite et de l'opacité pulmonaire basale gauche. Pas de signe d'épanchement pleural ou de pneumothorax, sous réserve de la position couchée. Laboratoires: cf annexes Echocardiographie transthoracique le 21.02.2019:...... Laboratoires: cf annexes Hémocultures le 25.02.2019: en cours Antigènes urinaires le 25.02.2019: négatifs Frottis naso-pharyngé pour la grippe le 25.02.2019: négatif Rx thorax le 25.02.2019 Laboratoires: cf annexes Histologie: cf annexes Laboratoires: cf annexes Radiographie du thorax le 11.02.2019: mise en évidence d'une opacité en surprojection de la mi-plage pulmonaire inférieure gauche silhouettant la coupole diaphragmatique homolatérale ainsi que le bord gauche du cœur, compatible avec une consolidation du lobe inférieur gauche (DD: pneumonie? Atélectasie?) associée à un épanchement pleural. Laboratoires: cf annexes Radiographie du thorax le 14.02.2019: les structures cardio-médiastinales se présentent normalement. Pas d'épanchement pleural. Pas de foyer pulmonaire constitué. Laboratoires: cf annexes Radiographie du thorax le 15.02.2019 Laboratoires: cf annexes Radiographie thorax control post-retrait de drain: pas de pneumothorax Laboratoires: cf annexes. Radiographie thorax le 19.02.2019: mise en évidence d'une opacité rétro-cardiaque, silhouettant la coupole diaphragmatique gauche, avec surélévation de cette dernière compatible avec épanchement pleural gauche en régression au vu du comparatif du 16.02.2019 Laboratoires: cf annexes Ultrason testicules contrôle le 25.02.2019: sans particularitésLaboratoires: cf annexes US abdominal le 14.01.2019: cirrhose hépatique sans arguments pour un CHC ou pour une thrombose porte/hépatique. Ascite modérée intéressant les 4 quadrants, associée à une discrète splénomégalie. Vésicule biliaire lithiasique avec des parois épaissies en rapport avec la cirrhose. Le reste de l'examen est sans particularité, sous réserve d'une exploration sous-optimale en raison du manque de collaboration par la patiente. CT-scan cérébral natif le 12.01.2019 : volumineux foyer d'hémorragie intraparenchymateuse centrée dans la région de la tête du noyau caudé et des noyaux gris centraux à droite dont la localisation évoque en premier lieu une origine hypertensive. Engagement sous-falcoriel. Inondation ventriculaire avec sang dans les cornes occipitales des deux ventricules latéraux. Sinusite chronique fronto-éthmoidio-maxillaire gauche, avec probables mucocèles. CT-scan cérébral natif le 13.01.2019 : examen globalement superposable au comparatif sans majoration de l'extension hémorragique ni de son effet de masse sur le parenchyme adjacent. Pas de nouvelle lésion. CT cérébral le 17.01.19 : Stabilité du volume de l'hématome profond lenticulo-caudé droit, de l'oedème ainsi que de l'effet de masse avec discrète diminution de l'hémorragie intra-ventriculaire et de la dilatation ventriculaire. CT cérébral le 04.02.19 : Hématome capsulo-lenticulo-caudé à droite en voie de résorption, sans argument pour une nouvelle composante aiguë. Légère augmentation de la déviation de la ligne médiane vers la gauche. Dilatation ventriculaire globalement stable. CT cérébral le 08.02.19 : Stabilité de l'hémorragie intraparenchymateuse de la région capsulo-lenticulo-caudée droite, avec effet de masse sur le foramen de Monro droit, associée à une dilatation du ventricule latéral droit et une déviation du septum pellucidum à gauche, inchangées. EEG le 24.01.19 : rapport oral Dr. X : ralentissement diffus, prédominant en temporal droit. Absence de signes spécifiques en faveur d'une encéphalopathie hépatique. Laboratoires: cf. copies Laboratoires: cf copies annexées. Hémocultures : négatives. Culture de selles : Clostridium difficile et toxine positive. ECG du 23.01.2019 : rythme en fibrillation auriculaire à 100/min avec extrasystoles ventriculaires, QRS fins avec axe à 115°, pas de signes d'ischémie active. ECG du 25.01.2019 : superposable au précédent. RX thorax du 23.01.2019 : aorte déroulée et calcifiée. Hypoventilation des deux bases pulmonaires avec foyer de condensation de la base pulmonaire droite. Test de Schellong : négatif. Laboratoires GDS le 21.01.2019 : pH à 7.36, pCO2 à 6.6kPa, pO2 à 10.6kPa RX de thorax ECG Oxygène Lasix 20 mg intraveineux 4x/j le 21.01.2019, le 22.01.2019 3x/j, relais par Torem 15 mg par voie orale le 23.01.2019, mais retour des oedèmes des membres inférieurs le 24.01.2019, donc reprise du Lasix 20 mg 3x/j le 24.01.2019. À partir du 29.01.2019 : 15 mg de Torem et Métolazone 2.5 mg. Laboratoires Mise en suspens des médicaments néphrotoxiques Sédiment urinaire Spot urinaire Suivi biologique. Laboratoire. Score de Wells: 0 pt. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Contrôle clinique chez médecin traitant la semaine prochaine. Retour aux urgences en cas de péjorations des symptômes. Laboratoires CT thoraco-abdominal le 07.02.2019 Scintigraphie osseuse le 07.02.2019 Laboratoires Culture. Laboratoire. Sédiment urinaire : pas de leucocyturie. Laboratoire Sédiment urinaire : cf annexe. ECG : cf annexe. Test de Shellong. Hydratation IV. Consultation chez un médecin traitant ou aux urgences si péjoration clinique. Laboratoire Sédiment urinaire : leucocyturie et nitriturie Urotube à pister Mise en suspens sartan Ceftriaxone 2 g IV, le 03.02.2019 Transfert à Riaz pour suite de prise en charge ; discuté avec Dr. X, hospitalisation sous l'égide de la gériatrie. Laboratoire Sédiment urinaire (23.01.2019) : propre CT thorax-abdomen, hanche G (24.01.19) : pas de foyer infectieux Régression spontanée du syndrome inflammatoire. Laboratoire Sédiment urinaire Avis chirurgical (Dr. X) : appendicite, indication chirurgicale retenue. CT abdominal (Dr. X) : épaississement de 8-9 mm de l'appendice, pas d'infiltration de la graisse, pas d'abcès, pas de rupture. Laboratoire Sédiment urinaire Calprotectine dans les selles Hémocultures Hydratation Suivi biologique. Laboratoire. Sédiment urinaire. ECG. CT cérébro-cervicale (rapport oral Dr. X) : pas d'hémorragie intracrânienne, pas de fracture. Avis Neurochirurgie (Dr. X) : surveillance aux urgences, retour à domicile avec antalgie, repos à domicile. Surveillance neurologique pendant 6 heures aux urgences. Laboratoire Sédiment urinaire ECG Radiographie du thorax de face et profil. Tests de la cognition : non effectués par refus du patient. Traitement par Quétiapine 12.5 mg 2x/j. Avis géronto-psychiatrique, Dr. X : • Transfert à hôpital psychiatrique de Marsens. Laboratoire. Sédiment urinaire. Sérologies pour dépistage MST (HIV, HBV, HCV, syphilis). PCR gonocoque, chlamydia dans les urines. Laboratoire. Sédiment urinaire. Sérologies pour dépistage MST (HIV, HBV, HCV, syphilis). PCR gonocoque, chlamydia dans les urines. Ceftriaxone 500 mg im. Azithromycin 1 g po. Mr. Y appelle d'ici la fin de semaine pour les résultats. Recommandation à Mr. Y de prévenir ses partenaires pour consultation et traitement. Laboratoire Sédiment urinaire Spot urinaire Adaptation du traitement Hydratation NaCl 1500 ml/24. Laboratoire Sédiment urinaire Spot urinaire ECG Radiographie de thorax. Laboratoire Sédiment urinaire Spot urinaire Radiographie de thorax Radiographie hanche gauche CT hanche gauche. Laboratoire Sédiment urinaire Traitement symptomatique. Laboratoire Sérologie HBV, HCV négatif. Alpha-foetoprotéine augmentée à 12 ng/ml, CEA normal et CA-19-9 augmenté à 92 U/ml. Keppra : trop élevé à 47 mcg/ml. US abdominal le 03.01.2019 : volumineuse masse hépatique de 15 cm de diamètre maximal occupant l'ensemble du foie droit ouvrant le DD d'un cholangiocarcinome. Au moins 4 lésions hétérogènes suspectes d'atteinte métastatique. CT thoraco-abdo le 04.01.2019 : Au niveau thoracique : adénopathies dans la graisse cardio-phrénique droite. Séquelle d'infarctus de l'apex cardiaque gauche. Au niveau abdominal : volumineuse masse située dans le lobe hépatique droit associée à de multiples nodules satellites du foie droit et gauche correspondant en premier lieu à un CHC multifocal. Néanmoins, peu de signes de dysmorphie hépatique (hypotrophie du IV) et pas de franche hypertension portale (sauf lame d'ascite sous-hépatique). IRM cérébrale le 14.01.2019 : atrophie cortico-sous-corticale liée à l'âge de Mr. Y, avec leucoaraïose microvasculaire. Pas de prise de contraste pathologique aux étages sus- et sous-tentoriels. Laboratoires Hémocultures.Urotube Traitement par Rocéphine pendant 7 jours Laboratoires Hydratation Suivi biologique Laboratoire Soins de confort Décès le 20.02.2019 à 21h05 Laboratoire. Sondage du 05 au 08.01.2019 Hydratation avec NaCl 1500 ml/24 heures. Laboratoires Pas d'imagerie Rocéphine 2g 1x/j iv et Metronidazole 500mg 3x/j iv du 12.02 au 18.02.2019 Laboratoire/Spot Laboratoire Spot urinaire Laboratoire Spot urinaire: Na urinaire 74 Hydratation IV NaCl 0.9% Mis en suspens de HCT Laboratoire Spot urinaire, sédiment urinaire Récolte des urines sur 24 heures Ac anti-nucléaires Consilium néphrologie le 31.01.2019 (Dr X) Laboratoire spot urinaire: sodium urinaire à 64 mmol/l Attitude: • hydratation avec NaCl • suivi biologique Laboratoire Spot urinaire ATT: suivi biologique Laboratoire Spot urinaire Potassium eff 30mmol/l aux urgences Att: poursuite supplémentation per os et suivi biologique Laboratoire Spot urinaire Sédiment Hydratation NaCl 1000ml/24h ATT: contrôle clinico-biologique Laboratoires Rx thorax : sonde en place, pas de pneumothorax Laboratoires Stix et sédiment urinaire Hémocultures périphériques (31.01.2019) : négatives Hémocultures en central (cathéter de dialyse) et périphériques : négatives (05.02, 06.02 et 07.02.2019) Beta-d-glucan 07.02.2019 : 72 pg/ml (seuil : 60-79), interprétation limite Urotube 30.01.2019 : absence de germe Urotube 05.02.2019 : positif pour un Candida Glabrata 10E3. (Avis infectiologique : pas de traitement) Urotube du 11.02.2019 : négatif Radiographie thoracique 30.01 et 06.02.2019 Uro-CT le 01.02.2019 : status des voies urinaires globalement superposable au comparatif, hormis une discrète régression de l'infiltration de la graisse péri-rénale et péri-urétérale droite. Sonde double J à droite en position correcte Avis et suivi infectiologique (Prof. X, Dr X) Avis urologue (Dr X) : pas de changement sonde double J, fièvre probablement pas d'origine urinaire Céfépime et Vancomycine en dialyse jusqu'au 01.02.2019 Meropenem iv du 31.01 au 04.02.2019 Laboratoire. Stix et sédiment urinaire : leuco +++, nit-, flore + Hydratation NaCl 0.9% 1000 ml sur une heure. Attitude : • Retour à domicile. • Traitement symptomatique. • Pas d'antibiothérapie devant leucocyturie asymptomatologique. • Conseil d'usage. Laboratoire Stix et sédiment urinaire CT-Low dose (Dr X): Avis urologique (Dr X) Hospitalisation • Pose de double J • Lithotripsie Laboratoire stix et sédiment urinaire gazométrie artérielle gazométrie artérielle à 4:30: superposable à la précédente radiographie de thorax frottis grippe: à pister CT-scanner thoraco-abdominal (Dr X): pas de dissection aortique, pas d'embolie pulmonaire, atélectasie complète du LIG, épanchement pleural D avec atélectasie complète du LID Aux urgences: • Rocéphine 2 g i.v • antalgie: Fentanyl 250 mcg, Oxycontin 10 mg + Oxynorm 5 mg, Novalgine 1 g • aérosols Atrovent et Ventolin x2 échec de séance de VNI aux urgences IOT le 11.02.2019 aux urgences Attitude: • transfert aux soins intensifs pour suite de prise en charge Laboratoire stix et sédiment urinaire: leucocytes incomptables, nitrites négatifs Urotube: à pister 1 g de Rocéphine aux urgences Attitude: • Ciproxine 250 mg x2/j pendant 7 jours Laboratoire. Stix et sédiment urinaire: leucocytes incomptables. Radiographie de thorax. Urotube: en cours. 2 g de Rocéphine i.v aux urgences. Retour à domicile avec traitement de Ciprofloxacine 500 mg 2x/j. Contrôle clinique à 48-72 heures à la filière 34 car Mr. Y n'a pas de médecin traitant et aussi pour communiquer les résultats de l'urotube. Explications données à Mr. Y à quelles conditions il faudra reconsulter aux urgences. Laboratoire Stix et sédiment urinaire Antalgie aux urgences: • Perfalgan 1 g, Voltaren 50 mg • titration de Morphine Uro-CT le 04.02.2019: lithiase urinaire de 7x4x4 mm, densité de 521 HU (acide urique), situé à 12 mm en amont de la jonction urétéro-vésicale droite, dilatation urétérale de 9 mm à droite, dilatation du pyélon droit de 24 mm, dilatation des calices de 8 mm Avis chirurgical (Dr X) Attitude: • Hospitalisation en chirurgie Laboratoire Stix et sédiment urinaire Spot urinaire IRM abdominale ambulatoire = pour consulter IRM aller sur www.groupe3r.ch, N° accès = S112250002 ECG US Abdominal : Dr X (cf compte rendu) CEFTRIAXONE 2g METRONIDAZOLE 500 mg Avis Chirurgien = pas d'indication à un geste chirurgical en urgence, hospitalisation en chirurgie pour suite de prise en charge +/- RCP le 02/02/2019 avec poursuite antibiothérapie CAT : • Transfert Chirurgie Laboratoire stix et sédiment urinaire spot urinaire Attitude: • x2 500 ml rapides de NaCl aux urgences • 1000 ml NaCl sur 12 heures Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. Test de grossesse urinaire : négatif. Attitude : • retour à domicile avec traitement symptomatique • suite de prise en charge chez le médecin traitant • Mr. Y informé des raisons qui doivent l'amener à reconsulter aux urgences. Laboratoire Stix et sédiment urinaire Uro-CT (Dr X): nouveau calcul 7x6x4mm jonction vésico-urétérale à gauche, toujours dilatation pyélocalicielle 20mm, uretère 31mm de diamètre. Oxalate de calcium. Avis chirurgical (Dr X/Dr X): hospitalisation en chirurgie et urétéroscopie avec pose de sonde double J au Daler le 23.02.2019 Rocéphine 2g iv Attitude: Hospitalisation en chirurgie pour pose de sonde double J au Daler le 23.02.2019. Buscopan, Morphine À jeun Laboratoire. Stix et sédiment urinaire. US Abdominal = Dr X (cf compte rendu). Uro CT = calcul de 4 x6 x5 mm enclavé à la jonction urétéro-vésicale gauche, dilatation pyélocalicielle à 12 mm et uretère lombaire 7 mm. Avis chirurgicale Dr. X: Anti-inflammatoires, Pradif, contrôle chez le Dr. X en ambulatoire. Surveillance clinique sur la nuit aux urgences. Laboratoire Stix/ Sédiment à faire Laboratoire Stix, sédiment RX genou Traitement symptomatique par Algifor et Dafalgan Contrôle le 18.02.19 Laboratoire Stix, sédiment RX genou Traitement symptomatique par Algifor et Dafalgan Contrôle le 18.02.19 TIP le 18.02: Stix/Sédiment Tension artérielle Laboratoire Stix/Sédiment: négatif Urotube Sondage urinaire : Sonde 12, rendu 2,5 L Retour à domicile avec sonde urinaire à demeure pour 48h Suivi chez le médecin traitant à 48h pour ablation de la sonde et contrôle biologique (créatinine) Suite de prise en charge urologique (Dr X) Examens effectués aux urgences expliqués à Mr. Y par le médecin. Laboratoire Stix/Sédiment Urotube en cours Test de grossesse négatif Echographie ciblée aux urgences (Dr X) CT abdominal non injectée (Dr X) : 5x4mm au niveau de l'uretère proximal gauche, rein gauche tuméfié, infiltration de la graisse autour, dilatation pyélocalicielle de 14mm Attitude • Hospitalisation pose sonde double J • Rocéphine 2g iv reçu aux urgences • NaCl 1500 aux 24h, à réévaluer • Tamsulosine • À jeun • Contrôle labo le 23.02 • Mobilisation libre À faire • Retrouver le nom de l'antihypertenseur que Mme. Y prend Laboratoire Substitution avec potassium effervette 3x/jour pendant 2 jours Suivi biologique Laboratoire. Substitution de calcium par Gluconate de calcium iv dose de charge 2x 450 mg iv puis entretien 75 mg/heure. Suivi biologique. Majoration des dosages de Calcitriol (Rocaltrol). Laboratoire Substitution en acide folique Laboratoire, Substitution per os. Contrôle dans la semaine qui suit chez le médecin traitant. Laboratoire Suivi biologique Laboratoire. Suivi biologique. Laboratoire. Suivi biologique. Laboratoire Suivi chez le médecin traitant Laboratoire. Suivi par Dr X, oncologue. Laboratoire Supplémentation en Vitamine B12 dès le 12.02.2019 Laboratoire • Supplémentation per os après prise en charge chirurgicale • Suivi biologique Laboratoire. • Supplémentation potassique orale. Laboratoires • Urines Laboratoire. • Surveillance clinico-biologique. • US abdominal. • Intervention brève. Laboratoire. • Surveillance. • Avis pédopsychiatre. Laboratoires • Us hanche droite 13.02.2019 : Mise en évidence d'une collection mesurant 34 x 15 x 36 mm, à contenu hypoéchogène et bien délimitée. Cette collection est située dans les tissus mous sous-cutanés. Après discussion avec le Dr X, nous décidons de ponctionner cette collection. Désinfection cutanée et champage. Anesthésie locale de la peau et en profondeur au moyen de Rapidocaïne 1%. Mise en place d'une aiguille 21 gauge jusque dans la collection d'où nous retirons du liquide sanguin que nous envoyons pour analyse microbiologique. Mise en place d'un pansement stérile. CT thoraco-abdo le 15.02.2019 : • Thorax : absence d'embolie pulmonaire. Probable foyer infectieux de pneumonie dans le lobe inférieur gauche, associé à une atélectasie, dans le cadre d'un upside-down stomach. • Abdomen : absence de diverticulite ou de colite. Multiples kystes rénaux, inchangés. • Pelvis et membres inférieurs : collection sus-mentionnée au contact du grand trochanter (DD : hématome ? abcès). Infiltration diffuse sous-cutanée et de la musculature de la jambe droite. Présence d'une 2ème petite collection de 14 x 13 x 50 mm dans le muscle iliaque droit, se prolongeant jusqu'à l'articulation. US MID le 16.02.2019 : Pas d'argument en faveur d'une thrombose du membre inférieur droit. Laboratoire • Test de Coombs direct : négatif • Sédiment urinaire • ECG • Radiographie du thorax Mis en suspens du Sintrom et réversion de la crase par Konakion 5 mg IV Pantozol en IV continu 8 mg/h, relais per os 40 mg 2x/jour le 20.02.2019 1 CE le 17.02.2019 + 1 CE le 19.02.2019 + 1 CE le 21.02.2019 OGD le 19.02.2019 (Dr X) : pas de source de saignement identifiée. Complément par colonoscopie avec hospitalisation élective (pour double préparation) dans 2 semaines vu la stabilité de l'hémoglobine et l'absence de nouvelle extériorisation. Arrêt définitif de l'anticoagulation (discuté avec Dr X) Laboratoire • Thermoablation d'une métastase hépatique du segment VI 08.02.2019 (Dr X) • Chirurgie thoracique pour un traitement wedge prévu le 21.02.2018 (Dr X) Après intervention chirurgicale, réévaluation par le Dr X de la reprise du Lonsurf Laboratoire • Toucher rectal : pas de sang • Hémofécatest : positif • Pantozol 40 mg 2x/j • Colonoscopie le 12.02.2019 : diverticulose considérable du côlon sigmoïdien ; veinectasie rectale et hémorroïdes internes du stade I : - Résultats histologiques du 13.02.2019, Promed P2019.1854 : pas de distorsion architecturale, d'activité inflammatoire, d'inflammation granulomateuse, de dysplasie et de croissance invasive sur les coupes en profondeur et colorations effectuées OGD à organiser en ambulatoire Laboratoire • Toucher rectal • Hémofecatest : positif • Pantozol 40 mg 2x/jour • Colonoscopie programmée pour le 12.02.2019 Laboratoire • Traitement par Augmentin 1 g 2x/j pour 5 jours (selon documents montrés par la patiente, germe sensible). Laboratoire. • Traitement symptomatique. • Consignes de reconsultation expliquées à la patiente. Laboratoire • Transfusion d'un culot érythrocytaire le 14.01.2019 et d'un culot érythrocytaire le 22.01.2019 • Bilan d'anémie • Ferinject 1 g le 21.01.2019 • Hémofécatest • Rendez-vous pour colonoscopie en ambulatoire le 28.02.2019 : - La patiente sera convoquée avec un courrier à domicile - Une hospitalisation sera faite la veille pour faire la préparation • Contrôle biologique chez le médecin traitant dans une semaine Laboratoire • TSH : en cours • Coprocultures : négatives • Urotube : en cours • Traitement symptomatique • Contrôle clinique le 20.02.2019 chez son médecin traitant Laboratoire. • TSH : en cours. • ECG. • CT-cérébral natif et injecté : pas de saignement intra-crânien, pas de masse intra-cérébrale. • Contention mécanique et chimique par Haldol (5 mg iv), Midazolam (2 mg iv). • Avis psychiatre de garde. • Transfert sous sédation en ambulance sous PAFA à l'hôpital psychiatrique de Marsens (Unité ATLAS). Laboratoire • Ulcogan • Contrôle chez le médecin traitant en 2 jours Laboratoire. • Ultrason abdominal le 22.01.2019. • Stop Glucosalin le 22.01.2019. Laboratoire. • Urine spot. • Frottis de grippe du 13.02.2019 : négatif. • Retour à domicile avec proposition de contrôle clinique ou biologique à J3 chez le médecin traitant. • Recommandation de reconsulter en cas de signes de gravité. Laboratoire • Urines (avant/après changement de sonde) • Radio du thorax : émoussement costo-diaphragmatique à droite, pas de franc foyer • US ciblé aux Urgences (Dr X / Dr X) • Uro CT • Avis urologique (Dr X) Aux urgences : • Remplacement sonde vésicale • Ceftriaxone 2 g i.v. aux urgences Attitude : • Échec de contact téléphonique avec Mme X (ouverture entre 8h-12h) • Hospitalisation en urologie pour prise en charge chirurgicale • À jeun dès minuit • Ceftriaxone 2 g/j dès le 19.02 Laboratoire • Urines pas encore prélevées • Hydratation 2000 ml NaCl/24h avec 40 meq K, 2 g Mg/30 min aux urgences Laboratoire. • Urines propres. • Urotube : en cours. • Échographie ciblée abdomen (Dr X / Dr X) : globe vésical, hyperplasie de la prostate, pas de dilatation pyélo-calicielle. Aux urgences : • Mise en place d'une sonde vésicale 14G avec système de robinet. Attitude : • Tamsulosine 0.4 mg. • Consultation en urologie chez le Dr X le 27.02.2019. Laboratoire. • Urines stix et sédiment urinaire. • RAD avec antalgie et anti-émétiques. • Consignes de reconsulter en cas de persistance des symptômes ou apparition de signes de gravité (expliqués au patient). Laboratoire • Urines stix et sédiment • CT abdominal (transmission orale Dr X) : lithiase de 6 mm dans l'uretère distal gauche avec dilatation du pyélon à 1.3 cm, pas de rupture du fornix. infiltration discrète de la graisse péri-rénale. Tassement de T12 et L1 sans perte de hauteur. • Avis urologique (Dr X) : hospitalisation en chirurgie pour antalgie et avis urologique Attitude : • Hospitalisation en chirurgie pour antalgie et avis urologique Laboratoire • Urines stix et sédiment • Urotube envoyé • Hémocultures • Coproculture pour bactériologie classique et Clostridium difficile envoyé • Gazométrie veineuse • Avis infectiologique (Dr X) : proposition : probable récidive de pyélonéphrite, colite possible mais symptômes ayant récidivé avant apparition des diarrhées. ad Rocéphine- Vancomycine • CT-abdominal natif (transmission orale, Dr X) : quelques concrétions calciques pelviennes à droite 2 mm, rein droit congestionné, pas de rupture, pas de dilatation pyélocalicielle • Avis urologique (Dr X/Dr X) Aux urgences : NaCl 1000 ml/2h Rocéphine 2 g i.v., Vancomycine 1 g i.v. Attitude : • Rocéphine 1 g i.v. • Réévaluer poursuite de la Vancomycine le 26.02.2019 en fonction de la fonction rénale • Suivi biologique le 26.02.2019, taux de Vancomycine • Contacter urologue traitant (Dr X) et réévaluer nécessité de pose de sonde double J Laboratoire • Urines stix et sédiment • Urotube prélevé le 09.02.2019 Aux urgences : Rocéphin 2 g i.v. Attitude : • Hospitalisation avec Rocéphin 2 g i.v 1x/j, à réévaluer selon évolution et urotube Une hospitalisation en urgence est nécessaire pour une antibiothérapie intra-veineuse ainsi qu'une surveillance clinico-biologique. Laboratoire. • Urines. Attitude : • Réassurance. • Traitement symptomatique. • Arrêt de travail. • Suite chez le médecin traitant. Laboratoire. • Urines. Aux urgences : Buscopan 20 mg i.v., Primpéran 10 mg i.v., Zofran 4 mg i.v. Isolement de contact. Patient parti en début de matin avant qu'il soit réévalué par le team de la journée. Arrache sa perfusion et part sans prévenir. Patient reparti contre avis médical.Laboratoire Urines Avis chir (Dr. X/Dr. X) : sonde 3 voie et rinçage en continu. garder à jeun. avis uro à pister Laboratoire. Urines. Avis chirurgien de garde : rinçage aux urgences, par la suite urines claires, avec soulagement des douleurs. Antalgie. Laboratoire Urines CT abdominal (Dr. X) : calcul 4 mm G à 1 cm de la jonction urétérovésicale, ectasie urétérale en amont, rupture du fornix Avis urologie (Dr. X) : ad Pradif, hospitalisation et US vessie pleine demain matin puis le recontacter ATT : Pradif 0.4, hydratation 1500 ml/24 h, hospitalisation en chirurgie Laboratoire. Urines. CT low dose (transmission Dr. X) : calcul de 3 x 3 x 4 mm au niveau de l'uretère distal gauche, avec discrète dilatation de l'uretère et du pyélon à 6 mm. Antalgie, Tamsulosine et anti-nauséeux. Filtration des urines. Consigne lithiase et critère de reconsultation expliqué à Mme. Y. Laboratoire Urines ECG Att : hospitalisation pour bilan perte pondérale et épigastralgies : organisation d'une OGD Laboratoire. Urines. Echo ciblée abdomen Dr. X, Dr. X. • Retour à domicile avec traitement symptomatique. • Contrôle clinique chez le médecin traitant en cas de récidive des douleurs. Laboratoire. Urines. Echographie ciblée abdomen aux urgences (Dr. X/ Dr. X) : dilatation pyélo calicielle à gauche grade 1, avec calcul visualisé dans le pyélon. CT abdomen low dose (transmission orale Dr. X) : calcul de 3 x 3 mm au niveau vésico-urétéral, sans complication. Calcul de 3 mm au niveau du pyélon à gauche, Aux urgences : • Paracétamol 1 g po • Voltarène 50 mg po • Morphine 15 mg IV • Primpéran 10 mg IV • Buscopan 20 mg IV Attitude : • Antalgie. • Tamsulosine. • Filtration urines. • Consigne de lithiase urinaire. • Suite chez le médecin traitant à 10 jours - • Au vu de la récidive et la présence d'un calcul dans le pyélon à gauche, proposition d'une consultation urologique à distance. Laboratoire. Urines. FrekaClyss. Retour à domicile avec poursuite du traitement de Metamucil, consigne de s'hydrater au minimum 1.5 L/jour, de reconsulter en cas de réapparition des symptômes. Laboratoire Urines Gazométrie Hémocultures en cours Radiographie de thorax Hydratation NaCl 0.9 % 1000 ml avec prudence (patient avec cœur pulmonaire, FEVG 55 %) Diurétiques en suspens Contrôle quotidien du poids et suivi de la diurèse (pose d'une SV aux urgences) Ad Bic 8.4 % 100 ml sur 30 min (100 mmol) Ad aérosols Ventolin 5 mg (pour hyperkaliémie) Ad Resonium 15 g 3 x/j Soins maximaux à l'étage Hospitalisation en médecine interne Laboratoire Urines Hydratation NaCl 0.9 % 2000 ml IV aux URG Laboratoire Urines NaCl 0.9 % IV Laboratoire. Urines. Radiographie du thorax. CT cérébral. Laboratoire. Urines. Uricult. Hémocultures à froids. Ceftriaxone 2 g i.v. aux urgences. Laboratoire. Urines. US abdominal. Uro CT. Filtration urines. Antalgie. Laboratoire. Urines. US ciblé aux urgences (Dr. X). Uro-CT (Dr. X) : présence de lithiases de 3 x 2 mm au niveau de l'injonction urétéraux vésical gauche sans signe de dilatation urétérale. Le patient reçoit les consignes de filtrage des urines et amènera le calcul chez le médecin de famille pour analyse. Antalgie simple. Laboratoire. Urines. 2 paires d'hémocultures. Ponction lombaire. Attitude : • Retour à domicile avec Co-Amoxicilline per os 1 g 3 x/jour et Ciprofloxacine topique dans l'oreille gauche. • Consultation ORL de contrôle dans 48 h. Laboratoire. Urotube : en cours. Aux urgences : Rocephin 2 g. Ciprofloxacine 500 mg, Dafalgan. Contrôle chez le médecin traitant en cas de non-amélioration des symptômes. Laboratoire. Urotube. Antibiothérapie pour une durée totale de 8 jours. Antalgie. Contrôle chez médecin traitant en fin de semaine. Laboratoire : US abdominale, le 05.02.2019 : Appendicite avec discrète quantité de liquide libre autour, son extrémité le plus distale n'est pas clairement identifiable. 7 mm non perforé Avis Chirurgie (Dr. X) : Ceftriaxone 2 g IV Metronidazole 500 mg Consultation Anesthésie Patient pris au Bloc Opératoire Laboratoire. US abdominale : liquide libre dans le Douglas et péri caecal, appendice non vue. Splénomégalie connue. Avis chirurgical : faible argument pour une appendicite, conseil de réévaluation clinico-biologique en filière 34 le 25/02/19. Antalgie + AINS. Conseil d'usage. Réévaluation clinico-biologique le 25/02/19 en F34 +/- avis chirurgical. Laboratoire US bedside : thrombose de la veine péronéenne G/veine superficielle perçue à 4 cm de la poplitée, étendue sur environ 10 cm. Retour à domicile avec anticoagulation par Xarelto 15 mg 2 x/jour et antalgie, consultation en angiologie demandée en ambulatoire. Laboratoire. US ciblé (Dr. X) : Vésicule biliaire de paroi fine, contenu anéchogène, cholédoque 6 mm, flux portal hépatopète, Murphy échographique négatif. Laboratoire US ciblé (Dr. X) : Vésicule biliaire épaissie Avis Chirurgical (Dr. X) : hospitalisation en chirurgie pour continuer les investigations et confirmer le diagnostic US abdomen le 19.02.19 : demande faite Rocéphine 2 grammes iv le 19.02.19 au __ Flagyl 500 3 x/j du 19.02.19 au ___ Att : hospitalisation en chirurgie pour la suite de la prise en charge Laboratoire US de débrouillage : pas de signe d'OAP Rx thorax : pas de foyer mis en évidence Gazométrie Sédiment urinaire Frottis grippe : RSV positif VNI le 05.02.2019 Atrovent et Ventolin aux urgences Solumedrol 125 mg iv Co-Amoxicilinne 1.2 gr i.v. Hospitalisation en médecine interne • Prednisone 50 mg p.o. 1 x/jour • Ventolin/Atrovent en réserve • Physiothérapie respiratoire Laboratoire. US FAST : pas de liquide libre. CT cérébral natif : pas de saignement, pas de fracture, sinusite maxillaire gauche, hématome frontal droit. Retour à domicile accompagnée de son frère. Laboratoire. US MIG : pas de thrombose veineuse profonde. Proposition de contacter le chirurgien Dr. X. Laboratoire. US parties molles : pas d'abcès, uniquement phlegmon. Hémocultures Antibiothérapie par Co-amoxicilline 2.2 g iv 4 x/j. Avis orthopédique : Dr. X et Dr. X. Laboratoire US parties molles : pas d'abcès, uniquement phlegmon. Hémocultures en cours Ad Co-amoxicilline 2.2 g iv 4 x/j Avis orthopédique : Dr. X et Dr. X. Hospitalisation en médecine interne pour antibiothérapie iv Laboratoire US pleural ciblée (Dr. X/Dr. X) : épanchements pulmonaires bilatéraux faible quantité, lignes B aux bases ddc. CT scan thoracique le 27.02.2019 : CAVE : si péjoration clinique avancer le CT scan Aux URG : Lasix 40 mg IV OU, Ventolin 5 mg + Atrovent 250 mg aérosol Evaluer ponction évacuatrice (CAVE : FA rapide non cardioversée, voir AC orale/IV). Laboratoire Xyzal 5 mg Attitude : Retour à domicile avec antihistaminiques per os. Contrôle chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Consigne de reconsulter avant si apparition de symptômes respiratoires ou digestifs. Laboratoire 2 grands lavements le 18.02.2019 Extraction manuelle le 19.02.2019 Avis chirurgical le 22.02.2019 (Dr. X) Antalgie Laxatifs Poursuite schéma dégressif de Prednisone Rendez-vous le 06.03.2019 à 14h45 en proctologie Tamiflu 75 mg 2x/d vom 21. - 26.02.2019 (geplant) Rocephin 2g/d ab dem 21.02.2019 Sauerstoff Leflunomid am 21.02.2019 pausiert Tröpchen-Isolation 21. - 26.02.2019 Klinische Kontrolle Laborkontrolle Laborkontrolle in 6 Wochen Laborkontrolle: siehe Anhang. MMS/GDS am 14.02.2019: MMS Test 23/30 Punkte, Clock Test 3/6 Punkte, GDS Test 13/15 Punkte. EKG am 15.02.2019: regelmässiger Sinusrhythmus 99/min. AV-Block 1°. Überdrehte Linkslage. Multiple VES. R/S-Umschlag in V5. QTc 478 ms. TTE am 21.02.2019: EF 30%, schwere Hypokinesie des basalen Septums und der mittleren lateralen Wand, mässige Hypokinesie der übrigen Segmenten. Moderate funktionnelle Mitralklappeninsuffizienz. Moderate Dilatation des linken Vorhofs. Moderate Dilatation des rechten Ventrikels mit moderater Funktionseinschränkung. Schwere pulmonale Hypertonie (systol. PAP 66 mmHg). Minimale Trikuspidalklappeninsuffizienz. Röntgen Thorax am 21.02.2019: Mittelständiges tracheales Aufhellungsband. Normal schmales oberes Mediastinum. Aortensklerose. Gefässtypische Hili. Allseits besser peripher abgrenzbare Lungenstruktur und Gefässzeichnung. 1:2 bis 1:1 apikobasale Verteilung der Gefässdurchmesser. Unverändert Zeichen einer plattenartigen Belüftungsstörung linksbasal sowie am ehesten schwielige Verdichtungen über dem Zwerchfell unter Einschluss des linken lateralen und dorsalen Recessus. Eine zusätzliches retrokardiales Infiltrat kann hier nicht ausgeschlossen werden. Erbringung einer mindestens 7-tägigen geriatrischen, frührehabilitativen Komplextherapie bei gegebener Indikation wegen akutstationärer Behandlungsbedürftigkeit bei Herzinsuffizienz sowie Verdacht auf rheumatoide Arthritis. Es wurde gemäss den Mindestmerkmalen CHOP eine individuell fokussierte Behandlung in einem teamintegrierten Einsatz der Therapiebereiche Physiotherapie, Ergotherapie, Logopädie, Ernährungsberatung, Neuropsychologie, Krankenpflege (aktivierend- und begleitend-therapeutische Pflege durch besonders geschultes Personal (7/7d)) und Sozialarbeiterin (5-stufiges Sozialassessment) unter fachärztlich-geriatrischer Leitung (Dr. X) mit 13 Therapieeinheiten (max. 10% als Gruppentherapie) von mindestens 30 Minuten erbracht, die in wöchentlichen Teambesprechungen dokumentiert ist. Die wöchentliche TEAM Besprechung findet unter fachärztlicher Leitung des Geriaters/Geriaterin (FMH) immer mittwochs unter TEILNAHME aller Therapeutengruppen (Physiotherapie, Ergotherapie, Logopädie, Ernährungsberatung, Neuropsychologie, Krankenpflege, Patientenberatung) statt, dokumentiert den Verlauf und formuliert für jede Woche das individuelle Patiententherapieziel. Dieses Ziel ist patientenkonform formuliert und wird dann zusammen mit dem individualisierten Therapieplan wöchentlich neu dem Patienten ausgehändigt, damit er/sie auch die zu erreichenden nächsten Ziele sieht und aktiv mit angehen kann. Aufnahme-Assessment Mobilität (Tinetti) 16/28 am Rollator Selbsthilfe FIM (Mot./Kogn.) 61/25 MMS/CLOCK 23/30 - 3/6 GDS 13/15 Soz. Ass. (5-stufig) 14.02.2019 TEAM-Sitzung 1 20.02.2019 Entlassungs-Assessment Mobilität (Tinetti) 16/28 am Rollator Selbsthilfe FIM (Mot./Kogn.) 61/23 Laborkontrolle Erhöhung vom Pantozol von 20mg auf 40mg/T Labor Rx Thorax am 24.12.2018 Urinstatus und Sediment Cefepim 1g 2x/T (nierenadaptiert) 24. - 25.12.2018, 1.5g 2x/T 26.12.2018 - 03.01.2019 Prednison 50mg 1x/T 27. - 31.12.2018 Atemphysiotherapie Sauerstoff bei Bedarf Labor Screening Test: HIV, Syphilis, Gonorrhö, Chlamydia Labor Substitution Vitamin D Labor Test de grossesse Labor Test für HIV, Gonorrhö, Syphilis, Chlamydia und Hepatitis C Avis chirurgical (Dr. X): hospitalisation en chirurgie pour investigations de la masse Attitude: • Hospitalisation en chirurgie pour suite de la PEC • Attitude à discuter avec la famille (6 enfants) Labo Rx thorax Urine Attitude: • Hospitalisation en médecine pour investigation • Fille Mme. Y 079/9373731 Labo Spot urinaire: FeUrea 15.5% Attitude: • Hydratation iv • Contrôle biologique Labo Thérapie: • 1CE aux Attitude: • Investigation de l'anémie, évtl. traitement Labo Urines Solu-médrol 1 g i.v. aux urgences Proposition du CHUV: Solu-médrol 1 g / j pendant 3 jours et Cyclophosphamide 2 mg/kg/j (patiente pèse 67 kg) Hospitalisation en rhumatologie (discuté avec Dr. X), garde d'ophtalmologie au courant (Dr. X), la verra le 02.02 à 11h30 en ophtalmologie Labo US abdominal aux urgences (Dr. X): multiples calculs dans la VB, paroi épaissie US abdominal supérieur (Dr. X): lithiase au niveau de la vésicule biliaire, paroi épaissie à 7mm Avis gynécologique: pas d'origine gynécologique, rocephine et flagyl i.v. peuvent être administrés lors du 3e trimestre Avis chirurgical (Dr. X): hospitalisation en gynécologie sous responsabilité chirurgicale, traitement conservateur avec rocephine 2g i.v. 1x/j et metronidazol 500mg i.v. aux 8h, suivi clinique et biologique Thérapie • Rocéphine 2g i.v. • Flagyl 500mg i.v. Att: • Hospitalisation pour antibiothérapie i.v. et suivi clinique et biologique • Labo de contrôle le 15.02.2019 (matin) • À jeûn Labo US abdominal le 3.1.2019: Volumineuse masse hépatique de 15 cm de diamètre maximal occupant l'ensemble du foie droit ouvrant le DD d'un cholangiocarcinome. Au moins 4 lésions hétérogènes suspectes d'atteinte métastatique. CT thoraco-abdo le 4.1.2019: Au niveau thoracique : adénopathies dans la graisse cardio-phrénique droite. Séquelle d'infarctus de l'apex cardiaque gauche. Au niveau abdominal : Volumineuse masse située dans le lobe hépatique droit associée à de multiples nodules satellites du foie droit et gauche correspondant en premier lieu à un CHC multifocal. Néanmoins, peu signes de dysmorphie hépatique (hypotrophie du IV) et pas de franche hypertension portale (sauf lame d'ascite sous-hépatique) IRM cérébrale le 14.1.2019: Atrophie cortico-sous-corticale liée à l'âge du patient, avec leucoaraïose microvasculaire. Pas de prise de contraste pathologique aux étages sus- et sous-tentoriels. Labyrinthite à gauche en juillet 2013 : cupulolithiase. Hyponatrémie hypo-osmolaire euvolémique à 119 mmol/l le 08.08.2015 compatible avec un SIADH. Douleurs abdominales chroniques d'origine mixte : • PID (Pelvic inflammatory disease), trouble du comportement alimentaire, constipation, psychosomatiques ? Lacération du poignet gauche • Lésion complète du nerf médian • Lésions complètes des muscles: Fléchisseur radial du carpe, Fléchisseur ulnaire du carpe, Fléchisseur commun superficiel 2ème et 3ème doigt • Lésions partielles de muscles: Fléchisseur long du pouce et Fléchisseur commun profond du 3ème doigt Lacération hépatique de grade III, intéressant les segments VII et VIII. Lacération rénale gauche de grade 3 sur chute à vélo de faible cinétique le 11.02.2019, DD : rupture kystique. Lâchage du genou gauche avec suspicion de récidive de lésion LCP. Instabilité postéro-latérale du genou gauche sur : • status post-ostéosynthèse du plateau tibial interne, refixation de l'arrachement proximal du ligament croisé postérieur • refixation d'un arrachement calculaire postéro-latéral et du ligament collatéral externe du genou gauche le 12.07.10 • AMO, arthroscopie diagnostique et reconstruction par ligament patellaire du ligament croisé postérieur du genou gauche (OP le 30.03.2011). Lactatémie à 3,4 mmol/l d'origine indéterminée le 08.02.2019.LAG en extension de l'IPD D4 de la main droite sur statut post traitement conservateur d'une lésion de Mallet. Mme. Y est une patiente de 10 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences le 23.02.2019 en raison de douleurs anales en augmentation depuis 5 jours l'empêchant d'aller à selles. L'examen clinique permet la mise en évidence d'un abcès para-rectal semi-circonférentiel et l'indication opératoire est posée. Elle bénéficie d'un drainage d'abcès avec pose de penrose le jour même. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples. Nous effectuons un IRM de contrôle le 26.02.2019. Sous réserve des conditions de l'examen, la présence d'autres abcès en région para-rectale et pelvienne est difficile à écarter. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y rentre à domicile le 26.02.2019. Nous la reverrons en consultation de proctologie pour un contrôle de suivi le 27.02.2019. L'amélioration suite à l'infiltration démontre qu'il y a une composante inflammatoire dans la problématique. Du point de vue cartilagineux, de la coiffe des rotateurs et mécanique, l'IRM effectuée en octobre montre une épaule tout à fait intacte. La patiente est également suivie en Rhumatologie et nous pensons qu'actuellement, le traitement à poursuivre est médical et physiothérapeutique. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Lames d'hémorragie sous-arachnoïdienne frontale bilatérale. Lames d'hémorragies sous-arachnoïdiennes frontales bilatérales et hématome sous-galéal occipito-pariétal sur chute. Laminectomie décompressive de L5 en 1988. Escarre sacrée stade II (02.2016). Sigmoïdectomie pour diverticulite en 1991. Gastrectomie partielle (Billroth II) pour ulcère en 1963. Hémorragie digestive haute active Forrest IIb au niveau de l'anastomose gastro-jéjunale le 23.03.2016. Épisode de brady-arythmie brève en juin 2015. Oedème aigu du poumon le 12.06.2015. Pneumonie nosocomiale à Enterobacter spp et Haemophilus influenzae le 27.02.2016. Dyspnée de stade III d'origine mixte: • Décompensation cardiaque à prédominance gauche le 09.07.2018 • Pneumonie communautaire lobe inférieur droit débutante le 09.07.2018 Hémoptysies dans un contexte d'anticoagulation supra-thérapeutique le 09.07.2018. Diagnostic différentiel : hémorragie alvéolaire non exclue. Lamotrigine à 2x50mg. Amoxicilline 50mg/kg/j 5 jours. Contrôle clinique à la fin du traitement. L'anamnèse et la clinique sont assez suggestives d'un problème du LCB au niveau de sa gouttière. Je vais bilanter la situation par une arthro-IRM le 26.02.2019 notamment pour exclure une atteinte du sous-scapulaire. Je reverrai Mr. Y à la suite de cet examen le 04.03.2019. L'anamnèse et l'examen clinique réalisé aux urgences sont typiques en faveur d'un syndrome grippal, raison pour laquelle nous ne réalisons pas d'examen complémentaire. Nous proposons à Mr. Y un traitement symptomatique. Mr. Y n'a pas besoin d'ordonnance. Il rentre à domicile avec un arrêt de travail jusqu'au 04.02 en raison d'un métier en extérieur et physique. Nous lui suggérons de bien s'hydrater pour éviter des sensations vertigineuses dans un contexte d'état fébrile avec déshydratation. L'anamnèse et l'examen physique se révèlent sans particularité. Mme. Y habite seule à son appartement, elle doit monter un étage d'escaliers (12 marches) pour rejoindre son appartement. Elle est autonome pour les tâches quotidiennes. Ad Diagnose principal Grâce aux thérapies intensives et individuellement adaptées, des progrès au niveau de mobilisation de la stabilisation de la marche et de l'équilibre sont objectivés. A la sortie, la patiente peut faire des transferts d'une manière autonome et marche avec un rollator 400 m. Elle monte 18 marches d'escaliers de façon autonome. Ad Complication 1 Durant l'hospitalisation, Mme. Y présente des quintes de toux sèche. L'auscultation pulmonaire est sans particularité. Pour une suspicion d'origine médicamenteuse (Sartan), nous remplaçons le traitement habituel par Aprovel par l'Amlodipine 10 mg/j avec régression des symptômes. Le profil tensionnel reste par la suite stable. La patiente peut rentrer à son domicile en état général amélioré le 11.02.2019. Laparoscopie diagnostic en urgence le 18.02.2019 : Torsion ovarienne infirmée. 1- Washing avant geste opératoire 2- Aspiration du contenu kystique : Liquide citrin 3- Kystectomie droite : DAP en cours Antibioprophylaxie per opératoire : Clindamycine 900 mg IV. Laparoscopie diagnostique et opératoire, adhésiolyse, colpopérinéorraphie postérieure par voie basse en 2014 sur • Prolapsus génital après hystérectomie totale avec prolapsus du dôme vaginal du 2ème degré. • Rectocèle majeure II-III ème degré. • Insuffisance périnéale majeure. • Cystocèle modérée 1er-2ème degré. PTG D et G. Cholécystectomie. Hystérectomie par Pfannenstiel il y a 20 ans. Laparoscopie exploratrice, appendicectomie avec résection du bas fond cécale (Échelon 45), lavage 20 L, drainage du site appendiculaire en urgence le 08.02.2019. Tazobac 4,5 intraveineux du 08.02.2019 au 12.02.2019, relais par Ciproxine et Flagyl jusqu'au 16.02.2019. Laparoscopie exploratrice, appendicectomie laparoscopique le 10.02.2019. Antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine et Metronidazole du 09.02.2019 au 11.02.2019. Antibiothérapie per os par Ciproxine et Flagyl dès le 12.02.2019. Laparoscopie exploratrice avec coagulation d'une tache endométriosique en flammèche en regard du ligament utero-sacré gauche le 19.02.2019. Laparoscopie exploratrice avec gastrotomie, biopsie hépatique du segment III et ERCP trans-gastrique le 06.02.2019. ERCP du 06.02.2019 : Dilatation du cholédoque mais mauvaise opacification, ne permettant pas d'exclure un concret. Pancréatographie normale. Biopsie hépatique : Parenchyme hépatique sans altérations histologiques notables, hormis un minuscule hamartome biliaire (complexe de Von Meienburg). Laparoscopie exploratrice avec lavage péritonéal (30L) et suture de l'estomac le 05.02.2019. Pantozol intraveineux continu le 04.02.2019. Rocéphine 2g 1x/jour et Métronidazole 500 mg 3x/jour intraveineux du 04.02.2019 au 11.02.2019. Ciproxine 500 mg 2x/jour et Flagyl 500 mg 3x/jour du 12.02.2019 au 18.02.2019. Pantozol 40mg 2x/j pendant 1 mois, puis 1x/j pendant 1 mois, puis 1x/2j pendant 1 mois. Laparoscopie exploratrice et transversostomie en urgence le 05.11.2018. Ceftriaxone et Metronidazole en intraveineux du 05.11.2018 au 09.11.2018. Suivi diététique. Sigmoïdectomie et fermeture de transversostomie (OP le 19.11.2018). VAC du 19.11.2018 au 28.11.2018. Présentation au Tumorboard du 28.11.2018 : Ad chimiothérapie adjuvante. Suivi le 17.01.2018 à 11h à la consultation des chefs de clinique. Laparoscopie exploratrice le 18.02.2019. Retrait des fils de sutures à J 12 soit le 01.03.2019. Consultation de suivi le 25.04.2019. Laparoscopie exploratrice sous AG le 26.02.2019. Laparoscopie exploratrice sous anesthésie générale le 22.01.2019 : Salpingectomie gauche. Envoi du matériel en anatomo-pathologie. Pertes sanguines estimées à 500 ml. Laparotomie, adhésiolyse, réduction d'une hernie interne, fermeture d'un orifice au niveau épiploon droit le 20.01.2016. Abcès de la face antérieure du pied droit à S. dysgalactiae et Staph. coag. neg. sur érysipèle pied/jambe droits sur artériopathie oblitérante en 02/2015. Antécédent du Syndrome obstructif et restrictif (2014) : FPC du 15.11.2018 : Diminution harmonieuse des volumes dynamiques (FEV1 à 82%) et air trapping statique, formellement sans trouble ventilatoire obstructif ni restrictif sur les fonctions pulmonaires.Thrombose veineuse superficielle de la veine grande saphène droite en février 2015 Douleurs neurogènes thoraciques gauches après l'intervention de 2004 Lobectomie supérieure gauche par tomie pour une néoplasie pulmonaire (CA épidermoïde pT3 pN0 cM0) 2004 (HFR) Petit foyer atypique intra-prostatique avec hypertrophie prostatique et PSA élevé depuis 2002 Hernie hiatale avec probable trouble moteur oesophagien en 2002 Cure de hernie inguinale droite 2000 Prolapsus mitral diagnostiqué en 1992 (échocardiographie) Opération tendon d'Achille des deux côtés en 2012 et 1990 Cure tunnel carpien (non daté) Méniscectomie gauche 1960 Amygdalectomie (non daté) Appendicectomie dans l'enfance Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 23.08.2018 : • sur perte volémique par stomie Cholécystolithiase avec sludge et dilatation des voies biliaires le 05.10.2018 Déconditionnement global multifactoriel 10.2018 Infection urinaire haute à Klebsiella pneumoniae multisensible le 04.10.2018 et récidive le 22.10.2018 : Pipéracilline-Tazobactam du 05. au 11.10.2018 Laparotomie avec résection segmentaire sigmoïde, anastomose descendo-sigmoïdienne manuelle, hémicolectomie droite avec CME, Split stomie colo-iléale, mise en place d'un pansement à pression négative sous-cutané le 31.01.2019 Laparotomie exploratrice, adhésiolyse 60 min, sigmoïdectomie selon Hartmann, annexectomie avec kystectomie gauche, le 08.02.2019 Noradrénaline du 08.02 au 09.02.2019 Ceftriaxone du 08.02 au 10.02.2019 Métronidazole du 08.02 au 10.02.2019 Laparotomie exploratrice avec lavage péritonéal (50L), suture d'estomac et VAC sous-cutané le 16.02.2019 Fermeture secondaire sur laparotomie médiane le 19.02.2019 Fluconazol du 16.02 au 19.02.2019 Pipéracilline/Tazobactam du 16.02 au 21.02.2019 Ciproxine et Flagyl per os dès le 22.02.2019 au 04.02.2019 Pantozol per os 2x 40mg pendant 1 mois, puis 1x/j 40mg pendant 1 mois, puis 1x/48h pendant 1 mois Laparotomie exploratrice avec lavage péritonéal (50L), suture d'estomac, VAC sous-cutané (le 16.02.2019, Dr. X) Jackson à HD en péri-gastrique, Jackson en FID dans le Douglas Cathéter artériel radial droit du 16.02 au 17.02.2019 Transfusion : 2 CE le 16.02.2019 Pantoprazol iv continu dès le 16.02.2019 Pipéracilline/Tazobactam dès le 16.02.2019 Fluconazol dès le 16.02.2019 Laparotomie exploratrice bi-sous-costale, cholécystectomie, anastomose bilio-jéjunale, anastomose gastro-jéjunale et deux anastomoses jéjuno-jéjunales manuelles par Dr. X le 30.01.2019 VVC jugulaire gauche du 30.01.2019 Cathéter artériel radial du 30.01.2019 au 01.02.2019 SNG du 30.01.2019 au 01.02.2019 Péridurale antalgique D7/8 du 30.01.2019 au ASP le 31.01.2019 pour recherche du stent biliaire Tumorboard du 06.02.2019 : chimiothérapie Pose de Port-à-cath à droite prévue le 25.02.2019 Nutrition parentérale du 30.01.2019 au 05.02.2019 Antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl intraveineuse du 29.01.2019 au 10.02.2019 Gastroscopie du 15.02.2019 : ablation de stent biliaire par voie endoscopique Laparotomie exploratrice, hémicolectomie gauche étendue avec anastomose transverso-rectale latéro-terminale le 21.01.2019 Histologie Promed P2019.823 : pT4a pN2b (45/89) V1 L1 Pn1 R0 G3 Tumorboard le 30.01.2019 Laparotomie exploratrice le 13.02.2019 avec : 1- Pose de double J : Dr. X (Urologue) 2- Omentectomie, Appendicectomie + ablation de nodule para-rectale gauche : Dr. X (chirurgie générale) 3- Hystérectomie totale, annexectomie bilatérale + washing péritonéal (équipe de gynécologie) Zinacef 1.5g per opératoire à poursuivre 4 doses au total Examen anatomopathologique des pièces opératoires Laparotomie le 29.01.2019 : hémicolectomie droite, résection grêle segmentaire avec anastomose manuelle latéro-latérale ; splitstomie grêle terminal-colon transverse, VAC intra-péritonéal Laparotomie le 31.01.2019 : fermeture de la paroi abdominale avec pose de VAC sous-cutané Fermeture VAC sous-cut. le 05.02.2019 Laparotomie le 13.02.2019 : adhésiolyse, lavage intra-péritonéal, mise en place d'un laparostome Laparotomie le 16.02.2019 : mise en évidence d'un lâchage de suture d'anastomose du grêle et suture directe, Evacuation d'un hématome rétromusculaire au niveau du grand droit Reprise laparostome le 18.02.2019 : lavage abdominal, réfection VAC Révision de laparostome le 19.02.2019 : pose de filet de Prolène périfascial Réfection laparostome le 19.02.2019 Réfection laparostome le 21.02.2019 Antibiothérapie : cf. résumé infections Transfusion : 6 CE entre le 06.02 et le 18.02.2019 (au bloc opératoire) Cathéter artériel du 29.01.2019 au 01.02.2019 VVC jugulaire interne gauche du 29.01.2019 au 23.02.2019 VVC sous-clavière gauche du 23.02.2019 au __ SNG du 29.01.2019 au 25.02.2019 Alimentation parentérale du 30.01.2019 au ___ Alimentation entérale du 24.02.2019 au __ Laparotomie pour une appendicite perforée en 1985 Mr. Y a reçu 100 ml de Normolytoral depuis une heure, au départ reçu avec la seringue, elle n'a pas vomi, mais par la suite a pris au biberon et a vomi d'un coup. Larme artificielle 6x/j dans l'œil gauche Coque oculaire la nuit, si fermeture oculaire incomplète Vitamine A 2x/j dans l'œil gauche L'arthro-IRM confirme le diagnostic susmentionné notamment avec une lésion partielle du sus-épineux dont les parties postérieures restent toujours attachées à la tête humérale. Il reste par contre un trou sur les parties antérieures du sus-épineux d'environ 17 mm. L'arthro-IRM montre une lésion trans-fixiante des parties antérieures du tendon du sus-épineux. Une bonne partie du tendon est par contre attachée à la tête humérale. Laryngite aiguë Laryngo-bronchite spastique légère (Dr. X 3) Laryngo-pharyngite le 31.01.2019. Lasix du 01.02 au 05.02.2019 Reprise du Torem dès le 06.02.2019 ECG : FA normocarde, axe gauche, onde T nég en I et aVL, ainsi qu'en v5-v6, image de bloc de branche droit ETT (04.02.2019) : FeVG 65 %, légère sténose de la prothèse aortique ETO (04.02.2019) : pas de dysfonction prothétique Ciné-valves (08.02.2019) : fonction encore dans les limites de la norme de la prothèse valvulaire R-test (08.02.2019) : posé le 08.02.2019 pour 5 jours Lasix intraveineux le 22.12.2018 Oxygénothérapie aux lunettes pour saturation cible supérieure à 94 % Surveillance du poids Lasix IV du 04.02 au 06.02.2019 Torasémide dès le 07.02.2019 Deponit patch 5 mg/24h le 04.02.2019 ECG du 04.02.2019 : BBG, superposable au comparatif Laboratoire : NT-proBNP augmentée, pas de cinétique de troponine Rx du thorax du 04.02.2019 Gazométrie artérielle 04.02.2019 Avis cardiologique le 05.02.2019 Holter sur 24h le 07.02.2018 MAPA sur 24h le 07.02.2019 IRM cardiaque janvier 2018 (clinique générale) : rapport faxé, images à voir sur PACS externe RAD le 12.02.2019 Contrôle cardiologique à 1 semaine (Dr. X) Lasix IV du 10.02.2019 au 16.02.2019 Ventilation non invasive du 10.02.2019 au 16.02.2019 Optiflow du 12.02 au 16.02.2019 Cathéter artériel radial gauche du 10.02 au 12.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 12.02 au 17.02.2019 Lasix i.v. le 09.02.2019. Majoration du torasémide (5 mg 2x/jour) dès le 10.02.2019. Reprise du traitement habituel de torasémide (5 mg 1x/jour) le 13.02.2019. ECG le 09.02.2019.Radiographie du thorax le 9.2.19. ETT le 11.2.19. Contrôle du pacemaker CRT-P le 11.02.19. Lasix le 15.02.2019. Torem Mise en place traitement de l'insuffisance cardiaque. Lasix 20 mg iv le 23.01.2019. Lasix 20 mg 2x/j dès le 03.02.2019. Lasix 20 mg 2x/j du 12.02.2019 au 14.02.2019, puis Torem 30 mg depuis le 15.02.2019. Bilan angiologique le 13.02.2019 : pas d'artériopathie majeure au niveau des artères jambières, pas de contre-indication à une contention contre les œdèmes. Bas de contention. Lasix 40 mg 2x/jour du 05.02.19 au 06.02.19. L'aspect global de l'IRM évoque clairement un diagnostic d'algodystrophie. Nous lui prescrivons donc un traitement par Miacalcic et de Redoxon pour 4 semaines. De plus, en raison de cette zone d'impaction visible sur le tibia distal, zone douloureuse, nous lui donnons un arrêt de travail et lui conseillons d'utiliser les cannes jusqu'au prochain contrôle pour décharger légèrement le membre inférieur G. Prochain contrôle le 18.03.2019 avec IRM pour voir l'évolution des œdèmes. L'assistant d'orthopédie va essayer d'organiser un RDV en chirurgie de la main. L'attelle Lörach n'a plus besoin d'être portée. Nous expliquons à la mère qu'en cas de désir d'un 3ème enfant, nous lui conseillons de faire un contrôle avec ultrason des hanches directement post-naissance. Nous prévoyons un prochain contrôle radio-clinique lorsque l'enfant commencera à marcher. Mr. Y a son arrivée présente une impossibilité à la marche avec œdème bilatéral du genou accompagné de gonalgie au repos et particulièrement au mouvement sans état fébrile. Un bilan sanguin montre un syndrome inflammatoire modéré (CRP à 44 mg/l) sans leucocytose associée, une vitesse de sédimentation de 53 mm/1h. Un US des deux genoux montre un épanchement modéré à sévère avec un épaississement synovial. Un avis orthopédique est effectué le même jour avec une ponction du genou droit qui met en évidence 62'700 éléments dont 90% de polymorphonucléaires. Nous instaurons un traitement par Co-amoxicilline IV 150 mg/kg/j. Une sérologie qui revient positive pour la Borréliose (IgG 240 UA/ml, IgM 1.63) confirmée par western blot quelques jours plus tard. Les jours suivants, une amélioration de la mobilité et disparition de la douleur au genou droit se fait voir, malheureusement la gonalgie persiste à gauche et l'œdème également. Le 18.02 nous effectuons à nouveau un US qui montre une persistance de l'épanchement à gauche. Un avis orthopédique est à nouveau demandé et une ponction effectuée sur le genou gauche qui montre 53'310 éléments dont 93% de polymorphonucléaires. Le liquide synovial pour Borréliose qui reviendra positif (PCR). Au cours de son hospitalisation, Mr. Y présentera quelques pics fébriles à maxima 38.7° jusqu'au 19.02. Nous remarquons une amélioration de la clinique à gauche les jours suivants avec une reprise de la marche et une mobilité qui augmente de jour en jour. Un bilan sanguin effectué le 20.02 montre une diminution de syndrome inflammatoire (CRP 26 mg/L) toujours sans présence de leucocytose. Le 21.02, au vu d'une sortie proche, nous effectuons un relais PO par Amoxicilline 60 mg/kg/j en 3 doses. Mr. Y sort le 21.02 avec une clinique favorable. L'auscultation est pathologique avec des sécrétions mobiles à la toux mais la radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Ainsi, nous concluons à un syndrome grippal sans signe de surinfection, que nous traitons par Dafalgan cp 1 g 4x/jour pendant 5 jours, Irfen 400 mg 3x/jour pendant 3 jours, Triofan spray nasal 4x/jour pendant 5 jours et Calmesin sirop 5 ml 3x/jour pendant 5 jours avec un arrêt de travail jusqu'au 22.02.2019. En cas de péjoration clinique aiguë, nous invitons le patient à reconsulter les urgences. Lavage de nez montré pendant la consultation, mouchage. Algifor 1 dose 10 ml ici à continuer x3/j 48h en systématique. Dafalgan 1 dose 10 kg si douleur. Continuer Bisolvon sirop et libéral onguent en massage thoracique. Lavage de nez. Surveillance alimentation, signe de lutte : si s'aggrave reconsulte. Dafalgan, Algifor en réserve. Lavage nasal. Médecine anthroposophique. Lavage oculaire. Antibiothérapie. Contrôle à la consultation ophtalmologique de garde le 17.02.2019. Lavage 500 ml. Fluorescéine : pas de lésion. Test pH : 7. Avis ophtalmologique (Dr. X) : Floxal 3x/j pour 5 jours + collyre, si péjoration contacter ophtalmologue. Lavement de Frecaclyss amélioré les plaintes. Lavement. Désinfection bétadinée. Champage. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1%. Exploration. 3 points simples de rapprochement, pansement provisoire jusqu'à ce qu'il soit pris au bloc. Exploration, rinçage et suture au bloc opératoire le 05.02.2019. Lavement Freka Clyss. Schéma désimpaction. Contrôle clinique dans 24h. Lavement intra-rectal par Freka-Clyss : bon rendu de selles sans soulagement des douleurs. Avis psychiatrique de garde. Ad Temesta 2.5 mg SL. Hospitalisation volontaire à l'hôpital psychiatrique de Marsens pour adaptation du traitement avec transport personnel en taxi. Lavement le 20.01.2019. Traitement laxatif d'office et réserve. Lavement par Freka-Clyss avec large émission de selles et disparition totale de la douleur. Lavement qui rend une quantité modérée de selles. Lavement 1/2 Freka-Clyss avec bon soulagement après une grande selle. Lavement. Laxatifs. Lavements et adaptation du traitement laxatif. L'avis du Dr. X est demandé procédant à une inspection chirurgicale, désinfection, anesthésie locale et suture de plaie. Le patient reçoit une dose unique de Co-Amoxicilline 1.2 mg en iv. Au vu d'une plaie complexe de la région oculaire ainsi qu'une vision floue, le patient est adressé aux urgences ophtalmologiques de l'HFR Fribourg, pour révision chirurgicale. Départ en transport interne. Laxatifs. Laxatifs et lavements avec bon effet. Laxité polyarticulaire. Status post plaie face latérale tiers distal jambe D. Status post instabilité fémoro-patellaire. Le bilan aux urgences donne un score de Wells de 2 qui est en dehors des critères de traitement pour une thrombose veineuse profonde. Mme. Y ayant pris déjà une dose de Clexane aujourd'hui et notant une amélioration clinique, elle rentre à domicile avec bilan angiologique demain et contrôle par la suite à la filière des urgences ambulatoires. Le bilan aux urgences est en faveur d'une angine débutante. Le patient est soulagé déjà par l'AINS donné au tri des urgences. Il rentre à la maison avec un traitement symptomatique et un suivi chez son médecin traitant si nécessaire. Le bilan aux urgences est non révélateur et le status est rassurant. Mme. Y s'améliore cliniquement lors de son passage aux urgences. En vue de cela, elle regagne son domicile accompagnée de son mari. Si les symptômes se reproduisent dans les jours qui suivent, elle prendra contact avec son médecin traitant et éventuellement un neurologue. Le bilan aux urgences est non révélateur et rassurant. Le patient dort sous monitoring aux urgences, ce qui montre des désaturations et des apnées lors du sommeil. Nous retenons le diagnostic d'apnées du sommeil et le patient va chez son médecin traitant aujourd'hui pour planifier une polysomnographie en ambulatoire. Le bilan aux urgences est rassurant avec aucun déficit, et un seul point douloureux au niveau de l'épine de T4. Nous conseillons alors au patient du repos et un traitement par AINS. Le patient est rassuré et rentre à domicile. Le bilan aux urgences est rassurant. Le pansement sec collait sur la plaie, c'est pourquoi il est changé avec du tulle gras. Le patient sera suivi chez son médecin traitant comme prévu avec un prochain rendez-vous le 11.02. Le bilan aux urgences est rassurant. Nous laissons Mme. Y rentrer à domicile avec des consignes de reconsultation en cas d'apparition de signes ou de symptômes neurologiques. Mme. Y, étant infirmière, est bien consciente de la situation et vit avec quelqu'un qui pourrait la ramener aux urgences si nécessaire.Le bilan aux urgences est suspect pour un calcul rénal. L'uro CT montre un passage de calcul rénal droit d'environ 3 mm qui est maintenant dans la vessie avec deux autres calculs de 2 et 3 mm dans le groupe caliciel supérieur et inférieur gauche. Mr. Y urine une grande quantité aux urgences et en filtrant ces urines, nous retrouvons un calcul d'environ 3 mm qu'on envoie pour analyse. Mr. Y est soulagé et ne se plaint plus d'aucune douleur. Il rentre à domicile avec une antalgie et prendra contact avec un urologue pour un suivi et la prise en charge des restes de calculs. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic de lombalgies non déficitaires d'origine musculaire. Mme. Y est soulagée par la prise d'antalgie et de musculo-relaxant. Elle rentre alors à domicile avec une prescription d'antalgie. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic de rétention urinaire aiguë sur hyperplasie de la prostate. Nous posons une sonde qui ramène 950 cc d'urines claires. Mr. Y est soulagé. Il rentre à domicile avec la sonde et prendra contact avec son urologue le 25.02 pour organiser le suivi. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic d'infection urinaire basse non compliquée. Nous lui donnons un traitement par antibiothérapie PO. Elle a déjà un contrôle prévu chez son médecin traitant le 14.02.2019. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Mr. Y bénéficie d'un rinçage abondant, une dose d'antibiotique et suture de plaie en attendant sa prise en charge au bloc opératoire demain matin. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Après avoir reçu un AINS, Mme. Y sent une amélioration et arrive à se mobiliser toute seule. Mme. Y est rassurée et nous lui donnons un traitement par AINS et physiothérapie, et nous lui conseillons un arrêt de sport pour récupération. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Mme. Y est traitée par antibiothérapie et sera suivie par son médecin traitant. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. La plaie est suturée aux urgences et Mr. Y sera suivi chez son pédiatre. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Mr. Y bénéficie d'un traitement par VacoPed jusqu'à l'ultrason la semaine prochaine et sera revu par Dr. X par la suite pour discussion de la prise en charge. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Mr. Y est traité symptomatiquement avec consignes de reconsulter en orthopédie si persistance de douleurs au-delà de 7 jours. Le bilan aux urgences met en évidence un léger syndrome inflammatoire mais avec un statut et une clinique rassurants. Mr. Y se sent mieux lors de son passage aux urgences. Nous le laissons alors rentrer à domicile avec un traitement symptomatique pour une probable gastrite. Nous le reverrons pour un contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 10.02 à 9h. En cas de péjoration dans l'intervalle, Mr. Y reconsultera les urgences. Le bilan aux urgences met en évidence un syndrome inflammatoire et suspecte un foyer basal droit. Nous prescrivons une antibiothérapie per os à Mr. Y avec contrôle chez son médecin traitant dans 48 heures. Le bilan aux urgences ne met pas en évidence de foyer infectieux pulmonaire ou urinaire avec un minime syndrome inflammatoire avec une CRP à 14 mg/l sans leucocytose. Mr. Y est alors traité symptomatiquement pour un syndrome grippal d'origine virale et rentre au foyer accompagné par son éducateur. Le bilan aux urgences ne met pas en évidence de fracture et n'est pas suspecté pour une lésion tendineuse. Nous donnons alors une attelle poignet et un traitement par repos et AINS et Mme. Y sera suivie par son pédiatre. Le bilan aux urgences ne met pas en évidence de signe infectieux, plutôt de la fibrine sur la plaie. Un pansement simple est effectué, Mr. Y est rassuré et sera suivi chez son médecin traitant. Le bilan aux urgences ne met pas en évidence de surinfection. Mr. Y est bien soulagé par l'antalgie. Nous lui recommandons un contrôle chez son médecin traitant dans les prochains jours et de reconsulter en urgence en cas de fièvre/frissons. Le bilan aux urgences ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de foyer pulmonaire. Nous traitons alors Mme. Y symptomatiquement, ce qui la soulage. Elle peut rentrer à domicile avec une antalgie. Le suivi se fera chez son médecin traitant. Le bilan aux urgences ne montre pas de syndrome inflammatoire, une analyse d'urine sp et Mr. Y est soulagé par un traitement symptomatique et dort pendant 3 heures aux urgences sans plainte. Au réveil, il dit avoir encore des douleurs en bande au niveau de l'hypochondre gauche. Nous continuons alors avec le traitement symptomatique avec un contrôle clinique et biologique prévu à la filière des urgences ambulatoires demain matin. Le bilan biologique ainsi qu'un ECG superposable au comparatif nous permettent d'exclure un syndrome coronarien aigu ainsi qu'un état inflammatoire infectieux. La radiographie du thorax montre l'absence de signe de décompensation cardiaque ou d'état infectieux. Une cause musculo-squelettique est retenue à l'origine des douleurs. Suivi clinique proposé chez son médecin traitant. Le bilan biologique, clinique et radiologique étant rassurant, nous ne retenons pas de signe d'appel pour une infection ou autre cause nécessitant un traitement spécifique. A savoir que Mme. Y présentera une crise d'angoisse pendant son séjour aux urgences, que nous traitons avec 1 mg de Temesta. Nous vous transférons donc Mme. Y pour suite de prise en charge de son anxiété. A l'arrivée des ambulanciers, Mme. Y se lève spontanément de son lit et chute avec traumatisme crânien, sans perte de connaissance. Dans ce contexte et face à une patiente non collaborante pour la réalisation d'un statut neurologique, nous prenons l'avis de Dr. X qui préconise la réalisation d'un CT-scan cérébral ne montrant pas de saignement ou de lésion osseuse. Une hospitalisation pour surveillance neurologique rapprochée n'est pas indiquée. Retour au RFSM en ambulance. Le bilan biologique confirme une infection virale, et l'ECG revient dans la norme. Nous demandons avis à Dr. X qui conseille un CT-scan cérébral, qui s'avère normal. Les vomissements sont donc attribuables à une gastroentérite débutante. Mme. Y peut rentrer à domicile avec traitement symptomatique. Le bilan biologique effectué aux urgences revient parfaitement normal. Mme. Y est asymptomatique depuis son arrivée aux urgences. Elle rapporte uniquement une fatigue que nous imputons à la prise de Temesta. Dans le cadre du bilan, nous effectuons un ECG qui montre un rythme sinusal régulier, normocarde à 74 bpm, axe gauche 36°, QRS 82 ms, segment-ST iso-électrique, transition de l'onde R normale en v3. QTc 456 ms. Un Schellong revient également dans la norme. Des manœuvres de Hallpike et les lunettes de Frenzel ne permettent pas de diagnostiquer un vertige positionnel paroxystique bénin. Au vu de l'anamnèse évocatrice et du statut clinique également évocateur, nous suspectons un possible Morbus Ménière. A savoir que Mme. Y n'a vécu qu'une seule crise. Afin de pouvoir poser un diagnostic, Mme. Y doit revivre une crise semblable et subir une audiométrie. Nous demandons un avis à Dr. X qui rapporte qu'au vu de l'anamnèse et de la constellation clinique, un Morbus Ménière est probable et Mme. Y sera vue à sa consultation. Il propose d'instaurer d'ici là un traitement de Betaserc 24 mg 2x/jour.La patiente est libre de rentrer à domicile en bon état général avec un arrêt de travail jusqu'au 08.02. Le bilan biologique est normal et le stix urinaire est rassurant. Nous retenons des douleurs abdominales probablement d'origine gynécologique vu les métrorragies intermittentes, mais vu que la patiente n'a plus de saignement actuellement et que les douleurs sont soulagées par la prise de Tamadol, nous la laissons regagner son domicile et consulter son gynécologue traitant le 13.02.2019, comme prévu. Le bilan biologique est rassurant, sans anémie ou syndrome inflammatoire. Les mouvements foetaux sont présents et normaux selon la patiente. Après avoir écarté des diagnostics d'atteinte d'organes internes, nous prenons avis auprès des gynécologues de l'HFR Fribourg. Ces derniers préconisent un contrôle en urgence chez eux durant la nuit. La patiente part par ses propres moyens pour se rendre en gynécologie au HFR Fribourg. Le bilan biologique et le stick urinaire sont normaux. L'ultrason abdominal ne trouve pas d'hernie inguinale ni de dilatation des voies urinaires. Le reste de l'examen est normal. Le Dr. X considère la pubalgie d'origine musculaire pour laquelle il conseille un traitement antalgique et du repos. Pour les métrorragies/hématuries macroscopiques, il conseille à la patiente de consulter les urgences de l'HFR Fribourg pour une consultation en bloc de gynécologie et urologie. La patiente regagne son domicile avec une ordonnance pour l'antalgie et un arrêt de travail. Le bilan biologique met en évidence une bonne fonction rénale et ne trouve pas de syndrome inflammatoire (CRP 5 mg/L, GB 11.6 G/l stable depuis 2017). La radiographie du thorax est normale, ne montrant pas de foyer pulmonaire ni d'épanchement. Au vu de douleurs chroniques anamnestiques non contrôlées par l'antalgie actuelle ainsi que des examens paracliniques rassurants, nous proposons à la patiente une hospitalisation pour adaptation de l'antalgie. La patiente refuse car l'hospitalisation proposée est sur un autre site de l'HFR, et souhaitant de ce fait recontacter son médecin traitant. La patiente regagne son domicile sans adaptation thérapeutique. Le bilan biologique met en évidence une légère anémie (Hb 114 g/l) qui est connue selon la patiente, en relation avec ses traitements oncologiques. Au vu du statut clinique rassurant et vu que le saignement n'est pas actif durant toute la durée de la prise en charge aux urgences, nous laissons la patiente rentrer à domicile en lui proposant de prendre rendez-vous chez l'ORL qui la suit pour ces hémorragies et de se représenter aux urgences en cas de récidive. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire et l'examen clinique ainsi que l'anamnèse ne montrent pas d'argument pour une origine infectieuse aux douleurs dans les suites post-opératoires. Le bilan radiologique est comparable à celui des suites post-opératoires. Des douleurs mécaniques sur mobilisation inadaptée durant la nuit et le fait que la patiente ne porte pas l'attelle comme il est prescrit, pourraient probablement expliquer les symptômes. Une antalgie est prescrite avec poursuite de la physiothérapie post-opératoire et suivi par le Dr. X. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire. L'examen clinique, hormis de légères douleurs en fosse iliaque gauche, est sans particularité, avec absence de signes de péritonisme et d'état fébrile. Un abdomen sans préparation est réalisé montrant l'absence d'iléus avec signe de coprostase légère. Un traitement laxatif avec bonne hydratation orale et régime riche en fibres est prescrit. Un contrôle clinique et biologique est organisé le 20.02.2019 au vu de l'absence du médecin traitant. Une colonoscopie sera à organiser dans les suites afin d'exclure une néoplasie sous-jacente. La patiente est invitée à reconsulter en cas de péjoration clinique. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique, pas d'anémie. Le sédiment urinaire revient dans la norme. La patiente a été évaluée par le Dr. X, psychiatre de garde, qui a confirmé la nécessité de l'hospitalisation. Nous transférons la patiente en ambulance au RFSM de Marsens. Le bilan biologique montre un Hb à 138 g/l ainsi que l'absence de syndrome inflammatoire et perturbation de la fonction hépatique. Au vu de l'absence de récidive d'hématémèse chez une patiente stable hémodynamiquement, sans signe d'abdomen aigu, la patiente regagne le domicile avec traitement par IPP durant 2 semaines et contrôle clinique chez le médecin traitant. Le bilan biologique montre une anémie NC avec NC stable et une légère augmentation de la créatinine plasmatique. Le scanner abdominal montre les deux corps étrangers dans l'estomac et le duodénum et ne met pas en évidence de perforation du tube digestif. Le Dr. X conseille un contrôle radiologique, raison pour laquelle nous organisons un rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires le 25.02. Le bilan biologique montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, syndrome inflammatoire avec une CRP à 6 mg/l et leucocytose à 15.3 G/l. Durant la surveillance aux urgences après avoir reçu un antiémétique et une bonne hydratation, la patiente se sent cliniquement mieux. Devant l'examen clinico-biologique, nous retenons un diagnostic de probable gastroentérite d'allure virale. La patiente peut regagner son domicile le jour même avec un traitement symptomatique. Nous proposons de bien s'hydrater. Elle sera vue à la consultation de son médecin traitant en fin de semaine. Nous proposons d'arrêter ses deux médicaments pour perte pondérale car il s'agit d'un antidiabétique oral Metformine et Omega D3. Le bilan biologique montre une IRA avec une créatinine à 133 mcmol/l sans syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire montre la présence d'une hématurie (3 croix) et une protéinurie sans leucocyte ni nitrite. Nous demandons un avis chirurgical au Dr. X, puis urologique au Dr. X. Nous concluons à une suspicion d'urétrite pour laquelle nous administrons une dose unique d'Azithromycine 1 g PO. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle le 20.02.2019 pour réévaluer l'indication d'une consultation urologique auprès du Dr. X. Le bilan biologique montre une leucocytose sans CRP, compatible avec la maladie oncologique connue. Un scanner cérébral injecté est réalisé, ce dernier montrant une lésion significative à 95% de l'ACI droite, avec bonne perméabilité distale et absence de lésion ischémique cérébrale. Cela nous permet ainsi d'exclure une origine centrale aux douleurs décrites. Quant à la sténose de l'ACI droite, un suivi rapproché avec bilan complémentaire serait indiqué en ambulatoire avec évaluation de l'indication à introduire un traitement antiplaquettaire. Le bilan biologique montre une perturbation ASAT à 63 U/L, ALAT à 131 U/l, GGT à 100 U/l, CRP à 6 mg/l, leucocytose à 12,8 G/l (concentration des leucocytes liée avec déshydratation). Le sédiment urinaire revient dans la norme. L'abdomen sans préparation montre une dilatation grêle pour laquelle nous réalisons un CT-scan abdominal, qui montrera des sauts de calibres compatibles avec un iléus grêle sans signe de souffrance. Mise en place d'une sonde nasogastrique avec contrôle radiologique satisfaisant. Le patient est ensuite transféré à l'HFR Fribourg, en ambulance. Le bilan biologique ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. Le stix/sédiment urinaire ne montre pas d'infection urinaire chez une patiente par ailleurs asymptomatique. Le bHCG urinaire est négatif. Cliniquement, l'abdomen est souple et dépressible sans défense ni détente à la palpation. Nous retenons le diagnostic de gastro-entérite probable débutante que nous traitons symptomatiquement. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec une antalgie simple en réserve et des consignes d'hydratation.Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Au vu de la clinique claire et des douleurs qui ne sont pas calmées par l'antalgie en place, nous prenons contact avec l'ORL de garde, le Dr. X, qui peut voir la patiente à son cabinet le jour même pour la suite de la prise en charge. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire et l'ultrason abdominal ne montre pas de signe pathognomonique d'appendicite aiguë, chez un patient ne présentant pas de signe d'abdomen aigu ni d'état fébrile. Les douleurs sont progressivement soulagées en cours de surveillance par antalgie simple avec possibilité d'étendre les jambes complètement. Après avis pédiatrique de la Dr. X, une adénite mésentérique est retenue. Une antalgie est proposée avec retour à domicile et suivi chez le médecin traitant, avec prescription de reconsulter en cas de péjoration clinique. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépatiques ni pancréatiques et un sédiment urinaire propre. Les douleurs diminuent avec une antalgie simple aux urgences. Au vu du status clinique et des examens complémentaires rassurants, nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement par IPP, anti-acide et une antalgie simple. Il a déjà rendez-vous chez une gastro-entérologue (Dr. X) à Fribourg qui le suit pour cette problématique la semaine prochaine. En cas de péjoration, nous lui proposons de reconsulter. Lors du contrôle le 22.02.2019, nous recontrôlons la natrémie qui est en légère amélioration (128 mmol/l). Le reste du bilan biologique montre que l'hyponatrémie est hypotonique (Osmolalité à 275 mosmol/kg) et le sédiment urinaire montre des urines concentrées avec une osmolalité à 576 mosmol/kg et un sodium à <20 mmol/l. Nous concluons à une hyponatrémie probablement sur perte extra-urinaire, vu que le patient décrit des selles liquides ces deux derniers jours. Le reste du bilan est superposable à la veille. Le patient peut donc rentrer à domicile et nous proposons au médecin traitant de suivre les valeurs du sodium lors d'un contrôle la semaine prochaine. Par rapport aux selles molles, nous lui proposons de ne pas prendre son traitement d'Ulcar ces prochains jours. Le bilan biologique ne trouve pas de syndrome inflammatoire, ni de modification en dynamique des troponines, avec une delta inférieur à 3 et des D-dimères positifs. L'ECG est rassurant, sans trouble de la repolarisation. Le scanner thoracique ne trouve pas d'embolie pulmonaire, ni de foyer infectieux, mais un goitre thyroïdien est mis en évidence. Étant donné qu'un syndrome coronarien aigu, une pneumonie, une embolie pulmonaire, une dissection aortique et un pneumothorax ont pu être écartés, nous retenons des douleurs musculo-squelettiques pour lesquelles nous proposons une antalgie simple. Nous laissons le médecin traitant organiser un rendez-vous en endocrinologie pour suite de la prise en charge du goitre découvert. Le bilan biologique revient dans la norme, nous permettant d'écarter une embolie pulmonaire, un processus infectieux ainsi qu'une myopathie. Nous retenons ainsi à nouveau le diagnostic de douleurs musculo-squelettiques. Nous proposons une antalgie par Tramal retard 100 mg 2x/jour. Sur son inquiétude, une reprise progressive de l'école est discutée. Arrêt du sport pendant 7 jours. Le bilan biologique sanguin met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 45 mg/l, sans leucocytose et un sédiment urinaire montre une leucocyturie avec des nitrites positifs et la présence de flore bactérienne. Un bilan radiologique ne montre pas de complication sévère de l'infection et nous concluons donc à une pyélonéphrite droite que nous traitons par antibiothérapie avec une première dose de Rocéphine 2 g en iv aux urgences puis un traitement par Ciproxine 500 mg per os 2x/jour pendant 7 jours. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle biologique et clinique la semaine prochaine. Le bilan biologique se révèle sans particularité. Au vu de la persistance des symptômes de douleurs et des paresthésies après antalgie adaptée, il est décidé de réaliser un scanner cérébral injecté, ce dernier ne montrant pas de masse, hémorragie ou thrombose veineuse. Nous retenons ainsi le diagnostic de migraine atypique, avec retour au domicile avec antalgie adaptée. Un contrôle clinique chez le médecin traitant est proposé avec investigations supplémentaires par IRM en cas de persistance des symptômes. Le bilan clinique aux urgences est rassurant et nous laissons alors rentrer le patient à domicile avec un suivi de l'hématome chez le chirurgien. Le bilan clinique et biologique est rassurant sur l'évolution. Elle prendra rendez-vous pour un contrôle clinico-biologique (FSS, CRP, coagulation) chez son médecin traitant dans une semaine. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas d'hyperpyrexie ou de crachats. Le bilan clinique et radiologique ne révèle pas de fracture et une légère leucocytose sans CRP. Face à un status rassurant, nous gardons le patient sous antibiothérapie avec une immobilisation du membre inférieur droit et un suivi de plaies en policlinique d'orthopédie. Le bilan clinique, le laboratoire et l'imagerie permettent d'exclure la suspicion de colique néphrétique. Nous suspectons un saignement d'origine vaginale comme spotting, et pour cette raison, vu que la patiente porte Implanon, nous lui conseillons de prendre rendez-vous chez son gynécologue pour un contrôle. Par ailleurs, nous complétons le bilan par un urotube, dont la patiente aura le résultat le 04.02 lors d'un contrôle en filière des urgences ambulatoires. La patiente a chez elle du Dafalgan, AINS et Oxycontin pour la gestion des douleurs, elle n'a donc pas besoin d'ordonnance. Le bilan effectué aux urgences nous permet d'exclure un syndrome coronarien aigu ainsi qu'un pneumothorax chez le patient. L'origine musculaire est retenue. Nous proposons au patient un traitement symptomatique. Le bilan est suspect pour une perforation de la membrane tympanique dans le contexte d'une infection. Nous adressons alors la patiente chez un ORL pour prise en charge. Le bilan met en évidence des bouchons de cérumen dans les deux oreilles. Nous essayons de faire une ablation manuelle des bouchons, mais les bouchons sont assez durs et nos outils ne sont pas adaptés. Pour cette raison, nous prescrivons du Cerumenol pour déboucher les oreilles et si persistance, une consultation ORL est conseillée au patient lundi 11.02.2019. Le bilan met en évidence un hématome. Nous procédons à la réfection du pansement et la patiente sera suivie pour un contrôle lundi à la policlinique d'orthopédie puis chez le Dr. X, orthopédiste. Le bilan par IRM confirme le diagnostic déjà évoqué lors du précédent contrôle. Au vu de l'examen clinique du jour et des images IRM mettant en évidence une déchirure distale du LLI, nous retenons une indication à une prise en charge chirurgicale pour la réinsertion du LLI sur des ancres au niveau de son insertion distale. Nous expliquons à la patiente et à sa mère le déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices, qu'elles acceptent en signant le formulaire de consentement éclairé.L'intervention est prévue le 13.02.2019. Une hospitalisation de 2 jours est à prévoir. Dans l'intervalle, la patiente aura rendez-vous en anesthésie. En ce qui concerne le LCA, la patiente sera également candidate à une plastie de reconstruction. Le bilan par ultrason ne met en évidence aucune thrombophlébite. Au vu de cet examen rassurant et de l'évolution clinique rassurante avec une diminution de la tuméfaction et de la douleur, nous retenons comme diagnostic des douleurs du vaste médial du quadriceps gauche dans le contexte de stratus post-déchirure du triceps sural. Mr. Y peut rentrer à domicile. Le suivi sera effectué par le médecin traitant. Le bilan radio clinique aux urgences met en évidence les diagnostics susmentionnés. Mr. Y bénéficie d'un traitement conservateur avec une attelle BAB plâtrée au coude gauche. Il prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans une semaine. Le bilan radio-clinique aux urgences est rassurant, raison pour laquelle nous laissons la patiente rentrer à domicile accompagnée par sa fille. Nous lui prescrivons un traitement symptomatique. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle le 11.02. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic de fracture de la clavicule gauche au niveau du tiers moyen et de fracture diaphysaire du 3ème métatarse du pied gauche datant de 3 semaines non déplacée. Un traitement conservateur est mis en place et Mr. Y rentre à domicile. Il prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans 1 semaine. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic de luxation de l'épaule droite antéro-inférieure. Mr. Y bénéficie d'une réduction fermée sous Fentanyl et Meopa et d'une immobilisation dans un gilet orthopédique. Il prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle radio-clinique dans une semaine. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic de probable lésion du ménisque interne du genou gauche. Un traitement par AINS, attelle en extension, décharge avec cannes et Clexane est mis en place. La patiente prendra rendez-vous chez le Dr. X pour un contrôle dans 1 semaine. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Elle bénéficie d'un traitement par attelle Aircast et antalgie et sera suivie chez son médecin traitant. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Mr. Y bénéficie d'une exploration de plaie aux urgences sous MEOPA et anesthésie locale qui ne met pas en évidence d'atteinte tendineuse ou nerveuse et sans atteinte de la capsule articulaire. La plaie est désinfectée, rincée et suturée aux urgences. Mr. Y bénéficie d'un single shot d'antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5 g iv aux urgences. La main est immobilisée dans une attelle type Edimbourg et Mr. Y sera revu à la consultation de policlinique d'orthopédie pour un contrôle clinique le lendemain. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Mr. Y bénéficie d'une exploration de plaie avec rinçage et ablation de corps étrangers (morceaux de pull), débridement des berges nécrotiques, une dose d'antibiotique iv, suture de plaie avec Ethibon 3.0 à la peau et immobilisation dans un pansement écossais en attente d'une opération demain matin. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Mr. Y bénéficie d'une exploration, rinçage et suture de plaie qui ne montre pas d'atteinte articulaire ou tendineuse. Il sera suivi à la filière des urgences ambulatoires à 24 heures puis le lundi 25.02.2018 en policlinique d'orthopédie. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Mr. Y est traité symptomatiquement et il lui est donné un arrêt de travail vu qu'il est paysan et fera le suivi chez son médecin traitant. Le bilan radio-clinique aux urgences ne met pas en évidence de foyer pulmonaire ou de péjoration au niveau respiratoire, une minime CRP à 10 mg/l sans leucocytose, et une patiente qui est stable. Au vu du bilan rassurant, la patiente rentre au foyer avec poursuite du traitement actuel. Le bilan radio-clinique aux urgences ne met pas en évidence de fracture, avec des tendons compétents sans instabilité ligamentaire. Nous retenons alors une contusion du 4ème doigt avec une plaie superficielle que nous désinfectons. Nous mettons un pansement simple dessus. Mr. Y regagne alors son domicile. Le bilan radioclinique effectué aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Mr. Y est hospitalisé en orthopédie pour antalgie et bilan complémentaire. Le bilan radioclinique effectué aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Nous donnons à la patiente un traitement avec des AINS et elle sera suivie par son médecin traitant. Le bilan radio-clinique est suspect pour un arrachement au niveau du talus et du naviculaire, raison pour laquelle le bilan est complété par un CT-scanner qui montre d'anciennes lésions corticalisées. La patiente bénéficie d'un traitement par attelle Aircast. Elle prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle clinique dans une semaine. Le bilan radio-clinique est suspect pour une fracture du scaphoïde. Nous mettons un plâtre AB circulaire avec pouce. La patiente prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans une semaine. Le bilan radioclinique permet de retenir le diagnostic susmentionné. Nous préconisons un traitement par Aircast pour 6 semaines. Pas de sport pendant 6 semaines. Nous lui prescrivons un traitement anti-inflammatoire pour 10 jours puis en réserve. Prochain contrôle clinique à 6 semaines chez le médecin traitant. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle à notre consultation mais restons à disposition. Le bilan radioclinique présente une épaule droite dominante fortement traumatisée avec le diagnostic susmentionné nécessitant une prise en charge chirurgicale dès que possible. Nous posons l'indication d'une prise en charge chirurgicale consistant en arthroscopie et mini-open d'une refixation de lésion de Bankart des ligaments gléno-huméral, médial et interne avec refixation du sus-épineux et sous-scapulaire et ténotomie ténodèse du LCB. L'intervention est expliquée avec l'aide d'un consentement avec les risques et les gains qui est signé par la suite par Mr. Y. Il sera vu encore par les anesthésistes. Nous prévoyons l'intervention le 04.02.2019 en hospitalisation. À noter que l'arrêt de travail est au minimum 3 à 6 mois à 100%. Le bilan radioclinique semble démontrer une instabilité coccygienne, raison pour laquelle nous planifions un scanner afin de mieux visualiser les structures osseuses ainsi qu'une IRM pour visualiser le contexte inflammatoire ainsi qu'une éventuelle radiculopathie. Prochain contrôle après ces examens. Le bilan radiologique confirme la cyphose et la scoliose, sans autre lésion mise en évidence. Nous recommandons un traitement antalgique et donnons à Mr. Y un certificat médical afin d'éviter les efforts importants à l'armée. Il ira en contrôle chez le médecin de la caserne.Le bilan radiologique démontre une fracture luxée vers postérieure bloquée avec le fragment latéral. Au niveau du bilan ligamentaire, une forte suspicion est présente pour une rupture de cela. Nous posons alors l'indication pour une prise en charge chirurgicale consistant en une réduction ouverte avec fixation interne par plaque et vis et fixation des ligaments coraco-claviculaire avec Endobutton et Fibertape. J'explique au patient les risques et bénéfices de l'intervention qui les accepte en signant le formulaire d'information et de consentement. Le bilan radiologique effectué aux urgences met en évidence le diagnostic de fracture métaphysaire non déplacée du radius distal droit. Après avoir demandé l'avis de Dr. X, orthopédiste de garde, un traitement conservateur est décidé avec une immobilisation dans un plâtre antéro-brachial pendant 4 semaines avec contrôle radio-clinique chez un médecin orthopédiste proche du domicile à 1 semaine puis à 4 semaines. Une antalgie simple et un arrêt de sport de 6 semaines sont également prescrits et le patient peut rentrer à domicile. Le bilan radiologique effectué aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Nous prenons contact avec le chef de clinique de l'orthopédie de Fribourg qui accepte que nous transférions le patient pour une prise chirurgicale en urgence. Nous prenons en charge la plaie avec désinfection et suture par 1 point et le patient reçoit une prophylaxie antibiotique par Co-Amoxicilline 1.2g iv. Le bras est immobilisé par une attelle postérieure brachio-antébrachiale et le patient est transféré aux urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg pour la prise en charge chirurgicale. Départ en ambulance. Le bilan radiologique effectué aux urgences ne met pas en évidence de fracture au niveau du bassin ou de la hanche. Nous ne visualisons pas de fracture de côte sur le cliché mais retenons le diagnostic de fracture de côte au vu du bilan clinique. Le bilan biologique avec un laboratoire sanguin et un sédiment urinaire ne met en évidence aucune particularité. Au vu du traumatisme crânien chez un patient anticoagulé, nous effectuons un scanner cérébral qui ne montre pas d'hémorragie cérébrale. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple et de la physiothérapie (patient déjà en traitement pour des lombalgies) et proposons un contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. Le bilan radiologique est rassurant avec un bilan ENMG tout à fait dans les normes. Nous proposons au patient un traitement conservateur avec des séances de physiothérapie et antalgie selon besoin et application topique de flector patch au niveau du coude. Physiothérapie au niveau du coude avec US et au niveau du genou avec élongation des chaînes postérieures, renforcement dans l'axe et proprioception. Concernant le dos, école à la marche et école du dos. Nous expliquons aussi au patient d'éviter des positions en hyperflexion du genou pour diminuer le risque d'augmenter des lésions ménisques. Poursuite de l'arrêt de travail pour un mois avec reprise par la suite à 100% comme électricien. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Le bilan radiologique est satisfaisant à 3 mois post-opératoires. La patiente nous rapporte ne pas avoir bénéficié de physiothérapie mais de thérapie manuelle par son médecin traitant. Nous lui prescrivons donc des séances de physiothérapie pour récupération des amplitudes articulaires de son rachis, antalgie et renforcement de la musculature spinale. Nous informons la patiente qu'au vu de tout son contexte de douleur chronique, la réhabilitation prendra du temps. Prochain contrôle radio-clinique à 6 mois post-opératoires. Le bilan radiologique met en évidence les diagnostics susmentionnés et nous immobilisons le poignet par une attelle antébrachiale. Le patient appellera le lendemain pour avoir un rendez-vous à la policlinique d'orthopédie le lendemain pour un avis orthopédique et pour effectuer si cela est nécessaire un scanner pour évaluer les fractures. Le patient rentre à domicile avec un anti-inflammatoire et une antalgie. Le bilan radiologique met en évidence un arrachement du ligament collatéral radial du pouce droit et selon l'avis de Dr. X, orthopédiste de garde, nous décidons d'une prise en charge conservatrice avec une prescription pour une attelle RhizoLoc avec une immobilisation pendant 6 semaines. Le patient prendra rendez-vous à la consultation de Dr. X pour un contrôle clinique dans 6 semaines. Des AINS et une antalgie simple sont prescrits et le patient est mis en arrêt de travail pendant 1 semaine, avec si nécessaire une prolongation qui sera faite par Dr. X. Le bilan radiologique met en évidence une fracture de l'humérus droit pour laquelle nous proposons une immobilisation de l'épaule droite dans un gilet orthopédique et un traitement antalgique. La patiente rentre à domicile et sera contactée le lendemain pour suite de la prise en charge. Le bilan radiologique met en évidence une fracture extra-articulaire distale déplacée avec bascule dorsale. Les clichés post-réduction sont satisfaisants. Un traitement conservateur est prévu pour un total de 6 semaines avec un plâtre AB. Un rendez-vous de contrôle est prévu à la policlinique à 1 semaine de distance. Le bilan radiologique met en évidence une fracture multifragmentaire de la 3ème phalange du majeur gauche pour laquelle Dr. X, orthopédiste, préconise un traitement conservateur avec une attelle digitale pendant 6 semaines. Vu qu'il y a la présence d'une plaie au niveau de la fracture, le patient reçoit une dose d'antibiotique IV aux urgences en prophylaxie. Il prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle de plaie dans 1 semaine et le suivi du traitement conservateur. Il peut rentrer à domicile avec une prescription pour une antalgie simple et des anti-inflammatoires. Le bilan radiologique met en évidence une fracture non déplacée de la base de la 3ème phalange du 4ème doigt du pied gauche. Nous mettons une syndactylie pour immobiliser l'orteil et proposons au patient de prendre rendez-vous chez son médecin traitant la semaine prochaine pour un contrôle clinique. Le bilan radiologique met en évidence une fracture peu déplacée du grand trochanter de l'épaule droite, avec un traitement conservateur prévu et immobilisation par gilet orthopédique pour 6 semaines. Un rendez-vous avec contrôle radioclinique afin d'exclure un déplacement secondaire est prévu en policlinique orthopédique à 1 semaine de distance. Le bilan radiologique met en évidence une fracture Weber B sans écartement de la syndesmose en charge. Après avis de Dr. X, orthopédiste, nous décidons d'un traitement conservateur avec une immobilisation par plâtre pendant 6 semaines avec la pose d'une attelle postérieure plâtrée aux urgences à porter pendant 1 semaine. Le patient prendra rendez-vous à la consultation de Dr. X pour un contrôle clinique et la pose d'un plâtre circulaire dans 1 semaine. Nous prescrivons aussi une décharge par cannes anglaises avec une prophylaxie thromboembolique par Clexane pendant 6 semaines, ainsi qu'une antalgie simple et des anti-inflammatoires. Le patient peut rentrer à domicile. Le bilan radiologique montre l'absence de fracture. Après avis orthopédique, un traitement conservateur par repos et contention élastique est préconisé. Le bilan radiologique montre l'absence de fracture avec un épanchement intra-articulaire. L'examen clinique révèle des douleurs lors du stress en varus du genou droit, parlant pour une entorse du ligament latéro-externe. Au vu de l'absence de laxité, une attelle Jeans est proposée avec suivi clinique à une semaine en policlinique d'orthopédie. Le bilan radiologique montre l'absence de fracture et l'examen clinique ne révèle pas d'atteinte de l'appareil neuro-vasculaire et extenseur. Après désinfection et exploration de la plaie, un pansement est réalisé. Le patient, n'ayant pas de médecin traitant, reviendra le 16.02 en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle de plaie. La plaie n'est pas suturée au vu de la faible étendue de l'atteinte cutanée et de la faible perte de substance.Le bilan radiologique montre un cal augmentant, mais une fracture qui n'est pas encore tout à fait solide. Une partie des douleurs est surtout liée à la guérison de la fracture et l'autre est liée à l'immobilisation dans l'attelle. Nous proposons de continuer encore pour 4 semaines l'immobilisation durant la journée et en dehors avec une mobilisation régulière par la patiente et un traitement en ergothérapie sans charge. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 24.03.2019 à 100%. Nous la reverrons pour un contrôle clinique le 22.03.2019. Le bilan radiologique montre une colonne dégénérative avec un bec ostéophytaire L4-L5, totalement asymptomatique sur le plan clinique ainsi qu'une hernie discale C3-C4 D peu symptomatique. Vu l'âge du patient, le bilan radiologique montre des lésions dégénératives relativement normales. D'autre part, il n'existe aucun trouble neurologique ni signe de gravité. Pour ces raisons, il n'existe pas à l'heure actuelle de perte de rendement et le patient peut travailler à 100% du point de vue du rachis. Nous encourageons le patient à contacter son oncologue afin de déterminer sa capacité de travail dans le cadre de sa pathologie principale, à savoir le lymphome de Hodgkins. Pas de nouveau contrôle nécessaire, nous restons à disposition au besoin. Le bilan radiologique montre une fracture multifragmentaire du radius distal droit avec impaction de la surface articulaire de 2.5 mm. Après avis orthopédique, une intervention chirurgicale est indiquée. Au vu de l'absence de capacité opératoire soit à l'HFR Riaz qu'à Fribourg, après discussion avec le Dr. X et le Dr. X, orthopédistes, ainsi qu'avec la patiente, le centre de la main du CHUV (Dr. X) est contacté. La patiente est ainsi attendue le lundi 18.02.2019 à jeun pour réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque. Le consentement opératoire est discuté avec la patiente et joint au dossier. Une antalgie est prescrite dans l'intervalle. Le bilan radiologique montre une fracture Weber B de la malléole interne, non déplacée. Nous procédons à une immobilisation par une attelle jambière postérieure avec décharge complète et contrôle à la policlinique à 1 semaine. Quant au traumatisme crânien, malgré l'absence de perte de connaissance et d'amnésie circonstancielle avec examen neurologique dans la norme, un CT-scan natif est réalisé dans le contexte d'une antiagrégation plaquettaire. Ce dernier ne montre pas de lésion traumatique ni hémorragie intracrânienne. La plaie frontale est suturée avec ablation des fils à 5 jours chez le médecin traitant. Le bilan radiologique montre une luxation antéro-inférieure de la tête humérale gauche, sans fracture associée. Nous procédons à une réduction sous MEOPA, qui se réalise avec succès. Un traitement conservateur par gilet orthopédique durant 3 semaines est décidé avec contrôle à la policlinique à 7 jours. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune fracture et au vu de l'examen clinique, nous concluons à une entorse du ligament latéro-externe de la cheville droite de grade 2 et il peut rentrer à domicile avec une attelle Aircast et une décharge avec une paire de cannes anglaises. Nous prescrivons aussi une antalgie simple et des anti-inflammatoires. Au vu des entorses à répétition de la même cheville, nous conseillons au patient de prendre rendez-vous à la policlinique d'orthopédie la semaine prochaine pour un contrôle clinique et pour avoir un avis orthopédique. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse. Au vu de l'examen clinique, nous suspectons une entorse de Chopard. Nous immobilisons le pied dans une attelle postérieure plâtrée et donnons des cannes pour la décharge avec une prophylaxie anti-thrombotique par Clexane 40 mg. Le patient prendra rendez-vous à la policlinique d'orthopédie le lendemain pour un contrôle clinique en fin de semaine. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse. Au vu de l'impotence fonctionnelle, de la tuméfaction importante et de l'hématome, nous concluons à une entorse du ligament latéro-externe de grade 3 et immobilisons la cheville dans une attelle postérieure plâtrée et la patiente utilisera une paire de cannes anglaises pour la décharge. Nous prescrivons une prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg 1x/jour, tant que la charge complète est impossible ainsi qu'une antalgie simple et des anti-inflammatoires. La patiente prendra rendez-vous le lendemain pour un contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie en fin de semaine. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse et l'examen clinique montre des muscles de la coiffe des rotateurs intacts. Nous concluons à une contusion de l'épaule gauche. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec une prescription pour une antalgie simple et des AINS ainsi que de la physiothérapie. En cas de persistance des douleurs, il reconsultera son médecin traitant. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse et nous concluons à une entorse du ligament latéro-externe de la cheville gauche de grade 2. Nous posons une attelle Aircast à but antalgique et prescrivons une antalgie simple. La patiente rentre à domicile avec une paire de cannes anglaises qui lui appartiennent. Elle consultera son médecin traitant pour un contrôle clinique la semaine prochaine. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse. Le statut clinique nous fait suspecter une entorse du ligament latéral interne et nous mettons en place aux urgences un traitement conservatif avec une immobilisation dans une attelle Jeans avec une flexion à 20° et une décharge à l'aide de cannes anglaises. La patiente prendra rendez-vous chez le Dr. X pour un contrôle clinique dans une semaine et si nécessaire un examen radiologique complémentaire. Elle peut rentrer à domicile avec une prescription pour des AINS et une antalgie simple ainsi qu'une prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse. Le statut clinique nous fait suspecter une entorse du LLC au genou gauche. Le genou est immobilisé dans une attelle Jeans et la patiente reçoit une paire de cannes anglaises pour décharger le genou selon les douleurs. Elle prendra rendez-vous à la consultation orthopédique du Dr. X pour un contrôle clinique la semaine prochaine. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse. L'examen clinique est rassurant et le patient peut rentrer à domicile après avoir rempli le constat médical de coup. Il consultera son médecin traitant pour un contrôle clinique la semaine prochaine. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse. Nous laissons donc le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple de la pharmacie du domicile après avoir rempli le constat médical avec lui. Le bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse. Nous retenons donc le diagnostic de contusion du pied gauche avec un diagnostic différentiel d'entorse de Chopard. Le patient peut donc rentrer à domicile avec une immobilisation dans une attelle plâtrée postérieure et des cannes. Un rendez-vous policlinique d'orthopédie sera à prévoir pour un contrôle le 25.02. Le plâtre sera, si nécessaire, retiré à ce moment. Le bilan radiologique ne montre pas de fracture franche. Cependant, au vu de douleurs importantes persistantes à la palpation du scaphoïde ainsi que du mécanisme des chutes, nous procédons à une immobilisation par plâtre antébrachial du pouce pour suspicion de fracture du scaphoïde, avec contrôle à la policlinique orthopédique à 7 jours.Le bilan radiologique ne montre pas de fracture. Nous gardons donc comme diagnostic une contusion de l'omoplate et de la clavicule à droite pour laquelle nous prescrivons un traitement symptomatique par AINS qu'elle a à domicile. Nous lui donnons un arrêt de sport d'une semaine. Un rendez-vous pour un contrôle clinique dans 10 jours environ chez le pédiatre traitant est à prévoir. Le bilan radiologique ne montre pas de fracture. Nous retenons une entorse du ligament latéro-interne du genou gauche. Nous mettons en place une attelle Jeans avec marche en charge selon douleurs avec l'aide de deux cannes anglaises, et la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg sous-cutanée 1x/24 heures. Le patient peut regagner son domicile le jour même et sera vu à la consultation du Dr. X, orthopédiste, à une semaine. Le bilan radiologique ne montre pas de lésion osseuse traumatique visible. Nous retenons une entorse de stade II de la cheville droite. Nous immobilisons la cheville avec une attelle Aircast pour 6 semaines. Le patient peut regagner son domicile le jour même et sera vu dans une semaine par son médecin traitant. Le bilan radiologique permet d'exclure une torsion testiculaire, montrant une épididymite, traitée par antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j durant 14 jours et antalgie. Un suivi clinique par le médecin traitant est indiqué. Le bilan sanguin aux urgences nous permet d'exclure un syndrome coronarien aigu. Au vu de la fine lame d'épanchement péricardique non circonférentiel retrouvé à l'US, la patiente sera revue dans notre service pour recontrôler le bilan sanguin afin d'exclure un syndrome inflammatoire qui pourrait parler pour une éventuelle péricardite débutante. La patiente rentre à domicile stable sur le plan hémodynamique et sans plainte algique ni dyspnée. Le bilan sanguin effectué aux urgences nous permet d'exclure un syndrome coronarien aigu ainsi qu'une embolie pulmonaire. L'origine de la gêne est interprétée dans un contexte cartilagineux. Nous proposons un traitement symptomatique avec contrôle clinique chez le médecin traitant. Le bilan sanguin ne montre pas de syndrome inflammatoire. Au vu de la clinique, nous suspectons une bursotomie traumatique dans un contexte de chute avec réception sur le coude. Nous avons cherché à exclure les signes d'une bursite olécrânienne mais n'avons pas pu effectuer d'exploration de plaie car la patiente souhaitait rentrer à domicile avec son mari. Étant d'origine française, ils séjournaient chez des amis qui les attendaient pour le dîner. À 22 h 40, la patiente a souhaité s'en aller. Nous l'avons mise en garde face aux risques de complications possibles et la patiente nous a confirmé qu'elle consulterait son médecin traitant à Paris à son retour le 04.02. Nous lui avons fait signer une décharge et l'avons laissée quitter le service avec un pansement compressif et une tulle bétadinée. Le bilan sanguin réalisé aux urgences ne montre pas de syndrome inflammatoire et se montre rassurant. Au sédiment urinaire, nous notons la présence de leucocytes sans symptomatologie urinaire fonctionnelle. Nous contrôlons les douleurs de la patiente par antalgie simple per os (Dafalgan et Irfen). Au vu de la clinique et des résultats de laboratoire sanguin rassurants, nous décidons de laisser la patiente rentrer à domicile avec une antalgie simple per os et du Motilium en réserve si les nausées venaient à persister. Le consilium ophtalmologique ne montre pas de particularités. Après le consilium ophtalmologique, les céphalées et les vertiges sont en diminution. Nous interprétons les symptômes dans le cadre d'un traumatisme crânio-cérébral léger. Il peut rentrer à domicile avec antalgie, repos, éviction d'écrans et arrêt de sport pendant une semaine. Reconsulter en cas de signes d'alarme. Le constat de coup est effectué avec le patient et sa mère. Le patient peut ensuite rentrer à domicile. Il prendra rendez-vous chez un ORL dans 5 jours pour une prise en charge du traumatisme nasal en cas de persistance de la déformation. Pour la dent cassée, il prendra rendez-vous chez un dentiste. Le contrôle à une semaine est favorable. Il reconsultera en cas de péjoration clinique. Le contrôle angiologique du jour ne met pas en évidence de thrombose veineuse profonde ni superficielle. Au vu de la bonne évolution clinique, nous préconisons un arrêt du traitement par Clexane 40 mg vu que le patient peut à nouveau charger sur le membre inférieur concerné et une poursuite de l'antibiothérapie pour une durée totale de 14 jours. En ce qui concerne sa symptomatologie de l'épaule gauche, une radiographie est effectuée et ne met pas en évidence de fracture. Ainsi, nous préconisons un traitement conservateur par un gilet orthopédique pour 5 jours avec antalgie simple. Quant à ces deux problématiques, nous préconisons un contrôle le 25.02.2019 chez le médecin traitant pour suite de prise en charge. Le contrôle biologique montre une CRP à 15 mg/l, sans leucocytose. Nous prenons l'avis du Dr. X, chirurgien, et au vu de l'amélioration clinique et du statut rassurant, il nous conseille de continuer le traitement conservateur avec Brufen avec un suivi chez le médecin traitant en fin de semaine. Le contrôle clinique démontre une amélioration de la situation mais encore avec prudence. Nous proposons de poursuivre les désinfections avec pansement par Aquacel. Arrêt des antibiotiques. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 3 mars 2019 avec possibilité, éventuellement, de reprendre le travail à 100%. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. Le contrôle clinique démontre une évolution avec une amélioration de la symptomatique toujours encore présente nécessitant encore du soutien en ergothérapie et physiothérapie. Prise d'antalgies selon besoin. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique dans 2 mois. Le contrôle clinique montre une évolution favorable. Poursuite des exercices acquis en physiothérapie avec encore un soutien d'une nouvelle prescription. Marche libre avec reprise du travail à 50% à partir du 04.02.2019 jusqu'au 10.02.2019 et reprise à 100% à partir du 11.02.2019. Pas de contrôle prévu à notre consultation. Le contrôle clinique présente une amélioration avec une évolution très lente. Le patient présente tout de même une activité musculaire donnant la possibilité par physiothérapie intensive de pouvoir réussir à regagner une très bonne capacité concernant son épaule droite et de pouvoir par la suite exercer son travail comme agriculteur. À l'heure actuelle, il est nécessaire de réduire le taux de charge et des exercices répétitifs pour donner la possibilité de réhabilitation. Nouvelle prescription pour physiothérapie avec un traitement spécifique de dyskinésie omoplate et une 2ème prescription pour MTT. Prise d'antalgie selon besoin en évitant le Tramal. Nous reverrons le patient dans 2 mois à notre consultation. Continuation de l'arrêt de travail à 100%. Le contrôle clinique présente une bonne amélioration de la symptomatique avec une évolution favorable. Malgré la bonne évolution, le patient bénéficie encore d'un arrêt de travail à 100% jusqu'à la fin du mois de février avec possibilité de reprise au 1er mars. Poursuite de la physiothérapie pour améliorer encore à gagner en amplitudes. Le contrôle clinique présente une bonne évolution postopératoire mais il faut tout de même être attentif de ne pas faire des mouvements de stress sur le ligament collatéral radial. Proposition de porter encore pour un minimum de 2 semaines l'attelle durant la nuit et les activités à haut risque. Mobilisation douce, sans stress sur le LCR en physio-ergothérapie. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Jusqu'à ce contrôle, poursuite de l'arrêt de travail à 100%.Le contrôle clinique présente une évolution tout à fait favorable avec un patient qui a repris ses activités sportives. De notre part, il ne présente plus de nécessité de suivi mais nous restons à disposition en cas de besoin. Le contrôle clinique présente une excellente évolution avec une reprise de toutes les amplitudes, avec application de force possible. Poursuite de la physiothérapie pour regagner de la force en évitant une irritation du sus-épineux et du LCB. Prise d'antalgie selon besoin. Prochain contrôle dans 2 mois. Le contrôle démontre une évolution moyenne avec une décompensation des douleurs. Nous proposons de refaire un bilan ENMG pour mieux visualiser le status quo ainsi qu'un traitement antalgique en physiothérapie, avec pour but la mobilisation, le massage Trigger point et San Antonio. Poursuite également en physiothérapie désensibilisation et motricité au niveau de la main. Prochain contrôle clinique et discussion de la suite de la prise en charge dans 3 mois. Le contrôle glycémique à J3 revient dans la norme et est transmis au service d'endocrinologie. HGPO à 3 mois. Contrôle post-partum à 6 semaines à votre consultation. Le contrôle radioclinique est favorable à une année post-opératoire. Une légère gêne est encore présente chez la patiente, surtout du côté dorsal et palmaire. Cette gêne est explicable avec le matériel d'ostéosynthèse. Nous décidons avec la patiente d'attendre encore, l'évolution et d'observer cette gêne. Nous reverrons la patiente dans 3 mois. Le contrôle radio-clinique montre un genou avec forte contusion, une zone inflammatoire du pôle supérieur de la rotule avec une contusion du cartilage. Le patient présente déjà une bonne mobilité. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie pour mobilisation libre, renforcement musculaire, école à la marche et proprioception. Nous conseillons au patient de ne pas porter de charge supérieure à 20 kg pendant 1 semaine. Reprise du travail à 100% comme électricien. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Le contrôle radio-clinique montre une claire excroissance avec arthrose débutante et une vis extra-osseuse. Le patient opte pour une prise en charge chirurgicale. De notre part, il présente une claire indication à une patellectomie partielle avec plastie en Z et ablation du matériel d'ostéosynthèse. Nous expliquons l'intervention au patient avec les risques et les bénéfices et il signe le consentement éclairé. Il sera vu par nos collègues de l'anesthésie. Nous prévoyons l'intervention pour mi-février. Le contrôle radio-clinique montre une évolution favorable avec une fracture qui montre des signes de guérison. Poursuite de l'ergothérapie avec de la physiothérapie pour renforcement musculaire. Application topique d'une crème keli med. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'à la prochaine consultation. Nous reverrons le patient pour un contrôle radio-clinique dans 5 semaines. Le contrôle radio-clinique montre une évolution favorable. Poursuite des activités sportives selon tolérance. Prochain contrôle radio-clinique dans 2 ans. Le contrôle radioclinique montre une évolution tout à fait favorable avec encore une limitation au niveau de l'extension mais qui peut être améliorée par des exercices. Pas d'indication pour l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Prochain contrôle radioclinique un an postopératoire avec discussion pour une éventuelle ablation du matériel d'ostéosynthèse. Le contrôle radio-clinique présente un genou instable avec un Lachmann et un Pivot shift positifs. L'IRM a mis en évidence une plastie LCA re-rupturée. Comme le patient présente des lâchages fréquents lors des mouvements de pivot, une re-plastie serait à envisager. Tout d'abord, nous aimerions préparer le genou avec des séances de physiothérapie avec SensoPro. Le patient pourra alors prendre son temps et réfléchir sur la situation actuelle et décider de quelle prise en charge il préfère. Nous ne prescrivons pas d'arrêt de travail. Le contrôle radioclinique présente une claire indication d'une prise en charge chirurgicale consistant en une réduction ouverte à ciel ouvert avec fixation interne. Les différentes possibilités avec les risques et les gains ont été expliqués au patient et à sa mère à l'aide d'un consentement. Le patient signe le consentement par la suite. L'opération est agendée pour le 11.02.2019. Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable avec des signes de consolidation. Prescription de physiothérapie pour mobilisation progressive avec charge progressive selon douleur. Renforcement musculaire selon schéma San Antonio. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable avec une patiente avec peu de gêne. Nous lui expliquons de nous contacter en cas de souffrance cutanée au niveau du versant de l'épicondyle interne. Nous restons à disposition au besoin et reverrons la patiente pour un contrôle radioclinique 1 an post-opératoire. Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable concernant la guérison de la fracture. D'autre part, la patiente présente encore un déficit de réhabilitation, en conséquence, nous lui prescrivons de nouvelles séances de physiothérapie pour renforcement musculaire, relâchement des chaînes postérieures, massage Trigger point du compartiment interne et des exercices de proprioception. Les exercices acquis en ergothérapie sont à continuer pour la désensibilisation au niveau de l'abord trans-rotulien avec application topique de Neurodol patch. Nous reverrons la patiente pour un contrôle le 08.05.2019. Entre-temps, la patiente peut reprendre normalement ses activités. Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable concernant la mobilisation qui s'améliore de plus en plus. Concernant le cliché radiologique, on remarque tout de même un affaissement au niveau du fragment de la tête humérale avec une vis perçante. Le patient est informé de cette situation. Il présente encore un risque clairement augmenté pour une nécrose de la tête humérale. Continuation de la physiothérapie avec renforcement musculaire progressif. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique dans 2 mois. Le contrôle radioclinique présente une évolution favorable. Nous proposons tout de même de continuer avec l'ergo-physiothérapie. Prochain contrôle radioclinique dans 6 mois. Le contrôle radioclinique présente une évolution tout à fait favorable avec une bonne amélioration de la mobilité. Poursuite de la physiothérapie à domicile pour renforcer les muscles et améliorer la mobilisation. Nous reverrons pour un contrôle radioclinique dans 3 à 4 mois à notre consultation. Le contrôle radioclinique présente une évolution tout à fait favorable avec une bonne récupération de la force au niveau de l'épaule mais tout de même encore une présentation minime d'une dyskinésie nécessitant une prise en charge physiothérapeutique. Prescription donnée à la patiente. La patiente peut continuer toutes les activités sportives et professionnelles. Nous reverrons la patiente à 1 an post-opératoire pour un contrôle radioclinique. Le contrôle radioclinique présente une évolution tout à fait favorable mais avec des gênes concernant le matériel d'ostéosynthèse. La patiente opte pour une prise en charge chirurgicale consistant en une ablation de celui-ci. L'intervention est expliquée avec les risques et les gains. Le consentement est signé. Elle sera vue par nos collègues de l'anesthésie. Nous agendons l'intervention en mars 2019.Le contrôle radioclinique présente une évolution tout à fait favorable 1 an post-traumatisme. De notre part, pas de restriction ou d'intervention à ce point. Nous proposons un contrôle radioclinique des 2 coudes dans 1 an pour réévaluation d'un potentiel trouble de croissance. Le contrôle radiographique du jour ne met pas en évidence de fracture avec un doute sur une possible subluxation latérale de la colonne cervicale. Nous préconisons un contrôle le 22.02.2019 à la filière des urgences ambulatoires avec, si persistance des douleurs, CT cervical organisé le jour même. Le CT a confirmé le diagnostic susmentionné. Il reçoit un arrêt de travail de 3 semaines. Il sera revu à la consultation du Dr. X pour la suite de la prise en charge. Le CT et l'IRM montrent un status post-ORIF avec matériel encore en place, recouvert d'une couche osseuse. Le CT scan montre un fragment osseux de Bankart luxé médialement de grande taille antéro-inférieure. Le CT-scan cérébral est dans la norme et nous laissons donc la patiente rentrer à domicile accompagnée par son fils. Pour sa fracture, elle sera suivie par la policlinique d'orthopédie. A noter une leucocyturie accompagnée d'un vague sentiment de gêne suspubienne. Le résultat est passé inaperçu à la sortie de la patiente. Après contact téléphonique, la patiente nous dit réévaluer la situation samedi 02.03.2019, jour de sa dialyse, et en cas de péjoration, elle demandera une prescription d'antibiotique. Le CT-scan effectué le 29.01.2019 a pu exclure un descellement de la prothèse, par contre, met en évidence la présence d'un enfoncement de la tige d'au moins 11 cm par rapport aux clichés postopératoires de 1997. La symptomatologie douloureuse de la patiente est, à notre avis, due au raccourcissement de la musculature du quadriceps et du psoas. Nous proposons un traitement par la physiothérapie de longue durée avec stretching de la musculature et vélo d'appartement. En ce qui concerne la modification de la position de la tige, il n'y a aucune indication chirurgicale actuellement. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 an ou plus vite en cas de besoin. Le défaut en X est stable. On prévoit un contrôle clinique dans 2 ans. Jusqu'à la fin de la croissance, il n'y a pas d'indication à une intervention. Si elle remarque une nette aggravation, elle peut nous recontacter avant. Le diagnostic est posé ce jour d'un flutter auriculaire. En raison d'un début inconnu, il est décidé d'une anticoagulation avec cardioversion électrique dans un 2ème temps. Patiente a rendez-vous chez Dr. X le 20.02.2019. Le doigt à ressaut du 4ème rayon est en amélioration et les gênes sont moindres. Le patient est motivé de continuer un traitement conservateur. Pas de nouveau contrôle prévu mais, en cas d'aggravation des symptômes, le patient reprendra contact avec nous. Le Dr. X contactera le Dr. X le 11.02.2019 pour la suite de la prise en charge gastro-entérologique (stent). Contrôle clinico-biologique, notamment suivi de la lipase, en début de semaine suivant la sortie, à votre consultation. Le Dr. X, ORL, passe et nous posons le diagnostic suscité. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 02.03.2019. Avertir le Dr. X, chirurgien, qui doit voir le patient. Ablation des fils à J10 (tous ou 1/2 selon évolution par un ORL). Le patient sera au Portugal et nous assure une consultation ORL. Le Dr. X autorise le voyage. Consultation avant si péjoration clinique. Le Dr. X suture la plaie et prescrit le suivi susmentionné. Concernant la fracture du pouce gauche, elle sera revue en policlinique d'orthopédie à une semaine. Nos collègues orthopédistes revérifieront la base ulnaire du pouce pour exclure un pouce du skieur à distance. Le fécalome est évacué aux urgences. Le laboratoire du jour montre une diminution de son syndrome inflammatoire avec une CRP à 7 mg/l et des leucocytes à 2 G/l (1.7 au précédent contrôle). Au vu de la bonne évolution clinique, nous préconisons la poursuite du traitement anti-inflammatoire jusqu'au 22.02.2019, un arrêt de travail jusqu'au 24.02.2019 ainsi qu'un contrôle auprès de son médecin traitant le 25.02.2019 pour suite de prise en charge. Le laboratoire est dans la norme. Rx Thorax : Aorte déroulée, calcifiée. Pas d'épanchement pleural visible. Minime épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Le laboratoire est sans particularité, sans syndrome inflammatoire, et avec des tests hépato-pancréatiques dans la norme. Le sédiment urinaire revient propre. Aux urgences, la patiente reçoit du Nexium, de l'Ulcar et du Buscopan avec une nette amélioration des douleurs et la disparition de cette sensation de reflux. La patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Le suivi est à faire chez son médecin traitant. Le laboratoire, la clinique et la radiographie confirment une infection des voies respiratoires d'origine très probablement virale. L'ECG montre une tachycardie sinusale connue, plus rapide que d'habitude dans le contexte infectieux. La patiente s'améliore grâce à l'administration de Solumedrol, Pulmicort et Atrovent. Le Peak Flow de sortie DEP à 57 %. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec du Symbicort et du Ventolin en réserve, anti-inflammatoires et anti-douleurs. Le laboratoire montre un CRPO à 7 mg/L et les globules blancs sont normaux. Le patient se sent mieux après une hydratation iv et administration d'1 gr de Dafalgan. Nous retenons le diagnostic d'une gastro-entérite et laissons le patient regagner son domicile avec un traitement symptomatique. Le laboratoire montre un léger syndrome inflammatoire avec leucocytose, et le test de grossesse est négatif, tout comme le sédiment urinaire. Nous prenons l'avis du Dr. X, de médecine interne, qui confirme notre suspicion diagnostique de gastro-entérite débutante. La patiente rentre à domicile avec traitement symptomatique et un court arrêt maladie. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec leucocytose et neutrophilie, dans le contexte de l'infection urinaire au décours, et nous administrons une antalgie par titration de morphine face à une inefficacité des antalgiques de palier 1 et une efficacité partielle de ceux de palier 2. La titration morphinique s'avère très efficace rapidement, et la patiente peut rentrer à domicile avec une antalgie par paracétamol et Novalgine, plus du Tramal en réserve (la patiente n'accepte pas les AINS car son dentiste les aurait proscrits en raison d'une intervention demain). Le laboratoire montre une anémie normocytaire normochrome à 128 pas sd inflammatoire. Rx thorax : PAC en place. Aspect désorganisé de la trame broncho-vasculaire. Foyer de condensation basal à D. Le laboratoire montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, le test hépato-pancréatique est dans la norme hormis un LDH légèrement augmenté à 460 U/I, pas de syndrome inflammatoire, hémoglobine dans la norme à 162 g/l. Le sédiment urinaire est propre. La radiographie du thorax ne montre pas de pneumothorax ni de fracture costale visible, présence de troubles ventilatoires en base gauche. Devant l'examen clinico-biologique et radiologique, nous retenons une contusion de l'hémothorax gauche. Les douleurs ont bien diminué à 2/10 après avoir reçu une antalgie par Dafalgan et AINS. Le patient peut regagner son domicile le jour même avec une antalgie simple. Il sera vu à la consultation de son médecin traitant pour un contrôle clinique en fin de semaine. Le laboratoire montre une diminution du syndrome inflammatoire, et l'abdomen sans préparation une coprostase colique importante. Nous administrons, sur les conseils du Dr. X, un lavement, qui soulage le patient. Il rentre à domicile avec laxatifs et antalgie.Le laboratoire montre une hémoglobine stable mais pas de syndrome inflammatoire. Le stix et le sédiment urinaire reviennent dans la norme. Au vu de la clinique, le Dr. X effectue un ultrason FAST ne mettant pas en évidence de liquide libre intra-abdominal. La radiographie du thorax ne montre pas de signe de complication (pneumo- et hémothorax) d'une fracture costale. Au vu de la clinique, nous demandons l'avis du Dr. X, chirurgien, qui préconise un CT-scanner abdominal injecté ne mettant pas en évidence de lésion du parenchyme rénal gauche ou splénique. Ainsi, nous posons le diagnostic de fracture clinique de l'arc antérieur gauche de la 10ème côte. Le patient peut rentrer à domicile avec un arrêt de travail et une antalgie simple. Le laboratoire montre 11.1 de L avec CRP négative. Consilium Angio le 15.02.2019 : Le bilan veineux du membre inférieur droit est normal. En raison des épisodes à répétition d'érysipèle du membre inférieur droit avec certainement des lésions secondaires du réseau lymphatique, nous proposons de faire quelques séances de drainage lymphatique après l'erysipèle et de porter des bas de compression de classe 2 (chaussettes). Le médecin-radiologue est effectivement d'accord avec notre diagnostic et va changer son rapport. Intervention maintenue pour le 19.02.2019. Le papa reprendra contact. Le patient a bénéficié d'une plastie du LCA par ligamys par le Dr. X à la Clinique St-Anne le 05.12.2018 suite à son accident. Dans les suites opératoires, la situation s'est compliquée par une arthrite septique à Staph. capitis pour lequel le patient a été pris en charge à l'HFR. Le patient souhaite depuis se faire suivre par le Dr. X. Nous prescrivons au patient des séances de physiothérapie pour proprioception, appui monopodal et renforcement musculaire. Poursuite de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au 28.02.2019 puis reprise à 50 % à partir du 01.03.2019 et à 100 % dès le 16.03.2019. Prochain contrôle dans 2 mois. Le patient a bénéficié, le 13.12.2018, d'une bursectomie du coude gauche dans un contexte inflammatoire. Les suites opératoires immédiates ont été simples mais Mr. Y présente, à un mois post-opératoire, une probable surinfection du site motivant la réalisation les 16.01.2019 et 18.01.2019, d'incisions, de drainages et de lavages pour bursite septique. Mr. Y est placé sous antibiothérapie par Co-Amoxicilline jusqu'au 01.02.2019, moment où nous notons, lors du contrôle clinique, une déhiscence de plaie. L'indication à une incision avec prélèvements bactériologiques et lavage du site est retenue. Une première intervention se déroule le 01.02.2019, avec ablation des fils de la précédente intervention, débridement, prélèvements bactériologiques, lavage. Le 03.02.2019, Mr. Y est repris au bloc opératoire pour débridement, rinçage et mise en place d'un pansement Renasys type VAC, puis une dernière fois le 07.02.2019 pour ablation du VAC, lavage, fermeture cutanée. Une immobilisation par pansement écossais à 70° de flexion est mise en place. Les prélèvements sont effectués au niveau du coude gauche le 01.02.2019 et la culture aérobe et anaérobe revient négative à 5 jours. Le 07.02.2019, un frottis de la plaie est effectué avant sa fermeture, révélant quelques enterobacter complexe cloacae, raison pour laquelle nous demandons un avis infectiologique à la Dr. X. Celle-ci préconise un traitement par Bactrim forte 2 x/jour pour 5 jours. Durant le séjour, les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie standard. Le suivi biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire (leucocytes 8,3 G/l et CRP inférieure à 5 mg/l le 03.02.2019). La valeur d'hémoglobine est à 143 g/l. Par ailleurs, le suivi montre une glycémie bien contrôlée par le traitement de Januvia, Metformine et Lantus, le patient nécessite l'Insuline Humalog mise en réserve. Lors du contrôle de plaie le 13.02.2019, nous retrouvons un léger écoulement séreux au niveau de la plaie motivant la mise en place, le 14.02.2019, en chambre, un VAC à -100 mmHg que Mr. Y gardera jusqu'au 19.02.2019. Suite à la mise en place du VAC, le patient peut regagner son domicile. Le patient a bien été informé sur le risque d'insuffisance des muscles abducteurs de la hanche droite suite à l'ablation du clou et le risque de re-fracture. Le patient a été informé du déroulement de l'intervention, ainsi que des risques et bénéfices (ablation du clou et des vis, mais nous laisserons en place le cerclage Dall-Miles). Le consentement a été rempli et signé. Intervention planifiée pour le 13.03.2019. Le patient a déjà été vu par le Dr. X qui mentionne encore une irrégularité au niveau du nerf médian à D. Nous prescrivons des séances d'ergothérapie pour mobilisation cicatricielle et désensibilisation surtout au niveau du tunnel carpien à D. D'autre part, nous prions nos collègues de l'anesthésie pour effectuer des infiltrations au niveau de l'arcade de Frohse. Sur le long terme, il faudra envisager un nouveau contrôle neurologique pour les 2 poignets (status post cure de tunnel carpien). Prochain contrôle dans 2 à 3 mois. L'arrêt de travail est géré par le médecin traitant. Le patient a été opéré le 23 août 2011 pour une circoncision ici à l'HFR. Le patient a rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle le 26.02.2019. Le patient a rendez-vous à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie, pour contrôle la semaine suivant la sortie. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique et de l'antibiothérapie durant 1 semaine. Le patient a ressenti un bénéfice de la physiothérapie mais il ressent encore de l'instabilité au niveau de son épaule D notamment en extension et en hyper adduction. Prescription de nouvelles séances de physiothérapie poursuite de l'arrêt de travail à 100 % pour encore 6-8 semaines. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Le patient a subi une forte torsion du genou gauche lors d'une chute à ski ce jour, il présente un épanchement articulaire inférieur avec un signe du Glaçon positif, des douleurs à la palpation de la rotule et de l'interligne articulaire latéral > médial, nous retrouvons une laxité du ligament latéro-interne avec arrêt sec, il n'y a pas de trouble neurovasculaire associé et la radiographie ne montre pas de lésion osseuse. Nous lui prescrivons donc une attelle Velcro avec charge selon douleurs et des cannes anglaises ainsi qu'un traitement de Clexane prophylactique injection sous-cutanée 40 mg/jour avec du Daflagan 1g 4x/jour et de l'Irfen 600 mg 3x/jour. Nous le mettons à l'arrêt de travail à 100 % jusqu'à son prochain contrôle à la consultation du Dr. X, orthopédiste, à 1 semaine, qui l'avait déjà suivi et opéré pour une déchirure méniscale. Le patient a un contrôle chez le Dr. X la semaine prochaine. Je conseille au patient d'être très prudent quant à une nouvelle révision de cette hanche, vu qu'à haute probabilité, ce n'est pas l'ancre déplacée ou mal mise qui provoquerait le problème actuel du patient. En outre, les lombalgies dont souffre le patient ne sont pas liées à la pathologie tendineuse de sa hanche droite. Le patient, âgé de 60 ans, en bonne santé habituelle, nous a été envoyé par le Dr. X ORL pour suspicion d'otite moyenne compliquée, avec parésie faciale gauche depuis 29.01.2019, pour diagnostic complémentaire et prise en charge. Au CT des rochers, on trouve une otomastoïdite à droite correspondant à la clinique et à l'otoscopie. Nous avons mis en place une antibiothérapie intraveineuse, une thérapie anti-inflammatoire intraveineuse et nous avons effectué une paracentèse avec mise en place d'un drain transtympanique à gauche. Nous avons trouvé beaucoup de tissu rétrotympanique granuleux.La parésie faciale gauche montre une bonne évolution, mais la patiente se plaint d'une vision floue le 31.01.2019. On a immédiatement mis en place une protection de l'œil gauche. Régression incomplète de la parésie faciale gauche jusqu'au 01.02.2019. Les valeurs d'inflammation ont régressé au cours de l'hospitalisation. Le patient ayant pu reprendre ses activités sans gêne, nous l'autorisons à reprendre son travail à 50% durant 1 mois puis à 100% par la suite. Nous reverrons à 1 mois et demi de sa reprise à 100% soit fin avril-début mai pour un contrôle radioclinique. Le patient bénéficie de l'intervention susmentionnée qui se déroule sans complication. Il reste en surveillance une nuit. Les mèches sont retirées à J1. Le patient bénéficie de l'intervention susmentionnée sans complication. Le Merocel de la narine droite est retiré à J1. Le patient rentre à domicile le 16.02.2019. Le patient bénéficie d'un examen clinique ciblé qui ne montre pas d'atteinte testiculaire clinique. Nous prévoyons tout de même un ultrason le 06.02 à 11h00. Le patient sera ensuite vu en contrôle à la filière des urgences ambulatoires. Nous lui prescrivons une antalgie à base d'AINS et de Dafalgan. Le patient peut rentrer à domicile. Le patient bénéficie d'une oxygénothérapie à haute dose durant une trentaine de minutes, qui le soulage complètement. Il reprendra contact avec son médecin traitant ou son neurologue pour discuter de la possibilité d'avoir de l'oxygène à domicile. Les douleurs étant connues, avec un avis spécialisé déjà obtenu, et la demande du patient claire, nous n'effectuons pas d'autres investigations aux urgences. Le patient bénéficiera d'une alimentation via la sonde nasogastrique ainsi qu'une rééducation physiothérapeutique et logopédique pour ses troubles de la déglutition. Il sera suivi 1x/semaine en alternance par le Dr. X et notre Policlinique ORL, avec un premier rendez-vous le 11.02.2019, puis le 18.02.2019 à 10h00. Le patient décrit une décompensation arthrosique dans un contexte d'immobilisation relative sur un traumatisme récent de sa main D. La symptomatologie est actuellement résolutive et le patient ne garde pas de handicap. Il n'y a pas eu de récidive de cet épisode douloureux. Nous n'objectivons pas à la radiologie une absence de lésion fraîche mais plutôt des lésions dégénératives du carpe pouvant également expliquer cette symptomatologie. Poursuite du traitement conservateur avec suivi en ergothérapie et l'immobilisation associée. Le patient reçoit les indications quant à la prise en charge à effectuer en cas de récidive de la symptomatologie douloureuse. Nous reverrons le patient comme prévu le 25.02.2019 pour un bilan clinique. Le patient doit continuer avec les séances de physiothérapie à but d'onde de choc. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Le patient doit porter une attelle articulée, qui lui a été prescrite il y a 2 semaines avec 30° de flexion maximale pour les 2 premières semaines puis amplitude à 0-60° pour les 2 semaines suivantes puis 0-90° pour les 2 dernières semaines. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines. Dans l'intervalle, le patient doit commencer les séances de physiothérapie pour renforcement musculaire et mobilisation du genou. Le patient doit prendre un rendez-vous en policlinique de chirurgie jeudi 28.02.2019. Le patient doit voir son médecin traitant demain qui assurera le contrôle et réévaluera le patient. Le patient est actuellement surtout gêné par des douleurs antérieures du genou. Nous lui expliquons donc que, dans ce contexte, l'intervention chirurgicale n'est pas indiquée et ne permettrait pas de résoudre la symptomatologie. L'intervention du 26.02.2019 est donc annulée. Le patient débutera un traitement en physiothérapie. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 3-4 mois. Le patient est actuellement totalement asymptomatique au niveau du dos. Il présente une légère hypoesthésie au niveau de la face antérieure du genou, se prolongeant sur la partie latérale de la jambe, pouvant éventuellement correspondre à une atteinte du nerf saphène sur statut post-2 interventions au niveau du genou G. En raison d'une asymétrie de longueur des MI constatée avec une différence de 1.5cm en défaveur de la D, nous mettons en place lors de l'examen clinique une compensation de ce MI, ce qui soulage bien le patient. Nous lui prescrivons donc une semelle orthopédique compensatrice de 1cm pour le MI D. Il ne souhaite pas de rendez-vous de contrôle supplémentaire et reprendra contact avec nous si besoin. Le patient est asymptomatique chez nous et nous ne notons aucun examen complémentaire perturbé. Au vu du diagnostic différentiel susmentionné, nous avons proposé au patient un contrôle clinico-biologique et un ultrason le 28.02.2019 que le patient a refusé sur manque de temps. Il se rendra en consultation chez son médecin traitant la semaine prochaine. Le patient est autorisé à reprendre le sport de manière progressive en évitant les sports engendrant des chocs trop violents pour la main tels que le tennis, le squash ou la boxe. Il est autorisé à reprendre progressivement le fitness. Nous le revoyons dans 3 mois. Le patient est cliniquement et biologiquement rassurant. Les douleurs cèdent à de faibles doses de Morphine. Un scanner a été organisé le lendemain par le médecin traitant. Nous ne retenons donc pas d'indication à effectuer un bilan complémentaire en urgence et nous lui proposons d'effectuer le scanner le lendemain comme prévu, et de reconsulter en cas de nouvelles douleurs. Le patient est de plus en plus gêné. Il souhaite une ablation de cette masse. On discute avec lui de l'excision et d'envoyer le prélèvement en bactériologie, ce qui est prévu pour le 22.03.2019. Il sera en arrêt à 50% jusqu'à cette date. Il a signé le consentement ce jour après explication des risques et des bénéfices. Le patient est enlevé de la liste de transplantation le 31.01.2019 au vu de l'évolution défavorable et l'ACR. Le patient est envoyé pour une arthro-IRM du genou droit. Nous lui expliquons que nous ne pouvons pas procéder à cet examen en urgence et lui organisons un rendez-vous en ambulatoire. La suite se fera par la médecine militaire, en accord avec cette dernière. Le patient est évalué par le collègue psychiatre de garde, qui conclut à la nécessité d'une hospitalisation au RFSM de Marsens avec l'accord du patient et de son père. Départ avec son père. Le patient est hospitalisé suite à l'intervention chirurgicale agendée en ambulatoire en raison de fortes douleurs postopératoires. L'intervention s'est déroulée le 04.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par de fortes douleurs invalidantes nécessitant une hospitalisation pour surveillance et traitement antalgique. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche durant le séjour. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. La mobilisation est débutée en physiothérapie durant le séjour. Le status neurologique de sortie est résolutif et ne présente pas de déficit. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Au vu d'une bonne évolution, le patient est autorisé à retourner à son domicile le 08.02.2019. Le patient est informé de l'opération, à savoir ablation de la bourse et du corps libre, de ses bénéfices et de ses risques pour lesquels il signe ainsi que sa mère, car il est mineur, un consentement éclairé. L'opération est prévue en ambulatoire pour le mardi 19.02.2019. Le patient est informé de l'opération, des bénéfices et des risques pour lesquels il signe un consentement éclairé.Le patient est informé de prendre un rendez-vous chez son médecin traitant pour dans 10 jours afin de régler le sintrom, réévaluer les doses de traitement par lévétiracétam (si absence de symptômes, reprise de la dose habituelle à 2x250 mg) et réévaluer la nécessité des traitements agissant sur le plan respiratoire. Le patient est invité à reconsulter si péjoration ou persistance des symptômes. Le patient est invité le 5.2.19 à 14.00 au C4 pour sa consultation pré-chimiothérapie. Poursuite des antibiotiques jusqu'au 03.03.2019. Contrôle prévu le 6.3.2019 en chirurgie chez Dr. X. • Movicol et Xylocaine gel pour améliorer la défécation et la rétention de selles. • Rinçage de la plaie anale 3x/j et après chaque passage à selles. Le patient est moins agité suite à l'administration du Seresta. Il est transféré à Marsens, dans l'unité Thalassa, pour un sevrage OH. Le patient est prévu pour une amputation épibasale du P1 du 5ème orteil à G le 22.02.2019. On explique le déroulement opératoire, les risques et les bénéfices au patient. Il accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. Pour la suite postopératoire, une antibiothérapie iv jusqu'aux résultats est prévue. En ce qui concerne le genou, nous proposons de faire des pansements simples avec de la Bétadine Tulle pour sécher la plaie, régulièrement par les soins à domicile. Le patient est revenu pour contrôle clinique et radiologique. Un ultrason abdominal du jour montre de multiples ganglions agrandis en fosse iliaque droite et péri-ombilicaux droits mesurés jusqu'à 6 mm de petit axe, mais pas d'image pathognomonique pour une appendicite. Au vu de la clinique, un avis est demandé au Dr. X. Ce dernier voit le patient et pose le diagnostic ci-dessus. Un traitement symptomatique par Buscopan et Primpéran lui est prescrit. Nous préconisons un contrôle chez le médecin traitant en fin de semaine pour suite de prise en charge. Le patient est soulagé par une titration de morphine et le lavement que nous administrons. Nous adaptons le traitement d'opiacés et le renvoyons à domicile, avec indication de contacter son neurochirurgien traitant demain pour suite de la prise en charge. Le patient est traité de manière symptomatique. En cas de persistance de la symptomatique, il reconsultera à la Permanence ou chez son médecin traitant. Le patient est transféré à Fribourg pour suite de prise en charge : • Concernant l'épanchement cardiaque, nous recommandons d'effectuer une échocardiographie transthoracique dès que possible. • Concernant le bilan oncologique, nous recommandons de compléter par un CT scan abdominal. • Nous vous laissons le soin de discuter avec Dr. X le site de biopsie (l'adénopathie inguinale droite est bien accessible) et le début d'une corticothérapie à haute dose. Le patient est très satisfait de la dernière infiltration. Il rapporte également essayer de perdre du poids et avait senti un bénéfice sous physiothérapie. Prescription d'une nouvelle série de séances pour hygiène posturale, enseignement d'exercices de fitness et stretching de la musculature abdominale. Nous réduisons son incapacité de travail à 50% pour les 6 à 8 semaines à venir. Il pourra reprendre le travail à 100% dès le 20.04.2019. Pas de prochain contrôle prévu à notre consultation mais restons à disposition en cas de recrudescence des symptômes. Le patient est victime d'un traumatisme lors d'un match de hockey et présente d'emblée de vives douleurs et une impotence fonctionnelle du membre inférieur droit. Le bilan radio-clinique effectué aux urgences permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. L'intervention se déroule le 09.02.2019 sans complication et les suites post-opératoires sont simples, le contrôle radiologique est en ordre et l'antalgie est efficace. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge de 5 kg, sous protection de cannes anglaises et d'un Vacoped. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera poursuivie durant 6 semaines post-opératoires. Sur le plan neurologique, aucune survenue d'un syndrome des loges et, vu la bonne évolution, Mr. Y retourne à domicile le 11.02.2019. Le patient est vu par Dr. X, chirurgien, et un abcès para-anale est retenu. Le patient ne souhaite pas une incision mais plutôt un traitement conservateur avec une prise en charge en électif. Au vu de l'absence de tension cutanée, du souhait du patient et de l'amélioration sous AINS, une prise en charge en électif à la consultation de proctologie de Dr. X est proposée. Le traitement anti-inflammatoire est à poursuivre et le patient devra reconsulter les urgences avant la consultation en proctologie en cas de péjoration des douleurs, d'apparition de fièvre ou d'augmentation de la taille de l'abcès et de la tension cutanée. Le patient rentre à domicile avec un traitement anti-inflammatoire. Il ira en consultation chez Dr. X le 05.03 à 14h15. Le patient insiste pour une prise en charge chirurgicale. Nous lui expliquons qu'en l'absence de lésion organique clairement objectivable, cette attitude n'est pas recommandée. Dans un premier temps, nous lui proposons de poursuivre les US en physiothérapie et d'arrêter les massages. Après une longue discussion, nous organisons une IRM à la recherche d'une étiologie organique clairement identifiable. En parallèle, nous prions nos collègues d'antalgie de bien vouloir convoquer le patient pour un avis. Le patient me décrit encore une chute à ski il y a quelques semaines où il s'est rattrapé sur son bras D. Cliniquement je ne trouve aucun signe d'un lâchage du montage. Bonne force du sus-épineux. Le patient poursuit la physiothérapie avec une mobilisation active et passive sans limitation. J'ai programmé un contrôle final chez moi à 9 mois post-opératoires. Le patient montre une claire arthrose de la hanche gauche avec réduction de la composante cartilagineuse et formation d'un double fond au niveau du cotyle. Il existe également une forte composante type cam et pincer. Le patient présente surtout une clinique avec des douleurs postérieures plutôt liées à une fatigue de la musculature des abducteurs associée à un syndrome de la sacro-iliaque. Dans ce cas, nous proposons de tout d'abord débuter un traitement conservateur par physiothérapie de déblocage de la sacro-iliaque, ainsi que traitement de la musculature des abducteurs avec une phase de détente et renforcement de la musculature. On conseille un traitement antalgique avec Flector patch au besoin. Si persistance, augmentation de la symptomatologie ou irradiation au niveau de l'aine, nous opterons éventuellement pour un traitement par substitution articulaire avec prothèse totale de la hanche. Le patient est informé de nous recontacter en cas de besoin. Le patient n'a pas présenté de perte de connaissance ni d'amnésie circonstancielle et l'examen neurologique s'est montré sans particularité aux urgences. Désinfection, champage, anesthésie locale des deux plaies à la Rapidocaine 1%, bicarbonate et fermeture des plaies par points simples d'Ethilon 4.0 complétés par une couche d'opsite spray. Le patient sera revu par son médecin traitant pour un retrait des fils à J10. Le patient n'ayant toujours pas eu de consultation auprès de Dr. X, nous renvoyons une convocation à son cabinet. Dans l'intervalle, poursuite de la physiothérapie pour équilibrage postural. Nous reverrons le patient après la consultation ultra-spécialisée. Nous prions le secrétariat de Dr. X de bien vouloir convoquer le patient. Le patient ne montre pas de signe de décompensation respiratoire, malgré un Peak flow avec des valeurs assez basses, mais difficile à effectuer par le patient en raison de la toux. Il n'y a pas de signes de complication de la pneumonie à l'auscultation. Le patient est soulagé par l'administration de Ventolin aux urgences, nous le prescrivons pour compléter le traitement à domicile.Le patient ne souhaite pas attendre d'avantage, préfère revenir demain, parti sans consultation médicale. Le patient ne souhaite pas attendre, ira peut consulter son médecin traitant. Patient informé des risques infectieux. Le patient ne souhaite plus de constat de coup. Patient parti sans consultation médicale. Le patient nous dit clairement qu'il ne souhaite pas d'intervention chirurgicale pour l'instant. De plus, il n'est pas motivé pour le traitement postopératoire. Par conséquent, pas de nouveau contrôle prévu mais le patient peut nous recontacter s'il change d'avis. Pour l'instant, il va surtout évaluer sa situation avec l'assurance pour la prise en charge de ses frais médicaux. Le patient nous informe que depuis le 1er mai, il ne travaillera plus sur les chemins de fer. Nous lui proposons donc un traitement par physiothérapie et application de patchs chauffants au niveau lombaire. Nous lui expliquons que sa discopathie peut être une potentielle source des douleurs et que nous le reverrons donc dans 4 semaines pour discuter de l'évolution. Dès qu'il reprendra une activité professionnelle, il faudra également suivre le patient. Pour l'instant, nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% (selon son souhait) jusqu'au 10.03.2019. Il sera ensuite en vacances pour 5 semaines. Le patient nous rapporte être actuellement en demande d'AI. Au vu de son évolution clinique favorable, nous ne voyons pas de raison de demander une rente. Nous encourageons le patient à chercher une activité adaptée à sa pathologie, à savoir, sans vibration, sans position vicieuse de la colonne cervicale ni port de charge de plus de 15 kg régulièrement. Nous enverrons une lettre de soutien à son office du chômage pour reconversion professionnelle dans ce but. Dans l'intervalle, poursuite des séances de physiothérapie. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition en cas de péjoration de la symptomatologie pour une éventuelle infiltration. Le patient part contre avis médical sans attendre les résultats qui reviennent par la suite (négatifs). Nous contactons le Dr. X pour communiquer les résultats de son patient et il sera vu en consultation annuelle prévue le 11.02.2019 en pneumologie. Nous appelons également le patient pour l'informer des résultats. Le patient peut dès lors débuter un travail actif en physiothérapie sans limitation d'amplitude. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique à 3 mois post-traumatisme soit le 04.04.2019. En cas de persistance des douleurs, un blocage ou une persistance de la crépitation à la mobilisation, nous envisagerons une extension du bilan radiologique. Le patient peut dès lors reprendre une activité professionnelle à 100% dès le 18.02.2019. Nous le reverrons pour un dernier contrôle clinique dans 1 mois. Le patient prendra contact avec une ergothérapeute pour mettre en place des séances d'ergothérapie. L'incapacité de travail est prolongée jusqu'au 04.02.2019. Reprise à 50% à partir du 05.02.2019, à 75% à partir du 16.03.2019 et à 100% à partir du 01.04.2019. Prochain contrôle en avril 2019. Le patient prendra lui-même rendez-vous pour un contrôle de la plaie à 10 jours. Contrôle du pacemaker le 28.02.2019. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle dans 1 semaine. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle dans 3 semaines. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour un contrôle dans 2 semaines. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 12 jours post-opératoires. Jusque là, Mr. Y procèdera à la réfection des pansements tous les 4 jours. Le patient présentant une évolution stable et sa symptomatologie ayant déjà diminué sous physiothérapie en Macédoine, nous ne posons pas d'indication chirurgicale pour l'instant. Nous apprenons que le patient a déjà fait 9 séances de physiothérapie dernièrement sans amélioration mais sans plus de précision. Nous lui en prescrivons donc une nouvelle série, principalement pour hygiène posturale afin de soulager son dos. A cela, nous ajoutons un traitement de Dexaméthasone à schéma dégressif sur 10 jours. Prochain contrôle dans 2 à 3 semaines pour refaire le point. Le patient présente au contrôle clinique une scoliose, qui nécessite un bilan approfondi. Nous suspectons également une hernie discale lombaire à G. Un orthoradiogramme du rachis face et profil et une IRM lombaire sont organisés. Le patient sera suivi au team rachis à la suite de ses examens. En ce qui concerne les genoux, le patient sera revu à notre consultation dans le courant du mois de mai. Le patient présente des douleurs abdominales mal systématisées. L'examen clinique est tout à fait rassurant. Le bilan biologique est sans particularité. Nous lui proposons dès lors, un traitement symptomatique et un suivi chez sa psychiatre. Les critères de reconsultation sont expliqués au patient. Le patient présente des douleurs chroniques surtout au niveau de la hanche G mais également au niveau de la colonne. Il est soulagé uniquement par des séances régulières de physiothérapie. Nous lui conseillons de faire une séance par semaine au lieu de toutes les 2 semaines afin de décontracter la musculature et équilibrer la situation. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Le patient présente des douleurs d'origine peu claire, avec un diagnostic différentiel incluant : un possible descellement de prothèse, des douleurs post cure d'hernie selon Lichtenstein et également anamnestiquement la suspicion d'un syndrome de Maigne avec une amélioration des douleurs suite à une infiltration en 2018. Nous allons premièrement exclure un problème mécanique au niveau de la prothèse, raison pour laquelle on organise un CT-scanner pour le 06.02.2019 afin d'exclure un descellement. Au vu d'une combinaison metal metal, nous effectuons également un laboratoire (chrome, cobalt) et bilan infectieux (CRP, leucocytes, procalcitonine, vitesse de sédimentation, Interleukin 6). Nous reverrons le patient suite à ces examens, le 19.02.2019. Le patient présente des douleurs persistantes après 4 mois d'un traitement conservateur. Cliniquement, nous constatons une nette instabilité antéro-postérieure, raison pour laquelle nous ne pensons pas que le traitement conservateur donnera un résultat satisfaisant pour le patient au vu de ses activités sportives et professionnelles. Concomitante, il présente une lésion partielle du sus-épineux. Nous proposons au patient une prise en charge opératoire consistant en une arthroscopie de l'épaule avec refixation du sus-épineux +/- ténotomie ténodèse du LCB selon le statut intra-opératoire. De plus, nous effectuerons une reconstruction coraco-claviculaire par Fibertape et greffe de LARS. Nous expliquons au patient les risques et bénéfices de l'intervention qu'il accepte en signant le formulaire d'information et de consentement. L'intervention est agendée pour le 12.09.2019. Le patient présente des pieds plats valgus bilatéraux. Il a présenté un premier épisode de décompensation qui s'est bien résolu par le traitement antalgique et la mise au repos. Actuellement, le patient n'a pas de récidive. L'examen clinique montre un tendon tibialis postérieur qui est compétent, sans signe de décompensation. Je propose au patient le port de semelles orthopédiques et physiothérapie, que le patient ne souhaite pour le moment pas adopter. Il reprendra contact avec nous en cas de nouvelle décompensation et ainsi nous pourrons mettre en place ce traitement conservateur avec également, au besoin, un bilan radiographique par IRM.Le patient présente donc une fracture de la malléole externe que nous classifierons comme étant Weber B. Il s'agit d'une composante de supination external rotation type II selon Lauge-Hansen. Cliniquement et radiologiquement, pas d'atteinte des composantes postéro-médiales. Poursuite du traitement conservateur par Vaco ped fixe jour et nuit avec charge selon douleur. Nous reverrons le patient pour un contrôle radioclinique à 2 semaines du traumatisme. Poursuite de la prophylaxie anti-thrombotique par Clexane 40 mg sous-cutanée 1x/jour. Le patient présente probablement un blocage lombaire aigu soit une étiologie musculaire. Nous lui prescrivons donc un traitement antalgique et myorelaxant ainsi que de la physiothérapie. Prescription également de patchs chauffants. Prochain contrôle dans 3 semaines. Le patient présente un déficit de rotation externe lié à l'accident et au traitement conservateur. Dans la situation actuelle, je déconseille une arthrolyse vu les risques liés au nerf axillaire lors d'un tel geste. Il me semble que c'est aussi pour cette raison que le Dr. X a déconseillé un geste chirurgical, une attitude que je peux très bien comprendre. On pourrait proposer une infiltration intra-articulaire de l'épaule G afin de relâcher la capsule articulaire. Le patient va réfléchir à ces propositions. Je me tiens à disposition. Le patient présente un rythme irrégulier connu avec bradycardie à 37/min lors du transfert en ambulances, résolue à son arrivée aux urgences. L'arythmie est connue et confirmée par l'ECG et nous mettons la bradycardie transitoire dans le contexte d'un épisode vagal. Nous effectuons un laboratoire qui montre une leucocytose à 15.7 G/l sans CRP. Les tests hépato-pancréatiques sont alignés. L'augmentation de la bilirubine est connue et à mettre dans le contexte du syndrome de Gilbert. Nous effectuons un ultrason abdominal à la recherche de lithiases vésiculaires ou de signes de cholécystite que nous ne retrouvons pas. Lors de son séjour aux urgences, le patient rapporte des épisodes nouveaux de reflux gastro-œsophagien, pour lesquels il reçoit de l'Ulcar et du Nexium 40 mg avec bon effet. Dans ce contexte, nous concluons à une gastrite et mettons le patient sous traitement d'épreuve par Pantozol 40 mg. Il verra son médecin traitant d'ici 2 semaines pour contrôle. Le patient présente un syndrome de Dressler en péjoration avec une majoration de l'épanchement péricardique ce jour. Le laboratoire de contrôle ainsi que l'imagerie sont rassurants. Au vu de l'instabilité hémodynamique nécessitant un remplissage rapproché sur la journée, il est transféré aux soins intensifs pour surveillance. Nous n'avons pas d'élément en faveur d'un foyer infectieux. Le patient présente un syndrome grippal viral avec otite moyenne aiguë dans ce contexte. Nous traitons symptomatiquement et conseillons au patient de consulter chez le médecin traitant s'il n'y a pas d'amélioration malgré le traitement d'ici 72h. Le patient présente un traumatisme important avec mécanisme d'hyperextension de la nuque. Les imageries effectuées ce jour ne révèlent pas de fracture. Après avis orthopédique, nous lui proposons tout de même une immobilisation dans une attelle mousse avec contrôle IRM et à la Team Spine au cours de la semaine. Le patient présente une croissance unguéale ectopique aberrante suite à une cure d'ongle incarné selon Kocher attribuable à une scission incomplète de matrice unguéale. La gêne est uniquement cosmétique et non fonctionnelle. Après discussion avec le patient, nous lui exposons que l'unique prise en charge curative consiste en une intervention chirurgicale. Il souhaite attendre encore avant d'effectuer une telle opération. Il reprendra contact avec notre service en cas de gêne. Le patient présente une double problématique : premièrement, les surfaces articulaires de l'IPD ne sont pas parallèles avec un élargissement radial pouvant expliquer cette déviation lors de la mise en flexion. Secondairement, le patient présente une laxité de ses structures stabilisatrices avec une insuffisance en radial. Dans ce contexte, nous allons effectuer un bilan par ultrason de l'appareil ligamentaire de l'articulation inter-phalangienne distale et nous reverrons le patient à la suite de cet examen pour effectuer le point. Le patient présente une évolution clinique et radiologique favorable à 4 mois post-opératoires compte tenu de ses antécédents au genou droit. Il poursuivra le traitement en physiothérapie. L'arrêt de travail est prolongé à 100 % jusqu'au 3 mai 2019. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. À terme de ce contrôle, le patient sera remis en capacité de travail à 100 % dans une activité adaptée. Nous l'informons qu'il doit discuter de sa situation et faire les démarches auprès des assurances concernées. Le patient présente une évolution favorable au niveau du genou D après infiltration avec une régression quasi-complète de la symptomatologie. D'autre part, il présente une décompensation d'une chondrocalcinose au genou G pour laquelle nous proposons de réaliser une infiltration le lundi 11.02.2019. Poursuite du traitement de physiothérapie. Le patient présente une évolution favorable de sa prothèse d'épaule avec néanmoins encore un déficit de force au niveau des rotateurs externes. Une nouvelle prescription de série de séances de physiothérapie pour entretien de la coiffe surtout des rotateurs externes. En parallèle, le patient se plaint de lombalgie basse avec irradiation sur la hanche, ce pourquoi des séances de physiothérapie pour hygiène posturale sont également prescrites. Prochain contrôle radiologique et clinique dans 6 mois donc à un an post-opératoire environ. Le patient présente une fracture type Burst A3 mais n'a pas présenté de troubles neurologiques depuis le traumatisme, il y a 6 semaines de cela. Nous discutons longuement avec le patient des risques opératoires liés à une cyphoplastie VS son très bon état clinique et nous décidons donc pour le moment de ne pas planifier d'intervention. Dans l'intervalle, nous lui prescrivons quand même un corset 3 points pour lui rappeler de maintenir une bonne posture. Physiothérapie contre-indiquée. Nous organisons en complément un scanner thoraco-lombaire de D10 à D12 pour avoir une meilleure évaluation de la fracture et reverrons le patient suite à cet examen dans une semaine. Nous lui expliquons bien qu'en cas de nouvelle symptomatologie neurologique ou de trouble sphinctérien, il doit se présenter en urgence à l'hôpital. Prescription d'antalgie par paracétamol et Mydocalm. Arrêt de travail à 100 % pour un mois encore. Le patient présente une gêne résiduelle après suture d'une lésion PASTA du tendon du sus-épineux de l'épaule droite le 29.01.2018. L'évolution globale post-opératoire est défavorable, avec une scapula-lata post-opératoire, sous traitement physiothérapeutique. Le patient ressent des douleurs à son épaule, avec une persistance de craquements. Ces symptômes étant toujours présents à une année post-opératoire, une arthro-IRM est effectuée, montrant une fuite du liquide d'arthrographie en sous-acromial, témoignant de la persistance d'une rupture tendineuse, raison pour laquelle le Dr. X retient l'indication opératoire. L'intervention a lieu le 19.02.2019 et les suites opératoires sont simples, avec bon contrôle des douleurs initialement par cathéter interscalénique, puis par l'antalgie standard habituelle. Un coussin d'abduction est en place pour une durée de 6 semaines et le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation passive en abduction-élévation 90°, rotations libres. Le contrôle de la cicatrice, à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme.Face à la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 22.02.2019. Mr. Y présente une guérison partielle de sa fracture sur ce doigt qui était déjà fracturé à l'époque. Actuellement, nous constatons que le processus de cicatrisation est encore en cours en regard des signes inflammatoires au niveau de l'IPD. Le déficit fonctionnel est probablement dû à la prolongation du tendon extenseur. Avec une intervention chirurgicale qui consisterait à raccourcir le tendon, les résultats sont peu clairs et en regard de la situation actuelle avec une qualité de vie bien maintenue, nous conseillons de continuer le traitement conservateur. Mise en place de l'attelle de Stack durant la nuit. Mobilisation et charge libre. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Mr. Y présente une hernie discale suspectée d'être post-traumatique. À savoir que Mr. Y est un lutteur, sportif d'élite. Nous proposons donc de refaire une IRM cervicale avec séquences STIR et coupes transverses afin de mieux définir la lésion. Dans l'intervalle, Mr. Y, arrivé avec une minerve, devra continuer à la porter mais la nuit uniquement. Nous lui rappelons que le port de minerve est incompatible avec la conduite automobile. Nous encourageons également Mr. Y à faire du stretching de sa musculature abdominale, ce dernier présentant des défauts de posture avec attitude voûtée de son rachis. Prescription également d'antalgie. Nous reverrons Mr. Y à la suite de l'IRM. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% (Mr. Y incommodé par ses fourmillements à domicile dès 45 minutes d'activité) pour 3 semaines encore. Mr. Y présente une instabilité radio-ulnaire avec un ulna plus dans les clichés radiologiques. Avec cette configuration, il y a risque de faire une lésion centrale du TFCC qui demanderait une refixation arthroscopique avec un raccourcissement de l'ulna. Actuellement, ce patient se présente complètement asymptomatique, raison pour laquelle nous proposons de terminer les suivis réguliers à notre consultation. Il prendra contact au cas où il développerait des douleurs importantes. Dans ce cas-là, une arthro-IRM devrait être effectuée avant la consultation pour planifier l'opération. Mr. Y présente une lésion de la plaque palmaire qui n'a pas encore guéri sous le traitement conservateur. Il faut poursuivre le traitement en ergothérapie pour regagner la mobilité. Il existe de bonnes chances pour améliorer encore le statut. Prochain contrôle clinique dans l'équipe membre supérieur dans 3 mois. Mr. Y présente une péjoration concernant les doigts à ressaut surtout au niveau du 3ème et 4ème rayon de sa main gauche. Nous proposons une prise en charge chirurgicale concernant les doigts III et IV pour cure de Trigger Finger. Concernant les doigts I et II, nous sommes attentifs. Nous discutons l'intervention avec les risques et les gains avec l'aide d'un consentement que Mr. Y signe par la suite. Nous agendons l'intervention et Mr. Y sera convoqué par les anesthésistes. Mr. Y présente une récidive de cystite hémorragique. Nous prenons les uricultures qui seront envoyées au médecin traitant. Dans l'intervalle, Mr. Y est traité par Ciprofloxacine pour 7 jours. Mr. Y présente une récidive de sa symptomatologie avec une suspicion de radiculopathie L3 à gauche surtout. Les douleurs n'étant pas soulagées par une quelconque position ou sans réel facteur soulageant, nous poussons les investigations avec une myélographie fonctionnelle et CT à la recherche d'une compression radiculaire ou sténose ou hernie ou syndrome du niveau adjacent. À cela, nous organisons également un ENMG à la recherche de troubles de la conduction sensitive ou motrice. Prochain contrôle à la suite de ces examens. Mr. Y présente une très légère adhérence qui pourrait éventuellement expliquer les douleurs qu'il ressent. Une opération avec ténolyse ne nous semble pas indiquée vu la mobilité normale et la symptomatologie très faible. Un traitement conservateur nous semble être la meilleure option, raison pour laquelle nous lui prescrivons des séances d'ergothérapie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Mr. Y rapporte essentiellement des douleurs au mollet gauche de type crampiforme et présente à l'examen clinique une sensibilité élective à la palpation des tendons de la loge postérieure de la cuisse sur leur extrémité distale ainsi qu'une douleur à la palpation de la fibula sur son tiers moyen. Au vu de la clinique, nous décidons d'effectuer une radiographie de la jambe gauche qui nous permet d'objectiver une lésion calcifiante d'allure ancienne au niveau de la membrane inter-osseuse sur son tiers moyen. Nous décidons alors d'effectuer un ultrason pour mise au point de cette lésion; celui-ci met en évidence une image en marche d'escaliers de 6 mm au niveau de la membrane inter-osseuse posant le diagnostic différentiel d'une déchirure de la membrane ou d'une calcification d'allure ancienne. Sur avis du Dr. X, orthopédiste, nous décidons de compléter la mise au point de cette lésion par une IRM de la jambe gauche. Un rendez-vous est programmé en ambulatoire pour le 18.02 à 16h00 avec un contrôle en filière des urgences ambulatoires ensuite. Nous décidons de laisser Mr. Y rentrer à domicile avec la reprise de la marche en charge au seuil des douleurs avec des cannes. Sur avis du Dr. X, orthopédiste, nous prescrivons à Mr. Y de l'Ecofenac crème pour ses douleurs à la jambe et en raison de l'hématome sur la face postérieure de la cuisse évocateur d'un claquage des ischio-jambiers et de la susceptibilité de Mr. Y à rester au repos ces prochains jours, nous prescrivons à Mr. Y une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc pour une durée totale de 10 jours. Mr. Y recevra le courrier de convocation pour la pose de PEG à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal : • Consultation anesthésique le 04.02.2019 à 11h00 • Hospitalisation le 11.02.2019 à 11h30 • Contrôle pansement le 18.02.2019 à 13h30 Mr. Y reçoit du Brufen et du Dafalgan avec un bon effet. Nous effectuons une radiographie du thorax pour exclure une complication d'une éventuelle fracture de côte, comme un pneumothorax, foyer ou épanchement pleural. La radiographie revient dans la norme. Nous retenons une contusion de la 10ème côte, avec diagnostic différentiel de suspicion clinique de fracture de la 10ème côte et Mr. Y sort avec antalgie et arrêt de travail. Il fera un contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours. Mr. Y reçoit du Tramal et de la morphine per os sans amélioration des douleurs. Il est soulagé après la prise de Ponstan, raison pour laquelle nous le laissons regagner son domicile avec une ordonnance de Ponstan. Suite de la prise en charge chez le dentiste. Mr. Y reçoit les consignes post-TCC, et il rentre à domicile en taxi. Mr. Y reçoit un arrêt de sport jusqu'au 20.02.2018. La maman est informée qu'il doit garder l'attelle à l'école. Il peut cependant l'enlever à la maison, mais à condition de ne pas faire d'efforts, ni de sport de contact. Pour des raisons géographiques, la maman préfère que Mr. Y soit suivi à votre consultation. Il s'adressera à votre consultation à 3 semaines du traumatisme, pour un contrôle clinique et évaluer si nécessaire le besoin de physiothérapie. Nous restons cependant à disposition en cas de besoin. Mr. Y reçoit un bon de physiothérapie pour proprioception et renforcement de la coiffe des rotateurs. Mobilité libre.Je le reverrai pour un contrôle si besoin dans deux mois et pour des bons de physiothérapie si nécessaire. Le patient re consulte les urgences car ce qui lui a été donné par le médecin qu'il a consulté lui amène peu d'effet antalgique et il a toujours des douleurs. Notion de fièvre et de frissons. Le bilan aux urgences montre un syndrome inflammatoire élevé avec leucocytes à 22.5 G/L, CRP à 161 mg/l. Nous prenons l'avis de l'ORL de garde qui nous conseille une dose de Co-Amoxicilline 2.2g iv aux urgences puis relais per os 1g 2 fois par jour. Une dose de Solumédrol 125 mg iv aux urgences et une consultation demain chez l'ORL au cabinet à jeun à 8h. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique avec Iberogast teinture et Laxoberon. En cas de persistance des douleurs abdominales, le patient prendra rendez-vous avec son médecin traitant pour suite d'investigation. Le patient rentre à domicile et va continuer l'antibiothérapie avec un contrôle chez son médecin traitant si persistance de la symptomatologie. Le patient reprendra contact une fois sa décision prise quant à la suite de prise en charge. Le patient reviendra à ma consultation après une année post-opératoire pour l'ablation du matériel. Le patient revient à 9h pour consultation ORL. Le patient revient en contrôle pour la communication des résultats de l'IRM demandée à la recherche de calculs des voies biliaires. L'IRM ne montre pas de calcul. Le laboratoire montre une normalisation des tests pancréatiques et une amélioration des tests hépatiques. Nous laissons le patient rentrer à domicile. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en fin de semaine. Le patient revient 30 minutes après une première consultation pour une récidive du saignement. Le pansement est peu taché et nous ne notons pas de saignement actif. Nous réalisons une cautérisation par nitrate d'argent et mettons en place un pansement compressif. Suite selon le suivi susmentionné. Le patient s'améliore par l'antalgie administrée aux urgences par Fentanyl et morphine 3 mg. Aux urgences, il rapporte des douleurs latéro-thoraciques droites oppressives, sans irradiation, non respiro-dépendantes, d'une durée de quelques minutes, depuis ce matin vers 06h00. Dernier épisode à 8h40, raison pour laquelle nous ajoutons les troponines qui reviennent avec une cinétique négative à H0 8ng/L, à H1 6ng/L, à H3 à 8ng/L. Une origine angineuse pour ces douleurs est peu probable mais nous proposons au médecin traitant d'organiser en ambulatoire un bilan cardiologique. Nous retenons après discussion avec le Dr X, de médecine interne, une contusion thoracique et mettons le patient sous traitement symptomatique avec arrêt de travail et le patient va consulter son médecin traitant pour contrôle. Le patient se cardioverse dans un rythme sinusal de manière spontanée après la coronarographie. Une écho sera effectuée le 18.02.2019. Le patient se montre soulagé après l'évacuation et le lavement. Nous lui proposons un traitement symptomatique. Le patient se plaint d'une symptomatologie irradiant jusqu'au niveau de l'hémi-crâne occipital G, invalidantes et quasi-constantes. L'infiltration n'a eu qu'un effet partiel et une prise en charge chirurgicale avait déjà été discutée. Nous rediscutons avec le patient des principes d'un ACDF C5-C6, opération pour laquelle Mr. Y ne s'est pas encore décidé. Dans tous les cas, au vu des problèmes de compréhension, nous le reverrons avec sa fille pour assurer la traduction. Le patient semble être principalement gêné par cette tendinite calcifiante. Comme sa gêne n'est pas majeure, je déconseille une prise en charge chirurgicale, voire par infiltration. Je préconise tout d'abord un traitement physiothérapeutique avec des ondes de choc locales. Je reverrai le patient suite à ce traitement dans environ six semaines pour juger la nécessité d'une infiltration et needling. Le patient sera convoqué en ambulatoire pour un Holter. TSH à pister. Le patient sera convoqué en orthopédie d'ici 2-3 semaines. Le patient sera convoqué pour une IRM. Le patient sera convoqué pour une OGD. Le patient sera revu à la consultation du Dr X pour contrôle d'ici 3 semaines. Le patient sera revu à la consultation du Dr X la semaine suivant sa sortie pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le patient sera revu à la consultation du Dr X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le patient sera revu à la consultation du Dr X pour contrôle et ablation des fils à 2 semaines post-opératoires, puis à 6 semaines pour un contrôle radio-clinique. Poursuite de la thromboprophylaxie durant 6 semaines post-opératoires. Le patient sera revu à la consultation du Dr X à 2 semaines post-opératoires pour contrôle et ablation des fils, puis à 6 semaines post-opératoires pour contrôle et suite de la prise en charge orthopédique. Le patient sera revu à votre consultation dans la semaine suivant sa sortie pour contrôle clinique. Nous vous laissons le soin d'instaurer au besoin un traitement hypolipémiant. Le patient sera revu à votre consultation pour ablation des Comfeel et steristrips à 14 jours post-opératoires. En cas de perte d'étanchéité des Comfeel, ils devront être remplacés par un pansement standard. En outre, étant donné l'utilisation de matériel résorbable, une ablation de fils ne sera pas nécessaire. Contrôle à la consultation du Dr X à 6 semaines post-opératoires. Le patient sera revu à votre consultation pour contrôle 1 semaine après sa sortie de l'hôpital. Le patient sera suivi par le service d'oncologie. Le patient sera vu à la consultation de la Dr. X, orthopédiste. Le patient sera vu en ambulatoire à la filière 34 à 48h. Le patient souffre de cette lésion lors d'une chute de sa hauteur dans la neige. Aux urgences, il se présente avec une luxation postéro-latérale du coude. Une réduction de la luxation est effectuée aux urgences. Le scanner met en évidence le diagnostic susmentionné, notamment avec un fragment de la tête radiale qui est expulsé vers antérieur dans la musculature des fléchisseurs. L'indication opératoire est retenue et l'intervention se déroule le 01.02.2019, comme décrit ci-dessus. Les suites opératoires sont simples, avec bonne gestion de l'antalgie. Le membre supérieur gauche est immobilisé dans une attelle BAB et le patient ne présente aucun trouble neurologique. Les pansements Comfeel restent étanches et le statut local est calme. Le contrôle radiologique est en ordre et, face à la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 02.02.2019. Le patient souffre surtout d'une arthrose tibio-talaire côté interne avec des réactions ostéophytaires et d'un œdème osseux. Il montre également des lésions chroniques au niveau du ligament collatéral côté externe surtout au niveau du LFTA. Actuellement, il est surtout gêné par ses douleurs nocturnes et la limitation de la marche. On discute avec le patient de faire une infiltration de l'articulation tibio-talaire sous contrôle scopique avec injection de Cortisone. On reverra le patient après ce geste à notre consultation. Il va commencer la physiothérapie avec exercices de stabilité, traitement local par US. Le patient souhaite une ablation complète du matériel. Les fractures sont guéries sur le plan radiologique. Nous expliquons au patient le déroulement de l'intervention, ainsi que les risques et bénéfices et il signe le consentement éclairé. L'intervention est planifiée pour le 28.03.2019. Le patient va être revu par le Dr X qui doit faire l'infiltration par Lidocaïne concernant sa thrombopénie. Prochain contrôle clinique dans 6 mois.Le patient va poursuivre la physiothérapie avec renforcement musculaire et des exercices de stabilité. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Il va reprendre son travail à 20% dès demain jusqu'à fin février puis reprise à 50%. Le patient va recevoir une convocation à domicile pour changement de la pompe 5FU le 04.03.2019. Prochaine consultation prévue chez le Dr. X le 06.03.2019. Changement du drain biliaire le 24.04.2019 à 9h15. Le patient vient pour prolonger son arrêt de travail (durée de 2 jours donnée à la 1ère consultation). Au vu de l'absence de contrôle clinique par un médecin traitant cette semaine, nous lui proposons un contrôle clinique ce jour que le patient accepte. Consultation en cas de péjoration clinique. Le père refuse de donner l'antibiotique. Les risques de progression de l'inflammation avec risque de sepsis avec nécessité d'une antibiothérapie intraveineuse et risque de mort ont été expliqués au père. Il signe une décharge de responsabilité de l'hôpital fribourgeois. Il accepte l'ordonnance pour l'antibiotique mais explique qu'il ne va pas donner l'antibiotique. Le problème principal du patient étant uniquement des crampes au niveau du mollet gauche sans autre signe associé, nous proposons un traitement à base de supplémentation vitaminique associé à un traitement par Mydocalm 150 mg le soir. Nous reverrons le patient dans 2 mois pour faire le point. Le reste de la discussion avec la fille sera discuté de vive voix avec la pédopsychiatre de liaison sans figurer dans ce document. En accord avec la famille, elle rentre à domicile, partiellement car l'hôpital évoque des mauvais souvenirs. En l'absence d'idées suicidaires, nous contacterons la pédopsychiatre de liaison durant la journée afin de prévoir un suivi en ambulatoire. Le résultat est satisfaisant à 1 mois post-opératoire. Nous proposons de sevrer progressivement le port de l'attelle et d'augmenter également progressivement les amplitudes articulaires en évitant encore la flexion active du poignet les 2 prochaines semaines. Prochain contrôle radioclinique à ma consultation à 2 mois post-opératoire. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% pour 1 mois (patient travaillant dans un restaurant). Le résultat est satisfaisant à 6 semaines post-reprise pour infection du matériel d'ostéosynthèse. Nous proposons de poursuivre le traitement antibiotique pour encore 3 mois et reverrons le patient au terme de ce délai pour un contrôle radioclinique. En cas de bonne consolidation osseuse, nous pourrons songer à arrêter les antibiotiques et planifier l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Le résultat est tout à fait satisfaisant après infiltration péri-trochantérienne gauche. Je remontre des exercices de stretching du grand fessier et du tensor fascia lata à la patiente en lui disant de pratiquer ces exercices tous les jours. Je lui prescris également du Voltarène gel à appliquer localement. La patiente va de son côté commencer des séances de pilates. On ne fixe pas de nouveau rendez-vous, mais elle reprendra contact en cas de réapparition des douleurs. Le scanner confirme une pseudarthrose de l'olécrane avec une bonne partie de la surface articulaire. Subluxation de la tête radiale avec une arthrose du coude marquée. Le sédiment urinaire du jour ne montre plus d'érythrocyturie. Le Dr. X est avisé et ne préconise pas d'examen supplémentaire quant à cette problématique. La patiente peut rentrer à domicile ce jour avec suite de prise en charge le 06.02.2019 par son médecin quant à ses contusions de l'épaule droite et du coude droit. Le sédiment urinaire met en évidence de nombreux leucocytes et une flore bactérienne. Vu que la patiente a déjà pris un antiseptique urinaire, nous retenons une cystite simple pour laquelle nous conseillons un traitement antibiotique. Vu la répétition des infections urinaires, nous conseillons à la patiente de consulter un médecin gynécologue pour des investigations plus approfondies. Le sédiment urinaire met en évidence une infection et vu le statut clinique sans particularité, nous décidons de traiter par antibiothérapie ambulatoire par Furadantine 100 mg 2x/jour pendant 5 jours. La patiente peut ensuite retourner à domicile. En cas de persistance des symptômes, elle consultera son médecin traitant. Le sédiment urinaire ne met pas en évidence d'hématurie, le bilan biologique est en ordre. Après un bilan radiographique mettant en évidence la fracture susmentionnée, nous immobilisons la patiente dans une attelle Rucksack. La patiente est confortable avec l'antalgie prescrite, elle rentre donc à domicile avec des consignes de repos et de glace. Antalgiques et anti-inflammatoire de réserve. Nous lui donnons les consignes de surveillance neurologique post-traumatisme crânien. Le statut ainsi que les examens complémentaires sont rassurants et permettent d'écarter une pyélonéphrite ainsi qu'une IST. Nous retenons une dysurie sur une inflammation du méat urinaire et le reste des symptômes est compatible avec une virose. Le statut clinique aux urgences est rassurant et le patient est rapidement soulagé par la prise d'antalgie par AINS. Nous rassurons le patient qui rentre avec une antalgie et fera un suivi chez son médecin traitant si nécessaire. Le statut clinique est difficile car malgré l'anesthésie topique par goutte ophtalmique, le patient ne parvient pas à garder l'œil ouvert. Le test à la Fluorescéine ne met en évidence une coloration verte sous forme de ligne fine. Nous appelons l'ophtalmologue de garde qui, au vu de l'anamnèse et de la clinique, suspecte la présence d'un corps étranger dans l'œil et conseille d'appliquer une pommade Floxal ainsi qu'un pansement occlusif et d'adresser le patient à la consultation des urgences ophtalmiques le lendemain pour un contrôle clinique. Le statut clinique est rassurant. Le bilan biologique montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 14 mg/l, sans leucocytose. Le sédiment urinaire revient propre. Le patient a eu une radiographie du thorax le 04.02 ne montrant pas de pneumothorax, ni de fracture costale, ni de foyer pulmonaire. Devant l'examen clinico-biologique, nous retenons le diagnostic d'état grippal et une contusion de l'hémithorax droit. Le patient peut regagner son domicile avec un traitement symptomatique. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique dans une semaine. Le statut est dans la norme, hormis cette lésion muqueuse orale superficielle, pour laquelle nous envisageons un suivi simple et éventuellement des bains de bouche anesthésiant en cas de douleurs. L'ECG est superposable au comparatif et le laboratoire montre des troubles électrolytiques légers. Après contact avec la psychiatre de garde, nous transférons la patiente en PAFA à Marsens pour la suite de la prise en charge. Le transfert se fait en ambulance. Le statut est rassurant et la radiographie ne montre pas de lésion osseuse. Ainsi, nous réalisons une désinfection bétadinée, un champage, une anesthésie locale à la Rapidocaïne 1% et au Bicarbonate, une exploration sans structure noble visualisée et 3 points simples ainsi qu'un pansement Adaptic avec une attelle métallique digitale à garder jusqu'au 01.03.2019. Nous n'effectuons pas de rappel anti-tétanique car celui-ci a été fait il y a moins de 10 ans à l'armée et nous prescrivons une antalgie simple avec un arrêt de travail jusqu'au 01.03.2019 que nous laissons le soin au médecin traitant de réévaluer. Le patient prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle le 27.02. L'ablation des fils se fera dans 7 à 10 jours. Le statut est rassurant, et nous prenons l'avis du collègue gynécologue de Fribourg qui conseille un transfert à l'HFR Fribourg pour poursuite des investigations. Départ par ses propres moyens.Le status étant rassurant, Mr. Y rentre à domicile avec prescription de pommade de vitamine A et un suivi chez un ophtalmologue si persistance de symptômes. Le status local, neurologique et vasculaire est rassurant et ne montre pas de signe de surinfection, l'évolution clinique est favorable hormis les dysesthésies en fin de journée. Nous expliquons à Mme. Y qu'elles peuvent provenir de la contusion et de l'oedème s-c résiduel ainsi que de l'atteinte de fibres mineures du nerf ulnaire. Nous lui prescrivons donc un traitement anti-inflammatoire d'Irfen 400 mg 3x/jour pendant 3 jours puis selon les douleurs/dysesthésies et nous réalisons une désinfection locale avec changement du pansement. Mme. Y sera revue par son médecin traitant le 20.02.2019 pour l'ablation des fils. Le status neurologique est strictement normal à part la dysarthrie, qui persiste, stable, durant la soirée. Un laboratoire est normal. Nous réalisons un CT-scan crânien qui est normal. Nous prenons avis du Dr. X, chirurgien. Mme. Y refuse catégoriquement de rester à l'hôpital pour surveillance, donc retour à domicile avec surveillance par son ami. La feuille de surveillance post-TC est donnée. Contrôle clinique demain le 20.02.2019 à la filière des urgences ambulatoires avec IRM si persistance de la dysarthrie. Le status neurologique et ostéo-articulaire est rassurant, et l'exploration de la plaie permet d'exclure une atteinte des structures nobles. Après désinfection et champage stérile, nous effectuons une suture par 4 points d'Ethilon 4.0 simples et un pansement. Nous prévoyons un contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 15.02.2019 au matin. Ablation des fils à J7 chez le médecin traitant. Le status neurologique revient normal, tout comme le laboratoire. L'ECG ne montre pas d'anomalie aigue mais des séquelles d'infarctus antérieur. La radiographie thoracique ne montre pas de foyer ni de cardiomégalie ni de signe de surcharge. Comme origine du malaise nous retenons en diagnostic différentiel une sténose aortique possiblement de nouveau diagnostic, un pic hypertensif ou un malaise vagal. L'hypertension artérielle persiste aux urgences, mais les valeurs rentrent dans la norme après administration d'Adalat per os. Nous conseillons un suivi de la tension artérielle à domicile et au médecin traitant d'instaurer-adapter un traitement. Nous demandons avis au Dr. X, chirurgien de garde, qui conseille un CT-scan cérébral qui revient normal. Nous vaccinons Mr. Y pour le tétanos en raison d'une dermabrasion occipitale. Il peut rentrer à domicile. Nous conseillons au médecin traitant un contrôle cardiologique et une ETT en ambulatoire pour investiguer le souffle cardiaque et le malaise. Le status retrouve une symptomatologie en faveur d'une gastroentérite virale compatible avec le laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire léger avec CRP à 16 mg/L et leucocytose à 10 G/L sans autre anomalie notable. Pas d'argument pour évoquer une endocardite. A noter un INR à 1.8 pour lequel nous lui conseillons de prendre un demi cp de Marcoumar en plus. Elle doit voir son médecin traitant demain matin à 8h, à qui nous laissons le soin de réajuster le traitement. Le streptotest est positif. Nous recommandons à Mme. Y un traitement antibiotique et symptomatique, ainsi que du repos. Contrôle chez le médecin traitant si nécessaire. Le suivi sera fait chez le Dr. X comme prévu. Le tableau clinique est évocateur pour une paralysie de Bell. Après conseil avec le Dr. X, nous conseillons un traitement de corticoïde, pas de traitement antiviral (car plus de 72h depuis le début de la symptomatologie) et un traitement de protection ophtalmique. Mme. Y sera revue à la filière des urgences ambulatoires dans 48h pour réévaluation clinique. Demande d'une ENMG faite et Mme. Y sera convoquée pour la réalisation de l'examen. Le tableau radio-clinique évoque plutôt une contusion de la hanche avec une résolution spontanée des douleurs. On propose de ne pas pousser plus loin les investigations. En cas de recrudescence des douleurs, Mme. Y se représentera à notre consultation. La thérapie anti-inflammatoire avec Prednison per os est à poursuivre jusqu'au 01.03.2019. Le traitement conservateur devrait donc avoir un effet favorable. Poursuite de la physiothérapie. Anti-inflammatoire en réserve. Contrôle à distance. Le traitement conservateur semble être efficace concernant la fracture. Nous prolongeons le traitement par Miacalcic pour un mois supplémentaire et lui prescrivons des patchs d'Olfen. Nous la reverrons pour un contrôle radio-clinique dans 6 semaines. D'autre part, nous lui proposons dans l'intervalle une infiltration foraminale L4 D à but diagnostique et thérapeutique. Le 01.02.2019: Plq 14 G/l. Le 01.02.2019, Dr. X, Dr. X : réinsertion du processus coronoïde et de la capsule antérieure à l'aide d'une ancre Helicoil 4.75, ostéosynthèse de la tête radiale par plusieurs vis HCS et plaque de stabilisation 1.5 mm en treillis, réinsertion de l'appareil ligamentaire latéral à l'aide d'une ancre Helicoil 5.5 mm, stabilisée en deuxième rangée en trans-osseux. Le 01.02.2019, Dr. X : réduction et ostéosynthèse par plaque Philos 7 trous, le 01.02.2019. Le 01.02.2019, Dr. X, Dr. X : ablation des fils de la précédente intervention, débridement, prélèvements bactériologiques, lavage. Le 03.02.2019, Dr. X, Dr. X : débridement, rinçage et mise en place d'un pansement Renasys type VAC. Le 07.02.2019, Dr. X, Dr. X : ablation du VAC, lavage, fermeture cutanée. Le 02.02.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse de la jambe gauche. Matériel implanté : 1 plaque tiers-tube 3.5 à 3 trous au péroné, 1 plaque du tibia distal 3.5/4.5 LCP-DCP. Le 03.02.2019, Dr. X, Dr. X : mise en place d'une prothèse céphalique. Matériel implanté : Mathys tige 11.25, tête 44, col M, bouchon 4, une dose et demie de ciment Palacos. Le 03.02.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos 3 trous, épaule gauche. Le 04.01.2019: MMS 27/30, Clock Test 7/7, GDS: 4/15 Radiographie de la hanche droite du 11.12.2018: Intégrité de la prothèse et des cerclages. On retrouve la fracture par prothèse fémorale proximale, sans déplacement secondaire, avec légère progression des signes de consolidation, ce jour, notamment à sa partie latérale. Pas de signe de descellement. Pas de nouvelle fracture. Radiographie bassin-hanche 20.11.2018 : Pas de dislocation du matériel d'ostéosynthèse ou de luxation de la prothèse. Radiographie bassin-hanche 22.01.2019 : Pas de déplacement secondaire. Le 04.01.2019, Mr. Y nous est réadressé pour suite de la réadaptation cardiovasculaire suite à une double revascularisation myocardique par pontage de l'AMIG en séquentiel sur l'IVA et la diagonale (Dr. X - Clinique Cecil, le 23.11.2018) compliquée d'un syndrome post-péricardiotomie les 08.12 et 21.12.2018. Le traitement à l'entrée comprend : Eliquis 10 mg, Zanidip 20 mg, Colchicine 1 mg jusqu'au 02.02.2019, Tenormin 50 mg, Torasémide 20 mg, Coversum 10 mg, Aspirine cardio 100 mg, Pantozol 40 mg, Tamsulosine 0.4 g, Tresiba 54 U, Lacrycon 1x/jour, Atorvastatine 40 mg, Dafalgan 500 mg max 3x/j en réserve si douleurs, Brufen 400 mg max 3x/j en réserve si douleurs, Buscopan 10 mg max 1x/j en réserve si douleurs abdominales, Temesta 1 mg max 2x/j en réserve si insomnies ou anxiété, sirop de figue 20 ml max 3x/j si constipation, Zanidip 10 mg max 1x/j en réserve si TA > 145/80 mmHg. Le séjour est marqué par une difficulté à équilibrer son diabète malgré la majoration progressive des doses d'insuline. Nous encourageons Mr. Y à consulter son diabétologue dès la fin de la réadaptation cardiovasculaire.Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant une durée de 25 minutes à une puissance de 30 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.0 mmol/l, des HDL à 0.95 mmol/l, des LDL à 1.74 mmol/l, des triglycérides à 1.53 mmol/l. Le 04.02.2016 à la consultation du Dr. X. Le 04.02.2019, Dr. X : cholécystectomie laparoscopique. • DAP : légère cholécystite chronique avec métaplasie pseudo-pylorique focale. Un ganglion lymphatique avec modifications réactionnelles. Le 04.02.2019, Dr. X : arthroscopie diagnostique, acromioplastie, réparation ouverte de la coiffe des rotateurs par Speed Bridge system et réparation du long chef du biceps, épaule droite. • Cathéter interscalénique antalgique. Le 04.02.2019, Dr. X : cure de Haglund et ténoplastie du tendon d'Achille par Speedbridge, pied droit. Le 04.02.2019, Dr. X, Dresse Y : réduction fermée et enclouage centromédullaire par clou Gamma long. • Matériel implanté : clou Gamma long 125°, 340 mm de longueur, 11 mm de diamètre, vis céphalique 90 mm, vis distales 35 et 40 mm. Le 05.02.2019, Dr. X, Dresse Y : réduction ouverte et ostéosynthèse de la cheville gauche. • Matériel implanté : plaque tiers-tube DCP 12 trous, 1 broche 2.0 et 1 vis spongieuse 3.5 mm, 2 vis de compression trans-syndesmotiques. Le 05.02.2019, Dr. X, Dresse Y : réduction ouverte et ostéosynthèse de la hanche gauche. • Matériel implanté : plaque 4.5 fémur, cerclage. Le 06.02.2019, Dr. X, Dresse Y : réduction ouverte et ostéosynthèse. • Matériel implanté : plaque tiers-tube 2 trous, 2 vis 3.5 mm de diamètre de 55 et 45 mm. Le 06.02.2019, Dr. X : double orchidectomie et mise en place de deux prothèses testiculaires. • DAP : 1) Parenchyme testiculaire siège d'une atrophie diffuse et complète, avec de rares foyers de néoplasie germinale in situ, des plages de nécrose ischémique des tubules séminifères et quelques micro-nodules hyperplasiques de cellules de Leydig (orchidectomie droite). 2) Séminome classique pur réalisant plusieurs nodules limités au parenchyme testiculaire (diamètre maximal du plus grand nodule 1.5 cm), avec une composante extensive de néoplasie germinale in situ dans des tubules séminifères sièges d'une atrophie diffuse et complète de l'épithélium séminifère. Un micro-foyer de 0.15 cm d'ectopie cortico-surrénalienne et lipomatose du cordon spermatique (orchidectomie gauche), copie annexée. Classifications TNM : pTis et pT1 pNX LV0 R0. Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv/jour du 06 au 07.02.2019, puis relais par Cefuroxime 2 x 500 mg per-os/jour du 08 au 12.02.2019 inclus. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X la semaine suivant sa sortie pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 06.02.2019, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. • DAP : carcinome urothélial papillaire non invasif de haut grade (G2). Classification TNM : pTa. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 07 au 09.02.2019. Mise en suspens de l'Aspirine. Sonde vésicale dès le 06.02.2019, jusqu'au retrait de la sonde. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 15.02.2019 pour contrôle et retrait de la sonde vésicale. Le 06.02.2019, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. • DAP : carcinome urothélial papillaire de haut grade (G3), micro-papillaire dans la composante non invasive, infiltrant le chorion. Présence de foyers de carcinome urothélial in situ. Classification TNM : pT1 et pTis. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 06 au 08.02.2019. Ablation de la sonde vésicale le 08.02.2019. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 06.02.2019, Dr. X : implantation d'une prothèse totale du genou gauche (Zimmer Persona). Le 06.02.2019, Dr. X, Dresse Y : ostéosynthèse par 3 vis libres 2.7 mm et 2 broches trans-syndesmotiques 1.6 mm. Le 06.02.2019 : MMS 28/30, Test de l'horloge 3/7, GDS 2/15. Le 07.02.2019, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos courte. Le 07.02.2019, Dr. X, Dresse Y : AMO. Le 07.02.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par une plaque tibia proximal LCP 4.5 en externe, une plaque 3.5 tiers-tube 5 trous en interne. Le 07.02.2019, Dr. X, Dresse Y : réduction fermée et enclouage centromédullaire. • Matériel implanté : clou Gamma court 11 mm de diamètre, 130°, vis céphalique 95 mm, vis distale 30 mm. Le 08.02.2019, Dr. X : réduction ouverte de la fracture du pilon tibial, autogreffe. Ostéosynthèse par deux vis 3.5 mm et plaque antiglide tiers-tube 3 trous. Le 08.02.2019, Dr. X, Dresse Y : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos 3 trous. • Cathéter interscalénique antalgique. Le 09.02.2019, Dr. X : ostéosynthèse par DHS. Le 09.02.2019, Dr. X, Dr. X : ostéosynthèse par deux vis trans-syndesmotiques. Le 10.02.2019, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos. Le 10.02.2019, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos. Le 11.02.2019, Dr. X : arthroscopie diagnostique de l'épaule gauche, ablation de calcification au sein du long chef du biceps à ciel ouvert. • Cathéter interscalénique antalgique. Le 11.02.2019, Dr. X : mise en place d'une PTH gauche par voie postéro-externe selon Moore. Le 12.02.2019, Dr. X, Dresse Y : arthroscopie diagnostique, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, réinsertion du sus-épineux. • Cathéter interscalénique antalgique. Le 12.02.2019, Dr. X, Dr. X : bursectomie olécranienne du coude gauche. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 1.2 g iv/jour, puis per-os par Co-Amoxicilline 3 x 1 g/jour jusqu'au 27.02.2019 inclus. Le 12.02.2019, Dr. X, Dr. X : suture du tendon quadricipital du genou droit. Le 13.02.2019, Dr. X : résection transurétrale de la prostate. • DAP : Signes d'une hyperplasie glandulaire et fibro-musculaire du tissu prostatique avec léger remaniement fibro-cicatriciel focal du tissu fibro-musculaire. Légère prostatite chronique focale, en partie légèrement active. Légère inflammation chronique focale, en partie active et micro-érosive ainsi que foyers de métaplasie malpighienne de l'urètre prostatique. Antibiothérapie par Céfuroxime 500 mg/jour du 13 au 15.02.2019. Ablation de la sonde vésicale le 15.02.2019. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 26.02.2019. Le 13.02.2019, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. • DAP : Carcinome urothélial papillaire non invasif de bas grade ainsi qu'inflammation chronique légère à modérée focale, en partie lympho-folliculaire. Stade TNM selon UICC 2017 : pTa G1. Sonde vésicale du 13 au 15.02.2019. Cefuroxime 500 mg du 13 au 15.02.2019. Clexane 20 mg sc le 13 et 40 mg sc 14.02.2019. IRM pelvienne le 19.02.2019. Le 13.02.2019, Dr. X : RTUV tertiaire. • DAP : Fragments de paroi vésicale avec inflammation chronique active, par endroits érosive et ulcéreuse avec plages de tissu de granulation, réaction macrophagienne focale en partie sur calcifications ainsi que légère hyperplasie focale du revêtement urothélial et petit foyer de métaplasie malpighienne.Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg le 13.02.2019 puis par Ciproxine 500 mg du 14 au 15.02.2019. Ablation de la sonde vésicale le 15.02.2019. Le 13.02.2019, Dr. X : TOT. Ablation de la sonde vésicale et de la compresse vaginale le 14.02.2019. Cefuroxime 2 x 500 mg/jour le 14.02.2019. Le 14.01.2019, Dr. X : AMO. Décortication, impaction de la diaphyse humérale dans la tête humérale, stimulation du site local par DBX Putty, reconstruction du trochin et ostéosynthèse par plaque Philos 3 trous et plaque Aptus main 2.0 en treillis. Cathéter interscalénique antalgique. Le 14.01.2019, Dr. X, Dr. X : excision des berges nécrotiques, lavage, matelassage de la plaie, fermeture primaire proximale, mise en place d'un pansement VAC. Le 30.01.2019, Dr. X, Dr. X : excision des zones nécrotiques, lavage, pansement aspiratif VAC. Le 04.02.2019, Dr. X, Dr. X : greffe cutanée selon Thiersch de la jambe droite et mise en place d'un pansement type Renasys. Le 14.02 Anisocorie en faveur de la droite, pupilles iso-réactives. Le 14.02.2019 : révision, débridement, rinçage et fermeture de la plaie de l'IPD de D3 droit. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 1,2 g iv/jour. Le 15.02.2019, Dr. X, Dr. X : bursectomie et prélèvements bactériologiques. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 1,2 g iv/jour du 15 au 19.02.2019, puis relais per-os par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour jusqu'au 02.03.2019 inclus. Le 16.02.2019, ce patient de 45 ans, en bonne santé habituelle, chute sur du verglas avec réception au niveau lombaire. Il ressent de fortes douleurs en barre au niveau de L1-L2, sans signe neurologique. Le patient se présente aux urgences où une radiographie de la colonne lombaire soulève un doute quant à une atteinte de L1, raison pour laquelle le bilan est complété par un CT. Celui-ci révèle une perte de hauteur du mur antérieur de L1 d'environ 15%, sans trait de fracture franc. Mr. Y est hospitalisé dans le service d'orthopédie pour traitement antalgique. En raison de la persistance de douleurs sans fracture claire radiologique, une IRM est effectuée le 18.02.2019, mettant en évidence des discopathies modérées L1-L2, L2-L3, L3-L4, sans toutefois retrouver de fracture. Un avis est alors demandé à nos collègues du Team Spine de l'HFR Fribourg qui proposent de revoir le patient en contrôle à leur consultation à 14 jours du traumatisme. L'évolution est progressivement favorable, les douleurs sont en diminution, bien contrôlées par l'antalgie prescrite. Le 21.02.2019, Mr. Y peut rentrer à domicile avec un traitement antalgique myorelaxant. Il sera contacté par le secrétariat d'orthopédie du Team Rachis de l'HFR Fribourg pour contrôle. Le 18.02.2019 à 15h en ORL. Le 18.02.2019, Dr. X, Dr. X : hémi-arthroplastie de la hanche droite par prothèse céphalique MS 30 par voie trans-glutéale. Matériel implanté : tige 16 cimentée, bouchon 5, tête 28 M, insert 46, col moyen. Le 18.02.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos 3 trous. Cathéter interscalénique antalgique. Le 19.02.2019, Dr. X : arthroscopie de l'épaule avec ravivement et réinsertion du tendon sus-épineux. Cathéter interscalénique antalgique. Le 19.02.2019, Dr. X : réduction ouverte avec désimpaction du foyer fracturaire, comblement du défect osseux par chips d'allobone, ostéosynthèse par plaque LCP 4.5/5.0 en L. Le 19.02.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse. Matériel implanté : plaque Philos 3 trous, deux plaques Aptus Hand 1.5 et 2.0. Le 20.02: • Antalgiques en réserve • Contrôle clinique aux urgences pédiatriques dans 24 heures • Rocéphine 50 mg/kg x1 iv pour une durée de 3 jours indépendamment de l'évolution • Contact ORL (Dr. X) le 21.02 pour +/- organisation suivi ORL et décision de la poursuite ORL en fonction de son évolution (+/- paracentèse) • Contact Dr. X (au courant du cas) pour décision de la poursuite antibiotique en fonction de son évolution • Explication des signes de gravité en détails, qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences Le 20.02.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole externe par une plaque antiglide tiers-tube 4 trous, vis de compression 18 mm. Le 20.02.2019, Dr. X : néphro-urétérectomie gauche avec lymphadénectomie. DAP : 1) a) Carcinome urothélial invasif de haut grade mesurant 6 cm de plus grand axe : • nécrosé sur environ 60% des surfaces histologiques analysées • débutant au niveau de l'urothélium bordant les cavités pyélocalicielles • infiltrant largement le parenchyme rénal cortico-médullaire et la graisse périnéale • en présence d'une invasion veineuse tumorale identifiée macroscopique en région hilaire • un ganglion lymphatique sans malignité de la graisse hilaire (0/1). b) parenchyme rénal à distance et urothélium de l'uretère sans lésion histologique significative (néphrectomie gauche). 2) Foyer de carcinome urothélial de haut grade dans un tissu conjonctif fibro-adipeux richement vascularisé. Deux ganglions lymphatiques et glande surrénale sans lésion histologique notable (0/2) (ganglions para-aortiques). 3) Tissu adipeux mature sans lésion (complément rein + uretère gauche). Stade TNM : pT4 pN0 (0/3) L0 V2 Pn0 R0. Commentaires : au niveau du matériel no 2 (ganglions para-aortiques), l'image histologique est plus suspecte d'emboles carcinomateux avec extravasation et infiltration du tissu conjonctif avoisinant que de métastases ganglionnaires effractées. Antibiothérapie par Céfuroxime 500 mg per-os/jour du 20.02 au 01.03.2019 inclus. Retour à domicile avec sonde vésicale en place, organisation de soins à domicile 1 x/jour. Ablation du drain le 23.02.2019. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 01.03.2019 à 10h30. Le 20.02.2019, Dr. X : urétrotomie interne. Antibiothérapie par Céfuroxime 500 mg per-os/jour du 20.02 au 02.03.2019 inclus. Ablation de la sonde vésicale le 22.02.2019. Contrôle à la consultation du Dr. X le 28.02.2019. Le 20.02.2019, Dr. X : URS. Ablation de la sonde vésicale le 21.02.2019. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg per-os/jour le 21.02.2019. Contrôle à la consultation du Dr. X à 3 semaines de l'hospitalisation. Le 20.02.2019, Dr. X, Dr. X : arthroplastie totale du genou droit. Matériel implanté : prothèse Persona, fémur standard 6, polyéthylène 11, plateau tibial C, rotule 29 cimentée. Instrumentation spécifique pour patient. Cathéter fémoral antalgique. Le 20.02.2019, Dr. X, Dr. X : décortication-greffe et réostéosynthèse par plaque Philos de l'humérus proximal gauche. Cathéter interscalénique antalgique. Le 21.01.2019, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par allogreffe de compaction et plaque palmaire Aptus 2.5 mm. Le 21.02.2019, cette patiente de 37 ans est amenée par ambulance aux urgences suite à une chute en snowboard à faible cinétique, avec réception sur les fesses. Elle se plaint de fortes douleurs de la colonne lombaire, sans trouble de la sensibilité, ni perte de force ou incontinence. Pas de traumatisme crânien, ni perte de connaissance. Le bilan radiologique met en évidence une fracture de L1. Cet examen est complété par un CT qui révèle une atteinte du mur antérieur uniquement de L1, avec un tassement d'environ 40%. Nous prenons contact avec le Team Spine de l'HFR Fribourg qui préconise une radiographie de contrôle 4 jours plus tard et, en cas de tassement supérieur à 50%, d'adresser la patiente en consultation en urgence. Cette radiographie permet d'exclure une majoration du tassement et, dès lors, la patiente sera vue à la consultation du Team Spine à 2 semaines du traumatisme. Durant le séjour dans le service d'orthopédie, l'évolution est favorable, les douleurs sont bien gérées par l'antalgie prescrite et, le 25.02.2019, Mme. Y peut retourner à domicile. Le 21.02.2019, Dr. X, Dr. X : ostéosynthèse par double embrochage de la fracture de P2 O1 et arthrodèse temporaire de O2, pied droit. Le 21.02.2019, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse. Matériel implanté : greffe Tutoplast, plaque LCP 4.5, tibia proximal. Le 22.02.2019, Dr. X : arthroplastie totale de la hanche gauche. Le 22.02.2019, Dr. X : arthroplastie totale de la hanche droite par voie antérieure minimale invasive. Matériel implanté : cupule MPact 52/liner polyéthylène E/col XL Biolox/AMIStem cimentée taille 1. Le 22.02.2019, extraction impossible du calcul cholédocien. Le 25.02.2019, ERCP : extraction d'un calcul cholédocien après papillotomie. Diverticule duodénal juxta-papillaire. Antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour du 19 au 23.02.2019, puis relais per-os par Ciproxine 2 x 500 mg/jour du 24 au 27.02.2019 inclus. Cholécystectomie par Dr. X le 14.03.2019. Le 24.01.2019, Dr. X, Fribourg : ERCP avec grande papillotomie lithotripsie partielle et mise en place d'un stent. Le 31.01.2019, Dr. X, Riaz : cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie per-opératoire. Adhésiolyse. DAP : cholécystite chronique lithiasique, en poussée inflammatoire active sévère, focalement largement ulcéreuse, avec des zones ulcérées surmontées d'un exsudat fibrino-leucocytaire et sous-tendues par un tissu de granulation, nombreux signes de régénération épithéliale, remaniement fibro-blastique de l'ensemble de la paroi prépondérant dans la sous-séreuse. Un ganglion lymphatique péricystique, légèrement hyperplasique et réactionnel. Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 1x/jour et Métronidazole 500 mg iv 3x/jour du 18 au 20.01.2019 puis relais par Meropenem 500 mg iv 3x/jour du 20 au 26.01.2019. Sortie avec court séjour au Foyer St-Joseph à Sâles. Dr. X contactera Dr. X le 11.02.2019 pour la suite de la prise en charge gastro-entérologique (stent). Contrôle clinico-biologique, notamment suivi de la lipase, en début de semaine suivant la sortie, à votre consultation. Le 24.10.2018, Dr. X : fistulectomie, débridement, lavage et fermeture sur un spacer ciment à la Gentamycine. Le 26.10.2018, Dr. X : second look avec débridement, parage et lavage du trajet fistuleux. Le 30.10.2018, Dr. X : third look. Le 09.11.2018, Dr. X : ponction. Antibiothérapie : • Cefuroxime empirique, relayée par Vancomycine 2 g/24 heures pendant 2 semaines puis Amoxicilline 3 x 1 g/jour • Bactrim forte 800/160 mg 2 x/jour à poursuivre jusqu'au 21.01.2019 inclus. Le 24.10.2018, Dr. X : réfection du moignon tibial avec exostosectomie et excision de la bursite réactionnelle. Pic hypertensif avec cyanose des extrémités distales du membre inférieur droit dans un contexte de thromboangéite oblitérante de Buerger. Libération et anté-position sous-cutanée du nerf cubital du coude gauche en mars 2016. Excision d'une masse lipomateuse nécrosée en juin 2016. Résection d'un névrome au niveau du moignon d'amputation en avril 2014. Amputation tibiale droite en octobre 2012. Amputation trans-métatarsienne du pied gauche en décembre 2011. Exostose tibiale distale droite avec bursite réactionnelle. 19 opérations gynécologiques pour infertilité. Césarienne. Appendicectomie. Amygdalectomie. Cure de hernie ombilicale. Opération des deux genoux pour malformation de la rotule. Amputation traumatique du 5ème doigt droit. Cure d'hallux valgus droit. Cure de tunnel carpien droit. Le 25.01.2018 Accouchement par voie basse spontanée à 37 0/7 semaines d'aménorrhée, fille de 2600 g. Le 25.02.2019, Dr. X : réduction ouverte, ostéosynthèse par plaque LCP 3.5 à 7 trous. Le 27.02.2019, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. DAP : chorion vésical bordé par un revêtement urothélial en partie dénudé, sans atypie, et incluant un capillaire ectasique non thrombosé de 0,1 cm. Commentaire : l'image histologique est compatible avec un petit hémangiome capillaire du chorion vésical superficiel et peut expliquer la présence d'une hématurie. L'urothélium ne présente pas d'atypie et de signe de néoplasie. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg per-os/jour du 28 au 01.03.2019 inclus. Retour à domicile avec la sonde vésicale en place jusqu'au 01.03.2019. Rendez-vous à la consultation de Dr. X le 01.03.2019. Le 27.02.2019, Dr. X : urétéroscopie. Contrôle à la consultation de Dr. X dans 3 semaines. Le 27.05.2015, Dr. X : résection transurétrale de la prostate. Le 27.05.2015, Dr. X : ablation lithiase vésicale. Pneumonie basale droite le 20.03.2015. Résection transurétrale de la prostate en 2013 pour hyperplasie et statut post-prostatite chronique. Rétention urinaire post-opératoire le 13.09.2013. Cure de hernie ombilicale en 2005, compliquée d'une rétention vésicale. Le 27.12.2018, Mme. Y nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire en stationnaire suite à un NTSEMI avec mise en place de 1 stent actif (Dr. X - HFR Fribourg-Hôpital cantonal - 26.11.2018). Le traitement à l'entrée comprend : Atorvastatine 20 mg, Beloc Zok 25 mg, Lisinopril 10 mg, Plavix 75 mg jusqu'au 27.12.2019, Eliquis 10 mg à vie, Acide folique 5 mg, Alendronate 70 mg le mardi, Calcimagon D3 citron 1x/j, Flector Tissugel 1 pièce/j, Litalir 1000 mg, Magnésiocard 10 mmol 1 sachet/j, Miacalcic 200 UI, Pantozol 80 mg, Prednisone 25 mg, Vitamine D3 1000, Movicol sachet en R si constipation max 1x/j, Dafalgan 500 mg en R max 4x/j si douleurs. Durant son séjour, la patiente décrit une sensation de stress/hyperactivité depuis qu'elle est sous cortisone. Nous diminuons la Prednisone de 25 à 20 mg du 29.12.2018 au 04.01.2019 puis 15 mg dès le 05.01.2019 avec une bonne évolution de la symptomatologie. Sur le plan cardiologique, Mme. Y se plaint de douleurs thoraciques latéralisées à gauche sous forme de tiraillement. L'ECG ne montre pas de signe d'ischémie aiguë. Au bilan biologique, les troponines sont à 9 ng/l. Les symptômes sont soulagés avec adaptation de son antalgie. Sur le plan rythmique, nous avons réalisé 2 Holter de 24 h qui sont revenus rassurants et ont montré un rythme de base sinusal, sans arythmie pathologique mais tendance à l'irritabilité atriale. Sur le plan de l'anticoagulation, en raison d'une fonction rénale diminuée (Clairance 45 ml/min selon Cockcroft), un poids très bas et l'âge de la patiente, nous avons réduit la posologie de l'Eliquis à 2,5 mg 2x/j. Afin de permettre à Mme. Y de continuer à progresser sur le plan physique, le séjour dans notre établissement a été prolongé d'une semaine mais, du 21 au 26.01.2019, elle a développé un état grippal. Lors de son séjour, Mme. Y s'est plainte à plusieurs reprises de douleurs cervicales (présentes depuis quelques mois) et de sudations nocturnes qui pourraient être liées à sa maladie hématologique. Sur le plan hématologique, la thrombocytose a augmenté dès le 21.01.2019 et nous conseillons un contrôle chez Dr. X - hématologue dans les prochaines semaines, afin de discuter du schéma de Litalir. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité modérée et elle a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, elle est capable de marcher pendant une durée de 25 minutes sur une pente de 2 %. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, pas d'augmentation de la distance parcourue, mais avec des paramètres cardiaques qui sont restés dans la norme; ce résultat est probablement lié à l'état grippal que la patiente a présenté en fin de séjour.Mme. Schmidt n'a pas participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires en raison de la priorité de maintenir un apport protéino-énergétique adapté à ses besoins. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.7 mmol/l, un HDL à 0.86 mmol/l, un LDL à 1.58 mmol/l et des triglycérides à 1.09 mmol/l. • La pression artérielle basale et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme pendant le séjour. Le 29.01.2019, Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un NSTEMI survenu le 12.01.2019 sur maladie coronarienne bitronculaire avec occlusion fonctionnelle de la marginale distale, sténose serrée de l'IVA I et de la 1ère diagonale. Son traitement à l'entrée comprend : Aspirine Cardio 100 mg, Atorvastatine Pfizer 40 mg, Beloc Zok 75 mg, Brilique 180 mg, Lisinopril Spirig 20 mg, insuline NovoRapid selon schéma, insuline Lantus SoloStar schéma, Nicotinell 2 patch, Vimonvo 1000 mg, Dafalgan max 3 cp/j, Lexotanil 1.5 mg max 1 cp/j et Sirdalud 2 mg max 1 cp/j. Sur le plan psychiatrique, Mr. Y a bénéficié d'un entretien avec Dr. X - psychiatre, qui se retrouve face à une personnalité anxieuse de type A ; le patient est très actif dans la vie quotidienne et se dit stressé par rapport à sa situation personnelle et médicale, dont son infarctus ; il se plaint de la prise en charge médicale lors de sa 1ère visite aux urgences. De plus, Mr. Y a récemment perdu son emploi mais, avec une opportunité future pour un nouveau job. Dr. X lui a conseillé une thérapie cognitivo-comportementale avec notre cardio-psychologue (13.02.2019) et, s'il le juge nécessaire, de reprendre contact avec son psychologue qui l'avait suivi pour une dépression il y a une vingtaine d'années. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.6 mmol/L, un HDL à 1.04 mmol/L, un LDL à 2.25 mmol/L et des triglycérides à 1.25 mmol/L. • Ancien tabagique, Mr. Y est abstinent depuis le 12.01.2019. Lors de l'entretien avec Dr. X - tabacologue, le patient manifeste une motivation à la poursuite du sevrage chez qui la dépendance nicotinique est très prononcée. Il relate ressentir de temps à autre anxiété, nervosité, frustrations et dit parfois ne plus penser à la cigarette. Dr. X lui conseille la poursuite du Nicotinell patch 14 mg/24h encore 2 semaines puis de diminuer la dose à 7 mg/24h, en association avec Nicorette spray buccal max 30 pulvérisations/j. Dr. X reste bien évidemment à disposition si Mr. Y sent le besoin. • La pression artérielle basale et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de marcher sur le tapis roulant à une vitesse de 4 km/h sur une pente de 3 % pendant 30 minutes. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Mr. Y exprimant le désir de poursuivre la réadaptation cardiovasculaire en ambulatoire, il quitte notre centre le 08.02.2019 et sera convoqué ultérieurement pour la suite de la prise en charge en ambulatoire. Le 30.01.2019, Dr. X : rinçage de la collection et mise en place d'un drainage actif. Ablation du drain le 04.02.2019. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 1200 mg iv/jour du 28 au 30.01.2019, puis relais per-os par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour du 31.01 au 04.02.2019 inclus. Contrôle en policlinique de chirurgie le 08.02.2019 et changement de pansement à domicile les 06 et 10.02.2019. Le 30.01.2019, Dr. X : épididymectomie et hydrocélectomie gauche. DAP : paroi kystique avec remaniement fibreux et discrète inflammation chronique focale, à proximité d'un épididyme avec légère fibrose interstitielle. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg - 2 x/jour du 31.01 au 04.02.2019. Le 30.01.2019, Dr. X : résection secondaire transurétrale de la vessie. DAP : copeaux de paroi vésicale sièges d'une inflammation aiguë ulcérative et de foyers de nécrose d'aspect ischémique, sans malignité. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 31.01 au 01.02.2019. Ablation de la sonde urinaire le 01.02.2019. Le patient prendra rendez-vous à la consultation de Dr. X pour contrôle dans 1 semaine. Le 30.01.2019, Dr. X : implantation d'une prothèse totale de la hanche gauche par voie antérieure. Matériel implanté : tige AMIStem taille 6 standard, cimentée. Tête fémorale cobalt chrome 32 col M, cupule MPact liner F de taille 56 non cimentée, polyéthylène liner F 56/32. Le 31.01.2019, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole externe et de la malléole interne, cheville gauche, par plaques et vis. Mme. Y a présenté un besoin d'oxygénothérapie dans le contexte d'une bronchiolite à RSV. Sur le plan respiratoire, elle s'améliorait progressivement et a pu être indépendante d'O2 à partir du 06.02. Sur le plan alimentaire, elle a bénéficié d'une SNG, que nous avons pu sevrer le 06.02. Elle a pu rentrer à domicile le 07.02.2019. L'ECG à l'arrivée du patient aux urgences montre un rythme en fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire normocarde, sans répercussion hémodynamique. Le bilan biologique est dans la norme, notamment sans trouble électrolytique ni syndrome inflammatoire. Les symptômes disparaissent rapidement durant le séjour aux urgences avec un retour à un rythme en flutter auriculaire typique connu. Le patient regagne son domicile avec l'indication à reconsulter les urgences en cas de récidive des symptômes. Un suivi en électrophysiologique au CHUV est prévu le 21.02.2019. L'ECG est superposable au comparatif. Par la suite, la patiente bénéficie d'un push d'Isoket et de 20 mg de Nifédipine retard avec normalisation de la tension artérielle. Compte tenu de son passé cardiaque et des symptômes, des troponines sont demandées, la cinétique deviendra négative. La patiente est par la suite surveillée aux urgences jusqu'au 17.01.2019 matin, restant asymptomatique. Après discussion avec la fille de la patiente et vu la bonne évolution, nous laissons rentrer à domicile la patiente sans modification de son traitement de base, nous suggérons une mesure de la tension artérielle 3 x/jour pendant 1 semaine pour que son médecin traitant puisse adapter la médication si besoin. L'ECG montre un rythme sinusal régulier, sans trouble de la repolarisation. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, avec cinétique négative des troponines et la radiographie de thorax ne montre pas de foyer infectieux. Au vu de ces résultats, une récidive des douleurs durant le séjour aux urgences de quelques minutes et spontanément résolutive, avec ECG superposable, des D-Dimères sont demandés. Ces derniers reviennent positifs, motivant la réalisation d'un CT-scan thoracique pour la recherche d'une embolie pulmonaire, non retrouvée. Nous attribuons ainsi les symptômes cliniques à des douleurs thoraciques d'origine indéterminée, cependant une origine cardiaque reste probable, posant l'indication à un suivi cardiologique en ambulatoire à la recherche d'une maladie coronarienne sous-jacente. La patiente regagne son domicile avec indication à reconsulter en cas de récidive des symptômes avec douleurs non résolutives.L'ECG montre un rythme sinusal, sans signes d'ischémie aiguë. Le bilan biologique montre des leucocytes à 12.6 G/l sans CRP. Pas de trouble électrolytique majeur. Sur des douleurs parasternales gauches atypiques, nous réalisons 3 trains de troponines sans cinétique permettant d'exclure un NSTEMI. Nous réalisons également un dosage des D-dimères sur notion de perte de connaissance et douleurs du mollet gauche, revenant négatifs. Nous administrons une antalgie simple et de la nitroglycérine cp avec bon effet sur les douleurs sur le moment. Le patient évoque une composante anxiogène, et sur réapparition des douleurs, nous administrons un Temesta 1 mg. Au vu d'un examen clinique et bilan négatif, nous laissons le patient rentrer à domicile. La nitroglycérine est prescrite en réserve. Au vu du dernier bilan cardiologique datant d'il y a 2 ans, nous préconisons un ETT nouveau, +/- Holter en ambulatoire afin d'exclure un trouble du rythme. L'ECG montre une élévation de segment ST dans les déviations : II, III, aVF. Aux urgences, le patient a reçu de l'Aspirine iv 500 mg, Efient 60 mg, Morphine iv 4 mg. Nous prenons contact avec le cardiologue de garde, le Dr. X, et les soins intensifs de l'HFR Fribourg. Nous transférons le patient en ambulance avec le SMUR, à l'HFR Fribourg, pour suite de prise en charge. L'ECG montre une tachycardie sinusale régulière à 124/min. La radiographie du thorax montre un épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire sans foyer individualisable ni d'épanchement. La silhouette cardiomédiastinale est normale. En raison de la dyspnée avec sibilances, le patient bénéficie d'un traitement bronchodilatateur par Atrovent et d'une oxygénothérapie de 2 l/min aux lunettes, avec disparition des douleurs thoraciques par la suite. Le bilan biologique met en évidence un état inflammatoire avec une CRP à 190 mg/l, une leucocytose à 16,2 G/l à prédominance neutrophilique associée à une monocytose à 1,7 G/l et une anémie nouvelle à 119 g/l d'hémoglobine. Les troponines T hs sont dans la norme, sans cinétique, écartant une origine ischémique des douleurs thoraciques. Deux paires d'hémocultures sont prélevées. La gazométrie montre une insuffisance respiratoire partielle avec un pO2 à 7,8 kPa, associée à une alcalose respiratoire, les bicarbonates étant dans la norme. Le bilan est complété par les D-Dimères qui reviennent positifs à 3'383 ng/ml. On constate encore une hyponatrémie légère à 133 mmol/l et une fonction rénale dans la norme. Nous demandons un CT-scan thoracique injecté qui ne montre pas d'embolie pulmonaire. On constate d'innombrables adénopathies supra-claviculaires, médiastinales, hilaires et axillaires des deux côtés avec présence de multiples nodules dans les deux poumons, le plus grand étant situé dans le segment apical du lobe inférieur gauche, mesurant 8 x 10 x 12 mm et entouré d'un discret infiltrat en verre dépoli, avec emphysème pulmonaire de type centro-lobulaire et une splénomégalie avec discrète infiltration de la graisse sous-diaphragmatique adjacente. La LDH est augmentée à 942 mmol/l. La présentation clinique parle fortement en faveur d'un lymphome. Le cas est discuté avec Dr. X, oncologue, qui suspecte un lymphome de haut grade et demande le transfert à l'HFR Fribourg, service de médecine, pour suite des investigations et suivi oncologique rapproché. Durant l'observation aux Urgences, la tachycardie se normalise progressivement, le patient reste hémodynamiquement stable. Le patient et son épouse présents sont informés de notre diagnostic de travail, maladie oncologique de type lymphome. Le patient est transféré le 24.01.2019 en médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Left wrist and knee fractures a few years ago. Léger rash cutané dorsal et plis inguinaux prurigineux. DD : origine médicamenteuse (nouveau traitement : Lisinopril, Efient, Seresta). Léger retard mental. Epilepsie congénitale. Ostéoporose. Biphosphonates. Légère amélioration clinique après Ventolin / Betnesol et fébrifuges. A commencé à boire à la fin du séjour aux urgences et maman le trouve légèrement mieux. La détresse respiratoire s'est améliorée avec Ventolin. Toutefois, il n'y avait pas de nettes sibilances à l'auscultation et une pneumonie n'est donc pas tout à fait exclue. Pour cette raison, le traitement antibiotique débuté pour l'otite a été adapté à une dose de pneumonie. Consignes de retour données à maman. Légère amélioration des douleurs grâce à la semelle. Concernant le manque de force qui semble la gêner, il n'a pas été objectivé cliniquement mais nous recommandons de marcher régulièrement sur terrain souple avec des baskets. Elle souhaite un 2ème avis. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Pas d'arrêt de travail. Légère atonie utérine. Légère atonie utérine non hémorragique. Légère boiterie pieds ddc. Légère décompensation asthmatique. Légère décompensation cardiaque à prédominance droite le 21.02.2019 avec dyspnée d'effort et épanchement pleural bilatéral. Légère décompensation cardiaque le 29.01.2019 avec œdèmes des membres inférieurs. Légère décompensation cardiaque sur contexte infectieux avec Influenza A le 01.02.2019. Légère diminution de la hauteur du disque intervertébral L3-L4 sur la radiographie du 15.03.2013. Légère hyponatrémie à 132 mmol/l le 24.02.2019. Légère hyponatrémie le 25.02.2019. Légère malnutrition protéino-énergétique NRS 3/7. Légère polyglobulie dans le contexte d'un tabagisme actif le 10.02.2019. Légère rhabdomyolyse le 11.02.2019. Légère rhabdomyolyse secondaire aux troubles électrolytiques le 03.02.2019. Légère rhinite. Légère scoliose dextro-convexe de la colonne lombaire. Légère thrombocytose chronique. Légère thrombocytose et lymphopénie le 12.02.2019. Légère thrombocytose le 03.02.2019. Légers troubles électrolytiques avec : - hyponatrémie 131 mmol/l - hypokaliémie 3.4 mmol/l. Légers troubles électrolytiques le 17.02.2019 avec : - hypokaliémie 3.3 mmol/l. - hyponatrémie 133 mmol/l. Légère hypothyroïdie le 11.12.2018, a.e. médicamenteux (Cordaron). Léiomiosarcome pléomorphe de haut grade, grade 3 selon la FNCLCC, de 13 x 13 x 10 cm avec : - CT du 30.11.2018 et PET-CT du 04.12.2018 : image compatible avec tumeur intra-abdominale de type sarcome. - biopsie du 27.12.2018 : léiomyosarcome pléomorphe de haut grade, grade 3 selon FNCLCC. - colloque multidisciplinaire du 11.01.2019 : chimiothérapie néo-adjuvante +/- chirurgie. - mise en place d'un PAC le 13.01.2019. - anasarque sur compression veineuse iliaques et cave. Léiomyosarcome utérin FIGO IIIA (L1, V2, R1) : - Date du diagnostic : mai 2008. - S/p laparotomie médiane avec hystérectomie et annexectomie bilatérale, mai 2008. - S/p radiothérapie à visée curative sur le bassin en juin 2008 (54 Gy). - S/p iléus de l’intestin grêle sur radiothérapie, octobre 2012. - Récidive en août 2014, deux tumeurs de l’épiploon et une tumeur fixée au côlon sigmoïdien, août 2014. - S/p résection des trois masses tumorales avec résection segmentaire du sigmoïdien et anastomose latéro-terminale le 20.08.2014. - S/p laparotomie de révision, démontage de l’anastomose colorectale et descendostomie terminale selon Hartmann, lavage abdominal sur lâchage d’anastomose sigmoïdienne et péritonite le 28.08.2014.• S/p chimiothérapie par Taxotere et Gemzar du 29.10.2014 au 11.02.2015 (4 cycles complets, dernière cure sans Taxotere) • S/p rétablissement de la continuité iléo-colique, 09.09.2015 • S/p résection Wedge d'un nodule situé dans la lingula pulmonaire gauche le 25.02.2016 • S/p thérapie par Votrient depuis fin décembre 2017 • Progression tumorale des multiples métastases pulmonaires et abdominales, mars 2018 • S/p 5 cycles de chimiothérapie par Caelyx du 06.04 au 14.08.2018, réponse dissociée • Discrète progression des masses tumorales intra-abdominales (17 %) décembre 2018 • Actuellement : introduction d'une chimiothérapie par Gemzar depuis le 11.12.2018 pour progression métastatique intestinale le 30.11.2018 • Troisième cycle de chimiothérapie palliative prévue pour le 04.01.2019, suspendue L'électrocardiogramme met en évidence une tachycardie sinusale, sans répercussion hémodynamique. Une hydratation parentérale par 500ml Ringer Lactate est instaurée avec disparition des symptômes cliniques. Au vu de l'absence de réponse au remplissage, il est décidé pour une nouvelle hydratation parentérale, cependant refusée par Mr. Y souhaitant rentrer à domicile contre avis médical. Quant à son étiologie, un probable état grippal est suspecté, chez un patient fébrile aux urgences avec léger syndrome inflammatoire sur leucocytose à 11.6G/L. La radiographie de thorax ne montre pas de foyer et l'anamnèse systématique ainsi que l'examen clinique ne révèlent pas de foyer clinique. Un contrôle clinique et hydratation orale d'au moins 1.5L/j est conseillée. Enfin, nous conseillons à Mr. Y de diminuer sa consommation de tabac et de boissons énergétiques pouvant participer au symptôme de tachycardie. L'EMG confirme un syndrome du tunnel carpien bilatéral. L'EMG confirme un syndrome du tunnel carpien à prédominance gauche. L'EMG confirme un syndrome du tunnel carpien droit débutant. L'ENMG confirme la suspicion d'un tunnel carpien à D avec une atteinte motrice et sensitive, raison pour laquelle nous proposons une cure chirurgicale de ce tunnel carpien. Mme. Y est informée des risques et bénéfices et signe le consentement éclairé. L'intervention est agendée. L'ENMG met en évidence une importante compression des nerfs médian dans les tunnels carpiens avec augmentation du diamètre en amont. L'ENMG met en évidence une lésion démyélinisante focale au niveau du coude avec une réinnervation au niveau de l'hypothénar, sur neuropathie médiane sensitivo-motrice démyélinisante focale au niveau du carpe à G. Leo est hospitalisé le 17.02.2019 pour une insuffisance respiratoire dans le cadre d'une bronchiolite à RSV. Sur le plan respiratoire, le frottis pour RSV est positif. Vu les désaturations et la détresse respiratoire, il bénéficie d'une oxygénothérapie aux lunettes. L'évolution est favorable, permettant le sevrage de l'oxygène le 18.02. Des rinçages de nez réguliers sont effectués et un protocole de médecine anthroposophique est mis en place. Sur le plan digestif, Leo bénéficie d'une sonde nasogastrique jusqu'au 18.02. Dès le 19.02, il prend son apport journalier per os. Au niveau infectieux, il présente une candidose au niveau buccal et au niveau du siège qui nécessite une thérapie par Daktarin et Imazole. Au vu de l'évolution clinique favorable, Leo rentre à domicile le 20.02 avec contrôle chez le pédiatre en cas de péjoration des symptômes. Leo présente 3 épisodes de vomissements supplémentaires pour un total de 4 vomissements dans les 6 heures après le traumatisme crânien, raison pour laquelle nous souhaitons le garder en surveillance pendant 12h avec contrôle neurologique toutes les 2 heures. Durant cette surveillance, il a présenté des céphalées frontales pulsatiles légères ainsi que des vertiges en position debout. Nous avons effectué un CT cérébral non injecté pour exclure des lésions pouvant expliquer les céphalées. L'examen est revenu normal. Au vu de l'amélioration de la symptomatologie par la suite et des examens cliniques neurologiques revenus tous sans particularité, nous décidons d'un retour à domicile le 21.02 à 14h avec des conseils de surveillance donnés aux parents. Leo s'est présenté avec une lymphadénite cervicale bilatérale (gauche majorée par rapport à droite) avec un torticolis aux urgences. Un syndrome inflammatoire est visualisé dans le sang (Leucocytes 32.2 G/L, prédominance des neutrophiles 82 % sans déviation gauche, une lymphopénie à 7.5 % et un CRP 81 mg/l). Une échographie du cou montre de nombreuses adénopathies cervicales des deux côtés, prédominantes à gauche, mesurant max 12 mm de petit axe, sans signe d'abcédation. On a commencé une thérapie par amoxicilline/acide clavulanique. Une hémoculture reste négative. Pendant l'hospitalisation, Leo présente un état fébrile fluctuant qui cède bien sous antalgique. Il possède un bon apport alimentaire malgré une odynophagie légère persistante. Un avis ORL est demandé avec une décision prise de continuer l'antibiothérapie et un CT n'est pas envisagé. Sous sa thérapie, Leo montre une diminution de l'adénopathie cervicale et une amélioration de la mobilité cervicale. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, on a changé les antibiotiques pour amoxicilline/acide clavulanique per os le 07.02.2019 et Leo est retourné à domicile le 07.02 avec un contrôle aux urgences pédiatriques le 09.02.2019. Après la sortie, nous avons obtenu les résultats des sérologies qui montrent une IgM et IgG de CMV augmentées (et une infection de EBV ancienne). Le prélèvement ne comportait pas assez de sang pour faire une détermination de l'avidité des IgG de CMV, alors nous ne pouvons pas certifier une infection aiguë. Au vu de la clinique et du syndrome inflammatoire visualisé dans le sang, nous pensons tout de même à une infection ou surinfection bactérienne et nous proposons de continuer les antibiotiques durant 7-10 jours. Leonard a montré de bons contrôles cliniques, neurologiques. Nous avons recontrôlé les valeurs hépatiques qui sont dans la norme. Vu la bonne évolution, Leonard rentre à domicile le 08.02. L'épistaxis s'arrête spontanément et le bilan complémentaire aux urgences ne met pas en évidence de perturbation de la crase ou des tests hépatiques. Étant donné le statut stable et le bilan rassurant, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile avec un suivi chez l'ORL dans 3 à 4 jours. Les analyses bactériologiques envoyées ne montrent pas de germes, par contre l'histologie parle en faveur d'une ostéomyélite essentiellement chronique avec nécrose osseuse focale. Radiologiquement, le défect ne se remplit pas. Mr. Y est peu symptomatique. Les examens effectués ne montrent pas une néoplasie dans le sens d'une histozyme ou d'un plasmocytome. Pas d'autre néoplasie maligne n'est mise en évidence. L'origine de ce processus inflammatoire avec une ostéomyélite chronique reste inconnue. Nous discutons ce jour avec Dr. X, spécialiste et médecin adjoint pour l'infectiologie. Nous organisons une scintigraphie osseuse à la recherche d'autre lésion osseuse et reverrons Mr. Y suite à cet examen pour discuter de la prise en charge. Dès aujourd'hui, arrêt des antibiotiques et reprise du travail le 11.02.2019. Arrêt de sport de contact à poursuivre. Gym et fitness possible sans appui sur le poignet. Les biopsies montrent un staphylococcus epidermidis sensible au Co-Amoxicillin augmenté. Mr. Y doit continuer l'antibiothérapie avec Co-Amoxicillin 3x 1 gr pour 5 jours. Après, suivi en ergothérapie pour traitement cicatriciel et ablation des fils à J14. Prochain contrôle clinique à 4 semaines postopératoires. Les biopsies retrouvent un carcinome des glandes salivaires mineures avec infiltration périneurale. Après discussion au concilium oncologique et information éclairée, la patiente subit le 18.01.2019 une laryngectomie totale avec évidement cervical radical bilatéral préservant de la thyroïde, et mise en place dans le même temps d'une prothèse phonatoire (Provox). Par la suite elle développe une collection de chyle latérocervicale droite pour laquelle un régime sans graisse avec pansement compressif sont mis en place. Devant la persistance de l'écoulement, une révision chirurgicale est effectuée à J7 (25.01.2019), avec suture du canal thoracique droit et mise en place d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline. L'écoulement persiste et se surinfecte avec présence de S. Aureus. Une volumineuse collection est confirmée au CT-scanner du 06.02.2019, nécessitant une seconde révision avec sutures matelassantes de la fuite et couverture par Tazobactam le 06.02.2019. Une thrombose de la veine jugulaire interne droite suspectée est infirmée par la suite. L'évolution est alors favorable, l'écoulement disparaît et la cicatrisation est bonne à la sortie. Une tachycardie avec état subfébrile et troubles électrolytiques sont notés le 22.01.2019, résolutifs après remise en place de son traitement bêta-bloquant habituel. Le 28.01.2018, la patiente développe une dyspnée fébrile, motivant un CT-thoracique qui met en évidence un volumineux épanchement pleural bilatéral. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est débutée. Un traitement diurétique mis en suspens pour la chirurgie est réintroduit. Les épanchements sont ponctionnés, compatibles avec un transsudat, sans argument pour un chylothorax et restent stériles. L'évolution est par la suite rapidement favorable. Du point de vue nutritionnel, l'alimentation parentérale avec du Omegaflex est introduite le 29.01.2019. L'alimentation orale de texture adaptée est débutée sans graisse le 01.02.2019. Le TOGD du 23.01.2019 ne montre pas de fuite de contraste, le TOGD du 31.01.2019 montre une petite fuite de contraste au niveau de la Provox. Un test au bleu effectué le 01.02.2019 n'objective pas de fuite importante. L'Héparine est stoppée et le Xarelto est réintroduit avant la sortie, on n'observe pas de saignement post-opératoire. Du point de vue oncologique, le cas est discuté au tumorboard du 06.02.2019 avec proposition d'un suivi oncologique aux 2 mois, sans radiothérapie adjuvante. Ce suivi est prévu à long terme en raison du risque de métastases longtemps après le traitement, avec un suivi ultrasonographique ganglionnaire cervical +/- IRM cervicale dès 6 mois post-opératoires. Une panendoscopie de contrôle sera également organisée à 2 ans. Le contrôle de la sensibilité et de la motricité des orteils après la réduction reste sans particularité. La patiente est hospitalisée dans le service de l'orthopédie pour la suite de la prise en charge. Les contrôles radiologiques et biologiques peuvent exclure une atteinte des voies respiratoires inférieures ainsi qu'une origine cardiaque de la symptomatologie ressentie par la patiente, qui par ailleurs régressent complètement lors de la consultation. Les douleurs antéro-latérales que présente le patient ne semblent pas s'expliquer par cette image d'altération ostéo-chondrale du dôme talaire latéral puisque l'infiltration intra-articulaire tibio-astragalienne n'a montré aucun bénéfice sur les douleurs. Cliniquement, il s'agit plutôt des tissus mous au niveau du sinus du tarse antérieur en regard de l'insertion de la musculature extensor digitorum brevis. Dans ce contexte, nous allons effectuer une infiltration test dans cette zone et reverrons le patient suite à ce geste. Les douleurs au niveau de l'épaule sont des douleurs d'origine mécanique, cliniquement ce jour liées à une arthropathie AC également visible sur l'IRM effectuée le 15.01.2019. Minime boursite sous-acromiale sans tendinopathie. Mr. Tercier sera opéré du dos lundi prochain 11.02.2019, il est fort probable que cela péjore les douleurs au niveau de l'épaule. On pourrait effectuer dans les semaines suivant l'intervention du dos une infiltration AC pour calmer les symptômes. Je lui remets également une ordonnance de physiothérapie qui sera effectuée par la suite. Vu le manque de force au niveau du membre supérieur gauche, je recommanderais de répéter l'examen IRM cervicale le dernier datant du 29.01.2018. Je laisse le soin au Dr. X et son équipe de faire le nécessaire s'ils le jugent adéquat. Les douleurs au niveau des chevilles sont imputables à un discret affaissement de l'arche interne. Nous lui prescrivons des semelles orthopédiques qui devront être portées progressivement. Nous la reverrons suite à la confection des semelles pour un contrôle clinique. Les douleurs au niveau du pied persistent et nous avons de la peine à les traiter. C'est probablement un conflit péronéo-astragalien qui est à l'origine des douleurs. Nous organisons une nouvelle infiltration et le reverrons après ce geste. Prolongation de l'arrêt de travail à 100%. Les douleurs de la patiente, face aussi à un ECG normal, sont imputables à la toux. Elle présente de plus un état de virose avec un intérêt gastro-intestinal et respiratoire, et une otite moyenne aiguë congestive. Nous renvoyons la patiente à domicile avec traitement symptomatique. Elle reconsultera le médecin traitant en cas d'absence d'amélioration. Les douleurs décrites par le patient vont parfaitement avec une arthrose fémoro-patellaire comme on peut bien la visualiser sur l'IRM native du genou D du 30.01.2019. J'explique au patient que la destruction du cartilage est irréversible. Je lui ai expliqué qu'étant donné son jeune âge, il n'y a pas d'indication opératoire pour le moment. Seule une prothèse de genou partielle ou totale pourrait régler le problème. Je lui ai donc proposé de plutôt modifier son activité en fonction des douleurs. Pour le soulager temporairement et pour lui permettre de remuscler son quadriceps D qui a fondu en raison de l'inactivité, une infiltration par cortisone pourrait être utile. Le patient est d'accord, nous prévoyons une infiltration par cortisone pour le 27.03.2019. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Les douleurs du patient semblent être liées à la lésion SLAP mais aussi à une inflammation sous le toit de l'épaule. Dans ces conditions, je préconise une infiltration sous-acromiale et un traitement physiothérapeutique à l'HFR Riaz. Je suis assez convaincu qu'on arrivera à traiter le patient sans chirurgie. Par contre, en cas de persistance des symptômes, une ténotomie et ténodèse du long chef du biceps seront discutées. Poursuite de l'arrêt de travail. Infiltration sous-acromiale programmée pour le 1er mars 2019. Les douleurs du patient sont probablement expliquées par la présence d'ossifications hétérotopiques, il y a une contre-indication pour une chirurgie durant au moins 1 année après la dernière intervention. On organise un spect-CT avec reconstruction 3D d'ici 4 mois, soit à 1 année de l'opération pour mieux visualiser les ossifications hétérotopiques et évaluer s'il y a un conflit articulaire et un phénomène d'Impingement. Nous lui prescrivons de nouvelles séances de physiothérapie, ainsi que physiothérapie pour la sacro-iliaque avec Trigger point du bas du dos. Le patient a mentionné qu'il a discuté avec le Dr. X de la clinique Générale d'une opération de son épaule droite pour une probable déchirure du tendon sus-épineux. Ordonnance pour Flector, application locale au niveau de la sacro-iliaque gauche. Poursuite de son travail à 100%. Prochain contrôle après le spect-CT à organiser dans environ 4 mois. Les douleurs lombaires basses sont bien compensées sous Co-Dafalgan et n'irradient pas dans les MI. Cette symptomatologie n'est pas corrélable à l'IRM, raison pour laquelle nous proposons pour l'instant une poursuite du traitement conservateur. Pas de nouveau contrôle prévu d'office mais restons à disposition au besoin.Les douleurs que présente le patient sont clairement dues à une chondropathie du condyle fémoral. Raison pour laquelle, dans un premier temps, nous préconisons un traitement conservateur avec prescription de Chondrosulf et physiothérapie. Nous reverrons le patient pour refaire le point dans 3 mois. Nous conseillons également au patient de modifier les activités et de faire plutôt du vélo afin de protéger son genou. Les douleurs qui gênent actuellement la patiente semblent plutôt d'origine musculaire. Nous lui proposons donc de débuter des séances de physiothérapie active dès ce jour pour renforcement et stretching musculaire au niveau abdominal, lombaire et des muscles fessiers. Si après 4 semaines de cette prise en charge la symptomatologie persiste, une éventuelle nouvelle imagerie devra être réalisée avec organisation d'une potentielle infiltration facettaire à but diagnostique. Les douleurs qui ont fait consulter le patient en urgence le 19 février dernier sont en nette amélioration. Le résultat est satisfaisant à 6 mois postopératoires, cependant il existe toujours un risque de nécrose avasculaire de la tête fémorale, ainsi qu'un risque d'arthrose accélérée au niveau de la hanche droite et ceci durant les 2 premières années postopératoires. Un prochain contrôle est prévu à la consultation du Professeur X en août prochain. Si les douleurs devaient réapparaître d'ici là, le patient se représentera à ma consultation et on organisera alors un CT-scanner de la hanche droite à la recherche d'une éventuelle nécrose de la tête fémorale. Les douleurs ressenties par le patient sont imputables à cette arthrose, ce qui est assez bien corrélées avec l'imagerie du jour. Dans un but diagnostique et pour soulager le patient, on lui propose une infiltration loco-dolenti. Il accepte la prise en charge. Nous le reverrons après ce geste. Les douleurs se calment grâce à la titration de morphine. Le patient rentre à domicile avec traitement antalgique, myorelaxant et un arrêt de travail. Il trouvera un médecin traitant et lui demandera une prescription de physiothérapie qui sera à prévoir à la résolution de la phase aiguë. Les douleurs sont plutôt atypiques, la patiente est rassurante sur le plan clinique. Nous effectuons un dosage des troponines, qui est inférieur à 5 plusieurs heures après l'apparition des douleurs. Nous ne posons pas d'indication à un test d'effort en ambulatoire par la suite. Nous ne dosons pas les D-dimères en l'absence de dyspnée, de désaturation et d'argument à l'anamnèse pour une embolie pulmonaire. Le diagnostic différentiel est évoqué avec la patiente (douleurs musculo-squelettiques, dyspepsie, angoisse), sans introduire pour l'instant de traitement mais en laissant le soin au médecin traitant de la revoir dans quelques jours si persistance des douleurs. Les douleurs sont rapidement contrôlées par une antalgie IV par Dafalgan et Ecofénac. Après un bilan radiographique retrouvant un aspect légèrement cunéiformisé de T11, nous réalisons un CT-scanner qui confirme cet aspect cunéiforme, sans pour autant affirmer une fracture. Nous réaliserons donc une IRM dorso-lombaire en début de semaine prochaine afin de rechercher un éventuel œdème osseux. La patiente est donc autorisée à rentrer à domicile avec mobilisation libre selon les douleurs. Elle sera vue le 18.02.2019 pour la réalisation d'une IRM du rachis thoracique bas et lombaire haut suivie d'une consultation en policlinique d'orthopédie. Les examens clinico-biologiques sont rassurants. Nous demandons l'avis du gynécologue de garde à l'HFR Fribourg, qui considère qu'il n'y a pas de critère pour consulter la patiente en urgence et qu'elle doit être vue par une gynécologue dans les 24h. À la réévaluation de la patiente, elle est soulagée. Après discussion avec la patiente, nous la laissons rentrer avec un traitement symptomatique. Elle va consulter son gynécologue le 11.02.2019 le matin. Les examens clinico-biologiques parlent en faveur d'une bursite du coude droit, pour laquelle nous réalisons un pansement écossais du bras droit et recommandons une antalgie simple. Le patient sera revu à la filière des urgences ambulatoires le matin pour la suite de la prise en charge. Les examens clinico-radiologiques sont en faveur d'une entorse de la cheville de stade II avec une entorse du Lisfranc et une fracture de la base du premier métatarsien pour lesquelles nous recommandons une immobilisation dans une attelle plâtrée, avec décharge complète et thromboprophylaxie. La patiente sera revue en policlinique d'orthopédie. Feuille de surveillance du plâtre donnée à la patiente. Contrôle après mise en place du plâtre fait. Les examens cliniques et para-cliniques sont rassurants. L'épouse du patient n'est pas joignable pendant la nuit et le patient n'est pas en état de rentrer tout seul. Nous le gardons en surveillance pendant la nuit. À la réévaluation le matin, le patient est calme et orienté. Vu que son épouse n'est pas joignable, il rentre à domicile par ses propres moyens. Les examens complémentaires effectués aujourd'hui permettent d'exclure une fracture du scaphoïde. Par contre la patiente présente des symptômes d'un CRPS débutant, raison pour laquelle nous prescrivons de la vit C, miacalcic et l'ergothérapie pour un traitement adapté. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Les examens complémentaires nous permettent d'exclure un syndrome coronarien aigu ainsi qu'une origine pulmonaire infectieuse et traumatique. Il est décidé de ne pas doser les D-Dimères en raison des symptômes cliniques et en l'absence de facteurs de risque. Nous retenons une origine neuropathique à la base des douleurs thoraciques que nous traitons par un traitement antalgique. Nous proposons un suivi clinique par le médecin traitant. Nous indiquons à la patiente de reconsulter les urgences en cas de péjoration des douleurs ou d'apparition de symptômes nouveaux. Les examens effectués ne montrent pas de fracture au niveau de l'épaule G. Même s'il s'agissait d'une fracture à travers d'une ligne de croissance, cette fracture n'est pas déplacée et pas instable. Le patient ne présente pas une instabilité acromio-claviculaire, raison pour laquelle nous posons le diagnostic susmentionné. Traitement conservateur avec immobilisation durant la journée dans une bretelle avec limitation des mouvements jusqu'à 90° en abduction. Arrêt du sport durant au moins 4 semaines et arrêt de sport de contact durant 8 semaines. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines. Les examens effectués sont expliqués au patient. Examen clinique. Stix et sédiment urinaire : négatifs. Sérologie HCV, HIV, HBV, syphilis, chlamydia/gonocoque. Valtrex 500 mg 2x/jour durant 5 jours. Résultats sérologie à pister par le médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Anamnèse et examen clinique. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble des tests hépatiques. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant : proposition de colonoscopie en cas de persistance de la symptomatologie. Recommandation de reconsulter en cas d'état fébrile, frissons. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Stick et sédiment urinaire : négatifs. Test de grossesse : négatif. Sérologie dépistage HIV, HCV, HBV, syphilis. Consultation gynécologique avec frottis vaginal pour chlamydia/gonocoques. Les résultats seront transmis au médecin traitant. Valtrex 500 mg 2x/jour pendant 5 jours. Les examens effectués sont expliqués au patient. • Laboratoire : pas d'anémie, pas de troubles électrolytiques Attitude : • CT en ambulatoire puis consultation aux urgences post-CT. Antalgie. Arrêt de travail à 100 % pour 5 jours. Le patient est informé qu'il doit reconsulter les urgences en cas de péjoration de la symptomatologie. Les examens effectués sont expliqués au patient. Anamnèse et examen clinique. Radiographie de la colonne thoraco-lombaire. Ct colonne thoracique : fracture A1 dorsal 7 stable. Avis orthopédique : Dr. X : • avis neurochirurgical (Dr. X) : contrôle TEAM spine à J7 avec IRM au préalable. IRM colonne dorsale avec images tir, le patient sera convoqué. Antalgie. Suite de la prise en charge TEAM SPINE à J7. Recommandation de reconsulter en cas de trouble neurologique ou de douleurs. Les examens radiologiques entrepris ont permis de confirmer le diagnostic susmentionné. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour améliorer la stabilité et la mobilité. Compte tenu de l'absence de douleur, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Les examens radiologiques nous font suspecter une lésion SL, par contre le patient se présente asymptomatique avec un test de Watson dans la norme, il ne présente pas de douleurs à la palpation au niveau de l'espace SL. Nous proposons donc de continuer la physiothérapie pour renforcement musculaire et proprioception. En ce qui concerne le Mallet Finger, poursuite de l'attelle pendant la nuit pour encore 4 semaines et exercices pour la mobilité en ergothérapie. Prochain contrôle radioclinique dans 6 mois. Les fractures ne sont pas encore complètement guéries. Nous proposons de commencer une mobilisation progressive et douce en ergothérapie. Nous enlevons l'attelle Munster et la remplaçons par l'attelle velcro pour 4 semaines. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Les gênes de la patiente sont en diminution après l'admission du traitement susmentionné. La patiente regagne sa voix habituelle. Elle quitte notre service après une surveillance. Les gênes du patient sont en diminution après l'antalgie et ne réapparaissent plus pendant son séjour aux urgences. Au vu du manque de microhématurie et de la disparition des douleurs, nous ne retenons pas l'indication de faire un Uro-CT à la recherche d'un calcul. Les gênes ophtalmologiques se montrent en diminution spontanée pendant le séjour aux urgences. La surveillance neurologique reste sans particularité. La patiente peut retourner à domicile. Les recommandations pour la surveillance à domicile ont été données à la patiente. Les images corrèlent avec les symptômes du patient. Au vu de la symptomatologie uniquement douloureuse, sans atteinte neurologique et qui est actuellement gérable avec l'antalgie, nous n'envisageons pas de suite une prise en charge chirurgicale mais organisons une infiltration péri-radiculaire S1 droite. Arrêt de travail à 50 % au vu du fait que Mr. Y peut travailler assis sans douleur mais pas debout de manière prolongée. Nous reverrons le patient après l'infiltration qui sera réalisée à Riaz. Les multiples plaies sont suturées. La patiente reviendra à la filière des urgences ambulatoires pour ablation des fils comme elle n'a plus de médecin traitant et ne pense pas pouvoir avoir un rendez-vous à temps. Son mari vient la chercher et ils rentrent à la maison. Les omalgies que présente la patiente s'expliquent par une boursite sous-acromiale et deltoïdienne qui sont consécutives au traumatisme du 03.11.2018. L'évolution est spontanément favorable jusqu'à ce jour. Le patient présente un conflit sous-acromial clinique, qui est modéré, une coiffe compétente qu'on a pu objectiver à l'IRM. Dans ce contexte, nous prescrivons des séances de physiothérapie à visée antalgique et d'abaissement de la tête humérale. Prochain contrôle dans 6 semaines. Les plaintes de la patiente sont suggestives d'une lésion SLAP symptomatique. Je reste par contre prudent à proposer une chirurgie à la patiente. Malgré son jeune âge, comme fumeuse, elle présente un certain risque de re-rupture d'une lésion SLAP, raison pour laquelle je proposerais une ténotomie et ténodèse du long chef du biceps. Il me semble par contre trop tôt de proposer un tel geste. Arrêt de la physiothérapie. Auto-mobilisation, activité selon douleurs. Nous referons le point d'ici 2 mois. Prochain rendez-vous : 25.04.2019. Les radiographies du jour montrent un fémur consolidé avec un bon remaniement cortical. Les radiographies du jour montrent un fragment osseux intégré. Épaule bien centrée pas de signe d'arthrose. Les radiographies ne montrent pas de fractures. Nous retenons le diagnostic d'évolution naturelle d'un hématome sur contusion jambe droite. Nous prescrivons un traitement par Hirudoide pour favoriser la résorption de l'hématome. En cas d'évolution défavorable, nous lui conseillons de reconsulter rapidement. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Les RX et CT-Scan mettent en évidence une fracture de la tête radiale prenant entre un tiers et la moitié de la surface articulaire. Les fragments sont impactés à plus de 2 mm. Légère subluxation postérieure. Les semelles orthopédiques prescrites la dernière fois ont bien été tolérées par le patient. Cependant, ce jour, on constate qu'elles sont non adaptées car elles sont trop petites. Prescription de nouvelles semelles orthopédiques. Instruction au patient et aux parents d'auto-exercices à faire à domicile. Nous le reverrons pour un nouveau bilan clinique dans 6 mois. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Une antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline est instaurée pour une durée de 7 jours. La réalimentation orale est reprise dès J1, bien tolérée. En revanche, la patiente est nauséeuse et constipée sous morphine, situation résolue après l'adaptation thérapeutique et un traitement laxatif. Le Redon est retiré avant son départ le 22.02.2019. Le status en bouche et la cervicotomie sont calmes. Les suites sont simples sans récidive de saignement. Le patient rentre à domicile le 8.2.2019, le suivi postopératoire sera effectué par Dr. X. Les symptômes cliniques parlent fortement pour un syndrome de tunnel carpien avec une atteinte motrice et une atrophie thénarienne bilatérale. En regard des symptômes, nous proposons à la patiente d'effectuer un ENMG et une cure de tunnel carpien chirurgicalement. Le traitement par Xarelto pourrait être continué sans incidence chirurgicale. La patiente, pour le moment, ne souhaite pas une intervention chirurgicale. On prescrit donc une attelle thermoformée par l'ergothérapie durant la nuit pour diminuer les symptômes. Prochain contrôle dans 2 mois. Si, entre temps, la patiente se décide à se faire opérer, elle prendra contact avec nous et on pourrait directement organiser un ENMG avant de la revoir. Les symptômes se résolvent complètement durant le séjour aux urgences. L'examen clinique est rassurant, l'ECG est superposable aux derniers examens. Nous prenons contact avec nos collègues de neurologie pour refaire le point sur les investigations déjà effectuées, qui ont été très complètes. Pas de nécessité d'aller plus loin selon leur transmission. Les symptômes présentés ce jour parlent plutôt pour une crise d'angoisse, dans un contexte de probable trouble fonctionnel (DD : migraine hémiplégique) ayant induit de nombreuses consultations depuis l'été dernier. Nous rediscutons avec le patient quant à ce diagnostic en le lui expliquant longuement, et en lui proposant soit de voir un psychiatre de liaison aux urgences, soit de discuter avec son médecin traitant pour être adressé à un psychothérapeute, possiblement TCC, ce qu'il préfère. Les symptômes sont connus par la patiente. L'examen clinique est parfaitement normal, excepté une quadranopsie supéroexterne droite connue et stable. Dans ce contexte, nous réassurons la patiente et lui proposons un contrôle ambulatoire chez le médecin traitant.Les techniciens en orthopédie n'ont pas fait un appui en sous-diaphysaire mais une semelle sur mesure pour corriger le léger plano valgus, mais qui ne gère pas le problème au niveau du 2ème orteil. On refait une ordonnance pour une barrette sous-diaphysaire en silicone pour décharger le 2ème orteil. Nous reverrons la patiente par la suite dans 6 semaines. Si tout va bien, elle pourra annuler le RDV. Lésion AC gauche, Rockwood II. Rupture du tendon d'Achille à la jonction musculo-tendineuse, jambe gauche, actuellement sous traitement conservateur. Lésion cérébrale frontale droite hyperdense minime sur chute le 12.02.2019. Lésion chondrale de 18x11 mm zone de charge condyle interne, lésion chondrale 5x7 mm trochlée fémorale, lésion chondrale 5x6 mm zone de charge condyle externe, genou gauche. • AS genou G avec microfractures en regard du condyle fémoral externe (4x), arthrotomie genou G avec débridement cartilagineux condyle interne, microfractures et mise en place d'une biomembrane suturée au PDS 6.0, microfractures trochlée fémorale (OP le 02.10.2013). Entorse stade II cheville gauche le 17.07.2015. Suspicion d'abcès rétro-aréolaire du sein droit, sans répercussion systémique. Ad hospitalisation et mise à plat de l'abcès le 10.12.2015 sous anesthésie générale. Lésion chondrale facette articulaire latérale et pôle distal de la rotule sur quelques millimètres. Aspect plutôt légèrement dégénératif du ménisque interne et externe. Lésion complète de l'EPL gauche avec arthrotomie traumatique sur plaie profonde au niveau de la face dorsale de l'IP du pouce gauche. Lésion complète du ligament collatéral ulnaire du pouce D (dominant) sans lésion de Stener le 24.12.2018. Lésion complète du tendon fémoro patellaire le 03.02.2019. Lésion complexe de la main gauche avec : 2ème doigt : plaie simple sur la pulpe, versant radial. 3ème doigt : fracture ouverte avec perte de substance osseuse du condyle radial de la 2ème phalange avec section de l'appareil extenseur au niveau de l'interphalangienne distale. 4ème doigt : fracture ouverte de la phalange distale avec section de l'ongle et du lit de l'ongle. Plaie superficielle au niveau de l'interphalangienne distale du 3ème doigt à la main gauche, sur un traumatisme le 26.08.2016 avec : • status post-ostéosynthèse du condyle radial de la 2ème phalange du 3ème doigt par 2 vis et réinsertion de l'appareil extenseur. • une cloque au niveau opératoire. Plaie de 2 cm de longueur au niveau de la pulpe de l'index gauche avec luxation partielle de l'ongle et plaie de 0.5 cm de longueur au niveau du lit de l'ongle. Lésion cornéenne œil gauche le 24.02.19. Lésion cutanée érosive d'environ 8 mm de diamètre au niveau de la face lat du mollet D, inflammatoire. Lésion identique à celle déjà décrite 2 cm au-dessus du malléole externe G. DD piqûre d'insecte surinfectée, infection cutanée autre. Status clinique. Laboratoire avec syndrome inflammatoire. Avis et évaluation clinique Dr. X : • contrôle clinique à la FUA demain à 11:00 avec laboratoire et avis infectiologique. • pas de traitement pour l'instant. • photos prises et mises sur Synedra. s/p APP. Pyélonéphrite D non datée. Lésion cutanée, prurit. Lésion d'allure kystique en regard de l'angle mandibulaire droit. DD : processus néoplasique. Lésion de Chopart avec arrachement du talus antéro-supérieur et du processus antérieur du calcanéus à gauche et distorsion de l'articulation calcanéo-cuboïde le 6.7.2018. Lésion de Chopart pied G avec : • arrachement processus antérieur du calcanéus et de l'extrémité proximale du cuboïde. • présence de fragments osseux au niveau de l'articulation talo-naviculaire et au niveau du sinus du tarse. Lésion de la coiffe des rotateurs. Lésion partielle du tendon sus-épineux. Lésion partielle du tendon sous-scapulaire dans sa partie supérieure à D. Arthrose acromio-claviculaire. Lésion de la coiffe des rotateurs à droite. Status post multiples opérations lombaires avec mise en place d'une prothèse de disque en 2007. Lésion de la coiffe des rotateurs en 2017. Lésion de la coiffe des rotateurs épaule D : • rupture transfixiante du sus-épineux associée à une involution de stade II selon Goutalier. • arthropathie du long chef du biceps. • déchirure partielle profonde du sus-scapulaire. • déchirure transfixiante du sous-épineux. Névralgie du nerf antébrachial cutané médial avant-bras D sur : • status post exploration, rinçage, suture fascia musculaire fléchisseur superficiel et pronator teres avant-bras D le 24.08.2018 sur une plaie profonde au niveau de l'avant-bras D avec lésion partielle du muscle fléchisseur superficiel et du muscle pronator teres au niveau de la zone IX. Lésion de la coiffe des rotateurs gauche. Lésion de la corne postérieure du ménisque interne. Lésion de la muqueuse buccale au niveau de la face interne de la lèvre inférieure circulaire de 0.4 mm de diamètre. Lésion de la plaque palmaire du 4ème doigt de la main G le 11.02.2019. Lésion de la plaque palmaire D5 le 03.02.2019. Lésion de Stener articulation MCP I main droite. Lésion de 23 mm sur le rein gauche inchangée depuis 2009. Opération pancréatique au Portugal sans autre précision. Lésion de 23 mm sur le rein gauche inchangée depuis 2009. Syndrome de dépendance à l'alcool avec : • pancréatite chronique. Trouble dépressif sévère sans symptôme psychotique F32.2. Cardiopathie d'origine indéterminée probablement toxique sur consommation d'OH à risque avec : • douleurs thoraciques et dyspnée à l'effort (NYHA II). • souffle systolique 2/6, prédominant au niveau de l'apex. Macrocytose sans anémie. • DD : sur effet toxique direct de l'alcool. Malnutrition protéino-énergétique légère. Lésion dégénérative C5-C6 découverte fortuitement. • DD : spondylodiscite. Lésion dégénérative de la corne postérieure du ménisque interne, genou G. Tendinopathie coiffe des rotateurs, épaule G. Lésion dégénérative de la corne postérieure du ménisque interne sur gonarthrose tricompartimentale associée à un kyste de Baker dans le creux poplité du genou gauche. Lésion dégénérative du ménisque interne genou droit. Status post résection d'un kyste de Baker par voie ouverte creux poplité genou droit il y a plus de 30 ans par le Dr. X. Status post arthroscopie du genou gauche il y a plus de 10 ans. Lésion dégénérative du TFCC dans le sens d'une lésion horizontale sans perte d'étanchéité de la radio-cubitale distale poignet gauche. Lésion dégénérative genou G. Syndrome lombo-vertébral non déficitaire ni irritatif. Douleurs coude D. Lésion du Chopart G avec fracture/arrachement os naviculaire, os cuboïde et os cunéiforme latéral le 25.10.2018. Lésion du Chopart pied D le 21.12.2018. Lésion du frein de la lèvre supérieure. Lésion du LCA genou gauche. Entorse LLI grade I genou gauche. Oedème osseux plateau tibial, partie postérieure. Lésion du ligament latéral interne du genou droit de stade II le 15.02.2019, suspicion de lésion du ligament croisé antérieur et du ménisque interne. Lésion du Lisfranc du pied G sur chute datée du 15.12.2018 avec : • fracture multi-fragmentaire intra-articulaire du cunéiforme médial. • fracture de la base du 1er métatarse. • fracture de la partie proximale du cunéiforme intermédiaire. • fracture multi-fragmentaire de la base du 2ème métatarse. • fracture du cunéiforme médial. Lésion du Lisfranc G le 17.12.2018 avec fracture comminutive non déplacée de la base du 2ème métatarse, petite avulsion de la base des métatarses 1-3, traitée conservativement.Lésion du lit de l'ongle de moins de 50% sur le pouce droit. Lésion du nerf hypoglosse droit d'origine indéterminée DD : post cervicotomie + évidement cervical D, compression sur nécrose ou sur récidive tumorale. Lésion du tendon d'Achille à gauche. Lésion du tendon extenseur de l'annulaire à D • sur coupure d'environ 1cm en regard de l'IPP distal. Lésion en anse de sceau luxée antérieurement du ménisque interne du genou droit. Lésion en anse de seau corne moyenne ménisque interne genou D; événement du 27.01.2019. Lésion érythémateuse sous-labiale et verticale des deux côtés de 0.2% de chaque côté avec absence de phlyctène, douloureuse à la palpation. Lésion de 0.5% érythémateuse parasternale gauche sans phlyctène et douloureuse à la palpation. Poursuite du traitement antalgique et d'application de Bépanthène crème 3x/jour. Contrôle à la policlinique de chirurgie le 22.02.2019 pour suite de prise en charge. Lésion et expulsion du ménisque externe genou G. Status post plastie LCA genou G par DIDT en 2001. Lésion genou G en 2001. Décompensation de BPCO en 2016 • 2 des 3 critères d'Anthonisen. Lésion grade II du LLI associée à une distorsion du ligament croisé antérieur genou droit. Lésion hépatique le 14.02.2019 • s/p néphro-urectomie droite dans le cadre d'un carcinome des canaux collecteurs du rein droit, le 28.11.2019. DD abcès, métastase. Lésion inflammatoire discrète sur probable corps étranger (fil). Lésion LCA à G avec fracture de la partie postéro-externe du plateau tibial suite à une entorse datée du 27.12.2018. Lésion LCA et lésion LLI du genou D le 25.03.2018 avec : • status post arthroscopie du genou D et plastie LCA par DIDT le 14.08.2018. Lésion LCA et LLI bilatérale le 18.02.2018. Lésion LCA genou D sur status post polytraumatisme avec : • status post-AMO LFN fémur droit et tibia Expert jambe droite le 27.03.2018. • status post-ostéosynthèse par clou LFN d'une fracture de la diaphyse du fémur droit. • status post-ostéosynthèse par clou tibia Expert d'une fracture de la diaphyse tibia-péroné et syndrome des loges jambe droite sur traumatisme du 04.08.2016. Lésion LCU pouce droit. Lésion ligament croisé postérieur genou gauche, le 16.02.2019. Lésion ligamentaire du 5ème doigt de la main gauche, le 14.02.2019. Lésion ligaments collatéraux ulnaires pouce gauche. Lésion lingulaire sous-pleurale de 11 mm de diamètre, DD : cancer pulmonaire. Lésion longitudinale du péronier court à gauche. Lésion lytique au niveau du crâne, DD MM. Lésion lytique au niveau du crâne DD Maladie de Kahler. Lésion méniscale du genou gauche avec kyste poplité le 13.02.19. Lésion méniscale interne gauche, le 22.02.2019. Lésion ménisque interne droit, le 16.02.2019. Lésion musculaire du muscle ischio-jambier droit de grade II. Lésion neurogène de la partie supérieure du plexus brachial gauche (sans signe de dénervation) sur • status post ablation du matériel d'ostéosynthèse humérus proximal gauche le 24.1.2019. Lésion nodulaire hépatique de 3 cm d'origine indéterminée et de découverte fortuite le 04.01.2019 DD : CHC, hémangiome atypique. Lésion non trans-fixiante d'une lésion PASTA sus-épineux épaule droite avec arthrose AC droite asymptomatique. Lésion occipitale gauche d'origine indéterminée le 21.01.2019 DD : néoplasie primaire vs secondaire. Surveillance en unité stroke monitorée du 21.01.2019 au 22.01.2019. STOP aspirine le 21.01.18, reprise à la sortie. Clopidogrel du 21.01.2018 au 01.02.19. IRM le 21.01.2019 (Givision). Consultation neurologie le 21.01.2019 (Dr. X): anti-aggrégation par Clopidogrel à la place de l'aspirine. Consultation neurologie le 22.01.2019 (Dr. X et Dr. X): pas d'AVC ischémique subaigu. ETT (22.01.19): FeVG 65%. Consilium oncologie le 23.01.19: ad IRM cérébrale pour bilanter, ad PET-CT. IRM cérébrale (25.01.19): Lésion unique intra-axiale pariétale postérieure gauche avec œdème péri-lésionnel vasogénique. PET-CT (28.01.19): Masse dans le lobe occipital gauche. Suspicion d'une petite lésion au niveau hilaire gauche. Suspicion de la présence d'une masse splénique. Hypertension pulmonaire artérielle. Atrophie rénale (due au diabète ?). Avis pneumologues (30.01.19): risque de biopsie transbronchique trop élevé, contre-indiqué. Avis oncologues (30.01.19): ad biopsie cérébrale. Avis TumorBoard (30.01.19): ad biopsie/résection de la lésion cérébrale. Lésion ostéochondrale du pôle supéro-interne de la rotule avec lésion du MPFL et lésion ostéochondrale de la facette interne trochlée. Lésion ostéolytique de 0.7 x 0.4 mm à la jonction tiers proximal tiers médian du fémur droit. Lésion ostéolytique du radius distal D avec perforation et infiltration liquidienne du carré pronateur. Lésion pariétale postérieure gauche d'origine indéterminée le 21.01.2019 DD : glioblastome vs métastase. Lésion partielle de l'aileron rotulien interne genou gauche. Lésion partielle du collatéral radial du pouce G le 04.01.2019. Lésion partielle du complexe ligamentaire collatéral latéral du coude à droite (principalement le latéral ulnaire collatéral ligament LUCL). Lésion partielle du LCP genou droit. Lésion LCA avec atteinte du PAPE genou droit. Lésion proximale du LLI genou droit. Lésion partielle du plexus brachial droit. Gilet ortho, suite à la consultation spécialisée d'orthopédie. Parésie du muscle abducteur de l'œil gauche le 06.03.15 • d'origine musculaire probable • sans argument pour une origine centrale • IRM neurocrâne sp Suivi chez l'ophtalmologue Dr. X. Laboratoire PL. Lésion partielle du sus-épineux et conflit sous-acromial épaule G. • Status post infiltration sous-acromiale pour tendinite calcifiante du sus-épineux G. Lésion partielle non transfixiante du sus-épineux épaule droite sur entorse de l'épaule droite en septembre 2018. Status post cure de pouce à ressaut droit le 8.9.2018. Lésion partielle transfixiante du tendon du sus-épineux, épaule droite, symptomatique. Lésion partielle trans-fixiante du tendon du sus-épineux épaule droite traumatique avec raideur articulaire post-traumatique marquée. Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule D le 1.2.2019. Lésion partielle transfixiante du tendon du sus-épineux épaule gauche avec arthrose AC gauche asymptomatique. Lésion partielle transfixiante du tendon du sus-épineux épaule gauche dominante en 2016 avec : • omarthrose débutante. • arthrose AC hypertrophique. • conflit sous-acromial secondaire. Pieds bots. Sténose canalaire multi-étagée avec important rétrécissement en L2-L3, L3-L4, L4-L5 avec kyste articulaire gauche : • décompression L3/L4 + L4/L5 par flavectomie bilatérale. • ablation du kyste articulaire L3-L4 gauche. • suture d'une brèche durale L4-L5 le 15.06.2018.Lésion périostale du péroné distal gauche d'origine indéterminée, le 13.02.2019. Lésion plaque palmaire interphalangienne proximale D2 main gauche. Lésion plaque palmaire IPP Dig III le 15.08.2018. Status post fracture médiale diaphysaire spiroïde non déplacée 5ème métacarpien le 15.08.2018. Lésion SLAP épaule droite avec cliniquement haute suspicion d'instabilité du LCB droit. Infiltration du sillon bicipital droit le 14.12.2018. Lésion SLAP type II traumatique épaule G suite à accident de traction de l'épaule G le 23.01.2019. Lésion solide du caecum le 21.01.2019 • CT colonoscopie virtuelle le 21.01.2019 Lésion sous-totale du tendon EPL zone II pouce droit (accident du 25.01.2019). Lésion splénique de grade 2 après chute dans un contexte d'éthylisme aigu en 2015 QT long (490ms) sur neuroleptiques Chute du lit le 02.06.2017 et station prolongée au sol durant 5 heures, sans traumatisme crânien avec : • Rhabdomyolyse et CK à 3878U/l • Contusion du genou et cheville gauches • Atteinte du nerf sciatique poplité externe • Contusion des côtes 7 et 8 à gauche Fracture de type Pouteau Colles déplacée avec ostéosynthèse le 15.11.2017 Ablation kyste synovial L4-L5 gauche et foraminectomie L4-L5 gauche (2006) Douleur lombaire traumatique suite à une chute d'origine multifactorielle le 08.10.2018 Fracture du 1er cunéiforme du pied gauche en consolidation et entorse du Lisfranc. Lésion stade II du ligament collatéral interne du genou droit. Lésion stade II LLI genou droit. Lésion subtotale du tendon du sous-scapulaire, subluxation du tendon du long chef du biceps épaule G; traumatisme du 18.10.2019 Arthrose articulation acromio-claviculaire G. Lésion subtotale sus-scapulaire à G post traumatique le 18.10.18. Lésion subtotale sus-scapulaire à G post traumatique le 18.10.18. Status post luxation AC dans la jeunesse. Status post bypass coronarien en 2013. Lésion subtotale transfixiante sus-épineux épaule droite. Instabilité du long chef du biceps. Lésion chronique du ligament collatéral médial genou droit. Lésion superficielle de l'hallux droit chez un Mr. Y diabétique le 15.01.2019 • absence de surinfection. Lésion suspecte pulmonaire droite au cliché thoracique d'entrée. Lésion tissulaire suspecte de 17 x 18 mm cortico-médullaire du rein gauche de découverte fortuite le 07.02.2019 avec : • thermoablation et biopsie de la lésion le 07.02.2019. Lésion transfixiante avec rétraction du 2ème degré du sus-épineux épaule gauche avec atteinte des parties hautes du sous-scapulaire, arthrose AC asymptomatique avec déconditionnement post-traumatique assez marqué. Lésion transfixiante de petite taille des parties antérieures du tendon du sus-épineux épaule droite traumatique. Lésion transfixiante de petite taille du tendon du sus-épineux épaule droite oligo-symptomatique. Lésion transfixiante du sus-épineux et de la partie haute du sous-épineux, épaule gauche, avec instabilité du long chef du biceps et arthrose AC gauche symptomatique. Lésion transverse profonde face palmaire de la première phalange de l'index gauche. Lésion transverse profonde face palmaire P1D2 gauche. Lésion transverse superficielle face palmaire P1D3 et P1D4 gauche le 04.02.2019. Lésion transverse superficielle de la face palmaire de la première phalange du 3ème doigt et 1ère phalange du 4ème doigt gauches. Lésion traumatique complète du EPL G en zone 3 le 30.11.2018 avec : Status post exploration, débridement, suture du EPL et rinçage (OP le 01.12.2018). Lésion tumorale solide suspecte polaire inférieure du rein gauche avec envahissement pyélique sous forme d'un épaississement tissulaire et N1 suspect en latéro-aortique gauche. Lésion ulcérée du vertex sans étiologie retrouvée : • DD : dermatophytose, teigne, pityriasis versicolor. Lésion vasculaire cérébelleuse inférieure gauche de découverte radiologique expliquant le syndrome cérébelleux statique. Lésions bitronculaires avec : • Bon résultat à long terme après stenting de l IVA moyenne à distale • Sténose intermédiaire de l'IVA moyenne • Sténose 50-70% de la première diagonale • Bon résultat à long terme après stenting de l ACD moyenne • LVEDP 36 mmHg. Lésions cutanées érythémateuses et desquamantes possiblement sur psoriasis • Diprosalic dès le 26.01.2018 sur avis dermatologique. Dermatite séborrhéique • Keto-Med dès le 26.01.2018 sur avis dermatologique. • Clinique à l'entrée en neuro-réhabilitation : hémisyndrome facial partiel et brachio-crural complet gauche, héminégligence gauche, dysarthrie et dysphagie légère, troubles attentionnels exécutifs et mnésiques Neuro-réhabilitation intensive. Dyspnée chronique dans un contexte d'obésité, de SAOS non appareillé (mal toléré) et de tabagisme actif avec : • composante spastique, atélectasie et épanchement pleural gauche de petite quantité • insuffisance respiratoire hypoxémique • fonctions pulmonaires dans la norme le 13.07.2016 • suivi pneumologique par Dr. X • CPAP diurne 08.01. au 25.01.18, CPAP nocturne mal tolérée le 16.01.2018. Troubles de l'adaptation réactionnels (d'origine mixte) anxio-dépressive avec labilité émotionnelle, exacerbés par l'AVC. Incontinence urinaire d'origine mixte (centrale, infectieuse), régressive. Lésions dégénératives du ménisque interne et de moindre importance du ménisque externe, associées à une distorsion stade I du ligament collatéral interne du genou gauche. Lésions eczématiformes généralisées DD paranéoplasique. Lésions nodulaires basithoraciques millimétriques bilatérales. Lésions pulmonaire hilaire gauche et occipitale gauche, d'origine néoplasique découverte le 21.01.2019 avec : Lésions tritronculaires symptomatiques avec : • sténose significative du tronc commun. • lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale. • lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. L'état clinique actuel de Mme. Y n'est pas inquiétant. L'hématome de la face antérieure de son bras ne m'inquiète pas. Il n'y a pas de signe infectieux. Comme déjà mentionné lors du dernier contrôle, comme diagnostic différentiel, on peut retenir un problème dans le contexte d'une éventuelle rupture de la ténodèse du LCB ou une irritation du matériel d'ostéosynthèse qui éventuellement a amené à une lésion vasculaire. Mme. Y ne souhaite pas d'investigation ultérieure. Je lui ai donc proposé de la revoir pour un contrôle radio-clinique d'ici 6 mois pour voir l'évolution de son ostéosynthèse de la tête de l'humérus à droite. La patiente est d'accord. Prochain contrôle prévu pour le 2.7.2019. L'état clinique du Mr. Y ne justifie pas d'autre investigation. Nous effectuons un certificat de constat de coup avec photos et renvoyons le patient à domicile avec AINS, paracétamol, Tramal en réserve et un arrêt maladie. L'état clinique est compatible avec une réaction d'hypersensibilité aux poils de chat. L'évolution est favorable après traitement antihistaminique et corticoïde, avec surveillance aux urgences. Un suivi clinique est proposé chez le médecin traitant. Un traitement par Cétirizine et Prednisone est prescrit durant 3 jours. Une éviction de l'allergène ou une désensibilisation sont indiquées. Suivi dans les 7 jours chez le médecin traitant.L'étiologie des douleurs abdominales reste inconnue. Nous débutons une recherche pour des parasites et des sucres réducteurs et le sang occulte vu les selles foncées. Nous débutons un traitement tentatif avec Ulcar et des antalgiques et des massages de pieds avec huile de lavande le soir pour détendre et tirer l'attention vers d'autres endroits du corps. Nous proposons un contrôle chez la pédiatre la semaine prochaine pour discuter des résultats des analyses de selles et suite de la prise en charge. Lettre définitive de sortie avec le compte-rendu de l'IRM Leucémie à tricholeucocytes le 15.02.2019 • avec pancytopénie : leucopénie à 1.6 G/l, anémie normocytaire normochrome à 73 g/l, thrombopénie à 33 G/l • évoluant depuis 09.2018 • symptomatologie : douleurs thoraciques et dyspnée Leucémie actuellement résolue (suivie par Dr. X à Besançon) Status post-fracture du col de fémur Garden IV avec prothèse céphalique de la hanche droite le 28.03.2014 Status post-opération de la vessie Status post-fracture de côtes en 2009 Status post-opération de cataracte OD Pancréatite récidivante d'origine probablement biliaire le 22.11.2014 : • score de RANSON à 3 (entrée) • status post-pancréatite aiguë d'origine indéterminée le 28.07.2014 • status post-cholécystectomie en 1994 Bactériémie à enterococcus faecalis le 25.11.2014 Malnutrition protéino-énergétique Leucémie chronique, suivie par Dr. X (pas d'indication à un traitement actuellement, selon le patient). Hypertension artérielle traitée. Leucémie lymphatique chronique, Binet stade A, RAI stade 1 • date du diagnostic : 21.05.2015 • cytométrie de flux : cellules lymphocytaires B, CD5, CD20, CD23 positifs, CD43 et CD38 (6.2%) négatifs (score 4/4) (Hôpital de l'Ile, 0593/15) • CT-thoraco-abdominal : adénopathies au niveau cervical basal gauche et axillaire des deux côtés (2 cm) • status post-dacryocystorhinostomie gauche le 06.03.2015 (histologie : infiltrat lymphoïde atypique à cellules B) • facteurs de risque : point • anamnèse familiale : pas de prédisposition génétique • actuellement 2017 : discrète progression de la leucémie lymphatique chronique (adénopathie thoracique), conjonctivite/blépharite des deux côtés Leucémie lymphoblastique aiguë en rémission depuis 2015 Leucémie lymphoïde chronique stade 0 (RAI) diagnostiquée en 2002 ; status post traitement par Leukeran et Prednison Leucémie myéloïde aiguë • date du diagnostic : 17.09.2018 • Bi-/Pancytopénie le 12.09.2018 • PBM le 17.09.2018 (Dr. X) • 37.5 % blastes CD 45 (+) / SSC low à la cytométrie de flux, sous-type M2 • Phénotype : CD 34+, CD 117+, CD 13+, CD 33+, HLA-DR+, MPO+, CD 105+ • Typisation génétique : (en cours) • Electrophorèse de protéines : albumine 46%, alpha-1-globulines 7%, alpha-2-globuline 20%, beta1+2 globulines 17%, gamma-globuline 10%, beta2 microglobulines 1.7 mg/l • Chimiothérapie par Vidaza 150 mg sc 1x/j dès le 19.09.2018 ; deuxième cycle dès le 22.10.2018 ; troisième cycle prévu le 19.11.2018, repoussé au 14.11.2018 pour état fébrile ; quatrième cycle dès le 07.01.2019 • Sortie d'agranulocytose le 31.01.2019 Suivi par Dr. X Leucémie myéloïde aiguë • date du diagnostic : 09.2018 • Bi-/Pancytopénie le 12.09.2018 • PBM le 17.09.2018 (Dr. X) • 37.5 % blastes CD 45 (+) / SSC low à la cytométrie de flux, sous-type M2 • Phénotype : CD 34+, CD 117+, CD 13+, CD 33+, HLA-DR+, MPO+, CD 105+ • typisation génétique : (en cours) • Electrophorèse de protéines : albumine 46%, alpha-1-globulines 7%, alpha-2-globuline 20%, beta1+2 globulines 17%, gamma-globuline 10%, beta2 microglobulines 1.7 mg/l • Chimiothérapie Vidaza 150 mg sc 1x/j du 19.09 au 24.09.2018 ; deuxième cycle dès le 22.10.2018 ; troisième cycle prévu le 19.11-23.11.2018, repoussée pour état fébrile dès le 14.11.2018 ; quatrième cycle le 07.01.2019. • Neupogen 30 mioU 1x le 11.01.2019 et 1x le 14.01.2019 • Sortie d'agranulocytose le 31.01.2019 Suivi par Dr. X Leucémie myéloïde aiguë (AML) diagnostiquée en 09/2018 avec : • Bi-/Pancytopénie le 12.09.2018 • PBM le 17.09.2018 (Dr. X) • 37.5 % blastes CD 45 (+) / SSC low à la cytométrie de flux, sous-type M2 • Phénotype : CD 34+, CD 117+, CD 13+, CD 33+, HLA-DR+, MPO+, CD 105+ • typisation génétique : (en cours) • Electrophorèse de protéines : albumine 46%, alpha-1-globulines 7%, alpha-2-globuline 20%, beta1+2 globulines 17%, gamma-globuline 10%, beta2 microglobulines 1.7 mg/l • Chimiothérapie Vidaza 150 mg sc 1x/j du 19.09 au 24.09.2018 ; deuxième cycle dès le 22.10.2018 ; troisième cycle prévu le 19.11-23.11.2018, repoussée pour état fébrile dès le 14.11.2018 • Neupogen 30 mioU 1x le 11.01.2019 et 1x le 14.01.2019 Suivi par Dr. X Cardiopathie mixte ischémique et valvulaire avec status post-infarctus inférieur en 2007 stenté • ETT 17.09.18 (Dr. X) : FEVG 54%. Insuffisance mitrale modérée à sévère (grade 2-3/3) secondaire, insuffisance aortique minime (grade 1/3), dysfonction diastolique modérée (grade II). HTA traitée Tabagisme actif (20 UPA) Traitement complexe en médecine palliative dès le 25.09.2018 • Facteur de performance : ECOG 3 PPS : 50% • MIF (motrice) : 75 • Malnutrition protéino-énergétique grave (NRS 5/7) • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : Mobilité, Fatigue • Orientation planifiée (Lieu) : Retour à domicile avec aide ; Alternative : Hôpital aigu Trouble anxieux et de l'adaptation Leucémie myéloïde aiguë • date du diagnostic : 22.02.2019 • avec thrombopénie à 23 G/l et anémie arégénérative à 95 g/l le 21.02.2019 Leucémie myéloïde aiguë diagnostiquée en 09.2018 • avec agranulocytose jusqu'au 31.01.2019 Leucémie myéloïde chronique BCR-ABL 1 positive, en phase chronique, avec score de Sokal à 0,81 (risque intermédiaire) et score Hasford à 737 points (bas risque), diagnostiquée le 02.02.2016 avec : • hémogramme du 02.02.2016 : Hb 115 g/l, Gb 76,8 G/l (PMN 70%, Eo 1%, Baso 0%, Mono 2%, Lympho 4%, pro myélo 0,5%, myélo 13,5%, métamyélo 8,5%, blastes 0,5%), Tc 505 G/l• biologie moléculaire du sang périphérique du 03.02.2016 : présence du transcrit de fusion MBCR-ABL (protéine p 210) • ponction biopsie de moelle du 03.02.2016 : moelle hypercellulaire, avec hyperplasie de la lignée myéloïde et quelques légers signes de dysplasie surtout dans la ligne mégacaryocytaire, sans excès de blastes, compatible avec une LMC en phase chronique au médullogramme ; tissu hématopoïétique hypercellulaire (environ 95% de la cellularité), sans excès de blastes C 34+, avec une absence de fibrose réticulinique à la biopsie ostéomédullaire • cytogénétique médullaire du 03.02.2016 : caryotype 46,XX,t(9;22)(q 34;q 11.2)[20] • US abdominal du 02.02.2016 : rate homogène mesurant 10 x 7 mm de grand diamètre • traitement : cyto réduction par Litalir 2x 1 g par jour du 02.02.2016 au 03.02.2016, puis par Glivec 400 mg par jour du 04.02.2016 au 03.06.2016, puis par Glivec 200 mg par jour dès le 04.06.2016 (en raison d'une intolérance sous 400 mg par jour sous forme d'une importante rétention hydrique avec crampes très fréquentes) • bilan à six mois post-traitement de Glivec : rémission complète hématologique et cytogénétique, avec diminution du transcrit de fusion BCR-ABL à 0,14 % dans le sang périphérique (réponse optimale selon les critères ELN 2013) sous un traitement de Glivec 200 mg/jour augmenté à 300 mg/jour dès le 12.08.2016 • remplacement du traitement de Glivec 300 mg/jour le 29.10.2016 par du Sprycel 100 mg/jour (en raison d'une intolérance au Glivec 300 mg/jour sous forme d'une récidive de rétention hydrique malgré des diurétiques, crampes, nausées et vertiges) • diminution du Sprycel à 50 mg/jour dès le 04.11.2016 (intolérance au Sprycel 100 mg/jour sous forme d'un important œdème péri-orbitaire avec rougeurs et démangeaisons du visage), avec diminution du Sprycel à 25 mg/jour dès le 21.07.2017 en raison de la persistance d'effets secondaires • situation actuelle (04.09.2017) : rémission moléculaire majeure (BCR-ABL < 0,01% sur l'échelle internationale) • Leucémie prolymphocytaire T chronique en phase d'acutisation, avec anémie macrocytaire normochrome. • Consommation d'alcool à risque avec hépatopathie. • BPCO stade 2 sur ancien tabagisme à 30 UPA, sous Spiriva. • Coxarthrose droite avec douleurs chroniques et boiterie. • Leucémie prolymphocytaire T diagnostiquée le 02.04.2014 (Dr. X) : • lymphocytose périphérique et médullaire asymptomatique. • suivi par Dr. X. • Incontinence fécale sur hypotonie du sphincter anal post-opératoire : • pas d'amélioration avec gymnastique pelvienne et Imodium. • implantation d'un neuro-modulateur anal par Dr. X, retiré le 22.06.2012 (Dr. X). • Infections urinaires basses à répétition. • Leucocytes 0.1 G/l avec neutrophiles 0.05 G/l • Avis Dr. X (infectiologie) • Avis Dr. X (oncologie) • Suivi biologique avec résolution spontanée • Leucocyturie asymptomatique. • Leucocyturie asymptomatique. • Leucocyturie asymptomatique • sur rétention urinaire • Leucocyturie asymptomatique le 11.02.19 • Leucocyturie asymptomatique au labo le 23.02.2019 • Leucocyturie asymptomatique dans un contexte d'infections urinaires à répétition • Leucocyturie asymptomatique le 04.02.2019 • Leucocyturie asymptomatique 12.01.19 • Leucocyturie asymptomatique 28.01.19 • Leucocyturie et bactériurie Urotube : E.Coli sensible à la Nitrofurantoïne Nitrofurantoïne pour une durée de 5 jours • Leucocyturie et hématurie asymptomatique le 09.09.2018. Orteil en marteau 04 pied droit. Correction orteil 4 en marteau avec • ténotomie long fléchisseur • arthrodèse temporaire IPD, IPP (OP le 25.11.2016). • Leucocyturie légère le 11.02.2019 • avec sonde vésicale en place • Leucopénie • Leucopénie. • Leucopénie à 2.4 G/l avec lymphopénie à 0.47 G/l et neutropénie légère à 1.44 G/l le 11.01.2019 DD : réactionnelle, médicamenteux • Leucopénie et lymphopénie d'origine indéterminée le 15.02.2019 : • DD dans contexte infectieux • Leucopénie ethnique suivi HFR • Leucopénie le 30.01.2019 probablement sous Co-Amoxicilline, spontanément résolutive • Leucopénie, neutropénie, thrombopénie et macrocytose le 15.2.19. DD : toxique, SMD • Leucopénie 2.1 g/l • Neutropénie 1.16 g/l • Thrombopénie à 109 G/l • Macrocytose à 104.3 fl • Electrophorèse des protéines le 15.2.19 • Levetiracetam dès le 11.01.2019 Lacosamide du 13.01 au 04.02.2019 Électroencéphalogramme les 11.01 et 14.01.2019 (CHUV) puis les 05.02 et 11.02.2019 (HFR Fribourg) Angio-IRM du 14.01.2019 (CHUV) : absence de lésion d'AVC ou séquelle ni de lésion vasculaire Attitude : Bilan neuro-psychologique à organiser Contrôle neurologique à 3 mois pour EEG. Poursuite Levetiracetam jusque-là. Pas de conduite automobile d'ici là. • Levetiracetam dès le 11.02.2019 Clonazépam iv continu du 11.02 au 12.02.2019 Electroencéphalogramme le 12.02.2019 : pas d'activité épileptogène • Levetiracetam dès le 13.01.2019 Lacosamide du 13.01 au 04.02.2019 Électroencéphalogramme le 11.01.2019, le 14.01.2019 (CHUV), le 05.02.2019 et le 11.02.2019 Angio-IRM du 14.01.2019 (CHUV) : absence de lésion d'AVC ou séquelle ni de lésion vasculaire Bilan neuro-psychologique à organiser Contrôle neurologique à 3 mois pour EEG. Poursuite Levetiracetam jusque-là. Pas de conduite automobile d'ici là. • Levetiracetam 1000 mg 3x/jour, acide valproique 600 mg 3x/jour, Lacosamide 200 mg 2x/jour, Midazolam en réserve (nasal) à continuer EEG de contrôle le 13.11.18 Taux plasmatique de l'acide valproique le 15.11.18 : 105 mg/l Avis neurologique (HFR Fribourg, médecin de garde) le 15.11.18 : changement de la thérapie anti-épileptique pas indiqué Taux plasmatique de l'acide valproique le 11.12.2018 : 94 mg/l • Levocetirizine + prednisone 4 jours Rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant Rendez-vous en allergologie à organiser Symptômes d'alarmes expliqués • L'évolution à cinq semaines post arthroscopie du genou D est marquée par la présence d'un épanchement articulaire qui empêche la patiente à fléchir complètement son genou. Je propose donc de continuer la physiothérapie à but antalgique et pour regagner la mobilité. Je la reverrai dans six semaines pour une réévaluation clinique. Si à ce moment-là le genou reste tuméfié, on devra éventuellement envisager une ponction articulaire du genou +/- une infiltration par cortisone pour diminuer l'état inflammatoire. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. La patiente a repris son travail à 100% depuis le 23.01.2019. • L'évolution à une semaine est tout à fait favorable avec une plaie calme. Nous lui expliquons qu'il peut procéder à l'ablation des stéristrips dans une semaine. Nous le reverrons à 6 semaines post-opératoires comme initialement prévu. • L'évolution à 1 année est tout à fait favorable avec un patient qui peut se mobiliser librement avec aide du tintébin selon besoin. Nous proposons de le revoir pour un prochain contrôle radio-clinique dans 2 ans. • L'évolution à 1 année est tout à fait favorable avec une patiente qui est pratiquement asymptomatique. Actuellement, elle peut poursuivre toutes ses activités de manière normale. Nous proposons de la revoir pour un prochain contrôle des deux hanches dans 4 ans. • L'évolution à 10 ans est tout à fait favorable avec une patiente qui est asymptomatique. Nous proposons de faire un prochain contrôle dans 5 ans. • L'évolution à 2 mois est favorable. Nous proposons de continuer la physiothérapie pour améliorer le renforcement musculaire et la marche. Nous proposons de la revoir pour un prochain contrôle clinique dans 2 mois. • L'évolution à 3 mois est favorable. Le patient peut reprendre la mobilité normale en physiothérapie avec un renforcement musculaire et école de marche. De plus, il peut également faire de la mobilisation en piscine. Nous reverrons le patient pour un prochain contrôle clinique dans 3 mois.L'évolution à 3 mois est tout à fait favorable. Nous proposons de continuer la physiothérapie. Le patient peut se mobiliser librement. Utilisation des cannes au besoin. Nous reverrons le patient pour un prochain contrôle radio-clinique à 6 mois postopératoires. L'évolution à 3 mois est tout à fait favorable avec une consolidation osseuse acquise au niveau de la clavicule. Poursuite de la physiothérapie à but de renforcement musculaire. La patiente est autorisée à reprendre toutes ses activités selon tolérance. Nous laissons le soin au médecin traitant d'évaluer les douleurs thoraciques et de juger de la reprise du travail. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution à 3 mois post-opératoire est favorable. Reprise des activités sportives avec de la physiothérapie pour les réflexes, l'équilibre et la coordination en parallèle. Activité libre pour le skateboard d'ici 4 à 6 semaines. Prochain contrôle radioclinique à 1 année post-opératoire, en octobre 2019. L'évolution à 3 mois post-opératoire est favorable. Poursuite des exercices en physiothérapie pour regagner les amplitudes avec une charge libre selon les douleurs dès ce jour. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Poursuite de l'arrêt de travail à 100%, reprise à 50% du 01.03 au 14.04.2019 ensuite reprise à 100% dès le 15.04.2019. L'évolution à 3 mois postopératoires est favorable. Poursuite de la rééducation dans l'axe jusqu'à 6 mois postopératoires. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. L'évolution à 3 mois post-opératoires est favorable sans douleur. Prochain contrôle radioclinique à 6 mois post-opératoires. L'évolution à 5 mois est tout à fait favorable avec une patiente qui a bénéficié d'une bonne rééducation. Elle ne présente pas de signe de lâchage. Nous expliquons à la patiente qu'elle doit continuer régulièrement les activités sportives afin de garder une bonne musculature qui est à l'origine de la stabilité de ses genoux. Au vu de la bonne évolution, nous ne prévoyons pas de la revoir à la consultation, mais nous restons à disposition en cas d'apparition de signes d'instabilité. L'évolution à 5 mois est tout à fait favorable. Nous proposons maintenant de poursuivre la rééducation avec des exercices de renforcement musculaire et de proprioception. Nous proposons de revoir la patiente pour un prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. L'évolution à 6 mois postopératoires est défavorable. Le plateau latéral n'a pas été réduit complètement et il est fixé avec une plaque et des vis dans une mauvaise position. Le CT-scan a mis en évidence une fracture pas encore complètement guérie sûrement à cause de la mauvaise position des fragments ou à cause d'une infection. Nous expliquons au patient les 2 options de prise en charge, soit nous ne faisons rien et dans 2 ans, le patient aura besoin d'une prothèse totale de son genou soit nous procédons à l'ablation du matériel d'ostéosynthèse et à une nouvelle réduction de la fracture du plateau tibial latéral avec une greffe osseuse de la crête iliaque ipsi-latérale (en 2 étapes : 1. ablation du matériel et biopsie et 2. reconstruction du plateau tibial latéral et ré-ostéosynthèse). Nous expliquons au patient qu'en cas de nouvelle prise en charge chirurgicale, il sera en incapacité de travailler de 6 mois à 1 année. La 2ème prise en charge permet de repousser la mise en place d'une prothèse totale de 10 à 20 ans voire plus. Le patient doit réfléchir quant à la prise en charge qu'il souhaite et reprendra contact avec notre service. L'évolution à 6 mois reste favorable. Concernant la reprise du ski, nous émettons un avis mitigé. Nous proposons qu'il puisse effectuer des demi-journées sur des pistes simples, sans prise de risque. La reprise du hockey ne peut encore se faire mais les entraînements sur la glace peuvent être effectués. Pas de reprise au niveau du sport à l'école pour le moment. Nous reverrons le patient pour un prochain contrôle clinique dans 2 mois afin de voir la reprise partielle du sport et discuter pour la suite. L'évolution à 6 semaines est favorable avec un patient qui est asymptomatique. Nous proposons de continuer la physiothérapie pour renforcer le musculaire et pour préparer la reprise du sport. Nous ne prévoyons pas de le revoir à la consultation mais restons à disposition. L'évolution à 6 semaines est tout à fait favorable chez ce patient. Nous proposons de lâcher progressivement les cannes et de faire de la rééducation à la marche en physiothérapie, ainsi que du renforcement musculaire. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique dans 2 mois et demi. L'évolution à 6 semaines est tout à fait favorable. Nous proposons de poursuivre la rééducation en physiothérapie avec école de marche, renforcement musculaire. Nous la reverrons pour un prochain contrôle clinique dans 6 semaines, soit le 16.04.2019. L'évolution à 6 semaines postopératoires est favorable. Poursuite de la physiothérapie afin d'améliorer la rééducation du genou. Nous expliquons au patient que les douleurs sont probablement dues à la gonarthrose et que le maintien du genou est la clé afin d'éviter une péjoration de la symptomatologie. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution à 6 semaines reste favorable avec une patiente qui décrit une nette diminution de la gêne. Concernant l'apparition des douleurs au niveau du pli inguinal, nous proposons de faire de la physiothérapie. Pour le moment, pas d'indication chirurgicale. Nous mettons donc en place un renforcement musculaire en physiothérapie avec également de la physiothérapie en piscine. Nous reverrons la patiente pour un prochain contrôle radio-clinique dans 2 mois et demi, soit le 14.05.2019. L'évolution à 6 semaines reste favorable avec une patiente peu symptomatique. Nous proposons de poursuivre la physiothérapie pour améliorer la mobilité de l'épaule. Nous reverrons la patiente pour un prochain contrôle radio-clinique dans 2 mois, soit le 30.04.2019. L'évolution avec la physiothérapie et le traitement conservateur est favorable avec un patient qui est actuellement peu symptomatique. Cette tendinite du long chef du biceps est bien liée à l'évènement du 08.06.2016 avec une IRM qui montrait clairement la prise de contraste au niveau du sus-épineux suite à ce choc direct, ce qui est souvent accompagné par une lésion de la poulie qui elle, n'est pas visible avec une IRM. Nous interprétons cette tendinite du long chef du biceps comme conséquence à la lésion de la poulie. Poursuite de la physiothérapie et prochain contrôle dans 3 mois. L'évolution clinique à 1 mois de la fracture est favorable avec un enfant qui bouge spontanément le poignet, sans douleur. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique à 1 semaine est favorable avec une nette diminution des douleurs. Nous prescrivons à la patiente des séances de physiothérapie afin d'améliorer la force musculaire et la mobilité. Nous lui prescrivons également une attelle velcro à porter pour 1 semaine. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique à 1 semaine est favorable. Poursuite du traitement conservateur avec la semelle rigide. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. L'évolution clinique à 2 mois du traumatisme est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique à 3 mois postopératoires est favorable. Poursuite de la physiothérapie axée sur la proprioception, gainage et renforcement musculaire dans l'axe. Les sports de pivot ne peuvent pas encore être repris. Reprise du travail à 100% dès le 11.02.2019.Prochain contrôle en mai 2019. L'évolution clinique à 4 mois post-opératoires est bonne. Mme. Y continue la physiothérapie. Je la reverrai pour un contrôle radio-clinique à 6 mois post-opératoires le 3.4.2019 en vue d'une éventuelle ablation précoce du matériel d'ostéosynthèse. Mme. Y a déjà repris le travail à 100% dès le 20.12.2018. L'évolution clinique à 5 mois de l'intervention susmentionnée est favorable. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an postopératoire. L'évolution clinique à 6 mois postopératoires est favorable. Mr. Y est autorisé à reprendre toutes les activités sportives y compris la grimpe, sans limitation. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique à 6 semaines de la lésion est favorable. Mr. Y ne souhaite pas de séances d'ergothérapie et après discussion, nous mettons fin au suivi ce jour. Nous lui expliquons que les douleurs peuvent persister encore quelque temps. En cas d'évolution défavorable, nous prions Mr. Y de reprendre contact avec notre service. L'évolution clinique à 6 semaines est favorable avec un patient qui a retrouvé une bonne mobilité de son épaule. Poursuite de la physiothérapie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'office, mais restons à disposition si Mr. Y présente une nouvelle symptomatologie douloureuse de l'épaule, nous organiserons alors une IRM afin de mieux bilanter l'articulation gléno-humérale. L'évolution clinique de ce patient est favorable. Il a retrouvé une mobilité complète et une bonne force. Nous proposons à Mr. Y d'arrêter l'ergothérapie et de reprendre toutes ses activités sans restriction. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique de cette fracture est tout à fait satisfaisante. Mr. Y peut dès lors se mobiliser librement. La reprise du sport sera possible dans une semaine. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique de cette fracture est tout à fait satisfaisante, permettant maintenant à Mme. Y de se mobiliser librement. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique de la hanche G est favorable avec un angle d'Alpha à 60°, mais la forme osseuse est toujours trop arrondie. Poursuite du port de l'attelle Lörrach pour les 5 prochaines semaines. Prochain contrôle clinique avec ultrason dans 5 semaines. En cas de bonne évolution, l'attelle sera portée uniquement la nuit. L'évolution clinique du patient est bonne. Le dosage des tests hépatiques est aligné par rapport à la consultation d'il y a 2 jours. La perturbation étant minime chez un patient asymptomatique, nous proposons un contrôle à distance chez le médecin traitant. L'évolution clinique est favorable à 1 semaine du traumatisme. Poursuite du port de l'attelle en cas de symptomatologie douloureuse, sinon mobilisation libre. Reprise du sport dans 1 semaine avec port de l'attelle pour les 2 premières semaines. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est favorable à 3 semaines postopératoires. Poursuite du protocole établi. Prochain contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires. L'évolution clinique est favorable à 4 mois du traumatisme. Prochain contrôle radio-clinique à 1 année du traumatisme. L'évolution clinique est favorable à 6 semaines du traumatisme avec le traitement conservateur. Poursuite du traitement conservateur avec physiothérapie axée sur le renforcement musculaire, proprioception, gainage et étirement des chaînes postérieures. Prochain contrôle clinique dans 4 mois. L'évolution clinique est favorable à 6 semaines postopératoires. Mr. Y poursuivra la rééducation en physiothérapie. Il reçoit également une ordonnance pour un traitement de Chondrosulf au vu de la lésion chondrale descellée lors de l'arthroscopie diagnostic. Prochain contrôle clinique à 3 mois postopératoires. L'évolution clinique est favorable. Après avis du Dr. X, nous rinçons à nouveau la plaie avec de l'eau oxygénée à l'aide d'une aiguille boutonnée. Le frottis bactériologique est en cours. L'antibiothérapie par Augmentin est à poursuivre. Un contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires est prévu le 04.02.2019 pour suivi clinique par le Dr. X. L'évolution clinique est favorable avec un patient asymptomatique et qui a récupéré une mobilité complète de son 4ème rayon. Reprise des activités sportives selon tolérance. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est favorable avec une patiente complètement asymptomatique. Arrêt de la physiothérapie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est favorable avec une patiente qui présente une amélioration de sa symptomatologie. Prochain contrôle en juin 2019. L'évolution clinique est favorable avec une patiente qui se mobilise librement. Mise en place d'une attelle aircast à utiliser les 2 premières semaines et lors de la reprise du sport. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est favorable depuis le dernier contrôle avec une nette diminution des douleurs et une reprise de ses activités de la vie quotidienne sans limitation. Nous proposons donc à Mme. Y de surseoir à toute nouvelle prise en charge chirurgicale pour le moment. Prochain contrôle clinique après l'été 2019. L'évolution clinique est favorable grâce à la physiothérapie. Poursuite de la physiothérapie à visée de travail articulaire. Prochain contrôle clinique dans 4 à 6 semaines. L'évolution clinique est favorable grâce à la physiothérapie. Poursuite de la physiothérapie avec traitement spécifique sur le tractus ilio-tibial avec application topique de flector patch. Reprise de toutes les activités sportives selon tolérance. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est favorable. Mme. Y a adapté ses activités de la vie quotidienne et sportive et ne présente pas d'instabilité. Elle ne souhaite d'ailleurs pas de prise en charge chirurgicale. Nous lui proposons donc de poursuivre le renforcement musculaire sous forme de fitness médicalisé. Nous convenons ensemble de ne pas prévoir de prochain contrôle d'office et Mme. Y reprendra contact au besoin. L'évolution clinique est favorable. Nous lui proposons donc de poursuivre la physiothérapie axée sur l'étirement des chaînes postérieures, renforcement musculaire, proprioception et gainage. Prochain contrôle clinique dans 6 mois. L'évolution clinique est favorable. Nous prescrivons à Mr. Y des séances de physiothérapie pour renforcement musculaire et mobilisation. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% pour les 2 prochaines semaines. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est favorable. Poursuite de l'ergothérapie. Reprise de l'activité professionnelle à 50% dès le 16.02.2019 jusqu'au 24.03.2019. Prochain contrôle clinique, probablement final, le 19.03.2019. L'évolution clinique est favorable. Poursuite du port de l'attelle aircast pour 1 semaine supplémentaire puis uniquement lors des activités sportives.Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. • L'évolution clinique est favorable. Poursuite du traitement conservateur avec l'attelle. Nous l'autorisons à se rendre au camp de ski, mais avec port de l'attelle et activité selon tolérance. Ablation de l'attelle et reprise d'une mobilité libre, sans charge après le camp de ski. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. • L'évolution clinique est favorable. Poursuite du traitement conservateur par attelle pouce de skieur, qui sera à porter uniquement la nuit. Reprise de la mobilité libre de la main, sans charge. Nous prescrivons au patient des séances d'ergothérapie. Prochain contrôle clinique dans 4 à 6 semaines. • L'évolution clinique est plutôt favorable, mais vue la nécessité de voir un meilleur cal osseux, nous proposons de continuer avec la botte de marche pour encore 2 semaines avec une charge maximale que nous pouvons augmenter jusqu'à 30 kg pour les 2 prochaines semaines. Nous la reverrons le 27.02.2019 pour un contrôle radioclinique hors plâtre. • L'évolution clinique est tout à fait satisfaisante avec actuellement une patiente qui ne présente plus de symptomatologie douloureuse. Dans ce contexte, nous pouvons considérer cette tendinopathie comme étant guérie. Pas de nécessité de poursuivre le suivi mais nous restons à disposition. • L'évolution clinique et radiologique est favorable. Nous proposons la poursuite de l'immobilisation par une attelle Velcro pour encore 2 semaines. Le sport scolaire et extra-scolaire est contre-indiqué pour une durée encore de 4 semaines. Nous reverrons la patiente dans 6 semaines pour contrôle clinique uniquement. • L'évolution clinique reste stable et favorable. Néanmoins, l'immobilisation est trop excessive. Nous lui prescrivons donc une minerve renforcée à réaliser chez Orthoconcept. Prochain contrôle radio-clinique dans 4 semaines. À noter que la minerve devra être portée pour un total de 2 mois au minimum avec toilette journalière et surveillance de l'état cutané. Du point de vue du rachis, un retour à domicile serait contre-indiqué étant donné la surveillance et les soins nécessaires au port de la minerve et au vu de la fracture. • L'évolution comparée avec la dernière consultation est très favorable. Le patient a beaucoup gagné sur le plan de la mobilité, il est moins algique. Poursuite de la physiothérapie et des exercices à la maison et poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 03.03.2019. Prochain contrôle dans 2 mois (radioclinique). • L'évolution cutanée est favorable. Il présente aussi une nette amélioration de la mobilité. Il persiste encore une perte de flexion avec des douleurs sur la face dorsale. Il va continuer la physiothérapie, l'ergothérapie ainsi que des exercices par lui-même. Prolongation de l'arrêt de travail à 50% jusqu'à fin mars. On le reverra pour un contrôle clinique dans 1 mois. • L'évolution est bonne. Le patient continuera son traitement physiothérapeutique pour sa nuque. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. • L'évolution est cliniquement stable. Ainsi, nous validons la date opératoire du 26.02.2019. Le patient sera revu dans 1 semaine pour refaire un bilan clinique afin de s'assurer qu'il n'y a pas eu de progression de la nécrose. Afin qu'on planifie l'opération il faut organiser 2 choses : • Premièrement, le patient devra poursuivre ses séances de dialyse au sein du HFR, à savoir la première séance le 27.02.2019 et la seconde le 29.02.2019 puis à raison de 3x par semaine les lundis, mercredis et vendredis. Nous remercions le secrétariat de dialyse d'organiser déjà le suivi de ces dialyses et, au besoin, prendre contact avec le centre de dialyse de Payerne où le patient est suivi habituellement. • Deuxièmement, le patient qui prend du Sintrom, devra arrêter cette médication 3 jours avant le geste opératoire. Nous prions donc le médecin traitant d'effectuer un relais en vue de cette intervention chirurgicale. • L'évolution est complexe et l'on a du mal à faire la part des choses entre la contribution cervicale et périphérique. Avec une certaine certitude, l'on peut dire que le problème cervical ne semble pas avoir de répercussion périphérique majeure. La patiente présente à l'examen neurologique un syndrome du tunnel carpien. Cliniquement, je retrouve une compression de la branche superficielle du nerf radial. Il ne me semble pas opportun de se précipiter et d'intervenir sur ce syndrome du tunnel carpien actuellement. Je propose une ablation de l'attelle nocturne et traitement anti-inflammatoire. La patiente va surveiller la situation. Je revois la patiente le 22.02.2019 afin de réévaluer l'évolution. Je m'attends toutefois à une amélioration de l'hypoesthésie dans le territoire du nerf radial, et à discuter par la suite de la nécessité d'une cure de STC. • L'évolution est défavorable avec un morbus Sudeck qui s'est développé. Nous lui avons prescrit du Redoxon 500 mg 1 fois par jour pour 6 semaines ainsi que du Miacalcic 200 U nasales tous les 2 jours pour 2 mois. Nous lui montrons des exercices en passif à faire pour bouger la main. Nous lui conseillons également de faire des bains d'eau tiède. Poursuite de la physiothérapie et ergothérapie. Elle peut enlever l'attelle Velcro. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. • L'évolution est donc favorable. La continuité du muscle est le témoin de la tenue de la réinsertion. Les nodules palpés correspondent à des lésions de déchirure musculaire intrinsèque qu'il s'agit de traiter par physiothérapie de relâchement et lutte contre les crampes. • L'évolution est excellente sans douleur. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. • L'évolution est favorable à 1 année. Un patient qui est totalement asymptomatique. Nous le reverrons pour le prochain contrôle à 5 ans de l'intervention. • L'évolution est favorable à 1 semaine avec une absence de déplacement secondaire de la fracture. Poursuite du traitement conservateur avec attelle Edimbourg pour une durée totale de 6 semaines. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 25.03.2019. Prochain contrôle radio-clinique hors attelle dans 5 semaines. • L'évolution est favorable à 1 semaine de la fracture. Prochain contrôle clinique hors plâtre dans 3 semaines. • L'évolution est favorable à 24h post-opératoire. La patiente a déjà reçu les consignes pour la suite et pour la physiothérapie. Elle sera revue à la consultation. • L'évolution est favorable à 3 mois postopératoires. Le patient poursuivra la physiothérapie axée sur la proprioception, le gainage et renforcement musculaire. Nous expliquons au patient qu'actuellement, il n'est pas autorisé à reprendre les sports de pivot. Il peut par contre faire des sports dans l'axe. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. • L'évolution est favorable à 5 mois postopératoires. L'arrêt de travail est prolongé à 100% jusqu'à la fin du mois avec reprise à 100% dès le 02.03.2019. Prochain contrôle clinique à 1 année postopératoire. • L'évolution est favorable à 6 semaines de la fracture. Nous prescrivons à la patiente des séances de physiothérapie à but de mobilisation et de renforcement musculaire. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% pour 1 semaine avec reprise à 50% pour 1 semaine puis reprise à 100% par la suite. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. • L'évolution est favorable à 6 semaines de la fracture susmentionnée. Poursuite du traitement conservateur. Le patient peut se mobiliser librement en ergothérapie. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% pour les 2 prochaines semaines. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois afin de s'assurer que la guérison est totalement acquise.L'évolution est favorable à 6 semaines. Nous proposons de continuer la rééducation avec de la physiothérapie pour améliorer la marche et le renforcement musculaire et faire du vélo d'appartement. Mr. Y pourra reprendre son activité professionnelle à 50% dans 6 semaines. Nous le reverrons une semaine après la reprise du travail pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable à 6 semaines postopératoires. Mr. Y poursuivra le traitement en ergothérapie. Nous prescrivons également à Mr. Y des séances de physiothérapie pour dépression thérapie et crochage de la cicatrice. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution est favorable. Ablation du cruro-pédieux ce jour pour une botte circulaire. Nous le reverrons pour un contrôle radio-clinique dans 2 semaines soit le 05.03.2019. L'évolution est favorable. Après désinfection, application de Bétadine Tulle et couverture par un Mepore. On recommande la poursuite de la réfection du pansement 2x par semaine par les soins à domicile avec le même protocole jusqu'à guérison complète. Mr. Y va entreprendre les démarches auprès de l'AI pour bénéficier de la réparation de son appareillage. On prévoit un contrôle clinique dans 6 semaines à notre consultation. Mr. Y reste à l'arrêt de travail jusque-là. L'évolution est favorable. Arrêt de la physiothérapie et auto-exercice à domicile. Arrêt de sport prolongé pour les 3 prochains mois. Prochain contrôle dans 3 mois. L'évolution est favorable avec diminution de la symptomatologie douloureuse. À la relecture des images radiologiques, nous ne mettons pas en évidence de fracture. Ablation de l'attelle et reprise d'une mobilité normale. Arrêt de travail à 50% pour 1 semaine et reprise à 100% par la suite. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est favorable avec la physiothérapie. Nous lui prescrivons à nouveau des séances de physiothérapie et la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable avec réduction et disparition de la douleur, mais il y a une limitation fonctionnelle en raison de l'immobilisation prolongée. Pour cette raison, nous préconisons de la physiothérapie et, en accord avec Mme. Y, elle s'adressera à son médecin traitant pour un dernier contrôle clinique dans un mois. Mme. Y reçoit en outre une prolongation de son arrêt de sport pour encore 1 mois. L'évolution est favorable avec un patient asymptomatique. On lui explique qu'on s'attend encore à une progression du point de vue de la récupération de la force au cours des 3-4 prochains mois. En revanche, on ne s'attend pas à une augmentation spectaculaire des amplitudes au-dessus de l'horizontal. Mr. Y est clairement informé de ceci et peut tout à fait s'en accommoder selon lui. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable avec un patient qui rapporte une amélioration de sa symptomatologie douloureuse et un CT-scan qui reste rassurant. Nous proposons de refaire le point avec Mr. Y à 1 an de la fracture avec un contrôle radio-clinique. L'évolution est favorable avec une absence de signe infectieux. On explique à Mr. Y que les croûtes vont progressivement tomber. Mr. Y doit continuer l'ergothérapie afin de favoriser une récupération de la flexion. On lui recommande encore de faire attention avec les contraintes mécaniques au niveau du 4ème rayon. On le reverra dans 1 mois pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable, cependant la reprise du travail en tant que serveuse dans un café ne peut actuellement pas encore être envisagée au vu de la charge de travail sur le genou. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% du 01.02.2019 au 30.04.2019. L'évolution est favorable chez cette patiente, nous proposons de continuer maintenant la rééducation avec du renforcement musculaire qu'elle pourra faire elle-même dans le privé. Concernant les activités sportives, nous interdisons les activités à risque avec des chocs pour les 2 prochains mois, puis elle pourra reprendre progressivement toutes les activités sportives. Concernant le travail, nous mettons une incapacité de 20% pour les 6 prochaines semaines, puis reprise à 100%. Nous reverrons Mme. Y à 1 année post-opératoire pour un contrôle radioclinique. L'évolution est favorable. Elle peut reprendre progressivement toutes ses activités. Elle va reprendre son travail à 40% dès le 25.02.2019 jusqu'au 15.04.2019. Nous la reverrons dans 6 semaines. L'évolution est favorable. Elle peut sans autre porter ses chaussures de danse. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable en ce qui concerne la fonction musculaire et le syndrome des loges à l'effort qui a totalement disparu. Il reste à travailler encore le massage transverse profond et les sensibilités de la musculature jambière de la loge antérieure. Il sera revu fin juin en cas de besoin. L'évolution est favorable et la situation semble stabilisée malgré des douleurs résiduelles. Il reste que cette épaule est sensible à la surcharge. Aussi, je prévois un contrôle dans 6 mois que Mme. Y pourrait annuler ou repousser. L'évolution est favorable. Il est informé qu'il peut reprendre progressivement le sport. On lui recommande la prudence et un échauffement particulièrement attentif au niveau de sa cheville G avant l'effort. Pas de poursuite du traitement en physiothérapie. À nouveau, Mr. Y reçoit un enseignement pour éviter, autant que faire se peut, les contractions de freinage de trop fortes amplitudes. Prochain contrôle clinique à 1 an postopératoire. L'évolution est favorable, il n y a pas de déplacement sur le bilan radiologique. Nous proposons d'effectuer de la physiothérapie avec de la mobilisation passive et active assistée hors charge jusqu'à l'horizontale. Ablation du gilet orthopédique que nous remplaçons par une bretelle à titre antalgique. Nous la reverrons dans 2 semaines pour un contrôle radioclinique à 6 semaines de la fracture, suite à quoi elle pourra commencer de la mobilisation avec renforcement musculaire. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au 08.03.2019. L'évolution est favorable. Il peut arrêter la physiothérapie et l'ergothérapie. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines et pour discuter de la reprise du sport. L'évolution est favorable. Il peut marcher en charge complète avec ses chaussures habituelles et lâcher progressivement les cannes. Il peut stopper la Clexane. Prochain contrôle radioclinique à 3 mois post-traumatiques. L'évolution est favorable. Il reste quelques douleurs mais qui sont tout à fait normales au vu de la lésion. Nous lui prescrivons de la physiothérapie et une semelle en carbone. Arrêt de travail jusqu'au 10.03.2019 puis reprise à 50% le 11.03.2019 et à 100% le 25.03.2019. Nous la reverrons fin mars. L'évolution est favorable, il y a juste une cicatrice qui n'est pas très jolie mais qui ne justifie pas actuellement une prise en charge chirurgicale. Concernant le matériel d'ostéosynthèse, celui-ci ne semble provoquer aucune gêne mais la maman se montre assez insistante sur la nécessité de l'ablation ou pas du matériel d'ostéosynthèse. Je reverrai Mme. Y d'ici une année à 2 ans pour voir la cicatrice et la fonction de l'épaule. Actuellement, je n'ai pas d'argument pour motiver une ablation du matériel. L'évolution est favorable. L'attelle type pouce de skieur est à porter uniquement la nuit, autrement mobilisation libre, sans charge. Poursuite de l'ergothérapie. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. L'évolution est favorable. Mr. Y n'a pas encore repris les activités sportives. Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire. Mr. Y est autorisé à reprendre la course selon tolérance.Prochain contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution est favorable. Les forts symptômes sont imputables à sa propre crispation. Après un examen clinique et radiologique rassurant, nous décidons de l'envoyer en physiothérapie afin qu'il puisse bénéficier de massage relaxant et de mobilisation passive. Le gilet est remplacé par une bretelle. Nous lui montrons des mouvements pendulaires à faire 2 fois par jour. Nous le reverrons dans 1 mois pour un contrôle radioclinique. L'évolution est favorable mais les douleurs persistent localement. De plus, les nouvelles douleurs sont imputables à une tendinite. Nous lui prescrivons des anti-inflammatoires topiques à appliquer 2 fois par jour ainsi que de la physiothérapie. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Arrêt de travail prolongé jusqu'au 18.03.2019 puis reprise à 50% le 19.03.2019 et à 100% le 03.04.2019. L'évolution est favorable. Mobilisation librement. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable. Nous lui conseillons d'abandonner l'attelle et de poursuivre la physiothérapie avec du stretching articulaire afin d'améliorer le déroulé du pas. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 18.02.2019 puis reprise à 50% le 19.02.2019 et à 100% le 06.03.2019. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable. Nous lui conseillons de reprendre progressivement les activités sportives avec une attelle pour le poignet. Il peut reprendre le ski en mars. Nous le reverrons à 1 année de la fracture pour un contrôle radioclinique. L'évolution est favorable. Nous lui prescrivons de la physiothérapie avec renforcement musculaire. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Arrêt de travail à 100% pour 3 semaines. L'évolution est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Nous prescrivons au patient des séances d'ergothérapie pour mobilisation douce, hors attelle. Nous lui conseillons également de mobiliser librement son pouce dans les activités de la vie quotidienne, mais sans charge. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. L'évolution est favorable pour l'entorse du Chopart et de la cheville sans douleur. Au niveau de la MTP 1, les douleurs ont diminué grâce à l'infiltration. Toutefois, il persiste des douleurs au niveau du métatarse 1 côté médial et au niveau de la voûte plantaire. Les symptômes sont liés à une fasciite plantaire. Nous prescrivons donc de la physiothérapie avec stretching et US. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable. Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Poursuite du port du Vacoped à 15° de flexion plantaire puis passer à 0° pour 3 semaines, l'adaptation se fera en physiothérapie. Nous lui prescrivons une talonnette en silicone à mettre dans la chaussure dès que le traitement par Vacoped sera terminé. D'ici là, poursuite de la Clexane. Nous le reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Arrêt de travail prolongé jusqu'au 04.03.2019. L'évolution est favorable, reprise des activités sportives. Contrôle selon nécessité. L'évolution est favorable sans instabilité de la cheville. Poursuite de la physiothérapie. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable suite à l'infiltration. On propose à la patiente une attitude expectative avec un contrôle clinique dans 4 mois. En ce qui concerne son poignet, le suivi sera assuré par son médecin traitant puis à Tavel. Nous restons à disposition. L'évolution est favorable tant au niveau des douleurs que de la plaie. Il n'y a aucun signe de surinfection de la plaie. Nous effectuons une désinfection et refaisons le pansement. Dans ce contexte, le patient rentre à domicile avec la feuille des numéros pour prendre rendez-vous policlinique d'orthopédie le 25.02.2019. L'évolution est favorable. Toutefois, il reste un déficit d'amplitude en flexion. Nous lui prescrivons donc de l'ergothérapie. Nous le reverrons à 3 mois post-opératoires. Pas d'arrêt de travail. L'évolution est favorable. Toutefois, la cheville présente un déficit d'amplitude clairement ressenti par la patiente. C'est pourquoi nous recommandons de poursuivre la rééducation fonctionnelle en physiothérapie. Les douleurs sur la face dorsale du pied sont imputables à une tendinite dans un contexte post-immobilisation. Nous lui prescrivons un traitement anti-inflammatoire topique. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle. L'évolution est globalement stable. Sur le plan socio-professionnel, l'entreprise de la patiente lui a proposé un poste à 40%, qu'elle a accepté et tolère très bien. Elle rapporte avoir un peu moins confiance en sa jambe D, ce qui ne l'handicape toutefois pas dans sa vie quotidienne. Nous l'encourageons donc à poursuivre une activité sportive, tout en évitant l'aquagym, celle-ci ne permettant pas un bon contrôle de la mobilisation de son dos. Prochain contrôle radio-clinique dans 2 ans. L'évolution est lente mais étant donné le point de départ, tout à fait favorable. Je motive le patient de poursuivre le traitement ergothérapeutique ainsi que d'appliquer ses attelles régulièrement. J'ai prévu un prochain contrôle dans six semaines. L'évolution est lentement favorable avec anamnestiquement des douleurs qui sont diminuées de 50% grâce à l'infiltration en regard du LTFA. Le patient décrit également un discret effet positif de la physiothérapie à sec. Dans ce contexte, poursuite des séances de physiothérapie uniquement à sec. Nous le reverrons dans 6 semaines pour refaire le point sur la situation. Si celle-ci s'avère se chroniciser, il faudra éventuellement envisager un séjour de réadaptation à Sion pour faire le point tant sur sa situation professionnelle qu'au niveau de cette problématique. L'évolution est lentement favorable. Les douleurs sont imputables à une inflammation compte tenu de la marche en rotation externe. Nous lui prescrivons encore de la physiothérapie et une crème anti-inflammatoire à appliquer 2 fois par jour. L'arrêt de travail est prolongé jusqu'au 24.02.2019 puis reprise à 50% dès le 25.02.2019 et à 100% dès le 12.03.2019. Nous la reverrons dans 2 mois. Si elle se plaint toujours de douleurs au niveau de la MTP 1, nous envisagerons un bilan radiologique à la recherche d'une arthrose. L'évolution est lentement favorable. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour la rééducation de la main avec un renforcement musculaire. Concernant la hanche, elle peut reprendre la mobilisation normale sans les cannes. Prochain contrôle radioclinique (hanche+main) dans 6 semaines. L'évolution est lentement favorable. Nous majorons donc les séances de physiothérapie. Prolongation de l'arrêt de travail à 50% jusqu'au 01.04.2019 date du prochain contrôle clinique. L'évolution est lentement favorable suite à cette contusion thoraco-lombaire. Nous prescrivons donc des séances de physiothérapie pour hygiène posturale et renforcement des érecteurs du rachis et enseignement aux exercices de fitness. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition au besoin. Au niveau socio-professionnel, poursuite de l'arrêt de travail jusqu'à fin février puis reprise à 50% dès le 01.03.2019 et reprise à 100% dès le 01.04.2019.L'évolution est normale en ce qui concerne la perte de mobilité en flexion, je propose un traitement physiothérapeutique intense pour récupérer les amplitudes articulaires. Prescription de patchs de silicone pour ramollir les tissus. Contrôle chez moi dans six semaines. L'évolution est plutôt favorable. Chez ce patient, pas d'élément en faveur d'une atteinte ménisco-ligamentaire ou cartilagineuse du genou, raison pour laquelle il lui est laissé tout à fait libre d'effectuer les activités sportives qu'il souhaite. Mobilité également libre de la hanche et, en ce sens, pas de traitement particulier non plus. L'évolution est rapidement favorable 24h après le traumatisme. On note une nette diminution de la tuméfaction au niveau de la bourse. Au vu de l'évolution favorable, une absence de signes infectieux et inflammatoires et une absence de douleurs, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Un suivi peut être fait chez le médecin traitant si nécessaire. L'évolution est satisfaisante. Poursuite du suivi en ergothérapie jusqu'à la fin des séances pour regagner les amplitudes en extension active. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est stagnante. Réfection du pansement avec le même protocole. Elle peut marcher durant cette semaine et nous la reverrons dans 1 semaine pour un contrôle clinique. L'évolution est tout à fait favorable à 2 ans. Nous ne prévoyons pas de revoir Mr. Y à notre consultation, mais restons à disposition, notamment s'il présente une péjoration de l'arthrose. L'évolution est tout à fait favorable à 3 mois. Nous proposons maintenant une rééducation en physiothérapie avec reprise de la marche et charge complète. Nous reverrons Mme. Y pour un prochain contrôle clinique dans 2 mois, soit le 16.04.2019. L'évolution est tout à fait favorable à 3 mois postopératoires, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution est tout à fait favorable. Je lui prescris de nouvelles séances de physiothérapie 1x/semaine. Je ne prévois pas de prochain contrôle, mais reste à disposition en cas de besoin. L'évolution est tout à fait satisfaisante. Mme. Y est autorisée à reprendre toutes ses activités, sans restriction. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution globale à une année post-opératoire est favorable. Par contre, Mme. Y est gênée par le matériel d'ostéosynthèse. L'indication pour l'ablation du matériel est donnée. Mme. Y aimerait attendre la meilleure saison et désire l'intervention au printemps. Je lui ai donc proposé de la revoir le 24.04.2019 pour discuter en détail de l'opération. Jusque-là, elle continue la physiothérapie pour tonifier la musculature. L'intervention est réservée pour le 13.05.2019. L'évolution globale est favorable. Mme. Y est par contre encore irritée localement en regard de la cicatrice et en regard du thénar et je propose donc de continuer les séances d'ergothérapie. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 24.03.2019. Reprise à terme d'essai à 50% dès le 25.03.2019 jusqu'au 10.04.2019, date de la prochaine consultation chez moi. L'évolution globale est favorable malgré les quelques douleurs résiduelles en regard du tendon quadricipital, à son insertion en regard du genou. Je propose la poursuite de la physiothérapie ainsi que les exercices d'étirement. Un prochain contrôle est prévu le 31.05.2019 pour une réévaluation clinique. Je lui remets également une prescription d'Ecofenac 75mg retard (2cp/jour en réserve). Pas d'arrêt de travail nécessaire. L'évolution globale reste favorable même si cela évolue lentement. Mme. Y continuera le traitement par physiothérapie pour améliorer l'amplitude de son épaule droite. La physiothérapie en piscine est arrêtée. Mme. Y continue à sec. Je la reverrai dans 3 mois pour une réévaluation clinique le 03.05.2019. L'évolution post-opératoire à 11 mois est favorable. Mme. Y arrive à vivre au quotidien avec cette plaque. Elle n'est pas demandeuse d'une ablation du matériel d'ostéosynthèse. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution post-opératoire reste satisfaisante. Elle va poursuivre la physiothérapie afin de récupérer en mobilité. Un contrôle est prévu d'ici 2 mois pour une réévaluation clinique (24.04.19). L'évolution radio-clinique à 1 an de l'implantation de la prothèse totale de hanche à droite est favorable. Concernant la bursite, nous mettons en place un traitement avec Flector patch local ainsi que de la physiothérapie pour relâchement musculaire de la chaîne postérieure à droite ainsi qu'un traitement avec école du dos. Prochain contrôle radio-clinique dans 4 ans ou plus vite en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 1 an de l'intervention susmentionnée est favorable avec absence de signes infectieux. Mr. Y va effectuer une prise de sang ce jour. Si les résultats reviennent positifs, nous allons contacter Mr. Y. Dans le cas contraire, il reprendra contact avec notre secrétariat afin de convenir d'un contrôle radio-clinique dans 1 année. L'évolution radio-clinique à 10 ans de l'implantation de PTH ddc. est tout à fait favorable avec une patiente très contente du résultat. Prescription de physiothérapie pour école du dos, stretching de la musculature abdominale. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 ans. L'évolution radio-clinique à 10 resp. à 18 ans de l'implantation des prothèses totales de hanches est tout à fait favorable. Nous proposons d'effectuer un contrôle radio-clinique dans 5 ans ou avant, si Mme. Y présente une symptomatologie. Concernant la colonne lombaire, nous proposons que Mme. Y bénéficie de son rendez-vous comme prévu auprès du Prof. X et en cas de doute, elle peut toujours demander un 2ème avis auprès du Prof. Y à Berne à la Clinique Z. L'évolution radio-clinique à 2 semaines de l'intervention est favorable. Mr. Y peut débuter l'ergothérapie intensive avec mobilisation de la main droite. À domicile, Mr. Y est autorisé à enlever l'attelle. Prochain contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires le 19.03.2019. L'évolution radio-clinique à 2 semaines du traumatisme est favorable avec une fracture stable. Poursuite du traitement conservateur pour 1 mois supplémentaire. L'attelle Edimbourg sera modifiée en ergothérapie afin de laisser les interphalangiennes libres, bloquant uniquement le carpe et la MCP des rayons IV à V. Nous expliquons à Mr. Y des exercices d'auto-mobilisation à faire, sans contrainte, à domicile. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. L'évolution radio-clinique à 2 1/2 mois est favorable. Poursuite du chemin thérapeutique instauré encore pendant 2 semaines, puis augmentation de la charge à 20-30 kg à l'aide de 2 béquilles pour environ 6 semaines à l'aide de physiothérapie. On conseille que Mme. Y reste encore 2 semaines au Home Rose d'Automne, puis qu'elle retourne à Meyriez pour la suite du traitement (charge à 20-30 kg sous physiothérapie). Prochain contrôle avec un CT-scan le 09.04.2019 à la consultation du Prof. X. L'évolution radio-clinique à 21 ans de la PTH D et à 15 ans de la PTH G est favorable. En ce qui concerne les douleurs musculaires, dans un 1er temps, nous prescrivons à Mme. Y la physiothérapie et en cas de non-amélioration de la situation par ce traitement, une semelle pour l'égalisation de longueur des membres inférieurs par la suite. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 ans.L'évolution radio-clinique à 24 ans de l'implantation des PTH est tout à fait favorable. Les douleurs du bas du dos sont probablement liées à un léger syndrome sacro-iliaque ainsi que du pyramidal à droite, raison pour laquelle nous prescrivons à la patiente les séances de physiothérapie avec rebalancement musculaire, massages et traitement pour le syndrome pyramidal. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 3 mois de la fracture est favorable avec une patiente qui a récupéré une mobilité complète de son poignet. Poursuite de la physiothérapie afin de récupérer les derniers degrés de mobilité. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 3 mois de la fracture est satisfaisante. Poursuite de la physiothérapie afin de regagner les amplitudes articulaires restantes. Reprise du travail à 100% dès le 04.03.2019. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution radio-clinique à 3 mois post intervention susmentionnée est satisfaisante avec cependant encore une consolidation incomplète de la fracture. Poursuite de mobilisation en ergothérapie et physiothérapie. Le patient reprend une entreprise de vente de piscines à partir du 01.04.2019 et de ce fait, nous prévoyons donc une reprise du travail à 100% à cette date-là. Prochain contrôle radio-clinique le 07.05.2019. L'évolution radio-clinique à 4 mois postopératoires est satisfaisante avec l'apparition du cal osseux au niveau de la fracture. Mme. Y peut déambuler librement en charge complète selon douleur. Prochain contrôle radio-clinique à 6 mois postopératoires. L'évolution radio-clinique à 5 ans post implantation de la prothèse totale de hanche à droite est favorable. Cependant, la patiente ressent des douleurs résiduelles au niveau du pli de l'aine pour lesquelles nous allons organiser un ultrason à la recherche d'une éventuelle hernie inguinale droite. Par la suite, elle sera vue à la consultation du Dr. X, médecin-adjoint de la chirurgie générale, pour discuter du résultat de cet examen (26.02.2019). Prescription de physiothérapie pour stretching du psoas et du quadriceps. Prochain contrôle à notre consultation à 5 ans post-implantation de PTH à droite. L'évolution radio-clinique à 6 mois de l'intervention susmentionnée est favorable. La patiente peut se mobiliser en charge complète à l'aide d'un taurus. Poursuite de la physiothérapie de mobilisation et renforcement musculaire. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an de l'intervention. L'évolution radio-clinique à 6 semaines de la fracture est favorable. Nous prescrivons à la patiente des séances de physiothérapie pour renforcement musculaire et proprioception. La patiente est autorisée à abandonner progressivement les cannes. Mise en place d'une attelle aircast à but de protection pour les 2-3 prochaines semaines. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 10.03.2019. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. L'évolution radio-clinique à 6 semaines de la fracture est favorable. Nous prescrivons au patient des séances de physiothérapie avec reprise de la marche en charge libre, sans les cannes. Mise en place d'une attelle aircast à but de protection. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% pour 1 mois avec reprise à 50% par la suite pour 2 semaines. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique à 6 semaines de la fracture susmentionnée est favorable. Dès aujourd'hui, la patiente est autorisée à charger librement selon douleur. Pas de prochain contrôle prévu à notre consultation, mais nous restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 6 semaines du traumatisme est favorable. Nous prescrivons à la patiente des séances de physiothérapie pour mobilisation et renforcement musculaire. Reprise progressive des activités sportives dans 3 semaines. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 6 semaines postopératoires est tout à fait favorable. Nous autorisons le patient à abandonner progressivement les cannes et se mobiliser en charge complète. Prochain contrôle radio-clinique le 26.03.2019. L'évolution radio-clinique à 7 mois de la fracture est favorable. Le patient présente une bascule à 15° par rapport à 25° il y a 3 mois. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an de la fracture. L'évolution radio-clinique est favorable à 1 semaine de la fracture. Mise en place d'une attelle à but de protection pour la cheville G. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable à 1 semaine de la fracture. Nous prescrivons au patient une attelle de type Metacarpal Brace pour les 5 prochaines semaines. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. L'évolution radio-clinique est favorable à 10 jours de la fracture. Poursuite du port du Rucksack pour 1 mois supplémentaire. Dispense de sport pour les 4 prochaines semaines. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. L'évolution radio-clinique est favorable à 3 mois postopératoires. Le patient poursuivra le travail en physiothérapie axé sur le massage, décollement de cicatrice et renforcement progressif de la musculature du MSD. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. L'évolution radio-clinique est favorable à 6 semaines du traumatisme. Ablation de l'attelle ce jour et début de la mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 24.02.2019 avec reprise à 50% dès le 25.02.2019. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. L'évolution radio-clinique est favorable. Ablation de l'attelle Stack ce jour et reprise d'une mobilisation libre. Poursuite de l'ergothérapie afin d'avoir des amplitudes articulaires physiologiques. Reprise du travail à 50% dès le 04.03.2019 et à 100% dès le 11.03.2019. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. L'évolution radio-clinique est favorable avec un patient complètement asymptomatique. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est favorable avec une fracture qui est en cours de consolidation. Mobilisation en charge partielle sur protection de cannes pour 2 semaines puis reprise d'une mobilisation libre en charge par la suite. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. L'évolution radio-clinique est favorable avec une patiente asymptomatique. Prochain contrôle dans 4 ans. L'évolution radio-clinique est favorable avec une patiente complètement asymptomatique. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radioclinique est favorable. Concernant l'orteil en marteau, elle porte déjà une orthoplastie qui la soulage. Elle ne souhaite pas d'intervention pour le moment. Elle a retiré les semelles en carbone il y a 1 mois en raison de douleurs au niveau du 2ème orteil et porte les anciennes semelles qui améliorent la situation. Nous prescrivons de nouvelles semelles avec une zone de décharge pour la 4ème tête métatarsienne. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. L'évolution radioclinique est favorable. Elle peut maintenant charger selon douleurs. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour rééducation et renforcement musculaire. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 17.03.2019 puis à 80% jusqu'au prochain contrôle (infirmière).L'évolution radioclinique est favorable. La fracture a guéri et est stable. Nous proposons de continuer une immobilisation en réserve pendant 2 semaines par une attelle de Velcro avec début de la physiothérapie dès maintenant pour regagner la mobilité et la force progressivement. Nous vous prions de renouveler les bons de physiothérapie après la 1ère session de 9 séances prescrite ce jour. Voltarène en réserve pendant la 1ère phase en physiothérapie (à prendre avant la thérapie). Nous ne prévoyons pas de contrôle en regard de la bonne guérison et le caractère non compliqué de la fracture. Nous prions le médecin traitant d'effectuer un contrôle dans environ 3 à 4 semaines pour adapter la physiothérapie et les médicaments. L'évolution radio-clinique est favorable. La patiente bénéficie de l'ablation de la broche après désinfection. On applique un pansement que la patiente pourra enlever d'elle-même après 48 heures, au maximum. Après l'ablation de ce pansement, elle pourra à nouveau porter ses chaussures habituelles. Nous la reverrons dans 6 semaines. En cas de récidive de douleurs lorsqu'elle portera ses chaussures, nous invitons la patiente à nous contacter avant pour un nouveau contrôle clinique. L'évolution radio-clinique est favorable. L'attelle Stack est à porter uniquement la nuit. Reprise d'une mobilité libre, sans charge. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. Le patient peut reprendre son activité professionnelle comme il était planifié à 100% dès le 06.02.2019. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie à viser de travail des amplitudes articulaires et de renforcement. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. Le plâtre est circularisé ce jour. Prochain contrôle dans 1 semaine avec relai du plâtre BAB pour un AB, qui sera à porter pour 3 semaines supplémentaires. L'évolution radioclinique est favorable. Nous enlevons donc les broches ce jour avec désinfection et pansement. Nous l'informons qu'elle ne doit pas encore reprendre le sport avant le 04.04.2019 et garder la bretelle pour ces prochains jours. Mobilisation active sans charge, ROM selon tolérance. Nous la reverrons fin mars pour un contrôle radioclinique et pour réévaluer la reprise des activités physiques. L'évolution radio-clinique est favorable. Poursuite du traitement conservateur avec adaptation du plâtre ce jour. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 3 semaines, soit à 6 semaines de la fracture. L'évolution radio-clinique est favorable. Poursuite du traitement conservateur avec attelle Stack pour les 3 prochaines semaines puis port de l'attelle uniquement la nuit et lors des activités sportives. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. Reprise de la mobilisation libre, sans charge et selon douleurs pour les 4 prochaines semaines. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. Reprise de toutes les activités de la vie quotidienne, sans restriction. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 année. L'évolution radio-clinique est favorable. Suite de la prise en charge à la consultation de Dr. X dans 3 semaines. L'évolution radioclinique est satisfaisante ce jour. Reconfection d'un plâtre AB et reverrons le patient pour un contrôle clinique à 1 mois du traumatisme avec ablation du plâtre. L'évolution radio-clinique est satisfaisante. La patiente peut dès lors commencer des séances de physiothérapie pour regagner l'amplitude articulaire et renforcement musculaire. Nous la reverrons le 22.03.2019 pour un contrôle radio-clinique soit à 3 mois de l'accident. L'évolution radio-clinique est satisfaisante. La patiente peut dès lors initier une rééducation en charge progressive selon douleurs. Travail des amplitudes articulaires et, par la suite selon évolution, renforcement et proprioception. Au vu d'une incapacité de se déplacer et d'une charge ménagère importante, je prescris des séances de physiothérapie à domicile. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un bilan radio-clinique. L'évolution radio-clinique est satisfaisante. Le patient peut se mobiliser librement. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est satisfaisante. Poursuite des traitements conservateurs. Nous reverrons la patiente à 6 semaines du traumatisme pour un bilan radio-clinique avec ablation du plâtre au niveau du poignet et ablation de l'attelle au niveau de la cheville. Poursuite de l'incapacité de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. L'évolution radio-clinique est tout à fait satisfaisante ce jour. La patiente peut reprendre son activité physique sans limitation. Elle effectuera la suite de la prise en charge dans le canton du Jura où elle réside. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est tout à fait satisfaisante. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est tout à fait satisfaisante. Poursuite de l'antibiothérapie prescrite jusqu'au 25.03.2019 puis nous reverrons le patient à distance avec également un contrôle de ses lits plantaires pour s'assurer qu'il n'y a pas de nécessité d'effectuer une adaptation. L'évolution radio-clinique est toute à fait satisfaisante. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radiologique est favorable. Poursuite du traitement conservateur avec l'attelle. Prochain contrôle radio-clinique dans 2 semaines. L'évolution radiologique est favorable. Sur le plan clinique, nous notons une importante raideur en raison de la peur de bouger. Nous lui prescrivons à nouveau de la physiothérapie pour la charge et mobilité. Nous lui recommandons d'arrêter le port de la bretelle et de la coque. Arrêt de travail à 100% jusqu'à 24.02.2019 puis reprise à 50% dès le 25.02.2019 puis à 100% le 11.03.2019 si tout va bien. Prochain contrôle dans 6 semaines. L'évolution radiologique est satisfaisante. Cliniquement, il persiste une raideur articulaire consécutive à l'immobilisation. Actuellement, la patiente est insatisfaite de son résultat esthétique. Dans ce contexte, nous proposons la prescription d'ergothérapie pour travailler les amplitudes articulaires et un renforcement. A l'examen clinique, il n'y a pas de gêne fonctionnelle de cette déviation. Cependant, on va envisager, en cas de persistance ou la survenue d'une gêne à l'usage augmentée de sa main, une éventuelle correction chirurgicale, mais à l'ordre du jour, nous ne retenons pas cette prise en charge. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. L'évolution reste favorable avec une patiente qui n'est plus symptomatique au niveau du grand trochanter. Concernant la nouvelle douleur apparue au niveau de la fesse, nous proposons de la physiothérapie avec des mesures antalgiques locales par des massages. Nous reverrons la patiente pour un prochain contrôle clinique dans 2 mois, soit le 23.04.2019. L'évolution reste favorable. Nous reverrons Mme. Y dans 9 mois pour un contrôle radio-clinique, soit à 1 année postopératoire. La patiente nous recontactera pour le rendez-vous. L'évolution reste lentement favorable chez ce patient. Nous proposons maintenant de débuter le fitness médical pour renforcer la musculature. Nous ne prévoyons pas de refaire des ondes de choc et laissons le patient reprendre son activité professionnelle à 100%. Nous le reverrons pour un prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. L'évolution se présente favorable mais quand même lente avec un patient qui reste encore algique. En extension au niveau de IP se présente bien stable mais il manque encore beaucoup de flexion dans cette articulation. Avec l'amélioration de la mobilité, les douleurs vont diminuer progressivement. Poursuite de l'ergothérapie et physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 2 mois à notre consultation et poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 20.03.2019.L'évolution va dans le bon sens de cette plaie. On refait le pansement ce jour avec le même protocole et reverrons la patiente pour un nouveau contrôle clinique dans 2 semaines. Levomépromazine du 21-25.02.2019 avec réponse insatisfaisante. Introduction Halopéridol le 25.02.2019. L'examen clinique, ainsi que l'IRM du 11.04.2018, parle en faveur d'une instabilité du tendon ECU ainsi qu'à une lésion du TFCC au niveau de son insertion foveale. Nous proposons au patient une arthroscopie diagnostique pour confirmer les lésions, une refixation ouverte du TFCC, ce qui nous permettra également de faire une plastie du rétinaculum du 6ème compartiment de manière à stabiliser le tendon ECU. Après explication, le patient signe le consentement éclairé. L'examen clinique complet revient sans particularité, notamment montrant l'absence d'origine centrale et d'origine périphérique par atteinte de l'oreille interne. Au vu d'apports oraux conservés ainsi qu'absence de symptômes d'orthostatisme, une hypotension semble aussi peu probable. Une anémie est écartée au bilan biologique. Enfin, au vu de la fluctuation des symptômes, de difficile caractérisation, prédominant en fin de journée, l'origine plus probable réside dans le contexte de vie actuel vécu par la patiente. Un suivi chez le médecin traitant est proposé avec poursuite du suivi psychologique déjà en cours. L'examen clinique de la patiente est rassurant. Vu que le Peak plasmatique de la Quétiapine est à 1h30 et que l'examen clinique à l'arrivée aux urgences est rassurant, après 2h de surveillance aux urgences et à 6h de distance de l'ingestion des médicaments, nous laissons la patiente regagner le RFSM Marsens. Le médecin psychiatre de garde de Marsens a noté une tachycardie à 130 bpm avant le transfert aux urgences. À l'arrivée de la patiente aux urgences, elle a une fréquence cardiaque à 110 bpm, qui reste stable. Nous considérons la tachycardie dans le contexte du syndrome de sevrage. La patiente rentre à Marsens en ambulance. L'examen clinique de l'épaule est normal, mais les douleurs sont provoquées par la palpation du muscle rhomboïdes droit. La radiographie de l'épaule droite et du thorax sont normales. Après discussion avec le physiothérapeute traitant du patient, nous retenons des douleurs dorsales d'origine musculaire, pour lesquelles nous conseillons la reprise des anti-inflammatoires et la poursuite des séances de physiothérapie. En cas de persistance des douleurs, nous laissons le médecin traitant organiser un rendez-vous chez un rhumatologue. L'examen clinique du pansement est rassurant et montre une conservation parfaite de l'étanchéité du pansement. Dans ce contexte, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant à 2 semaines post-opératoires. L'examen clinique est compatible avec une conjonctivite et nous prescrivons une antibiothérapie topique par gouttes fr Spersapolymyxin à appliquer toutes les 2h jusqu'à disparition des symptômes. En cas de persistance des symptômes pendant plus de 48h, nous conseillons au patient de consulter un ophtalmologue. L'examen clinique est dans la norme avec ECG superposable aux comparatifs et un bilan biologique sans particularité le 26.02.2019 à la consultation du médecin traitant, raison pour laquelle ce dernier n'est pas répété. Les douleurs disparaissent après administration de dose unique de Temesta 1mg, faisant suspecter des douleurs thoraciques d'origine psychogène, et confirmant la prise en charge adaptée par le médecin traitant. Un suivi psychologique en ambulatoire est proposé à la patiente avec suivi clinique prévu chez le médecin traitant demain. Une dose unique de Temesta est donnée en réserve à la patiente au besoin. Enfin, une origine cardiaque sur maladie coronarienne ne peut pas être exclue au vu des facteurs de risques cardiovasculaires susmentionnés, malgré le caractère atypique des douleurs, posant l'indication à un suivi cardiologique en ambulatoire en cas de persistance des symptômes. L'examen clinique est dans la norme, notamment le statut neurologique, nous permettant de poser le diagnostic de lombosciatalgies gauches non déficitaires. Au vu de l'absence de drapeaux rouges, aucun examen complémentaire n'est réalisé. Une antalgie simple est proposée avec contrôle clinique dans la semaine chez le médecin traitant avec indication de reconsulter en cas d'apparition de déficit sensitivo-moteur ou sphinctérien. L'examen clinique est difficile à réaliser ce jour en regard des douleurs. Le mécanisme à l'examen fait suspecter soit une tendinite réactive au traumatisme soit une lésion ou cicatrice tendineuse. Pour objectiver les douleurs, nous effectuons une IRM avec du produit de contraste intraveineux et on le voit par la suite à notre consultation. Dans l'intervalle, début d'ergothérapie pour la mobilisation sans force et prescription de traitement anti-inflammatoire et antalgique. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle le 11.03.2019. L'examen clinique est en faveur de lombosciatalgies gauches non déficitaires. Nous laissons la patiente regagner son domicile avec une antalgie et un traitement myorelaxant. Contrôle chez le médecin traitant au début de la semaine prochaine. L'examen clinique est en faveur d'un syndrome grippal pour lequel nous conseillons un traitement symptomatique et du repos. Nous recommandons au patient de consulter son médecin traitant par la suite si nécessaire. L'examen clinique est rassurant avec un examen neurologique dans la norme. Nous retenons une céphalée d'origine indéterminée et recommandons un traitement antalgique systématique. Nous conseillons à la patiente de consulter son médecin traitant afin de réaliser un profil tension et en cas de persistance de la symptomatologie de faire un bilan supplémentaire. L'examen clinique est rassurant et la patiente rapporte une amélioration des douleurs malgré la légère péjoration radiologique et l'apparition d'un nouveau tassement. Nous ne prévoyons donc pas d'emblée de prise en charge chirurgicale mais planifions un nouveau contrôle radio-clinique dans 2 semaines. Dans l'intervalle, poursuite de la physiothérapie pour hygiène posturale et renforcement de la musculature du rachis. L'examen clinique est rassurant et ne met en évidence aucun déficit neurologique. Nous concluons à des céphalées de tension et laissons le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple qu'il possède déjà à domicile. Il consultera le lendemain son médecin traitant pour un contrôle clinique. L'examen clinique est rassurant. La radiographie du thorax et l'ECG sont normaux. Les douleurs thoraciques sont probablement d'origine musculo-squelettique. Pour la dyspnée en péjoration, nous conseillons à la patiente d'arrêter la consommation de tabac et en cas de persistance de la dyspnée, nous laissons le médecin traitant organiser des examens plus approfondis. La patiente est hypertendue au moment du passage aux urgences. Nous laissons le médecin traitant contrôler la tension artérielle et prendre les mesures nécessaires. Nous retenons un syndrome grippal et conseillons à la patiente de poursuivre le traitement symptomatique prescrit par son médecin traitant. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en cas de persistance ou de péjoration de la symptomatologie. L'examen clinique est rassurant, le bilan biologique et la radiographie du thorax sont normaux. Nous retenons des douleurs d'origine musculo-squelettique pour lesquelles nous conseillons un traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant si nécessaire.L'examen clinique est rassurant. L'ECG et le bilan biologique sont normaux. Le test de Schellong est positif avec une chute de 30 mmHg de TAS après 2 minutes de stationnement debout. Nous conseillons à la patiente de s'hydrater et d'utiliser des bas de contention. En cas de récidive des palpitations ou du malaise, nous conseillons de consulter un cardiologue. L'examen clinique et le Streptotest permettent de poser le diagnostic d'angine à Streptocoques avec un score de Centor à 4. Une antibiothérapie par Amoxicilline 725 mg 3x/jour est prescrite durant 3 jours avec antalgie et contrôle clinique chez le médecin traitant à 7 jours. L'examen clinique et les examens complémentaires sont rassurants. Nous convenons avec la patiente d'un retour à domicile et augmentons la posologie du Flagyl à 3x/j au lieu des 2x/j prescrits jusqu'à ce jour. Nous lui conseillons d'éviter dans la mesure du possible de prendre des antidiarrhéiques et lui recommandons de bien s'hydrater. Elle consultera son médecin traitant si pas d'amélioration dans quelques jours. L'examen clinique et radiologique permet de conclure à une entorse bénigne du genou droit. Nous mettons un bandage antalgique en place et conseillons un arrêt du sport, de l'antalgie et un contrôle clinique chez le pédiatre dans 1 semaine. L'examen clinique et radiologique permet raisonnablement d'écarter le diagnostic d'ostéomyélite. Les douleurs ressenties par la patiente sont imputables à une situation d'ischémie. La patiente est réadressée chez son angiologue pour suite de prise en charge. Elle a déjà rendez-vous demain pour un geste de revascularisation. Nous restons à disposition. L'examen clinique fait penser à un déficit de force du fléchisseur profond du 5ème doigt. Nous proposons donc dans ce contexte une reprise de la physiothérapie pour crochetage, massage et travail musculaire sur ce fléchisseur profond. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Prescription d'anti-inflammatoire topique à appliquer 1 ou 2 fois par jour dans l'intervalle. L'examen clinique laisse suspecter une lésion du ménisque médial. Nous donnons une attelle Jeans 20° à la patiente, de la Clexane, des cannes anglaises et de l'antalgie et préconisons un rendez-vous chez le Dr. X, orthopédiste, dès que possible. L'examen clinique, le bilan biologique et la radiographie sont rassurants. Le Dr. X, orthopédiste de garde, conseille un traitement symptomatique. La patiente a rendez-vous en orthopédie au CHUV dans 48 h. L'examen clinique, l'ECG et le bilan biologique sont en faveur de douleurs d'origine musculo-squelettique. Nous rassurons la patiente et lui donnons un comprimé du Temesta, vu qu'elle dit qu'elle est très stressée dernièrement. Nous la laissons regagner son domicile et lui conseillons de reconsulter en cas de persistance ou de péjoration de la symptomatologie. L'examen clinique met en évidence des lombosciatalgies gauches, sans déficit neurologique, tout à fait comparables à celui réalisé à l'HFR Fribourg. L'anamnèse clinique ne révèle pas de drapeaux rouges. Nous rassurons le patient et expliquons la nature de la pathologie ainsi que l'importance d'un suivi en ambulatoire par le médecin traitant. Les douleurs sont soulagées par une antalgie adaptée, permettant un retour à domicile avec majoration de l'antalgie prescrite par Tramadol. Un arrêt de travail est de même fourni. Il est cependant expliqué qu'un repos absolu est proscrit, favorisant plutôt une mobilisation douce. Il est expliqué au patient que la conduite n'est pas autorisée lors de la prise de Tramadol. L'examen clinique met en évidence le diagnostic sus-mentionné et nous prescrivons une antibiothérapie par Amoxicilline 1 g 3x/jour pendant 5 jours ainsi qu'une antalgie et des anti-inflammatoires. Si les symptômes persistent pendant plus de 72 h, nous conseillons à la patiente de reconsulter pour un contrôle clinique et une adaptation du traitement. L'examen clinique ne met pas en évidence de défaut de rotation des doigts. La radiographie de la main trouve une fracture spiroïde, comminutive, déplacée du côté radial avec raccourcissement du 4ème métacarpien gauche, pour laquelle nous conseillons une attelle Edimbourg pendant la nuit et une antalgie simple. Le patient sera reconvoqué le 05.02.2019 par le médecin orthopédiste pour suite de la prise en charge. L'examen clinique ne met pas en évidence de signes d'une origine bactérienne, notamment auscultation pulmonaire sans particularité et fond de gorge calme. Le bilan biologique ne montre pas de leucocytose et une CRP à 24 mg/l. Nous notons une hypokaliémie à 3.3 mmol/l que nous traitons avec un KCL retard (sur vomissements). La patiente reçoit un Dafalgan 1 g, Primperan 10 mg IV avec bon effet et hydratation IV par NaCl 0.9 %. Nous retenons un syndrome grippal que nous traitons symptomatiquement avec anti-inflammatoires/anti-douleurs, anti-émétiques en réserve et conseils de bonne hydratation. L'examen clinique ne met pas en évidence de trouble neurovasculaire. Le doigt est trempé dans le désinfectant pendant 10-15 minutes, l'hématome unguéal est partiellement dissout et nous notons l'intégrité de la partie proximale de l'ongle, raisons pour lesquelles nous décidons d'un traitement conservateur par pansement gras et ensuite sec. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires dans 48 h. L'examen clinique ne révèle aucune anomalie, notamment pas de blessure orale. Mme. Y est par ailleurs stable sur le plan hémodynamique et joue durant la consultation. Nous évoquons une possible irritation sur quintes de toux. Nous rendons la mère attentive aux éléments pour lesquels il faut reconsulter (récidive, pâleur, altération de l'état général, méléna, hématochézie). L'examen clinique neurologique ne met en évidence aucun déficit et le reste de l'examen clinique est également sans particularité. Nous prenons en charge la plaie avec une suture par 3 points simples pour rapprocher les berges cutanées et laissons ensuite le patient rentrer à domicile en expliquant aux parents les symptômes auxquels être attentif pendant les 24 h suivant la chute. La mère est infirmière (anciennement aux urgences) et s'occupera de l'ablation des fils après 5 jours. En cas d'apparition de nouveaux symptômes, nous conseillons aux parents de reconsulter les urgences. L'examen clinique parle en faveur d'une entorse du ligament latéral interne du genou gauche pour laquelle nous proposons l'immobilisation dans une attelle Jeans, la marche avec des cannes anglaises et une antalgie simple. Nous conseillons à la patiente de consulter son médecin traitant dans une semaine pour un contrôle. L'examen clinique permet de constater une brûlure de 1er degré, limitée à 1.5 % de la surface corporelle, avec atteinte de la sphère buccale sans répercussion sur les voies respiratoires. Une application topique par Bépanthène crème et antalgie sont prescrites avec contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 20.02.2019 à 14 h00. L'examen clinique révèle une surinfection de la plaie, sans signes d'atteinte systémique, avec l'absence de syndrome inflammatoire au bilan biologique. La plaie est rincée à l'aiguille boutonnée par NaCl 0.9 % et Bétadine. La patiente contactera le Dr. X le matin du 19.02 pour planifier la suite clinique. L'examen neurologique confirme un syndrome compressif du nerf cubital au niveau du tunnel cubital gauche. L'examen neurologique est aligné. Le bilan biologique est également sans particularité. Nous réalisons des radiographies standards qui ne montrent pas de fracture nouvelle (à noter une irrégularité d'allure ancienne sur traumatisme passé au niveau de l'apophyse styloïde ulnaire gauche). Au vu des douleurs persistantes au niveau des cervicales C2-C3, nous réalisons un CT-scanner cervical qui infirme la présence de fracture. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec une antalgie et des consignes de surveillance post-traumatisme crânien.L'examen neurologique est normal. Le bilan biologique est normal et le scanner cérébro-cervical exclut une possible lésion aiguë. Le Dr. X conseille une surveillance pendant la nuit, raison pour laquelle le patient reste aux urgences (pas de place dans l'hôpital). Pour la syncope, le Dr. X conseille un bilan complémentaire ambulatoire (holter, ECG, ETT etc) et une interdiction de conduire jusqu'à l'évaluation par le cardiologue. Nous laissons le médecin traitant organiser le bilan complémentaire. Nous donnons au patient un arrêt de travail jusqu'au contrôle chez le médecin traitant. L'examen physique met en évidence les signes d'une virose des voies aériennes supérieures, raison pour laquelle nous proposons de continuer avec les traitements symptomatiques. À noter que la patiente ne se laisse pas faire le frottis de gorge. Les critères de Centor Score sont à 1/4 (fièvre). Le père est informé qu'il doit observer l'évolution clinique de sa fille pendant 24h, si pas d'amélioration transfère aux urgences pédiatriques. L'examen radio-clinique du jour conduit à écarter le diagnostic de lésion du Lisfranc. Le patient est envoyé chez le plâtrier pour confection d'un soulier Geisha sur mesure à porter jusqu'à la fin du traitement conservateur des 2 fractures susmentionnées. Le patient sera revu en consultation pour un contrôle radio-clinique le 11.03.2019. D'ici là, poursuite de la prophylaxie par Xarelto 10 mg par jour per os. Le patient reste à l'arrêt de travail. L'examen radioclinique est compatible avec une sésamoïdite de l'hallux D. Nous lui proposons de faire une semelle adaptée avec une décharge au niveau des sésamoïdes et de la tête du 1er métatarse. Nous la reverrons pour un contrôle clinique après la confection de la semelle. L'examen radioclinique parle pour une irritation due à cette exostose qui s'est formée au-dessus du matériel d'ostéosynthèse. On propose donc l'ablation de cette exostose et du matériel d'ostéosynthèse qui est agendée pour le 07.02.2019. Le patient est informé du déroulement de l'intervention et signe le consentement éclairé. L'examen radiologique effectué par le médecin traitant met en évidence une luxation palmaire de l'interphalangienne proximale du 3ème doigt de la main gauche. Une réduction est effectuée par le chef de clinique de garde de l'orthopédie du Dr. X et la radiographie de contrôle montre une articulation en place, sans lésion osseuse. Le doigt est immobilisé dans une attelle et la patiente sera revue pour un contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie le 18.02.2019. La patiente est partie des urgences sans la prescription médicale. L'exploration de la plaie met en évidence un saignement actif pulsatile (probable section d'une branche de l'artère ulnaire). Pour cette raison, la plaie est autrement non explorable. Compte tenu du déficit de sensibilité au niveau de la face ulnaire du 5ème doigt, nous suspectons une section du nerf. Le patient présente de plus une perte de force des fléchisseurs superficiels, ce qui nous fait suspecter une section partielle des fléchisseurs superficiels de l'auriculaire. Le Dr. X met en place des points à l'Éthylène 4-0 au niveau de la peau puis un pansement compressif. Nous prenons un avis à Fribourg, mais ils refusent le patient en raison d'un manque de place. Sur avis du Dr. X, de la chirurgie de la main au CHUV, nous mettons en place une attelle plâtrée au poignet à 30° et métacarpophalangienne à 70° de flexion, débutons un traitement par Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour. Le patient se rendra au CHUV, en chirurgie de la main, le 04.02 en vue d'une opération. L'hallux valgus est réductible mais c'est douloureux. Une correction avec une ostéotomie ne rentre plus en discussion. Il faudrait faire une arthrodèse. Au niveau du 2ème orteil, la situation est flexible. Par contre, il y a une rougeur dorsalement à l'ITP et sa plainte principale c'est les métatarsalgies sur les II et III rayons. Nous discutons et nous nous mettons d'accord sur le fait de faire, à titre d'essai, une surélévation de l'appui rétro-capital pour voir l'évolution. Nous la reverrons dans 2 mois. En cas de non-amélioration, cure d'hallux valgus et cure d'orteil en griffe à discuter. L'hématome sous-dural subaigu voire chronique s'est lentement développé au niveau bi-frontal. Nous expliquons donc à la patiente le risque d'augmentation de cet hématome avec effet compressif et donc symptomatique sur le cortex, notamment du côté G. Pour cette raison, nous préconisons donc un suivi par CT dans 3 à 4 semaines avec nouveau contrôle à notre consultation. Elle nous fait part de son mécontentement quant aux déplacements et ne souhaite pas revenir jusqu'à Fribourg. Nous organisons donc un CT cérébral à l'HFR Riaz et prions nos collègues radiologues de nous appeler une fois cet examen réalisé afin que nous puissions communiquer les résultats à la patiente. Un geste de trépanation serait indiqué en cas d'hématome compressif ou symptomatique. Mme. Y et sa fille sont également informées des éventuels symptômes liés à un hématome compressif (troubles du langage, déficit sensitivo-moteur aux 4 membres, etc), devant motiver une consultation aux urgences. Une anti-coagulation n'est pas conseillée. L'histoire clinique nous permet de suspecter une crise d'angoisse à l'origine des symptômes, pour laquelle nous proposons un suivi psychologique. Au vu de l'absence d'anamnèse familiale positive ainsi que des palpitations isolées, sans autre symptôme cardiaque, une origine cardiaque semble peu probable. Cependant, en cas de persistance des symptômes, une investigation rythmologique serait à envisager. Une mesure de la TSH est en cours. L'histoire clinique parle en faveur d'une céphalée de tension, tant sur la base de la nature des douleurs, bilatérales et constrictives, tant sur la base du contexte de vie professionnel et psychologique actuel. L'examen clinique revient dans la norme, notamment sans déficit neurologique et irradiations radiculaires des douleurs, permettant d'exclure une hernie cervicale à l'origine des symptômes actuels. Un suivi clinique est proposé dans les 7 jours afin d'évaluer l'évolution des douleurs après antalgie fixe et établir un suivi sur le long terme. Des mesures d'hygiène de vie sont également conseillées à la patiente avec pratique sportive. Un traitement par tricycliques pourrait être introduit en cas de persistances des douleurs. Malgré l'absence de drapeaux rouges, l'anamnèse relève une diaphorèse nocturne, avec poids stable, absence d'état fébrile et contrôle clinique et biologique en décembre 2018, dans la norme selon la patiente. Un contrôle de la fonction thyroïdienne est proposé avec suivi clinique des symptômes de diaphorèse. L'histoire et l'examen clinique parlent plutôt pour une origine périphérique, mais au vu des chutes de ces dernières semaines sur troubles de l'équilibre décrits comme aggravés, nous réalisons en plus du scanner natif (qui permet d'exclure un saignement), un scanner cérébral injecté pour exclure des lésions ischémiques surajoutées au vu des facteurs de risque du patient. Mr. Y a présenté durant son séjour une moyenne de 3 événements par jour, toujours objectivés par la mère, de max 5 secondes sans période post critique et toujours d'apparition aléatoire durant la journée malgré une prédominance lors de l'endormissement ou au réveil. Un bilan neurologique poussé a été effectué par le Dr. X (neuropédiatre) sans particularité. Un US transfontanellaire et une IRM sont revenus tous deux sans particularité. Un EEG est normal, sans pointes ondes, mais il n'a pas présenté d'épisodes durant l'enregistrement. Un fond d'œil a été également effectué, revenu normal.Sur le plan hématologique, nous effectuons également un bilan sanguin qui montre : aucun syndrome inflammatoire et pas de leucocytose, un bilan hépatique partiellement hémolysé avec GPT 38 U/L, phosphatase alcaline 539 U/L, un bilan hémolytique avec : acide urique 77 micromol/l, CK 313 U/L, une Ammoniémie dans les limites de la norme, une hyperlactatémie à maxima 4.8 mmol/L qui diminue progressivement mais persiste à la sortie. Des gazométries montrant au départ une alcalose respiratoire qui se transforme en acidose métabolique puis qui se normalise. Des bilans pour une chromatographie des acides aminés et une recherche au niveau des urines d'acides aminés et organiques est en ordre. Il est resté afébrile durant tout son séjour et une PCR RSV revient négative ainsi qu' une recherche d'adénovirus et rotavirus. Des urines sont également revenues sans particularité. Au vu des examens revenus normaux, nous concluons à des événements physiologiques du nourrisson et décidons d'un retour à domicile le 01.03 avec contrôle par vos soins dans une semaine. Limitation de la flexion dorsale sur conflit tibio-astragalien antérieur sur status post : • Ténotomie du tendon d'Achille pied D le 23.09.2005 • Allongement du tendon d'Achille, capsulotomie au niveau de l'articulation tibio-astragalienne et sous-astragalienne le 22.02.2006 Limitation de mobilité de l'IPP de D5, main droite, sur status post-luxation dorsale de l'IPP de D5 de la main droite en août 2018. L'incision permet d'évacuer beaucoup de pus. Le patient se sent soulagé après l'incision et il peut à nouveau marcher sans gêne. L'infiltration a été efficace pour diminuer les douleurs. Je propose au patient de continuer la physiothérapie pour récupérer une bonne fonction de son épaule gauche. Je lui explique qu'une rééducation de l'épaule peut prendre plusieurs mois et que généralement l'évolution est plutôt positive. Nous continuons dans ce sens. Une nouvelle ordonnance de physiothérapie à but d'améliorer la mobilité et de tonifier la coiffe des rotateurs schéma San Antonio est donnée au patient. Il reste en arrêt de travail à 100 % attesté jusqu'au 22.3.2019 où je reverrai le patient pour un contrôle clinique. L'infiltration des articulations facettaires a été efficace du point de vue de la douleur au niveau du bas du dos. Par contre, le patient présente actuellement des fourmillements et des dysesthésies au niveau des membres inférieurs des deux côtés sans corrélation avec un dermatome. J'adresse le patient à la consultation spécialisée de la Dresse X, neurologue, pour un avis. Je me demande si le patient ne souffre pas d'une polyneuropathie ou autre maladie démyélinisante. Un contrôle d'emblée chez moi n'est pas prévu. J'attends le résultat des investigations par la neurologue et je revois le patient si nécessaire. Pour l'instant, il n'y a pas d'autre traitement à proposer au patient. L'infiltration a été efficace, la patiente est satisfaite du résultat. Par contre, elle souffre d'une tendinopathie de la coiffe des rotateurs. L'arthro-IRM de l'épaule a pu mettre en évidence une lésion transfixiante sans rupture complète du tendon du muscle sus-épineux. Je propose à Mme Y d'être vue à la consultation spécialisée du Dr X pour un avis. En ce qui concerne le genou, je reste à disposition, la patiente me recontacte si nécessaire. Prescription de physiothérapie pour le genou D et pour tonifier la coiffe des rotateurs selon schéma San Antonio. L'infiltration n'a eu bénéfice que sur les douleurs qui sont probablement d'origine mécanique. Nous suspectons que ces douleurs sont soit sur syndrome sacro-iliaque soit sur probable pseudarthrose du matériel de spondylodèse. Nous proposons donc deux prises en charge en parallèle : d'une part, nous organisons 3 infiltrations de Curavisc toutes les deux semaines, les études ayant montré un bénéfice de l'infiltration d'acide hyaluronique au niveau de cette articulation. Au vu du doute radiologique sur son matériel de spondylodèse, nous organisons un scanner à la recherche de signes de pseudarthrose. Prochain contrôle prévu à la suite de tous ces examens et traitements dans 6 semaines. Nous rappelons à la patiente qu'en cas d'échec du traitement ou si le CT est négatif, une éventuelle dénervation sacro-iliaque pourrait être discutée, celle-ci ayant un taux de succès de 50 % environ. L'intervention susmentionnée se déroule le 18.02.2019. L'opération se passe sans complication et les suites sont simples. Le statut neurologique reste dans la norme. La plaie opératoire évolue favorablement. Elle est calme et sèche le jour de la sortie. Le patient bénéficie d'une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane durant le séjour. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Au vu d'une bonne évolution, le patient peut regagner son domicile le 20.02.2019.date du diagnostic : 11.11.2009 • histologie : liposarcome de sous-type pléomorphe mixte, grade 3 selon FNCLCC. MIB 1 - 50% (taux de capsule très fin à la surface tumorale) • bilan d'extension en décembre 2009 par CT thoracique et IRM abdomino-pelvienne sans évidence de métastase à distance • status post-résection (Dr. X) le 11.11.2009 • scintigraphie osseuse du 26.01.2010 : pas d'évidence de métastase osseuse • status post-reprise chirurgicale pour récidive le 26.08.2013 • histologie : liposarcome en grande partie de type pléomorphe, grade 3 d'après FNCLCC (le tissu tumoral touche par endroits la surface de coupe tissulaire) • status post-reprise chirurgicale le 22.09.2014 pour 2ème récidive tumorale • histologie : liposarcome en grande partie de type pléomorphe, grade 3 d'après FNCLCC (résection R1) • pas de chimiothérapie adjuvante en raison d'un risque de toxicité important (lié à son HIV, une hyperbilirubinémie et son status post-néphrectomie) • hémicastration le 07.12.2015 pour 5ème récidive avec radiothérapie néo-adjuvante en octobre-novembre 2015 • excision d'une récidive le 21.08.2017 décembre 2017 : récidive du nombre des métastases multiples • PET-CT du 18.12.2017 : métastases au niveau intercostal droit, médiastinal, latéro-thoracique droit, psoas droit et fessier gauche et cuisses • status post-biopsie des lésions sous-cutanées au niveau du flanc droit (histologie) : métastases du sarcome de haut grade en partie fusiforme, en partie pléomorphe connu (liposarcome dédifférencié) • status post 3 cures d'une chimiothérapie palliative par adriblastine du 30.01.2018 au 23.03.2018, combinée à un traitement par olaratumab dès la 3ème cure de chimiothérapie (23.03.2018) • actuellement : progression tumorale sous traitement par olaratumab, radiothérapie palliative au niveau d'une métastase périorbitaire gauche et chimiothérapie palliative par Yondelis • avec asthénie, fatigue, dépression, nausées/vomissements, hoquet, inappétence dans le contexte oncologique • Lipothymie. • Lipothymie d'origine indéterminée le 16.02.2019 avec : • vertiges, nausées, 1 épisode de vomissement et flou visuel. • symptômes spontanément résolutifs • Lipothymie d'origine indéterminée le 17.01.2019. • Lipothymie d'origine vaso-vagale : • Diagnostic différentiel : syncope orthostatique • Lipothymie probablement d'origine vaso-vagale. • Lipothymies • Opération des cervicales il y a une dizaine d'années par Dr. X • Cure de hernie inguino-scrotale avec filet paroi laparoscopie TEP le 17.11.2014 • Cure d'hernie ombilicale par suture directe le 17.11.2014 • Toxidermie sévère sur Amoxicilline/Clavulanate avec : • Fièvre et hypotension • Erythème généralisé maculo-papulaire peu prurigineux • Aphtes des muqueuses labiales DD : syndrome de choc toxique (moins probable) Radiographie thorax le 07.03.2017 Hémocultures 2 paires le 07.03.2017 : en cours Urotube 07.03.2017 : en cours Avis dermatologique aux urgences (Mme. X : avis téléphonique sur photographie) 07.03.2017 Avis infectiologique (Mme. X / Prof. X) 07.03.2017 Avis allergologique le 09.03.2017 NaCl 2000 ml aux urgences Cefepime 2 g i.v. dose unique aux urgences (À éviter vu les éventuelles réactions croisées) Lévocétirizine (Xyzal) 5 mg p.o. Methylprednisolone 125 mg i.v. aux urgences, puis relais Prednisone 1 mg/kg jusqu'au 11.03.2017 Éviction de toutes les Beta-lactamines Tuméfaction inguinale gauche indurée de nature indéterminée (connue) • Anamnestiquement : hématome chronique, secondaire à cure d'hernie inguinale • Bilanté par urologue traitant Dr. X DD : hydrocèle, kyste du canal déférent, néoplasie ? RDV prévu 23.03.2017 c/o Dr. X pour discuter d'une prise en charge Oedème léger du membre inférieur gauche : • Anamnestiquement : chronique, depuis plusieurs années • Pas de signe de thrombose veineuse profonde Nous conseillons contrôle angiologique ambulatoire L'IRM a mis en évidence la déchirure du ligament croisé antérieur G. La corne postérieure du ménisque interne est stable. Pas d'atteinte de l'appareil périphérique. L'IRM a permis d'exclure une atteinte du ménisque externe en regard de la corne postérieure. Le patient est devenu asymptomatique. Fin du traitement. Il me recontactera en cas de besoin. L'IRM a permis d'exclure une lésion structurelle au niveau du poignet. Après discussion avec Dr. X, poursuite du traitement conservateur avec l'attelle en réserve. Nous prescrivons à la patiente des séances d'ergothérapie afin d'améliorer la distorsion capsulaire et de permettre la réintégration de la main dans les activités de la vie quotidienne. Algifor en réserve et arrêt de sport pour les 4 prochaines semaines. Suite de la prise en charge à la consultation de Dr. X dans 1 mois. L'IRM cérébrale du jour est dans les limites de la norme excepté un léger réhaussement méningé. Dans ce contexte, nous effectuons une ponction lombaire. Les résultats du liquide céphalo-rachidien sont normaux. Le syndrome inflammatoire constaté le 04.02.2019 est à la baisse avec une CRP à 9. La patiente peut donc regagner son domicile le jour même. L'IRM colonne cervicale montre une hernie discale C4-C5 et C5-C6. L'ENMG montre une légère récidive du tunnel carpien à D. L'IRM confirme une distorsion du ligament collatéral interne, mais ne montre pas de lésion sur les ménisques. Je propose un traitement par physiothérapie à but antalgique. Les cannes anglaises peuvent être abandonnées et la patiente peut arrêter les injections de Clexane vu qu'elle arrive à marcher en charge complète. Pas de contrôle prévu d'emblée à ma consultation. La patiente me contactera en cas de besoin, sinon fin du traitement après les 9 séances de physiothérapie. Un arrêt de sport est attesté pour un mois. L'IRM de la colonne cervicale a pu exclure une discopathie voire myélopathie pouvant expliquer les cervico-brachialgies D. L'origine des douleurs est probablement dans un contexte de tendinopathie de la coiffe des rotateurs, particulièrement du sus-épineux, pour laquelle elle est déjà sous traitement conservateur (physiothérapie). Après 20 séances de physiothérapie, l'évolution est subjectivement peu favorable. J'adresse la patiente à Dr. X pour un avis spécialisé, et je le laisse juge quant à la suite du traitement. D'ici là, poursuite de la physiothérapie. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. L'IRM de la colonne lombaire met en évidence une hernie discale au niveau L2-L3, qui obstrue en proportion de 50% le canal médulaire mais qui ne fait pas de compression nerveuse. Une deuxième hernie discale est observée au niveau L4-L5 qui comprime la racine L5 du côté droit. Vu que le patient ne présente pas de déficit moteur ni sensitif, pas de paresthésie, nous conseillons pour l'instant un traitement conservateur. Le patient rentre à domicile avec un traitement antalgique. Nous le conseillons de consulter son médecin traitant par la suite. L'IRM du genou G effectué le 4.2.19 a pu exclure un état inflammatoire, mais n'explique toutefois pas la raideur présente chez Mme. Y. Selon le rapport du CRR à Sion de 2016, elle présentait déjà une raideur suite à son intervention du genou G. Apparemment, elle n'a jamais pu récupérer plus de 70° de flexion. Je réexplique à Mme. Y qu'un geste chirurgical n'est pas indiqué pour l'instant et lui propose de poursuivre le traitement de physiothérapie afin d'améliorer la mobilité. Une nouvelle prescription lui est remise. Le surpoids de la patiente joue également un rôle. Je l'encourage à demander une aide professionnelle pour perdre du poids. Un programme Weight-Watcher pourrait éventuellement l'aider. Du point de vue socio-économique, Mme. Y doit contacter l'Assurance-Invalidité pour une reconversion professionnelle. Elle bénéficie d'une incapacité de travail à 100 % jusqu'au 24.02.2019. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu, mais je reste à disposition en cas de besoin. • L'IRM du genou gauche confirme une gonarthrose tricompartimentale associée à une méniscopathie dégénérative de la corne postérieure du ménisque interne qui est la raison de l'apparition d'un kyste de Baker dans le creux poplité. Vu que le patient est actuellement asymptomatique, je n'ai pas de proposition thérapeutique. Au cas où il deviendrait symptomatique, on pourrait effectuer une arthroscopie dans le but de régulariser le ménisque et d'évacuer le kyste de Baker. Pas de contrôle prévu d'emblée. Le patient me recontactera en cas de réapparition de douleurs. • L'IRM du mois d'août 2018 montrait une discopathie L5-S1. Nous observons également une angulation congénitale augmentée de son sacrum et un conflit fémoro-acétabulaire au niveau du bassin. Les douleurs ressenties sont le plus probablement séquellaires d'une part de la chute et d'autre part de ces anomalies. Nous lui proposons donc un traitement conservateur avec stretching de la musculature abdominale et lui conseillons de pratiquer des activités limitant l'abduction des hanches. M. Y nous rapporte être suivi en rhumatologie avec un prochain rendez-vous dans 2 semaines. Au vu des ossifications multiples en regard des insertions musculaires du bassin, nous lui proposons de maintenir ce suivi, une spondylarthrite ankylosante débutante n'étant pas exclue. Pour notre part, nous reverrons le patient dans 6 mois pour un nouveau contrôle clinique. • L'IRM du 07.12.2018 met en évidence une rupture sub-totale du sus-épineux avec une rupture également sous-épineux. Kyste au niveau de la grande tubérosité et arthrose gléno-humérale ainsi qu'acromio-claviculaire. • L'IRM du 17.08.2018 montre une rupture transfixiante du sus-épineux avec rétraction modérée, trophicité musculaire conservée. Subluxation du long chef du biceps avec une lésion des fibres supérieures du sous-scapulaire. • L'IRM effectuée avant le contrôle met en évidence les éléments susmentionnés. Ainsi, nous mettons au courant le patient du diagnostic d'hernie discale L4-L5. Ce dernier est attendu à la consultation de la team Spine de HFR Fribourg le 19.02.2019 et commencera les séances de physiothérapie dès le 07.02.2019. • L'IRM et les RX disponibles sur le PACS montrent un arrachement osseux du sous-scapulaire. La rétraction est modérée. Je remplis avec le patient le formulaire d'information et de consentement en vue d'une prise en charge. • L'IRM met en évidence un kyste au niveau du versant acromial de l'articulation AC qui n'était pas présent dans le dernier IRM ainsi qu'une hypercaptation au niveau de la clavicule latérale et de l'acromion. Le faisceau médial du ligament se présente normalement. Le faisceau latéral semble avulsé au niveau de la clavicule avec une petite lame de liquide sous le périoste latéral. Surélévation millimétrique. • L'IRM met en évidence une calcification dans la masse tendineuse du sus-épineux qui peut tout à fait correspondre à une zone de contusion lors de l'accident ayant provoqué la fracture des 2 têtes radiales. La continuité est conservée. • L'IRM met en évidence une continuité du tendon sus-épineux avec un important amas cicatriciel sur la corticale latérale de l'humérus dans la bourse sous-acromiale. • L'IRM met en évidence une fracture des processus transverses droits et stables de L2-L4, mais pas de fracture des corps vertébraux ni de recul du mur postérieur ou d'atteinte nerveuse. Au vu de ces éléments, nous posons le diagnostic de fracture des processus transverses droits et stables de L2-L4. Un avis est demandé à la Team Spine de Fribourg qui préconise un contrôle à leur policlinique dans 4 semaines avec un arrêt de sport couvrant toute cette durée. La patiente peut donc rentrer à domicile avec une antalgie simple. Nous lui informons des symptômes auxquels la patiente doit faire attention, pour lesquels un contrôle urgent à la policlinique de la team Spine est préconisé. • L'IRM met en évidence une lésion profonde du sus-épineux avec des fibres superficielles encore attachées plutôt à la jonction sus-sous-épineux. Sous-scapulaire intacte. Arthropathie AC. • L'IRM met en évidence une rupture subtotale du sous-scapulaire avec rétraction du bord supérieur. Il a encore des fibres inférieures qui sont attachées. Le LCB est luxé par-dessus la petite tubérosité. La trophicité musculaire est intacte avec un excellent volume. Pas de trouble dégénératif. • L'IRM met en évidence une tendinite sur la 1ère coulisse. Tendinite modérée et diffuse sur le reste des extenseurs avec un discret remaniement inflammatoire au niveau des structures capsulo-ligamentaires de la synoviale du poignet (lésion de surcharge pathologique et rhumatologique). • RX coude g f/p : absence d'anomalie osseuse. • L'IRM montre des lésions partielles des ligaments collatéraux. Œdème osseux de la phalange proximale et du 1er métacarpe en regard de l'articulation métacarpo-phalangienne. • L'IRM montre les éléments susmentionnés. Ainsi, nous contactons le chef de clinique de la team Spine de l'HFR Fribourg pour organiser la suite de prise en charge. Ce dernier préconise un arrêt de travail et repos pendant 1 mois avec une radiographie de contrôle de la colonne dorsale, organisée pour le 04.03.2019 à Riaz et un rendez-vous auprès de la team Spine le 05.03.2019 à Fribourg pour suite de prise en charge. En cas de péjoration de la symptomatologie, nous recommandons à la patiente d'appeler directement la team Spine de l'HFR Fribourg. • L'IRM montre une petite tendinopathie du sus-épineux mais pas d'autre pathologie notamment pas de masse dans l'espace quadro-angulaire. L'examen neurologique exclut une compression du nerf axillaire au niveau de l'espace quadro-angulaire. • L'IRM montre une rupture chronique du sus-épineux avec une rétraction du 3ème degré et une ascension de la tête humérale avec signe d'omarthrose sévère. • L'IRM montre une tendinopathie hypertrophique du LCB qui est sorti de sa gouttière sur ses parties hautes. Atteinte des parties hautes du sous-scapulaire et des parties antérieures du sus-épineux de moindre intensité. • L'IRM natif de l'épaule D met en évidence une tendinopathie du tendon du muscle sus-épineux, sans lésion transfixiante. Nous allons introduire un traitement conservateur par physiothérapie (coiffe des rotateurs). Néanmoins, cette lésion n'explique pas tous les symptômes décrits par la patiente, qui s'étendent sur tout le MID. Pour cette raison, une IRM cervicale va être effectuée afin d'exclure discopathie, voire une myélopathie. Un contrôle est prévu à ma consultation le 26.02.2019 afin de discuter de la suite du traitement. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. • L'IRM native du genou gauche a mis en évidence une lésion du ménisque interne. Dans un 1er temps, nous essayons un traitement conservateur. Le patient ira faire de la physiothérapie à but antalgique et pour re-mobiliser son genou. Je le reverrai dans 6 semaines pour une réévaluation clinique. Jusque-là, il reste en arrêt de travail à 100 %. En cas de persistance de douleurs, le patient pourra éventuellement bénéficier d'une arthroscopie et résection partielle de la lésion en regard du ménisque interne. Prochain rendez-vous le 03.04.2019. • L'IRM ne montre pas de lipome en sous-cutané sur la face latérale du delta. • Lisinopril • Lisinopril dès le 15.02.2019 Metoprolol le 15.02.2019 Atorvastatine le 15.02.2019 • Echocardiographie transthoracique le 15.02.2019 Holter du 15.02 au 17.02.2019 IRM cardiaque prévue à Riaz le 14.03.2019 à 14:00 (à la recherche morphologie cardiomyopathie hypertrophique) • patient devant être à jeun 3h auparavant et se présenter à 13h45 aux admissions des urgences Lisinopril, Metoprolol, Atorvastatine Aspirine cardio à vie, Prasugrel durant 12 mois Echocardiographie transthoracique de contrôle demandée Contrôle dans 01 mois chez le Dr. X Ergométrie dans une année Lisinopril puis Valsartan Lisinopril 10 mg dès le 01.02.2019 Esidrex 12.5 mg 1x/j dès le 04.02.2019 Bilan d'atteinte d'organe : • Sédiment urinaire : Absence de microalbuminurie • Consultation ophtalmologique le 05.02.2019 : minime artériosclérose de stade 1 bilatéral Lisinopril 5 mg dès le 18.2.2019 Mme. Y est admise dans le service de Néonatologie le 12.02 pour un ictère néonatal et une surveillance alimentaire dans le cadre d'un RCIU sévère harmonieux. Au niveau alimentaire, Mme. Y évolue de manière favorable au cours de son séjour, avec une tétée de plus en plus efficace, et une prise de poids avec un poids de sortie de 2210g. Au niveau métabolique, elle présente au contrôle du 14.02 une bilirubine à 270 umol/l (limite de 260), photothérapie pendant 15 heures, dernier contrôle de bilirubine total 222 umol/l le 15.2. Nous réalisons un ultrason cérébral le 13.02 pour une microcéphalie à 31 cm, qui ne met pas en évidence de lésions ou d'anomalies anatomiques. Nous vous laissons donc le soin de poursuivre le contrôle du périmètre cranien par la suite. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mme. Y rentre à domicile le 15.02 avec les consignes de surveillance et un contrôle chez le pédiatre à 1 mois de vie et un suivi à domicile par une sage-femme. Lithiase rénale de 3mm à la jonction vésico-urétérale droite Lithiase rénale distale gauche le 22.02.2019 Lithiase rénale en 2008. APP. Lithiase rénale G de 5x4x8 mm au scanner du 06.02.2019. Lithiase rénale symptomatique il y a environ 5 ans. Status-post gastrite à Helicobacter pylori anamnestique avec éradication (?). Bronchopneumonie 03.2013. Cure de hernie inguinale gauche dans l'enfance. Traumatisme crânien avec perte de connaissance sur AVP. Lithiase urétérale droite de 3mm Lithiase urétrale de 5x5x4 cm au niveau de l'uretère moyen avec dilatation pyélo-calicielle de 22 mm le 07.02.2019. Lithiase urinaire dans l'uretère gauche le 06.02.2019 • avec insuffisance rénale aiguë concomitante Lithiase urinaire de 9 mm au niveau de la jonction néphro-urétérale droite le 05.02.2019. Lithiase urinaire droite de 0.3cm le 27.02.2019. Lithiase urinaire droite de 4mm le 29.08.2015. Lithiase urinaire droite de 7x4x4 mm le 04.02.2019 Lithiase urinaire droite de 7x4x4 mm située à 12 mm en amont de la jonction urétéro-vésicale droite le 04.02.2019 Lithiase urinaire gauche de 7x4x9 mm au niveau de la jonction pyélo-urétérale le 25.02.2019 avec : • dilatation du pyélon gauche à 13 mm Lithiase urinaire gauche le 17.02.19. Lithiase urinaire jonction urétéro-vésicale D de 4.5 mm, non compliquée ; dilatation pyélocalicielle à 2.8 cm. Lithiase urinaire 3 x 2 mm de la jonction urétéro-vésicale : • sans signes de complications pyélocalicielles ou dilatation. Lithiase urinaire le 22.06.2015 • Calcul de 4mm au niveau du méat urétéral distal • Pas d'infiltration • Pas de dilatation pyélocalicienne Lombosciatalgie L5 D non déficitaire • IRM en nov 2016 : discrète discopathie L5-S1 associée à un minime débord discal à D au contact de la racine et pouvant être à l'origine d'un syndrome irritatif. • Vue en CS chez le Dr. X le 05.12.2016 qui a confirmé un syndrome lombo-radiculaire irritatif L5-S1 D. Lithiase vésicale de 6cm et lithiase urétérale gauche 12mm x 9mm à proximité de la jonction vésico-urétérale : • Le 28.11.2018, Dr. X : laparotomie médiane pré-péritonéale, pose d'une sonde double J gauche et excision de la lithiase vésicale Hernie latérale externe gauche L3-L4 et droite L4-L5. Spondylolisthésis L4-L5. Cure d'hernie inguinale directe droite et cure de hernie ombilicale en 2006. Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique, avec créatinine à 511µmol/l d'origine obstructive avec calcul de 12mm x 9mm intra-urétéral proximal à 5-6cm de la jonction. Infection urinaire compliquée en 01.2019. Crise de goutte aux 2 chevilles le 17.01.2019. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle en 01.2019 : • Troubles cognitifs avec MMSE à 21/30. • Anémie normochrome normocytaire. • Spondylolisthésis L4-L5. • Status après infection urinaire compliquée. • Longue hospitalisation. • Malnutrition. • Status après opération le 25.01.2019. • Crise de goutte aux deux chevilles. Insuffisance rénale aiguë d'origine rénale et post-rénale sur insuffisance rénale chronique avec créatinine à 133ml/min le 27.01.2019. Anémie hypochrome normocytaire avec hémoglobine à 101g/l le 27.01.2019 : • Dans un contexte d'ulcère en cours de guérison au niveau de la face postérieure du bulbe duodénal (OGD le 17.01.2019). Calculs urinaires en acide urique en 01.2019. Malnutrition protéino-énergétique modérée en 01.2019. Lithiases biliaires récidivantes symptomatiques. Éruption maculopapuleuse confluente au niveau des membres supérieurs des deux côtés le 22.02.2018 sur probable dermite allergique de contact. Suspicion de portage de germes résistants : • Hospitalisation récente au Portugal. • Recherche MRSA aisselles, narines et plis inguinaux : négatif. • Recherche ESBL rectum : pos. pour K.pneumoniae et E.Coli. Lithiases urinaires PTH bilatérale Lithiases urinaires PTH bilatérale infiltration des genoux polyarthrite rhumatoïde Lithiases vésiculaires. Lithotripsie extra-corporelle d'un calcul du rein gauche en 2013. Accouchements par voie basse en 2006 et 2011. Lithiase calicielle gauche le 09.01.2019, Dr. X : néphrolithotomie percutanée et urétéroscopie rigide. Réaction allergique stade II probablement dans le contexte para-infectieux. État grippal. Lithotripsie puis changement de la sonde double J, par Dr. X au Daler le 01.02.2019 Séjour aux soins intensifs du 01.02 au 05.02.2019 : Catécholamine et réanimation volémique VVC (posée à l'hôpital Daler) sous-clavière droite du 01.02 au 17.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 01.02 au 04.02.2019 Tienam du 01.02 au 03.02.2019 Vancomycine i.v. continue du 02.02 au 09.02.2019 Fluconazole le 02.02.2019 Taux de Vancomycine les 03.02, 04.02, 05.02 et 07.02.2019 Avis infectiologique les 02.02 et 08.02.2019 (Dr. X) Uricult au labo MCL : E. faecium S à Vancomycine et Linézolide 10 (3), Staphylococcus epidermidis 10 (3), sensible au Tetracycline Uricult le 03.02.2019 : Candida krusei Amphotéricine B i.v. du 13.02 au 15.02.2019 Vancomycine i.v. le 15.02.2019 Retrait de sonde double J par Dr. X le 15.02.2019 Mr. Y présente une distorsion de l'aileron rotulien interne qui est en nette amélioration au niveau des douleurs. Je propose un traitement par physiothérapie à but antalgique et pour regagner la mobilité. Arrêt de sport pour un mois. Pas de contrôle prévu d'emblée chez moi. Mr. Y me recontactera en cas de besoin, sinon fin du traitement. Lobectomie avancée et lymphadénectomie médiastinale radicale le 10.12.2018 pour un carcinome épidermoïde NSCLC du lobe inférieur droit pT4 pN2 pM0 (Stade IIIB) diagnostiqué le 06.11.2018. Anémie normochrome normocytaire le 04.11.2018. Hyponatrémie légère à 130 mmol/l. Cure de hernie discale L2-L3 D (OP 22.11.13). Opération hernie discale L4-L5 il y a 20 ans avec, déjà à cette époque, un pied tombant. Polytraumatisme de la route en 1991 avec coma de 5 jours, pneumothorax, déchirure diaphragme, rupture de la rate. Hernie discale L2-L3 D, déficitaire luxée libre. L'oeil D qui coule l'oeil gauche gonflé Mr. Y est admis dans le service de Néonatologie le 19.02 pour poursuite des investigations d'une fièvre sans foyer. Au niveau infectieux, après avoir exclu une infection urinaire et une méningite avec un bilan inflammatoire dans la norme, nous débutons une thérapie avec amoxicilline 100 mg/kg/j et gentamycine 4 mg/kg/j. Une hémoculture est prélevée et reste stérile à 5 jours de culture. Le frottis naso-pharyngé ne met pas en évidence de RSV mais une PCR d'Influenza A positive. Avec ce résultat et en vue d'une bonne évolution clinique, nous décidons d'arrêter les antibiotiques le lendemain. Sans vraie indication clinique (distension gastrique transitoire), un prélèvement de selles était envoyé au laboratoire et montre une PCR positive pour Shigella spp. Sur l'avis de notre infectiologue pédiatre, ce résultat nécessitait une antibiothérapie i.v. par ceftriaxone, débutée le 20.2. Sauf une légère diarrhée suite aux antibiotiques, la fille est restée asymptomatique au niveau digestif pendant toute l'hospitalisation. Ceftriaxone jusqu'au 22.02, que nous relayons par un traitement d'Azithromycine 10 mg/kg/j pendant 3 jours pour le retour à domicile. Mais le jour de la sortie de Mr. Y, nous sommes informés par le laboratoire que la culture des selles reste stérile et qu'à la répétition de la PCR pour Shigella, celle-ci est négative. Le premier résultat pourrait donc être expliqué par une possible contamination au laboratoire. Nous appelons donc les parents le 22.02 et leur demandons de ne pas commencer le traitement antibiotique per os d'Azithromycine. Au niveau digestif, au vu de la distension abdominale, nous réalisons un babygramme le 19.02 qui met en évidence une distension gastrique importante, motivant la mise en place d'une sonde naso-gastrique par laquelle nous retirons 70 ml d'air. Elle ne présente plus de distension par la suite et la sonde est retirée le 21.02. Elle ne nécessite pas de soutien alimentaire au cours du séjour. Elle présente un transit régulier par la suite. Au niveau cardio-respiratoire, Mr. Y reste stable hémodynamiquement tout au long du séjour et ne nécessite pas de soutien respiratoire. Il profite de rinçages de nez réguliers. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 22.02 avec un contrôle chez le pédiatre en cas de péjoration ou de persistance des symptômes. Lombalgie Lombalgie aiguë. Lombalgie aiguë le 01.02.2019. Lombalgie aiguë le 18.02.2019. Lombalgie aiguë non déficitaire le 16.02.2019. Lombalgie aiguë non déficitaire le 31.01.19. Lombalgie aiguë non déficitaire le 28.07.2017. Lombalgie aiguë non-déficitaire le 12.02.2019. Lombalgie avec irradiation. Lombalgie bilatérale atraumatique non déficitaire sans atteinte radiculaire le 14.02.2019. Lombalgie chronique. Lombalgie chronique dans un contexte de canal lombaire étroit dégénératif. Pneumonie basale droite le 26.12.2017. Neutropénie fébrile associée dans le contexte de la chimiothérapie. Troubles électrolytiques multiples (hypokaliémie, hypophosphatémie, hypomagnésiémie) le 26.12.2017. Endocardite à Streptococcus anginosus le 19.10.2018. Lombalgie déficitaire le 12.02.2019. - perte d'urine ce matin, pas uriné depuis. Lombalgie déficitaire L5 le 24.02.19. Lombalgie d'origine musculaire, non déficitaire, atraumatique. Lombalgie droite non déficitaire. Lombalgie droite non déficitaire sur contracture musculaire. Lombalgie et sciatalgie droite sans traumatisme le 12.02.2019. - non déficitaires. Lombalgie et sciatalgie droite, sans traumatisme, le 19.02.2019. - non déficitaires. - laboratoire le 12.02.2019 : aligné. - Rx lombaire et du bassin le 12.02.2019 : pas de fracture ni de signe de spondylodiscite visualisés. Lombalgie gauche déficitaire. - RX : Pas de fracture, remaniement arthrosique hanche G. - IRM le 12.02.19. - Hospitalisation en médecine à Riaz. - Physiothérapie antalgique. - Avis Dr. X. - Avis spine team (Dr. X) le 13.02 : transfert aux urgences pour évaluation. Lombalgie gauche non déficitaire le 22.02.2019. - traumatisme le 13.02.2019. Lombalgie gauche non déficitaire le 25/01/19 avec : - impingement costo-iliaque gauche. - scoliose dextro-convexe du rachis dorsal (primaire vs secondaire). - arthrose facettaire. - ostéochondrose L3-L4-L5. - ostéoporose fracturaire (fracture-tassement L4, Cyphoplastie D12 pour fracture-tassement le 29.10.2010). Lombalgie L5-S1 sur contracture musculaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire atraumatique, d'origine musculaire. Lombalgie non déficitaire, atraumatique, le 12.02.19. Lombalgie non déficitaire le 01.11.2016. Lombalgie non déficitaire le 07.02.2019. - sur chute de sa hauteur le 06.02.2019. Lombalgie non déficitaire le 13.05.2017. Lombalgie non déficitaire le 17.02.2019. Lombalgie non déficitaire le 24.02.19. Lombalgie non déficitaire, le 26.02.2019. Lombalgie non déficitaire, le 27.02.2019. Lombalgie non déficitaire, le 28.02.2015. Cholécystectomie en février 2016. Hernie hiatale. Lombalgie non déficitaire L3-L4 isolée. Lombalgie non déficitaire (sans précision). Iléus sur bride avec section de bride et révision de l'intestin grêle le 22.08.2013. Choc septique sur pneumonie communautaire basale droite le 05.10.2016. - CIVD biologique. Lombalgie non déficitaire sur arthrose facettaire multi-étagée le 22.02.19. Lombalgie non déficitaire. - sur port de charges lourdes. Lombalgie non déficitaire. Contusion thoracique sur chute de 3 mètres de haut le 08.09.2017. Crachats hémoptoïques 22.03.2018. Lombalgie non déficitaire - IRM mai 2017. Discopathie L3-L4 et L4-L5 avec débord discal aux deux niveaux, avec probable déchirure annulaire focale postérieure. Rétrécissement canalaire au plus marqué en L4-L5 sur débord discal et pédicule court. Lombalgie non-déficitaire et sans critère de gravité à priori. Lombalgie non-déficitaire, le 23.02.2019. Lombalgie sans critères de gravité. Lombalgies Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies.Lombalgies. Lombalgies aigu non déficitaires post traumatique le 22.01.19 Lombalgies aiguës. Lombalgies aiguës gauches simples d'origine musculaire. Lombalgies aigües non déficitaires avec: • tassement vertébral D12. • fracture du plateau vertébral supérieur de L3. • discopathie pluri-étagée prédominant au niveau L3-L4, L4-L5 et L5-S1. • arthrose postérieure lombaire basse L5-S1 avec antélisthésis L5-S1 grade I. • scoliose lombaire sinistro-convexe. • ostéopénie. • notion de traumatisme (mais en juin dernier). Douleur thoracique d'origine indéterminée le 10.08.2018. Lombalgies aigues non déficitaires. Lombalgies aigües non déficitaires: • notion de faux mouvement il y a 3 semaines, • notion de chute à la gym il y a 2 semaines. Lombalgies aiguës non spécifiques: traitement par myorelaxant et antalgie. Douleur nerveuse intercostale gauche. Contusion tendon d'Achille le 28.08.2017. Radiographie: pas de fracture ni d'arrachement osseux visualisé. Lombalgies aspécifiques. Lombalgies avec une composante de syndrome sacro-iliaque ddc, plus prononcé à droite, dans un contexte du trouble de dysbalance sagittale de la colonne. Coxarthrose débutante ddc. Lombalgies basses chroniques avec douleurs référées aux 2 MIs sur troubles de la statique rachidienne et légère discopathie étagée sans conflit disco-radiculaire. Lombalgies basses d'origine pluri-factorielle sur: • Suspicion sacro-iliaque bilatéral • Coxarthrose bilatérale marquée • Arthrose facettaire prédominant en L5-S1 ddc Lombalgies bilatérales non déficitaires probablement sur hernie discale le 13.02.2019. Lombalgies, cervicalgies. Lombalgies chroniques avec antécédent anamnestique d'opération. Trouble dépressif sous Mirtazapin. Lombalgies chroniques avec antécédent anamnestique d'opération. Trouble dépressif sous Mirtazapin. Polyneuropathie sensitive des membres inférieurs probablement d'origine diabétique. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques anamnestiquement sous MST. Suivi en Rhumatologie. Lombalgies chroniques dans le contexte de multiples fractures ostéoporotiques D9, D11, D12 et L1. • S/p cyphoplastie D9 le 17.10.2016 et D12 avec système SpineJack le 12.10.2016. • IRM du 07.09.2017: Tassement subaigu des vertèbres D11 et L1. Déformation cunéiforme de D11 et D12. • CT colonne dorsale le 07.01.2019: fracture de tassement de D11 et de L1 sans recul significatif des murs postérieurs. Hernie hiatale par glissement. • Consultation Dr. X (Orthopédie HFR Fribourg) le 09.01.2019: proposition d'une consolidation chirurgicale refusée par le patient. Lombalgies chroniques non déficitaires. Lombalgies chroniques non déficitaires. DD: spondylodiscite. Lombalgies chroniques non-déficitaires d'origine indéterminée. DD tassement vertébral. DD métastase. DD dégénératif. Lombalgies chroniques non-déficitaires d'origine indéterminée et multi-investiguées: • Diagnostic différentiel : dégénératives. Lombalgies chroniques. Reflux gastro-oesophagien non traité. Lombalgies chroniques. Surcharge pondérale. Lombalgies déficitaires. Lombalgies déficitaires sur hernie discale bilatérale au niveau L4-L5, le 13.02.2019. Lombalgies d'origine musculaire transitoires. Ibuprofen en réserve (2 prises). Paracétamol en réserve. Lombalgies droites non déficitaires le 24.02.2019. Lombalgies droites non déficitaires sans drapeaux rouges le 03.02.2019. Lombalgies droites non déficitaires sur probable contracture musculaire, faux mouvement. Lombalgies droites résistantes au traitement conservateur chez patient connu pour: • Foraminotomie L4-L5 droite et libération radiculaire le 29.10.2018 pour sténose foraminale L4-5 droite symptomatique et arthrose facettaire. • Hernie discale L5-S1 para-médiane droite avec conflit racine S1 droit avec probable fragment exclu. • Infiltration péri-articulaire L5 droit sous CT le 17.12.2018. Lombalgies droites très probablement d'origine musculaire. Lombalgies et cervicalgies simple non déficitaires. Lombalgies et douleurs abdominales. Lombalgies gauches. Lombalgies gauches non déficitaires. Lombalgies gauches sans critère de gravité. Lombalgies L3 (ou L4) d'origine indéterminée, DD infectieuse, néoplasique, inflammatoire. Lombalgies L3-L5. Contusion musculaire simple. Dysurie et pollakiurie d'origine indéterminée le 06.12.2016. Angine aiguë à streptocoques du groupe A le 17.02.2017 avec score de Centor à 4 points, strepto A test positif. Vertiges d'origine périphérique le 11.04.2018. DD : vertige périphérique paroxystique bénin. Lombalgies musculaires transitoires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires à droite le 09.02.2019. • dans contexte de canal lombaire étroit constitutionnel diagnostiqué en 2016. Lombalgies non déficitaires avec importante composante fonctionnelle 24.01.2019. Lombalgies non déficitaires d'origine musculaire. Lombalgies non déficitaires le 09.03.2017. Lombalgies non déficitaires le 13.02.2019. Lombalgies non déficitaires, le 16.02.2019. Lombalgies non déficitaires le 17.02.2019. Lombalgies non déficitaires le 18.02.2019. Lombalgies non déficitaires le 22.08.2017. Lombalgies non déficitaires le 25.02.2019. Lombalgies non déficitaires prédominantes à gauche. Lombalgies non spécifiques. Lombalgies non-déficitaires le 09.02.2019. Lombalgies non-traumatiques, non-déficitaires le 17.04.2016. Lombalgies persistantes avec irradiation dans les MI et claudication dans le cadre de: • Canal lombaire étroit constitutionnel + dégénératif avec décompensation en scoliose. • Strangulation du fourreau dural L1-L2 et L2-L3 avec brèche durale L3 à droite contenue. • Status post décompression L2-L3, L3-L4 par abord D et décompression controlatérale par Cross over le 11.12.2017 sur décompensation canal lombaire étroit L2-L3, L3-L4 sur status post décompression L4-L5 bilatérale + spondylodèse L4-L5 par vis transpédiculaire ROMEO et herniectomie L4-L5 D + discectomie et mise en place d'une cage TLIF Juliet taille 10 le 19.06.2017. Lombalgies simples. Lombalgies simples non déficitaires. • Début de lyse isthmique L5 bilatérale avec arthrose facettaire L5-S1. Lombo sciatalgie gauche L2-L3 non déficitaire le 10.02.2019. • dans contexte oncologique avec Infiltration para-aortique incluant psoas gauche et racines nerveuses gauche de L2 à L3. Lombo-cruralgie droite non déficitaire, le 04.02.2019. Lombocruralgie L3-L4 non déficitaire le 13.02.2019. Lombo-cruralgie non déficitaire à droite. Lombocruralgies droites. Lombocruralgies droites. Lombo-cruralgies droites non déficitaires acutisées sur traumatisme du 29.01.2019 avec mauvaise adaptation de l'antalgie le 03.02.2019. Lombo-cruralgies gauche non déficitaire d'allure neuropathique sur hernie discale L3-L4 gauche extra-foraminale. Bronchite aiguë le 13.12.2015. Traitement symptomatique.Contrôle chez son médecin traitant fin de semaine si pas amélioration de la clinique Lombo-cruralgies gauche non déficitaire d'allure neuropathique sur hernie discale L3-L4 gauche extra-foraminale Bronchite aiguë le 13.12.2015 Traitement symptomatique Contrôle chez son médecin traitant fin de semaine si pas amélioration de la clinique Lombocruralgies gauches (DD : douleurs musculaires). Lombo-cruralgies non déficitaire atraumatiques, status post-prothèse totale de hanche droite en 2017. Lombo-ischialgie à droite déficitaire le 01.02.2019 avec : • irradiation fesse droite, cuisse latérale à droite • déficit de la force du quadriceps M4 et de l'iliopsoas M4 • réflexe patellaire absent. Lombosciatalgie. Lombosciatalgie. Lombo-sciatalgie à droite de longue le 19.02.2019 • suivi en antalgie Lombosciatalgie aiguë non déficitaire Lombo-sciatalgie bilatérale prédominante à droite non déficitaire sur hernie discale L5/S1 le 22.01.2019 • CT colonne lombaire du 13.01.2019 : remaniements dégénératifs pluri-étagés du rachis • IRM colonne lombaire du 17.01.2019 (CIMF) : grosse hernie discale L5/S1 paramédiane droite avec compression marquée de la racine S1 droite et moindre de la racine L5 gauche Lombosciatalgie chronique : • demande AI en cours (2019) • IRM lombaire du 02.09.2009 : discopathies pluri-étagées, protrusion discale L4-L5 médiane sans évidence de compression, extrusion discale récidivante latérale G L5-S1, canal vertébral modérément étroit d'origine congénitale Diabète de type II (HbA1c du 12.01.2019 : 7.6%) : • antécédent de diabète traité par perte pondérale Thrombocytose chronique depuis 2008 État anxieux Lombo-sciatalgie chronique avec : • demande AI en cours (2019). • IRM lombaire du 02.09.2009 : discopathies pluri-étagées, protrusion discale L4-L5 médiane sans évidence de compression, extrusion discale récidivante latérale gauche L5-S1, canal vertébral modérément étroit d'origine congénitale. Lombosciatalgie droite déficitaire le 05.02.2019 • IRM de 2016 dans le dossier du patient Lombosciatalgie droite non déficitaire. Lombosciatalgie droite non déficitaire le 01.02.19 Lombosciatalgie droite, non déficitaire le 04.02.2019. Lombosciatalgie droite non déficitaire le 16.02.2019. Lombosciatalgie droite non-déficitaire. Lombosciatalgie droite sans déficit moteur le 22.02.2019. Lombosciatalgie G non déficitaire. Lombo-sciatalgie gauche déficitaire le 12.02.2019 • IRM lombaire en ambulatoire le 05.02.2019. Lombosciatalgie gauche non déficitaire. Lombosciatalgie gauche non déficitaire le 04.02.2019. Lombo-sciatalgie gauche non déficitaire le 21.02.2019. Lombosciatalgie gauche non-déficitaire Fracture intra-articulaire du radius distal G non déplacée le 10.08.2018 -> Traitement conservateur Carence en fer sans anémie le 14.08.2018 (Ferritine 25 mcg/L) -> Substitution de fer par voie orale Lombosciatalgie gauches non déficitaires sur probable hernie discale le 16.02.2019 avec consultation aux urgences de Fribourg le 13.02.2019. Lombosciatalgie L4-L5 et L5-S1 non déficitaire hyperalgique le 18/02/19 Contexte de déconditionnement physique sur obésité morbide et discopathie L4-L5 et L5-S1 Lombosciatalgie L4-L5 gauche, non-déficitaire. Lombosciatalgie L5 non déficitaire gauche le 12.02.2019. Lombosciatalgie L5 non déficitaire hyperalgique le 18/02/19 Lombosciatalgie non déficitaire. Lombosciatalgie non déficitaire. Lombosciatalgie non déficitaire L3-L4-L5 le 10.02.2019. Lombosciatalgie S1 gauche tronquée, non déficitaire le 01.02.2019. Lombosciatalgies. Lombosciatalgies. Lombosciatalgies. Lombo-sciatalgies à prédominance droite non déficitaires. Lombosciatalgies bilatérales. Lombosciatalgies bilatérales chroniques : DD polyneuropathie ? • spondylarthrose multi-étagée avec une arthrose facettaire importante L4-L5. Gonarthrose bilatérale plus symptomatique à D qu'à G. Lombosciatalgies chroniques (depuis 2003). Stéatose hépatique avec une perturbation des tests hépatiques d'origine inconnue Hypertension artérielle Hypercholestérolémie Diabète de type 2 insulino-requérant Lombosciatalgies droites chroniques non déficitaires Obésité de classe 2 (BMI 37.9 kg/m2) Tr. anxio-dépressifs récurrents avec attaque de panique récidivante • s/p épisode moyen en 2006, hospitalisation à Marsens anamnestiquement Retard mental léger • sans trouble du comportement significatif nécessitant une surveillance et un traitement Lombosciatalgies droites non déficitaires. Lombosciatalgies droites non déficitaires. Lombo-sciatalgies droites non déficitaires le 11.02.2019. Lombosciatalgies droites non-déficitaires. Lombosciatalgies droites Arthrotomie L2-L3 et L3-L4 gauche avec décompression, neurolyse, greffe intra-discale en 2009 Décompression L3-L4 droite en 2006 Libération des racines L3-L4-L5 en 2008 Stabilisation L1-L5 avec 2 vis en 2009 Prothèse uni-compartimentale du genou droit par prothèse Oxford à plateau mobile le 09.12.2014 pour gonarthrose varisante du genou droit Décompensation de bronchopneumopathie chronique obstructive en juin 2015 Fracture de l'extrémité distale du radius gauche avec bascule postérieure en janvier 2018 Lombosciatalgies et douleurs abdominales post-opératoires sur lombalgies chroniques à droite le 10.02.2019 avec • s/p XLIF L4-L5 avec abord rétropéritonéal et trans-psoas du côté gauche avec pose de cage Timberline Zimmer 22x50x12 mm/8° et vis latéro-latérales (OP le 21.01.2019) pour maladie du segment adjacent L4-L5 avec discopathie sévère, débord discal global prédominant à D et arthrose facettaire modérée de L5-S1. Lombosciatalgies gauches. Lombosciatalgies gauches aigües non traumatiques, non déficitaires L3-L5. Lombo-sciatalgies gauches avec déficit de sensibilité le 11.02.2019 non traumatiques. Lombosciatalgies gauches déficitaires. Lombosciatalgies gauches non déficitaires atraumatiques le 04.02.2019 • discopathie lombaire pluriétagée associée à une hypertrophie des ligaments jaunes L4-5 avec rétrécissement récessal bilatéral Lombo-sciatalgies gauches non déficitaires le 12.02.2019. Lombosciatalgies gauches non déficitaires le 27.02.2019. Lombosciatalgies gauches sur hernie discale L4-5 avec déficit du releveur de l'hallux à M3 le 19.02.2019. Lombosciatalgies gauches sur radiculopathie L4 irritative dans le cadre d'un rétrécissement foraminal L4-L5 gauche sur : • discopathie dégénérative L3-L4 et L4-L5 avec bombement discal et rétrécissement des foramens du côté gauche associée à des kystes de Tarlov congénitaux sur les foramens à prédominance gauche. Lombosciatalgies non déficientes à droite le 05.02.2019. Lombo-sciatalgies non déficitaires. Lombosciatalgies non déficitaires. DD : hernie discale. Lombo-sciatalgies non déficitaires le 07.02.19. Lombosciatalgies non déficitaires. Hyperthyroïdie traitée par Neo Mercazole. Lombosciatalgies sur douleurs neuropathiques S1 G sur : • Status post-discectomie L5-S1 par abord rétropéritonéal G, AMO Barricaid L5-S1 G, décompression intra-canalaire et spondylodèse L5-S1 par cage Synfix evolution 12/14°, pré-remplie au Ceracell et fixée par 4 vis (2 x 20mm, 2 x 25mm) le 17.08.2018 pour une discopathie L5-S1 évolutive avec protrusion cicatricielle et hernie discale récidivante à G • Granulome de fil à l'extrémité G de la plaie chirurgicale • Status post cure de hernie discale L5-S1 G déficitaire luxée vers le haut, mise en place d'un Barricaid 10mm et suture d'une brèche durale le 18.05.2011. Lombosciatalgies S1 G sur protrusion discale globale et paramédiane G L5-S1, conflictuelle avec la racine S1 G • Nucléotomie percutanée L5-S1 (Dr. X) le 13.06.2018 Protrusion discale L4-L5 et kyste articulaire L4-L5 G Gonarthrose fémoro-tibiale externe G• AS genou G en décembre 2015 (Dr. X) • Kyste de Baker genou gauche. • État après arthroscopie genou gauche (Dr. X) en décembre 2015. • Thrombopénie légère chronique • Fibrillation auriculaire paroxystique, nouvelle, le 29.03.2017. • SAOS appareillé • Ancien tabagisme à 50 UPA • Lombosciatique S1 droit non déficitaire. • Lombotomie, thromboendartériectomie fémorale droite et pontage ilio-fémoral le 04.02.2019 • Thromboendartériectomie fémorale droite et plastie d'élargissement le 05.02.2019 • Chirurgien HFR de référence: Dr. X • Longue discussion avec Mr. Y sur le rôle des urgences, réassurance quant à l'absence de symptômes d'alarme dans son histoire et examen clinique, mais fortement encouragé à discuter avec son médecin traitant quant à son hygiène de vie (consommation d'alcool, tabac) et à réaliser un bilan de santé avec éventuellement test HIV si jamais fait, dépistage apnée du sommeil. • Lorazepam sub-lingual depuis le 11.02.2019 • Fracture oblique non déplacée de l'acromion de l'épaule droite le 11.09.2011. • L'origine de la macrohématurie retrouvée dans l'analyse des urines n'est pas claire. Nous effectuons un frottis de l'urètre pour une PCR pour des Chlamydia et gonocoque. Mr. Y reconsultira le 05.02.2019 en Filière 34 pour un contrôle clinique et des urines. Appel le 05.02.2019 du médecin traitant, Mr. Y consulte chez eux à 10h30. • L'origine de la symptomatologie reste peu claire; Mr. Y sera convoqué à la consultation des CDC de chirurgie pour un contrôle clinique. Nous ne retenons pas de signe d'urgence pour une réintervention au niveau du site opératoire. • L'origine de l'hypertension n'est pas clairement déterminée, la pression baisse après la prise d'un Adalat. Nous proposons à Mr. Y un recontrôle de sa pression chez le médecin traitant avec une mesure de la pression pendant 24 heures, vu que le dernier examen de ce genre date de plus de 10 ans. • L'origine des douleurs abdominales reste inconnue. Une infection urinaire ne peut pas être exclue, mais peu de symptômes cliniques. Nous renonçons à débuter une antibiothérapie et attendons les résultats de l'urotube. Vu l'amélioration des douleurs et le bilan sans particularité, Mme. Y peut rentrer à domicile avec antalgie. Elle reconsultira en cas de fièvre ou si augmentation des douleurs abdominales. • L'origine des douleurs aux hanches reste inconnue. Nous discutons avec notre infectiologue pédiatrique Dr. X. Vu l'absence de syndrome inflammatoire et US et radiographie dans la norme, nous débutons un traitement symptomatique et recommandons un contrôle dans 48h avec bilan sanguin aux urgences pédiatriques. • L'origine des épisodes d'hémoptysies reste peu claire. Le bilan effectué aux urgences nous permet d'exclure une embolie ou une néoplasie pulmonaire ainsi qu'un saignement alvéolaire. L'origine de la collection aérienne reste aussi indéterminée. Nous proposons à Mr. Y un avis gastroentérologique mais Mr. Y refuse et quitte notre service contre avis médical. Nous lui expliquons en présence de sa fille les risques encourus (décès par infection ou hémorragie). Mr. Y refuse tout de même malgré notre insistance et décide de rentrer à domicile avant que nous puissions compléter le bilan aux urgences. Nous convoquons Mr. Y pour un contrôle clinique et biologique dans notre service. Des consignes de surveillance sont remises à Mr. Y et sa fille. • L'origine des gênes de Mme. Y n'est pas vraiment claire. Le bilan sanguin effectué aux urgences nous permet d'exclure un syndrome coronarien aigu, ainsi qu'une embolie pulmonaire ou une dissection aortique. Vu que Mme. Y est plutôt constipée, nous lui proposons un traitement symptomatique. • L'origine des gênes de Mr. Y est interprétée dans un contexte vasovagal. Nous découvrons une FA de manière fortuite dans le bilan aux urgences. Au vu de la thrombocytopénie connue chez Mr. Y, nous ne retenons pas d'indication à débuter un traitement d'anticoagulation. Nous laissons l'évaluation d'une éventuelle anticoagulation au cardiologue et à l'oncologue de Mr. Y. • L'origine des gênes de Mr. Y reste indéterminée. Au moment de l'examen clinique aux urgences, Mr. Y est complètement asymptomatique, nous le laissons rentrer à domicile. Il refait un épisode de palpitations qui dure environ 5 secondes. Mr. Y reconsultira et nous refaisons un ECG de contrôle qui montre toujours une fréquence sinusale régulière, sans trouble de la repolarisation. Nous proposons à Mr. Y une prise de sang pour réassurance plus importante ce que Mr. Y ne veut pas. Nous lui recommandons de faire un Holter en ambulatoire. Les gênes pourraient également être interprétées dans un contexte d'angoisse. • L'origine des gênes de Mr. Y reste indéterminée. Au vu de la durée de la clinique sans syndrome inflammatoire et abdomen souple, une appendicite débutante ne peut pas être exclue. Mr. Y sera convoqué pour un recontrôle clinique et biologique le 15.02.2019. Si Mr. Y présente une péjoration des douleurs ou un nouveau syndrome inflammatoire nous effectuerons un scanner abdominal. • L'origine des gênes de Mr. Y reste indéterminée. Cependant, un passage de calcul symptomatique semble être le plus probable. Mr. Y se représentera pour un contrôle clinique et biologique dans notre service le 17.02.2019. Concernant le polype dans la vésicule biliaire, trouvé de manière fortuite, nous ne retenons pas d'indication à faire une intervention pour le moment car l'aspect sonographique était bénin. Nous recommandons de faire une IRM en ambulatoire. • L'origine des gênes de Mr. Y reste peu claire. Une appendicite ne peut pas être exclue mais avec un manque de syndrome inflammatoire dans le bilan sanguin après 24 heures de clinique et une sonographie sans signe indirect pour une appendicite, nous ne retenons pas l'indication à faire un scanner abdominal au moment de la présentation. Mr. Y sera revu au secteur ambulatoire des urgences avec un contrôle clinique et biologique. • L'origine des gênes reste peu claire, nous recommandons à Mr. Y de refaire une gastroscopie et colonoscopie en ambulatoire. Nous majorons le traitement symptomatique. • L'origine du malaise de Mme. Y est interprétée dans un contexte d'orthostase. Après une réalimentation aux urgences, Mme. Y présente une amélioration de ses symptômes. Mme. Y ne souhaite pas être hospitalisée, nous la laissons rentrer à domicile avec son mari. • Lors de ce contrôle clinique avec un statut neurologique tout à fait normal à part la dysarthrie encore présente ce jour mais en amélioration selon Mme. Y. Nous prenons l'avis du neurochirurgien de garde qui conclut à un traumatisme crânien mineur avec un doute de la provenance neurologique de la dysarthrie. Il recommande cependant un statut neurologique exhaustif pour évaluer la dysarthrie et sa provenance, puis envisage une IRM cérébrale et des vaisseaux cervicaux à la recherche d'une étiologie de celle-ci. Mme. Y sera rappelée par le service de neurologie pour la date de son rendez-vous et rentre à domicile ce jour. • Lors de l'examen clinique de ce jour, nous suspectons une lésion ligamentaire collatérale au niveau du ligament collatéral ulnaire du radial (LUKL) avec un claquement douloureux palpable lors de la prosupination comprimant le radius contre le cubitus. Sinon cela pourrait correspondre à une lésion cartilagineuse de la tête radiale ou un kyste articulaire. Pour objectiver les symptômes, nous proposons d'effectuer une IRM de coude. Prochain contrôle après cet examen pour voir la suite de la prise en charge. • Lors de l'examen par otoscopie à droite, bouge vigoureusement et provoque une petite plaie à l'entrée du conduit auditif externe qui saigne légèrement. Lors de son arrivée aux urgences, Mr. Y remarque une amélioration des douleurs à la face externe de la jambe droite. L'examen clinique est rassurant et parle plutôt pour une sciatique. Un traitement symptomatique a été mis en place pour 3 jours, avec un suivi chez le médecin traitant. Un arrêt de travail a été donné. Lors du consilium angiologique du matin du 18.02, le doppler ultrason a pu écarter une thrombose veineuse profonde ou superficielle du membre inférieur. Le diagnostic retenu est une dermite sous-cutanée de stase causée par un serrement trop important des chaussures de ski. Une contention élastique par bande est appliquée aux urgences et enseignée à Mr. Y pour qu'il puisse continuer à le faire à domicile pendant une semaine du matin au soir. Nous prescrivons également des anti-inflammatoires et une antalgie simple et Mr. Y peut rentrer à domicile. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique la semaine prochaine. Lors du contrôle ce jour, le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire et la situation clinique est stable. Nous le laissons donc rentrer à domicile et il poursuivra l'antibiothérapie per os par Co-Amoxicilline 1g 2x/jour pendant les 4 jours restants. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinico-biologique en fin de semaine. Lors du contrôle de ce jour, il est difficile de se prononcer quant à ses craquements, à savoir s'ils sont tendineux ou articulaires. L'enfant ne présente pas de limitation quant à la mobilisation. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'office, mais restons à disposition en cas de besoin. Losartan à la place de Lisinopril Losartan en suspens dès le 28.01.19. Reprise Resonium 15 g 1x/j dès le 11.02.19. Suivi biologique chez le médecin traitant à prévoir à 48-72h de la sortie. Lubex en usage quotidien. Consultation dermatologique à prévoir en ambulatoire par Mr. Y si persistance ou péjoration de la symptomatologie. Mr. Y est hospitalisé dans le contexte d'une insuffisance rénale aiguë d'origine rénale sur probable glomérulonéphrite. Le cas a été pris en charge entièrement en collaboration avec notre néphrologue Dr. X. Sur le plan rénal, le bilan urinaire démontre une hématurie glomérulaire avec une protéinurie principalement à albumine (max albumine 889 mg/L, albumine/créat 59.3 mg/mmol). Il ne présente pas de signes biologiques pour une hémolyse. Le reste des investigations permet de diagnostiquer une probable glomérulonéphrite à IgA (complément normal, IgA élevées) avec des FAN, ANCA et ASLO négatifs. L'insuffisance rénale s'améliore durant son séjour (Schwarz à l'entrée: 59 ml/min, à la sortie: 108 ml/min, amélioration de l'albuminurie). Il ne présente par ailleurs pas d'hypoalbuminémie ni d'oedème cliniquement et les tensions artérielles restent dans la norme (max 135/85 mmHg). Une perfusion d'entretien est mise en place avec des bilans entrée/sortie réguliers et suivi du poids 1x/jour. Au vu d'une meilleure prise hydrique, la perfusion peut être sevrée le 02.02 avec des apports minimaux suffisants. Sur le plan digestif, les prises alimentaires sont faibles durant son séjour. A noter que Mr. Y perd environ 4 kg pendant l'hospitalisation. Sur le plan hématologique, nous notons une pancytopénie dès le 03.02 probablement dans le contexte infectieux (valeurs minimales le 4.2.2019: Hb 127 g/l, Tc 74 G/l, Lc 1.7 G/l, neutropénie 0.6 G/l). Les contrôles démontrent une amélioration progressive lente. Sur le plan infectieux, il reste afébrile durant son séjour. Nous ne trouvons pas de foyer, notamment urinaire. Apparition d'une toux le 04.02 qui engendre un frottis naso-pharyngé revenu positif pour influenza A. Après visite de Dr. X, une décision de retour à domicile est établie avec contrôle clinique et biologique dans 48 h. Une biopsie est agendée dans le courant de la semaine prochaine, le 12.2. au CHUV, pour confirmer une maladie de Berger. Mr. Y est un patient de 13 ans, connu pour des douleurs en fosse iliaque droite récidivantes, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'une appendicite neurogène. L'intervention se déroule le 07.02.2019 sans complications notables et les suites post-opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 08.02.2019. Mr. Y présente une bronchite spastique légère à modérée, répondant bien à 2 x 6 pushs de Ventolin. Nous proposons de poursuivre le Ventolin 2 pushs aux 4 heures pendant 48 heures, puis aux 6 heures, avec un contrôle clinique le 06.02.19. Contrôle du 06.02: Présente une rhinorrhée épaisse verdâtre, mais une diminution de la toux depuis 1 jour et demi et de la dyspnée, mais la toux reste persistante, plus de dyspnée. Alimentation en augmentation et arrêt des vomissements. Siège érythémateux/ongle incarné. => examen clinique avec ronchis diffus => amélioration de l'état respiratoire alors poursuite du Ventolin en schéma dégressif et retour à domicile avec consignes de surveillance. Mme. Y est gardée en surveillance à la suite de son désinvagination par lavement le 01.02.2019. Elle a des selles mélangées au produit de contraste dès le 02.02 sans présence de sang. Elle présente une phase d'inconfort durant la matinée du 02.02 motivant un US abdominal de contrôle qui ne révèle pas de récidive. L'alimentation est réintroduite à 12 heures après le lavement avec bonne tolérance permettant de stopper la perfusion. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 03.02. Mme. Y présente une bronchiolite modérée non oxygéno-dépendante et sans difficultés alimentaires, raison pour laquelle elle rentre à domicile. Nous recommandons un contrôle clinique à votre consultation à 48 h et rendons les parents attentifs aux éléments pour lesquels il faut reconsulter avant. Mme. Y présente une bronchite spastique légère pour laquelle elle reçoit 6 pushs de Ventolin, permettant une disparition des sibilances. Nous proposons un contrôle d'évolution le 14 ou 15.02. L'ultrason abdominal du jour montre les éléments susmentionnés. Un laboratoire de contrôle est effectué et revient parfaitement dans la norme. Ainsi, le Dr. X vient voir la patiente. Ce dernier ne pose pas le diagnostic d'appendicite aiguë et préconise un retour à domicile ce jour avec antalgie simple et une reconsultation aux urgences si persistance/péjoration des symptômes le lendemain. L'ultrason abdominal ne trouve pas de lithiase biliaire ni de cholécystite. Vu que le bilan biologique fait pendant la nuit est normal et que la patiente note une légère amélioration des douleurs abdominales, nous lui conseillons de poursuivre le traitement symptomatique déjà mis en place et de consulter son médecin traitant en début de semaine prochaine. Nous recommandons un bilan complémentaire (gastroscopie et +/- CT) si persistance de la symptomatologie. L'ultrason du membre inférieur droit ne trouve pas de thrombose veineuse profonde. Nous conseillons à la patiente de reprendre du Dafalgan et la rassurons que cette substance ne favorise pas les saignements digestifs. Vu que son genou n'a jamais été évalué par un spécialiste et que nous notons une arthrose du compartiment fémoro-patellaire sur la radiographie du 08.02, nous proposons à la patiente de prendre rendez-vous pour un contrôle à la consultation du Dr. X. L'ultrason montre une masse plutôt hypo-échogène de 24 x 10 x 11 mm dans et sous le muscle élévateur de l'omoplate à droite. Je prends également l'IRM de 2017 qui montre une lésion présentant la même densité que la graisse alentours. Bien délimitée.L'ultrason ne montre pas de signes pour une torsion testiculaire ou épididymite ou torsion des hydatides. Le bilan urinaire reste dans la norme. L'origine des douleurs reste inconnue. Après discussion avec les chirurgiens et chirurgienne pédiatrique Dr. X, retour à domicile avec antalgie et contrôle dans 24h. Lumbago. Lumbago le 13.02.2019. Lumbago non déficitaire le 24.02.2019. Luna est admise dans le service le 17.02.2019 pour un soutien alimentaire et une surveillance respiratoire dans le cadre d'une bronchiolite à RSV. Au niveau alimentaire, Luna nécessite la pose d'une sonde naso-gastrique du 17.02.2019 au 19.02.2019, date à laquelle elle prend tous ses apports per os. Au niveau respiratoire, Luna profite d'une oxygénothérapie aux lunettes du 19.02.2019 au 20.02.2019. Des rinçages de nez réguliers sont réalisés et un protocole de médecine anthroposophique est mis en place. Au vu de l'évolution clinique favorable, Luna rentre à domicile le 21.02.2019 avec contrôle chez le pédiatre en cas de péjoration des symptômes. Luna, 4 mois, à son arrivée présente une détresse respiratoire modérée avec légère tachypnée à 48/min, tirage intercostal et balancement thoraco-abdominal léger sans désaturation. Durant la nuit du 26.02, elle a présenté une désaturation qui nous a poussé à mettre en place une oxygénothérapie supplémentaire à maxima 1 litre que nous avons pu sevrer complètement le 27.02. Elle a bénéficié également d'un traitement par médecine anthroposophique. Elle est restée afébrile durant tout son séjour et une recherche PCR RSV n'a pas pu être effectuée en raison du manque de matière envoyée au laboratoire. Luna a toujours pu s'alimenter seule sans aide complémentaire avec une prise alimentaire au minimum de 75% de ses apports habituels. Au vu de la clinique rassurante, nous décidons d'un retour à domicile le 27.02 avec contrôle par vos soins dans les 24-48h selon vos disponibilités. Lupus cutané suivi annuellement sans complications à ce jour ni traitement actuellement. Lupus systémique diagnostiqué en 2013 sous Plaquenil (hydroxychloroquine). Lupus. Hypothyroïdie substituée. L'uro-CT met en évidence un calcul urinaire à la jonction néphro-urétérale de 9 mm, sans signe de dilatation. Nous demandons l'avis du Dr. X, chirurgien de garde, puis au Dr. X, urologue de garde. Mr. Y sera hospitalisé à l'hôpital Daler le 06.02 puis sera pris en charge pour une urétroscopie avec fragmentation du calcul par laser le 07.02 par le Dr. X. Mr. Y peut rentrer à domicile avec une antalgie simple. Si les douleurs ne sont pas gérables à domicile, nous lui conseillons de se rendre à l'hôpital Daler pour une hospitalisation pour gérer l'antalgie. L'urotube met en évidence le résultat susmentionné. Ainsi, nous appelons Dr. X, l'urologue qui suit Mr. Y, qui préconise un arrêt de la Ciproxine avec switch par Co-Amoxicilline 1g 2x/j pendant 10 jours suivi par 1x/j pendant 10 jours supplémentaires. Mr. Y est attendu à la consultation de Dr. X le 22.02.2019 à 10h pour suite de prise en charge. L'urotube revient contaminé par la flore bactérienne locale et donc ininterprétable. Cependant, au vu de la bonne évolution clinique décrite ci-dessus, nous préconisons une suite de prise en charge par le gynécologue pour approfondir le bilan de sa macrohématurie. Luxation. Luxation acromio-claviculaire à droite. Luxation acromio-claviculaire droite le 13.02.2019. Luxation acromio-claviculaire droite Rockwood stade IV le 02.02.2019. Luxation acromio-claviculaire stade II épaule droite. Luxation antérieure de l'épaule G avec: • sp 5 épisodes de réduction de l'épaule G. Luxation antérieure épaule droite avec fracture multifragmentaire de l'humérus avec arrachement du tubercule majeur, le 23.02.2019. Luxation antérieure bilatérale des articulations gléno-humérales gauches et droites. Luxation antérieure de la hanche droite le 08.02.2019. • status post PTH droite le 10.01.2019. Luxation antérieure de la prothèse céphalique de la hanche droite sur chute accidentelle, premier épisode. Status post-mise en place d'une prothèse céphalique Zimmer le 19.12.2018. Luxation antérieure de l'épaule D et G, 1er épisode, le 02.02.2019 • Probable lésion de Hill-Sachs D et G. Luxation antérieure de l'épaule droite en août 2016. Luxation antérieure de l'épaule droite le 13.09.2017. Luxation antérieure de l'épaule G le 23.01.2019, réduite aux urgences. Luxation antérieure de l'épaule gauche, premier épisode le 21.02.2019 avec: • réduction fermée sous Fentanyl, Propofol et Kétamine • Hill Sachs résiduel. Luxation antérieure épaule droite et gauche, le 03.02.2019. Luxation antérieure épaule droite sur chute à ski. Luxation antérieure récidivante de l'épaule droite le 12.02.2019 d'une durée indéterminée, avec: • s/p luxation antérieure de l'épaule droite le 30.01.2019 d'origine traumatique • parésie proximale du nerf ulnaire, avec main tombante et troubles de la sensibilité des doigts 3 à 5 le 30.01.2019 • possible parésie du nerf médian le 12.02.2019. Luxation antérieure traumatique épaule droite le 18.01.19. Luxation antéro-inférieure humérale droite avec lésion Hill-Sach le 02.02.2019. Luxation antéro-inferieur épaule droite 2ème épisode le 10.01.2019. Luxation antéro-inférieure de l'épaule gauche premier épisode. Luxation antéro-inférieure gléno-humérale droite, le 23.05.2014. Malnutrition protéino-énergétique modérée avec albumine à 36.2g/l, le 31.01.2017. Déplacement du drain de dérivation ventriculo-péritonéale posé le 09.05.2017 avec reprise de la cicatrice abdominale et repositionnement du drain de dérivation ventriculo-péritonéale le 26.05.2017. Luxation antéro-inférieure gléno-humérale épaule D (premier épisode). Luxation antéro-inférieure gléno-humérale G avec lésion de Bankart osseux et lésion ALPSA. Luxation antéro-inférieure humérale droite le 16.02.2019. Luxation antéro-interne de l'épaule droite. Luxation antéro-supérieure PTH D le 23.01.2019 • Réduction luxation PTH D le 17.01.2019 à l'HFR Riaz sur luxation PTH et fracture-arrachement du grand trochanter tt conservativement • PTH D implantée le 17.10.2018 (Dr. X, clinique générale). Luxation articulation acromio-claviculaire G type Tossy III en 2015. Luxation de la rotule gauche. Luxation de la rotule gauche réduite spontanément chez un patient connu pour des luxations récidivantes des deux rotules. Luxation de l'articulation interphalangienne proximale du 5ème doigt gauche. Luxation de l'épaule droite antéro-inférieure (deuxième épisode). Luxation de l'épaule droite avec suspicion de rupture de la coiffe des rotateurs. Luxation de l'épaule droite avec suspicion de rupture de la coiffe des rotateurs. Diabète de type 2. Luxation de l'épaule droite, le 04.02.2019 • status post-arthroscopie, ténotomie arthroscopique, suture du sus-épineux et ténodèse mini-open du long chef du biceps épaule droite. • status post sus-épineux et tendinopathie du long chef du biceps sur status post-refixation arthroscopique Slap et Bankart épaule droite. Luxation de l'épaule droite le 16.02.2019 avec probable récidive de Bankart osseux. Luxation de l'épaule gauche. Luxation de l'interphalangienne proximale du 5ème doigt de la main droite avec deux plaies en regard de la base de l'interphalangienne proximale et en regard de l'interphalangienne proximale face palmaire, le 08.02.19. Luxation de l'IPD de D4 à gauche sur traumatisme le 08.02.2019 avec: • déformation en boutonnière par la suite. Luxation de l'IPP du 4ème doigt de la main gauche.Luxation dorsale traumatique de l'IPP du 5ème rayon de la main D avec plaies en regard de la face palmaire du 08.02.2019. Luxation du 3ème doigt gauche. Luxation en anse de seau corne moyenne ménisque interne D. Luxation épaule D le 29.01.2019 avec fracture déplacée du tubercule majeur, luxation du long chef du biceps, lésion complète du sous-scapulaire, lésion de Bankart et HAGL. Luxation genou G : • déchirure proximale, collatérale médiale, déchirure LCP origine fémorale. • déchirure LCA intra-substance. • contusion plateau tibial externe. • déchirure verticale corne postérieure ménisque externe. • rupture du MPFL. Luxation gléno-humérale antérieure à gauche sur traumatisme le 08.02.2019 avec : • Bankart osseux et lésion de Hill Sachs. Luxation gléno-humérale antérieure de l'épaule droite. Luxation gléno-humérale antérieure épaule D en 2011. Luxation gléno-humérale antérieure le 04.02.2019. Luxation gléno-humérale antérieure le 06.02.2019. Luxation gléno-humérale antéro-inférieure de l'épaule D le 05.01.2019. Luxation gléno-humérale antéro-inférieure de l'épaule D sur traumatisme du 28.12.2018. Luxation IPD D1 main droite sur traumatisme le 23.02.2019 avec : • plaie de 1 cm au niveau IPD. • plaque palmaire IPD. Luxation IPP Dig III main gauche le 06.12.2017. Luxation IPP proximale 5ème doigt main droite et 2 plaies en regard de la base de l'IPP proximale et en regard de l'IPP proximal face palmaire le 08.02.2019. Luxation latérale de l'IPP du 5ème doigt à droite avec lésion du ligament collatéral radial. Luxation latérale de la rotule D, premier épisode. Luxation latérale de la rotule droite. Luxation latérale de la rotule genou G (1er épisode le 25.06.2018, 2ème épisode 09.01.2019). Lésion chondrale de grade IV au niveau du condyle fémoral externe. Luxation latérale rotule genou gauche (1er épisode). Luxation métacarpo-phalangienne du pouce droit le 11.01.2019. Luxation ouverte IP pouce droit le 26.12.2018 : • Réduction et mise en place d'un plâtre. Luxation palmaire de l'interphalangienne proximale du 3ème doigt de la main gauche le 09.02.2019. Luxation postérieure coxo-fémorale gauche, le 24.02.2019 : • sans fracture ni lésion du mur postérieur du cotyle. Luxation postérieure de l'articulation IPP Dig 5 main D (dominant) avec lésion de la plaque palmaire le 05.10.2018. Luxation postérieure de l'épaule gauche le 08/02/19. Luxation prothèse droite. Luxation récidivante de la hanche D (01.09.2018, 07.10.2018, 22.11.2018) sur un status post implantation d'une PTH à droite en 2003 par Dr. X à la Clinique Générale. Status post implantation d'une PTH G en 2004 par Dr. X à la Clinique Générale. Luxation récidivante de la rotule du genou gauche. Luxation récidivante PTH D : • PTH primaire implantée le 08.03.2013. • réduction luxation postérieure PTH le 18 et 21.03.2013. • changement composante cotyloïdienne par un système double mobilité le 27.03.2013. • réduction luxation PTH le 04.06.2014. • 2ème changement composante cotyloïdienne le 17.06.2014. • 3ème changement composante cotyloïdienne le 09.09.2014. • luxation PTH le 17.06.2015. • ponction hanche D le 16.07.2015. Luxation rotule. Luxation rotule G sur chute de 2 m le 04.04.2017. Luxation traumatique de l'épaule D, le 04.02.2019, 4 ans après suture de la coiffe des rotateurs et ténodèse du biceps après luxation et stabilisation par Bankart arthroscopique en 2012 par Dr. X. Luxation traumatique de l'épaule gauche le 17.02.2019. Luxation traumatique épaule droite le 29.01.2019 : Fracture tubercule majeur, luxation LCB, rupture sous-scapulaire, rupture gléno-humérale médiale et inférieure. Bankart osseux. Luxations récidivantes des deux rotules : • DD : patella alta. • DD : dysplasie de la trochlée. Luxations récidivantes rotule droite. Luxations répétées de la rotule du genou gauche avec opération en 2004. Céphalée d'origine probablement migraineuse le 21.04.2017. • DD : céphalées de tension. Lymphadénite cervicale bilatérale (gauche > droit) avec torticollis. Lymphocèle des plaies fémorale proximale le 06.02.2019, inguinale gauche le 13.02.2019 et fémorale distale le 15.02.2019. Lymphocèle inguinale D (27.12.2018) traitée par cure. Lymphocèle post confection de fistule artério-veineuse au pli du coude gauche, status post-révision et drainage par Manovac (opération le 14.04.2017, Dr. X). Tumeur basocellulaire avec : • status post-exérèse basocellulaire le 26.07.2013 avec lambeau pédiculé du nez. • status post-exérèse chirurgicale d'un cancer basocellulaire frontal en 2011. Insuffisance cardiaque subaiguë d'origine multifactorielle : • anasarque, fibrillation auriculaire permanente. Exérèse chirurgicale d'un corps étranger ano-rectal en 2010. Gastroentérite virale le 13.02.2018 chez Mr. Y immunosupprimé. Ceftriaxone 2 g iv le 13.02.2018 en dialyse. Saignement sur point de ponction sur fistule lors d'angiographie au membre supérieur gauche le 19.09.2018 : • Hémostase avec un point de prolène et compression. • Contrôle angiologique de la fistule : sténose résiduelle malgré dilatation, mais bon flux. Lymphocèle volumineux de 90 x 60 x 163 mm de la fosse iliaque G sur status post : • Abord rétropéritonéal par la G le 14.01.2019 pour décompression ddc avec ouverture de la partie de l'anulus postérieur L5-S1 G, extraction de la hernie discale et mise en place d'une cage Synfix 12 mm, 14°, pré-remplie de Ceracell avec correction de la lordose à l'aide de deux vis 25 mm en S1 et des vis 20 mm au niveau L5 et discectomie L4-L5 avec décompression ddc, mise en place d'une cage Synfix 12 mm 14° pré-remplie de Ceracell avec correction de la lordose et fixation par quatre vis de 20 mm sur discopathie L5-S1 évolutive et comblement du foramen L5-S1 surtout du côté G avec anomalie Modic II des plateaux vertébraux. • Status post cure de hernie discale L5-S1 G et discectomie L5-S1 le 06.01.2017. Lymphome à cellules B mature de type folliculaire, à morphologie folliculaire et diffus, de bas grade (grade 2 d'après WHO 2017), de stade 3B avec Bulk, FLIPI-2 3/5 (risque élevé) : • date du diagnostic : 14.05.2018. • histologie (Promed P2018.P5220) : lymphome à cellules B mature de type folliculaire, à morphologie folliculaire et diffus, de bas grade (grade 2 d'après WHO 2017), Ki67 environ 15 à 20 %. • staging : • CT thoraco-abdominal du 23.04.2018 : volumineuse masse d'environ 17 cm, centrée sur la fosse iliaque droite engainant les artères iliaques commune, externe et interne à droite, et probablement responsable d'une compression de la veine iliaque droite, possiblement de la convergence iliaque, responsable de l'œdème du membre inférieur. Multiples adénopathies de relativement grande taille en inguinal droit ainsi que dans le rétro-péritoine et en regard du départ de l'artère iliaque commune gauche. Splénomégalie à 14 cm. Hydronéphrose avec dilatation du pyélon mesurée à 3 cm. • PET-CT du 01.05.2018 : intense hypercaptation abdominale correspondant à la tumeur connue. Hypercaptations ganglionnaires rétro-péritonéales para-médianes gauches et inguinales droites suspectes d'être de métastases. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de métastase. • moelle osseuse du 18.05.2018 : en cours. • symptôme B : transpiration nocturne. • sérologie : HIV négatif, Hépatite B et C négatives. • immuno-chimiothérapie par Ribomustin et Gazyvaro (anti-CD-20) du 24.05.2018 au 06.11.2018, 6 cycles au total, avec bonne réponse initiale.• CT thoraco-abdominal du 29.11.2018 : stabilité en taille des nodules pulmonaires. Progression tumorale au niveau iliaque droite • PET-CT du 11.12.2018 : volumineuse masse tumorale lymphomateuse iliaque - pelvienne droite mesurant 15 x 11 x 11 cm avec une hypercaptation connue stable • status post biopsie chirurgicale de la masse pelvienne le 12.12.2018 • histologie (Promed P2018.14430) : lymphome à cellules B matures, histo-morphologiquement avec prolifération diffuse de blastes en majorité d'un aspect de centro-blastes, moyennement prolifératif MIB-1 40 à 70 %. L'ensemble des modifications histo-morphologiques et immuno-histochimiques parle pour un lymphome diffus à grandes cellules B de type DLBCL, NOS de type GCB. Examen de biologie moléculaire en cours • actuellement : transformation du lymphome à cellules B matures de type lymphome folliculaire connu, début d'une chimiothérapie type R-CHOP le 20.12.2018 • Suivi oncologique, Dr. X Lymphome à cellules B mature de type folliculaire, à morphologie folliculaire et diffus, de bas grade (grade 2 d'après WHO 2017), de stade 3B avec Bulk, FLIPI-2 3/5 (risque élevé) • date du diagnostic : 14.05.2018 • histologie (Promed P2018.P5220) : lymphome à cellules B mature de type folliculaire, à morphologie folliculaire et diffus, de bas grade (grade 2 d'après WHO 2017), Ki67 environ 15 à 20 % • staging : • CT thoraco-abdominal du 23.04.2018 : volumineuse masse d'environ 17 cm, centrée sur la fosse iliaque droite engainant les artères iliaques commune, externe et interne à droite, et probablement responsable d'une compression de la veine iliaque droite, possiblement de la convergence iliaque, responsable de l'œdème du membre inférieur. Multiples adénopathies de relativement grande taille en inguinal droit ainsi que dans le rétro-péritoine et en regard du départ de l'artère iliaque commune gauche. Splénomégalie à 14 cm. Hydronéphrose avec dilatation du pyélon mesurée à 3 cm • PET-CT du 01.05.2018 : intense hypercaptation abdominale correspondant à la tumeur connue. Hypercaptations ganglionnaires rétro-péritonéales para-médianes gauches et inguinales droites suspectes d'être des métastases. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de métastase • moelle osseuse du 18.05.2018 : en cours • symptôme B : transpiration nocturne • sérologie : HIV négatif, Hépatite B et C négatives • immuno-chimiothérapie par Ribomustin et Gazyvaro (anti-CD-20) du 24.05.2018 au 06.11.2018, 6 cycles au total, avec bonne réponse initiale • CT thoraco-abdominal du 29.11.2018 : stabilité en taille des nodules pulmonaires. Progression tumorale au niveau iliaque droite • PET-CT du 11.12.2018 : volumineuse masse tumorale lymphomateuse iliaque - pelvienne droite mesurant 15 x 11 x 11 cm avec une hypercaptation connue stable • status post biopsie chirurgicale de la masse pelvienne le 12.12.2018 • histologie (Promed P2018.14430) : lymphome à cellules B matures, histo-morphologiquement avec prolifération diffuse de blastes en majorité d'un aspect de centro-blastes, moyennement prolifératif MIB-1 40 à 70 %. L'ensemble des modifications histo-morphologiques et immuno-histochimiques parle pour un lymphome diffus à grandes cellules B de type DLBCL, NOS de type GCB. Examen de biologie moléculaire en cours • actuellement : transformation du lymphome à cellules B matures de type lymphome folliculaire connu, début d'une chimiothérapie type R-CHOP le 20.12.2018 • Suivi oncologique, Dr. X Lymphome à cellules B matures de type lymphome folliculaire de grade 2, stade IV Hypertension artérielle Extrasystoles supra-ventriculaires Incontinence de type stress Migraines avec paresthésies du membre inférieur droit Malformation en collier de perles de l'artère rénale droite Lymphome à grandes cellules B, à prédominance avec croissance folliculaire, MUM1+. CD10 -, infiltration focale du tissus adipeux péri-ganglionnaire, DD : lymphome folliculaire grade 3B (evt par endroits transformation DLBCL) vs lymphome à grandes cellules B avec réarrangement IRF4, examens complémentaires envoyés à Bales à pister • date du diagnostic : 12.2018 • symptôme B d'origine probablement néoplasique depuis début décembre 2018 • syndrome inflammatoire • adénopathies multiples médiastinales, creux axillaire, hilaire, supra-claviculaires, inguinales • infiltration osseuse péri-orbitale droite et musculaire dans M. rectus sup., infiltration sternale de la marge gauche • 4 nodules pulmonaires de 8-9 mm poumons gauche et droit • splénomégalie avec infiltration de la graisse • épanchement péricardique, probable transudat, à prédominance antérieure d'épaisseur maximale de 14 mm. Lymphome à grandes cellules B, à prédominance avec croissance folliculaire, MUM1+. CD10 -, infiltration focale du tissu adipeux péri-ganglionnaire, DD : lymphome folliculaire grade 3B (evt par endroits transformation DLBCL) vs lymphome à grandes cellules B avec réarrangement IRF4, examens complémentaires envoyés à Bales à pister • date du diagnostic : 1.2.2018 • symptôme B d'origine probablement néoplasique depuis début décembre 2018 • syndrome inflammatoire • adénopathies multiples médiastinales, creux axillaire, hilaire, supra-claviculaires, inguinales • infiltration osseuse péri-orbitale droite et musculaire dans M. rectus sup., infiltration sternale de la marge gauche • 4 nodules pulmonaires de 8-9 mm poumons gauche et droit • splénomégalie avec infiltration de la graisse • épanchement péricardique, probable transudat, à prédominance antérieure d'épaisseur maximale de 14 mm. Lymphome à grandes cellules B primitif du médiastin (PMBL selon OMS 2017), Ki67 >90%, en partie positif pour CD30, infiltrant la vertèbre T4 avec recul du mur postérieur le 18.11.2018 Lymphome de Burkitt (BL selon OMS 2017) en stade IV BE • date du diagnostic : 30.11.2018 • histologie (Promed P2018.13668, excision ganglionnaire niveau IV droit) : lymphome à cellules B de haut grade HGBL selon OMS 2017 • status post excision ganglionnaire cervical niveau IV droit • PET-CT du 28.11.2018 : multiples hypercaptations compatibles avec un lymphome au niveau ganglionnaire cervical, axillaire, médiastinal, péritonéal, inguinal, hépatique, pulmonaire et gastrique • ponction-biopsie de moelle osseuse du 27.11.2018 : Promed P2018.13644) : infiltration dans le cadre du lymphome décrit • symptôme B avec sudations surtout nocturnes, état subfébrile et fatigue • sérologies HBV, HCV, HIV, CMV, EBV : négatives • pose de port-à-cath le 05.12.2018 • chimiothérapie selon le protocole R-CODOX-M/IVAC dès le 07.12.2018 • syndrome de lyse pré-traitement • agranulocytose fébrile d'origine indéterminée le 17.12.2018 • récidive de pics fébriles les 21.12 et 22.12.2018 dans le contexte de mucite orale cliniquement documentée • PEC-CT du 24.01.2019 : diminution en taille et en nombre des multiples adénopathies dans le creux axillaire ddc et en regard du hile hépatique. Par rapport à l'examen PET-CT 18F-FDG pré-traitement du 28.11.2018, nous constatons la persistance d'une petite hyperactivité ganglionnaire latéro-cervicale gauche (Deauville 3). On note également une hypercaptation gastrique persistante, ouvrant le diagnostic différentiel entre une flare response et un résidu lymphomateux. Les autres lésions ganglionnaires, pulmonaires gauches et hépatiques ne sont actuellement plus identifiables, et on note une nette diminution de la captation au niveau du squelette • actuellement : 2ème cycle selon R-CODOX-M/IVAC dès le 04.02.2019 • Mabthera le 04.02.2019 (J1), Endoxan de J1 à J5, Oncovin à J1 et J8, Adriblastine à J1 • chimiothérapie intrathécale par Cytosar à J1 et J3 Lymphome de Burkitt (BL selon OMS 2017) en stade IV BE • date du diagnostic : 30.11.2018 • histologie (Promed P2018.13668, excision ganglionnaire niveau IV droit) : lymphome à cellules B de haut grade HGBL selon OMS 2017 • status post excision ganglionnaire cervical niveau IV droit • PET-CT du 28.11.2018 : multiples hypercaptations compatibles avec un lymphome au niveau ganglionnaire cervical, axillaire, médiastinal, péritonéal, inguinal, hépatique, pulmonaire et gastrique • ponction-biopsie de moelle osseuse du 27.11.2018 : Promed P2018.13644) : infiltration dans le cadre du lymphome décrit • symptômes B avec sudations surtout nocturnes, état subfébrile et fatigue • sérologies HBV, HCV, HIV, CMV, EBV : négatives • pose de port-à-cath le 05.12.2018 • chimiothérapie selon protocole R-CODOX-M/IVAC dès le 07.12.2018 • PEC-CT du 24.01.2019 : Diminution en taille et en nombre des multiples adénopathies dans le creux axillaire ddc et en regard du hile hépatique. Par rapport à l'examen PET-CT 18F-FDG pré-traitement du 28.11.2018, nous constatons la persistance d'une petite hyperactivité ganglionnaire latéro-cervicale gauche (Deauville 3). On note également une hypercaptation gastrique persistante, ouvrant le diagnostic différentiel entre une flare response et un résidu lymphomateux. Les autres lésions ganglionnaires, pulmonaires gauches et hépatiques ne sont actuellement plus identifiables, et on note une nette diminution de la captation au niveau du squelette • actuellement : 2ème cycle selon protocole R-CODOX-M/IVAC dès le 04.02.2019 Lymphome de haut grade fortement probable avec : • symptôme B d'origine probablement néoplasique depuis début décembre 2018 • syndrome inflammatoire • adénopathies multiples médiastinales, creux axillaire, hillaire, supra-claviculaire, ne compriment pas les vaisseaux évoquant un possible lymphome • 4 nodules pulmonaires de 8-9 mm poumon G et D. • splénomégalie avec infiltration de la graisse • épanchement péricardique, probable transudat, à prédominance antérieure d'épaisseur maximale de 14 mm. Lymphome de Hodgkin classique en stade IVAS • date du diagnostic : 24.09.2018 • histologie (adénopathie cervicale) Promed (P2018.10741) : lymphome de Hodgkin classique (CHL selon OMS 2017) • CT thoraco-abdomino-pelvien du 06.09.2018 : multiples adénopathies axillaires bilatérales, médiastinales, • status post-adénectomie cervicale gauche par le Dr. X le 24.09.2018 • PET-CT du 26.09.2018 : multiples hypercaptations ganglionnaires aux étages supra- et intra-diaphragmatiques (sous-angulo-mandibulaire des 2 côtés, jugulaire des 2 côtés, claviculaire des 2 côtés, axillaire des 2 côtés, médiastinale, rétro-carinaire, hilaire, rétro-péritonéal, iliaque des 2 côtés, osseuse) • fonctions pulmonaires du 03.10.2018 : fonctions pulmonaires normales : VEMS 96 % du prédit, DLCO 98 % du prédit • ultrason cardiaque du 02.10.2018 : FEVG à 65 % • sérologies HBV, HCV, HIV : négatives • ponction biopsie de moelle le 08.10.2018 : pas d'infiltration du lymphome • pose de port-à-cath • chimiothérapie par Brentuximab, Endoxan, Adriblastine, Etopophos et Dacarbazine dans le cadre du protocole HD 21 dès le 08.10.2018 (2 cycles effectués) • PET-CT du 14.11.2018 : bonne réponse partielle avec nette diminution en taille voire disparition, persistance d'une hypercaptation ganglionnaire hilaire bilatérale Deauville 4. Autre localisation ganglionnaire Deauville 1 • fonction pulmonaire du 14.11.2018 : normale • échocardiographie du 19.11.2018 : normale • actuellement : poursuite de la chimiothérapie selon le protocole HD 21 pour un total de 6 cycles Lymphome de Hodgkin décembre 2018. Lymphome de Hodgkin en décembre 2018 suivi à l'HFR Fribourg. • Chimiothérapie (1er cycle 17.12.18) : Bléomycine, Adriblastine, Velbe, Dacin. • Glossite sur chimiothérapie. Lymphome de la zone marginale de type MALT au niveau pulmonaire et gastrique, stade IVA Anévrysme de l'aorte thoracique ascendante Lymphome diffus à grandes cellules B de stade IV le 22.11.2018 (score pronostique IPI 4) • date du diagnostic : 08.05.2018 • symptômes B, douleurs en fosse iliaque gauche • histologie (Promed P2018.5069) : lymphome B diffus à grandes cellules • PET-CT du 01.05.2018 : hypercaptation abdominale gauche correspondant à la volumineuse masse du pancréas, hypercaptation ganglionnaire rétro-péritonéale ainsi qu'infiltration massive du squelette • échocardiographie du 16.05.2018 : qualité médiocre, fraction d'éjection conservée • ponction-biopsie de moelle du 17.05.2018 : infiltration médullaire par le lymphome • sérologies HCV, HBV, HIV, EBV, CMV : négatives • implantation d'un port-à-cath le 18.05.2018 • pré-phase stéroïde du 17.05 au 23.05.2018 • initiation d'une chimiothérapie selon R-mini-CHOP le 23.05.2018 • status post-3 cycles de chimiothérapie par R-mini-CHOP • PET-CT du 09.07.2018 : bonne réponse à la chimiothérapie avec diminution en taille et en intensité • 3 cycles de chimiothérapie par R-mini-CHOP jusqu'au 05.09.2018 puis 2 cycles de Mabthera seul jusqu'au 18.10.2018 • PET-CT du 26.09.2018 : rémission partielle scannographique • récidive du lymphome diffus à grandes cellules avec pancytopénie sur infiltration massive de la moelle osseuse en 11/2018 • chimiothérapie par Gemzar et Mabthera dès le 26.11.2018 (3 cycles effectués) • PET-CT du 23.01.2019 : très bonne réponse partielle. • actuellement : poursuite de la chimiothérapie par Mabthera et Gemzar (une dose reçue le 30.01.2019, en suspens depuis lors) • Suivi par Dr. X à l'HFR Lymphome folliculaire stade initial IV selon Ann Arbor • status post 5 cycles de R-CHOP en mai 2014 • status post 3 cycles de thérapie de maintien par Rituximab août à décembre 2014. Pemphigus paranéoplasique avec atteinte muco-cutanée diagnostiqué en 2014, réfractaire au traitement par Ciclosporine, Immunoglobuline et Prednisone avec : • stomatite lichénoïde (ouverture buccale limitée) • oesophagite lichénoïde (sténose du tiers moyen) • alimentation par PEG depuis mai 2014 en raison de troubles sévères de la déglutition dans le contexte du pemphigus paranéoplasique. Bronchiolite oblitérante sur pemphigus paranéoplasique : • syndrome obstructif très sévère • insuffisance respiratoire globale sous oxygénothérapie continue à 1.5 lt/min • échec d'appareillage par VNI en 2017 • dyspnée stade 4 selon NYHA. Hyperplasie de la prostate sous Tamsulosine. Oesophage de Barrett le 22.05.2014. Goutte. Diverticulose colique. Hémorroïdes. Calcifications athéromateuses tri-tronculaires prédominant dans l'IVA (CT thoracique du 29.05.2017). Perfusion mosaïque pulmonaire ddc diffuse, syndrome de Swyer-James. Lymphome non hodgkinien de stade IIAE, IPI 0 (surrénalien) • Date du diagnostic (CT-thorax / abdomen) : 09.02.2018 • Histologie (biopsie sous scanner rétropéritonéal) : lymphome non hodgkinien diffus à grandes cellules B, GCB avec un taux de prolifération élevé de 70 à 80 % (Promed P2018.2956) • ponction et biopsie de la moelle osseuse du 22.02.2018 : aucune preuve d'infiltration (Promed P2018.2190) • CT-thorax et abdomen du 09.02.2018 : adénopathie rétropéritonéale de 5 x 12 cm • PET-CT du 20.02.2018 : masse tumorale rétropéritonéale, accumulation également dans la glande surrénale gauche, pas d'autres foyers • symptômes B : aucun • antécédents familiaux : soeur atteinte d'un cancer du poumon • facteurs de risque : aucun • statut après 3 cycles de chimiothérapie avec Mabthera, Adriblastin, Endoxan et Oncovin, et prednisone du 22.03 au 08.05.2018, rémission partielle • dysfonctionnement sensoriel du côté gauche du dermatome L3, examen IRM sans preuve de compression ou une progression de la tumeur, fin juin 2018 • statut après 2 autres cycles de chimiothérapie, Mabthera, Adriblastin, Endoxan et Oncovin, ainsi que la prednisone des 29.05 et 26.06.2018 • examen IRM et PET-CT des 25.07 et 09.08.2018 : progression du lymphome avec infiltration para-aortique incluant psoas du côté gauche et racines nerveuses du côté gauche de L2 à L3.Du 20.08 au 10.09.2018: 2 cycles de chimiothérapie selon le protocole ESAP avec une rémission partielle Du 02.10 au 05.11: 5 cycles de R-ESAP Du 10.12 au 16.12.2018: Chimiothérapie à haute dose selon le schéma BeEAM Le 17.12.2018: greffe autologue de moelle osseuse Engraftment syndrom tardif traité par de la Prednison du 15.01 au 29.01.2019. Lymphome non hodgkinien de stade IIAE, IPI 0 (surrénalien) Date du diagnostic (CT-thorax / abdomen): 09.02.2018 Histologie (biopsie sous scanner rétropéritonéal): lymphome non hodgkinien diffus à grandes cellules B, GCB avec un taux de prolifération élevé de 70 à 80% (Promed P2018.2956) Ponction et biopsie de la moelle osseuse du 22.02.2018: aucune preuve d'infiltration (Promed P2018.2190) CT-thorax et abdomen du 09.02.2018: adénopathie rétropéritonéale de 5 x 12 cm PET-CT du 20.02.2018: masse tumorale rétropéritonéale, accumulation également dans la glande surrénale gauche, pas d'autres foyers symptômes B: aucun Antécédents familiaux: soeur atteinte d'un cancer du poumon Facteurs de risque: aucun Statut après 3 cycles de chimiothérapie avec Mabthera, Adriblastin, Endoxan et Oncovin, et prednisone du 22.03 au 08.05.2018, rémission partielle Dysfonctionnement sensoriel du côté gauche du dermatome L3, examen IRM sans preuve d'une compression ou une progression de la tumeur, fin juin 2018 statut après 2 autres cycles de chimiothérapie, Mabthera, Adriblastin, Endoxan et Oncovin, ainsi que la prednisone des 29.05 et 26.06.2018 Examen IRM et PET-CT des 25.07 et 09.08.2018: Progression du lymphome avec infiltration para-aortique incluant psoas du côté gauche et racines nerveuses du côté gauche de L2 à L3 Du 20.08 au 10.09.2018: 2 cycles de chimiothérapie selon le protocole ESAP avec une rémission partielle Du 02.10 au 05.11: 5 cycles de R-ESAP Du 10.12 au 16.12.2018: Chimiothérapie à haute dose selon le schéma BeEAM Le 17.12.2018: greffe autologue de moelle osseuse Actuellement: engraftment syndrom tardif traité par de la Prednison du 15.01 au 29.01.2019. Lymphome non hodgkinien de type lymphome du manteau des amygdales au stade IIA date du diagnostic: 03.08.2006 status post-biopsie et excérèse des amygdales palatines le 03.08.2006 histologie (CHUV H0612034): infiltration amygdalienne diffuse par un lymphome du manteau, positif pour la cycline D1 CT-cervico-thoraco-abdomino-pelvien du 09.08.2006: adénopathie jugulo-carotidienne supérieure droite, pas d'adénopathie médiastinale, hilaire ou abdomino-pelvienne, pas d'hépatosplénomégalie ponction de moelle du 23.08.2006: moelle osseuse moyennement cellulaire, sans évidence de tumeur status post-3 cures d'une chimiothérapie par CHOP (Endoxan, Adriblastine, Oncovin et Prednisone) en association à l'anticorps Mabthera du 13.09 au 26.10.2006 (rémission complète) status post-radiothérapie de l'oropharynx et des régions sous-claviculaires bilatérales (29,6 Gy) du 13.12.2006 au 05.01.2007 problème sensitivo-moteur lors d'une suspicion de myélopathie post-actinique octobre 2008: récidive du lymphome du manteau avec adénopathies multiples CT cervico-thoraco-abdominal du 16.10.2008: adénopathies multiples niveau cervical gauche supra-claviculaire et axillaire gauche et médiastinale. Adénopathies péri-ciliaques et au niveau mésentérique inguinal des deux côtés ponction/biopsie médullaire du 23.10.2008: pas d'infiltration médullaire par le lymphome gastroscopie avec biopsie du 24.10.2008: infiltration par lymphome status post-4 cures d'une chimiothérapie de 2ème lignée selon schéma Hyper-CVAD et Mabthera du 04.11.2008 au 05.01.2009 (sans Adriblastine en raison d'une dysfonction cardiaque) très bonne rémission partielle status post-chimiothérapie à haut dosage de type consolidation avec R-BEAM le 10.03.2009 suivie par une transplantation des cellules souches autologues le 16.03.2009 PET du 18.05.2009: rémission complète traitement par Intratect depuis 2012 en raison d'une hypogammaglobulinémie actuellement: pas d'évidence scanographique et clinique de récidive tumorale du lymphome au CT-scan de mai 2017 Status post-dyspnée paroxystique d'origine indéterminée diagnostic différentiel: sur probable status post-épiglottite en juillet 2011 Status post-candidose des plis vestibulaires en juillet 2011 Status post-suspicion d'un syndrome de Gilbert en juillet 2011 Status post-ablation d'un kyste testiculaire gauche en octobre 2010 Status post-sepsis sur diverticulite sigmoïdienne non compliquée chez patient en agranulocytose en 2009 Status post-érysipèle du visage en 2005 Status post-hernie inguinale gauche Status post-pneumonie en août 2011 Colique néphrétique gauche avec calcul enclavé de 3 mm au niveau urétérovésical avec suspicion de rupture fornix gauche Anémie avec hémoglobine à 95 g/l le 20.11.2018 dernière valeur 124 g/l le 24.10.2018 DD: hémodilution, saignement, SMD Anémie avec hémoglobine à 95 g/l le 20.11.2018 • dernière valeur 124 g/l le 24.10.2018 DD : hémodilution, saignement, SMD Frissons d'origine indéterminée chez Mr. Y immunosupprimé le 13.12.2018 Lymphome non hodgkinien, stade IVB • date du diagnostic : 25.10.2018 • histologie : lymphome à cellules B matures de haut grade diffus à grandes cellules avec fraction de prolifération haute, présence de réarrangement MYC, BCL2 et BCL6, lymphome haut grade triple-hit (biopsies du colon descendant) (Promed P2018.12233) • ponction biopsie de moelle osseuse : pas d'évidence d'infiltration • immuno-phénotypisation de la moelle osseuse du 07.11.2018 : pas d'évidence d'infiltration par un lymphome • PET-CT du 05.11.2018 : carcinomatose péritonéale diffuse avec infiltration tissulaire suspecte du muscle psoas gauche et épaississement circonférentiel du colon descendant, épanchement pleural droit • status post-colonoscopie le 24.10.2018 avec biopsie (clinique de chirurgie) • status post-mise en place d'un PleurX à gauche • status post-chimiothérapie selon protocole Mabthera et mini-CHOP à partir du 12.11.2018, 2 cycles • actuellement : amélioration de l'état général, diminution des diarrhées, état subfébrile vespéral intermittent, poursuite de la chimiothérapie le 07.01.2019 Lymphome sous chimiothérapie (reste actuellement 2 séances). HTA sous Diovan 80. Porteuse d'une chambre implantable. Tabagisme actif à 20 UPA. Dysthyroïdie sous Euthyrox. Lymphopénie 0,53 G/l para-infectieuse Lyse intraveineuse par r-tPA 100 mg le 17.01.2019 (jusqu'au 14h30) CT cérébral le 17.01.2019 à 11h30 CT cérébral de contrôle le 17.01.2019 à 21h15 : hémorragie intracérébrale fronto-pariétale droite Transfert à Berne pour prise en charge neurochirurgicale (cf dx 1) Lyse intraveineuse par r-tPA 100 mg le 17.01.2019 (jusqu'au 14h30) CT cérébraux du 17.01.2019 CT cérébral le 18.01.2019 (Inselspital) CT cérébral de contrôle le 21.01.2019 et le 25.01.2019 CT cérébral natif le 30.01.2019 IRM cérébrale le 05.02.2019 Lyse isthmique L5 bilatérale avec arthrose facettaire et possible surcharge facettaire sur : • Status post-discectomie L5-S1 par abord rétro-péritonéal par la G et mise en place d'une cage ALIF Synfix M 10.5/10°, pré-remplie au Ceracell et fixée par 2 vis de 20mm en L5 + 2 vis de 25mm en S1 le 02.11.2018 pour une discopathie évolutive L5-S1 avec protrusion discale Radiculopathie sensitive résiduelle L5 D, sans atteinte électroneuromyographique Lyse isthmique L5, consolidée avec décompensation musculaire de la colonne thoraco-lombaire. Mr. Y montre une symptomatologie en régression. Elle ne justifie actuellement pas une prise en charge chirurgicale à ses yeux. Je reste à disposition si la situation se péjorer. Mr. Y souffre d'une maladie de Dupuytren. Je parcours avec lui les facteurs de risque et recommande d'éviter toute consommation d'alcool. Je propose dans un premier temps un traitement par ergothérapie avec application de silicone et attelle nocturne. Adaptation de l'outillage pour voir si ces simples mesures permettent de diminuer, voire de faire disparaître, les symptômes. Je le revois dans 2 mois, si l'évolution est défavorable, on pourrait à ce moment rediscuter d'une prise en charge chirurgicale. Mr. Y, connu pour une maladie tritronculaire avec un pontage 1999 et un stent actif CX 2004 avec une bonne fonction ventriculaire gauche, se présente avec un angor instable pendant quelques mois. À l'entrée, Mr. Y est hypertendu. Aucun changement ST significatif n'a été observé à l'ECG, la troponine était légèrement élevée avec la CK normale. Selon les collègues de cardiologie, il était chargé avec Plavix 600mg. Au Coronarographie le 31.01.2019, on pourrait ouvrir une occlusion significative du IVP avec un stent actif, le FEVG est normal avec 65 %. On a continué avec ASA et Plavix ainsi que Lixiane (Indication fibrillation auriculaire). Selon la proposition de nos collègues cardiologues, nous poursuivons la trithérapie avec Aspirin/Plavix et Lixiana pour 1 mois, suivie d'une thérapie combinée avec Plavix/Lixiana pendant 3 à 6 mois au total, et enfin la monothérapie avec Lixiana. Nous avons optimisé le traitement antihypertenseur. Mr. Y rentre à la maison en bon état le 31.01.2019 Mr. Y, connu pour une insuffisance cardiaque systole-diastolique terminale d'origine ischémique, porteur d'un LVAD depuis 2014, nous est transféré depuis l'Inselspital où il consulte aux urgences. Mr. Y est initialement vu par MedHome (appelé par les soins à domicile) en raison de douleurs abdominales épigastriques intermittentes présentes depuis deux semaines. Mr. Y rapporte également une fatigue et une dyspnée en péjoration progressive depuis 1 mois (dyspnée NYHA IV contre III habituellement). Au vu de la pathologie cardiaque, Mr. Y est dirigé vers l'Inselspital où un bilan (Rx thoracique et laboratoire) est réalisé, aucune cause n'est retrouvée pouvant expliquer la symptomatologie. Mr. Y nous est donc adressé pour suite de prise en charge et pour réévaluer la situation à domicile. Nous diagnostiquons une décompensation cardiaque globale (œdème des membres inférieurs, reflux hépato-jugulaire, hypoventilation basal droite et râles crépitants non décrits lors du dernier suivi en cardiologie le 08.01.19), un traitement par Torasemid est introduit permettant une perte de 2kg. Nous stoppons le traitement par Venlafaxine au vu de son effet cardiotoxique et remplaçons le Carvedilol par du Beloc Zok en raison d'hypotension symptomatique en dessous de 80 mmHg. À l'échocardiographie transthoracique du 31.01.19, on retrouve une FEVG à 10-15 % (évaluation visuelle) contre 25 % en juin 2018. À noter que lors des contrôles échographiques précédents réalisés à l'Inselspital, la FEVG était toujours autour de 15 %. Mr. Y présente également une apathie importante associée à un manque de motivation évoluant depuis 2015. Une origine neurologique nous semble la plus probable sur séquelles post AVC ischémique et hémorragique frontal droit en 2015. À noter que Mr. Y n'a jamais bénéficié d'un bilan neuropsychologique suite à son AVC. Dans ce contexte, nous ne retenons pas d'indication à poursuivre le traitement antidépresseur par Venlafaxine qui est par ailleurs cardiotoxique. De plus, durant l'hospitalisation, nous n'avons pas mis en évidence de symptômes dépressifs. Du point de vue social, aucun problème n'est mis en évidence. Mr. Y vit à domicile avec son épouse et sa fille. Il est dépendant pour la plupart des activités de la vie quotidienne (notamment la toilette) qui sont effectuées avec l'aide de son épouse et sa fille. Celles-ci s'occupent également de la gestion des médicaments. Un passage infirmier a lieu 1x/semaine. La situation actuelle convient à la famille qui ne souhaite pas augmenter le passage des soins à domicile. Mr. Y, 48 ans, est admis pour un ACR sur bradycardie extrême dans le cadre d'un BAV III. Mr. Y, initialement à Riaz, présente d'emblée un BAV III symptomatique. Il présente trois épisodes d'asystolie motivant deux réanimations cardio-pulmonaires sans no-flow et avec moins de deux minutes de low-flow à l'introduction de l'Isoprénaline. Il est ensuite intubé et transféré aux soins intensifs. Le rythme est sinusal dès son admission aux soins intensifs. L'échocardiographie et la coronarographie sont normales, sans argument pour une cardiopathie sous-jacente. L'Isoprénaline est sevrée sans complication hormis une courte asystolie durant la ventriculographie. En l'absence d'étiologie réversible pour ce trouble du rythme de haut grade, un pacemaker est mis en place sans complication. La radiographie du thorax et le contrôle du pacemaker sont normaux. Le Propranolol du patient qu'il prend depuis plus de 20 ans pour une tachycardie sinusale est repris après implantation du Pacemaker. Le patient présente un état fébrile sur probable broncho-aspiration. Des hémocultures sont prélevées et les sérologies de Lyme sont négatives. Un traitement par Co-Amoxicilline pour une courte durée est introduit. En cas d'hémocultures positives, une ETO serait à discuter avec l'équipe de cardiologie. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une suspicion d'AVC. Le patient présente une symptomatologie vertigineuse avec ataxie et perte de force du bras gauche. Il se présente bien après le timing requis pour une intervention cérébrovasculaire. Le CT montre des séquelles de lésions sans franches lésions nouvelles. Le patient est anticoagulé par Eliquis avec une insuffisance rénale. Dans ce contexte, ce dernier est mis en suspens et relayé par de l'héparine intraveineuse. Le Pacemaker du patient étant incompatible avec l'IRM, il est jugé que le rapport risque-bénéfice de cet examen est en défaveur du patient. Pour cette raison, un CT de contrôle est demandé pour le 01.03.2019. Un EEG est aussi demandé afin d'exclure une autre étiologie aux symptômes. La statine du patient est majorée. L'échocardiographie est stable et le traitement de l'insuffisance cardiaque à fraction d'éjection abaissée est à reprendre au plus vite afin de minimiser les risques de décompensation. Après 24h de surveillance sans particularité, le patient est transféré en Stroke unit non monitorisé pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 83 ans, est hospitalisé dans un contexte de dyspnée à l'effort se péjorant depuis 2 semaines, accompagnée de dyspnée paroxystique nocturne, d'une orthopnée et d'une nycturie. Aux urgences, une échographie cardiaque montre une dilatation des cavités droites et le CT thoracique ne montre aucun argument pour une embolie pulmonaire, une pneumopathie ou de signes de surcharge. L'échographie cardiaque faite aux urgences montre une fraction d'excrétion du ventricule gauche conservée avec une importante dilatation de l'oreillette gauche ainsi qu'une dilatation des cavités droites. La pression artérielle pulmonaire est augmentée à 53 mm Hg. Nous posons le diagnostic de décompensation cardiaque gauche. Dans ce sens, un traitement par Lasix est commencé aux urgences et nous relayons par du Torem per os à l'étage. Lors de l'hospitalisation, les symptômes respiratoires ne s'amendant pas pendant la nuit, nous majorons le Torem, introduisons un inhibiteur de l'enzyme de conversion et investiguons une composante pulmonaire. Une spirométrie est effectuée le 21.02. qui revient à la limite de la norme et une polysomnographie est mise en place la nuit du 21.02 qui met en évidence des apnées du sommeil. Une thérapie nocturne par CPAP nasale est testée mais malheureusement mal supportée par le patient. En accord avec les pneumologues, une demande d'oxygénothérapie nocturne avec lunettes nasales est demandée à la Ligue pulmonaire. Dans le contexte d'une suspicion d'un léger trouble cognitif, un mini mental state effectué le 21.02 montre un MMS à 27/30 et un test de l'horloge à 7/7. Cependant, le patient semble montrer une difficulté à s'exprimer et à comprendre ce qu'on lui dit. Nous recommandons aux soins à domicile et au médecin traitant de veiller à l'apparition d'une péjoration sur le plan cognitif. Le patient rentre à son domicile le 25.02.2019. Mr. Y, 92 ans, est admis aux soins intensifs pour une hyponatrémie sévère symptomatique. Le patient est amené en ambulance aux urgences en raison d'une détresse respiratoire aiguë associée à un état confusionnel aigu dans un contexte fébrile. Le bilan biologique révèle une hyponatrémie vraie qui se péjore pendant la surveillance aux urgences. L'hyponatrémie se corrige progressivement sous apport en NaCl et avec une restriction hydrique. Un suivi biologique est encore nécessaire, avec adaptation de la restriction, levée à la sortie des SI. La radiographie met en évidence des infiltrats pulmonaires diffus. Le frottis grippe est positif pour Influenza A. Une antibiothérapie par Ceftriaxone et un traitement par Tamiflu sont introduits. L'évolution respiratoire est initialement favorable après aérosols et oxygénothérapie. Mr. Y, 92 ans, est transféré des soins intensifs pour suite de prise en charge d'une hyponatrémie sévère symptomatique. Pour rappel, le patient est amené en ambulance aux urgences en raison d'une détresse respiratoire aiguë associée à un état confusionnel aigu dans un contexte fébrile. Le bilan biologique révèle une hyponatrémie vraie qui se péjore pendant la surveillance aux urgences. L'hyponatrémie se corrige progressivement sous apport en NaCl et avec une restriction hydrique. Un suivi biologique est encore nécessaire, avec adaptation de la restriction. La radiographie met en évidence des infiltrats pulmonaires diffus. Le frottis grippe est positif pour Influenza A. Une antibiothérapie par Ceftriaxone et un traitement par Tamiflu sont introduits. Des hémocultures reviennent négatives. L'évolution respiratoire est initialement favorable après aérosols et oxygénothérapie. À l'étage de médecine, nous adaptons l'antibiothérapie per os au vu d'une bonne amélioration clinico-biologique. L'oxygène peut être sevré progressivement. Les poumons sont désencombrés en physiothérapie avec bon effet, qui sera à continuer en ambulatoire. L'hyponatrémie montre une bonne évolution avec stabilisation à 131 mmol/l. Nous retenons le diagnostic de SIADH dans le contexte infectieux. Le patient relate des troubles de l'équilibre en péjoration depuis quelques années. Nous suspectons une origine posturale avec alitement prolongé dans le cadre de l'hospitalisation, au vu des investigations antérieures ORL et neurologiques sans particularité. Au bilan biologique, une hypovitaminose D est substituée. Le patient bénéficiera également de physiothérapie ambulatoire pour la mobilisation. Mr. Y rentre à domicile le 28.02.19. Mr. Y, 61 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur grippe à Influenza A compliquée par un ARDS. Pour rappel, Mr. Y est un patient en bonne santé habituelle qui présente depuis le 07.02.2018 un état grippal avec des myalgies et une toux sèche avec dyspnée et état fébrile, traité par Klacid par son médecin traitant avec des diarrhées depuis l'introduction des antibiotiques. Une mauvaise évolution respiratoire l'amène à reconsulter son médecin traitant qui note une mauvaise évolution radiologique avec des infiltrats interstitiels en péjoration et un syndrome inflammatoire important. Les besoins en oxygène du patient se majorent rapidement après 36h. Le patient devenant complètement dépendant de la VNI, il est intubé. L'étiologie de l'insuffisance respiratoire est une grippe A. En raison d'une suspicion de surinfection, une antibiothérapie par Lévofloxacine est instaurée pour une durée de 7 jours. L'évolution est favorable sur le plan respiratoire permettant une extubation le 19.02.2019 avec un relais par VNI et oxygène à haut débit. À sa sortie, le patient bénéficie d'une oxygénothérapie aux lunettes à 4 L par minute avec une augmentation des besoins à 6 L à l'effort. Le patient présente une hypertension artérielle importante après l'extubation nécessitant la mise en place de trois antihypertenseurs : bêta-bloquants, inhibiteur calcique et lisinopril. Le profil tensionnel est à surveiller.Une cytolyse hépatique et une pancréatite biologiques sont mises en évidence à l'admission, ces valeurs s'améliorent durant l'hospitalisation. Mr. Y est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire aiguë, retrouvé inconscient à son domicile. Après intubation à l'hôpital de Payerne, il est transféré à Fribourg. L'évolution sera malheureusement défavorable avec décès du patient. L'origine de l'insuffisance respiratoire globale aiguë est une grippe A avec une surinfection bactérienne à S. aureus, survenant chez un patient vacciné et connu pour une BPCO de stade IV oxygéno-dépendante. Après stabilisation de l'état de choc et légère amélioration respiratoire sous traitement antiviral et antibiotique, nous sommes confrontés à un échec d'extubation en raison d'absence de contact et d'une dépendance au support ventilatoire. Le sevrage ventilatoire se présentait alors comme difficile et aurait nécessité théoriquement le passage par une trachéotomie. La situation neurologique a été préoccupante, sans aucun contact au lever de sédation et un état d'agitation psycho-motrice important, persistant après introduction d'un traitement de Dexmetomidine et de neuroleptique. L'électroencéphalogramme montre un état de mal non convulsivant qui s'inscrit probablement dans le cadre d'une encéphalopathie hypoxique suite aux désaturations sévères juste avant son admission. Vu l'évolution respiratoire défavorable avec persistance de la dépendance ventilatoire ainsi qu'un pronostic neurologique incertain, nous faisons le point avec la famille. Il en ressort que le patient n'aurait pas voulu une prise en charge lourde ni de trachéotomie. Nous décidons alors en commun accord de mettre en place des soins de confort. Mr. Y décède paisiblement, en présence de son épouse et de ses deux filles. Mr. Y est amené aux urgences par sa sœur, suite à une chute à domicile la veille sur déséquilibre (en se penchant pour essuyer le sol) avec station au sol prolongée durant 24h en raison d'une impossibilité à se relever. Aux urgences, le status est sans particularité. Le CT cérébral montre des séquelles ischémiques et un hématome sous-galéal pariétal. La surveillance neurologique durant 48h se déroule sans particularité. Au bilan de chute, on retrouve essentiellement une carence en vitamine D qui est substituée. Le Tinetti est à 15/28, principalement sur des troubles de l'équilibre statique. L'évolution de la marche ainsi que l'équilibre s'améliore avec les séances de physiothérapie qui seront poursuivies à domicile. Nous mettons en évidence un trouble de la vidange vésicale sur hypertrophie prostatique avec une rétention urinaire à 800 ml le 28.01.19 associée à des mictions par regorgement présentes depuis quelques semaines selon l'anamnèse. Nous n'avons pas d'argument pour une prostatite associée (Urotube stérile et prostate indolore au toucher rectal). Un traitement par Duodart ainsi qu'une sonde vésicale sont mis en place dès le 28.01.19. Durant l'hospitalisation, Mr. Y gère correctement la sonde urinaire, la sensibilité de la vessie est conservée avec envie d'uriner dès 250-300 cc. Un suivi urologique est organisé en ambulatoire. Au laboratoire d'entrée, on retrouve un syndrome inflammatoire avec une CRP à 167 mg/L, possiblement dans le contexte de chute et de l'hématome sous-galéal. Aucun foyer clinique n'est retrouvé et Mr. Y reste afébrile durant tout le séjour. Le syndrome inflammatoire est spontanément à la baisse au contrôle biologique. Sur le plan orthopédique, le patient présente des douleurs vertébrales, motivant la réalisation d'une radiographie de la colonne dorsale ainsi que d'un scanner où l'on retrouve des tassements D11-12 d'allure ancienne. Les douleurs sont soulagées par une antalgie simple (Paracétamol). Sur le plan métabolique, nous majorons sa substitution thyroïdienne au vu des valeurs de TSH. Nous proposons d'effectuer un contrôle dans 6 semaines. Un retour à domicile est organisé le 05.02.19 avec passage quotidien des soins à domicile pour gestion de la sonde urinaire et aide à la toilette 2x/semaine. Mr. Y, 80 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour une hyponatrémie hypo-osmolaire à 111 mmol/l. Il consulte les urgences avec un gêne thoracique avec un ECG parlant en faveur des troubles de dépolarisation antéro-septale sans cinétique de la troponine et des CK à la baisse par la suite. Une hyponatrémie hypo-osmolaire est découverte, dont l'origine est une intoxication à l'eau secondaire à la prise de Minirin 0.2 mg depuis le 24.01.2019. Suite à l'arrêt du Minirin, la natrémie s'est corrigée de 1 mmol par heure pendant 15h, ce qui a motivé l'administration d'une dose unique supplémentaire de Minirin afin d'en freiner la correction. La natrémie était à 121 mmol/l le 04.02.2019 avec toujours un état neurologique dans la norme. Une polyurie jusqu'à 4 litres par jour a été constatée, favorisée par l'arrêt du Minirin et entretenue par une consommation d'eau accrue. Un avis endocrinologique du Dr. X a été pris par téléphone avec une proposition d'arrêt du Minirin et une consultation par la suite si la polyurie devait persister dans les prochains 7 à 10 jours. Dans ce cas, il faudrait effectuer une récolte des urines sur 24 h. Un traitement de Cordyceps sinensis a été stoppé du fait de son effet diurétique. Nous vous proposons un bilan cardiaque chez le patient qui a présenté un gêne thoracique qui ne s'est plus reproduit lors de la surveillance aux soins intensifs. La troponine est restée stable et une légère élévation des CK totales s'est corrigée. L'ECG montre des ondes Q et des troubles de la repolarisation en antéro-septal. La radiographie de thorax montre une légère redistribution vasculaire sans signe clinique. Le traitement habituel d'irbesartan-hydrochlorothiazide a été interrompu vu le contexte d'hyponatrémie et a été remplacé temporairement par de la nifédipine. Nous proposons de revoir ce traitement selon l'évolution. Le patient a été transféré dans le service de médecine interne à l'HFR Tavel le 04.02.2019. Mr. Y souffre toujours de la même problématique avec une importante limitation dans les activités de la vie quotidienne. Une date opératoire est planifiée pour le 21.02.2019 et il entrera le jour précédent. Nous allons essayer de faire une ostéosynthèse de la colonne postérieure pour essayer d'avoir un soutien de l'anneau de Burch, reconstruction du cotyle et on implantera une prothèse. S'il n'est pas possible d'effectuer l'ostéosynthèse, il faudra faire un Girdlestone. Le patient a été informé de l'intervention et le consentement a déjà été signé lors de la dernière consultation. Mr. Y, 66 ans, est admis pour une insuffisance cardiaque avec dysfonction gauche sévère et une insuffisance hépatique. Le patient présente une insuffisance cardiaque en nette péjoration (FeVG à 20 %) d'allure subaiguë confirmée par échocardiographie. L'origine serait multifactorielle : toxique sur l'alcool, rythmique sur la FA rapide. Une coronaropathie n'est pas exclue et devra être investiguée dans un second temps. La digoxine en IV est administrée pour contrôler la FA chez un patient non anticoagulé et qui aurait été sous Xarelto jusqu'à Septembre 2018 selon une ordonnance. Un traitement de Carvédilol à très faible dose ainsi que de l'Aldactone seront à introduire dès la mise en place d'une SNG. En effet, en raison de son statut post-chirurgie et radiothérapie ORL, le patient présente des troubles de la déglutition sévères avec une cachexie importante. Un avis ORL est demandé pour suite de prise en charge ainsi que pose de SNG sous vision nasofibroscopique. Dès la reprise d'une alimentation, il sera nécessaire de pister un éventuel syndrome de renutrition.Un ultrason abdominal est effectué et objective un foie de stase ce qui n'impose pas la mise sous corticoïdes pour une suspicion initiale d'hépatite alcoolique aiguë. Une échocardiographie à distance d'un traitement médicamenteux efficace est à effectuer. Enfin, l'anticoagulation thérapeutique est à discuter après correction de la crase. La patient est transféré en médecine pour suite de prise en charge. Mr. Y nous informe avoir déménagé à Zürich, raison pour laquelle il préfère poursuivre le suivi là-bas, également concernant la physiothérapie et la chiropractie. Au vu de la nouvelle clinique lombo-sciatique, nous lui conseillons une IRM lombaire. Poursuite du traitement conservateur. Mr. Y est réadmis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire aiguë d'origine multifactorielle. D'une part, il est équipé d'une CPAP qu'il n'a pas utilisée sur la nuit précédant sa réadmission car elle n'est plus fonctionnelle (détérioration du tuyau). D'autre part, il y aurait une composante de surcharge chez ce patient non dialysé depuis le 06.02.2019 sur décision néphrologique au vu de sa clairance de créatinine à 13 ml/minute avec une diurèse conservée, mais sous Furosémide à forte dose. Le patient est ventilé par VNI et la dialyse itérative est reprise avec une séance test aux SI qui se passe sans complications anaphylactiques liées au filtre tel que suspecté lors des séances passées à Riaz. Le patient a présenté en fin de séance une hypotension légère asymptomatique sur un retrait de 2 L. La Métolazone est introduite en association avec le Furosemide en intraveineux à 40 mg/h, il faudra voir pour le relais par Torem. Une coronarographie est effectuée et montre une IVA pathologique très serrée qui est stentée (3 stents). La charge est initialement effectuée avec de l'Efient, puis relayée par du Plavix à poursuivre pendant 3 mois. L'anticoagulation est poursuivie par Héparine en continu. Le cathétérisme gauche droit effectué confirme la suspicion d'une HTAP d'origine post capillaire. Au vu de l'amélioration clinique, le patient est transféré en médecine à Riaz pour la suite de prise en charge. Mr. Y présente une maladie de Dupuytren récidivante au niveau 1er, 3ème, 4ème et 5ème rayons. Le plus gênant pour Mr. Y c'est le 5ème rayon, nous lui proposons donc une cure par collagénase pour ce rayon ou étant donné que les Dig I, II et V sont également concernés, le patient est également symptomatique sur ces doigts, nous lui proposons une fasciectomie ouverte +/- une greffe de peau (peau entière) avec site de prise de greffe ispilatérale au niveau du bras. Nous expliquons au patient les risques et bénéfices de l'intervention qu'il accepte en signant le formulaire d'information et de consentement. Mr. Y, 81 ans, a été hospitalisé pour une coxarthrose invalidante avec une mise en place élective d'une prothèse totale de la hanche droite. Le séjour aux soins intensifs a été marqué par une vasoplégie post-opératoire et une cholécystite aiguë. Le patient est connu pour une maladie coronarienne monotronculaire avec fonction cardiaque normale et est porteur d'une valve aortique biologique. L'intervention orthopédique élective s'est bien déroulée, mais une vasoplégie post-opératoire a nécessité plusieurs litres de remplissage ainsi qu'un soutien aminergique transitoire de noradrénaline, sevrée le 31.01.2019. Un traitement de diurétique a par la suite été introduit pour négativer le bilan. L'antalgie a été assurée par opiacés. Un état fébrile avec syndrome inflammatoire est apparu dès le 01.02.2019 et a été attribué à une cholécystite lithiasique aiguë sans dilatation des voies biliaires. Un traitement conservateur par antibiothérapie a été administré sur avis chirurgical. Une cholécystectomie devrait être organisée à distance de la phase aiguë. Un état confusionnel aigu hyperactif postopératoire a nécessité une contention médicamenteuse par neuroleptique. Une nouvelle douleur du flanc gauche est survenue le 05.02.2019 et s'est résolue par Novalgine. Le diagnostic différentiel est un calcul rénal ou une coxarthrose gauche. Il est aussi possible qu'il y ait eu un léger saignement dans le kyste rénal gauche. La situation est à réévaluer selon l'évolution. Le patient a été transféré le 05.02.2019 dans le service de médecine interne avec l'approbation des chirurgiens orthopédiques et viscéraux. Mr. Y est hospitalisé en électif pour une pose de système de resynchronisation dans le contexte d'une dysfonction ventriculaire gauche sévère d'origine hypertrophique. La pose du pacemaker se déroule sans complication, il fonctionne de manière satisfaisante au contrôle immédiat. À la radiographie thoracique de contrôle, on ne retrouve pas de pneumothorax. Un contrôle de la plaie est à organiser par le patient à J10 chez le médecin traitant. Le contrôle du pacemaker aura lieu dans 4-6 semaines en cardiologie. Le patient rapporte des douleurs articulaires chroniques et invalidantes, notamment de la colonne, des sacro-iliaques ainsi que des épaules et du genou G. Nous suspectons une arthropathie inflammatoire avec suspicion de maladie de Bechterew. Nous laissons le soin au médecin traitant d'investiguer cette problématique en ambulatoire si ce n'est pas déjà réalisé. Mr. Y, 43 ans, est admis aux soins intensifs pour une décompensation cardiaque dans un contexte d'insuffisance mitrale sévère et flutter auriculaire. Le patient, qui est connu pour une cardiopathie hypertensive avec fraction d'éjection à 40 % en 2010, consulte les urgences pour une dyspnée en péjoration depuis une semaine. Le bilan clinique et biologique initial met en évidence une décompensation cardiaque dans un contexte de flutter auriculaire rapide. Un CT-scan thoracique permet d'exclure une embolie pulmonaire et montre un épanchement pleural droit qui est ponctionné et compatible avec un transsudat avec présence d'amas de cellules suspectes (possiblement des cellules mésothéliales). Une cytologie est en cours. À savoir que le patient a perdu 10 kg en 6 mois. Un anévrysme de la crosse aortique (juste en aval des troncs supra-aortiques) est aussi mis en évidence, dont l'origine est indéterminée. Une échographie cardiaque transthoracique, complétée ensuite par une transoesophagienne, met en évidence une insuffisance mitrale sévère sur rupture de cordage du feuillet postérieur de la valve. Son étiologie est aussi peu claire. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est de 40 %. L'absence de thrombus auriculaire permet d'effectuer une cardioversion électrique, réussie à 150 J. Le patient est transféré au CHUV en chirurgie cardiologique pour prise en charge chirurgicale de l'IM sévère. Mr. Y, 75 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique dans le contexte d'un STEMI subaigu et un fibrillo-flutter rapide le 22.02.2019. Il présente aux urgences avec un tableau de gastro-entérite, attribué à une infection à Campylobacter. Un traitement par Clarithromycine est introduit selon les résultats bactériologiques, prévu pour 3 jours. Dans ce contexte, il devient hypovolémique, ce qui déclenche un fibrillo-flutter à conduction rapide, qui est ralenti par bêtabloquants et finalement cardioversé médicamenteusement par cordarone. Nous proposons un maintien du contrôle rythmique par cordarone au vu de l'insuffisance cardiaque. Une coronarographie est effectuée en urgence à l'admission suite à des troponines très élevées et des élévations ST dans le territoire antéro-septal. Une occlusion de l'IVA infranchissable est effectivement trouvée, d'allure sub-aiguë. La FEVG est estimée à 25 % et l'on trouve un thrombus intraventriculaire, témoin de la durée prolongée de l'akinésie du ventricule gauche. Une échocardiographie est à organiser dès le 25.02.2019 pour l'évolution de la fonction cardiaque avec contraste pour l'évolution du thrombus sous anticoagulation thérapeutique débutée le 22.02.2019. Selon l'évolution, une re-coronarographie pour rotablation de l'occlusion IVA est à organiser.Pour l'insuffisance cardiaque, un traitement par Lisinopril et Aldactone est initié. Il est transféré en médecine le 23.02.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 76 ans, a été admis aux soins intensifs dans le contexte de troubles de l'état de conscience et une respiration de Cheynes-Stokes récidivants, attribués à un état fébrile sur crise de goutte. Le patient a été hospitalisé en neurologie dans les suites d'une hémorragie intra-cérébrale temporo-pariétale droite et hémorragie sous-arachnoïdienne péri-lésionnelle après une thrombolyse intraveineuse pour une thrombose de l'artère centrale de la rétine droite. Un hémisyndrome gauche résiduel s'est légèrement amélioré, mais le patient a présenté une altération récidivante de la vigilance et des épisodes de respiration de Cheynes-Stokes, attribués à des états fébriles depuis le 30.01.2019. L'état neurologique s'est amélioré suite à la régression de la fièvre. L'IRM cérébrale ainsi qu'un EEG n'ont pas démontré d'autres substrats à ces troubles de l'état de conscience. La fièvre a été mise sur le compte soit de l'hématome intra-cérébral en voie de régression, soit d'une crise de goutte touchant plusieurs articulations. Les hémocultures et cultures d'urine sont stériles. Un avis infectiologique ne préconise pas d'antibiothérapie. La goutte a été traitée par antalgique et colchicine, ce qui a permis une nette amélioration du syndrome inflammatoire. Le patient est désormais aussi suivi par les rhumatologues qu'il faut contacter en cas d'arthrite aiguë pour discuter d'une éventuelle ponction. Les troubles persistants de la déglutition posent l'indication à la mise en place d'une PEG, qui sera organisée dès que possible. La famille a été informée. Le patient a été transféré le 05.02.2019 en unité stroke en attente de la neuroréhabilitation. Mr. Y nous est adressé par son neurologue traitant pour une mise en place d'une pompe de Duodopa en raison de nombreux phénomènes off surtout dans l'après-midi, associés à une dystonie importante. Une sonde naso-jéjunale est posée le 11.02.19 en gastro-entérologique permettant de débuter le traitement de Duodopa. Sous traitement, nous observons une bonne réponse clinique. La pose de PEG-J est donc agencée le 14.02.19, malheureusement celle-ci ne peut pas être posée pour des raisons anatomiques. La diaphanoscopie étant rétrosternale ou thoracique sur le côté gauche basal, il est impossible de poser une PEG à ce niveau-là. Une pose de GPR-J pourrait être organisée, mais après avis auprès du consultant Duodopa, il n'est pas souhaitable de mettre en place le traitement par Duodopa sur un GRP-J au vu du risque augmenté d'infection selon leur expérience. Dans ce contexte, il reste l'option d'une jéjunostomie chirurgicale. Le patient souhaite réfléchir à cette option. Un retour à domicile est donc organisé le 15.02.19. Mr. Y, 84 ans, a été admis pour un NSTEMI secondaire à une subocclusion de l'IVA proximale. En raison d'un bloc AV du 3ème degré, un pacemaker a été implanté le 04.02.2019. Il a été admis pour des DRS typiques. L'échocardiographie montre une nette aggravation de sa fonction ventriculaire gauche (de 40% à 20%) motivant une coronarographie en urgence. Cette dernière retrouve une maladie tritronculaire avec une subocclusion de l'IVA proximale traitée par stent actif. Le patient présente encore un fond de douleurs post-examen motivant l'introduction brève de nitroglycérine en IV. L'Aspirine est poursuivie et l'Efient à demi-dose introduit pour 6 mois. Une statine est rajoutée. Un traitement de l'insuffisance cardiaque a été débuté et nous vous laissons le soin de surveiller la kaliémie et la fonction rénale. Une échocardiographie de contrôle devra être effectuée après 1 mois afin de discuter de l'indication au rajout d'une sonde de resynchronisation. Du fait d'une hypothyroïdie subclinique en 2014 et d'une macrocytose, un contrôle de la TSH et un bilan vitaminique est recommandé. Le patient a été transféré le 08.02.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, 74 ans, est transféré depuis Berne pour une insuffisance respiratoire partielle sur une grippe A surinfectée. Mr. Y était hospitalisé à Tavel pour une infection à Influenza A qui se complique d'une surinfection bactérienne à germe indéterminé. L'insuffisance respiratoire progressive mène finalement à une intubation le 11.02.2019. L'antibiothérapie est élargie de Ceftriaxone à Tazobac avec finalement une bonne évolution sur le plan infectieux. Un CT thoracique confirme des infiltrats bilatéraux des lobes inférieurs et permet d'exclure une embolie pulmonaire. Au niveau respiratoire, l'évolution est rapidement favorable. L'extubation est retardée par un réveil pathologique chez ce patient parkinsonien sévère. Un avis neurologique est pris et le traitement neurologique est adapté. L'évolution permet par la suite une extubation sans complication immédiate. Nous proposons la poursuite de la physiothérapie respiratoire. Un NSTEMI secondaire dans le contexte septique est diagnostiqué sans troubles de la cinétique à l'échocardiographie (ETT), avec une FEVG dans la norme. Une nouvelle ETT sera à organiser pour décider d'une éventuelle coronarographie à distance. Son séjour se complique par une colite à Clostridium, traitée par Métronidazole pour une durée de 10 jours. L'évolution générale du patient permet un transfert en division de médecine interne le 22.02.2019 dans l'attente d'une ré-adaptation neuromusculaire à l'hôpital de Meyriez. Mr. Y se présente aux urgences en raison d'une hématochézie avec présence de sang frais en quantité modérée apparue lors de la défécation. Une colonoscopie et gastroscopie a été réalisée le 06.02.19 avec ablation de 4 polypes. Il ne présente pas de fièvre, frisson ou douleur abdominale. Le patient présente une hématochézie post-polypectomies spontanément résolutive. L'anticoagulation thérapeutique (fibrillation auriculaire) est mise temporairement en pause. Mr. Y ne présente pas de réapparition de saignement suite à la reprise du Sintrom le 12.02.19, le suivi de l'hémoglobine se montre par ailleurs stable. Un retour à domicile est organisé le 15.02.19. Mme. Y, 71 ans, est admise aux soins intensifs pour une suspicion d'AVC le 21.02.2019. Elle est connue pour des lombalgies et cervicalgies chroniques sous Celebrex, présente le 20.02.2019 de manière aiguë des paresthésies dans les deux jambes à prédominance droite, suivies d'une hypoesthésie. Pendant la nuit, elle se rend compte qu'elle présente une hypoesthésie de la fesse droite. La patiente a également remarqué un trouble de la mobilité du pied droit puis du bras droit avec dysthésie dans le bras associé à des douleurs de type décharges électriques. Elle présente également par la suite des paresthésies jusqu'au niveau du visage (sous la bouche) et des céphalées frontale droite. À son arrivée aux soins intensifs, la patiente présente une parésie faciale mineure droite, une hypoesthésie de l'hémiface droite, une chute du membre supérieur et inférieur droit, une ataxie des deux membres supérieurs avec un NIHSS à 7 points. L'évolution clinique sera favorable avec nette récupération de la motricité au 23.02.2019. Le CT cérébral est normal et un diagnostic d'AVC sylvien droit est initialement retenu par les neurologues. Un traitement par Plavix 75 mg le 21.02.2019 est débuté au vu d'une intolérance anamnestique à l'aspirine cardio. L'IRM du 22.02.2019 montre une suspicion de myélite transverse au niveau de la moelle allongée, latéralisée côté droit (DD ischémie médullaire cervicale). Un traitement par Aciclovir est débuté dans l'hypothèse d'une atteinte herpétique.Après une tentative infructueuse de ponction lombaire, nous renonçons à cet examen, d'autant plus que la patiente avait déjà reçu 2 doses de Plavix. Une nouvelle IRM, l'indication à une nouvelle ponction après 5 jours d'arrêt du Plavix et la poursuite du traitement antiviral seront à rediscuter avec les neurologues. L'échographie cardiaque du 22.02.2019 montre un rétrécissement aortique léger à modéré avec surface d'ouverture à 1.42-1.70 cm2 par équation de continuité. Un suivi annuel (ou plus tôt en cas de symptômes) de la valvulopathie aortique est recommandé par les cardiologues. Mr. Y, 77 ans, est admis pour une insuffisance respiratoire aiguë sur un OAP lors d'un pic hypertensif. Il est connu pour une cardiopathie ischémique tritronculaire et présente depuis le 16.02.2019 une toux avec fièvre. Il est admis pour une hypoxémie sévère, mise sur le compte d'un OAP sur pic hypertensif (212 mmHg de pression artérielle systolique aux urgences) compliquant une possible surinfection pulmonaire. Durant son séjour aux soins, le patient est traité par nitrés par voie IV continue et par VNI. Puis avec l'optimisation du traitement antihypertenseur, majoration des bêta-bloquants, et grâce à l'introduction d'un diurétique, les dérivés nitrés sont sevrés rapidement. L'évolution est rapidement favorable sur le plan respiratoire permettant un sevrage de la VNI. Nous vous proposons de maintenir la VNI à 2 séances par jour de manière prophylactique. L'origine infectieuse évoque initialement une grippe, raison pour laquelle le patient est traité par Tamiflu. Le frottis grippe revient négatif permettant l'arrêt du Tamiflu le 18.02.2019. Une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid est aussi introduite. Les antigènes urinaires reviennent négatifs le 18.02.2019 permettant l'arrêt du Klacid le 18.02.2019. Un syndrome inflammatoire est toujours présent à la sortie et nous vous laissons le soin de le surveiller. Les hémocultures sont en cours. On observe un NSTEMI secondaire dans ce contexte de pic hypertensif. Une ETT est effectuée le 18.02.2019 et montre une hypokinésie inférieure, après discussion avec les cardiologues et au vu du contexte infectieux, pas de coronarographie en urgence, il faut prévoir un contrôle échocardiographique à distance. Mr. Y, 79 ans, est admis en post-opératoire d'une cimentoplastie L2-L3. L'opération, effectuée en anesthésie générale et décubitus ventral, s'est bien déroulée. Le patient est stable dès son admission en soins intensifs. L'antalgie est assurée par Fentanyl patch et Effentora en réserve en raison de l'insuffisance rénale. Lors de son séjour en soins intensifs, il ne présente pas de complication sur le plan respiratoire ni apnée comme suspecté. L'anticoagulation prophylactique a été reprise selon le protocole post-opératoire. Vu une bonne évolution, le patient peut être retransféré à l'étage d'orthopédie pour la suite de la prise en charge. Mr. Y se présente aux urgences en raison d'une rougeur du visage, apparue il y a 24h, associée à un état fébrile. La rougeur part depuis le nez et progresse aux deux joues et sur la région frontale et péri-orbitaire. Il rapporte l'apparition d'une toux et un rhume 10 jours auparavant, avec état fébrile et mouchages fréquents, apparition d'une dysphonie progressive sans stridor ni odynodynphagie. Il ne présente pas de trouble ophtalmologique ou neurologique. Nous diagnostiquons une dermohypodermite du visage sur porte d'entrée cutanée au niveau nasal antérieur sur micro-lésions lors de mouchage. Le CT scanner de la face permet d'exclure une complication locale. L'évolution est rapidement favorable sous antibiothérapie systémique IV et topique (région nasale), permettant un relais per os à J5. Un suivi ORL est organisé durant l'hospitalisation et sera poursuivi en ambulatoire à une semaine de la sortie. Le patient est informé de se reconsulter rapidement en cas de réapparition d'une rougeur/tuméfaction du visage, état fébrile ou céphalée. Au vu de l'insuffisance rénale chronique stade G3A/B selon KDIGO, nous réduisons la posologie de la Metformine à 1000 mg/j (dose maximale recommandée adaptée à la fonction rénale). Nous laissons le soin au médecin traitant de poursuivre l'adaptation du traitement antidiabétique et de changer de molécule si jugé nécessaire. Un retour à domicile est organisé le 14.02.19. Mr. Y, connu pour une cardiopathie rythmique sur fibrillation auriculaire intermittente, est hospitalisé en raison d'un important œdème récidivant des membres inférieurs avec prise de 9kg en 3 semaines. Hormis les œdèmes, il ne présente pas d'autres signes ou symptômes de décompensation cardiaque. L'origine de la rétention hydro-sodée reste indéterminée chez ce patient qui présente une fonction ventriculaire gauche préservée (US cardiaque juin 2018). Un traitement temporaire par Lasix IV, Metolazone et Aldactone est mis en place, permettant une perte de 8kg. Au vu de troubles électrolytiques importants et récidivants (hypokaliémie et hypomagnésémie), un traitement par Lithium est introduit en complément du Torasémide en raison de son effet aquaréthique. Sous ce traitement, on note une stabilisation du poids ainsi que des électrolytes. Mr. Y, 42 ans, est admis pour une insuffisance respiratoire globale au décours d'une infection pulmonaire à Influenza et d'une probable surinfection bactérienne. Dès son admission, une VNI est débutée afin de corriger la carbonarcose avec une réponse rapide. L'antibiothérapie est poursuivie par Co-Amoxicilline et Klacid, il était trop tard pour instaurer un traitement de Tamiflu. L'évolution respiratoire est favorable et finalement, la VNI peut être sevrée et il reste un besoin à une légère oxygénothérapie. L'attitude est rediscutée dès l'admission avec le père du patient et il est convenu qu'une intubation ne serait pas profitable au patient. Lors du bilan, une perturbation des tests hépatiques est découverte. Cette dernière est stable et asymptomatique. Cette dernière s'améliore spontanément et était probablement liée au Co-Amoxicilline. En cas de péjoration, nous vous proposons la réalisation d'une échographie abdominale. Face à l'amélioration et l'absence de désaturation, le patient est transféré en médecine pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 76 ans, a été admis en unité stroke monitorée pour un AVC ischémique sylvien gauche avec thrombus vasculaire au niveau d'une branche de l'artère cérébrale moyenne gauche (M2/M3) qui a été traité par lyse intraveineuse. Le patient a été retrouvé par la famille le 09.02.2019 vers 18:45. Il présentait un discours incohérent avec, de plus, une impression d'hémiparésie droite. La dernière preuve de bonne santé se situait vers 17:15. Il a été immédiatement amené en ambulance aux urgences où une aphasie mixte de compréhension et de production a été observée avec une parésie du membre supérieur droit. Le CT cérébral a identifié une importante zone de pénombre du territoire sylvien gauche sans lésion constituée. Une lyse intraveineuse à environ 3h du début des symptômes a été administrée avec une résolution des troubles de la compréhension et moteurs. Une aphasie a toutefois persisté. Le CT de contrôle a permis d'exclure une transformation hémorragique et aucune lésion constituée n'était visible. Compte tenu des anciennes lésions ischémiques cérébelleuses bilatérales, une origine cardio-embolique peut être suspectée. Un traitement anti-agrégant plaquettaire a été introduit. L'IRM cérébrale de contrôle ainsi que le bilan cardiologique sont prévus.Le bilan lipidique et glycémique sont dans la norme. Une statine n'est pas indiquée. Une anémie macrocytaire sans carence vitaminique en B12 ni en folate a été constatée. En cas de persistance, un bilan complémentaire et la recherche d'un syndrome myélodysplasique pourraient être discutés. Mr. Y se présente aux urgences en raison de douleurs thoraciques rétrosternales typiques présentes à l'effort modéré, depuis 2-3 semaines associées à une dyspnée d'effort nouvelle. A la coronarographie du 08.02.19 on retrouve une maladie coronarienne monotronculaire avec sténose 70% de la coronaire moyenne et une occlusion subaiguë d'une petite branche marginale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Le patient bénéficie d'une angioplastie de l'artère circonflexe moyenne. L'Aspirine cardio est à poursuivre à vie, le Plavix est introduit pour une durée de 6 mois. Le contrôle rythmique de 48h00 post coronarographie se déroule sans particularité. Mr. Y est confié aux agents de police en raison du mandat d'amener. Une consultation psychiatrique d'urgence sera organisée par les agents de police. Mr. Y, patient de 77 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une hémorragie digestive haute, post-papillotomie (ERCP). Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé en chirurgie depuis le 05.02.2019 pour une cholécystite aiguë avec cholangite et une pancréatite Balthazar C suite auxquelles il bénéficie d'une ERCP avec extraction de deux concréments et une papillotomie. Il présente des épisodes de méléna avec baisse de l'hémoglobine. Un CT abdominal montre un épaississement de la papille et une hémorragie active au niveau duodénale. Une oeso-gastro-duodénoscopie en urgence montre un hématome péri-papillaire sans saignement actif. L'hématome est drainé, sans complication. Un traitement par Pantoprazole en continu est débuté pour 72h avec un relais par bolus par la suite. L'hémoglobine reste stable et la surveillance hémodynamique est sans particularité. Notons une thrombose de la veine porte avec une anticoagulation thérapeutique qui reste à reprendre à distance de l'événement aigu. Le 15.02.2019 le patient présente une fibrillation auriculaire rapide qui a pu être cardioversée avec de l'Amiodarone intraveineuse. Nous retenons l'anémie sur l'hémorragie digestive haute comme origine de la fibrillation auriculaire rapide et du NSTEMI secondaire. Mr. Y est adressé aux urgences en ambulance suite à un malaise. Il rapporte avoir présenté des vertiges avec sudation et sensation de malaise survenus après s'être relevé des toilettes. La symptomatologie est rapidement résolutive après s'être allongé au sol. Il n'a pas présenté de plainte cardiaque ou neurologique. Le statut d'entrée est sans particularité. Au laboratoire on retrouve une anémie d'origine ferriprive nouvelle, sur probable saignement digestif dans le contexte d'une double antiagrégation et prise intermittente d'AINS pour des douleurs ostéoarticulaires. Un traitement par IPP à haute dose est introduit dès le 31.01.19. Nous n'objectivons pas de méléna. Les hémoccults réalisés à trois reprises reviennent positifs, mais le patient a présenté à ce moment-là quelques traces de sang frais sur les selles et le papier (ce qui était déjà présent de manière occasionnelle à domicile en raison d'hémorroïdes). Au vu d'une absence de symptomatologie et d'une stabilité de l'hémoglobine à 102 g/l au suivi biologique, un retour à domicile est organisé le 04.02.19. Le patient sera convoqué pour la réalisation d'une gastroscopie et colonoscopie en ambulatoire. Mr. Y se présente dans notre service des urgences le soir du 19 janvier dans un contexte d'asthénie croissante depuis Noël, avec maintien à domicile devenu impossible. Connu pour un carcinome de la prostate métastatique, il a récemment subi une extraction dentaire suite à une ostéonécrose attribuée à son traitement de Xgeva, dès lors interrompu. Le suivi oncologique est assuré par le Dr. X, un scanner récent (07.01) ayant révélé des métastases hépatiques nouvelles associées à une perturbation des valeurs de cytolyse et cholestase. Une ponction-biopsie du foie avait été agendée pour le 30.01.2019 en ambulatoire. Le bilan initial aux urgences met en évidence un discret syndrome inflammatoire et une perturbation des tests hépatiques et des valeurs de cholestase. Le patient est hospitalisé dans notre service de médecine interne pour suite à la prise en charge. La ponction-biopsie du foie est avancée au 23.01.2019 et se déroule sans complication. L'analyse histopathologique révèle un adénocarcinome dédifférencié, compatible avec la partie originellement peu différenciée (Gleason pattern 5) retrouvée dans la pièce de prostatectomie. Sur avis du Dr. X, il est décidé de procéder à une nouvelle chimiothérapie palliative par Jevtana le 05.02.2019. Parallèlement à la problématique purement oncologique, le patient bénéficie d'un traitement complexe en médecine palliative dès le 22.01.2019 suite à une consultation avec le Dr. X. Du Zyprexa est ajouté au traitement de Cipralex récemment introduit par le Dr. X et les médications de prophylaxie primaire sont arrêtées (aspirine cardio, Atorvastatine). Une équipe interdisciplinaire de thérapeutes se réunit hebdomadairement afin d'accroître l'indépendance fonctionnelle du patient et de préparer son retour à domicile. Mme. Y, qui suit le patient depuis environ 2 ans, offre de plus un soutien psychologique au patient. Le rendez-vous de contrôle du 23.01.19 à la clinique dentaire de l'Hôpital de l'Ile est annulé, le patient bénéficiant d'une consultation ORL complétée par l'avis d'un chirurgien maxillo-facial consultant, Dr. X. Celui-ci préconise la poursuite des mesures de désinfection déjà en place, ainsi qu'un contrôle clinique et radiologique (OPG) à son cabinet en ambulatoire. Le séjour se complique de pics fébriles associés à une majoration du syndrome inflammatoire dès le 25.01.2019. Une antibiothérapie par Cefepime de 7 jours est initiée sur suspicion de foyer pulmonaire en base droite. Toutefois, ceci n'apporte aucune amélioration sur le plan clinique et biologique, de sorte qu'un scanner thoraco-abdominal est effectué le 30.01.2019. Celui-ci montre une progression tumorale au niveau hépatique, avec un début de nécrose. L'hypothèse de fièvre d'origine tumorale est retenue et le traitement de Prednisone est majoré sur 3 jours, avec bon effet clinique. La Prednisone est à poursuivre en ambulatoire à un dosage de 20 mg, traitement qui sera réévalué par son oncologue traitant, le Dr. X. Mr. Y rentre à domicile le 11.02.2019, en état général conservé. Un suivi par Voltigo a été mis en place pour le domicile. Macrohématurie le 06.02 dans un contexte de carcinome prostatique avec invasion du plancher vésical. Macrocéphalie sur élargissement des espaces sous-arachnoïdiens bénins. Macrocytose de découverte fortuite. Macrocytose d'étiologie indéterminée. DD: carence en vitamine B12, folates, hypothyroïdie. Macrohématurie. Macrohématurie atraumatique et asymptomatique le 16.02.2019. Macrohématurie chez patiente sous Xarelto, avec colonisation à Enterococcus faecalis et E. Coli le 19.02.2018. Pyélonéphrite gauche le 22.09.2017 et le 27.06.2018. Contexte de Bricker depuis 2014. Translocation bactérienne à E. Coli. Thrombose veine mésentérique inférieure le 06.10.2017. Multiples opérations intra-abdominales.• hystérectomie vaginale totale pour hyperménorrhée en janvier 2005 • adhésiolyse pour iléus en 2009 • laparoscopie exploratrice, adhésiolyse intestinale et annexectomie bilatérale en août 2013 • résection anastomose d'une sténose de l'uretère gauche en octobre 2013 • cystectomie avec dérivation selon Bricker pour vessie atone le 14.11.2014 (Dr. X, Dr. X) • cure de hernie cicatricielle par laparotomie le 04.05.2015 • cure de hernie hiatale Tentamen médicamenteux avec hospitalisation à Marsens le 28.09.2016 • syndrome sérotoninergique incomplet (absence d'hyperthermie) sur intoxication au SSRI Brûlure des paumes des deux mains le 14.07.2015 Opération des cordes vocales pour oedème de Quincke (?) en 2001 et 2009, avec dysphonie séquellaire Opérations pour épicondylite aux membres supérieurs en 1995 et 2003 Accouchement par voie basse en 1993 Syndrome de QT long (QTc 505 ms) le 29.05.2018 DD : médicamenteux (Escitalopram), troubles électrolytiques Candidose oesophagienne en 06.2018 Brûlures aux 1er et 2e degrés, superficie de 10% du corps (cuisses ddc non circonférentiel, abdomen G) le 26.06.2018 Fracture extra-articulaire du radius distal le 04.09.2018 Ulcères gastriques le 20.06.2018 avec : • 2 ulcères bulbaires sans vaisseau visible ni signe de saignement • 1 érosion du fundus gastrique du côté de la grande courbure Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 le 29.05.2018 sur syndrome hépato-rénal Décompensation cirrhotique le 19.11.2018 • Cirrhose hépatique CHILD B dans contexte d'éthylisme chronique • Encéphalopathie hépatique grade II Anémie normochrome normocytaire hyporégénérative chronique diagnostiquée le 22.10.2018 Macrohématurie chez patiente sous Xarelto, avec colonisation à Enterococcus faecalis et E. Coli le 19.02.2018 Pyélonéphrite gauche le 22.09.2017 et le 27.06.2018 • contexte de Bricker depuis 2014 • translocation bactérienne à E. Coli Thrombose veine mésentérique inférieur le 06.10.2017 Multiples opérations intra-abdominales avec : • nombreuses opérations abdominales pour malformation digestive dans l'enfance • hystérectomie vaginale totale pour hyperménorrhée en janvier 2005 • adhésiolyse pour iléus en 2009 • laparoscopie exploratrice, adhésiolyse intestinale et annexectomie bilatérale en août 2013 • résection anastomose d'une sténose de l'uretère gauche en octobre 2013 • cystectomie avec dérivation selon Bricker pour vessie atone le 14.11.2014 (Dr. X, Dr. X) • cure de hernie cicatricielle par laparotomie le 04.05.2015 • cure de hernie hiatale Tentamen médicamenteux avec hospitalisation à Marsens le 28.09.2016 • syndrome sérotoninergique incomplet (absence d'hyperthermie) sur intoxication au SSRI Brûlure des paumes des deux mains le 14.07.2015 Opération des cordes vocales pour oedème de Quincke (?) en 2001 et 2009, avec dysphonie séquellaire Opérations pour épicondylite aux membres supérieurs en 1995 et 2003 Accouchement par voie basse en 1993 Syndrome de QT long (QTc 505 ms) le 29.05.2018 DD : médicamenteux (Escitalopram), troubles électrolytiques Candidose oesophagienne en 06.2018 Brûlures aux 1er et 2e degrés, superficie de 10% du corps (cuisses ddc non circonférentiel, abdomen G) le 26.06.2018 Fracture extra-articulaire du radius distal le 04.09.2018 Ulcères gastriques le 20.06.2018 avec : • 2 ulcères bulbaires sans vaisseau visible ni signe de saignement • 1 érosion du fundus gastrique du côté de la grande courbure Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 le 29.05.2018 sur syndrome hépato-rénal Décompensation cirrhotique le 19.11.2018 • Cirrhose hépatique CHILD B dans contexte d'éthylisme chronique • Encéphalopathie hépatique grade II Anémie normochrome normocytaire hyporégénérative chronique diagnostiquée le 22.10.2018 Macrohématurie d'origine indéterminée. Macrohématurie d'origine indéterminée, sous anticoagulation, le 23.02.2019. Macrohématurie le 21.02.2019. Status post-pose de sonde vésicale le 05.02.2019. Macrohématurie le 30.01.2019 • Chez patient porteur de sonde à demeure post-TURP pour obstruction et récidive avec résection du col depuis 2015 • Changement de sonde double J le 11.01.2019 (suivi par Dr. X pour pyélonéphrites obstructives à répétition) avec urines macrohématuriques, qui a motivé une pose de sonde vésicale à 3 voies pour rinçages continus Hépatomégalie stéatosique multi-nodulaire avec signes de décompensation cirrhotique (hypertension portale, ascite) • Child B (9 pts le 07.06.2018), Child B (7 points le 26.11.2018) • OGD le 20.06.2018 : * Pas de varice oesophagienne * Insuffisance hépato-cellulaire sur hépatite alcoolique le 29.05.2018 avec : Trouble de la crase - Syndrome hépato-rénal • Encéphalopathie hépatique grade II - Ammoniémie 88 umol/l, Facteur V 49% - Score MELD 22, Maddrey 47.6 pts (20.8 pts à J2) • sérologies HAV, HBV, HCV, HIV négatives - DOT hépatites auto-immunes négatif Pancréatite chronique d'origine éthylique probable • pancréatite aiguë d'origine éthylique les 04.10.2017, 22.02.2018 et 20.10.2018 • pancréatite aiguë Balthazar A le 29.05.2018 avec : pseudokystes pancréatiques nouveaux (IRM du 27.02.2018 : pas de pseudokystes pancréatiques) - IRM abdominale le 06.06.2018 : pseudokyste pancréatique • pancréatite aiguë en novembre 2018 Tabagisme actif 75 UPA F 10.2 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool • Syndrome de dépendance F33.4 Trouble dépressif récurrent F60.3 Personnalité émotionnellement labile • idéations suicidaires scénarisées avec hospitalisation à Marsens en 2014 et 2016 Trouble de l'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle : • OH chronique • malnutrition • polyneuropathie Thrombopénie à 63 g/l le 08.02.2019 dans le contexte oncologique et cirrhotique Insuffisance hépato-cellulaire sur hépatite alcoolique le 29.05.2018 avec : • Trouble de la crase • Syndrome hépato-rénal • Encéphalopathie hépatique grade II • Ammoniémie 88 umol/l • Facteur V 49% • Score MELD 22 • Maddrey 47.6 pts (20.8 pts à J2) • Sérologies HAV, HBV, HCV, HIV négatives • DOT hépatites auto-immunes négatif Pancréatite chronique d'origine éthylique probable • Pancréatite aiguë d'origine éthylique les 04.10.2017, 22.02.2018 et 20.10.2018 • Pancréatite aiguë Balthazar A le 29.05.2018 avec : pseudokystes pancréatiques nouveaux (IRM du 27.02.2018 : pas de pseudokystes pancréatiques) • IRM abdominale le 06.06.2018 : pseudokyste pancréatique • Pancréatite aiguë en novembre 2018 F 10.2 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool • Syndrome de dépendance F33.4 Trouble dépressif récurrent F60.3 Personnalité émotionnellement labile • Idéations suicidaires scénarisées avec hospitalisation à Marsens en 2014 et 2016 • Suivi par Dr. X, Mr. Y (infirmier) au Centre d'addictologie Fribourg Trouble de l'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle : • OH chronique • Malnutrition • Polyneuropathie Macro-instabilité L4/L5 Meyerding Stade II, 14 mm, avec limitation de la marche à pied avec spondylarthrose prononcée L3-L5, rétrécissement canalaire modéré, traitée par stabilisation L4/L5 et décompression le 20.12.2018 Mme. Y est une patiente de 71 ans, aux antécédents susmentionnés, que nous hospitalisons suite à une mise en évidence d'une éviscération couverte le 31.01.2019 pendant la consultation de contrôle post-opératoire. La patiente bénéficie d'une pose de VAC avec des changements itératifs de pansement VAC au bloc opératoire du 01.02.2019 au 03.02.2019. On effectue le changement de VAC en chambre le 06.02.2019 qui montre une bonne évolution de la plaie. Mme. Y rentre à domicile le 07.02.2019. Elle reviendra chez nous en stomathérapie pour des changements de VAC en ambulatoire 2x/semaine (prochain rendez-vous le 11.02.2019 à 10h15). Mme. Y est amenée aux urgences en ambulance le 01.02.2019 en raison d'une importante dyspnée et d'une fatigue. À noter que la patiente présente une dyspnée depuis plusieurs semaines, en péjoration progressive et associée à une toux avec expectorations rosées et pour laquelle un rendez-vous à votre consultation était prévu le jour de l'admission aux urgences. À l'arrivée des ambulanciers, la patiente sature à 85% à l'air ambiant. Dans un premier temps elle refuse le masque à oxygène mais finit par l'accepter avec une saturation qui remonte à 96% sous 8 litres d'oxygène. À l'anamnèse, la patiente signale une oppression thoracique et la présence de sang foncé dans les selles ce jour. Au status pulmonaire, notons des ronchis importants au niveau des deux plages pulmonaires avec tirage et utilisation de la musculature accessoire. La patiente est tachypnéique. Au niveau cardiovasculaire, B1B2 sont lointains avec des bruits respiratoires prédominants. Pas d'oedème des membres inférieurs. Au status digestif, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Notons de discrètes douleurs à la palpation de la fosse iliaque gauche, sans défense ni détente. Au toucher rectal, pas d'hémorroïdes externalisées ou internes. Pas de sang ni de selles au doigtier. Le laboratoire met en évidence une anémie avec hémoglobine à 81 g/l, probablement sur saignement digestif, avec surcharge pulmonaire associée et NSTEMI secondaire. Nous administrons 3 x 20 mg de Lasix iv avec bonne réponse. La patiente bénéficie également d'une oxygénothérapie à 6 l/min, pouvant être progressivement diminuée à 3 l/min puis sevrée avec une bonne tolérance. Aux urgences, la patiente reçoit 80 mg iv de Pantoprazol puis son traitement habituel de 40 mg/j est majoré à 2 x 40 mg/j. Elle bénéficie de la transfusion de 2 culots érythrocytaires avec un bon rendement transfusionnel et elle est transférée dans le service de médecine pour la suite de la prise en charge. Dans le service, pas de nouvelle déglobulisation. Nous stoppons son traitement par aspirine dans ce contexte de saignement, celui-ci étant prescrit en prévention primaire. Une gastroscopie et une colonoscopie sont prévues en ambulatoire à l'HFR Riaz le 21.02.2019. Durant l'hospitalisation, la patiente présente une tendance à l'hyperglycémie avec un épisode d'hypoglycémie isolée (avait moins mangé le midi). Dans ce contexte, nous avons changé le Glimeryl pour du Diamicron et nous vous laissons le soin d'adapter le traitement. L'évolution est par la suite favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 09.02.2019. Mme. Y, patiente de 87 ans vivant seule à domicile et connue pour un état dépressif sur un contexte d'isolation sociale, consulte à une seconde reprise à la Permanence le 8.2.19 en raison de lombalgies non déficitaires impossibles à gérer à domicile. La patiente a déjà consulté pour ces lombalgies à la Permanence il y a quelques semaines avec un traitement analgésique. Selon la patiente, pas de nouvelle symptomatique, pas de trouble sensitivo-moteur des MI, pas de chute ni de trauma. Elle décrit ces lombalgies comme une ceinture au niveau de la taille, déclenchée par le mouvement, et actuellement en péjoration. La patiente signale également des bouffées de chaleur avec périodes d'angoisse pendant la nuit et crises hypertensives (TA mesurée à 200 une fois). À l'examen clinique, il n'y a pas de trouble sensitivo-moteur des membres inférieures avec réflexes vifs et symétriques. Nous devons tout de même hospitaliser la patiente pour un contrôle analgésique ainsi que des soins à domicile impossibles. Après la visualisation radiographique d'une colonne vertébrale ostéoporotique avec deux tassements au niveau Th11 et 12, un nouveau traitement à l'Alendronate est instauré au vu de l'ostéoporose manifeste. La médication antidépresseur sera augmentée dans le contexte des crises de panique récidivantes. C'est avec un bon contrôle analgésique et sans recours au CMS que nous pouvons laisser rentrer la patiente à son domicile le 13.2.19. Mme. Y est une patiente de 39 ans qui se présente aux urgences le 06.02.2019 pour des douleurs épigastriques et en hypochondre droit. Le bilan sanguin montre une perturbation des tests hépatiques ainsi qu'une élévation des paramètres de cholestase. L'échographie abdominale montre une image de cholécystite avec de nombreux calculs intra-vésiculaires, ainsi que la présence de calculs dans le cholédoque qui est dilaté. Nous diagnostiquons une cholécystite aiguë avec cholédocholithiase associée. Nous introduisons une antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole. La patiente bénéficie d'une ERCP le 07.02.2019 permettant l'extraction des concréments cholédociens et la mise en place d'un stent. L'évolution est par la suite favorable, raison pour laquelle la patiente rentre à domicile le 11.02.2019. Elle sera revue à la consultation des chefs de clinique le 28.03.2019 pour un contrôle clinique et biologique avant la cholécystectomie agendée pour le 29.03.2019. Une ablation du stent situé dans les voies biliaires est prévue le 25.03.2019. La patiente sera convoquée par le service d'endoscopie. Mme. Y nous est adressée par l'Inselspital le 22.01.2019 pour suite de prise en charge dans l'attente d'une place en réhabilitation pulmonaire à l'HFR Billens. Pour rappel, la patiente est connue pour un NSCLC synchronisé lobe moyen droit, type adénocarcinome, pT1b N0 (0/23), L0 V0 Pn0 G2 R0, stade IA, en plus d'un probable NCSCLC primitif médiastinal de type carcinome épidermoïde cTx pN2, cMO stade IIIA. Elle a bénéficié de 6 séances de chimiothérapie par Platinol et Gemzar avant la chirurgie thoracique - résection du lobe moyen droit et lymphadénectomie médiastinale radicale droite le 14.01.2019, à Inselspital à Berne. Durant le séjour à l'Inselspital, la patiente a présenté, en post-opératoire, une pneumonie nosocomiale basale droite, raison pour laquelle une antibiothérapie par co-amoxicilline est introduite pour une durée totale de 10 jours.Au status d'entrée dans notre service, nous relevons sur le plan pulmonaire une hypoventilation bibasale à prédominance à droite sans râle de stase ni sibilance. Le reste du status est non contributif. Sur le plan paraclinique la radiographie du thorax montre une composante d'épanchement pleural bilatéral de faible abondance prédominant à droite avec troubles ventilatoires, un épaississement scissural à droite ainsi qu'un épaississement marqué de la trame bronchovasculaire. Nous contactons le Dr. X, oncologue traitant, qui préconise un bilan endoscopique et une consultation ORL en raison de la présence d'un probable NSCLC médiastinal type carcinome épidermoïde non détectable sur le PET-CT, afin de pouvoir exclure ou confirmer une tumeur primitive. Une consultation ORL est donc planifiée chez le Dr. X le 01.02.2019 et une OGD est prévue à l'HFR Riaz le 28.02.2019. Sur le plan pulmonaire la patiente présente de bonnes saturations sous 2 litres d'oxygène à la sortie. Le 29.01.2019 la patiente présente un épisode de nausées vomissements dans le contexte de l'augmentation de l'Oxycontin à 2 x 20 mg en raison de douleurs post-opératoires que nous traitons par Zofran avec une bonne réponse. Au vu d'une évolution clinique favorable Mme. Y est transférée à l'HFR Billens le 30.01.2019 pour une réadaptation pulmonaire. Mme. Y est une patiente de 33 ans en bonne santé habituelle, qui se présente pour des douleurs en colique d'intensité 8/10 avec deux épisodes de vomissement depuis le 10.02.2019. Un CT abdominal met en évidence une cholécystolithiase sans argument pour une cholécystite. La patiente bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique le 12.02.2019. L'évolution post-opératoire est marquée par des douleurs abdominales importantes à J1 post-opératoire motivant un scanner qui permet d'exclure une complication post-opératoire. La patiente retourne à domicile le 15.02.2019 avec une antalgie adaptée. Mme. Y est une patiente de 62 ans en bonne santé habituelle adressée par le Dr. X pour un abcès de la loge masticatrice droite après extraction de la dent 48 le 31.01.2019. La patiente a été traitée par Amoxicilline 1g 2x/j depuis le 03.02.19 sans amélioration, avec apparition d'une tuméfaction jugale, d'un état fébrile et d'un trismus. Le CT-cervicothoracique du 07.02.2019 montre un abcès de la loge masticatrice droite. On pratique un drainage trans-oral sous anesthésie générale le 07.02.2019, sous couvert d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline i/v 2.2g 3x/jr et corticothérapie par Solumedrol 62.5mg 1x/jr. Les suites opératoires sont simples. Les prélèvements profonds sont en cours d'analyse à la sortie. La patiente rentre à domicile le 08.02.2019 et sera revue quotidiennement en ambulatoire pour des rinçages, l'antibiothérapie i/v sera également réalisée en ambulatoire jusqu'au passage per os si l'évolution est favorable. Mme. Y est une patiente de 75 ans qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour prise en charge d'un anévrisme poplité à droite. Le 28.01.2019 elle bénéficie de l'intervention sus-mentionnée. L'évolution post-opératoire est tout à fait favorable, permettant un retour à domicile le 04.02.2019. Mme. Y sera vue à la consultation du Dr. X le mercredi 20.03.2019 à 15h30. Mme. Y présente une tendinopathie de la coiffe des rotateurs particulièrement du sus-épineux et du sous-scapulaire avec une éventuelle lésion de l'intervalle musculaire de la coiffe des rotateurs de son épaule D. Je propose à la patiente de continuer la physiothérapie à but antalgique. Elle peut garder son bras immobilisé dans le gilet orthopédique mais la mobilisation précoce de son épaule est très importante pour lutter contre la capsulite rétractile. Je prescris à la patiente également du Redoxon 1cp/j. pour une durée totale de trois mois comme prophylaxie d'un éventuel CRPS 1. Je souhaite que Mme. Y soit suivie à la consultation spécialisée de la chirurgie du membre supérieur par mon collègue le Dr. X à l'HFR Riaz. La patiente sera directement convoquée pour cette consultation. L'arrêt de travail a déjà été attesté par son médecin traitant jusqu'au 22.02.2019 date à laquelle il reverra la patiente. Mme. Y, patiente de 59 ans, est admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire le 02.02.2019. La patiente, connue pour une BPCO et un syndrome d'apnée du sommeil consulte les urgences en raison d'un malaise avec chute et traumatisme crânien dans un contexte d'une dyspnée en péjoration associée à une toux grasse depuis quelques jours. Un traitement antibiotique a été déjà débuté le 01.01.2019 par le médecin traitant le 01.02.2019, sans amélioration. Un CT-scan cérébral effectué en raison du traumatisme crânien chez une patiente sous anticoagulation thérapeutique pour fibrillation auriculaire paroxystique ne montre pas d'hémorragie intracrânienne. Une insuffisance respiratoire sur Influenza de type A et sans foyer de pneumonie visible sur la radiographie initiale nécessite un support ventilatoire non-invasif initial alterné avec une oxygénothérapie à haut débit avec évolution favorable. Elle est traitée par Tamiflu avec une couverture antibiotique parallèle au vu du risque de surinfection. L'évolution se complique par une aggravation de son anémie nécessitant un soutien transfusionnel, sans extériorisation objectivée et par une insuffisance rénale aiguë pré-rénale avec péjoration progressive, hématurie et protéinurie néphrotique. L'anémie a déjà été bilanée en décembre 2017 par une endoscopie totale qui était sans particularité et par une immunofixation qui était douteuse, raison pour laquelle nous l'avons répétée. Une origine digestive semble peu probable mais sera à exclure en cas de déglobulinisation répétée et une origine centrale est à exclure (PBM?). Nous vous proposons de compléter le bilan par un avis néphrologique et hématologique. Mme. Y aura un contrôle radio-clinique dans 6 semaines de l'opération à la consultation du Dr. X (Premier RDV le 26.03.2019 à 08.15h). Un contrôle de la tension artérielle est conseillé dans les deux semaines qui suivent la sortie chez le médecin de famille. Mme. Y, 58 ans, est admise aux soins intensifs depuis les urgences de Tavel pour un infarctus du myocarde de type NSTEMI. Elle reçoit rapidement aux urgences de Tavel des charges en Aspirine et Plavix ainsi que de l'Héparine. Face aux douleurs persistantes, un traitement de TNT est débuté en adjonction à de la Morphine. La coronarographie montre des lésions distales sur deux coronaires non traitables de manière invasive raison pour laquelle un traitement médicamenteux est introduit. Une récidive de douleurs thoraciques motive la réalisation d'une échocardiographie transthoracique qui ne retrouve pas d'épanchement péricardique. Sur avis des collègues cardiologues, le traitement médical est poursuivi avec une antiagrégation plaquettaire par Aspirine ainsi qu'un traitement de Lisinopril et de Métoprolol. Un contrôle cardiologique par échocardiographie transthoracique et ergométrie sera à prévoir dans 6 mois. La patiente est transférée à l'étage de médecine interne le 28.02.2019 pour suite de prise en charge. Mme. Y, patiente polymorbide, résidant au home de l'Intyamon, est amenée aux urgences en ambulance le 15.02.2019 en raison d'une crise d'hyperventilation aiguë avec tachycardie et désaturation.A son admission, la patiente est tachycarde avec à 120 bpm, dyspnéique avec utilisation des muscles accessoires et saturation à 83% à l'air ambiant. Notons des ronchis et des sibilances diffuses à l'auscultation pulmonaire. Au status neurologique, Mme. Y est désorientée dans tous les modes et présente un état de conscience altéré. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 156 mg/l et des leucocytes à 10,6 G/l. La radiographie du thorax montre une hypoventilation basale bilatérale modérée ne permettant pas d'exclure un éventuel foyer surajouté. Au vu de ces éléments cliniques et paracliniques, nous hospitalisons la patiente en lit d'observation aux urgences pour bénéficier de séances de VNI. L'état clinico-biologique se détériorant, nous prenons contact avec la famille de la patiente. Nous n'atteignons pas son fils et contactons sa nièce. Le fils se trouvant en Amérique du Sud, nous organisons un rendez-vous téléphonique afin de discuter de l'attitude thérapeutique et ils expriment leurs souhaits de soins de confort afin de respecter les souhaits de la patiente. Nous effectuons un retrait thérapeutique le 17.02.2019 et débutons des soins de confort. Mme. Y décède le 17.02.2019. Mme. Y, patiente de 94 ans connue pour une hypertension artérielle, des probables troubles cognitifs et des chutes à répétition, nous est transférée du service d'Orthopédie de l'Hôpital Cantonal après une pose de prothèse céphalique du fémur droit suite à une fracture du col fémoral gauche Garden III sur chute. Pour rappel, Mme. Y avait été emmenée en ambulance après avoir chuté sur le trottoir en glissant. Les examens radiologiques effectués aux urgences avaient montré une fracture du col du fémur gauche Garden III et Mme. Y a bénéficié d'une pose de prothèse céphalique le 03.01.2019. Les suites opératoires ont été favorables. À l'admission, elle se plaint de légères douleurs à la mobilisation de la hanche gauche. Le reste de l'anamnèse par système est non contributive. Mme. Y présente des oublis fréquents. Nous effectuons un test cognitif qui objective un MMS à 15/30 points, un Clock-test combiné avec MMS à 4/9. Nous débutons une réadaptation musculo-squelettique avec des séances de physiothérapie et d'ergothérapie. À l'entrée, il subsiste une diminution importante de la mobilité avec un risque de chute élevé (Tinetti 9/28). Mme. Y fait les transferts sous supervision avec tintébin (FIM 4), marche pour une distance de 15 m avec tintébin (FIM 3) et n'arrive pas à marcher les escaliers (FIM 1). Le 08.02.2019, Mme. Y présente une crise hypertensive avec une tension artérielle à >250/140 aux deux bras, céphalée, nausée et vomissements clairs plusieurs fois. Le status montre un état de conscience conservé GCS 15 malgré un Brudzinski et une raideur de nuque positifs. Au niveau pulmonaire, nous avons hypoventilation de la plage pulmonaire droite, pas de crépitants, percussion sonore. Les pouls périphériques sont palpables, temps de recoloration 2 secondes, thermie conservée, auscultation cardiaque et abdominale sans particularité. Dyspnée et désaturation à 85% à l'air ambiant. La température est à 36,8° C puis 38,5° C dans l'heure suivante. La patiente ne remplit pas les critères SOFA. Le laboratoire est non contributif, deux paires d'hémocultures ainsi qu'une culture urinaire sont faites. Les antigènes urinaires sont demandés. Pas de fond d'œil possible. Ponction lombaire impossible car clexane thérapie. Sur suspicion de pneumonie et ne pouvant exclure une méningite, nous débutons une thérapie antivirale et après discussion avec le médecin de garde, nous transférons la patiente aux urgences de l'hôpital cantonal de Fribourg pour une prise en charge aiguë dans les conditions plus adéquates. L'antibiothérapie n'a pas pu être administrée avant le transfert. Mme. Y, votre patiente de 94 ans, a été prise en charge pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur une pneumonie bilobaire droite sur possible broncho-aspiration. En effet, la patiente, initialement hospitalisée à l'HFR-Meyriez pour une réadaptation après mise en place d'une prothèse totale de la hanche gauche après une fracture du col fémoral, présente le 08.02 un pic hypertensif à 250/140 mmHg avec céphalée et vomissements, suivi d'une détresse respiratoire hypoxémiante. Un foyer radiologique bilobaire droit est mis en évidence. La patiente est mise au bénéfice d'une antibiothérapie par Coamoxicilline et Klacid, puis par Pipéracilline-Tazobactam après élargissement de spectre afin de couvrir un Pseudomonas aeruginosa chez cette patiente hospitalisée depuis le 28.12.2019. La Pipéracilline-Tazobactam est maintenue jusqu'au 14.02.2019 pour une durée totale d'antibiothérapie de 7 jours. Le Klacid est mis en suspens. Le passage aux soins intensifs est marqué par une vasoplégie importante dans le contexte septique, nécessitant des remplissages à répétition, ainsi qu'un soutien aminergique. Sur la base d'un doute d'une rigidité nuccale à l'examen clinique à Meyriez, un traitement par Aciclovir est initié mais n'est pas poursuivi car il y a un foyer clair pulmonaire et il n'y a pas de clinique franche de méningo-encéphalite. La patiente présente une fibrillation auriculaire dans le contexte du sepsis pulmonaire, avec un NSTEMI secondaire. La patiente reçoit de l'aspirine et la fibrillation auriculaire disparaît avec la résolution du sepsis. Au vu de la bonne récupération, nous ne préconisons ni échocardiographie de contrôle, ni anticoagulation thérapeutique étant donné les risques de chute. D'un point de vue biologique, la patiente présente une hypokaliémie actuellement substituée dont nous suggérons la poursuite du suivi clinique et biologique. D'un point de vue de la réhabilitation, la patiente se déplace actuellement avec un rollator et espère un retour à domicile dès que possible où elle vit avec son fils. La patiente est transférée ce mercredi 13.02.2019 pour la suite de la prise en charge gériatrique puis en réhabilitation. Mme. Y, 94 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour un choc septique et une insuffisance respiratoire hypoxémique sur pneumonie bilobaire droite sur possible broncho-aspiration. La patiente était hospitalisée depuis le 10.01.2019 à Meyriez pour une réhabilitation après mise en place d'une prothèse totale de la hanche gauche pour une fracture du col fémoral. La patiente aurait présenté ce jour un pic hypertensif à 250/140 mmHg avec céphalée et vomissements, suivi d'une détresse respiratoire avec hypoxémie et un foyer radiologique bilobaire droit. En raison d'une rigidité de la nuque mise en évidence à Meyriez, un traitement par Aciclovir est débuté et la patiente est transférée à Fribourg. Après transfert à Fribourg, nous retenons comme diagnostic une pneumonie sur probable broncho-aspiration. Le spectre antibiotique est élargi (Tazobac) en vue d'une hospitalisation depuis le 28.12.2019 et le choc septique, nécessitant des remplissages à répétition, ainsi qu'un soutien aminergique. Le Klacid est mis en suspens et l'Aciclovir n'est pas poursuivi car il y a un foyer clair pulmonaire et il n'y a pas de clinique franche de méningite. Sous ce traitement, l'évolution est favorable en 12 heures, permettant son transfert en médecine. Un test de déglutition montre une dysphagie sévère, probablement déjà préexistante. Nous proposons un nouveau test par la physiothérapie, puis si nécessaire la pose d'une sonde nasogastrique pour alimentation entérale. Le sepsis est compliqué d'un NSTEMI secondaire et d'une fibrillation auriculaire. Nous proposons de renoncer à d'autres investigations et d'établir un traitement médicamenteux simple.L'attitude générale a été discutée avec le fils. Compte tenu de l'âge, aucune réanimation ou intubation n'est à réaliser, une nouvelle admission aux soins intensifs semble plutôt futile. Mme. B est une patiente de 75 ans connue pour les antécédents susmentionnés, qui se présente aux urgences à cause de douleurs abdominales aux deux quadrants inférieurs d'apparition subite depuis la veille, sans état fébrile associé. Le bilan biologique initial montre une leucocytose à 14.4 avec une CRP à 71 mg/L. Un CT abdominal effectué le 10.02.2019 met en évidence une diverticulite sigmoïdienne compliquée avec une collection pelvienne gauche de 3,6 cm, un pneumopéritoine, un iléus paralytique et des lames de liquide libre péritonéal. Une antibiothérapie est débutée et la patiente bénéficie en urgence d'une sigmoïdectomie selon Hartmann le 11.02.2019. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution est par la suite favorable, avec une reprise de transit par la stomie et une réalimentation progressive. Mme. B rentre à domicile le 27.02.2019 avec l'organisation d'aide à domicile pour les soins. Elle sera revue à la consultation des chefs de cliniques le 28.03.2019 à 8h30 pour un suivi post-opératoire. Mme. Ba est hospitalisée dans un contexte de baisse de l'état général avec asthénie, nausées et céphalées. Elle est suivie par le Dr. X pour un carcinome mammaire avec métastases osseuses et cérébrales. Elle a récemment bénéficié d'une radiothérapie et d'un début de chimiothérapie à visée palliative. Un scanner effectué au service des urgences montre de multiples métastases avec œdème péri-lésionnel, dont une grosse métastase frontale droite qui provoque un effet de masse sans symptômes neurologiques francs. Son traitement de corticoïdes avait récemment été revu à la baisse, ce pourquoi nous le majorons afin de réduire l'œdème cérébral. Les symptômes s'améliorent rapidement. Après discussion avec son oncologue, le Dr. X, il est convenu d'un retour à domicile avec une diminution légère de la dose de corticoïdes. La patiente reverra son oncologue le 22.02.2019 afin de discuter de la suite de la prise en charge oncologique, notamment de la poursuite de la chimiothérapie. Mme. Ba peut rentrer à domicile le 21.02.2019 avec une prescription d'ergothérapie et de physiothérapie à domicile. Mme. Ba est hospitalisée le 08.02.2019 à l'Inselspital (absence de place à Fribourg) pour une pneumonie compliquée d'une insuffisance respiratoire aiguë nécessitant une intubation en pré-hospitalier et un choc septique. Elle est transférée le 10.02.2019 aux soins intensifs de Fribourg, où une intubation de 13 jours est nécessaire en attendant la résolution du problème respiratoire et d'un réveil adéquat. Elle est transférée le 23.02.2019 en médecine interne, HFR Riaz, avec un projet de neuroréhabilitation à Billens. La pneumonie est due à une infection à Haemophilus influenzae bactériémique, avec un état de choc résolu en 48 heures. L'infection se complique par un abcès dans le lobe supérieur gauche avec un nouveau choc septique sans identification d'un nouveau germe, motivant un changement au Tienam, à poursuivre jusqu'au 28.02.2019. L'insuffisance respiratoire liée à la pneumonie s'améliore progressivement, permettant une déventillation progressive. On note un coma prolongé de 10 jours, probablement attribuable à une encéphalopathie septique chez une patiente neuro-lésée de base. Le bilan étiologique large (CT, IRM, EEG) n'a pas relevé d'autres pathologies sous-jacentes. Après reprise de contact dès le 21.02., elle est extubée le 22.02.2019. Une polyneuropathie de la maladie critique persiste, nécessitant une physiothérapie intensive. Le CT d'admission révèle des embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires bilatérales, pour lesquelles une anticoagulation thérapeutique par héparine est introduite, avec un relais par Clexane. L'échocardiographie transthoracique en phase aiguë montre une fonction systolique globale du ventricule gauche légèrement diminuée avec présence de troubles de la cinétique segmentaire dans le cadre d'une cardiomyopathie septique avec un diagnostic différentiel de Tako Tsoubo. En vue d'une quasi-normalisation de la fonction, une coronarographie n'est probablement pas indiquée. Nous proposons une échocardiographie à distance. Notons également une PAPs estimée à 42 mmHg dans le cadre d'embolies pulmonaires bilatérales. Après la phase aiguë, on note une hypertension traitée par bêtabloquants. L'attitude thérapeutique a été discutée en cours de séjour avec le mari, et il n'y avait pas de limitations. Une discussion avec la patiente n'est pour l'instant pas possible. Nous prions les collègues de Riaz de reprendre la discussion avec le mari et la patiente, des limitations semblent maintenant adéquates en raison des troubles neurologiques chroniques. Mme. B est une patiente de 83 ans, aux antécédents susmentionnés, qui est amenée en ambulance aux urgences le 08.02.2019 après avoir chuté sur le côté droit. À l'examen clinique, nous objectivons une amnésie circonstancielle et postérieure ainsi qu'une légère dysmétrie au doigt-net et talon-genou à droite. Un CT cérébral met en évidence une hémorragie sous-arachnoïdienne fronto-pariéto-temporale droite et frontale gauche. Un CT de contrôle après 6 heures ne montre pas de majoration des suffusions hémorragiques et la patiente est hospitalisée pour une surveillance neurologique. En vue de l'évolution favorable, Mme. B peut regagner son domicile en bon état général le 11.02.2019. Elle sera revue à la consultation de neurochirurgie le 12.03.2019 avec CT cérébral au préalable, organisé le 25.02.2019. Mme. B est une patiente de 42 ans, en bonne santé habituelle, sans aucun antécédent urologique qui présente une colique néphrétique typique à gauche. Un Uro-CT met en évidence une urétérolithiase de 7x4x9 mm à gauche, posant l'indication à une prise en charge urologique. La patiente bénéficie d'une cystoscopie avec pose de sonde double J le 25.02.2019. Les suites opératoires sont simples et afébriles, raison pour laquelle elle peut rentrer à domicile le 26.02.2019. La suite de la prise en charge consistera en une urétérorénoscopie souple prévue le 01.03.2019 à l'hôpital Daler. Mme. B, âgée de 72 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une neuro-réadaptation suite à une péjoration d'un hémisyndrome gauche connu sur crises d'épilepsie focales avec mouvements cloniques. Sur le plan social, la patiente vit seule à domicile. Une de ses filles habite proche de chez elle et contribue, avec l'aide des soins à domicile, à aider Mme. B. Elle est à la retraite (ancienne employée de commerce). À l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Elle a déjà bénéficié de physiothérapie à Fribourg et avec le traitement de Dexaméthasone, elle note une récupération quasi-totale de son hémisyndrome. Elle rapporte des légères paresthésies des deux mains connues de longue date. Elle est à son arrivée complètement indépendante pour les AVQ. Au statut, la patiente est orientée et collaborante. La force est à M4+ à droite et M4- à gauche. La sensibilité est globalement conservée. La pallesthésie est à 4-6/8. Les réflexes sont normovifs aux membres supérieurs et plutôt hypovifs aux membres inférieurs. Babinski est absent. Au Barré, on note une pronation et un creusement de la main gauche. La coordination est dans les normes. Les tests doigt-nez, talon-genou et marionnette sont bien exécutés. Le test de Hoffmann est négatif. La patiente marche sans moyen auxiliaire à l'intérieur, on note un polygone élargi mais pas de déséquilibre net. Le contrôle sphinctérien est maintenu.Durant son séjour, elle n'a pas présenté de complication particulière. On peut suspecter un contact légèrement frontal qui peut toutefois être un trait de caractère connu de longue date. La cognition semble préservée. Il se pourrait que la patiente présente des troubles de planification légers sans que cela n'entrave réellement sa vie quotidienne. Toutefois, au vu de la durée très brève du séjour, nous n'avons pas pu organiser de bilan neuropsychologique. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie, logopédie et neuropsychologie, avec une évolution favorable. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Elle peut monter/descendre les escaliers seulement avec l'aide de la rampe. Après une semaine d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 20.02.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie à domicile. Mme. Y, votre patiente de 72 ans, connue pour un mélanome du cuir chevelu avec des métastases cérébrales, nous est transférée du CHUV le 04.01.2019 où elle a été prise en charge, du 27.01 au 04.02.2019, pour des crises d'épilepsie focales avec des mouvements cloniques de l'hémicorps gauche et une péjoration de son hémisyndrome moteur gauche. À son admission, la patiente note une récupération quasi totale de la péjoration de son hémisyndrome. Elle n'a aucune plainte particulière. À l'examen clinique, la patiente présente un hémisyndrome moteur gauche à prédominance brachiale. Sur le plan neuro-oncologique, nous poursuivons la corticothérapie avec un schéma dégressif qui est initié. Le taux de Keppra étant infra-thérapeutique, nous majorons la dose, actuellement à 500 mg, deux fois par jour. Suivant l'avis de son oncologue traitant, étant donné l'antécédent d'encéphalite secondaire à l'ipilimumab et le nivolumab, cette immunothérapie ne sera pas reprise pour le moment. Il a été proposé un traitement avec des comprimés de dabrafenib et trametinib que la patiente a refusé jusqu'à maintenant. Un prochain traitement sera à rediscuter à la consultation oncologique prévue le 21.03.2019. Dans l'intervalle, une IRM cérébrale est organisée le 05.03.2019 à l'HFR Riaz, suivi d'un rendez-vous radio-oncologique le 07.03.2019 au CHUV et un Pet-CT organisé le 21.03.2019 au CHUV le jour de sa consultation oncologique. La patiente bénéficie d'une prise en charge physio- et ergothérapeutique, elle marche de façon autonome avec son rollator et ses cannes de marche. Le but de la prise en charge en réhabilitation est d'améliorer l'autonomie en vue d'un retour à domicile. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est une patiente de 62 ans, connue pour un statut post-laparotomie pour résection d'un GIST intestinal en août 2017, qui est hospitalisée dans notre service en vue de la prise en charge chirurgicale d'une hernie cicatricielle symptomatique. La patiente bénéficie d'une cure d'éventration selon Rives le 06.02.2019, qui se déroule sans complications notables. Les suites post-opératoires sont marquées par un iléus post-opératoire nécessitant la pose d'une SNG pendant 24h. La patiente peut rentrer à domicile le 14.02.2019. Elle sera revue à la consultation du Prof. Dr. X pour contrôle le 18.03.2019. Mme. Y est une patiente de 87 ans, qui est transférée dans notre service de chirurgie vasculaire pour la prise en charge de sa plaie au niveau de la jambe gauche. Une indication opératoire pour débridement est posée. L'intervention se déroule le 27.08.2018 sans complication. Les prélèvements intra-opératoires reviennent positifs et une antibiothérapie est débutée sous avis infectiologique. Les suites sont favorables avec une reprise au bloc opératoire le 31.08.2018 pour une révision de plaie et la pose de greffe. Les suites sont favorables avec une bonne prise de la greffe. Mme. Y est transférée pour une réhabilitation gériatrique à Meyrier le 11.09.2018. À noter que la patiente présente une insuffisance rénale chronique sévère, avec obstruction multifocale de l'uretère proximal et dilatation du bassin rénal à gauche, pour laquelle elle bénéficie d'une sonde double J et d'un cystofix le 06.08.2018. Actuellement, la patiente présente des urines purulentes nous faisant suspecter une potentielle infection urinaire. En raison de la faible symptomatologie et après discussion avec l'urologue et les infectiologues, nous décidons de changer le Cystofix, de réaliser un uricult et d'attendre le résultat de l'antibiogramme avant de commencer une antibiothérapie. Nous vous laissons pister les résultats et adapter le traitement selon avis infectiologique/urologique. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte de crise d'épilepsie chez une patiente connue et traitée. Elle a présenté plusieurs épisodes de crise motivant une consultation aux urgences. Un EEG est effectué et ne montre pas de foyer irritatif. En parallèle à son traitement de Keppra, du Vimpat est instauré en complément. Un taux de Keppra effectué le 11.02 revient à un taux de 39.3 ug/ml (pas de modification du traitement proposée). Après discussion avec la famille et la patiente, il est convenu d'effectuer une réhabilitation gériatrique dans la perspective d'un retour à domicile dans les meilleures conditions. Dans le contexte d'une surinfection d'ulcère traité depuis le 08.02.2019, un bilan angiologique a été effectué le 12.02 avec proposition d'une contention avec bandes élastiques afin de combattre l'œdème et poursuite du protocole de soins locaux. La patiente présente un déséquilibre glycémique lors de son hospitalisation, avec des glycémies vespérales au-dessus de 20 mmol/l à plusieurs reprises. Nous adaptons son traitement (arrêt de la metformine, instauration de 3 UI d'Insuline humalog pendant les repas et diminution de Lantus à 12 UI le soir) en accord avec nos confrères diabétologues. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement le 14.02.19 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est admise pour l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont simples et sans complication. L'ablation des Merocel se fait à J1. Les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie de palier. Au vu de l'évolution clinique favorable, elle peut retourner à domicile. Mme. Y, patiente de 72 ans, est admise le 10.02.2019 aux soins intensifs de Fribourg dans le contexte d'une insuffisance respiratoire globale secondaire à une pneumonie. La patiente se présente aux urgences à Tavel le 06.02.2019 pour une dyspnée aiguë. Une exacerbation de BPCO non stadée sur pneumonie bilatérale est retenue. Un traitement par Co-amoxicilline et Prednisone est débuté. La patiente s'aggrave et nécessite un soutien ventilatoire par VNI. En raison d'un manque de place aux soins intensifs de Fribourg, la patiente est transférée aux soins intensifs de Lindenhof à Berne entre le 06. et le 07.02.2019 avant d'être re-transférée à Tavel. En raison d'une nouvelle péjoration respiratoire, la patiente est admise le 10.02.2019 aux soins intensifs de Fribourg.A l'admission, la patiente se péjore sur le plan respiratoire en raison d'une atélectase du lobe inférieur gauche nécessitant une intubation oro-trachéale avec bronchoscopie de toilettage. Radiologiquement, l'évolution est favorable. Cliniquement, l'évolution est toutefois marquée par la persistance de sécrétions muco-purulentes avec biologiquement un syndrome inflammatoire à la hausse. Les cultures des aspirations bronchiques retrouvent un Pseudomonas aeruginosa. L'antibiothérapie est adaptée en remplaçant la Co-amoxicilline par du Pipéracilline-Tazobactam pour une durée totale de 7 jours. L'évolution est par la suite favorable et permet une extubation le 13.02.2019 avec des séances intermittentes de VNI qui sont espacées à 2 séances par jour qu'il faudra poursuivre au moins 2 fois par jour à l'étage chez une patiente BPCO non stadée. Le suivi biologique retrouve une péjoration aiguë d'une insuffisance rénale chronique mise sur le compte d'une probable origine pré-rénale. Une hypernatrémie se développe à la faveur de la déplétion hydrique sur diurétiques qui ont été suspendus. Une hétéroanamnèse confirme des troubles de la déglutition objectivés lors du séjour au Lindenhof de Berne. Un avis ORL est à demander. A noter la mise en évidence d'un saignement vaginal léger et intermittent, d'abord au Lindenhof à Berne puis aux soins intensifs de Fribourg. Les collègues de la gynécologie préconisent d'investiguer ces métrorragies à distance de l'épisode respiratoire aigu actuel. Un bilan gynécologique sera à organiser avant la sortie de l'hôpital. Mme. Y est hospitalisée pour des soins de confort dans le cadre d'un état de mal épileptique. Depuis 3 mois et une fracture du bassin, il a été constaté une baisse progressive de l'état général de Mme. Y avec un syndrome de glissement. Le 04.02.2019, elle a été retrouvée au sol avec présence de mouvements anormaux, ce pourquoi elle est amenée en ambulance à l'hôpital. Des traitements anti-épileptiques sont donnés avec amendement des mouvements mais persistance d'un trouble de l'état de conscience avec un Glasgow à 3. Il est décidé en accord avec la famille d'effectuer des soins de confort avec mise en place de traitements pour ceci. Mme. Y décède le 08.02.2019 à 11h00. Mme. Y, 45 ans, est admise aux soins intensifs dans le cadre de la surveillance postopératoire de l'obésité morbide et de la myopathie Steinert après une hystérectomie et annexectomie le 31.01.2019. L'intubation a été réalisée sans aucun problème avec un vidéolaryngoscope (C/L1), aucun problème de ventilation pendant la laparoscopie. La chirurgie avec annexectomie des deux côtés et hystérectomie a été techniquement difficile avec une perte totale de sang de 1 litre sans perturbation hémodynamique. A l'arrivée, la patiente est extubée, puis mise sous VNI. La patiente est restée stable sur le plan respiratoire avec la VNI en intermittence et oxygène aux lunettes 1-2 L/min. L'hémoglobine est restée stable sous héparine prophylactique. La patiente est transférée le 01.02.19 à l'étage dans le service de gynécologie. Mme. Y, âgée de 59 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une neuro-réadaptation suite à une craniotomie fronto-pariétale gauche et résection Simpson Grade 2 d'un méningiome le 11.01.2019. Sur le plan social, la patiente, veuve depuis 20 ans, vit avec son fils en colocation. Elle travaille à 100% comme secrétaire dans un magasin de sport. A l'admission, la patiente se plaint d'un manque de force dans le membre supérieur et inférieur droit. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. A l'anamnèse par systèmes, la patiente signale une constipation avec des dernières selles remontant à 48h. Des céphalées résiduelles légères sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cognition est conservée, sans trouble mnésique. Au niveau des nerfs crâniens, on note une légère asymétrie avec syndrome facial droit, les autres sont sans particularité. Au niveau des membres supérieurs, sensibilité conservée symétriquement et manque de force dans le membre supérieur droit avec une force à M3 pour le biceps, le triceps, le deltoïde et les fléchisseurs des doigts et M2 pour les extenseurs des doigts. Aux membres inférieurs, la sensibilité est symétrique, la force est cotée à M5 partout sauf au niveau des fléchisseurs de la hanche à M4 à droite. Pallesthésie à 5/8 ddc. Les réflexes sont normovifs et symétriques. Coordination perturbée dans le membre supérieur droit avec une épreuve index-nez pathologique. Epreuve talon-genou sans particularité des deux côtés. Station debout sûre sans augmentation du polygone. Léger trouble de la marche, sans perte de l'équilibre. Contrôle sphinctérien conservé. Réflexe de Hoffmann positif à droite. Une évaluation neuropsychologique a mis en évidence un léger ralentissement de l'accès aux noms propres. L'orientation, l'accès lexical, la compréhension, les traitements sémantiques, la métaphonologie, le langage écrit, le traitement des nombres, les praxies gestuelles, la mémoire à court terme, les capacités d'encodage, stockage et récupération en mémoire à long terme, le fonctionnement exécutif et la rapidité de traitement sont globalement conservés. Par ailleurs, étant donné les séquelles d'hémisyndrome sensitivomoteur au MSD, aucune tâche graphique n'a été réalisée. Au sein de ces résultats dans la norme, nous observons toutefois une asymétrie en défaveur des aptitudes verbales dans la sphère de la mémoire à court terme et antérograde, compatible avec l'atteinte neurologique récente gauche. L'ensemble de ces résultats et les liens avec l'étiologie ont été discutés avec la patiente lors de 2 séances de restitution ; des conseils concernant la gestion de la fatigue à domicile et lors de la reprise du travail (prévue le 25.02.2019 à 50%) ont également été fournis. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie et neuropsychologie, avec une évolution favorable. A la sortie, la motricité dans le membre supérieur droit est nettement améliorée avec une force à M4 au niveau de l'extension des D4-5, sinon M5 pour le biceps, triceps, deltoïde, flexion des doigts et extension de D1-3. La rotation externe de l'épaule est à M5 et la rotation interne à M4. La force est cotée à M5 au niveau des MI. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 09.02.2019, en bon état général. Elle aura une IRM de contrôle le 11.02.2019 et sera ensuite reconvoquée par le service de radio-oncologie. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie en ambulatoire à raison de 2x/semaine. Une consultation interdisciplinaire (ergo-, physiothérapie et neuropsychologie) est prévue le 10.04.2019 à l'HFR Billens. Mme. Y est une patiente de 33 ans, en bonne santé habituelle, qui est adressée aux Urgences par son médecin traitant le 29.01.2019 pour une suspicion d'appendicite. La patiente décrit une douleur abdominale crampiforme péri-ombilicale d'apparition subite pendant la nuit, accompagnée de nausées mais sans état fébrile associé. Le laboratoire initial démontre une leucocytose. Un ultrason abdominal met en évidence une appendicite aiguë sans signe de complication. La patiente bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 30.01.2019 qui se déroule sans complication. L'évolution est par la suite favorable. Mme. Y rentre à domicile le 31.01.2019.À noter que l'ultrason met en évidence un kyste ovarien droit. Nous vous laissons le soin d'organiser un ultrason de contrôle dans 6 semaines. Mme. Y est hospitalisée le 02.02.2019 à l'HFR Riaz pour une exacerbation de BPCO dans le cadre d'une grippe A confirmée au frottis. L'état respiratoire nécessite un transfert aux soins intensifs le 05.02.2019, avec une intubation de 8 jours, puis une amélioration rapide. Elle est transférée en médecine interne le 15.02.2019 avec un projet de réhabilitation respiratoire à Billens. L'insuffisance respiratoire sévère est attribuable à la grippe A ayant engendré une exacerbation de BPCO. Après une phase de ventilation contrôlée de 5 jours, le support ventilatoire peut être progressivement baissé, avec une extubation le 14.02.2019. Au 15.02.2019, la patiente est sevrée de la VNI, mais nécessite encore deux séances intermittentes, avec suivi par la physiothérapie. Un état confusionnel aigu avec une agitation au lever de sédation motive un traitement de Dexdor et d'Olanzapin avec une évolution favorable. Par la suite, nous débutons un traitement par Oxazépam en vue de l'éthylisme chronique, la patiente venait en effet de Marsens où elle était hospitalisée pour un sevrage. Une possible surinfection pulmonaire bactérienne est traitée par Augmentin. Une suspicion de pneumonie nosocomiale le 09.02. n'est pas confirmée, l'antibiothérapie par Cefepime est arrêtée après 2 jours. Les germes retrouvés dans les aspirations bronchiques (Pseudomonas, Klebsiella) sont considérés comme simples colonisateurs. Mme. Y, hospitalisée depuis le 31.01.2019 au RFSM CSH Marsens pour sevrage alcoolique, connue pour une BPCO non stadée et un tabagisme actif à 1 paquet par jour (30 UPA), est amenée aux urgences en ambulance le 02.02.2019 en raison d'une dyspnée en péjoration depuis le 01.02.2019, avec vomissements et toux importante avec expectorations jaunâtres. Pas de douleur thoracique, pas de plainte digestive ni urogénitale. À l'admission aux urgences, la patiente est fébrile à 39,6°C. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Pas d'œdème des membres inférieurs, signe de Homans négatif des deux côtés. Les mollets sont souples, le ballant est conservé. Les pouls périphériques sont tous palpés. Pas de souffle sur les grands axes vasculaires. Au niveau respiratoire, notons des sibilances diffuses sur toutes les plages pulmonaires. Le status digestif et urogénital est sans particularité. Le laboratoire d'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 74 mg/l et une leucocytose à 11.0 g/l. Pas de trouble électrolytique, la fonction rénale est bonne. La gazométrie montre une insuffisance respiratoire partielle, la radiographie ne montre pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Nous retenons le diagnostic de BPCO décompensée d'allure virale et Mme. Y est hospitalisée. Nous débutons une corticothérapie par Prednisone 50 mg et la patiente bénéficie également d'un traitement bronchodilatateur. Nous prélevons deux paires d'hémocultures qui sont à pister, ainsi qu'une recherche d'antigènes urinaires qui revient négative. Le 03.02.2019, la patiente présente une augmentation de la CRP à 91 mg/l et cliniquement se sent toujours dyspnéique avec expectorations jaunâtres, raison pour laquelle nous introduisons une antibiothérapie par co-amoxicilline 1,2 g iv. Le 05.02.2019, la gazométrie montre une insuffisance respiratoire partielle avec hypoxémie sévère et une hypercapnie. Mme. Y est transférée en lit d'observation aux urgences où elle bénéficie de deux séances de VNI d'une heure, sans amélioration clinique avec un status pulmonaire très spastique avec sibilances diffuses, utilisation de la musculature accessoire et signe de tirage. La gazométrie de contrôle après deux séances de VNI montre une acidose respiratoire avec hypoxémie sévère et hypercapnie. Dans ce contexte, Mme. Y est transférée aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 06.02.2019. Mme. Y, patiente de 60 ans, est hospitalisée le 02.02.2019 à l'HFR Riaz pour une exacerbation de BPCO dans le cadre d'une grippe A confirmée au frottis. L'état respiratoire nécessite un transfert aux soins intensifs le 05.02.2019, avec une intubation de 8 jours, puis une amélioration rapide, qui permet un transfert en médecine interne le 15.02.2019. Sur le plan pneumologique, l'insuffisance respiratoire sévère est attribuable à la grippe A, qui a engendré une exacerbation d'une probable BPCO. Après une intubation et une phase de ventilation contrôlée de 5 jours, le support ventilatoire peut être progressivement baissé et une extubation est possible le 14.02.2019. Les aspirations bronchiques réalisées lors d'une bronchoscopie aux soins intensifs le 08.02.2019 retrouvent des Pseudomonas et des Klebsiella. Un traitement par Céfépime est initié le 09.02.2019 et stoppé le 11.02.2019, en raison d'une évolution favorable de la clinique et de la suspicion d'une simple colonisation. À la suite d'un nouvel état fébrile le 16.02.2019, nous reprenons cependant le traitement de Céfépime, avec un relais par Tazobactam entre le 18.02 et le 23.02.2019, dans le contexte de l'état confusionnel de la patiente. Afin d'éradiquer la colonisation nouvelle par Pseudomonas et Klebsiella, le traitement antibiotique est poursuivi par Ciproxine 500 mg dès le 24.02.2019, pour une durée totale de 14 jours, tous antibiotiques confondus. Une évaluation formelle des fonctions respiratoires devra être faite à distance. Au niveau psychiatrique, la patiente présente un état confusionnel aigu avec une agitation au lever de sédation, qui motive un traitement de Dexdor et d'Olanzapin. À son arrivée à l'étage de médecine interne, la patiente est désorientée, avec une thymie diminuée et une importante persécution. Suite à l'avis de nos collègues psychiatres, nous introduisons un traitement d'Haldol et de Distraneurin. Suite à de multiples tentatives de fugues de la patiente, un PAFA est introduit le 18.02.2019 et peut être levé le 26.02.2019 au vu d'une bonne évolution de l'état confusionnel et de la collaboration de la patiente. Sur le plan gastro-intestinal, la patiente présente depuis le 17.02.2019 des épisodes de diarrhées. La présence d'un C. difficile peut être exclue 18.02.2019. L'évolution est favorable avec une reprise de transit normal le 27.02.2019. Sur le plan addictologique, Mme. Y est connue pour un éthylisme chronique (consommation d'OH abusive par phase). Une prise en charge en stationnaire au Torry est prévue pour la suite, avant de débuter une réhabilitation pulmonaire à l'HFR Billens. Une demande formelle de réhabilitation pulmonaire sera à répéter une fois le sevrage terminé au Torry, la patiente y est cependant déjà annoncée. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR, en attente de son transfert, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement dès le 27.02.2019 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté notre service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y présente des gonalgies droites d'origine indéterminée suite à la mise en place d'une prothèse totale de genou droit en mars 2018. L'origine des douleurs peut être due à une différence de longueur des membres inférieurs, au fait que la rotule n'a pas été resurfacée et éventuellement à une rééducation physique postopératoire insuffisante.Dans un 1er temps je propose de continuer la physiothérapie dans le but de rééduquer la marche et surtout la force. Je la reverrai dans 2 mois pour une réévaluation clinique. Pour le moment je n'ai pas de proposition chirurgicale. Prochain rendez-vous : 10.04.2019. Mme. Y est une patiente de 74 ans, aux co-morbidités et antécédents sus-mentionnés, qui se présente aux urgences le 30.01.2019 pour des épigastralgies aiguës en augmentation depuis 4 jours avec émé ses à répétition. On retrouve au laboratoire initial un syndrome inflammatoire important, des valeurs hépatico-pancréatiques perturbées et au CT abdominal une pancréatite aiguë est mise en évidence. La patiente est donc hospitalisée et une antibiothérapie est mise en route. Concernant la cause de la pancréatite, chez une patiente non fumeuse et qui ne boit pas, une origine médicamenteuse ne peut être exclue. Selon l'avis du Dr. X, le Xultophy que la patiente prend depuis des années est peu probable. Par la suite, Mme. Y présente une bonne évolution sur le plan clinique et biologique, permettant un retour à domicile le 08.02.2019. Une consultation chez le Prof. X est agendée en date du 04.03.2019 à 10h, ainsi qu'un CT abdominal de contrôle le 01.03.2019 à 9h00. Mme. Y, porteuse d'une néphrostomie bilatérale, présente suite à l'obstruction des deux néphrostomies un début de pyélonéphrite à droite. Une nouvelle néphrostomie est placée à droite le 14.02.2019 et la patiente est traitée par antibiotiques. Au cours de l'hospitalisation, une scintigraphie rénale montre une fonction rénale bilatérale normale pour l'âge de la patiente. L'évolution est rapidement favorable et la patiente peut rentrer à domicile le 21.02.2019. Concernant la suite de la prise en charge, nous évoquons avec le Dr. X la possibilité d'embolisation du rein gauche à but palliatif. Ce projet thérapeutique est discuté avec la patiente ainsi que le Dr. X de la radiologie interventionnelle. Il s'occupera d'organiser et convoquer la patiente pour une évaluation néphrologique ainsi que de prévoir la dite embolisation après rediscussion avec le Dr. X. Mme. Y, votre patiente de 19 ans, connue pour un diabète de type 1, a été prise en charge pour une décompensation acido-cétosique. En effet, la patiente se présente au service des urgences le 11.02.2019 pour apparition depuis trois jours d'une asthénie avec une épigastralgie péjorée en post-prandiale et associées à des pyrosis et des nausées. La patiente se plaint également d'une polydipsie et d'une polyurie, avec une perte pondérale de 6 kg en quelques jours, malgré un appétit conservé. L'examen clinique initial est sans particularité hormis une légère sensibilité de l'hypochondre droit et de l'épigastre. Une décompensation diabétique acido-cétosique sans facteur infectieux déclenchant a été mise en évidence. Une réhydratation, substitution électrolytique et l'insulinothérapie iv en continu permettent une correction des troubles métaboliques. Face à une hémoglobine glyquée à 12% (chez le médecin traitant), l'origine suspectée de la décompensation est une compliance douteuse dans un contexte de suspicion des troubles du comportement alimentaire, d'une anosognosie ainsi qu'un contexte psychosocial relativement complexe. La patiente a pu être sevrée de l'insulinothérapie intraveineuse en continue pour un schéma basal prandial habituel avec suivi rapproché en consultation diabétologique et rééducation thérapeutique. Un rendez-vous de contrôle auprès du Dr. X est agendé pour le 26.02.2019 à 10h00. Un rendez-vous de consultation diététique est également organisé le 28.02.2019 avec Mme. Y à 13h00 et remis à la patiente. Les douleurs épigastriques ont régressé après la correction de l'acidose et l'administration d'inhibiteur de la pompe à proton sur base d'une possible gastrite transitoire. D'un point de vue psychiatrique, une évaluation initiale est faite présuppose, d'une part, des troubles de l'adaptation avec perturbations mixtes des émotions et des conduites, et d'autre part, des troubles mixtes de la personnalité. Un suivi psychologique et psychiatrique est organisé au centre de Bertigny, chez le Dr. X, en accord avec l'éducatrice de référence du foyer de Seedorf (Mme. Y). La patiente sera contactée. Au niveau biologique, une éosinophilie d'origine indéterminée est mise en évidence le 13.02.2019, se résolvant spontanément par la suite. L'anamnèse complémentaire est négative. Au vu de la résolution spontanée, aucun bilan étiologique complémentaire n'est recherché. Une cause immuno-allergique transitoire dans le contexte de décompensation est probable. La patiente sort le 22.02.2019 pour un retour à domicile et poursuite de la prise en charge habituelle par vos soins. Un arrêt de travail d'une semaine post-hospitalisation est remis à la patiente et sa reconduite devra faire l'objet d'une réévaluation. En cas de récidive de décompensation acido-cétosique ou de mauvaise compliance, une prise en charge hospitalière en milieu aigu puis psychiatrique devra être envisagée. La patiente a été informée de notre volonté de maintenir une prise en charge ambulatoire et de la nécessité d'une bonne compliance de sa part pour sa santé. Mme. Y, 19 ans, a été hospitalisée aux soins intensifs pour une décompensation acido-cétosique d'un diabète de type 1. Elle présente depuis 3 jours une asthénie avec des douleurs épigastriques et un reflux gastro-oesophagien. Les douleurs sont péjorées en phase post-prandiale et souvent associées à des nausées. La patiente décrit une polydipsie et une polyurie depuis 2 jours sans brûlures mictionnelles. Elle décrit également la perte de 6 kg en quelques jours. Une décompensation diabétique acido-cétosique sans facteur infectieux déclenchant a été mise en évidence. Une réhydratation, substitution électrolytique et l'insulinothérapie iv en continu permettent une correction des troubles métaboliques. Face à une hémoglobine glyquée à 12% (chez le médecin traitant), l'origine suspectée de la décompensation est une compliance difficile dans le contexte de troubles du comportement alimentaire et d'une anosognosie. Après reprise de son schéma habituel d'insuline, la patiente a été transférée en médecine interne pour suivi de la consultation diabétologique avec rééducation thérapeutique. Et, éventuellement si la patiente le souhaite, un avis psychiatrique est à demander. Une éosinophilie d'origine indéterminée a été découverte le 13.02.2019. Si celle-ci persiste et en fonction de l'anamnèse complémentaire, un bilan étiologique devra être envisagé à la recherche d'une cause immuno-allergique, d'une gastro-entérite à éosinophiles ou d'une infection parasitaire. Les douleurs épigastriques ont régressé après la correction de l'acidose. La patiente a été transférée le 13.02.2019 dans le service de médecine interne. Mme. Y est une patiente de 67 ans, aux antécédents sus-mentionnés, qui bénéficie le 01.02.2019 d'une cholécystectomie laparoscopique qui se déroule sans complication. En raison d'une augmentation notable du syndrome inflammatoire à J2 post-opératoire avec une persistance des douleurs, un CT-scan abdominal est effectué qui met en évidence une collection liquidienne au niveau du lit vésiculaire. La patiente bénéficie alors d'un drainage sous CT guidé et une antibiothérapie intraveineuse par Ceftriaxone et Metronidazole est poursuivie. Les analyses microbiologiques mettent en évidence un entérocoque faecium multi-résistant, raison pour laquelle l'antibiothérapie est changée pour de la Vancomycine et Tazobac. Devant une évolution clinique et biologique favorable, et après retrait du drain Pigtail, la patiente peut regagner son domicile le 13.02.2019. L'antibiothérapie sera poursuivie jusqu'au 19.02.2019.Mme. Y est une patiente de 74 ans, qui est hospitalisée pour surveillance d'une dissection aortique type Stanford B. La patiente est connue pour un antécédent de crise convulsive généralisée dans le contexte de troubles électrolytiques en 2017, qui consulte son médecin traitant le 10.02.2019 pour des douleurs épigastriques avec nouvelle crise convulsive. Un CT-Scan thoracique natif en ambulatoire le 13.02.2019 ne retrouve pas de foyer. Vu la persistance des douleurs épigastriques, la patiente consulte les urgences le 14.02.2019. Le bilan est complété par un CT-scan thoraco-abdominal injecté qui retrouve une dissection aortique type B s'étendant depuis l'artère subclavière gauche jusqu'à la bifurcation iliaque avec des troncs bien perfusés. Dans ce contexte, la patiente est admise pour surveillance aux soins intensifs du 14.02.2019 au 15.02.2019 avec un transfert en chirurgie. Les suites sont favorables avec un contrôle radiologique le 15.02.2019 et le 21.02.2019, superposable au comparatif d'entrée. Dans ce contexte, nous laissons le soin au médecin traitant d'introduire un traitement médicamenteux hypolipémiant. Mme. Y, 74 ans, est admise aux soins intensifs pour surveillance d'une dissection aortique type Stanford B. La patiente consulte son médecin traitant le 10.02.2019 pour des douleurs épigastriques avec nouvelle crise convulsive. Un CT-scan thoracique natif en ambulatoire le 13.02.2019 ne retrouve pas de foyer. Vu la persistance des douleurs épigastriques, la patiente consulte les urgences le 14.02.2019. Le bilan est complété par un CT-scan thoraco-abdominal injecté qui retrouve une dissection aortique type B s'étendant depuis l'artère subclavière gauche jusqu'à la bifurcation iliaque avec des troncs bien perfusés. Dans ce contexte, la patiente est admise pour surveillance tensionnelle aux soins intensifs. Le contrôle tensionnel est effectué par l'administration transitoire intraveineuse de bêta-bloquant. Le traitement intraveineux est rapidement sevré avec mise en place d'un traitement per os. À noter que la patiente n'est pas connue pour une hypertension artérielle et le bilan étiologique de la dissection aortique sera à compléter (un bilan lipidique et d'hémoglobine glyquée est à effectuer). Vu la stabilité du profil tensionnel sous traitement bêta-bloquant per os chez une patiente asymptomatique, celle-ci est transférée à l'étage de chirurgie pour suite de prise en charge. Un CT-scan thoraco-abdominal de contrôle est organisé pour le 16.02.2018. À noter que la patiente mentionne une allergie au produit de contraste iodé avec possible œdème de Quincke et une préparation par Solumédrol et Tavegyl serait à faire avant la prochaine imagerie injectée. Mme. Y est une patiente de 75 ans suivie en oncologie pour une récidive métastatique d'un adénocarcinome du côlon. Elle se présente à la consultation ambulatoire aujourd'hui suite à une chute mécanique sans perte de connaissance avec réception facial. On met en évidence une fracture des os propres du nez avec plaie superficielle cutanée en regard. Un CT cérébral initial permet d'exclure un saignement intracrânien. Au vue de la valeur supra-thérapeutique de l'anticoagulation, une hospitalisation pour surveillance neurologique est préconisée. Malgré la compliance partielle de la patiente à cette surveillance, elle ne présente pas de nouveaux symptômes sur son hospitalisation. Mme. Y rentre à domicile le 08.02.2019 en bon état général. Mme. Y, patiente de 68 ans, connue pour une maladie d'Alzheimer, suivie par Dr. X, hospitalisée suite à un AVC ischémique aigu thalamique droit et subaigu pariétal droit. Elle présente le 27.01.2019 une instabilité à la marche avec tendance à chuter vers la gauche associée à une perte de force de l'hémicorps gauche objectivée par sa famille. Elle se plaint également d'une diplopie transitoire. Un hémisyndrome facio-brachio-crural moteur gauche est objectivé à l'arrivée aux urgences. L'angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux ne mettent pas en évidence d'occlusion vasculaire ni de lésion constituée. Cependant, les cartes de perfusion mettent en évidence une discrète asymétrie dans le territoire de l'artère sylvienne droite. L'IRM confirme un AVC ischémique thalamique et pariétal droit d'âge différent et dans deux territoires vasculaires différents. Sur le plan étiologique, une origine cardio-embolique est suspectée au vu de la topographie des lésions à l'IRM et l'absence d'athéromatose significative. L'échocardiographie ne montre pas d'argument pour une origine cardiaque structurelle à l'AVC. Un Holter sur 72 heures à la recherche active d'un trouble du rythme, en particulier d'une fibrillation auriculaire, est posé pendant l'hospitalisation. Les résultats vous seront transmis dès leur interprétation. Sur le plan thérapeutique, Mme. Y bénéficie d'une dose de charge par Aspirine 500 mg IV et Plavix 300 mg per os. Un traitement par Plavix 75 mg/j à la place de l'Aspirine cardio 100 mg (traitement habituel de la patiente) est initié dès le 28.01.2019. Au vu du bilan lipidique pathologique avec un LDL-cholestérol à 3.78 mmol/L, un traitement par Atorvastatine 40 mg est débuté avec une cible de LDL-cholestérol à < 1.8 mmol/L. Le bilan neuropsychologique de suivi retrouve les difficultés déjà décrites dans le bilan neuropsychologique du mois de juin 2018, entre autres une désorientation essentiellement temporelle, une amimie et une apathie, des troubles de l'élaboration et une anosognosie. Se surajoute à ce tableau un aspect visuo-perceptif avec des signes d'héminégligence gauche minime et une héminégligence de représentation corporelle. Le bilan physiothérapeutique atteste de cette héminégligence lors de la marche. Vu la maladie d'Alzheimer sous-jacente avec une capacité d'apprentissage très limitée, une neurorééducation, qu'elle soit neurologique ou gériatrique, ne peut être envisagée. Cependant, la situation à domicile semble actuellement trop précaire pour un retour à domicile immédiat. Ainsi, Mme. Y est transférée dans l'unité de Frailty Care le 05.02.2019 afin d'organiser la suite de la prise en charge.Sur le plan thérapeutique, Mme. Y bénéficie d'une dose de charge par Aspirine 500 mg IV et Plavix 300 mg per os. Un traitement par Plavix 75 mg/j à la place de l'Aspirine cardio 100 mg (traitement habituel de la patiente) est initié dès le 28.01.2019. Au vu du bilan lipidique pathologique avec un LDL-cholestérol à 3.78 mmol/L, un traitement par Atorvastatine 40 mg est débuté avec une cible de LDL-cholestérol à < 1.8 mmol/L. Le bilan neuropsychologique de suivi retrouve les difficultés déjà décrites dans le bilan neuropsychologique du mois de juin 2018, entre autres une désorientation essentiellement temporelle, une amimie et une apathie, des troubles de l'élaboration et une anosognosie. Se surajoute à ce tableau un aspect visuo-perceptif avec des signes d'héminégligence gauche minime et une héminégligence de représentation corporelle. Le bilan physiothérapeutique initial atteste de cette héminégligence lors de la marche. Par la suite, l'évolution est favorable avec quasi-disparition de l'héminégligence. À la sortie, Mme. Y ne présente plus d'hémisyndrome, la marche et les escaliers sont sécuritaires sans l'aide de moyens auxiliaires. Au vu d'une somnolence et apathie importantes durant la journée associées à un syndrome extrapyramidal, nous diminuons de moitié la posologie du Zyprxa, permettant une diminution du syndrome extrapyramidal sans modification du comportement. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte de baisse de l'état général sur maladie oncologique. Elle a été hospitalisée il y a quelques jours afin d'effectuer une cure de chimiothérapie, mais la patiente est actuellement trop faible pour rester seule à domicile. Le bilan initial met en évidence des troubles électrolytiques qui se normalisent après substitution, restriction hydrique et adaptation des traitements diurétiques. Concernant la prise en charge oncologique, une radiothérapie en concomitance avec la chimiothérapie est agendée pour la semaine du 18.02.2019. La patiente sera convoquée. À noter une thrombopénie asymptomatique le 08.02.2019 (à 63 G/l) dans le contexte oncologique, actuellement en cours d'amélioration (à 98 G/l le 11.02.2019), dont nous suggérons le suivi clinique et biologique. Au vu d'une dysphonie et dysphagie en péjoration, un avis ORL est demandé et met en évidence une candidose oropharyngée diffuse, ainsi qu'une lésion polypoïde d'allure bénigne de la fausse corde vocale gauche. La patiente est mise au bénéfice d'antifongiques et un rendez-vous ORL avec nasofibroscopie de contrôle est prévu le 04.04.2019 à 14h00, la patiente recevra la convocation à son domicile. D'un point de vue social, les soins à domicile ont été réactivés et la prescription médicamenteuse est envoyée à sa pharmacie habituelle qui lui livrera les médicaments nécessaires. La patiente sort le 11.02.2019 pour un retour à domicile avec aide. Mme. Y, votre patiente de 54 ans, est hospitalisée pour prise en charge radio-chimiothérapeutique de sa pathologie oncologique. L'hospitalisation actuelle se fait dans un contexte d'anxiété invalidante ne garantissant pas la bonne prise en charge ambulatoire. Le bilan initial met en évidence une légère péjoration de l'hyponatrémie connue qui se normalise après restriction hydrique. Concernant la prise en charge oncologique, la radiothérapie en concomitance avec la chimiothérapie se déroule sans complication majeure. À noter des valeurs glycémiques légèrement élevées dans un contexte de cortico-thérapeutique associée à la chimiothérapie. Nous suggérons le suivi glycémique entre les deux cures de chimiothérapie. Une mise au point sera faite lors de la prochaine hospitalisation. La dysphonie et la dysphagie sont en amélioration sous antifongique. Le rendez-vous ORL avec nasofibroscopie de contrôle est par ailleurs maintenu le 04.04.2019 à 14h00, notamment au vu de la présence de la lésion polypoïde d'allure bénigne de la fausse corde vocale gauche. D'un point de vue social, les soins à domicile sont réactivés, ainsi que les passages réguliers des bénévoles du fait de la plainte et d'isolement social accentué par la situation oncologique. Par ailleurs, nous suggérons la reprise de la prise en charge psychiatrique et psychologique du fait de la résurgence des troubles anxieux invalidants au quotidien. Les hospitalisations à répétition sont principalement secondaires à la mauvaise compliance, au refus des soins et surtout à la détresse psychologique de Mme. Y. La fille de la patiente a également été informée de la difficulté de prise en charge en l'absence d'une bonne compliance. La patiente sort le 21.02.2019 pour un retour à domicile avec aide. Mme. Y est une patiente qui a été hospitalisée du 10.02.2019 au 12.02.2019 dans le cadre d'une résection transurétrale de la vessie à but diagnostique d'une masse de la paroi de 7x5 cm. Elle se représente le 14.02.2019, envoyée par son médecin traitant suite à une augmentation de ses valeurs inflammatoires. Nous débutons un traitement à base de Ceftriaxone et Metronidazole, ensuite changé le 18.02.2019 pour de la Ciprofloxacin suite à un Urotube positif à des pseudomonas. L'évolution de l'infection est lentement favorable. Au cours de son hospitalisation, la patiente bénéficie d'un PET-CT dans le cadre du bilan de sa masse vésicale qui montre une suspicion de métastase ganglionnaire rétro-péritonéale para-médiane droite autour de L3 sans autres métastases. La suite de la prise en charge opératoire est prévue pour le 01.03.2019. La patiente sera hospitalisée le 28.02.2019 à 14h00 pour une préparation intestinale pré-opératoire. Mme. Y retourne à domicile le 25.02.2019. Mme. Y se présente le 10.02.2019 pour une hospitalisation élective pour une résection transurétrale de la vessie dans un contexte de masse de la paroi vésicale d'environ 7x5 cm. L'opération se déroule le 11.02.2019 sans complications et des échantillons sont envoyés à l'analyse en pathologie. Les suites opératoires sont simples et afébriles. Le laboratoire de contrôle le 12.02.2019 montre une légère augmentation des paramètres inflammatoires probablement en lien avec l'intervention, ainsi qu'une amélioration de la valeur de la créatinine. Au vu du bon état clinique général et de l'absence de symptomatologie infectieuse, nous laissons la patiente rentrer à domicile le 12.02.2019 avec un contrôle clinique et laboratoire chez son médecin traitant le 14.02.2019. Mme. Y, hospitalisée au RFSM CSH Marsens depuis le 23.01.2019 en mode volontaire pour mise à l'abri d'angoisses massives, est amenée aux urgences en ambulance le 28.01.2019 en raison d'un état fébrile d'origine indéterminée avec une dyspnée. L'anamnèse est impossible en raison de l'état confusionnel aigu. Pour rappel, la patiente a été amenée aux urgences une première fois le 24.01.2019 en raison d'une dyspnée que nous avons mise dans le contexte de la fibrose pulmonaire connue. À noter que la patiente a chuté de son lit aux urgences en voulant se lever et un CT scan cérébral effectué n'a pas montré de saignement ou de lésion osseuse. Mme. Y a été réadmise au RFSM CSH le jour même en ambulance. À signaler également que la patiente est sous traitement antibiotique par Nitrofurantoïne depuis le 25.01.2019 pour une infection urinaire basse avec une bonne évolution clinique. À l'admission aux urgences le 28.01.2019, Mme. Y présente un hématome péri-oculaire connu depuis le 25.01.19. Sur le plan pulmonaire, présence d'une déformation du thorax dans le contexte de la fibrose et à l'auscultation, notons une hypoventilation à droite avec de fins râles crépitants bilatéraux. Sur le plan urologique, présence de douleurs à la percussion des loges rénales. Au niveau cognitif, la patiente est désorientée, confuse, avec des réponses incohérentes.En raison de la dyspnée, nous mettons en place une oxygénothérapie à 5 litres/min et débutons un traitement bronchodilatateur. La radiographie du thorax montre une lésion d'infiltrat pulmonaire bilatérale avec opacité alvéolaire. Nous effectuons un frottis de grippe qui se révèle positif pour Influenza A et pour laquelle nous introduisons un traitement par Tamiflu pendant 5 jours en raison du début des symptômes depuis moins de 5 jours dans un contexte de fibrose pulmonaire (facteur de risque). Progressivement, nous diminuons le débit d'oxygène afin de viser 1 litre (débit habituel). Nous vous recommandons de ne pas dépasser 1.5 litre d'oxygène en raison du risque d'hypercapnie. Durant le séjour, en raison de nausées importantes, la morphine, introduite au RFSM pour des douleurs à la respiration, est arrêtée. Sur le plan cardiovasculaire, nous augmentons de manière transitoire le Torasémide que nous vous recommandons éventuellement d'adapter en fonction du poids. Au niveau psychique, la patiente présente des états d'agitation à prédominance nocturne nécessitant un retour au CSH Marsens pour adaptation de la médication. Mme. Y est réadmise au RFSM CSH Marsens le 01.02.2019. Mme. Y est à l'AI. Elle n'est pas trop gênée dans ses activités de la vie quotidienne. Elle a également une aide familiale depuis longtemps. Elle continue l'ergothérapie. Dans le futur, il faudra voir si elle nécessite une révision de cet ongle qui ne pousse pas normalement. Mme. Y, âgée de 46 ans, nous est adressée par Dr. X pour une réadaptation musculo-squelettique suite à un échec de prise en charge ambulatoire d'une allodynie ainsi que des douleurs neurogènes suite à une fracture Weber B de la malléole externe de la cheville G survenue le 06.08.2018. Les douleurs ont été gérées en ambulatoire par la Gabapentine et le Paracétamol ainsi que par une prise en charge ergothérapeutique (8 séances). Sur le plan social, la patiente, espagnole d'origine, mariée avec 2 enfants (21 et 12 ans), travaillait comme sommelière au Chalet de la Gruyère à 100%. Le statut à l'entrée est semblable à celui de la consultation en ambulatoire effectuée le 28.01.2019 par Dr. X à savoir : une mobilité complète des articulations du membre incriminé sans signe dystrophique. Mme. Y présente aussi une forte boiterie à la charge et rapporte des symptômes douloureux de type neurogène (décharges électriques, piqûres..) non systématisés. Nous objectivons aussi une allodynie intéressant le dos du pied, coup du pied ainsi qu'en périmalléolaire externe G. La palpation du site opératoire ainsi que de la cicatrice est indolore. Nous effectuons des examens radiologiques (CT et radiographies standards) qui reviennent sans particularité. Sur le plan de l'antalgie, un essai d'introduction d'Oxycodone conduit à un malaise de la patiente, ce qui nous pousse à retirer cette molécule. L'Ibuprofen est lui bien toléré avec la prise concomitante d'un protecteur gastrique. Nous majorons aussi la Prégabaline ; cette combinaison donne des effets relativement bons. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Elle peut monter et descendre les escaliers. Nous effectuons avec Mme. Y des exercices d'auto-mobilisation ainsi que des exercices de proprioception en position assise. S'ajoutent à cela des exercices de renforcement de la musculature du pied sans charge en position assise. Nous effectuons aussi un bilan de sensibilité qui montre une allodynie depuis le genou jusqu'au bout des orteils (sauf D4 et D5 où la patiente ne sent pas la pression de 15 g). La douleur apparaît à partir de 1.2 g. Nous objectivons une hyposensibilité de la cuisse (ten test à 7/10). Mme. Y ne fait pas la différence entre certaines matières, ne reconnaît pas le toucher mobile. Elle présente des douleurs au toucher/piquer. Comme traitement, il lui a été proposé une contre-stimulation à distance, la thérapie du touche-à-tout ainsi que des exercices de proprioception. À noter que la patiente rapporte une baisse de sa thymie sans idéation suicidaire. Elle ne rapporte pas de troubles de l'appétit, de la concentration ni du sommeil. Elle parle plutôt de ruminations autour de son état ainsi qu'une inquiétude vis-à-vis du futur. Un consilium psychiatrique a été demandé à Dr. X qui conclut à l'importance d'une reprise d'un suivi chez Dr. X. Après 5 jours d'hospitalisation qui nous permettent de bilanter l'affection de la patiente au niveau multidisciplinaire, l'évolution est peu favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 15.02.2019, en bon état général mais avec une thymie basse. En effet, l'hospitalisation de la patiente a été marquée par des conflits d'ordre assécurologique qui nous poussent à écourter le séjour devant le refus de l'assurance accident de payer les frais d'hospitalisation après avoir donné un premier préavis favorable. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie ainsi que d'ergothérapie en ambulatoire. Elle sera revue par Dr. X le 13.03.2019 pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, 41 ans, est hospitalisée aux soins intensifs dans les suites d'une découverte de leucémie myéloïde aiguë compliquée d'une CIVD nécessitant un suivi rapproché et un soutien transfusionnel. Elle présente depuis une semaine une douleur au niveau de la partie proximale de la clavicule et omoplate gauche améliorée par les antalgiques avec apparition d'hématomes au niveau du ventre puis des membres inférieurs et enfin tout le corps. Elle consulte son médecin-traitant ce jour, qui met en évidence une thrombopénie à 23 G/l, anémie à 100 g/l et leucocytose à 21 G/l à prédominance lymphocytaire et monocytaire. Après les différents examens complémentaires effectués pendant le séjour en médecine, le diagnostic d'une leucémie myéloïde aiguë est posé. Une chimiothérapie par Daunorubicine et Cytosar "7+3" est introduite dès le 23.02.2019. Un soutien transfusionnel par culot érythrocytaire, concentré plaquettaire et plasma frais congelé est effectué afin de maintenir les seuils transfusionnels définis avec les hématologues. Une réhydratation importante est conduite afin de prévenir le syndrome de lyse tumorale. Un traitement diurétique est mis en place en raison d'oedème et d'une prise pondérale. Mme. Y passe en agranulocytose le 24.02.2019. Un isolement protecteur et une prophylaxie antifongique par Posaconazole sont alors mis en place. Le 26.02.2019, la patiente présente une agranulocytose fébrile, sans foyer évident hormis une surinfection d'une atélectasie pulmonaire. Nous débutons une antibiothérapie par Céfépime. La patiente est transférée en médecine pour suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente de 41 ans, connue pour une obésité sévère de grade III, qui est hospitalisée dans notre service pour bénéficier d'un bypass gastrique proximal par laparoscopie. L'intervention se déroule le 25.02.2019 sans complication notable. Les suites opératoires sont simples permettant un retour à domicile le 27.02.2019. Mme. Y, patiente de 61 ans, connue pour un adénocarcinome colorectal opérée d'une résection antérieure ultra-basse avec anastomose descendo-rectale et iléostomie de protection le 17.10.2018, est hospitalisée en électif pour fermeture d'iléostomie le 19.02.2019. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples avec une réalimentation bien tolérée et une reprise de transit le 22.02.2019. L'évolution clinique étant favorable, Mme. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 22.02.2019.Mme. Y présente une rupture de la bandelette centrale du 5ème doigt de la main D pour laquelle je propose la poursuite du traitement conservateur. Après avoir contacté le centre de la main du CHUV, nous avons convenu d'un suivi chez eux, comme initialement prévu. La patiente va poursuivre le port de l'attelle nocturne 3 points ainsi que le traitement d'ergothérapie. Pour ma part, je reste bien entendu à disposition, mais un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas agendé. Mme. Y, une patiente de 53 ans connue pour un adénocarcinome pulmonaire en cours de traitement, est hospitalisée pour une baisse de l'état général avec céphalées et syncope. Elle a présenté des céphalées occipitales d'apparition brutale 5 jours plus tôt en on-off depuis, présentes surtout la nuit et soulagées par le changement de position. Elle reçoit une radio-chimiothérapie depuis 1 mois en raison d'une récidive médiastinale de son cancer pulmonaire gauche, avec une asthénie progressive suivant la lourdeur du traitement et des nausées stables le matin. Elle présente une dysphagie connue provoquée par l'irritation de l'oesophage suite à la radiothérapie. La veille de l'entrée, elle a aussi présenté une perte de connaissance de quelques secondes, sans chute et sans prodrome douloureux ou des palpitations. Le bilan d'entrée révèle une anémie secondaire à la chimiothérapie et un ECG dans les limites de la norme. L'absence de drapeaux rouges et de déficit neurologique, ainsi que la chronologie des symptômes de céphalées n'ont pas justifié une imagerie cérébrale en urgence. Nous convenons en revanche d'une IRM cérébrale dès que possible afin d'exclure une éventuelle métastase au vu du contexte oncologique actuel. Par ailleurs, les céphalées ont évolué favorablement sous un traitement antalgique simple et la patiente n'a pas montré de signes de complication neurologique pendant la surveillance. La perte de connaissance brève est mise sur le compte d'une hydratation trop faible les derniers jours ainsi qu'aux effets indésirables du traitement oncologique avec asthénie marquée. De même, les céphalées sont probablement associées dans le contexte, bien que l'exclusion d'une lésion nouvelle reste nécessaire. En raison de la dysphagie et des douleurs au passage du bol alimentaire dans l'oesophage, nous avons introduit un traitement symptomatique qui soulage bien la patiente. Au vu de l'évolution favorable, elle quitte l'hôpital le 26.02.2019 avec une IRM cérébrale organisée en ambulatoire pour le 04.03.2019. Les critères pour reconsulter en urgence en cas de péjoration lui sont transmis, de même qu'une contre-indication temporaire à la conduite au vu de la fatigue associée au traitement oncologique. Mme. Y, âgée de 83 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture sous-trochantérienne du fémur gauche sur chute mécanique, traitée par réduction ouverte, stabilisation par deux cerclages Dall-Miles et ostéosynthèse par clou Gamma long le 05.01.2019. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux et ses 2 fils à domicile. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. Au status cardiaque, B1 B2 bien frappés, pas de souffle. À l'auscultation pulmonaire, diminution du murmure respiratoire en base gauche. Légers OMI à gauche postopératoire. La cicatrice est calme. Mme. Y signale une hypoesthésie de la face antérieure de la cuisse droite et de la jambe gauche, connue suite à une intervention chirurgicale pour l'exérèse d'une masse lipomateuse à l'aine à gauche. La sensibilité grossière est conservée. La force du MID est globalement cotée à M5, celle du MIG est cotée à M0 au quadriceps et au psoas. L'oedème du membre inférieur gauche reste inchangé, raison pour laquelle nous ajoutons 5 mg de Torem le 15.01.2019, que nous arrêtons après 3 jours au vu d'une péjoration de la créatinine au laboratoire. On met en place des bas de contention jusqu'au retour à domicile, avec diminution de l'oedème. Au vu de la stabilité des valeurs de la tension artérielle, nous mettons en suspens le traitement de Losartan et Amlodipine. Nous vous laissons le soin de réévaluer la situation à distance. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises en charge selon douleurs. Elle peut monter/descendre les escaliers avec main courante et rampe. La force du MID est cotée à M3+ au psoas et au quadriceps. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 26.01.2019, en bon état général. Mme. Y est une patiente de 17 ans, qui revient en contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires ce jour le 19.02.2019 en raison de douleurs de la fosse iliaque gauche, et du flanc gauche depuis le 18.02.2019 d'origine indéterminée. Nous réalisons un bilan biologique qui revient aligné sans syndrome inflammatoire. Dans ce contexte, nous demandons un avis à Dr. X, gynécologue de garde, qui préconise de réaliser un ultrason gynécologique. L'ultrason revient dans la norme sans signe inflammatoire, ni de kyste visualisé. Dans le contexte de rapports sexuels protégés depuis une année et de l'absence d'autre contraception, cette dernière instaure une pilule contraceptive. De plus, en raison d'un endomètre épaissi à 10 mm, elle réalise un nouveau test de grossesse qui revient négatif. Sur avis de Dr. X, de médecine interne, nous retenons un diagnostic de douleurs abdominales d'origine indéterminée rentrant probablement dans un contexte de douleurs prémenstruelles versus de coprostase. Au vu de l'évolution clinico-biologique favorable avec une résolution complète de la symptomatologie aux urgences, la patiente rentre à domicile avec une antalgie simple, contrôle si besoin selon les symptômes. Mme. Y, patiente de 72 ans connue pour une hypertension et une hypothyroïdie traitées, est adressée par son médecin traitant aux urgences le 13.02.2019 en raison d'une douleur intense au genou gauche après un traumatisme en descendant une marche d'escalier à domicile le 11.02.2019. Une IRM effectuée au Centre d'Imagerie de Fribourg le 12.02.2019 montre une déchirure méniscale de la corne postérieure du corps du ménisque interne ainsi qu'un volumineux kyste arthrosynovial. La patiente est hospitalisée pour antalgie. Après avis orthopédique, aucune indication opératoire n'est retenue. La patiente bénéficie de physiothérapie avec bonne évolution et désire rentrer chez elle avec un traitement en ambulatoire. Mme. Y peut rentrer à domicile le 16.02.2019. Mme. Y, âgée de 71 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la pose d'une prothèse totale du genou gauche le 17.01.2019 dans un contexte de gonarthrose invalidante. Sur le plan social, la patiente est célibataire et vit avec son frère et sa sœur à domicile. Elle est atteinte d'un retard mental profond, bénéficie d'une curatelle (son frère) et fréquente un atelier protégé à Romont 2x/semaine.A l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion/extension du genou gauche est de 90-0-0 en actif et en passif. La force des fléchisseurs de la hanche est cotée à M4 et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, la patiente ne présente aucune complication. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec son rollator. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou G à 115-0-0 en actif et passif. La force du quadriceps G et du psoas G est cotée à M3. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 06.02.2019, en état général conservé. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile pour maintien des acquis et renforcement musculaire. La patiente rentre chez son frère sans soins à domicile avec reprise de la structure mise en place par la famille. Mme. Y est connue pour de multiples comorbidités, dont un syndrome métabolique avec diabète insulino-requérant et une BPCO stade IV selon Gold, sans oxygénothérapie à domicile. Pour rappel, la patiente est sortie de l'HFR Fribourg le 01.02.2019, où elle était hospitalisée en raison de la découverte d'une lésion cérébrale occipitale gauche probablement d'origine métastatique sur un primaire pulmonaire. A noter que la patiente a refusé la prise en charge diagnostique et thérapeutique et a quitté l'hôpital. Depuis son retour à domicile, elle décrit une péjoration progressive de son état avec une fatigue très importante, une inappétence et une augmentation en quantité de ses crachats. Ce jour, le 05.02.2019, ses voisins l'ont retrouvée à deux reprises par terre. Mme. Y dit qu'elle n'arrivait plus à tenir debout en raison de la fatigue et qu'elle s'est assise par terre. La patiente rapporte également une toux stable mais une augmentation de la quantité des crachats (pas de la purulence). Pas de douleur rétrosternale ni de dyspnée. Dernières selles il y a 3 jours, d'aspect normal. Le reste de l'anamnèse par système est sans particularité. A l'admission aux urgences de l'HFR Fribourg, la patiente est en état général diminué. Elle est afébrile et hémodynamiquement stable. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont lointains, le rythme cardiaque est régulier, les pouls périphériques sont palpables. Pas d'oedème des membres inférieurs, pas de signe d'hypoperfusion. A l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est diminué sur les 4 plages, avec présence de sibilances et de ronchis diffus. Pas de crépitant, pas d'hypoventilation focale. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Aux urgences, la patiente désature à 85% sous 1 litre d'oxygène, raison pour laquelle l'oxygénothérapie est augmentée à 2 litres par minute et nous effectuons une gazométrie artérielle qui montre une hypoxie à 8 kPa avec hypercapnie à 7 kPa et saturation à 92%. Dans le cadre de la décompensation de BPCO nous débutons une antibiothérapie par Co-Amoxi 1.2 g iv 3x/24h du 05 au 11.02.2019. De plus, nous prescrivons 5 jours de thérapie par Prednisone 40 mg jusqu'au 11.02.2019. Mme. Y étant stable hémodynamiquement et sur le plan respiratoire, elle est transférée à l'HFR Riaz le 06.02.2019 pour la suite de la prise en charge. Durant le séjour, la patiente est réévaluée par Dr. X, psychiatre de liaison, qui propose de garder en réserve le Zolpidem et le Temesta. Pour rappel, Mme. Y a déjà bénéficié d'une évaluation psychiatrique après l'annonce du diagnostic durant sa dernière hospitalisation à l'HFR Fribourg et sa décision d'abstention thérapeutique est faite en dehors d'un état dépressif avec sa capacité de discernement. Sous antibiothérapie et corticothérapie, l'évolution au niveau respiratoire est favorable. A noter que la patiente est très demandeuse d'un placement en EMS et que dans ce contexte des inscriptions sont effectuées. Le 15.02.2019, Mme. Y est admise à l'EMS de Givisiez. Elle souhaite par ailleurs léguer son corps à la science. Mme. Y, patiente de 87 ans, connue pour une insuffisance cardiaque terminale sur cardiopathie ischémique tritronculaire et valvulaire non opérée sur souhait explicite de la patiente, nous est adressée par l'ambulance en raison d'une baisse de l'état général avec une asthénie marquée, une perte de l'appétit et deux malaises pendant les derniers jours. L'anamnèse par système est négative, mis à part la présence d'une dysurie et d'une dyspnée stable NYHA II-III sans oedèmes des membres inférieurs. Ses deux épisodes de syncope du 05 et 06.02.2019 étaient lors du changement de position, avec des vertiges, un type de voile noir devant les yeux et un bourdonnement au niveau des oreilles, avec une chute sans perte de connaissance. Au niveau du statut, elle a un état général diminué. Elle est ralentie, cachectique et asthénique. Le rythme cardiaque est irrégulier avec un B1B2 lointains et un souffle systolique sur le foyer mitral. Elle présente des râles crépitants bibasaux et une cyphose dorsale importante. Mme. Y habite dans une maison au rez-de-chaussée avec au premier étage un couple. Elle s'occupe de tout à la maison. Elle a un fils et une fille. Le CMS passe deux fois par semaine. En raison des deux épisodes de syncopes, différents examens sont effectués. Un ECG montre un rythme irrégulier connu. Après discussion avec son cardiologue, Dr. X, il confirme l'atteinte cardiaque terminale chez la patiente avec des soins palliatifs et un traitement médicamenteux maximal instaurés depuis fin 2017. La thérapie cardiaque est donc adaptée avec l'ajout de l'Aldactone et du Lisinopril. Mme. Y se plaint d'ailleurs d'une dysurie avec une bandelette urinaire positive, raison pour laquelle nous introduisons de la Ciprofloxacine en attendant les résultats de la culture. Ceux-ci revenant positifs pour E. coli, l'antibiothérapie est relayée par Nitrofurantoïne dès le 07.02.2019. Durant l'hospitalisation, la patiente bénéficie de séances de physio- et d'ergothérapie et d'un suivi diététique. Au cours du séjour, Mme. Y émet le souhait de mourir et de reprendre contact avec EXIT, où elle est inscrite depuis longtemps. Une discussion familiale le 07.02.2019 permet de parler des trois chemins possibles avec un décès par voie naturelle, un décès via EXIT ou la possibilité de devoir prévoir un placement en home. Nous proposons à la patiente un séjour en soins palliatifs à l'HFR Meyriez pour l'accompagner dans les différentes démarches. Mme. Y est donc transférée en soins palliatifs le 08.02.2019. Mme. Y, patiente de 87 ans, connue pour une insuffisance cardiaque terminale sur cardiopathie ischémique tritronculaire non opérée en raison du souhait de la patiente, valvulaire avec une insuffisance mitrale sévère, et rythmique, nous est transférée depuis la permanence de Meyriez le 08.02.2019. Le CMS, qui s'occupe de Mme. Y 2x/semaine, a appelé ce matin le 144, car elle se plaignait d'une asthénie marquée, d'une perte de l'appétit et aurait fait deux malaises pendant les derniers jours. Mme. Y est initialement hospitalisée en gériatrie aiguë et transférée le 08.02.19 en soins palliatifs. A l'anamnèse, la patiente raconte avoir eu deux épisodes de syncope les 05.02 et 06.02, lors de changements de position, avec des vertiges, un voile noir devant les yeux, un bourdonnement au niveau des oreilles et une chute sans perte de connaissance ni trauma crânien. L'anamnèse par systèmes révèle la présence d'une dysurie et d'une dyspnée stable NYHA III-IV. Le reste de l'anamnèse systématique est négatif.Au status, nous retrouvons une patiente à l'état général diminué, ralentie, cachectique et asthénique. Elle est collaborante et orientée dans les 3 modes. Le rythme cardiaque est irrégulier avec des bruits B1B2 lointains et un souffle mitral. Elle présente des râles crépitants bibasaux, sans oedèmes des membres inférieurs. Elle présente une importante cyphose dorsale. Mme. Y habite dans une maison au rez-de-chaussée avec au premier étage un couple. Elle s'occupe de tout à la maison. Elle a un fils et une fille ainsi que des petits-enfants qui l'entourent. Comme diagnostic, nous retenons une insuffisance cardiaque terminale sans signes franches de décompensation. Une infection urinaire basse répond bien au traitement antibiotique. Dès le début du séjour ici, Mme. Y a émis le souhait de mourir et de reprendre contact avec EXIT malgré des moments fréquents de joie de vie et de bien-être. Le 25.02.2019, Mme. Y rentre à domicile avec un rendez-vous prévu avec EXIT ce même jour. Mme. Y, patiente connue pour une cardiopathie ischémique, une hypothyroïdie substituée et des troubles cognitifs débutants, qui a été récemment hospitalisée pour une coronarographie élective compliquée d'un épanchement péricardique et d'une pneumonie d'acquisition nosocomiale au cours de l'hospitalisation traitée par Co-Amoxi intraveineuse. Elle revient 24h après sa sortie en raison d'une récidive de l'asthénie marquée accompagnée d'une toux et d'une dyspnée. La patiente est veuve et habite seule dans un appartement avec 21 marches d'escalier d'accès. Une sortie avec l'aide journalière par le Spitex avait été organisée. À l'admission, les paramètres vitaux sont alignés. L'examen clinique cardio-pulmonaire est sans particularité. Le bilan biologique retrouve un syndrome inflammatoire (CRP 80 mg/l, leucocytes 14.2 G/l), une anémie normochrome normocytaire (Hb 110 g/l), une hyponatrémie légère (Na 133 mmol/l) et une hypomagnésémie (Mg 0.72 mmol/l). La radiographie du thorax montre une opacité rétrocardiaque gauche pouvant être en lien avec un foyer de pneumonie débutante. Les hémocultures reviennent négatives, la recherche de Pneumocoque et Legionella dans les urines est négative. Nous retenons le diagnostic d'une récidive de pneumonie d'acquisition nosocomiale à germe indéterminé et débutons un traitement antibiotique par Pipéracilline-Tazobactam par voie parentérale. L'évolution clinique et biologique est favorable, permettant un arrêt de l'antibiothérapie le 13.01.2019. Mme. Y présente une dysthymie avec des pleurs fréquents et la verbalisation d'une sensation d'abandon par sa famille. Avec une GDS de 9/15, nous introduisons donc un traitement antidépresseur par Escitalopram qui sera majoré si la tolérance est bonne. Le soir du 13.01.2019, après une journée caractérisée par des conflits avec son fils, Mme. Y essaie de s'étouffer avec le câble de la sonnette. Nous la transférons donc en urgence à l'Hôpital de Marsens pour une prise en charge psychiatrique avec l'accord de la patiente, ne nécessitant alors pas de PLAFA. En parallèle, Mme. Y bénéficie de séances intensives de physio- et d'ergothérapie qui permettent d'améliorer sa mobilité. Par contre, elle reste faible et n'arrive plus à marcher de manière autonome ni à monter les escaliers, pourtant nécessaires pour un retour à son domicile. Après discussion avec la patiente, son fils et sa petite-fille, une entrée en EMS est organisée, avec un transfert prévu pour le 14.01.2019 à l'EMS de Courtepin. En raison du tentament, Mme. Y est transférée en urgence à l'Hôpital de Marsens pour une prise en charge psychiatrique. La suite sera à organiser en fonction de l'évolution sur le plan psychogériatrique. Mme. Y, patiente connue pour une maladie coronarienne bitronculaire, nous est transférée du service de réhabilitation de l'HFR Meyriez-Murten en raison d'une pneumonie d'acquisition nosocomiale. Pour rappel, Mme. Y a été hospitalisée électivement et a bénéficié d'une coronarographie le 27.11.2018 qui a objectivé une maladie coronarienne bitronculaire. Une dilatation est effectuée avec l'aide du rotablator avec mise en place de trois stents actifs dans l'artère coronaire droite proximale et moyenne. La coronarographie s'est compliquée d'une tamponnade aiguë par lésion iatrogène avec pose d'un drain péricardique et évolution favorable. Une autre coronarographie était initialement proposée à 2 semaines pour traiter la lésion restante sur l'artère interventriculaire antérieure, mais Mme. Y ne souhaitait absolument pas réitérer cette intervention après la complication. Elle a été transférée le 11.12.2018 dans le service de réhabilitation gériatrique pour un réconditionnement général qui s'est bien déroulé. La patiente est veuve et habite seule dans un appartement avec 21 marches d'escalier d'accès. Elle était complètement autonome dans les AVQ et marchait sans moyens auxiliaires. Le 23.12.2018, Mme. Y se plaint de douleurs thoraciques peu caractérisables et d'une toux nouvelle. Cliniquement, elle est subfébrile à 37.9 °C, les paramètres vitaux sont alignés et le status cardio-pulmonaire est dans la norme. Le bilan biologique retrouve une CRP augmentée jusqu'à 141 mg/l, une pancytopénie (leucocytes 2.9 G/l, neutrophiles 1.49 G/l, thrombocytes 116 G/l, hémoglobine 83 g/l), une hyponatrémie modérée (Na 129 mmol/l) ainsi qu'une discrète péjoration de la fonction rénale (créatinine 95 mcmol/l), les troponines sont dans la norme (<40 ng/l). La radiographie du thorax ne montre pas de foyer franc. L'ECG retrouve un rythme sinusal, sans modifications du segment PR ni du segment ST, les QRS sont fins et le QTc dans la norme. Nous retenons le diagnostic d'une probable pneumonie d'acquisition nosocomiale à germe indéterminé et débutons un traitement antibiotique par Co-Amoxicilline par voie parentérale. L'évolution clinique et biologique est favorable avec un arrêt de l'antibiothérapie le 30.12.2018. Mme. Y présente une pancytopénie transitoire probablement dans le contexte infectieux. L'évolution est favorable. Nous vous laissons le soin d'effectuer un suivi biologique à 2 semaines. Dans le contexte infectieux, la patiente développe un flutter atrial atypique 3:1 à conduction ventriculaire normale, asymptomatique, découvert à l'ECG du 26.12.2018. Nous débutons une anticoagulation par Apixaban 2.5 mg 2x/j. L'ECG de contrôle du 29.12.2018 retrouve un rythme sinusal. Nous contactons le cardiologue de garde qui conseille la poursuite de l'anticoagulation orale pendant 3 mois et d'effectuer un Holter-ECG. En cas de récidive de flutter, la mise en suspens de l'Aspirine et la poursuite du Clopidogrel et Apixaban à long terme sont envisagées. Concernant l'hyponatrémie modérée, probablement sur baisse du volume circulant efficace dans le contexte septique, elle est résolutive spontanément. Mme. Y est très inquiète et soucieuse par rapport à des problèmes familiaux et souhaiterait peut-être commencer un suivi psychologique à sa sortie. Parallèlement, Mme. Y bénéficie d'une réhabilitation précoce avec physio- et ergothérapie individuellement adaptées. À l'entrée, elle fait les transferts sous supervision (MIF 5) et marche à l'aide d'un rollateur avec une aide de contact (MIF 4). Grâce à des séances intensives, une amélioration de la mobilité est observée. À la sortie, la patiente fait les transferts de manière autonome (MIF 6), marche sous supervision avec deux cannes (MIF 5) et arrive à monter 27 marches d'escalier (MIF 5). Le Tinetti est mesuré à 17/28.Mme. Y peut regagner son domicile le 05.01.2019 en état général amélioré. Mme. Y, patiente de 57 ans, est hospitalisée aux soins intensifs B le 03.02.19 pour une insuffisance respiratoire globale dans le contexte d'une exacerbation de BPCO sur RSV. Pour rappel, la patiente est connue pour une BPCO stade GOLD IV oxygénodépendante à domicile (2L et VNI durant la nuit). Elle se présente aux urgences de Riaz pour une toux associée à une péjoration de sa dyspnée et un état fébrile à 38°C depuis le 01.02.2018. A noter un traitement par Co-amoxicilline pour une durée de 10 jours qui a pris fin le 01.02.2019. En raison d'une péjoration respiratoire, elle a été transférée à Fribourg. A son arrivée au SIB, la patiente présente une acidose respiratoire hypoxémique et hypercapnique. Elle bénéficie d'une VNI intermittente la journée et continue pendant la nuit. Durant la nuit du 05.02 au 06.02.19, Mme. Y présente des troubles de l'état de conscience mis sur le compte d'une carbonarcose (pCO2 à 12 kPa), raison pour laquelle elle est intubée pour 24 heures, avec reprise de la VNI (PEP 5 et AI 10-11) intermittente la journée et continue la nuit. La situation respiratoire reste précaire, une nouvelle réhabilitation respiratoire à Billens est demandée. Notons une lésion lingulaire sous-pleurale de 11 mm au CT thoracique de mars 2018 qui reste à recontrôler. Mme. Y, patiente de 57 ans, est hospitalisée pour une insuffisance respiratoire globale dans le contexte d'une exacerbation de BPCO à RSV. Pour rappel, la patiente est connue pour une BPCO stade GOLD IV oxygénodépendante à domicile (2L et VNI durant la nuit). Elle se présente aux urgences de Riaz pour une toux associée à une péjoration de sa dyspnée et un état fébrile à 38°C depuis le 01.02.2018. A noter un traitement par Co-amoxicilline pour une durée de 10 jours qui a pris fin le 01.02.2019. Sans foyer clinico-radiologique clair, mais en présence d'un syndrome inflammatoire, un traitement de Pipéracilline-Tazobactam et Prednisone est introduit. En raison d'une péjoration de son acidose respiratoire, elle a été transférée à Fribourg. La patiente est initialement prise en charge aux soins intensifs, en présence d'une acidose respiratoire hypoxémique et hypercapnique avec besoin d'assistance respiratoire. Elle bénéficie d'une VNI intermittente (6x/jour) pendant la journée et continue pendant la nuit. Le frottis nasopharyngé revient positif pour un RSV. L'auscultation pulmonaire est toujours spastique avec une impression de silent chest. L'antibiothérapie par Tazobactam est poursuivie, la Prednisone à hautes doses pour 5 jours au total et les aérosols de Salbutamol et Ipratropium. Durant la nuit du 05.02 au 06.02.19, Mme. Y présente des troubles de l'état de conscience mis sur le compte d'une carbonarcose, raison pour laquelle elle est intubée. Extubation possible le 06.02.19 en fin de journée, avec reprise de la VNI intermittente la journée et continue la nuit. Poursuite des aérosols de Salbutamol aux 2 heures et Ipratropium aux 4 heures. Elle reste stable hémodynamiquement avec un profil tensionnel légèrement à la hausse, raison pour laquelle du Lisinopril est introduit. L'évolution favorable permet un transfert à l'étage de médecine interne, où les suites restent simples avec amélioration progressive de la dyspnée, y compris à l'effort, avec gazométries rassurantes et besoins en oxygène stabilisés à 3 litres. Le traitement bronchodilatateur est assuré par de l'Ultibro, bien que la patiente exprime le besoin de poursuivre les aérosols supplémentaires 4x/jour. Une prise de poids fluctuante avec œdèmes aux membres inférieurs est stabilisée par un traitement diurétique à basse dose. Afin de poursuivre la réhabilitation respiratoire, la patiente est transférée à l'hôpital de Billens le 19.02.2019 pour la réadaptation pulmonaire, où elle bénéficiera également d'un bilan cardiaque dans le contexte. Elle profitera d'avoir une discussion avec son pneumologue en vue d'une éventuelle transplantation à distance, signalant fermement sa volonté de ne plus reprendre le tabac. Mme. Y, 57 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour un NSTEMI sur occlusion de l'IVA moyenne et de la branche diagonale. Elle est connue pour un antécédent d'AVC en 2012 sur emboles paradoxaux avec fermeture de FOP en mai 2013. Elle consulte son médecin traitant pour une douleur thoracique à l'effort depuis une semaine. L'ECG retrouve des ondes T négatives dans les dérivations antérieures et latérales avec élévation des troponines. La coronarographie montre une subocclusion de l'IVA proximale et une atteinte significative de la bifurcation IVA/diagonale comme corrélat à l'infarctus NSTEMI. Il y a une dysfonction VG systolique modérément-sévère, avec une FEVG à 35%. Le lendemain, la patiente présente une récidive des douleurs rétro-sternales le 23.02.2019. Les douleurs sont décrites comme oppressantes, non respiro-dépendantes, motivant une nouvelle coronarographie démontrant un statut comparable à la veille, sans nouvelle lésion. Devant la persistance des douleurs, on procède au traitement de la sténose significative du tronc commun, englobant l'origine de l'artère circonflexe proximale (lésion de bifurcation), par PTCA avec implantation de 2 stents. L'évolution est ensuite favorable avec disparition des douleurs, sans complication rythmique ni décompensation cardiaque. Les bêtabloquants et l'aldactone sont introduits, le périndopril est poursuivi. La double antiagrégation est à maintenir pour 6 mois puis Aspirine à vie. Une échographie cardiaque de contrôle est prévue dans 1 mois chez Dr. X à Tafers. En vue des traitements importants au niveau du tronc commun, une nouvelle coronarographie est indiquée dans 3 mois. Mme. Y, 57 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour un NSTEMI sur occlusion de l'IVA moyenne et de la branche diagonale. Elle est connue pour un antécédent d'AVC en 2012 sur emboles paradoxaux avec fermeture de FOP en mai 2013. Elle consulte son médecin traitant pour une douleur thoracique à l'effort depuis une semaine avec une péjoration ce jour. L'ECG retrouve des ondes T négatives dans les dérivations antérieures et latérales avec élévation des troponines. La coronarographie montre une subocclusion de l'IVA proximale et une atteinte significative de la bifurcation IVA/diagonale comme corrélat à l'infarctus NSTEMI. Il y a une dysfonction VG systolique modérément-sévère, avec une FEVG à 35%, sans signe de décompensation cardiaque. Une échographie cardiaque de contrôle est prévue dans 1 mois chez Dr. X à Tafers et une nouvelle coronarographie dans 9 à 12 mois. A son arrivée, la patiente présente une douleur thoracique résolutive sous traitement antalgique. Le traitement d'insuffisance cardiaque est à majorer : le périndopril est à adapter, l'aldactone est introduit ; les bêtabloquants sont introduits dès le 23.02 à petite dose (bradycardie signalée par la patiente). La double antiagrégation est à maintenir pour 6 mois. La surveillance rythmique et hémodynamique est sans particularité aux soins intensifs, sans récidive de douleur. La patiente est transférée en médecine interne pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, 57 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour un NSTEMI sur occlusion de l'IVA moyenne et de la branche diagonale. Elle est connue pour un antécédent d'AVC en 2012 sur emboles paradoxaux avec fermeture de FOP en mai 2013 et un antécédent de néoplasie mammaire en 2016, traité par tumorectomie, radiothérapie adjuvante et hormonothérapie toujours en cours. Elle consulte son médecin traitant pour une douleur thoracique à l'effort depuis une semaine avec une péjoration ce jour. L'ECG retrouve des ondes T négatives dans les dérivations antérieures et latérales avec élévation des troponines.La coronarographie montre une subocclusion de l'IVA proximale et une atteinte significative de la bifurcation IVA/diagonale comme corrélat à l'infarctus NSTEMI. Il y a une dysfonction VG systolique modérément sévère, avec une FE à 35%. La patiente présente une récidive de douleurs retro-sternales le 23.02.2019. La patiente dit avoir des douleurs en crescendo depuis le matin. Une nouvelle coronarographie du 23.02.2019 démontre une sténose significative du tronc commun, englobant l'origine de l'artère circonflexe proximale (lésion de bifurcation) et 2 stents sont de nouveau implantés. Les bêtabloquants et l'aldactone sont introduits par la suite et le périndopril est poursuivi. La double antiagrégation est à maintenir pour 6 mois puis Aspirine à vie. La surveillance rythmique et hémodynamique est par la suite sans particularité aux soins intensifs. La patiente est transférée en médecine le 26.2.2019 et rentre finalement à domicile le 27.2.2019. Une réadaptation est prévue par la suite en ambulatoire à Billens et le suivi cardiologique est prévu chez le Dr. X. Mme. Y, 66 ans, hospitalisée aux soins intensifs pour une grippe Influenza A compliquée d'une pneumonie à Haemophilus influenzae et insuffisance respiratoire globale. La patiente a été retrouvée sur site nécessitant son intubation par le SMUR. Le CT-scan cérébral met en évidence un anévrisme termino-carotidien gauche de 12.5 mm, sans signe d'hémorragie et le CT-scan thoracique montre des embolies pulmonaires lobaires segmentaires et sous-segmentaires droites, ainsi que des comblements bronchiques bilatéraux. Une insuffisance respiratoire globale sur une grippe A surinfectée est l'origine la plus probable pour expliquer l'état neurologique initial (carbonarcose). Le bilan toxicologique est positif uniquement pour du cannabis. Le diagnostic différentiel étant une épilepsie sur arrêt de traitement avec troubles de l'état de conscience et broncho-aspiration secondaire. Un traitement antibiotique par Coamoxiciline est débuté avec élargissement du spectre (Pipéracilline/Tazobactam) quelques heures plus tard devant une péjoration respiratoire nécessitant une bronchoscopie de toilettage qui montre une hyperhémie de tout l'arbre bronchique qui va de pair avec l'origine virale. Secondairement, une désescalade antibiotique est initiée. L'évolution respiratoire est stagnante au bout de 06 jours de ventilation exclusivement contrôlée, les tentatives de passage en aide inspiratoire avec réveil ont échoué. Au vu de cette évolution défavorable et de l'atteinte cardiaque droite sévère, en discussion avec la famille après leur avoir expliqué le pronostic à moyen terme et la qualité de vie prédite de la patiente, il a été décidé d'un retrait thérapeutique en adéquation avec les souhaits présumés de la patiente de ne pas avoir d'acharnement thérapeutique. Après accord de la famille sur le don d'organe, la patiente a été considérée comme donneuse à cœur arrêté (procédure MIII). Mme. Y, 48 ans, connue pour un carcinome colique avec invasion duodénale et obstruction des voies biliaires (drainage percutané lors de la dernière hospitalisation) en situation palliative, qui est hospitalisée pour des douleurs abdominales. La patiente présente des douleurs abdominales intenses, crampiformes, connues dans son contexte oncologique, mais nettement exacerbées. Au status, la patiente est afébrile avec un abdomen gonflé, dépressible mais douloureux dans tous les quadrants, en particulier au flanc droit. Le bilan biologique montre un cholestase et un léger syndrome inflammatoire. Nous mettons ces douleurs sur le compte de la progression tumorale avec une possible carcinose péritonéale. A l'ultrason, l'ascite est en faible quantité, non ponctionnable. Nous adaptons le traitement antalgique avec une majoration du Fentanyl en patch et l'introduction de la prégabaline avec une légère amélioration des douleurs. Suite à quoi, la patiente développe une augmentation de l'endormissement avec diminution de la fréquence respiratoire que nous mettons sur le compte d'une intoxication aux fentanyl transdermique. Nous remplaçons le Fentanyl en patch par du Fentanyl iv et introduisons de la novalgine avec une amélioration clinique. Sur le plan infectieux, la patiente présente une augmentation de douleurs au niveau de l'hemi-abdomen droit associé avec un syndrome inflammatoire à la hausse. Nous ne réalisons pas d'imagerie au vu de l'absence de perturbation des tests hépatiques et de la situation palliative. Nous retenons une probable cholangite pour laquelle nous introduisons une antibiothérapie iv par Rocephine et Metronidazole durant 7 jours. Progressivement, la patiente développe une asthénie de plus en plus importante avec une inappétence. Nous introduisons des antiémétiques d'office. Nous observons également l'apparition d'œdème des membres inférieurs jusqu'à l'abdomen sur un syndrome de la veine cave inférieure sur progression tumorale. Du torem est momentanément introduit sans amélioration clinique. Nous proposons un suivi clinique et de bander les jambes en cas d'inconfort de la patiente. Au vu de la situation, nous proposons une suite de prise en charge des soins palliatifs complexes par la Villa St-François. Au niveau hématologique, nous observons un trouble de la crase probablement sur les métastases hépatiques. Une dose de konakion est donnée. Nous proposons un suivi biologique. Mme. Y est transférée à la Villa St-François le 19.02.2019. Mme. Y, patiente de 75 ans, connue pour une hématochromatose et une hypertension traitée, est hospitalisée dans notre service de médecine interne à la suite de fractures multiples aux 2 pieds. La patiente descendait un escalier, lorsqu'elle a loupé la dernière marche le samedi 23.02.2019. Elle consulte à la permanence le lundi 25.02.2019 après avoir une tuméfaction aux 2 pieds au réveil, G>D, alors qu'elle avait une marche non douloureuse en charge le 24.02.2019. Mme. Y arrive à bouger les 2 pieds, décrit ne pas avoir de troubles de la sensibilité. Reste de l'anamnèse systématique non contributive. Au niveau du status, B1/B2 bien frappés, doute sur un souffle systolique, sans irradiation dans les carotides. Pulmonaire: murmure vésiculaire symétrique bilatéralement, absence de bruit surajouté. Abdominal: Bruits normaux en fréquence et en intensité, abdomen souple et dépressible, pas de douleur à la palpation superficielle et profonde. Loges rénales souples et indolores. Extrémités des membres inférieurs chaudes, rouges, mobilité possible sans douleur, pouls non palpables en raison des plâtres, sensibilité conservée des 2 côtés. En cours d'hospitalisation, des plâtres bilatéraux sont mis en place, avec des semelles rigides. De la physiothérapie est mise en place pour encadrer la patiente lors des transferts, dans le but d'un retour sécuritaire au domicile. Au vu de la bonne évolution clinique, nous laissons Mme. Y rentrer à son domicile le 27.02.2019. Mme. Y est une patiente de 93 ans, connue pour une cardiopathie hypertensive valvulaire et rythmique avec fraction d'éjection ventriculaire gauche à 45% et pose de pacemaker VVIR en 2015, ainsi que pour une pancytopénie non investiguée. Rappelons que la patiente avait séjourné préalablement dans notre service de réhabilitation gériatrique du 05.12.2018 au 22.12.2018 pour une décompensation cardiaque à prédominance droite et pancytopénie le 14.12.2018 avec suite d'investigation refusée par la patiente, qui bénéficie uniquement de support transfusionnel de confort à l'hôpital du jour, et qui, en venant faire sa transfusion aujourd'hui, rapporte une dyspnée depuis quelques jours, en péjoration ce matin, avec des signes de surcharge. Mme. Y a été évaluée à l'hôpital de jour et a profité d'une dose unique de Lasix 20 mg intraveineux pour suspicion d'œdème pulmonaire aigu.A son arrivée aux urgences ce 11.01.2019, nous trouvons une patiente eupnéique à 90°, avec présence d'une toux sèche, normotendue, normocarde et apyrétique, et saturant à 85% à l'air ambiant. Le status à l'entrée est dans la norme, hormis une saturation à l'air ambiant à 85%. Au niveau cardiovasculaire, signalons un B1 B2 bien frappé, pas de souffle audible, pas de turgescence jugulaire, pas de reflux hépato-jugulaire et des oedèmes aux membres inférieurs bilatéraux, prenant le godet et prédominant à gauche. Dans la sphère pulmonaire, notons des râles crépitants fins des deux côtés, une patiente eupnéique en position à 90°, avec toux sèche. La patiente est hospitalisée dans notre service de gériatrie aiguë le jour même de son entrée aux urgences pour une décompensation cardiaque à prédominance gauche. Nous effectuons alors un dosage du NT-proBNP revenant à 29'263 ng/l, et une radiographie du thorax qui met en évidence une cardiomégalie et des signes de surcharge, sans foyer construit mis en évidence. Nous maintenons le traitement instauré à base de Lasix 20 mg intraveineux 4 fois par jour avec un suivi rapproché du poids. Par la suite, la patiente perd 2.5 kg en 3 jours sous ce traitement. Un retour vers son traitement habituel, à savoir 40 mg de Torasemide, est fait le 15.01.2019. Ce jour-là, Mme. Y reçoit un culot érythrocytaire après une dose de Lasix en intraveineux afin de prévenir une surcharge. Cette transfusion sur 3h30 s'est bien déroulée. Le dernier contrôle d'hémoglobine a eu lieu le 24.12.2019 (86 g/l). Par la suite et au vu de l'hypokaliémie présentée de façon répétée, nous majorons la spironolactone à 50 mg afin d'épargner le potassium. Nous vous proposons, dans la mesure où la patiente accepte, un contrôle du ionogramme. La Métolazone a donc été suspendue. Sur le plan psychique, nous relevons un état dépressif sévère nécessitant l'introduction d'antidépresseur. Nous rencontrons la fille de Mme. Y qui nous confirme qu'une place l'attend au home de Billens. Le 17.01.2019, nous relevons une CRP en hausse avec une toux productive et présence de râles à l'auscultation. Devant l'état cliniquement précaire de la patiente, la décision est prise de mettre une antibiothérapie probabiliste à base de Rocéphine pour 7 jours. Ce traitement est finalement stoppé le 21.01.2019 devant le peu de bénéfice observé sur le plan clinique et biologique, et cela en accord avec la patiente. Une discussion a lieu avec la famille de la patiente quant à l'attitude à avoir face à la péjoration de son état. À noter que le Home de Billens où Mme. Y a une place ne peut effectuer les transfusions que cette dernière recevait. Ce colloque, qui a eu lieu le 22.01.2019, a donné lieu à un changement d'attitude thérapeutique étant donné que dorénavant la patiente refuse les transfusions sanguines et privilégie les soins de confort. Un placement au home de Billens est donc réalisé le 28.01.2019. Mme. Y souffre d'une coxarthrose avancée à gauche. La progression en une année est assez impressionnante. L'indication pour l'implantation d'une prothèse totale de hanche est théoriquement donnée. La patiente va réfléchir si elle est prête pour une telle chirurgie. Je ne peux plus, à ce stade-là, lui proposer une infiltration par cortisone parce que le soulagement serait seulement à court terme. Mme. Y me recontactera. Pas d'arrêt de travail. Mme. Y, patiente de 71 ans connue pour un tabagisme actif, est hospitalisée dans un contexte d'AVC sylvien gauche le 12.02.2019. Pour rappel, l'anamnèse révèle l'apparition d'un mutisme le 12.02.2019 vers 14h45 en présence de son fils associée à une parésie brachiale droite. Aux urgences, la patiente présente une aphasie non fluente avec parésie facio-brachiale à droite et une héminégligence sensitive à droite. Le CT cérébral révèle une pénombre ischémique frontale gauche pré-central sans infarctus constitué. Les vaisseaux précérébraux et intra-cérébraux sont libres. Une thrombolyse intraveineuse est administrée à dose standard. La patiente est hospitalisée en lit monitoré pour une surveillance neurologique. La surveillance neurologique confirme une amélioration avec uniquement une parésie faciale droite mineure persistante à 24h avec une pronation du membre supérieur droit. Le CT cérébral natif de contrôle à 24h post lyse ne révèle pas de transformation hémorragique. L'IRM cérébrale n'est pas effectuée en raison d'une claustrophobie. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique révèle une dilatation modérée de l'oreillette gauche sans étiologie structurelle d'AVC. Un Holter de 72 heures est posé à la recherche active d'une fibrillation auriculaire intermittente, dont l'interprétation est encore en cours. Nous vous ferons parvenir les résultats dès que possible. Sur le plan médicamenteux, une antiagrégation par Plavix est introduite, à poursuivre à vie. Un traitement hypolipémiant est également introduit. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Le bilan étiologique de l'AVC révèle une hémoglobine glyquée à 7.0%, ainsi un traitement de Metformine est introduit malheureusement mal supporté avec apparition de diarrhées. Sur avis endocrinologique, la Metformine est remplacée par du Janumet XR (contenant de la metformine retard) étant généralement mieux toléré. Mme. Y bénéficie d'un enseignement thérapeutique concernant son diabète. Sur le plan des autres facteurs de risque cardiovasculaire, un sevrage tabagique est entamé pendant l'hospitalisation. Sur le plan psychiatrique, Mme. Y présente une thymie abaissée et une anxiété très importante. La situation sociale à domicile semble difficile. Un avis psychiatrique retient l'indication à un suivi ambulatoire et une prise en charge systémique pourrait être envisagée. La patiente sera suivie en ambulatoire à Bulle. L'examen neurologique de sortie révèle une diminution de la motricité fine du membre supérieur droit, sans autre atteinte. À noter que la patiente n'a pas de permis de conduire. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mme. Y a été admise pour un AVC ischémique dans le territoire de l'artère sylvienne gauche, traité par lyse intraveineuse. La patiente a présenté le 12.02.2019 vers 14h45 en présence de son fils des troubles de l'élocution, un manque de mot ainsi qu'un hémisyndrome facio-brachial sensitivo-moteur à droite. Le CT cérébral avec cartes de perfusion a mis en évidence une pénombre frontale gauche précentrale. Une lyse intraveineuse par Altéplase a été immédiatement administrée, suivie d'une régression partielle des symptômes. Une ptose labiale droite et une pronation de la main ipsilatérale à l'épreuve des bras tendus sont toutefois persistantes. Le scanner cérébral de contrôle ne montre pas de lésion ischémique constituée ni de complication hémorragique. L'Aspirine Cardio est introduite sur suspicion d'une origine artérielle artéroscléreuse. L'échocardiographie transthoracique est sans particularité. Le bilan étiologique sera complété par un enregistrement Holter. La patiente a été transférée le 12.02.2019 dans le service de médecine. Mme. Y a été hospitalisée aux soins intensifs de Fribourg du 12.02 au 14.02.2019, puis du 17.02 au 19.02.2019 pour un coma acido-cétosique et hyperosmolaire sur un diabète insulino-requérant type 2 inaugural.Pour rappel, la patiente venait d'être admise à l'hôpital psychiatrique de Marsens pour un état dépressif aigu, avec idées suicidaires. Elle est retrouvée le 12.02.2019 avec un Glasgow à 3 nécessitant une intubation sur site. Le bilan initial aux urgences montrait une décompensation diabétique hyperglycémique hyperosmolaire inaugurale avec choc hypovolémique, acidémie et œdème cérébral. Au cours de son hospitalisation, la patiente développe une insuffisance rénale nécessitant une hémofiltration. À noter une chute avec traumatisme crânien qui avait été documentée à Marsens avant son admission justifiant la réalisation d'un CT cérébral non injecté. Ce dernier mettait en évidence une légère lésion hyperdense frontale droite suspecte de saignement. Le CT-scan cérébral de contrôle du 13.02.2019 montre un éventuel œdème cérébral (sillons peu visibles, ventricules petits). Après avis auprès de nos collègues de neurochirurgie, un transfert à Berne est décidé, afin de monitorer la pression intra-crânienne (capteur de PIC). À Berne, une IRM cérébrale ne retrouve pas d'œdème cérébral et un EEG ne montre pas de foyer épileptique mais uniquement une encéphalopathie métabolique globale. Aucune mesure invasive n'est finalement entreprise par les collègues neurochirurgiens. Suite à l'extubation effectuée à Berne, des troubles de la déglutition sont mis en évidence chez une patiente quasi aphone. Les collègues ORL à Fribourg mettent en évidence une parésie de la corde vocale droite séquellaire d'une thyroïdectomie droite et probablement exacerbée par l'intubation. Les collègues de Berne ont débuté une nutrition parentérale qui est poursuivie à son arrivée à Fribourg. L'évolution clinique et biologique permet de reprendre rapidement une nutrition entérale. L'alimentation mixée lisse est reprise le 18.02.2019 avec une bonne tolérance. Concernant le diabète inaugural, l'insuline intraveineuse peut être sevrée avec un relais par insulatard le 19.02.2019 ainsi qu'un schéma de correction. En raison d'un profil glycémique fluctuant, nous impliquons les collègues du service d'endocrinologie afin d'organiser un suivi de la patiente. À l'arrivée à Fribourg, une gingivo-stomatite herpétique est mise en évidence avec réponse favorable sous traitement de Valaciclovir pendant 7 jours. Une sinusite maxillaire bilatérale est traitée par co-amoxicilline pour une durée de 7 jours. Concernant la problématique de la dépression, une évaluation par les collègues psychiatres ne retient pas de risque de suicidabilité et ne contre-indique pas un transfert en médecine. La prise en charge psychiatrique sera assurée par les collègues de la psychiatrie. La patiente est transférée en médecine interne le 19.02.2019 pour suite de prise en charge. Mme. Y, patiente de 76 ans, est admise aux soins intensifs en Stroke Unit monitorée pour surveillance d'un AVC ischémique occipital et de la capsule interne gauche. La patiente, connue pour une hypertension artérielle comme unique facteur de risque cardio-vasculaire, présente une faiblesse de l'hémicorps droit. Un CT-scan cérébral montre un déficit postérieur sur occlusion périphérique de l'artère cérébrale postérieure dans sa portion P3 avec présence d'une pénombre occipitale gauche aux cartes de perfusion. Une lyse intravasculaire est administrée sans complication. L'IRM à 24h confirme deux lésions à gauche sans complications hémorragiques et un traitement par Plavix pourra être débuté. Une statine est introduite. Au niveau étiologique, un bilan lipidique et une mesure de l'hémoglobine glyquée sont effectués. Une échocardiographie transthoracique et un ECG-Holter sont demandés. L'examen de sortie retrouve un NIHSS à 2 avec une hypoesthésie au membre supérieur gauche et une héminégligence à droite. La patiente est ensuite transférée en Stroke unit non monitorisée. Mme. Y, votre patiente de 63 ans, est adressée par son cardiologue traitant pour mise en place d'un défibrillateur avec resynchronisation. La patiente est connue pour une cardiopathie ischémique, avec dysfonction ventriculaire gauche sévère (FEVG de 25%), dans un contexte de syndrome métabolique avec obésité et diabète de type 2 insulino-requérant, ainsi qu'une insuffisance rénale chronique. Elle a récemment été hospitalisée pour une coronarographie effectuée le 08.01.2019 avec mise en place de stenting de l'IVA moyenne et distale, ainsi que de la coronaire droite moyenne. La mise en place du défibrillateur se déroule sans complication per et post-opératoire. La patiente retourne à domicile le 31.01.2019 avec poursuite de la prise en charge habituelle par vos soins et son cardiologue traitant. Mme. Y est adressée aux urgences par Dr. X le 08.02.2019 pour adaptation du traitement diurétique et traitement par albumine IV en raison d'une insuffisance cardiaque et d'une dénutrition importante. À l'anamnèse, la patiente n'a pas de plainte spontanée, hormis une légère dyspnée d'effort d'aggravation récente. Pas d'état fébrile, pas de toux, pas de palpitations, pas de symptomatologie urinaire, pas de douleur abdominale, pas de trouble de transit. À l'admission aux urgences, la patiente est normocarde à 91 bpm, normotendue à TA 111/72 mmHg et sature à 93% à l'air ambiant. Au status cardiaque, les bruits sont irréguliers (fibrillation auriculaire connue). Présence d'un souffle protosystolique 3/6 audible à tous les foyers, maximum au foyer aortique. Notons des signes d'insuffisance cardiaque droite avec turgescence jugulaire et œdèmes des membres inférieurs, prenant le godet et remontant jusqu'aux cuisses. Pas de douleur à la palpation des membres inférieurs. Au status respiratoire, hypoventilation marquée aux deux bases, pas de râle de stase. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore. Le status neurologique est dans la norme. Au status cutané, au niveau des membres inférieurs, présence d'une rougeur, chaleur et œdème, accompagnés d'une plaie prétibiale du genou droit et d'une plaie au niveau du tiers moyen du mollet gauche. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale connue avec une créatinine à 112 μmol/l, une hypoalbuminémie à 27.2 g/l, une hypoprotéinémie à 57 g/l, une hypokaliémie légère à 2.8 mmol/l et une hyponatriémie à 129 mmol/l. Pas de syndrome inflammatoire. L'hémoglobine est dans la norme et le NT-proBNP à 2'825 ng/l. Le sédiment urinaire montre une microhématurie. Concernant l'insuffisance cardiaque, nous introduisons un traitement diurétique par Lasix IV 20 mg 3x/24h et suivons quotidiennement le poids. Malgré l'introduction du Lasix, la patiente ne répond pas cliniquement au traitement et ne perd pas de poids. À noter toutefois qu'elle a refusé le traitement diurétique à plusieurs reprises malgré nos explications. Le poids à la sortie est à 61.900 kg. Au vu d'une hypoalbuminémie à 27.2 g/l, la patiente bénéficie d'une substitution d'albumine IV durant 2 jours et une évaluation nutritionnelle propose de poursuivre les suppléments nutritifs oraux. Là encore, Mme. Y n'y est pas compliante. Les troubles électrolytiques sont substitués en IV et par voie orale avec bonne réponse biologique. Sur le plan de l'insuffisance cardiaque, la patiente est tachycarde et sans traitement actuellement. Nous contactons Dr. X, cardiologue traitant, qui ne propose pas de traitement bêtabloquant ni inhibiteur de l'enzyme de conversion. Nous passons le traitement diurétique par voie orale avec Lasix 40 mg 3x/24h dès le 13.02.2019 et proposons à la patiente un suivi quotidien de son poids. Compte tenu de l'impasse thérapeutique et de la volonté de Mme. Y d'un retour à domicile, celui-ci est organisé avec l'accord de son époux. La situation terminale est expliquée au mari de la patiente et le pronostic sombre à court terme a été une nouvelle fois évoqué. Nous recommandons également à la patiente le port de bandage au niveau des membres inférieurs. Nous l'informons, ainsi que son époux, qu'en cas de prise pondérale de 600 g en 1 ou 2 jours, le Lasix doit être augmenté à 40 mg 4x/24 heures.Mme. De Blonay peut regagner son domicile le 14.02.2019. Mme. de Oliveira Silva est une patiente de 52 ans qui nous est transférée du CHUV pour la suite de la prise en charge d'une appendicite aiguë. Le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique avec lavage de 15 litres en raison d'une péritonite purulente localisée le 22.02.2019, l'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 25.02.2019. L'antibiothérapie intraveineuse est stoppée le 25.02.2019 avec un relais par voie orale à poursuivre jusqu'au 06.03.2019. La patiente retourne à domicile le 25.02.2019. Mme. Defontaines présente un déplacement secondaire de son ostéosynthèse suite à une chute dans la douche lors de laquelle elle a essayé de se rattraper avec la main opérée. Vu le déplacement découvert ce jour, l'indication pour une ablation de matériel et réostéosynthèse est donnée. La patiente est informée du déroulement de l'intervention. Elle me donne son accord. L'intervention est programmée pour le 28.02.2019, en ambulatoire. La patiente sera vue le même jour par le médecin-anesthésiste. Mme. Degroote est hospitalisée dans un contexte de multiples crises d'épilepsie. En effet, elle a présenté 5 crises sur une demi-journée motivant une consultation au service des urgences. Elle n'avait plus fait de crises depuis plus de 2 ans et prend son traitement régulièrement. Un bilan radiologique et biologique ne montre pas d'anomalie. Comme facteur précipitant, on peut mentionner une baisse du temps de sommeil récemment et un effort physique important. Une mesure du taux de Keppra est effectuée mais le résultat sortira dans plusieurs jours. Nous demandons un avis neurologique et un EEG est effectué. Celui-ci montre un foyer antérieur droit à la limite de la norme. Nous introduisons un traitement de Vimpat en plus de celui de Keppra. Après une surveillance de 24h sans complication, Mme. Degroote peut rentrer à domicile le 07.02.2019. Un rendez-vous chez son neurologue est à convenir prochainement. Mme. Demierre, âgée de 75 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à un enclouage centromédullaire par clou Gamma long pour une fracture pertrochantérienne du fémur droit le 04.02.2019. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. La patiente présente un état général altéré et est difficilement réveillable, l'examen clinique est alors peu contributif. Au status, elle est désorientée dans le temps et l'espace (ne se rappelle pas de l'hospitalisation à l'HFR Riaz ni de la chute). Elle ne signale pas de douleurs. La cicatrice est calme. Hématome présent sur la face postérieure de la cuisse droite et au dos de la main droite. La sensibilité grossière est conservée. En raison de la cholestase et la cytolyse sévères présentes au laboratoire d'admission, nous organisons un CT scan abdominal, le 08.02.2019 qui est globalement rassurant et Mme. Demierre est de retour à l'HFR Billens le soir même. Le Paracétamol est stoppé. Le 11.02.2019, concernant les perturbations hépatiques déjà objectivées et qui ont nécessité un passage aux urgences de l'HFR Riaz le 08.02.2019, nous observons une amélioration de la cytolyse depuis l'arrêt des médicaments hépato-toxiques (Paracétamol). La cholestase est quant à elle péjorée et nous retenons une hyperammoniémie également. Le 11.02.2019, une péjoration du syndrome inflammatoire biologique avec une CRP à 202 mg/l avec leucocytose est mise en évidence, en plus de la péjoration de l'état général. À l'examen clinique, Mme. Demierre présente des râles crépitants à la base gauche ainsi que des œdèmes des membres inférieurs. Mme. Demierre est alors transférée le 11.02.2019 à l'HFR Riaz pour investigations et prise en charge spécialisée. Mme. Demierre, âgée de 85 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une PTH G le 01.02.2019 pour une coxarthrose. La patiente a présenté une chute à 02:00 du matin la nuit du 04 au 05.02.2019 alors qu'elle se levait pour aller aux toilettes. Elle s'est encoublée à sa canne dans la table de nuit. Chute avec TC frontal D sans PC. Plaie arcade sourcilière D en bonne évolution. Sur le plan social, la patiente, veuve depuis 1 an, vit seule à domicile. Elle a 1 marche d'escalier pour aller au garage, sinon ascenseur. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. À l'anamnèse par systèmes, la patiente signale une insomnie déjà présente à domicile et une tendance à la constipation avec dernière selle ce matin suite à la prise de sirop de figues la veille. Appétit conservé. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion/extension de la hanche G est de 70-0-0 en actif assisté avec adduction à 30°. La force du quadriceps G est cotée à M3 et celle de l'iliopsoas G à M2. La sensibilité est conservée. Durant son séjour, elle a présenté des hypotensions symptomatiques, raison pour laquelle nous mettons en suspens son traitement de bétabloquant le 15.02.2019 avec suivi des FC et TA par la suite. En raison d'une FC qui devient plus élevée vers 86-110 bpm, nous reprenons le traitement de bétabloquant à 2.5 mg/j. Cette modification de traitement permet d'améliorer la tension artérielle à 119-139 mmHg TAS et une disparition des sensations vertigineuses. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de la hanche G 70-0-0 en actif assisté. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Demierre peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 18.02.