Hémocultures du 14.08.2018: négatives Antigènes urinaires: négatives Co-amoxicilline 3x 2.2 g i.v. du 14.08.2018 au 20.08.2018 Co-amoxicilline 2x 1 g p.o. du 20.08.2018 au 21.08.2018 • Physiothérapie respiratoire • Mycose inguinale/génitale le 20.08.2018 • Pevaryl poudre du 20.08.2018 au 28.08.2018 • Chorée de Huntington • Diminution Leponex dès le 21.08.2018 • Traumatisme crânien mineur le 13.10.2018 • Traumatisme crânien mineur le 14.02.2019 • pas de signe de saignement intra-parenchymateux, pas de fracture. • Traumatisme crânien mineur le 17.02.2019. • Traumatisme crânien mineur sans perte de connaissance le 05.02.2019. • Traumatisme crânien occipital droit simple. • Traumatisme crânien occipital sans perte de connaissance le 07.02.2019 avec • commotion cérébrale. • contusion crâniale occipitale. • Traumatisme crânien, plus ou moins perte de connaissance et amnésie circonstancielle suite à une chute mécanique de sa hauteur le 09.02.2019. • Traumatisme crânien probable léger. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance avec amnésie antérograde. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance avec amnésie circonstancielle le 14.02.2019. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance chez une patiente sous Aspirine Cardio avec : • fracture ouverte de l'os propre du nez et plaie transverse de 0.4 cm. • Contusion de l'épaule gauche chez une patiente connue pour arthralgies chroniques. • Status après cholécystectomie laparoscopique pour lithiase vésiculaire symptomatique en août 2015. • Status après biopsie d'une lésion suspecte blanchâtre centimétrique au niveau du segment IV du foie, découverte fortuitement lors de la laparoscopie, en août 2015. • Status après traumatisme crânien simple, sous anticoagulation. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance dans un contexte d'alcoolisation aiguë à 1.64 pour mille et intoxication médicamenteuse le 17.07.2016. • Otite externe gauche le 28.06.2016 avec otomycoses droites. • Ancienne consommation de cocaïne. • Accident de la voie publique sans signe somatique, avril 2012. • Appendicectomie (sans précision). • Amygdalectomie (sans précision). • Adénoïdectomie (sans précision). • Intoxication médicamenteuse volontaire à 19h15 le 01.01.18 • 10 g de Paracétamol • 8 cp de Seresta 15 mg • 2 cp de Stilnox 12.5 mg • 4 cp de Seroquel 600 mg retard • 20 cp de Mydocalm 150 mg • Tramadol 120 gouttes = 300 mg • Traumatisme crânien sans perte de connaissance dans un contexte d'alcoolisation aiguë le 26.01.2017. • Arthroscopie du genou gauche en 2011 (Dr. X). • Thrombose veineuse du membre inférieur gauche en 2011. • Adhésiolyse d'un iléus sur bride en 2008. • Annexectomie droite (salpingite) en 2008. • Excision d'un kyste d'une corde vocale en 2001. • Excision d'un kyste ovarien droit en 2001. • Hystérectomie subtotale et annexectomie bilatérale en 2000. • Conisation du col utérin pour dysplasie. • Appendicectomie dans l'enfance. • Tonsillectomie dans l'enfance. • Syndrome douloureux multifocal dans un contexte d'anxiété majeure et de trouble de la personnalité connus le 15.03.2015. • Status post 3 accouchements par voie basse. • Lithiase rénale droite avec petit calcul du pelvis rénal de 3-4 mm connu depuis 2012. • Thrombose veineuse profonde membre inférieur gauche en 2011. • Probable IVRS le 07.04.2018 avec composante de bronchite spastique chez une patiente forte fumeuse. • Céphalées et douleurs au nez sur chute accidentelle mécanique le 05.12.2018. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance et cervicalgies. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance et sans critère de gravité le 08.02.2019. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance le 09.02.2019. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance le 22.02.2019. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance le 28.01.2019. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance lors d'un accident de la voie publique en vélo à 20 km/h avec chute sur le côté gauche vers 17h00. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. • Traumatisme crânien, sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle, avec plaie pariétale gauche de 5 cm de longueur. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle dans un contexte d'alcoolisation aiguë à 1.96 pour mille. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle le 02.02.2019. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle le 03.02.2019 avec hémiparésie droite congénitale et épilepsie traitée. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle le 20.02.2019 avec antiagrégation plaquettaire par Aspirine. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle le 24.02.2019 à 16h sans chute, sous Xarelto 20 mg. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle, patient casqué. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle (16h00) avec dysarthrie (dès 20h20) probablement sur le traumatisme cérébral, chez une patiente avec thalassémie mineure. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni signes de gravité. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni vomissement retardé. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ou amnésie circonstancielle. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance ou amnésie circonstancielle. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance. • Plaie punctiforme au niveau de l'os occipital. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance sur accident de la voie publique. • Traumatisme crânien sans perte de connaissance sur alcoolisation aiguë à 3.29 pour mille. • Fracture-luxation type Weber B cheville droite avec fracture de Volkmann; accident le 29.08.2015. • Tensions artérielles basses sous Atacand. • Traumatisme crânien sévère le 24.02.2019 avec : • déficit du nerf oculomoteur droit • lésions axonales diffuses • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple. • Traumatisme crânien simple au niveau de l'hémi-visage gauche et en particulier du viscéro-crâne avec hématome sous-orbitaire gauche sans retentissement du globe oculaire. Traumatisme crânien simple • avec alcoolémie à 1.16% Traumatisme crânien simple avec contracture cervicale paravertébrale sur chute le 17.02.2019. Traumatisme crânien simple avec contusion périorbitaire gauche. Traumatisme crânien simple avec épistaxis. Traumatisme crânien simple avec haute cinétique. Traumatisme crânien simple avec plaie nette d'1.5 cm de longueur frontale gauche, 3 cm au-dessus de l'arcade sourcilière gauche sur traumatisme du 14.02.2019. Traumatisme crânien simple avec plaie superficielle de l'arcade sourcilière droite de 1.5 cm. Traumatisme crânien simple chez une patiente anticoagulée le 26.05.2018 Troubles transitoires et récidivants de la parole d'origine indéterminée le 07.09.2016 • DD : AIT récidivant sur sténose carotidienne gauche, hyperurémie Phlébite du membre supérieur droit le 07.09.2016 Dermohypodermite du membre inférieur droit le 27.09.2013 Status post PTG G Pied droit en équin sur contracture du système gastrocnémien soléaire tendon d'Achille • Status post plastie d'allongement tendon d'Achille droit selon Baker 27.07.2012 Status post PTG D en 1996 : • Ostéosynthèse du fémur distal droit sur fracture périprothétique sur PTG D implantée en 1996, le 06.09.2010 • Ostéoarthrite chronique du fémur et du genou droit en août 2011 : • AMO plaque LISS le 29.07.2011 • AMO plaque TOMOFix le 12.08.2011 • Ablation espaceur et débridement, PTG de révision du genou droit le 04.11.2011 • Surinfection de la PTG D à S. agalactiae le 22.10.2012 • Descellement de la PTG D le 09.08.2013 Poussée aiguë bilatérale de polyarthrite aux mains le 16.11.2011 Status post PTH D le 01.06.2010 Status post PTH G non datée Status post cholécystectomie en 1990 Fracture péri-prothétique fémur proximal G traitée par réduction ouverte, ostéosynthèse et greffe osseuse le 30.05.2018 Traumatisme crânien simple, haute cinétique Traumatisme crânien simple le 04.02.2019. Traumatisme crânien simple le 05.09.2018. Dermabrasion de 2 mm de diamètre au niveau de l'arcade sourcilière droite le 05.09.2015. Arthrite septique DD : réactive (genou/hanche gauche). Contusion du poignet droit le 08.10.2017. Traumatisme crânien simple le 06.11.2011. Contusion sternale. Ethylisation aiguë sur probable alcoolisme chronique le 06.11.2011 avec antécédents de dépression et sp Tentamen OH et Xanax le 19.06.2011. État mélanconique sur trouble d'adaptation sans précision dans un contexte d'une rupture sentimentale le 24.01.2013. Plaie au niveau de la face ulnaire de la base du IIème doigt de la main gauche. Traumatisme crânien simple le 12.02.2019 • avec plaie frontale de 6 cm. Traumatisme crânien simple le 17.02.2019. Traumatisme crânien simple, le 18.01.2019 • Dermabrasion et contusion des tissus mous crâne partie frontale Traumatisme crânien simple le 19.12.2012. Traumatisme crânien simple le 20.02.2019. Traumatisme crânien simple le 21.02.2019. Traumatisme crânien simple le 24.02.2019. Traumatisme crânien simple le 30.01.2019 Traumatisme crânien simple sans amnésie circonstancielle ni perte de connaissance. Traumatisme crânien simple sans perte de connaissance. Traumatisme crânien simple sans perte de connaissance, avec amnésie circonstancielle sur chute le 15.01.2019 Traumatisme crânien simple sans perte de connaissance le 22.01.2019. Traumatisme crânien simple sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle, avec dermabrasion du visage gauche. Traumatisme crânien simple sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle le 08.02.2019. Traumatisme crânien simple sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle (patient casqué). Traumatisme crânien simple, sans perte de connaissance ni d'amnésie circonstancielle. Traumatisme crânien simple sans perte de connaissance, sans déficit neurologique, pas d'anticoagulation. Traumatisme crânien simple sur chute le 08.01.2019 Traumatisme crânien simple sur chute le 16.02.2019. Traumatisme crânien simple • Sur coups de poing multiples Traumatisme crânien simple temporal gauche le 28.01.2019 avec céphalées persistantes. Traumatisme crânien simple. Contusion de la musculature dorsale. Lésion pulmonaire d'allure kystique découverte fortuitement. Nodules thyroïdiens découverts fortuitement. Traumatisme crânien simple. Fracture ouverte déplacée du mur antérieur du sinus maxillaire gauche avec hématosinus. Gastro-entérite virale le 12.04.2016 Traumatisme crânien simple le 12.03.2017 Traumatisme crânien suite à une chute de sa hauteur le 13.02.2019. • sous Xarelto. Traumatisme crânien sur chute mécanique depuis le trottoir le 28.02.2019 avec : • fracture non déplacée de la base du MTC de D5 du membre supérieur gauche. • plaie superficielle de l'arcade supérieure gauche. • dermabrasion du genou gauche. Traumatisme crânien sur éthylisation aiguë le 17.02.2019. Traumatisme crânien avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle le 04.02.2019 Traumatisme crânio-cérébral léger Traumatisme crânio-cérébral Traumatisme crânio-cérébral. Traumatisme crânio-cérébral. Traumatisme crânio-cérébral. Traumatisme crânio-cérébral. Traumatisme crânio-cérébral avec le 08.02.2019 avec : • amnésie circonstancielle • doigt-nez et talon genou légèrement dysmétrique à G Traumatisme crânio-cérébral avec amnésie circonstancielle sur chute à ski le 09.02.2014 : • distorsion cervicale sans lésion osseuse. Rupture ligament croisé antérieur genou droit, opérée en 2007. Suspicion de polyarthrite traitée par Prednisone en 11.2013. Troubles électrolytiques symptomatiques (asthénie et faiblesse) en 11.2013 : • hypokaliémie. • hypomagnésémie légère. Traumatisme crânio-cérébral avec : • plaie frontale droite Traumatisme crânio-cérébral avec troubles mnésiques et de l'équilibre Traumatisme crânio-cérébral chez un patient sous Plavix. Traumatisme crânio-cérébral dans un contexte d'alcoolisation aiguë le 21.02.2019 dans le cadre de trouble de la marche Traumatisme crânio-cérébral et mutisme autorésolutif post-chute. Traumatisme crânio-cérébral le 08.02.2019 Traumatisme crânio-cérébral le 15.02.2019. Traumatisme crânio-cérébral légerTraumatisme crânio-cérébral léger Traumatisme crânio-cérébral léger et traumatisme maxillo-facial sur chute à vélo 12.08.2018 avec dermabrasions faciales multiples, plaies de la face interne de la lèvre supérieure et inférieure non transfixiantes. Traumatisme crânio-cérébral majeur sur chute le 04.01.2019 (hospitalisation aux soins intensifs de l'Inselspital avec intubation orotrachéale du 04.01 au 05.01.2019) avec: • Hématome sous-dural frontal bilatéral • Hémorragie sous-arachnoïdienne frontale et occipitale bilatérale • Œdème cérébral diffus avec effacement des sillons corticaux et des citernes de la base • Hématome sous-galéal occupant pratiquement toute la voûte crânienne, de façon prédominante à gauche • Fracture des os propres du nez et du sinus maxillaire gauche, avec hémo-sinus sans déplacement significatif • Fracture du plancher de l'orbite gauche qui longe le canal infra-orbitaire Traumatisme crânio-cérébral sans perte de connaissance le 22.01.2019 avec : • Hémorragie intra-parenchymateuse sous-corticale frontale gauche de 5 mm • Hémorragie sous-arachnoïdienne au niveau du sillon pré-central gauche et du sillon cingulaire gauche Traumatisme crânio-cérébral sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Traumatisme crânio-cérébral sévère le 26.01.2019 • status post-craniotomie pour fracture embarrée temporale gauche et mise en place d'un BOLT avec bouquet le 26.01.19 (CHUV) • status post-réduction fermée fracture arcade zygomatique le 04.02.2019 (CHUV) Traumatisme crânio-cérébral sévère suite à une chute d'origine mécanique le 03.01.2019, avec: • hématome sous-galéal occipitale gauche • hémorragie intraparenchymateuse frontale gauche • hématome sous-dural parafalcoriel Traumatisme crânio-cérébral sévère suite à une chute le 03.01.2019 • Hémorragie cérébrale sous durale parafalcorienne • Hémorragie intraparenchymateuse frontale gauche Traumatisme crânio-cérébral simple Traumatisme crânio-cérébral simple le 08.01.2019 sur éthylisation aigüe à 2.62 pour mille, avec fracture ouverte de l'os propre du nez et hypothermie à 34° sur stase au sol NSTEMI sur maladie coronarienne bitronculaire le 17.06.2012. Douleur thoracique d'origine musculo-squelettique probable le 22.10.2012. Pneumonie basale et médiale droite en 2015 Multiples kystes hépatiques simples et rénaux en 2015 Traumatisme crânio-cérébral suite à la chute du 03.01.2019. • petite hémorragie sous durale para-falcorielle • petite hémorragie intraparenchymateuse frontalo-basale gauche Traumatisme crânio-cérébral, sur chute accidentelle le 17.01.2019 avec • Hématomes sous duraux bilatéraux à prédominance droite d'aspect chronique avec composante aiguë. • Hématome sous-dural droite de la tente du cervelet • Hémorragie sous-arachnoïdienne à proximité de la tente du cervelet péri-mésencéphalique. Inondation hématique ventriculaire de la corne temporale et occipitale gauche. Traumatisme crânio-cérébral Surveillance neurologique jusqu'à 6h post-TCC Surveillance neurologique à poursuivre à domicile par les parents Plaie de la gencive supérieure avec exposition de la racine de la dent 61 Consilium ORL et dentiste de garde Désinfection 2x/j avec Dentohexine Contrôle chez le dentiste en début de semaine Antalgie en réserve Traumatisme crânio-facial le 10.02.2019 avec : • plaie frontale de 6 cm de longueur • fracture-embarrure de la table antérieure du sinus frontal ddc peu déplacée ainsi que de la lame papyracée à gauche, avec fragment osseux embrochant le muscle droit médial de l'orbite gauche ainsi que pneumorbite. Traumatisme crânio-facial simple et plaie de 2 cm arcade sourcilière gauche, fracture intra-articulaire non déplacée radius distal gauche sur chute le 17.09.2015. Hypokaliémie à 3.4 mmol/l le 22.09.2015. Cyphoplastie L1 le 14.12.2012 pour une fracture L1 type A1.2. Bronchite aiguë en janvier 2012. Crise de goutte MTP I pied droit en 2011. Prostatectomie il y a 20 ans. Traumatisme crânio-facial simple le 07.02.2019 avec • Anticoagulation par Xarelto supra-thérapeutique : anti-Xa 435 ng/l à 2-3h de la prise Traumatisme d'accélération crânio-cervical le 16.02.2019 sans signe de gravité. Traumatisme de cheville gauche. Traumatisme de la cheville droite. Traumatisme de la cheville gauche à la gymnastique. Traumatisme de la cheville gauche il y a 3 semaines. Traumatisme de la face avec: • dent 51 cassée • Plaie superficielle du filtrum Traumatisme de la hanche Traumatisme de la main. Traumatisme de la main droite. Traumatisme de la main gauche. Traumatisme de la main gauche dans le contexte d'un accident au travail le 15.02.2019 avec : • 2 plaies horizontales de 1.5 cm et 0.6 cm longueur sur la face dorsale du 4ème, respectivement 3ème doigts au-dessous de l'articulation interphalangienne distale. • dermabrasion sur la face dorsale et palmaire du 2ème et 5ème doigts. Traumatisme de l'épaule droite avec suspicion de rupture de la coiffe des rotateurs. Traumatisme de l'épaule gauche le 16.06.2018. DD luxation AC type Tossy I ou II. Status post infiltration de l'épaule gauche du 09.01.2019. Traumatisme de l'orteil gauche. Traumatisme des membres inférieurs. Traumatisme des MS Traumatisme dorsal et cervical. Traumatisme du bras droit. Traumatisme du bras gauche. Traumatisme du coccyx le 08.02.2019. • avec hyposensibilité péri-anale.Traumatisme du coude droit. Traumatisme du coude droit. Traumatisme du coude droit et des 2 genoux. Traumatisme du coude droit le 37.03.2016. Trouble anxieux dans un contexte de virose débutante 25.01.2017, 21.08.2017. Episodes de douleurs thoraciques dans un contexte de crise d'angoisse le 12.04.2017, 07.10.2017. Sensation de malaise sur probable tachycardie non documentée aux urgences dans un contexte anxieux le 10.06.2017. Hématome point de ponction fémoral gauche. • absence d'argument en faveur d'une complication. Cervico-brachialgie bilatérale (dominant à droite) le 07.08.2017. Douleurs thoraciques probablement d'origine anxieuse le 18.05.2018. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 2.06.2018. Score Genève : 0 points. Laboratoire. Troponine H0 : 8, H1 : 7. ECG : ECG superposable. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 24.12.2018. Douleurs du bras droit sur arthrose le 24.12.2018. Traumatisme du coude G. Traumatisme du coude gauche. Traumatisme du coude gauche. Traumatisme du dos. Traumatisme du dos. Traumatisme du genou. Traumatisme du genou. Traumatisme du genou. Traumatisme du genou D en 2017 avec : • Réduction latérale de la rotule • Déchirure d'origine proximale collatérale médiale Traumatisme du genou droit. Traumatisme du genou droit. Traumatisme du genou droit. Traumatisme du genou droit. Traumatisme du genou droit. Traumatisme du genou droit. Traumatisme du genou droit. Traumatisme du genou droit. Traumatisme du genou droit. Traumatisme du genou droit. Traumatisme du genou droit. Traumatisme du genou droit. Traumatisme du genou G : • Rupture du LCA. • Contusion osseuse du condyle externe fémoral et du plateau tibial externe. • Déchirure de la corne postérieure du ménisque interne. Traumatisme du genou gauche. Traumatisme du genou gauche. Traumatisme du genou gauche. Traumatisme du genou gauche. Traumatisme du genou gauche. Traumatisme du genou gauche. Traumatisme du genou gauche. Traumatisme du genou gauche. Traumatisme du genou gauche. Traumatisme du genou gauche. Traumatisme du gros orteil gauche. Traumatisme du majeur droit. Traumatisme du majeur droit. Traumatisme du majeur droit. Traumatisme du majeur gauche. Traumatisme du membre inférieur droit. Traumatisme du membre inférieur droit. Traumatisme du membre inférieur droit. Traumatisme du membre inférieur droit. Traumatisme du membre inférieur droit. Traumatisme du membre inférieur gauche. Traumatisme du membre inférieur gauche. Traumatisme du membre inférieur gauche. Traumatisme du membre inférieur gauche. Traumatisme du membre inférieur gauche. Traumatisme du membre inférieur gauche. Traumatisme du membre supérieur. Traumatisme du membre supérieur droit. Traumatisme du membre supérieur droit. Traumatisme du membre supérieur droit. Traumatisme du membre supérieur droit. Traumatisme du membre supérieur droit. Traumatisme du membre supérieur gauche. Traumatisme du membre supérieur gauche. Traumatisme du mollet gauche. Traumatisme du nez. Traumatisme du nez. Traumatisme du pied. Traumatisme du pied. Traumatisme du pied droit. Traumatisme du pied droit. Traumatisme du pied droit. Traumatisme du pied droit. Traumatisme du pied et cheville gauches. Traumatisme du pied gauche. Traumatisme du pied gauche. Traumatisme du pied gauche. Traumatisme du pied gauche. Traumatisme du pied gauche. Traumatisme du poignet. Traumatisme du poignet droit. Traumatisme du poignet droit. Traumatisme du poignet droit. Traumatisme du poignet droit. Traumatisme du poignet droit. Traumatisme du poignet droit. Traumatisme du poignet droit. Traumatisme du poignet droit. Traumatisme du poignet droit. Traumatisme du poignet gauche. Traumatisme du poignet gauche. Traumatisme du poignet gauche. Traumatisme du poignet gauche. Traumatisme du poignet gauche. Traumatisme du poignet gauche, genou gauche et sacrum. Traumatisme du poignet sans atteinte osseuse le 10.11.2016. Poignet droit : arthrose médio-carpienne activée, lésion partielle scapho-lunaire palmaire, lésion FCR. Exploration, cure tunnel carpien et ténotomie FCR (OP le 06.07.2017). Traumatisme du pouce droit. Traumatisme du pouce droit. Traumatisme du pouce gauche. Traumatisme du pouce gauche. Traumatisme du rachis. Traumatisme du rachis. Traumatisme du rachis. Traumatisme du rachis. Traumatisme du rachis. Traumatisme du rachis. Traumatisme du rachis. Traumatisme du rachis. Traumatisme du rachis. Traumatisme du rachis sans déficit. Traumatisme du rachis sans déficit. Traumatisme du rachis. Multiples adénopathies hilaires et médiastinales, rate d'aspect micronodulaire (découverte fortuite). Traumatisme du 3ème doigt de la main droite. Traumatisme du 4ème doigt de la main droite. Traumatisme du 4ème doigt gauche. Traumatisme du 4ème orteil gauche. Traumatisme du 5ème doigt gauche. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme d'un membre. Traumatisme D3. Traumatisme D5 droit. Traumatisme en supination de la cheville droite. Traumatisme épaule droite. Traumatisme épaule gauche. Traumatisme facial. Traumatisme facial avec plaie de la pommette G et lèvre supérieure le 18.05.2017. Contusion proximale avant-bras G le 18.05.2017. Bursite olécrânienne infectée à Staph. aureus à G en septembre 2011. Implantation prothèse totale inversée épaule D le 24.05.2012 sur arthropathie de la coiffe des rotateurs. Fracture sous-capitale de la tête radiale G de type Mason I le 18.05.2017, traitée conservativement. Traumatisme facial sans perte de connaissance avec multiples plaies : • plaie rectiligne horizontale de la pommette droite de 2 cm superficielle • plaie rectiligne horizontale de la paupière supérieure droite en face latérale de 1 cm superficielle • plaie rectiligne horizontale de la paupière supérieure gauche de 1.5 cm superficielle • plaie en V en base de la lèvre inférieure à droite, face extérieure, de 2x1 cm • plaie rectiligne horizontale de 1 cm en face interne de la lèvre inférieure à droite • plaie sous-mentonnière horizontale de 1 cm superficielle. Traumatisme facial sur choc direct : • hypoesthésie du territoire V2 • déviation de la cloison nasale droite. Traumatisme gencive. Traumatisme genou droit. Traumatisme globe oculaire droit. Traumatisme grave. Traumatisme hallux gauche. Traumatisme hanche G. Traumatisme index gauche. Traumatisme isolé de la cheville droite. Traumatisme lombaire le 10.02.2019. Traumatisme main droite. Traumatisme maxillo-facial le 05.02.2019 avec : • Plaie profonde du visage de 12 cm, s'étendant de la paupière inférieure gauche à la lèvre supérieure gauche. • Fracture du processus frontal de l'os maxillaire à gauche. • Suspicion de fracture des os propres du nez. • Hématome antérieur du septum nasal gauche. • Plaie frontale de 1 cm. • Plaie de la crête nasale de 2 cm. • Plaie du menton, partie gauche, de 3 cm. • Plaie du menton, partie droite, de 2 cm. Traumatisme maxillo-facial le 02.02.2019. Traumatisme maxillo-facial le 22.01.2017 avec : • fracture du plancher de l'orbite sans incarcération musculaire et oculomotricité préservée • lacération de la paupière inférieure D interne près du canal lacrymal • sur hétéro-agression. Traumatisme maxillo-facial simple le 02.02.2019 avec : • plaie de la crête du nez. Traumatisme membre inférieur droit. Traumatisme membre supérieur droit. Traumatisme membre inférieur gauche. Traumatisme membres inférieurs. Traumatisme nasal. Traumatisme occipital gauche, le 8.2.2019. Traumatisme oculaire droit le 13.01.2015. Traumatisme pied gauche. Traumatisme plaie inférieure. Traumatisme poignet droit. Traumatisme poignet gauche. Traumatisme pouce droit. Traumatisme pouce gauche. Traumatisme rachis. Traumatisme sacral avec subluxation C01-C02. Traumatisme scrotal avec plaie superficielle de 3 cm, médiane, de la partie inférieure du scrotum. Instabilité acromio-claviculaire Rockwood III droite aiguë. Traumatisme sur chute le 08.02.2019 avec : 1) Fracture base métacarpe I type Rolando main D 2) Fracture intra-articulaire radius distal G 3) Traumatisme crânien simple avec plaie de l'arcade sourcilière G le 08.02.2019 à Berne. Traumatisme thoracique. Traumatisme thoracique avec : • contusion myocardique • suspicion fracture de la côte 7ème gauche. Traumatisme thoracique avec fracture du côté droit en 09.2010. Plaie profonde du cuir chevelu le 15.02.2017 avec : • plaie linéaire nette de 20 cm au niveau pariétal gauche, avec décollement du cuir chevelu, hématome sous-galéal et intégrité de la calotte crânienne. Traumatisme thorax. Traumatisme 5ème doigt droit. Traumatisme/corps étranger membre supérieur droit. Travail soutenu par Syntocinon.Antalgie par péridurale. Césarienne isthmique transverse basse sous péridurale injectée. Antibioprophylaxie par Clamoxyl selon schéma pour rupture prolongée des membranes. Thromboprophylaxie par Clexane. Pertes sanguines estimées à 600 ml. Suites de couches. Travail soutenu par Syntocinon. Antalgie par péridurale. Suites de couches. Tremblement du MSD. Tremblement dystonique de la main droite d'origine indéterminée le 13.02.2019 dans un contexte de chute avec TC le 12.02.2019. DD : syndrome parkinsonien, crise d'épilepsie partielle continue, atteinte ischémique. Tremblement essentiel main droite, pluri-investigué. Hernie discale C6/7, non déficitaire. Anémie ferriprive, pluri-investiguée, nécessitant des transfusions de fer 2 fois par année. Tremblements. Tremblements d'attitude en 2016, DD : • tremblements essentiels • consommation chronique OH (facteur aggravant) • origine médicamenteuse : pas d'argument Diverticulose. Eczéma séborrhéique au visage. Tremblements essentiels du membre supérieur gauche. Amygdalectomie à l'âge de 33 ans. Méniscectomie bilatérale en 1990. Maladie de Lyme en 2000. Status post-cure de tunnel carpien gauche en 2001. Hernie médiane en 2001. PTG gauche en 2009. Acidité gastrique sur AINS. Sub-Ileus probablement le 03.12.2014 sur opiate. Réidivitation gauche avec œdème bilatéral. Syncope probablement vasovagal. Laboratoire du 19.03.2018 : Créatinine 109 umol/l, CRP < 5 mg/l, Leucocytes 6.1 G/l. Schellong Test : Négatif. Scanne CT du 19.03.2018 (HFR-Freiburg) : pas de saignement intracranien. Tremor appendiculaire bilatéral prédominant aux membres supérieurs d'origine mixte : • dans le cadre du diagnostic principal • origine médicamenteuse probable surajoutée. Tremor d'origine indéterminée, DD essentiel. Démence à corps de Lewy. MMS 25/30, test de l'horloge t 3/6, combinaison 3/9 (07.03.2016). Dépression débutante. Tremor d'origine indéterminée, DD essentiel. Dépression débutante. Tremor d'origine indéterminée, DD essentiel. Démence à corps de Lewy. MMS 25/30, test de l'horloge 3/6, combinaison 3/9 (07.03.2016). Évaluation neuropsychologique : dans l'état actuel, pas possible. Évaluation neuropsychologique dans le suivi après stabilisation psychiatrique. Trendelenburg si prodromes. Consultation aux urgences si convulsion type épilepsie. Très bon résultat à un an post-opératoire. Nous discutons de l'éventuelle nécessité de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Mr. Y aimerait y réfléchir, je lui ai réexpliqué les avantages et désavantages d'une ablation du matériel. Mr. Y me recontactera. Fin de traitement. Très bon résultat à 5 mois postopératoires. Vu une mauvaise activation de la musculature scapulo-thoracique, l'abduction et l'élévation ne sont pas encore complètes. Je préconise la poursuite de la physiothérapie, principalement dans le but de travailler la musculature scapulo-thoracique. Reprise du travail à 50 % à partir du 25.02.2019. Prochain contrôle chez moi le 18.04.2019. Une reprise du travail est prévue à 100 % pour mi-avril 2019. Très bon résultat clinique à 6 semaines postopératoires. Fin de traitement. Mr. Y me recontactera en cas de besoin. Très bon résultat clinique suite à la ponction et à l'infiltration de son genou gauche. Mr. Y peut arrêter la physiothérapie. Un contrôle d'emblée chez moi n'est pas prévu. Il me recontactera en cas de besoin. Fin du traitement. Très bon résultat radiologique à six semaines post-opératoires. Mr. Y doit continuer la physiothérapie. La botte de marche peut être enlevée aujourd'hui. Mr. Y bénéficie d'un arrêt de travail à 100 % jusqu'au 26.02.2019, reprise prévue à 100 % dès le 27.02.2019. Très bon résultat radiologique à six semaines post-opératoires. Mr. Y peut reprendre une activité sportive, par contre il doit encore attendre un mois pour les sports de contact. Prochain contrôle radiologique à un an post-opératoire pour discuter de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Très bon résultat radiologique à un an après la mise en place d'une prothèse de révision du genou D. Mr. Y est satisfait du résultat. Prochain rendez-vous dans une année pour un contrôle radiologique à deux ans post-opératoires. Très bonne évolution à trois mois post-opératoires. Poursuite d'une physiothérapie active et passive sans limitation. Charge maximale deux kilos. Poursuite de l'incapacité de travail. Prochain contrôle le 04.04.2019. Très bonne évolution à 3 mois postopératoires. Prochain contrôle clinique à 6 mois postopératoires. Prescription de nouvelles séances de physiothérapie pour poursuivre le gain d'amplitude et renforcer le travail de proprioception. Très bonne évolution à 6 semaines post-opératoires avec une légère raideur de l'épaule résiduelle et voulue. Actuellement renforcement de la coiffe des rotateurs en physiothérapie avec récupération progressive des amplitudes articulaires en limitant la rotation externe à 30°. J'ai programmé un prochain contrôle chez moi dans 6 semaines. Poursuite de l'arrêt de travail à 100 % pour les 6 prochaines semaines. Très bonne évolution à 8 semaines de l'intervention susmentionnée. Mme. Y est satisfaite. Elle peut commencer à marcher en charge complète, mais de façon progressive. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radio-clinique, soit le 19.03.2019. Très bonne évolution à 8 semaines postopératoires. Elle peut dès à présent abandonner les cannes et commencer un traitement physiothérapeutique avec renforcement musculaire de façon continue et progressive. Nous la reverrons pour un contrôle radio-clinique à 1 an de l'opération. Très bonne évolution. Actuellement pas d'attitude active de ma part. Je me tiens à disposition en cas de recrudescence des douleurs. À ce moment-là, il faudra discuter d'une ténotomie et ténodèse du long chef du biceps. Très bonne évolution clinique à six semaines de la résection de l'anse de seau luxée du ménisque interne du genou G. Je propose de continuer la physiothérapie pour remuscler et entraîner la proprioception du membre inférieur G. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Mme. Y sera revue par contre par le Dr. X pour la suite du traitement de l'humérus proximal G. Très bonne évolution clinique à six semaines de l'introduction du traitement conservateur pour les lésions susmentionnées. Je propose une deuxième série de neuf séances de physiothérapie pour continuer à stabiliser son genou, surtout pour travailler la tonification musculaire et la proprioception. Je revois Mr. Y dans six semaines pour une réévaluation clinique. Si Mr. Y n'a aucune plainte, il pourra annuler son rendez-vous. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Très bonne évolution clinique avec le traitement conservateur. Je propose à Mr. Y de poursuivre les séances restantes de physiothérapie. Une reprise progressive de l'activité sportive est autorisée dès avril. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Très bonne évolution clinique. Mr. Y peut reprendre le travail à 100 % dès le 4.2.2019. Un contrôle chez moi n'est pas prévu. Il me recontacte en cas de besoin. Autrement fin de traitement. Très bonne évolution clinique sous traitement conservateur de la fracture de Jones et la distorsion du ligament talo-fibulaire antérieur du pied droit. Pour ma part, fin du traitement. Mme. Y va continuer à faire ses exercices pour entraîner la proprioception.Elle a pu reprendre son travail à 100% depuis le 23.12.2018. Elle me recontactera en cas de besoin. • Très bonne évolution clinique suite à l'infiltration de l'articulation AC. Je propose à la patiente de reprendre gentiment les activités sportives et je la reverrai pour un contrôle clinique dans 3 mois le 1.5.2019. Pas d'arrêt de travail nécessaire. • Très bonne évolution du point de vue mobilité et de la fonction de l'épaule. La patiente a terminé ses séances d'ergothérapie. J'ai programmé un nouveau contrôle à ma consultation début août 2019 pour refaire le point et pour discuter de la nécessité d'une AMO. • Très bonne évolution étant donné le point de départ. Poursuite de la physiothérapie à sec. Prochain contrôle à ma consultation dans 4 mois. • Très bonne évolution étant donné le point de départ. Poursuite de la physiothérapie. Contrôle final chez moi dans trois mois. • Très bonne évolution. Fin de traitement. Je me tiens toutefois à disposition si nécessaire. • Très bonne évolution. Fin du traitement chez moi. Je me tiens toutefois à disposition. • Très bonne évolution. Fin du traitement chez moi. Je me tiens toutefois à disposition. • Très bonne évolution. Fin du traitement chez moi. Je me tiens toutefois à disposition. • Très bonne évolution. Fin du traitement chez moi. Je me tiens toutefois à disposition. La patiente recontactera le médecin de famille s'il y a un problème lié au granulome sur fil. • Très bonne évolution. Fin du traitement chez moi. Je me tiens toutefois à disposition. • Très bonne évolution. Fin du traitement. Je me tiens toutefois à disposition. • Très bonne évolution. J'ai prévu un nouveau contrôle radioclinique dans 6 mois, soit à 9 mois postopératoires. Prochain rendez-vous le 22.08.2019. • Très bonne évolution. Je préconise un prochain rendez-vous chez moi le 17 juillet 2019 pour planifier l'AMO. • Très bonne évolution. J'explique au patient la suite de la prise en charge, notamment avec une mobilisation active assistée en abduction/élévation ainsi que rotation libre. Je demande au patient de ne pas commencer à effectuer de la mobilisation active précoce, ce qu'il fait spontanément à plusieurs reprises. Poursuite d'un arrêt de travail. Contrôle chez moi dans 6 semaines. Prochain rendez-vous : 01.04.2019. • Très bonne évolution. Le patient va finir ses séances de physiothérapie. Il me recontactera en cas de recrudescence des douleurs. • Très bonne évolution. Le traitement chez nous se termine. Elle fera des exercices elle-même à la maison. Nous restons à disposition au besoin. • Très bonne évolution. Par prudence, je ne propose pas de traitement ergothérapeutique. Plutôt mobilisation par la patiente elle-même. Prochain contrôle dans un mois. Poursuite de l'arrêt de sport. • Très bonne évolution. Pour le moment, fin du traitement. Je me tiens à disposition en fonction de l'évolution. • Très bonne évolution pour le pied. La patiente ne présente presque plus de gêne, sauf une légère boiterie due à la raideur de la cheville et la tendance de conflit tibio-talaire. Elle peut continuer la physiothérapie avec mobilisation, renforcement musculaire et proprioception. Dans le futur, il est possible qu'une excision chirurgicale de l'os qui crée le conflit soit nécessaire. Prochain contrôle dans 3 mois. • Très bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie à sec et dans l'eau. La physiothérapie devrait viser maintenant la récupération des amplitudes articulaires en faisant une mobilisation active assistée. Poursuite d'un arrêt de travail. Contrôle chez moi dans 6 semaines le 15.4.2019. • Très bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie. Arrêt de travail jusqu'au 10.03.2019 puis reprise à 50% dès le 11.03.2019 et à 100% dès le 18.03.2019. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. • Très bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie avec renforcement de la coiffe des rotateurs. J'ai programmé un contrôle final chez moi dans deux mois. • Très bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie avec une mobilisation en charge selon douleurs. Crochetage cicatriciel. Arrêt du sport jusqu'au 18.03.2019. Contrôle chez moi dans deux mois. • Très bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie pour maintenir les amplitudes articulaires. Prochain contrôle chez moi dans 2 mois le 25.4.2019. • Très bonne évolution. Poursuite du port de la semelle à 3 points. Prochain contrôle radio-clinique dans 2 ans. • Très bonne évolution. Poursuite du traitement avec de la physiothérapie. Il peut reprendre progressivement ses activités sportives. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle radioclinique puis à 1 an. • Très bonne évolution. Prescription d'anti-douleurs et d'anti-inflammatoires pour les phases douloureuses qui devraient se calmer, jusqu'à une année postopératoire. Fin du traitement chez moi. Je me tiens toutefois à disposition en fonction de l'évolution. • Très bonne évolution radio-clinique à un peu plus de 1 an de l'implantation de PTH à droite. La patiente est très satisfaite du résultat. Prochain contrôle radio-clinique à 5 ans de l'intervention. • Très bonne évolution radioclinique à 1 an post mise en place d'une prothèse totale de hanche à gauche et à 2 ans post implantation de prothèse totale de hanche à droite. En ce qui concerne les hanches, je propose un prochain contrôle radioclinique à 5 ans post implantations de prothèses totales, en 2022. Pour les problèmes basi-lombaires, je propose que la patiente soit revue une fois pour un contrôle clinique au team rachis à la consultation du Dr X. • Très bonne évolution radio-clinique à 2 1/2 mois de l'intervention susmentionnée, avec une patiente presque indolore. La patiente peut continuer à se mobiliser en charge complète à l'aide d'un tintébin. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an de l'opération. • Très bonne évolution radioclinique à 3 mois post-enclouage de la fracture transverse du tibia droit. La patiente va stopper la physiothérapie. Elle peut reprendre son activité sportive dès ce jour. Reprise du travail à 100% depuis le 29.01.2019. Nous prévoyons l'ablation du clou le 14.10.2019. Je reverrai la patiente avant l'intervention afin d'établir le consentement éclairé. Prochain rendez-vous : 02.10.2019. • Très bonne évolution radio-clinique à 5 ans postopératoires. La patiente est très satisfaite du résultat. Prochain contrôle radio-clinique à 5 ans ou plus tôt en cas de besoin. • Très bonne évolution. Reprise du travail à 50% dès le 19.2.2019 et à 100% dès le 4.3.2019. Vu la bonne évolution, je n'ai pas prévu de contrôle chez moi mais je me tiens toutefois à disposition. • Très bonne évolution. Reprise progressive du sport. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. • Très bonne évolution sous traitement conservateur auprès du Dr X. Je n'ai pas prévu de contrôle chez moi mais je me tiens toutefois à disposition en fonction de l'évolution. • Très bonne évolution sous traitement conservateur. Pas de mesure particulière pour ma part. Un prochain contrôle est prévu à ma consultation le 22.05.2019 afin de juger de l'évolution. • Très bonne évolution. Traitement cicatriciel par crème Keli-Med et traitement d'ergothérapie avec patch de silicone. L'ergothérapeute va me tenir au courant de l'évolution. Vu la bonne évolution, je n'ai pas prévu de contrôle. • Très bonne évolution. Vu l'absence d'une gêne également liée au tunnel carpien, fin du traitement chez moi. Je me tiens toutefois à disposition. • Très bonne évolution. Vu le point de départ. Fin du traitement chez moi. Je me tiens toutefois à disposition. • Très bonne évolution vu le point de départ. Je n'ai pas fixé de nouveau rendez-vous chez moi, mais je me tiens à disposition en cas de mauvaise évolution.Très bonne évolution vu le point de départ. Pas de physiothérapie vu la récupération complète de l'épaule. Contrôle final chez moi dans 6 mois. Prochain rendez-vous : 29.08.2019. Très bonne évolution vu le point de départ. Poursuite de physiothérapie. Mobilisation active assistée en élévation ainsi qu'en rotation libre. Poursuite de l'arrêt de travail. Prochain contrôle chez moi dans 6 semaines : 15.04.2019. Très bonne évolution. Fin du traitement chez moi. Je me tiens toutefois à disposition. Très bonne évolution. Je ne prévois pas d'imagerie ni de contrôle chez moi. Je me tiens à disposition en fonction de l'évolution. Très bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire, relâchement de la chaîne postérieure et proprioception et coordination ainsi que récupération de la mobilité en flexion. Poursuite d'un arrêt de travail jusqu'au 31.3.2019 puis reprise à 100%. J'ai programmé un prochain contrôle chez moi dans 3 mois le 23.5.2019. Très bonne évolution. Reprise du travail à partir du 11.3.2019. Le patient va terminer ses séances d'ergothérapie. De ma part, pas de contrôle mais je me tiens à disposition en fonction de l'évolution. Très volumineuse hernie discale bilatérale L4-L5, luxée vers le bas, comblant le canal à presque 95%. Triade terrible du coude gauche avec : • fracture pluri-fragmentaire de la tête radiale • arrachement des ligaments collatéraux latéraux • arrachement de la capsule huméro-cubitale avec un petit fragment du processus coronoïde (type I). Triofan rhume Toilettes nasales Triofan spray Triofan spray nasal 3x/jour. Si persistance > 3 jours, ou péjoration des symptômes ou symptômes neurologiques, reconsultation. Contrôle chez le médecin traitant dans trois jours. Triofan spray Toilettes nasales régulières AINS Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures Triofan spray 1spry par narine 3x/j Algifor junior 10mg/kg 3x/j d'office pdt 2 jours Triple pontage coronarien en Italie en 2011 Pose d'un stent actif au niveau du pont saphène-diagonale en Italie en décembre 2018 Trismus Trismus avec inflammation de l'angle mandibulaire gauche dans le contexte d'un s/p extraction de 2 dents de sagesse à gauche • allergie à la penicilline Trisomie 21 Trisomie 21 avec des traits autistiques et cécité. Trisomie 21 libre Hypospadias en tablier de sapeur Trisomie 21 (46,XY,i(21)(q10)) RGO reflux gastro-oesophagien Trisomie 21. Autisme sévère avec hyperactivité et automutilations. Epilepsie traitée. Rhume des foins. Trittico avec bonne évolution Trittico 100 mg/jour. Trittico 50mg dès le 13.02.19 Trochantérite du grand trochanter à droite avec une tendinite d'insertion du petit et moyen fessier, associée à : • Snapping hip interne • Inflammation des rotateurs externes de la hanche droite • Légère scoliose dextro-convexe avec angle de 10° avec une composante tensionnelle. Trop d'attente, partie sans consultation médicale, ira chez son médecin traitant. Troponines. ECG. Aspirine 500 mg en bolus en ordre unique. Trouble affectif bipolaire Dépendance aux opiacés et benzodiazépines Suspicion d'apnées obstructives du sommeil, mis sur le compte de médicaments dépresseur du SNC : • score d'Epworth 3 points Suspicion de maladie de Crohn (colite en 2017), actuellement sans traitement Dénutrition sévère dans le contexte de trouble de la déglutition d'origine neurologique et psychiatrique : • syndrome de renutrition en 2017 Trouble affectif bipolaire Dépendance aux opiacés et benzodiazépines Suspicion d'apnées obstructives du sommeil, mis sur le compte de médicaments dépresseur du SNC : • score d'Epworth 3 points Suspicion de maladie de Crohn (colite en 2017), actuellement sans traitement Dénutrition sévère dans le contexte de trouble de la déglutition d'origine neurologique et psychiatrique : • syndrome de renutrition en 2017 Trouble affectif bipolaire. Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool, syndrome de dépendance, utilisation continue. Selle turcique vide. Migraine avec aura, troubles phasiques et paresthésie brachio-faciale droit. Trouble anxieux. Trouble anxieux. Trouble anxieux. Trouble anxieux. Trouble anxieux d'origine multifactorielle • maladie oncologique en progression • difficulté à accepter la situation et le projet social par la patiente (possible trouble de l'adaptation) • désir de retourner en Algérie Trouble anxieux et dépressif mixte F41.2 et trouble de la personnalité de type borderline, cyclothymie, narcissique, passive-agressive et histrionique • S/p multiples séjours Marsens en 2018 et traitement d'électroconvulsiothérapie en 2017 • S/p 5 tentamen (dernier en 2010) Trouble anxieux et humeur dépressive Trouble anxieux et humeur dépressive Dyspnée d'origine indéterminée chez une patiente connue pour un possible syndrome de CREST : • Diagnostics différentiels : bronchite virale dans un contexte de toux chronique avec expectorations brunâtres le 23.07.2018 • hyperréactivité bronchique. Trouble anxieux le 19.02.2019. Trouble anxieux récurrent sous traitement de Cipralex et Lexotanil. Reflux gastro-oesophagien. Trouble anxio-dépressif. Trouble anxio-dépressif. Trouble anxio-dépressif. Trouble anxio-dépressif. Trouble anxio-dépressif. Trouble anxio-dépressif avec traitement psychotrope et suivi psychologique 1x/mois. Tabagisme actif. Diarrhée en cours d'investigations. Hypercholestérolémie traitée. Syndrome obstructif de degré modéré (VEMS 75 % du prédit, fonctions pulmonaires 2009). Maladie coronarienne des 2 vaisseaux. • Sténose significative de l'IVA moyenne, PTCA/DES. • Occlusion chronique intra-stent de l'ostium de la 1.DA (2013), lésion culprit du STEMI en 2013. • Bon résultat après stenting de la CX (2013). • Fonction systolique du VG gauche légèrement abaissée avec akinésie antéro-médiane (EF 50%). • Restenting 13.6.2017. Trouble anxio-dépressif avec troubles de l'adaptation et des émotions. Trouble anxio-dépressif chronique Spondylolisthésis L5-S1 degré 2 dx 2005 Trouble anxio-dépressif connu avec antécédents de scarification quasi quotidienne en 2015-2016 avec symptômes psychotiques • Idées suicidaires scénarisées : séjour à Marsens en 2014-2015-2016 en mode volontaire Anorexie mentale le 22.08.2017 • Connue depuis 2013 • Aménorrhée secondaire dans le contexte d'anorexie Trouble anxio-dépressif non traité et non suivi. Trouble anxio-dépressif sous traitement depuis juin 2016 (Cipralex 10 mg et Tranxilium en réserve). Trouble bipolaire. Trouble bipolaire avec status post 5 tentamens médicamenteux, le dernier en décembre 2014 par intoxication médicamenteuse volontaire Hypertension artérielle. SAOS appareillé. Glaucome. Trouble bipolaire diagnostiqué en 2006 • Hospitalisations régulières à Marsens (environ chaque année, dernière hospitalisation pour décompensation sur arrêt du traitement en vue d'une grossesse en décembre 2018); patiente suivie par Dr. X psychiatre, centre Matrix à Fribourg Constipation chronique Hyperthyroïdie type Basedow depuis 2017 • Hypothyroïdie pendant la grossesse Trouble bipolaire. Troubles schizo-affectifs de type dépressif. Polyarthrite rhumatoïde anamnestique. Trouble cognitif léger Trouble cognitif léger • MMS 24/30, montre 4/6, GDS 2/15 le 16.01.2019 Coxarthrose sévère hanche droite Dermite ocre des membres inférieurs Discopathie avec petite hernie médiane L5/S1 Trouble confusionnel débutant, le 18.02.2019 • Déficience cognitive, démence apparente, dépression • Apathie, fatigue, perte d'intérêt • Escitalopram rejeté par le patient • Statut Minimental (MMS) non réalisable (presbyacousie, non conformité) • Avec 15 mg de mirtazapine Trouble d'adaptation sur divorce annoncé par le mari le 27.01.2019. Trouble d'angoisse suite à un événement déclencheur. Trouble de dépression. Consommation d'OH à risque. Tabagisme. COPD. AOMI Stade III jambe gauche. Trouble de l'état de conscience Trouble de l'état de conscience Trouble de l'état de conscience d'origine indéterminée le 04/02/19 DD Crise épileptique sur syndrome de sevrage DD Hémorragie digestive Trouble de la cicatrisation sur statut post-ablation lipome sinus tarsien pied droit le 02.11.2018. Trouble de la conscience Trouble de la crase sur dénutrition Trouble de la déglutition post-intubation le 22.01.2019 Trouble de la déglutition sévère sur statut post-chirurgie ORL et radiothérapie Trouble de la déglutition sur carcinome épidermoïde de l'œsophage cT2 à 3 N0 M0 diagnostiqué le 19.10.2017: • Adaptation de la nutrition par la GPR • Dilatation endoscopique le 07.01.2019 • CT thoraco-abdominal le 09.01.2019 Trouble de la marche Trouble de la marche d'origine multifactorielle. DD : post-chimiothérapie, sur asthénie, médicamenteux. Trouble de la marche d'origine multifactorielle. Trouble de la marche et de l'équilibre avec risque de chute augmenté • Restless legs syndrome • Hypovitaminose D • Âge avancé Trouble de la marche et de l'équilibre • Dégénérescence maculaire liée à l'âge (G > D) • Polymédication • Polyneuropathie diabétique • Arthrose tricompartimentale du genou gauche (Rx genou gauche le 26.01.2019) • S/P fracture-luxation équivalent bimalléolaire de la cheville droite le 15.11.2017, traitée par arthrodèse calcanéo-talo-tibiale Trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle • Sarcopénie • État infectieux • Malnutrition protéino-énergétique grave (NRS 5, hypoalbuminémie) • Déficit vitaminique. Trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Anémie • Sarcopénie • Colite. Trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle • Polyneuropathie sensitive superficielle et profonde, en premier lieu d'origine diabétique • Déconditionnement dans le cadre d'hospitalisations à répétition depuis octobre 2018 • Anémie microcytaire normochrome • Artériopathie obstructive des membres inférieurs • Chute d'origine indéterminée, probablement mécanique, avec traumatisme crânien simple et contusion des hanches le 15.01.2019 • Test de Schellong le 14.01.2019 : positif au lever (baisse de Psys >20mmHg et vertiges) jusqu'à 2 min après le lever Trouble de la marche et de l'équilibre en rapport avec une arthroplastie totale de la hanche gauche par voie postérieure le 14.01.2019 Trouble de la marche et de l'équilibre en rapport avec une coxarthrose gauche sévère Trouble de la marche et de l'équilibre en rapport avec une volumineuse hernie discale L3/L4 • IRM colonne lombaire le 16.01.2019 : Volumineuse hernie discale intra-foraminale et récessale gauche à l'étage L3/L4 conflictuelle avec les racines L3 et L4 gauches. Discopathies dégénératives avec saillie discale postérieure L4/L5 sans conflit disco-radiculaire. Infiltration non réalisable vu double anti-agrégation Trouble de la marche et de l'équilibre s/p réduction ouverte et ostéosynthèse par 2 cerclages et PFNA (Dr. X / Dr. X) après une fracture pertrochanterienne gauche Kyle IV le 09.12.2018 Trouble de la marche suite à une implantation d'une prothèse totale de la hanche gauche le 09.01.2019 par Dr. X (HFR Fribourg-Hôpital cantonal) • Bursectomie trochantérienne • Ostéophytectomie le long du bord antérieur et postéro-inférieur • Dans le contexte d'une coxarthrose gauche invalidante de stade IV Trouble de la marche suite à une implantation d'une prothèse totale de la hanche gauche (09.01.2019, Dr. X, HFR Fribourg) Trouble de la marche sur : • PTH bilatérales • Parésie résiduelle plexus lombo-sacré gauche sur hématome spontané du psoas sur anticoagulation orale datant du 31.08.2011. Trouble de la marche sur • Gonalgie droite • Polyneuropathie des membres inférieurs Trouble de la marche sur faiblesse et polyneuropathie des membres inférieurs Trouble de la personnalité Borderline. Trouble de la personnalité borderline avec tendance à la dépendance • Suivi psychiatrique par Dr. X et infirmière psychiatrique à domicile Trouble de la personnalité borderline avec tendance à la dépendance • Suivi psychiatrique par Dr. X et infirmière psychiatrique à domicile Trouble de la personnalité, borderline, en foyer à Marsens depuis avril 2018. Trouble de l'adaptation avec réaction dépressive et multiples hospitalisations à Marsens, plusieurs antécédents de tentamen. État anxio-dépressif avec idées suicidaires actives. Obésité grade II selon l'OMS BMI 38.8 kg/m2. Douleurs chroniques du genou droit le 03.09.2018 : • Statut post-arthroscopie pour lésion méniscale le 11.07.2018 (Dr. X). Trouble de la personnalité, borderline, en foyer à Marsens depuis avril 2018. Trouble de l'adaptation avec réaction dépressive et multiples hospitalisations à Marsens, plusieurs antécédents de tentamen. État anxio-dépressif avec idées suicidaires actives. Obésité grade II selon l'OMS BMI 38.8 kg/m2. Douleurs chroniques du genou droit le 03.09.2018 : • Statut post-arthroscopie pour lésion méniscale le 11.07.2018 (Dr. X). Gonalgies droites avec statut post-arthroscopie pour lésion méniscale le 11.07.2018 (Dr. X). Trouble de la personnalité, borderline, en foyer à Marsens depuis avril 2018. Trouble de l'adaptation avec réaction dépressive et multiples hospitalisations à Marsens, plusieurs antécédents de tentamen. État anxio-dépressif avec idées suicidaires actives. Obésité grade II selon l'OMS BMI 38.8 kg/m2. Douleurs chroniques du genou droit le 03.09.2018 : • Statut post-arthroscopie pour lésion méniscale le 11.07.2018 (Dr. X). Gonalgies droites avec statut post-arthroscopie pour lésion méniscale le 11.07.2018 (Dr. X) : • Suivi par Dr. X en janvier 2019. • Consultation orthopédique à la policlinique avec Dr. X le 20.02.2019 à 15H30. Trouble de la personnalité, borderline, en foyer à Marsens depuis avril 2018. Trouble de l'adaptation avec réaction dépressive et multiples hospitalisations à Marsens, plusieurs antécédents de tentamen. État anxio-dépressif avec idées suicidaires actives. Obésité grade II selon l'OMS BMI 38.8 kg/m2. Douleurs chroniques du genou droit le 03.09.2018 : • Statut post-arthroscopie pour lésion méniscale le 11.07.2018 (Dr. X). Gonalgies droites avec statut post-arthroscopie pour lésion méniscale le 11.07.2018 (Dr. X) : • Suivi par Dr. X en 01.19 • Consultation orthopédique à la policlinique avec Dr. X le 20.02.2019 à 15:30.Trouble de l'adaptation avec réaction dépressive et multiples hospitalisations à Marsens, plusieurs antécédents de tentamen. État anxio-dépressif avec idées suicidaires actives. Obésité grade II selon l'OMS BMI 38.8 kg/m2. Douleurs chroniques du genou droit le 03.09.2018, status post-arthroscopie pour lésion méniscale le 11.07.2018 (Dr. X). Trouble de la personnalité borderline, en foyer à Marsens depuis avril 2018. État anxio-dépressif avec idées suicidaires actives. Obésité grade II selon l'OMS BMI 38.8 kg/m2. Douleurs chroniques du genou droit le 03.09.2018, status post-arthroscopie pour lésion méniscale le 11.07.2018 (Dr. X). Trouble de la personnalité de type borderline avec automutilations et intoxications médicamenteuses à répétition. Hypothyroïdie substituée. Obésité. Bypass gastrique en 2016. Trouble de la personnalité non défini. Dépression récidivante • médication avec Imovane, Temesta. Asthme bronchique. Consommation OH à risque avec tent. Abus OH chronique. Trouble de la thermorégulation de la prématurité. Trouble de la vidange vésicale sur hypertrophie prostatique avec : • rétention urinaire à 800 ml le 28.01.19 avec miction par regorgement • sous Hytrin à domicile. Trouble de la vigilance sur encéphalopathie hépatique hautement probable dans un contexte de carcinome hépatocellulaire multifocal avancé • GCS 3/15 au service des urgences • GCS 14/15 à l'étage • Cirrhose Child-Pugh C (10 points avec encéphalopathie hépatique). Trouble de la vigilance transitoire d'origine somatoforme dans le contexte d'état dépressif. Trouble de la vision de l'œil droit sur probable luxation de la prothèse du cristallin avec s/p calcification de la cataracte. Trouble de l'adaptation. Trouble de l'adaptation - DD épisode dépressif, DD troubles cognitifs débutants. Trouble de l'adaptation à la naissance Prématuré de 36 1/7, PN 3160 g (P50.75), TN 53 cm (P90-95), PCN 34 cm (P50-75). Trouble de l'adaptation avec anxiété • Connu pour trouble anxio-dépressif (suivi par Dr. X) avec status post-tentamen en 2007 • Introduction du Brintellix 5 mg 1x/j le 08.01.2019, stop Remeron. Trouble de l'adaptation avec anxiété (F 43.22) • Consilium psychiatrique le 16.01.2018 : Poursuite du traitement habituel de Zolpidem, introduction de Distraneurine en réserve. Trouble de l'adaptation avec composante anxieuse et dépressive le 26.12.2018 • Sous Sertraline à demeure. Trouble de l'adaptation avec humeur mélancolique • deuil pas élaboré • épuisement psychique +/- physique • risque suicidaire faible Prise en charge pédopsychiatrique individuelle et systémique. Trouble de l'adaptation avec perturbation mixte des émotions. Trouble de l'adaptation avec réaction anxieuse et dépressive Anémie ferriprive, substituée. Incontinence urinaire d'origine neurogène suite à la résection antérieure basse. Trouble de l'adaptation avec réaction dépressive brève en 2008 Appendicectomie. Amygdalectomie. Trouble de l'adaptation avec réaction dépressive dans un contexte post-séparation conflictuelle. Trouble de l'adaptation avec réaction dépressive DD : épisode dépressif léger. Trouble de l'adaptation avec réaction mixte, anxieuse et dépressive et réaction aiguë à un facteur de stress. Trouble de l'adaptation face à une maladie oncologique avancée • sans perspective de traitement raisonnable et au pronostic limité. Trouble de l'adaptation mixte anxieux et dépressif. Trouble de l'adaptation probable du proche aidant • ambivalence dans le projet. Trouble de l'adaptation vs état dépressif en 2006, suite à de nombreux décès dans la famille. Status post hémorroïdectomie. Bronchite virale avec réaction asthmatiforme. Aux urgences : aérosols Ventolin + Atrovent, Lasix 10 mg, Prednisone 40 mg. Pas d'antibiothérapie débutée. Étagement : poursuite aérosols, Prednisone 40 mg pour 5 jours, physiothérapie respiratoire. Trouble de l'attention sous Ritaline depuis 2009. Trouble de l'équilibre connu dans un contexte d'hémisyndrome. DD : AIT. Trouble de l'état de conscience. Trouble de l'état de conscience avec apnée centrale > 15 sec concomitante • dans un contexte d'insuffisance rénale aiguë • sous Quetiapine 6.25 mg, Quetiapine cpr 25 mg, Haldol en réserve. Trouble de l'état de conscience avec traumatisme crânien dans un contexte d'alcoolisation aiguë le 23.02.19. Trouble de l'état de conscience d'origine indéterminée dans un contexte de retard mental connu depuis 1960. Trouble de l'état de conscience d'origine peu claire le 14.07.2016 DD : AIT, état confusionnel, hypoperfusion cérébrale sur troubles du rythme ou crise d'épilepsie peu probable. Status post-embolies pulmonaires centrales à D et lobaires ddc en 2012, sous anticoagulation. Status post-pose d'une PTH G en 2003. Status post-cystoscopie pour incontinence urinaire en 2003. Status post-foyer du lobe pulmonaire inférieur D avec décompensation d'un asthme en 2002. Status post-ostéosynthèse d'une fracture du tibia D. Status post-ménisectomie du genou D. Status post-cure de descente de vessie. Status post-hystérectomie. Status post APP. Status post-cure de varices des MI. Pyélonéphrite aiguë à E. Coli en 2012. Status post fracture ouverte de l'extrémité distale du radius G ostéosynthésée en 2009. Status post-changement de PTH G en 2003 pour luxation à répétition d'une PTH posée en 2003. Trouble de l'état de conscience le 02.10.2013, d'origine mixte • probable encéphalopathie de Gayet-Wernicke • déshydratation sévère • septique. Pneumonie multifocale sur broncho-aspiration le 05.10.2013. Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale (AKIN 3) le 02.10.2013. Pancréatite biologique dans contexte de OH chronique 2013. Luxation de l'épaule droite avec fracture du tubercule majeur le 06.10.2014. Trouble de l'état de conscience sur intoxication : • selon Mr. Y aurait pris 45 mg de L-Polamidon (Méthadone, x3 sa dose habituelle), 10 mg de Stilnox i.v, 15 mg de Dormicum i.v, tout mélangé. Trouble de l'humeur le 22.02.2018. Contusion de la main droite le 22.02.2018. Contusion métacarpophalangienne du 4ème doigt à droite le 20.03.2018. Trouble de l'humeur type dépressif. Trouble de l'oralité et réapprentissage alimentaire. Trouble de repolarisation avec onde T négative en DII DIII aVF. Trouble dépressif chronique. Cardiopathie hypertensive • Échocardiographie du 21.10.2014 : FEVG à 65 %, dysfonction diastolique ventriculaire gauche minime (grade I). Oreillette gauche discrètement dilatée. Petit anévrisme au sommet de l'artère basilaire mesurant 3 mm.Syndrome de Barlow (prolapsus de la valve mitrale). Trouble dépressif chronique Hypertension artérielle traitée Obésité classe I (BMI 32.2 kg/m2) Trouble dépressif chronique Probable hyperplasie prostatique Trouble dépressif le 26.02.2019 • sans idéation suicidaires Trouble dépressif moyen et troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool, utilisation nocive pour la santé. Trouble dépressif réactionnel avec idées suicidaires, dans le contexte des douleurs. Trouble dépressif récurrent avec actuellement épisode dépressif moyen dans le contexte de: • crise familiale • deuil pathologique Trouble dépressif récurrent avec : By-pass gastrique depuis 2003 environ avec présence d'un corps étranger au niveau abdominal d'origine indéterminée Trouble dépressif récurrent avec: • épisode actuel sévère. • symptômes psychotiques. Trouble dépressif récurrent avec: • épisode actuel sévère sans symptômes psychotiques, • trouble cognitif léger, • personnalité dépendante. Trouble dépressif récurrent avec personnalité labile de type borderline. Situation socio-familiale difficile avec antécédents de nombreux conflits/violences. Douleurs ostéo-articulaires axiales chroniques. Hernie hiatale. Kyste de Baker à gauche. Gonalgies gauches chroniques d'origine mixte le 21.12.2015 avec : • lésion chondrale du condyle fémoral interne et lésion de la corne postérieure du ménisque interne • antécédent d'opération du ménisque médial et de plusieurs arthroscopies (patiente suivie par Dr. X) • acutisation des douleurs d'origine psychosomatique chez patiente connue pour un trouble de la personnalité instable. Incontinence urinaire à l'effort. Trouble dépressif récurrent, épisode actuel moyen Trouble dépressif récurrent, épisode actuel sévère sans symptôme psychotique. Trouble cognitif léger. Personnalité dépendante. Autres vertiges périphériques. Hypertension artérielle. Insuffisance veineuse chronique. Tachycardie supraventriculaire asymptomatique. Spondylarthrose de la région lombaire. Arthrose facettaire étagée L4-L5 et L5-S1. Discopathie étagée L4-L5 et L5-S1. Carence en vitamine D et magnésium. Trouble dépressif récurrent, épisode actuel sévère sans symptôme psychotique. Trouble cognitif léger. Personnalité dépendante. Autres vertiges périphériques. Hypertension artérielle. Insuffisance veineuse chronique. Tachycardie supraventriculaire asymptomatique. Spondylarthrose région lombaire. Arthrose facettaire étagée L4-L5 et L5-S1. Discopathie étagée L4-L5 et L5-S1. Carence en vitamine D et magnésium. Trouble dépressif récurrent, épisode actuel sévère sans symptômes psychotiques. Trouble cognitif léger. Personnalité dépendante. Autres vertiges périphériques. Hypertension artérielle. Insuffisance veineuse chronique. Tachycardie supraventriculaire asymptomatique. Spondylarthrose région lombaire. Arthrose facettaire étagée L4-L5 et L5-S1. Discopathie étagée L4-L5 et L5-S1. Carence en vitamine D et magnésium. Trouble dépressif récurrent, épisode sévère avec symptômes psychotiques le 03.01.2017. Cardiopathie ischémique et hypertensive : • STEMI inférieur le 13.11.2008 avec pose de 2 stents dans la CD proximale. • STEMI inférieur en novembre 2011. • FEVG en mai 2011 à 65%. • ECG : ondes Q et T négatives en III et aVF (en octobre 2011), BBD. Diabète de type 2 insulino-requérant sur pancréatites à répétition depuis l'âge de 35 ans. • polyneuropathie des membres inférieurs. Tabagisme actif à 40 UPA. Hypercholestérolémie. Obésité. Adénome tubulaire de bas grade du cæcum diagnostiqué en décembre 2011. Fourmillements des membres inférieurs et du membre supérieur gauche. Trouble dépressif récurrent traité par Efexor et Seresta avec personnalité émotionnellement labile, type borderline Trouble dépressif récurrent Troubles de l'adaptation avec perturbation mixte des émotions et des conduites, dans un contexte post-traumatique Personnalité émotionnellement labile, type borderline • Difficultés liées à de possibles sévices physiques infligés à un enfant • Difficultés liées à de possibles sévices sexuels infligés à un enfant par une personne de son entourage immédiat • Autres difficultés liées à des négligences dans l'éducation Trouble dépressif sévère sans symptôme psychotique F32.2 Cardiopathie d'origine indéterminée probablement toxique sur consommation d'OH à risque avec : • douleurs thoraciques et dyspnée à l'effort (NYHA II) • souffle systolique 2/6, prédominant au niveau de l'apex Trouble dépressif suivi et traité. Notion de douleurs épigastriques chroniques investiguées à Berne, sans étiologie identifiée. Trouble digestif sans étiologie retrouvée le 24.02.2019. DD : entérite. Trouble du comportement alimentaire (anorexie mentale) avec BMI à 20.5 kg/m2 (59 kg pour 1.70 m). • Suivi nutritionnel (Dr. X et Dr. X) et psychiatrique (Dr. X). Trouble schizo-affectif, type dépressif avec délire hypochondriaque. • Multiples hospitalisations à Marsens. • Plusieurs crises d'angoisse dans le cadre d'un délire hypochondriaque. Trouble du comportement alimentaire et conflit à domicile Trouble du comportement alimentaire restrictif Trouble du comportement avec agitation psychomotrice DD : origine psychiatrique, neurologique Laboratoire, urines Avis infectiologue (Dr. X) le 06.04.2018 IRM cérébrale le 06.04.2018 refusé par le patient CT cérébral le 07.04.2018 Avis psychiatrique le 06.04.18 : Capacité de discernement préservée. Pas de mise en danger à court terme. Trouble de la personnalité paranoïaque exacerbée. Seresta 15 mg 4x/jour d'office et en R Infiltrats pulmonaires bilatéraux • saturation à 89% DD : pneumopathie interstitielle lymphocytaire Radiographie de thorax Oxygénothérapie Avis infectiologue (Dr. X) : au vu de l'absence de symptômes nouveaux respiratoires, de l'absence de fièvre, de syndrome inflammatoire. Pas de nécessité de traiter ce jour. Suivi clinique et radiologique chez médecin traitant Contusion pied D Radiographie du pied : pas de fracture Traitement symptomatique Trouble du déficit de l'attention et d'hyperactivité. Trouble du rythme Trouble du rythme. Trouble du rythme cardiaque en investigations. Syndrome des jambes sans repos. Insomnie. Trouble du rythme s/p thermoablation d'un flutter le 19.12.2019 • passages en tachycardie objectivés par la patiente Trouble du spectre autistique. Trouble du transit avec diarrhées chroniques. • notion de perte de poids de 8 kg. Trouble électrolytique avec : • hypokaliémie à 2,8 mmol/l. DD : sur prise de laxatifs. Trouble électrolytique diffus • Hypocalcémie à 2,04 mmol/l • hypokaliémie à 3,6 mmol/l • hypophosphatémie à 0.84 mmol/l Trouble électrolytique multiples, le 11.02.2019 • Hypokaliémie modérée à 2.6 mmol/l • Hypomagnésémie et hypophosphatémie Trouble électrolytiques multiples sur vomissements et déshydratation le 01.02.2019 • Hyponatrémie à 131 mmol/l • Hypokaliémie à 3.2 mmol/l • Hypophosphatémie à 0.73 mmol/l • Hypomagnésémie à 0.70 mmol/l Trouble envahissant du développement Trouble oppositionnel avec provocation Idées obsédantes et comportements compulsifs Trouble du développement psychologique Intelligence très élevée QI > 129 HPI (test fait par Dr. X en mai 2017) Communication intra-familiale inadéquate ou distordue Incapacité sociale importante et envahissante • multiples hospitalisations à Marsens Ingestion de corps étrangers métalliques dans un contexte auto-agressif le 09.04.2018 • boulons et aimant Lésions érosives de l'antre de l'estomac et de l'œsophage distal le 09.04.2018 Pantoprazol pour 7 jours Œsogastroscopie le 09.04.2018 : Extraction des corps étrangers ensemble avec aimant, 2 petites lésions érosives causées par l'extraction dans le cardia et le bas œsophage.Auto-agressivité sur troubles oppositionnels 09.04.2018 Hospitalisation en PAFA à Marsens en cours Anémie normocytaire hypochrome le 09.04.2018 Contrôle hématologique en ambulatoire Trouble mixte de la personnalité + trouble dépressif Trouble mixte de la personnalité avec traits borderline, hypochondriaques et immatures Trouble du comportement avec mise en danger sur consommation médicamenteuse Trouble mixte des émotions et des conduites. Trouble moteur sur invasion métastatique du cordon médullaire (voir diagnostic principal) • avec refus de Mr. Y pour une radiothérapie ou décompression chirurgicale Trouble neurocognitif majeur d'intensité légère ; d'origine indéterminée le 25.01.2019 avec : • chutes à répétitions • MMS le 28.01.2019 : 24/30 DD toxique sur alcool, composante vasculaire Trouble neurocognitif majeur d'intensité légère d'origine mixte probable avec : • désorientation temporelle • difficultés exécutives (incitation verbale, capacités d'inhibition et d'abstraction) • difficultés en mémoire antérograde verbale • difficultés pour les praxies idéomotrices et dans une moindre mesure constructives • très légères difficultés en compréhension orale • une faible conscience des troubles et de leurs répercussions dans la vie quotidienne. • IRM cérébral (Affidea juillet 2018) : Atrophie corticale. Leucoencéphalopathie vasculaire Trouble neurocognitif sévère, non bilanté évoluant depuis l'année 2017 • sur probable maladie de Fahr (calcification ganglion de la base, trouble de la marche type parkinson, rigidité) Trouble neurocognitif sur démence d type Alzheimer et probablement vasculaire (dx 2015) • trouble du comportement et phénomène de sundowning Trouble neurocognitif majeur d'intensité modérée d'origine probablement mixte • MMS 28/30 points (05/2016) Trouble neurocognitif majeur d'intensité modérée d'origine probablement multifactorielle Trouble neuro-cognitif modéré avec modification du comportement sur probable maladie à corps de Lewy Cupulolithiase du canal semi-postérieur droit Trouble dépressif Vertiges chroniques Ostéoporose Trouble neuro-cognitif modéré avec modification du comportement sur probable maladie à corps de Lewy. Cupulolithiase du canal semi-postérieur droit. Trouble dépressif. Vertiges chroniques. Ostéoporose. Trouble neurocognitif modéré d'étiologie mixte probable (neurodégénérative et vasculaire) • Bilan neuropsychologique le 21.01.2019 : Cet examen neuropsychologique met en évidence : • Une désorientation spatio-temporelle ; • Des difficultés exécutives sur les plans cognitif (abstraction, incitation verbale, programmation motrice, contrôle inhibiteur) et comportemental (désinhibition, digression, persévérations, précipitation), avec ralentissement psycho-moteur ; • Des difficultés en mémoire immédiate et en mémoire antérograde verbale ; • Une extinction auditive sans autre signe d'héminégligence ; • Des difficultés gnosiques visuelles discriminatives ; • Des difficultés pour les praxies idéomotrices et une apraxie constructive ; Ce tableau touche plusieurs sphères cognitives dépassant le cadre de l'AVC ; il évoque un trouble neurocognitif modéré d'étiologie mixte probable (neurodégénérative et vasculaire), compatible avec l'imagerie cérébrale. Trouble neuro-cognitif modéré sur probable maladie d'Alzheimer • évoluant depuis 2014 (MMS de 21/30 le 23.10.2014, Clock Test de 7/7) • suivi par Dr. X depuis mai 2018 DD : démence à corps de Lewy, pseudo-démence sur trouble dépressif chronique, trouble cognitif sur hyperhomocystéinémie Trouble neuro-psychiatrique sur hydrocéphalie probablement secondaire à une hémorragie péri-ventriculaire et parenchymateuse néonatale avec probable composante congénitale associée (hypoplasie cérébelleuse G) avec : • retard mental • épilepsie de type absence partielle complexe • trouble du comportement avec anxiété, agitation • hémiparésie droite Trouble non spécifique du comportement alimentaire. Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 35.4 kg/m2. Bypass gastrique proximal + cholécystectomie laparoscopique le 25.10.2017 (Dr. X). Trouble psychiatrique indéterminé. Trouble psychotique aigu délirant en 2013 avec hospitalisation au RFSM de Marsens. Hospitalisation au RFSM de Marsens en 2011. Symptomatologie fortement suggestive d'un syndrome malin des neuroleptiques sur prise de Clozapine dans le contexte de modification du traitement psychiatrique récent. DD : troubles extra-pyramidaux péjorés sur syndrome inflammatoire. Trouble respiratoire sur possible irritation par le froid Trouble respiratoire sur possible irritation par le froid et l'effort Trouble sensitif et moteur hémi-face D et MSD Trouble somatoforme probable le 04.02.2019 • sans argument pour crise d'épilepsie inaugurale ou ischémie cérébrale. Trouble statique de la voûte plantaire ddc. Trouble visuel Trouble visuel. Troubles acido-basiques mixtes le 14.01.2019 avec : • gazométrie : pH normal mais hypercapnie à 10.9 kPa avec Bic à 47 mmol/L • alcalose métabolique • acidose respiratoire • syndrome restrictif sur scoliose. Embolie pulmonaire sous-segmentaire gauche le 09.01.2019 : • de découverte fortuite • D-dimères à 2850 ng/l. Décompensation cardiaque le 09.01.2019 probablement sur embolie pulmonaire. Troubles alimentaires Troubles alimentaires. Troubles alimentaires Troubles alimentaires (anorexie) Trouble anxieux généralisé probable Suspicion de PTSD Hyperpilosité subjective Trouble endocrinien d'origine indéterminée avec DD : post-TCA • 30.6.17 : prolactine augmentée à 33.3 microg/l, testostérone augmentée, androstènedione 87 nmol/l, cortisol matinal augmentée à 596 nmol/l Troubles alimentaires avec : • vomissements récurrents (sur probable cétose transitoire) et déshydratation légère • dans un contexte d'un status post bronchite à RSV positif Troubles alimentaires dans un contexte de bronchiolite Troubles alimentaires et épuisement maternel dans un contexte d'une bronchiolite à RSV positif Troubles anxieux Troubles anxieux. Troubles anxieux. Troubles anxieux. Troubles anxieux. Troubles anxieux. Lombalgies non déficitaires. Maladie coronarienne monotronculaire avec : • NSTEMI inférieur le 24.12.2014, avec pose de 2 stents nus sur la coronaire droite le 26.12.2014 par Dr. X. • FEVG à 65 % le 16.02.2016. Syndrome d'emphysème et de fibrose pulmonaires combinés modéré (CPFE) avec : • status post-exacerbation le 06.12.2016. Troubles anxio-dépressifs Colite lymphocytaire le 09.09.2014, suivi par Dr. X, sous Entocort (arrêt le 17.10.2016) Hypertension artérielle Dyslipidémie non traitée Insuffisance veineuse Dorsalgies chroniques, non bilantées, sous traitement antalgique (Celebrex lors des crises) Goitre Troubles anxiodépressifs avec somatisation sous forme de vertiges le 08.02.2019 dans un contexte d'interruption thérapeutique de grossesse fin 2018. Troubles anxio-dépressifs chroniques dans le contexte de la maladie oncologique. Troubles anxiodépressifs traités dans le passé. Troubles anxio-dépressifs. OH chronique. Thyroïde nodulaire avec fonction euthyroïdienne, suivi en endocrinologie (dernier contrôle 11/17). Syndrome métabolique. Hypertension artérielle. Diabète de type 2 cortico-révélé, diagnostiqué en juin 2013. Surcharge pondérale. Troubles anxio-dépressifs. Troubles somatoformes. Troubles bipolaires (à l'AI depuis l'âge de 23 ans). Épisode maniaque actuel et symptômes psychotiques le 05.06.2018. Reconstruction valvulaire aortique par péricarde autologue (Ozaki) fecit Dr. X (Clinique Cécil) le 30.11.2016 pour fibro-élastome de la valve aortique avec insuffisance aortique sévère avec : • NYHA II • Coronarographie (Prof. X) du 30.09.2016 : insuffisance aortique sévère. Valve tricuspide sclérosée. Fraction de régurgitation de 60%. • Fonction VG systolique conservée, discrète dilatation. Coronarographie normale. • FEVG à 60% le 12.12.2016. Décompensation cardiaque droite chronique le 23.06.2018. Troubles bipolaires et anxio-dépressifs avec statut post hospitalisation à Marsens. Constipation chronique traitée. Anévrisme de 5 mm de la portion distale du tronc basilaire juste avant les ACP. Troubles bipolaires et borderline avec plusieurs tentatives sévères. Multiples hospitalisations en milieu psychiatrique. Tabagisme actif. Diabète de type II insulino-requérant. Dyslipidémie. Pancréas divisum (le cholédoque se jette dans la papille majeure et les canaux ventral et dorsal pancréatiques se drainent dans une papille mineure antérieure et supérieure à la papille majeure). Troubles bipolaires polymédiqués. Tabagisme actif. Mastopathie fibro-kystique. Troubles bipolaires. État dépressif. RCUH. Troubles borderline. Maladie de Verneuil. Kyste ovarien de 36 mm de diamètre. Hémorroïdes de stade II. Troubles chroniques de cycle. Troubles cognitifs. Troubles cognitifs avancés avec impact sur les activités de la vie quotidienne : • IRM cérébrale non envisageable car resynchronisation cardiaque IRM incompatible. Echinococcose alvéolaire du lobe hépatique droit le 18.08.2016 : • Zentel (albendazole) 400 mg 2x/j per os du 19.08.2016 jusqu'à mars 2017. • Status après hémi-hépatectomie droite (avec résection du segment IVb), résection des voies biliaires centrales, hépatico-jéjunostomie (2x) le 29.03.2017 (Prof. X, Inselspital) pour compression du hile hépatique avec obstruction complète du canal hépatique commun et dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. • Péritonite bactérienne à Proteus vulgaris le 08.04.2017. • Ascite d'origine multifactorielle le 18.07.2017 (sténose de la veine cave supérieure, contexte post-opératoire). Dépression. Cardiopathie ischémique bi-tronculaire et rythmique : • Pacemaker de resynchronisation posé en 2009 (IRM non compatible). • Coronarographie le 23.05.2013 : PCTA-Stent (DES) : marginale et Cx, sténose significative IVA distale, EF 25% le 25.02.2014. • Échocardiographie du 07.01.2015 : fraction d'éjection ventriculaire gauche à 40%. • Syncopes, bradycardie, fibrillation auriculaire et flutter en 2009. Troubles cognitifs avec agitation psychomotrice. Troubles cognitifs avec MMS à 20/30 et test de la montre 7/7 le 05.07.2015. • Maladie neurodégénérative de type Alzheimer avec dilatation tétra-ventriculaire en évolution. • Changement de l'Aricept pour de l'Axura le 07.07.2015. • Consultation pour une ponction lombaire soustractive le 20.07.2015. • Consultation en angiologie sur convocation pour US-doppler des vaisseaux précérébraux. • Suivi par Prof. X, rendez-vous le 06.11.2018. • ECA post-opératoire le 21.12.2018. Troubles cognitifs avec situation précaire à domicile. Troubles cognitifs congénitaux. Troubles cognitifs connu. Troubles cognitifs de types exécutifs et mnésiques. Troubles cognitifs débutants d'origine vasculaire. Troubles cognitifs débutants. Troubles cognitifs d'origine indéterminée. Troubles cognitifs d'origine indéterminée en aggravation. Troubles cognitifs d'origine multifactorielle : • Métastases cérébrales, troubles cognitifs légers sous-jacents (hétéroanamnèse femme du patient), hypoglycémies à répétition, dans le contexte du pronostic de sa maladie. Troubles cognitifs d'origine non précisés. Troubles cognitifs d'origine probablement dégénérative depuis 12.2014 : • Origine dégénérative évoquée (suspicion de maladie d'Alzheimer juvénile). • Composante d'hydrocéphalie à pression normale, essai de PL évacuatrice le 31.1.10.17 sans succès. • Syndrome de dépendance à l'alcool. Troubles cognitifs d'origine vasculaire et possiblement neurodégénérative : • MMS à 21/30 le 10.01.2019. • Test de la montre 4/8 le 10.01.2019. Troubles cognitifs légers. Troubles cognitifs légers : • Dans un contexte d'anxiété. Troubles cognitifs légers d'origine indéterminée : • Selon la fille, en péjoration et situation précaire à domicile. Troubles cognitifs modérés. Troubles cognitifs modérés à sévères avec atteinte mnésique des événements récents : • Objectivés dès le 07.01.2019, confirmés par les impressions de l'entourage. Troubles cognitifs modérés dans le contexte thymique le 08.02.2019. DD : troubles cognitifs d'origine vasculaire débutante. Troubles cognitifs modérés multimodaux d'origine multifactorielle : • Diagnostic principal. • Probable maladie de Parkinson évoluée (Parkinson démence ?). • Encéphalopathie vasculaire (diagnostic supplémentaire 5). Troubles cognitifs probables, non investigués. Troubles cognitifs sans plus de précision. Troubles visuels d'origine indéterminée. Troubles cognitifs sans précision. Troubles cognitifs séquellaires modérés dans le cadre de l'œdème cérébral. Douleurs chroniques sur s/p fracture ancienne corps vertébral de D11 et s/p PTH G sur fracture pertrochantérienne. • Antalgie par patch de Fentanyl et réserves d'Oxynorm. Troubles cognitifs sévères compatibles avec une étiologie vasculaire, composante dégénérative surajoutée pas exclue en lien avec l'état confusionnel aigu au décours. Troubles cognitifs sévères. Troubles cognitifs sévères avec : • MMSE à 18/30, test de la montre à 0/7. Troubles cognitifs sévères avec MMSE à 19/30 et test de la montre à 0/7. Troubles cognitifs sur maladie neurodégénérative avec composante mixte : DD : démence de type Alzheimer. Suivi neurologique : Prof. X. Troubles de déglutition d'origine indéterminée : • Arrêt de l'alimentation par voie orale le 28.12.2018. • Sonde nasogastrique pour alimentation le 29.12.2018. Troubles de guérison de plaie sur statut post ostéosynthèse d'une fracture Weber B de la malléole externe droite le 10.01.2019. Troubles de la cinétique cardiaque segmentaire. DD Tako Tsubo inversé. Troubles de la conscience avec Glasgow à 12/15 (Y3V4M5) : DD sepsis, iatrogène sur Seresta. Troubles de la crase avec INR spontané à 1.4. Troubles de la crase avec TP à 55 dans le cadre d'un CHC. Troubles de la déglutition. Troubles de la déglutition avec fausses routes. Troubles de la déglutition avec résidus alimentaires dans la trachée déjà investigués avec : • Bronchoscopie en 2013 : trachée calme sans lésion suspecte. Présence de quelques sécrétions mousseuses, aspirées. • Panendoscopie en 2013 : dysphagie lusoria. Bicytopénie avec hémoglobine à 104 g/l et leucocytes à 3.7 G/l le 29.08.2017. Tuberculose à l'âge de 7 ans avec implication osseuse. Statut post PTH gauche en 2008. Statut post PTH droite. Statut post PTG gauche. Statut post cure tunnel carpien à droite. Statut post aphtose buccale auto-immune. Status post TB hanche gauche en 2000 Thyroïdectomie en 2013 Etat confusionnel aigu le 10.03.2018 Troubles de la déglutition avec résidus alimentaires dans la trachée déjà investigués avec : • Bronchoscopie en 2013 : trachée calme sans lésion suspecte. Présence de quelques sécrétions mousseuses, aspirées • Pan endoscopie en 2013 : dysphagie lusoria Bicytopénie avec hémoglobine à 104 g/l et leucocytes à 3.7 G/l le 29.08.2017 Tuberculose à l'âge de 7 ans avec implication osseuse Status post PTH gauche en 2008 Status post PTH droite Status post PTG gauche Status post cure tunnel carpien à droite Status post aphtose buccale auto-immune Status post TB hanche gauche en 2000 Thyroïdectomie en 2013 Etat confusionnel aiguë le 10.03.2018 Troubles de la déglutition chronique • suite à l'AVC ischémique le 13.09.2018 avec S/P trachéotomie du 28.09 au 07.11.2018 • nutrition par PEJ (posée le 16.10.2018) Troubles de la déglutition dans le contexte d'AVC ischémique le 13.09.2019 • Nutrition par la PEJ (16.10.19) • S/P trachéotomie du 28.09.2018 au 07.11.2018 Troubles de la déglutition d'origine indéterminée avec : • multiples antécédents de pneumonies de broncho-aspiration notamment depuis 11.2018 • au bénéfice d'une nutrition entérale par SNG depuis le 29.12.18 avec jeûne strict per os • admission élective pour bénéficier d'une PEG le 11.02.19 (annulé au vu du Dx principal) Troubles de la déglutition le 20.01.2019 Troubles de la déglutition post-AVC Troubles de la déglutition post-AVC Troubles de la déglutition post-AVC • avec dénutrition protéino-énergétique Troubles de la déglutition post-AVC avec dysphagie modérée à sévère de la phase orale et pharyngée • Sonde nasogastrique du 18.01.2019 au 11.02.2019 • Pose de GPR le 08.02.2019 (Dr. X) Troubles de la marche avec chutes à répétition • chute avec TC le 30.01.2019 • dans le cadre infectieux Troubles de la marche d'origine multifactorielle, avec : • possible polyneuropathie débutante des MI • tendance de chute latéralisée à droite • S/P probable crise d'épilepsie Troubles de la marche d'origine multifactorielle avec chute à domicile le 05.01.2019 Troubles de la marche d'origine multifactorielle avec chutes à répétition : • Déconditionnement physique, cachexie • Polyneuropathie périphérique d'origine toxique (OH) avec tétra-ataxie • Possible encéphalopathie de Gayet-Wernicke débutante avec ataxie • Hyponatrémie chronique Troubles de la marche d'origine multifactorielle : • Troubles cognitifs • Status après implantation de prothèses totales des genoux Troubles de la marche d'origine psychosomatique Troubles de la marche en péjoration le 14.02.2019 avec : • chute de sa hauteur le 12.02.2019 • marche à petite, rigidité axiale, absence de balancement des bras DD : dans contexte de douleur sur dermohypodermite du MIG, sur Dx secondaire Troubles de la marche et de l'équilibre avec chute accidentelle de sa hauteur le 26.12.2018 Troubles de la marche et de l'équilibre avec chute accidentelle de sa hauteur le 26.12.2018 : • fracture tassement L4 avec recul mur postérieur de 5 mm • fracture arc vertébral L5 D avec fragment déplacé antérieurement touchant la racine L5 D • S/P vertébroplastie L5 le 12.12.2018 pour fracture tassement L5 spontanée • S/P cyphoplastie L4 par système SpineJack (OP le 28.12.2018) • ostéoporose fracturaire • scoliose sinistro-convexe avec des altérations dégénératives inter-somatiques étagées, notamment sur les zones de charge. DD sur canal lombaire étroit • tassements pluri-étagés anciens de la colonne dorso-lombaire en regard de D12 - L2 - S1 Troubles de la marche et de l'équilibre avec chute d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Carence multi-vitaminique • Infection • Nycturie Troubles de la marche et de l'équilibre avec chute et traumatisme crânio-cérébral sans perte de connaissance le 22.01.2019 avec : • Hémorragie intra-parenchymateuse sous-corticale frontale gauche de 5 mm • Hémorragie sous-arachnoïdienne au niveau du sillon pré-central gauche et du sillon cingulaire gauche Troubles de la marche et de l'équilibre avec chute le 19.01.2019 : • Contusion cervico-thoraco-lombaire • Contusion hanche droite • Malnutrition protéino-énergétique légère Troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition. Troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition dans un contexte de : • Status après pneumonie basale gauche sur broncho-aspiration le 07.02.2019 • Sédentarité • Obésité morbide • Douleurs articulaires chroniques • Myasthénie • Trouble bipolaire type II • Coxalgies chroniques Troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition d'origine multifactorielle : • Démence de type Alzheimer • Maladie de Parkinson • Déficit en vitamine D • Polymédication • Status après accident vasculaire cérébral en 2012 • Consommation éthylique à risque Troubles de la marche et de l'équilibre avec déconditionnement musculo-squelettique dans le cadre d'un sepsis sur cholécystite aiguë le 20.06.2016 et bactériémie à K. Oxytoca avec : • Cholestase biologique et ictère • Insuffisance rénale aiguë oligo-anurique AKIN III d'origine pré-rénale le 20.06.2016 • Insuffisance respiratoire d'origine mixte le 20.06.2016 (septique, expansion volémique) • Anasarque sur ré-expansion volémique en juin 2016 Goutte intermittente Prothèse totale de hanche gauche pour coxarthrose (2006) Prothèse totale du genou droit pour gonarthrose (1997) Cure d'hernie inguinale gauche (1955) Fracture du crâne (1954) Plaie longitudinale du dos de la main gauche Pneumonie basale droite le 28.12.2018 Troubles de la marche et de l'équilibre avec déconditionnement physique sévère dans les suites d'une hémorragie tétra-ventriculaire le 18.12.2018 traitée par dérivation ventriculaire externe. Troubles de la marche et de l'équilibre dans un contexte de fracture du bassin Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Accident vasculaire cérébral occipital droit ancien séquellaire le 15.09.2018 • AVC ischémique multi-focal du territoire sylvien gauche sur sténose carotidienne gauche symptomatique en 2017 • Troubles cognitifs modérés après accident vasculaire cérébral sur probable démence d'origine mixte dégénérative et vasculaire • Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs • Déficit vitaminique • Anémie chronique • Hypotension orthostatique Contusion du genou droit le 26.12.2018 suite à une chute Tests cognitifs impossibles à réaliser au vu de la démence avancée de la patiente Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Anémie • Déficit vitaminique • Sarcopénie Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • dans un contexte d'asthénie • pemphigoïde bulleuse • hypothyroïdie • douleurs chroniques. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Déficit multi-vitaminique • Ostéoporose • Dénutrition • Malvoyance • Vertiges non systématisés Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Hypovitaminose D • Hypovitaminose B9 • Hyponatrémie • Ostéoporose fracturaire : fracture D12-L1 le 22.09.2018 • Prise de benzodiazépines • Sténose aortique sévère • Hypotension orthostatique • Status après fracture non déplacée de la branche ilio-ischio-pubienne à gauche Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Lombalgies chroniques • Troubles anxio-dépressifs • Anémie • Déficit vitaminique • Pneumonie à pneumocoque • Malnutrition Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Malnutrition protéino-énergétique avec sonde naso-gastrique en place • Déficit vitaminique • Anémie • Status après amputation de la 3ème phalange du 3ème orteil du pied gauche le 27.11.2018 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Adénocarcinome de la prostate • Pneumonie • Perturbations électrolytiques • Hypovitaminose D et B9 • Troubles cognitifs Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Anémie • Malnutrition • Status après infection urinaire le 19.12.2018 • Status après pneumonies récidivantes 27.12.2018 et 06.01.2019 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Contexte infectieux • Anémie • Troubles cognitifs • Cardiopathie valvulaire et rythmique. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Déficit vitaminique • Réduction acuité visuelle • Malnutrition • Status après accidents vasculaires cérébraux en 2008 et 2017 • Status après implantation de prothèse totale de hanche gauche en 2008 • Troubles cognitifs Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Douleurs de la hanche droite chroniques péjorées • Troubles électrolytiques • Anémie • Etat confusionnel aigu Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Etat infectieux • Troubles cognitifs • Déficit en vitamine D • Status après implantation de prothèses totales des genoux des deux côtés • Malnutrition protéino-énergétique Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Anémie • Déficit en vitamine D • Dénutrition protéino-énergétique • Contexte oncologique • Asthme Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Anémie normocytaire hypochrome à 110 g/l • Syndrome inflammatoire • Oedèmes des membres inférieurs • Malnutrition protéino-énergétique modérée Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Déficit vitaminique • Dénutrition protéino-énergétique modérée • Décompensation asthmatique sur probable virose • Contexte oncologique • Malvoyance de l'œil droit Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Nécrose aseptique de la hanche (post-radique sur cancer de la prostate avec récidive en 2017) ; intervention prévue par Dr. X à l'HFR Fribourg en février 2019 (20.02.2019) • Fracture base de la 2ème phalange du 3ème orteil du pied gauche avec plaie face plantaire de la métatarso-phalangienne du 3ème rayon • Tremblement essentiel de hémicorps gauche avec difficulté à la marche suite à une intervention sur la coiffe des rotateurs en 1997 • Médicamenteuse (prise d'antidépresseurs) Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Sarcopénie • Incontinence urinaire avec nycturie • Baisse de l'acuité visuelle • Lombalgies chroniques dans un contexte de canal lombaire étroit • Troubles cognitifs • Hypoacousie bilatérale appareillée • Anémie • Déficit en acide folique et vitamine D Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Troubles cognitifs • Hypovitaminose B9 et B12 • Sarcopénie Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Troubles cognitifs • Status après pneumonie • Déficit en vitamine D • Cataracte bilatérale Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Maladie de Parkinson • Déficit vitaminique • Malnutrition Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Maladie de Parkinson • Etat inflammatoire • Déficit vitaminique • Malnutrition protéino-énergétique légère Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Status après cyphoplastie L1 par système SpineJack 5.0 et cimentage par Cohésion 5cc ainsi que vertébroplastie préventive de L2 par Cohésion 1.5cc le 04.05.2018 pour fracture L1 atraumatique le 30.04.2018 • Status après cyphoplastie bipédiculaire par système SpineJack et cimentage par Cohésion 5.5cc le 20.01.2015 sur fracture tassement de L3 type A3.2 sur chute le 02.01.2015 • Dénutrition Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Status après cyphoplastie L1 par système SpineJack 5.0 et cimentage par Cohésion 5cc et vertébroplastie préventive de L2 par Cohésion 1.5cc le 04.05.2018 pour fracture L1 atraumatique le 30.04.2018 • Status après cyphoplastie bipédiculaire par système SpineJack et cimentage par Cohésion 5.5cc le 20.01.2015 sur fracture tassement de L3 type A3.2 sur chute le 02.01.2015 • Dénutrition Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle • Suspicion de maladie neurodégénérative (dès 2015) • Probablement démence frontotemporale (variante motrice avec parkinsonisme), DD : démence à corps de Lévy • Cliniquement : trouble de la marche progressif, discret syndrome bradykinétique-rigide à gauche avec chutes en arrière, instabilité posturale, hypophonie, apraxie, troubles cognitifs (MoCA 21 points en 06/2017) • Consilium neuropsychologique en 06/2017 : Test cérébral frontal relativement normal, ralentissement avec déficits visuels constructifs, apraxie. MMS Test 25/30 points, Clock test 2/7 points. • Test de Schellong le 27.06.2017 : hypotension orthostatique asympathicotone • IRM cérébrale en 06/2017 : atrophie globale sans lésions ischémiques aiguës ou autres lésions focales. • EEG en 06/2017 : pas de potentiels épileptiques, pas d'encéphalopathie métabolique-toxique. • Polyneuropathie • Gonarthrose droite Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Troubles cognitifs avec MMSE à 21/30 • Anémie normochrome normocytaire • Spondylolisthésis L4-L5 • Status après infection urinaire compliquée • Malnutrition • Status après opération le 25.01.2019 • Crise de goutte aux deux chevilles Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Troubles cognitifs • Hypovitaminose D • Anémie • Etat infectieux • Cataracte bilatérale • Malnutrition protéino-énergétique Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Tumeur hépatique • Sarcopénie Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Ulcères veineux des deux jambes • Insuffisance veineuse des jambes avec oedèmes des membres inférieurs en augmentation • Anémie • Malnutrition protéino-énergétique légère • Hématome de la cuisse gauche • Coxarthrose droite Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • Baisse de l'état général dans le contexte oncologique • Polyneuropathie périphérique d'origine diabétique • Artériopathie des membres inférieurs de stade II (juillet 2017) avec ulcères des membres inférieurs bilatéraux • S/p amputation O1 pied D en 2010 • Escarre talonnier en aggravation compliquée par une ostéomyélite du calcanéum G en avril 2014 • Réinsertion du tendon du quadriceps transpatellaire et réinsertion de l'aileron interne et externe de la rotule gauche en août 2012 • S/p fracture de rotule gauche en 2018 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • Chute récente le 04.01.2019 • Asthénie • Sarcopénie Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • Facteurs de risque de chute : • Troubles dégénératifs ostéo-articulaires • Anémie normochrome normocytaire • Contusion hanche droite • Contusion épaule droite avec omarthrose • Malnutrition protéino-énergétique • Status après fracture-tassement de D11 • Status après fracture du poignet gauche • Subluxation C1-C2 chronique • Ulcère fibrino-purulent au-dessus de la malléole interne gauche Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • Polyneuropathie périphérique d'origine diabétique • Artériopathie des membres inférieurs de stade II (juillet 2017) avec ulcères des membres inférieurs bilatéraux • S/p amputation O1 pied D en 2010 • Escarre talonnière en aggravation compliquée par une ostéomyélite du calcanéum G en avril 2014 • Réinsertion du tendon du quadriceps transpatellaire et réinsertion de l'aileron interne et externe de la rotule gauche en août 2012 • S/p fracture de rotule gauche en 2018 • Dans le contexte tumoral Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute : • Facteurs de risque de chute : • Carence vitaminique • État infectieux • Plaie chronique au niveau de l'interphalangienne proximale de l'index • Déformation du pied droit Traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 23.01.2019 au 05.02.2019, avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 28.01.2019 : MMSE à 25/30, test de la montre à 5/7 ; GDS à 3/15 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute : • Hypovitaminose B9 • Status après ostéosynthèse du fémur droit • Status après fracture de l'os cuboïde gauche • Troubles cognitifs Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute à domicile sur : • Diabète insulino-requérant • Ostéoporose fracturaire • Anémie normochrome microcytaire hypochrome le 24.01.2019 • Hypotension orthostatique • Coxalgies probablement sur coxarthrose le 25.01.2019 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute accidentelle sur faiblesse des membres inférieurs le 22.12.2018 : • Facteurs de risques de chute : • Orthostatisme • Artériopathie des membres inférieurs (ischémie critique du membre inférieur gauche avec occlusion de l'artère fémorale superficielle sur toute sa longueur et atteinte jambière sur probable artériopathie au long cours) • Sténose aortique (refus d'une prise en charge chirurgicale par la patiente) Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute le 09.01.2018 et stagnation au sol plus de 12h Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition : • Facteurs de risque de chute : • Status après fracture acétabulaire gauche et branche ilio-pubienne gauche non déplacée le 05.12.2018 • Traitement de benzodiazépines • Malnutrition Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition : • Facteurs de risque de chutes : • Carence vitaminique (acide folique) • Dénutrition • Anémie • Hypovitaminose D • Hypotension orthostatique • Troubles cognitifs légers • Dépression traitée • Polymédication • Notion de consommation d'alcool à risque, niée par le patient Cancer urothélial de la vessie pTa G2 de 4 cm de diamètre • Diagnostic : 11.06.2015 • TURV en 2015 (Dr. X) • Instillations complémentaires de Farmorubicine en 07/2015 • Récidive avec polype 6 mm du trigone droit superficiel en 2016 non réséqué Broncho-pneumopathie chronique obstructive (stade II) • FPC 2017 (Dr. X) : VEMS 1.37 (55% du prédit), Tiffeneau 56% • FPC 2007 : réversibilité douteuse au bêta-2-mimétiques Status post insuffisance respiratoire partielle sur pneumonie basale G et exacerbation de BPCO stade II le 05.06.2018 • Critère Anthonisen 1/3, CURB-65 3 pts (mortalité 14.5%) Facteurs de risques cardiovasculaires : • Tabagisme actif à 105 UPA • Hypertension artérielle traitée Cardiomyopathie dilatée • ETT 06/2017 (Dr. X) : FEVG 35%, dysfonction diastolique, pas d'HTAP, pas de valvulopathie • ETT 06/2018 (Dr. X) : FEVG 56%, dysfonction diastolique, pas d'HTAP, pas de valvulopathie • Entresto jusqu'en 2017, stoppé pour non-amélioration clinique • FA paroxystique anticoagulée en 01/2016, stoppée Troubles de la repolarisation dans le territoire inférieur, nouveaux à l'ECG le 05.06.2018 Hypotension orthostatique avec syncopes à répétition (6 en 8 ans) Trouble anxio-dépressif avec syndrome de deuil pathologique (décès de son épouse en 2007) traité Athéromatose carotidienne avec sténose 60% de ACI gauche (duplex des vaisseaux cérébraux du 03.07.2017) Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition à domicile : • Troubles cognitifs • Déficit en vitamine D • Syndrome inflammatoire • Troubles hydroélectriques Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition, dont dernière chute avec : • Traumatisme crânien le 05.01.2019 • Facteurs de risque de chute : • Déficit vitaminique • État infectieux • Troubles cognitifs Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition sur : • Troubles cognitifs • Hématome cuisse gauche • Déficit vitaminique • Anémie • Hyponatriémie • Status après fracture du radius et cubitus distal gauches Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétitions et lombalgies basses : Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition Troubles cognitifs majeurs (tests cognitifs réalisés le 04.01.2019 (séjour n°1) : MMSE 10/30, test de la montre à 0/7) Ostéoporose Status après fracture ilio-pubienne gauche et ischio-pubienne gauche en novembre 2013 Status après opération par ostéosynthèse le 06.07.2015 pour fracture du radius distal gauche avec bascule postérieure de l'épiphyse Lombalgies chroniques Hypoacousie Infection urinaire compliquée récidivante Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec dernière chute début janvier 2019 : • Facteurs de risque de chute : • Hypovitaminose • Status après plusieurs interventions chirurgicales • Déficit en vitamine B9 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec des chutes à répétition depuis une année • Myélopathie cervicale avec surinfection • Sténose aortique • Fracture L1 • Ostéoporose • Déconditionnement physique et sarcopénie Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • Nécrose aseptique de la hanche gauche (post-radique sur cancer de la prostate avec récidive en 2017) avec : • Intervention prévue par Prof. X au HFR Fribourg le 20.02.2019 • Fracture base de la 2ème phalange du 3ème orteil du pied gauche avec plaie face plantaire de la métatarso-phalangienne du 3ème rayon • Tremblements essentiels hémicorps gauche avec difficultés à la marche suite à une intervention sur la coiffe des rotateurs en 1997 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec risque de chute : • Facteurs de risque de chute : • Troubles dégénératifs ostéo-articulaires • Baisse de l'état général • Diabète • Insuffisance veineuse des membres inférieurs • Anémie normochrome normocytaire. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Cœur pulmonaire chronique sur maladie thrombo-embolique chronique diagnostiquée en mai 2017 (scintigraphie), et anticoagulée par Sintrom. Fibrillation auriculaire paroxystique. Insuffisance veineuse chronique. Insuffisance rénale chronique. Surdité partielle. Trouble anxieux sans précision. Dégénérescence maculaire liée à l'âge bilatérale, anciennement sous Lusentis. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle dans le contexte du diagnostic principal et supplémentaire 1 avec : Chutes récidivantes • Électrolytes dans la norme • Vitamine B12 et folates dans la norme le 20.12.2018, Vit B1 en cours (externe) Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle sur : • Maladie de Parkinson • État anxieux • Malnutrition protéino-énergétique • Status infectieux Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle sur : • Troubles cognitifs avancés • Dépression • Malnutrition protéino-énergétique • Baisse d'état général Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielles : • Status après état infectieux • Déficit en vitamine D Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielles : • Status après pneumonie bibasale à pneumocoques • Parkinsonisme • Déficit vitaminique • Anémie • Malnutrition • Ulcères veineux péri-malléolaires internes • Polyneuropathie diabétique Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielles avec : • Facteurs de risque de chute : • Déficit vitaminique • Status après bursite septique du genou droit • Polymyalgie rheumatica sous Prednisone • Dyspnée d'effort de stade NYHA II • Anémie chronique • Malnutrition protéine énergétique grave • Troubles cognitifs sévères Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielles avec mise en danger (anticoagulation) et soins impossibles à domicile : • Alcoolisme chronique • Épilepsie • Malvoyance • Polyneuropathie des membres inférieurs Troubles de la marche et de l'équilibre le 25.01.2019 avec : • Chute à répétitions DD OH, polyneuropathie alcoolique et diabétique probable, troubles cognitifs Troubles de la marche et de l'équilibre • Péjorés dans le contexte infectieux • Perte de 7 kg en 10 ans • IRM cérébrale en 2018 (Dr. X) pour investigations dans contexte d'épilepsie : signes d'encéphalite ancienne ? • Bilan oreille interne 12/2018 (Dr. X) : sp • Hypovitaminose D à 18 nmol/l Troubles de la marche et de l'équilibre • Polyneuropathie diabétique (vitamines B1, B6 et B12 dans la norme le 11.02.2019) • Arthrose tricompartimentale du genou gauche (Rx genou gauche le 26.01.2019) • S/p amputation sous-capitale P1 gros orteil pied G (OP le 28.10.2016) • S/p fracture-luxation équivalente bimalléolaire de la cheville droite le 15.11.2017, traitée par arthrodèse calcanéo-talo-tibiale le 16.11.2017. Ablation partielle du matériel d'ostéosynthèse le 20.06.2018. • Dégénérescence maculaire liée à l'âge (G > D) • Polymédication Troubles de la marche et de l'équilibre probablement sur consommation d'alcool. Troubles de la marche et de l'équilibre sur ataxie centrale Troubles de la marche et de l'équilibre • Sur œdèmes des membres inférieurs décompensés (hypoalbuminémie) avec ulcères jambiers • Sur plégie chronique du membre inférieur droit (poliomyélite dans l'enfance) • Chutes récentes à domicile Troubles de la marche et d'équilibre d'origine multifactorielle : • Troubles cognitifs • Décompensation cardiaque • Anémie Troubles de la marche multifactoriels. Dépression. Tabagisme sevré en 2011. Troubles du rythme cardiaque, status post-Pacemaker en 2018. Troubles de la marche sur faiblesse des membres inférieurs non déficitaire dans un contexte de : • Baisse de l'état général avec fatigue généralisée depuis plusieurs mois • Rhabdomyolyse à 1302 U/l de CK, d'origine traumatique sur chute peu claire le 07.01.2019 Troubles de la marche sur status post tuberculose, déplacement à l'aide de 2 cannes anglaises. Troubles de la mémoire et de l'équilibre, d'origine indéterminée. Troubles de la parole Troubles de la parole Troubles de la parole Troubles de la parole et de l'odorat depuis l'enfance, d'origine inconnue Reflux gastro-oesophagien Hernie discale L5/S1, diagnostiquée en 2014 Malvoyance d'origine mixte : • Cataracte sénile bilatérale • Dégénérescence maculaire sèche bilatérale liée à l'âge Troubles de la parole et une faiblesse de membres inférieurs Troubles de la personnalité type borderline avec plusieurs tentatives médicamenteuses et alcooliques. Migraines. Troubles de la repolarisation en V1 à V3 nouveaux le 25.02.2019 Troubles de la sensibilité. Troubles de la vigilance d'origine inexpliquée 27.02.2019 avec : • Vertige • Céphalée inhabituelle Troubles de la vision avec oscillopsies, accompagnés de céphalées frontales d'origine indéterminée le 10.12.2018 DD : hémodynamique, migraine avec aura • Survenue lors d'un transfert assis-assis, absence de vertige • ATCD d'épisodes similaires, avec glycémie > 5.0 mmol/l • Glycémie à 7.2 mmol/L au moment de l'épisode, 5.4 mmol/L 45 minutes après • Amélioration après boisson sucrée et repos au lit Troubles de la vision d'apparition récente (mouvements verticaux) avec examen neurologique normal Troubles de la vue suite à l'hémorragie tétra-ventriculaire du 18.12.2018 • Diplopie Troubles de l'adaptation avec perturbations mixtes des émotions et des conduites et troubles mixtes de la personnalité • Anosognosie de la maladie • Contexte familial complexe • Possible trouble de l'alimentation type boulimie Troubles de l'adaptation, avec réaction anxieuse au premier plan. Troubles de l'adaptation, avec réaction anxieuse au premier plan Facteurs de risque cardiovasculaires : • Hypertension artérielle • Hypercholestérolémie • Obésité morbide de classe III selon l'OMS (BMI à 41.5 kg/m2 le 10.10.2016) • Diabète de type 2 insulino-requérant : • Complications microvasculaires : rétinopathie diabétique non proliférative sévère avec des zones de non-perfusion capillaire et maculopathie diabétique sévère, insuffisance rénale chronique terminale sur néphropathie diabétique, polyneuropathie diabétique sévère • Complications macrovasculaires : amputation sus-géniculée du membre inférieur droit, cardiopathie ischémique Déhiscence du muscle droit abdominal avec hernie ombilicale sans signe d'incarcération intestinale. Syndrome d'obésité-hypoventilation • Fonctions pulmonaires en janvier 2015 : BiPAP à domicile (15 IPAP, 9 EPAP). Maladie thrombo-embolique veineuse • 2 antécédents d'embolie pulmonaire en 2012 et 2016 Troubles de l'adaptation post-AVC Troubles de l'équilibre avec chutes à répétitions d'origine mixte Hypercholestérolémie Hypertension artérielle Troubles cognitifs d'origine multifactorielle : • Démence débutante sur consommation d'alcool • MOCA 19/30 (05/2013) • MMS 24 le 11.09.2014 Cardiomyopathie hypertrophique modérée avec : • Sténose aortique serrée • ETT le 20.04.2018 : FEVG à 70 %. Cardiomyopathie hypertrophique asymétrique modérée, sténose aortique serrée Troubles de l'équilibre avec chutes à répétitions d'origine mixte Hypercholestérolémie Hypertension artérielle Troubles cognitifs d'origine multifactorielle : • Démence débutante sur consommation d'alcool • MOCA 19/30 (05/2013) • MMS 24 le 11.09.14 Cardiomyopathie hypertrophique modérée avec : • Sténose aortique serrée • ETT le 20.04.2018 : FEVG à 70 %. Cardiomyopathie hypertrophique asymétrique modérée, sténose aortique serrée Hypothyroïdie biologique le 30.01.2019 • TSH 5.58 mU/L • T4 libre à 9 pmol/L • T3 libre à 1.59 pmol/L Introduction Euthyrox 25 mcg dès le 30.01.2019 Syndrome de dépendance à l'alcool • Sevrage alcoolique compliqué avec crise épileptique de type grand mal le 07.09.2014 • Sténose aortique serrée • ETT le 20.04.2018 : FEVG à 70 %. Cardiomyopathie hypertrophique asymétrique modérée, sténose aortique serrée Hypothyroïdie biologique le 30.01.2019 • TSH 5.58 mU/L • T4 libre à 9 pmol/L • T3 libre à 1.59 pmol/L Introduction Euthyrox 25 mcg dès le 30.01.2019 Syndrome de dépendance à l'alcool • Sevrage alcoolique compliqué avec crise épileptique de type grand mal le 07.09.2014 Troubles de l'équilibre avec polyneuropathie périphérique des MIs Troubles de l'équilibre d'origine multifactorielle • Chutes à répétitions • Polyneuropathie périphérique sensitivomotrice mixte myélinique et axonale des membres inférieurs • Lombosciatalgies Troubles de l'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle Troubles de l'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle avec chute le 23.01.2019 : • Facteurs de risque de chute : • Consommation d'alcool à risque • Notion d'ostéoporose fracturaire (fracture poignet en 2017) • Hyponatrémie • Prise de benzodiazépines • Malnutrition protéino-énergétique Troubles de l'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle • Lombalgies chroniques dans le contexte de multiples fractures ostéoporotiques • S/p Cardiomyopathie de stress (Takotsubo) avec obstruction dynamique le 12.01.2019 Troubles de l'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle • Maladie de Forestier (Rx colonne dorsale 20.10.2011) • Gonarthrose • Chutes à répétition • S/p possible arthrite microcristalline du genou gauche le 11.01.2019 • Polyneuropathie Troubles de l'état de conscience Troubles de l'état de conscience avec GCS 6/15 à l'arrivée DD hyponatrémie sévère, médicamenteux, état post-critique, psychotique, OH • Suspicion de crise tonico-clonique inaugurale Troubles de l'état de conscience avec GCS 6/15 à l'arrivée DD hyponatrémie sévère, médicamenteux, état post-critique, psychotique, OH • Suspicion de crise tonico-clonique inaugurale • Midazolam IV dans l'ambulance Troubles de l'état de conscience d'origine multi-factorielle (Glasgow 12, Y3V4M5) le 08.02.2019 DD : sepsis, sevrage éthylique, benzodiazépines Troubles de l'état de conscience le 30.01.2019 d'origine indéterminée : avec respiration Cheynes-Stokes Troubles de l'état de conscience sur sepsis et accumulation de neuroleptiques le 06.02.2019 Troubles de l'humeur avec état dépressif traité Troubles de l'humeur traités par Fluoxétine Obésité (BMI 43 kg/m2) Troubles de rythme malin dans contexte de cardiopathie sévère • Bloc atrio-ventriculaire III° le 22.02.2019 • Tachycardie ventriculaire non soutenue le 22.02.2019 (per-coronarographie), puis le 23.02.2019 Troubles dégénératifs de la colonne dorsale avec ostéopénie Hémangiome dans la vertèbre D7 de découverte fortuite au scanner en 2011 Cholélithiase asymptomatique Status après hystérectomie et cystopexie Status après strumectomie Status après sclérose de varices des membres inférieurs Status après totalisation d'une prothèse céphalique de la hanche droite sur coxite laminaire, sur prothèse modulaire de la hanche droite, le 13.12.2013 Status après infection urinaire à P. Mirabilis et Enteroccocus sp le 19.12.2013 Status après infection urinaire à P. Mirabilis multisensible le 11.01.2014 Pneumonie basale gauche Troubles dégénératifs de la colonne lombaire avec discopathies pluri-étagées prédominant en L4-L5 Polyarthrose digitale Troubles dépressifs Troubles dépressifs anxiogènes avec manifestations somatiques. Troubles dépressifs avec • Épisode modéré à sévère. • Trouble de la personnalité de type borderline. • Consommation d'alcool avec utilisation continue. • Mutilation de l'avant-bras G le 8 septembre et 29 octobre 2013. • Plusieurs hospitalisations à Marsens • Trois tentatives médicamenteuses par Stilnox, dernière en 2016. • Suivi psychiatrique, Dr. X. Troubles dépressifs avec idées suicidaires : • Hospitalisé à Marsens pour tentamen suicidaire en novembre 2018 • Antécédents de quatre hospitalisations à Marsens Troubles dépressifs indéterminés. Troubles dépressifs légers débutants dans le cadre du diagnostic principal Troubles dépressifs modérés avec troubles anxieux. Troubles dépressifs récurrents : • Personnalité anankastique • Syndrome douloureux chronique Troubles dépressifs récurrents, avec hospitalisation à Marsens Personnalité anankastique Syndrome douloureux somatoforme persistant Carcinome in situ (cutané) Maladie de Bowen Hypertension artérielle Troubles dépressifs récurrents, avec : • Troubles du sommeil • Brintellix du 05. au 10.01.2019 arrêté en raison de nausées et vomissements Troubles dépressifs récurrents Hypertension artérielle connue traitée Troubles de la marche et de l'équilibre avec facteurs de risques : • Chutes à répétition • Troubles du sommeil Tabagisme actif (80 UPA), substitut nicotinique Troubles du comportement. Troubles du comportement alimentaire. Tachycardie supraventriculaire d'étiologie indéterminée 04/2018 • ECG de repos : intervalles dans la norme, pas d'onde delta, pas d'anomalie • Holter du 16.10.2017 : rythme de base sinusal à 95 bpm, maximal à 169 bpm, minimal à 51 bpm, pas de tachycardie ni de bradycardie significative, pas de pause, pas de bloc • Échocardiographie du 15.11.2017 : normale • Consultation aux urgences HFR : mise en évidence de tachycardie supraventriculaire sans ECG effectué le 23.04.2018 • Enregistrement cardiaque mobile : tachycardie sinusale. Troubles du comportement légers : • Troubles cognitifs • Diagnostic différentiel : dans le contexte infectieux Troubles du comportement rapidement progressifs d'origine indéterminée • DD démence à corps de Lewy, encéphalopathie Creutzfeldt-Jakob ou autre. Troubles du développement psychique et physique suivis par de multiples spécialistes au Portugal et au CHUV, sans plus de précision (dossier chez le pédiatre) Troubles du rythme avec extra-systoles ventriculaires, d'apparition nouvelle • FA chronique sous Xarelto Troubles du rythme type ESV. Troubles du sommeil Troubles du sommeil. Troubles du sommeil. Troubles du sommeil. Troubles du sommeil chroniques chez un patient polymorbide et avec polymédication • Actuellement aggravés dans le contexte du liquen plan / prurit (cf. diagn. spécifique) Troubles du sommeil de type insomnie chronique Troubles du sommeil et de l'humeur. Dépression. Syndrome de Raynaud. Variation de pression avec chute de pression. Troubles du sommeil le 12.02.2019 Troubles du sommeil traités par Trittico. Dépendance à l'alcool. Tabagisme actif à 20 UPA. Arthrose épaule D Troubles du transit avec irrégularités possiblement sur atteinte sphinctérienne Troubles électrolytiques : • Hyponatrémie à 127 mmol/L • Hypomagnésiémie 0,67 mmol/L • Hypophosphatémie 0,73 mmol/L Troubles électrolytiques avec : • Hypomagnésémie • Hypophosphatémie Troubles électrolytiques, avec : • Hyponatrémie • Hypokaliémie Troubles électrolytiques dans le contexte d'une gastro-entérite et d'un état de dénutrition • Hypokaliémie • Hypomagnésiémie • Hypophosphatémie • Hyponatrémie • Hypocalcémie Troubles électrolytiques : • Hypocalcémie • Hypomagnésiémie Troubles électrolytiques le 30.01.2019 avec • Hypokaliémie à 3.3 mmol/l • Hypomagnésémie à 0.70 mmol/l • Hyponatrémie à 130 mmol/l Troubles électrolytiques : • Hypokaliémie à 2.7 mmol, probablement d'origine médicamenteuse par Resonium le 07.02.2019 • Hypomagnésémie à 0.43 mmol/l le 07.02.2019 Troubles électrolytiques : • Hypocalcémie à 2,04 mmol/l • Hypokaliémie à 3,6 mmol/l • Hypophosphatémie 0.84 mmol/l Troubles électrolytiques : • Hypokaliémie à 2.7 mmol, probablement d'origine médicamenteuse sous Resonium, le 07.02.2019 • Hypomagnésémie Troubles électrolytiques • Hypokaliémie à 3.6 • Hypocalcémie à 2.08 • Hypomagnésémie à 0.63 Troubles électrolytiques • Hyponatrémie à 132 mmol/l • Hypokaliémie à 3.5 mmol/l • Hypomagnésémie à 0.76 mmol/l Troubles électrolytiques • Hyponatrémie • Hypophosphatémie Troubles électrolytiques avec : • Hypokaliémie à 3.2 mmol/l • Hypomagnésémie à 0.70 mmol/l. Troubles électrolytiques avec : • Hypokaliémie • Hypophosphatémie Troubles électrolytiques avec : • Hypomagnésémie à 0,38 mmol/l • Hypokaliémie à 3,5 mmol/l Troubles électrolytiques avec : • Hypomagnésémie à 0.68 mmol/l le 28.01.2019 • Hypophosphatémie à 0.59 mmol/l le 28.01.2019 • Hypokaliémie à 3.1 mmol/l le 29.01.2019 Troubles électrolytiques avec : • Hypernatrémie à 153 mmol le 06.01.2019 sur déshydratation • Hyponatrémie hyperosmolaire à 132 mmol le 09.01.2019 sur hydratation par Glucosalin. Troubles électrolytiques avec • Hypokaliémie à 3.1 • Hypomagnésémie à 0.72 Troubles électrolytiques avec : • Hyponatrémie hyperosmolaire à 127 mmol/. le 04.02.2019 • Hypokaliémie à 3.1 mmol/l le 04.02.2019. Troubles électrolytiques avec : • Hyponatrémie hypo-osmolaire à 119 mmol/l • Hypokaliémie à 3.3 mmol/l. Troubles électrolytiques avec : • Hyponatrémie hypoosmolaire à 125 mmol/L. • Hypokaliémie à 3 mmol/L. Troubles électrolytiques avec : • Potassium 3 mmol/L le 30.01.2019 Troubles électrolytiques avec hypernatrémie, hypokaliémie, hypomagnésémie, hyperphosphatémie Troubles électrolytiques avec • Hyponatrémie hypo-osmolaire pauci-symptomatique à 124 mmol/l le 25.02.2019 avec : • Hypomagnésémie à 0,60 mmol/l • Hypocalcémie à 2.10 mmol/l Troubles électrolytiques dans un contexte d'une insuffisance rénale aiguë et sur diurétiques • Hyponatrémie légère 129 mmol/l le 05.02.2019 • Hypokaliémie modérée 2.9 mmol/l le 05.02.2019 Troubles électrolytiques d'origine mixte sur pertes chroniques (vomissements et diarrhées) et syndrome de rénutrition DD malassimilation le 17.01.2019, avec : • Hypomagnésémie sévère 0.09 mmol/l le 17.01.2019, DD pertes digestives, traitement IPP, insuffisance surrénalienne • Hypocalcémie sévère (Ca corr. 1.67 mmol/l, Ca ionisé 0.80 mmol/l) le 17.01.2019, DD diminution apports, fausse hypocalcémie dans contexte hypomagnésémie, carence vitamine D • Hypokaliémie modérée 2.7 mmol/l le 20.01.2019 • Hypophosphatémie modérée 0.42 mmol/l le 21.01.2019 Troubles électrolytiques graves dans un contexte de gastroentérite et diurétique thiazidique le 09.02.2019 • Hyponatrémie hypo-osmolaire grave asymptomatique (DD : SIADH) • Hypokaliémie sévère avec modifications à l'ECG • Hypophosphatémie • Hypomagnésémie • Hypochlorémie • Hypocalcémie asymptomatique Troubles électrolytiques graves dans un contexte de gastroentérite et sur diurétique thiazidique le 09.02.2019 • Hyponatrémie hypo-osmolaire grave asymptomatique (DD : SIADH) • Hypokaliémie sévère • Hypophosphatémie • Hypomagnésémie • Hypochlorémie • Hypocalcémie • Modification ECG (QRS large avec bloc de branche gauche, allongement du QT, présence d'ondes U) Troubles électrolytiques • Hypomagnésémie à 0.51 mmol/l le 21.12.2018 • Hyperkaliémie à 5.6 mmol/l le 23.01.2019 Troubles électrolytiques • Hypomagnésémie légère à 0.79 mmol/l le 26.02 • Hypokaliémie légère à 3.1 mmol/l le 21.02 • Hypophosphatémie légère à 0.72 mmol/l le 26.02 Troubles électrolytiques • Hyponatrémie à 132 mmol/l • Hypokaliémie à 3.5 mmol/l • Hypomagnésémie à 0.76 mmol/l Troubles électrolytiques • Hyponatrémie hypo-osmolaire sévère 04.02.2019 • SIADH possiblement para-néoplasique • Hypokaliémie légère sans répercussions à l'ECG Troubles électrolytiques le 06.02.19 • Hyponatrémie 133 mmol/l • Hypokaliémie 3.5 mmol/l • Hypoalbuminémie 25.9 g/l Troubles électrolytiques le 13.02.19 • Hyponatrémie à 127 mmol/l • Hypokaliémie à 3.3 mmol/l Troubles électrolytiques le 13.02.2019 • Hyponatrémie à 127 mmol/l • Hypomagnésémie 0,67 mmol/l • Hypophosphatémie 0,73 mmol/l Troubles électrolytiques le 15.02.2019 • Hyponatrémie 133 mmol/l • Hypokaliémie 3.5 mmol/l Troubles électrolytiques le 18.02.19 • Hyponatrémie 132 mmol/l • Hypokaliémie 3.4 mmol/l • Hypophosphatémie 0.77 mmol/l • Hypomagnésémie 0.79 mmol/l Troubles électrolytiques le 20.01.2019 • Hypokaliémie, hypomagnésémie Troubles électrolytiques le 20.02.2019 • Hypokaliémie modérée • Hypophosphatémie modérée Troubles électrolytiques le 23.02.2019 avec : • Hyponatrémie à 125 mmol/l hypoosmolaire • Hypomagnésémie 0.7 mmol/l Troubles électrolytiques le 26.02.2019 • Hyponatrémie à 127 mmol/l • Hypomagnésémie 0,70 mmol/l Troubles électrolytiques le 30.01.2019 Troubles électrolytiques le 31.01.2019 • Hyponatrémie à 129 mmol/l • Hypokaliémie à 3.4 mmol/l Troubles électrolytiques légers • Hypokaliémie, hypomagnésémie, hypophosphatémie Troubles électrolytiques légers • Hyponatrémie 133 mmol/l • Hypokaliémie 3.5 mmol/l Troubles électrolytiques légers le 30.01.2019 : • Hypophosphatémie à 0.78 mmol/l • Hypocalcémie à 1.86 mmol/L le 06.02.2019 : probablement sur corticoïdes, métastases ostéocondensantes, carence en vitamine D Troubles électrolytiques légers multiples avec : • Hypokaliémie à 3.0 mmol/L le 30.01.2019, normalisation le 01.02.2019 • Hypophosphatémie à 0.52 le 01.02.2019 • Hypomagnésémie à 0.69 mmol/L Troubles électrolytiques mixtes sur : • Hypokaliémie sans répercussions ECG • Hyponatrémie à 134 • Hyperphosphatémie à 2.71 • Hypermagnésémie à 1.2 Troubles électrolytiques multiples dans contexte d'alimentation et hydratation impossible le 26.02.2019 : • Hypokaliémie à 3.6 mmol/l • Hypercalcémie à 2.66 mmol/l Troubles électrolytiques multiples dans le contexte d'ethylisme chronique : • Hypocalcémie à 2.02 mmol/l • Hypomagnésémie à 0.54 mmol/l Troubles électrolytiques multiples dans le contexte d'un syndrome de renutrition : • Hypocalcémie légère • Hypomagnésémie sévère • Hypokaliémie légère • Hypophosphatémie sévère Troubles électrolytiques multiples dans le contexte d'un syndrome de renutrition le 02.02.2019 : • Hypocalcémie légère • Hypomagnésémie sévère • Hypokaliémie légère • Hypophosphatémie sévère Troubles électrolytiques multiples d'origine médicamenteuse le 31.01.19 avec : • Hypokaliémie 2.5 mmol/l • Hypomagnésémie 0.6 mmol/l • Hyponatrémie normo-osmolaire 130 mmol/L Troubles électrolytiques multiples le 10.02.2019 : • Hyponatrémie à 132 mmol/l. • Hypokaliémie à 3.1 mmol/l. • Hypocalcémie à 2.18 mmol/l. • Hypomagnésémie à 0.68 mmol/l. Troubles électrolytiques multiples le 11.02.2019 • Hypokaliémie modérée à 2.6 mmol/L • Hypomagnésémie à 0.51 mmol/L • Hypophosphatémie à 0.46 mmol/L Troubles électrolytiques multiples le 22.2.2019 : • Hypokaliémie à 3.0 • Hypophosphatémie à 0.87 • Hypomagnésémie à 0.3 Troubles électrolytiques multiples sur : • pseudo-hyponatrémie à 128 mmol/l normo-osmolaire. • hypokaliémie 3.4 mmol/l. Troubles électrolytiques probablement sur hyperglycémie le 26.01.2019 • hyponatrémie hyperosmolaire à 133 mmol/l • hypokaliémie à 3.5 mmol/l • hypomagnésémie à 0.71 mmol/l Troubles électrolytiques sévères le 31.01.2019 avec : • hyponatrémie sévère à 113 mmol/l • hypokaliémie sévère à 2,4 mmol/l • hypocalcémie corrigée à 1,87 mmol/l. Troubles électrolytiques (Sodium à 133 mmol/l, potassium à 3.6 mmol/l) Troubles électrolytiques sur iléostomie à haut débit • Hypophosphatémie • Hypomagnésiémie • Hypokaliémie • Hyponatriémie Troubles électrolytiques sur pertes digestives (hyponatrémie, hypokaliémie) Troubles émotionnels Troubles fonctionnels avec dépendance aux soins dans les AVQ sur limitation respiratoire importante • désir de retour à domicile malgré risque de crises paroxystiques Troubles fonctionnels avec pseudo-crises épileptiques le 25.12.2016 ayant nécessité une intubation, avec hospitalisation à l'Inselspital du 25.12 au 30.12.2016 (EEG sans foyer, IRM sans argument pour une ischémie, tumeur ou saignement, ponction lombaire sans cellules). Colite ischémique du côlon ascendant avec lésion ulcérée de l'angle colique droit en décembre 2001. Pancréatites aiguës à répétition. Accident vasculaire cérébral, en 2000. Hystérectomie en 1994. Appendicectomie. Cholécystectomie. Thrombose de la veine porte le 18.12.2013 avec extension des branches droite et gauche d'origine indéterminée. Trouble psychiatrique (probable trouble de la personnalité et syndrome dépressif modéré) avec : • intoxication volontaire au Xanax le 16.12.2013. • idées suicidaires avec plan (noyade le 18.12.2013). • hallucinations auditives et visuelles. Troubles gastro-intestinaux Arthrose débutante MTP1 avec inflammation de la capsule et tendinite du FHL à G. Fasciite plantaire G. Troubles hydroélectriques : • Hypokaliémie à 3.1 mmol/l • Hyponatrémie à 131 mmol/l iso-osmolaire Troubles mictionnels aigus Troubles mnésiques depuis 1 an et demi (DD démence débutante, dans un contexte d'AVC en 2011) • MMSE au cabinet du médecin traitant non pathologique (en 2017) • Soins à domicile pour l'aide à l'habillage, soins de sonde et aide aux soins corporels avec passages 2x/j Troubles neuro-cognitifs modérés avec : • anosognosie • troubles mnésiques verbaux et visuels (apprentissage, récupération, reconnaissance) • troubles exécutifs (incitation, programmation, flexibilité), accompagnés d'un comportement ralenti, amimique et modérément aspontané • troubles de la cognition sociale (théorie de l'esprit et émotions faciales) • difficultés attentionnelles Troubles neuro-cognitifs avec démence de type vasculaire (possible composante neurodégénérative associée) Troubles neuro-cognitifs d'intensité légère à modérée de type vasculaire : • MMSE : 25/30, test de la montre 0/7 Hernie hiatale Lombalgies chroniques Troubles d'équilibre et de la marche avec la chute le 26.05.2018 (TC sans PC) avec les facteurs de risque d'origine multifactorielle : • Troubles neuro-cognitifs • Sarcopénie • Anémie • Carence vitaminique • Ostéoarthrite chronique des genoux • Insuffisance artérielle des membres inférieurs Troubles neuro-cognitifs d'intensité légère à modérée de type vasculaire (2016) : • MMSE : 25/30, test de la montre 0/7 Hernie hiatale Lombalgies chroniques Troubles neurocognitifs légers le 25.01.2019 DD origine vasculaire, sur trouble de l'adaptation • CT cérébral natif le 15.01.2019 : Lésion séquellaire hypodense en regard de la corne frontale du ventricule latéral droit. Calcifications des artères carotides internes dans leurs siphons • Consilium neuropsychologique le 17.01 et le 24.01.2019 Troubles neuro-cognitifs modérés : • Tests de la cognition du 03.08.2018 : MMSE à 22/30, test de la montre à 1/7 ; GDS à 2/15 Hypertension artérielle traitée Anémie normocytaire normochrome hyporégénérative Troubles neurovasculaires intermittents du membre supérieur gauche sans déficit objectivé. Troubles psychiatriques (gestion des émotions). Troubles psychiatriques X. Troubles schizo-affectifs. Troubles schizo-affectifs vs Trouble Psychotique sur Leponex, avec suivi psychiatrique 1x/sem. Troubles schizo-affectifs avec multiples hospitalisations à Marsens entre 1990 et 2000. Asthme traité. Insuffisance rénale chronique sur intoxication au lithium (valeurs habituelles créatinine 100-110 umol/l). Insomnie traitée. Probable syndrome ACOS : • asthme allergique. • probable BPCO sur tabagisme actif à 33 UPA. Troubles schizo-affectifs de type dépressif. Troubles somatoformes avec : • traitement par Sertraline Troubles ventilatoires obstructifs sévères avec : • BPCO sévère stade IV avec composante emphysémateuse sur tabagisme actif • Fonctions respiratoires en 2018 : syndrome obstructif et troubles diffusionnels sévères. • suspicion de bronchiolite constrictive dans contexte PR Tabagisme actif 5 cigarettes/jours, 30 UPA Polyarthrite rhumatoïde séropositive avec : • status post-plusieurs fractures pathologiques Suspicion Lupus érythémateux Ostéoporose cortico-induite fracturaire (fractures costales, vertébrales et vertébroplastie D8 en 2010) Ostéonécrose hanche droite (tête fémorale) et mâchoire à l'âge de 34 ans Anorexie Surdité bilatérale appareillée à gauche sur status post-4 résections de cholestéatomes Troubles visuels Troubles visuels et paresthésies du visage Troubles visuels et paresthésies du visage TSH à 8.5 nmol/l le 11.02.2019 T3/fT4 dans la norme le 11.02.2019 Suivi biologique par le médecin traitant TSH dans la norme Xarelto 20 mg TSH, Vit B12 et folates dans la norme Sang occulte négatif Suivi biologique TSH 5.46, T4: 13 Suivi biologique ATT: • pister anticorps anti-péroxydase TSV par rentrée nodale avec : • ablation le 20.02.2019 (Dr. X, Clinique Cécil). Etat anxieux chronique sous Temesta et Citalopram. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Lombosciatalgie droite • Fracture-tassement D12 et L1 non datée (découvertes au CT du 14.09.2016) • Tassement récent du plateau supérieur de L4, sans recul du mur postérieur • Coxarthrose droite • Gonalgies droites TTT ttt symptomatique ttt symptomatique Tuberculose pulmonaire traitée. Tuméfaction cervicale droite Tuméfaction cheville gauche. Tuméfaction de la glande sous-mandibulaire probablement sur lithiase le 02.02.2019. DD: Sialadénite. Tuméfaction de la malléole interne gauche DD: post-traumatique (à la danse?), arthrite septique (pas de fièvre, pas de péjoration sur 48h, bilan inflammatoire négatif), arthrite réactionnelle (pas de piqûre d'insecte, pas d'autre symptôme, pas d'autre articulation touchée) Tuméfaction de la paupière. Tuméfaction du 3e orteil du pied gauche Tuméfaction en regard de la mandibule droite d'origine indéterminée le 24.02.2019. tuméfaction et chaleur du genou gauche Tuméfaction et douleurs préauriculaires droites. Tuméfaction genou Tuméfaction genou gauche. Tuméfaction kystique au niveau de la face dorsale du corps du pénis Tuméfaction locale circonscrite, probablement sur un micro-traumatisme musculo-squelettique le 22.02.2019. Tuméfaction loge des extenseurs pied gauche le 15.02.2019 • post-traumatique. Tuméfaction malléole interne gauche, DD: arthrite réactive, DD: microtraumatisme, DD: arthrite de Borreliose, DD: arthrite auto-immune Tuméfaction palpébrale d'origine indéterminée Tuméfaction pectorale gauche, d'origine indéterminée • status post-résection des glandes mammaires et mastectomie sous-cutanée gauche, le 22.01.2019 (HFR Fribourg). Tuméfaction sous auriculaire droite DD: • Adénopathie : origine infectieuse : bilan inflammatoire, sérologie EBV, CMV, parvovirus, toxoplasmose origine tumorale : bilan de lyse tumorale nl, Radio thorax/échographie abdominale sans anomalies origine inflammatoire • Kyste branchial • Fibromatosis colli : pas de traumatisme obstétrical, masse extra musculaire à l'US Tuméfaction sous-mandibulaire. Tuméfaction/oedème jambe gauche avec pétéchies d'origine indéterminées (DD : origine mécanique sur l'oedème, effet secondaire traitement anti-hormonal, cancer du sein, Létrozole). - Pas d'argument pour une thrombose. Tumeur carcinoïde typique LSD pT1b pN0 (0/3) cM0 L0 V0 Pn0 R0 - Date du diagnostic radiologique : 25.01.2019 - PET-CT du 31.01.2019 : nodule de 1,4 cm de diamètre au niveau du segment dorsal du lobe supérieur droit sans hypercaptation. Néanmoins, une origine maligne ne peut pas formellement être exclue - CT thoracique du 25.01.2019 : nodule du segment dorsal du lobe supérieur droit - Bronchoscopie du 05.02.2019 : boursouflure endobronchique rendant toute ponction impossible - Cytologie PROMED C2049.176 : forte lymphocytose alvéolaire, matériel sans cellule carcinomateuse. Forte inflammation neutrophilique - Fonctions pulmonaires du 01.02.2019 : VEMS 3,5 (73%) et, DLCO corrigée 73% - Tumor board Thoracique du 06.02.2019 : ad segmentectomie S1+2 droite à but diagnostic et thérapeutique tumeur cérébelleuse opérée à l'âge de 12 ans Tumeur cérébrale actuellement suivie à l'Hôpital de Berne, sous traitement anti-épileptique de Vimpat®. Tumeur de la tête du pancréas et du processus unciné cTx cN1 cM0 avec : - Date du diagnostic : 08.01.2019 - CA 19-9 : 654 U/ml le 08.01.2019 - CT thoraco-abdominal du 08.01.2019 : plage hypodense de la tête du pancréas, suspecte de néoplasie avec dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques et du canal de Wirsung. - IRM du 15.01.2019 : masse d'allure tumorale au sein du processus unciné de la tête du pancréas, sans toutefois engagement des vaisseaux mésentériques supérieurs et du tronc porte avec importante dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques et sténose focale du cholédoque distal. Présence de quelques ganglions infracentimétriques autour de la masse tumorale pancréatique. - PET-CT du 14.01.2019 : intense hypercaptation en regard de la tête du pancréas sans lésion hypermétabolique en faveur d'éventuelles métastases loco-régionales ou à distance. - ERCP du 16.01.2019 : sténose filiforme à 20 mm de la papille duodénale dans le cholédoque, mise en place d'un stent et cytologie de la sténose. - Histopathologie : cellules épithéliales issues d'une dysplasie en partie de haut grade, avec image suspecte d'adénocarcinome - IRM-abdominal 16.01.19 : pas d'infiltration de l'aorte ou d'autres vaisseaux par la tumeur. - Discussion du cas au Tumorboard du 16.01.19 : indication à une opération de Whipple le 30.01.2019 Tumeur de la tête du pancréas et du processus unciné cTx cN1 cM0 avec : - Date du diagnostic : 08.01.2019 - Status post-ERCP le 07.01.2019 : mise en place d'un stent de polyéthylène après papillotomie Tumeur du sein droit, sous Tamoxifen, Mme. Y suivie aux HUG. Tumeur du testicule droit. Tumeur envahissant le sinus maxillaire et le rétro-orbite droit avec : • Exophtalmie, avec déficit oculomoteur et diplopie au regard extrême à droite. • Suivi au CHUV pour suite de prise en charge. Tumeur maligne germinale de l'ovaire droit en torsion. Laparotomie médiane sous-ombilicale sous anesthésie générale le 31.10.2018 : annexectomie droite, omentectomie partielle, cytologie péritonéale. Envoi du matériel en analyse anatomopathologique. Tumeur mammaire gauche d'origine probablement maligne le 28.01.2019, avec : • pathologie le 31.01.2019 (Argot Lab 19H1625) : probable carcinome papillaire du sein gauche • FR : AF positive (frère cancer osseux, sœur cancer hépatique), âge avancé, obésité Tumeur ORL = avec mastoïdectomie et ablation jugale droite en 2004. Tumeur papillaire de la paroi latérale droite de la vessie. Tabagisme chronique. Encéphalite chronique. Tumeur sigmoïdienne sténosante visualisée au CT abdominal du 19.02.2019 Tumeur stromale gastro-intestinale (GIST) au niveau du petit bassin pT4 cN0 cMx, probablement rectale, risque élevé selon Fletcher : - Date du diagnostic : 28.01.2014 - Histologie - Status post-laparotomie, résection de la tumeur du petit bassin le 28.01.2014 - PET Scan - Sous traitement adjuvant/additif par Glivec (imatinib) dès le 22.02.2014 Tumeur stromale gastro-intestinales (GIST) au niveau du petit bassin pT4 cN0 cMx, probablement rectale, risque élevé selon Fletcher : Tumeur stromale gastro-intestinales (GIST) au niveau du petit bassin pT4 cN0 cMx, probablement rectale, risque élevé selon Fletcher : • date du diagnostic : 28.01.2014 • histologie • status post-laparotomie, résection de la tumeur du petit bassin le 28.01.2014 • PET Scan • sous traitement adjuvant/additif par Glivec (imatinib) dès le 22.02.2014 Tumeur testiculaire à l'âge, traitée par ablation d'un testicule et traitement médicamenteux, actuellement en rémission et pas de suivi. Tumeur trophoblastique F160I de l'utérus diagnostiquée en 2011. Tumeur urothéliale de la vessie métastatique au niveau ganglionnaire iliaque, médiastinal et hépatique : • Diagnostiqué en 10/2018 • Cystoscopie le 16.10.2018 (Dr X) : RTUP, RTUV • Cystoscopie le 18.10.2018 (Dr X) : néphrostomie gauche • Surinfection d'une hydronéphrose sur tumeur vésicale le 21.10.2018 • PET-CT du 29.10.2018 : multiples adénopathies médiastinales hypermétaboliques, important foyer hypermétabolique le long du segment VIII hépatique suspect également, multiples adénopathies hypermétaboliques le long de l'axe vasculaire iliaque interne et externe gauche. • Hématurie macroscopique sur tumeur vésicale et début de traitement par Aspirine le 05.11.2018 • Dénutrition sévère avec perte de 14 kg en 10 mois • Suite de prise en charge par Dr X en oncologie. Tumeur vésicale avec s/p TURV Tumeur vésicale : • TURV en électif le 18.01.2013 • résection transurétrale de la vessie le 19.09.2014 • TURV le 25.11.16 (Dr X) • TURV avec bloc obturateur gauche par Dr X le 13.07.2018 Carcinome pulmonaire du lobe supérieur gauche pT3 pN0 cM0 • date du diagnostic : 2004 • histologie : carcinome épidermoïde • lobectomie supérieure gauche • pas de thérapie adjuvante • actuellement : pas d'évidence de rechute tumorale ni de nouvelle lésion, contrôles réguliers Hypertension artérielle traitée Artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade IIa après angioplastie périphérique de l'artère fémorale superficielle droite avec thrombolyse et stent 10 cm (2014) • Douleur du mollet droit sur probable claudication sur AOMI droit le 25.05.2015 Douleurs neurogènes thoraciques gauches • sous MST Consommation d'alcool à risque • 1-2L de bière/jour Troubles cognitifs légers Bilan neuropsychologique du 23.10.2018 avec MMSE à 25/30 Tumorectomie du sein droit le 13.02.2019 Mammographie de la pièce opératoire (clip en place) Examen anatomo-pathologique de la pièce opératoire Tumorectomie du sein gauche en octobre 2018 pour carcinome. Tunnel carpien bilatéral à droite plus qu'à gauche Tunnel carpien de la main gauche. Tunnel carpien main gauche. Tunnel carpien symptomatologique à D. TUR-B au papillome de la vessie 2007 pT1 G1 Pancréatite aiguë dans la cholélithiase en 1994 avec une cholécystectomie Paralysie faciale périphérique 1997 Rupture de la coiffe des rotateurs épaule droite en 2002 Gonarthrose tricompartimentale droite avec st n. Arthroscopie du genou à droite avec biopsie et irrigation sous V.a. arthrite septique (23.11.2011) Pyélonéphrite à droite en 2013 Hystérectomie et annexectomie Traitement d'éradication de H. pylori avec Klacid et Clamoxyl 01/2017 Pancolite a. e. d'origine infectieuse 11/2017 Colonisation dans l'urine avec E. coli ESBL (sensible à la nitrofurantoïne) le 11/2017 Hémorragie digestive haute dans un contexte d'angiodysplasie gastrique connu le 09.01.2019 : • Hb à 57 mg/l le 09.01.2019, 53 G/l le 13.02.2019 OGD le 11.01.2019 Avis téléphonique Dr X (gastroentérologie) : dernière OGD en 01.2018 et dernière colono en 06.2018. Organiser une gastroscopie et une coloscopie. Ad Pantozol 40 mg 2x/j p.o. et transfusion de 2 concentrés érythrocytaires le 09.01.18 • Transfusion par 3 culots érythrocytaires le 13 et 14/02/2019 • IPP dose de charge 80 mg, puis pompe 8 mg/h durant la surveillance au lit d'observation. • IPP per os double dose 40 mg 2x/24h dès le 14/02/2019 Algurie chronique sans leucocyturie le 09.01.2018 : DD cystite interstitielle Odynophagie sur probable infection virale des voies respiratoires supérieures le 09.01.2019 TURP en 2000 Cure hernies inguinales 2010 TURV diagnostique avec biopsies le 11.02.2019 TVP à répétition en 2004, sous Sintrom. Résection transurétrale de la prostate en 2006. Infection urinaire haute à Citrobacter Koseri le 30.06.2016, DD : prostatite aiguë sur prostatite chronique. Suspicion de récidive de prostatite le 27.07.2017 : • S/p prostatite le 10.06.2018 traitée par rocéphine, gentamicine, puis ciproxine, • S/p infection d'un kyste de l'utricule à l'IRM du 09.07, traité par ciproxine jusqu'au 19.07, • Connu pour une HBP avec TURP en 2006. TVP jambe droite en 2007 traitée un mois par HBPM (probable TVP distale) Status post-amygdalectomie TVP jambière gauche le 25.02.2015 anticoagulée par Xarelto Surdité brusque gauche le 24.02.2015 • Prednisone à doses dégressives dès le 25.02.2015 Bronchite infectieuse à germe indéterminé le 16.02.2015 • Co-Amoxicilline iv du 17 au 19.02.2015, puis per os du 20 au 24.02.2015 Epistaxis intermittent avec caillots depuis le 12.02.2015, chez patiente anticoagulée par Xarelto • Xarelto en suspens du 16.02.2015 au 25.02.2015 PTH D le 09.11.2012 (Hôpital St. Loup) TVP musculaire gastrocnémienne latérale du MID TVP. Pneumonie basale gauche le 16.08.2017. Insuffisance rénale aiguë probablement pré-rénale le 16.08.2017 : • Clearance 62 ml/min. Otite externe avec otite moyenne aiguë purulente VS cholestéatome le 01.11.2018. Mr. Y est hospitalisé pour oxygénothérapie dans un contexte de bronchiolite à RSV. Sur le plan respiratoire, il bénéficie d'une oxygénothérapie jusqu'au 16.02.2019. Après une nuit sans désaturation à air ambiant, il peut regagner son domicile le 17.02.2019. Les parents connaissent les signes de détresse respiratoire et ont prévu un contrôle chez le pédiatre dans la semaine.Sur le plan alimentaire, Tyler prend tous ses apports sans soutien par sonde nasogastrique. L'évolution tout à fait favorable permet un retour à domicile le 17.02.2019. • Tympan gauche en partie érythémateux, asymptomatique. • Tympanoplastie gauche à l'âge de 15 ans. • Tympanotomie exploratrice + incudostapédectomie droite + pose d'un K-Piston de 0,4 x 4,5 mm en titane. • T2DM • Hypercholestérolémie • HTA. • Thrombocytopénie essentielle traitée. • T3 et T4 dans la norme Recontrôler à distance. • Ulcar en réserve. • Ulcar Esoméprazole 20 mg 1 comprimé le soir Contrôle chez le pédiatre vers fin de la semaine. • Ulcérations buccales. • Ulcère chronique de la malléole interne gauche sur drépanocytose et médicament (Litalir) : pas d'argument pour une surinfection. • Ulcère de compression du moignon du pied D le 31.12.2018 avec: • status post amputation Chopart avec transfert du tibialis antérieur le 23.09.2016 à Inselspital. • Ulcère diabétique du talon droit : • Désinfection et débridement le 03.05.2018 • Soins : Prontosan, Prontosan Gel, Aquacel, Mepilex 3x/semaines. • Ulcère du membre inférieur gauche : • contexte d'insuffisance veineuse des membres inférieurs et DM type II. • Ulcère du pylore avec gastric outlet obstruction : DD inflammation réactionnelle sur ulcère, pancréas ectopique. • Ulcère du pylore avec gastric outlet obstruction : DD inflammation réactionnelle sur ulcère, pancréas ectopique. Résultats biopsie gastroscopie du 04.01.2016 : absence d'Helicobacter Pylori. Pantozol 20 mg 1x/j iv du 05.01 au 06.01.2016. Consilium gastroentérologie pédiatrique (Dr. X). Entéro IRM le 06.01 : sténose située dans la région pylorique, avec un discret épaississement de la région antro-pylorique, mais sans lésion focale clairement définissable. Selles : calprotectine < 30. • Ulcère duodénal en 2000. • S/p opération d'hémorroïdes stade 4 en 2008. • Canal lombaire étroit L2-L4 et HD foraminale L4/L5. • Status post-radiothérapie combinée à l'Erbitux (70 Gy, fin de traitement en janvier 2012) pour un carcinome épidermoïde de la base de langue droite, de stade cT2 cN1 cMO G3. • Status après adénectomie à visée diagnostique droite en sep. • Luxation gléno-humérale antéro-inférieure épaule G 11.2016. • Ulcère face postérieure de la trachée de décubitus le 22.02.2019. • Ulcère fibrino-purulent au-dessus de la malléole interne gauche (sur insuffisance veineuse et diabète) : déjà connu en décembre 2018. • Ulcère gastrique. • Ulcère gastrique en 2013. Kyste synovial L3-L4 gauche avec décompression et foraminotomie L3-L4 G et ablation du kyste (OP le 13.02.2012). Néphrolithiase en 2008 avec expulsion spontanée. Salpingo-ovariectomie unilatérale pour fibrome. 2 césariennes. • Ulcère gastrique perforé dans un contexte de prise chronique d'AINS. • Ulcère gastrique pré-pylorique avec gastrite et érosions multiples avec anémie hypochrome microcytaire sur hémorragie digestive haute. Pyélonéphrite gauche en 2016. Gastro et oesophago-parésie avec malnutrition protéino-énergétique en 2015. Cure d'hernie hiatale en 2014. Status après implantation de prothèse totale droite dans les années 1990. • Ulcère gastrique probablement d'origine postopératoire. • Ulcère gastro-duodénal sous Nexium 40 mg à la demande. • Ulcère malléole externe au membre inférieur droit. • Ulcère membre inférieur droit avec dermo-hypodermite, le 01.02.2019 : connue pour athéromatose multi-étagée et insuffisance veineuse chronique. • Ulcère parapylorique Forest III avec : • anémie normochrome normocytaire régénérative avec Hb 85 le 21.11.2018. • méléna les 21 et 24.11.2018. • Ulcère plantaire 2 x 2 cm, orteil 1, pied gauche. • Ulcère pré-tibial antérieur gauche post-traumatique et ulcère péri-malléolaire D dans un contexte d'insuffisance artérielle des membres inférieurs avec : • Mesh-graft d'ulcère le 11.12.2008. • Pontage court de l'artère fémorale superficielle dans son tiers proximal sur l'artère poplitée tiers distal par veine inversée et débridement de l'ulcère avec pansement VAC, le 27.11.2008. • Incision et drainage d'un hématome postopératoire de la jambe droite, greffe de Tiersch sur la face interne de la cheville droite, le 28.12.2008. • Angioplastie et mise en place d'un stent dans l'artère fémorale superficielle droite 12.10.2009. • Angioplasties aux ballons impactés de multiples sténoses de l'AFS du membre inférieur gauche du 19.08.2016. cf. diagnostics lettre angiologie du 16.01.2019. • Ulcère pré-tibial gauche. • Fractures iléo-ischio-pubiennes et sacrée le 18.07.2018 sur chute accidentelle de sa hauteur avec : • Consilium orthopédique (Dr. X) le 19.07.2018 : traitement conservateur avec décharge à 15 kg. Réhabilitation gériatrique avec physio- et ergothérapie intensive. Radiologie bassin et obturatum droite du 08.08.2018 : fractures connues en voie de consolidation, sans déplacement secondaire. Consilium orthopédique (Dr. X) le 08.08.2018 : traitement conservateur avec décharge à 15 kg pour 6 semaines au total. Radiologie bassin du 29.08.2018 : progression de la consolidation, sans déplacement secondaire de la fracture du pubis à droite. Consilium orthopédique (Dr. X) le 29.08.2018 : mobilisation selon douleurs, plus de décharge à 15 kg nécessaire. Douleurs articulaires diffuses dans le cadre de la polyarthrite rhumatoïde séronégative le 25.07.2018. Augmentation de la prednisone à 20 mg durant 3 jours dès le 25.07.2018, comme proposé par le Dr. X en cas de crise. Diminution par paliers à la dose habituelle de 5 mg. Contrôle chez le Dr. X à Morat le 11.09.2018 à 13h45. • Ulcère superficiel sur la base du 5ème orteil sur le bord latéral du pied D sans signe d'ostéomyélite à l'IRM de février 2019. • Ulcère veineux de la jambe gauche. • Ulcère veineux malléolaire interne droite avec surinfection bactérienne. • Ulcères veineux chroniques bilatéraux dans un contexte d'insuffisance veineuse. • Ulcères veineux surinfectés hémorragiques le 30.11.2017, avec : • Frottis de plaie le 01.12.2017 : Proteus mirabilis, Pseudomonas aeruginosa, Streptocoque agalactiae. • Biopsie du 04.12.2017 : MRSA, Proteus mirabilis, Streptocoque agalactiae. • Biopsie du membre inférieur gauche du 08.12.2017 : MRSA, staphylocoque epidermidis. • Biopsie du membre inférieur droit du 12.12.2017 : Pseudomonas aeruginosa. • Biopsie du membre inférieur droit du 23.12.2017 : culture négative. • Frottis dépistage MRSA du 07.12.2017 : négatif. • Frottis dépistage MRSA du 08.01.2018 : négatif. • Co-Amoxicilline du 03.12.2017 au 21.12.2017. • Débridement au bloc opératoire avec application de pansement VAC le 04.12.2017, le 08.12.2017 et le 12.12.2017. Réfection de VAC en chambre jusqu'au 18.12.2017 quotidiennement avec application de Plurogel argent Apligraf au niveau de la plaie de la jambe droite le 19.01.2018 par le Dr. X Saignement spontané actif de l'artère épigastrique le 16.12.2017 avec hématome résiduel dans la paroi abdominale du flanc droit, estimé à 8 cm x 4 cm x 6 cm et hématome dans le pelvis en position extra-péritonéale latéralisé à droite, estimé à 7 cm x 13 cm x 8 cm avec : • Angiographie et embolisation de l'artère épigastrique inférieure droite (Dr. X) le 16.12.2017 • Ponction de l'hématome sous CT le 19.12.2017 : culture négative • Contrôle ultrasonographique le 11.01.2018 Cholécystectomie Intertrigo des plis inguinaux le 09.12.2017 Réaction allergique cutanée étendue (tronc et dos) probablement d'origine médicamenteuse le 14.12.2017 : • Sur Nitroderm patch Iléus paralytique le 17.12.2017 Ulcère ouvert au niveau de la face externe de la jambe droite Anasarque au décours avec oedèmes résiduels au niveau des parties déclives dans un contexte de : • Insuffisance cardiaque modérée • Immobilisation en raison des douleurs des membres inférieurs • Remplissage pour hypotension artérielle • Hypoalbuminémie Anémie normochrome macrocytaire à 95 g/l Hypokaliémie à 3.4 mmol/l le 04.01.2018 sur diurétique Malnutrition protéino-énergétique modérée Cystite à Pseudomonas Aeruginosa multisensible le 25.01.2018 Macrohématurie le 07.01.2018 Ultibro dès le 28.01.2019 Ultrasion de l'index de la main gauche : oedème des tissus mous sous-cutanés, mais pas d'épanchement en périphérie des tendons fléchisseurs du 2ème rayon. Par ailleurs, pas d'image de collection, ni d'abcès. (Dr. X) Ultrason : décrit ci-dessous. Repos. Antalgie AINS. Glace. Elévation du membre inférieur droit. Attelle plâtrée postérieure. Clexane prophylactique. Cannes anglaises. Contrôle dans une semaine à la policlinique d'orthopédie. Ultrason : décrit ci-dessous. Tendon d'Achille compétent. Avis du Dr. X, orthopédiste : bande élastique, stopper la Clexane chez un patient avec mise en appui possible. Consultation chez son médecin-traitant en cas de persistance des douleurs à 2 semaines. Ultrason abdomen le 19.02.2019 (Dr. X) : pas d'adénopathie mésentérique, pas de liquide libre dans l'abdomen, calcul dans l'uretère proximal de 5 x 3 mm de taille, légère dilatation pyélocalicielle à droite à 11 mm CT abdomino-pelvien 19.02.2019 : Pyélonéphrite droite obstructive, en rapport avec une lithiase de 3,5 x 3 x 4 mm enclavée au sein de l'uretère proximal, associée à une dilatation du système excréteur en amont. Laboratoire : cf. annexes Ultrason abdomen supérieur 12.02.2019 : dilatation du cholédoque à 9.4 mm, lithiase cholédoque proximal et probables lithiases multiples, sludge dans vésicule biliaire sans signe de cholécystite, dilatation discrète des voies biliaires intra-hépatiques, pancréas tuméfié sans dilatation du Wirsung ou signe de nécrose. ERCP le 13.02.2019 (Dr. X) : Cholangiographie rétrograde : dilatation du cholédoque qui mesure au moins 12 mm de diamètre après remplissage. On voit plusieurs petites images de soustraction de 2 à 3 mm au plus faisant penser à de petits concréments ou à des petits morceaux de sludge. On effectue une papillotomie et extrait à plusieurs reprises le contenu du cholédoque sur un ballon. De petits morceaux de sludge sont évacués. Après plusieurs rinçages, le cholédoque est vide. Le canal cystique et la vésicule ne s'opacifient pas. Laboratoire : cf. annexes Histologie : cf. annexes Ultrason abdomen 19.02.2019 CT abdomino-pelvien 19.02.2019 Ceftriaxone iv 19.02. - 21.02. Cystoscopie avec pose de double J à droite 20.02.2019 (Dr. X) Ultrason abdomen 31.01.2019 : appendicite phlegmoneuse aiguë de 11 mm, avec lame de liquide libre péri-caecale Appendicectomie laparoscopique le 31.01.2019 Ultrason abdominal : multiples ganglions lymphatiques mésentériques de taille augmentée. Laboratoire : cf. annexes. Ultrason abdominal : appendicite sans signe de complications Appendicectomie le 13.02.19 Ultrason abdominal complet natif : le foie est de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont sans particularité. Les 2 reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie est peu remplie et l'on ne visualise pas de pathologie gynécologique. L'appendice est de calibre augmenté dans sa partie distale, mesuré à environ 6,5 mm de diamètre, toutefois sans image typique pour une APP. Pas de liquide libre intrapéritonéal. Quelques ganglions mésentériques agrandis en FID, mesurés jusqu'à 5 mm de petit axe. CONCLUSION : appendice de calibre augmenté, mesuré jusqu'à 6,5 mm de diamètre, sans image pathognomonique pour une APP. Par ailleurs quelques ganglions mésentériques agrandis en FID. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire. Ultrason abdominal complet natif le 22.02.2019 : le foie est de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont sans particularité. Les deux reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. On retrouve les deux volumineux kystes accolés du rein gauche mesurant respectivement environ 4 et 5 cm de grand axe, sans augmentation significative de taille. L'aorte abdominale est athéromateuse. La vessie en réplétion présente des parois fines et on retrouve un statut après hystérectomie. CONCLUSION : on retrouve deux kystes corticaux au niveau du rein gauche d'environ respectivement 4 et 5 cm de grand axe, mais pas d'image d'abcès, ni de signe de complication de pyélonéphrite au niveau du rein droit. (Dr. X). Ultrason abdominal le 05.02.2019 CT abdominal le 06.02.19 Cathéter artériel radial droit du 05.02.2019 au 07.02.2019 Insuline-Glucose du 05.02.2019 au 07.02.2019 Expansion volémique Antalgie Imipénème depuis le 07.02.2019 Ultrason abdominal le 06.02.2019 : Appendice de diamètre augmenté, atteignant 14 mm, contenant de multiples stercolithes dont un à la base de l'appendice mesurant 8 mm. Aspect inflammatoire de la graisse péri-appendiculaire et mise en évidence d'une lame de liquide libre au contact de l'appendice. Pas de liquide libre ailleurs dans l'abdomen. Conclusion : appendicite aiguë Laboratoire : cf. annexes Histologie : cf. annexes Ultrason abdominal le 06.02.2019 Appendicectomie laparoscopique le 06.02.2019 Rocéphine 2 g 1x/jr et Flagyl 500 mg 3x/jr du 06.02 au 07.02.2019 Ultrason abdominal le 14.02.2019 : appendicite aiguë non perforée Ultrason abdominal le 14.02.2019 Appendicectomie laparoscopique le 14.02.2019 Ultrason abdominal le 19.02.2019 : absence de lithiase, absence de dilatation des voies biliaires Cholangio-IRM le 21.02.2019 (rapport oral) : épaississement de la paroi compatible avec probable cholécystite. Sludge sans calculs, pas de dilatation des voies biliaires et du Wirsung. Ceftriaxone dès le 20.02.2019 Metronidazole du 20.02.2019 Mr. Y est à convoquer à distance pour une consultation en chirurgie digestive pour une cholécystectomie à distance du STEMI Ultrason abdominal le 31.01.2019 (Affidea) Appendicectomie laparoscopique le 01.02.2019 Ultrason abdominal supérieur le 15.02.2019 (Dr. X) : lithiase au niveau de la vésicule biliaire, paroi épaissie à 7 mm Laboratoire : cf. annexes Ultrason abdominal 13.02.19 : Appendice de diamètre agrandi, jusqu'à 9 mm, présentant un oedème sous-muqueux et des parois épaisses. Passage de la sonde douloureuse. Infiltration de la graisse adjacente, sans liquide libre mis en évidence. Absence d'adénopathie locorégionale mise en évidence.Laboratoire: cf. annexes Histologie: cf. annexes Ultrason abdominal 29.01.2019 (Dr. X): Cholécystite avec hydrops vésiculaire, dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Wirsung visualisé. Cholecystectomie par laparoscopie avec cholangiographie per-opératoire le 30.01.2019. Traitement antibiotique par Rocéphine Flagyl en intraveineux du 29.01.2019 au 01.02.2019. Relais per os dès le 01.02.2019. Ultrason abdominal 30.01.2019: Appendicite aiguë sans signe de complication. Kyste ovarien droit présentant une petite hyperéchogénéité en son sein, pouvant correspondre à une septation (Diagnostic différentiel : artéfact de réverbération ?), pour lequel un contrôle échographique à 6 semaines est indiqué. Histologie: cf annexe. Ultrason abdominal. Contrôle laboratoire et clinique le 26.02.2019 à 11h. Ultrason bilan des parties molles: le tendon d'Achille est intact. Dans la partie distale du muscle jumeau interne, on visualise une petite déchirure avec un hématome qui s'étend sur environ 2 cm d'extension CC pour 1,5 cm de largeur. (Dr. X). Ultrason ciblé aux urgences le 09.02.2019. Suivi clinique. Suivi biologique. Ultrason de la cheville droite et du pied droit: mise en évidence d'une déchirure des fibres du tendon d'Achille environ 6 cm au-delà de l'insertion sur le calcanéum. Zone de déchirure oblique avec liquide hypoéchogène réparti de façon oblique et diastasis de 4 - 5 mm entre les fibres. Intégrité de la gaine avec peu de rétraction des moignons. Aspect épaissi du tendon distal, de structure fibrillaire conservée. (Dr. X). Ultrason de la main gauche: le LCU est visible, linéaire, hyperéchogène entre métacarpe et P1. Pas d'image de rupture partielle complète ou d'élongation. Aspect normal de l'aponévrose de l'adducteur. Pas d'autre anomalie décelable. CONCLUSION: intégrité du LCU. Si persistance de la symptomatologie clinique, on recommande de faire une IRM à distance. (Dr. X). Radiographie de la main gauche: bonne immobilisation plâtrée. Pas de signe de complication. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X). Ultrason de l'abdomen complet natif: le foie est de taille à la limite supérieure de la norme, mesurant environ 15 cm de diamètre antéro-postérieur sur la ligne médio-claviculaire et présente un parenchyme diffusément hyperéchogène, compatible avec une stéatose, mais sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées et la veine porte est perméable avec un flux hépatopète. La vésicule biliaire présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont sp. Les 2 reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme sans dilatation pyélocalicielle. La vessie en réplétion présente des parois fines et la prostate n'est pas agrandie avec un diamètre d'environ 4 cm. CONCLUSION: stéatose hépatique diffuse avec un foie de taille à la limite supérieure de la norme, mais pour le reste l'examen est dans les limites de la norme. (Dr. X). ECG: sp. Cf. annexes. Laboratoire: cf. annexes. ASAT 115 U/l, ALAT 71 U/l perturbés, GGT 221 U/l, leucocytes 10,9 G/l, OH 1,19, CRP <5 mg/l. Ultrason de l'abdomen complet natif: le foie est de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans lésion focale décelable. Les voies biliaires ne sont pas dilatées. La vésicule présente des parois fines et ne contient pas de calcul. Le pancréas et la rate sont sp. Les 2 reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie en réplétion présente des parois fines et l'on ne visualise pas de liquide libre intra-péritonéal. CONCLUSION: multiples ganglions agrandis en FID et péri-ombilicaux D mesurés jusqu'à 6 mm de petit axe, mais pas d'image pathognomonique pour une APP. (Dr. X). Ultrason de l'abdomen supérieur natif du 09.02.2019: pancréas en place, homogène sans lésion focale. Vésicule biliaire alithiasique, à parois fines indolore. Pas de distension des voies biliaires intra et extra-hépatiques. Le foie est en place, de taille normale, d'échostructure conservée, au parenchyme homogène, sans lésion focale. Veines sus-hépatiques fines. Veine porte perméable. Rate de taille normale et homogène, diamètre bipolaire 9,8 cm. Les reins sont en place, de taille normale mesurant 10,2 cm de grand axe à D, 10,5 cm de grand axe à G. Différenciation parenchymateuse sinusale conservée. Pas de liquide libre à l'étage sus-mésancolique. CONCLUSION: ultrason abdominal supérieur dans les limites de la norme sans pathologie des voies biliaires décelables. (Dr. X). Ultrason des tissus mous: collection de 15 mm x 3 mm sous-cutanée à 5 mm en dessous du point de ponction. Pas d'atteinte des structures vasculaires ou veineuses. Pas de collection sous-jacentes. Avis chirurgical (Dr. X): • pas d'antibiothérapie d'emblée. • retrait du fil, désinfection simple et pansement simple. • surveillance clinique chez le médecin traitant dans 4 jours. Critères de gravité communiqués au patient qui nécessiteraient une reconsultation. Ultrason des tissus mous musculosquelettiques: dans la profondeur de la musculature de la loge postérieure, on visualise un volumineux hématome qui s'étend sur environ 22 cm d'extension crânio-caudale pour 12 cm de largeur et 3,5 cm d'épaisseur, dont la partie supérieure se trouve environ 4 cm au-dessous du pli fessier, toutefois sans que la déchirure musculaire n'ait pu être clairement localisée. (Dr. X). Ultrason doppler de la veine de la jambe droite (thrombus) du 09.02.2019: les veines profondes de la racine de la cuisse, de la cuisse et du creux poplité sont toutes visibles, comprimables sans argument pour une TVP. Pas d'évidence de formation kystique dans le creux poplité. Pas d'épanchement intra-articulaire. CONCLUSION: absence de TVP du membre inférieur droit. (Dr. X). Ultrason Doppler de la veine de la jambe gauche (thrombus): perméabilité des réseaux veineux superficiels et profonds du membre inférieur gauche. Les veines sont compressibles sous la sonde sans image de thrombus. Manœuvre de chasse positive. CONCLUSION: pas de thrombophlébite du membre inférieur gauche. (Dr. X). Ultrason du tendon d'Achille droit: le tendon d'Achille est intègre, mais l'on visualise en regard des douleurs décrites par la patiente, une déchirure du muscle jumeau interne avec un hématome d'environ 30 mm d'extension crânio-caudale pour 30 mm de largeur et 10 mm d'épaisseur au maximum. Au niveau du muscle jumeau externe, à la même hauteur, on visualise également une petite image hypoéchogène d'environ 4x4 mm, suspecte pour une déchirure. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite: examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé. Petite ossicule dans le prolongement de la malléole externe correspondant à un processus ancien, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X). Ultrason du tendon d'Achille droit: on visualise effectivement une déchirure du tendon d'Achille avec un moignon à environ 8 cm de l'insertion sur le calcanéum et un GAP d'environ 2,5 cm, compatible avec une déchirure totale, toutefois quelques fibres encore intactes au sein de l'hématome dans le GAP ne sont pas formellement exclues, à confronter avec la clinique. (Dr. X). Ultrason et cytoponctions du 04.01.2019: volumineuse adénopathie latérocervicale gauche du niveau III principalement kystique, avec composante solide dans le level Ib.Cytoponction : carcinome épidermoïde moyennement différencié, kératinisant, p16+ PET-CT du 15.01.2019 : intense hypercaptation ganglionnaire latérocervicale gauche (SUVbwmax= 18.8) correspondant à la métastase connue. Pas de foyer hyperactif pathologique net dans la sphère oropharyngée en faveur d'une éventuelle tumeur primitive. Il n'y a pas non plus de foyer hyperactif pathologique net thyroïdien, pulmonaire, médiastinal, hépatique, osseux ou abdominal, en faveur d'éventuelles métastases. CT : dans les tissus du cou, à hauteur de la station IIa à gauche, on retrouve une volumineuse masse bien délimitée mesurant 67 x 35 x 56 mm, caractérisée par une composante se rehaussant nettement, en avant de la veine jugulaire interne et une composante kystique pluriloculaire. Pas d'autre lésion visible au niveau cervical. Les structures laryngées, pharyngées et les parties visibles du cerveau sont sans particularité. Rx thorax du 15.02.2019 : redistribution vasculaire aux sommets avec émoussement du cul-de-sac pleural latéral gauche pouvant entrer dans le cadre d'une surcharge. Cardiomégalie globale. Ultrason gynécologique ce jour par la Dresse X : pas de liquide libre, pas de kyste, pas de signe inflammatoire, endomètre épaissi de 10 mm. Laboratoire le 19.02 : cf. annexes. Leucocytes à 5.8G/l, CRP <5mg/l, TC 215G/l. Ultrason gynécologique par la Dresse X ce jour : décrit ci-dessous. Test de grossesse le 19.02.2019 par la Dresse X : négatif. Laboratoire le 19.02 : cf. annexes. Avis du Dr. X, chirurgien : prise au bloc opératoire. Avis du Dr. X, de médecine interne : retour à domicile avec antalgie simple en réserve. Ultrason membre supérieur le 13.02.2019 : thrombose de 3 cm superficielle, pas de thrombose profonde, pas de signe pour thrombose septique. Anticoagulation thérapeutique Xarelto 20 mg 1x/j dès le 19.02.2019. Ultrason pied gauche (Dr. X) : visualisation d'une discontinuité d'un des deux tendons de l'hallux droit sur 12 mm, sous réserve d'artéfact en raison du status post-opératoire. Avis orthopédique (Dre X) : rupture tendon, patient sera reconvoqué pour nouvelle prise en charge chirurgicale. Retour à domicile avec poursuite de l'immobilisation et du traitement anticoagulant instauré le 23.01.2019. Reconvocation par les orthopédistes pour prise en charge chirurgicale. Ultrason testiculaire : dans la norme, bonne vascularisation, pas de kyste, pas d'argument pour une torsion testiculaire. Ultrason testiculaire. Antalgie. Reconsulter en cas d'augmentation des douleurs, tuméfaction ou rougeur. Ultrason testicules et pénien : les 2 testicules sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans image de contusion, ni d'hématome intra-parenchymateux. Ils mesurent tous deux environ 4,5 cm sur leur grand axe. Bonne perfusion à l'écho-Doppler couleur et pulsé du parenchyme testiculaire ddc avec des spectres artériels peu résistants dans les limites de la norme. CONCLUSION : échographie testiculaire avec écho-Doppler dans les limites de la norme. (Dr. X). Ultrason testicules et pénien du 22.01.2019. Ultrason testicules et pénien du 22.01.2019. Attitude : • Cure de hernie à organiser à distance. Ultrason-Doppler veineux du cou : veine jugulaire interne perméable, mais de calibre fin. Flux lent. Pas de thrombose profonde. Ultrasonographie abdominale : décrite ci-dessous. Ultrascan abdominal le 15.02.2019. Antibiothérapie par Ceftriaxone et Metronidazole intraveineux du 15.02.2019 au 17.02.2019, relais par voie orale par Co-Amoxicilline jusqu'au 21.02.2019. Un bilan anémique est fait qui se révèle dans la norme. L'hémoglobine est à 125 g/L. Nous donnons 500 ml de NaCl intraveineux à Mme. Y qui se sent bien après et nous la laissons rentrer à domicile accompagnée par son ami. Un bilan biologique effectué aux urgences ne met en évidence aucun syndrome inflammatoire. Un ultrason des parties molles du doigt ne montre pas de collection de liquide autour des gaines des tendons. Au vu du contexte dans lequel est survenue la plaie, nous demandons l'avis de l'infectiologue, la Dresse X en ce qui concerne l'antibiothérapie, qui préconise un traitement par Co-Amoxicilline pendant 10 jours. Malgré un bilan radio-biologique rassurant, comme le risque d'une péjoration de l'infection avec un phlegmon, qui est important, nous proposons au patient une hospitalisation en orthopédie pour une antibiothérapie iv et un suivi clinique de la plaie. Le patient a un rendez-vous important pour un entretien de travail le lendemain à l'étranger et a un vol prévu le soir même. Il refuse l'hospitalisation et signe une décharge de responsabilité qui atteste qu'il a conscience des risques encourus. Nous prescrivons donc une antibiothérapie per os pour 10 jours et nous lui conseillons de reconsulter aux urgences en cas de péjoration des symptômes, de l'apparition d'une rougeur ou d'un état fébrile. Un bilan biologique effectué aux urgences ne met en évidence aucun syndrome inflammatoire. Un ultrason des parties molles du doigt ne montre pas de collection de liquide autour des gaines des tendons. Au vu du contexte dans lequel est survenue la plaie, nous demandons l'avis de l'infectiologue Dr. X en ce qui concerne l'antibiothérapie qui préconise un traitement par co-amoxicilline pendant 10 jours. Malgré un bilan radio-biologique rassurant, comme le risque d'une péjoration de l'infection avec un phlegmon est important, nous proposons au patient une hospitalisation en orthopédie pour une antibiothérapie i.v. et un suivi clinique de la plaie. Le patient a un rendez-vous important pour un entretien de travail le lendemain à l'étranger et a un vol prévu le soir même. Il refuse l'hospitalisation et signe une décharge de responsabilité qui atteste qu'il a conscience des risques encourus. Nous prescrivons donc une antibiothérapie per os pour 10 jours et nous lui conseillons de reconsulter aux urgences en cas de péjoration des symptômes, de l'apparition d'une rougeur ou d'un état fébril. Un bilan biologique effectué chez nous montre chez un patient afébrile avec une CRP à 100 mg/ml et une leucocytose. Nous prenons un avis chez le Dr. X, chirurgien, qui au vu de la clinique du patient et du résultat de l'ultrason propose de le reconvoquer demain pour un contrôle ambulatoire. Nous prescrivons une antalgie par AINS, Dafalgan. Le patient est libre de rentrer à domicile. Il doit reconsulter en cas de péjoration de son état clinique. Un bilan biologique est effectué et montre un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 7mg/l sans leucocytose. Suite à l'avis du Dr. X, chirurgien, une incision est effectuée aux urgences et permet le drainage du kyste. Le patient peut rentrer ensuite à domicile et il sera revu à la policlinique de chirurgie le lendemain puis à la consultation du Dr. X, chirurgien, dans 3 semaines. Un bilan biologique est sans particularité notamment sans syndrome inflammatoire. Un sédiment urinaire est également normal, sans présence d'hématurie. Au vu du statut physique et du bilan biologique rassurants, nous mettons les douleurs sous une cause musculaire et le patient peut rentrer à domicile avec une antalgie simple. Un certificat médical est prescrit jusqu'à vendredi 08.02 et nous lui conseillons de consulter son médecin traitant en cas de péjoration ou de persistance des douleurs. Un bilan biologique est sans particularité. Une inhalation de Ventolin et d'Atrovent est effectuée aux urgences et la patiente reçoit un corticoïde per os avec une bonne amélioration, notamment un Peak Flow de sortie à 64 %. Au vu de la bonne évolution, la patiente peut rentrer à domicile. Une prescription de corticostéroïde inhalé et de bronchodilatateur Ventolin à prendre selon besoin est prescrite et nous conseillons à la patiente de revoir son médecin traitant à la fin de la semaine pour évaluer la poursuite de ce traitement inhalateur et pour discuter de la prise en charge de la maladie asthmatique par un pneumologue.Un bilan biologique met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 19 mg/l sans leucocytose. Une hyponatrémie à 127 mmol/l isotonique apparaît également. Après discussion avec l'EMS et la fille, nous prescrivons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline iv 1200 mg 3x/jour pendant 7 jours avec une première dose donnée aux urgences. Le traitement sera poursuivi à l'EMS. L'oxygénothérapie qui avait été introduite peut être diminuée avec des saturations stables avec 1 litre/min d'O2. Mr. Y peut donc être retransféré à l'EMS le même jour pour la poursuite du traitement. Nous préconisons un suivi biologique avec un bilan sanguin à 48h avec la décision du médecin traitant de poursuivre l'antibiothérapie iv ou per os. Un bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 157 mg/L et une leucocytose et une anémie avec une hémoglobine à 109 g/l. Une radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux mais une lésion au niveau du lobe supérieur droit est présente, raison pour laquelle nous effectuons un scanner thoracique qui montre par rapport à un comparatif de mars 2018 une nouvelle lésion située au niveau du lobe supérieur droit, avec un centre nécrosé. Le radiologue de garde de Fribourg retient comme diagnostic préférentiel une tumeur pulmonaire primaire avec comme diagnostic différentiel une métastase pulmonaire, un foyer infectieux de tuberculose ou une lésion nécrotique de séquelle d'embolie pulmonaire. La patiente étant stable et les douleurs en diminution, nous laissons la patiente rentrer à domicile et nous laissons le soin au médecin traitant de discuter des différents moyens d'investiguer cette lésion pulmonaire et si cela est nécessaire de la diriger vers un oncologue pour la suite de la prise en charge. La patiente prendra rendez-vous le lendemain chez son médecin traitant. Un bilan biologique met en évidence une insuffisance rénale qui était déjà connue chez lui, pas de trouble électrolytique, pas de syndrome inflammatoire, une légère anémie (135 g/l). Nous complétons ces examens par un bilan radiologique avec une radiographie du bassin de face et de la hanche gauche en axiale qui ne montre pas de fracture. Au vu de l'anticoagulation du patient et de sa chute non objectivée, nous suspectons un traumatisme crânien et effectuons un scanner cérébral. Cet examen ne montre pas d'hémorragie. Au vu de ces examens rassurants, et de l'institutionnalisation du patient, nous rappelons l'EMS où le patient réside et un transport est organisé par leur soin pour son retour. La mobilisation sera poursuivie selon douleurs. Après relecture des images radiographiques le matin du 11.02.2019, nous rappelons le home pour que les soignants nous réadressent le patient afin de compléter le bilan par un CT-scan du bassin et de la hanche gauche. Un bilan biologique montre un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 6 mg/l avec une leucocytose à 11.6. Un premier train de troponine effectué dans le contexte de douleurs cardiaques à droite est élevé à 32 mais le second train 1h après montre une diminution à 26 et permet d'écarter raisonnablement une cause cardiaque. Un sédiment urinaire montre une infection bactérienne avec leucocyturie et hématurie, raison pour laquelle nous prescrivons une antibiothérapie avec une première dose de rocéphine 2 g i.v. aux urgences, puis un traitement per os à domicile par ciproxine 500 mg 2x/j durant 7 jours. Le patient peut rentrer à domicile. Nous conseillons au patient de consulter son urologue traitant, Dr. X, pour réévaluer ce traitement antibiotique et pour la suite de la prise en charge. Un bilan biologique ne met en évidence aucun syndrome inflammatoire. Nous procédons à une incision de décharge avec drainage du pus sous anesthésie locale et nous prescrivons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline avec une première dose donnée en iv aux urgences, puis ensuite per os 625 mg 3x/jour. La patiente reviendra aux urgences à la filière des urgences ambulatoires dans 48h pour un contrôle clinique et si nécessaire un nouveau bilan biologique. Un bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble de la fonction hépatique, pas d'élévation des enzymes pancréatiques. Au vu du statut clinique rassurant nous retenons comme diagnostic une probable intoxication alimentaire et laissons le patient rentrer à domicile avec une prescription pour des antinauséeux. En cas de persistance ou de péjoration des symptômes, nous lui conseillons de reconsulter aux urgences ou chez un médecin de garde. Un bilan radiologique avec un scanner cérébral et une radiographie de la colonne cervicale permet d'exclure un saignement ou une fracture des cervicales. Au vu de ces résultats et de l'examen neurologique, le patient peut rentrer à domicile accompagné de sa mère. Elle reçoit une feuille d'informations destinée aux parents d'enfants qui ont subi un traumatisme crânien, et nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas de persistance des symptômes ou de péjoration. Une dispense d'école de 1 jour et une dispense de sport de 1 semaine sont données. Un bilan radiologique est effectué aux urgences et ne met en évidence aucune lésion osseuse. Au vu de la clinique et de la radiographie rassurante, la patiente peut rentrer à domicile avec une antalgie simple, des anti-inflammatoires pour 3 jours, un soutien par attelle Aircast, et elle prendra rendez-vous pour un contrôle clinique à la consultation du Dr. X en policlinique d'orthopédie la semaine prochaine. Un bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse. Au vu du statut clinique et de la radiologie rassurante, nous retenons le diagnostic de contusion du genou et laissons la patiente rentrer à domicile avec une bande élastique au niveau du genou et un anti-inflammatoire topique par Ecofenac Lipogel 1%. En cas de persistance des douleurs, nous lui proposons de consulter son pédiatre. Un bilan radiologique ne met en évidence aucune lésion osseuse. Nous concluons à une contusion du poignet gauche et laissons la patiente rentrer à domicile avec une compression par bande élastique et une antalgie simple. Elle prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique la semaine prochaine. Un contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires est prévu le 04.02.2019 pour suivi clinique par le Dr. X. Un contrôle de la plaie est à organiser par le patient à J10 chez le médecin traitant. Un contrôle des tests de la cognition d'ici 8-10 mois serait utile. Un contrôle est à prévoir auprès du Dr. X dans 1 mois avec une ergométrie dans 1 année. Un CT scan de D5 droite est effectué et confirme le diagnostic suscité. Ce dernier est vu par Dr. X et Dr. X qui préconisent une intervention élective le 11.01.2019. Le consentement opératoire est déjà signé. RAD ce jour avec attelle Edinburgh et syndactilie. Un ECG montre une tachycardie sinusale 120 bpm, et la radiographie thoracique ne montre pas de pneumothorax mais un doute sur un épaississement triangulaire postéro-inférieur gauche sur le cliché de profil. Au laboratoire nous retrouvons un syndrome inflammatoire avec leucocytose. Les D-dimères, que nous réalisons en raison d'un score de Genève à 5, reviennent à 1600 ng/mL, raison pour laquelle, même en présence d'un diagnostic alternatif infectieux nous réalisons un scanner thoracique. Ce dernier exclut une embolie pulmonaire mais montre un foyer basal droit, raison pour laquelle la patiente, n'ayant pas de critère pour une hospitalisation, rentre à domicile avec Co-Amoxicilline et antalgie par paracétamol (pas d'AINS ni d'opiacés car la patiente allaite) et arrêt de travail. Elle recontrôlera chez son médecin traitant si pas d'amélioration sous traitement.Un laboratoire est effectué. Ce dernier ne montre pas de syndrome inflammatoire. Ainsi, au vu de la clinique et des résultats biologiques rassurants, nous écartons la nécessité d'une imagerie scanographique en urgence. Nous proposons un traitement conservateur par Motilium lingual 10 mg à prendre 3x/jour avant les repas ainsi qu'un contrôle le 25.02.2019 chez son médecin traitant. Nous laissons le soin à ce dernier d'organiser à distance une oesogastroduodénoscopie ainsi qu'une colonoscopie afin de compléter le bilan chez cette dernière. Un laboratoire sanguin est demandé aux urgences et met en évidence une CRP à 53 mg/l sans leucocytose. Au vu de la symptomatologie et des résultats de laboratoire, nous suspectons une gastrite/gastroentérite virale et posons le diagnostic différentiel d'un ulcère gastrique dans un contexte de stress et une appendicite débutante de localisation atypique. Nous prescrivons une dose unique de paracétamol 1 g iv et une dose unique de Nexium 40 mg iv aux urgences. En raison de l'état clinique non inquiétant, nous décidons de laisser Mr. Y rentrer à domicile et l'invitons à se présenter le 04.02.2019 à 8h00 pour un contrôle clinico-biologique ainsi que la réalisation d'une échographie abdominale à la recherche d'une appendicite. Un nouveau plâtre AB fendu est réalisé ce jour et un contrôle est prévu à la polyclinique d'orthopédie le 25.02.2019 pour suite de la prise en charge de cette suspicion de fracture du scaphoïde droit. Un problème d'origine cardiaque est exclu avec un ECG dans la norme et des troponines négatives. Nous proposons à Mme. Y de poursuivre les séances d'ostéopathie et la prise de Dafalgan pour les cervicalgies. Un rendez-vous chez moi est prévu le 28.02.2019. Un score de Wells à 2 points, des D-Dimères à 765 ng/mL ainsi qu'une clinique évocatrice, nous font suspecter une thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit. Un consilium angiologique avec ultrason Doppler des membres inférieurs est à organiser le 18.02.2018 (demande envoyée, pas de rendez-vous dimanche soir) et une anticoagulation thérapeutique par Xarelto 15 mg 2x/jour est administrée. Une origine infectieuse sur dermohypodermite semble moins probable, malgré l'état fébrile aux urgences, pour absence de leucocytose au bilan biologique ainsi qu'une porte d'entrée clinique et absence d'adénopathie palpable et trajet lymphangitique. Un syndrome des loges débutant, dans les suites du serrement de la botte de ski, pourrait aussi expliquer le tableau clinique. Il est expliqué à Mr. Y de consulter aux urgences dans la nuit en cas de péjoration importante des douleurs. Un contrôle clinique et biologique est organisé le 18.02.2019 à la filière des urgences ambulatoires. Les angiologues seront ainsi à contacter. Un score de Wells est à 3. Nous complétons par un ultrason du membre inférieur gauche qui montre une thrombophlébite superficielle sur le trajet de la veine saphène interne gauche. Nous prenons l'avis du Dr. X, de médecine interne, qui propose un traitement par Arixtra 2.5 mg/jour pendant 45 jours. Nous proposons à Mme. Y d'organiser un contrôle angiologique dans 45 jours. Un suivi cardiologique est prévu par le Dr. X le 28.02.2019 et le retrait ambulatoire du Dermabond le 18.02.2019 chez le pédiatre traitant. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par Captopril 305 mg 3x/j et SNG jusqu'à prise orale suffisante. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Un suivi en podologie est prescrit et nous restons à disposition en cas de nécessité. Une cure de canal carpien pourrait être proposée à Mr. Y. Dans le même temps opératoire, on pourrait faire une révision de la branche thénarienne et des branches sensibles distales pour exclure une lésion iatrogène lors de l'accident de 2016 ou des interventions chirurgicales suivantes. La perte de force d'abduction et de préhension me semble être très difficilement corrigeable avec une plastie d'opposition. Néanmoins, cette option chirurgicale persiste. Le profil psychologique me semble néanmoins être une contre-indication relative. Nous pouvons néanmoins attester que Mr. Y est resté en incapacité de travail depuis l'accident du 20.06.2016 jusqu'à sa réinsertion professionnelle en septembre 2018. Il gardera des séquelles à vie de cet accident. Les opérations chirurgicales que l'on pourrait lui proposer pourraient éventuellement améliorer la situation, une garantie d'amélioration ne peut lui être assurée. Une évaluation neuropsychologique en ambulatoire est souhaitable. Une fracture en motte de beurre du radius distal droit est visualisée à la radiographie. Un plâtre AB est réalisé pour une durée de 4 semaines. Un rendez-vous en polyclinique d'orthopédie est à organiser pour un contrôle dans une semaine. Une imagerie cérébrale permet d'écarter un accident vasculaire cérébral récent ainsi que des métastases cérébrales. Cependant, au vu des symptômes cliniques de vertiges, une IRM est planifiée le 08.02.2019 afin d'exclure toute atteinte de la fosse postérieure. Un retour à domicile est prévu dans l'intervalle sur souhait de Mr. Y. Une IRM cérébrale montre une leucoencéphalopathie vasculaire de stade Fakes II-III et l'absence de signe de maladie d'Alzheimer. Le bilan biologique et clinique nous permet d'exclure des agents causaux d'ECA. Dans le contexte d'idées suicidaires, un avis psychiatrique est demandé, ce dernier suspectant une origine dépressive au tableau clinique actuel, se manifestant par un trouble cognitif secondaire. Ce dernier propose ainsi une majoration du traitement psychotrope par introduction de Remeron. Un contrôle chez le médecin traitant est proposé la semaine prochaine. Une IRM du pied D était déjà organisée pour demain. On propose donc de revoir Mme. Y suite à cet examen soit le 11.02.2019 en consultation pour discuter des résultats et proposer une prise en charge adéquate. Poursuite des antibiotiques. Une IRM faite le 25.02 a montré une lésion largement nécrotique, ovalaire, de siège superficiel jugal à droite avec d'importants signes inflammatoires loco-régionaux pouvant cadrer avec une lésion abcédée. Une lésion nécrotique tumorale inflammatoire ne peut être formellement exclue. Une cytoponction sous ultrason a également été faite le 25.02. Aux urgences le 26.02, après avoir vu la lésion avec le Dr. X, nous avons incisé l'abcès; du pus mixte avec du sang est sorti. Une mèche betadinée a été mise dans la cavité. Mr. Y est soulagé par le drainage. Un contrôle à la filière des urgences ambulatoires est programmé le 27.02 pour l'ablation de la mèche et un contrôle de plaie. Le suivi se fera le 06.03.2019 chez le Dr. X, comme déjà programmé. Une partie des douleurs est explicable par une gêne du matériel par conflit avec des tendons extenseurs du côté antérieur. Les douleurs du tendon d'Achille peuvent être une surcharge du tendon d'Achille ou une micro-instabilité au niveau de l'arthrodèse. On prescrit un traitement par onde de choc au niveau du tendon d'Achille pour améliorer la situation. On prescrit aussi un CT scan pour voir la consolidation de l'arthrodèse et s'il y a un déscellement. Après, nous reverrons Mr. Y à la consultation. Si l'arthrodèse est consolidée et stable, nous parlerons d'une AMO complète pour diminuer le conflit.Une prise de sang est effectuée qui revient parfaitement dans la norme. Nous proposons un traitement symptomatique par Xyzal 5 mg. Après une longue discussion avec l'épouse qui veut nous laisser son mari en raison de l'aggravation de la démence ces 4 derniers mois, nous lui expliquons qu'il n'y a pas de place actuellement à l'HFR Meyriez et qu'une telle hospitalisation devrait plutôt se planifier. La famille est en discussion pour un placement en home médicalisé. Une radiographie de la cheville ne montre pas de fracture. Une radiographie du pied droit montre une fracture pseudo-Jones de la base du 5ème métatarse du pied droit. Pour cette raison, nous posons une attelle plâtrée postérieure avec cannes anglaises et prophylaxie anti-thrombotique. Une radiographie post-plâtre ne montre pas de point de pression et pas de déplacement. La patiente prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie dans une semaine. Elle est libre de rentrer à domicile. Une radiographie du thorax effectuée aux urgences ne met en pas en évidence de foyer pulmonaire. Au vu de la clinique et des examens réalisés, nous suspectons une bronchite d'origine virale dans un contexte d'état grippal datant depuis 48h. Nous instaurons un traitement d'aérosol par NaCl 0.9% aux urgences et laissons la patiente rentrer à domicile avec une prise en charge symptomatique de son affection par antalgie simple et AINS. Nous invitons la patiente à se présenter à la consultation de son médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Une rhinosinusite d'origine virale semble expliquer le tableau clinique actuel. Au vu des symptômes cliniques apparus seulement il y a 2 jours, sans critère de surinfection bactérienne, un traitement symptomatique seul est proposé avec indication à reconsulter en cas de critères de gravité. Une angine à streptocoques est exclue. Nous proposons un contrôle clinique chez le médecin traitant. Une tétee en consultation sans cyanose ou hypersalivation. Unclear CK-augmentation • 252 U/l am 12.02.19 Unclear trouble de la marche • DD Polyneuropathie, alcoolisation, troubles cérébelleux • Pallesthésie 1.2.2018: main gauche 6-7/8, main droite 7/8. pied droit 6/8, pied gauche 4-5/8 • Pallesthésie 12.2.2019: 6/8 mains bilatérales, 4/8 pied droit, 6/8 pied gauche Un infection urinaire non compliquée. Antibiothérapie avec Bactrim 2x/jour pendant 3 jours. Réévaluation en cas de forte fièvre, détérioration de l'état général, dans ce cas envisager une culture d'urine. Un infection urinaire non compliquée, avec/chez Un pyélonéphrite non compliquée (côté non connu) Urétérolithiase gauche le 16.02.2019 avec: • hydronéphrose de degré II à gauche. Urétérolithiase droite de 2-3 mm à la jonction pyélo-urétérale en septembre 2016, sonde JJ • dilatation pyélo-calicielle de 20 cm OS par PFNA fracture pertrochantérienne gauche en octobre 2014 Urétérolithiase de la jonction pyélo-urétérale à droite de 8 mm. • Pose d'une sonde double J. Urétéro-lithiase droite du 1/3 médian de 3 mm, compliquée par une infection urinaire basse le 26.05.2014. Abcès dentaire inférieur gauche. Colique néphrétique gauche. Urétéro-lithiase gauche le 22.02.2019 avec • insuffisance rénale aiguë AKIN I associée • syndrome inflammatoire débutant Urétéro-lithiase symptomatique gauche 3 x 2 x 2 mm • 2ème lithiase associée de 5 x 5 x 6 mm dans le groupe caliciel inférieur du rein gauche Urétéroscopie, brossage et pose de sonde double J le 5.2.19 (Dr. X) Histologie du 05.02.2019 Promed (C2019.179): inflammation neutrophilique sans cellule tumorale maligne Rendez-vous au cabinet du Dr. X le 19.03.2019 pour planifier le retrait de la sonde double J. Urétéroscopie prévue le 05.02.2019. Cytologie prévue le 05.02.2019. Urétrite. Urétrite à Chlamydia en 2014. Urétrite à Chlamydia le 11.02.2019. Urétrite à Chlamydia Trachomatis le 25.02.2019. Urétrite à Chlamydia 2014. Urétrite à gonocoque le 26.02.2019. Urétrite le 17.02.2019. • Inflammation du méat urinaire le 20.02.2019. Urétrite, le 17.02.2019 • sédiment urinaire normal Diagnostic différentiel : Chlamydia, Gonorrhée, pyélonéphrite. Urétrite non compliquée le 19.03.2017. Lombalgies aiguës non déficitaires le 21.11.2018. Uricult : cf. annexes. Contamination par la flore bactérienne locale et donc ininterprétable. Uricult en cours. Uriculture sur sonde vésicale le 15.02.2019: E.Coli. Radio thoracique le 15.02.2019: étalement de la silhouette cardio-médiastinale majorée par la position couchée. Pas de signe de décompensation cardiaque. Pas de signe d'épanchement pleural. Pas de foyer pulmonaire. Pas de comblement du rétrocarde. Ciprofloxacine 500 mg par la sonde 2x/jour depuis le 17.02.2019. Changement de la sonde le 19.02.2019. Urin, Labor. Urin: pas de leucocytes, mais sang+++, nitrite et protéine négative. Urine: cf. copie, spot à pister. FeNa: à calculer quand le spot est sorti. Attitude • NaCl 1000 ml sur 24h, à réévaluer • contrôle laboratoire 16.02 À faire: • prescrire perfusion 1000ml sur 24h. Urine normale. Leucocytes 9.4 G/l, monocytes 23%, CRP < 5 mg/l. Urine. Ciproxin pendant une semaine. Urine. NaCl 1000 ml pendant 24 h. Contrôle du labo le 07.02.2019. Urines: microhématurie. NaCl 1000 ml sur 24h. Urines: négatif. Bilan sanguin; sp. Urines: pas d'érythrocyturie, pas de leucocyturie. Test de grossesse: négatif. Traitement symptomatique avec Dafalgan, Novalgine et Buscopan si douleurs. Reconsultation aux urgences en cas de péjoration clinique, fièvre, persistance de douleurs malgré traitement. Urines sédiment et spot. Réduction du traitement diurétique. Réhydratation orale. Urines stix et sédiment. Spot urinaire: 48.9%. Attitude: • suivi biologique et réhydratation orale. Urines. Ciproxine 500 mg 2x/j. Urines. Laboratoire à pister. Urines. Uricult. Attitude: • Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pendant 7 jours. • Suite chez le médecin traitant. • Critères de reconsultation expliqués au patient. Urine. Urotube. Urinome rétro-péritonéal péri-rénale gauche surinfecté dans un contexte d'obstruction post-rénale. Urinstatus du 04.02.2019 : sang +++, protéines +. Contrôle à distance. Urinstatus: pathologique. Urinstatus: pathologique. Bactrim Forte 2x/jour pendant 3 jours. Uro-CT : possible masse ovarienne gauche et plusieurs implants au niveau péritonéal, au niveau rétro-pancréatique, graisse péri-diaphragmatique. Uro-CT (Dr. X): nouveau calcul 7x6x4 mm à la jonction vésico-urétérale à gauche, toujours dilatation pyélocalicielle 20 mm, uretère 31 mm de diamètre. Oxalate de calcium. Avis chirurgical (Dr. X/Dr. X): hospitalisation en chirurgie et urétéroscopie avec pose de sonde double J au Daler le 23.02.2019. Rocéphine 2g iv. Uro-CT le 04.02.2019. Antalgie. Tamsulosine 1x/jour. Uro-CT le 06.02.2019 (Dr. X, rapport téléphonique) : calcul 4x3x5 mm dans l'uretère lombaire gauche à la hauteur L3-L5, densité 350 HU (calcul acide urique), en amont dilatation uretère 7 mm, pyélon 12 mm, calice 12 mm, discret oedème rein gauche, discrète infiltration périrénale. Uro-CT le 08.02.2019 : aspect normal des deux reins sans syndrome de masse. La sonde vésicale est en place avec une vessie presque vide. Pas d'anomalie décelable sur le reste de la cavité abdominale. Uro-CT-scan abdominal natif : comparatif du 17 mai 2011. Abdomen : les reins sont de taille et de configuration normale, sans dilatation du système excréteur. Pas de lithiase radio-opaque le long des voies excrétrices urinaires. Les structures uro-génitales ont une morphologie normale. Pour le reste, sous réserve d'un examen réalisé sans injection de produit de contraste, les morphologies du parenchyme hépatique, splénique, pancréatique et surrénalien se présentent normalement. Aucun calcul radio-opaque n'est objectivé dans la vésicule. Pas d'adénopathie, ni de liquide libre intra-abdominal. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique : absence de lésion nodulaire suspecte. Atélectasies sous-segmentaires des deux lobes inférieurs. Pas d'épanchement pleural.Osseux : absence de lésion ostéolytique ou ostéo-condensante suspecte. CONCLUSION : pas de lithiase ou d'autre obstacle le long des voies excrétrices urinaires, ni de dilatation pyélocalicielle. Examen réalisé par télé-radiologie depuis l'hôpital cantonal de Fribourg avec résultats transmis à 23h30 au Dr. X. Uro-CT-scan natif : comparatif du 24 avril 2018. Dilatation du pyélon droit à 1,9 cm avec discrète infiltration péri-rénale et péri-urétérale. Ectasie urétérale en aval jusqu'à un calcul de 3 mm enclavé à la jonction urétéro-vésicale droite. Pas de calcul visualisé du côté gauche ni dilatation pyélocalicielle. Vessie aux parois fines. Prostate sans particularité. Sur le reste de l'examen, sous réserve d'une phase native, pas d'anomalie du parenchyme hépatique, de la rate, des surrénales ou du pancréas. Pas de dilatation des voies biliaires ou du canal de Wirsung. Vésicule biliaire sans calcul radio-opaque ni signe de cholécystite. Pas d'adénopathie rétro péritonéale, mésentérique ou inguinale. Pas de liquide libre. Hernies inguinales à contenu graisseux des deux côtés. En fenêtre osseuse, discopathie dégénérative en L2-L3. Pas de lésion lytique ou condensante suspecte. Coxarthrose gauche. Sur les quelques coupes passant par les bases pulmonaires, pas de nodule suspect. Pas d'épanchement. Bulle d'emphysème sous pleural basale gauche. CONCLUSION : urolithiase de 3 mm à la jonction urétéro-vésicale droite avec dilatation urétérale et pyélo calicielle en amont jusqu'à 1,9 cm au niveau du pyélon. Bulle d'emphysème pulmonaire sous pleural basale gauche. Pas d'autre anomalie. Uroculture le 31.12.18 : positive à P. Aeruginosa et E. Faecalis Uroculture le 16.01.19 : positive à P. Aeruginosa Uroculture le 07.02.2019 : Klebsiella pneumoniae + Enterococcus faecium 2 paires d'hémocultures le 31.12.18 : négatives Sédiment urinaire les 16.01.2019 et 21.01.2019 : absence d'atteinte rénale Avis infectiologique du 04.01.2019, 16.01.2019, 21.01.2019, 31.01.2019, 08.02.2019 Avis urologique du 14.01.2019 (Dr. X) : Changement des sondes JJ agendées pour le 25.01.2019 Rocéphine 2000 mg/jour du 31.12.2018 au 04.01.2018 Tazobac 3000 mg 3x/jour du 05.01.2019 au 11.01.2019 Tazobac 3000 mg 3x/jour du 16.01.2019 au 31.01.2019 Vancomycine 1500 mg le 11.02.2019 et 500 mg le 12.02.2019 Rocéphine 2000 mg/jour du 11.02 au 12.02.2019 Changement des sondes double J et de la sonde vésicale à demeure le 11.02.2019 • Prochain changement des sondes dans 3 mois à organiser par le médecin traitant (à coordonner avec le Dr. X) • Changement de la sonde vésicale à 1 mois Urokinase lorsque thrombocytes le permettent Pas d'Urokinase car positionnel Urolithiase gauche de 3 mm à la jonction urétéro-vésicale, sans dilatation pyélocalicielle en 2014 Status post-arthroscopie genou droit, 2011. Urolithiase gauche de 6 mm le 28.02.2019 avec • dilatation du pyélon à 1,3 cm Urolithiase gauche le 17.12.2017 Urolithiase droite le 15.04.2018 Lithiase urétéro-vésicale obstructive de 7 x 8 x 9 mm le 03.12.2018 • Dilatation pyélon à 14 mm et uretère à 27 mm • Créatinine 106 mcmol/l • pose de sonde double J (Dr. X), enlevée le 14.02.2019 Réaction allergique de stade 2 sur piqûre de guêpe/abeille le 27.07.2018 Urosepsis à Citrobacter koseri le 04.02.2019 Urosepsis à E. Coli ESBL le 11.02.2019 : • Dans un contexte de carcinome épidermoïde moyennement différencié du pénis • Avec antécédents de pyélonéphrite droite à E. Coli ESBL le 13.08.2018 avec lithiase millimétrique à la jonction urétéro-vésicale D et urosepsis le 06.09.2018 à E. Coli ESBL CiproS, MeroS Urosepsis à E. Coli, le 05.01.2019 Urosepsis à E. Coli multisensible sur sonde vésicale à demeure. Urosepsis à E. Coli post-biopsies prostatiques (TRUS). Urosepsis à E. Faecalis et M. Morganii le 30.12.2018 • Chez patient porteur d'une sonde trans-urétrale à demeure et d'une sonde double J à droite • Changement de la sonde vésicale au service des urgences de l'HFR Tavel le 29.12 et le 30.12.2018 • Antibiothérapies : • Cefepime du 30.12 au 31.12.2018 • Vancomycine du 30.12 au 31.12.2018 • Tazobac du 31.12.2018 au 07.01.2019 • Cefepime + Vancomycine les jours de dialyse dès le 09.01.2019 (selon avis néphrologique) • Changement de la sonde double J le 11.01.2019 avec complication d'une macrohématurie : pose de sonde vésicale à 3 voies Péjoration d'un tremblement de type myoclonie/dyskinésie sévère possiblement d'origine médicamenteuse le 21.05.2018 Hidrocystome coin interne œil gauche : • Résection au bloc le 08.01.2018, sans complication Multiples épisodes de thromboses du cathéter de dialyse • Nécessite une anticoagulation à vie Otites externes mycotiques gauches les 12.06 et 30.10.2017 Status après fracture de la patella gauche après chute le 02.07.2016 Urosepsis à E. Coli. Urosepsis à Escherichia coli le 14.09.2016 Anisocorie et trouble de l'oculomotricité inférieure bilatérale le 05.04.2014, sans autres déficits neurologiques focaux Incision et drainage d'un kyste sébacé de la fesse droite le 15.01.2014 Trapézectomie et plastie de suspension le 01.05.2012 pour rhizarthrose invalidante à droite (Dr. X) Pyélonéphrite bilatérale en 2006 et droite en 2009 Ostéomyélite de la fibula gauche sur ulcère de la malléole externe gauche d'origine vasculaire Amputation P2 et confection d'un moignon au gros orteil gauche pour ostéomyélite en 2003 Mastoïdite bilatérale sur dysfonction tubaire post-rhinite non datée État confusionnel aigu d'origine médicamenteuse (Lyrica, MST) post-artériographie le 23.02.2017 État confusionnel aigu avec hallucinations visuelles le 31.12.2016 Tabagisme ancien 12 UPA Trochantérite gauche 10.2017 Urosepsis chez un patient avec néphrostomie G le 13.02.2019 • Drain changé le 07.02.2019 • Cancer urothélial de la vessie au stade cT2 à 3 cN2 cM1 (médiastinal, foie) • date du diagnostic : 22.10.2018 Urosepsis chez un patient avec néphrostomie G le 13.02.2019 DD : pneumonie • Drain changé le 07.02.2019 • Cancer urothélial de la vessie au stade cT2 à 3 cN2 cM1 (médiastinal, foie) diagnostiqué le 22.10.2018 Urosepsis le 11.02.2019 • Pyélonéphrite droite à E. Coli ESBL le 13.08.2018 avec lithiase millimétrique à la jonction urétéro-vésicale D (traitement par Ciproxine jusqu'au 27.08.2018) • Urosepsis le 06.09.2018 : Urotube le 06.09.2018 : E. Coli ESBL CiproS, MeroS Urosepsis le 18.02.2019 à E. Coli • État confusionnel • État fébrile • IU à répétition Urosepsis le 27.01.2019 Urosepsis le 29.01.2019 • qSOFA-Score : 1 Point (Tension 100/42 mmHg, puls 89 bpm, FR 18/min) Urosepsis sur infection à Klebsiella pneumoniae et E. Coli le 23.01.2019 dans le contexte d'immunosuppression par Méthotrexate. Urosepsis sur une pyélonéphrite Urostix positif Urotube : E. Coli sensible au Bactrim Bactrim Forte 2x/j pendant 5 jours Urotube Urotube Urotube : infection par Staphylocoque simulans et Citrobacter koseri, sensibles toutes deux à la Co-Amoxicilline. Urotube à pister Reprise de l'antibiothérapie par Ciprofloxacine pour 7 jours dès le 29.01.2019 Urotube. Ablation de la sonde urinaire le 23.01.2019. Urotube (après appel tél avec le labo microbiologie): 10^6 BG nég, Antibiogramme dans 24 heures Bilan biologique: diminution du syndrome inflammatoire avec CRP à 161 sans Leucocytose. Urotube du 22.02 : E. Coli sensible Poursuite de l'antibiothérapie par Ciprofloxacine pendant 7 jours au total Réitération des signes de gravité et de la gestion de l'antalgie. Urotube: E.Coli sensible au Fosfomycine, résistant au Bactrim Fosfomycine 3g dose unique le 28.01.2019. Urotube en cours Nitrofurantoïne du 22.02 au 26.02.2019. Urotube le 05.02.2019: 10^5 germes, S. hominis et S. oralis ABT i.v. par Rocéphine 2 g 1x le 05.02.2019, puis relais p.o. par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j du 05.-11.02.2019. Urotube le 10.02.2018 : E.coli multisensible 10E6 Ciprofloxacine 500 mg 2x/j du 11.02. au 24.02.2018. Urotube le 18.01.2019: 10^6 E. coli multisensible Antibiothérapie i.v. par Co-Amoxicilline 1000 mg 2x/j du 20. au 21.01.2019, puis relais par Rocéphine 2000 mg 1x/j du 21. au 27.01.2019. Urotube le 19.02.2019 : E.coli +++ sensible à Nitrofurantoïne Nitrofurantoïne 2x/j per os du 19.02 au 24.02.2019. Urotube positif au E. Coli et E. faecalis. Urotube. Uro CT-scan le 12.02.2019. Antibiothérapie par Ciproxine 500 mg 2x/j dès le 12.02.2019. Urotube 25.10.2019: E.coli sensible à Ertapenem Ertapenem 1000 mg iv dès le 28.01.2019 dans le cadre de E.coli ESBL et neutropénie stade 4 Avis infectiologie 28.01.2019, Dr. X: probablement une infection urinaire basse, sensible Uvamine pendant 5 jours et stop Ertapenem Suivi clinique. Urotube 28.01.19 : négatif US vésical du 25.01.19 Sonde urinaire dès le 28.01.19 Duodart dès le 28.01.19. Suivi urologique en ambulatoire. Urotube 29.01.19 : E.Coli multi sensible Nitrofurantoïne 3x/J du 30.01.19 au 04.02.19 Betmiga dès le 29.01.19. Urotube 30.01.2019 : Pseudomonas et E.Coli, antibiogramme en cours Hémocultures 29.01.2019 en cours. Urotube. Sédiment urinaire. Traitement symptomatique. Urotube. Suivi clinique. Urticaire. Urticaire. Urticaire. Urticaire. Urticaire. Urticaire aigu d'origine indéterminée, 1er épisode. Urticaire aigu d'origine indéterminée, 1er épisode. DD para-infectieux, allergique (alimentaire sur noix/orange?). Urticaire allergique d'origine indéterminée. Urticaire aux changements de températures sous Bilaxten. Urticaire d'étiologie indéterminée. DD: syndrome néphrotique (pas de protéinurie ni albuminurie). Urticaire diffuse probablement sur Co-Amoxicilline. Urticaire d'origine inconnue DD allergique DD idiopathique. Urticaire d'origine indéterminée. Urticaire d'origine indéterminée DD allergique, virale. Urticaire d'origine indéterminée le 24.02.19. Urticaire d'origine paraviral probable. Urticaire d'origine paravirale probable. Urticaire d'origine probablement virale. Urticaire d'origine probablement virale. Urticaire et angioedème de la face probablement sur prise d'Ibuprofène. Urticaire et érythème sur Bactrim. Urticaire généralisé, le 14.02.19. Urticaire le 23.02.2019. Urticaire médicamenteux au Sintrom. Status après plaie de la jambe droite en 2014. Status après appendicectomie. Status après intervention X pour des varices, probablement par sclérothérapie il y a une vingtaine d'années. Urticaire, probablement virale. Urticaire sur consommation de graines de sésame. US + CT abdominal à prévoir en ambulatoire. Hémocultures à répéter. Patient déjà sous Co-Amoxi. US : Intégrité du tendon tricipital. Déchirure musculaire partielle en regard de la jonction tendino-musculaire du triceps. US : Visualisation de remaniements à la jonction de l'insertion de la musculature des droits antérieurs de l'abdomen sur la symphyse, plus prédominant à droite, avec falsification et zone irritative. US à la recherche d'une collection le 02.02 : collection de 32 mm de long par 13 x 10 mm de diamètre dans le plan axial située dans les tissus mous sous-cutanés en avant du muscle droit abdominal gauche en supra-ombilical. DD hématome en cours de liquéfaction. DD abcès. Deux petits corps étrangers hyperéchogènes pouvant correspondre à des points de suture dans cette même localisation. Pas d'autre collection visualisée (Dr. X). Laboratoire. US à organiser. Contrôle au Team Pied la semaine prochaine pour discuter du traitement. VacoPed en plantar flexion. Prophylaxie thrombo-embolique. US abdo: appendice sp, reste normal. Rx genou D, bassin de face et hanche droite: p. US abdo: pas de globe urinaire. Rinçages multiples. Remplissage vasculaire. Albumine. Lasix ivd puis ivc dès le 30.01.2019. US abdomen le 08.02.2019. Suivi en nutrition. CT abdominal injecté à prévoir en ambulatoire. US abdomen le 15.01.2019 : dans la norme. Suivi biologique. US abdomen supérieur (transmission orale, Dr. X): dilatation des voies biliaires extra- et intra-hépatiques stable, 1 calcul biliaire, sludge, cholédoque distal non visualisé. Avis gastro-entérologique (Dr. X) le 23.01.2019: - Rocéphine 2g 1x/j, Metronidazole 500 mg 3x/j dès le 23.01. au 02.02.2019. - Surveillance des tests hépatiques. - Évaluer nécessité ERCP en un deuxième temps. Avis gastro-entérologique (Dr. X) 26.01.2019 : - IRM des voies biliaires le 28.01.2019. - Surveillance des voies hépatiques. Avis gastro-entérologique (Dr. X) : - Papillotomie par ERCP le 30.01.2019 et extraction partielle des calculs. - Prophylaxie post ERCP par co-amoxicilline 1 g 2x/24h p.o. du 31.01. au 01.02.2019. Cholangio-IRM le 11.02.2019. Avis gastro-entérologique Dr. X : - Re-ERCP le 13.02.2019. - Prophylaxie post-ERCP par co-amoxicilline 1.2 g 3x/24h i.v. du 13.02. au 18.02.2019. US abdominal. US abdominal. US abdominal : appendice visualisé fin, petite lame de liquide libre, ganglions dans le rétropéritoine. Stix et sédiment urinaire : pas de signe d'infection. FSC : leuco 6.9, pas de déviation gauche, Hb 134, Th 243 et CRP : 43. US abdominal : Dr. X : pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement dans le Douglas, vésicule biliaire vue alithiasique, pas d'épanchement spléno-rénal, pas de globe. Retour à domicile. Réassurance. Antalgie. Conseil de se représenter aux urgences si péjoration des symptômes et/ou nausée/vomissement ou céphalée hyperalgique. US abdominal = Épanchement pleural de faible abondance en base droite avec atelectasie de contact. Fine lame d'épanchement pleural gauche. US abdominal = Pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement dans le Douglas, pas de dilatation des voies pyélocalicielles, pas d'épanchement dans le Koehler, vésicule biliaire alithiasique, kyste périvesical donnant un aspect de vessie bilobée. US abdominal = Pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement dans le Douglas, pas de globe vésical, vésicule biliaire alithiasique, pas d'épanchement spléno-rénal. US abdominal = Pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement dans le Douglas, vésicule biliaire alithiasique, pas d'épanchement dans le Koehler. US abdominal : pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement dans le Douglas, dilatation des voies pyélocalicielles à gauche, pas d'épanchement dans le Koehler, vésicule biliaire alithiasique. US abdominal : pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement dans le Douglas, pas de dilatation des voies pyélocalicielles à gauche, pas d'épanchement dans le Koehler, vésicule biliaire alithiasique. US abdominal : pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement dans le Douglas, pas de dilatation des voies pyélocalicielles, pas de globe, pas d'épanchement spléno-rénal.US abdominal = Pas d'épanchement dans le Morrisson, pas d'épanchement dans le Douglas, pas de dilatation des voies pyélocalicielles à gauche, pas d'épanchement dans le Koehler, vésicule biliaire alithiasique US abdominal à discuter si péjoration US abdominal à planifier US abdominal: appendice à la limite supérieure de la norme au niveau de la pointe, pas de liquide libre Bilan inflammatoire: sp US abdominal: Appendice mesurant 5 mm de diamètre, dans les limites de la norme, sans infiltration de la graisse en regard, ni de liquide libre abdominal, légèrement douloureuse au passage de la sonde, pouvant correspondre à une appendicite débutante. Multiples ganglions augmentés en taille et en nombre dans la région péri-caecale et dans la racine du mésentère, compatibles avec une adénite mésentérique. bilan sanguin: CRP 7 mg/l, pas de leucocytose (12.4 g/l), neutrophilie à 11.3 G/l, lymphopénie à 0.45 G/l, thrombocytose 432 G/l US abdominal (au lit du patient) Meropenem IV entre le 03 et le 09.02.2019 US abdominal: beaucoup d'air dans les intestins, collection des selles en partie distale dans le colon. US abdominal bedside (Dr. X): aorte abdominale de taille normale, explication donnée par le médecin. Attitude: • retour à domicile avec traitement symptomatique • contrôle chez médecin traitant dans la semaine. US abdominal, Bilan sanguin et urinaire US abdominal complet: ganglions augmentés en taille et en nombre dans le mésentère et en fosse iliaque droite, épaississement léger de la paroi du colon. Sans autres anomalies. US abdominal demandé. US abdominal demandé Corticostéroïdes à discuter selon US alpha foetoprotéine à doser selon résultat de l'US US abdominal (Dr. X) Avis chirurgical (Dr. X) Surveillance et contrôle chez le pédiatre dans 48 h Reconsulter aux urgences si crise douloureuse US abdominal du 03.02.2019 CT abdominal du 03.02.2019 Microbiologie: Entérocoque faecium multi résistant Drainage sous contrôle radiologique le 03.02.2019 Antibiothérapie par Ceftriaxone et Metronidazole intraveineux du 01.02.2019 au 05.02.2019 Pipéracilline, Tazobac et Vancomycine intraveineux du 05.02.2019 au 11.02.2019 Cubicine intraveineux du 12.02.2019 au 19.02.2019 Ciproxine et Flagyl du 12.02.2019 au 15.02.2019 US abdominal du 06.02: multiples ganglions lymphatiques mésentériques de taille augmentée. Un bilan biologique de contrôle montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 113 mg/l (101 mg/l le 06.02) et une leucocytose à 13 G/l (15.8 G/l le 06.02). Le sédiment urinaire est propre. US abdominal du 15.02.19 US abdominal est demandé en suspicion de parotidite vs adénopathie - radiologue n'est pas disponible, beaucoup d'attente US abdominal HFR Fribourg: cholécystite avec paroi épaissie à 5-7 mm. Petit calcul dans le fond vésiculaire. Pas de signe de complication. Pas de dilatation des voies biliaires. US abdominal: Invagination en hypochondre droit, au-dessous du foie. US abdominal le 05.02.19: Pas de dilatation notable des voies biliaires intra ou extra-hépatiques, partie la plus distale du cholédoque pas identifiable. Pas de calcul dans la vésicule biliaire et pas de signes d'inflammation. Œdème de la tête du pancréas, cependant, le reste du pancréas n'est pas identifiable du fait de la mauvaise échogénicité du patient. CT abdominal injecté le 06.02.19: Pancréatite aiguë avec présence de multiples collections aiguës nécrotiques péri-pancréatiques, sans zone de nécrose intra-parenchymateuse. Absence de complication vasculaire visible. Stéatose hépatique diffuse avec hépatomégalie et splénomégalie nouvelle par rapport à un comparatif de 2013. Absence de lithiase radio opaque visible dans les voies biliaires qui ne sont pas dilatées. Doutes sur une éventuelle colite associée de l'angle colique droit. US abdominal le 08.02.2019: sp. US abdominal le 12.02.2019 ERCP le 13.02.19 Rocéphine 2 g i.v. 1x/j et Flagyl 500 mg i.v. 3x/j du 12.02.19 au 15.02.2019 Cholécystectomie laparoscopique le 15.02.2019 (Dr. X) US abdominal le 17.01.2019. Avis Dr. X le 18.01.2019. US abdominal le 22.12.2018 CT abdominal 23.12.2018 Antibiothérapie intraveineuse par Céfépime et Metronidazole (contexte d'agranulocytose) à partir du 22.12.2018 Cholécystectomie à distance, rendez-vous à la consultation du Dr. X le 14.01.2019 à 10h30 US abdominal le 23.01.2019: pas de thrombose porte US abdominal le 05.02.2019: pas de thrombose porte Aldactone 100 mg 1x/j du 24.01.2019 au 25.01.2019, reprise le 09.02.2019 à 50 mg 1x/j, puis 75 mg 1x/j dès le 10.02.2019, puis 100 mg 1x/j dès le 13.02.2019 Torasémide 5 mg 1x/j dès le 14.02.2019, puis 10 mg 1x/j dès le 15.02.2019 Albumine 20 g 3x/j IV du 31.01.2019 au 05.02.2019, reprise à 20 g 3x/j du 07.02.2019 au 12.02.2019, puis 20 g 2x/j du 13.02.2019 au 14.02.2019 Ponction d'ascite diagnostique le 01.02.2019: • 189 éléments/mm3, protéines 6.4 g/l, albumine 3.5 g/l • microbiologie: négatif à 2 j. Ponction d'ascite diagnostique et évacuatrice le 04.02.2019: 7.7 L de liquide citrin • chimie: 153 éléments/mm3, protéines 9.7 g/l, albumine 7.4 g/l • microbiologie: négatif à 2 j. • cytologie (Promed C2019.173): matériel hémorragique et légèrement inflammatoire à nette prédominance d'éléments mononucléés, sans cellule tumorale maligne Ponction d'ascite diagnostique et évacuatrice le 12.02.2019: 7.3 L de liquide citrin • chimie: 172 éléments/mm3, protéines 18.9 g/l, albumine 13.3 g/l • microbiologie: négatif à 2 j. Ponction d'ascite évacuatrice le 22.02.2019: 1.7 L de liquide citrin Antibiothérapie prophylactique de PBS par Ciprofloxacine 500 mg 1x/j du 02.02.2019 au 25.02.2019 Avis gastro-entérologique (Dr. X) Avis infectiologique (Dr. X) Ponction d'ascite évacuatrice auprès du médecin traitant selon évolution US abdominal le 24.01.2019 Angio-CT le 24.01.2019 Angio-CT le 26.01.2019 Hémocultures le 24.01.2019: négatives Ceftriaxone 2g du 24.01 au 29.01.2019 Prednisone 50 mg pendant 2 semaines, puis schéma régressif (voir carte des médicaments) Angio-CT de contrôle le mercredi 13 février à 11h30 RDV à la consultation du Dr. X le mercredi 20 février à 14h00 US abdominal le 29.01.2019 Suivi biologique US abdominal: pas de lésion hépatique post-traumatique, pas de liquide libre US abdominal 03.02: pas d'argument pour une cholécystite, appendice non visualisé, CT 04.02: adénite mésentérique US abdominal 06.02.2019: lésion focale du segment III hépatique dont l'aspect au CT-scanner et à l'échographie de ce jour parle en faveur d'un hémangiome. US abdominal (26.02.2019) : foie de taille limite supérieure de la norme, sans lésion évidente US abdominal Bilan biologique IRM abdominale le 11.02.2019 US abdominal bilan sanguin Antalgie au besoin Contrôle aux urgences pédiatriques si persistance des douleurs US abdominale 31.01.19 CT abdominale 07.02.19 ECG et Troponine à répétition US abdominal échec de pose de voie à jeun Transfert à Berne pour désinvagination US abdominal Stix et sédiment urinaire Labo sanguin US ambulatoire: déchirure partielle du vaste droit antérieur du quadriceps de la jambe gauche. Avis orthopédique (Dr. X): retour à domicile avec antalgie, cannes, glace, charge selon douleur, arrêt de travail, physiothérapie. Réévaluation chez le médecin traitant à 10 jours. US aux urgences (Dr. X): aorte abdominale à 1,6 cm. Antalgie. Informations et conseils sur lombalgie. Proposition d'IRM en ambulatoire avec suite de prise en charge chez le médecin traitant. Recommandation de reconsulter si troubles neurologiques. US avec Doppler pied droit. Ablation du plâtre et mise en place d'un Vacoped. Anticoagulation par Xarelto 10 mg 1x/jour. Anti-inflammatoire et antalgie selon douleurs. Cannes.Contrôle orthopédique le 09.02.2019. US cardiaque du 07.02.2019. Coronarographie le 07.02.2019 (Dr. X) : angioplastie avec pose d'un stent actif dans l'IVA proximale. Nitroglycérine iv le 07.02.2019. Aspirine à vie, Efient demi-dose (5 mg) pour 6 mois. US cardiaque le 07.02.2019 : FEVG diminuée. Avis Cardio (Dr. X 079/556.10.05) le 07.02 : stop Furosemide et spironolactone, suivi poids 1x/jour et tachypnée. Ablation Dermabond (pansement thoracique) à faire le 18.02.2019. Contrôle en cardiologie pédiatrique chez Dr. X le 28.02.2019 à 11:15h au HFR. US cardiaque le 12.02.2019 : rapport définitif à pister. US : céphalique dos à droite, placenta antérieur normalement inséré sans signe de décollement ; AFI 14, PFE 2433g (P83), Doppler ombilical et cérébral, Vmax 0.57 MoM. US vaginal : Col à 37mm. Laboratoire le 18.02.2019 : Hb 118 g/l, Lc 15.2 G/l, Tc 245 G/l, CRP 9 mg/l. Uricult le 18.02.2019 : négatif. Frottis vaginal le 18.02.2019 : candida albicans. Streptocoque B le 18.02.2019 : négatif. US cervical à faire. US cervical le 12 et 14.02, US abdominal le 12.02. Bilan sanguin le 12.02, non répété. Aspiration gastrique à la recherche de TBC le 15.02. IRM cervico-thoraco-abdominale sans sédation le 15.02 à 8h, pose de VVP pour injection PDC. Avis infectiologue (Dr. X) et hémato-oncologue pédiatre (Dr. X). US ciblé aux urgences : environ 1.3 l. Aux urgences pose de sonde urinaire avec 1.5 l. Sédiment urinaire : leuco positif. US ciblé aux urgences : Hyperplasie de la prostate, globe urinaire, vésicule biliaire alithiasique, pas d'épanchement dans le Morisson, pas d'épanchement dans le Douglas, pas d'épanchement dans le Koehler. US ciblé aux urgences (Dr. X no 532) : thrombose veineuse profonde. CT thoracique : embolies pulmonaires du segment antérieur du lobe supérieur droit et du segment postéro-latéral du lobe inférieur droit, dilatation de l'aorte abdominale 45 mm, hernie hiatale type upside down. Anticoagulation curative par HNF 4000 UI en bolus puis relais 35000 UI par 24h. U/S ciblé (Dr. X) : Laboratoire du 25.01.2019 : pas de syndrome inflammatoire, pas de carence vitaminique, TSH dans la norme. Élastase dans les selles normale. Porphobilinogène urinaires : négatif. OGD le 31.01.2019. Colonoscopie le 31.01.2019. Ajout Metamucil pour régularisation des selles. US ciblé : globe vésical 1200 mL. Sondage vésical (1500 mL). Urines. US ciblé le 25.01.2019. Sonde urinaire dès le 25.01.2019. US : col à 12 mm, stable au Vasalva. Hospitalisation pour surveillance. Maturation pulmonaire par Celestone chronodose 12 mg le 12.02 - 13.02.2019. Tocolyse à l'entrée par Nifédipine 10 mg cps au 15 min durant 1h, puis Adalat CR 30 2x/j. US cuisse G : Visualisation d'un hématome de 3 x 2 cm en regard du tensor du fascia lata. US de l'IPD : mise en évidence d'un arrachement de l'insertion du ligament collatéral radial avec une rétractation de ce dernier. Pas d'autre lésion mise en évidence. US des voies biliaires. US des voies biliaires le 20.02.2019. Rapport en cours de rédaction. US des voies urinaires de débrouillage aux urgences (Dr. X) : globe urinaire. Patient refuse pose de sonde urinaire ou tout acte complémentaire et sort contre avis médical, il dit recontacter son urologue traitant Dr. X pour avancer le rendez-vous si nécessaire. US des voies urinaires le 13.02.2019 : dilatation pyélo-calicielle gauche superposable au dernier CT. CT abdominal le 14.02.2019 : pas d'obstruction post-rénale. US des 2 hanches : la hanche D montre un angle alpha à 62° et de bêta à 41°. La forme osseuse est bien angulaire et le cartilage est bien constitué. La hanche G montre un angle alpha à 60° et de bêta à 47°. La forme osseuse est encore bien arrondie. Le cartilage est également bien constitué. US des 2 hanches de ce jour : les 2 têtes fémorales sont bien centrées dans l'articulation ilium et avec un angle alpha à 62° ddc. US dig 2 main gauche le 11.02.2019 : œdème des tissus mous sous-cutanés, mais pas d'épanchement en périphérie des tendons fléchisseurs du 2ème rayon. Par ailleurs, pas d'image de collection, ni d'abcès. US doppler du membre inférieur gauche le 01.02.2019. US Doppler jugulo-subclavier le 29.01.2019 (Dr. X) : manchon fibrineux sur 4 cm de long et 6 mm de large au niveau jugulaire interne D, sans extension visible dans le TVBC ; pas d'autre thrombose au niveau jugulaire G ou subclavier. US Doppler de contrôle à 1 semaine le 05.02.2019 : diminution du manchon, mesuré ce jour à 3 cm de long x 4 mm d'épaisseur. Anticoagulation prophylactique au vu de la thrombopénie par Clexane 40 mg du 29.01 au 31.01.2019. Anticoagulation thérapeutique par Xarelto 15 mg 2x/j dès le 01.02.2019 (avec Tc > 40 G/l, discuté avec Dr. X). Rendez-vous de contrôle prévu le 15.02.2019 à 15h en angiologie avec réévaluation de l'indication à la poursuite de l'anticoagulation thérapeutique. US du pied D apporté par le patient : masse inhomogène encapsulée de 3 x 4 cm (pas de mesure documentée). US du 3ème doigt G le 12.02.2019. Prochain contrôle clinique le 12.02.2019. US genou droit : examen compatible avec une rupture totale du tendon quadricipital. ECG : bloc atrio-ventriculaire type 1. US (hanches ddc) : montre une hanche à gauche bien centrée avec une tête fémorale sous l'acétabulum et un angle de l'alpha à 60°. La hanche droite présente une tête toujours excentrique avec l'angle de l'alpha à 53°. US hépatique 21.02.19 : (prov) pas d'inversion du flux, pas d'image de cirrhose visualisée. Benerva 300 mg 3x/j IV du 19.02.2019 au 21.02.2019. Sevrage par Seresta selon score CIWA. Refus de prise en charge du sevrage alcoolique. Patient n'est pas intéressé à un sevrage dans une unité spécialisée ni de consultation spécifique mais est conscient des risques liés à une ingestion importante d'alcool, notamment du risque de néoplasie élevée et de varices œsophagiennes. US hépatique 22.02.2019. US hépatique 28.12.2018 : Hépato-splénomégalie, avec hypertension portale et quantité modérée d'ascite dans les quatre quadrants, sans mise en évidence de thrombose portale. US inguinal 08.02.2019 : Hernie inguinale gauche réductible à contenu graisseux sans signe d'incarcération. US le 06.02.2019 (Dr. X) : Appendice de diamètre augmenté, atteignant 14 mm, contenant de multiples stérolithes dont un à la base de l'appendice mesurant 8 mm. Aspect inflammatoire de la graisse péri-appendiculaire et mise en évidence d'une lame de liquide libre au contact de l'appendice. Pas de liquide libre ailleurs dans l'abdomen. Conclusion : appendicite aiguë. US le 22.01.2019. US le 29.01.2019. US main G le 14.01.2019. US main G le 16.01.2019. US main G le 13.02.2019. US MID le 16.02.2019. Mobilisation. Majoration du torem. US non effectuée car 5h30 de douleurs. US parties molles coude D 12.02.2019. US parties molles du cou : Conglomérat d'adénopathie, pas de collection, pas de kyste. US parties molles/testicules et voies urinaires : phlegmon du périnée gauche sans abcès, pas d'atteinte testiculaire, persistance d'urine dans la vessie (après une émission d'urines durant l'examen), rein en fer à cheval non évaluable car non compliance patient.US pleural (Dr. X) : pas de décollement, glissement pleural sans particularité. AINS. Repos et réassurance. Recommandations d'usage. US post-mictionnel : 80 ml Spasmo-urgénine du 07.02.2019 au 10.02.2019 Sonde urinaire dès le 10.02.2019 US (Dr. X) Doppler (Dr. X) : réseau artériel perméable Avis Dr. X : retour à la villa St-François, traitement avec clexane 60 mg sc 2x/J Thérapie : • Héparine 5000 U i.v. à 13h Attitude : • Retour à la villa St-François US pulmonaire et cardiaque : • Pulmonaire = présence de ligne B en apex gauche, glissement pleural ok, au niveau droit visualisation de quelques lignes B en apex avec abolition du glissement pleural • Cardiaque = Dilatation des cavités droites par rapport à gauche, FEVG altéré à 50 % visuellement avec doute sur trouble de la cinétique oreillette droite. Péricarde sec. Patient faiblement échogène. US rénal le 30.01.19 Losartan en suspens dès le 28.01.19 US système uro-génital du 30.01.2019 Rein droit mesurant 10.3 cm d'axe bipolaire, présentant une bonne différenciation cortico-médullaire sans lésion focale parenchymateuse. Discrète ectasie pyélocalicielle avec un pyélon mesuré à 9 mm. Le rein gauche est mesuré à 10 cm d'axe bipolaire, présentant une bonne différenciation cortico-médullaire, sans mise en évidence de lésion focale. Pas de dilatation des cavités pyélocalicielles gauches (pyélon 6 mm). Vessie vide avec sonde urinaire en place. Consilium infectiologie le 30.01.2019 : Nous vous proposons de diminuer le spectre en remplaçant la Co-amoxicilline par du Clamoxyl 2 g 4x/24h et d'effectuer un taux résiduel lundi 04.02.19. La durée du traitement sera d'un minimum de 2 semaines, mais la durée définitive sera déterminée en fonction des germes retrouvés ou non sur les biopsies per-opératoires et de la stratégie de réimplantation d'une prothèse. En ce qui concerne la VVC, il n'est pas nécessaire de la changer à l'heure actuelle. Cependant, celle-ci devra être changée avant de réimplanter une prothèse ou retirée si une fenêtre thérapeutique est envisagée (on ne peut pas exclure une colonisation de l'extrémité de la VVC par ce germe, étant donné que la patiente est actuellement sous antibiotiques). US système urogénital du 30.01.2019 Rein droit mesurant 10.3 cm d'axe bipolaire, présentant une bonne différenciation cortico-médullaire sans lésion focale parenchymateuse. Discrète ectasie pyélocalicielle avec un pyélon mesuré à 9 mm. Le rein gauche est mesuré à 10 cm d'axe bipolaire, présentant une bonne différenciation cortico-médullaire, sans mise en évidence de lésion focale. Pas de dilatation des cavités pyélocalicielles gauches (pyélon 6 mm). Vessie vide avec sonde urinaire en place. Consilium infectiologie le 30.01.2019 : Nous vous proposons de diminuer le spectre en remplaçant la Co-amoxicilline par du Clamoxyl 2 g 4x/24h et d'effectuer un taux résiduel lundi 04.02.19. La durée du traitement sera d'un minimum de 2 semaines, mais la durée définitive sera déterminée en fonction des germes retrouvés ou non sur les biopsies per-opératoires et de la stratégie de réimplantation d'une prothèse. En ce qui concerne la VVC, il n'est pas nécessaire de la changer à l'heure actuelle. Cependant, celle-ci devra être changée avant de réimplanter une prothèse ou retirée si une fenêtre thérapeutique est envisagée (on ne peut pas exclure une colonisation de l'extrémité de la VVC par ce germe, étant donné que la patiente est actuellement sous antibiotiques). US système urogénital Urocit à continuer avec pH urinaire 1x/semaine pour adapter la dose si nécessaire Suivi chez Dr. X US testiculaire bilatéral (Dr. X) : hématome péri-testiculaire des deux côtés, lésion hypodense droite au niveau du pôle inférieur faisant environ 7 mm, pas de saignement actif. Traitement symptomatique et poursuite de l'antibiothérapie prescrite en Turquie. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. US testiculaire : épididyme hyperémié bilatéralement, pas de signe de torsion testiculaire. US testiculaire le 01.02 : Comparatif du 20 janvier 2019 : nette diminution des veines péri-testiculaires avec une persistance de veines au niveau scrotal. Nous constatons toujours un reflux au niveau de ces veines mais la veine spermatique au niveau du canal inguinal semble avoir un calibre normal. Homogénéité des deux parenchymes testiculaires avec présence d'une vascularisation relativement importante de ceux-ci. Discrète hydrocèle bilatérale. IRM abdominale et testiculaire 04.02 : Absence de masse sur le trajet des veines spermatiques. Bon rehaussement des testicules ddc. On note néanmoins une asymétrie d'intensité de rehaussement des veines du cordon spermatique en défaveur de la gauche. Cystographie : 07.02 : présence d'un kyste urétéral, pas de critère pour une orchite chimique. Stix urinaire 01.02 : sans particularité Bilan sanguin 01.02 : hémoglobine à 150 g/l, pas de leucocytose, bilan hépatique hémolysé mais GPT dans la norme Sérologie Oreillons négative, EBV ancienne positive (IgG 285 U/ml, EBNA IgG 30.9 U/ml) Avis multiples à Dr. X : conseil pris auprès des urologues pédiatriques du CHUV puis auprès des urologues adultes du HFR. Pas de nécessité de prise en charge chirurgicale. US testiculaire AINS pendant 48 heures Contrôle chez le pédiatre si persistance des douleurs US tissus mous inguinal droit : absence de tuméfaction, hématome, abcès US testicule gauche : absence de signe de torsion US urogénitale le 28.01.2019 Suivi urologique en ambulatoire Traitement par Betmiga US : utérus AVF de 73x58x68 mm, présence de SG de 21.4 mm avec VV et embryon de 4.6 mm (6 1/7 SA selon LCC) sans signes US de décollement du trophoblaste, ovaires ddc sp, pas de liquide libre au Douglas. Stix : propre US vasculaire 27.01.2019 : veine fémorale D et G compressible, poplitée D et G compressible, pas d'argument pour une TVP Rx genou G 27.01.2019 US genou G 27.01.19 : épanchement articulaire US vésical aux urgences, le 03.02.2019 : masse intra-vésicale découverte fortuite Avis Chirurgie : Avis Urologie en Ambulatoire ou lors de l'hospitalisation US voies urinaires le 25.01.2019 Sonde urinaire dès le 28.01.2019 Pradif dès le 28.01.2019 US voies urinaires/génitales/sous-cutané Poursuite antiothérapie par Co-amoxicilline 80 mg/kg/jour Contrôle clinique dans 24h aux urgences US-doppler le 01.02.2019 US Examen au spéculum Examen gynécologique Bilan biologique Stix TG USTV : grossesse intra-utérine avec embryon dont le LCC correspond à la DDR, présence d'un kyste hémorragique à gauche avec léger hémopéritoine (épanchement de 2 cm dans le Douglas) Laboratoire du 01.02.2019 : Hb 132 g/L Hospitalisation pour surveillance et contrôle de l'hémoglobine le 02.02.2019 à 113 g/L stable par la suite USTV : sac gestationnel intra-utérin, ovaires visualisés des deux côtés sans particularités Laboratoire : Hb 122 g/L Groupe sanguin : B Rhésus positif Hospitalisation pour surveillance et antalgie, Utrogestan USTV : utérus AVF, présence de sac gestationnel au fond utérin avec embryon de 3.4 mm de LCC, sans activité cardiaque, avec vésicule vitelline hydropique. Ovaires vus sans particularité des deux côtés. Laboratoire du 16.02.2019 : Hb 122 g/L, Lc 17.7 G/L, Tc 253 G/L Groupe sanguin : B Rhésus positif • Utérus cloisonné • Utérus myomateux • Utérus polymyomateux symptomatique chez une patiente 5 G 5 P de 49 ans • Utérus polymyomateux symptomatique avec hyperménorrhée anémiante chez une patiente 1G0P de 31 ans • Utérus polymyomateux symptomatique chez une patiente 1G 1P de 49 ans • Utérus poly-myomateux symptomatique chez une patiente, 2 gestes 2 pares de 69 ans • Utrogestan 100 2x/j Prochain contrôle chez votre cabinet le 18.02.2019. • Uvéite granulomateuse d'origine indéterminée (sous azathioprine) • Uvéite granulomateuse d'origine indéterminée (sous Azathioprine) Diabète de type 2 insulino-requérant • V.a ischämischen CVI • im CT: Doute sur une petite hypodensité cortico-sous-corticale post-centrale gauche au niveau du vertex (image 114) • V.a. muskuläre Krampf links • D-Dimères non augmentés (444) • St.n. Venenthrombose im linken Bein in 2014 Voltaren Dolo Gel, Brufen • V.a. Purpura Schönlein-Henoch • avec Knieschwellung links, palpable Purpura der Beine, Schwellung OSG mit Hämatom beidseits En entente avec la pédiatre de garde, transfert à la pédiatrie au Kantonsspital Fribourg • V.a. stable Angina pectoris Beschwerden St.n. Karpaltunnelspaltung bds Verschluss der retinalen Zentralvenen 2003 • Vaccin anti-tétanique à jour. Anesthésie (Rapidocaïne 1% et bicarbonate), désinfection (Bétadine), champage, exploration sans visualisation des tendons. Avis et passage du Dr. X, orthopédiste : exploration par lui-même. Suite à faire au bloc opératoire. Suture par 3 points simples d'Ethilon 4.0. Pansement simple. Co-Amoxicilline 2.2 g iv aux urgences. La patiente sera contactée demain matin pour une prise en charge au bloc opératoire. A jeun dès minuit. Retour à Marsens en ambulance sur risque suicidaire élevé. • Vaccin anti-tétanique à jour. Avis chirurgical du Dr. X : Désinfection, rinçage et exploration sous anesthésie locale par Lidocaïne-Bicarbonate. Rapprochement des berges par 2 points (Ethilon 5.0) avec pansement. Pas d'antibiotique d'emblée. Contrôle chez le médecin traitant à 48h. Ablation des fils à J5 chez le médecin traitant. Antalgie simple par Brufen et Dafalgan. • Vaccin antitétanique. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline. • Vaccin antitétanique effectué le 18.01.2019 • Vaccin anti-tétanique fait ce jour. Examen clinique. Exploration sous anesthésie locale par le Dr. X, orthopédiste. Rinçage et désinfection. Suture avec Ethylon 4.0. Céfuroxime iv 1.5 g aux urgences. Pansement avec Adaptic, compresses, Cofix. Arrêt de travail pour 2 semaines. Consultation en policlinique d'orthopédie le lundi 25.02.2019. • Vaccin anti-tétanique. Suture par le Dr. X, ORL. A noter 2 points de Prolène 5.0 en regard du septum gauche. Stéristrips. Arrêt de travail. • Vaccin tétanos chez la pédiatre Ablation des fils à 7 jours • Vaccination à proposer en ambulatoire • Vaccination antitétanique à jour. Avis orthopédique (Dr. X) : ad laboratoire, RX, puis US. RX D2 main droite f/p : pas de corps étranger visualisé. US tissus mous : pas de corps étranger. Pas de collection. Laboratoire : CRP 19, pas de leucocytes. ATTENTION : allergie à l'Augmentin. Avis orthopédique (Dr. X). Dalacin 300 mg 3x/jour pendant 10 jours. Attelle Edimbourg. Contrôle secteur ambulatoire des urgences à 48h. • Vaccination anti-tétanique. Radiographie doigts main gauche : pas de fracture, pas de corps étranger visible. Parage de la plaie : Dr. X : désinfection locale, champage, anesthésie locale par Lidocaïne 1%, pose de points 4/0 face latérale du 2ème doigt gauche, cicatrisation dirigée pour le 3ème doigt gauche. Retour à domicile. Antalgie. Antibiothérapie préventive par Co-Amoxicilline 1 g. Conseil de réévaluer par le médecin si signe d'infection locorégionale. Ablation des fils à J8. • Vaccination anti-tétanos à jour. Désinfection, anesthésie locale à la Rapidocaine, exploration de la plaie ne mettant pas en évidence d'atteinte de la veine saphène, rinçage abondant au NaCl 0.9%, suture par 4 points d'Ethilon 4.0, pansement Adaptic. Réfection du pansement à 48h chez le médecin traitant. Ablation des fils de suture à 14 jours chez le médecin traitant. Antalgies et anti-inflammatoires de réserve. Consultation aux urgences en cas d'apparition de douleurs ou de signes inflammatoires locaux. Arrêt de travail donné. • Vaccination anti-tétanos à jour. Examen clinique. Anesthésie locale par Gel-let, désinfection, exploration de la plaie et rinçage au NaCl, suture par 2 points d'Ethilon 5-0, pansement. Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve. Changement du pansement à 48h par les parents, consultation en cas d'apparition de signes inflammatoires locaux. Ablation des fils de suture chez le pédiatre à 5 jours. Consignes de surveillance post-traumatisme crânien données aux parents. • Vaccination contre la grippe saisonnière chaque année et contre le pneumocoque Contrôle à 6 semaines et dosage de la TSH par le médecin traitant Suivi en ergothérapie en ambulatoire pour travail de la cicatrice Poursuite de la physiothérapie en ambulatoire Consultation avec anesthésiste le 20.02.2019 à 15h00 à l'HFR Fribourg Consultation avec le Dr. X, ORL, le 21.02.2019 à 11h30 à l'HFR Fribourg OGD en ambulatoire le 27.02.2019 à 11h30 à l'HFR Fribourg PET-CT en ambulatoire organisée par le Dr. X. Convocation envoyée au domicile de la patiente. • Vaccination contre la grippe saisonnière chaque année et contre le pneumocoque Discuter la réintroduction d'un IEC en ambulatoire Suivi du poids et kaliémie en ambulatoire et adaptation des traitements diurétiques en fonction Suivi des glycémies et adaptation de l'insulinothérapie • Vaccination contre la grippe saisonnière chaque année et contre le pneumocoque Réhabilitation respiratoire en ambulatoire à l'HFR Billens • Vaccination ROR à faire lors du contrôle du post-partum. Prévoir des sérologies au post-partum pour la varicelle. • Vaccination ROR au contrôle post-partum • Vacciné à l'HFR le 23.11.18 contre la grippe Laboratoire RX du thorax du 11.02.19 : probable foyer basal droit Hémocultures du 11.02.19 : négatif Antigènes urinaires : négatif Frottis grippe : négatif Co-amoxicilline 2.2g 3x/j du 11.02.19 au 16.02.19 Soins de confort • Vaccins à jour anamnestiquement, carnet non vu. Pas d'allergies connues. • VacoPed en flexion 30°, marche en charge à l'aide de cannes, prophylaxie thrombo-embolique avec Clexane 40 mg 1x/jour. Antalgie en réserve. Ultrason et contrôle team pied le 25.02.19. • Vaginite le 10.02.2019 • Vaginose à gardnerella vaginalis • Vaginose bactérienne • Vaginose le 07.02.2019 • Valaciclovir per os (1 g 2x/j) du 18.02 au 25.02.19 • Valeurs de base du patient au vu du contexte oncologique Ad suivi biologique • Valtrex PO du 03.12.2018 au 8.12.2018 Frottis le 28.11.2018 : positif pour HSV-1, HSV-2 négatif. VZV négatif. • Valve aortique prothétique - sous Sintrom. • Valve mécanique aortique sur valvulopathie rhumatismale (2002, CHUV) • Valverde et Bulboïd. • Valvulopathie (insuffisance tricuspidienne ?). • Valvuloplastie aortique par bioprothèse en janvier 2011 pour sténose aortique serrée avec dilatation post-sténotique de l'aorte ascendante et de la crosse proximale. Prothèse de la crosse aortique pour anévrisme de l'aorte ascendante en janvier 2011. Fermeture du foramen ovale en janvier 2011. Cure de hernie épigastrique en 1985. Hyperplasie de la prostate grade II avec résection transurétrale de la prostate (RTUP) - Dr. X le 06.06.2018. • Vancomycin 1 g i.v le 02.02.2019 et 2x 750 du 02.02. au 11.02.2019 Rocephin 2 g 1x/24h i.v. du 02.02. au 11.02.2019 Hémocultures le 01.02.2019 • Vancomycine du 17 au 29.11 Angio-CT (19.11.2018) Angiographie (20.11.2018) Amputation supra-géniculée, le 26.11 • Mr. Y présente un syndrome grippal débutant pour lequel nous proposons un traitement symptomatique. En raison d'une diarrhée ce matin, nous évoquons une possible gastro-entérite débutante pour laquelle nous rappelons les consignes d'hydratation à la mère. • Varicelle • Varicelle • Varicelle • Varicelle • Varicelle • Varicelle au détour • Varicelle débutante • Varicelle le 25.05.2014. Polyarthralgie sans signe inflammatoire, le 04.2014. • Varicelle surinfectée • Varicelle Douleurs pénis à la miction DD trouble urinaire, gastrointestinal, lié à phimosis le 25.06.2012 antalgie, contrôle demain à la consultation de pédiatrie • Varices ddc (stade C4a EP AS PR), plus symptomatique à D qu'à G • Cure de varices au niveau du MID: stripping de la grande veine saphène D (OP le 23.05.2016) • Phlébectomie étagée du MID (OP le 23.05.2016) • Varices des membres inférieurs Hypothyroïdie (Hashimoto) substituée • Varicocèle du testicule gauche. • Vasculite à ANCA de type MPO avec • Syndrome inflammatoire depuis 07.2018 • Mononevrite (1 épisode résolutif, ENMG le 6.11.2018 : lésion de type myélinique du sciatique poplité externe G à la tête du péronée) • Thromboses multiples récidivantes • Sinusite chronique • Toux chronique Bilan (peu d'arguments pour une origine infectieuse ou paranéoplasique): • facteur rhumatoïde et anti-CCP négatifs • bilan précédent : FAN négatif (Ac Anti-ENA (screen) 3,5 U contient, SS-A, SS-B, Sm/RNP, Scl 70, nDNA, Jo1, centromères, PmScl, PmScl, PCNA, Mi2, Ku, ThTo, RNA Pol III, Ribosomes • sérologies hépatites A, B, C HIV, CMV (IgG et IgM), brucellose, borréliose, fièvre Q : négatifs • Ancienne infection EBV • Hémocultures multiples entre 25.08 et 02.09 : négatives • CA 19-9, CEA et PSA : dans la norme • PET CT le 30.08.2018 : moelle réactive, reste s.p. • Ponction biopsie de moelle osseuse : moelle réactionnelle • Biopsie ORL : légère éosinophilie (Attention, sous prednisone), pas de signe inflammatoire • Dots ANCA + avec anti-MPO à ++. Précédente immunofixation douteuse. Nouvelle immunofixation négative. Contrôle en cours. • Vasculite leucocytoclasique avec quelques dépôts d'IgA d'origine indéterminée actuellement (médicamenteuse en 1) avec • atteinte rénale (hématurie microscopique - type glomérulaire, protéinurie et albuminurie nouvelle) • atteinte cutanée (Lésions purpuriques puis ulcérées à l'emporte-pièce sur les 2 chevilles) • bilan angiologique le 16.01.2019 (Dr. X) : s.p. • biopsie cutanée le 30.01.2019 (Dr. X) : pas de vasculite active, dépôt d'IgA périvasculaire. FR et anti-CCP : négatifs (2016) bilan biologique 28.01.2019 : • cryoglobuline : négatif • Electrophorèse de protéines : inflammation aspécifique, pas de gammapathie • C3c augmenté, C4 s.p. • FAN et DOT vasculite : négatifs • anticorps anti-phospholipides : négatifs • ASLO : 74, s.p. DD : • Vasculite à IgA (Henoch-Schonlein) • Vasculite leucocytoclasique médicamenteuse : Clopidogrel, dulaglutide, Remicade 07.2017-01.2019 • Syndrome d'emboles de cholestérol : Post-angioplastie, survenue dès instauration de double antiagrégation/anticoagulation • Paranéoplasique (perte pondérale 8 kg, épanchement pleural G d'origine indéterminée, PR séronégative) - pas d'indice au CT thoraco-abdo • Vasektomie • Vasoplégie post-opératoire et défaut de remplissage le 30.01.2019 • Vasoplégie post-opératoire plurifactorielle, sur ischémie-reperfusion et antalgie péridurale le 11.02.2019 • Vasospasmes coronariens per-interventionnels le 04.02.2019 Vd.a. latente arthrite rhumatoïde (ED am 07.02.2019) • Klinik : chroniques douleurs mains bilatérales, HWS, genou gauche • 2003 doigt polyarthroses, Dupuytren bilatéral • 2011 gonarthrose gauche • 05.02.2019 : facteur rhumatoïde 201 IU/mL, CCP 62 U • depuis 10/2018 sous Spiricort (initial 20 mg, en cours 10 mg, puis 15 mg) • recommandation de traitement (Rheumatologie Inselspital) : début avec Leflunomid • 14.02.2019 : VIH 1+2, Hépatite B (HBs+anti-HBc) et C négatif Vd.a. Ostéoporose • CT Thorax am 07.02.2019 : Deckplattenimpressionsfraktur LWK 1 • sous Calcimagon • Candidose oropharyngée le 22.07.2015 • Veine enflée au niveau d'un Venflon posé le 07.02.2019. • Veines variceuses membre inférieur D, face interne • Vendredi 08.02.19 chez le pédiatre (contrôle du tympan D) • Venlafaxine • Lorazépam en réserve : refusé • Ventilation jusqu'à 13 minutes de vie Oxygénothérapie le 02.02 • Ventilation mécanique : voir diagnostic principal Ventilation non invasive intermittente du 31.01.2019 au 06.02.2019 Reprise de la CPAP nocturne dès le 06.02.2019 Physiothérapie respiratoire • Ventilation non invasive du 04.02 au 08.02.2019 CPAP personnelle dès le 08.02.2019 • Ventilation non invasive du 09.02.2019 au 10.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 09.02.2019 au 10.02.2019 Frottis grippe le 10.02.2019: négatif Solumédrol 125 mg le 09.02.2019 Prednisone dès le 10.02.2019 Ventilation non invasive du 09.02.2019 au___ Cathéter artériel radial droit du 10.02.2019 au___ Antigénurie Legionelle et Pneumocoque le 10.02.2019 Frottis grippe le 10.02.2019: Radiographie de thorax Solu-médrol 125 mg le 10.02.2019 Prednisone du 10.02.2019 au___ (CAVE : arrêter si grippe) Ventilation non invasive intermittente du 22.01.2019 au 23.01.2019 Ponction pleurale droite le 21.01.2019 et gauche le 22.01.2019 Diurétiques Ventilation non invasive intermittente et physiothérapie respiratoire Traitement diurétique Ventilation non invasive nocturne dès le 31.01.2019 en collaboration avec l'équipe de pneumologie Ventilation non invasive Surveillance post-opératoire en salle de réveil avec évolution favorable Radiographie thoracique excluant un pneumothorax Ventilation non-invasive dès le 20.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 20.02 au 22.02.2019 Furosemide le 20.02.2019 Acétyzolamide le 21.02.2019 Ventilation non-invasive dès le 21.02.2019 Furosemide du 21.02 au 24.02.2019 Suivi du poids et de la volémie Ventilation non-invasive du 03.02 au 06.02.2019 Intubation oro-trachéale (CK 1) et ventilation mécanique du 05.02 au 06.02.2019 Reprise de VNI habituelle dès le 08.02.2019 Prednisone du 04.02 au 09.02.2019 Pipéracilline/tazobactam du 03.02 au 06.02.19 Adaptation bronchodilatation Suivi par Dr. X pneumologue (évaluation en cours pour traitement par valves pulmonaires) Ventilation non-invasive du 24.02.2019 au 26.02.2019 Furosemide dès le 24.02.2019 Nitroglycérine du 24.02.2019 au 25.02.2019 Reprise du sartan dès amélioration de la fonction rénale Echocardiographie transthoracique le 25.02.2019 Echocardiographie transoesophagienne à envisager Ventilation non-invasive le 05.02.2019 Intubation orotrachéale avec ventilation mécanique du 06.02 au 14.02.2019 (ventilation contrôlée et curarisation du 06.02. au 10.02.2019) Ventilation non-invasive du 14.02.2019 au 15.02.2019 Bronchoscopie le 08.02.2019 • Prednisone du 03.02 au 08.02.2019 • Co-Amoxicilline du 03.02 au 07.02.2019 • Céfépime du 09.02 au 11.02.2019 • Cathéter artériel radial gauche du 06.02 au 15.02.2019 • Sonde vésicale dès le 06.02.2019 • Sonde nasogastrique avec alimentation entérale du 06.02 au 14.02.2019 • Voie veineuse centrale jugulaire droite du 06.02 au 15.02.2019 • Réhabilitation respiratoire à Billens : patiente inscrite • Ventilation non-invasive le 05.02.2019 • Intubation orotrachéale avec ventilation mécanique du 06.02 au 14.02.2019 • Ventilation contrôlée et curarisation du 06.02 au 10.02.2019 • Ventilation non-invasive du 14.02 au 15.02.2019 • Bronchoscopie par les soins intensifs le 08.02.2019 • Prednisone du 03.02 au 08.02.2019 • Co-Amoxicilline du 03.02 au 07.02.2019 • Cathéter artériel radial gauche du 06.02 au 15.02.2019 • Sonde vésicale dès le 06.02.2019 • Sonde nasogastrique avec alimentation entérale du 06.02 au 14.02.2019 • Voie veineuse centrale jugulaire droite du 06.02 au 15.02.2019 • Réhabilitation respiratoire à l'HFR Billens prévue pour la suite (après un séjour en stationnaire à la fondation Le Torry, dans le contexte du sevrage d'alcool) • Ventolin à maxima 4 pushs aux 1h30 puis espacement progressif • Oxygénothérapie du 11.02 au 12.02 avec maxima de 6L au masque puis 2L aux lunettes • Betnesol 0.2 mg/kg du 10.02 au 12.02 • Rinçage nasal et Triofan 3 x/jour • Frottis RSV positif • Bilan sanguin : gazométrie • Ventolin aux urgences (3x6 pushs puis 6 pushs à 1h du train) puis selon schéma dégressif • Betnesol à poursuivre 3 jours au total • Consignes usuelles détresse respiratoire • Ventolin aux 20 minutes • Betnesol 0.25 mg/kg • Ventolin et Atrovent en suspens dès le 02.02 • Monitoring cardio-respiratoire • Ventolin aux 4 heures • Betnesol 0.25 mg/kg • Contrôle chez le pédiatre dans 24 heures • Ventolin aux 4 heures • Betnesol 8 cp pendant 3 jours • Contrôle chez le pédiatre dans 24 heures • Ventolin aux 4 heures • Contrôle pédiatre • Ventolin avec schéma dégressif. Consultation si péjoration • Co-amoxicilline 1gr 2x/jour • Contrôle ophtalmologique le 03.02 à 14h45 • Ventolin avec schéma dégressif, contrôle pédiatre dans 48h • Ventolin avec schéma dégressif • Betnesol • Contrôle pédiatre demain • Ventolin avec un schéma dégressif, fébrifuges au besoin • Ventolin en réserve • Ventolin en réserve • Betnesol • Ventolin en réserve • Betnesol 5 cp x1/jour pendant 3 jours • Ventolin en réserve • Feniallerg gouttes • Monitoring cardioréspiratoire • Surveillance pour une durée de 6 heures dès le début de son épisode • Ventolin spray. • Ventolin toutes les 6 heures • Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures • Consignes de gravité expliquées • Ventolin train puis aérosol puis selon schéma • Betnesol 0.2 mg/kg à poursuivre 3 jours au total • Consignes usuelles détresse respiratoire/déshydratation • Contrôle dans 24h chez pédiatre • Ventolin train 3x6 pushs : disparition des signes de détresse respiratoire, meilleure entrée d'air sur toutes les plages pulmonaires, quelques rares sibilances persistantes. • Pas de péjoration après 1h de surveillance post-Ventolin. • Ventolin 1 ml x 3 aux 20' • Atrovent 2 ml • Betnesol 0.25 mg/kg • Feniallerg 20 gouttes • Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures • Ventolin 12 pushs aux urgences • Poursuite Ventolin à domicile selon schéma • Arrêt Sérétide, à reprendre selon avis pédiatre post-crise aiguë • Consignes usuelles détresse respiratoire • Contrôle chez pédiatre dans 24-48 heures • Ventolin 2 push aux 4 heures • Betnesol 0.25mg/kg 1x/j jusqu'au 20.02.19 • Poursuite des rinçages de nez plusieurs fois par jour • Contrôle chez le pédiatre à 48h, avant si péjoration, avec test urinaire si poursuite des symptômes. • Ventolin 2 push q 4h en réserve • Ventolin 2 push q 4h en réserve • Ventolin 2 x 6 pushs (à 1h d'intervalle) • Poursuite du Ventolin 2 pushs aux 4 heures • Consignes de surveillance et de reconsultation données • Contrôle clinique à votre consultation le 19.02 • Ventolin 2x6 push + Betnesol 0.25mg/kg (2.5mg) • Ventolin 3 pushs puis selon schéma • Consignes usuelles détresse respiratoire • Ventolin 3 push 74h • Contrôle chez son pédiatre. • Ventolin 3x 6 push • Betnesol 0.25 mg/kg • Aérosol Atrovent 250ug et Ventolin 0.5 ml • Ventolin 2 push • Ventolin : 3x6 push aux 20 min, puis Ventolin aux 4h • Betnesol 0.25 mg/kg/dose du 01.02 au 03.02 • Contrôle aux urgences le 02.02 • Ventolin 3x6 pushs avec disparition du SDR et nette amélioration de l'entrée d'air, quelques sibilances expiratoires audibles. • Ventolin 3x6 pushs : diminution de la tachypnée mais persistance d'un léger tirage intercostal avec balancement thoraco-abdominal et wheezing. Au sommeil, murmure vésiculaire légèrement diminué sur plage pulmonaire gauche antérieure avec nombreuses sibilances et crépitants diffus. SpO2 au sommeil : 95% à l'air ambiant. Surveillance 1h post-Ventolin avec nouvelle dose de 6 pushs donnée et consignes usuelles. • Betnesol 0.2 mg/kg/dose. • Ventolin 3x6 pushs et Betnesol 0.2 mg/kg sans franche amélioration motivant 1 aérosol de 1ml de Ventolin avec disparition du wheezing et grunting, léger tirage sous-costal persistant et meilleure entrée d'air, sibilances expiratoires audibles en antérieur. Très bon état général au départ. • Ventolin 3x6 pushs puis selon schéma • Betnesol selon schéma dégressif (6-5-4mg) • Consignes usuelles détresse respiratoire • Contrôle clinique le 18 ou 19.02.19 • Ventolin 3x6 pushs • Surveillance 2h post-Ventolin • Betnesol 10 cp de 0.5 mg soit 5 mg à domicile à poursuivre pour 3 jours • Rinçage nez + Triofan • Consignes usuelles détresse respiratoire • Contrôle dans 48h chez pédiatre • Ventolin 4 puis 6 pushs puis en réserve à domicile • Fébrifuges, médecine anthroposophique • Consignes usuelles détresse respiratoire et déshydratation • Ventolin 4 push aux 2h puis diminution progressive • Oxygénothérapie supplémentaire du 18.02 au 20.02 • Ventolin 4 push avec amélioration à la réévaluation 20 minutes après, à poursuivre selon schéma (cf ordonnance de sortie) • Betnesol 0.25 mg/kg/dose 1x/j durant 3 jours au total • Consignes usuelles détresse respiratoire • Ventolin 4 push une fois • Ventolin 4 pushs, à continuer à domicile • Consignes usuelles détresse respiratoire • Contrôle dans 48 heures chez le pédiatre • Ventolin 4 pushs aux urgences • Consignes usuelles détresse respiratoire • Contrôle dans 24-48 heures chez pédiatre • Ventolin 4 pushs aux 4 heures avec un schéma dégressif • Betnesol 0.25mg/kg pour 3 jours • Contrôle chez le pédiatre • Ventolin 4 pushs aux 4 heures (n'a reçu qu'1x 4 pushs à 20h45) • O2 aux lunettes • FSC, CRP, gazométrie • Frottis RSV/grippe (grippe en cours) • Proposition de recontrôler CRP dans 24-48 heures • Ventolin 4 pushs : avec diminution des quintes de toux, disparition des signes de détresse respiratoire, entrée d'air à nouveau symétrique et disparition des sibilances, quelques crépitants persistants aux deux bases. • Au cours de la surveillance, boit 180 ml de biberon de lait/normolytoral. • Désaturation à 89% au sommeil motivant O2 aux lunettes à 1L/min. • Lors de la surveillance, absence de récidive de détresse respiratoire mais murmure vésiculaire à nouveau diminué en base droite par rapport à la gauche. Pas de radiographie d'emblée car déjà sous antibiothérapie et pas d'argument clinique actuel pour épanchement (murmure vésiculaire restant audible). • Ventolin 4 pushs avec disparition des signes de détresse respiratoire et diminution des sibilances, persistance de râles crépitants. • Ventolin 4 pushs : diminution de la tachypnée et disparition du tirage sus-sternal mais persistance d'un léger balancement thoraco-abdominal. Dans ce contexte, frottis mycoplasme fait. • Ventolin 4 pushs en réserve • Betnesol pendant 3 jours • Consignes de gravité • Ventolin 4 pushs : pas de franche amélioration, persistance de la tachypnée, disparition du tirage intercostal, murmure vésiculaire symétrique avec apparition de quelques sibilances expiratoires et crépitants diffus, expirium prolongéNouvelle essai de 6 pushs de Ventolin : diminution fréquence respiratoire, disparition tirage, persistance de sibilances/crépitants. • Ventolin 4 pushs puis en réserve • Consignes usuelles déshydratation/détresse respiratoire • Contrôle dans 48h chez pédiatre • Ventolin 4 pushs puis selon schéma • Betnesol 0.2 mg/kg • FSC, CRP • Consignes usuelles détresse respiratoire • Contrôle dans 24-48h chez pédiatre • Ventolin 4 pushs puis selon schéma • Consignes usuelles détresse respiratoire • Ventolin 4 pushs puis selon schéma • Consignes usuelles détresse respiratoire • Contrôle dans 48h chez pédiatre • Ventolin 4 pushs puis selon schéma • Consignes usuelles détresse respiratoire/déshydratation • Contrôle dans 48h chez pédiatre • Ventolin 4 pushs puis selon schéma • Frottis mycoplasme en cours • Consignes usuelles détresse respiratoire/déshydratation • Contrôle dans 48h chez pédiatre • Ventolin 4 pushs sans amélioration de la symptomatologie clinique. • Ventolin 4 pushs sans amélioration • Contrôle dans 24 heures aux urgences • Ventolin 4 pushs sans amélioration • Oxygène aux lunettes 06.02-08.02 • Frottis RSV : positif • Gazométrie : pas d'hypercapnie, pas de trouble électrolytique • Traitement symptomatique • Ventolin 4 pushs : très légère diminution des sibilances et crépitants, pas de souffle tubaire, amélioration de l'expirium. • Ventolin 4 pushs • Ventolin 4 pushs 4 x/jour puis selon schéma • Consignes usuelles détresse respiratoire • Contrôle dans 24-48 heures chez pédiatre • Ventolin 6 push aux urgences puis 2 push aux 4h • Paracétamol/Ibuprofen en R si EF • Ventolin 6 push 3x dans 1h, puis 4 push aux 4h, puis au besoin • Betnesol 0.25 mg/kg/j, soit 2.5 mg pendant 3 jours • Médecine anthroposophique • Contrôle chez pédiatre dans 72h • Consulter avant si difficultés respiratoires ou si besoin de Ventolin < 4h • Ventolin 6 pushs aux urgences, puis 1-2 pushs toutes les 4h en réserve • Betnesol 0.25 mg/kg/j, soit 3 mg pendant 3 jours • Antalgie et Fébrifuge au besoin • Médecine anthroposophique • Contrôle chez le pédiatre dans 2-3 jours • Ventolin 6 pushs aux urgences • Betnesol 17 cp • Ventolin 6 pushs aux urgences • Ventolin en réserve • Ventolin 6 pushs aux urgences • Ventolin 4 pushs 3/j pendant 48h, contrôle pédiatre lundi, si péjoration contrôle aux urgences • Ventolin 6 pushs aux 20 minutes • Betnesol 0.25 mg/kg • Ventolin 6 pushs aux 20' x 3 • Ventolin aérosol 0.5 ml 1x2 • Atrovent 2 ml x 1 en aérosol • Betnesol 0.25 mg/kg • Ventolin 6 pushs x 3 • Betnesol 0.25 mg/kg x 1 • Ventolin 6 pushs x 3 • Betnesol 0.25 mg/kg • Ventolin 6 pushs 3x dans 1h, puis après 1 h, puis 4 pushs aux max. aux 4h, puis diminution des pushs selon clinique • Betnesol 25 mg/kg/j, soit 2 mg pendant 3 jours • Ibuprofène et Paracétamol au besoin • Médecine anthroposophique • Contrôle dans 3 jours chez le pédiatre ou aux urgences pédiatriques • Reconsulter avant en cas de péjoration de difficultés respiratoires, si besoin de Ventolin < 4h • Ventolin 6 pushs 3x en 1h, puis aux 2h suivi d'un espacement progressif • Betnesol 0.25 mg/kg/j, soit 4.5 mg • Bilan sanguin : gazométrie, RSV négatif • Ventolin 6 pushs • Poursuite du Ventolin 2 pushs aux 4h • Contrôle clinique le 14 ou 15.02 • Ventolin 6 pushs • Ventolin selon un schéma dégressif • Contrôle clinique le 06.02.2019 • Ventolin 6 pushs • Ventolin 2 pushs aux 4 heures • Contrôle clinique à votre consultation à 48-72h • Ventolin 6 push aux urgences • Betnesol 5 cp aux urgences, à poursuivre 2 jours • Ventolin aux 4 heures • Surveillance respiratoire et alimentaire • Rinçage de nez au besoin • Contrôle chez pédiatre à 24 heures • Ventolin 6 pushs 3x aux 20 minutes puis 2 pushs q 4h en réserve • Betnesol 5 cp 1x/j x 3 jours • Ventolin • Betnesol 0.2 mg/kg pour 3 jours • Consignes usuelles détresse respiratoire/déshydratation • Contrôle chez pédiatre dans 24-48h • Ventolin • Betnesol 0.2 mg/kg pour 3 jours • Consignes usuelles détresse respiratoire/déshydratation • Contrôle chez pédiatre dans 24-48h Vertige. Vertige. Vertige. Vertige. Vertige à répétition origine indéterminée (DD : vaso-vagal, psychosomatique) Vertige bénin positionnel paroxystique le 19.02.2019. Vertige dans le cadre d'orthostase suite à une infection Vertige de type tangage après traumatisme crânien le 20.02.2019. Vertige d'origine périphérique probable le 29.11.2017. Artériopathie des membres inférieurs avec : • status post-pontage fémoro-poplité sous-géniculaire orthotope à droite à l'aide d'une veine saphène interne inversée le 21.12.2006 ; • status post-post-pontage fémoral superficiel-poplité bas gauche par PTFE en 2008 ; • status post-angioplastie de l'artère fémorale superficielle à droite en 1991. Prostatisme chez patient connu pour cancer de la prostate cT3a Gleason 7 (4+3) cN0cM0 sous radiothérapie. Status post-cure de varices à droite en 1994. Status post-prostatectomie transurétrale le 04.03.2011 pour hyperplasie. Status post-cure de hernie ombilicale directe sans filet le 04.03.2011. Status post-cure de hernie inguinale bilatérale. Status post-appendicectomie 1950. Status post-polytrauma sur chute avec multiples fractures de côtes. Status post-ulcère gastrique du bulbe sans hémorragie active le 28.09.2012 : • Pantozol per os 40 mg 3x/jour pendant 3 jours, puis 2x, puis 1x ; • oeso-gastro-duodénoscopie le 29.09.2012 ; • anémie normochrome normocytaire sur hémorragie le 28.09.2012. Ancien tabagisme à 20 UPA. • plusieurs récidives de cholédocholithiase avec cholangite en 04.2012, 09.2012, 12.2014 et 09.2015 status post cholangite sur obstruction distale du cholédoque avec boue biliaire et micro-lithiase : Status post-ERCP et papillotomie en mai 2010 pour cholangite sur cholédocho- et cholécystolithiase ; Status post-cholangite sur cholécystolithiase en novembre 2010 ; Status post-cholécystectomie par laparoscopie le 04.03.2011 ; Status post-ERCP le 27.04.2012 avec papillotomie et extraction d'un concrément et sludge ; Status post-pancréatite aiguë post-ERCP le 28.04.2012 ; Status post-cholangite débutante sur cholédocholithiase en septembre 2012. Cholédocholithiase le 19.12.2014. Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 24.04.2016 • d'origine probablement prérénale. Pneumonie basale droite débutante. • CT thoraco-abdominal le 27.04.16 • antibiothérapie Ciprofloxacine 750 mg 2x/jour pendant 10 jours. Douleurs abdominales intenses d'origine indéterminée avec DRS le 27.04.16 • CT thoraco-abdominal le 27.04.16 : foyer débutant base droite, épanchement, légère surcharge cardiaque, pas d'embolie, pas de signe de perforation, possibles concréments dans cholédoque vs hémorragie, pas de dilatation des VB. Vertige et céphalée. Vertige et sensation de malaise aspécifique d'origine médicamenteuse (Lithium) le 05.02.19 avec Vertige orthostatique • Test de Schellong 06.02.2019 : positif Vertige paroxystique positionnel bénin le 14.02.19.• Vertige paroxystique positionnel bénin le 25.02.2019, atteinte du nerf vestibulaire connue. • Vertige positionnel paroxystique bénin le 22.06.2015. • Vertiges • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges - hypotension orthostatique ? • Vertiges avec nystagmus battant vers le bas • Vertiges avec perte de force du bras gauche • Vertiges chroniques d'origine indéterminée, le 13.02.2019 • contexte d'angoisse important • Vertiges chroniques sous Betahistine (suivi ORL, Dr. X) • Vertiges d'étiologie indéterminée • Vertiges d'origine de probable origine périphérique. DD : cérébellite paranéoplasique, médicamenteuse. • Vertiges d'origine inconnue avec vomissements associés. • Vertiges d'origine indéterminée. DD sur hypoglycémie. • Vertiges d'origine indéterminée le 15.02.2019. • Vertiges d'origine indéterminée (probablement positionnel transitoire). • Vertiges d'origine multifactorielle, mal systématisés, chroniques • absence de lésions neurogènes ou atteintes de l'oreille interne • IRM cérébrale décembre 2017 : pas de lésion ischémique aiguë, épaississement du sinus gauche • plaque non sténosante de l'artère carotide commune gauche • persistance malgré physiothérapie, amélioration suite au Cipralex Nucalgies sur discopathie C3-C4 Hypertension artérielle traitée avec orthostase et hypertension de la blouse blanche Hypercholestérolémie Hypothyroïdie substituée Sclérose coronarienne avec : • sténose subocclusive de la branche septale, sténose significative de la branche diagonale, FEVG 55% Cancer du sein gauche invasif NST cT1 cN0 cMX avec : • date du diagnostic : 05.09.2018 • histologie (ArgotLab P13339.182) : carcinome invasif NST grade II, jusqu'à 1,5 cm, ER positif à 95 %, PR positif à 100 %, KI-67 10%, HER2 en cours • ultrason et mammographie du 05.09.2018 (AFFIDEA à Fribourg) : masse tissulaire de 20 mm de diamètre du quadrant supéro-externe gauche • actuellement : opération prévue le 17.10.2018 au Daler • Vertiges d'origine périphérique sur neuronite vestibulaire D • Vertiges d'origine probablement périphérique le 10.02.2019. • Vertiges d'origine probablement périphérique. DD : neuronite vestibulaire, 1er épisode de maladie de Ménière, VPPB. • Vertiges d'origine X. Douleurs au poignet gauche non traumatiques le 14.10.2012. Kyste ovarien gauche. Iléo-colite Campylobacter jejunii positif (DD : inflammatoire (Crohn, RCUH)). Asthme aigu le 16.08.2017 avec : • hyperventilation sur anxiété. • Vertiges et céphalées • Vertiges et hypotension. • Vertiges et nystagmus multi-directionnel sur possible AVC de la fosse postérieure sans correlat radiologique Diagnostic différentiel : • absence de signes de cérébellite ni de maladie démyélinisante • origine périphérique peu probable, mais bilan ORL sera poursuivi en ambulatoire • Vertiges et vomissements • Vertiges invalidants, céphalées et troubles de l'équilibre, DD hypotension orthostatique avec : • Test de Schellong : positif • Vertiges liés à une hypotension orthostatique. • Vertiges non rotatoires + hypoacousie le 10.02.2019. • Vertiges non systématisés d'origine indéterminée • Vertiges orthostatiques à la verticalisation ce matin avec • hypotension à 93/48 mmHg en radiothérapie • CRP 44 mg/l, Lc 3.3 G/l • sans piste infectieuse. • Vertiges orthostatiques fluctuants et asthénie généralisée. • Vertiges, paresthésies faciales. • Vertiges paroxystiques bénin le 25.02.2019. • Vertiges paroxystiques bénins le 13.07.2016. • Consultation ORL le 09.08.2016. • Vertiges paroxystiques positionnels bénins S/p opération hallux valgus pied droit Cholécystolithiase (CT du 26.01.2018) Diverticulose du côlon (CT du 26.01.2018) • Vertiges paroxystiques sous Sibelium Coxarthrose gauche Status après implantation de prothèse totale de hanche droite (date indéterminée) • Vertiges périphériques d'origine indéterminée le 22.02.2019. DD : migraine vestibulaire, maladie de Ménière. • Vertiges périphériques sous Arlevert. • Vertiges périphériques. Gastroentérite aiguë. • hématochésie de minime abondance d'origine irritative. • Vertiges positionnels paroxystiques bénins le 16.01.2019. • Vertiges post révision de stapédectomie droite • Vertiges probablement d'origine périphérique de cause multifactorielle le 12.02.2017, sans déficit neurologique focal. Vertiges paroxystiques bénins en 2010. Hystérectomie et ovariectomie. Appendicectomie. Opération des sinus et cloison nasale. Amygdalectomie. Excision d'un polype du côlon en 2009. Incision d'une thrombose au niveau des hémorroïdes externes en février 2011. Bronchopneumonie communautaire du lobe inférieur gauche le 05.05.2016. Vertiges rotatoires peu clairs le 24.09.2017 avec strabisme connu. Dorsalgie droite sur contracture paravertébrale le 02.01.2019. • Vertiges rotatoires. • Vertiges rotatoires avec possible atteinte vestibulaire gauche 11.2016 DD : VPPB, Ménière. AVC en 11/2016 avec hémisyndrome droit. Réaction allergique stade III le 20.02.2018 : • avec angioedème localisé et dyspnée. Fracture ouverte phalange distale doigt I le 28.01.2019. Angio-oedème neurotique le 10.01.2019. • Vertiges rotatoires d'origine périphérique le 19.05.2013. Status post-appendicectomie. Status post-hystérectomie. Status post-thrombose veineuse profonde (sans embolie pulmonaire) en 2001. Lipothymie d'origine probablement vaso-vagale. Vertige paroxystique positionnel bénin le 16.07.2015. • Vertiges rotatoires d'origine probablement périphérique d'apparition soudaine et brutale. Diagnostic différentiel : névrite vestibulaire avec : • plusieurs épisodes de vomissements • céphalées et douleur de la nuque • Vertiges rotatoires invalidants d'étiologie indéterminée depuis décembre 2018 • Vertiges rotatoires le 20.02.2019. DD : migraine vestibulaire, VPPB du canal semi-circulaire antérieur, central. • Vertiges rotatoires périphérique d'origine cupulolithiase le 14.01.2014 • Vertiges rotatoires possiblement périphériques. • Vertiges rotatoires sur phénomène de Gusher en per-opératoire. • Vertiges rotatoires transitoires sans Red Flags d'origine indéterminée le 08.02.2019. • Vertiges type tangage d'origine indéterminée, DD : hypotension non orthostatique symptomatique. • Vertiges vestibulaires et migraines. Hypertension artérielle non traitée. Hypothyroïdie infraclinique, avec : • Maladie de Basedow opérée en 1960. Asthme. Polymyalgia rheumatica. Gastrite chronique avec hernie hiatale, reflux gastro-oesophagien traité par Nissen en 2009 et 2010.Lombo-sciatalgies importantes, ayant nécessité de multiples infiltrations et dénervation par voie percutanée. Vertébroplastie compliquée par un hématome ilio-psoas droit. Malnutrition protéino-énergétique légère. Vertiges/instabilité et faiblesse des membres inférieurs d'origine probablement orthostatique DD: médicamenteux. Vessie de lutte avec diverticules vésicaux avec hyperplasie de la prostate • CT du 4.02.2019 : prostate 23cm^3 Vessie hyperactive Vessie hyperactive • Mise en place d'une sonde transurétrale pour une hyperactivité de la vessie particulièrement nocturne le 27.11.2018, enlevée le 04.01.2019 Vidéo-laryngoscopie et intubation avec tube n°6 Aérosol adrénaline et dexaméthasone après extubation le 10.02.2019 Trachéotomie le 15.02.2019 Dexaméthasone du 10.02 au 16.02.2019 Vidéo-laryngoscopie lame courbe ok Carte d'intubation difficile VIH diagnostiqué en 1996, stable sous trithérapie sous Truvada et Intelence VIH diagnostiquée en juin 2013 VIH non traité depuis 2015 Derniers CD4+ à 180 en 2015 VIH non traité depuis 2015 (suivi anciennement par Dr. X) Lymphocytes CD4 0.08 G/L VIH positif. VIH positif. Dépression. VIH sous trithérapie Vimovo 500/20, Lexotanil 1.5 mg, Dafalgan. Suite chez le médecin traitant. Violence conjugale. Violence conjugale avec : • hématome sous-orbitaire gauche et possible fracture du nez. Virale Gastritis Virologie des selles et coproculture Babygramme le 19.02 Pose de SNG pour aspiration du 19.02 au 21.02 Déclaration au médecin cantonal Virose Virose à prédominance ORL et respiratoire avec otite moyenne aigue congestive droite. Virose aigue DD Entéro-virus • Angine amygdalienne ddc avec amygdale grade III & pharyngite viral • Adénopathie réactive ddc Niveau IB, IIa+B, III, sans abcès sans phlegmon au sonographie • Conjonctivite viral ddc Virose avec angine Virose avec angine + possible gastro-entérite débutante DD: syndrome mononucléosique, grippe Virose avec angine virale et possible gastro-entérite débutante Virose avec IVRS et gastro-entérite débutante Virose avec leucopénie 2.2 G/L et légère anémie et thrombocytopénie (Hémoglobine 119g/L et thrombocytes 148g/L). Virose avec leucopénie 2.2 G/L et légère anémie et thrombocytopénie (Hémoglobine 119g/L et thrombocytes 148g/L) en lien avec mononucléose infectieuse. Virose avec leucopénie 2.2 g/l et légère anémie et thrombocytopénie le 02.02.2019. DD : mononucléose (test douteux). Virose avec pharyngite Virose avec rash et bronchite obstructive spastique Virose avec stomato-aphtose et atteinte gastro-intestinale DD: varicelle débutante Virose avec trachéo-bronchite et atteinte gastro-intestinale Virose avec une éruption cutanée maculaire Virose banale au décours le 14.02.2019. Virose DD pieds-main-bouche Virose débutante virose digestive Virose, gastro-entérite débutante Virose indéterminée avec : • céphalée occipitale et nucalgie. • rash maculo-papulo non confluent au niveau des membres inférieurs et sur le bas ventre. Virose (infection des voies respiratoires supérieures aspécifique). Virose, le 13.02.2019. DD: fièvre post-transfusion sanguine. Virose le 28.02.2019 avec : • inflammation du conduit auditif externe gauche. Virose (parvo ?), début GEA (adenovirus avec éruption) ? grippe débutante ? À suivre Virose respiratoire Virose respiratoire et digestive Virose respiratoire et digestive Virose (Rhino-entéro-virus?) avec : Conjonctivite, rhume, pharyngite, gastro-entérite Virose DD: varicelle debutante Vision floue de l'oeil gauche le 3.2.2019. Visite chez le dentiste la semaine prochaine Revenir en cas de vomissements, maux de tête ou de nouveaux symptômes. Vissage par vis sur fracture sous-capitale fémur droit sur ostéoporose le 08.05.2008 Vit D3 5600 UI /semaine Vit D3 5600 UI /semaine Vit D3 5600 UI /semaine Vitamine A pommade 3x/jour. Oculac 3x/jour. Vitamine A. Test AVEC Fluorescéine. Cache œil. Consultation en ophtalmologie cet après-midi. Vitamine B1 sérique normale. Seresta 15 mg 2x/jour d'office. Score CIWA 3x/jour. Vitamine B1-B6. Seresta 15 mg, 6x d'office + 6x en réserve. Hydratation iv. Vitamine B1 Supplément nutritifs oraux dès le 12.02.2019 Vitamine B12 12.02.2019 dans la norme 2 EC le 12.02.2019 Suivi biologique Vitamine D3 Vitamine D3 Vitamine D3 jusqu'à 3 ans de vie Suivi néonatal usuel Vitamine K Vitamine K à J1, J4 Guthrie J4, J14 Vitamine D3 dès J8 Huile de rose Isolette du 06.02.-17.02. Ultrason cérébral Monitoring cardio-respiratoire OEA passé AI : code 494 • vitamine K 10mg (per os ou Iv) + cyklokapron 25mg/kg X3/J en cas de saignement ou en préparation de chirurgie à risque hémorragique faible à modéré • en cas d'hémorragie sévère ou risque hémorragique élevé seulement : NOVOSEVEN 90 microgrammes/kg (=1 ampoule à 1mg pour P=12kg500) toutes les 2 à 3h après discussion avec hématologue avec monitoring cinétique du facteur VII Vitamine K 2 mg p.o. reçu le J1 et J4 au Petit Prince Guthrie fait à J4 au Petit Prince CMV dans les urines (prélevé au Petit Prince) US cérébral le 13.02 : normal Vitaminothérapie Seresta en réserve VNI du 29.01 au 30.10.2019 Radiographie du thorax 29.01.2019 : épanchement pleural bilatéral Ultrason pulmonaire 29.01.2019 : épanchement bilatéral Ponction pleurale droite (30.01.2019) : 1.5 Litre, transudat, cytologie : pas de cellules suspectes Sintrom mis en pause du 29.01 au 31.01.2019, repris le 01.02.2019 Nitroglycérine Lasix Majoration bêtabloquant VNI le 09.02.2019 Diurétiques VNI aux soins intensifs du 21.01 au 26.01.2019, puis du 28.01 au 29.01.2019 Cathéter artériel droit du 24.01 au 26.01.2019 Physiothérapie respiratoire Aérosols de Ventolin et Atrovent Poursuite du traitement habituel de Vannair et Spiriva Solumédrol une dose le 21.01.2019, puis relai par Prednisone haute dose jusqu'au 25.01.2019, puis reprise dose habituelle Avis pneumologique (Dr. X, Dr. X) Polysomnographie nocturne le 28.01.2019 sans équipement : SAOS modéré Polysomnographie nocturne le 29.01.2019 avec équipement : VNI non tolérée Consultation pneumologique auprès de Dr. X prévue le 02.04.2019 à 9h VNI du 08.02 au 09.02.2019 ETT le 06.02.2019 Coronarographie le 08.02.2019 (Dr. X) Introduction Atorvastatine dès le 19.02.2019 Nitroglycérine et Morphine en réserve Dialyse continue le 08.02.2019 aux soins intensifs VNI du 08.02.2019 au 09.02.2019 VNI du 15.02.2019 au 17.02.2019 Intubation oro-trachéale (Cormack 1) et ventilation mécanique du 17.02. au 19.02.2019 Physiothérapie respiratoire intensive dès le 19.02.2019 Co-Amoxicilline du 15.02.2019 au 16.02.2019 Clarithromycine du 11.02.2019 au 16.02.2019 Lévofloxacine 16.02.2019 au 22.02.2019 Cathéter artériel radial droit du 16.02.2019 au 21.02.2019 Voie veineuse centrale jugulaire gauche du 17.02 au 21.02.2019 Sonde naso-gastrique du 17.02 au 20.02.2019 VNI et masque facial à réserve du 12.02 au 15.02.2019 Noradrénaline le 12.02.2019 Frottis de grippe: négatif Antigènes urinaires légionelle et pneumocoque: négatif CT thoracique le 14.02.2019: infiltrats pulmonaires basaux bilatéraux Co-Amoxicilline du 12.02 au 18.02.2019 Klacid du 12.02 au 13.02.2019 VNI le 08.02.2019 Dialyse (CVVHDF avec retrait de 4L) le 08.02.2019 Coronarographie le 08.02.2019 (Dr. X): resténose intrastent de la Cx moyenne revascularisée par ballon éluant Suite cardiologiques: à discuter selon évolution digestive (multiples ulcères) VNI 2x/j minimum VNI Diurétiques Voie veineuse centrale du 21.01.2019 au 23.01.2019 Surveillance clinique Voie veineuse centrale jugulaire droite du 15.01.2019 au 13.02.2019 Consilium infectiologie Co-Amoxi 2.2 3x/j depuis le 07.01.2019 au 30.01.2019 Amoxicilline dès le 30.01.2019 Taux résiduel du Amoxicilline (J5) du 04.02.2019 Ablation de PTG le 29.01.2019, Biopsies, Lavage avec mise en place d'un spacer en ciment (OP le 29.01.2019) Ablation du spacer et mise en place d'une prothèse à charnière rotatoire Braun Enduro : • Fémur F1 avec cale médiale 8, cale latérale 12 • Tibia T1 avec cale médiale 12, cale latérale 8 • Insert 14 • Rotule 3 (OP le 26.02.2019) Voie veineuse centrale jugulaire interne droite du 10.02.2019 au 13.02.2019 Substitution électrolytique intraveineuse et per os avec suivi biologique régulier Restriction hydrique Contrôles ECG réguliers avec correction des anomalies Arrêt du traitement thiazidique Voie veineuse centrale jugulaire interne droite le 10.02.2019 Substitution électrolytique intraveineuse avec suivi biologique régulier : KCL, KPhos, Magnésium, Gluconate de Calcium du 10.02.2019 au 11.02.2019 Contrôles ECG réguliers Voir problème 2) Voltaren gel 2x/j pour 3-5 jours Dafalgan/Algifor en réserve si douleurs Voltaren 75 mg iv et Paracétamol 100 mg iv. Traitement antalgique et suivi chez le médecin traitant. Voltarène 50 mg. Voltarène 50 mg per os aux Urgences Voltarène 75 mg retard 2x/jour pour 3 jours Clindamycine 300 mg 4x/jour pour 3 jours Dafalgan 1 g jusqu'à 3x/jour en R contrôle chez le médecin dentiste lundi le 4.02.2019 en cas de péjoration, reconsultater aux Urgences Volumineux goitre sur hyperplasie nodulaire diffus de plus de 70 ml avec fonction euthyroïdienne : • status post-tentative de thyroïdectomie totale bilatérale en 06.02.2017 à l'hôpital Daler, avortée en raison d'une hypotension sévère d'origine indéterminée à l'induction de l'anesthésie générale Volumineux hématome du membre inférieur gauche sur déchirure du m. gastrocnémien G le 30.01.19 • hospitalisation à Tavel, orthopédie du 30.01.19 au 06.02.19 • avec impotence fonctionnelle rendant le maintien à domicile impossible Volumineux hématome sous-cutané post-traumatique de 10 x 15 cm face latérale mollet gauche le 17.05.2014. Pyélonéphrite D le 10.12.2015. Volumineux kyste ovarien droit de 7.7x7.9cm. Volumineux myome intra-mural de dégénératif symptomatique chez une patiente 1G 0P de 45 ans Volvulus caecal avec perforation locale et péritonite secondaire le 11.04.2016 avec : • Laparotomie exploratrice avec hémicolectomie droite, anastomose iléo-transverse et résection d'un diverticule de Meckel au niveau du grêle le 11.04.2016 • Choc hémorragique le 20.04.2016 sur saignement de la ligne d'agrafe pour résection d'un diverticule de Meckel le 11.04.2016 • Eventration de la paroi abdominale sur infection et nécrose de la paroi à E. faecium • Surinfection de la plaie de laparotomie le 17.04.2016, le 27.06.2016 et le 10.07.2016 Ischémie et surinfection de l'hallux gauche le 15.03.2016 : • Artériopathie obstructive des membres inférieurs de stade IV • Status après angioplastie périphérique de l'artère fémorale superficielle avec thrombolyse par voie poplitée à gauche le 10.02.2016 Pontage fémoro-jambier (fémoro-péronier) du membre inférieur gauche à l'aide d'une veine inversée le 24.03.2016 Débridement des ulcères du membre inférieur gauche le 31.03.2016 et 15.04.2016 État confusionnel aigu post-opératoire le 24.03.2016 et le 20.04.2016 avec : • Diagnostic différentiel : effet paradoxal post-anesthésie générale (bas débit cérébral transitoire ou sevrage alcoolique tardif) Fracture per-trochantérienne gauche, traitée par PFN-A gauche le 30.10.2010 Infection de cicatrice d'ancienne stomie le 13.09.2016 État de choc hypovolémique avec probable composante septique le 21.08.2016 sur : • Déshydratation via iléostomie proximale État confusionnel aigu d'origine multifactorielle le 13.09.2016 Surinfection de la cicatrice laparotomie : • Frottis du 21.08.2016 : positif pour Staph. aureus Diarrhées sur iléostomie Arthropathie chronique membre inférieur gauche avec maladie veineuse le 28.02.2018 : • Pontage fémoro-jambier (fémoro-péronier) du membre inférieur gauche à l'aide d'une veine inversée en 2016 Vomissement Vomissement avec glaire sanguinolante dans le cadre d'un état grippal le 04.02.2019. Vomissement, douleurs de gorge et du ventre. Vomissement et diarrhée Vomissement et diarrhée avec état fébrile. vomissement et diarrhée depuis hier matin Vomissement et diarrhée depuis 2 semaines Vomissement et fièvre Vomissement sanguinolant, DD. sur effort de vomissement, DD. gastrite Vomissements Vomissements à la sortie de l'hôpital. DD : sur Fentanyl. Vomissements alimentaires. Vomissements alimentaires (DD: gastro-entérite aiguë, infection urinaire, sténose du pylore, APLV) Vomissements avec incapacité de s'alimenter/s'hydrater Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 31 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Vomissements chez Mme. Y Vomissements dans un contexte de changement de lait, vs début de gastroentérite Vomissements dans un contexte infectieux Vomissements, DD: vomissements sur quinte de toux, DD: intoxication alimentaire, DD: gastroentérite Vomissements, diarrhées Vomissements d'origine X Vomissements et diarrhées Vomissements et diarrhées avec dénutrition depuis le 07.01.2019, avec: • DD effet indésirable Brintellix, effet indésirable Physiotens, troubles dépressifs récurrents/anorexie mentale, gastrite atrophique, pancréatite chronique, maladie de Whipple, abus de laxatifs • 2014: ~130kg, 10/2018: 84kg, 01/2019: 67kg • selles liquides chroniques d'origine indéterminée multi-investiguée en 10/2018 Vomissements et diarrhées répétés Vomissements et douleurs abdominales. Vomissements et douleurs abdominales d'origine indéterminée (DD: gastro-entérite virale, gastrite, intolérance au gluten, lithiase rénale, biliaire, infection biliaire, maladie inflammatoire intestinale) Vomissements et douleurs abdominales suite à un traumatisme abdominal. Vomissements et douleurs abdominales sur probable gastroentérite virale DD traumatisme abdominale: vomissements et douleurs abdominales Vomissements et pyrosis Vomissements fébriles (DD: gastro-entérite aiguë sans signes de DD, Norovirus, grippe intestinale, infection urinaire, autres) Vomissements itératifs le 15.02.2019, probablement effets secondaires du Metronidazole. Vomissements post-traumatiques Vomissements post-traumatisme crânien/traumatisme crânio-cérébral Vomissements Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 21 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Vomissements sanglants Vomissements sur iléus dans le contexte maladie tumorale terminale Vomissements sur iléus d'origine maligne • dans un contexte status post-pose de gastrostomie et sonde jéjunale à visée d'alimentation Vomissements sur toux Vomissements. Primperan. Vomiissements Vommissements Votre patient de 76 ans consulte les urgences pour une dyspnée en péjoration et un état fébrile à 38°C. Le 04.02.2019, Mr. Y vous a consulté et vous avez initié un traitement de Co-Amoxi 625 mg - 3 x/jour en raison d'une pneumonie, ainsi que de la physiothérapie respiratoire. A l'anamnèse, le patient décrit une toux sèche sans expectoration, ainsi que des diarrhées habituelles. Il est connu aussi pour une hernie de la ligne blanche qui provoque des douleurs à l'effort et des nausées post-prandiales, sans rougeur ni chaleur localement mais avec des douleurs décrites en péjoration ces derniers jours. A l'examen clinique d'entrée, patient hémodynamiquement stable, normotendu, tachycarde à 103 bpm, avec une saturation à 93% à l'air ambiant. A l'auscultation pulmonaire, présence de râles crépitants en base droite. Du point de vue abdominal, hernie de la ligne blanche palpable au Valsalva, non incarcérée, sans rougeur ni chaleur. L'abdomen est souple, indolore, les bruits abdominaux sont présents mais lointains. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 76 mg/l, sans leucocytose, ainsi qu'une pseudo-hyponatrémie à 132 mmol/l et une hypokaliémie à 2.9 mmol/l, probablement sur traitement diurétique. La gazométrie montre une alcalose respiratoire. L'ECG est sans particularité. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer clair mais le patient est sous traitement de Co-Amoxicilline depuis 5 jours. Nous retenons le diagnostic de pneumonie basale droite avec une composante de syndrome obstructif, raison pour laquelle nous initions une antibiothérapie par Rocéphine 2 g et Klacid, dans l'attente du résultat des antigènes urinaires. Le patient est hospitalisé en médecine pour la suite de la prise en charge. Pour l'hypokaliémie, un traitement IV est débuté, avec relais per os après 48 heures. Le contrôle biologique montre une correction des valeurs du potassium à 138 mmol/l le 11.02.2019. Au vu des troubles électrolytiques et de l'absence de signe de surcharge, nous mettons en suspens l'Esidrex. Nous vous laissons le soin de réévaluer en ambulatoire la nécessité de reprendre ce traitement selon la volémie, et nous recommandons un contrôle des électrolytes la semaine suivant la sortie. En cours de séjour, l'évolution clinique et biologique (CRP à la baisse à 57 mg/l le 11.02.2019) est favorable, raison pour laquelle l'antibiothérapie est relayée per os par du Tavanic, poursuivie jusqu'au 14.02.2019. Les antigènes urinaires revenant négatifs, le Klacid est stoppé le 10.02.2019. Le patient bénéficie également d'un traitement d'aérosols d'Atrovent et de Ventolin, ainsi que de Pulmicort et de Fluimucil, stoppé à la sortie. La physiothérapie respiratoire, introduite durant l'hospitalisation, sera poursuivie en ambulatoire après la sortie. Durant l'hospitalisation, le patient se plaint de vertiges orthostatiques fluctuants. Les tests de Schellong effectués avec et sans contention élastique se révèlent positifs, raison pour laquelle nous poursuivons le port des bandes. A noter que le patient est asymptomatique au moment de l'examen. Mr. Y regagne son domicile le 13.02.2019. Sa hernie ombilicale connue ne nécessitant pas de prise en charge en urgence, nous vous laissons le soin d'organiser un suivi en ambulatoire. Votre patient de 77 ans, Mr. Y, connu pour une cardiopathie rythmique (FA sous Sintrom) et ischémique, avec des facteurs de risque cardiovasculaire, nous est adressé à l'Hôpital Cantonal de Fribourg pour une coronarographie dans le cadre d'un syndrome coronarien aigu. Pour rappel, Mr. Y consulte les urgences de Meyriez le 07.02.2019 pour des douleurs rétro-sternales oppressives, liées à l'effort, depuis plusieurs jours, avec sensation de mal-être. Nos collègues urgentistes retrouvent un patient hémodynamiquement compensé avec TA 127/79 mmHg, FC 108 irréguliers, SpO2 95% à l'air ambiant, afébrile, avec un statut clinique sans signe de surcharge, hormis quelques râles crépitants bibasaux. L'ECG montre une FA rapide à 120 bpm, sans signe ischémique aiguë, et 2 trains de troponines sans cinétiques à la limite supérieure, dans le cadre d'une insuffisance rénale chronique connue avec créatinine à 180 mcmol/l (valeurs habituelles). Le patient reçoit une charge d'Aspirine de 500 mg IV. La coronarographie du 08.02.2019 retrouve une sclérose coronarienne sans sténose significative, avec FEVG à 20% associée à une cardiomyopathie dilatée sur tachy-myocardie probable. De ce fait, une cardioversion électrique est réalisée avec succès le 11.02.2019, après exclusion d'un thrombus par ETT. L'anticoagulation par Sintrom sera à poursuivre, avec un contrôle d'ETT préconisé dans 1 mois chez le cardiologue traitant. Sur le plan cardio-respiratoire, le patient ne présente pas de récidive d'angor sur le reste du séjour. Le rythme cardiaque reste sinusal, pour une fréquence moyenne à 70 bpm. Nous vous laissons le soin de réaliser le bilan lipidique et l'HbA1c à votre cabinet, et de reprendre le traitement d'Aspirine et de statine. Dans le cadre de l'insuffisance cardiaque avancée avec une FEVG à 20%, nous introduisons un traitement d'IEC, et majorons le bétabloquant, associé à l'aldactone. Nous vous laissons le soin d'adapter le traitement diurétique selon les signes de surcharge clinique. En date du 08.02.2019, Mr. Y présente un état fébrile unique sans foyer clinique, puis développe progressivement des symptômes respiratoires avec toux en date du 12.02.2019 avec récidive de fièvre. Un foyer pulmonaire basale droit est visualisé à la radiographie du thorax. Après prélèvement de la microbiologie, et analyses d'urine, une antibiothérapie est débutée. Ceux-ci reviennent négatifs. Nous vous laissons le soin d'évaluer la réalisation d'un CT scanner thoracique à distance de l'infection.Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 18.02.2019. Votre patient est hospitalisé dans un contexte d'état confusionnel associé à état fébrile. Il est amené aux urgences en ambulance où il est mis en évidence un syndrome inflammatoire et une insuffisance respiratoire partielle. Après avis néphrologique, un traitement de Céfépime est instauré en dialyse. Les hémocultures reviennent positives pour un E. Coli, 1/4. Le traitement antibiotique sera poursuivi en dialyse, adapté selon antibiogramme. Le patient ne représente pas de nouvel état fébrile et évolue favorablement. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y peut rentrer à domicile le 20.02.2019. Il sera suivi en dialyse pour la suite de l'antibiothérapie. Votre patient, Mr. Y, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 21.02.2019 suite à une dyspnée d'effort, une toux sèche et un état fébrile ainsi qu'un état inflammatoire. Le contexte clinique parle pour une pneumonie, malgré l'absence de foyer à la radiographie pulmonaire. Il bénéficie également d'aérosols bronchodilatateurs et de physiothérapie respiratoire. Un laboratoire de contrôle sur le week-end met en évidence un syndrome inflammatoire stagnant, raison pour laquelle la Co-amoxicilline est poursuivie durant une semaine au total. La Prednisone instaurée en ambulatoire est arrêtée après 5 jours de traitement, en raison de l'évolution favorable, de la prise pondérale du patient et sur avis du Dr. X. Le patient évolue favorablement, se sevrant de l'oxygène, restant afébrile et tolérant à nouveau l'effort. Un double traitement antibiotique est instauré vu la suspicion de pneumonie et le patient est hospitalisé en médecine interne pour suite de prise en charge. Au cours de l'hospitalisation, des tensions artérielles aux alentours de 160/95 mmHg sont mises en évidence, malgré le traitement par Candesartan. Un pic à 180/120 mmHg nécessitant une dose unique d'Adalat a également été objectivé. Les hypertensions restent asymptomatiques. Nous vous laissons le soin de modifier en ambulatoire le traitement anti-hypertenseur si cela s'avère nécessaire. Le patient rentre à domicile le 27.02.2019 et sera revu à la consultation du Dr. X à distance pour investigations d'une suspicion de syndrome d'apnées du sommeil. Votre patient, Mr. Y, 82 ans, connu pour les antécédents sus-mentionnés, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 04.02.2019 dans un contexte d'état fébrile. Il est amené au service des urgences en ambulance pour des douleurs généralisées et de la fièvre à 40°C. Ses paramètres vitaux sont une FC à 113/min, une TA à 116/75 mmHg, une SpO2 à 92% à air ambiant et une FR à 36/min. Le status met en évidence des rhonchis basaux gauche à l'auscultation pulmonaire. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire et la radiographie thoracique ne montre pas de foyer franc. Nous retenons une pneumonie basale gauche communautaire probable, et un traitement antibiotique débuté pour une durée totale de 7 jours. Des hémocultures sont effectuées et reviennent négatives. Avec de la physiothérapie surajoutée, il évolue favorablement tant sur le plan clinique que biologique et Mr. Y peut rentrer à domicile le 11.02.2019. Votre patient, Mr. Y, est transféré de l'hôpital de Payerne pour un drainage percutané des voies biliaires. Pour rappel, le patient était hospitalisé en médecine à Payerne depuis le 08.02.2019 pour un ictère ainsi que des diarrhées. Le bilan biologique et radiologique avait mis en évidence une obstruction des voies biliaires d'origine indéterminée mais probablement en lien avec l'adénocarcinome recto-sigmoïdien multimétastatique connu du patient. Une ERCP avait été tentée sans succès. À son arrivée, les paramètres sont les suivants: TA 110/73 mmHg, FC 87/min, SpO2 98% à l'air ambiant, T 36.9°. Le status initial met en évidence un patient ictérique et un abdomen douloureux en épigastre avec défense et un signe de Murphy positif. Un drainage percutané des voies biliaires est effectué sans complications immédiates. En raison d'une cinétique décroissante des tests de cholestases trop lente faisant suspecter un drainage insuffisant, une cholangiographie par le drain est effectuée, montrant un drain en place mais ne drainant qu'une partie du foie. Dans ce contexte, un CT abdominal est effectué révélant une possible infiltration du tronc porte responsable pour une hypertension participant probablement aux troubles hépatiques. La cytologie parle en faveur d'une métastase de l'adénocarcinome colique connu. En accord avec son oncologue, Dr. X, une pompe de 5-FU est mise en place le 25.02 avec bonne tolérance (pas d'effets secondaires mis en évidence pendant le reste du séjour). Pendant le séjour, le patient n'a pris que rarement des réserves de morphine pour ses douleurs abdominales supérieures et au vu d'une réponse occasionnelle de ses épigastralgies à l'Ulcar nous l'avions également laissé en réserve. Du point de vue infectieux, avant son transfert, le patient présente un état fébrile à 39°. L'examen clinique ne montre pas de foyer évident, hormis un signe de Murphy positif. Des hémocultures sont effectuées, dont les 4 bouteilles reviennent positives pour un streptocoques pneumoniae multisensible. Sur avis des infectiologues, le traitement par Flagyl est arrêté et le traitement par Rocéphine est poursuivi pour un total de 10 jours. L'origine de la bactériémie reste indéterminée au vu de l'absence de foyer clinique et radiographique correspondant au germe retrouvé. D'un point de vue nutritionnel, nous réalisons un bilan vitaminique qui met en évidence une hypovitaminose D sévère et un taux d'acide folique à la limite inférieure de la norme que nous substituons. Les troubles électrolytiques (hypomagnésémie légère à 0.79mmol/l le 26.02, hypokaliémie légère à 3.1mmol/l le 21.02 et hypophosphatémie légère à 0.72mmol/l le 26.02) ont été aussi corrigés. Sur le plan moteur, le patient se mobilise sans aide et arrive même à faire les escaliers. Ainsi, vu la bonne évolution le patient rentre à domicile avec un suivi par spitex 2x/j. Refuse un suivi par Voltigo pour l'instant. Votre patient, Mr. Y, consulte le service des urgences le 03.02.2019 pour un AIT avec hémi-syndrome gauche sensitif spontanément résolutif. Il aurait également présenté la veille une syncope à l'emporte-pièce. Pour rappel, Mr. Y est connu pour une coronaropathie monotronculaire de l'IVA moyenne traitée par stent actif en août 2016, ainsi que pour une mutation G20210A de la prothrombine. Au service des urgences, ses signes vitaux sont les suivants: FC 56/min, TA 129/90 mmHg, SpO2 94% à l'air ambiant. Le status initial est dans la norme, mis à part une anisocorie connue de longue date. Afin d'assurer une surveillance rapprochée, il est hospitalisé initialement 48h aux soins continus. Lors de sa surveillance, il reste stable et ne présente pas de récidives de symptômes. Du point de vue neurologique, il présente le 03.02.2019 une hyposensibilité de l'hémiface gauche alors qu'il se rasait, avec une hyposensibilité de l'hémicorps G apparue secondairement. Il décrit également une sensation de floue visuel de l'œil gauche, qui persiste jusqu'à l'arrivée au service des urgences. Au service des urgences, le patient n'a plus de symptômes, hormis une douleur de l'épaule gauche qui est connue dans le cadre d'une arthrose. Le bilan initial par un CT cérébral Time is Brain ne retrouve pas de lésion ischémique constituée. Au vu de la suspicion d'AIT sous anti-agrégation par Aspirine, son traitement est majoré avec du Plavix du 03.02 au 04.02.2019, puis remplacé par du Plavix seul dès le 04.02.2019. Un IRM est effectué et ne montre pas de signes de lésion ischémique ni masse. Au vu des facteurs de risque cardiovasculaire nombreux, un AIT thalamique postéro-latéral droit (vs pariétal droit) est suspecté. Mr. Y ne présente pas de récidives de symptomatologie neurologique lors de son hospitalisation. À noter l'apparition de saccades de l'œil gauche à la poursuite horizontale, sans diplopie ni signes associés, sans importance selon avis neurologique. Au niveau étiologique, une atteinte des vaisseaux pré-cérébraux a été exclue par le CT et l'IRM cérébrale, un test aux microbulles revient négatif pour un embole paradoxal et les ECG ne montrent pas de troubles du rythme.Sur le plan cardiovasculaire, il présente le 02.02.2019 une syncope à l'emporte-pièce sans prodromes, sans douleurs rétrosternales ni palpitations. Un bilan initial est effectué avec un ETT montrant un trouble de la cinétique segmentaire sans valvulopathie significative, une FEVG diminuée à 45% et un test aux bulles négatif. Le bilan est complété par un test de Schellong ainsi qu'un massage carotidien tous deux négatifs. Au vu de la diminution de la FEVG par rapport aux valeurs précédentes, l'avis cardiologique (Dr. X) préconise une coronarographie qui montre une maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et coronaire droite), avec un bon résultat à long terme de la PCI de l'IVA proximale-moyenne et une sténose ostiale subtotale d'une 1ère grosse branche diagonale, traitée par stent actif avec un bon résultat immédiat. Un traitement par Aspirine pour 6 mois ainsi que Plavix à vie au vu de l'AIT récent est préconisé. Le reste du traitement reste inchangé. Un R-test pour une durée de sept jours est posé lors de la sortie du patient pour détecter d'éventuelles arythmies à l'origine de la syncope. Au vu de sa mutation G20210A et de son antécédent d'embolie pulmonaire, un avis hématologue est demandé (Dr. X), mais ne propose pas d'investigations d'embolie pulmonaire sans symptomatologie associée. Mr. Y reste asymptomatique sur la durée de l'hospitalisation. Mr. Y sera revu dans un mois chez Dr. X pour un contrôle clinique ainsi qu'une échographie cardiaque et dans 6 mois pour une ergométrie. Votre patient, Mr. Y, 79 ans, connu pour un syndrome métabolique et une tumeur pénienne opérée à deux reprises, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 11.02.2019 en raison d'un urosepsis. Pour rappel, Mr. Y avait été hospitalisé au Daler du 29.01 au 04.02.2019 pour une circoncision avec résection partielle du gland suite à une récidive d'un carcinome épidermoïde pénien. L'hospitalisation s'était déroulée sans complication. A son arrivée au service des urgences, il se plaint d'un état fébrile depuis 3 jours, avec fuites urinaires inhabituelles et légère douleur sus-pubienne. Les paramètres vitaux affichés sont une fréquence cardiaque à 97/min, une TA à 122/70 mmHg, une FR à 40/min, une SpO2 à 97% et une température à 37.4°C. Au status sont retrouvés une sensibilité en loges rénales bilatérales, mises sur le compte par le patient de son hernie discale connue, ainsi qu'une légère douleur sus-pubienne. La plaie au niveau pénien est calme. Le patient est mis au bénéfice d'un traitement par méropénem, au vu de ses antécédents récents d'urosepsis et de pyélonéphrite à E. Coli ESBL. Il est hospitalisé à l'étage de médecine interne. L'évolution est favorable, tant sur le plan clinique que biologique. Lorsque l'antibiogramme de l'urotube met en évidence un E. Coli ESBL, un relais per os par Ciproxine est débuté, après exclusion d'un QT long sous-jacent. Un bilan étiologique n'est pas réalisé d'office en intra-hospitalier, le rapport de l'hospitalisation au Daler étant indisponible (port de sonde urinaire? bilan étiologique déjà réalisé?), le Dr. X étant absent durant l'hospitalisation actuelle et l'évolution du patient étant favorable. Nous proposons un rendez-vous de contrôle chez le Dr. X dans la semaine suivant la sortie d'hospitalisation. Des aérosols de Ventolin et d'Atrovent sont également introduits sur le séjour hospitalier, au vu de la BPCO mal compensée dans le cadre infectieux, avec bon effet. Le patient se plaint également d'un déconditionnement suite aux hospitalisations récidivantes. De la physiothérapie de mobilisation est introduite, avec évolution favorable. Le patient rentre à domicile le 18.02.2019, avec une ordonnance de physiothérapie ambulatoire. Il ne désire pas de soins à domicile. Nous vous laissons le soin d'en introduire à distance si cela s'avérait nécessaire, et d'évaluer la nécessité de réaliser une IRM cervicale au vu des paresthésies du membre supérieur gauche du patient, sans autres symptômes neurologiques associés. Votre patient, Mr. Y, consulte au service des urgences pour une dyspnée en évolution depuis 5 jours, avec une toux grasse et des expectorations jaunâtres. Au service des urgences, les paramètres sont les suivants : TA 136/77 mmHg, FC 74/min, FR 20/min, 90% à l'air ambiant. Le status initial met en évidence des sibilances éparses ainsi qu'un expirium prolongé au point de vue pulmonaire, ainsi que des œdèmes des membres inférieurs. Le bilan biologique et radiologique initial met en évidence une hypoxémie sans hypercapnie et une absence de syndrome inflammatoire. Un traitement antibiotique, anti-inflammatoire et bronchodilatateurs est mis en place pour une exacerbation de BPCO avec 2/3 critères d'Anthonisen. A noter que les fonctions pulmonaires effectuées en ambulatoire parlaient pour un syndrome obésité hypoventilation. En raison d'un tabagisme ancien (60 UPA) et d'une clinique suggestive, une probable BPCO est retenue. Dans ce contexte, un traitement d'Ultibro est débuté. A noter que les valeurs de PaO2 démontrent une hypoxémie sévère à l'air ambiant, malgré des saturations dans les limites de la norme et une absence de dyspnée ressentie par le patient. Pour la suite, un contrôle chez Dr. X est à effectuer afin de réévaluer le traitement par Ultibro de même que la nécessité de changer l'appareillage du patient. L'origine de la décompensation est une infection virale des voies respiratoires supérieures à RSV, selon le frottis naso-pharyngé effectué. Une possible composante cardiaque est traitée par une augmentation de son traitement diurétique avec, lors de sa sortie, un poids stable à 101.5 kilogrammes. Du point de vue hématologique, une anémie normochrome normocytaire est mise en évidence, sans carence vitaminique, avec un bilan thyroïdien dans la norme mais en présence d'une ferritine fortement abaissée. Le patient ne rapporte pas d'extériorisation. Dans ce contexte, des prélèvements à la recherche de sang occulte dans les selles sont effectués, revenant positifs. Une colonoscopie est à organiser en ambulatoire. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 05.02.2019. Votre patient, Mr. Y, 70 ans, connu pour un diabète non-insulinoréquerant, une hypertension artérielle ainsi qu'un syndrome obésité-hypoventilation, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 13.01.2019 en raison d'une décompensation cardiaque. Une semaine avant son hospitalisation, il présente une dyspnée et une oppression thoracique nouvelles, le motivant à consulter au service des urgences de l'HFR Riaz. L'évaluation clinique retrouve un patient en décompensation cardiaque, avec œdèmes des membres inférieurs et râles crépitants pulmonaires, avec à l'ECG d'entrée un bloc atrio-ventriculaire degré II type 2 nouveau avec une FC à 44/min. Au laboratoire d'entrée, une élévation des enzymes cardiaques est mise en évidence avec modifications non spécifiques à l'électrocardiogramme. Un NSTEMI est donc suspecté. Le patient est transféré dans ce contexte aux soins intensifs de l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge.En attente de la pose du pacemaker, la fréquence cardiaque est contrôlée par l'administration d'Isoprénaline. La pose du pacemaker par Dr. X se déroule sans complication immédiate avec une radiographie de thorax de contrôle sans particularité. Mr. Y est transféré à l'étage de médecine interne le 14.01.2018 pour suite de prise en charge. À son arrivée dans notre service, après son intervention, le patient présente une TA à 142/91 mmHg, une FC à 100 bpm, une saturation sous 2 litres d'O2 à 95 % et une température à 36,9°. Le point de ponction reste calme et le patient non algique. Suite à la suspicion de NSTEMI, une coronographie est effectuée le 16.01.19, ne mettant pas en évidence de sténose significative. L'échocardiographie transthoracique revient sans particularité. Nous concluons donc à un NSTEMI sur bas débit. L'évolution pondérale et symptomatique sous traitement diurétique (Metolazone et Lasix) est favorable, permettant un relais per os le 29.01.2019. Des petits ajustements de dosage sont effectués sur le reste du séjour, le patient restant finalement stable avec 30 mg de Torem. La physiothérapie de mobilisation lui est également favorable. Le patient est transféré le 05.02.2019 à l'HFR Riaz pour une réadaptation gériatrique. Il sera convoqué à l'HFR Fribourg pour un contrôle de pacemaker 3-4 semaines après la pose de celui-ci. Nous vous laissons le soin d'organiser un suivi cardiologique en ambulatoire par la suite. Votre patient, Mr. Y, 70 ans, connu pour un CHC multifocal avancé, est hospitalisé pour des troubles de l'état de conscience. L'hétéro-anamnèse auprès de l'épouse rapporte un manque de sommeil la nuit précédente et plusieurs vomissements le matin même, avec toux et diminution de l'état de conscience. À l'arrivée des ambulanciers, le patient présente un GCS 7/15 et à l'arrivée au service des urgences, l'état clinique du patient se péjore avec un GCS à 3/15. Une hémorragie cérébrale est suspectée au vu des troubles de la crase connus dans le contexte oncologique. Suite à une discussion multidisciplinaire, il est décidé de ne pas effectuer d'imagerie cérébrale au vu de l'absence de conséquences thérapeutiques. Le patient est transféré à l'étage pour une fin de vie. Pourtant, à son arrivée à l'étage, l'évolution est rapidement favorable, avec amélioration de l'état de conscience, mais avec une confusion. Un CT cérébral est donc effectué, avec l'accord de l'épouse et de la Dr. X, excluant une hémorragie cérébrale. L'ammoniémie étant élevée, une encéphalopathie hépatique est suspectée et un traitement par lactulose est débuté, avec évolution favorable. Le patient reste orienté, calme et collaborant. Nous concluons donc à une encéphalopathie hépatique dans le cadre d'un cancer hépatocellulaire avancé. Sur avis de la Dr. X, le patient rentre à domicile le 05.02.2019, sous traitement par Duphalax et Rifaximine. Votre patient, Mr. Y, consulte pour une dyspnée à l'effort accompagnée d'expectoration et de toux en évolution depuis 1 mois. Pour rappel, il a été traité par Co-Amoxicilline un mois auparavant pour une pneumonie communautaire. Au vu d'une persistance des symptômes, un deuxième traitement par Azythromycine est mis en place, sans effet. Des imageries effectuées en ambulatoire (CT et radiographie de thorax) montrent un infiltrat du lobe inférieur gauche persistant. À son admission dans le service des urgences, les paramètres vitaux sont les suivants : TA 118/76 mmHg, SpO2 90 % à l'air ambiant, FC 84/min, T°C 36.8. Le statut pulmonaire est dans la norme hormis une légère désaturation à l'effort. Le bilan biologique est sans particularité et le bilan radiologique révèle une persistance de l'opacité lobaire. Dans le cadre d'une suspicion d'un processus évolutif, une bronchoscopie EBUS est effectuée. D'après les pneumologues, les images retrouvées lors de la bronchoscopie et au CT sont très suspectes pour une origine tumorale. Dans ce contexte, un bilan d'extension, une présentation au Tumorboard ainsi que la suite de prise en charge en oncologie sont organisés. À noter que l'histo-pathologie est à pister à la sortie du patient. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 07.02.2019 avec une suite de prise en charge ambulatoire. Votre patient, Mr. Y, est hospitalisé en électif pour une biopsie d'une lésion hépatique suspecte. Pour rappel, un bilan par PET CT scanner post-opératoire avait mis en évidence une lésion hypermétabolique au niveau hépatique, suspecte de métastase dans le contexte de carcinome des canaux collecteurs du rein. Une IRM avait été effectuée ouvrant le différentiel sur la présence d'un abcès. Lors de l'arrivée de Mr. Y, ses paramètres sont les suivants : TA 114/68 mmHg, FC 64/min, SpO2 97 % à l'air ambiant, T 36.7°C. Le statut initial est sans particularité et le bilan biologique est dans la norme, hormis une CRP à 50 ng/l. Dans ce contexte, une biopsie de la lésion est effectuée le 14.02.2019, sans complication. Au vu de l'absence de symptômes infectieux, aucun traitement antibiotique n'est instauré durant l'hospitalisation, en attente des résultats des prélèvements. La suite de traitement sera effectuée par la Dr. X. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 15.02.2019. Votre patient, Mr. Y, 67 ans, connu pour un remplacement de valve aortique par une valve biologique, un adénocarcinome prostatique métastatique, à 6 jours d'une cure de Taxotère, est adressé par l'oncologie ambulatoire en raison d'un état fébrile avec symptômes respiratoires le 30.01.2019. Il présente depuis 4 jours une baisse de l'état général avec asthénie, manque de force globale et, depuis 3 jours, un état fébrile mesuré au maximum à 38.6° le 30.01.2019. Mr. Y présente également une toux sans expectorations et des douleurs musculaires diffuses. Il rapporte une notion de contage avec son épouse qui a présenté un état grippal. Le patient n'est pas vacciné contre la grippe et n'a pas effectué de voyage récent. À son arrivée à l'étage, il présente une TA à 118/58 mmHg, une FC à 79 bpm, une température à 37.6° et une saturation à l'air ambiant à 97 %. Au statut sont retrouvés des ronchis pulmonaires diffus ainsi que des sibilances expiratoires. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire et une pancytopénie sans agranulocytose, et la radiographie du thorax est suspecte d'un foyer basal gauche. Le dépistage de la grippe revient positif pour Influenza A. Un traitement de Tamiflu est débuté en vue de l'immunosuppression, ainsi qu'une antibiothérapie initialement par Rocéphine et Klacid. Ce dernier est arrêté après réception négative des antigènes urinaires. Des aérosols d'Atrovent et de Ventolin sont introduits le 02.01.2019 en raison d'une composante auscultatoire spastique. L'évolution est favorable sur le plan respiratoire. Sur le plan hématologique, le patient sort spontanément de leucopénie le 01.02.2019. Pourtant, l'anémie connue persiste malgré des transfusions de culots érythrocytaires. Le bilan carentiel revient dans la norme, hormis des valeurs de transferrine et de vitamine B12 augmentées en vue de l'atteinte inflammatoire. Sur avis du Dr. X, un bilan endoscopique n'est pas réalisé d'emblée, vu que l'anémie peut être mise sur le compte de la chimiothérapie, du contexte infectieux et de l'atteinte tumorale. De plus, Mr. Y ne rapporte pas d'extériorisation. Une thrombopénie sur chimiothérapie est également objectivée.Durant le séjour, le patient présente toujours une grande fatigue, mise sur le compte de la chimiothérapie, de la double infection ainsi que du déconditionnement. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation, avec effet positif. Mr. Y peut rentrer à domicile le 11.02.2019, avec une prochaine consultation chez le Dr. X agendée pour le 14.02.2019. Il reçoit les conseils de vigilance par rapport à une recrudescence d'état fébrile et les symptômes d'une hypocalcémie ou d'une anémie. Votre patient, Mr. Y, 29 ans, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 12.02.2019 en raison de lombalgies aiguës. Il est amené au service des urgences en ambulance suite à une incapacité de se relever après un faux mouvement de flexion du tronc vers l'avant. Il aurait déjà eu des lombalgies aiguës depuis le vendredi 08.02.2019, suite à un port de charge au travail de 50-60 kilos et le week-end de repos ne l'aurait pas aidé. Il ne rapporte pas de symptômes neurologiques parlant pour une compression de la moelle, autre qu'une petite fuite urinaire le matin même. Il rapporte n'avoir pas uriné depuis plusieurs heures après cela. Ses paramètres vitaux sont dans la norme et le status met en évidence un patient extrêmement algique, incapable de se mobiliser en raison de la douleur, ainsi qu'une extrême contracture musculaire paravertébrale au niveau L4-S1. Le status neurologique est normal, y compris le toucher rectal. L'IRM demandée par les orthopédistes en raison de la fuite urinaire matinale ne met pas en évidence de compression médullaire. Le patient est hospitalisé en médecine interne pour antalgie. Au status d'entrée à l'étage, la miction reprend spontanément. La rétention urinaire est mise sur le compte des opiacés forts reçus au service des urgences. Il est également noté une légère fuite de selles, probablement sur effort de miction, sans récidive. Le patient évolue favorablement sous traitement antalgique associé à des myorelaxants et de la physiothérapie de mobilisation. Le status neurologique reste dans la norme. Il rentre à domicile le 14.02.2019, avec un arrêt de travail et de la physiothérapie ambulatoire. Votre patient, Mr. Y, est hospitalisé en électif pour un drainage percutané des voies biliaires. Pour rappel, Mr. Y est connu pour un adénocarcinome gastrique opéré par gastrectomie totale en 2016 et récidive sous forme d'une métastase cholédocienne depuis juillet 2018, résultant en une obstruction des voies biliaires intra-hépatiques. L'obstruction avait été traitée par la mise en place de deux stents. Un CT abdominal de contrôle en janvier 2019 révèle une nouvelle obstruction des voies biliaires, des côtés droites, avec une hyperbilirubinémie au laboratoire. A son arrivée, les paramètres sont les suivants : TA 112/78 mmHg, FC 66/min, SpO2 96%, T 36.3°C. Le status initial retrouve un patient en bon état général, anictérique, avec un status abdominal sans douleurs à la palpation et un Murphy négatif, le reste est sans particularité. Un drain percutané ainsi qu'un stent biliaire sont mis en place par le Dr. X le 04.02.2019. Dans les suites de l'intervention, le patient développe des douleurs abdominales importantes, accompagnées de nausées et vomissements. Un CT abdominal révèle une minime majoration d'une lame de liquide péri-hépatique pouvant être en lien avec une petite fuite de bile en péri-hépatique, probablement responsable pour les douleurs. Il n'y a pas de signe parlant pour une complication autre de type hémorragique. Le drain est par la suite opacifié, montrant une bonne perméabilisation et une absence de dilatation des voies biliaires. L'appareillage peut être retiré sans complications. En raison d'une légère augmentation des tests hépatiques et paramètres de cholestases, un nouvel ultrason est réalisé, ne montrant pas de dilatation des voies biliaires ni de déplacement des stents. Pour la suite, un contrôle biologique à la consultation du Dr. X est prévu. Du point de vue infectieux, en raison de paramètres inflammatoires élevés au laboratoire, de la présence d'un streptocoque anginosus dans les cultures de bile et des douleurs abdominales présentées par le patient sans fièvre, le traitement antibiotique prophylactique par Ceftriaxone est poursuivi et un traitement ambulatoire de Co-Amoxicilline pour une cholangite possible. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 06.02.2019. Votre patient, Mr. Y, consulte le service des urgences pour un état grippal sous forme de toux, dyspnée et un état fébrile avec des frissons. Au service des urgences, les paramètres sont les suivants FC 109/min, TA 105/59 mmHg, FR 25/min et SpO2 88% à l'air ambiant, T 37.6°C. Le status initial met en évidence des râles crépitants grossiers bibasaux. Le bilan radiologique et biologique confirme une bronchopneumonie bibasale. Un frottis nasopharyngé revient positif pour Influenza A. Un traitement antibiotique par Rocéphine et Klacid est débuté, le Klacid pouvant être stoppé suite à des antigènes urinaires négatifs pour la légionnelle. L'évolution clinico-biologique est lentement favorable. Une radiographie de contrôle révèle un minime épanchement pleural droit, sans signe de complication et sans répercussion clinique. Dans le contexte infectieux, une thrombocytopénie avec un nadir à 86 G/L est mise en évidence, de résolution spontanée. Du point de vue rénal, le patient présente une insuffisance rénale AKIN 1 d'origine pré-rénale lors de son admission, résolue après hydratation intraveineuse. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 05.02.2019. Votre patient, Mr. Y, est hospitalisé par nos collègues d'oncologie ambulatoire en raison d'une agranulocytose fébrile. Lors d'un contrôle à la consultation ambulatoire d'oncologie, une agranulocytose à J10 post-chimiothérapie ainsi qu'une perturbation des tests de cholestases avec un état fébrile est mise en évidence. Le patient ne rapporte pas de plainte hormis une toux sèche depuis 5 jours, sans dyspnée et sans expectoration. Lors de son arrivée, les paramètres sont les suivants : TA 135/78 mmHg, FC 88/min, SpO2 95% à l'air ambiant, T 38.4°C. L'examen clinique complet ne révèle pas de source infectieuse clinique. Un traitement antibiotique par Céfépime est mis en place. Les hémocultures, cultures d'urines et le frottis de grippe ne mettent pas en évidence de germe. La radiographie de thorax ne révèle pas de foyer. On observe une rapide sortie d'agranulocytose et une bonne évolution clinico-biologique. Le traitement antibiotique est poursuivi pour 48h afébrile post-sortie d'agranulocytose en l'absence de foyer. Du côté hématologique, Mr. Y présente une pancytopénie dans le contexte de chimiothérapie et de maladie oncologique. Les valeurs de thrombocytes et d'hémoglobines sont suivies durant l'hospitalisation sans nécessité de transfusion. Sur le plan abdominal, en raison de la perturbation initiale des tests hépatiques, un US abdominal est effectué, revenant dans les limites de la norme. A noter qu'au status, le patient ne présente pas de douleurs. On observe une résolution rapide et spontanée de la perturbation des tests, dont l'origine peut être infectieuse, toxique post-chimiothérapie ou encore en lien avec la maladie de Gilbert connue du patient. Sur le plan psychiatrique, le patient présente une angoisse et des troubles du sommeil motivant une consultation par nos collègues de psychiatrie. Ceux-ci retiennent des éléments dépressifs en réaction à la maladie, sans risque suicidaire. Un suivi en ambulatoire est proposé et accepté par le patient.Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 13.02.2019. Votre patient, Mr. Y a été hospitalisé dans notre service pour une pneumonie confirmée à la radiographie thoracique. Sous antibiotique, l'évolution est par la suite favorable avec sevrage de l'oxygène. Des d-dimères à la recherche d'une embolie pulmonaire reviennent négatifs. L'évolution clinico-biologique est favorable sur le séjour. Le patient présente également une fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide objectivée par un ECG le 15.02.2019. Une échographie transthoracique est effectuée et montre une FEVG diminuée à 35%, ainsi qu'une atteinte polyvalvulaire minime. Le traitement de Bilol est maintenu au vu d'un profil tensionnel optimal. Une anticoagulation par Eliquis est débutée et remplace l'aspirine cardio. Le patient sera convoqué à distance pour une cardioversion à 3 semaines, une pose de holter sur 48h à 5 semaines et une échographie transthoracique à 6 semaines de la sortie. Un traitement de lisinopril est ajouté suite à la FEVG diminuée. Du point de vue social, un retour à domicile ne pose pas de problèmes vu l'autonomie du patient et son bon conditionnement physique. Le projet d'aide à domicile pour des tâches ménagères est discuté avec le patient mais ce dernier ne souhaite, à l'heure actuelle, aucune aide. Votre patient, Mr. Y, 62 ans, connu pour un diabète insulino-requérant de type 2, est hospitalisé à l'HFR Fribourg en raison d'un STEMI antérieur. Le 05.02.2019, il est retrouvé à terre par son épouse dans la salle de bain de la maison familiale, inconscient et cyanosé. Il bénéficie d'un massage cardiaque par son épouse, son fils et des témoins guidés par téléphone, durant environ 10 minutes avec rétablissement spontané de l'état de conscience. Le patient n'aurait jamais présenté de douleurs rétro-sternales. L'ECG effectué par les ambulanciers montre un sus-décalage des territoires antéro-septaux et le laboratoire met en évidence des enzymes cardiaques élevés. Une coronarographie effectuée en urgence montre une cardiopathie ischémique tritronculaire avec occlusion de l'artère interventriculaire antérieure distale et plusieurs subocclusions de l'artère interventriculaire antérieure à différents niveaux. Trois stents actifs sont mis en place, sans complication. Le patient est hospitalisé aux soins intensifs et transféré à l'étage de médecine interne lorsque l'évolution clinique et biologique reste sans particularité. Un traitement par Aspirine est instauré à vie et du Prasugrel pour une année. Une statine est également introduite. Une insuffisance cardiaque à fraction d'éjection abaissée est découverte et traitée par Sartan et bétabloqueurs, avec bonne tolérance. La lésion de la circonflexe sera à traiter le 08.03.2019. Un pontage ou une troisième coronarographie sera à réévaluer avec les cardiologues dans un deuxième temps. Sur le plan endocrinologique, le patient bénéficie d'un avis spécialisé en raison de son diabète insulino-requérant avec une HbA1c à 8.5% et des hyperglycémies. Le traitement d'insuline est majoré et du Jardiance introduit, avec bonne tolérance également. Le patient sera convoqué en ambulatoire pour un suivi podologique et néphrologique à l'HFR Fribourg. Il aura rendez-vous chez son ophtalmologue dans les semaines à suivre. Suite à une évolution clinique et biologique favorable, sans douleurs rétro-sternales ni autre symptôme cardiaque, le patient rentre à domicile le 14.02.2019. Il sera convoqué pour la réhabilitation cardiovasculaire stationnaire à Billens, à effectuer avant sa deuxième coronarographie au vu de l'atteinte coronarienne diffuse (non contre-indiqué sur avis des cardiologues). Votre patient, Mr. Y, est hospitalisé aux soins intensifs en Stroke Unit monitorée pour une surveillance neurologique d'un AVC ischémique de l'artère cérébrale moyenne droite. Il présente une hypoesthésie de l'hémicorps gauche d'apparition brutale suite à un traitement de racine chez son dentiste le 15.02.2019. À son arrivée au service des urgences, l'évaluation neurologique retrouve un NIHSS à 2 points. Un CT-scan cérébral Time is brain montre une occlusion de l'artère cérébrale moyenne droite au niveau de la branche distale M2-M3, avec un anévrisme de 2x3 mm dans l'artère carotide interne droite au niveau du segment intra-crânien. Selon avis neurologique, il n'y a pas d'indication à une lyse et le patient est chargé en Clopidogrel puis admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique. Sur le plan clinique, l'évolution est sans particularité avec un score de NIHSS à 2 points à son arrivée et à 0 point à la sortie des soins intensifs le 17.02.2019. Sur le plan étiologique, un bilan lipidique et d'hémoglobine glyquée retrouve une hypercholestérolémie chez un patient déjà sous traitement de statine. Une adaptation de son traitement avec un passage à de l'Atorvastatine en raison d'une efficacité supérieure est effectuée et nous vous laissons recontrôler le bilan lipidique à distance. Une échocardiographie met en évidence une fonction cardiaque dans la norme, sans source embolique retrouvée. Une IRM cérébrale retrouve la lésion ischémique dans le territoire sylvien droit ainsi que des artères athéromateuses en défaveur de la droite, mais sans plaques molles. Dans ce contexte, la double anti-agrégation plaquettaire par ajout du Clopidogrel est à poursuivre pendant 1 mois et le Clopidogrel est à continuer à vie, selon nos collègues de neurologie. Un holter est en cours d'analyse lors de la sortie du patient. En cas d'absence d'arythmie emboligène sur le tracé, un R-test est à effectuer afin d'exclure formellement une origine cardiaque. Le patient sera vu à la consultation neurovasculaire dans 3 mois. Au niveau électrolytique, le patient est connu pour un probable syndrome de Conn, sous substitution potassique intensive à domicile. Lors de son séjour aux soins intensifs, il présente des hypokaliémies récalcitrantes avec des troubles du rythme sous forme d'un bigéminisme ventriculaire asymptomatique. Dans ce contexte, sur avis endocrinologique, le rapport aldostérone sur rénine est mesuré, dont les résultats sont encore en cours lors de la sortie du patient. Un CT scanner des surrénales révèle une nodularité focale de la surrénale gauche, ainsi qu'une légère hypertrophie bilatérale et une petite nodularité de la surrénale droite. Au vu de la forte suspicion clinique, un traitement de spironolactone est débuté. Le patient rentre à domicile avec une poursuite de substitution orale potassique avec un contrôle rapproché à votre consultation. De plus, il sera vu en endocrinologie afin de discuter des résultats et de la suite de prise en charge. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 22.02.2019. Votre patient, Mr. Y, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 31.01.2019 en raison d'une grippe de type A avec possible surinfection bactérienne. Il est amené au service des urgences par sa fille sur avis des soins à domicile, suite à une chute la veille dans des circonstances peu claires. Le patient se plaint de toux productive et d'un syndrome grippal. Les paramètres vitaux sont dans la norme et le statut retrouve uniquement des ronchis en base pulmonaire gauche. Le bilan radiologique exclut une hémorragie cérébrale due à la chute. Un traitement par Oseltamivir est instauré vu l'apparition récente des symptômes, ainsi qu'un traitement antibiotique au vu d'une auscultation pulmonaire en faveur d'un foyer infectieux probable, la radiographie du thorax ne pouvant exclure un foyer infectieux. Le patient évolue favorablement, tant sur le plan clinique que biologique. Un relais antibiotique par voie orale est effectué sans complications.A noter une chute par inadvertance durant la nuit du 02.02 au 03.02.2019 lorsque le patient s'est levé seul par-dessus les barrières de son lit. Une surveillance neurologique aux 4 heures instaurée par le médecin de garde et un suivi de l'hémoglobine s'avèrent normaux. Mr. Y bénéficie de physiothérapie de mobilisation et d'entraînement à la proprioception sur le séjour. Sur le plan biologique, une pancytopénie apparaît sur le séjour dans le cadre de l'infection, que nous vous laissons le soin de suivre en ambulatoire. Le patient rentre à domicile le 06.02.2019. Il est discuté avec son épouse de l'absence de nécessité de mettre en place des soins à domicile. Nous vous laissons le soin d'en instaurer par la suite si cela s'avère nécessaire et de contrôler la formule sanguine à distance. Votre patient, Mr. Y, nous est envoyé par vous-même à l'HFR Fribourg pour investigation d'un nodule pulmonaire apical. Pour rappel, un scanner thoracique est effectué en ambulatoire pour bilanter deux épisodes d'hémoptysies les 21.01 et 22.01.2019, chez ce patient qui a été traité par co-amoxicilline en ambulatoire pour une pneumonie du 22.01 au 27.01.2019. Le scanner met en évidence une condensation pulmonaire de 10 x 8 x 7 mm dans le segment apical du lobe pulmonaire supérieur droit. Le patient est orienté au service des urgences de l'HFR Fribourg par vous-même pour investigations et de surcroît, une exacerbation de dyspnée et d'expectorations blanchâtres. Le patient rapporte avoir arrêté ses traitements bronchodilatateurs habituels par crainte d'interactions médicamenteuses avec la co-amoxicilline. Au service des urgences, le status met en évidence uniquement des sibilances diffuses sur les deux plages pulmonaires. Le laboratoire indique une absence de syndrome inflammatoire, et une éosinophilie à 11%, connue. Lors de la relecture du scanner thoracique, les avis radiologique et pneumologique convergent vers une condensation pulmonaire de cause plutôt infectieuse que néoplasique. Celle-ci ainsi que les deux épisodes d'hémoptysie pourraient s'inscrire dans le contexte de la pneumonie pré-citée. Pour confirmation, le dossier du patient est présenté au tumorboard de chirurgie thoracique le 06.02.2019. L'avis chirurgical propose un PET-CT à 1 mois, à distance de l'épisode infectieux, car la localisation apicale et le tabagisme ancien de Mr. Y pourraient parler pour une néoplasie. Un PET-CT est donc demandé. S'il revient positif, nous vous laissons le soin d'organiser un rendez-vous en chirurgie thoracique. Pendant l'hospitalisation, le bilan oncologique n'est pas investigué de manière supplémentaire. Le patient reste toutefois hospitalisé pour son insuffisance respiratoire. Sous traitement par bronchodilatateurs et physiothérapie respiratoire, il évolue favorablement, restant afébrile et se sevrant de l'oxygène le 05.02.2019. Il rentre à domicile avec une ordonnance de physiothérapie ambulatoire le 07.02.2019. Il sera convoqué pour une réadaptation respiratoire ambulatoire à Billens ainsi que pour le PET-CT. Votre patient, Mr. Y, 63 ans, connu pour les antécédents sus-mentionnés, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 05.02.2019 en raison d'une décompensation BPCO et pour une surveillance d'un INR supra-thérapeutique découvert de manière fortuite. Il se présente au service des urgences sur recommandation des soins à domicile, se plaignant d'une dyspnée NYHA III en augmentation depuis une semaine, sans toux productive ni état fébrile. Il était au bénéfice d'un traitement corticoïde instauré par vous-même, en schéma dégressif à 20 mg par jour. Les paramètres vitaux sont comme suit : FC 98 bpm, TA à 138/83 mmHg, FR à 28/min, SpO2 à 92% à l'air ambiant, T°C 36.9. Le status met en évidence uniquement des sibilances diffuses sur les deux plages pulmonaires. Le bilan biologique et radiologique confirment l'exacerbation BPCO, sans foyer pulmonaire. Le patient est mis au bénéfice d'un traitement par Konakion per os et une majoration de son traitement habituel par Atrovent et Ventolin. Un traitement corticoïde et antibiotique n'est pas instauré, au vu de l'absence de syndrome inflammatoire, fièvre ou toux productive. Il est hospitalisé en médecine interne pour surveillance. De la physiothérapie respiratoire est également entreprise. L'évolution clinique et biologique est entièrement favorable, la crase se normalisant le 07.02.2019 et le patient retrouvant son état respiratoire basal. Il ne présente aucun signe d'extériorisation. Le Sintrom est arrêté le 07.02.2019 au profit d'une introduction de Xarelto, d'entente avec vous-même. Nous vous laissons le soin de contrôler la crase et les tests hépatiques dans une semaine. Le patient rentre à domicile le 07.02.2019, avec des conseils de vigilance et la reprise de sa physiothérapie ambulatoire habituelle. Votre patiente, Mme. Y, consulte au service des urgences pour une dyspnée en évolution depuis 1 semaine, avec une cyanose des lèvres et d'importants œdèmes des membres inférieurs. A son admission, les paramètres sont les suivants : TA 159/80 mmHg, FC 62/min, FR 24/min, SpO2 97% à l'air ambiant, T 36.6°C, poids d'entrée à 88.4 kg. L'examen clinique initial met en évidence des signes de décompensation cardiaque globale sous forme d'importants œdèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'à mi-cuisse, d'hypoventilation bi-basale et de râles crépitants au niveau pulmonaire ainsi qu'en raison d'une turgescence jugulaire. Le bilan biologique et radiologique confirme l'origine cardiaque de la surcharge. Un traitement diurétique intraveineux est débuté avec un poids sec estimé à 77 kilogrammes. Un bilan échocardiographique met en évidence une FEVG sévèrement diminuée à 20% et d'importantes atteintes valvulaires. L'origine de la décompensation cardiaque globale est probablement le flutter auriculaire à conduction variable et à réponse ventriculaire rapide mise en évidence sur les ECG sériés. Sur avis cardiologique, une tentative de cardioversion médicamenteuse est effectuée sans passage en rythme sinusal mais avec une fréquence cardiaque normocarde. Pour la suite, le traitement de cordarone, à dose d'entretien, est à poursuivre pour au minimum 3 mois. Nous vous laissons le soin d'adapter les traitements freinateurs par bêta-bloquant et cordarone en fonction de la fréquence cardiaque et de la tolérance. A noter qu'une cardioversion électrique serait indiquée, actuellement refusée par la patiente, ce que nous vous laissons rediscuter avec la patiente à distance. Du point de vue électrolytique, la patiente présente une tendance à l'hyperkaliémie, dans le contexte de traitement d'aldactone introduit sur le séjour et d'insuffisance rénale chronique, traitée par du Resonium. En cas de persistance d'hyperkaliémie, le traitement d'aldactone sera à diminuer. Sur le plan vasculaire, la patiente est connue pour une AOMI ainsi que pour des ulcères chroniques des membres inférieurs, suivie en ambulatoire par nos collègues de stomathérapie. Durant l'hospitalisation, une péjoration du status local est objectivée, cependant sans état fébrile et signe inflammatoire au laboratoire. Dans ce contexte, sur avis des angiologues, une pléthysmographie est effectuée, revenant meilleure que le comparatif de janvier 2019. Une poursuite du traitement conservateur avec des soins de plaies est effectuée sur avis de nos collègues d'angiologie. L'origine de la péjoration du status local est probablement mixte sur un low output dans le contexte de décompensation cardiaque et une compression due aux œdèmes. Au vu d'une persistance de troubles de la marche et d'un risque de chute augmenté, chez une patiente vivant à domicile avec ses fils et auparavant indépendante, la patiente part bénéficier d'une réhabilitation gériatrique à Riaz le 21.02.2019.Votre patiente, Mme. Y, est hospitalisée suite à une thermoablation et biopsie sous CT d'une masse rénale gauche. Pour rappel, la lésion tissulaire est mise en évidence lors d'un CT abdominal de contrôle évolutif d'anévrisme vasculaire. Une biopsie et thermoablation sous CT est décidée lors d'un tumorboard. Durant le geste, un hématome péri-rénal en lien avec la biopsie est mis en évidence et la patiente est hospitalisée pour surveillance. Mme. Y reste hémodynamiquement stable et les contrôles d'hémoglobine reviennent dans la norme. La patiente sera convoquée en radiologie par le Dr. X pour discuter des résultats et de la suite de prise en charge. Du point de vue tensionnel, en raison d'un profil tensionnel bas, les médicaments antihypertenseurs de la patiente sont mis en pause durant l'hospitalisation. Nous vous laissons le soin de réévaluer ces traitements à distance. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y rentre à domicile le 10.02.2019. Votre patiente, Mme. Y, est hospitalisée à l'HFR Fribourg le 12.02.2019 en raison d'un état fébrile. Pour rappel, la patiente est connue pour une démence mixte sévère la rendant dépendante pour les activités de la vie quotidienne. Elle habite chez un couple d'amis dont la femme est également sa référente thérapeutique au niveau légal. Elle est référée au service des urgences par un médecin de MedHome. À l'hétéro-anamnèse, un état fébrile est rapporté, ainsi qu'un refus de la part de la patiente de prendre ses médicaments par voie orale. De plus, elle aurait cessé de parler depuis le soir précédent suite à un état fébrile sur pneumonie infirmé à la radiographie pulmonaire. Le frottis de grippe revient positif. La patiente est mise au bénéfice d'un traitement antibiotique et antiviral et hospitalisée en médecine interne pour la suite de prise en charge. L'évolution sur le plan respiratoire est favorable, avec une patiente se sevrant de l'oxygène au fil des jours et restant afébrile et non dyspnéique. Un état confusionnel hypoactif est suspecté lorsque la patiente commence à dormir pendant la journée et à ne pas répondre aux questions. Les paramètres vitaux restent dans la norme et le bilan biologique et électrocardiographique revient sans particularité. Son traitement habituel de Haldol est également mis en suspens pour une suspicion d'accumulation de métabolites. Le lendemain, la patiente est plus réveillée, ouvrant les yeux à la stimulation et répondant aux questions. De surcroît, elle démontre parfois des phases d'agitation, motivant la réintroduction de son Haldol habituel, avec bon effet. Sur le séjour, elle demeure pourtant peu collaborative, répondant peu aux questions, restant difficilement examinable, mais cela est connu chez elle. Au vu de son refus de prendre ses médicaments par voie orale, seuls les traitements nécessaires sont maintenus et le Xarelto est remplacé par de la Clexane. De plus, une chute avec traumatisme crânien sans perte de connaissance est rapportée. Un scanner cérébral demandé chez cette patiente anticoagulée dont le statut neurologique est non interprétable revient dans la norme. Il n'y a pas de récidive de chute sur le séjour. Un colloque avec sa référente thérapeutique et les soignants est effectué le 21.02.2019 pour organiser le projet de sortie. Au vu d'une patiente extrêmement fragile sur le plan cognitif, dépendante pour les activités de la vie quotidienne, déconditionnée suite à l'état infectieux et à l'hospitalisation malgré la physiothérapie, il est convenu qu'elle sera transférée à l'unité d'accueil temporaire et d'orientation dès que possible. Un placement en EMS ou un retour à domicile avec majoration du cadre soutenant déjà instauré est à réévaluer secondairement. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Votre patiente, Mme. Y, connue pour une sarcoïdose et une hypertension artérielle, est hospitalisée dans les suites d'un arrêt cardio-respiratoire sur fibrillation ventriculaire d'origine ischémique. Pour rappel, la patiente présente une syncope à l'emporte-pièce à domicile, motivant une consultation au service des urgences. Durant l'attente, elle présente une nouvelle syncope avec des douleurs rétrosternales irradiant dans les épaules, avec un arrêt cardio-respiratoire sur une fibrillation ventriculaire, sur probable phénomène R sur T. Un massage cardiaque externe ainsi qu'un choc de 200 joules sont administrés avec une récupération d'un rythme cardiaque après 2 minutes. Une surveillance hémodynamique est effectuée aux soins intensifs, sans récidive de troubles du rythme. Un CT thoracique exclut une embolie pulmonaire et une dissection aortique. Une ETT montre une fonction cardiaque globale conservée avec une hypokinésie minime de la paroi inféro-basale. Il y a également des signes parlant pour une cardiopathie hypertrophique. Dans ce contexte, une coronarographie est effectuée, mettant en évidence une maladie coronarienne monotronculaire avec sténose subocclusive de l'artère rétroventriculaire postérieure, qui est stentée. Une IRM cardiaque ne montre pas d'argument pour une atteinte infiltrative de la sarcoïdose connue de la patiente. L'origine de l'arythmie est probablement ischémique. Un défibrillateur est posé le 18.02.2019 par le Dr. X. Le bilan des facteurs de risque cardiovasculaire ne met pas en évidence de diabète, mais retrouve une dyslipidémie, pour laquelle un traitement hypolipémiant est introduit. Le traitement par Aspirine est à continuer à vie et le traitement par Plavix pour 6 mois. La patiente sera convoquée en ambulatoire pour une réhabilitation à Billens. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 19.02.2019. Votre patiente, Mme. Y, 24 ans, 2G 1P, à 19 semaines d'aménorrhée, est hospitalisée à l'HFR Fribourg le 12.02.2019 en raison d'un état grippal. Elle se présente au service des urgences pour un état fébrile élevé, ainsi qu'une toux productive et des myalgies diffuses. Elle n'a aucun symptôme gynécologique. Ses paramètres vitaux à son admission sont comme suit : un GCS à 15/15, une FC à 140/min, une TAS à 95/55 mmHg, une SpO2 à 95%, ainsi qu'une température à 40.4°C. Le statut est normal mais le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire. Une radiographie du thorax n'est pas effectuée vu la grossesse. En raison de la tachypnée et de la tachycardie, ainsi que de la gazométrie avec acidose métabolique légère, un avis aux intensivistes est demandé, sans sanction thérapeutique particulière. La patiente évoluant rapidement favorablement, elle est admise en médecine interne pour la suite de prise en charge. Elle est mise au bénéfice d'un traitement antibiotique et anti-grippal, sous lequel elle évolue favorablement sur le plan clinique. Une tachycardie aux alentours des 100 bpm persiste pourtant durant le séjour, allant jusqu'à 120 bpm après l'effort, asymptomatique. Au vu des paramètres vitaux restant dans la norme et la patiente étant asymptomatique, ceci est mis sur le compte de l'infection et de la grossesse. À noter une hémoglobine abaissée au laboratoire de sortie, mise sur le compte de l'état inflammatoire et de l'hémodilution chez une patiente hydratée par voie IV durant le séjour. La patiente ne rapporte pas de plaintes particulières ni d'extériorisation, et un US de sortie abdominal et gynécologique ne retrouve pas d'anomalie. Elle rentre à domicile le 14.02.2019, afébrile, en ayant reçu les conseils de vigilance. Nous vous laissons le soin de réévaluer la poursuite de la co-amoxicilline le 18.02.2019 selon le contrôle clinico-biologique. Votre patiente, Mme. Y, consulte au service des urgences pour des douleurs abdominales et une constipation en évolution depuis 9 jours, accompagnées de lombalgie chronique acutisée. Au service des urgences, les paramètres sont les suivants TA 116/71 mmHg, FC 69/min, FR 16/min, SpO2 100% à l'air ambiant, T 35.3°C. L'examen clinique initial met en évidence une patiente déshydratée, avec des douleurs à la palpation dans l'hémi-abdomen inférieur, sans péritonisme ni signe pour un iléus. Le toucher rectal ne met pas en évidence de fécalome. Le bilan biologique revient dans la norme et un traitement laxatif ainsi qu'une hydratation intraveineuse et per os sont mises en place. On observe une bonne reprise du transit. Dans les suites de l'hospitalisation, la patiente présente des épisodes de rectorragie avec la mise en évidence d'une fissure anale. L'hémoglobine reste stable et la fissure est traitée de manière conservatrice. Pour la suite, au vu de l'âge de la patiente, une colonoscopie en ambulatoire est à envisager. Mme. Y présente une acutisation de lombalgies chroniques avec un impact sur la mobilisation très important. Il n'y a pas de red flags anamnestiques et une absence de déficit à l'examen neurologique. Elle est également vue par les neurologues, retenant des lombalgies non déficitaires avec une importante part fonctionnelle et l'absence d'arguments pour effectuer une imagerie. Une antalgie et un traitement de mobilisation par les physiothérapeutes sont effectués avec une évolution clinique lentement favorable. La patiente est également vue par nos collègues de psychiatrie, retenant un trouble somatoforme indifférencié. Elle refuse un suivi psychiatrique en ambulatoire. Un CT abdominal à la recherche d'une atteinte organique pouvant participer aux douleurs lombaires de la patiente est proposé mais refusé par celle-ci. Nous vous laissons le soin d'en rediscuter en ambulatoire selon l'évolution. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y rentre à domicile le 01.02.2019. Vous adressez Mr. Y le 25.01.2019 au service des urgences de l'HFR Tavel sur suspicion d'embolie pulmonaire, au vu d'une dyspnée en progression depuis 14 jours et de D-Dimères élevés au laboratoire. Nous notons dans votre courrier une notion de mauvaise compliance médicamenteuse suspectée par la famille. Lors du scanner thoracique injecté effectué à Tavel, le patient présente une crise tonico-clonique généralisée motivant une intubation orotrachéale et un transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg. Le scanner thoracique injecté révèle une embolie pulmonaire segmentaire, chez un patient anticoagulé par Rivaroxaban pour une fibrillation auriculaire. Le scanner cérébral injecté met en évidence une occlusion de l'artère vertébrale droite et une sténose carotidienne interne à gauche, sans qu'un AVC ischémique ou hémorragique ne soit visualisé. Un traitement d'héparine thérapeutique est initié, et le traitement antiépileptique du patient est poursuivi sans modification et sans nouvelle crise. L'évolution clinique est rapidement favorable, le patient pouvant être extubé et transféré dans notre service de médecine interne le jour même. Les taux plasmatiques d'antiépileptiques mesurés à l'entrée confirment la suspicion de non-observance des traitements. Sur avis neurologique, le bilan est complété par une IRM cérébrale qui révèle un AVC ischémique cortical au niveau pariétal gauche, de petite taille. L'occlusion de l'artère vertébrale droite est due à une dissection d'allure chronique, n'étant d'ailleurs pas en cause pour l'AVC ischémique qui se situe dans un autre territoire vasculaire. De concert avec les neurologues, nous renonçons à des investigations supplémentaires au vu de l'âge du patient, du contexte de suspicion de troubles cognitifs, et des risques liés à une intervention. Un colloque familial a lieu avec l'un des fils et son épouse le 29.01.2019. Ceux-ci décrivent un récent déclin cognitif, le fils ayant dû confisquer l'automobile de son père après deux incidents liés à la neige. Nous convenons d'un projet de réhabilitation gériatrique à l'HFR Tavel dès que possible, en vue d'un retour à domicile avec un soutien plus important. Des inscriptions parallèles en EMS ont déjà été entreprises. Un bilan neurocognitif effectué le 01.02.2019 ne révèle de troubles que des fonctions exécutives (contre-indiquant la conduite automobile). Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Vous adressez votre patient aux urgences le 06.02.2019 en raison d'un état fébrile à 39.4°C avec dyspnée d'apparition brusque le matin du 06.02.2019. Mr. Y est connu pour une démence d'origine neurodégénérative de type maladie d'Alzheimer et vasculaire, et dans ce contexte l'anamnèse est impossible. Les soignants de l'EMS rapportent une saturation à 75% à l'air ambiant, remontant à 91% avec 3 litres d'oxygène à l'arrivée des ambulanciers. Pas de trouble du transit, pas de douleur thoracique. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, sans souffle audible. L'auscultation pulmonaire retrouve des râles grossiers sur toutes les plages pulmonaires. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore, les bruits hydroaériques sont normaux. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 19 mg/l sans leucocytose ainsi qu'une pseudo-hyponatrémie à 127 mmol/l isotonique. Après discussion avec la fille du patient et le personnel soignant du home, nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline iv 1,2 g 3x/j pendant 7 jours avec une première dose donnée aux urgences et qui sera poursuivie au home. L'oxygénothérapie introduite peut être diminuée avec des saturations stables sous 1 litre d'oxygène, à poursuivre au foyer pendant l'épisode infectieux avec une cible de saturation supérieure à 90%. Mr. Y regagne le home du Châtelet le jour même. Le patient est réadressé aux urgences le 07.02.2019 en raison d'une péjoration importante de sa dyspnée d'aspect brutal le 07.02.2019 avec encombrement important. L'anamnèse est impossible. À l'admission aux urgences, Mr. Y est normotendu à 127/85 mmHg, normocarde à 104/min et sature à 89% sous 15 litres d'oxygène. L'auscultation pulmonaire objective des râles grossiers diffus. Au status cardiaque, pas d'œdème des membres inférieurs, l'auscultation n'est pas interprétable. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore à la palpation. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Dans ce contexte et après discussion avec la fille du patient et le Dr. X, Mr. Y est hospitalisé avec poursuite de l'antibiothérapie 4x/jour, administration de Lasix iv en discontinu 40 mg iv 4x/jour. Aux urgences, il reçoit une première dose de Lasix iv. Le Dr. X propose de rediscuter le soir de l'hospitalisation l'indication à introduire de la morphine. La fille du patient souhaite être informée avant l'introduction de ce traitement. Le 08.02.2019, l'évolution est favorable avec une bonne réponse au traitement avec une amélioration de la dyspnée (avec néanmoins persistance d'une forte oxygéno-dépendance), ainsi que de l'état de conscience du patient permettant une bonne communication avec lui. Mr. Y nous rapporte ne pas avoir de douleur.Cependant l'état du patient se péjore rapidement le 09.02.2019 avec péjoration de la dyspnée malgré les traitements en place. Avec l'accord de sa fille, de la morphine est introduite afin de soulager le patient avec un bon résultat. L'évolution est par la suite défavorable et Mr. Y décède le 11.02.2019. Vous adressez votre patiente aux urgences de l'HFR Fribourg le 17.01.2019 en raison d'une anémie avec hémoglobine à 51 g/l, sans extériorisation franche avec unique notion de selles plus foncées sans odeur particulière. Mme. Y présente également une dyspnée d'effort depuis quelques semaines. Pas de symptôme cardiaque notamment pas de douleur thoracique rétrosternale. Pas de toux, pas d'état fébrile, pas de symptôme urinaire ni digestif (tendance à la constipation). Le statut d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence une hémoglobine à 53 g/l raison pour laquelle la patiente bénéficie de la transfusion de 2 culots érythrocytaires aux urgences de l'HFR Fribourg et de 2 culots supplémentaires à son arrivée dans notre service de médecine, avec bonne réponse et une hémoglobine à 86 g/l le 18.01.2019. Elle reçoit également une dose unique de Nexium 80 mg iv aux urgences. Le 18.01.2019, une OGD est effectuée par le Dr. X. L'examen met en évidence trois ulcères gastriques dans l'antre de l'estomac, sans signe d'hémorragie active, une hernie hiatale modérée et une oesophagite de reflux stade I. Le test rapide de H. Pylori est négatif. Nous débutons un traitement par Nexium 40 mg 2x/24h dès le 18.01.2019. Nous prélevons également une biopsie gastrique qui montre une gastrite antrale subaiguë et chronique, active, d'intensité significative avec la présence de nombreux Helicobacter Pylori. Pas de granulome. Pas d'atrophie glandulaire. Pas de métaplasie intestinale ni de signe de malignité. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile sous IPP à double dose durant 8 semaines. A noter que nous avons reçu le résultat de la biopsie gastrique après la sortie de la patiente et que dans ce contexte, nous vous avons contacté par téléphone afin que vous débutiez une éradication le 25.10.2019, date à laquelle la patiente a rendez-vous à votre consultation. Vous nous adressez Mme. Y, votre patiente de 80 ans, connue pour une cirrhose CHILD A (6 points) d'étiologie indéterminée, qui présente depuis plusieurs mois un état confusionnel intermittent, principalement le matin et le soir. Depuis le 18.02, la patiente présente un état confusionnel persistant sans facteur déclenchant clair et des épisodes de troubles praxiques en augmentation en termes de fréquence. Il est également noté une perte pondérale de 2 kg en un mois relatif à une inappétence. L'examen clinique au service des urgences montre une désorientation temporelle partielle, des troubles de la compréhension des ordres complexes. Celui du lendemain en hospitalisation est sans particularité. Le bilan initial met en évidence une insuffisance rénale, une hyperammoniémie et une bactériurie. Le bilan en médecine interne est complété par un US hépatique, une IRM cérébrale, un EEG et un consilium neurologique qui démontre une probable encéphalopathie hépatique en plus d'une encéphalopathie vasculaire chez une patiente fragilisée par sa polymorbidité. Une hydratation de courte durée et une alimentation adaptée à ses besoins améliorent l'état cognitif rapidement. A sa demande et pour écarter de fausses compréhensions par rapport à l'apport calorique, protéinique et en glucides, la visite par les nutritionnistes est organisée. Une consultation ambulatoire reste ouverte à souhait. Un traitement par Furadantine est instauré pour traiter une infection urinaire qui serait responsable de l'état confusionnel en vue de la bactériurie. En bon état général et sur souhait de Mme. Y, nous terminons l'hospitalisation le 28.02.2019. Vous nous adressez Mr. Y, connu pour un diabète non insulino-requérant et une consommation d'alcool, sevré depuis environ 10 ans, en raison de diarrhées depuis 3 jours, 10 à 15 épisodes par jour, associées à des vomissements, dernier épisode le 23.01.2018. Pas de voyage récent, pas de notion de contage, pas de traitement antibiotique récemment, pas d'alimentation à risque. Vous effectuez un laboratoire qui montre un sodium à 120 mmol/l ainsi qu'une CRP supérieure à 200 mg/l. A l'anamnèse, le patient se plaint d'une faiblesse généralisée et d'une toux grasse chronique. Selon son épouse, il dormirait beaucoup. A l'admission aux urgences, Mr. Y est hémodynamiquement stable et afébrile. Le statut cardiopulmonaire est sans particularité. Au statut digestif, l'abdomen est globuleux mais souple. Douleurs diffuses à la palpation mais sans défense ni détente. Les bruits sont augmentés en fréquence et en tonalité. Pas de douleur à la percussion des loges rénales. Les statuts ostéo-articulaire et neurologique sont sans particularité. Aux urgences, nous mettons en place une hydratation, une oxygénothérapie au vu d'une saturation entre 88 et 90% (enlevée après quelques heures) et nous administrons 1 g de Dafalgan pour les douleurs. Nous effectuons un ECG qui s'avère dans la norme ainsi qu'une radiographie du thorax qui ne montre pas de foyer ni de signe de surcharge. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP de 531 mg/l sans leucocytose, une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 154 umol/l (clairance calculée à 60 ml/min), sans perturbation des tests hépatiques. Nous effectuons une recherche de clostridium ainsi qu'une culture de selles. Nous effectuons également un CT scan abdominal injecté qui ne montre pas de signe de diverticulite, ni de colite. L'examen met en évidence une hépatomégalie et un globe vésical. Nous posons une sonde vésicale avec retour de 1000 ml d'urine. Par rapport aux diarrhées, nous retenons une origine infectieuse et nous débutons un traitement par Flagyl 500 mg per os 3x/j puis de la Rocéphine 2 g iv après avoir prélevé des hémocultures. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. L'évolution est favorable. Hormis un pic fébrile le premier jour, le patient reste afébrile et les diarrhées cèdent spontanément le 27.01.2019. En raison d'une négativité des cultures de selles et des hémocultures, l'antibiothérapie est stoppée le 28.01.2019. La sonde urinaire est retirée le 28.01.19 sans complications. Au niveau biologique, la CRP régresse progressivement et la natrémie reste stable. A noter une leucocytose à 20 g/l le 28.01.2019 chez un patient ne présentant aucun symptôme ou signe d'infection. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle biologique à distance. Mr. Y peut regagner son domicile le 29.01.2019. Le traitement de Torem est réintroduit. Vous nous adressez Mr. Y, d'origine érythréenne, en raison d'une fatigue, de céphalées holocrâniennes et d'une toux sèche progressant depuis une semaine, avec notion de photophobie. Pas d'état fébrile ni de frissons, pas de nausée ni vomissements ou cervicalgies. Pas de plainte respiratoire, digestive ni urogénitale. A l'admission aux urgences, le patient est normotendu à 110/81 mmHg, normocarde à 90/min, fébrile à 39,6°C et sature à 97% à l'air ambiant. Sur le plan neurologique, Glasgow à 15/15, patient collaborant, orienté dans les 3 modes, pupilles isocores iso-réactives avec photophobie. Nerfs crâniens dans la norme. Barré et Mingazzini tenus. Force, tonus et sensibilité conservés aux 4 membres. Réflexes ostéotendineux vifs et symétriques aux 4 membres. Réflexes cutanés plantaires en flexion/extension/indifférent des deux côtés. Épreuves cérébelleuses : doigt-nez, talon-genou sans dysmétrie, pas d'adidadococinésie, Romberg et marche sans déviation. Nuque souple et indolore, Kernig et Brudzinski négatifs. Sur le plan cardiovasculaire B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Pas de turgescence jugulaire, ni reflux hépato-jugulaire, pas d'œdème des membres inférieurs. Signe de Homans négatif des deux côtés. Mollets souples, ballant conservé. Pouls périphériques tous palpés. Absence de souffle sur les grands axes vasculaires sans autre souffle vasculaire. Au niveau pulmonaire, on met en évidence un murmure vésiculaire symétrique sans râles de stase ni sibilances. Sur le plan digestif, on met en évidence un abdomen souple et indolore sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Murphy négatif, pas de masse pulsatile, pas d'organomégalie palpable. Au niveau urogénital, les loges rénales sont souples et indolores. Sur le plan ostéo-articulaire, rachis indolore à la percussion.Le bilan biologique montre un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 13 mg/l sans leucocytose. La fonction rénale est bonne, pas de trouble électrolytique. La radiographie du thorax montre un minime épaississement du cul-de-sac costo-diaphragmatique à droite ainsi que des lésions d'infiltrat pulmonaire bilatérales mais pas de foyer de condensation décelable. L'examen clinico-biologique ne parle pas en faveur d'une méningite. Cependant, au vu d'un état général diminué avec état fébrile persistant, le patient reste hospitalisé pour surveillance clinique. L'évolution clinique est par la suite favorable avec disparition des céphalées et amélioration de l'état général. Le 19.02.2019 nous réévaluons le patient qui ne présente pas de céphalée ni d'état fébrile et qui se sent beaucoup mieux. L'examen clinique ne montre pas de déficit neurologique ni de signe de méningisme, le reste du status clinique est sans particularité. Le bilan biologique du jour est sans particularité, hormis un léger syndrome inflammatoire à une CRP 21 mg/l sans leucocytose. Devant l'examen clinico-biologique nous retenons le diagnostic de syndrome grippal. Mr. Y quitte notre service le 19.02.2019 avec un traitement symptomatique par Dafalgan et AINS. Il bénéficiera d'un contrôle à l'infirmerie du centre de réfugiés. Nous informons également le patient qu'en cas de persistance de la clinique y compris état fébrile, signe de méningisme il reconsultera les urgences immédiatement. Vous nous adressez Mr. Y, connu pour une maladie de Crohn, suivi par Dr. X, avec légère poussée en janvier 2019 et un status post-adénocarcinome colorectal en novembre 2015, en raison de douleurs anales à la défécation et en position assise, depuis une semaine avec diarrhées jusqu'à 20 x/j en petites quantités, avec sang frais dans le papier et la cuvette. Plus de sang depuis la veille avec selles diarrhéiques oranges. Pas d'état fébrile, pas de douleur abdominale, pas de nausées ni vomissements. Le patient signale s'hydrater et se nourrir moins depuis le début de la symptomatologie, par crainte de déféquer. Pour rappel, le patient est connu pour une hémorroïde de la taille d'une noisette mais jamais symptomatique. A l'admission aux urgences, Mr. Y est hypotendu à 95/51 mmHg, normocarde et afébrile. La tension artérielle remonte à 115/85 mmHg après hydratation. Au status digestif, les bruits abdominaux sont diminués en fréquence et en tonalité. L'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Au toucher rectal, rougeur au niveau du pli interfessier et présence d'une hémorroïde douloureuse à la palpation de 1 cm de stade III, non répondible. Traces de diarrhée, sans sang macroscopique. Au status pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique avec présence de râles crépitants fins des deux côtés. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 195 mg/l et leucocytes à 12,8 G/l, une hypokaliémie à 2,7 mmol/l et une insuffisance rénale aiguë. La radiographie du thorax est sans particularité. Selon Dr. X, au vu du syndrome inflammatoire et de la présence de diarrhées, le diagnostic de poussée de maladie de Crohn est retenu et suspectant une surinfection d'une maladie diverticulaire, une antibiothérapie iv par Rocéphine 2 g et Flagyl 500 mg 3x/j est débutée le 06.02.2019. Le traitement habituel immunosuppresseur par Pentasa 3 g, Entocort 6 mg est poursuivi. A noter qu'une mauvaise compliance médicamenteuse semble participer au tableau clinique. Un traitement par Daflon ainsi que Procto-Glyvenol est introduit pour la clinique de poussée hémorroïdaire. Sur le plan électrolytique, une hypokaliémie à 2,7 mmol/l sur manque d'apports oraux et substituée par 40 mEq K iv/24h puis Kcl retard 30 mmol 3x/j. Au vu du risque de déshydratation et dénutrition, une hydratation par 1500 ml de NaCl est mise en place ainsi que du Periolimel 500 ml/24h jusqu'au 11.02.2019. Par la suite le patient reprend une nutrition autonome et la fonction rénale s'améliore ce qui permet de remettre en place les traitements mis en suspens au vu de l'insuffisance rénale, notamment la Metformine. Sur avis de Dr. X, l'Entocort est arrêté et nous mettons en place un traitement par Solumedrol 62.5 mg 1x/j avec Nexium 40 mg iv jusqu'au 11.02.2019. Au vu d'une bonne réponse clinique, nous reprenons l'Entocort à 9 mg par jour le 12.02.2019. Les antibiotiques sont arrêtés le 10.02.2019 au vu de l'amélioration clinique. Pour la suite le syndrome inflammatoire régresse et le patient reste afébrile. Le transit s'améliore. Dr. X suggère une éventuelle escalade thérapeutique par Remicade, ce qui va se discuter prochainement en ambulatoire. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 14.02.2019. Vous nous adressez pour prise en charge de pneumonie, Mr. Y, votre patient de 71 ans, connu pour une broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) et un syndrome d'apnée obstructive du sommeil (SAOS), dans le contexte duquel, il bénéficie d'une CPAP et une oxygénothérapie à deux litres par minute pour dormir. Le patient se présente au service des urgences le 04.02.2019 et se plaint d'arthralgies diffuses des membres inférieurs apparues trois jours plus tôt suivi, la veille de son admission, de frissons avec une fièvre objectivée à 39°C et répondant au Paracétamol. Le patient constate une discrète péjoration légère de sa toux grasse chronique, sans expectoration importante, ainsi que de sa dyspnée chronique à l'effort. Ces toux sont associées à des douleurs costales droites et des céphalées. À noter la notion de contage familial d'un syndrome grippal et le patient est vacciné contre la grippe saisonnière et les pneumocoques. À l'examen clinique, le patient présente une muqueuse naso- et oropharyngée érythémateuse, un expirium prolongé et à l'auscultation pulmonaire, des sibilances aux deux bases, râles grossiers expiratoires en base droite. Le bilan initial met en évidence un Influenza A positif au frottis du naso-pharynx. Le patient est dès lors mis en isolement gouttelette et sous Tamiflu pour grippe. Par ailleurs, ne pouvant formellement exclure une possible surinfection bactérienne, le patient est mis au bénéfice d'une antibiothérapie par Rocéphine, relayée par de l'Augmentin au vu de la bonne évolution clinique. Les cultures bactériologiques des expectorations et hémocultures, ainsi que les antigènes urinaires légionelle et pneumocoques sont négatifs à sa sortie. À noter une insuffisance rénale d'origine prérénale qui se résout après hydratation. Une thrombopénie est observée à son admission, secondaire à l'activation plaquettaire pendant le sepsis, et est en cours de résolution. Nous vous en suggérons le suivi clinique et biologique.La prise en charge de l'exacerbation de BPCO requiert 3 jours de Prednisone ainsi que de l'Atrovent et du Ventolin en réserve, avec par la suite une bonne évolution clinique. Il est également sevré de l'oxygénothérapie diurne, retrouvant ses saturations habituelles et les besoins nocturnes habituels d'oxygène ainsi que l'utilisation de sa CPAP. Le patient sort le 07.02.2019 pour un retour à domicile avec poursuite de la prise en charge habituelle par vos soins. Vous nous adressez votre patient, connu pour un adénocarcinome de la prostate avec multiples métastases ganglionnaires, osseuses diffuses et pulmonaires, en raison d'une dyspnée depuis une semaine avec toux et état fébrile. Mr. Y apporte également des selles molles. Pas de douleur thoracique, pas d'autre plainte à l'anamnèse par système. Pour rappel, le patient est sous Tamsulosine 0,4 mg 1x/j et Calcimagon 1x/j. Au status pulmonaire, murmure vésiculaire présent sur toutes les plages, pas de sibilance, pas de ronchis. Au niveau digestif, l'abdomen est souple et indolore avec des bruits hydroaériques normaux en fréquence et en tonalité. Le status cardiovasculaire est non contributif. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 37 mg/l, sans leucocytose et la gazométrie montre une alcalose respiratoire avec PCO2 abaissée et hypoxie. Nous effectuons un angio-CT scan thoracique qui met en évidence une embolie pulmonaire du lobe moyen. Une anticoagulation thérapeutique par clexane à 1mg/kg 2x/j est débutée avec une première dose administrée aux urgences et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Le patient présente plusieurs pics fébriles en association avec un syndrome inflammatoire sans leucocytose. Il se plaint également de céphalées latéralisées à gauche avec douleurs à la pression du sinus maxillaire. Une antibiothérapie probabiliste par Co-Amoxi iv est débutée le 06.02.2019 et le patient bénéficie d'un CT cérébral le 07.02.2019 qui montre des images compatibles avec une sinusite sphénoïdale. Dans ce contexte, le traitement par Co-Amoxi est à poursuivre pour une durée totale de 10 jours et un traitement local par Triofan ainsi que des lavages au sérum physiologique sont instaurés. Un CT scan de contrôle des sinus est à prévoir à 15 jours. Devant la bonne évolution tant sur le plan clinique que biologique, Mr. Y peut regagner son domicile le 09.02.2019. Un rendez-vous à la consultation de la Dre X est agendé pour le 12.02.2019. À noter que le 11.02.2019, soit après la sortie du patient, nous sommes informés que 2 flacons d'hémocultures (positifs en 5 jours) poussent à Campylobacter fetus. Nous contactons la Dre X, infectiologue, qui recommande de répéter les hémocultures et de prévoir un ultrason et un CT scan abdominal à la recherche d'un abcès. Mr. Y ayant un rendez-vous oncologique le 12.02.2019, nous laissons le soin à la Dre X d'effectuer ces examens en ambulatoire. Vous nous adressez votre patient, en situation palliative pour un carcinome prostatique avancé, en raison d'une baisse de l'état général récente, ainsi qu'une chute sans traumatisme crânien ni perte de connaissance la nuit du 07 au 08.01.2019. Mr. Y décrit une baisse de la thymie récente, ayant des difficultés importantes à faire face à la progression de la maladie, mais il ne présente cependant pas d'idées noires. À l'anamnèse par système, le patient décrit des douleurs chroniques suspubiennes et au niveau des flancs des deux côtés ainsi que des douleurs mictionnelles de longue date dans le contexte de la maladie oncologique. À l'admission aux urgences, Mr. Y présente un faciès dysthymique et un état général diminué. Le patient est normocarde à 84 bpm, hypertendu à 163/71 mmHg, afébrile à 36.8°C avec des saturations à l'air ambiant à 96%. À l'auscultation pulmonaire, nous constatons de légers râles crépitants en base droite. La palpation abdominale est douloureuse en sus-pubienne et aux flancs bilatéralement sans défense ni détente. Dans la sphère urogénitale, nous constatons d'importants oedèmes du scrotum et de la verge, indolores. L'examen neurologique effectué en raison de la chute est sans particularités. Au laboratoire, nous notons une insuffisance rénale avec une créatinine 184 umol/l et nous hydratons le patient par 1500 ml/24h. Du point de vue de la thymie, nous demandons un avis à la Dre X, psychiatre de liaison, qui conseille que le patient soit tout d'abord hospitalisé en médecine somatique plutôt qu'en psychogériatrie, au vu de l'insuffisance rénale aiguë ainsi que du risque de chute. Sur le plan antalgique, nous changeons le traitement d'Oxycontin pour un traitement par Fentanyl 12 mcg/h avec bon effet. Nous changeons ce traitement dans le but de déterminer si le traitement d'Oxycontin et d'Oxynorm serait en partie responsable des troubles de la thymie. L'évolution des douleurs est favorable avec une bonne réponse au traitement. L'antalgie est maîtrisée à la sortie. Sur le plan de la thymie, nous demandons un avis à la Dre X et au Dr. X qui proposent une diminution du traitement par benzodiazépine et l'introduction de la Distraneurine 2x/j, ce que nous appliquons initialement. En raison d'une intolérance à ce traitement, le patient est réévalué par la Dre X le 11.01.2019. L'évaluation ne montre pas d'anxiété manifeste mais le patient présente plutôt un syndrome dépressif avec ralentissement, passivité et mimique de souffrance. Elle propose l'introduction de l'Escitalopram 5mg avec majoration des doses. Malgré nos tentatives de changement de traitement, nous retrouvons toujours un patient en détresse et nous réévaluons la situation avec la Dre X et le Dr. X qui, lors de la dernière hospitalisation, avaient déjà évalué Mr. Y. Au vu de la situation, nous proposons un court séjour/placement, proposition qui est refusée par le patient. Nous contactons sa famille afin de discuter de la situation. Cette dernière préfère également un retour du patient à domicile avec une surveillance plus fréquente des soignants/infirmiers à domicile ainsi que de Voltigo. Après hydratation, nous constatons une amélioration de la créatinine. Le patient présente un dernier laboratoire le 14.01.2019 montrant une créatinine à 114 mcmol/l. Mr. Y peut regagner son domicile le 18.01.2019 avec augmentation des soins à domicile ainsi que passage régulier par l'équipe de Voltigo. Vous nous adressez votre patient le 04.02.2019 en raison d'une baisse de l'état général en aggravation depuis 2 semaines, avec perte d'appétit, perte pondérale de 20 kg en une année et asthénie. Pas de plainte respiratoire ni digestive. Mr. Y est porteur d'une sonde vésicale à demeure pour une raison indéterminée et est connu pour une bactériurie à Klebsiella pneumoniae ESBL. Pas d'état fébrile. Un bilan par CT scan effectué en octobre 2018 ne montre pas de pathologie tumorale nouvelle ni de signe de récidive. À l'admission aux urgences, le patient est en état général diminué. Les muqueuses sont sèches avec pli cutané persistant. La thymie est triste. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Les mollets sont souples. Dermite ocre bilatérale. Au niveau pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique, sans râle. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë sur chronique. Nous gardons le patient en surveillance pendant la nuit pour hydratation et contrôle biologique le lendemain.Pendant la surveillance, le patient bénéficie d'une évaluation psychiatrique par le Dr. X. Le patient est calme et collaborant. Il est peu expressif et présente un ralentissement psychomoteur. Il confirme son incapacité à manger et l'explique par des nausées qui selon lui seraient provoquées par ses médicaments. Il se sent fatigué et dit avoir besoin d'aide. La thymie paraît déprimée, mais aux questions ciblées, le patient nie une récente baisse de moral et toute idéation ou sentiments négatifs. Il déclare qu'il n'a pas envie de mourir, au contraire, il aimerait aller mieux. Il nie avoir en ce moment des angoisses. Aucun antécédent ou velléité suicidaire actuelle. Monsieur Y étant domicilié dans le canton de Vaud, il est transféré au CHUV le 05.02.2019 pour la suite de prise en charge. Vous nous adressez votre patient le 11.02.2019 en raison de diarrhées sévères évoluant depuis une semaine avec initialement des selles molles puis actuellement liquides sans présence de sang. Pas de notion d'antibiothérapie ni de voyage récemment. Monsieur Y présente également des vomissements alimentaires depuis le 06.02.2019 limitant la prise alimentaire. Pas d'état fébrile, pas de douleur abdominale. Sensation de bourdonnement perçue au niveau des oreilles et dans le nez. Dyspnée légère depuis quelques jours. A l'admission aux urgences, le patient est déshydraté. Il est afébrile et hémodynamiquement stable. Les extrémités sont froides mais perfusées. Au status digestif, les bruits intestinaux sont normaux en fréquence et en tonalité. L'abdomen est souple mais diffusément sensible, en particulier en fosse iliaque gauche. Pas de défense. Signe du psoas et Murphy négatifs. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont distants. Pas de souffle audible, les pouls périphériques sont perçus et symétriques. Le status respiratoire est sans particularité. Au vu de la déshydratation majeure avec insuffisance rénale aiguë, Monsieur Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Le 12.02.2019, le patient présente une défense en fosse iliaque gauche avec un abdomen restant souple. Dans ce contexte de douleur abdominale localisée avec syndrome inflammatoire (CRP à 124 mg/l et leucocytes à 13.8 G/l), une antibiothérapie probabiliste par ceftriaxone et Métronidazole est débutée et un CT abdominal (sans injection au vu de la fonction rénale) est réalisé. L'examen retrouve une infiltration de la graisse autour du côlon descendant et de la jonction colo-sigmoïdienne pouvant faire évoquer une colite ou une maladie diverticulaire du sigmoïde. Le lendemain, la culture de selles revient positive à Campylobacter spp et l'antibiothérapie est réadaptée par du Klacid à poursuivre jusqu'au 16.02.2019. Une coloscopie de contrôle doit être réalisée à distance de l'épisode aigu (dans 6 semaines). L'évolution clinique et biologique est rapidement favorable sous antibiothérapie et Monsieur Y peut regagner son domicile le 15.02.2019. Vous nous adressez votre patient le 22.01.2019 en raison d'une baisse de l'état général depuis quelques jours avec asthénie, sans perte d'appétit ni perte pondérale. Monsieur Y présente également des diarrhées depuis ce matin, à 3 reprises, de type aqueuse, sans sang, soulagées par la prise de Loperamid. Pas de nausée ni de vomissement, pas de douleur abdominale. Notion de pollakiurie sans algurie ni dysurie. Pas de toux ni de dyspnée, pas d'aliments suspects pour une intoxication, pas de notion de contage ni de voyage récent, pas de traitement antibiotique récemment. A votre consultation, le patient est hypotendu à 100/60 mmHg (d'habitude 150/70 en moyenne). Dans ce contexte et au vu d'une difficulté de retour à domicile, vous l'adressez aux urgences. Pour rappel, Monsieur Y a présenté, depuis le mois de novembre 2018, 3 épisodes de malaise sans perte de connaissance et a été hospitalisé dans le service de gériatrie du 27.12.2018 au 09.01.2019. A l'admission aux urgences, le patient est en état général diminué. Il est normotendu, normocarde et afébrile. L'examen cardiovasculaire objective des bruits lointains et réguliers sans souffle audible. Il n'y a pas d'oedème des membres inférieurs. Le signe de Homans est négatif des deux côtés, les mollets sont souples, le ballant est conservé. Au status respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique sans bruit surajouté. Au niveau digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont augmentés en fréquence et en tonalité, sans signe de Murphy. Rovsing négatif. Les loges rénales sont souples et indolores. La palpation du rachis est indolore à la percussion. Le laboratoire d'entrée met en évidence des leucocytes à 10.1 G/L et une CRP à 49 mg/l ainsi qu'une hyponatrémie légère à 130 mmol/l normo-osmolaire (fausse hyponatrémie). Monsieur Y est hospitalisé pour reconditionnement et suite de prise en charge. L'évolution à l'étage est favorable. Durant son séjour, le patient bénéficie de physiothérapie. Nous décidons de ne pas réaliser l'injection de Méthotrexate 5 mg le 24.01.2019 au vu d'une suspicion de déconditionnement iatrogène sur ce médicament. Le Dr. X, dermatologue traitant, est d'accord avec cette attitude et ne recommande pas de modifier les doses de Prednisone (30 mg). L'évolution clinique est favorable sur le plan dermatologique, sans récidive de prurit, érythème ou nouvelle lésion bulleuse. Sur le plan infectieux, le patient présente un état fébrile à 38.7°C le 23.01.2019. L'examen clinique est dans la norme. Le bilan biologique montre un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 57 mg/l, sans leucocytose et une neutrophilie sans déviation gauche. Les hémocultures reviennent positives à moins de 12 heures à 1/4 pour une infection à Klebsiella pneumoniae. Nous demandons une radiographie de thorax qui n'objective pas de foyer. Le sédiment urinaire et l'uricult reviennent positifs pour une infection urinaire à E. coli multisensible. Dans ce contexte, nous traitons le patient par Rocéphine 2 g iv du 23 au 28.01.2019 avec un relais par ciprofloxacine jusqu'au 05.02.2019. Au moment de la sortie, le traitement de Méthotrexate reste en suspens et sera à réévaluer par le Dr. X. Sur le plan néphrologique, le patient présente une acutisation de son insuffisance rénale chronique le 24.01.2019 avec une créatinine à 128 mmol/l. Nous stimulons le patient à s'hydrater per os avec à la sortie une créatinine à 104 mmol/l. Monsieur Y peut regagner son domicile le 29.01.2019. Vous nous adressez votre patient le 29.01.2019 en raison de diarrhées liquides toutes les heures, associées à des vomissements, un état fébrile et une anurie depuis le 26.01.2019. Pas de notion de contage, pas de voyage ni d'antibiothérapie récemment. A votre consultation, Monsieur Y est hypotendu, tachycarde et afébrile. Le contrôle biologique met en évidence une créatinine à 603 umol/l. Au status d'entrée, notons de fins râles crépitants bibasaux. Le reste du status est non contributif. Sur le plan néphrologique, le patient présente à l'admission une insuffisance rénale aiguë AKIN III sur insuffisance rénale chronique avec une créatinine à 692 mcmol/l avec des troubles électrolytiques dans un contexte de diarrhées et d'anurie. Nous mettons en pause les médicaments néphrotoxiques et mettons en place une expansion volémique et une sonde vésicale. Après avis spécialisé, nous effectuons un bilan des sorties et contrôlons les électrolytes de manière rapprochée. Nous effectuons également un sédiment urinaire qui revient propre en dehors de la présence de sang attribuée au sondage vésical. Nous effectuons également une échographie rénale montrant la présence de kystes.Nous observons rapidement une amélioration de la fonction rénale et de la diurèse permettant une ablation de la sonde le 01.02.2019. Mr. Y sera convoqué pour un contrôle néphrologique par le Dr. X. Sur le plan digestif, une culture de selles montre la présence de Salmonella sensible à la Rocéphine. Le patient est traité par antibiothérapie durant 7 jours avec une bonne évolution. Mr. Y regagne son domicile le 05.02.2019. Vous nous adressez votre patient, Mr. Y, connu pour une cardiopathie valvulaire avec valve aortique mécanique et une annuloplastie mitrale sous Sintrom, en raison d'une décompensation cardiaque globale sur fibrillation auriculaire nouvellement diagnostiquée. Le patient rapporte une amélioration clinique sous majoration des diurétiques instaurés en ambulatoire, avec une perte pondérale de 4 kg et diminution des œdèmes des membres inférieurs. Un traitement de charge par Cordarone est débuté depuis le 13.02.2019, sur avis de son cardiologue traitant. Devant la persistance de la dyspnée de stade NYHA IV et des palpitations, le patient est hospitalisé le 15.02.2019 pour la suite de la prise en charge. Par ailleurs, le patient rapporte des douleurs thoraciques rétro-sternales nocturnes et oppressives, cessant en moins de 20 minutes. À son admission, ses paramètres vitaux sont les suivants : FC irrégulière à 98 bpm, TA 149/63 mmHg, FR à 30/min, une SpO2 à 91 % sous 1l aux lunettes, T°C à 36.6. Au status sont retrouvés de légers œdèmes symétriques des membres inférieurs prenant le godet, ainsi que des râles crépitants bibasaux. La radiographie du thorax retrouve des signes de surcharges pulmonaires. Un ETT objective une hypokinésie globale sévère, avec FEVG à 30 %, sans valvulopathie évolutive. Dans le cadre de la décompensation cardiaque sur FA rapide, nous poursuivons les traitements diurétiques majorés par vous-même sans changement, avec évolution cardiorespiratoire favorable, le patient se sevrant progressivement de l'oxygène. Nous poursuivons le schéma de traitement par Cordarone comme proposé par le Dr. X, avec une fréquence cardiaque moyenne normocarde irrégulière à 70 bpm sur le séjour. En raison de douleurs angineuses anamnestiques, une coronarographie est réalisée, ne mettant pas en évidence de sténose coronarienne significative. Le bilan des facteurs de risque cardiovasculaire retrouve une dyslipidémie, raison pour laquelle une statine est introduite. Les douleurs thoraciques sont mises sur le compte de la tachyarythmie. Mr. Y ne rapporte aucune récidive des symptômes sur le séjour. Nous vous laissons le soin d'introduire une Aspirine en prévention primaire si vous le jugez nécessaire. Concernant l'anticoagulation par Sintrom, la cible thérapeutique est entre 2,5 et 3,5 pour une valve prothétique mécanique aortique. Dans le cadre de la coronarographie, la crase a été reversée. Dans l'attente d'un Sintrom thérapeutique, les injections de Clexane sont introduites, jusqu'à obtention de 2 INR thérapeutiques consécutifs. Sur le souhait du patient pour un retour à domicile, nous convenons avec la fille et le beau-fils du patient, tous deux soignants, pour administrer la Clexane à domicile 2x/jour, avec un contrôle de l'INR et adaptation du Sintrom à votre cabinet. Sur le plan médicamenteux, nous suspendons transitoirement le traitement de Lisinopril en raison d'une insuffisance rénale aiguë et le reprenons à des dosages réduits à sa sortie. Nous vous laissons le soin de suivre la fonction rénale et ses électrolytes et d'adapter le traitement en ambulatoire. Suite à une évolution clinique et biologique favorable, le patient rentre à domicile le 21.02.2019. Vous nous adressez votre patiente, Mme. Y, connue pour une pneumopathie interstitielle probablement sarcoïdose pulmonaire suivie par le Dr. X sous 1 litre d'oxygène à domicile et une polymyalgia rheumatica, en raison d'une péjoration de sa dyspnée de stade IV et pour bilan et proposition thérapeutique avant une éventuelle réadaptation respiratoire à l'HFR Billens. Mme. Y ne rapporte pas de toux ni d'état fébrile, pas de prise pondérale ni de dyspnée paroxystique nocturne. Pas de douleur thoracique ni rétrosternale. À noter que vous avez augmenté le Torasémide à 15 mg et arrêté l'Imurek il y a 15 jours. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Pas de turgescence jugulaire mais œdèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'aux genoux des deux côtés. Signe de Homans négatif des deux côtés. Les mollets sont souples, le ballant est conservé. Au status respiratoire, présence de râles crépitants diffus. Au niveau digestif, l'abdomen est souple et indolore sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Pas de masse pulsatile ni d'organomégalie palpable. Les loges rénales sont souples et indolores. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 107 mcmol/l, une légère hypokaliémie à 3.4 mmol/l et un léger syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 12.8 G/l sans CRP. La gazométrie montre une alcalose métabolique à un pH 7.48, bicarbonate à 30, avec une hypoxémie à 8.9 kPa sans rétention de CO2, probablement dans le contexte de la maladie pulmonaire. La radiographie du thorax montre de multiples infiltrats interstitiels diffus, prédominant du côté gauche, en relation avec la fibrose pulmonaire connue, dont il est difficile de juger de l'évolution en raison de la différence de technique. On retrouve également les multiples ganglions médiastinaux calcifiés avec un cœur de taille dans les limites de la norme et une surélévation de l'hémi-coupole diaphragmatique droite. Pas d'épanchement pleural, mais en raison de l'infiltrat et de la fibrose, il est difficile de juger d'une surcharge cardiaque surajoutée. On retrouve un tassement sévère de D9. Nous contactons le Dr. X, pneumologue traitant, qui rapporte qu'au niveau pulmonaire, une biopsie programmée par le Dr. X au CHUV a été annulée car Mme. Y a été mise sous Prednisone pour sa polymyalgia rheumatica et Méthotrexate. Toutefois, en raison d'une évolution extrêmement défavorable, le Méthotrexate 10 mg/semaine a été stoppé. Le Dr. X propose d'augmenter la Prednisone à 40 mg/j pendant une semaine et d'introduire de l'Imurek 50 mg/j le matin puis 100 mg 1x/j le matin après 1 mois. Il ne propose pas d'imagerie pour le moment. L'évolution clinique est rapidement favorable sous Prednisone 40 mg, et Mme. Y peut regagner son domicile le 24.01.2019 avec la même posologie de Prednisone à 20 mg 1x/24h. Concernant la proposition pour l'introduction de l'Imurek, nous vous laissons le soin de rediscuter avec le Dr. X de son introduction ainsi que celle d'une prophylaxie de PCP. Nous vous proposons un contrôle clinico-biologique, avec fonction rénale, à votre consultation la semaine suivant la sortie. Vous nous adressez votre patiente de 52 ans, en bonne santé habituelle, pour la suspicion de pyélonéphrite gauche. Mme. Y décrit depuis le 06.02.2019 une douleur généralisée avec fatigue, nausées et vomissements, de même qu'état fébrile, frissons et douleur à la loge rénale gauche dès le lendemain. Pas de plainte respiratoire, digestive ou urogénitale. À l'examen clinique d'entrée, le status cardio-respiratoire est dans la norme. Au niveau digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Percussion avec tympanisme, Murphy négatif, pas de masse pulsatile, pas d'organomégalie palpable. Sur le plan urogénital, loge rénale gauche douloureuse, loge rénale droite indolore.Le bilan biologique montre une bonne fonction rénale, une légère hyponatrémie à 133 mmol/l ainsi qu'une légère hypokaliémie à 3.2 mmol/l. Syndrome inflammatoire avec CRP à 275 mg/l et leucocytose à 10.6 g/l. Le sédiment urinaire parle en faveur d'une infection urinaire. Nous effectuons un CT abdominal natif et injecté qui montre une pyélonéphrite gauche multifocale, sans abcès, une ectasie du pyélon gauche, sans mise en évidence de calcul ou d'obstacle dans les voies excrétrices. Le reste de l'examen est normal. Une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv • 1 x/jour est instaurée du 09.02 au 11.02.2019, relayée per os par Ciproxine 500 mg • 2 x/jour du 12.02 au 15.02.2019, soit un total de 7 jours d'antibiothérapie. L'urotube revient positif pour un E. coli et deux paires d'hémocultures reviennent négatives. Le dernier bilan biologique montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, un syndrome inflammatoire à la baisse avec une CRP à 125 mg/l, sans leucocytose. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile le 13.02.2019, avec poursuite de l'antibiotique jusqu'au 15.02.2019 inclus. À noter que nous avons mis en suspens le Cipralex tant que la patiente reçoit le Ciproxine au vu du risque de prolongement de l'intervalle QT sous ces deux médicaments. L'antidépresseur sera repris à la fin de l'antibiothérapie. Vous nous adressez votre patiente le 08.02.2019 en raison d'une hépatite biologique mixte à prédominance cholestatique. En effet, Mme. Y vous consulte le 07.02.2019 et vous mettez en évidence un ictère, sans point d'appel clinique (pas de douleur abdominale, pas d'état fébrile, pas de plainte). Dans ce contexte, vous demandez un bilan biologique qui retrouve des tests hépatiques perturbés. La patiente n'a aucune plainte spontanée ni douleur. Au status digestif, la patiente est subictérique. L'abdomen est souple et indolore à la palpation, sans défense ni détente. Pas de signe franc de cirrhose hépatique ou d'insuffisance portale. Murphy négatif. Les loges rénales sont souples et indolores. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Au laboratoire, ASAT 199 UI/l; ALAT 253 UI/l; PAL 1590 UI/l; GGT 789 UI; bilirubine totale 46 mcmol/l; bilirubine directe 49 mcmol/l. Nous effectuons un ultrason abdominal qui ne retrouve pas de dilatation des voies biliaires ni de cause obstructive. Mme. Y est hospitalisée pour investigations. L'évolution se caractérise par une majoration de la cholestase et de l'ictère (pic de bilirubine à 106 mcmol/l le 14.02.2019 dont 101 de bilirubine directe). Sur le plan clinique, on note un épisode de nausée isolé et une perte d'appétit transitoire. Devant un prurit s'aggravant, un traitement par Colestyramine est introduit. Stabilité de la cytolyse. Nous complétons le bilan par une IRM de l'abdomen qui est sans particularité. Sur le plan étiologique, les sérologies VHA, VHB et VHC sont négatives. Pas de consommation d'alcool ni d'autres toxiques. L'anamnèse médicamenteuse ne retrouve pas de cause évidente (arrêt de l'Atorvastatine et du Nexium). Le bilan d'hépatite auto-immune est en cours (examens envoyés à l'Inselspital à Bern). Devant la persistance de l'évolution de la cholestase, l'apparition de signes d'insuffisance hépatocellulaire avec un TP à 66 % et la normalité des investigations étiologiques réalisées jusqu'à présent, un transfert vers un centre universitaire de référence est demandé pour suite de prise en charge. Mme. Y est transférée au HUG le 14.02.2019. Vous nous adressez votre patiente le 14.01.2019 en raison d'une dyspnée fébrile. Mme. Y rapporte une péjoration de sa dyspnée NYHA II habituelle, actuellement stade III depuis la veille, accompagnée d'un état fébrile à 38.4°C. Notion de toux et d'expectorations blanchâtres depuis quelques jours. La patiente signale également des œdèmes du membre inférieur droit depuis une semaine. Pas de douleur aux mollets, ni de dyspnée paroxystique nocturne. Pas de douleur rétrosternale ou de palpitation. Pas de plainte urinaire ni digestive. Prise pondérale de 5 kg depuis l'été 2018. Pour rappel, Mme. Y a été hospitalisée dans notre service des lits monitorés pour une pneumonie du 10 au 20.06.2017. À l'admission aux urgences, la patiente est normotendue à 135/73 mmHg, normocarde à 70 bpm, légèrement tachypnéique à 22 min, fébrile à 38.0°C et désaturée à 85 % à l'air ambiant. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Pas de turgescence jugulaire, pas de reflux hépato-jugulaire. Légers œdèmes des membres inférieurs à droite plus qu'à gauche, ne prenant pas le godet. Signe de Homans négatif des deux côtés. Les mollets sont souples, le ballant est diminué à droite. Au status pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique avec des ronchis et des sibilances diffuses. Présence de crépitants à la base pulmonaire gauche. Au niveau digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Sur le plan urogénital, les loges rénales sont souples et indolores. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 34 mg/l sans leucocytose. L'INR est dans la cible à 2.5 et les D-Dimères sont à 754 ng/ml. Pas de trouble électrolytique, la fonction rénale est bonne. Le sédiment urinaire montre une microhématurie. Nous prélevons deux paires d'hémocultures qui reviennent négatives. Les antigènes urinaires sont également négatifs et la culture d'expectorations montre une flore bucco-pharyngée. Nous retenons le diagnostic de probable bronchopneumonie débutante basale gauche et débutons un traitement antibiotique par Rocéphine 2 g iv 1 x/j du 14 au 17.01.2019 et Klacid du 14 au 16.01.2019, ce dernier est arrêté au vu d'antigènes urinaires négatifs. Le 18.01.2019, l'antibiothérapie est relayée per os par Co-Amoxicilline 1 g 2x/24h du 18 au 20.01.2019. Sous antibiothérapie, l'évolution clinique et biologique est favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 22.01.2019. Nous proposons un contrôle clinico-biologique à votre consultation la semaine suivant la sortie. Vous nous adressez votre patiente le 16.01.2019 en raison d'un rhume depuis 10 jours, avec une péjoration de sa dyspnée ainsi qu'une toux importante. Mme. Y rapporte également une augmentation de la fréquence des expectorations depuis 1 semaine, crachats gris, répartis de manière aléatoire durant la journée. En raison de la dyspnée, vous prescrivez un traitement bronchodilatateur sans grande réponse clinique. Vous débutez alors une antibiothérapie par Bactrim, avec une évolution défavorable et péjoration de l'état clinique. Pas de notion d'état fébrile, pas de nausée/vomissement, pas de diarrhée. Pas de notion de contage. La patiente signale de plus des vertiges avec sensation vaseuse, sans chute ni perte de connaissance. Elle rapporte également une fatigue depuis 1 semaine et avoue ne pas s'hydrater correctement. Au status respiratoire, notons des sibilances inspiratoires et expiratoires sur l'ensemble des plages pulmonaires ainsi qu'une hypoventilation aux deux bases. Les status cardiovasculaire et digestif sont sans particulière. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 19 mg/l, une insuffisance rénale aiguë probablement d'origine pré-rénale AKIN I avec créatinine à 169 umol/l ainsi qu'une hémoglobine à 168 g/l probablement sur hémoconcentration. La patiente bénéficie d'une hydratation intra-veineuse de 2000 ml de NaCl 0.9 % sur 24 heures. Sur le plan cardiaque, nous diagnostiquons un épisode de fibrillation auriculaire rapide sur déshydratation dans le cadre d'une bronchite. L'ECG montre un rythme irrégulier et une fibrillation auriculaire rapide à 129 bpm. La patiente reçoit aux urgences du Beloc Zok 12.5 mg dans un premier temps avec bonne réponse sur la fréquence cardiaque. Nous complétons avec une nouvelle dose de 12.5 mg. Nous prescrivons un traitement fixe de Beloc Zok 37.5 mg retard 1x/j.Sur le plan pulmonaire, la gazométrie montre un pH à 7.44, une pCO2 à 3.5 kPa, des bicarbonates à 18 mmol/l et une pO2 à 9.8 kPa chez une patiente tachypnéique. La patiente reçoit une oxygénothérapie avec bonne réponse clinique. Au vu de la constellation clinique et biologique, nous retenons également chez cette patiente le diagnostic de bronchite. Nous prescrivons un traitement d'Atrovent sans ventolin en raison d'une tachycardie déjà présente. La patiente bénéficie également de séances de physiothérapie. Nous ne prescrivons pas d'antibiothérapie en raison de l'absence de fondement clinique et biologique. Suite à une légère prise pondérale, nous introduisons le Torasémide 5 mg 1x/24h durant l'hospitalisation, stoppé à la sortie au vu d'un poids stable sans signe de surcharge. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 22.01.2019. Nous proposons un contrôle clinique à votre consultation la semaine suivant la sortie. À noter qu'un contrôle pneumologique est déjà prévu dans 3 mois à la consultation du Dr. X. Vous nous adressez votre patiente le 16.01.2019 pour suspicion d'arthrite septique de l'articulation MTP1 du pied droit, se manifestant par l'exacerbation de douleurs mécaniques de l'avant-pied avec troubles de la marche, sans porte d'entrée ni état fébrile objectivé. Des douleurs similaires sont rapportées par Mme. Y, mais jamais d'une si forte intensité. Le reste de l'anamnèse systématique est sans particularité, notamment sans antécédent de goutte ou de douleur articulaire. Aux urgences, l'examen clinique révèle une rougeur, chaleur et tuméfaction de l'articulation MTP1 du pied droit, sans porte d'entrée ni intertrigo, avec douleurs à la palpation et mobilisation de l'articulation. Le bilan biologique objective un syndrome inflammatoire avec CRP à 75 mg/l, sans leucocytose, une légère acutisation de l'insuffisance rénale chronique connue et une hyperuricémie à 490 micromol/l. La radiographie de l'avant-pied droit montre un remaniement de la tête du 1er métatarsien ainsi qu'une arthrose diffuse. Après avis orthopédique du Dr. X, une arthrite goutteuse est suspectée, traitée par Colchicine 0.5 mg 2x/j et immobilisation par attelle Spleenpod. Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Sur le plan orthopédique, l'évolution clinique et biologique est favorable, avec arrêt du traitement par Colchicine au 8ème jour et diminution progressive du traitement antalgique. La patiente bénéficie également d'une physiothérapie de mobilisation avec reprise de la marche à l'aide d'une canne. Sur le plan néphrologique, après amélioration initiale de la fonction rénale par hydratation parentérale, la patiente présente en cours de séjour une insuffisance rénale aiguë de stade AKIN 1 avec clairance selon MDRD à 34 ml/min/1.73, sur probable origine iatrogène sur prise de Colchicine. La posologie est diminuée, puis arrêtée à la sortie avec une évolution biologique favorable. Sur le plan infectieux, en raison de la présence de leucocytes, nitrites et hématurie à l'examen urinaire réalisé dans le contexte du bilan d'insuffisance rénale, nous débutons un traitement par Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j pour une durée totale de 7 jours pour infection urinaire basse chez une patiente restant pourtant asymptomatique. Sur le plan hématologique, nous adaptons le traitement de Sintrom selon schéma d'INR. Un contrôle est à réaliser le 25.01.2019. Sur le plan social, dans le contexte de troubles cognitifs en progression sur maladie d'Alzheimer ainsi qu'un épuisement de son époux, proche aidant, un placement en institution est décidé après discussion avec la patiente et ses proches. Mme. Y est admise au foyer de Bouleyres le 24.01.2019. Vous nous adressez votre patiente le 18.01.2019 en raison d'une dyspnée en péjoration depuis 2 mois, plus marquée depuis 15 jours et accompagnée d'une baisse de l'état général avec asthénie, anorexie et perte pondérale de 2 kg en 10 jours. Pas de toux ni d'expectoration, pas d'autre plainte. Pour rappel, Mme. Y est sous antibiothérapie par Tavanic 2x/j depuis le 15.01.2019 pour une pneumonie basale gauche. À noter également que le traitement par Sintrom a été stoppé le 24.11.2018 en raison du risque élevé de saignement (méléna). Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers avec souffle diastolique mitral avec irradiation sous-axillaire. Pas de turgescence jugulaire, pas de reflux hépato-jugulaire. Pas d'oedème des membres inférieurs, signe de Homans négatif des deux côtés. Les mollets sont souples, le ballant est conservé. Au niveau respiratoire, on note un murmure vésiculaire avec une hypoventilation basale droite et des râles crépitants en base gauche. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Les loges rénales sont souples et indolores. Le laboratoire montre une légère hyponatriémie à 132 mmol/l, des protéines et une albumine légèrement basses (61.2, 36.5 g/l), un syndrome inflammatoire à une CRP de 25 mg/l, une pancytopénie avec anémie normochrome normocytaire (hémoglobine 98 g/l), une leucopénie à 2.5 g/l et une thrombopénie à 48 g/l. La gazométrie montre une hypoxémie à 8.7 kPa sans rétention de CO2. La fonction rénale est bonne. La radiographie du thorax montre un élargissement global de la silhouette cardiomédiastinale, une aorte déroulée et calcifiée et un épanchement pleural droit de faible abondance. Le pacemaker est en place. Suspectant une pneumonie basale gauche, nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 1x/24h du 18 au 21.01.2019. Durant l'hospitalisation, nous mettons en évidence un état fébrile accompagné de frissons et une augmentation du syndrome inflammatoire. Nous prélevons deux paires d'hémocultures qui reviennent négatives. Nous relayons l'antibiothérapie par Céfépime 2 g iv 2x/24h du 22 au 24.01.2019. À noter que sur le bilan sanguin, nous mettons en évidence la présence de blastes, faisant suspecter un syndrome myélodysplasique. La patiente ne souhaite pas d'investigations invasives. La famille est avertie par rapport au diagnostic suspecté et souhaite également des soins de confort. Nous demandons une US abdominal qui montre une lésion du plancher vésical suspect de néoplasie, mais pas d'hépatosplénomégalie. Sur le plan nutritionnel, nous demandons un consilium diététique proposant une adaptation des repas, un enrichissement ainsi que le maintien d'un supplément nutritif oral par jour, permettant de couvrir 90% des besoins alimentaires. Durant le séjour, l'état clinique de Mme. Y se péjore progressivement, avec apparition de signes de surcharge pulmonaire ainsi qu'une péjoration du syndrome inflammatoire sous antibiothérapie. Une radiographie du thorax montre un épanchement pleural pour lequel nous débutons un traitement diurétique par Lasix 20 mg iv dès le 24.01.2019. Nous mettons également en évidence une rétention urinaire de 700 ml d'urine pour laquelle nous posons une sonde urinaire dès le 24.01.2019. Au vu de la péjoration clinico-biologique et en accord avec la famille, nous stoppons l'antibiothérapie le 24.01.2019 et poursuivons les soins de confort avec introduction de Morphine iv en continu dès le 26.01.2018. Mme. Y décède le 26.01.2019.Vous nous adressez votre patiente le 21.01.2019 en raison d'un état fébrile et d'une baisse de l'état général. Mme. Y rapporte également une toux grasse. Pas d'autre plainte. A noter une patiente connue pour un retard mental. Elle est collaborante et répond aux questions simples. A l'admission aux urgences, la patiente est en état général diminué. Au niveau ostéo-articulaire, on retrouve une déformation au niveau des deux bras. Au status cardiovasculaire, le rythme cardiaque est régulier, B1B2 sont bien frappés avec présence d'un souffle cardiaque systolique à 2/6 au foyer d'Erb. Pas de turgescence jugulaire, pas d'oedème des membres inférieurs. Le ballant du mollet est conservé et les mollets sont souples et indolores. Au niveau respiratoire, la patiente est tachypnéique, sans signe de détresse respiratoire. L'ampliation thoracique est symétrique avec présence de râles grossiers bilatéraux. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Les loges rénales sont souples et indolores. Pas de signe de latéralisation au status neurologique. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 223 mg/l et des leucocytes à 9 G/l. La radiographie de thorax montre un foyer basal gauche. Nous réalisons deux paires d'hémocultures, un sédiment urinaire et une recherche d'antigènes urinaires aux urgences. La patiente reçoit une perfusion de NaCl 1000 ml sur 24 heures. Nous mettons en place une sonde urinaire du 21 au 24.01.2019. A l'étage, l'évolution est favorable. Les antigènes urinaires reviennent positifs pour un pneumocoque le 22.01.2019. Nous traitons la patiente par Klacid 500 mg 2x/jour du 21 au 22.01.2019 et Rocéphine 2g iv du 21 au 24.01.2019 avec un relai per os par co-amoxicilline 1g 2 fois par jour dès le 24.10.2019. Les hémocultures reviennent négatives. Au laboratoire de contrôle, le syndrome inflammatoire est à la baisse et la radiographie du thorax montre la persistance d'un foyer basal gauche, sans signe de complication ni d'épanchement. Sur le plan hématologique, l'évolution sous acide folique 1cp 1x/jour est favorable avec une hémoglobine à 103 g/l le 24.01.2019. La thrombocytopénie est également résolue avec des thrombocytes à 162 G/l le 24.01.2019. Au vu d'une évolution clinico-biologique favorable, Mme. Y regagne le foyer Ste-Marguerite le 25.01.2019, avec l'antibiothérapie à poursuivre jusqu'au 31.01.2019 inclus. Vous nous adressez votre patiente le 25.01.2019 en raison d'un ictère indolore depuis 4 jours, associé à des nausées, vomissements, selles diarrhéiques, fatigue, inappétence et perte de poids de 2 à 3 kg en 10 jours. A noter que Mme. Y décrit des rapports non protégés avec son ex-compagnon, qui serait connu pour une hépatite B (avec suivi en France). La patiente évoque une consommation d'alcool modérée, ainsi qu'un tabagisme actif à 20 UPA. On ne note pas d'anamnèse médicamenteuse pouvant expliquer les signes cliniques. A l'admission aux urgences, la patiente est normotendue à 109/66 mmHg, normocarde à 66 bpm et afébrile à 36.5°C. Elle est en état général conservé mais ictérique. Au status digestif, l'abdomen est souple, dépressible et sensible au niveau des deux hypochondres, sans défense ni détente. Le laboratoire met en évidence une importante perturbation des tests hépatiques. Un ultrason abdominal est sans particularité. Un dosage des hépatites et HIV effectué montre des antigènes HBs positifs, des anti-HBs négatifs et des anti-HBc IgM et IgG positifs. La virémie de l'hépatite B est à 441000 UI/ml. Nous demandons un avis à Dr. X, infectiologue, qui propose, au vu de la cinétique de l'apparition des symptômes, un dosage de l'hépatite delta qui revient négatif. Le dépistage de l'hépatite E, C et A ainsi que HIV revient négatif. L'évolution est spontanément favorable avec une diminution de l'ictère et une amélioration progressive des perturbations des tests hépatiques. Nous administrons du Konakion 10 mg pendant 2 jours au vu d'un PT à l'entrée à 55%. Sur le plan tabagique, la patiente évoque un tabagisme actif. Nous prescrivons des comprimés de Nicotinell à sucer en réserve en cas de signe de manque durant le séjour. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Y peut regagner son domicile le 07.02.2019. Un rendez-vous de contrôle clinico-biologique est agendé à la consultation de Dr. X le 14.02.2019. Vous nous adressez votre patiente le 25.01.2019 en raison d'un tableau clinique compatible avec une décompensation de son diabète connu. A l'admission, nous mettons en évidence une infection urinaire asymptomatique à E.coli traitée initialement par ceftriaxone en raison du diabète. Mme. Y est hospitalisée et bénéficie d'une insulinothérapie pendant le séjour. La patiente n'atteint pas des glycémies acceptables malgré la reprise d'un traitement antidiabétique oral par Metformine. Elle ne souhaite cependant pas gérer elle-même ses auto-contrôles et ses injections d'insuline, raison pour laquelle des soins à domicile sont organisés à la sortie pour des injections pré-prandiales d'Humalog Mix. Les objectifs glycémiques sont à adapter à l'âge et aux comorbidités de Mme. Y mais justifient selon nous l'introduction d'une insulinothérapie. Il faut éviter chez cette patiente vivant seule les hypoglycémies. Durant le séjour, nous avons en effet pu mettre en évidence des troubles cognitifs débutants qui n'ont pas été formellement investigués par un MMS. Ceux-ci ont rendu difficile l'éducation thérapeutique par rapport au diabète. En raison de l'âge, l'Aspirine cardio devrait être stoppée si elle a été introduite en prévention primaire dans le cadre du diabète. Mme. Y peut regagner son domicile le 02.02.2019. Vous nous adressez votre patiente le 29.01.2019 pour suspicion de méningite au vu d'un état fébrile à 39°C depuis la veille, associé à des céphalées en casque, irradiant dans la nuque, d'intensité 6/10 et ne répondant pas au Dafalgan, des sudations, une perte d'appétit et des nausées. Pas de photophobie ni phonophobie. Pour rappel, Mme. Y a bénéficié d'une arthroscopie du genou gauche avec anesthésie péridurale le 23.01.2019 par Dr. X avec prise d'un comprimé de co-amoxicilline ce jour. Pas de notion de toux, pas de douleur à la gorge, pas de dysurie, pas de diarrhées, dernières selles molles. Pas de voyage récent. A l'admission aux urgences, la patiente est normocarde, normotendue, tachycarde à 118/min et afébrile. Au status neurologique, la nuque est souple, pas de signe de méningisme. Les pupilles sont isocores et isoréactives, pas de signe de latéralisation nette. Au status ORL, pas de rougeur du fond de gorge, pas de pétéchie, mastoïdes et sinus indolores. Au status cardiaque, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Les pouls sont palpables. Au status pulmonaire, le murmure vésiculaire est audible sur toutes les plages, pas de crépitant ni sibilance. Au niveau digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans signe de défense ou de détente, avec des bruits hydroaériques normaux en fréquence et en tonalité. Au niveau urogénital, les loges rénales sont sensibles à la percussion, à gauche plus qu'à droite. Au status ostéo-articulaire, douleurs à la percussion de la colonne lombaire. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 360 mg/l et des leucocytes à 15,5 G/l, avec bâtonnets à 1,16 G/l et segmentés à 12,01 G/l. Pas de perturbation des autres paramètres. Au vu de la suspicion de méningite, nous administrons 2 g de Rocéphine après la prise de 2 paires d'hémocultures, d'un sédiment urinaire et d'un urotube.Dans le contexte du status post-péridurale, nous effectuons un CT scan de la colonne lombaire injecté afin d'exclure une complication de l'anesthésie péridurale. L'examen met en évidence plusieurs foyers de néphrite du rein gauche, possiblement en voie d'abcédation, sans claire collection visible compatible avec un abcès sur le présent examen. Pas d'argument radiologique pour un abcès péridural. Le sédiment urinaire montre une croix de leucocytes mais pas de nitrites et une hématurie, mais la patiente a ses règles. Les céphalées disparaissent après l'administration d'Ecofenac iv. Une méningite reste peu probable et nous mettons l'état fébrile en lien avec l'infection rénale et les céphalées dans le contexte de l'état fébrile. Sur avis du Dr. X, infectiologue, l'antibiothérapie par Rocéphine est poursuivie. La patiente est hospitalisée pour la suite de prise en charge. Pendant l'hospitalisation, l'évolution biologique est favorable. À noter toutefois une anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 115 g/l probablement post-inflammatoire. L'urotube et les hémocultures reviennent négatifs. L'antibiothérapie est passée per os par Ciproxine 500 mg 2x/j dès le 02.02.2019 et Mme. Y peut regagner son domicile le 04.02.2019 avec l'antibiothérapie à poursuivre jusqu'au 10.02.2019. Vous nous adressez votre patiente le 30.01.2019 pour investigations et prise en charge d'un déconditionnement physique avec perte pondérale et fatigue généralisée. À l'anamnèse, Mme. Y rapporte une fatigue physique importante, avec perte de poids de 4 kg en 2 ans malgré un appétit conservé. Le transit est augmenté avec des selles fréquentes mais de consistance normale. La patiente signale également une intolérance au froid avec sudation importante et des douleurs polyarticulaires importantes. Elle décrit une baisse de la thymie avec des troubles de la concentration, liée à un isolement social. En effet, elle vit seule à domicile et est en rupture relationnelle avec sa famille. Pas d'autre plainte. À l'admission aux urgences, la patiente est normocarde, normotendue et afébrile. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Les pouls sont palpables. Au niveau pulmonaire, le murmure vésiculaire est audible sur toutes les plages. Pas de crépitant ni de sibilance. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits hydroaériques sont normaux en fréquence et en tonalité. Les loges rénales sont indolores à la percussion. Le laboratoire est aligné. La radiographie du thorax ainsi qu'un ultrason abdominal sont sans particularité, hormis un kyste biliaire simple du foie. En raison de l'état psychique instable de la patiente, nous demandons une évaluation psychiatrique. Le Dr. X, psychiatre de liaison, met en évidence des troubles mixtes de la personnalité (personnalité à traits schizo-typiques, dépendants et anankastiques) avec une suspicion de démence débutante. Elle propose d'investiguer les problèmes somatiques probables et dans un deuxième temps de réévaluer la patiente sur le plan psychiatrique. Durant son séjour, la patiente bénéficie d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. Elle est indépendante pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Elle peut monter et descendre les escaliers sans moyen auxiliaire (18 marches avec main courante, sécuritaire). À la sortie sur le plan nutritionnel, les besoins protéino-énergétiques de la patiente sont couverts avec les adaptations. Après 6 jours d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable. La patiente reste toutefois très angoissée malgré la prise de Temesta. Mme. Y est transférée dans le service de réadaptation musculo-squelettique de l'HFR Billens le 05.02.2018. Nous laissons le soin à nos collègues de réévaluer la nécessité d'une nouvelle consultation psychiatrique et d'une évaluation neuropsychologique. Vous nous adressez votre patiente pour un état fébrile accompagné de douleurs abdominales en évolution depuis 4 jours, malgré un traitement antibiotique par Ceftriaxone et Ciprofloxacine en ambulatoire. Au service des urgences, les paramètres sont les suivants : TA 130/80 mmHg, FC 85/min, SpO2 96% à l'air ambiant, T°C 37.8. Le status abdominal met en évidence une douleur en hypochondre droit sans défense ni détente, la présence d'un globe urinaire et l'absence de douleurs à la percussion des loges rénales. Du point de vue infectieux, le bilan biologique met en évidence un important syndrome inflammatoire et une perturbation des tests hépatiques. Un CT abdominal ne montre pas de signe de cholécystite ni d'atteinte hépatique et une atrophie et dilatation pyélocalicielle du rein droit connus. D'après nos collègues d'urologie, il n'y a pas d'indication à intervenir au vu de la stabilité de la dilatation et de l'absence de clinique parlant pour une pyélonéphrite. En raison d'un antécédent d'infection par ESBL, un traitement par Meropenem est débuté avec une bonne évolution clinico-biologique. Les cultures d'urines et sanguines reviennent cependant négatives. Sur avis des infectiologues, une origine digestive est retenue au vu de la perturbation des tests hépatiques initiaux et de l'absence de germe dans les cultures urinaires et un relais par Ceftriaxone/Metronidazole est effectué. Pour la suite, le traitement antibiotique est à continuer pour un total de 10 jours par Ciprofloxacine et Co-Amoxicilline. En ce qui concerne le globe urinaire, une sonde vésicale est posée puis retirée durant l'hospitalisation, avec une reprise de miction spontanée. Durant l'hospitalisation, en raison d'un antécédent de Klebsiella ESBL, un isolement de contact est effectué. Un deuxième frottis est effectué lors de sa sortie. En cas de résultat négatif, un isolement ne sera pas nécessaire en cas de prochaine hospitalisation. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à l'EMS de la Providence le 06.02.2019. Vous nous adressez votre patiente, connue pour un retard mental, institutionnalisée et hospitalisée jusqu'au 04.01.2019 pour infection urinaire compliquée, en raison d'une baisse de l'état général dans un contexte de vomissements et diarrhées progressant depuis 2 jours, avec état fébrile et péjoration de la dyspnée. Les informations sont rapportées par le personnel du foyer qui n'a pas constaté de fausse route mais ne peut exclure une broncho-aspiration sur vomissements. À l'admission aux urgences, toute communication avec la patiente est impossible. La patiente est tachypnéique à 40/min et fébrile à 39,2°C. Au status respiratoire, notons un gémissement expiratoire, sans tirage ni râle audible. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 29 mg/ml et une leucocytose à 12.2 G/l ainsi qu'une insuffisance rénale pré-rénale stade AKIN 1. La radiographie de thorax ne montre pas de foyer infectieux. Cependant, au vu de l'hétéroanamnèse, une probable broncho-aspiration est retenue et nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 1.2 g iv 3x/jour. La patiente bénéficie également d'une hydratation parentérale par NaCl 0.9% et d'une oxygénothérapie. En ce qui concerne les diarrhées et vomissements, un traitement par Nexium 40 mg iv pendant 5 jours et primpéran iv est instauré. La patiente est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Sur le plan infectieux, en raison d'un état fébrile persistant durant l'hospitalisation, de l'impossibilité à communiquer avec la patiente et d'un antécédent d'infection urinaire résistante, nous changeons l'antibiothérapie par Rocéphine 2g iv 1x/j. L'évolution clinique et biologique est alors favorable, permettant le relais de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1g 2x/j per os dès le 19.1.19, pour une durée totale de traitement de 10 jours. Un test de déglutition n'est pas réalisable.De plus, au vu d'une persistance de vomissements post-prandiaux, chez une patiente refusant souvent de s'alimenter, un traitement empirique par Fluconazole 200 mg 1x/j est débuté durant 3 jours. Sur le plan gastro-intestinal, nous retenons également une gastrite virale, évoluant favorablement sous traitement instauré. Une nutrition orale trop rapide pourrait aussi participer aux symptômes de vomissements. Sur le plan néphrologique, l'évolution biologique est favorable par hydratation parentérale. Sur le plan électrolytique, nous constatons en cours de séjour une hypernatrémie à 149 mmol/l, sur diaphorèse et hydratation par NaCl 0.9%, motivant le changement d'hydratation parentérale par G5%. L'évolution biologique est favorable avec poursuite seule du traitement par Glucosalin, interrompu lorsque la patiente recommence à s'alimenter. Nous constatons de même une hypokaliémie à 3.2 mmol/l sur vomissements et diminution des apports, traitée par substitution orale. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y regagne le foyer de la Belle Étoile le 24.01.2019. Vous nous avez adressé votre patient, Mr. Y, pour une anémie macrocytaire hypochrome arégénérative avec une hémoglobine à 46 g/l. Pour rappel, il avait déjà présenté plusieurs épisodes d'anémie dans l'année 2018 ayant nécessité la transfusion de culots érythrocytaires. Ils avaient été mis sur le compte d'un trouble mixte avec carence en vitamine B9 et probable syndrome myélodysplasique. Ce dernier n'a pas été investigué au vu de l'âge et des comorbidités du patient. À l'HFR Meyrier, ses paramètres vitaux sont : tension artérielle 125/68 mmHg, fréquence cardiaque 80/min, saturation 97% à l'air ambiant, fréquence respiratoire 26/min, afébrile. Du point de vue hématologique, le patient présente initialement une anémie macrocytaire hypochrome arégénérative à 46 g/l d'hémoglobine nécessitant la transfusion d'au total 3 poches de concentré érythrocytaire. Dans le cadre d'un bilan étiologique, des carences en vitamine B12, folate et fer sont exclues ainsi qu'une cause hémolytique. Une recherche de sang occulte est initiée mais impossible à réaliser en raison des troubles cognitifs du patient. Une colonoscopie à distance est à envisager. Vu l'âge du patient et ses troubles cognitifs, et après avis hématologique et discussion avec la famille, nous ne préconisons pas d'investiguer davantage l'anémie à l'aide d'une ponction biopsie de moelle osseuse et le diagnostic retenu est celui d'un probable syndrome myélodysplasique. Nous préconisons un traitement symptomatique avec contrôle régulier de l'hémoglobine et avec un seuil transfusionnel ambulatoire de 90 g/l d'hémoglobine. Du point de vue respiratoire, le patient présente une dyspnée à l'effort d'origine mixte, mise sur le compte de son anémie et de sa BPCO de grade 3. Le patient ne présente pas de signe d'appel pour un foyer infectieux pulmonaire et n'a pas de critères d'Antonissen parlant pour exacerbation de BPCO. Nous notons une nette amélioration de sa symptomatologie sur le décours de l'hospitalisation et, à sa sortie, Mr. Y est asymptomatique. D'un point de vue cognitif, le patient présente des états d'agitation sur la nuit qui sont mis sur le compte de sa démence dans le contexte de médication par zolpidem et de changement d'environnement. Vous nous réadressez Mme. Y, votre patiente de 75 ans, connue pour un syndrome métabolique et un tabagisme actif, en raison d'une baisse de son état général et dans un contexte d'une récente hospitalisation pour prise en charge d'une insuffisance respiratoire partielle sur une grippe à Influenza A. À son admission, la patiente se plaint de diarrhées depuis 4 jours associées à une asthénie avec ralentissement psychomoteur et une perte pondérale de 4 kg en 4 jours, ainsi qu'un malaise d'allure orthostatique. La patiente décrit également une dyspnée en péjoration avec une toux grasse et des expectorations jaunâtres. À l'examen, on retient une hypoventilation diffuse à droite avec des râles vésiculaires grossiers basaux droits. L'examen abdominal montre une détente de la fausse iliaque gauche et des douleurs à la palpation superficielle. Le laboratoire montre une légère majoration de son syndrome inflammatoire avec une légère hyperleucocytose. Au CT-Scan abdominal, on note des signes de colite du côlon descendant et du sigmoïde. La culture de selles et l'hémoculture sont négatives. Sur la base d'une origine virale probable, la patiente est mise au bénéfice d'une hydratation avec amélioration de la symptomatologie. Notons une péjoration de sa fonction rénale avec actualisation prérénale de son insuffisance rénale connue. La patiente est mise à bénéfice d'une hydratation intraveineuse avec retour à ses valeurs de créatinines habituelles. D'un point de vue urinaire et gynécologique, la patiente présente des troubles à la miction sous forme de retard mictionnel, dépendant de l'impact du bas-ventre sur la vessie, qui lui sont connus de longue date. Notons dans ce contexte des analyses d'urine montrant une leucocyturie, hématurie et bactériurie. Elle prendra un rendez-vous auprès de son gynécologue traitant afin d'exclure une ptose d'organe responsable du dysfonctionnement. La patiente sort le 02.02.2019 pour un retour à domicile. Vous sure creux poplité à D. VPPB postérieur droit, le 23.02.2019. VPPB postérieur droit le 28.02.2019. VPPB suivi par Dr. X : • dernier épisode en janvier 2019. VRE négatif. Levée de l'isolation le 21.01.2019. Vu l'apparition de diarrhées, l'état fébrile est mis sur le compte d'une nouvelle virose et le traitement antibiotique n'est pas changé, également dans l'idée d'éviter des diarrhées sur co-amoxi. À contrôle clinique si persistance EF > 48h ou péjoration état général ou signes de déshydratation. Vu avec Dr. X, le patient contactera FriSanté. Vu avec MRT pour retour à domicile. Après discussion, se sent plus calme, plus de dyspnée, paresthésies en diminution. Vu en dialyse. Vu en stomatothérapie. Vu la bonne efficacité de l'infiltration sacro-iliaque gauche, nous organisons 3 infiltrations avec du Curavisc dans l'espoir de pouvoir aider notre patiente d'une manière plus conséquente et sur une plus longue durée. Une fois ces gestes réalisés, nous reverrons notre patiente pour un nouveau contrôle clinique et, en cas d'éventuelle persistance des douleurs le long de la cuisse, nous pourrions organiser une nouvelle IRM en ciblant une éventuelle sténose foraminale sous scoliose dégénérative déjà connue. Vu la bonne évolution clinique, le patient peut reprendre le travail graduellement. Nous lui conseillons de ne pas faire des efforts pour encore une semaine. Le patient peut reprendre contact avec son médecin traitant en cas de besoin. Vu la bonne évolution clinique de cette plaie, nous préconisons la fin du traitement dans notre service. Le patient s'adressera à son médecin traitant tous les 3 jours pour réfection du pansement et ablation des fils à 2 semaines du traumatisme. Nous restons cependant à disposition en cas de besoin. Vu la bonne évolution clinique et radiologique, nous ne fixons pas de prochain contrôle. Comme nous ne sommes pas encore en possession du rapport du radiologue concernant l'IRM du jour, nous attendons les résultats et, en cas de nécessité, nous recontacterons le patient pour lui donner d'éventuelles informations supplémentaires. Vu la bonne évolution clinique et radiologique, nous ne proposons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de nouvelle symptomatologie douloureuse ou neurologique.Vu la bonne évolution clinique et radiologique, on peut stopper le traitement. Je me tiens toutefois à disposition. Vu la bonne évolution clinique, le traitement est considéré comme terminé. Le patient a reçu un arrêt de travail à 100% du 10.12.2018 au 27.01.2019. Reprise à 50% du 28.01.2018 au 06.02.2019. Reprise à 100% dès le 07.02.2019. Vu la bonne évolution clinique, nous décidons de la fin du traitement. Nous restons cependant à disposition en cas de besoin. Vu la bonne évolution clinique suite aux infiltrations, surtout suite à la dernière réalisée au niveau L5-S1, nous permet d'exclure que le problème de la patiente soit lié à son implant inter-épineux entre L4-L5. Nous proposons de poursuivre la physiothérapie afin de regagner l'équilibre de la colonne associé à du renforcement musculaire au niveau para-vertébrale ainsi que du gainage abdominal. Prochain contrôle clinique dans 6 mois. Si les douleurs devaient réapparaître avant ce rendez-vous, la patiente nous recontactera afin de fixer un contrôle plus rapidement et à ce moment-là, nous pourrons éventuellement proposer à la patiente des infiltrations par du Curavisc. Si après ces gestes les douleurs ne devaient pas être calmées, nous pourrons proposer à la patiente une dénervation des facettes. Vu la bonne évolution, je préconise l'ablation du matériel d'ostéosynthèse étant donné la gêne résiduelle. J'informe le patient du déroulement intra et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 16.04.2019. Vu la bonne évolution, nous préconisons une fin de traitement. Vu la bonne évolution, nous reverrons le patient dans 3 mois, à 6 mois post-opératoires. Reprise à 50% du travail. À noter que pour l'instant, le patient ne travaille pas. Nous n'avons pas de contre-indication à une profession physique, mais lui conseillons tout de même de trouver un emploi lui permettant de changer de position plusieurs fois par jour et limitant le port de charge. En fonction de l'activité trouvée, nous pourrons réévaluer en détail les limitations. Vu la bonne évolution radioclinique, nous préconisons une fin de traitement dans notre service. Le patient n'a plus de limitation fonctionnelle et peut reprendre le sport. Vu la bonne évolution radioclinique, nous préconisons une fin de traitement dans notre service. Nous restons cependant à disposition en cas de besoin. Vu la bonne évolution radioclinique, nous préconisons une fin de traitement dans notre service. Le patient reçoit un bon pour de l'ergothérapie. Il reçoit un arrêt de travail à 100% jusqu'au 03.03.2019. La reprise à 100% se fera le 04.03.2019. Nous restons à disposition en cas de besoin. Vu la bonne évolution radio-clinique, nous proposons un nouveau contrôle radio-clinique dans 3 mois, soit à 6 mois de la fracture. Dans l'intervalle, poursuite du bilan ostéoporotique et traitement antalgique adapté. Vu la bonne hydratation, la diminution des diarrhées et des vomissements, il peut rentrer à domicile avec un contrôle si péjoration de la prise alimentaire ou augmentation des diarrhées ou diminution de l'état général. Vu la bonne mobilisation, pas d'immobilisation. Vu la bonne tolérance au sport sans épisode d'instabilité, nous ne prévoyons pas de rendez-vous de contrôle supplémentaire, mais nous restons à disposition si besoin. Vu la chronicité de la gêne, je préconise une cure de doigt à ressaut. On va commencer par le côté droit, vu que le patient est droitier. J'informe le patient aujourd'hui du déroulement intra et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 19.03.2019. Vu la clinique, cystite probable. Vu la clinique de rhinite importante, cause virale mise en avant. Vu la clinique qui est rassurante, retour à domicile de la patiente, mais un contrôle chez le pédiatre à prévoir le lendemain, vu son petit poids de base. Vu la correspondance des symptômes dans le territoire de la racine du C6, nous soupçonnons une compression de la racine droite du C6 par la mauvaise position de la colonne pendant une période prolongée. Nous conseillons un traitement antalgique et myorelaxant ainsi que du repos. Nous recommandons à la patiente de consulter son médecin traitant pour la suite de la prise en charge (IRM si nécessaire). Vu la diminution spontanée, contrôle clinique par la sage-femme avec contrôle sanguin seulement au besoin. Vu la douleur provoquée à la palpation et la radiographie du thorax dans la norme, nous interprétons les douleurs dans le cadre d'une contusion, DD fracture des côtes. Les douleurs sont en régression après une antalgie. Nous proposons un contrôle chez le pédiatre si persistance des fortes douleurs dans 24h, si amélioration vers la fin de la semaine. Vu la durée des diarrhées en répétition, nous faisons un prélèvement des selles et recommandons une consultation chez un gastro-entérologue pédiatrique (à organiser). Vu la gêne au niveau de son épaule gauche ces derniers temps, je préconise une AMO avec tentative de mise en place d'une prothèse de style resurfaçage avec AMO resurfaçage au niveau de la glène. En cas d'échec et si je trouve une rupture de la coiffe des rotateurs, une prothèse inversée sera mise en place. Ce jour, j'informe la patiente du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 17.06.2019. En ce qui concerne l'épaule droite, nous avons opté pour un traitement conservateur avec infiltration. Vu la gêne chronique de la patiente et vu l'échec du traitement conservateur face à un examen neurologique parlant en faveur d'un syndrome du tunnel carpien, je retiens donc l'indication pour une cure du tunnel carpien droit. J'informe la patiente du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 12.03.2019. Vu la gêne de la patiente et vu la chronicité des symptômes, je préconise une cure de doigt à ressaut avec cure de tunnel carpien. J'informe la patiente du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 19.03.2019. Vu la gêne de la patiente, je retiens l'indication opératoire. Je l'informe du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention du côté gauche, programmée le 25.03.2019. Vu la gêne de la patiente, je retiens l'indication opératoire pour une neurolyse et antéposition intra-musculaire du nerf cubital gauche. J'informe la patiente du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 06.08.2019. Vu la gêne du patient et l'EMG positif pour un syndrome du tunnel carpien gauche. Je retiens l'indication pour une neurolyse du nerf médian à gauche. J'informe le patient du déroulement intra et post-opératoire. J'ai programmé cette intervention pour le 11.03.2019. Vu la gêne du patient, je retiens l'indication opératoire pour une neurolyse du nerf médian à gauche. J'informe le patient du déroulement intra et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est programmée pour le 25.03.2019. Vu la gêne du patient, je retiens l'indication opératoire pour une tentative de réinsertion du sus-épineux avec ténotomie et ténodèse du LCB. Je lui explique également qu'un traitement conservateur pourrait être possible, mais le patient aimerait essayer la version chirurgicale pour régler son problème. Je l'informe donc du déroulement intra et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 2.04.2019. Vu la légère amélioration clinique et les symptômes légers du patient, on propose dans un premier temps un traitement conservateur avec un stretching neuro-méningé et massage du point de passage dans le septum intra-musculaire et dans le muscle fléchisseur du carpe ulnaire. On verra le résultat de ce traitement dans 6 semaines avec un contrôle clinique.Vu la pathologie, je retiendrai formellement l'indication pour une ténotomie et ténodèse du LCB avec exploration du sous-scapulaire. Le patient par contre ne peut pas se faire opérer pour des raisons professionnelles sachant qu'il va monter à l'alpage pour l'été. On va donc attendre l'évolution spontanée. Le patient me recontactera en fonction de l'évolution, pour la forme j'ai prévu un contrôle chez moi le 9.10.2019. Vu la péjoration de l'état général, une radiographie douteuse avec un probable foyer rétrocardiaque, une tachypnée et une saturation au début à 92%, dans la suite entre 95-97%, des râles crépitants à gauche, et les douleurs abdominales nous débutons une antibiothérapie avec une réévaluation de la poursuite des antibiotiques dans 48h chez le pédiatre. Vu la persistance de la toux Vu la persistance des douleurs suite à l'infiltration, nous lui proposons une prise en charge par le service d'antalgie. Nous prions donc le service d'antalgie de le convoquer dès que possible. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à début mars. Vu la recrudescence des douleurs et étant donné que le patient n'aimerait pas se faire opérer on va plutôt poursuivre la voie conservatrice. J'ai prévu une infiltration du sillon bicipital pour le 01.03.2019. Vu la recrudescence des douleurs qui sont avec une très haute probabilité en lien avec l'épaule gelée, je préconise une autre infiltration sous-acromiale et intra-articulaire. Celle-ci est programmée pour le 1er mars 2019. Entretemps, adaptation du traitement physiothérapeutique ici à l'HFR Riaz avec majoration de l'antalgie. Vu la recrudescence progressive et le bon effet de la première infiltration, nous organisons une 2ème infiltration dans 10 jours à 2 semaines pour renforcer son efficacité. Pour l'instant, au vu de l'âge et des multiples comorbidités de la patiente qui ne présente pas de déficit neurologique, nous n'envisageons pas de prise en charge chirurgicale. Vu la situation clinique et les images de l'IRM montrant un possible conflit entre la racine L4 D et un fragment discal extra-foraminal, nous proposons une infiltration extra-foraminale de la racine L4 D à titre diagnostique et thérapeutique. Prochain contrôle suite à ce geste. Vu la situation et la persistance des douleurs, nous organisons une IRM du pied et la reverrons suite à cet examen. Vu la situation, nous suspectons clairement une lombosciatalgie L5 D raison pour laquelle nous organisons une infiltration foraminale de la racine L5 D à titre diagnostique et thérapeutique. Prochain contrôle après ce geste. Vu la symptomatologie actuelle résolue après l'infiltration, je propose de poursuivre avec le traitement conservateur. Physiothérapie selon programme San Antonio et théraband à domicile. En cas de douleurs, prend du paracétamol qui lui convient bien et calme les douleurs dont elle souffre. Si la situation devait se péjorer, on pourrait renouveler l'infiltration jusqu'à 3 fois par année. Si la situation devait devenir ingérable, la sanction chirurgicale serait la mise en place d'une prothèse totale inversée. Pas de nouveau contrôle prévu mais je reste à disposition. Vu la tuméfaction; immobilisation avec AirCast pour 1 semaine. Vu l'absence de syndrome inflammatoire, un bilan urinaire négatif et un strepto A test négatif nous n'avons pas d'argument pour une infection bactérienne. Nous interprétons les symptômes dans le cadre d'une infection virale. Nous interprétons le vertige dans le cadre d'une orthostase suite à une diminution de l'hydratation et de l'alimentation dans le cadre de l'infection virale. Nous proposons une bonne hydratation avec des liquides salés et sucrés et une bonne alimentation. Vu l'absence d'amélioration des symptômes, nous proposons un rdv au Neurocentre pour recherche de myélopathie. Nous reverrons la patiente à la suite de cet examen. Vu l'absence de douleurs, nous essayons une réduction d'une pronation douloureuse avec échec. Vu le fat pad nous faisons une immobilisation avec attelle postérieure avec un contrôle radio-clinique en ortho-urgences. Vu l'absence de gêne, je ne retiens pas l'indication pour une prise en charge de la lésion luno-triquétrale. En cas de recrudescence de symptômes, je prie le médecin de famille d'adresser le patient à un chirurgien de la main qui fait des arthroscopies comme par exemple le Dr X ou le Dr X à l'HFR Fribourg. De ma part, fin du traitement. Je me tiens à disposition. Vu l'absence de signes clinico-biologiques d'infection ni de critères ultrasonographiques de thrombose veineuse profonde, la symptomatologie de la patiente reste d'origine peu claire. En absence de critères de gravité et vu le contrôle prévu dans 2 jours à Berne, la patiente peut rejoindre son domicile avec consigne de reconsulter en cas de péjoration. Vu l'absence de signes d'inflammation et le trauma il y a 24h, nous renonçons à donner un traitement antibiotique. Les parents refusent de faire une déclaration de la morsure du chien. Après discussion, ils sont d'accord de faire une déclaration anonyme. Vu l'absence de syndrome inflammatoire, nous interprétons le bleu comme hématome. Vu les antécédents avec cellulite au même endroit, nous recommandons un contrôle aux urgences cliniques avec FSC + CRP dans 48h. Vu l'absence d'une gêne majeure, je déconseille une attitude active. La solution chirurgicale serait assez radicale avec un resurfaçage de la tête humérale. Il faudrait que la gêne de la patiente soit suffisamment grande. Pour le moment la situation est supportable. Elle ne souhaite pas d'attitude active. Elle me recontactera en cas de péjoration. Vu l'absence d'une gêne, pas de mesure particulière de ma part. Fin du traitement. Je me tiens toutefois à disposition. Vu l'amélioration de la symptomatologie ainsi que l'apparition de signes de consolidation, nous l'encourageons à poursuivre la physiothérapie avec ondes de choc. Nous le reverrons à 1 année post-opératoire pour un contrôle radioclinique. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% pour 2 semaines pour reprise à 100% dès le 04.03.2019. Vu l'amélioration des symptômes avec une diminution des diarrhées et une reprise alimentaire et une normalisation des électrolytes, nous renonçons à un autre bolus et elle peut rentrer à domicile avec un contrôle si péjoration de l'état général ou diminution de l'hydratation. Vu l'amélioration spontanée de la tuméfaction, et l'absence de symptômes pendant la consultation, elle peut rentrer à domicile sans traitement. Nous conseillons d'administrer 5 gouttes de Feniallerg si elle présente de nouveau une réaction allergique et de consulter en cas de difficultés respiratoires. Vu le bilan sanguin dans la norme, pas de signes pour appendicite à l'ultrason et une clinique atypique pour une appendicite, nous renonçons à faire d'autres examens. Mr. Y peut rentrer à domicile avec antalgie et un contrôle clinique + bilan sanguin dans 24h aux urgences pédiatriques. Vu le bilan urinaire, prise hydrique insuffisante, pas d'élément pour une infection urinaire. Pas d'autre signe de déshydratation. Pas de perte pondérale récente. Vu le bon état général et le bon état d'hydratation, malgré la détresse respiratoire modérée qui est bien tolérée, retour à domicile avec un contrôle à 24h. Si péjoration de la clinique respiratoire (bien expliquée aux parents), épuisement de l'enfant, ou diminution des apports alimentaires de > 50%, recommandation de reconsulter aux urgences rapidement. Vu le bon état général et le bon état d'hydratation, malgré la détresse respiratoire modérée qui est bien tolérée, retour à domicile avec un contrôle à 24h. Si péjoration de la clinique respiratoire (bien expliquée aux parents), épuisement de l'enfant, ou diminution des apports alimentaires de > 50 %, recommandation de reconsulter aux urgences rapidement. Vu le raccourcissement, je retiens l'indication opératoire. J'informe la patiente du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 25.2.2019. Vu le risque faible de Malaria en Jordanie et le test négatif chez la sœur, nous renonçons à faire un test de Malaria chez Mr. Y. Nous interprétons les symptômes dans le cadre d'une infection virale des voies respiratoires supérieures et débutons un traitement symptomatique. Vu le statut neurologique sans particularité, nous renonçons à faire une imagerie. Nous proposons du repos jusqu'au 14.02. et un arrêt de sport jusqu'au 20.02. Nous expliquons qu'il faut reconsulter immédiatement en cas de vomissements, péjoration des céphalées, perte de la force ou d'autres symptômes neurologiques. Vu le test de Malaria négatif et un faible risque de Malaria en Jordanie, nous ne répétons pas la prise de sang. Nous interprétons les symptômes dans le cadre d'une infection virale des voies respiratoires supérieures et débutons un traitement symptomatique. Vu le test de Shellong pathologique et la clinique typique avec un statut neurologique dans la norme, nous interprétons le vertige dans le cadre d'une orthostase. Nous proposons une bonne réhydratation avec des liquides salés, une alimentation régulière et une légère activité physique. Nous recommandons un contrôle chez le pédiatre cette semaine. Vu l'ECG et l'examen clinique cardiologique sans particularités, un problème cardiaque est peu probable. L'étiologie des douleurs reste inconnue. Vu les douleurs diffuses au ventre, une constipation ou une gastro-entérite débutante sont possibles. Les sit-ups d'hier et la péjoration à l'effort pourraient parler pour des douleurs musculaires. Vu l'absence de défense ou détente, une appendicite est peu probable. Nous proposons une surveillance à domicile, antalgie et un contrôle chez le pédiatre ou aux urgences si persistance des douleurs dans 48h ou si péjoration de l'état général ou signes d'alarmes. Vu l'échec des infiltrations, nous l'adressons au service d'antalgie. Merci de bien vouloir convoquer la patiente. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Vu l'échec du traitement conservateur, je propose une réinsertion de la couche superficielle du tendon du sus-épineux. J'informe le patient du déroulement intra et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 19.03.2019. Poursuite de l'arrêt de travail à 100 %. Vu les cordons de selles et un caractère crampiforme des douleurs, une constipation est très probable. Vu les déplacements de la fracture sur la radiographie, nous transférons Mr. Y dans le service d'orthopédie de l'HFR Fribourg pour intervention chirurgicale. Le patient est parti accompagné par sa copine. Vu les douleurs abdominales aiguës avec une polydipsie et une miction augmentée, nous faisons une gazométrie pour exclure des signes de diabète. La gazométrie est dans la norme. Nous retenons alors le diagnostic d'une constipation. Après un lavement, il peut faire une grande quantité de selles, au début dures, puis molles. Amélioration des douleurs par la suite. Nous débutons un traitement avec Movicol et recommandons un contrôle chez le pédiatre la semaine prochaine. Vu les douleurs abdominales persistantes depuis la veille, avec contexte fébrile, sans autre symptomatologie, nous réalisons un ultrason qui ne met pas en évidence une appendicite mais des ganglions dans le rétropéritoine, compatible avec une probable adénite mésentérique. Le laboratoire sanguin montre une légère inflammation et le stix et sédiment urinaire sont propres. Nous proposons un traitement anti-inflammatoire pendant 48h avec paracétamol en réserve. Nous proposons de mettre en suspens le Movicol prescrit vu les selles liquides. Les douleurs abdominales intermittentes présentes depuis plusieurs mois évoquent en premier lieu des douleurs abdominales fonctionnelles. Vu les fortes douleurs de la patiente malgré le traitement antalgique, nous lui proposons une vertébroplastie D8. Mme. Y est clairement informée des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et reçoit d'ores et déjà le consentement éclairé qui est rempli en sa présence. Prochain contrôle dans 2 semaines pour confirmer ou non l'attitude opératoire en fonction des douleurs. Vu les images pas disponibles suite à un problème informatique et l'orthopédiste pas joignable, charge pas possible, mais pas de douleurs à la palpation, nous faisons un plâtre fendu pour immobilisation. Une fracture n'a pas pu être exclue vu l'indisponibilité des images. Les parents seront appelés le 26.02.19 après le colloque de radiographie. Vu les résultats de bilan rassurants - pas d'infection bactérienne. Vu les saignements avec l'angine passée, nous expliquons qu'il faut reconsulter en cas d'apparition de saignements. Vu l'épistaxis récidivante, nous proposons d'organiser un rendez-vous avec Dr. X pour discuter d'une éventuelle adaptation du traitement. Vu les symptômes abdominales - mise sous Movicol en schéma progressif avec 2 sachets de Movicol par jour, en augmentant par 1 sachet/j jusqu'aux selles molles (max 10 sachets/j) puis descendre progressivement. Algifor pour les douleurs costales pendant 2 jours. Vu les symptômes du patient et l'IRM, le patient semble être principalement gêné par une arthrose AC. Je préconise un traitement par infiltration de cette articulation. Celle-ci est programmée pour le 29.3.2019. Par la suite, on discutera des options thérapeutiques. Vu les symptômes du patient, je préconise une infiltration ciblée sur le sillon bicipital. Celle-ci aura lieu le 29.3.2019. Avec ces examens, je peux raisonnablement exclure une compression neurologique du nerf axillaire. Vu l'évolution défavorable et la confirmation par l'infiltration de l'étiologie des symptômes, nous proposons au patient une solution chirurgicale de discectomie C5-C6 par voie antérieure avec mise en place d'une cage. Mr. Y est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Il nous rappellera pour fixer la date opératoire selon ses disponibilités professionnelles. Vu l'évolution favorable, à J1 et J3 du trauma, nous procédons à une fin de traitement dans notre service. Le suivi se fera chez le médecin traitant avec l'ablation des fils à J14. Vu l'évolution favorable à J5 des plaies, la suite du suivi sera effectuée chez le médecin traitant. Nous restons à disposition si nécessaire. Vu l'évolution favorable, le patient va continuer son antibiothérapie jusqu'à la fin et reverra son médecin traitant 48 heures après la fin de l'antibiothérapie pour un contrôle clinique. Le patient reçoit un certificat médical attestant de son arrêt à 100 % jusque-là. Vu l'évolution favorable, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Vu l'évolution, nous mettons en place un Vacoped avec du Xarelto 10 mg. à la demande de la patiente. Nous avons appris par la pharmacie que Mme. Y était déjà sous traitement par Xarelto 20 mg. Nous avons donc demandé à la pharmacie de prendre contact avec le médecin prescripteur de Xarelto 20 mg. pour savoir dans quel contexte le Xarelto était utilisé. Pour le cas d'orthopédie, le Xarelto 10 mg suffit.Nous prévoyons de revoir la patiente à 10 semaines du traumatisme. Mme. Zbinden est en possession d'un arrêt de travail à 100% du 04.01.2019 au 16.03.2019. Vu l'évolution rassurante, à savoir l'absence de signe infectieux, nous concluons à la fin du suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient a reçu instruction de se présenter à la consultation de son médecin traitant le 14.02.2019 pour contrôle de la plaie, réfection du pansement puis de s'y représenter le 19.02.2019 pour ablation des fils. Le patient a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 05.02.2019 au 20.02.2019. Reprise à 100% le 21.02.2019. Nous restons à disposition en cas d'apparition de signe infectieux ou d'évolution défavorable. Vu l'évolution, une IRM est organisée avec physiothérapie pour renforcement du Vastus médial oblique. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X après l'IRM. Vu l'examen clinique et la gêne de la patiente, je préconise tout d'abord une cure de doigt à ressaut au niveau de l'annulaire droit. J'informe la patiente du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est pré-réservée pour le 6.5.2019. Elle nous confirmera la date après en avoir parlé avec sa chef. En ce qui concerne le syndrome du tunnel carpien, je ne peux pas proposer un geste chirurgical vu l'absence d'une clinique frappante. Pour cette pathologie, on va attendre et éventuellement intervenir dans un 2ème temps. Vu l'examen clinique, nous concluons à une entorse de stade 2 de la cheville gauche. Nous mettons en place une attelle postérieure plâtrée, donnons de l'antalgie et un arrêt pour le sport, ainsi que des cannes anglaises pour décharge. Nous expliquons à la patiente la suite du traitement à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Vu l'examen clinique sans signes pour une pneumonie et l'absence de détresse respiratoire, nous interprétons les douleurs d'origine musculaire suite à la toux. Vu la corrélation des douleurs à la respiration et l'absence de péjoration à l'effort, une étiologie cardiaque est peu probable. Nous débutons un traitement symptomatique avec un contrôle chez le pédiatre dans 48h si persistance de la fièvre. Vu l'excellent état général et respiratoire - retour à domicile. Vu l'excellent état général, nous laissons le patient rentrer à domicile avec un contrôle à prévoir par le pédiatre. Vu l'excellente évolution, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition si besoin. Vu l'heure tardive, je propose aux parents de réhydrater le patient sur 4 heures par la SNG, ils sont rétissants. Vu le bon état général du garçon, il rentre à domicile afin d'essayer de se réhydrater per os dès le début de la matinée. Vu l'importance de l'otite à 18 mois, mis d'emblée sous amoxicilline 50mg/kg/j en 2 doses pendant 10 jours. Algifor et Dafalgan en R. Reconsulter si péjoration ou persistance de l'état fébrile. Vu l'impossibilité d'effectuer un ultrason en urgence, l'examen sera effectué en ambulatoire en flexion plantaire de 30° pour voir s'il y a un contact entre le moignon. Discussion du traitement après l'ultrason. Contrôle team pied le 25.02.19. Vu que la clinique correspond plus à une IVRS et que la Rx est en ordre, pas de contrôle prévu par la suite. Vu que la patiente part en Australie pour 6 mois, nous lui donnons ces radiographies sur un CD avec des instructions pour la suite du traitement. Elle prendra contact avec un médecin de la région dès son arrivée. Vu que la patiente présente des omalgies de longue date et que l'IRM n'est pas très contributive, je préconise une arthro-IRM le 22.2.2019 pour faire la part des choses actuellement. Je reverrai la patiente à la suite de cet examen le 4.3.2019. Vu que la patiente présente un examen neurologique qui date de 2012, je vais répéter cet examen auprès du Dr. X le 4.3.2019. Je reverrai la patiente le 18.3.2019 pour discuter des options thérapeutiques. Vu que la pulpe n'est pas atteinte et que le reste des dents est bien stable, il n'y a pas d'indication pour une intervention en urgence. La patiente verra alors un dentiste dès que possible. Vu que le diagnostic reste inconfirmé pour le moment, nous proposons une thérapie anti-inflammatoire par Algifor pendant 48h, puis consulter chez le médecin traitant si persistance des douleurs. Vu que le patient persiste à avoir des douleurs sur le sillon bicipital, je préconise une infiltration de celui-ci. Celle-ci est programmée pour le 1.3.2019. On verra la suite de la prise en charge en fonction de cette infiltration. Je reverrai le patient le 27.3.2019. Vu que l'évolution est favorable avec une patiente qui arrive à faire toutes les activités de la vie quotidienne sans plainte, sans gêne et qui n'est pas demandeuse, nous procédons à la fin du traitement dans notre service. Vu que la patiente a reçu qu'une dose d'amoxicilline avant la consultation, je conseille à la maman de continuer et que l'EF va descendre dans les 48 heures. Vu qu'il a bu 150 ml aux urgences sans vomir et qu'il n'y a pas de signes pour une déshydratation, nous n'avons pas d'argument pour la prescription d'un antiémétique. Il peut rentrer à domicile avec des conseils d'hydratation. Contrôle chez le pédiatre et reconsulter en cas de signes de déshydratation. Vu le traitement immunosuppresseur et les antécédents, bilan complet ne montrant pas de signes de gravité. Avis Dr. X : faire le stix urinaire à domicile une fois par jour et reconsulter en cas de protéinurie. Parents informés clairement de reconsulter en cas de péjoration de l'état général, de trismus ou de torticolis, de nouveaux symptômes ou de péjoration. Vu 48h de traitement par algifor mis sous amoxicilline 50mg/kg/j en 2 doses pendant 10 jours. Dafalgan et Algifor en R. Vu fortuitement à l'Uro-CT. CT-scanner de contrôle à distance de l'épisode infectieux le 08.03.2019 à jeun. Vue la situation, nous pensons qu'il s'agit probablement d'un syndrome de l'essuie-glace avec un tractus ilio-tibial qui semble légèrement douloureux et tendu. À cela s'ajoute une amyotrophie persistante du quadriceps droit, nous proposons donc de réaliser un traitement par fitness médical pendant 3 mois afin de faire un renforcement efficace des quadriceps des deux côtés. Nous restons à disposition si besoin. Vue le risque de chute et le risque hémorragique, l'indication de combiner une anticoagulation thérapeutique par Eliquis avec une antiagrégation par Plavix est à réévaluer par la suite selon l'évolution. Merci de bien vouloir continuer le suivi de la glycémie et adapter le traitement antidiabétique. Contrôle radio-clinique chez Prof. X (Orthopédie, HFR Fribourg) le 19.02.2019 à 10h15. Vue l'évolution favorable au contrôle clinique, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Vue par la Dr. X, pédopsychiatre : convenu avec la patiente et son éducatrice d'une hospitalisation à Marsens après être passée dans son foyer pour prendre des affaires ; tri informé de l'arrivée de la patiente. Vue que l'attelle n'est pas adaptée, confection ce jour d'une attelle plâtrée en position intrinsèque avec syndactylie du 4ème et du 5ème doigt qu'elle portera pour une durée de 2 semaines. Nous reverrons la patiente le 07.03.2019 pour un contrôle clinique. Vulvite. Vulvite. Vulvite probablement mécanique. Vulvo-vaginite le 29.01.2019. Vulvo-vaginite le 29.01.2019. VVC jugulaire droite le 31.01. Cathéter artériel radial droit le 31.01. Sonde vésicale le 31.01. Sonde nasogastrique le 31.01. Expansion volémique Noradrénaline le 31.01 Tazobac du 31.01.2019 CT thoraco-abdominal natif le 31.01.2019 Coronarographie le 31.01.2019: pas de lésion aiguë ETT le 31.01.2019: FEVG 45% US abdominal le 31.01.2019 EN COURS: hémocultures, urotube, frottis grippe, recherche HAV HBV HCV CMV EBV, Antigènes urinaires VVP 30.01-01.02.2019 Deux Bolui à 10-20ml/kg aux urgences Besoins d'entretien et compensation des pertes par perfusion 30.01-01.02.2019 VVP Perfusion 02.02- Perfusion Wahrscheinliche superinfektion einer viralen Lungeninfekten Wala Antimonit/rosae aetheroleum Wala Antimonit/Rosae aetheroleum Wala Apis/Belladonna/Mercurius WALA Echinacea spray buccal (Mundspray) Traitement symptomatique WALA Mundbalsam (flüssig) : 3-6 x / jour ½ pipette diluée avec de l'eau Algifor si douleur Watch and wait Weiterführen Calcimagon Beginn einer Therapie mit Aclasta iv 5mg 1x/Jahr über 3 ans hinweg; première injection : à organiser auprès du HA Ambulante Osteodensitometrie : à organiser auprès du HA (Contrôle d'imagerie tous les 2 ans) Labor : Phosphat 1,44 mmol/l, Eiweisselektrophorese, Immunfixation, PTH (evlt. später ambulatorisch : Triptase, dépistage Zöliakie) Weleda Calendula Crème protectrice Consignes des toilettes Antalgiques en réserve Weleda Calendula D4 gouttes opht. Contrôle dans 3 jours chez le pédiatre Weleda Calendula 1 goutte par œil 5 * par jour pendant 5 jours Desobstruction nasale au physiol si besoin Weleda collyre d'Euphrasia Weleda Collyre Euphrasia Weleda collyre Euphrasia Antalgie au besoin Contrôle dans 24-72h chez la pédiatre Weleda sirop contre la toux Wala plantago baume bronchiale Contrôle chez pédiatre si persistance de la fièvre > 48h Wet lung avec CPAP de J0 J 1 Hypotension artérielle Nouveau-né de 34 3/7 PN 2095 g (p 25-50), T 46 cm (p 50), PC 31.8 cm (p 25-50) à l'entrée J 7 35 2/7 SG Wet lung Monitoring cardio-respiratoire jusqu'au 17.03. Rx thorax et Gazométrie à l'entrée Suspicion d'infection néonatale infirmée FSC, CRP, PCT; Hémocultures nég. Amoxicilline/Gentamycine 14.- 16.03.2017; taux résiduel de gentamycine: 1.3 mg/l Nouveau-né à terme + 5 jours avec PN 4250 g (P75-90), TN 52 cm (P25-50), PCN 37 cm (P75-P90) À l'entrée = J1 avec poids à 4000 g Konakion à J0 et J4 Vitamine D3 dès J4 Guthrie à J4 OEA ok Whiplash. Whiplash cervical sur accident de la voie publique du 16.02.2019. Whiplash et contusion dorsale sur accident de la voie publique à haute cinétique le 20.03.2018 avec traumatisme crânien simple. Whiplash sur accident de la voie publique le 26.02.2019. Nous interprétons les douleurs de Mr. Y plutôt dans le cadre d'une piqûre d'insecte avec inflammation locale. En raison d'une borréliose dans le diagnostic différentiel, nous organisons un contrôle clinique le 06.03.2019. Nous maintenons le diagnostic d'une sinusite virale et prescrivons une thérapie symptomatique. Présentation à nouveau en cas de symptômes aggravants ou de fièvre. Nous maintenons le diagnostic d'une infection virale des voies respiratoires supérieures et Mme. Y peut rentrer chez elle avec une thérapie symptomatique. Si à la fin de la semaine ou au début de la semaine prochaine ça ne s'améliore pas, nous recommandons de consulter à nouveau. Nous maintenons le diagnostic d'une infection virale dans le parcours. L'oreille bouchée à gauche est dans le cadre d'une obstruction tubaire. Nous prescrivons une thérapie symptomatique et disons à Mme. Y, en cas d'aggravation, de consulter rapidement. Nous maintenons le diagnostic d'une luxation acromio-claviculaire de type Rockwood I et une contusion parétale droite. La patiente peut rentrer chez elle en état général stable avec une ordonnance pour une physiothérapie ambulatoire et une analgésie simple avec paracétamol et ibuprofène. Nous considérons une bronchite aiguë comme diagnostic. Mme. Y peut rentrer chez elle dans un état stable avec Pantoprazol (elle a déjà de l'ibuprofène chez elle). Elle reçoit un certificat d'aptitude pour le sport. Nous interprétons les douleurs de Mr. Y plutôt dans le cadre d'une angine virale. Nous prescrivons un traitement symptomatique. Présentation à nouveau en cas de forte fièvre, détérioration de l'état général. Nous interprétons les douleurs de Mr. Y plutôt dans le cadre d'une inflammation de la glande salivaire sous-maxillaire. Le patient a déjà une thérapie symptomatique à domicile. Présentation à nouveau en cas de forte fièvre, détérioration de l'état général. Nous interprétons les douleurs de Mr. Y plutôt dans le cadre d'une évolution normale d'une infection virale. Nous interprétons les douleurs de Mr. Y plutôt dans le cadre d'une pharyngite virale. Nous prescrivons une thérapie symptomatique. Présentation à nouveau en cas de forte fièvre, détérioration de l'état général. Nous faisons un bandage et la patiente peut rentrer chez elle avec sa mère. En raison de la chute pour une raison non claire, nous recommandons un éventuel examen neurologique. Nous effectuons deux points de suture avec 6-0 sous anesthésie locale et ensuite, en accord avec l'ophtalmologiste, Mr. Y se rend au HFR-Fribourg pour un contrôle ophtalmologique. Les points de suture doivent être retirés après 5 jours. Nous effectuons 6 points de suture avec 4-0 et 5-0. Nous recommandons de vérifier rapidement le statut vaccinal et un contrôle après 7 jours auprès du médecin généraliste pour l'ablation des sutures. Wolff-Parkinson-White. Plaie au crâne Plaie au doigt montrant à droite Plaie au doigt montrant à droite 2x1cm, avec/à : Exploration de la plaie, désinfection, bandage Soins des pieds auprès de la diabétologie au HFR Freiburg la semaine prochaine Mr. Y, garçon de 5 ans, en bonne santé habituelle, est hospitalisé en pédiatrie pour des troubles alimentaires dans le contexte d'une pneumonie à Influenza A positive. Sur le plan alimentaire, Mr. Y a bénéficié d'une perfusion intraveineuse avec les besoins d'entretien qu'on a pu sevrer le J2 de son hospitalisation vu les bilans hydriques satisfaisants et la bonne tolérance digestive. Mr. Y a présenté des troubles de selles avec des selles liquides le J1 de son hospitalisation sans autres signes digestifs. Une perte pondérale de 600 g est notée pendant l'hospitalisation, avec un bilan hydrique toujours positif et une alimentation relativement diminuée, mais satisfaisante. Sur le plan respiratoire, Mr. Y reste oxygène-indépendant durant son hospitalisation. Sur le plan infectieux, Mr. Y bénéficie d'une antibiothérapie par voie orale initialement puis intraveineuse en raison de diarrhées présentes. Un prélèvement rhino-pharyngé met en évidence la présence d'Influenza A et la radiographie thoracique évoque un foyer pulmonaire du lobe supérieur droit. Parallèlement, à l'entrée, nous notons un syndrome inflammatoire majeur avec une CRP à 256 mg/l et une leucocytose à 15,2 G/l. Mr. Y est fébrile pendant l'hospitalisation avec amélioration des fluctuations de l'état fébrile, mais une nette amélioration de son état clinique. Vu l'amélioration clinique et la bonne réhydratation orale, ainsi qu'une alimentation satisfaisante, Mr. Y a pu rentrer à domicile le 24.02.2019 avec une antibiothérapie orale à domicile. Xarelto à poursuivre jusqu'au prochain contrôle Consilium angiologique le 22.02.2019 Prochain RDV angiologique (Dr. X) le 12.03.2019 Xarelto dès le 26.02.19 pour 3 mois avec contrôle des d-dimères chez le médecin traitant Reprise bêta-bloquant à demi-dose, à augmenter selon clinique Réévaluer reprise IEC Contrôle clinique chez médecin traitant le 08.03.2019 à 10h Xarelto mis en suspens le 18.01.2019 Clexane du 21.01. au 22.01.2019 Reprise Xarelto le 22.01.2019 Xarelto 15 mg 2x/j jusqu'au 08.03.2019 avec un relais par Xarelto 20 mg 1x/j à vie. Contrôle à votre consultation dans une semaine. Contrôle des profils glycémiques avec HbA1c à 3 mois. Xarelto 20 mg mis en suspens en vue de l'intervention chirurgicale le 07.02.2019 Clexane 40 mg 1x/j prophylactique Xarelto 20 mg mis en suspens le 14.01.2019 Relais par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Reprise Xarelto 20 mg le 21.01.2019 Xérose cutanée Hypothyroïdie substituée (post-thyroïdite de Hashimoto) BPCO sur tabagisme (auparavant traitée par Spiriva arrêté par la patiente) Diabète de type 2 Cardiopathie hypertensive et dysrythmique avec FA paroxystique depuis 2012 • FEVG normale (65 %) • coronarographie le 31.08.2012 (Dr. X) : stigmates de cardiopathie hypertensive, insuffisance aortique minime Hyperuricémie Xérostomie probablement d'origine médicamenteuse (Primpéran, Haldol) Xyzal en réserve Xyzal en réserve Xyzal en réserve Dafalgan en réserve Poxclean mousse Xyzal 1 cp aux urgences avec bonne évolution clinique. Xyzal 4 jours + Prednisone 50 mg 3 jours. Kit de secours prescrit et expliqué. Symptôme d'alarme expliqué. Consultation chez l'allergologue après 4-6 semaines. Xyzal 20 gouttes 1x/j, Atarax 25 mg le soir + 1x en réserve Xyzal 5 gouttes 2x/j Xyzal 5 mg pendant 5 jours. Avis rhumatologique (Dr. X) : pas de suspicion actuelle pour une maladie rhumatologique. Contrôle chez le médecin traitant dans 3 jours. Xyzal 5 mg Mise en suspens de l'anti-hypertenseur au vu TA normes basses aux urgences Xyzal. Pevaryl poudre au niveau inguinal. Consultation dermatologique le 30.01.2019 (Dr. X) : Eczéma de contact allergique aux bandages/pansements/champ stérile. • Mycologie le 30.1.2019 : en cours. • Sicortene en schéma dégressif, Optiderm. • Prise en charge dans 4 semaines en dermatologie. Xyzal Suivi clinique Yanis est gardé hospitalisé pour surveillance respiratoire dans le contexte de bronchite spastique. Sur le plan respiratoire, les traitements par Ventolin et Atrovent sont graduellement espacés durant son séjour. Le Betnesol est gardé pour 3 jours puis son traitement d'Axotide est repris le 30.01. Le sevrage de l'oxygène est par contre difficile surtout la nuit et ceci malgré un limite de saturation transcutanée à 88 %. Il est à l'air ambiant nuit et jour dès le 04.02 durant la nuit. Sur le plan infectieux, il est afébrile durant son séjour et le frottis RSV devient positif. Une otite légère persiste durant son hospitalisation bilatéralement avec amélioration progressive. Sur le plan neurologique, nous continuons sa diète cétogène et il ne présente pas d'évènements durant son séjour. Sur le plan digestif, il reste asymptomatique avec un suivi d'une diète cétogène rigoureuse. Au vu de la bonne évolution clinique, nous décidons d'un retour à domicile le 05.02 avec un contrôle chez le pédiatre traitant si apparition de nouveaux symptômes ou de dégradation subite de l'état général. Mr. Y, nouveau-né de 2 mois et demi, est hospitalisé en pédiatrie pour une insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite à RSV positif. Sur le plan respiratoire, Mr. Y était oxygénodépendant du 20.02.2019 au 23.02.2019. Pas de péjoration respiratoire durant son hospitalisation et il a bénéficié de la médecine anthroposophique aussi. Le frottis naso-pharyngé met en évidence la présence du virus RSV. L'évolution est favorable permettant le sevrage de l'oxygène le 23.02.2019. Sur le plan digestif, il n'a pas présenté de troubles alimentaires ni de nécessité de soutien alimentaire. Il a eu une perte pondérale de 1,7 % durant son hospitalisation, raison pour laquelle nous proposons un suivi pondéral chez le pédiatre prochainement. Vu l'évolution favorable, Mr. Y a pu rentrer à domicile le 23.02.2019. Mr. Y, jeune homme anglais en vacances dans notre pays, est tombé alors qu'il faisait du snowboard le 18.02.2019. Il a été héliporté à notre hôpital où la radiographie montre une fracture métaphysaire proximale déplacée de l'humérus droit. Une réduction ouverte et une ostéosynthèse ont été réalisées avec une plaque osseuse Philos 3 trous, deux plaques osseuses Aptus Hand 1.5 et 2.0 le 19.02.2019 sans aucune difficulté, sous antibioprophylaxie durant 24 heures (Zinacef). Temps postopératoire sans problème, peu de douleur sous traitement antalgique. Le patient quitte notre hôpital le 21.02.2019 et rentrera en Angleterre le 24.02.2019. Il contactera un médecin orthopédique pour un suivi ultérieur. Zithromax 1 g per os avec traitement du partenaire Zithromax 200 mg/5 ml : 4 ml/J 3 jours Dafalgan 300 mg x3/j 2 jours systématique Boissons sucrées (Rivella) Zofran en réserve Normolytoral Contrôle de son statut d'hydratation demain au Fast-track Zofran et mise au sein Consultation demain chez le pédiatre Suivre le schéma prescrit par Dr. X Zofran et Normolytoral aux urgences Fébrifuges Réhydratation fractionnée Conseils de surveillance donnés Reconsultation au besoin Zofran et Normolytoral aux urgences Réhydratation fractionnée Conseils de surveillance et consignes de reconsultation donnés Zofran iv Zofran iv le 30.01.2019. Zofran iv le 30.01.2019 Passage de Targin 10 mg 2x/j au Tramal 25 mg 4x/j le 01.02.2019 : arrêt des nausées Zofran mg po Normolytoral 650 ml en 4 h sur SNG après échec de réhydratation orale Glycémie : 4.4 Zofran 0.1 mg/kg (re-vomit peu après) Surveillance signes de déshydratation Zofran 0.1 mg/kg Hydratation avec Normolytoral sans vomissement Zofran 0.1 mg/kg Tentative de prélèvement d'urines mais les parents quittent l'hôpital avant Zofran 2 mg en OU Normolytoral Contrôle le 13.02 Consignes de surveillance données Zofran 2 mg en OU Normolytoral Stimuler hydratation Consignes de surveillance données Zofran 2 mg aux urgences Normolytoral Dafalgan en réserve Poursuivre pérentérol Zofran 2 mg, hydratation Zofran 2 mg po Gazométrie Échec de réhydratation po NaCl 0.9 % 300 ml en 1 h puis 150 ml en 30 minutes Zofran 2 mg po Gazométrie Échec de réhydratation po NaCl 0.9 % 300 ml en 1 h puis 150 ml en 30 minutes TIP le 22.02 : Bolus NaCl 0,9 % 20 cc/kg sur une heure Contrôle gazométrie Contrôle clinique dans 12 heures Zofran 2 mg, réhydratation avec Normolytoral - boit env 40 ml aux urgences Zofran 2 mg Normolytoral Retour à domicile avec consignes de surveillance et d'hydratation Zofran 4 mg po maximum toutes les 12 h Dafalgan en réserve Reconsidération des vomissements persistants et de la déshydratation demain. Zofran 4 mg 1x Normolytoral Dafalgan/Algifor en réserve Normolytoral Zometa 4 mg IV le 05.02.2019 Adaptation de l'antalgie ZOMIG intranasal = Pas d'effet bénéfique notable post ZOMIG PARACETAMOL 1 g VOLTARENE 75 mg TRAMADOL 100 mg Laboratoire CT cérébral avec injection = Dilatation des cornes temporales et dilatation des ventricules latéraux (possible hydroencéphalique), pas d'hémorragie intracrânienne, pas de thrombose veineuse centrale. Avis neurochirurgien = Indication à une IRM cérébrale avec séquence Flair + T2 étoile + Angio IRM à la recherche d'une masse ou d'un microsaignement. Devant l'impossibilité d'une IRM en urgence, réalisation d'une ponction lombaire avec dosage xantochromie afin d'exclure une HSA. Ponction lombaire = Dr. X, Désinfection locale, champage, ponction en L4 sans complication post geste, mesure de pression à 44 mmHg. Liquide eau de roche Résultat = normo lactorachie, normo glycorachie, hyperproteinorachie à 0.62, 72 éléments avec 94 Lc, 0 érythrocyte Xantochromie = en cours Avis Neurologue : Dr. X = Indication à une surveillance continue devant la présence d'une hypertension intracranienne objectivée par la PL. Compléter le bilan par sérologie EBV, CMV, VZV, Lyme. PCR Multiplex, ANCA, FAN, FR. Prevoir à partir du 13/02/19 une angio IRM cérébrale avec séquence vasculitique. Si hospitalisation HFR, faire CT avec séquence artérielle. Demander avis à Berne pour intérêt d’une angiographie cérébrale en ambulatoire ou en urgence. ACICLOVIR à 15 mg/kg/8 heures (dose initiale faite aux urgences) Avis Soins intensifs = ok pour transfert soins intensifs pour suite de prise en charge CT cérébral séquence artérielle = Artère de bon calibre, pas de lésion athéromateuse, pas d'anévrisme, pas d'argument pour un vasospasme. CAT : • Xantochromie à pister • IRM cérébrale à partir du 13/02/19 • Discussion avec Berne pour intérêt d’une angiographie cérébrale +/- transfert Zona au niveau des dermatomes Th3 et Th4 à droite le 03.02.2019. Zona ilio-sacré traité par Brivudine durant 6 jours le 23.10.2018. Erysipèle traité par co-Amoxicilline en décembre 2018. Infection urinaire à répétition avec : • urosepsis à E. Coli 2008 • infection urinaire basse traitée par Monuril le 26.10.2018 • infection urinaire basse à E. coli, non compliquée, le 03.04.2015 • infection urinaire basse à E. Coli multisensible le 16.09.2015 avec insuffisance rénale aiguë, RIFLE R, de type pré-rénal sur déshydratation, le 16.09.2015 avec Cl Créat à 40 ml/min selon Cockroft. Hématome musculaire de la cuisse et poplité gauche dans le contexte d'INR supra-thérapeutique le 02.12.2014 avec anémie normocytaire hypochrome secondaire. Pneumonie basale droite en avril 2013. Syncope probablement d'origine orthostatique le 23.11.2015. Hypovitaminose D à 43 nmol/l le 30.11.2015. Prothèse du genou droit en 2003. Cure de varice en 2003. Diverticulite non datée. Bronchite aiguë probablement virale Ablation de kystes au scalp. Bronchite aiguë probablement virale. Zona L1 L2, le 05.02.2019. Zona thoracique D2-D3-D4 droit en 2009. PTG droite en 10.2012. Opération de Weil 2ème et 3ème rayons pied D en 2011. PTH G en 1993 avec déscellement visualisé sur scintigraphie en 2010. PTH D en 2007, avec changement du cotyle pour usure en 2014. Cure de cataracte D en 2013 et gauche en 2015 et 2016. AVC ischémique pariéto-occipital droit, d'origine probablement cardio-embolique postopératoire, le 10.09.2015, avec hémisyndrome moteur G à prédominance brachiale. Probable épilepsie au décours de la phase aiguë de l'AVC. Probable état dépressif réactionnel. Troubles neuropsychologiques compatibles avec l'AVC ischémique du 10.09.2015 • MMSE 26/30 Zona T4 Fracture acétabulaire gauche et branche ilio-pubienne gauche non déplacée le 05.12.2019. Infection des voies respiratoires supérieures le 10.01.2019. Zyrtec pris à domicile sans effet. Solumedrol 125 mg, aérosol d'adrénaline et 2 mg Tavegyl par les ambulanciers. Adrénaline 0.5 IM aux urgences. Surveillance aux urgences pendant 6 heures avec stabilité clinique. Epipen à conserver sur soi. Antihistaminiques : Aerius 10 mg pendant 10 jours, Xyzal 5 mg pendant 5 jours. Bilan allergologique chez un spécialiste (Dr. X). État anxio-dépressif connu (examen et mise en observation pour d'autres raisons). 02.2011 : résection des ligaments utéro-sacrés par le Dr. X. 04.2011 : appendicectomie. 11.2011 : cure de prolapsus utérin et de rétroversion par le Dr. X. Hystérectomie totale par laparoscopie interannexielle sous anesthésie générale. juin 2013. 3 accouchements par voie basse en 2002, 2004, 2008. Douleurs du bas ventre et flanc droit en juin 2013. Plaie en V de la face dorsale du 5ème doigt droit. 0/3 critères de Diamond-Forrester. Status et anamnèse. ECG : cf. annexes. Antalgie. 05.01.2019 : Acutisation AKIN I pré-rénale d'une IRC de stade G3A A3 sur néphropathie diabétique. 05.02.2019 Gazométrie : pH 7,33, pCO2 8,1 kPa et bicarbonates de 20 mmol/l. 07.02.2019 Gazométrie : pH 7,30, pCO2 4.5 kPa, bicarbonates 17 mmol/l, Na 154 mmol/l, Cl 125 mmol/l, lactates 0.8 08.02.2019 : Gazométrie : pH 7,47, pCO2 4.2 kPa, bicarbonates 23 mmol/l, Na 144 mmol/l, K 5,0 mmol/l, Cl 108 mmol/l, lactates 1.3 04.02.2019 Labo urinaire normal. 06.01.2019 : AVC ischémique mineur d'origine indéterminée : • lésion de petite taille en regard du splenium du corps calleux latéralisé à droite (territoire de l'artère cérébrale antérieure) 07.02.2019 : drainage par voie trans-orale et mise en place d'un Penrose sous anesthésie générale. 07.02.2019 Dr. X : ethmoïdectomie bilatérale + septoplastie d'accès. 09.2018 : épisode de glaucome traité localement puis complication décollement de rétine, opération ophtalmologique. Glaucome et cataracte à l'âge de 10 ans traités par chirurgie. Phlegmon. 1. Hystéroscopie diagnostique et opératoire avec reperméabilisation des ostia des deux côtés : résection de fibrome sous-muqueux et de synéchies le 05.02.2019 2. Laparoscopie diagnostique avec chromopertubation avec une trompe peu perméable à gauche, absence de passage tubaire à droite Examen anatomo-pathologique du matériel réséqué le 05.02.2019 1) AMO calcanéum G AMO calcanéum D 2) Cure orteils en griffe pied D par : Arthrodèse de l'IPP par Pip Tree 0° des 2ème et 3ème orteils Ténotomie des extenseurs et embrochage temporaire du 4ème orteil Ténotomie du fléchisseur profond et embrochage du 5ème orteil (OP le 05.02.2019) 1) Carcinome à cellules géantes pulmonaires du lobe supérieur gauche métastatique au niveau cérébral, stade IVb • date du diagnostic : 05.12.2018 par biopsie de la masse du lobe supérieur gauche • pathologie : carcinome à cellules géantes pulmonaires, en partie nécrosé dans les tissus alvéolaires • CT-scan thoraco-abdomino-pelvien du 17.11.2018 : masse lobaire supérieure gauche hypodense, présentant un rehaussement périphérique avec atélectasie associée et bourgeon tumoral s’étendant dans la branche souche ipsilatérale, masse infiltrant le médiastin antérieur, plusieurs nodules infra et supra-centimétriques dans les deux poumons, le plus grand mesurant 20 mm à l’apex du lobe supérieur droit, correspondant à des métastases • IRM cérébrale du 20.11.2018 : présence de deux lésions nodulaires suspectes à l’étage supra-tentoriel avec plage d’œdème plus marquée autour de la lésion temporale médiale droite • nouvelle biopsie pulmonaire masse lobe supérieur gauche (pour analyse NGS) le 10.12.2018 • pathologie : carcinome à cellules géantes pulmonaires du lobe supérieur gauche, EGFR, BRAF, HERD, ALK, ROS 1, CMET négatifs, PD-L1 exprimé à 100 % sur les cellules tumorales à l’immuno-histo-chimie • proposition actuelle : traitement de première ligne par immunothérapie (Pembrolizumab) suite à l’accord de l’assurance-maladie du patient 2) Carcinome épidermoïde peu différencié de type basaloïde P16 négatif de l’oropharynx versus hypopharynx droit classé comme cT4b cN3 cM1 stade IVC• date du diagnostic : 19.11.2018 avec cytoponction d'un ganglion cervical droit nécrotique • cytologie : cellules tumorales malignes compatibles avec un carcinome épidermoïde peu différencié avec variante basaloïde, absence de sur-excrétion de P16, pas de signe en faveur d'une infection par virus HPV à haut risque • CT cervico-thoraco-abdominal du 17.11.2018 : infiltration tumorale à point de départ oro-hypopharynx s'étendant à l'étage glottique, probablement aussi sous-glottique, importante sténose du larynx avec quasi-disparition de sa lumière, adénopathies cervicales dans pratiquement toutes les aires ganglionnaires et conglomérat d'adénopathies nécrotiques infiltrant la glande sous-mandibulaire et probablement la parotide à droite, le cartilage thyroïdien à droite, l'os hyoïde et la thyroïde à droite. Lamination de la veine jugulaire interne et de l'artère carotide commune droite, deux lésions cérébrales compatibles avec des métastases, masse lobaire supérieure gauche infiltrant le médiastin antérieur faisant protrusion de la branche souche gauche, nombreuses métastases infra- et supra-centimétriques des deux poumons • Ultrason cervical du 19.11.2018 : adénopathies cervicales des deux côtés • IRM du crâne du 20.11.2018 : deux lésions métastatiques cérébrales • Biopsie au Tru-Cut pour précision histologique de la masse latéro-cervicale droite le 21.11.2018 • pathologie : carcinome épidermoïde peu différencié en partie de type basaloïde à haute fraction de prolifération • proposition oncologique actuelle : début d'une première ligne palliative par Carboplatine et Taxol en association avec du Pembrolizumab (cancer pulmonaire) Suivi oncologique : Dr. X 1 CE le 06.02.2019 1 CE le 07.02.2019 1 CE le 08.12.2019 Aranesp dès le 08.12.2019 1 CE le 07.02.2019 1 CE le 09.02.2019 Aranesp dès le 08.12.2019 Sang occulte dans les selles 15.02.2019 : 1er positif, 2e négatif, 3e en cours 1 CE le 22.11.2018 B12 et folates dans la norme le 23.11.2018 Ferritine augmentée à 437 ug/l le 23.11.2018 OGD le 30.11.2018 : ulcère parapylorique Forest III, H. Pylori négatif Avis gastro-entérologique le 30.11.2018 : faible risque de saignement, poursuivre 40 mg/j IPP pour 6 semaines, pas d'indication à compléter par une colonoscopie. Contrôle à prévoir par endoscopie dans 6-10 semaines (01.02.2018) OGD le 01.02.2019 : ulcère gastrique Forrest III. Poursuivre les IPP 2 x 40 mg. Répéter la gastroscopie avec une écho-endoscopie afin de mieux caractériser l'ulcère. Biopsie gastrique le 01.02.2019 : Matériel très peu cellulaire incluant quelques cellules malphigiennes couvertes de bactéries (ulcère gastrique). Absence de matériel pour Le 22.03.2019 pour endoscopie et sonographie (patient à jeûn) 1 CE le 25.02.2019 Suivi biologique le 26.02.2019 puis en oncologie 1 critères de Centor. Traitement : selon diagnostic principal. 1) Cyphoplastie L2 par système SpineJack 5.0 et cimentage par Cohésion 3,6 cc 2) Traitement conservateur 3) Traitement conservateur 1. Décompression canalaire médiane L2-L3 et L3-L4, spinectomie de L3, mise en place de 4 vis Spineart 6/50 au niveau L2 et L3. (OP le 04.02.2019) 2. TLIF L2-L3 avec mise en place de cage Juliet 12 mm préremplie avec os autologue (OP le 04.02.2019) 3. TLIF L3-L4 avec cage Juliet de 10 mm préremplie avec os autologue ; connexion des vis L2-L3, L4-L5 avec tige de 100 mm ddc et Cross-Linking Matrix au niveau L3-L4 (OP le 04.02.2019) 1. Discectomie C5-C6 par abord antérieur G et mise en place d'une cage MT ortho 7x16x18 2. Discectomie C6-C7 par abord antérieur G et mise en place d'une cage MT ortho 7x16x18 3. Stabilisation antérieure C5-C7 par plaque Tryptik C-Plate fixée par 6 vis (OP le 08.02.2019) 1 épisode de bronchite asthmatiforme l'hiver 2016 1 épisode de pyélonéphrite à E. coli 1 flacon d'albumine 20 g aux urgences. 1 frère jumeau. Pas d'antécédents chirurgicaux. 1 g de Mg en i.v. sur 1 h aux urgences 500 ml de remplissage Avis cardiologique : dans le contexte chute d'hémoglobine, tachycardie expliquée par anémie, pas de ttt bêtabloquant indiqué (pourrait masquer choc si saignement), indication anticoagulation si pas d'extériorisation). 1 grosse diurèse lors de la consultation. Pose de VVP. Bolus de NaCl 0.9% 20 ml/kg. Boit 160 ml de Normolytoral puis récidive d'1 vomissement de diarrhées motivant une dose d'Ondansetron 0.2 mg/kg. Reçoit une 2ème perfusion de NaCl 0.9% 20 ml/kg et boit 160 ml de sirop. 1 diarrhée de petite quantité très malodorante par la suite. Meilleur état général, larmes présentes, diurèse en ordre. Au vu de la persistance des symptômes mais de l'absence de signes de déshydratation après les 2 bolus, proposition de garder la VVP et faire un contrôle clinique et gazométrique dans 24 h. Reconsulte avant si péjoration entre deux. 1 grosse miction à l'ultrason et boit 150 ml de son biberon. Après discussion avec Dr. X, en raison de la disparition de la fièvre chez un enfant présentant une bonne compliance à l'antibiothérapie per os, et de l'absence d'abcès périnéal, retour à domicile avec poursuite d'antibiothérapie per os aux mêmes dosages et contrôle dans 24 h aux urgences. Reconsulte avant si péjoration clinique, anurie de >10 h, réapparition de fièvre ou augmentation de la taille de la lésion. 1 hospitalisation au RFSM de Marsens pour dépression il y a 20 ans. 1. Intolérance aux protéines de lait de vache non-IgE médiée, Pregomin Pepti depuis le 18.08.2017 2. Reflux gastro-œsophagien sur probable hernie hiatale par glissement sous traitement par Motilium 3. Dermatite atopique sous traitement local Vaseline, Amukina Med, Protopic 0,1 %, Belmandol pour le bain 4. Souffle cardiaque 3/6 maximal au foyer pulmonaire sur sténose pulmonaire périphérique suivi par Dr. X 5. Hernie ombilicale réductible 1. Intolérance aux protéines de lait de vache non-IgE médiée, Pregomin Pepti depuis le 18.08.2017 2. Reflux gastro-œsophagien sur probable hernie hiatale par glissement sous traitement par Motilium 3. Dermatite atopique sous traitement local Vaseline, Amukina Med, Protopic 0,1 %, Belmandol pour le bain 4. Souffle cardiaque 3/6 maximal au foyer pulmonaire sur sténose pulmonaire périphérique suivi par Dr. X 5. Hernie ombilicale réductible 1 L NaCl/24h 1. Le patient est attendu le mercredi 13.02.2019 pour une épreuve d'effort et pour un RDV avec la cardio-psychologue 2. Mr. Y sera convoqué ultérieurement pour la suite de la réhabilitation en ambulatoire. 3. Contrôle cardiologique à un mois post-coronarographie chez le Dr. X avec notamment contrôle échocardiographique. Les contrôles ultérieurs seront modulés selon ses observations et recommandations. 4. Encourager la poursuite d'une activité physique régulière comme par exemple 30-60 minutes de marche, associée au maintien du régime hypocalorique entrepris. 5. Encourager la poursuite du sevrage tabagique. 6. Prévoir contrôle de bilan lipidique dans un délai de 2-3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8 mmol/l. 1) Nouveau-né à terme à 38 SG né à Fribourg par césarienne sur CTG restreint. Adaptation difficile avec APGAR de 3/7/9, nécessitant une ventilation par CPAP à 5 minutes avec transfert au CHUV - PN 3450 g, TN 50 cm, PC 35 cm Connu pour un syndrome de Wieacker-Wolf, suite à mutation du gène ZC4H2 avec syndrome polymalformatif (arthrogrypose, fente palatine, pied bot en varus ddc, hernies inguinales bilatérales, luxation congénitale des hanches, dilatation pyélo-calicielle D) 2) Hospitalisation en néonatologie au CHUV (3 mois) - Hypoglycémie néonatale à 1 heure de vie et le 30.05.2016 sans orientation diagnostique. - Difficulté alimentaire dans le contexte d'une fente palatine : perfusion pendant les 5 jours de vie, puis SNG avec relais per os à 22 jours de vie. Mise en place d'une plaque palatine sur trouble respiratoire. Neurologique: hypertonie et dystonie. IRM cérébro-spinale le 05.08.2016: Pas de diastématomyélie ni moelle basse fixée (moelle basse implantée en L2 L3 le 12.05.2016). EMG: anomalies motrices compatibles avec une atteinte myopathique. • début d'un traitement de rivotril le 26.08.2016. • ostéo-articulaire: attelle MID, puis plâtre (26/05/16 au 09/09/16) puis attelle cruropédieuse nocturne; MIG attelle • Génital: le 17.06.2016: Cure d'hernie inguinale gauche avec orchidopexie gauche. le 29.07.2016: cure d'hernie inguinale droite. • pas d'anomalie cardiaque, ni vertébrale ou osseuse (radiographie de total body) Neurologique: crise convulsive à répétition: • 1e crise convulsive généralisée (tonique) avec spasme dystonique et activité électrique anormale • augmentation rivotril. (Hospitalisation du 09.12.2016-15.12.2016 au CHUV) • 2e crise convulsive le 02.02.2017 lors de l'hospitalisation à HFR pour bronchite spastique: type focal et généralisation secondaire (45-60 min). Début valproate de Na le 03.02. Transfert au CHUV le 09.02. Pour désaturation et spasmes laryngés post-critique, de résolution spontanée sans traitement. Passage du valproate au keppra. • Etat de mal épileptique inaugural nécessitant une hospitalisation à HFR du 28.02. au 19.04.2017: Hypoglycémie d'origine indéterminée (min 0.6 mmol/l), douleurs/inconforts multifactoriels, gastrite sur stress le 13.03.2017. • Crise convulsive le 13.11.2017: nécessitant 2 doses de Stesolid et Phenhydan. Respiratoire: bronchite spastique à répétition: • hospitalisation à HFR du 01.01.-09.02.2017 pour insuffisance respiratoire secondaire à bronchite spastique à RSV • Broncho-aspiration sous régurgitation des liquides gastriques avec du sang digéré (150 ml) dans la nuit du 13 au 14/07/2017, et du 05.11 au 07.11.2017 sur possible gastrite versus ulcère de paroi post PEG. • 1 épisode en septembre 2018 • hospitalisation à HFR du 13.10 - 30.10.2018 pour insuffisance respiratoire secondaire à bronchite spastique due à broncho-aspiration probable • 5 hospitalisations entre novembre et décembre 2018 • 1 hospitalisation en janvier 2019 Digestif: • Hospitalisation du 02.06. - 12.07.2017 à HFR: décision de chirurgie (Ténotomie, paracentèse, PEG, vésicule plastie), transfusion (déglobulisation post-opératoire, probable ulcère avec réintroduction du Nexium) • Hospitalisation pour suspicion de gastro-entérite 28.07-01.08.2017 dans l'HFR Fribourg • Hospitalisation dès le 23.11 au 29.11.2017: Status post hémorragie digestive haute (3ème épisode) • Episodes d'hémorragie digestive haute le 27.10 durant son hospitalisation depuis le 13.10 pour une bronchite obstructive. • Gastroscopie sous anesthésie générale le 01.11.2018 au CHUV mettant en évidence une oesophagite type 4 sévère et une gastrite, sans saignement actif ni varice ni lésion duodénale. • Hospitalisation du 19 au 23.01 pour hémorragie digestive haute Infectieux: • Pyélonéphrite à E. Coli et E. faecalis (1er épisode) le 10.03.2017 • 1 push d'Isoket et Adalat retard 20mg aux urgences Surveillance clinique • 1. Réduction fermée et immobilisation par une botte plâtre fendue le 05.02.2019. • 2. Réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole externe de la cheville D par plaque tierce tube LCP 3.5, 5 trous. (OP le 08.02.2019) • 1) Réduction ouverte, OS par plaque Aptus 2.0 métacarpe I D (OP le 11.02.2019) • 2) Traitement conservateur avec plâtre AB • 3) Surveillance neurologique • 1 série d'aérosols de Ventolin 0,5 ml x 3 aux 20 min • Betnesol 0,25 mg/kg x 1 • Atrovent 2 ml x 2 • Consignes de surveillance à domicile • 1 série du Ventolin en aérosol • Betnesol 5 cp x 1 • Consignes de surveillance • Signes de gravité expliqués • 1 série du Ventolin 6 pushs x 3 aux 20 minutes • Betnesol 0,25 mg/kg x 1 • 1) Status post OS fracture calcanéum type Sanders III à G le 13.07.2016 avec fixation par système F3 par une plaque 3 trous, une plaque 6 trous et une plaque en Y, traumatisme le 06.07.2016 Status post OS fracture calcanéum type Sanders III à D le 15.07.2016 avec OS par 3 plaques F3 en mini-invasif, 1 plaque en L et 2 plaques droites, connectées en triangle, traumatisme le 06.07.2016 • 2) Orteils II à V en griffe avec syndactylie du 5ème orteil sous le 4ème, pied D • 1, 2 semaines 1er cycle de chimiothérapie par R-CHOP du 5 au 11.02.2019 Allopurinol dès le 24.01.2019 Hémocultures 2 paires: 24.01.2019 négatives à 5 jours Hémocultures 2 paires: 28.01.2019 négatives à 5 jours Gazométrie 24.01.2019 ECG 24.01.2019 Rx thorax 24.01.2019 CT thoracique injecté 24.01.2019 CT crâne et vaisseaux précérébraux le 28.01.2019 IRM vaisseaux précérébraux le 28.01.2019 Excision d'adénopathie inguinale D le 28.01.2019 PET CT le 29.01.2019 ETT le 24.01.2019 ETT le 31.01.2019 Ponction lombaire diagnostique le 30.01.2019 PBM 30.01.2019: Dr. X Ponction lombaire le 30.01.2019 Ponction biopsie de la moelle le 30.01.2019 Pose de PAC le 07.02.2019 RX thorax post pose de PAC Dépistage Hépatite B 24.01.2019: négatif Dépistage Hépatite C 24.01.2019: négatif Dépistage HIV 24.01.2019: négatif CMV 24.01.2019: négatif EBV 24.01.2019: IgG positif RAD le 09.02.2019 Prochain cycle de chimiothérapie le 25.02.2019 en ambulatoire à Riaz, PET-CT après 3 cycles, puis 6 autres cycles prévus ATT • Ultibro arrêté? • Infos importantes pour synthèse? • Suivi cardiaque? 1er enfant. Naissance post terme par provocation et forceps, bonne adaptation néonatale. Grossesse sans particularité. 1er épisode de luxation rotulienne à droite. 1ère gazométrie: pH 7.43. Sodium 129 mmol/l. Bicarbonates 20 mmol/l. 2ème gazométrie: pH 7.41. Sodium 131 mmol/l. Bicarbonates 19 mmol/l. 1ère luxation épaule G, non dominante, le 03.01.2019 avec une lésion de Bankart. 1t 0-15 épisodes d'urticaire d'origine indéterminée dans le passé. 10 UI Insuline avec 1000 ml hydratation + 20 mmol K à la Permanence Consilium diabétologique (Dr. X) Lantus 12 UI Metformine 500 mg 3x/jour Diamicron 60 mg 1x/j Schéma correctif RDV infirmière diabétologie (Meyriez) le 14.02.2019 à 11h RDV ophtalmologie (Dr. X) le 18.02.2019 à 9h30 Organisation nouveau médecin traitant centre médical Courgevaux le 20.02.2019 à 14h 100'000 U le 22.01.2019 et le 06.02.2019 À répéter encore 2x à deux semaines d'intervalle. 11.01.2019: panendoscopie, biopsies, saignement post-panendoscopie avec biopsies dans un contexte d'anticoagulation suprathérapeutique. 11.02.2019: révision du cavum avec section d'un reste adénoïdien, amygdalotomie bilatérale, nettoyage des conduits auditifs externes et ablation d'un drain transtympanique bilatéral avec persistance de la perforation à droite et paracentèse à gauche 11.02.2019: Clock Test 3/6 sans anomalie de la vision constructive 11.12.2017: accouchement par voie basse sur FIV. Otite moyenne droite le 24.02.2019. 11.12.2018: FA asymptomatique normocarde inaugurale: • score de CHAD-VASC: 4 • anticoagulation par Eliquis dès le 14.12.2018 1/2 Freka 12.17: Gingivo-stomatite herpétique 13.10.2011: Ostéomyélite aiguë hématogène tibia proximal droit 14.10.2011: Révision ouverte tibia postéro-médial proximal D avec biopsie périostée et rinçage. 1500 ml NaCl 0.9% /24h suivre l'évolution de la créat 15.02.2019: polypectomie, infundibulectomie, méatotomie moyenne, ethmoïdectomie antérieure et postérieure, frontoméaticotomie et sphénoïdotomie bilatérale, exérèse d'un papillome malpighien vélaire gauche. 16.01.2019, Dr. X: mise à plat du phlegmon de la gaine des fléchisseurs de D3 de la main gauche, lavage, prélèvements bactériologiques. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1.65, 120 kg BMI 44 Groupe sanguin: O rhésus positifLaboratoire du 12.12.2019: Hb 142 g/l, leuco 7.1 g/l Plaq 210 mg/l Crase en ordre, CRP, Na+, K+, urée, créat CEA : 2.4 ng/ml, CA - 125: 14 U/ml Sérologie HB HC HIV Syphilis PAP 08.02.2017: Absence de cellules suspectes Pipelle de Cornier : Endomètre sans atypie, quelques cellules malpighiennes aux noyaux discrètement irréguliers. Absence de celles malignes. IRM pelvis le 05.11.2018: Mise en évidence d'une masse intra-murale bien délimitée avec extension sous-muqueuse dans la partie crâniale, située dans la partie antérieure du corps de l'utérus, et mesurant 121 x 81 x 114 mm. Elle provoque un effet de masse sur le reste de l'utérus avec lamination de celui-ci et descente du col de l'utérus. Pas d'adénopathie rétropéritonéale ou le long des chaînes iliaques mise en évidence. Présence d'une lésion intra-murale de la partie postérieure du corps de l'utérus mesurant 12 x 10 x 10 mm Les annexes se présentent normalement. Présence de quelques kystes de Naboth au niveau du col de l'utérus. Le vagin est sans particularité. Le rectum et les structures digestives visibles se présentent normalement. La vessie ne présente pas d'épaississement pariétal ni de masse endoluminale. Conclusion : Myome utérin intramural dégénératif, situé dans la partie antérieure du corps de l'utérus et provoquant un effet de masse sur le reste de l'utérus et le col. Un sarcome est peu probable, mais ne peut être exclu avec certitude. Mammographie le 17/12/2018 2 petites masses millimétriques dans le cadran supéro-externe du sein gauche classé Bi-RADS III sans biopsie 18.01.2019 : laryngectomie + évidement cervical bilatéral (thyroïde laissée en place) + pose de Provox taille 8mm avec Xtra-flange Pathologie : Carcinome adénoïde kystique du larynx de diamètre maximal 2cm avec : • infiltration sous-muqueuse laryngée, de la musculature striée et du tissu adipeux entre le larynx et l'œsophage, de la sous-muqueuse œsophagienne • infiltration proche du tissu osseux et cartilagineux • infiltration du tissu musculaire strié rétrocricoïdien (extralaryngé -> T4) • infiltration périneurale étendue • pas d'invasion du cricoïde, de l'os hyoïde, de l'épiglotte • pas de morphologie haut grade (pattern cribiforme et cylindromateux) ni dédifférenciation • distance minimale dorso-latéro-caudale à 0.12cm Histiocytose sinusale ganglionnaire jusqu'à modérée des niveaux Ia, IIa, IIb, III, IV, V à gauche et Ia, IIa, IIb, III, IV à droite. 18.02 au 20.02 hospitalisation pour Insuffisance respiratoire sur broncho-pneumonie virale non compliquée, oxygénodépendante, 18.02.2019 CT cérébral natif et injecté : hématome sous-galéal pariétal droit. Absence de saignement intracrânien. Pas de fracture. 19.02: US abdominal: Persistance d'une splénomégalie à 75 mm, inchangée. Dilatation pyélo-calicielle droite sans dilatation urétérale (DD : maladie de la jonction ? Reflux ?) à suivre. Le reste de l'examen est dans les limites de la norme. Bilan sanguin: en annexe 19.02.2019 : paracentèse et pose d'un drain type Tübingen à droite 19.02.2019, Dr. X, Dr. Y : open reduction and osteosynthesis. Implanted equipment : bone plate Philos 3 holes, two bone plates Aptus Hand 1.5 et 2.0. 19.02.2019: Révision de stapédectomie droite avec tympanotomie + mise en place d'un Piston K 0.4x4.25 mm en titane 1949 : cure d'hernie inguinale bilatérale avec récidive opérée en 1962 1959 : amygdalectomie 1967 : appendicectomie 1972 : fausse-couche tardive avec curetage 1973 : accouchement par voie basse à terme dépassé d'un garçon 1975 : accouchement par voie basse à terme d'un garçon 1977 : césarienne à terme d'une fille suivie d'une première thrombose veineuse profonde et d'une embolie pulmonaire 1980 : hystérectomie totale par Pfannenstiel et colporraphie postérieure avec thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire au 10ème jour 2002 : cure d'hémorroïdes 2002 : cure de varices et crossectomie suivies d'une opération de Cochet bilatérale 2004 : révision arthroscopique de l'épaule gauche 2004 : résection d'un anévrisme et vénorraphie poplitée gauche avec thrombose veineuse profonde 2008 : crossectomie et stripping de la grande saphène gauche 2010 : arthroscopie et excision partielle du ménisque médial du genou droit 2012 : arthroscopie du genou droit avec ablation d'une souris et résection partielle du ménisque interne du genou droit 2012 : cure de prolapsus vaginal par laparoscopie avec cure de cystocèle par pose de filet antérieur et de rectocèle par fixation selon Richter Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine mixte le 03.12.2018 : • Pré-rénale sur bas débit rénal • Post-rénale sur effet de masse par compression de l'hématome et tubulopathie au produit de contraste Pyélonéphrite gauche avec dilatation pyélocalicielle gauche le 16.12.2018 : • Pose de sondes doubles J à gauche et à droite Mal perforant chronique plantaire de la pulpe du 3ème orteil pied gauche : • Biopsies proximales positives pour un Staphylococcus aureus • Amputation de la 3ème phalange du 3ème orteil du pied gauche le 27.11.2018 Anémie macrocytaire normochrome dans le contexte d'hématome du petit bassin sur saignement actif de l'artère épigastrique inférieure gauche le 01.12.2018 Infection urinaire basse le 04.01.2019 : • Probablement sur port prolongé de sonde vésicale Iléus paralytique sur opiacés et hématome intra-abdominal du 05.12.2018 au 14.12.2018 : • Récidive d'iléus paralytique le 19.12.2018 dans un contexte infectieux Pneumonie sur broncho-aspiration le 19.12.2018 : • Broncho-aspiration lors d'anesthésie générale du 19.12.2018 Embolie pulmonaire segmentaire postéro-basale droite le 18.12.2018 Insuffisance respiratoire hypoxémique sur atélectasie bibasale et surcharge hydrique 1995 : commotion cérébrale. 2007 : fracture du nez. 2003 : amygdales. 1999 : AVB spontané sous PDA à T+7 après provocation, 3750 g 2005 : AVB spontané sous PDA à T, 3550 g 2011 : AVB spontané sous anesthésie péridurale à 38 1/7 • Diabète gestationnel insulino-traité, le 19.09.2011 2 accouchements par voie basse 2 aérosols Atrovent-Ventolin, solumedrol 125 mg iv. Laboratoire. Gazométrie. Radiographie du thorax. Retour à domicile avec Ventolin 2 push jusqu'à 6x/jour. 2 agrafes ablation des agrafes chez le pédiatre dans 7 jours dispense de sport 1 semaine 2 Ampoules de G40 aux urgences G5 500 ml sur 6 heures aux urgences Contrôle de la glycémie aux 30 minutes 2 ampoules de 4g de glucose Alimentation po 2 bronchiolites traitées avec Betnesol, née à 38 SA par voie basse, poids à la naissance 3200 g 2 CE le 08.02.2019 2 critères Anthonisen (dyspnée en aggravation, changement d'aspect des expectorations). Laboratoire : cf annexes. Hémocultures. Antigènes urinaires. RX de thorax : cf ci-dessous. Aérosols de Ventolin/Atrovent/Pulmicort. Paracétamol 1g IV et Novalgin 1G IV. 2 culots érythrocytaires. 2 dermabrasions de 1 cm de longueur au niveau des os propres du nez. 2 dermabrasions longitudinales d'environ 1 cm au niveau du menton. 2 échecs de sevrage de la SV Prévoir un nouvel essai dès l'amélioration de la mobilité 2 épisodes de bronchite spastique Virose respiratoire à répétition 2 épisodes de pancréatites en février 2015, étiologie non connue. Gastrite inflammatoire : • dans le contexte consommation d'alcool en quantité importante le week-end • tabagisme actif. Otite externe gauche le 07.10.2015. 2 épisodes de PC sans TC dans le contexte de Syndrome grippal le 16.02.2019 DD Grippe à Influenza 2 OMA 2 paires d'hémoculture le 25.02.2019 en attente Uriculture le 25.02.2019 : en attente Labo du 25.02.2019 : CRP stable à 30, sans leucocytose Labo du 26.02.2019 : CRP 67, leucocytose à 15 G/L Radiographie thorax 26.02.2019: Surélévation de la coupole diaphragmatique droite. Épanchements pleuraux des deux côtés de petite quantité. Présence d'une opacité de 3 cm basale droite, non caractérisable (dd : foyer ? masse ? intra-abdominal ?). Épaississements péri-bronchiques péri-hilaires. Status post cyphoplastie d'un corps vertébral lombaire. US abdominal le 26.02.2019: Ascite modérée dans les quatre quadrants abdominaux, prédominant en péri-hépatique. Foie dysmorphique, d'allure cirrhotique, sans lésion suspecte mise en évidence. L'examen peut faire l'objet d'un complément par une imagerie en coupes injectée, pour meilleure analyse hépatique. • 2 paires d'hémocultures périphériques le 11.02.2019 : 4/4 négatives à 5 jours Pour la dialyse : attitude en cas de récidive d'état fébrile => 2 paires d'hémocultures sur le cathéter de dialyse • 2 paires d'hémocultures. Surveillance clinique. • 2 paires hémocultures le 16.02.2019: 2/4 positif pour staphylocoque aureus MSSA sensible à la flucloxacilline 1 paire hémoculture le 18.02.2019: suit 1 paire hémoculture le 19.02.2019: suit Consilium angiologique Consilium infectiologique Echographie cardiaque transoesophagienne le 20.02.2019 : absence d'endocardite Flucloxacilline - Floxapen 2g 6x/j IV du 18.02.2019 au 22.02.2019 Daptomycine - Cubicin 500 mg 1x/j IV du 22.02.2019 au 4.03.2019 • 2 plaies de 0.5 et 0.2 cm du cuir chevelu fronto-pariétales droites dans le contexte d'une chute mécanique le 04.02.2019. • 2 plaies punctiformes au niveau de la 3ème phalange du majeur droit sur morsure de chat le 23.02.2019 avec lésions de griffure de chat sur l'index et le majeur. • 2 plaies superficielles du membre supérieur droit sur traumatisme le 15.02.2019 avec : • suspicion d'hématome • 2 pneumonies. Crampes épigastriques. Méningite. Gastro-entérite à Campylobacter. Status post amygdalectomie. • 2 tentatives de réduction fermée cheville G aux urgences le 08.02.2019 Réduction fermée, mise en place d'un fixateur externe cheville G (OP le 09.02.2019) Ablation fixateur externe, réduction ouverte, OS par plaque 1/3 tube 3,5 10 trous + 1 vis de compression, fixation de la syndesmose par 1 vis corticale 3,5 mm cheville G (OP le 13.02.2019) • 2 tentatives de réduction (par pronation forcée et par supination-flexion du coude) avec persistance de la diminution de mobilisation Antalgie RAD et si le 04.02 pas d'amélioration, reconsulte • 2 TURP en 2015 Cholecystectomie pour lithiase biliaire en 2007 Appendicectomie en 1984 Ablation kyste dermoïde coccygien en 1983 • 2 vomissements clairs durant la consultation. Reçoit une dose d'Ondansetron. • 2ème agranulocytose fébrile le 24.01.2019 avec : • bactériémie à Enterococcus gallinarum d'origine endovasculaire sur infection de VVC • persistance d'agranulocytose fébrile le 28.01.2019 sur mucite digestive cliniquement documentée • récidive de pic fébrile le 03.02.2019 • 2ème avis Dr. X (merci de convoquer la patiente) Prochain contrôle le 20.08.2019 • 2ème consultation pour douleurs thoraciques sur probable origine musculo-squelettique. • 2ème épisode de luxation de la rotule D le 06.02.2019. • 2ème épisode de luxation de la rotule droite. • 2ème épisode de luxation de la rotule du genou gauche le 20.11.2017. 1er épisode le 10.04.2017. • 2ème frottis ESBL • 2ème luxation de l'épaule droite le 24.01.2019 Status post-luxation de l'épaule droite en janvier 2018 • 2ème opération le 20.02.2019. • 2ème orteil en griffe, à D. • 2ème orteil en griffe pied G. • 2ème orteil en marteau du pied G. Névrome de Morton au niveau intermétatarsien 2-3 du pied G. • 2ème orteil pied D en griffe. Status post AMO fixateur externe Stryker 2.0 mm de la MTP I de l'hallux droit. Prise de greffe au niveau de la crête iliaque à droite. Débridement de la MTP I, prise de biopsie, arthrodèse de la MTP I par plaque Pedus 2,7 mm avec interposition d'une greffe de la crête iliaque à l'hallux droit le 26.06.2018 pour un status post ostéo-arthrite septique prothétique métatarso-phalangienne I du pied droit à staph. dorés suite à l'implantation d'une prothèse de surfaçage le 20.02.2018 par le Dr. X à la Clinique Générale. • 2x AVB 1977 et 1982 Maladie de Paget du sein droit avec microcalcifications. • Pamectomie droite et ganglion sentinelle le 26.09.2018, sous anesthésie générale • Lymphographie: ganglion sentinelle du 25.09.2018 • pose de 2 redons • 2x Sturze auf dem linken Ellbogen • 20 UI Syntocinon Cyklokapron 2g iv Nalador iv • 20 unités de Syntocinon/6h • 2001 : Déchirure ligaments genou gauche 2009 : Opération du 3ème orteil en marteau sous anesthésie locale • 20.02.2019 : glossectomie partielle droite associée à un évidement ganglionnaire à droite + pose d'une sonde nasogastrique. • 2007 Conisation • 2009 : opération de scoliose aux HUG. 2006 : opération de hernie inguinale. 2005 : opération de malléole interne droite (ostéosynthèse avec plaque et vis). Lombalgies droites aiguës non déficitaires le 24.10.2016. Bouchon de cérumen dans les deux oreilles le 31.05.2017. Thrombose veineuse profonde du mollet gauche le 02.08.2017. • DD : contusion musculaire. • Laboratoire : CRP <5 D-dimères 2190. • Consultation en angiologie le 03.08.2017. Douleur thoracique probablement pariéto-musculaire le 11.04.2018. • Geneva score: risque intermédiaire Bilan sanguin. ECG. Radiographie du thorax. CT-Thoracique: pas d'embolie pulmonaire, nodule 6mm en apex LSD. • 2011 Accouchement par voie basse spontané à 39 semaines d'aménorrhée 2010 Curetage pour missed absorption à 12 5/7 semaines d'aménorrhée arrêtée à 8 semaines d'aménorrhée 2014 Fausse couche avec curetage à 6 semaines d'aménorrhée 1998 Appendicectomie • 2011: accouchement spontané rapide par voie basse à 39 4/7SA chez Mme. Y de 21 ans. 2009: AVB d'une fille de 3030 g à 38 4/7SA (provocation pour DGID). • 2011: Hystéroscopie avec résection d'un polype • 2012 : Césarienne pour décollement placentaire sur pré-éclampsie 2006 : Accouchement par voie basse • 2013: status-post pneumothorax à gauche • 2015 S/p Accouchement par voie basse à 28 semaines d'aménorrhée d'un mort-né après déclenchement pour pré-éclampsie sévère associé à un RCIU sévère • 2016 : Gonarthrose tricompartimentale prédominante en interne et fémoro-patellaire. • 2017 thrombose de la veine jugulaire droite sous pilule, Clexane 40 le soir, à continuer 6 semaines au PP (CHUV: Bilan de thrombophilie négatif). Furoncle avec infection de la peau au niveau arcade sourcilière droite et paupière le 17.07.2016. 1984 appendicectomie. 1996 ablation d'une excroissance orteil pied droit sous rachis-anesthésie. Fausse couche 2012 + curetage à Riaz. 2013 : s/p Accouchement par voie basse, spontané à 38 6/7 sous péridurale, déchirure I, délivrance complète garçon de 3030 g. 2015 : s/p accouchement par voie basse spontané à 40 1/7 sous péridurale, déchirure I, délivrance complète, garçon de 4090 g. Accouchement par voie basse, après provocation par Propess pour RCIU (P3), chez Mme. Y de 36 ans, 4 gestes devenue 3 pares à 37 6/7 semaines d'aménorrhée, le 10.05.2018. • 21.12.2018 : Épanchements pleuraux bilatéraux en péjoration • DD : dans un contexte de polysérosite, décompensation cardiaque (NT-proBNP 1337 le 21.12.2018) • avec atélectasies passives associées, prédominant à droite • 22.02.2019, 13h15 • 2,5 mg Morphine s.c 7,5 mg Morphine i.v 2x5 mg Domicum intra-nasal Transfert aux urgences pour suite de prise en charge avec éventuel re-transfert à la Villa Saint • 250 ml NaCl 0.9% et Primperan 10 mg i.v à la permanence. Dafalgan, Bexin 1-2 mesures/J, Motilium 10 mg 3x/J, Pantozol 20 mg 1x/J, Fluimucil 600 mg 1x/J. Un contrôle chez le médecin traitant/urgence, si les symptômes persistent.25.01.2019, Dr. X, Dr. X : réduction fermée et ostéosynthèse par clou Gamma. 25.02 : ECG : rythme sinusal régulier à environ 80 /min, axe 60°, pas de microvoltage, PR 120-200 msec, QRS fins, bonne progression de l'onde R, ST isoélectrique, T inversé en V1, QTc 377msec (selon Bazett), 357msec (selon Fridericia). 25.09.2012 appendicectomie par laparoscopie (Dr. X) avec tumeur neuro-endocrine. • DAP : Tumeur neuro-endocrine (0,9 cm de grand axe) de l'appendice vermiforme, G1 selon la classification de l'OMS, avec infiltration de la muqueuse et de la sous-muqueuse. • Appendicite aiguë ulcéro-phlegmoneuse sévère avec perforation et importante péri-appendicite abcédante et fibrino-purulente. • Douleurs abdominales en fosse iliaque droite avec suspicion d'un épanchement tumoral (récidive de la tumeur neuro-endocrine). • Syndrome grippal le 05.01.2018. • Infection urinaire basse le 05.01.2018. • Hémorragie vaginale chez femme enceinte de 12 semaines. 27.02.2019 : Tumorboard et ablation des fils. 27.02.2019 chez le Dr. X. 27.2.2019 : Examen clinique. Renforcement du pansement. Contrôle à J6 le 4.3.2019 en filière 34 à 8h30. 28.01.2019, Dr. X, Dr. X : arthroscopie de l'épaule droite, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, réinsertion du tendon du sus-épineux. 28.01.2019, Dr. X, Dr. X : arthroscopie diagnostique, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, réinsertion sus-épineux et sous-épineux en deux rangées, section AC, épaule gauche. 28.01.2019 (Meyriez) US : lésion kystique irrégulière compatible avec une lésion tumorale. Biopsie à faire. CT : prise de contraste du nodule, irrégularité. Biopsie : pathologie évoquant en premier lieu un carcinome papillaire du sein gauche. Annonce des résultats pathologies Dr. X le 12.02.2019. Suite de prise en charge et Tumorboard en accord avec le Dr. X. 3 aérosols Adrénaline. Betnesol 0.25 mg/kg/dose. 3 AVB. CCK. Kyste de l'ovaire. Stérilisation tubaire. Amygdalectomie. 3 CE. Hb post 3 CE 97. Nous laissons le soin au médecin traitant de rediscuter un nouveau bilan gastro/colonoscopie +/- bilan hématologique (frottis de moelle). 3 cpr de KCl aux urgences. Contrôle chez le médecin traitant. 3 infiltrations facettaires L4-L5 sous CT par CURAVISC (CIMF). Prochain contrôle 3 semaines après la dernière infiltration. 3 luxations antéro-inférieures de l'épaule gauche. 3 OP de l'épaule G, 1 OP du genou D. 3 plaies rectilignes de 7 cm sur la face dorsale de l'avant-bras gauche à mi-hauteur. 3 points de suture avec prolène 5. 3 points de suture avec 4.0 prolène. Antalgie au besoin. Ablation des fils dans 7 jours. 3e épisode de convulsion fébrile simple. 3ème doigt à ressaut main G. Status post ostéosynthèse d'une fracture intra-articulaire du radius distal G par plaque palmaire Aptus radius 2.5 le 02.10.2018 sur une fracture intra-articulaire du radius distal G et arrachement du processus styloïde ulnaire à G le 30.09.2018, main dominante. 3ème dose de Ceftriaxone 50 mg/kg ce jour avec relais per os par Co-Amoxicilline 50 mg/kg/jour pour 10 jours au total. Ablation VVP. FSC, CRP. Avis infectio (Dr. X). Avis ORL. Contrôle chez pédiatre en fin de traitement. Adresser en ORL si non guérison ou récidive. Consultation infectio le 14.03. 3G3P par césarienne. Idées suicidaires sur alcoolisation aiguë le 07.02.2018 avec hospitalisation à Marsens. Décompensation psychotique avec un trouble de comportements et un discours dispersé le 31.12.18 : • DD sur trouble schizo-affectif sous-jacent. • DD sur virement maniaque dans un contexte de double traitement antidépresseur. • anosognosie totale. Examen clinique dans la norme. Bilan biologique dans la norme. Avis du psychiatre de garde (Dr. X) : hospitalisation au CSH Marsens en mode PAFA au vu d'une mise en danger d'elle-même par négligence. 3x6 push de ventolin. Betnesol 0.25 mg/kg. 3.3 puis 3.8 au contrôle. 4 ampoules de G 40%. Perfusion de G 5%. 4 ampoules de G4. Collation. Au contrôle glycémie à 7 mmol/l. 4 épisodes d'encéphalopathie d'origine toxico-métabolique sur troubles électrolytiques, hépatique sur cirrhose CHILD B, et possible composante médicamenteuse (prégabaline, MST et Circadin), sous forme de myoclonies régressives. • en novembre 2017, janvier et mars 2018 et août 2018. Abcès O1 pied droit médial le 19.02.2017 post cure d'ongle incarné O1 droit médial et latéral le 18.11.2016. • Exploration, débridement, rinçage (OP le 24.02.2017, Dr. X). Méléna le 08.06.2015 dans un contexte d'anticoagulation par Xarelto avec : • Oesogastroduodénoscopie et colonoscopie sans particularité excepté une diverticulose colique. Hypomagnésémie et hypocalcémie le 10.03.2015 : • Sur dénutrition dans le contexte de consommation chronique d'alcool. Fractures des 2ème et 3ème côtes gauches en 2012. Décompensation cardiaque à prédominance droite, 03.11.2017. Myoclonies diffuses d'origine indéterminée le 12.11.2017. Hernie ombilicale symptomatique, facilement réductible (collet 25 mm, sac herniaire 6 cm). TURP en mars 2009. 4 points de suture avec prolène 5.0. 4 pontages aorto-coronariens le 25.07.2012 (AMIG-IVA, veine sur CD, diagonale, marginale et Cx) pour maladie coronarienne tritronculaire sévère compliqué de : • ischémie préopératoire avec élévation du segment ST en inféro-latéral avec Q dans la région inférieure. • épisodes de FA en juillet 2012, réduit en rythme sinusal. • délirium post-opératoire. • épanchement pleural bilatéral avec drainage gauche. Obstruction de l'uretère distal droit d'origine indéterminée en 2017 : • mise en place d'une sonde double J en décembre 2017 (Dr. X). • cystoscopie et changement de la double J avec un tumor stent le 13.03.2018 (Dr. X). Oedèmes des membres inférieurs d'origine mixte le 29.09.2018 : • insuffisance veineuse chronique. • légère décompensation cardiaque dans le cadre de la FA connue. Diarrhées aiguës avec suspicion colite/proctite radique le 06.11.2018. 4 vomissements en attendant consultation aux urgences motivant une dose d'Ondasetron 2 mg po. A bu 250ml d'eau par la suite sans récidive de vomissement. 4x Temesta en réserve, Pantozol 40 mg 1x/J. 1x 40 mg Pantozol à la permanence (avec bonne évolution), arrête maladie de 02.02.2019. 48h de fébrifuges. Rinçages de nez. Consulte si persistance de la fièvre à 48h ou en cas de péjoration. 494. 5 épisodes de crise d'épilepsie chez un patient connu pour une épilepsie traitée par Keppra le 05.02.2019. 5 points de suture avec prolène 5.0 (plaie arcade sourcillière), 2 points de suture avec prolène 5.0 (supra-ciliaire). Pansement compressif. Ablation des fils à J5. 5 points séparés, Prolene 6-0. Ablation des fils chez le pédiatre dans 5 jours. Consignes de surveillance. 5 mg Épinéphrine iv en ordre unique. Massage cardiaque externe à 12h34. Pouls fémoral palpable à 12h36. 50 ml/kg de Normolytoral sur 4 heures par SNG aux urgences bien supporté sans diarrhée ni vomissement.6x Einzelknoten Contrôle après 7 jours chez le médecin généraliste pour ablation Vérification du statut vaccinal contre le tétanos. 70 ans, Mme. Y, connue pour des troubles psychiatriques avec dépression, dépendance à l'alcool et aux benzodiazépines, et dyslipidémie. Elle est hospitalisée de manière élective par le médecin généraliste pour une courte hospitalisation de 2 jours. Mme. Y se présente avec des douleurs dorsales. Elle a eu une chute en décembre 2018 et une radiographie a montré une fracture de L1 avec suspicion d'ostéoporose. Une densitométrie et une thérapie avec Aclasta doivent encore être organisées par le médecin généraliste. Mme. Y se plaint de symptômes dépressifs et prend Trittico depuis un mois avec un bon effet sur le sommeil. Elle minimise sa consommation d'alcool et sa dépendance aux benzodiazépines. Elle était une fois chez le psychiatre Dr. X et, après une consultation téléphonique avec lui, nous recommandons un suivi par le service psychiatrique 1 fois/semaine. Depuis plusieurs mois, Mme. Y se plaint de troubles de la marche. Après consultation avec nos neurologues, une neuropathie périphérique est peu probable. Nous recommandons l'abstinence de BZD et C2, puis une réévaluation. Mme. Y peut rentrer chez elle le 14.02.19. 8 CE, 8 PFC, 3 PC, 1g de fibrinogène, 4g de calcium 8 inhalations de Ventolin aux urgences : disparition des sibilances après 20 minutes. 9 clips Ablation chez le pédiatre dans 7 jours.