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire pour maintien des acquis. Les soins à domicile sont activés. Mme. Demierre présente des gonalgies gauches suite à un faux mouvement en rotation. Le status clinique fait suspecter une lésion du ménisque interne. Je propose à la patiente de compléter le bilan par une IRM le 22.02.2019. Je reverrai la patiente suite à cette IRM pour discuter des résultats et du traitement. L'attelle jeans en extension peut être enlevée vu qu'elle n'a pas d'instabilité ligamentaire. La patiente continue de se déplacer à l'aide de cannes anglaises. La thrombo-prophylaxie peut être arrêtée. Prochain contrôle après l'IRM à ma consultation le 26.02.2019. Mme. Demierre présente des lésions dégénératives du ménisque interne et de moindre importance du ménisque externe, associées à une distorsion du ligament collatéral interne stade I.Je propose un traitement conservateur à but antalgique. Nous avons programmé une infiltration du genou gauche par cortisone pour le 27.03.2019. Ensuite, la patiente ira faire de la physiothérapie pour la rééducation de son genou. Mme. Y est une patiente de 16 ans, en bonne santé habituelle, qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour la prise en charge d'une appendicite aiguë. Le 06.02.2019, elle bénéficie de l'intervention susmentionnée. L'évolution post-opératoire est tout à fait favorable, permettant un retour à domicile le 08.02.2019. Mme. Y est adressée aux urgences le 16.01.2019 par les soins à domicile en raison de douleurs importantes au niveau des membres inférieurs l'empêchant de marcher. À l'anamnèse, la patiente présente une toux sèche avec une dyspnée à l'effort depuis deux semaines, avec depuis 3 à 4 jours des douleurs au niveau du membre inférieur droit ainsi que des oedèmes des membres inférieurs, à droite plus qu'à gauche, en péjoration. À noter un état fébrile à 38°C la veille de l'admission. Pour rappel, Mme. Y vous consulte ce jour et vous débutez un traitement par co-amoxicilline 1 mg 2x/j et Dexaméthasone 2 mg 1x/j ainsi que Solmucol 600 mg 1x/j. Au statut respiratoire, présence de crépitants basaux droits, mais l'auscultation est difficile. Au statut cardiovasculaire, B1B2 sont lointains. Présence d'oedèmes des membres inférieurs jusqu'à mi-mollets. Au niveau ostéoarticulaire, douleurs à la palpation du mollet droit et lors de la dorsiflexion du pied droit, mollet souple. Douleurs diffuses à la palpation du genou droit, sans épanchement, rougeur ni chaleur. Au niveau digestif, douleurs à la palpation de la fosse iliaque gauche sans défense ni détente. Au statut neurologique, les pupilles sont isocores et isoréactives. Les nerfs crâniens sont sans particularité. Barré tenu. Force M5 aux 4 membres. Limitation de la mobilisation de l'épaule gauche connue. Le laboratoire d'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 146 mg/l sans leucocytose ainsi qu'une insuffisance rénale aiguë. Compte tenu de la symptomatologie, nous dosons les D-Dimères qui reviennent positif à 2'249 ng/ml. Un CT scan thoracique est donc effectué dans ce contexte. En raison de difficultés techniques en lien avec la voie veineuse et l'injection, l'examen permet d'exclure un foyer pulmonaire mais ne permet pas d'écarter une embolie pulmonaire. Nous effectuons un prélèvement urinaire qui montre une leucocytose. Un uricult et des hémocultures sont également prélevés lorsque la patiente est fébrile. Au vu de la clinique et des examens complémentaires, nous retenons une embolie pulmonaire malgré le fait que ce diagnostic n'ait pas été confirmé par le CT scan thoracique. Nous débutons également une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv pour une probable infection urinaire compliquée. La patiente est hémodynamiquement stable et confortable lorsqu'elle est hospitalisée à l'étage de médecine vers 02h00 du matin le 17.01.2019. À 06h15, l'infirmière passe voir la patiente pour mettre en suspens la perfusion de NaCl 0.9 % 1000 ml/24h en vue de la prise de sang prévue le matin. Elle prend les constantes : 37.7°C, saturation entre 93 et 94 sous 2 litres. La patiente est confortable, discute calmement avec l'infirmière. Lorsque cette dernière repasse à 06:30, elle constate le décès de Mme. Y, qui est confirmé par le médecin des urgences par la suite. La famille est avertie. Une autopsie est proposée mais refusée par la famille. Mme. Y, une patiente de 69 ans, nous est adressée le 04.02.2019 en raison de lombosciatalgies gauches non déficitaires atraumatiques avec hyperalgie. Elle est hospitalisée pour la gestion des douleurs et des investigations. Elle est connue pour un diabète de type 2, une obésité, des troubles dépressifs récurrents et un retard mental léger. Pour rappel, des lombosciatalgies droites sont déjà connues chez la patiente, mais actuellement les douleurs sont exacerbées depuis une semaine, sans trauma ou faux mouvement, irradiant latéralement le long de la jambe gauche, et ne suivant pas un dermatome. Les douleurs sont constantes, diminuées en position debout et à la mobilisation, par contre elles sont plus présentes au repos. Elle n'a pas de troubles de la sensibilité ni de la force, ni de troubles sphinctériens. Mme. Y ne rapporte pas de fièvre, frisson, nausée ou vomissement. La patiente habite seule au 4e étage dans un appartement avec ascenseur. Elle a les soins à domicile une fois par semaine pour les médicaments, les paramètres vitaux et le suivi du diabète, et une fois tous les 15 jours une aide au ménage. Mme. Y a deux fils. Cliniquement, elle ne présente pas de déficit sensitivomoteur du membre inférieur gauche ni de troubles sphinctériens. Le laboratoire est aligné. Nous débutons un traitement antalgique avec de l'Oxycontin et en réserve de l'Oxynorm. En raison d'une composante neuropathique des douleurs, le Pregabaline est ajouté. Un IRM lombaire du 08.02.2019 montre une discopathie lombaire pluriétagée associée à une hypertrophie des ligaments jaunes L4-5 avec rétrécissement récessal bilatéral ainsi qu'une arthrose interfacettaire postérieure étagée, sans composante inflammatoire visible. Suite à l'avis téléphonique par le Team Spine de l'HFR Fribourg, nous continuons un traitement conservateur et elle aura un contrôle en fin février dans leur service. En raison d'une persistance de la douleur à environ VAS 5 aussi au repos, Mme. Y bénéficie d'une infiltration péridurale au niveau L3/4 à l'HFR Tafers le 18.02.2019, permettant une amélioration de la symptomatologie avec des douleurs qui tendent vers VAS 0. Pour cette raison, nous diminuons progressivement les anti-douleurs. Une infection urinaire est traitée par Ciproxine 500 mg 2x/jour pour 7 jours. En raison de son diabète de type 2 décompensé, nous introduisons une insulothérapie selon l'avis de la diabétologie de l'HFR Fribourg depuis le 14.02.2019. Durant l'hospitalisation, une hypertension de grade 2 est d'ailleurs diagnostiquée et traitée par l'introduction de Losartan 50 mg par jour. Mme. Y développe une bronchite probablement virale avec une légère composante spastique que nous traitons avec des inhalations, de la physiothérapie respiratoire et de Fluimucil. Parallèlement aux problèmes médicaux aigus, elle bénéficie d'une réhabilitation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie. À l'entrée, elle effectue les transferts de manière autonome mais ralentie en raison de la douleur, se mobilise qu'avec une aide importante et un rollator sur environ 50 mètres avec une limitation importante en raison de la douleur. À la sortie, la patiente est autonome dans les transferts, dans la marche (120 mètres sans moyens auxiliaires) et dans les escaliers (18 marches). Le Tinetti est à 18/28. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut regagner son domicile le 22.02.2019. Mme. Y est une patiente de 61 ans qui bénéficie d'une thyroïdectomie avec isthmectomie à droite dans le cadre du diagnostic susmentionné. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 15.02.2019. Mme. Y est une patiente de 62 ans, qui est hospitalisée dans notre service le 02.01.2018 en raison d'une chute à domicile. Une radiographie est réalisée aux urgences de Payerne, qui montre une fracture distale du condyle médial et latéral du fémur ainsi qu'une fracture proximale du tibia péri-prothétique. Un CT-scan est réalisé le 09.01.2019 en pré-opératoire confirmant les lésions. Nos collègues orthopédistes préconisent une prise en charge conservatrice au vu de la situation. La patiente bénéficie d'une révision du moignon sous-géniculaire droit le 02.01.2019 puis d'une amputation supra-géniculaire le 14.01.2019 qui se déroule sans complication. La patiente devra être appareillée d'une prothèse tibiale articulée une fois la plaie cicatrisée.Sur le plan antalgique, Mme Y est confortable avec une antalgie de palier III ainsi qu'une pompe à morphine intraveineuse en post-opératoire. En cours de l'hospitalisation, la patiente présente des douleurs de type neuropathique en augmentation nécessitant une reprise de la pompe à morphine intraveineuse qui peut être arrêtée le 05.02.2019. La patiente rentre à domicile le 09.02.2019 avec des soins à domicile en place. Il n'y a pas de contrôle de routine prévu en chirurgie vasculaire. Une consultation téléphonique avec notre diététicienne est organisée pour le 22.02.2019. Mme Y est une patiente de 62 ans, qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour prise en charge d'une fistule occluse au membre supérieur gauche. Elle bénéficie de l'intervention susmentionnée le 20.02.2019. L'évolution post-opératoire est favorable, permettant un retour à domicile le 22.02.2019. Nous ne posons aucune indication à une anticoagulation thérapeutique. Mme Y est admise pour l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Les cordes vocales sont fines et mobiles symétriquement avec une bonne fermeture en phonation. Le bilan biologique post-opératoire est dans la norme. Le drainage inséré intra-opératoire a été retiré sans complication le 06.02.2018 avec une quantité de drainage totale de 20 ml. Nous introduisons un traitement d'Euthyrox 125 mcg 6x/semaine. Mme Y est une patiente de 47 ans, connue pour une sclérose en plaques secondairement progressive depuis 2006 avec tétraparésie, qui nous est transmise depuis les urgences de Fribourg pour des raisons de disponibilité de lit. L'anamnèse est alors élaborée à l'aide de son mari. La patiente présente une sévère dysarthrie. Une toux grasse avec expectorations verdâtres depuis 3 jours est évoquée, ainsi qu'une dyspnée depuis ce jour en augmentation, accompagnée d'un état fébrile à 38.4°. Une tachycardie à 160/min est observée aux urgences, contre laquelle l'administration intraveineuse d'atropine et de bêta-bloquant ne portera pas de réel succès. Après l'auscultation de râles bibasales correspondant aux foyers probables montrés sur la radiographie thoracique, ainsi qu'une saturation d'oxygène oscillant entre 85 et 92 % avec 6 l d'oxygène, nous devons hospitaliser cette patiente. Une antibiothérapie intraveineuse avec Rocephin 2 g i.v. et Klacid p.o., de la physiothérapie respiratoire ainsi qu'une réhydratation intraveineuse sont alors instaurées. Au vu d'une probable réaction anaphylactique le 31.01.2019 avec dyspnée aiguë traitée par Solumedrol et Tavegyl i.v., nous procédons à un switch antibiotique sur du Tavanic 500 mg iv. Celui-ci se montre aussi efficace contre les Pseudomonas aeruginosa détectés dans les urines. Une désescalade à la Ciprofloxacine est néanmoins suggérée par la suite. La patiente montre une amélioration clinique avec des paramètres infectieux en déclin. Nous pouvons la transférer le 04.01.2019 aux soins palliatifs afin d'aboutir à son traitement antibiotique tout en optimisant sa qualité de vie dans le contexte de sa tétraparésie ainsi que dans le respect de ses directives anticipées. Mme Y est une patiente de 47 ans connue pour une sclérose en plaques secondairement progressive depuis 2006 avec tétraparésie, qui nous est transférée depuis le service de médecine interne de l'HFR Meyriez vers notre unité de soins palliatifs le 04.02.2019 pour les suites de prise en charge d'une pneumonie lobaire droite acquise en communauté le 29.01.2019. L'anamnèse est élaborée à l'aide de son mari. La patiente présente une sévère dysarthrie. Une toux grasse avec expectorations verdâtres est évoquée, ainsi qu'une dyspnée en augmentation, sans fièvre. Au statut, nous retrouvons une patiente à l'état général conservé, normohydratée, normocolorée, dyspnéique à l'air ambiant, tétraparétique. Au statut cardiovasculaire, les bruits B1 B2 sont difficilement auscultés en raison de bruits respiratoires importants, pas de souffle ausculté, pas d'OMI. Au niveau pulmonaire, des ronchis grossiers sur toutes les plages plus inspiratoires qu'expiratoires, des sibilants inspiratoires intermittents. Le reste du statut est sans particularités. Pour rappel, une antibiothérapie par Rocéphine IV 2 g et Klacid p.o. avait été prescrite pour la pneumonie, puis un switch vers du Tavanic 500 mg iv avait été effectué avec un bon résultat. La patiente montre une amélioration clinique avec des paramètres infectieux en diminution. Le 05.02.2019, la patiente présente une détérioration brutale de son état respiratoire, sans doute liée à une insuffisance respiratoire globale. En accord avec les directives anticipées de la patiente et selon son vœu exprimé à plusieurs reprises les 03 et 04.02.2019, nous décidons d'arrêter toutes les thérapies et de ne laisser en place que les thérapies de confort. Mme Y décède le 06.02.2019 à 5h45, entourée de ses proches, apaisée et sans douleurs. Mme Y, résidant au Portugal, connue pour une sténose aortique dans le cadre d'une hypertension artérielle, sous Plavix en traitement prophylactique, ainsi que pour une dyslipidémie, présente des épigastralgies depuis trois semaines associées à une baisse de l'état général. Elle consulte le médecin de garde en raison d'un zona survenu dans la même période. Le laboratoire de contrôle réalisé dans ce contexte de zona met en évidence une anémie. La patiente consulte le 19.01.2019. Vous répétez un laboratoire avec dosage de la ferritine. Ce dernier met en évidence une anémie importante avec un taux de ferritine à 9 ug/l. À l'admission aux urgences, le statut d'entrée est grossièrement dans la norme. Le bilan biologique montre une anémie hypochrome microcytaire avec une hémoglobine à 86 g/l et une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 180 µmol/l. Les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme hormis une lipase légèrement augmentée à 70 U/I. Pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique. Dans le contexte d'hypo-fibrinogénémie familiale, nous effectuons une crase complète qui montre un fibrinogène non détectable, des facteurs VII, VIII et un facteur de Von Willebrand augmentés. Mme Y bénéficie de la transfusion de 2 culots érythrocytaires avec bonne réponse et une hémoglobine qui remonte à 104 g/l. Au vu de la clinique et de la diminution de l'hémoglobine, nous suspectons une anémie sur hémorragie digestive haute et nous administrons du Nexium sous pompe 8 mg/h puis Nexium per os 40 mg 2x/24h dès le 23.01.2019 pour une durée totale de 6 semaines en mettant en suspens actuellement l'antiagrégation par Plavix. Concernant l'insuffisance rénale aiguë, nous hydratons la patiente au NaCl avec une bonne réponse biologique, avec une dernière créatininémie à 110 µmol/l. Nous mettons en pause les médicaments néphrotoxiques que nous vous invitons à réévaluer à distance. À noter que durant le séjour, la patiente présente un pic fébrile à 38.4 °C sans piste clinique infectieuse hormis un léger érythème sur le tiers distal du bras gauche sur la voie veineuse. Un sédiment urinaire montre une leucocyturie sans nitrites et les hémocultures sont négatives à J5. Durant son hospitalisation, la patiente reste hémodynamiquement stable. L'hémoglobine est à 87 g/l au dernier contrôle laboratoire. Au vu d'une clinique stable, nous proposons un bilan endoscopique (oesogastroduodénoscopie) en ambulatoire qui est agendé le 07.03.2019 avec une consultation pré-anesthésique prévue le 27.02.2019 à 10h20.Mme. Dos Santos Pereira peut regagner son domicile le 28.01.2019 avec poursuite de l'IPP comme susmentionné en gardant en suspens le Plavix jusqu'au résultat de l'endoscopie. A la sortie, nous proposons un contrôle clinico-biologique à votre consultation durant la semaine suivant la sortie. Mme. Dougoud, patiente de 64 ans, est admise aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique suite à une laparotomie exploratrice avec une résection segmentaire du grêle et une anastomose grêle latéro-latérale pour un iléus sur bride le 17.02.2019. Elle consulte initialement le 11.02.2019 pour des douleurs abdominales en barre associées à des nausées et des épisodes de vomissement fécaloïde. Le bilan radiologique montre l'iléus du grêle sur bride. Une prise en charge conservatrice initiale n'amène pas d'amélioration clinique et un nouveau CT abdominal montre une persistance de l'iléus et une augmentation du liquide intrapéritonéal. L'intervention chirurgicale est sans complication. La surveillance hémodynamique aux soins intensifs est sans particularité et la noradrénaline a pu être stoppée. Mme. Dousse est admise pour une coronarographie élective chez une patiente avec coronaropathie très calcifiante et intervention complexe en décembre dernier. Elle vient pour une intervention sur l'atteinte calcifiée de l'IVA. L'examen invasif du jour démontre un excellent résultat après l'angioplastie de l'ACD. Bonne fonction VG systolique. Comme convenu, angioplastie complexe de l'IVA avec deux stents actifs et un excellent résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 23.02.2019. Mme. Dousse, patiente de 82 ans connue pour une hypertension artérielle et une fibrillation auriculaire anticoagulée, nous est adressée par le service de médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour réadaptation globale suite à une hospitalisation pour une décompensation cardiaque. A son arrivée, Mme. Dousse est en bon état général. Sur le plan général, la patiente décrit une perte de force progressive aux 4 membres avec fatigue chronique depuis l'hospitalisation à Fribourg. L'appétit et le transit sont respectivement conservés et réguliers. Durant son séjour en médecine HFR Fribourg, la patiente a perdu 3 kg (séjour du 23.01.2019 au 06.02.2019). Mme. Dousse n'a pas de plainte sur le plan cardio-respiratoire, digestif ou urinaire. La patiente est continente sur le plan urinaire et fécal et ne rapporte pas de trouble de l'endormissement ni de nycturie. Au status d'entrée à l'HFR Riaz, signalons un rythme cardiaque irrégulier sans souffle surajouté et sans œdème aux membres inférieurs. Les status pulmonaire et abdominal sont dans la norme. Le reste du status est sans particularité. Sur le plan social, Mme. Dousse est veuve et vit seule dans un appartement. Elle a une femme de ménage qui passe tous les 15 jours mais pas de soins à domicile. Elle marche sans moyen auxiliaire. A l'étage, le bilan biologique met en évidence une carence en vitamine D que nous substituons. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs à distance. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances légèrement altérées avec un MMSE à 28/30 et un test de la montre à 0/7. Sur le plan médicamenteux, vu la fonction ventriculaire gauche conservée, nous stoppons l'Entresto. Durant le séjour, la patiente effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seule est de 150 mètres. La patiente monte et descend 18 marches à l'aide de la rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 106/126, identique à celle de l'entrée (MIF physio : transferts 6/7, marche 7/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 14.48'' sans moyen auxiliaire. La patiente bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui ne met pas en évidence de malnutrition protéino-énergétique (NRS à 1/7). Mme. Dousse couvre 80% de ses besoins en protéines, raison pour laquelle une adaptation des repas est proposée. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Finalement, Mme. Dousse quitte notre service le 15.02.19 avec activation des soins à domicile 1x/semaine pour contrôle santé (TAP, poids) pendant 1 mois, puis à réévaluer avec son médecin traitant. Une aide au ménage de Prosenectute passera 1x toutes les deux semaines. Mme. Doutaz est hospitalisée pour la pose d'un pacemaker double chambre. Ceci est organisé dans le cadre d'un bilan pré TAVI dans un contexte d'insuffisance aortique modérée à sévère, une insuffisance mitrale modérée et une FEVG à 38% le 07.02.2019. L'intervention se déroule sans complication. La radiographie post-opératoire confirme la bonne tenue de l'intervention. Nous proposons un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant. Nous ne changeons pas le traitement en place. La patiente sera convoquée dans 4-6 semaines pour un contrôle du pacemaker. La patiente présente à la sortie en marchant un malaise avec sensation de chaleur, vertiges, sans perte de connaissance ni palpitation. Une radiographie du thorax ne montre pas de signe de pneumothorax. L'interrogation du pacemaker ne montre pas d'arythmie. Nous hydratons la patiente avec une bonne évolution clinique. Nous retenons un malaise vasovagal. Mme. Doutaz peut rentrer à domicile le 08.02.2019. Mme. Duc est admise pour l'intervention susmentionnée. Nous mettons en évidence une fuite de périlymphe en per-opératoire. Nous traitons les vertiges post-opératoires par du Tanganil, des corticoïdes et des anti-émétiques avec bonne amélioration de la symptomatologie permettant une mobilisation et un retour à domicile le 22.02.2019. Mme. Dupasquier, patiente de 82 ans et connue pour une cardiopathie ischémique, hypertensive et valvulaire, consulte les urgences de l'HFR Riaz pour une asthénie depuis sa dernière hospitalisation en gériatrie aiguë du 13.01.2019 au 24.01.2019. En effet, la patiente signale une fatigue marquée avec faiblesse des membres inférieurs ainsi qu'une difficulté à la marche. Cette dernière rapporte également une péjoration de son orthopnée et de sa dyspnée d'effort, avec une augmentation inhabituelle de ses œdèmes aux membres inférieurs. Elle signale aussi 3 épisodes de diarrhées ce jour, sans autre symptôme abdominal. Sinon, Mme. Dupasquier est asymptomatique. Au niveau social, la patiente vit seule et bénéficie du passage des soins à domicile 1x/semaine pour le semainier. Elle a un fils. A l'entrée, Mme. Dupasquier est hypotendue, mais avec de bons paramètres vitaux. Au status pulmonaire, le murmure vésiculaire est réduit aux deux bases, sans râle ni sibilance. Au niveau cardiaque, relevons un souffle systolique connu à 4/6 maximal au foyer aortique, pas de turgescence jugulaire ni d'œdème aux membres inférieurs. Le reste du status est dans la norme. Le jour même de son arrivée aux urgences, la patiente est hospitalisée dans notre service de gériatrie aiguë au vu d'un déconditionnement global et de la péjoration des symptômes cardio-respiratoires. Un laboratoire est effectué, mettant en évidence un léger syndrome inflammatoire sans leucocytose et une légère hypokaliémie. Les analyses urinaires sont normales. L'ECG et la radiographie d'entrée sont superposables aux comparatifs de la dernière hospitalisation. Concernant la sténose aortique, un début de bilan avait déjà été fait par coronarographie, avec conseil du Dr. X de rediscuter une TAVI si les symptômes n'étaient pas contrôlés par le traitement pharmacologique. Nous attendons donc son avis concernant la programmation d'une éventuelle TAVI.Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 80 mètres. La patiente doit être stimulée pour se mobiliser et refuse de faire les escaliers. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 85/126, par rapport à 64/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 4/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas testé. Le risque de chute est intermédiaire. Notons que Mme. Y chute à deux reprises le 12.02.2019 en se rendant aux toilettes, sans traumatisme crânien et toujours en présence d'une légère hypotension à la prise des paramètres vitaux. Au niveau nutritionnel, Mme. Y présente une malnutrition protéino-calorique modérée en lien avec une inappétence et démontrée par un NRS à 4/7, une perte pondérale de 5% en 1 mois et des ingesta à 50% des apports habituels. Dans ce contexte, nous adaptons les repas et mettons en place des suppléments nutritifs oraux. Suite à la bonne évolution clinique, mais vu la persistance d'une asthénie générale et des troubles de la marche, Mme. Y est prise en charge en réadaptation gériatrique HFR Riaz. Mme. Y, 86 ans, connue pour un glaucome, est hospitalisée pour un épisode de malaise avec flou visuel, anxiété et un pic hypertensif. Au service des urgences, la patiente présente un malaise avec flou visuel et anxiété, sans autres symptômes neurologiques. Au statut, la patiente est afébrile, hypertendue à 200/100 mmHg et présente un flou visuel ainsi qu'une marche instable sur les talons. Le reste du statut neurologique est dans la norme. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Un ECG montre un rythme sinusal régulier. Un CT exclut une hypertension intra-crânienne. Nous procédons à un suivi des tensions qui se normalisent rapidement. D'après le médecin traitant, la patiente présente habituellement de bons profils tensionnels. La patiente rapporte avoir moins pris le Diamox ces derniers jours. Nous retenons un pic hypertensif sur mal compliance médicamenteuse et proposons à la patiente de contrôler les tensions à domicile, de prendre de l'adalate au besoin (TAs > 180 mmHg) et de réévaluer la nécessité d'introduire un complément de traitement antihypertensif avec son médecin traitant. Au niveau ophtalmologique, la patiente est connue pour un glaucome bilatéral traité par Diamox. Elle présente un flou visuel sans diplopie ni douleur. La patiente a moins pris son traitement ces derniers jours car cela lui cause des vertiges. Une consultation ophtalmologique montre une pression oculaire droite augmentée et propose une adaptation du traitement. Un suivi ophtalmologique montre une normalisation de la pression oculaire et une amélioration du flou visuel. Les ophtalmologues proposent un traitement par Trusopt, Azarga, Diamox et KCl retard. La patiente sera revue en avril pour un contrôle et pour parler d'une éventuelle opération. Durant l'hospitalisation, elle développe un chalazion que nous traitons par Tobradex durant une semaine avec une bonne évolution clinique. La patiente présente une baisse de l'état général sur les dernières semaines avec des troubles de la marche en lien avec une perte de l'équilibre et une diminution de la force sans symptôme B. Le bilan biologique permet d'exclure une hypothyroïdie. Mme. Y rapporte une baisse de la thymie depuis le décès de son mari traité momentanément par un antidépresseur. Nos collègues psychiatres évaluent la patiente et diagnostiquent un épisode dépressif. Nous réintroduisons de l'escitalopram à 5 mg 1x/j pendant 1 semaine puis 10 mg 1x/j. Nous proposons un suivi psychiatrique lors de la réadaptation gériatrique à Meyrier. Après discussion avec la fille de Mme. Y, nous proposons de réévaluer la nécessité d'un suivi psychiatrique en ambulatoire. Mme. Y rapporte également une gêne à la marche depuis l'arthrodèse articulaire du Lisfranc à droite en 2016. Nous mettons la baisse de l'état général et les troubles de la marche sur les différents éléments pré-cités. Nous introduisons de la physiothérapie de mobilisation. Au niveau nutritionnel, la patiente remplit les cibles caloriques. Etant donné qu'elle vit seule à domicile et nécessite un renforcement musculaire pour diminuer le risque de chute, nous proposons une réadaptation gériatrique. Au niveau hématologique, la patiente présente une anémie normochrome normocytaire normorégénérative à 113 g/l sans carence vitaminique ni ferrique. Nous proposons un suivi biologique. La patiente présente une hypokaliémie rapidement corrigée par substitution IV puis per os. La patiente est reclassée le 07.02.2019 en attente d'une réadaptation gériatrique à Meyrier. Mme. Y est une patiente de 55 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences le 11.08.2018 en raison de douleur abdominale associée à un ictère. Le bilan met en évidence une cholestase biologique sans syndrome inflammatoire et au CT abdominal, une dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. En raison d'une augmentation de la cholestase, nous effectuons une tentative d'ERCP qui retrouve une sténose du bulbe duodénal infranchissable. Des biopsies du bulbe duodénal sont effectuées. Au vu de l'impossibilité d'effectuer un drainage percutané, nous organisons alors une nouvelle tentative d'ERCP le 14.08.2018 par Dr. X à la clinique Beau-Site, Berne. La situation est discutée avec la patiente et son mari et le transfert a lieu le 14.08.2018. La patiente nous sera retransférée après l'examen pour la suite de la prise en charge. Nous ne manquerons pas de vous tenir au courant des résultats. Mme. Y consulte les urgences le 19.01.2019 suite à un malaise avec perte de connaissance d'une à deux minutes, sans traumatisme crânien. Plus précisément, au lever ce matin vers 07h45, en se baissant pour mettre ses chaussettes, la patiente ne se sent pas bien et reste assise. Le malaise, avec notion de nausées, survient au moment où elle a voulu aller sur le canapé. La patiente a pu être rattrapée par son fils. Pas de vertige ni de céphalée, pas de douleur rétrosternale ni d'état fébrile. Mme. Y rapporte se sentir faible depuis quelques jours, sans perte d'appétit. Elle signale également des épigastralgies depuis des années sous Antra arrêté. Nous avons une possible notion de thrombose veineuse gauche anticoagulée pendant 1 mois. A noter, une opération de l'oreille gauche il y a 7 ans avec, depuis lors, des douleurs, sans acouphène ni hypoacousie mais avec un écoulement séreux depuis 10 jours. A l'admission aux urgences, la patiente est en bon état général, bien hydratée et bien perfusée. Tension artérielle à 135/81 mmHg, bradycardie à 49/min, température 36,6°C. Au statut neurologique, la patiente est collaborante, orientée dans les 3 modes, pupilles isocores iso-réactives. Nerfs crâniens grossièrement dans la norme sans latéralisation nette. Mingazzini aux 4 membres tenu. Force, tonus et sensibilité conservés aux 4 membres. Épreuves cérébelleuses doigt-nez et talon-genou sans particularité. Au niveau ORL, tympan rouge et perforé avec une otorrhée purulente et un conduit auditif externe érythémateux. Les statuts cardio-respiratoire, digestif et ostéo-articulaire sont sans particularité. Le laboratoire met en évidence une anémie hypochrome microcytaire ferriprive avec une hémoglobine à 84 g/l. La patiente est gardée en lit d'observation aux urgences. Elle bénéficie de la transfusion de 2 culots érythrocytaires ainsi que de Ferinject 1000 mg avec bonne réponse et une hémoglobine à 98 g/l le 20.01.2019. Nous vous proposons d'organiser une ODG/coloscopie en ambulatoire.Au niveau ORL, nous posons le diagnostic d'otite moyenne aiguë perforée à gauche. Nous mettons en place un traitement antibiotique par co-amoxicilline et nous vous laissons le soin d'organiser un contrôle ORL. Concernant le malaise, l'ECG montre une bradycardie sinusale à 52 bpm et des ondes T négatives en inférieur et précordiales DII DIII en aVF et de V2 à V6. Nous dosons les troponines qui sont en cinétique négative à 11 ng/l et 9 ng/l. Nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication à un enregistrement de Holter. Un test de Schellong est négatif. Nous retenons un malaise d'origine indéterminée possiblement dû à une anémie. Mme. Y peut regagner son domicile le 20.01.2019. Mme. Y est une patiente de 75 ans, aux antécédents susmentionnés, qui nous est adressée par son médecin traitant en raison de douleurs abdominales diffuses. À l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité à la palpation profonde de l'hémi-abdomen inférieur avec défense et un CT abdominal met en évidence un iléus grêle prédominant dans l'hémi-abdomen inférieur. Un traitement conservateur par Gastrographine est mis en place, avec une reprise rapide du transit. En vue de l'évolution clinique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 18.02.2019. Mme. Y, patiente de 58 ans, est admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire aiguë globale dans le contexte d'une probable pneumonie nosocomiale le 06.02.2019. Initialement, la patiente a été hospitalisée dans le service de chirurgie, sous mandat du juge de paix, pour un bilan somatique avant une hospitalisation à Marsens en raison d'un éthylisme chronique avec situation psycho-sociale hautement prétéritée. Au CT-scan cérébral, on met en évidence un hématome sous-dural gauche chronique avec composante aiguë, dont l'indication pour un drainage a été retenue. Le 06.02.2019, la patiente présente une dyspnée importante avec hypoxémie et un état d'agitation. Nous retenons une pneumonie nosocomiale que nous traitons par Pipéracilline/Tazobactam et ventilation non-invasive. Nous émettons d'emblée des limitations de non-escalade thérapeutique, après informations obtenues auprès du fils sur la qualité de vie de la patiente. La situation se dégradant le lendemain, nous décidons, en accord avec le fils et la fille, de procéder à des soins de confort. Mme. Y décède le 07.02.2019, entourée de ses proches. Mme. Y, âgée de 80 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture de l'aileron sacré droit sans atteinte des foramens, avec fracture de la branche ilio-pubienne droite suite à une chute le 31.12.2018, traitées conservativement. La patiente présente également une nécrose de la tête fémorale droite chronique. Concernant la coxarthrose sévère à droite, la patiente relate des douleurs de longue date l'handicapant fortement, mais banalisées par la patiente. Mme. Y refuse une arthroplastie avant d'en discuter avec son cardiologue. Dans ce contexte, une ETO en ambulatoire est prévue le 4.02.2019 afin d'étudier la faisabilité opératoire. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile et est à la retraite. L'accès au domicile est adapté. Sur le plan orthopédique, les douleurs sont bien contrôlées et la rééducation à la marche est initiée sous conduite de la physiothérapie. La patiente ne présente pas de trouble neurovasculaire. La prophylaxie antithrombotique est faite par Clexane 40 mg 1x/j sc. Le 08.01.2019, la patiente présente une infection urinaire symptomatique pour laquelle un traitement par Uvamin est débuté pour 1 semaine. L'évolution est par la suite favorable. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborative. La cicatrice est calme. La flexion de la hanche droite est à 90° et l'abduction à 20° en passif. Les forces du psoas et du quadriceps sont cotées à M2 et la sensibilité est conservée. Mme. Y a bénéficié d'un suivi nutritionnel en lien avec son diabète. Ayant des habitudes et une manière de gérer son diabète déjà bien ancrées, il n'a pas été facile d'aboutir avec nos conseils. Dans ce cas, la priorité est d'assurer l'équilibre des repas (farineux-prot.-légumes) afin de favoriser une évolution régulière des glycémies, d'éviter les hypoglycémies et de maintenir l'état nutritionnel. Le suivi du diabète se fera par l'association fribourgeoise du diabète. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. La force du quadriceps est cotée à M3 à droite et M4 à gauche. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 30.01.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Les soins à domicile sont activés. Mme. Y est une patiente de 62 ans, aux antécédents susmentionnés, qui est hospitalisée dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'un adénome dysplasique du caecum, non résectable à la colonoscopie. Elle bénéficie d'une résection iléo-caecale par laparoscopie le 11.02.2019, qui se déroule sans complications notables. Les suites postopératoires sont simples et la patiente peut regagner son domicile en bon état général le 14.02.2019. Elle sera revue à la consultation du Dr. X pour contrôle le 26.03.2019. Mme. Y, patiente de 46 ans, connue pour une BPCO GOLD III, des apnées du sommeil appareillées ainsi qu'un diabète de type II insulino-requérant, est hospitalisée pour une dyspnée. La patiente présente une augmentation de sa dyspnée et de sa toux accompagnée d'expectorations verdâtres depuis environ 1 semaine. Au status, nous observons une désaturation à l'air ambiant et des sibilances sur toutes les plages pulmonaires. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux. Un frottis nasopharyngé revient positif à Influenza A. Nous retenons donc une exacerbation de sa BPCO suite à une infection virale à Influenza A. Nous entamons un traitement par aérosols d'Atrovent et de Ventolin, de la Prednisone systémique ainsi qu'une antibiothérapie par Augmentin. La patiente est peu compliante et continue à fumer (1 paquet et demi par jour), ce qui rend difficile le contrôle de la phase aiguë de son exacerbation. En raison de la persistance de la dyspnée sous traitement maximal, une embolie pulmonaire et une insuffisance cardiaque sont exclues. Sur avis pneumologique, nous introduisons un traitement par Spiolto respimat 2.5 mcg 2x le matin avec aérosols de Ventolin et Atrovent en réserve. La patiente montre une légère amélioration clinique néanmoins insuffisante pour un retour à domicile. Après discussion avec la patiente, nous convenons d'une réhabilitation pulmonaire à Billens. Nous proposons un rendez-vous de contrôle le 27.03.2019 à 15h15 chez Dr. X. Au niveau endocrinologique, la patiente est connue pour un diabète insulino-requérant suivi par le Dr. X. À l'entrée, la patiente montre des profils glycémiques élevés en lien avec sa corticothérapie et une HbA1c à 9.9%. Nous adaptons son traitement insulinique selon l'avis des diabétologues. Un rendez-vous de contrôle en diabétologie est organisé le 06.03.2019 à 10h à l'HFR de Fribourg.Sur le plan psychiatrique, la patiente est connue pour un trouble de la personnalité, de type état limite et trouble de l'adaptation avec une malcompliance médicamenteuse. La patiente ne semble pas comprendre la sévérité de sa pathologie pulmonaire et est systématiquement opposée à tout changement de médication. Un avis psychiatrique est demandé. La patiente quitte deux entretiens de manière précoce. Les psychiatres proposent l'introduction de Seroquel le soir avant le coucher pour traiter l'insomnie de la patiente. La patiente est reclassée le 21.02.2019 en attente d'une réadaptation pulmonaire à Billens. Mme. Y est une patiente de 58 ans, connue pour des lithiases vésiculaires et un antécédent d'agranulocytose sur Rituximab en avril 2018, qui se présente aux urgences pour des douleurs en hypochondre droit d'apparition subite la veille. Un bilan par ultrason et CT abdominal met en évidence une cholécystite débutante. Le bilan met également en évidence une agranulocytose. Nous débutons une antibiothérapie intraveineuse par Cefepime et Metronidazole. La cinétique des tests hépatiques fait suspecter un passage de calcul. Dans le contexte de l'agranulocytose, la patiente ne bénéficie pas d'une cholécystectomie pendant l'hospitalisation et l'intervention sera effectuée à distance avec une consultation au préalable chez le Dr. X au mois de janvier 2019. La patiente est transférée en division de médecine le 24.12.2018 pour la suite du bilan et de la prise en charge de l'agranulocytose. Mme. Y est une patiente de 58 ans qui bénéficie d'une cholécystectomie le 12.02.2019 dans le cadre d'un status post-cholécystite avec passage de calcul le 22.12.2019. L'intervention se déroule sans complications, les suites postopératoires sont favorables et la patiente peut retourner à domicile le 14.02.2019. Mme. Y consulte les urgences le 28.01.2019 en raison d'un état fébrile avec toux, courbatures et maux de gorge depuis 10 jours. Elle vous consulte le 21.01.2019 et retenant le diagnostic de bronchite, vous prescrivez une antibiothérapie par co-amoxicilline que la patiente ne débute que le 25.01.2019. Elle vous reconsulte ce jour et devant la persistance de la symptomatologie, vous l'adressez aux urgences. À l'anamnèse par système, pas de douleur thoracique, ni abdominale, pas de nausée/vomissement, pas de plainte urinaire. À l'admission aux urgences, Mme. Y est fébrile à 39°C, tachycarde à 110/min et sature à 89% à l'air ambiant. Au status ORL, le fond de gorge est rouge, les amygdales sont tuméfiées sans exsudation. Pas d'adénopathie palpable. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, sans souffle audible. Pas d'oedème des membres inférieurs. Au niveau pulmonaire, le murmure vésiculaire est présent sur toutes les plages pulmonaires. Présence de râles crépitants à la base gauche. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Les loges rénales sont indolores à la percussion. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 249 mg/l et une leucocytose à 12 G/l. La gazométrie montre une hypoxie sans hypercapnie avec une saturation à 92% et la radiographie du thorax met en évidence des foyers de condensation des deux bases pulmonaires avec bronchogramme aérique et d'importantes lésions d'infiltrat pulmonaire. Une antibiothérapie par Rocéphine 2g iv 1x/j et Klacid 500 mg per os 2x/j est débutée et la patiente est hospitalisée pour suite du traitement. L'antibiothérapie est adaptée par co-amoxicilline 625 mg per os à partir du 01.02.2019. Nous poursuivons la couverture par Klacid au vu d'un état général fortement diminué à l'entrée, accompagné d'un syndrome inflammatoire important afin de couvrir une infection par mycoplasme. Les hémocultures ainsi que les antigènes urinaires pour les pneumocoques et Légionelle reviennent négatifs et la patiente reste afébrile sous ce traitement. Une antalgie par Brufen 400 mg 3x/j est prescrite à la sortie pour une pharyngite avec un examen clinique qui montre un fond de gorge enflammé avec des tonsilles palatines enflammées et dilatées. Après 4 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable avec notamment la diminution du syndrome inflammatoire, et Mme. Y peut rentrer à domicile le 01.02.2019 en bon état général. L'antibiothérapie sera poursuivie jusqu'au 07.02.2019 pour un total de 10 jours de traitement. Mme. Y, âgée de 89 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture pertrochantérienne D sur chute le 21.01.2019 traitée par PFNA le 23.01.2019. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Elle signale des douleurs à la hanche et à l'aine droite bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. À l'auscultation cardiaque, rythme irrégulier, pas de souffle. À l'auscultation pulmonaire, fins crépitants bibasaux. La cicatrice opératoire est calme. Hématome sur la face postérieure de la cuisse D. OMI bilatéraux, plus importants au pied G. La force du MIG est cotée à M2 au psoas et au quadriceps et au MID à M0. La sensibilité grossière est conservée. La flexion du genou G est à 90°. Dans la suite de l'anémie postopératoire, vu une nouvelle diminution des valeurs de l'hémoglobine, nous transfusons 1 CE le 07.02.2019 avec une bonne évolution biologique (Hb 107g/l le 08.02.2019). Mme. Y est encore très algique, raison pour laquelle nous demandons une radiographie de contrôle de la hanche D qui est dans la norme. Le 12.02.2019, Mme. Y présente un syndrome inflammatoire biologique avec une CRP à 328 mg/l sans leucocytose ainsi qu'une chute de l'hémoglobine à 80 g/l. D'un point de vue hémodynamique, la patiente est tachycarde (100 bpm) et hypotendue à 96/57mmHg. Devant l'impossibilité de poursuivre une prise en charge adéquate en milieu de réhabilitation, Mme. Y est transférée aux urgences de l'HFR Fribourg pour investigations et prise en charge spécialisée. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte de baisse de l'état général et d'une dyspnée progressive. Elle est en réhabilitation musculo-squelettique à Billens suite à une fracture pertrochantérienne opérée le 23.01.2019 et transférée au service des urgences de Fribourg au vu d'un syndrome inflammatoire important et d'une anémie. À son arrivée, nous constatons une tuméfaction au niveau du site opératoire pouvant être la cause du syndrome inflammatoire. Un ultrason est effectué et montre une collection que nous prélevons. Les cultures du liquide reviennent négatives. Lors des investigations, nous retrouvons également un P. Mirabilis dans les urines que nous traitons par Co-amoxicilline. Au vu du syndrome inflammatoire persistant, nous effectuons un CT thoraco-abdomino-pelvien ne montrant pas de foyer infectieux. Après avis infectiologique, ce syndrome inflammatoire est mis sur le compte potentiellement de la résorption de l'hématome post-opératoire et de cette infection urinaire haute. Nous observons une bonne évolution bioclinique. Au niveau orthopédique, la patiente a été opérée le 23.01.2019 pour une fracture pertrochantérienne. Les orthopédistes ne retiennent pas d'infection au niveau du site opératoire au vu de la cicatrice calme et d'absence d'infection dans le liquide prélevé dans la collection. Les douleurs au niveau du site opératoire sont mises en lien avec l'hématome. Nous adaptons le traitement antalgique avec une amélioration clinique. Nous proposons une réhabilitation musculo-squelettique à Billens. La patiente sera revue en contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X / Dr. X à 6 semaines post-opératoires le 01.03.2019 à 10h.La patiente développe des oedèmes des membres inférieurs plus prononcés à droite qu'à gauche. Un ultrason permet d'exclure une TVP à droite. Nous retenons des oedèmes sur une diminution du drainage en lien avec l'hématome au niveau du site opératoire. Au niveau sanguin, la patiente présente une anémie post-opératoire le 23.01.2019 dans le contexte d'hématome massif per-opératoire, qui nécessite plusieurs culots érythrocytaires. A l'entrée, la patiente est toujours anémique et nécessite la transfusion d'un culot érythrocytaire avec une amélioration et une stabilisation de l'hémoglobine. Le bilan vitaminique est dans la norme. Nous proposons un suivi biologique. Au niveau digestif, la patiente développe une constipation suite au traitement opioïde. Après un traitement par laxatif et un lavement, le transit récupère avec des épisodes de diarrhées mis sur le compte des laxatifs et potentiellement l'antibiothérapie. Un test de clostridium est négatif. Au niveau rénal, une insuffisance rénale de type pré-rénale est rapidement corrigée par hydratation. Au niveau endocrinien, nous constatons une hypothyroïdie subclinique. Nous proposons un suivi biologique dans 6 semaines. Mme. Y est transférée à Billens en réhabilitation musculo-squelettique le 20.02.2019. Mme. Y est une patiente de 63 ans qui nous est transférée de l'hôpital de Tavel pour une appendicite perforée. La patiente était hospitalisée à l'hôpital de Tavel du 03.02.2019 au 06.02.2019 dans le cadre d'une cholécystite aiguë, traitée par antibiotiques intraveineux du 03.02. au 05.02.2019 puis avec une cholécystectomie laparoscopique le 05.02.2019. Au contrôle post-opératoire à J3, la patiente présente des douleurs persistantes avec un syndrome inflammatoire à la hausse, raison pour laquelle un CT-scan abdominal est effectué le 08.02.2019 et montre une appendicite perforée. La patiente est alors transférée à l'HFR-Fribourg et bénéficie d'une laparoscopie exploratrice qui confirme le diagnostic d'une appendicite perforée rétro-caecale avec un abcès du mésentère. Une appendicectomie laparoscopique avec résection du bas-fond caecal est alors effectuée. L'intervention se déroule sans complication et les suites postopératoires sont favorables tant sur le plan biologique que clinique. Après adaptation de l'antibiothérapie selon la documentation microbiologique, la patiente peut regagner son domicile le 13.02.2019. Mme. Y, connue pour une hypertension artérielle, une dyslipidémie ainsi qu'un probable asthme, consulte les urgences le 07.02.2019 en raison d'une dyspnée d'apparition brutale, associée à une toux et deux épisodes de vomissements le 06.02.2019. La patiente rapporte également des frissons, une toux et des myalgies il y a quelques jours. Pas de rhinorrhée. Mme. Y signale également des douleurs généralisées ainsi que des douleurs rétrosternales avec irradiation postérieure lors de la toux. Pas d'orthopnée ni de dyspnée paroxystique. A l'admission aux urgences, la patiente est en état général conservé. Elle est hypertendue, tachycarde, fébrile à 38.4°C et sature à 86% à l'air ambiant. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, sans souffle audible. Les pouls périphériques sont perçus. Reflux hépato-jugulaire positif. Pas d'oedème des membres inférieurs. Au status pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique avec présence de crépitants bibasaux. Notons des sibilances expiratoires diffuses sur les deux champs pulmonaires ainsi qu'un tirage intercostal. Au niveau digestif, l'abdomen est pléthorique, dépressible et indolore à la palpation. Les bruits hydroaériques sont normaux. Le laboratoire met en évidence une CRP à 28 mg/l. La gazométrie objective une hypoxémie. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer ni d'épanchement mais une redistribution apicale de la trame. Après administration de Solumedrol et de bronchodilatateurs, la patiente est partiellement soulagée avec une saturation aux alentours de 94% sous 4 litres d'oxygène. Durant la surveillance aux urgences, les paramètres vitaux se stabilisent avec une patiente qui présente une fréquence cardiaque à 83 bpm, des saturations à 92% et une tension artérielle à 141/84 mmHg. Dans ce contexte, nous retenons le diagnostic de bronchite asthmatiforme et Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Sur le plan cardiaque, des troponines sont réalisées dans un contexte de douleurs thoraciques avec des modifications ECG suspectes d'une ischémie aiguë. Les troponines reviennent à T0 39 ng/l, T2 47 ng/l, T3 47 ng/l et dans ce contexte nous écartons raisonnablement un syndrome coronarien aigu. Au vue d'une clinique suspecte pour une atteinte cardiaque, nous réalisons un pro-BNP qui revient à 2295 ng/l, raison pour laquelle nous retenons le diagnostic de décompensation cardiaque gauche. Nous introduisons un traitement par Lasix 20 mg iv 4x/j et la patiente bénéficie également d'un traitement bronchodilatateur et de physiothérapie respiratoire. Le 08.02.2019, la patiente devient fébrile et transpirante. Le laboratoire met en évidence une CRP à 430 mg/l et des leucocytes à 8,9 G/l, dont 1.9 bâtonnets. Suspectant une pneumonie et au vu du risque d'infection chez une patiente immunosupprimée sous Prednisone depuis longtemps pour maladie rhumatologique, nous effectuons un CT thorax qui montre un infiltrat bilatéral. Nous débutons une antibiothérapie par Cefepime 1,5 g - 1 dose. En effet, les antigènes urinaires montrant un pneumocoque, l'antibiothérapie est relayée par la Rocéphine, jusqu'au 14.02.2019 et le Klacid jusqu'au 11.02.2018 avec une évolution clinique et biologique favorable. Au niveau cardiaque, nous suivons régulièrement le poids et l'évolution est également favorable, permettant de réduire progressivement le Lasix iv et d'effectuer un relais par Torasemide per os à la sortie. Mme. Y peut quitter notre service le 15.02.2019. Mme. Y est une patiente de 54 ans, connue pour un status post-bypass gastrique en 2015, qui présente des douleurs abdominales persistantes avec un bilan étiologique négatif hormis une perturbation des tests hépatiques de façon répétée. Une lithiase cholédocienne est suspectée, raison pour laquelle la patiente bénéficie le 06.02.2019 d'une ERCP par voie trans-gastrique. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 09.02.2019. Elle sera revue à la consultation du Dr. X le 14.03.2019. Mme. Y est une patiente de 61 ans, aux antécédents susmentionnés, qui est hospitalisée dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'un adénocarcinome de la tête du pancréas et du processus unciné le 30.01.2019. En intra-opératoire, nous mettons en évidence une infiltration tumorale de la racine du mésentère, raison pour laquelle nous procédons à une double dérivation bilio-digestive avec cholécystectomie, et non pas à une intervention de Whipple. Mme. Y est admise aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique de 48 heures. L'antalgie est initialement assurée par un cathéter péridural, puis par la prescription standard. Une nutrition parentérale est mise en place en post-opératoire jusqu'au 05.02.2019, la réalimentation est bien tolérée et le transit reprend rapidement. Les suites opératoires sont marquées par une augmentation du syndrome inflammatoire, raison pour laquelle nous effectuons un CT thoraco-abdominal le 09.02.2019, montrant une collection périhépatique. En accord avec nos collègues infectiologues, nous relayons l'antibiothérapie par Vancomycine et Meropenem le jour-même. Un CT abdominal de contrôle réalisé le 13.02.2019 met en évidence une augmentation de la taille de la collection, raison pour laquelle nous la drainons sous contrôle scannographique. Par la suite, Mme. Y présente une décharge septique, nécessitant une surveillance aux soins pendant quelques heures. Les hémocultures reviennent positives pour Candida kefyr, raison pour laquelle nous introduisons un traitement par Cancidas le 14.02.2019, qui est relayé par Fluconazole per os le 23.02.2019. En vue d'une nette régression de la collection au scanner de contrôle le 21.02.2019, nous procédons à l'ablation du drain le 25.02.2019. Le traitement antifongique sera poursuivi pour une durée totale de 2 semaines, soit jusqu'au 28.02.2019.Le cas de Mme. Y est discuté lors de notre colloque interdisciplinaire d'onco-chirurgie. Nous préconisons un traitement par chimiothérapie et, dans ce cadre, posons l'indication à une pose de port-à-cath qui se déroule le 25.02.2018 sans complication notable. Au vu de la bonne évolution clinico-biologique, Mme. Y peut regagner son domicile le 26.02.2019. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X pour un contrôle le 04.03.2019. Elle sera également suivie par la Dr. X afin d'organiser la suite de la prise en charge oncologique. Mme. Y, 59 ans, a été hospitalisée en raison d'un NSTEMI sur sténoses pluri-étagées de l'IVA. La patiente a consulté pour la 3ème fois en 4 jours aux urgences en raison de DRS gauches récidivantes, irradiant dans l'épaule gauche et le cou, d'une durée de 20 min avec résolution spontanée. Un bilan cardiaque avec CT-coronarien et ergométrie réalisés en 2018 en raison de douleurs thoraciques atypiques s'était révélé dans la norme. Le laboratoire effectué aux urgences a objectivé une élévation des enzymes cardiaques associée à des troubles de la repolarisation, compatibles avec un NSTEMI. La coronarographie du 04.02.2019 a mis en évidence une maladie coronarienne monotronculaire avec une lésion subtotale de l'IVA revascularisée par 3 stents actifs. La fonction systolique ventriculaire gauche est évaluée à 45%. Le pic de troponine s'est élevé à 434 ng/l (CK dans la norme). Dans le cadre de la maladie coronarienne, nous débutons une antiagrégation plaquettaire par Aspirine à vie et Efient pour 12 mois ainsi qu'une thérapie par lisinopril et métoprolol. Le bilan biologique révèle une dyslipidémie que nous traitons par atorvastatine. Durant la surveillance, la patiente reste cliniquement et hémodynamiquement stable sans arythmie relevée. Le point de ponction radiale est calme. Les cardiologues recommandent un contrôle à 1 mois chez la Dr. X ainsi qu'un test par ergométrie chez la cardiologue traitante Dr. X à 6 mois. Mme. Y, patiente de 64 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour un choc septique d'origine urinaire. Pour rappel, Mme. Y a bénéficié d'une sonde double J le 11.12.2019 dans le contexte d'une pyélonéphrite obstructive sur néphrolithiase gauche. Elle présente une récidive de pyélonéphrite gauche le 09.01.2019, et finalement, le 01.02.2019, elle bénéficie d'une lithotripsie à l'hôpital Daler, après laquelle elle développe un choc septique dans les suites post-opératoires, motivant son admission aux soins intensifs de l'hôpital cantonal. Une réanimation volémique avec soutien catécholaminergique est effectuée trois jours durant. La fonction rénale et la diurèse s'améliorent dès le remplissage vasculaire et le changement de la sonde vésicale, qui était probablement mal positionnée. Une surcharge hydrique sans répercussion respiratoire est traitée avec des diurétiques ponctuellement. L'antibiothérapie par Tienam est également poursuivie jusqu'au 03.02.2019. Sur avis des infectiologues, le traitement est relayé par Vancomycine vu la croissance de E. Faecium dans le prélèvement intra-opératoire. Elle reçoit également une dose de Fluconazole le 02.02.2019. Les cultures mettent finalement aussi en évidence un Candida Krusei. En collaboration avec l'équipe d'infectiologie et d'urologie, il est décidé de procéder à l'ablation de la sonde double J après un traitement de 2 jours d'Amphotéricine B. L'intervention, sous traitement de Vancomycine intraveineuse continue, se déroule sans complication. La fonction rénale se péjorant, les traitements antifongiques et antibiotiques sont stoppés le soir de l'intervention. La patiente exprime d'importants symptômes dépressifs, raison pour laquelle nous demandons un suivi de la part de nos collègues psychiatres. Les traitements cardiaques et diabétologiques sont réintroduits progressivement avec bonne évolution. Nous vous laissons le soin de réintroduire son traitement de Co-Reniten que nous avions substitué par du Torasémide en raison d'une surcharge hydrique importante suite à son séjour aux soins intensifs. Sur le plan oncologique, nous prenons contact avec la Dr. X qui verra la patiente à distance pour adaptation de son Tagrisso. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y peut rentrer à domicile le 17.02.2019. Mme. Y, 64 ans, a été admise aux soins intensifs pour un choc septique d'origine urinaire à la suite d'une lithotripsie et changement de sonde double J. La patiente avait présenté une pyélonéphrite obstructive sur néphrolithiase gauche ayant nécessité une sonde double J le 11.12.2018 et le 03.01.2019. Elle a présenté une récidive de pyélonéphrite gauche le 09.01.2019. Une lithotripsie et changement de sonde double J a été effectuée le 01.02.2019, compliquée d'un choc septique. L'instabilité hémodynamique a nécessité un traitement vasopresseur par noradrénaline ainsi que des remplissages itératifs. La fonction rénale et la diurèse se sont améliorées dès le remplissage vasculaire et un changement de la sonde vésicale. À sa sortie, la fonction rénale est normale. Une surcharge hydrique sans répercussion respiratoire a été traitée avec des diurétiques ponctuellement. L'antibiothérapie par Tienam est également poursuivie jusqu'au 03.02.2019. Sur avis de l'infectiologue, le traitement est relayé par Vancomycine vu la croissance de E. Faecium dans le prélèvement intra-opératoire. Elle reçoit également une dose de Fluconazole le 02.02.2019. En collaboration avec l'équipe d'infectiologie et d'urologie, il est décidé de procéder dans une dizaine de jours à l'ablation de la sonde double J sans arrêt de l'antibiotique. En raison de la colonisation urinaire par Candida Krusei, il sera nécessaire d'effectuer un traitement par Flucytosine ou Amphotéricine B 3 jours avant le retrait de la double J sous contrôle infectiologique. La patiente exprime des symptômes dépressifs, raison pour laquelle nous demandons un suivi de la part de nos collègues psychiatres. Une cholestase chronique depuis plusieurs années s'est actuellement aggravée et nécessitera un bilan échographique. Les traitements cardiaques et diabétologiques restent à réintroduire progressivement. La patiente a été transférée le 05.02.2019 dans le service de médecine interne. Mme. Y consulte les urgences le 24.01.2019 en raison d'une baisse de l'état général. La patiente décrit également des diarrhées récurrentes sanglantes suite à la prise de Bactrim pour une infection urinaire début janvier (prise 4 jours sur les 8 de prévu puis arrêt). Elle note 4 épisodes distincts de diarrhées sanglantes avec le dernier en date du 19.01.2019. Elle décrit aussi une dyspnée NYHA II depuis quelques jours, d'aggravation récente associée à une toux sèche et rhinorrhée purulente sans fièvre ni frissons.A l'admission le statut est grossièrement dans la norme. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer ou de signe d'épanchement. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 130 mcmol/l, un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 15.3 G/l sans CRP et une anémie hypochrome microcytaire avec une hémoglobine à 82 g/l, un déficit en fer sérique à 2.3 mcmol/l et une ferritine à 7 mcg/l. Sur le plan hématologique, la patiente bénéficie de la transfusion de 2 culots érythrocytaires avec une bonne réponse sur le bilan biologique à une hémoglobine remontant à 106 g/l. Au vu du déficit en fer, nous effectuons une injection de 1000 mg de Ferinject le 25.01.2019. Nous demandons un CT abdominal qui montre l'absence de signe pour une masse ou une diverticulite pouvant expliquer les saignements. Pour compléter le bilan, nous organisons une OGD et colonoscopie le 14.03.2019 avec consultation préanesthésique le 05.03.2019 à 10h00. A la sortie, l'hémoglobine est stable à 106 g/l et nous vous laissons le soin de contrôler cette valeur à distance. Sur le plan néphrologique, Mme. Y présente une insuffisance rénale aiguë Akin 1 avec une créatinine à 130 mcmol/l d'origine probablement pré-rénale dans le contexte d'une diminution du volume circulant efficace répondant favorablement à l'expansion volémique avec une créatinine à 102 mcmol/l le 28.01.2019. Le 27.01.2019, elle présente un état fébrile à 38.5 °C isolé se résolvant spontanément et pour lequel nous effectuons des hémocultures qui reviennent négatives. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mme. Y peut regagner son domicile le 29.01.2019. Mme. Y est une patiente de 38 ans qui bénéficie d'une bypass gastrique le 11.02.2019. L'intervention se déroule sans complications, les suites postopératoires sont favorables et la patiente peut regagner son domicile le 14.02.2019. Mme. Y est une patiente de 75 ans qui chute dans les escaliers le 13.01.2019, ce qui provoque une plaie avec perte de substance de la face antéro-latérale de la jambe droite. Aux urgences le 14.01.2019, le bilan radiologique permet d'exclure une fracture. Devant l'importance de la plaie, Mme. Y est hospitalisée dans le service d'orthopédie pour suite de la prise en charge. La patiente est prise une première fois au bloc opératoire le 14.01.2019 pour excision des berges de la plaie, lavage, matelassage et fermeture proximale de la plaie avec mise en place d'un pansement VAC. Devant l'évolution clinique observée lors de la réfection des pansements, nous décidons d'une reprise chirurgicale le 30.01.2019 pour une excision des berges nécrotiques, lavage et pansement aspiratif VAC, puis à nouveau le 04.02.2019 pour une greffe cutanée selon Thiersch de la jambe droite et mise en place d'un pansement de type Renasys. La patiente bénéficie en parallèle d'un suivi régulier par les stomatothérapeutes. L'évolution est favorable, tant sur le site de prélèvement au niveau de la cuisse qu'au niveau de la greffe. Le bilan biologique d'entrée montre une hyponatrémie, traitée et corrigée. Une infection urinaire symptomatique motive l'instauration d'une antibiothérapie par Uvamine durant 5 jours. Durant son séjour, Mme. Y présente plusieurs épisodes d'asthme à l'effort, particulièrement le matin, répondant bien aux inhalations de Ventolin. Elle présente également une réaction allergique péri-buccale sur Bepanthen Plus appliquée le 18.01.2019 pour une chéilite angulaire, raison pour laquelle un traitement de Xyzal est mis en place durant 3 jours. Sur avis dermatologique, de l'Elidel crème est appliquée 2x/jour jusqu'à résolution clinique. Vu la bonne évolution clinique globale, Mme. Y regagne son domicile le 11.02.2019. Mme. Y est hospitalisée pour le rajout d'une sonde gauche de resynchronisation au défibrillateur mis en place en 2017 pour une tachycardie ventriculaire soutenue. L'intervention se déroule sans complication. La radiographie postopératoire confirme la bonne tenue de l'intervention. Nous proposons un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant. Le patient sera convoqué dans 4-6 semaines pour un contrôle du pacemaker. Le traitement en place n'est pas modifié. Mme. Y peut rentrer à domicile le 18.02.2019. Mme. Y, 64 ans, est admise aux soins intensifs le 13.02.2019 pour une insuffisance respiratoire aiguë globale dont l'étiologie est mise sur une exacerbation d'une BPCO non stadée avec possible composante de surcharge cardiaque. La patiente est connue pour un diabète de type 2 et un tabagisme actif ainsi qu'un traitement immunosuppresseur par azathioprine pour une notion d'uvéite granulomateuse. Elle se présente aux urgences de Riaz avec une dyspnée d'apparition progressive sur 7 jours sans notion de toux, ni d'état fébrile ou de douleur thoracique. Le bilan clinique et biologique d'entrée retrouve une insuffisance respiratoire globale aiguë nécessitant un soutien ventilatoire par VNI et motivant son transfert aux soins intensifs de Fribourg. Un CT thoracique exclut l'embolie pulmonaire mais retrouve un épanchement pleural bilatéral prédominant à droite avec des infiltrats pulmonaires compatibles avec une décompensation cardiaque. La ponction de l'épanchement pleural droit montre un transsudat. Le bilan étiologique est poursuivi avec une ETT qui ne retrouve qu'une légère hypertension pulmonaire en lien avec une BPCO non stadée chez une patiente tabagique. Les pneumologues écartent une pneumopathie interstitielle sous azathioprine et ne retiennent pas une pneumonie à PCP. D'un point de vue thérapeutique, l'évolution est lentement favorable avec un support ventilatoire simple par VNI et introduction d'un traitement par diurétique per os. Un nodule pulmonaire dans le segment latéro-basal du lobe inférieur droit est mis en évidence au CT thoracique. Toutefois, l'analyse de cytologie du liquide pleural ne retrouve pas de cellules tumorales. Un contrôle radiologique est préconisé dans 6 mois. Concernant l'uvéite granulomateuse sous azathioprine, son ophtalmologue traitant (Dr. X) n'étant pas joignable, une consultation ophtalmologique interne au HFR est organisée afin de discuter l'indication de la poursuite de ce traitement immunosuppresseur. Le secrétariat d'ophtalmologie prendra contact afin d'organiser une consultation durant la présente hospitalisation. Mme. Y nous est transférée de l'Hôpital Daler suite à une réaction anaphylactique à de la Rocéphine. La patiente a bénéficié d'une cystoscopie avec mise de double J dans un contexte de pyélonéphrite obstructive le 11.02.2019. Par la suite, elle présente sur l'administration de Rocéphine en intraveineux un épisode de réaction allergique avec dyspnée et angioedème. Elle est d'abord prise en charge et surveillée aux urgences et montre une stabilité permettant une hospitalisation à l'étage. Les suites d'hospitalisations sont simples et afébriles. La patiente présente un nouvel état fébrile et augmentation du syndrome inflammatoire suite au retrait de la sonde vésicale motivant un nouveau sondage. Par la suite, l'évolution clinique est favorable. La patiente contactera le Dr. X pour un contrôle clinique dans 10 jours. La patiente présente une décompensation de son diabète d'origine multifactorielle. Un suivi diabétologique et diététique est mis en place au cours de son hospitalisation et un traitement d'insuline est débuté. La suite de la prise en charge sera organisée en collaboration avec la famille et les soins à domicile. La patiente sera revue par le service de diabétologie en 03.2019. Mme. Y peut rentrer à domicile en bon état général et afébrile le 23.02.2019.Mme. Gala, patiente de 85 ans, est admise aux soins intensifs le 26.02.2019 en surveillance post-opératoire d'une ablation de spacer et mise en place d'une nouvelle prothèse totale du genou droit suite à l'ablation de la prothèse le 29.01.2019 en raison d'une infection chronique à Enterococcus faecalis. Suite à l'administration per-opératoire de Kétamine, un possible effet dissociatif est suspecté avec une réponse favorable par administration de Midazolam. Selon avis des collègues infectiologues, une antibiothérapie par Amoxicilline intraveineuse est poursuivie et sera à adapter selon leur avis. Une anémie post-opératoire s'est corrigée après l'administration d'un culot érythrocytaire sans signes d'extériorisation à surveiller dans un contexte d'une anticoagulation thérapeutique débutée en post-opératoire pour une embolie pulmonaire lobaire inférieure gauche découverte lors de son hospitalisation en janvier 2019 à l'hôpital de Payerne. En vue d'une bonne évolution clinique, la patiente est retransférée à l'étage d'orthopédie le 27.02.2019. Mme. Galley est une patiente de 59 ans, connue pour un status post gangrène de Fournier de la fesse droite, nécessitant un débridement périnéal itératif et une confection d'une colostomie de décharge en mars 2018. Elle est hospitalisée dans notre service pour la fermeture de la colostomie, qui a lieu le 13.02.2019 et se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples et Mme. Galley peut regagner son domicile en bon état général le 17.02.2019. Elle sera revue pour contrôle à la consultation des Chefs de cliniques le 21.03.2019. Mme. Gassmann, 90 ans, connue pour une HTA traitée, est hospitalisée pour des douleurs rétrosternales. La patiente présente depuis le matin des douleurs rétrosternales crampiformes, irradiant dans les deux bras et le dos à 7/10. Au status, la patiente est normopnéïque et hémodynamiquement stable. Un ECG est superposable au précédent. Un CT thoracique Tripple Rule out permet d'exclure une dissection aortique, une embolie pulmonaire et montre une calcification de la coronaire circonflexe. Un suivi biologique montre une cinétique des troponines. Nous retenons un NSTEMI. Une coronarographie est réalisée par Dr. X. L'examen démontre une sténose focale de la bifurcation de l'artère circonflexe proximale et de l'origine de la première marginale comme corrélat à l'infarctus NSTEMI. Une angioplastie de la bifurcation avec deux stents actifs est réalisée. L'aspirine est à continuer à vie et le Clopidogrel pendant 3 mois. Le reste du traitement est inchangé. Une échocardiographie post-intervention montre une FEVG à 65 %. Un contrôle est organisé dans un mois chez Dr. X. Une ergométrie est à prévoir dans 1 an. Nous proposons de la physiothérapie en ambulatoire et un suivi du poids. Au niveau oncologique, un carcinome papillaire du sein gauche a été récemment diagnostiqué chez la patiente et est suivi par Dr. X. La patiente rentre à domicile le 18.02.2019. Mme. Gasser est une patiente de 56 ans connue pour une BPCO de stade 3 selon GOLD qui est hospitalisée dans un contexte de dyspnée. Le bilan permet de retenir une exacerbation de BPCO traitée par Prednisone et antibiothérapie par Co-Amoxicilline intraveineuse pour une durée totale de 5 jours. L'évolution clinique est favorable, mais la patiente requiert toujours de l'oxygène à l'effort comme au repos. Après discussion avec nos collègues de pneumologie, nous procédons à une ordonnance d'oxygénothérapie à court terme pour le domicile. La patiente sera revue en pneumologie le 30.04.2019 pour évaluer la poursuite de l'oxygénothérapie au long cours. À noter une hypercapnie légère à 6.5 kPa lors de la dernière gazométrie sous 2 l/min d'oxygène sans symptômes associés. La patiente est informée de l'impossibilité de fumer avec l'oxygénothérapie et assure ne jamais fumer en présence d'oxygène. Durant son hospitalisation, un sevrage tabagique a été entrepris et sera poursuivi à domicile avec soutien par Nicotinell. Au niveau endocrinologique, la patiente est connue pour un diabète insulino-requérant pour lequel nous avons dû adapter l'insulinothérapie transitoirement sur la corticothérapie. À la sortie, le profil glycémique est aligné. La patiente rentre à domicile le 28.02.2019. Mme. Gassmann est une patiente de 90 ans hospitalisée pour investigations d'une masse mammaire nouvelle ainsi qu'une gêne abdominale d'origine indéterminée. À l'entrée, elle se plaint d'une masse palpable sous le sein gauche, indolore, découverte il y a 2-3 semaines par auto-palpation. Elle rapporte également un ballonnement abdominal depuis 2 mois sans perturbation des selles, sans nausée ni vomissements, associé à des douleurs de l'hypochondre droit de type pression, péjorées par le mouvement et la respiration profonde, d'intensité 3/10. Mme. Gassmann rapporte une dyspnée en péjoration depuis 6 mois environ avec NYHA III actuellement. Une orthopnée légère est présente avec de légers œdèmes bilatéraux des membres inférieurs. Elle ne présente pas de symptôme B. La dernière coloscopie en 2016 était négative. Sur le plan social et familial, la patiente vit dans un appartement adapté à Beaulieu. Elle est autonome pour les ADL, mais a de l'aide pour le ménage et reçoit les repas du midi. Elle est entourée d'une grande famille soudée. Son frère et sa sœur sont décédés de cancers (osseux et hépatique respectivement). À l'examen clinique pulmonaire, on trouve des crépitants légers aux bases avec légère hypoventilation. Au niveau cardiaque, le status est dans la norme hormis des œdèmes bilatéraux jusqu'à mi-mollet prenant le godet. L'examen abdominal relève uniquement une douleur à la palpation de l'hypochondre droit. Le laboratoire met en avant une hypokaliémie à 3.0 mmol/l asymptomatique. Nous introduisons une substitution avec une réduction de Torasemide et introduction d'Aldactone. Une hypocalcémie est également substituée. Le reste du bilan laboratoire est aligné avec notamment des paramètres inflammatoires et abdominales dans la norme. L'ultrason mammaire met en évidence un nodule atypique possiblement compatible avec une masse tumorale maligne. Un bilan radiologique thoraco-abdominal montre une prise de contraste au niveau du nodule, sans autres adénopathies ou masses suspectes. Pour compléter le bilan, une mammographie avec biopsie du nodule est effectuée. L'examen pathologique confirme la suspicion d'un probable carcinome papillaire du sein gauche. La suite de la prise en charge est organisée en ambulatoire chez la gynécologue traitante. Mme. Gassmann peut regagner son domicile le 31.03.2019 en état général conservé. Mme. Gehringer nous est transférée du service de médecine interne de l'HFR Fribourg le 25.01.2019 pour prise en charge gériatrique dans le contexte d'un déconditionnement consécutif à un abcès péri-rénal compliqué d'une collection sur le trajet du drainage. À son entrée, la patiente n'a pas de plainte. Au status d'entrée, une douleur à l'ébranlement de la loge rénale gauche est retrouvée, le reste de l'examen est normal. Avant son hospitalisation, Mme. Gehringer vivait avec son mari dans un appartement avec 5 marches d'escalier pour descendre à la cave. Elle n'avait pas d'aide à domicile hormis pour le ménage. Concernant la collection péri-rénale, nous poursuivons l'antibiothérapie par Invanz jusqu'au 28.01.2019 comme prévu. Durant l'hospitalisation, la patiente ne présente pas d'état fébrile. Par ailleurs, un recul de la CRP est observé au laboratoire. Dr. X voit la patiente en contrôle le 30.01.2019 et nous indique qu'il prévoit, en raison d'une sténose de l'artère rénale avec pic hypertensif lors de la précédente hospitalisation et d'une atrophie du rein gauche, d'effectuer une néphrectomie (à confirmer en fonction du rapport écrit). Durant son séjour en gériatrie, la tension artérielle de Mme. Gehringer est stable, avec des tensions systoliques entre 120 et 140 mmHg en moyenne.Concernant l'anémie, nous substituons la patiente avec de l'acide folique. L'hémoglobine reste stable durant l'hospitalisation. Sur le plan gynécologique, nous organisons un contrôle chez le Dr. X qui confirme cliniquement la présence de lichen scléreux atrophique vaginal et péri-anale. Des biopsies sont faites, les résultats suivront. Un traitement par corticothérapie topique est initié et est à poursuivre jusqu'à la disparition des lésions. Concernant la nutrition, nous introduisons sur conseil de notre diététicienne une substitution orale en protéines. La patiente bénéficiera également de la consultation nutritionnelle en ambulatoire. Sur le plan de la mobilité et des risques de chute, à son entrée, la patiente effectue les transferts avec une autonomie réduite, la marche est réalisée sous supervision et la montée de marche n'est pas encore testée. Mme. Y bénéficie de physiothérapie et ergothérapie intensives. À sa sortie, la patiente effectue les transferts ainsi que la marche de façon autonome avec un rollator et la montée des marches est réalisée avec une aide légère. Au total, en fin de séjour, la patiente parvient à marcher 200 m et parvient à monter 18 marches. Nous laissons la patiente regagner son domicile le 05.02.2019 en bon état général. Mme. Y est hospitalisée pour la pose d'un pacemaker monochambre en prophylaxie primaire dans un contexte de cardiopathie valvulaire et ischémique bitronculaire avec une FEVG à 35 % le 21.02.2019. L'intervention se déroule sans complication. La radiographie post-opératoire confirme la bonne tenue de l'intervention. Nous ne modifions pas le traitement en place. Nous proposons un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant. Le patient sera convoqué dans 4-6 semaines pour un contrôle du pacemaker. Mme. Y rentre à domicile le 22.02.2019. Mme. Y, 76 ans, est emmenée en ambulance aux urgences suite à une chute à domicile. La patiente a chuté en s'encastrant dans un tapis avec réception sur la hanche droite sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. La patiente présente des douleurs à la hanche sans raccourcissement ni rotation. Une imagerie ne montre pas de fracture. Nous introduisons un antalgique avec une bonne évolution clinique. Au bilan biologique d'entrée, nous constatons un syndrome inflammatoire important avec une CRP à 397 mg/l et une vitesse de sédimentation à 62 mm/1h. Nous ne retrouvons pas de foyer infectieux. La patiente présente une tuméfaction et rougeur au niveau de l'articulation métacarpo-phalangienne et interphalangienne proximale du 3ème doigt de la main droite depuis 1 mois. Un avis rhumatologique est demandé. Nos collègues retiennent une arthrite du 3ème MCP et IPP de la main droite, voire une dactylite, ainsi qu'une douleur de la ceinture scapulaire, toutefois sans atteinte de l'état général ni signe inflammatoire bruyant ne concordant pas avec le syndrome inflammatoire. Nous introduisons un traitement d'épreuve par Arcoxia jusqu'au contrôle en rhumatologie prévu le 5 mars 2019. La patiente rapporte également une perte de poids de 6 kg sur les deux derniers mois, sans autres symptômes B. Un bilan thyroïdien revient dans la norme. Un CT thoraco-abdominal ne montre pas de néoplasie à l'étage thoracique ni abdominal mais une masse au quadrant supéro-externe du sein droit. Un contrôle en gynécologie est organisé le 18.02.2019 à l'HFR de Fribourg pour l'investigation de cette masse. Nous retenons un syndrome inflammatoire important d'origine indéterminée. Nous relevons toutefois un syndrome inflammatoire déjà présent en juillet 2018 chez son ancien médecin traitant, sans raison claire. La patiente avait alors été hospitalisée à Yverdon pour suspicion de méningite, diagnostic ensuite infirmé. Au niveau social, nous constatons une situation complexe. La patiente se trouve sous curatelle de gestion pour mauvaise gestion financière. La fille et le Dr. X (ancien médecin traitant) rapportent une suspicion d'abus d'alcool et de médicaments avec chutes à répétitions que la patiente nie. La fille rapporte également un isolement social avec une négligence du domicile. Nous organisons un réseau multidisciplinaire (médecins, infirmiers, curateurs, infirmière de liaison). À la suite de ce réseau, nous proposons d'augmenter les soins à domicile à 3 fois par semaine et l'aide au ménage à 1 fois par semaine. Il en ressort également que malgré un discours cohérent et construit, les dires de la patiente ne sont pas fiables. Pour cela, nous soutenons l'évaluation psychiatrique qui est organisée le vendredi 15.02.2019 au centre les Toises à Givisiez afin d'évaluer la capacité de discernement de la patiente. Une curatelle à portée générale est demandée le 13.02.2019 par sa curatrice et est en cours. Nous proposons en cas de réhospitalisation de mesurer le taux d'alcoolémie. Un rendez-vous de suivi est organisé chez le médecin traitant le mercredi 20.02.2019 à 9h40. La patiente rentre à domicile le 14.02.2019. Mme. Y est une patiente de 42 ans, qui dans le cadre d'un hyperparathyroïdisme primaire sur adénome parathyroïdien inférieur droit bénéficie d'une résection chirurgicale le 6 février 2019. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples. Un contrôle ORL en postopératoire démontre une diminution légère de la corde vocale à droite, avec toutefois une bonne fermeture. Le 08.02.2019, au vu de la bonne évolution clinique et biologique, la patiente peut rentrer à domicile. Mme. Y sera revue le 05.03.2019 à 9h15 en polyclinique d'ORL, le 18.03.2019 à 9h00 à la consultation du Prof. X et le 05.03.2019 à 8h00 à la consultation du Dr. X. Mme. Y, âgée de 77 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la migration crâniale de la métaglène de l'épaule gauche sur statut post-mise en place d'une prothèse inversée de l'épaule gauche le 13.02.2018, traitée par reprise de la prothèse avec ablation de la métaglène glénosphère ancienne, changement de l'insert sur 39 + 0, réimplantation d'une glénosphère 39 avec une métaglène standard et augmentation de la glène par une allogreffe fémorale le 22.01.2019. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. Elle est légèrement dyspnéique. Au status pulmonaire, murmure respiratoire normo-transmis. Pas d'œdème. Cicatrice opératoire calme, non inflammatoire. Dans les suites d'une hypokaliémie, diagnostiquée le 23.01.2019, nous avons suivi biologiquement les valeurs du potassium qui restent à la limite inférieure de la norme, sans altération de l'ECG. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution à distance. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, nous retrouvons une bonne flexion/extension du coude gauche et une pro/supination et mobilisation de la main dans les normes. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 08.02.2019, en bon état général.Mme. Grandjean est adressée aux urgences par le Dr. X le 19.01.2019 pour suspicion d'accident vasculaire cérébral aigu, progressant depuis 4 jours et se manifestant par une dysarthrie intermittente et chute de la commissure labiale droite. La patiente consulte au 4ème jour des symptômes en raison de valeurs tensionnelles élevées, asymptomatiques, maximales à 190 mmHg la veille, que le médecin de garde traite par l'administration d'Adalat 30 mg retard. A l'admission aux urgences, l'examen neurologique retrouve uniquement une chute labiale droite, en amélioration selon la patiente. L'électrocardiogramme montre un rythme sinusal régulier normocarde à 60/min et le bilan biologique est sans particularité. Un CT scan cérébral effectué exclut une hémorragie intracérébrale et une lésion ischémique constituée et met par contre en évidence une plage hypodense de la substance blanche de 10 mm en sous-cortical au niveau du gyrus frontal supérieur droit et de 9 mm dans la corona radiata gauche, d'aspect séquellaire sur origine micro-vasculaire. Sur avis du Dr. X, neurologue de garde, Mme. Grandjean est hospitalisée pour bilan d'un probable accident vasculaire cérébral subaigu gauche. Nous contrôlons les profils lipidique, glycémique et thyroïdien qui reviennent dans la norme. Une échocardiographie effectuée ne met pas en évidence de thrombus intracavitaire et l'enregistrement de Holter est dans la norme pour l'âge de la patiente. Nous complétons le bilan par une Angio-IRM du neurocrâne qui confirme une lésion ischémique aiguë de 9 mm de diamètre de la corona radiata frontale gauche sans transformation hémorragique. L'imagerie révèle également une sténose de la portion M1 de l'artère cérébrale moyenne droite avec intégrité des autres vaisseaux précérébraux. Sur le plan médicamenteux, une double antiagrégation par Plavix 75 mg 1x/j et Aspirine cardio 100 mg 1x/j est indiquée durant 1 mois, suivie par du Plavix 75 mg 1x/j seul. Le traitement par Pravastatine est majoré à 40 mg. L'évolution clinique est favorable avec l'absence de nouvelle symptomatologie; on constate toutefois la persistance de la ptose de la commissure labiale droite. Sur le plan tensionnel, nous diagnostiquons une hypertension artérielle avec valeurs systoliques comprises entre 150 et 170 mmHg. Un traitement d'Amlodipine 5 mg est introduit. Un contrôle rapproché 1x/j à domicile est proposé, avec éventuelle adaptation du traitement à votre consultation. Mme. Grandjean peut regagner son domicile le 24.01.2019. Nous l'informons de l'interdiction de la conduite automobile durant 3 mois, que nous vous laissons le soin de réévaluer par la suite. Nous lui recommandons également de reconsulter les urgences en cas d'apparition clinique de nouveaux symptômes. Mme. Grandjean est connue pour un adénocarcinome canalaire de la tête du pancréas, pT3 pN0 (0/13) M0, G3, L0, V1, Pn1, R0, diagnostiqué le 18.10.2016 avec Whipple et cholécystectomie le 09.11.2016 ainsi que chimiothérapie par Gemzar depuis janvier 2017 (cycle J1 et J8, rien J15), dernière dose le 28.06.2017. La patiente est également connue pour des cholangites à répétition dont le dernier épisode a eu lieu en septembre 2018 avec hospitalisation dans le service de chirurgie du 15 au 18.09.2018. Elle consulte les urgences le 15.01.2019 en raison d'un état fébrile maximum à 39.2°C depuis la veille avec des frissons. Pour rappel, la patiente a présenté un état fébrile d'origine indéterminée en novembre 2018, traité par corticoïdes avec résolution spontanée en quelques jours. A l'anamnèse ce jour, Mme. Grandjean n'a pas de plainte abdominale, mais rapporte un changement dans les selles avec selles liquides depuis ce matin, pas de changement de couleur, pas de sang. Pas de nausée, pas de vomissement, pas de plainte urinaire. Elle signale des douleurs au niveau des membres inférieurs depuis la chimiothérapie, avec mise en évidence d'une polyneuropathie par son neurologue. Pas de notion de contage, dernier voyage à Londres en octobre 2018. Pas de perte de poids anamnestique, pas de diaphorèse nocturne, pas d'autres épisodes d'état fébrile ces derniers jours. Au niveau oncologique, la patiente bénéficie d'un contrôle tous les 6 mois à la consultation du Dr. X. A l'admission aux urgences, la patiente est normotendue à 133/83 mmHg, tachycarde à 110 bpm, fébrile à T°C 38.5° et sature à 99% à l'air ambiant. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Percussion avec tympanisme. Murphy négatif, pas de masse pulsatile, pas d'organomégalie palpable. Sur le plan urogénital, les loges rénales sont souples et indolores. Le status cardio-pulmonaire est sans particularité. Au niveau biologique, bonne fonction rénale, pas de syndrome inflammatoire ni de trouble électrolytique. Les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme. Le sédiment urinaire est propre. Nous prélevons deux paires d'hémocultures qui reviennent une bouteille sur 4 positive pour Staphylococcus hominis, ainsi qu'un urotube qui montre trois germes différents (Staphylococcus epidermidis, Enterococcus faecalis, Escherichia coli), signe d'une contamination au prélèvement. La radiographie du thorax montre un minime épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Nous contactons le Dr. X qui ne propose pas de CT scan en urgence. Elle conseille une hospitalisation pour surveillance clinique sans mise en place d'antibiothérapie. Nous demandons un US abdominal qui montre un écho de réverbération hépatique pouvant cadrer avec une aérobilie en rapport avec les séquelles opératoires. La surveillance se passe sans complication avec disparition de l'état fébrile. Mme. Grandjean peut regagner son domicile le 18.01.2019. Nous proposons un contrôle à votre consultation la semaine suivant la sortie. Mme. Grandjean, patiente de 51 ans, connue pour une myopathie inflammatoire, est hospitalisée pour une baisse d'état général avec syndrome inflammatoire important sur pyélonéphrite aux symptômes atypiques. La patiente rapporte une asthénie avec perte de force généralisée depuis environ 5 jours, ainsi que des tremblements ou spasmes musculaires depuis 4 jours, surtout au niveau des membres supérieurs. Elle présente également une perte de sensibilité au niveau de la jambe gauche en chaussette, jusqu'au pied, déjà connue. Le laboratoire d'entrée montre un syndrome inflammatoire important et le sédiment urinaire montre des signes d'infection urinaire. Le status et les examens complémentaires ne retrouvent aucun autre foyer. Au vu de symptômes peu évidents et de l'absence d'autre foyer, la patiente bénéficie d'une antibiothérapie par Ceftriaxone pour une probable pyélonéphrite avec bonne évolution clinico-biologique. L'Urotube retrouve un E. coli multi-sensible et un relais per os par Ciprofloxacine est effectué. La patiente présente également une péjoration de sa fonction rénale à l'entrée, s'améliorant progressivement durant le séjour. Concernant sa consommation d'alcool à risque, la patiente reçoit un traitement de Seresta fixe et en réserve avec adaptation durant le séjour. Sur le plan ostéo-articulaire, les douleurs dans le cadre de son syndrome lombovertébral sont traitées avec antalgie et la patiente a rendez-vous avec le Dr. X le 21.02.2019. La patiente se plaint également de douleurs au niveau de l'avant-pied gauche suite à un traumatisme récent peu clair. Un bilan radiologique ne retrouve pas de fracture et la patiente bénéficie d'un traitement symptomatique. Au vu de la bonne évolution, Mme. Grandjean peut rentrer à domicile le 20.02.2019. Mme. Y est une patiente de 22 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte pour une toux présente depuis 2 semaines.Au vu de l'anamnèse et de l'examen clinique, nous réalisons un test urinaire de grossesse et une radiographie de thorax à la recherche d'un foyer suspect ou d'un épanchement. Le test urinaire de grossesse est négatif. La radiographie n'objective pas de foyer. Dans ce contexte et au vu du bon état général de la patiente, elle rentre à domicile avec un traitement symptomatique d'Escotussin. Nous lui conseillons de reconsulter en cas d'absence de résolution de la symptomatologie. Mme. Y est amenée aux urgences en ambulance le 11.02.2019 en raison d'une douleur d'intensité 5/10 au niveau de la cuisse gauche, de type déchirure, l'ayant réveillée cette nuit. Il s'agit d'une primo-manifestation. Notion d'une tension artérielle mesurée à 240/130 mmHg, sans autre symptôme associé. À l'anamnèse, douleur évaluée à 3/10 au niveau de la cuisse gauche en regard du pli de l'aine. Pas de paresthésies, mais notion de perte de force des membres inférieurs, plus marquée à gauche. Pas de perte de selles, ni d'urines. Pas de notion de chute récente, mais lombalgies récurrentes (d'intensité 5/10), lorsque la patiente fait des activités physiques. Pas de dyspnée, pas de douleur rétrosternale, pas de palpitation. À l'admission aux urgences, la tension artérielle est à 180/120 mmHg, s'abaissant spontanément à 140/100 mmHg. Au status neurologique, force M5 aux deux membres supérieurs sur les groupes musculaires principaux. Sensibilité aux 4 membres préservée. Au niveau ostéo-articulaire et locomoteur, douleurs à la palpation du pli de l'aine à gauche, trochanter indolore, flexion passive des 2 hanches complète et symétrique 90°, sans douleur, flexion active de la hanche gauche difficile et douloureuse, mais quadriceps gauche compétent. Extension complète de la jambe gauche possible en passif, extension active possible mais limitée par la douleur. La percussion du rachis est indolore, la musculature paravertébrale est souple et indolore. Le Lasègue est négatif des deux côtés. Au status cardiaque, la patiente est tachycarde à 90/min, bien perfusée. B1B2 sont bien frappés, sans souffle. Les pouls périphériques sont bien frappés et symétriques. Le status digestif est sans particularité. Le laboratoire ne met pas en évidence de perturbation des tests hépatiques. Le sédiment urinaire montre une leucocyturie ainsi que des nitrites. Un urotube est prélevé, en cours au moment du transfert. Au vu de ce résultat, nous débutons une antibiothérapie par Ciproxine le 12.02.2019 et une sonde vésicale est posée en raison de l'incontinence urinaire. Suspectant un passage de calcul rénal, nous effectuons un uro-CT scan qui exclut un passage et met en évidence une coprostase. Au vu du premier diagnostic de lombocruralgies, nous effectuons une IRM de la colonne lombaire qui met en évidence des troubles de la statique lombaire avec lésions dégénératives, des pincements intersomatiques pluri-étagés dans un contexte de scoliose sinistro-convexe. Mise également en évidence d'un canal lombaire dégénératif, secondaire sur arthrose interfacettaire postérieure marquée des trois derniers espaces intersomatiques avec sténose prédominante en L3-L4, des rétrécissements foraminaux pluri-étagés prédominant à gauche en L3-L4 et L5-S1 ainsi que des protrusions discales pluri-étagées avec, notamment, en L5-S1, une composante foraminale extra-foraminale gauche pouvant être à l'origine de la symptomatologie. Le 13.02.2019, nous remarquons une perte de force au niveau du membre inférieur gauche avec, au status neurologique, une force M3 au niveau du quadriceps gauche, M2 au niveau de la jambe, M5 au niveau de l'hallux gauche. Sensibilité réduite du touché-piqué. Le réflexe rotulien gauche est conservé. Au niveau de la jambe droite, force M5, Lasègue négatif, hypoesthésie de la face latérale et hyporéflexie rotulienne. Le tonus sphinctérien est réduit. Nous contactons la Spine Team et après évaluation et accord du Dr. X, Mme. Y est transférée à l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 52 ans connue pour une HTA sous Nifédipine en réserve qui consulte les urgences de Riaz le 28.01.2019 pour des céphalées inhabituelles. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique qui objective une créatinine à 75, une CRP à 6, des leucocytes à 9.8, Hb 173, des thrombocytes à 392, pas de troubles de la crase, une TSH à 1.8, des tests hépatiques globalement dans la norme. Aux urgences, elle reçoit 1g de paracétamol iv pour les céphalées avec évolution favorable. La patiente est gardée en observation aux urgences. Nous objectivons un profil tensionnel élevé aux urgences. Nous effectuons une radiographie de thorax qui revient dans la norme. Au vu des symptômes de péri-ménopause évoqués, la patiente sera revue par le Prof. X. Nous proposons d'arrêter le traitement de Nifédipine pouvant occasionner des céphalées et proposons d'introduire un traitement IEC de votre choix. Après avoir été vue et évaluée par le Dr. X et le Dr. X, et au vu d'une évolution favorable, la patiente rentre à domicile. Mme. Y, dialysée pour une insuffisance rénale terminale, est adressée aux urgences le 05.02.2019 après la séance de dialyse, par la Dr. X en raison d'une toux depuis 10 jours. La patiente rapporte une toux productive (mais avale les crachats) depuis 10 jours avec légère amélioration le 02.02.2019. Cette toux est présente surtout la nuit, l'empêche de dormir et s'améliore en position assise. Mme. Y signale également une respiration superficielle avec une sensation de dyspnée. Pas d'état fébrile mesuré, pas de frisson solennel, pas de sudation nocturne. Oedèmes des membres inférieurs stables selon la patiente. Pas d'immobilisation récente, pas de douleur dans les mollets, pas de notion de contage. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Oedèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'aux genoux. Signe de Homans négatif des deux côtés. Les mollets sont souples, le ballant est conservé. Les pouls périphériques sont tous palpés. Pas de souffle sur les grands axes vasculaires sans autre souffle vasculaire. Sur le plan respiratoire, on note des râles crépitants fins bibasaux. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Percussion avec tympanisme, Murphy négatif, pas de masse pulsatile, pas d'organomégalie palpable. Les loges rénales sont souples et indolores. Le laboratoire met en évidence l'insuffisance rénale terminale connue avec une créatinine à 300 mcmol/l. Pas de trouble électrolytique, pas de syndrome inflammatoire. Le NT-proBNP est à 42'886 ng/l. Au vu de la décompensation cardiaque, nous mettons en place un traitement par Lasix iv 20 mg 3x/24h durant l'hospitalisation avec une très bonne réponse clinique et perte pondérale de 4 kg durant le séjour. Sur demande de la Dr. X, nous contactons le Dr. X, cardiologue traitant, qui ne pose pas d'indication à une exploration coronaire, la patiente ayant bénéficié d'une coronarographie en 2016 et une en 2017. Elle sera revue pour contrôle clinique et adaptation du traitement cardiaque à sa consultation. L'évolution clinique est favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 14.02.2019 avec poursuite du traitement antidiurétique per os par Torem 100 mg 1x/24h et suivi en dialyse 3x/semaine. Nous proposons un contrôle clinique à votre consultation à une semaine de la sortie. Mme. Y, votre patiente de 94 ans, nous est transférée de l'HFR Tafers où elle a été prise en charge pour baisse d'état général avec douleur dorsale et costale sur les métastases osseuses de son carcinome canalaire invasif du sein gauche. Elle est transférée dans le but de bénéficier d'une radiothérapie antalgique.La prise en charge radiothérapeutique se déroule sans complication dès le 04.02.2019 pour une durée de 5 jours. Une antalgie efficace est obtenue avec une adaptation des traitements antalgique médicamenteux. Par ailleurs, nous initions un traitement mensuel de Xgeva à titre préventif des complications osseuses. La patiente présente une légère dénutrition malgré la mise en place de suppléments nutritifs oraux. Raison pour laquelle, une sonde naso-gastrique à visée alimentaire est à envisager. D'un point de vue de la rééducation, la patiente montre une diminution de l'autonomie dans les activités de la vie quotidienne. Raison pour laquelle, en accord avec la famille, nous suggérons un court séjour en réadaptation avec évaluation du retour à domicile avec aide, avant d'envisager une institutionnalisation. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y présente une nouvelle poussée d'ongle sur le rebord interne de l'ongle de l'hallux droit, probablement due au fait qu'on n'a pas enlevé toute la matrice de l'ongle. Du côté gauche, elle présente 2 poches cutanées sur les rebords interne et externe de l'ongle qui sont présentes depuis l'opération. J'explique à Mme. Y qu'actuellement il n'y a pas d'indication pour une reprise chirurgicale, car elle est asymptomatique. Je lui propose un nouveau contrôle dans 3 mois pour réévaluer la situation. Prochain contrôle le 28.05.2019. Mme. Y, patiente de 54 ans, connue pour des troubles schizo-affectifs sous Leponex et des douleurs abdominales chroniques en hypocondre gauche depuis 16 mois environ, multi-investiguées, est envoyée par son médecin traitant pour suspicion de porphyrie en raison de douleurs épigastriques nouvelles depuis le 24.01.2019. Les douleurs sont de type déchirure, déclenchées à la position assise ou debout, indépendantes des repas. La patiente rapporte des éructations mais pas de nausée ni vomissement. Elle aurait perdu 15 kg en 16 mois sans autre symptôme B. Le laboratoire d'entrée ne montre pas de syndrome inflammatoire, les tests hépato-biliaires et la lipase sont dans la norme. Un ECG et une radiographie de thorax sont également sans particularité. La recherche de porphobilinogène légèrement augmentée chez le médecin traitant est réalisée à nouveau à son arrivée sur conseil de l'équipe d'hématologie (Dr. X) avec dosage quantitatif du rapport porphobilinogène/créatinine urinaire (en cas de crise de porphyrie aiguë, le rapport augmente à 20-300). Les dosages sont encore en cours lors de la sortie mais après discussion avec le Dr. X, une porphyrie semble peu probable. Au vu des antécédents et de la clinique actuelle de la patiente, un CT thoraco-abdominal est réalisé ne retrouvant pas de cause à ses douleurs, excepté un discret épaississement gastrique aspécifique (pouvant être dû à une contraction gastrique). Un traitement d'épreuve par IPP est introduit. Nos collègues gastroentérologues ne retiennent pas d'indication à une gastroscopie. Cependant, si les douleurs venaient à persister malgré le traitement, nous vous laissons le soin de l'organiser. Sur le plan cardiaque, nous réalisons un test d'effort afin d'écarter une origine ischémique cardiaque à ses douleurs. L'examen est dans la norme. Les douleurs étant reproductibles à la palpation, au niveau de l'insertion des muscles droits abdominaux, un syndrome costo-sternale ou une origine musculo-tendineuse ne peuvent être exclues et nous introduisons des AINS pour 5 jours et du repos. Concernant ses douleurs abdominales chroniques, une laparoscopie exploratrice est prévue par le Dr. X en mars 2019 à l'hôpital Daler, organisée par son médecin traitant. Mme. Y peut rentrer à domicile le 09.02.2019. Mme. Y présente une lésion neurogène de la partie supérieure du plexus brachial gauche probablement due à l'infiltration par Naropine qui a été effectuée lors de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse le 24.1.2019. L'EMG n'a pas mis en évidence de signe de dénervation. Le pronostic est plutôt favorable pour une récupération à 100%. L'IRM native de l'épaule gauche a pu exclure une rupture de la coiffe des rotateurs. Il nous manque par contre une image de tendinopathie du tendon du muscle sous-scapulaire et du sus-épineux. Ceci par contre doit être mis dans le contexte d'un status post-ablation du matériel d'ostéosynthèse qui date du 24.1.2019. J'ai donc proposé à la patiente de faire de la physiothérapie avec la rééducation musculaire par électro-stimulation par Compex. Un contrôle neurologique est prévu dans 3 semaines chez le Dr. X. Je reverrai la patiente dans 4 semaines le 12.3.2019 pour le contrôle clinique à 6 semaines post-opératoires. La patiente travaille à 40% comme secrétaire. Elle ne désire pas d'arrêt de travail. Mme. Y est une patiente de 90 transférée dans notre service de réhabilitation le 05.02.2019 depuis le service de gériatrie aiguë pour bénéficier d'une réadaptation plus intensive avec potentiel d'amélioration de la marche. Elle est transférée en réhabilitation musculo-squelettique. Pour rappel, Mme. Y est connue pour une hypertension artérielle, une insuffisance rénale chronique et des chutes à répétition, avec fracture reverse pertrochantérienne à gauche d'origine traumatique le 04.01.2019 nécessitant une réduction ouverte et ostéosynthèse par clou PFNA du fémur proximal gauche prise à l'Hôpital cantonal de Fribourg. Mme. Y a fait une chute le 04.01.2019, d'origine mécanique de sa hauteur, avec réception sur les fesses, sans TC, ni PC. Pas de symptômes lipothymique avec la chute. A l'admission, l'anamnèse par système est sans particularité. Au statut, nous remarquons une boiterie indolore de la jambe gauche et du bassin. Nous mesurons une différence de longueur de la jambe droite (environ 1cm plus longue que la gauche) ainsi qu'une rotation externe légère du membre inférieur gauche en position neutre. Une radiographie montre un léger déplacement crânial de l'avulsion du petit trochanter. Sur avis orthopédique, il n'y a pas d'indication à réopérer. Si nécessaire, la mise en place d'une chaussure de compensation peut être envisagée. Dès son arrivée dans le département, nous débutons une réhabilitation avec physiothérapie et ergothérapie. Les scores de mobilité au début du séjour sont les suivants: le transfert avec aide de contact (FIM 4), la mobilité FIM 2 avec tintébin <50 m, les escaliers impossibles à réaliser (FIM 1), le Tinetti 13/28 avec très haut risque de chute. A la fin du séjour, les scores de mobilité sont les suivants: le transfert se fait seul (FIM 6), la mobilité seule avec rolateur (FIM 6) sur 120m, les escaliers se font sous supervision (FIM 5) sur 9 marches, le Tinetti 18/28 avec rolateur. Devant une nette amélioration clinique, la patiente peut retrouver son domicile le 18.02.2019 avec passage du Spitex organisé. Mme. Y, patiente de 90 ans connue pour des chutes à répétition d'origine mécanique et des insuffisances urinaires à répétition, nous est transférée du service d'orthopédie de l'Hôpital cantonal de Fribourg suite à une ostéosynthèse du fémur proximal gauche par clou gamma le 06.01.2019 sur fracture pertrochantérienne reverse d'origine traumatique le 04.01.2019.Pour rappel, Mme. Y avait été emmenée aux urgences après une chute au domicile de sa hauteur avec réception sur la hanche gauche. L'intervention chirurgicale se déroule sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par une anémie symptomatique et une hypokaliémie, résolutives au moment du transfert. A l'admission, Mme. Y se plaint de discrètes douleurs de la cuisse gauche. Les paramètres vitaux sont alignés. Cliniquement, elle présente une jambe gauche œdématiée et une difficulté à la marche. Socialement, Mme. Y vit dans un appartement de deux pièces avec une marche d'entrée, un fils et une fille vivant à côté de chez elle. Avant l'hospitalisation, elle était indépendante pour presque tout, avec de l'aide de sa fille une fois par semaine pour le ménage et du soutien pour les finances. Durant l'hospitalisation, mme. Y présente le 24.01.2019 un syndrome infectieux avec diminution de l'état général, fièvre à 38.5°C, flush cutané et toux expectorative, sans symptômes urinaires, abdominaux ni neurologiques. Le laboratoire montre une leucocytose et CRP augmentée. La radiographie du thorax n'est pas concluante pour une pneumonie. Un ultrason ainsi qu'un CT abdominal pour exclure une diverticulite, cholécystite ou péritonite se révèlent négatifs. Les hémocultures reviennent positives 4/4 pour E. coli multisensible, une antibiothérapie est instaurée avec une rapide résolution des symptômes et du syndrome inflammatoire au laboratoire. La patiente présente des diarrhées aiguës post-antibiothérapie auto-résolutives sur 3 jours, pour lesquelles une surveillance et un traitement symptomatique sont faits. Parallèlement aux problèmes médicaux aigus, nous débutons une réhabilitation gériatrique précoce avec physiothérapie et ergothérapie. Les scores de mobilité au début du séjour sont les suivants: le transfert sous supervision (FIM 5), la mobilité avec de l'aide importante (FIM 2) et un Tinetti 13/28 montrant un risque de chute nettement augmenté et une mobilité modérément réduite. Les scores de mobilité à la fin du séjour sont les suivants: le transfert sous supervision (FIM 5) et la mobilité légèrement réduite avec besoin d'aide auxiliaire (FIM 6), ce qui montre une nette amélioration de l'autonomie. Par contre, le Tinetti est encore à 15/28, et les escaliers n'ont pas encore pu être testés. En raison de ces limitations fonctionnelles encore persistantes sur le plan de la mobilité et de l'autonomie, Mme. Y est transférée à la clinique de réhabilitation de l'HFR Meyriez le 05.02.2019. Mme. Y est une patiente de 85 ans, qui consulte le 27.01.2019 aux urgences en raison de douleurs abdominales en fosse iliaque droite depuis 12h, sans nausées ou autres symptômes digestifs. Le laboratoire d'entrée est sans particularité et le CT abdominal met en évidence une masse d'allure tumorale au niveau du cæcum de la valvule de Bauhin et du côlon ascendant, avec un iléus grêle mécanique modéré en amont et une faible quantité de liquide libre. La patiente est donc hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Les marqueurs tumoraux (CEA et CA 19-9) sont négatifs. Par la suite, la patiente reprend spontanément un transit et une coloscopie à but diagnostique est organisée le 31.01.2019. Celle-ci se complique d'une perforation iatrogène du sigmoïde nécessitant une laparotomie exploratrice en urgence avec résection segmentaire sigmoïde, anastomose descendo-sigmoïdienne manuelle, hémicolectomie droite avec CME et split-stomie colo-iléale. L'évolution est par la suite favorable, avec des changements itératifs de VAC et fermeture de la peau le 07.02.2019. La patiente bénéficie d'une nutrition parentérale avec une réalimentation progressive par voie orale. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y est transférée à l'EMS la Providence (UATO) le 15.02.2019. Un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X est prévu le 25.03.2019 à 9h30. Le cas de Mme. Y est discuté au colloque interdisciplinaire du 06.02.2019 où il est décidé d'effectuer une surveillance clinique. Mme. Y, 85 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour surveillance post-opératoire après prise en charge chirurgicale d'une perforation colique iatrogène. La patiente a eu une coloscopie diagnostique suite à la découverte récente d'une masse caecale tumorale dans un contexte de douleurs abdominales. La coloscopie s'est compliquée d'une perforation du sigmoïde, nécessitant une prise en charge chirurgicale en urgence avec laparotomie et lavage péritonéal, résection segmentaire sigmoïde avec anastomose descendo-sigmoïdienne, une hémicolectomie droite et une split-stomie colo-iléale. L'intervention se passe sans complication notable. 2 CE sont transfusés en per-opératoire en raison d'une anémie déjà pré-opératoire avec une Hb à 80. Les suites postopératoires immédiates sont sans complications. Une réalimentation avec de l'eau par la SNG est débutée. L'antalgie est gérée par péridurale. La voie veineuse est pour l'instant laissée en place. En cas d'évolution favorable avec reprise de transit, elle sera à enlever rapidement. Devant une évolution favorable, elle est transférée à l'étage de chirurgie le 01.02.2019. Mme. Y, patiente de 89 ans, est admise aux soins intensifs le 26.01.2019, en raison d'une détresse respiratoire aiguë dans le contexte d'une grippe avec décompensation secondaire de sa BPCO. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente est transférée au service de médecine interne pour la suite de sa prise en charge. Pour rappel, la patiente présente depuis plusieurs jours une dyspnée, associée à une exacerbation de sa toux. Elle consulte son médecin traitant, qui lui prescrit une antibiothérapie. L'évolution est défavorable, motivant son admission au service des urgences. A son admission aux soins intensifs, elle présente une détresse respiratoire avec un broncho-spasme marqué. Au niveau pneumologique, l'évolution est progressivement favorable sous antibiothérapie, aérosols et ventilation non invasive. En l'absence de foyer pulmonaire clinique et radiologique franc, d'antigènes urinaires négatifs pour la légionelle/pneumocoque et après identification d'une grippe A, les antibiotiques sont interrompus dès le 28.01.2019. Cependant, en raison d'une péjoration clinique de la patiente, un traitement de Pipéracilline-Tazobactam IV et de Prednisone est introduit le 30.01.2019. La Prednisone est stoppée le 03.02.2019, alors que l'antibiothérapie peut être arrêtée le 06.02.2019. Sur le plan cardiologique, des enzymes cardiaques élevées sont retrouvées avec un NT-proBNP augmenté. Nous ne retenons pas de signe de décompensation cardiaque aiguë ni clinique, ni radiologique, mais un NSTMEMI. L'échocardiographie effectuée durant son séjour montre une fonction cardiaque gauche conservée, sans valvulopathie majeure identifiée. Après discussion avec les cardiologues, au vu de l'âge et des comorbidités de Mme. Y, un traitement symptomatique est préconisé. Au niveau rythmologique, une fibrillation auriculaire à conduction rapide asymptomatique est retrouvée. Après une dose unique de Digoxine et l'introduction d'un bêta-bloqueur à faible dose, le rythme se corrige spontanément. Des accès paroxystiques de fibrillation auriculaire sont cependant observés durant l'hospitalisation. Au vu des scores HAS-BLED et CHADS-VASC, nous décidons d'introduire une anticoagulation par Eliquis 2.5 mg. D'entente avec nos collègues cardiologues, aucune autre investigation complémentaire n'est envisagée. Sur le plan néphrologique, l'insuffisance rénale se corrige rapidement après une hydratation adéquate, la patiente étant hypovolémique à son arrivée.Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mme. Y est transférée le 07.02.2019 en réadaptation gériatrique à l'HFR Tavel. Mme. Y nous est adressée du service d'orthopédie pour la suite de la prise en charge des douleurs aiguës suite à une opération de réduction et ostéosynthèse de la hanche (le 10.02.2019) suite à une fracture fémorale pertrochanérienne gauche Kyle IV le 09.12.2018. A l'entrée, la patiente se plaint de douleurs mécaniques fortes non déficitaires, non radiculaires. La suite de l'anamnèse et le statut sont sans particularité. Mme. Y habite seule à son appartement, elle doit monter un étage d'escaliers (12 marches) pour rejoindre son appartement. Elle est autonome pour les tâches quotidiennes. Ad Diagnostic principal A l'entrée, la patiente a une mobilité massivement réduite avec un risque de chute massivement augmenté. Les transferts sont faits avec une aide importante à cause de fortes douleurs à la hanche. La montée des escaliers n'est pas testée. Nous effectuons le traitement complexe de rééducation gériatrique avec physiothérapie et ergothérapie. Grâce aux thérapies intensives et individuellement adaptées, des progrès significatifs au niveau de la mobilisation, de la stabilisation, de la marche et de l'équilibre sont objectivés. Le contrôle radiologique du 22.01.2019 montre une coxarthrose bilatérale, sans signes d'une dislocation. Suite à la consultation orthopédique chez Dr. X, une charge totale est débutée dès le 25.01.2019. Ad Diagnostic supplémentaire 1 A l'entrée, la patiente présente une anémie normocytaire hyperégénérative probablement d'origine mixte spoliative et post-opératoire. L'analyse du sang occulte dans les selles du 19.12.2018 revient positive. Nous augmentons le traitement par Pantozol à 80 mg/j. Le suivi d'hémoglobine reste stable. Ad Diagnostic supplémentaire 2 A l'entrée, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë probablement d'origine prérénale dans le contexte de diarrhées. Suite à une hydratation adéquate, la fonction rénale s'améliore du 31.12.2019 au 25.01.2019 (eGFR 37 mL/min le 31.12.2019 et 50 mL/min le 25.01.2019). Ad Diagnostic supplémentaire 3 En raison d'une hypovitaminose D à 25 nmol/l, nous commençons une substitution orale de 14000/semaine. Nous proposons un contrôle de vitamine D sérique après 3 mois et adaptation du traitement de substitution. Complication 1 Mme. Y se plaint de diarrhées récidivantes depuis plus d'un an, dont la dernière récidive a eu lieu durant l'hospitalisation sans réponse à l'Imodium. La culture des selles en recherche de Norovirus et Clostridium difficile revient négative. En suspicion d'une colite microscopique, la calprotectine est recherchée dans les selles et revient positive. Une colonoscopie du 18.01.2019 montre une diverticulose sigmoïdienne et des hémorroïdes grade II, et la biopsie du 18.01.2019 met en évidence une colite collagène. Après discussion avec nos collègues en gastroentérologie (HFR Tafers), nous instaurons un traitement de Budésonide 9 mg pendant 6 semaines, après diminution à 3 mg chaque semaine. Les troubles électrolytiques sont substitués. L'évolution est par la suite favorable. Complication 2 Durant l'hospitalisation, nous notons une rougeur au niveau de la cicatrice post-opératoire à la hanche gauche avec un syndrome inflammatoire (CRP 34 mg/l) sans leucocytose et sans autres symptômes. Après discussion avec nos collègues en orthopédie, nous effectuons un suivi clinique avec une bonne évolution et disparition spontanée de la rougeur. En raison d'un risque de chute encore élevé, la patiente poursuit son séjour dans notre service avec intensification des thérapies dans le cadre d'une réhabilitation musculo-squelettique à partir du 29.01.2019. Mme. Y, patiente de 70 ans, connue pour un cancer du sein en résolution depuis environ 20 ans, un cancer de l'œsophage en rémission depuis 2014 et un cancer de l'estomac directement métastatique au niveau du foie, nouvellement diagnostiqué en 2018, est hospitalisée le 20.02.2019 à la suite d'une insuffisance hépatocellulaire en rapide péjoration depuis le 15.02.2019. Depuis 2 à 3 semaines, la patiente présente une baisse d'état général, avec des douleurs en hypochondre droit, irradiantes vers l'épaule droite, ainsi que des nausées, motivant la réalisation d'un scanner en urgence le 12.02.2019, qui révèle une progression très importante des métastases hépatiques avec une importante perturbation des tests hépatiques. Elle vient en consultation oncologique le 20.02.2019 à 12h où l'on met en évidence une importante baisse de l'état général, un ictère, une aggravation des tests hépatiques et des troubles de la crase. Sur le plan infectiologique, la situation de la patiente se dégrade rapidement. À son entrée à l'étage, la patiente est marbrée, hypotendue et tachycarde. Une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone et Métronidazole est initiée en raison de la suspicion d'une translocation bactérienne biliaire. Une US des voies biliaires est réalisée en urgence et permet d'exclure une compression de ces dernières. Après discussion avec la patiente et sa famille, il est convenu d'éviter tout acharnement thérapeutique. Malgré un traitement maximaliste à l'étage, la situation se dégrade. Au vu d'une anxiété croissante et de douleurs, un traitement de confort est nécessaire et la patiente décède le 20.02.2019, à 21h05, entourée de ses proches. Mme. Y, patiente de 61 ans, connue pour un carcinome mammaire droit depuis juillet 2018, est hospitalisée en raison d'un état fébrile avec baisse de l'état général. La patiente rapporte un état fébrile à 39° avec myalgies, céphalées et toux sèches depuis 2 jours. Son entourage souffre également des mêmes symptômes. La patiente consulte une première fois aux urgences et rentre à domicile avec un traitement symptomatique pour un syndrome grippal au vu d'un tableau clinique rassurant. Par la suite, elle présente des vertiges rotatoires au lever avec un malaise objectivé par sa famille et une perte de contact durant environ 10 secondes, suivi d'un épisode de vomissement, raison pour laquelle elle consulte à nouveau après contact avec l'oncologue de garde. Le laboratoire d'entrée, tout comme l'ECG, sont dans la norme. Une radiographie de thorax et un sédiment urinaire ne retrouvent pas de signe d'infection. Un frottis pour la grippe revient positif pour Influenza A et la patiente est hospitalisée en isolement pour surveillance et traitement symptomatique. Un test de Schellong est positif durant le séjour. La patiente est déjà porteuse de bas de contention à domicile depuis des événements thrombo-emboliques aux membres inférieurs. La patiente est réhydratée et remobilisée progressivement avec forte diminution des symptômes orthostatiques. Sur le plan oncologique, la patiente est sous chimiothérapie par Taxol depuis le 14.01.2019, avec la dernière chimiothérapie le 11.02.2019. La séance prévue le 19.02.2019 est annulée au vu de l'état général de la patiente et repoussée au 26.02.2019, en accord avec Dr. X. Mme. Y peut rentrer à domicile le 20.02.2019. Mme. Y souffre d'une coxarthrose bilatérale à prédominance gauche. Les douleurs sont devenues très importantes et la patiente désire l'implantation d'une prothèse totale de hanche. L'indication est donnée, vu les douleurs et l'usure avancée. Je prévois une implantation de prothèse totale par voie antérieure en regard de la hanche gauche. La patiente est clairement informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est prévue pour le 21.03.2019. La patiente sera vue par mes collègues de l'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique.Mme. Y, patiente de 52 ans, connue pour une BPCO stade III D nécessitant une oxygénothérapie à domicile, est hospitalisée le 07.02.2019 au service de médecine interne, dans le cadre d'une nouvelle décompensation respiratoire hypoxémique. Pour rappel, la patiente avait été hospitalisée entre le 15.01 et le 23.01.2019 dans un contexte similaire. La patiente rapporte une dyspnée en péjoration depuis une semaine, accompagnée d'une toux et d'expectorations jaunâtres/verdâtres. Elle rapporte avoir consulté son médecin traitant au début des symptômes, qui a initié un traitement de Co-Amoxicilline le 01.02.2019, poursuivi jusqu'au 07.02.2019. La patiente rapporte également des douleurs thoraciques sur les efforts respiratoires depuis ce jour. Sur le plan pneumologique, nous initions un traitement de Prednisone pour une durée de 5 jours et des inhalations de bronchodilatateurs. Au vu d'une nouvelle exacerbation de BPCO sévère et ayant bénéficié d'une antibiothérapie dans les trois derniers mois, nous introduisons un traitement de Pipéracilline-Tazobactam IV pour une durée de 5 jours. Dans le but de soutenir le sevrage tabagique, nous recommandons à la patiente de poursuivre la substitution nicotinique par Nicorette inhalée. Au niveau cardiologique, au vu de la péjoration respiratoire avec développement d'oedèmes des membres inférieurs, une échocardiographie transthoracique est réalisée. Elle retrouve une FEVG dans la norme, sans dilatation des cavités cardiaques. Le traitement de Torasémide est poursuivi en prise unique le matin. Nous recommandons à la patiente de suivre quotidiennement son poids et de consulter son médecin traitant en cas de prise ou de perte rapide de poids, afin d'adapter le traitement diurétique. Sur le plan vitaminique, le laboratoire retrouve une hypovitaminose B9, que nous substituons pour une durée totale de 6 semaines. Une légère hypovitaminose B12 associée à une macrocytose érythrocytaire est également retrouvée. Nous débutons une substitution, que nous vous proposons de continuer, jusqu'à correction de la formule sanguine. Au niveau antalgique, dans le cadre des douleurs chroniques de la patiente, nous poursuivons le traitement habituel de la patiente. Nous vous proposons cependant de le réévaluer, afin d'éviter l'emploi combiné de plusieurs opioïdes différents. À noter que l'intertrigo de la patiente se péjore au cours de l'hospitalisation. Nous réintroduisons le traitement par crème Triderm pour une durée de 2 semaines. Au vu d'une amélioration clinique et biologique, la patiente retourne à domicile le 14.02.2019. Elle continuera la réadaptation respiratoire en ambulatoire à Billens, à raison de 2 séances par semaine. Mme. Y, 52 ans, a été admise aux soins intensifs pour la 3ème exacerbation de sa BPCO en 2 mois. La patiente, connue pour une BPCO de stade III avec oxygène à domicile et tabagisme actif a été hospitalisée en médecine interne à Fribourg du 07.02. au 14.02.2019 pour une exacerbation de BPCO. En raison d'une dyspnée aiguë depuis 24h, elle reconsulte les urgences le 25.02.2019. Une nouvelle exacerbation de BPCO avec insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë a été constatée. L'état clinique s'est rapidement amélioré avec un soutien respiratoire par ventilation non invasive, une corticothérapie systémique et des aérosols bronchodilatateurs. En l'absence d'évidence d'infection, l'antibiothérapie empirique a été stoppée. Le traitement sera poursuivi en associant de la physiothérapie respiratoire et un soutien par séances d'hypnose que la patiente pratique habituellement en ambulatoire. Le facteur précipitant de cette 3ème exacerbation de BPCO en 2 mois est incertain. La patiente consomme du tabac chauffé depuis environ 2 mois également. Une discussion à ce sujet avec la patiente, le pneumologue et le médecin traitant pourrait être indiquée. L'hyperlactatémie transitoire est secondaire à la prise de béta-2-mimétiques, à l'alcalose respiratoire et légère hyperglycémie. La patiente a été transférée le 25.02.2019 dans le service de médecine interne. Mme. Y présente des douleurs chroniques de la hanche gauche en péjoration depuis les 2 derniers mois. Elle souffre d'une métallose sur une prothèse ASR métal-métal connue depuis 2012. Dans le bilan radiologique du 08.02.2019, on note une éventuelle zone de lyse dans la partie craniale du cotyle. Je propose, dans un premier temps, de compléter le bilan par un CT-Scan de la hanche gauche. Je demande également une prise de sang avec formule sanguine complète, CRP, VS. Je reverrai la patiente après le scanner pour discuter des résultats et de la suite du traitement. Mme. Y, patiente de 64 ans, connue pour un syndrome métabolique ainsi qu'un adénocarcinome de l'utérus (ED 10/2018), est amenée en ambulance suite à un malaise avec chute à domicile. Hospitalisée dernièrement pour un suivi oncologique, elle aurait chuté la veille après une journée de traitement par brachythérapie à Berne. Elle rapporte une sensation de malaise avec TC, puis PC et AC. Elle dit être restée un bon moment au sol et avoir pu appeler une voisine par la suite. De plus, elle mentionne des douleurs dorsales à la mobilisation. Au scanner, plusieurs embolies pulmonaires segmentaires du lobe supérieur droit sont découvertes. Une anticoagulation est introduite avec héparine continue, après exclusion d'un saignement intracrânien. Nous effectuons un relais par de l'enoxaparine puis du Xarelto. Sur le plan musculo-squelettique, un scanner puis une radiographie montrent un tassement au niveau lombaire, probablement causé par la chute. Une antalgie par plusieurs paliers est initiée et la patiente se mobilise progressivement à l'aide de cannes en physiothérapie. L'origine de la syncope nous semble plutôt être d'origine orthostatique (DD sur hypoglycémie, au vu d'une journée éprouvante de traitements oncologiques à Berne, narcose complète, longue durée à jeûn). Un Schellong serait à effectuer à distance des douleurs aiguës. Lors d'un colloque en compagnie de l'assistante sociale de la patiente, de Mme. Y elle-même ainsi que des soins à domicile (représentés par l'infirmière de liaison), nous convenons d'un transfert à l'UATO pour évaluation avant un retour à domicile, au vu de l'affaiblissement de la patiente après ses séances de radiochimiothérapie. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement le 06.02.2019 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, patiente de 41 ans connue pour une sclérose en plaques diagnostiquée en 1999 (suivi à l'Inselspital), est hospitalisée dans un contexte de crise d'épilepsie avec phénomène de Todd. La patiente est retrouvée aux WC dans son foyer avec un hémisyndrome facio-brachio-crural gauche. À l'arrivée des ambulanciers, elle présente des mouvements cloniques, avec une déviation du regard vers la gauche initialement, puis vers la droite. L'hémisyndrome gauche ainsi que les mouvements tonico-cloniques se résolvent avec administration de Dormicum intra-veineux et charge de Keppra 500 mg. À noter qu'un sevrage progressif de Keppra de 1000 mg/jour à 250 mg/jour aurait été entamé progressivement avec relais par Lamotrigine, en raison d'une agressivité. L'anamnèse auprès de la patiente est limitée, elle présente une écholalie, connue selon le personnel. Elle se plaint de céphalées frontales pulsatiles, douleurs qu'elle dit être habituelles. Un CT Time is Brain ne montre pas de lésion ischémique ou hémorragique, mais une asymétrie de perfusion parlant en faveur d'une origine épileptique. Après avis neurologique, la patiente est hospitalisée avec adaptation de son traitement anti-épileptique. Le bilan est complété avec un EEG montrant un foyer résiduel au niveau fronto-temporal droit. Un taux de Lamotrigine revient dans les limites basses et nous augmentons la dose à 200 mg 2x/jour. Après cette adaptation, un second EEG de contrôle retrouve le foyer résiduel droit mais de moindre intensité.Les neurologues (Dr. X) proposent de doser un taux de lamotrigine à environ 10 jours puis réévaluer l'indication à un nouvel EEG et la poursuite du Keppra. Sur le plan urinaire, la patiente est sondée 2x/jour à la Villa Lavande pour des infections urinaires à répétition. Un Bladder-scan pendant le séjour montre une vessie pleine avec plus de 1000 ml. Les sondages sont poursuivis et seront à réévaluer à distance. Mme. Y peut rentrer à la Villa Lavande le 28.02.2019. Mme. Y, patiente de 79 ans, connue pour un asthme bronchique, un carcinome invasif du sein sous hormonothérapie ainsi qu'un lymphome lymphocytaire à cellules B, est hospitalisée le 06.02.2019 dans le contexte d'une décompensation de son asthme avec une suspicion de BPCO sous-jacente. La patiente rapporte un syndrome grippal depuis le 04.02.2019, pour lequel elle consulte son médecin traitant qui initie une antibiothérapie par Céfuroxime et un traitement de Prednisone. En raison d'une aggravation de la dyspnée et d'une toux en péjoration, la patiente se présente aux urgences. Sur le plan pneumologique, au vu de la détresse respiratoire de la patiente, nous initions une oxygénothérapie, des inhalations de Ventolin et d'Atrovent et un traitement de Prednisone est majoré à 40 mg pour une durée totale de 5 jours. Un frottis de grippe revient négatif pour Influenza A et B, mais positif pour un RSV, qui pourrait expliquer la décompensation respiratoire ainsi que sa lente rémission. En raison de l'asthme connu nous introduisons un traitement par Vannair (2 push 3x/jour) sur avis pneumologique, qui est à poursuivre. Nous vous proposons cependant de réaliser, à distance de l'épisode aigu actuel, des fonctions pulmonaires, afin de déterminer la possible présence et, le cas échéant, la sévérité d'une BPCO sous-jacente. Au niveau oncologique, la patiente est suivie par le Dr. X pour un carcinome invasif du sein, traité par Létrozole et un lymphome lymphocytaire à cellules B ne nécessitant pas de thérapie mais un suivi au 3 mois de la formule sanguine. Le compte des leucocytes est variable durant l'hospitalisation, avec un maximum à 47 G/l, valeur semblable à celle qui était retrouvée lors du dernier contrôle chez son oncologue en octobre 2018. De plus, un nodule pulmonaire est suivi par contrôles radiologiques réguliers, également par son oncologue. Au vu d'une amélioration clinique et biologique, la patiente rentre à domicile le 20.02.2019 en attente d'une réadaptation respiratoire à Billens, qui est prévue pour la suite et pour laquelle la patiente sera convoquée en ambulatoire. Les fonctions pulmonaires complètes peuvent éventuellement être réalisées lors de cette réadaptation. Mme. Y est une patiente de 73 ans, connue pour un adénocarcinome de l'endomètre accouché et traité en 2017, un goitre multinodulaire euthyroïdien opéré et actuellement substitué, et un syndrome métabolique avec une obésité morbide, un diabète de type II insulino-requérant, une hypercholestérolémie et une hypertension artérielle. La patiente est également connue pour des douleurs lombaires basses chroniques. Votre patiente se présente aux urgences de notre institution pour péjoration des douleurs lombaires basses connues, non déficitaire, irradiant aux membres inférieurs, préférentiellement à droit et jusqu'au creux poplité. La douleur fait suite à un faux mouvement lors d'une mise en place de table et s'accompagne d'une impotence fonctionnelle à la marche. À noter que dans le contexte de la surveillance radiologique de l'adénocarcinome endométrial, avec un CT-Scan abdominal une discopathie L4/L5 et L5/S1 est mise en évidence le 30.01.2019. Le bilan initial des urgences est sans particularité. Et sur avis de nos collègues du team spine, la patiente est hospitalisée pour prise en charge conservatrice de la lombosciatalgie non déficitaire hyperalgique. Une antalgie est efficace et obtenue avec du Voltaren puis avec de l'Oxycontin et du Sirdalud. Nous vous laissons le soin de poursuivre l'adaptation de l'antalgie. D'un point de vue de la réadaptation, la patiente montre durant l'hospitalisation une amélioration de son autonomie, passant d'une impotence fonctionnelle totale à la marche qui se fait actuellement avec rollator. En vue du retour à domicile, nous retenons l'indication d'une réadaptation stationnaire. Concernant son obésité, la patiente est motivée pour une prise en charge globale. Un rendez-vous en chirurgie plastique est prévu dès la fin du séjour en réadaptation, en vue de discuter d'une prise en charge chirurgicale du tablier graisseux contribuant à la limitation de l'autonomie. Sur le plan oncologique, une consultation de suivi est prévue le 28.02.2019. Nous laissons le soin à nos collègues de l'HFR-Billens de maintenir ou déplacer le rendez-vous en accord avec l'oncologue traitant. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, patiente de 88 ans connue pour un prurigo chronique excorié généralisé sur eczéma d'origine atopique intrinsèque, un diabète de type 2 insulino-requérant et une insuffisance veineuse des membres inférieurs, nous est adressée par le service de médecine de l'HFR Riaz pour antalgie et réadaptation après une chute avec traumatisme crânien, contusion de la hanche droite et contusion de l'épaule droite. À son arrivée dans notre service après un séjour en médecine HFR Riaz du 22.01.2019 au 07.02.2019, la patiente se trouve en bon état général. Sur le plan général, Mme. Y décrit une faiblesse depuis quelques mois, accompagnée d'une réduction de l'appétit et d'une perte pondérale de quelques kilos. La patiente ne décrit aucune plainte sur le plan cardio-respiratoire, digestif (hormis la baisse de l'appétit) ni urinaire. Cette dernière est continente sur le plan urinaire et fécal. Notons encore des troubles de l'endormissement et une nycturie à deux épisodes. Les status d'entrée dans notre service, au niveau cardiovasculaire et pulmonaire, sont dans la norme. L'abdomen est souple et indolore. Sur le plan ostéo-articulaire, notons une douleur à la palpation de la hanche droite, sans limitation à la mobilisation ainsi que des douleurs à la mobilité de l'épaule droite avec limitation lors de l'abduction et la flexion. Au niveau cutané, remarquons une éruption maculaire diffuse sur tout le corps, chronique ainsi qu'un ulcère fibrino-purulent au-dessus de la malléole interne gauche, sans plaie ni rougeur au talon. Sur le plan social, Mme. Y vit seule dans un appartement avec 7 marches d'accès. Elle bénéficie de soins à domicile 3x/semaine et marche avec un tintébin. Dans notre service, le bilan biologique met en évidence une carence en vitamine D que nous substituons. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs à distance. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances dans la norme avec un MMSE à 29/30. Le test de la montre est refusé par la patiente. L'échelle gériatrique de dépression est à 0/15.Sur le plan médicamenteux, vu la persistance d'une hyponatrémie malgré la restriction hydrique, nous introduisons une substitution avec des comprimés de NaCl 3x/j, qui est à garder à la sortie. L'antalgie est bien contrôlée grâce à l'augmentation du Tramal 100mg 2x/j. Durant son séjour, la patiente effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 50 mètres. Les escaliers ne sont pas testés. La mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 84/126 par rapport à 73/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas réalisé. La patiente bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui met en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence, un état général en baisse et des douleurs. Cette malnutrition est démontrée par un NRS à 3/7 et une couverture nutritionnelle à 62% des besoins énergétiques et 41% des besoins protéiques. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Finalement, Mme. Y peut regagner son domicile le 14.02.2019 avec activation des soins à domicile. Mme. Y est une patiente de 83 ans, qui est hospitalisée en électif pour pose de Pacemaker le 11.02.2019, en raison d'une fibrillation auriculaire à conduction lente. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution clinique est favorable. La radiographie de contrôle ne montre pas de signe de pneumothorax, ni autres complications. Le positionnement du device implanté est correct et un contrôle du Pacemaker est réalisé par le Dr. X. Mme. Y rentre à domicile le 12.02.2019 en très bon état de santé général. Un contrôle du Pacemaker à distance chez le Dr. X est prévu pour la suite. Mme. Y, 91 ans, est hospitalisée pour ablation du boîtier de pacemaker au vu d'une suspicion de surinfection. La patiente est connue pour une maladie du sinus et une fibrillation auriculaire intermittente, elle bénéficie d'un pacemaker depuis plusieurs années. Depuis deux semaines, le boîtier affleure à la peau. L'évolution est défavorable sous traitement par Co-Amoxicilline orale. Le boîtier du pacemaker et les câbles sont retirés le 28.01.2019, sans remplacement d'office du dispositif. Dans les suites immédiates de cette intervention, elle développe un important hématome sous-cutané sous-claviculaire droit motivant une reprise avec hémostase chirurgicale. Mme. Y est admise aux soins intensifs le 28.01.2019 pour surveillance rythmique. Le traitement habituel par bétabloqueurs n'est pas reconduit et l'anticoagulation thérapeutique par Xarelto est suspendue. Dans l'intervalle, seule une anticoagulation prophylactique par héparine est introduite. Une antibiothérapie intraveineuse est introduite. Au vu d'une évolution simple sans nouvelle complication hémorragique ni bradycardie significative, la patiente est transmise à l'étage. Sur le plan infectiologique, les cultures du boîtier reviennent positives pour Staphylocoque Epidermidis. Nous poursuivons l'antibiothérapie sur 5 jours. Les infectiologues proposent un suivi de la plaie et de réaliser des hémocultures en cas d'état fébrile pour exclure une endocardite. Le Dr. X ne propose pas de contrôle d'office. Il se tient à disposition si la patiente devait présenter des syncopes. Au niveau de l'hématome sous-cutané dans la loge du pacemaker, nous observons une stabilisation de sa taille à environ 10 x 10 cm. La cicatrice est propre. Un suivi biologique montre une stabilisation de l'hémoglobine autour de 70 G/l. L'anémie est mise sur le compte de l'hématome et d'une carence en acide folique que nous substituons. Nous réintroduisons le Xarelto. Nous proposons un suivi bio-clinique en ambulatoire et une ablation des fils dans 2 semaines chez le médecin traitant. Au niveau tensionnel, nous observons des profils élevés. Nous poursuivons le traitement anti-hypertenseur en place et ajoutons l'Amlodipine. Mme. Y rentre au home le 01.02.2019. Mme. Y présente une lésion isolée du ligament collatéral interne grade II pour laquelle je propose un traitement conservateur. Prescription d'une genouillère articulée que la patiente portera pour une durée de 6 semaines. Rééducation en physiothérapie pour stabilisation du genou. Concernant son travail, la patiente peut effectuer du Home Office. Pas d'arrêt de travail, mais incapacité de conduire sa voiture du 05.02. au 24.02.2019. Je reverrai la patiente dans 6 semaines pour une réévaluation clinique. Prochain rendez-vous : 20.03.2019. Mme. Y est une patiente de 36 ans, chez qui un bilan d'une plégie du membre inférieur droit met en évidence une suspicion de méningiome para-sagittal central bilatérale, raison pour laquelle elle bénéficie d'une craniotomie avec exérèse de la masse le 25.01.2019. En intra-opératoire, la lésion se montre très adhérente au cortex et très vascularisée, avec saignement diffus nécessitant une transfusion de 8 culots érythrocytaires. Par la suite, elle est admise aux soins intensifs pour une surveillance post-opératoire puis retransférée à l'étage le 26.01.2019. D'un point de vue neurologique, à noter une amélioration de la parésie du membre inférieur droit par rapport à la situation préopératoire, avec un M4 du iliopsoas et du quadriceps ainsi qu'un M1 au niveau du pied. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mme. Y peut être transférée à Billens le 01.02.2019 afin de pouvoir bénéficier d'une réadaptation neurologique. Elle sera revue pour contrôle à la consultation de neurochirurgie le 14.03.2019 et par nos collègues neurologues le 02.04.2019. Mme. Y, patiente de 65 ans, connue pour une insuffisance rénale terminale sur néphrite interstitielle dialysée, une anorexie mentale et des bronchites/pneumonies à répétition, nous est référée par nos collègues de la dialyse le 06.02.2019, après mise en évidence d'un état fébrile à 39,2°C. Après une nuit de surveillance aux urgences, la patiente est transférée au service de médecine interne pour la suite de sa prise en charge. La patiente rapporte une baisse de l'état général depuis environ une semaine, avec une toux chronique en péjoration, devenue grasse avec des crachats blanchâtres puis verdâtres depuis 3 jours, sans présence de sang. Un état fébrile à 39°C à domicile est rapporté. La patiente rapporte également des douleurs respiro-dépendantes importantes et nouvelles au niveau des arcs costaux postérieurs. Sur le plan infectiologique, un traitement par Vancomycine et Céfépime est initié en dialyse le 06.02.2019 puis remplacé aux urgences par de la Clarithromycine et du Méropénème. La Clarithromycine est arrêtée le 10.02.2019 au vu de l'absence d'antigènes urinaires contre Legionnella. Les hémocultures prélevées reviennent toutes négatives. A la suite d'un consilium avec les infectiologues, l'antibiothérapie est adaptée et nous remplaçons le Méropénème par de la Ceftriaxone. Une radiographie du thorax retrouve un important foyer aux lobes inférieur et moyen à droite. Un CT thoracique réalisé montre une atélectasie majeure des lobes moyen et inférieur à droite avec un phénomène d'hépatisation du parenchyme pulmonaire. Une lame d'épanchement pleural est aussi retrouvée. A l'ultrason, cet épanchement n'est cependant pas retrouvé. L'oxygénothérapie débutée le 06.02.2019 peut être sevrée le 08.02.2019. A noter que la patiente présente un nouvel état fébrile le 11.02.2019. Des hémocultures sont prélevées mais ne sont pas contributives, raison pour laquelle nous poursuivons le traitement antibiotique inchangé jusqu'au 15.02.2019.Sur le plan néphrologique, la patiente bénéficie des dialyses habituelles durant son séjour, sans complications. Au vu d'une évolution clinique et biologique favorable, la patiente rentre à domicile le 15.02.2018, après sa dialyse et sa dernière dose d'antibiotique. Mme. Y, connue pour une connectivité indéterminée sous Plaquenil, présente depuis le 21.02.2019 des céphalées frontales bilatérales de type serrement avec photo/phonophobie associée, sans autre symptôme neurologique ne cédant pas à la prise d'antalgie, motivant sa consultation le 26.02.2019. Les céphalées sont connues de la patiente, mais cèdent habituellement à l'antalgie par AINS/paracétamol. De plus, elle rapporte des vertiges de type tangage dès qu'elle est en position verticale, avec nausées sans vomissement non position dépendant. Le CT cérébral injecté ainsi que l'IRM permettent d'exclure une cause vasculaire ou néoplasique, et une ponction lombaire réalisée le 26.02.2019 ne montre pas de signes d'infection. Une électrophorèse de protéines du LCR demandée lors de la consultation au service des urgences est toujours en cours. Un test de Schellong ne met pas en évidence d'hypotension orthostatique ; par contre, un différentielle de pression entre la position couchée et debout de 50 mmHg avec symptômes associés (vertiges, céphalées) évoque une éventuelle tachycardie orthostatique. Un bilan ORL met en évidence des tests oto-neurologiques évocateurs d'une migraine vestibulaire ou d'une possible atteinte du nerf vestibulaire inférieur droit. Sur proposition du Dr. X, nous introduisons un traitement d'épreuve par Irfen 600 mg ainsi que de la physiothérapie vestibulaire. Mme. Y contactera le service ORL dans 2 jours et dans 7 jours afin d'évaluer la réponse au traitement. De même, elle sera revue dans 6 semaines par le service d'ORL, après 9 séances de physiothérapie. À l'issue de nos investigations, le diagnostic différentiel reste ouvert, avec au premier plan une probable atteinte vestibulaire, mais possiblement une composante de tachycardie orthostatique. En cas de non-résolution de la symptomatologie malgré le traitement d'épreuve proposé par nos confrères ORL, nous proposons de répéter le test de Schellong afin d'évaluer l'indication à un traitement bêtabloqueur. De même, il n'est pas exclu que les céphalées soient en partie dues au traitement par Plaquenil. Nous proposons, en cas de persistance, une fenêtre thérapeutique sans Plaquenil. Au vu du diagnostic de connectivite mixte, nous parcourons le dossier de rhumatologie de la patiente. Nous constatons l'absence de critères diagnostiques ACR pour une MCTD. De plus, l'absence d'anticorps anti-U1-RNP, hypo-complémentémie C4 en 2016 et la négativité de ENA évoquent actuellement une polyarthralgie sur probable connectivite indéterminée. Les C4 ainsi que l'électrophorèse des protéines sont dans la norme. Nous effectuons une nouvelle mesure des FAN que nous proposons à son rhumatologue traitant de pister. De même, nous constatons une neuropathie périphérique avec une pallesthésie à 6/8 en bimalléolaire. Le bilan vitaminique (B12, folate) et l'électrophorèse des protéines sont dans la norme. Les résultats des sérologies pour la syphilis ne sont en attente au moment de la sortie et seront envoyés au médecin traitant. Enfin, nous réitérons les tests thyroïdiens. Nous constatons une TSh et une T4 dans la norme. Nous réalisons des anticorps anti-thyroperoxydase, dont les résultats seront envoyés au rhumatologue et au médecin traitant. Mme. Y rentre à domicile le 28.02.2019 avec un congé maladie de 2 semaines. Mme. Y est une patiente de 44 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs en hypochondre droit accompagnées de vomissements. À l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité en hypochondre droit ainsi qu'un signe de Murphy positif. Le diagnostic de cholécystite est confirmé par ultrason, raison pour laquelle nous procédons à une cholécystectomie en urgence le 18.02.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 21.02.2019. Elle sera revue à la consultation des chefs de clinique pour un contrôle le 25.02.2019. Mme. Y, 83 ans, suivie par le Dr. X pour un carcinome neuroendocrine mammaire avec métastases osseuses (iliaque gauche et costale droite), est hospitalisée pour des douleurs lombaires gauches limitant sa mobilité à domicile. La patiente rapporte des douleurs apparues il y a 48 heures, atraumatiques, localisées en para-vertébrale lombaire bilatérale et dans la fesse gauche, irradiant dans le membre inférieur lors de la charge, sans déficit neurologique. En parallèle, la patiente décrit une baisse de l'état général depuis son hospitalisation en janvier pour une fracture pathologique de l'humérus droit traitée par ostéosynthèse. Nous expliquons cette baisse de l'état général par la maladie oncologique diagnostiquée le 17.01.2019 et par les douleurs dorsales en lien avec les métastases osseuses au niveau iliaque gauche. Nous adaptons l'antalgie avec de l'Irfen puis de l'Oxycontin. De la physiothérapie de mobilisation est réalisée. Un suivi nutritionnel est mis en place. La patiente montre une lente évolution clinique avec une majoration progressive de l'antalgie par Oxycontin. Elle reste encore trop faible pour un retour à domicile, ce pourquoi nous proposons une réadaptation gériatrique. Au niveau oncologique, le Dr. X est averti de l'hospitalisation et continue de suivre la patiente. Au niveau tensionnel, nous remarquons des profils élevés. Nous majorons l'Irbesartan. Avant tout autre changement de traitement, il sera nécessaire de contrôler optimalement les douleurs. La patiente est reclassée en attente de réadaptation gériatrique à Riaz. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR Fribourg, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement, et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, âgée de 62 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz dans le cadre d'un déconditionnement physique suite à une baisse de l'état général dans un contexte de perte de poids et de troubles psychiatriques d'origine indéterminée. Sur le plan social, la patiente vit seule à domicile. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Elle est orientée et collaborante. Elle signale des douleurs diffuses qu'elle attribue à sa polyarthrose, majeure au niveau lombaire. Elle dit être épuisée, n'avoir plus de force pour vivre. Elle présente un sentiment de désespoir et elle n'imagine pas pouvoir être capable de faire de la physiothérapie ou de regagner des forces. Elle nous signale une asthénie importante, liée aussi à la perte de poids d'environ 4 kg. Le statut cardio-pulmonaire et abdominal est sans particularités. Pas d'OMI. Au vu de la baisse de moral de Mme. Y, nous demandons un consilium psychiatrique. Selon l'avis de la Dr. X (psychiatre de liaison), la symptomatologie psychiatrique et la problématique psycho-sociale présentées par la patiente justifieraient un séjour en milieu psychiatrique, mais la patiente refuse catégoriquement un retour à Marsens. Le projet de réhabilitation débute difficilement en raison de l'anxiété de la patiente, raison pour laquelle du Remeron 15 mg/j est introduit puis augmenté à 30 mg après une semaine. Nous arrêtons le Zolpidem et introduisons de l'Imovane 1/2 cp de 7.5 mg. Temesta en réserve en cas de crise d'angoisse ou d'oppression thoracique, toujours selon le consilium. La patiente nous demande un retour au Zolpidem, demande à laquelle nous accédons.Sur le plan nutritionnel, Mme. Y présente une malnutrition protéino-énergétique modérée (NRS à 4, BMI à 17.2, une perte de 9% de poids en 2-3 mois). Ses besoins ont été couverts durant l'hospitalisation grâce aux adaptations des repas et à l'introduction de 1 SNO/j. A sa sortie, nous lui avons expliqué les principes de l'alimentation enrichie pour qu'elle maintienne son poids, voire en reprenne. Nous avons également commandé des SNO pour le domicile. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Elle peut monter et descendre les escaliers. Après 10 jours d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 14.02.2019, en bon état général mais avec un état psychique fragile. Devant cette optique et devant le refus constant de la patiente à une hospitalisation en milieu psychiatrique, nous mettons en place un suivi au centre ambulatoire du RFSM à Bulle où Mme. Y a rendez-vous le 05.03.2019. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y a eu un nouvel épisode de luxation de la rotule du genou droit. Je lui explique que la dysplasie de la trochlée chez elle est peu importante et que ceci ne nécessite pas de prise en charge chirurgicale. Je lui propose de refaire les exercices pour tonifier le vaste médial comme elle avait déjà appris lors de la dernière physiothérapie. Je n'ai pas d'autre proposition thérapeutique. De ma part, fin de traitement. Un contrôle n'est pas prévu. La patiente me recontactera en cas de besoin. Mme. Y, connue pour une maladie de Scheuermann ainsi que des troubles psychiatriques, est adressée aux urgences le 08.02.2019 pour prise en charge d'un foyer pulmonaire. En effet, la patiente présente une toux sèche depuis 3 jours avec état fébrile. Un laboratoire effectué ce jour par Dr. X, met en évidence des leucocytes à 17,3 G/l et une CRP à 64 mg/l. A noter également une patiente tachycarde à 123/min. Mme. Y, porteuse également d'un cystofix, aurait consulté un médecin le 06.02.2019 pour une symptomatologie urinaire et une antibiothérapie par nitrofurantoïne aurait été débutée. A l'admission aux urgences, Mme. Y est tachycarde à 112/min et fébrile à 38.8°C. Tension artérielle à 125/87 mmHg et saturation à 95% à l'air ambiant. Elle est en état général conservé. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés. Pas de souffle audible, pas d'oedème des membres inférieurs, pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Les pouls périphériques sont palpés. Au niveau respiratoire, présence de râles crépitants basaux droits. Le status digestif et uro-génital est sans particularité. Le laboratoire met en évidence une CRP à 111 mg/l et une leucocytose à 23.1 G/l avec déviation gauche, ainsi qu'une hyponatrémie isotonique à 130 mmol/l. La radiographie du thorax met en évidence un foyer pulmonaire basal droit, d'aspect suspect. Nous complétons le bilan par un CT scan thoracique afin d'éliminer un processus tumoral. L'examen parle en faveur d'un foyer infectieux et une radiographie de thorax de contrôle montre une régression du foyer. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv et Klacid 500 mg per os 2x/j et la patiente est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Sous antibiothérapie, l'évolution clinique et biologique est favorable. Les hémocultures et la recherche d'antigènes reviennent négatives. L'antibiothérapie est relayée per os par Co-Amoxi dès le 13.02.2019, à poursuivre jusqu'au 15.02.2019. A noter que pendant l'hospitalisation, une substitution tabagique par patch de nicotine (21 mg) associé à des cpr de 2 mg à la demande est instaurée. A la sortie, la patiente souhaite poursuivre son sevrage tabagique et nous lui prescrivons le traitement substitutif. Mme. Y peut regagner son domicile le 15.02.2019. Mme. Y présente une arthrose fémoro-patellaire avancée due à une configuration de patella alta en regard de son genou droit. Je propose une ponction du genou et une infiltration par cortisone suivies d'un traitement de physiothérapie. La patiente est d'accord. La ponction est prévue pour le 27.03.2019. Mme. Y, connue pour une angiodysplasie gastrique, nous est transférée de l'HFR Fribourg le 13.02.2019 pour suite de prise en charge. En effet, à votre demande, la patiente a bénéficié ce jour à l'HFR Fribourg, en ambulatoire, de la transfusion de 2 culots érythrocytaires en raison d'une anémie ferriprive spoliative sévère. Au vu d'une hémoglobine à 53 g/l au contrôle laboratoire, la patiente est adressée à l'HFR Riaz pour la suite de la prise en charge. A noter qu'une OGD et une colonoscopie sont déjà agendées pour le 28.02.2019 à l'HFR Fribourg. A l'admission aux urgences, Mme. Y rapporte une fatigue depuis 2 semaines, sans notion de malaise ni vertige. Pas de douleur abdominale, nausée ni vomissement. Pas de diarrhée, de constipation, de sang frais dans les selles ni de méléna. Pour rappel, la patiente a été hospitalisée à l'HFR Fribourg du 09 au 12.01.2019 et une OGD effectuée a montré un saignement actif des angiodysplasies. Une coagulation par APC (Argon Plasma Coagulation) a été réalisée avec succès. Selon l'hétéroanamnèse avec son fils le 14.02.2019, la patiente relate une perte de sang dans les urines mais pas de sang dans les selles. Au status d'entrée, la patiente est légèrement hypertendue à 164/79 mmHg, normocarde à 89/min, eupnéique à 20/min et sature à 97% à l'air ambiant. Au niveau digestif, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en intensité. L'abdomen est souple et douloureux à la palpation épigastrique sans défense ni détente. Sur le plan urogénital, les loges rénales sont souples et indolores. Au toucher rectal, nous ne mettons pas en évidence d'hémorroïdes, tonus sphinctérien dans la norme, pas de masse palpable, pas de sang au doigtier hormis quelques traces de selles. Au status cardiovasculaire, notons un souffle cardiaque systolique aortique à 2/6, le reste est sans particularité. Le status respiratoire est dans la norme. Mme. Y bénéficie de la mise en place d'une pompe à Pantoprazol en continu à 8 mg/h. Un contrôle de l'hémoglobine après avoir reçu deux culots érythrocytaires est à 81 g/l. La patiente est gardée en lit d'observation aux urgences. Le 14.02.2018, en raison d'une hémoglobine à 73 g/l, Mme. Y est hospitalisée à l'étage de médecine et elle bénéficie de la transfusion d'un 3ème culot érythrocytaire avec une hémoglobine qui remonte à 93 g/l. La ferritine est abaissée à 10 ug/l et nous vous laissons le soin d'organiser une injection de Ferinject. La recherche de H. pylori est négative. Un hémofecatest revient négatif et le sédiment urinaire est dans la norme. En raison de la notion d'hématurie, nous agendons une consultation gynécologique à l'HFR Fribourg pour le 23.02.2019. Le 15.02.2019, Mme. Y rentre à domicile accompagnée par son fils. Mme. Y, patiente de 67 ans, est admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale dans le cadre d'une décompensation de BPCO non-stadée. La patiente, connue pour un tabagisme actif et déjà traitée par Spiriva, présente une décompensation de BPCO non-stadée avec 3 critères d'Anthonisen positifs et une composante spastique importante. Après une première consultation aux urgences de Tavel le 18.02.2019, elle rentre à domicile suite à un seul traitement par aérosols bronchodilatateurs. Au vu de la persistance des symptômes, la patiente reconsulte les urgences le 20.02.2019. Malgré l'administration d'aérosols bronchodilatateurs, les contrôles gazométriques montrent une hypercapnie croissante motivant son admission aux soins intensifs pour un soutien ventilatoire par VNI.Au niveau thérapeutique, un traitement par Prednisone et aérosols bronchodilatateurs est poursuivi. L'évolution est favorable sur le plan respiratoire et la VNI est rapidement sevrée. Au niveau diagnostic, un frottis de grippe est négatif chez une patiente apyrétique et sans syndrome inflammatoire biologique. L'hypothèse d'une exacerbation de BPCO non-stadée, probablement décompensée par une virose, est avancée. Un avis pneumologique formel avec éventuelles fonctions pulmonaires sera à prévoir pour le reste de l'hospitalisation. Mme. Y, patiente de 72 ans connue pour une cardiopathie hypertensive et valvulaire, nous est transférée de l'Hôpital Cantonal de Fribourg suite à une pose de prothèse totale de la hanche gauche sur une arthrose sévère de la hanche. Mme. Y habite avec son mari dans une ferme au rez-de-chaussée. Elle bénéficie de l'aide de ses 2 filles et son fils. À l'admission, Mme. Y n'a pas de plainte spontanée. Les paramètres vitaux sont alignés. Le bilan biologique retrouve une hypovitaminose D, une hyponatrémie modérée sur traitement diurétique. Concernant l'hypovitaminose, nous débutons une substitution orale en vitamine D. L'hyponatrémie, asymptomatique, est probablement chronique avec des valeurs des bases probablement dans la norme. Nous vous conseillons un contrôle à 3 mois et n'instaurons pour le moment pas de traitement. Au cours de l'hospitalisation, l'évolution de la plaie est favorable. Les agrafes sont retirées le 28.1.2019, laissant une plaie propre nécessitant un pansement simple à changer 3 fois par semaine via l'aide à domicile. Un contrôle chez l'orthopédiste aura lieu dans la dernière semaine de février. Nous débutons une réadaptation musculo-squelettique avec des séances de physiothérapie et d'ergothérapie. À l'entrée, il subsiste une diminution importante de la mobilité avec un risque de chute augmenté. Mme. Y fait les transferts seule (MIF 6). Elle marche seule à l'aide de cannes (MIF 6) pour un périmètre de marche d'environ 120 m. Elle arrive à monter 18 marches avec 1 canne (MIF 5). Le Tinetti est mesuré à 17/28 avec deux cannes. À la sortie, il subsiste une discrète diminution de la mobilité avec un risque de chute éventuelle. Mme. Y fait les transferts seule (MIF 6). Elle marche à l'aide de cannes (MIF 6), avec une distance de marche d'environ 200 mètres. Elle arrive à monter 18 marches d'escaliers sous supervision avec une canne (MIF 5). Le Tinetti est mesuré à 17/28 avec un risque de chute augmenté. Il persiste l'indication à des séances de physiothérapie ambulatoire. Mme. Y habite dans une ferme, sur un étage, avec trois marches pour entrer dans la maison. Elle vit avec son mari, une fille vit à côté de chez eux et s'occupe du ménage, de la cuisine, des courses, de la lessive. Mme. Y s'habille seule et peut mettre ses bas avec de l'aide. Les soins du corps, la mobilité (elle n'a pas de voiture). Elle est mariée, a trois enfants et des petits-enfants. De l'aide à domicile (Spitex) est organisée 3 fois par semaine pour les pansements et tous les matins pour la mise de bas de compression. Au vu de l'amélioration clinique, la patiente peut rentrer à domicile le 29.01.2019. Mme. Y consulte les urgences le 15.02.2019 en raison d'une dyspnée depuis 2 à 3 jours, avec toux et expectorations jaunâtres, état fébrile, asthénie et douleurs musculaires. À l'anamnèse, nous ne relevons pas de notion de contage. Patiente tabagique active à 15 UPA. À l'admission aux urgences, la patiente est en état général diminué, avec une dyspnée NYHA IV. À l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique. Notons des râles crépitants diffus bilatéraux. Le reste du statut est non contributif. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 282 mg/l, des LDH à 1020 U/l, bilirubine directe à 9.5 mcmol/l et Gamma GT à 56 U/l. La gazométrie montre pH 7.41 PO2 9.9 kPa sous 2 litres d'oxygène. Nous complétons le bilan par un frottis de grippe qui revient positif pour Influenza A, des hémocultures ainsi qu'une recherche d'antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque qui sont à pister. La radiographie du thorax effectuée chez le médecin traitant montre un infiltrat interstitiel diffus au niveau des 2 champs pulmonaires. Nous retenons une pneumonie interstitielle et prenons l'avis du Dr. X, infectiologue, qui propose un traitement par Rocephin et Klacid pour une pneumonie bactérienne atypique. La patiente est mise en isolement et un traitement par Tamiflu est ajouté pour couvrir une éventuelle pneumonie grippale. Le 16.02.2019, la patiente désature à 74 % sous 4 litres d'oxygène avec un état fébrile à 40.1°C et décrit des douleurs thoraciques respiro-dépendantes et à la palpation superficielle. L'auscultation pulmonaire est similaire à celle de l'entrée. La gazométrie montre pH 7.47 et une PO2 à 9.4 kPa. L'ECG ne montre pas de signe aigu d'ischémie et est superposable au précédent. Nous mettons la patiente sous 6 litres d'oxygène au masque et administrons 1 g de paracétamol IV avec une réponse favorable. Nous effectuons le 17.02.2019 une radiographie de contrôle qui ne montre pas d'évolution favorable. Dans ce contexte, Mme. Y est transférée aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 17.02.2019 pour suite de prise en charge et escale thérapeutique avec la suspicion d'un ARDS débutant. Mme. Y, votre patiente de 41 ans, en bonne santé habituelle et connue pour un tabagisme actif, se présente aux urgences de Riaz en raison de dyspnée en péjoration depuis trois jours associée à une toux grasse, des états fébriles, une asthénie et des douleurs musculaires diffuses. L'anamnèse révèle une notion de contage de son entourage proche. La prise en charge initiale met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 282 mg/l, un frottis de grippe positif pour Influenza A et un infiltrat interstitiel diffus au niveau des deux champs pulmonaires. Le diagnostic d'une pneumonie interstitielle bactérienne atypique est retenu et un traitement par Rocephin et Klacid est initié. La patiente est mise en isolement et un traitement par Tamiflu est ajouté pour couvrir une éventuelle pneumonie grippale. L'hospitalisation à l'HFR-Riaz se complique par une détresse respiratoire aiguë hypoxémique avec une réponse insuffisante à deux séances de ventilation non-invasive. La patiente est alors transférée aux soins intensifs de l'HFR-Fribourg pour la suite de la prise en charge avec notamment la poursuite de la ventilation non invasive du fait de l'hypoxémie avec une légère hypercapnie. L'évolution clinique et biologique est rapidement favorable avec un sevrage ventilatoire après 24 heures, la patiente nécessitant encore une oxygénothérapie en continu. L'antigène urinaire de la légionelle étant négatif, raison pour laquelle, la Clarithromycine est stoppée mais avec poursuite de la Rocéphine pour un total d'une semaine, et le Tamiflu pour cinq jours. La patiente est transférée au service de médecine interne à Fribourg, où nous poursuivons la physiothérapie respiratoire. L'oxygénothérapie est totalement arrêtée le 22.02.2019. Une évaluation de la fonction pulmonaire à distance est indiquée et un rendez-vous de consultation est prévu en pneumologie, la patiente sera convoquée.Par ailleurs, la patiente nous rapporte des céphalées au réveil et des notions d'apnée. Une polysomnographie de dépistage du syndrome d'apnée obstructive du sommeil pourrait être envisagée. La patiente sort le 26.02.2019 pour un retour à domicile sans aide, avec poursuite de la prise en charge habituelle par vos soins. Mme. Y présente donc une rupture partielle du ligament collatéral interne et une distorsion du ligament croisé antérieur du genou droit. Je propose qu'elle continue le port de la genouillère articulée pour une durée totale de 6 semaines. Elle ira faire de la physiothérapie pour la rééducation de son genou. Je la revois dans 6 semaines le 27.03.2019 pour une réévaluation clinique. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mme. Y est hospitalisée le 19.02.2019 dans le contexte d'une pyélonéphrite obstructive. La patiente bénéficie d'une mise en place d'une sonde double J sous cystoscopie et d'un traitement antibiotique intraveineux par Ceftriaxone. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. Mme. Y rentre à domicile le 22.02.2019 en bon état général. Un contrôle clinique est organisé chez le Dr. X pour le 05.03.2019. La double J sera par la suite retirée dans une durée maximale de 2 mois. Mme. Y, connue pour un trouble bipolaire avec un tentamen médicamenteux le 07.01.2019, est amenée aux urgences par sa famille le 13.02.2019 en raison d'une somnolence importante. La patiente aurait consommé 10 cpr de Temesta, 10 cpr de xanax 0.5 mg et un comprimé d'Atarax en raison d'une tristesse autour de sa situation de vie. Formée en assistante en pharmacie, elle est actuellement sans travail. La patiente décrit un ras-le-bol de sa situation. A l'admission aux urgences, la patiente est somnolente. Elle est eupnéique à 20/min, normocarde à 72/min, normotendue à 111/69 mmHg, afébrile à 36,6°C et sature à 99% à l'air ambiant. Sur le plan neurologique, Glasgow à 14/15. Pupilles en myosis bilatéralement mais réactives. Nerfs crâniens dans la norme. Force M5 aux 4 membres. Tonus et sensibilité conservés. Épreuve doigt-nez et talon-genou globalement conservée. Épreuve de Romberg et Marche non testée. Sur le plan cardiovasculaire, B1 et B2 sont bien frappés sans souffle audible. Pas d'œdème des membres inférieurs. Au status respiratoire, le murmure respiratoire est symétrique, sans bruit surajouté. Au niveau digestif, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en intensité. L'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Le laboratoire est aligné. L'ECG met en évidence un bloc atrio-ventriculaire du premier degré, sans signe ischémique ni d'autre trouble rythmique. Nous contactons le Dr. X, psychiatre de garde, qui propose une surveillance en lit d'observation aux urgences puis d'organiser un transfert au RFSM CSH Marsens le lendemain. Le 14.02.2019, la patiente est plus réveillée, avec un Glasgow à 15/15. L'examen somatique est dans la norme et après réévaluation par la Dr. X, psychiatre de liaison, Mme. Y est transférée, sous PAFA, aux RFSM CSH Marsens. Mme. Y, âgée de 84 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une arthroplastie totale de hanche D avec ostéosynthèse du grand trochanter par cerclage suite à une nécrose avasculaire de la tête fémorale D le 10.01.2019. Sur le plan social, la patiente vit seule à domicile. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. Au status pulmonaire, diminution du murmure respiratoire. Pas d'OMI. La cicatrice est calme. La force du MIG est cotée à M4 au quadriceps et au psoas, celle du MID est cotée à M3 au psoas et à M4 au quadriceps. Durant son séjour, une nouvelle oxymétrie nocturne est réalisée dans le contexte de la BPCO stade II selon GOLD et démontre la nécessité de poursuivre l'oxygénothérapie nocturne au débit de 1 l/min. Sur le plan nutritionnel, Mme. Y a été prise en charge pour une dénutrition sévère (NRS 5/7 avec BMI à 18.6 et perte de 12 kg en 2 ans). Durant son séjour, nous avons réintroduit des suppléments nutritifs (SNO) qu'elle avait déjà reçus à domicile en 2015, afin d'améliorer la couverture de ses besoins et favoriser une reprise pondérale. A la sortie, nous avons rappelé les conseils pour une alimentation enrichie et fractionnée ainsi qu'organiser les SNO pour le domicile. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 05.02.2019, en bon état général. Mme. Y, connue pour une hypertension artérielle, est hospitalisée dans un contexte d'aphasie globale. Pour rappel, l'anamnèse révèle une aphasie non fluente caractérisée par un manque de mot présent au réveil le 09.02.2019. Au service des urgences, la patiente présente un NIHSS à 4 points en raison d'une aphasie de type globale. Le CT cérébral ne révèle pas de lésion ischémique aiguë ni d'occlusion vasculaire. La patiente est hospitalisée en lit non monitoré pour une surveillance neurologique suite à une dose de charge d'Aspirine. La surveillance neurologique confirme une régression complète de la symptomatologie en 24h. L'IRM cérébrale ne révèle pas de lésion ischémique aiguë. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne révèle pas d'étiologie structurelle. Nous retenons une origine cardio-embolique sur FA bien anticoagulée avec un DD : origine artério-artérielle sur plaque mixte non sténosante de la carotide interne gauche à son départ. Sur le plan médicamenteux, le traitement de Xarelto 15 mg/jour est repris. Le traitement anti-agrégant d'Aspirine cardio est arrêté devant l'absence d'indication actuelle. Un traitement hypolipémiant est introduit. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Les examens de laboratoire confirment une insuffisance rénale chronique stade III. Le bilan neuropsychologique confirme des troubles exécutifs légers, à noter que la patiente ne conduit pas. Devant l'évolution favorable, Mme. Y regagne son domicile le 12.02.2019 avec un examen neurologique dans la norme. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mme. Y est une patiente de 61 ans connue pour une tachycardie sinusale, une hépatopathie alcoolique ainsi qu'une pneumonie avec épanchement pleural en décembre 2018. Elle nous est transférée depuis l'hôpital d'Hurghada en Égypte après 4 jours de soins intensifs et prise de 4 différents antibiotiques par la REGA pour poursuite de la prise en charge d'une récidive de pneumonie. La patiente évoque une toux sèche persistante sans dyspnée ou hémoptysie. Elle est afébrile mais présente tout de même une saturation d'oxygène diminuée à 93% sous 3 l/min d'oxygène, FR 18/min, les autres paramètres vitaux sont dans la norme. Pas de perte de poids ou sudation nocturne évoqués. Nous auscultons une hypoventilation dans les plages pulmonaires basales droites confirmée à la radiographie thoracique au vu de la réapparition d'un épanchement pleural. L'antibiothérapie à la levofloxacine déjà entamée en Égypte sera poursuivie avec switch sur du Piperacilline/Tazobact au cours de l'hospitalisation sur une augmentation de température à 37.8° le 08.02.19. Nous procédons également à une ponction pleurale d'environ 2 l de liquide avec une analyse chimique révélant une forme mixte entre transsudat et exsudat ainsi qu'une analyse cyto-pathologique toujours en cours. Au vu de l'épanchement pleural récidivant chez cette patiente avec tabagisme actif accumulant 65 PY ainsi qu'une masse suspecte au niveau de la flexura coli sinistra visualisée au CT thoraco-abdominale du 11.12.18, un bilan au PET-CT est effectué montrant aucune évidence de foyer hypermétabolique suspect. Nous conseillons de réévaluer la nécessité d'une spirométrie chez le médecin de famille chez une patiente avec notion de BPCO non investiguée. Ad 1 Une transfusion de 1 culot érythrocytaire est procédée au vu d'une anémie normocytaire normochrome connue avec Hb de 74 g/l. Nous conseillons néanmoins de réévaluer la nécessité d'un consilium hématologique chez le médecin traitant. Après une nette amélioration clinique et des paramètres infectieux en déclin, nous pouvons laisser rentrer la patiente à domicile le 14.2.19. Mme. Y, connue pour une hypertension artérielle traitée, un diabète de type 2 et des troubles cognitifs, est amenée aux urgences en ambulance le 11.01.2019 suite à un malaise ce matin alors qu'elle essayait de se lever de son lit. Elle décrit avoir ressenti une faiblesse des membres inférieurs avec des vertiges. Elle a été retenue par son époux. Pas de notion de perte de connaissance, de traumatisme crânien ni d'amnésie circonstancielle. Pas d'autre plainte ni douleur hormis l'absence de selles depuis le 08.01.2019. À l'hétéro-anamnèse, sa fille nous informe que Mme. Y présenterait une hématurie avec des urines foncées et malodorantes depuis quelques jours ainsi qu'une faiblesse et une inappétence depuis quelques semaines. Pour rappel, la patiente est suivie à l'HFR Fribourg par le Dr. X, pneumologie, pour une lésion pulmonaire suspecte de néoplasie (DD : inflammatoire chronique) avec une biopsie réalisée le 10.07.2018 sans présence des cellules malignes (+ bronchoscopie). Un test de tuberculose revient également négatif. À l'admission aux urgences, Mme. Y est en état général conservé, non léthargique. Tension artérielle 149/75 mmHg, fréquence cardiaque 97/min, patiente afébrile. Au status cardiovasculaire, légers œdèmes des membres inférieurs bilatéraux. À l'auscultation pulmonaire, discrète hypoventilation bibasale. Au status neurologique, pupilles normo-réactives et symétriques. La patiente est orientée dans les 2 modes. Notons un ralentissement psychomoteur, sans trouble des nerfs crâniens ou sensitivomoteurs. L'examen abdominal et urogénital est dans la norme. Le bilan sanguin montre une insuffisance rénale chronique à 111 mcmol/l, une hyponatrémie à 123 mmol/l, un syndrome inflammatoire à une CRP 62 mg/l et une leucocytose à 11.1 g/l ainsi qu'une hémoglobine à 115 g/l. Une osmolalité plasmatique est à 280 mosmol/kg. Le sédiment urinaire montre une microhématurie et leucocyturie ainsi que des nitrites positifs parlant en faveur d'une infection urinaire basse. L'ECG est sans particularité. Nous prélevons un urotube qui revient positif pour un E. Coli et S. Agalactiae sensible à la fosfomycine. Mme. Y est hospitalisée pour baisse de l'état général et troubles électrolytiques avec une hyponatrémie symptomatique à 123 mmol/l (DD : pseudo hyponatrémie, SIADH dans un contexte paranéoplasique). La patiente est hydratée et elle reçoit une dose de Monuril 3 g. Concernant la lésion pulmonaire suspecte de néoplasie, nous contactons le Dr. X, pneumologie, qui nous informe que les investigations n'ont pas été poursuivies. En effet, même s'il s'agit d'une néoplasie, la patiente ne supporterait pas une pneumectomie ni une chimiothérapie. Elle propose d'effectuer une sérologie à la recherche d'échinococcose pulmonaire qui ne montre aucun anticorps spécifique pour Echinococcus spp détectable. Le dernier bilan biologique montre une bonne fonction rénale avec une créatinine à 96 mcmol/l, une correction de la natriémie à 134 mmol/l et l'absence de syndrome inflammatoire. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Y peut regagner son domicile le 17.01.2019. Mme. Y, patiente de 79 ans, connue pour un tabagisme actif, consulte aux urgences par ses propres moyens le 01.02.2019 en raison d'une faiblesse et maladresse du MSD et MID apparues de manière subite. L'angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux complété par une IRM confirme un AVC ischémique aigu dans le centre semi-ovale et dans le gyrus post-central gauche. Sur le plan étiologique, une échocardiographie montre une fonction systolique normale du VG et l'absence de valvulopathie significative. Un examen de Holter sur 72 heures sera effectué en ambulatoire à la recherche active d'un trouble du rythme, en particulier d'une fibrillation auriculaire. Nous avons fait le nécessaire afin que la patiente soit convoquée pour cet examen. Les résultats vous parviendront dès leur interprétation. L'origine de son AVC demeure indéterminée, bien qu'une origine embolique soit suspectée vu l'aspect des lésions ischémiques à l'IRM cérébrale. Sur le plan thérapeutique, Mme. Y a bénéficié d'un traitement par Aspirine cardio en dose de charge puis 100 mg/j. À sa sortie, le traitement par Aspirine est modifié en faveur du Plavix 75 mg 1x/j. Au vu du LDL-cholestérol discrètement élevé dans une optique de prévention secondaire, nous débutons un traitement par Atorvastatine 10 mg 1x/j avec une cible de LDL-cholestérol < 1.8 mmol/L. Le traitement hormonal pour la ménopause par Livial est stoppé, étant contre-indiqué suite à un événement cardio-vasculaire. Nous avons conseillé à la patiente de consulter son gynécologue afin de trouver une alternative non hormonale. Sur le plan biologique, une hypothyroïdie subclinique est mise en évidence que nous vous proposons de recontrôler à 6 semaines, à distance de l'événement aigu. Pour information, à l'IRM cérébrale, il est mis en évidence une anomalie veineuse du développement, sans shunt ni malformation artério-veineuse pour lequel aucun suivi radiologique ou traitement n'est proposé. Si la patiente devait présenter dans le futur un acouphène pulsatile, un bilan complémentaire par artériographie pourrait être envisagé. Le bilan neuropsychologique se révèle normal pour l'âge de la patiente. Le statut neurologique de sortie s'avère dans la norme avec un NIHSS de sortie à 0 point. Au vu de l'excellente évolution, Mme. Y rentre à domicile le 05.02.2019 avec une consultation de contrôle en neurovasculaire à 3 mois. Mme. Y, patiente de 86 ans, institutionnalisée au home des Bonnesfontaines et connue pour une maladie de Parkinson avancée, nous est apportée par l'ambulance le 9.2.19 pour une chute de sa hauteur. Elle a été retrouvée au sol après une vraisemblable chute en allant aux toilettes. À son entrée, la patiente hémodynamiquement stable est algique de la tête aux pieds. L'anamnèse se révèle difficile au vu d'un certain mutisme suite aux troubles cognitifs et au syndrome parkinsonien. Un CT crânien effectué aux urgences ne trouve pas d'hémorragie intracranienne. La radiographie lombaire montre une aggravation d'un tassement préexistant L1 compatible avec la zone de douleur et évoquant une ostéoporose manifeste. Nous hospitalisons la patiente afin d'adapter sa médication analgésique et procédons rapidement à une médication par patch de fentanyl chez une patiente rejetant perpétuellement ses médicaments oraux. Dans ce contexte, une instauration de bisphosphonates pour le traitement de son ostéoporose s'avérera superflue.Après un contrôle efficace de l'analgésie, nous pouvons laisser rentrer la patiente dans son EMS le 16.2.19 en état général fortement amélioré. Mme. Y, connue pour un AVC ischémique sylvien droit d'origine indéterminée avec un hémisyndrome brachio-crural gauche séquellaire en 2017, est hospitalisée dans un contexte d'AVC ischémique sylvien gauche. Pour rappel, Mme. Y est adressée par son médecin traitant devant l'apparition brutale d'une dysarthrie à 9h30 constatée à son EMS le 11.02.2019. Aux urgences, la patiente présente une aphasie non fluente avec un manque du mot sévère, dysarthrie et une parésie faciale complète à droite nouvelle. Le CT cérébral révèle une pénombre frontale à gauche. Il n'y a pas d'occlusion vasculaire précérébrale ni intracrânienne visualisée. Une thrombolyse intraveineuse est administrée à dose standard (58.6 mg). La patiente est hospitalisée en lit monitoré pour une surveillance neurologique. La surveillance neurologique confirme une amélioration clinique avec un NIHSS à 3 points à 24h en lien avec l'hémisyndrome sensitivomoteur brachio-crural gauche séquellaire à l'AVC de 2017. L'IRM cérébrale confirme des lésions ischémiques aiguës au sein du gyrus pré-central gauche et sub-aiguës au sein du gyrus post-central gauche, sans transformation hémorragique. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique révèle une fonction systolique abaissée avec une hypokinésie septale. Il n'y a pas de thrombus intracardiaque visualisé. Nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication à une coronarographie à distance, selon l'état global de la patiente. Un R-Test sur 7 jours est posé, actuellement en cours. Si négatif, nous vous laissons le soin de prévoir un nouveau R-Test sur 7 jours. Sur le plan médicamenteux, le traitement anti-agrégant de Plavix est poursuivi. En vue des antécédents de la patiente avec deux AVC corticaux de taille importante et l'origine cardio-embolique fortement suspectée, nous vous proposons l'introduction d'une anticoagulation thérapeutique par Eliquis 2.5 mg 2x/jour dès le 18.02.2019. Le traitement anti-plaquettaire serait à arrêter. Concernant le traitement hypolipémiant, nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois et d'envisager l'arrêt de l'Atorvastatine en cas de persistance de taux de LDL cholestérol < 1.8 mmol/l. Devant l'évolution favorable, Mme. Y regagne son EMS le 13.02.2019. L'examen neurologique de sortie confirme l'hémisyndrome sensitivomoteur brachio-crural droit séquellaire à l'AVC ischémique de 2017. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mme. Y consulte les urgences le 23.02.2019 en raison de céphalées en casque, sans photophobie et d'une toux. À l'admission, la patiente est normocarde, eupnéique et afébrile. Au vu des examens cliniques et paracliniques, nous retenons le diagnostic de syndrome grippal avec toux, état fébrile et céphalées qui répondent bien à un traitement antalgique simple. Mme. Y est gardée en lit d'observation aux urgences durant la nuit. L'évolution est rapidement favorable et la patiente peut regagner son domicile le 24.02.2019 avec poursuite de l'antalgie. Mme. Y, 78 ans, a été admise en unité Stroke pour un accident vasculaire cérébral ischémique sylvien gauche superficiel d'origine cardio-embolique probable. La patiente est connue pour un antécédent d'accident vasculaire cérébral ischémique sylvien droit en 2017 avec un hémisyndrome moteur facio-brachio-crural gauche à prédominance brachiale séquellaire. Adressée par son médecin traitant en raison de l'apparition brutale d'une dysarthrie en présence de son époux, la patiente est venue par ses propres moyens aux urgences. Le CT cérébral a mis en évidence une zone de pénombre non constituée au niveau du territoire sylvien antérieur gauche. Une lyse intraveineuse a été débutée après 2h30 du début des symptômes. L'évolution neurologique est favorable avec une résolution des troubles de l'élocution et une ptose labiale résiduelle. Une IRM de contrôle à 24h a confirmé des lésions ischémiques aiguës au sein du gyrus pré-central gauche et sub-aiguës au sein du gyrus post-central gauche, ainsi que de multiples lésions parenchymateuses séquellaires fronto-temporo-pariétales droites et occipitales bilatérales, sans transformation hémorragique. Le bilan lipidique et glycémique est dans la norme et le traitement habituel de statine est poursuivi. Un bilan cardiaque par échocardiographie transthoracique et ECG-Holter a été organisé à la recherche d'une éventuelle origine cardio-embolique. La reprise d'une anti-agrégation plaquettaire ou la mise en place d'une anticoagulation thérapeutique sera à évaluer selon le bilan étiologique. Dans l'intervalle, aucun traitement n'a été encore introduit ni poursuivi. Mme. Y, 85 ans, est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour surveillance hémodynamique et antalgie dans le cadre d'un hématome lombaire gauche. En effet, la patiente anticoagulée par Xarelto pour une maladie thrombo-embolique fait une chute mécanique à domicile le 14.01.2019. Le bilan initial montre un hématome lombaire gauche avec présence d'un petit saignement actif. Le suivi de l'hémoglobine montre une diminution jusqu'à 72 g/l motivant la transfusion d'un culot érythrocytaire le 15.01 et le 16.01.2019. Un scanner de contrôle effectué le 16.01.2019 montre une diminution de l'hématome et permet d'exclure un saignement actif. En raison d'une confusion et de céphalées le 15.01.2019, la patiente bénéficie d'un CT cérébral permettant d'exclure une hémorragie intracrânienne. Par contre, celui-ci montre une ectasie du système ventriculaire évoquant le diagnostic d'hydrocéphalie à pression normale. À noter que la patiente est en cours d'investigation cardiologique pour des vertiges avec chutes à répétition. Le Holter effectué en ambulatoire montre uniquement des salves de tachycardie ventriculaire isolées. En vue de chutes à répétition avec une déglobulisation dans le cadre d'un hématome lombaire, ainsi qu'une suspicion d'hydrocéphalie à pression normale, la patiente est transférée à l'HFR-Tavel en gériatrie aiguë le 21.01.2019 pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, 85 ans, nous est transférée depuis le service de chirurgie de l'HFR Fribourg pour la suite de prise en charge post hématome lombaire gauche. À son entrée, la patiente se plaint d'une douleur latéro-thoracique respiro-dépendante associée à des douleurs paravertébrales. La patiente déclare avoir une dyspnée stade II déjà connue. Le reste de l'anamnèse est non contributif. Au statut, la patiente présente un important hématome paralombaire du côté gauche descendant jusqu'aux cuisses. Par ailleurs, nous notons une douleur reproductible à la palpation de la dernière côte droite. L'auscultation pulmonaire est sans particularité. Nous notons de discrets signes d'insuffisance cardiaque, à savoir : œdèmes de membres inférieurs avec une turgescence jugulaire. Mme. Y vit seule à domicile, dans un appartement avec ascenseur au 2ème étage. Elle a les soins à domicile 2x/jour pour mettre et enlever les bas de contention. L'évolution des hématomes est lentement favorable. Le taux d'hémoglobine reste stable durant l'hospitalisation. Le bilan d'anémie ne met pas en évidence de carence. En raison de la pose de pacemaker prévue le 07.02.2019, nous poursuivons la Clexane prophylactique. Le Xarelto sera à reprendre après l'intervention. Nous ne relevons pas d'épisode de syncope durant l'hospitalisation.Concernant l'antalgie, la patiente refuse catégoriquement les opiacés car selon elle, ils seraient vecteurs de troubles de la mémoire. Nous continuons ainsi le traitement par Novalgin et Dafalgan avec une couverture acceptable mais sous-optimale des douleurs. En raison d'un profil tensionnel suboptimal, nous majorons son traitement de Lisinopril à 10 mg. Mme. Y bénéficie durant son séjour de physio- et ergothérapie intensives avec entraînement de l'endurance et de l'équilibre. A l'entrée, la patiente effectue les transferts de façon autonome, la marche est réalisée sous supervision. La patiente ayant un ascenseur à la maison, la montée de marche n'est pas testée. A sa sortie, la patiente effectue les transferts et la marche de façon autonome avec le rolateur (>150 m). La montée des marches, bien que non nécessaire, est également exercée sous supervision avec 18 marches gravies. Le risque de chute est faible. Mme. Y peut rentrer à domicile le 05.02.2019, après avoir eu son contrôle préopératoire en anesthésie le 04.02.2019. Elle est instruite à se rendre à l'HFR Fribourg au matin du 07.02.2019 à jeun pour sa pose de pacemaker. Le passage des soins à domicile pour l'injection de Clexane (en plus de l'aide pour les bas de contention) est organisé. Mme. Y, patiente en chaise roulante depuis un AVC avec hemisyndrome en 2016, se fait hospitaliser le 23.01.2019 pour une suspicion de pneumonie avec décompensation cardiaque. Pour rappel, elle est également connue pour une cardiomyopathie hypertensive, valvulaire et rythmique, un syndrome métabolique avec diabète de type 2 et adiposité avec un BMI >30 kg/m2, une insuffisance rénale chronique stade IV ainsi qu'une anémie normocytaire hyporégénérative hypochrome. A son entrée, nous retrouvons une patiente dyspnéique depuis 2 jours, alitée et fébrile à 38.3°. Nous observons également une désaturation à 80% sous air ambiant. Elle est alors fébrile à 38.3°C avec toux sans expectorations. De faibles œdèmes bilatéraux aux deux jambes prenant le godet sont également constatés. Au vu d'un syndrome inflammatoire biologique et à la suite d'une radiographie thoracique au couché montrant de probables petits infiltrats bibasaux ainsi que des signes de décompensation cardiaque, nous hospitalisons la patiente et introduisons une antibiothérapie à la rocéphine avec thérapie diurétique et oxygénothérapie. Au fil de l'hospitalisation, la réponse clinique et biologique envers l'antibiose s'avérera largement insuffisante. Une insuffisance rénale aigue sur chronique sévère s'est également installée dans le cadre d'un syndrome cardio-rénal avec anurie et GFR à 6 ml/min, rendant tout traitement diurétique inefficace. Au vu d'une patiente fortement somnolente le 28.01.2019, nous injectons du Naloxon qui ne provoquera aucune réaction chez la patiente, écartant ainsi une cause médicamenteuse opiacique qui expliquerait la somnolence de la patiente. L'état de conscience se diminue alors fortement au fil de la journée du 28.01.2019 avec apparition de râles audibles. Les proches sont alors informés d'un décès rapide probable au vu de la défaillance multiviscérale. De la morphine à faible dose est alors prescrite afin de diminuer les douleurs neuropathiques toujours fortement présentes ainsi que du Buscopan pour diminuer les sécrétions bronchiques. La patiente décèdera paisiblement le 29.01.2019 à 5h10 en compagnie de sa fille. De fortes douleurs musculaires spastiques invalidantes dans l'hémicorps gauche sont évoquées pour lesquelles nous augmentons la dose de Baclofène et introduisons du Pregabalin (selon avis du Dr. X). Sans succès dans le combat contre la douleur au cours de l'hospitalisation, nous introduisons également une thérapie à faible dosage de Palexia, ceci avec prudence au vu d'une tolérance limitée à la morphine. Mme. Y, une patiente de 68 ans connue pour une fibrose pulmonaire idiopathique en progression avec une insuffisance respiratoire sous oxygénothérapie continue ainsi qu'une intolérance à la morphine, nous est transférée depuis Fribourg pour une adaptation de l'antalgie et des soins impossibles à domicile vu une forte douleur au niveau de l'arc costal à droite non respiro-dépendant et non dépendant des mouvements. A son entrée à Meyriez, les douleurs sont alors bien contrôlées avec VAS 2/10. La patiente est stable hémodynamiquement avec BP 100/63 mmHg, 72 bpm, 97% sur Oxygène, T 35.6°. Les douleurs sont au niveau de la 11ème côte sur le côté latéral droit, partiellement reproductibles à la palpation avec un Murphy négatif et légère douleur à la percussion du rein à droite. Une recherche sonographique de calculs rénaux ainsi que de signes de cholécystite au vu de valeurs de cholestase légèrement élevées s'avéreront les deux négatifs. Avec un Wells-Score de 1 (pour l'immobilisation) et un ultrason de compression des membres inférieurs ne montrant pas de signe de thrombose, nous procédons tout de même à un Angio-CT montrant une embolie pulmonaire paracentrale gauche pour laquelle nous instaurons un traitement à l'Eliquis sur 3 mois. Au vu d'une prise pondérale de 2 kg les deux dernières semaines avec râles bibasaux à l'auscultation, nous augmentons également le traitement diurétique de la patiente, avec une insuffisance rénale aiguë en régression spontanée au cours de l'hospitalisation. C'est avec une bonne adaptation que nous pouvons laisser rentrer la patiente à domicile le 09.02.2019. Mme. Y, 76 ans, connue pour une maladie diverticulaire et un statut post-colonoscopie le 10.01.2019 avec résection d'un polype plan (< 10 mm) du transverse gauche avec pose préventive d'un clip suite à un épisode de diverticulite traité en ambulatoire par antibiothérapie, se présente aux urgences le 26.01.2019 suite à deux épisodes d'hématochézie. Un laboratoire initial met en évidence une hémoglobine à 114 g/L. La patiente est hospitalisée et le suivi de l'hémoglobine montre une descente jusqu'à 84 g/L. La patiente bénéficie d'une colonoscopie le 30.01.2019, qui montre une diverticulose sans mise en évidence d'un saignement ou d'autres particularités. La patiente et l'hémoglobine restent stables. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 31.01.2019. Nous vous prions d'effectuer une prise de sang de contrôle de l'hémoglobine la semaine prochaine. Mme. Y, connue pour une maladie de Buerger et un tabagisme actif à 35 UPA, est hospitalisée le 21.01.2019 dans un contexte de progression clinique de sa maladie de Buerger. Pour rappel, la patiente a bénéficié d'une consultation avec le Dr. X le 11.01.2019 en raison d'un début de nécrose de la 3ème phalange du 3ème doigt de la main droite. L'examen clinique montre un derme de couleur bleu-noir au niveau de P3D3 à droite, légèrement douloureux à la palpation avec une perte de sensibilité (hormis douleur) au niveau de P3D3 à droite. Les pouls radiaux sont palpables. Le temps de recoloration est inférieur à 3 secondes en P2D3 à droite. Dans ce contexte, le Dr. X envisage un traitement par Ilomedin et souhaite hospitaliser la patiente. La patiente refuse l'hospitalisation immédiate, raison pour laquelle une hospitalisation élective en médecine est prévue le 21.01.2019 avec, pendant ce temps, un traitement à domicile de Clexane 40 mg 1x/jour dès le 11.01.2019 associé à l'aspirine cardio 100 mg 1x/jour déjà en place. A son arrivée à l'étage le 21.01.2019, la patiente est en bon état général. Elle décrit une sensation de brûlure de la phalange distale du 3ème doigt de la main droite qu'elle soulage avec du Dafalgan. Elle relate une diminution de sensibilité au niveau de la pulpe des doigts. Au statut cardiaque, souffle systolique à tous les foyers, d'intensité 2/6. Au niveau ostéo-articulaire, statut après amputation tibiale droite, statut après amputation trans-métatarsienne du pied gauche et un statut après amputation traumatique du 5ème doigt droit. Le derme de P3D3 à droite est bleu-noir, avec une perte de sensibilité de P3, froid. Les pouls radiaux et ulnaires sont palpables des deux côtés. Nous objectivons une diminution de la sensibilité de P3D2 à droite. Le temps de recoloration est inférieur à 3 secondes en P2. Les doigts 1 et 4 ont une sensibilité conservée.La patiente bénéficie d'une évaluation angiologique le 22.01.2019 afin d'évaluer l'indication à la prescription d'Ilomedin. Selon le Dr. X, le diagnostic de Maladie de Buerger acutisée est posé mais il n'y a actuellement pas d'indication à instaurer un traitement d'Ilomedin. Proposition d'une consultation spécialisée en tabacologie que la patiente refuse, raison pour laquelle nous lui donnons uniquement le numéro du Dr. X, spécialisée dans le sevrage du tabac. Sur avis du Dr. X, nous instaurons un traitement d'Adalat 30 mg 1 fois par jour, un anticoagulant de nouvelle génération (Xarelto 20 mg). Nous poursuivons l'antiagrégation plaquettaire par Aspirine cardio 100 mg, arrêtons la prescription de Clexane 40 mg et réalisons des pansements bétadinés au niveau des doigts présentant des lésions. La patiente refuse la prise de protection gastrique proposée. Un bilan biologique revient dans la norme avec une hémoglobine à 147 g/l et une créatinine à 97 micromol/l. En raison d'un profil tensionnel à la hausse, nous augmentons le traitement d'Adalat à 60 mg le 24.01.2019 avec évolution favorable sans signe d'hypotension chez cette patiente. Mme. Y peut regagner son domicile le 25.01.2019. Nous lui prescrivons une ordonnance avec du Ialugen crème et du Co-Fix uniquement car la patiente a déjà de la Bétadine et des compresses à domicile. Mme. Y, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, est amenée aux urgences de l'HFR Fribourg en ambulance le 05.02.2019 en raison d'un état confusionnel aigu suite à la prise d'un Temesta la veille. Aux urgences de l'HFR Fribourg, le 05.02.2019 au matin, la patiente présente encore un état confusionnel fluctuant et dans ce contexte elle chute sur le côté droit en se levant, dans un contexte peu clair. Depuis, elle présente des douleurs au niveau de la hanche droite. Pas de traumatisme crânien ni de perte de connaissance. L'anamnèse est peu contributive. Les radiographies effectuées montrent une fracture du col fémoral droit et une fracture de la hanche. On décide de ne pas opérer en raison de la situation globale et du risque opératoire. La patiente est gardée aux urgences de l'HFR Fribourg puis transférée à l'HFR Riaz pour la suite de la prise en charge. A l'admission aux urgences de l'HFR Riaz, la patiente est en détresse respiratoire avec saturation à 49% à l'air ambiant. Tension artérielle 90/45 mmHg. La gazométrie met en évidence une acidose respiratoire sévère. Nous informons le représentant légal de la patiente de la situation. Sur avis du Dr. X, chef de clinique du service de médecine, et au vu d'une patiente en fin de vie, Mme. Y est gardée en lit d'observation aux urgences pour adaptation de l'antalgie et soins de confort. Dans ce contexte de fin de vie, nous titrons la morphine en 50 minutes, puis 1 mg/h en continu. La patiente bénéficie également d'un traitement bronchodilatateur par Atrovent. Les sibilances diminuent mais nous notons toujours un tirage important et une détresse respiratoire. La patiente paraît confortable et sans douleur, malgré la persistance des troubles respiratoires. Mme. Y présente rapidement un état d'inconscience. Les saturations baissent malgré l'oxygénothérapie. Mme. Y décède le 06.02.2019 à 08h45. Le représentant légal en est informé, ainsi que l'EMS. Mme. Y est une patiente de 96 ans, connue pour une hypertension artérielle traitée et un antécédent de carcinome mammaire, est hospitalisée en médecine pour une baisse de l'état général avec dyspnée progressive et toux. La radiographie du thorax effectuée aux urgences montre un volumineux épanchement pleural droit majoré par rapport au comparatif disponible datant de 2017. Après discussion avec Mme. Y et son fils, une attitude conservatrice est décidée, la patiente manifestant clairement sa volonté de ne pas subir de gestes invasifs à son âge. Des soins de confort sont alors mis en place avec un traitement de morphine et la patiente est finalement transférée au home des Bonnes Fontaines le 21.2.2019. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, âgée de 74 ans, connue pour une BPCO stade III selon Gold, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation respiratoire suite à une insuffisance respiratoire globale aiguë sur une exacerbation de BPCO stade III selon GOLD d'origine infectieuse à Branhamella Catarrhalis le 31.12.2018. Sur le plan social, la patiente vit dans un home médicalisé depuis novembre 2018. Elle est à la retraite. A l'admission, elle ne rapporte pas de dyspnée au repos, mais la persistance de toux et des expectorations. Elle signale un prurit invalidant depuis plusieurs semaines et des excoriations sont présentes sur sa peau. Au niveau respiratoire, elle présente un encombrement bronchique. Mme. Y se mobilise en chaise roulante depuis 5 ans pour les longs trajets, elle est autonome pour les transferts lit-fauteuil roulant. Cathéter vésical en place depuis 4 mois. La gazométrie d'entrée sous 2 lt/min d'O2 montre une acidose respiratoire associée à une hypoxémie légère, raison pour laquelle nous gardons l'oxygénothérapie. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré sévère compatible avec une BPCO stade III selon GOLD. La radiographie du thorax montre un cadre compatible avec la BPCO connue, de petits troubles ventilatoires à la base gauche, mais pas d'image typique de foyer pulmonaire. La capnographie nocturne sous 2 lt/min d'O2 et VNI (EPAP 10 - IPAP 18) met en évidence une rétention capnique avec une saturation moyenne à 85.3%. Nous augmentons donc l'IPAP progressivement à 21 cmH2O avec une amélioration des échanges gazeux. Les cultures d'expectorations reviennent positives pour Moraxella Catarrhalis sensible à la Co-Amoxicilline. Vu l'absence de symptomatologie actuelle et de syndrome inflammatoire nous maintenons un suivi clinique. Une consultation dermatologique est effectuée le 22.01.2019 en raison des démangeaisons cutanées. L'histologie cutanée est riche en éosinophiles et plasmocytes. Durant son séjour, la patiente présente une péjoration du prurit, raison pour laquelle nous prescrivons du Xyzal 2x/j. Le prurit se péjore à partir du 30.01.2019 et au laboratoire nous retrouvons une hyperéosinophilie à 1.97 G/l. Suspectant, en premier lieu, une réaction allergique à un des médicaments, nous arrêtons le Zithromax (introduit chez cette patiente exacerbatrice), l'Amlodipine et la Pravastatine et prescrivons de la Prednisone 7.5 mg 1x/j. Malgré cela, le 05.02.2019, nous observons l'apparition de bulles aux MI et les éosinophiles sont augmentés à 2.58 G/l. Ce tableau est compatible avec un pemphigoïde bulleux. Une nouvelle consultation en dermatologie est organisée pour le 07.02.2019. En raison d'un diabète cortico-induit, nous suivons le profil glycémique qui révèle une augmentation des glycémies en pré-prandial suite à l'introduction de la Prednisone. Nous introduisons de la Metformine 500 mg 1x/jour et nous vous laissons le soin de suivre ces valeurs à distance et d'adapter le traitement au besoin.Sur le plan nutritionnel, Mme. Y a un BMI proche de 50, un NRS 3/7 mais sans dégradation récente de l'état nutritionnel. Nous avons fixé un objectif de poids plutôt stable avec un apport en protéines régulier et suffisant. Nous n'avons pas suggéré de restriction. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire. Nous retrouvons des progrès à la marche avec tintébin. La mobilisation reste toujours limitée par les douleurs aux genoux, surtout à gauche, mais Mme. Y peut marcher en autonomie dans la chambre. À la sortie, elle bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre le home de Broc, le 07.02.2019, en état général conservé. Mme. Y est une patiente de 18 ans, connue pour une sclérose tubéreuse de Bourneville et une polykystose rénale, qui se présente aux urgences le 09.02.2019 en raison de douleurs abdominales péri-ombilicales avec migration en fosse iliaque droite par la suite. L'examen clinique met en évidence une sensibilité à la palpation en fosse iliaque droite et au laboratoire un syndrome inflammatoire avec une CRP à 64 mg/l. Un ultrason montre une image compatible avec une appendicite aiguë, raison pour laquelle la patiente bénéficie d'une laparoscopie exploratrice en urgence. En peropératoire, nous retrouvons un diverticule caecal inflammatoire, l'appendice ne montre pas de signe inflammatoire. Nous procédons à une appendicectomie laparoscopique, qui se déroule sans complication notable. Une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Métronidazole intraveineux est mise en place le 09.02.2019, puis relayée par Ciproxine et Flagyl per os le 12.02.2019. Les suites opératoires sont simples et la patiente peut regagner son domicile en bon état général le 12.02.2019. L'antibiothérapie sera poursuivie pour une durée totale de 10 jours, soit jusqu'au 19.02.2019. Nous préconisons la réalisation d'une colonoscopie à distance, afin d'évaluer le diverticule caecal. La patiente sera convoquée par nos collègues de gastroentérologie dans 3 à 4 semaines. Mme. Y est une patiente de 71 ans, aux antécédents susmentionnés, qui est amenée aux urgences en raison de douleurs épigastriques en barre associées à des vomissements, ainsi que plusieurs épisodes de méléna. À noter une consommation chronique d'AINS en raison d'une polyarthrite rhumatoïde. À l'examen clinique, nous objectivons une douleur abdominale diffuse à la palpation avec défense en épigastre. Un CT abdominal effectué le 16.02.2019 met en évidence une perforation gastrique, raison pour laquelle la patiente bénéficie d'une laparotomie avec suture d'estomac et mise en place d'un VAC sous-cutané en urgence le soir même. Un traitement par Pantozol intraveineux en continu, ainsi que Piperacilline-Tazobactam et Fluconazol intraveineux est introduit le 16.02.2019. En post-opératoire, Mme. Y est transférée aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique de 24 heures. L'évolution par la suite est favorable, permettant une fermeture cutanée le 19.02.2019 ainsi qu'un relai de l'antibiothérapie per os le 22.02.2019. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement en vue d'une réhabilitation à Riaz et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Une biopsie gastrique est en cours d'analyse. Mme. Y sera convoquée par nos collègues gastroentérologues afin de réaliser une gastroscopie dans 3 à 4 semaines. Elle sera revue à la consultation des chefs de clinique pour un contrôle le 11.04.2019. À noter une perte pondérale de 25 kg en 5 ans, probablement dans un contexte social difficile. Nous préconisons tout de même un suivi et laissons le soin au médecin traitant de bilanter cette perte pondérale. Mme. Y, patiente de 80 ans, est transférée le 20.02.2019 aux soins intensifs depuis la clinique générale pour une insuffisance respiratoire d'origine mixte sur atélectasies bilatérales et surcharge hydrique dans les suites d'une éventration avec adhésiolyse dans le contexte d'un iléus sur bride qui a eu lieu le 14.02.2019. La patiente présente une insuffisance respiratoire hypoxémique progressivement en aggravation depuis environ 2 jours, sans amélioration malgré la physiothérapie intensive. Elle est transférée aux soins intensifs de Fribourg le 20.02.2019. Après des séances de ventilation non-invasive, nous observons une bonne évolution clinique. En post-opératoire, la patiente présente une augmentation du syndrome inflammatoire sur une fuite digestive, objectivée par du liquide intestinal dans le drain de Jackson et un pneumopéritoine à la radiographie. Elle est couverte par Pipéracilline/Tazobactam depuis le 17.02.2019, avec un traitement conservateur. À l'arrivée aux soins intensifs, la patiente est à jeun et alimentée en parentérale. Le 21.02.2019, nous constatons une péritonite avec de nouveaux épisodes de nausées et vomissements. Un CT abdominal montre des collections multiples qui nécessitent une nouvelle intervention chirurgicale en urgence avec un lavage et mise en place d'une jéjunostomie terminale qui a lieu le 21.02.2019, sans complication. Une alimentation per os est commencée en post-opératoire. Mme. Y, patiente de 89 ans, nous est adressée pour une réhabilitation cardiovasculaire suite à une décompensation cardiaque sur sténose aortique sévère, pour laquelle elle bénéficie de l'implantation d'une prothèse valvulaire par voie trans-carotidienne (TAVI) le 20.12.2018 à la Clinique Cécil, compliquée d'un bloc atrio-ventriculaire de 3ème degré nécessitant la pose d'un pacemaker. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine Cardio 100 mg, Plavix 75 mg jusqu'au 13.05.2019, Aprovel 150 mg, Carvedilol 12.5 mg, Cordarone 200 mg, Pantozol 20 mg jusqu'au 13.05.2019, Pravastatine 20 mg, Dafalgan 1 g en réserve si douleurs, Distraneurin en réserve si insomnies, Laxoberon gouttes laxatives en réserve si constipation. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. Pendant l'hospitalisation, vu l'apparition progressive d'une dyspnée légère, nous avons introduit de la Torasemide. Nous avons effectué une radiographie du thorax de contrôle qui n'a pas montré de signe de surcharge. Nous avons donc réalisé une ETT qui confirme une fonction cardiaque toujours altérée. Au laboratoire, nous avons mis en évidence un pro-BNP à 8900 ng/l. Probablement la substitution valvulaire a été faite trop tard et le cœur aura des difficultés à reprendre une fonction optimale. À la fin de la prise en charge, Mme. Y a eu une péjoration de son test des 6 minutes. Ce résultat est compatible avec celui de l'ETT. Nous conseillons donc à la patiente du repos à la maison et un contrôle cardiologique au début mars pour un éventuel changement thérapeutique (Entresto ?). Mme. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants :1. le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.4 mmol/L, des HDL à 1.10 mmol/L, des LDL à 1.10 mmol/L, des triglycérides à 1.27 mmol/L. 2. La pression artérielle basale et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme. Mme. Y est une patiente de 74 ans, connue pour un diabète de type 2 et un status post-pancréatite aiguë il y a 50 ans, qui est adressée aux urgences le 08.02.2019 par son médecin-traitant en raison d'une baisse de l'état général depuis 5 jours, accompagnée de douleurs épigastriques et d'une perturbation des tests hépatiques. Un CT abdominal le 09.02.2019 met en évidence une cholécysto- et cholédocholithiase avec dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatique et des signes de cholécystite débutante. La patiente est hospitalisée et une antibiothérapie par Rocephin et Metronidazole est débutée. Une cholangio IRM du 12.02 confirme la présence d'un calcul dans le bas cholédoque (9 mm) avec une dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Au vu de ce résultat, la patiente bénéficie d'une ERCP le 13.02.2019 où une extraction d'un calcul est réussie. Au vu de la bonne clinique et de l'évolution biologique, Mme. Y bénéficie d'une cholécystectomie avec cholangiographie peropératoire le 15.02.2019. L'intervention se déroule sans complication. À noter que la patiente développe un bloc de branche gauche asymptomatique le 15.02.2019 en post-opératoire. Après discussion avec nos collègues de cardiologie, nous organisons un bilan cardiaque en ambulatoire, la patiente sera prochainement convoquée. Au vu de l'indication pas claire pour le Plavix (antécédents de thrombose du fond d'œil et thrombophlébite il y a 15 ans), nous demandons un avis aux collègues de l'angiologie qui préconisent d'arrêter l'anti-agrégation par Plavix. Mme. Y peut regagner son domicile le 19.02.2019. Mme. Y est une patiente de 48 ans, connue pour un status post-cholécystectomie en 2008 et hospitalisée dans notre service en janvier 2019 pour une cholangite sur récidive de cholédocholithiase avec réalisation d'une ERCP et extraction d'un calcul cholédocien le 19.01.2019, qui se présente aux urgences le 06.02.2019 en raison d'un nouveau épisode de douleurs épigastriques sans état fébrile. À l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité de l'épigastre et le laboratoire met en évidence une cholestase avec un syndrome inflammatoire. Au vu des antécédents de la patiente et d'une forte suspicion de cholangite, nous débutons une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Métronidazole en intraveineux et la patiente bénéficie d'une ERCP avec extraction d'un calcul cholédocien et pose d'un stent cholédocien le 07.02.2019. L'intervention se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile le 10.02.2019. Une antibiothérapie par voie orale par Ciproxine et Flagyl sera poursuivie jusqu'au 16.02.2019. Elle sera revue pour contrôle à la consultation du Dr. X pour discuter d'une éventuelle dérivation bilio-digestive. Mme. Y est une patiente de 69 ans, connue pour une maladie de Crohn avec cholangite sclérosante primitive et arthrite rhumatoïde sous traitement immunosuppresseur, qui est hospitalisée à Meyriez le 08.02.2019 pour une pneumonie basale droite. Par la suite, l'évolution se complique d'un empyème du lobe inférieur droit, raison pour laquelle la patiente nous est transférée pour prise en charge chirurgicale le 12.02.2019. Elle bénéficie d'une thoracoscopie droite avec décortication le 13.02.2019, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples et nous procédons à l'ablation des drains thoraciques le 15.02.19, respectivement le 17.02.19. Sur le plan rhumatologique, la patiente présente une poussée aiguë d'arthrite rhumatoïde dans le contexte infectieux, raison pour laquelle nous adaptons son traitement immunomodulateur en accord avec nos collègues rhumatologues. Nous laisserons les soins au Dr. X de réadapter le traitement à distance de l'infection. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile avec des soins à domicile organisés le 20.02.2019. Elle sera revue à la consultation de chirurgie thoracique pour contrôle le 29.03.2019. Mme. Y est une patiente de 32 ans à 22 semaines SA (3ème grossesse), qui se présente aux urgences le 15.02.2019 avec une clinique de cholécystite aiguë, le diagnostic est confirmé par un ultrason abdominal. En raison de la grossesse en cours, le traitement est conservateur et une antibiothérapie par Rocéphine et Metronidazole est commencée avec une bonne évolution clinique et biologique par la suite. La patiente peut retourner à domicile le 17.02.2019 après un relais des antibiotiques par voie orale. Une consultation en chirurgie est prévue pour prévoir une cholécystectomie à distance, après l'accouchement. Mme. Y, patiente de 73 ans, connue pour une sténose de l'artère carotide interne droite, des syncopes d'origine peu claire à répétition et un état anxio-dépressif avec trouble de la personnalité et du comportement, est hospitalisée le 30.01.2019 à la suite d'un nouvel épisode de syncope, afin de poursuivre les investigations. Sur le plan cardiologique, un test de Schellong est réalisé et montre une augmentation de la fréquence cardiaque, sans franche baisse de la tension artérielle, chez une patiente cependant très symptomatique à la station debout. Nous conseillons à la patiente le port systématique des bas de contention, ainsi qu'une hydratation suffisante. De plus, nous l'invitons à surélever la tête en dormant. En cas de récidives, nous vous proposons d'envisager un Tilt test, bien que probablement peu contributif au vu de la présence d'un pacemaker. Au niveau neurologique, nous réalisons un angio-CT cérébral, afin d'exclure une atteinte ischémique ou hémorragique. Cet examen retrouve une sténose connue de l'artère carotide interne droite, mais en péjoration, passant de <50 % à environ 75 %. Un US Doppler des vaisseaux pré-cérébraux montre une athéromatose non-sténosante de la carotide interne droite, asymptomatique. Nous proposons de poursuivre le traitement d'Aspirine et Statine déjà en place et vous suggérons de suivre cette sténose par un US Doppler des vaisseaux précérébraux dans 2 ans. Sur le plan psychiatrique et sur recommandation de nos collègues psychiatres, nous diminuons le traitement de Tranxilium, passant de 20 mg à 10 mg. Dans l'état actuel des choses, un traitement antidépresseur ne semble pas indiqué. Notons qu'une origine fonctionnelle aux syncopes que présente la patiente ne peut pas être exclue et qu'une composante psychogène aux diverses plaintes d'une patiente histrionique est probable. Au vu d'une amélioration clinique et d'examens complémentaires rassurants, la patiente rentre à domicile le 04.02.2019. Mme. Y, patiente de 85 ans, connue pour une démence d'Alzheimer débutante, est hospitalisée le 28.01.2019 dans le cadre de la décompensation d'une probable BPCO suite à une grippe à Influenza A. La patiente rapporte une baisse d'état général depuis une dizaine de jours avec une asthénie croissante. La patiente rapporte également une dyspnée ainsi qu'une toux en augmentation. Sur le plan pneumologique, une oxygénothérapie et une thérapie par Atrovent et Ventolin sont initiées, permettant une bonne amélioration de la clinique de la patiente. Un frottis de grippe revient positif pour Influenza A, laissant suspecter une origine infectiologique à la décompensation respiratoire de la patiente. En raison de la suspicion clinique d'une BPCO sous-jacente et d'une péjoration de la clinique de la patiente durant l'hospitalisation, nous introduisons des corticoïdes inhalés ainsi qu'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline le 30.01.2019. Un passage à du Piperacillin-Tazobactam est nécessaire entre le 02.02 et le 07.02.2019, traitement sous lequel la clinique de la patiente s'améliore. Sur le plan cardiologique, une fibrillation auriculaire est retrouvée à l'hospitalisation de la patiente. Au vu de la survenue d'un épisode unique, dans un contexte spécifique (infectieux), nous n'instaurons pas d'anticoagulation durant l'hospitalisation. Nous vous proposons d'organiser, en ambulatoire, une échocardiographie, afin d'exclure une origine structurelle à cet épisode de fibrillation. Nous vous suggérons aussi d'organiser un R-Test, afin d'exclure la survenue de nouveaux accès de fibrillation auriculaire. Par la suite, nous vous proposons de réévaluer l'indication à une anticoagulation, à la lumière de ces nouveaux examens complémentaires. Au vu d'une évolution favorable, tant sur le plan clinique que biologique, la patiente peut retourner à domicile le 07.02.2019. Mme. Y est une patiente de 85 ans, aux co-morbidités et antécédents suscités, qui est amenée aux urgences par ambulance le 20.02.2019 suite à une chute de sa hauteur après s'être pris les pieds dans un fil électrique. Pas de notion de traumatisme crânien, ni perte de connaissance. Mme. Y se plaint de fortes douleurs à la hanche gauche et présente une impotence fonctionnelle. Le bilan radio-clinique met en évidence la fracture suscitée pour laquelle l'indication opératoire n'est pas retenue. Mme. Y est hospitalisée dans le service d'orthopédie pour instauration d'une antalgie et physiothérapie de rééducation à la marche. L'évolution est favorable, la mobilisation se fait confortablement sous antalgie. En outre, des soins de plaie sont effectués au niveau d'une dermabrasion du coude gauche. La patiente se plaint d'une douleur en fosse iliaque gauche motivant un examen biologique qui révèle une leucocytose à 15,6 G/l, sans élévation de la CRP. La symptomatologie s'amende complètement sous traitement de Buscopan. Face à la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 25.02.2019. Des soins à domicile ont été organisés avant le départ. Mme. Y présente donc une rupture tout du moins partielle du LCA associée à une distorsion garde I du ligament collatéral externe. Je propose dans un premier temps de rééduquer le genou en physiothérapie, la patiente portera une genouillère articulée pour une durée totale de 6 semaines. Entraînement de la musculature et proprioception en physiothérapie. Dès que la patiente arrive à marcher en charge complète, la prophylaxie par Clexane peut être stoppée. Un contrôle est prévu dans 6 semaines pour une réévaluation clinique. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 27.03.2019. Mme. Y est amenée aux urgences le 31.01.2019 suite à une chute sur le côté droit. À l'arrivée, le membre inférieur droit est en flexion, raccourci. Le bilan radiologique met en évidence une luxation de la prothèse céphalique, réduite aux urgences, puis la patiente est hospitalisée dans le service d'orthopédie pour surveillance et rééducation à la marche. Durant son séjour, Mme. Y présente un nouvel épisode de luxation le 03.02.2019 alors qu'elle se recouche dans son lit. Une réduction sous anesthésie générale est effectuée. Vu la récidive de luxation, il est proposé à la patiente une révision de la prothèse, ce qu'elle refuse. Une attelle Hohmann sur mesure est commandée et la patiente bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en charge selon douleurs, sous protection de l'attelle. L'évolution est favorable, avec bonne amélioration clinique et antalgie efficace. Le 12.02.2019, Mme. Y est transférée à l'HFR Billens pour suite de la prise en charge. Mme. Y, résidant au home du Chatelet à Attalens, connue pour un diabète de type 2 insulino-requérant, une insuffisance rénale chronique, des troubles cognitifs avec démence modérée et un status post-accident vasculaire cérébral ischémique dans le territoire de l'artère cérébrale moyenne gauche en 2013, est amenée aux urgences en ambulance le 28.01.2019 en raison d'une baisse de l'état général, d'une déshydratation et d'une hyperglycémie mesurée à 27 mmol/l. Selon l'hétéroanamnèse avec le personnel soignant du home, la patiente présente une baisse de l'état général depuis 1 semaine et a bénéficié d'une antibiothérapie par Rocéphine du 23.01.2019 au 28.01.2019, sans foyer infectieux clair objectivé. Pas d'état fébrile, de douleur ni de plainte. Au status cardiovasculaire, la patiente est tachycarde. B1B2 sont bien frappés, sans souffle audible. Au status respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique et bilatéral. Le status digestif est sans particularité et l'examen neurologique est impossible. Le laboratoire met en évidence l'insuffisance rénale connue avec une créatinine à 159 umol/ ainsi qu'une glycémie à 27 mmol/l. Pas de syndrome inflammatoire. Aux urgences, nous administrons de l'insuline permettant de rabaisser la glycémie à 17 mmol/l et Mme. Y est hydratée. En l'absence d'informations claires à l'admission concernant les troubles de l'état de conscience, nous effectuons un CT scan cérébral. Un premier rapport oral permet d'exclure une hémorragie cérébrale mais parle en faveur d'une probable méningite. Dans ce contexte, une ponction lombaire est alors tentée, mais sans succès. Le rapport définitif du CT scan cérébral infirme le diagnostic de méningite et évoque un accident vasculaire cérébral ischémique subaigu. Nous effectuons également un CT scan thoracique qui met en évidence une embolie pulmonaire apicale sous-segmentaire droite, celle-ci ne sera pas traitée au vu du risque accru d'hémorragie cérébrale (accident vasculaire cérébral). Mme. Y est hospitalisée en lit d'observation aux urgences. Le 29.01.2019, nous contactons la représentante thérapeutique de la patiente qui nous confirme que l'état cognitif de Mme. Y est semblable à l'habituel. Après discussion avec vous-même, vous nous informez que des soins de confort ont été décidés au home depuis au moins deux semaines. Dans ce contexte, Mme. Y est réadmise au home du Chatelet le 29.01.2019. Mme. Y, votre patiente de 89 ans, connue pour une démence avec troubles mnésiques des événements récents, dont l'anamnèse n'est pas contributive, est adressée par le service MedHome pour dyspnée. À l'hétéro-anamnèse des urgences avec sa fille, la patiente présente depuis le 19.02 une toux grasse et un encombrement qui se péjorent le lendemain avec une dyspnée au repos associée à un état fébrile. L'examen clinique d'entrée met en évidence une tachypnée et quelques râles crépitants bi-basaux. La radiographie du thorax montre une opacité para cardiaque droite du lobe moyen, compatible avec un foyer infectieux. Le frottis de dépistage de la grippe est positif. Les cultures de sang reviennent négatives. La patiente est mise au bénéfice d'une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid, puis relayée par de la Rocéphine seule du fait de la négativité des antigènes urinaires. Elle bénéficie également d'une oxygénothérapie sevrée le 22.02.2019 et d'une physiothérapie respiratoire. Le Tamiflu est donné sur 5 jours. D'un point de vue biologique, on note une insuffisance rénale aiguë qui se résout après hydratation. L'évolution est marquée par l'apparition d'une FA rapide déjà documentée en 2016. Le traitement freinateur par Bilol est majoré et de l'Eliquis est introduit en l'absence d'antécédent hémorragique et au vu du faible risque de chute de la patiente. Mme. Y est très confuse durant l'hospitalisation et après discussion avec sa fille, un séjour à l'UATO est demandé. La situation à domicile reste fragile au vu des troubles cognitifs importants de la patiente. En cas de réhospitalisations fréquentes, un placement devra être rediscuté.La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y chute sur la neige le 16.01.2019 avec réception sur le genou droit. Par la suite, elle présente des gonalgies droites, qu'elle traite par Dafalgan. La patiente prend environ 16 grammes de paracétamol en 32 heures et se présente aux urgences le 18.01.2019 en raison de fortes douleurs abdominales avec nausées et vomissements. La patiente a pris le dernier comprimé de Dafalgan 4 h avant son arrivée aux urgences. À l'anamnèse, pas de céphalée, pas de palpitation, pas de diathèse hémorragique. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés. Pas de souffle, pas de signe d'insuffisance cardiaque, rythme régulier. Le status pulmonaire est sans particularité. Au niveau digestif, les bruits abdominaux sont diminués en fréquence, normaux en tonalité. L'abdomen est diffusément douloureux à la palpation, sans défense ni détente. Au status ostéo-articulaire, dermabrasion sèche en regard du tendon rotulien. Pas de tuméfaction ni d'hématome. Pas de douleur à la palpation rotulienne, des interlignes articulaires interne/externe. Mc Murray négatif, pas de tiroir latéral à 0 et 30 degrés de flexion, pas de tiroir antéro-postérieur. Appareil extenseur compétent. Marche en charge complète. Le bilan biologique révèle uniquement une paracétamolémie à 30 mg/l, avec une légère hypokaliémie. Mme. Y est hospitalisée pour traitement intraveineux d'Acétylcystéine sur 21 heures selon schéma. Le laboratoire de contrôle ne montre pas de perturbation des tests hépatiques et la paracétamolémie est dans la norme, < 5 mg/l. Nous notons un allongement spontané du TP à 52 %, un INR spontané à 1,4 s, et un PTT à 29 s. Nous administrons 10 mg de Konakion iv. Le TP reste inchangé, ce qui nous permet d'exclure un déficit en vitamine K. Nous suspectons donc des troubles de la crase et nous vous laissons le soin d'effectuer un bilan de celle-ci en ambulatoire. Au vu de la disparition des douleurs abdominales, Mme. Y peut regagner son domicile le 20.01.2019. Mme. Y est transférée le 17.01.2019 du service d'orthopédie de l'hôpital de Sonnenhof pour une réhabilitation musculo-squelettique suite à une opération élective de redressement de scoliose et de décompression de vertèbres lombaires le 10.01.2019. Pour rappel, la patiente a subi une opération X-life en 2011 au niveau des vertèbres L4/L5 et L2/L3, elle est aussi connue pour une cardiopathie valvulaire et une insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs. À l'anamnèse d'entrée, la patiente se plaint de douleur légère à 3/10 au repos au niveau du site opéré. Au status, la patiente présente de grandes plaques d'écchymose au dos et sous les aisselles ainsi que des œdèmes des membres inférieurs plus marqués à droite qu'à gauche, ce qui est connu. Les pansements au dos semblent propres. Le reste de l'examen système par système est sans anomalie. Ad Diagnostique principal) La patiente ne s'est pas plainte de douleur particulière, l'analgésie par Palexia, Dafalgan et Novalgin a été progressivement arrêtée. De plus, elle a suivi des séances de physiothérapies et ergothérapie intensives chaque jour, ce qui a aidé à la consolidation de sa marche, elle se déplace actuellement à l'aide d'un Rollator. Les plaies au niveau du site de l'opération sont calmes. Ad Diagnostique 1) Concernant l'hypokaliémie, une substitution a été mise en place afin de retrouver des valeurs dans la norme. Cependant, elle peine à être stable, ainsi un contrôle chez le médecin traitant dans les semaines à venir serait à envisager. Ad Diagnostique 2) Une hyponatrémie déjà présente avant son arrivée a nécessité une restriction hydrique afin de retrouver des valeurs se rapprochant de la norme. Celle-ci s'est contractée probablement suite à un traitement par diurétiques soit post transfusionnel. Nous conseillons donc de la redoser au prochain contrôle chez le médecin traitant, car il est probable que cette patiente présente une hyponatrémie chronique. Ad Diagnostique 3) En ce qui concerne la légère hypovitaminose D que présente Mme. Y, une substitution via 2800 Ui par semaine est indiquée. Ad Diagnostique 4) Une légère hypomagnésémie est actuellement substituée via Magnesiocard. Ad Diagnostique 5) Concernant l'anémie spoliative légère que présente la patiente, des suivis laboratoires ont montré une évolution stable des valeurs de l'hémoglobine. Nous suggérons donc un contrôle de ces valeurs lors du prochain contrôle chez le médecin traitant. Concernant le traitement via Pantoprazol, ne voyant pas d'autres indications qu'un reflux œsophagien, il a été diminué à 20 mg par jour. Parallèlement à ces problèmes aigus, nous commençons une réhabilitation gériatrique précoce avec physiothérapie et ergothérapie. Les scores de mobilité au début du séjour sont les suivants : le transfert FIM 5, la mobilité FIM 6 avec le rollator, les escaliers FIM 1, le Tinetti 16/28 avec le rollator. Les scores de mobilité à la fin du séjour sont les suivants : le transfert FIM 6, la mobilité FIM 6 avec des cannes sur 120 mètres, les escaliers FIM 5,6, elle est capable de monter 9 escaliers à l'aide des cannes et d'une rampe, le Tinetti est de 20/28. Mme. Y habite avec son mari, ils ont deux entrées, une entrée principale avec 6 marches et une entrée avec une marche. Elle se déplaçait avec deux cannes depuis 3 ans. Le fils habite au-dessus et a 16 marches pour monter chez lui. De plus, elle aura l'aide de Spitex 2 fois par semaine pour la douche et une fois pour le ménage. Au vu de l'amélioration clinique, la patiente retourne à son domicile le 02.02.2019. Mme. Y, âgée de 75 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à l'acutisation d'un syndrome lombo-radiculaire droit irritatif chronique au niveau L5 dans un contexte de scoliose lombaire sinistro-convexe (angle de Cobbs 53° centrée sur L2) et arthropathie périphérique des MS destructrice sévère. Sur le plan social, la patiente vit avec son fils à domicile dans une ferme. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. Sévère déformation arthrosique des 2 mains et déformation des 2 pieds avec hallux valgus des deux côtés. Mme. Y signale des crises durant lesquelles elle n'est pas capable de mobiliser sa jambe droite, surtout au niveau de la cuisse. La force est cotée à M5 au quadriceps ddc et au psoas. Pied tombant connu à droite avec force à la dorsiflexion cotée à M2. Force à la dorsiflexion du pied gauche conservée à M5. La sensibilité est diminuée au niveau du dos du pied droit (dermatome L5). Suspectant des troubles respiratoires liés à la scoliose sévère, nous effectuons une oxymétrie nocturne qui résulte dans la norme. Au laboratoire du 04.01.2019, nous retrouvons une hyponatrémie persistante. L'osmoralité urinaire et le sodium urinaire peuvent justifier un SIADH. Nous instaurons une restriction hydrique avec une bonne résolution de la natriémie et des valeurs de sodium qui rentrent graduellement dans la norme.Le 13.01.2019 vers 09h00, la patiente présente une paralysie faciale droite avec parésie du membre supérieur droit cotée à 3/5 associée à des paresthésies, symptomatologie compatible avec un AIT. L'épisode est spontanément résolutif en 15-20 minutes. Le reste du status neurologique est inchangé. L'ECG est superposable à celui d'entrée. Après avis neurologique, la patiente est transférée aux urgences de l'HFR Fribourg pour un CT cérébral et examens complémentaires. Les investigations reviennent dans la norme et Mme. Y peut rejoindre notre service. Selon l'avis du Dr. X, nous prescrivons de l'Atorvastatin 40 mg et Aspirine Cardio 100 mg 1x/j. Nous effectuons un bilan lipidique qui est dans la norme. Une IRM cérébrale démontre des lésions micro-vasculaires chroniques et anciennes, pas de lésions ischémiques aigües. L'échocardiographie, effectuée le 22.01.2019, ne met pas en évidence de causes d'origine cardiaque à l'AIT. Sur le plan nutritionnel, Mme. Y a été suivie en raison d'une dénutrition sévère (NRS à 5, BMI à 16.5, besoins énergétiques couverts à 66%). Nous avons eu des difficultés à mettre des adaptations alimentaires en place en raison de la restriction hydrique qui avait cours pour corriger une hyponatrémie. Nous avons néanmoins pu introduire un SNO Compact, puis un potage enrichi accompagné de sel. Cela a permis d'améliorer la couverture des besoins, mais la cible n'a pas été entièrement atteinte. La patiente entre à domicile avec pour objectif de maintenir son poids. Elle a reçu un enseignement pour son alimentation au domicile et continuera à prendre un SNO par jour. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un tintébin 2 roues. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. La force des MI est cotée globalement à M5. En ce qui concerne le pied tombant droit, nous mettons en place une attelle anti-équin avec une nette amélioration de la marche. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 27.01.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie. Mme. Y est hospitalisée pour une pyélonéphrite obstructive. Elle bénéficie d'une cystoscopie avec pose de sonde double J le 22.02.2019. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. La patiente peut sortir le 25.02.2019. Elle prendra rendez-vous de contrôle chez le Dr. X dans 10 jours. Mme. Y, 73 ans, est admise aux soins intensifs pour un infarctus type NSTEMI. La patiente est connue pour une HTA traitée et un tabagisme actif. Elle présente le 15.02.2019 des douleurs thoraciques. Un bilan biologique et électrocardiographique est compatible avec un infarctus de type NSTEMI. Une charge en Aspirine et en Prasugrel est effectuée au service des urgences. À son arrivée aux soins intensifs, la patiente est hémodynamiquement stable sans récidive des douleurs rétrosternales. Elle bénéficie d'une coronarographie le 16.02.2019 qui montre une sténose de l'IVA moyenne qui est traitée par angioplastie et mise en place d'un stent actif. L'intervention se complique d'une perforation coronarienne avec apparition d'un épanchement péricardique sans retentissement hémodynamique. Au vu d'une stabilité sur les différents contrôles échocardiographiques, le Dr. X propose de reprendre la double antiagrégation le 20.02.2019. Aux contrôles échographiques réalisés à 24 et 48h post-reprise de la double antiagrégation, on note une légère augmentation de l'épanchement sans répercussion hémodynamique. Selon proposition des cardiologues, l'Efient est à nouveau mis transitoirement en suspens puis remplacé par le Plavix dès le 23.02.2019. Une angiographie de contrôle réalisée le 22.02.2019 montre dans un premier temps une augmentation en comparaison directe des images de l'examen précédent (21.02.2019) puis une stabilité à l'échocardiographie du 25.02.2019. Durant la surveillance, la patiente développe un délirium tremens qui est rapidement jugulé par benzodiazépine et transitoirement du Catapresan. Concernant l'hypertension artérielle, elle est traitée par IEC et bêtabloquant. Mme. Y est transférée en médecine pour la suite de sa prise en charge. Mme. Y est une patiente de 74 ans, qui bénéficie le 11.01.2019 d'une ERCP en raison d'une dilatation focale du canal de Wirsung mise en évidence sur une IRM abdominale le 03.01.2019, réalisée dans le contexte d'un bilan d'une masse colique découverte lors d'une coloscopie. Suite au geste, la patiente développe des douleurs abdominales intenses évaluées à 10/10, accompagnées de vomissements. Elle se présente donc d'abord aux urgences de Riaz avec des signes de choc. Un CT réalisé démontre la présence d'une pancréatite de type Balthazar E avec suspicion de nécrose focale < 30%, ainsi que des clartés aériques à la face postérieure du segment D2 du duodénum suggérant une perforation. La patiente est transférée à l'Hôpital de Fribourg pour une prise en charge initiale aux soins intensifs où une antibiothérapie par Imipénème et Fluconazole, ainsi qu'une réanimation volémique sont initiées. Une sonde naso-gastrique est également posée, ainsi qu'une pompe à morphine. Le 14.01.2019, la patiente remonte à l'étage où les bilans biologiques sont poursuivis de manière quotidienne avec un suivi quotidien de ses entrées-sorties. Dès le 21.01.2019, elle commence cependant à présenter des signes de surcharge avec des besoins en oxygène qui augmentent, avec un syndrome inflammatoire en augmentation, raison pour laquelle nous effectuons un nouveau CT qui démontre des épanchements pleuraux bilatéraux de grande abondance, ainsi qu'un infiltrat interstitiel diffus et une infiltration des tissus mous. Ceux-ci sont ponctionnés et la patiente est réadmise aux soins intensifs jusqu'au 23.01.2019 pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë secondaire à une hypervolémie et anasarque, ainsi qu'une correction des électrolytes. Par la suite, elle présente une bonne évolution sur le plan clinique et biologique avec une diminution du syndrome inflammatoire. Elle bénéficie le 28.01.2019 de la pose d'une sonde naso-jéjunale et la réalimentation par Novasource, ainsi que par voie naturelle, est reprise progressivement en fonction de la tolérance et des douleurs. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique ainsi qu'une renutrition adéquate, Mme. Y peut rentrer à domicile le 09.02.2019. Au vu de la proximité des zones de nécrose du pancréas et de la tumeur, une intervention chirurgicale présenterait actuellement de grands risques opératoires. Il est décidé en accord avec le Dr. X, de prévoir un CT abdominal de contrôle le 05.03.2019 en vue d'une future intervention dans 3-4 semaines. Elle sera revue à la consultation des chefs de clinique le 07.03.2019 à 09:30.Mme. Nembrini, patiente de 60 ans connue pour un carcinome épidermoïde pulmonaire multifocal du lobe inférieur gauche sous chimiothérapie (Platinol-Navelbine, dernier cycle le 18.01.2019), est hospitalisée à l'HFR Fribourg en raison d'une agranulocytose fébrile à 39.2°C. L'anamnèse révèle l'apparition de nausées et un état fébrile motivant une consultation en oncologie ambulatoire. L'évaluation clinique ne révèle pas de foyer infectieux. Le laboratoire met en évidence une agranulocytose et un syndrome inflammatoire. La patiente est hospitalisée en isolement protecteur avec introduction d'un traitement antibiotique et poursuite de la stimulation médullaire. Un CT thoraco-abdominal est effectué qui révèle des discrets infiltrats en verre dépoli et en bourgeons dans le lobe supérieur et le lobe moyen à droite. Cet examen met également en évidence des condensations entourées d'infiltrats en verre dépoli dans le lobe supérieur gauche, compatibles avec des foyers infectieux. Les hémocultures effectuées sur le PAC et en périphérie mettent en évidence une bactériémie à bacilles gram négatifs qui se révèlent être un Klebsiella pneumoniae. Sous antibiotique, la patiente évolue favorablement, tant sur le plan clinique que biologique, avec une disparition des états fébriles et un syndrome inflammatoire qui revient presque au niveau basal. Pourtant, un CT thoracique de contrôle à 1 semaine met en évidence une augmentation des condensations en verre dépoli. L'avis pneumologique évoque une infection fongique, contredit par l'avis infectiologique. Celui-ci voit une patiente ayant évolué très favorablement sous antibiotique et met l'augmentation de la condensation sur le compte de la sortie d'agranulocytose, avec leucocytes ayant afflué au foyer bactérien. Par prudence, nous effectuons un dosage des béta-D-glucanes et de l'aspergillus dans le sang. Ceux-ci reviennent négatifs. Mme. Nembrini rentre à domicile, afébrile et en état général amélioré, le 01.02.2019. Elle poursuivra sa chimiothérapie en ambulatoire à l'HFR le 08.02.2019. Nous vous laissons le soin de contrôler l'hémoglobine à distance de l'événement aigu. Mme. Neuhaus est une patiente de 54 ans, connue pour un asthme allergique, qui dans un contexte d'obésité de grade II avec un BMI de 39kg/m2 bénéficie d'un bypass gastrique le 04.02.19. L'intervention se déroule sans complication, et les suites opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 06.02.19. La patiente n'ayant pas repris un transit le jour de son départ et en accord avec le Dr. X, du Freka Clyss lui est prescrit. Mme. Neuhaus sera revue à la consultation du Dr. X le 12.03.19 à 14h20 et nous lui laissons le soin de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à J15 post-opératoires. Mme. Neuhaus souffre depuis environ 2 mois de douleurs du bassin du côté droit au niveau glutéale de la sacro-iliaque, mais pas au niveau de l'aine. Le bilan par CT-scan de la hanche droite du 05.02.2019 n'a pas permis d'éclaircir l'origine exacte de la symptomatologie douloureuse de la patiente. Dans cette situation, nous pensons que les douleurs sont d'origine lombaires et sont dues au syndrome sacro-iliaque. Chez cette patiente en surpoids, on a une forte suspicion de dysbalance sagittale ainsi qu'une composante arthrosique de l'articulation de la colonne vertébrale, raison pour laquelle, nous préconisons un traitement conservateur par la physiothérapie intensive au moins 3x/semaine, avec renforcement musculaire ainsi que le traitement antalgique. Nous expliquons à la patiente qu'il faut qu'elle se mobilise à l'aide d'un tintébin chaque jour. Prochain contrôle à notre consultation le 07.05.2019. Si la symptomatologie douloureuse persiste à ce moment-là, nous allons discuter d'une éventuelle infiltration de la sacro-iliaque à droite. En ce qui concerne l'indication chirurgicale quant à l'implantation d'une prothèse totale de hanche à droite, nous adoptons une attitude expectative. Mme. X nous est adressée pour une réhabilitation cardiovasculaire suite à un STEMI dans le cadre d'une maladie coronarienne tritronculaire. Son traitement à l'entrée comprend : Aspirine cardio 100 mg, Efient 10 mg, Lisinopril 5 mg, Metoprolol 12.5 mg, Atorvastatin 20 mg, Paroxétine 20 mg, Dafalgan 1 g max 3x/24h si douleurs, Sifrol 0.25 mg 1 cp si insomnie et jambes sans repos, VI-DE gttes 4500 UI/ml 50 gttes, Pantoprazole 40 mg 1 cp si épigastralgies. Au sujet du réentraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une puissance de 55 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Elle peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 5 km/h sur une pente de 3% pendant 25 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 60 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mme. X a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Le bilan lipidique du 30.01.2019 montre un LDL à 3.09 mmol/L, un HDL à 1.51 mmol/L et des triglycérides à 0.81 mmol/L. • Patiente tabagique, elle bénéficiera d'un suivi auprès de notre tabacologue le Dr. X lors de la réhabilitation cardiovasculaire en ambulatoire. Le 01.02.2019, Mme. X rentre à domicile et poursuivra comme prévu la rééducation cardiovasculaire en ambulatoire sur une durée de 4 semaines. Mme. X est hospitalisée aux soins intensifs pour un choc septique sur pneumonie, traitée initialement par Klacid, sans amélioration au home. L'issue sera malheureusement fatale. Le choc septique est compliqué d'une défaillance multi-organique, avec notamment une hypotension sévère, une insuffisance respiratoire, et une insuffisance rénale d'emblée oligo-anurique. Une tentative de traitement médicamenteux par antibiothérapie à large spectre, ventilation non-invasive, remplissage et soutien aminergique s'avère malheureusement infructueuse. Au vu de l'âge, des co-morbidités et du choc septique incontrôlé avec persistance des défaillances organiques, il est décidé d'instaurer des soins de confort. La patiente décède paisiblement le 10.02.2019 entourée de sa famille. Mme. X présente des diarrhées dans le contexte d'une probable entérite virale. Nous lui prescrivons un traitement symptomatique et lui expliquons, en cas de non résolution des symptômes, de reconsulter en fin de semaine. Concernant l'hypokaliémie, sur pertes digestives, nous prescrivons une substitution orale. En cas de persistance des symptômes, nous envisageons un contrôle biologique. Mme. X, âgée de 83 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par la Clinique Générale pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une PTH D le 14.01.2019.Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile. Elle est à la retraite. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Mme. Y se plaint de douleurs à la hanche D mais elles sont bien contrôlées par l'antalgie en place. La patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La force du MIG est cotée globalement à M5, celle du MID est cotée à M4 au psoas et au quadriceps. Pied tombant droit connu. La sensibilité grossière est conservée. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de l'hanche D à 90° et une abduction à 30°. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 03.02.2019, en bon état général. Mme. Y est une patiente de 26 ans, en bonne santé habituelle, consulte aux urgences à cause des douleurs abdominales en hypochondre droit apparues en post-prandial le même jour associées à un état subfébrile. Un bilan biologique initial montre une perturbation des tests hépatiques avec cholédocholithiase (PA à 111 U/l, GGT à 253 U/l et bilirubine conjugée à 76 umol/l) ainsi qu'une lipase à 2516 U/l. Un ultrason abdominal met en évidence une dilatation du cholédoque à 9.4 mm, avec cholédocholithiases. Nous retenons le diagnostic de cholédocholithiase avec cholangite débutante ainsi que de pancréatite biliaire. Nous introduisons une antibiothérapie de Rocéphine et Flagyl. La patiente bénéficie d'une ERCP le 13.02.2019 où une papillotomie est effectuée et le contenu du cholédoque est extrait à plusieurs reprises sur un ballon. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, la patiente bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique le 15.02.2019. L'intervention se déroule sans complication, l'évolution est par la suite favorable. Mme. Y rentre à domicile le 17.02.2019. Mme. Y présente un hématome sur la face antérieure de son bras, probablement dans le contexte d'une éventuelle rupture de la ténodèse du LCB. Comme diagnostic différentiel, je retiens une irritation du matériel d'ostéosynthèse qui a éventuellement amené à une lésion vasculaire. Je n'ai pas d'indice clinique quant à une infection, ni à bas bruit, la patiente étant absolument asymptomatique. J'ai proposé à Mme. Y un bilan CT SCAN afin de bilanter la qualité osseuse de la tête de l'humérus. Elle ne souhaite pas cet examen et préfère attendre l'évolution spontanée. Je respecte les désirs de la patiente. Un contrôle clinique lui a été proposé à ma consultation le 19.02.2019. Mme. Y sera revue à la consultation du Dr. X pour contrôle. Mme. Y, patiente de 59 ans connue pour une ataxie centrale suite à une tumeur cérébelleuse dans l'enfance, nous est transférée de l'Hôpital Cantonal de Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique suite à une fracture trimalleolaire de la cheville gauche. Pour rappel, le 15.11.2018, la patiente a fait une chute à domicile et le bilan clinique et radiologique réalisé aux urgences a mis en évidence une fracture trimalleolaire de la cheville gauche. La patiente est hospitalisée au service d'orthopédie dans l'attente que la détumescence des tissus mous permette l'intervention. L'intervention peut être réalisée le 27.11.2018 et comprend: ORIF avec une plaque tiers tube 6 trous sur le malléole latéral, plaque tiers tube 3 trous sur le Volkmann, plaque pedus et cerclage haubanage sur le malléole médial. Les suites opératoires sont favorables. A l'admission, Mme. Y n'a pas de plainte spontanée et l'anamnèse par système est non contributive. Mme. Y vit seule à domicile, dans un appartement adapté à ses nécessités. Elle a deux soeurs qui sont très présentes et lui amènent 1 repas tous les jours. Les weekends, elle les passe chez une de ses soeurs. Après discussion avec les soeurs, nous retenons l'indication à une surveillance 24h/24h pour un aide à la mobilisation et les transferts. La famille effectue une demande à l'AI pour une personne qui puisse être au domicile avec Mme. Y. En attente, elle ira dans un UATO pendant environ 4 semaines pour la suite des traitements. A l'admission, il subsiste une diminution importante de la mobilité avec un risque de chute important. La patiente fait les transferts avec un déambulateur (FIM 4), marche avec un déambulateur et l'aide d'une personne (FIM 2) et n'arrive pas à monter les escaliers (FIM 1). Le Tinetti est mesuré à 13/28 avec déambulateur. Elle peut marcher avec charge complète dans le Sarmiento. La patiente bénéficie d'exercices de physiothérapie et d'ergothérapie qui améliorent en partie sa mobilité. A la sortie, il subsiste une diminution importante de la mobilité avec un risque de chute important (Tinetti). La patiente fait les transferts avec un rollator avec appuis antébrachial sous supervision (FIM 5), marche avec un rollator avec appuis antébrachial et l'aide d'une personne (FIM 4) et arrive à monter les escaliers avec soutien d'une personne (FIM 4). Le Tinetti est mesuré à 10/28. Il demeure donc une restriction importante de la mobilité avec un risque important de chute, ce qui nécessite des séances de physiothérapie et d'ergothérapie ambulatoire. En raison des symptômes actuels et du diagnostic, Mme. Y ne nécessite plus de prise en charge en gériatrie aiguë. Il réside cependant un gros potentiel de réhabilitation et une indication claire pour une prise en charge en réhabilitation hospitalière. Nous procédons ainsi à une hospitalisation en réhabilitation neurologique intensive avec garantie de remboursement pour un séjour dans le service. Mme. Y change de service le 01.02.2019. Mme. Y est une patiente de 58 ans, connue pour des troubles bipolaires, qui se présente aux urgences le 29.01.2019 pour des douleurs abdominales en augmentation depuis 48h. Les examens radiologiques mettent en évidence une cholécystite débutante. L'indication opératoire est posée et Mme. Y bénéficie d'une cholécystectomie par laparoscopie le 30.01.2019. L'observation intra-opératoire met en évidence une vésicule biliaire très enflammée, raison pour laquelle nous administrons une antibiothérapie en intraveineux par Rocéphine et Metronidazole du 30.01 au 01.02.2019. Les suites post-opératoires sont marquées par un état psychique perturbé le 31.01.2019 avec hétéro-agressivité et agitation, raison pour laquelle nous demandons un avis psychiatrique. Sur avis du Dr. X, nous introduisons une thérapie en ordre unique de 4 mg d'Halopéridol et de 2,5 mg de Temesta puis une reprise par la suite du traitement par Tranxilium. Le syndrome inflammatoire étant à la baisse le 01.02.2019, nous introduisons un relais par voie orale de l'antibiothérapie par Ciprofloxacine et Metronidazole. La CRP étant cependant élevée à 238 mg/l, nous proposons un contrôle biologique dans 48h. L'état actuel de la patiente ne permettant pas une discussion éclairée, nous effectuons un placement à fin d'assistance médicale et transférons Mme. Y pour la suite de la prise en charge au RFSM Marsens le 01.02.2019. Mme. Y est une patiente de 49 ans, qui présente depuis plusieurs mois une baisse de l'état général associée à une perte pondérale d'environ 25 kg, des douleurs abdominales et des épisodes subocclusifs. Un scanner abdominal réalisé en janvier 2019 démontre un épaississement sigmoïdien sténosant d'environ 20 cm. Dans ce contexte, l'indication à une laparotomie exploratrice avec résection sigmoïdienne et colostomie de protection transitoire est retenue et réalisée le 08.02.2019. L'intervention se déroule sans complication, mais en raison d'une vasoplégie post-opératoire importante, la patiente séjourne 1 jour aux soins intensifs où la surveillance est par ailleurs sans particularités.Par la suite, l'évolution est favorable avec une reprise du transit par la colostomie, permettant un retour à domicile le 16.02.2019. Mme. Y sera revue à la consultation du Dr. X le 12.03.19 à 15h00 pour un contrôle post-opératoire et bénéficiera également d'aide à domicile pour la gestion de sa stomie. Nous lui laissons le soin d'organiser un rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des agrafes à la peau à J14 post-opératoire. Mme. Y, patiente de 93 ans et connue pour une insuffisance cardiaque droite, est adressée aux urgences de l'HFR Riaz le 30.01.2019 par son médecin traitant en raison d'une probable décompensation cardiaque manifestée par une dyspnée d'aggravation récente. En effet, la patiente décrit un essoufflement important lorsqu'elle se mobilise, présent depuis une bronchopneumonie au début janvier 2019. Sinon, elle n'a aucune autre plainte spontanée et ne rapporte pas d'état fébrile, pas de toux ou d'expectoration, pas de douleur thoracique, pas de symptomatologie fonctionnelle urinaire. Son transit est conservé. Le status à l'entrée se révèle sans particularité mis à part une bradycardie (50 battements par minute), un souffle holosystolique à 4-5/6 d'intensité maximale au foyer mitral et des oedèmes des membres inférieurs bilatéraux remontant jusqu'aux genoux avec, sur le plan pulmonaire, une hypoventilation des deux bases pulmonaires. Un traitement par Lasix et oxygénothérapie est mis en place aux urgences. Sur le plan social, notons que Mme. Y est veuve et vit seule à domicile. Ses deux fils sont décédés, mais sa belle-fille demeure dans le même bâtiment. Le jour même de son entrée aux urgences, Mme. Y est prise en charge dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz, avec un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce qui s'effectue du 31.01.2019 au 18.02.2019. Au vu d'une prise pondérale, nous majorons le Lasix intraveineux, que nous relayons par la suite par Torasémide et Métolazone par voie orale avec bonne évolution clinique. La gazométrie de contrôle démontrant une saturation dans la norme, nous sevrons la patiente de l'oxygénothérapie initiée aux urgences. A l'étage, le bilan biologique met en évidence une carence en acide folique et vitamine D3, que nous substituons par voie orale. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs à distance. Nous constatons une tendance à l'hypotension artérielle, stable pendant le séjour de Mme. Y, qui demeure effectivement asymptomatique. Un test de Schellong est effectué et s'avère négatif. Les bas de contention de la patiente restent en place, et sont à garder pour la suite. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 01.02.2019 montrent des performances altérées avec un MMS à 26/30 et un test de la montre à 1/7. La patiente effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide du rollator (ou d'une canne si accompagnée) est de 120 mètres. La patiente monte et descend 18 marches avec l'aide d'une canne et de la rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 93/126, par rapport à 67/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). L'état nutritionnel est conservé. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Au vu de sa bonne évolution clinique, Mme. Y peut regagner son domicile le 19.02.2019 avec organisation du passage des soins 2x/semaine pour la prise des constantes et du poids. Elle a une douche 1x/semaine. Les soins à domicile effectuent le semainier. La patiente a une dame de ménage. Elle commande ses repas aux Rosalys où elle se rend en accueil de jour 1x/semaine (le vendredi). Mme. Y présente une fracture du plateau tibial postéro-externe du genou G associée à une distorsion du ligament croisé antérieur et du ligament collatéral externe. Je propose un traitement conservateur, on remplace l'orthèse du genou par une orthèse articulée avec une limitation de la flexion qui reste inférieure à 60° pendant six semaines. La patiente marchera en charge touchdown à l'aide de deux cannes anglaises pendant six semaines. Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sous-cutané une fois par jour. La patiente bénéficiera de physiothérapie pour la rééducation à la marche, tonification musculaire ainsi qu'à but antalgique. Je la reverrai dans six semaines pour réévaluation radioclinique. Elle reste en incapacité totale de travail jusqu'au prochain contrôle le 03.04.2019. Mme. Y est une patiente de 74 ans, connue pour une hypertension et hypercholestérolémie traitée, récemment hospitalisée du 20.01 au 27.01.2019 pour décompensation cardiaque gauche mise sur le compte d'une insuffisance mitrale nouvelle, reconsulte au service des urgences le 04.02.2019 dans un contexte similaire. Elle se plaint en effet de douleurs épigastriques oppressives et d'une dyspnée avec toux. Le bilan clinique, biologique et radiologique confirme la suspicion de nouvelle décompensation cardiaque gauche. La patiente est alors hospitalisée en médecine. Un traitement par diurétique intraveineux est introduit avec bon effet symptomatique. Un relais per os est effectué par la suite. Après un avis auprès de nos collègues cardiologues, nous complétons le bilan biologique d'insuffisance cardiaque et effectuons un Holter ainsi qu'un Remler durant 24 heures durant le séjour hospitalier. Une élévation de la ferritine est mise en évidence, celle-ci sera à recontrôler par la suite afin d'écarter une éventuelle hémochromatose. L'évolution clinique étant favorable, la patiente rentre à domicile le 12.02.2019. Un contrôle cardiologique à la consultation du Dr. X est agendé une semaine après la fin du séjour chez nous. La patiente décline notre proposition de soins à domicile, mais est avertie de surveiller son poids et de reconsulter en cas d'augmentation de celui-ci ou de symptômes de type douleurs rétro-sternales ou dyspnée. Mme. Y, 57 ans, est admise aux soins intensifs après un arrêt cardiaque secondaire à une fibrillation ventriculaire d'origine ischémique fort probablement avec massage 2 min, choc 200 J et ROSC après 2 minutes pour la surveillance. La patiente se présente aux urgences de Riaz avec un syncope vers 15 h et des douleurs thoraciques progressives avec irradiation dans les bras et le dos. Avec un ECG sans signes d'ischémie. Secondairement, elle présente une fibrillation ventriculaire sur un phénomène R sur T avec nécessité de massage cardiaque 2 min et un choc de 200 J. Le CT scan thoracique exclut une embolie pulmonaire et une dissection peuvent être exclues. L'US cardiaque montre une hypokinésie minime de la paroi inféro-basale et suspecte une cardiomyopathie hypertrophique. Une coronarographie objective une maladie coronarienne monotronculaire avec sténose significative de l'artère rétroventriculaire postérieure qui est stentée. Dans le doute d'une étiologie ischémique expliquant la FV et étant donné l'antécédent de sarcoïdose, nous envoyons la patiente à Berne pour une IRM cardiaque qui selon le rapport oral, n'indique pas de cardiomyopathie infiltrative, pas de CMH, petit oedème dans le territoire de la RVP.De ce fait, l'origine ischémique est fort probable. La patiente n'a pas représenté de passage en FV depuis son admission, mais les cardiologues posent l'indication à un défibrillateur qui sera posé le 18/02/2019 par Dr. X. Mme. Y, âgée de 69 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole latérale D par plaque tiers Tube 3.5 antiglide le 21.01.2019 suite à une fracture de cheville type AO 44 B3.1 le 14.01.2019. Sur le plan social, la patiente vit seule à domicile. Elle est à la retraite. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Mme. Y signale des douleurs à l'épaule G (opérée en juin 2018) et du bras droit (fracturé en juin 2018), bien contrôlées par l'antalgie en place. Mme. Y a arrêté le tabac depuis son hospitalisation en orthopédie. La patiente est orientée et collaborante. A l'auscultation pulmonaire, sifflements expiratoires en base droite. Oedème postopératoire au niveau de la cheville D. Cicatrice calme, non inflammatoire. La force et la sensibilité grossière aux 4 membres sont conservées. Nous poursuivons le traitement mis en place par nos collègues gynécologues avec une amélioration de la symptomatologie au niveau vaginal. De plus, nous retrouvons un urotube positif au E. Coli justifiant la prescription de Monuril 3 g en ordre unique. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un tintébin en respectant la décharge. La force est conservée aux 4 membres. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 08.02.2019, en bon état général. Mme. Y est une patiente de 79 ans, connue pour une AOMI et un statut post-multiples pontages ilio-fémoraux des deux côtés, qui se présente aux urgences pour des douleurs dans la mi-jambe droite depuis le 15.02.2019, apparues quelques heures après une pose de deux stents en coronarographie. A l'auscultation, on observe une mi-jambe droite bleue et algique, froide, sans pouls palpé périphériques et avec un temps de recapillarisation prolongé. En accord avec les angiologues, une intervention par angiographie est prévue le 19.02.2019 avec pose de stent. L'intervention se déroule sans complication avec pose de deux stents. Une péjoration de l'anémie chronique à 71 g/l motive l'administration d'un culot érythrocytaire le 18.02.2019 avec bon effet. Au vu d'une anémie ferriprive avec un déficit en fer, nous substituons par Ferinject. Mme. Y peut rentrer à domicile le 20.02.2019 en état général conservé. Mme. Y, patiente de 76 ans, connue pour une cardiopathie hypertrophique, une hypertension artérielle, hospitalisée pour un AVC ischémique aigu sylvien mineur G le 01.02.2019 avec comme symptomatologie initiale un hémisyndrome moteur pur facio-brachio-crural droit. L'angio-CT cérébral n'a pas montré d'occlusion vasculaire ni d'argument en faveur d'un AVC aigu sur les cartes de perfusion. Cependant, sur la base de la clinique, l'indication à la lyse intraveineuse est posée avec évolution favorable initiale puis nouvelle péjoration neurologique en fin de lyse avec un épisode d'hématémèse. La lyse intraveineuse est alors stoppée immédiatement. Un CT cérébral natif montre l'apparition d'une hémorragie intraparenchymateuse insulaire droite et une petite hémorragie sous-arachnoïdienne en région frontale gauche. Un traitement afin de reverser la lyse par Fibrinogène et Cyklokapron est administré sur conseil du Dr. X, hématologue. Un nouveau CT effectué 6 heures plus tard montre une situation stable des hémorragies. Par la suite, l'évolution est favorable avec une symptomatologie neurologique rapidement régressive. Un IRM cérébral confirme la présence de plusieurs lésions ischémiques éparses punctiformes dans le territoire sylvien droit. Concernant l'épisode d'hématémèse, le diagnostic différentiel avec un saignement provenant de la cavité buccale sur morsure de langue post-Lyse intraveineuse est également possible. Il n'y a pas eu de récidive d'hématémèse par la suite. Mme. Y a présenté pendant 48h des selles méléniques qui ont évolué vers des selles de couleurs normales. Le suivi de l'hémoglobine se révèle stable. Nous proposons un traitement par Pantoprazol 40 mg 1x/j pendant 6 semaines. Nous informons la patiente de consulter immédiatement en cas de récidive d'hématémèse ou de selles méléniques. Sur le plan étiologique de l'AVC ischémique, une origine embolique est suspectée au vu de la topographie des lésions qui sont de caractère embolique. Une échocardiographie retrouve la cardiomyopathie hypertrophique homogène connue avec absence de valvulopathie significative. Un Holter sur 72 heures à la recherche active d'une fibrillation auriculaire sera effectué en ambulatoire. Les résultats vous parviendront dès leur interprétation. Sur le plan thérapeutique, un traitement par Aspirine cardio 100 mg 1x/j est débuté suite à l'IRM cérébrale ne montrant pas de nouvelle hémorragie et aucun stigmate de l'hémorragie post-lyse. Au vu du bilan lipidique pathologique, nous introduisons un traitement par Atorvastatine 40 mg 1x/j avec une cible de LDL-cholestérol < 1.8 mmol/L ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte. Un bilan neuropsychologique se révèle dans la limite de la norme pour l'âge de la patiente. La conduite automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Le statut neurologique de sortie se révèle dans la norme avec un NIHSS à 0 point. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mme. Y, âgée de 82 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une prothèse céphalique type Zimmer suite à une fracture du col fémoral D Garden IV le 06.01.2019. Sur le plan social, la patiente vit seule à domicile. Elle est à la retraite. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Mme. Y signale que lors d'un transfert à son arrivée à Billens, elle a senti une vive douleur au MID avec limitations des mouvements actifs de la hanche opérée. Le bilan radiologique ne montre pas de complications. Au statut, la cicatrice est calme. Présence d'OMI, D > G. Présence d'un hématome postopératoire à la jambe D. Dermite ocre des 2 MI. A l'auscultation cardiaque, rythme irrégulier. La force du MIG est cotée à M5 au quadriceps et M4 au psoas, celle du MID est cotée à M3+ au quadriceps et M2 au psoas. La sensibilité est conservée. Nous adaptons le traitement diurétique avec Torem 10 mg/jour et arrêt du Lasix. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution des OMI à distance et d'adapter le traitement si nécessaire. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 28.01.2019, en bon état général. Mme. Y souffre d'une coxarthrose gauche symptomatique. Vu la souffrance importante de la patiente, l'indication pour une implantation de prothèse totale de hanche est donnée. La patiente est informée clairement du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci, elle nous donne son accord. Le consentement est signé. Il est prévu une prothèse totale par voie antérieure. La patiente sera encore vue par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique.L'intervention se déroule fin mars de cette année. La patiente sera encore informée de la date précise opératoire. Mme. Y est hospitalisée au sortir d'une consultation oncologique le 25.01.2019, après s'y être présentée plusieurs fois durant la semaine au vu d'une baisse d'état général associée à des vertiges, un état fébrile et un syndrome inflammatoire allant croissant. Sortie il y a peu d'une cure de radiothérapie cérébrale, vu la découverte récente de métastases, elle se trouvait encore sous traitement dégressif de dexaméthasone, dont la majoration transitoire s'est avérée sans effet. Un scanner thoraco-abdominal injecté révèle un foyer pulmonaire dans la lingula, en plus d'une suspicion de récidive locorégionale de l'adénocarcinome du poumon au niveau du lobe supérieur droit et d'une adénoopathie médiastinale. Un traitement de co-amoxicilline est initié, avec rapide amélioration clinico-biologique. Jusqu'à ce jour, la patiente vivait seule à domicile et était indépendante pour les activités de la vie quotidienne. Compte tenu d'un screening gériatrique pathologique et de son état général, nous lui proposons une réadaptation palliative le 29.01.2019, en accord avec son oncologue, le Dr. X. La patiente refuse tout d'abord catégoriquement tant l'HFR Meyriez (trop loin) que la Villa St-François, où elle a vécu le décès de sa mère. Elle se laisse toutefois convaincre par la Villa St-François au terme d'une visite le 30.01.2019, dans l'attente d'une opération de la cataracte. Elle reste néanmoins très ambivalente et souhaiterait également pouvoir rentrer à domicile avec Voltigo. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, connue pour un syndrome métabolique (DM II, obésité, cardiopathie dysrythmique), nous est transférée des soins intensifs pour suite de prise en charge après insuffisance respiratoire globale sur grippe Influenza A ayant péjoré un syndrome d'hypoventilation pré-existant (obésité, apnées du sommeil). Pour rappel, la patiente s'était présentée à Tavel le 19.01.2019 pour dyspnée en péjoration depuis 2 semaines, malgré un traitement diurétique majoré par le médecin traitant. Sur un trouble de l'état de conscience sur carbonarcose, elle est intubée, puis transférée aux soins à l'HFR Fribourg. Après 3 jours, la VNI prend le relais et l'état hypercapnique s'améliore progressivement. À l'entrée en médecine, elle se plaint d'une difficulté à respirer, avec une toux sans crachat et une orthopnée présente dans le cadre d'un syndrome restrictif (obésité morbide). L'anticoagulation est maintenue à dose prophylactique et il sera nécessaire par la suite de réévaluer l'indication à une anticoagulation thérapeutique dans ce contexte rythmique chez cette patiente ayant présenté un AVC hémorragique sur Eliquis. À noter que la patiente est en rythme sinusal lors du séjour en médecine. Le séjour se complique d'un nouveau transfert aux soins pour un état de mal épileptique avec réintubation le 04.02.2019. Une thérapie anti-épileptique par Keppra et Phénytoïne est initiée. L'évolution neurologique clinique ainsi que du tracé EEG est favorable sans récidive épileptique et la patiente peut être extubée après 4 jours. Le traitement est maintenu compte tenu de la cicatrice épileptogène d'AVC, avec contrôle des taux d'anti-épileptiques et suivi neurologique. La patiente sera revue en consultation chez le Dr. X après un EEG de suivi le 10.04.2019. Une dysphagie post-extubation persiste et une alimentation par SNG est mise en place. Sur le plan respiratoire, elle développe une pneumonie d'aspiration à Pseudomonas et MRSA. Une antibiothérapie par méropénème avec relais à ciprofloxacine est mise en place. La ventilation non invasive se poursuit par intermittence la journée et la nuit. La patiente reste inconfortable par moments sur le plan respiratoire avec tachypnée et dyspnée, malgré une bonne saturation avec peu d'oxygène. Des réserves de morphine sont administrées au besoin pour soulager la dyspnée. Sur avis pneumologique, au vu de contrôles gazométriques mettant en évidence une hypercapnie persistante, la VNI est stoppée au vu d'un inconfort et d'un temps de VNI inefficace pour le traitement. Il est à noter qu'après discussion avec la patiente, elle ne souhaite ni une nouvelle intubation ni un nouveau séjour aux soins. La famille étant informée et tout à fait d'accord sur ce point, nous partons sur des soins maximaux à l'étage. Le projet est rediscuté et nous proposons un transfert dans une unité de soins palliatifs germanophone pour le confort de la patiente. Au vu d'une péjoration de l'état de conscience le 19.02.2019 dans la nuit avec agitation et confusion, où la patiente retire également sa sonde nasogastrique, de la morphine est administrée avec titration et des soins de confort sont proposés en accord avec la famille sans reposer une nouvelle sonde nasogastrique. La patiente peut être transférée le lendemain à Meyriez en soins palliatifs pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, connue pour un syndrome métabolique (DM II, obésité, cardiopathie dysrythmique), nous est transférée le 20.12.2019 de la station de médecine interne de l'hôpital cantonal à Fribourg pour suite de prise en charge après insuffisance respiratoire globale sur grippe Influenza A ayant péjoré un syndrome d'hypoventilation pré-existant (obésité, apnées du sommeil). Pour rappel, la patiente s'était présentée à Tavel le 19.01.2019 pour dyspnée en péjoration depuis 2 semaines malgré un traitement diurétique majoré par le médecin traitant ainsi qu'une asthénie et des diarrhées sans fièvre ni frissons. Sur un trouble de l'état de conscience sur carbonarcose dans le cadre de cette insuffisance respiratoire, à Tavel le 26.01.2019, elle est intubée, puis transférée aux soins à Fribourg. Après 3 jours, la VNI prend le relais et l'état hypercapnique s'améliore progressivement. Le séjour se complique d'un nouveau transfert aux soins pour un état de mal épileptique avec réintubation le 04.02.2019. Une thérapie anti-épileptique par Keppra et Phénytoïne est initiée. La patiente peut être extubée après 4 jours. Le traitement est maintenu compte tenu de la cicatrice épileptogène d'AVC, avec contrôle des taux d'anti-épileptiques et suivi neurologique. Une dysphagie post-extubation persiste et une alimentation par SNG est mise en place, que la patiente arrache dans la nuit du 19 au 20.02.2019 sur agitation et confusion dans un contexte de péjoration de l'état de conscience. À l'entrée en médecine à Meyriez, l'anamnèse est difficile au vu d'une agitation et d'une dyspnée importante. Elle évoque également une très grande anxiété, notamment le soir et lorsqu'elle est seule. Il n'existe pas d'autres plaintes à l'anamnèse. Nous mettons d'emblée en place des soins de confort optimaux pour gérer la dyspnée et l'anxiété avec de la morphine et du Dormicum iv en continu, avec un résultat efficace rapidement.Quelques heures après son arrivée dans le service, le 21.01.2019 à 2h du matin, la patiente décède, soulagée de la dyspnée des suites de son insuffisance respiratoire. Mme. Y, 75 ans, a été admise aux soins intensifs pour un état de mal épileptique secondaire à une séquelle d'AVC ischémique et compliquée d'une bronchopneumonie d'aspiration. La patiente était hospitalisée en médecine interne dans les suites d'une grippe à Influenza A compliquée d'une insuffisance respiratoire globale aiguë dans le contexte d'un syndrome sévère d'obésité-hypoventilation préexistant. Le 04.02.2019, la patiente présente une absence suivie de troubles de la parole et de la vigilance en position assise, faisant suspecter une récidive d'AVC ischémique, qui a été exclue par le CT cérébral réalisé en urgence. L'altération neurologique s'est toutefois aggravée avec un état de mal épileptique généralisé, ayant nécessité une intubation oro-trachéale, ventilation mécanique et traitement antiépileptique de levetiracetam, clonazépam et phénytoïne intraveineux. L'évolution neurologique clinique et du tracé EEG a été favorable sans récidive épileptique et la patiente a pu être extubée après 4 jours. Le traitement est maintenu compte tenu de la cicatrice épileptogène d'AVC. Une pneumonie d'inhalation a été traitée par meropenem. Le lavage broncho-alvéolaire a confirmé une infection avec des bactéries intracellulaires et la culture d'aspiration bronchique a identifié du Pseudomonas aeruginosa et du Staphylocoque doré méthicilline résistant. L'antibiothérapie a été adaptée en fonction de l'antibiogramme pour une durée totale de deux semaines. La présence de MRSA a été considérée comme une colonisation bronchique et la patiente a été mise en isolement de contact. Les séances de ventilation non invasive sont reprises dès l'extubation avec un relais par la ventilation non invasive nocturne, qui sera adaptée par les pneumologues au besoin. Une déplétion volémique par diurétique est également en cours. Vu les multiples comorbidités et le déconditionnement actuel, une attitude générale raisonnable devrait être considérée en cas de nouvelle aggravation (pas de réanimation en cas d'arrêt cardio-respiratoire). Une réadmission aux soins intensifs dans le futur pourrait être discutée si l'amélioration présumée est rapide. La patiente a été transférée le 12.02.2019 dans le service de médecine. Mme. Y, 65 ans, connue pour un status post-pancréatite aiguë Balthazar B en novembre 2018 sur probable migration lithiasique, est hospitalisée en électif pour une cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie. La patiente bénéficie de l'intervention susmentionnée le 08.02.2019, qui se déroule sans complication. En vue de l'évolution clinique favorable, Mme. Y rentre à domicile le 11.02.2019. Mme. Y, âgée de 67 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour un reconditionnement général dans les suites d'un choc septique sur perforation d'ulcère peptique prépylorique le 17.12.2018 dans un contexte de prise d'AINS en postopératoire d'une arthroplastie de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite. Sur le plan social, la patiente, veuve depuis 2 ans, vit seule à domicile. Elle a eu 3 enfants dont un fils décédé 1 mois après son mari. Elle a dans ce contexte fait plusieurs dépressions avec hospitalisation à Marsens. Elle bénéficie d'un suivi psychiatrique à domicile 1x/semaine. Elle est à la retraite (ancienne concierge/femme de ménage). À l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. La cicatrice est calme. À noter à l'auscultation pulmonaire une diminution bibasale du murmure respiratoire. Au niveau de l'épaule D, on note une mobilité active et passive avec élévation antérieure à 30/40, abduction 30/40, rotation externe 10/15. La patiente présente régulièrement des épisodes d'angoisse notamment le soir pour lesquels elle prend des réserves de Distraneurine avec bon effet. Durant son séjour, elle n'a pas présenté de complication particulière. On note toutefois la persistance d'un écoulement séreux et des légers signes inflammatoires au niveau de la plaie abdominale. Un frottis est effectué et la patiente sera vue en contrôle en chirurgie à l'HFR Fribourg le 21.01.2019. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche. Les amplitudes articulaires montrent une élévation antérieure de l'épaule D à 145°, une abduction à 90°, une rotation interne à 90° et une rotation externe à 45° en actif. L'amélioration est notable mais nous proposons tout de même un contrôle chez l'opérateur. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 19.02.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y est une patiente de 70 ans, connue pour hypothyroïdie substituée, qui est hospitalisée pour gastro-entérite virale. Elle présente des diarrhées aqueuses depuis le 12.02 non hémorragiques avec crampes abdominales sans amélioration sous Imodium. Pas de voyage récent, ni contage. Elle présente un état fébrile à 38°C avec difficulté à s'hydrater. Le bilan biologique initial montre un syndrome inflammatoire modéré avec insuffisance rénale aiguë et dysélectrolytémie. Une coproculture revient négative. Malgré l'absence de symptômes urinaires, un urotube est envoyé et est toujours en cours. La TSH est en attente. L'évolution clinique est rapidement favorable après hydratation intraveineuse et substitution intraveineuse des électrolytes. Mme. Y rentre à domicile le 17.02.2019. Mme. Y, patiente de 74 ans, est hospitalisée en médecine interne en raison d'une dyspnée d'apparition progressive. Cette dyspnée est attribuable à un épanchement pleural gauche, objectivé au cliché radiographique du thorax et à une décompensation cardiaque globale à prédominance droite. Pour rappel, la patiente a consulté notre confrère, le Dr. X, pour une échocardiographie de contrôle. Cet examen a permis d'objectiver une FeVG à 65%, avec un atrium gauche fortement dilaté, ainsi qu'une minime HTAP. Dans le contexte de cette consultation, il objective une dyspnée et nous adresse la patiente pour bilan et prise en charge. Nous majorons ainsi le traitement de torasémide et effectuons une ETO, qui témoigne d'une insuffisance mitrale modérée, stable, ainsi que d'une lésion de la paroi atriale, s'étendant dans la jonction atrioventriculaire droite. Nos cardiologues recommandent ainsi une IRM cardiaque morphologique afin de préciser la nature de la lésion. À noter un passage en tachycardie le 17.01.2019 que nous traitons en majorant le traitement par metozerok, avec une bonne réponse clinique de la patiente. Nous introduisons un traitement par digoxine à partir du 21.01.2019. Sur le plan de l'épanchement pleural, nous effectuons une thoracocentèse, qui objective un exsudat. Nous ne retrouvons toutefois pas de cellules malignes, ni d'argument pour une étiologie infectieuse. La majoration du traitement diurétique, avec notamment l'introduction de lasix en pompe, ne permet pas d'obtenir un résultat satisfaisant au niveau de la dyspnée. La présence d'une opacité apicale droite à la radiographie du thorax nous pousse alors à compléter le bilan par un PET-CT, qui confirme la présence d'une masse apicale droite, ainsi que de multiples adénopathies médiastinales. Nous retenons ainsi une indication à une bronchoscopie, afin de prélever un échantillon d'adénopathie. Le geste se complique d'une instabilité hémodynamique, qui a nécessité transitoirement un support aminergique en salle de réveil avant son retour à l'étage.Le soir du 03.02.2019, la patiente présente une insuffisance respiratoire aiguë asphyxiante sans étiologie claire. Malgré l'administration d'une oxygénothérapie et un transfert aux soins intensifs pour une ventilation non invasive, la patiente décède. Une intubation avait été refusée par la patiente hors bronchoscopie, ainsi que les manœuvres de réanimation. Une autopsie a été proposée mais refusée par la famille. Les résultats préliminaires de pathologie indiquent la présence d'un adénocarcinome pulmonaire. • Mme. Y est une patiente de 80 ans, qui est hospitalisée dans notre service de Chirurgie pour prise en charge d'une sténose carotidienne droite. Elle bénéficie le 28.01.2019 de l'intervention susmentionnée. L'évolution post-opératoire est tout à fait favorable, permettant un retour à domicile le 31.01.2019. Elle sera revue à la consultation du Dr. X le 20.03.2019 après un contrôle doppler prévu le 12.03.2019. • Mme. Y, âgée de 79 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par le Salem Spital pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une stabilisation L1-S1 avec vertébroplastie L1, L2 et S1 et hémilaminectomie L4 à droite dans un contexte de canal lombaire étroit L3/L4 et L4/L5, modéré L5/S1 et L2/3 symptomatique. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit avec son ami à domicile qui lui fournit une grande aide. Elle a 2 filles avec qui elle a des contacts réguliers. Elle est à la retraite (travaillait chez Nestlé à Broc). À l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. La patiente décrit cependant des accès de douleurs paroxystiques sur le trajet L5/S1 à gauche. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La force est cotée à M5 au MID et M4+ au MIG au niveau de L5. Il n'existe aucun déficit. Durant son séjour, la patiente n'a présenté aucune complication. Elle a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre les escaliers avec une canne et la rampe. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 05.02.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Les soins à domicile sont activés pour la douche 2x/semaine. • Mme. Y, âgée de 76 ans, connue pour une BPCO stade IV selon Gold oxygéno-dépendante, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation respiratoire suite à une exacerbation de sa BPCO, nécessitant une ventilation non-invasive en continu, traitement par Prednisone, sans antibiothérapie. À relever, sur le plan cardiaque, une fibrillation auriculaire tachycarde retrouvée à son arrivée à l'HFR Fribourg et cardioversée après l'administration de bêta-bloquants IV. Une ETT retrouve une hypertension pulmonaire sévère et une bonne fonction ventriculaire droite et gauche. Le laboratoire montre une élévation des pro-BNP et la radiographie thoracique retrouve des signes de surcharge. Une décompensation cardiaque surajoutée est suspectée. Sur le plan social, Mme. Y vit chez son fils dans un appartement. Elle bénéficie du passage des soins à domicile tous les 15 jours. À l'admission, la patiente se plaint d'un manque d'appétit. Au status, patiente en état général diminué. Souffle cardiaque systolique 2/6 au foyer d'Erb, turgescence jugulaire et reflux hépato-jugulaire. Présence d'OMI ddc. Diminution du murmure respiratoire aux 2 bases, pas de râle ni sibilance. Matité à droite. Le 29.01.2019, Mme. Y se plaint d'une dyspnée qui a commencé après l'arrêt de la VNI. Elle se sent très angoissée et très fatiguée. La patiente est lucide et orientée, pas de douleurs thoraciques. Les paramètres démontrent une HTA (178/128 mmHg), satO2 à 77% sous 2 lt/min d'O2 et FC 100/min. Après la pose d'une voie veineuse et administration de Lasix 20 mg IV et Deponit 5 mg patch, la TA diminue mais la patiente reste très dyspnéique. Nous recommençons la VNI et 40 minutes après l'introduction de la VNI, nous répétons la gazométrie qui ne montre pas d'amélioration. L'ECG montre un sous-décalage inféro-latéral du segment ST, augmenté par rapport à l'ECG de la veille (DD ischémique vs surcharge). Nous transférons Mme. Y aux urgences de l'HFR Fribourg pour investigations et suite de prise en charge. • Mme. Y, connue pour une discopathie L4-L5, L5-S1 sans hernie discale visible, depuis l'IRM de 2012, consulte les urgences le 11.02.2019 en raison de dorso-lombalgies acutisées depuis 5 jours en péjoration malgré la prise de Dafalgan 4x/j et d'Ecofénac. La patiente décrit une irradiation des douleurs lancinantes dans la fesse et au niveau de la face postérieure de la cuisse et du pied droits. Pas de rétention urinaire ni d'incontinence des selles. Pas de perte de force. Fourmillements dans la face postérieure de la jambe droite. À l'admission, au status neurologique, les réflexes sont vifs et symétriques aux membres inférieurs. La force est à M5 au niveau des quadriceps, psoas et releveurs plantaires. Sensibilité diminuée au mollet droit, mais le touché-piqué est conservé diffusément et tonus conservé. Lasègue positif à 40° bilatéralement. Sur le plan ostéo-articulaire, on met en évidence une colonne vertébrale sans tuméfaction ni hématome et indolore à la palpation. Au toucher rectal, le tonus sphinctérien est conservé. Le reste du status d'entrée est non contributif. Au laboratoire, pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytiques, la fonction rénale est bonne. La patiente est hospitalisée pour gestion de l'antalgie. Sous Dafalgan, AINS, myorelaxant et opiacés ainsi que physiothérapie de mobilisation, l'évolution est rapidement favorable, sans trouble neuro-moteur ni sphinctérien. Mme. Y peut regagner son domicile le 15.02.2019 avec poursuite de son traitement antalgique. Nous proposons un contrôle clinique à votre consultation la semaine suivant la sortie. • Mme. Y, âgée de 57 ans, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation respiratoire suite à un hydro-pneumothorax à droite (4cm de pneumothorax) dans un contexte postopératoire de résection uni-portale du segment I et II droit avec lymphadénectomie médiastinale radicale le 20.12.2018 effectuée dans la suspicion d'un NSCLC, avec ablation du drain thoracique à droite le 22.12.2018. À l'histopathologie, la pièce opératoire démontre la présence d'Aspergillus, sans malignité. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Elle travaille comme enseignante. À l'admission, la patiente est dyspnéique au repos, sans toux ni expectoration. Elle signale une douleur intercostale connue et constante, bien soulagée par l'antalgie en place. À l'auscultation pulmonaire, murmure respiratoire normo-transmis. La gazométrie d'entrée montre une saturation et pO2 dans la norme, et ne requiert pas d'oxygénothérapie; on constate une hyperventilation alvéolaire avec une hypocapnie respiratoire compensée. La spirométrie est de qualité sous-optimale. Sur cette base, un asthme ne peut être exclu. La radiographie du thorax, par rapport à celle du 30.12.2018, ne met plus en évidence de pneumothorax à droite.L'ECG ainsi que la valeur des BNP sont dans la norme. Pendant son séjour, la dyspnée s'améliore progressivement. A la sortie, Mme. Y contrôle mieux ses symptômes respiratoires et à la gazométrie du 29.01.2019, nous constatons des valeurs en amélioration concernant la pCO2. La patiente signale une sensation de sécheresse à la gorge. Cette symptomatologie pourrait être attribuée au traitement de Spiriva. Elle, refusant la spirométrie à la sortie, nous vous laissons le soin de répéter cet examen à distance et d'adapter le traitement inhalateur si besoin. Le sevrage du tabac est maintenu et nous prescrivons du Nicotinell patch pour le retour à domicile. Dans un contexte de douleurs thoraciques postopératoires, nous adaptons l'antalgie en sevrant le Brufen. A la sortie, la patiente a besoin de Dafalgan et Tramal pour gérer ces douleurs qui restent constantes. Au vu d'une constipation importante, en lien avec l'arrêt du tabac et le traitement par Tramal, nous introduisons un traitement par Laxoberon gouttes à poursuivre selon besoin. Sur le plan nutritionnel, Mme. Y a été suivie pour une dénutrition légère (NRS à 3, un BMI à 19.4, besoins en protéines couverts à 85%). Ses besoins ont été couverts grâce aux adaptations de repas, sans SNO. Elle rentre à domicile avec pour objectif de maintenir son poids en fractionnant ses repas et de prendre quelques kilos. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 120 m à 425 m et la patiente augmente la distance parcourue sur le tapis pendant 20 minutes de 0.300 km à 2.001 km. A la sortie, elle bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 30.01.2019, en bon état général. Mme. Y nous est transférée depuis le service de médecine de l'HFR Fribourg le 04.02.2019 en raison d'un déconditionnement après une chute à domicile dans un contexte d'infection urinaire basse. A son entrée, la patiente se plaint d'une douleur thoracique uniquement déclenchée par la toux. La toux, non productive, est présente depuis 3 semaines. Au status d'entrée, l'examen cardiovasculaire est dans les limites de la norme. A l'auscultation pulmonaire, nous trouvons de légères sibilances diffuses associées à une hypoventilation bibasale. Concernant la toux, la radiographie thoracique est normale. Au vu d'une amélioration subjective de la toux sous aérosols de Ventolin et Atrovent, nous introduisons empiriquement par la suite un traitement d'Onbrez. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution de la toux au vu du tabagisme ancien et nous vous proposons d'organiser à distance des fonctions respiratoires. Le Sintrom est adapté en fonction des valeurs de l'INR. Le traitement antidiabétique oral, montrant des glycémies acceptables, n'est pas modifié. A noter toutefois en fin de séjour l'utilisation d'un schéma de correction par insuline. Nous vous proposons de réévaluer le traitement en fonction des glycémies à domicile avec le régime alimentaire habituel de la patiente. Mme. Y est vue par nos diététiciennes. Nous introduisons des suppléments nutritifs oraux. La patiente présente en outre une mycose cutanée abdominale. L'évolution est favorable sous traitement topique par Pevaryl. Sur le plan de la motricité, nous réalisons un bilan vitaminique à la recherche d'une polyneuropathie carentielle qui infirme cette piste. L'origine la plus probable de la polyneuropathie est d'origine diabétique. Parallèlement à sa prise en charge aiguë, Mme. Y bénéficie d'une prise en charge interdisciplinaire avec physio- et ergothérapie intensives. Lors de l'évaluation d'entrée, la mobilité est très limitée et le risque de chute très augmenté. Les transferts sont réalisés avec aide modérée. La marche avec déambulateur est possible avec aide de contact sur une distance de 25 m. La montée des marches n'est pas testée. En fin de séjour, les transferts et la marche avec déambulateur sur 120 m sont réalisés sous supervision. La mobilité est légèrement limitée et le risque de chute est moindre mais reste malgré tout présent. La patiente rentre à domicile le 16.02.2019 en bon état général. Nous organisons le passage des soins à domicile 3x/semaine pour la glycémie et le suivi de la tension artérielle. Mme. Y, âgée de 71 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'un PTG D le 22.01.2019. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile. Elle est à la retraite. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Elle se plaint de douleurs au genou D mais qui sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La force du MIG est cotée à M4, celle du MID est cotée à M2. La sensibilité est conservée. En ce qui concerne l'hypertension artérielle non traitée, nous avons constaté une hypertension systolique pendant son séjour. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'introduction d'un traitement antihypertenseur. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou D à 80-10-10. La force du MID est cotée à M3 au quadriceps et aux fléchisseurs de la hanche. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 11.02.2019, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y, votre patiente de 59 ans connue pour un lymphome DLBCL ayant bénéficié d'une auto-greffe le 10.12.2018 à l'hôpital de l'île à Berne, actuellement en rémission, est adressée par son oncologue traitant (Dr. X) en raison d'un état fébrile d'étiologie indéterminée dans un contexte de rash cutanés et de diarrhées profuses liquides non sanguinolentes, associés à des nausées mais sans vomissement, évoluant depuis 2 semaines. Sur base d'une suspicion d'un engraftment syndrome tardif, elle est mise au bénéfice d'une corticothérapie par le Dr. X à base de Prednison 30 mg avec un sevrage progressif et une dernière dose le 29.01.2019. Elle note une amélioration du rash cutané, néanmoins une persistance, à son admission, et surtout une péjoration des diarrhées. À son admission, la patiente se plaint également de dyspnée stade III depuis 2 à 3 semaines, avec une toux grasse à expectoration claire. À l'examen clinique, on note une diminution de la fréquence et de la tonalité du péristaltisme abdominal, une sensibilité loge rénale gauche à percussion, un souffle 2/6 systolique au foyer d'Erb et un souffle carotidien gauche. Le bilan initial montre une majoration du syndrome inflammatoire avec une CRP à 177 mg/l mais sans hyperleucocytose ni de déviation gauche, des troubles électrolytiques mineurs, et avec un CT-Scan thoraco-abdominal en faveur d'une pancolite. La recherche de Clostridium difficile revient positif, ce qui motive une antibiothérapie par Flagyl pour une durée de 10 jours au total. À sa sortie, nous observons une nette amélioration des symptômes avec diminution de la fréquence des selles et quasi normalisation de la consistance.La toux et la dyspnée semblent en lien avec une bronchectasie lobaire inférieure gauche associée à un comblement bronchique mais sans foyer infectieux comme le montre le CT-Scan du 30.01.2019. Une prise en charge symptomatique est proposée avec bénéfice. D'un point de vue oncologique, le CT-Scan thoraco-abdominal met en évidence une progression en taille des lésions tissulaires en para-aortique gauche et des multiples conglomérats d'adénopathies rétro-péritonéaux. Sur avis de nos collègues oncologues, un rendez-vous de consultation est pris auprès du Dr. X le 20.02.2019 à 15h15. Un Pet-CT sera organisé dans un second temps. À noter une pancytopénie dans le contexte avec une anémie microcytaire, sans extériorisation objectivée, avec une hémoglobinémie à 68 mg/l ayant nécessité une transfusion d'un concentré érythrocytaire avec amélioration au contrôle. Nous vous suggérons un suivi biologique et clinique dans ce contexte. Enfin, une candidose buccale, également dans le contexte oncologique, fait l'objet d'une prise en charge par Mycostatine, et dont nous vous suggérons également le suivi clinique. La patiente sort d'hospitalisation en bon état général et amélioration des symptômes principaux initiaux et retourne à domicile ce mardi 05.02.2019. Mme. Y, patiente de 63 ans connue pour un foramen ovale perméable sous Eliquis, porteuse d'un pacemaker depuis 2013 en raison de troubles de la conduction dans le cadre d'une fermeture de CIA en 1961, est hospitalisée en raison d'une toux productive avec expectorations. La patiente rapporte depuis 10 jours un état grippal alors qu'elle est en vacances en Thaïlande avec maux de gorge initialement, puis toux productive et états fébriles fluctuants. Elle rapporte également des diarrhées durant ce voyage, résolues avec prise de Lopéramide. La notion de contage est positive avec son mari et une amie parties avec elle, souffrant aussi de toux et fièvre. La patiente est connue pour des douleurs en hypochondre droit de longue date avec perte de 10 kg en 5 ans, investiguées par le médecin traitant. La patiente bénéficie d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline à son retour en Suisse dès le 23.02.2019 sur conseil de son médecin traitant. Elle consulte les urgences sur HFR le 24.02.2019 en raison d'une évolution défavorable. La radiographie d'entrée montre un foyer basal droit et la patiente bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine intra-veineuse et Klacid per os. Les antigènes urinaires pour pneumocoque et légionelle reviennent négatifs. L'évolution clinico-biologique est favorable et un relais par Co-Amoxicilline est effectué pour une durée de 7 jours. La patiente rapporte également une perte de poids de 10 kg en 5 ans, déjà investiguée par le médecin traitant, actuellement stable. Une colonoscopie pourrait être rediscutée en ambulatoire. Elle présente des épisodes de diarrhées durant le séjour, sans trace de sang. Une recherche de Clostridium difficile revient négative et un traitement symptomatique est introduit. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 28.02.2019. Mme. Y est une patiente de 58 ans, connue pour un volumineux goitre sur hyperplasie nodulaire diffuse, qui est hospitalisée en électif le 01.02.2019 pour bénéficier d'une thyroïdectomie bilatérale totale. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples et afébriles, permettant un retour à domicile le 04.02.2019. Elle sera revue à la consultation du Dr. X pour un suivi endocrinologique le 08.03.2019 et à la consultation du Dr. X pour un suivi postopératoire le 11.03.19 à 13h00. Mme. Y, une patiente de 70 ans connue pour un adénocarcinome du pancréas ainsi qu'un antécédent d'embolie pulmonaire traitée actuellement par Lixiana, est hospitalisée pour une surveillance après TCC. Elle a fait une chute à domicile la nuit du 22.02.2019 avec TC occipital et perte de connaissance d'environ 1h au sol, les conditions de survenue n'étant pas très clairement décrites chez une patiente avec une notion de vertiges récidivants (le diagnostic différentiel comprenant des effets indésirables de la chimiothérapie, un déconditionnement global ou un phénomène vaso-vagal chez une patiente régulièrement anxieuse). Le bilan d'entrée était sans particularité avec un statut neurologique conservé et un CT-cérébral n'ayant pas montré de traumatisme ou de saignement. Un bilan cardiaque (ETT, ECG, Test de Schellong et Holter) effectué récemment dans un contexte similaire n'avait pas montré d'anomalie, raison pour laquelle nous ne l'avons pas répété. Un laboratoire s'est également révélé sans particularité. Par ailleurs, nous avons relevé quelques épisodes de désaturation jusqu'à 88%, mais chez une patiente tabagique avec BPCO très probable, et chez qui nous ne relevons pas de nouvelles plaintes respiratoires. Un bilan pneumologique est prévu prochainement. La surveillance neurologique n'ayant pas révélé de signes de gravité et les suites étant favorables, nous avons laissé la patiente regagner son domicile le 23.02.2019 avec recommandations de vigilance post-TCC remises à elle-même et à sa fille chez qui elle habite. Mme. Y nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un triple pontage veineux aorto-coronarien de la circonflexe/diagonale et AMIG/IVA réalisé le 27.12.2018 dans le cadre d'une maladie coronarienne tritronculaire connue. La patiente a présenté un NSTEMI le 21.12.2018 sur sténose à 90% de l'IVA moyenne et distale, sténose à 90-99% de la première diagonale et sténose à 80% de la première marginale compliquées d'une décompensation cardiaque à prédominance gauche. Pour reprendre l'histoire, une coronarographie en avril 2018 avait déjà mis en évidence une cardiopathie tritronculaire avec stenting de la coronaire droite. Les lésions multiples de l'IVA n'étant pas accessibles à une revascularisation mécanique, la seule lésion encore traitable restait une sténose de 70-80% de l'artère circonflexe distale. Elle présente un tableau de décompensation cardiaque depuis 7 jours avec majoration d'une dyspnée et prise de poids malgré un traitement diurétique introduit par son médecin traitant. Le 20.12.2018, elle est amenée aux urgences en raison de douleurs thoraciques. Le bilan biologique et électrocardiographique conclut à un NSTEMI. La coronarographie réalisée le 21.12.2018 a mis en évidence un bon résultat après angioplastie de l'artère coronaire droite proximale et distale. Sont présentes les sténoses significatives de l'IVA moyenne, de la première diagonale et de la première marginale. La FEVG est estimée à 65%. Après discussion avec Mme. Y, au vu de la complexité de la maladie coronarienne et des comorbidités (diabète), il est décidé d'adresser la patiente à la Clinique Beau-Site à Berne pour une revascularisation chirurgicale. Le bilan pré-opératoire a été complété par un examen angiologique (écho-doppler des vaisseaux pré-cérébraux et mapping veineux) qui ne révèle pas de sténose carotidienne significative. Les grandes saphènes sont perméables. Traitement à l'entrée : • Aspirine cardio 100 mg: 1-0-0 • Atacand 16 mg: 1-0-0 • Beloc Zok 50 mg: 0.5-0-1 • Nexium 20 mg: 0-0-1 • Torem 10 mg: 3-2-0 • Metolazon 5 mg: 0.5-0-0 • Novalgin 500 mg: 1-1-1-1 • Tresiba: 28 UI-0-0 • Novorapid: selon schéma • Ludophtal: 1-0-1 • Tobradex: 1-1-1-1 Évolution favorable de l'épisode de décompensation cardiaque initial sous diurétique. La patiente présente néanmoins un épisode d'insuffisance rénale aiguë KDIGO 1 se corrigeant après diminution des doses de diurétique et réhydratation.Nous laissons au médecin traitant le soin d'évaluer l'arrêt des diurétiques selon l'évolution des œdèmes. Pour rappel, persistance chronique d'altérations électrolytiques. Bonne évolution de la cicatrisation avec néanmoins contrôle de celles-ci par le médecin traitant à prévoir. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 3 km/h sur une pente de 2 % pendant 25 minutes sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 110 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mme. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan glycémique, nette amélioration du profil sous régime et mouvements réguliers autorisant un ajustement de la posologie de l'insuline lente. Le bilan lipidique de sortie retrouve un LDL à 2.4 mmol/L, un HDL à 0.85 mmol/L et des triglycérides à 1.61 mmol/L. Mme. Y présente une coxarthrose bilatérale symptomatique à droite. Malheureusement, la physiothérapie n'a pas montré d'effet positif. Au status clinique, il y a clairement une composante de douleurs qui s'explique par une coxarthrose à droite, mais le bilan radiologique n'étant pas trop inquiétant pour une arthrose de la hanche droite, je propose de compléter le bilan par une IRM des hanches et de la colonne lombaire. Je reverrai la patiente après ces examens pour rediscuter des résultats et du traitement. Pour l'instant, l'indication pour l'implantation d'une prothèse totale à droite n'est pas donnée, avant que la composante principale des douleurs soit la coxarthrose qui, du moins radiologiquement, ne me semble pas très avancée. Prochain rendez-vous le 12.03.2019. Mme. Y présente probablement une rupture complète du ligament croisé antérieur associée à une lésion grade III du ligament collatéral interne de son genou droit. Dans un premier temps, la patiente est équipée d'une genouillère articulée qu'elle portera pour une durée de 6 semaines, rééducation pour stabiliser son genou en physiothérapie. Réévaluation clinique dans 6 semaines. En cas de persistance d'une instabilité importante du genou, une éventuelle plastie ligamentaire du ligament croisé antérieur devra être effectuée. Arrêt de travail attesté à 100 % jusqu'au 03.03.2019. Prochain rendez-vous : 12.03.2019. Mme. Y, connue pour BPCO GOLD IV, est hospitalisée dans un contexte d'une décompensation de sa maladie. En effet, elle présente depuis plusieurs jours l'apparition d'une dyspnée en péjoration avec baisse de l'état général. Nous observons un syndrome inflammatoire chez une patiente tachypnéique avec nécessité d'une oxygénothérapie. Des prélèvements microbiologiques sont effectués et reviennent positifs pour une grippe A. Un traitement de Tamiflu est instauré au vu des comorbidités de la patiente, ainsi qu'une antibiothérapie au vu de l'exacerbation. Un traitement de corticoïdes de courte durée est également instauré. Le traitement de Co-amoxicilline préalablement prescrit est stoppé au vu de l'apparition de plaques rouges érythémateuses, répondant rapidement à un traitement de corticoïdes et d'anti-histaminique. Celui-ci est changé par du Tavanic. La patiente avait déjà eu par le passé la nécessité d'avoir de l'oxygène à domicile. Nous instaurons à nouveau ce service avec l'aide de la ligue pulmonaire. Une consultation pneumologique aura lieu dans 2 mois avec tests fonctionnels. La patiente sera convoquée pour cela. Nous proposons une réhabilitation pulmonaire qu'elle refuse. Mme. Y peut rentrer à domicile le 18.02.2019. Mme. Y, patiente de 59 ans, connue pour un syndrome métabolique, est hospitalisée le 26.01.2019 à la suite d'une chute de sa hauteur avec un mécanisme peu clair, avec traumatisme crânien, mais sans perte de connaissance, dans un contexte de déconditionnement global et de perte d'équilibre. Dans sa chute, la patiente s'est ouvert la lèvre supérieure à droite. Elle décrit aussi une sensation d'oppression thoracique depuis plusieurs mois, avec une dyspnée NYHA III en péjoration, sans toux ni expectorations. Une orthopnée est également décrite (2-3 coussins nécessaires). Au sujet de la chute de la patiente, le mécanisme reste peu clair, malgré une anamnèse détaillée. Au vu de l'absence de franche perte de connaissance et après réalisation des différents examens cardiologiques détaillés par la suite, nous ne retenons pas le diagnostic d'une syncope d'origine cardiaque. Un examen de la pallesthésie met en évidence un déficit de la sensibilité aux membres inférieurs, probablement dans le contexte de diabète connu chez la patiente, qui, associé à un déconditionnement global, semble être à l'origine de la chute de la patiente. Sur recommandation des physiothérapeutes et en accord avec la patiente, nous la référons en ambulatoire au groupe de reconditionnement. Sur le plan cardiologique, l'angor stable typique que décrit la patiente nous incite à réaliser un ECG, un suivi des troponines, une échocardiographie puis une ergométrie, qui se révèlent tous dans la norme. Sur avis des cardiologues, nous réalisons un CT des coronaires, qui ne retrouve pas de sténose significative. Dans ce contexte, nous ne retenons pas d'indication à une coronarographie, ni à l'instauration d'un traitement. Sur le plan pneumologique, au vu de la dyspnée que présente la patiente et de son tabagisme ancien important, nous suspectons une BPCO. Nous vous suggérons donc de réaliser des fonctions pulmonaires à distance de l'épisode aigu. Un épisode fébrile avec un pic à 39.5 ° est mis en évidence le 01.02.2019. Un foyer clinique clair n'est pas retrouvé et un frottis de nasopharynx revient alors positif pour un virus Influenza A, nécessitant un isolement de type gouttelettes et l'introduction de Tamiflu pour une durée totale de 5 jours. Au vu d'une bonne amélioration sur le plan clinique et biologique, la patiente retourne à domicile le 05.02.2019. Mme. Y a bénéficié le 23.01.2019 à la clinique Daler d'une thyroïdectomie totale avec curage à droite pour carcinome. La patiente est amenée aux urgences en ambulance le 26.01.2019 en raison d'une tétanie, de douleurs au niveau des membres supérieurs et d'une parésie généralisée depuis ce matin. Au status neurologique, la patiente est orientée et collaborante. Les pupilles sont isocores et isoréactives. Notons une hyperréflexie avec les signes de Chvostek et de Trousseau positifs. Au niveau cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, bradycarde, sans souffle audible. À l'auscultation respiratoire, le murmure respiratoire est bilatéral et symétrique, sans bruit surajouté. Au status digestif, l'abdomen est souple, la palpation est indolore. Aux urgences, la patiente reçoit du Gluconate de calcium iv dose de charge 2 x 450 mg iv puis entretien 75 mg/heure et Magnésium iv 16 mmol sur 4 heures avec bonne réponse et amélioration de la symptomatologie. Mme. Y est hospitalisée pour surveillance et suivi biologique. L'hospitalisation est de courte durée vu la bonne évolution sous traitement. Nous prenons contact avec le Dr. X, opérateur de la patiente, qui nous confirme qu'il n'y a pas eu de lésion des para-thyroïdes lors de l'intervention chirurgicale, mais qu'une atteinte de leur fonction est possible en post-opératoire. Il propose un traitement par Rocaltrol 0.5 ug 2 x/j (et non 0.25 ug 2 x/j prescrit au début) qui résout la symptomatologie. Le Dr. X, qui suit la patiente, est mis au courant de l'hospitalisation et la reverra prochainement en consultation ambulatoire.Dans ce contexte, Mme. Y peut regagner son domicile le 29.01.2019. N.B. : le magnésium substitué au début de l'hospitalisation a dû être stoppé en raison des diarrhées et nous vous laissons le soin de contrôler la valeur en ambulatoire. • Mme. Y, patiente de 87 ans, connue pour une hypertension artérielle, un diabète insulino-requérant et une polyarthrite rhumatoïde, nous est envoyée par son médecin traitant suite à la découverte fortuite d'une anémie symptomatique sévère (78 g/l). La patiente ne rapporte pas d'extériorisation sanguine. Elle rapporte cependant une asthénie en progression depuis quelques mois, associée à une dyspnée NYHA III depuis 6 mois, en péjoration depuis 1 mois et une orthopnée. Sur le plan hématologique, le laboratoire retrouve des agglutinines froides et une gammapathie monoclonale à IgM kappa. Dans le cadre du bilan d'extension, nous réalisons un CT cervico-thoraco-abdominal qui ne retrouve pas d'adénopathie ou de splénomégalie. Après discussion avec nos collègues hématologues et la patiente, il est décidé de ne pas réaliser de ponction biopsie de moelle, la patiente ne souhaitant pas de sanction thérapeutique (Rituximab). L'hémoglobine remonte gentiment durant l'hospitalisation, sans avoir recours à une transfusion. Afin d'éviter une hémolyse associée aux agglutinines froides, nous recommandons à la patiente d'éviter les expositions au froid et nous instaurons une supplémentation en acide folique. Nous vous proposons un suivi régulier de la formule sanguine de la patiente. Nous restons à disposition ainsi que nos collègues hématologues pour une éventuelle prise en charge ultérieure. • Au niveau cardiologique, au vu des signes et des symptômes de décompensation cardiaque que présente la patiente, nous réalisons une échocardiographie transthoracique qui met en avant un aspect de cardiopathie hypertensive, avec une hypertrophie concentrique. Les fonctions systolique et diastolique sont dans la norme. Nous proposons un traitement diurétique, un suivi quotidien du poids et recommandons à la patiente de consulter son médecin traitant si elle devait dépasser les 72 kg. Au vu de l'absence de sanction thérapeutique et d'une bonne amélioration à la fois clinique et biologique, la patiente rentre à domicile le 05.01.2019. • Mme. Y, résidant au foyer de Vuadens, ayant bénéficié de la pose d'un PTH le 27.12.2018, sous Aspirine et Xarelto, est amenée aux urgences en ambulance le 18.01.2019 en raison de la présence d'une quantité non négligeable de sang frais sur son alèse ce matin, suite à une rectorragie. Quantité non précisée par le personnel soignant du foyer. Vous dosez l'hémoglobine qui est à 60 g/l. A l'admission aux urgences, la patiente est hémodynamiquement stable. Elle est très pâle. Mme. Y se plaint de douleurs abdominales diffuses mais à noter une anamnèse difficile en raison de la démence de type Alzheimer. Le fils de la patiente signale une baisse de l'état général depuis la pose de la PTH. Au status digestif, l'abdomen est diffusément douloureux à la palpation avec défense et détente. Au toucher rectal, on ne met pas en évidence de masse palpable. Présence de méléna. Les loges rénales sont souples et indolores. Le status cardio-respiratoire est sans particularité. Le laboratoire ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire ni de trouble électrolytique. La fonction rénale est bonne, les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme. L'hémoglobine est à 56 g/l. Nous mettons le Xarelto et l'Aspirine en pause et donnons 80 mg de Nexium en bolus puis 8 mg/h. Au vu de l'abdomen aigu, nous prenons l'avis du Dr. X, chirurgien de garde, qui préconise un CT scan abdominal, que la patiente refuse. Mme. Y refuse également la transfusion de culots érythrocytaires. La patiente n'ayant pas sa capacité de discernement, son fils est contacté et autorise la réalisation du CT scan sous 1 mg de Dormicum ainsi que la transfusion. Le CT scan abdominal ne met pas en évidence de saignement actif au moment de l'examen. Toutefois, en raison d'un examen réalisé sans lavement rectal, il est impossible de pouvoir formellement exclure une masse colique ou rectale, pouvant expliquer les rectorragies. En revanche, la maladie diverticulaire pourrait être la source du saignement. La patiente bénéficie de la transfusion de 3 culots érythrocytaires avec bonne tolérance. Une OGD effectuée par le Dr. X montre deux ulcères gastriques prépyloriques, probablement la source hémorragique (classification Forrest III) ainsi qu'une petite hernie hiatale. Un test rapide H. pylori revient négatif. Nous introduisons un IPP per os double dosage pour 6 semaines. Le Xarelto prophylactique et l'Aspirine sont mis en suspens. Nous vous laissons le soin de réintroduire l'Aspirine dans 1 mois selon l'évolution et les valeurs d'hémoglobine. Au dernier contrôle laboratoire du 23.01.2019, l'hémoglobine est stable à 93 g/l et Mme. Y peut regagner le foyer le 24.01.2019 avec poursuite de l'IPP par Nexium 40 mg per os à double dose pour une durée totale de 6 semaines. Nous proposons un contrôle clinico-biologique à votre consultation la semaine suivant la sortie. • Mme. Y est une patiente de 43 ans, connue pour des hémorroïdes stade IV, qui se présente le 03.02 aux urgences en raison d'hémorragie digestive basse aiguë. A son arrivée, la patiente présente une instabilité hémodynamique et au laboratoire, une chute de l'hémoglobine de plus de 20 points jusqu'à 78 g/l, nécessitant donc un remplissage et une transfusion de 2 CE. Une anuscopie et rectoscopie rigide faite au bloc opératoire ne met pas en évidence de saignement actif, mais la présence d'une lésion ulcérée. Par la suite, la patiente présente une bonne évolution clinique et biologique d'un point de vue digestif. Sur le plan urinaire, la patiente présente le 06.02.2019 une dysurie associée à une palpation douloureuse en sus-pubien. Le laboratoire met en évidence des leucocytes et du sang dans les urines. On conclut à une infection urinaire basse que l'on traite avec de la Nitrofurantoïne. Le 07.02, elle rentre à domicile. Elle sera revue le 11.02.19 à 09h45 en consultation de Proctologie pour la suite de la prise en charge. Par ailleurs, les résultats de la culture d'urine seront pistés en même temps (si des bactéries ont poussé sur les cultures). • Mme. Y, patiente de 77 ans, est hospitalisée pour une surveillance post-colonoscopie. Une colonoscopie virtuelle le 21.01.2019 met en évidence une lésion tumorale solide suspecte au niveau du caecum, raison pour laquelle la patiente bénéficie de ce nouvel examen endoscopique avec multiples biopsies. Mme. Y, vivant seule à domicile, est connue pour un antécédent de perforation colique après sa dernière colonoscopie le 04.09.2018, raison pour laquelle elle est hospitalisée. L'intervention se déroule sans complication, tout comme la surveillance post-geste. Mme. Y peut rentrer à domicile le 21.02.2019. Les résultats des biopsies vous seront envoyés. • Mme. Y, patiente de 82 ans, est admise aux soins intensifs pour un œdème aigu des poumons le 22.02.2019. La patiente est amenée aux urgences pour une dyspnée aiguë. A l'arrivée aux soins intensifs, la patiente présente un œdème aigu du poumon sur pic hypertensif. La tension artérielle est contrôlée par l'administration de dérivés nitrés. L'évolution hémodynamique et respiratoire est rapidement favorable par VNI et diurèse forcée par Furosemide. Le traitement antihypertenseur est par la suite adapté par Lisinopril et Metoprolol. Une échocardiographie transthoracique effectuée aux urgences montre une fonction systolique du ventricule gauche diminuée avec une FEVG à 40-45% alors que la FEVG était évaluée à 60% environ une année auparavant. Une coronarographie montre une sclérose coronarienne diffuse et une cardiopathie hypertensive.A noter une hyperglycémie mesurée à 21 mmol/l à l'arrivée aux urgences et motivant l'administration transitoire d'insuline intraveineuse en continu avec reprise rapide du traitement d'insuline sous-cutané. La patiente est connue pour une allergie à l'héparine, de forme inconnue. La coronarographie est alors effectuée sous Bivalirudine. La prophylaxie anti-thrombotique est à poursuivre par Fondaparinux. Un dosage de anti-PF4 est à pister. Mme. Y accepte une hospitalisation élective à Marsens pour un sevrage OH en milieu hospitalier. L'hospitalisation se fera le 26.02.2019 comme convenu avec le psychiatre de garde Dr. X. Mme. Y est une patiente de 28 ans, aux antécédents susmentionnés, qui bénéficie d'un bypass gastrique proximal par laparoscopie le 04.02.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples avec une évolution favorable. Mme. Y rentre à domicile le 06.02.2019. Un rendez-vous de suivi chez le Dr. X est prévu le 12.03.2019 à 14h00. Nous laissons à la patiente le soin de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils. Mme. Y est une patiente de 21 ans qui bénéficie d'un bypass gastrique proximal par laparoscopie le 08.02.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples avec une évolution favorable. La patiente bénéficie d'un séjour d'une nuit aux soins intensifs où une tachycardie ventriculaire courte asymptomatique est mise en évidence, avec résolution spontanée et sans augmentation des enzymes cardiaques. Dans ce contexte, un NSTEMI est exclu. Un avis cardiologique est à prévoir. Mme. Y rentre à domicile le 10.02.2019. Un rendez-vous de suivi chez le Dr. X est agendé le 12.03.2019 à 14h40. Nous laissons à la patiente le soin de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils. Mme. Y est une patiente de 61 ans, connue pour un RGO et une hypercholestérolémie, qui nous est adressée par son médecin traitant pour une suspicion d'appendicite aigue suite à l'apparition de douleurs abdominales en fosse iliaque droite depuis la veille, sans état fébrile. Le laboratoire initial démontre une leucocytose. Un CT abdominal met en évidence une appendicite non compliquée. Nous retenons l'indication à une appendicectomie laparoscopique en urgence, qui est réalisée le 21.02.2019. Les suites post-opératoires sont favorables, permettant à la patiente de rentrer à domicile le 23.02.2019. Mme. Y nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un NSTEMI (13.12.2018) avec sténose subtotale de l’IVA proximale, englobant l'origine de la 1ère diagonale (lésion de bifurcation) traitée avec PTCA/1 x DES pour l’IVA, PTCA pour la diagonale; aussi la coronarographie a montré l'absence de resténose significative de l'ostium de l’ACD proximale. Une ETT de contrôle a mis en évidence une cardiopathie hypertensive avec FEVG normale (70%). Son traitement à l'entrée comprend : Aspirine Cardio 100 mg, Aldactone 50 mg, Atorvastatine 40 mg, Beloc Zok 12.5 mg, Efient 10 mg, Lisinopril 5 mg, Xarelto 20 mg et Dafalgan 500 mg en réserve max 4x/j. Le vendredi 08.02.2019, Mme. Y développe des OMI et nous instaurons un traitement de Torasemide 5 mg 1 jour/2 avec nette diminution des OMI. Si les OMI devaient persister, nous conseillons à la patiente de continuer à prendre le Torasemide à raison de 3x/semaine. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 5.9 mmol/L, un HDL à 1.31 mmol/L, un LDL à 4.18 mmol/L et des triglycérides à 3.09 mmol/L. • La pression artérielle basale et la FC sont restées dans la norme. Après quelques jours de réadaptation dans notre centre, Mme. Y émet le désir de mettre fin à la réhabilitation, ne se sentant pas à l'aise et, malgré nos arguments à poursuivre la réhabilitation, elle décide de retourner à domicile le 11.02.2019. Mme. Y, résidant au home de Charmey, est amenée aux urgences en ambulance le 14.02.2019 après avoir été retrouvée par terre, au milieu de la nuit, par le personnel soignant. Pas de témoin de la chute. Pour rappel, la patiente est actuellement sous antibiothérapie par Amoxicilline 1 g 3x/j pour une bronchopneumonie, depuis le 05.02.2019. L'anamnèse est difficilement réalisable en raison d'une patiente somnolente. La patiente ne se rappelle pas de la chute. A l'admission aux urgences, Mme. Y est fébrile à 38,9°C. Elle est désorientée aux 3 modes et non collaborante. Au status cardiaque, B1B2 sont lointains, sans souffle ausculté. Le rythme cardiaque est régulier. Au niveau respiratoire, présence de sibilances expiratoires sur l'ensemble des plages pulmonaires. Pas de crépitant clair ausculté. Au status ostéo-articulaire, douleurs à la palpation et à la mobilisation de la hanche gauche. Pas de tuméfaction ni d'hématome. Pas d'asymétrie positionnelle des membres inférieurs. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 173 mg/l et une leucocytose à 10.6 G/l ainsi qu'une insuffisance rénale AKIN III à 224 umol/l qui se corrige sous hydratation. Sur le plan de l'insuffisance rénale, nous instaurons une hydratation intraveineuse par NaCl 0.9% 1000 ml /24 heures. Une sonde urinaire est posée et nous suivons la diurèse. Le sédiment urinaire est dans la norme. La radiographie du thorax montre un foyer pulmonaire au niveau du lobe moyen droit. Aux urgences, en raison d'une désaturation à 82% à l'air ambiant, la patiente bénéficie d'une oxygénothérapie à 12 litres/minutes permettant de remonter la saturation à 96%. Après stabilisation, l'oxygénothérapie est diminuée à 2 litres/minutes avec saturation stable aux alentours de 89%. Le pH est à 7.34, la pCO2 à 6.8 kPa. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv, introduisons un traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin, prescrivons de la physiothérapie respiratoire et Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. En raison de la chute, nous effectuons une radiographie de la hanche gauche et du bassin qui ne met pas en évidence de fracture. A l'étage, Mme. Y est orientée et collaborante. Le 07.02.2019, elle se plaint d'épigastralgies avec des douleurs de type brûlure, d'apparition brutale après le repas, reproductibles à la palpation au niveau épigastrique sans défense ni détente. L'évolution est favorable sous Nexium 40 mg. Le 08.02.2019, Mme. Y présente un épisode de décompensation cardiaque sur fibrillation auriculaire (136/min, rythme sinusal à l'entrée) avec hypertension modérée. Une dose flash de Lasix 40 mg ainsi que l'administration de dérivés nitrés (1 capsule de nitroglycérine et un patch de Deponit 5 mg) permettent une amélioration en 24h avec disparition totale des symptômes. La patiente présente également une hernie para-stomiale gauche réductible réapparaissant sur des efforts de toux. Un avis chirurgical est demandé (Dr. X) et en concertation avec la patiente, aucune indication chirurgicale n'est retenue. Cependant nous programmons un rendez-vous en stomathérapie pour le 22.02.2019 à 15h00 afin d'envisager la mise en place d'une ceinture dans le but de soulager la patiente. Le 12.02.2019, elle présente une inflammation douloureuse au niveau de la 2ème phalange du 3ème doigt de la main droite, partiellement soulagée par la mise en place d'un traitement anti-inflammatoire par Ibuprofène 400 mg 2x/j pendant 5 jours et par glaçage.L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable et Mme. Y regagne son domicile de la Vallée de la Jogne de Charmey le 14.02.2019. Mme. Y a bénéficié de l'extraction de deux dents de sagesse à droite il y a 5 jours. Elle consulte les urgences le 02.02.2019 en raison de frissons solennels apparus ce matin. Elle décrit également un trismus nouveau depuis 3 jours avec douleurs à l'ouverture buccale, irradiant dans l'oreille gauche avec céphalées de l'hémicrâne gauche. Pas de diplopie, pas de trouble visuel, pas d'otalgie ni d'odynodysphagie. La patiente se plaint d'une toux sèche nouvelle depuis la veille de l'admission avec myalgies diffuses. À noter qu'aucune antibiothérapie prophylactique ne lui a été prescrite lors de l'extraction dentaire. Pas d'autre plainte. À l'admission aux urgences, tension artérielle 108/84 mmHg, fréquence cardiaque 129/min, fréquence respiratoire 18/min et température 38,8°C. Au status ORL, notons un trismus avec ouverture buccale à 2 cm, une tuméfaction de la joue gauche ainsi que des douleurs à la palpation de l'articulation temporo-mandibulaire et de la 8ème dent de l'arcade inférieure. La palpation des autres dents ainsi que du massif facial est indolore. Pas de collection visible dans la cavité buccale. Mise en évidence également d'une hypertrophie amygdalienne avec fond de gorge érythémateux. La palpation du tragus est indolore des deux côtés avec des tympans calmes. Pas d'adénopathie sous-mandibulaire, cervicale ni sus-claviculaire, mais douleurs à la palpation sous-mandibulaire gauche. Au status neurologique, les pupilles sont isocores et isoréactives. Pas de déficit des champs visuels, la poursuite oculaire est dans la norme. Le status respiratoire est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 41 mg/l et des leucocytes à 12,5 G/l. Neutrophiles à 10,8 G/l. Au vu du trismus et du contexte d'extraction dentaire, une surinfection bactérienne est fortement suspectée. En raison d'un état fébrile à 39°C, la patiente est hospitalisée pour surveillance clinique et nous introduisons une antibiothérapie par Clindamycine 600 mg 3x/j iv. La patiente bénéficie également d'un régime mixé lisse et d'une antalgie. L'évolution est rapidement favorable avec disparition du trismus et de l'état fébrile ainsi que diminution des leucocytes, permettant un relais de l'antibiothérapie per os dès le 05.02.2019. Mme. Y peut regagner son domicile le 05.02.2019. Mme. Y est hospitalisée pour un changement du boîtier de son pacemaker par le Dr. X. Celui-ci a été posé pour un bloc AV 2ème degré et un bloc du 3ème degré intermittent en 2011. Les suites opératoires sont simples. Mme. Y peut rentrer au home le 14.02.2019. Un contrôle de la plaie à 10 jours aura lieu chez son médecin traitant, et un contrôle du pacemaker à 2 mois en cardiologie. Mme. Y, connue pour les antécédents susmentionnés, consulte les urgences le 22.01.2019 en raison de multiples épisodes d'hématochézies entre le 17 et 18 janvier 2019, durant un voyage à Budapest. À l'anamnèse, la patiente rapporte également une bronchite depuis 3 semaines, traitée tout d'abord par Co-Amoxi et actuellement par levofloxacine depuis le 17.01.2019. Elle se plaint de nausées et de douleurs abdominales constantes au niveau du bas ventre en barre depuis également le 18.01.2019. Elle rapporte des épisodes de fièvre réguliers depuis 3 semaines, dont le dernier le 21.01.2019 à 38°C sous antibiothérapie. Pas de diarrhées et pas de selles depuis les épisodes d'hématochésie, donc 4 jours. Pas de toux ni d'expectorations. Au status digestif, l'abdomen est souple, douloureux en fosse iliaque gauche avec détente et légère défense au niveau péri-ombilical. Au toucher rectal, pas de douleur ni de sang au doigtier. Sur avis du Dr. X, chirurgien, nous effectuons un CT scan abdominal injecté qui montre un discret épaississement du rectum et du côlon sigmoïde avec un point maximum à la jonction colo-sigmoïdienne pouvant faire évoquer un début d'état inflammatoire de ces structures anatomiques. En raison d'une colite probablement partiellement contrôlée par les antibiotiques mises en place à Budapest, nous proposons une modification du traitement d'antibiotique par Rocéphine 2 g iv du 22 au 25.01.2019 et Flagyl 500 mg 3/j per os du 22.01 au 25.01.2019. Nous demandons une culture de selles qui revient négative pour Clostridium, Salmonella, Shigella et Campylobacter et une calprotectine fécale qui revient négative. Sur avis du Prof. X, nous organisons une colonoscopie à distance le 07.03.2019 avec une consultation pré-anesthésique le 27.02.2019 à 10h 40. Nous stoppons l'antibiothérapie le 25.01.2019 en raison de l'évolution biologique favorable avec absence de syndrome inflammatoire. Sur le plan pulmonaire, la bronchite présente à l'admission, de probable origine virale, évolue favorablement sous traitement symptomatique. Au vu de la bonne évolution clinico-biologique, Mme. Y peut regagner son domicile le 29.01.2019. Mme. Y, 69 ans, a été admise aux soins intensifs en raison de troubles électrolytiques graves secondaires à une gastro-entérite. La patiente a présenté un état grippal pendant environ une dizaine de jours avec depuis environ 6 jours une gastro-entérite se manifestant par des vomissements et des diarrhées. Elle a consulté les urgences de Tafers le 09.02.2019. Une hyponatrémie et une hypokaliémie graves ont été constatées, sans amélioration après avoir débuté une substitution, ce qui a motivé un transfert aux soins intensifs de Fribourg. Les troubles électrolytiques ont été substitués par voie intra-veineuse. L'hyponatrémie vraie s'inscrit dans le contexte d'une prise chronique de diurétiques avec une aggravation secondaire due à la gastroentérite. La substitution prudente par perfusion de NaCl 0.9 % a été interrompue suite à la diminution de la fréquence des diarrhées, du fait de la correction rapide spontanée de la natrémie, freinée par perfusion de glucose. La patiente n'a présenté aucun symptôme neurologique. L'hypokaliémie était associée à des troubles de la repolarisation à l'ECG. Cependant, après correction, l'ECG se normalise avec disparition notamment d'un bloc de branche gauche et des autres troubles. Au vu de la correction des troubles électrolytiques et de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 14.01.2019. Nous avons décidé de ne pas reprendre la thiazidique. Mme. Y, 69 ans, a été admise aux soins intensifs en raison de troubles électrolytiques graves secondaires à une gastro-entérite. La patiente a présenté un état grippal pendant environ une dizaine de jours avec depuis environ 6 jours une gastro-entérite se manifestant par des vomissements et des diarrhées. Elle est sous traitement antihypertenseur par sartan et hydrochlorothiazide. Elle a consulté les urgences de Tafers le 09.02.2019. Une hyponatrémie et une hypokaliémie graves ont été constatées, sans amélioration après avoir débuté une substitution, ce qui a motivé le transfert aux soins intensifs de Fribourg. Les troubles électrolytiques ont été substitués par voie intra-veineuse. L'hyponatrémie vraie s'inscrit dans le contexte d'une prise chronique de diurétiques avec une aggravation secondaire due à la gastro-entérite. La substitution prudente par perfusion de NaCl 0.9% a été interrompue suite à la diminution de la fréquence des diarrhées, du fait de la correction rapide spontanée de la natrémie, freinée par perfusion de glucose. La patiente n'a présenté aucun symptôme neurologique.L'hypokaliémie était associée à des troubles de la repolarisation à l'ECG. Un bloc de branche gauche persiste toutefois et n'était pas présent sur un tracé datant de 2015. Dans ce contexte, un bilan cardiologique avec un test d'effort et une échocardiographie seront indiqués. Les symptômes intestinaux se sont résolus spontanément, ce qui a permis une reprise progressive de l'alimentation orale. Une substitution en vitamine B1 est préconisée pendant 24h. Le traitement antihypertenseur sera à adapter selon le profil tensionnel. Une reprise prudente des diurétiques devra être discutée en fonction de la correction électrolytique. Mme. Y est une patiente de 90 ans, hospitalisée pour une baisse de l'état général dans le contexte d'une suspicion de pneumonie basale droite traitée par antibiothérapie en ambulatoire avec évolution défavorable. Elle présente depuis environ 2 semaines une baisse de l'état général avec asthénie, pâleur, dyspnée au moindre effort et diminution de la force des membres inférieurs, ainsi qu'une toux avec quelques expectorations blanchâtres, sans état fébrile associé. Une suspicion de pneumonie basale droite est traitée en ambulatoire par Amoxicilline pendant 10 jours, sans amélioration. La radiographie du thorax réalisée en ambulatoire montre en outre un épanchement pleural droit. L'épanchement est drainé à 2 reprises et correspond à un exsudat à prédominance initialement lymphocytaire puis mono/macrophagique, ouvrant le diagnostic différentiel d'une sérosité para-infectieuse ou d'une origine néoplasique. Les cultures reviennent négatives et la cytologie ne retrouve aucune cellule tumorale. Le CT thoracique ne met pas en évidence de lésion suspecte de néoplasie, sous réserve de la présence de l'épanchement. La pose d'un drain thoracique permanent de type PleurX est envisagée, mais finalement non réalisée car la position du drain n'aurait pas été confortable pour la patiente. Nous décidons finalement d'introduire une corticothérapie par Prednisone dans le but de réduire la composante inflammatoire, avec bonne évolution par la suite. À noter la mise en évidence à l'entrée d'une FA paroxystique à réponse ventriculaire normocarde, pour laquelle nous débutons une anticoagulation, initialement par Clexane avec un relais par Eliquis 2.5 mg 2x/j. Ce traitement est également indiqué en raison d'un thrombus ventriculaire découvert fortuitement au CT du 04.02.2019. Au vu de l'âge et du déconditionnement global empêchant un retour à domicile immédiat, une réadaptation gériatrique est proposée à la patiente en vue de regagner le domicile par la suite. L'évolution globale étant favorable, la patiente est reclassée le 12.02.2019 en attente d'une place. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, patiente de 62 ans, connue pour un syndrome métabolique et un ancien tabagisme (90 UPA), est hospitalisée dans un contexte de broncho-pneumonie. Elle présente depuis le 12.02.2019 une toux et expectorations, ainsi qu'une fièvre et une baisse de l'état général. Elle rapporte une dyspnée habituelle de stade II NYHA, sans péjoration actuelle. La patiente présente un syndrome inflammatoire au laboratoire, ainsi que des signes de broncho-pneumonie à la radiographie du thorax. La recherche d'antigènes urinaires pour S. pneumoniae revient positive, motivant l'initiation d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline pour une durée de 7 jours avec évolution favorable. Un frottis naso-pharyngé est effectué et met en évidence une infection concomitante par Influenza. La patiente est placée en isolement, qui est levé une fois la contagiosité terminée. Nous vous laissons le soin de fortement recommander le vaccin de la grippe à la patiente, l'année prochaine, dans le contexte de son diagnostic probable de BPCO. Nous suspectons cliniquement une BPCO et mettons en place un traitement par inhalation de Ventolin et Atrovent, ainsi qu'une oxygénothérapie, sans réussite de sevrage au cours de l'hospitalisation. Aussi, une oxygénothérapie par concentrateur est prescrite à domicile sur avis du Dr. X, pneumologue, chez lequel une réévaluation à 2 mois devra être organisée. Nous vous proposons d'organiser des fonctions pulmonaires chez le Dr. X. Durant l'hospitalisation, la patiente présente des douleurs en colique; un ultrason et un CT-abdominal excluent une origine biliaire ou rénale sur passage de calculs. Un angiomyolipome du rein droit de 3.2 cm, ainsi qu'un adénome surrénalien gauche de 2 cm sont identifiés lors de ces examens, pour lesquels un contrôle de l'évolution par CT ou US abdominal dans 1 an est recommandé. Au vu de la bonne évolution clinique de la patiente, celle-ci peut rentrer à son domicile le 27.02.2019, avec une oxygénothérapie qui sera mise en place par la ligue pulmonaire. Mme. Y quitte donc notre service de médecine interne à destination du domicile le 27.02.2019. Mme. Y sera convoquée en ambulatoire pour une IRM cérébrale. Mme. Y, patiente de 71 ans, connue pour un adénocarcinome du colon métastatique traité par chimiothérapie palliative ainsi qu'un AVC ischémique pariétal gauche en novembre 2018, est amenée en ambulance au service des urgences pour des troubles de la parole et une faiblesse des membres inférieurs. Pour rappel, la patiente est connue pour un antécédent d'AVC ischémique pariétal gauche en novembre 2018, séquellaire sous forme d'un hémisyndrome partiel droit et avec décision d'un traitement conservateur à l'époque chez une patiente institutionnalisée en EMS à la Villa Beausite. Elle est aussi connue pour un carcinome colo-rectal métastatique et a présenté des hématochézies récentes, raison pour laquelle l'anticoagulation a été stoppée en décembre 2018 malgré une fibrillation auriculaire. À l'entrée au service des urgences, la patiente est somnolente, désorientée et montre une dysarthrie avec une faiblesse et hyposensibilité du membre inférieur droit. Mme. Y montre un NIHSS au service des urgences à 5. Le bilan radiologique retrouve un AVC ischémique sur thrombose de l'artère basilaire. La patiente est admise aux soins intensifs pour surveillance avec un NIHSS à 13. Sur décision commune du médecin traitant et des collègues neurologues (Dr. X), il est décidé d'un traitement conservateur. À l'étage Mme. Y présente une dysarthrie, une parésie faciale gauche et un barré et Mingazzini pathologiques. Durant l'hospitalisation, la patiente présente une augmentation de la symptomatologie neurologique. Une IRM cérébrale montre un nouvel AVC ischémique thromboembolique avec lésion du gyrus précentral gauche, partie corticale du lobe occipital gauche et du mésencéphale. Nous décidons de passer à des soins de confort. Le Dr. X est avertie de la situation et décide de stopper la chimiothérapie. Nous stoppons l'Aspirine, la patiente ayant plus de risques de saignements que de faire un événement ischémique cérébral. Au niveau infectiologique, Mme. Y développe un état fébrile avec désaturation et dyspnée. Au vu d'absence de symptômes urinaires, nous introduisons un traitement par Tazo-bactam iv pendant une semaine pour une pneumonie avec une évolution favorable. Au niveau endocrinologique, le bilan d'entrée révèle une hypoglycémie. Le profil est rapidement normalisé par un resucrage. Par la suite, nous adaptons le traitement hypoglycémiant au vu d'un profil glycémique variable.Au niveau urinaire, une sonde urinaire est posée au vu de l'immobilité de la patiente. Nous proposons de garder la sonde à demeure à moins que la patiente montre une bonne évolution au niveau de la mobilisation. Au niveau rénal, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë que nos collègues néphrologues attribuent à une néphropathie médicamenteuse à Tazobac versus nécrose tubulaire aiguë. Nous adaptons l'antibiotique à fonction rénale, stoppons les médicaments néphrotoxiques et débutons une hydratation. Nous introduisons une hydratation et un suivi biologique avec une amélioration de la fonction rénale. Nous proposons un suivi biologique de la fonction rénale. Mme. Y est transférée en réadaptation palliative à la villa St-François le 11.02.2019. Mme. Y est une patiente de 74 ans, connue pour un status post-sigmoïdectomie selon Hartmann pour une diverticulite perforée avec péritonite le 25.10.2018, qui est hospitalisée en électif pour un rétablissement de continuité. La patiente bénéficie de l'intervention susmentionnée le 04.02.2019. L'intervention se déroule sans complication et l'évolution postopératoire est favorable, permettant un retour à domicile le 12.02.2019. Un rendez-vous de contrôle à la consultation des chefs de clinique est organisé pour le 28.03.2019 à 09h00. Mme. Y est admise en post-opératoire de l'intervention susmentionnée pour surveillance en raison d'un SAOS appareillé. Les suites opératoires sont simples et sans complication. L'ablation des Merocel est prévue dès le 28.02.2019. Les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie de palier 1. Une antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline est introduite pour 7 jours et la patiente quitte les soins intensifs pour son rdv en ORL. Mme. Y, patiente de 61 ans, connue pour un léiomyosarcome utérin métastatique, est hospitalisée en raison d'une suspicion d'infection de l'orifice de son drain abdominal. Celui-ci avait été posé en janvier 2019 dans le cadre d'une masse tumorale/kystique intra-abdominale droite surinfectée avec fistulisation caecale qui avait bénéficié d'une pose de drain. Au vu d'un syndrome inflammatoire ainsi qu'un état local suspect avec écoulement autour du drain, il est convenu après avis chirurgical d'une hospitalisation pour antibiothérapie intraveineuse. Un frottis de plaie est effectué et révèle un Streptococcus anginosus. Un CT abdominal montre une diminution de taille de la masse péritonéale sans collection sur le trajet du cathéter, sans autre signe de foyer. Après quatre jours d'antibiothérapie, après consilium infectiologique et au vu d'un status local propre, nous arrêtons le traitement. La patiente évolue favorablement du point de vue clinique et biologique. Des soins de plaie sont effectués en accord avec la stomathérapeute. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 15.02.2019. Mme. Y, patiente de 83 ans, connue pour une hypertension et une dyslipidémie traitées, est amenée par ses deux fils aux urgences le 18.02.2019 pour une baisse d'état général et une asthénie importante depuis une dizaine de jours, l'empêchant de se déplacer convenablement à son domicile. Elle se plaint également de vertiges depuis une dizaine de jours ainsi qu'une dyspnée à l'effort depuis 3 mois et une nycturie (3-4 fois par nuit). La patiente a également remarqué une gêne abdominale en s'habillant, sans douleur associée. D'après ses enfants, Mme. Y, qui vit seule, néglige quelque peu les tâches ménagères et se mobilise très peu depuis 3 à 4 semaines. Le status révèle une importante masse abdominale palpable dans la région péri-ombilicale, non douloureuse. Le laboratoire montre une pancytopénie avec anémie macrocytaire hyporégénérative, ainsi que des carences vitaminiques multiples. Un sédiment urinaire retrouve des signes d'infection urinaire basse. Concernant sa pancytopénie, une électrophorèse des protéines montre une très discrète anomalie des chaînes légères kappa à suivre à distance. Un CT cervico-thoraco-abdomino-pelvien ne retrouve pas de signe d'adénopathie, ni d'hépato- ou splénomégalie. Le laboratoire retrouve une B2-microglobuline légèrement élevée et des signes d'anémie hémolytique. Après avis hématologique, l'origine de sa pancytopénie serait fortement liée à la carence en vitamine B12, d'autant plus importante du fait que Mme. Y ne se nourrit plus suffisamment. La patiente bénéficie d'une substitution intramusculaire de vitamine B12 et de 2 culots érythrocytaires au vu de l'anémie sévère. Sur le plan abdominal, le CT thoraco-abdomino-pelvien retrouve la masse détectée à l'échographie aux Urgences, d'une taille de 16 x 13 x 15 cm, semblant provenir de l'utérus, sans manifestation tumorale. Nos collègues gynécologues proposent un bilan complémentaire avec IRM et marqueurs tumoraux, que la patiente refuse, n'étant pas dérangée par cette masse et ne désirant pas d'examens complémentaires. Un goitre multinodulaire est mis en évidence lors du CT cervico-thoracique. La patiente ne rapporte aucun symptôme associé et les tests thyroïdiens sont dans la norme, ni perturbations des marqueurs thyroïdiens. Nos collègues endocrinologues ne proposent pas d'investigations supplémentaires au vu de l'âge de la patiente et de l'absence de symptôme. L'infection urinaire basse est traitée par Nitrofurantoïne durant 5 jours. Sur le plan social, Mme. Y vivait seule à domicile avec des soins 2x/semaine et des visites régulières de ses enfants. Dans ce contexte, une discussion de famille est organisée avec la patiente et ses enfants le 22.02.2019. Il est discuté un retour à domicile avec majoration de l'aide à domicile versus un placement en EMS selon l'évolution lors du séjour et Mme. Y est reclassée le 25.02.2019. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, âgée de 41 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture du plateau tibial type Schatzker III à droite le 26.01.2019 opérée par ORIF sous arthroscopie le 31.01.2019. Avant le transfert, la patiente bénéficie d'un US en raison de douleurs persistantes au mollet droit, qui permet de diagnostiquer une TVP. Elle est vue par les angiologues qui proposent un schéma d'Eliquis à 10 mg 2x/jour jusqu'au 12.02.2019 puis 5 mg 2x/jour dès le 13.02.2019. Elle sera revue en angiologie à 3 mois. Sur le plan social, la patiente, mariée, avec 2 enfants de 11 et 8 ans, vit avec son époux à domicile. Elle travaille à 45% comme ostéopathe. À l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Elle rapporte des douleurs dans le mollet droit en lien avec la TVP. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. On note un œdème diffus du mollet et du genou droit. La mobilisation du genou est de 45-0-0 en actif et en passif. La force du quadriceps droit est cotée à M4 et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, elle n'a pas présenté de complication particulière. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises en respectant la décharge. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou droit à 90-0-0 en actif et en passif. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 19.02.2019, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Elle bénéficiera d'une aide au ménage. Mme. Y est connue pour un syndrome de Leriche et a bénéficié, dans ce contexte, d'un pontage aorto-bifémoral le 29.10.2018, compliqué d'un iléus mécanique avec péritonite purulente sur perforation de l'intestin grêle le 03.12.2018. Par la suite, une résection du grêle à 150 cm du Treitz avec mise en place d'une stomie ainsi que d'un VAC abdominal sous-cutané a été effectuée. Une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone et Métronidazole en intraveineux est ensuite introduite jusqu'au 09.12.2018. L'évolution en post-opératoire est rapidement favorable et Mme. Y est hospitalisée à l'HFR Billens dès le 27.12.2018 pour réadaptation générale. Durant le weekend du 05 au 06.01.2019, alors que la patiente est en congé, elle présente une baisse de l'état général et se présente aux urgences de l'HFR Fribourg. Une dénutrition protéino-énergétique sévère est mise en évidence. En raison d'un manque de place à l'HFR Fribourg et Riaz, Mme. Y est transférée à l'HFR Tavel où une nutrition parentérale par PICC-Line est mise en place. Sous nutrition parentérale, l'évolution clinique est favorable et la patiente est admise dans notre service de médecine le 24.01.2019 pour la suite de la prise en charge. A l'admission dans notre service, Mme. Y ne rapporte aucune plainte ni douleur. Elle est normotendue, normocarde, eupnéique et afébrile. Au status digestif, on retrouve la poche de stomie en fosse iliaque droite. L'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité, pas de masse pulsatile, pas d'organomégalie palpable. Au niveau urogénital, les loges rénales sont souples et indolores. Le reste du status d'entrée est non contributif. Le laboratoire met en évidence une légère hypomagnésiémie à 0.65 mmol/l et une hémoglobine à 95 g/l. La fonction rénale est dans la norme. Pas de syndrome inflammatoire. Le 25.01.2019, Mme. Y est vue par Dr. X, nutritionniste, qui propose de poursuivre la nutrition parentérale. Le poids de la patiente doit être suivi avec un bilan entrée sortie sans compter les urines. Un projet avec un poids de base à 50 kg est fixé. Elle est vue le 29.01.2019 par Dr. X, cardiologue, ainsi que par Dr. X, chirurgien, pour discuter du rétablissement de la continuité. Celle-ci est programmée pour le 12.02.2019 avec un transfert dans le service de chirurgie de l'HFR Fribourg le 11.02.2019. L'antiagrégation plaquettaire par Plavix est mise en suspens dès le 02.02.2019 jusqu'à l'intervention chirurgicale. L'Aspirine cardio est introduite le 08.02.2018 à la place du Plavix. Durant son séjour, un contrôle des électrolytes par bilan biologique est effectué 3x/semaine, avec un contrôle des valeurs hépatiques et de la crase 1x/semaine. Les valeurs sont en voie de normalisation, hormis l'hémoglobine qui reste stable à 92 g/l. Après 5 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et le poids de la patiente est de 46 kg. Mme. Y est transférée, comme prévu le 11.02.2019 à l'HFR Fribourg, service de chirurgie, pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 64 ans, connue pour un status post-pontage aorto-bifémoral le 29.10.2018, compliqué d'un iléus mécanique avec péritonite purulente sur perforation de l'intestin grêle le 03.12.2018 et un status post-résection du grêle à 150 cm du Treitz avec la mise en place d'une stomie. La patiente est transférée dans notre service le 11.02.2019 pour bénéficier d'une fermeture de stomie. La patiente bénéficie de l'intervention susmentionnée le 12.02.2019. L'intervention se déroule sans complication, mais les suites opératoires sont marquées par une insuffisance respiratoire hypoxémique avec désaturation importante nécessitant une prise en charge par le service de soins intensifs du 14.02 au 17.02.2019. L'évolution étant favorable, la patiente est transférée au service de chirurgie pour la suite des soins. L'évolution chirurgicale est favorable avec une reprise du transit le 18.02.2019 et une réalimentation bien tolérée. La patiente présente un syndrome de malnutrition protéino-énergétique sévère dans le cadre de la stomie à haut débit, nécessitant une alimentation parentérale depuis début janvier 2019. Nous poursuivons le suivi et un traitement diététique au sein de notre service. La réalimentation per os est réintroduite le 17.02.2019, qui est bien tolérée et les apports étant satisfaisants, nous arrêtons la nutrition parentérale le 20.02.2019. La patiente présente des lombalgies chroniques de longue date nécessitant une antalgie par patch de Fentanyl. Nous proposons de garder la posologie actuelle pour le retour à domicile et de réévaluer le traitement à distance. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique de la patiente, nous organisons un retour à domicile avec soins à domicile pour le maintien de la PICC-Line. Nous prévoyons un contrôle à la consultation des chefs de clinique le 28.02.2019 et nous réévaluerons alors la possibilité de retirer la PICC-Line. Mme. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 20.12.2019. Mme. Y est une patiente de 85 ans qui chute sur la glace avec réception sur les fesses, puis le membre supérieur droit le 09.02.2019. D'emblée, elle présente d'importantes douleurs et une déformation de l'épaule droite. Le bilan radio-clinique effectué aux urgences permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. L'intervention et les suites se déroulent sans complication, l'antalgie est efficace et le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre. Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation active assistée de l'épaule, abduction jusqu'à 90°, rotation externe 0°. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Le bilan biologique montrant une anémie à 97 g/l, anémie connue chez cette patiente, deux culots érythrocytaires sont transfusés le 10.02.2019. Le 13.02.2019, Mme. Y est transférée à l'HFR Billens pour suite de la rééducation. Mme. Y, connue pour un carcinome invasif NST du quadrant supéro-externe du sein gauche pT2a, pN1a (1/7) avec dernière chimiothérapie le 16.01.2019, consulte les urgences le 16.01.2019 en raison d'un état fébrile à 38,7°C à domicile ce soir, associé à une toux grasse et des expectorations verdâtres. Pas de frisson, pas de plainte urinaire, pas de dyspnée. Pas de notion de contage. La patiente est vaccinée contre la grippe. Au status pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique avec présence de râles bilatéraux. Au niveau ORL, le fond de gorge est rouge, pas d'adénopathie palpable. Le status cardio-vasculaire et digestif est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 32 mg/l. Nous notons également une hémoglobine à 90 g/l asymptomatique. Deux paires d'hémocultures sont prélevées. Le sédiment urinaire est dans la norme. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux. Dans le contexte d'une baisse de l'état général avec état fébrile mesuré à 38.7° accompagné d'un syndrome inflammatoire chez une patiente en traitement pour un cancer du sein, Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge.L'hospitalisation est de courte durée vu la bonne évolution spontanée avec une patiente qui reste afébrile. Les hémocultures du port-a-cath et périphériques reviennent négatives et le suivi laboratoire montre une légère diminution de la CRP. L'hémoglobine est stable. Mme. Y peut regagner son domicile le 30.01.2019. A noter qu'en raison de la symptomatologie présentée à l'admission ainsi que des antécédents de la patiente, nous prescrivons une antibiothérapie par Co-Amoxi 1 g 2x/j du 29.01 au 04.02.2019. Mme. Y, 73 ans, a été admise aux soins intensifs pour un choc septique sur péritonite stercorale secondaire à une perforation sigmoïdienne. La patiente a été amenée en ambulance aux urgences de l'HFR Riaz en raison de douleurs abdominales et vomissements en aggravation depuis 3 jours. La découverte d'un pneumopéritoine avec du liquide libre autour du sigmoïde est compatible avec une péritonite secondaire à une perforation, motivant le transfert à l'HFR Fribourg pour une prise en charge chirurgicale. Une laparotomie exploratrice avec sigmoïdectomie selon Hartmann et lavage abdominal important ont été effectués en urgence. Une antibiothérapie à large spectre a été administrée en raison de l'infection péritonéale polymicrobienne. La vasoplégie a nécessité un soutien de noradrénaline jusqu'au 31.01.2019. L'insuffisance rénale aiguë oligurique pré-rénale s'est améliorée après expansion volémique. L'origine la plus probable est un bas débit dans le contexte du choc septique. Une laparotomie de contrôle et la mise en place d'un VAC laparostome ont été réalisées trois fois par la suite, mais la fermeture de la paroi abdominale n'a pas pu être effectuée en raison d'un oedème important de la paroi abdominale. Une nouvelle tentative de fermeture est planifiée le 08.02.2019. L'anticoagulation thérapeutique par héparine sera à mettre en suspens le jour de l'intervention avec reprise ultérieure. Une pneumonie d'inhalation du lobe inférieur droit survenue dans le contexte de vomissements a évolué favorablement sous la même antibiothérapie que la péritonite. L'insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë survenue dans le contexte septique et des atélectasies post-opératoires a nécessité une intensification de l'oxygénothérapie et des séances de ventilation non invasive par intermittence. En raison d'une mauvaise tolérance de la CPAP personnelle, une adaptation des paramètres a été effectuée par nos collègues pneumologues le 06.02.2019 et sera à réévaluer par la suite. Cependant, la patiente affirme ne porter le masque de CPAP que le soir et dormir habituellement avec l'oxygénothérapie uniquement. Une tachycardie survenue après l'arrêt du traitement habituel (bêtabloquant et amiodarone) et dans un contexte d'hypovolémie s'est améliorée suite à la reprise du métoprolol et à la correction volémique. Une nutrition parentérale uniquement est poursuivie en raison de l'iléus paralytique résiduel. Le profil glycémique a été contrôlé par une insulinothérapie intraveineuse continue jusqu'au 06.02.2019, puis par voie sous-cutanée par insuline lente et rapide, dans l'attente d'une reprise de l'alimentation orale. La patiente a été transférée le 06.02.2019 dans le service de chirurgie. Mme. Y est hospitalisée le 13.12.2018 pour une baisse de l'état général dans un contexte de primo-diagnostic oncologique (masse médiastino-hilaire découverte au scanner du 11.12.2018). La biopsie de la masse sus-claviculaire révèle un carcinome à petites cellules d'origine pulmonaire. Le bilan d'extension montre des métastases hépatiques et cérébrales symptomatiques (hémi-parésie droite des membres inférieurs et supérieurs) pour lesquelles des corticoïdes sont introduits et une radiothérapie menée, permettant une régression de l'hémi-parésie. Un EEG ne montre pas de crise épileptique, mais un foyer d'activité en fronto-temporal gauche pour lequel nous introduisons du keppra. Un premier cycle de chimiothérapie par Paraplatine est entrepris le 11.01.2019. Du point de vue respiratoire, la situation se péjore par une occlusion de la bronche lobaire supérieure droite avec un syndrome de la veine cave supérieure pour laquelle une radiothérapie du médiastin est menée avec majoration de la Dexaméthasone en parallèle. En présence d'une surinfection d'une grippe Influenza A, la patiente est traitée par Tamiflu ainsi que par Pipéracilline Tazobactam à deux reprises. En raison d'une anémie probablement inflammatoire, nous transfusons deux culots érythrocytaires. En accord avec la famille et les oncologues, la chimiothérapie n'est pas poursuivie en raison d'un état général trop faible. Une prise en charge palliative est décidée, puis des soins de confort sont entrepris. La patiente décède paisiblement le 25.02.2019 en présence de son époux. Une autopsie n'est pas souhaitée par l'entourage de la patiente. Mme. Y, âgée de 76 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture périprothétique du genou G le 09.12.2018, traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque LISS le 11.12.2018. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Elle a 15 marches d'escaliers pour accéder à sa maison. Les enfants vivent au rez-de-chaussée et à l'étage de la maison. À l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion du genou G est de 90° en actif. Une évaluation neuropsychologique a mis en évidence au 1er plan un dysfonctionnement exécutif (programmation, inhibition, incitation, mémoire de travail, récupération en mémoire à long terme). S'y associent une faiblesse en mémoire verbale et des difficultés de reconnaissance en mémoire visuelle, alors que la mémoire en situation est bonne, une atteinte praxique constructive et une baisse attentionnelle. L’orientation, la compréhension orale, le langage écrit, le traitement des nombres, la mémoire à court terme sont globalement conservés. Les difficultés neuropsychologiques actuelles ont vraisemblablement une étiologie multiple comprenant une composante vasculaire mais également psychique et possiblement médicamenteuse. Afin de préciser l'implication d'une étiologie neurodégénérative associée, une hétéroanamnèse précise afin de spécifier l'apparition des difficultés et leur évolution est indiquée. Au vu de l'encadrement actuel, les difficultés objectivées ne devraient pas entraver de manière importante les AVQ lors du retour à domicile. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un tintébin en respectant la décharge. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe sous surveillance. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou G à 100-5-0 en actif et 110-5-0 en passif. Après 5 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et, avec l'accord de ses enfants, Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 08.02.2019, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire avec comme objectif d'entraîner les escaliers. Les soins à domicile sont réactivés.Mme. Thurre, connue pour une dépendance aux opioïdes et aux benzodiazépines, est admise aux soins intensifs pour un tentamen par polymédication avec intention suicidaire. La surveillance se déroule sans complication, avec disparition de l'état de somnolence sans traitement spécifique, et sans aucune autre complication somatique. La fonction thyroïdienne (TSH, fT3, fT4) est à contrôler les prochains jours au vu de l'ingestion des comprimés de lévothyroxine et, si perturbée, un avis endocrinologique serait indiqué. Vu l'intention suicidaire du geste, et sur avis de la psychiatre Dr. X, la patiente est transférée à l'hôpital psychiatrique d'Yverdon. Mme. Tiago est une patiente de 38 ans, connue pour une obésité sévère de grade II, qui est hospitalisée dans notre service en prévision d'un bypass gastrique proximal par laparoscopie. L'intervention se déroule le 22.02.2019 sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 24.02.2019. Mme. Tinguely consulte au service des urgences le 07.02.2019 en raison de la péjoration progressive d'une dyspnée. Le CT thoracique alors réalisé montre une augmentation de la taille d'un épanchement pleural connu. Plusieurs hypothèses concernant l'épanchement sont évoquées. L'origine paranéoplasique semble la plus probable. Une origine infectieuse semble peu probable et nous renonçons à une ponction. Une composante de décompensation cardiaque est possible au vu des BNP augmentés, motivant l'introduction transitoire d'un traitement de diurétiques. À noter une échocardiographie sans particularité. Sur le plan hématologique, la patiente développe une leucopénie le 11.02.2019 probablement secondaire au taxotère (débuté le 05.02.2019, devant la progression oncologique de son adénocarcinome pulmonaire sous immunothérapie), puis une agranulocytose dès le 12.02.2019. Nous débutons alors un traitement de neupogène jusqu'au 15.02.2019. La patiente sort d'agranulocytose le 15.02.2019. Sur le plan infectieux, la patiente demeure afébrile lors de son séjour. Elle présente cependant une péjoration de son syndrome inflammatoire biologique lors de son séjour avec persistance d'une toux grasse. Devant la suspicion d'une infection pulmonaire et au vu de sa leucopénie, nous débutons une antibiothérapie empirique à base de ceftriaxone et de clarythromycine le 11.02.2019. À la réception des antigènes légionnelle négatifs, la clarythromycine est arrêtée le 12.02.2019. La ceftriaxone est poursuivie pendant 7 jours au total. Au vu des chimiothérapies ultérieures afin de préserver le capital veineux, nous optons pour la mise en place d'un PAC le 22.02.2019. L'évolution clinique est favorable, mais devant la baisse de l'état général, nous transférons la patiente à la Villa St François le 18.02.2019 pour une réhabilitation palliative en vue d'un retour à domicile. Mme. Torche, 87 ans, connue pour une HTA traitée et une fibrillation auriculaire sous Sintrom, est envoyée par son médecin traitant pour une baisse de l'état général. La patiente a présenté il y a 10 jours une pneumonie traitée pendant 7 jours par clarithromycine par son médecin traitant avec une amélioration de la toux. Aux urgences, la patiente rapporte une dyspnée d'effort nouvelle. Le status montre des œdèmes des membres inférieurs et des râles crépitants fins bilatéraux. Le bilan biologique montre des NT pro-BNP à 5'642 ng/l. Une radio du thorax montre des signes de redistribution vasculaire et un effacement des récessus costo-diaphragmatiques. Un ETT montre une FEVG à 60 % avec des signes de cardiopathie hypertensive. Nous retenons une insuffisance cardiaque dans un contexte infectieux. Un Holter est réalisé. Les résultats sont encore en cours et seront communiqués au médecin traitant. La patiente bénéficie d'une consultation de prévention des risques cardiovasculaires. Un traitement diurétique est mis en place avec une amélioration clinique. Nous proposons la poursuite des traitements diurétiques et un suivi du poids. Au niveau de l'anticoagulation, la patiente présente depuis janvier des INR fluctuants sous traitement de Sintrom malgré la bonne compliance thérapeutique. À l'entrée, nous constatons un TP à 4.9. Nous stoppons le Sintrom et introduisons une anticoagulation par Eliquis. Au niveau hépatique, la patiente a montré durant le mois de janvier une élévation des gGT et phosphatase alcaline sans élévation de la bilirubine. Un CT abdominal réalisé le 01.02.2019 est dans la norme. À l'entrée, nous constatons une perturbation des enzymes de cholestases que nous mettons sur le compte de l'antibiothérapie. Nous proposons un suivi biologique et de refaire une imagerie en cas de persistance de la perturbation. Au niveau hématologique, la patiente est connue pour une anémie normocytaire d'origine indéterminée que nous retrouvons au laboratoire. Nous ne constatons pas de carence vitaminique ni ferrique et proposons un suivi biologique. Une hypokaliémie est rapidement corrigée par supplémentation per os. La patiente rentre à domicile le 21.02.2019. Mme. Tribolet, 44 ans, est admise pour une insuffisance respiratoire aiguë. La patiente, rentrée de Côte d'Ivoire le 26.02.2019, présente depuis 72 h une toux productive avec crachat purulent et un état fébrile. Elle aurait consulté une pharmacie sur place qui lui aurait fourni du Co-Amoxicilline à dosage de 250 mg 1x/j. D'un point de vue respiratoire, la patiente bénéficie d'un support standard par oxygénothérapie et bronchodilatateurs en raison du clinique spastique au premier plan. Une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid, puis Rocéphine uniquement après réception des antigènes, est débutée. Le CT thoracique exclut l'embolie pulmonaire et parle pour des foyers de pneumonies basales et des épaississements bronchiques. Un avis pneumologique ne recommande pas d'investigations supplémentaires et, selon l'évolution, il sera nécessaire de rediscuter l'indication d'investigations pulmonaires à distance. La recherche de grippe est négative, le test VIH est à pister. L'évolution est favorable et la patiente est transférée en médecine pour la suite de prise en charge. Mme. Troutot est une patiente de 53 ans qui se présente aux urgences le 20.02.2019 pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite avec irradiation dans le dos, débutées en matinée. Les examens mettent en évidence une urétéro-lithiase droite de 6x3x5 mm sans signe de complication. Malgré l'antalgie, la patiente présente une persistance de la symptomatologie, motivant une cystoscopie avec mise de sonde double J le 21.02.2019. Par la suite, Mme. Troutot présente une rapide évolution favorable et reste afébrile. Le 22.02.2019, Mme. Troutot peut rejoindre son domicile. Un contrôle clinique sera organisé chez le Dr. X. Mme. Umbelino présente une lésion de la corne postérieure du ménisque interne qui est peu symptomatique. Je propose dans un premier temps un traitement de 9 séances de physiothérapie. Je la reverrai dans six semaines pour une réévaluation clinique. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. En cas de persistance de douleurs, on pourrait discuter une éventuelle arthroscopie du genou D pour inspecter la corne postérieure du ménisque et, si nécessaire, effectuer une résection partielle ou une suture de celui-ci. Étant donné que la patiente est peu symptomatique, il n'y a pas d'indication opératoire pour l'instant. Mme. Vijayaratnam nous est transférée du service d'orthopédie de Fribourg où elle a bénéficié d'une cyphoplastie L4 le 28.12.2018. Pour rappel, la patiente avait bénéficié d'une vertébroplastie L5 le 12.12.2018 pour fracture tassement L5 spontanée, puis une chute accidentelle survenue le 26.12.2018 a causé une fracture de tassement au niveau L4 et une nouvelle fracture de l'arc vertébral L5 D avec un fragment déplacé antérieurement touchant la racine L5 D, d'où une deuxième hospitalisation avec une seconde opération.A l'entrée, Mme. Y est en bon état général. Elle se plaint de fourmillements des deux jambes ayant débuté avant sa première opération. La cicatrice au bas du dos est propre et calme. Les statuts cardio-pulmonaire et abdominal sont sans anomalie. Elle ne présente pas de déficit neurologique mais une faiblesse musculaire des mains (M4). D'origine srilankaise, elle vit en Suisse depuis 2008 (ne parle ni français ni allemand). Actuellement, elle vit dans un appartement avec sa fille qui est mariée et qui a 3 enfants. L'immeuble a un ascenseur et elle marchait sans aide avant sa première opération le 12.12.2018. Depuis, elle marche avec un Tintébin. Avant la première opération, elle était autonome pour les AVQ. Concernant son diabète de type 2 non insulino-requérant, nous avons ajusté son traitement et Mme. Y a présenté de bonnes valeurs glycémiques sous Janumet 50/500 1-0-1-0 (instauré dès le 16.01.2019). Au cours de son hospitalisation, Mme. Y a chuté le 22.01.2019 dans la douche. Nous avons exploré par radiographie et CT qui ont révélé une fracture transverse non déplacée à la jonction S4-S5 du sacrum. Après un consilium téléphonique avec l'orthopédie, un traitement conservateur a été décidé. Devant la persistance des douleurs aux jambes, nous avons suspecté un Restless Leg syndrome et avons donc commencé un traitement par Pramipexol 0.125 mg/j dès le 25.01.2019, que nous vous laissons le soin de réévaluer. A la biologie, nous avons noté une anémie normocytaire probablement d'origine post-opératoire et une insuffisance rénale chronique stade G2, que nous vous suggérons de recontrôler. Nous débutons une réhabilitation avec physiothérapie et ergothérapie. Les scores de mobilité au début du séjour sont les suivants : le transfert FIM 4, la mobilité FIM 2 sur maximum 30 m, les escaliers FIM 1, le Tinetti 9/28 avec Tintébin. Les scores de mobilité à la fin du séjour sont les suivants : le transfert FIM 5, la mobilité FIM 5 avec rollator, les escaliers FIM 1, le Tinetti 12/28 avec rollator. Devant une bonne évolution clinique, Mme. Y peut retrouver son domicile le 05.02.2019. Mme. Y est une patiente de 84 ans hospitalisée par son médecin traitant pour baisse de l'état général et hyponatrémie chronique. Pour rappel, Mme. Y était sortie dernièrement de Tavel après une hospitalisation sur chute à domicile (2ème chute en 2 mois) avec des soins et repas à domicile. A noter qu'elle présente également des troubles cognitifs importants en péjoration depuis des mois. Mme. Y se plaint de difficulté à uriner et d'oedèmes des membres inférieurs nouveaux. Au sujet de l'hyponatrémie chronique, un sodium à 121 mmol/l est constaté à l'entrée et montre une bonne évolution avec des capsules de sel. Les diurétiques sont temporairement augmentés au vu des oedèmes des membres inférieurs, avec bandage compressif. Les oedèmes restent malgré cela présents au niveau des chevilles et des bas de contention sont recommandés. Un bilan neuropsychologique met en évidence des troubles cognitifs sévèrement péjorés en rapport avec le dernier bilan datant de 2016. Un retour à domicile dans ces conditions ainsi qu'avec les comorbidités existantes semble délicat. Un colloque de famille est organisé pour discuter d'un court-séjour à l'UATO pour évaluation et probablement placement. Une procuration au niveau administratif et financier par un des fils est en cours. Une infection urinaire avec sédiment sale sur pollakiurie (apparemment connue) est traitée par dose unique de Fosfomycine. Nous introduisons du Spasmo-urgenine au vu d'une probable vessie hyperactive avec faux besoins. Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement le 07.02.2019 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que Mme. Y a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, patiente de 68 ans, connue pour une cirrhose CHILD C est hospitalisée dans un contexte de chutes à répétition. Elle est retrouvée au sol par sa curatrice, motivant un transfert au service des urgences. Lors des investigations, nous observons des tests hépatiques et de cholestase perturbés chez une patiente ralentie mais sans plainte. Après avis gastro-entérologique, au vu de la suspicion d'encéphalopathie et de la lyse hépatocellulaire, nous introduisons un traitement de Prednisolone, de Duphalac et de substitution. Nous complétons le bilan par un ultrason abdominal ne nous permettant pas d'évaluer la circulation portale ou les voies biliaires, mais excluant la présence d'ascite. Un CT-scan abdominal injecté ne peut être effectué au vu de l'insuffisance rénale aiguë pré-rénale qui se péjore progressivement. Nous effectuons cependant un examen natif montrant un foie cirrhotique sans obstruction ni dilatation des voies biliaires. Une insuffisance hépato-cellulaire aiguë sur hépatite est retenue. Le traitement est adapté et le suivi biologique montre une amélioration des tests hépato-biliaires avec une crase toujours perturbée. La patiente présente également une encéphalopathie avec ralentissement psycho-moteur et désorientation fluctuante, ne permettant pas son retour à domicile. Après discussion avec Mme. Y, sa filleule, ainsi que sa curatrice, au vu des nombreuses tentatives de retour à domicile et de l'état clinique actuel, un placement en EMS est décidé. Mme. Y est reclassée le 06.02.2019 en attente de placement. Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que Mme. Y a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, patiente de 78 ans, connue pour obésité, diabète de type 2 non insulino-requérant et hypertension artérielle traitée, est hospitalisée en raison d'une décompensation cardiaque dans un contexte infectieux. La patiente présente une dyspnée progressive en péjoration avec céphalées occipitales non pulsatiles depuis 2 jours, ainsi qu'une orthopnée et prise pondérale. Elle décrit également une oppression thoracique. La patiente rapporte une toux sèche, une pollakiurie et un état fébrile à 38°C sans frisson. Le statut montre des oedèmes des membres inférieurs inconnus jusqu'à maintenant. Le laboratoire d'entrée montre un léger syndrome inflammatoire ainsi qu'un NT-proBNP élevé (NT-proBNP 3630 ng/l). La radiographie de thorax ne retrouve pas de foyer infectieux. Un frottis grippe revient positif pour Influenza A et la patiente bénéficie d'un traitement par Tamiflu. Au vu des signes de surcharge, un traitement diurétique est introduit avec bonne évolution. Une échocardiographie transthoracique diagnostique une cardiomyopathie hypertrophique homogène modérée et un traitement par IEC et diurétique est introduit et adapté. Sur le plan urinaire, une infection urinaire est traitée par Nitrofurantoïne pour une durée de 5 jours avec bonne évolution. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 28.02.2019. Une aide à domicile est proposée à la patiente, ce qu'elle refuse. Mme. Y est une patiente de 82 ans, qui est admise dans notre service de chirurgie pour prise en charge d'ulcères du membre inférieur droit d'origine mixte. Elle bénéficie d'un débridement de plaie au bloc opératoire le 05.02.2019 et d'une revascularisation de l'artère poplitée le 06.02.2019. Mme. Y rejoint son domicile le 08.02.2019 avec des soins à domicile pour les changements de pansement. Mme. Y sera revue à notre consultation des plaies le 12.02.2019 et le 15.02.2019.Mme. Y est une patiente de 80 ans connue pour néoplasie myéloproliférative, cardiopathie hypertensive, diabète non insulino-dépendant et asthme allergique. Elle est transférée de la gériatrie aiguë le 30.11.2018 au service de neuroréhabilitation à l'HFR Meyriez pour une neuro-réadaptation suite à un hématome sous-dural para-falcoriel. Pour rappel, la patiente avait eu un hématome sous-dural para-falcoriel droit suite à une chute survenue le 12.11.2018. Le 14.11.2018, elle avait fait une crise épileptique partielle complexe avec clonies et paralysie de Todd du membre inférieur gauche. La patiente avait dès lors été mise sous Keppra/Levetiracetam 500 mg 2x/jour. A l'entrée, la patiente est fatiguée après ce qui lui est arrivé. Elle a une toux productive avec des crachats blanchâtres sans fièvre, ni frisson. Au status cardiorespiratoire, le B1B2 lointain sans souffle surajouté ni d'œdème des membres inférieurs, mais il y a la présence légère de sibilances expiratoires. Au niveau neurologique, les pupilles sont isocores iso-réactives, le reste des nerfs crâniens est sans particularité. Il y a une diminution de la force du membre inférieur gauche à M3-M4 en raison de la paralysie post-crise épileptique et en raison du reste d'hématome post-chute. Il y a aussi une persistance d'une douleur au niveau du membre inférieur gauche en raison d'hématomes post-chute. La sensibilité est conservée. L'abdomen est sans particularité. En ce qui concerne la situation sociale de la patiente, Mme. Y a trois fils et une fille ainsi que huit petits-enfants. Elle habite seule dans une vieille maison avec 5-6 marches devant l'entrée sans main courante. Il y a ensuite environ 10 marches d'escalier pour monter au premier étage, mais la patiente ne reste quasiment plus qu'au rez-de-chaussée. Avant l'hospitalisation, la patiente était autonome pour ses activités de la vie quotidienne. Elle faisait les courses 1x/semaine avec sa fille, qui l'aidait également partiellement avec le ménage. Mme. Y étant connue pour une myélofibrose primaire en phase fibreuse sous Jakavi 10 mg 2x/jour, nous contrôlons régulièrement sa formule sanguine. Son seuil transfusionnel selon le Dr. X est : Hb < 70 g/l et Thrombocyte < 100 G/L. En raison d'une baisse de l'hémoglobine, Mme. Y a été transfusée à de multiples reprises (30.11.2018, 31.12.2019, 01.01.2019, 31.01.2019). L'hémoglobine de sortie est de 99 g/l et les thrombocytes à 216 G/L. Un RDV avec le Dr. X est prévu pour le 21.02.2019 avec biologie. Concernant l'hématome cérébral, un CT de contrôle le 25.1.2019 a montré une bonne consolidation de l'hématome sous-dural sans modification de la taille. Le 25.01.2019, l'hospitalisation s'est compliquée d'une pneumonie bilatérale traitée avec de la co-amoxicilline avec une bonne évolution clinique. Dès son arrivée dans le département, nous débutons une réhabilitation avec physiothérapie et ergothérapie. Les scores de mobilité au début du séjour sont les suivants : le transfert FIM 2 avec aide importante, la mobilité FIM 1 totalement dépendante pour le moment <15m, les escaliers FIM 1 totalement dépendante, le Tinetti 1/28 avec haut risque de chute. Les scores de mobilité à la fin du séjour sont les suivants : le transfert FIM 6 avec rolateur, la mobilité FIM 6 sur 200 m avec rolateur, les escaliers FIM 5 sur 9 marches, le Tinetti 14/28 avec rolateur. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 02.02.2019. Mme. Y, une patiente de 93 ans vivant seule et connue pour des épisodes de réactions anaphylactiques dans le passé, consulte à la permanence accompagnée de sa fille pour persistance d'une éruption cutanée généralisée depuis la veille avec sensation de malaise et légère chute de tension le 07.02.2019. Elle a été traitée depuis 2 jours par Amoxicilline suite à une suspicion de pneumonie par Medhome. Après apparition d'un exanthème généralisé la veille, les médecins de Medhome rappelés ont alors effectué hier un changement de l'antibiothérapie sur de l'Azithromycine et débuté du Xyzal. Les paramètres vitaux sont à la norme à son entrée avec une pression artérielle de 130/52 et un pouls de 80 bpm. La patiente est non dyspnéique et présente un léger vertige. Au vu de la faible clinique sans réels signes d'infection au laboratoire ni à la radiographie thoracique, nous stoppons le traitement à l'Azithromycine et hospitalisons la patiente pour un suivi sur 24 heures de ses paramètres vitaux ainsi que de son éruption cutanée. Nous pouvons laisser rentrer Mme. Y le 08.02.2019 en bon état général et avec une nette diminution de son exanthème à la maison, tout en installant un service d'aide à domicile. Au vu d'une pression artérielle dans la norme basse à la sortie malgré la mise en suspens du Lisinopril, nous prions de réévaluer le traitement antihypertenseur chez le médecin traitant. Mme. Y, votre patiente de 82 ans, récemment diagnostiquée d'un mélanome malin du mollet gauche excisé en novembre 2018 et multimétastatique, traité de façon palliative par du Keytruda, est hospitalisée en raison d'une baisse de l'état général dans le contexte oncologique. À son admission, la patiente se plaint d'asthénie et d'inappétence associée à des nausées mais sans vomissement. Elle signale également une gêne au niveau des multiples nodules sous-cutanés. À l'examen clinique, on retient des multiples nodules sous-cutanés indurés, mobiles, répartis au niveau cervico-thoraco-abdominal et dorso-lombaire. L'examen neurologique met en évidence un ralentissement psychomoteur avec un discret hémisyndrome sensitivo-moteur droit et une extinction sensitive visuelle droite. La patiente présente également des signes d'une dépression sévère. Le laboratoire initial montre une légère hypo-albuminémie et une hypoprotéinémie, reflétant son état dénutritionnel. La patiente bénéficie d'une mise en place d'une sonde naso-gastrique à visée alimentaire. La patiente montre une bonne évolution nutritionnelle, sans complication, avec une reprise alimentaire tout à fait satisfaisante, tel que la poursuite de l'alimentation par sonde naso-gastrique nécessite une réévaluation, qui sera réalisée à la Villa Saint-François. Le CT-Scan cérébral, réalisé dans le contexte de troubles neurologiques nouveaux, montre diverses lésions métastatiques supra et infra tentorielles. Une corticothérapie à haute dose est initiée dès le 26.09.2019 et un schéma dégressif devra être envisagé en fonction du projet global. De concert avec son oncologue traitant (Dr. X), un colloque famille est réalisé en vue de définir le projet thérapeutique global. Après discussion, nous proposons à la patiente une évaluation radio-oncologique qui retient une prise en charge par radiothérapie pancéphalique. Par ailleurs, une discussion avec nos collègues palliatologues est également organisée. Après réflexion et entretien avec les divers spécialistes, la patiente et sa famille font le choix d'une réhabilitation palliative sans opter pour une prise en charge radio-oncologique, préférant la préservation de la qualité de vie actuelle et craignant la baisse éventuelle de l'autonomie actuelle en raison de la radiothérapie. Rappelons que d'un point de vue social, la patiente vivait seule de façon autonome. Pour le reste, la patiente montre des signes de surcharge durant la période initiale de la corticothérapie. Raison pour laquelle, l'hydratation est arrêtée. La symptomatologie somatique initiale s'améliore, telle que la patiente ne présente aucune plainte.D'un point de vue thymique, la patiente est vue par les psycho-oncologues, dont nous proposons la poursuite de la prise en charge. La patiente est donc transférée à la Villa Saint François pour suite de la prise en charge, en espérant un retour à domicile par la suite. Nous laissons le soin à nos collègues palliatologues d'évaluer le retour à domicile et la mise en place d'une aide. Mme. Y, patiente de 64 ans connue pour multiples antécédents chirurgicaux abdominaux, est hospitalisée à la demande de son médecin traitant pour investigations de douleurs abdominales chroniques depuis une intervention pour adhésiolyse en octobre 2018. Nous effectuons un bilan biologique et radiologique par CT ne montrant pas d'anomalies. Une gastroscopie montre une suspicion de gastrite antrale avec recherche d'H. Pylori en cours. Quant à la colonoscopie, aucune lésion n'est mise en évidence pouvant expliquer la symptomatologie. À noter que les anxiolytiques permettent un amendement des symptômes gastro-intestinaux. Nous faisons également appel à l'équipe de psychiatrie de liaison afin d'investiguer une potentielle composante somatoforme de ces douleurs. Un diagnostic de trouble mixte anxieux et dépressif est suspecté. Nous adaptons le traitement psychiatrique en ce sens avec l'introduction d'un antidépresseur tricyclique, l'Amitriptyline, connue également pour ses effets antalgiques abdominaux. Ayant noté une certaine difficulté pour parler et respirer ainsi qu'un changement de voix depuis l'été 2018, un consilium ORL est organisé et montre une aggravation d'un œdème de Reinke connu nécessitant une intervention qui sera organisée en ambulatoire avec le Dr. X. Mme. Y peut rentrer à domicile le 05.02.2019 avec suivi en ambulatoire. Mme. Y présente une somatisation en réaction à un contexte de stress. Pour cela, nous lui prescrivons une thérapie non addictogène qui favorise le sommeil et un arrêt de travail pendant 2 jours. En cas de persistance de stress, nous lui conseillons de réconsulté auprès de votre cabinet afin d'instaurer un suivi psychologique régulier. Mme. Y est une patiente de 68 ans qui présente le 04.02.2019 la perforation d'un ulcère gastrique apparu dans un contexte de prise d'AINS sur une colique néphrétique. Elle bénéficie d'une laparoscopie exploratrice avec lavage péritonéal (30L) et suture de l'estomac le 05.02.2019. L'évolution postopératoire est favorable, permettant un retour à domicile le 11.02.2019 avec un contrôle par OGD prévu en ambulatoire (la patiente sera convoquée directement). Mme. Y, connue notamment pour une cardiopathie ischémique, valvulaire et rythmique ainsi qu'une HTP sévère oxygénodépendante à domicile, hospitalisée à l'HFR Fribourg du 16.12.2018 au 08.01.2019 pour une insuffisance respiratoire sur décompensation cardiaque, est amenée aux urgences de l'HFR Riaz par son mari le 31.01.2019 en raison de soins impossibles à domicile avec faiblesse générale et inversion du rythme nycthéméral avec déambulations nocturnes et confusion. À noter plusieurs chutes avec dernier traumatisme crânien en décembre 2018. Son époux rapporte également une dyspnée en péjoration progressive avec expectorations nouvelles verdâtre-noires depuis 2 jours, une incontinence urinaire nouvelle ce jour, sans dysurie ainsi que des douleurs chroniques non caractérisables. Pas d'état fébrile, pas de douleur rétrosternale ni palpitation, œdèmes des membres inférieurs stables. L'appétit est conservé, hydratation per os par 2 litres d'eau sur la nuit. L'anamnèse avec la patiente est impossible en raison d'un Glasgow à 12/15, état habituel chez Mme. Y durant la journée, selon son époux. À l'admission aux urgences, tension artérielle 130/94 mmHg, fréquence cardiaque 110/min, température 38°C et saturation à 83% sous 4 litres. Au status neurologique, Glasgow à 12/15. Pupilles isocores et isoréactives. La patiente est désorientée dans le temps et l'espace, orientée pour sa personne. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, irréguliers. Œdèmes des membres inférieurs jusqu'à mi-tibia, extrémités mal perfusées. Pas de souffle audible. Au niveau respiratoire, la patiente est tachypnéique, murmure vésiculaire symétrique avec râles crépitants bibasaux. Au status digestif, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité avec douleurs au niveau épigastrique, en hypochondre droit et au niveau sous-pubien, sans défense ni détente. Pas de globe vésical palpé. Les loges rénales sont souples et indolores. Mme. Y présente donc une dégradation de son problème respiratoire probablement dans un contexte septique à point de départ biliaire. Nous débutons une antibiothérapie associant Rocéphine et Flagyl pour cette problématique hépatobiliaire qui s'est déjà manifestée par le passé. Nous augmentons également le traitement diurétique ainsi que le traitement bronchodilatateur avec une faible diminution de la volémie. Les troubles électrolytiques sont corrigés. En raison de la persistance d'une insuffisance respiratoire partielle sévère dans le contexte d'une hypertension pulmonaire et d'une cardiopathie connues, de l'état confusionnel, de la dégradation de la fonction rénale et du sepsis biliaire encore non contrôlé, nous demandons un transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge avec soutien respiratoire et surveillance hémodynamique. L'attitude est discutée avec son époux, en présence de la patiente et de ses deux fils. En raison de la cardiopathie, l'absence de réanimation cardiaque en cas d'arrêt cardio-respiratoire a été expliquée et maintenue par rapport au précédent séjour. La décision d'intubation n'a pas été abordée à l'HFR Riaz mais est laissée à la discrétion des médecins intensivistes selon leur expertise. La famille est informée qu'il est nécessaire d'être disponible pour cette discussion. Mme. Y est une patiente de 79 ans, chez qui nous réalisons une crossectomie poplitée, phlébectomie, ligature perforante saphène externe au niveau du membre inférieur droit. L'intervention se déroule sans complication. En raison de douleurs difficilement contrôlées par l'antalgie, nous hospitalisons la patiente. Les suites opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 19.02.2019. Un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X est prévu le 17.04.2019 à 11h30. Mme. Y, 44 ans, a été admise en unité stroke unit monitorée suite à un accident vasculaire cérébral ischémique mineur thalamique gauche. La patiente a présenté le 10.02.2019 au réveil un hémisyndrome droit avec des paresthésies persistantes sur la journée. À son arrivée aux urgences, un pic hypertensif a été mis en évidence. Un traitement de Labétalol permet de stabiliser la tension artérielle. Le CT cérébral n'a pas montré de lésion cérébrale aiguë, mais l'IRM cérébrale réalisée le lendemain a identifié une lésion ischémique au niveau du noyau lenticulaire et du noyau caudé gauche, compatible avec le tableau clinique. Les paresthésies s'atténuent avec persistance d'un tangage à la mobilisation. Compte tenu de l'âge de la patiente, le contrôle des facteurs de risques est primordial. Une hypertension artérielle sévère est objectivée avec des valeurs systoliques supérieures à 180 mmHg jour et nuit. De plus, une cardiopathie hypertensive est déjà constatée à l'échocardiographie. Le bilan habituel des atteintes d'organes en cas d'hypertension est à compléter (fond d'œil et culture d'urine planifiés). Le bilan lipidique et l'hémoglobine glyquée sont dans la norme. Pour les autres facteurs de risque cardiovasculaires, nous lui recommandons vivement l'arrêt du tabac, une activité physique régulière et une adaptation du régime alimentaire. Un suivi sera certainement utile pour l'accompagner dans ce changement de mode de vie.Mme. Y bénéficie de l'intervention susmentionnée. La pathologie confirme une métastase unique de grande taille d'un carcinome épidermoïde sans porte d'entrée, en effraction en plusieurs endroits, la classant cTx pN1 (1/13) cM0 p16+. Le dossier sera présenté au tumorboard du 27.02.2019 pour une proposition de radiothérapie adjuvante. En post-opératoire, on note une atteinte du rameau marginal de la branche mentonnière du nerf facial gauche, sans atteinte de la compétence labiale et confirmation de l'atteinte du spinal gauche sacrifié pendant l'intervention. Une physiothérapie est introduite pour pallier à la perte de fonction du muscle trapèze gauche et au sacrifice du muscle sternocléidomastoïdien gauche, à poursuivre à sa sortie. En post-opératoire, la patiente développe des douleurs dans l'épaule gauche respiro-dépendantes mais également pariétales, reproductibles à la palpation sternale. On met en évidence une prise de poids et des œdèmes des membres inférieurs prenant le godet avec discrète surcharge pulmonaire. Le bilan cardiaque avec ECG, Troponines, NtproBNP est dans la norme, la radio du thorax montre une surcharge. On retient une décompensation cardiaque débutante avec pleurésie sur surcharge pulmonaire gauche. Un traitement diurétique est instauré avec progressive diminution du poids et des œdèmes, à poursuivre dès sa sortie. Par ailleurs, on note une anémie post-opératoire à 90g/l ne nécessitant pas de transfusion mais motivant une supplémentation orale en fer, avec contrôle de la ferritine et de l'hémoglobine dans un mois. Les douleurs pariétales post-opératoires (positionnelles vs sacrifice du spinal) sont traitées par physiothérapie et antalgie. Une évaluation diététique confirme une malnutrition protéino-énergétique sévère, en lien avec une inappétence et une odynophagie légère, démontrée par des besoins couverts à 25% et un NRS à 5/7. Une immuno-nutrition pré-opératoire est mise en place dès le pré-opératoire. À la sortie, un régime texture normale est poursuivi et complété par deux Fresubin par jour, le suivi au Home sera assuré par la diététicienne du Home Care. L'anticoagulation post-opératoire par Héparine non-fractionnée est relayée par Clexane 150mg/j s/c à la sortie, le relais du Marcoumar sera effectué par le Dr. X 10j post-opératoires. Madopar 62.5 mg 2x/j dès le 19.02.19 Madopar 62,5mg dès le 11.2.2019 avec bonne réponse symptomatologique. Mr. Y est admis dans le service de néonatologie le 16.02.2019 pour un sepsis néonatal précoce dans le contexte d'un syndrome de détresse respiratoire du nouveau-né. Au niveau respiratoire, il présente une détresse respiratoire nécessitant un soutien respiratoire d'abord par CPAP avec une peep à 5cmH2O et une FiO2 à maximum de 30% pendant 50 min, puis par un High-flow qui a pu progressivement être sevré le 18.02.2019. Nous réalisons une radiographie du thorax le 16.02.2019, non interprétable, puis le 17.02.2019, qui se trouve dans les limites de la norme. Les gazométries d'entrée mettent en évidence une acidose respiratoire non compensée, qui se sont résolues progressivement avec l'amélioration de la fonction respiratoire. Au niveau infectieux, il ne présente pas de risque infectieux à la naissance, et nous réalisons une CRP et une formule sanguine le 16.02.2019, qui se trouve dans les limites de la norme. L'augmentation de la CRP à 84 au contrôle du 17.02.2019 motive la mise en place d'une antibiothérapie par Clamoxyl 100 mg/kg/j et de Gentamycine 4mg/kg/j, avec un dosage le 19.02.2019. À l'hémoculture prélevée le 17.02.2019, nous retrouvons un entérocoque faecalis et un staphylocoque epidermidis, multi-sensible. Au vu de la présence de plusieurs germes et la probabilité de contamination qui en découle, nous maintenons l'amoxicilline intraveineuse pendant 7 jours jusqu'au 24.02.2019 et stoppons la Gentamycine le 20.02.2019. Au niveau alimentaire, il bénéficie d'une perfusion de G10 dès la naissance avec une alimentation précoce et un contrôle des glycémies qui restent dans la norme. Une sonde naso-gastrique est posée du 16.02.2019 au 21.02.2019, date à laquelle il arrive à prendre tous ses apports per os. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 24.02.2019 avec un suivi usuel chez le pédiatre. Mr. Y est transféré le 21.02 de Berne pour une surveillance respiratoire pour une suspicion d'apnée dans le cadre d'une bronchiolite à RSV. Sur le plan respiratoire, le test rapide pour RSV, effectué à Berne, résulte positif. L'évolution est favorable sans nécessité d'oxygènothérapie. Hospitalisation jusqu'au 23.02 pour surveillance de l'apnée. Sur le plan digestif, Mr. Y ne montre pas de difficulté alimentaire et prend son apport journalier per os au cours de son séjour. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 23.02 avec contrôle chez le pédiatre en cas de péjoration des symptômes. Mme. Y est admise dans le service le 13.02 pour un syndrome de détresse respiratoire du nouveau-né. Sur le plan cardio-pulmonaire, elle nécessite depuis l'entrée une aide respiratoire par High-flow avec au maximum un débit de 8L et une FiO2 de 40% qui a pu être progressivement sevrée le 14.02. Un monitoring cardio-respiratoire se normalise progressivement au cours de l'hospitalisation. Elle présente par la suite une autonomie respiratoire satisfaisante. Sur le plan alimentaire, elle nécessite une sonde nasogastrique jusqu'au 14.02, date à laquelle elle prend toutes ses quantités per os, avec un bon transit et miction. Le poids de sortie est de 3.2 kg. Sur le plan métabolique, elle présente une normalisation progressive de la gazométrie et des contrôles de bilirubine en dessous de la limite appropriée de 350. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y retourne à domicile le 16.02.2019. Un suivi habituel avec une sage-femme et le pédiatre est en place. Magnesiocard dès le 28.01.2019 Magnesiocard 10 mmol 1x/j. Magnesiocard 10 mmol 1x/j dès le 09.02.2019. Magnesiocard Phosphate per os Magnesium, Béta-bloqueur dès le 23.02, Digoxine le 22.02.2019 Cordarone charge IV le 22.02.2019, puis PO (1 semaine 200mg 3x/j, 1 semaine 2x/j, puis 1x/j) Magnésium intraveineuse le 18.02.2019 Réhydratation Magnesium IV b-Bloquants Echocardiographie transthoracique le 21.02.2019: sp., FEVG 60% Ergométrie après résolution du problème respiratoire: à prévoir Magnésium iv dès le 20.01. Magnésiocard 10 mmol 3x/jour arrêté le 25.01 car mal toléré par le patient Nacl caps à chaque verre d'eau, stoppé le 25.01 Capsule de phosphate de sodium 500 mg 2 cp 3x/jour puis 1 cp 3x/jour dès le 25.01 jusqu'au 31.01.2019 Magnesium IV le 22.02.2019 Adénosine IV le 22.02.2019 Béta-bloqueur dès le 23.02.2019 Digoxine le 22.02.2019 Cordarone charge IV le 22.02.2019, puis PO (1 semaine 200mg 3x/j, 1 semaine 2x/j, puis 1x/j) Magnésium Cordarone iv le 07.02.2019 et 09.02.2019 Charge po dès le 09.02.2019 Métoprolol depuis le 08.02.2019 Anticoagulation thérapeutique par Énoxaparine depuis le 09.02.2019 Organiser une ETT et un Holter Magnésium Holter ambulatoire: à organiser Magnésium Holter en ambulatoire prévu le 01.04.2019 Contrôle cardiologique en ambulatoire le 11.04.2019 Main D : Arthrose MCP I avec lésion chronique du ligament collatéral ulnaire. Maladie de Dupuytren Stade N 4ème rayon D. Main D : doigt à ressaut dig III selon Green type II. Status post-infiltration du doigt à ressaut dig III à D en mars 2018. Status post-cure de doigt à ressaut dig IV à Bern. Status post-ostéosynthèse d'une fracture intra-articulaire radius distal à droite le 03.11.2017. Status post-fracture radius distal il y a 20 ans avec traitement conservateur.Status post PTH bilatérale. Main droite : • status post plaie perforante au niveau de la 3ème commissure avec lésion branche profonde nerf cubital. • status post neurolyse, résection du névrome, greffe du nerf avec prélèvement du greffon au niveau du PIN le 20.06.2016. • syndrome du tunnel carpien avec hyposensibilité dig I et II sur probable lésion traumatique des branches sensibles et nerf médian. Main droite : Dig I : amputation pulpe trans-IP et fracture P1 • status post ablation fragment osseux, refixation EPL et FPL, lambeaux cutanés et ostéosynthèse (24.07.2017) • status post ablation 2 vis (12.12.2017) Dig II : défect cutané bord dorso radial et lésion partielle du tendon extenseur zone 3 • status post révision de plaie avec suture bandelette centrale zone 3 et greffe de peau (24.07.2017) Actuellement : Excision d'un neurome des nerfs digital radial et digital ulnaire du pouce droit en juin 2018 Main droite : Dig III : status post arthrodèse temporaire par broche de Kirschner P3. Dig IV : status post ostéosynthèse par plaque de P2 le 14.11.2017. Dig IV D : status post fracture du 09.11.2017 avec ostéosynthèse par plaque le 14.11.2017. Status post ablation (le 14.01.2019) du matériel d'ostéosynthèse et ténolyse Dig IV droit après ostéosynthèse par plaque le 14.11.2017 Main droite : Dig V phalange proximale fracture oblique comparé à la RX du 05.02.2019. Main droite (dominante) : récidive maladie de Dupuytren 1er et 3ème rayons, stade I selon Tubiana, 5ème rayon, stade II selon Tubiana Main droite (dominante) : retard de consolidation P3 D II Douleurs neuropathiques sur atteinte du nerf collatéral distal radial et ulnaire à la hauteur de D III Status post réduction fermée, embrochage de P3 D2 de la main D, révision de la plaie, suture du nid de l'ongle le 22.03.2018 sur fracture ouverte de la houppe de D3, D2 à droite. Main droite : Status post cure doigt à ressaut Dig III, cure canal carpien. CRPS en rémission. Main gauche : Doigt à ressaut Dig III (poulie A1) et probable syndrome de tunnel carpien. Main droite : • status post réinsertion du ligament collatéral radial MCP II le 16.08.2018 • tendinopathie des fléchisseurs en post-opératoire • probable CRPS débutant • doigts à ressaut Dig II, Dig III, green 2 à 3. • status post infiltration de la gaine des fléchisseurs en regard de la poulie A1 des Dig II et Dig III, le 21.12.2018. Main G : • status post ostéosynthèse du scaphoïde G par vis le 13.11.2018 sur fracture du scaphoïde (pôle proximal) le 05.11.2018. Fracture branche ischio pubienne gauche. Fracture L2 de type A1. Contusion de la vessie. Contusion du pied droit. TC simple le 05.01.2018 en regard d'une chute de 6 mètres de l'échelle. Main G, Dig II : rerupture du FTP le 14.02.2019 sur : • suture de FTP, nettoyage et débridement d'une plaie au niveau P2 D2 main G (le 02.02.2019). • Plaie profonde infectée P2 palmaire avec lésion du FTP. Main G (main dominante) : brûlure sur le dos de la main avec status post débridement et mise en place d'un pansement VAC, le 12.06.2018. Status post greffe totale avec prise au niveau de la cuisse gauche le 29.06.2019. Actuellement : adhérences tendon ECD principalement Dig III avec perte importante de la mobilité au niveau de sa main. Main G (non dominante) : status post fracture tubercule du scaphoïde Herbert type A1, traitée conservativement, le 16.10.2018. Mallet Finger du 5ème doigt le 16.10.2018. Dissociation scapho-lunaire. Main gauche : tendon synovite non sténosant 3ème rayon gauche Main gauche : 3ème récidive de maladie de Dupuytren stade II selon Tubiana 5ème rayon avec • status post cure de Dupuytren bilatéral en 1999 Dig V et cure de récidive à gauche en 2006 combinée avec transposition du nerf cubital par Dr. X Main droite : status post fasciectomie complète et plastie de Malingue et en V-Y le 10.09.2019 (Dr. X) avec status post cure maladie de Dupuytren en 1999 Main gauche Dig II et III : contracture intrinsèque, CRPS suite à : • morsure de chat le 31.03.2017 • révision gaine des fléchisseurs Dig II le 31.03.2017 : second look avec rinçage des gaines des fléchisseurs Dig II-III et IV, arthrotomie et rinçage IPP le 02.04.2017 • status post révision des plaies Dig II et paume main gauche le 25.04.2017. Main gauche: Doigt à ressaut stade 3 selon Green Dig III. Main droite : Doigt à ressaut stade 2 selon Green Dig III. Main trempée dans bassine froide avec Kamillosan et reçoit une dose d'Algifor. Avis chirurgical au vu de l'absence de douleur et du placard blanchâtre sur la partie distale de la paume de main. Palpation de la paume avec pincette douloureuse et apparition de phlyctènes évoquant une brûlure de type 2a. Main-poignet G : douleurs neuropathiques de la face palmaire de l'avant-bras G, de la paume et des rayons III et IV main G. Status post morsure de chat Dig IV G en 2005 avec révision de la gaine des fléchisseurs. Status post morsure de chat Dig III avec révision de la gaine des fléchisseurs. Status post morsure de chien tiers distal avant-bras G. Status post cure de tunnel carpien et loge de Guyon le 30.01.2016. Status post infiltrations : • N. ulnaire au coude le 30.01.2016. • N. médian au coude le 10.02.2016 • N. médian au creux axillaire le 23.03.2016. Maintien à domicile impossible sur baisse d'état général non réversible • perte de mobilité, dépendance aux soins, logement non adapté Maintien du rendez-vous au centre psychosocial le 25.02.2019. Réassurance et proposition d'hospitalisation à Marsens refusée par la patiente. Proposition de majoration du traitement par Lexotanil : 2 cp le soir et 1 en réserve le matin. Arrêt de travail. Maintien impossible à domicile Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 32 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Maintien du traitement conservateur avec attelle en extension à porter encore 1 semaine (6 semaines au total). Il ira faire un contrôle chez son médecin traitant. Les activités sportives pourront être reprises à partir de 8 semaines post-fracture. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Maintien du traitement conservateur avec circularisation du plâtre AB pour une durée totale de minimum 4 semaines. Nous la reverrons le 20.03.2019 pour un contrôle clinique. Dispense de sport jusqu'au lundi 25.03.2019. Maintien du traitement conservateur avec physiothérapie de renforcement de la coiffe des rotateurs. Le travail peut être repris à 50% du 19.02.2019 au 01.03.2019, puis reprise à 100% dès le 02.03.2019. Le patient n'ayant pas de médecin traitant, nous le reverrons dans 4 semaines pour un contrôle clinique. Maintien du traitement conservateur avec une attelle Edimbourg intrinsèque thermo-formée en ergothérapie. Nous le reverrons le 28.03.2019 pour un contrôle radioclinique. Maintien du traitement conservateur. Nous la reverrons pour un contrôle radioclinique à 6 semaines de la fracture soit le 28.03.2019. Majoration b-bloquant Magnésium Majoration de la Metformine Majoration de l'antalgie avec Tramadol. Maintien du contrôle en orthopédie dans une semaine. Majoration de l'antalgie et réserve PO à domicile. Retour à domicile et suivi chez le médecin traitant comme déjà prévu. Majoration de l'antalgie par Sirdalud 2 mg 1x/24h.Poursuite de la physiothérapie du dos au foyer. Majoration de l'antalgie. Conseils de réévaluer avec le dentiste de garde le 08.02.2019 pour suite de prise en charge par l'odontologue. Majoration de son traitement bronchodilatateur. Majoration du lisinopril. Majoration du Sintrom. Contrôle INR. Majoration du Torasemid. Bandage compressif des MI. Majoration du traitement habituel par Coversum. Majoration du traitement substitutif. Majoration Euthyrox à 100 mcg. Contrôle en ambulatoire à 6 semaines chez le médecin traitant. Majoration Lisinopril à 10 mg dès le 24.01.2019. Majoration Metformine 500 mg 3x/j. Contrôle HbA1c à 3 mois. Majoration traitement par Sintrom. Suivi biologique. Stop du Sintrom le 19.02.2019 vu le contexte oncologique. Mal à la gorge. Mal de gorge depuis 4-5 jours. Mal de gorge et herpès labial. Mal de gorge et la fièvre depuis 4 jours. Mal de gorge et otalgie. Mal de gorge, toux et fièvre. Mal perforant au niveau du talon D avec une déformation en varus et en équin neurologique sur status post syndrome de la queue de cheval résiduel avec spondylodèse L5-S1. Status post mise à plat du kyste para-patellaire du genou gauche. Status post transfert tendineux et ostéotomie calcanéenne à droite en 2014 au HUG. Mal perforant plantaire au 1er rayon du pied gauche depuis le 14.01.2018 avec : • Ischémie critique et multiples sténoses fémorales du MIG • Le 25.01.2018 : recanalisation de l'artère fémorale superficielle par ballon médicamenteux et pose de stent • Le 02.10.2018 : ostéomyélite chronique sur mal perforant plantaire 1er rayon pied G, avec pose de stent et traitement par co-amoxicilline censé durer jusqu'en janvier 2019 • Le 07.11.2018 : dermohypodermite membre inférieur gauche sur ostéomyélite chronique suspectée sur mal perforant plantaire du 1er rayon, avec traitement par Co-amoxicilline 1 g 3x/j prévue jusqu'au 19.11.2018, stoppée prématurément par le MT en raison d'un rash pruritique le 30.11.2018 et remplacée par de la doxycycline. AOMI stade IV du MIG sur atteinte jambière diffuse avec : • mal perforant plantaire au 1er rayon du pied gauche • IRM du pied gauche le 16.01.2018 : pas d'ostéomyélite • recanalisation de l'artère fémorale superficielle par ballon médicamenteux et pose de stent du 25.01.2018 • angioplastie de l'artère poplitée distale, du tronc tibio-péronier et de l'artère fibulaire le 04.10.2018 Diabète de type 2 insulino-requérant. Hypertension artérielle traitée. Asthme. Anémie hypochrome microcytaire d'origine spoliative le 03.10.2018 sur : • forte suspicion pour une angiodysplasie ou un ulcère de Dieulafoy au niveau de l'estomac • œsophage de Barrett et oesophagite de reflux ulcéreuse sévère. Mal perforant plantaire avec ostéomyélite du 5ème métatarse et de la phalange proximale du 5ème orteil pied G à Staph. aureus sur plaie chronique du bord latéral du pied en regard de la tête du 5ème métatarsien : • Germe en cause : Staph. aureus • Status post débridement, biopsies, rinçage ulcère chronique du 5ème métatarse G le 02.10.2018 (germes : Staph. aureus, Staph. marescens et Staph. haemolyticus) • Status post incision, débridement abcès à Escherichia coli et Enterococcus faecalis face latérale 5ème métatarse G le 09.05.2018. Mal perforant plantaire nécrotique de P3 O3 du pied droit et du talon gauche. Maladie anévrismale avec : • anévrisme fusiforme de l'aorte abdominale d'environ 30 mm • anévrisme de l'artère iliaque commune droite mesurant au maximum 19 mm. Maladie bitronculaire avec 1 DES IVA proximale de la 1e diagonale et 1 DES IVA moyenne : • angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale (implantation d'un stent actif) • angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne (implantation d'un stent actif). Maladie coronarienne monotronculaire. Maladie coronarienne anévrismale avec anévrisme de la circonflexe moyenne et de la marginale : 20.01.2019 : STEMI inférieur sur occlusion de la coronaire D distale (pic CK 744 U/l) 20.01.2019 : coronarographie : occlusion thrombotique de la coronaire D distale 20.01.2019 : ETT : taille OG taille normale à 43 ml non dilatée. Discrète hypokinésie postéro-basale, FEVG à 60%. Procédure : 20.01.2019 : revascularisation par 2 stents actifs sur la CD distale et aspiration des thrombi obstructifs dans l'artère coronaire D. Complication péri-interventionnelle : ACR péri-interventionnel sur asystolie à la revascularisation de la coronaire D le 20.01.2019 : • ROSC : 1 min, massage cardiaque externe 1 minute, adrénaline 1 mg iv. Maladie coronarienne avec : • excellent résultat à moyen terme de l'artère interventriculaire antérieure moyenne et distale au niveau du site d'implantation des stents actifs 11.02.2014 • sténose serrée de l'artère circonflexe moyenne : PTCA/Stent actif • sténose significative de l'artère circonflexe proximale au niveau de sa bifurcation avec la branche marginale, qui elle-même porte une sténose ostiale : primary stenting de la circonflexe proximale, fenestration de la branche marginale avec implantation d'un stent actif dans l'ostium de la branche marginale (T-stenting). Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Maladie coronarienne avec : • infarctus du myocarde sur occlusion de l'artère marginale le 26.09.12 sans angioplastie possible • FEVG 65%. Maladie coronarienne avec : • infarctus du myocarde sur occlusion de l'artère marginale le 26.09.2012, sans angioplastie possible • FEVG 65%. Hypertension artérielle. Obésité classe II (BMI à 37 kg/m2). Nodule pulmonaire du lobe inférieur gauche de découverte fortuite. Goutte. Maladie coronarienne avec : • Subocclusion de l'ACD moyenne : PTCA/2xDES (bon résultat) • Sténose 70% de l'ACD proximale : PTCA/2xDES (no reflow).Maladie coronarienne avec: • in stent resténose 50% de l’artère interventriculaire antérieure moyenne au niveau du site d’implantation du stent actif, bon résultat à long terme après stenting du segment distal de l’IVA • sténoses significatives de l’artère circonflexe proximale et moyenne : PTCA/DES x2 • excellent résultat après recanalisation de la CD 19.12.2017 et mise en place de deux stents actifs • légère dysfonction ventriculaire gauche avec hypokinésie antérolatérale et apicale, Fraction d’éjection VG 50%. Status post-infarctus en 2007 Hypothyroïdie Hypertension artérielle Maladie coronarienne avec: • lésion intermédiaire du tronc commun et de l’artère interventriculaire antérieure proximale • lésion significative de l’ostium de la circonflexe proximale et de l’artère circonflexe moyenne • occlusion de l’artère coronaire droite moyenne • NSTEMI de type 2 le 14.10.2018 Dysfonction ventriculaire gauche avec hypokinésie sévère antéro-apicale et diaphragmatique (FEVG 35-40%) Anémie hypochrome microcytaire hyporégénérative ferriprive le 14.10. 2018, DD syndrome de Heyde • absence d’évidence pour un saignement du tractus digestif supérieur ou inférieur (OGD du 19.10.2018 et colonoscopie du 26.11.2018) Insuffisance artérielle périphérique stade I à gauche en décembre 2003 avec: • sténose modérée de l’artère iliaque externe et fémorale commune gauches, obstruction partielle de l’artère poplitée gauche Suspicion d’arthrite microcristalline, DD arthrose décompensée BPCO de stade II selon Gold post tabagisme (sevrage en février 2016) Polyneuropathie sur éthylisme chronique: • antabus depuis 2007 • pallesthésie 0/8 bilatérale (octobre 2014) Adénocarcinome de la prostate T2 N0 M0 G2 Gleason 6 (3+3) avec: • prostato-vésiculectomie radicale, lymphadénectomie pelvienne bilatérale octobre 2003 Microlithiase biliaire non obstructive Calcification importante des vaisseaux iliaques Maladie coronarienne avec lésions tritronculaires avec: • Bon résultat à court terme après PCI (3xDES) de l’IVA proximale et moyenne englobant les diagonales • Bon résultat après PCI de la Cx moyenne • Sténose significative de l’ACD moyenne: direct stenting (bon résultat). Maladie coronarienne avec lésions tritronculaires: • Occlusion non significative de l’artère interventriculaire antérieure proximale • Sténose significative de la seconde diagonale • Occlusion chronique de l’artère circonflexe proximale • Sténose significative de la partie distale de l’artère marginale du bord droit • Rétrécissement anatomique moyennement serré (1cm) • Echocardiographie du 29.11.2018 : VD non dilaté avec hypokinésie sévère de la paroi postérieure et modérée de la paroi latérale moyenne et de la paroi latéro-basale. Aorte normale, rétrécissement aortique serré calcifié, d'origine dégénérative. Surface aortique à 0.95 cm² (0.48 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 25 mmHg. Pas d’insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche discrètement dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 29 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d’épanchement péricardique. FEVG 70% Cardiopathie ischémique avec status post pose de stent actif sur la 2ème diagonale 2015 Maladie coronarienne avec monotronculaire le 14.02.2019 • Sténose significative de l’artère rétro ventriculaire postérieure avec PTCA et 1 DES FRCDV : HTA, dyslipidémie nouvellement diagnostiquée Maladie coronarienne avec s/p triple pontage 1998 Hypertonie artérielle Dyslipidémie Dégénérescence maculaire Maladie coronarienne avec sténose à 50 -70 % IVA proximale Maladie coronarienne avec: • Sténose de 50-70% de la bifurcation TC/IVA avec rupture de plaque contrôlée par OCT à PTCA/DES, POT et Kissing final. • Plaque non significative de la CD proximale Maladie coronarienne avec: • sténose significative de l’artère interventriculaire antérieure moyenne: PTCA/DES • sténose intermédiaire de l’artère circonflexe moyenne • sténose intermédiaire de l’artère coronaire droite distale. • fonction systolique du VG normale, Fraction d’éjection VG 65% Maladie coronarienne avec: • stent dans l’IVA moyenne en 01/2007 • STEMI postéro-latéral sur occlusion subtotale d'une marginale, avec pose de stent en 08/2004 Maladie coronarienne bitronculaire (IVA et CX) avec : 12.01.2019 : NSTEMI sur occlusion fonctionnelle de la marginale distale (lésion coupable) traitée par 2 stents actifs, sténose serrée de l’IVA I et de la 1ère diagonale traitée par 2 stents actifs 12.01.2019 : échocardiographie : FEVG normale sans trouble de la cinétique segmentaire, pas d’HVG ou de valvulopathie. Maladie coronarienne bitronculaire • L’artère circonflexe moyenne présente une lésion intermédiaire à 50-70 %. • L’artère coronaire droite moyenne présente une lésion intermédiaire à 50-70 %: 1DES, bon résultat. • Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE :70%). Maladie coronarienne bitronculaire : • Sténose significative de l’ostium de l’artère coronaire droite proximale dilatée avec pose de stent nu le 29.12.2014 • Resténose intermédiaire de l’artère interventriculaire antérieure proximale à l’ostium du stent actif à la coronarographie du 29.12.2014 • Status post-mise en place de stents en 2003 et 2005 et 2007 Leucémie lymphoïde chronique stade II selon RAI, stade B selon Binet suivie par Dr. X • date du diagnostic : 1988 • histologie : biopsie médullaire de 1996 : infiltration médullaire par 90 % de cellules lymphocytaires présentant un phénotype B monoclonal • traitement par immunoglobulines (Octagam) dès octobre 2000 (infections à répétition) • status post-chimiothérapie associant Cyclophosphamide, Vincristine et Prednisone en 2003 • status post-réaction anaphylactique à l’administration de Mabthera 600 mg le 03.08.2006 • status post-reprise du traitement par Leukeran et Prednisone en 2006 • ponction biopsie de moelle osseuse du 03.07.2008 (CHUV H0809698) : poursuite évolutive du lymphome non hodgkinien compatible avec la leucémie lymphoïde chronique connue (infiltration évaluée à 90 % de la cellularité totale) • immuno-phénotypisation : mono-population de lymphocytes B Kappa présentant le phénotype de dépistage connu de LLC • CT cervico-thoraco-abdominal du 30.07.2008 : multiples adénopathies cervicales bilatérales stables par rapport au CT précédent datant du 20.05.2008, stabilité de la splénomégalie de 28 cm de grand axe • CT cervico-thoraco-abdomino-pelvien du 03.11.2009 : augmentation des adénopathies cervicales, légère augmentation du diamètre de la rate. • ponction/biopsie de la moelle le 10.12.2009 : infiltration massive par la leucémie lymphocytaire chronique • progression tumorale, introduction d’une chimiothérapie retardée en raison d’une infection ORL à répétition et méatotomie bilatérale avec ethmoïdectomie antérieure droite en décembre 2009 • status post-1 cure de chimiothérapie par Leukeran et Prednisone • status post-3 cures de chimiothérapie par Ribomustin du 11.05.2010 jusqu’au 28.01.2011 avec réponse partielle en septembre 2010 • ponction/biopsie de moelle osseuse le 03.03.2011 : infiltration médullaire à 84 % de la cellularité totale de l’échantillon • CT-cervical et CT-thoraco-abdomino-pelvien du 31.03.2011 : stabilité tumorale • status post-3 cures de chimiothérapie par Litak de mars à juin 2011 • CT cervico-thoraco-abdominal du 25.06.2013, 03.02.2014 et 14.07.2014 : stabilité tumorale • Progression tumorale visualisée au CT-SCAN en décembre 2014 • Une cure de chimiothérapie par Ribomustin et Prednisone en décembre 2014, stoppée car pas supportée par Mme. Y Actuellement en cours de radiothérapie au niveau splénique pour séquestration, débutée le 18.03.15, 5 séances au total • suivi par le Dr. X Agammaglobulinémie dès octobre 2000, sous traitement d'Intratec actuellement Anémie chronique dans le contexte d'une LLC Thrombopénie et état réfractaire aux transfusions plaquettaires sur séquestration splénique Hypercholestérolémie Condylome en partie plan et en partie acuminé avec dysplasie épithéliale de bas grade et de type VIN II au niveau vulvaire Maladie de Ménière Maladie coronarienne bitronculaire • Sténose significative IVA proximale et moyenne: PCI/1 DES IVA moyenne et PCI/1 DES IVA proximale: bon résultat. • l'artère coronaire droite moyenne présente une lésion intermédiaire à 50-70%. • FEVG conservée (FE: 75%) Maladie coronarienne bitronculaire avec : • coronarographie le 18.06.2012 (Dr. X) • sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale et moyenne • sténose significative de l'ostium de la première diagonale • sténose significative de l'artère circonflexe proximale et moyenne • FEVG 74% Pontage coronarien à l'Inselspital en juin 2012 Dépendance à l'alcool Maladie diverticulaire au niveau jéjunal avec plusieurs épisodes de diverticulite perforée (résection segmentaire en 2002 et 2006). Dernier épisode en juillet 2015 traité conservativement par Cipro/Flagyl Hypertension artérielle mal contrôlée Troubles dépressifs Maladie coronarienne bitronculaire, avec : • STEMI inférieur : thrombolyse et stent CD en 2002 • Coronarographie en avril 2013 : occlusion CD proximale et sténose IVA proximale Obésité Dyslipidémie traitée Diabète de type 2 non-insulinodépendant Tabagisme actif SAOS non appareillé Occlusion de la carotide interne D, asymptomatique Sténose serrée de l'artère sous-clavière G, asymptomatique Maladie coronarienne bitronculaire avec : • STEMI subaigu le 16.12.2017 sur lésions IVA et Cx proximale • Bloc de branche gauche • Sténose de 50% de l'IVA proximale et 50-70% de l'IVA moyenne • Sténose 50-70% de la Cx proximale englobant la première marginale, occlusion de plus de 3 mois de la Cx distale • Lésion non significative de moins de 30% de la Cd proximale • Coronarographie le 18.12.2017 (Dr. X) • ETT le 18.12.2017 • Avis cardiologique: ad traitement insuffisance cardiaque; selon recommandations: aspirine cardio pendant 1 an ou à vie si pas d'anticoagulation pour flutter, Efient 5mg/j pendant 1 mois; ETT et holter de contrôle en ambulatoire dans 1 mois à prévoir • Atorvastatine introduite le 17.12.2017 • Introduction traitement insuffisance cardiaque; reprise Bisoprolol 5mg le 08.01.2017, Lisinopril (remplace Losartan) dès le 18.12.2017, Aldactone du 18.12.2017 au 20.12.2017 puis dès le 08.01.2018 Flutter auriculaire de date inconnue : • CHAD-VASC2 : 5 points (risque d'accident vasculaire cérébral à 7.2%/an) • Has-Bled : 3 points (risque de saignement majeur à 5.8%/an) • Avis cardiologique : prévoir anticoagulation du flutter à vie; stratégie de contrôle de la fréquence au vu de l'âge Anémie normochrome normocytaire à 98g/l le 10.01.2018 Troubles cognitifs d'origine mixte (vasculaire, neurodégénérative) avec : • Tests de la cognition : MMSE à 21/30 et test de la montre à 2/7 • Evaluation neuropsychologique du 19.01.2018 Hypovitaminose D Maladie coronarienne bitronculaire avec : • STEMI 7.12.2017 : recanalisation d'une occlusion de l'IVA : bon résultat actuel (pose de 4 stents). • Coronarographie le 01.02.2018 : absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Sténose 50-70% de l'artère circonflexe moyenne : PTCA/2xDES. Fraction d'éjection du ventricule gauche 50%. • Coronarographie du 22.02.18 : absence de resténose circonflexe et IVA. Fraction d'éjection du ventricule gauche 50%. Test d'effort à 6 mois. Probable dyslipidémie familiale. Ancien tabagisme. Angine le 28.02.18. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) stentée en 2016 • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne stentée en 2016 • Fraction d'éjection ventriculaire gauche à 50% • Echocardiographie transthoracique du 01.12.2017 (Dr. X) : • Fraction d'éjection ventriculaire gauche à 50% • Discrète dilatation du ventricule gauche avec hypokinésie modérée du septum moyen, du septum basal, de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale • Hypertrophie concentrique du ventricule gauche • Insuffisance aortique modérée (grade 2/4) • Épaississement de moins de 50% des 2 feuillets mitraux • Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4) • Oreillette gauche très dilatée • Dilatation importante de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit • Hypertension artérielle pulmonaire modérée avec PAPs à 50mmHg • Insuffisance tricuspide modérée à moyenne (grade 2 à 3/4) Fibrillation auriculaire anticoagulée par Marcumar Hypertension artérielle traitée Hypothyroïdie substituée Hernie discale Coxarthrose droite Dégénérescence maculaire liée à l'âge Maladie coronarienne bitronculaire avec : • sténose 50-70% de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale : PCI (1DES) : bon • sténose 70% de l'artère coronaire droite moyenne : PCI (1DES) : bon • fraction d'éjection VG 50%. SAOS (la patiente n'a pas toléré le CPAP la nuit) Dyslipidémie Maladie coronarienne bitronculaire avec : • 07.01.2019 : NSTEMI sur SCA (Trop. +), lésion non significative de l'IVA proximale, sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale (1 DES), sténose significative de l'ACD proximale (1 DES) Procédure : 07.01.2019 : coronarographie (Dr. X) : pose de 1 stent sur l'artère circonflexe proximale et 1 stent sur l'ACD proximale 07.01.2019 : ETT (Dr. X) : FEVG 60%, pas de valvulopathie Maladie coronarienne bitronculaire avec : • 08.12.2018 : STEMI inféro-latéral sur sténose serrée (90%) Cx proximale. • sténose 90% de l'artère circonflexe proximale • sténose 50-70% de l'IVA distale • FEVG 65%, akinésie inféro-latérale • Coronarographie : PCI et 2 stents DES Cx proximale. Diabète de type II non insulino-requérant Hypertension artérielle Migraines traitées par Imigran Troubles du sommeil, sous Dalmadorm Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Excellent résultat après PCI complexe de l'ACD moyenne le 14.12.2018 • Sténose 80% de l'IVA moyenne : PCI (1DES) : Bon • Sténose 80% IVA distale : PCI (1DES) : Bon • Fraction d'éjection VG 65% Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Lésion intermédiaire de l'artère circonflexe proximale. • Sténose significative de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale : PTCA/DES. • Fraction d'éjection VG 60%. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Lésion non significative de l'ostium de l'IVA proximale. • Absence de resténose de l'ostium de la CX au niveau du stent actif • Sténose subtotale de l'artère circonflexe moyenne : PTCA/1x stent actif • Sténose significative de la seconde marginale : Stent actif direct • Occlusion de l'artère coronaire droite distale chronique • Fraction d'éjection VG 50% Maladie coronarienne bi-tronculaire avec pose de 3 stents en 2013 FRCV : • Hypertension artérielle • Hypercholestérolémie • Tabagisme ancien à 30 UPA (stoppé il y a 20 ans) Polymyalgia rheumatica depuis décembre 2017 • traitée par Prednisone en schéma dégressif, à 6 mg à l'entrée le 04.02.2019 • VS à 3 le 07.01.2019 HBP et rétention chronique du rein droit due à un problème de la jonction pyélo-urétrale le 21.03.2013 Hernie abdominale sur cicatrice Maladie coronarienne bitronculaire avec : • infarctus du myocarde le 25.2.2005. • 4 stents (Inselspital Bern) sur circonflexe moyenne (2) et coronaire droite moyenne (2). • IVA sp, FEVG conservée (post infarctus en 2005). • stent actif et fénéstration de la branche marginale Maladie coronarienne bitronculaire, avec : • sténose significative de l'IVA moyenne • sténose subocclusive et calcifiée de la CD moyenne : rotablator/PTCA/DES 3x en 11/2018 • FEVG 60% Maladie coronarienne bitronculaire • Bon résultat après PCI (2xDES) de la Cx proximale • Dissection spontanée (SCAD) de la Cx distale et de la 2ème marginale • Sténose 50% de l'IVA distale • EF 65%, akinésie inféro-latérale • Aorcographie et artères rénales normales Maladie coronarienne bitronculaire • Bon résultat après PCI (2xDES) de l'artère circonflexe proximale en décembre 2018 • Dissection spontanée (SCAD) de l'artère circonflexe et de la 2ème marginale le 8.2.2019 • Sténose 50% de l'IVA distale • EF 65%, akinésie inféro-latérale • Aorcographie et artères rénales normales Maladie coronarienne bitronculaire (coronaire droite et IVA) : • s/p double revascularisation chirurgicale le 13.05.2002 (pont mammaire gauche-IVA, pont veineux-IVP) couplée d'une suture directe du foramen ovale perméable Consommation OH chronique Trouble anxio-dépressif Maladie coronarienne bitronculaire • Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FEVG : 66%) Maladie coronarienne bitronculaire (interventriculaire et circonflexe) avec : • Pontage coronarien à l'Inselspital en juin 2012 • NSTEMI secondaire à pic hypertensif le 17.01.2019 • ETT le 18.01.2019 : FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Hypertrophie excentrique. Oreillette gauche discrètement dilatée. NSTEMI probablement secondaire à un pic hypertensif / contexte de sevrage alcoolique. Pas d'argument pour une coronarographie en urgence mais à organiser en ambulatoire. Maladie coronarienne bitronculaire (IVA, CX) avec : • NSTEMI le 12.01.2019 sur occlusion fonctionnelle de la marginale distale (lésion coupable) traitée par 2 stents actifs, sténose serrée de l'IVA I et de la 1ère diagonale traitée par deux stents actifs, • échocardiographie du 12.01.2019 : FEVG normale sans trouble de la cinétique segmentaire, pas d'HVG ou de valvulopathie, • FRCV : tabagisme actif, dyslipidémie, diabète de type II nouvellement diagnostiqué, obésité classe OMS II. Maladie coronarienne bitronculaire (IVA et CD) 11/2009 • PTCA d'IVA moyenne et branche rétro-ventriculaire artère coronaire droite avec mise en place de 2 stents actifs le 11.11.2009 • bon résultat à moyen terme de PCI (coronarographie du 20.01.2010) • échocardiographie (07.10.2013) : FEVG normale (60%), sclérose aortique sans rétrécissement significatif, oreillette gauche discrètement dilatée Syndrome métabolique, avec : • diabète insulino traité • néphropathie diabétique avec microalbuminurie • HTA • obésité • dyslipidémie Trouble dépressif récurrent, personnalité paranoïaque (suivi Dr. X) Polymyalgia rheumatica Coxarthrose bilatérale prédominante à gauche Maladie coronarienne bitronculaire • s/p STEMI antérieur subaigu le 19.01.2019 • bon résultat de la PCI IVA moyenne et distale • Sténose subtotale de la 1ère marginale - PTCA/1xDES (bon résultat) • Sténose 90% de la 2ème marginale - PTCA/1xDES (bon résultat) • Dysfonction systolique moyennement à sévèrement diminuée, akinésie antéro-apicale. FEVG 30-35% Maladie coronarienne bitronculaire : • sténose significative de la circonflexe proximale : primary stenting DES • sténose subocclusive de la circonflexe moyenne : PTCA/DES • sténose subocclusive de la coronaire droite proximale : PTCA/DES • FEVG 60 % Maladie coronarienne de 1 vaisseau (artère coronaire droite). • Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE :70%). • 12.09.2018 (Dr. X) PCI/ 2 DES artère coronaire droite moyenne : bon résultat. Dépression sous Citalopram. Maladie coronarienne de 1 vaisseau (IVA). PCI/ 1 DES IVA proximale : bon résultat immédiat. Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE :68%). Maladie coronarienne de 1 vaisseau (occlusion proximale bien collatéralisée de l'artère coronaire droite) en 01.2019 Ostéomyélite en XXX Cure de cataracte ddc en mars 2001 Hémorragie digestive haute, sous consommation d'aspirine en décembre 2001 Arthroscopie du genou droit, résection partielle de la corne postérieure et du corps du ménisque interne, résection partielle corps et corne post-ménisque externe. Débridement Notch 1994 (Kellenberger) Arthrodèse MP I pied gauche sur hallux valgus 1998 (Kellenberger) Maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et coronaire droite). • Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE :78%) (coronarographie du 17.10.2018). • sténose significative de l'IVA proximale : PCI/ 1 DES • sténose significative de l'IVA moyenne : PCI/ 1 DES Maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et CX). Hypokinésie antéro-latérale et apicale. Dysfonction systolique ventriculaire gauche modérée (FE 40%). Diabète de type II. Status post-bypass gastrique. Hypertension artérielle traitée. Maladie coronarienne de 2-3 vaisseaux • PCI/ 1 DES artère circonflexe moyenne : bon résultat. • fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE :68%). Maladie coronarienne de 3 vaisseaux, avec : Occlusions chroniques IVA moyenne et coronaire droite proximale-moyenne, subocclusion CX proximale à la bifurcation avec la 1ère marginale (CX de petit calibre). Pont mammaire gauche-IVA perméable, sténose subtotale du pont veineux sur la marginale de la CX et resténose intrastent actif de 90-95% de l'artère coronaire droite distale (gros vaisseau). PCI/ 1 DES (stent in stent) de l'artère coronaire droite distale à travers le pont veineux sur la coronaire droite : bon résultat. Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE :70%). Maladie coronarienne de 3 vaisseaux. Bon résultat à long terme PCI/ 1 stent IVA proximale. Pont mammaire gauche-IVA-2ème diagonale perméable, pont veineux-marginale-CX et pont veineux-coronaire droite occlus. PCI/ 2 DES coronaire droite proximale et moyenne : bon résultat. Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE :65%). Maladie coronarienne des 3 vaisseaux avec : • Occlusion chronique du tronc commun de la coronaire gauche • Sténose (50-70%) de la coronaire droite proximale • Pont mammaire gauche-IVA perméable • Pont saphène-diagonale avec absence de resténose du site d'implantation d'un stent actif (12/2018 en Italie) • Occlusion thrombotique (90-99%) du pont saphène-1ère marginale • Maladie coronarienne des 3 vaisseaux • Occlusion chronique du tronc commun de la coronaire gauche • Sténose (50-70%) de la coronaire droite proximale • Pont mammaire gauche-IVA perméable • Pont saphène-diagonale avec absence de resténose du site d'implantation d'un stent actif (12.2018 en Italie) • Occlusion thrombotique (90-99%) du pont saphène-1ère marginale • Maladie coronarienne, dominance gauche avec: • excellent résultat à moyen terme après PTCA/DES de l'IVA proximale 12.06.2018 • excellent résultat à moyen terme après PTCA/DES de l'IVA distale 12.06.2018 • sténose significative de la bifurcation artère circonflexe/marginale : PTCA/T stenting DES avec POT • fonction systolique du VG normale FEVG 55%. • Maladie coronarienne ectasique avec: • Anévrisme de l'ACD moyenne (45 x 42 mm) • Ectasie de l'IVA et de la Cx proximale • EF 60% • Maladie coronarienne monotronculaire avec: • Sténose 70% de l'artère interventriculaire antérieure proximale : PCI (1DES) : Bon • Sclérose diffuse IVA distale • Fraction d'éjection VG 40%, LVEDP 16mmHg • Maladie coronarienne monotronculaire : 31.12.2018 : STEMI subaigu postérieur sur occlusion récente de l'artère circonflexe ostiale • Coronarographie le 31.12.2018 (Dr. X) : occlusion de l'artère circonflexe ostiale : recanalisation/ implantation d'un stent actif (DES) • ETT le 02.01.2019 : FEVG à 39% Aspirine Cardio à vie, Prasugrel pour une année Statine, IEC et bétabloquant Contrôle à la consultation du Dr. X dans un mois • Maladie coronarienne monotronculaire avec : • Fraction d'éjection VG 38% à la coronarographie • Maladie coronarienne mono-tronculaire avec : • test d'effort doublement positif le 20.07.2006 • coronarographie du 28.01.2011: lésion mono-tronculaire avec absence de resténose significative de l'IVA proximale au niveau du site d'implantation du stent. Lésion intermédiaire de l'artère droite proximale. FE 75%. • coronarographie du 26.07.2006: artériosclérose diffuse, sténose sous-totale de l'IVA proximale/moyenne avec PTCA/stenting de l'IVA proximale, fonction du ventricule gauche normale, pas de sténoses significatives des artères rénales • test d'effort du 16.02.2010: test d'effort maximal cliniquement et électriquement négatif pour une ischémie myocardique, chronotrope inadéquate à l'effort. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie traitée. Pied tombant gauche suite à un traumatisme de la hanche gauche en 1970. • Maladie coronarienne mono-tronculaire avec: • S/p recanalisation de la CD le 12.03.2003 • S/p brachy thérapie de la CD le 29.07.2003 pour resténose intra stent • S/p mono pontage veineux aorto-coronarien sur l'artère interventriculaire postérieure de la coronaire droite, sous circulation extra-corporelle, en normotermie, avec asystolie au froid et à la solution cardiologique par voie antégarde (CHUV, Dr. X) • Maladie coronarienne monotronculaire avec: • sténose significative A. coronaire D distale avec PTCA le 6.9.2016 (HFR, FEVG 09/2016: 45% • sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne avec PTCA (05/2018) • angiographie coronaire du 1.2019 révélant un excellent résultat après PTCA de l'ACD moyenne (2018) et distale (2016), fraction d'éjection VG 40% • Angor d'effort stable • Maladie thrombo-embolique avec: • S/p Thrombose veineuse profonde des veines péronières du membre inférieur gauche (02.08.2016), sans facteur déclenchant • S/p thrombose veineuse superficielle de la grande veine saphène jambière et de tributaires jambières diagnostiquée le 02.08.2016 • Maladie veineuse chronique de stade C2S des 2 côtés Hypertension artérielle • Maladie coronarienne monotronculaire avec: • Sténose significative de la bifurcation IVA/DA1: PTCA/Kissing-balloon/2xDES (bon résultat) • EF 65% • Maladie coronarienne monotronculaire avec: • Sténose 70% de l'artère circonflexe moyenne: direct stenting (1xDES) : Bon. • Occlusion subaigüe de la petite branche marginale: pas de pénétration. • Fraction d'éjection VG 65%. • Maladie coronarienne monotronculaire avec: • Subocclusion de la coronaire droite: traitée le 03.02.2019 • Fraction d'éjection VG à 38% • Maladie coronarienne monotronculaire • bon résultat à court terme PCI/ 1 DES IVA moyenne. • sténose significative de la 1ère diagonale: PCI/ 1 DES (bon résultat). • Hypokinésie apicale. • Fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE: 70%). • Maladie coronarienne monotronculaire (CD) le 12.12.2018 • Hypokinésie inféro-postérobasale. • Fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE 55%). • Désoblitération de l'artère coronaire droite avec mise en place de 4 stents actifs. Céphalées en grappe, suivi par Dr. X • Maladie coronarienne monotronculaire • coronarographie le 29.05.2013 (Dr. X) : maladie coronarienne de 1 vaisseau (artère circonflexe). Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE: 82%). PCI/ 1 stent actif de l'artère circonflexe proximale, avec bon résultat final Hypertension artérielle traitée • Maladie coronarienne monotronculaire (IVA) • NSTEMI le 23.04.2011 traité avec 3 stents sur l'IVA • Stent actif le 05.07.2018 entre deux stents dans la partie moyenne de l'IVA le 05.07.2018 Hypothyroïdie subclinique Goutte Glaucome-macula Hypoacousie appareillée Hernie hiatale Lombosciatalgie chronique gauche dans le contexte d'antécédent d'hernie discale L4-L5 gauche partiellement déficitaire avec antélisthésis et canal lombaire étroit Sevrage alcoolique depuis juin 2018 dans un contexte de consommation d'alcool à risque (4dl/jour) Troubles du sommeil avec difficulté d'endormissement et multiples réveils nocturnes • Maladie coronarienne monotronculaire le 06.02.2019 • Maladie coronarienne monotronculaire le 11.02.2019 • Maladie coronarienne monotronculaire • status post-infarctus antéro-apical et pose de stent IVA 2006 • resténose de l'IVA au site d'implantation du stent en 2008 : PTCA • Coro le 5.7.2013 : FEVG 62%, absence de resténose de l'IVA au niveau du stent actif, pas d'autres lésions significatives Obésité morbide grade III • BMI à 46 kg/m2, 138 kg • Status post-Bypass gastrique par laparoscopie le 14.12.2015 (Dr. X) Tabagisme actif, 30 UPA Hypertension artérielle Dyslipidémie Syndrome d'apnée du sommeil appareillé Diabète de type II non insulino-requérantObésité morbide grade III • BMI à 46 kg/m2, 138 kg Bypass gastrique par laparoscopie le 14.12.2015 (Dr. X) Tabagisme actif, 30 UPA Hypertension artérielle Dyslipidémie Syndrome d'apnée du sommeil appareillé Diabète de type II non insulino-requérant Maladie coronarienne monotronculaire • sténose serrée de l'IVA moyenne Maladie coronarienne monotronculaire (subocclusion artère circonflexe moyenne), diagnostiquée le 04.01.2019 avec : • Pose de 2 stents actifs sur la circonflexe moyenne, le 04.01.2019 : bon résultat • Hypokinésie inféro-postéro-basale • Fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE : 55 %) Maladie coronarienne mono-tronculaire sur l'IVA avec : • Status post-infarctus latéral haut thrombolysé le 01.09.2005 • Status post-PTCA et stent IVA en 2005 et 2006 • Echocardiographie du 26.04.2018 : EF à 60 %, insuffisance mitrale légère • Ergométrie sur vélo du 26.04.2018 : électriquement et cliniquement négative, 110 watts (77 % du seuil), 6 METS (87 % du seuil) ESV monomorphes, probablement de forte incidence Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie Pré-diabète Diverticulose Hyperplasie bénigne de la prostate Lombosciatalgies récidivantes à droite Hernie hiatale Maladie coronarienne monotronculaire 22.01.2019 : STEMI antéro-latérale subaigu : • occlusion subaiguë de l'IVA proximale : thrombo-aspiration/PTCA/PCI (1 DES) (bon résultat) • sténose significative de l'IVA moyenne : direct stenting (bon résultat) • FEVG à 30 %, akinésie apicale et antéro-latérale Laboratoire : pic de CK à 3726 Ui/l ETT le 22.01.2019 : ETT à 48h pour évaluer la présence du thrombus ETT le 24.01.2019 : absence de thrombus Maladie coronarienne, s/p CABG en 1995 • Resténose du tronc commun : PTCA • LIMA sur RIVA avec saut sur diagonale ouvert (fermeture ostiale RIVA) • Resténose du stent actif de la CD 50 %-70 % • Fonction systolique gauche discrètement abaissée, FEVG 50 % Maladie coronarienne, s/p STEMI antérieur aigu-subaigu 30.12.2018 • Bon résultat après désoblitération de l'IVA proximale • Bon résultat après stenting de la coronaire droite proximale et moyenne • Sténose significative de la 2ème marginale : PTCA/1xDES (bon) • Dysfonction du VG, EF 40 % avec dyskinésie apicale et akinésie antéro-latérale Maladie coronarienne, s/p STEMI inférieur 30.12.2017 et re-infarctus NSTEMI 18.02.2018 : • excellent résultat à long terme après PCI persistance de dissection spiralée de la coronaire droite proximale, moyenne et distale avec mise en place de DES x3 18.02.2018 • sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne : primary stenting DES • légère dysfonction ventriculaire gauche avec hypokinésie FE VG 65 %. STEMI inférieur secondaire à une subocclusion de la coronaire droite le 30.12.2017 • coronarographie en urgence le 30.12.2017 (Dr. X, Dr. X) : subocclusion de l'ACD proximale, recanalisation et PTCA sans pose de stent, dissection coronaire avec TIMI II en fin de procédure. Sténose significative de l'IVA moyenne. Fonction systolique du VG à 65 % (sous amines) avec akinésie postéro-basale. Réanimation péri-interventionnelle. • échocardiographie transthoracique le 30.12.2017 (Dr. X) : bonne fonction VG et VD, hypokinésie basale Maladie coronarienne bitronculaire le 30.12.2017 : • subocclusion de la coronaire droite proximale : dissection perprocédurale • sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • coronarographie de contrôle le 04.01.2018 (Dr. X, Prof. X) : le contrôle angiographique de l'ACD après dissection péri-interventionnelle est rassurant. La coronaire droite montre de bons flux (TIMI III) avec persistance d'un flap intimal au niveau moyen. La fonction systolique du VG est conservée à 65 %. • suivi cardiologique (Dr. X) à un mois • réhabilitation cardio-vasculaire ambulatoire au HFR Billens. Acidose métabolique plurifactorielle le 30.12.2017. Myopathie sur statine X. NSTEMI sur resténose de l'artère coronaire droite le 18.02.2018. • persistance de dissection spiralée de la coronaire droite proximale, moyenne et distale avec des resténoses CD distale, moyenne et proximale : recanalisation, PTCA/DES x3 • sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • dysfonction ventriculaire gauche avec akinésie postéro-basale EF 50 %. Coronarographie le 18.02.2018 (Prof. X). Maladie coronarienne tritronculaire • Absence de resténose significative du tronc commun au niveau du site d'implantation du stent actif. • Sténose significative chronique de l'artère interventriculaire antérieure proximale. • Absence de resténose de l'artère bissectrice au niveau du site d'implantation du stent actif proximal. Absence de resténose significative de l'artère bissectrice au niveau du site d'implantation du stent nu. • Sténose significative de la partie distale de l'artère bissectrice englobant la portion distale du stent distal : angioplastie avec ballon à élution de médicament : bon résultat. • Occlusion de l'artère coronaire droite proximale. • Occlusion de pontage saphène CD II. Occlusion de pontage saphène Cx II. Perméabilité de pontage mammaire gauche pédiculée IVA II. • Altération modérée de la fraction d'éjection globale du ventricule gauche (47 %). Anévrysme diaphragmatique et une dyskinésie apicale. Maladie coronarienne tritronculaire : • 19.10.2018 : STEMI inférieur sur sténose 80 % de l'IVA et moyenne au niveau d'une grosse diagonale Procédure : • 19.10.2018 : coronarographie : sténose 80 % RCx ostiale et 70 % moyenne. Occlusion thrombotique ACD : PCI (1 DES) : bon • FEVG 40 % • 16.11.2018 : coronarographie : sténose 80 % de l'IVA moyenne au niveau d'une grosse diagonale : PCI complexe avec rotablation (3 DES) : bon. • sténose 80 % RCV ostiale et 70 % moyenne : PCI (1 DES) : bon • excellent résultat après PCI ACD pour STEMI inférieur le 19.10.2018 Post-procédure : • épisode de TV non soutenue le 19.10.2018 • bradycardie sinusale per- et post-coronarographie le 19.10.2018 Maladie coronarienne tritronculaire : • 20.12.2018 : quadruple pontage aorto-coronarien (AMIG-IVA et diagonale 1, SGV-Mg et IVP) (Prof. X - CHUV) Complications : nihil Maladie coronarienne tritronculaire asymptomatique avec fonction ventriculaire conservée Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Occlusion IVA distale : 1 stent • Subocclusion calcifiée IVA proximale : 1 stent • Sténose IVA moyenne sur la bifurcation DA : 1 stent • Subocclusion calcifiée de la RCx proximale et de la tricurcation MA • Occlusion chronique, collatéralisée de l'ACD moyenne • FEVG à 45 %. Akinésie diaphragmale (ETT du 07.02.2019) Maladie coronarienne tritronculaire avec : • status après double pontage au CHUV en juin 2012 • status après NSTEMI en mai 2012 • FEVG conservée à 81% (06.2016). • Maladie coronarienne tritronculaire avec : • STEMI inférieur : thrombolyse et stent CD en 2002 • Coronarographie en avril 2013 : occlusion CD proximale et sténose IVA proximale • Obésité • Dyslipidémie traitée • Diabète de type 2 non insulino-dépendant • Tabagisme actif • SAOS non appareillé • Occlusion de la carotide interne D, asymptomatique • Sténose serrée de l'artère sous-clavière G, asymptomatique • Maladie coronarienne tritronculaire avec : • STEMI sur sub-occlusion de l'IVA moyenne le 28.02.2014. • hypokinésie modérée apicale. • FEVG 58%. • insuffisance mitrale discrète avec sclérose valvulaire. • coronarographie du 28.02.2014 : sub-occlusion de l'IVA moyenne avec angioplastie et mise en place d'un stent actif, • sténose significative de la 1ère diagonale, • sténose très serrée de l'ostium de la 1ère marginale avec angioplastie et mise en place d'un stent actif, • sténose significative de l'IVP. • Sténose de la carotide interne droite à 80%. • Hypertension artérielle. • Insuffisance veineuse de stade C4 C5 débutante selon la classification CEAP. • Nodule thyroïdien droit infra-centimétrique. • Maladie coronarienne tritronculaire avec : • sténose 70-90% de l'IVA proximale englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) • sténose 70-90% de l'ostium de la Cx et sténose 50-70% de la Cx moyenne • sténose 90-99% de l'ostium de l'ACD et sténose 50-70% de ACD distale • artères mammaires de bon calibre • fonction systolique du VG préservée (FEVG à 55%), dyskinésie apicale et hypokinésie diaphragmatique Procédure : 18.12.2018 : triple PAC (vx sur IVP, AMIG sur IVA et diagonal en séquentiel), CEC (68min). • Cardiopathie ischémique avec sténose significative de la CD moyenne, PTCA et stenting (DES) et sténose significative de la CD distale, PTCA et stenting (DES) en 2009. • Sténose significative de l'artère coronaire droite proximale en 2012. • Maladie coronarienne tritronculaire avec : • 05.11.2007 : status post-NSTEMI : pose de 1 stent DES dans la 1ère diagonale • Actuel : • NYHA 2 ; CCS 1 à 2 • 17.01.2019 : NSTEMI (pic CK 332 U/l) • 18.01.2019 : coronarographie : > Coronaire G : sténose subocclusive de l'IVA moyenne (90-99%); DgI lésion critique in-stent (90-99%), sténose sévère de l'ostium de la seconde marginale (70-90%), lésion peu sévère (<30%) de l'artère circonflexe moyenne > Coronaire D : coronaire D proximale lésion <30%, sténose significative de l'IVP (70-90%), lésion critique de l'artère marginale du bord droit (90-99%) • 18.01.2019 : ETT : discrète hypokinésie apicale, FEVG 65%. Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée, volume calculé à 44 ml. Procédure : 23.02.2019 : triple pontage coronarien (AMIG en séquentiel sur première diagonale et IVA moyenne, AMID sur deuxième marginale de la circonflexe par le sinus transverse) sous CEC. • Maladie coronarienne tritronculaire avec dysfonction ventriculaire gauche sévère le 07.02.2019 • Fraction d'éjection VG 18%, LVEDP 46 mm Hg • Maladie coronarienne tritronculaire, avec en 2011 : • lésion non significative de l'ostium du tronc commun • sténoses significatives de l'artère interventriculaire antérieure proximale et moyenne, de l'artère circonflexe moyenne, de l'artère seconde marginale, de l'artère coronaire droite moyenne et distale • fraction d'éjection du ventricule gauche à 28% • triple pontage aorto-coronarien. • Insuffisance aortique grade III/IV avec remplacement de la valve aortique en 2011. • Anévrisme de l'aorte ascendante (maximum 49 mm) avec remplacement de l'aorte ascendante en 2011. • Fibrillation auriculaire. • Hypothyroïdie sur traitement de Cordarone (stoppé en mars 2010), substituée. • Epigastralgies sur angor d'effort versus reflux gastro-œsophagien. • Maladie coronarienne tri-tronculaire avec : • status post NSTEMI en mai 2008 • status post 2 PAS (AMIG -> IVA II et veineux -> 2ème marginale) le 13.05.2008 • dysfonction systolique légère à 50% (ETT du 2012) • HTA traitée • Obésité classe II • BAV du 1er degré • Varicose bilatérale • Maladie coronarienne tritronculaire avec STEMI inférieur aigu décembre 2017. • fraction d'éjection du ventricule gauche 55% en 2017. • Diverticulose colique. • Ancien tabagisme (30 UPA). • Obésité. • Anamnèse familiale positive (frère infarctus à 60 ans). • Maladie coronarienne tritronculaire avec : • sténose 90-99% de l'ostium de la bissectrice : PTCA/1xDES (bon résultat) • sténose intermédiaire de l'artère circonflexe proximale • sténose 50% de l'artère coronaire droite proximale • fonction systolique du VG normale, EF 60% • Coronarographie le 06.11.2018. • Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 06.11.2018 au 07.11.2018. • Hypertension. • Dyslipidémie. • Ancien tabagisme stoppé à 25 ans. • Maladie coronarienne tritronculaire avec St.p. STEMI inférolatéral 2010 : • Sténose bifurcation IVA/DA (MEDINA 1-1-1) : PCI (t-stenting, 3 DES) : Bon • Bon résultat après PCI 1ère marginale 28.05.2010 • Bon résultat après PCI bissectrice 11.06.2010 • Bon résultat après PCI ACD prox/moyenne 11.06.2010 • Fraction d'éjection VG 65% • Maladie coronarienne tritronculaire avec : • bon résultat après stenting IVA prox./moyenne 11/21018 • actuel : lésion significative IVA moyenne : PTCA • Sténose significative de l'ostium de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation). • Sténose significative de l'ostium de la première marginale. • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite moyenne. • Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Coronarographie du 27.8.2007 : • Sténose de l'IVA moyenne 70-90% et occlusion de l'IVA distale • Sténose de l'IVP • Sténose de la 1ère marginale PTCA et STENT avec bon résultat • angioplastie primaire IVA proximale avec stent actif. + stent première diagonale. • PTCA IVA moyenne - stenting pas possible. • Coronarographie le 27.8. pour traiter les lésions sur l'IVA (pas effectué car déjà reçu 180cc produit de contraste) • FRCV : ancien tabagisme env 20 UPA, HTA non traitée, anamnèse familiale, dyslipidémie • Statine, traitement HTA • Maladie coronarienne tritronculaire • Coronarographie le 07.12.2018 : angioplastie avec stents actifs sur Cx et IVA • Maladie coronarienne tritronculaire, dominance gauche : • sténose subocclusive et calcifiée de l'IVA proximale. PTCA/DES • sténose significative de l'IVA moyenne : PTCA/DES x2 • sténoses subocclusives de la marginale • dysfonction ventriculaire gauche EF 40%. • Maladie coronarienne tritronculaire étendue et très calcifiée avec : • Sténose TC distal et IVA proximale : PTCA (2xDES) : bon résultat. • Sténose intermédiaire CX moyenne. • Sténose intermédiaire CD proximale, moyenne et distale. • Légère hypokinésie postéro-basale, FEVG 55%. • Hypertension artérielle pulmonaire modérée de type « mixed ». • Hypoxémie artérielle importante. • Hypercholestérolémie. • Diabète type 2 non insulino-requérant. • Spondylolisthésis L5-S1 sur lyse isthmique. • Consommation d'alcool à risque. • Maladie coronarienne tritronculaire • pas de resténose de l'IVA proximale • lésion non significative de l'ostium de la 1ère marginale • Sténose significative de la coronaire droite moyenne et distale : 2 DES • FEVG 79% • Maladie coronarienne tritronculaire • Quadruple pontage aorto-coronarien 14.7.2011 • AMIG-IVA : perméable ; PV-LCX/1.DA et PV-IVP : perméable • ACD prox. : 70-90 % : stent actif • ACD distal (PLA) : 70-90 % : stent actif • Occlusion chronique de l'IVA proximale. Occlusion chronique de l'artère circonflexe proximale. • Coronarographie le 22.03.2018 : pose de 2 stents au niveau de l'artère coronaire droite FEVG 32% Maladie coronarienne tritronculaire sévère avec: • Sténose subtotale de la première diagonale : PTCA/1xDES • Sténose significative IVA moyenne et distale : PTCA/2xDES • Occlusion LCX prox. : échec de recanalisation • FE du VG 50% Maladie coronarienne tritronculaire sévère • Sténose 90% de l'IVA proximale • Cx: lésions non significatives (30-50%) • Occlusion chronique de la coronaire droite Maladie coronarienne tritronculaire : 11.12.2018 : STEMI antérieur avec : • arrêt cardiaque : 2 chocs, ROSC 10 min • dilatation et stenting de la Cx distale (occlusion d'allure chronique) • CTO de la CD ostiale • sténose 50% IVA moyenne et 50-70% de la première diagonale de petit calibre • 15.12.2018 : ETT : FEVG conservée avec hypokinésie postérieure • 17.12.2018 : IRM cardiaque : transmuralité >50% au niveau des segments inféro-latéraux, pas d'ischémie de stress post-adénosine. FEVG à 53%. Akinésie inférieure basale et inféro-latérale basale et moyenne, dysfonction diastolique, VD de fonction normale • extrasystoles ventriculaires type retard droit sur probable cicatrice ischémique • 20.12.2018 : pose de défibrillateur (Medtronics Avisia, bipolaire monochambre) en prévention secondaire le 20.12.2018 Maladie coronarienne tritronculaire 21.12.2018 : NSTEMI et décompensation cardiaque gauche le 21.12.2018 sur sténose à 90% de l'IVA moyenne et distale, sténose à 90-99% de la première diagonale et sténose à 80% de la première marginale : • angioplastie de l'artère coronaire droite proximale et distale le 21.12.2018 • 27.12.2018 : triple pontage veineux aorto-coronarien (V-circonflexe/diagonale et AMIG/IVA) • FEVG à 65% Maladie coronarienne tritronculaire • occlusion fonctionnelle sur sténoses serrées IVA proximale et distale • Sténose serrée bissectrice • Subocclusion RCx • Occlusion chronique ACD proximale • Dysfonction VG systolique sévère, LVEDP 40mmHg AMIG et AMID sp Sténoses carotidiennes internes ddc 50-70% Maladie coronarienne tritronculaire • Resténose intra-stent Cx proximale : PTCA/DES • Lésion intermédiaire de l'IVA moyenne (<50%) • Lésion peu sévère de la CD proximale (<30%) • Fonction systolique du VG légèrement abaissée par une hypokinésie apicale, EF 50% Maladie coronarienne tritronculaire avec : • 4x PAC 14.7.2011 (Insel) • AMIG-IVA : perméable; PV-LCX/1.DA et PV-IVP : perméable • ACD prox. : 70-90 % : stent actif • ACD distal (PLA) : 70-90 % : stent actif • Occlusion chronique de l'IVA proximale. Occlusion chronique de l'artère circonflexe proximale • Coronarographie le 22.03.2018 : pose de 2 stents au niveau de l'artère coronaire D • ETT le 19.03.2018 : dilatation modérée à sévère du ventricule gauche, sans hypertrophie avec un asynchronisme lié au BBG, une akinésie de la paroi antéro-septale et une hypokinésie des autres segments. FEVG à 32 % (méthode de Simpson) Dysfonction diastolique modérée (grade II). Augmentation des pressions de remplissage ventriculaire gauche Ostéoporose avec fracture L2 le 30.12.2016 : • Calcium, Vit D, Biphosphonate Coxarthrose droite avec dysplasie Lynch et possible nécrose aseptique séquellaire Gonarthrose bilatérale Cataracte bilatérale Démence débutante Troubles dépressifs récurrents sous SSRI Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Excellent résultat après PCI de la RCx/Ma pour infarctus NSTEMI le 19.4.17 • Lésion 75% DA de petit calibre : PCI (1DES) : Bon • Excellent résultat après PCI de l'ACD moyenne le 25.08.17 • Fraction d'éjection VG 60%. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Subocclusion IVA ostiale à moyenne : PCI (2DES) : Bon • Sténose 80% IVA distale : PCI (1DES) : Bon • Sténose 80% RCx distale : PCI (1DES). Bon • Sténose 70% bifurcation distale de l'ACD • Fraction d'éjection VG 48% Maladie coronarienne tritronculaire, status post-triple PAC 2001 • Occlusion de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale • Absence de resténose de l'ostium de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif (2016) • Occlusion chronique de l'ostium de la seconde marginale • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale • AMIG-IVA, AMID-LCX : perméable • Pontage saphène-ACD 90% : Implantation de 1 stent actif • Fraction d'éjection VG normale Bigéminisme ventriculaire (type retard droit) Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Lichen plan diagnostiqué en octobre 2017, en amélioration sous traitement topique Polyneuropathie sensitivomotrice longueur dépendante à prédominance myélinique d'origine indéterminée • Diagnostic différentiel : toxique, post-chimiothérapie sur ajouté, diabétique Maladie coronarienne tritronculaire, status post-triple PAC 2001 • Occlusion de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale • Absence de resténose de l'ostium de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif (2016) • Occlusion chronique de l'ostium de la seconde marginale • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale • AMIG-IVA, AMID-LCX : perméable • Pontage saphène-ACD 90% : Implantation de 1 stent actif • Fraction d'éjection VG normale Bigéminisme ventriculaire (type retard droit) Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Lichen plan diagnostiqué en octobre 2017, en amélioration sous traitement topique Polyneuropathie sensitivomotrice longueur dépendante à prédominance myélinique d'origine indéterminée • Diagnostic différentiel : toxique, post-chimiothérapie sur ajouté, diabétique Maladie coronarienne tritronculaire • Sténose du tronc commun non significative sur le plan hémodynamique • Sténose significative de l'IVA proximale : stenting primaire 1 DES • Sténose de la bifurcation de l'IVA moyenne et 2ème diagonale : T-stenting IVA moyenne-distale/ostium DA 2 • fonction systolique normale, EF 60 % Maladie coronarienne 01.2019 : • sténose significative de la coronaire droite moyenne • sténose significative de la circonflexe distale • dysfonction ventriculaire gauche avec EF 45% HTA traitée FA à réponse ventriculaire lente sous Sintrom • Status post thermoablation d'un flutter auriculaire typique, le 20.01.2009 Presbyacousie appareillée Hyperuricémie Chondrocalcinose polyarticulaire Daltonisme Suspicion de syndrome des apnées du sommeil BPCO Stade I selon Gold Maladie coronarienne Obésité modérée avec un BMI à 30.9 Maladie d'Addison substituée • Suivi par Dr. X Hernie hiatale par glissement avec suspicion de gastrite chronique (CT scan le 31.10.2014) • DD sur traitement de corticostéroïdes à long terme • infiltration du tissu graisseux périgastrique Maladie d'Alzheimer Maladie d'Alzheimer • diagnostic en juin 2018 • suivi par Dr. X Maladie d'Alzheimer avec situation sociale difficile à domicile sur épuisement du proche aidant. Maladie d'Alzheimer Cardiopathie ischémique et rythmique avec pacemaker mis en place pour BAV du 3e degré : • ETT 12.02.2019 : hypokinésie globale sévère. FEVG à 20 % Maladie d'Alzheimer Cardiopathie ischémique sans précision Maladie d'Alzheimer. Hypertension artérielle. Maladie de Basedow (diagnostiquée en février 2016). Maladie de Berger suivi par Dr. X. Maladie coronarienne avec : lésion non significative de l'IVA moyenne, lésion non significative de la D1 et sténose significative de la CD proximale, FEVG à 65% (bilan coronarien par Dr. X le 06.08.2014). Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Diabète iatrogène sur corticothérapie chronique - actuellement sans traitement. Hyperuricémie. Hernie hiatale. Maladie de Berger suivi par Dr. X. Maladie coronarienne avec lésion non significative de l'IVA moyenne, lésion non significative de la D1 et sténose significative de la CD proximale, FEVG à 65% (bilan coronarien par Dr. X le 06.08.2014). Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Diabète iatrogène sur corticothérapie chronique actuellement sans traitement. Hyperuricémie. Hernie hiatale. Maladie de Buerger acutisée par le froid dans un contexte de consommation de tabac persistante. Maladie de Charcot Marie Tooth de type 2A2 (suivi au CHUV et par le Dr. X) Mutation hétérozygote sur MFN2 Hypotonie générale majeure Déficience intellectuelle Scoliose thoraco-lombaire dextro-convexe Hypotrophie staturo-pondérale importante Maladie de Crohn. Maladie de Crohn - date du diagnostic le 03.07.2017. Helicobacter Pylori avec status post-trithérapie en novembre 2015. Adénocarcinome classé pT1 cN0 cM0 sur polype sessile en novembre 2015 avec : • status post-résection endoscopique avec marquage du site de résection en novembre 2015. • pas de signes de dysplasie/néoplasie intra-épithéliale ni de tissu néoplasique malin mis en évidence à la colonoscopie du 30.06.2017. Hernie discale C6-C7. Cataracte bilatérale. Crise hémorroïdaire aiguë de stade III en février 2019. Poussée de maladie de Crohn avec probable surinfection d'une maladie diverticulaire avec : • légère acutisation clinique aiguë le 23.01.2019, • colonoscopie en 2017 (Dr. X) : pancolite ulcéreuse et aphteuse qui augmente en amont, • suivi Dr. X, • traitement actuel : Pentasa 3 g, Entocort 6 mg. Insuffisance rénale aiguë stade AKIN 1 d'origine pré-rénale avec : • clearance à 39 ml/min selon MDRD, • FE urée 22%. Maladie de Crohn avec : • premier diagnostic en 1994 avec une poussée de la maladie le 17.07.2017 • status post-résection iléo-caecale avec anastomose iléo-colique manuelle, ligature des fistules iléo-sigmoïdiennes le 07.12.2017 par le Dr. X. Maladie de Crohn avec atteinte iléale, caecale et appendiculaire. • date du diagnostic : décembre 2018 • corticothérapie per os depuis le 28.12.2018 • Entéro-IRM le 4.1.2019 • traitement par Infliximab (Rémicade) : 1ère dose le 18.1.2019, 2ème dose le 5.2.2019. • épisode de probable sub-iléus le 4.2.2019 avec bonne évolution sous Solumédrol iv pendant 3 jours • Prochaine dose de Infliximab (Rémicade) prévue début mars 2019 Toux chronique (en cours d'investigation) Gastrite chronique sur RGO probable, le 13.12.2018. Maladie de Crohn (diagnostiquée en 2007) avec sténose iléo-caecale et sigmoïdienne. Opération le 03.12.2015 : résection subtotale du côlon avec anastomose iléo-sigmoïdienne. Perforation du grêle probablement en relation avec la maladie de Crohn le 10.12.2015. Laparotomie second look le 10.12.2015 : confection d'une iléostomie de protection. Fermeture iléostomie avec anastomose grêle latéro-latérale à la main (opérée le 06.04.2016). Malnutrition protéino-énergétique grave. Broncho-aspiration per anesthésique le 10.12.2015 avec : • pneumonie bilatérale le 16.12.2015. Insuffisance respiratoire sur atélectase et surcharge volémique le 10.12.2015. Maladie de Crohn sous Cimziar depuis 11/2018. Maladie de Crohn sous Humira 40 mg aux 2 semaines. Maladie de Crohn sous traitement par vedolizumab i.v. aux 8 semaines (Dr. X) : • atteinte colique sténosante sigmoïdienne connue. Maladie de Dupuytren bilatérale prédominante à droite stade 3 selon Tubiana. Status post ostéosynthèse par plaque Philos et plaque tiers tube d'une fracture diaphysaire proximale de l'humérus D (traumatisme du 08.05.2018, intervention du 10.05.2018). Révision du nerf radial post-opératoire immédiat pour une parésie en date du 11.05.2018. Maladie de Dupuytren Dig IV à droite plus qu'à gauche. Maladie de Forestier (diagnostiquée il y a une année, pas de traitement spécifique). Obésité morbide (BMI 34 kg/m2). Hyperplasie bénigne de la prostate. Hypoacousie. Ostéoporose. Maladie de Gilbert. Maladie de Haglund du pied droit. Maladie de Hodgkin classique, médiastinale bulky stade IIB. • date du diagnostic : 20.10.2006 • histologie (Promed P4935.06) : lymphome de Hodgkin classique (soit sous-type scléro-nodulaire de grade 1 avec peu de fibrose, soit sous-type riche en lymphocytes) • CT cérébro-thoraco-abdomino-pelvien du 27.09.2006 : épanchement péricardique. Conglomérats ganglionnaires médiastinaux moyens contigus s'étendant dans tout le médiastin moyen. Hépatomégalie • status post thoracotomie droite avec biopsies ganglionnaires hilaire droite et médiastinale postérieure le 17.10.2006 • absence d'infiltration à la ponction-biopsie de moelle osseuse (cytogénétique médullaire : caryotype normal, 45, XY) du 20.11.2006 • PET-CT du 14.11.2006 : multiples hypercaptations basi-cervicales bilatérales et médiastinales • status post 6 cures de chimiothérapie type ABVD (12x) du 20.11.2006 au 24.04.2007 • rémission complète au PET-CT du 15.05.2007 • status post radiothérapie du médiastin et de la région sus-claviculaire bilatérale 30 Gy du 11.06 au 12.07.2007 • récidive avec apparition d'adénopathies sus-claviculaires gauches, dorsales droites, 11.2018 • pathologie (Promed P2018.12951) : exérèse ganglionnaire sus-claviculaire gauche et dorsale droite du 12.11.2018 : lymphome de Hodgkin classique, variante riche en lymphocytes, compatible avec une récidive du lymphome de Hodgkin connu, diagnostiqué en 2006. Infection par EBV. Pas de sclérose. Relecture de pathologie Hôpital Universitaire de Bâle (K2018.1835) : lymphome de Hodgkin classique riche en lymphocytes associé à EBV (Dr. X) • ponction-biopsie de moelle osseuse du 27.11.2018 : médullogramme avec moelle hypocellulaire, trilinéaire, sans signes de dysplasie significatifs dans les trois lignées ni infiltration lymphocytaire. Pathologie (Promed P2018.13671) : tissu hématopoïétique légèrement hyper-cellulaire avec modification réactive non spécifique. Moelle osseuse réactionnelle, sans évidence d'une infiltration par un lymphome • PET-CT du 21.11.2018 : status après exérèse d'un ganglion sus-claviculaire gauche et dorsal droit. Deux petites captations ganglionnaires axillaires suspectes de traduire une récidive du lymphome. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de malignité • laboratoire du 21.11.2018 : VS 2 mm/1h, ß-2-microglobuline 1,7 mg/l, CMV IgG <5 U/ml, IgM 14 U/ml, EBV VCA IgG 276 U/ml, IgM 10,2 U/ml, EBNA-1 IgG <3 U/ml, sérologie hépatite A avec infection guérie ou status post-vaccination, hépatite B, C et HIV négatives • fonctions pulmonaires complètes du 26.11.2018 : absence de troubles ventilatoires obstructifs et restrictifs. Absence d'air-trapping statique et dynamique. La capacité de diffusion du CO est dans la norme. • échocardiographie transthoracique du 27.11.2018 : examen dans les limites de la norme hormis des insuffisances mitrales et aortiques minimes. Contrôle par échocardiographie dans 2-3 ans recommandé • avis Dr. X (Hôpital de Cologne) : proposition d'une chimiothérapie de rattrapage/rechute 2 cycles puis transplantation de cellules souches autologues • actuellement : chimiothérapie de type ESAP 2 cycles puis nouveau PET-CT puis transplantation de cellules souches autologues (prévue le 20.02.2019) avec chimiothérapie à haute dose à l'Inselspital à Berne. Maladie de Hodgkin classique stade IVBS probable Hasenclever 5 : • date du diagnostic : 15.01.2016 • pathologie : lymphome de Hodgkin classique, sclérose nodulaire, EBV négatif • CT cervico-thoraco-abdominal du 29.12.2016 : multiples adénopathies au niveau cervical, jugulaires antérieures et postérieures, sous-mandibulaire gauche et sus-claviculaires bilatérales, axillaires bilatérales ainsi qu'en sous-diaphragmatique en péri-aortique et le long du hile hépatique • status post adénectomie cervicale droite le 13.01.2016 • PET-CT du 21.01.2016 : multiples hypercaptations ganglionnaires supra- et infra-diaphragmatiques bilatérales, spléniques et osseuses. • ponction-biopsie de moelle osseuse du 26.01.2016 : médullogramme négatif. Biopsie : infiltration pluri-focale par un lymphome de Hodgkin classique, CD30+, CD15-, EBV-, Caryotype normal • status post 6 cures de chimiothérapie de type ABVD du 26.01.2016 au 29.06.2016 avec bonne réponse partielle au PET-CT du 17.03.2016 après 3 cycles (persistance d'une légère hypercaptation iliaque bilatérale) • PET-CT du 04.07.2016 : rémission complète • status post 2 cycles de chimiothérapie selon ABVD juillet à août 2016 • CT-scan du 21.09.2016 : lésions d'allure cicatricielle pulmonaire, essentiellement au niveau des deux bases et au niveau du lobe supérieur droit. Lésions osseuses condensantes iliaques droites. Pas de lésion ganglionnaire ou splénique ou hépatique. • CT scan du 17.08.2018 : actuellement, absence de récidive de lymphome aux étages cervical, thoracique, abdominal et pelvien. Notamment pas d'organomégalie, d'adénomégalie ou de masse suspecte visible. Pas d'atteinte osseuse suspecte. Stéatose hépatique homogène. Cholécystolithiase non compliquée. Kyste thyréoglosse. • actuellement : pas d'évidence de récidive au CT-scan actuel, poursuite de la surveillance oncologique et retrait du Port-à-cath. Lymphoedème du membre supérieur droit persistant, sans thrombose visualisée au contrôle angiologique, sur probable compression ganglionnaire ancienne. Hypogonadisme hypogonadotrope partiel asymptomatique diagnostiqué en février 2018. Hypertension artérielle traitée. Surdité brusque à gauche avec IRM cérébrale le 19.11.2018 dans la norme, en cours d'investigation ORL. Maladie de Horton bilatérale (3/5 critères selon ACR, 1990) le 31.12.2018 avec : • céphalées frontales bilatérales subaiguës depuis le 10.12.2018 • VS : 82 mm/h • âge >50 ans • IRM : aspect inflammatoire des parties molles sous-cutanées des artères temporales avec prise de contraste pariétale partielle bilatérale • biopsie artère temporale : artérite floride. Maladie de Huntington diagnostiquée en 2013. Singultus (hoquet) incoercible depuis le 16.04.2015 dans le contexte d'une maladie de Huntington, DD : sur reflux gastro-oesophagien. Maladie de la Peyronie Neutropénie d'origine indéterminée le 13.12.2018 • Valeur dans la norme le 26.11.2018 • Neutrophilie le 13.12.2018 à 36.2% (ref. 45-75%) • Neutrophilie le 03.01.2019 à 41.2% (ref. 45-75%) Maladie de Lyme en avril 2012 avec épanchement genou gauche. Otite moyenne aiguë perforée droite. Maladie de Lyme en mars 2015 avec antibiothérapie par Doxycycline durant 3 semaines. Ostéosynthèse d'une fracture du poignet gauche. Ostéosynthèse d'une fracture du pied droit. Multiples fractures osseuses par le passé. STEMI antérieur subaigu le 10.11.2015 sur occlusion récente de l'IVA moyenne traitée par recanalisation et mise en place de 2 stents actifs avec maladie monotronculaire : • Dysfonction ventriculaire avec akinésie antérieure, EF 35% avec thrombus apicale 12 x 10 mm à l'écho du 11.11.2015. Maladie de Ménière Maladie de Ménière traitée par Betaserc. Maladie de Scheuermann. Migraines. Fibromyalgie diagnostiquée en 2005. État anxio-dépressif. Troubles du comportement alimentaire de longue date (suivi psychiatrique). Troubles de l'adaptation avec prédominance de la perturbation d'autres émotions avec suivi psychiatrique. Hypotension orthostatique, sous Gutron. Ostéoporose. Légère scoliose dextro-convexe depuis 2008. Dyspepsie/reflux. Ancien tabagisme à 40 UPA stoppé il y a 15 ans avec nouveau début de tabagisme en août 2016. Suspicion de spondylarthrite ankylosante avec suivi en rhumatologie. Canal lombaire étroit en L4-L5 (suivi en neurochirurgie). Maladie de Morton du pied gauche avec : • le 04.09.2017, Dr. X : neurolyse du rameau inter-digital du 3ème rayon, névrectomie du rameau inter-digital du 4ème rayon, pied gauche. Prothèse uni-compartimentale du genou gauche le 19.08.2013 pour gonarthrose. Infiltrations des deux genoux le 17.10.2012. Pygalgie gauche infiltrée le 29.04.2009. Possible fracture du sacrum en 2008. Cure de varices par sclérothérapie en 1971. Fracture-impaction sous-capitale de l'humérus proximal gauche, traitée conservativement. Maladie de Parkinson Maladie de Parkinson. Maladie de Parkinson avec : • dysphagie aux liquides • angoisse et cauchemar nocturne • perte d'autonomie et dépendance pour la totalité des AVQ Maladie de Parkinson de stade IV selon Hoehn et Yahr • avec nombreux épisodes de freezing, douleur ostéoarticulaire importante sur dystonie Maladie de Parkinson décompensée dans le contexte septique le 14.02.2019 Réveil retardé le 15.02.2019 Maladie de Parkinson. Dysautonomie neuro-végétative d'origine indéterminée. Troubles de la marche d'origine multiple : sarcopénie, carence en vitamine D. Maladie de Parkinson idiopathique Maladie de Parkinson sous Madopar (suivi par Dr. X). Maladie de Parkinson sous traitement neurologique médicamenteux (Sifrol) HTA traitée Maladie de Parkinson traitée par Madopar • suivie par Dr. X Maladie de Parkinson traitée par Madopar Ostéoporose substituée Maladie de Parkinson traitée Hypertension artérielle traitée Maladie de reflux avec hernie hiatale, endobrachy-oesophage et oesophagite peptique de stade I (sous Omezol) Hypertension artérielle traitée (sous Amlodipine) Hypercholestérolémie (sous Rosuvastatine) Hypertrophie bénigne de la prostate (sous Tamsulosine) Investigations de troubles du rythme : Holter en 03.2018 : • Salves supraventriculaires isolées sans FA persistante • Extrasystolie supraventriculaire et ventriculaire polymorphe • Bigéminismes • Bloc de branche (pas plus spécifié) Maladie de Scheuermann Maladie de Stargardt (dégénérescence prématurée de la rétine). Hypercholestérolémie traitée par Sortis 40 mg une fois par jour. Maladie de Steinert Maladie de Südeck main droite sur status post ostéosynthèse radius distal droit le 7.5.2018. Épaule gelée droite avec lésion partielle transfixiante du sus-épineux droit de date inconnue avec légère atrophie de la masse musculaire du sus-épineux. Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule droite le 23.11.2018. Maladie de Verneuil. Maladie de Verneuil. Maladie de Verneuil Intolérance au lactose Maladie de Widal Maladie de Willebrand (diagnostic récent, suivi par Dr. X) traité avec Cyklokapron quand saigne Maladie d'Epstein Maladie d'Epstein - cardiopathie congénitale Maladie coronarienne monotronculaire • stent IVA moyenne en 2015 Pose de PM Biotronik double chambre DDDR en novembre 2013 pour bradycardie avec syncopes Maladie de Ménière. Hypercholestérolémie Hypertension artérielle traitée Maladie des membranes hyalines avec CPAP nasale dès 50 minutes de vie jusqu'au 22.05. (PEEP +5, total 56 h), FiO2 max. 0.21 Syndrome brady-apnéique post MMH Jumelle 2 (Bi-Bi) prématurée à 32 4/7 SG, poids 1610g (P25), taille 42cm (P25-50), PC 30cm (P25-50) Anémie normochrome normocytaire normo-régénérative (Hb min 97g/l) le 28.05 sous Maltofer dès J8 6mg/kg/jour Maladie des surrénales sous traitement de Florinef depuis la naissance, suivi au CHUV. Maladie diverticulaire • status post résection iléo-caecale en 2003 • hypoglycémie post colonoscopie en 2003 • épilepsie sur hypokaliémie (probablement sur prise de laxatif) avant une colonoscopie le 28.11.2017 Constipation chronique Crise convulsive tonico-clonique inaugurale le 28.11.2017 sur hypokaliémie. Maladie diverticulaire • status post résection iléo-caecale en 2003 • hypoglycémie post colonoscopie en 2003 • épilepsie sur hypokaliémie (probablement sur prise de laxatif) avant une colonoscopie le 28.11.2017 Constipation chronique Crise convulsive tonico-clonique inaugurale le 28.11.2017 sur hypokaliémie. Maladie diverticulaire • plusieurs épisodes aigus • hémicolectomie gauche en 1997 Fracture tibiale en 2000 Précédentes opérations : hystérectomie, annexectomie, appendicectomie. Maladie du sinus avec bradycardie et pauses sinusales • FeVG 63% (ETT 02.05.17) • Coronarographie (01.03.15) : coronaires libres de sténose significative • Holter (21.01.19) : bradycardie sur maladie du sinus. Maladie du sinus avec pose de pacemaker en 2004, changé en 2013 • révision de la sonde et changement du boîtier le 28.08.2018 Fibrillation auriculaire intermittente CHADS2-Score 3 Trouble anxieux-dépressif Hypothyréose substituée Insuffisance rénale chronique Hypertension artérielle. Maladie du sinus avec status post FA rapide en novembre 2018 Sténose carotide D subtotale HTA traitée Hypercholestérolémie traitée Ménopause de longue date Antécédent de TVP G il y a 20 ans selon la patiente Hernie hiatale. Maladie du sinus pilonidal de stade II. Maladie du sinus symptomatique • syncopes à répétition • pauses de 4 secondes le 25.07.2018 (Reveal) Pose de pacemaker DDD le 12.11.2018 (Sorin - KORA 250 SR) Maladie coronarienne monotronculaire • Sténose très serrée de l'IVA proximale, PTCA/DES 1x (29.12.2017) • Fraction d'éjection VG 65%. • Cardiologue pour le suivi : Dr. X Hypothyroïdie substituée post thyroïdectomie BPCO non stadée SAOS appareillé Tabagisme actif Restless legs syndrome traité par Pramipexole État dépressif. Maladie essentiellement coronarienne monotronculaire : • 26.11.2018 : NSTEMI avec : • sténose de la coronaire D moyenne (50-70%) • sténose intermédiaire non obstructive de l'IVA proximale + Dg I(< 50%), Cx libre, TC libre • légère dysfonction ventriculaire G avec hypokinésie apicale • FEVG 55%. Procédure : 27.11.2018 : coronarographie avec mise en place de 1 stent actif au niveau de la coronaire D moyenne. Maladie hémorroïdaire. Maladie hypertensive et coronarienne bitronculaire avec : • Sténose 80% de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) : PCI (1DES) : Bon • Fraction d'éjection VG 60%. Maladie hypertensive et coronarienne tritronculaire avec : • Sténose 80% de l'artère interventriculaire antérieure moyenne : PCI (1DES) : Bon • Atteinte des petites branches (RCx/PLA/IVP) • Fraction d'éjection VG 25%, LVEDP 39mmHg, hypertension artérielle secondaire (PA 74/34 - 45 mm Hg). Maladie hypertensive et coronarienne tritronculaire avec : • Sténose 50-70% de l'artère interventriculaire antérieure proximale • Sténose 80-90% de l'ostium de l'artère circonflexe proximale : PCI (1DES) : Bon • Sténose 80% MA1 distale : PTCA : Bon • Sténose 80% MA1 ostiale : PCI (1DES) : Bon • Subocclusion de l'artère coronaire droite proximale (petite, dominance G). Maladie lithiasique asymptomatique. Maladie monotronculaire avec pose de stent cardiaque en 2010. Hypertension artérielle traitée. Cirrhose Child Pugh B post-éthylique. Tabagisme ancien, stoppé en 2006 (40 UPA). Maladie sexuellement transmissible au décours DD Neisseria gonorrhea, Chlamydia trachomatis, Treponema Pallidum, HIV, avec : Maladie thrombo-embolique • Status post embolie pulmonaire en mars 2017 • Sous prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 15 mg. Maladie thrombo-embolique : • st/p embolie pulmonaire segmentaire du lobe moyen le 26.04.2017. Maladie thrombo-embolique avec : • embolie pulmonaire centrale subaiguë avec TVP proximales bilatérales en 2016 • Angio-CT thoracique 20.01.2016 : présence d'un gros thrombus dans l'artère pulmonaire droite avec propagation dans les artères des lobes inférieur et moyen. Présence de thrombi segmentaires et sous-segmentaires dans le lobe supérieur. Pas de signes pour une masse pulmonaire. • TTE 20.01.2016 (Insepspital) : importante dysfonction ventriculaire droite, D shaping marqué du LV, pas d'hypertrophie du RV, discrète insuffisance tricuspidienne, RV/RA 63 mmHg, fonction du LV conservée. • Duplex-Sonographie 20.01.16 Inselspital : thrombose poplitée proximale bilatérale • Participation à l'étude SPECIAL avec ECOS et lyse du 20.01. - 21.01.2016 Inselspital • actuellement sous Sintrom au long cours Insuffisance rénale chronique. Maladie thrombo-embolique, avec : • Status après trois embolies pulmonaires (en 1985, 2012 et 2016) • Anticoagulation par Xarelto 15mg 2x/j du 25.07.2016 au 13.08.2016, puis relais par Xarelto 20mg 1x/j au long cours Cardiopathie ischémique, avec : • Status après pose de STENT sur l'IVA en 1998 • Status après deux coronarographies en 1998 au CHUV. Hypertension artérielle traitée Hypothyroïdie substituée. Fibrillation auriculaire non datée, à réponse ventriculaire normocarde le 22.07.2016 : • Anticoagulation par Xarelto pour embolie pulmonaire. Maladie thrombo-embolique avec plusieurs événements par le passé • thromboses veineuses profondes en 2003 et 2007, anticoagulation depuis 2003 (Marcoumar puis Xarelto) • status post varicectomie sur probable insuffisance veineuse chronique secondaire • Xarelto actuellement en suspens dans le contexte du diagnostic principal. Maladie thrombo-embolique avec thromboses veineuses profondes étendues des 2 membres inférieurs, diagnostiquées le 10.11.2016 • s/p thrombose veineuse superficielle du bras distal, du coude et de l'avant-bras proximal gauche, sans extension vers le réseau profond, diagnostiquée le 09.07.2018 (sur mise en suspens du Xarelto vu thrombopénie secondaire à chimiothérapie) • dernier contrôle angiologique le 04.12.2018 (Dr. X) : recanalisation partielle avec la persistance d'une veine fémorale superficielle rétractée de thrombose du côté droit, d'une subocclusion au niveau de la veine poplitée droite et d'importants épaississements séquellaires pariétaux au niveau de la veine fémorale superficielle gauche et de la veine poplitée gauche ; petites veines saphènes recanalisées mais avec des parois nettement épaissies ; thrombose superficielle au bras anamnestiquement complètement guérie.Maladie thrombo-embolique chronique : • thromboses veineuses profondes en 2003 et 2007, anticoagulation depuis 2003 (Marcoumar puis Xarelto) • status post varicectomie sur probable insuffisance veineuse chronique secondaire Hypertension artérielle Polyarthrite rhumatoïde DD maladie arthrosique • suivi anciennement par le Dr. X • actuellement : pas de suivi rhumatologique Maladie thrombo-embolique • Embolies pulmonaires à répétition, sous Sintrom depuis 1970. • Status post TVP des MI Insuffisance veineuse des MI HTA Hypercholestérolémie Fibrillation auriculaire diagnostiquée en 2014. Syndrome post-thrombotique du MIG, avec • ulcères variqueux • dermite ocre • lymphoedème de l'avant-pied. Maladie thrombo-embolique • Embolies pulmonaires à répétition, sous Sintrom depuis 1970. • Status post-TVP bilatérales. Maladie thrombo-embolique • embolies pulmonaires à répétition, sous Sintrom depuis 1970 Embolie pulmonaire segmentaire lobe moyen droit le 15.01.2019 • Status post-TVP bilatérales Pause de Sintrom le 13.01.2019 jusqu'au 16.01.2019 avec relais par héparine thérapeutique Maladie thromboembolique veineuse Maladie thrombo-embolique veineuse avec : • embolie pulmonaire massive bilatérale le 26.08.2001 • thrombose veineuse profonde en 2011 Mutation facteur V hétérozygote Embolie pulmonaire segmentaire et sous-segmentaire multiple bilatérale de risque intermédiaire le 01.08.2018 avec : • infarcissement du lobe supérieur gauche • HTA pulmonaire minime (44 mmHg) • rapport des surfaces ventricule droit sur ventricule gauche à 0,7 • anticoagulation par Eliquis Maladie thromboembolique veineuse avec : • embolie pulmonaire sous-segmentaire le 25 novembre 2013 sur arrêt précoce de l'anticoagulation • thrombose veineuse profonde d'une veine péronière du membre inférieur droit en septembre 2013 • embolie pulmonaire segmentaire ou sous-segmentaire dans le segment médio-basal du lobe inférieur droit, asymptomatique le 10 septembre 2013 Calculs rénaux récurrents depuis ses 30 ans environ. Dernier épisode il y a 3 ans avec extraction chirurgicale. • sous traitement par Zyloric Cure de varices à gauche il y a environ 35 ans Tuberculose ganglionnaire en 1952 environ (traitement : chirurgie, irradiation, sanatorium) Hyperplasie de la prostate Arthrose fémoro-tibiale médiale débutante Thrombocytopénie sévère d'origine septique (CIVD) du 09 au 15.01.2019 Douleurs rétro-sternales le 15.01.2019 DD : NSTEMI secondaire Dysélectrolytémie récurrente avec : • hyponatriémie normo-osmolaire modérée, sans atteinte neurologique, depuis le 09.01.2019 avec amélioration depuis le 19.01.2019 • hypokaliémie et hypomagnésiémie le 09.01.2019 Oedème aigu pulmonaire 28.01.2019 Mycoses buccales Maladie thromboembolique veineuse avec : • embolie pulmonaire sous-segmentaire le 25 novembre 2013 sur arrêt précoce de l'anticoagulation • thrombose veineuse profonde d'une veine péronière du membre inférieur droit en septembre 2013 • embolie pulmonaire segmentaire ou sous-segmentaire dans le segment médio-basal du lobe inférieur droit, asymptomatique le 10 septembre 2013 Calculs rénaux récurrents depuis ses 30 ans environ. Dernier épisode il y a 3 ans avec extraction chirurgicale. • sous traitement par Zyloric Cure de varices à gauche il y a environ 35 ans Tuberculose ganglionnaire en 1952 environ (traitement : chirurgie, irradiation, sanatorium) Hyperplasie de la prostate Arthrose fémoro-tibiale médiale débutante Thrombocytopénie sévère d'origine septique (CIVD) du 09 au 15.01.2019 Suspicion de réaction allergique à la Nitrofurantoïne le 09.01.2019 (traitement en ambulatoire débuté le 07.01.2019 pour une possible infection urinaire) • rash érythémateux sur le thorax antérieur et postérieur Douleurs rétro-sternales le 15.01.2019 DD : NSTEMI secondaire Dysélectrolytémie récurrente avec : • hyponatriémie normo-osmolaire modérée, sans atteinte neurologique, depuis le 09.01.2019 avec amélioration depuis le 19.01.2019 • hypokaliémie et hypomagnésiémie le 09.01.2019 Oedème aigu pulmonaire 28.01.2019 Maladie thromboembolique veineuse avec : • embolie pulmonaire sous-segmentaire le 25.11.2013 sur arrêt précoce de l'anticoagulation • thrombose veineuse profonde d'une veine péronière du membre inférieur droit en septembre 2013 • embolie pulmonaire segmentaire ou sous-segmentaire dans le segment médio-basal du lobe inférieur droit, asymptomatique le 10.09.2013 Calculs rénaux récurrents depuis ses 30 ans environ. Dernier épisode il y a 3 ans avec extraction chirurgicale. • sous traitement par Zyloric Cure de varices à gauche il y a environ 35 ans Tuberculose ganglionnaire en 1952 environ (traitement : chirurgie, irradiation, sanatorium) Hyperplasie de la prostate Arthrose fémoro-tibiale médiale débutante Thrombocytopénie sévère d'origine septique (CIVD) du 09.01 au 15.01.2019 Douleurs rétro-sternales le 15.01.2019 DD : NSTEMI secondaire Dysélectrolytémie récurrente avec : • hyponatriémie normo-osmolaire modérée, sans atteinte neurologique, depuis le 09.01.2019 avec amélioration depuis le 19.01.2019 • hypokaliémie et hypomagnésiémie le 09.01.2019 Oedème aigu pulmonaire 28.01.2019 Mycoses buccales Maladie thrombo-embolique veineuse avec : • thrombose veineuse profonde en 2001. • suspicion de thrombose veineuse profonde au niveau du membre inférieur gauche le 02.08.2013, anticoagulée pendant 3 mois. • suspicion de thrombose veineuse profonde, membre inférieur droit le 16.08.2017. • Anticoagulation thérapeutique par Xarelto 15 mg per os aux urgences, puis 2x/jour du 17 au 18.08.2017. • Insuffisance veineuse chronique de stade C6 avec incontinence des veines saphènes internes bilatérales prédominant à gauche distalement, dermite de stase, incontinence des veines perforantes de Boyd, ulcère de stase à gauche. Ostéotomie de varisation et transposition de la tubérosité tibiale antérieure du genou gauche le 13.01.2010. Cure d'hallux valgus gauche en 2008. Exostosectomie de la tête du premier métatarsien droit en 2006. Amygdalectomie. Appendicectomie. Maladie thrombo-embolique veineuse avec : • thrombose veineuse profonde en 2001. • suspicion de thrombose veineuse profonde au niveau du membre inférieur gauche le 02.08.2013, anticoagulée pendant 3 mois. • suspicion de thrombose veineuse profonde, membre inférieur droit le 16.08.2017. • Anticoagulation thérapeutique par Xarelto 15 mg per os aux urgences, puis 2x/jour du 17 au 18.08.2017. • Insuffisance veineuse chronique de stade C6 avec incontinence des veines saphènes internes bilatérales prédominant à gauche distalement, dermite de stase, incontinence des veines perforantes de Boyd, ulcère de stase à gauche. Ostéotomie de varisation et transposition de la tubérosité tibiale antérieure du genou gauche le 13.01.2010. Cure d'hallux valgus gauche en 2008. Exostosectomie de la tête du premier métatarsien droit en 2006. Amygdalectomie. Appendicectomie. Réactivation d'une gonarthrose droite avancée le 03.02.2019 avec mobilisation impossible. Maladie thromboembolique veineuse avec : • TVP d'une veine péronière du MID en 09.2013 • EP segmentaire ou sous-segmentaire dans le segment médio-basal du lobe inférieur D, asymptomatique le 10.09.2013 • EP sous-segmentaire le 25.11.2013 sur arrêt précoce de l'anticoagulation • Rivaroxaban stoppé au vu de l'hémorragie digestive le 27.01.2019 Maladie thrombo-embolique veineuse chronique avec : • thrombose veineuse cérébrale du sinus sigmoïdien en 2015 (après épisode infectieux), anticoagulée pendant 6 mois par Sintrom • thrombose veineuse profonde musculaire du mollet droit (abouchant au raz de la veine poplitée) le 13.06.2017 suite à un long voyage en avion actuellement sous Xarelto.Déficit modéré de la protéine C Maladie thrombotique avec: • Thrombose veineuse profonde d'une des veines fibulaires du mollet gauche, aiguë à subaiguë le 03.12.2018 • Thrombose veineuse profonde de la veine sous-clavière gauche, diagnostiquée le 27.11.2018 Maladie tritronculaire avec statut après quintuple pontage 1999 à Berne (Prof Carrel) Statut après PCI stent actif CX 2004 ETT 2017 Dr. X : fraction d'éjection du ventricule gauche à 70%, sclérose mitro-aortique banale, discrète insuffisance mitrale, dilatation modérée à importante des 2 oreillettes, hypertension pulmonaire post capillaire PAPs 40-45 mmHg Hypertension artérielle Anxiété chronique Fibrillation auriculaire chronique Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise sans perte de connaissance Malaise avec perte de force dans les MI Malaise à répétition. Malaise à répétition d'origine indéterminée (DD: vaso-vagal, psychosomatique) Malaise anamnestique d'origine multifactorielle le 03.11.2017 Prothèses totales de genoux bilatérales Appendicite aiguë avec péritonite fibrineuse, le 18.08.2015, Dr. X : appendicectomie laparoscopique Statut après phakectomie droite Chute avec traumatisme crânien sans perte de connaissance en mars 2018 avec: • Plaie profonde de 4 cm frontale gauche avec structure osseuse visible Malaise avec chute à domicile d'origine indéterminée le 30.09.2015 avec bilan complet (Schellong, ETT, massage du sinus, Holter) sans particularités Infection urinaire à E. coli le 01.10.2015 Carence en vitamine D à 27 nmol/l le 26.09.2017 Fracture - tassement des plateaux supérieurs de L1-L2 après chute mécanique le 19.10.2018 Malaise avec crise épileptogène dans un contexte de privation de sommeil le 06.02.2019. Malaise avec diplopie. Statut post-CCK. Statut post-amygdalectomie. Malaise avec hypoesthésie de l'hémiface d'origine indéterminée le 10.02.2019. DD : changements hormonaux dans le cadre de la grossesse. DD fonctionnels. Malaise avec ou sans perte de connaissance. Malaise avec PC sans TC d'origine indéterminée le 17.02.2019 Malaise avec perte de connaissance Malaise avec perte de connaissance Malaise avec perte de connaissance de courte durée d'origine indéterminée le 24.11.2012 Cure d'hernie discale L4-L5 en 2000 Cure d'hernie inguinale droite en 2000 Cure chirurgicale d'hernie ombilicale symptomatique et d'hernie inguinale bilatérale symptomatique, plus marquée à droite en 2013 (Dr. X) Embolie pulmonaire bilatérale Non High Risk (intermediate high) le 22.07.2016, avec: • PESI score à 119 • NT-ProBNP à 1438 ng/l Malaise avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle le 30.12.2012. Malaise avec perte de connaissance et convulsion le 23.02.2019 DD : syncope convulsivante, crise épileptique. Malaise avec perte de connaissance et possiblement traumatisme crânien le 12.02.2019. DD: • vagal, orthostatique, autre Malaise avec perte de connaissance le 27.02.2019 d'origine indéterminée. Malaise avec TC Malaise avec TC et PC le 21.02.2019 • DD: vaso vagal, Malaise avec TC sans PC le 26.01.2019 • CT cérébral 26.01.2019: pas de lésion traumatique. Malaise avec traumatisme crânien et perte de connaissance. Malaise avec traumatisme crânien sans perte de connaissance, le 28.02.2019 d'origine probablement cardiovasculaire. Malaise d'allure vaso-vagale le 19.02.2019. Malaise dans contexte d'alcoolisation aiguë à 2.25 pour mille DD : malaise orthostatique Contusion vertèbres cervicales C5-6 État dépressif Traumatisme crânio-cervical dans un contexte d'éthylisation aiguë à 3.01 pour mille Malaise d'origine probablement orthostatique le 28.09.2018 • DD alcoolisation aiguë à 2,7 pour mille Malaise dans contexte d'alcoolisation aiguë à 2.25 pour mille Traumatisme crânio-cervical dans un contexte d'éthylisation aiguë à 3.01 pour mille Alcoolisation aiguë à 2,7 pour mille le 28.09.2018 Contusion vertèbres cervicales C5-6 État dépressif Malaise dans le contexte d'hypotension orthostatique. Malaise, diplopie Malaise d'origine indéterminée. Malaise d'origine indéterminée, DD : anémie, trouble du rythme ou autre Malaise d'origine indéterminée. DD : ménopause, anxiété. Malaise d'origine indéterminée. DD : syndrome d'apnée/hypopnée du sommeil. Malaise d'origine indéterminée DD malaise orthostatique, rythmique: • malaise sans PC lors de la verticalisation aux urgences Malaise d'origine indéterminée, le plus vraisemblablement sur malaise vagale. DD: malaise d'origine cardiaque récidivante. • probable réflexe vagale sur troubles digestifs. Malaise d'origine indéterminée le 05.02.2019 • dans un contexte de maladie de Parkinson Malaise d'origine indéterminée le 19.02.2019. DD: • anxiété; surmenage Malaise d'origine indéterminée le 23.01.2019 sur déshydratation dans le contexte de la colite à Clostridium. Malaise d'origine indéterminée le 28.01.2019 DD : • Crise d'épilepsie tonico-clonique généralisée • Syncope convulsivante • Pseudocrise d'épilepsie Malaise d'origine indéterminée sans signe de gravité le 24.02.2019. Malaise d'origine peu claire avec traumatisme crânien et perte de connaissance le 08.02.2019 • consultation le 11.02.2019. • nausée et vomissement, céphalée en péjoration depuis 24 h. • douleur de la colonne cervicale • patiente polymorbide Malaise d'origine probablement vaso-vagale le 04.02.2019 • sur douleur. Malaise d'origine probablement vaso-vagale le 26.02.2019. Malaise d'origine vaso-vagale. Malaise d'origine vasovagale probable. Malaise d'origine vasovagale probable (DD : trouble du rythme non objectivé). Malaise et angine de poitrine Malaise et traumatisme crânien il y a 10 jours. Malaise et traumatisme crânien il y a 10 jours. DD : vagal, orthostatique. Malaise hypotensif. Malaise hypotensif dans contexte hypovolémie sur fracture, traitement beta-bloquant Malaise le 19.02.2019 avec état confusionnel. DD : dans le contexte d'une démence débutante de forme parkinsonienne. Malaise le 29.01.2019 avec: • possible perte de connaissance • dysarthrie aiguë • éthylisation aiguë (alcoolémie à 1,44) Malaise orthostatique. Malaise probablement d'origine psychogène. Malaise probablement d'origine vaso-vagale le 05.02.2019 avec: • Prodromes: voile noir, vertiges, nausées et vomissements. • Suite à une infiltration vertébrale de corticostéroïdes. Malaise probablement vaso-vagal le 17.01.2019 • sur effort de Valsalva Malaise probablement vaso-vagal le 24.02.2019 Malaise sans PC ni TC Malaise sans perte de connaissance Malaise sans perte de connaissance. Malaise sans perte de connaissance. Malaise sans perte de connaissance. Malaise sans perte de connaissance. Malaise sans perte de connaissance dans le cadre d'une aménorrhée le 28.10.2016.Infection urinaire le 28.10.2016. Malaise avec vertige et tremblement sans perte de connaissance le 19.12.2018 d'origine indéterminée. Malaise sans perte de connaissance. DD : sténose aortique, pic hypertensif, état de stress psychologique. Malaise sans perte de connaissance le 17.02.2019 • Post-repas important Malaise sur hypoglycémie le 26.02.2019. DD : bradycardie. Malaise sur hypotension orthostatique. Malaise sur probable apnée du sommeil. Malaise type spasme du sanglot, DD malaise vagal sur régurgitations, DD gastro-entérite aiguë débutante Malaise vagal Malaise vagal. Malaise vagal dans un contexte d'un état grippal, chute avec douleur au coccyx. Malaise vagal le 01.02.19. DD : orthostatique. Malaise vagal le 19.02.19 avec traumatisme crânien et plaie de 7 cm au niveau occipital. Malaise vagal post geste. Malaise vagal probable DD : pas d'argument pour cause cardiaque vu anamnèse, clinique et ECG rassurants Malaise vagal sur choc émotionnel avec traumatisme crânien simple sans amnésie antérograde. Malaise vagal sur choc émotionnel le 05.02.2019. Malaise vagal sur douleurs de lombosciatalgies droites. Malaise vagal sur pose de VVP (pâleur, vomissements) Malaise vagal sur Valsalva (toilette) le 30.01.19 avec : • vertige, sudation et sensation de malaise spontanément résolutif Malaise vagal simple Malaise vagaux. Obésité morbide. Malaise vago-vagal sur vue d'aiguille Malaise vaso-vagal/orthostatique dans un contexte d'effort physique et déshydratation chez un patient à jeun le 13.02.2019 Malaise vaso-vagal Malaise vaso-vagal au lever après une séance d'Angio-IRM • angoisse durant l'IRM • lipothymie avec un vomissement alimentaire avec quelques quintes de toux, pas de perte de connaissance • symptômes rapidement régressifs par la suite • station debout asymptomatique sans chute de la pression artérielle à la sortie Malaise vaso-vagal avec traumatisme crânien léger en occipital droit. Malaise vaso-vagal dans le cadre d'un syndrome grippal au décours. Malaise vaso-vagal en juin 2013 dans le cadre d'une entérite. Status post ostéosynthèse d'une fracture tri-malléolaire G le 10.07.2015 ; accident du 05.07.2015 • ablation matériel d'OS malléoles interne et externe cheville G (OP le 18.04.2016) Status post appendicectomie à l'âge de 8 ans Status post cholecystectomie en 2018 Malaise vaso-vagal en juin 2013 dans le cadre d'une entérite. Status post ostéosynthèse d'une fracture tri-malléolaire G le 10.07.2015 ; accident du 05.07.2015 • ablation matériel d'OS malléoles interne et externe cheville G (OP le 18.04.2016). Status post appendicectomie à l'âge de 8 ans. Status post cholecystectomie en 2018. Malaise vaso-vagal et somatisation avec syndrome douloureux mal systématisé sur angoisse le 21.02 • DD syndrome de Tietze. Malaise vaso-vagal sans perte de connaissance le 08.02.2019 Malaise vaso-vagal sans perte de connaissance le 18.02.2019. Malaise vaso-vagal sur douleurs. Malaise vaso-vagal sur probable composante anxieuse. Malaise vaso-vagale avec traumatisme crânien léger en occipital droit. Malaises à répétition d'origine indéterminée Malaises avec vertiges d'étiologie indéterminée Malaises probablement d'origine vagale sur douleurs. Malaises sur hypotension le 19.02.2019. Malaises vagaux d'origine indéterminée. Malaises vaso-vagaux environ 1x/semaine. Dépression sous Xanax et Cipralex. Malaria sans critère de gravité le 10.02.2019. Malaria sans critères de gravité le 06.02.2019. Malaria traitée en Érythrée. Malformation congénitale, avec : • atrophie de l'hémicorps gauche • malposition cardiaque sans situs inversus, le cœur étant centré au milieu du thorax • cardiopathie ischémique et valvulaire • rein unique • scoliose Cardiopathie ischémique et valvulaire, avec : • s/p PTCA et stent actif sur changement de valve aortique par bioprothèse pour bicuspidie en 09/2018 • avis cardiologique par Dr. X le 07.01.2019 : arrêt du Marcoumar et du Clopidogrel, poursuite de l'Aspirine Cardio à vie Hypovitaminose D (substituée depuis le 04.01.2019) Malformation d'Arnold Chiari de type I Malformation rénale avec antibioprophylaxie (Suivi par Dr. X) Malformation veineuse au niveau des mains. Malgré l'absence de foyer franc à la radiographie, nous traitons le patient pour une pneumonie par co-amoxicilline 2.2 g IV 3x/j en raison d'une clinique évocatrice, chez un patient ayant présenté plusieurs pneumonies par bronchoaspiration dans le contexte de son handicap. Vu le contexte, une chambre seule était souhaitée par la famille, pour que le père puisse accompagner son fils. Par manque de chambre seules, nous vous adressons le patient pour suite de prise en charge. Malgré le test négatif, clinique et parlant pour une angine à Streptocoque. Probable test négatif à cause de la prise du Co-Amoxicilline. Changement de thérapie pour Amoxicilline Malgré que la blessure date de la veille, nous faisons la procédure pour nettoyer la plaie. Nous suturons ensuite par des points à l'Ethilon 4-0 pour rapprocher les berges. Nous lui donnons un traitement par Co-Amoxicilline pour 3 jours et faisons le rappel anti-tétanique aux urgences. Mme. Y prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans 3 jours. Elle ira chez son médecin traitant pour l'ablation des fils dans 2 semaines. Malgré un ENMG négatif, l'examen clinique fait penser à une irritation subclinique du nerf inter-osseux postérieur, ce pourquoi nous proposons la reprise d'un traitement conservateur avec cette fois traitement neuro-méningé pour le nerf radial, réentraînement de la force pour son travail de plâtrier-peintre et antalgie par anti-inflammatoire per os. Prochain contrôle dans 3 mois. Malgré un examen dans les normes par le neurologue, selon le patient, nous organisons une IRM du coude à la recherche de signes indirects de compression ou d'irritation du nerf ulnaire. Nous effectuerons également une IRM du 1er rayon à la recherche d'un kyste ou de lésion ligamentaire. Malgré une situation sociale compliquée, le patient reconnaît ses difficultés et pense qu'il arrivera à retrouver son chemin. Il demande à sortir de l'hôpital et dit qu'il acceptera un suivi ambulatoire afin de mieux gérer le stress et de contrôler la consommation d'alcool. Malheureusement, les douleurs sont déjà revenues après 10 jours suite à l'infiltration. Vu que l'on est que à 3 semaines après l'infiltration, je propose à Mme. Y de répéter l'infiltration d'ici un mois en cas de persistance des douleurs. Éventuellement, les douleurs vont quand même disparaître. Dans ce cas-là, on pourrait annuler cette infiltration. Mme. Y est d'accord. L'infiltration est prévue pour le 13.3.2019. Malheureusement, l'infiltration n'a été efficace que sur une courte durée. Mme. Y souffre d'une lésion de la corne postérieure du ménisque interne, clairement le statut clinique montre un test méniscal positif pour la corne postérieure. J'explique à Mme. Y les différentes possibilités de traitement. Nous prévoyons une arthroscopie du genou G avec résection partielle de la corne postérieure du ménisque interne. Mme. Y est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord oral et signé pour cette intervention prévue pour le 11.03.19. L'Aspirine cardio, qu'elle prend habituellement, n'a pas besoin d'être stoppée pour cette intervention. Malheureusement, l'ulcère pré-tibial est toujours présent et n'est pas guéri. Pour cette raison, une implantation de prothèse totale actuellement n'est pas possible vu les risques élevés d'infection prothétique. Je propose au patient qu'il soit vu par nos stomathérapeutes pour avis et traitement. Je le revois dans 4 semaines à ma consultation pour un contrôle clinique. Je le mets provisoirement dans le programme opératoire en vue d'une implantation de prothèse totale hanche G le 21.03.2019. Le patient a déjà été vu par mes collègues du service d'anesthésie, il n'y a pas de contre-indication opératoire.Malheureusement Mr. Y n'a pas constaté d'amélioration clinique. Il reste pourtant assez asymptomatique, sauf quand on lui touche la région du sinus tarsus. J'aimerais adresser le patient à la consultation spécialisée du Dr. X, du team pied de l'HFR Fribourg - Hôpital Cantonal pour avis. Pas de contrôle prévu d'emblée à ma consultation. Je prie le secrétariat du Dr. X de convoquer le patient. Mallet Finger de D4 de la main G le 31.01.2019. Mallet Finger Dig V main G du 26.12.2018. Entorse MCP 1 main D du 31.01.2019. Mallet Finger Dig. V main G le 26.12.2018. Entorse MCP I de la main D le 31.01.2019. Mallet Finger droit. Mallet Finger du 3ème doigt de la main D (main dominante) le 11.11.2018. Mallet Finger du 3ème doigt de la main droite le 01.01.2016. Mallet Finger osseux Dig III droit. Mallet Finger tendineux de l'annulaire droit. Mallet Finger tendineux le 10.02.2019. Mallet Finger traumatique du 5ème doigt à gauche. Mallory Weiss probable. Malnutrition. malnutrition. Malnutrition avec un poids de 55 kg, perte de 5 kg en 6 mois. Malnutrition chronique dans contexte de mucoviscidose • Bouton de gastrostomie, Oesophagogastroscopie Dr. X et mise en place de PEG Dr. X utilisée du 14.10.14 à fin 10/18 • BMI 19 Kg/m² le 01.12.2018 • Ostéopénie et sarcopénie • Insuffisance pancréatique exocrine substituée • Diabète sur insuffisance pancréatique • Carence en vitamine D • Atteinte intestinale Diabète sur insuffisance pancréatique endocrine • HbA1c 6,3% début mai à l'Inselspital • Insuline selon valeur si besoin. Anémie hypochrome normocytaire ferriprive sur mal-absorption : • injections de Venofer 05/2018 (Inselspital) avec préparation (solumedrol 125 mg et Tavegyl 2 mg) Hépatopathie associée à la mucoviscidose Asthme allergique aux acariens Trouble mixte de la personnalité avec traits borderline, hypochondriaques et immatures Trouble du comportement avec mise en danger sur consommation médicamenteuse Rhabdomyolyse probablement dans le cadre de prise de stéroïdes Aspergillose bronchopulmonaire allergique Dénutrition protéino-énergétique grave sur insuffisance du pancréas exocrine Malnutrition chronique dans contexte de mucoviscidose • Bouton de gastrostomie, Oesophagogastroscopie Dr. X et mise en place de PEG Dr. X utilisée du 14.10.14 à fin 10/18 • BMI 19 Kg/m² le 01.12.2018 • Ostéopénie et sarcopénie • Insuffisance pancréatique exocrine substituée • Diabète sur insuffisance pancréatique • Carence en vitamine D • Atteinte intestinale Diabète sur insuffisance pancréatique endocrine • HbA1c 6,3% début mai à l'Inselspital • Insuline selon valeur si besoin. Anémie hypochrome normocytaire ferriprive sur mal-absorption : • injections de Venofer 05/2018 (Inselspital) avec préparation (solumedrol 125 mg et Tavegyl 2 mg) Hépatopathie associée à la mucoviscidose Asthme allergique aux acariens Trouble mixte de la personnalité avec traits borderline, hypochondriaques et immatures Trouble du comportement avec mise en danger sur consommation médicamenteuse Rhabdomyolyse probablement dans le cadre de prise de stéroïdes Aspergillose bronchopulmonaire allergique Dénutrition protéino-énergétique grave sur insuffisance du pancréas exocrine Malnutrition chronique dans contexte de mucoviscidose • Bouton de gastrostomie, Oesophagogastroscopie Dr. X et mise en place de PEG Dr. X utilisée du 14.10.14 à fin 10/18 • BMI 19 Kg/m² le 01.12.2018 • Ostéopénie et sarcopénie • Insuffisance pancréatique exocrine substituée • Diabète sur insuffisance pancréatique • Carence en vitamine D • Atteinte intestinale Diabète sur insuffisance pancréatique endocrine • patient ne prend plus de nutrition parentérale donc plus d'Insulatard Glycémies Novorapid selon schéma Anémie hypochrome normocytaire à 118G/l d'origine inflammatoire le 03.12.2018 • Hb 134G/l le 05.12.2018 Ferritine 19ug/l, saturation transferrine 16% Pas d'injection de Venofer au vu d'une valeur d'hémoglobine acceptable Hépatopathie associée à la mucoviscidose Asthme allergique aux acariens Malnutrition protéino-énergétique, le 11.02.2019 Malnutrition protéino-énergétique modérée avec : • hypoalbuminémie à 30.5 g/l • régime pauvre en graisse dans les suites d'une cholécystite aigue lithiasique. Malnutrition protéino-énergétique sévère et déconditionnement dans la stomie à haut débit et dans l'intestin court Malnutrition protéino-énergétique sévère et déconditionnement dans le cadre de stomie à haut débit avec syndrome de l'intestin court • Hospitalisation à Billens pour rééducation du 27.12.2018 au 06.01.2019 • Carence en protéines et en calories • Dépôt de PICC-Line à Fribourg le 08.01.2019 à 13:00 • Créon, Pantozol, Sandostatin, Calcimagon, Normolytic, Imodium, Potassium et Magnésium Malnutrition protéino-calorique modérée Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique. Malnutrition protéino-énergétique avec Cachexie • NRS 7, BMI 17,6 le 16.01.2019 Malnutrition protéino-énergétique avec inappétence récente d'origine indéterminée Malnutrition protéino-énergétique avec sonde naso-gastrique en place Malnutrition protéino-énergétique dans le cadre de dysphagie avec troubles de la déglutition Malnutrition protéino-énergétique dans le contexte d'une anorexie mentale Malnutrition protéino-énergétique d'origine multifactorielle • dans le contexte du diagnostic principal • BMI 16.9 kg/m² le 10.09.2018 Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave • sur iléostomie à haut débit • dans le cadre d'un adénocarcinome du bas rectum envahissant le canal anal ypT3, pN1b (2/25), M0, R0 Malnutrition protéino-énergétique grave • sur S/p iléus grêle mécanique sur status adhérentiel traité par laparotomie exploratrice, adhésiolyse étendue, résection segmentaire du grêle et confection d'une splitstomie en FID le 16.10.2018 • perte de poids supplémentaire de 2 kg depuis le 11.01.2019 • adénocarcinome du bas rectum envahissant le canal anal ypT3, pN1b (2/25), M0, R0 Radio-chimiothérapie néo-adjuvante du 07.05 au 13.06.2018 Malnutrition protéino-énergétique grave aiguë sévère avec troubles de déglutition et suspicion d'aspirations sur syndrome de Rett avec mise en place d'une sonde nasogastrique, alimentation nocturne, pH-métrie négative le 24.12.2014, actuellement retirée Mise en place d'une tige de Harrington pour scoliose été 2013 (CHUV). Malnutrition protéino-énergétique grave avec : • douleurs abdominales continues et persistantes • stress et état anxieux • NRS à 4, une perte de poids de 16 % en 3 mois Malnutrition protéino-énergétique grave avec • hypoalbuminémie • hypokaliémie, hypocalcémie, hypomagnésiémie Malnutrition protéino-énergétique grave avec : • inappétence depuis la chute • sarcopénie • suspicion d'un état dépressif réactionnel avec syndrome de glissement Malnutrition protéino-énergétique grave avec : • dysphagie modérée après deux opérations cervicales pour fractures C5-6 en 09-10/2019 • pose de SNG avec alimentation parentérale dès le 04.01.2019 Malnutrition protéino-énergétique grave avec dysphagie modérée (après test de déglutition du 09.01.2019). Malnutrition protéino-énergétique grave avec • hypoalbuminémie • troubles électrolytiques Malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec des vomissements et diarrhées d'origine indéterminée • NRS à 5/7 • perte pondérale de 10 kg/12.7 % en < 2 mois • apports per os estimés à 0-25 % des besoins • syndrome de renutrition le 18.01.2019 Malnutrition protéino-énergétique grave • hypoalbuminémie et hypoprotéinémie • NRS 6/7 • apport oral insuffisant (25-50 % de besoin) Malnutrition protéino-énergétique grave • hypoalbuminémie sévère Malnutrition protéino-énergétique grave le 15.01.2019. Malnutrition protéino-énergétique le 11.02.2019 Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère. Malnutrition protéino-énergétique légère. Malnutrition protéino-énergétique légère. Malnutrition protéino-énergétique légère • hypoalbuminémie et hypoprotéinémie • NRS 3/7 Malnutrition protéino-énergétique légère • hypoalbuminémie et hypoprotéinémie • NRS 3/7 • perte de 6 % en x-temps Malnutrition protéino-énergétique légère • hypoprotéinémie et hypoalbuminémie • en lien avec une éviction des féculents • NRS à 3/7 • apports oraux estimés à 50 % des besoins Malnutrition protéino-énergétique légère • anorexie sur inappétence • nutrition entérale par jéjunostomie Malnutrition protéino-énergétique légère, démontrée par un NRS à 3/7 Malnutrition protéino-énergétique légère le 01.02.19 Malnutrition protéino-énergétique légère • NRS à 3/7 le 08.02.2019 Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Malnutrition protéino-énergétique modérée. • interventions : conseil et traitement diététique, au moins 2 unités de traitement Malnutrition protéino-énergétique modérée avec • hypoalbuminémie • hypokaliémie, hypocalcémie, hypomagnésiémie Malnutrition protéino-énergétique modérée avec troubles électrolytiques. Malnutrition protéino-énergétique modérée • consommation chronique d'OH • hypoprotéinémie et hypoalbuminémie • apports oraux réduits démontrés par des cibles couvertes à 30-50 % • NRS à 5/7 Malnutrition protéino-énergétique modérée • consommation chronique d'OH • hypoprotéinémie et hypoalbuminémie • apports oraux réduits démontrés par des cibles couvertes à 30-50 % • NRS à 5/7 Malnutrition protéino-énergétique modérée démontrée par un NRS 4/7 Malnutrition protéino-énergétique modérée durant la phase critique : • régime mixe-lisse le 19.01.2019, passage à un régime normal le 22.01.2019 Malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec maladie neurodégénérative et dysphagie avec NRS à 4/7 Malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence sur anxiété et contexte oncologique démontrée par un NRS à 5 (2 pour la nutrition), une perte de poids de 16 % en 6 mois et des apports actuels estimés à 75 % de ses apports habituels. Malnutrition protéino-énergétique modérée et dysphagie aux liquides et solides. Malnutrition protéino-énergétique modérée • hypoalbuminémie et hypoprotéinémie • inappétence • NRS à 4/7 • besoins énergétiques couverts à 40 % Malnutrition protéino-énergétique modérée le 14.01.2019 avec : • hypoalbuminémie à 23.3 g/l. Malnutrition protéino-énergétique modérée • NRS à 5 et ingesta entre 25-50 % des besoins Malnutrition protéino-énergétique modérée Ostéoporose fracturaire Malnutrition protéino-énergétique modérée Ostéoporose fracturaire Malnutrition protéino-énergétique • perte de 12 kg en 2 ans Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère. Malnutrition protéino-énergétique sévère avec NRS 5/7, perte de 4.4 kg soit 7.5% en 1 mois Malnutrition protéino-énergétique sévère avec: • syndrome de renutrition inappropriée • coagulopathie sur insuffisance en Vitamine K Nutrition entérale par sonde naso-gastrique 11.10.-10.11.2013 Pose PEG le 14.11.2013 sous narcose avec réintroduction nutrition entérale Malnutrition protéino-énergétique sévère (BMI à 16.3 kg/m2) avec alimentation par sonde nasogastrique depuis le 17.08.2018 avec: • hypophosphatémie • hypomagnésémie Malnutrition protéino-énergétique sévère dans le cadre du diagnostic d'adénocarcinome de l'oesophage • Apport oral insuffisant (25% des besoins), NRS 5/7, BMI 16.8 kg/m2 • Sonde naso-gastrique du 10.01.2019 au 10.02.2019 Malnutrition protéino-énergétique sévère dans le contexte de trouble d'alimentation, anorexie mentale Malnutrition protéino-énergétique sévère • en lien avec une inappétence, une dysgeusie, des nausées et des vomissements • hypoalbuminémie et hypoprotéinémie • perte de 5 kg - 6% en 3 semaines • NRS à 5/7 • ingesta à maximum 25% des besoins Malnutrition protéino-énergétique sévère et déconditionnement dans la stomie à haut débit et dans l'intestin court • hospitalisation à l'HFR Billens pour rééducation du 27.12.2018 au 06.01.2019 • carence en protéines et en calories • dépôt de PICC-Line à Fribourg le 08.01.2019 à 13:00 • Creon, Pantozol, Sandostatin, Calcimagon, Normolytic, Imodium, Potassium et Magnésium. Malnutrition protéino-énergique modérée Malnutrition protéino-énergique sur alcoolisme chronique Malnutrition protéino-énergique sur alcoolisme chronique Malnutrition protéique moyenne avec prise orale insuffisante avec: • perte de poids de 40 kg au cours des 2 dernières années • perte d'appétit DD en raison d'une insuffisance rénale, perte de goût chez patient âgé • laboratoire du 16.08.2018: protéines totales 58.6 g/l, albumine 26.1 g/l • NRS: 5/7 Malnutrition secondaire à une dysphagie sévère dans un contexte oncologique en progression Malocclusion de classe III dans le cadre d'une maladie de Steinert Maltofer 100 mg 1x/j pendant 3 mois Maltofer 100 mg 1x/j 3 mois Maltofer 100 mg Maltofer 100 mg 1x/j Maltofer 100 mg 1x/j pendant 3 mois Malunion d'une fracture intra-articulaire du radius distal à D (AO 23R C2) après traitement conservateur et déplacement secondaire Malvoyance de l'œil droit Fibrillation auriculaire permanente non anticoagulée depuis février 2019 Prolapsus de la valve mitrale avec insuffisance mitrale légère en 2009 Asthme traité Malvoyance de l'œil droit Glaucome chronique traité Fibrillation auriculaire permanente, Sintrom arrêté en février 2019 vu le contexte oncologique Prolapsus de la valve mitrale avec insuffisance mitrale légère en 2009 Asthme traité Maman mise sous Adalat depuis la 31 SG pour des contractions précoces, durant les derniers mois de grossesse, Mme. Y prenait moins bien du poids, pré-éclampsie détectée lors de l'accouchement. Accouchement par voie basse non instrumenté. Pas de risque infectieux (strepto B nég., rupture membranes <18h). Née à 40 1/7 semaines de gestation, poids de naissance 3030, taille de naissance 49 cm, périmètre crânien de naissance 33 cm. Maman mise sous Adalat depuis la 31 SG pour des contractions précoces, durant les derniers mois de grossesse, Mme. Y prenait moins bien du poids, pré-éclampsie détectée lors de l'accouchement. Accouchement par voie basse non instrumenté. Pas de risque infectieux (strepto B nég., rupture membranes <18h). Née à 40 1/7 semaines de gestation, poids de naissance 3030, taille de naissance 49 cm, périmètre crânien de naissance 33 cm. Manoeuvre de Hallpike Manoeuvre de Semont Manoeuvre d'Epley inefficace. Primperan 10 mg. Tanganil 500 mg. Prednisone 1 mg/kg = 70 mg. Avis ORL (Dr. X): consultation ORL ce matin avec audiométrie, VHIT. Névrite vestibulaire droite. • Hospitalisée par les ORL pour surveillance Manoeuvre libératrice avec amélioration des symptômes. Explication à la patiente des manoeuvres libératrices à effectuer à domicile 3-4x/j. Patiente informée de signes qui devraient la pousser à reconsulter. Manoeuvre libératrice. Poursuite du Betaserc. Explication de la manoeuvre de Brandt-Daroff à faire à domicile. Consulter en cas de non-amélioration, apparition de nouveaux symptômes. Manque de Vit. D, traité avec Vit. D Manque de vitamine B12 substitué. MAP avec maturation pulmonaire à 32 3/7 semaines d'aménorrhée en janvier 2016. Grossesse non évolutive arrêtée à 8 SA à 10 2/7 SA avec curetage évacuateur le 21.01.15 sous rachianesthésie. Probable syndrome de Tietze. MAP avec tocolyse par Tractocile et cure de maturation pulmonaire par Celestone chrono-dose le 14-15.10.2012. Hernie inguinale droite en 2008. Condylomes vulvaires traités par vaporisation au laser en 2009. Appendicite en 2011. Césarienne segmentaire transverse basse le 23.10.2012. Métrorragies sur placenta praevia marginal. Céphalées rétro-orbitaire le 10.09.2015 avec vertiges rotatoires. Gastrite. Entorse de Chopart gauche avec arrachement osseux au niveau du Naviculaire et du Cuboïde. Marche en charge selon douleurs Marche en charge selon douleurs à l'aide de deux cannes avec prophylaxie par héparine de bas poids moléculaire jusqu'à abandon de celles-ci. Antalgie. Suivi par le médecin traitant. Marche en charge selon douleurs pendant 6 semaines Marche en charge totale dans attelle Aircast durant 6 semaines. Physiothérapie en ambulatoire. Suivi par le médecin traitant. Marcoumar en suspens Reprise de l'anticoagulation le 14.01.2019 Marcoumar mis en pose Laboratoire de contrôle le 01.02.2019: A PISTER Marcoumar mis en suspens, relais par Fraxiforte dès le 18.01 à 10h. Substitution par héparine depuis le 25.01.2019. Relais par Clexane 150 mg 1x/j dès le 19.2.2019. Relais Marcoumar dès 1 semaine post-op, par le Dr. X Mr. Y est hospitalisé pour surveillance respiratoire et alimentaire dans un contexte de bronchiolite. Sur le plan respiratoire, de l'oxygène est nécessaire jusqu'au 6.02. Sur le plan digestif, une SNG est mise en place et il est initialement sondé entièrement. Par la suite, nous avons pu diminuer des prises par la sonde avec le sevrage complet le 7.02. Sur le plan infectieux, le frottis RSV revient positif. Il est fébrile jusqu'au 5.02.2019 Mr. Y aimerait continuer à soigner son épouse à la maison, dans la mesure du possible Marquage du pourtour de la rougeur. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 3x/j pendant 7 jours Traitement antalgique Contrôle évolution clinique chez son médecin traitant dans les 48h Arrêt de travail à 100% pour 4 jours. Marqueurs tumoraux : CA-125 : 58 U/ml, CA 19-9 : 12 U/ml, CEA : 0.5 ng/ml CT abdominal le 11.08.2018 Cholangio-IRM le 13.08.2018 ERCP le 13.08.2018 (Dr. X) ERCP le 14.08.2018 (Dr. X, clinique Beausite, Berne): pose de stent métallique biliaire Biopsie duodénum le 13.08.2018 (Promed P2018.9123): adénocarcinome à différenciation fovéolaire focale avec infiltration focale de la lamina propria, perte d'expression des protéines MLH1 et PMS2. Mr. Y est hospitalisé pour des besoins en oxygène dans un contexte de crise d'asthme péri-infectieuse. Sur le plan respiratoire, il reçoit aux urgences un train de Ventolin et une première dose de Betnesol (15.5 cpr, soit 0.25 mg/kg/dose). Au cours de son monitoring, il présente des saturations fluctuantes autour de 90-91% et descend à 88%. Au vu de l'oxygéno-dépendance, il est hospitalisé pour oxygène aux lunettes et ventolin. Les symptômes de spasme s'amendent rapidement mais Mr. Y reste tachypnéique et nécessite de l'oxygène avec des crépitants diffus à l'auscultation. Dans ce contexte, nous suspectons une pneumonie à M. pneumoniae, une radiographie de thorax est réalisée ne montrant pas de foyer franc. Un traitement à clarithromycine est débuté le 02.02 en attente du résultat du frottis naso-pharyngé. L'oxygène peut être sevré le 02.02 et Mr. Y rentre à domicile le 03.02. Les résultats du frottis étant positifs, nous conseillons de poursuivre le traitement pour 10 jours au total.Massage cardiaque externe à 12h44. 1 mg iv Adrenaline à 12h47. Pouls palpable à 12h48 pour TA à 74/55 mmHg, 141/min. Noradrénaline iv continu, suspendue selon PV. Massage carotidien Magnésium IV Cordarone 300 mg IV le 28.01.2019 Massage sinus le 07.02.2019: pas d'effet Esmolol le 07.02.2019: pas d'effet Cordarone intraveineuse dès le 07.02.2019 Métoprolol dès le 07.02.2019 Pas d'anticoagulation thérapeutique d'emblée au vu du saignement au niveau du PAC. Massage utérin Révision des 3 étages sous anesthésie générale, positive pour les restes du cotylédon, col sans particularité, déchirure périnéale de degré II Perfusion de 20 UI de Syntocinon IV Zinacef 1.5 g Pertes sanguines estimées: 600 ml Massages circulaires avec compresses, application locale de thé. Consignes de reconsultation expliquées à la Mme. Y en cas de mauvaise évolution. Masse abdominale complexe le 19.02.2019 • 16 x 13 x 15 cm • Probablement masse utérine Masse abdominale pulsatile le 25.02.2019 Masse au niveau du côlon transverse avec fistule gastrique, le 27.02.2019 avec: • vomissements fécaloïdes aux urgences • diarrhées chroniques Masse au niveau du TMT I, pied D DD kyste arthrosynovial, DD réaction inflammatoire sur fragment osseux. Masse caecale d'allure tumorale avec iléus mécanique en amont à 30 mm le 27.01.2019 Masse cervicale Masse cervicale droite. Masse de la paroi vésicale d'origine indéterminée avec collection pelvienne communicante, probablement un urinome • DD: oncologique (tumeur vésicale), infectieux (abcès) • CT-abdominal natif le 17.01.2019: Masse d'aspect hypodense de la partie droite de la paroi vésicale d'origine indéterminée, mal délimitée, d'environ 7 x 5 cm. Suspicion de tumeur de la vessie, ceci sous réserve d'un examen non injecté, à l'origine de l'obstruction des voies urinaires des deux côtés. Pas d'autres causes visibles de l'obstruction urinaire bilatérale, en particulier absence de calcul. Par ailleurs, présence d'une collection entre le fond de l'utérus et la vessie, fortement suspect d'un abcès (DD: rupture de diverticule de vessie neurogène, nécrose tumorale perforée). • CT-abdominal injecté le 18.01.2019: Mise en évidence d'une infiltration d'allure tumorale diffuse de la paroi vésicale et communication avec la collection pelvienne précédemment décrite. L'hypothèse principale est alors une rupture de la paroi sur nécrose avec urinome probablement surinfecté. • Tumorboard d'urologie le 24.01.2019: Ponction par cystoscopie chez le Dr. X le 30.01.2019 et suite de prise en charge selon résultats • TURV diagnostique avec biopsies le 11.02.2019 • Suivie par le Dr. X Masse de 2 x 3 cm en regard du tiers distal de l'humérus droit sur son côté médial. Masse d'environ 5 cm sus-claviculaire gauche dans un contexte oncologique: • Déjà présente au PET-CT de mars 2018 Masse du rein droit suspecte de néoplasie • date du diagnostic: juin 2018 • histologie: aucune • PET-CT du 14.06.2018: masse du rein droit de 33 x 32 x 64 mm, hypercaptante • TB urologie du 21.06.2018: pas de néphrectomie au vu de l'insuffisance cardiaque, discuter radiofréquence +/- biopsie • biopsie rein droit en janvier 2019: histologie ne montrant pas de cellules malignes. Doute si le bon endroit a été ponctionné. Masse du sein droit au niveau du QSE droit, BIRADS III avec augmentation de la taille, chez une Mme. Y de 52 ans. Masse extra-axiale pariétale gauche le 22.02.19 Masse hépatique et splénique. Masse intra-vésicale de découverte fortuite, le 03.02.2019 Masse médiastinale infiltrant la vertèbre D4 Masse pancréatique de dimensions 42 x 23 x 25 mm à cheval entre la tête, l'isthme et le corps, sans compression des voies biliaires dans un contexte d'inappétence et perte de 5 kg en 3 mois. Masse plantaire latérale au niveau de l'avant-pied à D, douloureuse, d'origine X. Masse pulmonaire au niveau du lobe supérieur et inférieur droit d'origine indéterminée • Date du diagnostic radiologique: 24.12.2018 • CT thoracique 24.12.2018: nodule à contours spiculés situé au niveau du segment postérieur du LSD et du segment apical du LID (30 x 20 x 20 mm). Micronodule de 3 mm dans le segment postérieur du LSD. Adénopathie hilaire droite. • PET-CT 07.01.2019: lésion néoplasique dans l'apex pulmonaire droit sans mise en évidence de métastase ganglionnaire ou à distance, faible captation au niveau de la lésion tumorale pulmonaire droite connue • Bronchoscopie du 07.01.19: déformation sévère de la trachée, signe de bronchite chronique avec diminution calibre de tous les orifices lobaires et segmentaires des 2 côtés sur œdème et collapsus de la muqueuse. • Biopsie muqueuse LM et LSD segment postérieur: inflammation leucocytaire avec éosinophiles. • Thoracotomie droite, adhésiolyse (>1h30), segmentectomie S2 + S6 et curage ganglionnaire le 07.02.2019 Obésité stade 1 Hypertension artérielle traitée Cardiopathie ischémique • Maladie coronarienne bitronculaire avec pontage coronarien avec AMIG sur l'IVA pour occlusion de l'IVA moyenne le 14/09/2011, présence d'une sténose intermédiaire de la partie verticale de la coronaire droite. Très bonne réserve coronarienne sans modification de l'ECG objectivée au test d'effort 20 mois après la revascularisation. Eczéma atopique Hernie hiatale Masse pulmonaire au niveau du lobe supérieur et inférieur droit d'origine indéterminée • DD: inflammatoire, néoplasique • Date du diagnostic radiologique: 24.12.2018 • CT thoracique: nodule à contours spiculés situé au niveau du segment postérieur du LSD et du segment apical du LID (30 x 20 x 20 mm). Micronodule de 3 mm dans le segment postérieur du LSD. Adénopathie hilaire droite • Bronchoscopie du 07.01.19: déformation sévère de la trachée, signe de bronchite chronique avec diminution calibre de tous les orifices lobaires et segmentaires des 2 côtés sur œdème et collapsus de la muqueuse • Biopsie muqueuse LM et LSD segment postérieur: inflammation leucocytaire avec éosinophiles. Masse pulmonaire du lobe supérieur et postérieur due à une pneumonie aiguë avec: • Foyers d'organisations avec tissu alvéolaire adjacent et foyer pneumonique satellite • Hémorragie alvéolaire avec dépôt d'hémosidérine Masse sous-cutanée supra-patellaire genou droit. Biopsie-excision in toto de la structure sous-cutanée genou droit. Masse surrénalienne gauche de découverte fortuite. Masse testiculaire rostrale gauche d'environ 1 cm x 0.25 cm. Diagnostic différentiel: hydrocèle, varicocèle. Masse tumorale supra-glottique droite avec déviation de la trachée, nécrose ganglionnaire et métastases pulmonaires. Status post dépendance à l'alcool. Pseudarthrose aseptique tibia G sur status post : • Fracture tibia-péroné jambe G le 27.06.2014 avec réduction fermée, fixateur externe, fasciotomie le 30.06.2014 puis OS définitive par clou tibia Expert le 08.07.2014 • Greffe de Thiersch plaie médiale et fermeture plaie latérale jambe G le 15.07.2014 • Infection à enterobacter le 15.07.2014 suivie de multiples interventions de rinçage, débridement jambe G • Antibiothérapie par Ciproxine 750 mg 1x/jour depuis août 2014 • Ablation clou tibia Expert, débridement pseudarthrose, décortication, OST péroné, ré-OS tibia par plaque LCP 4,5 12 trous, mise en place de BonAlive et d'un allograft jambe G (OP le 04.08.2015) Hypoprotéinémie à 63,2 g/l et hypoalbuminémie à 35,1 g/l le 12.08.2015. Masse tumorale supra-glottique droite connue avec déviation de la trachée le 22.02.2019. Masse urétérale sur le CT du 22.12.18. Masse utérine d'origine indéterminée. Masse vésicale dans la partie basse de la vessie envahissant le méat urétéral D et probablement aussi le méat urétéral G avec dilatation urétérale et pyélocalicielle en amont des deux côtés (US système uro-génital du 06.02.2019). Mastectomie droite, radio- et chimiothérapie en 2009 pour carcinome mammaire. Oedème du bras gauche en 2013. Mastectomie en mai 2015. Arthrose connue, suivi par le Dr. X. Fracture Pouteau Colle du poignet droit. Réduction ouverte et ostéosynthèse prévue pour le 22.02.2017. Contusion du genou droit. Mastectomie simple de propreté du sein gauche le 20.02.2019. Analyse anatomopathologique de la pièce opératoire. Mastite puerpérale du sein gauche non abcédée. Mastoïdite chronique avec cophose quasi complète bilatéralement. Mr. Y est hospitalisé pour besoin en oxygène dans un contexte de bronchite spastique péri-infectieuse avec difficulté respiratoire. Sur le plan respiratoire, le Ventolin peut être rapidement espacé durant son séjour mais le sevrage de l'oxygène est lent. De la physiothérapie est mise en place dès le 29.01 et Mr. Y bénéficie de la médecine anthroposophique. Dès le 05.02 il est à l'air ambiant avec une saturation qui reste à minima à 92% lors du sommeil. Sur le plan digestif, il a des apports hydriques initialement suffisants. Dès le 30.01, il présente des vomissements et des prises alimentaires diminuées avec des selles diarrhéiques. Des analyses de selles reviennent positives pour le Rotavirus. Dès le 31.01, il nécessite une sonde naso-gastrique avec des apports à nouveau suffisants dès le 02.02. Son poids de sortie est de 12.1 kg. Sur le plan infectieux, les PCR RSV reviennent négatives. Il est subfébrile en début de son séjour puis présente un état fébrile en lien avec son infection à Rotavirus qui cède le 03.02. Une décision de retour à domicile est établie le 05.02 avec suivi chez le pédiatre traitant dans 2 jours au vu de la bonne évolution clinique et de la bonne prise alimentaire. Mr. Y, en bonne santé habituelle, est hospitalisé en Pédiatrie pour des troubles alimentaires dans un contexte d'un état grippal à Influenza A. Sur le plan infectieux, Mr. Y présente à l'entrée un syndrome inflammatoire modéré avec CRP à 72 mg/l et Procalcitonine 0.91 ug/l, sans Leucocytose avec déviation gauche à 38.5% (3.04 G/l) et vitesse de sédimentation 57 mm/h. Une radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer pulmonaire mais un épaississement bronchique, une analyse urinaire est négative pour une infection urinaire et l'hémoculture effectuée est négative le J5. Nous n'avons pas d'arguments pour un syndrome de Kawasaki et une analyse rhino-pharyngée met en évidence la présence de l'Influenza A. Mr. Y manifeste une otite moyenne droite pour laquelle une antibiothérapie avec Amoxicilline 50 mg/kg/j est mise en place le J2 de son hospitalisation. Mr. Y est apyrétique à partir du 22.02.2019. Sur le plan digestif, Mr. Y a bénéficié d'une réhydratation intraveineuse avec des besoins d'entretien du 19.02.2019 au 23.02.2019, que nous avons pu sevrer le 23.02.2019 vu l'amélioration de la tolérance digestive et la prise alimentaire et réhydratation orale satisfaisante. Absence des troubles digestifs durant son hospitalisation. Sur le plan respiratoire, Mr. Y n'a pas nécessité un soutien respiratoire durant son hospitalisation. Au vu de la bonne évolution clinique, nous décidons d'un retour à domicile le 23.02.2019. Matériel d'ostéosynthèse dérangeant sur status post ORIF plaque palmaire Aptus Radius 2.5 le 01.01.2018 sur fracture extra-articulaire radius distal gauche. Matériel d'ostéosynthèse dérangeant sur status post réduction ouverte et ostéosynthèse radius et cubitus D le 21.06.2018. Matériel d'ostéosynthèse gênant sur status post réduction ouverte et ostéosynthèse radius distal D par double abord, arthrotomie de l'articulation radio-carpienne D et plastie du rétinaculum des extenseurs le 02.08.2018 pour une fracture intra-articulaire complexe du radius distal D type AO C3. Probable lésion chronique du ligament SL (diastase scapho-lunaire documentée en 2015) poignet D. Mr. Y présente une IVRS, sans signe de gravité. Nous rendons la mère attentive aux éléments pour lesquels il faut reconsulter. Maturation pulmonaire les 17.12 et 18.12.2019. Mauvaise prise pondérale, contrôle. Maux de gorge. Maux de ventre. Maux de ventre avec diarrhée. Mme. Y est transférée de Berne pour une hospitalisation pour broncho-pneumonie à RSV oxygéno-dépendante avec légère difficulté alimentaire. Sur le plan respiratoire, elle bénéficie d'oxygène du 06.02 débutée à 1L/min puis diminuée progressivement pour être sevrée le 07.02. Un traitement de Ventolin est mis en place lors de son arrivée aux urgences de Berne, commençant par un train de 3 x 6 push continué par 6 push aux 2 h puis espacé progressivement. L'évolution est favorable, permettant un arrêt du traitement de Ventolin le 07.02 à son arrivée au HFR. Sur le plan infectieux, elle reste apyrétique durant toute son hospitalisation et la recherche de RSV revient positive. Un bilan sanguin effectué à Berne montre un syndrome inflammatoire modéré avec une CRP à 44 mg/L sans leucocytose associée. Sur le plan alimentaire, elle ne bénéficie pas de sonde naso-gastrique et présente un apport alimentaire et hydrique suffisant tout au long de son hospitalisation. Au vu de la bonne évolution clinique, nous décidons d'un retour à domicile le 10.02.2019 sans contrôle de votre part nécessaire. Mme. Y reste hospitalisée pour surveillance d'une bronchiolite débutante à RSV. Sur le plan respiratoire, elle ne présente durant sa surveillance aucune apnée ni épisode de cyanose et reste à l'air ambiant durant son séjour.Sur le plan infectieux, le frottis naso-pharyngé revient positif à RSV. En raison de l'absence de vaccination chez l'enfant et la mère et des épisodes d'apnées, une recherche de coqueluche est faite et est en cours au moment du départ. Elle est afébrile durant son séjour. Sur le plan digestif, l'alimentation est suffisante de manière autonome. Nous n'observons pas de symptômes de reflux pouvant expliquer les pauses respiratoires et les épisodes de cyanose. Nous suspectons des apports trop importants à domicile (6x150ml = 198ml/kg/j) sans régurgitations objectivées à 6x120ml/kg/j (=160ml/kg/j). Elle prend 220g durant son séjour. Elle rentre à domicile le 03.02 avec contrôle à votre consultation à 24 heures. • MCP 2 droite : lésion d'origine indéterminée en regard de la tête du 2ème métacarpien côté radial, DD : lésion ligament collatéral radial. • Méchage et cautérisation au nitrate d'argent. • Surveillance • Méchage. • Ad consultation ORL en ambulatoire. • Médecine anthroposophique • Oxygénothérapie supplémentaire du 18.02 au 20.02 • Sonde naso gastrique du 18.02 au 21.02 • médecine complémentaire • Médecine complémentaire, antalgie • Médecine du personnel : infection au sang • Médication anti HTA • Médicaux : eczéma atopique • Méfenacide et Paracétamol • Médecine anthroposophique • contrôle chez pédiatre si péjoration de l'état général • Mégacôlon toxique avec dilatation du côlon transverse atteignant 8 cm et colite du côlon descendant le 10.02.2019 d'origine médicamenteuse DD : ischémique, MICI • Mélanome du cuir chevelu, non ulcéré, Breslow 11 mm pT4a pN0 (0/2) cM0, stade IIB, PDL-1 à 15%, mutation BRAF V600K • 25.04.2017 : excision en totalité • 06.06.2017 : reprise de la cicatrice et recherche de ganglion sentinelle • 18.07.2018 : radiothérapie stéréotaxique des 4 lésions cérébrales (24 Gy en dose unique) • dès le 16.08.2018 : immunothérapie avec Ipilimumab et Nivolumab aux 3 semaines • 06.09.2018 : IRM : volumineuse lésion partiellement hémorragique frontale droite, 2 lésions nodulaires cortico-sous-corticale droites • 07.09.2018 : craniotomie et exérèse de métastase frontale droite (Dr. X, Dr. X, Prof. X, CHUV) car augmentation de volume avec hématome et ralentissement psychomoteur avec propos incohérents • Encéphalite et polyradiculonévrite sur immunothérapie le 21.09.2018 • Progression au niveau cérébral avec apparition de 2 nouvelles lésions à l'IRM cérébrale du 03.12.2019 • Radiothérapie stéréotaxique le 28.12.2018 • À discuter : traitement de Dabrafenib et Trametinib • Mélanome malin métastatique • date du diagnostic : 19.11.2018 • histologie (Viollier 003/24.621943) : mélanome à extension superficielle, mutation BRAF en attente • cliniquement : multiples nodules sous-cutanés, fatigue et inappétence • PET-CT du 07.01.2019 : innombrables métastases sous-cutanées sur tout le corps, métastases pulmonaires et ganglionnaires ainsi que rétro-péritonéales • Actuellement : Demande de prise en charge d'un traitement par Keytruda (pembrolizumab) à visée palliative • Mélanome métastatique au niveau pulmonaire et cérébral • Diagnostique le 25.11.2016 • Histologie (Promed P12464.16) : mélanome malin, mutation punctiforme p.V600E des gènes BRAF ; Expression PD-L1 : 20% des cellules tumorales • IRM cérébrale du 10.11.2016 : multiples lésions métastatiques visualisées, dont la plus grande de 16 mm • CT thoraco-abdominal du 18.11.2016 : multiples lésions métastatiques du lobe inférieur gauche • Bronchoscopie écho-endoscopie bronchique le 22.11.2016 • PET-CT le 07.12.2016 : Multiples hypercaptations pulmonaires bilatérales, costales gauches, dorsales droites et sous-cutanés dans la région fessière gauche d'origine maligne. Absence d'hypercaptation pathologique nette au niveau hépatique. • Status post radiothérapie pancérébrale (30 Gy) du 19.12.2016 au 05.01.2017 • CT cérébrale, cervicale, thoraco-abdomino-pelvien du 03.01.2017 : Situation stable par rapport au comparatif du 18.11.2016 • Status post- Immunothérapie par Yervoy (Ipililumab) et Opdivo (Nivolumab) le 17.01.2017 • Hospitalisation pour une colite immuno-induite de grade 3 du 01.02 au 07.02.2017 • Annulation de l'immunothérapie en raison de la colite de grade 3 • IRM cérébrale 02.03.2017 : bonne rémission partielle concernant les métastases cérébrales • CT thoraco-abdominal 02.03.2017 : bonne rémission partielle sur la hauteur des métastases pulmonaires • CT thoraco-abdominal 30.05.2017 : très bonne rémission partielle à complète • IRM 31.05.2017 : très bonne rémission partielle avec 4 lésions stables • CT thoraco-abdominal 22.08.2017 : très bonne rémission partielle, signes d'une colite • IRM cérébrale 22.08.2017 : très bonne rémission partielle • CT thoraco-abdominal et IRM cérébrale 02.11.2017 : rémission partielle stable • CT thoraco-abdominal et IRM cérébrale 01.02.2018 : persistance d'une très bonne rémission partielle • CT thoraco-abdominal et IRM cérébrale 15.06.2018 : pas de signes de récidive • CT thoraco-abdominal et IRM cérébrale 08 et respectivement 10.10.2018 : pas de signes de récidive • CT thoraco-abdominal et IRM cérébrale 18.01.2019 : pas de signes de récidive Actuellement : rémission quasi complète, pas de signes de récidive, poursuite des contrôles radio et cliniques • Mélanome métastatique, stade IV, cTx pN+ M1 (pulm) • Date du diagnostic : 15.09.2018 • Histologie : mélanome malin d'une métastase pulmonaire, taille 1.9 cm, expression S100-protéine, SOX10, Melan A ; négatif pour pancyto-kératine, TTF1, chromogranine, index de prolifération Ki-67 50% (Pathologie Bern B2018.32469) • Biologie moléculaire : mutation BRAF, p.Val600Glu (Pathologie Bern B2019.899) • Status post-lobectomie lobe supérieur droit et lymphadénectomie médiastinale le 15.09.2018 • PET-CT du 11.09.2018 : hypercaptations pulmonaires dans le lobe supérieur droit et lobe inférieur gauche sans lésion hypermétabolique suspecte d'éventuelle métastase • Facteur de risque : tabagisme chronique 40 UPA • Anamnèse familiale : mère avec carcinome pulmonaire à l'âge de 72 ans • CT-thoraco-abdominal du 23.10.2018 : progression de la métastase pulmonaire lobe inférieur gauche connue, passant de 14 mm à 22 mm de diamètre • IRM cérébrale du 23.10.2018 : pas de métastase intracérébrale • Status post-5 perfusions d'immunothérapie par Keytruda à partir du 29.10.2018 • actuellement : augmentation de la métastatisation (adénopathie pulmonaire et hépatique), flare-up ? évaluation d'un traitement par Dabrafenib et Trametinib Mélatonine le soir depuis le 13.01.2019 Melena Méléna Mme. Y reste hospitalisée pour surveillance d'un état fébrile à 39°. Sur le plan infectieux, un bilan biologique démontre l'absence de syndrome inflammatoire important et les urines sont propres. Les hémocultures et uricult sont en cours. Nous gardons l'origine de la fièvre sur une IVRS à RSV négatif. Durant son séjour elle est afébrile depuis le 3.02. Sur le plan respiratoire, elle nécessite de l'oxygène durant quelques heures initialement puis des rinçages de nez sont productifs. L'acidose respiratoire se corrige à 24 heures. Sur le plan ORL, nous constatons des ronflements chez Mme. Y, présents anamnestiquement aussi à domicile sans détresse respiratoire. Nous constatons également des difficultés pour poser la sonde nasogastrique. Néanmoins, Mme. Y respire bien par le nez avec la bouche fermée et ne montre pas de difficultés respiratoires lors du sommeil. Donc, nous suspectons un probable rétrécissement des choanes. Membre supérieur G non dominant : fracture spiroïde tiers moyen de l'humérus traitée conservativement par Sarmiento, le 11.09.2018. Fracture du radius distal extra-articulaire et processus styloïde, du 11.09.2018, traitée conservativement. Fracture sous-capitale de la tête humérale du 11.09.2018, traitée conservativement. Même mécanisme que ci-dessus. Anesthésie, rinçage et exploration. Suture par fil d'Ethilon 4.0. Arrêt de travail. Menace d'accouchement prématuré. Menace d'accouchement prématuré à 30 1/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 2-gestes 1-pares de 20 ans. Méningiome atypique para-sagittal central bilatéral (gauche > droit) avec : • Parésie progressive du membre inférieur droit Méningiome du sinus caverneux, le 18.02.2019 Méningiome frontal gauche • Craniotomie fronto-pariétale gauche et résection Simpson Grade 2 du Méningiome le 11.01.2019 (Dr. X) • OMS grade 2 (résultat histo-pathologique) • Plégie isolée du membre supérieur et inférieur droit, lèvre D Méningite à Salmonelle et mononucléose à l'âge de 12 ans. Amygdalectomie et adénoïdectomie dans l'enfance. Trouble fonctionnel dans un contexte de sclérose en plaques récurrente-rémittente avec manifestation inaugurale en octobre 2016 et dernière poussée en mars 2018. Méningite en 1948. Canal lombaire étroit L4-L5 avec hernie discale médiane et para-médiane D à ce niveau. Décompression L4-L5 par cross-foraminotomie par la D ainsi que cure de hernie discale L4-L5 D (OP le 11.10.2013). Traumatisme crânien avec commotion en 2013. NSTEMI sur sténose subocclusive de la branche marginale de la CX, le 07.03.2017. Méningite virale. Ulcère bulbaire de 6 mm avec anémie normocytaire aiguë. Laboratoires : Hb 86 mg/l, contrôle après 1ère transfusion 96 mg/l. 2 transfusions d'érythrocytes aux Urgences. Pantozol 80 mg dose de charge, puis 3x40 mg Pantozol i.v./jour pendant l'hospitalisation. Gastroscopie le 18.07.16 : ulcère bulbaire en voie de cicatrisation, sans saignement actif, pas d'H.pylori. Colonoscopie le 18.07.16 : présence de diverticules. Probable artérite giganto-cellulaire temporale ou maladie de Horton. Biopsie A. temporalis gauche le 26.05.2017. Méningite 2011 Ménisectomie et ablation des ligaments croisés du membre inférieur gauche sur accident de la voie publique (opération en France). Fracture du fémur gauche sur accident de la voie publique avec clou fémoral persistant (opération en France). Ménisque discoïde latéral genou droit avec fissuration longitudinale de la portion antérieure. Ménisquectomie Opération de l'épididyme sur trauma Ménométrorragie avec douleurs pelviennes chroniques, chez une patiente 4 gestes 4 pares de 49 ans. Ménométrorragies chez une patiente en périménopause. Le 27.11.2015, curetage explorateur le 27.11.2015. Cavaterm le 27.11.2015. Opération de la cataracte droite anamnestique en octobre 2018. Ménométrorragies dans un contexte de fibrome utérin sous-muqueux FIGO II de 3 cm, chez patiente nulligeste de 32 ans. Ménométrorragies résistantes au traitement médicamenteux avec utérus adénomyosique chez une patiente 3G 2P de 38 ans. Menometrorrhagies persistantes • cure par curetage hémostatique et Cavaterm en 04/2006 Mepilex Border Mepilex Lite. Suivi clinique. Meralgia paresthetica de la cuisse droite le 08.02.2019 Merci au secrétariat de cardiologie/rythmologie de l'Inselspital de bien vouloir convoquer Mr. Y pour une thermoablation. Merci de contrôler à distance les valeurs d'hémoglobine. Merci de contrôler les valeurs de la vitamine D à distance. Merci de suivre les valeurs d'hémoglobine. Mère explique initialement la plaie par une chute, par peur des représailles contre le chien de famille, puis se rétracte en lisant les dangers de morsure de chien sur internet et explique la vraie étiologie de la plaie. Plaie vue par ORL de garde (avant explication de la morsure), d'accord avec l'attitude proposée (après avoir été mis au courant de l'étiologie véritable) : Rinçage abondant de la plaie par chlorhexidine bétadinée et sonde boutonnée (150 ml). 1 dose de Co-amoxicilline 50 mg/kg iv avec relais per os à 80 mg/kg/jour durant 48 h. Contrôle dans 48 h chez pédiatre. Déclaration de morsure faite. Mère informée de surveiller l'apparition de symptômes tels que céphalées, vomissements, paresthésie et somnolence. En cas de signes d'alarme il faut reconsulter. Mère : Rhésus négatif Bébé : Rhésus négatif Mère : Rhésus négatif Bébé : Rhésus positif Rhophylac le 22.02.2019 Mère : rhésus négatif Nouveau-né : rhésus négatif Mère : Rhésus négatif Nouveau-né : Rhésus positif Rhophylac le 17.02.2019 Mère : rhésus négatif Nouveau-né : rhésus positif Rhophylac 300 mcg le 17.02.2019 Mère : rhésus négatif Nouveau-né : rhésus positif Rhophylac 300 mcg le 02.02.2019 Mère : rhésus négatif Nouveau-né : rhésus positif Rhophylac 300 mcg le 03.02.2019 Meropenem du 06.02 au 08.02.2019 Pipéracilline-Tazobactam du 08.02 au 11.02.2019 Ciprofloxacine per os dès le 11.02.2019 avec proposition jusqu'au 17.02.2019 Bronchoscopie avec LBA le 05.02.2019 (Dr. X) Sevrage ventilatoire prolongé sur réintubation le 04.02.2019 et extubation le 08.02.2019 Mesure la tension 3 x/J et contrôle chez le médecin traitant Métallose avec suspicion d'infection sur un statut post-implantation de PTH à G prothèse métal métal par le Dr. X le 28.09.2005. Metamucil pour réguler la fonction intestinale Métastase latéro-cervicale droite sans porte d'entrée d'un carcinome épidermoïde cTx pN3 cM0 avec s/p évidemment latéro-cervical D radical en 01.2006 et radio-chimiothérapie adjuvante du 07.03.2006 au 19.04.2006 (61 Gy en 25 fractions de 2.2 Gy) Décompensation BPCO (Anthonisen 3/3) Traumatisme crânien simple le 18.12.2015 Plaie frontale superficielle de 1 cm le 18.12.2015 Crise de goutte gros orteil pied droit le 17.05.17 S/p 2 chirurgies pour hernies discales en 1995 S/p opération d'une bursite coude G Lésion sciatique poplitée externe G en juillet 2018 avec polyneuropathie Micro-nodules base pulmonaire connus depuis 2017 Métastase latéro-cervicale droite sans porte d'entrée d'un carcinome épidermoïde cTx pN3 cM0 avec s/p évidemment latéro-cervical D radical en 01.2006 et radio-chimiothérapie adjuvante du 07.03.2006 au 19.04.2006 (61 Gy en 25 fractions de 2.2 Gy) Décompensation BPCO (Anthonisen 3/3) Traumatisme crânien simple le 18.12.2015 Plaie frontale superficielle de 1 cm le 18.12.2015 Crise de goutte gros orteil pied droit le 17.05.17 Statut post-opération d'une hernie discale en 1985 puis à droite en 1995. S/p opération d'une bursite coude G Lésion sciatique poplitée externe G en juillet 2018 avec polyneuropathie Métastase latérocervicale gauche d'un carcinome épidermoïde moyennement différencié sans porte d'entrée, kératinisant, classé cTx pN1 (1/13) cM0, p16+ Métastases ostéocondensantes diffuses sur probable adénocarcinome de la prostate : • diffuses bilatérales lombaires, iliaques, sacrées et fémorales. • tumeur primaire indéterminée. • investigations refusées par le patient en 2011. Métastases cérébrales et carcinose pachyméningée dans un contexte de carcinome du sein droit opéré en 2003 : • Avec multiples métastases osseuses déjà connues Métastases ganglionnaires d'un carcinome épidermoïde sans porte d'entrée • date du diagnostic : 13.04.2016 • cytologie ganglionnaire : cellules épithéliales malignes de type carcinome épidermoïde • CT cervico-thoracique du 17.03.2016 : masse sus-claviculaire gauche d'environ 3 cm de diamètre en arrière du muscle sternoclaviculaire, pas d'autre lésion • ultrason cervical le 18.04.2016 (Dr. X) : volumineuse masse basi-cervicale gauche de 44 x 35 x 33 mm • PET-scan du 20.04.2016 : trois hypercaptations confluentes latéro-cervicales gauches (SUV max = 16,2), petite hypercaptation pulmonaire apicale droite (SUV max = 3,8), petite hypercaptation ganglionnaires hilaire pulmonaire gauche (SUV max = 2,8) • CT thoracique du 24.05.2016 : disparition des lésions pulmonaires, pas d'autre lésion suspecte visualisée. Ganglions para-trachéaux droits et gauches de 7 mm et 9 mm • panendoscopie du 25.04.2016 (Dr. X) : énorme masse de 6 x 7 cm fixée à l'axe vasculaire et descendant en dessous du plan de la clavicule avec un petit nodule de perméation de 1 cm, pas d'autre lésion visible pouvant être à l'origine de la tumeur primitive • biopsie du cavum, des amygdales droite et gauche et de la base de la langue (Promed P4306.16) du 03.05.2016 : absence de tissu néoplasique malin • statut post-radiothérapie et chimiothérapie par Platinol, combinées du 14.06 au 25.08.2016 • Consultation janvier 2017 : évolution post-radio-chimiothérapie favorable • US cervical 31.08.2018 : rémission locorégionale stable • PET-CT 14.05.2018 : pas de manifestation tumorale visible Métastases ganglionnaires d'un carcinome épidermoïde sans porte d'entrée diagnostiqué le 13.04.2019 • cytologie ganglionnaire : cellules épithéliales malignes de type carcinome épidermoïde • CT cervico-thoracique : masse sus-claviculaire gauche d'environ 3 cm de diamètre en arrière du muscle sternoclaviculaire, pas d'autre lésion • Ultrason cervical le 18.04.2016 (Dr. X) : volumineuse masse basi-cervicale gauche de 44 x 35 x 33 mm • PET-scan du 20.04.2016 : trois hypercaptations confluentes latéro-cervicales gauches (SUV max = 16,2), petite hypercaptation pulmonaire apicale droite (SUV max = 3,8), petite hypercaptation ganglionnaires hilaire pulmonaire gauche (SUV max = 2,8) • CT thoracique du 24.05.2016 : disparition des lésions pulmonaires, pas d'autre lésion suspecte visualisée. Ganglions para-trachéaux droits et gauches de 7 mm et 9 mm • panendoscopie du 25.04.2016 (Dr. X) : énorme masse de 6 x 7 cm fixée à l'axe vasculaire et descendant en dessous du plan de la clavicule avec un petit nodule de perméation de 1 cm, pas d'autre lésion visible pouvant être à l'origine de la tumeur primitive • biopsie du cavum, des amygdales droite et gauche et de la base de la langue (Promed P4306.16) du 03.05.2016 : absence de tissu néoplasique malin • statut post-radiothérapie et chimiothérapie par Platinol, combinées du 14.06.2016 au 25.08.2016 actuellement : surveillance oncologique par le service ORL Hypertension artérielle traitée Hypothyroïdie diagnostiquée en 2018 sous Euthyrox 25 mcg • dernier contrôle en janvier 2019 avec TSH basse Métatarsalgie des 3ème et 4ème rayons pied G. Statut post hallux valgus à G, 2ème orteil en marteau, surlongueur du 2ème métatarse pied G le 06.03.2018. Métatarsalgies distales du 2ème rayon du pied G Statut post ablation tumeur kystique angiodysplasique entre le 2ème et 3ème rayons à G le 14.09.2007 par le Dr. X Métatarsalgies II à IV pied G Fascéite plantaire du pied gauche. Douleurs neuropathiques nerf tibial et peroneus communis du pied G. Récidive d'un syndrome de tunnel tarsien G. Syndrome du piriforme de la hanche droite. Syndrome fémoro-patellaire du genou droit. Statut post cure de récidive d'un syndrome du tunnel tarsien à gauche le 7.2.2017. Métatarsalgies MTP 2 à 4 G Névrome de Morton 2ème et 3ème espace intermétatarsien à G. Métatarsalgies 2ème métatarse pied droit. Metformine 500 mg 2 x/j dès le 17.01.2019 Suivi des glycémies Methylprednisolone du 02.02 au 03.02.2019, puis Prednisolone du 03.02 jusqu'au 07.02.2019 US abdominal 04.02.2019 AFP dans la norme OGD à organiser en ambulatoire Methylprednisolone 125 mg IV Tavegyl 2 mg IV 3 Stunde Überwachung Prednisone 40 mg pour 3 jours, puis 20 mg pour 2 jours Cetirizine 10 mg pour 5 jours Metolazone en suspens Aldactone 50 mg aux urgences KCl 30 meq par voie orale aux urgences Magnesiocard 10 mmol aux urgences KCl 40 meq intraveineux sur 4 heures aux urgences avec 500 ml de NaCl 0.9 % Aldactone 25 mg 1 x/jour KCl 30 meq 4 x/jour par voie orale Magnesiocard 10 mmol 1 x/jour Suivi biologique rapproché Métoprolol depuis le 28.01.2019 Digoxine le 28.01.2019 ETT le 28.01.2019 Introduction d'une anticoagulation par Eliquis 2.5 mg 2 x/J le 30.01.2019 Métoprolol dès le 23.01.19 Sevrage de la cordarone dès le 28.01.19 Metoprolol dès le 29.01.2019 puis adaptation posologie avec bon effet Antalgie par paracétamol, puis morphine d'office dès le 25.02.2019 Anxiolyse Métoprolol IV le 01.02.2019 Correction volémique Métoprolol IV le 01.02.2019 Correction volémique Metoprolol le 15.02.2019 Amiodarone le 15.02.2019 Metoprolol le 15.02.2019 Amiodarone le 15.02.2019 Métrodinazole en ovules vaginaux du 07-11.02.2019 Métrorragie et douleur abdominaleMétrorragie et douleurs abdominales Métrorragie et pertes de liquide Métrorragies Métrorragies d'origine indéterminée spontanément résolutives Métrorragies sous Letrozol pour antécédents de carcinome du sein gauche, chez une patiente 4G 3P de 48 ans Métrorragies sur probable décollement placentaire à 30 2/7 semaines d'aménorrhée, chez une patiente de 26 ans, 3-gestes 1-pare, le 21.02.2019 Meyriez: Laboratoire Avis chirurgie (Dr. X): hospitalisation en chirurgie HFR Fribourg pour appendicectomie. Consentement signé Urgences HFR Fribourg: Consultation anesthésique Rocéphine 2g iv + Flagyl 500mg iv à 16h Hospitalisation en chirurgie: A jeun Rocéphine 2g iv + Flagyl 500mg 3x/j Appendicectomie Mg 2 g iv sur 24h Mg 2 g i.v. sur 24h le 20.02.2019 Suivi ECG le 21.02.2019 : ESV ECG le 22.02.2019 : FA rapide Eliquis 2,5 mg/jour dès le 22.02.2019 Ad Beloc Zok le 22.02.2019 Majoration du Bisoprolol à 5 mg 2x/jour Mg 2 g/90min iv Att: • suivi biologique Mg 2 g/90min i.v. Suivi biologique Mg 2g IV au service des urgences Poursuite Magnesiocard Mg 2g i.v. aux urgences. MgSO4 2g iv au service des urgences Suivi clinique et biologique Mr. Y présente une pneumonie débutante probablement virale. Etant donné l'apparition très récente des symptômes, nous n'effectuons pas de bilan radiologique ni biologique, mais proposons un contrôle clinique à votre consultation à 48 heures. Micorlax 1x Movicol 1-2 sachets par jour Bulboid en réserve Microbiologie du 12.02.2019 Microbiologie du 23.02.2019 Microcéphalie, Épilepsie. Micro-clyss pour domicile, Movicol selon le schéma de désimpaction Microcytose hypochrome sans anémie le 27.02.2019 Microhématurie: • déjà présente en 04/2018 Micro-hématurie d'origine indéterminée le 17.08.15 avec anamnestiquement une masse intra-vésicale mise en évidence à l'US par un médecin au Kosovo. Micronodules pulmonaires connus. Micronodules pulmonaires. Connus, suivi annuel par la Dr. X. Micro-TESE testiculaire pour prélèvement en vue de FIV (le 19.12.13, en Turquie). Péricardite dans cadre d'un syndrome grippal en 2012. Orchidopexie bilatérale à l'âge de 5 ans pour ectopie testiculaire (1987). Dermo-hypodermite sus-pubienne le 12.01.2015. Miction durant la consultation Boit un biberon de 100 ml de lait sans vomissement Discussion des diagnostics différentiels. Parents se posent la question d'une contamination des biberons. Peu probable car ils jettent s'il ne boit pas la totalité. Parents préfèrent rentrer si absence de signe de déshydratation et vomissement pas dangereux. Après re-discussion avec Payerne retour à domicile aussi en ordre pour le médecin de garde de Payerne. Miction fréquente Midazolam, Haldol, contentions physiques en réserve Distraneurine Réafférentation Midazolam intra-nasal 0.5 mg une dose le 06.12.2018 avec bon effet Surveillance clinique Midazolam 15 mg in toto et Lorazepam 1.5 mg iv le 04.02.2019 Migraine Migraine Migraine Migraine Migraine. Migraine. Migraine. Migraine accompagnée. Hypertension artérielle traitée. Migraine avec aura Migraine avec aura à type de trouble visuel, paresthésies des 2 mains. Migraine avec aura le 07.02.2019. Migraine avec aura le 19.02.19. Migraine avec aura le 21.02.2019. Migraine avec aura le 22.02.2019. • DD: composante d'angoisse. Migraine avec aura ophtalmique. Migraine avec auras visuelles/somesthésiques traitée symptomatiquement. Syndrome des apnées/hypopnées mixtes du sommeil appareillé. Migraine chronique. Migraine de caractère atypique. Migraine ophtalmique probable DD: • hémorragie sous-arachnoïdienne (pas d'argument à l'anamnèse vu apparition graduelle des douleurs, status neurologique normal notamment pas de rigidité nucale et disparition des symptômes post-hydratation) • processus expansif (pas de signes d'hypertension intra-crânienne et résolution des symptômes après remplissage) • sinusite (céphalées unilatérales peu typiques, pas d'état fébrile) Migraine ophtalmologique. Migraine paralytique. Migraine sans aura. Migraine sans aura le 11.02.2019. Migraine sans aura le 15.02.2019 avec vertiges associés. Migraine très probable Migraine. Crise migraineuse le 28.06.2016. Migraine. Crise migraineuse le 28.06.2016. Sumatriptan nasal. Suivi clinique aux urgences. Migraine Gastrite érosive diagnostiquée en 2012, traitée par Pantozol Migraines Migraines Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines : DD : céphalées de tension, névralgie d'Arnold. Migraines à répétition. Consommation occasionnelle (1-2x/mois) de cocaïne. Tabagisme actif à 12 UP pneumopathie x ttt par ventolin Migraines atypiques le 11.02.2019. Migraines avec aura visuelle, le 21.02.2019. Migraines avec aura visuelle Maladie thrombo-embolique veineuse avec : • thrombose étendue de la grande veine saphène G le 10.02.2017 • embolie pulmonaire segmentaire bilatérale avec surcharge du coeur D le 01.06.2018, thrombolyse par cathétérisme (EKOS) (Inselspital) • facteurs de risque thrombo-embolique: néoplasie myéloproliférative, âge. Néoplasie myéloproliférative de type thrombocytémie essentielle JAK2 V617F positive : • diagnostic posé en 2001 • biologie moléculaire du sang périphérique du 24.04.2017 : mutation JAK 2 V617F • CT thoraco-abdominal du 28.06.2017 : splénomégalie 15 x 7.8 x 7 cm • cyto-réduction par Litalir depuis le diagnostic • suivi par le Dr. X Vertiges non rotatoires depuis août 2017 d'origine indéterminé avec : • contrôle ORL en août 2017 : sans particularité • IRM cérébrale du 18.08.2017 : dans les limites de la norme hormis une sinusopathie sphénoïdale D nouvelle Ostéoporose Syndrome rhizomélique avec suspicion d'artérite gigantocellulaires sous Prednisone (1 mg/kg) 50 mg PO dès le 25.10.2018 Migraines chroniques. Migraines chroniques. Migraines ophtalmiques. Migraines traitées par Saroten stoppé pour contre-indication Hypotension asymptomatique à 90/50 mmHg Migraines traitées par Topiramat et Sumatriptan au besoin. Migraines. Cystites. Migraines. Douleurs lombaires chroniques. Migraines. Hypertension artérielle traitée. Migraines Lithiase biliaire Migraines Restless legs syndrome Migraines Restless legs syndrome Migraines. Sinusites. Migraines Transition lombo-sacrée Castelvi IIA. Migration crâniale de la métaglène de l'épaule G sur status post mise en place d'une prothèse inversée de l'épaule G le 13.02.2018 traitée par reprise de la prothèse avec ablation de la métaglène glénosphère ancienne, changement de l'insert sur 39+ 0, réimplantation d'une glénosphère 39 avec une métaglène standard et augmentation de la glène par une allogreffe fémorale le 22.01.2019 Mr. Y se présente aux Urgences pédiatriques en raison d'une otite d'évolution défavorable sous traitement symptomatique depuis 5 jours. La fièvre est persistante depuis 24h. Il reçoit une première dose d'Amoxicilline per os par son pédiatre. Les parents notent depuis ce matin un début de décollement du pavillon auriculaire, non fluctuant, avec un Weber latéralisé à gauche. Tympan bombé à gauche à l'otoscopie, sans perforation. Une pose de drain transtympanique gauche sous anesthésie générale et un switch par Co-Amoxicilline i/v sont effectués. L'évolution est favorable avec arrêt de la fièvre, un écoulement persistant par le drain mais en tarissement à la sortie, disparition des douleurs. Le relais per os est effectué le 10.02.2019. Les frottis microbiologiques du pus de l'oreille moyenne et les hémocultures sont en cours à la sortie. Mild cognitive impairment • MMS 19/30 et Clock 2/6 points le 24.12.2018 • GDS 8/15 points le 24.12.2018 Minime cholestase biologique. Minime collection résiduelle sous-durale chronique pariétale D sur : • Plusieurs chutes de sa hauteur, dont la dernière le 08.01.2019 • Status post-reprise de l'ancienne cicatrice pariétale D, évacuation de l'hématome et drainage sous-dural le 13.07.2018 pour récidive d'un hématome sous-dural chronique hémisphérique D avec aggravation de la marche • Status post-trépanation pariétale D, évacuation de l'hématome sous-dural et mise en place d'un drain de 16 french le 01.05.2018 pour un hématome sous-dural subaigu hémisphérique droit Minime déplacement secondaire après ostéosynthèse d'une fracture intra-articulaire pluri-fragmentaire de l'extrémité distale de l'humérus droit le 10.08.2018. Minime perte de correction. Pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Mise à l'abri dans le contexte d'un état anxieux le 23.02.2019. Mise à l'abri dans le contexte d'une situation psycho-sociale difficile Mise à l'abri dans un contexte d'hétéro-agressivité verbale avec accord de la patiente. Mise à l'écart du cercle familial Mise à plat de l'anévrisme infra-rénal 5.44 cm par voie rétro-péritonéale à l'aide d'une prothèse bifurquée 20/11 type Joteck le 11.02.2019 Antibioprophylaxie par Céfuroxime per-opératoire Analgésie péridurale Th8-9 jusqu'au 15.02.2019 Angio-CT le 15.02.2019 Mise en évidence de Pseudomonas aeruginosa A à la plaie du MIG avec cicatrice inflammatoire Mise en évidence d'un premier épisode de luxation de la rotule. Nous proposons un traitement conservateur et de la physiothérapie avec un renforcement du quadriceps. Prochain contrôle dans 2 mois. La patiente peut lâcher les béquilles, enlever l'attelle et mettre une genouillère élastique simple pour les longues marches. Pas de sport à l'école jusqu'à la fin de l'année scolaire. Mise en évidence d'une infection par Staphylocoque simulans et Citrobacter koseri à l'urotube du jour : • sur une prostatite chronique. Mise en pause de l'amlodipine depuis le 29.01.2019 Mise en pause Laboratoire le 05.02.2019 : A PISTER Mise en place de l'attelle clavicule Mise en place de Pace maker et Défibrillateur le 31.01.2019 Mise en place de soins à domicile 3x/semaine pour médicaments et contrôles médicaux Mise en place de sonde vésicale le 07.01.2019 enlevée le 12.01.2019, sur demande de la patiente Refus de pose d'une nouvelle sonde vésicale US de la vessie le 17.01.2019 Ditropan 5 mg 2x/j Mise en place de sonde vésicale Suivi biologique Adaptation du traitement Torem 50 mg le 20.01.2019, puis Torem 20 mg du 21.01.2019 Mise en place d'un plâtre AB scaphoïde. Retour à domicile avec antalgie. Conseil de se représenter aux urgences si syndrome de compression sous le plâtre (signes donnés au patient). Le patient sera revu le 20.02.2019 en orthopédie pour prise en charge chirurgicale avec pose de plaque d'ostéosynthèse. Mise en place d'un plâtre jambière fendu pour une semaine. Marche en charge selon douleur avec des cannes. Prophylaxie thrombo-embolique avec Clexane 40 mg 1x par jour jusqu'à la charge complète. Contrôle radio-clinique dans une semaine à la consultation ortho-urgences afin d'enlever le plâtre et de mettre une chaussure Darko ou un plâtre Geisha. Mise en place d'un point de suture par Ethilon 5.0. Pansement par Opsite spray. Fiche de surveillance post-traumatisme crânio-cérébral mineur donnée aux parents. Antalgie par Algifor Junior ER. Ablation des fils de suture dans 5 jours chez le pédiatre traitant. Mise en place d'un Port-à-Cath le 25.02.2019 Chimiothérapie palliative par FLOT dès le 25.02.2019 Eloxatin non donnée au vu IRA pré-rénale (rattrapée lors du prochain cycle, vu avec Dr. X) Traitement symptomatique par Morphine (dyspnée, douleurs) et Dexaméthasone (dépression) Suite de la chimiothérapie en ambulatoire le 08.03.2019 à 10h00 Consultation Dr. X le 12.03.2019 à 14h45 Mise en place d'un protocole plaque palmaire avec attelle en huit. Poursuite du soin des plaies. Ablation des fils à J14. Nous reverrons le patient pour un nouveau bilan clinique à 6 semaines du traumatisme soit le 22.03.2019. Mise en place d'un VAC sous-cutané le 01.02.2019 Changement de pansement VAC sous-cutané au bloc opératoire le 03.02.2019 Changement de pansement VAC en chambre le 06.02.2019 Poursuite des changements de VAC en ambulatoire (stomathérapie) Mise en place d'une attelle jeans 0° à garder tout le temps. Prescription de béquilles avec instructions à la marche données au patient. IRM en ambulatoire. Contrôle à 5-6 jours à la consultation du Dr. X pour prise en charge chirurgicale. Mise en place d'une botte de marche Geisha avec une marche en charge selon douleur. Poursuite de la Clexane 40 mg 1x/j jusqu'à charge complète. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 5 semaines. Mise en place d'une botte plâtrée pour 2 semaines supplémentaires. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 2 semaines. Mise en place d'une hydratation en continu par sonde naso-gastrique de Normolytoral, 240 ml sur 8h, Adeno et Rota virus nég. Mise en place d'une pompe Duodopa. Mise en place d'une prothèse céphalique à gauche (opérée le 23.12.2018) Rendez-vous le 28.01.2019 à 15h00 pour contrôle post-opératoire, Dr. X : bonne évolution Tests cognitifs du 29.01.2019 : MMSE à 18/30, test de la montre non réalisable car pas de lunettes de vue (refusé par la patiente) ; GDS à 5/30 Mise en place d'une prothèse céphalique type Zimmer suite à une fracture du col fémoral D Garden IV le 06.01.2019. Mise en place d'une sonde urinaire du 04 au 08.01.2019, puis dès le 12.01.2019 (en place à la sortie). Urotube le 12.01.2019. Mise en suspend des antidiabétiques oraux. Mise en suspend du Bétabloquant.Réévaluation clinique et biologique le 010.3.2019. mise en suspend du Lixiana Contrôle Crase le 26.02.2019 Heparine sur ordre médicale en fonction de la crase et la décision d'une intervention chirurgicale à partir de 26.02.2019. mise en suspend du sintrom Mise en suspend du Tagrissa au vu de la fonction rénale. Demander avis de l'oncologue traitant pour la poursuite du traitement. mise en suspend la nutrition entérale le 06.02.2019. Mise en suspens Clexane. Suivi clinique et biologique avec seuil transfusionnel: • Thrombocytes < 20 G/l si état fébrile • Thrombocytes < 10 G/l si pas de fièvre Mise en suspens de la Prégabaline. Suivi clinique. Mise en suspens de l'Amlodipine. Suivi du profil tensionnel. Mise en suspens de l'Eliquis avant l'hospitalisation actuelle. Clexane 60 mg 1x/j sous-cutané du 30.01. au 02.02.2019. Reprise Eliquis le 03.02.2019. Mise en suspens de l'Eliquis. Réversion de la crase. Consilium hématologie 21.01.2019. Prophylaxie thrombo-embolique par Liquémine 5000 UI 2x/j sous-cutané. Anticoagulation à reprendre, à viser un anti-Xa à 0.3. Mise en suspens de l'hydrochlorothiazide. Poursuite du sartan. Mise en suspens des antidiabétiques oraux, reprise le 25.02.19. Mise en suspens des médicaments néphrotoxiques. Surveillance clinico-biologique. Mise en suspens du Bisoprolol dès le 15.02.2019 puis reprise à dose réduite 0.5 cpr/j. Suivi du profil tensionnel et de la fréquence cardiaque. Mise en suspens du Brintellix le 10.01.2019 et du Physiotens le 18.01.2019. Substitutions vitaminiques et électrolytiques. Creon, Imodium, Bioflorin, Optifibre. Ondansetron, Haldol, Primperan, Itinerol B6. Suivi clinique et biologique, • calprotectine 188 mcg/g le 24.01.2019. Mise en suspens du Marcoumar dans le contexte de macrohématurie. Héparine IV continu du 01.02. au 11.02.2019. Reprise du Marcoumar et suite de prise en charge de l'anticoagulation en dialyse. Bottes anti-thrombotiques et physiothérapie. Mise en suspens du Marcoumar le 14.02.2019. Reprise le 19.02.2019. Konakion 3 mg per os en ordre unique le 18.02.2019. Prochain contrôle INR prévu le 21.02.2019 chez le médecin traitant. Envisager un changement d'anticoagulation pour un DOAC. Mise en suspens du sintrom le 09.02.2019. • Réévaluer INR le 10.02.2019: A PISTER. Mise en suspens du Sintrom le 13.01.2019. Héparine thérapeutique. Reprise Sintrom le 16.01.2019. Mise en suspens du Sintrom le 19.01.2019. Reprise le 21.01.2019. Mise en suspens du sintrom le 9.2.19. Reprise du schéma habituel dès le 11.2.19. Mise en suspens du Valproate. Mise en suspens du Xarelto 15 mg le 21.01.2019. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cutané. Reprise du Xarelto 10 mg 1x/j à but prophylactique le 28.01.2019, selon ordre du Dr. X de l'hématologie. Mise en suspens temporaire des médicaments néphrotoxiques. Spot urinaire du 4.2.2018. Suivi biologique. Mise en suspens temporaire des néphrotoxiques. Mise en suspens transitoire du sintrom. Mise en travail spontané. Mise en travail spontané. Mise en travail spontané. Mise en travail spontané. Mise en travail spontanée. Mise en travail spontanée. Mise en travail spontanée. Mise en travail spontanée. Mise en travail spontanée. Mise en travail spontanée. Mise en travail spontanée. Mise en travail spontanée. Mise en travail spontanée. Mise en travail spontanée après rupture prématurée des membranes. Antalgie par péridurale. Suites de couches. Mise en travail spontanée. Incision selon Pfannenstiel sous péridurale. Utérotomie transverse basse. Surjet intradermique de la peau. Thromboprophylaxie. Suites de couches. Mise en travail spontané. Suites de couches. Mise sous Tobrex collyre 0.3% 1-2 gouttes 4-5x/j, continuer 48h après la disparition de symptômes. Reconsulter si douleurs, photophobie. Mme. Y, 37 ans, est hospitalisée aux soins intensifs le 16.02.2019 pour un tentamen. La patiente est sortie il y a quelques semaines d'une hospitalisation à Marsens pour une dépression dans le contexte d'un trouble bipolaire. Elle est amenée en ambulance aux urgences suite à un tentamen à l'arme blanche. Elle présente de multiples plaies auto-infligées avec un couteau de cuisine à but suicidaire. Elle aurait également ingéré 50 comprimés d'Ibuprofène 600 mg. Un CT total body ne révèle pas de lésion traumatique au niveau du cou ni de l'abdomen. Au niveau des cuisses, des plaies superficielles sans gros hématome en profondeur sont constatées. Une lésion profonde au niveau de la face intérieure du poignet gauche avec atteinte fonctionnelle est également observée. La patiente bénéficie d'une exploration chirurgicale en urgence des plaies profondes au niveau de l'abdomen et du poignet droit. Les autres plaies sont suturées simplement, avec un retrait des fils à prévoir dans 12 jours. Le rappel anti-tétanique est également effectué. La laparoscopie confirme une perforation péritonéale sans lésion d'organe. Compte tenu de l'ingestion d'une grande dose d'anti-inflammatoire, nous poursuivons le Pantozol par voie IV en continu avec un relais per os dès le 18.02.2019. Il n'y a pas d'atteinte de la fonction rénale. Le traitement est à poursuivre jusqu'au contrôle en avril. L'alimentation per os est reprise dès le 19.02.2019 et se passe sans complication. Une réfection des pansements tous les 2 jours et un contrôle à 6 semaines est prévu. L'exploration du poignet gauche met en évidence de nombreuses lésions des tendons des fléchisseurs pour lesquelles un protocole Kleinert est mis en place, avec confection d'une attelle. Une immobilisation stricte est préconisée pendant 5 semaines avec un suivi en ergothérapie régulier. Les douleurs sont bien contrôlées avec une antalgie simple. La patiente présente toutefois une plainte abdominale le 19.02.2019. Elle bénéficie d'un CT de contrôle qui écarte une perforation gastrique secondaire aux anti-inflammatoires ainsi qu'une complication de la laparoscopie. La patiente présente un ralentissement psycho-moteur important avec une ambivalence quant à l'indication d'une hospitalisation en milieu psychiatrique. Compte tenu du risque auto-agressif et après avis psychiatrique, une hospitalisation sous PAFA est réalisée avec un transfert à Marsens le 19.02.2019. Mme. Y souffre de douleurs généralisées depuis son enfance, avec actuellement un épisode de péjoration de rachialgies de type inflammatoire. Dans ce contexte, la patiente est hospitalisée pour investigation et évaluation d'un nouveau traitement. Durant l'hospitalisation, nous réalisons un bilan complet du rachis par IRM que nous complétons ensuite par un examen scanographique dirigé. Ces images montrent des signes de spondylarthropathie, sans signe d'activité actuelle et montrent des calcifications disséminées au niveau des disques inter-vertébraux et des structures ligamentaires. Dans ce contexte, nous réalisons un plus ample bilan biologique (bilan phospho-calcique, recherche alcaptonurie) qui se révèle sans particularité mis à part la carence en vitamine D en cours de substitution. Nous poursuivrons d'autres investigations génétiques en ambulatoire. Nous effectuons également un traitement d'épreuve par Kineret qui ne se montre que peu efficace. Un traitement par LODIN (AINS Cox-2 sélectif) se révèle partiellement efficace sur les lombalgies, mais provoque un inconfort digestif; dans ce contexte, nous arrêtons le traitement et proposons un autre traitement AINS en réserve, le Celebrex. La patiente rapporte toutefois une amélioration globale des douleurs de manière spontanée, rythme cyclique connu chez cette patiente. Les douleurs et les raideurs matinales sont toujours très importantes, mais la patiente se sent assez bien pour rentrer à domicile avec le réseau de soins habituel. Le Professeur X reverra la patiente en ambulatoire et évaluera avec elle et selon avis des différents spécialistes d'une nouvelle thérapie. BASFI sortie : 9 (10 à l'entrée) BASDAI sortie : 8.05 Mme. Y est hospitalisée le 29.01.2019 pour une perforation caecale avec des multiples complications infectieuses et hémorragiques. Elle est réadmise aux soins intensifs le 15.02.2019 pour un OAP sur pic hypertensif. Le séjour de 10 jours est marqué par des multiples prises au bloc opératoire, un réveil prolongé et une insuffisance respiratoire, nécessitant un support majeur comprenant une intubation de 5 jours. Après une évolution lentement favorable, elle est transférée en chirurgie le 25.02.2019. La perforation caecale est due à une nécrose ischémique cardio-embolique (FA non-anticoagulée), une hémicolectomie avec splitstomie est effectuée initialement. Les suites se compliquent par une éviscération et un hématome pré-péritonéal surinfecté à Citrobacter qui nécessite plusieurs reprises au bloc opératoire pour évacuation de l'hématome avec fermeture progressive de laparostome. Une fermeture complète est prévue le 26.02.2019. Pour un iléus postopératoire, elle est nourrie en parentérale avec une reprise par voie entérale dès le 24.02.2019. Une antibiothérapie complexe est adaptée aux multiples problèmes infectieux dont l'hématome surinfecté susmentionné et une septicémie à Enterococcus faecium. La durée de l'antibiothérapie (Cefepime, Fluconazole et Vancomycine) est à clarifier encore avec les infectiologues. Au niveau respiratoire, elle bénéficie dès son réadmission d'un support ventilatoire, d'abord non-invasif. Suite aux plusieurs reprises au bloc opératoire dès le 18.02.2019, elle reste intubée et ventilée jusqu'au 23.02.2019. L'insuffisance respiratoire s'explique par l'OAP, un épanchement pleural droit qu'on drainer et les multiples reprises opératoires avec un dérecrutement répétitif. L'extubation se retarde par un réveil prolongé, probablement sur accumulation d'opiacés chez cette patiente en insuffisance rénale terminale. Dans un contexte de troubles métaboliques ou une intoxication au Tazobac, elle présente une crise épileptique le 14.02.2019 sans foyer à l'EEG. Un traitement par Keppra est débuté avec une diminution progressive à cause d'une somnolence persistante après son extubation. Il s'agit d'un évènement déclenché, l'indication à poursuivre cette thérapie est à rediscuter avec les neurologues. Sur le plan cardiologique, elle est connue pour une cardiopathie ischémique et rythmique avec une pose de stent en 12.2018. Une anticoagulation thérapeutique avait été arrêtée auparavant suite à une suspicion d'hémorragie digestive. Suite à la reprise de l'anticoagulation, l'apparition de l'hématome prépéritonéal motive son arrêt définitif. Il est décidé en accord avec les cardiologues de continuer avec une thérapie antiplaquettaire simple sous forme d'Aspirine seule. Une fermeture de l'oreillette semble exagérée au vu de l'attitude globale chez cette patiente. Connue pour une insuffisance rénale terminale, les dialyses sont continuées en intermittent. Au vu de son état général polymorbide, des limitations thérapeutiques sont décidées avec accord de la famille. Aucune escalade thérapeutique ni de mesure de réanimation ou intubation n'est à envisager en cas de nouvelle complication hémorragique ou septique. Une nouvelle admission aux soins intensifs reste à discuter selon situation, et uniquement si le pronostic vital n'est pas d'emblée engagé. Mme. Y, patiente de 79 ans, est admise aux soins intensifs pour une surveillance postopératoire en urgence d'une ischémie mésentérique compliquée d'une péritonite secondaire. Elle est prise au bloc opératoire en urgence pour une perforation caecale sur deux lésions ischémiques d'origine embolique probable. Une hémicolectomie droite avec résection grêle segmentaire et split stomie est effectuée. Un contrôle avec rinçage et fermeture de la paroi abdominale est effectué à 48 heures. Un traitement antibiotique par Pipéracilline/Tazobactam à dose rénale est mis en place couvrant un Citrobacter et un Bacteroides, identifié sur le liquide péritonéal. La durée de l'antibiothérapie sera à rediscuter en fonction de l'évolution clinique. Les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie simple. Au moment du transfert, le transit n'a pas encore repris. Une alimentation parentérale est débutée dès le 30.01.2019. Plusieurs étiologies sont évoquées : un thrombo-embole sur rupture de plaques athéromateuses, une origine cardio-embolique dans le contexte de la FA non anticoagulée ou encore un bas débit dans le contexte de l'artériopathie sévère. Nous profitons de l'intubation pour effectuer une échocardiographie transoesophagienne qui ne met pas en évidence de thrombus. Compte tenu de l'indication peu claire à un arrêt de l'anticoagulation en janvier 2019, nous réintroduisons une héparine à dose thérapeutique. En cas de récidive d'hématochésie, une fermeture de l'auricule gauche peut être envisagée selon les cardiologues. La FA initiale se cardioverse après remplissage. Elle se stabilise sur le plan hémodynamique et retrouve son hypertension artérielle habituelle. Ses traitements anti-hypertenseurs sont progressivement réintroduits. Une oxygénothérapie et de la physiothérapie respiratoire sont mises en place en prophylaxie. Les séances de dialyse sont poursuivies à raison de 3x/semaine. Les glycémies sont contrôlées avec une insulinothérapie intraveineuse. Elle est transférée en chirurgie pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, connue pour une ostéoporose traitée, nous est adressée en raison de douleurs lombaires nouvelles et invalidantes présentes à la mobilisation depuis une semaine. Les douleurs sont apparues spontanément sans notion de traumatisme ou faux mouvement, la patiente ne rapporte pas de symptôme B. Au bilan radiologique conventionnel, on retrouve des tassements L1 et L3, le bilan est complété par une scintigraphie osseuse qui montre des hypercaptations linéaires tardives en L1 et L3, compatibles avec des tassements relativement récents. Les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie de pallier 1. Le bilan biologique va dans le sens d'une ostéoporose hyper-résorptive avec augmentation des ß-CrossLaps. Au vu d'un traitement par Denosumab de 2013 à 2017 et de l'augmentation des ß-CrossLaps malgré un traitement par biphosphonate bien conduit (Ibandronate depuis 2018), nous suspectons un état hyper-résorptif secondaire au traitement par Denosumab avec un syndrome de fractures vertébrales multiples. Nous changeons le biphosphonate pour l'Acide Zoledronic (Aclasta) qu'elle reçoit le 18.02.19. Nous laissons le soin au médecin traitant d'effectuer un contrôle des ß-CrossLaps à 3 mois afin d'évaluer la réponse à l'Aclasta et de prévoir la prochaine injection dans une année. Nous proposons de maintenir le traitement pour une durée de 5 ans. Un retour à domicile est organisé le 19.02.19. Mme. Y se présente aux urgences en raison de lombalgie gauche, basse, invalidante apparue suite à un faux mouvement avec rotation du rachis. Au status, on retrouve une importante scoliose du rachis dorsal ainsi qu'un impingement costo-iliaque gauche. Le status neurologique est sans particularité. L'antalgie est adaptée avec introduction d'Oxycontin 5 mg 2x/J et une infiltration facettaire L5-S1 bilatérale est réalisée sous contrôle scanographique. Suite à l'infiltration, nous observons une nette diminution des douleurs (objectivée par les EVA) ainsi qu'une amélioration de la mobilisation. La patiente est indépendante pour la réalisation des AVQ mais nécessite tout de même une aide partielle pour la toilette (dos, pied). Des soins à domicile sont mis en place pour la sortie. Un retour à domicile est organisé le 12.01.2019. Mme. Y se présente aux urgences en raison de lombalgie gauche, basse, invalidante apparue suite à un faux mouvement avec rotation du rachis. Au status, on retrouve une importante scoliose du rachis dorsal ainsi qu'un impingement costo-iliaque gauche. Le status neurologique est sans particularité. L'antalgie est adaptée avec introduction d'Oxycontin 5mg 2x/J et une infiltration facettaire L5-S1 bilatérale est réalisée sous contrôle scanographique. Suite à l'infiltration, nous observons une nette diminution des douleurs (objectivée par les EVA) ainsi qu'une amélioration de la mobilisation. La patiente est indépendante pour la réalisation des AVQ mais nécessite tout de même une aide partielle pour la toilette (dos, pied). Des soins à domicile sont mis en place pour la sortie. Un retour à domicile est organisé le 12.01.2019. Mme. Y est une patiente de 83 ans, connue pour un myélome multiple avec une fracture pathologique de T9, adressée par le Dr. X en raison d'une baisse de l'état général pour laquelle nous retenons une origine médicamenteuse au premier plan. Sur le plan médicamenteux, son traitement d'Oxycodone a en effet été remplacé 1 semaine auparavant par le Palladon en raison d'une mauvaise tolérance avec nausées et inappétence. Depuis, les symptômes digestifs ont encore augmenté, limitant la prise d'aliments et de boisson. Elle a également bénéficié récemment d'un traitement de Revlimid, associé à la Dexamethasone et au Zometa du 07.01 au 14.01.2019. Elle est de plus sous Bactrim forte au long cours pour des infections urinaires à répétition. Nous avons majoré le traitement anti-émétique, remplacé le Palladon par un patch de Fentanyl, stoppé le Bactrim et hydraté transitoirement la patiente par voie intraveineuse. L'évolution a par la suite été favorable avec une nette diminution des nausées, permettant une reprise de l'alimentation et de l'hydratation per os. La patiente relate à l'admission une tendance à la constipation depuis plusieurs jours avec dans les 48 dernières heures des diarrhées d'allure paradoxale. Un ASP n'a pas montré de signe de fécalome et un traitement laxatif a permis une bonne reprise du transit. Sur le plan urinaire, la patiente relate une sensation de pesanteur sus-pubienne, sans autre signe d'infection urinaire et sans état fébrile. Les cultures urinaires reviennent positives pour un E. Coli résistant au Bactrim. Nous retenons une bactériurie asymptomatique et décidons de ne pas reprendre d'antibiothérapie. En cas de récidive, nous vous proposons de rediscuter avec les infectiologues d'une prophylaxie autre que le Bactrim. Sur le plan oncologique, la chimiothérapie par Revlimid sera reprise à distance selon avis des oncologues. Les troubles électrolytiques présents à l'admission (hyponatrémie à 131 mmol/l, hypokaliémie à 3.2 mmol/l, hypophosphatémie à 0.73 mmol/l, hypomagnésémie à 0.70 mmol/l) se corrigent après substitution per os, réhydratation et diminution du Pantoprazol à 20 mg/j (en raison de son effet négatif sur l'absorption du magnésium). Au vu de l'évolution favorable, la patiente quitte notre service le 07.02.2019 pour un retour à domicile. Mme. Y est une patiente de 66 ans, en bonne santé habituelle, hospitalisée pour une myélite transverse aux niveaux D5 à D7 d'origine probablement para-infectieuse virale. Elle présente en effet depuis le 14.02.2019 au soir une sensation d'engourdissement, initialement au niveau du pied gauche, qui au cours du jour suivant s'étend en direction proximale aux 2 membres inférieurs. Elle remarque également des troubles de l'équilibre avec un tangage. On met en évidence à l'admission une ataxie des membres inférieurs avec probable altération du sens postural bilatéralement et un Romberg pathologique. Il n'y a pas de déficit de force. Une aréflexie généralisée est initialement observée. Devant la suspicion de syndrome de Guillain-Barré, une ponction lombaire est effectuée. On retrouve une pléocytose à prédominance lymphocytaire (68 éléments) et une hyperprotéinorachie à 0.92 g/cc. On effectue une CT de la colonne complète, sans particularités, et une IRM également de la colonne complète qui montre une image de myélite s'étendant de D5 à D7, ouvrant le diagnostic différentiel d'une neuromyélite optique, d'une myélite paranéoplasique, métabolique (carence B12, folates, cuivre), infectieuse (HIV, Syphillis, Lyme), auto-immune (neuro-lupus, neuro-sjögren), ou granulomateuse (neuro-sarcoïdose). L'IRM cérébrale est quant à elle dans les limites de la norme pour l'âge. Les anticorps anti-NMO (Antiaquaporine 4) dans la norme parlent contre une neuromyélite optique. Une origine para-néoplasique est peu probable au vu du bilan effectué (CT thoraco-abdomino-pelvien et IRM cérébrale dans la norme, examen gynécologique dans la norme). A noter que la mammographie serait éventuellement à compléter par une échographie étant donné la densité des seins, examen que nous vous laissons le soin d'organiser. Un PAP-test et une recherche de Papilloma Virus ont été réalisés par les gynécologues, dont les résultats ne sont pas disponibles à l'heure actuelle et que nous vous laissons le soin de pister. La vitamine B12, l'acide folique et la céruloplasmine dans la norme parlent contre une origine métabolique. Le dépistage VIH, syphilis et maladie de Lyme est négatif. Il n'y a pas d'argument biologique pour une connectivite. A noter que nous n'avons pas dosé l'activité de l'enzyme de conversion pour une sarcoïdose en raison de l'absence d'argument clinique et à l'imagerie. La patiente bénéficie pendant l'hospitalisation d'une corticothérapie intraveineuse par Solumédrol 500 mg 1x/j pour une durée de 5 jours, avec poursuite d'une corticothérapie per os par Prednisone en schéma dégressif sur 2 semaines. L'évolution est stable pendant le séjour, avec persistance de paresthésies aux 2 membres inférieurs jusqu'au pubis et trouble de la stabilité posturale. Une neuro-réadaptation intensive à l'HFR Meyriez est proposée à la patiente, qu'elle décline au profit d'un traitement physiothérapeutique et ergothérapeutique ambulatoire. Elle sera convoquée pour une consultation neurologique de suivi dans 1 mois par le Dr. X. La patiente quitte notre service le 25.02.2019 pour un retour à domicile. Mme. Y, connue pour trouble neuro-cognitif sévère rapidement évolutif depuis 2017, est amenée aux urgences par son mari en raison d'un trouble de la marche nouveau avec difficulté à se mobiliser. Elle présente également une rougeur, douleur et tuméfaction du membre inférieur droit depuis 72 heures. Nous diagnostiquons une dermohypodermite cheville et du mollet gauche avec une porte d'entrée cutanée (probable lésion de grattage). Un bilan angiologique permet d'exclure une thrombose veineuse profonde. L'évolution est rapidement favorable sous antibiothérapie orale durant 5 jours. Concernant les troubles neuro-cognitifs, au vu de la présence de calcifications des ganglions de la base (CT cérébral natif du 14.02.19) et d'un syndrome extrapyramidal léger avec augmentation du tonus et marche parkinsonienne (marche à petite, faible vitesse, absence du balancement des bras), nous suspectons une maladie de Fahr. Afin d'améliorer la marche, nous introduisons un traitement par Madopar 62.5 mg 2x/J, permettant une amélioration de la mobilité avec une diminution du tonus. Sous Madopar, nous n'objectivons pas l'apparition de troubles du comportement durant l'hospitalisation mais en cas d'apparition d'agitation à domicile, le Madopar devra être interrompu.La péjoration des troubles de la marche est probablement en lien avec la dermohypodermite du membre inférieur droit. En raison d'une boiterie droite, un bilan radiologique de la hanche et du bassin est réalisé et permet d'exclure une fracture. Un retour au domicile est organisé le 25.02.19. Mme. Y est une patiente de 68 ans, connue pour un adénocarcinome de l'estomac diagnostiqué en novembre 2017, actuellement en soins palliatifs, qui est hospitalisée pour une dyspnée. Le bilan clinique et para-clinique nous permet de retenir une pneumonie basale droite traitée par Klacid (stoppé une fois les résultats des antigènes urinaires négatifs pour pneumocoque et légionelle) et Rocéphine pour une durée totale de 7 jours. La patiente montre une bonne évolution clinique et biologique. Au niveau oncologique, la patiente est actuellement sous chimiothérapie palliative, suivie par le Dr. X et bénéficie d'une alimentation parentérale (suivie par le Dr. X). Dans ce contexte, nous mettons en place un traitement complexe en médecine palliative supervisé par le Dr. X. Un suivi multidisciplinaire par les médecins, infirmiers, physiothérapeutes et diététiciens est mis en place. Au niveau endocrinien, nous constatons une hypothyroïdie subclinique pour laquelle nous proposons un contrôle biologique à 6 semaines chez le médecin traitant. La patiente rentre à domicile le 27.02.2019. Mme. Y, 61 ans, est admise pour une hyponatrémie sévère asymptomatique. Il s'agit d'une patiente connue pour des antécédents d'hyponatrémie hypo-osmolaire paucisymptomatique d'origine peu claire, adressée à Riaz depuis Billens pour nausée, vomissement et baisse de l'état général. Elle était hospitalisée à Billens depuis le 11.02.2019 pour une neuro-rééducation sur suspicion de Guillain-Barré le 04.08.2017. Le bilan retrouve une hyponatrémie sévère et une bronchopneumonie du lobe inférieur gauche au scanner thoracique, raison pour laquelle elle est transférée aux soins intensifs de Fribourg. L'étiologie de l'hyponatrémie n'est pas claire. L'examen clinique et le spot parlent pour un SIADH qui pourrait être médicamenteux ou dans le cadre de son infection pulmonaire. L'hyponatrémie pourrait aussi être liée à ses pertes par vomissements et diarrhées. Une correction lente est débutée. Les médicaments arrêtés sont le Citalopram, le Nexium et le Torasémide. Une pneumonie est aussi diagnostiquée par scanner et traitée par antibiothérapie. Concernant l'antibiothérapie, un traitement est initialement débuté par Ceftriaxone, puis élargi par Tazobac. Après rediscussion de la situation et face à une pneumonie sans sepsis, il est décidé de passer à Co-Amoxicilline afin de diminuer le spectre tout en couvrant les anaérobes chez cette patiente ayant pu inhaler durant ses vomissements. En raison de modifications ECG nouvelles depuis 2017, une échocardiographie est effectuée et est normale. Nos collègues recommandent une ergométrie en ambulatoire. À noter une patiente présentant de multiples douleurs chroniques. Ces dernières sont jugulées par Dafalgan et Novalgine en raison d'un antécédent de dépendance aux opiacés. La patiente se nourrissant peu, se plaignant d'avoir la bouche sèche, nous tentons l'ajout de salive artificielle et vous proposons aussi de demander un avis diététique. La patiente est transférée en médecine à Riaz pour suite de prise en charge. Mme. Y présente une augmentation des ostéolyses autour de la composante cotyloïdienne, raison pour laquelle nous lui conseillons de changer la prothèse durant l'année pour éviter une perte du stock osseux. La patiente présente encore un hématome important en régression du genou gauche et elle a été victime d'un AVC, type hémorragique au mois de janvier 2019. Actuellement, psychiquement, elle n'est pas prête pour une intervention. Nous reverrons Mme. Y au mois de mai avec un contrôle radio-clinique (côté gauche) pour planifier une ponction de la hanche, laboratoire (CRP, leucocytes, Interleukin 6, vitesse de sédimentation). Suite à ces examens, nous pourrons envisager un changement de PTH avec implantation d'une tige de révision et mise en place d'un anneau anti-protrusif de type Burch Schneider par un abord transfémoral. Mme. Y est une patiente de 81 ans en bonne santé habituelle, hospitalisée pour une baisse d'état général d'origine multifactorielle (grippe, effet indésirable médicamenteux, hyponatrémie). À l'admission, la patiente explique présenter une toux sèche depuis 48h et depuis 24h, un état fébrile, raison pour laquelle elle consulte le médecin de garde de MedHome qui lui prescrit un traitement de Co-Amoxicilline. Depuis le début de l'antibiothérapie, elle présente des nausées et plusieurs épisodes de vomissements, rendant l'alimentation et l'hydratation difficile. Dans ce contexte, elle est asthénique et présente des épigastralgies. Le bilan biologique montre un léger syndrome inflammatoire et la radiographie du thorax est sans particularité. Le frottis de grippe revient positif pour Influenza A. Dans ce contexte, nous ne poursuivons pas l'antibiothérapie. La patiente reste afébrile pendant le séjour et l'évolution clinique est progressivement favorable. Une hyponatrémie hypo-osmolaire chez une patiente cliniquement euvolémique est mise sur le compte d'un SIADH para-infectieux. Après une restriction hydrique de 24h, l'évolution est favorable. Elle présente également une hypokaliémie à 3.0 mmol/l pour laquelle nous débutons une substitution per os, qui est à réévaluer en ambulatoire. Au vu de la bonne évolution, la patiente quitte le service le 20.02.2019. Mme. Y, 50 ans, est admise pour un coma sur une décompensation acidocétosique et hyperosmolaire dans le cadre d'un diabète inaugural. La patiente est transférée de l'hôpital psychiatrique de Marsens, où elle venait d'être admise pour un état dépressif aigu, avec idées suicidaires. Elle est retrouvée le 12.02.2019 avec un Glasgow à 3. Le bilan initial montre une hyperglycémie importante et une osmolarité augmentée. Elle est transférée aux urgences où elle est intubée d'emblée. Un traitement par insuline iv est instauré, parallèlement à une hydratation très importante. La baisse de glycémie est titrée progressivement. Les électrolytes sont substitués. En raison d'une acidose métabolique majeure, réfractaire, une dialyse en continu, au citrate, est instaurée durant 24h. L'état de choc vasoplégique nécessite un soutien par noradrénaline. Une couverture antibiotique empirique par Co-Amoxicilline est débutée dès son arrivée. Une chute avec trauma crânien est documentée à Marsens avant son admission. Pour cette raison, un CT initialement non injecté est effectué. Ce dernier met en évidence une légère lésion hyperdense frontale droite suspecte de saignement. La colonne cervicale est sans lésion, ce qui permet d'enlever la minerve. Le 14.02, la patiente reste sans contact. Le CT-scan cérébral de contrôle laisse suspecter un éventuel œdème cérébral (sillons peu visibles, ventricules petits). Après avis auprès de nos collègues de neurochirurgie, un transfert à Berne est décidé, afin de monitorer la pression intracrânienne (capteur de PIC). La patiente présente une TV de quelques complexes auto-résolutive lors de la descente du guide de la VVC jugulaire et cela durant la phase initiale d'acidémie majeure. Mme. Y est une patiente de 56 ans connue pour un mélanome métastatique, ED 25.11.2016, avec métastases cérébrales et pulmonaires, en rémission quasi complète, qui nous est référée dans notre station de soins palliatifs à Meyriez pour une fatigue persistante avec inappétence.A l'anamnèse systématique, la patiente évoque une très grande fatigue avec perte de force et somnolence, particulièrement l'après-midi (le matin la patiente reste active mais l'après-midi elle reste alitée). Il existe des nausées surtout matinales, sans aucun lien avec les repas. La patiente évoque une constipation chronique alternant parfois avec de la diarrhée ainsi que des douleurs abdominales. Le manque d'appétit reste la plainte principale de la patiente, elle la décrit comme s'étant péjorée progressivement avec le temps, et comme n'étant pas liée à un problème de goût. L'humeur est décrite comme fluctuante, et la patiente évoque une anxiété ajoutée, notamment face à l'idée de la mort. La patiente se plaint enfin de sécheresse buccale importante et de vertiges invalidants. A l'examen physique, nous retrouvons une patiente à l'état général diminué, normohydratée, normocolorée, collaborante, calme, eupnéique à l'AA. Au statut cardio-vasculaire, des bruits B1 et B2 bien frappés, réguliers, sans souffle. Il n'y a pas de signes de surcharge vasculaire, pas d'OMI et les pouls périphériques sont bien perçus. L'examen abdominal montre un abdomen souple, dépressible, indolore, avec des bruits très diminués en fréquence mais de tonalité normale. Les loges rénales sont indolores. Le reste du statut, y compris neurologique, est sans particularités. Pour intervenir sur le manque d'appétit de Mme Y, nous tentons un traitement empirique par Remeron avec un résultat discret sur le plan de l'appétit. La patiente rapporte par contre très rapidement une disparition des nausées. Une consultation par notre diététicienne est effectuée avec des conseils et des propositions pour enrichir les repas. Le suivi sera poursuivi en ambulatoire avec une nouvelle consultation prévue dans 3 mois. La constipation chronique est prise en charge avec du Metamucil pour réguler la fonction intestinale, avec un bon résultat et des selles désormais régulières. La carence en vitamine D est supplémentée, nous recommandons un suivi biologique à distance des valeurs. Après des entretiens thérapeutiques, la patiente rapporte être entièrement soulagée de la nausée et du vertige et de n'avoir quasiment plus de douleurs abdominales. Elle se sent moins fatiguée et nettement moins anxieuse. Au vu de ce bon effet thérapeutique, Mme Y s'intéresse à un traitement par l'hypnose médicale en ambulatoire. Le 14.02.2019, la patiente rentre à domicile dans un bon état général. Mme Y est amenée aux urgences suite à une chute accidentelle avec trauma facial associée, sans perte de connaissance. Suite à la chute, elle présente des plaies du visage ainsi que des douleurs ostéoarticulaires diffuses. Au bilan radiologique (CT cérébrale et massif facial, radiographie conventionnelle de l'épaule gauche, thorax, et colonne thoracique), on retrouve uniquement une fracture de l'os propre du nez. Un contrôle ORL est réalisé à une semaine post fracture, et ne met pas en évidence de déviation importante. Dans ce contexte et en l'absence de gêne ressentie par la patiente, une intervention n'est pas nécessaire. Si besoin, un suivi peut être organisé à 6 mois post fracture pour évaluation d'une chirurgie. La patiente étant connue pour une épilepsie, un électroencéphalogramme est réalisé le 14.02.19, sur demande de son neurologue traitant, et montre un foyer actif hémisphérique gauche, avec un léger ralentissement pendant une à deux minutes sur l'ensemble du tracé. Dans ce contexte et au vu d'un taux de carbamazépine infra-thérapeutique, le Timonil est majoré à 200 mg/j. Sous majoration du traitement, on note un léger ralentissement psychomoteur surtout en début de matinée. Nous laissons le soin au neurologue d'adapter le traitement en cas de somnolence trop importante et handicapante pour le quotidien. Mme Y se présente aux urgences en raison d'une baisse de l'état général avec fatigue et symptômes d'IVRS évoluant depuis deux semaines. La patiente est au bénéfice d'une antibiothérapie depuis 3 jours pour une pneumonie. Au vu d'une fatigue en péjoration et de la mise en évidence au domicile d'une hypertension artérielle à 200 mmHg de systolique (asymptomatique), Mme Y préfère se rendre aux urgences. Au bilan biologique, on retrouve une hyponatrémie hypo-osmolaire euvolémique modérée à 119 mmol/l, probablement en lien avec une polydipsie. Mme Y est déjà connue pour une hyponatrémie chronique pour laquelle un traitement avec capsule de sel a été mis en place. L'origine de la polydipsie est en lien avec une hyposialorrhée d'origine médicamenteuse (Amitriptyline). Au vu du bon effet de ce traitement sur les névralgies faciales, nous ne le modifions pas mais introduisons un sialagogue (Sulfarlem S25). L'acutisation de l'hyponatrémie est expliquée par le fait que la patiente s'est hyperhydratée (selon conseil médical) au vu de la pneumonie. L'évolution biologique de la natrémie est rapidement favorable après restriction hydrique de 1200 ml/24h. Un retour à domicile est organisé le 21.02.19. Mme Y, patiente de 46 ans, connue pour une BPCO GOLD II, des apnées du sommeil appareillée ainsi qu'un diabète de type II insulinorequérant, est hospitalisée pour une dyspnée. La patiente présente une augmentation de sa dyspnée et de sa toux accompagnée d'expectorations verdâtres depuis environ 1 semaine. Au statut, nous observons une désaturation à l'air ambiant et des sibilances sur toutes les plages pulmonaires. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux. Un frottis nasopharyngé revient positif à Influenza A. Nous retenons donc une exacerbation de sa BPCO suite à une infection virale à Influenza A. Nous entamons un traitement par aérosols d'Atrovent et de Ventolin, de la Prednisone systémique ainsi qu'une antibiothérapie par Augmentin. La patiente est peu compliante sur le traitement introduit et continue à fumer, ce qui rend difficile le contrôle de la phase aiguë de son exacerbation. Sur avis pneumologique, nous introduisons un traitement par Spiolto respimat 2.5 mcg 2x le matin avec aérosols de Ventolin et Atrovent en réserve. La patiente montre une légère amélioration clinique. Nous proposons un rendez-vous de contrôle le 27.03 à 15h15 chez Dr. X. Au niveau endocrinologique, la patiente est connue pour un diabète insulinorequérant suivi par Dr. X. À l'entrée, la patiente montre des profils glycémiques élevés en lien avec sa corticothérapie et une HbA1c à 9.9%. Nous adaptons son traitement insulinique selon l'avis des diabétologues. Un rendez-vous de contrôle en diabétologie est organisé le 6 mars 2019 à 10h en diabétologie à l'HFR de Fribourg. Sur le plan psychiatrique, la patiente est connue pour un trouble de la personnalité, de type état limite et trouble de l'adaptation avec une malcompliance médicamenteuse. La patiente ne semble pas comprendre la sévérité de sa pathologie pulmonaire et est systématiquement opposée à tout changement de médication. Un avis psychiatrique est demandé. La patiente quitte deux entretiens de manière précoce. Les psychiatres proposent l'introduction de Seroquel le soir avant le coucher pour traiter l'insomnie de la patiente. La patiente rentre à domicile le 20.02.2019. Mme Y présente donc un cal vicieux symptomatique de son radius distal droit avec une symptomatologie qui semble surtout liée à un ulna avec instabilité de la DRUJ. La patiente est adressée au team membre supérieur pour un avis spécialisé au courant du mois de mai, après arrêt de la double antiagrégation et dernier contrôle cardiologique. Au niveau de sa PTH D, elle a finalement décidé avec Dr. X de rester sur un traitement conservateur étant donné qu'il n'y a pas eu de nouvel épisode de luxation.Mme. Ferreira est admise en post opératoire pour surveillance. Il était prévu de traiter l'adénocarcinome du pancréas de la patiente par Whipple. Malheureusement, il est constaté une invasion trop importante per opératoire. Il est donc décidé d'effectuer une laparotomie exploratrice bi-sous costale, une cholécystectomie, une anastomose bilio-jéjunale, une anastomose gastro-jéjunale et deux anastomoses jéjuno-jéjunales manuelles. L'opération se déroule bien. Un JP est en place ainsi qu'une SNG. La patiente est légèrement instable en per-opératoire mais ne nécessite plus d'amine dès son réveil. La surveillance aux soins intensifs se passe sans particularité. L'antalgie est bien gérée avec l'analgésie péridurale. La patiente peut boire et une nutrition de stade 1 pourra être reprise selon avis chirurgical. Il reste un syndrome inflammatoire probablement post-opératoire qui est à suivre. Notons une croissance faible d'Entérocoque faecium dans le frottis de bile qui n'est pas traité vu l'évolution clinique. Une nutrition parentérale est poursuivie en parallèle à 50 % de la cible, et nous vous laissons le soin de suivre les électrolytes en vue de risque de syndrome de renutrition inapproprié. En vue de la stabilité clinique, la patiente est transférée à l'étage de chirurgie pour la suite de la prise en charge. Mme. Fluri se présente aux urgences en raison d'une baisse de l'état général associée à de la fièvre, des nausées, une pollakiurie avec brûlure mictionnelle et incontinence nouvelle avec un épisode de frissons solennels à domicile. Nous mettons en évidence une infection urinaire haute associée à une bactériémie à E. coli multi-sensible. L'évolution est rapidement favorable sous antibiothérapie IV par Ceftriaxone, permettant un relais per os à J3. L'antibiothérapie sera poursuivie pour une durée de 7 jours au total. Au vu d'une fibrose pulmonaire idiopathique diagnostiquée en 2009, nous réalisons un test de marche de 6 minutes. Mme. Fluri peut effectuer une distance de 335 m sans moyen auxiliaire, ce qui est légèrement diminué pour son âge. Elle présente en parallèle une désaturation post-effort avec une SpO2 à 85 % et une bonne récupération après l'effort (SpO2 93 %). Elle se montre asymptomatique durant la réalisation du test. Elle ne présente pas non plus de limitation dans son quotidien. Nous proposons de répéter les fonctions pulmonaires et d'organiser un suivi pneumologique si non réalisé récemment, ainsi que de répéter le test de marche de 6 minutes dans 6 mois pour suivre l'évolution. Un retour à domicile est organisé le 22.02.19. Mme. Haesler, 79 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour un état confusionnel aigu dans un contexte de pic hypertensif. La patiente présente des céphalées associées à une aphasie à domicile. Elle parvient à appeler une ambulance et est amenée aux urgences où un pic hypertensif à 230 mmHg de systole est mis en évidence. Le tableau neurologique, avec une hémianopsie droite régressive, une désorientation temporelle, confusion transitoire et quelques troubles de la mémoire (MMS à 26), est peu évocateur d'un AVC, d'autant plus que le CT avec cartes de perfusion est normal. L'association avec une HTA pourrait parler en faveur d'un PRESS, une IRM est en attente. L'évolution neurologique démontre la persistance de la désorientation temporelle qui reste à suivre. L'hypertension artérielle est jugulée avec de la Nifédipine et son traitement habituel de Métoprolol et Lisinopril. Un bloc de branche gauche incomplet est observé à l'ECG, un souffle aortique irradiant carotidien est ausculté. Une échocardiographie est à prévoir pour réévaluer la sténose aortique. La fonction rénale se dégrade avec une oligurie durant l'hospitalisation et l'apparition d'une insuffisance rénale AKIN 3 d'origine prérénale. La dégradation de la fonction rénale est mise sur le compte de la baisse agressive de la tension artérielle liée au traitement antihypertenseur, ainsi qu'à l'injection de produit de contraste. La réhydratation est poursuivie et la fonction rénale est à surveiller. Mme. Helfer, connue pour un diabète insulino-requérant, se présente aux urgences en raison d'une baisse de l'état général avec asthénie importante, polyurie et polydipsie évoluant depuis 2 semaines environ. La patiente rapporte ne plus avoir pris son traitement médicamenteux suite au décès de son mari survenu le 24.12.18. Selon l'hétéro-anamnèse réalisée auprès de sa fille, Mme. Helfer ne prend plus ses médicaments régulièrement depuis des mois, ne fait plus les contrôles de glycémie et n'aurait plus payé ses factures depuis six mois. La fille constate également des troubles cognitifs. Un suivi diabétologique rapproché (diabétologue et éducation par les infirmières spécialisées) a lieu durant le séjour. Un schéma d'insuline basal-bolus est mis en place en début d'hospitalisation puis simplifié avec l'Insuline Rhyzodeg 2x/J. Nous stoppons définitivement le traitement d'Invokana au vu du risque de déplétion volémique jugé important chez cette patiente qui s'hydrate peu durant la journée. Malgré le suivi rapproché par les infirmières en diabétologie, Mme. Helfer ne gère toujours pas son traitement d'insuline de manière autonome en fin de séjour (erreur dans les dosages) mais parvient à effectuer les contrôles glycémiques de manière satisfaisante et sait réagir en cas d'hypoglycémie. Les injections d'insuline seront donc effectuées 2x/jour par les infirmières des soins à domicile. Le bilan neuropsychologique du 22.01.13 révèle des troubles neuro-cognitifs majeurs d'intensité légère d'origine mixte probable, avec présence de difficultés exécutives, des difficultés en mémoire antérograde verbale, et des difficultés pour les praxies idéomotrices et constructives (léger), ainsi qu'une anosognosie avec une faible conscience de ses troubles et de leurs répercussions dans la vie quotidienne. Tout cela rend difficile la gestion autonome de son diabète à domicile. Un rendez-vous avec la justice de Paix est organisé le 29.01.19 sur demande de la fille de Mme. Helfer. Un curateur de gestion sera nommé. Malgré cela, un retour à domicile nous semble tout de même possible avec un encadrement infirmier, notamment pour la gestion des traitements. Mme. Kaya est hospitalisée pour investiguer des douleurs ostéo-articulaires invalidantes, notamment du genou droit et de la cheville gauche, rendant la mobilisation et la marche difficiles. Elle ne présente pas de douleur d'allure inflammatoire. Au bilan radiologique (Rx conventionnelle et CT du genou droit), on retrouve une image compatible avec un déscellement de prothèse du genou. Au vu de l'absence de fièvre, de syndrome inflammatoire et de symptomatologie inflammatoire, une origine septique au déscellement semble peu probable. Dans ce contexte, nous laissons le soin au chirurgien orthopédiste traitant de la patiente de réévaluer la situation. Concernant la cheville gauche, au vu d'une scintigraphie osseuse réalisée avant l'hospitalisation qui montrait une image compatible avec une fracture, un CT de la cheville est effectué. Au CT, on ne retrouve pas de fracture mais un remaniement dégénératif diffus des articulations de la cheville, du tarse ainsi que tarso-métatarsienne. Nous profitons de l'hospitalisation pour effectuer une densitométrie osseuse qui ne montre pas d'ostéoporose. Mme. Lanthemann se présente aux urgences après avoir chuté de manière accidentelle dans sa baignoire le 11.02.19 au soir. En raison d'une fatigue et d'un état de faiblesse dû à un syndrome grippal évoluant depuis 24h, elle ne parvient pas à se relever jusqu'à ce que son fils la retrouve le 11.02.19 au matin. Aux urgences, la patiente présente une fatigue importante, des myalgies généralisées et une toux sèche. Le statut est sans particularité.Au vu d'une anticoagulation par Sintrom et d'un doute sur un probable trauma crânien, un scanner cérébral est réalisé et ne montre pas de saignement. Nous diagnostiquons une grippe Influenza A, confirmée par frottis naso-pharyngé, que nous traitons de manière symptomatique. La chute et la faiblesse passagère sont mises dans le contexte de l'infection virale. L'évolution est rapidement favorable sous traitement symptomatique. A noter une pancytopénie d'origine centrale probablement dans le contexte de l'infection virale. Nous proposons au médecin traitant d'effectuer un contrôle de la formule sanguine à distance de l'infection. Mme. Y, 71 ans, est admise aux soins intensifs dans un contexte d'insuffisance respiratoire aiguë sur embolie pulmonaire post-opératoire et décompensation cardiaque avec épanchements pleuraux bilatéraux sur flutter auriculaire nouveau. La patiente a bénéficié d'une gastrectomie élective pour un adénocarcinome gastrique nouvellement diagnostiqué. Quatre jours après l'intervention, elle développe un flutter auriculaire nouveau associé à une dyspnée et oppression thoracique, symptomatologie qui motive la recherche d'une embolie pulmonaire qui est effectivement diagnostiquée. Au vu d'une détresse respiratoire d'origine mixte, à savoir sur l'embolie pulmonaire et sur une décompensation cardiaque d'origine rythmique dans le cadre du flutter auriculaire nouveau, la patiente est transférée aux soins intensifs. L'évolution sur le plan respiratoire est rapidement favorable après drainage des épanchements pleuraux bilatéraux et contrôle relatif de la fréquence cardiaque par des bêta-bloqueurs. Une anticoagulation thérapeutique par héparine est mise en place. Une échocardiographie cardiaque nous permet d'exclure des répercussions sur le cœur droit. L'évolution est marquée par la persistance d'un flutter auriculaire à conduction ventriculaire rapide. Sachant que le flutter date de moins de 48 heures, une cardioversion électrique est effectuée avec succès le 26.02.2019, ceci après échec de cardioversion médicamenteuse par Cordarone. Notons la présence d'un syndrome de renutrition inappropriée chez une patiente qui reçoit une nutrition entérale à petite dose depuis le 22.02.2019, sans contrôle préalable des électrolytes. Des carences sévères en potassium, phosphate et calcium sont substituées et l'alimentation entérale est majorée à 50% de la cible dès le 26.02.2019 avec un début de nutrition orale selon le protocole bypass dès le 26.02.2019. Un contrôle strict des électrolytes est nécessaire durant la période de réalimentation. L'antalgie post-opératoire est effectuée par une péridurale que nous avons pu sevrer et enlever le 26.02.2019. Une anticoagulation à dose infra-thérapeutique a été reprise 2 heures après l'ablation de la péridurale et nous vous laissons le soin d'augmenter l'héparine à dose thérapeutique 6 heures après l'ablation de la péridurale (à 17h). Les drains thoraciques, encore en place, sont à enlever dès que possible, ainsi que la voie veineuse centrale. Mme. Y est hospitalisée en électif pour une pose de pacemaker en raison de syncope récidivante sur bradycardie sinusale. La pose du pacemaker se déroule sans complication, il fonctionne de manière satisfaisante au contrôle immédiat. À la radiographie thoracique de contrôle, on ne retrouve pas de pneumothorax. Le Xarelto est réintroduit dès le 09.02.19. Un contrôle de la plaie est à organiser par la patiente à J10 chez le médecin traitant. Le contrôle du pacemaker aura lieu dans 4-6 semaines, Mme. Y sera convoquée par le service de cardiologie. Mme. Y présente un syndrome grippal avec toux, état fébrile et céphalées qui répondent bien à un traitement antalgique simple. La patiente évolue favorablement et peut rentrer à domicile avec la poursuite de l'antalgie. Mme. Y, patiente de 67 ans, est hospitalisée pour une décompensation ascitique dans un contexte de cirrhose secondaire à une insuffisance cardiaque sur cardiopathie congénitale. Pour rappel, la patiente bénéficie régulièrement de ponctions pour une ascite récidivante à la Villa St-François, la dernière ayant eu lieu mi-janvier. Elle consulte les urgences en raison d'une baisse de son état général qu'elle met en lien avec une augmentation progressive de son ascite depuis 1 mois, avec actuellement des douleurs abdominales surtout au flanc gauche, une dyspnée majorée en position couchée, une asthénie et une inappétence. Elle présente également depuis 2 jours une toux sèche, sans état fébrile ni frissons. La radiographie du thorax est superposable au comparatif de juin 2017, sans foyer ni épanchement mis en évidence. Elle bénéficie d'une ponction d'ascite ainsi que d'une majoration de son traitement diurétique, avec une légère amélioration clinique. Elle se plaint d'une douleur au niveau du flanc gauche, qui est habituelle et en lien avec une probable réaction inflammatoire péritonéale sur ponction d'ascite multiple. En accord avec le Dr. X, nous ne poussons pas plus avant les investigations. Au vu de l'état général insuffisant pour un retour à domicile, nous transférons la patiente à la Villa St-François le 28.02.2019 pour suite de prise en charge. Mme. Y, patiente de 71 ans, hospitalisée aux soins intensifs pour une surveillance post-opératoire pour un pneumopéritoine sur ulcère gastrique perforé dans un contexte de prise chronique d'AINS. La patiente présente des douleurs épigastriques en barre avec une irradiation dans les deux hypochondres associées à des nausées et vomissements. Elle mentionne également plusieurs épisodes de méléna. Le bilan radiologique montre un pneumopéritoine sur une perforation gastrique. Elle bénéficie d'une laparotomie exploratrice avec lavage péritonéal et une suture d'estomac. Nous débutons un traitement par Pipéracilline/Tazobactam et Fluconazole. Durant le séjour aux soins intensifs, elle reste hémodynamiquement stable. Des opiacés sont introduits dans le contexte post-opératoire, elle présente une carbonarcose avec un bon réveil suite à l'administration de Naloxone et une séance de ventilation non invasive. Nous continuons avec une antalgie simple et la patiente reste confortable. Mme. Y n'a actuellement plus l'aptitude à conduire et elle ainsi que son mari en sont informés. Propositions de contrôles chez le médecin traitant • suivi de l'humeur et si persistance des troubles dépressifs à long terme, évaluer l'introduction d'un suivi psychiatrique/psychologique ou d'un traitement antidépresseur • évaluation neuropsychologique de contrôle dans 6 mois Contrôles • échocardiographie le 19.03.2019 à 15h00 en cardiologie à l'HFR Fribourg • EEG de contrôle le 27.05.2019 à 09h00 en neurologie à l'HFR Fribourg • contrôle clinique chez Dr. X le 11.07.2019 à 16h00 à l'HFR Meyriez Mme. Y, une patiente de 73 ans, est hospitalisée pour une suspicion d'hémorragie digestive haute. Pour rappel, elle consulte les urgences en raison d'une asthénie, d'une dyspnée et de vertiges à l'effort en augmentation progressive depuis 4-5 jours, avec une sensation de gêne épigastrique et plusieurs épisodes de méléna. Le bilan d'entrée montre une anémie normochrome normocytaire et une hémorragie digestive haute est suspectée. L'Aspirine Cardio et le Sintrom sont mis en suspens, la crase est réversée en raison d'un INR supra-thérapeutique et une thérapie intraveineuse par IPP est débutée. Elle bénéficie de plusieurs transfusions érythrocytaires. L'OGD du 19.02.2019 n'identifie aucune source de saignement. L'hémoglobine demeure stable par la suite, avec amélioration de l'état général et stabilité hémodynamique. Afin de poursuivre les investigations, une colonoscopie complémentaire est organisée à 2 semaines au vu de l'évolution initiale rassurante. À noter qu'elle a bénéficié en novembre 2018 d'une OGD et colonoscopie lors de laquelle plusieurs polypes coliques et gastriques ont été réséqués (dysplasie de bas grade), mais avec un examen colique de mauvaise qualité. Ainsi, la patiente sera hospitalisée pour bénéficier d'une préparation colique de qualité optimale.Les divers troubles électrolytiques sont substitués per os avec une évolution favorable. Une douleur du membre inférieur gauche a fait suspecter une TVP au vu du contexte, laquelle a été cependant infirmée par un bilan échographique veineux. Dans le contexte du saignement, nous réévaluons l'indication à poursuivre le traitement de Sintrom, initié il y a 10 ans dans le cadre d'une TVP post-opératoire avec EP et AIT, associé à un FOP documenté à l'échocardiographie. Au vu de l'absence d'autres événements de MTEV dans les antécédents, de FA ou d'autres phénomènes cardio-emboliques, ainsi que de l'âge de la patiente permettant de banaliser le risque lié au FOP, nous concluons que l'anticoagulation n'est plus indiquée (en accord avec le cardiologue le Dr. X). Au vu de l'évolution favorable et de l'absence de critères d'urgence à réaliser le prochain examen endoscopique, nous laissons la patiente regagner son domicile le 22.02.2019, avec une valeur d'hémoglobine à 98 g/L à la sortie. Une colonoscopie est agendée au 6 mars et un contrôle clinique et biologique (Hb) sera à réaliser dans l'intervalle à votre consultation. Nous avons prévenu la patiente de reconsulter rapidement en cas de détérioration de l'état général et/ou de nouveaux signes d'extériorisation. Mme. Y présente, suite à cette fracture difficile avec déplacement secondaire, un conflit ulno-carpien sur une dysbalance radio-ulnaire avec une ulna +. Dans la situation actuelle, nous avons 3 options que nous discutons avec la patiente. • Soit, de poursuivre le traitement conservateur avec les limitations et les douleurs qui se sont stabilisées à un bas niveau pour l'instant. • Soit d'effectuer une arthrodèse radio-carpienne, traitement efficace pour les douleurs. • Soit d'envisager un raccourcissement du cubitus en regard du conflit mécanique ulno-carpien avec une ulna +. Actuellement, la patiente doit réfléchir aux différentes options. Nous lui proposons d'effectuer un CT scanner de contrôle pour mieux analyser la géométrie articulaire et nous la reverrons en avril pour discuter de la suite de la prise en charge. Entre-temps, poursuite de l'ergothérapie comme proposé par l'ergothérapeute, nouvelles séances de physiothérapie pour les symptômes myotendineux et le manque de force. Poursuite de l'arrêt de travail (fait rétrospectivement du 04.01 au 06.02.2019 et dès le 07.02.19 au 07.04.2019). Pour l'inflammation des tendons au niveau du 3ème rayon de la main gauche, nous proposons pour l'instant un traitement anti-inflammatoire local et ergothérapeutique. En cas de non-amélioration, une infiltration in loco dolenti serait à envisager. Mme. Y présente une arthrose suite à une lésion chronique du ligament collatéral ulnaire. Pour corriger le problème mécanique, avec une instabilité médio-latérale au niveau de la MCP, une reconstruction du ligament collatéral ulnaire (par greffe Palmaris Longus) serait envisageable. Le bénéfice sur le plan des douleurs, suite à cette intervention, est difficile à juger en regard de l'arthrose présente. Nous allons encore discuter de la situation du cartilage résiduel avec nos collègues de la radiologie. En cas d'absence d'amélioration satisfaisante suite à la reconstruction, l'implantation d'une prothèse dans un 2ème temps sera envisageable. Faire ces 2 gestes en même temps est déconseillé en regard des différents protocoles postopératoires contradictoires (immobilisation 6 semaines suite à la reconstruction et mobilisation précoce suite à la prothèse). Une possibilité finale pour améliorer les douleurs serait l'arthrodèse métacarpo-phalangienne. Comme la patiente présente une maladie de Dupuytren stade I au niveau du 4ème rayon, en cas d'intervention chirurgicale, on procéderait en même temps à une cure de Dupuytren. Vu que les douleurs sont décrites comme assez diffuses par la patiente, et qu'elle nous demande de prendre nous-mêmes la décision à sa place, nous proposons en première ligne d'effectuer une infiltration métacarpo-phalangienne par nos collègues de la radiologie pour prouver la source des douleurs. On revoit la patiente après discussion avec les radiologues. Mme. Y nous est adressée en raison d'une dyspnée en aggravation progressive depuis deux semaines. Elle est traitée pour une pneumonie lobaire droite par Tavanic depuis une semaine sans amélioration sur la dyspnée. Mme. Y présente une toux grasse (en amélioration depuis le traitement antibiotique), une dyspnée NYHA III (NYHA II habituellement), ainsi que des œdèmes des membres inférieurs en augmentation associés à une prise progressive de 5 kg sur trois semaines. Au statut, on retrouve essentiellement des signes de surcharge volémique. Nous diagnostiquons une décompensation cardiaque globale probablement d'origine para-infectieuse. Un traitement par Lasix iv et Aldactone est mis en place, permettant une perte de 5 kg. Le traitement diurétique habituel est repris à la sortie. L'oxygénothérapie peut être sevrée après 4 jours. Le traitement cardiaque est optimisé avec l'introduction de Dilzem à la place du Zanidip. Concernant la fonction rénale, Mme. Y présente une acutisation d'origine rénale de son insuffisance rénale chronique. Au vu de l'apparition d'un rash cutané prurigineux et d'une légère éosinophilie, nous suspectons une néphrite interstitielle probablement d'origine médicamenteuse. Les médicaments incriminés sont soit le Tavanic (introduit 10 jours avant l'apparition du rash) ou le Furosemide iv (introduit 7 jours avant le rash). L'évolution de la fonction rénale est spontanément résolutive, retournant aux valeurs habituelles (créatinine 160 umol/l). Au vu de valeurs de la créatinine très labiles associées à une hyperkaliémie chronique, nous reprenons le traitement habituel de Resonium et ne réintroduisons pas le sartan pour le moment. Nous laissons le soin au médecin traitant de suivre la fonction rénale ainsi que la kaliémie en ambulatoire et de réintroduire le sartan si jugé indiqué. Mme. Y est admise le 12.01.2019 aux soins intensifs en raison d'une hémorragie cérébrale survenant dans un contexte de thrombopénie chronique sur hypersplénisme. Un CT-scan cérébral effectué aux urgences montre une hémorragie des noyaux gris centraux droits avec effet de masse (déviation de la ligne médiane). Un avis neurochirurgical ne propose pas d'intervention immédiate et une surveillance clinique rapprochée dans un premier temps. Sur avis hématologique, un soutien transfusionnel par un concentré plaquettaire et 2 PFC est débuté aux urgences. La patiente est ensuite transférée aux soins intensifs pour suite de prise en charge. Sur le plan clinique, la surveillance neurologique montre une légère péjoration avec apparition d'une désorientation temporelle nouvelle. Un CT-scan cérébral de contrôle à 24h ne montre cependant pas de majoration de la lésion hémorragique ni de son effet de masse sur le parenchyme adjacent. Un avis neurochirurgical propose de maintenir la surveillance neurologique pendant 48h au total. Les CT-scan de contrôle réalisés le 12, 13, 17 et le 23.01.19 montrent une stabilité de l'hémorragie ainsi que de l'hydrocéphalie. Le bilan neuropsychologique du 21.01.19 met en évidence une anosognosie, des difficultés mnésiques verbales et visuelles (apprentissage, récupération, reconnaissance), des difficultés exécutives (incitation, programmation, flexibilité), accompagnées d'un comportement ralenti, amimique et modérément aspontané, des difficultés en cognition sociale (théorie de l'esprit et émotions faciales) ainsi que des difficultés attentionnelles d'intensité modérée à sévère qui sont compatibles avec l'atteinte des noyaux gris centraux à droite. Au bilan neuropsychologique d'évolution du 14.02.19, on retrouve une amélioration globale avec une persistance de difficultés en mémoire épisodique (verbal et non verbal) ainsi que des troubles exécutifs et attentionnels. Dans ce contexte, une suite est prévue en neuro-réhabilitation intensive à l'hôpital de Meyriez. Le retour à domicile, la conduite ainsi que la reprise du travail (patiente exerçant comme psychologue) sera à réévaluer à Meyriez.Au vu d'une actualisation des céphalées, une imagerie cérébrale est réalisée le 04.02.19 et montre une légère augmentation de la déviation de la ligne médiane vers la gauche ainsi que de la dilatation ventriculaire. L'imagerie de contrôle du 08.02.19 se montre stable. Un avis est pris auprès de notre confrère neurochirurgien (Dr. X). Au vu de céphalées spontanément résolutives, non positionnelles (non aggravées par la position couchée), de l'absence d'anomalie au statut neurologique et des changements minimes à l'imagerie cérébrale, une prise en charge conservatrice est préconisée. Un traitement par Diamox est proposé par les collègues neurochirurgiens, que nous ne mettons pas en place au vu de l'insuffisance hépatique. Mme. Y a nécessité un soutien transfusionnel conséquent durant l'hospitalisation avec transfusion de 4 PFC, 2 CE, 3 g de Fibrinogène et 2 CP. Le suivi biologique montre par la suite une stabilité de la formule sanguine. Dans le contexte de la cirrhose connue, on met en évidence une composante d'encéphalopathie hépatique (stade 2), marquée par une léthargie et un astérixis, motivant l'introduction de Duphalac. L'évolution de l'encéphalopathie est rapidement favorable sous traitement. Par la suite, la fonction hépatique se montre stable. Au vu du jeune âge de la patiente, un suivi spécialisé aux HUG sera à prévoir à la sortie (Mme. Y a déjà été suivie en 2016 en gastro-entérologie au HUG). Mme. Y, 75 ans, est admise aux soins intensifs pour la découverte d'hémorragies cérébrales multiples le 24.02.2019. La patiente fait appel en raison de vertiges et vomissements en péjoration depuis plusieurs jours. Elle est amenée en ambulance aux urgences. Un CT cérébral permet d'objectiver plusieurs lésions hémorragiques sans indication neurochirurgicale. Une angiopathie amyloïde cérébrale est suspectée. Une ponction lombaire reste à discuter si le doute sur une vascularite ne peut être levé par l'IRM. La patiente présente un examen neurologique sans particularité avec un NIHSS à 0. Les vertiges disparaissent, mais les nausées persistent malgré le traitement antiémétique. Un contrôle strict des tensions artérielles est effectué avec introduction de Labétalol et Lisinopril pour viser une tension artérielle systolique inférieure à 140 mmHg. Mme. Y présente depuis hier des douleurs thoraciques d'apparition progressive, puis le soir irradiation dans les 2 bras, les épaules et le dos. Ce matin, mêmes symptômes, mais plus forts, qui ont diminué à midi. Perte de connaissance cet après-midi, ce qui la fait consulter aux urgences. Aux urgences, la patiente est prise en charge et l'ECG ne montre pas de modifications évocatrices d'un syndrome coronarien. La patiente présente néanmoins des extrasystoles et un phénomène R sur T se produit avec l'apparition d'une fibrillation ventriculaire objectivée et prise en charge ad hoc. La patiente présente un retour d'une circulation spontanée après un choc de 200 J. Elle est par la suite transférée aux soins intensifs C après accord du Dr. X, médecin adjoint aux soins intensifs. Nous recommandons des investigations à la recherche de la cause de cet ACR, comme un événement coronarien ou une embolie pulmonaire. En l'absence de ces diagnostics, la sarcoïdose peut être la cause de l'arythmie. Mme. Y est amenée aux urgences en ambulance en raison d'une baisse de l'état général présente depuis 3 jours, associée à une toux grasse, une rhinorrhée ainsi que des douleurs abdominales et thoraciques lors de la toux. Elle présente également des vertiges lors du passage en position debout. Nous diagnostiquons une bronchite d'origine virale qui évolue favorablement sous traitement symptomatique. Un orthostatisme est également présent et se résout après hydratation. Des conseils sont également donnés à ce sujet à la patiente (levée progressive). Afin de favoriser l'autonomie et l'indépendance à domicile, nous ne mettons pas en place des bandes de contention (ce qui nécessitera le passage de soins à domicile pour la mise en place). Un retour à domicile est organisé le 05.02.19. Mme. Y est admise en post-opératoire d'un bypass gastrique par laparoscopie. L'opération s'est bien déroulée sous anesthésie générale avec intubation vigile. L'antalgie est contrôlée par opiacés (Morphine puis Tramadol). Les boissons sont reprises à 200 ml en post-opératoire et le régime bypass 1 débuté à J1. La surveillance post-opératoire est compliquée d'une tachycardie ventriculaire de courte durée, asymptomatique et spontanément résolutive, sans récidive sur les 15 heures qui suivent. Les électrolytes sont dans les normes. En raison de plusieurs facteurs de risque cardiovasculaire (anamnèse familiale, fumée, hypercholestérolémie, obésité), un NSTEMI est exclu par suivi d'enzymes. La Kétamine reçue durant l'opération pourrait avoir contribué. Nous proposons un Holter au courant de la semaine suivante. Mme. Y, 64 ans, est admise le 18.02.2019 en Stroke Unit monitorée pour suspicion d'AVC suite à une dissection de l'artère vertébrale droite. La patiente se présente pour un syndrome vertigineux aigu avec une ophtalmoplégie internucléaire droite, une parésie faciale mineure gauche et une hypoesthésie péri-buccale et linguale. Le CT time is brain révèle une dissection focale de l'artère vertébrale droite en V2 non sténosante, sans asymétrie des cartes de perfusion, ni d'occlusion vertébro-basilaire. Un traitement par aspirine est introduit. Le doppler des vaisseaux pré-cérébraux montre une sténose focale de l'artère vertébrale droite non significative. L'IRM cérébrale ne dévoile pas de lésion constituée. Le bilan glycémique et lipidique s'avère dans la norme. La surveillance se déroule sans complication et l'évolution neurologique est favorable avec une disparition complète des symptômes. Le diagnostic d'AIT mineur ponto-mésencéphalique droit sur dissection focale vertébrale droite est retenu. Le traitement par aspirine est poursuivi. La patiente rentre à domicile avec un suivi neurologique en ambulatoire (RDV chez le Dr. X le 05.06.2019 à 15 h 15). Mme. Y, une patiente de 88 ans, connue pour un adénocarcinome du côlon traité par de la chimiothérapie palliative, est transférée le 21.01.2019 de la réhabilitation de Montana à l'hôpital de Sion en raison d'une baisse de l'état général et d'une confusion dans un contexte de syndrome inflammatoire en raison d'une pyélonéphrite traitée par Ciprofloxacine. Elle est transférée le 22.01.2019 en médecine interne à Meyriez pour la suite de la prise en charge de la pyélonéphrite. À son entrée en médecine interne, elle se plaint d'une dysurie et d'une pollakiurie. En raison d'une péjoration de son état général et de sa confusion persistante, elle est transférée en soins palliatifs. À l'entrée le 28.01.2019 en soins palliatifs, la patiente est somnolente, peu réveillable et confuse, avec un état général diminué et une déshydratation. Elle semble inconfortable. L'auscultation cardiaque montre un B1B2 bien frappé, irrégulier. Les bruits abdominaux sont diminués, l'abdomen est légèrement tendu, mais sans défense ni détente. Elle montre un état de déshydratation sévère.Elle présente une persistance du syndrome inflammatoire, afébrile avec une clinique urinaire. Nous refaisons une uriculture le 28.01.2019, car la culture à l'hôpital de Sion est revenue contaminée. La culture du 28.01.2019 est revenue négative. Au vu de la péjoration progressive de l'état général, nous passons à des soins de confort et Mme. Y décède le 04.02.2019, entourée de ses proches, paisible et soulagée de toute douleur ou autre symptôme. Mme. Y, 64 ans, est admise pour une insuffisance respiratoire hypoxémique avec désaturation importante malgré une oxygénothérapie à 100%. Une sonde nasogastrique est mise en place et la patiente est rapidement intubée. Elle présente ensuite rapidement une désaturation majeure résistante à la ventilation en pression positive à 100% de FiO2. Face à la gravité de l'hypoxémie, une bronchoscopie de nettoyage est effectuée en urgence, permettant une désobstruction et une reventilation satisfaisante. Du Tazobac est introduit de manière empirique. L'évolution respiratoire est ensuite rapidement favorable et la patiente est extubée le lendemain avec un relais par VNI. L'évolution respiratoire est progressivement favorable. L'évolution chirurgicale est favorable avec des gaz et une reprise de l'alimentation sans iléus. La physiothérapie est intensifiée et le pansement PICO est enlevé. A noter la découverte d'une hémoculture positive pour un staphylocoque capitis. Cela est probablement une contamination, mais nous vous proposons de prendre un avis infectiologique si une autre bouteille devait se positiver. La patiente est ensuite transférée dans l'unité de chirurgie pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, 73 ans, a été admise en post-opératoire de la fermeture de son laparostome. La patiente a été admise le 28.01.2019 pour un choc septique sur perforation sigmoïdienne avec péritonite des quatre quadrants. Une laparotomie exploratrice avec sigmoïdectomie selon Hartmann a été réalisée en urgence. La paroi abdominale n'a pas pu être refermée immédiatement, malgré 5 reprises chirurgicales. Un laparostome avec pression négative a été nécessaire dans l'intervalle. Le 08.02.2019, l'aponévrose a pu être refermée avec la mise en place d'un VAC sous-cutané et la fermeture cutanée a été possible le 12.02.2019. Une antibiothérapie à large spectre par Tazobactam a été maintenue pendant 14 jours pour traiter la péritonite stercorale et une pneumonie d'aspiration. Suite à la fermeture de l'aponévrose, un syndrome inflammatoire en augmentation a motivé la poursuite d'une bithérapie de ciprofloxacine et métronidazole, qui a été stoppée le 13.02.2019 vu l'évolution favorable des paramètres inflammatoires et cliniques. Une décompensation respiratoire hypoxémique hypercapnique aiguë avait été initialement attribuée à une pneumonie d'aspiration et à des atélectasies récidivantes post-opératoires dans le contexte du syndrome restrictif et obstructif sévère. Le 08.02.2019, suite à l'extubation, une nouvelle aggravation de l'insuffisance respiratoire globale a nécessité une intensification de la ventilation non invasive et de l'oxygénothérapie. Le traitement cardiaque et diurétique a aussi été adapté du fait de l'insuffisance ventriculaire gauche connue. La physiothérapie respiratoire et la CPAP personnelle nocturne sont poursuivies. Une nutrition parentérale totale a été initialement nécessaire en raison d'un iléus paralytique et des reprises chirurgicales répétées. La réalimentation progressive par voie orale est actuellement en cours, ce qui devrait permettre de stopper la nutrition parentérale et de retirer la voie veineuse centrale soit le 14.02 ou 15.02.2019. Une insulinothérapie intraveineuse continue a été remplacée par un schéma d'injections sous-cutanées à adapter selon les apports nutritionnels. La patiente a été transférée le 13.02.2019 dans le service de médecine interne avec l'accord des collègues chirurgiens. Vu les comorbidités multiples et le déconditionnement, une attitude raisonnable sera adoptée en cas de nouvelle détérioration. Une réadmission aux soins intensifs pourrait être considérée en fonction de la situation si une récupération rapide est envisageable. Mme. Y se présente aux urgences amenée par ambulance en raison d'une anxiété à domicile. Pour rappel, Mme. Y est hospitalisée à Tavel en orthopédie du 30.01.2019 au 06.02.2019 suite à une déchirure du m. gastrocnémien gauche. Dès son retour à domicile, la situation est compliquée, Mme. Y se mobilise difficilement à l'aide de ses béquilles, elle rapporte des difficultés pour la réalisation de AVQ et la préparation des repas. Durant la soirée du 07.02.2019, elle présente un épisode de douleurs épigastriques à type oppressif, survenant au repos, associées à une anxiété importante. Les douleurs sont spontanément résolutives après une dizaine de minutes. Au vu d'une appréhension à rester seule à domicile, elle se rend aux urgences. Les douleurs épigastriques présentées la veille de l'hospitalisation sont probablement d'origine anxieuse, une origine cardiaque est écartée au vu d'un ECG rassurant et après réalisation de Troponine. Concernant l'hématome du membre inférieur gauche, celui-ci se montre stable, la patiente présente uniquement des douleurs légères lors de la charge. Mme. Y se mobilise par ailleurs sans difficulté à l'aide de béquilles. Pour améliorer la situation à domicile, des aides sont mises en place 2x/j pour une aide à la toilette, les repas seront livrés. Le suivi de l'hématome et de la circonférence du mollet sera poursuivi à domicile. Un suivi orthopédique est déjà agencé pour le 22.02.2019. Un retour à domicile est organisé le 14.02.2019. Mme. Y, 44 ans, est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour prise en charge élective d'un adénocarcinome sigmoïdien par hémi-colectomie gauche. En vue d'une lésion utérine d'origine indéterminée, il est convenu d'une hystérectomie avec adnexectomie dans le même temps opératoire. Le 21.01.2019, elle bénéficie de l'intervention sus-mentionnée. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire est favorable, la réalimentation est bien tolérée avec une reprise du transit le 26.01.2019. Les résultats histopathologiques mettent en évidence un adénocarcinome colorectal peu différencié de stade pT4a pN2b (45/89) V1 L1 Pn1 R0 G3. Le cas de la patiente est présenté au colloque interdisciplinaire oncologique du 30.01.2019 où il est décidé de proposer un traitement par chimiothérapie. Mme. Y sera vue en consultation par nos confrères du service oncologique le mercredi 06.02.2019 pour suite de prise en charge. Nous prévoyons également la pose d'un Port-à-cath le 08.02.2019 à Tafers. A noter, l'apparition en post-opératoire de paresthésie en membre inférieur droit avec péjoration clinique et syndrome de pied tombant le 30.01.2019. Nous demandons un avis neurologique (Dr. X) et il est recommandé de suivre un traitement conservateur par ergothérapie et physiothérapie et de reconsulter en cas de péjoration clinique. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 01.02.2019. MMS à 20/29 (-1 point dans l'orientation (année incorrecte), -3 points pour le calcul, -1 point pour le langage, -1 point pour la praxie constructive, phrase écrite non testée car tremor +++) Test de l'horloge à 3/7 MMS à 25/30, horloge 6/6, GDS 5/15 le 25.01.2019 MMS, Clock test, GDS le 11.02.2019 Suivi clinique et réafférentation MMS et test de la montre Bilan biologique: vit B12 et B9 dans la norme Service de liaison • MMS et test de l'horloge • GDS • MMS 15/30, Clock-test-MMS 4/9, GDS 1/15 Entretien familial avec le fils de Mme Y le 17.01 • MMS 15/30, Clock-test-MMS 4/9, GDS 1/15 • Entretien familial avec le fils de Mme Y le 17.01 • Bilan Neuropsychologique à annuler (MMS<15) • MMS 15/30, Clock-test-MMS 4/9, GDS 1/15 • Entretien familial avec le fils de Mme Y le 17.01.2019 • Bilan Neuropsychologique à annuler (MMS<15) • MMS 24/30, montre 4/6, GDS 2/15 le 16.01.2019 • MMS 26.5/30, Clock 6/6, GDS 3/15 le 16.01.2019 • MMS 28/30, Test de l'horloge 3/7, GDS 2/15 le 06.02.2019 • MMS 28/30, test d'horloge 5/6, GDS 2/15 le 18.12.2018 Laboratoire cf annexe Radio bassin hanche (22.01.2019): pas de signes d'une dislocation, coxarthrose bilatérale Apport d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce de min. 21 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur douleurs aiguës suite à une réduction ouverte et ostéosynthèse par 2 cerclages et PFNA (Dr. X / Dr. X) après une fracture pertrochanthérienne gauche Kyle IV le 09.12.2018 et par réduction/perte des capacités fonctionnelles au niveau locomoteur, autonomie, nutritionnelle et l'état général. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 47 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 2/28 avec tintébin/Arjo Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 40/24 MMS/CLOCK 28/30 - 5/6 GDS 2/15 Évaluation sociale (5 domaines) 18.12.2018 Colloque interdisciplinaire 1-2 19.12./27.12.2018 Colloque interdisciplinaire 3-6 03.01./09.01./16.01./23.01.2019 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 13/28 avec tintébin Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 73/27 • MMS 29/30, Horloge 0/7, GDS 1/15 le 22.11.2018 • MMS 30.01.2019 : 17/28 (tests écrits ou dessinés non réalisables) Test de l'horloge : 0 points (non réalisable) Bilan neuropsychologique 01.02.2019 : en comparaison à l'évaluation réalisée en juin 2016, ce nouveau bilan neuropsychologique met en évidence un fléchissement global des fonctions cognitives. Le tableau est aujourd'hui celui d'un trouble neurocognitif majeur d'intensité modérée d'origine probablement mixte compte tenu de l'évolution de Mme Y, du type de difficultés retrouvées ainsi que des données de l'imagerie cérébrale. Précisions également qu'il n'est pas exclu que l'épisode aigu puisse participer aux difficultés observées. En raison du tableau cognitif et des multiples chutes à domicile selon les notes du DPI, nous soutenons le projet d'un séjour dans une structure cadrée (UATO ?) en vue d'un placement. Projet : UATO avec double projet • MMS 30/30, Test de l'horloge 7/7 le 30.01.2019 • MMS 15/30, Clock-test-MMS 4/9, GDS 1/15 ECG le 8.2.2019 Radiographie thorax Hémoculture Mobilisation active et passive pour une récupération progressive des amplitudes, pas d'activité à risque. Prochain contrôle dans 6 semaines. Mobilisation avec charge selon douleurs dans le Vacopedes. Je fais encore une ordonnance pour une semelle en carbone qu'elle peut mettre dans ses chaussures de la vie de tous les jours. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Mobilisation du bras en écharpe. Mobilisation du coude en physiothérapie en évitant l'extension maximale. Pas de port de charge. Contrôle à distance. Mobilisation en charge selon douleurs. Protocole de pansement par Bétadine tulle à continuer. Nous le reverrons dans 1 semaine pour un contrôle clinique. Mobilisation intensive avec physiothérapie vestibulaire : A PRESCRIRE !!! Mobilisation selon douleur. Contrôle à ma consultation le 13.3.19. Mobilisation selon douleur. Contrôle à ma consultation le 13.3.19 pour juger de l'effet de ce geste. Mobilisation selon douleur. Réinitiation d'un traitement de physiothérapie. Contrôle à ma consultation le 13.3.19. Mobilisation selon douleurs. Ablation des pansements à 24h. Contrôle à ma consultation le 13.3.19. Mobilisation selon douleurs, ablation du pansement à 24 heures. Contrôle à ma consultation dans 4 semaines soit le 13.05.2019. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 24 heures. Prochain contrôle à ma consultation le 27.02.2019. Mobilisation selon douleurs, contrôle à ma consultation le 27.02.2019. Modifications ECG et élévation des troponines. Moi, médecin soussigné, certifie que le patient susnommé a été victime d'un accident de sport le 20.01.2019. Ce jour-là, le patient est amené aux urgences par la Rega suite à un traumatisme de l'épaule gauche lors d'une descente à ski en compétition. À son arrivée, vu l'impossibilité de bouger le bras et les douleurs présentées par le patient, nous avons dû couper au ciseaux la combinaison et le dossard que le patient portait sur lui. Le matériel coupé a été donné à la famille de l'accidenté. En restant à votre entière disposition, recevez nos salutations les meilleures. Monitoring cardio-respiratoire Monitoring cardio-respiratoire du 13.02 au 16.02.2019 Monitoring cardio-respiratoire du 13.02 au 16.02.2019 Monitoring cardio-respiratoire du 27.01.2019 au 04.02.2019 Monitoring cardio-respiratoire du 28.11 au 9.12.2018 Monitoring cardiopulmonaires (saturation stable sous air ambiant) Médecine anthroposophique Monitoring cardio-respiratoire Sonde naso-gastrique Médecine anthroposophique Monitoring cardiopulmonaires Co-Amoxicilline 30 mg/kg/dose 3x/jour p.o. durant 7 jours Dexeryl crème 4x/jour Paracétamol 15mg/kg/dose et Weleda chamomilla en réserve bilan sanguin: formule sanguine complète et bilan hépatique Contact donné à la maman pour un RDV en dermatologie Monitoring cardio-respiratoire Médecine anthroposophique Oxygénothérapie aux lunettes du 13.02 au 16.02 Monitoring cardio-respiratoire Oxygène aux lunettes du 09.02 au 11.02 Médecine anthroposophique Monitoring cardio-respiratoire Oxygène aux lunettes selon besoin Monitoring cardio-respiratoire Oxygénothérapie du 07.02 au 09.02 à maxima 4L Ventolin du 09.02 aux 2h avec espacement progressif Atrovent 250 microgrammes 4x/j du 07.02 au 08.02 Betnesol 0.2 mg/kg/j 1x/j pendant 3 jours Monitoring cardio-respiratoire O2 aux lunettes du 08.02 au 11.02 Médecine anthroposophique Monitoring cardio-respiratoire Traitement symptomatique y compris médecine anthroposophique Oxygénothérapie aux lunettes du 07.02 au 10.02 Monitoring cardiorespiratoire Ventolin 3x 6 pushs aux 20 minutes aux urgences Oxygénothérapie du 24.01.2019 au 04.02 Ventolin du 24.01 au 05.02.2019 Atrovent 24.01 au 01.02.2019 Betnesol 0.25 mg/kg/j, soit 3.5 mg pour 3 jours depuis le 24.01.2019 Axotide repris le 30.01 Médecine anthroposophique Physiothérapie respiratoire Monitoring Prescription d'Adalat en réserve Profil tensionnel à effectuer sur une semaine Contrôle chez le médecin traitant à une semaine Mono-arthrite de l'articulation interphalangienne du premier orteil droit d'origine X. DD : poussée de goutte. Microtraumatismes répétés (nouvelles chaussures). Mono-arthrite du gros orteil du pied droit, d'origine indéterminée. DD : poussée de goutte, chondrocalcinose, tendinite le 11.02.2019. Mono-arthrite inflammatoire du genou G probablement dans le cadre d'une spondylarthropathie enthéropathique. Monoarthrite métatarso-phalangienne du 4ème rayon pied gauche en 2011. DD : chondrocalcinose, crise de goutte. Monoarthrite premier rayon G le 17.11.2018 sur probable goutte, précipité par introduction thiazidique • Suivi biologique • AINS, glace pendant 5 jours • Hyperuricémie au laboratoire -> nous proposons d'introduire un traitement hypo-uricémiant si > 3 crises/an Mononucléose en 2006. Appendicite aiguë. Mononucléose en 2006. Appendicite aiguë. Mr. Y est admis pour l'intervention susmentionnée. Nous le gardons en surveillance en raison de vertiges rotatoires postopératoires, avec un nystagmus spontané battant initialement à droite puis à J1 à gauche et un Halmgyi pathologique à droite. Nous introduisons un traitement de solumedrol, de tanganil et antiémétiques avec amélioration progressive de la symptomatologie et reprise d'une mobilisation satisfaisante, permettant son retour à domicile le 21.02.2019. À la sortie, le Weber est latéralisé à droite et le Rinne négatif à droite, positif à gauche, le nystagmus spontané n'est plus visible sans Frenzel. Mr. Y est un patient connu pour une artériopathie oblitérante des membres inférieurs bilatérale avec un statut post-stenting de l'axe ilio-fémoral des deux côtés et un statut post-pontage fémoral croisé ayant présenté une première infection de l'abord inguinal droit en décembre 2018. Le patient présente une nouvelle infection du même site pour laquelle nous effectuons un débridement avec des soins de plaie quotidiens. Sur le plan infectiologique, les frottis reviennent négatifs. Sur le plan antalgique, de la prégabaline est instaurée en cours d'hospitalisation en raison de douleurs de type neuropathique au niveau du pli inguinal droit. L'évolution est par la suite tout à fait favorable, permettant un retour à domicile le 05.02.2019. Mr. Y est connu pour un adénocarcinome prostatique métastatique avec invasion vésicale et une néphrostomie gauche à demeure. Le patient se présente aux urgences en raison d'une obstruction de la néphrostomie qui s'est détachée et déplacée par la suite. Le patient n'a pas d'autre plainte. Le laboratoire montre une insuffisance rénale aiguë AKIN I probablement d'origine post-rénale sur chronique. Nous hospitalisons Mr. Y pour remise en place de la néphrostomie le 29.01.2019 qui est finalement changée complètement le 31.01.2019 sous anesthésie générale et contrôle scannographique. Par la suite, la diurèse est bonne, la créatinine se corrige et atteint les valeurs habituelles. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 02.02.2019 accompagné de sa famille et avec réactivation des aides à domicile quotidiennes par Spitex. Mr. Y est un patient de 87 ans connu pour un carcinome prostatique avec invasion du plancher vésical et des métastases osseuses, porteur d'une néphrostomie gauche à demeure. Il se présente en raison de douleurs sus-pubiennes avec baisse de l'état général et récidive de macrohématurie. Le laboratoire à l'entrée ne montre pas de syndrome inflammatoire, créatinine stable et une hémoglobine stable. Le patient est hospitalisé avec mise en place d'une sonde urinaire trois voies avec des rinçages en continu et manuels avec évacuation de caillots sanguins. Un culot érythrocytaire est administré le 08.02.2019. L'évolution par la suite est favorable, afébrile et les valeurs d'hémoglobine restent stables. La sonde vésicale peut être retirée sans complication le 12.02.2019. Le 08.02.2019, la néphrostomie est obstruée avec une diurèse nulle et une insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique probablement post-rénale. Une nouvelle néphrostomie gauche est mise en place le 08.02.2019 sous repérage radiologique. L'évolution biologique est par la suite positive avec un retour aux valeurs habituelles de créatinine. En ce qui concerne la situation sociale avec un patient présentant des complications très fréquentes l'amenant à l'hôpital de façon répétée, des discussions avec le patient et la famille sont effectuées. La situation actuelle semble gérable pour la famille avec l'aide des soins à domicile. La famille, en contact avec notre service de liaison, va cependant débuter les démarches de recherche pour un placement en EMS en cas de péjoration de l'état général de Mr. Y. L'ensemble de la situation sera rediscuté avec le Dr. X en cabinet. Mr. Y nous est transféré le 25.01.2019 par le service de chirurgie vasculaire de l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge post-amputation sous-géniculée du membre inférieur droit le 07.01.2019. À l'entrée, le patient n'a pas de plaintes. À l'examen, nous trouvons une plaie avec de discrètes sécrétions séro-sanguines, mais sans signe d'infection. Un souffle systolique aortique est présent à l'auscultation cardiaque et l'auscultation pulmonaire est sans particularité. Mr. Y est veuf et habite avec son frère dans une ferme. Il a besoin de monter environ 10 marches d'escalier pour accéder à sa maison. Il a 3 filles qui le voient régulièrement. Avant l'hospitalisation, il était indépendant dans ses activités quotidiennes et recevait l'aide du Spitex pour les pansements et l'administration des médicaments. Diagnostic principal Le patient présente au début des douleurs fantômes qui régressent sous prégabaline. La partie antérieure de la plaie cicatrise mieux que la partie postérieure, raison pour laquelle les fils ne sont retirés que partiellement. Vu que la plaie post-opératoire n'est pas encore totalement cicatrisée, l'adaptation d'une prothèse n'est pas encore possible. Diagnostic supplémentaire 1 et 4) Au vu de la persistance de fréquences cardiaques basses (50-60 bpm sans bêta-bloquant), nous ne réintroduisons pas le bisoprolol. Le patient est hypertendu, raison pour laquelle nous augmentons la dose du Lisinopril à 5 mg. Diagnostic supplémentaire 2) Les transports sont organisés pour les séances de dialyse à Fribourg. Diagnostic supplémentaire 3) Nous suivons les conseils de nos collègues diabétologues qui suivent le patient à Fribourg et nous adaptons la thérapie avec insuline Apidra. Parallèlement à sa prise en charge aiguë, Mr. Y bénéficie d'une prise en charge interdisciplinaire avec physio- et ergothérapie intensives. Les thérapeutes sont rendus attentifs à l'importance d'éviter le développement d'un flexum du genou droit. À son arrivée, la mobilité est très limitée et le risque de chute très élevé. Les transferts sont faits avec aide modérée, et le patient marche sur une distance de 20 m avec l'Arjo et l'aide d'une personne. En fin de séjour, il est capable d'effectuer les transferts seul sous supervision et marche 40 m avec l'Arjo et l'aide d'une personne. Vu que la mobilisation reste difficile tant qu'une prothèse ne peut pas être adaptée, nous proposons un court séjour avec physiothérapie à l'EMS Maggenberg (Tavel). Le patient y est transféré le 12.02.2019 en bon état général. Il pourra regagner notre service dans environ 5 semaines pour confection et apprentissage de l'utilisation d'une prothèse pour ses déplacements.Mr. Y est connu pour une insuffisance respiratoire globale avec BPCO dans un contexte de tabagisme à 60 UPA depuis août 2017, diagnostiquée lors d'une hospitalisation pour exacerbation de BPCO. Une VNI nocturne avait alors été introduite à ce moment-là. Lors du contrôle VNI à 3 mois en novembre 2017, une oxygénothérapie nocturne est introduite à 1 litre. Mr. Y ne relate pas de nouvel épisode d'exacerbation depuis août 2017, mais remarque une péjoration de la dyspnée depuis un mois, d'un stade mMRC 2 à mMRC 3 actuellement, accompagnée d'œdème des membres inférieurs jusqu'aux genoux s'installant sur la journée. Sa toux grasse chronique avec expectoration blanchâtre est stable depuis la diminution du tabac de 1 p/j à 2 cig/j en début 2018. Pas de dyspnée paroxystique nocturne, orthopnée stable, pas de nycturie. Absence d'état fébrile ou de frissons. Perte de 7 kg depuis le diagnostic de BPCO en 2017, bon appétit, pas de sudation nocturne. Pas de céphalée, pas de trouble de la mémoire ni de la concentration. Fatigue musculaire généralisée sans somnolence présente. Pas de sieste durant la journée nécessaire. Se couche vers 20h30, s'endort en 5 minutes, se réveille le matin vers 7h30 avec 0-1 réveil nocturne. Il tolère bien l'appareillage sans fuite ni zone de pression. En ce qui concerne la péjoration de dyspnée et l'apparition d'œdèmes des membres inférieurs depuis un mois, nous effectuons une radiographie du thorax et une prise de sang qui montre une augmentation du Nt-Pro-BNP. Nous diagnostiquons donc une décompensation cardiaque et instaurons un traitement de Torasémide 5 mg. Nous trouvons également une créatinine légèrement augmentée par rapport à la dernière prise de sang de 2018. Comme discuté au téléphone, nous vous proposons de le revoir dans une semaine pour le suivi clinique. Les fonctions pulmonaires montrent un trouble ventilatoire obstructif de degré sévère (VEMS 37 % du prédit) avec réversibilité significative après bêta 2 mimétiques de courte durée d'action. Diminution sévère de la capacité de diffusion du CO à 37 % du prédit. Nous constatons alors que Mr. Y ne prend pas régulièrement son traitement d'inhalation. Nous lui réexpliquons l'importance du traitement et lui remontrons la technique d'utilisation. En ce qui concerne le contrôle VNI, Mr. Y passe une bonne nuit à l'hôpital. La polygraphie montre des hypopnées (IAH 16/h) probablement dans le cadre de la décompensation cardiaque, avec un SpO2 moyenne nocturne à 89 %. À la capnographie, la tcpCO2 est stable par rapport à l'an dernier à 7.3 kPa et la SpO2 à 92 %. Un changement de pressions avait été tenté l'an dernier pour diminuer l'hypercapnie mais avait été très mal toléré par Mr. Y. Celui-ci ne présentant aucun symptôme de l'hypercapnie, nous proposons donc de garder les mêmes paramètres ventilatoires. Nous reverrons Mr. Y dans un an pour un contrôle clinique et une polygraphie/capnographie. Mr. Y est un patient de 44 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs en hémi-abdomen inférieur. À l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité à la palpation abdominale avec un McBurney douloureux et le bilan radiologique confirme le diagnostic d'appendicite aiguë. Mr. Y bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 18.02.2019, qui se déroule sans complication notable. En raison d'une perforation couverte de l'appendice, nous instaurons une antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole intraveineuse, avec relais per os le 20.02.2019. Les suites opératoires sont simples et le patient peut regagner son domicile en bon état général le 20.02.2019. L'antibiothérapie sera poursuivie pour une durée totale de 5 jours, soit jusqu'au 22.02.2019. Mr. Y est un patient de 76 ans, hospitalisé dans notre service de chirurgie en raison de douleurs abdominales dans le cadre d'un anévrisme abdominal connu mesurant 40 mm. En effet, le scanner initial montre une très légère augmentation de l'anévrisme sous-rénal avec une inflammation de la paroi et une infiltration péri-aortique faisant suspecter un syndrome de pré-rupture d'origine infectieuse ou inflammatoire. Dans ce contexte, le patient est surveillé aux soins intensifs pendant 24 h où une antibiothérapie par Ceftriaxone est débutée en attendant les résultats du bilan microbiologique. Le scanner de contrôle à 48 h ne montre aucune péjoration. Les hémocultures sont négatives. Dans ce contexte, l'antibiothérapie est stoppée et une corticothérapie est administrée pour une durée de 2 semaines avec un scanner de contrôle et un rendez-vous à la consultation de chirurgie vasculaire. Sur le plan cardiaque et en vue d'une possible intervention, un bilan pré-opératoire est lancé. Celui-ci retrouve une maladie coronarienne tritronculaire avec une sténose importante de l'IVA moyenne. Le patient étant asymptomatique avec une fonction ventriculaire conservée, il est décidé d'un traitement conservateur avec un contrôle cardiologique dans 6 mois. Si le patient devenait symptomatique avec des DRS typiques, une prise en charge chirurgicale vs PTCA serait à discuter. Le patient rejoint son domicile le 01.02.2019 avec un scanner de contrôle prévu le mercredi 13 février et un rendez-vous à la consultation du Dr. X le mercredi 20 février. Mr. Y, actuellement à l'Armée à la caserne, résidant dans le canton de Bâle, est amené aux urgences en ambulance le 15.01.2019 suite à une crise convulsive avec des mouvements tonico-cloniques d'une durée d'environ 1 minute selon les témoins. Notion de morsure de la langue, pas de perte de selles ou d'urines, pas d'impression de déjà vu, ni flash visuel, pas d'état post-critique, pas d'aura, ni antécédent de convulsion dans l'enfance. Pas d'autre symptôme, pas de dyspnée, pas de palpitation, pas de douleur. Épisode similaire à domicile il y a environ 1 mois avec tremblements des membres supérieurs peu clairs. Dans ce contexte, le patient consulte et vous introduisez du magnésium. À l'admission aux urgences, le patient est normotendu à 137/83 mmHg, normocarde à 83 bpm, afébrile à 37,1°C, eupnéique à 16 min et sature à 98 % à l'air ambiant. Au statut neurologique, Glasgow à 15/15, patient collaborant, orienté dans les 3 modes, pupilles isocores et isoréactives. Nerfs crâniens dans la norme sans latéralisation. Barré et Mingazzini tenus. Force, tonus et sensibilité conservés aux 4 membres. Réflexes ostéotendineux vifs et symétriques aux 4 membres. Réflexes cutanés-plantaires en flexion/extension/indifférent des deux côtés. Épreuves cérébelleuses : doigt-nez, talon-genou sans dysmétrie, pas d'adidococinésie, Romberg et marche sans déviation. Morsure de la langue, pas de perte des selles ou d'urines, pas de méningisme. Le reste du statut d'entrée est non contributif. Le bilan biologique montre une bonne fonction rénale. Pas de trouble électrolytique ni de syndrome inflammatoire. L'hémoglobine, les lactates et les CK sont dans la norme. L'ECG et la radiographie du thorax sont sans particularité, notamment pas de signe de broncho-aspiration.Le patient est hydraté. Sur avis du neurologue de garde, nous effectuons une IRM neurocrâne qui est dans la norme. Le Dr. X suspecte d'une épilepsie myoclonique juvénile et Mr. Y est gardé en lit d'observation aux urgences, puis transféré à l'étage de médecine. Un EEG effectué revient pathologique avec mise en évidence d'éléments épileptiformes. Dans ce contexte, un traitement par antiépileptique est introduit dès le 16.01.2019 par Keppra 500 mg per os 2x/24h et la conduite d'automobile est interdite pendant une année. Nous vous laissons le soin d'organiser un suivi neurologique ambulatoire. La surveillance dans notre service se passe sans complication, notamment pas de récidive de crise ni de symptomatologie épileptique. Mr. Y quitte notre service le 17.01.2019 avec poursuite du traitement prescrit. Mr. Y, connu pour un adénocarcinome à cellules claires et éosinophiles d'origine primaire rénal gauche avec des métastases osseuses, pulmonaires et carcinose péritonéale, sous immunothérapie palliative par Opdivo, est adressé aux urgences le 05.02.2019 par la Dr. X, oncologue traitante, en raison d'une dyspnée depuis 1 semaine, en péjoration, associée à une toux sans expectoration. Notion de dysphagie non objectivée. Pour rappel, le traitement par Opdivo a été mis en suspens il y a 2 semaines (suspect d'être à l'origine de la dyspnée) et un traitement par Prednisone a été initié en schéma dégressif (10 mg pendant 10 jours, puis 5 mg pendant 10 jours). A l'admission aux urgences, tension artérielle 128/88 mmHg, fréquence cardiaque 69/min, fréquence respiratoire 16/min, température 36,6°C et saturation à 100% à l'air ambiant. Au status respiratoire, notons des râles crépitants bibasaux, sans tirage. Le reste du status d'entrée est non contributif. Le bilan biologique ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire ni de trouble électrolytique. La gazométrie est alignée hormis une hypoxémie discrète à 9.6 kPa. Nous effectuons un CT scan thoracique qui ne met pas en évidence d'infiltration pulmonaire ni d'embolie pulmonaire. Au vu d'un patient angoissé, en situation palliative et dans le contexte d'une dyspnée d'origine indéterminée, mais probablement d'origine anxiogène, Mr. Y est hospitalisé pour surveillance et nous réintroduisons un traitement par Prednisone 40 mg le matin. L'évolution est rapidement favorable sur le plan respiratoire. Nous nous entretenons avec le patient en présence du Dr. X (soins palliatifs) et Mr. Y décrit bien un cycle anxiogène commençant par des douleurs sciatiques qui l'angoissent et l'apparition secondaire de la dyspnée. Dans ce contexte, nous instaurons une prise supplémentaire de Quétiapine 25 mg en réserve en cas de sensations d'angoisse. Nous n'avons pas observé de nouvelle crise de dyspnée sur les 48h d'observation et en accord avec la Dr. X, nous débutons un schéma dégressif des corticoïdes (30 mg Prednisone), qui sera poursuivi par la Dr. X. Mr. Y peut regagner son domicile le 08.02.2019. Mr. Y nous est transféré le 11.02.2019 par le service de Médecine Interne de l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge après un choc d'origine indéterminée, une pneumonie trilobaire communautaire, une malnutrition et des adénocarcinomes de l'œsophage distal et du côlon transverse. A l'entrée, le patient, qui a eu un état confusionnel hypoactif post-choc lors du séjour à Fribourg, ne se souvient pas de la raison de son hospitalisation, ni d'avoir perdu du poids ou d'avoir un cancer. L'examen est sans particularité hormis une perte pondérale significative. Le patient habite avec sa femme et une fille dans une maison, sans escaliers. Avant l'hospitalisation, il était indépendant dans les activités quotidiennes et se mobilisait sans aide. Mr. Y est suivi par nos diététiciennes durant son séjour. Il n'a pas d'appétit et ne mange pas la totalité de ses repas. Il n'arrive pas non plus à consommer tous ses compléments nutritifs. Une évaluation logopédique ne montre pas de problèmes de déglutition. Nous discutons avec le patient et aussi en présence de sa famille du manque important d'apports nutritifs. Le patient refuse la pose d'une sonde naso-gastrique et souhaite rentrer à la maison et essayer de manger davantage à domicile. Nous respectons son choix et lui proposons de consulter son médecin traitant en cas de progression de la perte pondérale. L'hémoglobine reste stable. L'état confusionnel hypoactif s'améliore progressivement. Le patient est orienté et adéquat durant ses séances de physiothérapie et ergothérapie, mais assez fatigué après les séances. Il ne souhaite pas poursuivre la physiothérapie à domicile. Nous discutons en présence de la famille du besoin de stimulation et ils y seront attentifs. Un Holter a été réalisé à Fribourg après le séjour aux soins intensifs et n'a pas montré de nouvel épisode de fibrillation auriculaire, raison pour laquelle une anticoagulation n'a pas été introduite. Au vu d'un profil tensionnel stable avec tendance à la bradycardie, nous diminuons la dose du Beloc Zok à 25 mg 1x/jour. Nous vous proposons de réévaluer en ambulatoire l'indication à la poursuite de ce traitement. Parallèlement à sa prise en charge aiguë, Mr. Y bénéficie d'une prise en charge gériatrique interdisciplinaire avec physio- et ergothérapie intensives. A l'entrée, la mobilité est légèrement diminuée avec un risque de chute à peine augmenté. Le patient effectue les transferts et marche sur une distance de 100m sans moyen auxiliaire de manière indépendante. Il gravit 18 marches d'escaliers sous supervision. A la sortie, le statut fonctionnel est superposable, hormis une amélioration de la montée d'escaliers qui est réalisée de manière autonome. Le patient peut regagner son domicile en état général conservé le 21.02.2019. Mr. Y, un patient de 65 ans, nous est transféré des soins intensifs pour la suite de prise en charge d'un sepsis d'origine abdominale associé à une encéphalopathie hépatique et une atteinte d'organes multiples avant un transfert à la Villa St-François au vu de la situation palliative. Pour rappel, Mr. Y avait été amené en ambulance au service des urgences de l'HFR Riaz en raison d'une baisse de l'état général, de douleurs abdominales et d'un état confusionnel constaté par sa fille. Le tableau clinico-biologique et l'imagerie sont révélateurs d'un état général nettement diminué avec notamment un syndrome inflammatoire à prédominance neutrophile, une insuffisance rénale, une atteinte hépato-cellulaire ainsi que des signes de dénutrition. L'imagerie dévoile une entéro-colite droite, une cirrhose ainsi que de l'ascite. Malgré un traitement laxatif et antibiotique, ainsi qu'une ponction d'ascite avec retrait de 7 L, le patient ne montre pas de franche amélioration au niveau de son encéphalopathie. Au vu de la stabilité de la situation du point de vue de l'encéphalopathie, nous rediscutons avec les palliatologues et la famille et d'un commun accord, arrêtons certains médicaments. A noter qu'une discussion avec la famille aux soins avait mené à une demande de réhabilitation palliative si l'état du patient ne devait pas s'améliorer malgré les traitements adéquats. Nous stoppons l'alimentation par voie naso-gastrique et cela permet le retrait d'une contention mise dans le cadre de la sonde. L'encéphalopathie reste importante, et un passage en soins de confort est effectué en accord avec la famille. Dans le cadre des douleurs abdominales chroniques, l'antalgie est maintenue avec du Fentanyl et le patient semble confortable. De légères phases d'agitation sont palliées par des benzodiazépines ainsi que des neuroleptiques en réserve.Monsieur Andrey décède en compagnie de sa famille le 09.02.2019. Mr. Angel présente une bonne évolution clinique à 3 mois depuis la dernière intervention chirurgicale. Depuis 2 semaines, il a stoppé le traitement antibiotique. Il est prévu que le patient fasse un contrôle biologique pour les contrôles réguliers du lymphome lymphoplasmocytaire. En accord avec son médecin traitant, la Drsse Murith, en même temps que cette prise de sang, on va faire une analyse des paramètres inflammatoires (CRP, VS et formule sanguine complète). Une fois que l'on aura les résultats de cette prise de sang, on va devoir organiser une ponction de la hanche avant de prévoir l'ablation de l'espaceur en regard de sa hanche gauche. Le patient sera contacté dès réception des résultats de la prise de sang. Mr. Anoz est un patient de 24 ans, en bonne santé habituelle, qui bénéficie d'une craniectomie occipitale et laminectomie C1 le 22.02.2019 dans le cadre d'une malformation d'Arnold Chiari. L'intervention se déroule sans complication et le patient est surveillé aux soins intensifs en postopératoire pendant 24 heures. Les suites postopératoires sont favorables, permettant un retour à domicile le 26.02.2019. Mr. Anoz, 24 ans en bonne santé habituelle, est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique en post-opératoire d'une craniectomie pour malformation d'Arnold Chiari. Une malformation d'Arnold Chiari est diagnostiquée après consultation pour des céphalées à l'effort. Il est opéré électivement d'une craniectomie occipitale et laminectomie C1. L'opération se déroule sans complication. Il est admis en post-opératoire aux soins intensifs pour une surveillance neurologique qui se révèle sans particularité. Sur le plan hémodynamique, une hypertension artérielle postopératoire nécessite transitoirement une perfusion de Labétalol. L'antalgie est assurée initialement par la morphine puis un relais par oxycontin et Oxynorm peut rapidement être effectué. Les douleurs sont ainsi bien contrôlées. En raison d'un globe vésical en post-opératoire, une sonde vésicale est posée durant la nuit. La reprise de la diurèse est à surveiller suite à son retrait avant la sortie. Mr. Ardito, patient de 63 ans, connu pour une cirrhose hépatique CHILD B et une ascite récidivante ponctionnée le 30.01.2019 pour la dernière fois, est hospitalisé de manière élective à la suite d'un épisode de désorientation et de confusion le week-end du 09.02.2019 et pour réalisation d'une nouvelle ponction d'ascite et surveillance. D'après l'épouse de Mr. Ardito, ce dernier aurait présenté dès le 08.02.2019 un épisode de confusion et de désorientation temporelle, ainsi qu'une asthénie en progression, après avoir consommé plusieurs verres de vin dans la soirée du 06.02.2019, pour la dernière fois. À l'entrée, le patient est cohérent et orienté dans les 3 modes. Il reste fortement anosognosique et nie tant l'état confusionnel que la consommation d'alcool. Sur le plan hépatologique, nous procédons à une ponction de 6810 mL d'ascite jaune-brunâtre trouble le 14.02.2019, supplémentée par 20 g d'Albumine. Une péritonite bactérienne est infirmée par l'analyse de la répartition cellulaire. Concernant le TIPS en cours d'organisation chez le patient, une décision sera prise par nos collègues de Berne d'ici le début du mois de mars. De plus, nous nous permettons de prévoir une consultation chez le Dr. X (HFR Fribourg) le 14.03.2019 à 13h15 pour des soins de support, dans le cadre de la pathologie terminale. Au sujet de l'épisode de désorientation qui a conduit à l'hospitalisation du patient, nous retenons un probable épisode de sevrage, Mr. Ardito ayant arrêté sa consommation d'alcool quelques jours auparavant. Notons encore la persistance d'une insuffisance rénale chez le patient, probablement dans le contexte de sa cirrhose hépatique. Au vu d'une amélioration clinique et biologique, Mr. Ardito retourne à domicile le 15.02.2019. Mr. Baechler, patient de 86 ans, est hospitalisé pour une grippe Influenza A avec pneumonie à pneumocoque surajoutée. L'anamnèse rapporte une toux depuis début décembre 2018 sans état fébrile et sans dyspnée associée jusqu'au 29.01.2019. Le 30.01.2019, Mr. présente un état fébrile objectivé à 39°C avec des frissons et une baisse de l'état général ainsi qu'une dyspnée à l'effort, motivant sa consultation au service des urgences. Un frottis nasopharyngé confirme une infection par la grippe Influenza A. L'antigène pour le pneumocoque se révèle positif. Au vu de l'auscultation pulmonaire pathologique en base droite, une pneumonie à pneumocoque surajoutée est hautement suspectée, malgré la radiographie thoracique ne montrant pas de clair foyer. Mr. bénéficie d'un traitement par Tamiflu au vu de la péjoration subite de son statut respiratoire et de la fièvre ainsi qu'un traitement antibiotique intraveineux par Ceftriaxone pendant 48 heures puis par Co-amoxicilline per os pour un traitement de 7 jours afin de traiter la pneumonie. Il bénéficie également de physiothérapie respiratoire pendant l'hospitalisation. Une hyponatrémie modérée est mise en évidence, d'origine mixte sur probable SIADH dans le contexte de la pneumonie et d'origine médicamenteuse sur traitement par thiazidique. Nous avons stoppé le traitement par Esidrex avec bonne évolution. Nous proposons un contrôle de la natrémie à 1 semaine de sa sortie d'hospitalisation à votre consultation. Au vu de l'excellente évolution, Mr. rentre à domicile le 02.02.2019. Mr. X nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire ambulatoire suite à un triple pontage coronarien en CEC le 23.01.2019 par le Dr. X. Le traitement à l'entrée comprend : Pantozol 40 mg, Aspirine Cardio 100 mg, Magnesiocard 10, Beloc Zok 25 mg, Dafalan en réserve, Novalgine en réserve et Codéine 50 mg en réserve. À son arrivée dans notre service, le patient présente de fortes algies thoraciques secondaires post-sternotomie. Le traitement antalgique est renforcé par l'apport de dérivés morphiniques sous forme retard (après imprégnation) avec succès. Le 03.02.2019, Mr. X développe une toux sèche exacerbant les douleurs post-sternotomie. Vu l'inefficacité de l'association Dafalgan, Novalgine et Codéine, nous introduisons de la morphine puis un relais par patch Fentanyl 37.5 mcg le 05.02.2019. La posologie du Fentanyl sera réduite progressivement. Nous tenterons un arrêt sans succès. C'est pourquoi il rejoint son domicile avec la posologie de 12 mcg. À réévaluer à distance. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une puissance de 25 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il est également capable de marcher pendant une durée de 30 minutes et peut aussi faire du tapis roulant pendant 25 minutes à une intensité de 3.5. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+220 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. X a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan de la prévention secondaire des facteurs de risque, nous retiendrons : • Le bilan lipidique confirme un cholestérol total à 2.7 mmol/l (< 5 mmol/l) ; LDL 1.67 mmol/l (< 1.8). À recontrôler dans un délai de +/- 3 mois en s'assurant que la LDL-émie reste < 1.8 mmol/l.2. La fréquence cardiaque à l'état basal est restée inférieure à 70-80 par minute. Aucune arythmie pathologique n'est mise en évidence. 3. La pression artérielle est restée inférieure aux 140/90 mmHg sous la thérapie prescrite. Sur le plan biologique : • Hb : 110 g/l • fonction rénale à 69 micromol/l • la CRP est en voie de normalisation à 46 mg/l À l'examen clinique de sortie, status normo-compensation. Cicatrices saines et calmes. Sternum stable, non algique à la palpation ou pression. Mr. Y, patient de 84 ans connu pour une mutation hétérozygote du facteur V avec des antécédents de TVP et EP ainsi qu'une insuffisance cardiaque chronique, nous est adressé par les urgences de l'Hôpital cantonal de Fribourg en raison de douleurs de type brûlure au niveau des pieds et jambes. En plus de ces douleurs, le patient présente également des douleurs au niveau de la hanche gauche, ainsi qu'une limitation fonctionnelle de celle-ci dans tous les plans. Cliniquement, le patient présente une dermite ocre bilatérale au niveau pré-tibial. La mobilisation de la hanche est normale dans tous les axes. Une radiographie de la hanche montre une arthrose sévère à gauche avec grande asymétrie avec l'autre côté. Le patient vit seul à domicile avec passage 3x/semaine d'infirmière à domicile. Sa femme a été récemment hospitalisée en raison d'une démence. Les laboratoires de contrôle ont révélé une insuffisance rénale chronique stade 2 ainsi qu'une carence en vitamine D dont nous avons commencé la supplémentation et que nous vous proposons de recontrôler. Parallèlement à cela, le patient a bénéficié d'une réhabilitation précoce et intensive, à l'entrée le FIM pour les transferts était de 6 avec rolateur, le FIM pour la marche était de 5 sur 50 mètres, le FIM escaliers était de 4 sur 18 marches. À la sortie, le FIM transfert est à 6 avec rolateur, le FIM marche est à 6 sur 80 m avec rolateur. Le Tinetti est passé de 14 à 16/28 avec rolateur. Devant une nette amélioration, le patient peut retrouver son domicile le 04.02.2019. Mr. Y est un patient de 73 ans, connu pour un statut post-résection segmentaire d'intestin grêle dans le cadre d'un iléus mécanique sur bride avec nécrose de 30 cm le 24 décembre 2018, qui est transféré dans le service de chirurgie après une hospitalisation en médecine pour une iléostomie à haut débit associée à une malnutrition protéino-énergétique grave avec troubles électrolytiques. Une fermeture de splitstomie était prévue pour le 05.02.2019 mais a été annulée à cause de la malnutrition grave du patient. Nous poursuivons une alimentation parentérale par la VVC associée à une réalimentation par voie orale avec un suivi proche des électrolytes, TG et tests hépatiques. Nous organisons une nouvelle date opératoire le 19.02.2019. Dans l'intervalle, en raison de l'apparition d'un syndrome inflammatoire avec un pic fébrile et la suspicion d'un foyer sur la radiographie du thorax, nous débutons une antibiothérapie par Ceftriaxone en intraveineux. L'évolution clinique et biologique sont par la suite favorables permettant de réaliser la fermeture de l'iléostomie le 19.02.2019. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables permettant au patient un retour à domicile le 25.02.2019. Dans le cadre d'une masse urétérale gauche visualisée sur le scanner abdominal du 22.12.2018, Mr. Y bénéficie d'une urétéroscopie, brossage et pose de sonde double J le 05.02.2019. Les résultats de l'histologie montrent l'absence de cellules tumorales malignes, Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X le 19.03.2019 pour planifier le retrait de la sonde double J. Mr. Y est un patient de 73 ans, qui est hospitalisé en électif le 30.01.2019 pour bénéficier d'une gastrectomie totale avec cholécystectomie et jéjunostomie après la mise en évidence d'un adénocarcinome gastrique à cellules peu cohésives de la petite courbure sous-cardiale de type diffus selon Lauren. Le patient bénéficie de l'intervention susmentionnée le 30.01.2019, qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont marquées par un stridor inspiratoire et le patient est intubé sous vidéo-laryngoscopie, confirmant une paralysie des deux cordes vocales d'origine pas claire, raison pour laquelle le patient est transféré aux soins intensifs et une trachéotomie est réalisée par les collègues de l'ORL. Au vu d'une évolution favorable avec une parole de bonne qualité, le patient remonte à l'étage en chirurgie le 07.02.2019. Un état fébrile est objectivé le 08.02.2019 et des hémocultures sont réalisées qui reviennent positives pour un ESBL multisensible. Une thérapie par Meropenem est instaurée du 10.02.2019 au 21.02.2019, avec une bonne évolution clinique et biologique. Un suivi ORL et phoniatrique montre une évolution favorable de la mobilité des cordes vocales, et le patient reprend une alimentation per os par régime mixé-lyse ainsi qu'une nutrition entérale par la jéjunostomie. Un bilan neurologique ne met pas en évidence une réelle ptose palpébrale. Un syndrome de Claude-Bernard-Horner n'est pas retenu. Une IRM cérébrale ne montre pas d'argument en faveur d'un AVC aigu ou subaigu. L'évolution est par la suite favorable avec une réalimentation progressive jusqu'au régime normal. Mr. Y rentre à domicile le 27.02.2019 avec des soins à domicile mis en place pour la jéjunostomie et un suivi nutritionnel. Un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X aura lieu le 19.03.2019. Par rapport à l'anticoagulation introduite après l'épisode de l'embolie pulmonaire en septembre 2018, le patient était anticoagulé par Fraxiforte 0.8 ml 1x/jour avant l'hospitalisation. Mr. Y a bénéficié d'une anticoagulation par Clexane thérapeutique pendant l'hospitalisation. À la sortie, nous décidons de faire un relais par Xarelto 20 mg 1x/jour. Nous laissons le soin au médecin traitant d'adapter le traitement et de revoir la durée de l'anticoagulation. Mr. Y, 73 ans, a été réadmis aux soins intensifs pour un stridor inspiratoire secondaire à une paralysie des deux cordes vocales, survenue au 2ème jour après une gastrectomie par laparotomie. La gastrectomie a été réalisée en électif pour un adénocarcinome gastrique de la petite courbure sous-cardiale. L'intervention et la surveillance post-opératoire immédiate se sont déroulées sans particularité. Le 31.01.2019 en fin d'après-midi, le patient s'est plaint de douleurs abdominales, qui ont été soulagées par l'administration de lidocaïne par le cathéter péridural. Quelques heures plus tard, le patient présente un stridor inspiratoire sans autres symptômes qui a motivé la réadmission aux soins intensifs. Après une brève amélioration suite à l'administration de Methylprednisolone iv et adrénaline en inhalation, le stridor s'aggrave avec l'apparition d'une hypoxémie, nécessitant une ventilation non invasive avec héliox. Le patient a été intubé sous vidéo-laryngoscopie, confirmant une paralysie des deux cordes vocales, ne s'étant pas résolue après curarisation. L'étiologie de la paralysie des cordes vocales reste pour le moment peu claire malgré un CT cervico-thoraco-abdominal. Un traitement empirique par Methylprednisolone est administré jusqu'au 04.02.2019. Le 03.02.2019, une tentative d'extubation est effectuée sans succès, raison pour laquelle il est trachéotomisé. La ventilation invasive est sevrée avec succès le 04.02.2019. Le diagnostic différentiel évoque une traction chirurgicale, une action de la péridurale ou une lésion liée à l'intubation. Un avis neurologique est aussi pris, mais nos collègues estiment peu probable une lésion d'origine centrale même si non exclue sans IRM cérébrale. Le patient reprend spontanément une fonction le 06.02.2019 avec une parole de bonne qualité. Le bilan ORL montre une motilité nouvelle mais une absence d'ouverture complète. Pour cette raison, le patient doit garder la trachéotomie et les cordes seront à recontrôler le 08.02.2019. Le CT-scan cervico-thoraco-abdominal n'a pas identifié de cause à cette paralysie des cordes vocales et il a mis en évidence des atélectases partielles bilatérales avec épanchements pleuraux bilatéraux également, possiblement sur-infectés, raison pour laquelle une couverture antibiotique empirique par Co-Amoxiciline a été mise en place et poursuivie pour une durée totale de 5 jours. L'anticoagulation thérapeutique est reprise dès le 05.02.2019. Le patient présente dès le 06.02.2019 des renvois bucaux sur l'alimentation entérale par la jéjunostomie ainsi qu'une légère majoration des paramètres inflammatoires et un état subfébrile. Une radiographie thoracique ne retrouve ni nouvel infiltrat ni air sous les coupoles diaphragmatique. L'alimentation est mise en pause et sera à réévaluer. En parallèle, le patient reprend un transit. Cela reste à suivre à l'étage. Le patient est transféré à l'étage de chirurgie le 07.02.2019. Une prise en charge spécifique ORL et phoniatrique sera à poursuivre pour la paralysie des cordes vocales. Mr. Y, votre patient de 88 ans, domicilié à l'EMS à Vuisternens-devant-Romont, connu pour un retard mental, est pris en charge depuis le 25.01.2019 pour une décompensation respiratoire dans un contexte de pneumothorax post-traumatique le 25.01.2019. La prise en charge initiale à l'HFR-Riaz met en évidence une insuffisance respiratoire globale avec une désaturation sous 3 l d'O2 à 84 % et une perturbation de la gazométrie (pH 7,24), motivant le transfert aux soins intensifs de l'HFR-Fribourg pour la suite de la prise en charge. L'insuffisance respiratoire semble causée par le pneumothorax auquel se surajoute une composante de surcharge cardiaque. Dès son admission aux soins intensifs, le patient bénéficie d'un drain thoracique du 27.01 au 29.01.2019 et d'un support par ventilation non invasive permettant une amélioration rapide des échanges gazeux. Il bénéficie également d'une déplétion par Furosemide avec amélioration transitoire de l'insuffisance respiratoire. Par la suite, l'évolution est marquée par la persistance de l'insuffisance respiratoire globale malgré un traitement maximal à l'étage. L'évolution est peu favorable, raison pour laquelle le patient est passé en soins de confort dès le 03.02.2019. Le patient décède le 08.02.2019 à 02h00. Mr. Y, connu notamment pour un status post-néphrectomie totale gauche en mai 2017 pour une tumeur rénale à cellules claires, consulte les urgences le 10.02.2019 en raison de diarrhées aqueuses, sans sang ni douleur abdominale mais accompagnées de gaz. Pas d'autre plainte à l'anamnèse. Pas de voyage récent ni de notion d'alimentation suspecte. À l'admission aux urgences, le patient est en bon état général et afébrile. À l'auscultation cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers sans souffle surajouté. À l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique sans râle. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont augmentés en fréquence et en tonalité. Le Murphy est négatif. Le reste du status d'entrée est non contributif. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë. Pas de syndrome inflammatoire. Nous effectuons un bladder scan qui montre 7 ml d'urine en post-mictionnel. Au vu des antécédents de néphrectomie totale gauche et en présence de signes d'insuffisance rénale aiguë, Mr. Y est hospitalisé. Il bénéficie d'une hydratation iv par NaCl 0,9 % 1 l par 24 heures et sur le plan médicamenteux, l'Irbesartan HCT est mis en suspens. Des coprocultures ne peuvent pas être réalisées en l'absence de selles durant le séjour. Le contrôle laboratoire du 12.02.2019 montre une amélioration de la fonction rénale. À noter une légère hyponatrémie à 134 mmol/l. Mr. Y peut regagner son domicile le 12.02.2019. Nous proposons un contrôle clinique et biologique à votre consultation 3 à 4 jours après la sortie. Mr. Y, connu pour une maladie coronarienne tritronculaire avec un status post infarctus postérieur non daté avec implantation d'un stent au niveau de la CD en 2009 et 2 stents au niveau de la CD en 2012. Le patient présente une IRM mettant en évidence une ischémie pathologique, raison pour laquelle une coronarographie est réalisée le 30.11.2018 par le Dr. X, objectivant une maladie tritronculaire. Traitement à l'entrée : • ASPIRINE Cardio 100 mg 1-0-0-0 • CLEXANE 40 mg sol inj 0-0-1-0 • ATORVASTATINE 40 mg crp 0-0-1-0 • LIPANTHYL M 200 mg crp 1-0-0-0 • TORASEMIDE 10 mg crp 1-0-0-0 • CONDROSULF 800 mg crp 1-0-0-0 • CITALOPRAM 40 mg crp 0.5-0-0-0 • DAFALGAN 1 g crp 1-1-1-1 • LAXOBERON 7.5 mg/ml 1 f/j si constipation • METFORMINE 1000 mg crp 1-0-1-0 • MOVICOL sachet 1 f/j • NEXIUM 40 mg crp 1-0-0-0 • RYZODEG FLEXTOUCH 100 U/ml, sol inj 0-0-24-0 • XULTOPHY sol inj 35-0-0-0 • SYMBICORT 400/12 turbuhaler- poudre 1-0-1-0 • OXYNORM 10 mg/ml 1 ml po max 8x/j si douleurs Sur le plan diabétologique, le patient était sous traitement avec deux insulines lentes. Pendant l'hospitalisation, en relation avec la reprise de l'exercice physique et avec un diabète plus équilibré, Mr. Y a présenté plusieurs hypoglycémies nocturnes. Nous avons initialement diminué le Xultophy et le Ryzodeg, mais vu la persistance de ces hypoglycémies, nous avons été amenés à stopper le Ryzodeg le 30.01.2019. Nous avons aussi pris contact avec le Dr. X, qui était d'accord avec notre décision d'arrêter le Ryzodeg. Il a aussi conseillé un contrôle avec le médecin traitant et, si les glycémies restent toujours élevées, il change la Metformine avec du Jardumet. Sur le plan tensionnel, à cause d'une hypertension artérielle, nous avons ajouté de l'Amlodipine 5 mg le matin avec une bonne réponse. Nous avons conseillé au patient de monitorer sa tension pour éventuellement adapter la thérapie avec le médecin traitant. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 30 minutes à une puissance de 45 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objectifie une augmentation de la distance parcourue (+ 25 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.8 mmol/L, des HDL à 1.00 mmol/L, des LDL à 1.44 mmol/L, des triglycérides à 0.98 mmol/L. • La pression artérielle basale et la fréquence artérielle sont restées dans la norme après l'adaptation de la thérapie antihypertensive. L'examen clinique de sortie est sans particularités, avec une pression artérielle de 143/88 mmHg et une FC à 88 bpm. Mr. Y, âgé de 83 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une récidive d'arthrite septique prothétique du genou gauche. Compte tenu des antécédents et de la forte suspicion d'une arthrite septique prothétique, une indication opératoire est posée et le patient bénéficie d'une arthroscopie diagnostique avec prélèvements, débridement et lavage (15 lt). Les prélèvements bactériologiques confirment une arthrite septique à Streptococcus anginosus pour laquelle une antibiothérapie par Ceftriaxone est instaurée le 16.12.2018 et poursuivie jusqu'au 30.01.2019. La prothèse est déposée le 19.12.2018 avec mise en place d'un spacer. La mise en place d'une nouvelle PTG est prévue le 13.02.2019.Sur le plan social, le patient, divorcé, vit seul à domicile et a une amie depuis 19 ans qui habite Delémont. Il a 2 enfants avec qui il a de bons contacts. Il est à la retraite (ancien représentant en vin et agriculture). A l'admission, le patient n'a pas de plainte. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. Il présente un flexum à 15° au repos et se déplace avec une attelle jeans en extension et charge partielle de 15 kg. Il a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec le tintébin et l'attelle jeans en respectant la décharge. Après 4 semaines d'hospitalisation, Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre le service d'orthopédie de l'HFR Fribourg, le 11.02.2019, en bon état général, afin d'y subir la mise en place d'une nouvelle PTG G le 13.02.2019. Mr. Y, 63 ans, est hospitalisé pour surveillance post-opératoire après une TEA de l'artère fémorale profonde et un pontage fémoro-iliaque. Polyvasculaire, il est atteint d'une artériopathie oblitérante des MI de stade III au niveau du MID. Au vu des résultats de l'angio-CT abdomino-pelvien et des membres inférieurs réalisés le 07.11.2018 avec visualisation de calcifications au niveau du carrefour fémoral droit, ainsi que la visualisation d'une longue occlusion au niveau de l'artère fémorale superficielle, il bénéficie d'une endartériectomie fémorale et plastie d'élargissement au niveau du MID avec lombotomie le 04.02.2019. L'évolution post-opératoire est marquée par une ischémie aiguë du membre inférieur droit dans le contexte d'une dissection fémorale avec obstruction secondaire, nécessitant une reprise chirurgicale le 05.02.2019 avec endartérectomie fémorale droite et mise en place d'un patch local. La situation se complique le lendemain d'un syndrome des loges sur reperfusion, raison pour laquelle une fasciotomie des 4 loges est effectuée avec mise en évidence d'une musculature très atteinte au niveau de la loge antérieure. Une insuffisance rénale est prévenue par hydratation et une alcalinisation des urines. La rhabdomyolyse est en résolution avec des CK à la baisse. Comme discuté avec le chirurgien (Dr. X), un contrôle et une reprise de la plaie opératoire seront effectués le 11.02.2019. Ils préconisent la poursuite d'une anticoagulation par héparine ivc à 15'000 UI/24h. La situation se complique le 06.02.2019 d'une insuffisance respiratoire hypoxémique sur décompensation cardiaque dans le cadre d'un NSTEMI secondaire. L'évolution respiratoire est satisfaisante sous VNI et déplétion par diurétiques. L'ETT montre une diminution de la FEVG par rapport au pré-opératoire avec troubles de la cinétique segmentaire nouveaux dans le territoire de l'IVA. La FEVG est évaluée à 45%. Une coronarographie est à organiser dès qu'une éventuelle double anti-agrégation est permise par le status chirurgical vasculaire. A la reprise de son traitement d'insuffisance cardiaque, le patient nous signale que le lisinopril qu'il prenait au long cours a été mis en suspens récemment par son médecin traitant pour une suspicion d'angioedème léger. Un sartan a été introduit en substitution. Si le patient présentait d'éventuels signes d'angioédème, un traitement par corticothérapie et antihistaminique serait indiqué aussitôt. Mr. Y, polyvasculaire connu, présente dans les suites post-opératoires un syndrome coronarien aigu avec indication chirurgicale, motivant son transfert à l'Inselspital. Il est opéré en électif le 05.02.2019 d'une thromboendartériectomie de l'artère fémorale profonde et d'un pontage iliaque externe-fémorale profonde du côté droit. L'évolution post-opératoire est marquée par une ischémie aiguë du membre inférieur droit dans le contexte d'une dissection fémorale avec obstruction secondaire, nécessitant une reprise chirurgicale le 05.02.2019 avec endartérectomie fémorale droite et mise en place d'un patch local. Le 06.02.2019, la situation se complique par un syndrome des loges sur reperfusion, raison pour laquelle une fasciotomie des 4 loges est effectuée avec mise en évidence d'une musculature très atteinte au niveau de la loge antérieure. L'évolution locale montre une vascularisation satisfaisante, mais on note un syndrome inflammatoire important faisant suspecter une infection. Une antibiothérapie par Tazobac est débutée le 09.02.2019. La situation se complique dès le 06.02.2019 avec une insuffisance respiratoire hypoxémique sur décompensation cardiaque dans le cadre d'un NSTEMI. En raison d'une nouvelle décompensation avec angor récidivant au matin du 09.02.2019, le patient est réadmis aux soins intensifs, et stabilisé par ventilation non-invasive et diurétiques. La coronarographie révèle une maladie coronarienne tritronculaire sévère avec sténose critique de l'IVA et une obstruction chronique de la coronaire droite. Une angioplastie représentant un risque majeur, un pontage aorto-coronarien est proposé en premier lieu. Dans l'intervalle, une anticoagulation thérapeutique par héparine est instaurée. Comme bilan pré-opératoire, un angio-CT cérébro-thoracique montre une occlusion chronique de l'artère carotide interne droite avec bonne reprise par polygone, une sténose subocclusive à l'origine de l'artère sous-clavière gauche. Il n'y a pas d'anomalie significative de l'aorte thoracique. Le mapping veineux montre une veine saphène gauche perméable. Compte tenu de ce bilan, un pontage aorto-coronarien peut être envisagé. A noter encore des infiltrats pulmonaires au CT thoracique aux deux lobes supérieurs, et des épanchements pleuraux bilatéraux. Un drainage n'a pas encore été effectué en raison de l'anticoagulation. Mr. Y est un patient de 44 ans, en bonne santé habituelle, qui est adressé aux urgences par son médecin traitant pour des douleurs abdominales hautes crampiformes localisées au niveau de l'épigastre avec irradiation dans l'hypochondre droit et péri-ombilical, accompagné de nausées et des épisodes de vomissements depuis une semaine. Un bilan biologique met en évidence une CRP à 37 mg/L. Un CT abdominal effectué le 18.02.2019 met en évidence un iléus grêle obstructif sur invagination iléo-iléale. Le patient bénéficie d'une laparotomie exploratrice, prélèvement cytologique, et entérectomie segmentaire (70 cm) à 15 cm de la valve iléo-caecale avec anastomose latéro-latérale manuelle en urgence le 19.02.2019. L'évolution est par la suite favorable, avec une reprise du transit et une alimentation progressive. Mr. Y rentre à domicile le 25.02.2019. Le patient sera revu à la consultation des CDC le 04.03.2019. Mr. Y, 53 ans, connu pour un diabète insulino-requérant secondaire à une pancréatite chronique alcoolique, est hospitalisé pour une décompensation hyperosmolaire diabétique sur non-compliance médicamenteuse. Le patient est connu pour un mauvais contrôle de son diabète qui a déjà nécessité 3 hospitalisations (03/2014; 05/2014; 12/2016). Un suivi à consultation ambulatoire de diabétologie à l'HFR Fribourg a été interrompu en janvier 2018 à cause de la non-compliance du patient. Au service des urgences, Mr. Y décrit une asthénie, une polyurie depuis environ un mois ainsi qu'une perte de poids de 5 kg sur les deux dernières semaines, sans autres symptômes. Au status nous observons une déshydratation et une cachexie. Le bilan biologique montre une glycémie à 37.3 mmol/l ainsi qu'une HbA1C à plus de 15%. A la gazométrie, l'acidose métabolique est compensée. Nous introduisons une hydratation et de l'insuline permettant une amélioration de la glycémie. Nous demandons un avis diabétologique. Nos collègues adaptent le traitement insulinique de manière prudente afin d'éviter des épisodes d'hypoglycémie à domicile. Le taux de LDL-cholestérol est de 2.54 mmol/l, inférieur à la cible de 2.6 mmol/l. Le patient montre de bons profils tensionnels. Il bénéficie d'un enseignement thérapeutique et d'un traitement podologique. Nous insistons auprès du patient sur l'importance d'un suivi en diabétologie afin d'éviter de nombreuses complications, ce que le patient accepte et semble comprendre. Un suivi en diabétologie à l'HFR Fribourg est mis en place avec un rendez-vous prévu le 18.03.2019.Mr. Y présente également à l'entrée une dysesthésie nouvelle du 5ème doigt de la main droite, évoluant depuis quelques jours. Au status nous constatons une diminution de la mobilité dans toutes les directions ainsi qu'une augmentation de la douleur à la compression du canal de Guyon. Nous demandons un avis neurologique. Ils procèdent à un ENMG ainsi qu'à un ultrason qui démontrent une compression du nerf ulnaire au niveau de la gouttière épitrochléo-olécranienne. Une attelle est réalisée en ergothérapie afin de garder le coude en extension durant la nuit. En cas de péjoration des troubles sensoriels ou d'apparition de troubles moteurs importants, nous recommandons au médecin traitant de discuter d'une prise en charge chirurgicale. Le patient présente une polyneuropathie axonale d'origine éthylique et diabétique. Le patient a été traité par le passé par de la Prégabaline qu'il a arrêtée pour des raisons inconnues. Nous réintroduisons de la Prégabaline 75 mg 2x/j et proposons au médecin traitant d'évaluer la nécessité d'augmenter la posologie lors du rendez-vous prévu le mercredi 13.02.2019. À l'entrée, le patient présente un taux d'alcoolémie à 1.7 pour mille. Au vu d'une consommation d'alcool pathologique connue (pancréatite chronique), nous introduisons du Seresta en schéma dégressif et un suivi du sevrage. Le patient ne montre pas de signes de sevrage. Sur le plan psychologique, le patient présente une thymie fortement abaissée. Suite à une discussion, ce dernier refuse tout entretien ou suivi psychiatrique pendant son hospitalisation avec l'un de nos psychiatres. Nous proposons au médecin traitant de réévaluer l'état du patient en ambulatoire dès sa sortie. Mr. Y rentre à domicile le 09.02.2019 avec des soins à domicile deux fois par semaine. Mr. Y, âgé de 56 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique suite à un déconditionnement physique dans un contexte de baisse de l'état général d'origine multifactorielle. Il a notamment présenté une diminution de force dans les MI occasionnant plusieurs chutes. Il a aussi développé une pneumonie bibasale compliquée d'une sérosite avec épanchement pleuro-péricardique récidivant depuis septembre 2018. Il est suivi dans ce contexte par les rhumatologues de l'HFR Fribourg. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il travaille à 100% comme constructeur en machine mais est à l'arrêt depuis 1 année. À l'admission, le patient n'a pas de plainte hormis cette baisse de l'état général. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. Le status montre une diminution de la force proximale des MI avec signes de polyneuropathie périphérique. Durant son séjour, il a présenté une IRA spontanément transitoire le 28.01.2019. Un spot urinaire est réalisé et montre une fraction d'excrétion de sodium à 2.23 %. Par ailleurs, le sédiment urinaire est dans la norme. Nous réalisons également une récolte des urines de 24 heures qui montre une péjoration de la protéinurie à 0.33 g/24 heures avec 150 mg/24 heures, un rapport albumine/créatinine à 11.5 mg/mmol, une albumine à 64 mg/l. Nous réalisons également le dosage des facteurs antinucléaires au vu des antécédents du patient qui revient à 640. Dans ce contexte nous demandons l'avis du Dr. X, néphrologue, qui ne retient pas d'argument pour une maladie rhumatismale. La protéinurie augmentée reste microalbuminurie due à la néphropathie diabétique. Nous suivons la créatinine avec normalisation et aucune nouvelle augmentation lors de son séjour. Nous intervenons aussi sur la consommation d'alcool en raison du risque d'aggravation des symptômes neurologiques et en raison du traitement de Metformine. Par ailleurs, sur le plan psychiatrique, nous obtenons l'avis psychiatrique de Dr. X, qui préconise un suivi ambulatoire de la problématique alcoolique notamment mais Mr. Y est plutôt réfractaire à un tel suivi et à la discussion quant à sa consommation d'alcool. Une proposition de détection précoce auprès de l'AI avait été faite mais le patient la refuse et veut reprendre le travail au plus vite. Le traitement antidépresseur par Escitalopram est maintenu avec une bonne évolution. À noter que le suivi des GGT montre une bonne évolution avec l'abstinence d'alcool durant le séjour. En ce qui concerne l'anémie normocytaire normochrome avec Hb à 134 g/l, nous réalisons le dosage de la vitamine B12 et des folates qui révèle des valeurs abaissées, raison pour laquelle nous mettons en place une substitution. Au vu de la tachycardie aux alentours de 100 bpm, nous réalisons un dosage de TSH qui est dans la norme. Nous adaptons le traitement antihypertenseur et introduisons du Nebilet 5 mg avec une bonne évolution. Sur le plan nutritionnel, le patient étant déjà suivi à l'HFR Fribourg, nous ne répétons pas l'évaluation. Il en est de même pour le suivi neuropsychologique. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Il peut monter/descendre les escaliers sans aide. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 09.02.2019, en état général conservé. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y, patient de 52 ans, a présenté le 02.02.2019 un engourdissement de la joue gauche avec impression qu'il déviait vers la droite. Il mentionne également avoir vu une ombre à 2 reprises dans son champ visuel droit pendant quelques secondes. L'angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux ne montrent pas d'argument en faveur d'une lésion ischémique ou hémorragique et les vaisseaux sont perméables. L'IRM confirme l'absence de lésion ischémique aiguë ou ancienne. Sur le plan thérapeutique, le patient a bénéficié d'une dose de charge en Clopidogrel 300 mg puis par la suite d'un traitement quotidien par Plavix 75 mg 1x/j à la place de l'aspirine cardio. Un traitement par Rosuvastatine est débuté pendant l'hospitalisation en prévention secondaire avec un LDL-cholestérol cible à < 1.8 mmol/L. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie montre un ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié, avec une fonction contractile globale normale et FEVG à 60 %, sans valvulopathie significative. Mr. Y sera convoqué en ambulatoire pour un Holter sur 72 heures à la recherche active d'un trouble du rythme.Mr. Y ne présente pas de récidive de symptomatologie neurologique pendant l'hospitalisation. Le statut neurologique de sortie rapporte la parésie de l'abduction de l'œil droit connue sans autre déficit. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 05.02.2019. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y, 52 ans, est hospitalisé aux soins intensifs après avoir ressenti un engourdissement de la joue gauche le 02.02.2019 avec sensation de tension de la tête avec impression qu'il dévie vers la droite. Il dénote une amputation du champ visuel périphérique à droite de courte durée. Il est connu essentiellement pour un antécédent d'AVC il y a 4-5 ans avec parésie du muscle abducteur de l'œil droit. Le bilan initial ne retrouve pas d'anomalie de perfusion au CT initial et le patient bénéficie d'une charge en Clopidogrel. Le traitement par Aspirine cardio reste à poursuivre en parallèle au Plavix pour une durée de 1 mois puis le Plavix seul à vie. La surveillance neurologique est sans particularité avec un score NIHSS à 1 point à l'entrée comme à la sortie des soins intensifs. Le bilan lipidique montre un LDL à 3.3 mmol/l et nous majorons le traitement des statines. L'hémoglobine glyquée est dans la norme. L'ETT montre un ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile globale normale et FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Absence d'un passage des microbulles en repos et après Valsalva, mais qualité des images limitée. Si l'IRM cérébrale démontre des lésions typiques pour une étiologie cardio-embolique, nos collègues cardiologues proposent de compléter le bilan avec une ETO. Le bilan cardiaque reste à compléter par un Holter. Le patient est transféré en neurologie le 04.02.2019 avec une IRM cérébrale qui sera effectuée par la suite. Mr. Y est admis pour l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Le drainage inséré intra-opératoire a pu être retiré, sans complication le 06.02.2018, avec une quantité totale de drainage de 40 ml. L'antibiothérapie en prévention avec Co-Amoxicilline 1 g per os 2x/jour devrait être poursuivie pendant 5 jours jusqu'au 10.02.2019. La suite de la prise en charge se fera en fonction des résultats d'anatomopathologie. Le prochain contrôle ORL avec la discussion des résultats anatomopathologiques est prévu le 13.02.2019 à 15:00 avec le Dr. X. Mr. Y est un patient de 57 ans, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour prise en charge d'une fistule occluse au membre supérieur gauche. Il bénéficie de l'intervention susmentionnée le 19.02.2019. L'évolution post-opératoire est défavorable avec une réocclusion de la fistule, justifiant une thrombectomie endovasculaire le 20.02.2019. En raison de thrombus résiduel dans la fistule et dans la veine céphalique gauche, nous introduisons une anticoagulation à dose thérapeutique de Sintrom pendant au moins 1 mois. En accord avec le Dr. X, il suivra la fistule au duplex. L'évolution est favorable, permettant un retour à domicile le 22.02.2019 et une dialyse le 23.02.2019 avec en parallèle un contrôle de la crase (INR) par le Dr. X. Mr. Y est transféré de notre service de gériatrie aiguë à notre service de réadaptation musculo-squelettique pour une réadaptation suite à une implantation élective d'une prothèse totale de la hanche gauche le 09.01.2019. Au diagnostic principal À l'entrée, le patient a une mobilité légèrement diminuée avec un risque de chute augmenté. Les transferts sont faits d'une manière autonome et il peut marcher avec un tintébin une distance de 50 m. Grâce aux thérapies intensives et individuellement adaptées, des progrès au niveau de la mobilisation, de la stabilisation de la marche et de l'équilibre sont objectivés. À la sortie, le patient peut marcher avec un tintébin ou avec 2 cannes une distance de 150 m et monter 18 marches d'escaliers avec une canne. Tinetti est à 20/28. Au diagnostic secondaire 3 En raison des valeurs glycémiques élevées, nous augmentons le traitement par Janumet de 50/500 mg à 50/1000 mg. La glycémie reste par la suite stable entre 6 et 8 mmol/l. Le patient peut rentrer à domicile en état général amélioré le 02.02.2019. Mr. Y, patient de 83 ans, qui nous est adressé par le service d'orthopédie de l'hôpital cantonal de Fribourg pour une réadaptation gériatrique suite à une implantation élective d'une prothèse totale de la hanche gauche le 09.01.2019 dans un contexte d'une coxarthrose progressive invalidante. Mr. Y habite à Fribourg dans un appartement avec sa femme au sous-sol. Il a 2 enfants. Il doit monter 12-13 marches d'escaliers pour accéder à son appartement. Il est indépendant pour les tâches quotidiennes. À l'entrée, se présente un patient en bon état général, bien orienté dans les trois dimensions, afébrile. L'examen clinique reste dans la norme. Au diagnostic principal À l'entrée, le patient a une mobilité légèrement diminuée avec un risque de chute augmenté. Les transferts sont effectués avec l'aide d'une autre personne et le patient marche 20 m avec un tintébin sous supervision. Nous effectuons le traitement complexe de rééducation gériatrique avec physiothérapie et ergothérapie. Grâce aux thérapies intensives et individuellement adaptées, des progrès significatifs au niveau de la mobilisation, de la stabilisation de la marche et de l'équilibre sont objectivés. À la sortie, le patient peut faire des transferts d'une manière autonome et marcher avec un tintébin une distance de 50 m avec un Tinetti de 19/28. Au diagnostic secondaire 1 Mr. Y est connu pour une fibrillation auriculaire intermittente sous anticoagulation thérapeutique par Sintrom. En raison d'un INR difficile à régler, nous remplaçons le traitement habituel de Sintrom par Eliquis le 15.01.2019. Un ECG effectué le 16.01.2019 est dans la norme avec un rythme sinusal. Le CHA2DS2-VASc Score est à 6 points, et le HAS-BLED est à 4 points. Vu le risque de chute et le risque hémorragique, l'indication de combiner une anticoagulation thérapeutique par Eliquis avec une antiagrégation par Plavix est à réévaluer par la suite selon l'évolution. Au diagnostic secondaire 2 En raison d'une hypovitaminose D à 25 nmol/l, nous commençons une substitution orale. Nous proposons un contrôle de vitamine D sérique après 3 mois et l'adaptation de la substitution. Au diagnostic secondaire 3 Le patient est connu pour un diabète mellitus de type 2, traité par Diamicron 60 mg 2x/jour. Nous notons une valeur de HbA1c à 6,2 % le 17.01.2019. En raison des glycémies hautes pendant la journée, nous introduisons un traitement par Janumet 50/500 mg le 22.01.19 avec des glycémies par la suite entre 6,5 et 10 mmol/l. Complication 1 À l'entrée, le patient présente une insuffisance rénale aiguë avec un eGFR à 69 ml/min le 15.01.2019 probablement d'origine pré-rénale traitée par une hydratation adéquate. Complication 2 À l'entrée, le patient présente une anémie normochrome normocytaire probablement en postopératoire. L'hémoglobine reste par la suite stable. Complication 3 Nous notons le 23.01.19 un syndrome inflammatoire (leucocytose avec déviation à gauche, CRP augmenté) d'origine peu claire. Cliniquement, aucun foyer infectieux n'est suspecté. Le sédiment urinaire reste propre. Le CT thorax, abdomen, hanche ne montre ni de foyer infectieux ni de néoplasie. Le suivi biologique montre une régression spontanée et le patient reste asymptomatique.En raison d'un risque de chute encore élevé, le patient poursuit un séjour dans notre service avec intensification des thérapies dans le cadre d'une réhabilitation musculo-squelettique à partir du 28.01.2019. Mr. Y, 75 ans, connu pour une démence progressive, nous est transféré des soins intensifs pour suite de prise en charge après un état de choc d'origine multifactorielle sur hypovolémie et sepsis pulmonaire, pour lequel une intubation est réalisée avec soutien aminergique. Après extubation, son état neurologique reste fluctuant avec un état confusionnel hyperactif pour lequel est initié un traitement par neuroleptique. Pour rappel, le patient avait été traité par colostomie en décembre 2018 en raison d'un choc septique sur iléus mécanique récidivant. L'épisode s'était compliqué d'un STEMI et d'une FA, avec mise en place d'une triple anticoagulation/antiagrégation. Il est ensuite hospitalisé à cause d'hétéroagressivité et démence à l'hôpital de Marsens début février, où il développe une anurie et est transféré à l'HFR Riaz, puis à l'HFR Meyriez avec pose de sonde vésicale et remplissage. Sur le plan du sepsis, à l'étage, nous terminons l'antibiothérapie par Tazobac le 12.02.19 et stoppons l'hydratation intraveineuse. La fonction rénale montre une évolution favorable. Nous retirons la sonde vésicale avec succès. Sur le plan du traitement antihypertenseur, nous le complétons par un IEC dans le cadre d'un status post-STEMI. Le traitement par bétabloquant est repris. Après discussion avec l'épouse, dans le contexte d'une démence progressive et de l'état confusionnel persistant, il est proposé un transfert aux soins palliatifs afin d'améliorer la prise en charge du patient dans le contexte familial. À noter qu'une demande de curatelle pour gestion administrative et financière est en cours au vu de l'incapacité de discernement de Mr. Y. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement le 15.02.2019 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 75 ans, est admis aux soins intensifs pour un état de choc d'origine multifactorielle sur hypovolémie et sepsis. Pour rappel, le patient a été traité par colostomie en décembre 2018 en raison d'un choc septique sur iléus mécanique récidivant. Pendant cette période, il se complique d'un STEMI et d'une FA, il est sous triple anticoagulation. Plus tard, il a été hospitalisé à cause d'hétéroagressivité/démence à Marsens. Depuis le 2.2., le patient était anurique et a été transféré à Riaz, puis à Meyriez. Une sonde 3 voies a été placée le 3.2. avec remplissage. Aux urgences, nous voyons un patient en état de choc avec une réduction de la vigilance. Une intubation immédiate est effectuée. La noradrénaline est débutée à haut dosage. Le CT-Scan montre des infiltrats pulmonaires sur probable broncho-aspiration à gauche sans signes d'inflammation abdominale. Nous concluons à un choc hypovolémique sur perte de liquide de la stomie avec composante septique sur pneumonie de broncho-aspiration. Le patient est traité par tazobac et remplissage. L'ETT au lit du patient montre une FEVG à 35% avec des hyperkinésies apical-latérales connues et stables, le ventricule droit fonctionne correctement, aspect vide, pas de valvulopathie significative. L'état de choc peut être contrôlé en 24 heures, le patient est extubé le 07.02.2019. L'état neurologique reste fluctuant avec un état confusionnel aigu hyperactif pour lequel nous réintroduisons un traitement par quetiapine avec de l'haldol en réserve. En raison de saignements récidivants au niveau de sa VVC et de son méat urinaire nous procédons à la transfusion d'un CE et passons à une anticoagulation prophylactique par héparine tout en continuant son traitement antiagrégant par plavix et ASS. Nous attribuons l'acutisation de l'insuffisance rénale à une origine prérénale sur hypovolémie. Le patient, initialement anurique, montre une bonne amélioration de sa diurèse après remplissage avec des paramètres de rétention régénérants. En raison d'un mauvais état général avec une hospitalisation depuis 2 mois et de nouvelles complications graves dans le cadre d'un choc septique, nous avons, avec l'accord de l'épouse, concentré la thérapie sur la thérapie de confort. Le patient n'est ni réanimé, ni réintubé. Une nouvelle admission aux soins intensifs est jugée futile et ne devrait donc pas être envisagée. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire ambulatoire suite à une maladie coronarienne monotronculaire avec STEMI antéro-latérale subaiguë le 22.01.2019. Pour rappel, Mr. Y s'est présenté aux urgences de l'HFR Tavel le 22.01.2019 pour des douleurs thoraciques oppressives et une dyspnée l'ayant réveillé la nuit et évoluant depuis 24 heures. Traitement à l'entrée : • ASPIRINE CARDIO 100 mg crp 1-0-0-0 • ALDACTONE 50 mg crp 1-0-0-0 • ATORVASTATINE 40 mg crp 0-0-1-0 • BELOC ZOK 25 mg crp 0-0.5-0-0 • EFIENT 10 mg crp 1-0-0-0 • LISINOPRIL 5 mg crp 1-0-0-0 • XARELTO 20 mg 0-0-1-0 • DAFALGAN 500 mg en réserve max 4f/j Le premier jour, nous avons expliqué à Mr. Y le but du séjour, de rester au repos et de ne pas forcer trop à cause d'une importante akinésie apicale et antéro-latérale retrouvée à la dernière ETT. Le 02.02.2019 à 15 h, nous avons réalisé une nouvelle ETT qui a confirmée une altération sévère de la contraction du muscle cardiaque avec akinésie sans thrombus et une légère amélioration de la FEVG à 35%. Mr. Y est retrouvé en arrêt cardiaque avec mydriase bilatérale à 17h40 par les infirmières. Son voisin de chambre nous a dit avoir parlé avec lui à 17 h, puis l'a encore vu se lever et bouger jusqu'à 17h20. Nous avons commencé la RCP et appelé le 144 et le SMUR. À chaque analyse du rythme, le patient était en asystolie, nous avons décidé d'arrêter la RCP après 50 minutes en accord avec le 144 et le médecin du SMUR. L'heure du décès est 18h30. La famille a été informée par le Dr. X qui reverra la famille pour une discussion le 15.02.2019. Mr. Y, connu pour un HIV sous trithérapie, est amené aux urgences en ambulance le 19.02.2019 en raison de diarrhées aqueuses depuis la veille au soir, accompagnées de douleurs abdominales diffuses crampiformes, sans rectorragie, jusqu'à 20 épisodes en 24h. Nausées et vomissements avec frissons sur la nuit, sans état fébrile objectivé. Deux épisodes de syncope vaso-vagale d'origine orthostatique durant l'après-midi, étant à jeun depuis la veille. Il décrit de même une fatigue avec myalgies diffuses. Pas de dysurie, pollakiurie, hématurie, écoulement urétral, douleur-rougeur testiculaire. Toux sèche chronique avec rhinorrhée claire, sans otalgie ou odynodysphagie. Légère péjoration de dyspnée à l'effort ce jour, avec palpitations, sans douleur rétrosternale. Pas de manifestation cutanée. Contage chez des personnes avec symptômes grippaux, sans gastro-entérite. Pas de voyage récent. Pas d'antécédent d'hépatite avec test dans le passé, pas d'utilisation de drogue IV ni rapport sexuel avec personnes à risque. Pas de récidive de consommation alcoolique, avec 1 bière occasionnellement. À l'admission aux urgences, le patient est en état général diminué. Il est hypotendu à 83/43 mmHg et afébrile. Fréquence cardiaque 77/min, saturation à 91% à l'air ambiant. Plis cutanés persistants.Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Pas d'oedème des membres inférieurs. Au niveau pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique avec présence de légers râles en base droite. Au niveau digestif, l'abdomen est souple et dépressible, avec douleurs à la palpation épigastrique et sensibilité en hypochondre droit. Les bruits sont augmentés en fréquence et en tonalité. Murphy négatif. Au status urogénital, douleurs à la percussion de la loge rénale droite, la gauche est indolore. Au toucher rectal, pas de sang ni de selle au doigtier. Au status ORL, le fond de gorge est érythémateux, sans déviation de la luette. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë. Dans ce contexte, nous effectuons un CT scan abdominal qui parle pour une colite, sans signe de complication, toutefois sous réserve d'injection de produit de contraste. Nous effectuons une PCR des selles qui revient positive pour Shigella. Nous retenons de diagnostic d'entérite à Shigella et nous débutons une antibiothérapie par Ciproxine 500 mg 2x/j. Mr. Y est gardé en lit d'observation aux urgences durant la nuit. Le 20.02.2019, ne souhaitant pas être hospitalisé, il quitte notre service. Un contrôle clinico-biologique est agendé à la FUA (filière urgences ambulatoires) le 22.02.2019. Mr. Y est un patient de 60 ans, connu pour une hypertension artérielle traitée et un état dépressif depuis 2-3 ans, consulte le service des urgences suite à un malaise avec possibles mouvements tonico-cloniques objectivés par son amie à domicile. Le scanner cérébral réalisé au service des urgences met en évidence un ancien infarctus lacunaire gauche, mais pas de séquelles post-traumatiques. Le patient est par la suite hospitalisé en médecine pour un état confusionnel aigu d'origine indéterminée. Au cours de l'hospitalisation, un bilan biologique extensif est réalisé ainsi qu'un EEG, une ponction lombaire, une ETT et un Holter. Les résultats de tous ces examens ne permettent pas de mettre en évidence d'étiologie à l'état confusionnel du patient. Une IRM cérébrale effectuée le 13.07.2018 et relue par nos collègues de radiologie montre une atrophie cérébrale marquée pour l'âge ainsi qu'une leucoencéphalopathie diffuse. Une évaluation neurologique et psychiatrique avec suivi est également effectuée. Finalement, l'état confusionnel du patient est principalement attribué à une origine psychiatrique dans le cadre d'un état dépressif avec éléments délirants de type persécutoire. Une composante de démence vasculaire est également possible selon nos collègues de neurologie. Dans ce contexte, un traitement d'aspirine est débuté. Au niveau psychiatrique, la médication anxiolytique, neuroleptique et anti-dépressive est adaptée durant le séjour selon l'avis de notre collègue psychiatre le Dr. X. Celui-ci note une amélioration thymique en cours du séjour et décide de laisser le patient rentrer à domicile, où il habite avec son amie, avec un suivi organisé en ambulatoire chez le Dr. Y. À noter que le traitement de Seroquel pourra être augmenté graduellement par le psychiatre traitant. Le patient rentre donc à domicile le 12.02.2019. Mr. Y est un patient de 87 ans, notamment connu pour une artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade III, qui dans le cadre d'une ischémie critique du membre inférieur gauche sur une pré-occlusion du carrefour fémoral gauche bénéficie d'une TEA fémorale gauche le 21.02.2019. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples. Mr. Y peut rejoindre son domicile le 25.02.2019. Mr. Y, patient de 59 ans, connu pour un carcinome épidermoïde moyennement différencié de la jonction gastro-oesophagienne, stade métastatique, est hospitalisé en raison d'une baisse d'état général avec faiblesse musculaire généralisée, marche incertaine ainsi qu'une odynodysphagie apparue il y a quelques mois, en amélioration depuis le début de la radiothérapie. Le patient rapporte des nausées sans vomissement depuis 2-3 jours, ainsi qu'un transit perturbé depuis toujours (alternance constipation/diarrhées) avec des douleurs abdominales transitoires de type colique connues. Il présente une dyspnée de stade NYHA III connue avec expectorations jaunâtres le matin. Pour rappel, le carcinome épidermoïde de la jonction oesogastrique diagnostiqué en mars 2018 est d'emblée métastatique. Malgré ces 3 lignes de chimiothérapie, le carcinome est en progression avec découverte en décembre 2018 d'une masse du rétropéritoine de 5 x 9 cm au contact du cardia, très symptomatique, pour laquelle une radiothérapie externe à 35 Gy sur la zone d'infiltration gastrique est décidée avec première séance le 29.01.2019. Au vu de l'asthénie en augmentation, d'un contexte de maintien à domicile difficile (patient vivant seul au troisième étage), l'équipe de radio-oncologie pose l'indication d'une hospitalisation durant la radiothérapie. Un traitement de soutien (soins de support) est proposé et supervisé par le Dr. X lors du séjour. Sur le plan pulmonaire, le patient, connu pour un tabagisme actif à 84 UPA, présente durant le séjour des épisodes de désaturation au réveil avec majoration de sa dyspnée. Au vu de ses comorbidités, des images radiologiques et après discussion avec les pneumologues, un traitement d'Ultibro est introduit afin de traiter une BPCO non stadifiée. L'évolution est favorable. Le patient refuse d'effectuer des fonctions pulmonaires simples durant l'hospitalisation, en accord avec les pneumologues, nous maintenons ce traitement. Sur le plan nutritionnel, le patient est porteur d'une sonde naso-gastrique avec alimentation entérale depuis environ 1 an. L'équipe de nutrition le suit durant le séjour avec bonne évolution. Le patient bénéficie de ses séances de radiothérapie durant le séjour avec comme conséquences une asthénie, des nausées intermittentes et une diminution de l'appétit, traitées symptomatiquement avec une évolution lente mais favorable. Parallèlement, le patient bénéficie de soins de support avec prise en charge multidisciplinaire. Sur le plan social, un contact est pris avec Mme. Y, infirmière à Voltigo qui connaît et suit le patient afin d'organiser au mieux le retour à domicile. Mr. Y pouvant à nouveau monter 3 étages d'escaliers, il peut rentrer à domicile le 22.02.2019. Un rendez-vous avec Voltigo est organisé ce même jour. Mr. Y, patient de 76 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour une embolie pulmonaire centrale le 30.01.2019. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé en médecine interne depuis 23.01.2019 pour une hémorragie digestive basse possiblement sur volumineux polype caecal avec également un ulcère pylorique Forrest III sans signe de saignement à l'OGD. Lors du séjour, le patient bénéficie de nombreuses transfusions de concentrés érythrocytaires. Une cardiopathie ischémique avec maladie coronarienne bitronculaire avec pontages en 2012 et NSTEMI le 17.01.2019, probablement sur pic hypertensif, avec une coronarographie prévue en ambulatoire le 31.01.2019 est reportée, jusqu'à ce que l'origine de cette hémorragie digestive soit élucidée et que le patient ne présente plus de risque de saignement. Une colonoscopie est proposée afin de compléter le bilan. Il présente des douleurs épigastriques D avec une légère dyspnée au repos, ce qui motive un CT thoraco-abdominal qui montre une embolie pulmonaire centrale avec extension dans les 3 lobes pulmonaires droits et une cholécystite radiologique avec un calcul dans l'infundibulum vésical. À son arrivée aux soins intensifs, le patient est hémodynamiquement stable, légèrement dyspnéique. L'embolie pulmonaire est traitée par anticoagulation thérapeutique par héparine avec un hémoglobine qui reste stable sans extériorisation digestive par la suite. Une échocardiographie ne montre pas de répercussions sur le cœur droit. Le patient reste stable sur le plan hémodynamique tout au long de son séjour.Pour la cholécystite, il a été décidé d'entreprendre un traitement conservateur avec une antibiothérapie par Rocéphine/Flagyl. L'échographie des voies biliaires de contrôle ne montre pas de dilatation des voies biliaires et les paramètres de cholestase restent dans la norme. Le patient peut s'alimenter par la suite. Une intervention chirurgicale reste à faire à distance de l'évènement aigu. Nous vous laissons le soin d'organiser la consultation en ambulatoire. En vue d'une bonne évolution, le patient peut être retransféré en médecine interne pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, connu pour une cardiopathie mixte et une BPCO non stadée et hospitalisé dans notre service du 08 au 11.02.2019 pour une syncope vaso-vagale, est amené aux urgences en ambulance le 14.02.2019 en raison d'une dyspnée progressant depuis 2 jours, avec toux et expectorations jaunâtres. Les infirmières des soins à domicile rapportent également 3 épisodes de selles liquides ce jour. À l'arrivée des ambulanciers, le patient est normotendu, normocarde, afébrile et sature à 85% à l'air ambiant. À l'admission aux urgences, au status pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique avec présence de sibilances diffuses et de ronchis sur les deux plages pulmonaires, avec une saturation à 95% sous 2 litres d'oxygène. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP 180 mg/l et une leucocytose à 11.3 G/l. La gazométrie artérielle montre une hypoxémie isolée avec PO2 à 8.5 mmHg et la radiographie de thorax montre une importante réorganisation de la trame bronchovasculaire, sans foyer infectieux constitué. Le diagnostic d'exacerbation de BPCO non stadée avec 3/3 de critères d'Anthonisen est retenu. Le patient bénéficie d'un traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin 3x/j, d'une antibiothérapie par Co-amoxicilline 2.2 g 3x/j dès le 14.02.2019, ainsi que de Prednisone 40 mg 1x/j et Fluimucil dès le 15.02.2019. Des hémocultures et cultures d'expectorations sont prélevées et Mr. Y est hospitalisé. L'évolution clinique est initialement favorable. Cependant, le 17.02.2019 au matin, le patient développe une insuffisance respiratoire aiguë avec désaturation à 78% sous oxygénothérapie aux lunettes, avec signes de détresse respiratoire sur utilisation des muscles accessoires et ballonnement thoraco-abdominal. L'examen clinique révèle des sibilances au niveau des deux plages pulmonaires, avec hypoventilation diffuse. La gazométrie artérielle montre une acidose respiratoire avec pH 7.11, pCO2 12.7 kPa, pO2 11.4 kPa et bicarbonates à 29 mmol/l. Le bilan biologique montre une leucocytose stable à 10.4 G/l avec CRP à la baisse à 60 mg/l. La radiographie de thorax est superposable au comparatif. Le traitement bronchodilatateur par Atrovent 250 mcg et Ventolin 0.5 ml est répété, sans effet, motivant un transfert en lit d'observation aux urgences pour séances de VNI et début de corticothérapie par Solumedrol 125 mg iv. Après une heure de VNI, la gazométrie s'améliore avec PH 7.30, PCO2 7.8 kPa et PO2 9.6 kPa. Cependant, des signes de détresse respiratoire persistent, avec tirage sus-sternal, tachypnée et désaturation au moindre effort sous 5 litres d'oxygène. Une nouvelle séance de VNI est tentée, cependant mal tolérée et refusée par le patient, car angoissant et refusant toute ventilation au masque et traitement bronchodilatateur. Le contexte clinique ainsi que la situation respiratoire fragile sont discutés avec le patient et son épouse, ces derniers souhaitant des mesures de soutien respiratoire, avec éventuelle intubation et transfert aux soins intensifs et ceci malgré des décisions de NON réanimation prises préalablement chez ce patient. Selon son souhait et une bonne qualité de vie préalable, Mr. Y est transféré aux soins intensifs du HIB Payerne le 17.02.2018 en raison d'un manque de place sur le réseau fribourgeois. Dans l'intervalle, le patient accepte une nouvelle séance de traitement bronchodilatateur avec diminution de la tachypnée. Mr. Y, connu pour une cardiopathie valvulaire, rythmique et ischémique, est amené aux urgences en ambulance le 08.02.2019 en raison d'un malaise avec perte de connaissance de 10 secondes et perte du tonus musculaire lorsqu'il était assis chez le coiffeur. Prodrome avec pâleur. Reprise de connaissance rapide. À noter une perte d'urine isolée. Pas d'état post-critique, pas de mouvement tonico-clonique, pas de douleur rétrosternale ni palpitation. Le patient décrit un malaise similaire, environ 1 heure plus tôt, toujours en position assise, après un repas copieux et suivi d'un épisode de vomissement. Pas de notion de chute récemment. Pas d'antécédent de malaise ni de crise d'épilepsie. À l'admission aux urgences, Mr. Y est afébrile à 36,2°C, normotendu à 123/65 mmHg, normocarde à 74/min, avec une saturation à 97% à l'air ambiant. Le status neurologique est normal hormis un pied tombant gauche de naissance. L'auscultation pulmonaire met en évidence des râles fins en base droite. Au status digestif, nous retrouvons une hernie de la ligne blanche réductible. L'abdomen est tendu à la palpation. Le laboratoire montre une leucocytose à 16.2 G/l sans élévation de la CRP. On retrouve l'insuffisance rénale chronique avec une créatinine à 128 µmol/l. On constate encore une légère hyponatrémie à 135 mmol/l et une LDH à 464 U/l. La gazométrie montre une insuffisance respiratoire partielle et des lactates positifs à 3.4 mmol/l. Des lactates veineux sont dosés et reviennent à 1.4 mmol/l. Une radiographie du thorax montre un discret épanchement pleural droit. L'ECG montre un rythme de base sinusal régulier à 72/min avec stimulation ventriculaire. Au vu de la clinique, nous retenons une origine vaso-vagale aux malaises et Mr. Y est hospitalisé pour surveillance, pendant laquelle nous ne notons pas de récidive de syncope. Le patient reste hémodynamiquement stable et afébrile. Le 11.02.2019, à l'examen clinique, l'abdomen est souple et indolore et au niveau biologique, nous constatons une diminution de l'hyperleucocytose avec, à la sortie, des leucocytes à 11 G/l et absence d'élévation de la CRP. L'hyponatrémie et la créatininémie restent stables. Mr. Y peut regagner son domicile le 11.02.2019. Mr. Y est un patient de 55 ans, aux antécédents susmentionnés, qui bénéficie d'une résection trans-anale d'un adénome tubulo-villeux avec dysplasie de bas grade du rectum avec Gelpoint à 10 cm de la marge anale et d'un deuxième polype par abord direct haut du canal anal à 6 h PG en électif le 06.02.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples avec une évolution favorable. Mr. Y rentre à domicile le 08.02.2019. Un rendez-vous de contrôle post-opératoire à notre consultation de proctologie est prévu le 13.02.2019 à 15h30. Mr. Y, patient de 73 ans, connu pour une cirrhose hépatique CHILD A5, un carcinome hépato-cellulaire bien différencié et un cholangiocarcinome intra-hépatique à la jonction des segments V et VII, pour lequel il a déjà bénéficié de plusieurs thermoablations, est hospitalisé le 21.02.2019 de manière élective, pour une nouvelle thermoablation et une biopsie de la lésion du segment VIII, par le Dr. X. Sur le plan hépatologique, la thermoablation de la lésion du segment VIII est réalisée le 21.02.2019. L'accès étant plus difficile que prévu, une biopsie ne peut pas être réalisée. De plus, au vu d'un compte plaquettaire diminué avant l'intervention, le patient bénéficie d'une transfusion de 2 concentrés plaquettaires. Les suites de l'intervention sont toutefois sans complication.Au vu d'une évolution clinique et biologique favorable, le patient rentre à domicile le 23.02.2019. Mr. Y est un patient de 27 ans, connu pour un tabagisme actif à 13 UPA, qui est hospitalisé en raison d'un pneumothorax spontané à gauche récidivant. Il bénéficie d'une thoracoscopie gauche avec une résection apicale ainsi qu'une pleurabrasion le 21.02.2019. Deux drains thoraciques sont mis en place lors de l'intervention. Le premier est retiré le 24.02.2019 et le deuxième le 25.02.2019, sans complication. Le patient, qui a des antécédents avec un abus de cannabis, bénéficie de la pose d'un cathéter péridural en vue des fortes douleurs présentes en post-opératoire dans le contexte de ses drainages, qui est retiré sans complication le 26.02.2019. Le patient rentre à domicile le 27.02.2019. Un rendez-vous de contrôle est organisé à la consultation de chirurgie thoracique le 29.03.19 à 13h30, et nous lui laissons le soin d'organiser un rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à J14 post-opératoire. Mr. Y présente une suspicion de névrome de Morton à gauche, entre les 3ème et 4ème orteils, mais également des podalgies droites que je vois dans le contexte de pes transervo planus décompensé. Dans un premier temps, je propose au patient d'adapter des semelles orthopédiques avec appui rétro-capital pour reconstruire la voûte horizontale de l'avant-pied. Lorsque le patient aura reçu les semelles adaptées, il prendra un rendez-vous à ma consultation pour un contrôle clinique un mois après le début du port des semelles. En cas de persistance de douleurs, une infiltration pourra éventuellement être effectuée loco-dolenti. Pas d'arrêt de travail. Mr. Y présente une importante kinésiophobie en ce qui concerne son genou G. Cliniquement il ne présente plus de signe inflammatoire. Afin de lutter contre cette kinésiophobie, je prescris au patient de la physiothérapie afin de regagner en mobilité. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 10.3.19. Prochain contrôle à ma consultation le 27.3.19. Mr. Y, actuellement hospitalisé au RFSM CSH Marsens pour une démence vasculaire avancée, sous Sintrom pour une fibrillation auriculaire et porteur d'une sonde vésicale à demeure avec rinçages quotidiens à l'Hibidil et au Neommycinsulfat, est adressé aux urgences le 25.01.2019 en raison d'une rétention urinaire sur sonde urinaire bouchée. À l'admission, le patient se plaint de douleurs abdominales mais l'anamnèse est impossible en raison de la démence. Il est fébrile à 39.2°C et sa famille signale une toux grasse mais sans expectoration depuis environ quatre jours. Mr. Y a déjà présenté plusieurs épisodes de sonde bouchée ou d'arrachements de sonde et bénéficie de rinçages de sonde quotidiens à l'Hibidil et au Neommycinsulfat. L'auscultation pulmonaire est difficilement réalisable. Au niveau digestif, l'abdomen est douloureux au niveau suspubien avec sensibilité à la percussion des loges rénales. Le changement de la sonde vésicale ramène plus de 2000 ml d'urines foncées. Une culture urinaire et des hémocultures sont prélevées. Le sédiment urinaire montre une leucocyturie. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale chronique acutisée avec une créatinine à 180 mcmol/l, ainsi qu'un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 13.1 G/l et une CRP à 18 mg/l. Devant le syndrome inflammatoire avec une suspicion de foyer urinaire, le patient est mis au bénéfice d'une antibiothérapie par Rocéphine et hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Sur le plan infectiologique, le patient évolue de manière favorable avec une diminution progressive du syndrome inflammatoire ainsi qu'une amélioration de la fonction rénale. Les hémocultures et l'urotube reviennent positifs pour un E. coli multisensible et l'antibiothérapie est relayée par Ciproxine per os dès le 31.01.2019 pour 14 jours d'antibiothérapie au total. Sur le plan psycho-gériatrique, le patient reste stable durant le séjour. Sa famille refusant tout retour en psychogériatrie, nous reprenons contact avec Dr. X du RFSM CSH Marsens qui accepte la poursuite de l'hospitalisation dans notre établissement dans l'attente d'un placement. Dès le 06.02.2019 et dans l'attente d'un placement, Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. À noter que le 11.02.2019, Mr. Y est réadmis dans le service de médecine en raison de troubles de l'état de conscience. Mr. Y, connu pour une cardiopathie mixte (rythmique et hypertensive), est hospitalisé dans un contexte de trouble neurologique focal. L'anamnèse révèle une fatigue et asthénie au réveil suivies de l'apparition brutale à 13h10 le 09.02.2019 d'un trouble de l'élocution et faiblesse de l'hémicorps droit, constaté par sa compagne. Au service des urgences, le patient présente une aphasie de type Wernicke et une dysarthrie. Le CT cérébral est évocateur d'une pénombre ischémique dans la région temporale gauche avec embole calcifié d'une branche artérielle distale (M3) de l'artère cérébrale moyenne à gauche. Au niveau vasculaire, une plaque athéromateuse calcifiée très irrégulière à risque emboligène est mise en évidence au niveau du bulbe carotidien gauche avec sténose significative estimée à 85%. Au vu de la présentation clinique du patient avec le bilan radiologique initial précité, la décision d'une thrombolyse i.v. est prise avec début à 15h05, calculé pour un poids de 64 kg. Après réception des analyses sanguines démontrant un syndrome inflammatoire, l'état fébrile à l'admission et la leucoaraïose très marquée au CT-scan natif, la décision de mettre en suspens la thrombolyse i.v. est décidée, avec arrêt à 15h34, environ 30 minutes après le début. À ce moment-là, il est constaté une légère amélioration clinique du patient, qui présente toutefois encore des troubles attentionnels avec une composante aphasique, mais moins marquée. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique et prise en charge internistique. La surveillance neurologique confirme une stabilité, sans régression de la symptomatologie. Le CT cérébral natif de contrôle à 24h révèle une lésion constituée dans le territoire sylvien gauche. Devant l'incompatibilité du boîtier du pacemaker avec l'IRM, nous renonçons à cet examen. L'échocardiographie trans-thoracique ne révèle pas d'étiologie structurelle d'AVC mais une insuffisance de la valve aortique minime avec un rétrécissement aortique lâche. Une nouvelle échocardiographie trans-thoracique est prévue à un an. Nous vous proposons de compléter le bilan par une échocardiographie trans-thoracique et Holter de 24h. Nous retenons une étiologie probablement artério-artérielle (éventuellement aorto-embolique devant de multiples calcifications endovasculaires distales ddc au CT) sans sanction chirurgicale en vue de l'état général du patient. Sur le plan médicamenteux, une double anti-agrégation plaquettaire est introduite dès le 14.02.2019, à poursuivre pendant un mois. Un traitement hypolipémiant à haute dose. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à un mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l).Sur le plan infectieux, nous retenons une exacerbation de BPCO avec 2/3 des critères d'Anthoniesen. A noter que la radiographie du thorax ne révèle pas de foyer radiologique et le frottis de grippe revient négatif. Les hémocultures effectuées lorsque le patient est fébrile ne révèlent pas d'argument en faveur d'une bactériémie. Un traitement aérosol bronchodilatateur, ainsi que de la Rocéphine est introduit. L'évolution est favorable sur le bilan clinico-biologique. Nous proposons la poursuite du traitement antibiotique pendant 1 semaine. Mr. Y est transféré à l'HIB Payerne pour la suite de la prise en charge en vue d'une éventuelle réadaptation neurologique voire gériatrique. L'examen neurologique de transfert met en évidence une aphasie sévère avec dysarthrie compréhensible, ainsi qu'une hémiparésie discrète à prédominance droite. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y consulte les urgences le 26.01.2019 en raison d'un état fébrile avec toux sèche depuis 3 jours. Pas de douleur thoracique ni abdominale, pas de nausée/vomissement, pas de plainte urinaire, pas de voyage récent. Notion de contage sur le lieu de travail. A l'auscultation cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, rythme normocarde sans souffle audible. Au status pulmonaire, on retrouve des râles crépitants à la base droite. L'abdomen est souple et indolore et les loges rénales sont indolores à la percussion. Au bilan biologique, nous retrouvons un syndrome inflammatoire avec une CRP à 43 mg/l, sans leucocytose et la gazométrie artérielle effectuée à l'air ambiant montre une hypoxie sans hypercapnie avec une saturation à 92%. La radiographie du thorax met en évidence un foyer débutant au niveau du lobe inférieur droit. L'ECG effectué aux urgences montre un rythme en fibrillation auriculaire avec des QRS fins, asymptomatique et non connu du patient auparavant. Une antibiothérapie par Rocéphine 2g iv 1x/j et Klacid 500 mg per os 2x/j est débutée et le patient est hospitalisé pour la poursuite du traitement. La recherche d'antigène dans les urines pour les pneumocoques et la légionelle revient négative et le traitement est adapté avec une antibiothérapie simple par Co-Amoxicilline 1g per os 2x/j dès le 28.02.2019. Concernant la fibrillation auriculaire, le patient se cardioverse spontanément et nous retrouvons un rythme sinusal à l'ECG de contrôle. Après discussion avec le Dr. X, cardiologue, nous décidons d'initier une anticoagulation par Xarelto à 15 mg pendant 3 semaines puis 20 mg. Dans ce contexte de fibrillation nouvelle, non documentée lors d'un Holter effectué en décembre 2016, nous proposons que le patient soit revu par le Dr. X, cardiologue traitant, pour une réévaluation de ce traitement et pour une éventuelle échocardiographie. Après 4 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable avec notamment la diminution du syndrome inflammatoire et Mr. Y peut rentrer à domicile le 30.01.2019 en bon état général. L'antibiothérapie sera poursuivie jusqu'au 02.02.2019 pour un total de 7 jours de traitement. Mr. Y nous est transféré du service de réhabilitation de l'HFR Meyriez pour prise en charge d'une surinfection de la plaie postopératoire le 11.01.2019 après une plastie du tendon d'Achille droit le 21.12.2018 dans le cadre d'une rupture traumatique du tendon le 11.12.2018. Pour rappel, le patient est connu pour une malformation congénitale avec atrophie de l'hémicorps gauche, un cœur dévié à droite sans situs in versus et un rein unique. Il a eu une PTCA avec mise en place d'un stent actif sur changement de valve aortique par bioprothèse sur bicuspidie à l'hôpital de l'île en septembre 2018. Il vit avec son épouse dans une maison avec des escaliers. Il souhaite installer des rampes pour qu'il puisse monter avec plus de sécurité. Il a 2 fils et 5 petits-enfants. Ils font à deux toutes les AVQ et il a déjà rendu son permis. A l'anamnèse à l'entrée, le patient rapporte une persistance des douleurs locales du pied droit depuis l'opération mais sans exacerbation douloureuse au cours des derniers jours ni notion d'état fébrile ou de frissons. Il n'a pas d'autres plaintes. Au status, la cicatrice proximale est calme et sèche. Pas de douleur à la palpation dans cette localisation. En regard du tendon d'Achille à l'inspection, pas de franche tuméfaction, discret exanthème avec suintement d'une goutte purulente au niveau de deux points à la pression. Pas de fluctuation en profondeur. Pas d'écoulement à la pression. Au niveau de la face plantaire en regard du calcanéum, persistance d'un hématome de la taille d'une pièce de 2 CHF. Après un frottis microbiologique qui revient positif pour S. epidermidis, un traitement antibiotique par Clindamycine est introduit pendant 10 jours devant cet écoulement. Les paramètres inflammatoires restent dans la norme et le patient ne présente jamais de fièvre ni de frissons. Malgré des soins de plaie avec Bétadine et Aquacel Ag quotidiennement, il persiste un léger écoulement purulent. Mr. Y est suivi régulièrement par les orthopédistes qui posent finalement l'indication à une révision chirurgicale de la plaie devant l'échec du traitement conservateur. Parallèlement à cela, le patient a bénéficié d'une réadaptation précoce avec physio- et ergothérapie. A l'entrée, le patient est déjà autonome pour les transferts, se mobilise sous supervision avec le rollateur et peut monter 9 marches d'escalier avec une aide de contact. Par contre, le Tinetti à 11/28 montre un risque de chute encore élevé. Avant le transfert en orthopédie, il se déplace de manière autonome avec deux cannes anglaises et fait 36 marches d'escalier sans aide. Le Tinetti s'améliore progressivement avec un score à la sortie à 20/28. Compte tenu de la persistance de l'écoulement malgré l'antibiothérapie, Mr. Y est retransféré en orthopédie de l'HFR Fribourg le 28.01.2019 pour une reprise chirurgicale avec débridement et prélèvements. Mr. Y est un patient de 66 ans, aux antécédents susmentionnés, qui se présente aux urgences en raison de douleur abdominale crampiforme d'apparition brutale en regard de la cicatrice de laparotomie avec irradiation au niveau du flanc gauche. A l'examen clinique, nous objectivons une détente en flanc gauche. Un CT abdominal effectué le 24.02.2019 met en évidence plusieurs sauts de calibre au niveau péri-ombilical, raison pour laquelle nous posons une sonde nasogastrique. Les suites sont simples et nous procédons à l'ablation de la sonde nasogastrique le 26.02.2019. Au vue de l'évolution clinico-biologique favorable avec une réalimentation bien tolérée et un transit qui reprend rapidement, Mr. Y peut regagner son domicile le 27.02.2019. Mr. Y est un patient de 68 ans, connu pour un statut post-prostatectomie totale pour un cancer le 19.01.2019, ainsi que pour un statut post-résection antérieure basse et iléostomie transitoire en 2014 avec rétablissement de continuité. Le patient est hospitalisé dans notre service le 07.02.2019 dans le cadre d'une rectite de contact sur status réactionnelle post-prostatectomie réalisée par le Dr. X au Daler le 19.01.2019. Une antibiothérapie par Rocephin et Flagyl est débutée et le patient bénéficie d'une rectoscopie le 07.02.2019 et le 11.02.2019, qui ne montrent pas d'érosions ou d'ulcérations. L'évolution est par la suite favorable, avec une disparition des douleurs et une absence de syndrome inflammatoire. Mr. Y regagne son domicile le 12.02.2019. À noter qu'un globe vésical est objectivé à l'entrée, raison pour laquelle le patient bénéficie d'une pose de sonde vésicale à demeure. Le patient rentre à domicile avec la sonde vésicale et prendra rendez-vous chez le Dr. X pour l'ablation de la sonde et un contrôle urologique.Mr. Y est un patient de 84 ans, connu pour une maladie coronarienne avec pontage de l'IVA sur AMIG en 2002, qui est amené en ambulance, suite à une chute de sa hauteur. L'anamnèse révèle une baisse de l'état général avec des symptômes grippaux depuis 2 jours. Le frottis nasopharyngé confirme une grippe à Influenza A et l'évaluation clinico-biologique parle en faveur d'une possible surinfection bactérienne. La radiographie du thorax révèle un foyer basal droit et une antibiothérapie par Ceftriaxone IV est introduite pour une durée totale de 7 jours. La recherche d'antigènes urinaires et les hémocultures reviennent négatives. L'évolution clinico-biologique est favorable, avec sevrage progressif de l'oxygénothérapie. Mr. Y présente une perturbation des CK compatible avec une rhabdomyolyse dans un contexte de chute de sa hauteur, accompagnée d'une hématurie microscopique. Le suivi biologique révèle un pic de créatinine kinase à 12'575 U/l. L'évolution est favorable avec hydratation intraveineuse. À noter une mise en suspens des statines dans ce contexte. Ces dernières seront à reprendre à distance de l'événement aigu. En lien avec l'hyperhydratation, le patient développe une décompensation cardiaque globale avec une péjoration de la dyspnée et des oedèmes des membres inférieurs. Un traitement diurétique per os par Torasémide permet une évolution clinique rapidement favorable. Par ailleurs, le patient présente une hypokaliémie à 3 mmol/l, probablement dans le contexte du traitement diurétique, pour laquelle il bénéficie d'une substitution per os avec normalisation de la kaliémie par la suite. À noter pour finir que le traitement antihypertenseur habituel du patient a été mis en suspens avec un profil tensionnel normal durant l'hospitalisation, raison pour laquelle celui-ci a été interrompu. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à un traitement antihypertenseur selon l'évolution du profil tensionnel en ambulatoire. Selon le souhait du patient, une réadaptation gériatrique à Riaz est organisée. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y est un patient de 83 ans, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour la prise en charge d'un anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale. En effet, il est connu pour un anévrisme de plus de 6 cm de diamètre à haut risque de rupture. Il bénéficie le 21.01.2019 de l'intervention susmentionnée. L'évolution postopératoire est favorable avec une plaie de laparotomie calme. Le scanner postopératoire permet d'exclure une endofuite. À noter qu'en raison d'une cholécystite aigüe sur cholécystolithiase en 2018, le patient bénéficie également d'une cholécystectomie ouverte le 21.01.2019. Le scanner postopératoire montre un abcès au niveau du lit vésiculaire, drainé sous guidage CT le 31.01.2019. Les prélèvements peropératoires montrent un E. faecalis et un Raoultella traités par Rocéphine et Métronidazole initialement puis Ciproxine et Flagyl jusqu'au 14.02.2019. L'évolution est par la suite favorable permettant un retour à domicile le 06.02.2019. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X le mardi 26.02.2019 à 11h00. Mr. Y, connu pour les comorbidités susmentionnées, est adressé aux urgences par le Dr. X, médecin de garde, le 27.01.2019 en raison d'une dyspnée au repos, d'une toux avec expectorations verdâtres et d'un état fébrile 38-38,5°C depuis le 26.01.2019. Au status d'entrée, notons des râles bibasaux à l'auscultation pulmonaire. Le reste du status d'entrée est non contributif. Le laboratoire montre une CRP à 44 mg/l sans leucocytose et la radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Des hémocultures et une recherche d'antigènes urinaires sont prélevées. Au vu de la clinique, nous retenons le diagnostic de pneumonie bilatérale que nous traitons par antibiothérapie par Rocéphine IV avec relais par co-amoxicilline avec une bonne évolution clinique et biologique. Le laboratoire met également en évidence une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 avec une créatinine à 128 mcmol/l d'origine probablement pré-rénale sur diminution du volume circulant efficace répondant favorablement à l'expansion volémique avec une créatinine dans la norme à la sortie. Dans le cadre de cette insuffisance rénale, nous mettons en pause le Lisinopril sans péjoration du profil tensionnel et diminuons la Metformine à 2000 mg par jour. Malgré la diminution de l'antidiabétique oral, le patient présente des hypoglycémies non symptomatiques le matin pour lesquelles nous diminuons l'Insuline de 8 UI. Nous vous invitons à suivre le profil glycémique. Sur le plan psychique, le patient présente des troubles du sommeil pour lesquels il prenait de l'Alprazolam que nous introduisons durant le séjour en raison de symptômes de sevrage se manifestant par des tremblements et une irritabilité. Nous vous proposons d'évaluer la possibilité d'un schéma dégressif. Au vu de la bonne évolution clinico-biologique, Mr. Y peut regagner son domicile le 31.01.2019. Mr. Y nous est transféré du CHUV le 29.01.2019 pour la découverte d'un diabète inaugural. La classification du diabète est encore en cours. Le patient a bénéficié de la mise en route d'une insulinothérapie de type basal bolus. Un enseignement a été réalisé sur la nécessité d'une insulinothérapie continue compte tenu de la forte suspicion de diabète de type 1. Les auto-contrôles glycémiques, les symptômes de l'hypoglycémie, les injections d'insuline et le schéma correctif sont compris et maîtrisés à la sortie. Mr. Y reverra notre infirmière en diabétologie le 5 février avant un suivi souhaité à la PMU du CHUV car il étudie à Lausanne. À noter que le patient n'a pas de médecin traitant et ne parle pas français. Il est cependant fluent en anglais. Mr. Y quitte notre service le 02.02.2019. Mr. Y est un patient de 60 ans connu pour les antécédents susmentionnés, qui est hospitalisé en électif pour une hémicolectomie droite avec CME par laparotomie dans le cadre d'un adénocarcinome moyennement différencié du côlon ascendant. Le patient bénéficie de l'intervention susmentionnée le 31.01.2019. L'intervention se déroule sans complication, l'évolution est par la suite favorable. En vue de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 08.02.2019. Un rendez-vous de contrôle post-opératoire à la consultation du Dr. X est prévu le 12.02.2019 à 15h00. Le cas de Mr. Y est discuté au colloque interdisciplinaire le 06.02.2019, où il est décidé de poursuivre une surveillance clinique. Mr. Y, connu pour une paraplégie depuis 1971 et une fibrillation auriculaire sous bétabloquant et Xarelto, consulte les urgences le 02.02.2019 en raison d'une baisse de l'état général depuis 2 jours, associée à un état fébrile. Le patient signale également l'apparition d'une rougeur du membre inférieur gauche, la douleur ne pouvant être ressentie en raison de la paraplégie. Au status cutané, nous observons une rougeur et une chaleur importantes du bas de la jambe gauche, une lésion cutanée sur l'orteil III du pied gauche (arrachement de l'ongle) et une plaie ancienne au niveau de la surface latérale externe du genou gauche. Les pouls sont bien palpables. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont lointains. Le rythme est irrégulier, tachycarde. Légers oedèmes des membres inférieurs. Les status respiratoire et digestifs sont sans particularité.Nous suspectons une porte d'entrée au niveau de la plaie ancienne au niveau de la surface latérale externe du genou gauche liée avec la paraplégie, au vu de la faiblesse du système immunitaire des patients paraplégiques et une forte possibilité d'avoir les plaies surinfectées. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec leucocytose à 17.5 G/l et CRP à 81 mg, une hypokaliémie à 3.2 mmol/l ainsi qu'une hypomagnésiémie à 0.70 mmol/l qui se corrige sous substitution. Nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 2.2 g iv 3x/j. Au vu de l'absence de réponse clinique nous augmentons le dosage à 2.2 g iv 4x/j. L'évolution est alors favorable permettant le relais par co-amoxicilline per os dès le 06.02.2019. Mr. Y peut regagner son domicile le 08.02.2019. Le patient sera convoqué par le Dr. X pour un contrôle clinique. Mr. Y est un patient de 77 ans, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge d'une nécrose du 4ème orteil à droite. Il bénéficie le 11.02.2019 d'une amputation qui se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire est tout à fait favorable, permettant un retour à domicile le 13.02.2019 avec des soins à domicile pour refaire le pansement tous les 2 jours. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X le mardi 19.02.2019 à 13h00. Mr. Y présente une fracture spiroïde longue du 4ème métacarpien de la main G avec un défaut de rotation du 4ème doigt ainsi qu'un raccourcissement de celui-ci. L'indication pour une réduction ouverte et ostéosynthèse est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire le lundi 18.02.2019. Le patient sera vu le même jour par le service d'anesthésie pour lui expliquer le déroulement de l'anesthésie. Mr. Y, connu pour une hypertension sous quadrithérapie, une dyslipidémie et une goutte, se présente aux urgences le 25.2.19 pour des douleurs rétrosternales oppressives, apparues depuis le 21.2.19. Ces douleurs persistent quelques minutes et apparaissent au repos, non péjorées par l'effort, sans irradiation, pouvant récidiver jusqu'à 20 fois par jour. À noter également, l'apparition de céphalées bi-temporales pulsatiles intermittentes à prépondérance matinale depuis le 21.2.19. Le patient évoque également un trouble de la vision apparu le samedi 22.2.19 au matin avec une vision floue (uniquement lors de la vision au loin) et une régression spontanée dans l'après-midi. À noter une dyspnée d'effort depuis un an environ. Aux urgences, la tension systolique est à 202 mmHg avec un bilan cardiaque dans la norme (ECG dans la norme, troponines négatives). Un CT injecté cérébral et thoraco-abdominal est effectué et permet d'exclure une dissection aortique, un saignement intra-crânien ou des signes d'AVC. Le patient reçoit un bolus de labétalol 20 mg en IV ainsi que 0.4 mg de nitroglycérine p.o. et est transféré en médecine pour suite des investigations le 25.2.19. Par la suite, un patch de déponit 5mg/24 heures est posé le 26.2.19 et stoppé en fin de journée suite à l'absence de récidive des symptômes. Pour compléter le bilan cardiaque, une ETT est effectuée le 26.2.19 et se révèle dans la norme avec une FEVG estimée à 60%. Un bilan lipidique et une Hb1Ac sont également réalisés. Compte tenu du bilan cardiaque dans la norme et du pic tensionnel à 202 mmHg, nous concluons à une probable crise hypertensive symptomatique. Nous ne retenons pas comme diagnostic différentiel une éventuelle ischémie cérébrale compte tenu du CT cérébral dans la norme et de la symptomatologie très atypique pour un AIT. Le patient rentre à domicile le 27.2.19. Nous proposons au patient d'effectuer un test d'effort en ambulatoire pour exclure une cardiopathie ischémique. À noter un changement du traitement habituel avec un switch de l'adénuric par allopurinol 100 mg 1x/jour, compte tenu des effets secondaires pouvant être induits par l'adénuric dont les céphalées et les troubles visuels. Les doses nécessaires sont à réévaluer en ambulatoire. Mr. Y est un patient de 55 ans, en bonne santé habituelle, qui s'est présenté aux urgences le 06.02.2019 pour une colique néphrétique gauche avec un calcul de 4x3x5 mm localisé au niveau de l'uretère lombaire gauche, diagnostiquée le 06.02.2019. Un traitement conservateur par antalgie et Tamsulosine avait été débuté le 06.02.2019. En raison d'un échec du traitement conservateur avec une persistance des douleurs, le patient se représente au service des urgences le 09.02.2019. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une majoration de l'insuffisance rénale, raison pour laquelle le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Ceftriaxone et de la pose d'une sonde double J le 10.02.2019. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution est par la suite favorable, permettant un retour à domicile le 13.02.2019. Mr. Y est transféré des urgences de l'hôpital de l'Insel à Berne pour un état confusionnel d'origine indéterminée. À Berne, un bilan biologique et radiologique avec notamment CT cérébro-cervico-thoraco-lombaire ne permet pas de trouver d'étiologie de l'état confusionnel. L'ECG réalisé est également dans la norme. Le plateau technique de Berne n'étant plus nécessaire, le patient est transféré en médecine interne à l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge.Lors du bilan effectué à l'étage, une hypoxémie artérielle fait suspecter une décompensation de BPCO. Le traitement inhalateur et l'oxygénothérapie introduite montrent rapidement un effet favorable avec une amélioration progressive de l'état cognitif du patient. Un traitement de fond par Ultibro est introduit. L'origine de l'état confusionnel est donc mise sur le compte de l'hypoxie, à noter qu'un surdosage en opiacés que le patient a à domicile est également possible. Au niveau du diabète, en l'absence d'information sur le dosage de Lantus du domicile, nous initions un traitement d'Insulatard avec un bon contrôle glycémique. Ce traitement est donc maintenu tel quel, le patient étant averti de se piquer deux fois par jour et de ne plus utiliser de Lantus à domicile. Un suivi aura lieu chez le Dr. X. L'évolution clinique et biologique est favorable avec une amélioration tant sur le plan cognitif que respiratoire. Le patient rentre donc à domicile le 05.02.2019. Un suivi clinique aura lieu chez son médecin traitant. Un contrôle pneumologique aura lieu dès que possible chez son pneumologue traitant le Dr. X, une gazométrie de contrôle serait indiquée ainsi qu'une oxymétrie nocturne à la recherche d'un syndrome d'apnée du sommeil. Le patient prendra également rendez-vous chez son diabétologue le Dr. X. Mr. Y est un patient de 22 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences de Riaz le 22.02.2019 en raison de douleurs abdominales en augmentation sur la journée avec des épisodes de vomissements à répétition. Le patient signale avoir eu deux épisodes similaires dans les derniers mois qui se sont résolus spontanément. Les examens radiologiques mettent en évidence une hernie para duodénale gauche sans signe de souffrance intestinale. L'indication opératoire est posée et le patient bénéficie d'une laparoscopie exploratrice avec réduction de la hernie para duodénale et adhésiolyse le 23.02.2019. L'intervention se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples avec une réalimentation bien tolérée et une reprise du transit le 24.02.2019. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 26.02.2019. Nous prévoyons de le revoir pour un contrôle postopératoire le 4.04.2019 à 09h00. Mr. Y, patient de 69 ans, nous est adressé en électif pour l'installation d'un pacemaker défibrillateur de resynchronisation, au vu d'une cardiopathie dilatée d'origine indéterminée avec un bloc de branche gauche connu. Mr. Y est opéré le 25.02.2019 et une radiographie du thorax permet d'exclure une complication. Il rentre à son domicile le 26.02.2019 en bon état général. Mr. Y, âgé de 79 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par le Salemspital de Berne pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une opération de stabilisation L4/L5 et décompression le 20.12.2018 dans un contexte de macro-instabilité L4/L5. Sur le plan social, le patient est veuf et vit seul à domicile. Il est bien entouré par ses 2 enfants (repas réguliers chez eux et aide aux tâches ménagères). A l'admission, le patient se plaint de douleurs lombaires à 2/10 au repos et 3/10 à la mobilisation avec l'antalgie en place. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. A l'anamnèse par systèmes, le patient signale une nycturie avec miction aux 2 heures et une baisse d'appétit. Il rapporte une perte pondérale importante depuis quelques mois due, selon lui, à la baisse d'activité physique à cause des douleurs. Il n'a pas de dyspnée, pas de douleurs thoraciques et le transit est conservé. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La sensibilité est conservée dans les 2 membres inférieurs et la flexion des 2 hanches est à 90° en actif. La force est cotée à M4 dans les membres inférieurs. Durant son séjour, il a présenté une nycturie avec jusqu'à 12 mictions nocturnes. La modification du traitement diurétique avec le remplacement du Torasémide par du Lasix permet une nette amélioration. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec moyen auxiliaire. Il peut monter/descendre les escaliers à l'aide d'une canne et de la rampe. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable avec des douleurs en diminution et un périmètre de marche augmenté et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 24.01.2019, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire pour maintenir les acquis, renforcer la force et continuer d'améliorer la marche. Les soins à domicile sont réactivés. Mr. Y est un patient de 81 ans, en bonne santé habituelle, chez qui un adénocarcinome de l'angle colique droit est diagnostiqué lors d'une colonoscopie de dépistage, raison pour laquelle il bénéficie d'une hémicolectomie droite le 25.01.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites post-opératoires sont simples. Le cas de Mr. Y est discuté lors de notre colloque interdisciplinaire d'onco-chirurgie et nous préconisons un traitement par chimiothérapie adjuvante. Dans ce cadre, l'indication pour la mise en place d'un Port-à-Cath est posée, qui a lieu le 01.02.2019. En vue de l'évolution clinique favorable, le patient peut regagner son domicile en bon état général le 02.02.2019. Il sera revu pour contrôle à la consultation du Prof. X le 11.03.2019 et par nos collègues oncologues le 07.02.2019 afin d'organiser la suite de la prise en charge. En raison d'une hypertension artérielle, nous introduisons un traitement par Lisinopril. Nous laissons les soins au médecin traitant d'adapter le traitement si nécessaire. Mr. Y, connu pour une insuffisance cardiaque à fraction d'éjection diminuée post-infarctus antéro-septal en 2014, se présente aux urgences le 9.02.2019 en raison d'une toux persistante depuis 1 mois ainsi qu'une dyspnée principalement lors des efforts de toux. Un laboratoire met en évidence un pro-BNP à 4154 ng/l et un syndrome inflammatoire. Une radiographie du thorax effectuée met en évidence un léger épaississement bronchique en base droite. Le diagnostic de décompensation cardiaque au décours d'une infection des voies respiratoires hautes est retenu et un traitement de Lasix i.v. est mis en place, relayé ensuite par du Torasémide p.o. 10 mg par jour. A noter, aux urgences, une douleur à l'hypocondre droit ainsi qu'une augmentation biologique des enzymes de cholestase. A l'étage de médecine, sur le plan cardiaque, on note une bonne évolution clinique avec disparition des signes de surcharge cardiaque permettant une reprise du traitement habituel de Torasémide dès le 12.02.2019. Sur le plan respiratoire, le patient est gêné par une toux persistante productive d'intensité importante, qui sera mise sur le compte d'une hyperréactivité bronchique faisant suite à l'infection des voies respiratoires hautes. Un traitement d'aérosols d'Atrovent, Ventolin et Pulmicort est mis en place puis complété par un traitement de prednisone 30 mg du 13.02.2019 au 16.02.2019. Un traitement par Bexine est également mis en place en réserve. A noter une amélioration biologique de la cholestase et une absence de résidive des douleurs abdominales.A noter que le patient devait bénéficier d'une IRM du genou droit à l'extérieur le 11.02.2019 annulée en raison de son hospitalisation. Après évaluation par sa rhumatologue traitante (Dr. X), au vu de l'évolution spontanément favorable avec une charge possible sans douleur, l'IRM n'est pas organisée lors du séjour. Le patient prendra contact avec elle en ambulatoire pour un suivi et rediscuter de l'indication à une imagerie. Sur le plan neurologique, le patient présente une exacerbation de ses myoclonies connues au niveau des membres supérieurs et de la mâchoire pour lesquels nous majorons son traitement de Lévétiracétam à 500 mg 2x/jour. Le patient rentre à domicile le 19.02.2019. Mr. Y est un patient de 55 ans, connu pour une arthrite psoriasique, qui se présente aux urgences en raison de douleurs péri-ombilicales avec migration en fosse iliaque droite, accompagnées de nausées et vomissements. A l'examen clinique, nous objectivons une défense en fosse iliaque droite avec un signe de McBurney positif. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire et le CT abdominal confirme le diagnostic d'appendicite aiguë. Le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le 25.02.2019 qui se déroule sans complication notable. Une antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole est introduite jusqu'au 06.03.2019. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 27.02.2019. Mr. Y présente une lésion horizontale du ménisque interne de type dégénératif. Après un essai de traitement conservateur dans un premier temps, le patient désire actuellement une intervention chirurgicale car les douleurs persistent. L'examen clinique confirme les symptômes et l'indication pour une arthroscopie du genou droit ainsi que la résection partielle du ménisque interne +/- suture de celui-ci est posée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire pour le 11.03.2019. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Il souhaite une anesthésie générale si cela est possible. Mr. Y est un patient de 50 ans, droitier, travaillant dans le secteur de la construction, qui est hospitalisé le 10.02.2019 suite à une chute avec réception sur la hanche droite. L'imagerie réalisée aux urgences montre la fracture suscitée, pour laquelle le Dr. X est contacté. L'indication opératoire est retenue et Mr. Y est hospitalisé dans le service d'orthopédie de l'HFR Riaz dans l'attente de l'intervention qui est agencée au 15.02.2019. Le 11.02.2019, le Dr. X procède à une ponction de la hanche droite avec test SynovaSure qui s'avère négatif. Les résultats montrent des hématies +++, débris +, éléments 4400/mm3, polynucléaires 79%, mono/macrophages 9%, lymphocytes 13%, cristaux 0. La bactériologie est négative à 2 jours. Pendant le séjour à l'HFR Riaz, les douleurs sont bien gérées par les AINS et l'antalgie standard. Dans un premier temps, le patient est gardé au lit puis, grâce à une antalgie efficace, il bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation à l'aide de cannes anglaises, en décharge (toilettes, transferts lit-fauteuil). Par ailleurs, suite à un traumatisme dont a été victime Mr. Y le 07.02.2019, on note une bursite olécranienne gauche, inflammatoire. L'examen clinique du coude gauche ne montre ni éraflure, ni plaie, une légère douleur à la palpation, ainsi qu'une rougeur avec léger gradient thermique de l'olécrane. La mobilité est de 0-0-140, indolore. La radiographie du coude montre un éperon osseux olécranien, avec suspicion d'arrachement coronoïde, DD calcification. Au laboratoire, CRP 61 mg/l, leucocytes 9,9 G/l. Par ailleurs, l'hémoglobine est stable, à 144 g/l à l'entrée, 140 g/l le 13.02.2019. Un pansement écossais est mis en place au niveau du coude gauche. Le patient ne pouvant utiliser les cannes anglaises, il reste alité jusqu'à son transfert à l'HFR Fribourg le 13.02.2019. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour a été instaurée dès l'entrée. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de diarrhées depuis plusieurs semaines chez un patient connu pour une colite microscopique. Celles-ci s'accompagnent d'une déshydratation importante ainsi qu'une asthénie. Nous effectuons des analyses microbiologiques revenant positives pour un C. Difficile. Nous introduisons un traitement de Métronidazole pour une durée de 10 jours avec amélioration progressive des symptômes. Une mise en isolement est également mise en place jusqu'à un rétablissement d'un transit normalisé. Un contrôle clinique et biologique est à agender chez le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y peut rentrer à domicile le 18.02.2019. Mr. Y est un patient de 19 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs en fosse iliaque droite accompagnées de vomissements. Au laboratoire nous retrouvons un syndrome inflammatoire et le bilan radiologique par ultrason met en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le 05.02.2019. L'intervention se déroule sans complications notables et les suites post-opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 06.02.2019. Mr. Y est admis pour l'intervention susmentionnée. Les suites opératoires sont simples et sans complication. L'ablation des Merocel se fait à J1. Les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie de palier I. Au vu de l'évolution clinique favorable, il peut retourner à domicile. Mr. Y est un patient de 53 ans, transféré en médecine à Fribourg le 24.01.19 de l'hôpital de Riaz pour un état fébrile d'origine indéterminée avec sudations nocturnes, perte de poids et adénopathies inguinales et axillaires. Un bilan extensif est réalisé en raison d'une suspicion de lymphome. Au CT thoracique du 24.01.19, on met notamment en évidence des adénopathies médiastinales multiples au niveau axillaire, hillaire et supra-claviculaire, une splénomégalie, 4 nodules pulmonaires de 8-9 mm bilatéraux. Le PET-CT montre de multiples hypercaptations ganglionnaires, supra- et infra-diaphragmatiques, osseuses, spléniques et pulmonaires gauches compatibles avec un lymphome. Au niveau histologique, une excision de lymphadénopathie inguinale pose le diagnostic d'un lymphome à grandes cellules B avec croissance folliculaire, des examens complémentaires ont été envoyés à Berne et restent à pister. La ponction biopsie de moëlle ne met pas en évidence d'infiltration médullaire du lymphome. La ponction lombaire retrouve 7 éléments 7/mm3 et des protéines 0.50 g/l, les résultats de cyto-pathologie n'étant pas disponibles au moment du retour à domicile, ils restent à pister.Le diagnostic est confirmé au patient et un premier cycle de chimiothérapie est débuté en hospitalisation le 5.2.2019. Le patient montre une bonne tolérance au traitement avec une absence d'effets secondaires majeurs, notamment de syndrome de lyse. La suite de la chimiothérapie sera effectuée en ambulatoire à Riaz. Trois cycles sont prévus avant un PET-CT de contrôle, suivi de 6 cycles supplémentaires selon la réponse au traitement. Au cours du bilan, un épanchement péricardique est mis en évidence au CT du 24.1.2019. Celui-ci est suivi par ETT où une régression partielle ainsi que l'absence de répercussion hémodynamique en fin de séjour sont constatées. Un suivi cardiologique n'est dès lors pas nécessaire. En raison d'une consommation alcoolique à risque, le patient est mis sous Seresta durant son séjour hospitalier. Le patient rentre à domicile le 9.2.2019. Le suivi oncologique se fera à Fribourg sur demande du patient, il sera donc convoqué pour la suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 76 ans connu pour une cardiopathie mixte à FEVG abaissée (20%), nous est transféré des soins pour suite de prise en charge. Pour rappel, le patient avait initialement été hospitalisé pour une bactériémie à Staphylocoque doré à Fribourg. Le pace-défi étant infecté, il est enlevé au CHUV le 25.01.2019. Par la suite, Mr. Y développe une néphrite interstitielle sévère sur Cefuroxime pour laquelle il est dialysé de façon continue. Un NSTEMI est suspecté sur douleurs thoraciques, mais une coronarographie est repoussée à distance au vu d'une hémorragie digestive haute sur des ulcères gastro-duodénaux clippés lors d'une OGD. À noter que le patient présente également une complication d'OAP sur pic hypertensif. Le 01.02.2019, Mr. Y retourne aux soins à l'HFR Fribourg. Il survient une salve de TV dans la nuit du 04.02 au 05.02.2019 sans complication secondaire. À l'étage de médecine, sur le plan du sepsis à Staphylocoque doré, la daptomycine est donnée jusqu'à deux semaines après le retrait du cathéter et des hémocultures réalisées alors reviennent négatives. L'avis infectiologique préconise un délai d'une semaine avant d'envisager une réimplantation de pacemaker pour surveiller toute récidive infectieuse endovasculaire et le défibrillateur sera donc reposé par le Dr. X le 21.02.2019 en ambulatoire. Sur le plan du NSTEMI du 15.01.2019, le patient présente plusieurs épisodes de douleurs rétrosternales, pour lesquelles un trend de troponines reste stable et les ECG superposables. Malgré une amélioration rapide des symptômes sous nitrés et morphine, une coronarographie prévue à distance est avancée au 08.02.2019 au vu d'une arythmie nouvelle sur extrasystoles ventriculaires et une resténose de la circonflexe est dilatée par ballonnet avec bon résultat et diminution des épisodes d'angor. Une thérapie par statine est initiée par la suite chez un patient à risque. Un OAP dans le contexte du NSTEMI est traité par hémofiltration avec retrait de 4L ainsi que des séances de VNI. Par la suite, le patient présente quelques épisodes plutôt de composante anxieuse bien soulagés par anxiolytiques. Une anticoagulation par Sintrom est à reprendre selon un avis des cardiologues datant du 19.02.2019, au vu des bénéfices et risques concernant la maladie thromboembolique et l'épisode de saignement digestif haut. Nous vous laissons le soin d'initier l'anticoagulation en réhabilitation. Une anémie probablement d'origine rénale, sur extériorisation et inflammatoire est substituée par 2 culots érythrocytaires avec bonne réponse. À noter que le patient ne présente pas de nouvelle extériorisation lors du séjour en médecine. Sur le plan des ulcères gastro-duodénaux, le Pantozol est maintenu d'ici une gastroscopie de contrôle, qui sera réalisée en ambulatoire le 28.02.2019. Un diabète sous-jacent est suspecté au vu d'une hémoglobine glyquée à 7.3%. Nous contrôlons régulièrement les glycémies. Au vu d'un déconditionnement important, un avis diététique calcule une couverture des besoins à 60% et propose en complément une nutrition par sonde nasogastrique si le patient est d'accord. Ceci sera à rediscuter en fonction de l'évolution de l'appétit et de l'apport calorifique, en sachant que le patient se mobilisera plus et augmentera ses besoins énergétiques. Mr. Y peut être transféré le 19.02.2019 en réhabilitation cardio-vasculaire à Billens pour la suite de prise en charge. Mr. Y, 76 ans, nous est adressé en électif pour une nouvelle pose d'un pacemaker défibrillateur de resynchronisation, au vu d'une cardiopathie hypertensive, ischémique (maladie tritronculaire) et valvulaire. Le pacemaker avait dû être retiré au CHUV lors d'une bactériémie à Staphylococcus aureus avec infection des sondes le 09.01.2019. L'intervention est effectuée le 21.02.19 par le Dr. X sans complication notable. Le cliché du thorax permet de visualiser l'emplacement correct des sondes de pacemaker. Mr. Y peut retourner en réhabilitation cardio-vasculaire à Billens le lendemain, après une séance de dialyse déplacée au matin. Mr. Y, 61 ans, est hospitalisé pour une suspicion d'AIT avec hémisyndrome gauche sensitif résolutif. Il a présenté le 02.02.2019 une hyposensibilité de l'hémiface gauche aux alentours de 14h alors qu'il se rasait, avec une hyposensibilité de l'hémicorps gauche apparue secondairement. Il décrit également un flou visuel de l'œil gauche. Aux urgences, le tout est régressif, hormis une douleur de l'épaule gauche qui est connue dans le cadre d'une arthrose. Le bilan par CT et IRM cérébraux ne retrouve pas de lésion ischémique constituée. La surveillance rythmique s'avère normale. Le patient décrit une syncope à l'emporte-pièce sans prodromes le jour précédant les manifestations neurologiques. L'ETT montre des troubles de la cinétique segmentaires sans valvulopathie significative, mais une FEVG altérée qui s'est dégradée en comparaison des anciennes investigations cardiologiques. Le test de Schellong est non contributif, de même que le massage carotidien. Au vu de la dégradation de la FEVG, l'avis cardiologique préconise une coronarographie. Un Holter est demandé pour détecter d'éventuelles arythmies à l'origine de la syncope. Mr. Y, connu pour une dystrophie musculaire, présente un état fébrile depuis le 14.02.2019, accompagné d'une toux avec hémoptysie le 15.02.2018. Il note initialement une amélioration clinique, mais en raison de la persistance d'hémoptysies, il consulte les urgences de l'HFR Fribourg le 19.02.2019. Le patient rapporte une mobilisation limitée par la dystrophie musculaire. Pas d'autre plainte à l'anamnèse par système. À l'admission aux urgences, Mr. Y est hémodynamiquement stable et subfébrile. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont réguliers, pas de souffle. Notons des œdèmes des membres inférieurs remontant jusqu'aux chevilles. La palpation des mollets est indolore, signe de Homans négatif. À l'auscultation respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique, sans bruit surajouté. Le status digestif est non contributif. Un CT scan thoracique effectué à l'HFR Fribourg montre une embolie pulmonaire centrale bilatérale et une nécrose pulmonaire basale droite. Le patient est mis sous héparine IV continue et nous est transféré pour surveillance en lit d'observation aux urgences. Après 24h de surveillance d'anticoagulation et à sa demande, Mr. Y peut regagner son domicile avec un traitement par Xarelto. Un contrôle angiologique est agendé pour le 21.05.2019 à l'HFR Fribourg, afin de discuter de la poursuite de l'anticoagulation que nous recommandons au long cours.Mr. Y est un patient de 75 ans, aux antécédents susmentionnés, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'une tumeur de la tête du pancréas, diagnostiquée début janvier 2019. En vue d'une instabilité hémodynamique lors de l'induction le 05.02.2019 ainsi qu'une chute d'hémoglobine de 122 g/l à 89 g/l en une semaine nécessitant la transfusion de 2 concentrés érythrocytaires, nous décidons d'annuler l'intervention planifiée. Une OGD, une colonoscopie ainsi qu'un CT abdominal ne montrent pas de sources de saignements. Par la suite, l'hémoglobine se stabilise et le patient peut regagner son domicile le 09.02.2019. L'intervention de Whipple sera repoussée en date du 27.02.2019. Mr. Y, patient de 51 ans, connu pour une cirrhose hépatique d'origine mixte, est hospitalisé aux soins intensifs le 29.01.2019 suite à une insuffisance rénale aiguë et une insuffisance hépato-cellulaire sévère des suites d'une consommation d'alcool. Le patient est transféré le 30.01.2019 au service de médecine interne pour la suite de sa prise en charge. Depuis 15 jours, le patient décrit une augmentation du périmètre de son abdomen et une aggravation de son ictère. Une hospitalisation est proposée par le médecin traitant le 15.01.2019 en raison d'une forte perturbation du bilan hépatique avec une bilirubine en augmentation. Ce projet est initialement refusé par le patient. Il consulte finalement aux urgences en raison d'une dyspnée NYHA III associée à une gêne abdominale en franche progression. Sur le plan hépatologique, nous attribuons l'acutisation de l'insuffisance hépato-cellulaire aiguë sévère à une consommation récente d'alcool. Une décompensation secondaire à une éventuelle infection urinaire semble moins probable. Au vu d'un sédiment pathologique, un traitement empirique par Ceftriaxone est cependant introduit, pour une durée totale prévue de 5 jours. En l'absence d'hépatite franche, des corticoïdes ne sont pas introduits. L'analyse de la ponction d'ascite effectuée à l'admission parle en défaveur d'une éventuelle péritonite bactérienne spontanée. L'US-Doppler hépatique permet d'écarter une thrombose porte ainsi qu'une lésion focale. Durant son hospitalisation au service de médecine interne, le patient présente un état fébrile à 38.6°C. Après un frottis de grippe négatif et une US ne montrant pas d'ascite suffisamment importante pour une ponction, nous remplaçons la Ceftriaxone par du Méropénème le 03.02.2019, en vue de couvrir une éventuelle péritonite bactérienne spontanée, pour une durée totale de 7 jours. La clinique du patient s'améliore et il ne présente pas de nouvel épisode fébrile. Nous instaurons cependant une antibiothérapie prophylactique de péritonite bactérienne spontanée par Ciproxine. À noter qu'au vu de la nouvelle consommation d'alcool du patient début janvier 2019, le projet d'éventuelle transplantation hépatique est, pour l'instant du moins, suspendu. Durant l'hospitalisation, une reprise de suivi par le service d'hépatologie du CHUV est organisée. Sur le plan néphrologique, suspectant initialement un syndrome hépato-rénal, un traitement par Terlipressine associé à une hydratation intraveineuse importante est débuté aux soins intensifs et poursuivi à l'étage, permettant une amélioration de la fonction rénale mais accompagnée d'une polyurie. Nous attribuons l'insuffisance rénale à une hypovolémie sévère dans le cadre de la décompensation cirrhotique, ayant par la suite mené à un début de nécrose tubulaire aiguë. À la suite de ce traitement, le patient développe une nouvelle dyspnée, avec des signes radiologiques de surcharge hydrique. L'hydratation est arrêtée et un traitement diurétique par Torasémide et Aldactone est instauré dans le cadre de la cirrhose et de l'ascite. Nous recommandons au patient de suivre ses diurèses et son poids et, en cas de perte trop importante de poids, de prendre contact avec son médecin traitant afin d'adapter le traitement diurétique. Concernant la consommation d'alcool du patient, un contact avec la fondation Le Torry a lieu. Le patient se dit intéressé à débuter un suivi ambulatoire auprès de la fondation. Nous l'encourageons dans ce sens et lui rappelons l'importance de le débuter dès la fin de son hospitalisation. Au vu d'une évolution clinique et biologique favorable, le patient retourne à domicile le 13.02.2019. Il se présentera de lui-même le 14.02.2019 à votre consultation pour une suite de prise en charge et un contrôle médical. Mr. Y est un patient de 58 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs en hypochondre droit accompagnées d'un état fébrile. À savoir que le patient avait été hospitalisé au Portugal il y a 6 semaines dans le cadre d'une cholécystite. À l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité à la palpation en hypochondre droit avec signe de Murphy positif. Un ultrason abdominal met en évidence une cholécystite lithiasique, raison pour laquelle Mr. Y bénéficie d'une ERCP le 18.02.2019 avec papillotomie et extraction de sludge. L'évolution se complique par l'apparition de douleurs épigastriques avec une augmentation du syndrome inflammatoire et des paramètres de cholestase. Au vu d'une cholangite post-ERCP, nous instaurons un traitement conservateur par Tienam. L'évolution clinico-biologique est par la suite favorable, permettant un relais de l'antibiothérapie par Ciproxine et Flagyl per os le 22.02.2019. Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 23.01.2019. L'antibiothérapie sera poursuivie jusqu'au 02.03.2019. Au vu d'un déménagement au Portugal, nous expliquons au patient l'indication pour la cholécystectomie à distance et nous lui conseillons de prendre contact avec un chirurgien dès son arrivée, afin d'organiser la suite de la prise en charge chirurgicale. Mr. Y, 59 ans, est admis aux soins intensifs pour grippe Influenza A avec pneumonie bilatérale communautaire le 20.02.2019 découvert dans un contexte de sevrage éthylique. Il est retrouvé le 20.02.2019 par son colocataire sur le balcon, couché nu par terre avec une amnésie circonstancielle. Il est resté par terre probablement durant plusieurs heures. Le patient boit habituellement environ 15 unités d'alcool par jour, mais il n'aurait pas bu depuis environ 48 heures. Une crise d'épilepsie sur sevrage alcoolique est suspectée, il n'y a pas d'indication à un traitement antiépileptique selon les neurologues. Le sevrage alcoolique est traité par Oxazépam et substitution vitaminique avec bonne évolution clinique. Une IRM cérébrale est programmée pour le 25.02.2019, pour évaluer une légère faiblesse du membre supérieur droit, persistante au 23.02.2019. Le CT cérébral initial du 20.02.2019 retrouve une suspicion d'hématome sous-dural frontal gauche de 2.5 mm avec hyperdensités frontales pouvant être des foyers punctiformes de saignement sous-arachnoïdiens. Sur le CT cérébral de contrôle 6 heures plus tard, les hyperdensités spontanées précédemment décrites ne sont plus retrouvées, celles-ci étant donc probablement d'origine artéfactuelle. L'IRM donnera des renseignements complémentaires.Dans un contexte d'allongement prolongé dans le cadre du trouble de l'état de conscience, le patient présente une rhabdomyolyse importante que nous traitons par hydratation et alcalinisation des urines avec une bonne réponse au niveau de la diurèse et de la fonction rénale. Une hyponatrémie hypo-osmolaire, attribuée à l'éthylisme chronique, est également corrigée par hydratation. Suite à l'hydratation, le patient développe une surcharge hydrique qui se corrige sous traitement diurétique. A son admission, le patient présente un état fébrile depuis environ 3 jours associé à des myalgies et une toux sans expectorations. La radiographie confirme une pneumonie bilatérale communautaire. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est alors débutée. Un frottis nasopharyngé se révèle positif pour influenza A. Nous renonçons à introduire une couverture par Tamiflu en raison de délais dépassés. Le patient présente des diarrhées depuis plus de deux semaines. Des cultures de selles et des recherches d'antigènes se révèlent négatives. Il présente un épisode de méléna le 22.02.2019, raison pour laquelle un traitement par Pantoprazole est débuté. La suite des investigations reste à déterminer. Le CT du 20.02.2019 retrouve de manière fortuite une lésion nodulaire de 26 x 19 x 26 mm dans le lobe thyroïdien gauche qui sera à corréler à un ultrason. Mr. Y est un patient de 71 ans, connu pour un adénocarcinome moyennement différencié de la jonction recto-sigmoïdienne d'emblée métastatique au niveau hépatique et pulmonaire stade IV (diagnostiqué en 09/2018), qui nous est transféré de Riaz à cause d'un priapisme et des douleurs au niveau du pied droit associés à une cyanose qui ont débuté le 08.12.2018. Le patient réfère aussi qu'il n'arrive pas à uriner depuis le 09.12.2018. Un drainage du priapisme est effectué aux urgences à Riaz et le patient nous est transféré pour la suite de la prise en charge. Un angio-CT des membres inférieurs est effectué et le patient bénéficie d'une angiographie avec thrombolyse la nuit du 10.12.2018, que nous décidons d'interrompre au vu des saignements au niveau du pied droit et du fibrinogène bas. Nous décidons d'effectuer une surveillance clinique du patient pendant laquelle il présente une péjoration des douleurs du membre inférieur droit et du status cutané avec une persistance de la tuméfaction. L'antalgie est réglée à l'aide de nos collègues anesthésistes qui mettent en place une PCA de morphine. En raison de ses multiples comorbidités et des douleurs, le patient demande un arrêt des soins aigus et la mise en place de soins palliatifs. Une discussion est menée avec ses proches qui acceptent cette décision. Mr. Y est donc transféré aux soins palliatifs le 18.12.2018. Mr. Y est un patient de 82 ans, connu pour une cardiomyopathie dilatée idiopathique sur coronaires saines avec une FEVG à 20%, qui est amené le 01.02.2019 aux urgences en ambulance pour une dyspnée sévère. Le patient est sous antibiothérapie par Co-Amoxicilline depuis 5 jours pour une bronchite. A l'arrivée, la saturation est à 88% à l'air ambiant, et passe à 95% sous 4 l/min d'oxygène, il est afébrile, la tension est légèrement élevée à 150/80 mmHg. A l'anamnèse, en plus de la dyspnée, il rapporte une prise de poids d'un kilo les deux derniers jours ainsi qu'une inappétence depuis une semaine et une toux sèche. Au status aux urgences, à auscultation cardio-pulmonaire : bruits cardiaques lointains, peu perceptibles. L'auscultation pulmonaire montre des crépitants bibasaux D>G avec des sibilants associés. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique montre une cinétique de troponines négative (H0 à 28, H1 à 31), NT ProBNP à 11,222, CRP à 37 mg/l, leucocytes à 9.1 G/l, Hb à 128 g/l, créatininémie à 117 umol/l. La gazométrie artérielle montre : pH 7.4, PCO2 3.6 kPa, PO2 8.6 kPa, HCO3- 16, ce qui correspond à une hypoxie sévère sans hypercapnie. La radiographie du thorax met en évidence un discret flou péri-hilaire pouvant rentrer dans le cadre d'une insuffisance cardiaque légèrement décompensée. Minime émoussement du sinus costo-diaphragmatique droit. Pas d'épanchement pleural à gauche. Pas de foyer pneumonique visible. A l'arrivée à l'étage, le patient est orienté, collaborant, stable au niveau des douleurs et de la dyspnée. Il rapporte avoir été hospitalisé dans le service de cardiologie du CHUV du 07 au 09.01.2019 pour investiguer sa maladie cardiaque. Une coronarographie a montré des coronaires athéromateuses sans lésion significative, un PET-CT n'a pas montré d'argument pour une atteinte inflammatoire cardiaque et l'interrogation du défibrillateur a montré qu'il n'y avait plus eu de TV depuis novembre 2018. Une ablation du substrat endocardique péri-mitral surtout inférieur et postérieur a été effectuée et une ablation plus large pourrait être envisagée en cas de récidive d'arythmie. Nous demandons l'avis du Dr X qui considère que le patient a le traitement optimal de l'insuffisance cardiaque incluant beta-bloquant, Aldactone, Entresto et thérapie de resynchronisation ; à plus long terme, l'introduction de digoxine pourrait être discutée. Selon la proposition de Dr X, nous effectuons un bilan ferrique. Selon les dernières recommandations, une substitution IV (et non per os) en fer est recommandée si : ferritine <100 mg/L ou ferritine entre 100 et 299 et saturation de la transferrine <20%. D'après les résultats du bilan ferrique du 04.02.2019 : saturation de la transferrine à 23.3 et ferritine à 234, nous ne substituons pas de fer IV. Durant l'hospitalisation, nous surveillons régulièrement le poids du patient qui, avec le temps et le traitement adéquat par Lasix, revient dans la norme. Pour cette raison, nous stoppons le Lasix et reprenons le Torem en dose habituelle, soit 2.5 mg per os une fois par jour. L'oxygénothérapie a été également arrêtée. Au niveau médicamenteux, nous conseillons de continuer le traitement habituel qui est optimal pour l'insuffisance cardiaque. Durant l'hospitalisation, Mr. Y se plaint de vertiges le matin lorsqu'il change de la position couché-debout. Nous effectuons le test de Schellong qui revient positif. Pour cette raison, nous proposons à Mr. Y de porter des bas de contention. Après 6 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y rentre à domicile. Mr. Y, 67 ans, est hospitalisé pour une biopsie hépatique et un bilan d'extension au vu d'une suspicion de carcinome hépato-cellulaire. Une IRM hépatique du 17.12.2018 montre la croissance d'une lésion suspecte d'être un CHC dans le segment IV. Le cas est discuté lors du tumor board du 09.01.2018. Un bilan d'extension et une biopsie du foie sont organisés. Une biopsie du foie est réalisée par Dr. X le 06.02.2019. L'intervention se déroule sans complication. Une scintigraphie osseuse et un CT thoraco-abdominal sont réalisés. Les résultats sont encore en cours. Le cas sera représenté au tumor board. Le patient a rendez-vous chez Dr. X à l'HFR Riaz, le 14.02.2019 à 14h30 pour l'annonce des résultats. Le patient rentre à domicile le 07.02.2019. Mr. Y est un patient de 80 ans, connu pour une artériopathie oblitérante des membres inférieurs, opéré le 20.12.2018 en électif d'un pontage fémoro-poplité infra-géniculaire gauche avec prothèse Omniflow. L'intervention s'est déroulée sans complication mais, au vu de nombreuses comorbidités ainsi que d'une labilité tensionnelle en per-opératoire, le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique.Durant le séjour aux soins intensifs, un soutien aminergique ainsi qu'une expansion volémique sont nécessaires afin de maintenir des pressions artérielles satisfaisantes. Les médicaments peuvent ensuite être sevrés tout en gardant une diurèse préservée sous diurétiques. Sur le plan neuro-psychiatrique, Mr. Y est connu pour une démence et présente un état confusionnel hyperactif post-opératoire. Une réafférentation et un traitement à base de neuroleptiques permettent une amélioration. Sur le plan chirurgical, l'évolution se complique par la présence d'un œdème du membre inférieur gauche et d'un hématome au niveau de la plaie distale, visualisé au CT-scan, nécessitant une évacuation et une pose de VACs le 24.12.2018 que nous changeons de façon itérative jusqu'à la fermeture cutanée, le 14.01.2019. L'évolution est par la suite favorable avec des plaies calmes, sans écoulement et sans signe inflammatoire. Sur le plan infectiologique, les prélèvements des 2 plaies montrent un staphylocoque Epidermidis persistant malgré le traitement par VACs à instillation. En raison du contact avec la prothèse et après avoir pris un avis auprès de nos collègues infectiologues, nous débutons une antibiothérapie par Cubicine du 16.01.2019 au 30.01.2019. Sur le plan général, la mobilisation est en amélioration en cours d'hospitalisation. Mr. Y reprend une alimentation normale avec un appétit conservé. Il bénéficie de physiothérapie et d'ergothérapie quotidienne. Il rentre à domicile le 01.02.2019 et sera revu à la consultation du Dr. X le 05.02.2019. Mr. Y est un patient de 86 ans, connu pour une tumeur vésicale de grade indéterminé avec s/p TURV, qui est hospitalisé pour un hématome sous-dural gauche massif avec déviation de la ligne médiane post-traumatique. Il a été retrouvé, par un voisin, inconscient dans le corridor de son immeuble au retour d'un repas au restaurant alcoolisé. À l'arrivée des ambulanciers, le patient présente un GCS initial de 3/15 avec hypothermie à 34°C. Il est intubé sur site. Le bilan radiologique initial met en évidence un hématome sous-dural gauche massif avec déviation de la ligne médiane ainsi que de multiples fractures du crâne. Après avis neurochirurgical et aux soins intensifs, en accord avec les amis proches, vu l'étendue de l'atteinte et l'âge du patient, un retrait thérapeutique est décidé. Le patient est hospitalisé en médecine pour soins de confort. Mr. Y décède paisiblement le 25.02.2018. Mr. Y, âgé de 74 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une chute le 26.12.2018 ayant entraîné une fracture de l'humérus proximal gauche 2 parts 3 segments, une fracture intra-articulaire de l'olécrâne gauche, une luxation ouverte IP pouce droit, des fractures des arcs postérieurs des côtes 3, 4 et 5 gauches. Sur le plan social, le patient, veuf, vit seul à domicile. Il est à la retraite. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Mr. Y se plaint de douleurs à la fesse droite à la mobilisation, sinon les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Pas de douleurs à l'épaule gauche, au coude gauche ni au pouce droit. Dans le contexte d'une ostéoporose fracturaire, nous introduisons de l'Alendronate 70 mg 1x/semaine, Calcimagon D3 1x/j et Vitamine D 1x/j. Durant son séjour, Mr. Y signale une douleur au niveau du bassin, surtout au niveau de la fesse et de la cuisse droite, qui lui empêche de marcher en charge selon douleurs. À la radiographie du bassin, on retrouve les séquelles des fractures connues mais sans nouvelles lésions. Le patient se plaint également de pertes urinaires depuis son hospitalisation en orthopédie. Nous demandons un US de la vessie et prescrivons du Ditropan. La culture urinaire revient positive pour Citrobacter Koseri, raison pour laquelle nous prescrivons du Ciproxine 500 mg 2x/j dès le 22.01.2019 pendant 5 jours. En cas d'amélioration des symptômes urinaires, le traitement de Ditropan devra être rediscuté. Le 26.01.2019, lors d'un changement de pansement au coude gauche, le matériel d'ostéosynthèse est apparent sur une plaie chirurgicale ouverte (2 x 1 cm). Le patient est afébrile, sans douleur ni rougeur. Après discussion avec les orthopédistes, Mr. Y est transféré à l'HFR Fribourg le jour même pour prise en charge spécialisée. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de malaise sans perte de connaissance, amené par les ambulanciers aux urgences. En effet, après un repas copieux alors qu'il était assis, il a présenté une sensation de malaise qui s'est résolue après quelques épisodes de vomissements. Au vu des antécédents du patient, une origine cardiaque est suspectée et un ultrason cardiaque est réalisé. Celui-ci ne montre pas de péjoration importante de la fonction cardiaque mais une progression modérée de la sténose aortique connue. Le malaise n'est donc pas mis sur le compte d'une cause cardiaque mais probablement à la condition post-prandiale importante lors de l'événement. Au vu d'une évolution rassurante, Mr. Y peut rentrer à domicile le 19.02.2019 avec poursuite des soins à domicile. Mr. Y est un patient de 38 ans qui nous est transféré du CHUV le 15.02.2019 pour une suite de prise en charge, au vu d'être domicilié à Fribourg. Le patient, en bonne santé habituelle, est victime d'un accident de la voie publique à 60 km/h contre un tracteur le 26.01.2019 avec choc latéral (toit de la voiture arraché par bras mécanique du tracteur) sans déclenchement d'airbag. À l'arrivée des ambulanciers, le patient a présenté une rapide péjoration de son GCS jusqu'à 4/15. Il est intubé et transféré par la REGA au CHUV. Une craniotomie pour fracture embarrée temporale gauche est effectuée et le patient bénéficie de la mise en place d'un BOLT avec bouquet le 26.01.2019 puis transféré aux soins intensifs et ensuite à l'étage de neurochirurgie le 08.02.2019. À son arrivée dans notre service, le patient est non-algique avec un GCS à 15/15. Une demande pour une place de neuro-réadaptation est effectuée et le patient reste stable pendant le séjour. Il bénéficie d'un suivi ORL, physiothérapeutique, ergothérapeutique ainsi que d'un bilan psychologique. Un test de déglutition ne montre pas de trouble de mastication. Une alimentation progressive est instaurée. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. En attente d'une place en neuro-réadaptation, le patient bénéficie d'un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. À noter que le patient a un rendez-vous de contrôle avec CT cérébral à 6 semaines en neurochirurgie (Dr. X) au CHUV. Mr. Y consulte les urgences le 05.02.2019 en raison d'épigastralgies depuis 3 semaines. Les plaintes sont apparues depuis une gastroscopie effectuée il y a 4 semaines à Vevey. Le patient décrit surtout une dyspnée à l'effort et durant la nuit ainsi que des épigastralgies, sans irradiation, depuis 3 semaines, de type brûlure. Le transit est perturbé avec des selles molles depuis une semaine. Notion de diminution de l'appétit. Pas de plainte urinaire, pas de nausée ni vomissements. Au status cardio-vasculaire, B1B2 sont bien frappés, sans souffle audible. Pas d'œdème des membres inférieurs. Les mollets sont souples et indolores. Au niveau pulmonaire, murmure vésiculaire sur toutes les plages, pas de sibilance ni de ronchis. Au status digestif, l'abdomen est souple, diffusément douloureux à la palpation, sans défense ni détente. Les loges rénales sont souples et indolores.L'ECG montre une tachycardie à 96/min. Au vu d'un score de Genève calculé à 3, nous dosons les D-dimères qui reviennent positifs à 725 ng/ml. Dans ce contexte, nous effectuons un CT scan thoracique qui exclut une embolie pulmonaire et met en évidence des signes de décompensation cardiaque avec épanchements pulmonaires bilatéraux, surcharge hydrique et dilatations des ventricules cardiaques. Nous retenons le diagnostic de décompensation cardiaque et nous introduisons un traitement par Lasix 20 mg iv. Concernant les brûlures épigastriques, nous instaurons un traitement par 80 mg de Pantozol pour 3 jours avec un relais à 40 mg par la suite. Nous prescrivons également un traitement d'entretien par Ulcar. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Sous traitement diurétique, l'évolution est favorable avec diminution de la dyspnée et amélioration de l'auscultation cardiaque. Une échocardiographie transthoracique effectuée par le Dr. X retrouve une cardiomyopathie dilatée avec dysfonction systolique sévère (FEVG à 20%). Dans ce contexte, un traitement par Carvedilol est débuté (dose initiale 2 x 3.12 mg, à augmenter progressivement jusqu'à 25 mg (paliers de 3.12 mg tous les 3 jours) selon la tolérance. Le traitement diurétique est poursuivi par Spironolactone et Torasémide et sera à adapter selon la volémie. Le Coversum est à poursuivre et la Lercanidipine est stoppée. Une recherche étiologique est débutée et ne retrouve pas de cause évidente, hormis une consommation d'alcool très modérée (1 à 2 verres de vin par jour selon le patient) que nous lui conseillons de stopper. Une investigation sur le plan coronarien est prévue avec une coronarographie le 18.02.2019 à 07h00 à l'HFR Fribourg et un rendez-vous à votre consultation est prévu le 19.02.2019 afin de poursuivre l'augmentation du bétabloquant. Mr. Y peut regagner son domicile le 14.02.2019. Mr. Y, connu pour une cardiopathie ischémique avec un status post-remplacement valvulaire mitral, consulte les urgences le 13.02.2019 en raison de nausées, vomissements et diarrhées depuis plusieurs jours avec une sensation de palpitations ce jour. Par ailleurs, le patient se plaint d'une dyspnée sans douleur thoracique. Absence de douleurs abdominales, méléna, sang frais, brûlures mictionnelles. Le patient aurait bénéficié en décembre d'une IRM cardiaque et un rendez-vous est prévu à la consultation du Dr. X pour discussion en vue d'un appareillage. A l'admission aux urgences, Glasgow à 15/15, tension artérielle 115/75 mmHg, fréquence cardiaque 197/min, température 35,7°C et saturation à 97% à l'air ambiant. Mr. Y est en état général diminué. Les muqueuses sont sèches mais le patient est moite et transpirant. Au status cardiovasculaire, tachycardie régulière. B1B2 sont bien frappés, sans souffle audible. Pas d'oedème des membres inférieurs. Au niveau respiratoire, le murmure respiratoire est bilatéral, sans bruit surajouté. Au status digestif, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en intensité. L'abdomen est souple et indolore. Les loges rénales sont souples et indolores. Le patient présente une fibrillation auriculaire à l'ECG bien supportée hémodynamiquement mais symptomatique sous la forme de palpitations et de dyspnée au repos. Il est décidé de réaliser une cardioversion médicamenteuse par Cordarone, Mr. Y étant anticoagulé et les symptômes datant de moins de 24h. Après deux bolus de Cordarone 150 mg iv, la fréquence reste à 150/min, irrégulière. La charge en Cordarone est poursuivie iv et il bénéficie de Dilzem iv qui ralentit la fréquence cardiaque à 110/min mais toujours en fibrillation auriculaire. Mr. Y est gardé en surveillance en lit d'observation et il se cardioverse durant la nuit sous l'effet de la Cordarone. La charge en Cordarone est poursuivie per os et le bêtabloquant est augmenté d'entente avec le Dr. X qui le verra en consultation prochainement pour discuter avec lui de la pose d'un CRT-DAI. A noter que Mr. Y présente une consommation d'alcool excessive avec un abus notable le week-end précédent sa venue aux urgences. Il présente une perturbation des tests hépatiques que nous mettons en lien avec sa consommation. Une intervention brève est réalisée aux urgences. Nous vous laissons le soin de contrôler les tests hépatiques. La TSH a été dosée normale en 2018. Mr. Y quitte donc les lits d'observation le 14.02.2019 en rythme sinusal et asymptomatique. Mr. Y est un patient de 40 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte le 11.02.2019 aux urgences en raison de douleurs en fosse iliaque droite évoluant depuis 24 heures, sans autre symptôme. Au laboratoire, on note un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 12 et au CT abdominal, une appendicite rétro-caecale aiguë est mise en évidence. Le patient est donc pris au bloc opératoire pour une appendicectomie laparoscopique qui se déroule sans complication. L'évolution par la suite est favorable, permettant un retour à domicile le 13.02.2019. Nous laissons le soin à Mr. Y de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à J-12 post-opératoire. Mr. Y, patient de 77 ans, nous est adressé par la clinique Daler suite à un changement de sonde double J, effectué le 25.01.2019 par le Dr. X, dans un contexte de calculs rénaux bilatéraux. Pour rappel, le patient séjournait préalablement en réadaptation gériatrique HFR Riaz du 17.01.2019 au 24.01.2019 pour la prise en charge de troubles de la marche et de l'équilibre, puis était parti à l'Hôpital Daler pour y être opéré par le Dr. X. A son retour le 26.01.2019, Mr. Y se trouve en bon état général, mais est désorienté dans le temps et l'espace. A l'anamnèse, le patient ne décrit pas de douleur, mais une faiblesse généralisée. Le status cardiovasculaire est sans particularité, hormis la présence d'oedèmes aux membres inférieurs bilatéraux connus. Au niveau pulmonaire, l'auscultation est propre. La percussion du rachis est indolore. Le reste du status n'est pas contributif. A l'étage, le bilan biologique met en évidence une hypokaliémie, que nous substituons. Le 31.01.2019, Mr. Y bénéficie d'une ultrasonographie de son système urogénital. Cet examen met en évidence des reins avec néphropathie chronique ainsi que de multiples encoches corticales bilatérales. Il n'y a pas de dilatation des cavités rénales, mais présence d'un calcul caliciel inférieur gauche de 6 mm, non obstructif. A la fin du séjour, nous tentons l'ablation de la sonde vésicale à plusieurs reprises, mais le patient présente à chaque fois des épisodes de rétention urinaire consécutifs. La sonde est donc remise en place et un éventuel nouvel essai d'ablation sera à faire chez l'urologue, Dr. X. Pendant l'hospitalisation, des contrôles réguliers du pH urinaire sont réalisés pour l'adaptation de la dose d'Urocit, avec pour cible un pH urinaire entre 6.2 et 6.8. Finalement, un schéma d'Urocit est trouvé et des contrôles hebdomadaires du pH urinaire seront à faire à la sortie chez le médecin traitant, afin d'adapter éventuellement la dose d'Urocit. Concernant la crise de goutte présentée par Mr. Y lors de sa dernière hospitalisation, la Colchicine est arrêtée et un traitement par Allopurinol est mis en place. Durant le séjour, le patient effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seul est de 200 mètres. Mr. Y monte et descend 18 marches à l'aide de la rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 93/126, par rapport à 77/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 7/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 18.98'' sans moyen auxiliaire.Un suivi en nutrition a également lieu pour adapter l'alimentation chez un patient souffrant de goutte et avec des calculs urinaires avec acide urique. En ergothérapie, Mr. Y profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Le 06.02.2019, le patient quitte notre service avec activation du passage des soins à domicile 2x/j. Mr. Y, actuellement suivi en oncologie par le Dr. X pour un carcinome épidermoïde lobaire inférieur droit pT4 pN2 M0 R0 stade IIIb, diagnostiqué en novembre 2018 avec lobectomie inférieure droite et lymphadénectomie médiastinale radicale le 10.12.2018 par les Dr. X, Dr. X et Prof. X à Berne et première cure de chimiothérapie le 29.01.2019 par Platinol et Navelbine. Le patient réside actuellement au foyer St-Joseph pour un court séjour. Mr. Y est adressé aux urgences le 05.02.2019 par le Dr. X en raison de douleurs abdominales diffuses, d'intensité 7/10, avec absence de selles depuis 3 jours et présence de gaz. Pas de nausée ni vomissement, pas d'état fébrile ni de frisson. Pas de plainte respiratoire ni urinaire. Selon le Dr. X, l'iléus pourrait être un effet secondaire du Navelbine. Au statut digestif, cicatrice de la ligne blanche et en hypochondre gauche. L'abdomen est globuleux, douloureux en fosses iliaques droite et gauche, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont diminués en fréquence et en tonalité avec présence de bruits métalliques en fosses iliaques droite et gauche. Le Murphy est négatif. Pas de masse pulsatile ni d'adénomégalie palpable. Au toucher rectal, pas d'hémorroïdes, tonus sphinctérien dans la norme, pas de fécalome, pas de sang au doigtier, prostate lisse et indolore. Les loges rénales sont souples et indolores. Le statut cardio-respiratoire est non contributif. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire à une CRP 14 mg/l sans leucocytose, une légère hyponatrémie à 126 mmol/l et une hypokaliémie légère à 3.4 mmol/l. Les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme hormis une bilirubine directe légèrement augmentée à 4.3 µmol/l. La fonction rénale et les lactates sont dans la norme. Concernant les douleurs abdominales, nous demandons un avis au Dr. X, chirurgien de garde, qui propose un CT scan abdominal injecté. L'examen met en évidence une importante stase stérolale du cæcum et du colon ascendant et en partie du colon transverse avec fécalisation de l'iléon terminal, sans niveau transitionnel ni signe de souffrance intestinale. Le Dr. X propose un traitement conservateur par laxatif avec un contrôle auprès du médecin traitant et ne pose pas l'indication pour une hospitalisation en chirurgie car il ne s'agit pas d'un abdomen chirurgical. Concernant une hyponatrémie légère à 126 mmol/l, nous demandons un spot urinaire avec osmolalité parlant à une hyponatrémie hypoosmolaire sur probable SIADH. Nous hospitalisons le patient en médecine pour la suite de la prise en charge de cette hyponatrémie avec restriction hydrique et suivi biologique. Par rapport à l'hyponatrémie, nous mettons en place une restriction hydrique à 1000 ml par jour ainsi qu'une perfusion de 1000 ml de NaCl. Par la suite, les valeurs remontent avec un dernier contrôle avant la sortie qui revient à 136 mmol/l. Une restriction hydrique à 1500 ml par jour est à garder au long cours. Pour ce qui concerne la constipation, le patient ne développe pas de nausée ni de vomissements et le ventre reste ballonné mais souple. Malgré un lavement de Practomil fait le 07.02.2019, nous n'arrivons pas à une reprise du transit, raison pour laquelle de l'X PREP est administré avec un bon effet. Par la suite, nous mettons en place un traitement laxatif d'office. Mr. Y peut regagner son domicile le 12.02.2019 avec prochain contrôle oncologique avec le Dr. X le 20.02.2019 à 11h00. Mr. Y, connu pour un cancer pulmonaire épidermoïde NSCLC, suivi par le Dr. X, opéré par lobectomie avancée le 10.12.2018 et devant débuter la chimiothérapie adjuvante par Platinol-Navelbine le 23.01.2019, consulte les urgences le 15.01.2019 en raison d'une baisse de l'état général avec fatigue marquée et d'une toux avec expectorations verdâtres depuis 1 semaine. Pas de péjoration de la dyspnée (stade I à l'effort). A l'anamnèse systématique, il rapporte des céphalées frontales non pulsatile depuis ce matin, à 6/10 sans notion de traumatisme crânien. Pas de nausée/vomissement et pas de phono/photophobie. Pas d'état fébrile, pas de frisson, pas de raideur de nuque, pas de déficit neurologique. Il vous consulte le 15.01.2019 en raison d'une constipation depuis 2 jours et vous débutez un traitement par Movicol 1x/jour. A noter également que Mr. Y a consulté les urgences le 13.01.2019 en raison de lombalgies connues. Lors de cette consultation, il reçoit 50 mg de Tramal sans bonne réponse. Dans ce contexte, nous majorons le traitement par Oxycontin 5 mg retard 2x/jour avec Tramal en réserve et le patient rentre à domicile. A l'admission aux urgences, le patient est hypertendu à 156/94 mmHg, normocarde à 60/min, afébrile à 36,1°C et sature à 94% à l'air ambiant. L'examen neurologique est dans la norme. L'auscultation pulmonaire montre des râles bibasaux plus intenses à droite qu'à gauche. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire léger avec 11.9 G/l de leucocytes et 34 mg/l de CRP. Nous effectuons une radiographie de thorax qui est globalement superposable au comparatif. Le patient étant afébrile, normocarde et ne désaturant pas, nous ne débutons pas de traitement antibiotique. Des hémocultures seront prélevées en cas de fièvre. Une hyponatrémie légère à 130 mmol/l est mise en évidence et nous mettons donc la partie thiazidique de l'Exforge HCT en pause. Concernant la constipation sur morphinique, nous poursuivons le Movicol d'office et prescrivons du Laxoberon en réserve. Le séjour se révèle sans particularités. Le patient reste afébrile et hémodynamiquement stable. Il ne présente plus de céphalée suite à la mise en place d'une antalgie, mais rapporte une fatigue persistante. Le laboratoire ne montre pas d'augmentation des paramètres inflammatoires. Au vu du contexte de statut post-lobectomie avec un épanchement connu, nous effectuons un US de débrouillage à l'étage ne mettant pas en évidence de foyer, de pneumothorax ni de signe de surcharge. Le patient bénéficie par ailleurs d'une échocardiographie cardiaque par le Dr. X dans le contexte d'un bilan pré-chimiothérapie. Dès le 18.01.2019 et dans l'attente d'un placement en court séjour, Mr. Y reste hospitalisé dans notre service de médecine bien que la prise en charge spécifique soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y bénéficiera de la mise en place d'un port-à-cath le 22.01.2019 à 07h30. Il bénéficiera d'une cure de chimiothérapie le 23.01.2019 avec consultation chez le Dr. X. Mr. Y, patient de 67 ans, connu pour une BPCO stade IV/D avec oxygénothérapie à domicile ainsi qu'une suspicion de néoplasie pulmonaire découverte le 17.01.2019, est hospitalisé pour une nouvelle exacerbation BPCO (dernière en date : 01/2019). Le bilan à l'entrée montre une insuffisance respiratoire globale avec acidose respiratoire sans facteur déclenchant évident. Le patient est transféré aux soins intensifs pour ventilation non-invasive. Le bilan d'entrée ne retrouve pas de syndrome inflammatoire, la radiographie de thorax retrouve la masse du lobe inférieur droit sans autre changement. Le frottis de grippe est négatif. L'origine de l'exacerbation est probablement une augmentation de sa consommation de cigarettes. Le patient bénéficie d'un traitement par Prednisone pour 5 jours. Au vu de la lente amélioration clinique et de la dyspnée toujours présente, une antibiothérapie par Rocéphine est introduite également pour 5 jours. Au vu des épisodes fréquents de décompensation respiratoire, une réhabilitation pulmonaire est proposée au patient, ce qu'il refuse. Nous proposons au patient de fortement considérer l'arrêt du tabac ainsi qu'un sevrage avec soutien médicamenteux chez son médecin traitant. Mr. Y peut rentrer à domicile le 18.02.2019. Mr. Y est un patient de 83 ans, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie, transféré depuis Riaz, pour une surveillance hémodynamique dans le contexte d'un hématome rétropéritonéal et sous-capsulaire du rein droit. En effet, il se présente aux urgences de Riaz le 20.01.2019 avec des douleurs au niveau du flanc droit. Le scanner initial ne permettant pas d'exclure un saignement actif, le patient est transféré dans notre service pour une surveillance clinique et biologique. L'évolution est favorable avec une Hb restant globalement stable sur les contrôles biologiques et un hématome inchangé sur le CT-scan natif à 72h. Un traitement antibiotique par Co-amoxicilline est mis en place en prophylaxie d'une surinfection locale, pour une durée de 7 jours au total. Le traitement par Aspirine pourra être repris dès le 27.01.19. Un rendez-vous de contrôle sera prévu à la consultation du Dr. X à 2 semaines afin de refaire une échographie. Il organisera ensuite une IRM rénale en ambulatoire afin de réévaluer le kyste rénal à droite. Mr. Y est connu pour un emphysème pulmonaire et une fibrose débutante et avait eu des embolies pulmonaires sous-segmentaires bilatérales en janvier 2018 dans un contexte post-traumatique. Durant l'hospitalisation, le patient présente des saturations plus basses qu'habituellement bien que pauci-symptomatique. Au vu des antécédents, nous effectuons une scintigraphie pulmonaire le 22.01.2019 qui ne montre pas de nouvelle embolie pulmonaire. Sur le CT-scan abdominal du 23.01.2019, un possible foyer infectieux est mis en évidence. Une surcharge hydro-sodée est également probable, raison pour laquelle nous renforçons le traitement diurétique et poursuivons le traitement antibiotique. Selon avis pneumologique, l'état respiratoire est précaire avec un CT-scan montrant un emphysème et un épaississement bronchique diffus expliquant une hypoxémie chronique. L'origine est probablement due au tabac plus ou moins une pneumopathie interstitielle surajoutée. Ils proposent une oxygénothérapie à domicile qu'ils ont déjà prescrite (ordonnance déjà envoyée à la ligue pulmonaire) et dont il s'agira d'adapter en fonction des besoins en oxygène à la fin de l'hospitalisation. Il n'y a pas d'autre thérapie préconisée pour l'instant. Au vu de la bonne évolution sur le plan chirurgical mais d'un déconditionnement et d'une oxygéno-dépendance persistante, nous transférons Mr. Y le 26.01.19 à l'hôpital de Riaz dans le service de médecine interne. Mr. Y était hospitalisé au HIB dans un contexte d'état fébrile et d'asthénie avec suspicion d'endocardite au vu d'une bactériémie à Entérocoque faecalis. Par la suite, une pyélonéphrite obstructive gauche est mise en évidence sur le CT-scan. Le patient nous est donc transféré pour pose d'une sonde double J. Cette intervention est réalisée le 02.02.19 sans complication. Par la suite, l'évolution clinique est favorable avec un patient afébrile, sans douleur et avec des paramètres inflammatoires à la baisse. Lors de son séjour au HIB, il y avait une suspicion d'endocardite au vu de la bactériémie. Une ETO avait été effectuée ne montrant pas de signe d'endocardite. Après discussion avec l'Infectiologie, au vu des deux seules hémocultures positives, ETO négatif et absence d'autre signe clinique, une endocardite paraît peu probable. Pour cette raison, nous stoppons le traitement par Ceftriaxone et laissons le traitement par Clamoxyl seul intraveineux qu'il faudra continuer pendant 1 semaine (jusqu'au 07.02.19 y compris) puis relais par Amoxicilline per os pour une semaine encore. En cas de nouvel état fébrile, frissons ou autres symptômes nouveaux pouvant évoquer une endocardite, nous vous laissons le soin d'effectuer de nouvelles investigations. La suite de la prise en charge urologique est prévue avec un rendez-vous à la consultation du Dr. X le 13.02.19 afin de discuter du retrait de la sonde double J et de l'ablation de la lithiase. Concernant le traitement antidiabétique, nous renforçons le dosage de la Lantus et vous laissons le soin de l'adapter en fonction des glycémies qui restent entre 10 et 16 en fin de séjour. Le patient était traité pour une hypertension artérielle. Une partie des traitements a été mise en suspens pendant le séjour au HIB en raison d'une insuffisance rénale. Nous reprenons un diurétique à petite dose et l'IEC dès le 07.02.19 et vous laissons le soin d'adapter le traitement en fonction du profil tensionnel et créatinine. Au vu de la bonne évolution clinique et du souhait de la famille d'être plus proche du patient sur le plan géographique et des besoins d'adapter le traitement diabétique et antihypertenseur avant le retour à domicile, nous transférons Mr. Y le 07.02.19 dans le service de médecine interne du HIB. Mr. Y, patient de 84 ans, amené en ambulance aux urgences sur appel de MedHome pour des lombalgies chroniques avec retentissement fonctionnel. Le patient a chuté en Italie pendant des vacances en août 2018 avec lombalgies secondaires traitées symptomatiquement avec Paracétamol et AINS (brûlures épigastriques secondaires). Les douleurs sont bien localisées sans irradiation dans les membres inférieurs ni paresthésies. Sur site, MedHome retrouve un patient fébrile à 39.9°C avec désaturation objectivée par les ambulanciers. Le patient rapporte en effet une dyspnée évoluant depuis quelques jours associée à une toux grasse avec expectorations jaunâtres en péjoration depuis 48-72h ainsi qu'une asthénie depuis environ 2 semaines. Il présente aussi une pollakiurie avec incontinence urinaire nouvelle sans dysurie ni algiurie. Le bilan d'entrée retrouve un syndrome inflammatoire important, ainsi qu'un frottis grippe positif pour Influenza A. Au vu de la clinique et malgré l'absence de foyer à la radiographie, nous suspectons une surinfection pulmonaire bactérienne pour laquelle le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine. Les hémocultures reviennent négatives. Au vu de la bonne évolution clinico-biologique, un relais per os avec Co-amoxicilline est réalisé le 23.02.2019. Concernant ses lombalgies, une radiographie de la colonne montre une cunéiformisation de la vertèbre T12. Le bilan est complété par un CT. Après avis auprès de la Team Spine et une IRM de colonne, la fracture semble ancienne et nous traitons le patient avec physiothérapie et antalgie. Un rendez-vous est pris à 2 semaines avec radiographie debout pour exclure une péjoration de la cyphotisation. Des déficits en calcium, phosphate et vitamine D sont substitués. Une densitométrie osseuse peut être discutée en ambulatoire. Sur le plan rénal, une insuffisance rénale pré-rénale s'améliore avec hydratation intraveineuse et le patient ne rapporte plus de plainte du point de vue urinaire.Au vu de l'amélioration clinique, le patient peut rentrer à domicile le 25.02.2019. Mr. Y ayant bénéficié de la résection de 4 polypes colorectaux en novembre 2018 avec persistance de 2 grands polypes du caecum et du colon ascendant, est hospitalisé le 24.01.2019 pour colonoscopie et polypectomie élective. Une surveillance sur la nuit est prévue après la procédure au vu du risque élevé de perforation colique. A son admission, le patient ne décrit pas de plainte. La préparation colique a été réalisée comme indiquée. La colonoscopie et polypectomie se réalisent sous anesthésie générale et sans complications, ainsi que la surveillance clinique après la procédure. Le bilan biologique montre une hémoglobine à 150 g/l. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour le résultat des biopsies. Mr. Y peut regagner son domicile le 25.01.2019. Mr. Y, connu pour un adénocarcinome du caecum, cT3 cN+ cM1 (pulmonaire, hépatique), stade IV, est adressé aux urgences le 07.01.2019 par le Dr. X, oncologue traitant, pour suspicion de péritonite bactérienne spontanée. Pour rappel, au vu d'une progression tumorale sous FOLFOX-Avastin, un traitement palliatif de Stivarga est débuté en novembre 2018, avec mauvaise tolérance clinique ainsi que progression tumorale au CT thoraco-abdominal de suivi de ce jour. Depuis novembre 2018, le patient décrit une baisse de l'état général, avec nausées et perte de poids. Il se plaint également d'une toux irritative non expectorante, notamment après les repas, avec douleurs basi-thoraciques droites et sensation de blocage sous-glottique, sans dysphagie. A l'admission aux urgences, Mr. Y est en état général conservé. Il est subfébrile à 37,8°C. L'examen clinique est dans les limites de la norme. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 73 mg/l, sans leucocytose, ainsi qu'une anémie hypochrome microcytaire avec hémoglobine à 95 g/l. Le patient est gardé en lit d'observation aux urgences pour une nuit, puis hospitalisé en médecine pour la suite de la prise en charge. Sur le plan abdominal, malgré la mise en évidence d'une ascite en légère péjoration à l'imagerie, il est décidé de ne pas réaliser de ponction au vu de la trop faible quantité de liquide, tant cliniquement que radiologiquement. Au vu de la stabilité du syndrome inflammatoire ainsi que de l'absence d'état fébrile, une péritonite bactérienne spontanée semble peu probable, au profit d'une carcinose péritonéale sur progression tumorale. Sur le plan respiratoire, la radiographie et le scanner thoracique montrent une importante progression en taille et en nombre des multiples métastases pulmonaires en lâcher de ballon. Ces dernières expliquant les symptômes invalidants de toux irritative. Un traitement symptomatique par Codéine est introduit avec bonne réponse clinique. Au vu d'une persistance des symptômes et après avis de nos collègues des soins palliatifs, un traitement par morphine 2.5 mg 4x/j per os est introduit puis changé par du MST 10 mg 2x/j per os à la sortie. Sur le plan ORL, en raison d'une gêne sous-glottique ainsi que d'une toux après les repas, un test de la déglutition est effectué et se révèle dans la norme. Une candidose œsophagienne est suspectée et traitée empiriquement par Fluconazole 200 mg 1x/j per os durant 3 jours. Sur le plan oncologique, une nouvelle chimiothérapie palliative par FOLFIRI-Avastin est administrée le 14.01.2019 avec bonne tolérance clinique. Un suivi est prévu à la consultation du Dr. X le 21.01.2019. Sur le plan hématologique, une anémie hypochrome microcytaire avec hémoglobine à 95 g/l est constatée, se péjorant en cours de séjour. Le patient bénéficie de la transfusion d'un culot érythrocytaire le 15.01.2019 avec une hémoglobine à 93 g/l à la sortie. Le bilan d'anémie montre une carence ferriprive ainsi qu'une perte digestive avec présence de sang occulte dans les selles, d'origine très probablement tumorale. Une substitution en fer est proposée par la suite. Le bilan vitaminique se révèle par contre dans la norme. Enfin, nous retrouvons une hypothyroïdie subclinique, avec proposition de suivi biologique à 6 mois. Sur le plan gastro-entérologique, en raison d'épigastralgies nocturnes, nous introduisons un traitement d'Ulcar durant 3 jours et Pantoprazole 40 mg 1x/j pour une durée de 1 mois. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution clinique. Sur le plan électrolytique, nous substituons oralement une carence en potassium. Mr. Y peut regagner son domicile le 18.01.2019. Mr. Y est un patient de 68 ans, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour prise en charge d'un anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale de 64 mm de diamètre. Il bénéficie le 31.01.2019 d'une pose d'endoprothèse aortique sans complication per-opératoire et avec une angiographie de contrôle sans particularité. Les suites sont simples et un contrôle radiologique est effectué à J1 montrant 2 endofuites sur probable origine lombaire et mésentérique inférieure. Mr. Y rentre à domicile le 02.02.2019 et aura un rendez-vous pour un CT en ambulatoire à un mois post-opératoire. Mr. Y est un patient de 20 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales. A l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité en fosse iliaque droite et le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire. Le bilan radiologique par ultrason confirme le diagnostic d'appendicite aiguë, raison pour laquelle le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique en urgence le 02.02.2019. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites post-opératoires sont simples. En vue de l'évolution clinique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 04.02.2019. Mr. Y est un patient de 75 ans connu pour un syndrome myélodysplasique, adressé par Medhome et son infirmière à domicile en raison d'une baisse de l'état général avec baisse de la prise alimentaire et hypoglycémie dans un contexte social difficile. Le patient se plaint de douleurs abdominales qu'il n'arrive pas à caractériser, sans autres symptômes gastro-intestinaux, pas de méléna ni hématochézie, pas de fièvre ou de frissons. Étant hospitalisé dernièrement dans notre service, des soins à domicile avaient été mis en place. Selon hétéro-anamnèse, Mr. Y serait connu pour des troubles cognitifs légers jamais investigués jusqu'ici et a besoin d'être stimulé pour les tâches de la vie quotidienne. Son petit-fils qui s'occupe souvent de lui serait parti dernièrement à l'étranger, et le patient aurait oublié de manger malgré un frigo rempli. Nous retenons donc une baisse de l'état général sur maintien impossible à domicile au vu de troubles cognitifs. Un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée est initialement mis sur le compte d'un foyer urinaire en raison d'un sédiment légèrement sale et une loge rénale gauche sensible motivant l'introduction de la Rocéphine au service des urgences. Un Pseudomonas est retrouvé dans l'urotube, probablement suite à une sélection secondaire à l'antibiothérapie récente du patient pour une piste peu claire. Au vu d'une évolution favorable sur le plan clinique et du syndrome inflammatoire malgré une antibiothérapie ne couvrant pas le germe l'antibiothérapie est stoppée en accord avec les infectiologues. L'évolution est par la suite favorable avec une résolution complète des douleurs en loge rénale et abdominale. Celles-ci sont mises sur le compte de la splénomégalie en augmentation vue au CT abdominal du service des urgences. Une consultation en hématologie est prévue le 07.02.2019.Une masse prostatique est visualisée au CT abdominal avec un toucher rectal douloureux sur la droite. En absence de clinique pour une prostatite, nous ne poursuivons pas les investigations ni le traitement antibiotique. Il s'agit d'une probable néoplasie pour laquelle, au vu du contexte général du patient et après discussion en présence de la famille, aucune investigation supplémentaire n'est proposée. Après discussion avec Mr. Y et sa fille, un placement est accepté au vu d'hospitalisations fréquentes et l'échec d'un retour au domicile après une hospitalisation récente, malgré la mise en place d'un soutien à domicile. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement le 01.02.2019 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y est un patient de 80 ans connu pour une FA anticoagulée par Xarelto, une ancienne occlusion de l'artère carotidienne interne D en 2003 avec hémisyndrome moteur facio-brachial G et dysarthrie, ainsi qu'un trouble de la marche multifactoriel. Il nous est envoyé par l'ambulance le 01.02.19 pour une chute à domicile sans prodrome, s'étant affaissé sur le côté gauche et n'arrivant pas à se relever. Le patient a été retrouvé environ 30 minutes après sa chute par la personne qui lui amène le repas, pouvant par la suite à nouveau marcher sans douleur. À l'anamnèse, le patient montre une toux sèche depuis 3 jours, accompagnée d'odynophagie et de dyspnée stable et connue selon le patient. Des râles grossiers sont auscultés des deux côtés sans réel signe de décompensation cardiaque ou infiltrats sur la radiographie thoracique. Nous devons tout de même hospitaliser le patient en raison d'une acutisation de sa dyspnée, avec un traitement symptomatique inhalatif, physiothérapie et oxygénothérapie. Un frottis nasopharyngé s'avérant positif chez le patient, nous procédons également à une isolation de contact tout en informant le patient sur les règles d'hygiène à suivre. Au vu de l'anamnèse de la chute, parlant pour une cause mécanique (trouble de l'équilibre suite à l' AVC, faiblesse musculaire, genoux en valgus), nous renonçons à des investigations cardiaques pour le moment et nous réévaluons la nécessité d'un ECG-Holter ou d'une échocardiographie chez le médecin traitant. Au vu d'une nette amélioration clinique avec des paramètres infectieux en déclin, nous pouvons faire rentrer le patient au domicile dans un état général satisfaisant. Une augmentation de la dose de diurétique sera également prescrite, étant donné l'hétéroanamnèse vue avec la fille, mentionnant des signes d'insuffisance cardiaque chez le patient. Un contrôle chez le médecin de famille, Dr. X, est planifié la semaine prochaine. Mr. Y, âgé de 78 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation suite à une fracture sous-capitale de l'humérus gauche déplacée le 13.01.2019, traitée par ORIF par plaque PHILOS avec ténodèse et ténotomie LCB le 15.01.2019. Sur le plan social, le patient est veuf. Il vit avec son fils à domicile. Il est à la retraite. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. À l'auscultation cardiaque, le rythme est irrégulier. Au status pulmonaire et abdominal : pas de particularité. Bas de contention au niveau des membres inférieurs pour insuffisance veineuse des membres inférieurs connue. Durant son séjour, nous avons suivi de façon rapprochée le poids du patient et adapté le traitement diurétique en fonction. Nous réalisons aussi dans ce contexte une radiographie du thorax le 19.02.2019 qui exclut une décompensation cardiaque. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec moyen auxiliaire. Il peut monter et descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Nous adoptons aussi l'antalgie durant le séjour. Après deux semaines et demi d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 20.02.2019 en état général conservé. Mr. Y, votre patient de 67 ans, connu pour un adénocarcinome du moyen rectum traité par radio-chimiothérapie néo-adjuvante puis une résection antérieure par laparotomie avec iléostomie de protection et pose d'un Cystofix le 26.09.2018, actuellement sous chimiothérapie adjuvante par Xeloda, est hospitalisé en raison de selles diarrhéiques par son iléostomie depuis environ 15 jours. Le patient rapporte environ 10 épisodes par jour de selles liquides associés à des nausées, une inappétence et une asthénie importante, ainsi que des douleurs abdominales intermittentes crampiformes diffuses et des brûlures orales. Le patient note une perte pondérale de 10 kg depuis le diagnostic de son cancer. Une mucite post-chimiothérapie est diagnostiquée avec des troubles électrolytiques et une insuffisance rénale. Les cultures de selles reviennent négatives, et la recherche de Clostridium est également négative. Les traitements frénateurs initialement introduits provoquent un iléus paralytique, motivant leur interruption et la pose d'une sonde naso-gastrique de décharge à deux reprises. Bien que le CT-scan abdominal réalisé le 26.01.2019 parle en faveur d'un iléus mécanique, cette étiologie est infirmée au vu de l'évolution favorable et sur avis chirurgical. Une nutrition parentérale est débutée, puis sevrée progressivement après reprise d'une alimentation orale et ralentissement du transit (1 l à 1.5 l par jour). Les traitements freinateurs sont réintroduits avec précaution afin d'éviter un nouvel iléus. Un suivi nutritionnel ambulatoire est prévu le 22.02.2019 à 14h30 chez la diététicienne à l'HFR Riaz. Un rendez-vous est également prévu le 21.02.2019 avec nos collègues chirurgiens pour aborder la question du rétablissement de continuité digestive. Sur le plan oncologique, Dr. X conseille un arrêt de la chimiothérapie au vu des effets secondaires. Un contrôle est prévu le 06.03.2019 à l'HFR Riaz. Sur le plan infectieux, le laboratoire montre une péjoration progressive du syndrome inflammatoire sans signe de foyer franc initialement. Par la suite, l'examen clinique met en évidence une inflammation importante de la parotide droite. Nos collègues ORL retiennent le diagnostic de parotidite droite pour laquelle le patient bénéficie d'une antibiothérapie de deux semaines, adaptée au Staphylocoque doré mis en évidence à l'hémoculture et au niveau de l'ouverture buccale du canal de Stenon droit, qui arborait une petite lésion muqueuse. Les hémocultures suivantes sont négatives. Une échocardiographie est réalisée et exclut une atteinte valvulaire. D'un point de vue hématologique, Mr. Y présente une anémie macrocytaire normochrome le 05.02.2019 avec un bilan dans les normes et qui nécessite une transfusion d'un culot érythrocytaire et une substitution en acide folique. Mr. Y, âgé de 20 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire aiguë sur pneumonie communautaire au décours d'une infection grippale par Influenza A dont l'évolution est favorable. Le patient est connu pour une atrophie congénitale du cervelet et une épilepsie traitée par Carbamazépine. Il est amené aux urgences pour une détresse respiratoire avec notion de toux et expectorations, ainsi que fièvre depuis 3 jours. Le bilan biologique et microbiologique permet de retenir un diagnostic de pneumonie post-grippale à Influenza A avec comme possible agent bactérien un pneumocoque au vu d'antigènes urinaires positifs pour S. pneumoniae.Un traitement antibiotique par Ceftriaxone est introduit dès l'admission pour une durée de 7 jours. Le patient nécessite un support ventilatoire par VNI, de l'oxygène à haut débit et une physiothérapie respiratoire avec évolution lentement favorable permettant un sevrage après 5 jours. L'oxygénothérapie peut être arrêtée totalement à partir du 20.02.2019 avec une bonne tolérance. L'alimentation entérale est reprise sans constatation de fausses routes. À noter la survenue d'une désaturation sévère avec apnée suite à une injection de Morphine contre-indiquant son administration. Les phases d'inconfort sont traitées par Cannabidiol. Concernant l'attitude générale, il est discuté avec la famille de recourir aux manœuvres de réanimation pour une courte durée y compris une intubation. Par contre une trachéotomie ne serait pas envisageable. Le patient rentre à domicile le 21.02.2019 sans nécessité de traitement supplémentaire. Mr. Y est un patient de 72 ans, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour prise en charge d'une fistule occluse au membre inférieur droit. Il bénéficie de l'intervention sus-mentionnée le 08.02.2019. L'évolution post-opératoire est favorable, permettant un retour à domicile et une dialyse le 09.02.2019. Mr. Y est un patient de 88 ans, qui nous est adressé par le médecin traitant de l'EMS Villa Beausite en raison d'une baisse de l'état général avec œdème du membre inférieur gauche et des épisodes de cyanose périphérique. Le status montre un œdème de la jambe gauche unilatéral, une masse sus-pubienne douloureuse à la palpation abdominale ainsi qu'une sensibilité à la percussion des loges rénales. Le laboratoire démontre un syndrome inflammatoire important ainsi qu'une insuffisance rénale aiguë AKIN 1. Un CT-scan est effectué montre une collection rétro-péritonéale péri-rénale gauche évoquant un urinome avec prise de contraste périphérique, compatible avec une surinfection. À l'étage thoracique, des embolies pulmonaires segmentaires droites sont également mises en évidence. Au niveau cérébral, il n'y a pas de saignement aigu ou de fracture. Nous retenons un urinome à gauche probablement surinfecté avec une pyélonéphrite associée, ceci dans un contexte de rétention urinaire aiguë avec un globe vésical à 1500 ml expliquant l'origine de l'urinome. Au vu du contexte et après avis urologique, un traitement conservateur est mis en place avec la Ceftriaxone en intraveineux. L'urotube montre une infection à Klebsielle pneumoniae sensible à la Ceftriaxone. L'évolution clinique et biologique est favorable avec des paramètres inflammatoires à la baisse. L'ultrason des voies urinaires du 09.02.2019 montre une absence de dilatation des voies urinaires. Par la suite, une résection transurétrale de la prostate sera organisée via le Dr. X. Concernant l'embolie pulmonaire, nous mettons en place une anticoagulation thérapeutique par liquémine en intraveineux puis relais par sintrom avec bridging de Clexane. L'état respiratoire reste stable. La Clexane pourra être arrêtée dès l'obtention de 2 valeurs d'INR thérapeutique (2-3). L'anticoagulation devra être poursuivie pour au minimum 6 mois puis réévaluer l'indication de poursuivre celle-ci. Concernant l'ictère, les paramètres hépatiques sont dans la norme hormis une bilirubine élevée. Celle-ci reste stable durant le séjour et présentait déjà des valeurs similaires en 2003 et 2010. Un syndrome de Gilbert est donc le plus probable avec une bilirubinémie augmentée dans le contexte infectieux. Le patient décrit également une dysphonie nouvelle pour laquelle un consilium ORL le 15.02.2019 montrant un kyste en face linguale de l'épiglotte médial et gauche et fermeture de la corde vocale en phonation incomplète d'origine inconnue. Un rendez-vous de contrôle chez Dr. X (Phoniatre) est prévu le 28.02.2019 à 10:45. Des troubles de la marche sont décrits par le patient et sa famille depuis plusieurs mois et en péjoration depuis quelques semaines. Il n'y a pas de déficit neurologique focal aux membres inférieurs. Mr. Y est connu pour un canal lombaire étroit suivi à Berne depuis 2015 et avait alors refusé d'autres investigations et une prise en charge chirurgicale. Au vu du globe urinaire récent et de l'incontinence fécale depuis quelques semaines, nous rediscutons avec le patient et la famille concernant d'autres investigations et une éventuelle prise en charge neurochirurgicale. Le patient et sa famille refusent toute investigation supplémentaire concernant ce problème ne voulant pas de chirurgie. Nous instaurons donc un traitement antalgique et par physiothérapie. Au vu de l'évolution positive de l'état général, Mr. Y est transféré à l'EMS le 15.02.2019. Mr. Y, institutionnalisé au foyer Clos Fleuri en raison d'un retard mental, est amené aux urgences en ambulance le 15.02.2019, à votre demande, pour suspicion de pneumonie d'aspiration. Pour rappel, le patient est actuellement au dernier jour d'une quadruple thérapie pour éradication d'Helicobacter pylori suite à une hémorragie digestive haute pour laquelle il a été hospitalisé dans notre service du 25 au 28.12.2018. Il est également sous traitement de Ferinject pour une anémie, avec dernière dose iv le 05.02.2019. Au status neurologique, le patient est somnolent avec un état de conscience altéré. Au niveau cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Pas d'œdème des membres inférieurs. Signe de Homans négatif des deux côtés. Les mollets sont souples, le ballant est conservé, les pouls périphériques sont tous palpés. À l'auscultation pulmonaire, présence de râles crépitants en base droite. Le status abdomino-uro-génital est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 231 mg/l et une leucocytose à 17.7 g/l, ainsi qu'une hyponatrémie à 129 mmol/l. La gazométrie montre une hypoxémie sévère avec PO2 à 7.9 kPa, et une hypocapnie à 4.2 kPa. La radiographie du thorax montre un foyer pulmonaire en base droite et un important épaississement bilatéral de la trame broncho-vasculaire. Les examens cliniques et paracliniques confirment une pneumonie sur broncho-aspiration. Nous débutons une antibiothérapie par Co-Amoxi 2,2 g iv 3x/j et le patient est gardé pour surveillance en lit d'observation aux urgences. Après une surveillance de 24 heures aux urgences, Mr. Y est hospitalisé à l'étage de médecine. L'antibiothérapie iv par Co-Amoxi est poursuivie jusqu'au 14.02.2019 avec relais par Co-Amoxi 1 g per os 3x/j à poursuivre jusqu'au 19.02.2019. Sous antibiothérapie, l'évolution est rapidement favorable et Mr. Y peut regagner le foyer Clos Fleuri le 15.02.2019. Mr. Y n'a pas pu, en raison des fêtes, de son voyage pendant les vacances au Portugal et de l'éloignement de son domicile de l'HFR Billens entreprendre sa physiothérapie avec la fréquence et l'intensité nécessaires pour arriver à soulager ses pubalgies. Nous l'orientons alors vers un physiothérapeute du sport de sa région avec la consigne d'un travail actif avec des auto-exercices à domicile. Il est autorisé à reprendre son activité sportive. Pour la prise de sang de routine, elle est globalement dans la norme hormis une hypovitaminose D que nous allons substituer per os (ordonnance envoyée par courrier). Les anomalies repérées à l'ECG dans le cadre d'une morphologie, qui laisse suspecter un syndrome de Marfan, ont motivé une consultation cardiologique auprès du Dr. X avec échocardiographie. Heureusement, ce bilan revient plutôt rassurant.J'ai transmis toutes ses informations au patient et à sa maman. Je le reverrai pour un contrôle le 03.04.2019. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte d'asthénie, connu pour de multiples cancers de la sphère ORL avec traitement palliatif actuellement par chimiothérapie. En effet, il a remarqué depuis quelques jours une baisse progressive de l'état général sans plainte au premier plan. Dans le cadre des investigations, il est constaté une hypoxémie. Un CT est effectué et montre une embolie pulmonaire bilatérale sans répercussion hémodynamique. Un traitement dans un premier temps d'héparine de bas poids moléculaire est instauré, avec relais par Xarelto 15 mg 2X/J pour 3 semaines, puis 20 mg 1X/J à vie au vu du contexte oncologique. Nous constatons également des troubles électrolytiques importants mis sur le compte de la dénutrition due au contexte oncologique ainsi qu'à une dysphagie présente. Nous substituons ceux-ci. Un contrôle biologique aura lieu à 1 semaine en oncologie. À noter que malgré nos propositions, le patient ne souhaite pas de suivi nutritionnel, ni d'aide à domicile, ni de prise en charge spécifique de sa consommation d'alcool. Mr. Y peut rentrer à domicile le 13.02.2019. Il poursuivra sa chimiothérapie le 21.02.2019 à 09h30. Mr. Y présente une rémission complète après probable boursite supra-patellaire traumatisée lors de sa chute à moto en septembre. La dernière ponction avec infiltration par cortisone effectuée par le Dr. X a permis de calmer la situation. Ce jour, le patient est asymptomatique. Je n'ai pas de proposition thérapeutique. En cas de réapparition de tuméfaction, le patient pourra contacter le Dr. X ou moi-même, sinon fin du traitement. Pas d'arrêt de travail. Mr. Y, 45 ans, en bonne santé habituelle, est transféré de l'Inselspital pour la suite de la prise en charge d'une névrite optique gauche. Pour rappel, il consulte le 24.01 en raison des douleurs rétrobulbaires lors de mouvements oculaires et de troubles de la vision progressifs au niveau de l'œil gauche depuis 1 semaine. L'IRM montre un réhaussement du N. optique gauche parlant pour une névrite. L'évaluation neuro-ophtalmologique montre un déficit d'afférence pupillaire et une rougeur marquée de l'œil gauche. Le patient reçoit une corticothérapie par Solumédrol avec amélioration des douleurs et légère amélioration des troubles visuels. Durant le séjour à l'HFR-Fribourg, les suites sont simples et l'évolution est favorable. Il peut rejoindre son domicile le 27.01.2019. Un suivi à 7-10 jours est à prévoir en ambulatoire à la consultation de neuro-ophtalmologie à l'Inselspital. Il rentre à domicile le 27.1.18. Mr. Y est un patient de 80 ans, porteur de sonde à demeure dans le contexte d'une hyperplasie bénigne de la prostate, qui est hospitalisé pour une pyélonéphrite obstructive sur une lithiase 7x5x5 mm à la jonction pyélo-urétérale droite. Il bénéficie d'une pose de sonde double J par le Dr. X le 20.02.2019. L'évolution postopératoire est rapidement favorable et le patient retrouve des urines claires. Mr. Y présente l'apparition de diarrhées aqueuses aiguës au cours de son hospitalisation. Une recherche PCR de clostridium difficile revient positive, motivant la mise en place d'une antibiothérapie orale avec du Métronidazole. Par la suite, il présente une amélioration de la symptomatologie. Nous laissons le patient rentrer à domicile le 27.02.2019 avec un contrôle prévu le 07.03.2019 chez le Dr. X. Mr. Y est un patient de 64 ans, en bonne santé habituelle, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'une hernie inguinale bilatérale. Il bénéficie d'une cure de hernie bilatérale selon Lichtenstein le 22.02.2019, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples et, en vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 25.02.2019. Mr. Y, patient de 58 ans, institutionnalisé de jour à Horizon Sud, est hospitalisé le 30.01.2019 à la suite d'une perte de contact, dans le contexte d'une probable crise épileptique inaugurale. En raison de l'absence de place aux soins intensifs, le patient reste en surveillance au service des urgences, avant d'être transféré en médecine interne le 31.01.2019, pour poursuivre sa prise en charge. Sur le plan électrolytique, le laboratoire d'entrée met en évidence une hyponatrémie sévère dans le contexte d'un SIADH, probablement dans le cadre du traitement par Quétiapine et d'une potomanie probable chez ce patient avouant boire jusqu'à 6 litres par jour. La natrémie est corrigée progressivement au service des urgences et la clinique du patient s'améliore rapidement. Une substitution des autres électrolytes (potassium, phosphate) est initiée durant l'hospitalisation. À noter que nous mettons aussi en évidence une augmentation marquée des CK (pic à 22'181 le 02.02.2019). Une origine post-ictale ou secondaire aux dysélectrolytémies peuvent en être responsables. Une hydratation intraveineuse permet une amélioration des valeurs du laboratoire. Au vu d'une évolution clinique et biologique favorable, le patient retourne à domicile le 06.02.2019. Nous vous prions cependant d'effectuer un contrôle biologique hebdomadaire durant 4 semaines et nous expliquons au patient, ainsi qu'à sa mère, l'importance d'observer une restriction hydrique à 3000 ml/24 h à long terme. En fonction de l'évolution de la natrémie, une réévaluation du traitement par Quétiapine est à envisager. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X pour suite de la prise en charge urologique. Mr. Y, patient de 48 ans, connu pour un tabagisme actif 15 UPA, consulte aux urgences par ses propres moyens le 03.02.2019 à 19h en raison d'une faiblesse de l'hémicorps gauche avec difficulté d'élocution d'apparition brutale le même jour à 15h. Aux urgences, nous mettons en évidence un hémisyndrome facio-brachio-crural sensitivo-moteur G et une désorientation. L'angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux ne montrent pas d'élément en faveur d'un AVC, cependant l'IRM effectuée le lendemain confirme un AVC ischémique aigu de la queue du noyau caudé, de la corona radiata et du bras postérieur de la capsule interne droite. Sur le bilan étiologique, une échocardiographie transthoracique et transoesophagienne permettent d'exclure un foramen ovale perméable (FOP). Un Holter sur 72 heures est posé le 06.02.2019, dans l'hypothèse d'un trouble du rythme, en particulier d'une fibrillation auriculaire, dont les résultats vous parviendront après leur interprétation. Un Duplex des vaisseaux précérébraux et transcrâniens revient dans la norme sans artériosclérose ni sténose significative. Au vu du jeune âge du patient, présentant peu de facteurs de risque cardiovasculaire, un bilan à la recherche d'une pathologie inflammatoire, vasculitique et infectieuse est demandé. Le dépistage du VIH revient négatif, ainsi que le bilan vasculitique par ANA et ANCA. L'homocystéine revient dans les limites de la norme. La sérologie pour la maladie de Lyme se révèle également être négative. Les anticorps anti-phospholipides sont actuellement en cours. En vue d'un profil tensionnel sous-optimal, un Remler est demandé. Le patient sera convoqué.Sur le plan thérapeutique, Mr. Y a bénéficié d'un traitement par Aspirine 250 mg IV en charge puis un traitement par Plavix 75 mg 1x/j. Au vu de la dyslipidémie avec des LDL à 3.58 mmol/L, nous débutons un traitement par Atorvastatine 40 mg 1x/j avec une cible à < 1.8 mmol/L en prévention secondaire. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement si nécessaire. Un bilan neuropsychologique montre quelques difficultés attentionnelles et mnésiques avec un bon potentiel de neurorééducation. Le patient est inclut dans l'étude Return to Work. Le patient est transféré en neuroréhabilitation intensive à Meyriez pour la suite de la prise en charge le 12.02.2019. Au transfert, il présente une parésie du membre supérieur gauche avec chute ne touchant pas le lit avant 10 secondes. L'aptitude à la conduite de véhicule automobile est à évaluer à la sortie de cette hospitalisation. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y est un patient de 47 ans, hospitalisé dans notre service en décembre 2018 pour un abcès pénien, traité par Co-Amoxicilline. Il se présente aux urgences en raison d'une récidive de l'abcès pénien avec syndrome inflammatoire et finalement un choc septique. Une antibiothérapie empirique par Pipéracilline-Tazobactam est mise en place et le patient bénéficie le 26.01.2019 d'un débridement d'abcès. Par la suite, nous procédons à des changements de pansement et débridements de manière itérative au bloc opératoire. Une cure d'hydrocèle bilatérale est également effectuée le 05.02.2019. Nous relayons l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline le 05.02.2019 au vu des S. Pyogenes et S. Aureus sensibles mis en évidence lors des cultures de plaie. Sur avis de l'infectiologue, un traitement de Cancidas puis de Fluconazole est mis en place suite à des hémocultures positives à Candida albicans. Ce traitement sera poursuivi pour un total de 14 jours. Une consultation ophtalmologique le 12.02.2019 ne montre pas d'emboles fongiques. L'évolution est lentement favorable avec fermeture progressive cutanée et bonne amélioration du statut local. Mr. Y rentre à domicile le 22.02.2019. La suite de la prise en charge se fera en collaboration entre le Dr. X et le Prof. Y. Mr. Y, connu pour une bicuspidie aortique avec insuffisance aortique de grade 3-4, consulte les urgences le 25.01.2019 en raison de douleurs rétrosternales irradiant dans la mâchoire par moment, à l'effort et cédant avec la prise de nitroglycérine depuis 2 ans, en péjoration depuis une semaine avec des douleurs angineuses apparaissant plus précocement après environ 30 mètres, ainsi qu'une dyspnée d'effort stade NYHA stade III. À noter que le patient refuse de prendre son traitement d'Atacand prescrit pour l'hypertension artérielle. À l'admission aux urgences, le patient est hémodynamiquement stable et afébrile. À l'auscultation cardio-respiratoire, nous constatons un souffle diastolique à 2/6 maximal au foyer aortique. Le laboratoire met en évidence une légère anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 117 g/l. L'ECG montre un rythme sinusal régulier, normocarde à 66 bpm, un axe normal à -25°, des QRS fins à 92 ms, un sous-décalage de ST à 0.1 mV en V4 et V5, et une transition de l'onde précoce en V2. La radiographie du thorax ne montre pas de signe de surcharge ou de décompensation cardiaque. Les troponines sont à 23 ng/l à H0, 22 ng/l à H1 et à 22 ng/l à H3, nous permettant d'exclure un syndrome coronarien aigu. Mr. Y présentant tout de même un important angor instable avec dyspnée associée, il est hospitalisé pour surveillance clinique. Nous demandons un avis au Dr. X, cardiologue, qui effectue une échocardiographie transthoracique qui ne montre pas de pathologie valvulaire compatible avec la symptomatologie, mais qui découvre un anévrisme de l'aorte thoracique proximale à 46 mm au niveau des sinus de Valsalva. Le patient bénéficie d'une coronarographie le 29.01.2019 à l'HFR Fribourg. L'examen montre une maladie monotronculaire nécessitant la mise en place de deux stents actifs sur la 1ère diagonale et l'IVA. La surveillance rythmique se déroule sans particularité et le patient nous est retransféré le 30.01.2019 pour la suite de la prise en charge. Le patient est mobilisé par nos collègues physiothérapeutes. L'ECG de contrôle est superposable au précédent et le patient ne rapporte aucune plainte ni douleur. L'évolution étant favorable et selon son désir, Mr. Y peut regagner son domicile le 31.01.2019. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire ambulatoire suite à un NSTEMI sur maladie coronarienne bitronculaire (07.01.2019), traité par pose de 1 stent sur l'artère circonflexe proximale et un stent sur l'ACD proximale. L'ETT de contrôle montre une FEVG à 60% sans valvulopathie. Son traitement à l'entrée comprend : Aspirine Cardio 100 mg, Plavix 75 mg (jusqu'au 08.06.2019), Atorvastatine 40 mg, Amlodipine 10 mg, Beloc Zok 50 mg, Co-Lisinopril 10/12.5 mg 2 cp/j, Deponit patch 10 mg/24h, Torasemide 40 mg, Tresiba 200 UI/ml (24 UI/j), insuline Humalog (8-8-8-0 lors des repas), insuline Humalog selon schéma, Benerva 100 mg, Creon 10'000 (1-1-1-0), Cymbalta 30 mg, Tamsulosin retard 0.4 mg, Dafalgan 1 g en réserve si douleurs, Primpéran 10 mg en réserve si nausées/vomissements. Sur le plan tensionnel, vu la persistance d'une HTA, nous avons introduit de l'Aldactone 12.5 mg 1x/j avec des valeurs qui se sont normalisées. Sur le plan de la glycémie, nous avons adapté le schéma de l'insuline Humalog en diminuant les unités. Notons que durant son séjour, le patient a présenté un épisode d'hypoglycémie suite à une surdose d'insuline qu'il s'était injectée. De plus, en raison d'une malnutrition, Mr. Y a fait à multiples reprises des hyperglycémies ou des hypoglycémies, raison pour laquelle Mr. Y a bénéficié d'un suivi diététique avec enseignement. Afin d'éviter une nouvelle décompensation diabétique, motif qui l'avait amené à l'hôpital le 05.01.2019, nous organisons des soins à domicile avec une infirmière indépendante pour suivi de l'insulinothérapie et la composition des repas que le patient accepte. Sur le plan ophtalmologique, notons qu'en raison de la présence d'une rétinopathie, le patient a dû renoncer à son permis de conduire. Le suivi est assuré par le service d'ophtalmologie de l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 2.7 km/h pendant 20 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 120 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des facteurs de risque cardiovasculaires, nous retenons les points suivants : • le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.2 mmol/L, un HDL à 1.58 mmol/L, un LDL à 1.68 mmol/L et des triglycérides à 0.51 mmol/L. • Patient tabagique, il a bénéficié d'entretiens avec le Dr. X - tabacologue, durant lesquels il a montré un certain intérêt pour un sevrage mais a avoué ne pas être encore prêt à faire le pas. Le Dr. X l'a rendu attentif aux situations à risque et lui a proposé des stratégies pour diminuer la consommation de tabac. Elle reste bien évidemment à disposition au besoin.3. La pression artérielle basale s'est normalisée avec l'adaptation du traitement. Mr. Y présente une coxarthrose bilatérale, plus symptomatique à droite qu'à gauche et une chondrocalcinose du genou droit. Le status clinique est rassurant. Le patient arrive toujours à marcher 1 à 2 heures sans problème. Vu son jeune âge de 54 ans, je ne propose pour le moment pas d'intervention. Par contre, j'ai proposé au patient d'introduire un traitement par AINS sous forme de Voltarène 50 mg 2 cp/jour fixe pour une semaine puis en réserve pour essayer de calmer les symptômes de ses hanches et de sa chondrocalcinose. En cas de péjoration, en regard de son genou, on pourrait éventuellement effectuer une infiltration par Cortisone. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Le patient me recontactera en cas de besoin. Autrement fin du traitement. Mr. Y est un patient de 73 ans qui consulte les urgences de Riaz le 07.02.2019 en raison de douleurs à la loge rénale droite. Aux urgences, nous réalisons un sédiment urinaire qui montre la présence de sang. Un bilan biologique montre une perturbation légère de la fonction rénale avec une créatinine à 135 µmol/l. Dans ce contexte et sur avis de Dr. X, nous réalisons un Uro-CT qui objective la présence d'une lithiase urétérale au niveau de l'uretère moyen à la hauteur du promontoire sacré mesurant 5x5x4 mm avec une dilatation pyélo-calicielle de 22 mm en amont. Dans ce contexte, nous demandons un avis urologique à Dr. X, qui au vu de l'absence de signe de complication, propose une filtration des urines, avec administration d'une antalgie, de Tamsulosine et d'effectuer un contrôle la semaine prochaine à sa consultation. Dans ce contexte et au vu d'un patient cliniquement rassurant, le patient rentre à domicile avec le numéro de Dr. X, une ordonnance et un filtre pour les urines. Mr. Y, 61 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur une pneumopathie à Influenza A compliquée par un ARDS. Pour rappel, Mr. Y est un patient en bonne santé habituelle qui présente depuis le 07.02.2018 un état grippal avec des myalgies et une toux sèche avec dyspnée et état fébrile, traité par Klacid par son médecin traitant avec des diarrhées depuis l'introduction des antibiotiques. Une mauvaise évolution respiratoire l'amène à reconsulter son médecin traitant qui note une mauvaise évolution radiologique avec des infiltrats interstitiels en péjoration et un syndrome inflammatoire important. Les besoins en oxygène du patient se majorent rapidement après 36h. Le patient étant dépendant de la VNI, il est donc intubé. L'étiologie de l'insuffisance respiratoire est une grippe A. Les antigènes pneumocoques et légionnelles sont négatifs. Face à la suspicion d'une surinfection par un germe atypique, une antibiothérapie par Lévofloxacine est instaurée pour une durée de 6 jours. L'évolution est favorable sur le plan respiratoire permettant une extubation le 19.02.2019 avec un relai par VNI et optiflow, permettant le transfert en division de médecine. Mr. Y a poursuivi la physiothérapie (y compris respiratoire) et nous avons pu sevrer le patient de l'oxygène le 26.02.2019. Le 26.02.2019, et de façon subite, le patient présente encore des douleurs basi-thoraciques, respiro-dépendantes que nous investiguons mais un CT-thoracique écarte une embolie pulmonaire, les troponines sont revenues négatives pour une étiologie cardiaque et au vu de la bonne réponse clinique au Pantozol 40 mg et Ulcar 1 g, nous avons retenu comme diagnostic une gastrite. À noter également que nous avons mis en évidence un pré-diabète avec des glycémies à jeun entre 5.7 et 6.0 mmol/l que nous vous laissons le soin de surveiller par la suite. Le patient présente une hypertension artérielle importante après l'extubation nécessitant la mise en place de trois antihypertenseurs. Une cytolyse hépatique et une pancréatite biologiques sont mises en évidence à l'admission, ces valeurs s'améliorent durant l'hospitalisation. Dans ce contexte, Mr. Y rentre à domicile le 27.02.2019 avec suivi à votre cabinet le 01.03.2019. Le patient bénéficiera également de la physiothérapie pour améliorer la fonction respiratoire et pour un déconditionnement moteur. Mr. Y est un patient de 53 ans, connu pour une cholécystolithiase symptomatique, qui se présente aux urgences en raison de douleurs en hypocondre droit. A l'examen clinique, nous objectivons un signe de Murphy positif. Le bilan radiologique par ultrason met en évidence des signes de cholécystite débutante. Nous retenons l'indication à une cholécystectomie laparoscopique en urgence. Les suites opératoires sont marquées par une perturbation globale des tests hépatiques à J1 avec bilirubine à 85 umol/L, raison pour laquelle une ERCP est effectuée le 03.02.2019 avec extraction des concréments au niveau du cholédoque. L'évolution est par la suite favorable, avec une bonne évolution des paramètres hépatiques. Mr. Y rentre à domicile le 06.02.2019. Mr. Y, 73 ans, est hospitalisé suite à un traumatisme crânio-cérébral sur chute de sa hauteur avec hémorragie sous-durale et sous-arachnoïdienne ainsi qu'un état confusionnel nocturne. Pour rappel, l'hémorragie cérébrale survient dans un contexte de double antiagrégation et anticoagulation après traitement d'une lésion coronarienne par 2 stents le 04.01.2019. En effet, le patient est initialement hospitalisé du 03.01.2019 au 04.01.2019 suite à une chute à la montagne avec polytraumatisme et perte de connaissance, sans lésion cérébrale ou d'organe notable. Dans le cadre du bilan de chute, une maladie coronarienne est suspectée et confirmée par une coronarographie le 04.01.2019 avec mise de 2 stents sur l'artère circonflexe. Dans les suites de la coronarographie, le patient fait une chute de son lit dans le contexte d'un état confusionnel aigu avec traumatisme crânien et hémorragie sous-arachnoïdienne frontale et occipitale, sous-durale frontale bilatérale, des fractures du massif facial et un œdème cérébral diffus motivant son transfert à l'hôpital de l'Ile à Berne. L'évolution est favorable avec un traitement conservateur. Les imageries cérébrales de contrôle montrent une stabilité des lésions décrites avec évolution clinique favorable. Le patient nous est alors retransféré et un CT-scan cérébral de contrôle effectué 2 semaines après le traumatisme montre une nette régression des saignements décrits. Dans ce contexte, le Plavix est repris avec l'Aspirine déjà en cours pour diminuer le risque élevé de thrombose intra-stent. L'évolution neurologique est favorable avec la récupération d'une bonne orientation spatio-temporelle le jour et une amélioration de l'état confusionnel nocturne après introduction de la mélatonine. Mr. Y bénéficie d'une évaluation neuropsychologique mettant en exergue des troubles cognitifs en lien avec le TCC sévère, justifiant une réhabilitation neurologique intensive. Dans l'attente d'une place à Meyriez, l'ergothérapie et la physiothérapie sont débutées sur le séjour. Le patient devient sécure à la marche avec un rollator, bien qu'il n'en avait pas à domicile. Une diplopie mal systématisée, fluctuante, 1-2 fois par jour lors du regard vers le bas perdure, mise sur le compte d'une séquelle de l'hémorragie sous-arachnoïdienne occipitale et pour laquelle le patient bénéficiera d'un rendez-vous ambulatoire chez un orthoptiste dans le courant du mois de février. Des troubles exécutifs et attentionnels perdurent également malgré une prise en charge neuropsychologique mais le patient retrouve une bonne autonomie au fil du séjour.Le profil tensionnel étant élevé durant l'hospitalisation, le traitement est modifié, avec une tri-thérapie à sa sortie. Par ailleurs, un dosage du Lithium est effectué en raison de la majoration de l'IEC et le taux est revenu dans la norme. Sur le plan digestif, une lésion hépatique d'origine indéterminée est découverte fortuitement au CT-scan du 04.01.2019 et investiguée par IRM et US. La lésion est évocatrice d'un hémangiome atypique, mais un CHC ne peut pas être formellement exclu malgré l'aspect non cirrhotique du reste du foie. Une alpha-foetoprotéine revient dans la norme. Au vu de l'impossibilité actuelle de pratiquer une biopsie en raison de la double anti-agrégation, le patient sera revu en oncologie dans 3 semaines pour discuter d'un PET-CT et d'une biopsie. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y est transféré en neuroréhabilitation à Meyriez le 06.02.2019. Mr. Y, patient de 70 ans et connu pour un diabète non-insulino-requérant, une hypertension artérielle ainsi qu'un syndrome d'obésité et hypoventilation, nous est adressé par le service de médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une réadaptation gériatrique dans un contexte de décompensation cardiaque sur bloc atrioventriculaire traité par pose de pacemaker et NSTEMI de type 2 sur débit le 14.01.2019. A son arrivée dans notre service le 05.02.2019, le patient n'a pas de plainte, si ce n'est une dyspnée d'effort en amélioration progressive, des gonalgies et des dorso-lombalgies dégénératives connues. Concernant le diabète, nos analyses montrent une situation bien contrôlée par le traitement en cours, que nous poursuivons. Nous adaptons le traitement antalgique pour les lombo-dorsalgies et gonalgies. Dans les suites de la pose du pacemaker le 14.01.2019, un contrôle du pacemaker est effectué par le Dr. X le 12.02.2019, qui s'avère dans la norme. Un prochain contrôle est programmé le 14.08.2019. Le bilan biologique se montre stable pendant le séjour de Mr. Y, avec des valeurs dans la cible. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 08.02.2019 relèvent des performances dans la norme, avec un MMS à 30/30 et un test de la montre à 5/7. Durant ce séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seul et à l'aide d'une canne est de 130 mètres. Le patient peut gravir 18 marches avec une canne et la rampe. Il nécessite une légère aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 105/126, par rapport à 80/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 21.6 secondes avec cannes. Au niveau nutritionnel, Mr. Y prend part à un entretien motivationnel concernant une perte de poids à viser avant une éventuelle opération du genou. Pendant son hospitalisation, le patient perd environ 2 kg et se dit motivé à en perdre plus. Le statut cardiorespiratoire indique une amélioration de la capacité de marche et d'effort au cours de l'hospitalisation, chez ce patient sinon autonome. Dans ce contexte, un retour à domicile a lieu le 19.02.2019. Mr. Y souhaite le passage des soins à domicile 4x/semaine pour aide à la douche, 1x/j pour mettre ses bandes ou ses bas (le soir, sa voisine pourrait l'aider), et 1x/semaine pour contrôle de santé (tension artérielle, pulsations et poids). Le patient commandera ses repas au Foyer de Bouleyres, et c'est la Pharmacie du Levant à Bulle qui s'occupera de lui préparer son semainier. Mr. Y est un patient de 64 ans, ayant pour antécédent un STEMI dans le territoire antéro-latéral en novembre 2018 sur occlusion de l'artère interventriculaire antérieure, qui s'est présenté aux urgences le 01.02.18 suite à un épisode de douleurs thoraciques oppressives, syncope et plusieurs épisodes de vomissements. Aux urgences, le patient présente cliniquement de discrets signes de surcharge cardiaque avec, au laboratoire, des pro-BNP à 1509 ng/l. Plusieurs trains de troponines sont prélevés, sans cinétique mise en évidence, parlant contre un syndrome coronarien aigu. Le bilan est complété par un CT cérébro-thoraco-abdominal, permettant d'écarter une embolie pulmonaire, une dissection aortique, mais également un saignement intracrânien. Un test de Schellong ainsi qu'un massage du sinus carotidien se révèlent dans la norme. Au vu des circonstances peu claires de la symptomatologie du patient, sur avis cardiologique, une échographie trans-thoracique est effectuée. Cette dernière se révèle superposable à la dernière échocardiographie du 15 janvier 2019. Le bilan cardiaque est complété par un holter et une ergonométrie est prévue en ambulatoire. L'origine de cette syncope reste à l'heure actuelle indéterminée dans l'attente du bilan cardiaque complet. Cependant, l'hypothèse d'une origine vaso-vagale reste la plus probable à ce jour. A noter, la mise en suspens du traitement bétabloquant en raison d'une bradycardie et une mise en suspens transitoire du Lisinopril. Nous laissons le soin à nos collègues de cardiologie de réaliser une titration progressive de l'antihypertenseur et de décider de la reprise des bêtabloquants. Au vu de l'évolution clinique favorable, sans récidive de symptomatologie, le patient rentre à domicile le 07.02.19. La suite de prise en charge cardiologique sera effectuée en ambulatoire. A noter qu'un certificat de travail à 100% est délivré au patient jusqu'au 10.02.2019 en raison d'un travail physique effectué (sableur), avec reprise à 50% dès le 11.02.19 (reprise à 50% initialement prévue par la cardiologue traitante le 01.02.19). Mr. Y, patient de 92 ans, connu pour maladie d'Alzheimer avancée et cardiopathie ischémique et rythmique, est envoyé par Medhome en raison d'une dyspnée avec toux et expectorations jaunâtres en péjoration malgré un traitement par Co-amoxicilline depuis le 21.01.2019. L'anamnèse est peu contributive chez ce patient confus en raison d'une démence Alzheimer. Le laboratoire d'entrée montre un NT Pro-BNP à 31'378 ng/l, la gazométrie artérielle une alcalose respiratoire légère et la radiographie de thorax un épanchement pleural unilatéral gauche important. Sur le plan cardiaque, une échocardiographie montre une fraction d'éjection du ventricule gauche à 20 % et le contrôle du pacemaker retrouve un fonctionnement normal. La dyspnée répond favorablement aux diurétiques et le traitement est adapté avec introduction d'un IEC et B-bloquant que nous vous laissons le soin d'adapter. Concernant son épanchement pleural, une ponction pleurale ramène environ 1500 ml et soulage le patient. Les résultats parlent en faveur d'un transsudat et la cytologie ne montre pas de cellule suspecte de malignité, parlant plutôt pour une origine cardiaque. Le patient présente également une hématurie microscopique récidivante. Une échographie abdominale montre une masse vésicale endophytique sur la paroi postérieure de la vessie fortement suspecte. Après discussion avec la famille, aucune investigation supplémentaire n'est réalisée. Si le patient devenait symptomatique, un traitement par laser pourrait par exemple être envisagé. Le laboratoire montre également une hyperbilirubinémie initialement. Un bilan plus large montre une légère anémie hémolytique d'origine indéterminée avec un Coombs positif. Le bilan est complété avec une électrophorèse des protéines toujours en cours lors de la sortie du patient. Selon les résultats, nous vous laissons le soin de rediscuter de plus amples investigations avec le patient et sa famille. Des contrôles de formules sanguines sont à organiser régulièrement. Les tests thyroïdiens sont également perturbés parlant pour une hypothyroïdie subclinique et nous proposons un contrôle à 6 semaines.Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 18.02.2019 avec instauration de soins à domicile. Mr. Y, patient de 87 ans, connu pour une démence de type Alzheimer, nous est adressé par le Home médicalisé du district du lac, où il réside, suite à une péjoration clinique. En effet, le patient aurait été retrouvé par l'équipe soignante avec une pâleur importante et une absence totale de communication. Il présentait une toux avec expectorations depuis environ 4 jours, sans qu'une fièvre ait été mise en évidence. A l'anamnèse, le patient ne réagissait pas à nos questions, sous réserve de son état habituel avec une communication déjà difficile en raison de sa maladie d'Alzheimer. A la radiographie du thorax, une pneumonie au niveau du lobe inférieur gauche est mise en évidence, raison de son hospitalisation. Une antibiothérapie par Rocéphine IV est débutée le 15.02.2019, avec un relais par Co-amoxicilline PO le 18.02.2019 au vu de la bonne évolution clinique, à poursuivre jusqu'au soir du 22.02.2019 compris. Mr. Y peut donc quitter notre service de médecine interne à l'HFR-Meyriez à destination du Home médicalisé du district du lac, son lieu de vie habituel. Mr. Y est adressé aux urgences par son médecin traitant le 15.02.2019 en raison d'une péjoration de sa dyspnée ainsi qu'un important syndrome inflammatoire au bilan biologique. Le patient rapporte une toux persistante depuis mi-novembre traitée initialement par antibiothérapie. Depuis le 09.02.2019, apparition d'une dyspnée importante et d'expectorations verdâtres. Le médecin traitant réintroduit une antibiothérapie. Au vu de l'évolution défavorable, il l'adresse aux urgences. A l'anamnèse, le patient ne rapporte pas de douleur thoracique, pas de palpitation. Il relate des diarrhées récentes dues à l'antibiothérapie. A signaler un voyage au Sénégal au mois de décembre ainsi qu'un antécédent de bronchopneumonie il y a 8 ans (2 épisodes en un mois). A l'admission aux urgences, Mr. Y est fébrile à 39°C. Fréquence cardiaque 125/min, fréquence respiratoire 36/min, saturation à 85% à l'air ambiant. Au status pulmonaire, présence de râles crépitants diffus avec souffle tubulaire. Le reste du status est non contributif. La radiographie du thorax montre des foyers diffus d'aspect de bronchopneumonie atypique et le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 300 mg/l et une leucocytose à 21.4 G/l. La gazométrie montre une PO2 à 8.7 kPa et une PCO2 à 4.1 kPa. Nous suspectons cliniquement une bronchopneumonie atypique pour laquelle nous réalisons une culture d'expectorations (à pister) ainsi qu'une recherche des antigènes urinaires qui revient négative. Nous instaurons d'emblée un traitement par Rocephin 2000 mg et Klacid 500 mg 2x/j et le patient est hospitalisé. Dans le contexte de dyspnée et de désaturation et malgré un score pré-test faible, nous dosons les D-Dimères qui reviennent à 2565 ng/ml. Nous écartons raisonnablement une embolie pulmonaire avec un score de Genève modifié à 2 et un scanner thoracique qui ne montre pas de signe d'embolie mais qui relève la présence d'infiltrats inflammatoires au niveau des deux plages pulmonaires (dd : germes atypiques ?). Au vu de la persistance d'une dyspnée sous 6 litres d'oxygène avec une saturation à 88%, Mr. Y est transféré à l'HFR Fribourg, soins intensifs, le 17.02.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est connu pour les antécédents susmentionnés, il nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire dans les suites d'une pose de prothèse en Y aorto-bi-iliaque dans un contexte d'anévrisme de l'aorte abdominale de 7.4 cm de diamètre associé à des anévrismes iliaques stables de 2.4 cm à droite et 2 cm à gauche. Pour rappel, devant une progression rapide du diamètre de l'anévrisme, une indication opératoire est posée avec un patient toujours asymptomatique. Un premier geste chirurgical est réalisé le 27.12.2018 à l'HFR Fribourg, cependant, devant un status aortique difficile et une impossibilité d'exclure l'anévrisme sans clampage aortique, seule une adhésiolyse large est réalisée. Le patient est ensuite transféré à l'Inselspital pour suite de prise en charge où il bénéficie de la pose d'une prothèse en Y. Le 29.12.2018, devant des douleurs abdominales aiguës avec suspicion d'ischémie intestinale aiguë, une indication de reprise au bloc opératoire est posée : la laparotomie exploratrice ne retrouve pas de signe d'ischémie aiguë et un filet est posé. Le post-opératoire sera marqué par un sepsis à Morganella sur translocation abdominale, traité par Tazobac du 03. au 14.01.2019 ainsi que par une pneumopathie acquise sous ventilation mécanique traitée par Co-Amoxicilline. Le patient est transféré le 15.01.2019 à Billens pour une réadaptation cardiovasculaire. Traitement à l'entrée : • Aspirine cardio 100 mg cpr : 1-0-0-0 • Xarelto 20 mg cpr : 0-0-1-0 • Atorvastatine 40 mg cpr : 0-0-1-0 • Cipralex cpr 10 mg : 1-0-0-0 • Amlodipin 10 mg cpr : 0.5-0-0-0 • Metoprolol depotabs 25 mg : 0.5-0-0.5-0 • Cordarone 200 mg cpr : 1-0-0-0 • Nexium Mups 40 mg cpr : 1-0-1-0 • Primperan 10 mg cpr : 1-1-1-0 (jusqu'au 19.01.19) • Remeron cpr 30 mg : 0-0-0-1 Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant une durée de 20 minutes à une puissance de 25 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 100 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des facteurs de risques cardiovasculaires, le bilan lipidique de sortie retrouve un LDL à 1.87 mmol/L, un HDL à 0.70 mmol/L et des triglycérides à 1.34 mmol/L. Sur le plan tensionnel, nous avons veillé à ce que le patient ne dépasse pas une valeur systolique basale de 110-120 mmHg et reste < 150 mmHg à l'effort. En début de séjour, les TA diurnes sont bien contrôlées; celles de la nuit sont aux limites supérieures de la normale. Le traitement de base IEC/sartan & b-bloqueur est renforcé avec succès, confirmé par le Remler contrôle de fin de séjour. La FC est restée dans les marges thérapeutiques efficaces et aucune arythmie ne fut objectivée. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire stationnaire suite à une maladie coronarienne anévrismale avec STEMI inférieur le 20.01.2019 pour lequel il a bénéficié d'une coronarographie avec pose de 2 stents actifs sur CD distale. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine Cardio 100 mg, Efient 10 mg (pour 6 mois), Beloc Zok 12.5 mg, Lisinopril 20 mg et Atorvastatine 40 mg. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une puissance de 25 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. A la fin de la prise en charge, il est capable de marcher pendant une durée de 45 minutes à une allure légère à moyenne sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 4 km/h. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 75 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre FC max à 84% de la FCTM (DP 247 mmHg/min). Cette épreuve sous-maximale est négative sur les plans ECG, rythmique et clinique. L'adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération est bonne.Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.2 mmol/L, un HDL à 0.94 mmol/L, un LDL à 2.18 mmol/L et des triglycérides à 0.95 mmol/L. • La pression artérielle basale et la fréquence cardiaque sont restées dans la norme. À l'examen clinique de sortie, statut de normo-compensation. Le patient présente une toux sèche depuis quelques jours en diminution progressive, sans état fébrile ou syndrome inflammatoire et sans impact sur l'état général. Nous lui conseillons d'y être attentif lors de son retour à domicile et de consulter son médecin traitant en cas de persistance de la toux ou d'apparition d'autres symptômes, avec discussion alors pour des investigations complémentaires au besoin (+/- CT thoracique). Mr. Y va continuer la physiothérapie pour renforcement musculaire. Il ne veut pas reprendre le ski cet hiver. On va refaire un contrôle à 1 an postopératoire. Mr. Y est un patient de 63 ans en bonne santé habituelle qui consulte les urgences le 27.02.2019 en raison de douleurs thoraciques en barre respiro-dépendantes le 27.02.2019. Aux urgences, nous réalisons un ECG qui objective un RSR à 78 bpm avec un aspect Rr du QRS en V2 et un sus-décalage du segment ST non significatif en V2-V3. Le patient est vu par le Dr. X qui propose d'administrer immédiatement 600 mg de Plavix per os, Aspegic 500 mg et HNF 5000 UI. Les troponines reviennent à 9ng/l à H0 puis à 9ng/l à H1 et les D-dimères sont négatifs. Le bilan biologique objective un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 28 et des leucocytes à 14G/l. La radiographie de thorax revient dans la norme. Nous retenons un diagnostic de douleurs thoraciques d'origine indéterminée et le patient rentre à domicile avec une antalgie simple et un arrêt de travail pour le 27.02.2019. Au vu d'une évolution favorable sur le plan des douleurs et avec accord du Dr. X, le patient rentre à domicile. Mr. Y, connu pour un lymphoedème chronique du membre supérieur droit dans le contexte d'une maladie de Hodgkins classique stade IVBS, consulte les urgences le 29.01.2019 en raison d'un important œdème au membre supérieur droit avec douleurs, chaleur et sensation de fébrilité. Les douleurs sont constantes depuis plusieurs heures. À l'anamnèse systématique d'entrée, il n'y a pas de notion de traumatisme, mais le patient évoque des nausées ce jour. Il n'y a pas de notion de symptôme B. À l'examen clinique, nous constatons un lymphoedème du membre supérieur droit accompagné par un gradient de température important et un érythème cutané sur l'ensemble du membre supérieur sans porte d'entrée. Le reste de l'examen clinique est sans particularités. Le laboratoire retrouve une CRP à 8 mg/l ainsi qu'une leucocytose à 19.7 G/l. Nous retenons le diagnostic de dermohypodermite sur lymphoedème chronique du membre supérieur droit et débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 1.2 g 3x/j. Deux paires d'hémocultures sont prélevées aux urgences et reviennent négatives. Nous demandons un consilium angiologique qui exclut une thrombose veineuse mais met en évidence une structure hypoéchogène vascularisée évoquant éventuellement un ganglion connu depuis une dizaine d'années. Au vu de la situation, nous prenons contact avec la Dr. X, oncologue traitante, qui ne propose actuellement pas d'imagerie. Elle réévaluera la situation lors du prochain contrôle oncologique prévu le 18.03.2019. De plus, dans ce contexte oncologique, nous dosons les LDH qui sont dans la norme le 01.02.2019 à 415 UI. Sur le plan infectiologique, nous constatons une diminution progressive des douleurs et de l'érythème durant le séjour. Au niveau biologique, le syndrome inflammatoire est maximal le 30.01.2019 avec des leucocytes à 11.5 G/l et une CRP à 123 mg/l, puis l'évolution est favorable. L'antibiothérapie peut être passée per os par co-amoxicilline 1 g 3x/j dès le 02.02.2019, à poursuivre pour une durée totale de 7 jours. Suite à une erreur de laboratoire, les LDL cholestérol sont dosés au lieu du LDH. Au vu de valeurs pathologiques avec LDL à 4.07 mmol/l, HDL à 0.83 mmol/l, triglycérides à 1.74 mmol/l et un cholestérol total à 5.83 mmol/l, nous vous prions de réévaluer la situation et de proposer un changement dans les habitudes de vie du patient ou un traitement médicamenteux à distance de l'épisode infectieux. Mr. Y peut regagner son domicile le 04.02.2019. Nous prescrivons de la physiothérapie pour drainage lymphatique. Mr. Y est un patient de 60 ans, connu pour un statut post-cholécystectomie laparoscopique le 23.01.2019, qui se présente aux urgences en raison d'une persistance des douleurs abdominales. L'examen clinique est dans la norme et le cholangio-IRM ne montre pas de cholélithiase. Par la suite, les douleurs sont bien soulagées par la prescription standard et le patient peut regagner son domicile en bon état général le 09.02.2019. Mr. Y, patient de 93 ans et connu pour un carcinome papillaire de la thyroïde avec multiples métastases au niveau pulmonaire, profite désormais d'un séjour de réhabilitation gériatrique suite à une hospitalisation en gériatrie aiguë du 10.02.2019 au 19.02.2019. Pour rappel, Mr. Y vit dans un appartement avec son épouse, étant autonome pour la toilette. Il n'est pas au bénéfice de soins à domicile mais les repas sont livrés au couple 2x/semaine (les autres jours, le couple cuisine ensemble). La fille s'occupe des courses et de l'administratif. Auparavant, le patient marchait sans moyen auxiliaire, mais il vient d'acheter un rollator pour être plus sécuritaire ; il n'y a pas de notion de chute. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués durant le séjour en gériatrie aiguë (séjour n°1) montraient des performances dans la norme avec un MMSE à 30/30 et un test de la montre à 2/7. Concernant sa maladie oncologique, nous prenons l'avis spécialisé du Dr. X pendant l'hospitalisation, qui nous propose de mettre en place de la morphine en pompe 0.5mg/h plus des réserves toutes les 15 minutes afin d'améliorer la dyspnée du patient. Le 19.02.2019, le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire en augmentation, avec une CRP à 122mg/l et une leucocytose à 12.4g/l. Par la suite, Mr. Y ne présente pas de nouveau symptôme ni de fièvre. La radiographie du thorax n'objective pas de foyer. Le 22.02.2019, le patient présente un état fébrile à 38°C sans plainte clinique. Nous décidons d'effectuer une surveillance clinique. Durant ce séjour, Mr. Y est pris en charge par le service de diététique dans le contexte d'une malnutrition protéino-énergétique modérée, en lien avec une inappétence, et démontrée par une perte pondérale totale de 13kg (17%) en 2 ans, dont 2.3kg (3.5%) sur les deux derniers mois, des ingestas couvrant 71% de ses besoins énergétiques théoriques et un NRS à 4/7. L'objectif de la prise en charge est d'améliorer son état nutritionnel au moyen d'une alimentation suffisante en énergie et en protéines. Le patient bénéficie d'un supplément nutritif oral par jour, recouvrant rapidement 100% de ses besoins énergétiques et reprenant un peu de poids. En ergothérapie, Mr. Y profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne.Cependant, le 22.02.2019, nous notons une importante péjoration de l'état général du patient, avec des plaintes mal systématisées. Dans ce contexte clinique, un traitement de soins de confort est instauré et Mr. Y décède paisiblement, entouré par ses proches. Mr. Y, connu pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, notamment une BPCO stade IV oxygénodépendante, sur bronchiolite oblitérante sur pemphigus paranéoplasique et syndrome obstructif sévère, est amené aux urgences en ambulance le 14.01.2019 en raison d'une dyspnée en péjoration, progressant depuis 3 jours, avec expectorations verdâtres nouvelles, sans état fébrile. A l'admission aux urgences, Mr. Y est déshydraté, tachypnéique à 25/min, avec tirage sus-sternal, sous-costal et sterno-cléido-mastoïdien, ainsi que pincement des lèvres avec des difficultés à la parole. L'auscultation pulmonaire objective une hypoventilation bibasale avec râles crépitants basaux à gauche et présence de sibilances diffuses. Le reste de l'examen clinique est dans la norme. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 163 mg/l, sans leucocytose, ainsi qu'une anémie normocytaire normochrome avec une hémoglobine à 118 g/l. La gazométrie artérielle montre une hypoxémie légère avec hypercapnie. La radiographie de thorax montre une désorganisation de la trame broncho-vasculaire, sans foyer infectieux identifiable. Le patient est hospitalisé pour décompensation de BPCO avec 2/3 critères d'Anthonisen remplis. Au vu des comorbidités pulmonaires, un traitement par Prednisone 40 mg est débuté durant 5 jours avec antibiothérapie par Cefepime 2g iv 3x/j. Les cultures d'expectorations reviennent positives pour un Moraxella Catarrhalis, motivant un changement d'antibiotique par Rocéphine 2g iv 1x/j dès le 16.01.2019 pour une durée totale de 7 jours. Au vu d'un refus de la VNI, le patient bénéficie d'une oxygénothérapie seule à débit majoré par rapport à domicile, ainsi qu'un traitement bronchodilatateur par Ventolin et Atrovent et poursuite du traitement habituel par Spiriva. L'évolution clinique et biologique est favorable avec reprise du traitement respiratoire habituel. Une physiothérapie respiratoire est mise en place, à poursuivre comme habituellement à l'HFR Billens. Sur le plan cutané, nous constatons une inflammation locale au niveau de la pose de PEG, en place depuis 2014, sur troubles de la déglutition en raison d'un pemphigus paranéoplasique avec atteinte muco-cutanée. Un avis chirurgical est demandé au Dr. X qui ne pose pas l'indication à un geste chirurgical au vu de l'absence de symptomatologie algique et d'écoulement purulent, d'autant plus que le patient et vous-même rapportez une amélioration clinique par rapport au passé. Cependant un changement de sonde pourrait être envisagé par la suite, avec transit préalable afin d'évaluer la perméabilité oesophagienne. Sur le plan hématologique, une anémie normochrome normocytaire maximale avec hémoglobine à 108 g/l est constatée, de probable origine inflammatoire. Les bilans thyroïdien et carentiel sont dans la norme. L'évolution biologique est favorable avec une hémoglobine de sortie à 110 g/l. Sur le plan urologique, dans les suites d'une péjoration d'impériosité mictionnelle avec pollakiurie, un globe urinaire de 750 ml est mis en évidence, traité par pose de sonde vésicale. Le stix et le sédiment urinaires reviennent sans particularité. Dans le contexte d'une hyperplasie de la prostate connue, de diamètre transverse de 5.5 cm lors de la dernière imagerie abdominale, il est décidé de laisser la sonde en place avec suivi urologique à la consultation du Dr. X le 07.02.2019 à 10h15. Sur le plan oncologique, au vu d'un probable lymphome à cellules B matures de bas grade identifié à la biopsie de novembre 2018, une consultation est prévue le 05.02.2019 à la consultation de la Dr. X. Mr. Y peut regagner son domicile le 24.01.2019, avec passage des soins à domicile 3x/semaine. Mr. Y, patient de 62 ans, est admis aux soins intensifs pour un sevrage alcoolique volontaire. Il est amené en ambulance pour une éthylisation aiguë. Il est retrouvé par un collègue sur son lieu de travail, où il aurait consommé une bouteille de whisky. Il demande de l'aide avec une hospitalisation en milieu psychiatrique. Une procédure est en cours auprès du juge de paix au vu des multiples hospitalisations dans le contexte d'alcoolisations répétées. Le patient est substitué en Thiamine et reçoit des benzodiazépines à haute dose avec transitoirement du Catapresan. La surveillance rapprochée se déroule sans particularité. Suite à la reprise d'une alimentation normale, le patient présente un syndrome de renutrition. Nous débutons une substitution électrolytique avec une normalisation des valeurs laboratoires. Nous adaptons l'alimentation à l'aide de l'équipe de nutrition. Mr. Y présente une stéatose hépatique dans le cadre de sa consommation d'alcool et d'un syndrome métabolique. En raison d'une suspicion d'hépatite aiguë, une corticothérapie est instaurée. Cependant après réévaluation du score de Maddrey, nous stoppons ce traitement. Un ultrason abdominal montre une hépatomégalie avec stéatose. Après discussion avec l'équipe de psychiatrie de liaison, le patient est en accord avec une hospitalisation volontaire à Marsens en vue de réduire/stopper sa consommation d'alcool, une fois la situation somatique stabilisée. Les symptômes de sevrage sont bien contrôlés par l'administration de Seresta à posologie régressive. Nous convenons donc d'une hospitalisation élective à Marsens le 11.02.2019 avec un retour à domicile dans l'intervalle. Il passera les prochains jours avant son hospitalisation à Marsens avec son frère. Mr. Y peut rentrer à domicile le 07.02.2019. Mr. Y, patient de 62 ans, est admis aux soins intensifs pour un sevrage alcoolique volontaire. Connu pour un éthylisme chronique, il est amené en ambulance pour une éthylisation aiguë qui se complique d'une hépatite alcoolique avec un score de Maddrey élevé, motivant un traitement par corticoïdes. Un ultrason hépatique est encore à effectuer. Un sevrage éthylique somatique sur sa demande est effectué aux soins intensifs avant d'envisager un transfert à Marsens. Une procédure est apparemment en cours auprès du juge de paix, sans conclusion formelle selon le patient. Le patient est chargé en Thiamine et reçoit des benzodiazépines à haute dose avec transitoirement le Catapresan. La surveillance rapprochée se déroule sans particularité. Suite à l'introduction d'alimentation, le patient présente un syndrome de renutrition sévère. Nous débutons une substitution électrolytique avec une normalisation des valeurs laboratoires. La reprise alimentaire est à rediscuter avec les diététiciennes, actuellement il a une alimentation à 50% du besoin calorique. Mr. Y, âgé de 63 ans, connu pour une BPCO stade IV selon Gold, nous est adressé par son pneumologue traitant pour une réadaptation respiratoire suite à une exacerbation de sa BPCO sur pneumonie multifocale communautaire à germe indéterminé en décembre 2018. Le patient a fait le vaccin contre la grippe. Le patient était déjà venu en réadaptation pulmonaire en ambulatoire à l'HFR Billens en 2013. Sur le plan social, le patient vit seul à domicile. Il est rentier AI. A l'admission, le patient se plaint d'une dyspnée en péjoration progressive depuis 2018 et d'une inappétence sans perte de poids. En général, il rapporte une dyspnée stade III selon NYHA avec toux et expectorations blanchâtres. Le statut général est sans particularité hormis une cachexie importante. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade IV selon Gold. Le score de CAT atteste d'un stade D. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 95.4% avec une hypoxémie légère sans hypercapnie, raison pour laquelle nous poursuivons une oxygénothérapie uniquement à l'effort lors des thérapies.La radiographie du thorax met en évidence des signes compatibles avec une BPCO sans foyer surajouté. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes à l'entrée est de 410 m et le patient a parcouru 0.63 km en 20 minutes sur le tapis roulant (2 km/h). Le patient ne souhaite pas rester en réadaptation pulmonaire stationnaire. Il se sent en assez bonne santé pour un retour à domicile et doit s'occuper de problèmes financiers. Nous laissons donc le patient rentrer à domicile et l'encourageons à reprendre contact avec notre service dans un deuxième temps pour une réadaptation pulmonaire en ambulatoire. Après 3 jours d'hospitalisation, Mr. Y quitte notre service pour rejoindre son domicile, le 13.02.2019, en état général conservé. Mr. Y est un patient de 63 ans, hospitalisé électivement pour diverses investigations neurologiques, hématologiques et gastro-entérologiques. Pour rappel, sur le plan neuro-cognitif, Mr. Y présente des troubles cognitifs depuis 2014, apparus dans un contexte de dépression. À l'époque, une consultation de la mémoire montrait une atteinte diffuse dans de nombreux domaines cognitifs et l'IRM neurocrâne s'est révélée sans anomalies. Au vu de ces examens et malgré l'absence de ponction lombaire, le diagnostic de maladie d'Alzheimer juvénile est évoqué. En 2017, le patient est hospitalisé en raison de chutes à répétition avec des troubles de la marche importants. Un status neurologique met en évidence un syndrome extra-pyramidal et une IRM neurocrâne met en évidence une image suspecte d'hydrocéphalie à pression normale. Une tentative infructueuse de ponction lombaire avait eu lieu durant cette hospitalisation. De plus, une suspicion de syndrome parkinsonien avait alors motivé l'introduction de Madopar, poursuivi jusqu'à présent à raison de 62.5 mg 3x/j. Suite à cela, le patient continue son suivi psychiatrique et neurologique. Il est actuellement hospitalisé dans le but de compléter les investigations et de réaliser une ponction lombaire évacuatrice dans un but thérapeutique et diagnostic. Sur le plan neuro-cognitif, le patient présente un trouble neurocognitif majeur d'intensité modérée à sévère d'origine probablement multifactorielle (toxico-métabolique, hydrocéphalie à pression normale, processus neuro-dégénératif). L'IRM du neurocrâne du 20.2.19 montre une stabilité de la dilatation du système ventriculaire par rapport au comparatif de 2017. Une ponction lombaire soustractive est réalisée le 20.2.19 avec un retrait d'environ 35 ml de liquide et on note une amélioration de la marche (vitesse de marche et longueur des pas). Le dosage des marqueurs tau, phospho-tau et B-amyloïde dans le LCR revient dans la norme. Un test à la lévodopa est effectué le 22.2.19 et se révèle positif. On introduit donc un traitement par Madopar 62.5 mg 3x/jour dès le 23.2.19. Le patient sera revu en ambulatoire le 4/3/2019 par le Dr. X pour la suite de la prise en charge. Mr. Y présente également une dysphagie depuis quelques mois avec blocage des aliments volumineux ainsi que plusieurs épisodes de vomissements. À noter également, un épisode d'hématémèse en pré-hospitalier. Une OGD est organisée le 25.2.19 et montre une petite hernie hiatale avec anneau de Schatzki à la jonction œso-gastrique pouvant expliquer une dysphagie (passage encore large, non nécessaire d'envisager une dilatation). À noter une consommation d'alcool à risque depuis plusieurs années, pour lequel du Seresta est introduit en raison de symptômes de sevrage. À noter une bonne évolution des symptômes au cours de l'hospitalisation. Sur le plan hématologique, on note une correction spontanée des paramètres sur le laboratoire du 25.2.19. Après discussion avec les hématologues, aucune investigation complémentaire n'est nécessaire. Mr. Y, patient de 75 ans, connu pour une hypertension artérielle, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique aigu fronto-pariétal droit le 08.02.2019 d'origine indéterminée. L'anamnèse révèle l'apparition d'une faiblesse du membre supérieur gauche pendant 10 minutes à quelques minutes du réveil le 08.02.2019. Le patient présente un NIHSS à 2 points à l'arrivée aux urgences en raison d'une chute du membre supérieur gauche au Barré et extinction sensitive du membre inférieur gauche. Le CT cérébral ne révèle pas de lésion ischémique aiguë ni d'occlusion vasculaire. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique suite à une dose de charge d'Aspirine. La surveillance neurologique confirme une amélioration des symptômes avec résolution complète en 48h. L'IRM cérébrale confirme la présence d'AVC ischémiques aigus corticaux frontal et pariétal droits d'allure embolique. Sur le plan étiologique, une origine artério-embolique nous semble le plus probable. En effet, l'angio-CT des vaisseaux pré-cérébraux révèle une athéromatose diffuse avec présence de plaques mixtes non sténosantes aux bifurcations carotidiennes bilatérales. Ceci est confirmé au duplex des vaisseaux pré-cérébraux. L'échocardiographie transthoracique montre une FEVG discrètement abaissée sans anomalie valvulaire. Un Holter de 72 heures est posé, dont l'interprétation est encore en cours. Nous vous ferons parvenir les résultats dès que possible. Sur le plan médicamenteux, le patient bénéficie d'une dose de charge en Aspirine 500 mg IV puis dès le 09.02.2019 une double antiagrégation par Plavix et Aspirine cardio pendant 1 mois suivi par du Plavix seul. Un traitement par Atorvastatine de 40 mg 1x/j est également introduit à la place de la Simvastatine, traitement habituel de votre patient, avec une cible de LDL < 1.8 mmol/L, dans un but de prévention secondaire et également de stabilisation des plaques mixtes visibles sur l'angio-CT cérébral. Devant un profil tensionnel élevé, le traitement anti-hypertenseur est augmenté par l'adjonction d'Amlodipine. Nous vous proposons un suivi tensionnel en ambulatoire. Mr. Y présente un score de STOP-BANG à 6 points, avec un score d'Epworth à 5 points. Une polysomnographie nocturne est demandée à 3 mois post-AVC, le patient sera convoqué en ambulatoire. Le bilan neuropsychologique ne révèle pas de déficit majeur. Devant l'évolution favorable, Mr. Y regagne son domicile le 11.02.2019. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y est un patient de 86 ans qui nous est adressé par le service de médecine interne HFR Fribourg pour la prise en charge d'un déconditionnement multifactoriel le 05.02.2019. À l'entrée, le patient se plaint de faiblesse, de troubles de l'équilibre et d'une insécurité à la marche. Mr. Y a 3 enfants et habite avec son épouse dans une maison avec 10 marches d'escaliers. Avant l'hospitalisation, le patient était partiellement autonome dans les activités quotidiennes, recevait de l'aide de sa famille et se mobilisait avec un rollator ou sans moyens auxiliaires. À l'entrée, se présente un patient en état général légèrement diminué, désorienté dans le temps mais bien orienté dans l'espace et sur sa personne, afébrile et hémodynamiquement stable. Sur le plan clinique, nous retrouvons un exanthème maculo-papuleux sur tout le corps. Le reste de l'examen est dans la norme.Ad diagnostic supplémentaire 1) Pas de nouvel aspect pendant l'hospitalisation. Nous poursuivons le traitement habituel du patient et il ne présente pas de nouvelle crise dans notre service. Ad diagnostics supplémentaires 2 - 5) Nous poursuivons l'anticoagulation par Xarelto selon schéma. Le traitement par métoprolol est arrêté en raison d'une fréquence cardiaque entre 50-70/min sans bêtabloquant. Mr. Y ne présente pas de nouveaux symptômes neurologiques durant son séjour. Nous indiquons au patient que la conduite de véhicule automobile est contre-indiquée selon le bilan neurocognitif effectué le 01.02.2019, qui révèle des troubles des fonctions exécutives. Ad diagnostic supplémentaire 6) Les lésions évoluent favorablement sous traitement oral par Xyzal et topique par Excipial onguent. Ad diagnostic supplémentaire 7) Les valeurs tensionnelles restent stables sans traitement antihypertenseur pendant l'hospitalisation. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution et d'adapter le traitement en cas de besoin. Ad diagnostic supplémentaire 8) Les valeurs de l'hémoglobine restent stables durant l'hospitalisation. Une carence en acide folique est substituée. Ad diagnostic supplémentaire 9) Une carence en vitamine D est substituée. Ad diagnostic supplémentaire 10) En raison d'une malnutrition, le patient bénéficie d'un suivi diététique durant le séjour hospitalier. Nous organisons les suppléments nutritifs à domicile. Parallèlement à la prise en charge aiguë, nous effectuons un traitement complexe de rééducation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie. A l'entrée, Mr. Y effectue les transferts et marche 100 m avec le rolateur sous supervision. Il monte 2x9 marches d'escalier sous supervision. Le Tinetti est 18/28 avec rolateur. Grâce aux thérapies intensives et individuellement adaptées, des progrès au niveau de la mobilisation, de la stabilisation de la marche et de l'équilibre sont objectivés. A la sortie, le patient peut faire les transferts et marcher sans moyen auxiliaire. Il monte, comme à l'entrée, 18 marches d'escaliers avec une rampe et sous supervision. Le Tinetti est 22/28 sans moyens auxiliaires. En raison de la stabilité de son état général et de l'amélioration de l'autonomie et de la mobilisation durant l'hospitalisation, Mr. Y peut regagner son domicile le 12.02.2019. Des soins à domicile sont organisés 2x/j pour les contrôles de santé et de prise des médicaments. Mr. Y est un patient de 54 ans qui bénéficie le 14.02.2019 d'une appendicectomie laparoscopique dans le cadre d'une appendicite aiguë. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 15.02.2019. Mr. Y est un patient de 60 ans, connu pour un statut post-gastrectomie partielle (Billroth I) sur ulcère et gastrite lympho-proliférative à H. Pylori en 1983 au Portugal, qui se présente aux urgences le 06.02.2019 suite à des douleurs épigastriques et nausées apparues le jour-même après un repas. Un CT abdominal le 07.02.2019 met en évidence une importante dilatation de l'estomac nécessitant la mise en place d'une sonde nasogastrique le jour-même et une prise en charge hospitalière. Le patient bénéficie d'une OGD le 08.02.2019 qui ne montre pas de sténose ou de lésion de la muqueuse. L'évolution est par la suite favorable, avec une diminution des symptômes, une ablation de la sonde naso-gastrique et une réalimentation progressive. Mr. Y rentre à domicile le 13.02.2019. Le patient ayant déjà été suivi par le Dr. X en 2014 lors de l'épisode de jéjunite avec gastroparésie et selon son désir, nous prenons un rendez-vous le 28.02.2019 chez le Dr. X pour la discussion d'une éventuelle intervention. Mr. Y, 78 ans, a été hospitalisé pour un OAP plurifactoriel précipité par une dermohypodermite du membre inférieur gauche. Le patient a présenté une fatigue depuis deux semaines, une rhinite avec toux sèche et expectorations depuis une semaine avec une dyspnée, des œdèmes des membres inférieurs en aggravation depuis 4 jours et des frissons la veille de son admission. A l'arrivée aux urgences, une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë a été attribuée à un œdème aigu du poumon, qui a été traité par ventilation non invasive et diurétique. La ventilation non invasive intermittente et la déplétion volémique ont été poursuivies aux soins intensifs avec administration transitoire de nitroglycérine iv. L'œdème aigu du poumon est probablement plurifactoriel, précipité par le sepsis, mais dans un contexte de sténose aortique modérée à sévère avec une FEVG estimée à 45%, de la cardiopathie ischémique connue et la fibrillation auriculaire chronique. L'indication à une échocardiographie transoesophagienne devrait être discutée en cas de nouvelle aggravation afin de préciser le rôle de la sténose aortique. L'érysipèle étendu du membre inférieur gauche a été favorisé par des œdèmes chroniques et le diabète. Le CT du membre inférieur gauche n'a pas identifié de collection mais une infiltration circonférentielle. Les chirurgiens orthopédistes ne retiennent pas d'indication chirurgicale. Une antibiothérapie de co-amoxicilline adaptée à la fonction rénale a été débutée pour une durée totale de minimum 10 jours, à adapter à l'évolution clinique. Un bilan angiologique devrait être envisagé. Une insuffisance rénale aiguë prérénale dans le contexte de la néphropathie diabétique chronique (GFR 30 ml/min) s'est améliorée après stabilisation hémodynamique. Le sartan devra être repris après l'amélioration de la fonction rénale. Une décompensation de son diabète a nécessité une insulinothérapie intraveineuse en continu, relayée le 26.02.2019 par de l'Insulatard sous-cutanée. L'insulinothérapie sera adaptée avec l'aide des diabétologues. Mr. Y a été transféré le 26.02.2019 dans le service de médecine interne. L'attitude générale a été discutée avec le patient qui ne souhaite pas de réanimation en cas d'arrêt cardio-respiratoire ni d'acharnement thérapeutique. Une réadmission aux soins intensifs pour un projet raisonnable serait toutefois justifiée et acceptée par le patient. Mr. Y est un patient de 69 ans qui est hospitalisé le 23.02.2019 pour une urétéro-lithiase 3x2x2 mm symptomatique. Il présente une bonne évolution clinique sous traitement conservateur de Tamsulosine et antalgique avec la disparition complète de la douleur indiquant un probable passage de la lithiase. Lors du CT, une seconde lithiase de 5x5x6 mm est également diagnostiquée dans le groupe caliciel inférieur du rein gauche à priori sans répercussion symptomatique. Nous laissons le patient rentrer à domicile le 25.02.2019 avec un contrôle clinique et ultrasonographique chez le Dr. X prévu le 27.02.2019. Mr. Y, 46 ans, connu pour un tabagisme ancien, est hospitalisé aux soins intensifs pour un NSTEMI sur occlusion subtotale de l'IVA moyenne le 23.02.2019. Il présente une douleur thoracique avec une barre épigastrique apparue progressivement depuis 2 jours. Le patient consulte aux urgences de Payerne où une cinétique positive des troponines est observée sans modifications ECG. La coronarographie du 23.02.2019 montre une maladie coronarienne monotronculaire avec sténose subtotale de l'IVA moyenne, traitée par PCI/ 2 DES avec un bon résultat final. La fonction systolique globale du ventricule gauche est conservée malgré une akinésie apicale. Une double antiagrégation plaquettaire est requise pour 6 mois puis aspirine à vie. Un contrôle clinique est à effectuer à un mois chez le Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 6 mois. Le point de ponction inguinal est calme. Les bêtabloquants et les IEC sont introduits avec une bonne tolérance hémodynamique. Ils seront à titrer sur les prochaines semaines par le médecin traitant. Le patient est transféré à l'étage de médecine le 23.02.2019. La surveillance est sans particularité. Mr. Y rentre à domicile le 24.02.2019. Il sera convoqué pour une réadaptation cardiovasculaire en ambulatoire. Mr. Y, 46 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un NSTEMI sur occlusion subtotale de l'IVA moyenne le 23.02.2019. Il est connu pour un tabagisme ancien et présente une douleur thoracique ainsi qu'une barre épigastrique apparue progressivement depuis 2 jours. Le patient consulte aux urgences de Payerne où une élévation de la troponine est observée. La coronarographie du 23.02.2019 montre une maladie coronarienne monotronculaire sous forme d'une sténose subtotale de l'IVA moyenne, traitée par PCI/ 2 DES avec un bon résultat final. La fonction systolique globale du ventricule gauche est conservée malgré une akinésie apicale. Une double antiagrégation plaquettaire est requise pendant 6 mois puis aspirine à vie. Un contrôle est à envisager dans un mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 6 mois. Les bêtabloquants et les IEC sont introduits avec une bonne tolérance hémodynamique. Après une surveillance post-interventionnelle de 8 heures, le patient est transféré en médecine pour une courte hospitalisation après ce NSTEMI. Un retour à domicile le 24.02.2010 est envisageable. Une réadaptation cardiovasculaire est souhaitée par le patient. Mr. Y est un patient de 73 ans, connu pour un adénocarcinome du bas rectum traité par radio-chimiothérapie néo-adjuvante et amputation abdomino-périnéale avec colostomie définitive. En octobre 2018, le patient présente un iléus mécanique, nécessitant une résection segmentaire du grêle ainsi qu'une confection d'une splitostomie. Au vu d'une iléostomie à haut débit avec malnutrition protéino-énergétique grave, Mr. Y est hospitalisé à Riaz le 18.01.2019, puis transféré dans notre service le 06.02.2019 pour fermeture de l'iléostomie. L'intervention a lieu le 08.02.2019 et se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples avec une réalimentation qui est bien tolérée et une reprise rapide du transit. L'alimentation par la sonde naso-gastrique peut être arrêtée le 14.02.2019. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 15.02.2019. Un suivi diététique sera assuré en ambulatoire à l'Hôpital de Riaz. Mr. Y, patient de 60 ans, connu pour une BPCO stade III D sous oxygénothérapie à domicile et un diabète de type 2 insulino-requérant, est hospitalisé le 04.02.2019 dans le contexte d'une détresse respiratoire. En effet, depuis le 01.02.2019, le patient rapporte une péjoration de sa dyspnée ainsi qu'une toux avec des crachats, l'amenant à consulter le service des urgences. Sur le plan pneumologique, un bilan radiologique et biologique met en évidence un foyer pulmonaire en base droite et un syndrome inflammatoire, motivant l'initiation d'un traitement par Co-Amoxicilline et de Prednisone. Un frottis de grippe retrouve le virus Influenza A, conduisant à l'isolement temporaire du patient et à un traitement par Tamiflu entre le 04.02 et le 05.02.2019. Sous oxygénothérapie et inhalations régulières de bronchodilatateurs, la clinique du patient s'améliore, permettant de réintroduire progressivement ses traitements habituels dès le 08.02.2019. Au vu d'une amélioration sur le plan clinique et biologique, le patient rentre le 13.02.2019 à domicile. Mr. Y, votre patient de 51 ans, connu pour un adénocarcinome œsophagien distal évoluant depuis un an et actuellement multimétastatique (hépatique, cérébrale et suspicion d'atteinte pulmonaire), est adressé par son oncologue traitant (Dr. X) pour l'apparition de douleurs inhabituelles aux membres inférieurs, avec une prédominance crualgique gauche, se péjorant depuis une semaine et associées à une hypoesthésie ainsi qu'une diminution de la force. Le patient note aussi une hypoesthésie péri-anale à gauche associée à des difficultés à la défécation avec une constipation nécessitant des lavements réguliers. À l'examen clinique, on note une parahypoesthésie principalement à gauche, une anesthésie péri-anale gauche en croissant d'environ 3 cm et une baisse du tonus sphinctérien. On note également des troubles cognitifs de type exécutif et mnésique. L'IRM lombo-sacrée réalisée en urgence montre une infiltration carcinomateuse de la région susmentionnée, raison pour laquelle une corticothérapie à haute dose est initiée. Nous vous laissons le soin des contrôles glycémiques ainsi que de l'initiation de la dégradation du schéma. Par ailleurs, un traitement antalgique à base de morphinique permet de juguler la douleur. Le patient choisit d'écourter son hospitalisation, après avoir bénéficié d'un lavement qui permet une exonération efficace des selles, puis après être reçu en consultation par nos collègues radio-oncologues. Une prescription de laxatifs supplémentaires et un petit lavement a été remis au patient. Nous organisons un bilan d'extension par CT-Scan cervico-thoraco-abdomino-pelvien, le 04.02.2019 à 14h30, une IRM neurocrâne le 07.02.2019 à 09h45 suivi d'un rendez-vous de consultation oncologique chez Dr. X le 08.02.2019 à 13h00. Tous les rendez-vous ont été remis au patient. Le patient retourne ce jeudi 30.01.2019 à son domicile. Mr. Y, connu pour un carcinome épidermoïde pulmonaire hilaire droit cT4 cN2 cM0 de stade IIIB, diagnostiqué en juin 2018, actuellement en situation de soins palliatifs avec des soins de confort, nous est transféré du CHUV le 30.01.2019 pour la suite de la prise en charge en étant plus proche de sa famille. Pour rappel, le patient a bénéficié d'un cycle de Vinorelbine et Cisplatine en juin 2018, d'une Sleeve bi-lobectomie des lobes supérieur et moyen droits, avec confection d'une néo-carène le 30.07.2018 (CHUV - Dr. X) avec stabilisation par un stent siliconé trachéal en septembre 2018, compliqué par un lâchage d'anastomose le 01.08.2018 avec de nombreuses complications dont une médiastinite polymicrobienne et un choc hémorragique per-opératoire. Un diagnostic de pneumonie avait été posé initialement suite à un laboratoire avec syndrome inflammatoire et symptômes cliniques et une antibiothérapie avait été mise en place. Un CT scan thoracique fait le 18.01.2019 ne montrait pas de foyer infectieux mais par contre une progression de lésion métastatique au niveau du myocarde (VD) et du médiastin antérieur. Une échocardiographie transthoracique montrait également une infiltration des métastases au niveau myocardique. Au vu de ces résultats et suite à colloque familial, il a été décidé de passer en situation palliative avec des soins de confort. À l'admission dans notre service, Mr. Y est conscient avec des paramètres vitaux stables. Il est collaborant, confortable au niveau des douleurs avec l'antalgie en place. Un encombrement important est présent au niveau pulmonaire. À l'auscultation pulmonaire, présence de murmures vésiculaires avec râles grossiers aux deux bases. Au status cardiaque, B1B2 sont lointains, sans souffle audible. Pas d'œdème des membres inférieurs. L'abdomen est souple et indolore. Nous poursuivons les soins de confort initiés au CHUV avec une antalgie par patch de Fentanyl et Morphine per os en réserve du 30.01.2019 au 06.02.2019. Suite à la discussion avec Dr. X le 07.02.2019, le patient a exprimé oralement son envie de mourir. Au niveau médicamenteux, nous stoppons le Scopoderme vu l'absence de râles d'agonie et au niveau antalgique, nous stoppons le Fentanyl et l'Effentora et introduisons de la Morphine 2 mg par heure iv continu + Morphine 2 mg en bolus si douleurs ou dyspnée avec un effet favorable, le patient notant une diminution des douleurs.La situation est globalement stable mais reste considérée comme palliative et dans ce contexte, la nutrition parentérale est arrêtée le 07.02.2019. Nous introduisons un traitement d'épreuve par Dexaméthasone 8 mg per os 1 fois par jour pendant 72 heures pour confirmer la possibilité de râles en raison d'une lymphangite carcinomateuse pulmonaire. Après 72 heures l'évolution est relativement favorable avec une diminution des douleurs thoraciques et une légère amélioration de la dyspnée. Le 14.02.2019, après deux semaines d'hospitalisation, Mr. Y désire regagner son domicile afin de pouvoir profiter de ses proches. Les soins à domicile par Voltigo sont activés. À noter une amélioration de l'humeur du patient suite à la décision d'un retour à domicile. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de douleurs abdominales récidivantes depuis décembre. Une récolte bactérienne et parasitaire dans les selles a été préalablement effectuée avec des résultats négatifs. Le patient avait bénéficié d'un CT abdominal lors de sa consultation au service des urgences avec une image de pancolite sans argument clinique/biologique pour une origine bactérienne. Le patient est finalement hospitalisé le 31.01.2019. Au vu d'une suspicion de maladie inflammatoire, une recto-sigmoïdoscopie est effectuée montrant une suspicion de RCUH. Les biopsies per geste montrent une histologie compatible avec une RCUH. Après discussion avec le Dr. X, nous introduisons un traitement de Prednisone dégressif et le patient sera convoqué à sa consultation pour une colonoscopie afin d'évaluer le reste du cadre colique. Mr. Y peut rentrer à domicile le 04.02.2019. Mr. Y, résidant au foyer St-Germain de Gruyères, est adressé aux urgences le 29.01.2019 en raison d'une baisse de l'état général dans un contexte d'état fébrile et d'asthénie. À l'anamnèse le patient rapporte avoir une inappétence et aurait présenté des diarrhées noirâtres à type de méléna. Pour rappel le patient est actuellement sous un schéma dégressif de Vancomycine pour une colite. Au status cardiovasculaire, présence d'un souffle systolique à l'apex cardiaque. Au status cutané, notons une escarre sacrale de stade 1. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 150 mg/l sans leucocytose ainsi qu'une péjoration de l'hémoglobine à 78 g/l. Le patient est groupé et présente des anticorps irréguliers. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Au niveau digestif, nous effectuons un toucher rectal qui ne montre pas de selles noires sur le doigtier. Nous effectuons également un hémofecatest qui revient positif, raison pour laquelle nous administrons un bolus de Nexium 80 mg, puis une pompe d'entretien de 8 mg/h. Mr. Y est laissé à jeun et hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Concernant l'anémie spoliative avec hémoglobine à 78 g/l, le patient bénéficie de la transfusion d'un culot érythrocytaire le 30.01.2019 et d'un second le 31.01.2019. Lors de la seconde transfusion Mr. Y présente un état fébrile à 38.2°C. Des hémocultures prélevées reviennent négatives. Par la suite, il ne présentera pas de nouvelle déglobulisation et on note une régression du syndrome inflammatoire. Dans le contexte de l'insuffisance rénale aiguë Akin 1 avec créatinine à 139 umol/l d'origine probablement pré-rénale, nous mettons en place une hydratation d'entretien par Ringer lactate 1000 ml/24 heures que nous relayons par du NaCl permettant une normalisation de la fonction rénale (créatinine à 87 umol/l à la sortie). Sur le plan cutané au niveau de la région sacrée, le patient présente une escarre de stade 1 avec érosion cutanée sans signe de surinfection. Nous remplaçons le pansement actuel par un pansement plus adapté de Mepilex Lite. L'évolution étant favorable, Mr. Y regagne le foyer St-Germain le 05.02.2019. Mr. Y, 59 ans est hospitalisé aux soins intensifs pour un NSTEMI sur occlusion de l'artère circonflexe proximale. Il est connu pour un diabète insulino-requérant mal contrôlé, se présente aux urgences de Château d'Oex pour des DRS oppressives rétrosternales irradiant dans le bras gauche accompagné d'une dyspnée. Il n'y a pas de trouble de repolarisation à l'ECG mais on observe une augmentation des troponines à 72 ng/L. Le patient bénéficie d'une coronarographie qui montre une maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et CX), avec comme lésion coupable une occlusion de l'artère circonflexe proximale, qui a pu être désoblitérée avec mise en place de 3 stents actifs. En raison d'une embolisation de matériel thrombotique en périphérie, ReoPro bolus est donné durant l'intervention, à suivre avec ReoPro perfusion sur 12h. Les suites sont simples, sans complication. Après la fin de la perfusion de ReoPro, l'introducteur est retiré avec compression par Femostop, sans saignement. Le point de ponction reste encore à surveiller, et les traitements à adapter lors d'un court séjour à l'hôpital. Une réadaptation cardio-vasculaire serait souhaitable, à rediscuter avec le patient. Mr. Y, 70 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un STEMI inférieur sur subocclusion de la coronaire droite le 18.02.2019. Le patient consulte en raison d'une douleur thoracique rétrosternale oppressive le 18.02.2019 vers 10 h, irradiant vers la gorge et le bras gauche. Le patient bénéficie d'une coronarographie en urgence qui montre une subocclusion de la coronaire droite et des stents actifs sont mis en place. L'échographie cardiaque montre une dysfonction ventriculaire gauche avec une FEVG à 45%. Le patient présente une fibrillation auriculaire nouvelle durant la coronarographie qui se cardioverse spontanément par la suite. La surveillance rythmique montre en post coronarographie une pause sinusale de 4 secondes asymptomatique avec une reprise sinusale spontanément par la suite. Le patient ne présente plus de trouble du rythme par la suite d'où le maintien du Prasugrel. Le patient présente brutalement à J2 une douleur de l'hypochondre droit avec un signe de Murphy positif. Une échographie abdominale ne montre pas de lithiase ou de dilatation des voies biliaires. Une cholécystite est suspectée devant l'apparition d'une cholestase et d'un syndrome inflammatoire. Une antibiothérapie par Ceftriaxone et Metronidazole est introduite le 20.02.2019. Une cholangio-IRM réalisée le 21.02.2019 est compatible avec une cholécystite sans dilatation des voies biliaires. Le patient est à adresser à la consultation de chirurgie digestive pour une cholécystectomie à distance de l'événement cardiovasculaire aigu. Mr. Y, âgé de 23 ans, présente depuis environ une année des douleurs lombaires peu handicapantes et qui sont référées par moment aux MI. Les différentes approches entreprises jusqu'alors n'ont pas permis à ce patient de reprendre son activité sportive (football), par contre il continue à travailler normalement et vivre sans grande souffrance. L'examen clinique est peu révélant et trouve un léger syndrome lombaire sans syndrome radiculaire. Le bilan d'imagerie (RX standards du 31.01.2019 + IRM lombaire du 30.04.2018) ne montre que quelques troubles statiques du rachis lombaire et une légère discopathie multitéagée sans conflit disco-radiculaire.Chez ce patient désireux de reprendre son activité sportive, je l'informe que son dos ne présente aucune atteinte grave ou de mauvais pronostic. Il s'agit essentiellement de troubles de la statique et de dysbalance musculaire qui céderaient sous une prise en charge physiothérapeutique bien conduite à raison de 2-3x/semaine en plus d'auto-exercices et d'une hygiène du dos. A cet effet, je l'adresse à un physiothérapeute spécialisé dans la prise en charge des problèmes du rachis. Je reverrai Mr. Y à ma consultation le 11.03.2019 pour refaire le point. Entre-temps, il est autorisé à reprendre les entraînements de football sans participer aux matchs (bien évidemment après la guérison de la plaie du majeur G). Mr. Y est opéré en électif le 29.01.2019 d'un rétablissement de la continuité intestinale. Alors que cette intervention se déroule bien, on note l'apparition progressive d'une insuffisance respiratoire avec une admission aux soins intensifs le 01.02.2019. Le séjour est marqué par un ARDS nécessitant 2 semaines de ventilation mécanique, une insuffisance rénale dialysée et un état confusionnel. L'évolution est lentement favorable, le patient est transféré en chirurgie le 22.02.2019. L'ARDS est mis sur le compte d'une pneumonie bilatérale chez un patient opéré d'une lobectomie, il y a probablement une composante de broncho-aspiration On note en cours de séjour une nouvelle pneumonie avec un statut endobronchique très inflammatoire, un réveil agité et une surcharge liquidienne importante retardant l'évolution respiratoire. Après 14 jours d'intubation comprenant plusieurs bronchoscopies de nettoyage, le patient peut être extubé le 15.02.2019, le support par VNI peut être sevré complètement. Au 22.02.2019, une physiothérapie active est encore nécessaire, et un léger support de FiO2 lors des mobilisations (1-2l/min). Le rétablissement de la continuité intestinale par anastomose iléo-sigmoïdienne est compliqué d'une phase d'iléus, puis une reprise progressive du transit. Depuis le 19.02.2019, le patient a commencé à manger, mais au 22.02., une alimentation entérale est encore nécessaire pour couvrir les besoins. Le suivi diététique est à organiser. Un hématome sous-cutané surinfecté en regard de la cicatrice de laparotomie est mis en évidence le 16.02.2019, ainsi qu'une escarre sacrée le 15.02.2019. Le patient est pris au bloc opératoire le 18.02.2019 et le 21.02.2019 pour changement de VAC et débridement de l'escarre sacré. Une antibiothérapie longue a été entreprise, pour la pneumonie post-opératoire initiale, puis la pneumonie à Serratia et la surinfection de la plaie abdominale (Pipéracilline/Tazobactam puis carbapénèmes jusqu'au 22.02.2019). On note un bon contrôle des foyers infectieux pulmonaires et de la paroi abdominal. Un état confusionnel aigu avec réveil pathologique est traité par Dexdor et clozapine avec une bonne amélioration de l'état de conscience. Une insuffisance rénale se développe dans le cadre de l'ARDS, du sepsis et d'une hypovolémie. Malgré expansion volémique, puis traitement diurétique, une oligo-anurie nécessite une dialyse en continu. La diurèse reprend sous diurétique mais la fonction rénale continue de se péjorer, nécessitant une dialyse intermittente dès le 22.02.2019. Le patient sera suivi par les néphrologues, avec probablement une nouvelle dialyse le 25.02.2019. Mr. Y, patient de 84 ans, est hospitalisé en chirurgie HFR Fribourg - Hôpital cantonal le 22.01.2019 pour prise en charge suite à une chute mécanique de sa hauteur devant un arrêt de bus après un faux-pas dans la pénombre, sans prodromes, sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Les examens radiologiques mettent en évidence une hémorragie intra-parenchymateuse sous-corticale frontale gauche et une composante d'hémorragie sous-arachnoïdienne au niveau du sillon pré-central gauche et du sillon cingulaire gauche. L'évolution a été favorable, sans déficit neurologique secondaire. Une désorientation temporelle est habituelle dans le contexte des troubles cognitifs connus. Le CT cérébral de contrôle du 23.01.2019 a confirmé la stabilité des lésions. Sur avis neurologique du Dr. X et au vu du risque de saignement, il est autorisé d'arrêter le traitement par Aspirine pendant 4 semaines. La suite de l'hospitalisation est marquée par une récidive d'infection urinaire avec manifestation clinique de péjoration du déficit cognitif et désorientation dans l'espace. Nous réintroduisons un traitement antibiotique par Ciprofloxacine pour 7 jours. L'évolution clinique est favorable. Au vu de l'instabilité posturale du patient et de son risque accru de récidive de chute, il est convenu, en accord avec le patient et sa fille, d'une réhabilitation gériatrique avant retour à domicile. Le patient est donc transféré dans notre service de réhabilitation HFR Riaz pour la suite de prise en charge le 31.01.2019. Mr. Y est veuf depuis un an et vit seul dans une maison, au bénéfice du passage des soins à domicile 2x/jour pour les soins de base le matin et les bas de contention. Il a 4 enfants (2 filles et 2 garçons). Durant son séjour, le patient effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seul et sans moyen auxiliaire est de 180 mètres. Le patient peut gravir 18 marches sans accompagnement. Il nécessite une aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 69/126, égale à celle de l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 5/7, escaliers 6/7). TUG à 20 secondes. L'état nutritionnel est conservé. Au niveau ergothérapeutique, le patient bénéficie d'une évaluation; des moyens de soutien sont expliqués au patient et à sa famille pour les activités de la vie quotidienne. Le bilan neuropsychologique effectué le 07.02.2019 indique une légère amélioration du fonctionnement cognitif en regard de l'examen de février 2018, ne parlant pas en faveur d'une étiologie dégénérative. Les troubles sont compatibles avec le récent traumatisme crânio-cérébral et les séquelles vasculaires. Au vu des troubles exécutifs et attentionnels sévères, la mise en place d'un encadrement est indiquée pour le retour à domicile. Relevons l'absence de signe de négligence. A noter que nous avons inscrit Mr. Y en établissement médico-social, et dans l'attente de son placement, ce dernier peut regagner son domicile le 08.02.2019. Mr. Y récemment diagnostiqué d'une cardiopathie ischémique, avec une coronarographie en électif à l'Hôpital Cantonal de Fribourg le 29.01.2019, présente le 01.02.2019 une syncope avec traumatisme crânien et une perte de connaissance à votre cabinet. Le patient aurait alors été massé et aurait récupéré un état de conscience après une minute avec un transfert au CHUV pour des suites des investigations. L'ECG montre un FA (déjà connu) et le bilan biologique montre des enzymes cardiaques élevés. Après discussion avec les cardiologues de Fribourg, le patient est transféré aux soins intensifs pour une surveillance rythmique qui est sans particularité. Une échocardiographie transthoracique montre une diminution de la fraction d'éjection du ventricule gauche par rapport à la ventriculographie de fin janvier, sans argument pour un nouvel événement ischémique. Un traitement par Spironolactone est débuté. Le traitement par Dilzem est remplacé par du Metoprolol devant la FEVG abaissée. Après avis cardiologique, il est convenu de ne pas effectuer de nouvelle coronarographie. Un holter est effectué afin d'évaluer une cause rythmique de la syncope. Les résultats de ceux-ci seront à pister en ambulatoire.Un suivi de la crase avec adaptation du Sintrom est également à prévoir. Mr. Y peut rentrer à domicile le 07.02.2019 avec mise en place d'aide à domicile. Mr. Y, 81 ans, connu pour entre autres un status post coronarographie à l'Hôpital Cantonal de Fribourg le 29.01.2019 avec mise en place de deux stents au niveau de la coronaire droite avec un flux diminué par la suite et une coronarographie de contrôle le 31.01.2019. Le patient a présenté le 02.02.2019 une syncope avec traumatisme crânien et une perte de connaissance chez son médecin traitant. Le patient aurait alors été réanimé brièvement. Après une minute, le patient aurait récupéré un état de conscience et est transféré au CHUV pour des suites des investigations. Le bilan biologique montre des enzymes cardiaques élevées. Il est transféré aux soins intensifs de Fribourg pour une surveillance rythmique qui est sans particularité. Une échocardiographie transthoracique montre une diminution de la fraction d'éjection du ventricule gauche, probablement nouvelle. Un traitement par Spironolactone est débuté. Un examen Holter est à organiser et une nouvelle coronarographie est à discuter avec les cardiologues. Mr. Y, 84 ans, est hospitalisé pour un traumatisme crânio-cérébral modéré suite à une chute traumatique. Il est connu pour des troubles cognitifs. Le 22.01.2019, il a présenté une chute mécanique de sa hauteur devant un arrêt de bus suite à un faux pas dans la pénombre, sans prodrome, sans perte de connaissance ni d'amnésie circonstancielle. Le CT cérébral a montré une hémorragie intra-parenchymateuse sous-corticale frontale gauche et une composante d'hémorragies sous-arachnoïdienne au niveau du sillon précentral gauche et du sillon cingulaire gauche. L'évolution a été favorable sans déficit neurologique secondaire. Une désorientation temporelle est habituelle dans le contexte des troubles cognitifs connus. Le CT cérébral de contrôle du 23.01.2019 a confirmé la stabilité des lésions. Une plaie de 2 cm de l'arcade sourcilière droite et une plaie de 1 cm en regard de l'articulation interphalangienne du 2ème rayon droit ont été suturées et les fils ont été retirés le 28.01.2019. La surveillance neurologique à l'étage de Chirurgie reste stable. Le patient bénéficie d'une évaluation physiothérapeutique concernant ses troubles de la marche qui retrouve un important risque de chute. Le patient sera revu en date du 21.02.2019 à 10h en Neurochirurgie avec un CT scanner de contrôle le 19.01.2019 à 12h30. En accord avec le Dr. X, neurologue, dans ce contexte d'AVC en 2014, l'Aspirine est suspendue pour 4 semaines, à réintroduire après la consultation en Neurochirurgie. Une antibiothérapie de Ciprofloxacine pour une suspicion d'infection urinaire avait été débutée en ambulatoire le 22.01.2019. En l'absence de leucocyturie et de syndrome inflammatoire, nous avons interrompu ce traitement. Le 29.01.2019, le patient présente une péjoration de l'état cognitif avec désorientation temporelle augmentée et désorientation dans l'espace nouvellement apparue. Nous effectuons des examens biologiques et mettons en évidence une augmentation du syndrome inflammatoire avec présence de flore bactérienne dans les urines. Dans ce contexte, nous réintroduisons un traitement antibiotique par Ciprofloxacine pour 7 jours et l'évolution clinique est favorable. Au vu de l'instabilité posturale du patient et du risque accru de récidive de chute, nous prévoyons en accord avec le patient et sa fille, une réhabilitation gériatrique avant un retour à domicile. Le patient est transféré à Riaz pour suite de prise en charge le 31.01.2019. Mr. Y, ancien tabagique sevré il y a 20 ans, consulte les urgences le 24.01.2019 en raison de douleurs rétrosternales depuis le 21.01.2019 avec dyspnée associée. A l'anamnèse, le patient décrit des douleurs à la mobilisation, type brûlure, sans irradiation. Il rapporte également des céphalées et des vertiges. Mr. Y se plaint de plus de sciatalgies non déficitaires traitées durant 2 mois par Dexaméthasone 4 mg et Tilur. A noter qu'au niveau professionnel, le patient est relieur-encadreur et de ce fait est souvent exposé à des poussières de plusieurs types. Au status pulmonaire, présence de râles crépitants fins jusqu'à mi-plage pulmonaire, bilatéralement. Le reste du status d'entrée est non contributif. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 144 mg/l sans leucocytose et la gazométrie montre une hypoxémie ne s'améliorant pas après une séance de VNI et une séance d'aérosol. La radiographie du thorax montre une lésion d'infiltrat pulmonaire bilatéral avec épaississement de la trame bronchovasculaire sans épanchement pleural décelable. Nous effectuons des dosages des troponines et un ECG qui ne parlent pas en faveur d'un évènement ischémique. Les D-Dimères sont à 594 ng/ml. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Nous complétons le bilan par un CT scan thoracique qui met en évidence un infiltrat en nid d'abeilles bilatéral, compatible avec une fibrose ainsi qu'un emphysème para-septal prédominant aux apex avec également un petit infiltrat en verre dépoli, prédominant également aux apex, mais pas d'argument scanographique pour une embolie pulmonaire. Le patient bénéficie d'une évaluation pneumologique par le Dr. X. Les tests pulmonaires montrent un VEMS à 97% de la valeur prédite et un CVF 74% de la valeur prédite. Face à ces arguments, nous suspectons dans un premier temps une pneumopathie interstitielle diffuse. Sur le plan infectiologique, sur avis du Dr. X et de la Dr. Y, une pneumocystose est suspectée et nous débutons une antibiothérapie par Bactrim et Tavanic (pour couvrir le chlamydia et le mycoplasme). Cependant, le patient présente une réaction allergique au Bactrim avec un érythème et un prurit, raison pour laquelle ce dernier est relayé par Primaquine et Clindamycine pour trois semaines. Un test rapide sur expectorations le 29.01.2019 revient positif pour Pneumocystis Jirovecii. Nous mettons en place également un schéma dégressif de Prednisone et introduisons un traitement prophylactique de Pentamidine 300 mg aérosols 1 x /mois pour 3 mois. Le premier rendez-vous est fixé avec la Dr. Y le 14.02.2019. Nous constatons une rapide amélioration clinico-biologique à J6 permettant l'arrêt de l'oxygénothérapie avec une saturation à 94% à l'air ambiant. Concernant les sciatalgies gauches non déficitaires, nous prescrivons une antalgie par Tramal. Durant le séjour, le patient bénéficie de physiothérapie respiratoire et de mobilisation. L'évolution étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 01.02.2019. Mr. Y est un patient de 71 ans, aux nombreuses co-morbidités susmentionnées, qui dans un contexte de hernie ombilicale avec des signes de souffrance cutanée bénéficie d'une cure de hernie par laparoscopie le 04.02.2019. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 06.02.2019. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 12.02.2019 à 10h40 pour un premier contrôle, puis le 19.03.2019 à 9h40. Mr. Y, patient de 78 ans, est admis aux soins intensifs le 27.02.2019 pour suspicion d'une crise d'épilepsie focale possiblement séquellaire d'un AVC ischémique sylvien gauche survenu en septembre 2018. Le patient est amené aux urgences le 27.02.2019 en raison de tremblements du membre supérieur droit apparus environ 36h auparavant et objectivés par le fils du patient. Un CT-scan cérébral ne montre pas de nouvelles lésions. Une crise d'épilepsie focale et séquellaire sur l'AVC est suspectée. Un EEG ne montre toutefois pas de potentiels épileptiformes. Sur avis neurologique (Dr. X), un traitement de Lévétiracétam introduit aux urgences est à poursuivre à une posologie de 500 mg 2x/j sans nécessité de contrôle des taux et proposition de réévaluation du traitement à 21 jours.La surveillance neurologique aux soins intensifs ne permet pas d'objectiver de crises convulsives et le patient est transféré à l'étage de médecine pour suite de prise en charge. Mr. Y présente une probable lésion du ligament collatéral interne, associée éventuellement à une lésion du ménisque interne. Afin de clarifier la situation, le patient ira faire une IRM native du genou G. Je le reverrai suite à cet examen pour discuter des résultats et du traitement. Il continue l'immobilisation dans l'attelle jeans et la thromboprophylaxie par Clexane. Poursuite de l'arrêt de travail à 100%. Mr. Y, patient de 78 ans, connu pour une cardiopathie ischémique avec pose de 2 stents en mars 2017 (IVA et coronaire droite), est hospitalisé en raison d'un bloc atrio-ventriculaire du 2ème degré nouveau, associé à une bradycardie symptomatique. Le patient rapporte des douleurs rétro-sternales le matin au réveil le 18.02, associées à une dyspnée à l'effort et une dyspnée paroxystique nocturne en péjoration depuis environ 15 jours. Il ne rapporte pas de perte de connaissance ni de malaise récent, mais une sensation de palpitations par moments avec manque d'air, résolues spontanément ces derniers jours. L'ECG d'entrée montre initialement une image de BAV du 2ème degré type Wenckebach. Nos collègues cardiologues proposent une hospitalisation pour investigations avec bilan cardiaque. Par la suite, le patient modifie son tracé et présente une image de BAV du 2ème degré Mobitz II, associé à une bradycardie entre 35-40/min. La radiographie de thorax ne montre pas de signe de décompensation cardiaque, les troponines ne montrent pas de cinétique et les douleurs s'amendent d'elles-mêmes. Une échocardiographie transthoracique montre une bonne fonction cardiaque. Le bilan est complété avec une coronarographie ne retrouvant pas de progression de la maladie coronarienne. Le patient bénéficie de la pose d'un pacemaker le 21.02.2019. L'intervention se déroule sans complication, tout comme les suites opératoires. Mr. Y peut rentrer à domicile le 22.02.2019. Il devra être revu pour un contrôle de plaie à 10 jours par son médecin traitant. Mr. Y présente des gonalgies gauches persistantes. Afin de clarifier la situation, je lui ai proposé une infiltration qui servira en même temps de test que thérapeutiquement. Le patient est d'accord. L'infiltration est prévue le 13.02.2019. Le patient ne pense pas pouvoir travailler pour le moment. Je lui ai donc proposé un arrêt de travail à 100% jusqu'au 24.02.2019, donc une semaine après l'infiltration du genou gauche. Mr. Y est amené en ambulance dans notre service des urgences la nuit du 30.01.2019, sur un appel de l'un de ses fils. Celui-ci observe deux chutes et une perte involontaire d'urine à domicile, dans un contexte de consommation d'alcool dans la journée et la soirée, et s'inquiète d'un discours devenu subitement incompréhensible vers 2h30, associé à une chute de la commissure labiale gauche. Compte tenu d'un antécédent d'AIT en octobre 2018, une prise en charge d'AVC est initiée dès l'arrivée au service des urgences. Toutefois, au vu d'un scanner cérébral avec phases de perfusion sans particularité, d'une alcoolémie mesurée à 1.44 pour mille au service des urgences et d'une rapide régression de la symptomatologie lors de la surveillance aux soins intensifs, cette suspicion n'est pas maintenue. La réalisation d'une IRM ne s'avère pas nécessaire sur consultation des neurologues et le patient peut être transféré dans notre service de médecine le 30.01.2019. Un traitement d'Eliquis avait été récemment introduit vu la découverte d'une fibrillation auriculaire au Holter inclus dans le bilan d'AIT. Après consultation de nos collègues neurologues et cardiologues, nous interrompons le traitement de Plavix valable jusqu'alors (dernière PTCA en 2015). L'indication à un traitement d'aspirine sera à réévaluer à distance par le cardiologue traitant. Lors d'une consultation en ambulatoire chez le Dr. X le 30.01.2019 (avant les événements de la nuit), l'indication à poser un pacemaker avait été retenue au vu d'un bloc bifasciculaire. Une consultation à la Memory Clinic était prévue en ambulatoire depuis octobre 2018, à laquelle le patient ne s'est toutefois pas rendu par deux fois. Nous profitons de cette hospitalisation pour réaliser un bilan neurocognitif permettant de déceler des troubles exécutifs, contre-indiquant la conduite automobile jusqu'à une exploration plus profonde. Après discussion avec plusieurs enfants (l'épouse se trouvant hospitalisée dans une clinique privée suite à une intervention orthopédique), nous organisons un colloque familial le 01.02.2019. La contre-indication à la conduite automobile jusqu'à consultation à la Memory Clinic est communiquée au patient et à la famille. La problématique de dépendance à l'alcool est abordée, confirmée par les trois enfants du patient, mais niée par celui-ci. Tant un suivi addictologique à la Fondation du Torry qu'un suivi psychiatrique ambulatoire via le centre psycho-social sont déclinés par Mr. Y. Le retour à domicile s'effectue le 01.02.2019, toute symptomatologie neurologique focale ayant disparu. Mr. Y est un patient de 80 ans, hospitalisé en électif pour une pose de Pacemaker DDD le 18.02.2019, en raison d'un bloc atrio-ventriculaire du 2ème degré type Mobitz II et d'une bradycardie avec des pauses de 2.5 secondes. L'intervention se déroule sans complications. L'évolution clinique est favorable. La radiographie de contrôle ne montre pas de signe de pneumothorax, ni d'autres complications. Le positionnement du dispositif implanté est correct et un contrôle de son bon fonctionnement est réalisé dans la foulée par le Dr. X. Mr. Y rentre à domicile le 19.02.2019 en très bon état de santé général. Un contrôle à 4-6 semaines est prévu chez le Dr. X, pour lequel le patient sera convoqué. Nous vous laissons le soin de contrôler la plaie à 10 jours. Mr. Y, 63 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale sur grippe dans un contexte de BPCO sévère en décours d'une transplantation pulmonaire. Il est transféré depuis Billens où il était hospitalisé depuis le 09.09.2018 pour une réadaptation respiratoire en attente de greffe pulmonaire. Depuis le 28.01.2019, il présente un syndrome grippal avec une dyspnée en péjoration, évoluant vers une insuffisance respiratoire globale. Le CT-scan thoracique ne met pas en évidence de foyer constitué. Le frottis naso-pharyngé revient positif pour l'Influenza de type A, malgré un statut vacciné. Un traitement par Oseltamivir est débuté avec une couverture par Meropenem en raison de la colonisation connue par Pseudomonas aeruginosa. Il bénéficie d'une ventilation non-invasive mal tolérée, se compliquant par un pneumothorax, nécessitant une intubation. La suite est marquée par un arrêt cardio-respiratoire sur un pneumothorax sous tension, avec trois réanimations de 4 minutes. Le pneumothorax est drainé permettant une stabilisation de la situation. Au vu de la situation globale et d'un devenir neurologique douteux avec déjà l'apparition d'une anisocorie et des myoclonies, faisant suspecter une encéphalopathie anoxique, l'équipe de transplantation du CHUV est avisée de la situation critique qui rend le patient non éligible sur la liste de transplantation. Comme ce projet de transplantation pulmonaire n'est plus d'actualité, ce qui était la motivation de continuer une vie pour ce patient, il est décidé avec la famille de passer aux soins de confort uniquement. La famille exprime la volonté du patient de donner ses propres organes en cas de décès.Le patient décède le 01.02.2019 après extubation et arrêt de la noradrénaline suivi par le protocole de don d'organe à cœur arrêté. • Mr. Y est connu pour une cardiopathie d'origine mixte, une insuffisance rénale chronique et un diabète de type 2 non insulino-requérant. Vous l'adressez aux urgences de l'HFR Fribourg le 16.01.2019 en raison de vertiges horizontaux nouveaux, lors des mouvements brusques de la tête en position allongée dans son lit et durant moins d'une minute. Ces derniers le réveillent à 04h00 ce matin et sont accompagnés de nausées avec sensation de lipothymie et sudations. Le patient décrit des pertes d'équilibre habituelles en lien avec une polyneuropathie diabétique, mais différentes ce jour. Le reste de l'anamnèse systématique est sans particularité. Aux urgences, l'examen clinique retrouve un Hallpike positif à gauche, sans nystagmus, une diplopie au regard extrême droit et normalité du reste de l'examen neurologique. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale chronique connue avec clairance à la créatinine selon MDRD à 33 ml/min/1.73 m2 et une hypokaliémie à 3.1 mmol/l. Après avis neurologique et ORL, une origine périphérique vestibulaire gauche est retenue, avec convocation pour une vidéo head impulse test à distance au vu de l'absence de nystagmus à l'examen clinique. Le patient nous est transféré pour la suite de la prise en charge. L'évolution clinique est favorable avec diminution des symptômes vertigineux. Le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. Sur le plan néphrologique, le patient présente une péjoration de la fonction rénale avec une insuffisance rénale avec clairance à 21 ml/min/1.73 m2. Cependant, en raison d'une stabilité des valeurs en cours de séjour et en comparaison à la dernière hospitalisation de septembre 2019, une erreur de laboratoire est fortement probable. Cela est aussi valable pour les valeurs de kaliémie à 5.2 mmol/l. Mr. Y regagne son domicile le 18.01.2019 avec reprise des soins à domicile pour réfection habituelle des pansements. Le traitement médicamenteux reste inchangé. • Mr. Y est un patient de 50 ans, connu pour un status post-laparotomie pour opération de l'estomac, qui se présente aux urgences le 02.02.2019 à cause de douleurs abdominales d'apparition subite le même jour localisées en fosse iliaque droite accompagnées de 2 épisodes de vomissements et absence de selles depuis 3 jours. Un CT abdominal met en évidence un sub-iléus probablement paralytique. Le patient bénéficie d'une sonde nasogastrique du 03.02.2019 au 07.02.2019 avec une bonne reprise de transit. La réalimentation se déroule sans complication. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 07.02.2019. Au vu des antécédents du patient, nous lui proposons d'effectuer une OGD en ambulatoire étant donné que son dernier examen date de 2014. Habitant en Autriche, Mr. Y va organiser une nouvelle OGD là-bas. • Mr. Y, connu pour un tabagisme actif, consulte les urgences le 23.01.2019 en raison de douleurs basithoraciques gauches, respiro-dépendantes, reproductibles à la palpation, progressant depuis une semaine et accompagnées d'une sensation de dyspnée. Le patient décrit également des douleurs du mollet gauche avec induration, traitées par massages. À noter un voyage en bus d'une durée de 22 heures il y a 10 jours. Le reste de l'anamnèse systématique et familiale revient sans particularité. Aux urgences, l'examen clinique révèle une douleur à la palpation basithoracique gauche le long de la ligne médioclaviculaire ainsi qu'à la palpation du mollet gauche, avec Homans négatif et absence de cordon veineux palpable. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec leucocytose à 10.6 G/l et CRP à 68 mg/l. L'ECG est sans particularité. Au vu d'un score de Genève intermédiaire, nous dosons les D-Dimères qui reviennent à 4284 ng/ml. Un angio-CT scan thoracique est réalisé et montre des embolies pulmonaires bilatérales, notamment para-centrales droites et segmentaires et sous-segmentaires bilatéraux. L'imagerie montre également une dilatation du tronc pulmonaire, compatible avec une surcharge cardiaque, cependant sans modification du taux de pro-BNP et des troponines. Une anticoagulation orale par Xarelto 15 mg 2x/j est débutée et en raison d'un infarctus pulmonaire secondaire visible à l'imagerie et risquant d'évoluer défavorablement ainsi qu'une embolie pulmonaire para-centrale, Mr. Y est hospitalisé pour surveillance clinique. À l'étage, le patient présente des épisodes de désaturation à l'air ambiant se corrigeant sous oxygénothérapie, ainsi que des douleurs thoraciques contrôlées par antalgie. Le patient bénéficie d'une physiothérapie respiratoire. L'évolution clinique est favorable permettant un sevrage de l'oxygène. Le patient bénéficie d'une évaluation angiologique qui montre une thrombose veineuse proximale du membre inférieur gauche à l'origine de l'embolie pulmonaire. Le traitement par Xarelto 15 mg 2x/j est à poursuivre durant 3 semaines, avec relais par Xarelto 20 mg 1x/j durant 6 mois. De plus, des bandes de contention de classe 2 sont prescrites jusqu'au nouveau suivi angiologique prévu à 3 mois. Mr. Y peut regagner son domicile le 26.01.2019. Nous recommandons une échocardiographie à 4 semaines afin d'exclure une répercussion sur les cavités droites et un suivi clinique à votre consultation est indiqué dans les prochains jours. • Mr. Y de 71 ans, admis pour une re-coronarographie élective en vue d'une vascularisation dans le contexte d'une maladie tritronculaire diagnostiquée en décembre 2018 lors d'une dyspnée à l'effort en péjoration. La coronarographie du 19.02.2019 confirme les lésions visualisées en décembre dernier, soit une lésion critique à 90-99 % de l'artère interventriculaire antérieure proximale, une lésion intermédiaire à 50-70 % de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, une lésion sévère à 70-90 % de l'artère interventriculaire antérieure distale présente. Nous retrouvons également une lésion intermédiaire à 50-70 % sur la première diagonale et l'artère circonflexe moyenne, à 50 %, englobant l'origine de la seconde marginale. La première marginale présente une lésion critique à 90-99 % et une lésion sévère à 70-90 % au niveau de l'ostium. Au niveau de la coronaire droite, l'artère coronaire droite proximale présente une lésion sévère à 70-90 %. Comme prévu, nous procédons directement à l'intervention de l'IVA avec mise en place de trois stents actifs avec bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 20.02.2019. • Mr. Y présente donc une bursite olécrânienne sur épine olécrânienne pour laquelle une indication opératoire est posée. Il est donc prévu une résection de cette épine olécrânienne avec bursectomie. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé. L'intervention est prévue pour le 25.02.2019. • Mr. Y, 59 ans, est admis aux soins intensifs pour une hyponatrémie hypoosmolaire dans un contexte de déshydratation chez un patient éthylique chronique. Le patient se présente aux urgences pour une coxalgie droite suite à une chute à domicile sans répercussion fonctionnelle. À l'anamnèse, une baisse de l'état général avec une perte de poids significative est reportée sans autre franc symptôme. La chute est imputée à des troubles de la marche et de l'équilibre chroniques multifactoriels. Une hyponatrémie hypo-osmolaire modérée et une insuffisance rénale aiguë pré-rénale sont retrouvées.Les perturbations du bilan biologique sont attribuées à une déshydratation. Une réhydratation prudente permet la correction progressive de la natrémie et la normalisation de la fonction rénale. Devant le tableau clinique de baisse de l'état général, nous recommandons un bilan extensif, une néoplasie devant être exclue. Le patient ne s'alimente plus depuis plusieurs semaines en raison d'un dégoût des aliments sans autre plainte. Le patient est transféré en médecine pour suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 69 ans, qui se présente le 10.02.2019 pour une résection transurétrale de la vessie dans le contexte d'une suspicion de récidive de néoplasie vésicale suite à la présence de cellules suspectes dans la cytologie lors de sa dernière cystographie. L'opération se déroule sans complication le 11.02.2019. Les suites opératoires sont simples et afébriles. Le patient retrouve une diurèse spontanée sans signe de saignement et peut rentrer à domicile le 12.02.2019. Les résultats de la pathologie et la suite de la prise en charge seront discutés à la consultation du Dr X le 20.02.2019. Mr. Y, âgé de 77 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une spondylodèse L4-L5 bilatérale avec laminectomie L4, décompression récessale et foraminale ainsi que discectomie le 19.12.2019 pour une spondylodiscite au niveau L4-L5 dans un contexte de canal lombaire étroit dégénératif. Mr. Y est sous traitement par Co-Amoxicilline 2.2g 4x/j depuis le 22.12.2018. Pour mémoire, le patient est connu pour un carcinome épidermoïde de l'oesophage cT2 à 3 N0 M0 diagnostiqué le 19.10.2017 qui a nécessité la mise en place d'un GPR pour des troubles de déglutition. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. Il signale des diarrhées fréquentes depuis l'introduction de l'antibiothérapie. La cicatrice est calme. La force est cotée à M5 globalement aux MI ddc. La sensibilité grossière est conservée. Concernant l'antibiothérapie, nous poursuivons la Co-Amoxicilline 2.2 g IV 4x/j et suivons la leucopénie au laboratoire 3x/semaine. Les leucocytes augmentent graduellement. Nous demandons l'avis du Dr X, tout en envisageant un retour à domicile du patient avec l'antibiothérapie IV. Notre collègue pose l'indication à un traitement par Rocephin 2g 1x/j IV dès la sortie et ce jusqu'au 06.02.2019. Sur le plan nutritionnel, nous avons poursuivi les indications diététiques qui étaient déjà en place. Mr. Y sait gérer sa nutrition par GPR en autonomie et le poids reste stable. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec le rollator ou en utilisant une canne et en s'aidant d'une personne. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 26.01.2019, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Les soins à domicile sont activés. Mr. Y est un patient de 61 ans, aux antécédents susmentionnés, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'une cholécystolithiase symptomatique. Il bénéficie le 01.02.2019 d'une cholécystectomie laparoscopique, qui se déroule sans complications notables. Les suites post-opératoires sont simples avec un patient qui reste apyrétique et bien soulagé au niveau algique par la prescription standard. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 02.02.2019. Mr. Y, patient de 76 ans, connu pour une BPCO de stade IV D, est hospitalisé le 13.02.2019 en raison d'un tremblement incoercible du membre supérieur droit, associé à une perte de force et une posture dystonique de la main. Pour rappel, le patient était hospitalisé entre le 05.02.2019 et le 12.02.2019 suite à une décompensation de sa BPCO. Sur le plan neurologique, un bilan par imageries cérébrales ne retrouve pas d'origine ischémique pouvant expliquer la clinique du patient. Sur avis de nos collègues neurologues, nous réalisons un EEG qui se révèle difficilement interprétable en raison de nombreux artéfacts de mouvement. En raison de la suspicion d'une crise d'épilepsie partielle continue, un traitement d'épreuve par Keppra est introduit mais n'amène pas d'amélioration clinique, raison pour laquelle un traitement par Akineton est initié, amenant rapidement à une disparition du tremblement et de la posture dystonique du membre supérieur droit. Ce traitement sera à poursuivre pour une durée totale d'une semaine, soit jusqu'au 22.02.2019. Par la suite, si ces tremblements devaient récidiver, le traitement d'Akineton pourra être repris à petite dose (2mg 1x/j) pour une courte durée (7 jours), avant de référer le patient à la consultation du Dr X. Au niveau pneumologique, le patient rapporte une toux persistante depuis sa dernière hospitalisation, suite à quoi un traitement antibiotique par Céfépime est initié le 14.02.2019 pour une durée totale de 7 jours. Sur le plan hématologique, nous retrouvons un INR supra-thérapeutique chez le patient lors de son admission, raison pour laquelle nous mettons le traitement de Marcoumar en suspens. Nous reprenons le traitement avec un demi-comprimé le 19.02.2019 et vous invitons à contrôler régulièrement la crase du patient. Au vu des récents épisodes d'INR supra-thérapeutique, nous vous proposons également d'envisager le remplacement du Marcoumar par un anticoagulant direct. Au niveau cutané, le patient développe durant son hospitalisation des lésions cutanées pustuleuses au niveau de la fesse droite, traitées de manière locale et dont la prise en charge sera poursuivie par les soins à domicile. Notons encore qu'un déficit en acide folique est retrouvé au laboratoire, raison pour laquelle nous instaurons une substitution orale pour une durée totale de 6 semaines, jusqu'au 29.03.2019. Au vu d'une bonne amélioration tant clinique que biologique, le patient rentre à domicile le 20.02.2019. Mr. Y, patient de 76 ans transféré des soins pour suite de prise en charge en médecine. Pour rappel, le patient se présente au service des urgences pour une détresse respiratoire aiguë. Il présentait depuis 5-6 jours une toux avec une augmentation et un changement d'aspect des expectorations. Le patient arrive fébrile au service des urgences et l'auscultation met en évidence une hypoventilation à gauche avec des légers râles crépitants et des ronchis à droite. La détresse respiratoire est attribuée à une exacerbation BPCO probable IVRS. La majoration des bronchodilatateurs introduits aux soins intensifs est poursuivie, ainsi que la corticothérapie. Une double antibiothérapie avait été introduite à son entrée au service des urgences par Klacid et Rocephin étant donné la présence des 3 critères d'Antonissen. Le CT pulmonaire ne montrant pas de foyer et les antigènes revenus négatifs pour Legionella Pneumophilia et Pneumocoque, nous stoppons le Klacid. Un sevrage progressif des bronchodilatateurs et de l'oxygénothérapie est possible, ainsi qu'une physiothérapie cardio-pulmonaire quotidienne.Dans un contexte de fibrillo-flutter connu, le patient présente à son arrivée au service des urgences une tachycardie motivant l'introduction de son traitement par Diltiazem par voie intraveineuse. A l'étage, nous réintroduisons son traitement ambulatoire par Diltiazem 90 mg po 2x par jour au vu du rétablissement d'un rythme normocarde. Un INR suprathérapeutique à > 5.5 est objectivé à son arrivée au service des urgences pour lequel du Beriplex est administré et le traitement anticoagulant par Marcoumar est mis en suspend. Lors d'un contrôle le 07.02.2019, le laboratoire montre à nouveau un INR suprathérapeutique pour lequel nous administrons du Konakion, permettant d'obtenir un INR à 2.7 le 08.02.2019. Le contrôle du 11.02.2019 met à nouveau en évidence un INR suprathérapeutique à > 5.5 pour lequel nous administrons également du Konakion et mettons en suspend le Marcoumar jusqu'au 12.02.2019. Le 12.02.2019, le laboratoire montre un INR à 2.5 et un rendez-vous est pris avec le Dr. X pour un contrôle de l'INR avec ajustement du schéma si nécessaire. Le patient retourne à son domicile le 12.02.2019. Mr. Y, patient de 71 ans, connu pour un carcinome de la prostate multimétastatique avec paraplégie incomplète sténotique sur métastases canalaires, se présente aux urgences avec toux depuis 3 jours sans expectorations et une faiblesse plus marquée des membres inférieurs. A l'arrivée, il est hypotendu et hypoxémique. Le bilan oriente vers un choc septique sur pneumonie avec insuffisance respiratoire globale, vasoplégie et acutisation d'une insuffisance rénale chronique. Le patient est donc admis aux soins intensifs. Une antibiothérapie par co-amoxicilline pour 7 jours est mise en place. Les antigènes urinaires pour legionelles et pneumocoque reviennent négatifs. Il bénéficie également de ventilation non invasive aux soins intensifs. Après une évolution clinique et biologique modérée, un transfert en médecine est décidé en accord avec le patient qui souhaite une prise en charge axée sur le confort sans acharnement (pas de réanimation, pas d'intubation, pas de retour aux soins intensifs). A l'étage, l'évolution du patient est plutôt favorable, notamment sur le plan respiratoire. Un iléus d'origine paralytique probable a été mis en évidence aux soins intensifs avec pose temporaire d'une sonde naso-gastrique enlevée par la suite à la demande du patient. En médecine, l'évolution clinique est favorable avec absence de nausées ou vomissements et une reprise du transit en fin de séjour. Le patient est également connu pour un escarre sacré abcédé qui est bilanté par scanner. D'après nos collègues chirurgiens, il n'y a pas d'indication à un drainage ou autre intervention à ce stade. Rappelons qu'une anesthésie générale n'est pas envisageable chez ce patient. Les soins de stomathérapie sont donc poursuivis. Après discussion avec Mr. Y et sa femme, ils acceptent un transfert en soins palliatifs à Meyrier bien que le souhait primaire du patient soit un retour à domicile par la suite. Le patient est transféré à Meyrier en soins palliatifs le 21.02.2019. L'évaluation de la possibilité d'un retour à domicile avec Voltigo pourra être effectuée par la suite. Mr. Y, patient de 71 ans, est admis aux soins intensifs pour un choc septique sur pneumonie. Connu pour un carcinome de la prostate avec métastases osseuses et paraplégie incomplète sténotique sur métastases canalaires, il se présente aux urgences avec toux depuis 3 jours sans expectorations et une faiblesse plus marquée des jambes. Il se déplace habituellement en chaise roulante mais est indépendant pour les transferts et les soins. A l'arrivée, il est hypotendu et hypoxémique. Le bilan oriente vers un choc septique sur pneumonie avec insuffisance respiratoire globale, vasoplégie et acutisation d'une insuffisance rénale chronique. Des myoclonies des membres supérieurs sont attribuées à l'accumulation de prégabaline. A son transfert aux soins intensifs, une antibiothérapie probabiliste par Co-Amoxicilline est poursuivie. La noradrénaline est rapidement sevrée après réanimation volémique. L'insuffisance rénale est régressive de même que le syndrome inflammatoire. Mais l'insuffisance respiratoire n'est pas améliorée par les séances courtes de ventilation non invasive mal tolérée. Et un iléus apparaît à la faveur du sepsis et de l'accumulation d'opiacés. Un CT cérébro-thoraco-abdominal est effectué pour bilan d'extension oncologique et exclusion d'une obstruction intestinale. Par rapport au comparatif, de nouvelles métastases ne sont pas décrites et l'obstruction intestinale est écartée. Un avis chirurgical et un suivi de stomatothérapie ont été demandés pour un escarre sacré déjà débridé dans le passé. Au vu de la stagnation respiratoire et de la difficulté de compliance du patient à la ventilation, une discussion est menée en présence de sa femme où il exprime clairement son refus d'escalade thérapeutique et souhaite idéalement une fin de vie à domicile. Il ne désire pas de réadmission aux soins intensifs et demande des soins de confort en cas de dégradation. La sonde nasogastrique de décharge est retirée sur souhait du patient. Il est transféré en médecine interne pour mise en place d'un projet palliatif. Mr. Y, patient de 57 ans en bonne santé habituelle, est admis aux soins intensifs le 14.02.2019 à la suite d'un STEMI subaigu sur occlusion de l'IVA proximale/moyenne. Le 15.02.2019, le patient est transféré au service de médecine interne pour la suite de sa prise en charge. Sur le plan cardiologique, le patient présente depuis plusieurs jours des douleurs épigastriques, avec un accès violent de ces douleurs le 14.02.2019 vers midi, caractérisées comme un angor typique. Dans le même temps, le patient présente des douleurs au niveau des loges rénales avec une irradiation dans le ventre, qui l'amènent à consulter, raison pour laquelle un CT abdominal est réalisé dans un premier temps. Une large hypodensité endocardique et murale à l'apex du ventricule gauche est retrouvée et un ECG confirme un STEMI antérieur. Une coronarographie est réalisée en urgence et retrouve une occlusion de l'IVA proximale et une sténose serrée de l'IVA moyenne. Deux stents actifs sont mis en place au niveau de ces sténoses. La ventriculographie réalisée montre une akinésie apicale et une anticoagulation thérapeutique par Héparine est débutée pour une durée totale de 3 jours, soit jusqu'au 18.02.2019. Un bilan biologique montre une dyslipidémie importante et un traitement par Atorvastatine est introduit. Une hémoglobine glyquée et des glycémies dans la norme durant l'hospitalisation permettent d'exclure un diabète. L'échocardiographie transthoracique montre une cardiopathie hypertrophique importante ainsi qu'une dysfonction diastolique. Les diagnostics de cardiopathie hypertensive versus cardiomyopathie hypertrophique sont envisagés. Un ECG Holter est effectué en raison du risque d'arythmies, dont nous vous laissons le soin de pister les résultats. Une IRM cardiaque est organisée pour le 14.03.2019 à 14 h, afin d'exclure une cardiomyopathie hypertrophique. Selon les résultats de l'IRM cardiaque et du Holter, l'implantation d'un ICD sera à envisager. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X à 1 mois. Au niveau néphrologique, le CT abdominal initialement réalisé retrouve une atrophie du pôle inférieur du rein gauche, sur une occlusion chronique de l'artère rénale inférieure gauche, probablement d'origine thrombotique.Au vu d'une amélioration des paramètres cliniques et biologiques, le patient est transféré le 22.02.2019 à Billens pour une réadaptation cardiovasculaire. Mr. Y, 57 ans, est admis aux soins intensifs suite à un STEMI subaigu sur occlusion IVA proximale/moyenne le 14.02.2019. Le patient présente depuis plusieurs jours des douleurs au niveau des loges rénales avec une irradiation dans le ventre et des douleurs thoraciques de type angor typique depuis midi. L'ECG montre un STEMI antérieur avec comme corrélat anatomique une occlusion de l'IVA proximale et une sténose serrée de l'IVA moyenne dans la coronarographie en urgence et deux stents actifs sont mis en place. La ventriculographie montre une akinésie au niveau apicale et une anticoagulation thérapeutique est indiquée pour une durée totale de 3 jours. Le bilan biologique montre une dyslipidémie importante, nous débutons un traitement par Atorvastatine. L'échocardiographie transthoracique montre une cardiopathie hypertrophique importante ainsi qu'une dysfonction diastolique qui ouvre le diagnostic d'une cardiopathie hypertensive simple ou d'une cardiomyopathie hypertrophique. Lors du séjour aux soins intensifs, le patient ne présente pas de trouble du rythme. Un Holter est effectué et les résultats sont en cours. Une cardiomyopathie hypertrophique devrait être exclue avec une IRM cardiaque qui est encore à organiser. Le bilan radiologique avec un CT abdominal montre une atrophie du pôle inférieur du rein gauche avec une occlusion chronique de l'artère rénale inférieure gauche probablement d'origine thrombotique. Nous débutons un traitement antiagrégant et hypolipémiant. Mr. Y présente une forte suspicion de rupture du LCA du genou gauche. Pour compléter le bilan, je demande une IRM. Le genou reste immobilisé dans l'attelle jeans. Le patient continuera la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane. Je le reverrai après l'IRM pour discuter des résultats et du traitement. Prochain rendez-vous le 20.02.2019. Mr. Y présente une rupture complète du ligament croisé antérieur du genou G. Il présente également une distorsion stade I du LLI et une potentielle lésion horizontale de la corne postérieure du ménisque interne. Dans un premier temps, le patient va poursuivre un traitement conservateur avec une physiothérapie ciblée pour stabiliser son genou. Il portera une genouillère articulée ACL pour une durée de six semaines. Je le reverrai le 03.04.2019 pour une évaluation clinique. En cas de persistance d'instabilité résiduelle qui gêne le patient, je proposerais éventuellement une plastie du ligament croisé antérieur. Arrêt de travail attesté à 100% du 20.02.2019 au 03.04.2019. Mr. Y est un patient de 47 ans, qui présente des douleurs soudaines au niveau de la loge rénale droite et au flanc droit en coliques EVA 10/10 avec des nausées, raison pour laquelle il consulte les urgences le 04.02.2019. Il n'y a pas eu d'état fébrile, pas d'algurie ou pollakiurie. Au status, le patient est afébrile et l'examen clinique abdominal est sans particularité. Le CT-scan met en évidence une lithiase urinaire droite de 7 x 4 x 4 mm située à 12 mm de la jonction urétéro-vésicale avec une dilatation du pyélon droit à 24 mm. Dans ce contexte, nous hospitalisons le patient pour une antalgie et optons pour un traitement conservateur avec AINS, Tamsulosine et filtrage des urines. L'évolution est tout à fait favorable avec une disparition rapide des douleurs. Sur le plan biologique, la créatinine se normalise et les paramètres inflammatoires diminuent spontanément. Au CT-scan, une image de possible épanchement péricardique est mise en évidence. Finalement, une échocardiographie est effectuée qui infirme ce diagnostic et met en évidence une bonne fonction ventriculaire. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 06.02.2019 avec un traitement antalgique et alpha-bloquant. Il filtrera les urines et se rendra à la consultation du Dr. X dans 1 semaine afin d'effectuer un contrôle clinique. Mr. Y est connu pour un status post-bypass gastrique, ainsi qu'un adénocarcinome des angles coliques gauches et droit (carcinose péritonéale, hépatique) stade IV et un carcinome rénal à cellules claires du rein droit traité par néphrectomie radicale droite, en rémission. Il est hospitalisé dans notre service de médecine le 09.01.2019, à la demande de Dr. X, oncologue traitante, en raison d'une baisse de l'état général. Le patient rapporte une perte pondérale de 10 kg depuis juin 2018, sur baisse de l'appétit. Il décrit également une douleur thoracique constante, d'intensité fluctuante, de type poids sur la poitrine, sans irradiation, non respiro-dépendante et non reproductible à la palpation, depuis le 31.12.2018, une dyspnée au moindre effort (stade IV) depuis 3 mois, une sensation de faiblesse des membres inférieurs ainsi que des douleurs chroniques intenses en regard de la cicatrice de lombotomie à droite. À l'admission dans notre service, Mr. Y est pâle et fin. Il est légèrement hypertendu à 146/105 mmHg, tachycarde à 108 bpm, afébrile à 36.6°C et sature à 95 % à l'air ambiant. Au status neurologique, diminution de la force à M4+ au niveau des deux membres inférieurs. Au status digestif, la palpation abdominale est douloureuse en hypochondre droit et en regard de la cicatrice opératoire qui est calme. Le status cardio-pulmonaire est sans particularité. Le laboratoire met en évidence une CRP à 33 mg/l, des leucocytes à 6,2 G/l, une hémoglobine conservée à 144 g/l ainsi qu'une importante perturbation des tests hépatiques avec ASAT à 177 U/I, ALAT à 180 U/I, LDH à 547 U/I, phosphatase alcaline à 1314 U/I, Gamma GT à 1619 U/I, une bilirubine totale à 28.3 mcmol/l et directe à 23.9 mcmol/l. Une CDEA est à 118.1 ng/ml et est nettement augmentée par rapport à la dernière valeur en date. Un CT scan thoraco-abdominal montre une évolution importante des métastases hépatiques en taille et en nombre. Le patient est informé de la situation par Dr. X. Une 4ème ligne de chimiothérapie sera à discuter avec la famille en fonction de l'évolution. Nous présentons le patient à Dr. X, soins palliatifs, en raison de ses plaintes. Ce dernier propose l'introduction d'un traitement par Ritaline que nous majorons au cours de l'hospitalisation en raison d'une évolution favorable sur la fatigue. Mr. Y décrit une amélioration de l'état d'éveil les après-midis, si bien qu'il peut bénéficier de séances de physiothérapie (vélo). Concernant l'antalgie, le patient décrit à l'arrivée de fortes douleurs d'intensité jusqu'à 6/10 en regard de la cicatrice de lombotomie. À la révision des images radiologiques, les douleurs sont expliquées par une infiltration de la paroi abdominale en regard de la cicatrice opératoire, en progression. Nous mettons en place un traitement alternant le Dafalgan et Brufen au vu des comorbidités du patient, à savoir un rein unique et la progression métastatique hépatique. Au vu de la perte pondérale, de la satiété précoce et d'une sensation de blocage épigastrique plus important lors de la prise alimentaire solide que liquide, nous effectuons une gastroscopie qui ne montre pas de lésion pouvant expliquer la symptomatologie du patient. Nous mettons en place un traitement symptomatique par Motilium. Au vu d'une évolution clinique et biologique favorable, avec amélioration des tests hépatiques, Mr. Y peut regagner son domicile le 17.01.2019. Un rendez-vous est prévu à la consultation de Dr. X le 22.01.2019 et les soins à domicile ainsi que l'équipe de Voltigo sont activés. Nous prescrivons également des séances de physiothérapie en ambulatoire.Mr. Y est un patient de 85 ans connu pour une cardiopathie ischémique multi-stentée, qui nous est adressé électivement pour un bilan d'anémie avec une Hb à 82 g/L. A noter une hématurie macroscopique depuis août 2018 suite à un choc au niveau du bassin (hématome vésical retrouvé sur une échographie abdomino-pelvienne en septembre 2018). A l'entrée dans le service de médecine, le patient est asymptomatique sur le plan de l'anémie et on retrouve la notion d'hématurie macroscopique comme unique signe de spoliation. Le status est sans particularité, excepté des oedèmes bilatéraux des membres inférieurs prenant le godet. Lors de son séjour, le patient bénéficie de la transfusion de 3 CE (les 12, 15 et 16.02.2019 respectivement). Un scanner abdominal du 12.02.2019 confirme la présence d'un volumineux caillot sanguin de 7 cm et montre une lésion de la paroi latérale gauche de la vessie sans dilatation en amont évoquant avec forte suspicion une tumeur intra-vésicale. Le patient est transféré dans notre service de chirurgie le 18.02.2019 et bénéficie d'une cystoscopie par le Dr. X. Lors de celle-ci, l'hématome est drainé et la lésion d'aspect tumoral est partiellement réséquée à but diagnostique. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. Après un retour à des urines claires, la sonde vésicale de rinçage peut être retirée le 21.02.2019. Au vu de la bonne évolution clinique, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile le 22.02.2019. Nous organisons un contrôle clinique chez le Dr. X le mardi 05.03.2019 à 10h00 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 84 ans, hospitalisé depuis le 24.01.2019 à Riaz pour une cholécystite lithiasique avec traitement antibiotique par Ceftriaxone et Metronidazole. Les paramètres de cholestase restent stables mais au vu d'un syndrome inflammatoire en augmentation, le patient est transféré le 28.01.2019 à Fribourg dans le service de chirurgie pour un drainage vésiculaire sous guidage scannographique. Le CT-scan effectué à Fribourg montre toutefois un drainage spontané de la vésicule ne nécessitant pas de geste invasif. Au vu des comorbidités du patient, celui-ci est admis en surveillance aux soins intensifs. Sous traitement par Ceftriaxone et Métronidazole, le patient présente une bonne évolution clinique et laboratoire. Les investigations radiologiques mettent en évidence de multiples adénopathies rétropéritonéales importantes. Un examen clinique approfondi montre une prostate indurée et un PSA à 23. Au vu de l'absence de disponibilité d'un IRM de la prostate lors de son hospitalisation, nous organisons le dit examen en ambulatoire pour le 22.02.2019. Une insuffisance rénale aiguë est mise en évidence dont l'origine est multifactorielle : contexte septique, néphropathie au produit de contraste et traitement diurétique. Une hydratation permet de restaurer une bonne diurèse. Le patient est connu pour fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom. Au vu d'une crase incoagulable, celle-ci a été réversée par l'administration de vitamine K et Beriplex à l'étage de chirurgie en prévision de l'éventuel drainage de la vésicule. Vu l'absence de geste invasif, l'anticoagulation est reprise le 29.01.2019 avec de la Clexane thérapeutique suivie d'un relais au Sintrom dès sa sortie. Au vu de la bonne évolution clinique, nous laissons le patient rentrer à domicile le 08.02.2019. Il sera convoqué à la consultation des chefs de clinique après l'IRM de la prostate. Mr. Y est hospitalisé pour la pose d'un défibrillateur à 3 sondes pour une resynchronisation cardiaque dans un contexte de dysfonction ventriculaire gauche avec une FEVG à 35% sur cardiopathie ischémique le 11.02.2019. L'intervention se déroule sans complication. La radiographie post-opératoire confirme la bonne tenue de l'intervention. Nous proposons un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant. Le patient sera convoqué dans 4-6 semaines pour un contrôle du pacemaker. Nous ne modifions pas le traitement en place. Mr. Y peut rentrer à domicile le 28.02.2019. Mr. Y, 68 ans, connu pour un AVC hémorragique avec lésion séquellaire occipitale droite et cérébelleuse gauche en 1999, pour une cirrhose, un diabète insulino-traité et une insuffisance rénale chronique, est hospitalisé aux soins intensifs puis à l'étage de médecine interne pour un état de mal épileptique probablement sur cicatrices d'hémorragies cérébrales. Il a présenté le 29.01.2019 une crise tonico-clonique traitée par benzodiazépines en extra-hospitalier. En raison d'un état confusionnel hyperactif, il a été intubé aux urgences et a bénéficié d'un CT-scan cérébral, ne montrant pas d'AVC ischémique ou hémorragique. Il est chargé en Keppra. L'évolution neurologique est favorable avec réveil et extubation. L'EEG ne retrouve pas de foyer franc et le Keppra est poursuivi. Un taux plasmatique de Keppra est réalisé le 05.02.2019, le résultat sera pisté par les neurologues et le traitement adapté au prochain contrôle. Un EEG est agendé 3 semaines après sa sortie. L'interdiction de conduire a été signifiée au patient en présence de sa famille. La radiographie thoracique montre des infiltrats multiples, possiblement sur broncho-aspiration, raison pour laquelle une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est débutée puis arrêtée face à l'absence de symptômes. Le patient est connu pour une cirrhose, actuellement CHILD A, qui est suivie à Berne. Les tests hépatiques sont à contrôler régulièrement dans le contexte de la thérapie anti-épileptique. Le prochain rendez-vous hépatologie est prévu le 18.02.2019. Il est connu pour une insuffisance rénale chronique sur néphropathie diabétique avec protéinurie progressive, suivi par le Dr. X. Il présente actuellement une légère acutisation d'origine probablement pré-rénale au vu du contexte. Nous avons réalisé une récolte urinaire de 24h qui montre une clairance à 49 ml/min et une protéinurie à 4.97 g/24h (albumine 4,239 g/24h). Le sédiment urinaire est inactif. Sur proposition du Dr. X, nous ne majorons pas l'IEC dans l'immédiat en raison de la composante pré-rénale. Le patient prendra rendez-vous pour un prochain contrôle néphrologique à sa sortie. Une acidose métabolique hyperchlorémique est mise en évidence. Le diagnostic est soit une réanimation volémique au NaCl 0.9% soit sur son insuffisance rénale chronique. Pour cette raison, nous introduisons du Nephrotrans. Les gazométries veineuses de contrôle montrent une lente augmentation du bicarbonate et la chlorémie reste élevée à 116 mmol/l. La poursuite du Néphrotrans est à réévaluer par le médecin traitant. On constate une hypertension artérielle mal contrôlée, pour laquelle nous modifions l'horaire des antihypertenseurs actuels pour optimiser leur profil d'action, avec une légère amélioration du profil tensionnel. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 06.02.2019. Mr. Y est connu pour des douleurs lombaires chroniques habituellement soulagées par des traitements ostéopathiques. Il présente depuis le 11.01.2019 des douleurs au niveau lombaire, avec irradiation dans les deux jambes, à gauche plus qu'à droite, apparues progressivement, tout d'abord uniquement pendant une activité physique, puis constantes par la suite. Il consulte les urgences le 12.01.2019 en raison de la persistance des douleurs, d'intensité 10/10 et non soulagées par la prise d'une antalgie per os. Pas de notion de traumatisme récent, d'anesthésie en selle, d'incontinence urinaire ou fécale, de paresthésies ni de perte de force musculaire des membres inférieurs. A l'examen clinique, Mr. Y présente un faciès algique. Il est hémodynamiquement stable et afébrile. Au status neurologique, pas de déficit sensitivomoteur des membres inférieurs. Le Lasègue est positif bilatéralement à 15°. Les réflexes ostéo-tendineux sont normovifs et symétriques. La marche est non testable en raison des douleurs. Mingazzini et Barré tenus des deux côtés, Barré très douloureux. Le status ostéo-articulaire ne met pas en évidence de douleur à la palpation de la colonne lombaire ni des deux crêtes iliaques.Nous administrons initialement aux urgences une antalgie par Fentanyl, Paracétamol et Diclofénac, suivie par titration de la morphine en raison d'une réacutisation de la douleur après moins d'une heure. Malgré l'antalgie, la mobilisation demeure impossible, raison pour laquelle le patient est hospitalisé avec mise en place d'un traitement par Oxycontin et Oxynorm qui est bien toléré, sans effet secondaire. Au vu des douleurs en diminution par la suite, nous effectuons un relais des antalgiques en faveur du Tramal retard 100 mg 2x/j et du Tramal gouttes 25 mg en réserve, maximum 4x/j, qui contrôlent favorablement les douleurs. Une IRM lombaire effectuée le 15.01.2019 met en évidence une hernie discale bilatérale L4-L5 avec compression de la racine de L5 bilatéralement. Nous contactons la Team Spine et le Dr. X propose un traitement de Dexaméthasone pendant 5 jours. Les contrôles de l'examen neurologique ne montrent pas de déficit au cours du séjour. L'évolution étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 18.01.2019. Il sera revu à la consultation de la Team Spine le 05.02.2019. En cas d'apparition d'une symptomatologie neurologique, le patient est tenu de consulter rapidement un service des urgences. Mr. Y est un patient de 21 ans, qui se présente aux urgences le 04.02.2019 suite à l'apparition progressive de douleurs abdominales nouvelles en fosse iliaque droite depuis le 02.02.2019. Il présente cliniquement une défense et détente localisée en fosse iliaque droite. Un laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire et un ultrason confirme une appendicite aiguë. Le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique d'urgence qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples. Nous laissons le patient rentrer à domicile le 06.02.2019 en bon état général et confortable avec l'antalgie. Mr. Y, 76 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un état confusionnel et une épilepsie. L'état neurologique nécessite un suivi rapproché de 8 jours, le patient est transféré en médecine interne, HFR Tafers, le 24.02.2019. Un événement cérébro-vasculaire nouveau est écarté devant un CT sans nouvelle lésion et un tableau clinique atypique (patient retrouvé au sol à domicile, dysarthrie nouvelle s'inscrivant dans une confusion majeure). Nous retenons comme cause la plus probable à l'état confusionnel une épilepsie partielle complexe séquellaire d'un AVC ischémique survenue en 2014, même si l'EEG effectué ne montre pas d'éléments paroxystiques. Des épisodes semblables sont en effet déjà décrits lors des séjours en neurologie de l'Inselspital. Une composante médicamenteuse est également suspectée, notamment sur phénytoïne. Une démence vasculaire reste aussi une hypothèse. Le patient présente une somnolence en alternance avec des phases d'hétéro-agressivité nécessitant une surveillance prolongée aux soins intensifs, une sédation par Midazolam et une contention physique. Après adaptation du traitement anti-épileptique et majoration du traitement neuroleptique de fond, le patient se calme progressivement, devant gérable sans contention chimique depuis le 22.02.2019. Nous prenons alors l'option d'un transfert à Tavel, le milieu germanophone semblant être important pour l'encadrement du patient. En raison du risque de chute, un tapis sonnette sera nécessaire, avec blocage du lit contre un mur de l'autre côté. En discussion avec les neurologues, le traitement antiépileptique a été changé en cours de séjour, avec majoration du Neurontin, de l'Urbanyl, et introduction du Vimpat. La Phénytoïne, surdosée selon le taux et potentiellement confusiogène, est diminuée dans un but de la sevrer complètement dans les jours à venir. À notre connaissance, le Keppra avait été arrêté dans le passé aussi pour un état confusionnel. Le neurologue référant connaissant le mieux le patient est le Dr. X : nous vous prions de le contacter le 25.02. Durant l'hospitalisation, le patient présente un pic fébrile et le bilan permet de conclure à une possible pneumonie de broncho-aspiration d'évolution favorable par un traitement de Co-amoxicilline pendant 5 jours. À noter une rétention urinaire aiguë à l'arrivée aux urgences nécessitant la mise en place d'une sonde urinaire qui est retirée le 20.01.2019. Suite au retrait de la sonde urinaire, on note un épisode d'hématurie macroscopique mis sur le compte d'une possible lésion post-sondage au niveau du pénis. Mr. Y, patient de 45 ans, est admis aux soins intensifs pour une désensibilisation à l'Oxaliplatine le 26.02.2019. Le patient a reçu l'Oxaliplatine le 05.02.2019 dans le contexte d'une chimiothérapie palliative pour un adénocarcinome rectal et il a développé une réaction allergique grade III. Ce jour, il bénéficie d'un schéma de préparation avec la Prednisolone et Clemastine avec un schéma progressif de l'Oxaliplatine. Durant l'administration de 10 % du dosage habituel de l'Oxaliplatine, le patient présente une nouvelle réaction allergique avec un rash cutané et des nausées avec une amélioration rapide après l'interruption de la perfusion d'Oxaliplatine. La suite de la prise en charge oncologique sera à définir avec l'équipe d'oncologie. Comme la surveillance hémodynamique durant une nuit se passe favorablement, le patient rentre le 27.02.2019 à domicile. Mr. Y est un patient de 71 ans, aux antécédents et comorbidités susmentionnés, chez qui une lésion nodulaire scissurale entre le lobe supérieur droit et le lobe inférieur droit est découverte lors d'un CT thoracique, réalisé dans un contexte d'hémoptysie fin décembre 2018. Le cas est discuté au tumorboard thoracique le 16.01.2019 et une intervention chirurgicale pour biopsie est retenue. Celle-ci se déroule le 07.02.2019 sans complication. Le premier drain est retiré le 08.02.2019 et le deuxième le 10.02.2019. Le contrôle radiologique démontre par la suite un pneumothorax au niveau apical d'env. 2 cm. Après discussion avec le Dr. X et au vu de la bonne évolution clinique, le patient peut rentrer à domicile le 12.02.2019, avec un contrôle à la consultation de chirurgie thoracique le 22.03.2019 à 10h00. Mr. Y, 71 ans, connu pour un status post-segmentectomie des segments 1 et 6 par thoracotomie droite le 07.02.2019, qui nous est adressé par son médecin traitant en raison d'une dyspnée avec syndrome inflammatoire et radiologiquement un hydro-pneumothorax avec foyer de pneumonie à droite. Nous introduisons un traitement conservateur par Co-Amoxicilline intraveineux. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, l'antibiothérapie peut être relayée par voie orale le 24.02.2019. Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 26.02.2019. Mr. Y, 71 ans, a été admis aux soins intensifs pour une surveillance après thoracotomie élective. M. Y présente une hémoptysie fin décembre 2018. Une lésion nodulaire scissurale de 3 x 2 x 2 cm entre le lobe supérieur droit et le lobe inférieur droit a été découverte au cours du bilan par imagerie. Le cas est discuté au tumor board de chirurgie thoracique le 16.01.2019, et une indication chirurgicale à visée diagnostique a été retenue. L'intervention planifiée avec segmentectomie et adhésiolyse se déroule sans complication. Deux drains sont mis en place avec un contrôle radiologique post-opératoire sans signe de complication. Le patient ne présente pas de trouble ventilatoire et bénéficie d'une oxygénothérapie en post-opératoire. Les douleurs sont bien contrôlées avec l'antalgie péridurale et l'ajout d'oxycodone par voie orale. Le patient reste hémodynamiquement stable de même que le taux d'hémoglobine.Mr. Y est un patient de 75 ans, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge élective d'un anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale. Il bénéficie le 11.02.2019 de l'intervention susmentionnée avec une surveillance aux soins intensifs jusqu'au 12.02.2019. L'évolution post-opératoire est par la suite favorable, permettant un retour à domicile le 19.02.2019. Nous laissons le soin au médecin traitant d'adapter le traitement antihypertenseur au besoin. Un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X est agendé en date du 28.05.2019 à 11h00 ainsi qu'un contrôle angiologique le 16.05.2019 à 8h30. Un contrôle par angio-CT est prévu le 17.05.2019 à 8h30. Mr. Y, 75 ans, a été hospitalisé pour un anévrisme de l'aorte sous-rénale, qui a été traité chirurgicalement en électif par un tube droit par accès rétro-péritonéal, puis admis aux soins intensifs pour une vasoplégie post-opératoire. L'intervention s'est déroulée sans particularité. Une correction volémique par cristalloïde 5000 ml, Voluven 500 ml et une restitution par cell-saver de 934 ml ont été effectuées durant l'intervention et post-opératoire immédiat. Malgré le remplissage vasculaire, une vasoplégie persistante favorisée par l'ischémie-reperfusion et l'antalgie péridurale a nécessité un soutien vasopresseur de noradrénaline qui a pu être sevré en moins de 24h. Le traitement antihypertenseur habituel du patient par bêta-bloquant et inhibiteur de l'enzyme de conversion sera à reprendre au cours de l'hospitalisation. L'anticoagulation prophylactique par héparine pourra être remplacée par de l'enoxaparine sous-cutanée à 48h de l'intervention en cas de normalisation de la fonction rénale. Une analgésie péridurale Th8-9 a été mise en place en per-opératoire et sera suivie par l'équipe d'antalgie. La baisse de l'hémoglobine a été attribuée aux pertes per-opératoires et à une hémodilution. Une légère insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale est survenue dans le contexte de la vasoplégie et sera suivie jusqu'à normalisation. Une protéinurie modérée avec hypoalbuminémie nécessiteront un contrôle au décours de la phase aiguë. Une leucocyturie a été constatée sur le sédiment urinaire prélevé après le sondage vésical et l'antibioprophylaxie per-opératoire par Céfuroxime. En cas de persistance de la leucocyturie ou de symptômes compatibles avec une infection des voies urinaires basses, il faudra considérer une antibiothérapie (culture urinaire en cours) a priori de 14 jours et une ablation de la sonde vésicale dès le retrait du cathéter péridural. Le patient a été transféré le 12.02.2019 dans le service de chirurgie. Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle sous Lisitril 20 mg ainsi qu'un tabagisme actif à 80 UPA, consulte les urgences le 28.01.2019 en raison de douleurs thoraciques présentes depuis 6 jours. L'anamnèse est difficile en raison d'un patient qui parle polonais et difficilement le français. Il décrit des douleurs thoraciques persistantes précordiales et de façon sporadique au niveau épigastrique. Il a présenté une sensation de serrement le 27.01.2019 au niveau rétrosternal avec sensation d'engourdissement au niveau de la main gauche le 27.01.2019. De plus, il présente une dyspnée en péjoration depuis quelques jours, avec une toux chronique connue depuis 10 ans avec présence d'expectorations (jaune-blanc). Il décrit également des vertiges et des céphalées. Il y a une notion de voyage récent de 12 heures. Il aurait présenté des douleurs musculaires au niveau des mollets ces derniers jours de façon bilatérale. A l'admission aux urgences, le patient est en état général conservé. Tension artérielle 150/80 mmHg, fréquence respiratoire 24/min, fréquence cardiaque 108/min, température 37.6°C et saturation à 95% à l'air ambiant. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, sans souffle audible. Présence de légers œdèmes des membres inférieurs. Pouls périphériques palpés. Au niveau pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique avec présence de sibilances diffuses et de ronchis à gauche. Au status digestif, les bruits hydroaériques sont normaux en tonalité et en fréquence. L'abdomen est globuleux avec un ventre souple, légèrement sensible au niveau du flanc gauche sans défense ni détente. Les loges rénales sont souples et indolores. Au laboratoire, nous retrouvons une hyponatrémie hypo-osmolaire avec un sodium urinaire à 119 mmol/l, raison pour laquelle nous débutons une restriction hydrique à max 1 litre par jour. L'électrocardiogramme ne montre pas de signe d'ischémie aiguë. La radiographie de thorax met en évidence une opacité au niveau de la 2ème côte, sans foyer pulmonaire. Nous dosons des D-dimères en raison d'un score de Genève avec un risque intermédiaire qui reviennent négatifs. Le delta des troponines est négatif. Nous excluons un diagnostic de syndrome coronarien aigu, de pneumonie ou d'embolie pulmonaire et retenons des douleurs thoraciques d'origine pariétale. Par ailleurs, le patient présente une perturbation des tests hépatiques avec une consommation d'alcool à risque raison pour laquelle nous réalisons une US abdominal qui montre uniquement une stéatose hépatique. Nous réalisons une intervention brève limitée par la barrière de la langue. Dans ce contexte, nous hospitalisons le patient pour suite de prise en charge d'une hyponatrémie hypo-osmolaire à 119 mmol/l avec restriction hydrique et suivi clinico-biologique. Pendant l'hospitalisation la natrémie se corrige progressivement sous restriction hydrique et hydratation intraveineuse. Les douleurs thoraciques étant peu spécifiques et inconstantes, et vu la négativité des tests réalisés nous les attribuons à une origine pariétale ou anxieuse. Mr. Y peut regagner son domicile le 30.01.2019. Mr. Y, 75 ans, connu pour une HTA, est transféré des soins intensifs en médecine interne pour suite de prise en charge d'une embolie pulmonaire centrale bilatérale provoquée dans un contexte d'immobilisation avec signe de défaillance du cœur droit. Pour rappel, le patient présentait depuis 1 semaine des douleurs thoraciques fluctuantes avec toux et crachats, non améliorées par un traitement antibiotique pour une pneumonie par son médecin traitant. Un CT Scan met en évidence ces embolies pulmonaires bilatérales avec répercussion droite, confirmée par une échographie cardiaque. Une anticoagulation par héparine continue est initiée sans indication à une thrombolyse. Aux soins encore, deux épisodes de bradycardie sinusale asymptomatique sont observés et un Holter est effectué. Les résultats sont encore en cours. A l'étage, une ETT de contrôle à 48h montre une bonne régression des répercussions sur le cœur droit. Nous remplaçons l'anticoagulation par héparine pour du Xarelto, qui sera à continuer pour 3 mois si le contrôle des d-dimères est satisfaisant. Dans le cas contraire, nous vous laissons le soin de réévaluer la durée de l'anticoagulation. Les bêtabloquants sont repris à dose diminuée et seront à majorer par la suite selon la symptomatologie du patient, ainsi que la reprise de l'IEC. Le patient présente un bon profil tensionnel durant le séjour en médecine. Mr. Y peut rentrer à domicile le 01.03.2019 et bénéficiera de physiothérapie ambulatoire. Mr. Y, 75 ans, est admis aux soins intensifs pour une embolie pulmonaire centrale à risque intermédiaire élevé, hémodynamiquement stable.Une anticoagulation par héparine est débutée. L'échocardiographie initiale montre un VD dilaté avec une fonction encore conservée, avec une nette amélioration échographique le 25.02.2019. La surveillance hémodynamique reste sans particularité à part une bradycardie sinusale pendant le sommeil, pour laquelle les cardiologues proposent un holter. Il est transféré en médecine le 25.02.2019. Mr. Y est un patient de 53 ans qui se présente aux urgences avec un abcès péri-anal. Il bénéficie d'une incision avec drainage au bloc opératoire le 18.02.2019. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont simples et le patient peut retourner à domicile le 18.02.2019. Mr. Y, patient de 55 ans, connu pour un syndrome de Widal, est hospitalisé aux soins intensifs le 05.02.2019 dans un contexte de pancréatite aiguë sur probable hypertriglycéridémie familiale, se manifestant par une douleur épigastrique exquise, d'apparition brutale, irradiant en ceinture dans le dos. Dans le cadre de la pancréatite, un CT abdominal est réalisé et retrouve de multiples collections aiguës nécrotiques péri-pancréatiques, sans zone de nécrose intra-parenchymateuse. Un syndrome inflammatoire majeur (CRP > 200, plusieurs pics fébriles) motive la mise en place d'un traitement antibiotique par Imipenem. Plusieurs hémocultures sont réalisées et reviennent toutes négatives. Au décours, le patient développe une tachycardie et un iléus, secondairement à une souffrance organique. L'évolution clinique est favorable, avec une reprise progressive du transit et de l'alimentation. La pancréatite est attribuable à une hypertriglycéridémie sévère que nous retrouvons au laboratoire, sans autre facteur identifié (absence de dilatation des voies biliaires). Un traitement hypolipémiant et un traitement par protocole d'Insuline-Glucose sont introduits et permettent une diminution rapide des valeurs de triglycérides. Le traitement par fibrates et statine est cependant à poursuivre. Sur le plan endocrinologique, un diabète de type II inaugural est diagnostiqué avec une hémoglobine glyquée à 9.6 %. Les glycémies sont corrigées par Insuline. Sur le conseil des diabétologues, nous introduisons le 11.02.2019 un traitement de Metformine 500 mg 1x/jour. Nous vous suggérons d'organiser un suivi annuel chez un ophtalmologue (premier rendez-vous pris le 04.03.2019 à 14h30), des contrôles podologiques réguliers ainsi qu'un dépistage de néphropathie diabétique en ambulatoire, à distance de l'épisode aigu actuel. Au sujet de l'hypertriglycéridémie, une origine mixte familiale et diabétique est probable, les autres étiologies ayant été exclues. Un suivi diététique et endocrinologique aura lieu en ambulatoire. Sur le plan cardiologique, une fibrillation auriculaire transitoire à conduction rapide survient à plusieurs reprises au cours du séjour. Une cardioversion médicamenteuse par cordarone est effectuée à deux reprises. Au vu d'un score CHADS-VASC à 1, aucune anticoagulation n'est indiquée dans l'immédiat. Une échocardiographie transthoracique est réalisée et permet d'exclure une atteinte structurelle pouvant expliquer la fibrillation auriculaire. Un ECG Holter est aussi réalisé et nous vous laissons le soin d'en pister les résultats. Nos collègues cardiologues proposent de répéter l'ECG Holter à distance de l'épisode inflammatoire actuel, d'ici deux mois (16.04.2019 à 8h) et de réaliser une ergométrie d'effort et une consultation cardiologique par la suite (30.04.2019 à 9h). À noter qu'au vu de l'anamnèse familiale du patient positive pour le cancer colorectal (sœur et père), nous lui recommandons de réaliser une colonoscopie de dépistage. Au vu d'une évolution clinique et biologique favorable, le patient retourne le 16.02.2019 à domicile. Mr. Y est un patient de 87 ans, connu notamment pour une artériopathie stade IV du membre inférieur gauche, sous double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Plavix. Le patient chute dans son home le 19.02.2019 avec traumatisme crânien et perte de connaissance. Le personnel du home constate un saignement actif d'une plaie fronto-pariétale gauche et objective un membre inférieur gauche en rotation interne, fortement douloureux à toute mobilisation. Mr. Y est amené aux urgences par les ambulanciers qui retrouvent un patient tachycarde et hypertendu, avec un score de Glasgow à 15/15, ainsi qu'un état fébrile à 39°. À son arrivée aux urgences, le patient décrit des douleurs de la hanche gauche, il présente une dyspnée avec sensation de palpitations, sans autre plainte aiguë. Le bilan radiologique met en évidence une fracture péri-prothétique Vancouver C du fémur distal gauche et la biologie révèle un syndrome inflammatoire initialement d'origine indéterminée. Au vu d'une notion de contage pour la grippe dans le foyer où réside Mr. Y, un frottis est effectué et revient positif pour l'Influenza. Au vu d'un état fébrile avec sensation de dyspnée, les antigènes urinaires sont prélevés, une culture d'expectorations est effectuée, examen qui ne révélera aucun germe. Par ailleurs, relevons une acutisation de l'insuffisance rénale chronique motivant un remplissage. Pour ce qui concerne la fracture, l'indication chirurgicale est retenue mais, vu le contexte infectieux, cette prise en charge est reportée à plus tard. Mr. Y est hospitalisé dans le service d'orthopédie où il bénéficie d'une antibiothérapie, ainsi qu'un traitement antalgique. Malgré un traitement adapté, l'état général du patient se péjore, la fonction rénale se dégrade chaque jour avec une clearance diminuant jusqu'à atteindre une valeur inférieure à 10 ml/minute. Par ailleurs, le patient présente des désaturations jusqu'à 85 % sous 2 litres d'O2 aux lunettes. Après plusieurs discussions avec la famille, il est décidé, après trois jours d'hospitalisation, de s'orienter vers des soins de confort. Le 24.02.2019 à 21h00, Mr. Y s'éteint entouré de sa famille. Mr. Y est un patient de 60 ans, suivi pour un cancer du sigmoïde de stade IV qui présente une lésion unique au niveau de la lingula ainsi qu'au niveau hépatique. Le cas a été discuté au Tumorboard, où on retrace l'indication à une résection extra-anatomique de la lésion pulmonaire. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire est favorable et nous retirons le drain aspiratif le 22.02.2019. Mr. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 22.02.2019. L'analyse histologique confirme le diagnostic de métastase de l'adénocarcinome. Le cas de Mr. Y est discuté au colloque interdisciplinaire Tumorboard du 27.02.2019. La patiente sera convoquée en oncologie pour discuter de la suite de la prise en charge et surveillance. Mr. Y, 60 ans, connu pour un adénocarcinome sigmoïdien avec métastases hépatiques, pulmonaires, rectales et du petit bassin actuellement sous chimiothérapie palliative, est hospitalisé pour une thermoablation d'une métastase hépatique du segment VI. L'intervention réalisée par le Dr. X se déroule sans complication. Le suivi bioclinique post-interventionnel à l'étage est bon. Nous proposons à Dr. X d'organiser un CT abdominal de contrôle dans 6-8 semaines. Le patient sera convoqué en chirurgie thoracique pour un traitement wedge prévu le 21.02.2018 par le Dr. X. Après l'intervention chirurgicale, le patient sera revu par Dr. X pour réévaluer la reprise du traitement de Lonsurf. Mr. Y peut rentrer à domicile le 11.02.2019, après 2 contrôles au laboratoire le 10.02 et le 11.02.2019 rassurants.Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un quadruple pontage aorto-coronarien. À son arrivée dans notre établissement, le patient n'a pas de plainte et l'anamnèse par système est sans particularité. Son traitement à l'entrée comprend : • Aspirine Cardio 100 mg, • Atorvastatine 40 mg, • Beloc Zok 50 mg, • Lisinopril 10 mg, • Ibuprofène 1800 mg à diminuer la dose à 1/2 cp 3x/j dès le 11.01.2019 et stop dès le 18.01.2019, • Dafalgan 1 g max 3x/j si douleurs, • Zolpidem 10 mg en réserve si insomnies. Sur le plan hépatologique, le patient avait présenté, le 10.11.2018, un foie de choc sur arrêt cardiorespiratoire ; au bilan biologique de contrôle du 15.11.2018, mise en évidence d'une perturbation des tests hépatiques. Un nouveau contrôle réalisé à son arrivée dans notre établissement montre des valeurs des tests hépatiques revenues dans la norme. Sur le plan dermatologique, les brûlures superficielles (2ème degré) au niveau du muscle grand glutéal ddc, liées à l'opération chirurgicale. La lésion sur le gluten droit s'est bien cicatrisée et elle est bien guérie. La lésion à gauche était plus grande et, au moment de la sortie du patient, elle est encore présente mais est bien diminuée. Nous avons conseillé de continuer avec le pincement et lui avons donné un protocole pour les médications. Sur le plan cardiologique, le patient est resté asymptomatique sans modification aux ECG de contrôles. Sur le plan tensionnel, les TA restent au niveau supérieur de la norme tout au long du séjour et nous lui conseillons de la contrôler à domicile, avec l'indication de prendre un rendez-vous auprès du médecin traitant pour éventuellement adapter la thérapie anti-hypertensive. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser jusqu'à un groupe d'intensité modérée. À la fin de la prise en charge, il est capable d'utiliser le tapis roulant pendant une durée de 25 minutes à une intensité de 5 %, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+75 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.1 mmol/l, des HDL à 1.03 mmol/l, des LDL à 1.84 mmol/l et des triglycérides à 0.92 mmol/l. 2. Sous traitement, la FC et la TA sont restées dans la norme. Mr. Y est admis pour une névrite vestibulaire gauche. Un scanner cérébral natif et injecté permet d'exclure des lésions ischémiques surajoutées. Nous introduisons un traitement symptomatique par Tanganil et antiémétique avec résolution des symptômes. Il bénéficie de physiothérapie vestibulaire avec reprise de la marche. Au vue de l'évolution clinique favorable, il peut retourner à domicile. Mr. Y est un patient de 63 ans, connu pour FA paroxystique sous Xarelto avec un antécédent d'AVC en 2017 sans séquelle, qui est hospitalisé pour suspicion d'AIT. Il présente le 15.02.2019 vers 15h, d'apparition subite, des vertiges avec paresthésies de la joue et du cou à droite sans parésie, accompagné d'une vision trouble, décalée avec nausées sans vomissements. L'épisode se résout complètement après avoir été à selles, après 5-10 min. À l'arrivée des ambulanciers et aux urgences, le patient reste asymptomatique sans autre plainte nouvelle. La surveillance neurologique à l'étage pendant 24h est sans particularité. Un CT ne montre pas de séquelles d'AVC, ni atteinte nouvelle. Selon avis neurologique, un IRM serait à proposer prochainement en ambulatoire afin de mieux caractériser les atteintes neurologiques antérieures. De plus, afin d'exclure une origine cardiogénique, une lecture du Reveal reste à effectuer. Selon avis cardiologique, afin d'améliorer la prévention d'événements ischémiques futurs, un switch de son anticoagulation par Eliquis serait préférable. Nous laissons le soin à son cardiologue traitant de réévaluer son anticoagulation. Vu la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 16.02.2019. Mr. Y, un patient de 85 ans, se présente aux urgences de l'HFR Fribourg le 04.02.2019 en raison de douleurs costales postéro-latérales à droite en augmentation depuis une chute mécanique dans les escaliers sur le dos le 31.01.2019. Le patient raconte avoir glissé tout en haut de ses escaliers extérieurs en raison de la neige/glace pour atteindre son studio au 1er étage. Il s'est réceptionné sur les côtes postérieures à droite, puis a glissé jusqu'en bas des escaliers. Les douleurs sont respiro-dépendantes, ainsi que reproductibles à la palpation. Il n'a pas de dyspnée. Il présente une légère toux, sans crachat ni fièvre. Il dit avoir eu un léger traumatisme crânien occipital, sans perte de connaissance ni d'amnésie circonstancielle. Le CMS a mis en place une antalgie avec Dafalgan et flector patch. Il présente une constipation depuis la chute sans trouble de la miction. Au status à l'entrée, l'état général est conservé. Le status cardiovasculaire est normal. Au niveau pulmonaire, les murmures sont symétriques et vésiculaires avec de légers râles crépitants basals D. Il y a une douleur à la palpation latéro-postérieure de la 12e côte droite ainsi qu'un hématome en regard. Le status abdominal est sans particularité. À la palpation de la colonne, il présente des douleurs au niveau thoraco-lombaires, le reste est indolore au niveau musculo-squelettique. Le status neurologique est globalement dans la norme. Mr. Y habite seul au-dessus de la boulangerie de son frère dans un studio au premier étage accessible avec des marches extérieures. Il s'occupe de tous les AVQ. Il a les soins à domicile une fois par semaine. Un bilan biologique est aligné, à l'échographie ciblée une fracture de la côte 12 postero-latérale droite est suspectée, par contre sans épanchement pleural ni pneumothorax lors du bilan radiologique. Sous antalgie simple et physiothérapie respiratoire, les douleurs ne sont pas contrôlées de manière satisfaisante. La mobilisation évaluée par les physiothérapeutes montre une autonomie dans les transferts, la marche ainsi que dans les escaliers. Sur souhait du patient d'un retour à la maison, en vue d'une amélioration clinique et suite à un entretien téléphonique avec le médecin traitant, Mr. Y peut regagner son domicile le 05.02.2019. Mr. Y, 55 ans, italien et de passage en Suisse, est admis aux soins intensifs pour un STEMI le 21.02.2019. Le patient présente des douleurs thoraciques de type angor avec un sus-décalage en aVR et sous-décalage diffus à l'électrocardiogramme. En pré-hospitalier, le patient présente une fibrillation ventriculaire et il a dû être massé et un choc électrique a été administré avec une reprise d'un rythme sinusal par la suite. Une coronarographie en urgence met en évidence une occlusion thrombotique du pont veineux de la branche marginale de l'artère circonflexe qui nécessite la mise en place d'un stent actif. Il bénéficie également d'une perfusion d'Abiciximab pendant 12 heures et son traitement habituel par Aspirine et Ticagrelor est poursuivi. L'introducteur de coronarographie est retiré le 21.02.2019. Au vu des signes radiographiques de surcharge, nous traitons le patient par diurétiques et introduisons du Lisinopril afin de diminuer la postcharge. La gazométrie met en évidence une insuffisance respiratoire partielle qui nécessite des séances intermittentes de ventilation non invasive avec une bonne réponse sur le plan ventilatoire. L'évolution favorable permet le transfert en médecine avec le sevrage des diurétiques.Sur le plan moteur, le patient a bénéficié d'un suivi physiothérapeutique et arrive à monter 2 étages, sans douleurs thoraciques ou dyspnée. Mr. Y rapporte des douleurs en lien avec le massage cardiaque, qui nécessitent l'introduction d'une antalgie par Paracétamol et Oxycodone. A noter un état fébrile d'origine indéterminée, sans piste clinique franche le 22.02.2019, possiblement attribuable à la lyse myocardique. Des hémocultures et un urotube prélevés le 22.02.2019 se sont montrés négatifs pour une origine infectieuse. Dans ce contexte, le patient rentre à son domicile, véhiculé par sa famille le 26.02.2019. Mr. Y, 55 ans, italien et de passage en Suisse, est admis aux soins intensifs pour un STEMI le 21.02.2019. Le patient présente des douleurs thoraciques de type angor avec un sus-déclage en aVR et sous-décalage diffuse à l'électrocardiogramme. En pré-hospitalier, le patient présente une fibrillation ventriculaire et il a dû être massé et un choc électrique est administré avec une reprise d'un rythme sinusal par la suite. Une coronarographie en urgence met en évidence une occlusion thrombotique du pont veineux de la branche marginale de l'artère circonflexe qui nécessite la mise en place d'un stent actif. Il bénéficie également d'une perfusion d'Abiciximab pendant 12 heures et son traitement habituel par Aspirine et Ticagrelor est poursuivi. L'introducteur de coronarographie est retiré le 21.02.2019. Au vu des signes radiographiques de surcharge, nous traitons le patient par diurétiques et introduisons du Lisinopril afin de diminuer la postcharge. La gazométrie met en évidence une insuffisance respiratoire partielle qui nécessite des séances intermittentes de ventilation non-invasive avec une bonne réponse sur le plan ventilatoire. Mr. Y rapporte des douleurs en lien avec le massage cardiaque, qui nécessitent l'introduction d'une antalgie par Paracétamol et Oxycodone. A noter un état fébrile d'origine indéterminée, sans piste clinique franche, possiblement attribuable à la lyse myocardique. Des hémocultures et un urotube prélevés le 22.02.2019 sont à pister. Mr. Y, dialysé 3x/semaine en raison d'une insuffisance rénale chronique sur un diabète de type 2, est adressé aux urgences le 18.01.2019 par le Dr. X, néphrologue traitante, en raison de l'apparition progressive depuis une semaine d'une dyspnée de stade 3-4 selon NYHA, de toux, de crâchats en augmentation (blancs), d'une pression thoracique d'allure sporadique, d'une fatigue et d'une baisse d'appétit. Il décrit également des crampes aux deux membres inférieurs, compatibles avec des douleurs fantômes car le membre inférieur droit est amputé au niveau du genou. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système, hormis se sentir moins bien après les 3 dernières dialyses, mais sans symptôme précis. A l'admission aux urgences, Mr. Y est en état général diminué. Il ne rapporte aucune douleur. Au status pulmonaire, pas de signe de détresse respiratoire de type cyanose ou tirage. Le murmure vésiculaire est difficilement audible, mais sans bruit surajoutés. A l'auscultation cardiaque, les bruits du cœur sont réguliers mais lointains. Pas de souffle audible. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Présence d'une hernie ombilicale indolore et difficilement réductible. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Les loges rénales sont indolores à la percussion. Aux urgences, le patient présente des désaturations à l'air ambiant, que nous corrigeons avec de l'oxygène aux lunettes, puis au masque. Sous 6 litres d'oxygène au masque, le patient présente des saturations à 94% (88% à domicile). Après 2 aérosols d'Atrovent et de Ventolin, le patient sature à 87 % sous 4 litres d'oxygène aux lunettes. La radiographie du thorax ne montre pas d'épanchement pleural, mais reste difficilement interprétable. La gazométrie artérielle montre une légère hypoxémie sans hypercapnie, sans oxygène majoré. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. A l'arrivée dans le service, le patient sature à 79% sous 2 litres d'oxygène branché sur la BiPAP, raison pour laquelle nous augmentons l'oxygène à 4 litres sur la BiPAP avec administration d'aérosols, avec bonne réponse et des saturations aux alentours de 88% par la suite. Une nouvelle radiographie de thorax réalisée le 21.01.2019 montre une atélectasie pulmonaire à gauche sans signe de foyer ni d'épanchement pleural. Sur le plan du traitement, le patient bénéficie d'une dose unique de Céfépime 2 grammes le 18.01.2019 en dialyse et d'une nouvelle dose le 21.01.2019 en dialyse également. Le laboratoire de contrôle du 21.01.2019 montre un syndrome inflammatoire à la baisse avec une CRP à 38 mg/l sans leucocytose. Au vu de la bonne évolution clinico-biologique et en accord avec le Dr. X qui a évalué le patient lors de la dialyse, Mr. Y peut regagner son domicile le 21.01.2019. L'antibiothérapie sera administrée lors des dialyses selon l'évolution clinique et biologique. A noter une anémie avec hémoglobine à 111 g/l le jour de la sortie, influencée par les mouvements liquidiens de la dialyse. Nous vous laissons le soin de suivre l'hémoglobine et d'effectuer un bilan d'anémie au besoin. Mr. Y présente un probable névrome en regard de la 1ère commissure de la main gauche. Je l'adresse chez le Dr. X à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal, pour une éventuelle prise en charge chirurgicale. Pas d'arrêt de travail. Je prie le secrétariat du Dr. X de convoquer le patient. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire ambulatoire suite à une maladie coronarienne tritronculaire avec STEMI antérieur le 11.12.2018. A son arrivée dans notre service, le patient se sent bien et il n'a pas de douleur. Son traitement à l'entrée comprend : Aspirine Cardio 100 mg, Beloc Zok 50 mg, Benerva 300 mg, BRILIQUE 180 mg, Lisinopril 10 mg, Simvastatine 20 mg, Dafalgan 1 g en réserve si douleurs, Tramal gttes en réserve si douleurs. A son arrivée dans notre centre, le patient est en isolement de contact pour suspicion d'Enterobacter résistante à la Vancomycine. Le frottis rectal du 08.01.2019 revient négatif et l'isolement est levé le 11.01.2019. Vu la présence d'une anémie macrocytaire avec un patient connu pour une consommation d'OH modérée, nous avons ajouté au traitement de la vitamine B12 jusqu'à la fin janvier 2019 et aussi de l'acide folique. Nous conseillons au médecin traitant de réévaluer l'anémie au prochain contrôle pour éventuellement stopper la substitution. Nous poursuivons aussi la thérapie avec Benerva et conseillons également pour ces vitamines de réévaluer la nécessité du traitement. Pendant l'hospitalisation, au moment d'une ETT de contrôle, nous avons retrouvé un anévrisme de l'aorte abdominale avec thrombose partielle dans la portion sous-ombilicale déjà connue par le patient. Malheureusement, nous n'avons reçu aucun rapport. Nous conseillons au médecin traitant un contrôle périodique de l'anévrisme. Sur le plan rythmologique, l'épreuve d'effort du 23.01.2019 est revenue positive sur le plan électrique mais négative sur le plan clinique. L'épreuve a démontré une ischémie électrique dans le territoire AL qu'il faudra réévaluer par tests de recherche d'ischémie (écho effort, scinti-IRM effort) prochainement. Vu que le patient nous réfère ne pas avoir de cardiologue, nous lui conseillons la Dr. X, avec l'indication de prendre un rendez-vous de contrôle dans 6-12 semaines.Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 30 minutes à une puissance de 66 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 20 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique à la sortie montre un cholestérol total à 4.1 mmol/L, des HDL à 1.05 mmol/L, des LDL à 2.94 mmol/L, des triglycérides à 1.53 mmol/L. • Mr. Y a arrêté de fumer en décembre. Il a eu un entretien avec notre tabacologue, la Dr. X, dans lequel il a montré une bonne motivation pour poursuivre l'arrêt. Il avait essayé le patch mais il l'a mal toléré. Les situations à risque et les stratégies de prévention de la rechute ont été rediscutées. Pour le moment, il n'a pas voulu un autre rendez-vous, mais la Dr. X lui a donné ses coordonnées et reste à sa disposition au besoin. • La pression artérielle basale et la fréquence cardiaque sont restées dans les valeurs normales. Mr. Y est un patient de 79 ans qui nous est adressé par le service de médecine interne de l'HFR Fribourg pour la prise en charge de troubles de l'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle le 23.01.2019. A l'entrée, le patient se plaint de troubles d'équilibre et d'insécurité à la marche, ainsi que de lombalgies. Mr. Y n'a pas d'enfants et il habite seul dans un appartement au 4ème étage avec ascenseur (pas d'escaliers nécessaires). Avant l'hospitalisation, le patient était autonome au niveau des AVQ et AVQ instrumentales et se mobilisait avec un rollateur. A l'entrée se présente un patient en état général légèrement diminué à cause des douleurs, bien orienté dans les trois dimensions, afébrile et stable sur le plan hémodynamique. Sur le plan clinique, nous retrouvons une hyporéflexie rotulienne et achilléenne bilatérale. Le reste de l'examen est dans les limites de la norme. Ad diagnostic principal et diagnostics supplémentaires 1 et 4) Nous effectuons une réadaptation musculo-squelettique et adaptons l'antalgie avec un bon effet. Nous poursuivons la substitution en vitamine D et calcium et réintroduisons le traitement par Miacalcic spray nasal 1x/j pour 4 semaines au total. La prochaine injection d'Aclasta est prévue le 13.02.2019. A l'entrée, la mobilisation de Mr. Y est limitée à cause des douleurs, il marche environ 100 m avec une autonomie réduite. Les escaliers ne sont pas testés. Le Tinetti est 25/28. Grâce aux thérapies intensives et individuellement adaptées, des progrès significatifs au niveau de la mobilisation, de la stabilisation de la marche et de l'équilibre sont objectivés. A la sortie, le patient peut faire des transferts d'une manière autonome, marcher de longues distances sans moyens auxiliaires (>500 m) de manière complètement autonome et faire 4 étages (72 escaliers) avec une rampe. Le Tinetti est 27/28 sans moyens auxiliaires. Ad diagnostic supplémentaire 2) Nous adaptons l'anticoagulation par Eliquis selon le poids et introduisons un traitement par Lisinopril 2.5 mg et Carvedilol 12.5 mg 2x/j selon avis cardiologique. L'échocardiographie de contrôle est prévue le 14.02.2019. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution et d'adapter le traitement en cas de besoin. Ad diagnostic supplémentaire 3) Le test du sang occulte dans les selles revient positif. Nous augmentons un traitement par Pantozol 40 mg 1x/j. Par la suite, l'hémoglobine se stabilise entre 100-110 g/L. Etant donné que Mr. Y reste hémodynamiquement stable et une amélioration progressive de l'hémoglobine durant l'hospitalisation est observée, nous ne prenons pas d'autres mesures et vous laissons le soin de suivre l'évolution du taux d'hémoglobine. Ad diagnostic supplémentaire 5) Le problème de constipation est résolu suite à l'adaptation du traitement laxatif. Ad diagnostic supplémentaire 6) Le problème de malnutrition est évalué par nos diététiciennes qui adaptent le régime alimentaire. En raison de la stabilité de son état général et de l'amélioration de l'autonomie et de la mobilisation durant l'hospitalisation, Mr. Y peut regagner son domicile le 05.02.2019. Mr. Y, un patient de 59 ans, nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire ambulatoire suite à une maladie coronarienne monotronculaire avec STEMI subaigu postérieur le 31.12.2018. Pour rappel, le patient a présenté pendant 4 jours des douleurs de type angor irradiant dans le bras gauche avec une péjoration des douleurs lors d'une promenade le jour où il décide de consulter (31.12.2018). Le médecin traitant objective des modifications ECG évocatrices d'un syndrome coronarien aigu. Les enzymes cardiaques étaient élevées. La coronarographie en urgence montre une occlusion de l'artère circonflèxe ostiale. Il bénéficie de la mise en place d'un stent actif avec un bon résultat final. Durant la surveillance rythmique, le patient a présenté un bref épisode de tachycardie ventriculaire non soutenue. L'ETT du 02.01.2019 montre un ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie modérée de la paroi latérale moyenne et de la paroi latéro-basale, ainsi qu'un débit cardiaque conservé, le patient ne présentant par ailleurs aucun signe d'insuffisance cardiaque. Traitement à l'entrée : • ASPIRINE Cardio 100 mg 1-0-0-0 • ATORVASTATIN crp 40 mg 0-0-1-0 • BELOC ZOK crp 25 mg 1-0-1-0 • EFIENT crp 10 mg 1-0-0-0 • LISINOPRIL crp 5 mg 1-0-1-0 • DAFALGAN crp eff 1 g en réserve si douleurs Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de marcher pendant une durée de 25 minutes sur une pente de 5.5 %. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 105 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final est négatif sur les plans électrique, clinique et rythmique et montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Aussi l'ETT a montré une bonne amélioration de la fraction d'éjection. A cause des épisodes de vertiges, nous avons initialement diminué le Beloc Zok et puis nous l'avons remplacé par du Bisoprolol. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques, de même que l'enseignement ICS. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.4 mmol/L, des HDL à 1.16 mmol/L, des LDL à 1.99 mmol/L, des triglycérides à 1.11 mmol/L. • Il a montré beaucoup d'intérêt lors des entretiens avec notre cardiopsychologue. Les situations à risque et les stratégies de prévention ont été rediscutées. • Après ajustement du traitement, la tension artérielle et la fréquence cardiaque restent dans la norme. L'examen clinique de sortie est sans particularités, avec une pression artérielle de 105/70 mmHg avec une FC à 63 bpm. Mr. Y, patient de 76 ans, est admis le 15.02.2019 aux soins intensifs en Stroke Unit pour surveillance d'un AVC ischémique temporo-occipital gauche.Le patient est anticoagulé pour une fibrillation auriculaire avec mise en suspend de l'anticoagulation début février 2019 en raison d'une intervention chirurgicale de décompression de racines L4-L5 au SalemSpital de Berne avec reprise du Rivaroxaban le 13.02.2019. Le 15.02.2019, le patient développe des troubles de la vue et consulte les urgences. Le bilan aux urgences retient un AVC ischémique temporo-pariétal gauche avec un CT-scan Time is Brain montrant une pénombre temporo-occipitale avec zone d'infarcissement temporale d'environ 30%. Un avis neurologique ne préconise pas de traitement endovasculaire. Une charge en Aspirine est administrée et le Rivaroxaban est mis en suspend. Le patient est alors admis pour surveillance aux soins intensifs. D'un point de vue clinique, le NIHSS d'entrée aux urgences est à 3 points avec une hémianopsie droite, une désorientation temporelle et une légère parésie faciale droite. Durant la surveillance aux soins intensifs, l'évolution est marquée par un NIHSS qui reste à 3 points à la sortie de la Stroke Unit monitorée. D'un point de vue para-clinique, le bilan étiologique est poursuivi avec un bilan lipidique et mesure de l'hémoglobine glyquée avec poursuite du traitement diabétique habituel et introduction d'un traitement par statines. Une IRM cérébrale et une échocardiographie transthoracique sont organisées et les résultats seront à pister. Le patient est connu pour une fibrillation auriculaire, mais au vu d'un rythme sinusal au monitoring des soins intensifs, un examen par ECG-Holter est également organisé afin de confirmer l'arythmie sinusale. D'un point de vue thérapeutique, l'antiagrégation par Aspirine est poursuivie sur avis neurologique jusqu'aux résultats de l'IRM cérébrale et de l'échocardiographie transthoracique, avec par la suite une possible reprise d'une anticoagulation thérapeutique qui serait à re-discuter avec les collègues neurologues. Mr. Y est un patient de 81 ans connu pour une démence avec nouveau état d'agitation qui est transféré à Marsens par son médecin traitant. Lors du transfert, le patient présente un état subfébrile à 37,8 °C, raison pour laquelle le patient est transféré au HFR de Fribourg pour effectuer un bilan somatique. Le bilan biologique est rassurant sans syndrome inflammatoire, un CT scan cérébral est effectué qui montre un hématome sous-dural fronto-pariétal droit sur fracture de l'os temporal. Sur avis de nos collègues de neurochirurgie de l'Inselspital Berne, le traitement est conservateur sans imagerie de contrôle nécessaire. La surveillance neurologique reste sans particularités, le patient ne présente pas de récidive de son état fébrile et peut être transféré à Marsens le 25.02.2019. Mr. Y présente une bursite prépatellaire aseptique suite à une contusion du genou G. Le patient bénéficie d'un traitement anti-inflammatoire par Irfen 600 mg, maximum 3x/j., ainsi qu'une poche à glace pour calmer la bursite prépatellaire. L'attelle jeans peut être enlevée. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Fin de traitement. Je reste toutefois à disposition. Mr. Y souhaite continuer le traitement conservateur étant donné qu'il n'y a pas eu plus de déplacement de la fracture. Je propose encore une fois un contrôle radioclinique dans une semaine. Mr. Y présente une omarthrose D avancée avec tendinopathie de la coiffe des rotateurs (sus-épineux). Après discussion des différentes possibilités de traitement, je lui propose une consultation spécialisée (Dr. X). En ce qui concerne sa gonarthrose D, à noter que les gonalgies sont associées à son surpoids, relativement important. Jusqu'à présent, aucune démarche afin de perdre du poids n'a été entreprise par le patient. Je propose donc à Dr. X d'adresser le patient chez une diététicienne, dans un premier temps, afin de l'aider dans sa démarche. Si Mr. Y arrive à prendre 10-20 kg, les problèmes de genoux deviendront probablement négligeables. Une intervention chirurgicale n'est pas indiquée pour l'instant. Toutefois, une infiltration par cortisone pourrait être répétée, mais actuellement, les douleurs ne sont pas assez importantes pour envisager ce geste. Je propose dans un premier temps d'adapter le traitement antalgique qui est à mon avis actuellement insuffisant. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu, mais je reste bien entendu à disposition en cas de péjoration des gonalgies, pour une éventuelle infiltration. Mr. Y, 19 ans, a été hospitalisé pour une psychose aiguë transitoire avec état d'agitation dans le cadre d'une prise de stéroïdes anabolisants. Le patient est connu pour une mucoviscidose delta-F508 homozygote, une insuffisance pancréatique exocrine substituée, un diabète secondaire à l'insuffisance pancréatique et une dénutrition sévère. Depuis environ 1 semaine, il consomme à visée anabolisante et en auto-médication de la chloro-dehydro-méthyl-testostérone (Turinabol) et un agoniste de la ghrelin (Ipamorelin), procurés via internet. Il a été retrouvé par sa sœur à domicile alors qu'il présentait des hallucinations et une dyspnée, puis une agitation psychomotrice à l'arrivée de l'ambulance. L'agitation a été attribuée à une psychose aiguë attribuée aux stéroïdes anabolisants. L'administration de midazolam iv (15 mg au total) et une contention physique ont été nécessaires pour parvenir à le calmer pendant quelques heures. Par la suite, le patient a manifesté une opposition à tous les soins et a présenté encore plusieurs phases d'agitation, d'hyperventilation partiellement induite volontairement avec accès de toux forcés, dans un but partiellement de défiance et manipulation. Ces crises ont cédé à l'administration de lorazépam iv. Des douleurs thoraciques ont été soulagées par l'administration ponctuelle d'une faible dose de morphine. Un trouble grave de la personnalité est le substrat de cette décompensation psychotique aiguë et alimente également des troubles du comportement avec une mise en danger dans le cadre de la consommation d'anabolisants, par voie iv et orale, probablement depuis plusieurs semaines. Le patient a une obsession centrée sur l'augmentation de sa masse musculaire. Cette obsession le pousse aussi à adopter une attitude hypochondriaque et paranoïde avec pour conséquence un tourisme médical depuis plusieurs mois. Suite à la crise psychotique aiguë actuelle, le psychiatre consultant a proposé d'introduire un traitement de Quétiapine per os (3x 25 mg/jour d'office et 2x 25 mg/jour en réserve), que le patient a refusé de prendre. L'hospitalisation est actuellement nécessaire afin d'organiser un suivi psychiatrique qui est impératif et devra se poursuivre en ambulatoire. Un transfert dans le service de pneumologie au CHUV a été organisé afin que ce cadre puisse se mettre en place dans un milieu où le patient se sente en confiance. La physiothérapie respiratoire a été effectuée dans des conditions initialement difficiles en raison de l'opposition du patient. Actuellement, il n'y a pas d'indice pour une nouvelle exacerbation infectieuse. Une culture d'expectoration est en cours, ainsi que le dosage de la concentration sérique d'itraconazole. Nous proposons d'effectuer une consultation de pharmacologie clinique afin de rechercher une interaction entre l'itraconazole et les stéroïdes anabolisants. L'axe gonadotrope est actuellement inhibé comparativement aux valeurs du 28.01.2019. Le Turinabol étant un anabolisant puissant, l'arrêt peut entraîner une baisse importante de la thymie après quelques jours. Le patient a été transféré le 05.02.2019 aux soins continus de médecine du CHUV.Monsieur Y, âgé de 21 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'hôpital pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une opération de correction pour une coxa-rototorta (75°) D le 05.02.2019. Sur le plan social, le patient est célibataire. Il vit avec 4 autres personnes dans un appartement. Il est en Suisse depuis 3 ans en tant que requérant d'asile. Sa famille est en Irak. Il prend des cours de français à Fribourg et souhaite commencer une école. Il a 6-7 escaliers à domicile. À l'admission, le patient n'a pas de plainte. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La flexion/extension de la hanche D à 70-0-0 en actif assisté et en passif. La force de la flexion de la hanche D est cotée à M4 et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, lors d'un dépistage systématique, Monsieur Y est diagnostiqué comme porteur de VRE. Le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec moyen auxiliaire (deux cannes anglaises) en respectant la décharge. Il peut monter et descendre les escaliers avec 2 cannes et la rampe. Après deux semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et le patient peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 22.02.2019 en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile pour continuer la prise en charge. Les soins à domicile sont activés. Monsieur Y est un patient de 51 ans, aux antécédents susceptibles, suivi par le Dr X. Lors d'un examen, mise en évidence d'une atrophie testiculaire droite suite à une cryptorchidie. Par ailleurs, le Dr X suspecte un cancer testiculaire gauche et, dans ce contexte, retient l'indication opératoire pour le 06.02.2019 en mode ambulatoire. L'intervention se déroule le 06.02.2019. Dans le post-opératoire, vu l'ampleur de la double orchidectomie, Monsieur Y est hospitalisé dans le service de chirurgie pour gestion de l'antalgie. Les suites post-opératoires sont favorables, avec bonne gestion de l'antalgie et absence de complication. Durant son séjour, le patient est sous antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour jusqu'au 07.02.2019, traitement qui est relayé per os à la sortie sous forme de Cefuroxime 2 x 500 mg/jour jusqu'au 12.02.2019. Le 07.02.2019, Monsieur Y peut retourner à domicile. Monsieur Y est un patient de 80 ans, institutionnalisé à l'EMS de la Sarine, connu pour une probable encéphalopathie de Gayet-Wernicke, qui nous est adressé pour altération de l'état de conscience et désaturation à 89%. Pour rappel, le 04.02.2019, le patient a présenté un pic fébrile avec présence d'urines floconneuses. Le matin du 05.02.2019, les soignants objectivent une altération de l'état de conscience et désaturation, motivant le transfert du patient au service des urgences. Le bilan d'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 174 et leucocytose. Le sédiment urinaire revient pathologique. Dans ce contexte, une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone IV est débutée, avec évolution clinico-biologique favorable. L'urotube revient positif pour un Citrobacter koseri permettant d'adapter l'antibiothérapie pour de la Co-amoxicilline per os, qui sera à poursuivre jusqu'au 11.02.2019. Le laboratoire d'entrée met également en évidence une insuffisance rénale aiguë d'origine probablement mixte, sur globe urinaire et déshydratation. Le patient bénéficie d'une hydratation IV et une sonde vésicale est posée, avec évolution favorable de la créatinine. À noter que la sonde urinaire est toujours en place au moment de la sortie du patient. Nous laissons le soin à nos collègues de l'EMS de retirer la sonde urinaire dès que possible. Le patient présente une perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée, possiblement dans le contexte infectieux. Un contrôle biologique est à prévoir à distance de l'épisode infectieux. À noter également un INR supra-thérapeutique, raison pour laquelle le sintrom a été transitoirement mis en suspens. Au vu des comorbidités et de l'état général du patient, nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à cette anticoagulation en fonction de la balance risque-bénéfice associée à ce traitement. Pour finir, le patient présente une candidose buccale pour laquelle des soins de bouche à la Mycostatine sont prescrits et à poursuivre jusqu'à disparition de la symptomatologie. Au vu de l'évolution clinico-biologique favorable, le patient est transféré à l'EMS de la Sarine le 08.02.2019. Monsieur Y, patient de 72 ans, connu pour des troubles cognitifs non bilantés, est hospitalisé pour une colonoscopie prévue le 31.01.2019. L'anamnèse auprès du patient est peu contributive mais selon le dossier, le patient aurait présenté plusieurs épisodes de rectorragie. L'examen endoscopique du 31.01.2019 met en évidence un polype colique de 4 mm au niveau sigmoïde qui est réséqué, ainsi qu'une diverticulose colique et des hémorroïdes de stade 2. Pour le reste, l'examen est dans la norme. La surveillance post-colonoscopie se déroule sans complication et le patient rentre à domicile le 01.02.2019. L'encadrement infirmier habituel est réactivé. Monsieur Y, connu pour un cancer de la prostate opéré en 2015 et sous Sintrom pour une thrombophilie, consulte les urgences le 21.01.2019 en raison de vertiges présents depuis 3 jours avec sensation de fatigue et de se sentir vaseux. Il décrit des vertiges rotatoires de début brutal, pendant quelques secondes et spontanément résolutifs. Les épisodes sont en augmentation en termes de durée et de fréquence. Ils sont présents même au repos mais surtout à la rotation de la tête. Il ne décrit pas de céphalée, de diplopie ni de perte de force ou de sensibilité. Pas d'autre plainte à l'anamnèse par système. À savoir que le patient a déjà présenté des épisodes de vertiges spontanément résolutifs sur quelques secondes durant les deux dernières années. Monsieur Y signale également un INR supra-thérapeutique le 16.01.19 à 4.2 lors de son dernier contrôle à votre consultation. À l'examen clinique, le patient est en bon état général mais vaseux en raison des vertiges. Il est bien hydraté et bien perfusé. Au status cardiaque, le rythme cardiaque est régulier. B1B2 sont bien frappés, sans souffle audible. Au status respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique sans bruit surajouté et sans signe de détresse respiratoire. Au status digestif, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. L'abdomen est souple et indolore sans défense ni détente. Au status neurologique, les pupilles sont isocores et isoréactives. Notons un nystagmus spontané horizontal battant à droite, non inhibé par la fixation du regard et aux lunettes de Frenzel, avec un Hallpike négatif et un Head impulse test positif à gauche. Les nerfs crâniens sont dans la norme avec une asymétrie faciale ancienne déjà connue avec abaissement de la commissure labiale droite. Pas de trouble sensitivo-moteur, les réflexes ostéo-articulaires sont symétriques. Les conduits auditifs externes sont calmes des deux côtés. Le laboratoire ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. L'INR est légèrement supra-thérapeutique à 3,4. Au vu de la clinique, nous effectuons un CT scan cérébral et des tissus mous du cou qui montre un discret infiltrat des bulbes carotidiens, sans sténose ni saignement au niveau cérébral. Un test de Schellong est négatif.Nous retenons le diagnostic de neuronite vestibulaire gauche et nous mettons le patient sous Prednisone 1 mg/Kg pendant 5 jours. Vivant seul à domicile, Mr. Y est hospitalisé en raison de troubles de la marche et des vertiges importants. Durant le séjour, nous mettons en évidence des troubles de la marche d'apparition antérieure aux vertiges. Nous effectuons un examen pallesthésique qui est pathologique au niveau du pied gauche avec l'absence totale de sensation de vibration au niveau du pied gauche. Nous mettons ces troubles de la marche dans le contexte de la parésie résiduelle du plexus lombo-sacré gauche sur hématome spontané du psoas sur anticoagulation orale datant du 31.08.2011 ainsi que du status post-PTH bilatérale. Au niveau des vertiges, l'évolution est favorable sous Prednisone et Mr. Y peut regagner son domicile le 26.01.2019 avec passage des soins à domicile 2x/semaine. Mr. Y présente une cardiomyopathie dilatée de découverte récente, bilan faite le 22.02.2019 par une coronarographie ne démontrant pas de lésion coronarienne, et par un cathétérisme cardiaque gauche/droite. Lors de cet examen, il présente une tachycardie ventriculaire non soutenue, et un passage en BAV III° motivant son admission aux soins intensifs. On note une récupération d'un rythme sinusal quelques heures après l'examen, avec encore un seul passage en TV non soutenu. Le 25.02.2019, on procède à la pose d'un pacemaker-défibrillateur resynchronisation, permettant l'introduction de bétabloquants dont la dose pourra être augmentée selon tolérance. L'étiologie de la cardiomyopathie reste indéterminée. Le traitement d'insuffisance cardiaque est bien supporté et devra encore être adapté. Selon évolution, un traitement d'Entresto pourrait être proposé. Le patient souhaite un suivi à Genève, où il est domicilié en semaine, par son médecin traitant le Dr. X ainsi que le cardiologue Dr. X. Mr. Y, patient de 91 ans, connu pour une insuffisance rénale chronique, une hypertension artérielle et une hypothyroïdie, est hospitalisé en raison d'une dyspnée d'effort NYHA 4. En effet, le patient présente depuis 3 jours une péjoration de sa dyspnée habituelle NYHA II, surtout le soir avec orthopnée et importante prise de poids avec OMI. Il rapporte également une toux depuis 5 jours avec expectorations sans fièvre. Pas de changement récent dans la médication, pas de surcharge sodée, prend régulièrement ses médicaments. Au status, nous mettons en évidence un œdème pulmonaire, accompagné par une turgescence jugulaire ainsi que des œdèmes des membres inférieurs. Au laboratoire, nous retrouvons des BNPs > 9000, accompagnant un syndrome inflammatoire, avec une CRP à 89 mg/l, et des leucocytes à 13.3 G/l. L'ECG du 07.02.2019 montre un Flutter auriculaire paroxystique, à conduction 2:1 le 07.02.2019, et une radiographie du thorax révèle une décompensation cardiaque, raison pour laquelle une thérapie par diurétiques est initiée avec du Lasix, du Metolazone et du Torem. L'insuffisance rénale chronique reste stable malgré ce contexte. Suite à une discussion avec le patient et sa famille, aucune autre investigation n'est réalisée. Au vu de l'amélioration clinique, biologique et radiologique de Mr. Y, un retour à domicile peut être organisé. À noter une tension encore fluctuante, pour laquelle le patient ne désirait pas rester hospitalisé plus longtemps. Le traitement anti-hypertenseur par Losartan est donc mis en pause, et un rendez-vous à votre cabinet doit être organisé par l'entourage, pour réévaluer le traitement diurétique et anti-hypertenseur. Mr. Y quitte notre service le 21.02.2019 à destination de son domicile. Mr. Y, un patient de 89 ans, était hospitalisé jusqu'au 23.01.2019 à l'HFR Riaz pour une baisse de la vigilance sur hypoglycémie et hypercapnie, se présente le 30.01.2019 au service des urgences de l'HFR Fribourg pour une aggravation de la dermo-hypodermite de la jambe gauche sous traitement par antibiotique per os. Un traitement par Co-Amoxicilline IV est mis en place et la jambe est surélevée pour améliorer le reflux centripète. La situation clinique du patient restant précaire, notamment sur le plan respiratoire, une discussion avec la famille est menée, celle-ci ne souhaitant pas d'acharnement thérapeutique. L'évolution est rapidement défavorable et Mr. Y décède le 01.02.2018. Vu le contexte général et selon la volonté de la famille, une autopsie ne sera pas effectuée. Mr. Y est un patient de 41 ans, aux antécédents susmentionnés, qui se présente le 30.01.2019 aux urgences en raison de douleurs épigastriques accompagnées de nausées sans vomissement. Le laboratoire montre une élévation progressive des tests hépatiques, raison pour laquelle le patient bénéficie d'une ERCP le 31.01.2019, qui ne met pas en évidence de cholédocholithiase. Le patient bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique le 02.02.2019 qui se déroule sans complication notable. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 04.02.2019. Mr. Y est toujours gêné par des douleurs antérieures du genou droit dans le cadre d'une tendinite chronique du tendon rotulien et également une bursite pré-patellaire chronique dans le cadre d'un status post-clou centro-médullaire du tibia droit. La situation est péjorée par l'activité professionnelle du patient (monter-descendre les escaliers, s'agenouiller, port de charge lourde). Pour cette raison, le patient n'a jamais pu reprendre son travail de maçon à 100%. La physiothérapie a permis d'améliorer la situation de même que l'ablation du clou, cependant on atteint actuellement un stade où il n'y a aucune progression. Pour cette raison, je souhaite adresser le patient au Dr. X, médecin-adjoint du team genou, pour voir si l'on peut améliorer la situation du patient sur le plan médical et chirurgical ou s'il faut plutôt l'orienter vers une reconversion professionnelle. Mr. Y est admis pour un AVC ischémique sylvien droit lysé dont l'origine est probablement cardio-embolique. Le patient, connu pour une FA intermittente non anticoagulée (sur son souhait), est amené en ambulance en raison d'une faiblesse de l’hémicorps gauche d'apparition brutale alors qu'il était en train de manger. Le patient appelle lui-même le 144. Après régression, les symptômes neurologiques réapparaissent avec hémisyndrome moteur gauche durant l'évaluation par les ambulanciers. Aux urgences, le NIHSS est coté à 12 et une lyse intraveineuse est débutée. Le CT cérébral ne montrait pas de zone ischémique ni d'amputation vasculaire. Aux soins intensifs, la surveillance se déroule sans complications. Le patient garde une légère dysarthrie et une discrète hémiparésie facio-brachio-crurale gauche avec aggravation fluctuante possiblement sur une claudication artérielle intermittente. Le CT cérébral de contrôle à 24h est normal. Au transfert en neurologie, le NIHSS est à 3. Une anticoagulation thérapeutique est à rediscuter à distance. L'IRM cérébrale et l'ETT sont à suivre. Mr. Y, patient de 80 ans, admis pour un AVC ischémique sylvien droit lysé probablement d'origine cardio-embolique. Connu pour une FA non anticoagulée (sur son souhait), il est amené en ambulance en raison d'une faiblesse de l’hémicorps gauche d'apparition brutale ce jour à 12h00 alors qu'il était en train de manger. Le patient appelle lui-même le 144. Après régression, les symptômes neurologiques réapparaissent avec hémisyndrome moteur G durant l'évaluation par les ambulanciers. Le patient ne rapporte pas de vertiges. Pas de céphalées. Pas de traumatisme crânien ni de perte de connaissance/contact.A l'admission, persiste une dysarthrie compréhensible et une discrète hémiparésie labio-brachio-crurale gauche. Mr. Y, patient de 80 ans, connu pour une fibrillation auriculaire depuis avril 2018 non anticoagulée sur son souhait. Il est admis aux urgences en raison d'une faiblesse de l'hémicorps gauche d'apparition brutale à 12h00 alors qu'il était en train de manger. L'évaluation initiale aux urgences met en évidence un hémisyndrome sensitivo-moteur proportionnel G à prédominance motrice, une dysarthrie ainsi qu'une désorientation spatio-temporelle avec un NIHSS initial à 12 points. L'angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux ne montre pas d'argument pour un AVC ischémique aigu et les cartes de perfusions reviennent symétriques, cependant au vu de la clinique parlant pour un AVC sylvien D profond, Mr. Y bénéficie d'une thrombolyse intraveineuse (rtPA) à dose standard. Il est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique pendant 24h avec une symptomatologie fluctuante. Le lendemain, la symptomatologie se stabilise avec bonne évolution clinique et persistance d'une parésie faciale mineure et d'une ataxie au MIG avec des signes d'atteinte pyramidale au MSG (pronation). Le CT cérébral natif de contrôle à 24h de la lyse permet d'exclure une transformation hémorragique secondaire. L'IRM cérébral confirme l'AVC ischémique aigu prenant la partie postérieure du striatum et de la capsule interne dans le territoire de l'artère choroïdienne antérieure. Mr. Y présente pendant le monitoring une FA intermittente. L'indication à l'anticoagulation est posée et le patient comprend l'importance d'un tel traitement suite à l'AVC afin de prévenir un nouvel événement. Un traitement par Xarelto 20 mg 1x/j est débuté le 20.02.2019 selon le protocole de l'étude ELAN. Au vu du LDL-cholestérol à 2.08 mmol/L, un traitement par Atorvastatine 10 mg 1x/j est mis en place avec un ciblé de LDL < 1.8 mmol/L en prévention secondaire post-AVC. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction. Un bilan neuropsychologique révèle de légers troubles séquellaires de l'AVC récent, telles de discrètes difficultés attentionnelles et exécutives. Le reste des fonctions cognitives est dans les limites de la norme. Il n'y a donc pas de contre-indication neuropsychologique à un retour à domicile. Au niveau physiothérapeutique, la marche est sécuritaire à l'aide d'un rollator dont il bénéficie à sa sortie. Nous mettons en place un passage des soins à domicile 1x/semaine. Nous proposons au patient la mise en place d'une curatelle de gestion et d'un téléalarme, qu'il finit par refuser. Mr. Y rentre à domicile le 27.02.2019 au vu de la bonne évolution dans notre service. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y présente une distorsion de haut grade du LCA. Comme diagnostic différentiel, il faut retenir une rupture partielle. Le Lachmann test montre un arrêt net. Pour cette raison, je ne pense pas qu'il s'agit d'une rupture complète. Le patient commencera un traitement conservateur avec la physiothérapie pour regagner la mobilité et la force ensuite il entraînera la proprioception. Je le reverrai dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Jusque-là, il reste en arrêt de travail à 50% attesté déjà par mon collègue, le Dr. X. Le patient est équipé d'une orthèse articulée du genou qu'il portera pour une durée de 6 semaines. Comme il arrive à marcher en charge et en déroulant le pas, la prophylaxie thrombo-embolique peut être arrêtée. Mr. Y est un patient de 41 ans connu pour le diagnostic susmentionné, qui bénéficie d'une fermeture de l'iléostomie le 18.02.2019. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont marquées par un iléus paralytique à J3 motivant une nouvelle mise à jeûn. L'évolution est par la suite favorable avec une réalimentation progressive. Le patient peut retourner à domicile le 26.02.2019. Mr. Y est hospitalisé suite à une tachycardie supraventriculaire de type AVRT orthodromique. En effet, il avait présenté des palpitations et de la dyspnée, sans douleurs. Une cardioversion médicamenteuse a été effectuée avec succès avec du Diltiazem IV. Le patient effectue une récidive de cette tachycardie nécessitant une nouvelle conversion par Dilzem et Belok Zok IV. Une surveillance rythmique aux soins intensifs est préconisée. Nous poursuivons le même traitement per os de Dilzem sur avis cardiologique. Le patient peut monter à l'étage de médecine au vu de l'absence de récidive. Si ces épisodes venaient à revenir, une poursuite du bilan avec étude électrophysiologique serait préconisée. Au vu de l'absence de récidive et de la bonne évolution, Mr. Y peut rentrer à domicile le 17.01.2019. Un suivi par le médecin traitant avec ECG de contrôle sera à organiser par le patient. Mr. Y, patient de 81 ans, connu pour une maladie coronarienne monotronculaire avec fonction cardiaque normale et porteur d'une valve aortique biologique, est hospitalisé aux soins intensifs le 30.01.2019 des suites de la mise en place d'une prothèse totale de hanche s'étant compliquée d'une vasoplégie post-opératoire nécessitant plusieurs litres de remplissage ainsi qu'un soutien aminergique transitoire. La noradrénaline peut être sevrée le 31.01.2019. Le patient est transféré à l'étage de médecine interne pour suite de prise en charge. Un traitement de diurétiques est introduit pour négativiser le bilan fortement positif. De plus, Mr. Y développe un état fébrile avec un syndrome inflammatoire. Un CT thoraco-abdominal met en évidence de manière fortuite une cholécystite lithiasique, sans dilatation des voies biliaires. Sur avis chirurgical, il est décidé d'initier un traitement conservateur par Metronidazole et Ceftriaxone, avec re-discussion à distance d'une intervention. Le syndrome inflammatoire est à la baisse durant l'hospitalisation et le status abdominal en amélioration, nous vous invitons à revoir l'indication à une cholécystectomie à distance. Sur le plan neurologique, le patient développe un état confusionnel aigu hyperactif post-opératoire, nécessitant une contention médicamenteuse par neuroleptique. La clinique du patient s'améliore après sa remontée des soins intensifs et aucune contention n'est nécessaire à l'étage de médecine interne. Au vu d'une évolution clinique favorable, Mr. Y est transféré à l'HFR Tavel en médecine interne le 11.02.2019 pour poursuivre sa prise en charge. Le jour du transfert, une hypokaliémie est mise en évidence au laboratoire, sans signes ECG, raison pour laquelle nous démarrons une supplémentation à la fois orale et intraveineuse. Nous vous invitons à surveiller quotidiennement les électrolytes jusqu'à la correction du trouble. Mr. Y sort de son séjour de reclassement en attente d'EMS le 28.01.2019, en raison d'une nécessité croissante de soins infirmiers et médicaux, suite à une parotidite aiguë survenue le 24.01.2019 et une dégradation de son état général (contexte palliatif). Un retrait thérapeutique avait été proposé au patient, en présence de son frère et représentant thérapeutique, le 25.01.2019, et refusé. Quant aux événements plus anciens, nous vous renvoyons à la lettre de sortie faisant état de son séjour en soins aigus du 19.12.2018 au 21.01.2019 dans notre service de médecine interne. La nuit du 01.02.2019, le patient présente un état fébrile associé à une désaturation nouvelle, une toux productive inefficace et une dyspnée. Au vu de l'évolution défavorable sur les semaines précédentes, avec une situation de plus en plus précaire et inconfortable, nous décidons de passer à un régime de soins de confort. Ceci est discuté avec et accepté par le patient le soir même, avant d'être communiqué au frère et représentant thérapeutique, Mr. Y. Une insuffisance respiratoire s'installe progressivement et le patient décède la nuit du 03.02 au 04.02.2019.Nous regrettons de ne pouvoir vous donner de meilleures nouvelles. Mr. Y est un patient de 25 ans, connu pour 3 épisodes de lithiase urinaire avec pose de double J à deux reprises dans la dernière année, qui se présente aux urgences le 22.02.2019 pour douleurs en fosse iliaque gauche similaires à celles des événements précédents. Le patient ne présente pas de fièvre ni autre signe de complication. Les examens radiologiques mettent en évidence une urolithiase de 7x6x4 mm à la jonction urétéro-vésicale gauche. Sur avis du Dr. X, urologue de garde, il est décidé d'hospitaliser le patient afin qu'il puisse bénéficier d'une nouvelle pose de sonde Double J à gauche le 23.03.3019. Il est transféré à l'Hôpital Daler le 23.02.2019 pour suite de prise en charge urologique. Mr. Y, 58 ans, est admis aux soins intensifs en post-opératoire d'une laparotomie avec adhésiolyse pour un iléus sur bride le 22.02.2019. Il est connu pour une sigmoïdectomie oncologique, adressé aux urgences de Tavel en raison de douleurs abdominales. Le bilan scannographique montre un iléus sur bride qui nécessite son transfert à Fribourg où il bénéficie d'une laparotomie avec adhésiolyse. En post-opératoire, il est admis aux soins intensifs pour une oligo-anurie et une vasoplégie nécessitant un soutien aminergique persistant malgré l'administration totale de 9L de cristalloïdes. En raison d'une augmentation des besoins en noradrénaline et d'une hyperlactatémie, un choc septique sur translocation bactérienne est traité par l'instauration d'une antibiothérapie par ceftriaxone. Le patient est initialement oligo-anurique avec une créatininémie normale et l'apparition d'une insuffisance rénale AKIN 2. Le remplissage vasculaire est poursuivi et la noradrénaline peut être sevrée le 25.02.2019. Par la suite le patient est stable hémodynamiquement sans amine. Sur le plan abdominal, le patient présente un iléus post-opératoire important nécessitant la mise en place d'une sonde nasogastrique en décharge qui rapporte des quantités de liquides importantes. Il présente des bruits hydroaériques mais sans reprise du transit. La sonde nasogastrique est arrachée dans la nuit du 24 au 25.02.2019 mais le patient refuse la pose d'une nouvelle sonde, malgré explications répétées. Les boissons de confort sont autorisées mais le patient est informé que la sonde devra être reposée en cas de nausées ou vomissements. Le patient présente une tristesse de l'humeur avec une acceptation difficile de sa situation et des soins proposés. La consultation de psycho-oncologie du 25.02.2019 ne peut malheureusement pas avoir lieu en raison d'une colère avec agitation du patient qui menace de se déperfuser et de quitter le service. Mr. Y présente une fracture déplacée de la base de la 1ère phalange du 5ème doigt de la main droite nécessitant une réduction ouverte et ostéosynthèse. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci, le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire le 11.02.2019. Il sera vu par nos collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mr. Y, patient de 68 ans, connu pour tabagisme et hypertension artérielle actuellement sans traitement, se plaint depuis septembre 2018 de dorsalgies évolutives. Une IRM de la colonne dorso-lombaire réalisée le 14.11.2018 montre une masse médiastinale infiltrant la vertèbre T4. Mr. Y est admis en réadaptation musculo-squelettique le 11.02.2019 avec pour projet la reprise de la chimiothérapie au HFR Fribourg au décours de son séjour. Mr. Y est marié, vit avec son épouse et est père de 2 enfants de 35 et 39 ans. Il est retraité. Il a travaillé auparavant comme transporteur. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et est aplaintif. Le statut objectivement montre une fonte musculaire massive avec perte de la faculté de la marche. La force musculaire est globalement à M4 aux 4 extrémités. Durant son séjour, il a présenté une agranulocytose (cf laboratoire) attendue au décours du cycle de chimiothérapie. Nous consultons dans ce contexte le Dr. X, infectiologue, ainsi que le Dr. X, oncologue de garde. Le patient a déjà reçu un traitement stimulateur de l'hématopoïèse le 10.02.2019 avec des effets attendus dans 7 à 10 jours. Elle ne préconise pas de nouvelle médication. Elle nous demande un bilan sanguin pré-chimiothérapie, chose que nous faisons le 22.02.2019. Le bilan lui a été communiqué. Au vu de la baisse de l'hémoglobine et de l'impossibilité d'effectuer une transfusion sur le site de Billens le weekend, nous vous laissons le soin d'organiser les transfusions à son arrivée à l'HFR Fribourg le 25.02.2019. Le patient ayant été afébrile et aplaintif, et l'agranulocytose étant de courte durée, nos deux confrères ne préconisent pas de mettre le patient en isolement. Le patient est averti de ces résultats et nous le rendons attentif à nous signaler tout changement de son état clinique. Nous surveillons aussi de façon plus rapprochée la température du patient. Un contrôle quotidien de la formule sanguine a été effectué les jours suivants jusqu'à résolution spontanée. Sur le plan nutritionnel, la malnutrition est passée de légère en novembre à grave en janvier. Actuellement il n'y a plus de malnutrition vu le poids stable depuis plus d'un mois et les apports qui couvrent les besoins. Le NRS est non significatif à 2/7. Nous vous recommandons la reprise de la prise en charge lors de son séjour à l'hôpital. Après deux semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour reprendre sa chimiothérapie à l'HFR Fribourg le 25.02.2019, dans un meilleur état général malgré un déconditionnement physique important. Nous le reprenons volontiers pour la suite de la réadaptation au vu de l'important potentiel d'amélioration. Mr. Y est un patient de 74 ans, qui consulte les urgences le 19.01.2019 pour des douleurs abdominales en recrudescence associées à une baisse de l'état général. Suivi par le Dr. X, il avait séjourné dans notre service de chirurgie en décembre 2018 dans le contexte d'une suspicion de néoplasie vésicale métastatique. Une TUR-V à fin diagnostique avait suivi à la Clinique Daler par l'urologue traitant. Le bilan initial aux urgences montre une progression de la probable tumeur vésicale avec développement d'une néphropathie sur obstruction de l'uretère droit, en plus d'une hyponatrémie. Le patient est brièvement admis aux soins intensifs jusqu'à stabilisation de sa natrémie, le transfert dans notre service de médecine s'opérant le 30.01.2019. Parallèlement au traitement symptomatique du patient et à la correction de la natrémie, nous rapatrions les résultats histopathologiques de la TUR-V, qui confirment le diagnostic de malignité. Le patient est présenté pour la seconde fois au tumor board d'urologie le 24.01.2019, lors duquel une chimiothérapie palliative est retenue. Ceci est communiqué le lendemain au Dr. X, puis au patient lors d'un colloque en compagnie des oncologues et d'un ami et traducteur. La chimiothérapie est initiée le 28.01.2019, mais l'etopophos originellement prévu dans le protocole de chimiothérapie ne peut être administré en raison d'une cytolyse et cholestase nouvelles. Un nouveau scanner thoraco-abdominal conclut à une progression au niveau des métastases pancréatiques conduisant à une obstruction des voies biliaires. Une antibiothérapie est débutée dans l'hypothèse d'une translocation bactérienne. L'évolution est lentement favorable avec diminution progressive de la perturbation des tests hépatiques et pancréatiques.Le patient présente également une néphropathie d'obstruction du rein droit sur obstruction urétérale dans le cadre d'une probable métastase intra-urétérale droite. Un US de contrôle effectué le 06.02.2019 met en évidence une légère amélioration de la dilatation avec un pyélon passant de 18 à 16 mm. En raison de l'absence d'impact sur la fonction rénale actuellement, nous laissons le soin à nos collègues d'oncologie, conjointement avec nos collègues d'urologie, de réévaluer la suite de prise en charge fonction de l'évolution clinique et scannographique à distance. A noter la mise en évidence d'une candidose orale pour laquelle un traitement par Fluconazole en dose unique et soins de bouche à la Mycostatine ont été administrés. L'évolution est favorable. Après discussion avec le patient, il est initialement décidé d'une réadaptation palliative afin d'organiser au mieux le retour à domicile dans un contexte de situation sociale complexe (barrière de la langue, patient non présent à domicile lors des passages des soins à domicile, dénutrition avec inappétence et indication médicale à une sonde nasogastrique). L'évolution de son état général étant finalement favorable, avec un patient devenant autonome sur le séjour et bien entouré de sa communauté, nous rediscutons du projet global avec un traducteur externe et optons pour un retour à domicile avec majoration de l'encadrement avec passage des soins à domicile 3x/sem et instauration de voltigo. En parallèle, le patient bénéficie du 2ème cycle de chimiothérapie du 19.02.2019 au 21.02.2019, qui est bien toléré, permettant un retour à domicile le 22.02.19. Mr. Y, un patient de 88 ans, connu pour une cardiopathie rythmique, ischémique et hypertensive avec une fraction d'éjection diminuée à 20 % et un pacemaker, nous est adressé par la cardiologie en raison d'une sensation de malaise et hypotension à 70/60 mmHg en cours d'une échocardiographie de contrôle ce jour. Il n'y a pas de perte de connaissance. Habituellement, sa tension artérielle systolique est entre 120 et 140 mmHg. Il n'a pas de plaintes cardiorespiratoires. Au status à l'entrée, le patient présente un état général réduit et est pâle. Les bruits cardiaques sont lointains, mais réguliers. Il présente des œdèmes des membres inférieurs au niveau des chevilles ne prenant pas le godet. Le status respiratoire est sans particularité. L'abdomen est distendu et globuleux, le reste est normal. L'examen neurologique est globalement dans la norme. Mr. Y est marié et vit avec son épouse dans une maison avec beaucoup de marches. Il n'a pas d'enfants. Il était autonome dans les AVQs et se mobilisait sans moyens auxiliaires. Un bilan biologique est réalisé, et l'ECG est superposable à ceux de janvier 2019. Selon avis du cardiologue traitant, Dr. X, le Torem est arrêté et l'IECA et le bêtabloquant diminués jusqu'à ce que le patient ne soit plus symptomatique de ses hypotensions. Suite à l'avis de l'angiologue, Dr. X, nous mettons en place des bas de contention type 2 après avoir confirmé une bonne perfusion des artères pédieuses dans un doppler réalisé le 07.02.2019. Selon conseil pharmacoclinique, nous introduisons une petite dose de Losartan à la place du Lisinopril, car en plus de l'effet cardioprotecteur, il a un effet bénéfique pour la réduction de crises de goutte (un antécédent connu chez ce patient). En raison d'un météorisme depuis le 11.02.2019, nous réalisons un ASP montrant une stase stercorale de tout le cadre colique, que nous traitons par des laxatifs et du Flatulex. Parallèlement, Mr. Y bénéficie d'une réhabilitation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie. A l'entrée, il effectue les transferts sous supervision, pas toujours sécuritaire, et se mobilise sous supervision sur une distance de 50 m. Le Tinetti est à 14/28. A la fin de l'hospitalisation, le patient est autonome dans les transferts, se mobilise de manière autonome sans moyens auxiliaires sur de longues distances et est autonome dans les escaliers. Le Tinetti est à 19/28. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut regagner son domicile le 16.02.2019 avec le passage des soins à domicile 2x/jour en raison des bas de contention. Mr. Y, 88 ans, est hospitalisé dans notre service de Chirurgie pour prise en charge d'une ischémie critique du membre inférieur gauche. Le patient, connu pour un thrombus intraventriculaire gauche, hospitalisé récemment pour un AVC, présente des douleurs au niveau du mollet gauche avec un gradient thermique et une légère discoloration au niveau du pied gauche. L'angio-CT montre une sténose sévère de l'artère poplitée distale, du tronc tibio-péronier jusqu'au départ de l'artère tibiale. Le patient bénéficie d'une angiographie permettant une recanalisation de l'artère poplitée et mise en place d'un stent au niveau du tronc tibio-péronier. L'évolution est par la suite tout à fait favorable, avec des pouls pédieux bien audibles au doppler et un pied chaud. L'anticoagulation par Xarelto est reprise dès le 29.01.2019. Le patient rejoint son domicile le 30.01.2019. Nous proposons un contrôle à la consultation d'Angiologie dans 3 mois et un contrôle en Cardiologie dans 2 semaines (ETT pour thrombus dans le ventricule gauche). Mr. Y, patient de 83 ans, est hospitalisé depuis le service des urgences en raison d'un état fébrile. Pour rappel, le patient se présente initialement au service des urgences pour une hématurie macroscopique dans la nuit du 29.01 au 30.01.2019, avec douleur sus-pubienne et accompagné d'un état fébrile à 38.0°C. Le patient présente une macrohématurie suite au changement de sonde double J le 11.01.2019, avec mise en place d'une sonde vésicale à 3 voies. Un traitement antibiotique (Vancomycine et Céfépime) est également déjà en cours au moment de son hospitalisation, administré en dialyse (suivi par Dr. X, antécédent récent d'infection à Morganella et E. faecalis, dernière dose administrée le 30.01.2019). Nous mettons transitoirement en suspens le traitement par Marcoumar, avec relais par héparine IV. Le Marcoumar est finalement réintroduit et l'héparine est stoppée le 11.02.2019. L'évolution est favorable avec les rinçages. Mr. Y présente un état fébrile dans la nuit du 31.01.2019. Un CT abdominal montre uniquement un fécalome pour lequel un lavement est effectué avec bonne résolution. Sur le plan urologique, le CT non injecté ne montre rien de particulier. Une antibiothérapie empirique par Méropénème est initiée dans l'hypothèse notamment d'un ESBL du 31.01 au 04.02.2019 sur avis infectiologique. Les urotubes et les hémocultures reviendront toutes négatives. Compte tenu d'un doute quant à une réelle origine infectieuse ainsi que de la réponse clinique aléatoire aux différents antibiotiques administrés, et en accord avec nos confrères infectiologues et néphrologues, nous convenons d'effectuer une fenêtre antibiotique et de ne plus réintroduire d'antibiothérapie en l'absence d'évolution septique. Il est également convenu de poursuivre les prélèvements microbiologiques en cas de fièvre, dans le but en particulier de documenter une éventuelle infection de cathéter. Le patient évolue cliniquement et biologiquement favorablement, ne présentant plus d'état fébrile pendant 6 jours. Dans la nuit du 04.02. au 05.02.2019, Mr. Y marche sur sa sonde provoquant une macrohématurie au niveau de la sonde vésicale, motivant un arrêt temporaire de l'héparine et mise en place des bottes antithrombotiques. De plus, en raison de l'impossibilité de déloger le caillot au niveau de la sonde vésicale, un changement de sonde est effectué par la garde de chirurgie avec réintroduction des rinçages en continu jusqu'à éclaircissement des urines. Le laboratoire montre une déglobulisation de 89 g/l à 78 g/l ce qui motive l'administration d'un culot érythrocytaire le 07.02.2019 et de 2 culots érythrocytaires en dialyse le 08.02.2019.Mr. Y rentre à domicile le 12.02.2019 sans réadaptation ou aide à domicile (à la demande du patient). Mr. Y est un patient de 29 ans, investigué dans le cadre d'une forte suspicion de double adénocarcinome colorectal du côlon ascendant ainsi que de la jonction iléo-cæcale, hospitalisé le 29.01.2019 afin de bénéficier d'une hémicolectomie droite avec CME. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables avec une reprise du transit à J1 et une réalimentation bien tolérée. Les résultats histopathologiques seront discutés lors du Tumorboard du 06.02.2019 et le patient sera convoqué par nos confrères du service d'oncologie pour le suivi de la prise en charge. L'évolution clinique et biologique est favorable et le patient rentre à domicile le 03.02.2019. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de diabète inaugural. En effet, il a présenté une baisse de l'état général avec polydipsie et polyurie chez un patient avec une anamnèse familiale positive. Le patient est hospitalisé pour hydratation, mise en place et adaptation du traitement et enseignement avec l'équipe de diabétologie. Au vu du jeune âge du patient, nous effectuons un bilan auto-immun. Les résultats seront pistés en diabétologie. Un rendez-vous est agendé au 22.03.2019 à 16h00 en diabétologie pour le suivi. Le patient ira consulter son médecin traitant dans l'intervalle. Mr. Y peut rentrer à domicile le 15.02.2019. Mr. Y nous est adressé des soins intensifs de l'HFR Fribourg le 13.01.2019 pour suite de prise en charge d'un NSTEMI le 12.01.2019. Pour rappel, le patient consulte les urgences de l'HFR Riaz une première fois le 09.01.2019 en raison de douleurs thoraciques, sans étiologie mise en évidence. Il reconsulte le 12.01.2019 pour récidive des douleurs. L'ECG ainsi que le bilan biologique parlent pour un infarctus du myocarde type NSTEMI. Après une charge en anti-agrégant plaquettaire (Aspirine et Ticagrelor), Mr. Y est transféré à l'HFR Fribourg pour coronarographie. L'examen met en évidence une cardiopathie hypertensive et coronarienne bitronculaire avec une occlusion fonctionnelle de la marginale distale (lésion coupable), une atteinte diffuse de l'artère circonflexe ainsi qu'une sténose serrée de l'IVA proximale et de la branche diagonale. L'ensemble des lésions est traité par implantation de 4 stents actifs au total. Le pic de CK s'est élevé à 1189 U/l. La fonction ventriculaire gauche est conservée (FE à 65%). La double anti-agrégation plaquettaire est prévue pour 12 mois. Le profil tensionnel élevé motive l'introduction d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion et d'un bêta-bloquant qu'il s'agira d'adapter en ambulatoire. Mr. Y est réadmis dans le service de médecine de l'HFR Riaz le 13.01.2019. À son arrivée, il décrit un état anxieux important, des épigastralgies connues, des douleurs diffuses, type décharge électrique, connues, ainsi qu'une dyspnée légère lorsqu'il se mobilise dans son lit, mais décrit également avoir la sensation d'avoir le nez bouché, ce qui le gêne pour respirer. À l'examen clinique, nous objectivons un rythme cardiaque régulier sans souffle audible. Pas d'œdème des membres inférieurs, pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Les pouls périphériques sont palpables. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Durant son séjour, le patient bénéficie de physiothérapie de remobilisation, d'une évaluation diététique et d'un enseignement diabétologique. Sur le plan cardiaque, les contrôles électrocardiographiques sont superposables aux derniers examens en date. Le patient se plaint de dyspnée suite à un épisode de quinte de toux le 16.01.2019 accompagné par une douleur de l'hypochondre gauche cédant après quelques minutes. L'ECG reste superposable au dernier examen du 12.01.2019 et une radiographie de thorax ne montre pas de foyer ni pneumothorax. Concernant le traitement cardiovasculaire et endocrinologique, nous majorons graduellement le traitement bêtabloquant par Belok Zok à 75 mg 1x/j et introduisons un schéma d'insuline Lantus et de Novorapid qu'il faudra adapter suivant les contrôles glycémiques pré- et post-prandiaux. La tension artérielle est satisfaisante à la sortie et nous vous prions de continuer l'adaptation du traitement. Sur le plan gastro-intestinal, le patient présente des diarrhées le 15.01.2018 avec des douleurs diffuses de type crampiforme avec un soulagement à la défécation. Pas de récidive de la symptomatologie durant le séjour. Au vu d'une évolution favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 17.01.2019. Il sera convoqué à domicile pour une réadaptation cardiovasculaire à l'HFR Billens. Mr. Y est un patient de 81 ans, qui avait bénéficié le 15.01.19 d'une ponction-biopsie rénale suite à laquelle il a développé un état septique. Un CT-scan met en évidence un abcès rénal à droite. Le patient développe un choc septique motivant un séjour aux soins intensifs pour un soutien aminergique et expansion volémique. Un drain rénal est mis en place sous contrôle scannographique le 25.01.2019. L'évolution est favorable, raison pour laquelle il est transféré à l'étage d'urologie. Par la suite, l'évolution sur le plan clinique est favorable ainsi que sur le plan scanographique avec une diminution nette de la taille de l'abcès dont il ne reste qu'une fine lame au dernier CT-scan de contrôle le 05.02.19. Un traitement chirurgical plus radical (lombotomie avec drainage de l'abcès et lavage) est indiqué afin d'avoir un effet définitif. Après un consilium auprès des anesthésistes, une intervention chirurgicale de ce type serait très risquée aux vues de comorbidités cardiovasculaires. Des discussions avec le patient et la famille sont entreprises afin d'expliquer le caractère sub-optimal du traitement par drainage percutané seul et le risque important de récidive. Au vu des risques anesthésiologiques et d'entente avec le patient et sa famille, la poursuite du traitement par drain rénal percutané en place et antibiotiques au long cours est décidée. L'antibiothérapie est relayée par un traitement per os de Ciprofloxacine et Flagyl et sera à poursuivre pendant 6 semaines selon l'avis infectiologique. À noter que le drain reste toujours en place et cela pendant au moins 3 mois tant qu'il ramène du liquide. La suite des contrôles cliniques sera assurée par le médecin traitant. Concernant la thrombose de la veine rénale probablement d'origine tumorale, nous mettons en place un traitement par Clexane thérapeutique. Nous proposons au médecin traitant de réévaluer avec le patient un relais éventuel par le Sintrom. Concernant le traitement cardiovasculaire, au vu des tensions artérielles dans la norme, nous ne reprenons pas le traitement par Coveram pour l'instant ni le Torem et vous laissons le soin de les réintroduire en fonction de l'évolution clinique et tensionnelle. Sur le plan oncologique, à l'heure actuelle, il n'y a pas de diagnostic clair. Mr. Y ne se dit pas prêt à commencer un traitement oncologique actuellement. Nous vous laissons le soin de rediscuter de la situation avec Mr. Y lors de la prochaine consultation. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 06.02.19 en bon état général.Mr. Y, patient de 78 ans, connu pour des lombalgies chroniques, nous est adressé par son médecin traitant pour antalgie et réadaptation dans un contexte de status après cyphoplastie L1, vertébroplastie préventive de L2 et status après cyphoplastie bipédiculaire sur fracture tassement de L3 ainsi que dans un contexte de dénutrition. A son arrivée, Mr. Y se trouve en bon état général. A l'anamnèse, ce dernier décrit des douleurs chroniques au niveau lombaire, surtout lors de la station debout. Sur le plan général, Mr. Y signale une perte de force progressive aux jambes avec fatigue chronique depuis environ une année, accompagnées d'une importante perte de poids (17 kg dans les 4 dernières années, 10 kg dans la dernière année). Mr. Y rapporte qu'un CT-scan abdominal a eu lieu il y a 1 mois chez son médecin traitant et est revenu sans particularité. Il n'y a pas de sang dans les selles ou autre symptôme signalés. L'appétit et le transit sont respectivement conservé et régulier. Le patient n'a jamais fumé ; il consomme un verre de vin rouge par jour. Mr. Y ne décrit aucune plainte au niveau cardio-respiratoire, digestif (hormis la perte de poids) ni urinaire. Il demeure continent sur les plans urinaire et fécal. Au status d'entrée, nous retrouvons un patient sarcopénique, avec de bonnes constantes. Le status cardio-pulmonaire est dans la norme. Au niveau digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Au toucher rectal, qui est indolore, signalons la présence de selles sur le doigtier, mais pas de sang. La percussion du dos est sensible au niveau lombaire des deux côtés. Le reste du status n'est pas contributif. Sur le plan social, Mr. Y vit seul dans un appartement. Il ne bénéficie pas de soins à domicile. Il a une copine, mais cette dernière ne vit pas avec lui. A l'étage, le bilan biologique met en évidence une anémie normochrome normocytaire à 123 g/l. Nous effectuons un hémofécatest qui revient positif. Un traitement par Pantozol 40 mg 2x/jour est alors mis en place et une colonoscopie organisée pour le 12.02.2019. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage seront effectués le 10.02.2019 et relèvement des performances légèrement altérées avec un MMSE à 27/30 et un test de la montre à 2/7. Sur le plan médicamenteux, nous stoppons le Tramal au vu du mauvais contrôle de l'antalgie que nous remplaçons par du Fentanyl patch 12 µg, ainsi que de l'Effentora par voie orale en réserve. Durant le séjour, le patient effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche est libre, sans moyen auxiliaire. Le patient monte et descend 56 marches avec l'aide de la rampe. A sa sortie, sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 101/126, soit identique à celle d'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 13.36'' sans moyen auxiliaire. Mr. Y bénéficie également d'un bilan nutritionnel mettant en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec un hypermétabolisme probable d'origine indéterminée, et démontrée par un NRS à 3/7 et une perte pondérale de plus de 5 % ces 2 derniers mois, et 22 % en 9 mois. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Le 08.02.2019, Mr. Y est pris en charge en réadaptation gériatrique HFR Riaz. Mr. Y, patient de 78 ans connu pour des lombalgies chroniques, profite actuellement d'un séjour en réadaptation gériatrique suite à une hospitalisation en gériatrie aiguë pour antalgie et réadaptation dans un contexte de lombalgies chroniques et malnutrition. Pour rappel, sur le plan social, Mr. Y vit seul dans un appartement, sans soins à domicile. Il a une amie, mais qui n'habite pas avec lui. Le 12.02.2019, le Dr. X effectue une colonoscopie indiquant une importante diverticulose du côlon sigmoïdien et la présence de veinectasie rectale ainsi que d'hémorroïdes internes de stade I. Les résultats de la biopsie signalent une muqueuse colique d'architecture conservée et d'histologie dans les limites de la norme. Vu ces résultats, nous conseillons au médecin traitant d'organiser une OGD en ambulatoire. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 10.02.2019 signalent des performances légèrement altérées, avec un MMS à 27/30 et un test de la montre à 2/7. Sur le plan médicamenteux, nous augmentons la dose de Fentanyl patch à 50 µg, avec amélioration de la douleur. Durant le séjour, le patient réalise une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seul est illimité. Le patient monte et descend 54 marches sans aide. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 108/126, par rapport à 107/126 en début de ce séjour. (MIF physio : transferts 6/7, marche 7/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 7.33'' sans moyen auxiliaire. Mr. Y bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui met en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec un hypermétabolisme probable d'origine indéterminée, et démontrée par un NRS à 3/7 et une perte pondérale de plus de 5 % ces 2 derniers mois et de 22 % en 9 mois. Les repas sont donc adaptés et le patient reprend du poids pendant son hospitalisation. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Finalement, Mr. Y quitte notre service le 15.02.2019 sans soins à domicile. Une livraison des repas est organisée. Mr. Y est un patient de 60 ans, adressé à la consultation du Dr. X en raison d'une coxarthrose. Le bilan radio-clinique met en évidence une coxarthrose varisante droite, l'indication à une arthroplastie totale est retenue, raison de l'hospitalisation actuelle. L'intervention et ses suites se déroulent sans complication, les douleurs sont bien gérées par l'antalgie standard, le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre. Le contrôle biologique montre une hémoglobine stable, avec une valeur à 109 g/l le 25.02.2019. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises, rencontrant toutefois quelques difficultés dans les escaliers et lors des transferts depuis le lit dues à son obésité. C'est la raison pour laquelle nous prescrivons une potence à domicile, ainsi qu'une poursuite de la physiothérapie après la sortie. La cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Face à la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 28.02.2019. Mr. Y est un patient de 70 ans, aux antécédents sus-mentionnés, qui se présente aux urgences en raison d'un état grippal ainsi que des douleurs en fosse iliaque gauche. Un CT abdominal met en évidence une diverticulite du colon descendant, stade IIB selon Hansen Stock, raison pour laquelle nous instaurons un traitement conservateur par Rocéphine et Métronidazole en intraveineux le 20.02.2019. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, nous relayons l'antibiothérapie par Ciproxine et Flagyl par voie orale le 23.02.2019 et le patient peut regagner son domicile en bon état général le 25.02.2019. Il sera convoqué par nos collègues gastroentérologues afin de réaliser une colonoscopie à distance de l'épisode de diverticulite. L'antibiothérapie sera poursuivie pour une durée totale de 10 jours, soit jusqu'au 01.03.2019. Mr. Y, 74 ans, a été hospitalisé en électif pour le traitement d'une sténose de l'artère carotide interne droite à 90 % par thrombendartériectomie avec plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne à droite. Il a été admis aux Soins intensifs pour le contrôle du profil de pression artérielle. Le patient est connu pour une cardiopathie ischémique, une fibrillation auriculaire anticoagulée sous Apixaban et un pacemaker. La TEA a été effectuée sous bloc cervical converti en anesthésie générale en raison de l'apparition de douleurs au site opératoire avec agitation (CL I) malgré la perfusion de Dexmédétomidine. Le saignement per-opératoire est négligeable. Il est électro-entraîné durant toute l'intervention par son pacemaker. Une légère ptose de la commissure labiale droite a persisté suite à l'intervention, sans autre déficit sensitivo-moteur périphérique. Il n'y a aucun trouble de la déglutition. La plaie opératoire est calme. Le patient a été transféré le 18.02.2019 dans le service de Chirurgie. Les suites post-opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 21.02.2019.Mr. Y, 74 ans, a été hospitalisé en électif pour le traitement d'une sténose de l'artère carotide interne droite à 90% par thrombendartériectomie avec plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne à droite. Il a été admis aux soins intensifs pour le contrôle du profil de pression artérielle. Le patient est connu pour une cardiopathie ischémique, une FA anticoagulée sous apixaban et un pacemaker. La TEA a été effectuée avec bypass de la carotide droite sténosée à 90% sous bloc cervical converti en anesthésie générale en raison de l'apparition de douleurs au site opératoire avec agitation (CL I) malgré la perfusion de dexmédétomidine. Le saignement per-opératoire est négligeable. Il est électro-entraîné durant toute l'intervention par son pacemaker. Les suites sont marquées par une hypertension à la limite de la cible préconisée (TAS < 120 mmHg). En raison d'un risque d'ischémie-reperfusion cérébrale plus important (sténose à 90% et sténose contro-latérale), l'opérateur demande à être averti si apparition de céphalées ou de déficit neurologique. L'antalgie a été satisfaisante sous paracétamol et oxycodone per os. Une légère ptose de la commissure labiale droite a persisté suite à l'intervention, sans autre déficit sensitivo-moteur périphérique. Il n'y a aucun trouble de la déglutition. La plaie opératoire est calme. Le profil de pression artérielle a été contrôlé par labétalol iv continu, puis un relai du traitement habituel de lisinopril, auquel a été ajoutée de la nifédipine retard (20 mg à poursuivre 2x/jour) et un patch de nitré 12h/24h le jour. En cas de valeur tensionnelle trop élevée après l'arrêt du labétalol iv, il est possible d'augmenter la nifédipine retard à 2 x 30 mg/jour, d'associer du labetalol per os ou de la moxonidine (Physiotens) per os. L'anticoagulation thérapeutique devra être reprise selon les instructions du chirurgien opérateur. Le patient a été transféré le 18.02.2019 dans le service de chirurgie. Mr. Y, âgé de 77 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une amputation sous-géniculée selon Burgess du MIG le 17.01.2019 et débridement du moignon droit dans un contexte d'artériopathie des membres inférieurs de stade IV bilatérale. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile et ils sont en attente d'un placement en EMS. Il est à la retraite. A l'admission, le patient se plaint de douleurs fantômes surtout la nuit des 2 côtés. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs ne sont que partiellement contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. Les cicatrices sont calmes. La sensibilité est conservée. En ce qui concerne les douleurs, le patient présente des douleurs fantômes importantes au niveau de son moignon G pour lesquelles nous augmentons la Prégabaline le soir avec un bon effet. Durant son séjour, il a présenté une pollakiurie nocturne transitoire, sans syndrome inflammatoire clinique ou biologique pour laquelle nous réalisons néanmoins une culture urinaire qui montre un ESBL Klebsiella pneumoniae. Dans ce contexte, le patient est mis en isolement de contact mais aucun traitement n'est mis en place pour une bactériurie asymptomatique. Cet isolement pèse sur le moral du patient sans qu'il ne présente d'idées noires ou d'idées suicidaires. Nous le rassurons sur le fait que l'isolement de contact n'entravera pas la prise en charge durant son hospitalisation. En ce qui concerne le diabète, le patient présente un profil glycémique bas, pour lequel nous diminuons le traitement insulinique, avec une bonne évolution. Durant son hospitalisation, le patient a bénéficié d'une prise en charge en physiothérapie et en ergothérapie. Il est autonome pour les déplacements avec le fauteuil roulant. Les transferts lit-fauteuil roulant/chaise percée se font avec aide et guidance verbale. Le genou G montre une flexion/extension de 70-20-0 et la force du quadriceps G est cotée à M2+. Le 03.02.2019, nous observons un écoulement du bord externe du moignon gauche avec signe inflammatoire. Dans ce contexte, un frottis est prélevé et met en évidence la présence de Pseudomonas Aeruginosa résistant à la Ciprofloxacine mais sensible au Tazobac. Nous débutons donc une antibiothérapie par Tazobac 4.5 mg 3x/jour. Le patient est revu à la consultation du Dr. X, le 05.02.2019, qui préconise un transfert en orthopédie à l'HFR Fribourg avec débridement au bloc opératoire le 07.02.2019. Mr. Y, 53 ans, est admis aux soins intensifs pour une hypertension intracrânienne symptomatique d'étiologie indéterminée. Connu pour une migraine, le patient a présenté deux épisodes de troubles de la vision et des céphalées. Le CT cérébral a montré une probable hydrocéphalie avec des ventricules latéraux larges sans signe d'obstruction ni de résorption trans-épendymaire. A la ponction lombaire, la pression d'ouverture était à 44 cm H20. L'analyse du LCR montre une pléiocytose lymphocytaire avec une protéinorachie. En raison de suspicion d'encéphalite virale, un traitement empirique d'aciclovir a été instauré en attente des PCR virales, bien que la clinique sans signe de méningisme ni de déficit neurologique ne parle pas pour une origine infectieuse. L'imagerie n'a révélé aucun signe de vasospasme ou d'hémorragie sous-arachnoïdienne. La xantochromie et spectrométrie du LCR sont négatives. Des sérologies virales, pour le Lyme et un bilan de vasculite sont en cours. Le diagnostic différentiel reste encore ouvert. Une IRM cérébrale avec séquences vasculitiques a été demandée. Un vasospasme transitoire dans le contexte d'une éventuelle vascularite est possible. Une cause de migraine avec hypertension intracrânienne secondaire semble peu probable selon l'avis neurologique (Dr. X) qui propose aussi une angiographie cérébrale à l'Inselspital à rediscuter selon les résultats des analyses en cours. La symptomatologie initiale s'est amendée, mais persiste une légère céphalée positionnelle probablement post-ponction lombaire. Le patient a été transféré le 13.02.2019 dans le service de médecine interne. Mr. Y, 53 ans, consulte aux urgences le 12.02.2019 pour des céphalées inhabituelles en coup de tonnerre récidivantes le 12.02.2019. Le scanner cérébral effectué montre des signes d'hydrocéphalie avec des ventricules latéraux larges sans signe d'obstruction ni de résorption trans-épendymaire. A la ponction lombaire, la pression d'ouverture était à 44 cm H20. L'analyse du LCR montre une pléiocytose lymphocytaire avec une protéinorachie. Le patient est donc hospitalisé pour surveillance neurologique aux soins intensifs, puis est transféré en médecine le 13.02.2019.L'imagerie n'a révélé aucun signe de vasospasme ou d'hémorragie sous-arachnoïdienne. La xantochromie et la spectrométrie du LCR sont négatives. Au niveau biologique, les sérologies virales, ainsi que les analyses pour la maladie de Lyme, la syphilis et la tuberculose reviennent toutes négatives. Le bilan biologique ainsi qu'un consilium rhumatologique ne montrent pas d'argument pour des maladies du spectre rhumatismal. L'IRM ne montre pas de signe de vasculites. Une nouvelle ponction lombaire est effectuée en fin de séjour, montre une pression d'ouverture dans la norme et une pléiocytose à prédominance lymphocytaire en diminution. L'origine suspectée aux céphalées de Mr. Y est virale. Au cours du séjour, un profil tensionnel légèrement haut motive l'introduction d'un traitement anti-hypertenseur. Son indication pourra être réévaluée par la suite par le médecin traitant. Vu la bonne évolution clinique avec l'amendement spontané des céphalées et le bilan biologique et radiologique rassurant, le patient rentre à domicile le 19.02.2019. Un contrôle ophtalmologique est néanmoins indiqué et sera réalisé en ambulatoire le 22.02.2019. Un contrôle de suivi neurologique à 3 mois à la consultation du Dr. X est également prévu. Un arrêt de travail pour la durée de l'hospitalisation et jusqu'au 22.02.2019 compris est remis au patient. Mr. Y est un patient de 71 ans, connu pour une insuffisance rénale terminale, une cardiopathie ischémique et rythmique, une hypertension artérielle ainsi qu'une artériopathie oblitérante des membres inférieurs avec un status post-pontage fémoro-poplité à droite et un stenting fémoral à gauche, qui nous est adressé depuis la dialyse pour une ischémie critique du membre inférieur gauche. Le patient présente un membre inférieur gauche froid et une absence de pouls ainsi que des ulcères d'allure nécrotique au niveau des 2 premiers orteils et de la malléole externe avec un syndrome inflammatoire pour lequel une antibiothérapie par Vancomycine est débutée le 16.11.2018. Nous effectuons un bilan radiologique par angio-CT et angiographie, montrant une occlusion des stents fémoraux et une absence de perméabilité en distalité. En raison d'une longue occlusion vasculaire et d'une occlusion des axes en distalité, une revascularisation n'est possible ni par voie endovasculaire ni ouverte. C'est pourquoi nous posons l'indication à une amputation supra-géniculée qui est acceptée par le patient et effectuée le 26.11.2018. À noter que le Sintrom est suspendu en préopératoire avec un relais par héparine. Il est repris dès le 30.11.2018 avec un INR thérapeutique (2.0) le 10.12.2018. Nous laissons le soin à nos collègues de Billens de faire l'adaptation de celui-ci. Sur le plan infectiologique, le traitement de Vancomycine est maintenu pour une durée de 12 jours sur avis de nos collègues infectiologues et est administré pendant les séances de dialyse. Les suites opératoires sont simples, permettant un transfert en réadaptation à Billens le 11.12.2018. Les dialyses seront reprises à Riaz. Mr. Y, patient de 81 ans, nous est adressé pour réadaptation gériatrique par le service de médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal, où il a séjourné du 08.01.2019 au 06.02.2019 en raison d'un état confusionnel aigu dans le contexte d'une pneumonie basale gauche. Pour rappel, un globe vésical s'était développé durant l'hospitalisation à Fribourg, nécessitant la mise en place d'une sonde vésicale le 15.01.2019, dont le sevrage n'avait pas été possible avant son transfert, malgré l'arrêt des médicaments spasmolytiques. À l'HFR Fribourg, un bilan de la démence ne relevait aucune carence vitaminique ni infection systémique au laboratoire. Un CT n'avait pas non plus identifié de lésion cérébrale. Cependant, un électroencéphalogramme avait démontré un ralentissement général, compatible avec un état confusionnel aigu ou un trouble cognitif sous-jacent. Durant sa réadaptation gériatrique, nous retrouvons des troubles cognitifs importants avec un MMS à 19/28 et un test de la montre à 1/7 ; l'échelle gériatrique s'élève à 3/15. Le bilan neuropsychologique effectué le 14.02.2019 met en évidence une anosognosie de ses troubles cognitifs et de sa situation à domicile. D'un point de vue neuropsychologique, la capacité de discernement est altérée et la conduite automobile interdite jusqu'à résolution de l'état confusionnel, et pour minimum 2 mois. De plus, au vu des troubles de la compréhension orale et écrite et de traitement des nombres, une aide pour la gestion administrative semble nécessaire. Une nouvelle évaluation pourrait être recommandée d'ici quelques semaines afin de préciser les difficultés chroniques, ainsi que leur étiologie et leur impact dans les activités de la vie quotidienne. Concernant les troubles urinaires, nous essayons d'organiser dès la sortie de l'hôpital un rendez-vous auprès de l'urologue traitant, le Dr. X, afin de tenter un nouveau sevrage de la sonde. Or le cabinet est fermé jusqu'au 18.02.2019. Par conséquent, nous vous laissons le soin de recontacter l'urologue dès la sortie du patient. Le bilan biologique effectué dans notre service met en évidence une carence en magnésium et en vitamine D, que nous substituons par voie orale. Pendant le séjour, Mr. Y présente une douleur avec signes inflammatoires locaux au niveau du 1er métatarso-phalangien du pied gauche, chez un patient déjà connu, selon ses dires, pour des antécédents de crises de goutte. La clinique parle donc en faveur d'une récidive de crise de goutte, que nous traitons par Colchicine du 07.02.2019 au 13.02.2019. Par la suite, étant donné une évolution clinique favorable et un bilan biologique démontrant des valeurs d'acide urique dans la norme, nous arrêtons le traitement et vous laissons le soin de suivre la clinique et la biologie afin de réévaluer un possible traitement par Colchicine. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche seul et sans moyen auxiliaire est de 300 mètres. Le patient peut gravir 27 marches sans accompagnement. Il est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 100/126, par rapport à 93/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 7/7, marche 7/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 10 secondes. Finalement, Mr. Y peut regagner son domicile le 18.02.2018. Les soins à domicile passeront 2x/jour pour conseils et contrôle, et 1x/semaine pour contrôle de santé et semainier. Mr. Y est un patient de 68 ans, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie pour prise en charge d'un anévrisme aortique asymptomatique. Il bénéficie le 14.02.2019 d'une cure d'anévrisme par EVAR. L'évolution post-opératoire est tout à fait favorable. Le scanner de contrôle du 17.02.2019 montre la présence de deux petites endofuites type 2B. Le patient retourne à son domicile le 18.02.2019 avec un contrôle radiologique le 18.03.2019 et un contrôle à la consultation du Dr. X le 27.03.2019. Mr. Y, patient de 56 ans, est admis aux soins intensifs en surveillance post-opératoire d'une spondylodèse L4-L5 et L5-S1. Il est opéré le 25.02.2019 d'une spondylodèse L4-L5 et L5-S1 avec mise en place d'une cage Juliet et prise de biopsies. L'opération est compliquée d'un saignement important nécessitant la transfusion d'un CE et de l'acide tranéxamique. Le saignement se résout en post-opératoire avec un Redon ramenant moins de 300 ml de sang. Ce dernier est à retirer à J2. L'antalgie est assurée par un cathéter sous-cutané multi-fenestré diffusant de la Ropivacaïne. Ce dernier est à suivre en accord avec l'équipe d'antalgie.En raison d'un oedème majeur lié à la position ventrale opératoire, le patient n'est pas extubé et admis aux soins intensifs. De la Dexaméthasone est administrée et le patient est extubé le 26.02.2019 sans complications après un test de fuite normal. A noter que le patient présente une intubation difficile avec un Cormack III en vision directe. Il est cependant intubable au vidéolaryngoscope avec lame standard et ventilable à 4 mains avec une guedel. Le patient est transféré en orthopédie pour la suite de prise en charge. Mr. Y, 75 ans, est réhospitalisé aux soins intensifs dans le cadre d'un ACR sur arythmie ventriculaire maligne récidivante secondaire à un infarctus transmural antérieur subaigu, non traité. Le patient était hospitalisé dans le service de médecine interne depuis le 22.02.2019 pour un STEMI sur occlusion de l'ostium de l'IVA avec échec de reperfusion à la coronarographie. Il avait été mis sous anticoagulation thérapeutique en raison d'un thrombus intraventriculaire gauche et d'une fibrillation auriculaire paroxystique. La FEVG était mesurée à 25 %. Le 27.02.2019, le patient est retrouvé par terre, inconscient et bénéficie d'une réanimation avec massage cardiaque externe durant 3 minutes et un choc cardiaque externe après mise en évidence d'un trouble du rythme malin, permettant une reprise de l'état de conscience, avec un rythme sinusal. Aux soins intensifs, le patient refait 3 passages en tachycardie ventriculaire nécessitant des chocs électriques, l'instauration d'un traitement par Cordarone iv. et le projet initial de la pose d'un défibrillateur interne. Un CT-scan cérébral, cervical et thoraco-abdominal permet d'exclure une éventuelle complication hémorragique ou un pneumothorax après la chute et le massage cardiaque externe. Dans la nuit du 27.02 au 28.02, le patient présente des arythmies malignes récidivantes et un épisode d'asystolie. Il bénéficie de nombreux chocs électriques externes, ainsi qu'une réanimation cardio-pulmonaire de plusieurs minutes à 2 reprises. Il est alors intubé, sédaté et mis sous noradrénaline. L'évolution est caractérisée par un choc cardiogène, avec dysfonction systolique très sévère. Devant l'absence d'opportunité thérapeutique raisonnable, nous décidons, en accord avec la famille, de procéder à un retrait thérapeutique. Mr. Y décède le 28.02.2019 à 12h02. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un remplacement de l'aorte ascendante avec réimplantation des coronaires, de la valve aortique par une bioprothèse. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine Cardio 100 mg, Beloc Zok 50 mg, Lisinopril 10 mg, Nexium 40 mg, Dafalgan 4 g et Oxynorm 5 mg en réserve max 8 x/j si douleurs. Sur le plan tensionnel, nous visons une TA basale proche des 110 mmHg de systolique. Confrontés à des valeurs bien plus hautes, nous introduirons, dès le 30.01.2019, de l'Aldactone et du Torasemide puis de l'Amlodipine le 06.02.2019. Les valeurs obtenues se sont progressivement améliorées sans atteindre les cibles fixées mais, à la sortie, la TA basale avoisine souvent les 130 mmHg au lieu de 150-160 ! Si, après son retour à domicile, le patient présente une TA systolique basale < 110 mmHg, nous lui avons conseillé de diminuer d'abord la posologie de l'Amlodipine à 2.5 mg. Par contre, si la TA systolique basale est >150 mmHg, nous lui avons conseillé d'utiliser le patch de Deponit 5 mg du matin au soir. Il reste essentiel de garder comme thérapie de fond, le bêta-bloqueur et l'IEC ou sartan. Mr. Y est inclus dans le module remplacement/dissection aortique pour faire des exercices avec la TA sous contrôle, afin d'éviter de dépasser une valeur de 150 mmHg à l'effort. Si la valeur tensionnelle basale est plus haute qu'attendue, à l'effort le patient atteint à peine 150 mmHg de systolique. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant pendant 25 minutes à une vitesse de 5 km/h sur une pente de 3 % sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 135 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec un profil satisfaisant de la TA sous plurithérapie (TA max 175-180 mmHg pour une charge de 120 W). A signaler des ESV à aspect BBD pour FC>110/min soit en quadrigéminisme, soit en bigéminisme asymptomatique. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des FRCV, nous retenons les points suivants : • Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 4.4 mmol/L, un HDL à 0.76 mmol/L, un LDL à 3.35 mmol/L et des triglycérides à 1.25 mmol/L. • La pression artérielle basale est diminuée pendant le séjour avec l'introduction d'une plurithérapie. Il doit s'agir d'un hypertendu de longue date. L'échographie post-opératoire confirme une HVG septale dilatée (VGtd 66 mm) avec un bon fonctionnement de la bioprothèse aortique (DPAo : 6-11 mmHg) sans fuite péri ou trans-prothétique. Minime régurgitation mitrale. En fin de séjour, statut clinique de normo-compensation avec un sternum stable et cicatrices saines. Mr. Y est un patient de 73 ans connu pour un statut après pose de drain semi-rigide vésiculaire le 28.12.2018 suite à une cholécystite aiguë le 21.12.2018. Vous nous adressez le patient en raison d'un état fébrile à 39° accompagné de douleurs abdominales en fosse iliaque droite suite à un geste d'opacification radiologique le même jour, 30.01.2019, avec extravasation de liquide de contraste. Au statut d'entrée, patient tachycarde à 128 bpm, normotendu, fébrile à 39,1°. L'abdomen est globuleux, légèrement douloureux en fosse iliaque droite, pas de défense, ni de détente. Signes de Murphy, de McBurney négatifs. Loges rénales souples et indolores. L'état cutané en regard du drain montre une peau calme, sans érythème, ni signes infectieux. Le bilan biologique montre un important syndrome inflammatoire avec CRP à 46 mg/l, leucocytose à 23,4 G/l dont 19,77 G/l de segmentés. A noter une insuffisance rénale avec créatinine à 116 umol/l, ainsi qu'une amylase à 728 U/l. Le bilan est complété par un CT abdominal qui montre le statut après drainage de la vésicule biliaire qui est contractée avec, à l'intérieur, des calculs, ainsi qu'un passage de produit de contraste dans la collection sous-capsulaire des segments V et VI, ce qui confirme le diagnostic de biliome sur perforation vésiculaire. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie pour antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine et Flagyl. Suite à la réception d'une culture de liquide de drainage réalisée à l'entrée mettant en évidence un Staphylococcus aureus MRSA, nous sollicitons l'avis infectiologique de la Dresse X qui souhaite la mise en place de l'antibiothérapie suscitée. L'évolution est favorable, le patient devient afébrile et les douleurs disparaissent. Sur le plan biologique, la CRP est à 57 mg/l à la sortie. Dès lors, Mr. Y peut retourner à domicile où il poursuivra l'antibiothérapie par voie orale à raison de Tavanic 2 x 500 mg/jour jusqu'au 08.02.2019 inclus. Comme prévu, le patient se rendra à sa consultation pneumologique le 08.02.2019 puis à la consultation du Dr. X le 14.02.2019 à 10h30.A noter que l'insuffisance rénale aiguë diagnostiquée à l'entrée a été traitée par hydratation intraveineuse. En outre, nous profitons du séjour pour effectuer un relais de la Clexane par Sintrom. Au contrôle du 06.02.2019, l'INR est infrathérapeutique à 1.3, raison pour laquelle Mr. Y continuera de prendre 2 comprimés de Sintrom par jour, couplé à de la Clexane 40 mg 1 x/jour les 06 et 07.02.2019. Mr. Y sera revu à votre consultation le 08.02.2019 pour contrôle de l'INR et adaptation de l'anticoagulation. Mr. Y, patient de 65 ans, connu pour un syndrome myélodysplasique depuis avril 2017, ainsi qu'une complication de type GvHD pulmonaire sur allogreffe en 08/2018, consulte le service des urgences le 09.02.2019 en raison d'une péjoration subite de sa dyspnée avec toux et crachats, qui le limitent dans la mobilisation. Il évoque une notion de contage concernant l'épouse mais pas de fièvre ni frissons. A l'auscultation, on retrouve des râles diffus aux plages pulmonaires ainsi qu'une désaturation légère à l'air ambiant. Une radiographie thoracique permet d'exclure un infiltrat pulmonaire et des hémocultures reviennent négatives. Une PCR revient positive pour une grippe Influenza A et le patient est couvert par Tamiflu pour une durée de 5 jours, ainsi qu'isolé. La symptomatologie respiratoire s'améliore progressivement sous inhalations régulières et physiothérapie respiratoire. Une demande du patient pour des aérosols à domicile au besoin est en cours avec une ordonnance à la Ligue pulmonaire. Le 10.02.2019, Mr. Y présente un malaise avec hypotension et baisse de la diurèse, tout d'abord mis sur le compte d'un possible sepsis pulmonaire avec remplissage et antibiothérapie par Ceftriaxone, puis finalement plutôt attribué à une insuffisance surrénalienne. Nous majorons la Prednisone après passage temporaire au Solu-Cortef iv avec bonne évolution. A la sortie, la dose de Prednisone quotidienne est de 10 mg et sera à diminuer progressivement. Sur le plan volémique, une prise de poids de 3 kg est en lien avec le remplissage et nous administrons un bolus de Lasix avec bon effet, le patient retrouvant son poids d'origine avec un bilan négatif de 5 kg. Une anémie macrocytaire normochrome normorégénérative à 69 g/l est substituée de deux culots érythrocytaires avec bon effet. Une composante d'hémodiluation après remplissage est probable. Au vu de la situation sur le plan pulmonaire, un contact avec le service d'hémato-oncologie des HUG est pris pour reporter les séances de photophorèse, que le patient a d'habitude les jeudis et vendredis. Un taux de ciclosporine du 13.02.2019 ainsi qu'un monitoring hebdomadaire EBV et CMV vous seront communiqués. Une intervention dermatologique au HUG prévue le 13.02.2019 est également reportée et le patient sera convoqué à distance. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 15.02.2019 et sera suivi au HUG en ambulatoire pour la suite de prise en charge. Mr. Y présente donc un ongle incarné de l'hallux G. L'indication à une cure selon Kocher du bord externe et interne de l'ongle O1 à G est posée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord et le consentement est signé. Mr. Y, 68 ans, a été transféré aux soins intensifs le 29.01.2019 depuis les soins intensifs du CHUV pour la suite d'un sevrage ventilatoire prolongé pour une insuffisance respiratoire globale aiguë après un arrêt cardio-respiratoire d'origine hypoxémique avec pneumothorax gauche. Le patient est connu pour un emphysème pulmonaire. Le 09.01.2019, il a présenté un arrêt cardio-respiratoire d'origine hypoxémique avec 2 minutes de no-flow et 15 minutes de low-flow. Cet événement a été attribué à un pneumothorax gauche sous tension qui a été drainé et une bronchopneumonie du lobe supérieur droit à Haemophilus influenzae a été traitée par co-amoxicilline. Suite à l'amélioration respiratoire initiale sous ventilation mécanique, une première extubation a été possible le 15.01.2019. La récidive du pneumothorax gauche a nécessité une réintubation le 17.01.2019 et poursuite du drainage thoracique. Le sevrage ventilatoire étant difficile, une trachéotomie a été réalisée le 21.01.2019 et le patient a été transféré aux soins intensifs de Fribourg pour la suite de la prise en charge. Une bronchopneumonie acquise sous ventilation avec identification d'Haemophilus influenzae a été traitée par imipenem, puis ceftriaxone selon l'antibiogramme. L'évolution a été par la suite favorable. Le sevrage ventilatoire progressif s'est déroulé sans autre complication. La décanulation définitive et la fermeture de la trachéotomie a été possible le 12.02.2019. Le traitement bronchodilatateur, la physiothérapie respiratoire et la mobilisation active quotidiennes sont poursuivis dans l'attente d'une réhabilitation respiratoire et musculaire à l'HFR Billens (en cours d'organisation). Une encéphalopathie post-anoxique modérée a favorisé la survenue d'une crise épileptique généralisée le 13.01.2019, sans récidive sous une bithérapie anti-épileptique. Le Lacosamide a été progressivement sevré et le lévétiracétam a été poursuivi en monothérapie. Les EEG successifs ont mis en évidence des signes de ralentissement compatibles avec l'encéphalopathie mais sans foyer épileptique résiduel. Le traitement anti-épileptique sera poursuivi jusqu'au prochain EEG à 3 mois. La conduite automobile sera interdite dans l'intervalle. Une escarre sacrée de stade 2 a été traitée localement. La déglutition étant normale, la nutrition entérale continue a pu être remplacée progressivement par une réalimentation par voie orale. Le patient s'alimente normalement depuis le 10.02.2019. Compte tenu de l'important déconditionnement, de la physiothérapie intensive et des compléments nutritifs oraux sont à poursuivre. Le patient a été transféré le 13.02.2019 dans le service de médecine interne. Vu l'amélioration respiratoire et neurologique tout-à-fait significative, aucune limitation thérapeutique n'est retenue à ce stade. Mr. Y, patiente de 62 ans, est admis au soins intensifs pour une STEMI antérieur. Le patient a présenté une chute dans la douche vers 20h avec un arrêt cardio-respiratoire. Il a été massé par des témoins guidés par téléphone durant environ 10 minutes avec rétablissement de l'état de conscience. Le patient n'a jamais présenté de douleurs retro-sternales. L'ECG montre un sus-décalage des territoires antéro-septaux. Une coronarographie en urgence montre une maladie coronarienne tritronculaire avec une occlusion de l'artère interventriculaire antérieur distale et des subocclusions de cette IVA sur plusieurs niveaux. Trois stents actifs sont mis en place, sans complication. Le sus-décalage reste persistant à l'ECG. Les autres lésions des coronaires droite et circonflèxe doivent être traitées dans un deuxième temps soit avec une coronarographie soit par un pontage aorto-coronarien selon discussion par les cardiologues avec le patient. Un traitement d'Aspirine est prévu à vie et du Prasugrel pour une année. Une statine est ajoutée. Une insuffisance cardiaque à fraction d'éjection abaissée est découverte et traitée par Sartan et bétabloqueurs. Une échocardiographie de contrôle est effectuée le 07.02.2019. Le patient est connu pour un diabète insulino-traité avec une HbA1c à 8.5%, un suivi diabétique est donc à prévoir. Mr. Y, 18 ans, bénéficie d'une ostéosynthèse maxillaire bilatérale le 25.01.2019 par Dr. X pour une malocclusion de garde III dans le cadre d'une myopathie de Steinert. Le patient reste en surveillance post-opératoire aux soins intensifs où il présente un poumon gauche complètement atélectasié. Il est donc repris au bloc afin d'effectuer un nettoyage bronchique qui retrouve de nombreuses sécrétions et du sang. Le patient est ensuite gardé intubé aux soins intensifs pour le sevrage respiratoire avec extubation le 28.01.2019. Il est transféré à l'étage d'ORL le 29.01.2019.Il bénéficie d'une couverture par antibiothérapie pour cette broncho-aspiration jusqu'au 02.02.2019. Du point de vue de l'alimentation, le patient présente en post-opératoire des troubles de la déglutition pour lesquels une nutrition entérale par sonde nasogastrique est débutée le 29.01.2019. Un consilium et repas test chez le Dr. X le 31.01.2019 montrent une dysphagie importante pour laquelle le patient bénéficie d'une rééducation par les logopédistes et physiothérapeutes. Au niveau respiratoire, le patient n'est pas dyspnéique et le bilan radiologique du 04.02.2019 montre l'absence d'opacité pulmonaire. Mr. Y peut quitter l'hôpital le 04.02.2019 en bon état général et avec la sonde nasogastrique en place. Mr. Y, patient de 76 ans, est transféré de Fribourg le 12.02.2019 après une hémorragie intra-cérébrale temporo-pariétale droite et une hémorragie sous-arachnoïdienne péri-lésionnelle secondaire à une thrombolyse intraveineuse pour anopsie droite sur thrombose aiguë de l'artère centrale de la rétine droite le 17.01.2019. Mr. Y présente aussi une sténose de l'artère carotidienne D vu le 17.01.2019, qui devra être mise sous aspirine cardio à 6 semaines post-hémorragie. En raison de trouble de la déglutition post-AVC, une gastrostomie percutanée a été posée le 08.02.2019. Pour rappel, Mr. Y est aussi connu pour une hypertension artérielle ainsi que pour une goutte. A l'entrée, Mr. Y est spontanément réveillable et il dit être confortable sans plainte. L'examen neurologique montre une persistance d'une hémiparésie avec négligence gauche. Les nerfs crâniens sont globalement dans la norme mis à part une cécité droite. Les réflexes du côté G sont hypervifs avec un Babinski positif, tandis que les réflexes et le réflexe cutané plantaire D sont dans la norme. Les tests cérébelleux du côté G ne sont pas testables et du côté D très imprécis. Il a une dysarthrie légère, des troubles cognitifs avec des oublis de mots, un ralentissement cognitif et une fluctuation de la vigilance. L'abdomen est sans particularité avec un pansement calme avec discret saignement en regard des points de la gastrotomie. Le reste du status est dans la norme. En raison d'un syndrome inflammatoire, nous découvrons une cystite sur sonde vésicale à E. Coli et nous débutons un traitement de ciprofloxacine depuis le 17.02.2019 jusqu'au 21.02.2019. La radiographie du thorax était sans anomalie visible. Mr. Y est sous nutrition entérale isosource, mais en raison de diarrhées de quantité importante, nous changeons pour le Novasource. Parallèlement aux problèmes médicaux aigus, nous débutons une réhabilitation gériatrique précoce avec physiothérapie et ergothérapie. Les scores de mobilité au début du séjour sont les suivants : le transfert, la mobilité et les escaliers ont un FIM1 avec nécessité de 2 personnes, le Tinetti 0/28 avec haut risque de chute et impossibilité de se mobiliser seul. Les scores de mobilité à la fin du séjour montrent une amélioration de la force et de la stabilité du tronc avec la possibilité de se maintenir assis avec aide de ses mains. Mr. Y est retraité et divorcé. Il vit avec une amie dans un appartement et il a des escaliers pour y accéder. Il est copropriétaire d'une maison avec sa sœur où le 1er étage avec accès par escalier lui appartient. Il a un fils qui a une procuration pour les affaires administratives. Au vu de l'amélioration clinique, le patient peut aller en neuroréadaptation intensive à Meyriez le 22.02.2019. Mr. Y, patient de 76 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance neurologique dans le contexte de trouble de l'état de conscience le 30.01.2019. Pour rappel, Mr. Y est hospitalisé en neurologie dans les suites de l'hémorragie intra-cérébrale temporo-pariétale droite de 8 x 4.5 x 4.5 cm avec hémorragie sous-arachnoïdienne péri-lésionnelle post-lyse intraveineuse pour thrombose artère centrale de la rétine OD. Il a fait un séjour aux soins intensifs et ensuite transféré en neurologie. Le 30.01.2019, il présente une respiration de type Cheynes-Stokes avec pauses respiratoires de longue durée répondant à la subluxation de la mâchoire et trouble de l'état de conscience avec un Glasgow à 11 points. Un CT cérébral natif montre une hémorragie et œdème péri-lésionnel stable par rapport au comparatif. La surveillance neurologique aux soins intensifs montre un GCS fluctuant entre 13-14, partiellement endormi avec les déficits neurologiques connus. Une origine épileptique n'est pas exclue. A noter au niveau biologique, la persistance de la cholestase avec un US abdominal fait le 29.01.2019 sans particularité. Mr. Y, patient de 70 ans, connu pour une rupture d'anévrisme de l'artère cérébelleuse supérieure (SCA) avec HSA secondaire et AVC ischémiques multiples sur vasospasme en 1997 avec occlusion du SCA en 2018, est transféré du CHUV dans la suite de prise en charge d'un probable AIT/AVC. Le patient s'est rendu à l'imprimerie où il travaille le matin du 13.02.2019 sans plainte particulière. Lorsqu'il est en train d'effectuer une tâche, il constate un ralentissement et une difficulté à travailler comme d'habitude, survenue d'apparition brutale en position debout. Il reçoit l'appel de son épouse, vers 9h15 qui constate un trouble de l'élocution et appelle l'ambulance. Aux urgences du CHUV, le patient ne présente pas de nouveaux signes neurologiques focaux. L'IRM cérébrale effectuée au CHUV ne met pas en évidence de lésion ischémique nouvelle. Le patient est transféré en lit monitoré à Fribourg pour la suite de prise en charge. La surveillance neurologique confirme la persistance d'un syndrome ataxiant cinétique à minima à gauche, non présent lors de son hospitalisation antérieure. Nous retenons donc un AVC ischémique mineur cérébelleux gauche aigu sans corrélat radiologique dans un contexte de thrombose partielle et progressive de l'anévrisme du tronc basilaire. L'avis au service de radiodiagnostic et radiologie interventionnelle du CHUV est sollicité et qui ne retient pas de sanction interventionnelle. Sur le plan médicamenteux, une double antiagrégation plaquettaire est introduite et à poursuivre pendant 3 mois, suivi par du Plavix seul. Le traitement hypolipémiant est poursuivi à haute dose. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Un angio-CT cérébral de contrôle est prévu à 3 mois (le patient sera convoqué). Sur le plan des facteurs de risque cardiovasculaire, devant un score de STOP-BANG à 4 points compatible avec un risque élevé, une polysomnographie nocturne est demandée. Le patient sera convoqué en ambulatoire. Les examens de laboratoire révèlent une insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale. L'évolution est favorable avec la stimulation de l'hydratation. Le patient regagne son domicile le 17.02.2019. L'examen neurologique de sortie confirme un syndrome ataxique cinétique à minima à gauche. Une consultation neurovasculaire de contrôle et un nouvel angio-CT cérébral de contrôle sont prévus à 3 mois. Mr. Y, 70 ans, a été admis en unité stroke suite à un accident ischémique transitoire dans le contexte d'un anévrisme partiellement thrombosé du tronc basilaire.Le patient se présente aux urgences du CHUV dans le cadre d'une ataxie à la marche ainsi qu'une dysarthrie d'apparition nouvelle. L'IRM cérébrale ne montre pas d'élément évoquant un AVC aigu. Il est transféré aux soins intensifs de Fribourg pour une surveillance neurologique. Une aspirine est ajoutée au traitement de Clopidogrel déjà en place suite à l'AVC en novembre 2018. Une dysarthrie légère présente à l'arrivée s'estompe au cours du séjour. Un angio-CT permet d'observer une légère majoration de la taille du thrombus au niveau de l'anévrisme du tronc basilaire. Il n'y a pas de lésion ischémique nouvelle constituée. La surveillance rythmique est sans particularité. Un bilan métabolique révèle un profil lipidique et une hémoglobine glyquée dans la norme. Mr. Y présente des douleurs abdominales probablement en lien avec une virose. Pour le moment, nous ne retenons pas d'indication à des investigations supplémentaires. Nous prescrivons une antalgie simple et lui expliquons de réconsulter rapidement en cas d'aggravation des symptômes. Mr. Y présente un infarctus du myocarde de type NSTEMI. Les cardiologues de l'HFR-Fribourg prévoient une coronarographie le 08.02.2019 à 9h00. Dans l'attente, pour manque de place dans l'unité des soins intensifs, Mr. Y reste hospitalisé en chambre monitorée dans l'Hôpital de Meyriez-Murten. Mr. Y est un patient de 74 ans connu pour des hémorragies digestives basses à répétition, investiguées depuis février 2018, qui bénéficie d'une colonoscopie et OGD le 25.02.2019. La colonoscopie met en évidence une diverticulose sigmoïdienne sans source de saignement à bas bruit. À l'OGD, 2 diverticules duodénaux de grande taille sont visualisés, dont l'un responsable de saignement situé au-dessous du genu inferius. Le saignement peut être arrêté par la pose de 3 clips métalliques et l'injection d'adrénaline. Le patient est ensuite hospitalisé dans le service de chirurgie pour une surveillance clinique et de l'hémoglobine. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable, le patient peut retourner à domicile le 27.02.2019. Une IRM abdominale est prévue le 12.03.2019 à 13h45, ainsi qu'un rendez-vous à la consultation du Dr. X le 18.03.2019 à 14h30. Mr. Y, 51 ans, est admis aux soins intensifs le 18.02.2019 dans les suites d'une crise épileptique tonico-clonique sur sevrage alcoolique. Le patient, connu pour un éthylisme chronique avec plusieurs épisodes d'épilepsies sur sevrage depuis 2003, a fait une chute dans la rue le 18.02.2019 en raison d'une nouvelle crise épileptique d'environ 1 minute sans perte d'urine avec une phase post-critique. On apprend alors qu'il effectue un sevrage éthylique en ambulatoire sous Oxazépam depuis 2 semaines avec l'aide du médecin de famille. Le CT cérébral montre un hématome sous galéal sans signe d'un saignement intracrânien. Par manque de place, il est transféré aux soins intensifs à Yverdon et retransféré le 19.02.2019 à Fribourg. Le sevrage éthylique est effectué à l'aide de benzodiazépines, par Oxazépam puis Diazepam. Le relais est effectué en raison d'une phase d'agitation le 20.02.2019. Une rhabdomyolyse est constatée et attribuée aux phases d'agitation psychomotrice. Un contrôle des enzymes musculaires (CK) et de la kaliémie est à prévoir le 25.02.2019. La substitution potassique est à discuter en fonction des résultats. Une évaluation psychiatrique confirme une incapacité de discernement et une mise en danger de sa personne et des autres, raison pour laquelle une hospitalisation en milieu psychiatrique est préconisée. Le patient est transféré à Marsens, secteur Thalassa, sous PAFA le 21.02.2019. La famille de Mr. Y est informée. Mr. Y est un patient de 37 ans en bonne santé habituelle, qui consulte au CUB le 07.02.2019 en raison de douleurs abdominales en fosse iliaque gauche associées à des diarrhées. Un CT abdominal met en évidence une sigmoïdite diverticulaire perforée couverte et le patient bénéficie d'un traitement de Rocéphine 2 g intraveineux et Flagyl per os en ambulatoire. Au vu d'une péjoration des douleurs, il consulte aux urgences. Le bilan biologique met en évidence une leucocytose avec une CRP à 224 mg/L. Un CT abdominal effectué le 08.02.2019 montre une diverticulite sigmoïdienne perforée couverte IIb selon Hansen & Stock, sans collection mise en évidence. Le patient est hospitalisé et une antibiothérapie par Tazobac 4.5 g 3x/jour est introduite. L'évolution est par la suite favorable, avec une réalimentation progressive. Mr. Y rentre à domicile le 13.02.2019. Une colonoscopie de contrôle est organisée dans 6 semaines. Mr. Y, patient de 74 ans, est hospitalisé aux soins intensifs en Stroke Unit monitorée pour une surveillance neurologique d'un AVC ischémique de l'artère cérébrale moyenne droite. Le patient est connu pour un syndrome de Guillain-Barré en 2011 avec antécédent d'AVC en 2000 sur occlusion de la PICA droite. Il présente une hypoesthésie de l'hémicorps gauche d'apparition brutale suite à traitement de racine chez son dentiste. À son arrivée aux urgences, l'évaluation neurologique retrouve un NIHSS à 2 points. Un CT-scan cérébral Time is brain montre une occlusion de l'artère cérébrale moyenne droite ainsi qu'une occlusion vasculaire de la branche distale M3 avec anévrisme de 2x3 mm dans l'artère carotide interne droite au niveau du segment intracrânien. Selon avis neurologique, il n'y a pas d'indication à une lyse et le patient est chargé en Clopidogrel. Sur le plan clinique, l'évolution est sans particularité avec un score de NIHSS à 2 points à son arrivée et à 2 points à la sortie des soins intensifs. Sur le plan étiologique, un bilan lipidique et d'hémoglobine glyquée retrouve une légère hypercholestérolémie chez un patient déjà sous traitement de statine. Une éventuelle adaptation de ce traitement sera à rediscuter à distance. Une IRM cérébrale et une échocardiographie transthoracique sont organisées et jusqu'aux résultats de ces examens, une double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Clopidogrel est poursuivie. Le patient est connu pour une hypokaliémie chronique dont l'origine aurait été investiguée chez son médecin traitant et qui est substituée à domicile. L'hypokaliémie est associée à une hypertension artérielle connue bien équilibrée selon le patient, sans alcalose métabolique, avec nécessité de substitution conséquente per os et IV, avec nécessité d'administrer un bolus de 20 mmol pour remonter la kaliémie au-dessus de 3 mmol/l pour éviter la récidive de bigéminisme ventriculaire constatée lors de son séjour. Une étiologie claire n'est pas identifiée. Il faudra contacter le médecin traitant pour clarifier les investigations déjà effectuées pour cette hypokaliémie afin d'organiser d'autres examens (Us des artères rénales). Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de l'apparition brutale de symptômes ophtalmiques et d'une perte de connaissance. En effet, il a présenté une diplopie verticale, ainsi qu'une ptose palpébrale à droite et une exophtalmie gauche. Il présente également l'apparition récente d'une fatigue importante avec fièvre rémittente ainsi qu'une perte de connaissance de plusieurs minutes avec amnésie rétrograde. Il avait déjà consulté son médecin traitant suite à cette baisse de l'état général, sans mise en évidence de cause à celle-ci. Après avis neurologique, il est convenu d'effectuer une IRM cérébrale montrant de multiples lésions démyélinisantes compatibles avec une sclérose en plaques. À noter l'absence de lésions démyélinisantes à l'IRM médullaire. Au vu de la suspicion de sclérose en plaques, le patient bénéficie d'un traitement empirique par Solumedrol IV pendant 3 jours. Un bilan complet avec tests sanguins immunologiques ainsi qu'une ponction lombaire sont effectués, qui ne retrouvent pas d'étiologie franche. Une sclérose en plaques atypique reste le diagnostic de présomption. Afin d'exclure un neurolyme, au vu de la présence d'IgG sérique contre la borreliose, une recherche d'anticorps intrathécale est en cours lors de la sortie du patient. Elle revient négative la semaine suivante, excluant le diagnostic de neurolyme tardif.Au vu des symptômes ophtalmiques, une consultation ophtalmologique est effectuée qui met en évidence une diplopie monoculaire bilatérale, pour laquelle une étiologie n'est pas identifiée. En effet, le fond d'œil, l'OCT sont dans la norme. Il n'y a pas d'argument pour un kératocône ni de dislocation du cristallin. A noter également des potentiels visuels évoqués dans la norme. A l'étage de médecine, le patient présente des céphalées qui apparaissent suite à la ponction lombaire. Nous ne retenons pas de syndrome post-PL au vu de l'absence d'amélioration malgré un lit strict prolongé et des caractéristiques notamment à la mobilisation non typique. Nous retenons plusieurs éléments étiologiques : • retrait quantitatif de LCR sans brèche • médicamenteux (dafalgan, corticoïdes) • diplopie • anxiété. L'évolution est finalement favorable avec une antalgie à base de brufen et tramadol. Au vu de l'évolution favorable, le patient peut rentrer à domicile le 16.02.2019. Mr. Y, patient de 41 ans, consulte les urgences le 31.01.2019 pour l'apparition brutale d'une dysarthrie suivie d'un hémisyndrome facio-brachial gauche sensitivo-moteur gauche. L'angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux mettent en évidence une plaque d'athérome mixte au départ de l'artère carotide interne droite sans sténose significative. L'IRM cérébral confirme la présence d'une lésion ischémique aiguë touchant le bras postérieur de la capsule interne à droite. Sur le plan étiologique, l'origine microangiopathique dans le contexte d'une hypertension mal contrôlée nous semble l'hypothèse la plus probable. L'échocardiographie montre une hypertrophie concentrique compatible avec une cardiopathie hypertensive. Un Holter est posé pendant l'hospitalisation dans l'hypothèse d'un trouble du rythme dont les résultats vous parviendront après interprétation. Sur le plan thérapeutique, Mr. Y bénéficie d'une charge en Aspirine 250 mg IV puis d'un traitement dès le lendemain par double antiagrégant (Plavix 75 mg 1x/j et Aspirine cardio 100 mg 1x/j) pendant 1 mois puis le Plavix 75 mg 1x/j seul. Un traitement par Atorvastatine 40 mg 1x/j est initié le 01.02.2019 au vu d'une dyslipidémie avec des LDL-cholestérol à 4.12 mmol/l. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Concernant l'hypertension artérielle, nous initions un traitement par Lisinopril 10 mg et Esidrex 12.5 mg. Nous proposons au patient de prendre sa tension artérielle à domicile régulièrement et de tenir un carnet avec les différentes valeurs afin que vous puissiez adapter le traitement si nécessaire lors de sa prochaine consultation à votre cabinet. Un bilan d'organe cible n'a pas montré de microalbuminurie. Un fond d'œil effectué le 05.02.2019 montre une minime artériosclérose de stade I bilatéral sans nécessité de suivi. Mr. Y bénéficie d'un bilan neuropsychologique qui se révèle dans la norme pour son âge. Le statut neurologique de sortie se révèle dans la norme. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Mr. Y rentre à domicile le 05.02.2019 avec un contrôle à la consultation neurovasculaire à 3 mois. Mr. Y présente un ongle incarné du gros orteil du pied D depuis un AVP le 24.6.18. Il présente également une très probable onychomycose. Avant de poser l'indication chirurgicale, je souhaiterais adresser le patient à Dr. X, dermatologue, pour le traitement de cette probable onychomycose ainsi que des verrues plantaires. Selon les dires du patient, il est prévu 37 séances de radiothérapie pour son problème prostatique. Pour l'instant, l'indication opératoire de cet ongle incarné est différée. Je reste bien entendu à disposition pour un éventuel geste chirurgical au niveau de cet ongle incarné, mais à distance (suite au traitement des verrues plantaires et de l'onychomycose). Au moment où l'on devra effectuer l'intervention au niveau de cet ongle incarné, j'envisagerais la mise à plat complète de l'ongle étant donné la mycose présente, ainsi qu'une cure selon Kocher des deux rebords de l'ongle du côté interne et externe. Dans l'attente, je propose un traitement local par Fucidine crème. Si la présence d'une mycose se confirme microbiologiquement, un traitement antimycotique serait introduit. Je ne prévois pas de contrôle d'emblée à ma consultation et je reste dans l'attente des conclusions de Dr. X. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de symptômes urinaires avec syndrome inflammatoire. Après prélèvements microbiologiques chez un patient afébrile, nous instaurons une antibiothérapie intraveineuse, puis per os au vu de l'amélioration clinique et biologique. Une sonde urinaire dans un contexte de peine à initier la miction est mise en place temporairement, puis ôtée avec reprise spontanée de la miction. Mr. Y peut rentrer à domicile le 11.02.2019. Mr. Y est un patient de 78 ans, sous Aspirine et connu pour un statut post-RTU-P par Dr. X il y a environ 15 ans. Le patient présente l'apparition soudaine d'une hématurie macroscopique le 16.02.2019. Il est hospitalisé pour un rinçage de la vessie en continu. Nous mettons également en pause son traitement d'Aspirine et débutons du Cyklokapron. Nous constatons rapidement un retour à des urines claires. Un CT-abdominal le 18.02.2019 ne montre pas de masse tumorale des voies urinaires et les valeurs d'hémoglobine restent stables. En ce qui concerne l'état fébrile, le patient décrit des symptômes d'état grippal débuté également le 16.02.2019 avec une légère toux et une fièvre à max 38°. Mr. Y n'est pas vacciné contre la grippe et décrit un épisode de contage lors de sa chorale hebdomadaire. Un frottis nasopharyngien revient positif pour l'Influenza A et un traitement conservateur est préconisé. Lors du CT-abdominal, nous découvrons fortuitement un nodule hyper-vascularisé dans la queue du pancréas. Dans ce contexte, nous organisons un octréoscan pour le 26.02.2019. Les marqueurs tumoraux Ca-125 et CA 19,9 reviennent tous deux négatifs. Le patient sera convoqué pour une consultation de contrôle chez Dr. X après l'octréoscan. Le patient présente une bonne évolution clinique et peut rentrer à domicile le 20.02.2019. Mr. Y, patient de 62 ans, en bonne santé habituelle, nous est transféré par le service de neurologie des HUG à Genève, pour suite de prise en charge post-AVC. Pour rappel, le patient avait présenté le matin du 11.02.2019 des difficultés à la marche et à mobiliser son membre supérieur D, accompagné de céphalées, raison pour laquelle il a consulté à l'hôpital de Thonon-les-Bains, où une parésie facio-brachio-crurale D avec hémi-négligence D, aphasie, agraphie, désorientation temporelle et troubles mnésiques. NIHSS à 11 à l'entrée. Une IRM cérébrale ayant montré un AVC hémorragique avec occlusion de la carotide interne G, le patient est transféré aux HUG pour suite de prise en charge. A l'entrée, le patient se plaint spontanément d'une difficulté à la mobilisation de l'hémicorps D. A l'anamnèse systémique, le patient rapporte une baisse de la vue avec l'œil D, sinon pas d'autre plainte, notamment pas d'incontinence fécale ni urinaire. Le patient nous rapporte avoir une allergie à la pénicilline à l'anamnèse, ainsi qu'une intolérance au sparadrap.Au niveau de l'anamnèse sociale, le patient est aide-soignant à Villars-sur-Glâne à 100 %. Il vit seul dans un appartement, il a une copine, mais qui va partir pour 1 an début mars. A l'extérieur, il y a 5 petites marches, puis Mr. Y habite au 3e étage, sans ascenseur. Avant, le patient conduisait et il désire re-conduire à la sortie. Clinique à l'entrée: Le patient est collaborant, orienté dans le temps et quant à sa situation (difficulté à dire qu'il est à Morat, mais arrive dans une suite de propositions). Au niveau cardiaque, B1B2 bien frappés, absence de souffle à l'auscultation, absence d'OMI. Au niveau abdominal, bruits normaux en fréquence et en intensité, absence de douleurs à la palpation profonde. Au niveau pulmonaire, murmure vésiculaire symétrique sur les plages pulmonaires, légèrement diminué globalement (ATCD tabagique). Au niveau neurologique, le patient a un discours fluide, avec une difficulté à trouver certains mots. Présence d'une hémi-négligence sensorielle du côté D. Les nerfs crâniens sont dans la norme hormis une probable diminution du champ visuel au niveau de l'œil D, dans le champ temporal dans les cadrans supérieur et inférieur. On observe une diminution de la force au niveau de l'hémi-corps à D, avec une force globalement à M4+/M5-, présence d'une spasticité, avec des réflexes hypervifs symétriques, peut-être légèrement augmentés à D. Réflexe cutané plantaire neutre à D, en flexion à G. Perte de la sensibilité superficielle au niveau de tout l'hémicorps D, sensibilité profonde non testée. La marche est possible avec un rollator, il nécessite une aide lors des déplacements. Nous débutons dans notre service physio et ergothérapeutique et demandons une évaluation neuro-psychologique, dans le but de débuter une réhabilitation intensive. Le patient peut ainsi être transféré de notre service de médecine interne dans le service de neuro-réadaptation intensive à Meyriez le 26.02.2019. Mr. Y quitte donc notre service le 26.02.2019. Mr. Y est un patient de 27 ans, connu pour une maladie de Crohn diagnostiquée en décembre 2018, qui se présente aux urgences le 14.02.2019 en raison de douleurs abdominales en augmentation accompagnées de nausées. Le laboratoire montre une CRP à 108 mg/l et des leucocytes à 19.8 G/l. Un scanner abdominal montre inflammation de la paroi du côlon ascendant ainsi que de l'iléon terminal avec la présence d'un abcès de 5 cm para-colique. Un drainage de l'abcès sous contrôle scannographique est réalisé et nous introduisons un traitement antibiotique par Ceftriaxone et Métronidazole intraveineux. En accord avec les gastro-entérologues, nous introduisons une corticothérapie par Solumédrol intraveineux pendant 3 jours puis par Prednisone per os du 17.02 jusqu'au 24.02.2019. L'évolution étant favorable, nous passons à un relais per os de l'antibiothérapie dès le 20.02.2019 à poursuivre jusqu'au 24.02.2019. Dans le cadre de la maladie de Crohn et du caractère récidivant des poussées en décembre, début février puis mi-février, et en commun accord avec Dr. X et Prof. Y, nous proposons au patient d'envisager une intervention chirurgicale avec résection iléo-caecale. Le patient étant fortement gêné par le drain, nous le retirons le 20.02.2019 malgré le risque de récidive de l'abcès. Le patient sera revu à la consultation de Dr. X le 21.02.2019 pour un contrôle de suivi et une adaptation de la corticothérapie. Il sera également convoqué pour un rendez-vous à la consultation de Prof. Y afin de discuter de la possibilité d'une intervention chirurgicale. Mr. Y, âgé de 55 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une neuro-réadaptation dans le cadre d'un déconditionnement physique suite à une bronchopneumonie à Picornavirus le 04.01.2019. Pour rappel, l'hospitalisation à l'HFR Fribourg a été compliquée par une décompensation d'une BPCO avec composante asthmatique, une défaillance respiratoire hypoxémique hypercapnique aiguë réfractaire et un choc cardiogénique sur défaillance ventriculaire droite et hyperinflation dynamique. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à l'AI à 100 %; il travaillait dans les constructions métalliques avec exposition à l'amiante. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme avec O2 1 lt/min au repos. Le patient signale une sensation de picotements de la face antérieure de la cuisse droite, déjà présents suite à une intervention pour une cure de varices de la jambe D en 2015, en péjoration depuis la dernière hospitalisation, et des fourmillements des deux mains. La plaie du triangle de Scarpa à droite, au site d'accès vasculaire de l'ECMO est fibrineuse avec désunion des points de suture. La plaie de l'accès du cathéter veineux central à droite est calme et les fils ont été enlevés le 27.01.2019. Au status pulmonaire, diminution du murmure respiratoire aux 2 bases, D>G. Pas d'OMI. Nerfs crâniens sans particularité. La force est cotée à M5 aux MS, au MID à M3 au psoas et à M4 quadriceps, au MIG elle est cotée globalement à M4. Force à la dorsiflexion des pieds cotée à M0 des deux côtés. La sensibilité grossière est conservée aux MS, hypoesthésie de la jambe droite. Aréflexie patellaire. Épreuve doigt-nez dans la norme, Romberg négatif. La gazométrie d'entrée avec 1 lt/min d'O2 montre une saturation à 93.7 % avec une pO2 à 8.9 kPa, sans hypercapnie, raison pour laquelle nous gardons l'oxygénothérapie. La radiographie du thorax met en évidence un épanchement pleural gauche de faible abondance, des troubles ventilatoires en bande aux 2 bases pulmonaires et un épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Nous faisons une spirométrie qui montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré modéré et confirme le diagnostic de BPCO stade II selon GOLD. Par la suite, la saturation au doigt s'améliore au repos et aux efforts, raison pour laquelle nous arrêtons l'oxygénothérapie au repos depuis le 01.02.2019. Nous maintenons l'oxygénothérapie à l'effort; à adapter selon les valeurs de SpO2 et la dyspnée. Sur le plan nutritionnel, le patient couvre ses besoins énergétiques à 100 % avec les potages enrichis. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie et nutritionnelle avec une évolution favorable. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec attelles des releveurs aux pieds pour un meilleur schéma de marche. Le périmètre de marche à la sortie est de 400 m. Il peut monter et descendre les escaliers avec 1 canne ainsi que la rampe lorsqu'il est fatigué. Il peut effectuer 40 marches d'escaliers. Durant son séjour, le patient a également bénéficié d'une prise en charge avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 270 m à 436 m avec attelles des releveurs et 2 cannes. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 20.02.2019, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie en ambulatoire pour consolider les progrès acquis durant le séjour. Il sera vu en colloque interdisciplinaire le 08.05.2019 à l'HFR Billens par Dr. X. Mr. Y est hospitalisé pour la pose d'un pacemaker DDD à gauche pour un bloc AV du 3e degré le 04.02.2019. L'intervention se déroule sans complication. La radiographie post-opératoire confirme la bonne tenue de l'intervention.Nous proposons un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant. Le patient sera convoqué pour un contrôle du pacemaker dans 4-6 semaines en cardiologie. Nous ne modifions pas le traitement en place. Mr. Y rentre à domicile le 05.02.2019. Mr. Y, patient de 84 ans, connu pour une insuffisance cardiaque sévère et un bloc atrio-ventriculaire de 3ème degré pour lequel il bénéficie de la pose d'un pacemaker le 04.02.2019 par le Dr. X, est admis le 07.02.2019 aux soins intensifs dans le contexte d'un NSTEMI. Il est transféré le 08.02.2019 au service de médecine interne pour la suite de sa prise en charge. Le 07.02.2019, le patient présente des douleurs thoraciques oppressantes, à raison de 3 épisodes durant la nuit, durant environ 20 minutes, dernier épisode à 7h15, d'une durée d'environ 25 minutes. Le patient rapporte la prise d'un comprimé de nitroglycérine et 1/2 Dafalgan à chaque épisode. Le patient évoque également une orthopnée importante cette nuit. Sur le plan cardiologique, au vu d'une cinétique enzymatique et d'une échocardiographie montrant une péjoration de la FEVG péjorée de 40% à 20%, une coronarographie est réalisée en urgence et retrouve une subocclusion de l'IVA proximale, traitée par un stent actif. Au niveau médicamenteux, de l'Aspirine est introduite et sera à poursuivre à vie, alors qu'un traitement d'Efient à demi-dose est introduit pour 6 mois. Une statine est aussi rajoutée en prévention secondaire. Au sujet de l'insuffisance cardiaque péjorée, un traitement par Aldactone et Carvedilol est introduit et le traitement par Irbesartan est poursuivi. De plus, une ETT devra être réalisée à 1 mois, afin d'évaluer l'indication à un traitement de resynchronisation. Du fait d'une hypothyroïdie subclinique en 2014 et d'une macrocytose, un contrôle de la TSH et un bilan vitaminique sont réalisés. En plus de l'hypothyroïdie subclinique déjà connue, une carence en vitamine B12 est retrouvée et substituée selon le schéma usuel. Sur le plan rhumatologique, Mr. Y présente un début de crise de gouttes le 12.02.2019, avec une rougeur, une chaleur et des douleurs au pied droit, motivant l'instauration d'un traitement de 5 jours de Prednisone. Au décours de ce nouvel épisode aigu, nous vous invitons à envisager un traitement prophylactique par Allopurinol, en tenant compte de l'insuffisance rénale chronique du patient. Une réadaptation cardiovasculaire à l'HFR Billens est prévue pour la suite. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR, en attente de sa réadaptation, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement dès le 13.02.2019 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté notre service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, votre patient de 60 ans, connu pour un carcinome pulmonaire épidermoïde moyennement à peu différencié lobe inférieur droit, est transféré de l'hôpital de l'Ile de Berne pour poursuite de prise en charge d'un chylothorax post-opératoire. Pour rappel, le patient, suivi en oncologie par le Dr. X pour le diagnostic précité, a bénéficié dans ce contexte d'une chimiothérapie néoadjuvante par Taxotere et Platinol du 22.10 au 04.12.2018 avec rémission partielle, puis une immunothérapie en 12.2018 et 01.2019. Le 30.01.2019, il bénéficie d'une chirurgie par thoracotomie pour bi-lobectomie et lymphadénectomie médiastinale radicale, qui se complique par un chilothorax persistant malgré les tentatives chirurgicales de ligature le 11.02.2019. Le patient est transféré notre institution le 15.02.2019 pour la suite de la prise en charge. Il bénéficie d'une lymphographie par CT-Scan injecté au lipidol qui met en évidence la fuite médiastinale de la lymphe. Un drain de collection est mis en place pour guidance CT, sans complication, et est laissé en place dès le 15.02.2019. Par la suite, devant la persistance de l'écoulement du drain, et sur consultation pluridisciplinaire, le patient est prévu pour une prise en charge chirurgicale de la fuite lymphatique le Jeudi 21.02.2019. À noter que le patient n'a pas souhaité adhérer au traitement par la Sandostatine prescrit dans le but de diminuer les sécrétions lymphatiques. D'un point de vue respiratoire, le patient présente une dyspnée et une désaturation au repos avec une majoration du contenu des drains, contemporaines avec une augmentation des crépitants basaux droits. La radiographie et le CT-Scan thoracique de contrôle montrent en revanche une nette diminution du chylothorax apical droit et quelques petites atélectasies lamellaires à la base pulmonaire droite connues mais en amélioration mais sans foyer clairement visible. Il n'y a pas non plus d'évidence pour une embolie pulmonaire. Nous adaptons l'antalgie qui reste pour l'heure sous-optimale. D'un point de vue nutritionnel, le patient présente dès son arrivée un état nutritionnel diminué avec une hypoalbuminémie sévère et un anasarque important dans le contexte du chylothorax. Nous poursuivons l'alimentation parentérale déjà mise en place ainsi qu'un régime strict sans graisse dès le 15.02.2019. Le contrôle de la fonction hépatique est à poursuivre de façon hebdomadaire. Notons la mise en évidence des troubles électrolytiques avec une hypokaliémie que nous substituons, et une légère hypercalcémie et une discrète hyperphosphatémie ne requérant pas de chélation mais dont nous vous suggérons le suivi. Au vue de la perte continuelle de la lymphe, nous majorons l'alimentation parentérale à 1850 ml/24. Notons par ailleurs une stabilité pondérale durant l'hospitalisation, mais suggérons naturellement de poursuivre la surveillance. En cas d'apparition d'oedème, les diurétiques mis en suspend peuvent être repris. D'un point de vue angiologique, le patient est connu pour une maladie thrombotique avec des thromboses veineuses profondes de la veine sous-clavière gauche le 27.11.2018 et d'une des veines fibulaires du mollet gauche le 03.12.2018 pour laquelle, son angiologue traitant (Dr. X) préconisait une anticoagulation thérapeutique par Lixiana. Au vue des risques hémorragiques secondaires à la chirurgie, le patient bénéficie dans un premier temps d'une anticoagulation prophylactique en péri-opératoire. Sur avis du Dr. X, nous reprenons l'anticoagulation thérapeutique dès le 19.02.2019, qui sera à poursuivre après la reprise chirurgicale pour ligature le 21.02.2019 du canal thoracique. D'un point de vue psychologique, le patient affiche une thymie diminuée mais ne souhaite pas de prise en charge psycho-oncologique. Le patient est transféré ce Jeudi 21.02.2019 au service de chirurgie pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, connu pour un carcinome épidermoïde du poumon opéré il y a 40 ans, consulte les urgences le 25.01.2019 en raison d'une baisse de l'état général depuis 2 à 3 jours. À l'anamnèse, le patient rapporte une légère toux grasse avec expectorations blanc-gris, sans dyspnée franche, des diarrhées depuis 2 à 3 jours, 2 à 3 épisodes par jour avec fuites et selles foncées depuis 3 semaines, des nausées sans vomissement depuis 24 heures ainsi que des vertiges de type orthostatique. Pas de notion d'état fébrile ni de céphalée. Au status, le patient est afébrile, avec des paramètres vitaux dans la norme. À l'auscultation cardiaque, B1B2 sont bien frappés, régulier. Souffle holosystolique ausculté, sans irradiation. Au status respiratoire, on retrouve des sibilances expiratoires, une inspiration propre et l'absence de murmure vésiculaire à gauche (status post-lobectomie gauche). Au niveau digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en intensité. Les loges rénales sont indolores. Au toucher rectal, douleurs à la palpation, prostate hyperplasique et sensible au toucher. Méléna sur le doigtier, pas de sang frais.Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire mais une insuffisance rénale aiguë de probable origine prérénale ainsi qu'une anémie avec hémoglobine à 118 g/l, hyperchrome à 40 pg/l et macrocytaire à 116 fl. Nous débutons une hydratation en bolus NaCl 0.9% 500 ml aux urgences, avec perfusion d'entretien de 1000 ml/24 heures. Un hémofecatest revient positif et une dose de charge d'IPP Nexium 80 mg iv est administrée aux urgences. Le patient est hospitalisé pour surveillance avec une pompe de Nexium iv à 8mg/h pendant 48 heures, avec relais per os et une stabilisation de l'hémoglobine, sans perte de sang macroscopique au niveau des selles. Une OGD afin de rechercher la source du saignement digestif est organisée pour le 28.02.2019 chez le Dr. X avec auparavant une consultation anesthésiologique. L'anticoagulation par Xarelto est mise en suspens jusqu'à cet examen. Pendant l'hospitalisation, on retrouve un profil tensionnel bas et la médication antihypertensive est mise en suspens avec des tensions qui restent dans les normes. Nous vous laissons le soin de réévaluer la nécessité d'introduire ces médicaments à distance. Dans un contexte de consommation d'alcool à risque à domicile, une prophylaxie de delirium tremens par Seresta 3x/j est prescrite et un ultrason abdominal, effectué, montre une stéatose hépatique diffuse, mais pas de signe d'hypertension portale, notamment pas de diminution du flux porte, ni de splénomégalie. Après 5 jours d'hospitalisation, la situation est stabilisée. Nous ne mettons pas en évidence de saignement actif et l'hémoglobine reste stable. Mr. Y peut regagner son domicile le 31.01.2019. Mr. Y, âgé de 74 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une PTG D, le 29.01.2019. Sur le plan social, le patient vit avec son époux à domicile. Il est à la retraite (ancien agriculteur). À l'admission, le patient présente des douleurs et un œdème stable depuis son opération du genou droit. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La flexion/extension du genou D est de 90-10-0 en actif et en passif. La force du quadriceps D est cotée à M4 et la sensibilité est conservée. Il ne présente pas de signe de TVP et la flexion dorsale du pied est conservée. Durant son séjour, il n'a pas présenté de complications particulières. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou D à 90-5-0 en actif et en passif. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 17.02.2019, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera des séances de physiothérapie à domicile 2x/semaine. Mr. Y est un patient de 55 ans qui bénéficie dans le cadre du diagnostic susmentionné d'une thoracoscopie uniportale droite avec segmentectomie et curage ganglionnaire le 21.02.2019. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables permettant un retour à domicile le 24.02.2019. Mr. Y est un patient de 84 ans, connu pour un globe vésical avec hématurie macroscopique et infection urinaire à E.coli le 18.01.2019, qui était hospitalisé en gériatrie à l'hôpital de Tavel jusqu'au 03.02.2019. Le patient nous est transféré en vue d'une TURV et TURP. Cette intervention est réalisée le 04.02.2019 sans complication. Les suites opératoires sont simples avec des urines encore légèrement hématuriques sans caillot et le rinçage en continu et manuel à l'aide de la sonde 3 voies mise en place lors de la cystoscopie. Au vu de la bonne évolution, nous retransférons Mr. Y à l'hôpital de Tavel le 05.02.2019 pour la suite de prise en charge. Nous proposons une poursuite des rinçages en continu et manuels jusqu'à ce que les urines soient claires puis une ablation de la sonde vésicale le 06 ou 07.02.2019 en fonction de l'évolution. Les résultats des biopsies seront encore à pister. Mr. Y présente un stade I selon Bruns d'une osteochondrosis dissecans de la face externe de la rotule qui pourrait expliquer l'atrophie du quadriceps du même côté. Comme il s'agit d'un stade I, la thérapie est purement conservatrice. Restriction d'activité. Pas de sport pendant 3 mois. Je lui prescris du Chondrosulf 800 mg cp combiné à Vita GS Complex à prendre pendant 3 mois. Je le revois dans 3 mois pour un contrôle radio-clinique le 1.5.2019. Mr. Y, patient de 43 ans, est hospitalisé dans notre service de chirurgie en urgence pour une ischémie critique du membre inférieur droit sur occlusion de l'artère poplitée. Il bénéficie d'une angiographie avec revascularisation le 09.02.2019. En vue d'absence de facteurs de risque, un bilan complet est organisé. Le scanner thoracique retrouve un épaississement de l'œsophage distal nécessitant une OGD prévue le 20.02.2019, en ambulatoire. L'échographie transthoracique retrouve un ventricule gauche à la limite supérieure de la normale motivant une ETO qui doit être interrompue en raison de l'anxiété importante du patient. Dans ce contexte, les examens devront être réalisés sous anesthésie générale en ambulatoire. Par ailleurs, le patient bénéficie d'une IRM du membre inférieur droit qui retrouve quelques fibres entre l'artère et la veine poplitées. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 05.03.2019 à 10h00 afin de discuter des résultats et de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 60 ans, qui est hospitalisé dans notre service de chirurgie vasculaire pour la prise en charge d'une ischémie critique du membre inférieur gauche. En effet, le patient résidant habituellement en Thaïlande présente des douleurs à la marche depuis environ 5 semaines avec une acutisation depuis une dizaine de jours. Il consulte à Riaz le 28.01.2019. L'angio-CT montre une occlusion longue de l'artère fémorale superficielle à l'artère poplitée à gauche ainsi qu'une occlusion de l'artère poplitée à droite. Il bénéficie d'une angiographie avec revascularisation partielle de l'artère fémorale superficielle à gauche le 29.01.2019 avec artériographie de complétion le 04.02.2019. En raison d'une péjoration clinique le 08.02.2019, on réalise une nouvelle artériographie qui met en évidence une occlusion du TTP. En raison d'une occlusion de l'artère poplitée à droite devenue symptomatique durant l'hospitalisation, le patient bénéficie d'une angiographie le 11.02.2019 qui ne permet malheureusement pas de revascularisation. En vue de l'absence d'ischémie à droite, il est décidé d'une approche conservatrice. Mr. Y sera revu en Angiologie pour un contrôle le 25.02.2019 à 9h45 avec un rendez-vous à la consultation du Dr. X le 26.02.2019 à 9h30. Mr. Y est un patient de 86 ans, qui est amené dans le service des urgences par l'un de ses fils le 31.01.2019. Celui-ci rapporte une baisse d'état général avec toux productive depuis une semaine environ, associée à une impossibilité de marcher ce jour.Le bilan initial au service des urgences parle en faveur d'une baisse de l'état général dans un contexte de syndrome grippal et le patient reste hospitalisé. Le jour même, le patient développe un état confusionnel aigu associé à un état subfébrile et des râles en base droite à l'auscultation, faisant suspecter un foyer pulmonaire. Une antibiothérapie par Ceftriaxone IV est débutée, avec évolution clinico-biologique favorable. Un relais per os peut être effectué par de la Co-amoxicilline dès le 05.02.2019. Le patient bénéficie de physiothérapie respiratoire permettant un sevrage progressif de l'oxygénothérapie. Concernant l'état confusionnel aigu, celui-ci est attribué au contexte infectieux sur fond de trouble cognitif, pour lequel une contention est transitoirement nécessaire. L'évolution est favorable avec l'amendement du syndrome inflammatoire et l'introduction de distraneurine. Le patient présente une hématurie microscopique lors du sédiment urinaire effectué au service des urgences. Le patient étant déjà suivi par le Dr. X pour un adénocarcinome prostatique, nous laissons le soin à ce dernier d'effectuer un contrôle clinico-biologique à distance à sa consultation. Au vu de l'âge du patient et du souhait d'un retour à domicile émis par la famille, un projet de réadaptation gériatrique est décidé afin que Mr. Y puisse regagner son autonomie. Dans ce contexte, le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, âgé de 65 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour un déconditionnement physique, réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à un sepsis sévère avec CIVD aiguë le 28.12.2018 sur phlegmon de la jambe gauche traitée par antibiothérapie et thérapie anticoagulante. Sur le plan social, le patient vit en colocation avec 3 autres personnes. Il est à la retraite ; auparavant travaillait dans un atelier protégé suite à ses troubles dépressifs. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Le patient se plaint d'une faiblesse généralisée et d'une perte de poids (environ 8 kg) suite à son hospitalisation. Sur le plan cutané, Mr. Y présente des desquamations importantes au niveau des 2 pieds, G>D, et des desquamations moins importantes aux mains ddc. Il présente aussi une lésion cutanée au bras gauche. Une plaie d'une profondeur d'environ 5 mm est présente à la face plantaire du pied gauche et une plaie pré-tibiale gauche connue sans signes d'inflammation. Le patient présente des tremblements fins généralisés. Il signale une perte de sensibilité de la face dorsale de l'articulation du pouce gauche. La force et la sensibilité grossière sont globalement conservées. Légère pallesthésie aux 2 MI. En ce qui concerne les tremblements fins généralisés, nous introduisons de la Mysoline 250 mg 2x/j avec une amélioration de la symptomatologie. Dans la suite des lésions dermatologiques connues, nous poursuivons le traitement en place avec Ialugen et Excipial. À la sortie, Mr. Y ne présente presque plus de desquamations et les plaies de la face plantaire du pied gauche et pré-tibiale gauche sont calmes, en voie de guérison. Sur le plan nutritionnel, le patient était connu du service de nutrition de l'HFR Fribourg pour une dénutrition modérée (NRS 4/7) avec perte de poids et inappétence. Durant son séjour à Billens, son appétit s'améliore nettement, il mange à 100 % de ses habitudes à domicile, voire même plus, ce qui lui permet de couvrir ses besoins avec une augmentation progressive du poids. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche. L'endurance est également améliorée avec une distance parcourue au test des 6 minutes qui passe de 300 m à 420 m. On observe aussi une amélioration au test sit to stand : 11x à l'entrée à 16x à la sortie. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 28.01.2019, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie en ambulatoire. Les soins à domicile sont activés. Mr. Y est un patient de 25 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte aux urgences le 30.01.2019 en raison de douleurs abdominales en péri-ombilical puis en fosse iliaque droite avec des nausées. Au laboratoire, un syndrome inflammatoire est noté et à l'ultrason, une appendicite aiguë est mise en évidence. Le patient bénéficie donc d'une appendicectomie laparoscopique qui se déroule sans complication. Les suites sont simples et afébriles, permettant au patient un retour à domicile le 01.02.2019. Nous laissons le soin à Mr. Y de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à J 12 post-opératoire. Mr. Y, patient de 71 ans, connu pour une hémochromatose traitée par saignées régulières entre autres, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 28.01.2019 en raison d'une péjoration de sa myasthénie grave. Il se présente au service des urgences se plaignant d'une faiblesse des 4 membres, n'arrivant plus à se lever depuis le matin même, accompagnée d'une dyspnée et d'une importante fatigue depuis quelques jours. Il signale également une toux productive. Les paramètres vitaux à son admission sont les suivants : TA 91/56 mmHg, FC 54 bpm, FR 20/min, Sp02 88 % à l'air ambiant. Au status sont mis en évidence de légers œdèmes des chevilles prenant le godet, des ronchis bibasaux, ainsi qu'une force M3 aux membres inférieurs avec une tête tombante. Le scanner thoracique exclut une embolie pulmonaire, mettant en évidence uniquement quelques bulles d'emphysème et un foyer apical en verre dépoli aspécifique. Sur avis du Dr. X, son neurologue traitant, une étiologie à la symptomatologie respiratoire autre que la myasthénie grave est recherchée en premier lieu. Les frottis de grippe et de RSV reviennent négatifs. Une légère décompensation cardiaque est suspectée, le patient ayant arrêté de prendre son Torasemide une semaine avant l'hospitalisation. Une décompensation BPCO est également suspectée, au vu d'un léger syndrome obstructif connu et répondant, lors des fonctions pulmonaires récemment effectuées en ambulatoire, à un bronchodilatateur. Pourtant, lors de la reprise du Torem et l'introduction d'aérosols d'Atrovent, le patient ne s'améliore pas cliniquement, ses saturations persistant aux alentours de 90 % sous 3 litres. Au domicile, il aurait été non oxygéno-dépendant et marcherait sans moyen auxiliaire. Nous concluons donc à une péjoration de la myasthénie grave, avec atteinte respiratoire nouvelle. Le patient bénéficie donc d'une plasmaphérèse aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 01.02.2019, sous monitoring et surveillance néphrologique. La famille est informée de l'intervention invasive. La première séance se déroule sans complications thrombotiques ou hémorragiques et le patient remonte à l'étage de médecine interne le jour suivant, sous surveillance neurologique par les infirmiers et respiratoire par les physiothérapeutes. Le suivi biologique pour la crase est également instauré. Il retrouve immédiatement une force M4+ au niveau des membres inférieurs et une amélioration de la dyspnée, se sevrant progressivement de l'oxygène. Il redevient autonome pour la marche. Il bénéficie donc de 4 séances supplémentaires de plasmaphérèse, la troisième étant agrémentée d'une substitution par plasma frais congelé en raison d'un fibrinogène abaissé. Le patient s'améliore cliniquement et aucune complication n'est objectivée. Les effets de la plasmaphérèse sont censés durer environ 1 mois.Suite à l'évolution favorable, le patient est proposé pour une neuro-réadaptation intensive à Meyriez. Il sera revu par le Dr. X en ambulatoire à environ 4 semaines de la fin de la plasmaphérèse, pour discuter d'un éventuel traitement de Rituximab. Sur le plan endocrinologique, un diabète probablement cortico-induit est mis en évidence. Après introduction d'insuline lente et de corrections par insuline rapide, l'évolution est favorable. Un sevrage de la cortisone est débuté, vu que ce traitement avait été instauré le temps que l'Azarek fasse effet. Dans l'attente de la neuro-réadaptation intensive, le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR Fribourg, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, patient de 71 ans, est hospitalisé aux soins intensifs le 01.02.2019 en raison d'une plasmaphérèse pour une péjoration de sa myasthénie grave. L'indication de plasmaphérèse est retenue pour cette myasthénie grave séropositive avec atteinte respiratoire soit progressive, soit pharmaco-résistante, pour potentialiser l'effet des immunosuppresseurs. La première de quatre séances le 01.02.2019 se passe sans complications sous surveillance de la crase et de la fonction respiratoire. Une prochaine séance est prévue le 04.02.2019 aux soins intensifs. En attendant, le patient est transféré à l'étage de médecine le 02.02.2019. Mr. Y, admis pour une coronarographie élective chez un patient BPCO stade III, connu pour une FA, une HTA, un ancien tabagisme et une surcharge pondérale. Le CT-coronarien montrait une calcification diffuse des artères coronaires avec rétrécissements multi-étages et un score calcique pathologique. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne monotronculaire avec sténoses significatives de l'artère circonflexe proximale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 55-60%. De plus, il y a une hypertension artérielle pulmonaire pré-capillaire légère avec une sPAP à 55 mmHg. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère circonflexe proximale avec implantation de 2 stents actifs et bon résultat final. Nous proposons une double antiagrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 pour 1 mois, Plavix 75 mg 1-0-0 pour 12 mois, une anticoagulation orale avec Xarelto; le reste du traitement demeure inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 27.02.2019. Mr. Y est un patient de 73 ans, connu pour un adénocarcinome colique stade 4 ainsi qu'une leucémie lymphatique chronique, qui nous est adressé par son médecin traitant en raison d'un ictère indolore le 01.02.2019 avec dilatation des voies biliaires visualisée à l'IRM effectuée par ses soins. Le patient bénéficie d'une ERCP le 04.02.2019 qui montre une sténose du bas cholédoque de 5 cm de longueur, nécessitant la pose d'un stent. Le cas de Mr. Y est discuté lors de notre colloque interdisciplinaire d'onco-chirurgie et nous ne posons pas d'indication à une chirurgie. Mr. Y peut regagner son domicile le 07.02.2019 et il sera revu à la consultation de la Dr. X le 08.02.2019 afin de discuter de la suite de la prise en charge. Mr. Y, connu pour un diabète de type 2, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique du tronc cérébral, mise en évidence à l'IRM cérébrale effectuée en ambulatoire le 09.02.2019. Pour rappel, l'anamnèse révèle un épisode de vertige aigu apparu vers 15h00 le 07.02.2019, associé à une instabilité à la marche pour lesquels, dans un premier temps, une atteinte vestibulaire périphérique a été évoquée. L'IRM effectuée par la suite en ambulatoire montre la présence d'une lésion ischémique aiguë intéressant la partie latérale du bulbe, ainsi qu'une lésion ancienne non datable de localisation cérébelleuse droite. Aux urgences, l'évaluation neurologique révèle un nystagmus multidirectionnel et un syndrome de Horner à droite. Le patient est hospitalisé en lit non monitoré pour une surveillance neurologique. La surveillance neurologique confirme une péjoration neurologique à distance avec l'apparition d'un syndrome de Wallenberg le 12.02.2019. Une nouvelle IRM cérébrale est effectuée qui ne révèle pas de nouvelle lésion ischémique. À 48h, le patient présente une modification du statut neurologique avec l'apparition d'une hémiparésie brachio-crurale gauche motivant une nouvelle IRM cérébrale. Cet examen infirme de nouvelle lésion. Nous retenons une évolution en lien avec l'œdème de la lésion latéro-bulbaire. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne révèle pas d'étiologie structurelle d'AVC, limitée par une qualité d'image insuffisante. Ainsi, une ETO est effectuée qui met en évidence un foramen ovale perméable de Garde II associé à un anévrisme du septum interauriculaire. Mr. Y sera présenté au prochain colloque neurologie-cardialogie afin de définir si la fermeture du FOP est indiquée ou non. Un Holter de 72 heures est posé, dont l'interprétation est encore en cours. Nous vous ferons parvenir les résultats dès que possible. L'étiologie reste à ce jour indéterminée. Sur le plan médicamenteux, une double anti-agrégation par Aspirine cardio et Plavix à poursuivre pendant 1 mois, suivie par du Plavix seul. Un traitement hypolipémiant est introduit. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Le patient présente des nausées et vertiges invalidants. Les nausées répondent favorablement au traitement symptomatique de Zofran. Un traitement d'épreuve par Scopoderm patch est introduit qui permet une amélioration partielle des vertiges. Par la suite, un traitement de Betaserc est introduit avec évolution de plus en plus favorable. La mobilisation hors du lit reste cependant très difficile avec des vertiges handicapants, nécessitant une neuroréhabilitation intensive. Sur le plan des facteurs de risque cardiovasculaire, l'hémoglobine glyquée se révèle être contrôlée à 6% et la surveillance du profil glycémique est alignée. Nous évoquons une suspicion de syndrome d'apnées du sommeil avec un score de STOP-BANG à 4 points et score d'Epworth à 7 points. Une polysomnographie nocturne est prévue à 3 mois post-AVC. Le patient présente le 16.02 un état fébrile avec comme foyer une infection au niveau de sa VVP à gauche. Des hémocultures reviennent positives pour un Staphylococcus aureus (MSSA). Un bilan angiologique met en évidence une thrombose veineuse superficielle de la veine céphalique. L'ETO permet d'exclure une endocardite. Dans ce contexte, le patient est traité initialement par de la Flucloxacilline IV 6x/j avec un relais par Cubicine IV 1x/j pour un traitement d'une durée totale de 14 jours, c'est-à-dire jusqu'au 04.03.2019 compris. L'évolution de sa thrombophlébite est favorable, sans récidive d'état fébrile et disparition des signes inflammatoires cliniques et biologiques.L'aptitude à la conduite est à déterminer suite à la réadaptation. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y est un patient de 20 ans, aux antécédents sus-mentionnés, qui a été hospitalisé à Marsens pour une décompensation de son trouble bipolaire et qui est adressé aux urgences le 27.01.2019 en raison de douleurs abdominales en hypochondre gauche, en fosse iliaque gauche et droite, ainsi que pour un arrêt du transit depuis 5 jours. Le laboratoire initial montre un syndrome inflammatoire, à l'ASP une dilatation des anses digestives est notée et un CT le 27.01.2019 montre un iléus mécanique. Un traitement conservateur est débuté par la mise en place d'une sonde naso-gastrique et le patient est hospitalisé. Le 30.01.2019, le patient reprend un transit et la sonde est retirée. Par la suite, l'évolution sur le plan clinique et biologique est favorable, permettant un retour à domicile le 01.02.2019. Une entéro-IRM est agendée pour le 14.02.2019 à 15h15. Mr. Y, connu pour une maladie coronarienne bitronculaire et une consommation OH chronique, est amené aux urgences par son fils et sa belle-fille en raison d'une dyspnée progressive associée à une toux et expectorations blanchâtres. Pas d'état fébrile ni de frissons. Le bilan radio-clinique par ETT et radio de thorax met en évidence une surcharge hydrique sur insuffisance cardiaque avec FEVG à 35% et nous retenons une décompensation cardiaque provoquée probablement dans le cadre d'une fibrillation auriculaire inaugurale ainsi que sur toxicité chronique OH. Des diurétiques intraveineux sont administrés avec bon effet, puis adaptés per os. Un sartant est initié et le béta-bloquant est majoré durant le séjour et sera à adapter par le médecin traitant selon symptomatologie. Une anticoagulation n'est pas indiquée au vu d'un TP à 50% sur insuffisance hépatique. Une coronarographie est à effectuer en ambulatoire pour exclure une cause sous-jacente ischémique. Des troubles électrolytiques sont substitués per os. Une hyponatriémie est attribuée à l'hypervolémie et se normalise rapidement. Au vu d'une consommation OH chronique, nous effectuons un sevrage par Seresta et le patient ne manifeste aucun symptôme de sevrage durant le séjour. Le patient n'étant pas intéressé à un sevrage intrahospitalier, nous effectuons tout de même un ultrason hépatique de contrôle qui revient dans la norme. Le patient peut rentrer à domicile le 21.02.2019 en état général conservé. Mr. Y, patient de 79 ans, est transféré des soins intensifs en médecine interne pour suite de prise en charge après un NSTEMI le 24.02.2019. Pour rappel, le patient s'était présenté pour des douleurs rétrosternales subites à domicile qui avaient motivé une coronarographie en urgences, démontrant une maladie tritronculaire avec sténose de l'artère circonflexe, qui est stentée. Les autres lésions sont traitées conservativement car non-significatives. Le patient sera revu dans un mois par son médecin traitant et dans un an pour une ergométrie. L'hémorragie du point de ponction sans répercussion hémodynamique montre une bonne évolution après retrait du pansement compressif. La Tamsulosine est mise en suspens et sera à réévaluer par le médecin traitant dans le contexte cardiaque. Mr. Y rentre à domicile le 27.02.2019. Mr. Y présente des luxations récidivantes des deux rotules. Comme diagnostic différentiel, il faut retenir éventuellement une patella alta ou une dysplasie de la trochlée ou un problème mixte. Jusqu'à ce jour, le patient n'a pas bénéficié de physiothérapie. Je propose donc dans un premier temps de tonifier le vaste interne des quadriceps pour recentrage de la rotule. Éventuellement application de Kinesiotape. Un contrôle d'ici 6 semaines est programmée pour une réévaluation clinique (27.03.19). Le patient apportera le bilan radiologique effectué chez son médecin traitant. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire (rentier AI). Mr. Y est un patient de 82 ans qui nous est adressé par le service de chirurgie de l'HFR Fribourg pour un déconditionnement suite à un choc septique à E. coli d'origine urinaire sur néphrolithiase obstructive le 07.01.2019. À l'entrée, le patient se plaint de faiblesse, de troubles de l'équilibre et d'insécurité à la marche, ainsi que de brûlures mictionnelles. Il se déplace avec un fauteuil roulant. Le patient est veuf, il a 3 filles et habite seul dans un appartement au 4ème étage avec ascenseur et 5 marches d'escaliers à faire avant l'ascenseur. Avant l'hospitalisation, il était autonome au niveau des AVQ et AVQ instrumentales et se mobilisait sans moyens auxiliaires. Il conduisait encore une voiture. À l'entrée se présente un patient en état général diminué, bien orienté dans les trois dimensions, afébrile et stable sur le plan hémodynamique. Sur le plan clinique, nous retrouvons des œdèmes importants des membres inférieurs bilatéraux avec dermite ocre des deux côtés et lésions de grattage. Les pouls périphériques sont palpables. Ad diagnostics supplémentaires 2 et 3) Un ECG de suivi montre un rythme sinusal. Les œdèmes des membres inférieurs évoluent favorablement sous traitement diurétique et compressif. Ad diagnostic supplémentaire 4) Les valeurs des tests hépatiques restent stables pendant l'hospitalisation. Nous poursuivons le traitement par Benerva et Becozym. Ad diagnostic supplémentaire 5) Nous poursuivons le traitement avec Mycostatine et traitement topique avec un bon effet. Ad diagnostic supplémentaire 8) En raison d'une malnutrition modérée, le patient bénéficie d'un suivi diététique durant le séjour hospitalier. Ad diagnostics supplémentaires 9 et 10) L'anémie s'améliore progressivement pendant l'hospitalisation. Un déficit en vitamine B12 est substitué. Ad diagnostics supplémentaires 11 et 12) Parallèlement à la prise en charge aiguë, nous effectuons un traitement complexe gériatrie aiguë avec un bon effet. À l'entrée, Mr. Y fait les transferts sous supervision et marche avec une aide de contact importante et un tintébin sur une distance d'environ 20 m avec risque de chute élevé. Il n'est pas capable de monter les escaliers. Le Tinetti est 16/28 avec un tintébin. Suite à une nouvelle infection urinaire nécessitant une antibiothérapie, la réadaptation est retardée sans progrès significatif au niveau de la mobilisation hormis une majoration du périmètre de marche à 70 m. Une carence en vitamine D est substituée. Ad diagnostic principal et diagnostic supplémentaire 1, complications 1 et 2) Pendant le séjour, Mr. Y développe une nouvelle infection urinaire basse à E. faecium, traitée d'abord par Rocéphine 2 g/j empiriquement puis par Vancomycine 1 g 2x/j selon avis infectiologique. Un ultrason montre une hypertrophie de la prostate avec rétention urinaire post-mictionnelle de 175 ml. Une sonde urinaire est mise en place et un traitement par Pradif est instauré. La sonde double-J et la lithiase urinaire étant toujours présentes dans les voies urinaires du patient et étant des facteurs de risque d'infections urinaires à répétition, une lithotripsie sera effectuée par Dr. X le 31.01.2019, une raison pour laquelle le patient est transféré à l'hôpital Daler le 30.01.2019. Mr. Y, un patient de 45 ans en bonne santé habituelle, est hospitalisé pour prise en charge d'une pneumonie associée à des douleurs thoraciques invalidantes. Pour rappel, il a présenté des douleurs thoraciques antéro-basales gauches transfixiantes le 15.02.2019, respiro-dépendantes, survenant au décours d'une IVRS. Un ECG ainsi qu'un bilan de laboratoire en défaveur d'un événement coronarien aigu mais montrant des D-dimères élevés a motivé la réalisation d'un CT-scan thoracique. Ce dernier a permis d'exclure une embolie pulmonaire ou une dissection aortique. Il a mis en évidence un foyer infectieux basal gauche compatible avec une pneumonie. Les antigènes urinaires sont revenus négatifs. Une antibiothérapie intraveineuse est débutée ainsi qu'une antalgie avec besoins d'opiacés.L'évolution sous ce traitement est rapidement favorable avec disparition des douleurs en 48 heures. Au vu du bon état général du patient et de l'absence d'autres problèmes, nous le laissons regagner le domicile le 19.02.2019 avec poursuite des antibiotiques per os et contrôle clinique dans 2 ou 3 jours à votre consultation. Mr. Y est un patient de 35 ans qui bénéficie d'une cure d'hernie ombilicale le 22.02.2019. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables et le patient peut retourner à domicile le 24.02.2019. Mr. Y est un patient de 82 ans suivi par le Dr. X pour une tumeur papillaire de la vessie. L'intervention suscitée est agendée et se déroule le 06.02.2019 sans complication. Les suites opératoires sont simples, les douleurs sont gérées par l'antalgie standard et la sonde peut être retirée le 08.02.2019, avec bonne reprise des mictions. Il n'y a pas de résidu post-micitonnel au contrôle par bladder-scan. Une antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour est en place du 06 au 08.02.2019 inclus. De même, durant le séjour, le patient a reçu une prophylaxie thromboembolique par Clexane 20 mg iv le jour opératoire, puis 40 mg iv/jour du 07 au 08.02.2019. Vu la bonne évolution, Mr. Y regagne son domicile le 08.02.2019. Mr. Y, patient de 56 ans, connu pour un diabète de type II non insulino-requérant, est hospitalisé le 20.01.2019 suite à une décompensation diabétique hyperosmolaire, dans un contexte de non-compliance médicamenteuse. Le patient présente depuis un mois des glycémies perturbées avec une polydypsie. Il décrit également une baisse de l'acuité visuelle avec une hémianopsie gauche spontanément résolutive il y a 2 mois ainsi que des paresthésies aux membres inférieurs depuis 2 semaines évoluant en hypoesthésie complète de l'hémicorps gauche. Sur le plan diabétologique, nous instaurons un traitement par Tresiba en complément du traitement habituel par Metformine et Jardiance. Le patient est suivi par nos collègues diabétologues et ses glycémies sont normalisées durant l'hospitalisation. Dans le cadre d'un bilan lipidique, nous retrouvons une hypercholestérolémie, raison pour laquelle nous débutons un traitement par Atorvastatine 40 mg. Au niveau ophtalmologique, un bilan met en évidence une maculopathie diabétique à l'œil droit, associée à une forte diminution de l'acuité visuelle. Sur conseil des ophtalmologues, un nouvel examen des champs visuels sera réalisé le 15.02.2019. Par la suite, ils décideront de l'indication à une angiographie ainsi qu'à des injections intra-vitréennes. Nous vous invitons à pister les conclusions de leur prise en charge. Sur le plan oto-rhino-laryngologique, nous retrouvons à l'IRM un comblement important du sinus sphénoïdal, des cellules ethmoïdales et frontales à gauche. Les céphalées du patient s'améliorent après initiation d'un traitement de cette sinusite par Nasonex, rinçages nasaux et Co-Amoxicilline pour une durée totale de 10 jours (jusqu'au 04.02.2019). Le patient sera revu en ambulatoire par nos collègues d'ORL le 08.02.2019. Au niveau neurologique, en raison de l'hypoesthésie de l'hémicorps gauche, nous réalisons une IRM cérébrale, qui exclut toute lésion ischémique ou hémorragique constituée. Les neurologues retiennent cependant un diagnostic d'AVC ischémique sans corrélat radiologique. Un traitement d'aspirine cardio est introduit. Un bilan par Holter de 48h (pose le 06.02.2019 à 10h) sera réalisé en ambulatoire et nous vous invitons à en pister les résultats. Finalement, sur le plan cardiologique, en raison des douleurs atypiques que présente le patient, nous réalisons un ECG ainsi qu'un suivi des troponines. Les résultats rassurants de ces examens nous permettent d'exclure un syndrome coronarien aigu. Nous mettons ces douleurs en rapport avec les antécédents de précordialgies récidivantes du patient, connus depuis 2016 et déjà investigués. Au vu d'une évolution favorable sur le plan clinique et biologique, le patient retourne à domicile le 30.01.2019. Au vu des fréquents retours au Kosovo du patient, nous convenons avec sa belle-fille qu'elle s'occupera des contrôles glycémiques chez Mr. Y et ce deux fois par jour. Mr. Y s'est présenté au service des urgences suite à une péjoration d'hémoptysies apparues le 16.02.19 sans fièvre ni frissons, ni notion de contage ou voyage à risque. Un CT thoracique met en évidence deux structures à contenu aérique situées entre la paroi latérale droite de l'œsophage proximal et la trachée, en avant du corps vertébral de T2 ainsi qu'un granulome calcifié postéro-basal gauche et des adénopathies médiastinales et hilaires en partie calcifiées. Au vu d'un diagnostic différentiel large, comprenant une suspicion de tuberculose, nous isolons le patient et le traitons préventivement pour une médiastinite durant 2 jours. Une OGD montre 2 lésions ulcéreuses de l'antre et des biopsies à la recherche de H. Pylori sont en cours (une éradication est indiquée en cas de positivité). Un traitement par IPP est initié. Le bilan est complété par une bronchoscopie et un bilan ORL qui ne montrent rien parlant en faveur des crachats sanguinolents. Les expectorations à la recherche de BAAR reviennent toutes négatives. Mr. Y peut rentrer à domicile le 23.02.2019. Mr. Y présente une hypersensibilité de la pulpe amputée des 2ème au 4ème doigts de la main gauche. Dans un premier temps, je propose au patient d'aller voir une ergothérapeute pour la désensibilisation de la pulpe. Pour le moment, une reprise de travail n'est pas possible, vu l'importante douleur au moindre toucher des bouts des doigts. Je reverrai le patient dans 7 semaines pour une réévaluation clinique. Arrêt de travail attesté du 12.02.2019 au 03.04.2019, date du prochain rendez-vous. Mr. Y, 84 ans avec de multiples FRCV, connu pour un AVC ischémique aigu multifocal occipital droit et insulaire gauche le 31.10.2018 dont l'étiologie était indéterminée et un AVC en 2008 avec quadranopsie supérieure droite séquellaire. Il est amené en ambulance en raison d'un mutisme observé par son épouse. Aux urgences est mise en évidence une dysarthrie, un nystagmus multidirectionnel, parésie faciale D mineure, ainsi qu'une héminégligence G. L'angio-CT cérébral et l'IRM cérébrale montrent un AVC ischémique bifocal au niveau thalamique et occipital D sur occlusion de l'artère cérébrale postérieure droite dans son segment P2 et au niveau cérébelleux bilatéral à prédominance G sur occlusion de l'artère cérébelleuse supérieure G. Une thrombolyse intraveineuse est administrée le 18.01.2019. L'évolution post-thrombolyse est progressivement favorable, sans complication hémorragique. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne montre pas de source emboligène. Un R-Test de 7 jours est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un examen neurosonologique retrouve la persistance d'une sténose de l'artère vertébrale G au segment V4 estimée à > 50%, ainsi que du tronc basilaire proximal estimée à < 50%, ainsi qu'une athéromatose carotidienne et vertébrale diffuse. Nous suspectons une étiologie artério-artérielle au vu des lésions multiples, limitées à la circulation postérieure, en aval d'une sténose serrée athéromateuse de l'artère vertébrale G (V4). Nous introduisons en conséquence une double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine Cardio et Plavix pour 3 mois, suivi de Plavix seul. Nous vous invitons à pister les résultats du R-Test et à le réitérer en cas d'absence de mise en évidence d'une arythmie emboligène.Sur le plan métabolique, le traitement d'Atorvastatine est poursuivi à 40 mg/j au vu d'un taux de LDL satisfaisant à 1.7 mmol/L. Nous vous proposons de suivre le bilan lipidique avec des valeurs cibles de LDL < 1.8 mmol/L. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Une consultation ophtalmologique est prévue le 07.02.2018 à 9h30. L'évolution clinique est favorable avec un statut neurologique de sortie montrant la persistance d'une hémianopsie latérale supérieure bilatérale à prédominance D et une dysarthrie légère. Mr. Y peut regagner son domicile le 28.01.2019, avec poursuite de logopédie et physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y, 73 ans, est reclassé en aigu pour une coronarographie. Pour rappel, le patient est hospitalisé depuis le 24.10.2018 pour un choc cardiogénique sur défaillance cardiaque droite secondaire à un STEMI droit sur occlusion subaiguë au niveau de l'ostium de la coronaire droite. Une coronarographie le 25.10.2018 par le Dr. X permet une recanalisation de la coronaire droite avec thrombaspiration et mise en place de trois stents. Une recoro est prévue dans 1 mois pour traitement de l'IVA ostiale. Le 20.11.2018, la coronarographie est effectuée et permet une angioplastie de l'IVA proximale avec implantation de 2 stents actifs et montre une FEVG à 50%. L'Aspirine est à poursuivre à vie et l'Efient pour 12 mois. Le reste du traitement est inchangé. Le point de ponction fémoral droit est calme et le patient ne présente aucune plainte cardiovasculaire. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 an. Le patient est reclassé le 21.12.2018 en attente d'une réadaptation cardiovasculaire. Mr. Y consulte les urgences le 10.02.2019 en raison de douleurs basithoraciques droites respiro-mouvement dépendantes depuis 2 jours, suite à une chute de sa hauteur avec réception sur le côté droit, en glissant sur la glace. Pas de dyspnée, pas de plainte digestive ni urogénitale. Au statut ostéo-articulaire, douleurs costales en regard de la ligne axillaire postérieure droite. Au statut urogénital, la loge rénale droite est légèrement sensible à la percussion. Pas d'hématome au statut cutané. Les statuts cardio-respiratoire, neurologique et digestif sont sans particularité. Le laboratoire montre une insuffisance rénale chronique connue avec créatinine à 147 mmol/L. Pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble électrolytique. Les tests hépatiques sont dans la norme. Le sédiment urinaire est propre. La radiographie du thorax montre une fracture de la 7ème côte à droite. Selon le Dr. X, chirurgien, il n'y a pas d'indication à une prise en charge chirurgicale. Le patient est hospitalisé pour adaptation de l'antalgie. L'évolution est rapidement favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 14.02.2019. Nous proposons un contrôle à votre consultation une semaine après la sortie. Mr. Y est un patient de 68 ans, en bonne santé habituelle, avec un antécédent d'urétéro-lithiase en 2015 traité conservativement. Il présente depuis le 20.02.2019 des douleurs typiques en colique, pour lesquels il consulte à l'hôpital de Payerne où une urétéro-lithiase de 3 mm est diagnostiquée. Malgré le traitement conservateur avec de la Tamsulosine, le patient montre une majoration des douleurs et se présente à notre service d'urgences le 22.02.2019. Au vu de l'acutisation de son insuffisance rénale chronique et le début d'un syndrome inflammatoire, le patient bénéficie d'une cystoscopie avec pose de sonde double J le 22.02.2019. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. Le patient présente une diminution significative de ses valeurs de créatinine. Un contrôle clinique et laboratoire des valeurs inflammatoires et rénales sera à organiser chez le médecin traitant. Tout au long de son hospitalisation, le patient présente un état anxieux vis-à-vis de son hospitalisation avec angoisses, insomnies et fugue de l'hôpital le 23.02.2018. Un suivi psychiatrique est refusé par le patient. Après rediscussion le 25.02.2019, il se dit soulagé de pouvoir rentrer à domicile. Le patient peut sortir le 25.02.2019. Il sera reconvoqué pour une consultation de contrôle chez le Dr. X dans 10 jours. Mr. Y, connu pour un ancien tabagisme, est hospitalisé dans un contexte d'AVC sylvien gauche. Pour rappel, l'anamnèse révèle une aphasie de Wernicke d'apparition brutale constatée à 18h45 le 09.02.2019, avec dernière preuve de bonne santé à 17h15. Aux urgences, le patient présente un NIHSS à 7 points en lien avec une aphasie de Wernicke et dysarthrie. Le CT cérébral révèle une pénombre temporo-pariétale gauche sans zone d'infarctus constituée motivant une thrombolyse intraveineuse à dose standard. Une occlusion vasculaire du segment M3 de l'artère cérébrale moyenne est également visualisée. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique. La surveillance neurologique confirme une amélioration clinique avec amélioration de l'aphasie de Wernicke. L'IRM cérébrale confirme des lésions ischémiques aiguës au niveau insulaire, pariétal et occipital gauche. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne révèle pas de cause structurelle pouvant l'expliquer. Un Holter de 72 heures est posé, dont l'interprétation est encore en cours. Nous vous ferons parvenir les résultats dès que possible. L'évaluation neuropsychologique confirme une aphasie mixte en évolution, avec déficit prédominant dans la production du langage écrit et oral. Un suivi neuropsychologique est indiqué. Sur le plan médicamenteux, un traitement anti-agrégant par Plavix est introduit, à poursuivre à vie. Aucun traitement hypolipémiant n'est introduit devant le bilan lipidique aligné du patient. Les examens de laboratoire confirment une anémie macrocytaire normochrome d'allure chronique. Le bilan d'anémie ne révèle pas de carence vitaminique ni ferriprive. Le bilan thyroïdien est aligné. Un suivi en ambulatoire est indiqué. Sur le plan psychiatrique, Mr. Y présente une thymie abaissée, que la famille décrit depuis déjà plusieurs mois, après que sa femme ait été placée dans un home médicalisé pour une maladie d'Alzheimer, diagnostic encore difficile à accepter par Mr. Y. Pendant l'hospitalisation, suite à l'AVC, Mr. Y dit avoir une humeur plus dépressive que d'habitude, cependant sans idéations suicidaires et accepte de voir nos collègues psychiatres qui proposent un traitement antidépresseur. Un suivi psychothérapeutique a déjà été mis en place par la fille du patient lorsqu'il rentrera à domicile. Lors du transfert, persiste une aphasie mixte d'évolution lentement favorable et une discrète dysarthrie, compatible avec un NIHSS à 2 points. Le patient est transféré en neuroréhabilitation intensive à Meyriez pour la suite de la prise en charge. L'aptitude à la conduite sera déterminée à la sortie de la neuroréhabilitation. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Mr. Y, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, est amené aux urgences en ambulance le 23.01.2019 en raison d'une dyspnée d'apparition progressive, de stade NYHA IV, avec augmentation de toux et des expectorations, sans modification de la couleur, accompagnée d'un état fébrile. Pour rappel, le patient a été traité par Céfuroxime 500 mg 2x/j du 15 au 22.01.2019 pour une pneumonie basale droite. À noter une compliance médicamenteuse douteuse. À l'anamnèse, Mr. Y se plaint également d'une orthopnée sans oedème des membres inférieurs ainsi que d'une baisse de l'état général depuis plusieurs semaines.A l'admission aux urgences, le patient est en état général diminué. Il est normotendu à 143/85 mmHg, tachycarde à 117 bpm, afébrile et sature à 88% sous 3 litres d'oxygène. Au status respiratoire, notons des ronchis bilatéraux ainsi que des crépitants en base gauche. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 235 mg/l, sans leucocytose, une hyponatrémie hypoosmolaire à 114 mmol/l et une hyperkaliémie à 5 mmol/l. La gazométrie montre : pH 7.3, pCO2 4.1 kPa, pO2 7.4 kPa, bicarbonate 20 mmol/l, lactates 1.0 mmol/l et la radiographie du thorax met en évidence des foyers de condensations bibasaux. Le diagnostic de pneumonie bibasale bilatérale sur probable broncho-aspiration est retenu et nous débutons une antibiothérapie par Tazobac 4,5 g iv avec hydratation parentérale par Nacl 1l rapide puis 1l sur 6 heures. Au vu de l'apparition de signes de surcharge sur remplissage, le patient reçoit une dose unique de Lasix 20 mg iv. Une VNI est tentée avec échec sur mauvaise compliance du patient. Après une surveillance de 24 heures en lit d'observation aux urgences, Mr. Y est transféré à l'étage de médecine. Les 2 paires d'hémocultures ainsi que les antigènes urinaires reviennent positifs pour un Streptocoque Pneumonie, motivant le changement d'antibiothérapie par Rocéphine 2g iv 1x/j jusqu'au 02.20.2019. Le patient bénéficie également d'une oxygénothérapie qui peut être sevrée le 02.02.2019 ainsi que d'une physiothérapie respiratoire. Suite à un test de déglutition, un régime mixé-lisse est introduit. Sur le plan cardiaque, le 28.02.2019, nous mettons en évidence une fibrillation auriculaire à 144/min pour laquelle le patient bénéficie d'un traitement par Cordarone iv 2x150 mg puis 30 mg/h en continu pour cardioversion le 28.02.2019 permettant un retour à un rythme sinusal. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable et Mr. Y regagne le home de l'Intyamon le 05.02.2019. Mr. Y, connu pour une BPCO stade IV, un cœur pulmonaire et une insuffisance rénale chronique se présente au service des urgences pour une insuffisance respiratoire aiguë évoluant depuis 3 jours associée à une péjoration de diarrhées chroniques. Le bilan effectué au service des urgences met en évidence une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale ainsi qu'une insuffisance cardiaque avancée et une défaillance multisystémique. Le patient et sa famille sont informés de la gravité de la situation. Au vu du contexte global, le patient est récusé par les soins intensifs et il est hospitalisé en médecine. Peu de temps après son arrivée en chambre, alors que le patient est levé pour aller aux toilettes, il perd soudainement connaissance. Il présente par la suite une dyspnée importante avec perte de contact totale. Nous passons alors à des soins de confort. La famille est appelée et avertie de la péjoration de la situation. Mr. Y décède le 04.02.2019 à 2H45. Mr. Y, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un remplacement valvulaire aortique par TAVI associé à la pose d'un pace-maker double chambre DDD dans le cadre d'une sténose aortique serrée. Traitement à l'entrée : • Aspirine cardio cpr 100 mg : 1-0-0-0 • Plavix cpr 75 mg : 1-0-0-0 • Diltiazem cpr 90 mg : 1-0-1-0 • Torem 10 mg cpr : 1-0-0-0 • Aldactone 50 mg cpr : 0-0-1-0 • Pantozol cpr 40 mg : 1-0-0-0 • Dafalgan 1g cpr : 1-1-1-0 Le 16.01.2018, le traitement par Stivarga pour son hépatocarcinome est réintroduit. Après discussion collégiale avec le Dr. X (cardiologue) et le Dr. X (oncologue), il est décidé de laisser le patient sous monothérapie antiagrégante (arrêt du Plavix et maintien de l'Aspirine seule) au vu de la balance bénéfice-risque suite à la réintroduction du Stivarga. Un suivi biologique hebdomadaire avec surveillance notamment des fonctions rénale et hépatique est réalisé et ne montre pas d'anomalie majeure (créatinine dans les limites supérieures de la norme à surveiller notamment dans le contexte de dénutrition). Le patient présente des arthralgies bilatérales de la base des 1ers et 5èmes métatarsiens, soulagées par le Tramadol et d'origine probablement iatrogène sur le Stivarga justifiant une fenêtre thérapeutique de celui-ci pour 48h à partir du 30.01.2019. Le patient devra réévaluer la reprise du traitement avec le Dr. X. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo d'appartement pendant une durée de 25 minutes à une puissance de 30 watts, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Mr. Y a bénéficié d'un suivi nutritionnel personnalisé. Devant l'état de dénutrition en lien avec sa pathologie oncologique, il a été privilégié le maintien d'un état nutritionnel correct avec un objectif de reprise de poids par rapport à un régime préventif sur le plan cardiovasculaire. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de troubles de l'état de conscience, associé à une suspicion de crise tonico-clonique. En effet, cela fait plusieurs mois que la famille du patient a remarqué une baisse de moral ainsi que des troubles du comportement et une irritabilité. Ces changements ont amené à une hospitalisation en PLAFA à Marsens. Lors de son séjour à l'hôpital psychiatrique, on développe une dysarthrie nouvelle motivant un transfert aux urgences de Fribourg. A l'arrivée des ambulanciers, le patient présente une crise tonico-clonique répondant à un traitement antiépileptique important. Un premier bilan radiologique est effectué et ne montre pas de lésions cérébrales. Après avis neurologique, nous introduisons un traitement antiépileptique d'office. Lors d'investigations biologiques, nous mettons en évidence une hyponatrémie sévère à 113 mmol/L que nous corrigeons avec précaution. L'hyponatrémie est mise sur le compte d'un SIADH de cause indéterminée. Nous pensons à une cause néoplasique et effectuons une IRM cérébrale chez un patient avec antécédents oncologiques. Celle-ci ne montre pas de lésions suspectes. Afin d'exclure un syndrome paranéoplasique, nous effectuons une recherche d'auto-anticorps spécifiques sanguins et dans le LCR dont les résultats sont en cours. Nous effectuons un bilan d'imagerie cervico-abdomino-pelvien ne montrant pas de processus néoplasique pouvant expliquer l'hyponatrémie. Cependant, il est noté une prise de contraste focale, en avant de la vallécule épiglottique droite à corréler avec le statut clinique. Un rendez-vous chez son ORL le Dr. X est prévu le 04.03.2019 à 09h00. Une consultation avec le Dr. X de suivi avec EEG aura lieu le 14.05.2019 à 09h00. Dans l'intervalle, le patient est avisé qu'il ne peut plus conduire temporairement. Un schéma dégressif du traitement antiépileptique sera à effectuer selon le schéma pré-cité, si la natrémie le permet. Au vu de l'hospitalisation à Marsens, nous discutons avec l'équipe de psychiatrie si un nouveau séjour est nécessaire. Il est convenu que non, mais un suivi ambulatoire est organisé. La natrémie se normalisant progressivement et l'absence de récidive de crises permettent un retour à domicile le 19.02.2019 avec poursuite de la restriction hydrique. Un suivi de la natrémie aura lieu en ambulatoire chez le médecin traitant.Mr. Y a été hospitalisé à l'HFR Fribourg le 09.02.2019 dans le contexte d'un AVC ischémique sylvien droit, pour lequel il a bénéficié d'une thrombolyse intraveineuse. Lors du bilan étiologique, une maladie coronarienne bitronculaire a été mise en évidence et deux stents ont été mis en place. Alors qu'il récupérait bien sur le plan neurologique, une dyspnée et une tachypnée nouvelles ont fait suspecter une décompensation BPCO chez ce patient traité empiriquement par Seretide depuis longtemps. Une radiographie du thorax a mis en évidence des signes de pneumonie fibrosante et de BPCO sévère avec un possible foyer basal droit surajouté. Une gazométrie effectuée dans ce contexte a mis en évidence une acidose métabolique à trou anionique normal, motivant un transfert en médecine interne générale. Sur le plan respiratoire, les antigènes urinaires reviennent négatifs et la culture d'expectoration est contaminée. Le patient évolue favorablement sous traitement aérosol et antibiotique, avec de la physiothérapie respiratoire surajoutée. Il se sèvre progressivement de l'oxygène et reste afébrile. Les saturations d'oxygène à l'air ambiant restent aux alentours de 89% chez ce patient asymptomatique. Sur avis pneumologique, il bénéficiera de fonctions pulmonaires prévues le 23.05.2019 à l'HFR Fribourg pour bilancer l'éventuelle fibrose, suivies d'une consultation pneumologique. L'acidose métabolique est mise sur le compte d'une insuffisance rénale chronique non connue jusqu'alors. Celle-ci étant compensée, le patient reste asymptomatique. Des analyses urinaires reviennent négatives. Des gazométries itératives mettent en évidence une normalisation de l'acidose, avec des taux de bicarbonates atteignant presque leur niveau de base. Un suivi ambulatoire est proposé. Sur le plan cardiaque, le patient reste asymptomatique et les médicaments nouvellement introduits sont bien tolérés. Il bénéficiera d'une consultation de contrôle chez son médecin traitant dans un mois. Sur le plan neurologique, le patient démontre une bonne évolution motrice, sans séquelles invalidantes. Au status de sortie, une hémiparésie n'est pas objectivée. Pourtant, l'amélioration sur le plan neuropsychologique est limitée durant le séjour, avec persistance de l'héminégligence visuelle gauche et de légers troubles de la mémoire antérograde, raison pour laquelle un suivi spécialisé est recommandé durant le séjour en réadaptation. Le patient bénéficiera également d'un suivi en neurologie au mois de juin. L'aptitude à la conduite reste à déterminer à la fin du séjour de réadaptation. Sur le plan urologique, des fuites urinaires sont mises en évidence, survenant selon le patient en hiver. Aucune douleur ni état fébrile ne survient et les analyses urinaires reviennent propres. A noter qu'il est suivi par Dr. X pour une hyperplasie bénigne de la prostate. Nous vous laissons le soin d'investiguer de manière supplémentaire si vous le jugez nécessaire. Sur le plan social, il reste à noter que le patient vit très entouré chez son frère et sa belle-sœur dans une ferme. Il est de nature réservée et peu plaintif. Nous vous laissons le soin d'organiser des soins à domicile si ceux-ci s'avèrent nécessaires par la suite. Mr. Y est transféré à Riaz en réadaptation gériatrique le 28.02.2019. Mr. Y, 62 ans, a été admis pour un hématome disséquant de la paroi aortique de type Stanford B. Le patient a consulté les urgences le 12.02.2019 pour des douleurs thoraciques associées à des douleurs dorso-lombaires et des paresthésies du membre inférieur droit. Un CT-scan thoraco-abdominal a identifié un hématome disséquant de la paroi aortique ainsi qu'un anévrisme fusiforme de l'aorte abdominale distale d'environ 30 mm et un anévrisme de l'artère iliaque commune droite de 19 mm. Le CT thoraco-abdominal de contrôle à J2 montre une stabilité de l'hématome. Il bénéficie d'une surveillance aux soins intensifs jusqu'au 14.02.2019. En raison d'un syndrome inflammatoire persistant sans état fébrile, nous effectuons une radiographie thoracique montrant des condensations pulmonaires (diagnostic différentiel : pneumonie, atélectasies). Un traitement antibiotique de Co-Amoxicilline per os est introduit. En raison d'une persistance du syndrome inflammatoire 4 jours après l'introduction des antibiotiques, nous répétons la radiographie de thorax, sans évolution notable. Un rendez-vous de contrôle à la consultation de Dr. X est agendé en date du 05.03.2019 à 11h30. Le patient est convoqué le 05.03.2019 à 14h30 à l'HFR pour un angio-CT de contrôle (à jeûn 4h avant l'heure de rendez-vous). A noter que le patient est allergique au produit de contraste, il faut le prémédiquer avec de la Prednisone 13h, 8h et 1h avant l'angio-CT et 1h avant avec un anti-histaminique (Zyrtec). Sur le plan infectieux, le patient présente un syndrome inflammatoire sans état fébrile ni foyer notable. Sur avis infectiologique, nous laissons le patient rentrer à domicile en raison d'un excellent état général. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle biologique en début de semaine prochaine. Une mesure de la température deux fois par jour jusqu'au contrôle chez le médecin de famille est proposée. Mr. Y, 62 ans, a été admis pour un hématome disséquant de la paroi aortique de type Stanford B. Le patient a consulté les urgences le 12.02.2019 pour des douleurs thoraciques associées à des douleurs dorso-lombaires et des paresthésies du membre inférieur droit. Un CT-scan thoraco-abdominal a identifié un hématome disséquant de la paroi aortique ainsi qu'un anévrisme fusiforme de l'aorte abdominale distale d'environ 30 mm et un anévrysme de l'artère iliaque commune droite de 19 mm. Le patient a été admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique. Le contrôle tensionnel a été obtenu initialement sous labétalol intraveineux continu, puis sous labétalol et nifédipine po. Le CT thoraco-abdominal de contrôle à J2 montre une stabilité de l'hématome. Une insuffisance rénale aiguë modérée a été attribuée à l'exposition au produit de contraste et à une hypoperfusion rénale relative, suite à la baisse de la pression artérielle systolique à 100 mmHg. Une correction volémique a été effectuée et la cible de pression artérielle systolique a été tolérée jusqu'à 120 mmHg vu la stabilité. Une douleur de l'hypochondre droit a été attribuée à une appendagite épiploïque découverte sur le scanner abdominal, et s'est amendée avec un traitement antalgique. Le prochain contrôle scannographique est prévu dans une semaine. Une anticoagulation prophylactique a été introduite dès le 14.02.2019. Les facteurs de risques cardio-vasculaires consistent en une dyslipidémie non traitée, un tabagisme actif et une anamnèse familiale positive pour une dissection aortique avec décès chez le père du patient à l'âge de 60 ans. Dans ce contexte, le patient est au bénéfice d'un suivi radiologique à intervalle de 2 ans. En raison d'une réaction allergique au produit de contraste avec éruption cutanée survenue lors d'un dernier CT-scanner il y a 4 ans, le patient est suivi radiologiquement par des échographies avec un dernier examen effectué en ambulatoire il y a 2 ans. Pour les imageries actuelles, le patient a bénéficié d'une préparation par anti-histaminique et aucune réaction allergique n'a été observée. Le patient a été transféré le 14.02.2019 dans le service de chirurgie. Mr. Y, âgé de 81 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une rééducation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une prothèse céphalique gauche le 03.01.2019 suite à une fracture du col du fémur gauche le 02.01.2019.Sur le plan social, le patient, veuf, vit seul à domicile avec passage des soins à domicile. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Mr. Y est très confus, non orienté dans le temps et l'espace : ne sait pas où il est et a de la peine à retenir les informations. Il ne se rappelle pas de la chute ni de l'intervention. Ces troubles mnésiques sont connus dans un contexte d'AVC en 2011 et d'une probable démence débutante. Au status, le patient est collaborant. La cicatrice est calme. Il se plaint de douleurs de la hanche gauche à la mobilisation. OMI à gauche. Nerfs crâniens dans la norme. Sensibilité grossière globalement conservée. Épreuve doigt-nez dans la norme. La force du MIG est cotée à M0 au psoas et à M3 au quadriceps. Au début de son séjour, dans le contexte de troubles mnésiques et cognitifs, Mr. Y s'est montré verbalement agressif envers l'équipe soignante. Selon l'avis de Dr. X, psychiatre de liaison, nous prescrivons de la Distraneurin 4x/j et de l'Haldol en réserve en cas d'agressivité ou agitation, avec une évolution favorable. Une évaluation neuropsychologique a mis en évidence des troubles compatibles avec une étiologie toxico-carentielle (OH). Nous retrouvons une banalisation de la consommation OH avec des troubles cognitifs et une anosognosie. La capacité de discernement de Mr. Y est altérée. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. Mr. Y marchait avec un tintébin en ne respectant pas la décharge. Il oublie souvent les consignes qui lui sont données. Le 05.02.2019, au matin, Mr. Y présente une impotence fonctionnelle totale de son MIG. Pas de notion de chute. À l'examen clinique, on observe un raccourcissement et une rotation externe du MIG. Nous constatons également des testicules oedématiées et rouges, non douloureuses à la palpation. Suspectant une luxation de la prothèse céphalique du MIG, Mr. Y est transféré, le 05.02.2019, aux urgences de l'HFR Fribourg pour investigations et prise en charge spécialisée (ce jour-là, la radiographie standard n'était pas disponible à l'HFR Billens). Mr. Y est de retour dans notre service le soir même. À l'HFR Fribourg, on relève au laboratoire une CRP à 68 mg/l et le CT abdomino-pelvien montre un hydrocèle bilatéral, pas de hernie, anévrisme aorte abdominale infra-rénale 43 mm, fécalome 6 cm, collection en regard grand trochanter gauche 6x1.5x9.5 cm. Nos collègues orthopédistes proposent un suivi clinique et biologique et de les recontacter au cas où on observe une augmentation de la CRP. Aucune modification de traitement n'est mise en place. À son arrivée, le patient est toujours algique et très agressif. Il est stable hémodynamiquement mais fébrile à 38.6°C. Nous prélevons des hémocultures. Il reçoit son antalgie en réserve. Au status, l'impotence est toujours présente avec douleur au moindre contact au niveau de la hanche et du scrotum. Le 06.02.2019, le patient est fébrile à 37.7°C et nous observons une augmentation de la CRP. Nous re-transférons Mr. Y aux urgences de l'HFR Fribourg, suspectant une infection de la prothèse céphalique, pour investigations et prise en charge spécialisée. Mr. Y, patient de 80 ans, connu pour un syndrome métabolique avec une hypertension artérielle, dyslipidémie et obésité, se présente le 12.02.2019 aux urgences de Tafers en raison d'une tuméfaction et une rougeur de l'articulation du 3e orteil depuis la nuit du 08. au 09.02.2019, en absence de fièvre. Actuellement, il ne peut pas se mobiliser en charge. Des crises de gouttes ne sont pas connues chez le patient, ni traumatisme ou lésion cutanée. Au status, nous relevons une tuméfaction et une rougeur de l'IPP du 3e orteil du pied gauche, avec hyperhémie qui s'étend jusqu'au milieu de la face dorsale du pied. Une tuméfaction plus discrète du 1er orteil est également observée. Une macération légère est observée entre les orteils, ne permettant pas d'exclure une porte d'entrée pour une surinfection secondaire. Absence de lymphadénopathie inguinale. Au vu de l'augmentation des paramètres inflammatoires au laboratoire, une crise de goutte avec surinfection secondaire est suspectée, raison pour laquelle le patient est hospitalisé pour prise en charge sous Prédnisone et Co-Amoxicilline IV pendant 5 jours, avec adaptation de l'antalgie. D'autre part, une insuffisance rénale aiguë AKIN 1, probablement en lien avec la crise de goutte, est observée et prise en charge par une hydratation. L'évolution clinique lente après 5 jours de Co-Amoxicilline, 5 jours de Colchicine et de Prédnisone motive un consilium rhumatologique le 21.02.2019. Ainsi, un ultrason met en évidence un pannus sans épanchement liquidien. Une consultation ambulatoire permet de conclure à une crise de goutte tophacée localisée au niveau du 3e orteil, sans tophus localisé au niveau des autres articulations. Ainsi, l'initiation de Kineret est effectuée dès le 23.02.2019 pour une durée totale de 5 jours, avec adaptation de la Colchicine, reprise de l'Allopurinol et arrêt de la Prédnisone. Sur recommandations des rhumatologues, nous vous proposons de recontrôler l'acide urique toutes les 3 à 4 semaines, avec une majoration progressive de l'allopurinol jusqu'à ce que des taux inférieurs à 300 mmol/l soient atteints. Une poursuite de la Colchicine à 1 mg/jour doit se faire jusqu'à 6 mois après atteinte de la valeur cible d'acide urique et 6 mois sans crise de goutte. Depuis lors, le patient est soulagé lors de la mobilisation, avec une charge possible sur son membre inférieur gauche avec une douleur bien contrôlée. Un retour à domicile est donc organisé pour le 27.02.2019. Mr. Y quitte donc notre service de médecine interne le 27.02.2019 à destination du domicile. Mr. Y, patient de 69 ans, est admis aux soins intensifs pour une exacerbation d'une BPCO non-stadée dans un contexte de grippe A positive. Le patient est connu notamment pour une cardiopathie ischémique, un tabagisme actif, un syndrome d'apnées du sommeil et une notion de BPCO non-stadée. Il présente une dyspnée en péjoration depuis 10 jours motivant son médecin traitant à introduire le 10.02.2019 un traitement antibiotique par Ceftriaxone avec un CT-scan thoracique en ambulatoire le 12.02.2019 montrant un foyer au lobe inférieur droit et un foyer au lobe supérieur droit. En raison d'une péjoration de sa dyspnée, il consulte aux urgences le 15.02.2019. Le bilan clinique et para-clinique aux urgences retient un diagnostic de BPCO décompensée dans un contexte de grippe A et le patient est admis aux soins intensifs pour un soutien ventilatoire par VNI. Sur le plan respiratoire, l'évolution est favorable sous support ventilatoire simple par VNI qui peut-être sevrée après 48h avec poursuite de séances bi-quotidiennes. Sur le plan infectieux, le bilan d'entrée des urgences ne retrouve pas de foyer radiologique clair et uniquement un léger syndrome inflammatoire. L'antibiothérapie par Ceftriaxone est stoppée et un traitement par Co-Amoxicilline et Clarithromycine est débuté. Les antigènes urinaires sont négatifs pour le Pneumocoque et la légionellose. Des cultures sanguines et d'hémocultures sont à pister. L'antibiothérapie par Co-Amoxicilline et Clarithromycine est toutefois mise en suspens à l'entrée aux soins intensifs. Le suivi clinique et biologique montre une persistance d'un léger syndrome inflammatoire avec un frottis de grippe positif pour Influenza A mais pas d'argument pour une surinfection bactérienne. L'antibiothérapie n'est pas réintroduite.A noter une insuffisance rénale aiguë pré-rénale à l'entrée aux urgences mise sur le compte d'une déshydratation. La mise en suspend transitoire du traitement diurétique et une simple hydratation permettent une normalisation de la fonction rénale. Le patient est transféré à l'étage de médecine interne pour suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 68 ans, qui est hospitalisé en électif pour pose de Pace-maker • défibrillateur le 07.02.2019, en raison d'une cardiopathie ischémique avec dysfonction systolique sévère et de la présence d'une extrasystolie ventriculaire complexe avec un rythme idioventriculaire accéléré (RIVA) perçu sur un ECG Holter d'octobre 2018. L'intervention se déroule sans complications. L'évolution clinique est favorable. La radiographie de contrôle ne montre pas de signe de pneumothorax, ni d'autres complications. Le positionnement du device implanté est correct. Mr. Y rentre à domicile le 08.02.2019 en très bon état de santé générale. Mr. Y, patient de 68 ans, est hospitalisé en Stroke unit du 23.02 au 27.02.2019 pour une suspicion d'AVC cérébelleux. L'anamnèse révèle l'installation subite le 22.02.2019 de vertiges rotatoires, péjorés aux mouvements, vers 22h30. Il n'y a pas de facteurs déclencheurs retrouvés à l'anamnèse. Le patient présente également une instabilité totale à la marche et des céphalées holocrâniennes modérées à prédominance occipitale, accompagnées de quelques épisodes de vomissements. L'angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux réalisés au service des urgences ne montrent pas d'ischémie ni de saignement. Un traitement par Aspirine cardio est débuté. Une IRM confirme l'absence de lésion ischémique aiguë. L'examen neurologique initial révèle un nystagmus horizontal unidirectionnel battant vers la gauche, une hémi-ataxie du membre supérieur droit et une instabilité à la marche avec une augmentation du polygone de sustentation. L'évolution neurologique est lentement favorable avec une marche de plus en plus sécuritaire à l'aide de la prise en charge physiothérapeutique. Il persiste cependant le nystagmus décrit ci-dessus pour lequel un bilan ORL est demandé et sera effectué le 01.03.2019. Notre diagnostic de présomption est un vertige d'origine périphérique de type neuronite vestibulaire droite. Cependant, la symptomatologie initiale avec une instabilité totale à la marche et surtout une hémi-ataxie focale du MSD nous contraint à retenir un diagnostic différentiel d'AVC cérébelleux droit sans corrélat radiologique. De plus, il est mis en évidence fortuitement à l'angio-CT des vaisseaux pré-cérébraux une sténose de 40% de la carotide interne à droite, associée à une plaque mixte, a priori asymptomatique. Nous proposons, devant tous ces éléments, la poursuite du traitement de l'aspirine cardio 100 mg/j et un traitement par Atorvastatine 40 mg 1x/j avec une cible de LDL < 1.8 mmol/L. Nous recommandons un suivi des facteurs de risques cardiovasculaires. Au vu de signes en faveur d'une leucoencéphalopathie hypertensive à l'IRM sans claire hypertension pendant l'hospitalisation, nous avons demandé un Examen Remler dont les résultats vous parviendront après leur interprétation. Nous vous proposons d'introduire un traitement anti-hypertenseur en conséquence. A l'IRM, nous restons avec un doute sur un signe du Colibri, correspondant à une atrophie mésencéphalique associée à un élargissement du 4ème ventricule, caractéristique d'une paralyse supranucléaire progressive. A l'examen neurologique de suivi, nous mettons en évidence de discrets signes extra-pyramidaux actuellement sans impact sur les AVQ. D'ailleurs, à l'examen oculomoteur, nous ne retrouvons pas de paralysie supra-nucléaire. Le bilan neuropsychologique met en évidence de discrets troubles exécutifs et quelques troubles langagiers. Nous proposons dans ce contexte un suivi neuropsychologique à 6 mois. Nous vous laissons le soin de suivre Mr. Y à votre consultation et de nous l'adresser à la consultation de neurologie avant le contrôle prévu en cas d'aggravation du syndrome extra-pyramidal et si Mr. Y devait se mettre à chuter de manière récurrente. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile avec une prise en charge physiothérapeutique en ambulatoire. Un contrôle à 6 mois avec un US des vaisseaux pré-cérébraux et transcrâniens est prévu le 19.08.2019. Mr. Y, 68 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une suspicion d'AVC cérébelleux. Il consulte en raison de vertiges d'installation subite. Le patient note l'apparition d'importants vertiges rotatoires, associés à une instabilité totale à la marche et à des céphalées holocrâniennes modérées, accompagnées de quelques épisodes de vomissements. Le CT cérébral réalisé aux urgences ne montre pas d'ischémie ni de saignement mais une lésion centimétrique para-ventriculaire latérale gauche (dd : hétérotopie de la matière grise ?). Sur le plan neurologique, le patient présente une amélioration des symptômes avec disparition des vertiges, amélioration de l'ataxie des membres supérieurs. Une IRM cérébrale est prévue le 25.02.2019. Le test de déglutition est normal le 24.02.2019 permettant une reprise de l'alimentation. La mobilisation est effectuée dès le 24.02.2019 avec une bonne tolérance. Mr. Y est un patient de 85 ans, qui est hospitalisé pour la raison susmentionnée le 15.01.2018. Dans ce contexte, un VAC à instillation est posé au niveau de l'abord distal du pontage du membre inférieur droit et de la Co-amoxicilline en intraveineux est commencée le 15.01.2018 pour une durée totale de 15 jours, sur avis infectiologique. Nous réalisons des changements itératifs des pansements VAC 2x/semaine. L'évolution de la plaie est favorable, permettant la mise en place d'un pansement VAC V.I.A. en ambulatoire à partir du 08.02.2019. Mr. Y rentre à domicile le 08.02.2019 avec un rendez-vous en stomathérapie le 12.02.2019 à 8h00 et le 15.02.2019 à 14h30 pour les prochains changements de pansement. Mr. Y présente une contusion osseuse en regard du plateau tibial interne. Je propose un traitement symptomatique. Reprise du travail à 100% à partir du 04.03.2019. Pas de contrôle prévu d'emblée chez moi. Le patient me recontactera en cas de persistance des douleurs. Mr. Y, patient de 78 ans connu pour une BPCO stade 4 sous oxygénothérapie (1.5 L) et inhalations à domicile, présente depuis 4-5 jours une toux sans EF, une augmentation des expectorations ainsi qu'une apparition d'une couleur jaunâtre dans l'expectoration. Depuis la veille, il rapporte également une dyspnée actuellement au moindre effort. Le patient avait déjà été hospitalisé 2 semaines auparavant dans le cadre d'une 5ème décompensation BPCO en 6 mois. L'auscultation pulmonaire révèle une hypoventilation diffuse avec un expirium prolongé et des sibilances en fin d'expirium. Une décompensation cardiaque peut être écartée cliniquement et à la radiologie thoracique. Au vu d'une insuffisance respiratoire complète à la gazométrie, avec dyspnée au moindre effort, nous hospitalisons le patient et instaurons un traitement antibiotique intraveineux sous Rocephin et une corticothérapie systémique à la Prednison pour 5 jours. Au cours de son hospitalisation, un switch oral de l'antibiothérapie sur du Tavanic 2x 250 mg p.o. est procédé conformément aux guidelines chez ce patient avec ancien portage de Pseudomonas diagnostiqué en 2018. En cours d'hospitalisation, un essai de retrait de sonde vésicale est effectué au cabinet du Dr. X. Au vu d'une absence de miction sur la journée, une nouvelle sonde vésicale est posée le 20.02.2019. Celle-ci devra être changée dans 2 mois auprès du Dr. X.Avec une amélioration de sa dyspnée au cours de l'hospitalisation, nous pouvons laisser rentrer le patient le 25.02.2019 avec sa médication usuelle (une oxygénothérapie et des inhalations à domicile). Mr. Y quitte donc notre service de médecine interne à destination du domicile le 25.02.2019. Mr. Y, patient de 50 ans, est admis aux soins intensifs pour un STEMI inférieur le 03.02.2019. Le patient présente des douleurs rétrosternales avec une irradiation dans le bras gauche en déblayant de la neige. Le bilan révèle un STEMI inférieur. A la coronarographie, nous constatons une subocclusion de la coronaire droite. Un stent est posé avec un bon résultat final. La surveillance rythmique ne montre pas d'anomalies permettant un transfert à l'étage. Un ultrason cardiaque est effectué et montre une FEVG à 50%, à la hausse comparé à celle de la coronarographie (38%). Un traitement d'IEC, de statines et de bêta-bloquant est instauré. Après discussion avec le patient et l'équipe de physiothérapie, il est convenu d'effectuer une réhabilitation en ambulatoire à Billens avec retour à domicile dans l'intervalle. Mr. Y peut rentrer à domicile le 08.02.2019. Mr. Y est un patient de 40 ans, en bonne santé habituelle, qui est hospitalisé dans notre service pour la prise en charge chirurgicale d'un nodule thyroïdien droit, classifié Bethesda IV. Il bénéficie d'une hémi-thyroïdectomie droite le 12.02.2019 qui se déroule sans complications notables. Les examens histologiques reviennent positifs pour un carcinome folliculaire de la thyroïde, raison pour laquelle le cas de Mr. Y est discuté lors de notre colloque interdisciplinaire d'onco-chirurgie. Nous préconisons dans ce cadre la totalisation de la thyroïdectomie. Les suites post-opératoires sont marquées par l'apparition d'une sinusite et nous introduisons une antibiothérapie par Augmentin le 13.02.2019 pour une durée totale de 7 jours. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, le patient peut regagner son domicile en bon état général le 15.02.2019. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 25.03.2019 afin d'organiser la suite de la prise en charge chirurgicale. Mr. Y, patient de 70 ans, en bonne santé habituelle, est hospitalisé le 22.02.2019 de manière élective, afin de bénéficier d'une ERCP suite à une cholécystite obstructive diagnostiquée le 20.02.2019 par le Dr. X (hôpital Daler), dans le cadre d'une cure d'hernie inguinale avec cholécystectomie initialement prévue. Le patient rapporte des douleurs en coups de poignard dans l'hypochondre droit et la région épigastrique dans les nuits du 17.02 et du 18.02.2019. Le patient ne rapporte pas d'état fébrile, ni de frissons, mais une inappétence associée à des nausées. Une ERCP est réalisée le 22.02.2019, dont le rapport est en cours. Les suites post-interventionnelles sont sans particularités. Mr. Y reste en surveillance jusqu'au 23.02.2019 où il retourne à domicile en raison d'une évolution clinique et biologique satisfaisante. Mr. Y, un patient de 35 ans, est transféré en médecine depuis le service des urgences le 29.01.2019. Pour rappel, le patient consulte le service des urgences le 28.01.2019 dans un contexte d'état fébril et de frissons d'apparition nouvelle le jour même. Le patient se présente avec une plaie apparue il y a 2 mois au niveau du tibia droit dans le tiers moyen ayant présenté des troubles de la cicatrisation et s'étant péjorée une semaine auparavant. La plaie devient rouge, chaude et plus douloureuse accompagnée le 28.01.2019 d'un état fébril à 38.8°C et de frissons solennels. Le patient présente un syndrome inflammatoire élevé avec leucocytose à son entrée. Un CT montre une infiltration des tissus mous sans collection ne montrant aucun argument pour une fascéite nécrosante. Au service des urgences, le diagnostic de dermo-hypodermite infectieuse d'entrée probable par la plaie prétibiale est retenu. Une antibiothérapie par Co-amoxicilline est introduite par voie intraveineuse du 28.01 au 04.02.2019 avec un relais per os le 04.02.2019 à midi et le soir, ainsi qu'une prophylaxie anticoagulante par Clexane du 28.01 au 04.02.2019. Le patient ayant des antécédents de problèmes de cicatrisation avec plaies spontanées de la peau, nous mettons en place un rendez-vous pour une consultation en dermatologie en ambulatoire, avec éventuelle biopsie. Le patient présente lors du séjour 3 épisodes d'état fébril et frissons à 48h, 72h et 96h d'antibiothérapie. Nous observons une diminution de la rougeur pré-tibiale droite et une diminution des paramètres inflammatoires et décidons de maintenir l'antibiothérapie par Co-amoxicilline. A l'étage, le patient reste algique au niveau du membre inférieur droit, mais tout à fait supportable. Le patient rentre à domicile le 04.02.2019. Mr. Y, âgé de 73 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à PTH gauche, le 13.02.2019. Sur le plan social, le patient est marié. Il vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite. A l'admission, le patient n'a pas de plainte particulière et il est hémodynamiquement stable. Les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place que nous pouvons même rapidement diminuer. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La flexion de la hanche est de 50° en actif et 80° en passif. La force du quadriceps est cotée à M3 et à M2 au niveau du psoas et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, il n'a pas présenté de complication particulière. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes en respectant la décharge. Il peut monter/descendre les escaliers avec ses 2 cannes. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche à 60° en actif et 90° en passif. Après 5 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y demande à continuer le suivi en ambulatoire. Il peut donc quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 22.02.2019, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Il verra le Dr. X pour retrait des fils et contrôle le 27.02.2019. Mr. Y est un patient de 72 ans, connu pour un antécédent de carcinome épidermoïde pulmonaire avec un status post-lobectomie supérieure et inférieure gauche en 2003 et 2006, chez qui une masse dans le lobe droit est mise en évidence lors d'un CT de contrôle en novembre 2018. Dans ce contexte, il bénéficie d'une biopsie pulmonaire le 30.01.2019 à la clinique générale, suite à laquelle il développe un pneumothorax. Un pleurocat est mis en place à la clinique avant le transfert aux urgences, où un CT thoracique met en évidence une hémorragie alvéolaire en regard du point de ponction. Le patient est donc hospitalisé pour une surveillance. A l'étage, le patient est stable et les contrôles sont sans particularité. Le drain est retiré le 01.02.2019 et une radiographie du thorax réalisée par la suite ne montre pas de récidive de pneumothorax. La suite de l'évolution clinique est positive et le patient rentre à domicile le 05.02.2019. Mr. Y, âgé de 54 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture de la diaphyse fémorale G avec angulation à 45° traitée par CRIF par LFN G le 26.12.2018. Une fracture de la 4ème côte gauche est également mise en évidence des suites de la chute du 26.12.2018.Sur le plan social, le patient vit seul à domicile avec passage de soins à domicile. Le patient est connu pour un handicap moteur et mental sévère avec un hémisyndrome moteur gauche suite à un TCC sévère à l'âge de 9 ans. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Il signale une douleur des côtes G à la mobilisation. Au status, le patient est orienté et collaborant. B1-B2 bien frappés, pas de souffle. Absence de selles depuis 5 jours. Abdomen tendu, tympanique, bruits présents. Pas d'OMI. La cicatrice est calme. A son arrivée, Mr. Y présente un eczéma du visage que nous traitons avec de l'Alfacortone topique, avec une bonne évolution. Suspectant un syndrome des apnées du sommeil, nous demandons une oxymétrie nocturne à l'air ambiant qui montre une SpO2 moyenne à 89.1% avec un index de désaturation à 12.8/heure. Une polygraphie est aussi effectuée et démontre un index des apnées du sommeil significatif à 47/heure. La mise en place d'un appareillage nocturne n'est pas envisageable vu l'important déficit de force du MSG et les troubles de coordination qui rendraient difficile le positionnement du masque et sa compliance générale. Une évaluation neuropsychologique a mis en évidence une dysarthrie modérée à sévère, des difficultés mnésiques antérogrades verbales et visuelles, exécutives (incitation) et un ralentissement idéomoteur. Bien que le patient semble conscient d'une partie de ses limitations, au vu de la nosognosie partielle des troubles cognitifs et de la situation à domicile problématique selon la famille mais satisfaisante pour le patient, la capacité de discernement concernant le choix du lieu de vie pourrait être altérée. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec un tintébin ou un rollator. La force est cotée globalement à M4 au MID et à M3+ au MIG. Le 07.02.2019, nous effectuons un contrôle radiologique à 6 semaines postopératoires. Selon avis téléphonique auprès de Dr. X, Mr. Y peut marcher en charge selon douleurs et il sera revu à sa consultation le 14.03.2019. En ce qui concerne les douleurs chroniques à l'épaule droite, nous avons adapté le traitement antalgique en place. En raison d'une situation à domicile devenue très précaire et insécure, il est organisé un colloque de famille en présence du frère de Mr. Y, qui est également son curateur, et il est décidé d'un commun accord que le patient intègre un EMS à sa sortie de l'HFR Billens. Après 4 semaines d'hospitalisation, le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Mr. Y, connu pour un remplacement valvulaire aortique par bio-prothèse ainsi qu'un remplacement de l'aorte ascendante (pour une sténose aortique sévère) en décembre 2018, est adressé aux urgences par son médecin traitant le 08.02.2019, en raison de douleurs basithoraciques gauches respiro-dépendantes ainsi qu'une dyspnée depuis le 07.02.2019. Le patient ne présente pas de toux, d'expectoration, pas de palpitation, pas d'oedème des membres inférieurs, pas de douleur abdominale. Le transit est conservé, pas de symptomatologie fonctionnelle urinaire. Pas d'état fébrile. Concernant les facteurs de risque cardiovasculaire, le patient est connu pour un tabagisme actif, une dyslipidémie et une hypertension artérielle traitée. A l'admission aux urgences, Mr. Y est normotendu à 117/79 mmHg, normocarde à 88/min, afébrile à 37.4°C et sature à 97% à l'air ambiant. Au status respiratoire, notons une hypoventilation en base gauche sans râle surajouté. Matité sur le tiers inférieur de la plage pulmonaire gauche à la percussion. L'auscultation cardiaque est sans particularité. Le laboratoire montre une CRP élevée à 163 mg/l, avec des leucocytes à la limite supérieure de la norme à 9,9 G/l et une hémoglobine à 132 g/l. Le laboratoire met également en évidence une hyponatrémie à 134 mmol/l. La radiographie de thorax effectuée par le médecin traitant montre un épanchement basal gauche. Vu le statut post-op, nous contactons Dr. X, cardiologue, qui effectue une échocardiographie transthoracique mettant en évidence un petit épanchement circonférentiel de max 3 mm en regard des cavités droites et un bon fonctionnement de la bioprothèse. Nous retenons une polysérosite sur probable syndrome de Dressler post-chirurgie cardiaque. Le patient est hospitalisé et mis au bénéfice d'un traitement par AINS et colchicine pendant 6 mois. Le 09.02.2019, nous constatons une hypotension artérielle persistante associée avec un épisode de tachycardie transitoire à 112 bpm, raison pour laquelle nous demandons un avis à Dr. X, cardiologue de garde, qui propose la mise en suspens du traitement antihypertenseur et bétabloqueur (lisinopril 2,5 mg/jour, métoprolol 12,5 mg/jour) et un remplissage par NaCl 0,9% 250 ml sur 30 min, puis, en cas de persistance de l'hypotension artérielle, d'organiser un transfert aux urgences de Fribourg pour échocardiographie de type FAST puis discuter en fonction du résultat du FAST l'indication d'une échocardiographie faite par elle-même en urgence. Mr. Y est donc transféré à l'HFR Fribourg le 09.02.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique dans le cadre d'un épanchement péricardique post-opératoire avec labilité tensionnelle. Le patient a bénéficié le 13.12.2018 d'un remplacement valvulaire aortique par bio-prothèse et d'un remplacement de l'aorte ascendante pour une sténose aortique et un anévrisme de l'aorte thoracique. Le 08.02.2019, il consulte le service des urgences de l'HFR Riaz sur demande de son médecin traitant pour des douleurs basithoraciques gauches respiro-dépendantes, ainsi qu'une dyspnée depuis le 07.02.2019. La symptomatologie est associée à un syndrome inflammatoire biologique. Une échocardiographie cardiaque met en évidence un épanchement péricardique de 3 mm. Le patient est mis sous traitement anti-inflammatoire et transféré le lendemain à Fribourg en raison d'une labilité tensionnelle. L'US cardiaque effectué au service des urgences de Fribourg met en évidence une augmentation de l'épanchement péricardique à 14 mm avec une tolérance hémodynamique modérée, raison pour laquelle le patient est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique. Celle-ci se déroule sans particularité permettant un transfert à l'étage de médecine. Au vu d'une stabilité tensionnelle ainsi qu'un nouvel ultrason cardiaque montrant une régression de l'épanchement à 11 mm, Mr. Y peut rentrer à domicile le 11.02.2019 et poursuivra sa réhabilitation cardiovasculaire ambulatoire à Billens. Un contrôle échocardiographique aura lieu à 1 mois, le 12.03.2019 à 10h00, chez Dr. X. Mr. Y, patient de 69 ans, connu pour un carcinome épidermoïde du plancher buccal avec des métastases pulmonaires, actuellement en soins palliatifs, est hospitalisé en raison d'un état confusionnel aigu avec désorientation depuis quelques jours. Le patient a également présenté des épisodes de chaud-froid sans prise de température et une dyspnée à l'effort en péjoration.Le patient vit à domicile avec sa femme, avec soins à domicile 2x/sem, Voltigo 1x/sem. Il ne rapporte pas de toux ni expectoration mais une notion de constipation depuis 2 jours, sans symptôme urinaire. Le patient est fébrile à son arrivée au service des urgences. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire important et la radiographie de thorax un foyer nouveau en base gauche. Mr. Y bénéficie d'un traitement par Rocéphine et Klacid. Des hémocultures sont encore en cours lors de son transfert. Des troubles électrolytiques sont corrigés. Sur le plan oncologique et social, la situation devient difficile et l'épouse dit être épuisée, malgré l'aide apportée par les soins à domicile et Voltigo. Elle dit avoir l'impression que le patient présente régulièrement une confusion après la prise de méthadone. Après discussion avec nos collègues des soins palliatifs, Mr. Y est transféré à la Villa St-François le 23.01.2019 pour suite de prise en charge. Mr. Y, 70 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique dans le cadre d'un épanchement péricardique post-opératoire avec labilité tensionnelle. Le patient a bénéficié le 13.12.2018 d'un remplacement valvulaire aortique par bio-prothèse et d'un remplacement de l'aorte ascendante pour une sténose aortique et un anévrisme de l'aorte thoracique. Le 08.02.2019, il consulte les urgences de Riaz pour des douleurs basithoraciques gauches respiro-dépendantes, ainsi qu'une dyspnée depuis le 07.02.2019, symptomatologie associée à un syndrome inflammatoire biologique. Une échocardiographie cardiaque met en évidence un épanchement péricardique de 3 mm. Le patient est mis sous traitement anti-inflammatoire et Colchicine et transféré à Fribourg en raison d'une labilité tensionnelle. L'US cardiaque effectué met en évidence une augmentation de l'épanchement péricardique à 14 mm avec une tolérance hémodynamique modérée. La surveillance aux soins intensifs est sans particularité, avec stabilisation après un remplissage modéré. La mobilisation s'avère possible sans orthostatisme. Une échocardiographie de contrôle est prévue pour le 11.02.2019. En raison d'une chute significative de l'hémoglobine associée à une lactatémie à 8, un CT-scan thoracique a été effectué qui met en évidence un épanchement pleural gauche et une atélectasie de contact, s'inscrivant probablement dans le contexte du syndrome de Dressler. À noter que la chute de l'hémoglobine et l'hyperlactatémie se sont corrigées spontanément, faisant preuve d'un problème analytique. Mr. Y est admis par les Urgences pour l'intervention susmentionnée. Les suites sont simples et sans complication. La surveillance neurologique à 24h s'est passée sans problème. La mydriase ainsi que l'oculomotricité de l’œil droit se sont très bien rétablies en post-opératoire. Les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie de palier. Au vu de l'évolution clinique favorable, il peut retourner à domicile le 24.02.2019. Mr. Y est un patient de 60 ans, connu pour un statut post-Hartmann avec rétablissement de continuité et fermeture d'iléostomie, qui bénéficie d'une cure d'éventration le 01.02.2019 dans un contexte d'éventration de la ligne médiane post-laparotomie. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples et afébriles. Le 06.02.2019, Mr. Y rentre à domicile avec un contrôle à la consultation des chefs de cliniques prévu le 11.02.2019 à 14h00. Mr. Y présente donc une fracture Weber B déplacée de la malléole externe de la cheville D pour laquelle nous posons l'indication opératoire. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé pour ce geste qui est prévu pour le 14.02.2019. Arrêt de travail à 100%. Mr. Y, patient de 53 ans, est admis aux soins intensifs pour un syndrome de sevrage alcoolique. Le patient nous est adressé par le CPS pour un sevrage alcoolique volontaire en milieu hospitalier vu son état d'agitation et des tremblements importants. Mr. Y, 75 ans, est admis en unité stroke pour un accident vasculaire cérébral ischémique aigu, traité par une lyse intraveineuse, et associé à une crise épileptique généralisée. Le patient a présenté le 11.02.2019 un hémisyndrome moteur gauche associé à une dysarthrie, objectivés par son médecin traitant. Il a été amené en ambulance aux urgences. Le CT cérébral n'a pas mis en évidence de lésion constituée. Toutefois, des lésions athéromateuses, notamment au niveau de la carotide interne gauche, ont été constatées, ainsi que plusieurs séquelles ischémiques des territoires jonctionnels à gauche. Compte tenu du tableau clinique, une lyse intraveineuse a été administrée à environ 3h du début des symptômes. L'état neurologique s'est toutefois subitement aggravé avec des troubles phasiques et de compréhension sévère, survenus une heure après la fin de la thrombolyse, suivis d'une crise d'épilepsie généralisée tonico-clonique avec morsure de langue et perte d'urine. Le CT cérébral de contrôle réalisé en urgence était toutefois inchangé. Un traitement anti-épileptique de lévétiracétam et clonazépam a été débuté, sans récidive. L'électroencéphalogramme réalisé le lendemain était sans particularité. Le CT de contrôle à 24h permet d'exclure une transformation hémorragique et aucune lésion constituée n'est observée. Une IRM cérébrale a été planifiée. Un traitement anti-agrégant plaquettaire est introduit. Le bilan lipidique montre une dyslipidémie et le bilan glycémique est dans la norme. Une statine a été débutée. Mr. Y est un patient de 77 ans qui nous est adressé par son oncologue, Dr. X, pour la prise en charge d'un déconditionnement avec baisse de l'état général le 11.02.2019. À l'entrée, le patient se plaint de faiblesse, d'acouphènes en péjoration, de troubles de l'équilibre et d'insécurité à la marche, ainsi que de dysgueusie, de nausées et d'inappétence. Le patient est marié, a 7 enfants et habite avec son épouse dans un appartement au 3ème étage avec ascenseur et 10 marches d'escalier. Avant l'hospitalisation, le patient était partiellement autonome au niveau des activités quotidiennes, recevait de l'aide des soins à domicile 1x par jour ainsi que de sa famille. Il se mobilisait avec un rollateur. À l'entrée se présente un patient en état général légèrement diminué, bien orienté dans les trois dimensions, afébrile et stable sur le plan hémodynamique. Sur le plan clinique, nous objectivons une hypopallesthésie à gauche à partir des genoux. Le reste de l'examen est dans les limites de la norme. Ad diagnostic supplémentaire 1) Pas de nouvel aspect pendant l'hospitalisation. Nous poursuivons le traitement symptomatique habituel du patient. Le prochain contrôle chez le Dr. X est prévu le 27.02.2019. Ad diagnostic supplémentaire 2) Mr. Y présente une malnutrition sévère. Le manque d'appétit ainsi que les nausées s'améliorent progressivement après renforcement du traitement anti-émétique. Afin de mieux répondre aux besoins et de maintenir l'état nutritionnel, le régime est adapté et des suppléments nutritifs oraux sont introduits. À la sortie, selon le souhait de la famille, nous organisons un suivi diététique ambulatoire. Ad diagnostic supplémentaire 3) Les valeurs tensionnelles matinales sont très élevées (>180 mmHg) durant l'hospitalisation. Nous adaptons le traitement antihypertenseur habituel, en augmentant la dose du Lisinopril et en introduisant de l'amlodipine avec une amélioration du profil tensionnel. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution et d'adapter le traitement en cas de besoin.Ad diagnostic supplémentaire 4) Nous poursuivons le traitement insulinique habituel du patient et les valeurs de glycémie restent stables pendant l'hospitalisation. Ad diagnostics supplémentaires 5 et 6) L'anémie et la thrombocytopénie restent stables pendant l'hospitalisation. Ad diagnostic supplémentaire 7) Pas de nouvel aspect pendant l'hospitalisation. Le prochain contrôle en ORL (HFR Fribourg) est prévu le 27.02.2019. Ad complication 1) Suite à une péjoration de l'état général avec fièvre et toux, un frottis naso-pharyngé est effectué le 18.02.2019 et revient positif pour la grippe de type A. Selon avis infectiologique (Dr. X, HFR Fribourg), un traitement par Tamiflu ainsi qu'un isolement de type gouttelettes sont mis en place pour une durée de 5 jours avec bonne évolution clinique. Parallèlement à la prise en charge aiguë, nous effectuons un traitement complexe de rééducation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie. À l'entrée, Mr. Y fait les transferts de manière autonome. Il marche sous supervision avec un rolateur sur une distance d'environ 50 m avec risque de chute légèrement élevé. Les escaliers ne sont pas testés. Grâce aux thérapies intensives, le périmètre de marche s'améliore (>150 m), et le patient se déplace de manière autonome avec rolateur. Par ailleurs, en fin de séjour, il monte 2x9 marches d'escaliers de manière autonome. Mr. Y peut regagner son domicile en meilleur état général le 27.02.2019. Les soins à domicile sont réactivés. Mr. Y est un patient de 77 ans qui se présente aux urgences le 05.02.2019 pour un arrêt de transit depuis 2 jours. Pour rappel, le patient s'est présenté aux urgences le 23.01.2019 pour des épisodes de douleurs rétrosternales irradiant dans le ventre à plusieurs reprises depuis quelques semaines avec un ultrason abdominal qui montre des images compatibles avec une cholécystite. L'examen clinique ne montre pas d'argument pour une cholécystite aiguë, le diagnostic d'une cholécystite chronique est alors retenu. Devant la nouvelle présentation clinique le 05.02.2019, un CT scan abdominal est effectué qui montre des images compatibles avec une cholécystite aiguë avec cholangite. Le patient est alors hospitalisé pour une antibiothérapie intraveineuse. Par ailleurs, le scanner met en évidence une thrombose de la veine porte, nous débutons une anticoagulation thérapeutique par Clexane. L'évolution clinico-biologique est initialement favorable mais marquée à j4 de l'hospitalisation par une augmentation globale des tests hépatiques, en particulier des paramètres de cholestase ainsi qu'une lipase en forte augmentation avec l'apparition de douleurs épigastriques. Un CT abdominal est alors effectué le 10.02.2019 qui confirme le diagnostic d'une cholangite avec une pancréatite Balthazar C. Le patient bénéficie d'une ERCP le 10.02.2019 permettant l'extraction de 2 concréments et une papillotomie est effectuée. L'évolution clinico-biologique est par la suite marquée par une chute d'hémoglobine motivant un angio CT qui montre un saignement actif au niveau de la papille, le patient est alors transféré aux soins intensifs et bénéficie d'une OGD avec injection d'adrénaline permettant d'arrêter le saignement. L'anticoagulation thérapeutique est mise en suspens et un traitement par Pantozol en continu est débuté. À noter que le patient présente le même jour une fibrillation auriculaire rapide avec un NSTEMI secondaire, la FA a pu être cardioversée avec de l'Amiodarone. L'évolution est par la suite favorable permettant un retour à domicile le 22.02.2019. À noter que le bilan de thrombophilie effectué en raison de la thrombose segmentaire porte met en évidence des anticorps anti-lupiques positifs avec des mutations JAK2 faiblement positives. Sur avis de nos collègues de l'hématologie (Dr. X), une anticoagulation par Sintrom est à débuter et le patient sera revu en consultation d'hématologie à 3 mois de la sortie de l'hôpital. Nous proposons la poursuite de l'anticoagulation prophylactique pour une semaine avec un début de Sintrom par le médecin traitant à partir du 04.03.2019. Mr. Y est un patient de 78 ans, qui est hospitalisé en chirurgie vasculaire pour la prise en charge d'un anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénal en progression. En effet, le patient avait bénéficié d'une cure d'anévrisme par EVAR en 2014 ainsi que d'une embolisation d'endofuite de type 2 en novembre 2018. Le scanner de contrôle du 21.01.2018 montre une endofuite de type 5 avec progression du sac anévrismal motivant une reprise chirurgicale le 24.01.2019 avec ablation de la prothèse et pontage aorto-bi-iliaque. Les prélèvements microbiologiques per-opératoires montrent un propionibactérium acnes. Sur avis infectiologique, une antibiothérapie par Rocéphine est administrée dès le 24.01.2019 pour une durée de 4 semaines au total (soit jusqu'au 21.02.2019). Le bilan préopératoire met en évidence une coronaropathie ectasique avec un anévrisme de la CD mesurant 42 x 45 mm. Une prise en charge chirurgicale (pontage et résection de l'anévrisme coronarien droit) sera à discuter et organiser à distance. L'évolution postopératoire est par ailleurs favorable, avec toutefois une perte de poids importante et une dyspnée à l'effort. Mr. Y est transféré en réadaptation à Billens le 05.02.2019. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 06.03.2019 à 14h00 avec un angio-CT de contrôle au préalable, prévu le 04.03.2019. Mr. Y, 57 ans, connu pour un carcinome gastrique métastatique, est hospitalisé en électif en raison de vomissements dans le contexte oncologique de la carcinose péritonéale ainsi que de l'infiltration de l'œsophage. Pour rappel, le patient est hospitalisé en mai dernier dans un contexte d'une aphagie aux solides et dysphagie aux liquides progressive. Le scanner abdominal révélait une carcinose péritonéale avec ascite et majoration des nodules pulmonaires, suspects de métastases. L'endoscopie montrait en évidence un rétrécissement irrégulier de la lumière dans le contexte de la carcinose péritonéale avec hypomotilité globale. L'évolution clinique est peu favorable avec une difficulté à soulager les vomissements malgré différents traitements médicamenteux introduits. À noter que le patient ne souhaite pas avoir de sonde naso-gastrique en raison d'une mauvaise tolérance à celle-ci dans le passé. Une PEG n'est pas envisageable en raison de la carcinose péritonéale. Une pose de stent œsophagien et duodénal est effectuée le 14.11.2018 par le Dr. X, menant à une légère amélioration des symptômes selon le patient. À son transfert à la Villa Saint François, le patient présente encore 3 à 4 vomissements par jour sous Pantozol, Sandostatine et Nozinan. Au niveau de l'alimentation, Mr. Y présente une aphagie totale aux solides et partielle aux liquides parvenant uniquement à avaler quelques gorgées. Par conséquent, il est au bénéfice d'une nutrition parentérale depuis le 8.10.2018. Malgré celle-ci, il présente durant le séjour une perte de poids progressive accompagnée d'une baisse de l'état général. La diminution de cette nutrition pourra être envisagée à la Villa Saint François, étant précisé l'importance accordée par celle-ci par le patient et sa famille. Sur le plan oncologique, le patient est présenté au Tumor board du 17.10 où une radiothérapie avec chimiothérapie de sensibilisation par Carboplatine est associée. L'évolution clinique étant peu favorable, il est décidé de l'arrêter le 15.11.2018 d'entente avec le Dr. X et le Dr. X. Ce traitement aigu n'étant plus d'actualité, un transfert à la Villa Saint François est proposé et accepté par Mr. Y et sa famille.Mr. Y est donc transféré le 19.11.2018 à la Villa Saint François pour la suite de la prise en charge palliative. Mr. Y est un patient de 59 ans, connu pour une BPCO stade III, qui est hospitalisé en électif pour la prise en charge chirurgicale d'une éventration sous-costale sur site de laparotomie. Le patient bénéficie d'une cure d'éventration avec pose de filet selon Rives le 13.02.2019. L'intervention se déroule sans complication. Une antibioprophylaxie de Céfuroxime est maintenue jusqu'à l'ablation des redons. Les suites opératoires sont marquées par une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë attribuée à des atélectasies en bandes liées à l'hypoventilation induite par les douleurs et le décubitus dorsal, ainsi qu'à une hypervolémie consécutive au remplissage per-opératoire, qui nécessite une prise en charge aux soins intensifs du 13.02 au 14.02.2019. L'hypoxémie s'est améliorée sous ventilation non invasive, oxygénothérapie, aérosols bronchodilatateurs et traitement diurétique. La mobilisation au fauteuil, la physiothérapie respiratoire et 2 séances quotidiennes de CPAP sont poursuivies jusqu'au 20.02.2019. L'évolution chirurgicale est favorable avec une reprise du transit et une réalimentation bien tolérée. La cicatrisation de la plaie se déroule sans complication, nous retirons le dernier redon et arrêtons l'antibiothérapie prophylactique le 19.02.2019. Dans le cadre de la décompensation respiratoire dans un contexte de BPCO stade III, le patient sera revu à la consultation de la Dr. X pour un suivi pneumologique ambulatoire. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 20.02.2019. Mr. Y, 59 ans, a été hospitalisé en électif pour une cure d'éventration selon Rives et admis aux soins intensifs pour le suivi respiratoire. Une pancréatectomie caudale pour une tumeur bénigne a été réalisée en février 2018. Il a développé par la suite une éventration en regard de la cicatrice de laparotomie. La cure d'éventration s'est déroulée sans complications. Une antibioprophylaxie de céfuroxime est maintenue jusqu'à l'ablation des redons. Une antalgie péridurale D9-D10 a été instaurée. Un bloc sensitif étendu de D6-S5 avec un bloc moteur partiel au membre inférieur gauche a nécessité initialement une diminution du débit de la péridurale. L'antalgie pluri-modale a été ajustée le lendemain suite à l'apparition de douleurs de l'hypochondre gauche. Le patient pourrait être éligible à des séances d'hypnose. Une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë est survenue en post-opératoire et a été attribuée à des atélectasies en bandes liées à l'hypoventilation induite par les douleurs et le décubitus dorsal, ainsi qu'à une hypervolémie consécutive au remplissage per-opératoire. L'hypoxémie s'est améliorée sous ventilation non invasive, oxygénothérapie, aérosols bronchodilatateurs et un diurétique. La mobilisation au fauteuil, la physiothérapie respiratoire et 2 séances quotidiennes de CPAP devront être poursuivies. La reprise de l'alimentation se passe sans difficulté. Mr. Y est un patient de 79 ans, connu pour un adénocarcinome de la prostate avec statut post-radiothérapie pelvienne, ainsi que pour un antécédent de cure d'anévrisme de l'aorte abdominale, récemment hospitalisé du 30.01.2019 au 05.02.2019 pour malaise sur Valsalva à la défécation avec mise en évidence d'une anémie normocytaire normochrome, dans un contexte de sang frais de faible quantité dans les selles depuis 15 jours sur double anti-agrégation (AINS + Clopidogrel). Le patient consulte aux urgences le 10.02.2019 suite à 3 épisodes de hématochézie le jour même sans autres symptômes. Le patient est hospitalisé avec un suivi de l'hémoglobine qui reste stable et il bénéficie d'une colonoscopie le 13.02.2019 qui montre des télangiectasies rectales multiples dans un terrain de proctite radique expliquant les saignements. À noter qu'un CT abdominal est effectué le 14.02.2019 afin d'exclure une fistule aorto-duodénale. En raison du risque de récidive hémorragique élevé sous double anti-agrégation, nous décidons en accord avec le médecin traitant du patient d'arrêter le Plavix en gardant l'Aspirine Cardio. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 15.02.2019. Une OGD est organisée pour le 21.02.2019. Mr. Y, connu pour des discopathies lombaires, est amené aux urgences en ambulance le 04.02.2019 à 21h30 en raison d'une intoxication alcoolique aiguë. Le patient explique que depuis l'intervention chirurgicale qu'il a subie en septembre 2018, il est en arrêt maladie et que son épouse le rabaisse car il ne peut pas travailler. Mr. Y vit avec son épouse et leur fils de 9 ans. Il signale une mauvaise entente conjugale et dans ce contexte, il rapporte avoir déjà consulté un psychiatre qui lui aurait prescrit de la Sertraline et du Dalmadorm. Au vu de la persistance de ses problèmes conjugaux, le patient dit avoir consommé 2 à 3 fois de l'alcool. Ce jour, il a bu du Martini et du Whisky. Selon les ambulanciers, le patient a été retrouvé par son fils de 9 ans, vers 19h30, allongé par terre dans la cuisine. C'est ce dernier qui appelle les secours. Le patient a essayé plusieurs fois de se relever mais sans succès et chute de sa hauteur sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. L'alcoolémie est mesurée à 1,34 pour mille par les ambulanciers. A l'admission aux urgences, le patient est en bon état général. Au statut neurologique, Glasgow à 15/15. Les pupilles sont isocores et isoréactives. L'oculomotricité est normale sur l'horizontale. Le patient ne bouge pas les yeux sur la verticale. Mais à la demande, il suit le médecin avec les yeux dans toutes les directions. Notons une hypoesthésie de l'hémicorps et de l'hémiface gauches, présente depuis l'intervention chirurgicale. Pas de déficit moteur objectivé. Au statut cutané, notons une dermabrasion dorsale au niveau de l'ancienne cicatrice et une dermabrasion au niveau du coude gauche. Au niveau ostéo-articulaire, douleurs à la palpation de L4-L5. Le reste du statut d'entrée est sans particularité. En raison de la présence de douleurs lombaires, nous effectuons une radiographie qui ne met pas en évidence de fracture. Le laboratoire est aligné et l'ECG ne met pas en évidence de trouble de la repolarisation. Les examens cliniques et para-cliniques sont donc rassurants. L'épouse du patient n'étant pas joignable pendant la nuit et le patient n'étant pas en état de rentrer seul, il est gardé pour surveillance en lit d'observation aux urgences. Le matin du 05.02.2019, Mr. Y est calme et orienté. Son épouse n'étant toujours pas joignable, le patient quitte notre service et rentre à domicile par ses propres moyens. Nous vous recommandons une prise en charge pour le problème d'alcool. Mr. Y est un patient de 60 ans, connu pour un statut post-colectomie sub-totale avec la mise en place d'une iléostomie de décharge en raison d'un iléus mécanique sur adénocarcinome sigmoïdien. Le patient est hospitalisé dans notre service pour une fermeture de l'iléostomie. L'intervention se déroule le 08.02.2019 sans complication notable. Les suites opératoires sont simples avec une réalimentation qui est bien tolérée et une reprise rapide du transit. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 13.02.2019. Monuril. Monuril dose unique le 26.01.2019 Hydratation par NaCl 0.9% Distraneurine en réserve TSH 0.4 (05.01.2019), T4 26 (05.01.2019) ECG (26.01.2019) CT scan cérébral natif (26.01.2019) : absence de saignementsMonuril, Voltaren 50 mg, Dafalgan 1 g. Monuril 3 g le 06.02.2019 Monuril 3 g p.o. le 27.01.2019 Urotube du 27.01.2019 : E. coli Furadantine 100 mg 2x/j du 04.02. au 08.02.2019 Monuril 3 g Uricult : contamination Morbus Osgood Schlatter genou G. Morphine bolus Dormicum bolus Soins de fin de vie Morphine en pompe CAD Métimazole du 25.01 au 28.01.2019 Morphine IV titrée, O2 pour la dyspnée Temesta IV Buscopan IV Perfalgan Rocephin 5 jours Retrait de la sonde au vu du risque majeur de récidive et d'un état général se dégradant rapidement Morphine 10 mg. Morphine 10 mg per os. Mme. Y quitte les urgences sans finalisation de la consultation au vu de l'amélioration par le traitement. Morphine 10 mg sol. aux urgences. Morphine 10 mg. Partie sans consultation médicale. Morphine 2 mg iv lente aux urgences, puis 2 mg en réserve jusqu'à 6x/jour à distance de 2 h minimum. Avis chirurgical Dr. X : pas de sanction chirurgicale proposée en l'état. Traitement par Rocéphine et Metronidazole iv. Morphine Introduction Pregabaline 2x 25 mg le 28.01.2019 et augmentation progressive des doses Morsure. Morsure. Morsure. Morsure de chat. Morsure de chat. Morsure de chat. Morsure de chat. Morsure de chat à l'index droit. Morsure de chat de la 3ème phalange de l'index droit le 23.02.2019. Morsure de chat d'environ 1 cm au niveau de la pulpe de l'index droit avec : • 1 lésion punctiforme de 0.5 mm de longueur et 0.5 mm de profondeur. Morsure de chien Morsure de chien il y a 7 jours. Morsure de chien, le 07.01.2019 : • au Portugal • en l'absence de signes d'infection, pas de traitement AB • Injection IgG rage : 2100 UI (prévue pour le 11.01.19) • Vaccin rage, 1ère dose le 10.01.19 (J0) • Vaccin rage, doses suivantes J3, J7, J14 en Filière HFR • Test d'anticorps anti-rabique du 31.01.2019 (J21) : - Titre 1 : 13 = 0,3 I.U/ml : insuffisant • Vaccin Rabipur i.m. (J30) : chez Mme. Y et 5ème dose faite à J30. • Tétanos à jour. Morsure de chien, le 17.02.2019 • une plaie perforante infra malléolaire gauche sans atteinte des structures tendineuses. Morsure de chien, le 17.02.2019 • 1 plaie perforante infra malléolaire gauche, sans atteinte des structures tendineuses. Morsure de chien, le 17.02.2019. • 1 plaie perforante infra malléolaire gauche sans atteinte des structures tendineuses. Morsure de chien pulpe D3 main D en regard de la base de P3, sans troubles neuro-vasculaires, sans atteinte des fléchisseurs. Morsures et griffures de chat avec surinfection locale. Traumatisme du 5ème doigt de la main droite avec : • plaie de 0,5 cm de la dernière phalange • hématome sous-unguéal trépané Pharyngite probablement virale le 20.08.2016 : • Centaur 0/4 Diarrhée aiguë d'origine peu claire le 20.08.2016 : DD d'origine virale DD sur intoxication alimentaire Mouvements anormaux des membres supérieurs le 07.01.2019 de type choréiforme DD : dyskinésie/ dystonie sur surdosage en Citalopram/Olanzapine, trouble somatoforme. Hypokaliémie à 2.9 mmol/l et acidose métabolique à trou anionique normal le 07.01.2019 • DD : hypokaliémie sur Citalopram. QT long à 450 ms le 07.01.2019. Tentamen médicamenteux le 07.01.2019 dans un contexte de trouble de la personnalité borderline. Tentamen médicamenteux le 08.07.2018 sur prise d'alcool. Alcoolisation aiguë le 08.07.2018. Greffe fécale en juin 2018 pour colite pseudomembraneuse récidivante. Rupture de kyste ovarien avec drainage laparoscopique et appendicectomie en 2014. Movicol Antalgiques en réserve Consignes de surveillance à domicile Movicol au besoin Antalgie au besoin Reconsulter en cas de crise douloureuse Movicol avec un schéma dégressif Contrôle pédiatre Movicol avec un schéma dégressif Contrôle pédiatre pour évaluer la résolution du cordon de selles et évaluation du souffle Movicol d'office Movicol en schéma de 2 sachets par jour, puis en augmentation Movicol selon le schéma de désimpaction Conseils d'hydratation et alimentation Movicol 1 sachet par jour Movicol 1 sachet 2x/j Laxoberon 7.5 mg 1x/j le soir Frekaclyss en réserve Movicol 1x/j. Movicol 1x/j. Laxoberon en réserve. Movicol 1-2 sachets jusqu'à 1 selle molle/jour pendant 2 semaines Contrôle chez pédiatre Movicol 1-2 sachets par jour Movicol 1-2 sachets par jour x 7-10 jours contrôle si apparition de vomissements/fièvre, si augmentation des quantités de sang ou saignement indépendant des selles, si persistance dans une semaine malgré le traitement Movicol 3 sachets par jour, à diminuer progressivement Contrôle pédiatre dans une semaine pour vérifier la résolution du cordon de selles palpé en fosse iliaque gauche Movicol 4 sachets par jour avec schéma dégressif et consultation chez le pédiatre afin de contrôler la résolution des cordons de selles palpés Movicol. Laxoberon en réserve. Moviprep 1 litre par la PEJ le 06.02.2019, 07.02.2019 et le 08.02.2019 avec bon effet CT Scan le 07.02.2019 : Coprostase sigmoïdienne et rectale. Diverticulose pan-colique, sans signe de diverticulite Surveillance clinique Mr. Y, un patient de 77 ans, nous est transféré le 31.01.2019 de Fribourg en raison de fièvre à 38,4°C et une baisse de l'état général. Le patient souhaitait absolument être hospitalisé à Meyriez et refusait toute hospitalisation à Fribourg. Il est connu pour une insuffisance rénale terminale nécessitant 3x/semaine de la dialyse sur des reins polycystiques ainsi que pour des angiodysplasies avec des télangiectasies et une artériopathie oblitérante des membres inférieurs Stade IV. Actuellement, il n'a aucune plainte sauf des légers troubles de la marche avec une faiblesse. Il n'a pas de plainte urinaire ni abdominale. Aucun symptôme respiratoire et cardiaque. Au status, les murmures respiratoires sont vésiculaires. La fistule n'est pas infectée. Au status cardiaque, les bruits sont lointains mais réguliers, l'abdomen est sans particularité. Il n'a pas de douleur à la percussion des loges rénales. Il est afébrile. Mr. Y accepte que nous fassions une culture urinaire mais refuse une radiographie pulmonaire. Il présente un syndrome inflammatoire asymptomatique d'origine probable urinaire avec une hémoculture positive sur 4 à un Bacille gram négatif. La culture urinaire est non réalisable en raison d'un état oligo-anurique connu. Le laboratoire du 01.02.2019 montre un syndrome inflammatoire à la baisse. De plus, suite au téléphone avec Dr. X, Mr. Y aura ses prochaines dialyses du vendredi, lundi et mercredi comme prévu et recevra post-dialyse du vendredi du Cefepime 1,5 g par la fistule le 01.02.2019 et 1 g le 04.01.2019. Au vu de l'amélioration clinique, il peut rentrer au domicile le 04.01.2019. Mr. Y est transféré du CHUV le 02.02.2019 aux soins intensifs pour suite de prise en charge d'une endocardite sur une infection du pace-maker-défibrillateur et compliquée d'une insuffisance rénale aiguë. Le patient était initialement hospitalisé au HFR pour un sepsis sur une bactériémie à MSSA dans le contexte d'une infection de sonde de pace-maker-défibrillateur avec développement secondaire d'une insuffisance rénale aiguë aggravée par une néphrite interstitielle. Une épuration extra-rénale est débutée aux soins intensifs à Fribourg puis le patient est transféré au CHUV pour ablation du pace-maker-défibrillateur qui a eu lieu le 25.01.2019. Durant ce séjour au CHUV, les séances d'épuration extra-rénale sont poursuivies à cause de la persistance d'une anurie. Le patient a présenté plusieurs complications avec NSTEMI lors d'une séance d'hémodialyse, un OAP sur pic hypertensif et une hémorragie digestive sur des ulcères gastriques et duodénaux qui sont traités par mise en place de plusieurs clips. Une gastroscopie de contrôle est à prévoir dans 4-6 semaines.A son transfert au HFR, une épuration continue est poursuivie puis relayée par une hémodialyse intermittente dès le 04.02.2019 qui est bien tolérée sur le plan hémodynamique sans récidive de douleurs thoraciques. Le profil tensionnel est normalisé par l'introduction des inhibiteurs calciques. Les bêta-bloquants sont majorés à cause de la détection d'une salve de TV qui était complètement asymptomatique. Après discussion avec Dr. X et Dr. X, une réimplantation du Pacemaker et défibrillateur serait envisageable dans une semaine. Une coronarographie n'est pas indiquée actuellement et devra être discutée à distance en cas de récidive des symptômes. D'entente avec Dr. X, l'antibiothérapie par daptomycine et rifampicine est arrêtée le 05.02.2019 après une durée totale de 4 semaines. Concernant l'anticoagulation, elle est débutée à but prophylactique le 05.02.2018. Une augmentation à dose thérapeutique devrait être évaluée en fonction de l'évolution. Mr. Y est transféré en médecine pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 63 ans, est hospitalisé à Riaz pour une pneumonie le 15.02.2019. Une insuffisance respiratoire progressive motive son transfert aux soins intensifs le 17.02.2019, où il bénéficie d'un soutien respiratoire non invasif avec lente amélioration. Il est transféré en médecine interne le 24.02.2019. La pneumonie communautaire reste d'origine indéterminée, l'ensemble des prélèvements (y.c. frottis grippe) étant négatifs. On note un développement vers un ARDS avec des infiltrats bilatéraux importants au CT et une insuffisance respiratoire partielle nécessitant de la VNI et une oxygénothérapie à haut débit. Devant la stagnation respiratoire malgré contrôle de l'infection, un traitement corticoïde est introduit le 20.02., avec une bonne évolution clinique dans les 3 jours qui suivent. En vue de cette réponse positive, nous proposons un schéma dégressif lent sur 28 jours. Au 24.02.2019, il est sevré du support intensif, mais nécessite encore 4L/min d'oxygène, avec tendance à des désaturations brèves lors de l'effort. Un suivi rapproché par la physiothérapie est encore indiqué. La sévérité du tableau clinique nous incite à écarter également un VIH dont le dépistage se révèle négatif. Le patient a déjà présenté une pneumonie traitée par antibiotiques en novembre 2018. Il présente depuis une toux sèche résiduelle pour laquelle aucune investigation n'a jusqu'alors été entreprise. De plus, il voyage régulièrement en Afrique avec un voyage en décembre au Sénégal pour travailler dans des prisons. Il n'est pas exposé à des animaux associés aux pneumopathies. Dans ce contexte et compte tenu d'une éventuelle pneumopathie sous-jacente, nous proposons d'effectuer un CT de contrôle à la fin du traitement de corticoïdes avec un bilan des fonctions pulmonaires par les pneumologues. Mr. Y, un patient de 89 ans, connu pour une BPCO (DD syndrome asthme/BPCO), une insuffisance cardiaque à FE diminuée et un adénocarcinome sténosant du côlon ascendant diagnostiqué en fév. 2018, est envoyé par l'association Voltigo vers notre unité de soins palliatifs pour une gestion globale des symptômes liés au diagnostic principal. A l'anamnèse, le patient se plaint de douleurs du flanc droit irradiant dans le dos, du genre coups de poignard, survenant à n'importe quel moment du jour ou de la nuit. Il évoque des brûlures des deux jambes présentes surtout le matin au réveil et après un long moment en position assise. Il évoque de la constipation récurrente et une inappétence. Enfin, il mentionne des accès de dyspnée avec angoisse et une sécheresse buccale. A l'examen physique, nous retrouvons un patient à l'état général diminué, normohydraté, normocoloré, collaborant, calme, eupnéique à l'AA. Au status cardio-vasculaire, des bruits B1 et B2 lointains, réguliers, sans souffle. Il y a des OMI légers et les pouls pédieux sont difficilement perçus, les autres pouls périphériques sont bien perçus. L'examen abdominal montre un abdomen distendu, souple, dépressible, indolore, avec des bruits diminués en fréquence mais de tonalité normale. Le reste du status, y compris neurologique, est sans particularité. Les douleurs du flanc droit sont prises en charge par de l'Oxycontin avec un bon résultat. Les brûlures des deux jambes sont mises sur le compte d'un syndrome des jambes sans repos (DD Polyneuropathie) et se voient également diminuer sous Oxycontin et Pregabaline. Des légers signes de surcharge pulmonaire et des œdèmes des membres inférieurs répondent bien à l'augmentation du traitement diurétique et au bandage. Concernant son cancer colique d'office sténosant, nous introduisons un traitement laxatif de base ainsi que des réserves, ayant pour objectif des selles régulières et molles en raison de la sténose. Mr. Y est connu pour une BPCO (versus Asthme), qui est exacerbée lors de stress ou d'angoisse. Nous introduisons du Lexotanil pour atténuer ses angoisses, auquel il réagit bien. Au cours de la discussion familiale du 30.01.2019, nous abordons l'évolution du cancer et ses conséquences et nous parlons des objectifs de soutien et des traitements symptomatiques voulus par le patient lors d'une possible future occlusion totale du côlon. Nous parlons d'un retour au domicile avec un suivi régulier par Spitex et Voltigo. Si une hospitalisation s'avère nécessaire, Mr. Y souhaite une admission directe dans notre unité de soins palliatifs à Meyriez. Le 04.02.2019, Mr. Y peut rentrer au domicile dans un bon état général. Mr. Y, connu pour une pneumonie diagnostiquée le 26.01.2018 à Meyriez, consulte la nuit du 26 au 27.01 en raison d'une dyspnée. Le patient se plaint depuis 7 jours de myalgies, arthralgies et fièvre. Depuis quelques jours, le patient se plaint d'une majoration de sa toux avec expectoration. Le bilan réalisé aux urgences met en évidence une pneumonie communautaire basale droite avec désaturation à l'air ambiant à 89% et un frottis positif pour une grippe Influenza A. Le patient est donc hospitalisé pour une antibiothérapie IV par Co-Amoxicillin et Klacid. Les antigènes urinaires sont négatifs aux streptocoques et le Klacid est stoppé. Pendant l'hospitalisation, nous effectuons un test pour VIH qui se montre négatif à la recherche d'un déficit immunitaire. Le 30.01.2019, le patient se plaint de douleurs dans le mollet droit à la mobilisation, une thrombose dans la veine poplitée distale à D est trouvée. Le traitement est adapté par Clexane puis par Eliquis selon avis de nos collègues angiologues. L'évolution clinique est favorable et le patient peut rentrer à domicile le 04.02.2019. Un suivi chez le médecin traitant est prévu, l'organisation d'une US testiculaire et d'une FSC à distance de l'événement infectieux serait indiquée afin d'écarter une cause oncologique à l'événement thrombotique du patient. De la physiothérapie respiratoire est prescrite en ambulatoire. Mr. Y, un patient de 65 ans, connu pour un diagnostic récent de carcinome hépatocellulaire posé en 01.2019, nous est transféré dans le service de soins palliatifs le 01.02.2019 dans un contexte de baisse de l'état général post-embolisation le 28.01.2019. Il a une perte d'appétit, une faiblesse avec une incapacité de mobilisation, un ralentissement psychique connu accentué, un trouble de l'élocution et une perte de poids. Le patient ne se plaint pas de douleur ni de dyspnée ni de nausée. Il a peu d'appétit. L'anamnèse est compliquée en raison de la somnolence et du trouble de l'élocution.Au status l'abdomen est souple, indolore sans défense ni détente avec la présence d'ascite et peu de bruits à l'auscultation. Les murmures respiratoires antérieurs sont normaux (postérieurs non réalisables). Les bruits cardiaques sont bien frappés. Il présente des oedèmes des membres inférieurs dans un contexte d'hypoalbuminémie, d'insuffisance veineuse chronique avec une dermatite ocre et une artériopathie artérielle des membres inférieurs avec des lésions/escarres au niveau des jambes. Dès le 03.02.2019 l'état de conscience de Mr. Y se péjore rapidement avec un GCS à 11-12, une stupeur, et des troubles de la parole avec aphasie. Sans diagnostic d'une encéphalopathie hépatique sur insuffisance hépatique suite à l'embolisation, nous tentons une tentative ultime de Xifaxan qui ne donne pas d'effet sur l'état de conscience du patient après 3 jours, raison pour laquelle nous décidons après entretien avec la femme de Mr. Y, de stopper toutes les thérapies curatives et de ne laisser en place que des thérapies de confort. Mr. Y se péjore progressivement chaque jour dans la semaine du 4 au 10.02.2019. Il décède le 11.02.2019, soulagé de tout inconfort ou douleur et entouré des siens. Mr. Y, patient de 86 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique dans le cadre d'une suspicion de NSTEMI secondaire sur un pic hypertensif et sepsis d'origine urinaire. Mr. Y est transféré de l'hôpital Daler où il a été hospitalisé pour une TURP avec orchidectomie dans le cadre d'un adénocarcinome de la prostate le 28.01.2019. Le 31.01.2019, il présente un pic fébrile à 39°C et un pic hypertensif associé à une dyspnée et oppression thoracique. Le diagnostic de NSTEMI secondaire à un pic hypertensif dans le contexte septique est retenu devant les symptômes associés à un mouvement des troponines. Une échocardiographie ne montre pas de dyskinésie régionale en faveur d'une nouvelle ischémie cardiaque. Une indication à une coronarographie n'est donc pas retenue. De point de vue infectieux, nous retenons une origine urinaire compte tenu de l'intervention récente et d'une douleur à la percussion de la loge rénale gauche. Le traitement antibiotique par Ceftriaxone débuté à la clinique Daler est poursuivi et une culture urinaire est en cours, aussi bien que des hémocultures. Une insuffisance rénale aiguë sur chronique est attribuée au sepsis et traitée par hydratation. Mr. Y est hospitalisé électivement pour une pose de pacemaker DDD le 31.01.19 pour un bloc atrioventriculaire de deuxième degré intermittent, type Mobitz 2. Le geste se déroule sans complication. Du metoprolol à raison de 25 mg par jour est ajouté à sa médication, qui reste par ailleurs inchangée. Le retour à domicile s'effectue le 01.02.2019. Mr. Y est hospitalisé suite à une désorientation d'apparition brutale, des troubles mnésiques antéro et rétrogrades, et une aphasie de dénomination. Le tableau clinique suggère une attaque vasculaire cérébrale, qui est confirmé à l'IRM. L'EEG effectuée permet d'exclure un événement épileptique. Aucune arythmie n'a été détectée à l'ECG ; Mr. Y porte un Holter de 72 heures qui sera analysé ultérieurement. L'échocardiographie trans-thoracique et trans-oesophagienne ne révèlent ni foramen ovale perméable, ni anomalies structurelles. Nous ne retenons pas d'étiologie néoplasique (dosage du D-Dimère normal) ni immunologique (bilan négatif), ni métabolique (dosage d'homocystéinémie normal), ni infectieux (dépistage HIV négatif). Mr. Y est mis sous Plavix avec bonne tolérance. Au vu des antécédents et de l'âge de Mr. Y et devant l'absence d'étiologie claire, la maladie de Fabry a été mentionnée ; son investigation sera à rediscuter selon les résultats du bilan initial. Concernant les FRCV, au vu du profil à risque de Mr. Y, un traitement hypolipémiant a été proposé. L'HbA1c effectué parle contre la présence d'un diabète. L'évolution des FRCV sera à réévaluer à distance. Le bilan neuropsychologique révèle des perturbations correspondant à une atteinte bi-territoriale, des difficultés en attention divisée et des performances à la limite inférieure de la norme en mémoire épisodique visuelle. L'évolution est tout à fait favorable avec régression des symptômes, permettant à Mr. Y de retourner à domicile le 20.02.2019. Mr. Y, de Marsens, a pu discuter avec la patiente et la contactera le 27.02 pour un suivi et une aide. Nous n'objectivons pas de critère de gravité au vu de son status psychiatrique et l'entourage social de la patiente. Elle peut rentrer à domicile avec sa belle-famille. Mr. Y, patient de 79 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un NSTEMI le 24.02.2019. La coronarographie montre une maladie tritronculaire avec comme lésion coupable une sténose de l'artère circonflexe qui est stentée. Les autres lésions sont traitées conservativement. La surveillance hémodynamique montre un court épisode de RIVA dans le contexte de reperfusion et est sinon sans particularité. On observe une hémorragie du point de ponction sans répercussion hémodynamique qui est traitée par application de pression permettant d'arrêter l'hémorragie. Il est transféré en médecine le 25.02.2019 pour la suite de prise en charge. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour un STEMI inférieur le 03.02.2019. Mr. Y a présenté un angor typique en déblayant de la neige. L'ECG confirme le STEMI inférieur avec à la coronarographie une subocclusion thrombotique de la coronaire droite proximale qui est traitée par angioplastie et mise en place d'un stent actif. La FEVG est estimée à 40% à la ventriculographie. La surveillance rythmique s'avère sans particularités. Un traitement par IEC et b-bloquant est débuté. Une ETT de contrôle est demandée. Le point de ponction est calme. Mr. Y est transféré en médecine pour suite de prise en charge. Mr. Y, un patient de 77 ans, nous est transféré de l'Inselspital le 21.02.2019. Il a été hospitalisé en raison d'une baisse de l'état général, faiblesse généralisée et une dyspnée en raison d'une décompensation cirrhotique. Mr. Y habite seul dans une maison avec des escaliers et s'occupe de tout lui-même. Il a une aide pour le ménage 1x/mois. Il est connu pour une cirrhose alcoolique, actuellement CHILD B, une insuffisance rénale chronique, un syndrome de refeeding, une inappétence chronique, une oesophagite de reflux, un diabète de type 2, des lombalgies, une artériopathie oblitérante des membres inférieurs, une cardiopathie hypertensive et une hypothyroïdie subclinique. Actuellement, Mr. Y se plaint d'une fatigue, une faiblesse des membres inférieurs et des troubles de l'équilibre. Il a beaucoup de nausées avec 2 épisodes de vomissements ce matin. Il ne boit plus depuis 1 mois et ne souhaite pas recommencer à boire. Il a des reflux acides connus et il n'a pas de douleur abdominale. Les selles sont légèrement molles. Il a une perte d'appétit d'origine multifactorielle avec des douleurs au niveau de sa prothèse, des nausées, l'alcool auparavant et une perte de 4 kg. Il n'a pas de douleur, pas de dyspnée, ni d'orthopnée sans toux ni expectorations. Il n'a pas de plaintes urinaires. Au status, Mr. Y est affaibli. Il présente une peau très sèche avec des squames, mais sans signe d'érythème palmaire, angiome stellaire ou caput médusae. Il présente un reste léger d'ascite abdominale. Il n'a pas d'oedèmes, ni d'ictère. De fines rhadages au niveau des plis bucaux. Le status cardiovasculaire est sans particularité B1B2 bien frappé, tachycarde. Des murmures respiratoires normaux. Un abdomen souple, globuleux et indolore.En raison d'une plainte de dysphagie basse, nous réalisons une fluoroscopie le 25.02.2019 montrant une presbyoesophagie avec stases valléculaires et dans les sinus piriformes ayant entraîné un épisode de fausse route avec effort de toux satisfaisant. Pour ses nausées, nous mettons un traitement antiémétique en place fixe et en réserve. Le 25.02.2019, Mr. Y développe un choc septique d'origine indéterminée avec frisson, état fébril mais sans piste clinique. Nous lançons les investigations avec uriculture, hémoculture ainsi qu'une hydratation par voie veineuse et de la rocéphine iv. Il était prévu un changement de cas le 26.02.2019 de médecine interne à gériatrie aiguë. La suite de la prise en charge se fera donc en gériatrie aiguë. Mr. Y, connu pour cancer du pancréas, consulte le Dr. X par téléphone en raison d'un état fébrile post-chimiothérapie. Il se présente sur son conseil aux urgences de l'HFR. Le bilan réalisé aux urgences met en évidence une neutropénie fébrile sur une surinfection d'un hématome péri-anal et le patient est hospitalisé en médecine interne avec un traitement antibiotique par Céfépime. L'abcès est incisé le 25.02.19 par le Dr. X, après s'être bien démarqué le même jour. On y décrit surtout l'écoulement de coagules et d'un peu de pus à la compression. Le Dr. X est consulté pendant l'hospitalisation et la décision est prise de reporter la chimiothérapie prévue le 27.02.2019 d'une semaine. Le traitement antibiotique est oralisé par Co-Amoxicillin et Ciprofloxacin le 27.02.2019 et devra être continué jusqu'au 3.3.19. Mr. Y sort le 27.02.2019 après ne pas avoir eu de neutropénie ou de fièvre depuis le jour de son entrée. MST continus 10 mg bid et STOP Mo PRN stoppés le 28.11.2018. Fentanyl patch du 28.11.2018 au 13.12.2018. Effentora per os PRN. MTEV en 1982 récidivante en 1992 et 1994 avec un traitement anticoagulation sous Marcumar arrêté le 12.01.2019 avec relais par Xarelto 20 mg le soir. Psoriasis. Acouphènes bilatéraux. Migraines. Crise d'angoisse. Traitement habituel : Zomig 2.5 mg, 1 x/j (1-0-0-0). Lexotanil 1.5 mg, 3 x/j (1-1-1-0). Laxoberon gouttes laxatives, 10-20 gouttes en R. Marcoumar 3 mg, selon schéma, Cimifemine forte 1xj le matin, Calcimagon forte 1000 mg 1xj. Létrozole 2.5 mg 1xj le matin. Mucite buccale le 14.02.2019. Mucite du tractus digestif haut avec fièvre et agranulocytose à 0.2 G/l dans le contexte de • Chondrosarcome mésenchymateux DD myxoïde extra-squelettique • s/p chimiothérapie 01-04.02.2019 avec étoposide, vincristine, ifosfamide, doxorubicine, uromitexan, aloxi, ivemend. Mucite orale associée à de la candidose buccale le 06.01.2019 : • lésions ulcéreuses du palais dur et mou. Mucite orale le 26.02.2019. Mucite sur toxicité de traitement de chimiothérapie avec sepsis sévère avec diarrhées profuses • Rocéphine 2 g iv du 19 au 23.10.2018. • Metronidazole 500 mg 3x/j iv du 19.10.2018 au 23.10.2018. • mise en suspens de la chimiothérapie prévue le 23.10.2018. Cure de hernie inguinale droite selon Lichtenstein avec filet ProGrip, Dr. X le 09.05.2016. PTH droite et gauche il y a 10 ans. Mucoviscidose (CF 508/ins3905) diagnostiquée sur iléus méconial, avec : • atteinte pulmonaire, avec syndrome respiratoire obstructif actuellement sous traitement bronchodilatateur par Seretide, Atrovent et Ventolin, Pulmozyme et physiothérapie 1x/semaine ; dernière exacerbation pulmonaire le 24.04.2018 avec expectorations positives pour S. Aureus résistant à la pénicilline ; jamais eu de portage de Pseudomonas. • atteinte hépatique, sous substitution par AquADEK et Ursofalk. • atteinte pancréatique exocrine, sous substitution par Créon et Aquadek, avec malnutrition secondaire, nécessitant la mise en place d'une PEG en février 2016 et la substitution par Isosource 500 ml/24 h. Pas d'atteinte endocrine avec hémoglobine glyquée dans la norme mais hyperglycémie présente. • Aménorrhée secondaire sur malnutrition. MEDICAMENTS HABITUELS : • Pulmozyme 1x/jour avant la physio. • Seretide 3x/jour. • Ventolin 3x/jour, si nécessaire. • Mucoclear. • AquADEK. • Creon : 3 * 25'000 UI pendant les repas, pour les collations 10'000 UI - 25'000 UI. • Movicol 1-2 sachets par jour. Mucoviscidose delta-F508 homozygote : • colonisation par Escherichia coli ESBL et Staphylococcus aureus méthycilline sensible. Mucoviscidose suivie au CHUV. Muguet buccal. Muguet buccal et mycose du siège. Muguet buccal (post-antibiothérapie). Muguet depuis 1 mois (traité avec Daktarin, Mycostatin mais échec du traitement, selon la mère actuellement traité avec Lactibiane (Lactobacillus). Muguet orale. Multilind crème. Multilind crème pendant 1 semaine, puis contrôle chez pédiatre. Multiparité. Multiples contusions post-traumatiques, le 13.02.2019. Multiple AVC ischémiques infracliniques en 2014 • troubles de la mémoire associés • s/p fermeture de FOP. Multiples bronchites (plusieurs hospitalisations). Ancien prématuré de 31 0/7 (a une sœur jumelle). Dernier épisode il y a environ un an.Hydrocéphalie. Multiples bronchites spastiques depuis 8-10 mois. Multiples calcifications du testicule gauche. Multiples conglomérats d'adénopathies latéro-cervicales droites, sus-claviculaires et hilaires. Status post-accident de la voie publique, avec amnésie circonstancielle, contusions multiples au niveau costal et de l'olécrâne droit. Status post-amygdalectomie dans l'enfance. Status post-appendicectomie en 2013. Status post-laparoscopie en 2010 pour kyste hémorragique de l'ovaire gauche. Status post-accouchement par voie basse en 2016 à 39 SA 2/7, naissance d'un garçon de 2850 g. Accouchement par voie basse spontané après une provocation par Propess pour diabète gestationnel insulino-requérant, chez une patiente de 22 ans, 2 gestes devenue 2 pares à 38 3/7 SA 31.10.2018. Multiples décompensations BPCO sur : • Pneumonie de la base gauche à Haemophilus Influenzae en juillet 2013. • Pneumonie postéro-basale droite, le 27.09.2013 (germe indéterminé). • Bronchopneumonie du LID à Pseudomonas aeruginosa en février 2012, compliquée d'un pneumothorax droit spontané. • Bronchopneumonie Haemophilus Influenzae en mai 2007. • Bronchopneumonie à germe indéterminé en décembre 2006. Exacerbation de BPCO le 10.02.2015. Exacerbation infectieuse en janvier 2014. Sténose coronarienne non significative (coronarographie du 07.10.2009). Suspicion de néoplasie du LSD. DD étiologie infectieuse. CT-thoracique le 13.11.2018. CT-thoracique du 21.08.2018. PET-CT du 28.08.2018. Scintigraphie pulmonaire ventilée-perfusée organisée à l'HFR le 13.09.2018. Avis pneumologue de CHUV. Inscription liste transplantation pulmonaire renouvelée. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/J du 24.09. au 22.10.2018. Corticothérapie avec Prednisone 25 mg du 24.09. au 31.10.2018. Multiples épisodes de crise d'épilepsie le 05.02.2019. • 5 crises le 05.02.2019. • Dernière crise en 2016 sur privation de sommeil. Multiples extrasystoles. Multiples fractures. Multiples fractures du massif facial, le 26.02.2019 avec : • Fracture de la paroi antérieure et latérale du sinus maxillaire gauche. • Fracture du plancher orbitaire gauche avec atteinte du canal du nerf V2, sans incarcération de la musculature. • Fracture de la grande aile sphénoïdale gauche. Multiples hyperkératoses difformes et symptomatiques au niveau des pieds, à prédominance G. Multiples iléus sur intestin grêle radique (résolutions spontanées) 2012. Léiomyosarcome utérin FIGO IIIA (L1, V2, R1). • date du diagnostic : mai 2008. • histologie : léiomyosarcome peu différencié, G3, ER +, PR +. • status post-laparotomie médiane avec hystérectomie et annexectomie bilatérale, mai 2008. • status post-radiothérapie à visée curative sur le bassin en juin 2008 (54 Gy). • status post-iléus de l'intestin grêle sur radiothérapie, octobre 2012. • récidive en août 2014, deux tumeurs de l'épiploon et une tumeur fixée au côlon sigmoïdien, août 2014. • status post-résection des trois masses tumorales avec résection segmentaire du sigmoïdien et anastomose latéro-terminale le 20.08.2014. • status post-laparotomie de révision, démontage de l'anastomose colorectale et descendostomie terminale selon Hartmann, lavage abdominal sur lâchage d'anastomose sigmoïdienne et péritonite le 28.08.2014. • histologie : léiomyosarcome dans 3 nodules réséqués (Promed P7467.14) et dans un nodule lors de la reprise (Promed P7745.14). • status post-chimiothérapie par Taxotere et Gemzar du 29.10.2014 au 11.02.2015 (4 cycles complets, dernière cure sans Taxotere). • status post-rétablissement de la continuité iléo-colique, 09.09.2015. • forte suspicion d'une métastase isolée au niveau de la lingula (pulmonaire 12 x 8 mm), pas d'autre métastase (adénopathie suspecte hile rénale gauche). • rechute avec nodule solitaire pulmonaire, segment inférieur de la lingula, janvier 2016.• status post-résection Wedge d'un nodule situé dans la lingula pulmonaire gauche (histologie : léiomyosarcome épithélioïde de haut grade mesurant 1.6 cm, Promed P2065.16), 25.02.2016 • progression tumorale en décembre 2017 avec apparition d'une masse médiastinale, petit nodule dans la plèvre médiastinale au niveau de la lingula sans évolution, apparition d'implants abdominaux • status sous thérapie par Votrient depuis fin décembre 2017 • progression tumorale des multiples métastases pulmonaires et abdominales, mars 2018 • status post-5 cycles de chimiothérapie par Caelyx du 06.04 au 14.08.2018, réponse dissociée • discrète progression des masses tumorales intra-abdominales (17%) décembre 2018 • actuellement : introduction d'une chimiothérapie par Gemzar depuis le 11.12.2018 pour progression métastatiques intestinales le 30.11.2018 Suivi par le Dr. X Troisième cycle de chimiothérapie palliative prévu pour le 04.01.2019, suspendu au vu du contexte actuel • Masse tumorale/kystique intra-abdominale droite surinfectée avec suspicion de fistulisation caecale le 03.01.2019 traité conservativement avec pose d'un drain • Multiples iléus sur intestin grêle radique (résolutions spontanées) 2012 • Léiomyosarcome utérin FIGO IIIA (L1, V2, R1) • date du diagnostic : mai 2008 • histologie : léiomyosarcome peu différencié, G3, ER +, PR+ • status post-laparotomie médiane avec hystérectomie et annexectomie bilatérale, mai 2008 • status post-radiothérapie à visée curative sur le bassin en juin 2008 (54 Gy) • status post-iléus de l'intestin grêle sur radiothérapie, octobre 2012 • récidive en août 2014, deux tumeurs de l'épiploon et une tumeur fixée au côlon sigmoïdien, août 2014 • status post-résection des trois masses tumorales avec résection segmentaire du sigmoïdien et anastomose latéro-terminale le 20.08.2014 • status post-laparotomie de révision, démontage de l'anastomose colorectale et descendostomie terminale selon Hartmann, lavage abdominal sur lâchage d'anastomose sigmoïdienne et péritonite le 28.08.2014 • histologie : léiomyosarcome dans 3 nodules réséqués (Promed P7467.14) et dans un nodule lors de la reprise (Promed P7745.14) • status post-chimiothérapie par Taxotere et Gemzar du 29.10.2014 au 11.02.2015 (4 cycles complets, dernière cure sans Taxotere) • status post-rétablissement de la continuité iléo-colique, 09.09.2015 • forte suspicion d'une métastase isolée au niveau de la lingula (pulmonaire 12 x 8 mm), sans autre métastase (adénopathie suspecte à hile rénal gauche) • rechute avec nodule solitaire pulmonaire, segment inférieur de la lingula, janvier 2016 • Multiples lésions cérébrales démyélinisantes atypiques, le 06.02.2019 DD sclérose en plaque, maladie de Lyme, sarcoïdose, autre maladie infectieuse ou inflammatoire, type vasculite, du système nerveux central • Symptomatologie : diplopie binoculaire, exophtalmie de l'œil G, chute du Mingazzini à D • Multiples lésions cérébrales démyélinisantes atypiques • Symptomatologie : diplopie binoculaire, exophtalmie de l'œil G, chute du Mingazzini à D • Diagnostic différentiel : Possible sclérose en plaque atypique Possible neurolyme chronique atypique (absence d'éléments au LCR, synthèse intra-thécale d'anticorps en cours), négatif (après la sortie du patient) Neuro-sarcoïdose peu probable (CT thoracique sans particularités) Autre maladie infectieuse ou inflammatoire, type vasculite, du système nerveux central peu probable ADEM peu probable • Multiples lumbago. Douleurs gastriques. • Multiples nodules centro-nodulaires dans les deux poumons, d'origine des poussières de pierres (professionnel) suivi au Portugal • Multiples nodules pulmonaires sur les deux plages pulmonaires d'origine indéterminée, DD : sarcoïdose, néoplasie • date du diagnostic : juin 2018 • histologie : aucune • CT thoracique du 05.06.2018 : multiples adénopathies médiastinales, hilaires, calcifiées, multiples nodules sur les deux plages pulmonaires • fonctions pulmonaires complètes du 30.05.2018 : absence de trouble ventilatoire obstructif et restrictif, DLCO dans la norme • PET-CT du 14.06.2018 : captation modérée d'un nodule pulmonaire, segment apical lobe inférieur droit, absence d'autre lésion hypermétabolique • refus du patient d'investigations plus poussées par bronchoscopie/EBUS • TB chirurgie thoracique du 20.06.2018 : pas de ponction transthoracique (risque de pneumothorax), si pas de bronchoscopie, surveillance • actuellement : pas de bronchoscopie selon le souhait du patient Probable tumeur rénale avec métastases pulmonaires • Multiples opérations orthopédiques. Phakectomie bilatérale en 1995. Épisode de vertige brutal d'origine indéterminée en 1995. Reflux oesophagien traité par Nissen en 2009 et 2010 avec : • réintervention en 2012, compliquée d'une perforation oesophagienne, d'un abcès splénique et d'une bactériémie. Arthroplastie de l'épaule D en 2012. Révision de PTG G en 2013. Vertige aigu d'origine périphérique en 2014. Canal lombaire étroit opéré en août 2015. Cure d'éventration sus-ombilicale en 2014. Cure de D3 à ressaut main D en 2014. Embolie pulmonaire postopératoire. Zona fesse G 2016. Implantation PTH G en juillet 2016. • Multiples otites et faux-croup depuis la naissance ayant nécessité plusieurs traitements antibiotiques. Retard de croissance (cassure courbe de la taille et du poids dès l'âge de 2 ans) en cours d'investigations. • Dactylite bactérienne superficielle à staphylocoques aureus au niveau du majeur et de l'annulaire de la main droite. • Acrodermite papulaire de Giannotti-Crostii. Status post-amygdalectomie et adénoïdectomie. Douleurs abdominales aiguës sur probable adénite mésentérique les 30 et 31.05.2015. Contusion du 2ème orteil gauche le 23.04.2016. • Multiples plaies délabrées traumatiques faciales de la paupière supérieure de l'œil gauche, plaie de la paupière inférieure gauche, sillon nasogénien gauche. • Multiples plaies longitudinales transverses à 5 mm l'une de l'autre au niveau de l'éminence thénar de 2,5 cm de longueur. • Multiples traitements antalgiques : • AINS, Clonazepam, morphine : effet insuffisant Analgo-sédation palliative par Midazolam et Morphine ivc • Mundisal Dafalgan / Algifor Stimuler hydratation • Mutation du facteur 5 de Leiden. • Mutation hétérozygote du Facteur V Leiden avec : • Médicaux : status post 3x TVP mollet gauche en 2002 (sous pilule) / 2004 (pilule) / 2008 • Lésions substance blanche à l'IRM en janvier 2015 : séquellaires de thrombose (données anamnestiques) • Mutilation génitale féminine type II. • Mutisme et hyper rigidité sur maladie de Parkinson avancée avec : • Maladie de Parkinson diagnostiquée en 2014 (premiers symptômes en 2012).Atteinte motrice avec : • camptocormie, brady et hypokinésie, trémor intermittent de la main gauche, hypophonie du langage, réflexes posturaux diminués, piétinement. Atteinte végétative avec : • pollakiurie, incontinences urinaire et fécale, constipation, hypersalivation et orthostatisme. Atteinte psychique avec : • épisodes dépressifs récurrents et anxieux, MOCA 24/30 points en 05.2018. Multiples infarctus lacunaires bilatéraux non datés, anciens. Myalgie. Myalgie jambe droite, le 22.08.2017. Myalgies. Myalgies dans le cadre d'une grippe le 20.02.2019. Myalgies débutantes (myosite légère, Norovirus, pertes digestives, hypokaliémie). Myalgies d'origine indéterminée • DD : fibromyalgie, état dépressif/anxieux. Myalgies du membre inférieur droit probablement sur surentraînement. Myalgies et douleurs osseuses sur traitement de Lucrin, en diminution spontanée et disparaissant à la distraction • DD : courbatures. Myasthénie grave. Myasthénie grave évolutive avec atteinte respiratoire nouvelle le 28.01.2019 avec : • VEMS 70 %, insuffisance respiratoire partielle hypoxémique. • Diagnostiquée en février 2018 : forme généralisée séropositive avec anticorps anti-RAch et anticorps anti-titine. • Clinique : tête tombante depuis 4-5 ans, dysphagie aux solides connue, tétraparésie proximale M4 prédominant à gauche depuis septembre 2018. • Bilan pneumologique 07.12.2018 (ambulatoire, Dr. X) : léger syndrome obstructif avec VEMS 91 %, absent sous Anoro Ellipta. • Suivi par le Dr. X à l'HFR Fribourg. Myasthénie grave évolutive avec atteinte respiratoire nouvelle le 28.01.2019 • VEMS 70 %, insuffisance respiratoire partielle hypoxémique. • Diagnostiquée en février 2018 : forme généralisée séropositive avec anticorps anti-RAch et anticorps anti-titine. • Clinique : tête tombante depuis 4-5 ans, dysphagie aux solides connue, tétraparésie proximale M4 prédominant à gauche depuis septembre 2018. • Bilan pneumologique 07.12.2018 (ambulatoire, Dr. X) : léger syndrome obstructif avec VEMS 91 %, absent sous Anoro Ellipta. • Suivi par le Dr. X à l'HFR. Myasthénie gravis avec : • majoration de la faiblesse des membres inférieurs, • fatigue généralisée le 15.01.2019, • troubles de la déglutition anamnestiques. Mycoplasme sérologie positive, frottis négatif (fait 4 jours après début du traitement). Mycose buccale. Mycose buccale le 02.02.2019. Mycose cutanée abdominale le 07.02.2019. Mycose cutanée des plis. Mycose de la vulve avec écoulement. Mycose des plis au niveau abdominal et des plis inguinaux : • Dans un contexte d'incontinence urinaire. Mycose du siège. Mycose génitale. Mycose hypopharyngolaryngée et œsophagienne. Mycose oro-pharyngée. Mycose plis inguinaux le 07.02.2019. Mycose vaginale. Mycose vaginale • dans un contexte de traitement antibiotique. Mycose vaginale le 07.01.2019. Mycose vaginale probable le 23.02.2019. Mycostatin. Mycostatin du 25.1 au 31.1.19. Mycostatin gel 4 x/jour jusqu'au 11.02. Mycostatine du 02.02 au 07.02.2019. Mycostatine du 05.02 au 10.02.2019. Mycostatine du 09.02 au 13.02.2019. Suivi clinique. Mycostatine du 28.11.2018 au 03.12.2018. Bain de bouche. Alimentation entérale par sonde naso-gastrique, IsoSource EveryFibre 1000 ml sur 16 h (nuit) du 28.11.18 au 03.01.2019. Traitement symptomatique des nausées et vomissements. Mycostatine 4 x/j. Mydocalm. Ibuprofène. Arrêt de travail. Mydriase, DD : intoxication médicamenteuse non retrouvée dans les urines. Pas d'argument pour un processus intracranien. Mydriase posttraumatique droite. Myélite transverse avec hémisyndrome droit régredient le 21.02.2019. DD infectieuse, ischémie médullaire cervicale. Myélite transverse niveau D5 à D7 d'origine probablement para-infectieuse virale le 16.02.2019. DD : paranéoplasique ; auto-immune ; granulomateuse ; SEP. Myélofibrose primaire, en phase fibreuse, JAK2V617F négatif, mutation CALR positive : • diagnostic le 22.09.2014 • hémogramme au diagnostic : HB 99 g/l, GB 5,3 G/l (PMN 55,5 %, mono 9,0 %, lympho 23,5 %, myélo 7,0 %, métamyélo 1,5 %, érythro 12,5 %, blastes 0,0 %), TC 115 G/l • PBM du 22.09.2014 : moelle par endroit hypercellulaire, avec importante fibrose réticulinique diffuse (MF2 selon OMS 2008), avec discrète sclérose microfocale débutante, hyperplasie de la mégacaryopoïèse avec formation de groupes respectivement en partie d'amas denses, érythropoïèse peu représentée avec rares atypies nucléaires et myélopoïèse bien représentée avec discrète déviation gauche, sans excès de cellules immatures CD34+ respectivement CD117+ à la biopsie ostéomédullaire. • Biologie moléculaire du sang périphérique du 23.09.2014 : absence de la mutation JAK2V617F, présence de la mutation de type I (délétion de 52 nucléotides) du gène de la calréticuline. • Caryotype médullaire : 45,X,-Y[20]. • Score DIPSS Plus à 2 points (risque intermédiaire 2). • Splénomégalie à 22 x 21 x 11 cm (CT-scan du 26.08.2013). • Traitement : Ruxolitinib (Jakavi) dès le 07.11.2014, soutien transfusionnel érythrocytaire régulier et traitement par Aranesp 500 µg s.c. 1 fois toutes les 3 semaines du 14.03 au 07.09.2016. • US rate le 20.10.2017 : splénomégalie de volume superposable aux comparatifs. • Besoins transfusionnels réguliers. • Suivi hématologique Dr. X. Myélographie au CIMF le 12.03.2019. Prochain contrôle le 14.03.2019. Myélographie au CIMF le 19.03.19. RDV au Neurocentre. Prochain contrôle le 28.03.2019. Myélographie au CIMF le 28.02.2019. RDV au Neurocentre. Prochain contrôle le 28.03.2019. Myélographie et myélo-CT du 05.02.2019 (CIMF) : pas de descellement, visualisation d'une lyse autour des vis en L4-L5 et S1 mais ce qui est tout à fait normal en post-opératoire. Pas de signe clair de fusion entre les corps vertébraux. Myélographie et scanner lombo-sacré du 31.01.2019 (CIMF) : sténose modérée L3-L4 dynamique avec fusion en cours au niveau L4-L5 et aussi au niveau sacro-iliaque qui est bien stable. Myélographie fonctionnelle + CT du 24.01.2019 (CIMF) : ossification tardive du segment L5-S1 avec un petit pont osseux postérieur, proche du canal lombaire mais sans franche compression au niveau des racines L5 ni S1 ddc. Bilan neurologique du 29.01.2019 (Neurocentre) : pas radiculopathie aiguë ni chronique au niveau des racines L4, L5 et S1 ddc. Potentiel syndrome des jambes sans repos, sans signe clinique majeur actuellement. Myélographie fonctionnelle + CT lombaire du 19.02.2019 (CIMF) : débord discal L4-L5 et tissulaire médian et paramédian L5-S1 avec une empreinte résiduelle de la racine S1 G, sans franche compression. Examen neurologique du 11.02.2019 (Neurocentre, Fribourg) : tracé d'innervation chronique avec quelques signes de ré-innervation au niveau du tibial postérieur et du jumeau interne à G, avec un tracé physiologique du vaste interne du jambier antérieur à G, tout ceci étant compatible avec ancienne atteinte radiculaire L5-S1 G avec signe de dénervation chronique au niveau du jumeau interne et tibial postérieur G. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : pas de migration de la cage. Myélographie fonctionnelle avec CT du 14.02.2019 (CIMF) : pas de sténose canalaire ni radiculaire. Pas de signe pour une déhiscence de la cage ni des vis de l'ALIF L5-S1. Lyse isthmique bilatérale avec signes d'arthrose facettaire L5-S1 bilatérale et arthrose sacro-iliaque.Bilan neurologique du 12.02.2019 (Neurocentre): Pas de dénervation des dernières racines lombaires ddc. Myélographie fonctionnelle du 21.12.2018 (CIMF): Cf. diagnostic. Bilan neurologique du 18.01.2019 (Neurocentre): Pas d'atteinte radiculaire. Amplitude du potentiel moteur du nerf péronier G légèrement inférieure à la norme avec origine incertaine (pas de n. péronier accessoire mis en évidence) mais sans pertinence clinique. Myélome multiple à chaînes légères lambda en stade initial ISS1: • date du diagnostic : 09.02.2011 • biopsie de la moelle osseuse : infiltration plasmocytaire à 15-20% de la cellularité pour un myélome IgG lambda • électrophorèse sérique avec fixation du 14.01.2011 : onde monoclonale de type IgG lambda, chaînes lambda élevées à 57,8 mg/l, IgM diminué à 0,49 g/l, IgG à 14,46 g/l, albumine 38 g/l le 14.01.2011, bêta-2 microglobuline 2,9 mg/l le 25.11.2010, anémie légère à 125 g/l le 08.02.2011 • RX crâne, bassin et colonne lombaire du 14.01.2011 : pas de lésion ostéolytique à l'emporte-pièce • 4 cures de chimiothérapie par VMP (Velcade, Melphalan, Prednisone) du 05.04 au 11.07.2011, rémission partielle et mise en suspens en raison des effets secondaires • chimiothérapie par Revlimid et Dexaméthasone du 11/2011 au 15.04.2012 • Dernier contrôle oncologique en 03.2018: considéré en rémission Oedèmes des membres inférieurs bilatéraux d'origine mixte : • décompensation cardiaque • lymphoedème • insuffisance veineuse chronique • thrombose veineuse Myélome multiple de stade II (ISS de stade I, LDH normale, β2 microglobuline normale, cytogénétique à haut risque) • Date du diagnostic : 10.12.2018 (suivi Dr. X) • Biopsie de la moelle osseuse: myélome plasmocytaire mature, immunophénotype IgA kappa avec infiltration diffuse interstitielle et à petites cellules 20% (Pathologie Bern B2018.43323) • Cytogénétique (CHUV, 2405/18): CKS1B, amplification 1Q21.1Q44 (risque élevé) • Paraprotéine IgA: 13,1 g/l (05.12.2018) • Statut après fracture pathologique BWK9 • CT du 04.12.2018: fracture pathologique de T9, absence de saillie dans le canal rachidien, ostéopénie généralisée • IRM de la colonne cervicale, thoracique et lombaire du 11.12.2018: fracture T9, ostéopénie généralisée du squelette axial • Facteur prédictif β-2-microglobuline 3,2 mg/l et LDH normal • facteur de risque : aucun • Antécédents familiaux: frère atteint d'un carcinome du colon • Statut après traitement par Revlimid et Dexaméthasone à partir du 07.01.2019, associé à des perfusions de Zometa Myélome Multiple IgG Kappa en stade initial ISS I, Durie-Salmon IIIA • diagnostic initial : décembre 2013 • présentation initiale avec anémie (Hb 129 g/L), protéines totales à 98 g/L, IgG 47 g/L, chaînes Kappa à 21 mg/L, créatinine et calcium dans la norme. Electrophorèse des protéines sériques avec immunofixation montrant une gammapathie monoclonale IgG Kappa • ponction-biopsie de moelle le 30.12.2013 : infiltration plasmocytaire 20-30% • multiples ostéolyses • IRM colonne lombaire le 10.01.2014 : lésions ostéolytiques multiples avec lésion en D12 (processus transverse) et L1 (pédicule droit) • traitement par Zometa et Dexaméthasone en janvier 2014 • statut post 4 cycles de thérapie par Velcade, Cyclophosphamide et Dexaméthasone du 12.02 au 30.04.2014 (rémission partielle) • sous traitement par Zometa depuis janvier 2014 • statut post traitement par Gemzar et Neupogen le 14.05.2014 suivi d'une aphérèse de cellules souches le 21.05.2014 • 03.06.2014 : très bonne rémission partielle • statut post chimiothérapie haute dose par Alkeran le 03.06.2014 suivie d'une transplantation autologue de cellules souches le 04.06.2014 • 30.06.2014 : très bonne rémission partielle • traitement d'entretien par Revlimid depuis 10.09.2014 • depuis septembre 2014 : pas d'indice pour progression tumorale, poursuite traitement par Revlimid • Revlimid stoppé depuis mi-janvier 2016 • Electrophorèse des protéines sériques en février 2016 : protéines totales 77,2 g/l avec IgG à 21,76 g/l et chaînes Kappa libres à 42,8 mg/l. Immunofixation sérique : bande monoclonale IgG Kappa : • mars 2016 : progression tumorale, introduction traitement de 2ème ligne (Kyprolis (carfilzomib), Revlimid, Dexaméthasone) • acidose tubulaire rénale type 2 (trou anionique urinaire à 55 mmol/L --> type IV) • Octobre 2017 : progression tumorale avec augmentation des IgG, stop Kyprolis, thérapie palliative par Imnovid et Dexaméthasone • Actuellement : progression tumorale, traitement palliatif par Darzalex, actuellement toutes les 2 semaines • traitement palliatif par Darzalex toutes les 2 semaines • suivi par Dr. X Tremblements d'attitude en 2016, DD : • tremblements essentiels • consommation chronique OH (facteur aggravant) • origine médicamenteuse : pas d'argument Diverticulose Eczéma séborrhéique au visage Myélome multiple IgG Lambda stade ISS III, Durie et Salmon IIIA suivi par Dr. X • Diagnostic le 11.06.2014 • Histologie (Promed P5440.14) : 70-80 % d'infiltration de la moelle osseuse par un myélome multiple IgG lambda • Initialement avec hémoglobine à 77 g/l, Calcium et Créatinine normales • Electrophorèse des protéines et immunofixation : bande monoclonale IgG Lambda, IgG augmentée à 62 g/l, β-2-microglobuline à 6,2 mg/l • Pas d'ostéolyse • S/p dose de charge de Dexaméthasone en 06/2014 • S/p 5 cycles de VPM (Velcade, Melphalan, Prednisone) de 28.07.2014 au 03.02.2015 avec bonne réponse avec normalisation de IgG. Arrêt thérapie à cause des effets indésirables • S/p thérapie de 2e ligne avec Revlimid et Dexaméthasone depuis le 03.11.2015 car persistance progression tumorale avec augmentation des IgG à 20 g/l (bonne réponse initiale, arrêt à cause de la progression tumorale) • S/p thérapie de 3e ligne avec Kyprolis (Carfilzomib) et Dexaméthasone du 08.05 au 22.08.2018 car progression tumorale (arrêt à cause de la progression tumorale) • S/p monothérapie 4ème ligne avec Darzalex (Daratumumab) du 05.09.2018 au 13.11.2018 • Actuellement : échec thérapeutique sous Darzalex, thérapie palliative avec Imnovid et Dexaméthasone • Myélome multiple IgG Lambda stade ISS III, Durie et Salmon IIIA suivi par Dr. X • Diagnostic le 11.06.2014 • Histologie (Promed P5440.14) : 70-80 % d'infiltration de la moelle osseuse par un myélome multiple IgG lambda • Initialement avec hémoglobine à 77 G/l, Calcium et Créatinine normale • Electrophorèse des protéines et immunofixation : bande monoclonale IgG Lambda, IgG augmentée à 62 g/l, ß-2-microglobuline à 6.2 mg/l • Pas d'ostéolyse • S/p dose de charge de Dexaméthasone en 06/2014 • S/p 5 cycles de VPM (Velcade, Melphalan, Prednison) de 28.07.2014 au 03.02.2015 avec bonne réponse avec normalisation de IgG. Arrêt thérapie à cause des effets indésirables • S/p thérapie de 2e ligne avec Revlimid et Dexaméthasone depuis le 03.11.2015 car persistance progression tumorale avec augmentation des IgG à 20 g/l (bonne réponse initiale, arrêt à cause de la progression tumorale) • S/p thérapie de 3e ligne avec Kyprolis (Carfilzomib) et Dexaméthasone du 08.05 au 22.08.2018 car progression tumorale (arrêt car progression tumorale) • S/p monothérapie 4ème ligne avec Darzalex (Daratumumab) du 05.09.2018 au 13.11.2018 • Actuellement : échec thérapeutique sous Darzalex, thérapie palliative avec Imnovid et Dexaméthasone • Carcinome du sein invasif ductal avec DCIS, pT1c pN0 M0 • Diagnostic en septembre 2004 • Histologie (Argot Lab Lausanne 306403) : carcinome du sein invasif ductal Typ Komedo-carcinome, pT1c G2 pN0 (0/2) (sn)(i-) • Récepteur hormone ER et PGR >90 % positif, HER-2 + (Herceptest), MIB 1 25 % • S/p tumorectomie du sein droit avec ganglion sentinelle-biopsie le 05.10.2004 • S/p radiothérapie adjuvante du sein droit du 08.11 au 17.12.2004 • S/p thérapie antihormonale avec Tamoxifen de décembre 2004 au octobre 2005, suivi par Arimidex de novembre 2005 à décembre 2009 • Actuellement : pas d'indication pour une récidive • Coxarthrose bilatérale • Hypercalcémie sous Zolmeta 1X/mois • Myélome multiple • traitement palliatifs par Darzalex toutes les 2 semaines • suivi par Dr. X • Myélosuppression dans contexte infectieux, avec : • lymphopénie 2.6 G/l, neutropénie 1.5 G/l • thrombopénie 116 G/l • anémie avec Hb 88 g/l • Myoclonies de la mâchoire et de la tête d'origine indéterminée, probablement sur consommation de cocaïne, le 27.02.2019 DD : • épilepsie focale. • Myoclonies des membres supérieurs DD : accumulation médicamenteuse (Prégabaline?) au vu de l'insuffisance rénale • Myoclonies néonatales • Myo-fibrome mesurant 7x4.5x3.6 cm avec dégénérescence hémorragique chez une patiente nulligeste de 31 ans. • Myome utérin sous séreux pédonculé (Figo 7) de 55 mm, symptomatique, chez une patiente 3 gestes 2 pares de 50 ans • Myomectomie par laparoscopie avec kystectomie bilatérale le 15.02.2019 (Extraction du myome par morcellation) Examen anatomo-pathologique des pièces opératoires • Myomectomies par laparoscopie avec clampage de l'artère utérine gauche et extraction par morcellation le 12.02.2019 Examen anatomo-pathologique de la pièce opératoire • Myopathie. • Myopathie de Steinert • Myopathie depuis l'enfance suivie au CHUV avec dystrophie musculaire fascio-scapulo-lombaire. Asthme/trouble de ventilation obstructif et restrictif. Maladie sinus. Cyphose, lordose. • Myopéricardite en 2002 • Myorelaxant Traitement symptomatique • Myosite focale d'origine indéterminée des muscles gastrocnémiens médiaux en 07/2013, possiblement sur Humira. Suspicion de péricardite en 06/2011. Angor probablement sur pic hypertensif le 02.01.2014. FAN à 320 en 10.2014. Péricardite aiguë bénigne, le 01.04.2015. Augmentation des CK sous statines (Sortis changé par Crestor) - non daté. Zona ophtalmique en 2003. Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale, le 28.02.2016. Infection urinaire simple le 28.02.2016. Baisse de l'état général d'origine multifactorielle en 02/2016 : • céphalées fronto-temporo-occipitales, le 29.02.2016, dans le contexte d'une artérite giganto-cellulaire (maladie de Horton) confirmée en 07/2015 sur la base d'une biopsie temporale et d'un syndrome cervico-spondylogène modéré • cervicarthrose C1-C2 sévérissime et suspicion de chondrocalcinose atlantico-axoïdienne (syndrome de la dent couronnée), C4-C5 modérée et C5-C6 sévère • arthrite psoriasique • dyspnée d'origine indéterminée • insuffisance rénale AKIN I d'origine pré-rénale et infection urinaire simple • déprivation de sommeil et alimentation insuffisante à domicile. Probable exacerbation d'une BPCO sans surinfection bactérienne le 18.04.2016. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 21.08.2016. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 03.06.2016. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 14.02.2018 : DD : sur pic hypertensif DD : pas d'arguments pour un STEMI (troponines 2x) • Myosite virale • Myringite bulleuse droite • Myringite bulleuse droite avec labyrinthisation • NaCl Bolus 20mg/kg 1x Perfusion avec Glucosalin 2:1 du 03.02 au 04.02 avec besoin d'entretien 120 ml/kg/j • NaCl iv 500 ml iv stop médicament néphrotoxique du 12.02.19 au ___ Suivi clinique et biologique • NaCl 0.9% IV sur 24h du 15 au 17.2.2019 Spot urinaire du 15.2.2019 : NaU < 20, OsmU 485 > OsmS Suivi biologique • NaCl 0.9% 1000ml. Bonne résolution de la clinique. • NaCl 0.9% 1000ml/24h. Laboratoire de contrôle le 07.02.2019. • NaCl 0.9% 20ml/kg IV puis glucosalin 60ml/h Zofran 4mg Bilan sanguin Dafalgan / Algifor en réserve • Naevus congénital hyperpigmenté 6 x 10 cm cuisse postérieure gauche • Naïm présente une IVRS et pharyngite sans signes de gravité. Nous proposons de poursuivre le traitement symptomatique aux posologies adaptées et rendons la mère attentive aux éléments pour lesquels il faut reconsulter. • Naissance • Naissance • Naissance à terme • Naissance à terme, Apgar 9/10/10, PN : 3090 gr • Naissance à terme, AVB non instrumenté, Apgar 9/10/10, PN : 3090 gr • Naissance à terme, pas de complications périnatales • Naissance à terme, 37 2/7e SG, par césarienne pour siège. PN 3130 g (P 50), TN 46 cm (P 3-5), PCN 34 cm (P 25-50). Dilatation pyélocalicielle anténatale avec prophylaxie d'amoxicilline du 13.04 au 04.05.12 Insuffisance cardiaque sur communications inter-ventriculaires membraneuses multiples avec HTAP et hépatomégalie, opération en juillet 2012 06.2012 : difficultés alimentaires avec perte pondérale sur insuffisance cardiaque sur CIV 06.2012 : hyponatrémie sur diurétiques 06.2012 : anémie normochrome normocytaire Bronchite obstructive à RSV • insuffisance respiratoire Difficultés alimentaires sur bronchiolite à RSV Coeliakie, suivi par Dr. X • Naissance à terme 40 3/7 après grossesse harmonieuse, PN 3060g (P10-25), PC 34cm (P25), TN 50cm (P10-25) Traumatisme crânio-cérébral mineur (hauteur de > 60cm).s/p Fracture du radius droit non déplacée 15.11.18 Naissance à terme 41 4/7 SA, poids de naissance 3750g (P25-50), taille de naissance 53 cm (P25-50), périmètre crânien de naissance 36 cm (P50). Naissance à voie basse à 39 3/7, poids de naissance 3550g. Naissance à 36 semaines d'aménorrhée avec bonne adaptation néonatale. Adénite inguinale gauche traitée par Azithromycine. Mononucléose infectieuse en janvier 2016. Connue pour une connectivite mixte. Naissance à 38 SA, poids de naissance 3570 g. Naissance à 39 SA, accouchement à voie basse, poids de naissance 3425g. Naissance à 40+8 SA à voie basse, poids de naissance 3420 g. Contrôle chez pédiatre sp. Naissance par voie basse à terme à 39 2/7 SA, poids de naissance 2810 g. Naloxon 0.4mg le 28.1.19: pas de réaction de la patiente. Naloxone le 16.02.2019. Ventilation non-invasive du 16.02 au 17.02.2019. Naloxone le 20.02.2019. Naloxone le 22.02.2019. Nasivin, Algifor. Contrôle chez vous mardi, 05.02.2019. Revient en cas d'une détérioration de l'état général, de signes d'essoufflement, de fièvre persistante ou de nouveaux symptômes. Nasivin et Algifor. Récurrence d'une détérioration de l'état général, de signes d'essoufflement, de fièvre persistante ou de nouveaux symptômes. Nasivin et NaCl. Contrôle chez vous dans deux jours. En cas d'une détérioration de l'état général, de signes d'essoufflement, d'une mauvaise hydratation, d'un épisode de cyanose, retour aux urgences. Nasivin, Napreep et Dafalgan. Contrôle chez vous dans deux jours. Récurrence d'une détérioration de l'état général, de signes d'essoufflement, d'une mauvaise hydratation ou de nouveaux symptômes. Natrémie normale. Nausée. Nausée d'origine indéterminée, le 01.05.2018. Nausée et vomissement. Nausée, vomissement. Nausées. Nausées dans le contexte de grossesse à 9 semaines. Nausées DD syndrome grippal, effet secondaire tramadol. Nausées de début de grossesse. Nausées, diarrhées et douleurs gorge. Nausées et céphalées dans le contexte d'une chute mécanique le 15.02.2019. Nausées et diarrhées. Nausées et fatigue. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements dans le cadre du diagnostic principal. Nausées et vomissements dans le cadre d'un adénocarcinome canalaire du pancréas métastasé. Nausées et vomissements dans le contexte oncologique et suspicion subiléus. Nausées et vomissements DD : dans le contexte oncologique, sur subiléus (pas d'argument clinique). Nausées et vomissements sur Fentanyl le 06.02.2019. Nausées et vomissements 3 épisodes le 14.02.2019, probablement sur opiacés. Nausées probablement sur intolérance alimentaire. DD : médicamenteux le 11.02.2019. Nausées, vertiges. Nausées, vomissements. Nausées, vomissements, diarrhées. Nausées vomissements sur majoration du traitement d'opiacé le 29.01.2019. Nausées vomissements sur traitement opiacé majoré le 29.01.2019. Né à l'Hôpital de Daler à 38 4/7 SA par voie basse, contrôle dans la norme, premier enfant. Né à terme à 3.050 kg par voie basse, grossesse gémellaire. Trouble du spectre autistique avec retard du développement. Né à terme à 39 2/7ème, accouchement par césarienne pour siège, bonne adaptation, Apgar 9-9-10, pas de risque infectieux, poids de naissance : 2990g. 1er enfant du couple. Bonne croissance staturo-pondérale depuis la naissance. Né à terme, par voie basse, avec bonne adaptation néonatale. Né à terme, par voie basse. Bonne adaptation. Poids de naissance 3550g. Parents non vaccinés contre coqueluche. Né à terme, PN 2840 g, période périnatale sp. Bon développement. Pas d'ATCD de crise convulsive. Né à terme (37 SA), bonne adaptation néonatale. Né à terme, 38 1/7 SG, hypotrophe (PN 2585 g = P4), s/p bronchite obstructive (hospitalisation 26-28.04.2012), s/p bronchiolite à RSV (hospitalisation 01-10.04.2012) et pneumonie (antibiotiques iv et po 04-15.04.2012), s/p hypertension artérielle pulmonaire non-quantifiable le 12.03.2011, échocardiographie normale le 17.03.2011. 06.2012 Pneumonie basale droite débutante, bronchite obstructive, insuffisance respiratoire. Né à terme 40 3/7 SG, PN 2910 g (P 3-5), TN 46 cm (P <3), PCN 34 cm (5-10). Perte pondérale sur déficit d'apport, perte de poids de 650g en 1 mois. Né à 34 SA. Transféré à Berne car difficulté respiratoire à la naissance avec hypotonie et difficulté alimentaire. Né à 35 semaines à cause d'une pré-éclampsie maternelle traitée avec Adalat et Trandate. Apgar ok. Sérologies maternelles ok, y compris frottis strepto B négatif. Poids de naissance 1900g avec hospitalisation en néonatologie au CHUV. Pas de suivi de neuropédiatre. Guthrie en ordre. Ultrason des hanches : dans la norme. OEA (oto-émission acoustiques) : passées. Pas de cassure de la courbe de poids, taille et périmètre crânien. Bon neuro développement (suivi du regard, contact visuel). S/p hospitalisation au CHUV pour hyponatrémie sévère à 113mmol/l symptomatique (crises convulsives) et bronchiolite RSV négatif avec besoin de support respiratoire non invasive en avril. Anamnèse familiale : une soeur (prématurée de 31 semaines) : cardiopathie avec canal artériel encore perméable, à opérer. Né à 36 1/7 SG, PN 3230g, diabète maternel insulino-dépendant. PFAPA pendant 2 ans. Né à 36 3/7 semaines d'aménorrhée par césarienne pour désir maternel, avec une bonne adaptation néonatale 9/10/10. Poids de naissance à 2830 g (P25-50), périmètre crânien à 34 cm (P90) et une taille à la naissance à 45 cm (P25).Hospitalisation pour pyélonéphrite. Né à 36 6/7 de semaine de grossesse avec un poids de 2710 g, une taille à 46 cm et un périmètre crânien à 31.5 cm. Excellente adaptation néonatale avec Apgar 10/10/10. Pas de malformation cardiaque (US à 3 semaines de vie montrant un foramen ovale persistant). 3 épisodes de bronchiolite Né à 38 SG par césarienne, bonne adaptation, PN 4790 kg. Gastroentérite à Rotavirus avec déshydratation légère 21.12.2016. Connu pour des otites en répétition, vient de finir le traitement par Co-Amoxicilline. Né à 38 0/7 SG, par césarienne élective, pas de risque infectieux néonatal. Gastro-entérite à Rotavirus. Né à 38 3/7 SA, PN 3130 g (P 25), TN 49 cm (P 10-25), PCN 34 cm (P 10-25). Né à 40 3/7 SG, PN 4560 g (P97), TN 54 cm (50-75), PCN 36.3 cm (P 50-75). Insuffisance respiratoire sur pneumonie D avec atélectasie apicale droite. Difficulté alimentaire dans le contexte de pneumonie. Anémie probablement inflammatoire à 89 g/l. Né à 41 SA poids de naissance 3630 g, taille 53 cm, bonne adaptation, AVB. Né au Daler par accouchement par voie basse à 39 1/7, poids de naissance 3070 g, taille de naissance 48 cm, périmètre crânien 33 cm. Pas de problèmes périnataux. RSV bronchiolitis janvier 2019. Né au Daler 38 4/7 SA par voie basse, contrôle dans la norme, premier enfant. Ne désire plus attendre davantage, se sent mieux à présent. Mr. Y part sans consultation médicale. Ne pas mettre des benzodiazépines. Patch nicotine pour sevrage tabagique non souhaité par la patiente. Ne plus poser la question à l'enfant s'il ressent un CE. Si pas de plainte spontanée, pas de contrôle; s'il se plaint toujours dans 48 h, contrôle en ORL. Ne se plaint plus de douleurs à la fin du séjour aux urgences mais reste très fatigué. Peu boire et manger sans vomir. Ne se rappelle pas du nom de l'ATB, sera apporté par son mari ; dans l'intervalle, pas de traitement au vu d'absence syndrome inflammatoire et patiente non septique. Ne souhaite pas attendre plus longtemps, rentre à domicile. Ne souhaite pas d'antalgie et pas d'évacuation de l'hématome. Né 39 4/7 SG, PN 2700 g, TN 48 cm, PCN 35 cm, Apgar 9-10-10, pHa 7.312. Nécrose aseptique de la hanche gauche (post-radique sur cancer de la prostate avec récidive en 2017). Nécrose aseptique spontanée condyle fémoral interne genou G. Gonalgies D d'origine indéterminée (DD : dégénérescence ménisque externe). Nécrose aseptique tête fémorale G Ficat IV. Ancienne polytoxicomanie. Ancienne dépendance OH. Nécrose avasculaire de la tête du 3ème métatarsien (stade 3 de Freiberg) du pied droit, chez une patiente connue pour : • Déformation pied D avec : • hallux valgus avec angle intermétatarsien à 7° et angle hallux valgus à 32°. • 2ème orteil en griffe fixé avec subluxation de l'IPP, 3ème orteil en griffe réductible avec subluxation en regard du MTP et IPP. • point d'appui tête métatarse 2, hyperkératose plantaire. • s/p cure du 2ème et 3ème orteil en griffe du pied droit le 24.08.2018. • s/p excision d'hyperkératose plantaire en regard 2ème tête métatarsienne pied droit 26.01.2018. • s/p ablation de broches en novembre 2018. • Status post cure de névrome de Morton pied D en 2005. Nécrose avasculaire du condyle fémoral interne du genou gauche stade Ficat II. Nécrose de la peau superficielle prétibiale à D sur hématome intradermique prétibiale à D le 25.11.2018. Insuffisance veineuse chronique. Nécrose de la tête humérale D post OS par plaque Philos d'une fracture 3 parts humérus proximal le 02.08.2016 ; accident du 29.07.2016 : Ablation plaque Philos et fils FiberWire humérus D, prise de biopsies, arthrolyse, ténotomie/ténodèse du LCB (OP le 31.10.2017). Hypotension orthostatique traitée. Test Synovasure négatif. Microbiologie peropératoire : négative. Appendicectomie durant l'enfance. Nécrose de la tête humérale droite post OS par plaque Philos d'une fracture 3 parts humérus proximal le 02.08.2016 ; accident du 29.07.2016. Ablation plaque Philos et fils FiberWire humérus D, prise de biopsies, arthrolyse, ténotomie/ténodèse du LCB (OP le 31.10.2017). Hypotension orthostatique traitée. Test Synovasure négatif. Microbiologie peropératoire : négative. Appendicectomie durant l'enfance. Nécrose de P3 3ème orteil pied D sur ostéomyélite avec arthrotomie de l'IPD sur mal perforant plantaire. • Germe en cause : Cibrobacter freundii et Serratia rubidaea. Nécrose Dig. IV du membre inférieur droit. Née à terme (39 0/7 SA ?), PN 2980 g, au Petit Prince. Née à 37 SA, PN 2130 g. Pas d'allergie connue. Vaccins à jour anamnestiquement. Née à 37 1/7 semaines d'aménorrhée par voie basse, grossesse gémellaire bi-choriale bi-amniotique, poids de naissance 2460 g (P10), taille 45 cm (P3), périmètre crânien 31 cm (P<3). S/p hypoglycémie à la naissance. Née à 37 4/7, PN 2550 g, TN 46 cm, PC 32,5 cm, Apgar 9/10/10. Née à 39 2/7, PN 3360 g (P50), TN 49 cm (P10-25), PC 33.5 cm (P10-25). Accouchement par voie basse. Rupture des membranes de < 18 h. Strepto B positif (maman a reçu : Clamoxyl 1 x 2 g et 1 x 1 g), contrôle pour risque infectieux réalisés en maternité sp. Bicytopénie: Anémie normocytaire hypochrome et thrombocytopénie • Traitement: cyto-réduction par Litalir jusqu'au 06.09.2016, puis en raison d'une progression de la maladie (score DIPSS plus à 2 points le 08.08.2016), par Jakavi depuis le 07.09.2016 • Transfusions: 1 CE le 14.11.2018, 1 CT le 15.11.2018 • Acide Tranéxamique le 13.11.2018 Néo-vessie iléale dans un contexte de cancer de la vessie. Néphrectomie partielle pour carcinome rénal à cellule claire de type conventionnelle droit PT1aR0 selon Furman II en 2013 sans évidence de récidive au CT thoraco-abdominal de contrôle de 2017. Fracture 3ème arc costal gauche mise en évidence en août 2018. Néphrectomie pour carcinome à cellules claires, T3a N0 M0 R0, en 2008. Résection trans-urétrale de la prostate pour hyperplasie de grade 3. Mise en place d'une sonde vésicale pour rétention urinaire chronique. Prostatite chronique. Cholélithiase symptomatique. Hernie cicatricielle lombaire droite avec status post-néphrectomie pour carcinome rénal. Néphrectomie totale gauche pour une tumeur rénale à cellules claires (mai 2017). Résection de Schwannome du coude gauche. Plastie pour rupture du tendon d'Achille droit en 2004. Néphrolithiase droite 6 x 3 x 5 mm symptomatique le 20.02.19. Néphrolithiase en 2011. Appendicectomie. Opération syndrome tunnel carpien ddc en 2000. Opération rotule ddc pour luxation. Néphrolithiase gauche. Néphrolithiase uretère distal 5 x 3 mm gauche. Cystoscopie, urétérographie rétrograde et pose de sonde double J le 18.06.2013 (Dr. X). Infection urinaire à E. coli multisensible; Ciproxine 500 mg 2x/j. du 16 au 26.06.2013. Kyste ovarien droit avec suspicion de sub-torsion chez une patiente 3G 2P de 44 ans traité par LSC opératoire avec washing et annexectomie droite. Opération de l'épaule. Néphropathie d'obstruction du rein droit sur obstruction urétérale dans le cadre du diagnostic principal le 19.01.2019. Néphropathie X avec suivi spécialisé au Costa Rica. Hypertension artérielle sous Valsartan. Néphrostomie déplacée le 29.01.2019 • Status post-néphrostomie déplacée et probablement infectée le 14.01.2019 avec hospitalisation à Tafers jusqu'au 19.01.2019 • Repositionnement de la néphrostomie sous Rx à gauche le 15.01.2019 (Dr. X) • Antibiothérapie par Rocéphine en intraveineux du 14.01.2019 au 18.01.2019 • Antibiothérapie par Augmentin par voie orale du 19.01.2019 au 23.01.2019 Néphrotrans dès le 18.02.2019. Néphrotrans du 18.02 au 20.02.2019. Gazométrie de contrôle le 25.02.2019 à air ambiant: pH 7.44, pCO2 4.2 kPa, PO2 11.2 kPa, bicarbonates 21 mmol/L, excès de base -2.1 mmol/L, saturation O2 96%. Attitude: • Contrôle de la fonction rénale en ambulatoire. Néphrotrans et HCT mis en suspens. Gluconate de calcium. Substitution par potassium IV et PO dès le 25.01.2019. Substitution par magnésium IV et PO dès le 25.01.2019. Acétazolamide du 26.01 au 28.01.2019. Consilium néphrologique (Dr. X, Dr. X): suspicion d'hyperaldostéronisme primaire vs secondaire; ad spot, sédiment + US Doppler des artères rénales. Avis angiologique (Dr. X): L'examen du CT thoracique du 23.01.2019 montre une très bonne perméabilité des artères rénales des 2 côtés. Une sténose des artères rénales est exclue. Consilium endocrinologique (Dr. X, Dr. X): suspicion d'hyperminéralocorticisme paranéoplasique (hyperstimulation surrénalienne dans le contexte de l'adénocarcinome pulmonaire pouvant expliquer l'hypokaliémie, le dérèglement des glycémies et l'hypertrophie surrénalienne bilatérale mise en évidence au CT) • Test à la Dexaméthasone, cortisol: 2'499 nmol/l • Cortisol basal, ACTH, aldostérone, rénine et récolte urinaire de 24h avec cortisol urinaire. Métopirone 250 mg 3x/j dès le 09.02.2019, majoration le 16.02.2019. Spironolactone dès le 15.02.2019. Néphrotrans Suivi gazométrique. Mr. Y est hospitalisé dans le contexte d'apnées sur rhinite à RSV. Initialement oxygénothérapie aux lunettes, sevré le 09.02.2019. Péjoration sur le plan respiratoire l'après-midi du 10.02.2019 avec nécessité d'oxygénothérapie aux lunettes. La gazométrie du soir-même montre une acidose respiratoire avec un pH à 7.27 et une rétention de CO2 à 8.7 kPa. Mise sous High Flow à 6L, FiO2 0.3 avec une discrète amélioration biologique avec un pH à 7.3 et un pCO2 à 7.9 kPa après une heure et demie de high flow. Pas d'amélioration sur le plan clinique avec un enfant qui reste tachypnéique par intermittence, qui présente un tirage sous-costal intermittent. On note l'augmentation importante d'apnées nécessitant une stimulation tactile après 6-10 secondes. Il est mis sous CPAP avec 8L, PEEP 5, FiO2 0.3 à h. mais présente toujours environ 28 événements par heure. Une radiographie de thorax a suspecté une lame de pneumothorax à gauche et une atélectasie du lobe supérieur droit, l'interprétation définitive à pister. La FiO2 est augmentée afin d'atteindre une saturation entre 98-100% sur demande de l'hôpital de Berne. Sur le plan infectieux, le frottis nasal est positif pour un RSV. Il reste afébrile durant son séjour. Au vu de l'augmentation des événements, un bilan infectieux est prélevé qui montre des leucocytes dans la norme et une CRP négative. Sur le plan hématologique, une anémie à 98 g/l est mise en évidence ce soir. Dans le diagnostic différentiel, nous évoquons une anémie inflammatoire dans un contexte d'infection ou l'anémie du nouveau-né à 1.5 mois de vie. Sur le plan alimentaire, il nécessite une sonde naso-gastrique afin d'assurer ses apports à 142 ml/kg/j. En raison de la péjoration sur le plan respiratoire, il est transféré à Berne. Nous vous remercions pour sa prise en charge. Nette amélioration après Betnesol et air frais en dehors des urgences. Nette amélioration des douleurs après Algifor aux urgences. Nette amélioration des douleurs au niveau du 3ème rayon mais aussi au niveau du 2ème rayon sous traitement conservateur avec semelle adaptée. On discute avec la patiente de porter cette semelle le plus longtemps possible. Elle peut reprendre les activités sportives selon douleurs. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition au besoin. Nettoyage à eau oxygénée, Prontosan, pansement Adaptic digit. Contrôle clinique chez le médecin traitant en milieu de semaine. Retrait du pansement dans 48h puis protection par pansement simple. Ablation des fils à 8 jours chez le médecin traitant. Ergothérapie pour mobilité et esthésie. Nettoyage avec liquide de rinçage ophtalmique PLUM. Floxal pommade. Pansement. Contrôle demain en ophtalmologie à 15h30. Nettoyage de plaie et mise en place d'un point de suture par fil d'Ethilon 5.0. Pansement par Opsite spray. Nous conseillons aux parents de surveiller les enfants selon la fiche de surveillance des traumatismes crânio-cérébraux mineurs et de consulter le pédiatre dans 5 jours pour ablation du fil de suture. Neupogène du 12.01 au 14.02.2019 inclus. Pas d'isolement vu que courte durée. Pas d'état fébril, mais syndrome inflammatoire biologique important motivant une antibiothérapie empirique par ceftriaxone (cf Dx principal). Neuralgie intercostale probable. Neurapraxie du nerf péronier superficiel de la cheville D. Status post AMO d'une plaque au niveau du péroné et d'une vis au niveau de la malléole le 24.08.2018. Douleurs au Lisfranc post-accident du 07.07.2017 sur fracture-luxation bi-malléolaire de type Weber C fixée par un vissage de la malléole interne et mise en place d'une plaque avec des vis au péroné et fixation de la syndesmose par 2 vis de traction, effectué au Portugal. Status post AMO de 2 vis de traction en septembre 2017 par le Dr. X à l'HFR Riaz. Neurinome du nerf auditif traité par radiothérapie en 2004, suivi Dr. X. Operation d'un hallux valgus Hémorragie gastro-intestinale haute sur ulcère prépylorique le 27.07.2012 Anémie normocytaire normochrome hyporégénérative d'origine spoliative le 28.07.2012 Neurocentre 25.01.2019 : atteinte radiculaire C6 gauche en plus d'une neuropathie médiane sensitive et démyélinisante focale au niveau carpal secondaire. Neurofibromatose type II, avec multiples méningiomes intracrâniens, diagnostiquée en 1986 • Multiples extirpations de méningiomes en 1986, 1997, 1998, 2009 • Traitement par gamma-Knife d'un neurinome acoustique en 2002 • Pose d'un drain ventriculo-péritonéal en raison d'une hydrocéphalie interne et externe 04/2009, • Crâniotomie de décompression fronto-temporo-pariéto-occipitale droite pour un hématome sous-dural aigu 03/2010 • Excisions multiples de neurofibromes au niveau de l'avant-bras droit et de la main gauche 09/2013 • Laminectomie Th5/6 avec ablation d'un méningiome intra-dural 07/2014 • Essai d'une thérapie d'Avastin (Bevacizumab) 10/2017 arrêtée en 11/2017 en raison d'une dissection cervicale extradurale des artères coronaires internes des deux côtés et d'un risque élevé de saignement • Actuellement au niveau anatomique/structurel (dernière évaluation à l'hôpital de l'Ile): • Schwannome, DD Gliome progressif au niveau cervical, épilepsie structurelle, neurinome acoustique bilatéral, multiples méningiomes, épendymome, shunt ventriculo-périnéal • Suspicion de Neurofibrome (DD: fibro-elastome) sur l'oreillette gauche, ED 2009 • Suspicion de fibrome utérin avec métrorragies • Clinique à l'entrée en neuroréhabilitation: syndrome cérébelleu-oculaire cinétique bilatéral droit > gauche, paralysie faciale périphérique gauche, suspicion de parésie du 6. gauche, hypoacousie bilatérale (patiente appareillée), dysarthrophonie modérée, dysphagie, tétraparésie, hyporéflexie globale, incontinence mixte Neuroleptique en réserve Neuromyopathie secondaire à la maladie critique le 16.01.2019 • Déconditionnement sur immobilisation prolongée • Parésie des muscles releveurs des pieds ddc Neuronite gauche, le 20.02.2019. Neuronite vestibulaire gauche le 21.01.2019. Neuronite vestibulaire gauche le 24.02.2019. Neuropathie branche dorsale nerf radial main droite. Dig I gauche : révision de plaie du pouce D avec débridement et rinçage, prise de biopsies le 16.09.2017 sur statut post infection cutanée et mal réduction de la MC 1 sur fracture de Rolando le 25.08.2017 traitée par embrochage le 05.09.2017 au Portugal Status post AMO, débridement, prise de biopsie, OS par fixation externe le 22.09.2017 (K. pneumoniae et P. aeruginosa multisensible. Neuropathie optique rétrobulbaire gauche le 03.02.2019 avec : • absence d'état inflammatoire • déficit moteur hémicorps gauche • absence de bandes oligoclonales • absence de lésion à l'IRM neurocrâne • notion de diplopie transitoire Neuropathie périphérique d'origine diabétique Neuropathie ulnaire sensitive sur probable compression au passage du coude, compliquée d'une polyneuropathie axonale (contexte d'éthylisme chronique et diabète) Syndrome de Lerich de grade IIb • pontage aorto-bifémoral de Stn. Avec réimplantation de l'artère mésentérique inférieure (OP le 29.10.2018) • Meeting Team Angio (05.11.2018): pas de reperméabilisation de l'artère mésentérique supérieure (patient asymptomatique) • Arrêt de l'anticoagulation thérapeutique le 20.12.2018 et continuation avec Plavix. • sous Plavix et pravastatine, Plavix en suspens dès 2.02.2019, reprendre après l'intervention chirurgicale Neuro-réadaptation Neuro-réadaptation Neuro-réadaptation Neuro-réadaptation Neuro-réadaptation Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie • Adaptation du traitement antiparkinsonien • Évaluation neuropsychologique et suivi • Contrôle chez Dr. X, neurologue, en ambulatoire Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie • Bilan neuropsychologique • Évaluation diététique • Bilan étiologique de l'AVC Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie • Évaluation neuropsychologique et suivi Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie • Évaluation neuropsychologique et suivi Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie • Évaluation neuropsychologique et suivi • IRM cérébrale de contrôle le 05.02.2019 à Riaz • Contrôle en neurochirurgie au CHUV le 14.03.2019 à 14h30 • Consultation interdisciplinaire le 16.05.2019 avec Dr. X Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie • Mise en place d'une attelle pour le MS • Bilan neuropsychologique • Arrêt de travail à 100 % pendant 2 semaines, puis reprise à 50 % Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie • Prophylaxie thromboembolique par Clexane • Adaptation de l'antalgie Neuroréadaptation d'un traumatisme crânio-cérébral sur chute le 04.01.2019 accompagné d'une diplopie résiduelle fluctuante probablement sur séquelle d'HSA et avec: • Hématome sous-dural frontal bilatéral • Hémorragie sous-arachnoïdienne frontale et occipitale bilatérale • Oedème cérébral diffus avec effacement des sillons corticaux et des citernes de la base • Hématome sous-galéal occupant pratiquement toute la voûte crânienne, de façon prédominante à gauche • Fracture des os propres du nez et du sinus maxillaire gauche, avec hémo-sinus sans déplacement significatif • Fracture du plancher de l'orbite gauche qui longe le canal infra-orbitaire • Soins intensifs à Berne du 04.01.2019 au 10.01.2019 • CT-scan cérébral: le 04.01.2019, le 06.01.2019, le 09.01.2019 et le 18.01.2019 • IRM cérébrale de contrôle le 01.02.2019 (rapport oral Dr. X): Hématome sous-dural et fronto-pariétal gauche ainsi qu'au niveau du cervelet à gauche sont chroniques et stables. Pas de dépôts d'hémosidérine visualisés • Traitement conservateur à l'Inselspital: surveillance neurologique et suivi radiologique • Consultation ophtalmologique le 25.01.2019: Oculomotricité conservée dans tous les plans, pas d'indication chirurgicale Neuroréadaptation d'un trouble de la marche et de l'équilibre suite à un traumatisme crânio-cérébral sur chute le 04.01.2019 Neuroréadaptation suite à accident vasculaire cérébral hémorragique thalamique droit le 04.01.2019 sur microangiopathie cérébrale hypertensive et dans un contexte d'anticoagulation par Eliquis 2 x 2.5mg • Symptomatologie: troubles de l'état de conscience, hémisyndrome sensitivo-moteur et héminégligence gauche • NIHSS initial: 11 points, NIHSS à 24h: 10 points, actuellement NIHSS à 2 points le 29.01.2019 (ataxie membre supérieur et inférieur) • Prise en charge neurologique en Stroke Unit du 04.01. au 18.01.2019 Neuro-réadaptation Neuroréhabilitation intensive à Meyriez Suivi logopédique Régime normal dès le 14.12.2018 Vidéo-fluoroscopie du 05.12.2018: Dysphagie légère Neuroréhabilitation intensive avec • Prise en charge logopédique • Prise en charge neuropsychologique • Poursuite de l'anticoagulation thérapeutique avec Marcoumar, car suspicion de neurofibrome sur l'oreillette gauche (cible thérapeutique INR 2-3) • Suivi biologique hebdomadaire INR capillaire • Marcoumar Dose à régler chaque semaine • Entretien de famille le 11.10.2018 • Retrait de la sonde urinaire le 25.09.2018, résidu post-mictionnel le 25.09.2018 < à 10 ml. • Avis ophtalmologique le 24.10.2018 (HFR Hôpital cantonal) à 09:45 h: • Dosage anti-épileptique le 15.11.2018: 105 mg/l • Contrôle à la clinique de Neurochirurgie de l'Inselspital le 11.12.2018 Neuroréhabilitation intensive multidisciplinairePoursuite de thérapie avec aspirine et Plavix dès 28.09.2018 Poursuite du traitement avec Atorvastatin 80 mg 1x/jour (prévention secondaire jusqu'à la fin de janvier) Atorvastatin 80 mg réduit à 40 mg dès 28 janvier 2019 Surveillance clinique Avis chirurgie vasculaire Dr. X: Pour l'instant, vue la symptomatologie persistante, pas d'indication opératoire concernant la sténose de l'artère gauche résiduelle Logopédie Vidéofluoroscopie le 29.11.18: fausse-routes silencieuses aux liquides Régime alimentaire adapté à 3C (haché-fin) car risque de fausse-routes et par conséquence de broncho-aspirations Neuroréhabilitation post AVC Neurostimulateur pour douleurs chroniques du genou droit. Neutropénie autoimmune sans traitement avec suivi à Zurich, PNN dans la norme d'après papa Neutropénie fébrile le 21.02.2019 DD: dermo-hypodermite dans la région sacrale/interfessière, pneumonie Neutropénie fébrile sur hématome péri-anal surinfecté le 21.02.2019 Neutropénie sévère, probablement sur Novalgine le 19.02.2018. État fébrile d'origine médicamenteuse (antibiotiques), le 26.02.2018. Pyélonéphrite droite à germe indéterminé, probablement résistant, le 17.02.2018 traitée par Vancomycine et Gentamicine • contexte d'infections urinaires récidivantes • cystoscopie dans la norme par le Dr. X fin 2017 Pyélonéphrite droite en janvier 2016 Septoplastie/turbinectomie antéro-inférieure bilatérale avec latéralisation des cornets inférieurs le 25.01.2012 (Dr. X) pour obstruction nasale chronique. Opération hallux valgus bilatéral. Pyélonéphrite le 16.06.2016 avec prise en charge ambulatoire (3 infections urinaires par année). Neutropénie sévère (0.34 G/L) Neutropénie stade 4 le 28.1.2019 Névralgie d'Arnold de l'hémicrâne gauche: • palpation du trigger point nuque gauche déclenchant une majoration des paresthésies électriques neuropathiques et irradiant dans le crâne. Névralgie d'Arnold vs migraines atypiques dans un contexte post traumatique. Névralgie du trijumeau Névralgie intercostale gauche le 27.06.2018 Névralgie intercostale le 01.02.2019 DD contracture musculaire. Névralgie probable membre supérieur droit • dans contexte d'hernie discale C7. Névralgies cervico-brachiales à droite le 20.02.2019. Névralgies hémi-crâne gauche post-AVC Wallenberg, avec céphalées à prédominance hémi-crâne gauche, avec hyperthermie hémi-corps droit et vertiges à la mobilisation. Entorse stade II cheville droite. Fracture ulnaire et radiale distale non déplacée le 12.06.2018. Névrite optique gauche d'origine indéterminée le 25.01.2019 • IRM cérébrale le 24.01.2019 (Inselspital): Névrite optique gauche sans argument pour une lésion démyélinisante et une atteinte parenchymateuse • PL le 25.01.2019 (Inselspital): liquide eau de roche. Résultat en cours • sérologies le 25.01.2019 (Inselspital): Résultats en cours • Administration de Solumédrol iv aux Urgences ophtalmologiques le 25.01.2019 (Inselspital) Névrite vestibulaire droite le 21.02.2019 Névrite vestibulaire gauche le 21.02.2019. Névrite vestibulaire gauche sur atteinte des nerfs vestibulaires supérieurs et inférieurs Névrome de Morton vs inflammation du nerf interdigital entre les orteils 34 à gauche. Nexium 20 mg pendant une semaine Consultation si péjoration ou si douleurs migrent en fosse iliaque droite Nexium 20 mg pendant une semaine Consultation si péjoration ou si douleurs migrent en fosse iliaque droite favoriser Dafalgan Nexium 20 mg pendant 1 semaine Contrôle chez le pédiatre le 11.02 afin de décider de la poursuite du traitement Antalgie de premier palier Nexium 40 mg iv aux urgences. Nexium 40 mg 2x/j per os. Transfusion de 2 culots érythrocytaires. Ferinject 1000 mg le 20.01.2019. Prévoir OGD +/- colonoscopie en ambulatoire. Nexium 40 mg iv aux Urgences. Pantozol 40 mg pour 3 semaines. Nexium 40 mg 1x jour discuté avec Gastroentérologue pédiatrique Dr. X Nexium 6 mg 1x/j pendant au minimum une semaine Convocation en gastro-entérologie, Prof. X Nez bouché. Mr. Y nécessite une oxygénothérapie aux lunettes du 30.10-02.02.2019 principalement au sommeil. Une sonde naso-gastrique est nécessaire jusqu'au 02.02 avec une prise alimentaire suffisante par la suite. Mr. Y rentre à domicile le 03.02 et nous proposons un contrôle à votre consultation dans 24-48 heures. Mme. Y écrit un contrat en mentionnant ce qu'elle souhaite faire en cas de crise pour se calmer. Elle écrit qu'elle s'engage à demander de l'aide en cas de grande crise. Elle écrit qu'elle s'engage à ne pas faire d'acte d'auto ou hétéro-agression. La famille préfère demander à Dr. X de la voir plus rapidement. De notre côté, nous lui demanderons également cela. NIHIL Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Naissance par AVB un peu avant le terme (10j). Nihil. Epigastralgie. Nihil Pleurs du nourrisson avec épuisement parental.RGO, coliques Protocole des pleurs: e.o. Nexium depuis le 06.01.17 5 mg 1x/j pendant 3 mois, après sevrage 1 j/semaine chaque semaine jusqu'à 0 j si bonne tolérance (proposition de Dr. X) et suivi par son pédiatre. Consilium Pédopsychiatre Dr. X: suivi ambulatoire Bronchiolite à RSV + avec difficulté alimentaire Rinçage nasal au besoin Médecine anthroposophique Physiothérapie respiratoire. SNG du 15.01.2017 au 20.01 Frottis RSV: positif. Nourrisson né à 37 5/7 SG, PN 2825 g (P10-25), TN 47 cm (P5), PCN 34 cm (P25-50) A l'entrée, 66 jours, poids 4445 g (P3-10) Vitamine D 400 UI/j Nihil. Probable fissure anale dans le contexte d'une constipation. Traitement laxatif. Procto-Glyvenol. Nihil. Sinusite frontale, le 04.09.2012 Nihil. Traumatisme crânien simple. Antalgie. Nihl. NIHSS à 20h00: 2: parésie fasciale, trouble de l'oculomotricité Laboratoire ECG CT time is brain du 18.02.2019: dissection susmentionnée, cartes de perfusion symétrique sans anomalies Avis neurologie (Dr. X): Aspégic 250 mg i.v., surveillance sous monitoring Attitude soins Fribourg: pour le moment pas de place, surveillance aux urgences Soins à l'hôpital de l'île à Berne et au CHUV pas de place. NIHSS au service des urgences 3 (dysarthrie, asymétrie faciale?) NIHSS aux soins intensifs • à l'entrée 3 (dysarthrie, aphasie, désorientation dans le temps) • à la sortie 1 (désorientation dans le temps) NIHSS à la sortie 0 CT Time is Brain le 30.01.2019 Consilium neurologique le 30.01.2019 Surveillance en stroke unit monitorée du le 30.01.2019 Nitrés en cas d'angor Contrôle dans un mois chez Dr. X et ergométrie à un an Nitrofurantoïne pendant 5 jours. Nitroglycérine durant coronarographie Nitroglycérine 0.4 mg p.o. Labétalol 20 mg bolus i.v. Deponit patch 5 mg/24h posé le 26.02.2019 à 00h15, stoppé le 26.2.19 en fin de journée. Troponines négatives. Laboratoire. ECG. CT thoraco-abdominal injecté le 25.2.19 CT cérébral et carotides injecté le 25.2.19 Bilan lipidique (HDL à 0.88, LDL à 2.39, TG à 1.16, chol à 3.7). HbA1c (5,7%). Nitroglycérine 0.4 mg p.o. Labétalol 20 mg bolus i.v. Deponit patch 5 mg/24h posé le 26.02.2019 à 00h15, stoppé le 26.2.19 en fin de journée. Troponines négatives. Laboratoire. ECG. CT thoraco-abdominal injecté le 25.2.19 CT cérébral et carotides injecté le 25.2.19 Bilan lipidique (HDL à 0.88, LDL à 2.39, TG à 1.16, chol à 3.7). HbA1c (5,7%). Nitroglycérine 0,8 mg. Amlodipine 5 mg. NN à terme, PN 3240 g (P25) NN à 37 4/7, PN 1960 g (48h. Nous proposons de poursuivre la physiothérapie et de reprendre actuellement une marche normale avec charge complète. Nous proposons également de continuer le compex à raison de 3 à 5 x par semaine. Concernant la lésion ulcérique, nous proposons que le patient soit vu en stomathérapie afin de mettre en place un protocole de pansement. Nous reverrons le patient pour un prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois, soit le 09.04.2019. Nous proposons d'une part la continuation des antibiotiques pour 2 semaines et d'autre part la continuation de la désinfection par Octenisept et pansement sec. Mobilisation possible jusqu'à 90° de flexion de façon douce non excessive. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique à 2 semaines. Nous proposons un contrôle chez le médecin traitant à 24-48h pour le suivi du syndrome inflammatoire. Un CT abdominal injecté sera effectué en ambulatoire dès que possible avec transmission des images à Bern. Nous proposons au patient de revenir s'il présente des nouvelles douleurs abdominales ou un nouveau symptôme inquiétant. Nous proposons un contrôle clinico-biologique de l'augmentation sans foyer apparent de la CRP dans quelques jours chez le médecin traitant. Nous proposons un contrôle clinique et biologique (en particulier de la natrémie) à votre consultation à 1 semaine de sa sortie d'hospitalisation. Nous proposons un contrôle de la fonction rénale lors d'une prochaine prise de sang et l'organisation d'un US en ambulatoire si besoin. Nous proposons à la patiente de revenir si elle présente une dysurie, du sang dans les urines, de la fièvre ou un élément nouveau. Nous proposons un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant. La patiente sera convoquée dans 4-6 semaines pour un contrôle du pacemaker. Nous proposons un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant. Le patient sera convoqué dans 4-6 semaines pour un contrôle du pacemaker. Nous proposons un contrôle de la plaie dans 10 jours chez le médecin traitant. Le patient sera convoqué pour un contrôle du pacemaker dans 4-6 semaines en cardiologie. Nous proposons un nouveau contrôle radio-clinique dans 6 mois et restons à disposition dans l'intervalle en cas de nouveau symptôme ou déficit. Nous proposons un nouveau contrôle radio-clinique dans 6 semaines en raison du double traitement anti-agrégant dont il bénéficie et de la collection chronique qui peut potentiellement augmenter et devenir symptomatique. Nous lui expliquons bien qu'il doit éviter la consommation d'alcool (augmente le risque de chute) et éviter au maximum tout traumatisme crânien, même simple. Nous proposons une intervention par implantation d'une prothèse totale de la hanche droite. Nous lui expliquons le déroulement de l'intervention, ainsi que les risques et bénéfices. Il accepte cette procédure et signe le consentement éclairé. L'intervention est planifiée pour le 13.03.2019. Le patient sera encore vu par les anesthésistes en pré-opératoire. Nous proposons une investigation de toutes les causes secondaires d'hypertension et suivi avec adaptation du traitement. Nous proposons une IRM afin d'évaluer l'état des disques inter-vertébraux ainsi que de l'appareil ligamentaire. Nous conseillons au patient de ne pas faire d'effort et de prendre ses médicaments antalgiques régulièrement. Lors du prochain contrôle, après l'IRM, nous discuterons de la suite de prise en charge. Prolongation de l'arrêt de travail (le patient travaille sur les chemins de fer) jusqu'au 10.03.2019. Nous rappelons aux parents ce qu'est une convulsion fébrile, ainsi que les éléments pour lesquels il faut reconsulter. Nous rappelons les détails de l'intervention pour laquelle la patiente a déjà signé un consentement éclairé. La patiente sera opérée le 12.02.2019, en ambulatoire. Nous rassurons la patiente par rapport à son diagnostic ainsi que la prise en charge qui semble tout à fait correcte. Pour ce qui est du côté communicatif de la patiente avec son chirurgien, nous ne pouvons pas nous prononcer d'autant plus que nous n'étions pas présents lors des différents entretiens. Concernant les différents risques et bénéfices de l'opération, nous avons encore une fois démontré les images et expliqué les structures voisines de cette lésion, notamment les paires crâniennes II et III et donc en danger théorique et tout le lobe temporal. Nous restons à disposition en cas de besoin mais ne prévoyons pas de prochain contrôle à notre consultation, la laissant choisir pour le suivi entre la Clinique la Source, le CHUV ou l'HFR selon sa préférence. A noter que nous ne disposons pas du résultat histologique précis.Nous rassurons Mme. Y sur le fait que la guérison de ce type de fracture peut prendre entre 6 mois et 1 année. Pour cette raison, poursuite de l'antalgie. Prochain contrôle clinique dans 6 mois, si à ce moment-là il y a la nécessité, nous pourrons organiser une IRM de contrôle pour juger de l'évolution de la fracture. Nous rassurons Mr. Y et l'encourageons à poursuivre les séances de physiothérapie pour gagner encore en amplitude et pour effectuer un renforcement musculaire. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines. Nous rassurons Mr. Y par rapport à sa lésion en lui expliquant que tant que le pertuis de celle-ci est ouvert et que son contenu peut se drainer, il y a peu de risque de développer un abcès. Il devra poursuivre les bains de bouche à l'Hextril tant que la plaie n'est pas fermée. Nous lui proposons tout de même de prendre contact avec un ORL afin de faire vérifier la lésion en début de semaine prochaine. En cas de péjoration clinique, il est invité à se représenter aux urgences. Nous rassurons Mr. Y quant à la stabilité clinico-radiologique et ne prévoyons donc pas de le revoir sauf en cas de nouveau symptôme ou rechute. Nous rassurons Mr. Y quant à la stabilité radio-clinique et ne prévoyons donc pas de nouveau contrôle. Nous restons à disposition au besoin. Nous rassurons notre patient par rapport à l'absence de signe radiologique, clinique et électrophysiologique pour une atteinte radiculaire lombaire, raison pour laquelle nous considérons notre épisode de soin comme terminé. Nous confions donc le patient au team hanche pour une réévaluation au vu de ses douleurs persistantes qui semblent vraisemblablement en lien avec la pathologie de la hanche déjà connue. Nous rassurons notre patient quant à la résorption complète du saignement visualisé il y a un mois. Nous permettons donc la reprise de l'Aspirine si le médecin traitant y trouve toujours une indication. Concernant les symptômes de pertes de mémoire et de l'équilibre, prescription de physiothérapie afin de mieux travailler la tonicité et l'équilibre postural. Nous prions également nos collègues neurologue de convoquer le patient pour un bilan, diagnostic différentiel et poursuite de traitement. Nous rassurons Mme. Y par rapport à ce canal cervical étroit qui ne présente pas de myélopathie clinique, ni radiologique, ni électrophysiologique et que nous allons suivre dans un premier temps de manière clinique dans 6 mois. Pour ce qui concerne le tunnel carpien, découvert récemment, la patiente porte déjà une attelle surtout la nuit et sera suivie par Dr. X. Concernant son atteinte inflammatoire de l'épaule droite, nous la mettons au bénéfice d'un traitement anti-inflammatoire et myorelaxant et lui conseillons de la physiothérapie ciblée. Nous rassurons Mme. Y par rapport au caractère bénin de sa pathologie. Reprise du travail à 50% durant 2 semaines puis en cas de bonne tolérance, reprise à 100%. Nous lui conseillons vivement, au vu de ses discopathies, de faire du physio-fitness avec redressement de la colonne et renforcement musculaire pour une bonne hygiène posturale, ainsi que des séances d'étirements et de la natation. Nous restons à disposition en cas de récidive des douleurs ou de nouveaux symptômes. Nous rassurons Mme. Y par rapport à cette maladie dégénérative pour l'instant seulement très peu symptomatique et gardons en 2ème option des infiltrations facettaires notamment en L5-S1. Pour l'instant, la patiente va poursuivre le traitement de physio-fitness et ses activités quotidiennes physiques. Pas de prochain contrôle prévu, mais nous restons à disposition en cas de changement ou d'aggravation des symptômes. Nous rassurons Mme. Y quant à cette très bonne évolution sous traitement conservateur. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle. Prescription de séances de physiothérapie avec possible réévaluation du TENS comme thérapie complémentaire. Nous restons à disposition en cas de changement des symptômes ou de récidive des douleurs pour une nouvelle consultation avec une nouvelle IRM au préalable. Nous rassurons Mme. Y quant à la très bonne évolution avec quasi disparition des symptômes radiculaires et préconisons une prise en charge physiothérapeutique et rebalancement global de la colonne suite à cette spondylodèse avec regain de lordose avec des exercices et de l'aquagym. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à 3 mois post-opératoires. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. En cas de nette amélioration, une reprise du travail à 50% serait à réévaluer lors du prochain contrôle. D'autre part, nous demandons à nos collègues dermatologues de convoquer Mme. Y au plus vite en raison de ces lésions d'origine indéterminée afin d'établir un diagnostic différentiel et d'instaurer une thérapie en conséquence. La patiente nous a également signalé une douleur hypogastrique notamment lors de la miction avec impression d'avoir eu un corps étranger avec sortie d'un petit tampon après l'opération durant son hospitalisation par l'orifice vaginal. En n'ayant pas compris cet épisode et afin de pouvoir écarter une infection urinaire ou pelvienne basse, ainsi que de compléter par un examen détaillé, nous lui conseillons de consulter son gynécologue dans les plus brefs délais. Nous réalisons la radiographie du coude qui montre une fracture de l'humérus distal avec déplacement en postérieur, nous mettons en place une antalgie par Paracétamol, Brufen (22 kilos). Nous prenons l'avis du Dr. X, il est convenu d'un transfert à l'HFR Fribourg en urgences pour la prise en charge chirurgicale, en accord avec la cheffe de clinique d'orthopédie de l'HFR Fribourg, Dr. X. La patiente pourrait partir accompagnée de sa famille. Concernant le traumatisme crânien, nous avons pris l'avis du Dr. X, chirurgien, qui conclut à un traumatisme crânien simple, la feuille de surveillance neurologique est transmise aux parents. À noter des nausées et une somnolence juste avant la sortie de l'hôpital le plus probablement sous Fentanyl, les constantes sont stables. La patiente est finalement transférée en ambulance. Nous réalisons l'ablation de l'arc de l'appareil dentaire, et les implants collés aux dents seront pris en charge lundi 11.02.2019 par son orthodentiste. Nous réalisons le changement de sonde vésicale après avis de Dr. X, qui ramène 600 ml d'urines. Mr. Y est soulagé et a rendez-vous chez Dr. X le 21.02.2019. Il a un contrôle prévu le 08.02.2019 chez son médecin traitant. Nous réalisons le CT-scanner abdominal qui ne montre pas d'évolution du nodule en termes de taille. Le radiologue, Dr. X, évoque une étiologie peu claire de ce nodule et recommande d'effectuer d'autres investigations pour déterminer l'étiologie du nodule comme une IRM ou éventuellement une laparoscopie exploratrice. Dans ce contexte, nous demandons un avis au Dr. X, chirurgien, qui explique que la patiente sera recontactée suite au colloque de radiologie du 28.02.2019 pour déterminer la suite de la prise en charge.Dans ce contexte, nous expliquons à la patiente que nous la recontacterons pour lui expliquer la suite de la prise en charge pour déterminer l'étiologie de ce nodule hypervasculaire dès que possible. Nous réalisons un bilan biologique qui montre des leucocytes à 9 G/l et une CRP 28 mg/l. Nous hydratons la patiente avec 1000 ml de NaCl 0.9% et lui administrons un traitement symptomatique antiémétique/antidouleur avec un bon effet. Nous retenons une gastroentérite virale et laissons la patiente rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Elle reconsultera les urgences en cas d'état fébrile >38°C ou de non-résolution de la symptomatologie. Nous réalisons un bilan biologique qui montre des leucocytes à 9.4 G/l, une CRP <5 mg/l et des thrombocytes à 370 G/l. Le patient est vu par le Dr X et au vu de l'anamnèse et de l'examen clinique, nous retenons un diagnostic de suspicion d'un érysipèle raison pour laquelle nous administrons une dose de charge d'antibiotique par Co-Amoxicilline 2.2 g en iv aux urgences avec un relais per os par Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour pendant 10 jours. Au vu de la stabilité clinique, le patient rentre à domicile avec une ordonnance pour un traitement antibiotique per os pendant 10 jours. Dans ce contexte, nous informons les soins à domicile qu'ils pourront passer ce soir à domicile. Nous réalisons un bilan biologique qui montre un syndrome inflammatoire avec leucocytes à 9.8 G/l et CRP à 199 mg/l. Nous notons une insuffisance rénale aiguë avec créatininémie à 163 µmol/l et clairance à 15 ml/min. Nous hydratons avec 1500 ml, 500 ml en bolus de NaCl 0.9%. La radiographie de thorax montre un foyer pulmonaire basal droit. Un prélèvement des antigènes urinaires est réalisé et une antibiothérapie par Rocéphine a été débutée. La patiente est mise sous oxygénothérapie masque sous 15 litres. Nous informons le fils et la fille de la patiente des limitations thérapeutiques décidées (pas d'intubation, pas de VNI, pas de massage cardiaque en cas d'arrêt cardiorespiratoire). Nous prenons contact avec l'HIB de Payerne pour le transfert de la patiente sur demande de rapatriement de la part de la famille. Les images sont pacsées et les résultats du frottis grippe/RSV sont communiqués. Nous réalisons un bilan biologique qui ne met pas en évidence d'élévation des enzymes cardiaques pour une contusion cardiaque. Le bilan biologique montre une élévation isolée de la GGT à 78 U/l et LDH à 525 U/l. Le stix urinaire est négatif pour du sang. Le bilan radiologique ne montre pas de signe de fracture cervicale ou thoracique. La radiographie du thorax ne montre pas de signe de fracture costale ni de signe de pneumothorax. Cliniquement, la patiente se plaint des douleurs prédominantes au niveau de l'apophyse xiphoïde, reproductibles à la palpation, sans asymétrie palpable ni atteinte au niveau cutané. La patiente reçoit une antalgie par Dafalgan et Voltaren iv avec bon effet sur les douleurs. Nous retenons des contusions multiples (thoracique et colonne cervicale/thoracique) que nous traitons conservativement avec des anti-inflammatoires et des antidouleurs. Nous laissons la patiente rentrer à domicile accompagnée de son mari, un contrôle clinique sera prévu à 48 h chez son médecin traitant. Nous réalisons un bilan biologique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire montre des leucocytes et du sang, patiente asymptomatique au niveau urinaire. Le bHCG urinaire est négatif. Au vu de la manifestation clinique et étant donné que la patiente est déjà sous antibiothérapie, nous décidons de réaliser un CT-scan abdominal qui montre un volumineux kyste ovarien droit de 7.7 x 7.9 cm. Une antalgie est administrée avec douleurs à 2-3/10 au repos. Nous prenons contact avec la garde de gynécologie à Fribourg et la patiente est transférée accompagnée de son mari pour évaluation gynécologique. Nous réalisons un bilan biologique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Les tests hépatiques sont également alignés. Au vu de la persistance de la symptomatologie sur plus de 5 jours et des douleurs à la palpation en épigastre et en hypochondre droit, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un rendez-vous prévu à 09h15 le jour-même pour un ultrason abdominal afin d'exclure la présence de calculs vésiculaires. Elle ira ensuite en contrôle à la filière des urgences ambulatoires pour les résultats de l'ultrason. Nous réalisons un bilan biologique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire, une fonction rénale stable par rapport à ces précédentes valeurs et une hyperuricémie à 560 mmol/l. Nous réalisons une radiographie de l'hallux droit qui ne montre pas de franc signe en faveur d'une arthrite. Au vu de la clinique et du bilan biologique, nous retenons un diagnostic de probable goutte de l'articulation métatarso-phalangienne de l'hallux droit. Nous décidons de traiter le patient par colchicine 0.5 mg 2x/jour en raison d'une fonction rénale perturbée dans le contexte de sa néphropathie à IgA avec un contrôle clinico-biologique à 48 heures à la filière des urgences ambulatoires en raison d'une absence de son médecin traitant. Étant donné que l'état du patient est rassurant, il rentre à domicile avec une ordonnance pour la colchicine et un rendez-vous de contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 06.02.2019 à 10h15. Nous réalisons un bilan biologique qui objective des leucocytes à 7.9 G/l et une CRP à 8 mg/l, mais pas de thrombocytose. Nous réalisons une radiographie du 5ème orteil qui n'objective pas de lésions osseuses. La patiente est vue par le Dr X, qui retient un diagnostic d'érysipèle avec début de trajet lymphangitique avec porte d'entrée par une ancienne cloque le plus probablement. Nous prescrivons un traitement par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 10 jours, une antalgie simple et un contrôle clinico-biologique en filière des urgences ambulatoires le 24.02.2019. Nous réalisons un bilan biologique qui objective une insuffisance rénale chronique avec une créatinine à 150 µmol/L. Le reste du bilan biologique est aligné avec notamment un INR à 2.4. L'ECG objective un rythme régulier avec un bloc AV I°. La radiographie de thorax ne montre pas d'épanchement pleural ni de signe de surcharge. La patiente est évaluée par le Dr X, de médecine interne, qui retient un diagnostic d'insuffisance cardiaque sur cœur pulmonaire. Aux urgences, elle reçoit 40 mg iv de Lasix en raison de la prise pondérale récente. La patiente est stable avec des paramètres vitaux dans la norme durant la surveillance de plus de 6 h aux urgences. Elle ne présente pas d'épisode d'hypertension artérielle. Nous n'objectivons pas d'arythmie ni d'hypervolémie. Par ailleurs, la patiente rapporte des troubles anxieux que nous proposons de traiter comme actuellement par du Temesta per os avec possibilité de majorer le traitement à 1 mg par jour et d'introduire un SSRI. Dans ce contexte, et au vu des comorbidités de la patiente, nous proposons d'introduire un traitement de Bêta-bloquants au lieu du traitement de Zanidip avec une proposition d'arrêter le Zanidip à terme (flush comme effet secondaire), proposition de réessayer l'introduction de Sartan, malgré les antécédents d'hyperkaliémie que le médecin traitant nous avait mentionnés et que nous avons notés. Proposition de changer le traitement de Furodrix 40 mg par du Torasémide et finalement, dans tous les cas, de peser la patiente tous les jours avec adaptation du traitement diurétique en fonction et mise en place de bas de contention de classe II mi-cuisses. Dans ce contexte et au vu d'une patiente rassurante cliniquement, la patiente rentre dans son home médicalisé avec les propositions de prise en charge et médicamenteuses mentionnées ci-dessus.En remerciant le médecin traitant de nous avoir envoyé cette patiente pour prise d'un deuxième avis. Nous réalisons un bilan radiologique qui montre une fracture non déplacée du tiers distal de la clavicule droite. Nous préconisons un traitement conservateur par attelle Rucksack pour un total de 6 semaines. Un rendez-vous de contrôle radioclinique est prévu en policlinique d'orthopédie à 1 semaine de distance afin d'exclure un déplacement secondaire. Nous réalisons un bilan radiologique qui ne montre pas de signe de fracture. Nous retenons une contusion lombaire et du calcanéum gauche que nous traitons avec un protocole RICE, anti-inflammatoires et anti-douleurs. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un contrôle clinique chez le médecin traitant à 3 jours et réévaluation de la reprise du travail. Nous réalisons un ECG qui montre un rythme bradycarde RSR à 49 bpm et des ondes T inversées au précordiales, superposable à un comparatif. Le bilan biologique ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire important avec des leucocytes à 9.9 G/l et CRP à 12 mg/l. Nous notons une hypokaliémie à 3.3 mmol/l et la patiente reçoit une dose de KCL effervescent. A l'examen clinique, on obtient des râles grossiers des deux côtés. La radiographie de thorax ne montre pas de signe de foyer construit. Le sédiment urinaire revient positif avec une leucocyturie importante. La patiente est par ailleurs stable hémodynamiquement et apyrétique à sa présence aux urgences. Au vu de cet état fébrile, nous retenons une infection urinaire haute que nous traitons avec Rocéphine 2g IV pour un total de 7 jours, les urines sont mises en culture avant antibiothérapie et suivent. Les perfusions vont être faites 1x/j à Jasmin, nous contacterons nos collègues de Marsens pour adaptation du traitement si résistance du traitement empirique selon résultats de culture. Nous notons une bradycardie à 49 bpm d'origine probablement médicamenteuse sur béta-bloquant, l'Atenolol est mis en suspens et la réintroduction de celui-ci sera à réévaluer à distance. La patiente est retransférée à l'unité Jasmin à Marsens. Nous réalisons un ECG qui montre un rythme sinusal sans signe d'ischémie. Le bilan biologique ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 6.1 G/l et une CRP à 10 mg/l. 2 paires d'hémocultures ont été réalisées, sont en cours et seront pistées. Nous réalisons également un dosage de troponines revenant à 6 ng/L et 5 ng/L à T0 et T1 respectivement, sans cinétique, permettant d'exclure un NSTEMI. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer. Le patient ne présente aucune douleur après la prise d'antalgie simple par Dafalgan 1 g IV. Nous retenons le diagnostic de bronchite virale que nous traitons symptomatiquement avec un traitement anti-inflammatoire et anti-douleurs. Nous réalisons un ECG qui ne met pas en évidence de trouble du rythme. L'examen clinique est aligné avec un statut neurologique également dans la norme. Le patient par ailleurs ne manifeste aucun symptôme ni douleur. Nous réalisons un bilan biologique qui montre une hypokaliémie à 3.1 mmol/l que nous traitons avec KCL eff 30 mmol/l en ordre unique. Le patient évoque un épisode similaire par le passé et sensation identique déjà connue sur malaise émotionnel. Nous retenons un malaise d'origine vasovagale, nous laissons le patient rentrer à domicile avec suites et investigations si épisodes récurrents chez le médecin traitant. Nous réalisons un ECG qui ne montre pas de signe d'ischémie aiguë et deux trains de troponines à T0 à 5 ng/l et T1 5 ng/l sans cinétique permettant d'exclure un NSTEMI. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire ou de trouble électrolytique. Le bilan hépatique est aligné hormis une élévation discrète et isolée de la GGT à 43 U/l. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer ou de signe de surcharge. La patiente reçoit du Pantozol 40 mg en intraveineuse avec peu d'amélioration. La patiente évoque une baisse de moral et une anxiété importante. Elle reçoit un Temesta 1 mg avec un bon effet. Nous laissons la patiente rentrer à domicile accompagnée de son mari. Un rendez-vous de contrôle sera pris chez son médecin traitant. Malgré la manifestation atypique des douleurs pour un angor, un test d'effort serait recommandé en ambulatoire. Nous réalisons un ECG qui revient dans la norme. Le bilan biologique montre une glycémie à 4.9 mmol/l, avec absence de syndrome inflammatoire ou de trouble électrolytique. Le test de Schellong est également négatif. Le statut clinique est aussi sans particularité. Nous retenons un malaise vaso-vagal probable. Au vu de cette notion de diarrhée, sur les jours précédents, nous hydratons la patiente avec 1000 ml de NaCl 0.9 % et administrons 1 g de Dafalgan IV avec résolution des céphalées. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec une antalgie simple en réserve. Elle reconsultera son médecin traitant à distance selon évolution. Nous réalisons un ECG qui revient sans particularité, pas de trouble du rythme. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Nous réalisons un dosage des D-dimères (sur tabagisme actif et pilule contraceptive comme facteur de risque pour une maladie thrombo-embolique) qui reviennent négatifs à 377 ng/mL. La radiographie de thorax ne montre pas de foyer. La patiente est soulagée et ne manifeste plus de douleur sur antalgie simple aux urgences par Dafalgan 1 g IV et Voltaren 75 mg IV. Nous retenons des douleurs d'origine musculosquelettique probable. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un traitement antalgique en réserve. Nous réalisons un examen clinique avec un statut neurologique qui est aligné, le patient ne présentant pas de douleur ni de plainte. Le bilan biologique est aligné. Le sédiment urinaire ne montre pas de sang. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec une antalgie en réserve. Nous réalisons un examen clinique et une anamnèse aux urgences qui parlent en faveur de lombo-cruralgies en raison d'une irradiation sur la cuisse uniquement. Le patient nous confirme que les douleurs n'ont pas changé d'endroit depuis le 29.01.2019. Nous administrons au patient une antalgie par Morphine avec résolution des douleurs et un patient qui souhaite rentrer à domicile. Dans ce contexte et au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile avec la même ordonnance en raison du fait que le patient ne prend que 2 réserves de Tramal par jour sur les 4 prescrites. Nous lui expliquons que si les douleurs persistent malgré une prise complète de l'antalgie proposée, il pourra reconsulter chez son médecin traitant pour une nouvelle adaptation de l'antalgie. Nous réalisons un examen clinique qui est sans particularité. L'ECG ne montre pas de trouble du rythme. Le bilan biologique est aligné. Nous administrons du Dafalgan 1 g et Nexium 40 mg IV sans amélioration des symptômes. Le patient, avec des plaintes multiples aspécifiques, reconnaît une composante d'anxiété importante avec des troubles thymiques, troubles du sommeil et hyperphagie ces derniers temps. Pas d'idéation suicidaire. Après discussion avec le patient, nous administrons un Temesta 1 mg avec bon effet. Nous laissons le patient rentrer à domicile, un rendez-vous de contrôle sera réalisé chez le médecin traitant à 3 jours. Nous préconisons une consultation psychiatrique à distance, éventuellement l'introduction d'un traitement SSRI selon indication. Nous réalisons un examen clinique qui montre des hémorroïdes en position gynécologique à 9H, réductibles. Absence de signe de thrombose. Nous traitons conservativement avec une antalgie, des anti-inflammatoires, des laxatifs et du proctoglyvenol crème.Un contrôle clinique sera réalisé chez le médecin traitant. Nous réalisons un examen clinique qui ne montre pas de corps étranger dans l'œil et un test à la fluorescéine sans signe d'hypercaptation pour une atteinte de la cornée. Nous administrons de la vitamine A et mettons un pansement en place. Mr. Y n'a pas de plainte ou de trouble au niveau du champ visuel. Il est averti qu'il devra reconsulter si persistance des symptômes ou signes de surinfection. Nous réalisons une désinfection bétadinée, un champage, une anesthésie en bague par Rapidocaïne 1 % et bicarbonate puis un garrot digital. Le Dr. X effectue une exploration des plaies qui ne montrent pas de structure noble mais retient un haut risque infectieux. Nous effectuons 3 points de rapprochement pour la plaie de 1,5 cm et 1 point pour celle de 7 mm puis un pansement compressif Adaptic avec une immobilisation par attelle digitale métallique. Un rappel anti-tétanique et une prophylaxie par Zinacef 1,5 g IV sont réalisés. Nous prescrivons une antalgie simple et une antibiothérapie de Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 7 jours ainsi qu'un arrêt de travail jusqu'au 08.03.2019 à réévaluer par le médecin traitant. Un rendez-vous de contrôle de plaie est prévu le 27.02 en policlinique d'orthopédie. L'ablation des fils se fera dans 7 à 10 jours à la consultation du médecin traitant. Nous réalisons une désinfection de la plaie avec rinçage et exploration sous anesthésie locale. La plaie ne présente pas de signe inflammatoire et pas de corps étranger visualisé au niveau de la plaie. Il n'y a pas de lésion des structures nobles. Sur avis du Dr. X, chirurgien de garde, nous rapprochons les berges dans un contexte de plaie à >6h de temps avec réalisation d'un pansement simple. Il n'y a pas d'indication à mettre une antibiothérapie d'emblée. Nous gardons Mr. Y en surveillance neurologique pendant 4 heures avec évolution favorable et absence de tout symptôme neurologique. Dans ce contexte et sur avis du Dr. X, Mr. Y rentre à domicile. Nous expliquons à son beau-papa qui l'accompagne la nécessité de réaliser une surveillance neurologique sur 24h à domicile, ce dernier nous confirme qu'il peut rester avec lui pendant ce temps et nous lui donnons la feuille de surveillance. Mr. Y rentre à domicile avec une antalgie simple, un arrêt de travail pour 3 jours, un contrôle chez le médecin traitant à J2 et ablation des fils à J5 chez le médecin traitant. Nous expliquons à Mr. Y la nécessité de reconsulter avant en cas d'apparition de symptômes neurologiques ou de fièvre. Arrêt de travail donné. Nous réalisons une désinfection de la plaie, superficielle, avec saignement actif et compression locale. Un pansement par Hémostop compresses et Cutiplast a été fait. Un contrôle clinique sera réalisé chez le pédiatre. Nous réalisons une désinfection et rinçage au NaCl 0,9 % à l'aide d'une aiguille boutonnée. À l'exploration on ne trouve pas d'atteinte des structures profondes. La plaie est suturée avec 2 points d'Ethicon 4.0. Un rappel DiTe a été fait. Un contrôle de la plaie sera réalisé par le médecin traitant à 48h et ablation des fils 7-10 jours. Nous réalisons une radiographie de la cheville et du pied qui ne montre pas de trait de fracture clair. Sur avis orthopédique, il est décidé de réaliser une attelle jambière postérieure à but antalgique. Nous ne prescrivons pas de Clexane car Mr. Y n'est pas encore pubère. Par contre, nous lui prescrivons une antalgie en réserve par Algifor sirop 15 ml maximum 3x/jour et Dafalgan cp 500 mg max 4x/jour, une dispense de sport jusqu'au 13.02.2019 et un contrôle à la policlinique d'orthopédie à 1 semaine pour réévaluer l'évolution avec si persistance des douleurs une éventuelle IRM. Nous réalisons une radiographie de la hanche qui ne montre pas de fracture. Dans ce contexte, nous retenons le diagnostic de contusion de la fesse droite avec une élongation des muscles adducteurs. Mme. Y rentre à domicile avec une antalgie adaptée, des cannes à but antalgique avec charge selon douleurs, le conseil de se reposer. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle à une semaine. Nous réalisons une radiographie de la main droite qui ne montre pas de fracture ni de corps étranger métallique. Aux urgences, Mr. Y a reçu de la Co-Amoxicilline 2,2 g IV en ordre unique. Nous désinfectons la plaie avec de la Bétadine solution et mettons en place un pansement stérile. Immobilisation par une attelle Edimbourg. Mr. Y peut ensuite rentrer à domicile avec le traitement de Co-Amoxicilline 1 g per os 2x/jour. Un ultrason de la main droite pour recherches de corps étrangers est prévu demain à 11H30, avec ensuite une consultation à la filière des urgences ambulatoires, avec appel au Dr. X, orthopédiste. Nous réalisons une radiographie de l'annulaire droit uniquement, au vu de la bonne évolution de l'auriculaire, qui montre une fracture d'arrachement de la plaque palmaire de la 1ère interphalangienne proximale. Après discussion avec le Dr. X et avis orthopédique, nous immobilisons l'annulaire à l'aide d'une attelle métallique dorsale à 20° de flexion, prescrivons une antalgie et un traitement anti-inflammatoire par Dafalgan 500 mg 4x/jour et Irfen 400 mg 3x/jour pour 3 jours puis à diminuer selon les douleurs et une dispense de sport jusqu'au 19.02 à réévaluer. Une consultation de contrôle à la policlinique d'orthopédie est à organiser à 2 semaines. Nous réalisons une radiographie du bassin qui objective une ancienne fracture de l'ischion à droite et une fracture de l'ischion à gauche d'allure nouvelle. Nous demandons un avis orthopédique à Dr. X qui propose d'effectuer un bilan biologique, un contrôle à 6 semaines en policlinique avec éventuellement un contrôle radiologique, des cannes à but antalgique et un arrêt de travail pour 2 semaines. Nous réalisons donc un bilan biologique qui montre une légère perturbation de la fonction rénale et des paramètres hépatiques. Dans ce contexte, nous réalisons un ultrason abdominal qui montre uniquement une stéatose hépatique sans signe de liquide libre ou de souffrance des organes internes. Dans ce contexte et au vu de la bonne évolution clinique de Mr. Y, il rentre à domicile avec une proposition d'effectuer un contrôle clinico-biologique à 1-2 semaines chez le médecin traitant. Nous réalisons une radiographie du genou droit aux urgences permettant d'exclure une lésion osseuse. Au vu de la clinique, nous décidons de mettre en place une attelle plâtrée postérieure et suggérons à Mr. Y de marcher avec le membre inférieur droit en décharge. Nous prescrivons à Mr. Y une antalgie simple par Algifor sirop et l'invitons à se présenter à la consultation du Dr. X dans la semaine pour bilan de ses douleurs. Nous demandons une radiographie de son genou droit post-plâtre qui revient rassurante et Mr. Y peut rentrer à domicile. Nous réalisons une radiographie du genou gauche ne montrant pas de signe de fracture. Sur le plan biologique, nous avons une CRP à 17 mg/l sans leucocytose. Nous retenons une tendinite rotulienne gauche avec suspicion de boursite infra-patellaire. En regard de la bourse pas de plaie ou de signe d'infection locale. Nous mettons en place une immobilisation avec attelle jeans et instaurons un traitement anti-inflammatoire per os avec une protection gastrique. Nous indiquons à Mr. Y de prendre rendez-vous le 22.02.2019 à la policlinique d'orthopédie pour contrôle. Nous réalisons une radiographie du poignet qui ne montre pas de fracture. Nous demandons un avis orthopédique au Dr. X, médecin-assistant, qui examine Mme. Y et retient un diagnostic d'entorse bénigne du TFCC du poignet gauche sur traumatisme du 22.02.2019. Sur avis de ce dernier, nous immobilisons Mme. Y avec une attelle de l'avant-bras. Il propose une antalgie simple avec repos, glace, arrêt de sport. Un rendez-vous en policlinique d'orthopédie sera à organiser pour un contrôle à 2 semaines et afin de rediscuter de l'indication à une IRM en cas de persistance de la symptomatologie à 3 semaines.Nous réalisons une radiographie lombaire qui ne montre pas de fracture. Nous retenons une contusion lombaire que nous traitons symptomatiquement. Un contrôle sera réalisé à distance chez le médecin traitant. Nous réalisons une radiographie qui montre des signes d'une ancienne fracture Weber A, nous concluons à une possible nouvelle fracture Weber A. Selon avis orthopédique, nous effectuons un test de marche avec attelle Aircast qui s'avère impossible, nous réalisons donc une attelle plâtrée jambière postérieure avec prescription de Clexane prophylactique 20 mg/injection sous-cutanée pour 6 semaines et un traitement antalgique et anti-inflammatoire de Dafalgan 1g 4x/jour et Irfen 400 mg 3x/jour pour 5 jours puis selon les douleurs. Quant au sport, nous prescrivons une dispense pour 6 semaines. La radiographie de contrôle ne montre pas de déplacement secondaire. Le suivi sera effectué à la policlinique d'orthopédie de l'HFR Riaz avec un premier contrôle à 7 jours. Nous réalisons une radiographie qui montre un os péronéal. Suite à l'avis orthopédique du Dr. X, nous retenons une probable tendinopathie du muscle long péroné. Nous prescrivons une antalgie et un traitement anti-inflammatoire par Dafalgan et Irfen pour 10 jours ainsi que par physiothérapie et une contention légère par bande élastique. Nous réalisons une radiographie qui montre un trait suspect pour une fracture du tibia proximal non déplacée type Salter 2. Ainsi, sur avis de Dr. X, nous complétons nos investigations par un CT et nous retenons un diagnostic d'entorse bénigne du compartiment interne du genou droit. Nous prescrivons à Mme. Y une attelle velcro avec décharge complète, antalgie simple, Clexane prophylactique 40 mg inj sc 1x/j et une dispense de sport jusqu'au prochain contrôle chez Dr. X. Nous réalisons une radiographie qui montre une fracture de la première phalange non déplacée du 3ème doigt gauche. Le patient est vu par Dr. X, du service d'orthopédie, qui propose de réaliser une désinfection des doigts 2 et 3 au niveau des plaies, une attelle Edimbourg pour 4-6 semaines est donnée et une syndactylie est posée au niveau des doigts 2 et 3 gauches. Il lui est également proposé de la physiothérapie après 4-6 semaines (pas de bon donné au patient pour le moment), et contrôle en policlinique à 1 semaine avec notamment un contrôle radiologique pour voir s'il y a un déplacement de la fracture. Nous réalisons donc une désinfection des plaies, mettons une attelle Edimbourg avec une syndactylie des doigts 2 et 3, un rappel du vaccin anti-tétanique est fait ce jour. Dans ce contexte, le patient rentre à domicile avec un contrôle clinico-radiologique à 1 semaine en policlinique d'orthopédie. Nous réalisons une radiographie qui ne met pas en évidence d'arrachement osseux. Nous retenons donc le diagnostic d'entorse de la plaque palmaire de l'annulaire droit, que nous traitons conservativement avec une attelle alu pour 1 semaine. Les parents prendront rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle à une semaine. Nous réalisons une radiographie qui ne met pas en évidence de fracture, nous notons un petit épanchement prépatellaire. Nous retenons une entorse du ligament latéro-externe de stade I, que nous traitons avec une attelle Jeans à 0°, Clexane 40 mg sc, charge selon douleurs, antalgie et protocole RICE. Au vu d'un examen limité par les douleurs quant à une laxité ligamentaire, un contrôle clinique en consultation orthopédique sera réalisé à 5-7 jours, avec réévaluation +/- IRM selon évolution. Nous réalisons une radiographie qui ne met pas en évidence de fracture, présence d'un discret épanchement articulaire. Nous retenons une contusion du coude gauche que nous traitons conservativement avec bretelle, protocole RICE, anti-inflammatoire/anti-douleurs et contrôle chez le médecin traitant à 4-5 jours de distance. Nous réalisons une radiographie qui ne montre pas de fracture, ainsi nous retenons un diagnostic de contusion simple de l'interphalangienne proximale. Nous réalisons une immobilisation par attelle métallique digitale avec syndactylie des doigts 3 et 4 à titre antalgique, le patient possède déjà une antalgie per os en réserve à domicile. Un contrôle chez le médecin traitant est indiqué à 5 jours. Nous l'invitons à reconsulter les urgences en cas de péjoration de la clinique. Nous réalisons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Dans ce contexte et après avoir été vu par Dr. X, médecin-assistant en orthopédie, nous retenons un diagnostic d'entorse de la cheville gauche de stade 2 sur traumatisme du 22.02. Nous mettons en place une attelle Aircast et prescrivons une antalgie simple. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. Il ne désire pas d'arrêt de travail. Nous recommandons une nouvelle fois au patient de garder une mobilité au niveau de ses genoux par des activités sportives de type nordic walking. Poursuite et fin de la physiothérapie. Nous convenons ensemble de ne pas prévoir de prochain contrôle d'office, mais le patient reprendra contact au besoin. Nous refaisons le pansement avec du Mepor et Mme. Y sera revue par l'opérateur (Dr. X) à J 14 comme prévu. Nous replanifions l'intervention pour le 22.03.2019 sauf en cas de contre-indication par nos collègues de l'anesthésie qui verront le patient ce jour à 10h30. Nous reprenons contact avec les infectiologues afin de rediscuter d'une nouvelle approche thérapeutique, tenant compte des 2 semaines d'arrêt imprévues et en l'absence de signe de ré-infection active. D'autre part, nous reverrons Mme. Y dans 6 semaines soit à 3 mois de la dernière prise en charge chirurgicale avec des radiographies lombaires et une IRM cervicale pour compléter le bilan. Prescription de physiothérapie. Nous retenons comme diagnostic un syndrome grippal débutant. Comme le mari de Mme. Y présente des symptômes similaires depuis 2 jours, nous retenons la possibilité d'Influenza. Comme Mme. Y est en bonne santé habituelle, nous n'effectuons pas de frottis et instaurons un traitement symptomatique. Nous retenons des douleurs musculosquelettiques au niveau de l'épaule droite, probablement positionnelles sur changement de matelas. Nous conseillons un changement de matelas et mettons sous traitement symptomatique avec un contrôle chez son médecin traitant. Nous retenons la suspicion de déchirure au niveau du muscle triceps sural dans sa partie médiale. Nous mettons le patient sous antalgie, AINS, cannes et décharges avec Clexane et rendez-vous pour un ultrason le 24.02.2019 à 13h avec contrôle clinique par la suite à la filière des urgences ambulatoires (prolonger la Clexane? Selon évolution et résultat d'ultrason). Nous retenons le diagnostic d'abrasion de la cornée d'environ 5 mm à 7h de l'iris par un corps étranger dans l'œil gauche. Nous lui donnons du Tobradex et de la Vitamine A. Il sera vu le 24.02 par l'ophtalmologue de l'HFR Fribourg. Nous retenons le diagnostic de IVRS. Mme. Y rentre à son domicile accompagnée par son papa avec une thérapie symptomatique, en cas de péjoration des symptômes, nous lui conseillons de consulter rapidement. Nous retenons le diagnostic de blocage costo-vértébral D5-D6 gauche avec spasme musculaire irradiant vers occiput gauche. Mme. Y bénéficie d'un déblocage par des manœuvres à la Permanence et rentre à domicile avec un traitement myorelaxant à prendre le soir et un anti-inflammatoire en réserve. Nous lui conseillons de consulter chez un ostéopathe pour une deuxième séance de déblocage.Nous retenons le diagnostic de bronchite aiguë d'origine probablement virale. Mr. Y rentre à son domicile dans des conditions stables avec un traitement symptomatique. Dans le cadre d'une infection virale des voies aériennes supérieures, nous expliquons à Mr. Y l'importance d'effectuer un bilan des maladies sexuellement transmissibles, HIV en priorité. En cas d'aggravation des symptômes après 2-3 jours, nous lui expliquons de consulter rapidement. Nous retenons le diagnostic de céphalées de tension. Pour cela, nous prescrivons un traitement symptomatique et myorelaxant, nous conseillons au patient de consulter chez un ostéopathe et lui prescrivons un arrêt de travail. En cas de péjoration des symptômes, nous lui expliquons de reconsulter rapidement. Nous retenons le diagnostic de conjonctivite non compliquée de l'œil gauche (DD : bactérienne, virale). Mme. Y peut rentrer à domicile selon le guide de l'HFR. Nous lui donnons les règles d'hygiène oculaire à suivre ainsi qu'un traitement par Floxapen gouttes 6x/jour pendant 2 semaines. Mme. Y consultera les urgences ophtalmologiques en cas d'apparition d'une baisse de l'acuité visuelle ou de fortes douleurs oculaires. Nous retenons le diagnostic de contusion après discussion avec le Dr. X et nous mettons la patiente sous traitement symptomatique. Nous lui donnons un arrêt de travail. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. Nous lui expliquons les signes motivant une nouvelle consultation aux urgences. Nous retenons le diagnostic de contusion costale gauche simple. Mme. Y rentre à son domicile dans de bonnes conditions générales et un traitement antalgique simple par Paracétamol et Ibuprofène. Nous prescrivons également une protection gastrique par Pantoprazol tant qu'elle prend de l'Ibuprofène. En cas d'aggravation des symptômes, nous lui conseillons de reconsulter rapidement. Nous retenons le diagnostic de contusion de la hanche droite et de la cheville gauche sans signes de gravité. Mme. Y peut rentrer à la maison avec une thérapie antalgique simple. En cas de péjoration des symptômes, nous lui expliquons de reconsulter rapidement. Nous retenons le diagnostic de corps étranger au niveau de la cornée droite. Nous appliquons une crème à la vitamine A et un pansement protecteur. Nous prenons contact avec les ophtalmologues à l'Hôpital cantonal de Fribourg qui reçoivent le patient tout de suite. Mr. Y est accompagné par son collègue à l'Hôpital cantonal. Nous retenons le diagnostic de diarrhées d'origine virale au décours. Nous prescrivons un traitement symptomatique et expliquons au patient de reconsulter rapidement en cas de persistance des symptômes au-delà d'une semaine. Nous lui expliquons l'importance de boire et manger fréquemment et en petites quantités afin d'établir un transit et une absorption correcte. Nous retenons le diagnostic d'éruption cutanée maculo-papuleuse prurigineuse (avec dans le diagnostic différentiel une origine allergique ou parainfectieuse). Pour cela, nous prescrivons un traitement antihistaminique à prendre au besoin et nous conseillons au patient d'effectuer un bilan allergologique. En cas de persistance ou péjoration des symptômes, nous lui conseillons de reconsulter rapidement. Nous retenons le diagnostic d'infection abdominale d'origine indéterminée avec dans le diagnostic différentiel : douleurs menstruelles, infection gynécologique, fausse couche/grossesse, entérite virale. Pour cela, nous prescrivons un traitement symptomatique et conseillons à la patiente de prendre rendez-vous rapidement avec son gynécologue pour explorer la piste gynécologique. En cas de péjoration des symptômes, apparition de fièvre ou aggravation de l'état général, nous lui conseillons de reconsulter rapidement. Nous retenons le diagnostic d'infection virale des voies aériennes. Mme. Y rentre à son domicile avec un traitement symptomatique pour la toux et rhinorrhée. Nous retenons le diagnostic de lombalgies non déficitaires. Nous mettons la patiente sous traitement symptomatique et elle peut rentrer à domicile avec un arrêt de travail. Elle est avertie de ne pas conduire après la prise de Sirdalud. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. Nous lui donnons les indications quand reconsulter les urgences. Nous retenons le diagnostic d'otite externe et prescrivons un traitement antibiotique pour une durée de 5 jours. Elle a déjà des antalgiques à domicile. En cas d'évolution défavorable, nous lui conseillons de consulter rapidement. Tant qu'elle a des douleurs et prend les traitements, cela serait envisageable de ne pas aller dans l'eau. Nous retenons le diagnostic de pharyngite virale. Mme. Y rentre à son domicile avec une thérapie symptomatique. En cas d'évolution défavorable et apparition de fièvre, nous lui conseillons de reconsulter. Nous retenons le diagnostic de probable infection virale des voies respiratoires. Nous prescrivons un traitement symptomatique et expliquons à la patiente et sa maman de reconsulter en cas de péjoration des symptômes. Nous retenons le diagnostic de prostatite chronique et traitons le patient par Ciproxine 500 mg 2x/jour pour un total de 6 semaines. Le patient reviendra en contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 05.02 pour un suivi clinique et le retour des résultats de l'uricult. Nous retenons le diagnostic de réaction allergique de stade III au vu de la notion de malaise avec probable perte de connaissance. L'évolution clinique est favorable par traitement seul antihistaminique par Tavegyl iv avec disparition progressive de l'urticaire chez une patiente restant stable hémodynamiquement tout au long de son séjour. Au vu de la notion d'allergie aux corticoïdes, il est décidé de ne pas administrer de Solumedrol ni de traitement par Prednisone. La patiente regagne son domicile avec un traitement antihistaminique fixe durant 3 jours avec indication d'utiliser l'Epipen en cas de nouvelle réaction allergique et nouvelle consultation aux urgences. Nous retenons le diagnostic de réaction anaphylactique type I stade I avec exanthème maculo-papuleux prurigineux. Mr. Y rentre à la maison avec un traitement par antihistaminiques en réserve et l'indication d'effectuer un bilan allergologique. En cas de péjoration des symptômes, nous lui expliquons de reconsulter rapidement. Nous retenons le diagnostic de surinfection d'une plaie ouverte (type érysipèle). Pour cela, nous prescrivons un traitement antibiotique. En cas d'aggravation des douleurs, progression de la rougeur ou apparition de fièvre, nous lui expliquons de reconsulter rapidement. Nous lui recommandons de vérifier son statut vaccinal. Nous retenons le diagnostic de syndrome grippal au décours et considérons les nausées dans le contexte du syndrome grippal avec dans le diagnostic différentiel l'effet secondaire du tramadol ou une composante de gastrite irritative suite au traitement prolongé par AINS. Nous prescrivons un traitement symptomatique et par IPP et expliquons à la patiente de reconsulter en cas de persistance ou péjoration des symptômes. Nous prescrivons également une crème nasale pour une sécheresse des muqueuses nasales. Nous retenons le diagnostic de syndrome grippal d'origine probablement virale. En raison d'une nette amélioration après aérosols d'Atrovent et Ventolin, nous laissons rentrer Mme. Y et sa maman à la maison. Nous prescrivons un traitement symptomatique par Rinathiol et Triofan. Nous expliquons à la maman de continuer avec des aérosols de Ventolin toutes les 4 heures et de reconsulter rapidement en cas d'aggravation. Nous lui disons de consulter chez le pédiatre pour un suivi clinique avant le weekend.Nous retenons le diagnostic de syndrome grippal. Mr. Y rentre à son domicile avec un traitement symptomatique. En cas de péjoration, nous conseillons à ses parents de réconsulter rapidement. Nous retenons le diagnostic de syndrome grippal. Mme. Y rentre à son domicile avec un traitement symptomatique. En cas d'aggravation des symptômes, nous lui conseillons de reconsulter rapidement. Nous retenons le diagnostic de syndrome grippal. Mr. Y rentre à son domicile avec un traitement symptomatique. En cas d'évolution défavorable des symptômes, nous lui conseillons de reconsulter rapidement. Nous retenons le diagnostic d'entorse de Chopart du pied droit. Nous expliquons à Mme. Y le protocole Chopart. Sur une projection, la radiographie montre une ligne suspecte à la base de la 5ème métatarse, sans claire interruption de la corticale. Nous évaluerons sa corrélation avec l'évolution clinique aux prochains contrôles. Nous lui prescrivons une antalgie et de la Clexane avec un arrêt de sport. Mme. Y prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle dans 1 semaine. Nous retenons le diagnostic d'entorse du ligament latéral interne et d'une possible lésion du ménisque interne du genou gauche pour laquelle nous conseillons la poursuite de l'attelle mobile, ainsi que de marcher avec des cannes anglaises en charge partielle. Nous recommandons aussi une antalgie simple et de prendre rendez-vous pour un contrôle le 13.02. Nous retenons le diagnostic d'entorse du ligament latéral médian gauche. Nous mettons en place un plâtre et Mr. Y doit revenir pour un contrôle clinique après 2 semaines. Nous retenons le diagnostic d'étirement du vaste latéral du quadriceps gauche. La radiographie de la cuisse gauche ne montre pas de signe de fracture ou d'arrachement. Nous lui prescrivons un traitement antalgique. Mr. Y consultera chez un médecin traitant, qu'il recherche, ou aux urgences en cas de persistance des douleurs à une semaine. Nous retenons le diagnostic d'IVRS viral et traitons Mr. Y de manière symptomatique. Nouvelle consultation en cas d'absence d'amélioration à 48-72h ou de péjoration. Nous retenons le diagnostic d'un syndrome grippal avec dans le diagnostic différentiel, en raison de la virulence très élevée, un norovirus. Pour cela, nous prescrivons un traitement symptomatique et expliquons à Mme. Y de réconsulter rapidement en cas d'aggravation des symptômes. Nous retenons le diagnostic d'une entorse non compliquée de la cheville G (premier épisode). Nous sommes à distance du traumatisme, Mme. Y peut initier une physiothérapie de proprioception et de renforcement de la musculature péronière. Nous mettons en place une bande élastique. Nous reverrons Mme. Y pour un contrôle clinique à 6 semaines du traumatisme soit le 21.03.2019. Nous retenons le diagnostic susmentionné. Mr. Y doit donc poursuivre le protocole plaque palmaire en ergothérapie. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 24.02.2019 (6 semaines post-accident). Nous le reverrons le 22.03.2019 pour un bilan clinique et évaluer la capacité à la reprise de l'activité professionnelle. Nous retenons le diagnostic d'entorse ligamentaire stade I de la cheville droite. Nous donnons à Mr. Y une attelle McDavid et lui expliquons de continuer à se mobiliser selon douleurs. Nous envisageons un contrôle clinique à 3 semaines auprès de votre consultation. Mr. Y ne souhaite pas d'antalgie. Nous retenons les lombalgies non déficitaires et mettons Mme. Y sous traitement symptomatique avec arrêt de travail et contrôle chez son médecin traitant. Elle est informée dans quels cas il faut reconsulter les urgences. Nous retenons l'indication à une ablation du matériel d'ostéosynthèse et Mr. Y signe le consentement chirurgical après avoir reçu les informations consécutives aux risques et aux bénéfices de cette intervention. L'opération se déroulera le 15.03.2019 et on envisage 1 jour d'hospitalisation. Nous retenons l'indication opératoire à une cure d'hallux valgus en mini-invasif. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Nous retenons l'indication pour une stabilisation chirurgicale par une arthroplastie bilatérale et une transposition du nerf cubital. Actuellement, la situation professionnelle ne permet pas d'effectuer cette intervention et Mr. Y souhaite la planifier en septembre. Prochain contrôle le 31.07.2019 afin de planifier l'intervention. Nous retenons un épisode dépressif avec crises de panique et prenons l'avis de Dr. X, psychiatre, qui propose une hospitalisation au RFSM de Marsens en mode volontaire. Elle part accompagnée de son amie. Nous retenons un état dépressif sévère avec des idées suicidaires. Nous demandons l'avis de Dr. X qui propose une hospitalisation à Marsens en mode volontaire. Le transfert vers le RFSM Marsens se fait avec le service de transport de l'HFR. Nous retenons un kyste de Baker comme diagnostic principal au vu du manque de fièvre et de signe inflammatoire dans le bilan sanguin. Nous proposons un traitement symptomatique à Mme. Y avec recontrôle dans notre service à 48 heures. Nous retenons un malaise vagal sur les douleurs et nous adaptons son traitement antalgique en ajoutant du Dafalgan, du Tramal, avec un contrôle prévu chez le médecin traitant le 20.02.2019. Mme. Y est informée dans quels cas il faut reconsulter. Nous retenons un syndrome grippal et Mme. Y rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Elle verra son médecin traitant la semaine prochaine. Nous retenons un syndrome grippal pour lequel nous recommandons un traitement symptomatique par Codéine et Dafalgan. Nous conseillons à Mr. Y de revenir en cas de persistance ou de péjoration de la symptomatologie. Contrôle chez le médecin traitant. Nous retenons une baisse de l'état général d'origine indéterminée et proposons un contrôle chez son médecin traitant avec un bilan cardiologique si nécessaire. Nous retenons une bronchite virale asthmatiforme et mettons Mr. Y sous Demotussol Symbicort Dafalgan Irfen Nexium et Mr. Y rentre à domicile avec un contrôle chez son médecin traitant (il va trouver un médecin). Il est informé dans quels cas il devra reconsulter les urgences. Nous retenons une bronchite virale et mettons Mme. Y sous traitement symptomatique d'Olfen 50mg (au lieu de 75 mg), Dafalgan et Fluimicil. Nous retenons une bronchite virale et mettons Mr. Y sous traitement symptomatique avec contrôle chez son médecin traitant. Nous retenons une brûlure de 2ème degré pour laquelle nous conseillons un traitement antibiotique, la désinfection et la réfection des pansements journaliers, ainsi qu'un contrôle chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Nous retenons une colique néphrétique dans le contexte d'une lithiase urinaire. Le calcul est éliminé aux urgences spontanément et Mr. Y est soulagé. Nous envoyons le calcul au laboratoire pour les examens nécessaires et conseillons à Mr. Y de consulter un néphrologue par la suite, vu que c'est le troisième épisode de colique néphrétique. Nous retenons une contusion au niveau de l'avant-bras gauche, dans son tiers distal et mettons Mme. Y sous antalgie, AINS et glace. Arrêt du sport pendant 1 semaine. Contrôle chez son médecin traitant dans une semaine.Nous retenons une contusion de l'épaule et du coude droit, une contusion thoracique droite et un traumatisme crânien simple sans amnésie circonstancielle ou perte de connaissance. Après discussion avec le Dr. X, de médecine interne, nous mettons la patiente sous bretelle antalgique avec un traitement symptomatique. Contrôle chez son médecin traitant. Feuille de surveillance post-traumatisme crânien donnée. Elle sait quand reconsulter les urgences. Concernant l'hématurie microscopique, nous prenons l'avis du Dr. X, chirurgien, qui propose un sédiment urinaire dans 48 heures à la filière des urgences ambulatoires, avec contrôle clinique et avis chirurgical. Nous retenons une contusion de 5ème orteil droit. Nous mettons en place un traitement antalgique avec AINS et glace. Nous expliquons au patient le syndrome des loges et il sait quand reconsulter aux urgences. Nous retenons une contusion du calcanéum pour laquelle nous prescrivons une antalgie simple, une bande élastique et du repos. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle dans une semaine. Nous retenons une contusion du pouce droit et mettons un bandage élastique en place, donnons de l'antalgie et des AINS avec contrôle en policlinique d'orthopédie dans une semaine. Il est informé dans quels cas il doit reconsulter les urgences. Nous retenons une contusion lombaire sur chute de sa hauteur. Une radiographie de la colonne lombaire permet d'exclure une fracture. Mr. Y peut joindre son domicile avec une antalgie augmentée et un certificat d'arrêt de travail de 4 jours. Nous retenons une contusion lombosacrée et mettons la patiente sous traitement symptomatique et contrôle chez son médecin traitant. Elle sait quand elle doit reconsulter aux urgences. Nous retenons une contusion nasale et frontale droite. Nous réalisons un constat de coup et des images des lésions sont réalisées. Antalgie en réserve. Nous retenons une contusion simple du mollet G pour laquelle nous recommandons un traitement symptomatique. La patiente sera revue dans 48h à la FUA. Après discussion du cas au colloque de chirurgie du 01.02.19, nous décidons de convoquer le patient à la policlinique d'orthopédie du 01.02.19 pour examen de contrôle. Nous retenons une crise hypertensive et administrons à la patiente aux urgences Isoket spray 1 push Nifédipine 20 mg retard 1 comprimé. Amlodipine 5 mg 1 comprimé avec amélioration de son profil tensionnel. Nous majorons son traitement antihypertenseur par augmentation de son Amlodipine à 10 mg avec contrôle chez son médecin traitant. Nous retenons une décompensation du sciatique gauche que nous traitons symptomatiquement avec traitement anti-inflammatoire, anti-douleurs, physiothérapie en réserve. Nous retenons une détresse respiratoire probablement sur pneumonie basale gauche. Aux urgences il reçoit de la Rocéphine 2 g iv, de l'Atrovent et du Ventolin. En raison d'une péjoration de son état respiratoire clinique et biologique, nous le mettons sous VNI vers 16h05. En raison d'une dégradation de son état hémodynamique avec hypotension, de trouble neurologique avec somnolence, nous sommes obligés de mettre fin à la séance de VNI sans amélioration sur le plan respiratoire. Nous organisons le transfert aux soins intensifs de Fribourg avec le SMUR. La famille est informée du transfert. Nous retenons une dysfonction tubaire et mettons le patient sous Nasonex pendant 5 jours avec un contrôle chez son médecin traitant. Nous retenons une entorse de la malléole externe droite de stade II que nous traitons symptomatiquement avec RICE, attelle Aircast, antalgie et contrôle clinique à 1 semaine chez le médecin traitant. Nous retenons une entorse de la malléole externe gauche de stade I que nous traitons avec protocole RICE, bandage. Un contrôle clinique sera réalisé chez le médecin traitant à distance selon besoin. Nous retenons une entorse du ligament latéral interne du genou gauche et mettons une attelle jeans en extension. Nous prescrivons une antalgie, AINS et Clexane. La patiente prendra rendez-vous en orthopédie pour un contrôle dans une semaine. Nous retenons une entorse du ligament latéro-interne moyenne avec possibilité d'atteinte du ménisque interne. Nous prenons l'avis orthopédique du Dr. X qui propose une attelle plâtrée postérieure (genoux 20°), des cannes anglaises, de l'antalgie, des AINS et un arrêt du sport, avec un contrôle le 15.02.2019 à sa consultation. Nous retenons une entorse du pouce gauche pour laquelle nous immobilisons le pouce gauche dans un plâtre gantelet fendu du côté radial. Antalgie simple. Arrêt de travail. La patiente sera revue en policlinique d'orthopédie dans 7 jours. Nous retenons une erysipèle du membre inférieur et administrons une dose de Co-amoxicilline 2.2 IV aux urgences et proposons une prise en charge hospitalière, mais le patient dit préférer une prise en charge ambulatoire. Le patient rentre à domicile avec un traitement de Co-amoxicilline 1 g cpr 3x/j pendant 07 jours, avec un contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 17.02.2019. Nous organisons un Consilium angiologique le 15.02.2019 à 12h. Contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 17.02.2019: 1 dafalgan vendredi après-midi. Evolution très favorable avec régression des rougeurs. Pas de douleurs à la palpation. Mobilisation sans limitation. Nous retenons une fracture de la base du 1er métatarsien du pied droit pour laquelle nous conseillons l'immobilisation dans une attelle plâtrée. Le patient marchera en décharge. Nous lui prescrivons une prophylaxie anti-thrombotique et un traitement antalgique. Le patient sera revu par le Dr. X le 15.02. Nous retenons une fracture de la clavicule droite et nous prenons l'avis de la Dr. X, orthopédiste, qui propose une attelle Rucksack. Antalgie et AINS, avec contrôle dans une semaine à la policlinique d'orthopédie. Nous donnons au père une feuille de surveillance neurologique pour traumatisme crânien (dans le doute dans un traumatisme crânien simple non objectivé) après avis du Dr. X, orthopédiste. Nous retenons une fracture de la tête du péroné pour laquelle nous ne conseillons pas une immobilisation vu que la patiente a déjà eu deux interventions sur ce genou (une varisation et la mise en place d'une prothèse partielle), mais une marche avec des cannes anglaises et charge selon les douleurs. Nous lui prescrivons une antalgie. La patiente prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour un contrôle. Nous retenons une fracture de Pouteau Colles du poignet droit pour laquelle nous conseillons un traitement conservateur par immobilisation dans un plâtre AB fendu du côté ulnaire, ainsi qu'une antalgie. La patiente prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour un contrôle le 13.02. Nous retenons une fracture non déplacée de la base de la phalange distale du 1er orteil compatible avec la clinique, que nous traitons symptomatiquement avec RICE, antalgie, syndactylie et chaussure à semelle rigide. Un contrôle clinique sera prévu à distance chez le pédiatre. Nous retenons une fracture non déplacée de la tête radiale gauche. Nous prenons l'avis orthopédique du Dr. X qui propose une attelle plâtrée postérieure, de l'antalgie, des AINS, une bretelle et une radiographie post-plâtre avec contrôle dans une semaine à la policlinique d'orthopédie. Nous retenons une fracture-arrachement du processus styloïdien du radius gauche pour laquelle nous immobilisons la main et l'avant-bras dans un plâtre circulaire fendu. La patiente sera revue à la policlinique d'orthopédie dans une semaine par la suite. Nous retenons une gastro-entérite sans déshydratation. Pas d'argument pour une appendicite, mais nous en rappelons les signes à la mère.Nous retenons une gonarthrose gauche acutisée et mettons la patiente sous traitement symptomatique par bande élastique et cannes et elle arrive à marcher avec les cannes. Elle rentre à domicile avec un contrôle chez son médecin traitant. Nous retenons une infection des voies respiratoires supérieures, pour laquelle nous recommandons un traitement symptomatique et du repos. Nous conseillons au patient de revenir en cas de persistance de la symptomatologie à la fin du traitement (il n'a pas de médecin traitant). Nous retenons une lombosciatalgie non déficitaire pour laquelle nous conseillons une antalgie et du repos. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle dans 7 jours. Nous retenons une Mallet Finger tendineux de l'annulaire droit, raison pour laquelle nous immobilisons l'interphalangienne distale en extension. Le patient présente de plus une fracture de la phalange distale du pouce droit avec mise en place d'une attelle à visée antalgique. Suivi chez Dr. X à 6 semaines. Nous retenons une péricardite aiguë avec deux critères sur quatre pour cette étiologie, notamment un ECG et une clinique compatible. Nous proposons un traitement par Colchicine si persistance de la symptomatologie sous traitement par anti-inflammatoire. Nous retenons une pneumonie basale gauche débutante et traitons le patient par Co-Amoxicilline 2.2 g iv aux urgences puis 1 g 2x/jour pour un total de 7 jours. Le patient a reçu ces traitements de 18H00 et 3 mg de Sintrom suite à discussion avec le médecin de garde de l'hôpital de Marsens. Le patient a des paramètres dans la norme tout au long de son observation aux urgences. Il retourne à l'hôpital de Marsens suite à l'administration iv de l'antibiotique. Départ avec le transporteur. Nous retenons une probable fracture de la 8ème côte à gauche. Nous mettons le patient sous traitement symptomatique et lui donnons les indications devant motiver une nouvelle consultation aux urgences. Nous retenons une rhino-pharyngite dans le cadre d'une virose et mettons la patiente sous traitement symptomatique. Elle reconsultera son médecin traitant en cas d'absence d'amélioration. Nous retenons une rhinopharyngite virale et mettons le patient sous traitement symptomatique et le patient contrôlera chez son médecin traitant si absence d'amélioration. Il reconsultera aux urgences si péjoration. Nous retenons une rhinosinusite maxillaire d'origine virale. Traitement symptomatique et suivi chez le médecin traitant avec discussion d'une prise en charge ORL vu la récidive régulière des symptômes. Nous retenons une sinusite virale que nous traitons symptomatiquement avec AINS, vasoconstricteurs nasaux et rinçages du nez. La patiente est avertie de reconsulter si signes de surinfection bactérienne (écoulement purulent, état fébrile). Nous retenons une toux irritative sur bronchite virale récente. Le patient sera suivi par son médecin traitant. Nous retirons les fils (6) au niveau occipital et la patiente rentre à domicile. Nous retrouvons un œdème local avec des douleurs à la palpation de l'olécrâne et du paquet musculaire supra-épicondylaire latéral ainsi qu'une mobilité limitée à 120-10-0°. Étant donné la clinique, nous réalisons une radiographie qui ne montre pas de fracture ni de signe indirect de fracture. Après avis orthopédique de Dr. X, nous retenons une grosse contusion de l'olécrâne pour laquelle nous réalisons un bandage Écossais, prescrivons un arrêt de travail pour 1 semaine avec Dafalgan 1 g 4x/jour et Irfen 400 mg 3x/jour. Une consultation de contrôle est prévue chez Dr. X, orthopédiste, le 13.02.2019. Nous retrouvons une plaie pénétrante probablement contaminée avec des douleurs lors de la flexion de l'interphalangienne distale du 5ème doigt et de la métacaprophalangienne du 5ème doigt. Selon avis orthopédique, les douleurs sont liées à l'inflammation et il n'est pas nécessaire d'explorer. Nous prescrivons donc une antibiothérapie prophylactique d'Augmentin 1 g 2x/jour pour 5 jours avec un suivi rapproché à la policlinique orthopédique à 48 heures. Nous reverrons la patiente dans 6 semaines (à 3 mois de l'accident) pour un contrôle radioclinique. Nous donnons un bon de physiothérapie à la patiente (qui est déjà suivie par un physiothérapeute à domicile) pour mobilisation de l'épaule libre selon douleur à domicile. Habituellement, elle arrive à bouger l'épaule avec des amplitudes majeures, mais avec l'immobilisation, elle a perdu la flexibilité de l'épaule. Nous reverrons le patient dans 3 semaines avec un CT cervical, afin de juger la nécessité d'une éventuelle série d'infiltrations facettaires par Curavisc. Dans l'intervalle, prescription de physiothérapie pour massages doux uniquement. Poursuite de l'antalgie par Mydocalm. Nous l'encourageons à changer de coussin et de poursuivre le port de minerve durant la nuit à but antalgique. Nous reverrons le patient pour rediscuter de la suite de la prise en charge sur la base de ce bilan. En parallèle, poursuite des séances de physiothérapie avec stretching de la chaîne musculaire postérieure et correction du schéma de marche. Prolongation de l'incapacité de travail à 100% du 06.02.2019 au 20.03.2019. Nous revoyons cette patiente au contrôle, comme initialement prévu depuis notre dernière discussion en octobre 2018. Lors de cette consultation, il avait été décidé de réduire la dose de Tegretol et d'arrêter le Benerva. Nous avions également remis à la patiente une ordonnance de physiothérapie et d'ergothérapie afin que la réhabilitation ambulatoire reprenne en EMS où elle vit afin de maintenir, voire d'améliorer les acquis fonctionnels. Depuis lors, selon les proches de la patiente, son état s'est relativement amélioré, la patiente étant moins somnolente et moins ralentie, plus participative aux activités organisées par l'EMS. Elle a effectivement repris la physiothérapie mais l'ergothérapie n'a pas pu être mise en place. Sur le plan médical, la patiente a connu un épisode d'infection urinaire il y a environ un mois, sans aucune conséquence sur son état neurologique. Les proches de la patiente nous signalent un changement de médecin traitant (Dr. X à Avenches et à qui ils nous demandent de transférer toutes les lettres de consultation y compris celles anciennes). Ils nous posent la question de l'hypertension intra-crânienne qui aurait été mise en évidence en cours d'hospitalisation. Lors de l'hospitalisation à la SUVA, il a en effet été fait mention d'une aggravation neurologique initialement mise sur le compte d'une aggravation éventuelle de l'hydrocéphalie radiologique avec hypertension intra-crânienne. Toutefois, malgré une discrète majoration de la dilatation tétraventriculaire notée sur une IRM effectuée le 09.09.2018, il n'y avait pas de signe d'hypertension intra-crânienne et, en conséquence, les ponctions évacuatrices du LCR effectuées alors à l'Hôpital du Valais n'avaient pas résulté en une amélioration clinique significative. Il s'agit d'une question qui avait également été posée lors de l'hospitalisation de la patiente dans notre service. Mais à cette époque, nous avions conclu à une hydrocéphalie radiologique sans traduction clinique en l'absence de signe spécifique. Les résultats de cette nouvelle investigation et prise en charge à la SUVA confirment notre impression initiale : il n'y a pas de sanctions thérapeutiques à apporter à cette trouvaille, jusqu'à présent restée uniquement radiologique. Nous expliquons cela aux enfants de la patiente. En ce qui concerne le traitement anti-épileptique, la baisse de la dose a été effectivement réalisée sans incident majeur et notamment sans nouvelle crise d'épilepsie. La baisse du traitement a pu contribuer à la baisse du ralentissement psychomoteur et de la fatigue. À la question des enfants de savoir s'il fallait arrêter le traitement, nous recommandons la plus grande prudence, avec une réévaluation de la situation dans une année incluant un électroencéphalogramme. Si aucune crise n'est constatée, une baisse à 50 mg 2x/jour pourrait être tentée et, sans aucune complication ni récidive de crise, alors un arrêt pourrait être envisagé. Nous confirmerons cette planification thérapeutique lors de notre prochaine évaluation.Compte tenu de la stabilité de l'état neurologique de la patiente, nous la reverrons dans une année. Nous restons toutefois à disposition en cas de problème lié à son état neurologique. PROCEDURE: • Aucune modification thérapeutique • Evaluation clinique et EEG dans une année pour éventuelle baisse du Tégretol (la patiente sera convoquée) • Contrôle neurologique dans une année (la patiente sera convoquée) Nous revoyons Mr. Y pour la dernière fois à J16 du traumatisme avec des plaies calmes. Bon tissu cicatriciel, petite croûte sur le bord ulnaire sans signe de nécrose ou d'infection, ou d'inflammation. Mobilisation active et passive indolore. Vu l'évolution favorable, Mr. Y sera suivi chez son médecin traitant. Reprise du travail prévue le 04.02.2019. Nous sommes à 6 semaines du traitement conservateur pour un Mallet Finger type tissu mou. L'examen clinique montre un persistant déficit d'extension avec une douleur à la palpation de la face dorsale en regard de cette articulation. La patiente peut poursuivre le port de l'attelle et nous organisons un US pour visualiser si nous avons une solution de discontinuité tendineuse ou une absence de cicatrisation à son insertion par la phalange distale. La patiente sera revue au team membre supérieur pour la suite de la prise en charge car elle est déjà suivie par le Dr. X pour l'entorse de la MCP. Prolongation de l'incapacité de travail. Nous sommes à 3 mois post-opératoires et la consolidation est encore très faible, raison pour laquelle nous lui prescrivons de la physiothérapie avec des ondes de choc afin de stimuler la consolidation osseuse. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Nous sommes actuellement à 6 semaines post-traumatismes. Nous prévoyons donc un dernier contrôle radio-clinique fin mars, à 10 semaines de la chute. En cas d'évolution toujours favorable, nous pourrons alors enlever la minerve et débuter une prise en charge thérapeutique. Nous sommes contents de l'évolution clinique et préconisons un sevrage progressif du Neurontin durant les prochaines 6 semaines jusqu'au prochain contrôle clinique. Prescription de Mydocalm pour 2 semaines afin de calmer les douleurs musculaires dues à l'abord de Wiltse. Prescription de physiothérapie. Nous conseillons à Mr. Y de l'aquagym afin de renforcer la musculature. Nous envisageons une reprise du travail dès 3 mois post-opératoires dépendant de l'évolution clinique. Nous sommes dans une situation paradoxale entre l'examen neurologique et la clinique du patient. Il me rapporte clairement des fourmillements et des douleurs au niveau de la paume de la main. Il ne rapporte pas de gêne au niveau du coude. Je fais un contrat de traitement avec Mr. Y : dans une telle situation, il me semble contre-indiqué de traiter le coude. La compression est sur la loge de Guyon. Je propose donc une neurolyse au niveau de la loge de Guyon. En cas de persistance des symptômes, je me suis mis d'accord avec Mr. Y pour faire une neurolyse du nerf au niveau du coude dans un 2ème temps, si nécessaire. Mr. Y est informé du déroulement intra et postopératoire. Il me donne son accord oral et signé. Intervention programmée pour le 25.03.2019. Nous sommes donc devant un échec du traitement conservateur d'une arthrose post-traumatique tibio-talaire D. Nous expliquons à Mr. Y que la prochaine étape consiste en une intervention chirurgicale. Il est favorable. Nous lui exposons les 2 possibilités, à savoir une arthrodèse ou une mise en place d'une prothèse avec les avantages et les inconvénients de ces deux interventions. D'accord avec Mr. Y, nous nous orientons vers une arthrodèse par plaque Arthrex antérieure. Mr. Y signe ce jour le consentement après avoir reçu les informations liées à ce geste. L'intervention aura lieu le 26.02.2019 et nous envisageons une hospitalisation d'une semaine environ. Nous sommes maintenant à 6 semaines postopératoires. À cause de ce déficit d'extension de 10°, elle doit, pour l'instant, continuer la physiothérapie avec mobilisation du genou. Renforcement musculaire. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Si, à ce moment-là, elle présente toujours un déficit d'extension, il faudra organiser une IRM du genou G pour exclure un cyclope du LCA. Nous sommes rassurés par la bonne évolution clinique et motivons la patiente à poursuivre les séances de physiothérapie et d'aquagym 2x/semaine. Nous restons à disposition pour organiser une éventuelle infiltration facettaire L4-L5 et L5-S1 en cas de recrudescence des douleurs. Pour ce qui est de la fracture, nous organisons un nouveau contrôle radio-clinique dans 6 mois. Nous sommes rassurés par les résultats des investigations. Nous expliquons à Mr. Y que les 2 composantes qui persistent sont d'une part une radiculopathie résiduelle avec dysesthésie sur le territoire L5 D, sans signe de dénervation (pour laquelle le traitement par Lyrica est très important) et d'autre part des douleurs mécaniques facettaires sur lyse isthmique (pour lesquelles nous pourrions proposer une infiltration de la lyse ou des facettes sous CT). Pour l'instant, Mr. Y ne souhaite pas de nouvelle infiltration au vu des différents examens invasifs qu'il a déjà subis ces dernières semaines. Il nous rappellera en cas d'absence d'amélioration afin d'organiser ce geste. De plus, vu le rebalancement de la colonne suite à une telle intervention, nous lui prescrivons à nouveau des séances de physiothérapie pour renforcement de la musculature et école du dos. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois, à 6 mois post-opératoires. Nous restons à disposition dans l'intervalle. Nous sommes rassurés par l'état de la cicatrice chez un patient qui n'a pas de fièvre et faisant une simple désinfection avec ouverture du pansement. Nous signalons à notre patient les critères d'alarme pour les prochains jours en cas d'écoulement vif de la cicatrice avec déhiscence, ce qui n'est pas du tout le cas à l'heure actuelle. Nous prescrivons donc du matériel pour des pansements à faire tous les deux jours avec désinfection et prévoyons un nouveau rendez-vous pour mardi prochain afin de pouvoir enlever les agrafes à notre consultation. Nous restons à disposition en cas de changement. Nous sommes très satisfaits de l'évolution radio-clinique à 6 mois post-opératoires. Prochain contrôle dans 6 mois, à 1 an post-opératoire en raison de la fragilité osseuse. Dans l'intervalle, poursuite du traitement de l'ostéoporose en rhumatologie. Nous restons à disposition au besoin. Nous soupçonnons une fracture de la phalange distale du 1er orteil gauche pour laquelle nous réalisons une syndactylie et conseillons à la patiente d'utiliser des chaussures avec des semelles rigides et de ne pas faire de sport pendant au moins 2 semaines. Un contrôle chez le médecin traitant dans une semaine sera à organiser. Nous suspectons actuellement plutôt un syndrome sacro-iliaque bilatéral avec une éventuelle composante facettaire L5-S1. Nous commençons par organiser une infiltration sacro-iliaque bilatérale avec un contrôle chez nous par la suite. S'il s'avère que la patiente note une nette amélioration de la symptomatologie suite à ce geste, nous pourrons ensuite envisager une série d'infiltrations par CURAVISC à ce niveau. Dans le cas contraire, nous organiserons une infiltration facettaire L5-S1 à but diagnostique.Concernant la hanche, nos collègues préconisent une prise en charge conservatrice avec chiropractique. Pour ce qui est du canal lombaire étroit, il n'est pas très sévère et la patiente présente des racines relativement libres et des disques bien préservés. Nous suspectons clairement une rupture du LCA, raison pour laquelle nous demandons une IRM afin de bilanter cette lésion pour décider si une prise en charge chirurgicale doit se faire rapidement ou pas. Nous reverrons la patiente à la suite de cet examen dans 1 semaine. Nous suspectons des effets secondaires du Deanxit (Flupentixol 0.5 mg/Mélitracène 10 mg) récemment introduit. Pour cela, le médicament est mis en suspens et Mme. Y a un RDV prévu chez le Dr. X (psychiatre) le 14.02.2019 où l'indication à ce traitement sera réévaluée. En cas d'aggravation des symptômes, nous lui conseillons de réconsulter rapidement. Nous suspectons la présence d'arthrose également au niveau de la MTP 1, raison pour laquelle nous planifions une infiltration sous scopie de la MTP 1. Nous la reverrons 2 semaines après ce geste. Nous suspectons un impingement antérieur tibio-talaire. Pour compléter le bilan, nous organisons une IRM et le reverrons suite à l'examen. Nous suspectons une déchirure musculaire du muscle gastrocnémien droit pour laquelle nous recommandons l'immobilisation du genou dans une attelle Jeans. Nous prescrivons au patient une antalgie et une thromboprophylaxie. Le patient ira à la consultation du Dr. X pour un contrôle le 13.02. Nous suspectons une étiologie rhumatologique. Nous souhaiterions donc qu'elle soit convoquée par le service de rhumatologie. Nous suspectons une irritation du nerf radial et de sa branche interosseuse postérieure. Nous proposons, dans un 1er temps, la poursuite de physiothérapie avec iontophorèse et US. Nous proposons en plus de cela, une infiltration en regard du trajet du nerf radial ou du nerf interosseux postérieur selon l'appréciation de nos collègues du service d'antalgie. Prochain contrôle dans 6 mois après l'infiltration. Nous suturons la plaie par un point simple à l'Ethilon 5-0. Un rendez-vous chez le pédiatre sera à organiser pour l'ablation des fils à J5. Une feuille de surveillance post-traumatisme crânien est remise aux parents. Nous traitons les douleurs efficacement par Paracétamol, Ulcar, IPP IV. Le laboratoire montre une élévation légère à modérée des tests hépato-pancréatiques avec une cholestase biologique et est normal autrement. Un ECG ne montre pas d'anomalie et une cinétique des TNI exclut un syndrome coronarien. La radiographie thoracique montre une image suspecte d'un pneumopéritoine, raison pour laquelle nous effectuons un CT-scanner abdominal qui exclut cette pathologie, mais montre un rein unique gauche. Nous demandons un avis au Dr. X, chirurgien, qui nous signale qu'une pancréatite débutante ne peut pas être exclue avec le laboratoire dont nous disposons, et propose d'effectuer un contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 24.02 avec des tests hépato-pancréatiques. Le patient peut rentrer à domicile sous IPP. Nous validons les niveaux d'amputation que nous avions prévus lors des précédentes consultations au vu d'une absence de péjoration clinique. En parallèle, le secrétariat de néphrologie a été averti pour organiser les poursuites des séances de dialyse durant cette hospitalisation à l'HFR. Il signe le consentement chirurgical après avoir été informé des bénéfices et des risques. Nous vous laissons le soin de contrôler les valeurs d'acide folique et vitamine D3 à distance. Nous vous laissons le soin de contrôler les valeurs de vitamine D à distance. Nous vous laissons le soin de recontrôler le TP INR le 25.01.2019 pour adaptation de la posologie. Nous vous prions de contrôler à distance les valeurs de la vitamine D et du sodium. Nous vous proposons de contrôler à distance le profil glycémique de la patiente. Nous vous proposons de contrôler les valeurs de la vitamine D à distance. Nous vous proposons de réévaluer le dosage de l'Entocort en ambulatoire. Nous vous proposons d'organiser un Remler en ambulatoire afin d'adapter au besoin le traitement antihypertenseur et les heures de prise de médicaments. Nous vous proposons d'organiser une IRM en ambulatoire. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Nous voyons Mme. Y pour un contrôle VNI à 3 mois du dernier. Cliniquement, la patiente présente une nette amélioration de la somnolence diurne. Elle tolère très bien l'appareillage sans fuite et avec une zone de pression sur l'arête nasale sans lésion cutanée. C'est sa mère, infirmière, qui s'occupe de la VNI. Nous adaptons d'emblée la pression expiratoire sur la première nuit à 5 cmH2O au lieu de 6 cmH2O. La polygraphie montre un excellent contrôle des événements avec un IAH à 1.7/h actuellement, avec une bonne saturation en oxygène nocturne (SpO2 moyenne 97.5 %). La capnographie montre une tcPCO2 moyenne satisfaisante à 5.7 kPa. La gazométrie au réveil montre également des valeurs très satisfaisantes. Au vu de ces résultats, nous laissons ces paramètres et nous convoquerons la patiente dans 1 année pour un contrôle de sa VNI. Durant son séjour, la mère de la patiente émet le souhait que nous organisions la pose d'une sonde nasogastrique afin qu'elle débute une nutrition entérale à domicile prévue sur la nuit, prescrite par la Dr. X, gastroentérologue pédiatre. En effet, la patiente ne couvre pas ses besoins actuellement par la prise de nourriture per os, et le poids a baissé à 27 kg. Nous organisons avec la Dr. X et son équipe la pose de la sonde naso-gastrique. Nous avertissons la mère que le risque de broncho-aspirations est très élevé si la nourriture est donnée en parallèle au traitement de VNI nocturne, et qu'un masque nasal est à préconiser, ce qu'elle refuse pour le moment. La mère débutera à domicile une nutrition prudente et sera revue en consultation de nutrition par la Dr. X la semaine prochaine. Au vu du passage à l'âge adulte cette année de Mme. Y, la Dr. X ne sera plus en mesure d'assurer un suivi à l'avenir et la suite de la prise en charge concernant la nutrition sera assurée par la Dr. X et son équipe à l'HFR. Une discussion interdisciplinaire au CHUV est prévue prochainement afin de coordonner la prise en charge globale pour la patiente. Nous voyons Mme. Y à notre consultation du sommeil pour une polygraphie diagnostique nocturne suivie d'une mise sous CPAP. La polygraphie diagnostique met en évidence un syndrome d'apnées/hypopnées du sommeil de degré léger avec une saturation en oxygène basse à 86%. La polygraphie de mise sous CPAP permet une légère diminution des événements respiratoires nocturnes. La saturation moyenne en oxygène s'est également améliorée, passant de 86% à 90-93%. La patiente a passé une relativement bonne nuit et n'a pas eu de plaintes liées à des fuites du masque. Nous reverrons le patient dans 1 mois pour un suivi clinique et de tolérance à l'appareillage. Nous voyons Mr. Y à 6 mois du dernier contrôle d'une ventilation auto-asservie pour un SAOS très sévère avec la réalisation d'une polygraphie respiratoire nocturne avec capnographie transcutanée. Lors du précédent contrôle, la compliance au traitement était relativement mauvaise avec seulement 43% des jours avec une utilisation supérieure à 4h. Actuellement, on note une légère amélioration de la compliance avec une utilisation quasi systématique de l'appareil et un pourcentage de jours avec une utilisation supérieure à 4h à 50%. Cela reste insuffisant et nous rendons à nouveau Mr. Y attentif aux conséquences médicales et assécurologiques d'une telle utilisation. Mr. Y attribue cette courte utilisation quotidienne au fait qu'il n'a besoin que de très peu de sommeil depuis toujours ainsi qu'à une nycturie invalidante en cours de prise en charge urologique. Pour le reste, il ne se plaint pas de somnolence diurne, effectue rarement de siestes et décrit son sommeil comme réparateur. Pas d'argument clinique non plus pour une hypercapnie matinale (céphalée, injection conjonctivale, asthénie, perte de force). Le masque est très bien toléré et il ne rapporte pas de point de pression, de fuites importantes ou une sécheresse des muqueuses de la sphère ORL. Pas d'infection respiratoire récente. Aux examens effectués, on note une bonne prise en charge des apnées/hypopnées du sommeil avec IAH résiduel presque dans les normes à 7.7/h (12.5/h au dernier contrôle). On note également une normoxémie et normocapnie sur la nuit. Nous fixons un prochain contrôle dans une année et vous prions de bien vouloir nous contacter entretemps si vous le jugez nécessaire. Nouveau cas. Nouveau cycle de chimiothérapie Etopophos-Holoxan-Uromitexan du 6 au 12.2.2019 CT thoraco-abdominal 02.02.2019 Avis oncologique (Dr. X) : maladie en progression, proposition de nouvelle molécule de chimiothérapie par Etopophos-Holoxan-Uromitexan dès le 6.2.2019 en hospitaliser pour surveillance lyse RAD le 11.2.2019 Nouveau né à terme, PN 3630g (P75), grossesse et accouchement sans risque infectieux Nouveau né à terme 39 0/7 SA PN 3.160kg (P25-50) Taille 47cm (P3) PC 34cm (P25-50) A l'entrée J1: Poids 3.04kg (P25-50) Taille 49 cm (P10-25) PC 34cm (P25.50) Early onset sepsis Nouveau né à terme 41 1/7 avec poids de naissance de 3300g (P10-25), taille de naissance 52cm (P25-50) et périmètre crânien 34cm (P5-10), naissance par AVB et ventouse Kiwi pour non progression. Sepsis néonatale précoce : hospitalisé dans notre néonatologie de J1 à J5 de vie Nouveau né prématuré de 36 6/7 SA, Hernie inguinale gauche opérée Pleurs du nourrisson avec épuisement maternel Rash sous Amoxicilline Nouveau née à terme + 4, PN 2690g, RCIU Grossesse sp, AVB sp, sauf ventouse pour les décellerations Nouveau née née à 38 5/7 PN 3020 gr Taille 47 cm (P3) PC 33 cm Apgar 5/7/10, pHa 7.25 pHv 7.31 J16 de vie à l'entrée Poids 3375 gr (P25-50). Nouveau plâtre Rx face/profil poignet Avis orthopédique Consignes usuelles plâtre Contrôle comme prévu en ortho-urgences Nouveau-né à terme à 38 6/7 semaines d'aménorrhée, césarienne pour CTG suspect et suspicion de décollement placentaire, bonne adaptation avec Apgar 9/10/10, poids de naissance 3580g, pas de risque infectieux Nouveau-né à terme par voie basse, poids de naissance à 3300 g, taille à la naissance 51 cm, périmètre crânien : 35 cm, bonne adaptation, APGAR 9/10/10. Convulsions fébriles simples DD : Épisode d'hypotonie et de cyanose avec perte de contact dans un contexte d'IVRS fébrile Malaise sur reflux gastro-oesophagien Surveillance clinique Nouveau-né à terme, PN 3220 (P25-50), TN 48 cm (P10), PCN 35,5 cm (P50-70). Nouveau-né à terme (40+9) Nouveau-né à terme Bonne santé habituelle. Nouveau-né à terme Bronchiolite à RSV avec difficulté alimentaire (06.01.2017) Otite moyenne aiguë gauche Nouveau-né à 40 1/7 SA en Suisse, poids de naissance 3000 g (P 5-10), taille de naissance 50 cm (P 10-25), PCN 34.5 cm (P 10-25). S/p Troubles de l'adaptation primaire avec SDR sur les 35 premières min de vie. - sur circulaire serrée et accouchement instrumenté. Fracture pariétale droite avec minime hématome sous-dural (3mm) et hématome sous-galéale 31.05.2018 Nouveau-né de sexe masculin, né à 38 3/7 avec PN 2880 g (P 10-25), TN : 46 cm (P <3), PCN 34.5 cm (P 25-50) Situation psychosociale difficile Décision du Juge de paix Mme. Y du 07.09.2017 : Mesures de tutelle de mineur par Mme. Y Nouveau-né de 41 3/7 SG, PN 3950 g (P50-90) Suspicion d'infection néonatale non-confirmée Nouveau-né, du sexe féminin, née à 35 0/7 SG, PN 2450 g (P50), TN 46 cm (P25-50), PCN 34 cm (P75-90) S/p Wet-lung traité avec CPAP Nouveau-né, né à 40 6/7 SG, PN 2930 g (P3-5), TN 50 cm (P10), PCN 34 cm (P5-10) Nouveau-né né à 37 2/7 de semaines d'aménorrhée avec un poids de naissance de 2320 g, grossesse sans particularité, accouchement par ventouse pour non-progression, Apgar 9/10/10 Trouble de la déglutition Malaise secondaire à une probable fausse-route Souffle cardiaque fonctionnel Nouveau-né né à 38 2/7, PN 2160 g ( 150. Adaptation de l'Héparine avec pause 1h, puis 10000UI sur 24h, prochain contrôle à 6h. Hydratation. Titrage de Metoprolol en i.v. 4 x 5 mg. Cathétérisme par Dr. X le 16.02.2019 : sténose intermédiaire de l'artère circonflexe proximale, sténose 50% de l'artère coronaire droite proximale, fonction systolique du VG EF 60%. Avis Dr. X : écho le 18.02.2019. NSTEMI secondaire sur fibrillation auriculaire paroxystique rapide le 15.02.2019 • connu pour maladie coronarienne tritronculaire avec pose d'un stent sur la bissectrice, FEVG 60%. NSTEMI secondaire sur infection et FA rapide NSTEMI secondaire sur infection et FA rapide NSTEMI secondaire sur une fibrillation auriculaire rapide le 15.02.2019 NSTEMI secondaire sur une fibrillation auriculaire rapide le 15.02.2019 NSTEMI subaigu antérolatéral le 21.02.2019 • sur occlusion de l'IVA moyenne et de la branche diagonale NSTEMI subaigu antérolatéral le 21.02.2019 • sur occlusion de l'IVA moyenne et de la branche diagonale • douleur récidivante sur sténose du tronc commun le 23.02.2019 NSTEMI sur dissection spontanée de l'artère circonflexe distale et de la 2ème marginale le 7.02.2019 • pic CK le 07.02.19, 66 U/L NSTEMI sur maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et coronaire droite) le 23.01.2019. • Hypokinésie sévère antéro-apicale. • Fonction systolique globale du ventricule gauche à la limite inférieure de la norme (FE : 55%). • PCI/ 1 DES d'une sténose de 95-99% de l'IVA proximale et stenting direct d'une sténose de 90 de l'IVA moyenne (1 stent actif) : bon résultat. Maladie bitronculaire IVA et CD. • FE 55%. • Sténose limite de l'artère coronaire droite. Nodule du lobe pulmonaire supérieur droit et plusieurs nodules sous-pleuraux du lobe moyen (découverte fortuite au CT du 22.01.2019). NSTEMI sur maladie coronarienne de 2 vaisseaux le 27.02.2019 • occlusion subaiguë de 2 branches diagonales et de la CX moyenne (vaisseaux de petit calibre) • fonction systolique globale du ventricule gauche conservée ( FE :60%) NSTEMI sur maladie tritronculaire. NSTEMI sur occlusion fonctionnelle sur sténoses serrées IVA proximale et distale NSTEMI sur occlusion subtotale de l'IVA moyenne le 23.02.2019 NSTEMI sur sténose significative de l'IVA le 05.02.2019: pic CK à 784 U/l NSTEMI sur sténose significative de l'IVA moyenne et de la CD le 11.01.2018 • Charge en Aspirine, Efient, Liquemine le 11.01.2018 • Coronarographie le 11.01.2018 (Dr. X) : 2 stents actifs sur la coronaire droite et 2 stents actifs sur l'IVA moyenne • Aspirine 100 mg à vie • Efient 10 mg 1-0-0 pour 12 mois. Intervention gynécologique (ovariectomie bilatérale avec hystérectomie s/p) à l'âge de 50 ans pour suspicion de cancer gynécologique (écartée). NSTEMI sur subocclusion de l'artère circonflexe moyenne le 06.02.2019 NSTEMI sur sub-occlusion de l'IVA proximale le 01.06.2018 • Maladie coronarienne tritronculaire : subocclusion de l'IVA ostiale, longues sténoses IVA/DA, RCx, IA ; occlusion chronique RCx distale ; occlusion aiguë PLA périphérique • Fraction d'éjection du ventricule gauche à 25% • Décompensation cardiaque globale NYHA 4 avec pré-oedème pulmonaire aigu • 4 stents sur IVA et RCx Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle NSTEMI sur sub-occlusion de l'IVA proximale le 07.02.2019 • post pose de pacemaker le 04.02.2019 et sortie d'hospitalisation 06.02.2019 NSTEMI 30.01.2019 Coronarographie 31.10.2019 : succès d'angioplastie de l'artère interventriculaire postérieure. Implantation de 1 stent actif. FEVG 65% NT proBNP. Lasix 20 mg iv administré 2 x aux urgences. Lasix 20 mg 3x/jour dès le 01.02.2019. Lasix 20 mg iv en réserve. Nucalgie droite, d'origine musculaire. Nucalgie non-déficitaire post AVP, le 23.02.2019. Nutrition (Alimentation plaisir) Physiothérapie Ergothérapie Nutrition entérale dès pose de SNG Nutrition entérale du 25-04.02.2019 avec retrait sonde nasogastrique le 04.02.2019 Alimentation plaisir Nutrition parentérale Nutrition parentérale du 16.02 au 18.02.2019 Nutrition entérale dès le 18.02.2019 Consilium ORL le 18.02.2019: cf rapport: test de déglutition sp, ad régime mixé-lisse Nutrition parentérale du 22.01.2019 au 25.01.2019 Nutrition parentérale du 27.01.2019 au 30.01.2019 Nycturie secondaire à une diminution de la capacité vésicale dans le contexte de sténose d'urètre avec 5 épisodes par nuit Nystagmus, DD: cérébellite, labyrinthite, étiologie métabolique Nystagmus horizontal perpétuel. Trisomie 21. OAP sur NSTEMI le 08.02.2019 OAP sur NSTEMI le 08.02.2019 • FEVG 25%, LVEDP 30mmHg Obèse Obésité Obésité avec BMI 31.6 kg/m2 HTA Insuffisance cardiaque: • ETT du 21.04.2015: bonne performance contractile du VG, FEVG 65%, avec remodelage concentrique avec discrète dysfonction diastolique. Pas de valvulopathie hémodynamiquement significative. Cavités D de taille normale. FEVD dans la norme, pas d'HTAP. Anévrisme du septum inter-auriculaire probablement sur foramen ovale perméable Syndrome des jambes sans repos Obésité avec un BMI à 36.5. Obésité (BMI 31 kg/m2). Etat dépressif. Hypertension labile. Intolérance au glucose. Innombrables ganglions augmentés en taille et en nombre intra-abdominal, sans cause explicative. Probable myome utérin, à corréler à une IRM si suspicion d'un foyer infectieux abdominal profond sur scan le 27.02.2018. Obésité (BMI 32,4 kg/m2). Syndrome d'apnées du sommeil sévères depuis 2010. • IAH 31/h. • sous CPAP. Hypertension artérielle traitée. Obésité classe OMS II. Obésité classe 3 selon l'OMI (BMI 60 kg/m2). Hypertension artérielle. Perturbation des tests hépatiques sur possible NASH. Diabète type 2 mal contrôlé sous antidiabétiques oraux ADO (Janumet et Forxiga) probablement sur mal compliance avec: • HbA1c à 10.8% le 11.06.2018. Obésité de classe I (BMI 31.7 kg/m2) Obésité de classe II selon OMS avec BMI à 36 kg/m2. Hypertension artérielle. Diabète de type 2 insulino-requérant. Dyslipidémie. BPCO non stadée. Tabagisme actif. Cardiomyopathie de non-compaction avec dysfonction systolique sévère. • tachycardie ventriculaire soutenue (1ère thermoablation le 17.01.2014 sans succès et 2ème thermoablation le 17.09.2014 avec bon résultat). • implantation d'un défibrillateur bicaméral (Marque Sorin, DDDR 60-130) le 03.10.2013. Remplacement du défibrillateur avec pose d'un DDDR CLARIA MRI Quad CRT-D (No série : RPN601118S) par le Dr. X à l'HFR Fribourg le 03.01.2019. Obésité de grade II avec BMI à 39.2 kg/m2. Obésité de grade 1 Obésité de stade 1 selon l'OMS (BMI à 32 kg/m2) Tabagisme actif à 20 UPAObésité de stade 1 selon OMS (BMI 32.8 kg/m2) Obésité morbide. Obésité morbide avec BMI 39 kg/m2. Bypass gastrique par laparotomie le 16.12.2014. Obésité morbide avec tablier graisseux abdominal droit avec: • Impotence fonctionnelle à la marche • Impact physique et psychologique Obésité morbide: BMI à 44. Syndrome de microduplication 22q11.21 de novo, diagnostic posé le 06.12.2017. Obésité morbide (BMI à 45 kg/m2) Pneumopathie d'origine mixte: BPCO de stade II et syndrome restrictif • tabagisme ancien 60 UPA, sevré en 1998 SAOS appareillé (Dresse Froidevaux) Masse surrénalienne gauche et adénopathies médiastinales d'origine indéterminée (2013) Goutte Douleurs lombaires chroniques • Rx lombaire du 29.06.2018: pas de tassement ou fracture d'allure récente Hernie ombilicale Diverticulose sigmoïdienne Gynécomastie bilatérale Maladie coronarienne extensiante: • s/p STEMI inférieur en 2002 avec PTCA et stent sur RCA • coronarographie 2013: anévrisme de l'IVA proximale et sténose intermédiaire CD distale • FEVG 35% avec akinésie postérobasale en 2013, FEVG 55% le 19.06.2018 • PM de resynchronisation/défibrillateur depuis 2013 • FA rapide permanente sous Sintrom • ETT du 19.06.2018: dilatation modérée du VG avec FEVG 55%, cardiomyopathie hypertrophique homogène, insuffisance mitrale modérée (grade 2/3), OG ectasique, dilatation modérée du VD avec fonction systolique modérément altérée, dilatation importante de l'OD, HTAP sévère (PAPs à 70 mmHg), insuffisance tricuspide modérée à importante (grade 2-3/3) • Rx thorax du 28.06.2018: épanchements pleuraux ddc et des signes de surcharge. • ECG du 13.07.2018: rythme de pacemaker avec une FC 70 bpm Suivi clinique ECG Adaptation du traitement par Sintrom selon valeurs d'INR Anévrisme de l'aorte thoracique descendante de 100 mm et abdominale infra-rénale de 64 mm en progression depuis 2012 • CT thoraco-abdominal du 07.05.2018: anévrisme de l'aorte thoracique en augmentation (100 contre 77 mm), croissant partiellement calcifié au sein de l'aorte thoracique compatible avec un hématome de paroi sur ancienne dissection dd dissection nouvelle, épanchements pleuraux et ascite intra-abdominal associé à une infiltration des tissus mous évoquant un anasarque, progression de la taille de l'anévrysme abdominale (64 contre 44 mm) • traitement invasif refusé par le patient en 2012 Suivi clinique Cirrhose hépatique d'origine indéterminée • consommation OH à risque • US abdominal du 09.05.2018: foie dysmorphique avec signe d'hypertension portale associé à des signes en faveur d'un foie de stase, ascite en petite quantité, épanchement pleuraux ddc droit>gauche • CT thoraco-abdominal du 07.05.2018: aspect dysmorphique du foie pouvant évoquer une cirrhose hépatique • HIV, HCV et HBV négatif Suivi clinique et biologique Insuffisance veineuse des membres inférieurs de stade C4 • par incontinence de la GVS D dès son ostium et de la GVS G jambière • bilan angiologique le 14.05.2018: pas de contre-indication artérielle à la mise en place d'une compression élastique Suivi clinique Compression élastique Obésité morbide (BMI 39) Obésité morbide BMI 44 Asthme sous ventolin et Symbicort en réserve. Myopathie de Steinert bien tolérée. TTT habituel : Antidépresseurs: Fluoxetine Mepha 80 mg 1xj le matin, Atarax 20 mg 1xj le soir, Xenical 20 mg 3xj (au vue d'un futur By-Pass) Obésité morbide (BMI 45.9 kg/m2) Obésité morbide (BMI 48 kg/m2). Intolérance au glucose. Obésité morbide (BMI 50 kg/m2) avec syndrome d'apnées obstructives du sommeil • Polysomnographie le 08.08.2017 Obésité morbide (BMI 54). Trouble bipolaire. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Syndrome d'apnées obstructives du sommeil d'entité très sévère, selon la polygraphie du 26.07.2017 • index d'apnées hypopnées à 143/h • status post insuffisance respiratoire globale en postopératoire le 14.07.2017 • Epap II cmH2O et AI 6-14 cmH2O. Appareillage par ventilation auto-asservie en raison d'un inconfort respiratoire sous CPAP et VNI. Allodynie de la cuisse gauche à la suite d'une fracture du bassin en 2006 avec péjoration en postopératoire. Bradycardie à 59 bpm le 25.07.2017. Obésité morbide de grade III selon l’OMS avec BMI à 45,4 kg/m2 (125 kg - 166 cm), le 17.12.2018. Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI initial à 45.5 kg/m2 (121 kg ; 163 cm) Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI initial à 45.5 kg/m2 (121 kg ; 163 cm) Obésité morbide de type III (taille 163 cm, poids 158 kg) avec impotence fonctionnelle (en chaise électrique), lipoedème symptomatique et trouble du comportement alimentaire compulsif. Anticoagulation par Xarelto pour les antécédentes thrombo-emboliques décrites ci-dessous. Psychiatrique : • trouble de la personnalité type borderline. • retard mental léger avec troubles du comportement. • ancien syndrome de dépendance à l'alcool. • tentative de suicide il y a environ 10 ans avec lacération du membre supérieur droit. Surdité de 50% bilatérale. Myopie appareillée. Gonarthrose bilatérale. Obésité morbide grade III avec BMI 41,3 kg/m2 (93 kg, 149 cm) Obésité morbide Diabète non insulino-requérant Gonarthrose Décompensation cardiaque Physiothérapie Ergothérapie Obésité morbide. Hypertension artérielle traitée. Obésité (poids habituel 89 kg) Obésité (poids habituel 89 kg) Obésité sévère de grade II selon l’OMS avec BMI à 36,8 kg/m2 (94 kg, 160 cm) • trouble non spécifique du comportement alimentaire • poids préopératoire : 94 kg Obésité sévère de grade II selon l’OMS avec BMI à 38,7 kg/m2 (115 kg ; 172 cm) Obésité sévère de grade II selon l’OMS avec BMI initial à 39 kg/m2 (98 kg ; 157 cm) Obésité sévère de grade II selon OMS avec BMI initial 38.7 kg/m2 (94 kg, 156 cm) Obésité stade I avec un BMI à 30 kg/m2 Obésité stade I (BMI 32.9) Mutation hétérozygote des gènes C282Y et H630 avec hémochromatose (ferritine 670, satu transferrine 57%) avec bonne évolution sous saignées Hypercholestérolémie légère traitée par régime (2011) Insuffisance veineuse avec varices aux MI mais sans OMI Nombreux nævi; contrôle annuel chez dermatologue Troubles statiques avec hyperlordose lombaire et scoliose dorsale, affaissement plantaire, genu varum et dysfonction fémoro-patellaire Colo et OGD sp (diverticulose sigmoïdienne) (2015) Obésité stade II, BMI à 36 Obésité stade II Cardiopathie ischémique avec status post pontage aorto-coronarien en 2005 (suivi par Dr. X) Hypertension artérielle essentielle traitée SAOS appareillé Maladie inflammatoire chronique de l'intestin traitée Obésité stade II le 01.02.2019 • BMI 38 kg/m2 Obésité stade III-IV. Insuffisance cardiaque. Diabète non insulino-requérant. Obésité stade 1. Hypertension artérielle traitée. Cardiopathie ischémique. • Maladie coronarienne bitronculaire avec pontage coronarien avec AMIG sur l'IVA pour occlusion de l'IVA moyenne le 14.09.2011, présence d'une sténose intermédiaire de la partie verticale de la coronaire droite. Très bonne réserve coronarienne sans modification de l'ECG objectivée au test d'effort 20 mois après la revascularisation. Eczéma atopique. Hernie hiatale. Obésité stade 1 Hypertension artérielle traitée Cardiopathie ischémique • Maladie coronarienne bitronculaire avec pontage coronarien avec AMIG sur l'IVA pour occlusion de l'IVA moyenne le 14/09/2011, présence d'une sténose intermédiaire de la partie verticale de la coronaire droite. Très bonne réserve coronarienne sans modification de l'ECG objectivée au test d'effort 20 mois après la revascularisation. Eczéma atopique Hernie hiatale. Obésité stade 1 Hypertension artérielle traitée Cardiopathie ischémique • Maladie coronarienne bitronculaire avec pontage coronarien avec AMIG sur l'IVA pour occlusion de l'IVA moyenne le 14/09/2011, présence d'une sténose intermédiaire de la partie verticale de la coronaire droite. Très bonne réserve coronarienne sans modification de l'ECG objectivée au test d'effort 20 mois après la revascularisation. Eczéma atopique Hernie hiatale. Obésité stade 1 Hypertension artérielle traitée Cardiopathie ischémique • Maladie coronarienne bitronculaire avec pontage coronarien avec AMIG sur l'IVA pour occlusion de l'IVA moyenne le 14/09/2011, présence d'une sténose intermédiaire de la partie verticale de la coronaire droite. Très bonne réserve coronarienne sans modification de l'ECG objectivée au test d'effort 20 mois après la revascularisation. Obésité stade 1 Hypertension artérielle traitée Cardiopathie ischémique • Maladie coronarienne bitronculaire avec pontage coronarien avec AMIG sur l'IVA pour occlusion de l'IVA moyenne le 14/09/2011, présence d'une sténose intermédiaire de la partie verticale de la coronaire droite. Très bonne réserve coronarienne sans modification de l'ECG objectivée au test d'effort 20 mois après la revascularisation. Obésité. Hypertension artérielle. Trouble du rythme. Obésité. Status post by-pass gastrique le 31.10.2016. Tabagisme 10 UPA. Ovaires polykystiques. Résistance à l'insuline. Lumbago sur hernie discale L5-S1. Status post polytraumatisme. Obésité (46 kg/m2 le 27.3.17) Asthme. Obésité (84.7 kg). Suspicion de PID (pelvis inflammatory disease) débutant sur stérilet le 18.12.2016. Obésité Diabète de type II insulino-requérant Hypertension artérielle traitée NASH Hyperparathyroïdisme primaire Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs Ulcère du membre inférieur gauche : • contexte d'insuffisance veineuse des membres inférieurs • diabète. Obésité. Diabète de type II non insulino-requérant, bien contrôlé. Trouble anxio-dépressif récurrent, épisode actuel léger à moyen. Lombosciatalgie L5 droite non déficitaire dans le contexte d'une hernie discale foraminale L5-S1 le 12.06.2014 et possible composante de sensibilisation centrale (cf diagnostic 2) • IRM le 22.04.2014 : HD postéro-latérale D L5-S1 • s/p infiltration foraminale S1 le 25.04.2014 (Givision) Colonisation par MRSA. Douleurs cervicales chroniques post-AVP. Obésité Diabète type II non insulino-requérant depuis 2010 CPAP depuis 2006 HTA traitée depuis 2003 Hypospadias sous glandulaire diagnostiqué en 2001 (risque élevé d'urétrite) Prostatite chronique. Obésité. Hypertension artérielle traitée. Tachycardie de Bouveret. Obésité. Hypertension artérielle traitée. Tachycardie de Bouveret. Obésité Hyponatrémie et hypochlorémie légère (08.2015) Obésité. Syndrome des apnées du sommeil. Hypertension artérielle. Cirrhose Child A. Polyarthrose. Obésité Syndrome des ovaires polykystiques Tabagisme actif. Objectivement et subjectivement très bonne évolution. Je prévois une radiographie du coude le 19.12.2019 pour un suivi. Pas de mesure particulière entre-temps. Observation à domicile. Observation clinique. Observation lors du sommeil : pas de désaturation. Obstétricaux : • AVB, lésion génitale : déchirure II et déch vaginale, délivrance : Nle complète, Date : 2013, anesthésie : Péri, lieu : HFR Riaz, sexe : F, Prénom : Céleste, SA : 39 2/7, poids (g) : 3500, allaitement (mois) : 1 mois, particularités : provoc. pour susp. macrosomie. • Accouchement par voie basse après provocation par Syntocinon en raison d'une HTA gravidique chez une patiente 2G devenue 2P à 41 1/7 SA. Provocation par Syntocinon selon protocole. Déchirure vaginale. Chirurgicaux non gynécologiques : Cholecystectomie en 2013. Amygdalectomie en 1992. Obstétricaux : 1985 : AVB. 1987 : AVB. 2010 : césarienne pour non progression de la présentation et macrosomie. Enfance : status post plastie du nez. Ethylisation aiguë dans un contexte de tristesse le 18.12.2015. Obstétricaux : • AVB, lésion génitale : déchirure II et déch vaginale, délivrance : Nle complète, Date : 2013, anesthésie : Péri, lieu : HFR Riaz, sexe : F, Prénom : Céleste, SA : 39 2/7, poids (g) : 3500, allaitement (mois) : 1 mois, particularités : provoc. pour susp. macrosomie. • Accouchement par voie basse après provocation par Syntocinon en raison d'une HTA gravidique chez une patiente 2G devenue 2P à 41 1/7 SA. Provocation par Syntocinon selon protocole. Déchirure vaginale. Chirurgicaux non gynécologiques : Cholecystectomie en 2013. Amygdalectomie en 1992. Obstétricaux : • Forceps le 14.01.19 avec EMLD pour NPP d'un RCIU de 2520 g. Délivrance normale complète. Médicaux : • 1994 Status après pyélonéphrite bilatérale à E.Coli résistant au Bactrim, avec reflux vésico-urétéral bilatéral. • 2017 Colique néphrétique gauche. • 2015 Lithiase des voies urinaires opérée. Obstétricaux : Le 10.01.2017 césarienne sous rachianesthésie, d'un garçon de 2740 g. Gynécologiques : 2015 Fausse couche spontanée. 2016 Fausse couche avec curetage. 2008 Ablation kyste sur les petites lèvres sous anesthésie locale. Médicaux : Enfance : fracture cheville droite. Obstétricaux : Le 14.02.2016 accouchement par voie basse à 41 3/7 semaines d'aménorrhée, 3080 g, particularités : cholestase gravidique à la fin de la grossesse. Gynécologiques opératoires : 2017 Curetage évacuateur pour môle partielle. Chirurgicaux non gynécologiques : 1995 Amygdalectomie. Obstétricaux : voie d'accouchement : Accouchement par voie basse, Date : 2014, lieu : Érythrée, sexe : M, SA : terme, particularités : mort-né, probable SFA. • Mari connu pour une Hépatite B, suivi par le Dr X. Obstétricaux : voie d'accouchement : césarienne, Date : 12.02.2015, anesthésie : AG, lieu : Kosovo, sexe : F, SA : 40 0/7, poids (g) : 3350, allaitement (mois) : 2 ans, particularités : cause difficilement identifiable, patiente a priori a eu la CS à terme sans épreuve de travail. Obstruction de sonde vésicale. Obstruction des voies biliaires intra-hépatiques le 18.02.2019 avec : • probable récidive d'une métastase hépatique d'un carcinome de la jonction recto-sigmoïdienne ainsi que d'une carcinomatose péritonéale. • s/p échec ERCP le 15.02.2019. Obstruction dynamique de la chambre de chasse du VG. Tabagisme actif à 70 UPA. Obstruction nasale chronique bilatérale avec rhinorrhée post-traumatique : • deux traumatismes nasaux en 1998, 2006 • septo-turbinoplastie bilatérale, 13.12.2007 4 opérations au niveau de l'astragale D. 3 opérations au niveau des genoux. Cure de hernie inguinale bilatérale. APP. Obstruction nasale chronique bilatérale avec rhinorrhée post-traumatique : • deux traumatismes nasaux en 1998, 2006 • septo-turbinoplastie bilatérale, 13.12.2007 4 opérations au niveau de l'astragale D. 3 opérations au niveau des genoux. Cure de hernie inguinale bilatérale. APP. Obstruction nasale chronique sur déviation septale complexe et déficit de la valve. Obstruction nasale majeure sur déviation septale post-traumatique et hypertrophie bilatérale du cornet inférieur. Obstruction nasale, otalgie et douleur aux sinus para-nasaux.Obstruction nasale, otalgie gauche et douleur sinus maxillaire gauche. Obstruction néphrostomie droite, le 27.02.2019. Obstruction stent biliaire le 31.01.2019 avec : • dilatation des voies intra hépatiques droites sur métastase rétropéritonéale d'un adénocarcinome gastrique • probable cholangite à Streptococcus anginosus Occlusion de néphrostomie gauche le 26.02.2019. Occlusion sub-aiguë sur sténose de l'artère vertébrale gauche. CT abdominal le 23.02.2019 Laparoscopie exploratrice, réduction hernie para duodénale, adhésiolyse avec révision grêle en urgence le 23.02.2019. Octreoscan prévu le 26.02.2019 Marqueurs tumoraux (CA 19,9, CA 125). Oculat rinçage aux urgences et en réserve à domicile. Test à la fluorescéine négatif. Contrôle à la consultation ophtalmologique à 24 h. Odynodysphagie avec dysphonie post-intubation il y a 2 mois. Odynodysphagie d'origine indéterminée, avec composante de sinusite chronique. Odynodysphagie d'origine indéterminée avec douleur en regard de la thyroïde, le 06.02.19 • DD : IVRS. Odynodysphagie d'origine indéterminée, sans signe de gravité. Odynodysphagie le 11.02.2019 : • sur arête de poisson base langue gauche. Odynophagie. Odynophagie et fièvre. Odynophagie et otalgie gauches. Odynophagie probablement sur sténose post-radique. Odynophagie • sans dysphagie • pas d'adénopathie • fond de gorge s.p. Oedème aigu des poumons sur pic hypertensif le 20.02.2019. Oedème aigu des poumons sur pic hypertensif le 21.02.2019 • cardiopathie hypertensive, FEVG 40-45%. • NSTEMI secondaire le 21.02.2019. Oedème aigu du poumon le 21.02.2019 sur NSTEMI DD : pic hypertensif. Oedème au niveau des deux genoux. Oedème coude gauche. Oedème de ré-expansion pulmonaire post-ponction pleurale, le 11.10.2016. Fracture du plancher de l'orbite gauche, le 21.04.2017. Le 28.04.2017 : Fixation de la fracture (Dr. X). Oedème des membres inférieurs récidivante d'origine peu claire le 31.01.19 DD : décompensation cardiaque droite d'origine indéterminée (DD : rythmique, hypertensive) • Echocardiographie transthoracique du 24.08.2018 : FEVG 60 %, pas de HTAP. Oedème des membres inférieurs sur alitement, hypoalbuminémie et possible invasion lymphatique. Oedème des membres inférieurs sur probable insuffisance veineuse et immobilité • Hétéro-anamnèse : poids de forme de 70 kg. Oedème doigt. Oedème doigt 3, main droite d'étiologie indéterminée. Oedème du genou droit. Oedème du membre inférieur droit. Oedème d'un membre. Oedème facial majeur post-opératoire le 25.02.2019 • Longue opération en décubitus ventral. Oedème genou G. Oedème langue. Oedème main gauche sur thrombose du membre supérieur gauche, en cours de traitement. Oedème main sur thrombose du membre supérieur gauche en cours de traitement • suivi par l'angiologue. Oedème membre inférieur bilatéral probablement sur décompensation cardiaque le 14.02.2019. Oedème membre supérieur gauche. Oedème membres inférieurs bilatérales probablement sur décompensation cardiaque le 14.02.2019. Oedème palpébral bilatéral, DD : Cellulite préseptale. Oedème palpébral supérieur gauche, le 14.02.2019 • DD : réaction allergique au Floxal. Oedème paupière gauche. Oedème pénien. Oedème péri-orbitaire chronique secondaire au traitement par Dasatinib. Status post-infection urinaire en janvier 2017 en Turquie, traité par antibiotiques pendant 10 jours. Otite externe droite aiguë le 02.02.2016, traitée par Ciproxine gouttes pendant 7 jours. Hypoacousie de l'oreille gauche. Syndrome douloureux cervico-brachial droit avec composante spondylogène et péri-arthropathie de l'épaule. Rhizarthrose droite. Fibromyalgie depuis environ 2000, traitée par AINS depuis plusieurs années. Carence en vitamine D substituée. Asthme traité. Obésité morbide de classe I selon OMS (BMI = 33,6 kg/m²). Dyslipidémie. Insuffisance veineuse chronique. Etat anxio-dépressif chronique. Status post-gastrite en juin 2015, avec status après ulcère gastrique vers 1987. Status post-exérèse de fibrome utérin en 2014. Status post-arthroscopie du genou gauche en 1991. Notion de résection intestinale vers 1987 (donnée anamnestique de la patiente). Status post-appendicectomie et kystectomie ovarienne vers 2008. Tabagisme sevré à environ 15 UPA. Oedème post-opératoire de la verge post-circoncision le 22.02. Oedème post-traumatique de la main gauche le 17.02.2019, status post-fracture radiale distale extra-articulaire gauche avec dislocation dorsale le 13.02.2019. Oedème sous-palpébral droit. Oedèmes des mains, rush cutané, démangeaisons. Oedèmes des membres inférieurs à prédominance droite • Diminution du drainage causé par l'hématome au niveau de la plaie de la fracture per-trochantérienne. Oedèmes des membres inférieurs dans le contexte d'hydratation parentérale et de corticothérapie. Oedèmes des membres inférieurs DD insuffisance veineuse, insuffisance lymphatique : • Torem, bandage des jambes. Oedèmes des membres inférieurs en augmentation. Oedèmes des membres inférieurs en péjoration. Oedèmes des membres inférieurs le 18.02.2019. Oedèmes des membres inférieurs sur décompensation cardiaque, DD mixte sur hypoalbuminémie (albumine à 33 g/l le 04.02.2019). Oedèmes des MI. Oeil droit : hausse de pression intraoculaire suite à une mal compliance médicamenteuse (diamox) sur glaucome DD le 30.01.2019 • Tension oculaire dans la norme le 31.01.2019. Oeil droit rouge. Oeil gauche : décollement de la rétine (macula ON) le 15.02.2013 Probable tendinite des tendons extenseurs du pouce gauche le 14.08.2018 Situation précaire à domicile avec peine à effectuer tous les AVQ Proposition d'aide à domicile à organiser par le médecin traitant. Oeil rouge.Oeso-gastro-duodénoscopie le 24.01.2019 (Dr. X) : Ulcère pylorique de 2 mm Forrest III. Hernie hiatale de 3 cm. Pas de signe de saignement frais. Oeso-gastro-duodénoscopie le 28.01.2019 (Dr. X) : Guérison de l'ulcère antral. Pas de lésion susceptible de saigner dans le tube digestif supérieur. Colonoscopie le 29.01.2019 (Dr. X) : Résidus méléniques dans tout le cadre colique, pas de sang frais. Résection d'un volumineux polype pédiculé dans le côlon ascendant, possiblement à l'origine du saignement digestif avec pose d'un clip hémostatique. Commentaires : L'examen ne retrouve donc pas de saignement actif. Il est possible que le volumineux polype réséqué ait été à l'origine du saignement étant donné sa taille. Un saignement sur diverticule est également possible. Je vous propose d'effectuer un suivi hémodynamique du patient. En cas de persistance de la baisse de l'hémoglobine et d'évacuation de sang frais dans les selles, merci de nous recontacter pour discuter de la suite de la prise en charge. CT THORACIQUE NATIF ET INJECTE DU 30.01.2019 CT ABDOMEN NATIF ET INJECTE DU 30.01.2019 Etage thoracique : Mise en évidence d'une embolie pulmonaire centrale droite avec extensions lobaires supérieures moyenne et inférieure. Doute sur la présence d'une embolie pulmonaire lobaire supérieure gauche. Épanchement pleural de faible abondance avec atélectasie passive de la voie inférieure associée. Coronaropathie tri-tronculaire et statut post-pontage aorto-coronarien. Etage abdominal : Mise en évidence d'une distension de la vésicule biliaire avec lithiase et calcification en son sein et lithiase calcifiée au sein du cholédoque proximal. Les parois de la vésicule biliaire présentent une épaisseur à la limite supérieure de la norme et on note la présence d'une infiltration liquidienne au contact de cette vésicule et de la pointe du foie (cholécystite ?). Pas de dilatation des voies biliaires. Status post-résection de polypes avec mise en place de clips dans le colon ascendant. Pas de pneumopéritoine mis en évidence. ETT du 30.01.2019 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Ventricule droit normal. Ventricule droit non dilaté. Absence d'insuffisance tricuspide. Absence d'épanchement péricardique. Sonographie abdominale 31.01.2019 Exploration hépatique limitée compte tenu d'une interposition colique pré-hépatique. Distension vésiculaire modérée avec un diamètre maximal de la vésicule à 100 mm. Présence d'un calcul calcifié dans l'infundibulum vésiculaire avec présence de sludge alentour. Les voies biliaires extrahépatiques ne sont pas visualisables. Absence de dilatation des voies biliaires intrahépatiques. Présence de kystes biliaires au sein des deux hépatiques déjà visualisés sur le scanner. Lame d'épanchement péri-hépatique. Présence d'une lame d'épanchement pleural droite. Oeso-gastro-duodénoscopie par le Professeur X le 15.01.2019. Oesophagite à candida 28.01.2019 et le 10.02.2019 DD : sur corticothérapie, oesophagite radique, irritation sonde nasogastrique Oesophagite et gastrite post-radique dès le 8.02.2019 Oesophagite sous Pantoprazole 40 mg. Surpoids. OGD à distance si persistance des douleurs malgré traitement d'épreuve par IPP. OGD à organiser en ambulatoire. Suivi de l'anémie chez le médecin traitant. OGD de contrôle le 28.02.2019 à 11h à l'HFR Fribourg (transport à organiser, patient à jeûn). OGD du 23.01.2019 (Dr. X) Pantoprazole iv du 22.01 au 24.01.2019. Nexium du 24.01 au 29.01.2019. OGD et colonoscopie en janvier 2019 pour douleurs abdominales. Bronchite asthmatiforme en décembre 2018 (Amoxicilline, Ventolin, Cortisone). OGD le 25.02.19. OH chronique depuis environ 4 ans. OH chronique (1-2 bières + 1-2 verres de vin/jour). OH chronique. Fibrillation auriculaire paroxystique. Fuites persistantes de la gastrostomie. OH chronique. Fibrillation auriculaire paroxystique. Fuites persistantes de la gastrostomie • Mise en place le 11.12.18 suite à des fausses routes et dysphagies • Alimentation parentérale du 23.12.2018 au 21.01.19 • Suivi par les diététiciennes • Suivi stomatothérapeute • CT thoraco-abdominal 23.12.2018 • Drainage sous guidage CT : reposition de la PEG • CT abdomen 25.12.18 • CT abdominal supérieur 26.12.2018 • CT abdominal 28.12.2018 • Ultrason abdominal 13.1.2019 • CT abdominal 16.01.19. OH chronique. Tabagisme actif à 33 UPA. Consommation de cannabis. Gastrite sur OH chronique. Vomissements journaliers depuis 25 ans. Hémorroïdes. Arthrose des épaules. Plaie superficielle péri-anale de 4 cm le 25.06.2016. Syndrome de dépendance à l'alcool Probable folliculite chronique du tronc. Trouble anxieux chronique avec consommation OH, Benzo, Tramadol et cannabis. • Suivi au RFSm en 2013 Toux paroxystique. Mauvais état dentaire chronique. OMA à gauche. OMA à répétition, 2 épisodes en février 2013. OMA avec probable perforation. OMA bilatérale. OMA bilatérale. OMA bilatérale. OMA bilatérale. OMA bilatérale. OMA bilatérale. OMA bilatérale au décours. OMA bilatérale au décours. OMA bilatérale débutante. OMA bilatérale Dte > G. OMA bilatérales. OMA bilatérales. OMA D > G. OMA droite. OMA droite. OMA droite. OMA droite. OMA droite. OMA droite. OMA droite. OMA droite + pharyngite. OMA droite avec otorrhée purulente. OMA droite avec otorrhée purulente. OMA droite, chez un enfant sujet aux otites. OMA droite (DD bilatérale). OMA droite débutante. OMA droite débutante. OMA droite débutante. OMA droite légère. OMA droite perforée + saignement secondaire lié à la fragilité des tympans + ou - coagulopathie sous-jacente et effet secondaire Algifor. OMA G. OMA gauche. OMA gauche. OMA gauche. OMA gauche. OMA gauche. OMA gauche. OMA gauche + rhinopharyngite + conjonctivite purulente bilatérale. OMA gauche avec écoulement purulent. OMA gauche débutante. OMA gauche légère. OMA gauche perforée. OMA gauche perforée. OMA gauche, rhinopharyngite. OMA perforée à droite. OMA perforée probable avec une otorragie D. OMA 1x. Omalgie droite. Omalgie droite sur chute. Omalgies chroniques gauche de type inflammatoire acutisée sous investigations le 06.02.2019. • dépistage maladie inflammatoire chez le médecin traitant en cours. Omalgies D avec arthrose AC et tendinopathie du sus-épineux, lésion transfixiante mais sans rupture complète. Omalgies D sur suspicion de syndrome de la coiffe. Omalgies droites non traumatiques d'origine X. DD Dégénérescence de la coiffe des rotateurs. DD conflit sous-acromial. Status post antéposition sous-musculaire nerf cubital G avec cure d'épitrochléite le 22.08.2017. Status post cure d'épitrochléite et antéposition sous-cutanée du nerf cubital coude droit le 06.06.2016. Status post hernie discale cervicale et mise en place de 2 prothèses discales en 2016. Épitrochléite gauche avec irritation du nerf cubital au niveau du coude gauche. Status après infiltration épitrochléite coude gauche le 17.2.2017. Entorse sterno-claviculaire droite sans instabilité. Omalgies droites traumatiques d'origine X. Omalgies droites post-traumatiques d'origine X. Omalgies gauches chroniques avec petit dépôt de tendinite calcifiante du sus-épineux. Omalgies gauches sur probable tendinopathie du sus-épineux sur status post traitement conservateur d'une fracture sous-capitale de l'humérus gauche. Gonarthrose symptomatique bilatérale à prédominance droite. Status post infiltration du genou droit le 4.7.2018. Omalgies post-traumatiques G d'origine inconnue. Omalgies post-traumatiques épaule gauche avec tendinopathie du sus-épineux et sous-scapulaire, éventuelle rupture spontanée du LCB sur status post fracture des parties postérieures de la glène gauche suite à un AVP en août 2014. Mr. Y présente un état fébrile avec une éruption maculo-papulaire diffuse, une chéilite avec langue framboisée et une déshydratation légère. Au niveau de la sangre, nous avons observé un syndrome inflammatoire (leucocytes 16.4 G/l, CRP 73 mg/l, VS 28mm/1h) et dans l'urine une hématurie microscopique qui était déjà présente en octobre 2010. Au vu des difficultés alimentaires, nous avons posé une perfusion de Glucosalin durant 24h. Au vu de l'exanthème qui s'est présenté comme une scarlatine, nous effectuons un frotti de la gorge pour des streptococcus qui se révèle être positif, mais étant donné que Mr. Y ne montre pas de signe d'angine, l'amoxicilline a été arrêtée après trois doses. Un syndrome de Kawasaki a été considéré, mais pendant l'hospitalisation Mr. Y n'a jamais eu de fièvre. Son état général était bon et il n'était pas irritable. Les signes inflammatoires ont diminué dans la sangre, mais toutefois une légère thrombocytose s'est avérée. Une échocardiographie le 05.02.2018 est revenue normale. Il n'a pas eu de signes indirects de Kawasaki (taux élevé de transaminases, leucocyturie, arthalgies, etc.) Le jour de sa sortie, Mr. Y présentait une otite gauche. Nous débutons alors une thérapie avec algifor et Triofan. On interprète ces symptômes dans le contexte d'une infection virale. Une scarlatine est aussi possible. Au vu de la clinique et de l'amélioration des signes inflammatoires, nous ne commençons pas un traitement par amoxicilline. Il n'y a pas de critères pour un syndrome de Kawasaki. Un retour à domicile est organisé le 06.02 avec un contrôle clinique prévu le 08.02 à 14h. Si apparition d'un pic fébrile, se présenter aux urgences avant le contrôle. Mr. Y présente un état général avec absence des signes cliniques d'un syndrome de Kawasaki. Vu sa symptomatologie initiale en faveur d'un syndrome de Kawasaki, après avis infectiologique, nous proposons un contrôle échocardiographique dans une semaine chez Dr. X le 13.02.19 à 13:30. Pas de contrôle clinique nécessaire. Concernant la peau sèche sans desquamations, nous proposons l'application d'une pommade pour la réhydratation locale. Omarthrose sévère et rupture partielle de la coiffe des rotateurs épaule G. Status post prothèse totale inversée en 2007 à D. Omarthrose bilatérale stade IV. Hypertension artérielle. Glaucome à angle ouvert. Douleurs chroniques connues au niveau du tronc et des membres supérieurs. Omarthrose D, rupture de coiffe et arthrose AC symptomatique. Status post résection AC, acromioplastie et suture du sus-épineux en 1993. Omarthrose D. Tendinopathie de la coiffe des rotateurs, épaule D (sus-épineux). Découverte fortuite d'un os acromial. Gonarthrose D, infiltration par 80mg de Dépo-Médrol le 10.10.2018. Omarthrose débutante sur rupture massive chronique de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite avec rupture spontanée du long chef du biceps. Omarthrose D. Lésion subtotale sus-épineux et sous-épineux épaule D. Hémisyndrome G avec héminégligence G sur les séquelles d'une trépanation en 2018. Omarthrose droite débutante avec lésion SLAP type II oligosymptomatique. Omarthrose gauche sévère sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs. Status post infiltration épaule gauche du 25.1.2019. Omarthrose post-traumatique de l'épaule gauche sur status post ostéosynthèse d'une fracture de la glène type I, le 24.03.2016. Épaule droite : Rupture chronique du sus-épineux avec rétraction du 3ème degré avec tendinopathie du LCB. OMIG postopératoire. On a longtemps discuté avec la patiente de continuer avec un traitement conservateur ou de passer à une intervention chirurgicale avec une plastie du LCA. Lorsqu'on voit l'instabilité, on est plutôt pour un remplacement du LCA. À l'examen, elle n'a pas de lésion du ménisque. Comme la dernière IRM date déjà d'il y a deux ans, on va en refaire une. Nous la reverrons par la suite. Nous pré-réservons déjà une date opératoire début avril. On commence avec un traitement conservateur chez ce patient avec ses lésions partielles de la coiffe et une bonne fonction de l'épaule. On prescrit de la physiothérapie selon San-Antonio. Concernant le coude, le patient a une épicondylite chronique qui date depuis quelques années, on essaye un traitement local avec physiothérapie massage Voltarène® iontophorèse et application de Flector® patch. On reverra le patient dans 8 semaines pour un contrôle clinique. On commence avec un traitement en physiothérapie avec mobilisation du genou D, renforcement musculaire, proprioception. Pas de pivot. On revoit la patiente pour un prochain contrôle dans 6 semaines. On conseille au patient de suivre un traitement pour la cicatrice distale par un massage et protection du soleil pendant une année. Pas de nouveau contrôle prévu mais nous restons à disposition en cas de besoin. On constate chez Mme. Y une faiblesse à M0 du sus-épineux et infra-épineux de l'épaule gauche suite à l'ablation de la plaque Philos le 24.1.2019. Comme diagnostic différentiel, je retiens une neuropraxie du nerf supra-scapulaire éventuellement due à l'infiltration péri-opératoire par Naropine. Comme 2ème diagnostic différentiel, il faut retenir une rupture de la coiffe des rotateurs (sus-épineux et infra-épineux) après l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Comme je n'ai pas eu en intra-opératoire l'impression d'avoir blessé la coiffe des rotateurs, je pense plutôt à une neuropraxie du nerf supra-scapulaire. Mme. Y avait déjà fait un problème de neuropraxie post-opératoire, ceci probablement associé au bloc inter-scalénique qu'elle a eu. Afin de clarifier la situation, j'adresse la patiente chez le neurologue, le Dr. X, pour un nouveau bilan par EMG le 4.2.2019 à 18h15 à la recherche d'une neuropraxie du nerf supra-scapulaire et j'adresse également la patiente pour une IRM de son épaule gauche le 4.2.2019 à 16h00 à la recherche d'une rupture de la coiffe des rotateurs. Entre-temps, elle continue la physiothérapie. Je lui ai prescrit une électro-stimulation par Compex. Prochain contrôle suite à son IRM et le bilan neurologique le 6.2.2019. La patiente reste en arrêt de travail à 100%. • On désinfecte la plaie et on la colle avec Dermabond. Reconsulter en cas de signes d'infection. • On discute avec la patiente de la réfection des semelles adaptées pour corriger le pied plano-valgus ddc et, avec supplément d'une surélévation longitudinale du bord latéral à G de 5 mm par les techniciens orthopédistes. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. • On discute avec la patiente de porter le Vacopedes pour encore 3 semaines avec charge selon douleurs. Nous la reverrons dans 3 semaines pour voir si on peut mettre, à la place du Vacopedes, une semelle en carbone type Ottobock. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à fin mars. Les anti-inflammatoires sont contre-indiqués chez cette patiente qui présente des problèmes d'estomac. • On discute avec le patient de la possibilité de faire une chirurgie. Il s'agirait de faire une cure de pseudarthrose, dans un premier temps, et on recommande de faire une biopsie pour bactériologie et histologie et fenestration osseuse avec mise en place d'Ostéosets de Vancomycin après traitement par antibiothérapie avec une fenêtre de 2 semaines. Ensuite, on pourrait refaire une ostéosynthèse avec une greffe de la crête iliaque. Le patient va réfléchir à cette option thérapeutique. Actuellement il ne souhaite pas d'intervention car il n'est pas prêt psychologiquement d'être à nouveau réhospitalisé. Poursuite de la physiothérapie à sec et en piscine. On explique au patient que la plaque peut se casser et qu'il doit consulter aux urgences s'il ressent plus de douleurs ou s'il remarque des signes d'infection ou d'inflammation au niveau du tibia. Nous prions les dermatologues de convoquer le patient pour cet exanthème violent au niveau du visage. • On discute avec le patient de poursuivre les séances d'ergothérapie et exercices lui-même, régulièrement. L'arrêt de travail à 100% est prolongé jusqu'à fin février. Ensuite, reprise à 50%. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. • On discute avec le patient et son papa de faire, en premier temps, une cure d'ongle incarné du bord latéral de l'hallux à D selon Kocher. On explique le déroulement de l'intervention, les risques et les bénéfices. Ils acceptent et signent le consentement éclairé. L'intervention est prévue pour le 05.03.2019. • On discute avec le patient que le nerf fibulaire superficiel côté latéral a pu être gêné par la cicatrice mais aussi par le traitement postopératoire par plâtre. On pense qu'il va récupérer. On parle encore une fois de l'AMO avec le patient et sa maman. Sa maman souhaite ceci après les vacances d'été. Il peut reprendre toutes ses activités sportives selon douleurs. Il reprendra contact avec nous cet été. • On est devant une assez bonne évolution, par contre avec une appréhension résiduelle du patient. Très probablement vu que la capsule a été tendue lors du geste chirurgical, le patient sent maintenant plus facilement une tension capsulaire ce que le cerveau digère comme appréhension. Je propose tout d'abord de réintroduire des exercices de renforcement de la coiffe des rotateurs afin de donner plus de tonus aux stabilisateurs actifs de l'épaule. Vu que le patient connaît ces exercices, je n'ai pas prévu un suivi physiothérapeutique. Il va travailler avec l'élastique pour travailler la coiffe des rotateurs. Je le reverrai dans 3 mois pour refaire le point le 23.5.2019. • On est en face d'une rupture traumatique du sus-épineux. Vu la bonne qualité musculaire, on peut partir du principe qu'il s'agit d'une rupture récente. Vu l'âge du patient et sa faiblesse au Jobe, je retiens l'indication opératoire. J'informe le patient du déroulement intra et post-opératoire d'une réinsertion sus-épineux avec ténotomie et ténodèse du LCB, éventuellement réinsertion des parties hautes du sous-épineux en fonction de l'image arthroscopique. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 11.3.2019. • On explique à la patiente les différentes modalités chirurgicales possibles, à savoir transfert tendineux de l'extenseur hallucis longus vs arthrodèse. Les différents avantages et inconvénients des modalités respectives sont expliqués à la patiente. En particulier, on explique que l'arthrodèse présente une meilleure garantie de résultat pour une convalescence un peu plus prolongée. La patiente essaie de réfléchir à notre proposition. Nous la reverrons en juillet pour qu'elle nous fasse part de sa décision. • On ne peut pas retenir de diagnostic formel sur la base de ces imageries. Afin d'améliorer la symptomatologie, nous prescrivons au patient lits plantaires de décharge. Nous reverrons le patient pour un bilan clinique dans 3 mois environ. D'ici-là, poursuite des soins de plaie avec les produits anti-verrues et soins podologiques. • On note une bonne évolution à une semaine du traitement conservateur. On organise la fabrication d'une attelle Edimbourg en ergothérapie du 4ème et 5ème doigt et on reverra la patiente dans 4 semaines pour un contrôle radioclinique. • On note une bonne évolution à 2.5 mois de l'intervention. Le patient va poursuivre la physiothérapie. Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. • On note une bonne évolution à 6 mois de l'intervention. On attend encore une amélioration de la situation avec poursuite du travail. Le patient va probablement encore gagner en force. On attend également une évolution favorable des douleurs. Prochain contrôle clinique dans 4 mois. • On note une bonne évolution mais lente. Des exercices doivent être faits pour améliorer la mobilisation en actif et en passif. De plus, une désensibilisation de la cicatrice et du nerf du côté ulnaire est nécessaire, la patiente va donc poursuivre l'ergothérapie. Prochain contrôle clinique le 22.02.2019. • On note une évolution favorable chez un patient qui arrive à bien vivre en dépit de la perte de mobilité. D'autre part, le fil présent toujours visible à la peau est couvert par une croûte sans signe inflammatoire, asymptomatique, qu'on décide de laisser en place. Toutefois, le patient est clairement informé qu'il doit s'alarmer et consulter en urgence en cas de survenue de signe inflammatoire local, de douleur ou d'écoulement. On le reverra dans 2 mois afin de contrôler l'état cutané au niveau de cette croûte avec ce fil. • On note une évolution favorable suite à la prescription des angiologues. En ce qui nous concerne, on note une évolution favorable avec des lésions cutanées guéries. Nous ne prévoyons pas de revoir le patient en consultation mais nous restons à disposition. • On note une évolution insatisfaisante caractérisée par la persistance de douleurs, réfractaires à tous traitements jusqu'à maintenant. La patiente est adressée chez le plâtrier afin de bénéficier de la confection d'une semelle avec surélévation du bord externe, ce qui devrait permettre de soulager la tension sur les péroniers. La patiente reçoit un arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. Prescription de physiothérapie à but anti-inflammatoire. Prochain contrôle dans 2 mois. • On note une excellente évolution. Poursuite du traitement conservateur chez la patiente. • On note une très bonne évolution chez cette patiente, qui est totalement asymptomatique. Elle est autorisée à reprendre toutes les activités physiques sans restriction. Prochain contrôle clinique dans 1 année pour nous assurer de l'absence de trouble de croissance.On objective un bon effet par ce traitement du Plurogel et Mepilex border et bande compressive. Au vu d'une bonne évolution, on peut espacer les contrôles à raison d'un contrôle toutes les 2 semaines. On objective une bonne réponse de la plaie au nouveau protocole. Réfection du pansement après avoir effectué une désinfection et un débridement doux au tampon ouaté et de la fibrine. Poursuite du protocole établi à domicile et prochain contrôle clinique à notre consultation dans 1 semaine. On observe une mauvaise évolution postopératoire chez cette patiente. Selon ses dires, elle a eu une nouvelle IRM de l'épaule droite en décembre 2018, celle-ci a permis d'exclure une re-rupture du sus-épineux. Je n'ai malheureusement pas cette imagerie à disposition. En présence du coach AI, je mentionne les restrictions bien évidentes pour cette patiente en tant qu'ouvrière Nestlé. À mi ou long terme, une reconversion professionnelle doit être au moins discutée. En ce qui concerne le traitement, je préconise une infiltration sous-acromiale, afin de calmer les douleurs de façon transitoire. Celle-ci est agendée pour le 01.03.2019. Un prochain suivi est programmé chez moi pour le 21.03.2019. On organise un CT scan compte tenu d'une suspicion de pseudarthrose. Nous le reverrons après l'examen pour discuter des résultats. On peut raisonnablement poser l'indication à une prothèse totale de hanche chez ce patient dont la qualité de vie est entravée par une coxarthrose avancée. Nous avons expliqué au patient le déroulement de l'intervention, ainsi que les risques et bénéfices et il signe le consentement éclairé. On planifie l'opération pour le Professeur X pour le 14.03.2019 en décubitus dorsal. On pose une indication opératoire pour repérer cette re-rupture du tendon fléchisseur profond de l'index. Le patient est informé du déroulement de l'intervention avec les risques et bénéfices. Il donne son accord en signant le consentement éclairé. L'intervention est programmée pour le 20 février 2019. On pourrait proposer une infiltration qui pourrait avoir un effet thérapeutique mais également diagnostic au niveau de la 1ère coulisse. On poursuit le protocole avec Aquacel argent jusqu'à ce que la plaie soit totalement sèche. Au vu de la bonne évolution, on peut espacer ses pansements à 1x tous les 2 jours. Prochain contrôle le 11.03.2019. On prescrit du Keli-med qu'il peut mettre sur la cicatrice sèche, côté latéral. Protection de la cicatrice par des compresses simples. On va revoir le patient dans 2 semaines. Si tout va bien, on pourra enlever le plâtre et le patient pourra se mobiliser selon douleurs. On prescrit encore des bas de contention et des supports plantaires. Prochain contrôle dans une année. On prévoit une infiltration dans 4 semaines puis une 3ème tout en poursuivant la mobilisation. On procède au débridement de la croûte fibrineuse après application de Prontosan. Application de NuGel, Adaptic, compresses et bandage. Prochain contrôle dans 1 semaine à la consultation. D'ici là, réfection du pansement par les soins à domicile mercredi et vendredi. On propose à la patiente de refaire une IRM pour exclure une ostéomyélite au niveau de cette ostéolyte DD ostéonécrose. On la reverra le 18.02.2019. Si elle remarque avant une aggravation avec chaleur et rougeur, elle doit nous contacter. Comme option thérapeutique, on peut faire une résection de la tête du 3ème métatarsien. On propose au patient de reprendre la physiothérapie pour renforcer la cheville et également ses activités sportives selon douleurs. Le physiothérapeute peut aussi traiter les adhérences au niveau de la cicatrice. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. On réalise un bilan biologique qui montre un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 14.9G/l et CRP 40mg/l. On réalise un U/S du MIG au vu des douleurs du mollet gauche prédominantes à ce niveau qui infirme une thrombose. On retient un érysipèle qu'on traite avec du Co Amoxicilline IV 2.2g en dose de charge puis 1200mg 3x/j pour minimum 10j à réévaluer. On prend contact avec l'EMS La Rose des Vents de la patiente qui fera les perfusions. Un contrôle clinique et biologique sera réalisé par le médecin de l'EMS qui passera de nouveau dans une semaine. Merci d'évaluer selon clinique la nécessité de la durée du traitement au-delà de 10j. On refait les pansements et on prolonge le protocole au niveau de l'ulcère de la jambe et du talon. Au niveau de l'hallux, nous allons effectuer une désinfection par du Prontosan 1x par jour, bien sécher et laisser cette zone à l'air. Nous le reverrons dans 1 semaine. Il s'agira d'éviter de faire un pansement occlusif au niveau de cette zone. Si toutefois la situation est non évolutive, il faudra envisager de faire un frottis pour rechercher une contamination fongique. On retient un diagnostic d'entorse de grade II. On recommande la poursuite du traitement conservateur par attelle pour un total de 6 semaines et une éviction des activités sportives pour un total de 6 semaines. La patiente qui se sent inconfortable dans l'attelle actuelle reçoit une prescription pour aller chercher une attelle VacoAnkle adaptée pour sa cheville pour les 5 prochaines semaines. Une IRM n'est pas indiquée dans l'immédiat en l'absence d'instabilité. Nous allons conduire le traitement conservateur et on la reverra dans 6 semaines post-traumatique. On trouve une limitation de mobilité assez marquée chez ce patient au niveau de l'épaule et de la main. Il me semble judicieux d'initier un traitement d'ergothérapie pour rééduquer la main, avec application d'une attelle d'enroulement des doigts D2 à D4 pour la journée et des attelles d'extension la nuit. Prescription de physiothérapie à sec et dans l'eau pour lutter contre la raideur articulaire marquée au niveau de l'épaule. J'ai programmé un nouveau contrôle chez moi dans 6 semaines. Reprise du travail à 50% à partir du 18.02.2019. Prochain rendez-vous le 27.03.2019. On va plutôt jouer la prudence avec poursuite du port de l'attelle pour encore 2 semaines puis contrôle radio-clinique chez moi le 27.02.2019. Ondansetron 0.2 mg/kg Consignes usuelles déshydratation Ondansetron 0.2 mg/kg Consignes usuelles déshydratation Ondansetron 0.2 mg/kg Consignes usuelles déshydratation Consignes usuelles en cas de varicelle Ondansetron 0.2 mg/kg Normolytoral 200ml avec une diarrhée en débâcle motivant 2x200 ml de Normolytoral en plus sans récidive de vomissements/diarrhées. Aura bu en tout 50 ml/kg de Normolytoral en 4h. En raison d'absence d'urine depuis le matin, d'après la mère, ulcérason de la vessie dans le service montrant une vessie modérément pleine. Enfant présentant des phases d'apathie. À son départ, bien tonique, rigole et joue avec son père. Ondansetron 0.2 mg/kg Normolytoral 200ml: refus. Boit 200 ml de jus de pomme mais 1 vomissement et 3 diarrhées en débâcle. Dans ce contexte, hospitalisation pour hydratation IV. Ondansetron 0.2 mg/kg Normolytoral 200ml Consignes usuelles déshydratation Ondansetron 0.2 mg/kg Normolytoral 50 ml/kg sur 4h Consignes usuelles déshydratation Contrôle dans 24h aux urgences (parents appelleront pour annuler si pédiatre disponible) Ondansetron 0.2 mg/kg Pose de VVP avec 2 bolus NaCl 0.9% 20ml/kg Normolytoral 160ml puis sirop 160ml Consignes usuelles déshydratation Contrôle dans 24h aux urgences avec gazométrie Ondansetron 1 dose de 4 mg Consignes usuelles déshydratation Ondansetron 2 mg à 20h20 par la suite ne vomit plus et boit 40ml. Ondansetron 2 mg p.o Conseils de réhydratation Itinérol B6 bébé 10mg Normolytoral Antalgie Reconsulter en cas de signes de déshydratation Ondansetron 2mg aux urgences, car très nauséeuse, réhydratation à faire à la maison. Ondansetron 2mg Conseils de réhydratation à domicile Ondansetron Consignes usuelles déshydratationOngle incarné, bord interne et externe, hallux G. Ongle incarné droit le 24.11.2014. Ongle incarné gros orteil gauche stade I. Ongle incarné O1 pied D. Onychomycose des pieds ddc. Multiples verrues plantaires ddc. Ongle incarné symptomatique du bord latéral du 3ème orteil du pied D. Status post mise à plat d'un abcès à S. Pyogenes du 5ème rayon du pied D le 24.10.2018. Status post mycose unguéale des orteils 1-5 pied D. Status post mycose interdigitale entre le 4ème et 5ème orteil. Ongle incarnée au 1er orteil gauche. Cure d'ongle incarné au 1er orteil gauche et mise en place d'une prothèse d'ongle (Opération le 21.07.2015). Onychomycose du gros orteil droit. OP à prévoir quand la patiente reprendra contact. OP cataracte ddc Vasculite cutanée sur cryoglobulinémie dans le contexte d'une hépatite C virale, traitée et guérie en 2017. Cure de hernie ombilicale incarcérée selon Rives le 27.06.2018. Cure de hernie ombilicale en 2003 en Irak. Opération X au niveau abdominal en Irak. OP de la myopie et de l'astigmatisme en juin 2012. Entorse du poignet D en 2009. Fracture du radius distal G. Entorse de l'avant-pied D. Chute de 5 m le 19.05.2013 avec • Fracture non déplacée du calcanéum ddc post chute de 5 mètres le 19.05.2013 avec à G fracture intra-articulaire, tt conservativement, à D fracture simple du tuber latéral, extra-articulaire, tt conservativement. • Fracture-tassement antérieur L1 sans trouble neurologique, tt conservativement. • Fracture du sacrum S4 G non déplacée, transversale avec composante verticale, tt conservativement. Suspicion d'accident vasculaire cérébral le 10.04.2015 avec aphasie et apraxie. • Transfert à l'Hôpital de l'Ile pour suite de prise en charge. OP épaule gauche 09/2016. Fausse couche en 1985. OP hallux ddc. APP. Hystérectomie. Erythème migrant. Trouble de la personnalité borderline. Suspicion de polyarthrite. OP hernie discale L4-L5 en 2006. OP hernie hiatale. Cholécystectomie. OP hernie hiatale. Cholécystectomie. OP hernie inguinale. Amygdalectomie. OP hernie ombilicale 2015. OP kyste sacro-coccygien 2014. OP genou G 2005. OP fracture os maxillaire 2006. OP insuffisance du tendon d'Achille D. OP le 01.03.2019. OP le 02.04.2019. OP le 05.03.2019. OP le 06.02.2019. OP le 08.05.2019. OP le 09.05.2019. OP le 12.02.2019. OP le 12.03.2019. OP le 13.03.2019. OP le 14.02.2019. OP le 15.02.2019. OP le 16.04.2019. OP le 19.02.2019. OP le 20.02.2019. OP le 22.02.2019. OP le 23.04.2019. OP le 26.02.2019. OP ligament croisé et ménisque genou D 2013. OP prévue le 06.02.2019. OP prévue le 12.03.2019. OP prévue le 13.02.2019. OP prévue le 13.03.2019. OP prévue le 27.02.2019. Opacité mammaire spiculée sur l'incidence oblique au niveau inférieur gauche: • infra-centimétrique visualisé à l'échographie mammaire en 2015, • suivi de dépistage pas clair. Opacité spiculée d'env. 1 cm intéressant le segment supérieur de la lingula le 12.08.2017. • CT thoracique le 29.11.2017: disparition quasi complète des lésions précédemment décrites actuellement non suspecte. Epanchements pleuraux de type transsudat d'origine indéterminée le 18.08.2017. Fracture ilio-ischio-pubienne droite sur chute accidentelle le 31.01.2018: prise en charge conservatrice. Opération à l'âge de 6 ans pour probable sténose urétérale. Gastro-entérite d'origine bactérienne probable, traitée par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pendant 5 jours. Epigastralgie 26.05.2017. • sur probable gastro-entérite. Crise d'angoisse 26.05.2017. Opération ambulatoire pour le 13.02.2019. Opération au niveau abdominal. Opération au niveau genou et tibia à gauche en 2017. Sciatalgie des 2 côtés gauche > droite, le 13.07.2018. Opération bilatérale de la cataracte par le Dr X le 20.02.2019: Oeil droit: extraction extra-capsulaire de la cataracte par phako-émulsification et mise en place d'une lentille pliable de chambre postérieure de type NIDEK SZ-1 de 23.0 dioptries. Oeil gauche: extraction extra-capsulaire de la cataracte par phako-émulsification et mise en place d'une lentille pliable de chambre postérieure de type NIDEK SZ-1 de 24.5 dioptries (myopie espérée de -1.3). Opération de la cataracte oeil droit. Operation de la cataracte aux deux yeux en 2016. Réhabilitation gériatrique en juillet 2018 pour trouble de la marche sévère avec déconditionnement avec: • coxarthrose des deux côtés. Implantation PTH à droite le 27.06.2018. Anémie normochrome normocytaire le 04.07.2018 avec Hb 106 G/l. • Ferritine 156ug/l (normal), Vitamin B12 263pg/ml (normal), acide folique 4.2ng/ml (normal). Opération de la cataracte des deux côtés en 2014. Entorse du ligament latéral interne du genou droit sur troubles de la marche et de l'équilibre. Opération de la cataracte en 2011. Diplopie opérée en 1994. Décompensation hyperglycémique du diabète de type II en 1997. • Polyneuropathie et néphropathie diabétiques. Insuffisance rénale, DD chronique sur diabète de type II, aigu sur décompensation diabétique. • US urogénital : atrophie bilatérale du parenchyme rénal. Reste de l'US du bas ventre sans particularité. AIT anamnestique. Amnésie globale transitoire, selon le dossier. Opération de la cataracte oeil droit le 06.11.2018 et oeil gauche le 11.12.2018. • prochain contrôle le 11.01.2019. Mal perforant plantaire de l'AMP du premier orteil droit. Nécrose surinfectée du 4ème orteil droit. Arthrite avec fistulisation à la peau de l'inter-phalangienne proximale du 4ème orteil gauche. Insuffisance rénale chronique dans le contexte d'une néphropathie diabétique stade 3 avec acidose métabolique. Amélioration hémodynamique et suivi biologique. Opération de la cataracte oeil droit le 06.11.2018 et oeil gauche le 11.12.2018. Triple pontage aortocoronarien le 21.12.2018. NSTEMI sur maladie tritronculaire avec la pose de 3 stents actifs le 04.04.2018. Nécrose surinfectée du 4ème orteil droit. Arthrite avec fistulisation à la peau de l'inter-phalangienne proximale du 4ème orteil gauche. Opération de l'intestin grêle (résection selon la patiente). Opération de sigmoïdectomie sur sigmoïdite (1999). Néphrolithiase gauche. Opération de sinusite en 2007 et 2008. Status post césarienne en 2012, 2190 g à 36 semaines d'aménorrhée, Portugal. Status post laparoscopie avec salpingectomie gauche en juin 2016 pour grossesse extra-utérine, injection 50 mg Méthotrexate à J1. Accouchement par césarienne itérative en urgence pour suspicion de déhiscence au niveau de l'ancienne cicatrice à 35 4/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 25 ans. Syndrome grippal, le 21.03.2018. Status post éradication de H. Pilori. Status post-hystérectomie en 08.2018. Céphalées fronto-temporales inhabituelles. • Opération des amygdales dans l'enfance. • Cystite. • Opération des deux yeux de la cataracte. • Status post-fracture cheville droite en 2000. • Réaction allergique/inflammatoire suite à une piqûre d'abeille le 27.07.2013. • Traitement par Prednisone 50 mg pendant 3 jours. • Xyzal 5 mg pendant 5 jours. • Opération des hémorroïdes. • Réduction mammaire. • Réaction allergique localisée cuisse droite sur piqûre de taon le 07.07.2015. • Epigastralgies. • Marisques à 1-2 heures en position gynécologique. • Mariscectomie par excision selon Fergusson modifié. • Opération des ménisques en 2010. • Insuffisance rénale aiguë oligo-anurique avec hyperkaliémie et acidose métabolique le 05.05.2012 d'origine pré-rénale (dans le contexte d'une déshydratation avec composante médicamenteuse (Metfin) avec dialyse du 05.05 au 06.05.2012. • Pancréatite aiguë d'origine indéterminée le 05.05.2012 (DD : sur Crestor). • Insuffisance rénale aiguë sur chronique (KDIGO G3b) d'origine prérénale sans critère AKIN, le 20.11.2017. • Angor stable sur anémie le 22.11.2017. • Anémie hypochrome microcytaire hyporégénérative à 48 g/l d'origine mixte : sur spoliation digestive le 20.11.2017 sur lésion de Cameron (ulcère actuellement recouvert de fibrine Forrest III), déficit en fer, vit B12 et folates et sur insuffisance rénale chronique G3b selon KDIGO. • Opération des sinus en novembre 2018. • Céphalées fronto-temporales d'origine indéterminée le 17.07.2016. • CT cérébral, vaisseaux précérébraux, massif facial : pas de fracture, pas saignement, pas masse, vaisseaux précérébraux libres, infiltration des tissus mous au niveau de l'hématome, sinusite maxillaire D. • Hématome conjonctival et palpébral D d'origine indéterminée le 17.07.2016. • Opération d'hallux valgus G le 21.01.19. • Appendicectomie dans l'enfance. • Opération du genou droit, ligaments croisés le 14.04.2011. • Status post-douleurs rétrosternales. DD : musculo-squelettiques, sur péricardite. • Paresthésie au bras gauche. • Hernie discale opérée en 2012 et en 2018. • Lombosciatalgies droites L4-L5-S1 déficitaires le 05.07.2012 : • opéré en 2012 à Fribourg. • opéré à Berne par pose de cage dynamique de support avec vissages L4-5-S1 en 03.2018 (Dr. X). • repris au bloc pour infection du site opératoire en 11.2018 à Berne. • Douleurs thoraciques d'origine indéterminée. • Crise de migraine le 21.07.2018. • Opération du genou gauche pour re-centrage de rotule en 2011. • Entorse du genou gauche avec suspicion de lésion du LCA vs ménisque interne. • Attelle Jeans, contrôle chez l'orthopédiste traitant. • Opération du ménisque gauche. • Opération du tibia droit. • Opération des yeux en 2009. • Infection à S. Aureus. • Opération du tunnel carpien à droite en 2018. • Pose de stent vasculaire membre inférieur G et iliaque (Daler). • État dépressif suivi par Dr. X. • Opération du tunnel carpien à droite. • Laparoscopie pour endométriose. • Opération du tunnel carpien des deux côtés. • Dépression en 1995. • Une césarienne. • Appendicectomie. • Opération élective. • Opération élective. • Opération élective. • Opération élective. • Opération élective. • Opération élective. • Opération élective. • Operation en urgence. • Operation épaule droit. • Opération glandes sudoripares axillaires bilatérales vers 2000. • Incision abcès axillaire G le 20.01.2014. • Macrohématurie non glomérulaire symptomatique d'origine probablement infectieuse. • Opération hernie ombilicale en 2015. • Opération kyste sacro-coccygien en 2014. • Opération fracture os maxillaire en 2006. • Opération genou gauche en 2005. • Opération intestinale en 1985. • Delirium aigu le 12.07.2013 : • Diagnostic différentiel : décompensation psychotique sur stress émotionnel. • Exanthème maculeux bilatéral du visage d'origine indéterminée le 10.07.2013 : • Diagnostics différentiels : rosacée, lupus érythémateux disséminé... • Urosepsis le 21.02.2016 avec : • État confusionnel. • Insuffisance rénale aiguë RIFLE I le 21.02.2016. • Hypoglycémies dans le cadre d'un diabète type 2 insulino-requérant. • Pneumonie bibasale à Pneumocoques le 10.01.2018 avec état fébrile à 38.1 °C : • Diagnostic différentiel : broncho-aspiration. • Opération le 01.02.2019. • Opération le 14.02.2019. • Opération le 11.02.2019. • Opération le 11.04.2019. • Opération le 14.02.2019 avec entrée la veille. • Opération le 14.03.2019. • Opération le 15.04.2018. • Opération le 15.04.2019. • Opération le 18.02.2019. • Opération le 21.02.2019. • Opération le 25.02.2019. • Opération le 25.03.2019. • Opération le 27.05.2019. • Opération oreille gauche en 2011. • Fracture du radius distal avec bascule postérieure. • Notion de thrombose veineuse gauche anticoagulée pendant 1 mois. • Opération par section partielle des amygdales et végétations le 11.06.2012. • Opération pied droit. • Arthrose + rhumatisme épaule droite suivi et traité par Dr. X. • Opération pied gauche. • Crise épileptique (tonico-clonique) provoquée sur manque de sommeil probable, • sous Phénytoïne. • avec chute en avant. • Trauma facial avec : • plaie lèvre supérieure face intérieur gauche 0,7 cm x 0,3 cm. • dermabrasion frontal gauche. Opération pied il y a longtemps. Opération post fracture main G en 2012 environ S/p éradication H pylori en 2013 environ Opération pour fracture du fémur. Plusieurs opérations pour la rotule. Déchirure partielle du gastrocnémien G, chef médial le 21.02.2014 Abcès omoplate droite Dermo-hypodermite Opération pour fracture du radius distal gauche avec bascule postérieure le 28.11.2017. Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale (dans le contexte aigu sur déshydratation) Poussée lupique avec atteinte : • cutanée (aile de papillon, exanthème palmaire, lésions vasculitiques). • articulaire (synovites MCP II et III gauche et poignets). • systémique : état fébrile, asthénie, adénopathies multiples, myosite. • compliquée d'un syndrome d'activation macrophagique (hémophagocytose) le 21.10.2014. Douleurs de l'extrémité distale du radius gauche dans un contexte de : • fracture du radius distal à gauche avec bascule postérieure le 27.11.2017. • opération de la fracture du radius distal à G le 28.11.17 effectué par Dr. X et Dr. X. Opération pour hernie discale 2014 2x, 1994 Urolithiase gauche en 2013 Fracture ouverte P3 Dig 2 avec important défect des tissus mous, main D; le 04.05.2017 Opération pour hernie droite en octobre 2018 Opération pour strabisme dans l'enfance. Amygdalectomie. Nodules pulmonaires suspects au scanner thoraco-abdominal en 2012, sans autres lésions. Traumatisme de l'épaule D. Cure de hernie hiatale par laparotomie avec filet Ultrapro le 21.05.2018 Opération pour un kyste au ventre X Douleurs sur gastrite antrale probablement à Helicobacter pylori le 17.09.2017 Gastrite antrale à H. pylori (OGD le 14.09.17). Test respiratoire et antigènes de selle après 4-6 semaines (arrêt de Pantoprazol 2 semaines avant) Céphalées de l'hémiface gauche persistantes depuis 1 mois le 17.10.2017 Tentamen par strangulation le 22.11.2017 Perturbation des tests hépatiques • probablement sur introduction de Risperdal Réaction allergique de stade 1 au Fluimucil Douleurs thoraciques pariétales le 21.3.2018 Opération prévue chez Dr. X aux HUG le 13.02.2019 reportée Patient sera convoqué pour une nouvelle date d'intervention Opération prévue le 01.03.2019. Opération prévue le 02.04.2019. Opération prévue le 04.02.2019 et consultation post op le 22.03.2019. Opération prévue le 05.03.2019. Opération prévue le 07.02.2019. Opération prévue le 12.02.2019. Opération prévue le 12.02.2019 à Tavel chez Dr. X. Opération prévue le 12.03.2019. Opération prévue le 12.04.2019. Opération prévue le 14.03.2019. Opération prévue le 18.02.2019. Opération prévue le 19.02.2019. Opération prévue le 19.03.2019. Opération prévue le 21.02.2019. Opération prévue le 21.03.2019. Opération prévue le 22.02.2019. Opération prévue le 22.03.2019. Opération prévue le 25.03.2019. Opération prévue le 26.02.2019 Opération prévue le 26.03.2019. Opération prévue le 29.04.2019. Opération selon Bentall à l'Inselspital, le 13.12.2018 pour : • Sténose aortique très sévère avec surface d'ouverture calculée à 0,6 cm2 (0,3 cm2/m2, gradient moyen à 51 mmHg), FEVG normale, capacité fonctionnelle normale (septembre 2019) • Anévrisme de l'aorte thoracique de maximum 48 mm au niveau de sa portion ascendante. Lipothymies d'origine probablement vaso-vagale avec trois épisodes en 20 ans, le dernier en 2013. Opération tendons main gauche suite à AVP. Adénopathies multiples réactionnelles à une maladie inflammatoire active (cfr diag 2) • PET CT le 09.03.2018 : Nombreuses adénopathies hypercaptantes. Biopsie adénopathie axillaire gauche le 27.03.2018 (Dr. X) : adénopathie réactionnelle. Urticaire et angio-œdème avec anticorps anti-C1q. Opérations : 04.03.2019 : poignet droit, cure de tunnel carpien 01.04.2019 : poignet gauche, cure de tunnel carpien Opérée à l'âge de 6 ans pour probable sténose urétérale. Epigastralgie 26.05.2017 : sur probable gastro-entérite. Crise d'angoisse 26.05.2017. Opiacés fixes et en réserve, essai avec Morphine et Fentanyl spray puis Hydromorphone et Effentora Physiothérapie, ergothérapie • adaptation de la VNI, physiothérapie respiratoire Accompagnement interdisciplinaire Oppression thoracique. Oppression thoracique à l'effort d'origine indéterminée le 03.02.2019. DD : angor. Oppression thoracique d'origine indéterminée le 01.02.19. DD : reflux, angoisse. Oppressions sur crise d'hypertension artérielle. Deux poches d'ISOCET en ambulance. Oppressions thoracique d'origine indéterminée. DD : anxiogène. Optiflow du 01.02.2019 au 02.02.2019 Cathéter artériel radial gauche du 01.02.2019 au 02.02.2019 Optimisation de la volémie Optimisation de la volémie. Suivi biologique. OR hernie discale L4 et L5. Goitre multinodulaire droit > gauche de nature suspecte avec thyroïdectomie totale le 04.06.2014. Orale Substitution Ordonnance et arrêt de travail. Organiser bilan SAOS Organiser un bilan en ambulatoire. Organiser un contrôle cardiologique et ETT ambulatoire. Suivi de la tension artérielle et adaptation-instauration d'un traitement. Organiser une évaluation pneumologique ambulatoire avec tests des fonctions pulmonaires. Organiser une radiographie standard de l'abdomen à la mi-février 2019 pour contrôle du positionnement des sondes double J : • Montrer le cliché radiologique au Dr. X (urologue) • Convenir, avec ce dernier, de la date de retrait des sondes double J (en principe entre février et mars) Nodule pulmonaire de 5mm lobe moyen droit de découverte fortuite : • Contrôle par CT-scanner à 12 mois, à organiser par le médecin traitant. Nous vous proposons de contrôler les valeurs de la vitamine D que nous avons substituées à distance. Prescription faite pour de la physiothérapie en ambulatoire. Orgelet de la paupière inf G Orgelet paupière inférieure droite. Orienté en ORL après avoir dégonflé ballonnet. ORIF radius distal G le 16.11.2018 d'une fracture intra-articulaire plurifragmentaire du radius distal G avec une fracture de la styloïde ulnaire à G, le 15.11.2018. ORL au courant du cas, consilium demandé. Dans le contexte d'un phlegmon rétro-pharyngé, hospitalisation pour antibiothérapie intraveineuse par Co-amoxicilline 150 mg/kg/jour en 3 doses. Ortho-Gilet pour 6 semaines, contrôle dans une semaine à la consultation orthopédique des urgences de l'HFR Fribourg (le patient va être convoqué) avec Radio-épaule, Brufen, Dafalgan et Novalgine. arrête de travail du 02.02.2019 - 15.02.2019 Orthopantomogramme. Antalgie. Proposition de consulter un dentiste demain. Orthoradiogramme colonne lombaire face/profil (clichés apportés par le patient) : Scoliose dorso-lombaire juvénile sinistro-convexe avec angle de Cobb de 20°, harmonieuse et bien compensée, avec une courbure cyphotique dorsale et lordotique lombaire physiologique sur la projection latérale. Le Risser au niveau des crêtes iliaques montre une croissance quasi terminée. Orthoradiogramme colonne totale face du 16.01.2019 (PACS) : Petite courbure sinistro-convexe lombaire avec angle de Cobb maximal de 10 à 11°. Stabilité de celle-ci par rapport aux comparatifs de 2017.Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Cf. diagnostic. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Correction de la statique par rapport aux clichés précédents. Par contre, légère progression de la scoliose thoracique. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Minime scoliose dorso-lombaire dextro-convexe. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Scoliose dorsale dextro-convexe avec angle de Cobb mesuré jusqu'à 82°. Comparatifs du Portugal datant de 2017 (apportés par le patient): Scoliose dorsale dextro-convexe avec angle de Cobb non mesurable mais estimé à environ 30°. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Scoliose lombaire dextro-convexe et dorsale sinistro-convexe. Arthrose facettaire lombaire pluri-étagée. CT lombaire du 05.10.2018: Très importante arthrose facettaire marquée en L4-L5 ainsi que L2-L3, L3-L4 et L5-S1. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Très légère scoliose dextro-convexe dorsale avec angle de Cobb à 11°. Hypercyphose dorsale avec angle de Cobb mesuré à 55°. Pas de dysplasie des hanches ni conflit fémoro-acétabulaire. Orthoradiogramme du jour : légère scoliose dextro-convexe, cyphotisation de la colonne thoracique, dont cyphotisation de la vertèbre T10. Tassement T3-L1 avec cimentoplastie stable. Orthoradiogramme du jour (PACS) : scoliose sinistro-convexe avec angle de Cobb à 29°. Dans le plan sagittal, cyphose thoracique et lordose cervicale et lombaire dans la norme. Conflit fémoro-acétabulaire hanche gauche type pistol-grip visualisé à gauche. Débalancement du bassin en défaveur de la gauche. Orthoradiogramme debout après mise de la cage pied gauche de 1 cm du jour (PACS) : persistance de la scoliose avec angle de Cobb à 25°, crête iliaque à hauteur égale. Orthoradiogramme du jour (PACS): scoliose thoraco-lombaire dextro-convexe stable. Arthrose multi-étagée lombaire. Orthostase Orthostatisme le 29.01.19 OS fracture clavicule D en 1986 OP, non précisée, de la coiffe des rotateurs épaule D en 1989 et 1992 • Infiltration épaule D le 05.10.2018 OS fracture-luxation type Weber C cheville G en 1993 OS radius distal G par plaque palmaire Aptus 2.5 et cure de tunnel carpien G le 07.08.2017 sur fracture extra-articulaire radius distal G avec déplacement important et troubles en regard du nerf médian le 06.08.2017 OSG Distorsion Grad II • Unklare Fussschmerzen rechts • In Behandlung bei Dr. X Osgood Schlatter D Ospen X 10j. Algifor. Ospen 3,5 ml 2x/j Ossicule au détriment de la malléole interne cheville G. OST de flexion et déviation ulnaire, fixation radius distal G par plaque LCP 3,5 le 07.11.2005 sur consolidation vicieuse d'une fracture radius distal traitée conservativement à l'âge de 14 ans, avec arthrose radio-carpienne et instabilité. • cure tunnel carpien G le 07.11.2005. PTG D sur gonarthrose sévère en 2007 (Dr. X). PTG G le 25.04.2017 sur gonarthrose tri-compartimentale. • OST de valgisation du tibia G en 1997 Cure de cataracte à l'oeil D en 2016 Syndrome sacro-iliaque G OST de flexion et déviation ulnaire, fixation radius distal G par plaque LCP 3,5 le 07.11.2005 sur consolidation vicieuse d'une fracture radius distal traitée conservativement à l'âge de 14 ans, avec arthrose radio-carpienne et instabilité. • cure tunnel carpien G le 07.11.2005. PTG D sur gonarthrose sévère en 2007 (Dr. X). PTG G le 25.04.2017 sur gonarthrose tri-compartimentale. • OST de valgisation du tibia G en 1997 Cure de cataracte à l'oeil D en 2016 Syndrome sacro-iliaque G ostéite jambe gauche Ostéochondrose C5-6, C6-7 dans une moindre mesure. Suspicion syndrome tunnel carpien gauche. Osteochrondosis dissecans patellae droite. Ostéodensitométrie Contrôle chez nous par la suite Ostéogenèse imparfaite. Ostéolyse de la tête du 3ème métatarsien à D DD ostéomyélite DD ostéonécrose sur status post cure du 2ème et 3ème orteils en griffe du pied D le 24.08.2018 avec 2ème orteil en griffe, fixé avec subluxation de l'IPP, 3ème orteil en griffe réductible avec subluxation en regard du MTP et IPP. Status post excision d'une hyperkératose plantaire de la deuxième métatarse du pied D le 26.01.2018. Hallux valgus avec angle intermétatarsien à 7° et angle hallux valgus à 32°. Status post cure de névrome de Morton pied D en 2005. Ostéomyélite chronique du tibia distal D avec extension articulaire tibio-astragalienne. Ostéomyélite D1-D2 pied G. Ulcère de décubitus au talon G. Nécrose sèche 3ème orteil à D, suspicion d'ostéomyélite de tout l'avant-pied. Status post stenting de reperfusion au niveau du pied D le 31.01.2019. Ostéomyélite D1-D2 pied G. Ulcère de décubitus au talon G. Nécrose sèche 3ème orteil à D, suspicion d'ostéomyélite de tout l'avant-pied. Status post stenting de reperfusion au niveau du pied D le 31.01.2019. Ostéomyélite P2 2ème orteil pied G avec ulcère perforant. Amputation sous-capitale P2 2ème orteil pied G (OP le 20.07.2018). Ostéonécrose aseptique de la tête fémorale gauche. Ostéonécrose condyle fémoral interne genou droit stade III selon Alback. Ostéonécrose condyle fémoral interne genou droit stade III selon Alback. Ostéonécrose secondaire à un traitement médicamenteux (Xgeva) de la région 27 dans un contexte de carcinome de la prostate métastatique. • s/p extraction de la dent 27 le 13.12.2018 • s/p rinçage 27 de l'alvéole sur retard de la cicatrisation le 15.01.2019. Ostéonécrose tête fémorale G avec fracture pathologique en T du cotyle et fracture du col fémoral. Status post radiothérapie en 2000 pour un adénocarcinome de la prostate avec récidive biochimique en 2017. Ostéonécrose têtes fémorales bilatérales (05.11.2018). Ostéonécrose têtes fémorales bilatérales (05.11.2018). Ostéophyte et s/p excision kyste mucoïde du MP pouce droit 26.4.2010. s/p AVC sur FOP et aévrisme du septum inter-auriculaire en 2009. Ostéoporose Ostéoporose Ostéoporose. Ostéoporose. Ostéoporose avec : • Status après tassement L4 et L5 et status après traitement par Fosamax pour 3 ans suivi d'un supplément vitamino-calcique. Thrombocytose essentielle connue. Hypertension artérielle traitée. Sténose foraminale L4-L5 droite sur ancienne fracture tassement L4 et L5, avec faiblesse L4 droit à M4. Ostéoporose avec fractures/tassements multiples sous traitement de Bonviva aux 3 mois. Hypertension artérielle. Ostéoporose avec fracture-tassement de D11 type A1 le 23.11.2015 avec : • substitution vitamino-calcique • sous Prolia Cardiopathie valvulaire avec : • échocardiographie transthoracique en novembre 2017 (Dr. X): - sténose aortique dégénérative modérée - insuffisance tricuspidienne légère à modérée - dimensions et fonction systolique longitudinale du ventricule droit normales. • échocardiographie du 17.09.2018 par Dr. X Hémorroïdes Anémie avec composante ferriprive Dénutrition protéino-énergétique Ostéoporose fractuaire • DEXA en 2013: H -1.7 • sous Prolia 2x/an depuis 2016 (Dr. X) • s/p fracture C2 de Hangman sur chute en 01/2018 • s/p fractures D12, L1 et L3 en 2015 Hypoacousie G Reflux gastro-oesophagien Hyperplasie bénigne de la prostate Cervicalgie chronique Ostéoporose fracturaire Ostéoporose fracturaire connue depuis l'âge de 50 ans en traitement par Bonviva i.v. HTA traitée Ostéoporose fracturaire connue depuis l'âge de 50 ans en traitement par Bonviva IVMaladie de Crohn sous traitement par Vedolizumab IV aux 8 semaines (Dr. X) : • CT du 27.01.2019 : épaississement segmentaire du côlon sigmoïde compatible avec la pathologie de base • Atteinte colique sténosante sigmoïdienne connue • RDV chez le gastroentérologue traitant le 20.02.2019 pour injection d'Entyvio Ostéoporose manifeste Ostéoporose manifeste avec aggravation des tassements L1 préexistants le 9.2.19 • sous substitution calcique et vitamine D3 Ostéoporose manifeste avec deux tassements BWS Th 11 et 12 • sous substitution calcique et vitamine D3 Ostéoporose sévère actuellement non traitée • diagnostic en 1991 • status post hormonothérapie HTA traitée Insuffisance veineuse chronique Arthrose Ostéoporose : • sous Calcimagon Etat dépressif Ostéoporose • suivi par Dr. X (Rhumatologie HFR Fribourg) • sous Calcimagon et Aclasta 1x/an Ostéoporose traitée. Ostéoporose traitée par biphosphonates de 2004 à 2009. Glaucome. Kératose séborrhéique. Syndrome des apnées obstructives du sommeil. Probable polymyalgia rheumatica. Ostéoporose traitée par Calcimagon Ostéoporose traitée. Hypothyroïdie traitée. Hypercholestérolémie traitée. Ostéoporose Trouble schizophrénique Epilepsie Polytoxicomane Hépatite C Ostéoporose Adénocarcinome prostatique suivi par Dr. X (patient refusant la radiothérapie) Ostéoporose Etat dépressif sous Escitalopram et Levetiracetam Ostéoporose. Hypertension artérielle. Ostéoporose Hypothyroïdie d'Hashimoto substituée Ostéoporose Maladie de Ménière Malnutrition protéino-énergétique légère Hypothyroïdie substituée Insuffisance rénale chronique modérée à sévère Stade 3b • eGFR selon CKD-EPI: 42.7 mL/min/1.73m² (le 07.06.2018) • Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 sur chronique d'origine pré-rénale le 23.05.2018 avec Cockcroft Gault à 18 ml/min Insuffisance cardiaque d'origine rythmique sur maladie du sinus (FEVG 33% en 2016) • Coronarographie normale en 2014 • Maladie du sinus avec pacemaker depuis les années 80 • Syndrome du pacemaker avec mise en place d'une nouvelle sonde pacemaker dans le ventricule gauche en 2014 Ostéoporose Reflux gastro-oesophagien sur hernie hiatale. Kystes rénaux compliqués. Syndrome de SAPHO (Synovite, Acné, Pustulose palmo-plantaire, Hyperostose et Ostéite) : • 1ère manifestation en 1965, diagnostiqué en 2001. • HLA-B27 négatif. • Symptomatologie : atteinte axiale avec discite et ostéite de la colonne cervicale, hypertrophie de la clavicule gauche proximale, pustulose palmo-plantaire, avec épisode de surinfection des pustules au niveau du talon G. • Traitements essayés : Dapsone arrêté car syndrome DRESS (drug reaction with eosinophilia and systemic symptoms), anti TNF alpha, Otezla®, refus du Cosentyx®. Suivi par Dr. X Ostéoporose. Sténose aortique. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie traitée. Maladie de l'oesophage X. Hernie hiatale. Ostéosynthèse de l'épaule. Carcinome mammaire droit en rémission. Ostéosynthèse d'une fracture de la rotule droite. Suture ligamentaire de la cheville gauche. Réduction sanglante, comblement d'un Reverse Hill-Sachs, ostéosynthèse tubercule majeur et mineur, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, épaule gauche le 04.06.2013 pour une fracture-luxation postérieure invétérée de l'épaule gauche. Nouvelle luxation postérieure invétérée de l'épaule gauche le 05.06.2013 avec réduction de la luxation, comblement de la Reverse Hill-Sachs par une greffe tricorticale prélevée à la crête iliaque ipsilatérale, ostéosynthèse du tubercule majeur et mineur, épaule gauche le 07.06.2013. OH chronique avec crise d'épilepsie le 08.05.2013. Status après pneumothorax droit drainé en mai 2017. Ostéosynthèse fracture du tibia droit en 2015 Prothèse de hanche droite en 2003 avec changement de prothèse en 2006 (Dr. X) Status post crossectomie et stripping de la grande veine saphène Résection kyste mammaire en 1988 Hystérectomie en 1963 Status post césarienne Erysipèle jambe droite en 2015 avec lymphoedème Thrombophlébite saphène interne droite en 2003 Syndrome post-thrombotique jambe droite Ostéosynthèse humérus proximal à gauche par plaque Philos et plaque Aptus avec ténotomie ténodèse du long chef du biceps et réinsertion des rotateurs sous-scapulaires sous-épineux et sus-épineux le 21.11.2017 sur fracture 4 parties comminutive de l'humérus proximal gauche avec lésion de la coiffe des rotateurs sous-épineux totale et sous-scapulaire à 50% avec instabilité du long chef du biceps. Status post infiltration de l'épaule G le 16.10.2018. Status post infiltration de l'épaule G le 18.12.2018 Ostéosynthèse malléole latérale gauche (2005). Appendicectomie dans l'enfance. Etat confusionnel dans le contexte d'une chute probablement d'origine mécanique le 05.03.2018 • MMS 28/30 et GDS 2/15 le 07.03.2018 • CT cérébral sans particularité • déficit léger en vitamine B12. Ostéosynthèse par PFN-A d'une fracture pertrochantérienne droite type II selon Kyle, le 19.03.2014. Infection urinaire basse à E. Coli, le 27.03.2014, avec pollakiurie. Plaie traumatique pré-tibiale droite, le 28.02.2014, suite à une chute à domicile. Malnutrition protéino-énergétique modérée avec hernie hiatale, reflux gastro-oesophagien, constipation. Ostéoporose fracturaire avec carence sévère en vitamine D, le 26.03.2014. Baisse de l'état général dans un contexte de dorsalgies chroniques et soins compliqués à domicile. Pic hypertensif à 200/80 mmHg. Ostéosynthèse par plaque après fracture tibia suite à un accident à la jambe droite en 2005. Dermatite de contact probablement d'origine toxique le 12.01.2017. Ostéotomie bi-maxillaire le 25.01.2019 par Dr. X VNI du 28.01.2019 au 29.01.2019 Bains de bouche et mobilisation précoce Ostéotomie de la tête tibiale D en 2001-2002 pour arthrose Arthrodèse du moyen pied à D Appendicectomie Ostéotomie de varisation de la hanche D pour une coxa-rototorta (75°) le 05.02.2019 Otalgie Otalgie Otalgie Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. otalgie otalgie Otalgie bilatérale Otalgie bilatérale Otalgie bilatérale Otalgie bilatérale. Otalgie bilatérale majorée ce jour, toux depuis 3 jours, fièvre 38°5 Otalgie D, fièvre 39°4, céphalée, mal de gorge Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite après infection grippale la semaine passée et cérumen obturant bilatéral. Otalgie droite avec sensation de comblement de l'oreille le 16.02.2019. DD : otite congestive. DD : bouchon de cérumen. DD : perforation tympanique. Otalgie droite, d'origine indéterminée • DD : sur furonculose. Otalgie droite d'origine non déterminée (DD : cérumen, otite congestive, plaie du conduit externe de faible abondance) Otalgie droite et fièvre depuis ce jour. otalgie droite et fièvre depuis la nuit Otalgie droite sans fièvre / vomissements Otalgie et fièvre Otalgie G. Otalgie gauche Otalgie gauche Otalgie gauche Otalgie gauche Otalgie gauche. Otalgie gauche après OMA traitée avec antibiotique chez le pédiatre. Otalgie gauche (DD: corps étranger, hémotympan, plaie du conduit externe, myringite). Otalgie gauche depuis le 24.01.2019 et parésie faciale à gauche depuis le 29.01.2019. Otalgie gauche fébrile depuis l'après-midi avec 1 vomissement. Otalgie gauche DD: Otite moyenne aiguë ou otite congestive : tympans clairs des 2 côtés. Otalgie possible. Otalgie droite. Otalgies droites. Otalgies, hypoacousie, vertiges. Otite. Otite aiguë droite. Otite bactérienne droite le 14.02.19. Otite bilatérale débutante. Otite bilatérale d'origine indéterminée le 06.02.2019. DD: mycose, virose. Otite congestive des 2 côtés. Otite congestive le 17.02.2019. Otite débutante gauche. Otite débutante moyenne. Otite droite débutante. Otite droite suppurée. Otite durant l'enfance. Fracture du radius distal gauche non déplacée Salter II le 17.06.2017. Otite externe. Otite externe aiguë. Otite externe droite le 19.12.2018. DD otalgie réflexe droite d'origine dentaire. Otite externe droite le 28.02.2019. Otite externe droite sans complication le 02.02.2019. Otite externe gauche le 21.02.2019. Otite externe gauche le 28.02.2019. Otite externe sur perforation d'OMA. Otite externe sur statut post-otite moyenne à droite. DD: récidive d'une otite moyenne. Otite gauche. Otite gauche. Otite gauche avec rhume. AINS en systématique. Toilettes nasales. Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures. Otite gauche débutante. Otite gauche moyenne. Otite il y a 1 mois. Otite moyenne aiguë. Otite moyenne aiguë à gauche pas de signe de otite à droite. Otite moyenne aiguë avec probable petite perforation le 02.02.2019. Otite moyenne aiguë bilatérale. Otite moyenne aiguë bilatérale au décours. Otite moyenne aiguë bilatérale avec une perforation du tympan gauche. Otite moyenne aiguë bilatérale droite > gauche. Otite moyenne aiguë bilatérale récidivante. Otite moyenne aiguë droite. Otite moyenne aiguë débutante. Otite moyenne aiguë débutante à gauche. Otite moyenne aiguë, diagnostiquée par pédiatre. Otite moyenne aiguë droite non compliquée le 14.02.2019. Otite moyenne aiguë droite perforée. Otite moyenne aiguë droite purulente. Otite moyenne aiguë gauche débutante. Otite moyenne aiguë gauche compliquant une IVRS. Otite moyenne aiguë gauche (échec des AINS). Otite moyenne aiguë gauche le 02.02.2019. Otite moyenne aiguë le 01.12.2012. Otite externe droite. Migraine avec aura. Brûlure du 2ème degré superficielle face dorsale main gauche en regard de la base métacarpo-phalangienne du pouce le 16.08.2015. Otite moyenne aiguë perforée. Otite moyenne aiguë perforée à gauche. Otite moyenne aiguë perforée bilatérale. Otite moyenne aiguë perforée droite avec otite externe aiguë. Otite moyenne aiguë perforée gauche. Otite moyenne aiguë purulente gauche et moyenne droite. Otite moyenne aiguë purulente perforée à droite accompagée d'une otite moyenne aiguë non perforée de l'oreille gauche. Otite moyenne bilatérale. Otite moyenne bilatérale bactérienne au décours d'une IVRS. Otite moyenne dans le cadre d'une probable rhinosinusite. Otite moyenne débutante droite. Otite moyenne débutante gauche. Otite moyenne droite. Otite moyenne droite le 24.02.2019. Otite moyenne droite non compliquée. Otite moyenne gauche. Otite moyenne gauche le 24.09.2013. Otite moyenne gauche non compliquée. Otite moyenne perforée droite. Otite moyenne aiguë purulente gauche. Otite moyenne perforée oreille gauche le 24.11.2017. Myopéricardite en décembre 2017 (diagnostic et traitement au Portugal) avec : suivi cardiologique par Dr. X à Marly. Syndrome myofacial rhomboïde et grand dorsal droit le 14.06.2018. Otite moyenne simple le 03.02.2019. Otite moyenne 2 fois cet hiver. Otite moyenne aiguë le 07.02.2019. Otite perforée à gauche dans contexte d'infections respiratoires des voies aériennes supérieures.Otite perforée droite Otite perforée gauche. Co-Amoxicilline mis en place vu MRSA présent dans un prélèvement ancien d'un abcès local fessier. Prélèvement local fait. Parents à informer si changement de l'attitude. Otite séreuse Otite séro-muqueuse droite. Otite séro-muqueuse droite post IVRS Otite séro-muqueuse gauche le 01.02.2019. Otite séro-muqueuse le 04.02.2019. Otite virale droite débutante Otites Otites à répétition, va se faire opérer pour pose de drains en mars. Otites à répétition. VPPB oreille gauche. Probable crise d'épilepsie partielle secondairement généralisée le 13.11.2016, symptomatologie : tremblement de la main droite, bégaiement, perte de tonus. DD : AIT dans le territoire sylvien gauche (moins probable). Carence en acide folique à 3.8 ng/ml le 14.11.2016. Otite externe droite au décours. Lombalgies non déficitaires. Otites moyennes aigües bilatérales Otites récidivantes (2 fois cette année) • 1ère fois traité avec de l'Amoxicilline • 2ème fois traité avec du Co-Amoxil Otites récidivantes. Amygdalectomie. Sepsis sévère sur foyer pulmonaire rétro-cardiaque gauche le 25.10.2015 avec : • SIRS (EF à 38.1°C, FC à 110 bpm, leuco à 18.7 G/l), CRP à 43 mg/l. • acidose métabolique à 7.37 kPa avec lactates à 4.2 mmol/l et hypoxémie à 8.7 kPa. • douleurs intenses basi-thoraciques gauche et de l'hémi-abdomen gauche. • CURB 65 à 0. Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique le 12.12.2016. Otites. Commotion cérébrale en mars 2013. Otolithiase postérieure droite le 21.01.19 Suspicion d'épisode dépressif le 23.01.19 • avec idéation suicidaire • DD EDM, trouble de l'adaptation, trouble anxieux Insuffisance rénale aiguë AKIN 3 le 07.08.2018 d'origine mixte sur nécrose tubulaire aiguë et néphrite interstitielle immuno-allergique (2% éosinophiles) probablement sur Novalgine Otomastoïdite compliquée gauche depuis le 24.01.2019 avec une parésie du nerf facial House-Brackmann III gauche le 29.01.2019 Otomastoïdite gauche. Otoplastie bilatérale le 15.10.2015 Tentative de suicide en mai 2015 : intoxication aiguë au Benocten avec QT prolongé Otorhée gauche purulente après la sieste Otorragie droite fébrile Otorragies de l'oreille gauche. Otorrhagie Otorrhée. Otorrhée droite Otosclérose bilatérale opérée en 1975 Opération des varices en 1990 TURP en 2009 AVC régressif sylvien gauche mars 2004 AIT sylvien droit juillet 2004 TVP gauche 2005 Trauma crânio-cérébral et HSD aigu 12.2012 Opération tunnel carpien 2014 Cataracte opérée ddc en 2015 Otoscopie. Antibiothérapie par co-amoxicilline per os 1 g 2x/jour. Consultation ORL en ambulatoire. Otospongiose Ovariectomie bilatérale pour kystes en 2010. Colique néphrétique droite le 08.06.2016 Céphalées occipitales en coup de tonnerre le 31.01.2017 DD méningite aseptique Ovariectomie gauche en 1983 Hystérectomie en 1988 OP cataracte œil droit en 2002 PTH gauche en 2002 Demi-prothèse genou droite en 2007 Status post-embolies pulmonaires bilatérales en 2012 Bigéminisme ventriculaire bradycarde le 01.11.2018 • Connu depuis 2012 Hypoglycémie symptomatique le 01.11.2018 • Diabète de type 2 insulino-traité Troubles électrolytiques mixtes d'origine médicamenteuse (diurétique) le 01.10.2018 avec : • hyponatrémie normo-osmolaire normovolémique à 127 mmol/L, hypomagnésémie à 0.5 mmol/l Oxazépam d'office et en réserve Thiamine du 01.02 au 04.02.2019 Clonidine le 02.02.2019 Surveillance selon score de Cushman puis CIWA sans complications Oxybuprocaïne + vitamine A + pansement occlusif. Consultera l'ophtalmologue de garde le 24.02.19. Oxybuprocaïne gouttes 1x OD. Oxybuprocaïne gouttes. Exploration sans corps étranger retrouvé. Vit A ong. Occlusion. Consultation chez la dresse Naderi (ophtalmologue de garde) dans l'après-midi. Oxybuprocaïne, tampon, Vit A, pansement occlusif. Consultation en ophtalmologie le lendemain. Oxybuprocaïne, vitamine A, pansement oculaire. RDV demain en ophtalmologie. Oxycontin du 4 au 12.12.2018 Oxynorm en R Avis orthopédique team spine : RX colonne dorsale lat. dès que possible Radiographie de la colonne dorsale le 18.01.2019 Avis orthopédique team spine (Dr. X) : Pas de kyphosisation aiguë. Refaire une radiographie colonne dorsale à un mois (semaine du 28.02.2019), avec un avis orthopédique du team spine. Si réapparition des déficits neurologiques, faire CT et demander un avis orthopédique. Sonde urinaire du 18.11 au 27.11.2018 Sonde urinaire du 04.12 au 20.12.2018 Corticothérapie par Dexaméthasone dès le 18.11.2018 avec schéma dégressif à poursuivre. Densitométrie osseuse dans l'année avec évaluation de l'indication à des biphosphonates (iv car ulcère digestif) Oxycontin 5 mg bid du 28.12.2018 au 31.12.2018 Oxycontin 5 mg 2x/jour Oxynorm 2 4x/jour en réserve Oxygène au besoin (1 litre au repos) Morphine en réserve Essai empirique avec Dexaméthasone, puis schéma dégressif Physiothérapie, ergothérapie Oxygène aux lunettes du 31.01 au 02.02.2019 Betnesol 0,25 mg/kg du 31.01 au 02.02.2019 Ventolin : 3x6 pushs aux urgences, par la suite toutes les 6h Clarithromycine 15 mg/kg/j en 2 doses pour 10 jours dès le 02.02 Oxygène du 03.02 - 06.02. Oxygène, TA aux deux bras et contrôle TA au 5 min hémoculture cathéter vésical et culture urinaire, antigène pneumocoque et légionnelle ECG : tachycardie sinusale 107/min régulier, une extrasystole ventriculaire Radiographie thorax (couché) le 08.02.2019 : foyer pulmonaire droite Ponction lombaire pas possible car reçu de la Clexane à 16h Rocéphine et Acyclovir (avant transfert Rocéphine pas encore administrée) Dafalgan Keppra en réserve Discuter de la mise en place d'une VNI, et aspiration (n'arrive pas à expectorer) Oxygénothérapie Oxygénothérapie, aérosolothérapie Oxygénothérapie aux le 24.02 Monitoring cardio-respiratoire Frottis coqueluche et RSV Oxygénothérapie aux lunettes du 30.01 - 02.02.2019 Médecine anthroposophique Oxygénothérapie aux lunettes Morphine PO Rx thorax du 15.02.2019 : épanchement pleural D connu depuis 2017 Attitude : Pas de ponction pleurale, pas de gestes invasifs, bénéfices et risques expliqués à son fils, Mme. Y souhaiterait s'en aller, sa priorité étant le confort, en aurait beaucoup discuté avec lui (discuté par téléphone par Dr. X avec fils le 14.02.2019)Projet : Traitement conservateur avec soins de confort et placement en home Transfert au home des Bonnes-Fontaines le 21.2.2019 Oxygénothérapie diminuée progressivement de 2 lt/min avec arrêt complet en raison du tabagisme actif. Poursuite du traitement par Anoro Ellipta 55/22 mcg Maintien du sevrage tabagique : • Patch Nicotinell 21 mg/24h • La patiente reprend la cigarette le 01.02.2019 : 1-2 cigarettes/j • Patch de Nicotinell diminué à 14 mg/24h pour le retour à domicile et maintenu sur demande la patiente Colloque famille le 29.01.2019 : RAD sans O2 en raison des risques liés au tabagisme actif Oxygénothérapie du 10.02 au 11.02 Oxygénothérapie du 17.02 au 18.02 Ventolin en diminution progressive avec traitement persistant à la sortie 4 push si nécessaire Atrovent 4 push 4x/j avec persistance à domicile 2 push si nécessaire Betnesol 0.25 mg/kg/j en 1 dose du 17.02 au 19.02 Triofan enf/bébé 1 spray par narine 4x/j RSV et Influenza négatifs Oxygénothérapie du 20.02.2019 au 22.02.2019 Médecine anthroposophique Prélèvement RSV Monitoring cardiorespiratoire Oxygénothérapie le 06.02 Oxygénothérapie 0,75 l aux lunettes. Gazométrie. 2 x VNI. Selon attitude discutée avec la famille et vous-même : pas d'acharnement. Pas de réanimation, pas d'intubation, pas de transfert aux soins intensifs. Stabilisation sous 2 litres d'oxygène pour le retour à domicile. Physiothérapie respiratoire. Oxygénothérapie 2 l aux lunettes Gazométrie : pH 7,4, PCO2 à 8,1, PO2 8.8, pas de lactate RX thorax : foyer en base D, pas d'épanchement ECG superposable aux atcd Attitude discutée avec la famille et le médecin traitant : pas d'acharnement Pas de réanimation, pas d'intubation, pas de transfert aux soins intensifs Physiothérapie respiratoire Oxygénothérapie Traitement symptomatique Piperacilline-Tazobactam le 01.02.2019 Introduction de soins de confort le 01.02.2019 Oxymétrie et polygraphie nocturne Gazométrie Oxymétrie nocturne Adaptation de l'oxygénothérapie nocturne à 1 lt/min Oxymétrie nocturne le 08.01.2019 Gazométrie le 10.01.2019 Oxymétrie nocturne Capnographie nocturne Oxyplastine et bépanthène en alternance Oxyplastine Crème protectrice Calendula O2 aux lunettes du 05.02 au 09.02 Ventolin 6 pushs 4 x/jour le 05.02 passage à 4 push 4x/j le 06.02, arrêt le 07.02 Médecine anthroposophique O2 du 31.01 au 05.02.2019 Ventolin du 31.01 au 02.02.2019 Atrovent du 31.01 au 06.02.2019 Traitement symptomatique O2 Morphine Traitement anxiolytique Pacemaker avec pacing anti-bradycardie à 60 bpm Pacemaker IRM compatible jusqu'à 1.5 T corps entier ECG le 18.02.2019 Radiographie du thorax le 18.02.2019 Contrôle de plaie à 10 jours sera fait par le médecin traitant Contrôle du pacemaker à 4-6 semaines (le patient sera convoqué) Pacemaker pour trouble du rythme Pallesthésie. Test de Schellong. Palliative Basic Assessment : d'entrée. ESAS : Douleurs : lombalgies chroniques mais ne considère pas avoir de douleur actuellement ; Dyspnée non ; Fatigue très importante ; Somnolence insomnie plutôt ; Inappétence par moment, en lien avec l'aspect et la présentation des aliments ; Autre dysphagie Barthel Index : 75% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y habite avec son époux dans une maison sur plusieurs niveaux. Elle a un fils et une fille, pas de petits-enfants mais espère avoir bientôt une petite-fille. Elle décrit ses enfants comme sereins pour l'instant et son époux comme fatigué. Mme. Y se dit être spirituelle, intéressée par la nouveauté. Projet du patient / des proches : Qu'on prenne soin d'elle physiquement et spirituellement. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Son époux est présent lors de l'entretien Mme. Y nous est adressée pour suite de prise en charge dans un contexte de carcinome mammaire métastatique en progression. Au moment de son transfert, Mme. Y rapporte une dysphagie très contraignante dans son alimentation et une grande fatigue. Son époux signale son inquiétude quant à un retour à la maison, craignant qu'elle chute, et souhaite ardemment que son épouse arrive à nouveau à s'alimenter correctement. Nous objectivons une gêne oculaire discrète et une dysphagie importante avec fausses routes que nous attribuons à la maladie oncologique en progression cérébrale selon le dernier bilan IRM. Mme. Y se disant intéressée à des approches alternatives et corporelles, nous impliquons l'ensemble de l'équipe dans une prise en charge holistique. Lors d'un entretien avec son époux, ce dernier se questionnant sur l'absence de traitement systémique, nous lui expliquons l'avancée de la maladie, les réserves fonctionnelles réduites de son épouse et la probable non-réversibilité des symptômes. Mme. Y affirme alors qu'elle sent la maladie progresser en elle, ce qui permet à Mr. Y de cheminer dans un processus d'acceptation. Un congé a lieu à l'occasion de l'anniversaire d'une fille début février et se déroule relativement bien, Mme. Y étant plutôt indépendante dans les activités de la vie quotidienne. La survenue d'une broncho-aspiration catastrophique le 04.02.2019 avec dyspnée sévère et toux inefficace motive un traitement symptomatique et le retrait d'une SNG jugée délétère. L'état de Mme. Y se stabilise et elle rentre à domicile le 09.02.2018. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs intenses, à la jambe, si immobile supportables Barthel Index : 0% Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Pas possible à l'arrivée, Mr. Y nécessite une mobilisation sous sédation. ; Projet du patient / des proches : Gestion d'antalgie dans un contexte de fin de vie. Mr. Y souhaite revoir son chien. ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Épouse présente lors de l'arrivée. Mr. Y est un patient de 59 ans connu pour un adénocarcinome du rectum métastatique qui est hospitalisé initialement à Payerne puis transféré en orthopédie à l'HFR Fribourg pour une fracture sous-trochantérienne sur chute de sa hauteur. Au vu des risques opératoires et de l'état général du patient, il est décidé de ne pas effectuer d'intervention orthopédique. Dans ce contexte, il nous est rapidement adressé pour suite de prise en charge. A son arrivée dans notre service, Mr. Y présente essentiellement d'importantes douleurs sur sa fracture nécessitant d'effectuer toute mobilisation sous Propofol et une adaptation de son antalgie par fentanyl et kétamine en intraveineux. Le patient sombre progressivement dans un état comateux et décède entouré de son épouse et de proches le 04.02.2019. Palliative Basic Assessment : d'entrée. ESAS : Douleurs variables, 7-8/10 par moments, insupportables, pas forcément en lien avec le mouvement ; Dyspnée ça va moyennement mais ne bouge pas beaucoup ; Nausée par moments, pas liée au repas ; Fatigue importante ; Inappétence ne mange rien ; Anxiété oui, s'inquiète de son séjour car 2/3 des patients ici décèdent ; Autre ras-le-bol de n'avoir plus de plaisir Barthel Index : 50% Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y est mariée, a deux filles, 4 petits-enfants, vient de son domicile. Elle se décrit comme une personne active, qui aime bouger, fitness, cuisine. Elle était vendeuse chez Voegele. Elle se décrit comme gentille mais pique parfois. Sa famille est source de force pour elle. ; Projet du patient / des proches : 1) calmer les douleurs 2) avoir plus de force 3) manger mieux ; aller à la maison, retrouver du plaisir de vivre ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : L'époux et les filles l'accompagnent au quotidien, sont présents lors de l'entretien. Mme. Clément nous est adressée du domicile pour des douleurs réfractaires dans un contexte de carcinome pulmonaire avancé. A l'entrée, elle signale des douleurs insupportables survenant de manière paroxystique. Ces dernières sont envahissantes ; son appétit est amoindri et elle est constamment fatiguée. Nous notons un état général réduit et une cachexie modérée ; les douleurs irradient depuis l'épaule et sont reproductibles en partie à la palpation. Nous adaptons l'antalgie par Fentanyl en pompe afin de mieux cibler les accès douloureux. De la méthadone est par la suite introduite sur irradiations neuropathiques avec bon effet. Les divers intervenants de la Villa sont impliqués dans la prise en charge, en privilégiant le confort et le soutien de Mme. Clément ainsi que de ses proches, que nous rencontrons régulièrement durant l'hospitalisation. L'apparition d'un état confusionnel mixte et la survenue de crises nocturnes en péjoration ne permettent pas d'envisager une fin de vie à domicile de manière réaliste. Mme. Clément développe dès le 31.01.2019 un état de conscience comateux accompagné d'un inconfort manifeste répondant à des doses de réserve de Temesta rapprochées ; cela motive une sédation continue par Dormicum en accord avec les proches de Mme. Clément. Mme. Clément décède le 03.02.2019 à la Villa St-François en présence de ses proches. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 10/10 au niveau dorso-lombaire, douleurs max à la mobilisation ; Dyspnée 4/10 lors d'effort de toux ; Fatigue 5/10 ; Somnolence 5/10 ; Inappétence 5/10 ; Anxiété 5/10 sur l'état de ses poumons et les métastases osseuses ; Dépression 5/10 accompagne l'angoisse. Barthel Index : 15% Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit seul. A été marié 2 fois. A eu deux enfants de son premier mariage, un fils décédé il y a 2 ans et une fille Marlène qui vit près de Delémont et qui a eu deux filles. A deux frères. Actuellement pas de compagne ou amie. A été monteur électricien. A la retraite, il s'est occupé en montagne en étant notamment gardien de cabane aux Diablerets et a fait le chemin de Compostelle en 3 mois. Foi importante pour lui ; Projet du patient / des proches : Attend de décéder, pour lui la mort serait un réconfort au vu de sa situation, pas de projet. Souhaite avoir de l'écoute, aimerait qu'on soit franc avec lui. Mr. Y est un patient de 89 ans connu pour un adénocarcinome prostatique métastatique que vous adressez aux urgences de l'HFR Riaz suite à une chute à domicile et des douleurs dorsales. Le bilan radiologique d'entrée met en évidence de multiples métastases osseuses prédominant au niveau dorso-lombaire avec également invasion de la moelle épinière. Le patient décide de ne pas subir de traitement oncologique. Il bénéficie alors d'une corticothérapie par Dexaméthasone et il nous est adressé pour suite de prise en charge le 30.01.2019. A son arrivée, le patient se plaint principalement d'importantes douleurs dorso-lombaires nous motivant à adapter rapidement l'antalgie et la mobilisation chez un patient qui demande à être mobilisé ad minima. Nous mettons également en évidence une asthénie, inappétence et angoisse liées à la progression oncologique pour lesquelles il bénéficie d'une prise en charge multidisciplinaire. Le patient présente dès le 02.02.2019 une dyspnée aiguë associée à un encombrement bronchique qui répond bien à la scopolamine et morphine intraveineuse. Il décède le 03.02.2019 au petit matin. Palliative Basic Assessment : d'entrée. ESAS : Douleurs 2/10 cervicalgies, bon effet de Novalgin ; Dyspnée non ; Nausées avec les repas ; Fatigue importante ; Somnolence doit dormir beaucoup ; Inappétence importante, sur nausées, plénitude, pas de dysphagie ; Anxiété s'inquiète par rapport à la suite, l'intervention ; Autre tendance à la constipation Barthel Index : 70% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y vit avec son épouse dans un appartement. Mme. Y se dit affectée par la situation, évoque des problèmes de santé personnels. Les deux ont chacun un enfant d'une précédente union. Mr. Y travaillait dans les assurances. Aime être très actif ; bricoleur, travailler sur son chalet, être à l'extérieur. Son indépendance tant qu'il peut lui est importante. ; Projet du patient / des proches : Reprendre des forces grâce à la PEG, rentrer à la maison quand les choses sont en place. ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Son épouse, proche aidante, est présente lors de l'entretien. Mr. Y nous est adressé du domicile pour mise en place élective d'une PEG par abord endoscopique. A l'entrée, Mr. Y rapporte une perte d'appétit et pondérale importante ; il espère que la mise en place d'une nutrition artificielle lui permette de regagner de l'énergie dans sa mobilité. Au statut, nous constatons un état général conservé, un état fonctionnel modérément réduit (diminution de la force des MS surtout) chez un patient relativement autonome dans les AVQ. Nous débutons une substitution vitaminique et électrolytique. Une tentative de pose de PEG s'avère infructueuse en raison d'une localisation de l'estomac trop craniale pour permettre le geste de pose de sonde. Après avis gastro-entérologique, nous contactons nos collègues chirurgiens pour évaluer la possibilité d'une pose laparoscopique de PEJ. Dans l'attente de leur avis, nous confirmons l'indication à une substitution alimentaire face à un patient réaliste dans ses attentes et un état fonctionnel encore suffisamment bon pour espérer un bénéfice clinique sur sa qualité de vie. Une intervention chirurgicale ne pouvant être réalisée de suite, nous convenons avec Mr. Y de le laisser rejoindre son domicile pour être auprès de son épouse en attendant la convocation de nos collègues, un séjour post-opératoire à la Villa St-François étant possible par la suite. Mr. Y quitte l'unité pour son domicile le 05.02.2019. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Nausées avec hoquet : insupportables ; Sensation de mal-être profond, veut partir, n'en peut plus. Barthel Index : 20% Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y vit avec son épouse ; le couple a une fille, deux petits-enfants. Mr. Y est décrit comme hyperactif, anxieux. Il était toujours en mouvement, impliqué dans diverses activités. Il a travaillé dans le secteur de l'énergie. ; Projet du patient / des proches : Verbalise vouloir s'en aller, son épouse pense que les symptômes réfractaires lui font dire cela, que son attitude peut changer après 2-3 jours de repos ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Mme. Y complète l'anamnèse, Mr. Y dormant après son arrivée. Mr. Y nous est adressé depuis la médecine interne pour suite de prise en charge dans un contexte de glioblastome récidivant depuis décembre 2018 ; un état de mal épileptique ayant motivé l'hospitalisation en urgence avec séjours aux soins intensifs. Au moment du transfert, Mr. Y verbalise un inconfort majeur lié à des nausées et un hoquet, les décrit comme insupportables et d'être à bout, de vouloir partir. Nous objectivons des hoquets inépuisables en continu et un inconfort manifeste sur le visage de Mr. Y. Ce dernier refusant tout traitement PO, ayant pourtant répondu au Baclofen précédemment, nous administrons une première dose de Nozinan IV.L'effet est rapide, les hoquets cessent et Mr. Y se détend et s'endort. Son épouse, arrivée entre temps, nous relate une anxiété masquée très importante chez son époux, qu'elle a toujours connu ainsi. Elle estime l'effet du sédatif comme bénéfique pour lui, n'exclut pas une amélioration de son état mais se dit consciente de la gravité de sa maladie. Après 24h, nous devons répéter le Nozinan pour une récidive des symptômes et de l'inconfort, de nouveau avec bon effet. Ce dernier est progressivement titré pour être finalement administré de manière fixe. Nous notons une respiration pathologique évoquant parfois un rythme de Kussmaul voire anarchique, parfois en lien avec des états fébriles, que nous expliquons aussi par l'atteinte cérébrale. Entre les accès de hoquets, Mr. Y semble confortable, ce qu'il confirme lors de quelques moments d'éveil. Mr. Y décède le 05.02.2019 dans l'après-midi à la Villa St-François. Palliative Basic Assessment à l'entrée : ESAS : Douleur : douleurs abdominales diffuses, intensités moyennes, tolérables pour elle ; Dyspnée : non ; Nausée : actuellement non, mais fréquentes après la prise alimentaire ou boisson ; Fatigue : très importante ; Anxiété : importante : Mme. Y dit qu'elle veut et qu'elle sent qu'elle va partir, mais qu'elle a peur pour ses enfants et son mari. Demande à sa famille / amis d'être toujours présents, a peur d'être seule ; Autre : confusion intermittente Barthel Index : 20% Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : mari très présent, deux adolescents de 16 et 21 ans qui vivent à domicile, le plus jeune s'occupait depuis quelques semaines de sa maman à domicile (dérogation pour l'école), suite au retour au Portugal de la mère de Mme. Y qui, jusque-là s'occupait d'elle ; Projet du patient / des proches : actuellement Mme. Y dit vouloir partir, sans douleur ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : toute la famille est très proche. D'autant plus que Mme. Y ne parle que peu le français, beaucoup d'entretiens se font avec son mari qui traduit. Mme. Y, 48 ans, connue pour un carcinome colique avec invasion duodénale et obstruction des voies biliaires (drainage percutané) en situation palliative, qui est hospitalisée à l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour des douleurs abdominales. Malgré un traitement antibiotique empirique pour une possible cholangite, l'état général continue de se dégrader, faisant évoquer une fin de vie proche, et Mme. Y est transférée à la Villa St-François. A l'entrée, elle se plaint de douleurs abdominales et d'une angoisse importante devant une fin de vie proche. Devant une suspicion clinique d'iléus, malgré la Sandostatine, ce traitement est arrêté et l'ensemble des traitements est administré par voie parentérale. L'antalgie est poursuivie par fentanyl iv continu, avec augmentation progressive de la dose, et du Temesta est introduit d'office, avec un bon effet sur l'angoisse. L'ensemble de l'équipe s'investit dans l'accompagnement de son mari et de ses 2 enfants. A partir du 21.02.2019, on note une aggravation des douleurs abdominales, avec une composante paroxystique, nécessitant l'augmentation des doses de fentanyl iv continu et des bolus en réserve, puis l'adjonction de kétamine à dose co-analgésique. Le 25.02.2019, Mme. Y présente un épisode d'hématémèse, résolutif après traitement antiémétique. Elle entre alors progressivement dans un état comateux. Le lendemain matin, une nouvelle hématémèse, très importante, récidivante malgré les antiémétiques, nécessite une sédation palliative en urgence par Midazolam. Mme. Y décède quelques heures plus tard, entourée de son mari, ses enfants et des amies proches. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleur : absente ; Dyspnée : stable depuis la dernière hospitalisation aux soins palliatifs en août 2018 ; sous 2l O2 ; Nausée : absente ; Fatigue : pas renseigné ; Somnolence : difficulté à s'endormir ; selon son épouse, sommeil perturbé (agité) mais Mr. Y ne se rend pas compte ; Inappétence : mange 1 tartine le matin, soupe à midi et une demi-portion le soir ; Anxiété : non ; Dépression : non ; Autre : démangeaisons importantes, depuis des mois, mais accentuées depuis une semaine, selon Mr. Y, suite à une antibiothérapie X pour infection urinaire. Barthel Index : 55% Palliative Performance Scale : 60% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : ancien responsable des finances pour plusieurs entreprises ; pendant la retraite, bricoleur passionné ; vit avec son épouse ; a deux filles et 5 petits-enfants ; Projet du patient / des proches : Ne tient pas à la vie ; dit que ça fait 3 ans qu'il est malade ; prépare ses dernières volontés. Souhaite que son séjour permette d'améliorer le prurit et les troubles du sommeil, mais aussi que son épouse puisse se reposer, en vue d'un retour à domicile. Mr. Y, patient de 77 ans, connu pour une sclérodermie, nous est hospitalisé depuis son domicile, en raison de troubles du sommeil déjà connus, mais importants et actuellement aggravés, potentiellement dans le cadre d'un prurit nouveau, et entraînant un épuisement de son épouse, proche aidante principale. A son entrée, Mr. Y se plaint principalement d'un prurit marqué généralisé depuis plusieurs mois, d'aggravation progressive et actuellement insupportable. Son épouse rapporte des nuits très agitées, potentiellement dans ce contexte. La dyspnée d'effort est stable depuis la dernière hospitalisation en août 2018, sous O2 en continu, mais reste invalidante. Au status d'entrée, on relève des lésions cutanées diffuses, papuleuses, érythémateuses avec des squames. La biopsie cutanée effectuée en novembre 2018 confirme la suspicion clinique de lichen plan, non traité jusqu'à présent. Un traitement par dermocorticoïdes, transitoirement associé à des anti-histaminiques permet une régression rapide des lésions et une disparition du prurit. Ceci, combiné à un traitement de valériane, permet également une amélioration du sommeil. Devant la possibilité d'une origine médicamenteuse du lichen plan, nous arrêtons les traitements d'allopurinol et de novalgine. Mr. Y évoque spontanément la lourdeur du traitement médicamenteux en place. Nous profitons du séjour, après discussion avec lui et dans le cadre d'une maladie chronique évolutive, pour adapter la médication avec pour objectif principal l'amélioration des symptômes et de la qualité de vie. Ainsi, nous arrêtons le lexotanil, magnesiocard, acidum folicum, novalgine et vitamine D3, et nous instaurons un traitement par petites doses d'hydromorphone, à but symptomatique pour la dyspnée, qui démontre un effet bénéfique. Pour une récidive d'un cancer de la vessie, suivi par le Dr. X, nous profitons de ce séjour hospitalier pour organiser une consultation pré-opératoire auprès de nos collègues anesthésistes à l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal. Nous laissons le soin au Dr. X d'organiser la suite de la prise en charge opératoire. A noter dans ce contexte, une récidive d'infection urinaire basse, symptomatique, à un E.coli multi-sensible, à quelques jours de la dernière antibiothérapie. Un traitement par ciprofloxacine pour 14 jours est débuté, avec une bonne évolution clinique. Mr. Y rentre à domicile le 21.02.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleur : aucune ; Dyspnée : non ; Nausée : 1x vomissement durant le séjour ; Somnolence : nuits difficiles à l'Hôpital Cantonal ; Inappétence : moins bon appétit, aurait perdu du poids ; Anxiété : inquiète du transfert, sait qu'ici des gens meurent ; Dépression : triste de la nouvelle du cancer récente.Barthel Index : 55% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y est veuve, a 1 fils et 1 fille. A eu un ami après le décès de son époux ; 8 ans de bonheur avec ce compagnon qui est aussi décédé. Elle vit seule dans un appartement sans ascenseur. Elle apprécie son autonomie, sa voiture (Bijou) qui lui permet de véhiculer ses amies pour aller manger. Elle aime les reportages à la télévision ; Projet du patient / des proches : Espère rentrer à la maison mais évoque l'EMS ; aurait peur de perdre sa liberté ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Pas évoqué, Mme. Y est seule lors de l'entretien. Mme. Y nous est adressée par l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour suite de prise en charge dans un contexte d'hépatocarcinome récemment diagnostiqué. Au moment du transfert, Mme. Y verbalise une difficulté à se mobiliser, nouvelle, et partage une incompréhension face à ce cancer qu'elle n'a pas senti venir. Son espoir est alors de pouvoir rentrer à domicile, elle avoue redouter le séjour et craindre une fin de vie imminente. Nous la rassurons quant à la possibilité d'un projet de suite. Nous objectivons un état général modérément réduit et une dépendance importante aux soins. Nous notons des oedèmes très importants aux membres inférieurs, probablement en lien avec le contexte oncologique. Malgré une amélioration de l'état cutané, la dépendance fonctionnelle demeure. Lors d'un entretien de famille, Mme. Y constate d'elle-même l'impossibilité d'un retour à domicile. Nous accompagnons Mme. Y et ses enfants face à la nouvelle d'une espérance de vie réduite à quelques mois. L'état général de Mme. Y étant plutôt stable, nous proposons une suite de prise en charge en EMS. Mme. Y quitte le service des soins palliatifs le 27.02.2019 pour l'EMS Villa Beausite. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : actuellement supportables ; Dyspnée : non ; Nausée : non, mais vomissements ; Fatigue : non évaluée ; Somnolence : non évaluée ; Inappétence : non évaluée ; Anxiété : non ; Dépression : non évaluée ; Sensation de mal-être en lien avec les vomissements. Barthel Index : 65% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Divorcée d'un premier mariage avec enfants (et petits-enfants), son 2ème compagnon est décédé après 13 années de vie commune heureuses. Mme. Y se décrit comme une battante. Elle a une bonne relation avec sa fille, mais aucun contact avec ses 2 autres enfants depuis plusieurs années. Elle venait d'emménager chez sa fille, car il lui devenait impossible de rester seule à domicile, mais aussi pour profiter de ses petits-enfants (4), surtout des 2 derniers dont elle est très proche. Elle avait un magasin de laine en ville qu'elle a remis à sa fille. Projet du patient / des proches : initialement, pensait être hospitalisée pour une fin de vie. Par la suite, souhaite améliorer l'antalgie et profiter de moments de qualité en famille. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Sa fille est proche et souvent présente. Mme. Y, connue de notre service, est hospitalisée en urgence depuis son domicile pour des vomissements incoercibles depuis la veille et une confusion décrite par son entourage. A l'entrée, Mme. Y se plaint de vomissements sans nausée ni vertige, mais avec des céphalées associées, ainsi qu'une toux grasse. Selon hétéroanamnèse par sa fille et l'infirmière, elle aurait présenté un état confusionnel la veille au soir, avec un trouble du langage (inversion des mots). En plus, la famille de la patiente aurait remarqué des troubles de mémoire depuis décembre dernier. Au status d'entrée, on trouve une patiente réveillée, orientée avec un discours verbal cohérent, sans méningisme ou déficit neurologique focal, ni autre signe de neurotoxicité aux opiacés. Le status abdominal est dans la norme. L'auscultation pulmonaire révèle un encombrement bronchique. Les vomissements, auxquels s'associent par la suite des diarrhées, sont rapidement contrôlés par traitement antiémétique iv. Devant ce tableau clinique avec une évolution spontanément favorable et bilan biologique rassurant, nous retenons une gastro-entérite virale comme la cause la plus probable. Sur le plan pulmonaire, l'évolution est également favorable sous traitement expectorant. Mme. Y rapporte également des douleurs à la cuisse droite depuis quelques semaines. Une hyperesthésie / allodynie locale fait évoquer une origine neurogène (méralgie). Dans le doute initial d'une participation du traitement habituel de Morphine aux vomissements, une rotation d'opiacés avait été faite pour l'hydromorphone, bien tolérée et que Mme. Y trouve par ailleurs plus efficace. L'ajout de Lidocaïne topique (Neurodol patch) est encore plus bénéfique, lui permettant de se mobiliser avec son rolator. Initialement, un retour à domicile chez sa fille était prévu, mais pendant le séjour, Mme. Y a favorisé un placement dans un EMS devant une situation sociale difficile chez sa fille (4 enfants à charge, avec difficultés scolaires, reprise de la boutique de laine de Mme. Y comme projet de réinsertion professionnelle notamment). Après un entretien familial avec sa fille, nous effectuons les inscriptions pour un placement en EMS. Mme. Y quitte la Villa Saint François le 25.02.2018 pour l'EMS les Bonnesfontaines. Le suivi sera poursuivi ainsi que les thérapies à l'accueil de jour de la Villa Saint François. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : diffuses ; Dyspnée : à la parole ; Nausée : non ; Fatigue : importante, Mme. Y dit passer ses journées au lit ; Somnolence : dort beaucoup ; Inappétence : nulle ; Anxiété : oui, prend du Xanax. Barthel Index : 60 pts Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y vit seule dans un immeuble au 1er étage sans ascenseur. Elle a 3 enfants qui sont actifs professionnellement, n'arrivent pas à l'assister autant qu'ils le voudraient. ; Projet du patient / des proches : Améliorer ses jambes, bénéficier de thérapies corporelles ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Sa belle-sœur, proche aidante, est présente durant l'entretien. Mme. Y est admise du domicile adressée par Dr. X, oncologue traitante, dans un contexte de baisse d'état général, notamment suite au traitement de chimiothérapie. A l'entrée, Mme. Y signale une fatigue importante, une aggravation de sa dyspnée, accompagnée d'une toux sèche, une inappétence et un mal-être général. Elle décrit des douleurs diffuses, mais plus marquées aux jambes. Nous objectivons un état général réduit chez une patiente qui semble abattue. Devant une suspicion clinique de lymphangite carcinomateuse, nous majorons empiriquement le traitement de corticostéroïdes et introduisons de la Morphine en réserve à but symptomatique. Nous impliquons les thérapeutes et les soignants dans une prise en charge globale, orientée vers le confort et des thérapies physiques. Mme. Y apprécie le cadre de la Villa Saint François et la possibilité de manger en communauté à la salle à manger, son appétit s'améliore. Elle constate après quelques jours un regain d'énergie, avec disparition de la toux et amélioration de la dyspnée et peut se passer d'oxygène la majeure partie de la journée. Nous débutons un sevrage progressif de la corticothérapie, que nous vous laissons le soin de poursuivre en ambulatoire, selon la tolérance clinique.L'hypercalcémie, connue, mais aggravée au bilan du 30.01 se corrige après une semaine, permettant la diminution du Cinacalcet à la sortie, selon avis endocrinologique. Les glycémies étant toujours dans la norme sans insuline, malgré un appétit normal, nous nous permettons d'arrêter l'insuline et continuer uniquement des antidiabétiques oraux. Pendant son séjour à la Villa St-François, nous constatons que Mme. Y souffre de solitude depuis sa maladie. Dans ce but, un suivi multidisciplinaire à domicile et en ambulatoire à l'accueil du jour de la Villa St-François est organisé. Mme. Y rentre à domicile le 14.02.2018. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : non, résolues (céphalées) ; Dyspnée : non ; Nausée : non ; Fatigue : oui, en progression ; Somnolence : dort bien ; Inappétence : mange bien ; Anxiété : anxiété de rester à la maison ; Dépression : relativement sereine, anticipe les préparatifs de sa fin de vie ; Autre perte de force, progressive Barthel Index : 50 pts Palliative Performance Scale : 60% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y a une fille d'une première union et deux enfants (10, 11 ans) avec son compagnon actuel. Elle a travaillé dans les RH, a repris un emploi une fois que ses enfants étaient plus grands mais le diagnostic est survenu à ce moment. Elle aime l'équitation, cuisiner, jouer avec ses enfants, s'était investie dans un comité d'équitation. La famille vit dans une grande maison avec demi-étages ; Projet du patient / des proches : Retourner à la maison, conserver une qualité de vie, rêverait d'accompagner sa fille à l'équitation ; Comment le patient souhait-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Son époux n'a pu rester à l'entretien, devait garder les enfants. Mme. Y est admise directement du domicile sur avis de Dr. X en raison d'un maintien à domicile devenu impossible dans un contexte d'un carcinome mammaire avec récidive cérébrale. À l'entrée, Mme. Y explique avoir perdu progressivement de la force dans ses membres inférieurs, mais de manière marquée ces derniers jours, avec des paresthésies nouvelles. Nous constatons une paraparésie symétrique importante, rendant la marche ou la station debout impossible. Un bilan radiologique par IRM est réalisé et objective une progression de l'atteinte tumorale centrale avec une carcinose méningée s'étendant désormais aux leptoméninges, ceci de manière plus marquée au niveau lombaire. Après discussion avec Mme. Y, son époux et Dr. X, et sur avis des radiothérapeutes, un traitement de radiothérapie lombaire est administré durant le séjour. Pour les paresthésies qui atteignent progressivement les quatre membres, nous instaurons un traitement par méthadone qui s'avère efficace. Parallèlement, nous impliquons l'ensemble de l'équipe dans la prise en charge. L'hypnose par exemple, se révèle être une ressource bénéfique pour la gestion des paresthésies. Nous impliquons également notre psychologue et notre art-thérapeute pour l'assister dans le processus de deuil anticipé et la manière de communiquer avec ses enfants en bas âge. Mme. Y et son époux se disent conscients du pronostic limité, la priorité de Mme. Y étant de profiter de chaque instant avec sa famille et de conserver une certaine qualité de vie ; pour elle, il est inenvisageable de poursuivre des traitements visant à prolonger sa survie, si sa qualité de vie continue à se dégrader. Nous constatons une dégradation progressive de l'état fonctionnel, avec un besoin en soins conséquent ne permettant pas d'envisager un retour à domicile. Dans la nuit du 14 au 15 février, Mme. Y présente une aggravation brutale de son état, avec notamment des céphalées violentes, une photophobie et une agitation psychomotrice marquée. Au vu de la sévérité des symptômes et de l'absence de bénéfice des traitements antalgiques, une analgosedation palliative par Midazolam et morphine iv continu est rapidement mise en place, avec bon effet. La situation est expliquée au mari et aux enfants de Mme. Y et nous les accompagnons au mieux dans le processus de fin de vie. Mme. Y décède le 18.02.2019 au matin, entourée de ses 2 soeurs. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : suffisamment contrôlées ; Dyspnée : importante, en péjoration depuis 3 jours ; Nausée : pas renseigné ; Fatigue : importante ; Somnolence : sommeil léger ; Inappétence : appétit diminué, mange tartine le matin, soupe midi et demi-portion le soir ; Anxiété : importante, en vagues ; Dépression : non ; Sensation de mal-être important Barthel Index : 40% Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y vit avec son épouse à domicile ; 1x/jour infirmière ; 1x/j Voltigo (sauf week-end) ; Projet du patient / des proches : Soulagement dyspnée, aimerait bien rentrer chez lui À l'arrivée au service, Mr. Y se plaint d'une dyspnée importante en péjoration depuis 3 jours, en parallèle d'une rétention d'eau dans les jambes et dans le ventre depuis 14 jours. En outre, il présente une fatigue importante, associée à des épisodes d'hématochézie et hématurie en intermittence. Devant la dyspnée, le patient présente une acutisation de ses troubles anxio-dépressifs connus et vice versa. Au status d'entrée, on relève des signes de surcharge hydrique avec des oedèmes importants des jambes jusqu'au bassin incluant les parties génitales, une auscultation pulmonaire normale. Devant ce tableau clinique, nous retenons un syndrome de la veine cave inférieure comme cause la plus probable, chez un patient qui a déjà un stent posé dans la veine cave inférieure en 09/2018. Sur le plan de la dyspnée, nous retenons une composante importante d'angoisses chez Mr. Y, qui verbalise une angoisse de mort importante. Nous introduisons un traitement par morphine et Temesta. Par la suite, Mr. Y développe un iléus paralytique dans le contexte tumoral. La situation clinique s'aggrave au point où le traitement anxiolytique par Temesta et anti-émétique par Haldol est majoré. La souffrance est palpable. Nous accompagnons également sa fille et son beau-fils dans ce processus de séparation. En échangeant avec eux, ils nous apprennent à quel point Mr. Y a dû relever des défis pour survivre, la plupart en tant qu'immigré espagnol. Cette fin de vie si difficile à accepter peut à certains égards s'expliquer par ce parcours de vie de combattant. Mr. Y décède le 18.02.2019 à la Villa St-François. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : 10/10 localisées au niveau du nodule sous-cutané en regard de l'omoplate droite, douleurs répondant bien au Dafalgan, douleurs fluctuantes et parfois insomniantes, douleurs n'entravant pas sa mobilité ou ses AVQ ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 0/10 : présente à l'entrée, résolution après début corticothérapie ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 0/10 : présente à l'entrée, résolution après début corticothérapie, actuellement mange 1/2 portion + nutrition entérale par SNG depuis le 25.01.2019 ; Anxiété 0/10 ; Dépression 10/10 : pleurs fréquents, décrite de caractère sensible par les proches, a aimé le soutien par la psycho-oncologue Barthel Index : 85% Palliative Performance Scale : 70% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y est veuve depuis 20 ans, pas d'enfant, 3 soeurs (Mme. Y est la cadette), toutes sont décédées. Famille actuelle : 1 nièce et son mari + leur enfant vit dans un immeuble à Villars-sur-Glâne, nécessité de monter un demi-étage pour atteindre l'ascenseur, aide au ménage 1-2x/semaine, pas de soins à domicile ou Voltigo ; Projet du patient / des proches : spontanément pas de projet désiré, souhaite rentrer à domicile si possible ; Comment le patient souhait-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : nièce + son mari.Mme. Werro est une patiente de 82 ans connue pour un mélanome malin métastatique diagnostiqué en novembre 2018, actuellement sous immunothérapie par pembrolizumab. Elle est hospitalisée à l'HFR Fribourg pour une baisse de l'état général avec mise en évidence de métastases cérébrales dans son bilan d'entrée, motivant la mise en place d'une corticothérapie par Dexaméthasone. Après discussion avec la patiente et ses proches, il est décidé de ne pas effectuer de radiothérapie vu le risque d'une perte d'indépendance dans une situation cognitive et sociale déjà fragile. Elle est transférée dans notre service le 04.02.2019 pour la suite de la prise en charge. A son arrivée, Mme. Werro se plaint essentiellement de douleurs importantes localisées au niveau de ses multiples nodules sous-cutanés. On observe également une grande tristesse et une certaine frustration face à la situation dans laquelle elle se trouve. Nous mettons en place un traitement antalgique et une prise en charge multidisciplinaire afin d'assister Mme. Werro dans son processus d'acceptation. A partir du 10.02.2019, nous observons une péjoration clinique aiguë sous forme d'un état confusionnel aigu réfractaire à un traitement d'Halopéridol, avec également l'apparition progressive d'une apraxie et une nécessité de guidance soutenue pour tous les actes de la vie quotidienne. Au vu d'un retour à domicile devenu impossible, nous décidons, d'entente avec nos collègues oncologues, d'arrêter l'immunothérapie. Dans ce contexte, nous organisons un entretien de famille le 13.02.2019 afin d'expliquer la situation aux proches. Par la suite, la situation clinique continue à s'aggraver et Mme. Werro décède le 22.02.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 4/10 : au niveau des membres inférieurs et au niveau abdominal sous forme de crampe ; Dyspnée 8/10 : nouvelle depuis hospitalisation, stade IV ; Nausée 4/10 : absence de vomissement ; Fatigue 2/10 : chronique ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 2/10 : chronique, patiente pas inquiète ; Anxiété 0/10 ; Dépression 4/10 : moral décrit comme mauvais. Barthel Index : 20 pts Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Patiente non mariée, pas d'enfant. Fratrie de 3. Un frère et une sœur vivant en Italie. Vivait dans son appartement avant son transfert en EMS à Beausite. A travaillé à différents endroits, dont le dernier dans le commerce du café avec son frère ; Projet du patient / des proches : Rentrer à Beausite, pas d'autre projet ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : son frère et sa sœur. Mme. Serrao est une patiente de 71 ans connue pour un adénocarcinome du côlon métastatique avec prise en charge par chimiothérapie palliative, un antécédent d'AVC ischémique pariétal gauche en novembre 2018. Elle est hospitalisée le 26.01.2019 suite à un nouvel AVC sur thrombose de l'artère basilaire, traité conservativement, au vu du contexte oncologique métastatique associé à un risque hémorragique important. Elle présente un nouvel AVC le 31.01.2019, avec une atteinte fonctionnelle sévère (tétraparésie, troubles phasiques et de la déglutition). Au vu d'une relative stabilité clinique, Mme. Serrao est transférée dans notre service le 11.02.2019. A son arrivée, la patiente se plaint essentiellement d'une dyspnée. Au status, la patiente est en surcharge hydrique au niveau pulmonaire, mis sur le compte de l'arrêt des traitements diurétiques et de l'hydratation intraveineuse reçue pour une insuffisance rénale aiguë et une hypernatrémie. Au vu du contexte global, nous reprenons un traitement diurétique par Furosemide, à but symptomatique, associé à la morphine et à la physiothérapie respiratoire. Mme. Serrao présente également des douleurs neuropathiques aux membres inférieurs dans un contexte de polyneuropathie diabétique connue, pour lesquelles nous adaptons l'antalgie. Rapidement, nous observons une baisse de l'état général avec une somnolence marquée et un arrêt de l'alimentation et de l'hydratation. Nous adaptons l'administration des traitements en privilégiant la voie intraveineuse. Mme. Serrao décède le 18.02.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 4/10 : douleurs abdominales avec irradiation dans le dos, douleurs mollet gauche ; Dyspnée : non ; Nausée : non ; Fatigue : oui, importante ; Somnolence : Mr. Y dit bien dormi ; Inappétence : oui, difficultés à la déglutition aux solides ; Anxiété : non ; Dépression : non ; Sensation de mal-être oui, se sent abattu, inutile. Barthel Index : 40 pts Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit avec son épouse, a deux fils (jumeaux) de 28 ans, mécanicien chez CFF, passionné par la moto ; Projet du patient / des proches : retour à domicile pas obligatoire, mais aimerait être à proximité de sa famille ; est clair sur sa situation médicale, n'a que des attentes modestes pour le reste de sa vie (soulagement des douleurs, amélioration activité physique). Mr. Rouiller, patient de 60 ans, connu pour un adénocarcinome de la queue du pancréas diagnostiqué en 12/2016, avec une carcinose péritonéale et volumineuse masse au niveau de la courbure gastrique, nous est adressé par l'équipe de Voltigo pour des douleurs importantes en augmentation depuis 2 semaines. A l'arrivée au service, on retrouve un patient plutôt alité, abattu, qui se plaint de douleurs abdominales avec irradiation au bas du dos, une fatigue importante et une inappétence importante. Nous adaptons le traitement antalgique par fentanyl en i.v. continu avec un bon contrôle des douleurs par la suite. Sur le plan de la fatigue, une anémie spoliative probablement, à 48 g/l a été mise en évidence au bilan d'entrée. Après avoir discuté avec le patient et sa famille, Mr. Rouiller profite d'une transfusion de 2 culots érythrocytaires à visée symptomatique avec un résultat quasi nul sur la fatigue. Nous convenons de ne plus transfuser. Une thrombophlébite du mollet gauche a été traitée à but antalgique avec un traitement local, sachant qu'un traitement par anticoagulation étant trop risqué devant la notion d'un saignement intestinal récent et l'anémie présente. Par la suite, Mr. Rouiller développe un état confusionnel aigu, raison pour laquelle nous effectuons une rotation d'opioïde pour une suspicion d'une toxicité du fentanyl. Malgré cela, l'état confusionnel et la situation clinique globale s'aggravent rapidement. Nous majorons le traitement par Temesta et Nozinan avec un bon effet sédatif et anxiolytique. La famille (épouse et 2 fils) veille et se sent touchée par cette fin de vie. Mr. Rouiller décède le 18.02.2019 en leur présence. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 9/10 : bas du dos avec irradiation dans les jambes lors de position assise ; Dyspnée : oui, à l'effort ; Nausée : non ; Fatigue : importante ; Inappétence : 1 tartine le matin, 1/4 portion midi, le soir pas grand-chose ; Anxiété : actuellement pas, mais en général plutôt anxieuse ; Dépression : non. Barthel Index : 70% Palliative Performance Scale : 60% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit avec son mari atteint également d'un cancer, suivi par Dr. X. Monsieur est passablement angoissé et envahissant selon les dires de Mme. Y. Ils ont un fils très engagé et aussi très inquiet selon Mme. Y. Licence en économie ; a supporté son mari dans son parcours professionnel (secrétaire général au parlement suisse) ; Projet du patient / des proches : Aimerait regagner sa mobilité (soulagement de douleurs) pour aller au café, restaurant et reprendre ses activités sociales (atelier de tricot, cours à l'université en tant qu'auditeur).Mme. Y, patiente de 71 ans, connue pour un adénocarcinome moyennement différencié de type canalaire invasif du sein gauche avec lymphangite carcinomateuse et métastatique au niveau osseux, pulmonaire et hépatique, nous est adressée depuis le domicile par Voltigo pour une adaptation de son traitement antalgique. Mme. Y présente des douleurs importantes (EVA 9/10), type sciatalgie, au niveau lombaire, irradiant dans les deux jambes jusqu'aux pieds lors de la position assise, très invalidantes dans ses activités de sa vie sociale. En outre, elle se plaint d'une dyspnée à l'effort. Ses symptômes évoluent depuis 10/2018, lors de la mise en évidence d'une récidive avec des métastases pulmonaires, hépatiques et une infiltration tissulaire médiastinale. Finalement, elle se décrit comme une personne anxieuse avec des crises d'angoisse occasionnelles, sans pouvoir préciser l'origine de son angoisse. L'examen clinique ne montre pas de déficit neurologique aux membres inférieurs et l'auscultation pulmonaire est dans la norme, hormis une légère hypoventilation à la base droite. Le traitement antalgique est adapté, d'abord avec une rotation d'opiacés pour la morphine (dans le but d'un bénéfice sur la dyspnée). La bonne gestion des réserves, avant les repas notamment, associée à l'introduction de Méthadone pour la composante neurogène, s'avère positive, Mme. Y parvenant à rester en position assise durant au moins 1h. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie de séances de physiothérapie et d'ergothérapie (coussin adapté, qu'elle refuse finalement), mais n'adhère que peu aux thérapies proposées, et doit être souvent stimulée et encouragée pour sortir de sa chambre et venir prendre les repas en commun. Nous constatons effectivement une anxiété marquée durant le séjour, notamment nocturne. Mme. Y préfère son traitement habituel à base de plantes (Rescue) au produit chimique (Temesta). La Venlafaxine est finalement introduite en fin de séjour, pour son effet anxiolytique aussi bien qu'antalgique sur les douleurs neurogènes. Mme. Y rentre à domicile le 21.02.2019. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Nausée : modérée liée à la prise alimentaire ; Fatigue : marquée en péjoration ; Inappétence : oui, associée aux nausées ; Anxiété : selon sa compagnie, crises d'angoisse occasionnelles depuis l'arrêt de chimiothérapie. Barthel Index : 15% Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit avec sa compagne, en couple depuis 26 ans. Suivi par Voltigo (Mathilde) sinon pas d'aide à domicile ; N'a pas d'enfant, mais très proche des enfants de sa compagne ; Projet du patient / des proches : Veut s'en aller en paix, sans douleur. Mr. Y est un patient de 60 ans connu pour une liposarcome para-testiculaire gauche multimétastatique diagnostiqué en 2009. Pour rappel, il a été décidé en début de cette année de passer à des soins de confort au vu d'une progression oncologique sous radio-chimiothérapie avec mise en place d'un suivi palliatif ambulatoire. Mr. Y est hospitalisé pour un maintien impossible à domicile à cause d'une asthénie en péjoration. A son admission à l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal, des douleurs basithoraciques et abdominales diffuses sont mises en évidence probablement en lien avec les métastases abdominales et thoraciques connues. Une antalgie par hydromorphone est mise en place. Puis Mr. Y va développer des nausées et vomissements, ainsi qu'un hoquet partiellement amélioré par un traitement symptomatique. Il nous est ensuite adressé à partir du 21.02.2019 pour une prise en charge palliative complexe. A son arrivée, nous observons alors un patient abattu, somnolent et cachectique. La plainte principale de Mr. Y est essentiellement une asthénie évoluant depuis plusieurs mois. Nous mettons en évidence un sub-iléus avec la persistance de douleurs abdominales et d'un hoquet. Nous instaurons initialement un traitement de lévomépromazine pour les nausées et le hoquet avec un effet insatisfaisant, motivant son remplacement par de l'Halopéridol. Rapidement, Mr. Y présente un globe urinaire nécessitant la pose d'une sonde urinaire. Nous relevons également une importante angoisse chez un patient connu pour des troubles anxio-dépressifs traités par du lorazépam à domicile. Dans le contexte d'une fin de vie proche, nous réintroduisons une anxiolyse par lorazépam. Rapidement, nous observons une baisse de son état général avec une somnolence marquée. Le traitement est simplifié avec l'arrêt de son traitement VIH et de la corticothérapie. La voie d'administration est adaptée avec un passage à la voie sous-cutanée. Dès le 25.02.2019, il va présenter une agitation psychomotrice nécessitant une sédation palliative par midazolam. Mr. Y décède le 27.02.2019 en compagnie de son amie. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Nausée : vomissements résolus depuis décharge ; Inappétence Barthel Index : 50% Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y a une épouse et 4 enfants d'un premier mariage ; avec sa deuxième compagne, ils ont recueilli une fille à St-Domingues, leur lieu de résidence. Mme. Y a choisi d'accompagner Mr. Y en Suisse lorsqu'il a présenté les premiers signes de maladie. Ils vivent actuellement chez la fille Véronique. Mr. Y se dit croyant, ne veut pas prêcher mais aime transmettre ; Projet du patient / des proches : Veut être soigné. Ne se projette pas plus loin ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : L'épouse est présente lors de l'entretien. Cite Véronique (fille) comme référence également. Mr. Y nous est adressé de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour suite de prise en charge dans un contexte d'un carcinome pancréatique diagnostiqué fin 2018. Pour rappel, l'évolution de ce dernier s'est compliqué d'un iléus symptomatique et de la pose d'une gastrostomie de décharge à but symptomatique et éventuellement pour une alimentation entérale. A son arrivée, Mr. Y nous signale des douleurs en regard du lieu de ponction. Sinon, il ne souhaite pas se livrer en détail mais nous évoque l'importance de sa foi ainsi que celle de son épouse. Nous notons un état général réduit et une cachexie manifeste. Le status abdominal évoque un iléus paralytique. Le site de gastrostomie est légèrement induré. Nous ne pouvons exclure une réaction inflammatoire post-interventionnelle mais au vu du risque infectieux, nous maintenons l'antibiothérapie instaurée par Ceftriaxone pour sept jours au total. Nous adaptons les traitements avec antalgie par pompe CAD, Halopéridol pour les nausées, Métimazole comme adjuvant et poursuivons les drainages de la sonde. Constatant un écoulement par sonde inquiétant et des difficultés à effectuer les drainages de la sonde, nous prenons avis auprès de Dr. X et convenons avec Mr. Y et sa famille de retirer la sonde d'alimentation, étant donné la situation non réversible de l'iléus et l'évolution générale de Mr. Y. Après retrait de celle-ci, le drainage s'effectue efficacement et nous notons une amélioration du confort de Mr. Y. Progressivement, l'état général de Mr. Y se péjore. Le 21.02.2019, nous observons une agitation psychomotrice aiguë nécessitant l'introduction de Lévomépromazine et la majoration du traitement de lorazépam avec bon effet. Mr. Y décède le 24.02.2019 entouré de sa famille.Palliative Basic Assessment d'entrée. ESAS : Douleurs : au coude gauche, à la jambe gauche, à l'hémicrâne droit (connues), au thorax (post-REA) ; Autre : colère, ras-le-bol vis à vis de la réhospitalisation Barthel Index : 40 points Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y est marié, a 4 fils, plusieurs petits-enfants. La réhospitalisation s'est faite 24h après le retour à domicile sur demande des proches, jugeant le maintien à domicile impossible. Mr. Y plaçait beaucoup d'espoir dans ce retour, est déçu. Projet du patient / des proches : A clarifier au vu de la réhospitalisation, Mr. Y re-verbalise son désir de mourir s'il ne peut rentrer à la maison. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Les petits-enfants sont présents à l'entrée, s'interposent dans la situation, estimant leur grand-mère mise en danger dans le projet de retour à domicile Mr. Y a rejoint son domicile le 14.01.2018 ; afin de sécuriser l'entourage, nous convenons de bloquer un lit à son intention 48h dans notre service dans l'éventualité de difficultés ingérables en ambulatoire. Après 24h, Mr. Y doit être réhospitalisé sur demande des proches, notamment petits-enfants, qui rapportent une situation ingérable à domicile. En effet, son épouse rapporte une anxiété importante et un sentiment d'impuissance face à Mr. Y qui aurait manifesté de l'agressivité, de la confusion et une nouvelle incontinence. Au décours de ce deuxième séjour, nous objectivons effectivement un état confusionnel mixte sans cause réversible évidente, qui s'inscrit possiblement dans le cadre de troubles cognitifs sous-jacents. Nous adaptons le traitement anti-confusionnel et suspectant un surdosage en opiacés en raison d'une somnolence accrue, nous réduisons l'antalgie sans difficulté, avec bon effet. Une nouvelle discussion avec la famille formalise la nécessité d'un placement. Mr. Y s'alimente et s'hydrate spontanément. Il ne formule plus de désir de mort et accepte l'option d'un transfert à l'EMS de Tavel. Dans l'attente d'une place, Mr. Y reste hospitalisé à la Villa St-François bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement. Mr. Y est finalement transféré à l'EMS de Tavel le 12.03.2019. Palpation douloureuse de l'épicondyle latéral. Radiographie du coude droit : décrite ci-dessous. Antalgie simple. Palpitation évoluant depuis 2 ans +- douleur thoracique associée, mais se majorant ces 2 dernières semaines. Parfaite stabilité clinique et hémodynamique, plus aucune douleur ni dyspnée. Son médecin traitant, Dr. X, atteint par téléphone, précise que la patiente a eu un Holter rythmique en nov. 2018 normal et parle d'un contexte anxieux. Il reverra la patiente le 05.02.19. Palpitation • Extrasystoles, Bigeminisme. Palpitation, oppression thoracique. Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations. Palpitations cardiaques intermittentes, DD tachycardie supraventriculaire paroxystique. • pas de symptôme inquietant à l'heure actuelle. Palpitations cardiaques (sans plus de précision), traité par bêtabloqueur. Restless legs syndrome, traité par Rivotril. Déficit en vitamine D substitué. Palpitations d'étiologie indéterminée (fibrillation auriculaire paroxystique ?) Palpitations d'origine indéterminée. Palpitations d'origine indéterminée avec sensation d'oppression thoracique. • DD : consommation excessive de café, anxiété/angoisse. Palpitations d'origine indéterminée. DD : état anxieux. Palpitations d'origine indéterminée le 03.02.2019. DD : extrasystoles, fibrillation auriculaire, tachycardie de réentrée nodale, autre. Palpitations d'origine indéterminée le 06.11.2018. Avec douleurs thoraciques antérieures aspécifiques. Palpitations, dyspnée, épistaxis et céphalées. Palpitations et douleur épigastrique sur tachycardie sinusale sans trouble métabolique retrouvé • dyspnée intermittente associée • possible composante d'anxiété. Palpitations et dyspnée d'origine indéterminée le 28.02.2019. • DD : troubles du rythme, angoisses. Palpitations et serrement au cou. Palpitations intermittentes. Palpitations, le 15.02.2019. Palpitations le 21.11.2017. Palpitations le 26.01.2017 avec : • probablement passage paroxystique en fibrillation auriculaire rapide. Palpitations le 30.08.2018 avec : • probablement passage paroxystique en fibrillation auriculaire rapide. Palpitations le 26.01.2017, probablement passage paroxystique en fibrillation auriculaire rapide. Palpitations le 30.08.2018, probablement passage paroxystique en fibrillation auriculaire rapide. Palpitations post prise d'héroïne le 10.02.2019. • de régression spontanée. Palpitations probablement sur extrasystolies intermittentes. Palpitations probablement sur fibrillation auriculaire paroxystique vs extrasystolie ventriculaire. Palpitations sur crise de panique le 25.02.2019. Palpitations sur l'alcool -> Inderal et Temesta en réserve. Palpitations sur probable tachycardie supra-ventriculaire le 18.06.2012. Paludisme. Paludisme avec parasitémie à 4%, espèce de falciparum indéfini. Laboratoire : CRP 215, Plq 64000, Hb 119, Bili 47, Pct 18.4, LDH 1158. Radiographie de thorax : pas de foyer. Panari Panari hallux gauche Panaris. Panaris. Panaris de l'index gauche avec signes de surinfection le 11.02.2019. Panaris de l'index de la main gauche. Panaris doigt 2 main gauche Panaris du pouce droit le 04.02.2019. Panaris du 2ème doigt gauche le 11.02.2019. Panaris D3 main droite. Panaris index gauche. Panaris orteil 1 pied droit Panaris pouce gauche. Panaris 1er orteil pied D. Panaris 1er orteil gauche Pancardite d'origine indéterminée non datée. Appendicectomie. État confusionnel aigu le 14.06.2016. Infection urinaire basse le 14.06.2016. Pancolite à Clostridium difficile le 03.01.2019. Pancréatite aiguë Balthazar 5-6 d'origine alcoolique. Pancréatite aigüe Balthazard C le 30.01.2019 • DD : origine médicamenteuse. Pancréatite aigue biologique le 19.02.2019. Pancréatite aiguë d'origine idiopathique le 8.5.2009. Cholécystectomie par scopie le 27.10.2004. Hypertension artérielle transitoire de 2004 à 2009. Notion d'hypercholestérolémie traitée jusqu'en 2010. Pancréatite aiguë d'origine non déterminée le 13.11.2015. Ralentissement global sur prise de Lyrica 75 mg en juillet 2014. Cure d'éventration cicatricielle par laparotomie et mise en place de deux filets le 16.03.2010 pour une éventration importante au niveau de la cicatrice de la laparotomie transverse.Mise en place d'un cathéter de Tenkhoff le 26.01.2010. Choc septique sur péritonite sur abcès péri-hépatique (Pseudomonas et Streptocoque milleri) sur pancréatite aiguë en janvier 2009. Pseudo-kyste du pancréas et cholécystite chronique lithiasique : • kysto-gastrostomie pancréatique et cholécystectomie le 15.01.2009 • laparotomie exploratrice et drainage pour sepsis sévère sur un abcès péri-hépatique le 19.01.2009 • laparotomie et drainage pour choc septique sur un abcès sus-hépatique le 21.01.2009 • laparotomie et drainage pour sepsis sévère sur phlegmon rétropéritonéal le 26.01.2009 • fermeture cutanée et transformation sur éviscération couverte le 30.01.2009 • polyneuropathie des soins • trachéotomie percutanée le 29.01.2009 • décanulation le 10.02.2009. Opération de l'épaule droite en 2001. Cure de hernie inguinale en 1985. Pancréatite aiguë le 21.02.2019 avec • Hypertriglycéridémie chez une patiente connue pour une angiodysplasie gastrique • Consultation pour mêmes symptômes le 13.02.2019 : Hémoglobine à 53 g/l, et 3 CE • Gastroscopie prévu le 28.02.2019 Pancréatite aiguë sur hypertriglycéridémie à 48 mmol/l le 05.02.2019 • Score de Ranson à 3 points à l'entrée, 5 points à 48h • CT severity index : Balthazar E 4 Pancréatite aiguë, 2 épisodes de genèse inconnue en octobre 2010 Cholangite non compliquée en novembre 2013 • Status post cholécystite aiguë alithiasique • Status post pancréatite à deux reprises en 2010 avec thrombose de la veine splénique Cholécystectomie par laparoscopie le 12.02.2014 Poignet droit : status post-arthrodèse poignet (Synthes Wrist Fusion, prise de greffe autologue) le 10.04.2017 pour morbus Kienböck stade IV selon Lichtmann. Ablation du matériel d'ostéosynthèse poignet droit. Pancréatite Balthazar C d'origine biliaire le 09.02.2019 Pancréatite biliaire avec suspicion de cholangite débutante : • présence de calculs biliaires dans le cholédoque avec le plus gros à 7 mm de diamètre et dilatation du cholédoque à 9 mm • discrète dilatation intrahépatique • lipases à 2500 U/l Pancréatite biologique le 13.12.2018 (DD sur antibiothérapie) Cholestase sur antibiothérapie Ancienne polytoxicomanie jusqu'en 1997 (héroïne et cocaïne injectée, sniffée et fumée) Pancréatite biologique probablement d'origine alcoolique, le 15.01.2019, • pseudo-kystes pancréatiques sur l'IRM abdominale du 18.01.2019. Pancréatite chronique dans le cadre d'un syndrome de dépendance à l'alcool. Pancréatite et hépatite biologique d'origine indéterminée le 15.02.2019 : • DD médicamenteuse, dans le contexte infectieux • pas de clinique associée Pancréatite probablement d'origine biliaire le 25.02.19 Pancréatites d'origine indéterminée : • Lipase 139 U/L. Pancytopénie • Anémie macrocytaire avec Hb à 57 • Leucopénie à 2.2 G/L • Thrombopénie à 55 G/L Pancytopénie avec agranulocytose sévère le 25.01.2019 après chimiothérapie du 15.-17.01.19 Pancytopénie dans le contexte de chimiothérapie Pancytopénie dans le contexte infectieux le 04.02.2019 Pancytopénie dans le contexte oncologique le 01.02.2019 avec Érythrocytopénie à 2.35 T/l ; hémoglobinémie à 68 mg/l, leucopénie à 3.7 G/l ; thrombocytopénie à 120 G/l Pancytopénie d'origine centrale dans le contexte d'infection virale le 12.02.19 Pancytopénie d'origine indéterminée le 12.02.2019 • avec Leuco à 1.6, Hb à 73, thrombo à 33 • évoluant depuis 09.2018 • symptomatologie : DRS et dyspnée Pancytopénie le 08.02.2019 avec : • thrombopénie : nadir à 26 G/l le 08.02.2019 • anémie normocytaire normochrome : nadir à 103 G/l Pancytopénie le 19.02.2019 sur carence sévère en vitamine B12 : • Vit. B12 <50 pg/ml • Anémie macrocytaire normochrome hyporégénérative : Hb 57 g/l, MCV 129 fl • Leucopénie à 2.2 G/l • Thrombopénie à 55 G/l • BEG depuis le 09.02.2019 Pancytopénie le 30.01.2019, d'origine mixte sur atteinte osseuse métastatique, état inflammatoire et Taxotère, avec : • anémie hypochrome macrocytaire régénérative à 78 g/L • Thrombopénie à 119 G/L • Leucopénie à 2.3 G/L, avec neutrophiles 1.52 G/L, résolution le 01.02.2019 Pancytopénie persistante dans un contexte de myélome multiple depuis le 25.12.2018 Pancytopénie possiblement péri-infectieuse, sévère Pancytopénie post-chimiothérapie • anémie hypochrome microcytaire et leucopénie Pancytopénie sur traitement par Methotrexate pour érythrodermie au décours sur possible parapsoriasis, avec : • thrombopénie avec un nadir à 39 G/l le 18.01.2019 • leucopénie avec un nadir à 0.8 G/l le 18.01.2019, avec neutropénie • anémie avec un nadir à 120 G/l le 18.01.2019. Panendoscopie + évidement cervical droit le 05.02.2019 Antibiothérapie en prévention avec Co-Amoxicilline 1g 2x/jr pendant 5 jours Panendoscopie du 24.01.2019, amygdalectomie bilatérale, biopsies du cavum et de la base de langue, sphénoïdotomie droite : pas de lésion suspecte retrouvée. 14.02.2019 : Évidement radical modifié cervical gauche des niveaux II-V avec sacrifice du nerf spinal et du sternocléidomastoïdien gauches. Pathologie : volumineuse métastase kystique >4 cm d'un carcinome épidermoïde en effraction capsulaire, unique (pN1 (1/13). Tumor board prévu le 27.02.2019 Panendoscopie, exérèse tumorale transorale avec reconstruction par lambeau local le 30.06.2017 (Dr. X) Panotile gouttes AINS Panotile gouttes Traitement antalgique Panotile 4 gouttes 4x/j ddc pour 7 jours. Si évolution défavorable consultation en ORL HFR. Pansement. Pansement à refaire tous les 2 jours (voir protocole infirmier) Rendez-vous à la consultation du Dr. X le mardi 19.02.2019 à 13h00 Ablation des fils à 3 semaines postopératoires Pansement Antalgie Consignes de surveillance. Pansement avec Ialugen Antalgie Arrêt de sport Contrôle chez médecin traitant dans 48h Pansement avec Plurogel tous les 3 jours Suivi en stomatothérapie Pansement compressif Stop HBPM et anticoagulation par NACO (Rivaroxaban) dès le 13.02.2019 (patiente informée que off-label) Pansement compressif Contrôle à J3 Pansement par tulle bétadinée Suivi clinique Pansement simple Pansement simple réalisé. Au vu de la guérison encore incomplète de la plaie, rendez-vous à 1 semaine au secteur ambulatoire des urgences pour ablation des fils. Pansement simple. Consilium orthopédique (Dr. X) : contrôle clinique à 48h aux ambulatoire des urgences en raison des douleurs à l'extension et rediscuter US en fonction de l'évolution. Critères de reconsultation expliqués. Pansement simple Mesure de sécurité : lit au mur avec tapis de sonnette Pansement Bepanthène crème plus Pansement. Rappel Tétanos. Co-Amoxicilline 2.2 g iv aux urgences. Fentanyl 50 µg et 4 mg de morphine. Radiographie : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Avis du CHUV. Bout déganté dans un sac plastique dans la glace. Transfert en chirurgie de la main au CHUV pour réimplantation, départ en ambulance. Pantoprazol dès le 27.01.2019 OGD de contrôle le 28.02.2019 à 11h à l'HFR Fribourg (transport à organiser, patient à jeûn) Pantoprazol dès le 27.01.2019 OGD de contrôle : timing à discuter (prévu initialement à 6 semaines) Pantoprazole, Alucol le 11.02.2019 Pantoprazole depuis le 04.02.2019 pour une durée de 8 semaines Fluconazole du 04.02 au 09.02.2019 Transfusion de 2 CE le 04.02.2019 OGD (Dr. X) le 05.02.2019 OGD de contrôle (Dr. X) le 12.02.2019 OGD de contrôle dans 8 semaines Pantoprazol dès le 27.01.2019 Anticoagulation prophylactique dès le 05.02.2019 OGD de contrôle dans 4-6 semaines de l'HDH à organiser • Pantoprazole intraveineux du 02.02 au 05.02.2019 et le 06.02.2019 • Transfusion culot érythrocytaire : 1 CE le 02.02.2019, 1 CE le 06.02.2019 Mise en suspens de l'anticoagulation du 02.02.2019 au 04.02.2019 et du 05.02.2019 au 10.02.2019 Sang occulte dans les selles : négatif • Pantozol, Alucol. • OGD à organiser en ambulatoire par le médecin traitant. • Évaluer l'indication à faire une ergométrie. • Critères de reconsultation expliqués au patient. • Pantozol iv continu du 10.02.19 au 12.02.19 • Pantozol 40 mg/j dès le 12.02.19 • Suivi clinique et biologique • Pantozol 1x/jour pendant 14 jours. • Pantozol 20 mg dès le 04.02.2019 jusqu'au 18.02.2019. • Pantozol 20 mg, Primperan 10 mg • Pantozol 40 mg aux urgences. • Pantozol 40 mg iv et Alucol 15 ml per os • Pantozol 40 mg 3x/j • Sandostatine 1000 mg iv continu sur 24 heures dès le 08.11.2018 (avait déjà été introduite temporairement avant) • Nozinan 12.5 mg/j sc dès le 15.11.2018 • Haldol 1 mg 3x/j sc et en réserve iv du 08 au 15.11.2018 • Temesta 1 mg 1x/j le soir + 1x en réserve jusqu'au 15.11.2018 • Fortectortin 8 mg iv dès le 08.11.2018 au 12.11.2018 Échec de traitement dû à mauvaise tolérance par : Lioresal, Buscopan, Ondansetron, Scopoderm. Avis Gastro (Dr. X) : PEG de décharge non faisable dans le contexte de la carcinomatose péritonéale. Si non-amélioration : prévoir transit baryté et consilium chirurgical (stomie de décharge faisable ?) CT abdominal le 08.11.2018 Avis chirurgical, gastroentérologique (Dr. X) et radio-oncologique (Dr. X) le 09.11.2018 OGD avec pose de stent oesophagien et duodénal le 14.11.2018 Amélioration légère des symptômes avec 3 à 4 vomissements par jour le 19.11.2018 • Pantozol 40 mg 1x/j • Pantozol 8 mg/h pompe du 26.01.2019 au 29.01.2019 • OGD le 29.01.2019 • Pantozol 40 mg 2x/jour pendant 8 semaines • Pantozol 80 mg pendant 10 jours. • US abdominal. • Pantozol 80 mg IV puis 8 mg/h • Sandostatine 0.025 mg/h du 23.01 au 24.01.2019 Avis gastroentérologie le 24.01.2019 (Dr. X) Avis gastroentérologie le 25.01.2019 (Dr. X) Avis gastroentérologie le 28.01.2019 (Dr. X) 2 Culots Érythrocytaires le 23.01.2019 aux urgences 1 Culot Érythrocytaire le 24.01.2019 2 Culots Érythrocytaires le 25.01.2019 2 Culots Érythrocytaires le 26.01.2019 2 Culots Érythrocytaires le 27.01.2019 2 Culots Érythrocytaires le 28.01.2019 1 Culot Érythrocytaire le 29.01.2019 Oeso-gastro-duodénoscopie le 24.01.2019 (Dr. X) Oeso-gastro-duodénoscopie le 28.01.2019 (Dr. X) Colonoscopie le 29.01.2019 (Dr. X) PAP de novembre 2017 : CIN 1 S/p césarienne élective pour vasa praevia à 37 semaines d'aménorrhée, naissance d'une fille de 3360 g (2016) PAP le 30.01.2019 : LSIL, HPV négatif. PAP-test à contrôler au post-partum PAP-test et Papilloma virus (à pister) Papule érythémateuse disparaissant à la vitropression légèrement desquamantes probablement sur réaction au chlore de la piscine. DD : macération sur position allongée au lit constante, réaction allergique à nouveau ttt (Oxycodone dès le 11.01.2019, Pregabaline dès le 01.01.2019, Pantozol le 16.01.2019) • légèrement prurigineuse, sur le dos et l'abdomen depuis le 16.01.2018 Par la suite, le patient commence à vouloir rentrer à domicile. Il commence à être agressif. Appel de la Police en plus du sécuritas. Demande de transfert à Marsens avec ajout au PLAFA un transfert à Marsens dans l'unité Hermes. Par le SMUR : Naloxone 0.4 mg i.v. Aux urgences : • Naloxone 0.4 mg i.v. • VNI : non tolérée par le patient • Après prise de contact avec la compagne, décision de soins de confort pour fin de vie • Morphine 4 + 2 mg i.v. puis i.v. continu 1 mg/h • Lasix 40 mg i.v. • Désactivation du défibrillateur cardiaque • Soins de confort Attitude : • Transfert à Tafers pour soins de confort Par rapport aux épigastralgies, le patient se sent mieux avec le Pantozol, il n'a pas encore pris l'Ulcar. Au vu de l'augmentation de la créatinine dans un contexte de déshydratation, nous proposons une hydratation par intraveineuse qui est refusée par le patient car il a un rendez-vous et doit rentrer à la maison. Au laboratoire, la CRP est à 47 mg/l et les tests hépatiques sont en légère augmentation. Après avis du Dr. X, nous effectuons les tests de dépistage des hépatites (HAV, HBV, HCV) et le patient est convoqué en filière des urgences ambulatoires le 01.03 à 11 h pour un contrôle clinico-biologique ainsi que la communication des résultats. PAR suivi non traité. • Paracétamol en réserve, pas d'AINS • Antihistaminique en réserve • Badigeon blanc • Dispense d'école 7 jours, jusqu'à disparition des vésicules • Précautions contacts à risque : • Mère enceinte de 4 mois : contrôle du statut sérologique de la mère chez son gynécologue, évaluer Ig, car risque de varicelle grave chez la mère. Risque embryo-fœtal faible. • Éviter contacts avec nourrissons ou immunodéprimés ou femmes enceintes • Paracétamol en réserve • Contrôle dans 48 heures chez pédiatre • Paracétamol iv 1 g. • Oxygénothérapie sous 6 litres au masque. • Paracétamol per os • Consignes usuelles déshydratation • Mundisal, Normolytoral, antalgie en systématique • Contrôle dans 24 h chez pédiatre, avant si péjoration clinique ou refus de boire • Paracétamol, Voltarène 50 mg. • Réassurance, ira voir son médecin traitant. • Paracétamol 1 g iv et Ecofenac 75 mg iv. • Examen clinique. • Avis du Dr. X, chirurgien. • Surveillance neurologique aux urgences durant 2 heures : persistance de céphalées holocrâniennes et de vertiges rotatoires lorsqu'elle se lève. • Test de grossesse urinaire : négatif. • CT-scan cérébral : pas de saignement, pas d'hématome, pas de fracture des os de la face. • Antalgie à domicile (pas besoin d'ordonnance). • Arrêt de travail. • Surveillance neurologique sur 24 h. • Repos maximum, pas d'écran, pas de lumières. • Contrôle chez le médecin traitant au besoin. • Paracétamol 1 g. • Patiente part sans consultation médicale. • Paracétamol 1 g per os, Voltarène 50 mg per os. • Consultation dans 48 h en F34. • Paracétamol 1 g po, Voltarène 50 mg po. • Reconsulte si à nouveau algique. • Paracétamol 1 g po, Voltarène 50 mg po. • Trop d'attente, partie sans consultation médicale. • Paracétamol 1 g, Voltarène 50 mg. • Paracétamol 1 g, Voltarène 50 mg. • Patiente adressée en ophtalmologie à Riaz. • Paracétamol 1 g 4x/j • Ibuprofène 400 mg 3x/j • Paracétamol 1 g pos, Voltarène 50 mg pos. • 2 Tramal 50 mg à prendre à la maison • Antalgie à prendre à la maison puis consultation demain chez le dentiste. • Paracétamol 1 gr. • Tramadol 50 mg. • CT cérébral + maxillo-facial : pas d'hémorragie, pas de lésion osseuse aiguë, fracture ancienne des OPN (examen avec explication donnée par le médecin). • Retour à domicile. Réassurance. • Antalgie. • Conseil de glaçage de la zone autant que possible. • Conseil de réévaluer avec le médecin de famille si douleur malgré l'antalgie. • Paracétamolémie dans les normes à l'entrée : N-acétylcystéine non administrée • Parage de la plaie : Dr. X, désinfection locale, champage, ALR par LIDOCAINE 1 %, pose de 5 cm Points de suture avec Prolène 6.0. • Ablation de points dans 8 jours. • Parage de la plaie (Dr. X) : désinfection locale, parage de la plaie par pose de 6 agrafes au niveau occipital. • Ablation des agrafes à J10. • Parage de la plaie (Dr. X) : désinfection locale, champage, suture par 3 points de Prolène 4.0. • Antalgie. • Conseil d'ablation des points à J8. • Parages de la plaie : Dr. X, désinfection locale, champage, pose de 3 agrafes en occipital. • Retour à domicile. • Antalgie. • Conseil d'ablation d'agrafe dans 10 jours par le médecin de famille. • Paralysie bilatérale des cordes vocales le 08.02.19, probablement dans le cadre de l'intubation. • position paramédiane des cordes vocales • Paralysie de Bell G de sévérité 2 selon House-Brackmann. • Paralysie de Bell G de sévérité 4 selon House-Brackmann. • Paralysie du releveur du pied gauche chronique documentée par un ENMG du 06.03.2018 et compatible avec une lésion L5-S1 à gauche. • Paralysie faciale. • Paralysie faciale. • Paralysie faciale de Bell House Brackmann IV. (DD: origine inflammatoire (Sarcoïdose, Sjögren)). • Paralysie faciale gauche en 1996. • Paralysie faciale périphérique à droite depuis le 12.09.2015 (DD: virale, idiopathique). • Paralysie faciale périphérique à frigore classe I/II selon House Brackmann. • Paralysie faciale périphérique droite (paralysie de Bell) le 21.02.2019. • Paralysie faciale périphérique 02.2013. • Paramètres vitaux: TA 103/67 mmHg, Saturation 97% AA, FC 63 bpm, T 36,9°C. • Cardiovasculaire: B1B2 bien frappés, pas de souffle, pas d'oedème des membres inférieurs, pouls périphériques présents et symétriques. • Pulmonaire: murmure vésiculaire symétrique sans bruit surajouté en antérieur, latéral et postérieur. Douleurs reproductibles à la palpation sur les arcs antérieurs des côtes 4-5 sans fausse mobilité, pas de plaie, pas d'emphysème palpé, pas d'hématome. Pas de déformation de la cage thoracique. • Digestif: bruits normaux en fréquence et en tonalité, abdomen souple sans détente ni défense. • ECG: rythme sinusal régulier, PR à moins de 200 ms, QRS fin, pas de sus/sous décalage de ST. • Radiographie du thorax face/profil du 26.02.2019: silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. • Paraparésie avec limitations fonctionnelles sur atteinte nouvelle au niveau du système nerveux central • en progression rapide puis stabilisation • avec paresthésies progressives des quatre membres • sans douleurs ni troubles sphinctériens associés initialement • Paraparesthésie à prédominance gauche le 30.01.2019 avec : • Hypoesthésie périanal gauche • Constipation DD : syndrome de la queue de cheval, compression radiculaire sur métastase • Paraphlébite et thrombose de la veine basilique et céphalique gauche, le 17.02.2019 • DD: dermohypodermite sur point de ponction. • Paraplégie ASIA D, avec niveau lésionnel L1 G • Paraplégie de naissance (Spina Bifida) • Hypertension artérielle traitée • Infection urinaire à répétition chez patiente avec cystofix à demeure • Paraplégie incomplète suite à un syndrome de cheval sur sténose du canal spinal sur métastases du carcinome de la prostate • incontinence urinaire • Paraplégie sensitivo-motrice complète post-traumatique depuis 1971. • Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom. • Fibrillation auriculaire anticoagulée par Xarelto 20 mg. • Anévrisme de l'aorte abdominale sous-rénale mesurant jusqu'à 38 mm. • Parents vont contacter leur dentiste • Parésie • Parésie • Parésie à M1 des fléchisseurs du pied et du gros orteil à D, sans altération sensitive ni radiculopathie • Parésie avant bras droit • Parésie de la main droite et hypoesthésie de la joue gauche post-traumatisme crânien le 27.02.2019. • Parésie de l'abducens de l'OD d'origine probablement ischémique • Colique néphrétique gauche à répétition • Intervention pour strabisme de l'œil droit • Parésie du MS et MI droite avec ataxie du MS droite et myoclonies du 3ème et 4ème doigt dans le cadre de multiples métastases infra et supra tentorielles • Parésie du MSG • Parésie du nerf crânien III gauche sur probable ischémie d'origine micro-vasculaire (diabète), le 25.06.2015. • Paralysie faciale transitoire gauche en avril 2008. • Fracture/tassement de L2 stable le 06.01.2017, traitée conservativement. • Prostatite à E. coli sensible à la Ciproxine • Hypovitaminose D. • Constipation. • Hyponatrémie légère à 132 mmol/L le 04.12.2018 • Anémie normochrome macrocytaire avec hémoglobine à 120 g/l le 04.12.2018 • Parésie faciale de Bell en 2014. • Blessure par arme blanche en 2006 avec perforation du poumon gauche avec drainage pleural. • Fracture du coude droit ancien. • Douleurs thoraciques antérieures gauches: • CT au colloque radio pour préciser caractère chronique ou aigü de l'épanchement: si aigü ad ponction pleurale; demander également si la suspicion d'EP sous-segmentaire se confirme • US cardiaque à discuter selon évolution (en urgence si signes de tamponade) • Fraxiparine prophylactique temporaire, à réévaluer • Parésie facio-brachio-crurale droite. • Parésie gauche • Parésie isolée du nerf VI à droite (diagnostic du 01.02.19). • Parésie/Hypoesthésie MSD • Paresthésie. • Paresthésie de l'hémicrâne droit d'origine indéterminée. • Paresthésie des membres supérieur et inférieur gauche. • Paresthésie du bras gauche le 08.02.19: DD: névralgie cervico-brachiale gauche DD: syndrome radiculaire. • Paresthésie du membre supérieur gauche sans perte de force sur probable conflit radiculaire au niveau cervical en 2012. • Dorsalgies et douleurs aux membres supérieurs sur conflit radiculaire au niveau cervico-dorsal. • Paresthésie d'un membre. • Paresthésie membre supérieur gauche, le 07.02.2019. DD: épitrochléite gauche. • Paresthésie transitoire au niveau de l'avant-bras gauche, d'origine indéterminée. • Paresthésies au niveau du bras gauche d'origine indéterminée sans déficit neurologique. DD : psychogène, compression nerveuse non déficitaire. • Paresthésies dans les mains et les pieds d'origine indéterminée, le 22.02.2019 possiblement effets secondaires de l'immunothérapie avec : • Dyspnée progressive. • Selles molles, 2x vomissements. • Céphalées. • Faiblesse des membres inférieurs avec sensation de froid aux pieds. • Paresthésies de l'hémicorps droit avec céphalées hémi-crâne droit pulsatiles le 21.02.2019. DD : AIT ou AVC mineur thalamique gauche.DD : migraine avec aura atypique. Paresthésies des 4 membres, chroniques, d'origine indéterminée le 3.2.2019 avec : • trouble visuel oeil gauche • céphalées en casque 5/10. DD : sclérose en plaques. Paresthésies du membre supérieur gauche et flou visuel. Paresthésies et parésie MS + MI d'origine probablement fonctionnelle le 03.02.2019 avec : • péjoration de la motricité des membres inférieurs et du membre supérieur droit le 07.02.2019. Paresthésies intermittentes de dermatome plutôt L4 G, sans douleur. Paresthésies mains et pieds. Paresthésies sur le territoire C8-T1 membre supérieur gauche le 17.02.2019 • sans perte motrice, sans autre symptôme neurologique. Paresthésies type fourmillement en progression sur atteinte nouvelle au niveau du système nerveux central. Parkinsonisme Diabète de type 2 non traité Fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom Hypertension artérielle Goutte Insuffisance rénale chronique. Paronychie hallux pied droit. Paronychies des 1er orteils à droite et à gauche Co-amoxi 100 mg/kg/j du 10.5 au 12.05 en iv puis relais p.os pour 6 jours (total des AB 10 jours). Bains dans une solution de Kamillosan 3 fois par jour. Parotidite à gauche le 06.07.2017. Suspicion fracture costale C9 gauche suite à traumatisme direct le 23.09.2017. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 22.10.2018 : • patient asymptomatique aux urgences. Gastro-entérite sans Red Flags le 05.12.2018. Retour à domicile avec conseils d'usage et traitement symptomatique. • Contrôle clinique chez médecin traitant la semaine prochaine en cas de persistance ou péjoration des symptômes. Parotidite aiguë le 24.01.2019. Parotidite D probablement virale 07.07.2015. Epaule G gelée 26.01.2009. Dépression sévère en 2007, surcharge en mai 2014, récidive 3.2016. Cholécystolithiase unique symptomatique et cholécystite chronique. Parotidite droite le 08.02.2019. • Pas d'état fébrile. Parotidite droite le 16.02.2019. Parotidite droite le 28.01.2019 avec bactériémie à Staph. Aureus MSSA. Parotidite droite probablement virale 7.7.2015. Epaule gelée gauche 26.01.2009. Dépression sévère en 2007, surcharge en mai 2014, récidive 3.2016. CKK 19.1.2010 pour cholécystolithiase unique symptomatique et cholécystite chronique sur lithiases. Entorse genou gauche 4.9.2014, 2ème entorse 17.9.2015. Arthrose fibulotibiale. Contusion du genou droit le 30.1.2016 et entorse genou droit le 1.4.2016. Parotidite en 2015. Pancréatite aiguë d'origine biliaire le 28.02.2014. Laparoscopie exploratrice avec cholécystectomie en électif le 05.06.2012 pour cholécystite chronique. Hystérectomie totale avec annexectomie unilatérale en 1977. Tuberculose pulmonaire en 1946 sans traitement médicamenteux. Ablation de polypes dans la vessie. Ostéoporose fracturaire sévère avec fracture fraîche en D12 le 05.09.18 avec : • lombalgies invalidantes. • Suivi par ostéodensitométrie/scintigraphie tous les 2 ans au Daler. • Actonel (acide risédronique) 35 mg/sem + Calcimagon D3 de 2005 à 2011. • Forsteo (tériparatide) depuis octobre 2011 à début 2012 (stop pour intolérance : douleurs articulaires++). • Actuellement sous Calcimagon. Infection urinaire basse le 13.09.18. • chez patiente avec infections urinaires à répétition. Tests de la cognition du 27.09.2018 : MMSE à 30/30. Parotidite G. Parotidite sur lithiase salivaire le 16.02.2019. Parotidite vs adénopathies d'origine probablement virale. Parti sans consultation car trop d'attente. Remis antalgie pour domicile. Parti sans consultation médicale. Parti sans consultation médicale. Parti sans consultation médicale. Parti sans consultation médicale car trop d'attente, revient demain en ophtalmologie. Parti sans consultation médicale, consultera son médecin traitant. Partie sans consultation médicale. Partie sans consultation médicale car trop d'attente, appellera MedHome. Parvovirus B19. Pas argument pour signe de latéralisation nouveau. ECG. Réafférentation. • Pas d'ablation des fils (résorbables). • Consultation en chirurgie thoracique dans 6 semaines, le patient sera convoqué pour le rendez-vous. Pas d'amélioration après 48 h d'AINS en systématique. Antibiothérapie par Amoxicilline 50 mg/kg/jour durant 5 jours avec suivi chez pédiatre en fin de traitement. Pas d'amélioration de la respiration. Pas d'antécédent chirurgical. Réaction allergique de stade 2 suite à l'ingestion de jus de kiwi le 09.04.2018. Pas d'antécédent notoire. Pas d'antécédents de faux croup. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Pas d'antécédents pathologiques. Insuffisance respiratoire sur bronchite obstructive juillet 2018. Pas d'antibiothérapie au vu de la rapidité du travail. Pas d'argument pour infection bactérienne au vu de l'anamnèse et de la clinique. Au vu de l'état général restant bon, proposition de faire un frottis grippe et suivi dans 48 heures chez pédiatre en expliquant le DD de primo-infection herpétique ou d'un autre virus. Pas d'argument pour un tourbillon, pas d'argument pour une invagination. Pas d'argument pour une PL, piste pulmonaire claire. Pas d'arguments pour apnées ou difficultés respiratoires dans le contexte de bronchiolite, pas d'arguments pour une cause cardiaque, pas d'argument pour invagination. Réassurance parentale et consignes en cas de récidive. Reconsultation au besoin. Pas d'arguments pour origine anaphylactique. Pas d'attitude active de ma part. Auto-mobilisation. Je reverrai la patiente au besoin d'ici 2 à 3 mois mais je n'ai pas fixé de rendez-vous d'office. Pas d'attitude active de ma part. Auto-mobilisation. Le patient me recontactera si les douleurs n'ont pas disparu dans les 2 prochains mois. Pas de charge sur le MSG. Pas de chir. Antibio 2 sem pour problème de rein, pas de reflux d'après maman, n'a pas eu d'antibioprophylaxie.• pas de chirurgie • otite l'hiver dernier, antibiotique • BSH • Pas de clexane car origine spoliative digestive formellement non exclue. • Sang occulte dans les selles impossible à réaliser en raison de troubles cognitifs, envisager colonoscopie en ambulatoire. • Contrôle hémoglobine régulier, seuil transfusionnel ambulatoire à Hb <90 g/l. • Pas de contrôle d'imagerie nécessaire. • Pas de contrôle prévu • Pas de corps étranger visible aux urgences, chambre antérieure pas de sang. • Test à la fluorescéine : pas de lésion cornéenne, présence d'une lésion de la paupière supérieure. • Pansement vitamine A. • Consultation ophtalmologique demain. • Pas de correction aux urgences. • Surveillance clinique. • Pas de critère de gravité -> Rendez-vous le 22.02.2019 chez le médecin traitant déjà prévu. • Symptômes d'alarme expliqués à la patiente par le médecin. • Pas de critère de gravité clinique. • Antalgie et consignes de surveillance. • Suivi ultérieur chez le médecin traitant. • Pas de critère pour CT cérébral. • US au lit du malade (Dr. X) : pas de liquide libre abdominale, pas d'épanchement pulmonaire, pas de liquide au niveau hépato-rénal droit ni au niveau de la rate ni au niveau du rein gauche. • Radiographie du thorax : pas de pneumothorax, pas d'épanchement. • Physiothérapie respiratoire avec Inspirex minimum 4x/jour. • Patient averti de consulter en cas d'apparition de symptômes neurologiques, apparition de dyspnée. • Pas de critère pour scanner cérébral (canadian CT head rules). • Feuille de surveillance post TCC. • Pas de critères d'hospitalisation ce jour. Contrôle pédiatre demain. Nous proposons d'effectuer un frottis RSV avant son retour à domicile afin d'avoir le résultat en cas d'hospitalisation dans les prochains jours mais la mère quitte l'hôpital avant que le prélèvement puisse être fait. • Pas de critères d'hospitalisation sur le plan somatique. Cependant, au vu des idéations suicidaires et d'une demande d'aide de la part de Doga qui souhaite être hospitalisée, avis pédo-psychiatrique. • Avis pédo-psychiatrique de garde : indication à hospitalisation à Marsens pour suite de prise en charge psychiatrique. • Pas de déficit neurologique nouveau. • Rx cervicale face/profil : pas de fracture, image construite au niveau du processus épineux de C5 (Dr. X). • Feuille d'instruction pour traumatisme crânien et explications données à la patiente. • Antalgie. • Pas de déficit neurologique • Suivi clinique • Pas de déficit. • Pansement occlusif pour 3 semaines. • Arrêt de travail de 3 semaines. • Contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48h. • Pas de diagnostic orthopédique • Pas de douleur ce jour. • Pas d'écoulement séreux ni purulent ni de douleur à la palpation de la cavité. • Retour à domicile avec douches 3x/jour. • Contrôle à la policlinique de chirurgie le 15.02.2019. • Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X, chirurgien, pour suite de prise en charge. • Pas de fracture au niveau du péroné selon le radiologue de garde • Pas de fracture visualisée. • Pas de frottis d'emblée. • Explications données par le médecin pour : • Streptotest : négatif. • Antalgie simple et arrêt de travail. • Contrôle chez le médecin traitant en cas de péjoration des symptômes. • Pas de frottis pour le Strepto, car le patient n'a pas 3 ans. • Pas de lésion visualisée • Consignes de surveillance données • Pas de maladies connues. Grippe et refroidissement de cousins et grand-père. • Pas de médication dans le contexte d'état anxieux connu. • Pas de mesure particulière. Prescription d'ergothérapie pour massage de la zone douloureuse. Je n'ai pas prévu de nouveau contrôle chez moi, mais je me tiens toutefois à disposition. • Pas de nouvel examen radiographique ce jour en l'absence de signes de traumatisme ce jour • Pas de place à l'étage. Pas d'urgence à une hospitalisation. Rendez-vous aux urgences le 22.02.19 pour une hospitalisation. La gazométrie sera répétée et le poids repris. • Pas de port de charges lourdes pendant 4 semaines • Pas de prise alimentaire dans un contexte de gastro-entérite • Pas de radiographie ce jour. Chez cette patiente, il y a une évolution plutôt standard après implantation d'une PTG. Je ne discute pas l'indication n'ayant pas les clichés pré-opératoires sur place ni de l'implantation n'ayant pas les fichiers post-opératoires. Toutefois, le bilan clinique de la prothèse est tout à fait rassurant et il est expliqué à la patiente l'origine du sentiment de grincement ressenti dans le genou qui est en lien avec le contact du métal sur le polyéthylène. Pas de contrôle prévu. • Pas de radiographie effectuée. • Antalgie. • Pas de radiographie nécessaire ce jour. Poursuite de la physiothérapie et rééducation dans l'axe avec renforcement des ligaments. Pas de contrôle prévu sauf si complications. • pas de REA, pas de IOT, pas de réadmission SI • Pas de récidive de vomissement post Ondansetron 0.2 mg/kg. • Pas de répercussion ECG • Gazométrie artérielle, le 11.02.2019 : lactate à 8.2 mmol/l, spontanément résolutif • Substitution IV et per os • Suivi biologique avec amélioration des valeurs • Traitement per os à domicile avec contrôle en oncologie le 21.02.2019 • Pas de signe de surinfection, poursuivre le traitement prescrit par le pédiatre • Recontrôler si EF et péjoration de son état général ou autre plainte objectivée. • Pas de signes de déshydratation • Fractionnement alimentaire • Pas de signes de surinfection. Refaire pansement avec Ialugen et contrôle chez le médecin traitant dans 48h. • Pas de sport pour une semaine, contrôle chez le pédiatre dans une semaine. • Pas de suivi nécessaire • Pas de suture vu le délai de présentation. Désinfection et Steri-Stips. • Pas de symptôme urogénital, pas de macrohématurie. • Sédiment urinaire : plus d'érythrocyturie. • Appel au Dr. X, chirurgien de garde. • Retour à domicile sans suivi clinique nécessaire pour cette symptomatologie. • Pas de traitement • Pas de traitement antibiotique pour le moment • Labo le 26.02.2019 • Torem 10 mg 1 x/j • Suivi clinique • Pas de traitement car risque d'hémorragie intra-crânienne. • pas de traitement habituel • Pas de traitement (hémodialyse d'urgence non indiquée chez une femme de 89 ans) • Pas de traitement spécifique pour cette fracture au vu du fait que le patient est asymptomatique mais nous soulignons l'importance et la nécessité d'effectuer des activités physiothérapeutiques pour renforcer le muscle dorso-lombaire. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de mauvaise évolution. • Pas de trouble de la sensibilité, pas de trouble de la motricité. • Pas de troubles de la cinétique segmentaire à l'ETT • Attitude : prévoir test d'effort à distance • Pas d'élément pour un abdomen aigu • Vu les douleurs en sus-pubien et la leucocyturie dans les urines - probable cystite • Culture urinaire en cours • pas de signes de fracture sur la Rx • Pas d'hospitalisation actuellement, car garde bonnes saturations malgré sa détresse respiratoire. • Peut rentrer à domicile après un rinçage nasal • Contrôle prévu aux urgences demain • Pas d'hospitalisation en urgence sur la nuit en l'absence de signe de déshydratation ou autre signe d'alarme. • Une dose de zofran afin de calmer les vomissements et permettre la mise au sein. • Par la suite, reprendre le schéma prescrit par Dr. X. • Pas d'immobilisation, antalgie, glace, contrôle médecin traitant dans 10 jours • Consultation aux urgences si péjoration • Pas d'indication à une radiographie. • Pas d'infection urinaire • Pas d'investigations selon souhait de la fille et du patient • Pas d'opération intra-abdominale. • Douleurs abdominales infra-ombilicales 03.2018 • DD : gastro-entérite virale.Laboratoire: lactate veineux à 6.9; pas de syndrome inflammatoire, créatinine à la limite supérieure de la norme. Gazométrie artérielle: Lactate de 0.7. Sédiment urinaire : propre. CT abdominale. Pas d'otite Traitement symptomatique. Pas faits aujourd'hui. Pas possible de suturer, vu que le lambeau de peau manque. Désinfection et pansement avec Adaptic. Reconsulter en cas de signes d'infection. Arrêt de sport pendant 1 semaine. Pas suturés car sans saignement actif. Passage à un traitement par cortico-thérapie IPP. Contrôle à la consultation du Dr. X dans 1 semaine. Passage de calcul le 12.02.2019. Passage de calcul néphrétique le 02.02.2019. Passage de calcul rénal à droite de 3 mm. Passage de Mr. Y, de l'équipe de suivi d'urgence de Marsens. Prise de contact par Mr. Y avec Mme. Y le 27.02 pour un suivi. Mme. Y part avec sa belle-famille. Passage en FA rapide le 09.02.2019: • pas de facteur déclenchant au bilan biologique, DD dans contexte de bronchite. Passage en globe urinaire le 16.02.2019. Patch de TNT 10 mg en ordre unique au service des urgences. Adalat en réserve. Patch de TNT 10 mg OU suivi TA, adaptation traitement selon valeur tensionnelle. Patch nicotinique force 1 dès le 04.02.2019. Suivi du sevrage chez le médecin traitant. Patellarspitzensyndrom. Céphalées de tension. Patellectomie sagittale latérale genou D avec : • plastie en Z du rétinaculum externe • AMIC facette latérale et centrale de la rotule (OP le 22.01.2019). Pathologie et microbiologie de la biopsie. Pathologie pancréatique (suivi au CHUV et à Payerne), sous traitement de morphine. Pathologie thyroïdienne X (?). Fibromyalgie. Lombalgies G non déficitaires chroniques. Incontinence urinaire d'effort, nycturie avec urétérocèle et cystocèle de degré 1 et rectocèle de degré 2. Pathologie/cytologie/culture LBA. Patient de 43 ans en bonne santé habituelle qui consulte les urgences de l'HFR Fribourg pour un état fébrile le 02.02.2019 jusqu'à 39.8° avec frissons associés à des douleurs et tuméfaction de l'avant-bras droit depuis le 31.01.2019. Le patient a eu une excision d'un mélanome de l'avant-bras droit le 30.01.2019 à Berne par le Dr. X. Il a été mis sous Co-Amoxicilline 1 g 2x/j per os par son médecin traitant depuis le 01.02.2019. Aux urgences, le patient se plaint de douleurs uniquement lorsqu'il met son bras vers le bas. Pas d'autre plainte, pas de toux ni crachat. Épisode unique de selles sous forme de purée ce matin. Pas de maux de ventre, pas de nausées, ni vomissements. Le statut fait par les collègues des urgences montre au niveau cutané une induration de l'avant-bras droit avec tuméfaction et érythème allant du poignet au coude, érythème surtout localisé sur le pourtour de la cicatrice d'excision jusqu'au coude droit, avec gradient de température. Mobilisation de la cicatrice sans écoulement purulent. Articulations du coude et du poignet droits libres. Le statut abdominal est dans la norme. Un avis orthopédique est demandé et un US est effectué qui montre des signes de dermohypodermite mais pas d'abcès. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 241 mg/l et leucocytose à 13.8 G/l, insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 142 umol/l, perturbation des tests hépatiques et une hypokaliémie à 3 mmol/l. Un traitement par Co-Amoxicilline iv 2.2 g 4x/j est mis en place et le patient nous est transféré pour la suite de la prise en charge. Une substitution iv par KCL retard est mise en place ainsi que du magnésium; en plus nous hydratons le patient par voie intraveineuse, ce qui permet une normalisation de la fonction rénale par la suite. En ce qui concerne l'infection, les contrôles biologiques montrent une bonne évolution sous antibiothérapie. Au niveau clinique, une nette amélioration est mise en évidence après 24 heures déjà depuis le début de l'antibiothérapie, avec une réduction de la rougeur. Nous ne mettons pas en évidence d'écoulement. Les hémocultures reviennent négatives. Au vu de la bonne évolution, nous effectuons un relais de l'antibiothérapie per os à partir du 05.02.2019 avec Co-Amoxicilline 1 g 3x/j qui sera à poursuivre pour un total de 10 jours. En ce qui concerne les tests hépatiques, nous effectuons un US abdominal qui revient dans la norme. Nous retenons une probable origine médicamenteuse et nous proposons un contrôle à 7 jours chez le médecin traitant. Le 04.02.2019, le patient se plaint d'épigastralgies. Nous mettons en place un traitement de Pantozol 20 mg pendant 2 semaines. Nous prenons contact le 05.02.2019 avec son dermatologue, Dr. X, qui propose un rendez-vous le 12.02.2019 à 11h30 à sa consultation. Suite à une bonne évolution clinique et biologique, le patient quitte notre service le 07.02.2019. Patient de 73 ans nous étant transféré le 06.02.2019 pour une neuroréadaptation suite à un traumatisme crânien subi le 04.01.2019 à l'hôpital lors d'un état confusionnel ayant occasionné de multiples hémorragies cérébrales et fractures faciales. Le patient a été ensuite transféré aux soins intensifs de l'Inselspital où il a été décidé d'une prise en charge conservatrice avec suivi clinique et radiologique. Puis il est à nouveau transféré à l'hôpital de Fribourg pour la suite. Enfin, il nous est adressé pour une neuroréadaptation dans l'hôpital de Meyriez. À son entrée, Mr. Y, connu pour un épisode de maladie coronarienne monotronculaire avec pose de stent le 03.01.2019, découvert lors d'un bilan de chute, ne présente pas de plainte particulière si ce n'est une diplopie fluctuante et parfois présente lors du regard vers le bas. Au statut système par système, Mr. Y présente au niveau neurologique un test des moulinets pathologique ainsi qu'un test des marionnettes ralenti et une adiadococinésie est présente. Au niveau pulmonaire, il réside une hypoventilation des bases. Au niveau de l'anamnèse familiale, il vit avec sa femme dans une ferme, il a 2 filles avec qui il entretient de bons contacts. La ferme est sur 2 étages, il y a 10 escaliers jusqu'à la chambre à coucher. Sa mère est décédée à l'âge de 103 ans et son père à 92 ans. Diagnostic principal: Des séances de physiothérapie et d'ergothérapie confortent la marche et la sûreté des déplacements du patient. Un suivi neurologique est mis en place, ne montrant pas d'anomalies particulières. Le patient a par la suite mentionné quelques épisodes de diplopie lors des exercices de physiothérapie par exemple. Pour les prochains mois, la conduite est interdite, par la suite elle devra être réévaluée par un neurologue. Diagnostic 1: Le patient a présenté un état confusionnel nocturne durant la nuit du 06.02.2019 durant lequel il a présenté des troubles de l'orientation. Aucune thérapie n'a été nécessaire. Un Clock test a été fait, ne montrant pas d'anomalie de la vision constructive. Diagnostic 2: Concernant l'anémie de Mr. Y, un bilan biologique a été fait, montrant des valeurs stables. Diagnostic 3: Une hypovitaminose D a été diagnostiquée et substituée. Diagnostic 4: Concernant la maladie coronarienne monotronculaire, de l'aspirine est indiquée à vie et du Plavix pour 6 mois. Durant le même temps, le patient fait quotidiennement des séances d'ergo- et de physiothérapies intensives. A l'entrée, les scores d'autonomies ont été évalués comme tels : au niveau des transferts FIM 6, au niveau de la mobilité FIM 6, au niveau des escaliers FIM 6 il peut monter 10 marches et le Tinetti est à 25 sans moyens auxiliaires. A la sortie, ils ont été calculés ainsi : les transferts FIM 7, la mobilité FIM 6, les escaliers FIM 6 il peut monter 54 marches à l'aide de la rampe et le Tinetti 25 sans moyen auxiliaire. Au vu de la bonne évolution de Mr. Y sur tous les plans, il rentre à domicile le 15.02.2019 en bon état général et ayant récupéré sa mobilité. Mr. Y a été opéré en novembre 2018 pour une correction de scoliose au niveau de la colonne thoracique. Le bilan aux urgences est rassurant avec un patient stable. En vue de cela, nous laissons le patient rentrer à domicile accompagné de son ami qui va rester avec lui pour les prochaines 24 heures. Au cas d'apparition de symptômes, le patient reconsultera. Mr. Y a manqué son rendez-vous pour IRM et team genou, nouvelles dates en mars. Prolongation de son arrêt de travail. Mr. Y a rendez-vous mardi avec le Dr. X, cardiologue, à l'HFR Fribourg. Mr. Y à risque de dénutrition le 21.02.2019. Mr. Y actuellement gêné par des douleurs postérieures et antérieures au genou D apparaissant dans un contexte de méniscopathie dégénérative avec kyste associé et contracture des chaînes postérieures pour lesquelles nous lui proposons de débuter un traitement en physiothérapie axé sur l'étirement des chaînes postérieures, proprioception, gainage et renforcement musculaire. Nous reverrons le patient pour un contrôle en juin 2019. Mr. Y admis en Stroke unit monitoré pour AVC sylvien droit. Le patient présente vers 22:45 (hémisyndrome moteur gauche, dysarthrie, paralysie faciale gauche) avec NIHSS : 11. Le CT cérébral montre une sténose focale du tronc basilaire à 60 %. Occlusion focale de l'artère cérébrale postérieure gauche dans son segment P3. Le patient est lysé à 00:15 (dose totale : 0.9 mg/kg soit 72 ml). Une heure post-lyse, le NIHSS : 1. Vers 6:30, le patient représente les mêmes symptômes d'où un CT qui ne montre pas d'hémorragie. Le profil tensionnel du patient reste dans la norme : TAS < 185 mmHg. Nous contactons la neurologie à Berne qui préconise un transfert pour complément de prise en charge. Mr. Y admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor de novo chez un patient connu pour tabagisme actif avec 60 paquets-années. Médicament : Aspirine cardio 100 mg. L'examen du jour montre une maladie coronarienne de 1 vaisseau sous forme d'une sténose de 70-80 % de l'IVA proximale, englobant le départ de la 1ère branche diagonale, traitée par stenting direct avec un bon résultat final, sans compromission de la branche diagonale. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 28.02.2019. Mr. Y admis pour une coronarographie élective en raison d'une dyspnée en péjoration avec une hypokinésie inféro-latérale à l'échocardiographie. La coronarographie du 18.02.2019 montre une progression de la maladie coronarienne avec des nouvelles lésions au niveau de l'artère circonflexe comme possible corrélat pour les symptômes. L'IVA ne montre pas de lésions significatives, l'ACD est occluse chroniquement, le territoire apparaît infarci (région akinétique). La fonction est diminuée à une fraction d'éjection de 45 %. Nous avons procédé à l'angioplastie de l'artère circonflexe moyenne avec implantation de 2 stents actifs. Le résultat final est bon. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 19.02.2019. Mr. Y admis pour une coronarographie élective suite à une suspicion d'ischémie antéro-septale visualisée à l'IRM de stress chez un patient connu pour un ancien tabagisme (arrêt en 2006) et hypercholestérolémie. L'examen du jour montre une occlusion des ponts veineux sur la marginale de l'artère circonflexe et sur la coronaire droite ; le pont mammaire gauche-IVA-2ème diagonale est perméable. Nous procédons à une double PCI avec implantation de 2 stents actifs sur l'artère coronaire droite moyenne et sur l'artère coronaire droite proximale avec un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 28.02.2019. Mr. Y adressé au Dr. X du CCA Marsens (RDV le 12.02.2019 à 14 h). Mr. Y quitte les urgences sans finalisation de la consultation au vu de notre réticence à lui donner du Xanax. Mr. Y adressé par la radiologie de l'HFR Riaz pour prise en charge spécialisée (18 h). Consultation en policlinique d'orthopédie demain le 28.02.2019. Mr. Y adressé par les urgences de l'HFR Riaz le 27.01.2019 pour déplacement de la fracture diaphysaire bifocale de l'humérus D datant du 26.01.2019 et immobilisée dans un plâtre Sarmiento à Riaz. Pour rappel, en date du 26.01.2019, le patient fait une chute en snowboard avec réception sur le MSD entraînant la fracture susmentionnée. L'indication opératoire est posée au vu du déplacement fracturaire. L'intervention chirurgicale se déroule le 30.01.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sous-cutané pendant l'hospitalisation. A la sortie, absence de troubles neurologiques du MSD. Retour à domicile le 02.02.2019. Mr. Y adressé par les urgences de l'HFR Riaz pour prise en charge chirurgicale d'une plaie par meuleuse de la face dorsale de l'IP pouce G datant du 08.02.2019. Exploration de la plaie en anesthésie locale, rinçage au NaCl, suture plaie par 3 points de rapprochement à l'Ethibond 5.0 à l'HFR Riaz le 08.02.2019. L'indication à une prise au bloc opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 09.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie évolue favorablement. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. du 09 au 10.02.2019 puis 1 g 3x/j à la sortie. Mobilisation sous la conduite de l'ergothérapie. Absence de déficit neuro-vasculaire à la sortie. Antalgie standard. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 11.02.2019. Mr. Y adressé par son médecin traitant pour des douleurs en fosse iliaque droite sans défense et complètement soulagées par du Buscopan aux urgences. Pas d'abdomen chirurgical. Retour à domicile sous traitement symptomatique. Mr. Y adressé par son médecin traitant pour épigastralgies soulagées par Nexium + Ulcar. Pas d'abdomen chirurgical ni d'argument pour un scanner en urgence. Retour à domicile sous traitement anti-acide. Reconsulter en cas de majoration des douleurs malgré traitement symptomatique. Mr. Y averti de reconsulter en cas de perte de force, apparition de troubles sphinctériens. Mr. Y connu pour BPCO. Ancien syndrome de dépendance à l'alcool. Ancien tabagisme actif. Troubles cognitifs avec attitude frontale (rapporté par le médecin traitant). Obésité. Mr. Y convoqué au secteur ambulatoire des urgences le 15.02.2019 pour effectuer un US (pas disponible actuellement).Réévaluation clinique au secteur ambulatoire des urgences. Mr. Y, 15 ans en bonne santé habituelle, consulte les urgences de Riaz le 19.02.2019, envoyé par son médecin traitant en raison de douleurs à la base du pouce gauche suite à un traumatisme datant du 17.02.2019. Aux urgences, nous réalisons une radiographie qui montre une fracture en motte de beurre de la base du 1er métacarpien de la main gauche. Nous demandons un avis à Dr. X, orthopédiste de garde, qui voit le patient et suspecte également une lésion ligamentaire du LCU, raison pour laquelle nous réalisons un ultrason du pouce gauche pour rechercher une lésion de Stener. L'ultrason revient dans la norme et nous retenons un diagnostic de fracture en motte de la base du 1er métacarpien de la main gauche avec réalisation d'un plâtre gantelet avec fente latérale sur le bord ulnaire. La radiographie post-plâtre ne montre pas de compression au niveau de la face radiale du plâtre. Au vu de la bonne évolution clinique, il rentre à domicile avec un plâtre, une antalgie simple et un contrôle à la consultation orthopédique de Dr. X à 1 semaine. Mr. Y, 15 ans, consulte les urgences de Riaz le 02.02.2019 suite à un traumatisme du 3ème doigt de la main droite le 01.02.2019. Nous réalisons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Après avoir été vu par Dr. X, nous retenons un diagnostic d'entorse de la plaque palmaire au niveau de l'articulation interphalangienne proximale du majeur droit et nous réalisons une attelle alu. Le patient rentre à domicile avec une attelle alu, le conseil de prendre une antalgie simple par Algifor que le patient a déjà à domicile, un rendez-vous de contrôle à 2 semaines à la policlinique d'orthopédie et un arrêt de sport pour 2 semaines. Mr. Y, 16 ans en bonne santé habituelle, a son bout d'index écrasé sous un tabouret par accident ce soir vers 22h 30. Il en résulte le diagnostic susmentionné mis en évidence par le bilan radioclinique aux urgences. Le patient bénéficie d'une exploration, rinçage et suture de plaie et d'une dose d'antibiotique. Il rentre alors à domicile avec contrôle à 24 heures en orthopédie. Mr. Y, 18 ans en bonne santé habituelle, consulte en raison de douleurs abdominales depuis le 15.02.2019. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique avec notamment les paramètres hépatiques et pancréatiques, qui revient dans la norme. Dans ce contexte, nous réalisons un lavement par Freka 300 ml, qui permet au patient de déféquer avec un soulagement immédiat des douleurs. Au vu de la résolution complète de la symptomatologie, le patient rentre à domicile avec un certificat médical pour son séjour aux urgences de ce jour. Mr. Y, 18 ans en bonne santé habituelle, consulte les urgences de Riaz le 19.02 pour le 5ème doigt de la main gauche sur traumatisme du 19.02.2019. Aux urgences, nous réalisons une radiographie du 5ème doigt de la main gauche qui ne montre pas de fracture. Après avoir été vu par Dr. X, du service d'orthopédie, nous retenons un diagnostic d'entorse bénigne du ligament collatéral ulnaire du 5ème doigt de la main gauche sur traumatisme. Dans ce contexte, le patient rentre à domicile avec une syndactylie des doigts 4 et 5, une antalgie, un arrêt de travail et un contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Mr. Y, 19 ans, connu pour une mucoviscidose suivie au CHUV et bénéficiant d'un suivi nutritionnel à l'HFR, consulte les urgences en raison d'une douleur au niveau de la cuisse droite depuis 2 jours suite à l'injection de Testostérone achetée sur Internet. Le patient décrit un état fébrile (38.8) quelques heures après l'injection, puis l'apparition d'une rougeur et d'une douleur dès le lendemain. Après une consultation aux urgences la veille, le patient revient en contrôle et relate une persistance des douleurs. Une échographie de la cuisse met en évidence une infiltration des tissus mous et une infiltration du muscle compatible avec une dermohypodermite et une myosite. Nous introduisons un traitement antibiotique IV dans un premier temps et au vu de la bonne évolution locale et d'un syndrome inflammatoire biologique en diminution, le traitement est passé par voie orale pour une durée totale de 7 jours. Mr. Y peut rentrer à domicile le 24.02.2019. Nous lui recommandons de stopper les injections de stéroïdes et d'anabolisants. Mr. Y, 2 ans en bonne santé habituelle, consulte les urgences de Riaz le 19.02.2019 en raison d'une plaie au niveau de la base du pouce de la main gauche sur traumatisme. Aux urgences, nous réalisons un examen clinique sous anesthésie par Gel Let avec un patient qui pleure beaucoup. La plaie est très superficielle, en forme de rectangle et ne nécessite pas de point de suture. La plaie est propre, nous la désinfectons abondamment et effectuons un pansement compressif par Adaptic. Nous proposons un contrôle clinique à 48 heures chez le pédiatre avec une antalgie simple que la maman a déjà à domicile. Dans ce contexte, le patient rentre à domicile accompagné de sa maman avec un contrôle à J2 et des pansements de rechange en cas de besoin. Mr. Y, 21 ans, en bonne santé habituelle, consulte suite à un traumatisme en inversion de la cheville gauche en skate ce jour avec réception sur l'hémicorps gauche en se rattrapant avec les mains. Pas de traumatisme crânien. Il n'a pas marché par la suite mais arrive à poser le pied. Douleurs au niveau de la malléole externe à la mobilisation de la cheville. Il décrit l'apparition d'une tuméfaction rapidement après, sans hématome. Pas de trouble sensitif. Pas d'autre plainte ostéoarticulaire. Pas d'antécédent orthopédique de la cheville. Profession : bûcheron. Mr. Y, 22 ans, admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale aiguë sur pneumonie à Influenza A le 20.01.2019 avec surinfection bactérienne à Enterobacter aerogenes et Citrobacter koseri et une composante septique. Compte tenu d'une détresse respiratoire sévère avec échec de VNI, le patient est intubé le même jour d'admission. Le bilan étiologique met en évidence une grippe à Influenza A qui est traitée par Tamiflu ainsi qu'une surinfection bactérienne traitée par antibiotiques. Il reçoit initialement de la co-Amoxicilline avec relais par Ertapenem dès la mise en évidence des germes Enterobacter aerogenes et Citrobacter koseri dans les expectorations. L'antibiogramme révèle par ailleurs une résistance de ces germes à la co-amoxicilline. Une bronchoscopie de nettoyage est effectuée. L'évolution est lentement favorable avec extubation à J6 avec dans un premier temps une dépendance à la VNI dans le cadre de désaturation nocturne, possiblement dans le cas d'un syndrome d'apnée du sommeil connu versus atélectasie sous broncho-aspiration de la salive nocturne. Vu un traitement de secours par Co-Amoxicilline depuis longue date avec des germes du tractus digestif (résistant à la Co-Amoxicilline), nous proposons de répéter la culture des expectorations dans le cas d'une nouvelle infection respiratoire. La posologie du Valproate a été malheureusement sous-dosée en début d'hospitalisation. Le patient reçoit une dose de charge et nous reprenons la posologie habituelle. Un taux d'acide valproïque est sub-thérapeutique à nouveau. Suite à des crises d'épilepsie répétées, nous initions le traitement avec Keppra en consultation avec Dr. X, dans le but d'éliminer le valproate dans le futur. Finalement, vu un comportement euphorique avec insomnie, jugé non habituel selon les parents, sur demande de la famille, ce dernier a été diminué à 1 g en étant incriminé comme facteur déclenchant de changement du comportement. Finalement, le patient rentre à domicile avec une triple thérapie par Valproate, Keppra et Clobazam qui sera à réévaluer dans une semaine (la famille va contacter Dr. X).Le patient présente une cholestase déjà connue dans les hospitalisations précédentes avec une cytolyse (probablement d'origine mixte) qui s'améliore le jour de sa sortie à domicile. Un bilan hépatique reste à recontrôler par vos soins dans une semaine afin de pouvoir décider de la posologie du traitement antiépileptique. Vu la bonne évolution, le patient rentre à domicile le 03.02.2019 sans besoin d'oxygène. • Patient de 22 ans, connu pour une fracture du tiers latéral de la clavicule il y a 5 ans, qui vient après avoir chuté la veille à ski sur l'épaule et le thorax gauche. • Le statut local est rassurant avec une radiographie qui ne montre pas de fracture. • La palpation du tubercule mineur est douloureuse mais la mobilisation est complète dans tous les plans. • Au vu des douleurs causées par la flexion/abduction, nous retenons un diagnostic de contusion du tubercule mineur et du muscle sus-épineux. • Nous prescrivons un traitement d'Irfen cp 400 mg 3x/jour pendant 5 jours, Dafalgan cpr 1g en réserve selon douleurs, max 4x/24h, Sportusal Emgel 2-3 frictions/jour avec du repos et de la glace. • Nous recommandons au patient de consulter son médecin traitant dans 5 jours en cas de persistance des douleurs ou d'évolution clinique défavorable. • Patient de 22 ans qui se présente ce jour avec des douleurs post-traumatiques du genou droit survenues dans un contexte de traumatisme en valgus forcé avec craquement audible. Au vu de la clinique et des examens radiologiques, nous retenons le diagnostic d'entorse du compartiment médial du genou droit et laissons le patient prendre un rendez-vous à la consultation du Dr X, orthopédiste, dans la semaine pour suite de la prise en charge. Nous décidons de laisser le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple, une attelle Jeans à 20° et une thrombo-prophylaxie par Clexane 40 mg. Membre inférieur droit en décharge jusqu'à la consultation chez le Dr X. • Patient de 25 ans en bonne santé habituelle qui consulte les urgences de Riaz le 19.02.2019 en raison de douleurs des poignets dddc. Au vu de l'anamnèse et de l'examen clinique et après discussion du cas avec le Dr X, de médecine interne, nous suspectons un diagnostic de syndrome du canal carpien et préconisons un traitement antalgique simple avec immobilisation par attelle bilatérale et contrôle clinique à 1 semaine chez le médecin traitant. Nous expliquons au patient l'importance de reconsulter avant en cas de péjoration de l'état clinique avec notamment apparition de troubles neurologiques de type perte de force et de sensibilité. • Patient de 25 ans en bonne santé habituelle qui consulte les urgences de Riaz le 23.02.2019 en raison d'une plaie profonde des phalanges 1 et 2 de l'index de la main droite. Aux urgences, nous réalisons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Au vu de la profondeur de la plaie et de la vision des structures nobles, nous demandons un avis au Dr X, orthopédiste de garde, qui réalise une anesthésie et une exploration de la lésion. Celle-ci met en évidence une lésion partielle de la bandelette latérale du tendon extenseur. Nous réalisons ensuite un rinçage et une désinfection de la plaie avec réalisation de suture avec Ethilon 4.0. Nous réalisons un pansement par Adaptic, compresse et Cofix. Aux urgences, il reçoit de la Céfuroxime 1.5 g iv en dose unique et le patient sera revu en policlinique d'orthopédie le lundi 25.02.2019. Il rentre avec un arrêt de travail pour deux semaines et une antalgie simple. Il appellera lundi matin le 25.02.2019 pour prendre un rendez-vous le jour même en policlinique d'orthopédie. • Patient de 26 ans, connu pour une lésion du LCA symptomatique et lésion secondaire du ménisque interne en anse de seau pour lesquelles nous retenons l'indication à une prise en charge chirurgicale sous forme d'arthroscopique diagnostique et plastie LCA à partir du TQ ipsilatéral. En peropératoire, la lésion méniscale sera évaluée et il sera alors décidé si une suture ou une résection méniscale devra être réalisée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention, entre autres risques et bénéfices de celle-ci et suites postopératoires. Il nous donne son accord en signant un formulaire de consentement. L'intervention est agendée pour le 20.03.2019. Il verra les anesthésistes dans l'intervalle. • Patient de 29 ans qui se présente aux urgences avec une érosion cornéenne de l'œil droit sur corps étranger mise en évidence au test à la fluorescéine. Aux urgences, nous avons effectué un rinçage abondant de l'œil puis nous avons appliqué du Tobradex en gouttes et de la Vitamine A en crème sur l'œil atteint. Nous avons laissé le patient rentrer à domicile avec Tobradex et vitamine A. Il sera revu à la consultation d'ophtalmologie à l'HFR Fribourg le 14.02.2019 à 11H00 pour suite de la prise en charge et bilan ophtalmologique complet. • Patient de 31 ans, en BSH, remonte des SI pour suite de prise en charge d'un NSTEMI. Le patient avait présenté une douleur thoracique lors d'un effort physique. La douleur ne cédant pas au repos, il consulte les urgences de Payerne. Le bilan met en évidence des troponines positives et un sus-décalage diffus du segment ST. Le patient est transféré aux soins intensifs de Fribourg après avis cardiologique. Au laboratoire, nous constatons un pic de CK à 794 U/l et une ETT objective une akinésie du septum antérieur basal. En conséquence, nous organisons une coronarographie qui met en évidence une maladie coronarienne limite de 1 vaisseau sous forme d'une sténose isolée de < 50% associée à un thrombus intraluminal, traitée par un stenting direct (1 stent actif) avec un bon résultat final. Au cours de l'hospitalisation, le patient présente un profil rythmique et tensionnel satisfaisant. Le contrôle de l'ETT ne met pas en évidence de FOP au test aux microbulles. Vu la localisation de la lésion (IVA proximale), il n'y a pas d'indication de faire un ETO ni de bilan de thrombophilie. Nous retenons finalement comme origine à ce NSTEMI une lésion artérielle. En raison d'une obésité de grade I, nous complétons le bilan biologique qui se montre dans la norme, en particulier sans dyslipidémie ou altération des valeurs de glycémie. Vu le bilan d'LDL de 2.8 mmol/l nous introduisons un traitement par Atorvastatine avec l'objectif de baisser l'LDL inférieur à 1.8 mmol/l. Transféré à l'étage de médecine le 7.2.2019, le patient rentre finalement à domicile le 11.2.2019 après une bonne évolution. Le suivi aura lieu chez le médecin traitant dans 1 mois et en cardiologie à 6 mois pour une épreuve d'effort. Dans l'intervalle, le patient effectuera de la physiothérapie à Billens dans un but de réhabilitation cardiovasculaire. Il est averti de ne pas faire d'efforts importants, notamment de type port de charge durant 1 mois. Vu le travail administratif du patient, il pourra reprendre à 100% dès le 18.2.2019. • Patient de 32 ans admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique d'un NSTEMI. Le patient présente une douleur thoracique lors d'un effort physique. La douleur ne cédant pas au repos, il consulte les urgences de Payerne. Le bilan met en évidence des troponines positives et un sus-décalage diffus du segment ST. À noter, il y a deux semaines, un épisode d'IVRS rapporté par le patient. Le patient est transféré aux soins intensifs de Fribourg après avis cardiologique. Au laboratoire, nous constatons un pic de CK à 794 U/l et une ETT objective une akinésie du septum antérieur basal. En conséquence, nous organisons une coronarographie qui met en évidence une maladie coronarienne limite de 1 vaisseau sous forme d'une sténose isolée de < 50% associée à un thrombus intraluminal, traitée par un stenting direct (1 stent actif) avec un bon résultat final. Au cours de l'hospitalisation, le patient ne présente pas de troubles du rythme. L'ETT de contrôle ne met pas en évidence de FOP au test aux microbulles. Vu la localisation de la lésion (IVA proximale), il n'y a pas d'indication de faire un ETO ni de bilan de thrombophilie. Nous retenons finalement comme origine à ce NSTEMI une lésion artérielle.En raison d'une obésité de grade I, nous complétons le bilan biologique qui se montre dans la norme, en particulier sans dyslipidémie ou altération des valeurs de glycémie. Vu le bilan d'LDL du 2.8 mmol/l, nous introduisons un traitement par Atorvastatine avec l'objectif de baisser l'LDL inférieur à 1.8 mmol/l. Patient de 34 ans en bonne santé habituelle pratiquant des sports de pivot, présentant une évolution favorable à 6 semaines d'une rupture du ligament croisé antérieur à G en son insertion fémorale. Au vu de l'absence d'instabilité dans ses activités de la vie quotidienne, et du résultat de l'examen clinique du jour (Rolimeter) et du type de déchirure mise en évidence à l'IRM, un traitement conservateur pourrait être envisagé. Nous proposons au patient, dans un premier temps, de poursuivre la physiothérapie axée sur l'étirement des chaînes postérieures, le renforcement musculaire, la proprioception et le gainage. Il est autorisé à reprendre les sports dans l'axe progressivement. Pas de sport de pivot pour le moment. Nous reverrons le patient dans 6 semaines pour faire le point. En cas d'apparition d'une instabilité fonctionnelle, le patient sera effectivement candidat à une plastie de reconstruction du ligament croisé antérieur. Patient de 36 ans, récemment hospitalisé dans notre service pour la prise en charge d'une cirrhose d'étiologie éthylique, est transféré directement depuis la médecine aux soins intensifs pour un état de conscience diminué. Ce trouble est attribué à une encéphalopathie hépatique, dont l'étiologie de la précipitation reste peu claire. Mr. Y recouvre rapidement sa conscience après l'administration de flumazénil et de lactulose. Il bénéficie par ailleurs d'une ponction du liquide d'ascite, avec drainage. Le fluide récolté ne permet pas de retrouver de germes. Mr. Y est à nouveau transféré en Médecine pour suite de prise en charge. Pour rappel, Mr. Y souffre d'une cirrhose d'origine éthylique CHILD B. Dans ce cadre, il présente une décompensation d'ascite, mais pas de varice œsophagienne. Il est toutefois décidé de poursuivre le traitement de bêta-bloqueur et ce à titre prophylactique. Mr. Y continue à recevoir de l'albumine jusqu'au 19.01.2019, de la spironolactone, du torem et du becozyme/benerva jusqu'au 30.01.2019 au vu de sa consommation d'alcool. Dans la perspective d'une éventuelle greffe, il est toutefois nécessaire que Mr. Y observe une abstinence totale d'alcool pour être candidat à une telle procédure. Sur le plan néphrologique, le diagnostic de néphropathie à IgA secondaire à la cirrhose est retenu, ce qui a donc motivé un traitement par corticostéroïdes, pour une durée de 12 semaines. Nous poursuivons ce traitement et notons une amélioration de la fonction rénale. L'administration d'albumine est poursuivie afin de compenser les pertes urinaires. Elle est stoppée le 29.01.2019 au vu de la bonne réponse au traitement. Mr. Y est par ailleurs soumis à une restriction hydrique et à un régime pauvre en sel. La corticothérapie se compliquant d'une hyperglycémie dès son initiation, nous poursuivons le traitement d'insuline, que nous adaptons au vu du profil glycémique. Sur le plan psychiatrique, il est décidé d'entente avec la famille de transférer le patient à Marsens, contre sa volonté et sous régime PAFA. Le transfert a lieu le 05.02.2019. Patient de 37 ans, en bonne santé habituelle, qui vient car il a glissé avec un mécanisme d'inversion forcée de la cheville gauche. Il s'agit d'un premier épisode. La palpation du ligament latéro-externe est douloureuse. La flexion dorsale et l'inversion provoquent des douleurs en regard du ligament talo-fibulaire postérieur et antérieur. La marche en charge est impossible. La radiographie de la cheville gauche ne montre pas de fracture. Nous concluons à une entorse de grade 3 du ligament latéro-externe que nous immobilisons par attelle jambière postérieure avec décharge complète. La radiographie de contrôle ne montre pas de point d'appui. Nous lui prescrivons un traitement de Clexane prophylactique avec antalgie simple et Pantoprazole 40 mg 1x/j. Nous lui fournissons un arrêt de travail jusqu'au 28.02.2018, date de son contrôle à la policlinique de traumatologie. Patient de 38 ans admis pour une coronarographie élective pour le traitement de l'artère coronaire droite moyenne. La coronarographie du 5.02.2019 montre un bon résultat à court terme après PCI de l'IVA et de la Cx. Comme prévu, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère coronaire droite moyenne avec implantation de 1 stent actif et bon résultat final. Nous proposons la poursuite du traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 12 mois. Un ergométrie est organisée dans 2 mois auprès du Dr. X. Une re-coronarographie est prévue dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 6.02.2018. Patient de 38 ans, en bonne santé habituelle, qui a reçu un objet en métal de 5 kilos sur le pied la veille au travail. Il présente un orteil tuméfié, avec un hématome douloureux à la palpation. Les douleurs sont maximales lors de la flexion contre résistance. La radiographie permet d'exclure une fracture. Sur avis du Dr. X, orthopédiste, nous réalisons une syndactylie ainsi qu'une prescription analgésique et anti-inflammatoire de Dafalgan 4x/jour pendant 3 jours puis selon douleurs et Sportusal Emgel 3-4 applications/jour afin de drainer l'hématome avec un arrêt de travail du 12.02.2019 au 14.02.2019. Le prochain contrôle sera effectué chez son médecin traitant à 48 h. Patient de 38 ans en BSH qui fait un faux mouvement en sortant de sa voiture et ressent des vives douleurs suivies d'une impotence fonctionnelle au niveau de son genou droit. Il a été apporté aux urgences par ambulance. Le bilan radio clinique aux urgences met en évidence le diagnostic sus mentionné. Une indication opératoire est posée et le patient est hospitalisé en orthopédie en attente d'une prise en charge chirurgicale. Status: Genou droit: tuméfaction en regard de la face interne cuisse distale au-dessus du genou non douloureuse, pas de lésions cutanées, pas d'épanchement intra-articulaire, douleurs à la palpation au niveau de l'insertion du tendon quadricipital et rotulien, impotence fonctionnelle au niveau du quadriceps, les tests de Lachmann, Pivot shift, McMurray et test de tiroir pas réalisable à cause des douleurs et l'incapacité de fléchir le genou. Pas de TNV. Patient de 39 ans, avec une masse adénoïdienne au niveau du cavum dont les biopsies ne plaident pas pour une malignité, mais entraînant une otite séro-muqueuse droite. Papillome de la fosse nasale droite. Patient de 39 ans, connu pour un lymphome de Burkitt, qui est réhospitalisé électivement pour poursuivre la chimiothérapie. Pour rappel, le second cycle de chimiothérapie selon le protocole R-CODOX-M/IVAC est débuté le 04.02.2019, et un retour à domicile transitoire a été organisé le 08.02.2019 à la demande du patient. À l'admission, Mr. Y rapporte une dyspnée accompagnée d'une toux sèche depuis la veille. Le second cycle de chimiothérapie est poursuivi le 17.12.2018 avec le Méthotrexate. Un suivi des taux sanguins est effectué et s'avère dans la norme. Le traitement est bien toléré. Le patient passe en agranulocytose le 18.02.2019. L'évolution se complique par une candidose orale, pour laquelle un traitement antifongique est débuté, et est à poursuivre jusqu'à 48 h après la résolution clinique.Les prophylaxies habituelles par Bactrim et Valtrex sont poursuivies. Durant la période d'agranulocytose, la prophylaxie par Posaconazole est administrée et un isolement protecteur est mis en place. Au niveau hématologique, aucune transfusion n'est nécessaire. Sur le plan électrolytique, nous mettons en évidence une hypokaliémie qui se corrige après substitution orale. Au vu de la persistance de la toux présente à l'admission, nous effectuons une radiographie thoracique qui ne montre pas de foyer infectieux. Selon le souhait de Mr. Y, il rentre à domicile le 20.02.2019 avant de poursuivre le cycle de chimiothérapie avec une réadmission prévue le 25.02.2019. Mr. Y, 39 ans, connu pour un lymphome de Burkitt récemment diagnostiqué, est réhospitalisé électivement pour le second cycle de chimiothérapie. À l'admission, il est asymptomatique. Il mentionne avoir présenté une infection des voies respiratoires supérieures durant les 2 semaines suivant sa sortie de l'hôpital le 14.01.2019, actuellement résolue. Le second cycle de chimiothérapie selon le protocole R-CODOX-M/IVAC est débuté le 04.02.2019. Mr. Y bénéficie également d'une thérapie intrathécale par Cytosar le 04.02.2018 et le 06.02.2019. La cytologie du liquide céphalo-rachidien ne montre pas de cellules suspectes de malignité. Le traitement est bien toléré, hormis l'apparition de dorsalgies post chimiothérapie intrathécale. Au niveau biologique, Mr. Y ne présente pas de syndrome de lyse et reste hors d'agranulocytose. Au vu de la persistance des dorsalgies, nous effectuons une radiographie de la colonne dorsale qui permet d'exclure une lésion traumatique ostéo-articulaire. Mr. Y est soulagé par une antalgie simple. Selon le souhait de Mr. Y, il rentre à domicile le 08.02.2019 avant de poursuivre le cycle de chimiothérapie avec une réadmission prévue le 11.02.2019. Un contrôle biologique est prévu le 10.02.2019, et Mr. Y est informé qu'en cas d'agranulocytose, il devra être réhospitalisé à ce moment-là. Mr. Y est également rendu attentif au fait qu'en cas d'état fébrile, il devra se présenter à l'hôpital en urgence. Mr. Y, 39 ans en bonne santé habituelle, consulte les urgences de Riaz le 19.02.2019 en raison d'une masse localisée au niveau de la joue en regard de l'angle mandibulaire à droite, en péjoration. Nous réalisons un bilan biologique qui montre une légère leucocytose à 11G/l, une absence de CRP, et une absence de thrombocytose. Nous demandons un avis au Dr. X, chirurgien, qui propose de réaliser un CT-scanner pour visualiser la profondeur de la lésion ainsi que pour exclure une fistule. Dans ce contexte, Mr. Y rentre à domicile avec un CT-scanner le 20.02.2019 et un contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires. Nous expliquons à Mr. Y le besoin d'être à jeun dans le contexte d'une possibilité de scanner injecté. Nous lui proposons une antalgie simple que Mr. Y a déjà à domicile. Mr. Y, 39 ans en bonne santé habituelle, consulte les urgences de Riaz le 23.02.2019 en raison de douleurs au talon droit suite à un traumatisme direct le 23.02.2019. Nous réalisons une radiographie du calcanéus qui ne montre pas de fracture. Nous réalisons un bandage à but antalgique avec marche en charge selon les douleurs, avec des cannes anglaises que Mr. Y a déjà été cherché ce jour. Nous lui proposons de voir son médecin traitant au besoin. Dans ce contexte, il rentre à domicile avec le bandage, les cannes et une ordonnance pour les médicaments. Mr. Y refuse un arrêt de travail pour se reposer. Mr. Y, 41 ans, connu pour un antécédent de thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche en 2011 et d'embolie pulmonaire en 2016, non anticoagulé depuis environ une année, est hospitalisé en raison d'une nouvelle embolie pulmonaire. Mr. Y présente des douleurs basi-thoraciques droites évoluant depuis 4 jours, avec un retour de voyage de Gambie récent, le 14.01.2019. Le bilan biologique met en évidence des D-dimères à 11'795 ng/ml. Le CT thoracique confirme la suspicion d'embolie pulmonaire, avec la mise en évidence d'innombrables embolies pulmonaires centrales, segmentaires et sous-segmentaires des deux côtés, avec un infarctus du segment latéro-basal du lobe inférieur droit, ainsi qu'une souffrance cardiaque droite. Une anticoagulation par Liquémine est administrée au service des urgences, puis relayée par un traitement de Xarelto. Selon avis cardiologique et avis spécialisé des soins intensifs, au vu de la stabilité hémodynamique et de l'absence d'argument biologique pour une atteinte cardiaque, Mr. Y est hospitalisé en Médecine pour la suite de prise en charge. Dans le contexte de la souffrance cardiaque droite mise en évidence à l'imagerie, une échocardiographie est effectuée. Cette dernière montre une hypertension artérielle pulmonaire modérée dans le cadre de l'embolie pulmonaire et une bonne fonction cardiaque globale avec une fraction d'éjection à 73%. L'évolution clinique est rapidement favorable, avec sevrage de l'oxygénothérapie et bonne gestion de l'antalgie. Au vu des événements thrombo-emboliques récidivants, nous vous proposons de poursuivre l'anticoagulation thérapeutique au long cours. Mr. Y rentre à domicile le 12.02.2019 et nous lui préconisons d'effectuer un contrôle clinico-biologique à votre cabinet dans une semaine. Mr. Y, 41 ans en bonne santé habituelle, se présente aux Urgences pour un épisode d'hématémèse le soir du 25.01.19 suivi par un épisode de méléna le matin du 26.01.2019. Mr. Y signale une prise d'Ibuprofen pendant 2 semaines en raison des lombalgies. Mr. Y est hospitalisé et mis sous Pantozol avec des contrôles d'hémoglobine réguliers qui montrent une diminution de l'hémoglobine jusqu'à 84 g/L. En raison d'une suspicion de saignement, il bénéficie d'une OGD le 29.01.2019, qui met en évidence un ulcère dans le bulbe duodénal dans la partie postérieure, sans saignement actif. Les contrôles post-opératoires montrent une hémoglobine stable. Mr. Y rentre à domicile le 31.01.2019. Une sérologie pour H. Pylori est en cours et un traitement antibiotique sera introduit en cas de résultat positif. Mr. Y, 41 ans, est admis aux soins intensifs pour surveillance monitorée d'un AVC de la capsule interne à droite. Mr. Y présente une dysarthrie, une hypoesthésie de la face et au membre supérieur à gauche. Le NIHSS à l'entrée est coté à 3. Au CT cérébral initial, on met en évidence une plaque athéromateuse de l'artère carotide interne proximale gauche. L'IRM montre une lésion ischémique du bras postérieur de la capsule interne droite. Dans le contexte de l'hypertension artérielle, nous administrons du Trandate en IV, puis effectuons un relais per os par Lisinopril. L'échocardiographie est normale sans foramen ovale. Le 01.02.2019 au matin, Mr. Y présente une baisse de l'acuité visuelle et un flou visuel sans autres symptômes neurologiques, raison pour laquelle nous demandons une consultation en ophtalmologie. La bonne évolution clinique de Mr. Y permet un transfert à l'étage dans l'unité stroke. Mr. Y, 41 ans, se présente ce jour aux urgences avec des douleurs en loge rénale gauche irradiant en fosse iliaque gauche, disparaissant lors d'une évacuation spontanée d'un calcul à son arrivée aux urgences. À l'examen clinique dans le box, les douleurs ont disparu et Mr. Y se plaint d'une sensibilité élective à la palpation de la loge rénale gauche sans douleur dans la loge rénale controlatérale ni dans les autres quadrants abdominaux.Au vu de la clinique, nous décidons d'effectuer un uro-CT afin d'exclure la présence d'un calcul résiduel dans les voies urinaires droites. Nous objectivons la présence d'un calcul résiduel non obstructif de < 3 mm dans le rein droit en comparatif au dernier CT-scan abdominal de février 2018 sans dilatation pyélo-calicielle. Au vu de la clinique et des résultats de l'imagerie, nous décidons de laisser le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple en réserve et l'invitons à se présenter aux urgences en cas de réapparition de douleurs similaires. • Patient de 42 ans, connu pour une tétraplégie spastique incomplète post-accident de la voie publique avec traumatisme crânio-cérébral sévère et multiples hémorragies intra-parenchymateuses en 1996. Il est hospitalisé dans un contexte d'infection respiratoire par Influenza avec probable surinfection bronchique sur pneumonie d'aspiration. Le patient est amené par les ambulanciers car il présente une baisse de l'état général au domicile depuis 2-3 jours avec toux et expectorations jaunâtres accompagnées d'un état fébrile jusqu'à 39.1. Aux urgences de Fribourg, le patient est fébrile à 39.8 °C, tachypnéique à 36/min avec une saturation de 89%, qui remonte à 94 % sous 4 L d'O2. Il est tachycarde à 110/min et normo-tendu à 117/60 mmHg. À son entrée dans notre service de médecine interne, le patient présente un index de choc positif et une réanimation liquidienne est initiée avec évolution favorable. Devant une suspicion d'Influenza positif, nous mettons en place un isolement contre gouttelette. Un laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire, sans foyer visible à la radiographie du thorax. Cependant, devant un tableau clinique sévère compatible avec une pneumonie chez un patient fragile, nous initions une antibiothérapie par Co-amoxicilline et Klacid. Une péjoration de la clinique est observée dès le 19.02.2018, malgré l'antibiothérapie, avec augmentation de la dyspnée et de l'agitation, chez un patient qui ne peut pas exprimer ses plaintes. Dans ce contexte, un traitement symptomatique par Ventolin et Atrovent est instauré, en parallèle avec une thérapie par morphine. Un soulagement léger de l'anxiété est observé, mais la respiration reste difficile avec une tachypnée et une utilisation des muscles accessoires. Une radiographie du thorax de contrôle est réalisée le 20.02.2019, montrant une évaluation défavorable de la ventilation pulmonaire avec des infiltrats diffus. Une gazométrie artérielle révèle une acidose respiratoire compensée, accompagnée d'une hypoxémie. Au vu de l'attitude maximale souhaitée par la famille pour le patient, un contact est pris avec les soins intensifs de Fribourg, qui ne retrouvent pas de critère à une hospitalisation en soins palliatifs ; cependant, en raison de l'évolution défavorable du patient dans notre service, un transfert aux urgences est organisé, pour suite de prise en charge à l'HFR-Fribourg. Une nouvelle discussion à propos de l'attitude de réanimation est réalisée avec le père et la sœur de M. Y, pour laquelle ils désirent qu'une réanimation ne soit pas initiée, mais la prise en charge par les soins intensifs ainsi que des soins maximums doivent être effectués. Avant son transfert, des médicaments symptomatiques ont été instaurés (Morphine fixe + R, Lexotanil), et hormis la recherche d'une cause symptomatique, nous recommandons fortement de poursuivre une attitude symptomatique au vu de l'anxiété du patient et de son incapacité à s'exprimer. M. Y est donc transféré aux urgences de Fribourg le 20.02.2019 pour suite de prise en charge. • Patient de 42 ans en bonne santé habituelle qui se présente aux urgences ce jour en raison d'un épisode d'hyperventilation suivi de pauses respiratoires au milieu de la nuit accompagnées de ronflements sonores et d'un état d'obnubilation de quelques secondes, sans notion de perte de connaissance ou d'amnésie circonstancielle. À noter que le patient a déjà présenté plusieurs épisodes récurrents d'apnées au cours de son sommeil et durant la journée dans le passé. Sur base de la clinique et des examens complémentaires réalisés aux urgences, nous suspectons un syndrome d'apnées obstructives du sommeil débutant et suggérons au patient de se présenter à la consultation d'un pneumologue pour mise au point de ses symptômes et pour un bilan plus approfondi investiguant sa fonctionnalité respiratoire. • Patient de 43 ans, pratiquant régulièrement des sports de pivot, se présente en consultation à 10 jours du diagnostic susmentionné. Au vu du type d'activité pratiquée et de la lésion du ménisque externe, ce patient pourrait être à terme candidat à une chirurgie du ligament croisé antérieur et méniscale. Nous lui proposons, dans un premier temps, un traitement conservateur pour la lésion du LLI avec une attelle articulée limitée à 0-30° pour 2 semaines puis 0-60° pour les 2 semaines suivantes puis 0-90° pour les 2 dernières semaines. Il est autorisé à marcher en charge selon douleurs sur protection de l'attelle et avec des cannes anglaises. Il débutera également un traitement en physiothérapie. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au prochain contrôle clinique dans 6 semaines. • Patient de 43 ans, qui consulte aux urgences le 25.02.2019 pour des céphalées occipitales associées à des vertiges de type tangage. Au status, il présente principalement un nystagmus multidirectionnel. Dans ce contexte, une origine neurologique est suspectée en premier lieu. Le CT cérébral et l'IRM cérébral reviennent normales. Une ponction lombaire est réalisée qui ne montre pas d'argument pour une inflammation. Une électrophorèse des protéines est encore en cours. Devant les facteurs de risque cardio-vasculaires du patient, les neurologues retiennent un AVC de la fosse postérieure sans correlat radiologique. Un traitement d'aspirine cardio et de statine est débuté avec une cible LDL < 2.6 mmol/L. Le patient sera convoqué en ambulatoire pour le bilan cardiaque habituel (échocardiographie transthoracique et Holter). Il sera ensuite revu à la consultation neuro-vasculaire à 3 mois. Au vu de l'absence de diagnostic de certitude à l'origine de ses vertiges, un avis est également pris auprès des ORL qui ne retiennent pas d'origine périphérique en première intention mais préconisent tout de même de la physiothérapie vestibulaire et la poursuite des investigations en ambulatoire. Au vu de la résolution des céphalées et une diminution des vertiges, le patient rentre à domicile le 27.02.2019. • Patient de 44 ans connu pour une drépanocytose (alpha-thalassémie) diagnostiquée en 2000 suivie par Dr. X, dernière crise il y a 5 ans. Il est également connu pour des séquelles mnésiques de multiples AVC ischémiques d'origine probablement cardio-embolique sur un FOP fermée en 2014. Il se présente aux urgences de Fribourg le 03.02.19 pour une douleur thoracique à 10/10 type coup de poignard apparue après avoir balayé de la neige. Un laboratoire met en évidence un LDH à 740 U/L et permet d'exclure un syndrome coronarien. Pas de signes d'infarcissement à la radiographie du thorax. Nous retenons le diagnostic de crise vaso-occlusive aigue et initions une hydratation intraveineuse, une oxygénothérapie ainsi qu'une antalgie par opiacés avec bonne évolution clinique permettant une diminution puis un arrêt de l'antalgie par opiacés. Suite à un entretien téléphonique avec Dr. X, nous poursuivons le traitement de Litalir 2x/jour avec un contrôle chez Dr. X pour le 12.04.19. Suite à la bonne évolution clinique et biologique, M. Y peut rentrer à domicile le 07.02.19.Patient de 45 ans admis pour une coronarographie élective suite à un test d'effort positif effectuée en raison d'un angor stable. La coronarographie du 6.02.2019 montre un bon résultat à court terme de la PCI de l'IVA moyenne. On retrouve les mêmes sténoses complexes de la 1ère diagonale de 70-90% de la branche principale ostiale et de la branche secondaire de cette même 1ère branche diagonale. On traite la sténose principale avec 1 stent actif avec un bon résultat. La ventriculographie montre une discrète hypokinésie apicale, séquellaire de l'infarctus antérieur du 30.12.2018, avec une fonction systolique globale du ventricule gauche conservée. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est à poursuivre. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès du Dr. X avec une ergométrie dans 6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 7.02.2019. Patient de 47 ans connu entre autres pour un statut VIH stable sous trithérapie et une insuffisance cardiaque terminale sur cardiopathie d'origine mixte, est amené par ses proches en raison d'une toux et d'une baisse de l'état général depuis environ 2 semaines. À l'anamnèse (compliquée en raison de la barrière linguistique et de troubles cognitifs), le patient décrit une toux grasse avec expectorations blanchâtres-jaunâtres sans hémoptysie associée à la péjoration d'une dyspnée chronique. Le patient décrit des douleurs à la poitrine liées à l'effort de toux, mais qui seraient présentes depuis plusieurs mois. Il n'y a pas de frisson, ni d'état fébrile, ni de notion de contage. Il n'existe aucune autre plainte à l'anamnèse systématique. À l'examen physique nous retrouvons un patient à l'état général diminué, apyrétique, normohydraté, ictérique, collaborant, calme, hypotendu à 97/63 et dyspnéique à l'AA avec une SpO2 à 88% et une polypnée à 32/min. Au status cardio-vasculaire des bruits B1 et B2 difficilement audibles, réguliers, sans souffle. Il n'y a pas d'OMI et les pouls périphériques sont bien perçus. L'examen pulmonaire montre des MVS avec des râles grossiers et des sibilants expiratoires. Le reste du status, y compris neurologique, est sans particularité. À l'entrée nous diagnostiquons une pneumonie à Influenza grâce à un frottis de grippe qui revient positif pour Influenza A. Nous ne pouvons cependant exclure une surinfection bactérienne, raison pour laquelle nous commençons une antibiothérapie par Augmentin 1.2 g par jour pendant 5 jours. Étant donnée l'origine éthiopienne du patient, son statut VIH, ses antécédents de tuberculose et sa compliance faible (en partie liée à des troubles cognitifs d'origine indéterminée), nous ne pouvons exclure une réactivation tuberculeuse et décidons d'isoler le patient jusqu'au retour des analyses d'expectorations. L'examen direct ne montre pas de bacille acido-alcoolo-résistants, la PCR Genexpert revient négative pour la tuberculose. Par ailleurs, la radiographie ne montrant pas de signe de tuberculose active, nous pouvons raisonnablement exclure cette hypothèse. Nous traitons les symptômes et signes obstructifs par des aérosols de Ventolin et Atrovent, et par une oxygénothérapie. Par ailleurs, le patient montre des signes de décompensation cardiaque gauche à l'examen clinique, à la biologie avec un BNP > 14000 le 15.02.2019, et à la radiographie de thorax une redistribution baso-apicale de la vascularisation pulmonaire témoignant d'une surcharge modérée. Nous augmentons les diurétiques avec un bon résultat, puis ajoutons du Métolazone pour des œdèmes des membres inférieurs apparus par après, dont la nécessité est à réévaluer. Nous entamons également une thérapie par IEC avec du Lisinopril 2.5 mg en raison de l'insuffisance cardiaque sévère. Le 18.02.2019 le patient présente une douleur aiguë du pied gauche localisée au niveau de la malléole externe, associée à une chaleur locale et à une impotence fonctionnelle. Il n'y a pas d'autres signes ou symptômes, notamment pas de fièvre. Nous suspectons une crise de goutte, raison pour laquelle nous mettons le patient sous Prednisone du 18.02.2019 au 22.02.2019 avec un bon résultat. L'hyponatrémie sévère à 122 mmol/L, vraisemblablement chronique sur insuffisance cardiaque, est traitée par une restriction hydrique prudente en prévention d'une myélinolyse centropontine. Enfin, l'insuffisance rénale aiguë est traitée par une hydratation IV (prudente vu l'hyponatrémie) par du NaCl 1000 ml sur 24 h. Le 26.02.2019, Mr. Y est transféré en soins palliatifs. Au vu d'un bon état général et le souhait explicite du patient, celui-ci peut regagner son domicile le 27.02.19. Patient de 47 ans connu pour une cardiopathie ischémique avec un statut post remplacement valvulaire mitrale qui consulte en raison de nausées, vomissements et diarrhées depuis plusieurs jours avec une sensation de palpitations ce jour. Par ailleurs, le patient se plaint d'une dyspnée sans douleurs thoraciques. Absence de douleurs abdominales, méléna, sang frais, brûlures mictionnelles. Le patient aurait bénéficié en décembre d'un IRM cardiaque pour lequel il a un rendez-vous de prévu auprès du Dr. X en vue d'une discussion pour un appareillage. GCS à 15, SpO2 = 97% Pouls = 197 bpm, Ta = 115/75 mmHg, T = 35.7°C. État général diminué, muqueuses sèches, mais patient moite et transpirant. CV : tachycardie régulière. B1, B2 bien frappés sans souffle audible. Pas d'OMI. Resp : murmure respiratoire bilatéral sans bruits surajoutés. GI : Bruits normaux en fréquence et intensité. Abdomen souple et indolore. LRSI. Le patient présente une fibrillation auriculaire à l'ECG bien supportée hémodynamiquement mais symptomatique sous la forme de palpitations et dyspnée au repos. Il est décidé de réaliser une cardioversion médicamenteuse par cordarone, Mr. Y étant anticoagulé et les symptômes datant de moins de 24 h. Après deux bolus de cordarone 150 mg IV, la fréquence reste à 150/' irrégulière. La charge en cordarone est poursuivie IV et il bénéficie de dilzem IV qui ralentit la fréquence cardiaque à 110/' mais toujours en fibrillation auriculaire. Mr. Y est gardé en surveillance en lit d'observation et il se cardioverse durant la nuit sous l'effet de la cordarone. La charge en cordarone est poursuivie pos et le bêta-bloquant est augmenté d'entente avec le Dr. X qui le verra en consultation prochainement pour discuter avec lui de la pose d'un CRT-DAI. À noter que Mr. Y présente une consommation d'alcool excessive avec un abus notable le week-end précédent sa venue aux urgences. Il présente une perturbation des tests hépatiques que nous mettons en lien avec sa consommation. Une intervention brève a été réalisée aux urgences. Nous laissons le soin au médecin traitant de contrôler les tests hépatiques. La TSH avait été dosée normale en 2018. Mr. Y quitte donc les lits d'observation le 14.02.2019 en rythme sinusal et asymptomatique. Patient de 47 ans, en bonne santé habituelle, est transféré du service de neurochirurgie du CHUV le 15.02 pour suite de prise en charge d'une hémorragie intra-parenchymateuse cérébelleuse hémisphérique gauche d'origine hypertensive sans déficit neurologique associé. Au niveau neurologique, l'évolution est favorable avec l'absence de céphalées ou déficit neurologique sur le séjour. Le suivi est prévu en neurochirurgie au CHUV. Le patient présentant un profil tensionnel élevé, le traitement mis en place au CHUV est majoré et une étiologie secondaire est recherchée. Un nodule surrénalien est mis en évidence au scanner, nous demandons donc l'avis de nos collègues endocrinologues. Sur leur avis, nous démarrons le bilan biologique durant le séjour. Le patient reviendra à jeun le 26.02.2019 au matin pour la suite du bilan, puis reviendra en contrôle en endocrinologie à Fribourg le 05.03.2019.Durant le séjour au CHUV, le patient présente un état fébrile sur une dermohypodermite du bras gauche sur infection de voie veineuse périphérique. Une bactériémie à Streptococcus Pyogenes est retrouvée. Un traitement antibiotique est alors instauré par voie intraveineuse puis un relais per os est effectué après bonne évolution. En complication à cette infection, une thrombose veineuse superficielle est diagnostiquée par la suite. Celle-ci est bilanée au CHUV puis à Fribourg en angiologie. Une anticoagulation prophylactique est mise en place au vu de la contre indication formelle à des doses thérapeutiques en lien avec le diagnostic principal. Un contrôle clinique et ultrasonographique est prévu le 22.03.2019. D'ici là, le patient poursuivra l'anticoagulation prophylactique à domicile. Le patient rentre à domicile le 22.02.2019. Il lui est conseillé de contrôler et noter sa tension 2x/jour et de consulter un généraliste de son choix à une semaine. Si sa tension artérielle est insuffisamment contrôlée, le patient est averti de téléphoner à son généraliste ou au Dr. X à l'HFR ou de consulter aux urgences même en l'absence de symptomatologie associée. • Patient de 48 ans, en bonne santé habituelle, qui est hospitalisé en raison d'une pancytopénie d'origine indéterminée, évoluant depuis septembre 2018. A l'admission, Mr. Y rapporte une fatigue et des douleurs thoraciques évoluant depuis plusieurs semaines. L'électrocardiogramme et les enzymes cardiaques reviennent dans la norme, et l'échocardiographie montre une bonne fonction globale avec une fraction d'éjection à 55%. Les douleurs thoraciques sont attribuées à une origine pariétale au vu du caractère atypique des douleurs, de l'absence de troubles à l'ECG et d'enzymes cardiaques mesurées au service des urgences et ne révélant aucune cinétique. Nous vous proposons toutefois d'effectuer un test d'effort à distance en cas de persistance après correction de l'anémie. Concernant la pancytopénie, le bilan biologique est peu contributif. Nous effectuons un CT thoraco-abdominal qui montre une splénomégalie sans autre lésion suspecte. Le bilan est complété par une ponction-biopsie de moelle qui permet de retenir le diagnostic de leucémie à tricholeucocytes. Une chimiothérapie par Cladribine est alors débutée pour une durée de 5 jours, et est bien tolérée. Les prophylaxies par Bactrim et Valtrex sont débutées. Sur le plan hématologique, le patient reçoit 4 concentrés érythrocytaires durant le séjour. Mr. Y rentre à domicile le 19.02.2019. Il est informé du risque d'état fébrile après traitement de Cladribine, et de la conduite à tenir. Une consultation de contrôle est prévue en hématologie auprès du Dr. X le 25.02.2019, avec un contrôle biologique. • Patient de 49 ans en bonne santé habituelle, qui a fait une chute sur le verglas avec traumatisme crânien et perte de connaissance de quelques secondes. Il est emmené par la police aux urgences suite à son appel pour plainte d'avoir perdu sa voiture. Le bilan aux urgences met en évidence les diagnostics susmentionnés. Au vu d'un statut rassurant, nous laissons le patient rentrer à domicile avec consignes de surveillance pour signes ou symptômes de péjoration neurologique, pour lesquels le patient doit reconsulter. Le patient rentre en taxi. • Patient de 50 ans, connu pour un carcinome pulmonaire et ORL, métastatique au niveau pulmonaire et cérébral, sous chimio et immunothérapie (Carboplatine, Taxol, Pembrolizumab), est hospitalisé par le Dr. X pour gestion d'antalgie de douleur au niveau du tibia gauche. Un angio-CT du membre inférieur gauche est effectué et montre des sténoses étagées et une occlusion focale de l'artère fémorale superficielle sans signes d'ostéomyélite. Un consilium d'angiologie est alors demandé. Nos collègues diagnostiquent une artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade II sans ischémie critique associée. À part un traitement optimal des facteurs de risque cardiovasculaires et l'introduction d'un anti-plaquettaire, il n'existe pas d'autres traitements nécessaires à l'heure actuelle. Les douleurs du patient sont attribuées à un contexte d'algoneurodystrophie décompensée dans le cadre d'une AOMI. En raison d'une anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 79, nous transfusons un culot érythrocytaire au patient avec pour effet une hémoglobine à 88 en fin de séjour. Le patient ne souhaitant pas effectuer plus d'investigation en milieu hospitalier, il rentre à domicile le 26.02.2019 avec un suivi prévu en oncologie pour la suite de son traitement. • Patient de 50 ans, connu pour un syndrome métabolique, avec STEMI en septembre 2018, adressé du HIB Payerne pour la suite de prise en charge d'une suspicion de lymphome. Mr. Y présente un état fébrile jusqu'à 40.5°C accompagné d'une dyspnée et d'un rash cutané diffus depuis le 08.02.2019. Le patient est initialement traité pour une pneumonie basale droite avec introduction d'une antibiothérapie par Avalox le 12.02.2019. Au vu de la persistance d'un état fébrile, un CT thoraco-abdominal est effectué. Celui-ci met en évidence des adénopathies cervicales, médiastinales, axillaires et inguinales, ainsi qu'une splénomégalie. Dans ce contexte, un lymphome est suspecté, et le patient nous est adressé pour la suite de prise en charge. Nous complétons les investigations par une ponction-biopsie de moelle qui ne montre pas de processus lymphoprolifératif. Le PET-CT met en évidence des hypercaptations ganglionnaires supra- et infra-diaphragmatiques bilatérales, ainsi que spléniques, compatibles avec un lymphome. L'exérèse ganglionnaire peut être réalisée après la mise en suspens de l'anti-agrégation par Efient. L'histopathologie infirme le diagnostic de lymphome mais est en faveur d'une réaction virale. Les sérologies virales (EBV, CMV et toxoplasmose) effectuées reviennent négatives. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, disparition de la fièvre et diminution du syndrome inflammatoire, nous retenons l'hypothèse d'une infection virale à germes indéterminés avec une évolution spontanément favorable. Nous recommandons au patient de reconsulter en cas de récidive des symptômes. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 27.02.2019. • Patient de 50 ans qui nous est adressé pour une coronarographie élective dans le cadre d'une insuffisance cardiaque avec dysfonction systolique du ventricule gauche sévère. La coronarographie du 8.02.2019 confirme la dysfonction VG systolique sévère avec remodeling ventriculaire. En plus de l'hypertension artérielle, nous trouvons une atteinte coronarienne formellement tritronculaire avec atteinte diffuse des petites branches et une sténose focale de l'IVA juste après le départ d'une grosse diagonale, traitée par stent actif. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 25%. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois chez Dr. X avec Holter-ECG. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Nous instaurons également un traitement diurétique par Aldactone et Torasémide. Nous vous laissons le soin de contrôler la fonction rénale en ambulatoire dans une semaine avec suivi du poids et adaptation du traitement diurétique. Un ICD est également à discuter. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 9.02.2019. • Patient de 51 ans, connu pour une épilepsie sous traitement, qui se présente au service des urgences pour une baisse d'état général dans le cadre d'une varicelle avec premiers symptômes cutanés le 29.01.2019, frissons, puis fièvre après notion de contage il y a 2 semaines avec un enfant de sa famille. Il consulte dans le cadre d'une péjoration sur le plan respiratoire avec dyspnée, toux et crachats non sanguinolants. Selon l'anamnèse, il s'agirait d'une primoinfection.Un traitement par Zovirax IV est instauré au vu de la sévérité de la symptomatique pour une durée totale de 7 jours, avec relais per os au vu de la bonne évolution clinique respiratoire. Le patient mentionne une nette diminution du prurit et l'état cutané progresse de façon satisfaisante. Sur le plan respiratoire, le patient s'améliore cliniquement de jour en jour, la dyspnée se voit améliorée par une oxygénothérapie, sevrée progressivement. Nous n'avons aucune autre piste pour une surinfection cutanée ou autre. Un contrôle du syndrome inflammatoire est à la baisse. Le patient souhaite arrêter de fumer et nous le soutenons dans sa démarche par patch nicotinique avec bon effet. Le suivi sera à effectuer par le médecin traitant. Mr. Y peut rentrer le 07.02.2019 à domicile et ira consulter son médecin traitant pour un contrôle clinico-biologique. Patient de 51 ans, en bonne santé habituelle, vient en consultation ambulatoire à l'HFR-Meyriez dans le but d'effectuer une colonoscopie auprès du Dr. X. Celle-ci est organisée en raison de douleurs abdominales depuis 4 jours à caractère de crampe, sans lien avec le transit intestinal ni la prise d'alimentation, avec plusieurs épisodes de vomissements durant la nuit, raison pour laquelle le Dr. X adresse le patient pour réaliser une colonoscopie. Depuis le vendredi 15.02., le patient a de la difficulté à s'alimenter, et la solution de Moviprep pour la colonoscopie péjore les nausées. Au niveau du contexte, depuis plusieurs semaines, le patient a des douleurs abdominales temporaires de type oppressive, pendant 1h environ, avec régression spontanée, sans modification de la qualité de vie et le patient peut malgré tout aller travailler. Des selles également plus fluides sont remarquées par le patient, sans présence de sang visualisé. Durant la colonoscopie du 19.02.2019, le Dr. X ne parvient pas à monter plus haut que le rectum, raison pour laquelle un CT-abdomino-pelvien est réalisé. Celui-ci révèle une masse d'allure tumorale sigmoïdienne sténosante, voire obstructive, ainsi que la présence de ganglions pelviens suspects, raison de son hospitalisation le 19.02.2019 dans notre service de médecine interne. Le 20.02.2019, le patient présente une augmentation des douleurs abdominales, ainsi que des nausées avec impossibilité de boire sans vomir, et décrit ne plus avoir de selles ni de gaz depuis le lundi 18.02.2019. Au niveau du status, des bruits métalliques font suggérer la présence d'un iléus, qui était débutant au scanner le jour précédent. Une hydratation IV est débutée, ainsi qu'un traitement anti-émétique et antalgique est mis en place. Dans ce contexte, un avis chirurgical est demandé à l'HFR-Fribourg le 20.02.2019, recommandant le transfert du patient après pose d'une sonde naso-gastrique. Au vu des multiples essais de pose de sonde sans réussite, le patient est transféré sans sonde et l'équipe chirurgicale est prévenue de cette complication. Mr. Y est donc transféré le 20.02.2019 à l'HFR-Fribourg pour suite de prise en charge chirurgicale. Faire une attestation d'hospitalisation/certificat médical depuis le lundi 18.02.2019. Dire la recommandation de CT-thoracique. Patient de 51 ans nous est adressé pour une coronarographie élective en raison d'un angor CCS II. La coronarographie du 8.02.2019 montre un excellent résultat après les angioplasties RCX/MA et ACD de 2017. Il persiste une sténose de la branche diagonale que nous avons traitée par stent actif avec un bon résultat immédiat. En cas de persistance de la symptomatologie, nous vous proposons d'introduire un anticalcique. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 9.02.2019. Patient de 53 ans, BSH sans traitement, qui consulte les urgences en raison d'un syndrome grippal avec toux productive avec crachats jaunâtres, pharyngodynie, diarrhées, nausées et 1 vomissement alimentaire. Tous ces symptômes évoluent depuis environ 3 jours. Il rapporte un état subfébrile à 38°C à la maison hier soir. La toux lui cause, de plus, des douleurs thoraciques diffuses, type piqûre-crampe mais avec composante d'oppression thoracique diffuse, non irradiées, non effort-dépendantes, présentes lors des accès de toux et respiratoires-dépendantes. Asymptomatique autrement. Patient avec anamnèse familiale de SCA positive, surpoids et sédentarité comme facteurs de risque CV. Au status : • GEN : afébrile, état conservé, acyanotique anictérique TRC <3s • CV : B1B2 bf sans bruits surajoutés, pas de signes de surcharge, ppp, mollets souples indolores • PNEUMO : MVS sans bruits surajoutés. Palpation thoracique indolore. • ABDO : bruits augmentés en fréquence, normaux en tonalité. Abdomen souple, dépressible, indolore sans défense ni détente. • NEURO : normal • ORL : pas d'angine, pas d'otite. Sinus indolores à la palpation. A l'ECG, nous retrouvons une sure élévation du ST de 1 mm en inférieur, avec image en miroir en aVL. La Rx thoracique est normale. Les TNI h0 reviennent à 246 et le contrôle à 1h à 250. Nous prenons avis cardio (Dr. X), qui nous conseille de charger le patient en ASA, Plavix, Héparine. Au vu de la cinétique stable, pas de coronarographie en urgence. Le patient reste au lits monitorés (pas de place aux soins intensifs). Après discussion avec le Dr. X, le patient est transféré pour une coronarographie à Fribourg. Patient de 53 ans, connu pour lymphome B stade 3 sous chimiothérapie type R-CHOP (dernier cycle terminé le 05.02.2019, avec un cycle prévu toutes les 3 semaines). Mr. Y consulte aux urgences en raison d'un ballonnement abdominal et douleurs abdominales. Le patient rapporte une tendance à la constipation depuis la veille, avec deux épisodes de selles dures, raison pour laquelle il prend du Movicol mais les douleurs crampiformes se péjorent. Pas de nausées, ni de vomissements, de fièvre ou autre symptôme. Au status d'entrée, patient très algique, abdomen ballonné, bruits non audibles sur tous les quadrants, tympanisme diffus à la percussion, sauf matité en fosse iliaque droite. Palpation douloureuse de tous les quadrants, avec défense, sans détente. Signes de Murphy et de Blumberg négatifs. Loges rénales souples et indolores. Au toucher rectal, il n'y a pas de selles, ni de sang au doigtier, pas de douleurs. Le bilan biologique montre un léger syndrome inflammatoire, une augmentation des LDS et gamma GT. Le reste de la formule est aligné. La gazométrie montre une discrète alcalose respiratoire aiguë, avec légère hypoxémie, des lactates normaux. Un CT abdominal est effectué, parlant en faveur d'un iléus paralytique diffus, sans signe de souffrance. Mr. Y est mis à jeun, sous antalgie simple et hospitalisé dans le service de chirurgie. L'évolution clinique et biologique est favorable en cours de séjour, avec reprise du transit le 14.02.2019 après un lavement par Practomil. La reprise d'une alimentation légère est bien tolérée dès le 14.02.2019. Dès lors et à sa demande, nous autorisons le patient à regagner son domicile le 15.02.2019. Il reconsultera en cas de réapparition de symptomatologie ou d'état fébrile. Patient de 54 ans, connu pour une cirrhose CHILD C (11 points) d'origine alcoolique, hospitalisé en raison d'une hépatite aiguë d'origine alcoolique ainsi qu'une décompensation ascitique.Pour rappel, le patient présente une augmentation de sa consommation d'alcool en lien avec une péjoration thymique, associée à une augmentation de son périmètre abdominal. L'évaluation clinico-biologique met en évidence une décompensation ascitique, ainsi qu'une hépatite aiguë dans un contexte de cirrhose hépatique CHILD C. L'ultrason abdominal ne révèle pas de thrombose de la veine porte. Au vu d'un score de Maddrey élevé, une corticothérapie est introduite. Le sevrage d'alcool est effectué avec une couverture par benzodiazépine et une substitution vitaminique. Rapidement, le patient développe un état confusionnel en lien avec une possible encéphalopathie hépatique. Mr. Y fugue de l'hôpital le 24.02.2019. En raison de l'état confusionnel et du risque de mise en danger, un PAFA est effectué à ce moment-là. La police ramène alors le patient aux urgences le 29.01.2019, où un nouveau PAFA est établi par nos collègues psychiatres, dans le but de poursuivre l'hospitalisation en milieu somatique au minimum jusqu'à amélioration clinique de la confusion. Concernant l'encéphalopathie hépatique, un traitement laxatif par Duphalac est débuté, avec une évolution clinique favorable. Sur le plan hépatique, le bilan biologique est peu contributif quant à l'étiologie de l'hépatite aiguë et de la cirrhose. Selon l'avis gastroentérologique, une biopsie hépatique transjugulaire est effectuée, qui confirme une cirrhose hépatique compatible avec une origine éthylique. Concernant la décompensation ascitique, nous effectuons une ponction diagnostique, qui permet d'exclure une péritonite bactérienne spontanée. Ainsi, et selon l'avis infectiologique, nous débutons une antibioprophylaxie par Ciprofloxacine, poursuivie jusqu'à la sortie du patient. L'évolution clinique et biologique est marquée par une péjoration de la fonction hépato-cellulaire et de la fonction rénale. Un nouvel ultrason abdominal permet d'exclure une thrombose porte. Nous suspectons alors un syndrome hépato-rénal et débutons l'administration d'albumine. L'évolution biologique est par la suite lentement favorable. Trois ponctions d'ascite évacuatrices sont effectuées durant le séjour. L'introduction du traitement diurétique par Aldactone et Torasémide permet de ralentir la production d'ascite. Un suivi régulier de la fonction hépato-cellulaire et de la fonction rénale à votre consultation est préconisé, ainsi qu'un suivi hépatologique aux 6 mois. De nouvelles ponctions d'ascite évacuatrices seront probablement nécessaires par la suite. En raison d'une hypoglycémie lors de son admission aux urgences (avant la fugue) pour laquelle le patient a reçu du glucose par voie intraveineuse, nous effectuons un suivi des glycémies durant le séjour, qui s'avère stable. Durant le séjour, le patient présente une diminution progressive de l'hémoglobine, sans extériorisation franche mise en évidence. Nous suspectons une hémorragie digestive haute à bas bruit, possiblement sur gastrite d'origine alcoolique, et débutons un traitement d'IPP par voie intraveineuse, relayé ensuite par voie orale. Selon l'avis gastro-entérologique, une gastroscopie sera réalisée en ambulatoire, le 04.03.2019. Dans ce contexte, le patient reçoit deux concentrés érythrocytaires durant le séjour. Sur le plan psychique, et vu le syndrome de dépendance à l'alcool, le patient bénéficie d'un suivi psychiatrique. Une évaluation par le responsable de la Fondation Le Torry est également effectuée, dans le but de consolider l'abstinence par une post-cure. Le PAFA peut être levé le 22.02.2019, et Mr. Y quitte l'hôpital le 25.02.2019 avec un projet de post-cure à la Fondation Le Torry le jour même. Patient de 54 ans, présentant une chondropathie fémoro-patellaire pour laquelle il est actuellement peu symptomatique et pour laquelle nous proposons de surseoir à toute prise en charge chirurgicale. Nous lui recommandons de garder une mobilité de son genou et de pratiquer ses activités sportives selon tolérance. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Patient de 55 ans admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique dans le cadre d'une pancréatite aiguë s'étant manifestée par une douleur épigastrique exquise d'apparition brutale irradiant en ceinture dans le dos. La pancréatite est attribuable à une hypertriglycéridémie sévère, sans autre facteur identifié (absence de dilatation des voies biliaires). Sous contrôle métabolique par protocole d'Insuline-Glucose, et traitement hypolipémiant, on assiste à une diminution rapide des valeurs de triglycérides. Les fibrates et la statine sont à poursuivre. Nous attribuons les perturbations lipidiques à une probable étiologie génétique familiale associée à un diabète non traité. Un bilan approfondi n'est pas indiqué dans un premier temps, la TSH est dans la norme. La pancréatite est sévère, avec présence de multiples collections aiguës nécrotiques péri-pancréatiques, sans zone de nécrose intra-parenchymateuse. On note un syndrome inflammatoire majeur (CRP>200, plusieurs pics fébriles), motivant un traitement antibiotique par Imipenem. Plusieurs hémocultures sont pour l'instant négatives. Comme souffrance organique secondaire, on note une tachycardie et un iléus. L'évolution clinique est favorable avec une reprise de transit et de l'alimentation progressive. L'antalgie est assurée avec des opiacés. Un diabète de type II inaugural est diagnostiqué avec une hémoglobine glyquée à 9.6%. Les glycémies sont corrigées par insuline. Un traitement de fond par metformine est à introduire à distance de la pancréatite. Nous laissons le soin au médecin traitant d'organiser un suivi annuel chez l'ophtalmologue avec contrôles podologiques réguliers ainsi qu'un dépistage de néphropathie diabétique. Une fibrillation auriculaire à conduction rapide survient à plusieurs reprises au cours du séjour. Une cardioversion médicamenteuse par cordarone est effectuée à deux reprises. Compte tenu de l'aspect récidivant, nous administrons une dose de charge de cordarone et introduisons un bêta-bloquant, le patient étant également tachycarde lors de son rythme sinusal. Une anticoagulation thérapeutique est également introduite. La fibrillation est triggée par la pancréatite et la réponse inflammatoire. Une cardiopathie sous-jacente est à chercher. Nous proposons une évaluation par les cardiologues avec une échocardiographie et un holter en cours d'hospitalisation. Patient de 55 ans admis pour une coronarographie en urgences dans le cadre d'un NSTEMI sur lésion critique de l'artère circonflexe moyenne. Le patient a consulté aux urgences suite à la récidive d'une douleur rétrosternale le 5.02.2019 d'une durée de 10 minutes spontanément résolutive. À noter que le patient a présenté un épisode similaire le 4.02.2019 lors de son arthroscopie du genou droit. Aux urgences, le patient présente plusieurs récidives de douleur avec une cinétique des troponines sans modifications ECG. La coronarographie du 6.02.2019 montre une maladie coronarienne de 2-3 vaisseaux, avec comme lésion coupable une sténose focale subtotale de l'artère circonflexe (vaisseau dominant), traitée par stent actif avec un bon résultat final. Une nouvelle coronarographie est agendée dans 1 mois pour traiter la sténose restante sur l'IVP. Un traitement par Aspirine 100 mg à vie et Plavix 75 mg pour 6 mois est introduit. Nous majorons le traitement hypolipidémiant du patient avec de l'Atorvastatine 40 mg. Un traitement d'IEC est également introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 7.02.2018.• Patient de 55 ans hospitalisé pour investigation dans le cadre d'une vasculite. • Une biopsie cutanée des lésions ne met plus en évidence de vasculite active, mais montre des signes de vasculite leucocytoclasique avec quelques dépôts mésangiaux d'IgA, ce qui laisse suspecter une vasculite à IgA de type Henoch Schönlein dont le pic d'activité semble actuellement passé versus une cause médicamenteuse. • Un bilan d'atteinte organique est réalisé qui montre une protéinurie avec micro-hématurie ; dans le contexte d'une vasculite à IgA et d'une conservation de la fonction rénale, il n'y a pas d'indication à une thérapie spécifique. • Nous effectuerons un suivi de la fonction rénale ainsi que de l'hématurie à notre consultation de rhumatologie ambulatoire. • Concernant l'hématurie microscopique, la cause extra-rénale n'étant pas exclue et un CT du 4.02 ayant montré une hyperplasie prostatique avec une vessie de lutte, nous référons le patient chez le Dr. X qui nous lit en copie afin de réaliser une cystoscopie et un suivi urologique. • Concernant l'épanchement pleural cloisonné mis en évidence au scanner d'octobre 2019, nous remarquons qu'il persiste. Ceci nous pousse à réaliser une ponction pleurale qui est peu contributive. Les signes scanographiques parlent pour une étiologie chronique. Nous réalisons des fonctions pulmonaires qui se révèlent dans la limite de la norme et le scanner de contrôle montre une régression de l'épanchement. Dans ce contexte, nos collègues pneumologues ne proposent pas de suivi particulier, sauf en cas d'apparition de nouveaux symptômes. • Concernant la polyarthrite chronique, les traitements essayés jusqu'à présent ne s'étant montrés que partiellement efficaces, nous évaluerons prochainement un remplacement du Remicade par du Xeljanz en ambulatoire. • Patient de 56 ans adressé pour une coronarographie élective par le Dr. X suite à une angio-CT coronarien montrant des lésions sur l'IVA. • La coronarographie du 12.02.2019 confirme les résultats de l'angio-CT en montrant des lésions non significatives du tronc commun distal avec 2 sténoses de l'IVA. Nous procédons à l'angioplastie avec 3 stents actifs de l'IVA proximale puis un T-stenting de l'IVA moyenne et 2ème diagonale avec un bon résultat final. • Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Une IRM cardiaque de contrôle est prévue le 4.07.2019 afin d'exclure une ischémie au niveau de la sténose du tronc commun. • Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. • Le patient rentre à domicile le 13.02.2019. • Patient de 56 ans qui se présente ce jour en raison de douleurs abdominales persistantes depuis 4 jours accompagnées de vomissements alimentaires, sans signe d'occlusion au CT-scan réalisé au CHUV le 12.02.19 et sans syndrome inflammatoire biologique. • Au vu de l'imagerie, nous suspectons une sténose pylorique sur probable consommation d'AINS dans un contexte post-opératoire d'un hallux valgus le 25.01.19. • Au vu des résultats rassurants de la clinique et du laboratoire sanguin, nous décidons de laisser le patient rentrer à domicile avec une prescription de Normolytoral. Nous recommandons au patient de consulter son médecin traitant en cas de persistance de la symptomatologie et laissons dans ce cas le soin à ce dernier de prévoir un examen par transit. • Patient de 59 ans admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale sévère avec carbonarcose sur décompensation de BPCO secondaire à une grippe Influenza et instabilité hémodynamique initiale. • Le patient est connu pour un tabagisme actif et une BPCO stade IV oxygéno-dépendant et sous VNI nocturne avec plusieurs antécédents de décompensation. Depuis 3 jours, le patient présente une dyspnée progressive accompagnée d'un état fébrile pour laquelle il s'automédique par du Tavanic, avec mauvaise évolution. • Le patient est intubé d'emblée et traité par Oseltamivir et Cefepime avec transitoirement une couverture par Klacid en suspicion d'une possible surinfection bactérienne. Des corticoïdes sont également introduits. Un CT thoraco-abdominal exclut une autre piste infectieuse. • La situation clinique se stabilise avec toutefois une dépendance à la ventilation mécanique avec des tentatives de levée de sédation vouées à l'échec. Secondairement, l'analgo-sédation est diminuée avec possibilité de passage en ventilation spontanée, mais avec un niveau d'aide inspiratoire élevé. Suite à la situation globale du patient et le devenir médiocre à moyen terme, un colloque familial est organisé et il est convenu que le patient n'aurait pas souhaité d'escalade thérapeutique et qu'il était peu compliant aux soins (tel que confirmé par le médecin traitant). Dans ce contexte difficile et en absence de projet ultérieur, nous entamons des soins de confort exclusifs. • Patient de 59 ans en bonne santé habituelle qui se présente ce jour en raison de douleurs thoraciques d'apparition subite au repos, à type de brûlures rétrosternales avec irradiation sur les trajets costaux droit et gauche, sans antécédent cardiovasculaire ni pulmonaire particulier et sans notion de reflux gastro-œsophagien ni vomissements. • Au vu de la clinique, des examens de laboratoire et de l'imagerie qui sont tout à fait rassurants, nous décidons de laisser le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple à la demande et lui suggérons de se présenter à la consultation de son médecin traitant en cas de réapparition des symptômes. • En raison de cet état anxieux, nous lui prescrivons également du Temesta en réserve à prendre au coucher. • Patient de 59 ans, qui consulte aux urgences le 14.02.19 en raison de 2 épisodes d'hématomèse, accompagnés de méléna depuis la veille. Aux urgences, le patient est hypotendu normocarde. Il bénéficie de la transfusion de 2 CE et d'une OGD mettant en évidence des varices œsophagiennes, qui sont ligaturées (7) et un ulcère fibrineux duodénal. Le patient bénéficie d'un traitement de sandostatine pendant 5 jours et de pantozol IV puis per os. Un traitement d'indéral est introduit dès le 18.02.19 avec une cible de fréquence cardiaque de 55-65 bpm. • Après une mise à jeun initiale, le patient est réalimenté avec bonne tolérance et sans récidive d'extériorisation. • L'hémoglobine demeure stable lors du séjour sans transfusions supplémentaires. • Par ailleurs, il bénéficie d'une antibioprophylaxie de la péritonite bactérienne spontanée par ceftriaxone du 15 au 21.02.19. • Les investigations sont complétées par une échographie abdominale qui montre un foie d'allure cirrhotique et confirme la présence d'une hypertension portale avec de l'ascite en faible quantité et une splénomégalie. • Nous poursuivons les investigations étiologiques qui permettent d'exclure une hépatite virale, une hémochromatose, un déficit en alpha-1-antitrypsine et une maladie de Wilson. Les anticorps anti-nucléaires, anti-muscles lisses et anti-mitochondries reviennent également négatifs. Nous ne retenons pas d'origine éthylique, le patient ne consommant pas d'alcool, confirmé par ses proches. Devant une alpha-foeto-protéine discrètement augmentée, nous demandons une IRM hépatique dont la lecture, effectuée après le départ du patient, confirme l'allure cirrhotique du foie et met en évidence plusieurs lésions hépatiques suspectes de représenter des hépato-carcinomes multifocaux.Sur le plan métabolique, nous adaptons son traitement anti-diabétique oral au vu de l'insuffisance hépatocellulaire sous-jacente et débutons une insulinothérapie par Ryzodeg. Le patient bénéficie de l'enseignement des infirmières spécialisées lors de son séjour. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 21.02.19. Après la lecture de l'IRM hépatique, nous recontactons le patient. Nousprofitons de l'OGD de suivi agendée au 26.02.19 pour organiser une hospitalisation élective le jour même, qu'il accepte. Le but du 2ème séjour serait de procéder à une double biopsie hépatique (parenchyme hépatique et lésion suspecte) si la situation biologique et clinique (ascite) le permet. En raison de la présence actuelle d'ascite à l'imagerie, entravant le geste, nous expliquons au patient de prendre une bithérapie diurétique jusqu'au 26.02.19 dans le but de diminuer celle-ci. Une échographie abdominale sera réalisée après la gastroscopie pour évaluer la quantité d'ascite, et la modalité de la biopsie sera alors décidée avec le Dr. X et le patient. Patient de 60 ans, connu pour un liposarcome multimétastatique et une infection HIV, suivi par Voltigo, hospitalisé en raison d'une asthénie importante dans le contexte oncologique. Le patient rapporte une fatigue majeure, ne lui permettant pas de rester à la maison. En raison d'une absence de place à la Villa Saint-François, le patient est hospitalisé à l'HFR Fribourg pour une prise en charge palliative. A l'admission, le patient rapporte des douleurs basithoraciques et abdominales diffuses, en lien avec les métastases selon ses dires. Les douleurs sont bien soulagées par l'introduction d'une antalgie par hydromorphone. L'évolution se complique par des nausées et vomissements, ainsi qu'un hoquet persistant, partiellement améliorés par un traitement symptomatique. Concernant le syndrome inflammatoire déjà investigué, probablement d'origine tumorale, nous n'effectuons pas d'investigations complémentaires, en accord avec l'attitude déjà discutée avec Dr. X et Dr. X, oncologue et palliatologue traitants. Sur le plan psychique, le patient est connu pour un syndrome dépressif, pour lequel nous poursuivons le traitement par Prednisone en cours. Monsieur Y est transféré à la Villa Saint-François le 21.02.2019 pour la suite de prise en charge palliative. Patient de 61 ans admis pour une coronarographie élective en raison d'une échocardiographie de stress positive dans le territoire inférieur. La coronarographie du 13.02.2018 montre une maladie coronarienne de 2 vaisseaux, avec une sténose nouvelle de 50-70% de l'artère coronaire droite moyenne (vaisseau de gros calibre, dominant), traitée par stenting direct avec un bon résultat final, et toujours la même sténose de 50-70% de l'artère circonflexe moyenne, sans changement par rapport à la coronarographie de 2015, qui est un vaisseau de relativement petit calibre et qui n'a pas été traité. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois chez Dr. X. Une ergométrie est à prévoir dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 14.02.2019. Patient de 61 ans connu pour un diabète de type II depuis 10 ans, hospitalisé suite à une hyperglycémie de découverte fortuite dans un contexte de mauvaise compliance médicamenteuse. Il consulte la Permanence pour un syndrome grippal où est mise en évidence une glycémie à 25mmol/l ainsi qu'un HbA1 à 10.1%. Il ne présente pas de polydipsie ni polyurie, pas de céphalée, pas de vertige, pas de trouble visuel. L'examen clinique est normal hormis une pallesthésie à 2/8 à l'orteil droit, 4/8 à l'orteil gauche et aux chevilles et 6/8 aux genoux. En reprenant l'anamnèse, le patient admet ne plus prendre ses traitements depuis 3 ans et ne plus contrôler le taux de sucre. Il n'a pas de médecin de famille et ne s'est pas présenté aux contrôles chez le Dr. X. Il ne comprend pas bien l'enjeu de sa maladie. Il ne suit pas de diète spécifique et n'a pas de médecin de famille. Suite à une discussion avec le Dr. X, nous réintroduisons son traitement précédent de Metformine et Diamicron que nous complétons avec Lantus et schéma correctif. Nous enseignons puis surveillons les contrôles glycémiques ainsi que les injections de Lantus. Nous expliquons les enjeux de la maladie, les contrôles nécessaires, notamment au niveau podologique, et organisons un suivi au centre médical de Courgevaux ainsi qu'un contrôle ophtalmologique et un suivi infirmier spécialisé en diabétologie à l'hôpital de Meyriez. Le patient rapporte également depuis quelques mois des épisodes de douleurs thoraciques typiques à l'effort associés à de la dyspnée. Un ECG permet d'écarter un syndrome coronarien aigu et nous organisons une ergométrie d'effort chez le Dr. X. Le patient peut rentrer à domicile le 11.02.19. Patient de 61 ans présentant une gonarthrose bilatérale à prédominance fémoro-tibiale interne et fémoro-patellaire, actuellement symptomatique du côté D. Au vu de la récente chirurgie cardiaque, de l'âge du patient et des résultats des examens cliniques et radiologiques, nous proposons au patient de surseoir à toute prise en charge chirurgicale. Nous lui proposons de débuter un traitement en physiothérapie axé sur le maintien des amplitudes articulaires, étirements des chaînes postérieures, renforcement musculaire, proprioception et gainage. Nous lui recommandons également de maintenir une mobilité au niveau de ses genoux et de favoriser des sports tels que le nordic walking. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique dans 1 an. Il reviendra avant au besoin. Patient de 62 ans, connu pour ATCD STEMI antérieur aigu-subaigu avec désoblitération de l'IVA proximale le 30.12.2018 et PCI de l'ACD proximale et moyenne le 31.12.2018, vient pour une re-coronarographie avec complément de la revascularisation. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat à court terme après désoblitération de l'IVA proximale le 30.12.2018 et stenting de l'ACD proximale et moyenne. La fonction systolique ventriculaire G est modérément diminuée avec une FEVG à 40%. Comme prévu, nous avons procédé à une angioplastie de la 2ème marginale avec implantation de 1 stent actif et bon résultat final. Le traitement par double antiagrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est poursuivi, ainsi que l'anticoagulation par Xarelto 20 mg/j pour 2 mois. Nous arrêtons le traitement par Amlodipine et majorons le traitement d'insuffisance cardiaque par l'introduction de l'Aldactone 25 mg/j et Torasemide 10 mg/j. Le reste du traitement reste inchangé. Le patient aura un contrôle dans 1 mois chez Dr. X pour discuter la poursuite de l'anticoagulation. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 02.02.2019 à domicile. Patient de 62 ans, connu pour une dépendance à l'alcool, présentant des troubles de la marche sous-jacents qui chute à domicile (4ème chute en 5 mois) le 21.02.2019 dans un contexte d'alcoolisation et suite à un déséquilibre. A noter que le patient est également au bénéfice d'une anticoagulation au long cours en raison de valves cardiaques mécaniques, l'exposant à un risque de saignement accru à chaque chute.Le patient a présenté un traumatisme crânien avec 2 plaies en regard de l'arcade sourcilière droite et du front qui ont été suturées aux urgences. Le CT cérébral met en évidence un hématome sous-cutané, sans lésion intracrânienne. Après une surveillance neurologique initiale aux urgences puis à l'étage de médecine qui se déroule sans particularités (à noter également l'absence de syndrome de sevrage), le patient est transféré le 26.02.2019 à Marsens pour sevrage volontaire. • Patient de 63 ans admis pour une coronarographie élective en raison d'un test d'effort positif en ambulatoire. La coronarographie du 7.02.2019 montre une maladie coronarienne tritronculaire avec l'absence de resténose au site d'implantation du stent actif sur l'IVA. À noter 2 lésions significatives de l'a. coronaire droite moyenne et distale traitées par stents actifs avec un bon résultat. La fraction d'éjection du ventricule gauche est normale (79%). Un traitement de double antiagrégat par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement est inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 8.02.2019. • Patient de 63 ans admis pour une coronarographie élective en raison d'une capacité à l'effort diminuée par rapport à 2013 lors du test d'effort en ambulatoire effectué dans le cadre d'un dépistage. La coronarographie du 20.02.2019 montre une maladie coronarienne bitronculaire avec des sténoses significatives de l'IVA proximale et moyenne traitées par 2 stents actifs avec un bon résultat immédiat. À noter 2 sténoses restantes de l'artère coronaire droite moyenne que nous proposons de traiter dans 1 mois. Un traitement de double antiagrégat par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 21.02.2019. • Patient de 63 ans hospitalisé pour une coronarographie en urgence suite à un test d'effort positif ce jour. Le patient décrit un angor stable depuis plusieurs mois ayant motivé un test d'effort ce jour. Celui-ci montre des sus-décalages en aVR et des sous-décalages horizontaux en antérieur laissant suspecter une atteinte tritronculaire. La coronarographie du 7.02.2019 confirme l'hypothèse clinique en démontrant une atteinte coronarienne tritronculaire, diffuse avec subocclusion de l'IVA ostiale, atteinte critique de sa partie distale et de la RCx distale. Il y a de plus une atteinte significative de la bifurcation distale de l'ACD et de petites branches (DA/IA/IVP). La fonction VG systolique est modérément diminuée. Nous avons procédé à une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale, moyenne et distale (3 stents actifs), puis de la RCx distale (1 stent actif) avec un bon résultat immédiat. Un traitement de double antiagrégat par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Une nouvelle coronarographie est agendée dans 1 mois pour traiter la bifurcation de l'ACD. Un contrôle est à prévoir dans une semaine auprès du médecin traitant pour ajustement du traitement et contrôle des facteurs de risque CV. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 8.02.2019. • Patient de 64 ans, agriculteur, qui présente une insuffisance LCA et du ligament collatéral interne de grade III. Malgré le traitement conservateur, il est symptomatique dans les activités de la vie quotidienne. Nous proposons une prise en charge chirurgicale sous forme d'une reconstruction du plan interne selon Laprade. L'intervention pourrait se dérouler dans le courant de l'automne 2019. Le patient souhaite encore réfléchir et trouver une date opératoire qui lui convient le mieux. Nous réaliserons des RX des longs axes des MI. • Patient de 64 ans connu pour de l'hypertension qui a un traumatisme crânien simple ce jour en voiture. L'anamnèse et l'examen clinique sont très rassurants. Le patient consulte uniquement sur demande de la police. Nous prenons l'avis du Dr. X, chirurgien, qui autorise le retour à domicile du patient. • Patient de 64 ans nous est adressé par le Dr. X pour une coronarographie élective en raison de douleurs thoraciques permanentes depuis 3 semaines avec des altérations diffuses de la repolarisation dans le territoire inférieur et V3-V6 à l'ECG. La coronarographie du 14.02.2019 montre une plaque ulcérée de l'ostium de l'IVA avec pénétration depuis le tronc commun distal (MEDINA 1-1-0) contrôlée par imagerie endocoronarienne OCT. Nous avons procédé à une angioplastie de la bifurcation distale du tronc commun avec un stent actif avec un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégat par Aspirine à vie et Efient pour 12 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 15.02.2019. • Patient de 64 ans présentant une gonarthrose à prédominance fémoro-tibiale interne pour laquelle une prise en charge chirurgicale sous forme d'une prothèse unicompartimentale fémoro-tibiale interne est prévue le 30.04.2019. Au vu de la symptomatologie de la patiente qui répond de plus en plus difficilement au traitement conservateur, elle est favorable à l'intervention. Nous la reverrons donc début avril pour la signature du consentement et la prise du rendez-vous chez l'anesthésiste. • Patient de 64 ans présentant une gonarthrose tri-compartimentale à D invalidante et ne répondant plus au traitement conservateur pour lequel nous retenons une indication à une arthroplastie du genou D par prothèse PS BalanSys. Nous procéderons à l'ablation des vis tibiales et fémorales lors de l'intervention. Intervention agendée au 13.03.2019. Il entrera dans le protocole ERAOS. Le patient est informé de cette opération, risques et bénéfices. Il donne son accord en signant un formulaire de consentement. • Patient de 65 ans, transféré de Billens pour investigation d'une masse hépatique. Pour rappel, le patient a été hospitalisé en décembre à Riaz pour des troubles de la marche avec chute et une pneumonie puis a suivi une réadaptation musculo-squelettique à Billens. Dans un contexte de nausée et vomissements, un ultrason est réalisé qui montre une volumineuse masse hépatique. Il est transféré à l'HFR Fribourg pour suite d'investigation. À l'entrée le patient se plaint d'une fatigue généralisée et de sudations nocturnes, sans plaintes abdominales. Le status montre un ventre ballonné, souple et indolore. Un scanner montre une masse hépatique volumineuse avec des adénopathies cardio-phréniques. Le patient étant double anti-agrégé, nous stoppons le Plavix pour une biopsie hépatique guidée par CT le 11.01.2019. La pathologie révèle un carcinome hépatocellulaire de stade III. Nous complétons le bilan par une IRM cérébrale qui ne montre pas de métastases. Le patient est présenté au tumorboard : une opération n'est pas envisageable. Un traitement par embolisation est proposé. Après discussion avec le patient, sa femme et sa fille, l'embolisation est acceptée. Le patient montre des troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle présents depuis son hospitalisation à Riaz. Un bilan angiologique datant de mai 2018 ne propose pas d'intervention si les lésions cutanées au membre inférieur droit évoluent bien. Au vu de la bonne évolution cutanée, nous ne répétons pas de bilan angiologique. La polyneuropathie périphérique est suivie par l'équipe de diabétologie ambulatoire. Nous mettons ces troubles de la marche sur le compte du déconditionnement global dans le contexte oncologique, de la polyneuropathie, de l'insuffisance artérielle et des antécédents chirurgicaux des membres inférieurs. De la physiothérapie est réalisée. Le patient montre une diminution progressive du périmètre de marche se stabilisant à 70 m avec le Taurus.Au niveau neurologique, le patient est connu pour une épilepsie généralisée et un ralentissement psychique. Nous majorons les traitements anti-épileptiques selon le Dr. X. Nous constatons après cette adaptation une péjoration du ralentissement psychique. Un taux de Keppra revient supra-thérapeutique et nous excluons des troubles glycémiques ou électrolytiques. Le patient score 17 au test de MOCA. Après la baisse du traitement antiépileptique, nous observons une amélioration de l'état cognitif du patient. Nous proposons de répéter un MOCA à distance. Au niveau rénal, une insuffisance rénale aiguë sur chronique de type pré-rénal est corrigée en adaptant le traitement diurétique et par l'hydratation. Au niveau dermatologique, le patient présente des escarres au niveau des pieds qui sont traitées par les stomatothérapeutes avec une amélioration clinique. Nous proposons un suivi clinique. Au niveau endocrinologique, nous adaptons le traitement d'insuline au vu de profils glycémiques hauts. Nous stoppons la metformine au vu de l'atteinte hépatique. Nous proposons de suivre la glycémie. Au niveau hématologique, le patient montre des troubles de la crase en lien avec sa volumineuse masse hépatique. Un contrôle biologique est proposé. Au vu d'une baisse de l'état général, un traitement de soutien est mis en place avec l'intervention d'un nutritionniste, d'infirmiers et de physiothérapeutes. Au niveau nutritionnel, des suppléments nutritionnels oraux sont mis en place. Mr. Y, 66 ans, connu pour une dystrophie musculaire, présente un état fébrile depuis jeudi, toux avec hémoptysie le vendredi, suivies par amélioration de la clinique sur le weekend. Il consulte le 19.02.19 les urgences de Fribourg en raison de la persistance d'hémoptysies. Il ne rapporte pas de tachypnée, dyspnée, toux, ni crachat. Pas de palpitations, pas de douleur rétro-sternale, OMI persistante et connue. Pas de diarrhée, ni vomissements, ni douleur abdominale. Il rapporte une mobilisation limitée par la dystrophie musculaire, pas de douleurs unilatérales aux mollets, pas de dyspnée, pas d'ATCD néoplasie/opération récente, pas de voyage long. Au status, le patient est subfébrile, HD stable. Au niveau cardiovasculaire, B1B2 réguliers, pas de souffle, OMI montant jusqu'à la cheville bilatérale. Palpation des mollets indolore, Homans négatif. Auscultation respiratoire avec murmure vésiculaire symétrique, sans bruits surajoutés. Abdomen souple et indolore. Un CT thoracique est demandé et montre une embolie pulmonaire centrale bilatérale et une nécrose pulmonaire basale droite. Le patient est mis sous héparine en IV continu et transféré pour surveillance aux lits monitorés. Après 24h de surveillance d'anticoagulation, le patient peut rentrer à domicile sur sa demande avec un prochain contrôle en angiologie pour discuter de la poursuite de l'anticoagulation que nous recommandons à long terme. Mr. Y, 66 ans, connu pour une sclérose latérale amyotrophique avec dénutrition sévère, est hospitalisé en raison d'une anorexie dans le cadre de sa pathologie neurologique. Une pose de PEG avait échoué lors de son hospitalisation à la Villa St-François, d'où il est sorti le 05.02.2019. La mise en place d'une PEJ était organisée pour le 22.02.2019, mais au vu de la problématique alimentaire, une nouvelle hospitalisation est organisée par Dr. X et Dr. X afin de débuter une alimentation entérale par sonde naso-gastrique. À l'admission, le patient rapporte une inappétence sans dysphagie, accompagnée de nausées. Durant le séjour, le patient bénéficie d'un suivi nutritionnel et diététique. L'alimentation entérale est débutée le 12.02.2019 par sonde naso-gastrique, avec une bonne tolérance. Afin de prévenir un éventuel syndrome de renutrition, la substitution vitaminique et électrolytique est poursuivie. La mise en place d'une PEJ est maintenue au 22.02.2019. Actuellement, l'aspirine prescrite en prévention primaire est en suspens en vue de l'intervention, et nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à la poursuivre. Dans le contexte des nausées, le traitement d'Hexaquine est mis en suspens et nous poursuivons le traitement de Primpéran en ajoutant des réserves d'Ondansétron, avec une bonne réponse. Sur le plan neurologique, Dr. X propose une reprise du traitement de Rilutek mis en suspens précédemment en raison des nausées. Le patient est transféré à la Villa Saint-François le 19.02.2019 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 66 ans, se présente aux urgences accompagné de sa femme. Il souhaite une prise en charge hospitalière de son problème d'addiction à l'alcool. Aux urgences, nous retrouvons un patient passablement agité et transpirant. Au statut, neurologique nous notons une légère ataxie du membre supérieur gauche avec un léger tremblement symétrique lors du test des bras tendus. Pour cette raison, nous prescrivons 30 mg de Seresta au patient. Nous contactons le RFSM de Marsens dans le but d'organiser une hospitalisation volontaire. Nous discutons avec Dr. X qui nous confirme une place dans l'unité Venus. Au niveau somatique, le patient ne présentant pas de symptôme, nous n'effectuons pas de prélèvements en laboratoire. Il ne semble pas alcoolisé et nous sentons un léger foetor alcoolique. Nous confirmons au patient qu'une place est disponible pour lui au RFSM de Marsens. Il est donc transféré en bon état général à Marsens en voiture privée, accompagné de sa femme et de sa fille. Mr. Y, 66 ans, suivi par Dr. X pour un carcinome urothélial de haut grade de la vessie, ayant progressé en janvier 2019 sous forme d'adénopathies médiastinales et rétropéritonéales, sous Keytruda (immunothérapie) depuis le 30.01.2019, est hospitalisé de manière élective par l'équipe d'oncologie pour des œdèmes des membres inférieurs en progression, remontant actuellement jusqu'au bas abdomen. Rappelons que le patient est déjà sous Xarelto depuis 2016 en raison d'antécédent de thrombose des deux membres inférieurs. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien est réalisé et met en évidence une progression tumorale au niveau abdominal avec une possible invasion de la veine cave. Un avis angiologique par Dr. X confirme une occlusion chronique de la veine cave inférieure sur remaniement fibrotique post-thrombotique avec développement de collatérales au niveau azygos. Il existe selon lui une double origine veineuse et un lymphœdème aux œdèmes de Mr. Y. Une recanalisation est théoriquement envisageable mais il s'agit d'une intervention complexe et sans garantie de succès. Celle-ci devrait avoir lieu dans un centre spécialisé à Zürich sous anesthésie générale, vu la longueur de la recanalisation et la proximité des vaisseaux importants notamment au niveau rénal. L'attitude proposée est initialement une surveillance, cette intervention pourrait être rediscutée selon l'évolution et l'avis du patient. Des collants de classe 2 sont prescrits. Une thérapie par drainage lymphatique apporterait peu de bénéfice selon Dr. X. L'anticoagulation par Xarelto devra être maintenue en raison du risque thrombotique restant élevé. Une antalgie par Dafalgan et Tramal est débutée. La suite du suivi sera réalisée en oncologie, avec une surveillance rapprochée de la fonction rénale. Une hydratation intraveineuse devrait être évitée chez ce patient.Le patient rentre à domicile le 07.02.2019. Le suivi aura lieu avec l'équipe d'oncologie et auprès de son médecin traitant. • Patient de 67 ans admis aux soins intensifs pour une décompensation BPCO. Connu pour une BPCO de stade IV avec oxygénothérapie à domicile ainsi qu'une suspicion de néoplasie pulmonaire, il présente une dyspnée aiguë isolée sans aggravation de sa toux grasse habituelle. Une insuffisance respiratoire globale avec acidose respiratoire est mise en évidence sans facteur déclenchant évident. Une piste infectieuse est peu probable au vu du bilan radiologique et biologique. Une surcharge pulmonaire est traitée par diurétiques. L'évolution respiratoire est rapidement favorable, permettant l'arrêt de la ventilation non invasive. Les récidives fréquentes de décompensation respiratoire sont le plus vraisemblablement la manifestation d'une maladie pulmonaire obstructive terminale avec néoplasie pulmonaire. Une réadaptation respiratoire pourrait être envisagée. À noter que le patient ne souhaite pas de mesures invasives, comme une réanimation ou une intubation. • Patient de 67 ans adressé par le Dr. X pour une suspicion de syndrome coronarien aigu. Le patient a consulté auprès de son médecin en raison de douleur en hypochondre droit à l'effort depuis environ une semaine. Pas de symptomatologie associée à la douleur, qui cède spontanément au repos. L'ECG chez le médecin traitant montre des sous-décalages ST en V1-V5 motivant son transfert aux urgences. Sur place, le patient ne présente pas de douleur. À noter des ondes T négatives nouvelles dans le territoire latéral avec disparition des sous-décalages. Les troponines sont à 22. La coronarographie du 11.02.2019 montre une maladie coronarienne tritronculaire diffuse avec comme corrélat au syndrome coronarien aigu une sub-occlusion de la première diagonale. De plus, l'IVA montre plusieurs lésions sévères et l'artère circonflexe une occlusion chronique. L'artère coronaire droite dominante démontre une artériosclérose diffuse mais pas de lésions significatives. La fraction d'éjection est presque normale (55%), avec une hypokinésie latérale. Nous avons procédé à une dilatation de l'artère diagonale et de l'IVA avec un bon résultat final. À noter un échec de recanalisation de l'artère circonflexe. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 12 mois est introduit. Nous avons également instauré un traitement de statines, bêta-bloquant et IEC. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois auprès du médecin traitant avec une ergométrie dans 6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 12.02.2019. • Patient de 67 ans hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique et neurologique après intubation dans le contexte de troubles de l'état de conscience possiblement dus à un syndrome de sevrage alcoolique et une hémorragie digestive haute. Mr. Y est sous traitement anti-inflammatoire avec une protection gastrique depuis environ 3 semaines pour des dorsalgies invalidantes atraumatiques. Le 03.02.2019, il consulte son médecin traitant en raison de douleurs thoraciques associées à une toux et une baisse de l'état général. Une antibiothérapie est débutée pour une suspicion d'infection pulmonaire après un CT thoracique qui révèle un épaississement œsophagien et des troubles ventilatoires des deux bases pulmonaires, sans foyer franc. De retour à domicile, le patient présente une syncope avec un épisode d'hématémèse sans récupération complète de l'état de conscience. Le patient est amené en ambulance aux urgences où il est intubé. Le bilan biologique met en évidence une leucocytose sans déviation gauche qui est spontanément résolutive et sans élévation significative de la CRP, ainsi qu'une hyponatrémie (108) hypo-osmolaire dans un contexte de sur-hydratation à l'hétéroanamnèse. Les radiographies de contrôle révèlent de multiples foyers pulmonaires ainsi qu'une opacité alvéolaire à droite. L'évolution respiratoire est positive sous antibiotiques. Le patient est extubé après 4 jours. Une chute de l'hémoglobine jusqu'à 60 g/l justifie une oesogastroduodénoscopie en urgence qui met en évidence un ulcère circonférentiel très étendu de l'œsophage. Un traitement empirique par Fluconazole est mis en place en attendant les résultats des biopsies qui ne dévoilent pas d'origine infectieuse ni tumorale. Une OGD de contrôle effectuée à une semaine montre une évolution favorable de l'ulcère avec une diminution de l'inflammation locale. Le traitement par inhibiteur de la pompe à proton est à poursuivre pendant deux mois jusqu'à la prochaine OGD de contrôle. Une augmentation importante du volume de la prostate d'origine possiblement néoplasique, ainsi que des lésions osseuses lytiques multiples, sont objectivées à l'imagerie. Une adénopathie iliaque est également observée. Un cancer métastatique de la prostate est évoqué. La PSA est modérément élevée. Un bilan oncologique complet avec biopsie est à discuter dans un second temps. L'hyponatrémie mise en évidence au laboratoire d'entrée se normalise par une simple restriction hydrique. L'analyse des urines parle pour SIADH avec suspicion d'une origine paranéoplasique dans le contexte du possible cancer de la prostate. L'état confusionnel aigu persiste malgré un contrôle du sepsis et une correction électrolytique. Un sevrage alcoolique est traité avec d'importantes doses de benzodiazépines et un traitement neuroleptique. Actuellement, le patient présente des hallucinations visuelles intermittentes et une désorientation spatio-temporelle et quant à sa personne mais il est calme et coopérant. Le statut neurologique actuel permet un transfert en médecine pour la suite de sa prise en charge. L'éventualité d'une carcinomatose méningée est à exclure. Des troubles cognitifs débutants ou une démence d'évolution rapide sont également évoqués. En raison d'une tachycardie et d'une hypertension artérielle, un traitement ciblé est progressivement introduit. • Patient de 68 ans admis aux soins intensifs pour un choc septique. Mr. Y présente une hypotension associée à une douleur thoracique lors de la dialyse à Riaz. Le patient est transféré aux soins intensifs de Fribourg. Le tableau clinique initial évoque un sepsis avec un état fébrile, une tachypnée et une hypotension qui nécessite des amines. On retrouve un syndrome inflammatoire sans foyer radiographique. Nous suspectons un sepsis d'origine pulmonaire en premier lieu, avec dans le diagnostic différentiel une infection du cathéter de dialyse ou encore une réaction anaphylactique contre le filtre de dialyse. En absence de germe identifié sur les divers prélèvements, nous simplifions l'antibiothérapie initialement large à de la Rocephine. Une insuffisance respiratoire globale aiguë est attribuable à la pneumonie, une surcharge hydrique avec possible composante cardiaque et au syndrome d'hypoventilation connu. Sous traitement médicamenteux, dialyse, ventilation non invasive et d'oxygène à haut débit, l'évolution est favorable. À la sortie des soins intensifs, le patient est bien compensé avec sa CPAP personnelle, mais nécessite encore des apports d'oxygène plus importants qu'à domicile. Dans le cadre de l'insuffisance rénale terminale, une hémodiafiltration continue est instaurée lors de la phase de choc, traitement qui est bien toléré, sans hypotension majeure ni nouvelle douleur thoracique. Par la suite, le poids se stabilise sous traitement diurétique à haute dose avec une diurèse conservée. Dans ce contexte, la dialyse intermittente n'est pas reprise d'office. L'indication à la dialyse de même que la fréquence seront rediscutées avec les néphrologues. La clearance de la créatinine est mesurée à 30 ml/min le 08.02.2019.L'hypothèse concernant une allergie aux filtres de dialyse semble peu probable compte tenu du complément dans la norme et du problème infectieux concomitant. La symptomatologie cardiaque répétée lors de la dialyse intermittente nous incite à compléter le bilan cardiaque. L'échocardiographie ne révèle pas de dysfonction systolique majeure sous réserve d'un examen de mauvaise qualité. Nous suspectons une insuffisance cardiaque à FEVG conservée avec mauvaise tolérance lors de changements de la volémie. Dans ce contexte, il est décidé d'effectuer une coronarographie à distance de l'événement infectieux. En cas de cardiopathie ischémique traitable, une amélioration de la fonction rénale est espérée. Une hypertension pulmonaire dans le contexte de la maladie thromboembolique est également possible, raison pour laquelle un cathétérisme droit est à envisager. Mr. Y, patient de 68 ans, connu pour adénocarcinome jonction œsogastrique traité par radiochimiothérapie néoadjuvante, est hospitalisé pour des épigastralgies dans un contexte post-radique symptomatique avec difficultés d'alimentation associées. Durant l'hospitalisation, une adaptation de l'antalgie est effectuée ainsi qu'un suivi nutritionnel. Au vu de l'impossibilité du patient à couvrir ses besoins dans ce contexte, une sonde naso-jéjunale est posée par nos collègues de gastro-entérologie. Une renutrition entérale est débutée sous surveillance hospitalière avec bonne tolérance. Le patient présente en début de séjour des douleurs invalidantes au membre inférieur D sans déficit neurologique associé. Une radiographie est réalisée et ne met pas en évidence d'anomalie au niveau osseux. La relecture du PET-CT de décembre 2019 met en évidence une hernie discale au niveau L4-L5 ainsi qu'un canal lombaire étroit pouvant contribuer aux douleurs du patient. Un traitement par Cymbalta est instauré avec un bon contrôle des douleurs en fin de séjour. Le patient sera reconvoqué par le service d'antalgie pour évaluer l'indication à une éventuelle infiltration. Le patient rentre à domicile le 25.2.2019. Les soins à domicile pour la poursuite de la nutrition entérale sont organisés, tout comme le suivi diététique qui se fera à Riaz. Concernant la suite de la prise en charge oncologique, le patient sera reconvoqué par l'équipe d'oncologie pour suite de prise en charge. Le résultat du Holter sera à pister par le médecin traitant. La nécrose œsophagienne étant à prendre en compte en cas d'une éventuelle indication à une anticoagulation. Mr. Y, patient de 68 ans, présente une gonarthrose tricompartimentale avancée dans le cadre d'un genu varum important devenant invalidant dans les activités de la vie quotidienne et ne répondant plus au traitement conservateur. Nous lui proposons donc une prise en charge chirurgicale sous forme d'arthroplastie totale du genou D par prothèse Balansys PS, voire révision en fonction de la stabilité ligamentaire per-opératoire. Nous expliquons au patient le déroulement de l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices, qu'il accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. Il fera partie du protocole ERAOS. L'intervention est agendée au 13.03.2019. Mr. Y, patient de 68 ans, a présenté un arrêt cardio-respiratoire d'origine hypoxémique avec 2 minutes de no-flow et 15 minutes de low-flow, le 09.01.2019 dans les suites d'un pneumothorax et d'une surinfection avec aggravation aiguë d'une HTP. Le patient bénéficie de la prise en charge initiale au CHUV et est intubé et drainé. Le sevrage ventilatoire étant difficile, une trachéotomie est réalisée le 21.01.2019, puis le patient est transféré aux soins intensifs de l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge. Le sevrage ventilatoire progressif se déroule finalement sans complication. La décanulation définitive et la fermeture de la trachéotomie sont possibles le 12.02.2019. Le patient est alors transféré à l'étage de médecine le 13.02.2019. Sur le plan respiratoire, l'évolution est favorable. La plaie de trachéotomie est calme et ramène encore quelques sécrétions claires. Sur le plan neurologique, le patient a présenté une crise épileptique généralisée le 13.01.2019, favorisée par l'encéphalopathie post-anoxique. Le patient n'a pas présenté de récidive par la suite. Le lacosamide est progressivement sevré et le lévétiracétam est poursuivi en monothérapie. Les EEG successifs montrent des signes de ralentissement compatibles avec l'encéphalopathie mais sans foyer épileptique résiduel. Une activité irritative postérieure est uniquement objectivée sur l'EEG initial du 11.01.2019. Le traitement anti-épileptique sera à poursuivre jusqu'au prochain EEG à 3 mois. La conduite automobile sera interdite dans l'intervalle. Sur le plan infectieux, le patient présentait à son arrivée au CHUV une bronchopneumonie du lobe supérieur droit à Haemophilus influenzae, qui a été traitée par co-amoxicilline. Par la suite, le patient présente une nouvelle bronchopneumonie sous ventilation avec identification d'Haemophilus influenzae traitée par imipénème, puis ceftriaxone jusqu'au 05.02.2019. L'évolution clinique est ensuite favorable. À noter que le patient a présenté un état fébril isolé le 16.02.2019. Devant l'absence de franc foyer, une antibiothérapie n'est pas introduite. Sur le plan digestif, le patient a bénéficié transitoirement d'une alimentation entérale qui a pu être remplacée progressivement par une alimentation par voie orale devant un bilan de déglutition normal. Compte tenu de l'important déconditionnement nous poursuivons les compléments nutritifs oraux. Au vu de l'évolution favorable, le patient est transféré le 18.02.2019 pour une réadaptation respiratoire et musculaire à l'HFR Billens. Mr. Y, patient de 69 ans, est admis pour un angor instable dans le cadre d'une maladie coronarienne tritronculaire sévère. Le patient a présenté des douleurs thoraciques atypiques sans irradiation au repos depuis 2 jours avec un angor stable depuis plusieurs mois. Le 20.02.2019, le patient présente des céphalées avec un hémisyndrome sensitif gauche sous forme de palesthésies associé à une douleur au repos motivant l'admission aux urgences. Un CT thoracique permet d'exclure une dissection aortique et une embolie pulmonaire. L'ECG montre un bloc de branche gauche connu sans troponines au laboratoire. La coronarographie du 20.02.2019 montre une maladie coronarienne de 3 vaisseaux, dont des sténoses subtotales de l'IVA et de l'artère circonflexe, avec une bonne fonction systolique ventriculaire gauche, posant l'indication à une revascularisation chirurgicale multiple. Le bilan est complété par un examen angiologique. Après discussion avec le Dr. X, un transfert au CHUV est organisé pour le 23.02.2019 pour un pontage en début de semaine prochaine. Concernant la symptomatologie neurologique, un CT cérébral ne montre pas de signe d'ischémie ou de saignement, à noter une sténose d'environ 70% sur le segment clinoïdien de l'artère carotide interne gauche asymptomatique. Après discussion avec le neurologue, une IRM cérébrale est proposée avant le pontage afin d'exclure un AVC. Un bilan lipidique est en cours avec une mobilisation à faire selon le protocole AVC. Le patient est transféré à l'étage de médecine pour la suite de la prise en charge le 22.02.2019. Mr. Y, patient de 69 ans, est admis pour un angor instable dans le cadre d'une maladie coronarienne tritronculaire sévère. Le patient a présenté des douleurs thoraciques atypiques sans irradiation au repos depuis 2 jours avec un angor stable depuis plusieurs mois. Le 20.02.2019, le patient présente des céphalées avec un hémisyndrome sensitif gauche sous forme de palesthésies associé à une douleur au repos motivant l'admission aux urgences. Un CT thoracique permet d'exclure une dissection aortique et une embolie pulmonaire. L'ECG montre un bloc de branche gauche connu sans troponines au laboratoire.La coronarographie du 20.02.2019 montre une maladie coronarienne de 3 vaisseaux, dont des sténoses subtotales de l'IVA et de l'artère circonflexe, avec une bonne fonction systolique ventriculaire gauche, posant l'indication à une revascularisation chirurgicale multiple. Le bilan est complété par un examen angiologique. Un bilan lipidique avec hypercholestérolémie à LDL motive une introduction de statines. Après discussion avec le Dr. X, un transfert au CHUV est organisée pour le 22.02.2019 pour un pontage en début de semaine prochaine. Concernant la symptomatologie neurologique, un CT cérébral ne montre pas de signe d'ischémie ou de saignement, à noter une sténose d'environ 70% sur le segment clinoïdien de l'artère carotide interne gauche asymptomatique. Après discussion avec le neurologue, un IRM cérébrale est proposée avant le pontage et peut exclure un AVC. Nous retenons la symptomatologie de paresthésie de l'hémicorps gauche sur bas débit cardiaque. Le patient peut être transféré au CHUV le 22.02.2019 pour la suite de prise en charge. Mr. Y, 69 ans, connu pour un ATCD stent, pontage, première ATC (06/05/2005), 3 pontages, IVA + Cx + CD, artères + veines, dernier pontage (15/11/2004), nous est adressé pour un angor de novo. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre comme lésion responsable de l'angor actuel une resténose intrastent subtotale de l'artère coronaire droite distale traitée par PCI/1 DES (stent in stent), avec un bon résultat final. Il existe également une sténose subtotale du corps du pont veineux sur la branche marginale de l'artère circonflexe et une sténose subtotale de la bifurcation de l'artère circonflexe proximale avec la 1ère marginale : le territoire concerné étant relativement peu étendu et au vu de la complexité de ces lésions, on renonce à les traiter mécaniquement. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 pour 6 mois et Plavix 75 mg 1-0-0 pour la vie est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 02.02.2019 à domicile. Mr. Y, 69 ans, porteur d'une PEG, connu pour une maladie de Parkinson depuis 1992 avec pose DBS sous-thalamique bilatérale en 2000, qui fut d'abord hospitalisé en chirurgie HFR Riaz pour une prostatite, puis adressé pour réadaptation gériatrique. Pour rappel, Mr. Y était hospitalisé du 04.01.2019 au 11.01.2019 en chirurgie HFR Riaz dans le cadre d'une prostatite compliquée, pour laquelle un traitement antibiotique a été instauré avec de la Ciproxine 500 mg 2x/j jusqu'au 08.02.2019. À noter que l'urologue avait proposé la pose d'une sonde urinaire à demeure afin de prévenir d'éventuelles futures infections, ce qui a été refusé par le patient. Mr. Y vit avec son épouse, au bénéfice de soins à domicile. À l'admission dans notre service de réhabilitation, le patient présente au status cardiaque un B1 B2 bien frappé irrégulier sans souffle surajouté. Le reste du status est non contributif. Sur le plan vitaminique, remarquons une hypovitaminose D à 32 nmol/l, que nous substituons. Concernant les troubles de la marche et de l'équilibre, le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche accompagné et à l'aide d'un rollator est de 120 mètres. Mr. Y ne peut pas gravir d'escalier. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 35/126, par rapport à 29/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 3/7, marche 3/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas réalisable. Durant son séjour, le patient bénéficie d'un suivi nutritionnel qui indique la nécessité de deux supplémentations nutritives orales à 2 kcal/ml/jour, que nous passons à travers la PEG à la seringue, dans le cadre d'une malnutrition protéino-énergétique légère. Mr. Y bénéficie également d'un suivi d'ergothérapie axé principalement sur les activités de la vie quotidienne. Le 18.01.2019, le patient présente une hématochésie (observée dans les toilettes et dans la protection, avec deux caillots et du sang frais, avec selles noirâtres). Nous ne relevons pas d'antécédent d'hématochésie à l'anamnèse ni à l'hétéro-anamnèse faite avec l'épouse. Le patient est hémodynamiquement stable avec, au status digestif, une légère sensibilité au flanc droit. Le toucher rectal est non douloureux, sans hémorroïdes visualisées ni trace de sang sur le doigtier. Nous demandons donc un avis chirurgical auprès du Dr. X qui indique une surveillance clinique, biologique et paraclinique. Le 18.01.2019, le patient est transféré au lit d'observation (Medu) avec un bolus de 80 mg de Nexium puis 8 mg/h. À noter que le jour même, Mr. Y sera repris à l'étage dans le service de gériatrie aiguë HFR Riaz pour suite de prise en charge. Mr. Y, 69 ans, est connu pour une hypertension artérielle et une maladie de Parkinson, et hospitalisé en réhabilitation gériatrique du 11.01.2019 au 18.09.2019 après un séjour en chirurgie HFR Riaz depuis le 04.01.2019 pour prostatite. Ce jour, Mr. Y est repris en charge en gériatrie aiguë en raison d'une hématochésie. Pour rappel, le patient était hémodynamiquement stable durant son séjour en réhabilitation gériatrique, avec, au status digestif, une légère sensibilité au flanc droit, une PEG en place, des bruits hydro-aériques présents dans tous les quadrants, un toucher rectal non douloureux, pas de sang sur le doigtier, présence de traces de selles. Il n'y avait pas d'hémorroïdes visualisées. Le 18.01.2019, Mr. Y présenta cependant une hématochésie (observée dans les toilettes et dans la protection avec deux caillots et du sang frais), sans antécédent d'hématochésie à l'anamnèse ni à l'hétéro-anamnèse avec l'épouse. Le bilan biologique objectiva une hémoglobine à 118 g/l à 18h (était à 129 g/l le 13.01.2019), puis à 105 g/l à 23h. Nous avions demandé un avis chirurgical au Dr. X qui indiquait une surveillance clinique et biologique. Le patient fut alors transféré au lit d'observation le 18.01.2019 avec un bolus de 80 mg de Nexium puis 8 mg/h. Durant la nuit, Mr. Y ne présenta plus de nouvelle extériorisation et le contrôle biologique du 19.01.2019 au matin montrait une hémoglobine à 115 g/l. Finalement, au vu de l'état clinique rassurant du patient et de l'absence de nouvel épisode d'extériorisation, avec une hémoglobine revenue à la hausse, le patient est retransféré à l'étage, dans notre service de gériatrie aiguë pour suite de prise en charge le 19.01.2019. L'alimentation est reprise et la pompe à Nexium intraveineux est remplacée le 19.01.2019 en soirée par du Nexium 40 mg 2x/j par voie orale. À l'étage, le patient ne présente plus d'importants épisodes d'hématochésie, mais toujours des traces de sang frais dans les selles. Aux contrôles biologiques, l'hémoglobine reste stable. Nous effectuons un CT abdominal le 23.01.2019 qui indique une maladie diverticulaire du côlon descendant sans signe de diverticulite aiguë. Il n'y a pas de masse visible au sein du côlon. Nous organisons aussi une colonoscopie en ambulatoire pour le 28.02.2019 ; le patient sera reconvoqué avec un courrier à domicile et hospitalisé la veille pour la préparation.Vu la bonne évolution clinique et biologique, l'Aspirine Cardio est reprise le 24.01.2019. Durant ce séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 120 mètres. Les escaliers ne sont pas testés. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 40/126, par rapport à 39/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 3/7, marche 4/7, escaliers 1/7). Le TUG est impossible à effectuer. Le patient bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui met en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence sur texture modifiée, démontrée par la consommation de 60% de ses besoins théoriques, et un NRS à 3/7. Mr. Y est connu pour des difficultés de déglutition, en lien avec le Parkinson, démontrées par des fausses routes constatées depuis 2013. Lors des dernières hospitalisations, des repas de type N dysphagie lui étaient conseillés à domicile, avec recommandation de nutrition par voie orale seulement pour le plaisir et une nutrition entérale via la PEG. Pendant l'hospitalisation, les repas sont adaptés. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Finalement, Mr. Y peut regagner son domicile le 25.01.2019 avec activation des soins à domicile 2x/j, ergothérapie à domicile et physiothérapie en ambulatoire. Patient de 69 ans, qui présente une dyspnée en péjoration depuis 10 jours associée à une toux grasse exacerbée et un état fébril, motivant une consultation chez vous le 11.02.2019. Devant une suspicion de pneumonie, une antibiothérapie par Ceftriaxone im est débutée. Un CT thoracique est réalisé le lendemain qui confirme la présence de foyers de bronchopneumonies dans les lobes supérieur et inférieur droits et de l'emphysème pulmonaire. En raison d'une péjoration de sa dyspnée, il consulte le service des urgences le 15.02.2019. Le bilan clinique et para-clinique au service des urgences retient un diagnostic d'insuffisance respiratoire aiguë globale dans un contexte infectieux et le patient est admis aux soins intensifs pour un soutien ventilatoire par VNI. L'évolution y est rapidement favorable, permettant un transfert à l'étage de médecine le 17.02.2019. Sur le plan respiratoire, Mr. Y n'a plus de plaintes, mais demeure cependant oxygéno-dépendant. En effet, sans oxygène, bien qu'asymptomatique, le patient présente une hypoxémie sévère avec une PaO2 à 5.9 kPa. Dans ce contexte, un avis pneumologique est demandé qui confirme la suspicion radiologique de BPCO, évaluée de stade IV selon les fonctions pulmonaires. Un traitement bronchodilatateur de fond à base de Spiolto Respimat est débuté et l'indication à une oxygénothérapie au domicile est posée au vu de l'hypoxémie. Le patient sera revu à 2 mois pour des fonctions pulmonaires à distance de l'épisode aigu actuel. Sur le plan infectieux, une opacité pulmonaire basale droite est retrouvée à la radiographie standard d'entrée. Au vu du syndrome inflammatoire léger et de l'antibiothérapie reçue jusqu'à présent, celle-ci n'est pas poursuivie aux soins intensifs. Le frottis de grippe revient par ailleurs positif pour une grippe Influenza A. Après une évolution initialement favorable, le patient développe une difficulté respiratoire plus importante associée à un état fébrile le 21.02.2019 et un important syndrome inflammatoire biologique. Une surinfection pulmonaire nosocomiale est suspectée et de la Lévofloxacine 500 mg 2x/j est introduite pour une durée de 14 jours. Sur le plan rénal, le patient présente une insuffisance rénale aiguë pré-rénale à l'entrée au service des urgences, mise sur le compte d'une déshydratation. La fonction rénale se corrige avec hydratation. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 25.02.2019 après mise en place de la ligue pulmonaire. Patient de 70 ans, connu pour une cardiopathie ischémique bi-tronculaire et rythmique avec un pacemaker de resynchronisation posé en 2009 (IRM non compatible), dépression et troubles cognitifs avancés, qui nous est envoyé par son médecin traitant en raison d'une baisse d'état général depuis Noël avec asthénie, anorexie et notion de troubles de l'équilibre depuis quelques jours sans chute. A son admission, Mr. Y présente une hypothermie à 33.5°C avec pâleur cutanée. Sur le plan neurologique, il est désorienté dans le temps et présente une dysmétrie aux épreuves cérébelleuses ainsi qu'un Romberg instable. Sur le plan biologique, le patient présente une thrombocytopénie à 120 G/l, une lipasémie isolée élevée à 160 U/l ainsi qu'un INR supra-thérapeutique, raison pour laquelle nous mettons en pause le Sintrom le 19.01.2019. Nous vous laissons le soin de recontrôler le TP INR le 25.01.2019 pour adaptation de la posologie. Quelques heures après son admission, après réchauffement, le patient présente une température corporelle normale et est hémodynamiquement stable. Nous réalisons un CT cérébral et une radiographie du thorax qui se révèlent sans particularité. De plus, nous réalisons une ultrasonographie abdominale complète en raison de son statut après échinococcose, qui s'avère également sans particularités. L'évolution est rapidement favorable. Après une hétéro-anamnèse auprès de l'épouse, Mr. Y rentre à domicile le 21.01.2019. Patient de 71 ans admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor stable depuis 2 semaines. La coronarographie du 14.02.2019 montre une maladie coronarienne bitronculaire avec sténose subocclusive CD ostiale et une lésion intermédiaire de l'artère circonflexe proximale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 60%. Nous avons procédé à une PTCA avec mise en place d'un stent actif au niveau de la CD ostiale avec bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Un contrôle est à prévoir auprès du Dr. X dans 1 mois avec une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 15.02.2019. Patient de 71 ans, connu pour HTA et DNIR avec un antécédent d'adénocarcinome de la prostate opéré en 2017 et considéré comme stable. Mr. Y qui consulte aux urgences pour une dyspnée d'apparition subaiguë s'étant majorée brutalement le 12.02. (stade IV mMRC) sans autre plainte anamnestiquement. A son arrivée, le patient est acyanotique, tachypnéique à 24/min, tachycarde à 105 bpm, hypertendu à 178/94 mmHg, afébrile à 36.6°C avec une saturation à 2 L d'O2 à 97%. L'examen clinique d'entrée est sans particularités. L'ECG est superposable à l'ancien. Le laboratoire retrouve des D-dimères à 10'752 ng/ml et un léger syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 10.4 G/l et un CRP à 19. La gazométrie montre une hypoxémie à 9.2 kPa et une hypocapnie à 4.1 kPa sous 2 litres d'oxygène. Le CT thoracique met en évidence une embolie pulmonaire trilobaire droite, bilobaire gauche, périphérique pour laquelle nous débutons un traitement curatif par Clexane. Vu la récidive probablement dans le contexte oncologique et les critères HESTIA à 1, le patient est hospitalisé dans le service de médecine pour suite de prise en charge. L'évolution sur le plan pulmonaire sera favorable avec un sevrage de l'oxygène possible le 15.02.2019. Les saturations à l'air ambiant restent alors favorables. Le patient reste par ailleurs hémodynamiquement stable et sous traitement, la dyspnée diminue rapidement. Par ailleurs, nous changeons le traitement par Xarelto 15 mg 2x/j jusqu'au 08.03.2019 avec un relais par Xarelto 20 mg à vie au vu des antécédents d'embolie pulmonaire.Sur le plan diabétologique, le patient présente des hyperglycémies récurrentes (jusque 20 mmol/L) sous son traitement antidiabétique oral. Selon le patient (n'a pas son carnet de glycémie), les glycémies à domicile (3 contrôles par semaine) sont assez bien équilibrées et le laboratoire retrouve une HbA1c à 7.8%. Le traitement habituel de metformine est majoré à 1000mg 2x/jour. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 19.02.2019. Mr. Y, 71 ans, connu pour un adénocarcinome du moyen et haut rectum classé cT3 cN+ cM1b (métastases hépatiques et possiblement pulmonaires), stade IV, revient en contrôle ce jour pour pister ses résultats de l'IRM cérébrale effectuée ce jour dans un contexte d'instabilité à la marche survenue il y a quelques jours. L'IRM du jour ne montre pas de lésion cérébrale. Ainsi, nous posons le diagnostic susmentionné. Le patient peut rentrer à domicile aujourd'hui. Nous lui proposons de reconsulter si péjoration de la symptomatologie. Mr. Y, 71 ans en bonne santé habituelle, se présente le 19.02.2019 aux urgences pour un contrôle clinique à la FUA ainsi qu'un US de la cuisse gauche en raison de douleurs de la face postérieure de la cuisse gauche des suites d'un traumatisme datant du 11.02.2019. Aux urgences, nous réalisons une anamnèse et un examen clinique qui sont rassurants. L'US des parties molles de la cuisse gauche réalisé par Dr. X montre un hématome en regard des ischio-jambiers de 22x12 cm avec déchirure musculaire localisée au niveau supérieur des ischio-jambiers et allant jusqu'à mi-cuisse. Nous demandons un avis à Dr. X, orthopédiste, qui a demandé l'ultrason de la cuisse gauche et qui préconise un contrôle à sa consultation à 1 semaine et une prescription de physiothérapie. Dans ce contexte et au vu d'un patient cliniquement rassurant, il rentre à domicile avec poursuite de la marche en cannes selon douleurs avec possibilité de l'arrêter dès que possible, contrôle à la consultation de Dr. X à 1 semaine, antalgie et physiothérapie. Mr. Y, 71 ans, suivi par Dr. X pour un lymphome diffus à grandes cellules B de type DLBCL sous immuno-chimiothérapie de type R-CHOP, consulte les urgences en raison de douleurs abdominales en barre d'apparition brutale le 01.02.2019. Au niveau biologique, un syndrome inflammatoire est mis en évidence sans foyer infectieux retrouvé par la suite. Un scanner thoraco-abdominal est réalisé et montre une majoration en taille de la masse tumorale pelvienne droite connue en rapport avec un saignement récent en son sein sans signe de saignement actif. Une hydronéphrose droite sur compression tumorale est également retrouvée. Le patient est hospitalisé en médecine pour suite de prise en charge. À l'étage, une antibiothérapie par Ceftriaxone par voie intraveineuse est administrée durant 5 jours sans que de bactéries soient mises en évidence dans les hémocultures. Au niveau oncologique et vu la progression de la maladie, Dr. X préconise un nouveau cycle de chimiothérapie en hospitalier pour surveillance du syndrome de lyse. Celle-ci est réalisée avec une bonne tolérance clinique et biologique du patient. Le patient ayant un profil tensionnel relativement bas lors de son séjour chez nous, nous décidons de mettre en suspens son traitement anti-hypertenseur par Candesartan. La prophylaxie anti-infectieuse par Bactrim est également mise en pause, nous laissons le soin à l'équipe d'oncologie de la reprendre si besoin. Mr. Y peut rentrer à domicile le 11.2.2019. Le suivi oncologique se fera en ambulatoire, le prochain rendez-vous étant prévu ce vendredi 15.2.2019. Une ultrason des voies urinaires sera réalisée en ambulatoire afin de bilanter l'hydronéphrose. Mr. Y, 72 ans, admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique dans le contexte d'une décompensation cardiaque sur fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide. Pour rappel, le patient est hospitalisé depuis le 25.01.2019 initialement pour une hypokaliémie sévère sur hypercortisime paranéoplasique dans le contexte d'un carcinome pulmonaire à petites cellules métastatique diagnostiqué le 01.02.2019 et traité par une cure de chimiothérapie de Carboplatine et Etoposide ainsi que drainage par un drain pleural à demeure (PleurX). D'un point de vue cardiaque, le patient est connu depuis la pose du Port-à-cath (le 07.02.2019) pour une fibrillation auriculaire initialement à réponse ventriculaire rapide et dont la fréquence est par la suite adéquatement contrôlée avec de la Cordarone. Toutefois, ce passage transitoire en fibrillation auriculaire rapide a probablement participé à une décompensation cardiaque nécessitant un traitement par diurèse forcée et soutien ventilatoire par VNI. Durant la surveillance aux soins intensifs, l'évolution respiratoire est stagnante et motive la réalisation de cultures d'expectorations qui retrouvent un Pseudomonas aeruginosa et un Haemophilus influenzae. Une surinfection bactérienne de la masse tumorale est suspectée et un traitement antibiotique par Pipéracilline-Tazobactam est débuté. En raison de la persistance d'un état fébrile, des hémocultures sont réalisées et mettent en évidence une bactériémie à staphylocoque aureus multi-sensible dont la source retenue est une infection du port-à-cath qui est alors retiré le 13.02.2019 après une dose unique de Vancomycine. Le Staphylocoque aureus est retrouvé dans le liquide pleural. L'hypothèse avancée est un épanchement pleural droit mal ou incomplètement drainé par le PleurX et possiblement surinfecté par le staphylocoque doré multi-sensible à la faveur de la bactériémie infectant le port-à-cath. Sur avis infectiologique, le traitement de Pipéracilline-Tazobactam est poursuivi. Le suivi biologique retrouve une agranulocytose mise sur le compte de la myélotoxicité de la première cure de chimiothérapie par Carboplatine et Etoposide. Cette agranulocytose ne s'améliore pas par Neupogen. L'anémie et la thrombopénie associée nécessitent un soutien transfusionnel d'autant que le patient a présenté un épistaxis avec hémorragie conjonctivale et un saignement cutané. L'évolution respiratoire est défavorable malgré un soutien par VNI et oxygénothérapie à haut débit. Le patient est progressivement sevré de la VNI, mais nous constatons une stagnation de la situation respiratoire qui a amené vers une discussion avec la famille dans un premier temps pour clarifier la situation critique en présence des oncologues et la limitation thérapeutique avec une option de soins palliatifs. Dans un second temps et au vu de la péjoration clinique, nous avons décidé de privilégier les soins de confort en cas d'aggravation respiratoire. Les soins de confort sont initiés et le patient décède le 18.02.2019. Mr. Y, 72 ans, admis pour une coronarographie élective suite à un test d'effort pathologique avec une chute de pression suivi d'une scintigraphie cardiaque montrant une image suspecte d'ischémie antéro-latérale. La coronarographie du 19.02.2019 confirme votre suspicion. Il existe une sténose serrée de l'IVA moyenne avec des lésions intermédiaires au niveau de la circonflexe et de la coronaire droite distale. La fonction systolique du VG est normale. Après discussion avec Mr. Y, nous avons procédé à une dilatation avec mise en place d'un stent actif sur l'IVA moyenne. L'examen met en évidence un anévrisme de l'aorte abdominale. Nous complétons le bilan par un Angio-CT aortique, qui montre un anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale de 41 mm, sans signe de complications. Au vu de la taille inférieure à 5.5 cm, nous ne demandons pas de consilium chirurgical. Un suivi ultrasonographique est à mettre en place pour suivre l'évolution de l'anévrisme.Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 20.02.2019. Patient de 72 ans admise pour une coronarographie élective en raison d'un angor CCS II avec une IRM de stress montrant une ischémie dans le territoire de l'artère circonflexe. La coronarographie du 8.02.2019 montre une maladie coronarienne monotronculaire avec sténose significative au niveau de la bifurcation IVA/DA1. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Nous avons procédé à une angioplastie de la bifurcation IVA/DA1 avec kissing balloon et implantation de 2 stents actifs avec un bon résultat final. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Un contrôle est à prévoir dans 1 mois chez Dr. X avec une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 9.02.2019. Patient de 72 ans adressé pour une coronarographie élective suite à une ergométrie cliniquement et électriquement positive. La coronarographie du 12.02.2019 montre une sténose intra-stent de l'artère circonflexe proximale. La FEVG est légèrement abaissée à 50% avec une akinésie apicale. Nous procédons à une PTCA avec un stent actif au niveau de la Cx proximale avec un bon résultat. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 13.02.2019. Patient de 72 ans, bénéficiant 3x/semaine de la clinique de jour du Home de Jeuss, connu pour une hypertension et une démence débutante de type Alzheimer. Il est hospitalisé dans un contexte de pneumonie communautaire avec épuisement du proche aidant. Le patient présente depuis le 01.02.19 un état confusionnel avec une importante fatigue ainsi qu'une incontinence urinaire nouvelle. À son entrée, il est fébrile, tachycarde et nous auscultons des bruits pulmonaires lointains sans franche suspicion de foyer. Un laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire et une radiographie du thorax permet de diagnostiquer une pneumonie basale gauche. Nous initions une antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline. En présence d'une bonne évolution clinique et biologique, nous effectuons un relais per os pour un total de 7 jours d'antibiothérapie. À son entrée, le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë qui est traitée par hydratation intraveineuse et orale avec bonne évolution. En présence de difficultés à la miction chez un patient en état confusionnel avec une incontinence urinaire nouvelle, nous mettons en place un cathéter vésical qui est enlevé le 10.02.19. Au sédiment urinaire d'entrée, nous mettons en évidence une hématurie ainsi qu'une protéinurie, probablement dans le contexte infectieux et de sondage urinaire. Nous proposons un contrôle urinaire à distance ainsi qu'une exploration urologique en cas de persistance d'une hématurie. En présence d'un épuisement du proche aidant, nous organisons un transfert au Home de Jeuss pour un court séjour avec une visée à long terme de résidence permanente. Patient de 72 ans, connu pour un adénocarcinome de l'œsophage multimétastatique, qui est hospitalisé en raison d'une baisse de l'état général importante dans un contexte de progression oncologique. À l'admission, le patient rapporte une fatigue et une dyspnée importantes évoluant depuis environ 1 mois. La radiographie du thorax montre de petits épanchements pleuraux, ne nécessitant pas de drainage. La dyspnée est attribuée à l'atteinte métastatique pleurale, et un traitement symptomatique par morphine est débuté avec un effet bénéfique rapide. Dans le contexte oncologique, la mise en place d'un Port-à-Cath permet de débuter une chimiothérapie palliative par FLOT dès le 25.02.2019. Au vu d'une insuffisance rénale aiguë concomitante d'origine pré-rénale, nous ne pouvons administrer le traitement au complet. L'Eloxatin non administré sera rattrapé lors d'un prochain cycle. La chimiothérapie est bien tolérée par le patient. Après une hydratation intraveineuse, l'insuffisance rénale aiguë se corrige. Au vu de la bonne évolution et de la bonne tolérance à la chimiothérapie, Mr. Y peut rentrer à domicile le 27.02.2019. La poursuite de la chimiothérapie se fera le 08.03.2019 à 10h00 en ambulatoire. Une consultation au cabinet de Dr. X aura lieu le 12.03.2019 à 14h45. Patient de 72 ans, qui nous est transféré de Riaz le 07.02.2019 pour un choc septique secondaire à une arthrite du pied gauche ainsi que pour un sevrage alcoolique sévère. Il consulte initialement à Riaz en raison d'un tableau clinique de choc septique, avec une hypotension artérielle répondant rapidement au remplissage et une insuffisance rénale aiguë AKIN III. Une antibiothérapie à large spectre avec de la pipéracilline/tazobactam est prescrite devant le syndrome inflammatoire. Secondairement, le patient est intubé dans un contexte d'état d'agitation psychomotrice, ce qui permet la pratique d'une échocardiographie trans-œsophagienne qui a montré une anomalie de la valve aortique possiblement compatible avec un abcès. Du fait de l'isolement d'une bactériémie à Staphylococcus aureus, l'antibiothérapie est switchée par Rifampicine, Floxapen qui est relayé par Kefzol. La suite des investigations (CT-total body) met en évidence une arthrite septique associée à une ostéomyélite du pied gauche nécessitant une prise en charge chirurgicale. Au retour du bloc, la situation hémodynamique se péjore avec des besoins en amines au-delà de 1 mcg/kg/mn avec une acidose lactique persistante malgré l'expansion volémique. Au vu de l'évolution vers un choc septique réfractaire et au vu du contexte clinique antérieur du patient, nous discutons avec la famille pour expliquer que la seule option thérapeutique à disposition pour tenter de le stabiliser serait le recours à une assistance rénale tout en expliquant aussi le projet chirurgical qui serait lourd en conséquence avec une possible amputation (selon Dr. X) et enfin la qualité de vie finale du patient. La famille a explicitement exprimé son souhait d'un retrait thérapeutique au vu du vécu du patient et de nos explications sur la situation. Mr. Y décède paisiblement entouré par sa famille le 11.02.2019. La famille n'a pas souhaité d'autopsie. Patient de 73 ans nous est adressé par Dr. X pour une dyspnée associée à des douleurs thoraciques suspectes avec une FEVG modérément abaissée. La coronarographie du 8.02.2019 montre une progression de l'atteinte coronarienne par rapport à 2009. Il y a une lésion sur une plaque complexe de l'IVA proximale et une atteinte diffuse de l'IVA moyenne à distale. Le reste de l'arbre coronarien est indemne de lésion angiographiquement significative. La fonction VG systolique est modérément diminuée, EF à 40%. L'arcographie démontre une aorte allongée, mais sans ectasie franche. Selon entente avec Mr. Y, nous traitons directement l'IVA proximale avec un stent actif et un bon résultat immédiat. L'atteinte diffuse des segments plus distaux doit être traitée médicamenteusement avec la recherche d'un DM type 2, contrôle de la dyslipidémie avec pour but un LDL cholestérol < 1.8 mmol/l. Nous vous laissons le soin d'augmenter progressivement l'IECA avec contrôle de la fonction rénale. Un contrôle est à prévoir auprès de Dr. X pour une écho-TT et un Holter de suivi.Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 9.02.2019 Mr. Y, 73 ans, connu pour multiples opérations abdominales, la dernière le 24.12.2018 pour une résection segmentaire d'intestin grêle dans le cadre d'un iléus mécanique sur bride avec nécrose de 30 cm et féco-péritoine. Le patient a bénéficié d'une split-stomie de l'iléon à 270 cm de Treitz. Il est envoyé par la consultation de stomatologie pour une baisse de l'état général. Le bilan révèle une stomie à haut débit et une déshydratation avec trouble électrolytique important. Le traitement par réhydratation orale et iv, ainsi que le freinage intestinal et un shift de potassium par insuline est débuté. Nous notons une rapide amélioration de la fonction rénale et des troubles électrolytiques avec une hydratation agressive contrôlée par le débit urinaire, pour lequel le patient porte une sonde depuis le 17.01.2019. Le débit de la stomie est contrôlé par Lopéramide, teinture d'opium, PPI, Somatostatine et par supplémentation de fibres et le suivi est assuré par les nutritionnistes. Une réduction de 4000 ml à 2000 ml par jour est atteinte mais nous la jugeons insuffisante et demandons la fermeture aux chirurgiens. Dans le cadre de la malnutrition malgré optimisation de la nourriture p.o. et le placement d'une SNG, nous proposons au patient d'optimiser sa condition préopératoire et posons une VVC le 13.01.2019 pour installer une nutrition parentérale supplémentaire. Sur la suspicion d'un SIBO (syndrome of intestinal bacterial overgrowth), un traitement par Xifaxan p.o. est instauré pour 7 jours, avec une amélioration minime. L'avis de la chirurgienne qui posa la stomie, Dr. X, est demandé quant à la fermeture de la split-stomie. Elle propose de planifier celle-ci pour début février, à 6 semaines post-op. Elle propose d'entendre le bilan par une opacification de l'anse déférente jusqu'à l'anus et par une colonoscopie. Un contrôle du pacemaker est effectué le 18.01.2019 par Dr. X pour une bradycardie sous le seuil du pacemaker. Le pacemaker ne montre pas de dysfonctionnement, la bradycardie n'arrive pas à être expliquée autrement que par une dysfonction biologique-électrique dans le cadre de la dysélectrolytémie. Les cardiologues sont appelés pour mesurer les fonctions cardiaques et pour optimiser la situation préopératoire vu le patient à haut risque à la demande des chirurgiens. Une adaptation du traitement s'avère inutile en ce moment et la proposition est faite d'installer un Sartan à la sortie de l'hôpital et de reprendre une anticoagulation avec de l'Eliquis en post-op. Mr. Y est transféré en chirurgie le 04.02.2019. Il sera opéré de sa stomie le 05.19.2019. Mr. Y, 74 ans, est adressé par les urgences de Vevey pour une coronarographie en urgence dans le cadre d'une suspicion de NSTEMI. Le patient a présenté une douleur rétrosternale oppressive sans irradiation ni dyspnée le 20.02.2018 motivant une consultation aux urgences. Sur place, il n'y a pas de modifications ECG avec toutefois des troponines à 65 ng/l laissant suspecter un NSTEMI au vu des nombreux facteurs de risque cardiovasculaires motivant un transfert dans notre service. La coronarographie du 21.02.2019 montre des artères coronaires athéromateuses sans resténose de l'artère interventriculaire antérieure moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, englobant l'origine de la seconde diagonale (lésion de bifurcation) ainsi qu'une lésion non significative de l'ostium de la première marginale et de l'artère coronaire droite moyenne. À noter une insuffisance aortique minime grade I/IV avec une aorte ascendante dilatée au niveau des sinus (51 mm). La fraction d'éjection du ventricule gauche est dans les limites de la normale (60 %). Nous procédons à un contrôle du pacemaker à la recherche de fibrillation auriculaire rapide pouvant expliquer une augmentation des troponines, qui se révèle dans la norme. Un CT scan ambulatoire est à organiser afin d'évaluer le calibre de l'aorte. Nous proposons la poursuite du traitement de Brilique en sus de l'aspirine cardio pour un total de 6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 21.02.2019 avec la suite de la prise en charge auprès du cardiologue traitant. Mr. Y, 74 ans, connu pour myélome multiple sous traitement palliatif par daratumumab, est initialement hospitalisé à Meyrier dans le contexte d'une pneumonie lobaire droite. Le patient rapporte en effet un état fébrile avec toux et expectoration. L'analyse sanguine met en évidence un syndrome inflammatoire et une radiographie thoracique met en évidence un infiltrat pulmonaire. Suite à un avis infectiologique, nous initions un traitement par Ceftriaxone et Klacid. Ce dernier peut être arrêté par la suite, au vu des antigènes urinaires négatifs pour une légionelle. L'antibiothérapie est poursuivie pendant une durée de 10 jours. Le 06.02.2019, le patient est transféré à Fribourg en raison d'une suspicion d'hémorragie digestive haute avec hémoptysie objectivée à Meyrier. À l'arrivée, le patient présente un état fébrile avec frissons solennels et une dyspnée avec oxygénodépendance. L'évolution par la suite est favorable avec disparition de la fièvre et sevrage progressif de l'oxygène. Concernant la suspicion d'hémorragie digestive haute, nous n'objectivons pas d'extériorisation sanguine et l'hémoglobine reste stable durant le séjour. Une origine buccale à ces saignements est possible vu les antécédents de saignements buccaux du patient. Une gastroscopie en ambulatoire serait néanmoins conseillée afin d'écarter une origine digestive. D'entente avec Dr. X et l'épouse de Mr. Y, et en l'absence d'indication urgente, cet examen sera rediscuté et organisé par la suite si nécessaire. En raison d'une consommation d'alcool à risque, le patient est substitué par Seresta en schéma dégressif durant l'hospitalisation. Une composante de dépendance aux benzodiazépines est également probable, le patient nous rapportant prendre plusieurs comprimés de Zolpidem de sa propre initiative à domicile et durant le séjour. Le patient rentre à domicile le 13.02.2019. Le suivi oncologique est prévu en ambulatoire avec le prochain cycle de chimiothérapie prévu le 15.02.2019 au C4. Un rendez-vous à la fondation Tory est prévu le 14.02.2019, Mr. Y et sa famille étant preneurs d'un essai de prise en charge en alcoologie. Mr. Y, 74 ans, nous est adressé en électif pour la pose d'une PEG dans un contexte de néoplasie oesophagienne. Mr. Y a remarqué une nette amélioration de sa dysphagie suite au traitement oncologique qu'il a débuté la semaine dernière. Une sonde de PEG est installée le 04.02.2019. L'opération se déroule sans complication. Une de nos infirmières diététiciennes fournit à Mr. Y les informations relatives à la nutrition entérale qu'il débutera dans les meilleurs délais. Il sera suivi en ambulatoire selon le protocole habituel après la pose de PEG. L'évolution étant favorable, Mr. Y retourne à domicile sans aide le mardi 5 février. Mr. Y, 75 ans, connu pour un carcinome épidermoïde pulmonaire du lobe inférieur gauche sous immunothérapie, est envoyé par son oncologue en raison de douleurs abdominales et anales, sous forme de coliques et constipation. Le patient rapporte qu'après la dernière immunothérapie en janvier 2019, l'apparition de diarrhées dans le cadre d'une colite de grade 1, traitées par Loperamide après exclusion d'un Clostridium difficile. Par la suite, le patient présente une constipation avec des douleurs abdominales et anales sous forme de coliques, diffuses et intermittentes, depuis environ 2 semaines. Après contact avec son oncologue traitant, il consulte le service des urgences le 18.02.2019 où un lavement soulage partiellement les douleurs et la constipation. Le lendemain, il consulte à nouveau pour des douleurs anales insupportables. Une fissure anale est diagnostiquée et le patient reçoit un traitement antalgique et laxatif, après extraction manuelle d'un fécalome. Au vu de la persistance des douleurs, le patient est adressé par son oncologue pour hospitalisation.Le bilan biologique ne retrouve pas de signe infectieux. Après avis chirurgical, Mr. Y bénéficie d'un traitement antalgique local et systémique, ainsi qu'un traitement laxatif. L'évolution est favorable avec diminution des douleurs et régularisation du transit avec selles molles environ 1x/jour. Un rendez-vous à 2 semaines est pris pour contrôle de la fissure anale. Une hypomagnésémie et un déficit en vitamine D sont substitués. Concernant sa colite à la suite de l'immunothérapie, le traitement par Prednisone est poursuivi avec schéma dégressif. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 27.02.2019. Mr. Y, 75 ans, connu pour une BPCO stade IV, récemment hospitalisé pour lithiase vésiculaire symptomatique traitée par drainage trans-hépatique (du 17.1.19 au 28.1.19), porteur d'une sonde vésicale à demeure pour globes à répétition et d'une colostomie suite à perforation sigmoidienne sur mégacolon toxique d'origine ischémique en 2014, se présente aux urgences pour une dyspnée en péjoration depuis 3-4 jours, actuellement NYHA 3-4 surtout présente à l'effort. Mr. Y est donc hospitalisé en médecine pour une exacerbation de BPCO. Une antibiothérapie de 7 jours par Co-amoxicilline et un traitement de 5 jours par Prednisone est effectué. L'évolution clinique est favorable sur le plan respiratoire. Au niveau abdominal, Mr. Y est porteur d'un drain biliaire en raison de lithiase vésiculaire récidivante. Rappelons que l'état de Mr. Y contrindique une intervention sous anesthésie générale. Au cours du séjour, Mr. Y présente un épisode de douleur en hypochondre D droite ainsi qu'une cholestase biologique spontanément résolutive. Cet épisode est probablement en lien avec la migration d'un calcul. La cholangiographie par le drain montre par la suite une bonne perméabilité des voies biliaires. Le Dr. X qui a évalué Mr. Y constate une évolution favorable à l'heure actuelle. Une antibiothérapie pour une cholécystite devrait néanmoins être introduite en cas d'état fébrile ou hyperbilirubinémie nouvelle et un avis chirurgical en cas de non amélioration clinique. Au niveau des hernies abdominales de Mr. Y, un avis chirurgical devrait être demandé en cas de suspicion d'incarcération. En début de séjour, Mr. Y présente des douleurs importantes dans le cadre de la lombo-scialgie connue. Une majoration de l'antalgie habituelle provoque rapidement la disparition de ces douleurs. Mr. Y reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que Mr. Y a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y est par la suite transféré à Billens le 14.2.2019. Mr. Y, 75 ans, hospitalisé pour dyspnée aiguë sur paralysie récurrentielle bilatérale pour laquelle il bénéficie d'une trachéotomie chirurgicale le 1.1.2019 sans complications. La radiographie du thorax montre des foyers de pneumonie bilatérale. Nous introduisons une antibiothérapie par Co-amoxicilline 2.2g pour une durée de 7 jours et de la physiothérapie respiratoire. Nous effectuons une transcanulation pour une Rusch 8 effectué le 8.1.19 afin de faciliter les soins par Mr. Y. Mr. Y présente également une trachéite crouteuse pour laquelle des aérosols de Bepanthène et Fluomicil sont mis en place. Un nettoyage avec le bronchoscope est nécessaire (10.01.2019) en raison d'importants bouchons muqueux. L'évolution clinique et biologique est favorable par la suite. Sur le plan de la déglutition, il présente de multiples fausses routes aux solides épais et aux liquides; néanmoins, il reste réfractaire à la pose d'une PEG. Sur le plan oncologique, Mr. Y est connu pour des carcinomes épidermoïdes pulmonaires du lobe supérieur gauche cT4 cN2 cM0 et lobe supérieur droit cT1b cN1 cM0 synchrones traités par radiochimiothérapie concomitante à visée curative ayant pris fin en janvier 2019. Mr. Y, 76 ans, admis aux soins intensifs pour un OAP sur NSTEMI. Il est hospitalisé depuis début janvier 2019 pour une infection endovasculaire des sondes de pacemaker ablatées au CHUV avant son retransfert au HFR. Son séjour à Fribourg et à Lausanne est émaillé de plusieurs complications: une insuffisance rénale sur le sepsis initial qui a nécessité une dialyse après l'apparition secondaire d'une néphrite interstitielle probablement sur le céfuroxime, un NSTEMI au branchement de l'hémofiltration, un OAP sur pic hypertensif et une hémorragie digestive haute sur ulcères gastriques et duodénaux qui ont été clippés par OGD. Actuellement, il est réadmis aux soins intensifs en raison d'un OAP secondaire à un NSTEMI avec angor. La coronarographie permet de revasculariser une sténose intrastent de la Cx moyenne par ballon émettant un agent thrombolytique. La FEVG est évaluée à 25%. Une hémofiltration bien tolérée hémodynamiquement avec retrait de 4L et une séance de VNI permettent rapidement une évolution respiratoire favorable. L'anémie spoliative probablement d'origine digestive sur les ulcères est corrigée par un culot érythrocytaire, avec montée d'Hémoglobine aussi favorisée par le retrait. Mr. Y a présenté une hémorragie digestive haute sur multiples ulcères du duodénum traitée par pose de clip et injection d'adrénaline le 27.01 et 01.02.2019. Une transfusion d'un culot a eu lieu le 08.02.19. L'OGD de contrôle devrait être avancée pour évaluer l'évolution des lésions. Mr. Y, 76 ans, admis aux soins intensifs pour une surveillance dans un contexte d'exacerbation BPCO. Mr. Y est amené par le 144 aux urgences en détresse respiratoire aiguë. Il présente depuis 5-6 jours une toux avec une augmentation des expectorations. Mr. Y est fébrile à son arrivée aux urgences. L'auscultation pulmonaire met en évidence une hypoventilation à gauche avec de légers râles crépitants basaux à gauche également. Vaccination grippale à jour. Un traitement de Prednisone à petite dose et des aérosols ont été majorés par le pneumologue traitant. Le CT thoracique met en évidence un emphysème sévère sans franc foyer observé et les lésions nodulaires semblent stables par rapport au comparatif. Les analyses laboratoires mettent en évidence un syndrome inflammatoire (CRP 80 mg/l avec leucocytose à 22.5 G/l ). Le DX retenu est une exacerbation BPCO. Le frottis nasopharyngé revient négatif pour la grippe. Les Ag urinaires et les hémocultures sont toujours en cours. Mr. Y reçoit de l'oxygène aux lunettes (1L), un traitement antibiotique par Ceftriaxone, Clarithromycine, et Prednisone à hautes doses pendant 5 jours, ainsi que des aérosols bronchodilatateurs (Salbutamol, Ipratropium). Une tachycardie dans un contexte de fibrillation auriculaire connue est mise en évidence. L'administration de Diltiazem IV permet de ralentir la fréquence cardiaque. L'INR est suprathérapeutique à > 5.5 le 05.02.19, raison pour laquelle du Beriplex est administré. Les analyses de laboratoire du 06.02.19 mettent en évidence un INR toujours suprathérapeutique à 4.7, raison pour laquelle le Marcoumar est mis en suspens ce jour. Un contrôle de la crase est prévu pour demain.L'évolution clinique (saturation dans les cibles sous 24 % FiO2, afébrile) et biologique (diminution de la leucocytose) du patient est favorable, il peut donc être transféré à l'étage de médecine interne. • Patient de 76 ans connu pour un adénocarcinome de la prostate admis en réadaptation gériatrique dans un contexte d'un trouble de la marche d'origine multifactorielle. Pour rappel, Mr. Y vit avec son épouse. Il était hospitalisé du 26.12.2018 au 21.01.2019 en gériatrie aiguë pour une baisse de l'état général dans le contexte oncologique avec une pneumonie, une gastro-entérite durant le séjour précédent. Sur le plan endocrinologique, remarquons la présence d'hyperglycémies sur Prednisone pour lesquelles nous mettons en place un schéma de correction et de l'insuline. Sur le plan électrolytique, notons une hypokaliémie à 2.8 mmol/l que nous substituons et qui motive l'introduction de la spironolactone. Au niveau oncologique, Mr. Y bénéficiera d'un suivi ambulatoire auprès de Dr. X afin de rediscuter des différentes options thérapeutiques en raison de la progression oncologique. Nous mettons aussi le patient et son épouse en lien avec Volitgo pour la suite de la prise en charge à domicile en plus des soins à domicile. Concernant son trouble de la marche et de l'équilibre, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A la sortie, son périmètre de marche accompagné et sans moyen auxiliaire est de 60 mètres. Mr. Y ne peut pas gravir d'escalier. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 53/126 par rapport à 55/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 4/7, marche 4/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 35.60 secondes. Durant son séjour, le patient profite d'un suivi nutritionnel (NRS à 5/7), avec une adaptation de l'alimentation axée sur la notion de plaisir. Le patient bénéficie également d'un suivi d'ergothérapie orienté sur la mobilisation et les activités de la vie quotidienne. Finalement, Mr. Y rentre à domicile le 25.01.2019. • Patient de 76 ans, connu pour un antécédent de double pontage aorto-coronarien en 2010 avec remplacement de la valve aortique par une valve biologique, est hospitalisé en électif par Dr. X pour un bilan de troubles mnésiques dans un contexte évocateur d'une démence de type Alzheimer. Mr. Y se plaint de troubles mnésiques en augmentation depuis deux à trois ans avec oublis fréquents et manque du mot. A la demande de Dr. X, nous effectuons un bilan biologique, une ponction lombaire et une IRM cérébrale. Un PET-CT cérébral sera encore effectué en ambulatoire le 19.02.2019, le patient est averti de rester à jeun dès minuit la veille. L'évolution clinique est stable durant le séjour et les premiers résultats biologiques reviennent dans la norme. Mr. Y rentre à domicile le 15.02.2019. Il sera convoqué à la consultation de Dr. X pour discuter de la suite des résultats biologiques et radiologiques. Il paraîtrait également judicieux de réévaluer la capacité à conduire de Mr. Y. • Patient de 77 ans, connu pour un adénocarcinome de la prostate sous hormono- et radiothérapie, qui est hospitalisé pour gestion de l'antalgie dans un contexte de lombo-sciatalgie bilatérale prédominante à droite non déficitaire sur hernie discale L5/S1. Le patient présente une recrudescence de ses lombo-sciatalgies depuis le début de la radiothérapie, non soulagées par la médication d'Oxycodone, puis de Palexia mise en place. Dans ce contexte, un traitement complexe de médecine palliative a été réalisé. Sur le plan de l'antalgie, une corticothérapie est initiée pour une durée de 5 jours. Selon avis anesthésiologique, le traitement de Lyrica et de Palexia sont majorés progressivement. Au vu de la persistance des douleurs, une antalgie PCA d'hydromorphone est débutée, puis relayée par voie orale. En parallèle, selon avis neurochirurgical, une infiltration de la racine S1 droite est effectuée, avec un bon effet initial, puis répétée en raison d'une nouvelle recrudescence des douleurs. L'évolution clinique est lentement favorable et permet au patient de retrouver son autonomie. Une intervention chirurgicale est envisageable dans un second temps, après la radiothérapie. Ainsi, Mr. Y sera vu en consultation auprès de Dr. X le 05.03.2019. Sur le plan oncologique, le patient poursuit les séances de radiothérapie durant le séjour, avec une adaptation de la zone d'irradiation afin d'épargner la région lombaire. Au niveau biologique, nous mettons en évidence une insuffisance rénale probablement chronique, raison pour laquelle nous adaptons la posologie des traitements néphrotoxiques. Une hyperkaliémie est également relevée, qui se corrige après administration de Resonium. En raison d'hyperglycémies mises en évidence en début de séjour, chez un patient connu pour un diabète de type 2 traité par Metformine, dont la dose est diminuée en raison de l'insuffisance rénale, nous ajoutons une insulinothérapie permettant un bon contrôle des glycémies. Mr. Y rentre à domicile le 13.02.2019. • Patient de 77 ans connu pour une cardiopathie ischémique, rythmique et valvulaire, qui nous est adressé du service de rhumatologie de l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique suite à des lombo-cruralgies L4 gauches en rapport avec une volumineuse hernie discale intra-foraminale et récessale gauche à l'étage L3/L4. Les douleurs irradient des vertèbres lombaires puis le long de la face latérale externe de la cuisse en proximal jusqu'au genou et parfois jusqu'à la cheville. Douleurs décrites comme des crampes et des brûlures, en particulier au niveau de la cuisse. Actuellement elles sont intermittentes estimées à 4-5/10 aussi bien au repos qu'à la mobilisation. EVA jusqu'à 10/10 lors des lancées douloureuses. Charge possible mais très douloureuse, mobilité restreinte depuis 3 jours. Hormis l'âge, une notion de perte de 10 kg en 1 an il y a 2 ans et la difficulté à charger. En particulier, pas de sudation nocturne, pas de fièvre, pas de frisson, pas d'altération de l'état général, pas de symptôme suggestif d'une néoplasie, pas d'antécédent de néoplasie, pas de conduite à risque, pas de voyage récent, pas de consommation de produits laitiers non pasteurisés, pas d'immunodéficience, pas de parésie/troubles sphinctériens/paresthésies, pas de notion de traumatisme ou d'ostéoporose (s/p fracture traumatique), pas d'antécédent de corticothérapie. Pour rappel, Mr. Y avait consulté les urgences le 07.01 avec traitement par paracétamol (1 g 3x/j) et Tramadol (50 mg 3x/j) sans effet. Ajout par Dr. X le 08.01.2019 de Novalgine (500 mg 3x/j) sans effet, infiltration par Dr. X au niveau lombaire paravertébral gauche (localisation exacte inconnue, probablement superficielle) avec accalmie de quelques heures. Patient adressé par Dr. X pour hospitalisation pour situation non gérable ambulatoirement. A noter, à l'anamnèse systématique, des vertiges de type instabilité à la marche, investigués d'un point de vue ORL et neurologique, sans explication trouvée jusqu'à ce jour. Au cours de son hospitalisation, nous avons tenté d'adapter les antalgiques avec une bonne évolution des douleurs malgré des douleurs aigües principalement la nuit. Au bilan biologique d'entrée, nous avons découvert une hypothyroïdie que nous avons commencé à substituer par Euthyrox 25 mcg/j. Nous vous proposons donc de contrôler les hormones thyroïdiennes à 3 mois.Parallèlement à cela, le patient a bénéficié d'une réadaptation par physio- et ergothérapies intensives. À l'entrée, le FIM pour les transferts était de 6, le FIM pour la marche était de 2 sur 30 m avec deux cannes, le FIM escaliers était de 5 sur un étage à l'aide de la rampe et des cannes, et le Tinetti était de 20/28 avec cannes. À la sortie, le FIM transfert est à 6, le FIM marche est à 6, le FIM escaliers est à 5 et le Tinetti à 22/28 avec cannes. Banquier à la retraite depuis 2001. Il était très sportif toute sa vie. Habite avec son épouse dans une maison sur deux étages (la chambre et les toilettes sont au premier étage). Il était complètement indépendant pour les AVQ avant ces douleurs. Devant une bonne évolution, le patient peut retrouver son domicile le 05.02.2019. Patient de 77 ans, connu pour une cardiopathie rythmique, hypertensive et ischémique à FEVG conservée, qui consulte au service des urgences le 17.02.2019 en raison d'une dyspnée d'installation rapide le jour même. À noter un état grippal avec un état fébril associé depuis 2 jours. Sur site, le patient est hypertendu à 168/92 mmHg et désature à 55% à l'air ambiant. Au service des urgences, le patient est hypertendu à 204/122 mmHg. Il présente des signes de détresse respiratoire et des râles crépitants diffus à l'auscultation pulmonaire. Une insuffisance respiratoire partielle est mise en évidence à la gazométrie. La radiographie de thorax montre des signes de surcharges cardiaques et un foyer basal gauche. L'origine de l'insuffisance respiratoire est probablement mixte sur la pneumonie et un OAP sur pic hypertensif. Le patient est initialement hospitalisé aux soins intensifs et bénéficie de VNI. Un contrôle de la tension est effectué avec des nitrés et du furosémide iv est introduit. Après 24h aux soins intensifs, l'évolution respiratoire est favorable, permettant un transfert à l'étage de médecine le 18.02.19. Sur le plan infectieux, une antibiothérapie par ceftriaxone-métronidazole est introduite dès le 17.02.2019. Devant une suspicion de grippe, du Tamiflu est préventivement introduit, jusqu'à réception du frottis de grippe négatif. Les antigènes urinaires reviennent négatifs. Au vu de l'évolution favorable, un relais per os par co-amoxicilline est fait le 22.02.2019 pour une durée d'antibiothérapie totale de 7 jours. Sur le plan cardiaque, le patient bénéficie d'une échocardiographie qui est sans particularité hormis une dilatation importante du ventricule droit avec une FEVG conservée. Le contrôle du pacemaker est sans particularité. Nous proposons d'effectuer une échocardiographie à distance pour suivre cette dilatation inexpliquée du ventricule droit. Nous proposons également d'effectuer un test d'effort afin de bilanter la perméabilité des pontages. Sur le plan endocrinien, au vu du profil tensionnel élevé, initialement difficilement contrôlable et au vu de l'antécédent de phéochromocytome, nous prenons avis auprès du Dr. X. Nous effectuons alors un CT abdominal de la surrénale restante, qui est superposable au comparatif. Le bilan sanguin pour bilanter l'axe corticotrope est encore en cours. Le patient présente finalement un profil tensionnel adéquat à la fin de son séjour avec majoration du physiotens, des bêta-bloquants et introduction du torasémide. Sur le plan métabolique, nous suspendons les chélateurs de potassium lors du séjour au vu des valeurs laboratoires et de l'effet hypokaliémant des diurétiques. Nous agendons cependant un contrôle biologique rapproché à votre consultation le 01.03.2019. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 25.02.2019. Patient de 78 ans admis pour une coronarographie élective en raison d'un angor stable. La coronarographie du 21.02.2019 montre une maladie tritronculaire avec un bon résultat des angioplasties au niveau du tronc commun et de l'artère bissectrice proximale. À noter une sténose significative de la partie distale de l'artère bissectrice englobant la portion distale du stent. Nous procédons à une angioplastie de la partie distale de l'artère bissectrice sans stent, mais avec l'utilisation de ballon à élution de médicaments sur le site du stent distal et sur l'artère bissectrice native distalement au stent. À noter une sténose significative chronique de l'artère interventriculaire antérieure proximale et une occlusion de l'artère coronaire droite proximale avec une occlusion de pontage saphène CD II, du pontage saphène Cx II. La perméabilité de pontage mammaire gauche pédiculée IVA II est normale. Le patient présente une altération modérée de la fraction d'éjection globale du ventricule gauche (47%) avec un anévrysme diaphragmatique et une dyskinésie apicale. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est à maintenir. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 22.02.2019. Patient de 78 ans admise pour une coronarographie élective en raison d'un angor stable. La coronarographie du 12.02.2019 montre une maladie coronarienne bitronculaire avec une sténose significative de l'artère circonflexe proximale, une sténose subocclusive de l'artère circonflexe moyenne, englobant l'origine de la seconde marginale (lésion de bifurcation), et une sténose subocclusive de l'artère coronaire droite proximale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est normale. Nous avons procédé à la pose d'un stent actif au niveau de la coronaire droite proximale et mise en place de deux stents actifs sur la coronaire circonflexe proximale et moyenne avec bon résultat final. Une ergométrie avec échocardiographie est prévue dans 3 mois à la consultation du Dr. X. Un traitement de double antiagragation par Aspirine pour 1 mois et Plavix pour 12 mois est introduit avec la poursuite de l'anticoagulation à vie. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 13.02.2019. Patient de 78 ans, connu pour une BPCO de stade IV, hospitalisé en raison d'une décompensation BPCO dans le contexte d'une infection virale à RSV. Mr. Y présente depuis plusieurs jours une péjoration de sa dyspnée habituelle avec une majoration du volume de ses expectorations pour lesquels son médecin traitant lui prescrit un macrolide durant 3 jours, avec notion de contage chez son épouse qui aurait développé une bronchite virale récemment. À noter que le patient est vacciné contre la grippe. À l'admission, il présente une insuffisance respiratoire hypercapnique avec une acidose mixte respiratoire et lactique, raison pour laquelle il est initialement hospitalisé aux soins intensifs. Un traitement par des séances de ventilation non invasive est initié et le traitement de corticoïdes est majoré pendant 5 jours. L'oxygénothérapie est poursuivie avec un retour aux besoins habituels. Il bénéficie de physiothérapie respiratoire et de mobilisation. Aucune antibiothérapie n'est introduite. Lors de son séjour aux soins, le patient présente deux épisodes d'agitation nocturne ; un événement est associé à une péjoration respiratoire avec une hypercapnie majeure probablement dans le contexte de prise de benzodiazépine, qui s'améliore grâce à la VNI. Le second épisode s'inscrit dans un contexte de rétention urinaire aiguë et se corrige après sondage vésical. La metformine à l'origine de l'hyperlactatémie initiale est suspendue au cours du séjour aux soins. Les glycémies sont transitoirement corrigées avec une insuline d'action rapide, puis le traitement de metformine est majoré.Dans la nuit du 27.01 au 28.01.2019, le patient présente un épisode de désaturation massive nécessitant une réadmission aux soins intensifs pour une surveillance respiratoire. L'administration d'aérosols d'Atrovent et Ventolin permet une rapide amélioration. L'origine de la désaturation reste peu claire. Un épisode d'obstruction des voies aériennes sur un possible SAOS est évoqué. L'équipe de pneumologie est impliquée le 28.01.2019 et une polysomnographie est réalisée, qui confirme un SAOS modéré. Une nouvelle polysomnographie avec appareillage est effectuée le lendemain, très mal tolérée par le patient. Après discussion avec les pneumologues et selon le souhait du patient, il est décidé de ne pas poursuivre avec la ventilation non invasive, bien qu'indiquée dans ce contexte. Le patient poursuivra son suivi pneumologique auprès de Dr. X avec un contrôle prévu le 02.04.2019. Sur le plan urologique, chez ce patient connu pour une hypertrophie de la prostate traitée par Tamsulosine, l'ablation de la sonde vésicale mise en place aux soins intensifs échoue à 2 reprises. Dans ce contexte, le patient rentre à domicile avec la sonde en place et un contrôle urologique est prévu le 19.02.2019 auprès du Dr. X, urologue traitant. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mr. Y rentre à domicile le 05.02.2019, avec la poursuite de l'oxygénothérapie à domicile et la mise en place d'aérosols grâce à la Ligue pulmonaire. Patient de 78 ans, connu pour une cardiopathie mixte et une BPCO non stadée, récemment hospitalisé pour un syncope vaso-vagale, qui est conduit en ambulance le 14.01.19 en raison d'une dyspnée progressive qui progresse depuis 2 jours, avec toux et expectorations jaunâtres. Les infirmières des SAD rapportent de même 3 épisodes de selles liquides ce jour. A l'arrivée des ambulanciers, le patient est NT, NT, afébrile, avec désaturation à 85%. Aux urgences, le patient est normocarde et normotendu avec saturation à 95% sous 2L O2. L'examen clinique révèle des MV symétriques avec sibilances diffuses et ronchis sur les deux plages pulmonaires. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec CRP 180 et leucocytose à 11.3 G/l. La gazométrie artérielle montre un pH à 7.44, PO2 à 8.5 et PCO2 4.7. La radiographie de thorax montre une importante réorganisation de la trame bronchovasculaire, sans foyer infectieux constitué. Une exacerbation de BPCO non stadée avec 3/3 de critères d'Anthonisen est retenue. Le patient bénéficie d'un traitement bronchodilatateurs par Atrovent et Ventolin 3x/j avec antibiothérapie par Co-amoxicilline 2.2g 3x/j dès le 14.02.19 et Prednisone 40 mg 1x/j et Fluimucil dès le 15.02.19. Le patient est hospitalisé en médecine pour suite de prise en charge. Au 1er matin du 17.02.19, le patient développe une insuffisance respiratoire aiguë avec désaturation à 78% sous O2 aux lunettes avec détresse respiratoire sur utilisation des muscles accessoires et ballonnement thoraco-abdominal, avec HTA à 186/114, FC 74 bpm, T 37. L'examen clinique révèle des sibilances diffuses des deux plages pulmonaires avec hypoventilation diffuse. La gazométrie artérielle montre une acidose respiratoire avec pH 7.11, pCO2 12.7kPa, pO2 11.4kPa, Bic 29mmol/l. Le bilan biologique montre une leucocytose stable à 10.4 avec CRP à la baisse à 60mg/l. La radiographie de thorax (couché) ne montre pas de foyer infectieux ni signes de surcharge cardiaque. Le traitement par aérosols x2 Atrovent 250mcg et Ventolin 0.5ml est répété, sans effet, et le patient est ainsi transféré aux urgences pour séances de VNI. Après une heure de VNI, la gazométrie s'améliore avec pH 7.30, PCO2 7.8, PO2 9.6, lactates 2.6. Une corticothérapie par Solumedrol 125mg iv est débutée au matin. Cependant, des signes de détresse respiratoire persistent, avec tirage sus-sternale et désaturation au moindre effort sous 5L d'O2. Une nouvelle séance de VNI est tentée, cependant mal tolérée et refusée par le patient, refusant toute ventilation au masque et traitement bronchodilatateur. Après discussion avec le patient et son épouse, ces derniers souhaitant des mesures de soutien respiratoire, un transfert aux SI de Payerne est décidé pour manque de place sur le réseau Fribourgeois. Patient de 78 ans, nous est adressé en électif pour l'installation d'un pacemaker défibrillateur de resynchronisation. Mr. Y est opéré le 04.02.2019. Le cliché du thorax permet d'exclure une complication. Un premier contrôle de l'appareil le 04.02.2019 confirme le fonctionnement correct du pace. Mr. Y rentre à son domicile le 05.02.2019. Patient de 78 ans, se présente aux urgences pour une baisse de l'état général, avec douleurs thoraciques, toux et expectorations. Un diagnostic de pneumonie lobaire droite est rapidement retenu et une antibiothérapie est débutée. L'évolution respiratoire est favorable sous bronchodilatateurs et oxygène, que nous parvenons à sevrer. Au cliché du thorax d'entrée, nous objectivons une masse pulmonaire suspecte à droite, que nous vous invitons à investiguer à distance de l'épisode infectieux par un CT-scan. Aux urgences, les médecins retiennent une légère décompensation cardiaque congestive, dans le contexte infectieux, et préconisent la poursuite du traitement diurétique habituel du patient. L'évolution cardiaque est favorable, avec une rémission totale des signes de surcharge initialement retrouvés. Mr. Y développe par ailleurs un podagre, que nous traitons par anti-inflammatoires, colchicine et corticostéroïdes. Nous procédons à un cliché du pied et à une ponction de l'articulation incriminée. Le cliché ne permet pas de retrouver de lésion lytique ni d'érosion. Le reste des examens reste en cours d'analyse. Mr. Y sera convoqué à distance en rhumatologie. L'évolution globale étant favorable, Mr. Y rentre à domicile le 19 février. Patient de 78 ans, qui consulte aux urgences le 18.02.2019 pour une aggravation de sa dyspnée habituelle, associée à des symptômes d'IVRS. Au status, le patient a des sibilances diffuses. Une décompensation de BPCO est suspectée. La radiographie thoracique ne met pas en évidence de foyer infectieux. L'évolution clinique est rapidement favorable avec des aérosols d'Atrovent et Ventolin, permettant un retour à domicile le 21.02.19. Patient de 80 ans admis pour une coronarographie élective dans le cadre du bilan d'une sténose aortique serrée. La coronarographie du 15.02.2019 confirme la sténose aortique serrée avec une sténose critique de l'IVA. Nous procédons à une angioplastie de l'IVA avec 1 stent actif et un bon résultat immédiat. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 3 mois est introduit. Le reste du traitement reste inchangé. Un angio-CT est prévu dans une semaine dans le cadre du bilan pré-TAVI. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 16.02.2019. Patient de 80 ans admis pour une coronarographie élective en raison de l'aggravation de sa dyspnée et des douleurs angineuses. La coronarographie du 15.02.2019 confirme une nouvelle resténose serrée dans l'IVA. Le reste du statut coronarien est inchangé par rapport à 2014. Une angioplastie de l'IVA avec un nouveau stent actif est effectuée avec un excellent résultat immédiat. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 12 mois est introduit. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 16.02.2019. Patient de 80 ans, se présente au service des urgences avec une pneumonie basale gauche, objectivée par le cliché du thorax. Notre frottis naso-pharyngé témoigne de la présence de l'Influenza virus.Nous initions donc un traitement antiviral par tamiflu, ainsi qu'un traitement antibiotique par rocéphine. Mr. Y est par ailleurs soumis à des séances de physiothérapie respiratoire intensives, ainsi qu'à des substances bronchodilatatrices en réserve. L'évolution respiratoire est rapidement favorable, avec une résolution de la dyspnée. Nous objectivons par ailleurs une fibrillation atriale à l'ECG. Une échographie met en évidence une cardiomyopathie hypertrophique asymétrique, compatible avec une amyloïdose ou secondaire à l'hypertension artérielle. Nos cardiologues préconisent un contrôle en ambulatoire, avec une éventuelle IRM cardiaque, afin d'écarter le diagnostic d'amyloïdose. Par ailleurs, nous installons un R-test. Le résultat vous sera communiqué ultérieurement. Au vu des troubles de la marche présentés par le patient, nous l'adressons en réadaptation gériatrique à Riaz. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 81 ans, connu pour une sténose aortique sévère avec bloc de branche droit complet, est hospitalisé électivement par Dr. X pour une pose de pacemaker pré-TAVI. A l'admission, le patient est asymptomatique. La pose de pacemaker se complique par un important hématome en regard de la plaie chirurgicale. Un contrôle clinique est effectué par l'infirmière en cardiologie, qui note une stabilité de l'hématome après la progression initiale. Le patient présente en parallèle une réaction allergique cutanée au pansement du pacemaker, qui est remplacé par un pansement hypoallergénique, avec une évolution favorable. Au vu de l'hématome, un nouveau contrôle de plaie est organisé en cardiologie le 21.02.2019. Mr. Y rentre à domicile le 15.02.2019. Le patient sera revu en consultation cardiologique auprès de Dr. X à l'HFR Fribourg le 28.03.2019. Mr. Y, 81 ans, est adressé pour la suite de la prise en charge d'une pneumonie, qu'il a traitée par levofloxacine et azithromycine depuis le premier février. Nous confirmons votre diagnostic de pneumonie, et initions dès lors un traitement par co-amoxicilline IV. Nous introduisons par ailleurs des bronchodilatateurs ainsi que des séances de physiothérapie. L'évolution est rapidement favorable, avec une résolution de la dyspnée. Nous objectivons toutefois un INR suprathérapeutique, sans hémorragie extériorisée, et adaptons le traitement d'acenocoumarolum. Nous vous proposons de recontrôler à distance l'INR et la posologie de cette médication. Mr. Y retourne à domicile le mardi 12 février. Mr. Y, 81 ans, est adressé pour la suite de la prise en charge d'une pneumonie, qu'il a traitée par levofloxacine et azithromycine depuis le 01.02.2019. Nous initions un traitement par co-amoxicilline IV. Nous introduisons par ailleurs des bronchodilatateurs ainsi que des séances de physiothérapie. L'évolution est rapidement favorable, avec une résolution de la dyspnée. Nous objectivons toutefois un INR suprathérapeutique, sans hémorragie extériorisée, et adaptons le traitement de sintrom. Nous vous proposons de recontrôler à distance l'INR et la posologie de cette médication. Mr. Y retourne à domicile le mardi 12.02.2019. Mr. Y, 82 ans, connu pour un cancer urothélial de la vessie métastatique au niveau médiastinal et hépatique sous Keytruda, est envoyé par son médecin traitant aux urgences pour une suspicion d'infection urinaire haute chez ce patient également porteur d'une néphrostomie gauche. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire et une péjoration de la fonction rénale. Le sédiment confirme la présence d'un urosepsis. Le patient est alors mis sous antibiothérapie intraveineuse pour 7 jours par ceftriaxone. L'évolution clinique est rapidement favorable. Par la suite, la culture d'urine révèle la présence de Pseudomonas et Enterococcus faecium. Selon l'avis de notre collègue infectiologue Dr. X, ces germes sont à considérer comme des colonisants compte tenu de la bonne évolution clinique du patient sous ceftriaxone qui ne couvre pas les germes en question. Il n'existe actuellement pas d'indication à changer la néphrostomie selon lui, excepté en cas de sepsis sous ceftriaxone. Au cours du séjour, le patient présente des hyperglycémies en particulier en milieu de journée. Nous contactons alors nos collègues diabétologues qui proposent une majoration de l'insuline rapide du matin. Un contrôle est agendé chez eux au 8.4.2019. Mr. Y rentre à domicile le 19.2.2019 avec poursuite de l'aide des soins à domicile et un contrôle en diabétologie en mars. Poursuite du suivi oncologique auprès de Dr. X. Mr. Y, 83 ans, admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique après un accident vasculaire cérébral ischémique. Mr. Y a depuis plusieurs jours une bronchite avec apparition d'un état fébrile. Le patient présente une dysarthrie et une aphasie sévère avec un état confusionnel aigu et une parésie de l'hémicorps droit d'apparition soudaine objectivée par l'épouse. Il est immédiatement amené en ambulance aux urgences. Le CT fait suspecter une lésion ischémique non constituée au niveau temporal gauche avec la présence d'un embole calcifié dans le territoire sylvien gauche. De plus, de multiples emboles calcifiés sont présents au niveau de l'hémisphère gauche avec une sténose carotidienne gauche sévère athéromateuse. Une lyse est débutée à 2h du début des symptômes avec arrêt après 27 minutes à la demande du neurologue en raison d'un syndrome inflammatoire concomitant. En effet, le diagnostic différentiel d'état confusionnel aigu dans le contexte septique est considéré, compte tenu du tableau clinique et du syndrome inflammatoire. L'évolution neurologique est fluctuante avec un NIHSS variant entre 4 et 8, les troubles phasiques, exécutifs et la désorientation étant au premier plan. Le CT de contrôle à 24h permet d'exclure une transformation hémorragique. L'IRM permettra de confirmer l'origine cérébro-vasculaire. Une dyslipidémie est constatée et l'hémoglobine glyquée est dans la norme. Une statine ainsi qu'un antiagrégant plaquettaire sont introduits. Le bilan cardiologique est prévu. Une exacerbation de la BPCO est retenue comme explication du syndrome inflammatoire, compte tenu du changement de la qualité et quantité d'expectorations. Compte tenu de l'absence de dyspnée ou de détresse respiratoire, un traitement aérosol simple avec une couverture antibiotique courte est introduit. Il n'y a pas de foyer radiologique. Le frottis de la grippe est négatif. L'état confusionnel aigu plutôt hyperactif d'origine probablement mixte dans le contexte de l'AVC et de l'état infectieux est jugulé avec du halopéridol. Une adaptation du traitement est à effectuer en fonction de l'évolution. L'anémie à priori chronique et d'origine indéterminée sera à bilanter au décours de l'épisode infectieux. Mr. Y, 83 ans, est adressé par les urgences pour une suspicion d'un STEMI devant des douleurs thoraciques typiques et un bloc de branche gauche nouveau. Le patient est initialement considéré comme STEMI (BBG nouveau et DRS depuis 10h de temps). Lors de la coronarographie, on constate que les stents sont tous perméables, pas de nouvelle lésion par rapport à la coronarographie de juin 2018, à l'exception d'une branche de la RV qui est sub-totale. On tente de recanaliser cette branche avec succès intermédiaire, l'occlusion est probablement chronique. On renonce en raison de la charge de contraste à poursuivre une recanalisation d'un vaisseau non culprit.Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 1 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Devant l'insuffisance cardiaque, nous demandons une échocardiographie qui montre pas de changement par rapport au dernier contrôle en 10.2018, avec une FEVG à 33%. Nous majorons le traitement par Torasemide à 20 mg 2x/j. Pour une suspicion d'une TVP, nous avons demandé un consilium angiologique qui est toujours en cours au moment du transfert du patient. Devant la double anti-agrégation plaquettaire, la décompression vertébrale prévue pour le 04.02.2019 a été reportée après avoir discuté avec nos collègues orthopédistes. Le patient sera reconvoqué d'ici environ 6 semaines, 2 semaines après l'arrêt de l'Efient pour l'intervention du rachis. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications et le patient est transféré à l'étage en médecine interne pour la suite de prise en charge de la décompensation cardiaque. Patient de 83 ans, connu pour une maladie coronarienne tritronculaire, adressé au service des urgences pour des douleurs thoraciques. Le patient présente au service des urgences une douleur rétrosternale de type angor depuis une dizaine d'heures et un bloc de branche gauche nouveau, sans cinétique des troponines. Le patient est initialement considéré comme un STEMI au vu du BBG nouveau. Lors de la coronarographie, les cardiologues constatent que les stents sont tous perméables, pas de nouvelle lésion par rapport à la coronarographie de juin 2018, à l'exception d'une branche de l'artère rétroventriculaire postérieure qui est sub-totalement occlusive. Ils tentent de recanaliser cette branche avec succès intermédiaire, l'occlusion est probablement chronique. Les cardiologues renoncent à poursuivre une recanalisation d'un vaisseau « non culprit ». Par après, nous constatons que le bloc de branche gauche avait déjà été décrit par le passé. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1x/jour à vie et Efient 10 mg 1x/jour pour 1 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complication. Le patient est ensuite transféré à l'étage. Au niveau cardiologique, le patient présente des oedèmes des membres inférieurs jusqu'aux genoux et des râles crépitants aux bases pulmonaires. Devant l'insuffisance cardiaque, nous demandons une échocardiographie qui ne montre pas de changement par rapport au dernier contrôle en 10/2018, avec une FEVG à 33%. Nous introduisons momentanément un traitement de Lasix avec une amélioration clinique. Ensuite, nous réintroduisons un traitement par Torem. Nous proposons en ambulatoire un suivi du poids rapproché et un contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Pour une suspicion d'une thrombose veineuse profonde, nous demandons un avis angiologique. Un ultrason permet d'exclure une thrombose veineuse profonde. Devant la double anti-agrégation plaquettaire introduite pour un mois, la décompression vertébrale prévue le 04.02.2019 a été annulée après avoir discuté avec les collègues orthopédistes. Le patient sera reconvoqué pour un bilan anesthésiologique et l'opération est replanifiée pour le 22.03.2019. Au niveau rénal, le patient présente une insuffisance rénale aiguë sur chronique avec composante pré-rénale. Une hydratation permet une amélioration biologique. Le patient rentre à domicile le 06.02.2019. Patient de 83 ans, institutionnalisé à Humilimont, connu pour une épilepsie séquellaire post-AVC, amené aux urgences en raison de deux crises tonico-cloniques le soir du 11.02.2019 : à 18h50, il s'efface et est rattrapé par une infirmière avant de chuter. Puis, il présente une crise tonico-clonique qui dure moins de 5 minutes, avec perte d'urine et inconscience post-critique. Vers 19h10, il refait une crise de durée indéterminée. À l'arrivée des ambulanciers, le patient présente un nystagmus vers la gauche et des convulsions. Il reçoit 5 mg de Midazolam en intra-nasal, puis est amené aux urgences. À l'examen clinique d'entrée, les voies aériennes sont libres, mais chute en arrière de la langue, ronflements. Saturation à 86% à l'air ambiant, qui remonte à 89% sous O2, et avec une canule de Guedel à 96%. Patient normocarde, avec des bruits cardiaques réguliers. Pouls périphériques perçus, bonne perfusion en périphérie. Sur le plan neurologique, Glasgow à 6/15 (yeux 1 + motricité 4 + verbal 1), pupilles en myosis symétrique réactif. Du point de vue digestif, abdomen souple, dépressible, indolore à la palpation. Bruits hydro-aériques normaux. Le reste de l'examen clinique est non contributif. Le bilan sanguin montre une bonne fonction rénale, pas de trouble électrolytique, des tests hépato-pancréatiques dans la norme hormis les LDH et la bilirubine directe qui sont légèrement augmentés. Les CK sont dans la norme, il n'y a pas de syndrome inflammatoire. INR supra-thérapeutique à 3.6. La gazométrie montre une acidose respiratoire avec une hypoxémie sévère, avec une PO2 à 7.3 kPa et des lactates à 10.3 mmol. Nous effectuons un CT cérébral qui ne montre pas de saignement intra-crânien, ni de fracture mais des séquelles d'accident vasculaire cérébral ischémique sylvien superficiel gauche en fronto-temporal. Un avis est pris auprès du neurologue de garde qui, au vu de crises tonico-cloniques généralisées sans facteur déclenchant, propose d'augmenter le Levetiracetam à 1000 mg - 2 x/jour et d'ajouter de l'Urbanyl 5 mg - 2 x/jour durant 2 jours, puis de recontacter le neurologue traitant pour la suite de la prise en charge. Une radiographie du thorax montre, par rapport au cliché du 14.07.2018, une cardiomégalie connue, inchangée, la suspicion d'un épanchement pleural basal gauche modéré, un bronchogramme aérique de la région rétro-cardiaque pouvant faire évoquer une broncho-aspiration, déjà en partie visible sur la radiographie du 14.07.2018, et une plage pulmonaire droite sans particularité. Au vu de la suspicion de foyer pulmonaire basal gauche, le patient bénéficie d'une antibiothérapie iv durant le séjour, relayée per os du 13.02 au 17.02.2019 inclus. Concernant l'INR supra-thérapeutique, le patient ne reçoit pas de Sintrom le jour de l'admission (doute si cpr donné au foyer). Un contrôle biologique le lendemain montre un INR thérapeutique à 2.8. À l'examen clinique le 12.02.2019, le patient présente un Glasgow à 15/15 et il est hémodynamiquement stable. Dr. X, neurologue traitant du patient, propose d'effectuer un EEG le jour même, qui se révèle de mauvaise qualité mais sans signe de foyer épileptiforme. Le taux de Levetiracetam initial est thérapeutique (35.5 ug/ml pour une norme entre 20 et 40). Il propose également de poursuivre le Levetiracetam à 1000 mg - 2 x/jour au long cours et l'Urbanyl 5 mg - 2 x/jour jusqu'au 13.02.2019. Mr. Y regagne le foyer le 12.02.2019. Un contrôle en fonction de l'évolution clinique sera à prévoir à la consultation du Dr. X, neurologue, que nous vous laissons le soin d'organiser. Patient de 83 ans transféré des urgences de Payerne pour un NSTEMI. Le patient présente depuis 2 semaines un angor à l'effort avec une nette péjoration au cours des 2 derniers jours. Actuellement, il présente une douleur typique au moindre effort avec un épisode au repos lors du séjour aux urgences. Les troponines reviennent à 194 ng/l et le patient nous est transféré pour une coronarographie en urgences.La coronarographie du 15.02.2019 montre une maladie coronarienne tritronculaire très diffuse, mais touchant presque uniquement les segments proximaux. Ceci conduit à une dysfonction VG systolique sévère avec insuffisance mitrale légère. Les valeurs de remplissages ventriculaires sont élevées. Après discussion avec le patient et le Dr. X au vu d'artères mammaires de bons calibres et de sténoses non critiques des aa. carotidiennes, l'indication à une revascularisation chirurgicale la semaine prochaine est retenue. Le patient est transféré aux soins continus de chirurgie cardiaque le 16.02.2019. Un traitement diurétique est instauré dans le cadre d'une décompensation cardiaque avec l'introduction d'un traitement de sartan et beta-bloqueur à petite dose au un profil tensionnel acceptable. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient est transféré au CHUV le 16.02.2019. Patient de 84 ans admis en stroke unit monitorée pour une surveillance neurologique après lyse d'un accident vasculaire cérébral ischémique. Le patient présente une dysarthrie avec un hémisyndrome droit objectivé par la famille. Il est immédiatement amené en ambulance aux urgences. Le CT révèle une lésion ischémique non constituée au niveau du territoire sylvien antérieur droit. Une lyse est débutée à 1h30 du début des symptômes. L'évolution neurologique est favorable avec une résolution de la dysarthrie et une ptose labiale résiduelle. Le CT de contrôle à 24h permet d'exclure une transformation hémorragique. Le bilan lipidique et glycémique est dans la norme. Une statine ainsi qu'un anti-agrégant plaquettaire sont introduits. L'IRM de contrôle ainsi que le bilan cardiologique sont prévus. Un épisode de diarrhée ou d'incontinence fécale a lieu pendant le séjour aux SIC. Le patient est hydraté et une surveillance clinique simple est à poursuivre. Patient de 84 ans qui consulte le 18.02.2019 en raison de douleur à la mâchoire exacerbée à la mobilisation et cédant après prise de nitrés depuis une semaine. Son médecin l'adresse aux urgences pour une suspicion d'angor instable. La coronarographie du 18.02.2019 montre un bon résultat à court terme après stenting de l'IVA proximale sans resténose. À noter une lésion très calcifiée à 80% juste après le segment stenté ainsi qu'un rétrécissement très serré sur l'ensemble de l'IVA distale. L'artère circonflexe est très tortueuse et montre une lésion subtotale (branche marginale). Nous avons procédé à la dilatation de l'IVA moyenne avec échec d'implantation de stent en raison de la tortuosité et de la calcification sévère du segment. Le flux final est normal et la patiente reste asymptomatique. Un traitement de double anti-agrégation par Aspirine à vie et Plavix pour 6 mois est à poursuivre. Un contrôle est à prévoir dans 2-3 semaines auprès du médecin traitant. Une ergométrie est prévue dans 6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 19.02.2019. Patient de 84 ans qui nous est adressé depuis le service de médecine HFR Riaz pour réadaptation gériatrique suite à une urosepsie à E. Coli. À son arrivée, le patient est stable, normocarde, normotendu et afébrile, sans plainte mais signalant une perte d'appétit et de force depuis sa dernière chute. Le status est sans particularité mis à part des œdèmes des membres inférieurs avec signe du godet jusqu'aux chevilles. Sur le plan infectieux, nous poursuivons la Ciproxine comme prévu, le bilan biologique étant favorable. Le patient présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Une courte évaluation sociale signale un patient veuf et vivant seul. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 23/30 et un test de la montre à 7/7. Durant son séjour, le patient réalise une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À la sortie, le patient marche seul et à l'aide de deux cannes, parvenant à gravir 18 marches avec la rampe. Il est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale s'élève à 94/126, par rapport à 83/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 12.4 secondes avec rollator. Le risque de chute est intermédiaire. Au niveau nutritionnel, le patient est pris en charge par le service de nutrition dans le contexte d'une malnutrition protéino-énergétique modérée, en lien avec une inappétence et une mise à jeun sans support nutritionnel post-opératoire lors de sa dernière hospitalisation il y a 1 mois, et démontrée par un NRS à 4/7 ainsi qu'une perte de 9.5% de son poids en moins d'un mois. Progressivement, le patient reprend du poids durant le séjour, mais n'atteint pas encore son poids de forme de 74kg. Néanmoins, son alimentation est suffisante en énergie et en protéines, lui permettant donc de couvrir ses besoins énergétiques théoriques à 100%. Le patient consomme depuis la précédente hospitalisation un supplément nutritif oral par jour. En raison de problèmes dentaires, une alimentation à texture adaptée (mixée lisse) lui est proposée. Actuellement, le patient reçoit une alimentation hachée fin, qui lui convient. Cependant, nous n'observons aucune contre-indication à ce qu'il consomme une alimentation normale, ce que le patient ne souhaite pas pour le moment. Un suivi ambulatoire par Nutradom avait été organisé lors de sa dernière hospitalisation en décembre 2018. Au niveau ergothérapeutique, nous procédons à une évaluation des difficultés du patient dans les activités de la vie quotidienne, avec une aide et des stratégies proposées afin de pallier ses déficits. Pour la sortie, la famille du patient exprime son souhait d'un court séjour en établissement médico-social afin de consolider les acquis et stabiliser l'état du patient. Une admission au Foyer St-Germain a donc lieu le 28.01.2019. Patient de 85 ans, adressé en ambulance par l'infirmière des soins à domicile en raison de soins impossibles à domicile. À l'admission, le patient ne rapporte pas de plaintes, hormis des cervicalgies connues de longue date. Selon l'hétéro-anamnèse auprès de l'épouse et de la fille de Mr. Y, ainsi que de l'infirmière des soins à domicile, la situation est dépassée à domicile, avec un épuisement des proches. En effet, le patient semble présenter des chutes à répétition, un refus de soins avec une incurie, et un refus de s'alimenter suite à la perte de sa prothèse dentaire. Actuellement, l'épouse souhaiterait un placement en EMS pour son mari. Mr. Y souhaitant davantage un retour à domicile, nous effectuons un bilan neuropsychologique afin d'évaluer sa capacité de discernement concernant son orientation. Ce dernier montre un trouble neurocognitif majeur d'intensité modérée d'origine probablement multifactorielle, sans compromettre sa capacité de discernement quant au choix de son lieu de vie. Dans ce contexte, nous décidons d'organiser un réseau avec son épouse, sa fille et l'infirmière des soins à domicile, qui se déroulera dans les jours à venir, afin de clarifier le projet de sortie. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Patient de 85 ans connu pour des troubles cognitifs, diabète de type 2 traité par anti-diabétique oral, cardiopathie ischémique avec quadruple pontage aorto-coronarien en 2005 et angioplastie de l'IVA avec pose de stent actif pour angor d'effort le 13.11.2014, qui est adressé en ambulance depuis le foyer de Bouleyres par le médecin pour un état confusionnel aigu depuis le 18.01.2019 soir. En effet, depuis le 18.01.2019 soir, le patient était convaincu que sa femme était décédée et voulait sauter du 1er étage pour se suicider. Signalons aussi une notion de chute le 18.01.2019 au soir sans perte de connaissance ni traumatisme crânien. A l'arrivée aux urgences, Mr. Y ne se plaint d'aucune douleur, ni de dysurie, ni de dyspnée. Il rapporte néanmoins d'occasionnelles douleurs à la hanche droite, chroniques lors du mouvement. Ce dernier signale en outre ressentir parfois des douleurs abdominales diffuses. Au status effectué aux urgences, nous trouvons un patient désorienté dans le temps et dans l'espace, avec des nerfs crâniens sans particularité, et une force à M5 aux 4 membres. Au niveau cardiaque, le rythme est irrégulier et sans souffle audible. Notons la présence d'oedèmes des membres inférieurs discrets prenant le godet jusqu'à mi-cuisse, avec bas de contention en place. Au niveau pulmonaire, signalons un murmure vésiculaire symétrique avec hypoventilation bibasale. Le status abdominal met en évidence une douleur diffuse en hémi-abdomen gauche et au niveau sus-pubien, avec un abdomen globalement distendu et induré. Le reste du status est sans particularité. Aux urgences, nous effectuons un bilan biologique qui indique une insuffisance rénale chronique acutisée et une anémie normocytaire microchrome connue, avec hémoglobine à 101g/l. Nous effectuons une radiographie du thorax qui est sans particularité. Vu la présence d'une altération de l'état de conscience habituel du patient, nous effectuons un CT cérébral natif permettant d'exclure un saignement intracrânien. Il n'y a pas de signe d'AVC ischémique aigu ou subaigu. Le sédiment urinaire est propre. Nous effectuons un bladder scan qui montre un globe urinaire. Une sonde vésicale est alors posée, récoltant 1 litre d'urine. Nous effectuons une radiographie de l'abdomen qui relève une coprostase. Un lavement a été fait. Nous retenons comme diagnostic un état confusionnel aigu que nous mettons sur le compte d'un globe urinaire et d'une coprostase. Le patient est hospitalisé en gériatrie pour la suite de sa prise en charge. A son arrivée à l'étage, le patient est moins agité la journée, mais toujours confus sur la nuit. Nous discutons avec le psychogériatre de Marsens et un traitement avec de la Quétiapine à dose progressive pour atteindre 37.5mg a été mis en place le soir, avec une bonne évolution et des nuits beaucoup plus calmes depuis. Pendant l'hospitalisation, nous remarquons une surélévation du testicule gauche par rapport au testicule droit. De plus, le testicule gauche est de consistance augmentée. Nous prenons contact avec le home qui nous dit ne pas savoir s'il s'agit de quelque chose de nouveau ou pas. Nous effectuons un US des testicules qui montre une ascension du testicule gauche, présentant de multiples calcifications grossières, correspondant à un processus ancien, mais pas d'évidence de néoplasie. Vu que le patient est asymptomatique, aucune suite de prise en charge n'est effectuée. Durant le séjour, Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un tintébin est de 25 mètres. Les escaliers ne sont pas testés. Finalement, Mr. Y peut regagner le Foyer de Bouleyres le 29.01.2019. Patient de 87 ans admis pour une coronarographie élective en raison de douleurs rétrosternales irradiant dans l'épaule gauche. La coronarographie du 15.02.2018 montre une sclérose coronarienne minime. La fonction Vg systolique est normale. A noter une sténose aortique serrée avec arcographie et aortographie compatibles avec une éventuelle TAVI. Après discussion avec l'oncologue traitant (Dr. X), la reprise du Xtandi est proposée avec un suivi du PSA, puis selon évolution clinique discussion d'une TAVI. Les suites post-interventionnelles sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 16.02.2019. Patient de 87 ans, que notre confrère, le Dr. X, nous adresse au service des urgences pour une décompensation cardiaque, probablement imputable à un trouble du rythme ou à une infection des voies respiratoires supérieures. Sur le plan cardiologique, nous excluons une étiologie ischémique. Nous effectuons une échocardiographique, qui démontre une bonne fonction ventriculaire gauche. Nous retrouvons la fibrillation atriale du patient, sans conduction rapide. L'examen démontre toutefois une sténose légère de la prothèse mécanique aortique, ce qui motive une échocardiographie transoesophagienne. L'examen ne permet de retrouver de dysfonction franche de la prothèse, mais démontre toutefois un trouble de fermeture de la valve. Il est donc décidé d'investiguer plus avant la prothèse valvulaire par un bilan ciné-valve, qui permet de retenir une fonction dans les normes. Au vu de la fibrillation atriale, nous demandons un examen de Holter, examen qui est posé le 08.02.2019 pour 5 jours. Les résultats de l'examen vous seront communiqués dans les meilleurs délais. Dans ce contexte, nous majorons le traitement diurétique. L'évolution est rapidement favorable, avec une résolution de la dyspnée et de l'orthopnée. Nous vous proposons dans un second temps de réduire. L'évolution étant favorable, Mr. Y rentre à domicile le samedi 09.02.2019. Patient de 88 ans, admis aux soins intensifs le 17.01.2019 pour suite de prise en charge après traumatisme crânien sévère avec hématomes sous-duraux multiples et hémorragie sous-arachnoïdienne. Il est initialement admis aux urgences suites à une chute accidentelle de sa hauteur en trébuchant avec traumatisme crânien sans perte de connaissance. L'imagerie cérébrale effectuée aux urgences montre des hématomes sous-duraux bilatéraux fronto-pariétaux à prédominance droite d'aspect chronique avec composantes aigües, un hématome sous dural droit de la tente du cervelet, ainsi qu'une hémorragie sous-arachnoïdienne à proximité de la tente du cervelet péri-mésencéphalique et une inondation hématique ventriculaire de la corne temporale et occipitale gauche. Après avis neurochirurgical à l'Inselspital, un traitement conservateur est préconisé. Un CT-scan de contrôle est effectué à 6 et 24 heures, qui ne montrent pas de progression des lésions décrites. Le patient étant stable sur le plan neurologique, il est transféré à l'étage de médecine le 19.01.19. Le CT cérébral à 10 jours montre une discrète diminution de taille des hématomes sous-duraux des hémi-convexités ddc et de la tente du cervelet à droite ainsi qu'une disparition de l'hémorragie ventriculaire du ventricule latéral gauche et de l'hémorragie sous-arachnoïdienne péri-mésencéphalique à droite. L'aspirine est réintroduite dès le 30.01.19. L'évolution aux soins intensifs est marquée par un épisode d'agitation aiguë le 18.01.2019, avec un scanner de contrôle à 24h qui retrouve une stabilité des lésions. Nous considérons cet état d'agitation dans le contexte de sa maladie d'Alzheimer et du traumatisme crânien récent. L'évolution est rapidement favorable après traitement ponctuel par Midazolam et Haldol.Dans le contexte de la maladie Alzheimer, Mr. Y présente des troubles du comportement avec agitation et agressivité occasionnelle, associés à un phénomène de Sundowning. Un traitement par Dipiperon est introduit avec bon effet. Sur le plan social, un retour à domicile n'est pas envisageable en raison de troubles du comportement préexistants. Dans ce contexte, le patient est transféré à l'UTAO le 07.02.19 en attente d'une place au Home des Martinets. Patient de 88 ans admis en réadaptation gériatrique dans le contexte de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : nécrose aseptique de la hanche gauche (post-radique sur cancer de la prostate avec récidive en 2017), fracture de la base de la 2ème phalange du 3ème orteil du pied gauche avec plaie face plantaire de la métatarso-phalangienne du 3ème rayon, tremblements essentiels hémicorps gauche avec difficultés à la marche suite à une intervention sur la coiffe des rotateurs en 1997. Rappelons qu'il s'agit d'un patient divorcé, habitant une ferme de 7 pièces à Hennens où il occupe le rez-de-chaussée et le 1er étage, avec 7 marches, sans seuil. Le patient vit avec une compagne. Il a 3 enfants de sa première union (2 filles et 1 garçon, 2 vivent en France et un dans le Valais) avec qui il demeure proche, 7 petits-enfants et 9 arrière-petits-enfants. Mr. Y conduit toujours des véhicules, est autonome, faisant lui-même ses courses, la cuisine et le ménage avec l'aide de sa compagne. Des soins à domicile passent 1x/semaine. Au niveau psychiatrique, le patient est suivi par le Dr. X durant l'hospitalisation, gérontopsychiatre, qui nous demande de prendre contact avec le psychiatre traitant du patient, le Dr. X, afin d'avoir des informations plus précises sur le suivi ambulatoire. Le Dr. X nous explique n'avoir vu que 2 à 3 fois ce patient, peu compliant et ne se présentant pas aux rendez-vous prévus. Il ne l'a plus vu depuis six mois. Le Dr. X ajoute avoir constaté une dépression sévère chez Mr. Y, avec idées suicidaires. C'est un patient qui vivait avec une compagne alcoolique, agressive. Il y avait beaucoup de conflits dans le couple. Au niveau cognitif, le patient est cohérent, ayant un esprit clair mais avec de légers problèmes de mémorisation. Les tests de dépistage effectués le 29.01.2019 montrent des performances altérées avec un MMS à 18/28 et un test de la montre à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/30. Au niveau orthopédique, et en ce qui concerne les fractures de la malléole interne de la cheville gauche et de la 2ème phalange du 3ème orteil du pied gauche, le suivi orthopédique est réalisé par le Dr. X qui le voit une dernière fois le 19.02.2019 avant son départ pour le HFR Fribourg. Le contrôle radiologique est satisfaisant mais visualise une déminéralisation importante, raison pour laquelle il propose d'ajouter du Miacalcic à son traitement habituel. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche seul, avec l'aide d'un tintébin, est de 80 mètres (boiterie importante et membre inférieur gauche en rotation externe). Le patient nécessite de l'aide pour les soins, notamment les soins corporels et l'habillage. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 82/126, par rapport à 78/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 5/7, escaliers à 5/7). Le TUG n'est pas testé. À la fin du séjour en réadaptation gériatrique, l'équilibre du patient est en amélioration. Il a besoin d'être encouragé et stimulé pour les activités. Au niveau nutritionnel, le patient présente une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence, démontrée par une perte de 3 kg en un mois, un NRS à 3/7 et des apports couvrant 48% des besoins énergétiques théoriques. Dans ce contexte, nous mettons en place des substituts nutritifs oraux et un enseignement de l'alimentation enrichie. Mr. Y ne bénéficie pas d'un bilan modulaire d'ergothérapie vu la limitation sur le plan physique liée à la décharge du membre inférieur gauche, étant donné les douleurs. Le 20.02.2019, Mr. Y est donc transféré en orthopédie HFR Fribourg dans la perspective de son intervention (prothèse hanche gauche) prévue le 21.02.2019 par le Dr. X. Patient de 88 ans, connu pour hypertension artérielle traitée et fibrillation auriculaire paroxystique, qui est amené en ambulance aux urgences de l'HFR Riaz suite à une chute ce matin vers 8 h avec traumatisme du pied et de la cheville gauches. Le patient signale des douleurs au niveau de la malléole interne gauche et des 2ème et 3ème orteils du pied gauche. Nous effectuons donc des radiographies qui objectivent une fracture de la base de la 2ème phalange du 3ème orteil avec luxation antéro-latérale, réduite sous scopie. Au vu de la suspicion de fracture de la malléole interne de la cheville gauche, un VacoPed est mis en place, avec syndactylie des 2ème et 3ème orteils. Nous suturons la plaie se trouvant sur la face plantaire du 3ème orteil avec 3 points simples. Par la suite, et au vu des troubles de la marche augmentés par la mise en place du VacoPed et face à l'inquiétude de l'entourage, nous hospitalisons Mr. Y en gériatrie aiguë le jour même pour soins impossibles à domicile. Durant son séjour, Mr. Y présente une péjoration de son état psychique en lien avec une rupture amoureuse (relation de 30 ans) annoncée durant le séjour hospitalier. Le patient ayant déjà effectué un tentamen (intoxication au CO2 dans son garage, et sauvé par le voisin), présente peu à peu des ruminations importantes ainsi que des idées suicidaires scénarisées qu'il réaliserait à domicile ou à l'hôpital (cumul de traitements). Finalement, Mr. Y parvient à s'engager à ne pas passer à l'acte suicidaire avec un bon lien thérapeutique chez ce patient abandonnique, ayant besoin de réassurance. Le patient qui demandait un court séjour en début d'hospitalisation finit aussi par accepter de bénéficier d'un traitement complexe de réadaptation en gériatrie aiguë du 24.01.2019 au 02.02.2019 (date provisoire de sa sortie) au vu de ses difficultés de mobilisation et de sa thymie abaissée. Nous demandons avis au Dr. X qui ne voit pas d'indication à une hospitalisation dans un hôpital psychiatrique. Un changement de traitement avec suivis réguliers est néanmoins effectué. Mr. Y présente des diarrhées le 01.02.2019 à la fin de son antibiothérapie (Co-Amoxicilline jusqu'au 31.01.2019). Nous prescrivons du Perenterol et procédons à une recherche clostridium qui s'avère positive. Le patient est donc isolé et reçoit une antibiothérapie par Flagyl 500 mg 3x/j par voie orale du 03.02.2019 au 15.02.2019. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 29.01.2019 objectivent des performances altérées avec un MMSE à 18/28 et un test de la montre à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/30. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche seul avec un tintébin est de 80 mètres. Le patient peut gravir 18 marches avec une canne et la rampe, de manière sécuritaire. Il nécessite de l'aide pour les soins, notamment les soins corporels. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 82/126, par rapport à 78/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 5/7, escaliers à 5/7). Le TUG n'est pas testé. Durant son séjour, Mr. Y profite d'un bilan nutritionnel, mettant en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence, et démontrée par une perte de 3 kg (4,3%) en un mois, des ingestas couvrant 48% de ses besoins énergétiques théoriques et un NRS à 3/7.Le patient bénéficie d'un bilan modulaire d'ergothérapie, afin d'évaluer l'autonomie dans ses activités de la vie quotidienne. Finalement, Mr. Y est pris en charge en réadaptation gériatrique le 12.02.2019 afin de poursuivre la physiothérapie en attendant l'intervention (prothèse totale hanche gauche) prévue le 21.02.2019 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Patient de 90 ans qui consulte les urgences de Riaz le 07.02.2019 en raison de ballonnement abdominal présent depuis 2 jours. Aux urgences, nous réalisons un examen clinique et une anamnèse qui parlent en faveur de douleurs épigastriques de type reflux gastro-oesophagien. Le patient est vu par Dr. X qui propose d'administrer un traitement d'épreuve par IPP pendant 1 mois, à réévaluer chez le médecin traitant. Un bilan biologique simple est réalisé et revient dans la norme. Au vu de la bonne évolution clinique en l'absence de traitement, le patient rentre à domicile avec un traitement d'essai par IPP pendant 1 mois et la proposition d'effectuer un contrôle à cette distance. Nous conseillons au patient de reconsulter en cas de péjoration des symptômes. Patient de 91 ans, connu pour des troubles cognitifs d'origine indéterminée, envoyé par vos soins aux urgences de l'HFR Riaz ce jour en raison d'un épuisement familial. En effet, le patient se lève sans arrêt la nuit avec risque important de chute et étant devenu désormais agressif envers l'entourage qui essaie de l'aider. Aux urgences, Mr. Y se plaint uniquement d'une fatigue, associée à une baisse de l'appétit. A l'hétéroanamnèse, aucun nouveau symptôme n'est à noter. Il n'y a pas eu de fièvre ces dernières semaines, ni de douleur. Le status cardiovasculaire est sans particularité. Au niveau pulmonaire, le murmure vésiculaire s'avère sans bruit surajouté. L'abdomen est souple et indolore, sans globe ; le toucher rectal est indolore et sans selles dures palpables, ni sang. La percussion de la colonne vertébrale est indolore. Au niveau neurologique, signalons un patient désorienté dans le temps et l'espace. Le reste du status n'est pas contributif. Le bilan biologique effectué aux urgences n'identifie pas de syndrome inflammatoire, mais mentionne la présence d'une insuffisance rénale chronique et d'une anémie connue. Le sédiment urinaire met en évidence une microhématurie, sans signe d'infection. La radiographie thoracique est sans particularité. Le jour même de son admission aux urgences, Mr. Y reste hospitalisé dans notre service de gériatrie aiguë pour suite de prise en charge. Sur le plan social, Mr. Y vit dans un appartement d'une maison familiale avec son épouse. Le couple a eu 2 filles et 3 fils (dont l'un est décédé). Un des enfants habite dans la même maison et s'occupe des courses et des médicaments du couple. L'épouse de Mr. Y s'occupe des repas. Le patient bénéficie du passage des soins à domicile 1x/j et une aide au ménage passe 1x/semaine. Sur le plan cognitif, signalons que le patient refuse d'effectuer les tests. A l'étage, ce dernier est agité la nuit, mais tranquille la journée s'il n'est pas stimulé, mais il se montre cependant agressif verbalement lors des soins. Sur le plan médicamenteux, un traitement par Quétiapine est introduit, avec amélioration de l'agitation nocturne, mais persistance de l'agressivité lors de la stimulation. Un avis psychogériatrique est donc demandé au Dr. X, qui propose une hospitalisation en milieu psychogériatrique de l'hôpital de Marsens, le 28.01.2019. Dans notre service, Mr. Y profite d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un tintébin est de 120 mètres. Le patient monte et descend 9 marches avec l'aide d'une rampe et de l'aide d'un tiers. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 36/126, par rapport à 41/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 4/7, marche 4/7, escaliers 4/7). Le TUG est à 29.50 secondes. Le risque de chute est élevé. Le transfert à l'hôpital psychiatrique de Marsens a lieu le 28.01.2019. Patient de 91 ans, connu pour une fibrillation auriculaire lente non anticoagulée, nous est adressé après une hospitalisation en gériatrie aiguë du 21.01.2019 au 30.01.2019 pour une pneumonie droite. En effet, vu la bonne évolution clinique et biologique, mais étant donné la persistance d'importants troubles de la marche, Mr. Y bénéficie désormais d'une réadaptation. A l'étage, le bilan biologique met en évidence une anémie ferriprive connue à 89g/l, qui reste stable au cours du séjour. Des hémofécatests sont demandés, mais demeurent impossibles à réaliser en raison d'une mauvaise compliance du patient. Nous vous laissons le soin de faire un suivi biologique de l'hémoglobine à distance. Rappelons que sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 28.01.2019 lors du séjour en gériatrie aiguë montrent des performances altérées avec un MMS à 14/30 et un test de la montre à 0/7. Durant ce séjour, Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 120 mètres. Le patient monte et descend 18 marches avec l'aide de deux rampes. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 73/126 par rapport à 65/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 5/7, escaliers 4/7). Le TUG est à 28.59 avec rollator. En ergothérapie, le patient profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Dans le contexte général de Mr. Y, et après discussion avec le patient, son fils et sa fille, nous décidons d'un placement. Mr. Y est donc transféré au home du Châtelet d'Attalens le 12.02.2019. Patient de 92 ans, connu pour un accident vasculaire cérébral ischémique sylvien gauche thrombolysé (2013), une hypertension artérielle et une fibrillation auriculaire non anticoagulée, qui est admis en réadaptation gériatrique dans un contexte d'un trouble de la marche d'origine multifactorielle. Pour rappel, ce patient était hospitalisé du 14.12.2018 au 17.01.2019 en raison de vertiges et d'une baisse d'état général avec infection urinaire et deux épisodes de pneumonies sur broncho-aspirations. Durant ce séjour, nous mettions également en évidence des troubles sévères de la déglutition, que nous n'avons pas investigués en raison d'une attitude pragmatique avec la mise en place d'une sonde nasogastrique. Depuis le 29.12.2019, Mr. Y est nourri uniquement par la sonde, avec bonne évolution. Au niveau social, le patient vit à domicile avec sa femme souffrant de handicap. Mr. Y se déplace habituellement avec une canne, mais emploie un tintébin ces derniers temps suite à une baisse de l'état général. Notons 15 marches pour accéder à la maison. Mr. Y bénéficiait du passage des soins à domicile 2x/j pour les bas de contention et 1x/semaine pour contrôle santé. Le fils aide ses parents en préparant le semainier, faisant les courses et payant les factures. Néanmoins, le fils se dit épuisé et ne peut plus poursuivre dans cette dynamique. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués indiquent des performances altérées avec un MMS à 22/30 et un test de la montre à 4/7. Durant sa réadaptation, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 120 mètres. Les escaliers ne sont pas testés. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 43/126, par rapport à 32/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 34.88 avec rollator.Le patient bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui met en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence, une dysphagie et une baisse d'état général, démontrée par un NRS à 4/7, des ingesta couvrant 46% des besoins énergétiques et une perte de 4.5% de son poids en 3 semaines. La nutrition par la sonde est adaptée, avec Isosource Energy Fibre (1000 ml) accompagnée d'un supplément nutritif oral. A noter aussi que, concernant l'alimentation du patient, vu la présence de troubles de la déglutition importante, une reprise de l'alimentation par voie orale n'est pas envisageable. Après discussion avec Mr. Y et son fils, nous décidons de garder la sonde nasogastrique en place et de programmer la pose d'une PEG en ambulatoire. Le patient recevra le courrier de convocation. En ergothérapie, Mr. Y profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Après discussion avec Mr. Y et son fils, un projet de placement est finalement décidé. Mr. Y rejoint donc son épouse à la Maison Bourgeoisiale le 24.01.2019. Patient de 92 ans, connu pour un lymphome non hodgkinien, qui est hospitalisé dans le contexte d'une pancolite à Clostridium difficile. A l'admission, le patient présente des douleurs abdominales en fosse iliaque gauche, accompagnées de nausées, de vomissements et de diarrhées depuis une dizaine de jours, ainsi qu'un état fébrile intermittent et une anurie ayant motivé l'admission au service des urgences. Le CT abdominal met en évidence l'atteinte intestinale diffuse liée au lymphome, ainsi qu'une pancolite accompagnée d'un sub-iléus grêle. Nos collègues chirurgiens ne retiennent pas d'indication chirurgicale. Le patient est alors mis à jeun et une antibiothérapie empirique est débutée. La recherche de Clostridium difficile dans les selles revenant positive, nous adaptons l'antibiothérapie par du Flagyl. L'évolution clinique est alors lentement favorable et permet une reprise progressive de l'hydratation et de l'alimentation. L'anurie ayant motivé l'admission est mise en lien avec une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale dans le contexte des diarrhées et du manque d'apport et est partiellement corrigée par une hydratation intraveineuse. L'hypokaliémie est corrigée par une substitution intraveineuse. A l'admission, nous mettons également en évidence une fibrillation auriculaire inaugurale, persistante, pour laquelle nous n'introduisons pas d'anticoagulation thérapeutique d'emblée. Concernant le lymphome non hodgkinien connu, la chimiothérapie en cours est repoussée au vu du contexte infectieux. Par la suite, le patient bénéficie d'une administration de Rituximab le 09.01.2019, mais selon avis oncologique, le protocole n'est pas poursuivi au vu de la dégradation globale de l'état de santé du patient. L'épanchement pleural gauche d'origine néoplasique pour lequel le patient a un PleurX continue à être drainé durant toute l'hospitalisation. L'évolution se complique par une récidive de subiléus le 11.01.2019, avec vomissements itératifs non améliorés par la mise à jeun, raison pour laquelle une sonde nasogastrique de décharge est mise en place. Par la suite, le patient présente un nouvel épisode infectieux, où nous suspectons initialement une translocation bactérienne d'origine digestive et débutons une antibiothérapie par Tazobac. Par la suite, les hémocultures mettent en évidence une candidémie, probablement sur infection de Port-à-Cath. Un traitement de Fluconazole est alors débuté. Au vu de l'évolution clinique défavorable, dans un contexte oncologique avancé et en accord avec le patient, nous décidons d'un retrait thérapeutique. Mr. Y décède le 29.01.2019. Patient de 92 ans, connu pour un pemphigoïde bulleux, adressé par son dermatologue pour une suspicion de dermo-hypodermite du bras gauche. Mr. Y présente une rougeur à l'avant-bras gauche depuis une semaine, avec douleur et chaleur, sans fièvre. Au status nous observons au niveau de l'avant-bras gauche une rougeur, chaleur et douleur à la palpation avec des dermabrasions, sans adénopathies axillaires. Un bilan biologique montre une CRP augmentée. Nous introduisons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline iv durant 3 jours. La dermo-hypodermite est probablement surestimée par une hyperhémie liée à la position déclive et disparaissant complètement lors du levée de bras. Nos collègues infectiologues proposent l'arrêt de l'antibiothérapie et de protéger le bras gauche avec un bas au vu d'un hématome et d'une peau de parchemin. Nous proposons de garder ce bas de protection jusqu'à la disparition de l'hématome et de poursuivre le traitement des plaies de dermabrasion. Nous ne changeons pas le reste du traitement en place. Un rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant est organisé pour le mardi 12.02.2019. Au niveau dermatologique le patient est connu pour un pemphigoïde bulleux, sous Vibramycin, Nicotinamide et Dermovate suivi par le Dr. X. Le patient ne présente actuellement pas de lésions actives. Nous poursuivons le traitement en place. Un contrôle est organisé à 6 semaines par le Dr. X. Au niveau cardiologique nous observons un rythme irrégulier à l'auscultation, chez un patient asymptomatique. Un ECG montre un BAV du deuxième degré mobitz type I. Mr. Y rentre à domicile avec des soins à domicile deux fois par semaine le 10.02.2019. Patient de 92 ans, résident du Home de Beaulieu, connu pour une cardiopathie rythmique et hypertensive sous Lixiana ainsi qu'un cancer prostatique avec sonde à demeure. Il est hospitalisé dans un contexte de sepsis probablement d'origine pulmonaire ainsi qu'une décompensation cardiaque et insuffisance rénale aiguë avec hématurie. Le patient présente une baisse de l'état général avec état subfébrile depuis 3 jours ainsi qu'une dyspnée au repos. Cliniquement nous trouvons des crépitants bibasaux ainsi qu'une matité droite. A son entrée, le patient présente une hypotension asymptomatique. Une analyse sanguine met en évidence un important syndrome inflammatoire. Une radiographie du thorax ne met pas en évidence de franc infiltrat pulmonaire mais devant la suspicion clinique d'une pneumonie nous initions une antibiothérapie par Ceftriaxone pour une durée de 3 jours. A son entrée, le patient présente une décompensation cardiaque confirmée à la radiographie du thorax, avec un BNP à >9000. Nous initions un traitement par Lasix intraveineux. Une insuffisance rénale aigue d'origine pré-rénale est mise en évidence et nous initions une réhydratation orale et intraveineuse. Nous mettons en évidence une anémie d'origine probablement mixte, possiblement sur perte urinaire. Depuis son admission, le patient présente un érythème, œdème et induration de la peau en regard de la face interne de la jambe gauche en péjoration pour laquelle nous effectuons un CT-scanner qui met en évidence une fascéïte nécrosante. Après discussion avec les infectiologues, nous initions un traitement par Meropenem. En présence du mauvais pronostic d'une prise en charge chirurgicale et après discussion avec le patient, nous décidons d'une prise en charge palliative. Mr. Y décède le 12.02.19 des suites de sa maladie. Patient de 93 ans, résidant en EMS qui est envoyé par son médecin traitant pour un état fébril à 39.4° avec dyspnée d'apparition brusque ce matin. Le patient est connu pour une démence d'origine neurodégénérative de type maladie d'Alzheimer et vasculaire et dans ce contexte une anamnèse est impossible. Les soignants de l'EMS rapportent une saturation à 75% à l'air ambiant, remontée à 91% avec 3 l/min d'O2 à l'arrivée des ambulanciers, pas de troubles du transit, pas de douleurs thoraciques.Status aux urgences: • Cardio: B1B2 bien frappés, sans souffle audible • Pulmo: râles grossiers sur toutes les plages pulmonaires • Abdomen souple et indolore. Bruits hydroaériques normaux Un bilan biologique met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 19 mg/l sans leucocytose. Une pseudohyponatrémie à 127 mmol/l isotonique apparaît également. Après discussion avec l'EMS et la fille, nous prescrivons une antibiothérapie par co-amoxicilline i.v. 1200 mg 3x/j pendant 7 jours avec une première dose donnée aux urgences. Le traitement sera poursuivi à l'EMS. L'oxygénothérapie qui avait été introduite peut être diminuée avec des saturations stables avec 1 l/min d'O2, et elle sera poursuivie à l'EMS pendant l'épisode infectieux avec une cible de saturation supérieure à 90%. Mr. Y peut donc être retransféré à l'EMS le même jour pour la poursuite du traitement. Nous préconisons un suivi biologique avec un bilan sanguin à 48 h avec la décision du médecin traitant de poursuivre l'antibiothérapie i.v. ou per os. Patient de 93 ans, institutionnalisé, qui présente des troubles de la déglutition non investigués depuis fin 2018, au bénéfice d'une nutrition entérale par SNG depuis 12.2018. Le patient est admis électivement le 11.02.19 pour bénéficier de la pose d'une PEG. A son arrivée, le patient étant nouvellement fébrile et tachycarde, l'intervention est initialement annulée. Devant une toux grasse et un foyer radiologique, nous retenons une origine infectieuse pulmonaire et une antibiothérapie par co-amoxicilline iv est débutée le 11.02.19. L'évolution clinique est défavorable. Après discussion avec le médecin traitant du patient et ses proches, nous constatons qu'il présente un déclin progressif de son état général depuis plusieurs mois, associé également à des troubles cognitifs et des troubles de la déglutition. De plus, il présente une attitude de plus en plus opposante envers les soins et la sonde naso-gastrique. Nous prenons alors la décision, en accord avec le patient et sa famille, de retirer la sonde naso-gastrique, de laisser le patient s'alimenter selon son plaisir et de renoncer au projet de PEG, en acceptant le risque augmenté d'un nouvel épisode de pneumonie sur broncho-aspiration et de décès. Nous prenons par ailleurs également la décision conjointe, de ne pas traiter un ultérieur épisode de pneumonie et d'accompagner le patient avec des soins de confort. En raison d'un inconfort respiratoire et du rapide déclin de son état général lors du séjour, nous débutons une pompe de morphine sc le 14.02.19. Mr. Y décède paisiblement le 17.02.2019. Patient de 96 ans connu pour un cancer de la prostate avec métastases osseuses diffuses, nous est transféré le 9.2.2019 depuis la station de médecine interne de Meyriez pour une prise en charge palliative avec soins de confort. Pour rappel, le patient avait fait une chute lundi 4.02.2019 avec péjoration d'une douleur déjà présente dans la hanche droite. Depuis lors, il avait été alité. Selon Voltigo, il existait également depuis quelques jours une dyspnée d'effort en exacerbation. A l'anamnèse systématique, le patient se plaint de fatigue extrême, de dyspnée de stade IV, de nausées et d'inappétence. A l'examen physique, nous retrouvons un patient à l'état général diminué, cachectique, pâle et déshydraté, collaborant, calme, eupnéique à l'AA. Le patient présente une jambe droite raccourcie avec une douleur à la pression du trochanter. Au status cardio-vasculaire, des bruits B1 et B2 bien frappés, réguliers, avec un souffle systolique 3/6 au foyer aortique et à l'apex. Au status pulmonaire, des crépitants bibasaux à l'expiration. Pas d'OMI et les pouls périphériques sont faiblement perçus. L'examen abdominal montre un abdomen souple, dépressible, indolore, avec des bruits diminués en fréquence mais de tonalité normale. Les loges rénales sont indolores. Le reste du status, y compris neurologique, est sans particularités. Nous mettons rapidement en place des soins de confort adaptés quotidiennement pour soulager au mieux les symptômes. La dyspnée est traitée par de la morphine en IV continu, les nausées par du Primperan fixe et de l'Haldol. Une radiographie du bassin nous permet d'exclure une fracture, notamment de la hanche droite, mais révèle une infiltration métastatique osseuse diffuse. Les douleurs sont rapidement soulagées sous antalgie par les opiacés comme décrit ci-dessus. Mr. Y présente le 08.02.2019 un syndrome coronarien aigu NSTEMI et par la suite plusieurs crises d'angor de poitrine. Celles-ci sont traitées symptomatiquement étant donné l'âge et les comorbidités du patient avec une bonne réponse au niveau des douleurs. Une radiographie du thorax est effectuée en position couchée, qui ne montre pas de signes d'insuffisance cardiaque décompensée claire chez un patient cliniquement euvolémique. L'état général du patient se péjore rapidement et le 18.02.2019, il décède paisiblement, sans dyspnée ou douleurs et entouré de ses proches. Patient de 98 ans, en bonne santé habituelle, amené par ambulance aux urgences de l'HFR Riaz suite à une chute de sa hauteur. Mr. Y rapporte une asthénie, une dyspnée au repos accompagnée d'une toux avec expectorations blanchâtres et de la fièvre à 39°C. Le status clinique est sans particularité. Aux urgences, le bilan biologique indique un syndrome inflammatoire. Des analyses urinaires sont dans la norme. Des hémocultures effectuées reviennent négatives, motivant l'introduction d'un traitement par Co-Amoxicilline durant 7 jours. Le jour même de son entrée aux urgences, Mr. Y est hospitalisé dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz, où un traitement complexe de réhabilitation en gériatrie aiguë est effectué du 28.01.2019 au 06.02.2019. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 31.01.2019 dénotent des performances altérées avec un MMSE à 25/30, un test de la montre à 7/7 ; l'échelle gériatrique de dépression s'élève à 6/15. Le 30.01.2019, nous décelons une leucopénie, suivie au laboratoire, que nous attribuons à l'antibiothérapie. Par la suite, la leucopénie se résout après l'arrêt de la Co-Amoxicilline. Mr. Y présente aussi un profil tensionnel à la hausse, motivant une augmentation de l'Aprovel de 150 mg à 300 mg le 01.02.2019. Sous cette indication, le profil s'améliore, et un contrôle sera à envisager lors du retour à domicile afin d'adapter le traitement. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A la sortie, son périmètre de marche seul et à l'aide d'une canne est de 150 mètres. Mr. Y peut gravir 54 marches d'escaliers sans accompagnement. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 98/126, par rapport à 86/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 6/7, escaliers à 5/7). Le TUG n'est pas testé. Le risque de chute est bas. Durant le séjour, Mr. Y bénéficie d'un bilan nutritionnel qui ne met pas en évidence d'anomalies nutritionnelles. Le patient bénéficie d'un bilan modulaire d'ergothérapie, qui permet un travail ciblé sur l'autonomie dans la préparation du petit déjeuner, et une prise de conscience du risque de chute et de la nécessité d'effectuer les transferts d'une façon standardisée. Le patient rentre à domicile le 06.02.2019, avec une augmentation du passage des soins à domicile, une prescription de physiothérapie et une poursuite du traitement bronchodilatateur par aérosols pendant 3 semaines, en raison de la persistance d'une spasticité à l'auscultation pulmonaire.Patient dialysé X3/sem, adressé de son centre de dialyse pour fistule obstruée. Patient stable sur le plan clinique et hémodynamique. Dr. X (chirurgien vasculaire) joint par téléphone et ok pour hospitalisation. Passage aux urgences pour prélèvement bio avant hospitalisation. Patient envoyé par MedHome aux urgences pour réduction de la sensibilité à la face externe de la jambe droite. Patient groupé confirmé. CAT : • Transfusion de 2 culots érythrocytaires. Patient hospitalisé en semi-électif pour l'intervention susmentionnée. Pour rappel, ce patient, connu pour une hernie discale L4-L5 volumineuse, s'est présenté aux urgences le 13.02.2019 en raison de la péjoration de la symptomatologie depuis environ 10 jours, avec sciatalgies à prédominance L5 G déficitaires avec déficit à M3, voire M4- des releveurs du pied et du gros orteil G. Au vu de la symptomatologie progressive, de l'augmentation de la hernie avec composante luxée vers le bas du côté G et du risque important de syndrome de queue de cheval, l'indication opératoire est retenue. L'intervention chirurgicale se déroule le 15.02.2019, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Le déficit préopératoire à M3 du MIG s'est amélioré à M4 en postopératoire. Le statut neurologique reste, sinon, sans particularité. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche durant le séjour. Le patient bénéficie de prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j durant le séjour. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base; elles ont quasiment totalement disparu à la sortie. Au vu de la bonne évolution, le patient est autorisé à retourner à son domicile le 18.02.2019. Patient multi-opéré au niveau lombaire (cf. comorbidités). Titration de morphine. Adaptation des opiacés. Suivi par le neurochirurgien traitant. Patient part sans consultation médicale. A pu obtenir un rendez-vous chez son médecin traitant. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation, après avoir signé une décharge. Patient plutôt sédentaire actuellement au chômage et qui présente en consultation à 2 semaines les diagnostics susmentionnés et pour lesquels nous proposons un traitement conservateur tout d'abord par une attelle velcro en extension pendant 3 semaines, puis relais par attelle articulée avec augmentation de la flexion de 30° toutes les 3 semaines. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines. Patient présentant une arthrose fémoro-patellaire invalidante dans les activités de la vie quotidienne et ne répondant plus au traitement conservateur, pour laquelle nous retenons une indication à une prise en charge chirurgicale sous forme d'une prothèse fémoro-patellaire. Un bilan de l'articulation sera réalisé en per-opératoire et, en cas d'arthrose fémoro-tibiale interne ou externe, nous nous dirigerions alors vers une arthroplastie totale du genou D avec resurfaçage de la rotule. Le patient est informé des risques et des bénéfices ainsi que des suites postopératoires, qu'il accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. L'intervention est prévue le 06.02.2019. Une hospitalisation de 5 à 7 jours est à prévoir. Le patient entrera dans le protocole ERAOS. Il sera vu par nos collègues anesthésistes dans l'intervalle. Patient qui, depuis ce matin, a plusieurs épisodes de diarrhées sans vomissements avec nausée. Le statut est rassurant avec une symptomatologie qui s'améliore spontanément. Nous le rassurons et nous le traitons symptomatiquement avec consignes de reconsulter si persistance au-delà de 5 jours ou si péjoration de douleurs ou état fébrile. Patient qui est dans un foyer pour ses comorbidités susmentionnées, qui se plaint depuis une semaine de douleurs au niveau de la plante du pied gauche sans notion de traumatisme. Le bilan aux urgences est suspect pour une fasciite plantaire du pied gauche. Il a reçu un traitement d'AINS et de physiothérapie, et des exercices de stretching. Le patient a un rendez-vous chez Dr. X, orthopédiste, pour un problème du genou droit à la fin du mois et fera alors le suivi de la fasciite dans le même temps. Patient qui est revu en contrôle à la filière des urgences ambulatoires aux urgences de Riaz le 02.02.2019 pour un suivi clinique et réfection de pansements. L'évolution clinique est favorable. Le patient est vu par Dr. X qui préconise de réaliser des pansements avec du Ialugen à tous les différents endroits. Nous réalisons un pansement avec compresses et Ialugen au niveau de l'auriculaire de la main gauche et de la cuisse gauche, ainsi qu'un pansement avec du Ialugen au niveau de la verge. Le patient rentre à domicile avec un contrôle à la consultation de Dr. X le 05.02.2019. Patient qui nous est adressé ce jour après un téléphone préalable de son médecin traitant. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. ECG : tachycardie sinusale, pas de trouble de la repolarisation. Amélioration de la symptomatologie hormis augmentation des céphalées, s'affaiblissant sous paracétamol. Examen neurologique normal à la sortie et tension artérielle normalisée. Consilium psychiatrique : patient et ses grands-parents non opposés à un séjour à Marsens, mais n'en ont pas ressenti totalement les bénéfices lors du dernier séjour. Pas de contre-indication selon le psychiatre à un suivi ambulatoire. Rendez-vous chez un psychiatre le 11.02 et n° d'urgence psy donné. Temesta en réserve selon avis psy. Patient qui présente des gonalgies pouvant être mises sur le compte d'une part d'une arthrose fémoro-patellaire, mais aussi d'une possible gêne du matériel d'ostéosynthèse. Nous proposons donc au patient une ablation du matériel d'ostéosynthèse associée à une patellectomie sagittale latérale. Il est informé des risques et bénéfices de l'intervention, entre autres la persistance de douleurs au versant antérieur du genou en postopératoire. Il souhaite encore réfléchir. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle et le patient reprendra contact au besoin. Patient qui présente toujours une symptomatologie douloureuse au niveau de son genou D qu'il a du mal à préciser, avec discordance entre l'anamnèse et le bilan radioclinique. Nous restons donc sur nos conclusions du 05.10.2018. Nous ne retenons pas d'indication chirurgicale chez ce patient. D'un point de vue professionnel, il peut, à notre sens, travailler sans limitation. Nous ne prévoyons pas de le revoir d'office mais restons à disposition au besoin. Patient qui présente une évolution favorable à 4 mois du traumatisme avec absence d'instabilité dans les activités de la vie quotidienne ou sportive. Il a déjà repris des sports de pivot depuis 1 mois environ sans difficulté. Nous proposons de reprendre ses activités sportives librement en augmentant progressivement l'intensité. Il terminera les séances de physiothérapie en cours pour travailler encore sur la flexion du genou. Par la suite, il poursuivra le renforcement musculaire sous forme de fitness médicalisé. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Il reviendra avant au besoin. Mr. Y présente une évolution favorable avec le traitement en physiothérapie qu'il poursuivra. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Mr. Y se plaint d'acouphènes bilatéraux depuis 2 mois reliés probablement à l'utilisation de machinerie lourde au travail. A l'examen clinique, possible sclérose tympanique. De manière concomitante, il y a une possible otite virale droite. Nous proposons une antalgie simple et des investigations supplémentaires par un ORL en ambulatoire. Mr. Y se présente à environ 2 semaines d'une entorse du LLI grade I. Il est autorisé à enlever son attelle velcro et à marcher en charge selon douleurs. Il débutera un traitement en physiothérapie axé sur la récupération des amplitudes articulaires, étirement des chaînes postérieures, renforcement musculaire et proprioception. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition. Arrêt de travail prolongé à 100% jusqu'au 01.03.2019. Il reprendra à 100% dès le 02.03.2019. Mr. Y se présente en consultation à 2 semaines d'une entorse du LLI grade I et d'une lésion chondrale grade IV de la facette rotulienne externe. Nous proposons à Mr. Y de débuter un traitement en physiothérapie axé sur l'antalgie, le maintien des amplitudes articulaires, l'étirement des chaînes postérieures et le renforcement musculaire. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle. Mr. Y se présente en consultation à 6 jours du diagnostic susmentionné. En ce qui concerne la déchirure du LLI, nous lui proposons un traitement conservateur par attelle à porter jour et nuit pendant 8 semaines avec un genou en extension pendant 2 semaines, puis F/E 0-30° pour 2 semaines, puis F/E 0-60° pour 2 semaines et F/E 0-90° pour 2 semaines. Il est autorisé à marcher en charge selon douleurs sous couvert de 2 cannes anglaises. Il débutera également de la physiothérapie. Au vu des sports pratiqués, Mr. Y pourrait, à terme, être candidat à une plastie du LCA. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Mr. Y vient en consultation à presque 8 mois d'une déchirure du LCA à D avec une évolution favorable et absence d'instabilité fonctionnelle. Au vu de l'examen clinique du jour, ainsi que du type de déchirure mise en évidence à l'IRM, nous proposons à Mr. Y de surseoir toute prise en charge chirurgicale. Nous lui proposons également d'optimiser la rééducation par un travail avec du SensoPro. Nous le reverrons le 23.05.2019. Il est autorisé à reprendre ses activités sportives sans limitation. En cas d'apparition d'une instabilité fonctionnelle, nous rediscuterions alors d'une prise en charge chirurgicale et Mr. Y reprendra contact avant au besoin. Mr. Y repart après avoir reçu un Paracétamol 1 g per os et 1 Voltarène 50 mg per os car se sent mieux. Mr. Y repart après consultation infirmière. Mr. Y reparti sans consultation médicale. Mr. Y sans antécédent cardiaque ou thromboembolique est adressé par son médecin traitant pour des douleurs thoraciques. Un bilan biologique effectué aux urgences ne montre pas de syndrome inflammatoire ou de leucocytose. Les paramètres biologiques sont tous dans la norme. Un ECG effectué aux urgences montre un rythme sinusal régulier, normocarde à 82 bpm, QRS fins à 100 ms, axe gauche à -12°, Segment-ST isoélectrique, transition de l'onde R en V4. QTc à 433 ms. Suite à une demande explicite du médecin traitant, nous effectuons un dosage des D-dimères qui montre <190 ng/ml et permet d'exclure une embolie pulmonaire. Une radiographie du thorax ne montre pas d'infiltrat, pas de décollement de la plèvre, pas d'épanchement ou de pneumothorax. Pour cette raison, nous retenons le diagnostic de douleurs pariétales d'origine indéterminée. Nous prescrivons un traitement par AINS, Dafalgan et Pantozol. Le suivi sera fait par le médecin traitant. Mr. Y doit reconsulter si péjoration de son état. Il est libre de rentrer à domicile. Mr. Y sera convoqué pour réadaptation CV stationnaire à Billens : • ETT de contrôle dans 2-3 semaines à Billens • Suivi neuropsychologique à effectuer • Coronarographie le 08.03.2019 à l'HFR Fribourg pour dilatation de l'artère circonflexe : venir à jeun • Discussion à distance d'un éventuel pontage aorto-coronarien versus 3ème coronarographie • Rendez-vous en diabétologie pour soins des pieds le 21.02.2019 à 15h : se présenter 20 minutes avant aux admissions • Rendez-vous en néphrologie à l'HFR Fribourg dans un mois : Mr. Y sera convoqué • Rendez-vous chez Dr. X, ophtalmologue, le 22.02.2019 à 10h30 Mr. Y est admis aux soins intensifs à cause d'une tentative de suicide. La patiente, connue pour une dépendance aux opiacés et aux benzodiazépines et auto-agression, a pris les pilules - (Seroquel 25mg XR 21x, Stilnox 27x, Creon 8x, Sifrol 21x) avec des intentions suicidaires vers 13 h. Elle a appelé la police. Aux urgences, elle était hémodynamique stable, glasgow 14-15, somnolente. Après une distance de 4 heures, aucun charbon n'a été indiqué. Elle n'a pas fait de troubles du rythme. Neuro. GCS 15, fatigue, bouge toutes les membres M5. Hémodynamique : Lactate 4, pas d'acidose métabolique, TMA 70, nc, QT normal. Resp. ambiance, Biox >90%, ddc MVS. Abdomen : bruits normaux, pas de douleurs. Infect : pas de soucis, afébrile. Att surveillance Conseil psych. Mr. Y transféré de l'Inselspital pour suite de prise en charge : • prophylaxie antibiotique par Co-Amoxicilline jusqu'au 16.02.2019 inclus • IRM de contrôle le 14.02.2019 • mobilisation lit-fauteuil. Organisation d'un uro-CT le 25.03.2019 à 08h00. Suivi à distance à la consultation de Dr. X. Mr. Y très sportif désirant reprendre des sports de pivot mais présentant une instabilité persistante pour le LCA et le LLI, pour laquelle nous retenons une indication à une prise en charge chirurgicale sous forme d'une arthroscopie diagnostique, plastie du ligament croisé antérieur à partir du tendon quadricipital ipsilatéral et plastie du ligament latéral interne selon Laprade. L'intervention est prévue le 12.03.2019. Une hospitalisation de 2 à 3 jours est à prévoir. Mr. Y est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices, qu'il accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. Il sera vu par nos collègues anesthésistes dans l'intervalle. Mr. Y vu hors consultation. Mme. Y acceptée par Dr. X, refaire demande dans le DPI dès que date de sortie prévue.Patiente admise pour une coronarographie élective pour un bilan préopératoire d'une cure de varices, S/p CABG et S/p angioplastie de la coronaire droite et du tronc commun. L'angiographie coronarienne actuelle montre un bon résultat à long terme après CABG avec une LIMA ouverte sur la RIVA. Cependant, la souche principale présente une resténose (S/p PTCA en 2012). L'artère coronaire droite a également une resténose de stent de 50 à 70 % dans le segment moyen. La fonction VG systolique est légèrement limitée. Nous procédons à une PTCA du tronc principal sans insertion d'endoprothèse vasculaire (opération prévue). Je recommande le traitement à l'aspirine à vie ainsi que Plavix 75 mg/j pendant une semaine. La chirurgie des varices peut être faite d'un point de vue cardiaque la semaine prochaine. En postopératoire, je recommande le traitement de la resténose de stent sur l'artère coronaire droite. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique en soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 27.02.2019. Patiente admise pour AVC ischémique du pont, lyse au vu de son NIHSS initial à 12. La patiente s'est aggravée neurologiquement au cours de la lyse d'où sa suspension et la pratique d'un CT cérébral qui montre une hémorragie intraparenchymateuse insulaire droite à hauteur de la jonction M2-M3 de l'artère cérébrale moyenne droite et une possible petite hémorragie sous-arachnoïdienne en région frontale gauche. L'évolution neurologique est favorable avec un NIHSS post-lyse à 0. Un CT cérébral de contrôle montre un aspect inchangé de l'hémorragie sous-arachnoïdienne frontale gauche et perte de densité de l'hémorragie intra-parenchymateuse insulaire droite. La patiente, qui est hypertendue connue sous Coversum et Zanidip, a nécessité transitoirement du Labétalol en intraveineux continu relayé par Coversum. Avec Dr. Humm, il a été décidé de ne pas entreprendre la reprise de l'aspirine à 24h et de maintenir les bottes anti-thrombotiques jusqu'au 03.02.2019. Patiente admise pour prise en charge d'un NSTEMI. La coronarographie du jour montre une longue subocclusion ACD proximale à distale, nécessitant 2 stents. Le traitement de suite sera avec ajout de l'Efient 10 mg pour 6 mois. Le point de ponction est sans particularité, la patiente a reçu en coronarographie un bolus de TNT vu son profil tensionnel élevé. Un contrôle dans 1 mois est à prévoir chez Dr. X et une ergométrie dans 1 an. Patiente adressée en gynécologie. Elle part avec une ordonnance de traitement symptomatique d'une IVRS livrée par la gynécologue de garde. Patiente avait un rdv ORL le 20.02.2019. Patiente présentant des facteurs de risque cardiovasculaire avec une anamnèse familiale positive, se présentant pour des palpitations et des douleurs thoraciques. À son arrivée, l'ECG montre une tachycardie supraventriculaire hémodynamiquement stable à 200 bpm. Au moment d'effectuer l'épreuve de Valsalva, la patiente reprend un rythme sinusal normocarde avec une amélioration soudaine des douleurs thoraciques. Nous effectuons un laboratoire qui met en évidence une hypokaliémie légère et une radiographie du thorax ne montrant pas de cardiomégalie ni de signe de décompensation cardiaque. Au vu de la situation, nous gardons la patiente en surveillance pendant deux heures puis nous la laissons rentrer à domicile avec comme conseils une nouvelle consultation cardiologique (la patiente ayant arrêté le traitement par Bilol en raison d'une intolérance). Patiente ayant présenté une décompensation psychotique sur le week-end, résolutive spontanément. Patiente collaborante, avec bonne structure d'accompagnement la semaine. Nous prenons l'avis du psychiatre de garde qui ne retient pas l'indication à une hospitalisation. Nous autorisons donc la patiente à regagner son domicile avec traitement par Pevaryl crème pour sa mycose des plis. Nous lui donnons également une dose unique de Quétiapine 50 mg avant son retour à domicile. Nous l'invitons à prendre contact avec son médecin traitant afin de planifier la mise en place d'une structure de soins pour les week-ends (éducateurs non disponibles) afin d'assurer la compliance médicamenteuse. La livraison de repas à domicile pourrait également être considérée afin d'assurer une bonne prise alimentaire. Patiente connue pour une cardiomyopathie sous Concor. Patiente connue pour une polyarthrite rhumatoïde séropositive depuis 1995 qui a été traitée par méthotrexate de 2006 jusqu'en juillet 2017 (stoppé pour stomatite sévère), hospitalisée pour un abcès face plantaire du pied G sur déhiscence de plaie avec macération des berges sur status post multiples débridements, rinçages et traitement par pansements aspiratifs après un abcès plantaire en mai 2018. La patiente est sous Tazobac depuis le 20.11.2018. L'indication à une prise en charge chirurgicale est posée. Le 20.11.2018, la patiente est prise au bloc opératoire pour débridement de multiples collections et prélèvements. En postopératoire, la patiente bénéficie d'un suivi quotidien de la plaie, qui évolue favorablement mais lentement. Le 26.11.2018, en raison d'une décompensation cardiaque avec dyspnée, un consilium de médecine interne est demandé. Nous adaptons le traitement en augmentant les diurétiques (arrêt du Torem et mise en place du Lasix 10 mg i.v. 2x/j). Une ponction pleurale à G est effectuée par les radiologues le 30.11.2018 en raison d'un épanchement thoracique nécessitant un drainage thoracique ; ablation du drain le 04.12.2018. Par la suite, la patiente a présenté une évolution favorable. Dans le contexte d'une polyarthrite rhumatoïde séropositive actuellement non traitée, nous demandons un consilium rhumatologique. Les rhumatologues proposent d'introduire un traitement de Prednisone à faible dose (10 mg) afin de soulager les symptômes, ceci n'est pas possible en raison de l'infection concomitante. Sur avis rhumatologique, on commence un traitement par un anti-inflammatoire COX-2 sélectif (Arcoxia) avec bonne réponse. Pour des troubles avec perturbation mixte des émotions pendant l'hospitalisation, un consilium de psychiatrie est demandé avec introduction de Distraneurine avec bonne réponse. Une infection urinaire basse à Pseudomonas aeruginosa et Citrobacter freundii ESBL le 24.12.2018, nous demandons un consilium d'infectiologie avec introduction d'une antibiothérapie par Nitrofurantoïne durant 3 jours. Une hypokaliémie à 3,4 mmol/l diagnostiquée le 07.01.2019 est substituée par un traitement de KCL retard avec une bonne résolution. Le 08.01.2019, la patiente développe une insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale selon le laboratoire et l'US du système uro-génital. Après adaptation du traitement diurétique, de l'hydratation et arrêt de l'Arcoxia, nous notons une courte amélioration. La persistance d'une CRP élevée est attribuée à l'infection urinaire basse. Selon ordre des infectiologues, pas de traitement antibiothérapie au vu d'une probable évolution de la résistance aux antibiotiques. Dans le cadre orthopédique, la patiente bénéficie d'un changement de pansement VAC régulier et d'une prophylaxie thrombo-embolique par Liquémine. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et recouverte de fibrine sèche le 15.01.2019. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie de base. Étant donné l'évolution défavorable de la fonction rénale, Mme. Y est transférée en médecine interne le 15.01.2019 pour suite de prise en charge. Poursuite du changement régulier du pansement VAC pied G et suivi de plaie par les chirurgiens orthopédistes durant la suite de l'hospitalisation. Patiente de 13 ans présentant un 2ème épisode de luxation latérale de la rotule G à 6 mois d'intervalle associée à une lésion chondrale au niveau de la partie latérale du condyle fémoral externe de grade IV pour lequel nous retenons une prise en charge chirurgicale. Nous complétons le bilan avec un CT-scan du genou G avec schéma lyonnais.Prochain contrôle après CT-scan. Mme. Y de 15 ans qui se présente ce jour aux urgences avec des douleurs abdominales en région épigastrique datant depuis environ 6h sans notion d'état fébrile, de vomissements ou de trouble du transit. Aux urgences, les douleurs ont disparu et la patiente est stable. Au vu des examens réalisés et de la clinique peu inquiétante, nous décidons de laisser la patiente rentrer à domicile avec une antalgie simple à la demande et lui suggérons de se présenter à la consultation de son médecin traitant en cas de réapparition des douleurs. Mme. Y de 16 ans qui se présente en consultation à 1 semaine d'un traumatisme au genou D à ski. Nous organisons une IRM afin de mieux bilanter les lésions. Dans l'intervalle, poursuite de la marche en charge selon douleurs avec 2 cannes anglaises et l'attelle jeans. Prochain contrôle clinique dans 1 semaine. Mme. Y de 19 ans qui consulte pour suspicion de drogue à son insu et infection MST. Elle décrit hier soir avoir bu 4 verres d'OH avec 2 connaissances masculines. Elle décrit depuis minuit ne plus se souvenir de sa soirée et s'être réveillée dans le lit d'un des 2 garçons qui lui a dit qu'il avait eu un rapport non protégé ensemble. La patiente ayant un moyen de contraception (stérilet) nous lui proposons d'effectuer les tests MST mais le délai étant dépassé pour la recherche de toxine, il n'est donc pas effectué. Elle dit que la relation était consentante. Un consilium gynécologique n'est pas demandé dans un premier temps car ne changerait pas la prise en charge médicale. Après la consultation, elle se représente aux urgences accompagnée de la police car souhaite porter plainte contre un deuxième garçon et donc souhaite avoir une recherche de sperme. Nous demandons un consilium gynécologique dans ce but. La patiente sera revue en consultation de contrôle le 06.02.2019 pour les résultats MST. Mme. Y de 20 ans qui travaille dans une crèche et qui a été traitée pour une otite moyenne droite par son médecin traitant il y a 2 semaines par Co-Amoxicilline 1g 2 fois par jour pour 1 semaine, qui revient pour de nouvelles douleurs à l'oreille droite. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Il est donné à la patiente un traitement antibiotique et elle sera réévaluée par son ORL lundi 11.02.2019. Mme. Y de 20 ans qui consulte les urgences de Riaz suite à un traumatisme cérébral sur chute de sa hauteur le 03.02.2019. Aux urgences, nous administrons une antalgie iv par paracétamol et Ecofenac avec amélioration des douleurs. Nous demandons un avis au Dr. X qui suspecte une commotion cérébrale, sur status post-traumatisme du 01.02.2019. Il n'y a pas d'indication d'emblée à réaliser une imagerie. Nous la gardons en surveillance aux urgences pendant 2 heures avec toujours présence de céphalées holocrâniennes mais en voie d'amélioration après administration de Dafalgan iv et d'Ecofenac iv et persistance de la notion de sensation vertigineuse lorsqu'elle se lève pour aller aux toilettes. Dans ce contexte et sur avis du Dr. X, nous réalisons un CT-scanner cérébral à la recherche d'un saignement/hématome. Le CT-scan cérébral réalisé est dans la norme et ne montre pas de signe pour un saignement, un hématome ou une fracture. Au vu de la stabilité clinique et d'une patiente rassurante au niveau clinique, elle rentre à domicile avec une surveillance neurologique sur 24h, une antalgie simple que la patiente a déjà à domicile, un arrêt de travail du 04.02.2019 au 07.02.2019 et le conseil de se reposer un maximum avec évitement au maximum des écrans lumineux et des lumières. Mme. Y de 20 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 18.02.2019 pour des contractions utérines. À son admission, le CTG est suspect avec une ligne de base à 105 bpm et des décélérations variables compliquées. La patiente contracte régulièrement et douloureusement avec un col qui n'est pas effacé. Dans ce contexte, l'indication à une césarienne en urgence est posée, que la patiente accepte. Elle donne naissance à une fille de 3080 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. À la sortie, les contrôles obstétricaux sont en ordre et la cicatrice est propre et calme. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.02.2019 en bon état général. Mme. Y de 22 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 16.02.2019 pour mise en travail spontané. Elle dilate rapidement et donne naissance par ventouse métallique à une fille pesant 3320 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.01.2019, en bon état général. Mme. Y de 23 ans qui se présente ce jour avec des douleurs et une impotence fonctionnelle post-traumatique de la cheville gauche survenue dans un contexte de chute accidentelle de sa hauteur avec traumatisme isolé de la cheville en varus. Au vu de l'impotence fonctionnelle et des résultats de la radiographie, nous posons le diagnostic d'entorse de cheville de grade 2 et mettons en place une attelle jambière postérieure aux urgences avec indication de décharge stricte. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X le 15.02.2019 pour réévaluation clinique. Mme. Y de 23 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 23.02.2019 en vue d'une provocation pour antécédent peu clair d'une mort fœtale in utéro à terme dans son pays. Elle bénéficie de la mise en place d'un Misodel le 23.02.2019 dans la nuit. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3450 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future est à rediscuter, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.02.2019 en bon état général. Mme. Y de 24 ans en bonne santé habituelle, qui se coupe avec un bout de conserve métallique en jetant les poubelles. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. La patiente bénéficie d'une désinfection, exploration, rinçage et suture de plaie. Elle sera revue lundi 11.02.2019 à la policlinique d'orthopédie. Mme. Y de 25 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 16.08.2018 en vue d'une provocation pour une suspicion de macrosomie fœtale. Elle bénéficie de la mise en place de deux Propess le 16.08.2018 et le 17.08.2018, sans mise en travail. Après discussion avec la patiente, nous décidons un retour à domicile pour une pause le 19.08.2018, avec une nouvelle tentative de déclenchement agendée au 21.08.2018. Mme. Y de 25 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 29.01.2019 pour mise en travail spontanée suite à une rupture prématurée des membranes. La patiente bénéficie d'une antibioprophylaxie par clindamycine (allergie à la pénicilline) en raison d'un portage de streptocoque du groupe B. Le travail est harmonieux. En raison d'un CTG pathologique aux épines +1, nous posons l'indication à une extraction par ventouse Kiwi. En raison d'une bosse séro-sanguine et d'une absence de contractions utérines efficaces, l'extraction se fait par forceps aux épines +1 en deux tractions. La patiente donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3230 g, de bonne adaptation néonatale.Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par désonur, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.02.2019, en bon état général. Le contrôle glycémique à J3 sera effectué à domicile et transmis au service d'endocrinologie. Contrôle post-partum à votre consultation dans 4 à 6 semaines. Au vu d'une absence d'immunité pour la rubéole, une vaccination ROR sera à proposer en post-partum. • Patiente de 25 ans, 2-gestes 0-pare, admise en salle d'accouchement le 13.02.2019 pour une mise en travail spontanée à 40 2/7 semaines d'aménorrhée. Après un travail harmonieux, à dilatation complète et tête aux épines, elle présente une décélération prolongée avec diminution de la variabilité, raison pour laquelle la décision est prise d'instrumenter par ventouse Kiwi. La patiente donne ensuite naissance à une fille de 3420 g avec une adaptation néonatale difficile qui a justifié un séjour en néonatologie. Les suites post-partales sont simples et Mme. reste afébrile. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La cicatrice est calme et propre avant son départ. La contraception future se fera par préservatif en attendant une discussion de contraception lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 16.02.2019. • Patiente de 25 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 17.02.2019 en vue d'une provocation pour RCIU avec Dopplers normaux. Le CTG présente une décélération prolongée avant le début de la provocation, suivie d'une seconde sur une contracture après mise en place du Propess. Par la suite, le CTG est suspect avec une tachycardie sans état fébrile. Dans ce contexte et après discussion avec le couple, nous posons l'indication opératoire. Elle donne naissance à un garçon pesant 2560 g ( 10 x/jour) et de diarrhées. Au status, nous observons un état fébrile avec un abdomen ballonné, sensible à la palpation et avec une défense et détente aux 4 quadrants. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 26.5 G/l et une CRP 596 mg/l. Le scanner abdominal montre une duodénite avec du liquide libre intrapéritonéal. Un avis chirurgical propose un traitement conservateur par Pantoprazole, Rocéphine et Metronidazole. Une OGD réalisée par le Dr. X ne montre aucune lésion visible dans le tube digestif supérieur et une absence de H. pylori. La patiente montre une bonne évolution clinique au niveau abdominal. Nous retenons une entérite duodénale d'origine très probablement bactérienne pour laquelle nous ne proposons pas de suivi particulier. Au vu du reflux gastro-œsophagien, nous proposons de poursuivre un traitement d'épreuve par Pantoprazole 40 mg 2x/jour du 12.02 au 26.03.2019. Au niveau rénal, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë pré-rénale rapidement corrigée par une hydratation. Au niveau électrolytique, nous observons une hyponatrémie iso-osmolaire rapidement corrigée par une hydratation. Une hypokaliémie est corrigée par une substitution intraveineuse. La patiente rentre à domicile le 14.03.2019. Mme. Y de 45 ans se présente ce jour aux urgences avec une symptomatologie grippale persistante depuis J-2, ne cédant pas sous antalgie simple. Sur la base de l'examen clinique et au vu des résultats rassurants du laboratoire sanguin, nous retenons un état grippal et décidons de laisser la patiente rentrer à domicile avec une antalgie simple, AINS, myorelaxants et un arrêt de travail de 5 jours. Nous suggérons à la patiente de se présenter à la consultation de son médecin traitant dans 4 jours pour un RDV de contrôle et l'invitons à se présenter aux urgences dans l'intervalle en cas de péjoration des symptômes. Mme. Y de 45 ans se réveille cette nuit avec des palpitations (ce n'est pas la première fois). Son médecin lui avait prescrit du Nebilet et du Lexotanil à prendre en cas d'angoisse ou de palpitations mais elle ressent que cela n'a pas fait effet. Elle n'a pas de douleur. Le bilan aux urgences est rassurant. La patiente est rassurée, sa tachycardie se résout spontanément. Nous lui donnons un Temesta en réserve pour la maison. Elle rentre par la suite accompagnée de sa fille. Mme. Y de 45 ans, 1 geste 0 pare, est hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale d'un volumineux myome intra-mural dégénératif symptomatique avec douleurs au flanc droit et ménométrorragies. La Pipelle de Cornier est négative. L'examen complémentaire par IRM objective une masse intra-murale bien délimitée avec extension sous-muqueuse, située dans la partie antérieure du corps de l'utérus, mesurant 121 x 81 x 114 mm, et une lésion intra-murale de la partie postérieure du corps de l'utérus mesurant 12 x 10 x 10 mm. Les annexes se présentent normalement. On propose une hystérectomie. La patiente souhaite une ovariectomie en même temps opératoire. Elle signe le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 31.01.2019 et a été techniquement difficile avec une perte totale de sang de 1 litre, avec des conditions circulatoires stables. Les suites post-opératoires immédiates sont marquées par une surveillance post-opératoire du 31.01.2019 au 01.02.2019 aux soins intensifs avec évolution favorable. Les suites sur l'étage de gynécologie sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue à la consultation du Dr. X le 12.02.2019. Mme. Y de 46 ans subit une chute de son cheval aujourd'hui, sa cheville restant coincée dans la selle. Il en résulte le diagnostic susmentionné mis en évidence par le bilan radioclinique aux urgences. La patiente bénéficie d'une immobilisation par Aircast avec traitement AINS et un contrôle en orthopédie dans 1 semaine. Mme. Y de 48 ans est admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire aiguë sur grippe compliquée d'un pneumothorax. Mme. Y se présente aux urgences après une syncope d'origine hypoxémique dans le cadre d'un état grippal. L'évolution est rapidement défavorable sous oxygène à haut débit, nécessitant une intubation. La situation se complique par un pneumothorax à droite. Un drain thoracique est mis en place avec une amélioration rapide de la ventilation. Le traitement par Tamiflu avec couverture antibiotique en prévention d'une surinfection est initié au vu du délai d'apparition des symptômes. Compte tenu d'un éventuel traumatisme crânien avec suspicion de fracture nasale, nous effectuons un CT cérébral qui permet d'exclure une hémorragie cérébrale ou une fracture et qui révèle une lésion hémorragique d'allure séquellaire au niveau temporal à gauche ainsi qu'un hématome sous-dural de la fosse postérieure gauche d'allure chronique. Le 06.02, un état de réveil adéquat permet l'extubation de la patiente avec réintubation quelques heures plus tard en raison d'une détresse respiratoire sur dysfonction des cordes vocales compliquée d'une broncho-aspiration. De plus, une récidive de pneumothorax à droite est à nouveau drainée.En raison d'un état de réveil adéquat, une nouvelle tentative d'extubation a lieu le 09.02. Un examen ORL met en évidence une paralysie bilatérale des cordes vocales sans signes de lésion liée à l'intubation. Nos collègues ORL préconisent un traitement conservateur par physiothérapie et logopédie. Néanmoins, en raison d'une dégradation respiratoire avec broncho-aspiration, nous ré-intubons la patiente le même jour. Une trachéotomie est faite le lendemain. L'évolution est rapidement favorable sur le plan respiratoire avec un sevrage progressif de la ventilation. Un examen ORL de contrôle le 13.02. montre une persistance de la paralysie des cordes vocales. En raison de suspicion de neuro-myopathie débutante, nous demandons un avis neurologique. Un ENMG avec beaucoup d'artefacts révèle de possibles lésions axonales sans argument pour une maladie de la jonction neuromusculaire. Un EEG est sans particularité et un test au Tensilon se révèle négatif. Un dosage des anticorps anti-RACh, anti-MuSK est négatif et l'anti-GQ1B est en cours et est à pister. Une polyneuropathie des soins intensifs est retenue pour l'instant comme diagnostic possible. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, la patiente est transférée en division de médecine interne avec proposition de poursuivre des soins ORL quotidiens en vue d'un sevrage de la trachéotomie avec physiothérapie intensive et projet d'une réadaptation musculo-squelettique suite au déconditionnement lié au séjour aux soins intensifs. • Patiente de 48 ans, 4 gestes 3 pares, qui présentent des métrorragies récurrentes persistantes sous Letrozol malgré le traitement par Duphaston et Cyklokapron. La patiente opte pour un traitement radical par hystérectomie totale et annexectomie bilatérale. Elle accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 20.02.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue dans 10 jours à la consultation du Dr. X. • Patiente de 49 ans admise aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique après laparotomie exploratrice. Mme. Y présente depuis une année une perte de 25 kg associée à de sévères troubles du transit. Le bilan par imagerie met en évidence une sténose sigmoïdienne avec distension colique en amont, ainsi qu'un kyste ovarien gauche. Dans ce contexte, une prise en charge chirurgicale est planifiée. La patiente bénéficie d'une résection selon Hartmann avec annexectomie gauche. L'évolution post-opératoire est marquée par une vasoplégie importante dans un contexte de saignement per-opératoire nécessitant un soutien aminergique. L'évolution est favorable après remplissage. L'antalgie est bien contrôlée avec une péridurale. L'alimentation est reprise progressivement. Une antibiothérapie en prévention est également poursuivie 48h. • Patiente de 49 ans adressée au SAU par son médecin traitant pour sensation de palpitation de novo apparue à 06.00 du matin ce jour. • Patiente de 49 ans, 1 geste 1 pare, qui présente des méno-métrorragies, sur un utérus poly-myomateux, avec échec du traitement médicamenteux par Mirena qui a été retiré le 17.08.2018 puis Depo-provera le 05.11.2018. Après discussion des différentes possibilités thérapeutiques, la patiente opte pour un traitement chirurgical avec une hystérectomie totale avec salpingectomie bilatérale. La patiente accepte l'intervention en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 12.02.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue dans 10 jours à la consultation du Dr. X. • Patiente de 49 ans, 4 gestes 4 pares, en péri-ménopause avec des cycles irréguliers, qui présente des méno-métrorragies avec douleurs pelviennes et incontinence urinaire d'urgence. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente une hystérectomie totale, annexectomie bilatérale par laparoscopie et colporraphie antérieure et postérieure. Elle accepte l'intervention et signe le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 13.02.2019 et se déroule sans complication. Durant son séjour, la patiente a présenté un pic hypertensif associé à des céphalées, qui a été traité par Adalat 20 mg avec une bonne réponse des tensions artérielles. Nous proposons un suivi des tensions artérielles à domicile avec comme objectif, une tension systolique max à 160 mmHg. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 17.02.2019 et sera revue en consultation ambulatoire à J10 pour ablation des fils; contrôle clinique et discussion des résultats à la consultation du Dr. X dans 3 semaines. • Patiente de 49 ans, 5 gestes 5 pares, péri-ménopausée, qui présente un utérus polyfibromateux symptomatique avec des douleurs abdominales chroniques, hyperménorrhée, dysménorrhée et dyspareunie. On propose une hystérectomie inter-annexielle par laparoscopie. La patiente accepte l'intervention en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 05.02.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue dans 10 jours à la consultation de Dr. X. • Patiente de 50 ans qui se présente ce jour aux urgences avec des douleurs au coccyx survenues dans un contexte de chute accidentelle de sa hauteur avec réception sur les fesses, lorsque sa collègue lui a retiré la chaise sous les fesses au dernier instant avant qu'elle ne s'installe, sans notion de traumatisme crânien ni perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Nous effectuons une radiographie de la colonne lombaire et du sacrum qui montre la subluxation C01-C02 antérieure susmentionnée. Au vu de la clinique et des images radiologiques rassurantes, nous décidons de laisser la patiente rentrer à domicile avec une antalgie et du Sirdalud en réserve. Travaillant dans la restauration et étant debout la plupart de la journée, elle bénéficie d'un arrêt de travail jusqu'au 17.02.2019. Nous l'invitons à reconsulter en cas de persistance de sa symptomatologie. • Patiente de 50 ans, 3 gestes 2 pares, porteuse d'un DIU Mirena depuis 2016, qui est hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale d'un fibromyome utérin de 55 mm découvert lors d'un contrôle annuel. La patiente présente des spotting irréguliers lors des ovulations avec des lombalgies de 2-3 jours. L'examen complémentaire par l'IRM pelvien confirme la présence d'une masse pelvienne para-sagittale gauche de 55x48 mm polycyclique et un kyste ovarien à gauche. La patiente accepte une laparoscopie diagnostique avec éventuelle ovariectomie et ne souhaite pas d'hystérectomie surajoutée. L'intervention est effectuée le 15.02.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le même jour de l'intervention et sera revue dans 10 jours à la consultation du Dr. X pour contrôle post-opératoire et discussion des résultats. • Patiente de 51 ans en bonne santé habituelle qui consulte en raison de douleurs en barre de l'hémi-abdomen supérieur depuis hier soir. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique qui objective une CRP à 6 mg/l, des leucocytes à 9.2 G/l, des paramètres hépatiques et pancréatiques dans la norme. Nous réalisons un sédiment urinaire qui est dans la norme. Aux urgences, elle reçoit 1g de paracétamol iv avec évolution favorable. L'examen clinique est rassurant avec une absence de défense et de détente.Dans ce contexte, elle rentre à domicile après discussion du cas avec Dr. X avec une ordonnance pour une antalgie simple, un arrêt de travail du 21.02 au 22.02 et le conseil de reconsulter chez son médecin traitant en cas d'apparition de sang dans les selles ou de plus de 10 épisodes de diarrhées par jour. Patiente de 51 ans présentant une déchirure du LCA et de la corne postérieure du ménisque externe datant d'il y a 2 semaines. Nous discutons des différentes options thérapeutiques avec la patiente et son ami. Ces derniers sont extrêmement demandeurs d'une prise en charge chirurgicale. Cependant, nous recommandons à la patiente d'effectuer une prise en charge conservatrice avec un traitement de physiothérapie axé sur la récupération des amplitudes articulaires, proprioception, gainage et renforcement musculaire. Au vu du type de déchirure et selon la mise en évidence à l'IRM, la patiente serait également candidate à un traitement par attelle Reverse Jack pendant 3 mois. À terme et en fonction de l'instabilité après traitement conservateur, nous pourrions alors discuter d'une prise en charge chirurgicale. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'office. La patiente va réfléchir et reprendra contact avec nous par téléphone pour organiser la suite de prise en charge. Patiente de 52 ans, 2 gestes 2 pares, connue pour anamnèse familiale positive pour un carcinome du sein, qui présente une masse sus-aréolaire du QSE du sein droit connue depuis 2016 avec augmentation du volume. La biopsie du sein est non contributive. La patiente opte pour une exérèse de la masse. Elle accepte l'intervention en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 13.02.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue dans 10 jours à la consultation du Dr. X le 15.02.2019. Patiente de 53 ans connue pour un trouble schizo-affectif et un trouble bipolaire qui consulte les urgences de Riaz le 27.02.2019 en raison d'un tentamen médicamenteux du 26.02.2019 avec demande d'une hospitalisation au RFSM de Marsens. Aux urgences, nous réalisons un bilan biologique simple qui ne montre pas d'anomalie. Nous réalisons un test HIV en raison de lésions cutanées sur demande de la patiente, malgré l'absence de rapport sexuel à risque, qui sera à pister. Nous réalisons une radiographie du thorax qui revient dans la norme pour une patiente tabagique avec quelques signes de bronchite chronique. Un avis psychiatrique est demandé au psychiatre de garde du RFSM de Marsens, qui préconise de la transférer pour une hospitalisation volontaire. Aux urgences, elle reçoit un comprimé de Tranxilium 5 mg. Dans ce contexte, la patiente est transférée à Marsens. Départ avec le transporteur. Patiente de 53 ans connue pour une cirrhose d'origine alcoolique et sur hépatite C chronique guérie en 2015 (suivie par Dr. X), est amenée aux urgences pour baisse d'état général après avoir été retrouvée à domicile par son assistante sociale. La famille de la patiente est avertie dès le début de l'hospitalisation de la sévérité de la situation et du risque de complications vitales à court terme. Nous mettons en évidence une insuffisance hépatique sévère avec hypoglycémies récidivantes et troubles de la coagulation majeurs. Après une tentative de stabilisation par traitement médicamenteux, l'évolution est défavorable et la patiente décède paisiblement le 26.02.2019 d'une complication hémorragique. Patiente de 53 ans, droitière en BSH qui présente des douleurs au coude D suite à une chute de sa hauteur vers l'avant en glissant hier vers 16h, réception sur les poignets mais ne connaît pas le mécanisme exact de traumatisme au niveau du coude. Douleur avec impression de blocage au niveau du coude 6/10, non améliorée par l'antalgie. Pas de fourmillement ou de perte de force. Dernier repas le 29.01.19 à 20h. Examen clinique: OA coude D: Légère tuméfaction, sans hématome, rougeur, déformation ou plaie. Pas de douleur à la palpation de la tête radiale, pas de douleur à la palpation de l'olécrane ou du tiers distal de l'humérus. Poignet/main D: Pas de rougeur, chaleur, tuméfaction ou hématome. Douleur lors de la palpation de l'ulna distal référée au niveau du coude de façon mal localisée. Tests scaphoïdien (piston négatif, tabatière anatomique indolore, tubercule indolore). Pas de douleur au niveau des carpes, métacarpes ou phalanges. Extension douloureuse, pro-supination douloureuse. Pas de trouble neurovasculaire (test nerfs radial, ulnaire et médian sp). Au vu de l'examen clinique et de l'anamnèse, nous effectuons une Rx de poignet qui ne montre pas de fracture, et une Rx de coude qui montre une fracture Mason II. Dans ce contexte, un avis orthopédique est demandé au Dr. X. Au vu de la fracture, la patiente est hospitalisée avec traitement chirurgical le 30.01.19 par Dr. X. Patiente de 55 ans qui a bénéficié d'une prothèse unicompartimentale fémoro-tibiale interne à D en juillet 2013 et qui aurait été révisée en février 2014. Nous n'avons pas d'informations sur l'indication à cette révision. Peu après ces interventions, un diagnostic de polyarthrite rhumatoïde a été posé. Depuis l'intervention, la patiente présente des gonalgies d'évolution fluctuante. Elle dit ne jamais avoir été asymptomatique de ce genou après cette 2ème intervention. Sur la base du dernier bilan radiologique en notre possession, la prothèse est en place et ne présente pas de signe de descellement. Dans un premier temps, nous proposons à la patiente d'observer l'évolution des douleurs par un traitement en physiothérapie et optimisation du traitement antalgique. Nous allons également, dans l'intervalle, demander au Dr. X l'entier du dossier de la patiente. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. Patiente de 55 ans qui présente une névrite vestibulaire le 21.02.2019. Un VHIT est effectué le lendemain, mettant en évidence une atteinte des canaux semi-circulaires latéral et postérieur droits. L'audiogramme ne montre pas de surdité de perception, uniquement une légère surdité de transmission à droite. Nous gardons la patiente hospitalisée pour traitement symptomatique par Primperan, Tanganil et corticothérapie, ainsi que de la physiothérapie vestibulaire. La patiente peut rentrer à domicile le 24.02.2019. Elle bénéficiera de physiothérapie en ambulatoire. Nous la reverrons en consultation de contrôle à la fin de celle-ci, d'ici 3 mois pour contrôle clinique et VHIT afin d'objectiver la compensation/récupération vestibulaire. Patiente de 56 ans envoyée pour une radiographie du genou droit, présentant une clinique compatible avec une thrombose veineuse du membre inférieur droit avec un score de Wells négatif. Les D-dimères sont positifs, raison pour laquelle nous anticoagulons la patiente par Xarelto 15 mg jusqu'à ce que nous puissions obtenir un ultrason des voies veineuses profondes. La patiente est donc convoquée pour un contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 09.02.2019. Patiente de 58 ans qui présente une décompensation d'une gonarthrose fémoro-tibiale interne pour laquelle nous lui proposons de débuter dans un premier temps de la physiothérapie axée sur les amplitudes articulaires, étirement des chaînes postérieures, renforcement musculaire et proprioception. Nous la reverrons en juin 2019. Une infiltration pourrait alors être envisagée selon l'évolution. Patiente de 59 ans, 2 gestes 2 pares, ménopause depuis 2007, sans HTS, adressée par Dr. X pour suite de prise en charge chirurgicale d'un prolapsus (Cystocèle grade 4, Hystérocèle grade 2 et rectocèle grade 3) symptomatique. La patiente accepte une hystérectomie vaginale interannexielle avec colporraphie antérieure et postérieure et sacro-spino-fixation selon Richter en signant le consentement éclairé.L'intervention est effectuée le 07.02.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre au domicile et sera revue dans 10 jours à la consultation du Dr. X. • Patiente de 60 ans, connue pour fibromyalgie et consommation d'alcool à risque, est envoyée aux urgences par son médecin traitant pour gestion de l'antalgie pour des douleurs lombaires basses ingérables à domicile chez une patiente ayant repris une consommation d'alcool et vivant seule à domicile. Après une adaptation de l'antalgie et l'avis de nos collègues rhumatologues... • Patiente de 60 ans, infirmière de formation connue pour fibromyalgie et consommation d'alcool à risque, est envoyée aux urgences par son médecin traitant pour gestion de l'antalgie de douleurs lombaires basses ingérables à domicile. La patiente, vivant seule à domicile, aurait repris une consommation d'alcool dans ce contexte. Hormis une adaptation de l'antalgie, nos collègues rhumatologues retiennent un diagnostic de probable tendinopathie des fessiers avec pseudo-sciatique associée et une allodynie associée à une probable fibromyalgie. Ils préconisent, en plus d'une adaptation de l'antalgie médicamenteuse, un traitement physiothérapeutique, le dosage des FAN afin d'exclure un syndrome de Sjögren, une consultation neurologique afin d'écarter une pathologie neuro-musculaire et un suivi chez eux ainsi qu'auprès de la consultation d'antalgie. Durant le séjour, la patiente présente une évolution clinique satisfaisante avec une diminution de ses douleurs lui permettant une meilleure mobilisation. Elle rentre à domicile le 09.02.2019. La patiente sera convoquée pour le suivi proposé ci-dessus pour des rendez-vous en ambulatoire. La prise en charge à domicile demeure inchangée avec passage de l'infirmière de psychiatrie 1x par semaine. N'ayant pas pu atteindre cette intervenante par téléphone, la patiente est avertie de la recontacter elle-même. • Patiente de 60 ans, suivie en cardiologie par notre confrère, le Prof. X, fait appel à l'ambulance au soir du 11 février pour des palpitations, sans douleur rétro-sternale, apparues subitement sans élément déclencheur. Nous objectivons aux urgences une tachycardie, rythme compatible avec un flutter atrial. Après avis cardiologique, la patiente reçoit des bétabloqueurs, ce qui permet une cardioversion spontanée. Au vu d'une cinétique en augmentation des troponines, il est décidé d'organiser une coronarographie. L'examen démontre des artères coronaires saines. Nous procédons à une échocardiographie transthoracique, qui met en évidence une bonne fonction ventriculaire gauche, avec une légère dilatation de l'atrium gauche. Au vu du contexte cardiologique, la patiente sera convoquée au CHUV prochainement pour une ablation du flutter atrial. Il est décidé sur avis cardiologique de ne pas introduire d'anticoagulation dans l'intervalle. Elle sera revue à la consultation du Prof. X le 14.03.2019. Mme. Y retourne à son domicile en date du jeudi 14.02.2019. • Patiente de 61 ans ayant chuté dans les escaliers ce jour (pas de notion de malaise) avec réception sur le nez. Pas de traumatisme crânien, pas de perte de connaissance. Épistaxis liée au traumatisme (tarie aux urgences). Fracture de la première phalange du gros orteil gauche intra-articulaire traitée orthopédiquement avec chaussure de Barouk. Fracture des os propres du nez avec plaie en regard justifiant une antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline pendant 5 jours. Contusion thoracique droite. Plaie de la face interne de la lèvre supérieure, avec 4 points de suture + vaccination antitétanique car statut non à jour. Consultation à la policlinique d'orthopédie pour la fracture de l'orteil gauche. Nous conseillons à la patiente de ne pas se moucher, et de voir un ORL à distance. • Patiente de 62 ans, adressée par le Dr. X, pour la première séance de dialyse sur la fistule artério-veineuse confectionnée en janvier dernier. À son admission, Mme. Y se plaint d'une toux, présente depuis trois jours, qui s'accompagne d'une dyspnée NYHA III, en péjoration depuis quelques jours. Notre cliché du thorax révèle une légère opacité rétro-cardiaque, ce qui motive un CT-scan thoracique. Cet examen permet de retenir le diagnostic de bronchite. Nous initions dès lors un traitement symptomatique et récoltons des expectorations pour analyse. L'évolution est rapidement favorable, avec une résolution de la dyspnée. Par ailleurs, cet examen objective une légère majoration d'une adénopathie, ce qui motive la majoration des corticostéroïdes. Mme. Y sera revue le 21.02.2019 pour un CT thoracique, des fonctions pulmonaires et un rendez-vous en pneumologie. La séance de dialyse est débutée le 05.02.2019. Elle est bien supportée par la patiente, qui ne présente pas de trouble du rythme. Nous poursuivons les séances de dialyse sur la semaine et la laissons rentrer à domicile le mardi 12.02.2019. Elle sera suivie en néphrologie par le Dr. X. • Patiente de 63 ans, connue pour un STEMI le 08.12.2019 avec stenting de l'artère circonflexe, pour un diabète et une hypertension, consulte les urgences le 07.02.2019 pour des douleurs thoraciques oppressives irradiant dans la mâchoire et le bras gauche. L'électrocardiogramme effectué ne met pas en évidence d'anomalies nouvelles mais une cinétique enzymatique au niveau biologique fait suspecter le diagnostic de NSTEMI. La patiente est alors chargée en héparine et est pré-médiquée par Tavegyl et Solumedrol avant la coronarographie en raison d'une notion de possible choc anaphylactique au produit de contraste lors de son précédent séjour hospitalier en décembre 2018. La coronarographie effectuée le 08.02.2019 met en évidence une dissection spontanée de l'artère circonflexe distale avec une hypokinésie modérée inféro-latérale. La fraction d'éjection du ventricule gauche est estimée à 65%. Sur avis des cardiologues, le traitement par bêta-bloquant est stoppé et un anti-calcique est introduit. Un scanner est également réalisé afin d'évaluer les axes artériels. Il ne montre pas de signes de dysplasie fibro-musculaire artérielle mais une athéromatose diffuse avec plusieurs plaques ulcérées et un thrombus flottant dans l'artère fémorale. Selon nos collègues d'angiologie, il n'y a pas d'indication interventionnelle ni suivi particulier à mettre en place. Durant le séjour, la patiente présente des épisodes de pics hypertensifs avec des douleurs oppressives similaires à celles ressenties à l'entrée sans modifications au niveau électrocardiographique. Une nouvelle coronarographie est effectuée le 11.02.2019 et ne met pas en évidence de nouvelles anomalies. Une composante anxieuse à ces douleurs est possible. Le traitement antihypertenseur est majoré avec un bon contrôle tensionnel en fin de séjour. Après la deuxième coronarographie, la patiente présente des douleurs de la jambe droite. Un bilan angiologique avec ultrason de ce membre ne met pas en évidence d'anévrisme ou anomalie de perfusion. La patiente rentre à domicile le 15.02.2019. Un contrôle cardiologique avec échographie transthoracique est prévu le 15.03.2019 chez le Prof. X. Au niveau des soins à domicile, une aide pour les soins de base et un contrôle de santé hebdomadaire est mis en place en plus du suivi psychiatrique habituel. Vu la notion de possible choc anaphylactique lors de la coronarographie de décembre 2019, un bilan allergologique serait indiqué. • Patiente de 64 ans, adressée par son médecin traitant avec prescription de radiographies, suite à une chute la veille avec traumatisme des 2 genoux et du coude droit. Cliniquement, nous retrouvons un coude droit tuméfié sur la face interne avec une palpation douloureuse en regard du condyle interne, une flexion/extension à 140-10-10° et une supination douloureuse. Le genou gauche présente une ecchymose infra-patellaire simple et le genou droit une tuméfaction avec douleurs à la palpation infra-patellaire ainsi qu'une boiterie de décharge. Les radiographies ne montrent pas de fracture mise à part un fatpad signe du coude droit. Nous retenons un diagnostic de contusion infra-patellaire du genou gauche et sur avis du Dr. X, orthopédiste, nous effectuons un CT-scan du coude droit. Nous mettons en évidence une fracture de la tête radiale droite Mason 1 avec hémarthrose. Ainsi, nous réalisons une immobilisation par attelle plâtrée postérieure avec contrôle à la policlinique d'orthopédie le 04.03.2019, antalgie simple et arrêt de travail jusqu'au 04.03.2019. La radiographie de contrôle ne montre pas de point d'appui. Mme. Y, 64 ans, connue pour plusieurs entorses à droite ainsi qu'un antécédent de thrombose veineuse profonde proximale en 2001, a glissé sur une plaque de glace la veille. Depuis, elle a des douleurs très importantes au niveau du pied gauche qui sont insomniantes avec une impotence fonctionnelle. Cliniquement, nous retrouvons une cheville gauche tuméfiée en regard de la malléole externe avec des douleurs à la palpation de la malléole externe, du péroné distal et moyen. Nous réalisons une radiographie qui montre une fracture type Weber B. Sur avis du Dr. X, orthopédiste, nous réalisons une radiographie en charge qui montre une stabilité de la fracture avec une absence de déplacement. Ainsi, il n'est pas nécessaire d'opérer et nous réalisons une botte plâtrée circulaire avec renforcement postérieur et incision tibiale. La radiographie de contrôle ne montre pas de déplacement secondaire. Nous prescrivons un anticoagulant par Clexane 40 mg injections sous-cutanées 1x/jour ainsi que du Dafalgan cp 1g 4x/jour avec du Tramal Retard 50 mg en réserve maximum 4x/jour. Elle sera revue en contrôle à la consultation du Dr. X, orthopédiste, dans 2 semaines. Mme. Y, 64 ans, suivie pour un carcinome invasif NST à l'union des quadrants externes du sein droit cT3 cN1 cM0 stade III diagnostiqué le 19.07.2018, actuellement sous traitement par Taxol hebdomadaire et Carboplatine aux 3 semaines pour 4 cycles complémentaires, avec une dernière séance le 31.01.2019, consulte en raison de la présence d'une dyspnée stade III depuis 3 jours, en péjoration, sans état fébrile ni frissons associés. Pas d'odynophagie. La patiente relate aussi une rhinorrhée claire et une toux grasse depuis 15 jours, sans pouvoir expectorer. Anorexie depuis une dizaine de jours avec faiblesse importante et inappétence. Un épisode de vomissements clairs post-chimiothérapie le 04.02.2019, transit normal et régulier. A l'examen clinique d'entrée, patiente normotendue à 131/76 mmHg, tachycarde à 125 bpm, tachypnéique à 24/min, afébrile à 37.4 C°, avec une saturation à 100% à l'air ambiant. Sur le plan cardio-vasculaire, B1-B2 bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire, pas d'oedème aux membres inférieurs. Signe de Homans négatif des deux côtés, mollets souples, ballant conservé. Pouls périphériques tous palpés. Absence de souffle sur les grands axes vasculaires, sans autre souffle vasculaire. Sur le plan respiratoire, présence de râles fins crépitants bi-basaux à prédominance à droite, patiente eupnéique, sans tirage. Sur le plan digestif, abdomen souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Murphy négatif, pas de masse pulsatile, pas d'organomégalie palpable. Sur le plan urogénital, les loges rénales sont souples et indolores. Le bilan biologique d'entrée montre une bonne fonction rénale, une légère hyponatrémie à 132 mmol/l et une hypokaliémie à 3.2 mmol/l, sans syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire montre une microhématurie. La patiente bénéficie d'une substitution pour ces troubles électrolytiques. La radiographie du thorax est normale, sans foyer parenchymateux systématisé, épanchement pleural ou lésion nodulaire suspecte de métastase dans le contexte carcinologique. Le PAC sous-clavier gauche est en place. Un test de Schellong revient négatif. Pendant le séjour, nous mettons en évidence un eczéma au niveau des membres supérieurs, sur probablement chimio-toxicité pour laquelle nous introduisons un traitement par Xyzal avec une bonne réponse clinique. Durant l'hospitalisation, la patiente présente également un état fébrile à 37.9°, raison pour laquelle deux paires d'hémocultures sont prélevées, qui reviendront négatives. Nous retenons une probable origine virale au vu de l'absence d'autre piste. Un CT thoraco-abdominal est également effectué le 11.02.2019, qui ne montre pas de signe d'embolie pulmonaire ni de lésion d'allure métastatique à distance. Mme. Y regagne son domicile le 13.02.2019. Elle bénéficiera comme prévu d'une IRM de suivi le 14.02.2019, puis sera revue à la consultation du Dr. X, oncologue. Mme. Y, 65 ans, est admise pour une coronarographie élective. La coronarographie du 15.02.2018 montre un excellent résultat après PCI de la marginale, de la bissectrice et de l'ACD en 2010. Il y a de plus une progression de la maladie coronarienne au niveau de la bifurcation IVA/DA que j'ai finalement traité avec 3 stents actifs et un bon résultat immédiat. Bonne fonction VG systolique. Un traitement de double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est introduit. Un contrôle est prévu à la consultation du Dr. X dans 1 mois avec une ergométrie dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 16.02.2019. Mme. Y, 66 ans, connue pour une hypercholestérolémie et un diabète, consulte les urgences en raison d'une lombalgie depuis un mois, sous traitement anti-inflammatoire par Vimovo, avec augmentation des douleurs depuis 3 jours, sans trouble neurologique rapporté. Red flags : pas de parésie, pas de trouble sphinctérien, pas de corticothérapie récente, pas de traumatisme, pas d'antécédent d'opération locale, pas d'anamnèse positive pour néoplasie, pas d'état fébrile, pas de frisson, pas de symptôme B. Mme. Y, 68 ans, connue pour un syndrome des jambes sans repos, vient pour une acutisation de ses douleurs lombaires gauches. Elles sont devenues constantes et invalidantes, péjorées par les transferts assis-debout et le maintien de la position assise. Il n'y a pas de red flag ni d'irradiation et cliniquement nous retrouvons un pli cutané lombaire G>D avec un espace costo-iliaque G150m avec le rollator. La patiente peut rentrer à domicile le 07.02.19 dans un bon état général. • Patiente de 84 ans, que notre confrère, le Dr X, cardiologue, nous adresse pour l'installation d'un pacemaker DDD pour une maladie du sinus, avec bradycardie et pauses systoliques. Nous procédons à l'installation d'un pacemaker Kora 250 le matin du 18 février. L'intervention se déroule favorablement et n'est guère suivie de complications. Nous invitons la patiente à faire contrôler la plaie opératoire dans 10 jours et lui prions de se rendre à un rendez-vous de contrôle en cardiologie. Mme Y rentre à domicile en date du 19 février. • Patiente de 85 ans, connue pour un carcinome épidermoïde du col utérin diagnostiqué en octobre 2018, que vous nous adressez en ambulatoire pour une ponction pleurale droite diagnostique et évacuatrice. La patiente ne rapporte pas de plainte spontanée à l'admission, hormis une sécheresse buccale. La ponction pleurale permet de retirer 700 ml de liquide citrin. À la fin du geste, la patiente présente une toux irritative et une dyspnée, symptomatologie rapidement améliorée par la mise en place d'oxygène. La radiographie de contrôle, effectuée couchée, laisse suspecter un discret pneumothorax droit. Dans ce contexte, nous décidons d'hospitaliser Mme Y pour une surveillance clinique. Sur le plan respiratoire, l'évolution clinique est rapidement favorable. La radiographie thoracique de contrôle ne montre pas de pneumothorax. Les analyses du liquide pleural prélevé à l'admission sont suggestives d'une manifestation pleurale métastatique d'un carcinome à différenciation épidermoïde, chez cette patiente connue pour un carcinome épidermoïde du col utérin. En parallèle, la patiente présente des nausées et vomissements itératifs, sans argument clinique pour un subiléus et pour lesquels nous adaptons la médication anti-émétique, avec une évolution favorable. Durant le séjour, Mme Y rapporte également une oligurie de longue date. À noter qu'en lien avec la tumeur primaire du col utérin avec invasion du vagin et de la paroi postérieure de la vessie, la patiente présente une obstruction de l'uretère droit pour laquelle une sonde double J et un stent ont été mis en place en mars 2018. Durant le séjour, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë d'origine possiblement mixte. Au vu du contexte oncologique et après discussion avec la patiente et ses proches, une décision de procéder à une thérapie symptomatique est décidée. Selon l'avis spécialisé en soins palliatifs de Dr X, au vu de l'absence d'événement aigu, la suite de la prise en charge est réalisable au home. Ainsi, en accord avec la patiente et ses proches, Mme Y rentre au home Les Bonnesfontaines le 06.02.2019. • Patiente de 85 ans, connue pour une fibrillation auriculaire sous Cordarone depuis le 27.03.2007, actuellement sous Eliquis, pour une hypertension artérielle traitée, une maladie de l'oreillette avec brady-tachycardie avec status après mise en place d'un pacemaker le 03.11.2014 (Dr X), contrôlé la dernière fois le 13.11.2018, et qui est admise ce jour en gériatrie aiguë suite à une coronarographie du 11.02.2019 réalisée à l'HFR Fribourg qui concluait à des coronaires normales et une fonction systolique un peu diminuée avec fraction d'éjection ventriculaire gauche à 45%.Depuis le retour de Fribourg le 11.02.2019, la patiente ne se plaint d'aucune douleur et ne signale pas de dyspnée, pas de palpitation ni d'état fébrile. Cliniquement, la patiente est normotendue à 131/70 mmHg, normocarde à 84 battements par minute et sature à 97 % à l'air ambiant. Elle est apyrétique à 36.4 °C. Au niveau cardiaque, les bruits sont réguliers sans souffle surajouté ; Mme. Y ne présente pas de signe de décompensation droite ni gauche. Au status respiratoire, la patiente est eupnéique sans aucun signe de détresse respiratoire ; le murmure vésiculaire est symétrique et sans bruit surajouté. Le point de ponction au niveau radial gauche est sans particularité. Un laboratoire de contrôle est effectué avant la sortie de la patiente, et signale une hémoglobine normale à 129 g/l, sans syndrome inflammatoire. Un contrôle de la TSH indique des valeurs augmentées à 7.09 mU/l avec une T4 libre dans la norme (13 pmol/l). Nous concluons à un hypothyroïdisme sub-clinique. Ces valeurs seront à recontrôler d'ici 4 à 6 mois chez le médecin traitant. Après discussion avec Mme. Y et ses enfants, nous la laissons rentrer à domicile ce 14.02.2019. Les soins à domicile seront augmentés à 2 fois par jour et les repas à nouveau livrés à domicile une fois par jour. De la physiothérapie et de l'ergothérapie sont également prescrites. Mme. Y, 85 ans, hospitalisée aux soins intensifs pour surveillance post-opératoire après l'ablation d'une prothèse totale du genou gauche en raison d'une infection à E. faecalis. La patiente était hospitalisée à Payerne depuis 3 semaines en raison d'une embolie pulmonaire et anticoagulée par Clexane, ainsi que pour une infection prothétique du genou gauche à E. faecalis (ponction 04.12.2018), traitée par antibiotique depuis le 07.01.2019. La patiente a été transférée à l'HFR pour une ablation de la prothèse et mise en place d'un spacer. L'intervention s'est déroulée sans complication hormis un saignement estimé à 1 L chez une patiente déjà anémique avec une hémoglobine pré-opératoire à 73. Elle est transfusée de 4 CE et 1 PFC. L'hémoglobine se stabilise ensuite. L'antibiothérapie par Co-Amoxicilline est restreinte à l'Amoxicilline sur avis infectiologique. L'antibiothérapie reste à poursuivre en collaboration avec nos collègues infectiologues. Nous vous laissons le soin d'organiser le taux résiduel de l'Amoxicilline le 04.02.2019 et d'avertir les infectiologues des valeurs en fin d'adapter le traitement. En post-opératoire, une oligo-anurie d'origine indéterminée est constatée avec une hématurie macroscopique probablement post-traumatique. Un US des voies urinaires ne montre pas d'obstruction des voies urinaires hautes. Un remplissage puis une diurèse forcée sont débutés. L'évolution est favorable avec une reprise de diurèse et, à sa sortie, encore une fonction rénale perturbée. L'origine de cette insuffisance rénale reste peu claire. Nos collègues de médecine interne vont suivre la patiente conjointement avec les orthopédistes. L'antalgie est gérée par Fentanyl patch avec des réserves et la patiente peut se mobiliser selon douleurs sous la surveillance des physiothérapeutes. Une prothèse du genou droit sera mise à distance. En vue d'une bonne évolution clinique, la patiente est retransférée à l'étage d'orthopédie le 01.02.2019. Mme. Y, 85 ans, consulte les urgences de Riaz le 04.02.2019 pour des douleurs abdominales depuis hier soir. Nous réalisons un bilan biologique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire avec des paramètres hépatiques perturbés mais connus par rapport au comparatif de la patiente. Dans ce contexte et sur avis du Dr. X, nous retenons un diagnostic de gastro-entérite virale et la patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Nous lui conseillons de bien s'hydrater et proposons d'effectuer un contrôle chez le médecin traitant si besoin. Mme. Y, 86 ans, connue pour une insuffisance rénale chronique et un parkinsonisme, prise en charge en réhabilitation gériatrique après un séjour en gériatrie aiguë (lettre n°1) du 10.01.2019 au 21.01.2019 pour une pneumonie bibasale à Pneumocoques. Vu la bonne évolution clinique, mais la persistance de troubles de la marche et de l'équilibre, la patiente débute donc une réhabilitation gériatrique ce jour. Pour rappel, Mme. Y est veuve depuis 30 ans et avait eu 8 enfants, dont une fille est décédée, un fils est à Clos-Fleuri et les autres ont peu de contact avec elle. La patiente bénéficiait du passage des soins à domicile 2 fois par jour. Elle est actuellement sous curatelle au niveau financier. Durant ce séjour, et concernant l'anémie, nous effectuons des hémofecatests qui reviennent positifs, raison pour laquelle le traitement par Aspirine Cardio en prévention primaire est mis en pause et un traitement par IPP est instauré. Nous vous proposons un suivi régulier de l'hémoglobine, avec des investigations ultérieures à réaliser si nécessaire. Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un tintébin est de 150 mètres. La patiente monte et descend 9 marches avec l'aide de la rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 61/126, par rapport à 59/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas effectué. La patiente bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui met en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une maladie neurodégénérative et une dysphagie, et démontrée par un NRS à 4/7 et des apports par voie orale couvrant 45 % des besoins énergétiques. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Vu les difficultés pour un retour à domicile en sécurité, un projet de placement est décidé. Le 01.02.2019, Mme. Y reste donc hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, Mme. Y sera institutionnalisée au Foyer St-Vincent de Vuadens le 06.02.2019. Mme. Y, 86 ans, déjà hospitalisée en gériatrie aiguë HFR Riaz du 02.01.2019 au 15.01.2019 en raison d'une chute avec contusion lombaire et à la hanche gauche ainsi qu'une fracture des arcs costaux antérieurs droits, et qui, après sa sortie, a toujours présenté des douleurs basi-thoraciques droites (en regard des fractures de côtes). Depuis le 15.01.2019, la patiente relate aussi l'apparition d'une dyspnée, allant en s'aggravant, accompagnée d'une toux devenant productive, mais sans douleur rétro-sternale. Le 19.01.2019, Mme. Y présente des frissons associés à un état fébrile à 38.4 °C. Dans cette situation, la patiente est adressée aux urgences de l'HFR Riaz par MedHome pour reprise en charge. Au status aux urgences, nous retrouvons une hypoventilation en base droite. Le status cardiovasculaire est dans la norme. Au niveau abdominal, remarquons la présence d'une légère douleur à la palpation de l'hypochondre droit (fractures costales), sans défense ni détente, sans organomégalie, et au Murphy difficile à évaluer vu la présence de cette fracture costale. Le reste du status est sans particularité.Le bilan biologique indique un syndrome inflammatoire avec leucocytose. Nous effectuons donc une radiographie du thorax qui n'identifie pas de foyer pulmonaire clair. Au vu de l'anamnèse de fracture costale, de la fièvre et d'un foyer clinique en base droite, nous retenons le diagnostic de foyer pulmonaire basal droit dans un contexte de fracture costale antérieure basi thoracique droite. La patiente est alors mise sous Rocéphine 2g par jour et est hospitalisée dans notre service de gériatrie aiguë le jour même de son entrée aux urgences, pour suite de prise en charge. Durant ce séjour, Mme. Y développe des épisodes de nausées et vomissements, que nous mettons sur le compte de la prise de Tramal. Ce traitement est stoppé, avec disparition des nausées et sans remarquable augmentation des douleurs. Les contrôles biologiques signalent une amélioration du syndrome inflammatoire. Les hémocultures et les antigènes urinaires reviennent négatifs. Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche seule est de plus de 240 mètres. La patiente monte et descend 18 marches avec l'aide d'une canne et de la rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 106/126, par rapport à 95/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 19.42 sec avec 2 cannes. La patiente bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui écarte une malnutrition protéino-énergétique. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Finalement, Mme. Y se rend en court séjour au home de Billens le 30.01.2019. Patiente de 87 ans, hospitalisée pour un état confusionnel aigu hyperactif. Pour rappel, Mme. Y a chuté la nuit du 25.01 au 26.01.2019 en se mobilisant aux WC, et est restée allongée durant deux heures, incapable de se relever. Elle a donc déclenché son télé-alarme, et les ambulanciers sont allés la chercher au domicile. À l'arrivée, la patiente est retrouvée allongée dans ses urines, avec une légère désorientation. Elle ne décrit pas de trauma crânien. À l'anamnèse, elle décrit une pollakiurie sur la journée avec une légère dysurie. Mme. Y reçoit une dose de Monuril pour une suspicion de cystite avec un état confusionnel aigu secondaire à l'infection. L'évolution est par la suite favorable après hydratation sans récidive d'état confusionnel. Nous objectivons par ailleurs une légère déshydratation avec une pseudo-hyponatrémie, dans le contexte de son diabète. Par ailleurs, la patiente présente une probable bronchite virale au décours dans un contexte de BPCO probable pour laquelle elle bénéficie de physiothérapie respiratoire. Au vu d'un déconditionnement général avec des troubles de la marche résiduels et des difficultés lors des transferts, nous adressons la patiente en réadaptation gériatrique pour la suite de la prise en charge en vue d'un retour au domicile. Mme. Y est transférée le lundi 04.02.2019. Patiente de 87 ans, qui a été amenée aux urgences de l'HFR Riaz en ambulance en raison d'un malaise après lequel son fils et son mari l'avaient mise par terre, position dans laquelle Mme. Y était revenue à elle au bout de 5 minutes. Pas de prodrome, pas de convulsion, mais incontinence urinaire, pas de morsure de la langue, pas d'état post-critique. Aucune plainte après le malaise dont il s'agit d'un premier épisode du genre. Mme. Y est française et réside en France, actuellement en visite chez son fils. À l'arrivée de l'ambulance, les constantes de la patiente sont dans la norme. Au status effectué aux urgences, nous retrouvons une patiente en bon état général. Au niveau cardiaque, les B1-B2 sont bien frappés et réguliers, avec un souffle aortique nouveau, il n'y a pas d'œdème aux membres inférieurs, et les mollets sont souples à la palpation. Au status abdominal, l'abdomen est souple, dépressible et indolore à la palpation. Au toucher rectal, nous signalons la présence d'hémorroïdes externes et de selles brunes dans l'ampoule rectale. Le status neurologique est dans la norme. Le reste du status est sans particularité. L'ECG du 06.02.2019 ne relève pas de modifications pouvant correspondre à un syndrome coronarien aigu, mais met en évidence des extrasystoles supra-ventriculaires fréquentes. Nous effectuons des troponines qui reviennent avec une cinétique négative. Le bilan biologique met en évidence une anémie hypochrome microcytaire avec hémoglobine à 87g/l, présence d'un léger syndrome inflammatoire avec CRP à 36mg/l et leucocytose à 11g/l ainsi qu'une carence en vitamine B12. En ce qui concerne l'anémie, la patiente ne rapporte pas d'extériorisation du sang. Cette dernière ne signale pas non plus de symptomatologie gastrique, mais une alternance de diarrhées et constipation dans les dernières semaines. Nous administrons néanmoins un bolus d'inhibiteur de la pompe à protons dans le service des urgences et prescrivons pour la suite du Pantozol 40mg deux fois par jour pour une semaine. Nous effectuons également aux urgences une transfusion d'un culot érythrocytaire grâce à laquelle l'hémoglobine remonte à 103g/l au contrôle biologique du 08.02.2019. Nous proposons un suivi de l'hémoglobine chez le médecin traitant dans 7-10 jours. Une carence en vitamine B12 est également substituée. En raison d'une perte d'appétit associée à une perte de 5kg dans les 3 derniers mois, nous effectuons une ultrasonographie abdominale qui met en évidence une masse pancréatique de 42mm x 23mm x 25mm à cheval entre la tête, l'isthme et le corps, suspecte pour une néoplasie, mais sans compression des voies biliaires. Au vu de cette situation et après discussion avec la patiente et les proches, nous convenons que le bilan d'extension et la suite de la prise en charge se feront en France (pays d'origine de la patiente). Durant le séjour, Mme. Y demeure cliniquement et hémodynamiquement stable et sans autre plainte. La patiente effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche seule est de 150 mètres. La patiente monte et descend 18 marches avec une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 96/126. (Mesure d'indépendance fonctionnelle physiothérapie : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 4/7). Le Timed up and go test est à 20.42'' sans moyen auxiliaire. Un bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence et démontrée par un NRS à 3/7, une perte de 8% de son poids en un mois et des ingesta à 50% depuis un mois. Des enrichissements sont donc introduits. Mme. Y peut regagner son domicile le 09.02.2019 accompagnée par son fils. Une prise en charge immédiate pour un bilan d'extension et un éventuel traitement est recommandée de notre part. Patiente de 87 ans, 5 gestes 5 pares, qui présente un cancer du sein gauche, multifocal, localement avancé sans adénopathies axillaires au PET-CT (CT4b pN0 M0). On propose une mastectomie simple de propreté que la patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 20.02.2019 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont marquées par un pic hypertensif à 250/98 en salle de réveil résolu par le traitement par Catapresan et Adalat. Les suites sont marquées par une tension artérielle élevée nécessitant une surveillance étroite de la fonction rénale et une réadaptation du traitement personnel par nos collègues Néphrologues. Elle présente aussi un déséquilibre glycémique en post-opératoire nécessitant une réadaptation du traitement par les endocrinologues. Les suites sont favorables et la plaie est calme. Les redons sont retirés à J2. La réadaptation du traitement personnel permet une reprise d'une tension artérielle dans la norme ainsi qu'un bon contrôle des glycémies.Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre au domicile et sera revue le 26.02.2019 à la consultation du Dr. X. • Patiente de 87 ans, que vous nous adressez le 18.02.19 devant une suspicion de pneumonie, chez une patiente présentant une toux depuis 2 semaines, associée à une asthénie depuis 5 jours et un syndrome inflammatoire biologique. La radiographie confirme la suspicion d'un foyer de pneumonie bilatérale. La patiente est alors hospitalisée en médecine et une antibiothérapie par ceftriaxone-clarithromycine est débutée. L'évolution clinique et biologique étant favorable, nous effectuons un relais per os par co-amoxicilline le 22.02.19 pour une durée totale de 7 jours. La patiente rentre à domicile le 24.02.19. • Patiente de 88 ans, connue pour un STEMI antéro-septal avec maladie tritronculaire et pose de deux stents actifs en IVA proximale, admise ce jour pour une réadaptation gériatrique après un séjour en gériatrie aiguë HFR Riaz du 27.12.2018 au 11.01.2019 en raison d'une fracture acétabulaire gauche et de la branche ilio-pubienne gauche non déplacée le 05.12.2019, traitée par décharge du membre inférieur gauche durant 6 semaines. Sur le plan social, Mme. Y vit dans une maison avec son mari. Elle n'a pas de soins à domicile, mais une femme de ménage passe tous les 15 jours. La patiente fait les courses avec son mari, mais gère seule ses médicaments et les repas. Elle marche avec 2 cannes anglaises. A l'étage, le bilan biologique met en évidence une insuffisance rénale chronique et une anémie hypochrome normocytaire à 101 g/l d'hémoglobine, stable par rapport au séjour en gériatrie aiguë. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs à distance. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances conservées avec un MMS à 27/30. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 3/15. Sur le plan ostéo-articulaire et sur avis spécialisé, nous débutons une physiothérapie de mobilisation en charge selon douleurs dès le 15.01.2019. Depuis, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide de 2 cannes est de 120 mètres. La patiente monte et descend 18 marches avec l'aide d'une canne et de la rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 100/126, par rapport à 71/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 19.21 sec avec 2 cannes anglaises. Durant les derniers jours de son hospitalisation, Mme. Y signale une douleur au niveau distal de la face médiale de la jambe droite, où nous remarquons une masse dure d'environ 5 mm, douloureuse à la palpation. Dans ce contexte, nous effectuons une radiographie de la jambe droite qui met en évidence des fines calcifications vasculaires distales de la jambe, compatibles avec une médiacalcose. La patiente bénéficie d'un bilan nutritionnel qui met en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence et perte de plaisir à manger, démontrée par un NRS à 3/7, perte de 8 kg sur les 4 dernières années et des ingesta à 75% de ses apports habituels depuis 1 semaine. Les repas sont donc adaptés. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Mme. Y peut regagner son domicile le 25.01.2019 avec activation des soins à domicile 1x/semaine et physiothérapie à domicile. • Patiente de 89 ans admise en réadaptation gériatrique après un séjour en gériatrie aiguë du 18.01.2019 au 29.01.2019 pour des lombalgies non déficitaires suite à une chute quelques jours après sa sortie du même service. Socialement, rappelons que Mme. Y est veuve et vit avec sa fille dans un appartement. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 08.01.2019 (séjour précédent en gériatrie aiguë) montrent des performances altérées avec un MMS à 20/30 et un test de la montre impossible à réaliser. Durant ce séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche accompagnée et à l'aide d'un rollator est de 120 mètres. La patiente peut gravir 9 marches d'escaliers avec accompagnement. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 80/126 par rapport à 70/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 27 secondes avec rollator. L'amélioration générale permet un retour à domicile avec des aides le 05.02.2019. • Patiente de 89 ans, hospitalisée en raison d'une insuffisance respiratoire globale dans un contexte de grippe Influenza A avec possible surinfection bactérienne. A l'admission, la patiente présente une baisse d'état général accompagnée d'une dyspnée évoluant depuis 2 semaines, en nette péjoration depuis 24 heures, associée à un état fébrile. Le frottis de grippe revient positif pour Influenza A, et un traitement de Tamiflu est débuté. La radiographie thoracique laisse suspecter une surinfection pulmonaire, raison pour laquelle nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid. Concernant l'insuffisance respiratoire globale, nous suspectons également une participation de décompensation cardiaque, avec un NT-proBNP à 6'125 ng/L. La séance de VNI débutée aux urgences est mal tolérée, avec une hypotension symptomatique. Le soutien ventilatoire n'est alors pas poursuivi. Par la suite, l'antigénurie revenant négative pour Légionelle, le Klacid est arrêté. Les hémocultures reviennent positives (1 flacon sur deux) pour un Staphylococcus capitis. Selon avis infectiologique, le pathogène retrouvé ne faisant pas de bactériémie à point de départ un matériel extra-vasculaire, nous le considérons comme un contaminant. Les hémocultures de contrôle restent stériles à 5 jours. L'évolution clinique et biologique est favorable. Une insuffisance rénale aiguë est mise en évidence et se corrige après hydratation intraveineuse. Les traitements néphrotoxiques sont mis en suspens de manière transitoire. Durant le séjour, nous mettons en évidence une plaie chronique au niveau de la malléole externe droite laissant apparaître le matériel d'ostéosynthèse chez cette patiente connue pour une fracture du tibia droit en 2015. Selon avis orthopédique, la patiente bénéficie d'une ablation de ce matériel le 18.02.2019. En peropératoire, les orthopédistes constatent une ostéomyélite. L'antibiothérapie par Rocéphine mise en place dans le contexte de la surinfection pulmonaire est alors relayée par de la Co-Amoxicilline par voie intraveineuse. Les cultures des divers prélèvements effectués sous antibiothérapie restent stériles. Selon avis infectiologique, l'antibiothérapie empirique par Co-Amoxicilline est poursuivie par voie orale pour une durée totale de 3 mois. En cas d'intolérance au niveau digestif, les infectiologues restent à disposition. Une prophylaxie antithrombotique est débutée pour une durée totale de 6 semaines, jusqu'au retrait du plâtre. Un contrôle radio-clinique est prévu à 6 semaines auprès de l'opérateur. Au niveau biologique, nous mettons en évidence une thrombopénie, sans répercussion clinique, que nous attribuons au contexte infectieux. Malgré la faible probabilité de thrombopénie induite par l'héparine, nous relayons l'anticoagulation prophylactique par de l'Arixtra. Le 13.02.2019, la patiente présente un état confusionnel aigu hyperactif, s'améliorant après quelques jours. Les étiologies avancées sont un syndrome de sevrage aux morphiniques mis en suspens dans le cadre de l'insuffisance rénale ou un effet indésirable du traitement de Tamiflu. Ce dernier est alors stoppé, et le traitement habituel de Morphine est repris.Mme. Bossel rentre au home de la Sarine le 21.02.2019. Patiente de 90 ans, connue pour une hypothyroïdie traitée, admise en réadaptation gériatrique dans le contexte de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Pour rappel, Mme. Michel a séjourné dans notre service de réadaptation gériatrique du 13.12.2018 au 28.12.2018 suite à un séjour en orthopédie HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une fracture pertrochantérienne droite et de l'os cuboïde. Le 28.12.2019, la patiente entrait en séjour de reclassement en vue d'un placement en UATO, projet qui, par la suite, s'est modifié en un retour au domicile avec soins à domicile. Dans ce contexte, une reprise en charge en réadaptation gériatrique a lieu à partir du 22.01.2019. Au niveau social, rappelons que Mme. Michel est veuve depuis 11 ans et qu'elle vit seule dans un appartement d'une ancienne maison, avec 7 marches d'accès et rampes des deux côtés. Jusqu'à présent, elle cuisinait seule mais bénéficiait du passage d'une femme de ménage tous les 15 jours et d'une infirmière 1x/semaine pour contrôle santé. À domicile, elle marchait habituellement avec une canne. Sur ses 3 enfants, l'un est décédé il y a environ 7 ans et elle a 7 petits-enfants. Durant son séjour de reclassement, la patiente s'était rendue à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une consultation ophtalmologique le 21.01.2019, avec prescription d'Oculac. Sur le plan ostéo-articulaire concernant sa fracture pertrochantérienne, Mme. Michel a un contrôle radio-clinique auprès du Dr. X le 01.03.2019 à 8h45. En ce qui concerne la fracture de l'os cuboïde, un contrôle radioclinique avec réfection du plâtre a lieu la semaine du 28.01.2019. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 14.12.2018 (lors du précédent séjour) montraient un MMS à 27/30 et un test de la montre à 3/7. Durant son séjour, Mme. Michel effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche seule, et à l'aide d'un tintébin, est de 130 mètres. Elle nécessite de l'aide pour les soins, notamment pour les soins corporels. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 100/126, par rapport à 59/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 5/7, marche à 5/7, escaliers à 5/7). Le TUG est à 19.56 secondes. Mme. Michel est autonome avec son rollator. Au niveau nutritionnel, la patiente ne présente aucun problème nutritionnel actuel, son NRS s'élevant à 1/7. Mme. Michel bénéficie encore d'un bilan modulaire d'ergothérapie pour l'évaluation de son autonomie dans les activités de la vie quotidienne et l'entraînement des transferts. Cependant, la patiente n'est pas ouverte à des propositions d'aménagements, elle souhaiterait d'abord voir comment cela se passe au domicile, où elle y travaillera avec une ergothérapeute. Au vu de sa bonne évolution, Mme. Michel quitte notre service. À domicile, elle recevra le passage des soins 2x/j pour l'aide à l'habillage et au déshabillage. Patiente de 90 ans, sans antécédent connu si ce n'est une bronchopneumopathie chronique obstructive non stadée avec tabagisme actif, qui est amenée ce jour aux urgences par sa fille pour une dyspnée d'apparition progressive. La fille de Mme. Gumy nous précise que cette dernière respire déjà difficilement depuis quelques jours avec une toux grasse associée et des expectorations jaunâtres. Elle décide d'appeler son médecin traitant ce jour, qui, en entendant la respiration au téléphone, conseille à la patiente de se présenter aux urgences de l'HFR Riaz. Le status à l'entrée est sans particularité hormis une tachycardie à 100 battements par minute et une hypoventilation aux deux bases, avec des sibilances diffuses à son arrivée. Aux urgences, un bilan biologique est effectué ainsi qu'une gazométrie et une radiographie du thorax, parlant en faveur d'une décompensation cardiaque avec composante de bronchopneumopathie chronique obstructive décompensée superposée. Mme. Gumy est traitée par oxygénothérapie et un aérosol d'Atrovent-Ventolin-Pulmicort. Un traitement par Lasix est également débuté. L'état de Mme. Gumy se stabilise et nous l'hospitalisons en gériatrie aiguë HFR Riaz le jour-même. Concernant la décompensation de BPCO, nous prévoyons de la physiothérapie respiratoire et vous conseillons de prévoir une évaluation pneumologique avec des tests fonctionnels pulmonaires lors du retour à domicile, afin d'évaluer le stade de la maladie et débuter un traitement ciblé tout en laissant sortir la patiente avec un traitement par bronchodilatateurs à longue durée d'action. Le status et l'anamnèse pulmonaires à la sortie sont très satisfaisants, avec une patiente eupnéique à l'air ambiant. Dans le contexte de la décompensation cardiaque, la patiente est traitée par Lasix en intraveineux aux urgences, mais nous pouvons rapidement relayer ce traitement par oral en raison d'une bonne évolution clinique et d'une nette diminution des besoins en oxygène, avec sevrage rapidement possible. Durant ce séjour, la patiente bénéficie d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 31.01.2019 au 11.02.2019. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances très faiblement altérées avec un MMSE à 26/30, un test de la montre à 2/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 2/15. Durant son séjour, Mme. Gumy effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche accompagnée et sans moyen auxiliaire est de 280 mètres. La patiente peut gravir 1 étage d'escaliers sans accompagnement. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 85/126 par rapport à 73/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 6/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 16 secondes sans moyen auxiliaire. Au niveau nutritionnel, nous mettons en évidence une malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une dépense énergétique élevée et parfois un appétit diminué, ce qui est démontré par un NRS à 5/7, un indice de masse corporelle à 16.6 kg/m2 et une perte pondérale de 12% en 1 à 2 mois. Pour cette raison, nous mettons en place une adaptation des repas pour augmenter les apports énergétiques. Au niveau ergothérapeutique, le bilan indique une bonne autonomie relative à l'âge, et nous nous focalisons en particulier sur la sécurisation des transferts afin de minimiser le risque de chutes. Face à une excellente évolution clinique, la patiente peut rentrer à domicile le 11.02.2019. Une infirmière indépendante passera 1x/semaine pour contrôle de santé. Patiente de 92 ans, connue pour des troubles cognitifs modérés et pour un status après implantation de prothèse de hanche droite, qui est admise en réadaptation gériatrique ce 25.01.2019 pour troubles de la marche et de l'équilibre dans un contexte de chute le 05.01.2019. Pour rappel, cette patiente séjournait en gériatrie aiguë HFR Riaz du 05.01.2019 à ce jour suite à cette chute d'allure accidentelle. Les examens complémentaires ne montraient pas de fracture. Pendant ce séjour, la patiente avait développé une pneumonie basale gauche entraînant un état confusionnel aigu. L'évolution de l'état infectieux étant bonne sous antibiothérapie, Mme. Crausaz entame désormais une réadaptation gériatrique.Rappelons que la patiente vit dans la même maison que celle de son fils et qu'elle se mobilisait avec deux cannes avant l'hospitalisation. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 10.01.2019 en gériatrie aiguë indiquent des performances altérées avec un MMS à 23/30 et un test de la montre à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/30. Durant ce séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seule sous surveillance et à l'aide d'un rollator ou d'un tintébin est de 120 mètres. Elle nécessite de l'aide pour les soins, notamment les soins corporels et l'habillage. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 80/126, par rapport à 73/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 5/7, escaliers à 3/7). Au niveau nutritionnel, Mme. Y ne présente pas de malnutrition protéino-énergétique, mais ses besoins énergétiques théoriques ne sont juste pas couverts actuellement. Il conviendrait de veiller à l'alimentation possiblement insuffisante à domicile, les repas n'étant livrés que 2 fois par semaine. La patiente bénéficie d'un bilan modulaire d'ergothérapie, afin d'évaluer l'autonomie dans les activités de la vie quotidienne. Celui-ci nous démontre que le retour au domicile semble difficile, nécessitant une structure maximale. Finalement, ces trois semaines de réadaptation gériatrique n'ayant pas permis de remplir les conditions de sortie, nous proposons à la patiente et à ses 4 enfants un placement en établissement médico-social, ce qui est accepté. Le 13.02.2019, Mme. Y reste donc hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Le 25.02.2019, la patiente sera finalement institutionnalisée au home de la Vallée de l'Intyamon à Villars-sous-Mont. Patiente de 92 ans, connue pour troubles cognitifs modérés et un status après implantation de prothèse de hanche droite, qui est amenée ce jour aux urgences de l'HFR Riaz suite à une chute d'allure accidentelle de sa hauteur sur son côté droit, sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. A son admission, Mme. Y décrit une douleur à la sixième côte, en axillaire, reproductible à l'inspiration profonde. Au status, signalons des douleurs à la palpation en regard de la 7ème côte, aggravées à l'inspiration profonde sans discontinuité de la côte. Nous réalisons une radiographie thoracique et du bassin qui ne visualise pas de fracture visible ni de signe de déscellement de prothèse. En raison d'un état confusionnel aigu, nous réalisons un CT cérébral natif qui nous permet d'écarter un saignement. L'état confusionnel est attribué à un syndrome inflammatoire avec leucocytose, cliniquement compatible avec une pneumonie gauche, raison pour laquelle un traitement par Rocéphine a été initié avec relais par Co-Amoxicilline par voie orale, avec bonne évolution clinique et biologique. Sur le plan urologique, notons un globe vésical à 748 ml nécessitant un sondage. A distance, nous effectuons une ablation de la sonde vésicale après un schéma de clampage. Sur le plan ostéo-articulaire, Mme. Y se plaint de douleurs à la hanche droite de manière fluctuante pour laquelle nous refaisons une radiographie qui se révèle sans particularité. Après avis orthopédique le 22.01.2019 (Dr. X), nous poursuivons un traitement conservateur ainsi qu'une mobilisation selon la douleur. Durant son séjour, la patiente bénéficie d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 08.01.2019 au 22.01.2019. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 23/30 et un test de la montre à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/15. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, son périmètre de marche accompagnée et à l'aide d'un déambulateur est de 10 mètres. La patiente ne peut pas gravir d'escalier. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 77/126, par rapport à 35/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 4/7, marche à 4/7, escaliers à 1/7). Le risque de chute est élevé. Mme. Y profite aussi d'un bilan nutritionnel, ne mettant pas en évidence de malnutrition protéino-énergétique, ce qui est démontré par un NRS à 2/7. La patiente bénéficie d'un bilan modulaire d'ergothérapie qui objective des difficultés au niveau de l'apprentissage et de la concentration. Finalement, malgré une évolution clinique favorable, la persistance d'un trouble de la marche avec un potentiel d'amélioration pose l'indication à une réhabilitation gériatrique dès le 25.01.2019. Patiente de 93 ans, connue pour diabète de type 2 insulino-dépendant, une maladie de Parkinson et des troubles anxieux, qui profite désormais d'un séjour en réhabilitation gériatrique suite à une hospitalisation en gériatrie aiguë du 07.02.2019 au 18.02.2019. Pour rappel, Mme. Y vit seule dans un appartement. Sa fille habite à l'étage du dessus et son petit-fils encore au-dessus. Elle est suivie par les soins à domicile deux fois par semaine pour l'organisation du semainier et la douche, et se rend à l'accueil de jour de la Maison Saint Joseph de Châtel-St-Denis (où elle est déjà inscrite) 3x/semaine. Elle marche sans moyen auxiliaire à l'intérieur et avec 1 canne à l'extérieur. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission en gériatrie aiguë montrent des performances altérées avec un MMS à 19/30 et un test de la montre à 0/7. Durant son séjour, nous mettons en évidence un orthostatisme, avec un test de Schellong s'avérant positif. Nous mettons en place un bandage aux membres inférieurs et proposons un suivi auprès du médecin traitant à distance. Durant le séjour, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 240 mètres. Mme. Y monte et descend 18 marches avec l'aide de la rampe sous supervision. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 62/126, par rapport à 47/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 22.10 avec tintébin à 4 roues. La patiente bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui met en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence et un état général en baisse, démontré par un NRS à 3/7, des apports entre 50% à 75% cette dernière semaine et une perte pondérale de 3% ce dernier mois. La nutrition consiste en une alimentation suffisante en énergie et protéines, répartie sur 3 repas et 1 à 2 collations. En ergothérapie, Mme. Y profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Finalement, Mme. Y intégrera la Maison St-Joseph à Châtel St-Denis le 25.02.2019. Patiente de 93 ans, connue pour une maladie de Parkinson et un diabète de type 2 non insulino-requérant, qui consulte aux urgences de l'HFR Riaz en raison d'une baisse de l'état général avec fatigue généralisée depuis des semaines. L'anamnèse par système ne montre pas de fièvre, pas de dyspnée, ni douleur abdominale ou autres plaintes. La fille de la patiente décrit une maman plaintive depuis quelques semaines sans qu'il n'y ait de problème à domicile ni de chute récente.Au status aux urgences, les status cardiaque et pulmonaire sont dans la norme. L'abdomen est souple et indolore à la palpation. Au niveau neurologique, la patiente est orientée dans les 3 modes. Sa force est à M5 aux 4 membres, sa sensibilité est conservée. Notons des tremblements au repos aux deux membres supérieurs. Les réflexes sont vifs et symétriques. La marche se réalise à petits pas, légèrement instable. Le Romberg est tenu malgré une tendance à l'instabilité. Le laboratoire et le sédiment urinaire effectués aux urgences s'avèrent sans particularité. Néanmoins, Mme. Y est hospitalisée dans notre service de gériatrie aiguë le jour même de son arrivée aux urgences pour la suite de sa prise en charge. Mme. Y ne décrit aucune plainte sur le plan cardio-respiratoire, digestif ni urinaire. Elle est continente sur le plan urinaire et fécal, rapportant une pollakiurie à 6 mictions par jour et 3 épisodes de nycturie depuis des semaines. Notons encore des troubles de l'endormissement sous Distraneurin depuis des années. Sur le plan social, Mme. Y vit seule dans un appartement. Sa fille habite à l'étage au-dessus et son petit-fils encore au-dessus. La patiente est suivie par les soins à domicile deux fois par semaine pour l'organisation du semainier et la douche et se rend à l'accueil de jour de la Maison Saint-Joseph de Châtel-St-Denis 3x/semaine, où une inscription est déjà faite. Les repas lui sont livrés à domicile. Jusqu'à présent, la patiente marchait sans moyen auxiliaire à l'intérieur et avec une canne à l'extérieur. Le bilan biologique effectué dans notre service met en évidence une carence en vitamine D et en acide folique que nous substituons. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs à distance. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 19/30 et un test de la montre à 0/7. Sur le plan médicamenteux, nous introduisons un traitement par Remeron le soir avec amélioration du sommeil. Le 15.02.2019, la patiente présente un état fébrile sans symptôme associé. Le bilan biologique constate un syndrome inflammatoire en augmentation avec leucocytose et un urotube signale la présence d'E. coli multisensible dans les urines, chez une patiente porteuse d'une sonde vésicale. Un traitement par Rocéphine est donc mis en place pour 7 jours. Dans notre service, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un tintébin est de 160 mètres. La patiente monte et descend 18 marches avec l'aide de la rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 62/126, par rapport à 81/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 22.10'' avec tintébin à 4 roues. La patiente bénéficie également d'un bilan nutritionnel mettant en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence et un état général en baisse, et démontrée par un NRS à 3/7, des apports à 50-75% cette dernière semaine et une perte pondérale de 3% ce dernier mois. En ergothérapie, Mme. Y profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Finalement, vu l'amélioration clinique de la patiente, mais la persistance de troubles de la marche et de l'équilibre, une demande de réadaptation gériatrique est réalisée, et le séjour en gériatrie aiguë prend fin le 18.02.2019. Patiente de 96 ans, connue pour une hypertension artérielle, qui consulte aux urgences de l'HFR Riaz pour toux et fièvre depuis plusieurs jours et une fatigue importante. Pour rappel, ce matin, Mme. Y vous avait consulté et vous lui aviez fait une prise de sang et prescrit du Fluimucil et de l'Augmentin. La prise de sang mettant en évidence une anémie importante, vous aviez organisé un rendez-vous le 14.01.2019 pour transfusion. Cependant, dans le contexte d'asthénie et de fatigabilité importante de la patiente, les infirmières à domicile ont jugé utile d'adresser votre patiente aux urgences de l'HFR Riaz le même jour. Le status d'entrée aux urgences met en évidence des râles crépitants bibasaux chez cette patiente fébrile à 39°C. Les status cardiaque et digestif sont dans la norme et le reste du status n'est pas contributif. Une nouvelle prise de sang est réalisée aux urgences, indiquant un syndrome inflammatoire avec CRP à 53 mg/l, sans leucocytose, ainsi qu'une anémie hypochrome normocytaire et ferriprive à 74 g/l. La radiographie thoracique du 11.01.2019 met en évidence une image suspecte pour une pneumonie. Nous retenons donc un diagnostic de pneumonie. Des hémocultures et des antigènes urinaires sont prélevés avec instauration d'un traitement par Co-Amoxicilline intraveineux 2x/j ; la patiente est hospitalisée dans notre service de gériatrie aiguë pour la suite de sa prise en charge. Au niveau social, mentionnons que la patiente vit seule et marche avec une canne. Des repas lui sont livrés et les soins à domicile passent 2x/semaine. Pendant l'hospitalisation, 1 bouteille d'hémocultures sur 4 revient positive à Veillonella parvula. Nous prenons l'avis du Dr. X, infectiologue, en suspectant une pneumonie basale droite avec une bactériémie à Veillonella parvula associée. Le traitement avec Co-Amoxicilline instauré aux urgences est alors augmenté à 3x/j pendant 2 semaines. Les antigènes urinaires reviennent quant à eux négatifs. Le bilan d'anémie met en évidence un déficit en fer de 1300 ml que nous substituons par 500 ml. Un culot érythrocytaire est également transfusé le 12.01.2019. Des hémofécatests reviennent positifs et un traitement par Pantozol 40 mg 2x/j est mis en place. Une deuxième transfusion d'un culot érythrocytaire est effectuée le 22.01.2019. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 14.01.2019 au 28.01.2019 en raison de troubles de la marche et de l'équilibre. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 23/30 et un test de la montre à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 10/30. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A la sortie, son périmètre de marche à l'aide d'un rollator est de 120 mètres. La patiente peut gravir 18 marches avec une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 101/126, par rapport à 66/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 20.69'' avec rollator. Mme. Y bénéficie d'un bilan nutritionnel, qui ne met pas en évidence de malnutrition protéino-énergétique, avec un NRS à 1/7. En ergothérapie, la patiente profite d'une prise en charge pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. Finalement, Mme. Y peut regagner son domicile le 29.01.2019 avec réactivation des soins à domicile. Patiente de 96 ans étant transférée du service de médecine aiguë de l'hôpital de Meyriez en réhabilitation gériatrique pour une prise en charge de son trouble de la marche qui inquiète particulièrement sa fille. La patiente avait été hospitalisée en médecine aiguë pour une pyélonéphrite aiguë droite. Pour rappel, la patiente est connue pour une coronaropathie monotronculaire ischémique, une AOMI II sous traitement conservateur, un carcinome mammaire gauche et une hypothyroïdie substituée. A son arrivée, la patiente est asymptomatique. A l'anamnèse systématique, pas d'anomalies n'ont été dénotées. Elle ne présente pas de plaintes particulières. Au status, la patiente est en bon état général, orientée et collaborante, mais présente une forte hypoacousie.Ad diagnostique principal) Afin de renforcer la marche de la patiente, des séances de physiothérapie intensive ont été mises en place. De plus, un test de Shellong pour évaluer une possible hypotension orthostatique a été fait mais s'est montré négatif. Ad diagnostique 1) Après un laboratoire de contrôle montrant une hypokaliémie, la patiente a donc été substituée par du KCl. La kaliémie peinant à se stabiliser, un contrôle devra être fait dans 7-10 jours chez le médecin traitant. Ad diagnostique 2) Le traitement de l'hypothyroïdie de Mme. Y a été augmenté car elle était insuffisamment substituée, ainsi nous conseillons de recontrôler dans 6-8 semaines chez le médecin traitant. Nous débutons une réhabilitation avec physiothérapie et ergothérapie. Les scores de mobilité au début du séjour sont les suivants : le transfert FIM 6 indépendante dans et en dehors du lit, la mobilité FIM 6 avec le rollator, les escaliers FIM 3 peuvent monter les marches à l'aide de la rambarde et avec soutien, le Tinetti 15/28 avec le rollator. Les scores de mobilité à la fin du séjour sont les suivants : le transfert FIM 6 indépendante, la mobilité FIM 6 avec rollateur elle peut marcher 200 mètres, les escaliers FIM 4 avec la rampe et petit guidage, le Tinetti est de 17/28 avec rollateur. Un rollateur est donc prescrit. La patiente vit seule dans un appartement protégé (Meylandstrasse) avec un passage de Spitex journalier. Après discussion avec la fille, la patiente est autonome, se déplace seule pour faire ses courses. Pas de péjoration de la situation ces derniers temps. Au vue de l'amélioration clinique, la patiente ira dans le home de Murten le 21.01.2019. Patiente de 96 ans, notamment connue pour des troubles de la marche et de l'équilibre, qui nous est transférée du service d'orthopédie de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal où elle était hospitalisée suite à une chute mécanique de sa hauteur, survenue le 22.12.2018 et entraînant le diagnostic susmentionné. Mme. Y est veuve et vit chez sa fille. La patiente présente un risque de chute avec des chutes à répétitions dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, dont les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Nous retenons en particulier une artériopathie des membres inférieurs ainsi que des troubles cognitifs. Les tests de dépistage effectués le 29.01.2019 indiquent des performances altérées avec un MMSE à 18/30, et un test de la montre non réalisable car pas de lunettes de vue (refusé par la patiente). L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 5/30. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seule est de 130 mètres avec un rollator. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 102/126 par rapport à 77/126 à l'entrée (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 35 secondes avec rollator. Le risque de chute est intermédiaire. Au niveau nutritionnel, nous diagnostiquons une malnutrition protéino-énergétique grave, en lien avec une inappétence, et démontrée par une perte de 6.3 kg (10 %) en 2 mois, des ingestas couvrant 53 % de ses besoins énergétiques théoriques et un NRS à 5/7. L'apport oral insuffisant, en lien avec une inappétence, est démontré par des ingestas couvrant 53 % de ses besoins énergétiques théoriques. Nos objectifs de la prise en charge sont d'améliorer l'état nutritionnel au moyen d'une alimentation suffisante en énergie et en protéines avec maintien des besoins énergétiques à plus de 80 %. Nous mettons donc en place des soins à domicile et des conseils d'alimentation enrichie. Au vu de l'évolution favorable et en accord avec la patiente et sa fille, Mme. Y se rend au Foyer St-Joseph de Sâles en court séjour le 01.02.2019, pour la suite de sa prise en charge. Patiente de 97 ans vivant dans un appartement pour personne âgée, connue pour cardiopathie rythmique et hypertensive sous Eliquis, hospitalisée dans un contexte de décompensation cardiaque et infection à Influenzae. Elle est amenée à la Permanence de Meyriez dans un contexte de fièvre aiguë avec état général diminué. Elle présente depuis le jour précédent l'apparition soudaine des douleurs musculaires et articulaires, une baisse d'état général avec céphalées frontales et rhinorrhée ainsi qu'une fièvre depuis ce matin à 39°. Le matin du 13.02.19, elle n'arrive pas à sortir du lit en raison d'une faiblesse importante et décide d'appeler l'ambulance. Au status, nous retrouvons une patiente tachypnéique avec des signes de décompensation cardiaque gauche. Un laboratoire permet d'écarter un syndrome inflammatoire et une radiographie du thorax permet d'écarter une pneumonie. Nous retenons le diagnostic d'IVRS et un frottis revient positif pour Influenza A. La patiente est isolée et nous initions un traitement symptomatique. À son entrée, la patiente présente des signes de décompensation cardiaque gauche sans dyspnée qui est confirmée à la radiographie du thorax. Nous initions une thérapie intraveineuse par Furosémide, avec majoration du Torasémide, avec évolution clinique favorable. Dans ce contexte, un retour à domicile peut être envisagé, et le suivi par les soins à domicile est réorganisé. Mme. Y quitte donc notre service de médecine interne à l'HFR-Meyriez le 21.02.2019. Patiente de 98 ans connue pour troubles cognitifs, institutionnalisée à la Maison Bourgeoisiale, qui nous est adressée en raison de prise pondérale de 9 kg en une semaine malgré les diurétiques par voie orale (majoration de Torem) et Lasix intramusculaire avec péjoration de dyspnée. Mme. Y n'a pas d'état fébrile ou de douleur rétrosternale, ni de palpitation. Au status d'entrée, relevons une patiente en état général diminué avec un status sans particularité mis à part des oedèmes aux membres inférieurs prenant le godet jusqu'aux cuisses des deux côtés. Sur le plan respiratoire, signalons une hypoventilation et des crépitants diffus dans l'hémichamp pulmonaire gauche et en base pulmonaire droite. Au vu de l'hétéroanamnèse, de la clinique et des examens susmentionnés, nous retenons comme diagnostic une décompensation cardiaque globale. Après son entrée aux urgences de l'HFR Riaz, Mme. Y est hospitalisée le jour-même dans notre service de gériatrie aiguë. Nous adaptons les diurétiques en fonction de la clinique ainsi que du poids de la patiente. Le lendemain, nous baissons déjà le Lasix à 3 fois/jour en intraveineux 20 mg. Nous reprenons aussi le traitement de Torem par voie orale 15 mg de Torem le 23.01.2019. Cependant, la patiente présente une prise pondérale depuis lors avec retour des oedèmes aux membres inférieurs jusqu'aux cuisses, ce qui motive un retour au traitement précédent. Une 2ème tentative de traitement par voie orale a débuté le 28.01.2019 avec du Torem à 15 mg/j et du Metolazone 2.5 mg, avec un bon résultat sur le poids. Mme. Y présente aussi des épisodes de désorientation à prédominance nocturne, ce qui motive une mise en fixe de la Distraneurin de façon préférentielle au Lorazépam avec des effets mitigés. L'Haldol est donc prescrit avec un effet mitigé sur l'agitation psychomotrice. Nous commençons le 30.01.2019 un traitement à base de Quétiapine et Distraneurin qui s'avèrent efficaces. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À la sortie, le périmètre de marche seule à l'aide d'un rollator est de 130 mètres. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 50/126 par rapport à 43/126 à l'entrée (MIF physio : transferts 4/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le risque de chute est élevé. Au niveau nutritionnel, nous diagnostiquons une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec des troubles cognitifs et une baisse de l'état général, démontrée par un NRS à 3/7 et un poids insuffisant, avec un indice de masse corporelle à 16.6kg/m2 Au vu de la stabilité de l'état clinique de la patiente, un retour au home est décidé pour le 01.02.2019. • Patiente en attente d'une place en réadaptation gériatrique. • Patiente envoyée par son médecin traitant pour fracture de l'extrémité distale du radius gauche. • Patiente étant très algique à son arrivée, elle a reçu 75mg iv d'Ecofenac et 1g de Dafalgan d'office, lors de l'examen clinique, la patiente ne se plaint presque plus de douleurs. Suite à l'examen clinique tout à fait normal de la patiente, nous la laissons rentrer à domicile avec une antalgie en réserve au cas où les douleurs reviendraient. • Patiente hospitalisée depuis la permanence à l'HFR Tafers en raison d'un manque de place sur le site de Meyriez. • Patiente immunodéprimée dans le contexte de sa chimiothérapie, présentant une grippe avec PCR positive pour Influenza A. Dans ce contexte, nous sollicitons un traitement de Tamiflu 2x/jour pour 5 jours. Au vu de la présence de sibilances expiratoires sur toutes les plages pulmonaires, nous introduisons un traitement de Symbicort + Ventolin qui sera à réévaluer à distance de l'épisode infectieux. • Patiente n'a pas de médecin traitant, lui envoyer le résultat du test de tryptase lorsqu'il arrivera. • Patiente ne veut rien contre les douleurs. • Patiente nulligeste de 24 ans en bonne santé habituelle, sous contraception oestroprogestatif, qui consulte en raison de douleurs constantes au niveau de la loge rénale irradiant dans la fosse iliaque à droite depuis la nuit, d'apparition brutale, sans facteur déclenchant. Le bilan biologique ne retrouve pas de syndrome inflammatoire. Un uro-CT met en évidence un volumineux tératome de 73x89mm, ce qui est confirmé à l'US endovaginal. Malgré l'antalgie, la patiente présente une récidive des douleurs posant l'indication opératoire. La laparoscopie exploratrice met en évidence une torsion de l'ovaire droit (1.5 tour de spire) sur un tératome à droite, associé à un kyste fonctionnel. Nous effectuons une kystectomie et une ovariopexie droite. L'intervention est effectuée le 30.01.2019 et se déroule sans complication. Les suites postopératoires sont favorables. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile et sera revue dans une semaine pour un contrôle post-opératoire et ablation des fils. • Patiente nulligeste de 33 ans, connue pour des ménorragies anémiantes depuis mai 2018, status post hystéroscopie opératoire et myomectomie le 12.06.2018 avec un contrôle par hystéroscopie ambulatoire dans la norme. La patiente présente à l'échographie pelvienne un fibrome utérin sous muqueux FIGOII de 3cm au niveau de la paroi antéro-fundique de l'utérus. Une prise en charge chirurgicale est proposée que la patiente accepte. Elle signe le consentement éclairé pour une hystéroscopie opératoire avec myomectomie. L'intervention est réalisée le 06.12.2016 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables. La patiente retourne à domicile le 06.12.2016 et sera revue à la consultation de la Dresse X dans 2 semaines puis, au retour des règles, effectuer une hystéroscopie diagnostique de contrôle à l'HFR. Elle reçoit les conseils d'usage sur les motifs de reconsultation en urgences. • Patiente partie sans consultation médicale. • Patiente partie sans consultation médicale. • Patiente partie sans consultation médicale. • Patiente partie sans consultation médicale. • Patiente partie sans consultation médicale. • Patiente partie sans consultation médicale. Patiente a RDV en neurologie ce jour à 18h00. • Patiente partie sans consultation, rendez-vous donné à la consultation ambulatoire des urgences pour le lendemain, 21.02.19 à 10h. • Patiente présentant un calcul urétéral gauche depuis 1 mois provoquant une pollakiurie, ainsi que des douleurs en fosse iliaque gauche. Pas d'argument radiologique pour une obstruction urétérale, ni surinfection. Le problème étant chronique, sans facteur de gravité, nous autorisons la patiente à regagner son domicile avec antalgie. Le cas sera présenté au Dr. X, urologue de garde. La patiente est invitée à filtrer ses urines (filtre donné) et à se représenter aux urgences de l'HFR Riaz en cas de péjoration de la symptomatologie. • Patiente présentant une limitation des amplitudes articulaires invalidante à 1 an post-opératoire. Un traitement intensif en physiothérapie n'a pas permis d'améliorer la situation. Nous discutons avec la patiente des différentes options thérapeutiques. Au vu du délai depuis l'intervention, des amplitudes articulaires actuelles et de la gêne occasionnée, nous convenons ensemble d'une nouvelle prise en charge chirurgicale sous forme d'une arthrolyse par voie ouverte +/- résection d'un module fibreux rétro-patellaire +/- diminution de l'épaisseur du polyéthylène afin d'améliorer l'extension. Cette chirurgie pourrait être planifiée dans le courant du mois de mars et nécessiterait une hospitalisation de 3 à 4 jours afin de débuter une physiothérapie intensive en postopératoire. La patiente souhaite encore réfléchir et reprendra contact en cas de prise en charge. • Patiente présente une nouvelle décompensation de ses gonalgies pour lesquelles nous lui proposons de débuter un traitement conservateur en physiothérapie axé sur l'antalgie, l'étirement des chaînes postérieures, la proprioception et le renforcement musculaire dès amélioration de la symptomatologie. Nous prescrivons également un traitement de Condrosulf pour une durée de 3 mois. • Patiente primigeste de 20 ans avec grossesse extra utérine gauche visualisée le 31.01.2019 suite à une déchirure de préservatif et prise de pilule du lendemain. Elle a bénéficié d'un traitement par Methotrexate le 31.01.2019. Elle consulte le 02.02.2019 pour péjoration des douleurs abdominales à gauche et augmentation des pertes vaginales sanguines ainsi qu'un épisode de malaise. Aux urgences, elle est hémodynamiquement stable et subfébrile à 37.7°C. L'examen clinique objective une détente en fosse iliaque gauche sans défense. Au spéculum, les pertes sont brunâtres sans saignement actif. Le bilan biologique revient aligné et l'échographie suspecte une grossesse extra-utérine gauche avec présence de lame de liquide libre dans le Douglas. L'indication à une laparoscopie exploratrice est posée. L'intervention se déroule sans complications et nous retrouvons au statut per-opératoire une grossesse extra-utérine non rompue. Une salpingotomie est alors réalisée. Les suites sont simples et Mme. Y reste afébrile. Nous introduisons une substitution ferrique po en raison d'une anémie spoliative. La patiente refuse une future contraception. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 03.02.2019. • Patiente primigeste de 23 ans admise en salle d'accouchement le 04.02.2019 à 41 3/7 semaines d'aménorrhée en vue d'une provocation pour terme dépassé. Provocation par Syntocinon, puis dilatation harmonieuse avec naissance par voie basse d'un garçon de 3820g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par pilule Desonur dès 21 du post-partum. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 07.02.2019. • Patiente primigeste de 23 ans admise en salle d'accouchement le 18.02.2019 pour une rupture prématurée des membranes à 38 6/7 semaines d'aménorrhée. Après une attitude expectative de 12h, nous débutons une provocation par Propess et une antibiothérapie prophylactique par clindamycine.Après une dilatation très rapide, elle donne naissance par voie basse à une fille de 3410 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement est débuté, à la sortie la patiente présente une crevasse sur le mamelon D et s'aide du tire-lait. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 22.02.2019. Patiente primigeste de 24 ans, à 6 SA selon US dû 24.02.2019, reconsultée pour nausées gravidiques persistantes malgré traitement oral. À noter que la grossesse est non désirée, DIVG prévue le 26.02. Status : • Normo TA 100/50 mmHg, FC 65, apyrétique • Stix propre • Abdomen indolore à la palpation • Percussion lombaire sp Nous la gardons en surveillance quelques heures, avec une hydratation intraveineuse et du primpéran IV. L'amélioration est immédiate, et elle regagne son domicile le soir même avec un contrôle prévu pour discussion DIVD le 26.02.2019. Le laboratoire revient aligné hormis une légère hypokaliémie à 3.5 mmol/L, qui sera contrôlée lors de sa consultation du 26.02.2019. La patiente reçoit des conseils hygiéno-diététiques clairs pour réduire ses symptômes, et elle poursuivra le traitement anti-émétique déjà prescrit. Patiente primigeste de 24 ans admise en salle d'accouchement le 12.02.2019 à terme + 10 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Cette dernière se fait par la mise en place d'un Misodel. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à une fille de 3550 g de bonne adaptation néonatale. Accouchement compliqué par une atonie utérine nécessitant une révision utérine ramenant des caillots et l'évolution est favorable après 40 unités de Syntocinon avec des pertes finalement estimées à 400 cc. Elle bénéficie d'une antibioprophylaxie par Zinacef. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. En raison d'une anémie ferriprive symptomatique, on débute une substitution par Maltofer per os. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par pilule dès J21 du post-partum. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 15.02.2019. Patiente primigeste de 24 ans admise en salle d'accouchement le 12.02.2019 à terme + 4 pour pré-travail persistant. La patiente désire une provocation en raison d'une fatigue maternelle. Nous débutons la provocation par Misodel après signature du consentement éclairé. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à un garçon de 3460 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 15.02.2019. Patiente primigeste de 25 ans, connue pour un syndrome X fragile, admise en salle d'accouchement le 13.02.2019 à terme + 3 pour rupture prématurée des membranes. Après une attitude expectative de 12 h, la patiente est provoquée par Syntocinon et une antibioprophylaxie par Clamoxyl est débutée. Le travail est harmonieux. En raison d'une non-progression de la présentation, nous posons l'indication à une extraction par ventouse Kiwi. La patiente donne naissance par voie basse à une fille de 3700 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La cicatrice périnéale est calme et propre avant son départ. La contraception future se fera par pilule Desonur. La patiente bénéficie de la visite du psychologue et de la sage-femme conseil en cours de séjour. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.02.2019. Patiente primigeste de 27 ans, à 6 1/7 semaines d'aménorrhée, qui consulte pour une douleur pelvienne aiguë avec irradiation vaginale depuis 12 h d'apparition brutale sans autres symptômes associés. À son arrivée aux urgences, elle est normocarde, normotendue et afébrile. L'abdomen gravide est souple avec une sensibilité importante au niveau sus-pubien et fosse iliaque gauche. Au spéculum, col de nullipare sans particularités avec leucorrhées physiologiques. À l'échographie, nous confirmons une grossesse intra-utérine évolutive en accord avec la date des dernières règles. Nous mettons d'ailleurs en évidence un léger hémopéritoine avec une image de kyste de corps jaune hémorragique au niveau de l'ovaire gauche. L'hémoglobine revient rassurante à 132 g/L. Nous proposons une hospitalisation pour surveillance et contrôle de l'hémoglobine à 12 heures, que la patiente accepte. Les suites sont favorables, l'hémoglobine revient stable et la patiente regagne son domicile en bon état général le 02.02.2019. Patiente primigeste de 27 ans admise en salle d'accouchement le 18.02.2019 pour mise en travail spontanée à 38 6/7 semaines d'aménorrhée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse instrumentée par ventouse kiwi pour non-progression de la présentation aux épines à un garçon de 3040 g de bonne adaptation néonatale. L'allaitement est débuté et selon le désir de la patiente, elle est transférée avec son bébé à la maison de naissance du Petit Prince en bon état général pour la suite de l'hospitalisation le jour même. Patiente primigeste de 27 ans admise en salle d'accouchement le 24.01.2019 en vue d'une provocation pour un terme dépassé et désir maternel. Cette dernière se fait par la mise en place de deux Propess, un ballonnet et Syntocinon. Nous débutons une antibiothérapie par Clamoxyl IV selon protocole pour portage du Streptocoques du groupe B. En raison d'une non-progression de la présentation, décision d'une césarienne en urgence. L'intervention se déroule sans complications. Elle donne naissance à une fille pesant 3400 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Desonur. Dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution et des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.02.2019, en bon état général. Patiente primigeste de 28 ans admise en salle d'accouchement le 13.02.2019 à 39 1/7 semaines d'aménorrhée en vue d'une provocation pour suspicion de macrosomie. Cette dernière est tentée par la mise en place de deux Propess, un ballonnet puis une stimulation par Syntocinon qui restent sans effet. Une césarienne pour échec de provocation est alors indiquée, que la patiente accepte. L'intervention se déroule sans complications, et elle donne naissance à une fille de 4010 g (p90), de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une hypertension ponctuelle au moment de sa sortie, un bilan de prééclampsie revient aligné et il n'est pas nécessaire d'instaurer de médication anti-hypertensive. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Desonur dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 20.02.2019. Patiente primigeste de 28 ans admise en salle d'accouchement le 27.01.2019 à 38 4/7 semaines d'aménorrhée pour rupture spontanée des membranes. En raison d'un portage de streptocoques du groupe B, nous débutons une antibiothérapie par Clamoxyl IV selon protocole. Elle se met en travail spontanément et après un travail dystocique soutenu par Syntocinon, elle donne naissance par voie basse instrumentée par ventouse métallique pour non-progression de la présentation et CTG suspect à une fille de 2990 g de bonne adaptation néonatale. L'accouchement est compliqué par une hémorragie du post-partum sur rétention de membranes et résidus placentaires nécessitant une révision des 3 étages, ainsi que par une déchirure périnéale de degré 3b, suturée au bloc. Les pertes sanguines totales sont estimées à 800 cc. Elle reçoit 40 unités de Syntocinon sur 6 h.Les suites post-partales sont marquées par une anémie symptomatique, pour laquelle la patiente bénéficie de la transfusion de 2CE, avec une bonne évolution. L'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La cicatrice périnéale reste calme et la patiente ne présente pas d'incontinence à la matière ou aux gaz en cours d'hospitalisation. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 31.01.2019. Mr. Y, primigeste de 28 ans, admise en salle d'accouchement le 29.01.2019 en vue d'une provocation pour une suspicion de cassure de la courbe de croissance du p40 au p7. Cette dernière se fait par la mise en place de deux Propess, d'un ballonnet et d'une rupture artificielle des membranes. Après un travail soutenu par Syntocinon, elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2460 g (